La vie est rebelle !

 

Nom d'un chien !

Tel Bel et Sébastien;

Car mon cousin Sébastien !

Même qu'il n'a pas de chien !

Il a malgré tout

Une belle vie !

ET donc bel et bien !

Quelle chienne de vie !

Ma vie !

Qui dérive à l'ennui !

A tel point

Que la vie est rebelle !

Pas vraiment belle !

Mais dont malgré tout !

J'ai envie d'me faire la belle !

Et pour cela, il faut s'la faire belle !

Et s'la rendre belle !

Sans contrecoups !

Même si mon cousin Sébastien !

A une belle vie !

Sans chien !

Avec de la confiture !

Or ! Quant à moi malgré que ma vie

Part à la dérive de l'ennui !

Avec d'la déconfiture pleine la figure !

Il faut que j'me confiture 

Et reconfigure !

Que la vie peut-être belle !

Même que la vie est rebelle !

Et même si la vie

Est une chienne de vie !

Elle peut-être sources d'envie !

En la prenant à la source d'la vie !

Comme Bel est Sébastien !

Tel est le nom de mon cousin !

Car même s'il n'a pas de chien !

Il a une belle vie !

Car pour lui, la vie est belle !

Puisque pour moi, la vie est rebelle !

Comme Abel !

En dégustant de la déconfiture

De mirabelle !

Pleine la figure !

Dont je préfigure !

Que malgré tout

Ce fourre-tout !

J'ai tout de même une belle nature !

Avec parfois des vergetures 

En faisant l'immature !

Et dont une fois au pied du mur !

Même si je vais tout droit 

Dans le mur !

Il suffit que mon p'tit doigt

Me dise que tu dois t'la faire belle !

La vie en t'la rendant belle

Et plus belle !

Bel et bien !

Comme ton cousin Sébastien !

Même si t'as envie d'te faire la belle

Telle que la vie est rebelle !

Pas comme L'Abel !

Mais la belle !

Comme Bel et Sébastien !

Car malgré que ton cousin Sébastien

A une belle vie 

Sans chien !

Tel Bel est Sébastien !

Et que ta vie est une chienne de vie !

Qui dérive 

En partant à la dérive

De l'ennui !

Fais-la toi belle la vie !

Avec d'la mirabelle

En confiture !

Après que tu n'aies eu que

D'la déconfiture 

Avec des fritures !

Après que tu t'sois autant rendu la vie

Chèvre dans un bêle !

Dont la vie; fais-toi la belle !

En t'la rendant belle !

En t'la faisant plus belle !

Et en t'la refaisant belle !

Et rebelle !

Dont en répartie voici repartie !

Comme ton cousin Sébastien !

Une vie qui est bien !

Puisque bel et bien

De plus bel !

La nouvelle vie est rebelle !

En étant la plus belle.

 

Jérôme de Mars

 

Compte-rendu

 

Voici une p'tite saynète où Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique règle ses comptes avec son ancien ESAT :

 

Jérôme B appelle Charlotte P, son ancienne collègue et amie à L'ESAT La Fabrique; le téléphone sonne :  

 

Charlotte P, une ancienne agent de production qui bat en retraite :

 

-  "  Allo à l'huile ! Bonjour Jérôme; comment vas-tu ? Si tu savais Jérôme après tout ce que tout le monde t'a mis comme l'huile sur le feu pendant tout le temps où tu étais à L'ESAT, et ben si tu te rendais compte maintenant ce que L'ESAT est devenu depuis que t'es parti; car à présent; tout tombe à l'eau à L'ESAT La Fabrique ! "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite : 

 

-  "  Bonjour Charlotte et bien au bout du compte ! Tout compte fait depuis que j'ai quitté L'ESAT La Fabrique ! Et bien en acompte; j'y trouve tout à fait mon compte, avec enfin un compte de fée après tous ces comptes de faits d'hiver à L'ESAT La Fabrique! D'où je règle mes comptes avec cet ancien ESAT; comme ils ne se rendent pas compte la direction de cet ESAT ! Tout le mal qu'ils faisaient et qu'ils font aux salariés et aux agents en ne pensant qu'à leur compte en banque ! Et non à l'intérêt personnel et professionnel des salariés et des agents, car ils ne comptent que sur leur intérêt financier de leur compte courant bancaire; et non sur l'intérêt de leurs salariés et de leurs agents qui ne comptent pas du tout pour elle, la direction !  "

 

Charlotte P, une ancienne agent de production qui bat en retraite :

 

-  "  Mon p'tit Jérôme, je voulais te poser une question; à ton avis, pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique, tout le monde te parlait mal alors qu'aux autres, tout le monde leur parlait bien et pourquoi tout le monde s'en foutait de toi à L'ESAT alors que personne ne s'en foutait des autres ?  Est-ce-un conflit d'intérêt vis à vis de toi ?  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite :

 

-  " Et bien ma p'tite Charlotte; à toi qui ne perd pas le Nord comme moi ! Et bien ! Je vais te révéler la raison, c'est tout simplement parce-que plus personne ne me calculait à L'ESAT ! Surtout vers la fin; et comme à L'ESAT, on ne comptait plus sur moi; et bien de ce fait, je ne comptais plus pour personne ! Surtout dans cet ESAT avec leur logique de comptables au détriment du compte humain ! Toi Charlotte; tu comptes pour moi sans calculs, mais de façon juste car avec toi, je ne pars pas en terre inconnue; étant donné que toi et moi, on a une bonne adéquation alors que pour les autres; j'étais uniquement un(e) inconnu(e) sous forme d'une équation, que personne n'arrivait à déchiffrer; voilà pourquoi personne ne m'a jamais calculé dans cet ESAT, à part ceux qui jouaient de mes échecs; en faisant échecs et maths !  "

 

Charlotte P, une ancienne agent de production qui bat en retraite : 

 

-  " Et bien au bout du compte Jérôme ! Tout compte fait; je peux te dire chiffres à l'appui que t'as bien fait de quitter cet ESAT de tarés ! Comme plus personne ne tenait compte de ton état, tellement que tu devais tout le temps rendre des comptes, alors qu'à toi; on ne te rendait pas de compte, la preuve; on t'a toujours laissé-pour-compte à L'ESAT ! Et moi Jérôme; je me rends compte que je compte bien garder contact avec toi en tant qu'amis, voilà au bout du compte ! "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite :

 

-  " Et bien Charlotte, j'y compte bien; la preuve que tu ne comptes pas pour du beurre en faisant des calculs; mais la preuve que toi et moi, on se connaît tellement bien qu'on se calcule maintenant même sur l'échiquier politique après avoir été des pions de l'échiquier politique de L'ESAT La Fabrique; et bien Charlotte, je vais devoir raccrocher après t'avoir fait mon compte-rendu; et je compte sur toi pour qu'on se voit très bientôt Charlotte, comme les bons comptes font les bons amis !  "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

                                                Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-que vers la fin, plus personne ne me calculait à L'ESAT La Fabrique ?

-  Parce-que vers la fin à L'ESAT La Fabrique, comme on ne comptait plus sur moi et bien au bout du compte, je ne comptais plus pour personne !

 

 

                                         Jérôme de Mars

Place Montmartre

 

En une

De cette ancienne commune;

Voici la Place Montmartre,

Un bourg joie bohème;

Où tout le monde sème

Le chic élégant,

Dans le 18ème arrondissement

De Paris;

En ce quartier fleuri

De la Place Montmartre,

Qui regorge d'un funiculaire;

Direction un renvoi d'ascenseur

Pour contempler

Et surplomber

La Butte Montmartre,

Sûre Place Montmartre;

Car en train de dire salut !

Et bienvenue

A ces messieurs !

Et à ces dames !

Dans Le Paris Padam des quidams,

En apportant de l'eau à son Moulin Rouge;

Dont en étant à la foi

Au four et au Moulin Rouge,

Les Parisiens de ce quartier qui bouge;

Ont le sacré cœur sur la main,

Et un sacré cœur en or

A La Basilique du Sacré Cœur;

En distribuant de la candeur et de la ferveur

Surtout pendant la nuit qui vit jusqu'aux aurores,

En souvenir de Dalida;

Sûre Place Dalida

Sur la Place Montmartre;

Comme à la maison de Dalida,

Pouvant voir en peinture

L'Espace de Salvator Dali ;

Artiste surréaliste,

Embelli par la maison d'Erik Satie; 

Dont le Funambule Montmartre

Fait que des comédiens; 

Acteurs de leur vie, jouent si bien

Le rôle spectateur de leur vie ;

Qui leur scie en va et vient

Sur la Place Montmartre, 

Quartier bourgeois bohème;

Où certains artistes sûrs réalistes

Ou surréalistes,

Parsèment dans l'éloges;

Des concerts de louanges

A la Cigale,

A condition que personne naît la gale !

Mais puisse chanter et enchanter

La vie fredonnée en des amours

De troubadours;

Comme en humour

Au Trianon

Et à L'Elysée-Montmartre,

Un temps que les moins 

De 20 ans n'peuvent connaître !

A part renaître 

Dans la nostalgie des siècles d'avant !

Et d'antan en s'rappelant le bon vieux temps !

Et avant; était-ce si mieux que ça

Que maintenant ?

A la Place Montmartre,

Sûre Place Montmartre;

A part ceux qui dans les cabarets,

Le Chat Noir et Le Lapin Agile

N'avaient La Boule Noire !

En allant;

Plein d'allant !

Interpréter leurs chansons,

Comme à la maison !

Au cabaret Chez Patachou;

A la même époque que les Chouchous

De Salut Les Copains !

