Il souffre de cécité
Vue sur la mère
Avec sagacité;
Il souffre de cécité
En mettant de l'huile
Sur le feu,
Pour peu
Qu'il ait une tuile
Avec cécités,
Dont pour lui,
C'est un enfer
Qu'il reluit
A coups de commentaires;
Dans un inventaire
Prévue, vue et revue
Lui; qui a une vie dissolue;
Et qui souffre de cécité
Avec du soufre de ces cités;
Et avec sagacité
Suscitée et citée
Parmi les premiers prix
De l'année;
Appris et repris
Avec vue sur la mère;
De n'importe quel commentaire
Sur la planète Terre;
Avec une bévue
De qui sont ses congénères;
Qui génèrent sur lui
Des commentaires qu'il reluit
De confettis,
Tandis qu'il se régénère
Parmi les conifères
De Noël pour peu
Qu'il ait les boules;
Avec son côté maboule
D'être pieux dans son pieu,
Dont pour ne plus jeter
De l'huile sur le feu,
Pourvu qu'il devienne miséricordieux;
Et qu'il pardonne à tous ceux
Qui ont été affreux
Avec lui,
Pourvu qu'il les reluise dans l'oubli,
Tant et si bien que le soufre
Avec le feu;
Ne seront plus douloureux
Pour lui,
Mais heureux
D'avoir défunt une belle vue imprévue
Sur la mère,
Afin qu'il ne souffre de cécité,
Mais que désormais il souffle avec sagacité
De ces cités.
Jérôme de Mars
Un peu d'amour dans ce monde de brutes
Une fois par an durant un jour;
Il faut vivre en parant dans l'amour
Avec un peu d'amour dans ce monde de brutes,
Si bien que ça fait du bien !
Tous azimuts de boire des vers de flûte;
Et d'oublier l'espace de quelques heures
Le train train quotidien;
Qui se compose de labeurs
En alternant les pauses;
Et en plaidant sa cause
Pour laquelle les gens travaillent;
Pas forcément avec les doigts en éventail,
Dont pour aimer, il faut toujours rester dans la lutte;
Avec un peu d'amour dans ce monde de brutes
Durant les fêtes de fin d'année;
En croyant avec sérénité
Que le monde est refait de bonté, de beauté
Et de loyauté les pieds dans les souliers;
Dont et alors il faut profiter de Noël !
Et du nouvel an pour se distraire !
Heureux de prendre un bol d'air !
Avec de la musique dans les oreilles
Durant peu de jours !
En mettant des vers de troubadours
Sur des phrases à la ligne;
Qui riment avec positive attitude
Maligne auquel tout le monde s'aligne,
Pour vaincre la solitude
Et garder bon pied bon œil sans uppercut !
Mais en accolant les gens
Bienveillants et vaillants;
Avec des gestes affectueux qui rebutent
Le chacun pour soi, afin qu'en fin d'année; l'espoir
Bute l'ensemble des protagonistes broyant du noir;
En mettant la main à la patte d'artiste
Avec de meilleurs jours altruistes;
Après tant de déboires tristes
Et en se fixant des buts,
Pour que débute avec lutte
Un peu d'amour dans ce monde de brutes.
Jérôme de Mars
Les bons moments passent vite, les malheurs durent longtemps !
Que le temps soit long au long cours;
Ou que le temps soit court au cours long !
Il faut tout le temps qu'on court
A ne savoir si c'est bon !
Même en affirmant tout haut, plus c'est long,
Plus c'est bon !
Tandis que on ne trouve de solutions !
Pour résoudre cette équation
Avec plus de questions que de réponses,
Où l'on se défonce
Tout ça pour ça !
Et que l'on ponce
Dans la langue de bois !
A sans cesse constater que c'est un concours
De circonstances du fait que les gens lévitent;
Ceux qui fonctionnent à la-va-vite et qui l'évitent
Le danger; même qu'il est présent
Et qu'il rend furibonds;
Ceux qui le subissent pendant le temps
De tout ce qu'on endure en dur !
Et que malgré cela;
Les bons moments passent vite,
Les malheurs durent longtemps !
Si bien que le mal perdure
A vaincre le bien en rentrant dans le dur
Des âmes pures,
Pour un futur
Dans une posture ou une imposture
De désinvolture,
Où tout le monde figure en apparences !
Et configure à peu près dans l'ignorance !
Où même que ça nous irrite !
Et bien malgré cela, on doit
Faire face au quotidien
A emprunter toujours le même refrain,
Et à faire croire que tout va bien !
Et dont on hérite
Tout ça pour ça !
D'autant de tourments
Avec tout ce boucan,
Où tout fout le camp !
Dans le néant
Des écrans
De fumée éperdument malfaisants;
Avec des gens qui sont très à cran,
Comme les bons moments passent vite,
Dont perdurent
Les malheurs qui durent absolument !
Et qu'on endure
Dans le dur;
Purement, simplement
Et tellement trop longtemps !
Jérôme de Mars
La vodka du diable
Légitime défiance,
Quand il n'y a pas
De légitime défense;
C'est qu'il y a
La vodka du diable;
Avocat qui vous dessert
A table;
A vos cas les plus insociables,
Où après le dessert;
Il y a la vodka du diable
Qu'on vous sert
A table;
En buvant vos paroles
Avec du guacamole
Sans bémol,
Mais dont c'est la farandole
Qui glisse affable
Que c'est la vodka du diable;
Qui vous soûle infréquentable
A vos cas sans défense
Avocats désignés d'offense,
Dont avocats sociaux
A vos cas sociaux
De ceux ou celles;
Qui auront le dernier mot
Au sens pluriel
De la gestuelle,
Pour joindre le geste
A la parole,
Dont pour le reste
Et en lâchant du leste !
On vous sert
L'avocat du diable,
Pendant qu'on vous dessert
La vodka du diable.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi y aura-t-il un enterrement pour Claude Brasseur qui vient de décéder ?
- Parce-que comme c'était Claude Brasseur, il y aura une mise en bière !
Jérôme de Mars
Poème à l'envers
Envers du décor avec les revers J'écris ce poème à l'envers
Avec des vers lents du verlan
Pour parler le Français chébran
Dont les Francs ces anciens étaient des Français ces Francs
Qui parlaient le Français courant avec plus d'argent
Comme le silence dore et la parole est d'argent content
Contemplant un lit en portefeuille sur lequel repose un matelas des placements
De ce poème à l'envers très déplacé
Replacé dans le con texte bien enlevé
Avec des revers lents
Où je me mets aux vers du verlan
Qui signifie que l'encre de mes entrailles
A pour revers de la médaille des trouvailles
Où je suis un marginal antisystème
Une sorte d'artiste original et décomplexé
Dont tout me tape sur les six thèmes
Abondants où j'écris le fruit de mon art désabusé
Dissolu dans du mare de café moulu
Dans mes excès absolus
Où tout ce qui est tabou
Fait que mon état est à bout
Où je termine ces vers solitaires
Avec pour revers solidaires
Des vers lents de mon verlan chébran
De par n'importe quel camp où tout fout le camp
Si bien que j'en parle à l'an vers en me mettant O vers
De ce monde antisystème dans ce poème à l'envers.
Jérôme de Mars
Des cailloux payés au lance-pierres !
Anguille sous roche;
Tel Pierre Roche
De cette France désenchantée !
Tu enchantes La Roche
Valmont avec pour anicroche;
Alexia-Laroche
Joubert qui accroche
Des cailloux payés au lance-pierres !
Malgré que pierre qui roule, n'amasse pas mousse !
Surtout si Patrick Sébastien chante survolté;
Le petit bonhomme en mousse,
Dont un mousse de capitaine les mousse; l'émousse
Avec sa p'tite frimousse !
En mettant la pierre
A l'édifice
Avec quelques sacrifices;
Qui font cloche
Et qui clochent;
En faisant résonner la cloche
Du carillon
Dans cette bluette de chanson;
Avec des cailloux payés au lance-pierres !
Dont des pierres à manger et à déranger
Au frigidaire,
Alors que si l'inventaire
Fait un croche-pattes
A un mille-pattes !
Eh bien ! Il y a de grandes chances !
Pour que ça l'épate !
Dans la mouvance
De Pierre ;
Qui rémunère
Les pierres;
Ces jolis p'tits bijoux
Et joujoux;
Des cailloux payés au lance-pierres !
Jérôme de Mars
Alternance
Besoin d'alternance à gauche et à droite
Dès que le clignotant est à un tournant
De sa vie en voyant rouge
Ou en se mettant aux vers de poèmes
Par alternance et en rotation
En ayant pour signal des mots croisés
Dans un chassé-croisé
Par alternance en cherchant la direction
A prendre dans le sens devant
De la rose déviant complètement à L'Ouest
Quand le soleil friand se lève à Leste
Avec pour alternance déboussolée
La rotation à la croisée des chemins
Tantôt à gauche; tantôt à droite et au centre
Quand la direction du vent
Décentre la lumière réfléchie du soleil
Par alternance et dans la rotation
Où la voie lactée recentre l'univers
Autour des étoiles que sont la lune
Et le soleil dans la rotation par alternance.
Jérôme de Mars
L'année 2020 nous est tombée en vin !
Année 2020 qui a fait tant de dégâts, a commencé par un mercredi 1er janvier qu'on se le dise ! En récapitulatif de toutes ses horreurs à cette année qui nous est tombée en vin; et dont cette sale année nous en aura tellement fait prendre de la bouteille de vin; où on aura tout eu cette année avec pour démarrer sur les chapeaux de roues; plus de moyens de transport en janvier 2020 avec la grève de La RATP; à cause de la réforme des retraites par points, car au point où on en est; autant battre en retraite avec une baisse des pensions; en faisant grève avec tout ce qui se trame; vu que La France a tout le temps un métro de retard avec les personnes handicapées toujours en station debout, dont à part l'augmentation de L'AAH; les hommes politiques ne leur auront pas permis d'être accessibles comme des personnes lambda dans les bâtiments, car laisse-béton ! Tout le monde est en béton avec du béton armé; au train où vont les choses et où tous Les Français préfèrent dérailler plutôt que de s'adapter au monde qui évolue; pas forcément à l'accoutumée dans le bon sens certes; mais dans l'indécence; avec le décès en début d'année 2020; d'une pointure du cinéma Kirk Douglas qui avait trouvé chaussure à son pied; avec des rôles d'envergure comme Spartacus à l'apogée de sa carrière; et d'où il nous quitta à 104 ans après une vie, dont il joua si bien le rôle de sa vie; avec une très bonne partition sans fausse note; à l'image d'Uderzo qui disparut avec pour Astérisques; son côté vieux gaulois réfractaire, dont tous les chemins le ramenèrent à Rome; sans qu'il se fasse gauler en règle générale; tellement que Les Français sont complètement à l'Ouest; et qu'ils ne savent plus dans quelle direction aller dans l'apolitique; si bien qu'ils roulent à droite et déroulent le tapis rouge à gauche; au centre de toutes les discussions les concernant; si bien qu'ils savent unanimes que tous les mènent en bateau à l'image du Vendée Globe en fin damnée; où on navigue en eaux troubles par ces temps instables; avec le mal de mère vu que déjà; la vie n'est pas un long fleuve tranquille ! Même en montant sur Seine et en slamant le ras le bol des Français; sauf Michou qui partit en bleu sans retourner sa veste bleue; sans aucun état d'âme et sans regretter de quitter ce monde avec les bleus; qu'il eut dans sa vie, dont le bleu fut sa couleur de l'espoir en faisant cabaret peu de temps après sa mort; avec Le Coronavirus dans ce monde qui va à l'envers; et où en attendant le vaccin en antidote; malgré que la plupart est vaccinée et majeure; quelle est la cause de pourquoi tout le monde a la rage en protestant au pasteur et de pourquoi tout le monde est à couteaux tirés? A l'image de l'attaque au couteau en septembre dernier près des anciens locaux de Charlie Hebdo; et de pourquoi tout le monde se prend en grippe en portant un masque ! Débat les masques ! Où quiconque qui s'en lave les mains ! Se prend un savon si par malheur le masque tombe ! Sauf si Joe Biden qui vient d'être élu président des Etats-Unis; permet de ramener un peu de paix dans ce monde qui est dans un sale état désuni, comme Tonie Marshall qui mourut en fille de marshal; à moins que tout le monde soit désarmé par cette année en demi-teinte; qui toucha toutes les couches de la population; aussi bien de Michel Piccoli qui rendit sa grandeur d'âme tout comme Ennio Morricone il était une fois dans L'Ouest; où La Grande Bretagne s'apprête à quitter le royaume uni de L'Europe d'ici au 31 décembre 2020 avec le Brexit dans ce monde triste de pluies diluviennes; avec pour rajouter la mort avec remords de Guy Bedos, dont Jean-Loup Dabadie respecta sa parole d'auteur en lui écrivant ses meilleurs sketchs, dont la faim de vie de Guy Bedos fut un sacré casse-tête tandis que Jean Loup Dabadie mourut d'une longue maladie mais en malade sanguinaire de ne pas être mort sur scène; dont l'infâme fut qu'en coup de massue; Gisèle Halimi décéda; elle; qui fut l'avocate de la défense des droits des femmes: avec en contredanse la disparition de l'un femme Zizi Jeanmaire presque en catimini; qui ne put de terminer de balayer devant sa porte avec un ballet; dont entre deux; il y eut une reprise de l'épidémie du Coronavirus; avec l'emprise des médias; vecteurs et victimes du virus des idées reçues; dont le gouvernement soi-disant à votre santé; imposa un couvre-feu; comme déjà le feu couvait et dont par ensuite; il décida d'un deuxième confinement certes moins strict; qu'au printemps; mais dont la seule attestation qui dérogea à la règle; fut celle de rendre les tampons hygiéniques gratuites pour les femmes; qui ont des règles par cycles; dont malgré les rares joies qu'il y eut en cette année 2020; pour nous faire plonger dans les souvenirs de notre enfance; il y eut les décès d'Annie Cordy; notre chère tata qui ne jouera plus jamais du yoyo, car dorénavant; elle boira son chaud cacao là-haut au ciel ! Tandis que nous; on vit sur une planète Terre très délétère et terre-à-terre avec beaucoup de morts-vivants; car même si on connaît la chanson ! Manu Dibango et le chanteur Christophe tinrent paroles en rejoignant leurs semblables dans l'au-delà; victimes du Covid; dont faire un peu d'humour pied-noir; autant aussi déplorer le décès de Robert Castel; en cette année en vin de 2020; qui nous soula jusqu'à l'ivresse de toutes ces mises en bière; sauf qu'heureusement eut lieu une chance sur un Euro million; où un Français ayant de la veine dans la veine sans se faire piquer au vif du Coronavirus; remporta 100 millions d'Euros; de quoi rembourser une partie de la dette de La France sans hausse d'impôts; comme les élections municipales, dont le 1er tour eut lieu le 15 mars; soit deux jours avant le premier confinement; mais dont on reporta le second tour; en y refaisant un tour le 30 juin à cause de Jérôme de Mars et de son virus des idées reçues; dont les seules vices de procès durs vice et versa de cette année sur année; furent les deux coups de vices en serrant la vis du déplacement des Français; et en martelant en vaines paroles Les Français afin de limiter leurs contacts; avec au bout de la course; un paiement sans contact davantage élargi à l'ensemble de la population Française; où à cause des gestes barrières; plus personne ne peut se serrer la main, s'embrasser et s'enlacer; à part s'en lasser et de joindre le geste à la parole, dont après Olivia de Havilland qui partit sur la pointe des pieds en filant à L'Anglaise; on sanglota à l'annonce de la perte de Juliette Gréco; car maintenant où elle est; elle est le fantôme du Louvre pour veiller amusée sur ce musée; elle; qui dit déshabillez-moi ! Aux Français dans cette France à l'époque enchantée des trente glorieuses avant le décès de Valéry Giscard d'Estaing dans cette France 2020 désenchantée, où plus grand monde pour plus grand-chose ne tient paroles ! A part critiquer tout le monde sur les réseaux sociaux avec des noms d'oiseaux; vu que tout cela ne vole pas haut du tout ! Comme les hommes politiques; ces drôles d'oiseaux; qui rendent chèvres tous les Français; en les prenant tous pour des boucs-émissaires; comme le football où on accorda une tribune libre en évoquant la mort de Diego Maradona et de Gérard Houllier; qui moururent d'un infarctus; mais dont certains considérèrent qu'ils furent sans cœur avec un cœur de pierre, car pierre qui roule n'amasse pas mousse ! Avec pour dépendance même si j'ai passé l'âge ! En attendant Emmanuel Macron; qui lors de la déroute au second tour des municipales nomma Jean Castex premier ministre; pour dériver en virant Edouard Philippe; avec pour casse-tête; de résoudre le pourquoi du comment dans l'histoire de France; de pourquoi en perdant le Nord; Samuel Paty; fut décapité même s'il ne partit pas en Coran ! Et dont dès le début de la crise du Coronavirus; Emmanuel Macron clama que quoiqu'il en coûte; la faim justifie les moyens ! De se mettre au travail pour ceux qui perdent leur travail; et qui vident leurs bourses au nom de l'argent désarroi ! Dans un chômage de masse et chômage partiel; qui pèse lourds sur les finances de La France, dont pour que La France et Les Français gardent leurs indépendance; il faut qu'Emmanuel Macron fasse la réforme de la dépendance en favorisant l'autonomie des personnes âgées, pour qu'elles restent logées à la même en saigne ! Avec pour cerise sur le gâteau; le départ de Jean-Pierre Pernaut de son poste de présentateur après 33 ans au journal de 13h de TF1; en ayant atteint l'âge du Christ ! D'autant que dorénavant; tout se fait par Internet question infos ! Et plus dans du papier journal, dont voilà une drôle de fin damnée ! Avec toutes les embûches qu'il y eut en 2020, dont on aura tout essayé ! Pour conjurer le mauvais sort en cette année sur année; remplie de bien de malédictions, dont on en sort trop épuisés; éprouvés et consumés pour bien des années avec des excès de vitesse; tellement pressés et compressés de vouloir tout retrouver comme avent ! D'où je vous souhaite pour démarrer sur les chapeaux de roues 2021; de cesser d'être la cinquième roue du carrosse et d'être la roue de secours ! Car en voiture pour 2021 et en libre circulation ! Après cette année 2020 qui nous tomba en vin; avec en piqûre de rappel, dont jeudi que cette année surannée maudite se termine le 31 décembre !
Jérôme de Mars
Tambour un
Mené tambour combattant;
T'es un battant !
Si t'as un tambour un;
Qui fait tambourin,
Dont les percussions
Font de la musique;
Avec toute ta clique
En faisant irruption;
Si t'as un tambour un;
Qui fait tambourin,
Dont les maracas;
Ca fait de la casse !
Si jamais tu fais un casse
Avec ta carcasse,
Dont en grattant une guitare;
Tu fais du tintamarre
En rechargeant tes batteries exportables;
Avec la batterie de ton portable,
Dont de ton tambour un;
Tu joues du tambourin
Dans une fanfare;
En harmonie
Et en philharmonie
De ta musique acoustique
De sacré loustic,
Dont tu joues sur la même longueur d'ondes
Avec toute ta clique
Dans ce drôle de monde,
Que t'inspire la symphonie
De Beethoven,
Dont tu as bien de la veine
Dans la veine
De sa rengaine;
Si d'ici là tu baisses tes veines,
Dont toutes ces répercussions
Te donnent des frictions
Garanties ton tambourin,
Dont tu joues en roulement de tambour
Avec ton tambour de battant;
Ramené tambour combattant,
Dont t'as jusqu'à la fin de tes jours !
Un tambour un.
Jérôme de Mars
Noël ma mère !
Histoire de sa trouble enfance
Dans sa parfaite innocence;
A Noël ma mère fut conçue
Par son père qui sut; sue
Qu'il finirait comme son père;
Le jour où lui s'est suicidé
A Noël ma mère;
Le jour, où elle fut fabriquée
Dans la détresse de mon grand-père;
Qui se jeta dans les bras de ma grand-mère,
Pour oublier le temps d'une saillie
Ce qui l'assaillit durant le reste de sa vie
A Noël ma mère,
Dont elle paya toute sa vie;
Tout ce que mon grand-père
Dévie des vies et lui fit
Subir dans sa folie légendaire;
Qui remonta à la seconde guerre,
Dont rien de son père ne fut résolu
Ce qui fit qu'il eut une vie dissolue;
Dans l'absolu en étant éperdu; et perdu;
A jouer un rôle de tout va bien en surface,
Alors que quoiqu'il fasse;
Il ne renonça pas à finir comme son père;
Soit mon grand-père et mon arrière-grand-père
Dans la folie des suicides de manques de repères,
Où à Noël ma mère fut préconçue
Dans la folie de son géniteur avec reflux
Des idées refoulées;
De générations en générations
Dans la pure aliénation,
Où tout se remit en question !
Faute d'avoir été en adéquation
Face à une vraie fausse imposture,
Dont chassez le naturel !
Il revient vite au galop !
Avec pour coup de trot;
Un coup qui fait de trop grosses étincelles;
Du superficiel en allant au ciel par ciel;
Que ce soit de Noël ma mère;
Du suicide de son grand-père
Jusqu'à La Saint-Valentin
A la Saint glin-glin;
Avec le suicide en manque d'amour de la vie
De son père; avec pour meilleur ami
Pour voir les horreurs de la guerre;
Le frère de ma mère qui fut comme un frère
Pour leur père;
Qui découvrit à l'agonie
Leur père mort d'une balle dans la tête;
Oh ! Quel casse-tête !
Pour ainsi tomber dans les oubliettes !
De toutes ses différentes facettes,
Où quelle serait la meilleure année
Pour passer un Noël comme avant suranné ?
Du temps où tout le monde était en vie;
Et donner envie de retrouver une certaine nostalgie
Du bon vieux temps,
Comme Avent !
Car à Noël ma mère;
C'est encore un Noël sans ma mère !
Qui reste au fond de l'oubli,
Mais si je revoyais à Noël Mamère;
Je passerais avec magie
Un bon réveillon à Noël ma mère.
Jérôme de Mars
La boîte à poèmes
Question de pourquoi tu boîtes !
Est-ce-que c'est dans la boîte ?
Si t'as les mains moites,
Alors que si tu avais de la ouate;
Ca adoucirait ton quotidien !
Avec une ribambelle de copains,
Pour te faire passer du dédain
A l'entrain;
Surtout si tu as un emphysème,
Où tu respires l'œdème
De ton mal de vivre avec tes problèmes,
Dont pour cela, il te faut une boîte à poèmes !
Afin qu'en artiste bohème;
Tu scandes que tu aimes
Les parfums de la vie,
Malgré parfois le dépit et l'ennui;
Déjà que quand on a rien !
On ronge son frein,
Alors qu'avec une boîte à poèmes;
Tu sèmes le totem,
Pour que ton quotidien
S'améliore avec des petits riens;
Qui te rendront l'air de rien;
Boute-en-train,
Pour ne pas louper le train;
Surtout qu'il ne passe qu'une fois,
Alors ne le loupe pas !
Car avec une boîte à poèmes !
Ca sera une boîte,
Où tu pourras vider tes problèmes !
Pour que tu ne boîtes
Mais que tu emboîtes
Le pas en franchissant de grands pas;
En allant par-ci, par-là !
Où il te faut de la douceur
Et pas de peur,
Car tu en as déjà assez supporté
Avec tes malheurs;
Qui t'ont consumé,
Où pour que ta poésie
Rime avec frénésie;
Ecris-la en requiem !
Pour que le jour de ta mort,
On se souvienne de tes poèmes retors,
Pour qu'ainsi, tu ne boîtes dans l'au-delà !
Mais que tu emboîtes le pas !
Avec les gens que tu aimes,
Car ce qui est sûr
Malgré ta désinvolture !
C'est que c'est dans la boîte !
Où que tu boîtes;
Si jamais tu retrouves une boîte,
Pour travailler tes poèmes
Dans la boîte à poèmes.
Jérôme de Mars
Quand L'Océan Pacifique se met en colère...
Grandes histoires pour quelques broutilles;
Il en résulte que les éclats fourmillent
D'une mer à cran avec un incendie volontaire,
Quand L'Océan Pacifique se met en colère...
A comprendre la raison pour laquelle il semble
Si offensif sur la défensive à dériver;
Et de pourquoi il décide de survoler
Ses profondeurs à l'œil nu, dont il tremble
De peur sans savoir à quel moment;
Il y verra clair en arrêtant sa tragédie primaire,
Quand L'Océan Pacifique se met en colère...
Avec des tourments dus à son vécu de vieux errant,
Lorsqu'il flânait à regarder les bicoques des bateaux;
Qui sombraient au fond de l'eau;
En attendant que d'autres histoires parallèles
Y mettent de l'eau dans son vin; avec pour aquarelle
Une peinture sur l'eau par exemple à l'eau claire,
Quand L'Océan Pacifique ne se mettra en colère...
Jérôme de Mars
Vers pour ma pomme
Dis-moi Tom !
Où en est ton dernier tome ?
Des quelques vers pour ma pomme;
En me déroulant le tapis
Rouge tout tapi avec la pomme d'api;
Et s'il y a la somme
Juste pour égrener;
A volonté
Ma volupté;
En plantant une graine
Sur un chêne,
Pour en faire un arbre fruitier,
Dont il restera au sommet
Quelques vers pour ma pomme;
Avec du courant pur jus de pomme
Qui en dira long si toi Tom;
Tu as fini ton dernier tome !
Avec dans ton cœur de misère
Beaucoup de chimère;
Qui ne t'est épargnée,
Dont tes hématomes
T'ont causé
Une gangrène;
En te traitant sans porcelaine,
Comme de la vaisselle cassée;
Causée par du baume
A la rancœur; qui t'embaume
Dans des psaumes,
Où quand Tom;
Achèveras-tu ton dernier tome ?
En restant très à cheval à l'hippodrome;
Avec quelques vers pour ma pomme
Tant qu'il y aura le Golden Gate Quartet;
Qui jouera la fin du quarté
En ton nom de ton dernier tome !
Que tu auras juste fini Tom;
Avec quelques revers de gomme;
Mystères et bulles de gommes !
Où pour terminer
Ce poème encensée ou fustigée;
Tu mettras la gomme !
Avec des atomes
Crochus des quelques ultimes vers
Pour ma pomme.
Jérôme de Mars
La maison des hirondelles
Saison des amours, le printemps !
Vivement qu'il tourne en bagatelle !
La maison des hirondelles
En faisant du rentre-dedans;
Tel pour repeupler la niche,
Pour peu que le ciel
Leur marmonne chiche
A la maison des hirondelles;
A attendre que les chères demoiselles
Leur remontent les bretelles
Après la bagatelle;
D'untel vers la prunelle
De leurs beaux yeux d'hirondelles;
Sans faire de zèle
Dans la maison des hirondelles;
Qui ne font dans la dentelle,
Pour avoir une prise péritel
Et brancher les hirondelles;
En faisant l'amour avec elles,
Quand la peur du ridicule
Devient une opportunité avec du recul;
Attire d'ailes
Dans la maison des hirondelles.
Jérôme de Mars
Dis-moi si jamais tes fleurs fanent ! Ce sera le bouquet ? !
Ex-femmes des sixties,
Et ex-fans des seventies;
Qui fanent les eighties;
Préférais-tu les nineties ?
Avec des chanteurs à minettes
Ou des enchanteurs d'opérette,
Et dis-moi si jamais tes fleurs fanent !
Ce sera le bouquet entre tes fans ? !
Ou bien juste un semblant de paillettes
En contant fleurette ?
Parce-qu'on le veuille ou non;
Les fleurs comme tous;
Ont besoin d'amour et d'un joli coup de pouce
Avec des pouces vers,
Pour jardiner et cultiver la jachère
Et la rendre fière de partager
Des moments de simplicité;
Avec davantage d'excentricités
Et de futilités,
Pour oublier pendant quelques heures
Ses entrailles; pour aller au fond des tenailles,
Par le seul moyen du travail;
Et dis-moi si jamais tes fleurs fanent !
Ce sera le bouquet pour tes fans ? !
Ou juste pour envoyer des fleurs
A tes amies femmes qui te font une fleur ? !
En t'appelant mon chou-fleur,
Où le fait d'être fan;
Fera que tu ne fanes
Personne; ni tes fleurs, car sinon
Ce sera l'arroseur-arrosé;
A la rosée de la croisée
Des chemins; entre du rosé;
Et des plaisirs bien à rosée; arrosés,
Dont dis-moi si jamais !
Tes fleurs flânent !
Ce sera le bouquet
Jusqu'au Fouquet's ? !
A faire la fête
Sur le Paris du troquet;
Avec des roquets
Et des perroquets,
Pour répéter tes anciennes paroles
De vilain rossignol,
Où pour manger à ta faim
Tout ton déclin;
Tu auras pour coups de main
De merveilleux refrains;
Avec pour boute en train
Des gens bien,
Pour te montrer qu'une fleur;
Ca s'entretient comme l'amour
Et l'amitié ! Avec en roulement de tambour !
Des parfums de bonjours ! Dans de la chaleur
Humaine, dont avec du bourbon;
Tu feras des bonds furibonds !
Et dont dis-moi pour de bon !
Si tes fleurs ne fanent !
Eh bien ! Emmèneras-tu tes fans ?
Regarder de façon poétique vers l'extérieur ! ?
Et si ce sera toujours le bouquet ? !
Jérôme de Mars
Peut-on acheter l'amour et l'amitié ?
A tout prix, sans vergogne et sans morale;
Peut-on acheter l'amour et l'amitié ?
Alors que l'acheter, lâcheté; c'est ajouter du découvert
A votre crédit,
Dont vous avez discrédit; dix crédits;
Avec pour lâcheté, l'acheter ; quelques revers,
Dont le moral d'avoir l'amorale vénale
D'une vie qui dévie du droit chemin,
Pour tout avoir à portée de main,
Dont à la base, normalement, l'amour et l'amitié
Ne s'achètent pas mais se construisent;
Quoiqu'on en dise !
Dans la confiance et la fraternité;
Quelque soient les épreuves de l'adversité !
Afin que s'amenuise le discrédit;
Et qu'on accorde du crédit
A votre parole donnée;
En argent comptant,
Pour que tout le monde
Y trouve son compte sans fronde !
Avec de vrais amis dans les hauts et les bas,
Mais surtout dans l'ébat;
Avec quelques rares amis qui se comptent difficilement
Et inopinément
Sur le bout des doigts,
Dont la parole fait foi !
Où certes; on ne peut pas acheter l'amour et l'amitié !
Mais on peut payer à son crédit
Quelques couverts,
Pour que tout le monde soit quitte
Et que personne ne se quitte !
Aux frais des huissiers et des saisies,
Car le plus important
Et le plus réconfortant
Dans ces moments-là !
C'est qu'à coup sûr; l'argent
N'achète pas le bonheur ! Mais il y contribue largement,
Quand c'est fait proprement
Dans le code de l'honneur;
Avec pour dégager un ciel bleu; de la bonne humeur,
Car rien de tel que de faire en sorte que de l'acheter sans lâcheté;
Et dans le respect des règles érigées
De l'argent à proprement parler,
Dont le silence est d'or et la parole est d'argent !
Puisque comme le silence est d'or et la parole est d'argent !
C'est en ayant une valeur de parole donnée
Et honorée,
Que dans l'intégrité et la loyauté;
On peut acheter sans lâcheté l'amour et l'amitié
En argent content.
Jérôme de Mars
Des ours sains
Etoile de la grande ourse;
A la recherche et à la conquête
Des ours sains;
Il y a des oursins;
Avec des piques qui coursent
Ceux en quête;
Qui ont des ressources
S'ils prennent leurs sources !
En direction du grand bain;
Ou bien et ben !
S'ils vident leurs bourses !
Et qu'ils déboursent,
Lorsqu'ils font la quête !
En une requête
De repérer des oursins;
Qui tracent leur étoile de la grande ourse
Avec des ours sains;
Soit des ours mal léchés
Ou débauchés;
Avec le miel et les mirabelles
Ou le fiel et les abeilles,
Pour avoir un esprit sain
Dans un corps sain,
Dont pour attraper les oursins;
Il faut faire appel à des ours sains.
Jérôme de Mars
Dimanche à ballet
Remue-ménage
Le dimanche !
Ca déménage !
En un dimanche à balais;
Avec dix manches à balais
Qui ménagent
Ce drôle de ménage,
Dont c'est un dimanche à ballet;
Qui endimanche
Ceux qui font la manche à balais;
Ou remontent la mère de la manche
A ballet,
Dont tout est des ballets !