Tels que les débuts de Georges Brassens,

Comme un piaf qui édite

La fin de carrière d'Edith Piaf;

Haute en couleurs !

Dans sa vie olé olé ! Oh ! Les Cœurs !

J'ai de la rancœur !

Qu'il y en ait qui n'souviennent

De la Place Montmartre !

Sûre Place Montmartre,

Et dont amusé pas loin du musée Montmartre;

Il y a la Place Marcel qui Aymé

Le cimetière de Montmartre !

Où reposent pour la postérité

Et l'éternité !

Toute cette galerie d'artistes hédonistes,

Qui amuse la galerie idéaliste et fataliste;

Dont voici sur Place Montmartre,

La sûre Place Montmartre;

Où chacun trouve finement

Et subtilement

Sa place Montmartre,

Car plus de quartier à la Place Montmartre !

 

Jérôme de Mars

 

Suis-je négatif ou positif ? 

 

Covid à vide !

Ou avide ! 

Suis-je négatif 

Ou positif ?

En sachant que pour être positif

Face à la vie,

Je dois être négatif

Face à la maladie;

Alors que si je suis positif au Covid,

Je serai négatif face à l'avide;

Si je suis négatif,

Est-ce-parce-que je m'repasse les mêmes négatives 

De ma vie qui manque de positive ?

Et en étant objectif;

Même que je suis subjectif !

Est-ce-que dans mon objectif,

Suis-je négatif 

Ou positif ?

Et pour que je sois positif

Dans la vie; est-ce-qu'en impératif ?

J'ne dois plus être écorché vif négatif

Sur le vif !

Très piqué au vif !

Et que j'dois être rétabli positif ?

Mais si j'ai le Covid; c'est que je serai positif

Face à la maladie de ma vie;

Alors que si je suis avide et rétabli

Du Covid, c'est que je serai négatif

Dans mon agonie de vie;

Alors pour être objectif

Dans le subjectif,

Suis-je négatif

Ou positif dans mon objectif ?

Et est-ce-que dans ma vie; pour que je sois négatif livide;

Dois-je être positif au Covid ?

Ou bien face à ma maladie rigide positive,

Dois-je être négatif limpide ?

Si jamais dans ma vie; je suis enfin positif, 

Serais-je un positif très négatif ?

Ou un négatif très positif ?

 

Jérôme de Mars

Des oiseaux aux ailes brisées font des zèles !

 

Noms d'oiseaux en prises de becs

A travers des mots secs;

Des oiseaux aux ailes brisées font des zèles !

Des ailes,

En battant de l'aile !

Et en prenant sous leurs zèles !

Des oiseaux aux elles brisées;

Car elles, leurs ailes !

A tire d'ailes !

Attirent d'elles !

De leurs zèles 

Aux zèles brisés;

Qui font des elles !

Elles, aux ailes de leurs zèles;

Qui donnent des ailes !

Aux oiseaux aux elles brisées,

Qui font des ailes  !

Sans zèles;

Qui mettent du plomb dans elles,

Qui font des zèles !

Et volent de leurs propres ailes;

Elles qui font des zèles !

Tellement que leurs elles,

Font des ailes ;

Elles brisées 

Aux ailes brisées

De par la brisée de leurs zèles,

Qui volent les elles !

En noms d'oiseaux sans prises de becs

Et sans mots secs;

Dont des oiseaux aux zèles brisés

Font des ailes !

 

Jérôme de Mars

Un poème qui fait mouche...

 

Voici un poème qui fait mouche; et fout le cafard, dès que l'abeille pompe le dard du bourdon; qui file le bourdon à la guêpe dans un déni de fourmis, qui fourmille d'insectes; dès que la mouche t'sait t'sait, sait qu'un poème qui fait mouche; vole avec les hirondelles, qui battent de l'aile; en sautant à saute-moutons avec les sauterelles, qui papillonnent dès l'effet papillon; qui vole de ses propres ailes, attire d'ailes d'un poème; qui fait mouche avec les libellules, qui prennent sous leurs ailes les moustiques; qui donnent des ailes à ce poème, qui fait mouche en dormant à la belle étoile d'araignée; qui mange les vers de ce poème, qui bouge inerte; comme des larves et des limaces, en péchant en vers les asticots dans un poisson d'avril; d'un poème qui fait mouche, grâce à une mouche qui t'sait t'sait ! Ce que ces vers d'insectes; terminent de manger dans ce poème qui fait pschitt et mouche du coche...

 

Jérôme de Mars

La musique fait tambouriner !

 

Amusé Beaubourg !

Grâce à l'homme-orchestre

Emmené tambour-battant;

La musique fait tambouriner !

Frissonner et embobiner

Sur arrêt et rebobinages

Avec des scènes de ménages !

En partant d'un bon coup pédestre

En vers l'homme carnaval orchestre

Dans les beaux bourgs;

Les faux bourgs ou les faubourgs

Avec en calembours,

Des percussions qui tapent

Sur les tambours;

Quand la musique fait tambouriner !

En jouant raffiné complètement

Synthé en odeur de Sainteté,

En jouant en morceaux de guitare

Cette France en lambeaux défigurée

Dans le tintamarre

Aux styles égéries;

Et j'ai ri !

En messes-basses

De sa contrebasse,

En muse

D'accords qui écornent muse !

En jouant diffuse de la cornemuse;

Quand la musique fait tambouriner !

Et remuer

L'inconscience des gens

Par d'la bien-pensance, désarmant

Et charmant les esprits torturés

Dans le but aguiché;

De les rassembler distingués !

En accordant les violons

Et les accordéons, effet saucisson !

C'est l'heure de l'apéro !

Et d'écouter les journaux;

Où en musique

De façon poétique,

Il n'y a que la musique pour rassembler

Et réconcilier

Les âmes nostalgiques !

Dans un instant émouvant

Et mélancolique;

D'où la musique fait tambouriner !

Avec pour répercussions,

Des maracas et des cymbales

Pour taper frontales

Les timbales;

Qui ouvrent le bal

A ceux qui osent ramener,

Emmener et mener

Cette balade

Dans un fin fond de sérénade;

Et dont avec une accolade,

V'là la ballade !

Pour chanter

Les louanges réservées 

Dans les loges au complet;

Dont depuis jadis,

Quoique qu'elle harmonise !

La musique vous fait tambouriner !

S'il vous plaît ! Dans ses secrets !

 

Jérôme de Mars

Je m'en vais siroter une bière au bistrot du coin

 

Place du quartier du Havre !

Dans un Havre de paix

Avec mon côté qui navre;

Je m'en vais siroter une bière au bistrot du coin,

Après que j'ai été chez moi sur le site du bon coin;

En faisant coin-coin

Avec les canards,

Et dont ça leur en bouche un coin aux canards;

Dont avant leur mise en bière,

Autant que je m'en aille siroter une bière de repères

Au bistrot du coin;

Dans la fraternité assimilée

Avec les potos, entre accolades

Et balades

De gens heureux; le temps d'une ballade

Et promenade, 

Dont peu de temps après; 

Je m'en vais siroter une bière au bistrot du coin,

En faisant coin coin dans un raz-de-marée

De canards qui arrivent à bon port !

Rapport qualité prix dans un si précieux confort;

Sûre place du Havre,

Certes ! Presque dans un Havre de paix;

Dont j'en ressors souvent par inadvertance !

Mon épée 

De Damoclès, tel le sabre

Avec pour prestance

Mon itinérance; dont j'abreuve

Que la vie sur Seine est un long fleuve !

Pas toujours tranquille sur la vie et ses écueils !

A tâtillons sur la pointe des pieds,

Dont sans aucun doute sur place du quartier 

Du Havre ! C'est sans conteste un Havre de paix;

En réservant le meilleur accueil

Au bistrot des potos, 

Après leur avoir déniché ce bon coin;

D'où je m'en vais siroter une bière au bistrot du coin,

En faisant coin coin

En compagnie des canards;

Avec pour tous égards

Mon ultime regard

Sur le site du coin, 

Duquel je fais un coin coin

De canards

Face au cagnard;

D'où je m'en vais boire

Avant ma mise en bière,

Mon désespoir

Dans une dernière cuvée amère;

Oraison pour laquelle je m'en vais siroter

Une bière finale au bistrot du moindre recoin.

 

Jérôme de Mars

 

Un arc en ciel dans la pluie

 

La tête dans les nuages !

Avec aucun nuage

A l'horizon;

Le soleil pas très clair,

A les idées claires !

Quand il regarde en un éclair;

Un arc en ciel dans la pluie,

Qui fait la pluie et le beau temps !

En vidant le puits

Des provisions du soleil;

Lorsqu'il est dans la lune,

A songer effet boule de neige !

Quand dans le ciel; il neige !

Si bien que le soleil fond comme neige,

En faisant pleurer le ciel

Face à l'inertie du soleil moribond;

Dès que tombe le crépuscule diurne

Et la fièvre nocturne,

Si bien qu'aux aurores;

Après qu'il dort !

Et bien ! Le soleil se lève Leste !

En montant au front de son apogée,

Atteignant le point G;

Coulant et transpirant de sa fièvre jaune;

A lui le soleil dans son affront !

Malgré qu'il y a un arc en ciel

Dans la pluie,

Alors qu'une embellie pulmonaire;

Permettrait au soleil de s'époumoner

Là-haut sur le balcon !

Qui prendrait des grands airs à la lune,

Afin que le soleil lunatique s'éclipse volontaire

Quand il couche dans la lune !

De sorte que les giboulées de Jérôme de Mars;

Captent la planète Terre !