A presque dix balais;
Avec pour tout des balais
Un dimanche à ballet.
Jérôme de Mars
Ca glisse dans un trou perdu !
Des vices déversa !
Vice et versa
Avec ce texte paillard;
Qui n'est point des beaux arts !
Où pour rendre hommage à l'agonie
Moribonde à la langue bien pendue
Des pendus, voila sans malentendus !
Un idéal de vie dissolue,
Où lorsque ça jouit !
C'est la bougie
Qu'allume l'orifice;
Qui réussit à avoir une ouverture;
En vivant des aventures
Sans artifices
Et de foutre,
Mais dont certains
Parmi les libertins;
Peuvent s'en foutre
Partout quand ça glisse dans un trou perdu !
Où ça fait du bien par où ça sort !
Avec pour éternels ressorts ce qui essore
Les sexes vierges effarouchées;
Qui ont bien éjaculé toute la purée;
Avec pour roule tambour !
Ce qui déroule, dès que ça fourre !
Fous-la moi bien !
Où je pense
Par exemple dans la décadence;
Et dans la femme, dont l'infâme
Est son monologue du vagin
Qui s'enflamme,
Où ça glisse dans un trou perdu !
Avec des coupes des vices qui ont bien fendu
L'armure; dans un rapport sexuel tout confondu,
Où la crème bien fouettée;
A bien fondu et s'est bien défendu;
En battant les valseuses
A plus de trente glorieuses !
Dans un déclic, où tout un groupe bande
Avec pour fumer la contrebande;
Quelques sulfureuses complices
De l'adultère; qui crachent leur colère,
Dont le point à évoquer est
Charnel et incendiaire;
Avec de bien séduisantes et sexy
Femmes réfractaires,
Où pour purger la semence;
Rien de telle que l'essence,
D'une romance qui picouze
Dans une partouze;
Avec une touffe et une bite;
Qui étouffent l'argent qui sort
En liquide que débite
L'amour sans sentiments,
Mais très pénétrant
Avec pour point culminant;
Et à chaque instant,
Dont passe vite la vie !
Et voici des orgies !
Pour souffler sur les grosses bougies;
A propos de certaines choses de la chose;
En faisant la chose et en ayant une vie rose;
Très branchée sexe et cul sans complexe;
En duplex
Et en osmose,
Dont le fameux moment, où ça sort bien détendu !
C'est quand ça glisse dans un trou éperdu !
Jérôme de Mars
Petit mot pour un Noël pacifique
N'ayez les boules à Noël !
Pour que personne ne s'enguirlande !
Et pourvu que Noël ne sente le sapin !
Mais sache tenir les rennes !
A faim que tout le monde bûche !
Sans embûches mais
Mange le nouvel an bûche;
Avec au sommet du Sapin
Une étoile qui envoie les enfants;
La tête dans les étoiles
En faisant des plans sur la comète,
Tellement que tout le monde déguste !
Et trinque pour passer une bonne fin d'année
Et un bon début d'année à votre santé !
Avec du champagne qui sort les convives
De leurs bulles pour pétiller;
En vous souhaitant un joyeux Noël !
Et une bonne année !
En guises de bonnes fêtes de faim d'année !
Et en allant de L'Avent !
Qui conclut ce petit mot pour un Noël pacifique.
Jérôme de Mars
Le facteur va vous apporter des bonnes nouvelles aujourd'hui...
Pas loin de Noël;
Pourvu qu'il y ait du soleil
En ces fêtes pas comme les autres,
Où il faut que tout le monde se vautre !
Pour qu'enfin les hirondelles
Déploient leurs ailles conflictuelles;
Et les arrangent dans la grâce charnelle
Autour de la famille et les amis,
Dont le facteur va vous apporter
Des bonnes nouvelles aujourd'hui
Avec panache dans la collectivité,
Pour qu'il tournoie dans un tournoi;
Tous les rabat-joie,
Pour leur faire connaître
Dans un concours de circonstances;
Toute la quintessence
D'ouvrir les fenêtres,
Où soyez épanouis !
Pour une fois dans la vie,
Comme le facteur va vous apporter
Des bonnes nouvelles aujourd'hui;
A portée de main avec sa singularité,
Dont les mots familiers seront respect,
Solidarité et fraternité,
Pour trouver la paix intérieure
Avec des envies d'ailleurs,
Pour un jour meilleur
Fredonner de belles ritournelles;
En franchissant la passerelle
Entre le passé et l'avenir essentiel,
Sans que ce soit événementiel
Et partiel,
Mais plutôt un rendez-vous ponctuel
Et occasionnel,
Pour qu'enfin à l'heure du Messie;
Le facteur sans risque vous apporte
En feint des bonnes nouvelles pour aujourd'hui.
Jérôme de Mars
J
e
u x deux poèmes
Etre Suivre
Je suis un intrus qui écrit Je suis un intrus qui écrie ce poème dans un je
De poèmes qui on dit long Ce poème dans un jeu deux poèmes qui en dit long
En maux qui arriment à rien En mots qui riment ou qui riment à rien
En me dévirant deux bords En virant de bord
Qui me démène en bas taux Qui me mène en bateau
Don tout en trombes allo Dont tout tombe à l'eau
En s'en allant à tribord En allant au rebord
Don il est leurre de médire Dont il est lors de vous dire
Beau avant os à bords ! Bon vent aux abords !
Jérôme de Mars
Dans la vie, il y a des joies et des peines !
Moments émotifs,
Comme aux écorchés vifs;
Le temps semble furtif !
Et nous rend réceptifs !
Où il nous faut naviguer
Et jongler
Entre le subversif;
Le défensif
Et l'inoffensif,
Pour que le passif
Soit rétroactif
Et réactif;
D'un idéal de vie actif
Et positif;
Où certes dans la vie, il y a des joies
Et des peines !
Mais dont par contre il s'écoule de longs mois,
Où l'on vogue entre des périodes certaines
Et incertaines;
Et d'autres aléas
Qui traduisent la même vilaine rengaine,
Où après le désarroi;
On attend imminents un plein de joie
Pour oublier les fois,
Où on avait la haine
Avec chaque semaine
Les mêmes aléas;
Trompe notre joie !
C'est toujours notre gueule de bois !
Dont on boit
Les injustices puritaines
Avec la voix hautaine;
Même si certes dans la vie,
Il y a des joies
Et des peines !
Un coup en sifflotant notre moral bourgeois;
Et l'autre coût en oubliant à peine;
Nos soucis dans l'agonie et l'inertie
D'un manque de foi
En la vie qui en devient inhumaine,
Où l'on veut juste un peu d'étrennes
A Noël, pour trinquer à la mienne
Et à la tienne
De notre santé;
Avec les problèmes de foie et de foi
En la vie qui nous envahit pérenne,
Où c'est simplement à partir de notre foi Chrétienne;
Qu'on s'en sortira
A la p'tite semaine !
Et à notre ouverture d'esprit persienne !
Malgré que certes dans la vie
Et l'ennui,
Il y a des joies
Et des peines !
Jérôme de Mars
Le soleil dort à la belle étoile
Pierre de granit
De futures météorites;
Que laisse tomber
L'univers en portant atteinte
A son intégrité distincte;
Qui laisse présager
Que la nuit
Le soleil dort à la belle étoile;
Pendant que ses pépites
Crépitent et lévitent;
A patienter dans le vide
Que le ciel dévoile
Rigide et livide;
Sa face cachée qui luit
A peindre une toile;
Qui voile la face du ciel
Pendant que le soleil
Dort à la belle étoile,
Lorsque l'araignée
Fait sa toile,
Dès qu'elle défraie
La chronique en faisant
Les frais incompétents;
Du soleil qui dort
A la belle étoile;
Avant de se lever
Aux aurores,
Tant et si bien
Qu'au petit matin;
Un nouveau jour démarre
Sous la fanfare
De la nuit;
Qui achève sa toile
Et dont le ciel en déduit;
Que le soleil a fini
De dormir et par décrocher
La belle étoile.
Jérôme de Mars
Le concert du côlon
Paroles désenchantées d'une France frustrée;
D'avoir colonisé dans le passé
Tant de pays à la frontière de leurs idées dérangées;
Qui paraissaient totalement décalées,
Tel le concert du côlon
Qui ne dit pourquoi maintenant nous nous collons,
Comme si on partait tous ensemble en colonie
De vacances ! Dans la légèreté
De la lourdeur d'avoir enfin de l'alchimie,
Où certes; il faut des atomes crochus mais
Pas forcément de la chimie;
Surtout que le côlon n'a pas la science infuse;
A part s'il diffuse des préjugés qui usent
Le concert du côlon;
Si jamais il a le cancer du côlon
Avec de tristes événements, où nous collons
De près à la réalité des anciens pays,
Comme L'Algérie, Le Maroc et La Tunisie;
Qui furent d'anciennes colonies Françaises,
Où maintenant, elles sont dans leur terre glaise
Agile; avec de l'argile et vraiment sur leur terre ferme,
Où le concert du côlon ne se renferme;
Mais s'ouvre sur des paroles fermes,
Alors que le cancer du côlon ferme ses paroles dans sa ferme,
Du genre est-ce-que le monde était mieux avant ?
Ou maintenant est-il moins noir que blanc dans un semblant ?
Où pour ne pas déchanter l'évolution des mentalités;
Il vaut mieux chanter l'ouverture d'esprit en étant fiers d'être Français !
Et en faisant évoluer le cancer du côlon
Pour chanter le concert de louanges du côlon.
Jérôme de Mars
Le bien et le mâle
Je m'écris manichéen
Dans ce slam de quelqu'un;
Qui hésite entre le bien et le mâle
Dont c'est un mâle pour un bien;
O combien, un bien pour un mal !
Si le bien fait mâle
Ou le mal fait bien;
O combien un bien !
Dont je m'excuse en bien !
De ne pas avoir été toujours bien
Dans mon mal-être pas trop bien;
Mais trop mâle !
Pas forcément pour faire le mal,
D'où j'insiste de rester humain;
En faisant le bien pour un mâle !
Dont c'est un mal pour un bien !
O combien précieux de ce bien !
Très bien
Ou pas trop mâle;
Avec pour lien
De demeurer quelqu'un de bien !
O con bien un mâle amical !
Dans le bien et le mâle.
Jérôme de Mars
Quand les singes singent !
Remue-méninge !
Il était une fois la vie;
Qui dévie du droit chemin
Avec à portée de main;
L'école des portées qui ravit
Les primates quand les singes singent !
Les gorilles dans la brume;
Qui singent les orang-outang
Dans la ville d'Oran dégoûtant
Dans une parodie,
Pour que tout le monde rit
Et ne tarit pas d'éloges;
A la fête d'éloges qui dérogent
A la règle d'étroit,
Où il y a un remue-méninge
Quand les singes singent !
Le ridicule qui ne tue pas !
Mais s'écrit à portée de voix
Dans un chemin de croix;
Qui singe les chimpanzés,
Comme les pygmées bronzées
Dans la jungle qui s'enrhume
En conte de faits d'hiver inouïs,
Comme des inséparables
Avec pour morale de fable;
Un tel remue-méninge !
Quand les singes singent !
Jérôme de Mars
Ma plume de drôle d'oiseau fait-elle couler beaucoup d'encre à moi, le poète maudit ?
Plume de mon duvet qui me déplume;
Une fois n'est pas coutume !
Je fume le calumet de la paix
Pour apprivoiser mes vieux démons ;
Qui sont légion
A la communauté des artistes décalés
Et torturés,
Où je demande;
Et je quémande,
Quand je mendie !
Sans que je médis
Avec des mots dits;
Ma plume de drôle d'oiseau fait-elle couler
Beaucoup d'encre à moi, le poète maudit ?
Tous les mardis, les mercredis ou les vendredis;
A moins que l'un dit que je dis que ça me dit !
D'être un pur entier
Ou d'être impur rentier;
Avec chaque jour suffit ma peine !
Et dont vivement la reprise de la semaine !
Pour que ça me change les idées !
Et que je me mélange parmi les fortes personnalités;
Avec qui j'entretiens; je l'espère ! D'agréables cordialités !
Et qui m'amènent à répondre en amabilités;
Si de mon âme d'artiste incompris;
Si ma plume de drôle d'oiseau fait-elle couler
Beaucoup d'encre à moi, le poète véritablement maudit ?
Jérôme de Mars
J'ai les boules à fossettes !
Même paire de chaussettes,
Que ce soit ma vieille paire de chaussettes
Ou mon repaire d'amourette;
Je fais semblant de conter fleurette
Depuis belle lurette;
Dans la vie, tout est question d'affinités
Pour afficher une grande complicité
Dans la simplicité,
Dont l'essentiel;
C'est de s'attacher aux gens !
Qui me rendent la pareille
Dans la sincérité
Et la réciprocité,
Afin d'être plus liant;
Alliant le fait de rester quelqu'un
De bien
Et de chouette,
Quand j'ai les boules à fossettes !
Avec plusieurs facettes;
Qui montrent
Dans une course contre la montre
A mon escarcelle;
De pourquoi je fais causette
Ou de pourquoi on me fait causette;
Entre mes faces nettes
Et mes casse-tête;
En partant à la cueillette
Et en faisant des emplettes,
Quand j'ai les boules à fossettes !
Et que je perds la boule à facettes;
Avec pour comprendre toute la saynète
De mon texte;
Quelque chose de Jean Castex;
Qui montre son index;
Et qui annexe l'annexe
En duplex
Du contexte;
De ce pourquoi j'ai des amis,
De la famille;
Et en faisant peut-être des plans
Sur la comète;
Des amants ou des maîtresses;
Avec pour pièce maîtresse
Renvoyée à mon adresse;
Où malgré que je sois né
Tout entier en ayant
Tout au complet;
J'ai ma propre raison à me faire des complexes;
Si à tout jamais je perds la boule à facettes,
Quand tout au long de ma vie j'ai les boules à fossettes !
Jérôme de Mars
Une pierre deux coups
Pierre à l'édifice !
Oh ! Quel sacrifice !
Sauf si Pierre de coûts
Fait une pierre deux coups;
Qui lance Pierre
S'il est payé au lance-pierre !
Dont il faut investir dans la pierre
Avec là Pierre !
Qui fait une pierre deux coups;
Sauf si Pierre de coûts
N'a plus les moyens
D'entretenir son train de vie;
En faisant une pierre deux coups
Au moyen d'être le doyen;
Qui sévit avec ses économies;
Et dévie du droit chemin
Par n'importe quel moyen !
Sauf si Pierre de coûts
Fait une pierre deux coups;
Après avoir fait les quatre cent coups
En faisant coucou !
Avec l'argent ripou
Des voyous;
Qui attendent que le hibou
Vole, envole et survole
En antivol
Ces drôles d'oiseaux;
Avec pour dernier mot;
Qu'il est leurre que l'étau
Se resserre avec les taux;
Comme Pierre qui roule !
N'amasse pas mousse dans la foule !
Dont l'unique solution pour que Pierre
Ne soit plus payé au lance-pierre;
C'est qu'il lance Pierre à l'édifice !
En investissant dans là Pierre !
Oh ! Quel sacrifice !
Si bien que Pierre retrouve le droit chemin
De son destin d'épicurien,
Si bien qu'il achète la pierre
En payant là Pierre !
Sauf si Pierre de coûts
Fait une pierre deux coups.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-qu'un juif cuit par La Gestapo ?
- Quelqu'un qui se fait des cendres dans un four crématoire !
2) Qu'est-ce-que je ferais si quelqu'un me posait une question qui me dérange ?
- Je frapperais cette personne car je ne répondrais plus de rien !
3) Quel serait un conte de faits d'hiver qui se terminerait terriblement mâle ?
- C'est quand Michel fournirait Patrice allègre à Emile lui.
Jérôme de Mars
Il faut prendre les deux vents !
D'un pied de nez au temps décan;
Il faut prendre les deux vents !
Avant que demain soit aujourd'hui;
Et qu'il en reste une galerie
Intempestive dans un décalage;
Qui fera rétropédalage
Si jamais le vent est déviant;
Et qu'il faut prendre les deux vents !
Pour aller d'au paravent
A auparavant;
Et si ça paraissait tellement
Mieux à vent !
En plus d'être vraiment exultant !
Puisqu'il fallait
Jouer sur les apparences,
Pour travailler et s'enthousiasmer
Dans l'urgence, afin que la résilience
Se fasse dans un coin itinérant,
Où il faut prendre les deux vents !
De notre tête sans inadvertance,
D'où il est temps !
Que l'indolence
Fasse place à de la consistance !
Avec pour essence
Qu'il est courant d'avoir la quintessence !
Quand le temps jette un vent au vent;
Et a le vent en poupe d'auparavant
A au paravent,
D'où il faut prendre les deux vents !
Jérôme de Mars
C'est un trop plaint !
Con plaint et con plein;
C'est un trop plaint !
Tout ce que j'ai supporté,
Sûr porté dans la ténacité
Avec pour véracités;
Des épreuves à l'effarouchée;
Qui m'ont affecté
Et altéré mon acuité avec vivacité;
Moi qui suis à cran !
Dans un écran
Tactile, comme je suis très émotif !
Dont le motif
Est une certaine légitime défiance;
Après que personne ne m'ait protégé
A force qu'on m'envoie des vanités;
Et que je sois grillé sur le bûcher
Des mauvaises volontés,
Où con plaint et con plein;
C'est un trop plaint !
Tout ce que j'ai supporté
Aux limites du supportable,
Où j'ai trop souffert plus que l'acceptable !
Dans une vie sans légitime défense,
Dont j'en ai récolté les frais !
En apprenant à mes dépens
Que les tourments viennent
De tout ce boucan;
Avec l'arbre qui cache la forêt !
Sous une apparente façade,
Comme un château de cartes
Sans pancarte;
Qui montre pourquoi je suis malade
Sous d'inconsolables peines,
Car ce que j'en déduis !
Que ma vie soit éblouie, réjouie,
Inouï ou fortuit;
C'est que tout est con plaint et con plein;
Avec pour chagrin un trop plaint !
Jérôme de Mars
Les jardins de Paris
Paris avec des confettis,
Il y a les jardins de Paris;
Tels que le Jardin des Tuileries;
Qui bâtit une maison;
Avec des tuiles ris
De bon cœur !
Pourvu qu'avec raison !
Il y ait un peu de bonheur;
Qui plante des fleurs;
Animales et végétales
Au Jardin des Plantes;
Qui plante là une tente !
Pour abriter de belles choses joviales;
Avec le Jardin d'Acclimatation;
En prenant la Porte Maillot
Et en se refaisant le maillot;
Ici grâce aux jardins de Paris;
Pour changer d'air en pleine frénésie,
Comme le Parc Montsouris;
Qui cultive son jardin secret
Avec ses amis en galante compagnie;
Qui chantent la verdure des fleurs;
Avec de la gaieté
En imaginant un monde tantôt meilleur !
Où il n'y aura plus le feu au lac !
Comme celui du Bois de Boulogne;
Qui mène sa barque en faisant les basses besognes;
Opaques qu'elles traquent
Sans vergogne, comme au Bois de Vincennes;
Qui tapit le sol d'une multitude de feuilles de slam;
Qui sanglotent sous des pluies diluviennes,
Où ce n'est pas un drame mais un mélodrame;
Tel que piétiner le sol jonché sur du pur macadam,
Dont les petites gens sont des quidams
Dans les jardins de Paris;
Pour sourire et rire à la vie,
Comme au Jardin du Luxembourg;
Avec les députés du Palais du Luxembourg;
Loin des faubourgs mais pas des faux bourgs
En jeu de calembours,
Dont le troubadour termine son tour;
En pleine récréation remplie et emplie
Avec pour grain de folie;
Les jardins de Paris.
Jérôme de Mars
Slamer sur Seine est-il un long fleuve tranquille ?
Partenaire de mécènes;
Même qu'on la réécrit;
Cela suffira-t-il
A récolter des vérités ?
Qui assènent
Ce que l'on est pour de vrai ?
Et slamer sur Seine est-il un long fleuve tranquille ?
Entre naviguer en eaux troubles et s'aider de béquilles
Pour passer les tempêtes,
Tandis qu'on hébète
Le brouillard et ses coups de Trafalgar;
De quiconque s'égare !
Alors qu'on veut juste manier
La langue de Molière !
Dans un langage soutenu et châtié,
Pour bien articuler nos paroles charnières
Et si c'est particulier dans la ville;
Si slamer sur Seine est-il un long fleuve tranquille ?
A part recueillir les jonquilles;
Et si leur œuvre fait qu'elles fourmillent
De chefs d'œuvre qui scintillent,
Pendant que les hirondelles
Regardent dans le ciel; s'il y a enfin des bonnes nouvelles,
Où réenchanter la vie pareille;
Qu'elle soit belle ou en ribambelle de plus belle !
Alors que certains de nos problèmes sont des broutilles;
Feront que slamer sur Seine sera un long fleuve tranquille dans la ville.
Jérôme de Mars
Blague :
Quelle genre de femmes écoutent de la musique ?
- Les femmes enceintes
Jérôme de Mars
Quand je me lamente, je bois de la menthe !
Comme un aimant communément
Qui me colle à la peau;
Je suis dans mon élément
Comme un aimant aimant
L'amende religieuse
Ou la mante religieuse
Qui souffle aguicheuse
Et sulfureuse
En prenant ses airs, Césaire
De tout ce qui est élémentaire
Et me rappelle comment aimer Césaire;
Dont Aimé Césaire
Joua l'intermédiaire;
Entre jouer du pipeau
A ceux qui sont mal dans leur peau;
Et faire comme les héros incendiaires
En leur brodant de vaines paroles dans du pipeau,
Où il faut crescendo garder et conserver
Dans un magnéto;
Tout ce qu'il a conversé;
En faisant défiler un bandeau
Avec pour écriteau,
Quand je me lamente, je bois de la menthe !
Avec mes déboires de la mante
Religieuse; qui cogite songeuse;
Comment rester fidèle, pieuse
Eprise de justice ?
Avec toutefois de la malice !
Oh ! Quel délice !
D'où qu'on mette chacun la pierre à l'édifice;
Qu'elle soit mystérieuse !
Ou qu'elle ait la foi précieuse !
Qui aimante
Et mente
A moi, quand je me lamente;
Et dont je bois de la menthe !
Jérôme de Mars
Je m'en tape le coquillard !
En déroute sur le billard;
Si on opère manichéen
Mes vieilles névroses;
Qui font que je m'en tape le coquillard !
Avec tous ces côtés bizarres moroses,
Où j'en ressors deux fois plus atteint,
Quand les signaux sont dans le rouge
Et que je me mets aux vers pour que ça bouge;
Question sanguin, où si quelqu'un
Me pose une question qui me dérange;
Je ne réponds plus de rien !
En le frappant dans un mélange
De purs sangs; très à cheval dans le blizzard,
Si bien que je m'en tape le coquillard !
De ma tare et de mes gènes tatares;
Ou si je mange un bifteck,
Je m'en bats les steaks !
En mangeant de la viande tartare;
Qui désigne mes défauts de vieux roublard
Et de vieux renard,
Où je m'en tape le coquillard !
Si je veux faire croire
Que je suis un drôle de Zorro;
Ou un drôle de zigotto de Caliméro,
Où je suis moins blanc que noir;
Du dérisoire aux graves histoires,
Où je m'en tape le coquillard !
De ce qui pourrait m'arriver bien plus tare,
Où ce qui doit arriver finira par arriver
Où ça sera bienvenue dans un monde
Avec plus de bonté;
Et moins dans la gravité;
En étant davantage dans la légèreté
Et la loyauté,
Où je voudrai qu'on sonde;
Ceux qui abondent
En mon sens;
Et ceux qui m'inondent
D'indécence et de condescendance,
Où je vous déclare consciencieusement
Et clairvoyant;
Que de ma tare tatare;
J'en ai rien à cirer !
Même si je me fais viander
Dans un steak
De tartare,
Où de toute façon, je m'en bats les steaks !
Et je m'en tape le coquillard !
Jérôme de Mars
Et alors ? !
Chef-lieu de cador;
Qu'adore La Principauté d'Andorre
Et alors ? !
Si tu en veux et en reveux encore,
Afin que tu redores ton blason,
Quand tu finis d'écouter cette chanson
Et qu'elle te va sciemment ;
Et intelligemment
En guerre contre Les Conquistadors ;
Qui t'ordonnent ce que tu adores
Avec les cadors;
Et alors ? !
Au plus si pléthore
Pour passer un moment retors,
Autour des juke-box qui tournent toujours
Le même disque rayé; avec des contre et des pour
D'entre les deux;
Qui te suggèrent qu'il vaut mieux
Qu'entre les regrets et les remords;
Que tu aies des remords
Et alors ? !
Si ça reste encore
Dans ton oreille; ce morceau
Dans le rétro
De l'ancien Virgin Mégastore;
Avec pour records
Des anticorps;
Face au virus des idées reçues
Malvenues dans des vies dissolues;
En écoutant de beaux discours
Malgré que le temps qui court !
Et alors ? !
Si c'est pour encore consort;
Qu'on sort et ressort
Encore ce vieux ressort;
Qui essore; et sort
Tout le catalogue du Drugstore;
Déjà que le stock s'écoule en faisant
Un incroyable score,
Point de vue des ventes en échangeant
Avec le bouche à oreille,
Pourvu qu'il y ait encore du soleil
Si t'y trouves ton compte Amazon;
En taillant la zone
Dans la métropole du Grand Paris,
Pour oublier les ennuis et les soucis,
Lorsqu'en cador; t'adores
Tout le folklore !
Qu'adore tes parents;
Aussi bien les petits que les grands,
Dont une fois que tu ramasses le trésor;
Tu en récoltes le prix fort
Dans un orchestre de chlore;
Quand tout a fini de tomber à l'eau !
Dès la fin du morceau,
Pour éclore; et clore; et chlore
Et alors encore ? !
Jérôme de Mars
Je porte ma croix
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Jérôme de Mars
Des eux sur le plat
Passeurs de plat, il y a des eux sur le plat pour mettre tout à plat,
Quand des eux tombent à plat sur du plat tout plat; et que les eux;
Qui s'emmêlent les pinceaux fabriquent des eux embrouillés,
Comme des œufs à la neige; effet boule de neige; avec des eux
Sur le plat; qui roulent sur du plat très à plat, dont le plat taux
Sert et ressert comme sur un plateau; en passant les plats;
Avec des œufs sur le plat; en ayant des retombées à plat,
Tellement que paresse eux; sont paresseux les eux brouillés;
Qui desservent en passe-plat; ce fameux plat des eux sur le plat.
Jérôme de Mars
Hop ! Je suis up !
Yop ! C'est top !
Comme le hip hop,
Quand dans un hold-up;
Hop ! Je suis up !
Dont top là !
Si je m'éloigne de ça;
Et que up down;
Je suis un clown
Triste et mélancolique,
Quand j'ai des coliques bucoliques
Avec des pensées névrotiques,
Quand hop ! Je suis up !
Et dont la cup
Est pleine,
Dont je me fais la mâle puritaine,
Quand ma mémoire me joue des tours
Détours; qui font tous les contours
Du tour défiance,
Quand la loi de la finance
Me provoque des sueurs
A la lueur de ma torpeur;
Et de la peur bleue
Que je me crée dans mon esprit ténébreux;
Si je commets un hold-up,
En vols de série de tubes de pop,
D'où hip hop;
C'est le top du top !
Quand hop ! Je suis complètement up !
Et hop ! Et up !
Jérôme de Mars
Tout le monde, il est pas beau, tout le monde, il est pas gentil !
Avis des uns et des autres;
De pourquoi personne se vautre
Entre les vôtres
Malgré qu'il y en a à ceux;
Qui croient en Dieu
Et en ses Apôtres,
Où dès l'enfance
Dans l'innocence,
On naît naïfs
Et émotifs;
A croire que tout le monde, il est beau,
Tout le monde, il est gentil !
Alors qu'en grandissant
Et en trépassant;
Au passage adulte
Dans cet âge de tumulte;
Tout le monde se rend compte
Que tout le monde, il est pas beau,
Tout le monde, il est pas gentil !
Entre d'un côté les cons
Et de l'autre à côté les joyeux lurons,
Pour qui la vie s'raconte
Que personne n'est parfait !
Ou que personne n'est complètement beauf !
Dont certains heureusement sont sains et saufs !
Sauf ceux qui s'la racontent puérils ;
En vouloir faire croire que tout le monde est sot !
Et que tout est calculé d'avance, dont la spécialité
Est de toujours affirmer que tout le monde, il est pas beau,
Tout le monde, il est pas gentil !
Jérôme de Mars
Le bourreau des corps !
Tourtereaux décors;
Avant la rupture
Sentimentale à base de fioritures,
V'là le bourreau des corps !
Qui s'en va apprendre par cœur;
De comment on a la rancœur
D'artichaud; à force que mon pacemaker
Pince mon cœur en cœur
De pierre ! Tel le bourreau des corps !
Qui prend tout à bras le corps !
Pendant que le bourreau décor
Fait office de des corps;
Avec des cors de chasse
Pour tirer l'échasse
Des cors au pied; tel le bourreau des corps !
Qui s'en va tâter le pouls; pour voir si les anticorps
Protègent les tourtereaux décors,
Dont le bourreau des corps
Brandit que c'est son corps;
Avec pour records
Qu'il est en corps possible;
De marier le paisible avec l'irascible,
Pourvu que le tout soit comestible
Pour passer tant d'années plausibles,
Dont après le bourreau des corps;
V'là maintenant le bourreau des cœurs !
Pour apprendre par cœur
Et sans pacemaker;
Qu'on peut dépasser la rancœur
Et chanter en cœur,
Pour en pincer mon cœur;
Avec pour cœur d'artichaut
Un cœur archi chaud,
Dont v'là en corps le bourreau des cœurs !
Pour en reprendre par cœur
En à corps et en un corps,
Dont après les tourtereaux des corps;
Revoilà en corps
Et à corps
Le bourreau décor !
Jérôme de Mars
Las de pique !
Comme un boloss;
C'est vrai que je ne bosse
Comme je cabosse
Parmi les colosses,
D'où las de pique !
Que je suis épique
Et pique tropique !
Dont je suis un naze
Kamikaze; qui rase
Les murs
A la moindre déconfiture,
D'où mon surnom
En guise de provocation;
Qui fait sa révolution
Las de pique !
Qui s'en lasse épique
Et pique !
Tel l'as tropique !
Où je m'en vais
Flâner et errer
Dans les rues,
Pourvu que je rosse
Vers l'inconnu;
Avec une crosse
Tel las de pique !
Où je suis las d'envoyer des piques !
Que je suis un naze kamikaze;
Tel l'as de pique épique !
Qui s'en va tropique,
Afin que las de pique et pique !
Je me pique
Une tête dans l'eau !
Allo ! J'ai des trémolos !
Des traits mollos !
Qui me piquent épique;
Et pique,
Tellement que tropique;
J'envoie en boloss
Des piques de colosses;
Avec tout ce que je cabosse,
Tellement avec le boss
Qu'après avoir été l'as de pique épique !
J'en suis maintenant et pique !
Las de pique !
Jérôme de Mars
Quand les hippos campent !
Hippopotames régime hippo qui campent
Sur leurs positions, quand les hippocampes !
Campent et décampent surexpositions
Frontales à au quai chorale;
A chanter dans une exposition
Leurs opinions désenchantées,
Si bien que les hippocampes
Campent sur leur pôle position;
Et décampent pour interpréter
Ce qui en découle au fond de l'eau;
Avec pour voguer sur l'eau des rampes
Accrochées; un bateau à bord duquel;
Il y a le mode d'emploi que boit leur nature crescendo;
En priant pour que tout le monde soit logé
A la même enseigne à l'hôtel;
Et que reparte de plus bel
Le même refrain pour que la vie soit belle,
Quand les hippos campent;
Avant une baisse de régime hippo,
Et quand les hippocampes !
Campent et décampent !
En prenant la clé des chants dans une prestation
Mémorable lors d'une gestation familiale,
Comme à la maison !
Et comme un poisson dans l'eau !
Avec des ronds sur l'eau payés plein pot,
Quand les hippos campent !
Lors de la moisson
Du revers de leur médaille qui décampe,
Et quand les hippocampes !
Allument leur lampe de mer
Sur un parterre extraordinaire;
Avec pour inclinaison
Des illuminations; avant l'extinction
De ces poissons marins,
Quand les hippos campent !
Et décampent !
Et quand les hippocampes !
Chantent enclins avec leurs copains;
Leur côté bon Samaritain,
Quand les hippos rampent !
A leur rampe !
Tels des chevaux de mer à attendre des ovations
Sous les applaudissements; du fruit de leur collaboration
Dans l'hippodrome; avec les hippopotames
Dans ce régime hippo en fin de slam;
Dont v'là les hippocampes !
Quand les hippocampes !
Et quand les hippos campent !
Jérôme de Mars
Les coccinelles sont-elles bêtes nom de Dieu ?
En voiture de coccinelle;
Secrets de polichinelle,
Les coccinelles sont-elles bêtes nom de Dieu ?
Ou pensent-elles avec leurs pense-bêtes capricieux
Et audacieux juste ce qu'il y a de parcimonieux ?
A espérer que leur battement d'ailes
Les fera tournoyer parmi ce qu'il y a de plus passionnel;
D'un point de vue judicieux, miséricordieux
Et faramineux au pays des ingénieux,
Pourvu que le printemps édredon
Les fasse sortir de leurs caractères bougons;
Avec la saison des amours;
Qui leur inspirera des contes de comptes à rebours;
Et si les coccinelles sont-elles encore bêtes nom de Dieu ?
Est-ce-qu'elles rouleront en voiture de coccinelles pour conjurer les affreux ?
Où pour aller mieux dans ce monde tumultueux;
Il y aura peut-être comme unique solution que de rassembler somptueux;
A rêver et à songer qu'un jour surtout radieux;
Que les coccinelles seront des bêtes mais ne seront plus bêtes nom de Dieu.
Jérôme de Mars
Rage d'aidant
Mâle au dent;
J'ai la dent dure
Avec ma rage d'aidant;
Vu ce que j'endure
En rentrant dans le dur,
Comme je carbure
A l'hydrocarbure
Avec un semblant d'armure,
Si bien que je fends l'armure
Dans ma rage d'aidant;
A me rappeler tous les tourments;
Qui font pourquoi je fous le camp
Dans des idées noires;
A l'encre du revenant
Des morts-vivants;
Du purgatoire à l'exutoire,
Dont je me sers dans mon écriture
A force de toux ceux qui m'ont jeté en pâture
Dans ma rage d'aidant;
Qui sont le reflet de ces vers d'orage paralysant
Et envahissant
Mon quotidien guère florissant,
Où je surnage parmi les impuissants;
A m'en foutre du néant,
Où ma rage se fait oppressant
Quitte à me rendre méprisant
Au présent, et en étant arrogant,
A ne pas prendre de gants élégants
Avec moi dans ma déconfiture,
Dont j'en n'ai fait que désinvolture,
Quand tout le monde me jetait à la figure
Que j'étais con de nature;
Qui configure
Ma mauvaise nature
Due et indue à macadam nature;
Avec ma rage d'aidant,
Dont j'ai appris à mes dépens
Tellement que j'ai la dent dure;
Que j'en fends l'armure
En m'enlisant dans un océan
De torrent; à vouloir m'ouvrir les veines de mon sang
D'encre, d'où je n'ai jamais eu de veines avec que des châtiments;
Qui font que je me mens
A la vue de tous ces éléments;
Avec guère de compliments,
Dont que des boniments
Dans la boîte à gants;
Sans prendre de gants élégants
Dans mon mâle de dents et dents;
A l'origine de ma rage d'aidant.
Jérôme de Mars
Quelqu'un d'à bile !
A cran tactile;
Si t'es habile !
Et que quelqu'un t'habille !
C'est que tu es quelqu'un d'à bile !
Qui se fait de l'habile !
Et qui est agile !
Tout en étant fragile
Et subtil;
Surtout si t'es à bile !
A cran tactile;
Qui habille
Ta personne habile;
Et que même que t'es fragile !
Tu te trouveras toujours subtil !
Malgré tes côtés malhabiles;
Avec tes bons côtés de mâle habile !
Agile et fragile
Jusqu'à ce quelqu'un t'habille !
T'habile toi ! Quelqu'un d'à bile !
Jérôme de Mars
Quand le soleil allume la lumière
Lumière tamisée de l'ombre à la lumière;
Que t'as misé au fond de la clairière
Jusqu'au fin fond de l'univers;
Après que la nuit a éteint la lumière;
Intéressons-nous donc quand le soleil
Allume la lumière;
Avec des confettis qui amoncellent
Pour oublier quelques misères;
Qui pullulent l'atmosphère;
Le temps que la lumière
Reste dans la chaumière;
A compter ses frères lumière;
A des années-lumière
De la nuit qui éteint la lumière,
Quand le soleil allume la lumière
Avec ses frères les lampadaires
Et les réverbères,
Pour être au clair
Depuis sa tanière;
A assurer ses arrières
Et en levant les barrières;
A la lisière
De la frontière
Et sans œillères,
Pour y voir plus clair
D'autant qu'après que la nuit a éteint la lumière;
Vivement la fête des lumières
Dans tout l'univers
Du système solaire;
Avec de la crème solidaire
Parmi tous les congénères;
Que génère
Et régénère
Le clair; en clair;
Et au clair; au clerc
Avec les idées claires,
Quand le soleil dans sa lune de miel;
Rallume la lumière
Au pluriel.
Jérôme de Mars
Pour l'amour du ciel
Anges, voleurs de ciel;
Leurs vies d'ange bat de l'aile
Attire d'ailes;
Pour l'amour du ciel
En ouvrant leurs propres ailes,
Dont ils cherchent un ciel superficiel;
A semer leurs odeurs sensorielles
Et à bras le corps artificiel,
Pour l'amour du ciel
S'il y a un brin d'horizon réel
De leurs besoins factuels;
Dans le but de dégriser leurs ailes
Brisées de mes anges, mésanges de tourterelles;
Avec pour ritournelle
Qu'il faut qu'ils volent de leurs propres ailes;
A tire d'aile
Pour l'amour du ciel.
Jérôme de Mars
Art qu'en ciel
Ciel, arc en ciel !
Avant que le ciel
Nous tombe sur la tête !
Une p'tite aquarelle
Met du baume au soleil;
Art qu'en ciel
De l'effet partiel; par ciel
D'un gratte ciel;
Qui gratte le ciel
Et les sans ciel; l'essentiel
Depuis belle lurette;
Qu'un arc en ciel
Est un art qu'en ciel.
Jérôme de Mars
Poème qui fait tout un cirque
Jongleur de m
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Jérôme de Mars
Et si on distribuait du bonheur universel !
Par les temps qui courent;
Même si ce n'est pas un concours,
Il faudrait penser dans un élan fraternel;
A imaginer un monde parallèle
Pour tous en le voulant exceptionnel,
Et si on distribuait du bonheur universel !
De façon inconditionnelle
Et irrationnelle,
Où l'on oublierait pour une fois l'argent roi;
La cause de tout ce désarroi avec pour parois
Le fait d'asservir les p'tites gens,
Pour desservir les puissants
Pendant qu'on y est; question pépètes !
Et si on distribuait du bonheur universel !
Avec à la place, la tête dans les comètes;
En véhiculant des idées solidaires, exponentielles
Et substantielles,
Dont part de là l'essentiel !
Et qu'il y a aussi la ritournelle
Pour faire tourner la manivelle,
Mais pas toujours du même côté
Et de l'unique côté des salariés;
Et en adressant ce message intemporel
A l'ensemble des personnes que sont les fidèles;
Et si on distribuait un revenu universel !
Qui fasse repartir de plus bel
Les gens vers une vie moins solennelle
Et plus sensuelle;
Avec de la gestuelle
En prenant le temps de vivre charnel,
Pour que tout le monde prie avec le Missel;
Et si en 2021 au pluriel;
On distribuait du bonheur universel !
Jérôme de Mars
Bulles de savons
En préambule;
Bulles de savons;
Nous savons
Mystère et bulles de gommes
Que nous mettons la gomme;
Qui entretient conciliabule
Le fil funambule ;
Durant un laps de temps somnambule
Qui fait qu'on déambule;
Bulles de savons
Si nous savons;
Comment boire un jus de pomme
Pur jus en jouant pour notre pomme;
Qui somme
Ce que nous sommes;
En bulles de savons
Avec pour bulles que nous savons;
Quoi mettre comme
Paroles dans les bulles de savons;
Mystères et bulles de gommes
Qui dégomment en somme
Par la porte d'entrée des artistes;
Avec pour unique voix et issue optimiste
Le vestibule,
Dont nous savons
Grâce aux bulles de savons;
Ce que nous voulons
Y mettre comme
Bulles de paroles;
Avec aucun bémol
Mystères et bulles de gommes;
De ce que nous sommes
Et de ce qu'on nous assomme;
Vu qu'on déambule
Sur la place noctambule,
Dont nous savons
Mystères et bulles de gomme;
Que c'est tout comme
Des bulles de savons.
Jérôme de Mars
Mais lis mes lots !
Joli p'tit bordel de maison éclose;
Très méli-mélo qui s'en va
Enfoncer des portes ouvertes,
Pour ne pas prendre la porte;
En mettant la clé sous la porte !
Mais lis mes lots !
Pour dénicher les beaux lolos
De Lolo Ferrari;
Qui sortent du lot méli-mélo;
A voir si ce sont de beaux lots
Ou juste des bibelots,
Dont pour ramasser le gros lot
Des bimbos;
Autant jouer au loto
Mais lis mes lots !
Où le jour, où tu récolteras le gros lot
C'est que tu seras sorti du lot !
En ayant vu les beaux lolos de Lolo Ferrari
Jusqu'à sa maison close porte close !
Méli-mélo, mais lis mes lots !
Jérôme de Mars
Y a le feu au lac !
Faisant fi de tout bois;
Avec ou sans langue de bois
Dans les bois;
Qui montrent de quel bois
Ils se chauffent;
V'là un tour de chauffe !
Qui joue avec le feu
Dans le feu de l'action;
Feu y a le feu au lac !
Feux rouges ou feux
Mal éteints,
Comme les feux
De l'amour; qui s'embrasent
Dans un feuilleton
Très Américain;
Avec un poil à la main;
Question intrigues opaques;
Qui s' font un bon gueuleton ,
Quand y a le feu au lac !
Patraque; pas trac
Ou maniaque avec ma niaque,
Car plus rien ne brûle
Dans l'incendie,
Dont il n'y a plus le feu !
Feu y a le feu au lac !
Jérôme de Mars
En général, Charles de Gaulle fut un grand homme !
Né le 22 novembre à Lille sans y perdre le Nord;
En général, Charles de Gaulle fut un grand homme; à la fois un militaire aguerri
Et un respectable chef de l'état !
Tel que l'appel du 18 juin 1940 qu'il lança sur Radio Londres de la BBC;
Pour enjoindre Les Français à le rejoindre lui, le Français libre;
Pour libérer La France de l'occupation Allemande, où au sortir
De la guerre; n'étant encarté à aucun parti; et en voulant rester
Quelqu'un d'indépendant affilié à personne; il constitua
Le 9 septembre 1944 un gouvernement d'unité nationale
Sous sa présidence; en travaillant à la fois avec des communistes,
Des gens de droite et de tous bords; pour faire tribord et virer de bord
Avec l'assemblée constituante élue en octobre 1945;
Et lors de la libération en 1945: il mit en place des réformes de grande
Envergure telles que la création de la sécurité sociale; pour moderniser le pays;
Mais à la suite de désaccords avec l'assemblée nationale; il démissionna
De son poste de chef du gouvernement le 20 janvier 1946 et revint au pouvoir en Etant élu Président de la République Française le 21 décembre 1958; d'où il prit
Ses fonctions en janvier 1959, d'où il soumit pendant son mandant un référendum
Aux Français; en vue de leur demander s'ils souhaitaient l'élection du président de La République au suffrage universel direct; pour conforter sa position d'homme D'état; et le résultat fut sans appel; il fut réélu triomphalement Président de La République pour un ultime mandat le 19 décembre 1965; lui; l'homme au-dessus De tout parti avec une morale de fer; lui qui paya toutes ses factures de sa poche Et non en faisant les poches à tous Les Français; il fut victime de l'attentat du Petit-Clamart, dont il réchappa par miracle; mais à la suite des événements de mai 68; Malgré qu'il dissout l'assemblée nationale; la jeunesse Française qui souleva
Les barricades; réclama un vent de renouveau de leurs libertés; ce qui fit que le 28
Avril 1969; à la suite de l'échec d'un énième référendum; Charles de Gaulle
Démissionna de son poste de Président de la République, dont il se retira de la vie
Politique et publique, et dont il termina ses mémoires avec pour mémoires; qu'il Mourut chez lui à La Boisserie d'une rupture d'anévrisme le 9 novembre 1970; à Colombey-Les-Deux-Eglises à presque 80 ans; dont en général; notre cher général Et imminent Charles de Gaulle; fut un grand homme depuis sa mort il y a tout juste 50 ans !
Jérôme de Mars
L'amour en compte à rebours
Virtuose de la romance
Dans ce poème de troubadour;
Il faut prendre des vacances,
Quand l'amour en compte à rebours
Engendre la lyre pour élire l'élu de son cœur
En un cœur d'artichaut; qui réchauffe les rêveurs
Des passions fluctuantes; qui clignent des yeux
Dans un slow à deux entre amoureux;
Pour rendre heureux en retour;
Quand l'amour en compte à rebours
Marie sur des bans publics un homme
Et une femme, dont les deux sont la somme
A cibler Guillaume tel; qui joue pour sa pomme;
A déguster en flèche les affabulateurs;
Qui mènent la marche nuptiale dans un slalom;
En récitant le code de l'amour pour prendre un jour
Au fil de la com;
L'amour en compte à rebours.
Jérôme de Mars
L'armoire à glace
Reflet du miroir réfléchi devant la glace
Comme l'armoire à glace;
Les souvenirs s'amassent
Et se ramassent
A la ramasse;
Et se lassent
Comme l'armoire me laisse de glace,
Comme si je mangeais une glace,
Et dont l'armoire me glace
Avec dans les tiroirs;
Une quantité d'abreuvoir
De toutes ces vieilles histoires,
Dont l'armoire à glace
Me laisse de glace
Dans un sas
De compression, où je ressasse
Toujours tout ce qui a touché à ma carcasse
Dans un casse
Du siècle, où quoique je fasse;
Les souvenirs d'avant remontent à la surface,
Comme l'armoire à glace,
Dont tous ces tristes souvenirs en prêts faces
Sont dérangés dans l'armoire à glace,
Où je fais tant bien que mal face
Avec en interface;
Tout ce qui me tracasse
Et me fracasse,
Dont v'là en préface;
Pourquoi je concasse
A la casse
Ma race;
Et de pourquoi je remplace
Mon passe passe
Par une impasse,
D'où comme l'armoire me laisse de glace;
Si je mange une glace
Devant la glace
Au palais des glaces,
Et dont tout ça me glace,
Comme l'armoire à glace.
Jérôme de Mars
Les femmes écoutent de la musique enceinte
Vierge effarouchée Marie;
Qui marie une femme et son mari
Ce qui fait qu'en Saintes;
Les femmes écoutent de la musique enceinte;
Avec des amplis; qui prennent le pli,
Se mettent en pli et en repli;
Quand la sono
Fait que les femmes sont monos,
Seules et monos pour encadrer la stéréo,
Si bien qu'en Saintes,
Les femmes écoutent de la musique enceinte
Pour détendre bébé futur look BCBG;
Ultra branché en lisant une BD
En rock de pierre; une pierre deux coups,
Dont à contrecoups; il tape sur des bambous;
Avec Philippe dans la ville;
Qui brille de rustines pour des broutilles
Ce qui fait qu'en Saintes;
Les femmes écoutent de la musique enceinte;
Dans une quinte de toue
En tout et pour tout;
Qu'il est l'heure de déposer une gerbe
De jacinthes en génies en herbe,
Pour qui c'est le bouquet en chaînes,
Quand leur fleuriste les livre chaque semaine,
Si bien qu'en Saintes;
Les femmes écoutent tout le temps de la musique enceinte.
Jérôme de Mars
Le soleil peint le ciel avec l'eau de mer
Comme une aquarelle,
Si jamais il y a le rhume des foins
Et si besoin;
Le soleil peint le ciel
Avec l'eau de mer;
Acrylique dans son dispensaire,
Dont il faut braver les vents contraires
Pour gravir le sommet du sanctuaire;
Affligé par le lit de l'estuaire
De la rivière; qui déborde la mer
De par ses courants d'airs,
Parce-que comme la bagatelle;
Le soleil peint le ciel
Avec l'eau de mer;
En saluant de façon solennelle
Celui ou celle; qui ose clamer
A fort retentissement pavoisé;
Qu'il faut mériter de faire un tour de Carrousel,
Si bien que le ciel se console sur Terre,
Comme il triomphe avec son ombrelle;
Et que le soleil peint le ciel
Avec l'eau de mer;
En coloriant côté lumière;
Et en maniant les effets spéciaux
Sur la mer encre stéréo,
D'où comme une ritournelle
Face au ciel lunaire;
Ca y est; le ciel a peint le ciel
Avec l'eau de mer.
Jérôme de Mars
Coule Raoult !
Comme le disait l'expression coule Raoul
Avec les babas cool !
Tu fus en paix pendant que Gilbert Montagné fredonna The Fool,
Car maintenant vu ce qui en découle;
Et comme tu roucoules
A la cool !
Coule Raoult !
A part que tu coules
La France avec tes prédictions pas cools,
Où tu voudrais bien dire cool Raoul !
Mais dont tout le monde te refoule
Parmi la foule,
Dont tu ne te foules
Pas la cheville en papa cool,
Où la chloroquine te roucoule
Dans ce monde plus cool,
Où tu en découles
Cool Raoult !
Mais comme tu laisses trop coule
Les choses; coule Raoult !
Jérôme de Mars
De la prunelle de tes yeux
Paire de jumelles à deux
Avec tes pupilles de l'iris;
Qui fait une fleur à l'iris;
Qui hérisse
De la prunelle de tes yeux,
Où ils verront vairons radieux;
Si tes yeux soyeux
Et joyeux;
Parrainent les pupilles
De l'iris;
Qui envoie une fleur d'iris
De la prunelle de tes yeux;
Droits œil pour œil
Aidant pour dents pour s'rincer l'œil;
En trompe-l'œil
De la prunelle de tes yeux.
Jérôme de Mars
A prendre au mot !
Premier ou second degré;
Au milieu des regrets,
Ce texte est à prendre au mot !
Pour moi qui prends tout à la lettre;
Avec des envies fugaces
De me jeter par la fenêtre;
Qui reflète le fait que ma besace
Me pèse dans un si grand méli-mélo,
SOS terre rien en détresse !
Où je dis banco si je peux me libérer
De tout ce fardeau;
A prendre au mot !
Si c'est pour apprendre
Que j'aurai fait un esclandre;
En composant avec une compresse
Le numéro de SOS terre rien en détresse !
Dont j'aurai le dernier mot
A prendre au dernier mot !
Jérôme de Mars
La nature a horreur du vide
Pluie extrême sur les temps suprêmes;
Il s'raconte que par une ode d'harem;
Que la nature a horreur du vide,
Dont la nature même si elle est livide
Et rigide de par sa conception;
Qu'un jour ou l'autre, elle sera tant
Sous l'égide de la valse d'élucubrations,
Dont il vaut mieux voir le ver à moitié avide; à vide
Que le ver à moitié plaint !
Avec les oiseaux boute-en-train
Qui chantent toujours les compliments;
Que leur déverse le ciel; avare de confidences;
Avec la volonté farouche de faire acte de résistance;
Que la nature a horreur du vide
Surtout à parler dans le vide avide; à vide;
Que c'est un autre temps de penser
A se rappeler tous les camouflets;
En dormant sur ses lauriers;
Pendant que les inséparables
Durant une panne d'oreiller;
Battent de l'aile ineffable
A se croire indispensables;
Vautrés n'importe quel coin
Sur la table !
Dont pour ne pas faire le vide
A la maison; faites que de radieuses chansons !
Remplacent vos réclamations,
Malgré que les hôtes restent de marbre
Perchés sur l'arbre,
Dont votre profonde nature
Campe votre désinvolture;
Si près d'un feu de camp
En ébullition ! Le temps
Qui joue avec le feu livide
Et rigide;
En le regardant tantôt se consoler
Face à la vie et ses absurdités,
Dont pour rester raisonnables;
Il vaut mieux voir avec synchronie;
Le ver à moitié avide; à vide
Que le ver à moitié plaint !
Avec pour refrain;
Que la vie; c'est
Avoir de l'embellie
Et aussi avoir le cœur endolori !
Par-dessus la maison avide; à vide,
Dont la nature a horreur du vide.
Jérôme de Mars
La mer est une sculpture qui mouille sa chemise !
Embuscade de la mer qui a du vague à l'âme; sinon telle est sa devise,
Dont la mer est une sculpture qui mouille sa chemise !
En soi si ça ne tenait ! Qu'elle plonge dans les profondeurs des souvenirs;
Qui remontent à la surface en apnée; que la mer s'en lasse d'en gémir;
Et d'ajuster en permanence à l'ambassade de l'enfance,
Malgré que la mer fait acte de repentance;
En tout et pour tout; d'arriver à l'apogée des capacités de la mer jadis !
Dont la mer est une sculpture qui mouille sa chemise !
Entre la note salée de bonne facture et les rouleaux de vagues;
Qui démontrent que la mer a fait ses preuves ! Peu importe qu'elle drague
Les opportunités d'un total lâcher prise; pourvu qu'elle déniche les bons plans !
Qu'elle fasse soit des plans sur la comète, ou qu'elle soit plan plan en envoyant
Des bans publics lors desquels; la mer annonce son mariage avec pour partenaire;
La terre; qui ne tourne plus rond dans ce monde crépusculaire, d'où en mercenaire;
Elle attend les soldats du feu; pour éteindre l'incendie sur Terre, afin de l'épouser
Le jour de la fin du monde; et des balbutiements d'un nouveau monde meilleur;
Que la mer songe à influencer de ses envies d'ailleurs,
Pourvu qu'entre eux, il y ait des affinités !
Ce qui laissera supposer que la terre sera pour la mer sa promise,
Dont la mer est une sculpture qui mouille sa chemise !
Jusqu'au bout de l'aventure,
Dont tous les goûts sont dans la nature.
Jérôme de Mars
Histoires courtes
1) Donald Trump qui s'en va jouer au Golf pendant qu'il perd l'élection Américaine, on a envie de lui dire bienvenue au club !
2) Si je suis à la fois malheureux et heureux, c'est que je suis mâle heureux !
3) Si je suis à la fois malhonnête et honnête, c'est que je suis mâle honnête !
4) D'après ce que j'ai lu dans le Parisien ce matin, on aurait les prémices d'un futur vaccin contre Le Covid mais dont on a juste les échantillons; et s'il est commercialisé sur le marché Français; est-ce-qu'on nous fera une piqûre de rappel ou est-ce-que ça sera comme chercher une aiguille dans une meule de foin ?
5) Si les commerces tirent chacun leur rideau de fer à la suite de plusieurs confinements successifs décrétés pas le gouvernement, que restera-t-il en magasin ?
6) Un homme malade d'un cancer; qui en pince pour les crustacés; on dit qu'il a attrapé le crabe !
7) Que dira-t-on du ministre de l'économie s'il est nommé édile par le conseil municipal d'une ville ?
- On dira Bruno, le maire !
8) Les agriculteurs vu qu'ils sont sur la paille, lorsqu'ils cessent de travailler; autant augmenter leur retraite de misère !
9) Entre choisir de bonnes fêtes de fin damnée 2020 et un bon début damné 2021; moi, je choisis le bon début d'année 2000 sur année; suranné !
10) Un jardinier malgré qu'il cultive bien son jardin secret; s'il se fait repousser par toutes les femmes qu'il tente de séduire; c'est qu'il se fait ramasser des râteaux à la pelle !
Jérôme de Mars
Si on est honnête, on ne trompe pas !
Mâle honnête;
Ou malhonnête;
Si on est honnête,
On ne trompe pas !
Aux dépens de sa conscience,
Dont plus elle est loyale !
Plus le reste reste légal !
Avec en chaque personne lambda;
Une part d'honnête
Et l'autre part à prendre à part entière
Certaines mauvaises facettes;
Qui rappellent ceux dont les offenses
Sont sans défense de tout et son contraire;
De si on est honnête, on ne trompe pas !
A part tromper la mort; détrompez-vous !
Si quelqu'un se dévoue;
Entre celui qui s'assoit
Tout en portant sa croix;
Et l'autre qui raidit
Sans façon, dont il nie
Etre un hypocrite;
Même qu'à cause de ça
Ses relations s'effritent !
De si on est honnête,
On ne trompe pas !
A part que de façon honnête;
Pour demeurer intègre
Et allègre;
On peut tromper l'ennui
Avec ou sans soucis;
Même qu'on ne peut pas tromper la mort !
A part la retarder à effets de ressorts;
Même qu'elle essore
Ceux qui s'y frottent en mes tas forts,
D'où qu'on soit mâle honnête
Ou malhonnête;
Si on reste toujours honnête,
On ne trompe jamais !
L'histoire de l'humanité.
Jérôme de Mars
Le fruit de ton travail
Tu joues pour ta pomme;
Grand comme trois pommes,
Où il faut que tu lâches la grappe
De ton raisin pour garder la pêche;
Et pour avoir toujours la banane
Surtout si on te presse comme une orange,
Car le fruit de ton travail
Ne compte pas pour des prunes;
Si tu prends le melon
Et que tu fais la poire
Pour tout le monde;
En t'asseyant avec Clémentine
Sur ta poire;
Qui fera datte,
D'où le fruit de ton travail.
Jérôme de Mars
On ne peut pas acheter le ciel !
Vies à vies de l'ombrelle;
Qui se dissimule sous La Tour Eiffel;
Il se peut que les pas sans soucis
Contaminent les passants soucis;
Avec pour tromper l'ennui pas cent soucis
Qu'on en conclut en simples mortels;
Qu'on ne peut pas acheter le ciel !
Ni l'amitié et l'amour;
Sauf à usurper en jouant cartes sur tables d'identité
Fontaine, je ne boirai jamais ton eau !
Pour prouver que je suis éprouvé
D'avoir approuvé tous tes trémolos;
Que tu as dans ta voix de velours,
Où ceux qui trichent fraudent
Avec de la suite dans les idées;
Dont ça les taraude
De divulguer en secrets de polichinelle;
Qu'on ne peut pas acheter le ciel !
Car tant qu'il a du crédit,
Il ne montre ses travers
Qu'il peut être à découvert !
S'il baisse les bras assoupis
Par tant de dépits,
Où il lui faut pour payer sa dette
Aux plus malheureux de ceux qui payent
Jusqu'à présent tous les peaux cassés;
Que pour résoudre ce casse-tête
Il faut faire confiance aux esthètes;
Qui ont un esprit d'athlète
Pour résoudre avec vue sur le ciel;
Qu'on ne peut pas acheter le ciel !
Mais dont on peut calmer
Ceux qui essayent
D'accorder leur violon d'Ingres;
Avec pour harmoniser leur musique pingre;
Une solution à l'amiable qui étaye
Le ciel avant qu'il nous tombe sur la tête !
Si on a la marque des fossettes
Et qu'on a trop épuisé les dosettes;
Si bien que le jour où l'on paiera content;
Notre café frappé du sceau
De notre dette au ciel, on dépensera sans compter
Avec pour effet escompté ;
Qu'on aura trouvé la paix
En rendant souriants les enfants
Et les grands,
Car la seule chose qu'on peut acheter,
Pour rendre le monde un peu meilleur;
C'est la recette du bonheur
En payant notre fidélité inconditionnelle;
Et irrationnelle, dont on rendra fiers le plus commun
Des mortels car face à notre destin !
Certes, on ne peut pas acheter le ciel !
Mais si on achète le ciel partiel, par ciel,
Alors on l'achète sans lâcheté
La hachette; mais dont pour faire triompher
Le bien O' combien nécessaire
En ces temps troublés !
Il faut donc enterrer la hache de guerre !
Si bien qu'on peut acheter la paix,
Car en vérité, on peut sans lâcheté l'acheter
Les sans ciel par ciel partiel !
Jérôme de Mars
Jus de rêves
Histoires parallèles;
Qui ne sont pareilles;
Vivement que le soleil
Egrène sa poésie;
Avec pour alchimie
Un jus de rêves,
Dont la sève
Amène un triangle consensuel;
Qui isocèle celle;
Qui regorge d'une glace à la vanille;
Qui frétille
Sensuelle avec pour touchers corporels;
Des amitiés superficielles
Dans un langage artificiel,
Dont la ligne partielle
Sert à écrire sur son ordinateur
Ses histoires de cœur;
En desservant un jus de rêves;
Qui permet de se disputer
Pour des broutilles;
Au sujet de la fidélité
En amitiés consensuelles;
Ou en faisant des familiarités sensuelles,
Lorsqu'on sait que la gestuelle
Paraît frêle s'il y a de la grêle
Dehors ! Avec pour ceux qui font grève
Le soleil du fiel
Et le miel et les abeilles;
Qui filent le bourdon
Envers ceux qui marchent à reculons;
Et en traînant des pieds
Qu'on en revient à ce couplet;
Qui permet d'accoupler
Les paroles et la musique
Sur fond de pensées névrotiques;
Tel un jus de rêves;
Qui sert la trêve
A base de glace à la vanille;
Avec pour délices;
Des hélices
A survoler l'effet papillon
Le jour, où il éteint l'ordinateur
A la bonne heure;
En cherchant de la récupération,
Pour écrire l'avenir de la poésie
Dans un langage fleuri,
Dont ainsi, il en est de la responsabilité
D'avoir des affinités par amitiés !
Et s'il vous plaît ! Dans la sérénité,
Lorsqu'on finit de composer
Avec de parfaits doigtés;
Ce qui suppose le réveil,
Dès que s'achève
Ce jus de rêves;
Au soleil.
Jérôme de Mars
Après la pluie, le beau temps !
Non-stop et en continu;
Pourvu que le ciel
Ne nous tombe sur la tête !
Et dont il faut peindre en aquarelle
Le mauvais temps,
Pour qu'il foute le camp
Et fasse place au soleil,
Car après la pluie, le beau temps !
Dont il faut prendre le temps
De bien s'en occuper;
Avec acharnement
Et un fort tempérament;
Malgré le mistral gagnant
Dans l'œil du cyclone;
Avec pour amazone
Celle qui chasse le temps;
Et rétablit le printemps
En enlevant ses fossettes;
Avec pour belle lurette
Une p'tite amourette,
Car après la pluie, le beau temps !
Qui rabiboche les gens
En discernant le fou chantant;
Avant que la vie déchante
Avec regrets face à l'immensité
Des chagrins d'été;
Et de l'été indien, lors de la rentrée,
Dont après l'orage v'là une accalmie !
Bardée de confettis,
Dès que c'est la fête !
Qui remonte la pente
Du temps fluctuant,
Car après la pluie, le beau temps !
Qui taquine l'arc en ciel;
En engendrant la passerelle
D'un gratte ciel
A l'apogée de La Tour Eiffel;
Avec au sommet
Du point culminant;
Quelques figures ingénues
Qui figurent au menu;
En coloriant le printemps
De la saison des amours;
Dans un compte à rebours
Ce qui est insigne, quand retentit
En poésie et avec frénésie
Dans la cour des grands;
L'instant de dire bonjour
Quelques jours;
Durant tout le temps
Que dure le printemps des poètes,
Dont le troubadour
Prend congé de vous les p'tites gens !
A la recherche de sa quête,
Car après la pluie, le beau temps !