En décochant une flèche indicible, en visant

Et en ravisant pour cible, la pomme

De l'arc en ciel; rien que pour sa pomme au ciel;

Téméraire et témoin de Jéjé, oh va ! En parlant

De la bagatelle au soleil et à la lune

Dans la lagune du soleil;

Avant que tout tombe à l'eau avec de l'eau

De pluie ! Dès que sanglote le ciel qui pleure

Misère ! A cause de la météo qui pleut

A la grenouille, et qui s'agenouille en des soupirs;

Face au seigneur Météo,

En chantant et en dansant sur du disco;

Avec un arc en ciel dans la pluie,

Pour qui tout baigne ! Dans de l'eau de pluie qui grêle

Le beau ciel radieux ! 

Lorsqu'il tombe en dépression;

En dérivant dans le vent de l'ennui,

En partant à la dérive de la pluie;

Et du beau temps en ne sachant !

Quel temps il fera ! Malgré que le temps,

Court et concourt à briller des contrastes 

Du soleil bipolaire; qu'il soit sulfureux, valeureux,

Chanceux ou malchanceux;

En attendant que le ciel reprenne des couleurs !

Et qu'il en voit la couleur

Aux choses intemporelles qu'il y a dans 

Le ciel, en faisant dans la dentelle;

Ou dans la bagatelle, en soufflant dans le vent,

Qui boursoufle O cœur ! Haut les cœurs !

Du cœur de la grisaille; qui assaille la routine du

Quotidien ! Et dont grâce aux arlequins d'Italie,

Il souffle un vent de poèmes avant de bohème

Universel ! En mettant de son grain de sel, le Missel

Au ciel mi ciel; en tenant compte fluctuant !

Que dans le ciel ! Il arrive là, ici-là, par-ci, par-là !

Et par milliers parmi les sans ciel ! Malgré les aléas

Du temps ! Qui évolue de la grisaille de la pluie !

Vers l'embellie de la griserie ! Là-haut dans le ciel !

En allant plein d'allant au ciel ! Dans le sens du vent !

Et dont grâce au vent en poupe !

Il y a désormais essentiel;

Un arc en ciel extensible dans la pluie de crécelle.

 

Jérôme de Mars

La Vénus de Milos

 

Envoi promené chez Les Grecs !

Avec des mots secs;

Moi Jérôme venant de Mars,

Il est l'heure de faire venir

La Vénus de Milos !

Milos; for man !

Tel Milos Forman;

Qui envoie sur Vénus 

La Vénus de Milo,

Telle la Vénus de Mile os;

Qui perd La Vénus de mille eaux,

Dont la Vénus de Milos Forman;

A pour Vénus, Milos, for man

Dans un vol au-dessus d'un nid de coucous,

En faisant coucou !

A L'As de Pique; qui épique

En prenant des grands Hair d'Amadeus,

Qui appelle au feu, les pompiers !

Les fantômes de Goya;

Dont les fantômes de Chantal Goya,

Tels les amours d'une blonde;

Qui fume furibonde

Valmont, en voyant La Vénus de Milo;

Qui part direction Là Vénus de Milos !

Pour rejoindre Milos, for man,

Milos Forman;

Tel en faisant sonner l'Angélus mélomane,

Et mégalomane, 

De La Vénus de Mille eaux qui éteint

L'incendie du pire one man !

De La Vénus de mille os;

Dont la Vénus de Milo

Est l'Angélus de mille eaux,

Qui perd ses hauts !

Avenue de La Vénus de Milos.

 

Jérôme de Mars

 

Saga citée au GEM de Vitry

 

1) S'il y a un mois; on devait faire le CVS du GEM de Vitry en dehors de La France métropole, on irait à la Réunion !

 

2) Walid est responsable du GEM de Vitry mais pas coupable.

 

3) C'est lors de l'atelier repas un samedi midi au GEM de Vitry qu'on met tout à plat en allant manger à table !

 

4) Si un samedi midi lors de l'atelier repas au GEM de  Vitry; on déguste le dessert avec un couteau; c'est qu'on n'y aura pas été par le dos de la cuillère !

 

5)  Si un samedi Guillaume fait du jardinage au GEM de Vitry, c'est qu'il aura réussi à cultiver son jardin secret !

 

6) Jérôme a trouvé sa voix en écrivant des slams pour ne pas déchanter à cause de sa faible voix !

 

7)  Au GEM de Vitry comme Jérôme dessine mal; pas besoin de lui faire un dessin pour qu'il écrive des slams !

 

8) A chaque fois qu'au GEM de Vitry, on fait une tombola; ca doit être la loterie pour piocher le bon numéro !

 

9) A force de faire couler beaucoup d'encre lors de chaque CVS au GEM de Vitry, il n'y aura bientôt plus de stylos !

 

10) Comme au GEM de Vitry; on compte sur Jérôme pour tenir les comptes, et bien au bout du compte, Jérôme n'a pas une calculette à la place du cœur !

 

11) Quand Bénédicte fait l'atelier pâtisserie; enfin pour elle, c'est du gâteau comme c'est une crème !

 

12) Quand Philippe Lin fait des découpages, c'est à couper le souffle !

 

13) Quand Walid passe des films sur le rétroprojecteur, tout le monde a la nostalgie de la dernière séance d'Eddy Mitchell !

 

Jérôme de Mars

Les abeilles partent en colonie de vacances

 

Après leur somnolence;

Entre errances

Et vagabondages,

Les abeilles partent en colonie de vacances

Dans un long voyage;

En prenant un bain de jouvence,

Où pour elles tout baigne !

Quand elles s'imprègnent

De l'insouciance

De leur miel !

Qu'elles fabriquent de leur fiel !

Face à leur fureur de leur toute-puissance;

Comme en fabriquant en série

Le miel et les abeilles, dont leur hégémonie

Bifurque vers la monotonie d'une lune de miel

Au tomber de la nuit qui dégage le soleil !

Dès l'innocence accomplie, d'où leur résilience;

Quand les abeilles partent en colonie de vacances

Dans un essaim d'abeilles,

Lorsqu'il n'y a besoin 

D'leur faire un dessin;

En n'sachant à quel sain s'vouer

Ou s'dévouer !

Dans une ribambelle de merveilles,

Dès lors qu'en harmonie et en fluorescence

Sans filer au ciel le bourdon !

Les abeilles partent pour de bon

Dans une si grande colonie de vacances.

 

Jérôme de Mars

 

Handicap avec les maux

 

Paralysie générale de par les mots;

On a peut-être

Un handicap avec les maux,

Comme vouloir

En mouroir;

S'jeter par la fenêtre !

En prenant

Tout pour argent contant

Dans un cap par inadvertance,

Où l'on n'supporte plus rien !

Même le moindre refrain;

Où l'on est impuissant

Avec les maux !

Et où l'on est tout-puissant

Avec les mots !

Qu'on n'supporte plus d'entendre;

Comme je m'en fous !

Sans garde-fous !

Comme ça m'est égal !

Comme si on avait les gales,

Alors que c'est l'égal et légal;

Comme ça ne te regarde pas !

Par mégarde quand

On te dit pousse-toi !

Comme tu n'supportes plus !

Tel un intrus !

A force sans cesse de te répandre

De l'indifférence;

A cause de ta différence

En défiance,

Qui est une offense

A ton infâme enfance;

Si bien que tu ne supportes plus !

Qu'on te dise pousse-toi !

Alors que tu aimerais

Un simple coup de pouce dès fois !

Quelque fois, et parfois toutefois !

Et tu n'supportes plus qu'on te dise

On verra !

A part on verra avec les aléas !

Quoiqu'on en déduise

Dans ce handicap avec les maux;

Qui mènent vers le cap des quiproquos,

Tellement que t'as enduré

Un manque d'affection de longue durée !

Dans la bronca

Des vies brisées en crises de foi !

Dès fois que tu crois encore

Que tu n'vas pas pouvoir t'en sortir en trouvant

Apaisant et conciliant

Des accords raccords;

Où une fois naît pas coutume !

Tu trouveras au fil du temps de la légèreté

A ton enclume,

Même si tu portes un costume

Avec un masque

Pour cacher tes frasques;

Dont qu'avant que tu t'enfumes dans la brume !

Faisons en sorte

D'ouvrir par la grande porte !

Le cap vers la bonne espérance,

Dont en recap sans on-dit crescendo;

On dit cap avec les mots.

 

Jérôme de Mars

Le soleil fait le beau temps

 

A chaque jour autant !

Le soleil fait le beau temps;

En allant au front

Et en faisant affront !

Lorsqu'il y a la fièvre jaune

Du soleil à fun,

Avec aucun nuage

A l'horizon !

Malgré les orages

Vers le balcon;

Et même si le soleil

Est l'arbre qui cache

La forêt !

Autant que le ciel

Balance des ramages !

Lorsqu'arrive l'été

A la bordure

De Dame nature,

Et dont sans ratures

Qu'il pleuve !

Qu'il neige !

Qu'il vente !

Ou qu'il y ait un beau ciel

Bleu radieux !

Il faut prier à Dieu !

Effet boule de neige;

Afin qu'effet boule de neige !

Le ciel invente

Désormais autant cependant !

Que c'est pourtant !

Le soleil qui fait le beau temps.

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça fera si Florent Pagny crève de son cancer des poumons ?

-  Ca fera Florent pas né !

 

                                       Jérôme de Mars

 

Y a quoi comme débouché à L'ESAT La Fabrique ?