Jérôme de Mars
A fleur de peau
A fleur de peau
Comme Rimbaud;
Je suis au fond du ruisseau
A contempler ma peine,
D'où elle coule à peine
Qu'elle roucoule avec Verlaine,
Et dont je suis au bout du rouleau;
A fleur de peau
Dont je suis mâle dans ma peau;
A pleurer tous mes sanglots
A l'arrachée de Rimbaud,
Comme j'ai des bobos
Dans ma vie
Que je singe à l'ennui,
Comme un bonobo,
D'où découle mon sang d'encre,
Ce que je prends à la source
En jetant l'ancre
De la vie qui me mène en bateau;
Tout d'un coup dans la course
A l'urgence d'un poète maudit;
Qui coule mon sang d'encre
Dans la mélancolie
De l'usufruit de mes mots
Qui sont maux;
A fleur de peau
Comme Rimbaud,
Dont j'ancre
Mes peines
Inachevées en me faisant un sang d'encre
Dans la veine
De Verlaine;
A fleur de peau
Tout d'un coup avec Rimbaud,
Dont je suis tellement à fleur de peau
Que j'enregistre tous mes mots;
Qui sont maux
Dans le magnéto;
Pour me repasser en diapos
Toute ma rétro;
Avec pour sono
Tout ce qui fait ampli,
En me mettant en pli,
En repli,
Et en gardant en mémos
Toujours le même numéro;
Ainsi, je fais une fleur
A ceux qui m'envoient des fleurs;
Tellement que ma rengaine
Coule de mon sang d'encre;
Que j'ancre
En moi Verlaine,
Dont découle ma peine
Que je roucoule à demi-mots;
Demi-maux;
En partageant mes bobos;
Et en les pleurant de mes sanglots
Avec Rimbaud;
Tellement que je singe mes bobos
Comme un bonobo;
En vieux poète maudit
Dans ce monde aigri, et gris;
A fleur de peau...
Jérôme de Mars
Pourquoi Noël va-t-il sentir le sapin cette année ?
Futur mois de décembre;
En fait; fêtes de fin damnée;
Tout le monde tremble de ses membres
Dans cette année surannée;
Qui fera date dans l'histoire
De l'humanité,
Où toute la communauté
Arrive au bout de son réservoir;
En puisant avec son entonnoir
Dans ses réserves;
Ce qui fera que le monde sera en verve
D'une quantité de bonnes nouvelles;
Abreuvoir de brèves plus belles,
Mais dont il faut se rendre à l'évidence
Qu'on naît
Le jour de Noël dans le réel;
A comprendre pourquoi Noël
Va-t-il sentir le sapin cette année ?
Si bien que le bien et le mâle
Se confondent au sein du pire Noël;
Et s'il fera des merveilles idéales
Ou fatales;
Avec une horde d'étincelles
Dans la passerelle;
Entre la haine et l'amour;
L'espace de quelques jours,
Car malgré que tout le monde a les boules
Et s'enguirlande
Dans les landes;
De ce monde maboule qui perd la boule;
Que faut-il faire pour insuffler un semblant
De fêtes, alors que les gens n'ont pas le cœur
Disposé et enclin à oublier pendant quelques heures;
Ce monde s'enlisant et dérivant dans le profond de l'inconscient;
Si bien que l'humain a besoin
De le décortiquer pour le rire et le meilleur;
De pourquoi Noël va-t-il sentir le sapin cette année ?
Avec à coup sûr ce qui fera pressentir à démonter le sapin
De bonnes fêtes de fin damnée;
A souhaiter par avances
Et par déviances
Un bon début damné;
Dans la défiance et le béguin
De bouffer son prochain,
Pour exhorter le butin du bien
Et le fourvoyer dans le chacun
Pour soi, mais dont il faut que malgré
Que les gens sont en froid;
Garder, sauvegarder et préserver
Une lueur d'espoir;
Avec pour lien;
Le fait d'y croire
Dans ce monde éteint;
Et replié dans son ombre noir,
Car rien que tel que quelques lumières,
Pour avoir les idées claires
Au coin du sapin du bon Samaritain;
Et avec les copains
Du Sacristain Chrétien;
Autour d'un bon feu de camp,
Pour rallumer les décans
Et y mettre des couleurs;
Avec quelques gouttes de bonheur
En jetant une bouteille à la mère pour demander pardon,
Si bien que les gens qui ont la foi;
Prendront de la bouteille en joyeux lurons,
Car malgré la peur de l'inconnue,
Du lendemain, du sûr lendemain,
Et du surlendemain;
La vie continue !
Ainsi que le destin de chacun,
Pour réchauffer les cœurs de chimère
Et en faire des cœurs d'artichaut ainsi chers,
Pour apprendre
Et reprendre
De l'amour emmitouflé;
Bien au chaud et réchauffé
Par des affections de longue durée;
Vu ce que ce virus a causé
Comme affections endurées; en durée,
Et pour que cette année surannée
Ne sente plus le sapin défaites de fin damnée;
Autant y ajouter un festin
Avec des coups de mains;
A faim que cette année présente pressente à monter un sapin,
Où tout le monde aura certes les boules,
Mais dans le sapin maboule,
Pour passer malgré les embûches;
De bonnes fêtes de fin d'année sur année,
Tellement que le reste de l'année;
Tout le monde bûche
Au quotidien;
Et avec difficultés dans les affres de la vie,
Où tant que le monde est envie,
Faites la fête !
Avec la tête en faisant des plans sur la comète,
Pourvu que tout le monde s'y mette
Dès le mois de Décembre !
A faim que chaque membre
De la famille
Et des amis;
Se réchauffent dans la chaleur humaine;
Et que malgré que ça ne dure qu'une semaine;
Que les deux fêtes;
Leur fassent découvrir de nouvelles facettes
Qui forment des bonnes fêtes de fin d'année !
Pour que Noel sente mon sapin !
Cette année sur année,
Car bonnes fêtes de fin d'année !
Et bon futur début d'année
Sur année !
Jérôme de Mars
Détresses tirées par les cheveux ! ?
Chevalier épique et romanesque,
Comme dans une fresque pittoresque;
Un homme à terre écuyer perd
L'équilibre de sa vie avec que des impairs;
A détresses tirées par les cheveux ! ?
A ne savoir ce qu'il veut
Après tant de désaveux;
Faute de mieux !
Et qu'il est préférable
De desservir fréquentable !
A condition que les gens soient stables !
Malgré détresses tirées par les cheveux ! ?
En faisant pour le mieux radieux,
Alors que ce désordre décoiffe hirsute;
Avant de trouver la chute
De l'histoire, dont il est recommandé
Après avoir pris tant de coups censurés;
Qu'il faut esquiver les méchants,
Pour que le bien évite
Le mal qu'il lévite et vite;
Et qu'il côtoie
Les gens bienveillants,
Pourvu qu'il apporte du soleil !
Au rayon des yeux de ses prunelles,
Malgré qu'avec des maladresses;
Il y a un manque d'adresse
De ce clown triste et lassé;
Des affres de la vie qui l'oppressent,
Si bien que pour une question de survie;
Il a besoin de se prélasser
Dans un paradis qui le raffermit,
Pourvu qu'il en prend son parti;
Le parti d'en rire
Et la répartie de sourire;
Malgré détresses tirées par les cheveux ! ?
En passant d'une œuvre soliste
A une manœuvre altruiste;
Avec pour sésame judicieux et précieux;
Qu'il est plus fort à deux
Que seul dans son tempo hasardeux;
Et que pour il s'étire avec la brosse à reluire;
Malgré ses tempéraments de dur à cuire;
Il doit rester funambule en gardant le fil,
Car il n'y a rien de mieux
Que de garder son équilibre;
Subtil, fragile, agile et habile;
En ayant la fibre;
En demeurant
Un cas libre,
Au-delà du néant
S'il garde le soutien de ses aïeux;
Malgré les aléas de la vie
Et de ses inepties en dépit;
Qu'il y a un risque d'hémorragie
Qui contamine celui qui se croit;
Invincible, insubmersible et aguerri,
Car celui qui a guéri au final;
C'est celui qui a reçu un triomphe phénoménal
Et original;
De reconnaissance faciale pour fédérer égal
D'untel à untel régal;
Malgré détresses tirées par les cheveux ! ?
Jérôme de Mars
En attendant mieux...
Rêvez d'un monde meilleur !
En attendant mieux
Qu'il fasse beau ailleurs !
Et nulle part ailleurs
Avec un soleil qui ravit radieux;
Ceux qui pensent que tout est figé,
Alors qu'il suffit peu
Souvent pour que ça change;
Et que les vies d'ange
Regonflent l'humanité;
En attendant mieux
Que la vanité fasse place
A un avenir miséricordieux;
En paix avec pour passe
Le code à déchiffrer
Le bonheur,
Pour contaminer
Avec un porte-bonheur;
La candeur
Et la fraîcheur
Réanimées ainsi
Pour accorder les violons;
En attendant mieux
Pour chanter lors du réveillon;
Et retenir la leçon
Avec de la poésie;
En ribambelle de confettis,
Pour montrer que malgré tout;
La vie est belle en rêvant
Que tout le monde peut être absous;
S'il se repend et s'il reconnaît
Ses erreurs et la peur;
Face au fait si on va lui
Accorder son pardon;
En priant l'espace d'un instant
Et en attendant mieux
Si c'est mieux à deux;
En vivant au présent
Et en étant en harmonie ;
Absolument et tout simplement
Avec ce que maintenant
Vous inspire en mieux;
En ayant des affinités
Avec toute la meilleure volonté
Du monde; pour cacher les bleus
De l'âme; et les faire resplendir
Dans un bleu soleil aguicheur;
Dans le but de ne point s'appesantir;
En attendant mieux
Que les jours à venir
Soient fabuleux et fameux;
En espérant se blottir
Entre famille et amis,
Pour oublier les turpitudes
De la vie parce-que comme d'habitude,
Il est question de prendre son mal
En patience malgré tout l'arsenal,
Dont on préfère l'original
A la pâle copie;
Avec pour ensemble magistral
Le temps arrivé de la plénitude;
Entre deux interludes;
Face à la lune qui ferme les yeux
De la population, pour oublier un peu
Toute la misère du monde, où d'ici
A ce que vous soyez beaux joueurs
Dans la vie, restez face à la mer enjouée !
Et disputez un dernier match en répartie,
Dont de plus belle ce sera reparti
Avec loyauté et intégrité;
Dans un nouveau monde qui sera allègre
Et intègre
Avec pour repères précieux;
Ce qu'il y a de plus chaleureux
Et de plus lumineux,
Car avant que le bonheur
N'arrive dans le collimateur
Des spectateurs;
Il sera temps qu'ils en soient maintenant
Les acteurs amateurs;
De comédie ou de tragédie
Lors du rôle de leur vie;
En ayant pour soleil réparateur
Des projecteurs, pour rallumer
Leur paradis perdu au coin du feu,
Dont autant requinquer leur état d'esprit;
En attendant toujours mieux...
Jérôme de Mars
J'ai la haine !
Rengaine toujours à chaque semaine;
J'ai la haine !
Que je dégonfle avec de la laine
Et du bas de laine;
Avec la laine; l'haleine,
Dont je ne supporte plus
Qu'on me dise qu'on s'en fout
De moi et des autres manitous;
Qui colportent tous ces malotrus,
D'où je me fous de tout
Et que tout foute le camp en France
Dans la défiance et la violence,
Où je m'en fous, j'en ai rien à foutre
Et je m'en réjouis !
De tout ce qui arrive en France;
Avec pour amertume
Toute cette enclume;
Qui plume avec agonie
Ma léthargie;
Imbibée dans de l'alcool de vinaigre;
Aigre-doux
Pour faire monter la mayonnaise;
Et la faire tourner au vinaigre
Allègre,
Car j'en ai rien à foutre !
Même que je cogne ma poésie
Contre la poutre;
Qui sent le roussi,
Car j'ai la haine !
Avec l'envie
De venger ma bedaine,
Pour faire brûler le cramé
Et le macramé,
Dont ma naissance prématurée
Dans ce monde de colosse;
Que je cabosse en roulant
Mâle ma bosse;
Sans le carrosse,
Comme je rosse
Avec une crosse;
Ce monde de merde
Que j'emmerde
De noms d'oiseaux;
En prises de becs de gros mots,
Car j'ai la haine !
A chaque début
Et à chaque fin de semaine;
A force qu'on me dise !
Ca ne te regarde pas !
Pousse-toi !
Sans avoir un coup de pouce,
Comme tout le monde se tourne
Les pouces !
En ristourne,
Pour que je m'enlise
Dans des vannes acerbes,
Comme à Erevan jusqu'aux Serbes;
De L'Europe de L'ouest,
Comme ce n'est pas du gâteau
Sans un Paris-Brest,
Où on m'enverra
Des on verra
On verra quoi ?
A part ton côté miro;
Il est où l'eldorado ?
A part faire dodo
Dans une espèce de victime;
Qui s'envenime
Avec Calimero,
Car j'ai la haine !
Des personnes humaines
Dont leur seul domaine;
C'est d'être égoïste
Dans une vie d'artiste;
Renfermée et repliée
Dans leur jardin d'Eden;
Qui a un cœur
De pierre dans un dolmen,
Car comme le martèle
Christophe Mae;
Il est où le bonheur ?
Il est où ?
A part faire coucou
A ces coucous,
Ces drôles d'oiseaux;
Qui montrent leurs corps beaux,
Où j'ai envie de dire à l'espèce humaine
Qui est hautaine !
Pourquoi suis-je alourdi ?
Avec tant de rancœur à m'hérisser
Les poils à la main de mon âme flétrie,
Car le jour où je redescendrai
Du point culminant de ma plaine;
J'aurai la possession saine
Dès l'accession reine
De mon point de salut;
En soulageant toute ma bedaine;
Que je traîne pleine
Avec une immense rengaine,
Et dont je demande avec ou sans
Madeleine De Proust,
Est-ce-que je tiendrai en haleine
A chaque début
Et à chaque fin de semaine
Le même bas de laine;
Cousu et décousu
Avec de la laine; de l'haleine;
Le jour où je n'aurai plus de haine ?
Jérôme de Mars
Billet d'humour de ce monde en pièces détachées
Monde sans dessus deux sous; cents déçus des sous dès en espèces menacées; où avec ce billet d'humour de ce monde en pièces détachées, je rends la monnaie de sa pièce de théâtre à fond la caisse ! Où pour gagner ma vie en liquide; je dois des bites hé de l'argent liquide ! Pour payer en espèces menacées en faisant mon lit en portefeuille, après avoir couché ce billet d'amour, comme l'espèce est menacée et que je prends tout pour argent comptant; en n'accordant plus de crédit aux gens déjà que le monde est à découvert ! et que tout est en pièces détachées, car les salariés sont payés à la pièce, un peu comme une pièce de théâtre; et comme tout est en pièces; les pauvres réclament une petite pièce; faut-il leur donner une pièce de monnaie; ou une pièce de Monet ? Pour rendre la monnaie de sa pièce à cette pièce de théâtre qu'est la vie sur Terre; où nous tous et quiconque, on joue tous un rôle; soit le rôle de sa vie ou un rôle de composition; ou soit on remet un tableau d'honneur ou soit on donne une pièce à Monet; soit on convertit l'Euros en écus; car à la base; L'Euro devait être l'écu; les culs, comme on l'a déjà tous dans l'écu; les culs; l'écu serré; les culs serrés; car est-on vraiment en sécurité sociale en France avec sécu; ces culs de sécurité asociale ? Etapes par et tapes amicales; profitons-en pour jouer tous ensemble dans une authentique pièce de théâtre attachée les uns aux autres ! Comme monnaie de sa pièce à Monet et à monnaie; en jouant sur tous les tableaux le rôle de sa vie avec un rôle de composition et en protégeant l'espèce menacée, pour qu'on gagne de ce fête avec les filles de joie; notre argent en liquide; Oh ! Quel bordel; comme à la maison éclose à la base de ce billet d'humour de ce monde en pièces détachées; déplacé en billet pour clore ce billet d'humeur; selon mes humeurs, où je paye avec de la sueur; ce billet d'honneur en jouant sur tous les tableaux d'honneur, quand je suppute sans langue de bois; langue de boîte, s'abstenir !
En ayant déjà largement payé; avec la monnaie de ma pièce et en pièce détachée en cette faim de pièce de théâtre; pour payer en liquide les filles de joie avec leur langue de pute, comme mon espèce est menacée; avec ma langue de bois de Boulogne et que la fin justifie les moyens de ce billet d'humour de ce monde en pièces détachées, dont je me détache du rôle de ma vie ou de mon rôle de composition ? !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi près de Lyon, y a-t-il des membres de la communauté Turque qui veulent s'en prendre à des Arméniens ?
- Parce-que ce sont des fauves à Lyon !
2) Pourquoi ce n'est pas très catholique d'assassiner un prêtre Grec ?
- Parce-que ce n'est pas très orthodoxe !
3) Que peut dire un prêtre Grec à un terroriste s'il le voit en train de commettre un attentant près de son église orthodoxe ?
- Va te faire voir chez Les Grecs !
4) Quel est le meilleur moyen pour un vendeur de fruits et légumes pour gagner sa vie en liquide ?
- C'est de se faire dégorger le poireau !
Jérôme de Mars
On tient paroles quand on connaît la musique !
Chanson nette comme une chansonnette,
Avec mille et une facettes;
On tient paroles quand on connaît la musique !
Dans la chanson;
Comme à la maison,
Où l'on dresse ses pas frénétiques,
Car comme on dit
Et comme on nie;
Les paroles s'envolent, les écrits restent !
Alors autant lâcher du leste pour le reste !
Avec des paroles pour danser la musique;
Et de la musique pour condenser les paroles;
En faisant la farandole parmi les rossignols;
Avec tant de paroles dans ce temps de paroles
Sans bémol;
Dont on tient paroles quand on connaît la musique !
Dans la chanson;
Comme à la maison,
Où l'on fait danser ses pas en rythmiques,
En faisant les fanfarons
De joyeux drilles et larrons en foire,
Comme le grand soir assis et avachi
Sur notre poire;
A faire la poire pour tout le monde au comptoir,
Car il nous faut une chanson pour tenir paroles;
En faisant la farandole
Dans ce monde en bémol;
Avec les ailes brisées des rossignols;
Complètement stones sous paracétamol,
Comme Stone et Charden;
Qui se gondolent à s'étirer sur leurs gondoles;
Berçant et transperçant leurs douces peines;
Complètement à l'Ouest de leur Eden;
En ayant pour tant de paroles, un temps de parole !
Quand on connaît si bien la musique !
Dans la chanson;
Comme à la maison,
En roulant des mécaniques;
Plus vite que la musique.
Jérôme de Mars
James bonde Sean Connery
Inné le 25 août 1930 à Edimbourg en Ecosse
Sean Connery;
Et ce n'est pas une connerie !
Fut l'acteur prolifique,
Dont le comédien emblématique
De James Bond;
A travers sept films précoces,
Car James bonde
La carrière de Sean Connery
A son apogée;
Avec au sommet;
Qui reste dans la nostalgie,
Dont notamment James Bond 007
Contre DR No; Bons Baisers de Russie;
Golfdfinger, avec pour coup une opération tonnerre;
Comme on ne vit que deux fois; et que les diamants
Sont éternels desquels il ne tourna jamais plus jamais
James Bond; Sean Connery;
Et ce n'est pas une connerie;
Où il commit le crime de L'Orient-Express;
Tout près de l'homme qui voulut être roi;
Mais sans commettre le crime d'à l'aise majesté;
Avec sa Majesté La Reine Elizabeth d'Angleterre;
Et sans couper les ponts avec la monarchie;
Il alla prendre son indépendance avec les incorruptibles;
En filant à l'anglaise sous un pont trop loin; et en donnant
A cette prose; le nom de la rose; pour lui faire une fleur;
En lui glissant un joli mot rose et en lui envoyant des fleurs;
Avec classe comme il avait la baraka,
Pour limiter la casse, et dont il termina sa carrière avec succès
Et panache; en battant en retraite, lorsqu'il adhéra
A la ligue des gentlemen extraordinaires
Pour y terminer sa vie sur Terre,
Et dont il mourut sous Terre en enterrant sa vie de garçon
Le 31 Octobre 2020 dans son sommeil,
Comme année surannée des beaux vins
Dans sa presqu'il des Bahamas, et dont adieu Sean Connery
En ne vous ayant pas eu pour ami, dont ce n'est pas une connerie;
Sept agent 007 car James bonde Sean Connery.
Jérôme de Mars
Après la pluie, y aura-t-il du soleil ?
Temps instable qui se fait de la bile !
Avec que des tempêtes volubiles,
Dont l'ouragan du désespoir
Porte à croire
Que la vie ce n'est qu'un mouroir !
Alors que malgré toutes ces histoires;
On implore le missel
En disant au Carrousel;
Arrête ton manège !
Dont on veut savoir,
Si après la pluie, y aura-t-il du soleil ?
Dans un trésor riche qui ruisselle
De mille et une merveilles,
Lorsque les temps difficiles
Deviendront l'instant facile,
Dont le privilège
Compensera tous les sacrilèges;
Qu'a subi le florilège
De la vie; qui revient en flashbacks;
Avec pour comeback;
Tous les souvenirs anciens à l'autel;
Qui héberge le fond de nos pensées;
Avec pour idées
Que face à la colère qui nous empare;
Il vaut mieux opter pour la prière en rempart,
Car face à ces mauvaises nouvelles;
On demande à Jean Nouvel,
Après la pluie, y aura-t-il du soleil ?
Avec à la place d'une stèle,
De formidables rituels
Pour distribuer de l'amour
Aux vautours; en ces jours
Si terribles,
Dont il nous faut un séjour
Paisible; avec des choses enfin comestibles
Dans la mesure du possible,
Pour ne plus que le monde pète les fusibles
Avec des gens nouvel,
Dont tout laisse imaginer
Que le monde d'après;
Sera, je l'espère ! Logé fraternel
Et délogé insurrectionnel;
Avec de l'amour charnel,
Inconditionnel et universel,
Dont la passerelle
Mettra le pied à l'étrier;
V'là que des bonnes nouvelles
Parmi toutes les communautés;
D'untel à untel
En lançant pour ritournelle,
D'où qu'elle survienne,
Après la pluie diluvienne,
Y aura-t-il encore du soleil ?
Jérôme de Mars
Nouvelle vague
Vague à l'âme;
Cette nouvelle vague
Nous coupe infâme
Et rasoir;
En étant sur le fil du rasoir
Avec des lames dérisoires,
Dont cette deuxième vague
Du Coronavirus
Nous crève les sinus,
Parce-que comme cette annus horribilis;
On a de quoi attraper la syphilis
Avec que des sacrifices;
Du bout des orifices,
Dont les édifices
S'écroulent parce-qu'on
Est au creux de la seconde vague;
Que le gouvernement est très vague;
Et qu'il dit vague
Dans le pourquoi du comment;
Du qu'en dira-t-on ? !
Exécutons le désordre mes imminents !
Car si jamais Richard Anthony
N'avait pas entendu siffler le train,
Au train où vont les choses
Et en train de vivre des névroses;
Dont pour le droit à l'oubli;
Il aurait déchanté la nouvelle vague;
Mais pas Jean-Luc Godard; qui en faisant
Son cinéma; lança la nouvelle vague.
Jérôme de Mars
Malgré le confinement, je m'en fous; je sortirai quand même !
Monde de fous sans garde-fous:
Avec que des boniments,
Dont malgré le confinement;,
Je m'en fous; je sortirai quand même !
Même que j'ai des problèmes;
Avec cette fête de chrysanthèmes,
Où tout le monde fait semblant
Qu'il s'aime,
Alors qu'en fête, il sème
Les injustices nationales !
Avec des sévices frontales;
Où malgré le plan d' Emmanuel Macron
Avec sa stratégie
De vieille injonction;
Je m'en fous;
Même sans garde-fous,
Je verrais quelques amis;
Au prix en dépit, des pis
De ma vache enragée;
D'être toujours seul
En buvant mes déboires
Au tilleul,
Car j'en ai marre
Des racontars au comptoir
Du bistrot d'en face;
Même qu'il faut faire face
Face à l'adversité;
Et à la connerie humaine;
De ce monde qui s'étripe
A chaque fin de semaine;
En ayant les boules aux tripes,
Où ce monde m'est complètement
Egal certes pas vraiment légal,
Mais complètement l'égal;
Comme si j'avais la gale;
Avec six gales, cigales;
Même que j'essaie d'être plus fourmi
Que cigale
En buvant l'eau de la fontaine;
Qui jaillit;
Avec un caractère
Bien trempé de mal de mère,
Où l'inertie et l'autarcie
De nos dirigeants;
Nous mettent devant la défaite accomplie
Avec beaucoup d'à priori;
A priori que malgré le confinement,
Je le martèle en tête avec Charles;
Je m'en fous; je sortirai quand même,
Car de rester tout seul
Sur mon fauteuil;
Devant la télé vide décence;
J'ai par condescendance;
Une aversion des chrysanthèmes
Vu que plus personne ne s'aime;
Et que tout le monde s'étire,
Se tire, s'attire
Dans les pattes,
Pour mettre la main à l'appâte, la pâte,
Pour croire en un mouroir;
Qui abreuve les fleurs du mâle
D'histoires banales;
En pleurant
Avec des mouchoirs,
Dont ça épate
Nos plus bas instincts ;
Avec pour refrain
Ce poème;
Qui sent les problèmes
Avec la justice;
Qui rend service
A l'injustice;
Avec ces vices;
Dont malgré le confinement;
Je verrai quand même
Quelques amis;
En p'tit comité
A la santé;
De ceux qui trinquent
De leur santé,
Pourvu que ça requinque
Ceux qui trinquent
A notre santé;
A la santé
De tous;
Avec pour coup de pousse
Que malgré le confinement,
Dans ce monde de fous sans garde-fous;
Que je m'en fous,
Car malgré les problèmes;
Je sortirai quand même idem !
Jérôme de Mars
Mélanges
Brève :
Un technicien qui travaille chez Orange a la fibre sociale !
Saynète :
Philippe : - " Pourquoi avec tes poèmes en ce moment, trouves-tu ta vitesse de croisière ? "
Jérôme : - " Parce-que tout le monde me mène en bateau ! "
Citation :
Un technicien de chez Orange qui ne respectera le confinement, ira travailler pour supprimer un virus d'ordinateur !
Saynète :
Jean-Paul : - " Qu'est-ce-que ça fait un technicien de chez Orange qui est speed ? "
Jérôme : - " Ca fait Orange pressé ! "
Brève :
Si je ne suis pas au courant de comment on rebranche Orange après un bug, c'est que je perds le fil !
Citation :
Celui qui réussira à respecter ce reconfinement, après enfreint le premier confinement aura eu une piqûre de rappel en attendant de trouver le vaccin !
Saynète :
Alexandre : - " Pourquoi au CMP faut-il prendre son mal en patience ? "
Jérôme : - " Parce-que je suis un patient qui est toujours sur liste d'attente ! "
Brève :
Le jour où Europe 1 cessera d'émettre, ce sera silence radio !
Saynète :
Adel : - " Pourquoi ne regardes-tu pas la télé pour être moins négatif ? "
Jérôme : - " Parce-qu'à la télé, il n'y a jamais de bonnes nouvelles qui diffusent des ondes positives ! "
Citation :
On dit ferme-là à un agriculteur ruiné qui reste sur la paille !
Brève :
Un alcoolique qui se soûle pour oublier la mort de sa mère, lui envoie une bouteille à la mère !
Saynète :
Edwin : - " Pourquoi es-tu devenu aigri ? "
Jérôme : - " Parce-que le temps est gris ! "
Que dit-on d'une citation très limpide en un éclair ?
- Que cette incitation très brève, c'est net !
Jérôme de Mars
Entre le soleil et le ciel, il n'y a aucun nuage à l'horizon !
Soleil à la carte vermeille,
Qui veille avec une ribambelle
De merveilles;
Après les vœux de la veille;
D'au temps qu'entre le soleil
Et le ciel,
Il n'y a aucun nuage à l'horizon !
A part juste regarder se dégager
L'envers du décor dans le bastion;
D'une vie d'artiste couleurs pastel;
Avec une palette pour peindre
Et s'étreindre
Devant un parterre à l'ombrelle;
De la lumière à l'abri intemporel,
D'au temps qu'entre le soleil
Et le ciel,
Il n'y a aucun nuage à l'horizon !
A part lézarder d'encre marine
Les couleurs paisibles de l'adrénaline;
Montée avec un raz-de-marée
De moussaillons qui voguent,
Dès l'instant que la mousson
De l'eau à mer mène en pirogue;
Les passants qui épiloguent
Leur long monologue,
Pour naviguer en eaux limpides
Dans les nuits torrides;
D'au temps qu'entre le soleil
Et le ciel,
Il n 'y a aucun nuage à l'horizon !
A part consoler les états d'âmes;
Qui ont du vague à l'âme; qui rame
Leur cœur étiolé par le fiasco
Des bateaux; avec pour quiproquos
Le non d'incertaines destinations;
Dont pour temporiser les larmes diluviennes
De la mer en proie à une crise existentielle;
Il y a de quoi se rassurer
En ouvrant les fenêtres persiennes;
Avec vue sur la mer exponentielle;
A part vous dédier depuis la maison
Sur la mer ;certes quelles bonnes nouvelles;
D'au temps qu'entre le soleil
Et le ciel,
Il n'y a plus aucun nuage à l'horizon !
Jérôme de Mars
Gueuler pour te faire entendre !
Casse-gueule;
Bégueule
Ou gueule cassée;
Ta gueule tracassée
Et fracassée
Jérôme ! Gueuler
Pour te faire entendre !
Est ta seule voix de sortie
Avec pour issue assortie;
Le fait qu'on peut t'engueuler !
Pour te malentendre, mâle entendre
Du fait que tu n'arrives pas à te détendre;
A part répandre chaque semaine
Toute ta haine;
En cendres pour descendre
Ta sempiternelle rengaine,
Où gueuler pour te faire entendre !
C'est ce qui te reste pour étendre
Ton discours, où tu demeures le capitaine
De ton navire qui prend l'eau;
Tellement enseveli dans un méli-mélo,
Où même si tu te fais engueuler,
Si bien que tu te fais malentendre;
Tellement que tu te fais mâle entendre;
Il te faut gueuler pour te faire entendre !
Avant qu'on t'envoie rendre
L'âme si jamais tu provoques un esclandre,
Où même si tu te fais engueuler pour te faire entendre;
Malgré ta sale gueule, il faut gueuler pour te faire entendre !
Jérôme de Mars
Fais sourire et rire le soleil !
Pluie de merveille;
Avec des ribambelles
D'étincelles qui ruissellent;
Fais sourire et rire le soleil !
En oubliant tes soucis;
Qui fonctionnement avec des si;
Et vis ta vie au jour le jour !
En faisant comme si
Que le beau temps dure,
Comme un poème de troubadour;
Qui parle de vivre d'amour
Et d'eau fraîche dans la nature !
Avec que des bonnes nouvelles;
A partager au pluriel
Et sans faire de zèle;
Fais sourire et rire le soleil !
Pour qu'il t'apprivoise
Et qu'il t'embourgeoise;
Avec tes amis arc en ciel,
Pourvu que le ciel
Ne te tombe sur la tête !
Mais qu'il t'écrive en pense-bête;
Ne te prends pas la tête !
Dont il te faut triompher en esthète;
En écrivant ce poème d'athlète,
Dont pour tirer les ficelles
Des ménestrels;
Fais sourire et rire le soleil !
En aimant les hirondelles,
Les sauterelles et les tourterelles;
Et fais-leur la cour !
Sans faire dans la dentelle
Avec pour porte-jarretelle;
Un rayon de soleil
Sans son Rimmel,
Et dont pour t'encourager
A consolider
Sa passerelle personnelle;
Rallie ensemble les demoiselles
Et les hommes endimanchés !
Après que la pluie les crécelle;
En leur cassant de la vaisselle,
Car pour les réconcilier;
Avec l'amour charnel
Devant l'éternel;
Prends toi-même du plaisir
Avec le ciel !
Et fais sourire et rire
Sans s'arrêter le soleil !
Jérôme de Mars
Comme un air de vacances
Instant de décompression;
C'est l'heure de la déconnexion,
Comme un air de vacances
A La Toussaint,
Dont bienvenue à bord
De l'itinérance;
Qu'adore cador
Tout sein;
Avec les arbres nus;
Qui ramassent les feuilles mortes,
Dont le sol tapis jonche assidu
La forêt dépeuplée par la grande porte,
Comme un air de vacances
De ce temps d'automne
Avec le silence pour repentance;
Qui inaugure au tome
De ce livre ouvert;
Ou vers
Les fêtes de Noël,
Comme un air de vacances
Qui sent le sapin,
Dont pour certains;
Ce sont des kyrielles
De fêtes de fin damnée;
Avec toujours le camouflet
De janvier en redondance,
Quand les gens s'enguirlandent
Dans les landes;
Effet boule de neige
Avec une déconvenue;
Qui demeure un sacrilège
Pour les âmes déçues
Avant les vacances de février,
Dont les maux d'hiver
Fanent les mots divers;
Avec pour faire ses emplettes
Une fondue de raclette,
Comme un air de vacances
En station debout de fée d'hiver;
Avec l'excuse de l'innocence
Pour repasser la sentence
Sous un air d'ingérence;
Si bien que les prochaines vacances
A en faire toute une montagne
Sont celles de Pâques;
D'hauts Pâques, d'opaques
A côté de la plaque;
Avec pour compagne
Un air de réchaud d'avances,
Alors qu'il fait encore froid;
Toutefois en étant dans de sales draps
En soie; ainsi soie !
Comme un air de vacances
De déjà-vu;
Avec des choses superflues;
En route vers l'indécence,
Dont la tendance
Est de chercher l'intendance;
Pour les grandes vacances
Avec pour port de Plaisance;
Un soleil bien assorti bleu azur
Avec des vers durs dans la nature;
De vacances d'été
En juillet;
Etapes par étapes amicales;
Du Tour de France social
Avant le mois d'août,
Où le soleil victime d'un burn out;
Se couche de bonne heure;
Pour raccourcir la ferveur,
Dont quelles seront
A l'occasion ;
De la rentrée
Ceux ou celles;
Qui seront les trublions
Avec pour passerelle;
De l'eau qui coulera
Sous les ponts;
Avant les prochaines vacances
Suivantes des gens tous seins;
Avec sans arrêt dans l'appareil;
De pareilles accoutumances
Comme un air de vacances.
Jérôme de Mars
La roue tourne !
Roue libre;
En arrêtant de sucer
La roue;
Et d'être la roue de secours
En dernier recours;
Il est temps que la roue tourne !
Et que les gens vibrent
Avec pour cas libres;
Les derniers calibres,
Pour que la cinquième roue
Du carrosse;
Du fait de tout ce que la ristourne
Lui cabosse,
Pendant qu'a bosse;
En ayant roulé sa bosse;
Tous ceux qui s'enrouent;
Sans roue
La voix;
En cherchant leur voie,
Pour être la roue de la fortune
Alors que de plus en plus,
Avec des rictus,
La roue qui tourne !
Fait un pied de nez qui détourne
Et retourne
L'opinion des idées reçues,
Et dont les idées fixes en font des déçus;
Dissolus ou assidus;
A savoir pourquoi la roue tourne !
Pour certains,
Tandis que pour d'autres malotrus,
Elle agit comme un coût du destin,
Afin de remettre sur un pied d'égalité;
Les personnes bourrues, ingénues
Et superflues;
Avec plus de justice et d'équité,
Pour rouler en roue libre;
Quitte ou double de la roue de l'un fortune,
Ou de l'infortune !
Avec plus aucune tune
En une, dont la lacune
Sert à ce que la roue tourne !
Détourne, contourne
Et retourne du droit chemin !
En cherchant les voix;
Qui sont impénétrables
En guise du seigneur sur la table
De chevet, dont pourvu que sans ristourne;
La roue tourne !
Et que le destin change de camp !
Dont il lui faut pour bâton de pèlerin;
D'humbles et loyaux Chrétiens,
Dont à qui le prochain
De saisir son tour ?
Avant que le destin
Ajourne le temps;
Et décide de le remettre à demain;
Ce que ne peuvent appliquer
Aujourd'hui les humains,
De sorte que la sagesse
Séjourne du côté des impatients;
Avec pour reconnaissance un besoin de caresse;
Qui fait qu'ils retournent comme des bambins;
Attendant un signe qu'autrefois, qu'autre foi;
Il fallait que tout un peuple se retourne;
Tous ensemble et que la roue tourne !
Pour qu'elle sache la foi,
Qu'iI y ait quelqu'un;
Qui fasse que le sacristain;
Soit au-dessus des lois
Et amène pour son prochain;
Un toit
A chacun,
Afin que tout le monde puisse manger
A sa fin;
Avec avant enfin;
Que le monde soit des fins, défunt;
Qu'il y ait sans ristourne
La roue qui tourne...
Jérôme de Mars
Roc tare du moyen âge
Troubadour à deux balles;
J'y fais le tour inaugural
Telle une roc tare du moyen âge,
Où je suis plus vieux que mon âge;
Toujours dans la survie;
Dans la sûre vie;
En attendant la rage;
Qu'on met rage
Avec des commérages;
Des commères ragent;
Telle une roc tare du moyen âge,
Où je veux savoir suis-je volage;
Vole âge
Dans le racolage ?
Ou est-ce-que je parle le marivaudage ?
En traduisant le langage,
Dont l'adage
Reste la poésie de troubadour;
Pour en faire bon usage
Et tromper l'ennui;
Telle une roc tare du moyen âge;
Qui en jette des tours; détours
De passe passe; si bien que vos tours
Envolent l'oiseau aux ailes brisées
Que je suis; à survoler la mer agitée;
Telle une roc tare du moyen âge;
Par rage; avec dans les parages
Quelque chose qui paraît anecdotique,
Alors que ça signifie un accident poétique;
Avec un chat sauvage;
Qui sort les griffes domestiques;
Et comme il y a du surmenage;
Il serait préférable que je fasse du sûr ménage;
Avec pour retour;
Une énième poésie sage
Ou avec de la rage;
Qui saccage le métissage
De la poésie du troubadour;
Avec tellement dans les parages;
Telle la roc tare du moyen âge.
Jérôme de Mars
Heureusement, nous avons l'art pour ne pas mourir de la vérité !
Saga cité; il y a du mistral dans la cité
Dont le point d'orgue,
Est ce long monologue;
Qui déclenche le sas de des compressions
Avec en filigrane d'impression;
Qu'heureusement, nous avons l'art
Pour ne pas mourir de la vérité !
D'après cette citation de Nietzsche;
En donnant pour rencart
Qu'il est leurre de la confrontation;
De la lune;
Avec pour une qui ne compte pas
Pour des prunes;
Une favorable constellation;
Entre les aléas
Et pourquoi
Souvent, il y a des désistements !
A accepter, alors que ça provoque
Un tollé dans cette époque baroque;
Dont seul; l'art dû, l'ardu peut nous sauver
Dans cette période sombre de l'humanité,
Où tout tombe en rade,
Comme un café frappé dans un rad,
Et où avec résignation et humilité
Dans cette société qui fout le bourdon;
Une p'tite piqûre de rappel d'abeilles
Procure en lune de fiel;
Un désordre en mille et décents,
Dont nous en tirons avec acuité
Dans ce monde, où plus personne capiche,
Et dont la conclusion en vacuité;
Rend nos conditions de vie encore plus modestes,
Dont il faut qu'on lâche du leste,
Car heureusement pour le reste;
Nous avons l'art
Pour ne pas mourir de la vérité !
Avec pour rencart;
Un renard affûté,
Dont nous vous dédions;
Avec pour dicton, gardons
En toute circonstances une bonne conduite !
Déjà que tout s'effrite,
Pour ne pas que les gens
Dans la maison;
Davantage se frittent
Dans l'inertie et l'autarcie,
Où nous nous faisons dicter notre conduite;
Malgré le mistral du vent en poupe, dont voici
Pour pépites qui crépitent;
De meilleurs lendemains à savourer
Dans la dévotion et le dévouement;
Avec pour points de derniers sacrements,
Que ça fait sacrément bizarre avec le blizzard !
Dont on nous file pour rencart;
De la volupté sacrément écumée
Dans la tournée des bars,
Car heureusement, nous avons l'art,
Pour ne pas mourir de la vérité avec fatalité !
Et en toute simplicité...
Jérôme de Mars
Blague :
Que dira-t-on au chanteur d'Adieu Monsieur Le Professeur s'il interprète cette chanson ?
- Hugues, Samuel Paty est au frais !
Jérôme de Mars
Face cachetée
Phase cachée;
Pour ne pas
Perdre la face;
Pas à pas;
On fait face,
Afin de rester
A la surface;
Et de demeurer
Avec une face cachetée;
Qu'achetait la paix sociale
De ceux ou celles frontales,
Dont on a une face cachée;
Phase à phase cachetée;
Dans un face à face clashé
En une phase à phase crashée;
Avec pour phrase crachée
Qu'on a tous une face cachetée,
Pour cacher nos propos cash;
Qui cachent
Le fond de nos pensées;
Et de si c'est la vérité
Ou bien à l'emporte-pièce;
En pièces détachées;
Avec pour être space, espèce;
Quelque chose en nous d'atypique
Pour trouver une force dynamique;
Qui cache nos faces cachetées;
Avec des secrets pour dévoiler
Nos faces cachées;
A coups de cachets;
Qui ont caché
Tous nos souvenirs enfouis;
Qui se sont enfuis
Au fond d'un puits;
Et puis tant pis !
Malgré le dépit
De la vache enragée,
Où dans une phase à phase;
Autant dénicher la phrase !
Qui nous libère de nos faces emprisonnées;
De la sorte de capter ainsi divulgués
Nos profonds états d'âmes décortiqués;
Dans le but d'y voir clair
Au fond d'une pièce côté lumière,
Si bien que la phase à phase enclenchée
Dans un face à face disséqué;
Avec une phrase déclenchée;
S'écrit dévoilée, divulguée et révélée
Sous un nouveau jour clashé;
En parlant cash cash
Dans un cache-cache;
Avec pour panache;
En y allant avec la cravache
Dans une phase à phase coachée,
Pour que le face à face caché
Devienne une face cachetée,
Parce-qu'acheter la paix sociale;
C'est aussi montrer une autre face loyale;
Phase à phase clashée
Dans un face à face coaché,
Parce-qu'acheter
En phase terminale;
La face cachetée.
Jérôme de Mars
Quand la nuit voit le jour...
Jours avec
Et jours sans;
Entre beau temps
Et prises de becs,
La vie est ainsi faite !
De répits, d'éclaircies
Et parfois de pluie ;
Avec du gris
Notamment, quand la nuit
Voit le jour...
Avec des vautours,
Et dont pour tromper l'ennemi,
Lorsque surgit
Des tue-l'amour ;
Il faut jouer pendant
Belle lurette;
Des airs de troubadours,
Comme si le jour
Etait comme l'amour;
Et comme la nuit;
Et qu'il porte conseil
Sans fard de Rimel;
Avec aussi du soleil,
Pour faire sourire
Les plaisirs;
Qui ne font dans la dentelle,
Quand la nuit voit le jour...
Et que le jour se porte à merveille
Sans connaître de mauvais retours,
Et que quand le jour est la nuit;
Il fait comme si ;
Il apaisait les tourterelles
Et les hirondelles;
Qui font du zèle,
Et dont pour trouver sa vitesse
De croisière
Dans la liesse;
Il organise une kermesse
Entre la paresse
Et la tendresse,
Pour que le tout
Forme un ensemble fourre-tout,
Car aussitôt dit !
Aussitôt fée dans l'harmonie !
Dont le jour reste la vie
Et reste emplie;
Avec des amplis,
Pour écouter l'amour
Avec des airs
De troubadours;
Aux bords sans frontières,
Quand la nuit voit le jour...
Jérôme de Mars
Je m'ébats en oh !
De haut en bas,
je
mets
bas haut, d'où je
m'ébats
en
oh !
Parés
haut
depuis
l'échafaud;
en haut
de l'escabeau,
Dont
je
débats
au;
haut
des
bâts,
quand
je
me
bats
en
eau;
de
haut
en
bas,
si bien que je m'ébats en haut;
un bien pour un mâle, dont je m'ébats en oh débat ! Eau des bas, au des bâts.
Jérôme de Mars
Je mets du soleil dans cet orage !
Pluie de groseilles sur les plages;
Malgré la déconfiture
De Dame Nature;
Je mets du soleil dans cet orage !
Pour faire barrage;
Et pour qu'il n'y ait plus d'ombrage
Sur l'océan pacifique !
Terre des ancêtres
Dans laquelle, existe-t-il le bien-naître ?
Dans ce monde très soporifique
Pleins d'artifice,
Alors qu'autrefois, il était empathique
Et sympathique;
Avec pour édifice le sacrifice
De sa personne,
Pour que sonne
Le meilleur en chacun de nous;
Tous pour un !
Et un pour tous !
Tandis que maintenant,
Dehors, c'est un sale temps !
Avec un pour tousse !
Et un coup de pousse !
Car tous plus rien !
Où pour faire l'étalage
De la vérité qui dérange
A bas étage,
Je mets du soleil dans cet orage !
Pourvu qu'il pleuve dans les parages
Un ouragan d'espoir,
Où l'on naît du côté des anges;
Pourvu qu'on nous raconte dorénavant
De belles histoires;
Au moment de vous dire au revoir
Les enfants;
Les grands et les plus grands;
Et en vous demandant
Unanimes si depuis l'an millésime;
Si dans ce monde;
On peut encore croire enchanteurs
A un monde magnanime;
Qui respire le bonheur et la candeur
A pas d'heures,
Où tout le monde fédérateur;
Donne de son temps;
Et n'est pas pressé, oppressé
Et est satisfait
De distribuer le mode d'emploi;
D'un pour tous !
Et chacun pour soi et toi !
Sans penser immédiatement
A l'argent,
Car maintenant,
Il est urgent
Et imminent !
Que pour faire ombrage !
Je mette du soleil dans cet orage !
Jérôme de Mars
Le poème caméléon
Ode à l'effet papillon
De par les papillons;
Qui s'envolent de leurs pavillons
Dans le poème caméléon;
Qui change à chaque évolution
De se mettre dans la peau
D'untel de ces héros,
Où chaque jour est une incarnation
Entre la passion
Et la révolution;
De ceux qui dérobent le sol;
De par le fruit de leur envol
Qui gondole
Les rossignols
Dans le poème caméléon;
Qui change à chaque variation
De si les hallucinations
Rigolent complices de leurs farandoles;
A tel point que le poème caméléon
A besoin de se changer dans tous les rôles;
Avec pour paroles
Sans connaître de bémol,
Où le poème caméléon
Vous propose d'essayer comme costumes;
Tout ce qui donnera pour impressions
De coutumes
Que c'est une façade sans enclume;
Grâce à la plume,
Dont le poème caméléon
Joue un rôle;
Avec pour pôle
Surexposition une exposition
De ses Saints costumes;
En donnant l'impression
De façade;
Avec pour expression
Un apaisement sans incartades;
Qui est le fruit de faire bonne impression,
Alors que sont là les tentations
De sa faire du mâle en gestation,
Dont l'introspection finale
Donne pour interprétation originale;
Plus aucune dépression
Avec pression, car enfin nous changeons
D'époque dans le baroque;
Avec ou sans équivoque
Consignée loin de mon enclume;
Et signée de ma plume;
Muée dans ce poème caméléon.
Jérôme de Mars
La France perd la tête !
Sans queue ni tête, La France ne tient plus debout avec un professeur décapité parce-qu'il en saignait les caricatures de Mahomet; où La France perd la tête, comme moi; si on me retrouvait décapité; si jamais, j'avais un coup de folie du fait que j'aurai perdu la tête, puisque je suis vieux avant l'âge; et que mon avenir sera tôt ou tard d'être logé sous de meilleurs hospices; où j'espère qu'allongé, comme un café allongé; qu'on me racontera des histoires à dormir debout; bouffé et boursouflé par mes vers de contact de poèmes; à défaut d'être liant; alliant l'amitié et la collectivité, certes, je suis un ver solitaire, mais qui boit ses déboires en des vers solidaires; avec des poètes maudits et des slameurs, qui ne sont handicapés; et qui n'ont donc pas un grand corps malade; car si jamais Maho met; c'est que je serai comme ma propre caricature de Mahomet; en piquant au vif l'essaim mammaire de mon mal de mère; où les voiles et à vapeur me mèneront en bateau; si bien que La France perdra la tête et que moi, je perdrai la tête; décapitée; si j'ai un coup de folie; où ça sera un véritable casse-tête de perdre la tête; de la sorte que je n'aurai plus de boulot dans mon ciboulot au bout des six boulots; avec au bout du rouleau-compresseur; La Mas de mon handicap si je suis une masse; que je suis à la ramasse; qu'on me ramasse à la petite cuillère sans y aller par le dos de la cuillère, si je suis à la masse; comme une masse à La Mas; et que j'amasse le Hamas; où pour fêter une bonne fin damnée, je trinquerai de ma santé le 31 décembre prochain; avec en lune de fiel, Les Saintes abeilles; qui feront bourdonner mes oreilles; si bien que mes oreilles siffleront plus celles; qui ne m'aiment comme Carole, une collègue à L'ESAT; qui me hait, ce qui fait que je taille les haies; pendant que les autres roucoulent; en ramassant leurs feuilles mortes dans un pré vert; en cultivant bien leur jardin secret; pour écrire chaque saison; qui n'ira au bout des quatre saisons, pliées en quatre pour un couvre-feu, dont le feu couve avec des bribes d'étincelles, dont un rien pourrait rallumer les braises; et enflammer la maison; si jamais il y a le feu qui ravive à la maison en jouant avec le feu ! Où La France perd la tête; et a la mémoire courte; si bien que moi et le professeur décapités; on en perd la raison; avec pour coup de folie; qu'il faut raison garder ! Pourvu que la raison l'emporte; avec la tête et avec le cœur, comme le connaît par cœur Michel Drucker; car pince mon cœur ! En en pinçant pour la maladie du crabe; avec pour cancer de louanges; un coup de folie; si jamais, La France dans un casse-tête; perd la tête !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça ferait si on me retrouvait décapité si jamais j'avais un coup de folie ?
- C'est que j'aurais perdu la tête !
Jérôme de Mars
Délires pour lire des lyres, des lires !
Monet pour l m o du ca
i né p
r a i
e l t a
i n e Némo
Pour
ren
dre
e et a du
n lyre v ec co ur ou r
lyre po v i r
Gran
d les y
e u ou r les u x pour lire
x et v r i y e
l
Le l Hu p r e des i
i v r e de Victor g o délires o i ly s r
u l r e e
r e d s
s , !
D'Italiques.
Jérôme de Mars
Quand le jour est dans l'ombre, vivement que la nuit soit dans la lumière !
Lumières dans la ville auprès des gens lumière,
Quand le jour est dans l'ombre,
Vivement que la nuit soit dans la lumière !
Avec pour réverbère;
Une lumière à l'ombre sombre
Dans le plus grand nombre;
Qui égrène les frères Lumière
A des années-lumière !
Quand le jour est dans l'ombre,
Et qu'il sombre dans la pénombre,
Alors que pour rester loin des décombres;
Vivement que la nuit soit dans la lumière !
Pour que le soleil mette la pénombre
A l'ombre sombre en dormant à l'ombre,
Pourvu que les frères lumière
Soient à des années-lumière
De l'ombre sombre !
En désirant à tout prix que la lumière
Abrite les gens lumière !
Quand le jour est dans l'ombre;
En espérant que la chaumière
Rallume en clair la chaudière,
Pour diffuser de la lumière
Dans la lumière,
Pour le plus grand nombre
En émettant de la chaleur humaine; qui sombre
L'ombre dans la lumière;
Pour avoir du clair
A la fois clair-obscur dans la lumière;
Où le jour où les gens lumière
Sommeilleront parmi Jean Lumière;
Il restera l'ombre sombre
A l'ombre de la lumière,
Où pour le plus grand nombre;
Ce sera la lumière
Dans la pénombre,
Quand en clair,
Le jour perdurera dans l'ombre !
Où en un et clair,
Vivement que la nuit demeure
Sous les projecteurs !
De la lumière tamisée;
De la lumière à l'ombre sombre
Et de l'ombre sombre à la lumière;
Des Jean lumière
A des années-lumière;
Des frères lumières
Parmi les gens lumière,
Où pour sortir de l'ombre sombre
Assortir dans la lumière claire;
Vivement que la nuit soit dans la lumière,
Quand le jour est dans l'ombre !
Jérôme de Mars
Comme une cocotte-minute
A la minute même
Même toutes les cinq minutes,
Tel comme une cocotte-minute;
Ca bout du fond de mes problèmes !
Que j'en arrive tous azimuts
A devenir fou;
Sans garde-fou,
Où la colère m'envahit
Et où je décolle l'ère !
En tombant dans l'oubli,
D'où le déni qui resurgit en vers
De poèmes qui rime avec ce slam;
Comme une cocotte-minute,
Où j'en fais un drame,
Si bien que je clame
Mon état borderline; d'où à la minute;
Je percute et je répercute;
Parce-qu'on me persécute,
D'où le danger toujours dans la lutte:
Avec tous ces gens qui me butent
Et que je rebute;
Comme une cocotte-minute;
Dont ça bout dans le seul but !
Que débutent des buts
Avec je l'espère,
Comme vue sur la mer;
De la sérénité pour être au clair;
En ayant pour clerc;
Une solution logée à la même
Enseigne; pour résoudre cette chrysanthème
De problèmes de notaires; en y voyant clerc;
En clair; avec pour unique but;
Que je nique et que je bute;
Tout ce qui me rebute,
Car à la minute même,
Même ma mère idem;
Elle m'aime;
En requiem,
Post-mortem,
Tellement qu'elle me persécute;
Que je percute et je répercute
Comme une cocotte-minute.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi le professeur d'histoire-géo a-t-il été décapité à Conflans-Sainte-Honorine ? - Parce-qu'il en saignait les caricatures de Mahomet
Jérôme de Mars
La vie en couleurs
Le soleil voit rouge,
Quand il rit jaune
En se mettant au vert,
Si bien qu'il voit la vie en rose
Malgré les bleus à l'âme;
Tellement que son crayon bariolé
A colorié des marrons à manger;
A force qu'on lui envoie des marrons,
Qu'il a préféré bronzer avec des ultra-violet;
Sa couleur mauve avec de la guimauve,
Comme lorsqu'il écrit noir sur blanc
Avec un gris-gris;
Son abonnement à l'orange pressée;
Telle pour voir la vie en couleurs.
Jérôme de Mars
Maux de passe
Impasse, je passe
Un passe que j'outrepasse;
Et que je repasse,
Comme je suis dans une impasse;
Qui me dépasse,
Où il me faut un passe,
Pour que je surpasse
Ce qui se passe;
Avec pour passe-passe
Le mot de passe,
Pour trouver le bon moment
D'avoir un passe-temps,
Afin de passer du bon temps;
Malgré que de temps en temps;
J'ai le maux de passe;
Qui me trépasse;
Et me casse
Le moral dans un bruit de glace;
Qui me fracasse;
Et me tracasse
Jusque dans ma carcasse,
Où je concasse
Si je n'ai plus de blé qu'on casse
Dans un casse de banque;
Si sale ta banque, saltimbanque;
J'ai le maux de passe;
Qui me trépasse
En me laissant de glace;
Devant mon armoire à glace;
Déviant une armoire à glace,
Où pour ne plus jeter l'argent
Par les fenêtres, autant
Que j'appelle Carglass;
Car glace;
Avec pour essuie-glace;
Le bon mot de passe;
Qui passe un passe;
Pour que je passe,
Je repasse;
Et je surpasse
De l'impasse à l'un passe;
Avec pour passe-passe;
Le fait que j'outrepasse
Et je dépasse
Ce mot de passe,
Pourvu que ne me trépasse
Le maux de passe.
Jérôme de Mars
La concordance détend !
Là qu'on cor danse des temps;
C'est la concordance détend !
Avec l'étang moderne;
Qui les tend les temps modernes !
Avec pour éléments l'instant subalterne,
Dès que l'un par fait conjugue son avenir !
En passant d'un passé simple
Autrefois dépassé composé;
A un présent ayant pour indicatif
A venir; pour le conjuguer d'un futur
Antérieur en un futur simple;
Avec un présent, un parfait,
Quand la concordance détend !
Là con cor danse des temps
Modernes à l'étang terne;
En ayant pour impératif présent;
Tout ce désordre oppressant
En un haut présent,
D'où les temps subalternes,
Pour rallumer la rouge lanterne
Et que le soleil brille dans la taverne
De la poterne dépeuplée des peupliers;
Avec pour calumet de la paix des oliviers;
Qui augurent d'un passé simple dont le futur
Antérieur; composera avec le présent simple;
Un impératif plus que parfait ;
Ayant pour présent très présent un futur
Au présent un parfait,
Dont là qu'on corse danse des temps;
Détend la concordance détend, des temps !
Jérôme de Mars
Melting-potes
Melting-potes;
C'est le moment
D'avoir des mélanges,
Pour qu'on s'arrange
Et que tout le monde dépote
Dans un environnement ambiant;
Plus grand et tous ensemble,
Car qui se ressemble s'assemble !
Dans un monde ouvert
Varié et divers;
Avec un melting-potes,
Pour trinquer ensemble
De ce qui nous semble
Et nous assemble
Sans qu'on tremble,
Pourvu que ça ne capote !
Et que tout se déroule bien
Dans la fraternité !
Avec dans la bande de copains;
Un couplet qui signifie affinités;
Si jamais elles pouvaient s'accoupler
Dans un melting-potes,
Afin que le morceau dépote
Sur de beaux arrangements pacifiques;
Avec pour alchimie des relations au beau fixe
Sans rixe,
Mais dont on fixe une plénitude acoustique
Dans un melting-potes,
Pourvu que ça ne capote !
Mais qu'on papote
A refaire ce monde corrompu d'ailleurs;
Et dont si on y contribue à le rendre meilleur;
Même que ce n'est une goutte d'eau dans l'océan,
Alors que si on se résume à ça !
Ca foutrait un sacré boucan !
Vu l'état des dégâts
Dans cette vie par procuration;
Et dont on cherche dans la succession;
S'il y a quelques partages
A restaurer aux dépens des sacrifiés;
De ceux qui sont morts depuis longtemps;
Reposant dans leurs sarcophages chronophages;
Et si jamais ça dépote !
Avec plus aucun malentendu
Du au fruit défendu;
Et ben ! On dira que ça bécote !
Et que ça fricote !
Dans une bande très unie
De copains; ainsi pour la vie !
Autour d'un melting-potes.
Jérôme de Mars
Blague :
Que fait une femme à son mari surexcité pour le faire patienter en attendant de lui faire l'amour ?
- Elle la tend bien !
Jérôme de Mars
Faites un geste sans-barrière à L'ESAT !
Réunion de crise à l'atelier conditionnement de L'ESAT LA FABRIQUE à Vitry Sur Seine car même que tout le monde respecte les gestes-barrière, les agents autant que les moniteurs voudraient bien que la directrice Madame Manoiline-Proïa fasse un geste sans barrière pour plus de social au cas où le masque tombe !
Eric, le moniteur : - " Ecoutez les loulous ! Il faut qu'on se réunisse dans l'atelier car l'heure est grave ! ll y a une réunion de crise au sein de l'atelier conditionnement ! Certes, c'est là qu'on dit condi ! Que vous respectez les gestes barrière; mais le hic c'est que le masque tombe et que vous n'en pouvez plus de la politique de L'ESAT à cause de Madame Manoiline-Proïa, je vous propose que vous lui disiez en face; que vous aimeriez qu'elle vous fasse un geste sans barrière pour que vous témoigniez que la directrice vous oppresse et que cet ESAT vous stresse à cause de sa politique libérale; que vous aimeriez qu'elle mène une autre politique avec plus de social !
Même que je n'y crois guère qu'elle changera de fusil d'épaule; en vous faisant un geste sans barrière avec plus de social, car pour Madame Manoiline-Proïa, la seule chose qui compte, c'est de mettre du beurre dans les épinards avant la fin des haricots avec du dur labeur ! Mais qui ne tente rien n'a rien ! Ca y est; Madame Manoiline-Proïa arrive dans l'atelier, qui parmi vous veut prendre la parole en premier pour exprimer ses doléances ? "
Jérôme, un agent, un con pris :
- " Bonjour Madame la directrice, avec tout le respect que je vous dois d'honneur; ne pourriez-vous pas infléchir votre politique ? vu le contexte de Coronavirus et vu qu'au sein de L'ESAT et en particulier au conditionnement, le masque tombe même qu'on respecte les geste barrière; ne pourriez-pas au moins adoucir un peu votre politique libérale très mâle à droite pour l'assouplir vu la période anxiogène que nous vivons, où tout est en crise; pour que la distanciation physique d'un mètre entre toutes les personnes à L'ESAT; soit compensée par moins de distances d'un maître point de bévue social, afin que vous fassiez pour nous un geste sans barrière point de vue social !
Même que je n'y crois quasiment pas à votre changement de politique, car vous êtres dure comme du béton, et que vous n'en avez que faire en repassant sur nous; Même que je sais comment vous êtes; Ne pourriez pas pour une foi au moins faire preuve d'un peu d'humanité si vous avez encore une conscience et un semblant de morale ! Pour qu'en dernier recours de notre désespoir, vous joignez au moins le geste à la parole ! Car comme le masque tombe ! Bas les masques ! "
Madame Manoiline-Proïa, la directrice de L'ESAT :
- " Monsieur Bedrossian, je vous trouve culotté de par votre attitude désinvolte, impétueuse et intempestive, je pense que vous ne parlez que pour vous, vous qui êtes un tire-au-flanc et qui ne foutez rien à L'ESAT, à part vous promener, et être toujours en arrêt-maladie, vous êtes un malade imaginaire; c'est sans doute pour ça, que tout le monde vous envoie promener; et sachez pour votre gouverne; que je ne changerai pas d'un iota de cap à L'ESAT; et au sujet, de quoi; vous êtes Cap dans la vie ? A part être dans le Cap de mauvaise espérance ! "
Charlotte, une ex agent qui bat en retraite depuis qu'elle est partie à la retraite :
- " Madame La dirello, je ne vous permets pas de parler comme ça de Jérôme; C'est sûr que vous le critiquez, la preuve que vous le connaissez mâle ! Tout le monde lui manque de reconnaissances et le critique ! Mais en fait, c'est une totale déconnaissance, il vaut beaucoup mieux que ce que vous croyez, il n'est pas si méchant que ça; il rend service à tout le monde, la preuve, il m'a aidé plusieurs fois, mais ça, personne ne le sait et tout le monde fait semblant de ne pas le savoir, on le critique et on lui manque de reconnaissance, et vous madame la dirello, que faites-vous pour aider les agents en difficulté dans votre ESAT, rien, vous n'en avez rien à foutre, car pour vous, vous n'avez qu'une parole à faire respecter, parler en argent content ! Vous ne voyez que par ça ! Et si ça plaît pas ce que je vous dis !
Je m'en fous tant pis pour vous ! C'est le même tarif après tout ce que vous faites payer aux agents de par votre politique néfaste et dangereuse, et tout ce que vous m'avez fait payer ! car quand je suis partie de L'ESAT, vous n'avez pas voulu que je dise au revoir aux agents et vous m'avez fait lourdement payer ma franchise et mon franc-parler, madame La Dirello ! "
Madame Manoiline-Proïa, la directrice :
- " Mais dis donc Charlotte sur quel ton vous me parlez, et de quoi vous mêlez-vous, vous êtes partie à la retraite et vous ne faites plus partie de nos effectifs ! "
Charlotte, une ex-agent qui bat en retraite depuis qu'elle est partie à la retraite :
- " Effectivement, ce que vous me dites, ça ne me fait ni chaud ni froid, et sachez que comme je viens du Nord, vous ne me ferez pas perdre le Nord ! Vous êtes froide, méchante, mesquine et méprisante, et vous êtes d'un cynisme avec effroi; et si je m'en mêle aussi, c'est parce-qu'à cause de vous, je suis partie sans avoir avoir fait correctement les papiers de ma retraite; et que par le biais de Laëtitia Bergua, on ne m'a pas laissé faire les papiers de ma retraite avec l'assistante sociale, et je vous en veux beaucoup envers toute votre clique, car malgré mon déclic, j'attends depuis plusieurs mois pour toucher ma retraite et dont, c'est pour ça que je bats en retraite depuis plusieurs mois que je suis partie à la retraite, et vous voyez pour terminer, si vous ne voulez pas que de futurs agents qui partent de L'ESAT; battent en retraite contre vous etc; etc; etc...
Je vous conseille pour votre légitime défiance; de prendre un avocat pour manger à vos cas sociaux, car un jour ou l'autre, vous aurez à rendre des comptes en argent contant à ceux à qui vous causez du tort ! "
Madame Manoiline-Proïa, la directrice :
- " Petite malotrue, vous croyez que vous m'impressionnez ! Et si au bout du compte... ! "
Et soudainement, Charlotte l'interrompt pour lui lancer comme pique !