 

Une p'tite saynète sur ce qu'est devenu L'ESAT La Fabrique en janvier 2022 quasiment un an après mon départ de cet ESAT le 17 février 2021 :

 

Charlotte P appelle Jérôme B sur son portable :

 

Charlotte P, une ancienne collègue et agent de production aujourd'hui qui bat en retraite : 

 

-  "  Bonsoir allo Jérôme ! Comment vas-tu ?  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite de la retraite :  

 

-  "  Allo à l'huile ! Charlotte ! Car depuis que je ne suis plus à L'ESAT La Fabrique, au moins; je ne mets plus d'huile sur le feu ! Parce-que comme à L'ESAT La Fabrique, tout le monde faisait monter la mayonnaise que la mayonnaise avait fini par prendre tellement que ça tournait au vinaigre ! "

 

Charlotte P, une ancienne collègue et agent de production qui bat en retraite :

 

-  "  Et tu vois Jérôme ! Si t'étais encore à L'ESAT; en ne foutant rien au conditionnement que t'aurais fini par travailler à Lesieur de ton front !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite de la retraite  : 

 

-  "  Et tu peux aussi noter et remarquer Charlotte qu'avec Madame Valérie Perrier, que ça aurait fini par encore gazer; si bien que de nouveau, tout serait tombé à l'eau à L'ESAT La Fabrique ! Charlotte, je te laisse ! Je te rappelle tout de suite après; je vais appeler Nicolas D au téléphone pour prendre de ses nouvelles !  "

 

Jérôme B raccroche avec Charlotte P et appelle Nicolas D au téléphone :

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite de la retraite :  

 

-  "  Bonjour Nicolas, comment vas-tu mon ami ?  "

 

Nicolas D, un ancien collègue, agent de production :  

 

-  " Bonjour mon ami, si tu savais, j'en ai marre de cet ESAT, c'est tout pour ma pomme d'épis; surtout depuis que je fais les pommes, dont ce sont des pommes dépits en dépits ! "

 

Aussitôt, y a Tony A qui est à côté de Nicolas D; qui demande à parler à Jérôme B au téléphone : 

 

Tony A, un ancien collègue, agent de production :  

 

-  "  Bonjour mon pote, tu vois Jéjé, toi qui es haut comme dix pommes, ce n'est plus pour ta pomme d'api depuis que t'as quitté cet ESAT, alors que le travail des pommes, c'est tout pour notre pomme d'ADAM, avec Adam pour sa pomme qui nous aide à faire les pommes, et dont moi quand je rentre à mon foyer- appartement avec mon colocataire Guillaume, je ne rate pas ma cible envers Guillaume Tel, tout pour sa pomme à Guillaume untel ! Je te repasse Nicolas D !  Salut Jéjé !  "

 

Tony A repasse le téléphone à Nicolas D qui parle avec Jérôme B :

 

Nicolas D, un ancien collègue, agent de production : 

 

-  " Rebonjour Jérôme, si je veux quitter L'ESAT La Fabrique pour travailler à la boulangerie, je demanderai à faire un PPI ( Pour partir Indéfiniment ) en disant à Laëtitia Bergua que pour partir indéfiniment de cet ESAT que j'ai du pain sur la planche, et dont ainsi je démissionnerai de cet ESAT; indifférent et compétent, dont de votre différent et compétent Madame Bergua; c'est comme votre diplôme, vous l'avez eu dans une pochette surprise, et dont pour moi; ce sera du pain béni de travailler dans une boulangerie en dehors de cet ESAT, à ton avis Jérôme, pour que je puisse quitter L'ESAT La Fabrique et aller travailler à la boulangerie, y a quoi comme débouché à L'ESAT La Fabrique ?  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite de la retraite : 

 

-  "  Mon cher ami, je vais te refiler un bon tuyau; où pour ne pas que ton moral soit plombé à cause de L'ESAT, comme déjà tout tombe à l'eau à La Fabrique ! Où tu as déjà assez payé comme ça les pots cassés Nicolas ! Avec par exemple; Benoîte Barreteau qui a été très fausse sceptique avec toi, à cause de son cabinet de psychologue à côté des toilettes; je pense que le seul débouché que tu peux avoir à L'ESAT La Fabrique, c'est que tu aies les oreilles bouchées par rapport à ce que tous les gens te disent; et que tu te comportes comme un boucher en continuant à faire le service de table à L'ESAT La Fabrique, en rebouchant les tuyaux en attendant mieux; car avant que tu te fasses viander par Laëtitia Bergua, démissionne de L'ESAT La Fabrique; en débouchant au bon moment le champagne pour que tu rendes tout le monde bouche-bée, en faisant avaler une bouchée à Laëtitia Bergua; dont pour que tu puisses viander tous ceux qui t'ont fait du mal dans cet ESAT, ce sera que tu démissionnes de cet ESAT; en partant de façon très pétillante de cet ESAT en sortant de ta bulle, voilà mon conseil; mon ami ! A plus ! " 

 

Jérôme B après avoir raccroché le téléphone avec Nicolas D, rappelle Charlotte P :

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite de la retraite :  

 

-  "  Ca y est Charlotte; je te rappelle comme promis, j'ai trouvé un débouché pour Nicolas  D !  "

 

Charlotte P, une ancienne collègue et agent de production qui bat en retraite :

 

-  " Et toi Jérôme; ca a été quoi ton débouché pour quitter cet ESAT ?  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite de la retraite : 

 

-  "  Et bien Charlotte, le seul débouché que j'ai trouvé pour quitter cet ESAT; c'est qu'après avoir tant trinqué de ma santé à L'ESAT La Fabrique; et bien mon seul débouché, c'était de ne plus boucher les trous au conditionnement; en faisant le bouche-trous, car à chaque fois qu'au conditionnement; il manquait quelqu'un, on faisait tout le temps appel à moi pour remplacer tout le monde; donc maintenant, je trinque à ma santé à la santé des travailleurs de L'ESAT La Fabrique; ça t'en bouche un coin Charlotte, n'est-ce pas ?  "

 

Jérôme de Mars

 

Stricte art

 

Street art;

Quartier des beaux-arts,

C'est du stricte art !

Au quartier des Beaux-Arts !

Moi qui viens de Mars !

Et qui vois La Venus de Milo;

Qui part sur Venus de mille eaux,

Dont je mets de mes tripe art

En tombant des nues vers le strip art !

Dont le street art;

C'est du stricte art !

Aux arts et premiers !

Dont c'est de l'art !

D'écouter du Mozart

Avec pour rencards !

Le stricte art,

Quartier du street art !

En remportant un trophée mi-l'eau

En une Vénus mi-lot;

Dont pas de quartier des beaux-arts !

A la rue du quartier des Beaux-Arts !

Qui révise ses classiques de Mozart

En plein strip art !

En tombant des nues de mes tripe art,

Dont unanimement le street art;

C'est du grand stricte art !

 

Jérôme de Mars

Jérôme deux mars

 

De Mars;

Je suis Jérôme de Mars !

Qui mange un mars,

Et dont ça repart en Mars;

Jérôme deux mars !

Qui va chaque 2 Mars,

Ecrire Jérôme de Mars;

Hein Jérôme deux mars !

Sur la planète de Mars

Avec Jérôme Demars,

Qui mange un Mars

Au mois de Mars

Sur Mars;

Ainsi de Mars,

Jérôme deux mars !

 

Jérôme de Mars

Poisson pas né !

 

Poisson d'Avril;

T'es un poisson pas né !

Sur le grill

Dépanné,

Des pas nés !

Toi le poisson pané;

Dont t'es pané,

Pas né !

Des panés 

Dépannés !

Comme t'es un poisson pas né !

Qui a dépanné

Le poisson pané;

Pas né

Des pas nés !

Dont le poisson pané

A dépanné

Ton poisson pas né

Au mois d'Avril !

Sur le grill du fil !

En brochet,

Embroché !

Des panés;

Dépannés

Par le poisson pané !

 

Jérôme de Mars

A mes risques et puérils !

 

Je d'enfant !

Dont ma vie

N'en fut bon enfant !

Dans le moi je du Risk;

Où j'ai sans cesse pris

Des risques pas très gentils !

A mes risques et puérils !

Sur le fil émotif

Toujours piqué au vif !

Où pour moi; y a péril

En là que j'meure !

Une fois les projecteurs

Eteints et teints !

En feint en mon déclin,

A mes risques et puérils !

Quand ma vie hait docile !

Dont j'me rends qu'elle naît facile !

A penser; à penser

Ou à décompenser

Qu'il y a des cons pensés !

Pour compenser

Les gens qui avec moi n'furent réceptifs

Ou réactifs,

Surtout que j'ne suis plus actif !

Mais interactif à mes risques et puérils !

Si bien que je prends des risques stériles;

A mes risques et puérils !

Alors que pour j'prenne des risques fertiles !

Et que j'retombe bien sur mes pattes de vieux fossiles !

Autant que j'ne prenne de risques à mes risques et périls !

Dont moi, je d'enfant qui joue haut je Risk à cran tactile !

Largement à mes risques et puérils !

 

Jérôme de Mars

Ma poésie s'nourrit-elle de vers riches ?

 

Ame esseulée;

Où je m'épanche !

Quand je m'penche !

Clairsemé et distingué,

Avec pour défriche

Sans que je m'en fiche !

Et où j'aimerais vous demander

A votre avis; si vous vous entichez

De mes poèmes à volonté ! ?

Et si ma poésie s'nourrit-elle de vers riches !

Dans la pauvreté ou la liesse

D'une richesse, empreinte d'hardiesse

Envers; en vers malgré les revers

De ce monde à lents vers !

Qui frappe les rimes en prose,

Ou qui riment en osmose;

En nourrissant ma poésie solitaire

De vers solidaires,

Ou en dégustant ma poésie solidaire

De revers solitaires;

Et si pour respirer la joie de vivre,

J'me demande s'il faut que je m'enivre !

Pour que je défriche

Ma vie maniaque

Sous ammoniaque;

Avec pour niche fiscale

Une chienne de vie fatale,

Et où j'aimerais qu'on me dise !

Quoiqu'on en déduise !

Si depuis ma niche;

Ma poésie s'nourrit-elle de vers riches ?

En s'nourrissant de mots non pète-secs

Sans prises de becs,

Et dont malgré que j'sois un drôle d'oiseau !

Si un jour; je réussirai à avoir pour dernier mot !

Le fait de ne plus m'enfer en accédant à l'eldorado,

Malgré que j'suis un poète maudit !

Ayant pour mélodie;

Mélancolique et névrotique

Toutes ces idées chaotiques,

Et dont pour ne plus que j'm'en fiche !

Si jamais je cultive de l'amour sans friche !

Ma poésie s'nourrira-t-elle encore de vers si riches ?

 

Jérôme de Mars

J'ai fait le plaint d'indécence !

 

Essai pilote que je véhicule;

J'suis le pilote unique de mon véhicule,

Dont j'ai la conduite,

Et dont en ligne de conduite;

Je pars à l'aventure

Dans un délit de fuite

A bord de ma voiture,

Dont de mon vécu;

J'en ai la sangsue !

Vu que j'ai su 

Qu'assidu, il me rendit

La vie

En un calvaire,

Comme en partant à Cavalaire !

Dont je cavale l'air

Dans un trop plein de déviances;

Dont j'ai fait le plaint d'indécence !

Quand je me bidonne d'un manque de sens !

Et que je m'adonne incongru !

 A des abonnements préconçus;

Avec comme marque de fabrique

Le fait qu'en gros, je pèse plus d'une barrique !

Dans mon attitude dissolue et irrésolue

De ma vie et perdue

Dans l'absolu,

Où manque de pot d'échappement;

Je n'ai pas réussi épanoui

A trouver une accalmie

A mes tourments,

Dont à cause de la loi du silence;

Et des gens qui font preuve d'ignorance

Envers moi en n'faisant l'indifférence

De tout mon trop plein de déviances,

J'ai fait le plaint d'indécence !

Si bien que je me bidonne;

Quand tout le monde m'abandonne !

Et que je randonne en marche

Au parti d'en rire de Macron 

Dans ma démarche !

En m'esclaffant immatriculé conception,

Alors que ce n'est pas moi qui 

Dans ma vie;

A fait vraiment esprit d'invention !

Pour faire la révolution

A ce monde sous perfusion,

Avec pour sensation 

Et prémonition;

Que le monde devient plus anxiogène

Sans-gêne

Qu'hallucinogène sans gènes,

Et dont pour retrouver en gros l'innocence

Et l'insouciance

De mon enfance

Malgré ma corpulence;

Il faut que je sache

Que malgré que nul ne guérit

De son offense !

Qu'il vaut pourtant mieux que je garde aguerri

Une part d'enfance,

Dont malgré mon trop plein de déviances;

De ce que j'ai subi dans un trop plein d'indécence !

Il est temps qu'avec aplomb,

Je prenne dans la tête du plomb !

Et que je fasse le super plein des sens !

 

Jérôme de Mars

 

 

Quand on parle du relou...

 

Comme un voyou ripou !

Qui cherche des poux; 

Et bien du jeune vieux loup solitaire !

Quand on parle du relou...

On s'rend compte qu'il alloue salutaire,

Tel un jeune loup solidaire !

Malgré son état délétère;

Et dont quand les esprits s'rencontrent !

Sans aller à leur encontre !

Et bien ! On loue les vertus du loup !

Quand on parle du relou...

Bien entendu sans parler d'Odette Allou,

Car elle ce qu'elle alloue !

Et bien ! On s'en fout !

Aucun intérêt !

De s'attarder

Sur son côté voyou ripou !

Et donc ! Quand on parle du loup !

Et bien ! On loue ses atouts !

Le tout pour le tout !

Sans fourre-tout !

Et donc ! Lorsqu'il y a du redoux !

Et que tout le monde file doux !

Tels de jeunes fous !

C'est quand on parle du loup très relou...

 

Jérôme de Mars

Buée de sauvetage

 

Appel d'air;

Prenons l'air

En prenant un bol d'air,

L'air de rien !

Comme c'est dans l'air du temps !

Et que c'est dans l'air !

D'faire

D'la buée de sauvetage;

Avec pour ramages

Un appel d'air,

A voler

Et à s'envoler

Dans les 'R;

Dans le froid rude

De l'hiver,

A regarder prude !

Un oiseau libre 

Comme l'air !

Qui dégage

Une buée de sauvetage;

A première vue de ses lunettes

Au sens figuré, qui vibre

En nous en nous racontant

Comme un vieux serpent

De mer...

Quelques sornettes...

Que le ciel fait un appel d'air !

Avec pour courant d'air;

L'air sain qui fait des courants d'air !

A contre-courant populaire !

D'une buée de sauvetage

Qui a pour bouée de sauvetage,

Le naufrage de la vie;

Quand arrive la nuit !

En roulant les 'R,

D'hier à aujourd'hui !

Et dont l'air de rien !

Voici maintenant en accalmie;

Une embellie en galante compagnie,

Comme c'est dans l'air !

D'avoir un nouveau refrain 

Pour nous envoyer en l'air

Dans l'air du temps !

Où survolent les 'R

D'un ciel de printemps;

Et souhaitons que ça nous fasse !

Un bien fou en sûre face,

Avec à la clé du beau temps !

Et aucun regret résonnant;

Que la vie c'est un appel d'air !

Après avoir fumé

Notre bouée de sauvetage,

Et dont vers la fin

Qui justifie les moyens !

Où dès lors en otages;

Que nous partons en fumée !

Partons ci-possible !

De façon paisible 

En un inventaire,

Enfumé avec dignité;

En crachant en hommage

Notre buée de sauvetage.

 

Jérôme de Mars

J'aime dîne !

 

A l'Est d'Eden

Du jardin d'Eden;

A propos de James Dean,

J'aime dîne !

En brûlant ma vie

Par les deux bouts d'la chandelle;

A presque 44 chandelles,

Chères demoiselles !

Où dans ma vie; il fait en corps nuit !

En tenant toujours la chandelle;

Dont j'ai la fureur de vivre !

Sans être un géant comme James Dean !

Dont j'aime dîne !

En une sorte d'rebelle !

Qui s'veut la faire belle !

La vie ! Même qu'il y a à chaque jour 

Suffit sa peine !

La même rengaine !

Tels ses éternels côtés obscurs,

Genre vautours !

Qui me mènent

Droit dans le mur !

Tel un dur à cuire !

Qui s'en va luire et reluire

Son idole James Dean !

A l'effarouchée !

Et à l'arrachée !

Sûr le qui vive !

Telle une existence écorchée vive

Et émotive

Jusqu'au bout de sa plaine;

Dont James Dean,

J'aime dîne !

Look rebelle !

Sûr book qui fait des étincelles !

En roulant à vive allure

Avec comme roue de secours

Sa mèche, dont il vend la mèche

En fumant des cigarettes antisèches

Et sèches 

Dans une totale désinvolture;

Intrépide, dont les cigarettes

Qu'il fume montrent ses différentes facettes

De sa vie en fossettes; 

Pour qu'il parte précoce en fumée

A l'apogée d'une carrière furtive

Captive, et intensive

De sa vie qui sent la cigarette 

Du condamné; dont j'aime dîne !

J'aime fumer et enfumer en fumée !

Une taffe 

De cigarette, avant d'aller au taf

Rédiger mon épitaphe;

Pour que je l'agrafe 

Au cimetière, d'où éphémère;

Je finirai en poussière

Au ciel téméraire

Des étoiles embrasées,

Haut destin brisé !

A la manière

De James Dean;

En vers 

Sa fin crépusculaire,

A l'aube d'une vie meilleure

En harmonie

Avec ce que je suis; 

Dont je serai ailleurs !

Et nulle part ailleurs !

Pour l'après !

Puisque ce sera l'infini;

Dont je partirai en fumée !

Après avoir fumé le calumet

De la paix, en paix;

Dont j'aime dîne !

 

Jérôme de Mars

 

Le blues fait jazzer !

 

D'la musique en rythmique !

Elle m'fait rouler des mécaniques !

Mécaniques esthétiques éthiques;

Et tics !

En jouant du trombone,

Or punaise ! J'mets un trombone !

En dépassant les bornes monotones !

Genre le blues fait jazzer !

En écoutant Charlie Parker;

Par cœur !

A m'en crever les tympans !

De toute cette musique en traînant,

Qui fait un sacré boucan !

Depuis la nuit des camps;

D'où le blues fait jazzer !

Et voyager !

Dans le but de s'évader

En Mer Emergée,

Sans tambour ni trompette !

Avec lui Armstrong;

Qui luit Armstrong

Et reluit Armstrong !

Ame strong !

Qui démêla le vrai du faux !

En ayant toujours le dernier mot,

Avec Sidney Bechet;

Qui bêchait sa p'tite fleur

Dans son jardin secret,

En écoutant Charlie Parker;

Par chœur,

En naissant comme les grands

Artistes dans les choux fleurs !

Sans rancœur ! Charlie Parker;

En apprenant par cœur

Que le blues fait jazzer !

Ou jaser, dès l'obscurité

Dans l'ambiguïté,

Avant de renaître de ses cendres

Pour rendre

La clarté;

D'Armstrong,

Ame strong

En écoutant dans le vrai !

Charlie Parker;

Avec le cœur par cœur !

Qui bêchait

Sidney Bechet

Dans la ville de Sydney,

En ayant le cœur

Sur la main;

En ayant comme même refrain !

Tout leur jardin secret !