Charlotte, une ex-agent qui bat en retraite depuis qu'elle est partie à la retraite :
- " Et si au bout du compte, vous la fermiez ! Arrivée au bout du compte en argent content ! "
Jérôme de Mars
Géants vers
Néandertal comme l'homme
De Cromagnon;
Il y avait du temps de Lucy
Des vieux fossiles;
Qui mangeaient des géants vers
Avec du maïs;
Et quelqu'un de Kemmaïs;
Qui inventa mais révolutionna
A coups d'alpha oméga;
Le café du commerce,
D'où il exerce
Une quelconque pression;
Avec pour mise en bière
D'irrévérencieuses sommes;
Qui assomment les géants vers
A coups de maïs;
Réprimandés et démangés
Par Kemmaïs;
Avec pour effet d'optique;
La somme aux problèmes
D'arithmétiques; qui font un clic
En trouvant des solutions
A la clique, dont personne
Ne s'aime
Dans ce monde; qui déraisonne
Et sermonne
Ce monde à l'anglo-saxonne;
Qui klaxonne
Les géants vers
De ce monde à l'envers,
Où il serait temps de rallumer
La lumière,
Pour aérer l'atmosphère
Et manger remarque !
Avec la marque
Géants vers;
De qui reste ouvert
Ou vers de maïs,
Dont ferait bien de s'inspirer
Kemmaïs; qui enlise
Ce qui ne tourne plus rond
Dans ce monde corrompt
Le méchant de l'univers,
Dont il suffit d'avoir des unis vers;
En mangeant des géants vers
Le tout en grand et envers;
Fin de la discussion.
Jérôme de Mars
Fontaine, je ne boirai pas ton eau !
Parmi les gens, jaillit la fontaine !
De Jean de La Fontaine,
Avec cette rengaine,
D'où je m'inspire un peu de Verlaine,
Comme cette Arche de Noël
De poèmes parmi lesquels;
Je clame que je ne ferai pas de vieux os !
Avec toi, Jean de La Fontaine,
Car Fontaine, je ne boirai pas ton eau !
Même qu'il ne faut jamais dire jamais !
Dont sait-on jamais que j'en ferai les frais !
Si je suis plus cigale que fourmi,
Où j'apprendrai à mes dépens
Qu'il vaut mieux être plus fourmi que cigale;
Bien que je fourmille d'idées sous le chant
Des cigales;
Avec la poule aux œufs qui dore,
Si jamais oh jamais ! J'ai une prise de bec
Avec le corbeau et le renard affûté,
Dont j'en ferai un bond furibond en avant;
Avec le lièvre plus rapide que la tortue
Au ras des pâquerettes;
Si jamais je me retrouve à pied de nez
Avec le rat de ville et le rat des chants;
Qui rugissent avec le lion
En me tirant les vers du nez,
Comme le geai paré des plumes;
Qui y laisse des plumes
Avec le petit poisson et le pêcheur;
A part pêché d'orgueil
La montagne; qui accouche
De l'avare qui a perdu son trésor;
Qui maintenant, doit composer
Avec la jeune veuve;
Qui a pour amis,
Le chat et la belette qui posent des lapins
A la chauve-souris;
En déployant mille et une facettes,
Car lorsque le chat part !
Les souris dansent
A redondance !
En regardant cadence trois,
Où après que la poule aux œufs dore
Le soleil brûlant de fièvre,
J'ai la fièvre dans le sans des métaphores,
Avec du phosphore et du chlore;
Pour clore
Ces poèmes de La Fontaine,
Dont si jamais c'est Byzance !
Je capitulerai en buvant l'eau de la Fontaine,
Car je le martèle en tête;
Fontaine, je ferai de vieux os avec toi !
Telle l'épitaphe d'un paresseux !
Si jamais jaillit la Fontaine !
Dans laquelle; Fontaine !
Je boirai ton eau avec les gens !
Jérôme de Mars
Vous êtes cernés avec vos yeux cernés !
Rendez-vous aux cernes !
De vos yeux qui vous concernent !
Parce-que vous êtes cernés !
Avec vos yeux cernés !
Dont vous êtes concernés !
Qu'on a bien cerné
Les cernes de vos yeux concernés,
Dont on vous décerne des cernes
De ce qui vous concerne !
Dont la vie; vous astigmate
Avec ses épreuves qui vous cernent;
Les cernes de vos yeux qui concernent
Ce dont vous endurez avec vos stigmates,
Où rendez-vous à l'évidence, vous êtes cernés !
Comme on vous a bien cernés avec vos cernes;
Qui concernent des cernes dont on vous décerne
Le prochain rendez-vous; d'où vous êtes cernés !
Avec vos yeux cernés, dont on a bien cerné
Pourquoi vous avez des cernes;
Et que vous êtes concernés
Parmi les cons cernés,
Dont on vous décerne
Des cernes;
De ce qui vous concerne;
Subalterne de votre visage terne
Avec une rouge lanterne,
De la sorte qu'on vous décerne
Des cernes;
De ce qui vous concerne
En y voyant de vos deux yeux bien cernés,
Car rendez-vous au poste des subalternes !
Dont concernés,
On a bien cerné;
Et on vous a bien cerné
De ce qui vous est concerné;
Car maintenant ou jamais !
Rendez-vous ! Vous êtes cernés !
Avec vos yeux cernés !
Jérôme de Mars
Soyez brèves !
1) Décidément, Charlie Hebdo doit avoir un sacré coup de crayon pour avoir bonne mine, en allant au charbon tous les jours !
2) Si jamais dans les semaines qui suivent, on est reconfinés ! Serait-ce le prix de la liberté ? !
3) Un bénévole qu'on appelle pour éteindre un incendie et qui grille cigarettes sur cigarettes, fume comme un pompier !
4) Lorsqu'on aura trouvé le fameux vaccin contre le Coronavirus, ceux qui se droguent pourront se piquer avec la seringue du vaccin !
5) Depuis X temps, Les Français divisés se multiplient !
6) Les gens qui ne nous calculent, on ne peut compter sur eux !
7) Edith piaffe d'impatience pendant que nous Les Français, on déchante !
8) Pour qu'on efface ce qu'a publié Charlie Hebdo sur les caricatures de Mahomet, il faudra à nouveau que Charlie Hebdo mette la gomme !
9) Guillaume qui joue pour sa pomme avec plusieurs cordes à son arc cible l'amour, car Guillaume tel !
10) Ma vie sera un long fleuve tranquille le jour, où je mourrai sur Seine !
11) Je suis prêt à payer des impôts pourvu qu'on me fasse l'économie de mon argent en m'épargnant !
12) Pour savoir si je peux manger un dimanche midi chez Guillaume et ses parents, je demanderai à sa mère : " Odile-moi quand je pourrais manger chez vous un dimanche midi ! "
13) Une poule pour pondre des nouvelles portées de plusieurs poussins avec différents coqs, ne doit pas mettre ses œufs dans le même panier !
14) Claude Monet, s'il avait voulu voler l'œuvre de Pablo Picasso et de Vincent Van Gogh aurait du jouer sur tous les tableaux !
Jérôme de Mars
Les paroles s'envolent, les écrits restent !
Machine à envoyer des notes;
Rebelote, il pleut de la camelote !
Avec ou sans bémol;
Des paroles volatiles
Et des écrits fragiles,
Parce-que ou quoique
Heureusement que sur un piano;
Qu'en faisant la queue à la queuleuleu;
Ceux qui s'égarent
Peuvent prendre leur part
A faire attention comme des rossignols,
Si bien que les paroles s'envolent,
Les écrits restent !
Noirs sur blancs;
Comme l'effet domino
Que tout peut basculer
Au moindre mouvement,
Avec pour coup de Trafalgar;
Ceux qui se consolent avec des nénuphars;
Et les autres qui sur le Détroit très étroit de Gibraltar;
Jettent dans les marées
Leurs menaces de remords;
Dans un simulacre en ouvrant la boîte de Pandore;
Et dont il ne faut que les gens dorment sur leurs lauriers;
Presque à en abandonner leurs oreillers;
De bon matin aux aurores
Dans le folklore,
Où il faut lâcher du leste !
Si bien que les paroles s'envolent,
Les écrits restent !
Avant les veillées funestes;
Qui attendent au bout du chemin
Le commun des mortels avec pour parchemin;
Qu'il faut garder la main
Et rester humble et maître de son destin !
Pour ne pas que la mort
Fasse de nous son festin,
Dont certes, un dépôt de plainte
Découvre le pot aux roses des empreintes;
De qui est l'imposteur de La France dépeinte
En des diffamations défuntes,
Dont les paroles s'envolent,
Les écrits restent !
Entre exultations et regrets, dont la parabole
Capte au plus profond
Des êtres moribonds;
Accaparés par des idées indigestes
Qu'il faut en prendre son reste,
Dont pour le reste,
Qu'on soit un drôle d'oiseau !
Tel un corbeau avec un corps beau;
Ou un oiseau migrateur;
Qui voyage pour ramener
Sur le paquebot, le pack beau
Des êtres merveilleux et enchanteurs;
Qui prouvent et qui éprouvent
Qu'il existe ceux fédérateurs;
Qui approuvent pour le meilleur
Ceux qui veulent changer
Les choses en France;
Avec pour convergences
Que les paroles s'envolent,
Les écrits restent !
Pour que le malheur
Soit nulle part ailleurs;
Et qu'il n'y ait rien qu'en France,
Une deuxième chance,
Pour un monde meilleur
Avec du bonheur;
A pas d'heures !
Ayant pour labeurs;
Ceux qui réprouvent
Les laideurs
De ce monde au je de cette erreur;
Remplie d'horreurs,
Mais dont pour qu'il soit distributeur
D'un grand élan de bienveillance;
Il faudrait une immense affluence !
Avec pour opulence
De la ferveur
Et de la candeur;
Dans lesquelles les paroles s'envolent,
Les écrits restent !
Et dont l'élément moteur
Serait la repentance
Et la résurgence,
Si bien qu'il y a urgence
De rétablir la fraternité
Et la convivialité !
Autour d'un maître mot
Que face aux maux;
Il nous reste pour le reste !
Que la solidarité
Face au fléau
Du chaos,
Et dont il faut lâcher du leste !
Pour conjurer l'adversité,
De sorte que les paroles s'envolent
Avec les rossignols;
Pour l'éternité,
Et qu'ils aient pour voler
Bien haut
En relevant le niveau;
Des écrits qui respectent leurs paroles !
Jérôme de Mars
L'été amer indien
Comme l'été amer indien
Dans la ville;
Ca vrille et ça pétille
Grâce à l'été amérindien;
Tel l'été à mer indien
Que découvrit Christophe Colomb,
Pour que les côlons
Imbibent leur patrie;
Et s'en fassent une alliée amie;
Si nous nous collons, nous décollons,
Nous nous accolons et nous racolons
Avec la terre de Christophe Colomb;
Tel l'été amer indien;
Qui rend la Terre indigo
Et dingo;
Avec un cancer de louanges
Du côlon;
En pénétrant dans la vie d'anges
De Christophe Colomb;
Qui après avoir découvert
L'été amérindien;
A couvert avec pour coups vers
L'été amer indien;
Tel le segment de L'Equateur,
Dont les fragments entretiennent
Les pluies diluviennes;
S'il y en a au Pays de L'Equateur;
Tel l'été amer indien,
Pour que nous nous collons, nous décollons,
Nous nous accolons et nous racolons
Avec pour Côlon Christophe Colomb;
Si le col long guérit; aguerri;
Le cancer du côlon de Colomb,
Dont avec de l'aplomb;
Christophe Colomb fumera le calumet
De la paix;
Avec les amers indiens;
En passant par la mer
Des amérindiens,
Afin que l'été amer indien
Qu'on endure;
S'apaise en dur
De l'été amérindien.
Jérôme de Mars
L'Arche des noyés
Animaux de compagnie,
Dont la longue liste
Forme une bande d'amis;
Telle une bande d'artistes
Avant-gardistes et humanistes;
Qui sentent de naphtaline
Que le monde s'en ira périr d'hémoglobines;
En trépassant de l'arche de Noé
A L'Arche des noyés;
Dès la faucheuse de la grande Arche Eperdue;
Et fourbue comme un cheval moribond;
Qui fait d'un bond en avant un bond
En arrière; et qui n'a pas assez
De ses deux yeux; pour pleurer
Les manques et les carences affectives;
De ceux qui ne purent le consoler;
Face à son agonie émotive
Dans l'inertie de ce monde bourru,
Où L'Arche des noyés;
Qui sombre dans le naufrage à vau l'eau;
Voudrait connaître le mouvement du tempo;
De pourquoi l'eau prend les femmes fontaine
Par le bout de leur peine;
Et sillonne l'arche de Noé
A sa recherche dans ce monde étranger;
D'étrangers à la beauté et à la bonté;
A destination de cette planète imaginée pour en durée,
Alors qu'en fête, elle a tellement enduré
Dans la méchanceté;
Qu'elle a émigré avec les corbeaux
Vers un monde meilleur et ailleurs dans l'eldorado;
Avec tous ses milliers d'animaux;
Qui ont jalonné, jonché et égrené
Vingt mille milieux sous les mers du Nord;
En ne perdant le Nord à tribord
Avec le capitaine Némo;
En capitaine de ces matelots;
A la recherche de L'Arche de Noé
Dénoyée dans L'Arche des noyés,
Dont L'Archipel implore que ce ne soit
La Grande Arche éperdue sans défense;
Du chacun pour soi
De la défiance,
Tandis qu'il suffirait d'une simple repentance
Pour prendre conscience;
Que le monde prend l'eau
Dans le ghetto des animaux
Sauvages; qui mettent bas
Dans un des bas en hissant le mâts
De L'Arche de Noé;
Dénoyée, dans L'Arche des noyés;
Touchée et roucoulée
Dans la routine
D'une démontée d'adrénaline;
Qui a le mal de mer,
Car ainsi pour résoudre ce mystère,
Où se cache et se dissimule ainsi volontaire,
Les libertaires et les contestataires sur La Terre
De nos ancêtres ?
Qui paraissent et apparaissent en apparences
De chiens de faïence
Au vu des sordides circonstances,
Où quand est-ce-qu'on dérivera
Sitôt vers le Port de Plaisance;
Arrivé à bon port de vacances ?
Pour qu'enfin on acquiesce l'essence
Avec pour semence
La régénérescence,
Dont l'accoutumance
Fera prendre un bol d'air aux fenêtres;
Ouvertes vers le monde extérieur
Nulle part ailleurs,
Aussitôt que L'Arche des noyés
Remontera à la surface nettoyée
De L'Arche de Noé.
Jérôme de Mars
Quand un homme a faim, faut-il lui donner le poisson ou vaut-il mieux lui apprendre à pêcher le poisson?
D'après un proverbe Africain,
Dont je ne sais s'il est le parfait Bon Samaritain
Et s'il est bon Chrétien au Sacristain;
Il paraît que le dicton enseigne
Que si on donne le poisson à l'homme,
Il mangera un jour
Et il en saignera,
Alors que si on lui apprend à pêcher le poisson
A l'homme;
En somme,
Ce ne sera ni un péché;
Ni un poison,
Mais l'émancipation
Qui fera que l'homme mangera pour toujours
Et qu'il enseignera
Ce dont on lui enseignera,
Car quand un homme a faim, faut-il lui donner le poisson ?
Ou vaut-il mieux lui apprendre à pêcher le poisson ?
Pour se débrouiller dans le système aidé
Et faire du système D,
De la débrouille
Hé D,
Pour faire sa tambouille malgré sa bouille;
Et la trouille d'avoir à se prendre en charge;
Avec pour recharge toute sa décharge, lorsqu'on prend le large
En marge de la dépendance;
Et qu'on marche vers l'intendance,
Dont le plus important, c'est de ne dépendre de personne,
Car il faut apprendre l'école de la vie pour que ça raisonne
Bien enclin à mener sa barque !
Pourvu qu'on embarque
Tous vers un avenir meilleur qui soit source de plaisir et de richesse humaine,
Dont il faut du courage et de la volonté à finir chaque fin de semaine,
Car ce qu'il faut savoir c'est que les gens ne seront pas toujours là
Pour nous aider,
Alors que pour devenir grands, il faut franchir des pas
De géants dans un gant de velours avec une main de fer,
Car au fond qu'est-ce-qui est mieux
Quand un homme a faim ?
Même que la faim justifie les moyens
De façon téméraire;
Faut-il lui donner le poisson
Pour qu'il mange un jour
Et qu'il en saigne ?
Ou vaut-il mieux lui apprendre à pêcher le poisson
Pour qu'il mange pour toujours
Et qu'il enseigne ?
Ce dont on lui enseigne
Qu'on en saigne à pécher le poison
Et qu'on enseigne à pêcher le poisson,
Retenez donc bien la leçon !
Jérôme de Mars
Buvons à mon ver fêlé !
En trinquant de ma santé;
Depuis le temps que je trinque
A ta santé frêle,
Dès que je me requinque;
Buvons à mon ver fêlé !
En buvant un ver de sang-mêlé;
Pêle-mêle, où je m'emmêle
Les pinceaux, avec les maux
Des vers de mes potos,
Où pour faire la fête
A plusieurs en petit comité;
Buvons à mon ver fêlé !
En mangeant sur les guinguettes
Du Val-de-Marne;
Qui dévale à Nogent sur Marne,
Avec des airs de bal-musette
Au son de l'accordéon;
En fredonnant en joyeux gais-lurons;
Gais aux aguets comme des pinsons;
Des chansons à boire
De nos déboires;
Pinçons-nous !
Et en vers;
Buvons à mon ver fêlé !
En faisant en joue !
Un triomphe en vers les chers Français
Dans la tradition d'un apéro saucisson,
Lorsque nous larguons
Nos vagues à l'âme;
Et que nous buvons à mon ver fêlé !
Entre-mêlés
De poèmes maudits;
Qui tombent dans l'oubli;
Eprouvés par la récupération
De ce que je recycle dans mes poèmes;
Suivant mes failles
Et mes entailles;
Embaumées de chrysanthèmes
A l'approche de la Toussaint,
Car tous-uns, tousse-uns, tout sains !
Dans les drames, dont on en fait un mélodrame
Car mon p'tit Jéjé,
Pour te consoler
Et te réassurer
Dans ce monde de vautours;
Buvons à mon ver fêlé !
Et montre-nous de quoi tu es capable !
Pour servir à table tes fables;
Avec une drôle de manière
De desservir vos tours;
Et dont en restant sobres vers sans filet;
Buvons à mon ultime ver fêlé !
Jérôme de Mars
Le mariage de la carte et du latin
Contrescarpes ;
Mariage de la carpe
Et du lapin;
Avec le coup du lapin;
Il y a de quoi en perdre son latin !
En posant des lapins
Au Quartier Latin !
En n'allant pas de quartier
Au Paradis Latin !
Dans un cinéma de quartier;
Avec Le Golden Gate Quartet;
Très à cheval en jouant au quarté;
Qui joue cartes sur tables
La philosophie de René Descartes,
Dont je pense donc je suis !
Si je suis
Le mariage de la carte et du latin;
En y apprenant son latin
Avec le coût du lapin;
En faisant un bond en avant
Dans un rebond furibond
Et pudibond,
Où à quoi bon
Poser des lapins ?
Si on noie
Le poisson;
En écoutant une chanson,
Dont on boit
L'eau du péché de la carpe;
Qui en perd son latin
Au Paradis Latin;
Pas de quartier !
De quoi en perdre son quartier Latin !
En écoutant le Golden Gate Quartet;
Qui joue très à cheval au quarté,
Car si René Descartes
Joue cartes sur tables
Avec sa philosophie;
C'est qu'il connaît bien la vie !
Entre idéologie et poésie
Et qu'à coup sûr sur la carte,
Je pense donc je suis !
Celui qui pose des lapins,
Et dont je suis celui
Qui en perds son latin;
Malgré le contrecoup du lapin
Pas de quartier Latin !
Au Paradis Latin
Dans le mariage de la carte et du latin.
Jérôme de Mars
Ca ne tourne pas rond !
Coron, qu'on rompt, ça ne tourne pas rond sur La Terre ! Où t'as pas un rond !
où ça ne tourne plus rond ! Au Rond-Point.
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Jérôme de Mars
Coucou ! Les coucous !
Drôle d'oiseau sans garde-fous,
Coucou, les coucous !
Dans un vol au-dessus d'un nid de coucous !
Vous, les jeunes fous
Et chelous !
Dont on s'fout
Avec un vol au déçu déni de coucous !
Coucou, les coucous !
Si on vous secoue;
Et qu'on s'en fout
Au coup par coût;
Même qu'on est relous !
Avec vous, les jeunes loups !
Qu'on loue et qu'on alloue;
En passant un p'tit coucou !
Dans un coucou, les coucous !
Coucou, les loulous !
Avec en vol de drôle d'oiseau un p'tit coucou !
Aux coucous !
En ayant pour garde-fous
Des fous;
Qu'on garde fous
Et chelous,
Car plus on est de fous !
Parmi les p'tits loulous !
Qu'on loue et qu'on alloue;
De nous à vous
Qui se dénoue;
Et se dévoue
Avoue,
Si bien qu'on renoue
Et qu'on s'voue !
A vous, les p'tits loulous !
Espèces de jeunes loups !
Dont à vous, les coucous !
En quittant le nid des coucous
Sans déni de coucous,
Dont tout se dénoue, de nous !
Et se dévoue, à vous !
Avec un p'tit coucou aux p'tits coucous !
Dont en antivol qui secoue
Les fous chelous
Sans garde-fous;
Il suffit de rendre les coups,
Dont on en découd !
Et on en coud en coût !
Coucou ! C'est nous !
Et coucou ! Les coucous !
Jérôme de Mars
Aucun nuage à la raison
Dans les parages d'une mer affranchie sans limites;
Les êtres solitaires vivent reclus en ermites;
Avec pour tempérer les effusions et les fusions;
Aucun nuage à la raison
S'il déplore que le ciel éplore;
Et déclenche le mirador;
Emmuré dans une vie de prison;
Avec aucun nuage à la raison
S'il faut se faire une raison,
Raison gardée à n'importe quelle saison;
A part être logée à la même enseigne
De l'autel; pour prier à ce que l'oraison
Nous imprègne; et qu'une vocation déteigne
Sur nous; pour enjoliver et saliver d'adrénaline;
Avec aucun nuage à la raison
Sinon et si seulement le ciel dessine;
Des oasis de liberté sans mirages
Dans les parages d'une mer dissipée et volage,
Dont pour avoir plus d'avantages que d'inconvénients;
Il faut libérer et délivrer notre inconscient avec pour subconscient;
La modération et le discernement qui sont des éléments d'inhibition;
Pour empêcher la mer d'agresser son intermédiaire la mère impaire;
Par des choses similaires dues à son caractère bipolaire;
Avec pour effet papillons si par miracle il y a des hé fées papillons,
Où il n'y aura plus jamais aucun nuage à la raison.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi n'a-t-on pas arrêté de nous bassiner avec l'opération chirurgicale qu'a subi Michel Drucker pour éviter tout infarctus ?
- Pour qu'on l'apprenne par cœur !
2) Avec quelle genre de femmes, un mariage est-il certain de tomber à l'eau ?
- Avec une femme fontaine
Jérôme de Mars
Ramasse ta feuille morte pour écrire !
Ecrin du bout de ta feuille qui parle une langue morte veut décrire
Un ramassis; qui effeuille un gâteau de mille-feuilles avec pour près-vers;
Un poème à l'image de Jacques Prévert,
Dont ramasse ta feuille morte pour écrire !
Avec tes mots doux-amers;
Tout ce que tu penses de tout et son contraire;
Qui signifie que tu n'as pas assez d'une vie !
Pour cerner tous ses rudiments alors que si
Tu fonctionnes avec des scies, tu scies à en périr;
Un certain poète maudit;
Avec tous ses on-dit;
Quoique parfois, il vaut mieux décrire !
Dans une langue morte tout ce que la langue de bois te fait dire et souffrir,
Dont ramasse ta feuille morte pour écrire !
Ce qui te ferait plaisir;
A condition de bénir
Tous tes complices;
Qui t'aident à rédiger ces mots qui t'embellissent;
Parce-que grâce aux près-vers;
Tu as de quoi aimer Jacques Prévert
De par ces mâtinées d'automne;
Qui te paraissent si souvent monotones,
Dont pour crever l'abcès des malentendus
Autant que tu aies un sonotone !
Pour répondre avec écoute bien entendu aux gens détendus,
Dont il est temps que tu décroches la lucarne des jours nés;
En rentrant au bercail pour passer de bonnes journées durant la clarté
De l'été avant l'automne;
Puisque durant cette période monotone;
Tu parleras toujours une langue morte avec pour décrire;
Des rimes qui te feront sentir, ressentir, consentir
Et pressentir à quel moment tu pourras t'adoucir, t'assouplir et t'assoupir,
Dont ramasse une dernière fois ta feuille morte pour écrire l'avenir...
Jérôme de Mars
Les eaux bleus turquoises
Jargon dans le lagon,
Il y a depuis le balcon;
Une belle vue sur la mer
Avec des poissons bipolaires;
Qui égrènent en laissant une ardoise
Avec une dette à régler dans les eaux bleus turquoises;
Qui laissent songer que la mer est dans son élément;
Surtout que le temps lui file un sacré coup de jeunesse;
Et de renouveau dans le vif du sujet affriolant;
Qui inspire des énergies créatrices dans le vent de l'hardiesse;
Ayant l'audace sournoise et la transparence narquoise
Que le paradis sur Terre existe dans les eaux bleus turquoises;
Dépaysées durant un laps de temps qui se prélasse;
Face au soleil qui tape l'incruste dans un sas
De décompression, à bord de la croisée des rêves;
Qui engendre un détachement et un lâcher-prise sous forme de trêve,
Dont il faut distribuer une galette des rois;
Face aux êtres dépités qui crachent des galettes désarrois,
Alors que malgré la langue de bois qui déboise;
Au final, le principal !
C'est qu'au stade inaugural, la course de fond magistrale;
Laisse augurer et présager qu'il ne faut se méfier de l'eau qui dort;
Qui jonche les métaphores, en mes tas forts;
Avec pour clore tout ce folklore;
Un peur de chlore pour éclore
Les ressources qu'on édulcore;
En revenant aux sources qui coulent de sources courtoises;
Les eaux bleus turquoises.
Jérôme de Mars
Edith piaffe d'impatience...
Telle un vol d'oiseau avec les ailes brisées,
Elle a vécu très vite sa courte vie débridée;
En étant née dans la rue le 19 décembre 1915;
A Paris depuis le temps qu'on connaît le numéro du 115;
Elle qui fut délogée durant sa chaotique carrière
Dans des abris d'infortune;
Avec pour une
Sa triste silhouette d'enfant traumatisée;
Et marquée autant par les succès que les excès,
Où elle fit sonner et résonner souvent les trois cloches
Fugaces et furtives sous le ciel de Paris,
Dont elle considéra l'homme de sa vie;
Marcel Cerdan, comme l'homme à la moto;
Qui lui fit cesser de regarder sa vie dans le rétro,
Et dont après les trémolos et les sanglots
Dans sa voix,
Elle trouva sa voix;
En s'en allant éprise au Trocadéro démarrer
A plein gaz sa relation avec l'homme à la moto;
Sa passion promptement édifiée à-tue-tête,
Où elle mit le turbo,
Tels les amants d'un jour s'aimant;
Comme les amants de Paris;
Et comme des aimants
Dans leur élément;
Dérobant parmi la foule, où le sol qui la dérobe;
Lui déchante dans son existence déchantée;
Padam Padam, Je t'ai dans la peau car Oh ! Mon Dieu !
Avec tous les mots d'amour que j'ai en ta possession;
Je pénètre par la fenêtre,
Comme non, je ne regrette rien !
Quand chanteuse de bal dans la rue, je fus l'interprète;
Genre qu'on connaît la chanson et à quoi ça sert l'amour ?
Même qu'il faut se relever debout,
Rester debout, en refaire et en reprendre un tour,
Comme lorsque Marcel Cerdan se tua en mode avion;
Dans les environs d'un endroit importable et exportable,
Où il faut au préalable rester à table même quand l'amour
Est desservi; elle qui lança une pléiade d'artistes,
En leur mettant le pied à l'étrier;
De Charles Aznavour en bécotant avec Yves Montand,
Remontant Gilbert Bécaud sous des mégots
De cigarettes elle, qui ne mégote pas avec l'amour;
Aussi dit aussitôt fée; soit en mots passants et repassant avec en retour;
Toujours le même retour, comme avec Charles Dumont,
Qui lui composa quelques partitions dans sa vie qui battait
En retraite; et qui en débattit de l'aile à tire-d'aile;
Avec répartition et déperdition, ayant perdu sa partition
De l'accordéoniste, elle qui eut la vie en rose tant que vécut Marcel Cerdan,
En lui dédicaçant à son homme charmant et séduisant, mon légionnaire;
Dans ma vie si désarmée, paumée et si désœuvrée;
Oh mi-lord ! Même que maintenant, je suis pauvre
De ne plus pouvoir enlacer avec étreinte ta si grande richesse humaine,
Comme pendant longtemps, tu fus mon manège à moi;
Me faisant et refaisant des tours, en retours, avec pour détours tous les contours,
Où maintenant, je ne t'ai plus dans la peau !
Parce-que je vis et survis dans un cauchemar, comme dans un mauvais scénario,
Où à cause de toi, mon cœur désormais ne bat la chamade mais
Dans le chaos en un joyeux méli-mélo, putain de bordel, Milord,
Ma maison est dorénavant close; en dépit que Georges Moustaki
Eut une parole, dont après la mort de Marcel Cerdan et malgré
Certains véritables amants que jus, j'eux en plus d'eux pour dernier mari;
Théo Sarapo, lui qui fut vierge mari, dont le curé me fit réciter
Les prières versets; qui avaient déversé, des versets la vierge Marie,
D'où quelques années surannées après la mort de mon chéri Marcel Cerdan,
Consumée, décrépie et étiolée, je me laissai mourir à petit feu
Par les excès et les affres du succès avec alcool, drogues et cigarettes,
D'où je rejoignis mon amant Marcel Cerdan;
Et dont mon dernier mari Théo Sarapo prêt de la vierge Marie,
Ne tarda pas trop à quitter quelques années après cette planète Terre;
Inconsolable de mon absence, d'où il arriva alors près de moi dans l'au-delà;
Après tant de tracas et de dégâts dus au fait que je ne suis plus là,
Comme les vierges effarouchées,
Après avoir grignoté et brûlé ma vie à petits feux effarouchés
Par les deux bouts de la chandelle,
D'où j'éteignis ma dernière cigarette pour partir en fumée;
Le 10 octobre 1963 à Grasses, après avoir fait une ultime grasse matinée;
En mâtinée d'un concert de louanges,
Puisque partie pour un ailleurs meilleur en déroute vers le pays des anges,
Car ça y est où qu'elle est, maintenant Edith piaffe d'impatience...
Jérôme de Mars
Y a prescription !
Intonation,
J'y mets l'un ton nation
Avec en détonation;
Une réquisition
Contre ce monde d'aliénation;
Ayant pour allié nation
La déraison;
Qui frappe ce bas monde,
Où je sonde
La foule si elle a l'oraison
A chaque saison;
Qui défile en injonction
Toute sa préoccupation;
De même qu'au collège privé
Epin, j'ai eu de gros pépins
De santé,
D'où l'oraison de ma colère;
Comme je n'en ai cure,
Mais dont avec sinécure
Depuis le temps que je suis sorti
De la cure;
Et assorti
De la post cure;
Il est temps de prendre soin de moi,
Car maintenant, y a prescription !
Avec pour proscription
Tout ce qui me rappelle l'effroi !
Et les dégâts, bonjour laids des gars !
A ma santé qui reste dans sa prison
Dorée, dont il faut redorer le blason;
Avec un blouson
De dur à cuire;
Ou à reluire,
Car maintenant, y a prescription !
Avec pour proscription
La sécurité asociale,
Mais dont la prescription
Exige une inscription;
Avec du lien social et amical
Assuré, réassuré,
Et rassuré
Par la sécurité sociale,
Mais dont de la post cure;
Je n'en ai cure !
Car il me faut une cure
Avec pour sinécure;
Une température très élevée,
Chaleureuse et humaine
A chaque fin de semaine;
A prendre tout au second degré !
Avec pour température
Le mercure,
Pour prendre soin de moi;
Même qu'il a encore l'effroi,
Car maintenant, y a prescription !
Avec pour injonction;
Le rire médecins
Ayant pour satire le rire de mes desseins,
D'où j'en tire en conclusion;
Que ma prochaine mission
Sera d'avoir à nouveau une rémission
Avec pour émission;
Une permission de sortir
Et de me faire plaisir
Sans perfusions,
Parce-qu'il faut que dorénavant
Je n'en ai cure
Des contusions !