D’Éden

A L'Est d’Éden !

Dont j'aime dîne en vers eux tous !

Et puis mettons tous à eux tous un pouce

Vers, envers et contre tous !

Tous en chœur !

Sans tambour ni trompette !

En jouant d'la clarinette !

En mettant un trombone

Au trombone,

Tout en jouant du trombone !

Monotone en en faisant des tonnes !

Dont on entonne tous en chœur !

Et on détonne haut les cœurs !

Par cœur au grand complet !

Le blues fait vraiment jazzer !

 

Jérôme de Mars

Propagande

 

Langues de pub

Qui ont la langue bien pendue;

Il semblerait inopportun !

D'obtenir gain

De cause

En plaidant ses ecchymoses,

En faisant la propagande

De l'offre et la demande;

En faisant quémande

Avec en offrande,

Des secrets bien répandus;

De pourquoi la propagande

Fait que La France n'bande !

Ou débande des bandes

En contrebande !

En des grains de folie rudes,

Qui font qu'il faut tourner

Désormais sept fois sa langue;

Qui tangue exsangue

Pour s'étirer les vers du nez

Dans l'effroi sournois ,

Deux révélations qui font 

Que plus personne n'se cause !

Because des liens qui s'défont des fonds !

Au tréfonds; du très fond; aux profonds;

Où tout fond comme neige en contrebande !

De La France qui n'bande !

Et débande des bandes !

Avec pour effet de bande, de la propagande

Dans la loi de l'offre et de la demande;

Qui quémande

L'offrande, afin qu'elle rende

Cette France comme Georges Sand;

Avec dans les langues de pub

Qui s'délient, des vérités

Ou des contre-vérités en sévérités

Aux travers d'une propagande;

Qui font que plus personne n'ose !

S'y rendre quand s'indispose

La propagande,

Où plus ne personne ne s'demande !

Si dans la loi de l'offre et de la demande;

Il y a encore quelqu'un qui quémande

En s'retroussant la manche,

En faisant la manche comme un manche

Lors d'un drôle de dimanche

Etanche; afin que La France bande !

Et n'débande des bandes !

Sans contrebande

Jusqu'à l'andropause

Ou la ménopause,

Si bien que dans un fer de lance;

Pour que tout le monde se lance, s'élance !

Ou s'en balance en bandant rude !

Dans leurs travers prudes de langues de pub !

Il y a sans doute sans bâtons rompus des offrandes

A gagner !

Et à remporter !

En rempart

De par en part

La propagande.

 

Jérôme de Mars

Bail réel solitaire

 

Logé à la même enseigne;

De ma patte, j'imprègne

Un bail réel solitaire !

Après avoir tant été

Dans un good bail

En un bail réel solidaire;

Dont en restant pour un bail, 

On naît solitaire !

Et dont en étant en stand bail;

On est solidaire !

Foncièrement en étant

Mis au pied du mur !

En bâtissant une ouverture

D'esprit en étant en terrain inconnu,

Comme si un bail réel solitaire

Pouvait paraître aux yeux de certains

Un état des lieux dissolu !

En dépit qu'en bon Chrétien;

On ne laisse jamais les gens sans rien !

En appelant et en rappelant

A loger

Un bail réel solidaire,

Et à déloger un bail réel solitaire;

Pour reloger

Le tout pour un bail réel salutaire !

Dans la maison du bonheur,

En diffusant de la bonne humeur;

Avec un feu chaleureux de cheminée,

En trouvant ici là la clé de l'énigme

A ce cataclysme;

Comme à la maison !

Dont on connaît la chanson !

En étant soit dans l'allocation

Ou la location

Relou, qui reloue

Et alloue comme un vieux loup

Qui baille

En un bail réel solitaire;

Dont le tout ne ferait

Plus la gueule en ouvrant le bail

D'un bail réel solidaire,

Le tout à vos frais et à mes frais;

Aux frais du temps, s'il il fait trop frais !

Si jamais j'en fais les frais !

Pour un bail !

En stand bail;

Et dont en good bail

Pour un bail  !

Il faut ouvrir le bail,

En modifiant en temps réel

Les APL; logées au pluriel universel

En temps réel,

Et logées à la même enseigne;

Dont je m'imprègne

En voulant passer du singulier

Au pluriel,

Soit de la propriété 

D'un good bail

D'un bail réel solitaire

Que je mettrai en stand bail,

Afin que j'ouvre le bail

Pour un bail réel solidaire.

 

Jérôme de Mars

 

Je m'en lèche les bobines !

 

Jeune vieux loup solitaire;

Je n'en suis pas moins solidaire !

Malgré ma colère

De mes différentes facettes bipolaires,

Où je m'en lèches les bobines !

De mes babines

En jeune vieux loup solitaire;

Léché; a léché

Alléché et à léché !

Dont j'embobine

Tous ceux qui rembobinent

Mes bobines,

Quand je me fais des films !

En me faisant du sans d'encre d'hémoglobines

De ma routine;

Dont il suffit que je remonte aux origines

Aux racines,

Carrées et contrecarrées

De mon état qui laisse à désirer !

En mon manque d'adrénaline

Dans cette vie que je mets en sourdine !

Ou en sardines !

A force qu'on me mette en boîte !

Dont je garde en mémoire chaque poisson d'Avril;

Qui défile si bien que je suis sur le grill !

Duquel parfois, j'emboîte

Le pas de mes babines !

Tant et si bien que j'embobine

Tous ceux qui me débinent !

Qu'ils me binent

Mon jardin secret !

En me faisant déguster ma carabine

Tirée à bout portant !

Retirée; étirée; et tirée à bout pourtant !

Que j'en tire des vers d'hémoglobines,

Desquelles je m'en lèche les bobines !

De voir tout le monde se faisant fataliste

Du sans d'encre d'hémoglobines !

Que je me révolte vers le cataclysme;

Si bien qu'en me mettant en Seine;

Je me fais

Des films 

De mécène !

En étant sur le grill de l'égoïsme,

Et en n'étant dans l'individualisme;

D'une vie en manque d'héroïsme !

Que j'en prends pour héroïne,

De l'héroïne !

Où je me shoote en un je m'en foutiste

Jusqu'au boutiste !

Pour le plaisir hédoniste

D'une vie sans langue de bois ébéniste;

Dont je m'allèche les babines !

Que j'en cuisine

Tout le monde qui me cuisine !

Avec sur le grill,

Une poêlée qui fait que je me grille

Auprès de tout le monde; avec le remontant

Acide d'un agrume,

Exacerbé par mon amertume;

Dont je me dandine

En faisant semblant de porter un costume;

Or à laquelle que je dîne !

Parce-que je m'en lèche trop les bobines !

 

Jérôme de Mars

Extras vacances

 

Extravagances en extras vacances à la plage de la mer à boire la note salée;

Qui a le vague à l'âme déferlante au bout du rouleau de vagues extras vacances

Sur le sable chaud, qui secoue le coco entier en emmenant les serviettes de

Travail à la plage d'extravagances; en surfant sur la terre nette d'extras vacances,

En envoyant une bouteille de bière à la mer à boire ses déboires d'extravagances;

Quand la mer mène en bateau la terre nette en surfant sur la planche à voile et à

Vapeur, où tout baignait quand c'était du gâteau pour ta pomme d'extravagances

En extras vacances; en repassant la mer sur la planche à voile, où personne ne se

Voile la face sur la mer à la plage; à part dévoiler à la nuit tombée toute son Amertume à la mer, qui fait couler beaucoup d'encre bleue par rapport à ses bleus A l'âme; en écrivant le désespoir en extravagances des extras vacances en Mettant les voiles du bateau vers ma croisière, dont maintenant la mer de tout L'Elvis sera de dire presse les ! En chantant dorénavant; la vie est un long fleuve Tranquille sur Seine ! Dont la mer sans perdre le Nord; se retrousse la Manche Dans un océan pacifique, bordé autour d'un océan d'amour et de tendresse; dont Même si tout tombe à l'eau ! Voici à bord des extravagances des extras vacances.

 

Jérôme de Mars

 

 

Geneviève est jeune vieille !

 

Vieille avant l'age;

Geneviève est jeune vieille !

Par âges !

En n'étant une vieille

De la veille,

En étant en veille

De la vieille;

Dont Geneviève est jeune vieille !

Qui veille; surveille; éveille et veille !

Elle Geneviève; jeune vieille !

Qui vieille, sûre vieille, et vieille !

Dont Geneviève est jeune vieille !

Parmi les vieux de la veille !

Ou les vœux de la vieille !

Tels des morveux qui veillent

Des morts vieux qui

Font que Geneviève,

Fait vieille avant l'âge;

Et fait éveil par âges

Parmi les vieux de la veille !

Ou les vœux de la vieille !

Dont elle, Geneviève est très jeune vieille !

 

Jérôme de Mars

La mer qui perd ses os !

 

Que la vie soit pleine !

En tant que femme fontaine;

Avec la mer qui perd ses os !

Agitée de la sienne

De la mère,

Qui perd ses eaux !

Qu'elle est vilaine !

De sa rengaine !

Aux ecchymoses de sa haine;

Qui lui cause à chaque jour

Suffit sa peine !

En guise de roulement de tambour !

A la femme fontaine !

Avec en rengaine,

La mer qui perd ses eaux !

Dont la haine

Fait que la mère perd ses os !

Os et moi vous le dire !

Que la vie c'est à en crever d'en souffrir;

A chaque jour suffit sa peine !

Et dont au bout du supplice !

En mettant la pierre à l'édifice,

Voici un splendide jardin d'Eden !

Placide en ayant les idées limpides

Au bout de cette vie aride;

Dont après la mère agitée qui perd les eaux !

C'est en femme fontaine sereine,

La mer effarouchée universelle qui perd ses os !

 

Jérôme de Mars

 

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                                                                                                                                  A

 

                                                                                                                                   t

                                                                                                                                   r

                                                                                                                                   i

                                                                                                                                  b

                                                                                                                                  o

                                                                                                                                  r

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                                                                                                                               r

                                                                                                                               a

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                                                                                                                                à

                                                                                                                              

                                                                                                                                b

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Harcèlement solaire

 

Face à la grêle

Et à ses étincelles;

Qui font grève !

Si grâce au soleil,

Le temps faisait une trêve !

Pour que s'achève

Le harcèlement scolaire;

Et dont le soleil,

Ferait du zèle

En un harcèlement solaire

Sur La Terre solidaire,

Et plus en dessous terre solitaire;

Dont il faudrait que les injustices

Soient des sacrilèges,

Pour que le bon vieux temps

Redevienne un privilège !

Où il serait temps

Que tout le monde se rende service !

En partageant du temps

Ensemble; et en prenant

Des gants,

Les uns envers les autres;

Comme si c'étaient les nôtres !

Afin que tout le monde se vautre

Dans le harcèlement solaire

Qui rassemble;

De sorte que le harcèlement scolaire

Tremble !

Afin que justice soit rendue

Afin que ceux qui rendent le monde dissolu

Soient punis

Afin que repentis;

Ils passent d'ennemis,

Membres de l'aliénation

A des amis de la nation,

Et dont face au soleil;

Il faudrait privilégier la confiture

De groseilles,

Et plus la déconfiture

De l'oseille;

Dont pour que le soleil,

Allège ce monde sous sortilèges;

Il faudrait lui faire confiance

En toute assurance

Au soleil, afin qu'il agrège

Ce monde obscur qui s'abrège;

Et dont pour qu'il n'y ait

Plus de harcèlement scolaire,

Il faudrait illuminer

Face au temps bipolaire;

Le harcèlement solaire.

 

Jérôme de Mars

Pour 2022, je trinque aux vers de la poésie !

 

Après avoir trinqué de ma santé

De 2004 à 2021;

Comme dans un je de quatre vingt et un,

Les dés sont lancés !

Et les je sont faits !

Dont à ma santé requinquée !

De par mon moyen-âge !

Et bien pour 2022, je trinque aux vers de la poésie !

Volontaires par l'intermédiaire;

Moyen ah ! Je !

Qui fait qu'en tant que contestataire,

Je me joins à la confrérie

Des laissés-pour-compte !

Dont je me fais l'acompte

Des sans fortune !

En une sans que je sois dans la lune !

Mais sur Terre;

A me faire le chantre de la lumière

Des gens lumière,

Qui s'illuminent dans ce monde pas que délétère !

Qui peut être aussi source régénératrice en frères

Lumières jusqu'au fin fond de l'univers;

Dont avant la chute

De histoire après que j'ai trinqué de ma santé

Dans l'adversité et la férocité

En quelques vers de flûte !

Dont pour 2022, je trinque aux vers de la poésie !

A leur santé avec sincérité et amitiés !

Dont la poésie me fait tenir sur Terre !

Plus que la vie

Au sens élémentaire;

Avec pour lui rendre hommage !

De précieux et rares témoignages

De ceux que je vénère,

Ou de ceux qui sont avec moi extraordinaires

Dans une pure bienveillance populaire;

Dont connaissant la chute

De mon ver s'il chute

Dans le réverbère ou le lampadaire,

Duquel je serai mis dans la lumière;

En entrant dans la lumière nécessaire

Après avoir tant trinqué de ma santé

Entre 2004 et 2021,

Dont j'espère qu'en faim;

J'ai bien renoué avec l'entrain !

Malgré mon embonpoint

En je de quatre vingt et un,

Dont pour 2022; je trinque à la santé

En toute amitié

Aux hauts vers de la poésie !

 

Jérôme de Mars

Le poète crotté

 

Comme un air

De mélodie;

Amère de ma colère,

Qui me trotte

Dans la tête;

Je suis le poète crotté !

N'en démordez !

Dont ma mélancolie,

Fait que je suis un poète maudit !

En diverses facettes

Dans ma misère des gueux las

Dégueulasses; où je me lasse

De tout, tel le poète crotté !

Qui fait qu'il est ébranlé

Depuis belle lurette,

Avec que des saynètes

De sa face pas nette;

Tel un globe-trotteur

Et un baroudeur,

N'en démordait de ce qui 

Lui trotte à ce poète crotté !

Dont figurez-vous qu'il est gueux !

Et misérable !

Dans un état instable

Parmi des gueux; 

Qu'il soit un des gueux las,

Ou un dégueulasse; 

Limite pas fréquentable !

Avec sur la table

Ses bottes qui sentent la vase,

Ou son côté lèche-bottes qui dévasent

Toute sa colère pleine;

A cause de chaque semaine,

Qui lui paraît hautaine !

Et puis misère ! Misère ! 

Qu'a-t-il à proposer ?

Pour changer d'atmosphère;

Afin d'y passer de l'ambiguïté

A la clarté,

Dont crotte de crotte;

Vis-à-vis de ce poète crotté !

Dont ça lui trotte

Dans la tête !

Tout ce casse-tête

Pour conter fleurette !

Dont il n'en démordait

En marge du système !

Tout son théorème qu'il sème !

En vers ce poète décrotté.

 

Jérôme de Mars

Les volets volent en éclats

 

Volets en bois;

Sans langue de bois !

Il y a des volets volés,

Qui ont volé en éclats

Volé; envolé et survolé;

Envolée sûre volée

A cause des aléas,

Tandis que les volets volent

En éclats;

Envolent et survolent

Malgré les aléas,

Et sûr volent

Dans une volée volée;

Qui a envolé les volets,

Qui se sont envolés

En volets !

Dans une volée envolée

Lyrique; tels des oiseaux

De feu, feu à leur voler

Le dernier mot;

Tandis que les volets volés

En volée; envolés et en volets,

Ont survolé sur volé

Et envolé les volées volés;

Si bien que les volets,

Volent en éclats;

A cause des aléas,

Because avec pertes et fracas !

Ayant pour ultime volet en volet;

Une volée envolée en volée,

Sur volée, survolée, sûr volets,

Et sûr volée dans une envolée;

En volée de haute volée,

Et à cause des patatras;

Dus aux aléas,

Because avec pertes et fracas !

Dont les volets montrent de quel bois

Ils se chauffent ! Si bien qu'envolés;

Qu'en volée à l'envolée d'une envolée,

Ils ont survolé en volée survolée;

Un dernier volet volé,

Dont ils se sont envolés

Et se sont survolés

En une ultime volée volée à hauts volets;

En hauts volés de leur haute volée !

Qu'ils referment à volée à ôte volée,

En mettant une volée

A leur sûre volée qui a volé; survolé

Et sur volée en envolée,

Où volés; les volets envol, en vol,

En sur vol; en sûr vol et en survol;

Font que s'envolent les aléas,

Qui volent jusqu'aux éclats.

 

Jérôme de Mars

 

 

Compteur d'histoires

 

Au début de ce conte !

En exutoire

De mon réservoir,

Je suis un compteur d'histoire;

Avec des histoires à dormir debout !

Qui racontent en acompte

Que malgré que je sois à bout !

Que je bous

En abreuvoir d'histoires;

Dues à mon ancien passé

De rappeur, qui avait fait

Des histoires

A dormir debout !

Ou à croupir à bout !

Tout compte fait !

Dont malgré qu'on compte

Sur moi; le mâle est fait !

Et le mal est fait !

Si bien que sûr moi, on conte

Des histoires à dormir assis !

Ou à croupir rassis !

En mangeant leur pain noir

A mon sujet pérempté !

Moi; le compteur d'histoires,

Raconteur de ses idées noires;

Qui a sans arrêt les idées noires !

En broyant du noir

Parmi ses bobards,

Qui ne sont de simples racontars !

Moi; le gars consumé; dont au bout du conte

J'espère que je compte

Pour les gens ! Et que je conte

De belles histoires en acompte !

Dont je leur raconte

Que la vie et ses histoires,

C'est à la fois du rose et du noir !

Si bien que je raconte en fonds de tiroirs;

Le reflet de mon miroir !

Par rapport à mes bris de couloirs

Au tréfonds de mon mouroir,

Et que dès que j'arrive

A la dérive !

A la fin de cette histoire;

Avec en deça mon ancien passé

De conteur histoires,

Qui avait fait des histoires;

Desquelles pour bien conter

Et raconter

Une histoire,

Qui se termine très bien au bout du compte !

En acompte;

J'espère compter,

Conter, escompter, décompter

Et déconter des comtés;

En en faisant tout un fromage !

En un ramage

Au Comté,

En tant que conte; compte

Comte et Vicomte;

Avec au bout du compte !

De ce conte,

Que je puisse raconter

Que je compte pour les gens !

Et que les gens

Ne puissent compter inexorablement

Sur mon conteur d'idées noires !

Mais puissent conter

Sûr moi; l'inéluctable compteur d'histoires,

Raconteur au final de belles histoires.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Fruits cassés

 

Friands croissants;

Je suis friand

De croissants,

Croissants de friands !

Dont je suis friand

De fricassés !

En fruits cassés;

Tutti fruitti tracassé,

Dont j'ai un ver

Dans le fricassé !

En revers

De fricassés;

Dont je récolte le fruit

Cassé de mon travail !

Tutti frutti fracassé,

Comme un ver

Dans le fruit tracassé

Avec pour fruit défendu;

Cassé des fricassés fendus,

Dont je suis très friand croissant !