Car maintenant, y a prescription !
Après le fait que j'endure
La post cure,
Et dont il faut que je carbure
Dans la sinécure;
Qui prendra de soin
De moi,
Pour voir si besoin;
Malgré l'effroi et parfois
Le désarroi;
Il y aura bien besoin
D'un clin d'œil après le déclin,
Pour que j'en sois enclin
A ouvrir les yeux;
Que le destin
Ca peut être aussi merveilleux,
Et dont pour rêver mieux;
Il faudra que je prenne soin de moi !
Avec pour franchir des grands pas;
Quelques éclats
Qui feront que je reviendrai tout béat
En signant un contrat;
Qui me donnera pour injonction
De prendre soin de moi
Et dont dorénavant,
De l'effroi, j'en aurai cure !
Avec pour sinécure
Une cure
De joie,
Dont la mère cure
Me donnera
Comme résultat;
Qu'il faut prendre la température
Au second degré,
Pour que ma nature
Se reconfigure
Sans regrets;
Avec pour proscription
La confusion,
Et dont il faudra en réclamation;
Obtenir une inscription
De bonnes actions,
Car ce qui comptent ce ne sont pas
Les paroles mais les actes !
En signant un pacte avec pour impact;
Que maintenant
Et dorénavant
En injonction !
Y aura vraiment prescription !
Jérôme de Mars
Tomber de l'arbre quand on remonte aux racines
Dévaler dans le Val-De-Marne,
Alors que la vie n'est un long fleuve
Tranquille; tel un fantôme
Dans la ville suffit que La Seine nous abreuve;
A en découler et à prier les psaumes,
Si bien que par grâce; nos hémoglobines
Retournent à leur source pour la prendre dans La Marne;
Qui incarne cependant le bien-naître de nos origines;
De pourquoi on est sur Terre tandis que tomber de l'arbre,
Quand on remonte aux racines;
C'est prendre le risque sciemment;
De fonctionner avec des scies
Qui si la branche
Sur laquelle on naît avec en père de manche;
Le risque de perdre la manche,
Comme un certain dimanche
Avec un mal de mère,
Malgré qu'on envoie une bouteille à la mère sur Terre;
Ou sciant, si en se coupant l'arbre sous le pied ci près du tronc;
En s'en foutant du qu'en-dira-t-on !
De pourquoi on jubile, on tergiverse ou on hallucine,
Tandis que de tomber de l'arbre, quand on remonte aux racines;
C'est comprendre pourquoi on a courbé l'échine,
Comme des machines à remonter le temps, les temps ou l'étang,
Si bien que tout tomba à l'eau du fruit défendu jusqu'au néant !
Alors que si on écime l'arbre,
On décime le passé pour se reconstruire en étant de marbre
En de bien meilleurs horizons
Avec sur le balcon,
Une belle vue sur la mer
Sous de favorables auspices,
Avec des hospices
Pour déloger outrepassé l'oppressant;
En le conjuguant au passé
Et en hébergeant urgemment
Le présent sous de propices auspices;
Qui augurent de solides édifices
Pour taire avant
Les sacrifices;
Et rester à Terre
Malgré les cicatrices;
Donc maintenant ou jamais !
Si on retombe de l'arbre,
Autant remonter aux origines
De Jean Racine.
Jérôme de Mars
Le tourbillon des étoiles éphémères
Dès le brassage du sillon sur le Détroit de la mer efféminée,
Le tourbillon des étoiles éphémères;
A de quoi ramener rationnel les éléments raffinés
Des lettres incendiaires qui envoient une bouteille à la mer;
Malgré que les nuances de la détresse amadouent superficiels;
Les reflets artificiels de la mer qui se regarde dans la glace avec du rimmel;
En entrevoyant le bout du tunnel,
Dont le fard phare
Renvoie l'effet miroir;
Qui embobine avec des rêves en-trompe-œil
Le tourbillon des étoiles éphémères;
Qu'il jette sur des lits d'algues en glissant une feuille
Dans une bouteille à la mer qui pressent visionnaire;
Le sillon qui prend de la bouteille au sillage,
Avec pour énergie de vieux fossiles le parfait outillage
Que la vie ne se regarde qu'une fois sans œillères;
Et ne se retourne en arrière sans s'appesantir mensongère et passagère;
Que le tourbillon des étoiles éphémères
Se range dans une étagère;
En trahissant la poésie légendaire
De ce qu'est le succès extraordinaire;
De l'œuvre au hors-d'œuvre
En avalant des couleuvres;
Le jour de l'arrivée printanière dans la tanière;
Avec la lumière allumée qui console les peines charnières;
Qui ouvre la conscience de Charles Baudelaire
A Guillaume Apollinaire que c'est avec un inventaire;
Que la mer lyrique lit les caprices contraires
Du temps qui dépasse la durée qui naît linéaire,
Dès le tourbillon des étoiles éphémères.
Jérôme de Mars
Doit-on payer pour que la méchanceté ne soit plus gratuite ?
Paiement en nature
D'espèces menacées;
De pièces détachées,
Il faut avec parcimonie
Modérer ses économies;
Et faire la moindre économie
De ce qui ne fâche la famille;
Et les amis pour sauvegarder,
Garder et préserver
Une saine harmonie;
Autour de la confrérie;
Puisqu'il faut ne plus voir en peinture
La méchanceté gratuite,
Car même si parfois, elle est
Fortuite et inopinée;
Doit-on payer pour que la méchanceté
Ne soit plus gratuite ?
Pour la remplacer par de l'eau bénite,
Afin de rabibocher les gentils;
Les faire réfléchir
Et fléchir
Avec les gens-t-il s'ils sont bien dociles;
Et s'il faut faire payer aux gens méchants
Une franchise sociale
Et médicale,
Pour soigner leurs penchants fatals
Et les rendre avec un moindre mal;
Des personnes loyales
Et originales;
En sachant que le ciel monacal
Préfère toujours l'original
A la copie, qui épie;
Les défauts et la philanthropie
Des artistes avant-gardistes; à la fois altruistes,
Egoïstes et tristes;
Avec pour longue liste
Ce qu'il faudrait retenir réaliste;
Et sûr réaliste, surréaliste,
Pour changer ce monde d'opportunistes;
Et l'adapter dans une histoire d'aujourd'hui;
Hédoniste et paisible,
Où tout serait possible et extensible;
Sans que personne pète les fusibles,
Et où en pacifistes,
Tout le monde voguerait sur une eau comestible;
Avec pour âme impressionniste,
Un monde ravalé, relifté et relooké
A neuf;
Avec une teufe,
Pour fêter une société métamorphosée;
Sans aucune méchanceté gratuite,
Mais qu'on ferait payer à coût d'eau bénite,
De sorte que les mécréants
Récoltent la monnaie de leur pièce;
Si les espèces
Sont menacées;
Et en pièces détachées,
Avec au bout des champs,
Un ramassage
Et un brassage;
De gentillesse
Et de jovialité;
Teintées, mêlées,
Et agrémentées
A de la tendresse
Et à de la liesse; dans la prouesse
D'une France qui aura su
Renouer avec ses flirts pêchus;
Avec des conséquences émérites,
Dont le seul mérite
Sera d'avoir pu bénéficier d'une bienveillance gratuite;
Et d'une méchanceté retombée fortuite;
Avec pour course-poursuite,
De la suite
Dans les idées,
Dont on aura eu pour richesse;
Une France décantée dans l'allégresse;
En lâchant une caisse à fond la caisse !
Emplie de billets d'humeur
Et au p'tit bonheur,
Où au final,
Devra-t-on payer le prix fort
Pour que la gentillesse soit gratuite
Et que la méchanceté se paye à coût d'eau bénite ?
Pour faire mûrir les personnes que le malheur décrépite;
Et leur faire une fleur émérite,
Dont le principal mérite
Sera que ceux que ça irrite;
Et bien qu'ils héritent
D'une richesse intérieure,
Pour qu'ils envoient des fleurs
A leur pauvreté hétéroclite
Et cosmopolite;
Dans le but que la méchanceté
Se périclite;
Et que la bonté et la beauté
Se facilitent à la va-vite;
Qui débite
De la monnaie
Sans pièces détachées;
Avec pour espèces protégées
Un compte-rendu,
Dont chacun y trouvera son compte courant;
A contre-courant accourant,
Dès lors qu'on devra payer
A s'endetter à crédit
Et à découvert
De nos travers;
Pris et compris à nos dépens,
Si bien pour qu'on nous accorde du crédit couvert, qu'ouvert;
On devra avec un relevé de carrières;
Chercher des compromis résolus,
Pour payer en mes tas forts, en m'états forts;
Le prix de la méchanceté gratuite,
Pour qu'ainsi fortuite, elle devienne émérite;
Avec pour seul mérite,
De la gentillesse gratuite
Avec de l'eau bénite.
Jérôme de Mars
Frères et sœurs
Confrères et sirs,
V'là les cons frères et consœurs
Avec ma sir,
Et ses frères et sœurs
De masseur;
Frères et sœurs
De ma sœur
Ayant pour confrères et cons sœurs;
Des cons frères et sœurs
Avec pour frères et consœurs,
Des frères et sirs
De ma sœur,
Ayant pour masseur
Des confrères et consœurs;
Avec pour cons frères et cons sœurs
De ma sir,
Frères et sœurs.
Jérôme de Mars
Des plans sur la comète
Voici des petites saynètes;
La tête dans les étoiles
En faisant des plans sur la comète,
Où lorsqu'on atterrit les pieds
Sur Terre, au fin fond de l'univers;
L'été fantastique change soudain
En un rude hiver;
En vivant avec les congénères,
Pourvu que les rideaux de dentelle
Ne jettent un vent d'hiver qui voile;
Avec un brin et un teint de nostalgie
Les secrets de polichinelle,
Pour avoir un droit à l'oubli;
Pourvu qu'on s'y mette
A faire des plans sur la comète !
Où enfin, le monde serait chouette,
Comme les chouettes qui commettent
Des vols à distance d'oiseau,
Pour refaire un bel eldorado
Sur la planète Terre;
Au sein du système solaire
Malgré ses différentes facettes,
Où pour faire et refaire des plans sur la comète;
Le ciel miséricordieux aurait besoin
De volontaires,
Pour connaître depuis belle lurette
Avec un brin d'amourette;
L'égérie qui met le feu en allumant les allumettes
De ces chers hommes; en cherchant leurs fossettes
De ceux; qui ont souffert de fausses aides
De toute leur vie, dont l'unique remède
Miracle serait d'aller à la rencontre d'un intermède;
Qui voudrait renouer avec son bled
Qu'est la voie lactée avec pour pirouette;
Celui ou celle qui réussirait à décrocher le miroir
Aux alouettes, dont le fond de la chimère
Emmènerait vers des longs couloirs;
Avec pour stade ultime un purgatoire;
Qui s'achèverait dans un exutoire
En un voyage surréaliste parmi les planètes;
Ayant pour plan B des plans sur la comète.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-qu'un vol à deux balles à Roland-Garros ?
- Un vol de racket
Jérôme de Mars
A couteaux tirés !
Ambiance tendue en cette France désenchantée, dont je me fais l'interprète, où l'on connaît la chanson à force que j'en écrive les paroles comme plus personne n'a de paroles, et que je cherche quelqu'un pour mettre tout ça en musique, sinon à quoi sers-je ? Car lui seul; peut le faire, pour que j'ai le dernier mot et que la musique adoucisse à nouveau les mœurs, comme hier après l'attaque à Paris près des anciens locaux de Charlie Hebdo, où j'ai envie de dire, on connaît la chanson, on n'a pas besoin que vous nous fassiez encore un dessin, pour connaître votre dessein, où grâce à vous, le journal Charlie Hebdo est devenu sa propre caricature, avec cette France à couteaux tirés, par des voyous en troisièmes couteaux; où plus personne ne s'entend ! Avec une lame dérisoire, car tout est rasoir ! Que les maux m'en tombent dessus; comme un clown triste; où aujourd'hui dans le Parisien, on nous parle que de la rubrique des chiens écrasés avec ceux qui font le trottoir dans un micro-trottoir ! Car bordel ! C'était mieux avant quand les maisons étaient closes ! Car maintenant, la vie est une chienne dévies ! Où avec Le Covid, le virus comme celui des ordis m'agrippe ma grippe, alors qu'il suffit juste d'une piqûre de rappel, vu qu'on est majeurs et bien vaccinés contre le virus des idées reçues et des absurdités, dont on a besoin d'un panse bête, pour prendre soin de la société et des gens, de sorte à la rendre plus intelligente, et plus sensée, pour encenser avec légitimité, davantage de choses vraies en cherchant avec des piques, une aiguille dans une meule de foin, car tout le monde est sur la paille, vu que ce gouvernement deux bras cassés de Macron, un coup avec la jambe et droite, dont ça nous fait une belle jambe en bois et en boîte; va sans doute nous reconfiner avant l'hiver, en compte de fée d'hiver, avec le coronavirus, où tout le monde se prend en grippe, qu'il y ait ou pas la grippe, signe que le temps sont durs avec la laque des mauvais signes, dont en langue des signes, c'est de la langue de bois, pour montrer de quel bois Les Français se chauffent, déjà que tout le monde est en froid avec des coups de chauffe en détours de chauffe, où un peu de rire de satire, fait du bien, comme le rire médecin, qui fait rire mes dessins, avec des vols à satire à outrance, en brouillant et embrouillant les pistes jusqu'au hors-piste, dont à couteaux tirés, je vous dis avec ma profonde désinvolture, ne baissons pas les armes ! Car ça nous désarme ! Mais faisons donc l'affront national de l'apolitique ! Aux urnes citoyens ! Et dont ça nous brûle les mains les brûlures de l'histoire, donc ainsi, votez de vos deux mains en cendres ! Pour passer demain un grand coup de balai dans un remue-ménage, pour qu'on s'en lave les mains dès dix manches à balayer devant notre porte ! D'où je dis aux politiques, sortez au centre droit par la grande porte ! A gauche et à droite, on s'en lave les mains de la politique ! Car nous Les Français de la politique ! Nous en sommes tous à couteaux étirés ! Sauf si sain et sauf; avec l'apolitique et tiret-
Jérôme de Mars
Blague :
Chacun sa merde !
Chacun sa merde !
Mais pourquoi dire ça !
Car on naît déjà, on est déjà
Dans la merde !
Car la vie, c'est comme un paquet
De merde,
On en bouffe un peu chaque jour
En y mettant le paquet sur le parquet;
Où chacun son tour
D'avoir à leur tout une vie de merde,
Dont chacun sa merde !
Mais pourquoi dire ça !
Car on naît déjà, on est déjà
Dans la merde !
Et ben merde !
Avec que des emmerdes !
Et puis merde !
On naît, tous ,on est tous
Dans la même merde !
Même si avec les emmerdes !
Qu'on connaît déjà,
Ca a toujours été chacun sa merde !
Dans un gros tas
De merde !
Et puis merde !
Et ben ! En pleine emmerde !
Et bien ! C'est chacun sa merde !
Jérôme de Mars
Nul ne guérit de son offense !
Enfance perdue
A l'innocence éperdue;
Il y aura bien eu
Malheureusement de l'indécence;
Avec pour circonstances absolues
Sans réussir à acquérir
Des prises de distances;
Avec virulence
Et véhémence;
A force d'en souffrir,
Car nul ne guérit de son offense !
Avec la loi du silence dissolue
A secourir un être faible fichu,
De peur de reproduire le sel dissolu
De celle qui l'a mis plus bas que terre;
Dans la pénitence
A l'ombre de la lumière,
Dont il est temps de faire acte de repentance
En priant pour que ça aille vers la constance;
Comme après l'enfance du tumulte,
Voici venu le passage à l'âge adulte,
Car nul ne guérit de son offense !
Avec une enfance sans défense,
En totale illégitime indécence,
Où il faut protéger l'innocence
A l'âge tendre de l'insouciance;
Non sans rappeler qu'il y a urgence
A rétablir la confiance !
Car nul ne guérit de son offense !
Pour évoluer de préférence
Avec persistance,
Afin de recouvrer l'importance
Comme à la naissance,
Dont est extrait l'acte de résilience;
Et dont il faut prendre connaissance
Et conscience
Qu'il y a urgence;
A réparer l'insignifiance
Et l'indifférence,
Dont malgré la différence;
La clairvoyance en fera une œuvre de consistance
Avec pour essence
De régénérescence;
Quelques chose de l'ordre de l'opulence
Après temps de souffrances,
Car nul ne guérit de son offense !
Comme arrivera au bout du tunnel l'effervescence;
Qui scandera bienvenue
A une vie revenue
De nulle part et résolue;
Même qu'il reste des bribes de détritus
Têtus, bourrus et obtus,
Dont la délivrance
Enverra comme salut
Que c'est reparti en toute puissance
Dévolue car révolue
L'enfance dissolue
Et au loin l'indécence parvenue,
Car nul et non advenu
La part de la providence
Et de l'évidence
Enclines à bâtons rompus
Dont la quintessence
Pourra sans doute en toute abondance
Y semer de la résurgence
Même si nul ne guérit de son offense !
Jérôme de Mars
En dents de si....
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dents et si j n s et s e b r t e
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u i u r e j e n q n r u
a d a d ' d o t s
la dent g a j r s n s
Si j'ai mal e d e i l a pomme e c e i
.
Jérôme de Mars
A-t-on la fibre sociale avec un abonnement à une box internet ?
Free de ton travail, si tu t'abonnes à Free, auras-tu la fibre sociale ?
Sauf si t'es pressé, oppressé et que t'as besoin de relations cordiales !
Et donc il faut que tu t'abonnes à Orange à bon marché;
Pour que tu ne sois plus pressé car ainsi, t'auras la fibre sociale !
Sans perdre le fil conducteur avec ta box, pour que tu n'es
Plus de fil à retordre, car O'range ta fibre sociale !
Sauf si SFR veut que tu t'abonnes et que tu es sais faire;
Alors que si tu t'abonnes à B.Box, tu auras pour ciment;
Une prise directe bien bâtie et logée à la même enseigne,
Tel un abonnement que t'auras rebâti grâce à ton flair,
Où t'auras pour long règne
Le monopole des box internet, en étant logée toujours à la même enseigne,
Mais dont t'auras une fibre démarchée libérale,
Alors que si tu veux ravoir comme avant en avoir la fibre amicale,
Abonne-toi de ce fait à Orange, pour que tu ne sois plus pressé et oppressé !
Car au moins, tu garderas pour fil conducteur; O'RANGE, ta fibre sociale !
Jérôme de Mars
La liberté d'expression
Bonne ou mauvaise impression
En France, on a l'hein pression
Que tout le monde s'oppose;
Religions et rébellions
En mettant la pression;
Que la société suppose
Qu'avec nos différences;
A-t-on encore droit à la liberté d'expression ?
Alors que s'affrontent les défenseurs
De chaque cause;
En employant avec des noms d'ecchymoses
Tous les oppresseurs;
Pour un apparent monde meilleur qu'on nous avait
Tant promis ailleurs et nulle part ailleurs;
Avec plus de douceur et de fraîcheur,
Si bien qu'il dérive dans une morbide noirceur;
Pressée et stressée
Entre un jus d'orange vite avalé;
Et les problèmes d'Orange qui ne font
Que dévaler à provoquer
Des sueurs froides en impression;
Et de si la liberté d'expression
En France donne avec bénédiction
Ou soumission
Une bonne ou une mauvaise impression,
Où en ce moment dans le pays du soleil savant,
En France, a-t-on là encore la pression
Sur tout ou une compression
Avec des problèmes de dépressions,
Des pressions qui surgissent en France ?
Avec pour constat alarmant
Que flambent les affections de longue durée
Dans la plus totale ignorance
De cette fichue loi du silence ?
Où tout le monde ne fait qu'allégeance
Que pour l'argent roi,
Alors qu'en argent comptant,
Il ne fait que des mécontents
Dans le plus impur des désarrois bourgeois,
D'où où va notre monde ?
A part aller nulle part sans doute
Dans la banqueroute;
Des inféconds, des uns faits cons;
Avec pour fond nauséabond
Tout le tréfonds, le très fond;
De ce qui n'est plus bon
Pour La France,
Car furibond
Dans l'indécence,
Où avec insistance;
On voudrait savoir si la liberté d'expression
Fout la pression
En hein pression,
Avec une bonne ou une mauvaise impression,
Qui demanderait comme question;
Qui fait couler beaucoup d'encre de désaffections ?
Et si les caricatures de Charlie Hebdo font
Et défont toutes les relations
En semant la haine ?
Qui gangrène
La société pleine de contusions,
Et si la liberté d'expression
De Charlie Hebdo est-elle un moyen de vérité
Anti Islam ou bien is slam pour rassembler les communautés ?
En défendant la laïcité, l'égalité et la fraternité
Autour d'un soleil et socle commun, la liberté et la solidarité,
Et dont pour terminer ce slam avec saga cité,
On demande avec dextérité et singularité;
La liberté d'expression
Est-elle le moyen de foutre l'hein pression, la pression
Ou pour faire bonne ou mauvaise impression ?
Avec pour pôle position
Des moyens de locomotion;
Qui véhiculent la rébellion
Et l'affront national;
Vice à vice du rassemblement national
En cette France hexagonale ?
Dont pour qu'elle garde son lien social
Et amical;
OTAN en temps de paix,
Fumer le calumet du respect
En toute amitiés
Et avec fidélité !
Pourvu qu'avec obstination,
Détermination, sans dépressions,
Des pressions et compassion,
La France garde la liberté d'expression !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi a-t-on pris au sérieux l'info qui affirme que quelqu'un voulait faire sauter La Tour Eiffel ?
- Parce-que cette info, c'est de la bombe !
Jérôme de Mars
Les creux vissent
Tour de vis;
La coupe des vis, des vices
Est pleine de vices,
Vice
Et versa de novices,
Nos vices; nos vis;
Qui dévissent
L'écrevisse,
Quand les creux vissent
Et sévissent
Sévices, ses vices, ses vis;
Qui rendent services
En serrant la vis,
Avec un vice;
Qui les visse
Le Jean Levi's;
Vice à vice
De l'écrevisse,
Quand les creux vissent.
Jérôme de Mars
Interview au sujet du confinement et du déconfinement :
Interviewé : Jérôme Bedrossian
1) Bonjour, comment as-tu vécu le confinement ?
-
Au début, je l'ai très mal vécu et après, je me suis dit que c'était sans doute un bien pour un mal pour se recentrer sur l'essentiel, reconsidérer les choses
et insuffler un nouvel élan et une dynamique rafraîchie et réfléchie pour un avenir plus en adéquation avec ce que je suis pour faire des choses qui me tiennent davantage à cœur et qui me plaisent, car on a qu'une vie !
- 2) Etais-tu seul(e) pendant le confinement ?
-
Oui, j'étais seul pendant le confinement mais ça m'a permis de mieux me connaître, de puiser dans mes réserves et de me dépasser car même si j'aime voir du monde, j'ai un côté solitaire tout en étant solidaire.
-
3) En es-tu ressorti(e) grandi(e) du confinement ?
-
Comme je le mentionnais précédemment, avec le confinement qu'on vient de vivre, je n'ai plus la même façon de voir les choses, j'ai reconsidéré pas mal de choses desquelles j'ai compris qu'il fallait vivre au jour le jour et profiter du moment présent, nul ne sait de quoi demain sera fait !
-
4) Qu'est-ce-qui t'a été le plus agréable pendant le confinement ?
-
Ce qui m'a été le plus agréable pendant le confinement,
c'est d'acheter mon journal tous les matins et de prendre mon petit café à la boulangerie, ce sont des petits plaisirs du quotidien mais qui en valent le détour car dans la vie, tout est provisoire, rien ne dure et tout à une fin, on n'a pas de grand bonheur mais des petits plaisirs ; et j'ai bien aimé aussi pendant le confinement de voir quelques amis !
-
5) Qu'as-tu trouvé de pénible pendant le confinement ?
-
Les premiers jours du confinement ont été très pénibles,
ça m'a dérouté car c'est la première fois de ma vie que j'ai
vécu ça et également certaines journées qui paraissaient
longues où je comptais les heures.
-
6) Penses-tu que les gens seront plus solidaires à l'issue du confinement ?
-
Pour être sincère, comme dans l'humanité, l'homme est capable du meilleur comme du pire, malheureusement, il y aura encore et tout le temps des gens égoïstes, on ne changera pas le monde comme on dit, mais si chacun apporte sa modeste contribution pour rendre un peu le monde meilleur, même que c'est une goutte d'eau dans l'océan, ce sera toujours ça !
-
7) Quelle leçon penses-tu qu'on devrait en tirer du confinement ?
-
Que l'union fait la force et ne remets pas à demain ce que tu peux faire aujourd'hui et qu'aussi avec un handicap ou pas, on est tous des êtres humains, dans la vie, on n'est à l'abri de rien et que ceux qui jugent les handicapés, ça peut leur arriver à eux aussi un handicap, il suffit d'un coup dur dans la vie pour basculer !
-
8) Le confinement t'a-t-il remis en question ?
-
Oui, que l'homme n'est rien sur Terre, il naît que poussière, c'est la nature, le tout-puissant !
-
9) As-tu trouvé long le confinement ?
-
Oui quand même très long, ça m'a paru une éternité !
10) Penses-tu que le confinement a été dur à vivre pour les personnes en situation de handicap ou pour les personnes ordinaires ?
-
Aussi surprenante que ma réponse va vous paraître, je pense que le confinement a été dur à la fois que ce soit
pour les personnes en situation de handicap et pour les
personnes ordinaires, car pour les personnes ordinaires qui
jusqu'à présent ont été épargnées par le handicap, je pense que vu la crise sanitaire, économique, sociale et politique qui s'annonce, je pense que certaines personnes ordinaires
vont peut-être tomber malades et connaître les difficultés de la vie au quotidien avec un handicap.
-
11) As-tu réussi à retrouver tes repères lors du déconfinement ?
-
Oui plus au moins, car mon repère à moi, c'est l'écriture de
poèmes.
-
12) Avec le déconfinement, vivras-tu comme avant le confinement ?
-
Non, car maintenant je vivrais davantage avec la gravité de la vie et que j'aurai encore plus conscience qu'on est tous de passage sur Terre, et que dans la vie, rien n'est jamais acquis, voilà !
Interview réalisée par Jérôme Bedrossian
Sur combien de vrais amis, peut-on compter dans la vie ?
Aléas de la vie, auxquels on fait face quand certains de nos amis
Ne nous calculent, mais juste pour savoir comme ça;
Sur combien de vrais amis, peut-on compter dans la vie ?
Qui nous calculent, peut-être de vrais amis, deux vrais amis,
Tandis que ce qui est sûr, ce n'est pas la quantité qui compte,
C'est la qualité qu'on calcule pour voir sur qui on peut compter au bout du conte,
Car lorsque tout va bien, tout le monde est là !
Mais quand tout va mal ! Qui sait qui reste pour aider à réparer les dégâts ?
Puisque la vie, c'est à la fois des joies et du désarroi à la foi !
Et que dans la vie,
On a beaucoup de bons copains juste avec qui partager un loisir,
Au plaisir de les voir pour boire ensemble un ver à la vie !
A ses rires et à ses sourires !
Alors qu'un vrai ami, on peut tout lui dire même en y mettant de la satire,
Sans qu'il nous envoie maudire, mais un vrai ami est là
Aussi pour nous dire la vérité ! Quitte à déplaire, même pour médire mes dires,
Mais ce qu'il faut, c'est accorder les violons pour dire les choses avec doigté, vérité Et sincérité sans choquer et entrechoquer le ver de l'amitié;
Qui peut se casser à force de tracasser et fracasser ce lien de réciprocité,
Mais sur ceux où on se rejoint tous ! C'est que pour ne pas se fâcher
Avec les amis,
Et se les mettre à dos en vilains ennemis, c'est qu'il faut faire
Attention à ce que l'on dit
Et à qui on le dit,
Mais dont le mieux, pour que les vrais amis nous calculent,
C'est de bien savoir les vrais amis sur lesquels, on peut compter !
Même quand ils dorment pendant le crépuscule,
Et qu'on les appelle avec des scrupules,
Dont pour compter et escompter les affinités,
Il faut savoir raison garder, sauvegarder et préserver ses amitiés,
En des relations de longue durée,
Comme dans la vie, on n'a pas beaucoup de vrais amis, deux vrais amis !
Et qu'on en a juste deux ou trois de vrais amis sur qui compter et escompter,
Pour raconter sur ceux, les vrais qui nous calculent avec solidarité et humanité,
Car pour savoir l'équation sur quels vrais amis, on peut compter et escompter;
Autant être en adéquation avec ceux qu'on considère comme des frères,
Pour conter ceux qui resteront quelque soient nos travers;
Et ainsi pour répondre à cette question universelle, il faut prier avec Le Missel,
En y mettant son grain de sel sur ce qu'est l'essentiel fraternel
Dans la vie, dont pour garder de l'énergie à en revendre avec harmonie,
Il faut savoir compter et escompter ses vrais amis avec qui il y a de l'alchimie !
Parce-que c'est là qu'on saura qu'on pourra compter
Sur deux vrais amis, de vrais amis dans la vie.
Jérôme de Mars
Comme une lettre à Rimbaud
Par-dessus les chimères
A me bercer de fausses illusions,
Je ricane dans ma détresse de gueux précaire
En de magistrales hallucinations;
Dans mon indélébile mâle lettre à me repasser l'enfer à souvenirs,
Comme une lettre à Rimbaud,
Dont je suis mâle l'être dans ma peau comme en étant dans l'étang de ma peau;
Par lequel, or désormais je frise le ridicule à m'assoupir
Dans ma solitude et ses soupirs;
A en souffrir d'insolence dans l'usufruit de ma propriété d'auteur,
Comme une usurpation d'identité en jouant cartes sur table dans un rôle d'acteur,
Comme une lettre à Rimbaud,
Dont la vie me mène dans un bateau ivre,
Comme un dormeur du Val de Marne duquel je me délivre;
Mâle dans ma peau comme lui dans sa peau;
A demeurer dans le ghetto, le méli-mélo et l'imbroglio
En me faisant des scénarios;
En tant que poète maudit;
Soit des mots dits, quand j'écris une mélodie
Mélancolique à périr au crépuscule de mes souvenirs,
Dont j'en subis le tumulte au fur et à mesure des regrets à en mourir
De sanglots; avec pour seul fou allié mon stylo qui jette toute son encre,
Si bien que quand j'étais petit, je ne savais si j'étais un cancre qu'ancre
Mon mal être qu'on ancre,
Comme une lettre à Rimbaud,
A songer au chaos à-tire-larigot; comme si c'était un mauvais tempo;
Qui allait durer au-delà les nuances de gré depuis les bourrasques devant,
Alors que mes frasques dataient bien d'avant
Sur le perchoir accoudé avec en date butoir, je l'espère, un exutoire,
Tellement que ma part de clown triste, m'a inhumé dans les couloirs
Des remords à m'imaginer mort dès la fin de cet écrit; en hommage
Aux bris de la mère, dont avec modération, j'en fais usage sans étalage,
Car pour terminer cette lettre de mon mâle être, rien de tel que de hurler bravo
Et merci pour ta poésie cher Arthur au fond du ruisseau sur le fil de l'eau,
Comme une lettre à Rimbaud.
Jérôme de Mars
En 2022, je me présenterai avec les vers !
Bientôt en 2022,
V'là presque nous deux !
Où je serai candidat volontaire
Comme en 2022, je me présenterai avec les vers !
Pour redonner une bouffée d'oxygène;
Avec une nouvelle air
Aux Français qu'ils soient immigrés
Ou indigènes;
Ayant choisi l'intégrité
Qu'ils soient étrangers,
Français de sangs mêlés
Ou ces Français de souche,
Ces francs ces qui font mouche;
Avec pour proximité;
La véracité, leur probité
Et leur réciprocité
Au sein du peuple Français;
Avec de la saga cité
Dans la saga de la cité,
Dont avec des mots dits
Et en poète maudit,
En 2022, je me présenterai avec les vers
De l'abstention
Ou de l'attention,
Taire, attention danger en 2022 !
V'là bientôt nous deux !
Où je jetterai l'encre de la colère
Pour rassembler mes confrères;
Autour d'un projet solidaire
Et humanitaire;
Pour réconcilier les frères lumière
Et les congénères à des années-lumière;
Avec pour inventaire sur La Terre;
Un inventaire qui détaillera tout ce qui est nécessaire;
Pour redresser La France sans frontières
Et sans barrières;
En y insufflant un nouvel air populaire
Avec pour œillères;
Moins de gens héréditaires
De la politique;
Mais davantage de marginaux solitaires
De l'apolitique,
Dont je réserverai aux réfractaires;
Une quantité de voix pour qu'ils puissent circuler
En libertaires
Et en révolutionnaires;
Avec en libre circulation
D'extraordinaires rébellions,
Pour que la contagion récupère des gens extraordinaires;
Avec pour meilleur environnement des contestataires,
Pour que la nation stationnaire
Evolue en une aliénation qui dégénère,
Où chacun démontrera sa nature débonnaire;
Avec pour effets secondaires
Une république incendiaire;
Qui passe avec second degré d'un état prospère
A un état; à l'état de guerre populaire;
De l'ère secondaire à l'ère primaire,
Car ce sera élémentaire mon cher
Watson Anglo-saxonne,
Pour que ça sonne mieux
Dans tout ce creux,
Car ce sera là qu'on sonne
D'ici là jusqu'en 2022,
Vl'à bientôt nous deux !
Où je me présenterai avec les vers,
Depuis le temps que je me serais mis O'vers.
Jérôme de Mars
Quand je serai mort, aurai-je des remords ?
Dialogue imaginaire entre Jérôme B et Serge K en formes de confessions sanctuaire sur fond de pensées mortuaires !
Serge K : Comment vas-tu mon cher Jérôme vu que la mer est agitée ?
Jérôme B : Mon cher Serge, pas très bien, j'ai besoin de parler avec toi en te lançant une bouteille à la mère que je n'ai plus et dont je suis bien à mère !
Serge K : Pourquoi dis-tu cela ?
Jérôme B : Serge, je suis un poète maudit où je suis en sursis et où je n'ai plus envie de vivre malgré mes vivres, car je prends pour argent content tout ce que les gens me disent et me prédisent, comme à L'ESAT, où le silence est d'or et la parole est d'argent ! Comme je buvais divins les paroles de ma mère devin, dont forcément, j'ai pris de la bouteille en gros !
Serge K : Que puis-je faire pour toi mon cher Jérôme ?
Jérôme B : Rien Serge, à part partager mes déboires avec toi en vieux acolytes anonymes, comme toi et moi, on a eu beaucoup de drames en commun, à différents niveaux, ce qui fait qu'on se comprend plutôt bien et qu'on a certaines affinités dans la poésie, dont la mienne fait couler beaucoup d'encre en jetant l'encre et toi, Serge, comme tu connais la musique, et bien ! Tu te dis que la musique adoucit tes mœurs ! Une question Serge à te poser, à ton avis, quand je serai mort, aurai-je des remords ?
Serge K : C'est une question très complexe à laquelle tu me demandes de te répondre Jérôme, la seule chose que je puisse te dire, c'est qu'il vaut mieux avoir des remords que des regrets ! Dont à mon humble avis, tu es déjà en quelque sorte un peu mort avec tous tes remords même que tu en démords ! C'est bien que tu envoies une bouteille à la mère comme t'es très à mère ! Mais envoie-lui pleine la bouteille avec un message à son adresse, où qu'elle soit, pour communiquer et correspondre avec elle, au-delà du commun des mortels, pour qu'elle reste vivante en toi, car c'est sûr qu'avec tout ce fardeau, tu as pris de la bouteille à la mère, et que c'est pour cela que tout ce passé te soûle tant, et que certains de tes amis, tu les as eus à l'ivresse de tes paroles, comme tu t'enivres dans tes excès; et que certains de tes amis n'ont pas compris l'oraison de tes colères, car Jérôme, il faut que tu crèves l'abcès de ce qui te ronge de l'intérieur !
Jérôme B : Mon cher Serge, peut-on trinquer toi et moi en des vers solidaires après que j'ai trinqué de ma santé avec tous ces revers solitaires en vers de poèmes; en déroute vers le plus profond de nos imaginaires, à imaginer et à rêver d'un monde meilleur ailleurs que sur Terre, malgré que toi et moi, on ait pris de la bouteille et que tout tombe à l'eau ?
Serge K : Oui, mon cher Jérôme, à condition qu'on envoie une bouteille à la mer devins pour boire les paroles de la mer; avec pour note salée surannée deux mille vins, car quand tu seras mort Jérôme ! Il vaudra mieux que t'es des remords que des regrets en trinquant à ta santé !
Jérôme de Mars
Doit-on être solitaire ou solidaire ?
Course sur La Terre, on choisit soit la course en solitaire
Ou soit of course solidaire;
Mais dont les deux s'accordent bien complémentaires,
Car au fond, ce qui est délétère ou salutaire,
Doit-on être solitaire ou solidaire ?
Dont les deux sont indissociables, donc subsidiaires,
Comme le plus farouche volontaire
A besoin aussi de sa part qui lui dessert
Un ver solitaire après les revers solidaires,
Dont on en déduit également qu'un ver solidaire
Fait du bien tantôt au moral pour apprécier en souffleurs de vers;
A la fois, le ver solitaire et le ver solidaire;
Pour qu'on effectue en même temps une course en solitaire/solidaire,
Car même qu'on soit à des années-lumière du clair,
On a tout de même besoin d'avoir au prêt de soi en clair
Ses frères lumières pour allumer les réverbères
De ce monde assombri dans le noir crépusculaire,
Car pour résumer le tout de façon lapidaire,
Doit-on être solitaire ou solidaire ?
Car même qu'on aime boire les paroles des vers solitaires,
Lorsqu'on a des déboires, il nous est nécessaire
De les partager avec des vers solidaires; après les revers solitaires;
Pour donner un nouvel élan à notre imaginaire;
Et qu'il redevienne linéaire et prospère,
Pour enrichir nos cœurs de chimère
Afin qu'ils changent de l'état de rancœur de jachère
En champs de cœurs; qui les ramènent vers la flûte traversière;
De manière qu'ils traversent ces lignes de travers;
Et qu'ils puissent trouver la paix intérieure qui les régénère;
Dont pour cela, au temps changer d'air
Pour respirer un nouvel air populaire et extraordinaire,
Où en souffleur de vers, ils s'époumoneront dans une embellie pulmonaire,
Car au bout de la course en solitaire ou en solidaire,
Doit-on être solitaire ou solidaire ?
Comme au bout du conte élémentaire;
Ce qui conte, c'est qu'on soit of course solitaire/solidaire.
Jérôme de Mars
De vent de colère !
Bouc-émissaire !
Je le fus comme un haut commissaire
Avec de sales affaires;
Qui sentaient mes vieux travers,
Dont je ne fus pas forcément coupable
De tout ce qu'on m'a mis sur la table !
Alors que j'ai assez souffert comme ça;
Très souvent dans le chaos
A faire dodo parmi mes bobos,
Si bien que j'en ai gardé des traumatismes
Avec des gens qui m'offraient des on verra;
Pour que je reste davantage prostré dans mon mutisme
Entre mutilations
Et émulations; pour faire pire avec des élucubrations
Pour faire diversion;
Puisque j'en ai gardé une puissante aversion
Avec pour eau déviant sur Terre;
De très grandes bourrasques de vent de colère !
Dont je ne décolère, car je suis à terre !
A la fois dans le délétère et dans l'austère,
Où j'en ai marre du fait que je ne décolle l'ère;
Ere tertiaire; avec une mauvaise air primaire;
Que je respire au pire
De ce qui expire et qui m'inspire des soupirs,
Où je ne vois que comme soulagement
Aux blessures de mes torrentiels tourments;
Une fin de vie dans le silence,
Comme en permanence, je n'ai eu que des pénitences
En faisant allégeance
Avec mon indécence répartie dans l'irrévérence,
Dont la quintessence aurait pu être ma potentielle
Résilience pour repartir au pluriel
En volant de nouveau de mes propres ailes,
Dont l'essentiel c'est d'aller droit devant !
Pour passer de l'os déviant à l'eau d'Evian,
Car après le vent de colère !
Place à une nouvelle ère avec effet salutaire !
Droit devant décolle l'ère.
Jérôme de Mars
La machine à affranchir les limites des timbrés qui prennent tout à la lettre !
Touche pas à mon poste !
Dans une poste restante;
Comme une lettre à la poste !
Pourvu qu'on poste, composte !
Des lettres signées et consignées avenantes,
Où l'on règle le poste avec les fenêtres
Ouvertes vers le monde extérieur,
Quand avec la télé
Et la radio enflammées,
On allume le poste avec en sono;
Son son stéréo en disant tout haut !
Et en scandant des gros mots,
Car touche pas à mon poste !
En balançant ton post;
Qu'on poste, composte !
En discutant à La poste
Devant la machine à café;
La machine à affranchir les limites
Des timbrés qui prennent tout à la lettre !
Avec pour maître à penser, à panser
Davantage de prêtres;
Qui sauront trouvé les mots à l'humanité;
Qui dessert le plus commun des ermites
Reclus et renfermés dans une usine;
Pour faire monter l'adrénaline;
Face à la machine à affranchir les limites
Des timbrés qui prennent tout à la lettre !
Soit en espèces menacées
Ou soit avec un billet d'humeur;
Pour faire mieux correspondre l'humour noir
Qui est en billet; dans un billet
Aller-retour et pour que la phrase déplacée;
Passe de ce qui irrite en un rite bien placé
Sur le site de l'amour à franchir le poste;
Qu'on poste, composte
A affranchir de la télé à La Poste, facteur à risques;
Pour qu'on l'écoute; comme un disque
Rayé des chanteurs ultra DCD,
Alors que si on connaît notre alphabet !
C'est déjà le béaba du minimum syndical;
Alors que comme le disait Alain Souchon;
L'amour à la machine; dont c'est sa chanson !
Elle cache en fête une vérité bien plus profonde;
Qu'on ne peut pas acheter l'amour même
Qu'il féconde ce monde pour faire une ronde,
Car post-mortem ! Il restera toujours les problèmes
Du passé pas forcément réglé;
Tandis qu'en bavardant autour d'un bon café,
Dont c'est notre tasse de thé !
Et que le fait d'être
Vrais autour de la machine à café; cela peut favoriser
De faire l'appoint
De la machine à affranchir les limites
Des timbrés qui prennent tout à la lettre !
Pourvu qu'on termine avec panache sept lettres;
Pour mettre tous ces par être; en un seul pour être et renaître
Dans une énergie qu'on poste, composte
A la poste, dont enfin c'est le bon poste !
Car où qu'on soit; touche pas mon poste !
Dont on hérite pour ne plus qu'on s'irrite;
Avec pour faire l'appoint avant le point
D'honneur et qui sera résolument rémunérateur;
De la machine à affranchir les limites
Des timbrés qui prennent tout à la lettre !
Et qu'on invite
A la bonne adresse,
Avec une tape amicale;
Point express.
Jérôme de Mars
Au-rez des chaussées
Renvoi d'ascenseur
Car envoi à sans sœur
Au-rez-de-chaussée
Orée des chaussées
Qu'aurait déchaussé
Au-rez des chaussées
Corée de chaussées
Décorée dès chaussée
Qu'aurait décorer orée
Deux chaussées
Que vous aurez déchausser
Au-rez-de-chaussée
Orée de chaussée
Dés qu'aurait deux chaussées
Au-rez des chaussées.
Jérôme de Mars
Mais nos pauses !
Andropause;
L'homme propose
Et la femme dispose
De la ménopause;
Or mais nos pauses !
Supposent
Qu'Andros pose
Sur pause,
Pour que l'homme propose
La ménopause,
Mais nos pauses !
Pour que la femme dispose
De l'andropause,
Pendant qu'Andros pose
La ménopause;
Hors mais nos pauses !
Disposent
De l'homme qui propose
A la femme qui dépose
La ménopause;
Qui impose
Une pose,
Quand Andros pose
Et repose
L'andropause;
Et compose
Mais nos pauses !
Jérôme de Mars
Le mâle heureux
En ces temps douteux et sulfureux;
Pourquoi suis-je furieux
Et frileux ?
Si je le suis, suis-je heureux,
Mâle heureux,
Ou malheureux ?
Comme le mâle heureux,
Le malheureux;
Que tout le monde croit vicieux
Et pernicieux en insidieux,
Alors que je suis peureux
Et dans un état affreux;
Contre les douloureux
Souvenirs de mes aïeux;
Loin d'avoir la vie en pieux
Et d'en être amoureux,
Où je me demande soupçonneux
Suis-je le mâle heureux
Ou le malheureux ?
A ne savoir ce que je veux
En y voyant de mes yeux;
Des traits sirupeux,
Car toujours en désaveux ,
Où j'en fais des aveux
Que je ne suis pas si crapuleux,
Dont certains me prennent pour un morveux;
Avec en fait à nœud-nœud
Dans l'estomac un nœud;
Qui interroge suis-je courageux ou valeureux ?
Ou suis-je un merdeux ?
Qui ne veut prendre le dessus sur ses actes odieux,
Alors que si j'étais heureux;
Je serai radieux;
Avec pour m'aider un beau ciel bleu,
Dont j'aurai Dieu audacieux
A qui me raccrocher au royaume des cieux;
En amoureux
De la vie, mais dont je suis le fameux ténébreux,
Le brumeux
Et le nébuleux fabuleux,
Dont en quelque sorte, le malheureux fastidieux,
Alors que si j'étais le mâle heureux;
J'agirai parcimonieux
En faisant pour le mieux,
Mais à quel moment ? Sérieux ? !
Pour passer de bons moments nombreux
Et chaleureux
Au coin d'un feu généreux,
Finalement, serai-je enclin harmonieux
Et miséricordieux
A ne plus demeurer le malheureux, le mâle heureux ?
Jérôme de Mars
Boulevard Aragon
Palais des bougons
Au Boulevard Aragon;
Qui prend le parti
D'en rire au fil des saisons;
Avec pour chanson
La nostalgie;
Qui défile communiste
De Jean Vilar
A Jean Ferrat ;
Avec pour signal phare
L'effet papillon;
Qui s'envole au-dessus
Des pavillons
Au Boulevard Aragon;
Avec pour parvenus
Les rôles opiniâtres;
Du Théâtre qui essuie
Les plâtres
D'Harpagon à Estragon;
En attendant les bourgeois
Rabat-joie
Au Boulevard Aragon;
Pour jouer du violon
En faisant du cinéma
Altruiste, dont l'artiste
Est le clown triste
Et utopiste;
Pour changer ce monde nombriliste
Et égoïste en un paradis idéaliste;
Pourvu qu'au palais des bougons,
Le parti d'en rire communiste
Incarne l'opposition humaniste;
Qu'on attend depuis Jean Ferrat
Sans jouer un rôle au théâtre;
Qui essuie les plâtres
Du théâtre Jean Vilar,
Dont au Boulevard Aragon;
On dénichera en riant aux éclats
Celui ou celle qui réussira;
A faire l'apologie à l'effigie
D'une époque qu'on aimait
Tant; à en regretter
La poésie anticonformiste
D'artistes anarchistes;
De Brel à Brassens et Ferrat,
Pourvu qu'au Boulevard Arago;
On fasse une place au show
Style de Nougaro à Trénet;
Qui s'entraînaient à chanter
L'espérance au bout des chansons;
Avec pour défiance au fil des saisons
L'étendard en élégance de vieux standards;
Qu'on nous repasse à longueur de journée
Avec l'instantané
Dès l'effet papillon;
De brèves de comptoir
Au Boulevard des gens Aragon.
Jérôme de Mars
Les sans ciel
Par ciel;
C'est l'essentiel
Partiel
D'un gratte ciel;
Qui gratte le ciel
Avec les sans ciel;
En ayant plusieurs cordes
A leur arc en ciel,
Quand il pleut la discorde
Partielle;
De l'essentiel
Par ciel
Jusqu'à les sans ciel.
Jérôme de Mars
Fenêtre ou vers
Par être ouvert
Fenêtre ou vers;
J'écris ces vers
Ou vers découverts;
Vivant de mon art,
Avec l'art et la manière;
Dont moi, le lascar,
J'écris ces vers;
Par être ouvert
Fenêtre ou vers,
Comme un renard affûté;
Dont je m'exprime raffiné
O'vers,
Comme un poète maudit
Et comme un esthète;
Que je parodie,
Quand je mets hauts vers
A composer une mélodie;
Singulière et familière,
Dès que je joue le même mélo-dit
Similaire et contestataire,
Lorsque je copie téméraire
Avec l'art et la manière
De mon art aiguisé
En regardant de travers;
Et en passant aux travers
De ma plume décriée;
Si bien que je donne en vers
Le prochain rencard,
Dont les éventuels tocards
Et lascars;
Seront ceux qui auront été
Des taulards et des roublards
De la censure et de la torture incendiaire,
Avec l'art et la manière volontaire;
Dont mon unique intermédiaire
Me procurera comme remède nécessaire;
Des droits d'auteur linéaires,
Dont j'achève cette poésie réfractaire;
Tandis qu'après que j'ai écrit mes ultimes vers couverts,
Par être ouvert
Fenêtre ou vers recouverts.
Jérôme de Mars
Le jardin d'un monde meilleur
Inventaire sur Terre;
Il vous faut volontaires;
Faire l'inventaire
De ce monde délétère
Avec ses travers,
Où j'écris ces vers de colère
Pour une prise de conscience;
Que tout va en zones de turbulences
Avec un silence humanitaire,
Où il vous faut bâtir singuliers
Et réinventer dans la solennité;
Une nouvelle planète Terre
Avec davantage de solidarité,
Car les délais sur Terre sont lapidaires !
Et si rien ne bouge, vous assisterez tout béats
Au trépas d'une fin du monde sans éclats,
Où il faut que sorte de votre imaginaire !
Le jardin d'un monde meilleur;
Pour que vous cultiviez en bien et bien le bien !
Et ben ! Parmi les humains;
O' combien salutaires,
Avec pour prémices et nulle part ailleurs;
Les préliminaires d'un monde porté en retour
Par de l'amour
Sans barrières,
Car c'est bien connu
Face à l'inconnu;
Faites l'amour, pas la guerre !
Pour assurer vos arrières
Et pour passer devant les revers;
Avec le passé derrière
Pour assumer avec neutralité;
Votre personnalité
Contraire avec ou sans œillères,
Où pour restaurer la paix
Et la fraternité parmi toutes les communautés
Et les congénères frères;
Et ben ! Cultivez le bien en bien et bien avec pour unique bien !
Le fait d'être des personnes fières
Et entières,
Dont vous en ferez un lien
Amical et cordial;
Pour de meilleures relations joviales,
Avec pour repartir sur de nouvelles bases;
L'entrée au début d'une seconde phase,
Où il vous faudra salutaires et volontaires
Eriger sur Terre;
Le jardin secret d'un solide pied-à-terre,
Où vous poserez à Terre vos armes de guerre;
Et où naguère, de votre propre imaginaire;
Après le chaos patibulaire,
Vous réfléchirez nécessaires
Au renouveau d'un monde extraordinaire;
Avec des grains de celles dans l'univers
De femmes; qui arroseront le jardin d'un monde meilleur;
Avec pour saveurs et jolies valeurs;
Un grand grain de folie et de bonheur,
Car y aura pas d'heure !
A vous faire du bien o'combien nécessaire,
A créer et à recréer du lien extraordinaire
Et populaire !
D'où cet inventaire
En profondeur;
Pour vous réconcilier salvateurs
En un monde qui ressurgira enjoliveur;
Porté par une mise en terre
En me mettant aux vers;
D'un monde ranimé
Et resssucité
Avec de la liesse populaire,
Dont l'allégresse s'avérera l'élément fondateur
D'un monde sans frontières
Et sans barrières;
Au contact d'une innombrable quête
De bonheur;
Et en espérant qu'il débouchera sur la conquête
D'un monde en paix;
Avec de la liberté;
Dont le monde aura résolu
Dans l'absolu
Je l'espère !
Ses conflits intérieurs,
Pour que la planète Terre redevienne solidaire
Dans l'union sacrée;
Avec une communion réincarnée
En défendant rubis sur ongles évocateurs;
Qu'il vous faudra cultiver en bien et dans le bien avec pour bien;
Le début d'un monde fédérateur et porteur
De profonds liens o'combien essentiels; dont je repère
Qu'il vous faudra enclins un trop plein
Décence avec pour soleil réparateur;
Un monde enjoliveur, rieur et réconciliateur;
Pour qu'en fête et avec succès;
Vous ayez en gestation;
Après mûre réflexion
Et à votre portée;
Ayant pour but pacificateur
Le jardin d'un monde meilleur.
Jérôme de Mars
Marguerite se fait envoyer des fleurs par Rose, comme Rose lui a fait une fleur en lui rendant la vie rose avec une marguerite !
Bouquet de fleurs à qui on fait une fleur ! ?
Si on lui envoie des fleurs
A fleur de peau.
Avec le poto rose, le pot aux roses,
Quand Marguerite se fait envoyer des fleurs
Par Rose, comme Rose lui a fait une fleur;
En lui rendant la vie rose avec une marguerite;
Payée plein pot, car c'est le bouquet, un bouquet de fleurs
En chaîne, quand Marguerite jette un vent
A la rose de vent, si bien que Rose lui envoie un mot rose;
Qui arrose la fleur de l'amitié et de l'humanité
Sans vanité, car tant qu'il y a une fleur dans le poto rose,
La fleur entretient l'amitié dans un pot aux roses;
Si on la cultive bien en faisant le bien,
Car enfin pour le lien social et fraternel, on reçoit un bouquet de roses,
Quand la providence nous a toujours rendu la vie rose;
Avec pour mots roses, davantage d'osmose,
Car c'est le bouquet en chaîne, quand Marguerite
Se fait pour l'éternité envoyer des fleurs par Rose,
Comme Rose lui a toujours fait une fleur en lui rendant
La vie toujours rose; grâce à une Marguerite; qui lui a toujours offert
Une marguerite dans un pot aux roses, poto rose,
Dont le bouquet lui a fait une dernière fleur;
En lui envoyant des fleurs avec un ultime mot rose
En guise d'apothéose, car en chaînes, c'est le bouquet !
Jérôme de Mars
Citations d'un poète maudit
1) Quand ma LIVEBOX ne marche pas, je suis pressé qu'Orange remarche, car sinon c'est le bouquet avec des ennuis à la chaîne !
2) Deux clients d'un bar qui se frappent dessus parce-qu'ils sont en froid, s'ils font ça c'est à cause d'un café frappé !
3) Si avec mon mobile, j'appelle quelqu'un et je l'insulte, c'est que c'était le mobile de mon appel !
4) Un ami qui appelle son meilleur copain pour lui annoncer qu'il va lui donner son portable, c'est en cela l'objet de son appel !
5) Quand tout le monde me dit pousse-toi ! C'est que les gens me donnent un coup de pousse, ce qui ne m'aide pas !
6) Si jamais Charles Baudelaire, je l'avais connu et qu'il m'avait remis son poème : " Les fleurs du mal ", et qu'il me félicitait pour ma poésie, c'est qu'il m'aurait envoyé des fleurs !
7) Marguerite lorsqu'elle se fait envoyer des fleurs par sa mère Rose, pour remercier sa mère Rose de lui rendre la vie rose, elle lui offre une marguerite !
8) Un cordonnier qui commence bien sa journée, pour lui, c'est le pied !
9) Un poissonnier qui regrette d'avoir commis une faute en attrapant des poissons, a pêché !
10) Une armoire à glace qui regrette d'avoir cassé la figure à quelqu'un, ne peut pas se regarder dans la glace !
Jérôme de Mars
Est-ce les marionnettes qui tirent les ficelles ?
Ville de pantins
A Pantin, est-ce des coquins
Qui ont le béguin ? Petits tours de manivelles,
Où pour faire le tour du carrousel;
Est-ce les marionnettes qui tirent les ficelles ?
Avec des p'tits bouts de ficelles, qui nivellent
Les marionnettes de Lyon très fauves !
A en admirer les Français chauves;
Très chauve hein, chauvins
Avec le bal des rossignols;
Qui charrie les branquignols
En groupe;
Dans la troupe
D'une comédie Américaine;
Avec pour ménestrel;
L'air de rien;
Des figures humaines et puritaines;
Pour imaginer pour demain
En décidant formels;
Est-ce les marionnettes qui tirent les ficelles ?
En étant des clown tristes;
Ayant pour arlequins
Des dents de requins;
Qui cirent le parquet
De leur regard d'artiste;
En mettant le paquet;
Ville de Pantin;
A pantins, avec pour pantins;
Les marionnettes de Lyon;
Qui sentent le fauve en faisant les lions
D'après la loi du talion;
Avec pour illusions;
Un médaillon, dont le revers
De la médaille a pour illuminations,
Quand on passe aux vers
L'air de rien;
Dans le tout du rien
Ayant pour acariens; à cas rien
De la vaisselle cassée de porcelaine;
En cassant des vers de bas de laine, de vers laine,
Dont une fois qu'on aura tourné le dernier tour
De manivelle;
On aura pour refrains
Universels avec pour grain de sel;
Celle qui aura un grain de folie;
Avec des choses pas très jolies,
Car une fois pour toutes en retour;
Avec des p'tits bouts de ficelles;
Est-ce les marionnettes qui tireront les ficelles ?
Jérôme de Mars
Voler de mes deux propres L
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Voler de mes deux L, L brisés p o u r v o l e r d e m es p r o p r e s L.
Jérôme de Mars
Citation :
Quelqu'un de toujours négatif se dope forcément au positif pour tenir le coup !
Jérôme de Mars
La passion fait la force !
Née le 16 juin 1928 à Laeken avec tes p'tits choux de Bruxelles,
Toi l'artiste Belge avec ta force pudique sur la place publique;
Tu fus une immense artiste jouant sur tous les tableaux
Sans faire de mauvais numéros uns aux Carpentier,
Car ta devise au long cours de ta vie joyeuse et délurée;
Fut la passion fait la force !
Toi, l'artiste aux multiples facettes et avec une dense polyvalence,
Où tu fus à tes débuts meneuse de revue au Lido;
Toi la madame sans gènes, où tu jouas avec bonheur
Le rôle de ta vie malgré quelques tristes circonstances,
Où tu ne pus avoir d'enfants avec ton mari; mais dont tu décidas
De faire de ta vie un hymne à la joie truculente et exubérante,
Car on connaît la chanson de tes chansons à boire;
Pour taire tes déboires bon enfant telles que : Tata Yoyo,
Où tu fis le yoyo entre le théâtre, le cinéma, la télévision
Et la musique; dont parmi tes tubes, on connaît aussi tes autres chansons : Ca ira Mieux Demain, La bonne du curé; pour récurer ta bonne vie, Frida Oum Papa,
Hello ! Le soleil brille; d'où tu es maintenant dans l'au-delà; à fumer tes cigarettes,
Pourboire tes whiskys avec tes pépées, toi, Nini, la chance ! Même que ta roue
Te contourne ! Cho Ka Ka O, au chaos, au cas haut, au cas où tu chantes;
Hello ! Dolly, donnez-moi deux mille vingts vies ! Pour mourir sans cérémonie;
Si jamais Versailles m'était conté ! En comptant les moutons,
Où Laissez-moi sortir vers l'hiver de ma vie, toi, la marraine du Paris-Saint-Germain ! Où tu fus leur cousin germain ! D'où pour refaire le film de ta vie,
Tu sortis les griffes face à Jean Gabin dans Le Chat ! Pendant que Le Passager
De La Pluie te fit pleurer des larmes dans ta vie; entre humour et tendresse; qui Parfois, dérivait en mélancolie, qui fut contraire à la philosophie de ta vie, toujours
Dans l'élégance d'en rire avec l'humour noir, car ce fut ta politesse du désespoir !
Avant le mouroir de l'éternité, où tu vis de tes propres yeux que c'est beau,
Une ville la nuit ! Avec le chanteur de Mexico, quand la passion de ton métier
Fit ta force de prendre à la légère ce monde de lourdeurs, où en tant qu'amuseuse Publique numéro un, tu préparas ta vengeance de blonde pour perdurer et te Diversifier, dont pour durer avec tout ce que t'as enduré, en durée, tu fis aussi de L'opérette ! Et où tu chantas en interprétant sans contre danse, avec tes pas en à Bon danse; le rôle de ta vie; qui te ravit et avec quelques rôles de compositions, en Passant de la comédie et en trépassant dans la tragédie, qui prouva
Qu'en tant qu'artiste tout terrain, tu sus passer du rire aux larmes,
Avec pour sourires, des alarmes, de quoi que fut ta vie, dont pour toi; ce fut le bouquet en six roses, dont on gardera comme souvenirs de toi notamment en 2012; des morceaux sous formes de comédies musicales, avec en même temps,
La recomposition de ton paysage de Madame Sans Gênes; en jouant
Lily et Lily avec le rideau qui se lève, comme quand tu tournas en série Baldipata,
Car t'as pas dix balles ! Pour refermer le bal de ta vie, car après avoir ouvert le bal
Le 16 juin 1928, tu le refermas sans gilet pare-balles le 04 septembre 2020;
A l'âge de 92 ans à Vallauris dans ta demeure, d'où de là que tu meurs
Sous les projecteurs éteints ! Foudroyée et terrassée par ton corps qui te fit défaut;
Egoïste à ton envie de vivre encore quelques années, où ton organisme avec son
Manque de cœur, te fit t'envoler au paradis des artistes après avoir vécu et survécu 2020 vingt vies, pour fumer le calumet de la paix et pour boire Whisky entre Acolytes anonymes, d'où tu nous quittas sans cérémonie, car tu nous susurras de Ta voix tonitruante; Laissez-moi sortir ! Au sortir De ta vie, d'où on enterrera ta vie De garçon manqué, le 12 septembre prochain à Cannes, avec pour béquilles ta Passion qui fit ta force !
Jérôme de Mars
Si je partais en Coran, serai-je comme ma propre caricature ?
En étant au Coran de rien, ai-je besoin de vous faire un dessin et serai-je comme ma propre caricature à Charlie Hebdo ? Si je suis un des Saints, mâle Saint au Saint de la mère à boire la note salée car si je partais en Coran, serai-je comme ma propre caricature à grossir les traits, les portraits ou les retraits ayant trait pour trait ma figure décomposée ? Où je ferai couler beaucoup d'encre en vous faisant un dessin, ayant pour dessein, un sein mammaire, au sein de ma mère, où je ne saurais pas trop à quel Saint me vouer, si je suis trop dévoué malsain alors qu'il faut savoir se vouer à un mâle Saint, au Saint du Coran, pour partir en Coran si jamais je suis comme ma propre caricature à Charlie Hebdo, où j'aurai besoin de vous faire un dessein, avec mon coup de crayon pour avoir bonne mine, mine de rien, si jadis; j'ai encore la forme conforme pour réformer et reformer mon humour caustique de drôle de loustic, où j'espère aller au charbon avec une bonne mine, mine de rien, avec mon coup de crayon pour servir de bonne locomotive, au train où vont les choses, comme il y a toujours un métro de retard, pour que tout soit sur de bons rails, comme avec les APL qui ne vous calculeront pas en début damné prochaine; en janvier 2021, mais calculeront en temps réel vos droits adroits ou maladroits aux logées ou délogées ah ! Locations, où à partir du 2 janvier 2021, on sera tous logés à la même enseigne, au centre de toutes les attentions, même si ma prime d'activité prime ou me déprime, des primes, et que ma prime rénove la transition écologique avec l'énergie d'un débutant dans mon environnement; mine de rien, même si je suis échecs énergie et chèques solidarité, qui dévalent dans le Val de Marne; pour faire sans blanc de m'intégrer, moi, le feignant, feignant de travailler, qui attend Philippe Val de Marne, pour que je vous fasse un dessin, ayant pour dessein, un des Saints satiriques, mâle Saint, au Saint de Noël, ma mère; qui innée, se suicide le jour de la Saint-Valentin, dont le refrain de désamours est que si je vous fais un des Saints; en partant en Coran et en étant au Coran de rien, dont je vous poserai comme éternelle question, avec mon coup de crayon, mine de rien, où si jamais je vous fais un dernier dessin, serai-je comme ma propre caricature à Charlie Hebdo ayant bonne mine dans l'océan pacifique ?
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi si je m'attaque au Coran et à Mahomet, je serais comme ma propre caricature à Charlie Hebdo ?
- Parce-que je n'aurai pas besoin de vous faire un dessin !
Jérôme de Mars