De friands trop croissants;

Avec du pain béni au chocolat,

Et du pain sur la planche au raisin;

Dont je fais des fruits de la passion

Cassés; tracassés et fracassés !

Le fruit de l'amour casé

En fricassés tutti frutti,

Use eu fruits cassés.

 

Jérôme de Mars

Entretien mensuel pour laver le cerveau et ne pas s'en laver les mains !

 

Un entretien médical au CMP de Vitry sur Seine le 19 janvier à 12h entre Jérôme Bedrossian; un patient du CMP et sa psychiatre Madame Teillet :

 

Madame Teillet, une psychiatre au CMP :  -  "  Bonjour Monsieur Bedrossian, comme se sont passées les fêtes de fin d'année ?  J'espère que pour vous ça n'a pas senti le sapin !  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP :  -  "  Ca peut aller Madame Teillet; les fêtes de fin d'année sont souvent difficiles pour moi, vous savez; ça me rappelle les antécédents héréditaires de la famille de ma mère car le jour de Noël 24 décembre 1947; le grand-père de ma mère s'est suicidé en se tirant à bout pourtant et ma mère a été conçue cette folle soirée de Noël 1947 et ma mère est née 9 mois plus tard le 20 septembre 1948; donc Noël, je pense souvent à ma mère car Noël mammaire ! Comme ce n'est pas un jour très sain pour moi ! Comme je ne sais plus à quel sain me vouer; me dévouer ou avouer !  "

 

Madame Teillet, une psychiatre au CMP :  -  "  Je vois Monsieur Bedrossian; tout cela est mâle sain pour vous !  Donc vous direz que vous avez plutôt passé de bonnes fêtes de fin damnée ou de bonnes fêtes de fin d'année !  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP :  -  "  On peut dire que j'aurai passé de bonnes fêtes de fin d'année comme je sais que ma fin sera damnée à la fin de ma vie !  "

 

Madame Teillet, une psychiatre au CMP :  -  "  Que vous êtes ubuesque Monsieur Bedrossian !  Au moins; vous êtes le bouffon du désarroi !  Et pour les fêtes de fin d'année avez-vous trinquer à votre santé ou de votre santé ?  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP :  -  "  Si vous saviez Madame Teillet; tellement qu'à L'ESAT La Fabrique, j'ai trinqué de ma santé que depuis que j'ai quitté cet ESAT que dorénavant je trinque à ma santé retrouvée !  "

 

Madame Teillet, une psychiatre au CMP :  -  "  Je vois Monsieur Bedrossian; j'espère qu'à minuit quand vous avez trinqué à la nouvelle année; que vous avez bien fait pétiller le champagne pour qu'il sorte ses bulles !  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP :  -  "  Madame Teillet, je ne vous le fais pas dire; j'ai tellement trinqué à ma santé à Minuit en étant si pétillant que je suis sorti de ma bulle !  "

 

Madame Teillet, une psychiatre au CMP :  -  "  J'espère que maintenant pour la nouvelle année que vous passerez un bon début d'année et pas un bon début damné à l'hôpital Paul Guiraud qui se fout de la charité car Monsieur Bedrossian, votre place n'est pas à Paul Guiraud surtout à Noël; de peur que vous perdiez la boule et que vous ayez les les boules en redevenant maboule !  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP :  -  "  Mais non Madame Teillet depuis que j'ai quitté cet ESAT; plus personne ne m'enguirlande alors qu'à L'ESAT on m'enguirlandait si souvent que je finissais dans le décor et l'envers du des cors aux pieds ! Je suis persuadé que maintenant que j'ai quitté L'ESAT qu'à chaque janvier de chaque nouvelle année que ce seront des années sur années de bons débuts d'année et plus des années surannées en bons débuts damnés du temps où j'étais dans ce maudit ESAT !  "

 

Madame Teillet, une psychiatre au CMP :  -  "  Je vais vous prescrire comme médicament de boire chaque jour mes paroles en trinquant au Champomy à votre santé retrouvée pour que vous restiez comme vous êtes actuellement à savoir pétillant et pour que vous continuez à sortir de votre bulle en allant du lundi au dimanche même les soirées et même les jours fériés au GEM de Vitry !  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP : -  "  Si je résume votre ordonnance pour le mois c'est de trinquer au Champomy à ma santé retrouvée en buvant vos paroles pour que je demeure pétillant en sortant de ma bulle, et ainsi je passerai un bon début d'année en n'ayant plus les boules et en ne perdant plus la boule maboule et ainsi, plus jamais personne ne m'enguirlandera et une toute dernière question madame Teillet, comment faire pour qu'à Noël; ça ne sente plus le sapin pour moi ?  "

 

Madame Teillet, une psychiatre au CMP :  -  "  Que vous passiez Noël avec votre famille ou vos amis en pensant certes; à votre mère ! Mais sans repasser en boucle le souvenir du suicide de son grand-père le soir de Noël, quand il se tira à bout portant ! Ce qui eut pour conséquences la conception de votre mère le soir de Noël 1947 ! Si vous repensez à tout cela; ce sera Noël ah ! Mère ! Alors que si vous passez un bon Noël en sachant maintenant à quel sain ! Votre mère se voue là-haut au ciel ! Ca ne ressentira plus jamais le sapin de Noël amer ! Mais dont ça sentira en paix le sapin de cher Noël ma mère en son souvenir le plus précieux ! "

 

Jérôme de Mars

Qu'est-ce-qu'on y fabrique à L'ESAT La Fabrique ?

 

Voici une saynète sur L'ESAT La Fabrique où chacun des protagonistes se demande ce qu'il y fabrique dans cet ESAT :

 

Eric T, le moniteur principal du conditionnement : 

 

-  "  Moi, je me demande ce que je fabrique dans cet ESAT; à part montrer de quel bois, je me chauffe ! Puisqu'à la base; je suis menuisier sans langue de bois, et si j'y reste dans cet ESAT; c'est parce-que j'ai du pain béni sur la planche ! "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui bat en retraite :

 

-  "  Moi, je me demande ce que j'y ai fabriqué dans cet ESAT; à part fabriquer des bijoux de famille comme j'ai beaucoup enfilé des perles ! Et donc en tirant le constat que tout le monde s'en foutait de moi dans cet ESAT ! Et bien ! Je n'y voyais plus l'intérêt de rester dans cet ESAT à cause de tous cess conflits d'intérêt ! "

 

Charlotte P, une ancienne agent de production à la retraite :

 

-  "  Moi, je me demande ce que j'y ai vraiment fabriqué dans cet ESAT; à part me fabriquer de fausses illusions sur le travail de cet ESAT soi-disant la fabrique des rêves alors que concrètement; c'était plutôt la fabrique des rêves brisés !  "

 

Michelle G, l'ancienne assistante sociale :

 

-  "  Moi, vers la fin de ma dernière année dans cet ESAT en l'occurrence à cause du Covid; je me demande décidément ce que j'ai pu y faire dans cet ESAT, puisque j'ai utilisé en ultime recours mon droit de retrait si bien que Charlotte a fait valoir quant à elle son droit à la retraite !  "

 

Sandrine R, une agent de production :

 

-  "  Moi, je me demande ce que j'y fabrique encore dans cet ESAT; étant donné que plus personne ne me donne un coup de main d'autant que j'en ai perdu la main de ma fabrique dans cet ESAT ! "

 

Christophe P, un agent de production :

 

-  "  Moi, je me demande fataliste ce que j'ai réellement fabriqué à l'atelier sous-traitance; à part être conditionné au pire, alors que maintenant à l'atelier reliure; je me livre désormais à la fabrique ! "

 

Odette A, une ancienne agent de production à la retraite :

 

-  "  Moi, je me demande si Jérôme B a fabriqué quelque chose dans cet ESAT; à part avoir tout le temps un poil à la main !  "

 

Eric T, le moniteur principal du conditionnement :

 

-  "  Tellement que Jérôme B ne fabriquait plus rien à l'atelier sous-traitance de cet ESAT, je confirme qu'il a bien eu raison de quitter " La Fabrique " à force qu'il soit tant mâle traité par tout le monde dans cet ESAT ! "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui bat en retraite :

 

-  "  Voilà pourquoi c'est la raison de mon départ de cet ESAT ! Comme je n'y fabriquais plus rien de mes dix doigts ! Avec pour marque de fabrique dont je me demande résolument ce que j'ai pu y fabriquer dans cet ESAT comme projet, à part fabriquer ma sortie sans issue; de laquelle j'ai trouvé l'issue en fabriquant une porte de sortie ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Sirène la larme à l'œil !

 

Alarme incendie;

Y a le feu à la maison !

A l'horizon du balcon

De ta mélancolie !

Où tu brûles à petit

Feu en trompe-l'œil !

En ne te rinçant l'œil !

Avec la sirène la larme à l'œil !

Où de ton orgueil,

Tu ne veux laisser rien paraître

De ton mal-être;

Si reine qui t'alarme en non-dits !

Avec une sirène sur l'amère

Depuis que tu n'as plus ta mère,

Volatilisée dans les airs

D'une autre époque linéaire;

Où tu la gardes enfouie

Au fond de ton imaginaire,

Avec la sirène la larme à l'œil !

En trompe-l'œil !

Qu'on te croit si solide

Et limpide avec des lipides;

Alors que tu es si reine de ton désespoir !

Si bien que tu déclenches l'alerte incendie,

Duquel tu t'imbibes de ta mère en déboires;

Alors qu'il te suffit juste d'une accalmie !

Même si son absence

Te paraît à l'infini !

Insoutenable comme une sentence,

En sillonnant ton purgatoire

En bris de couloirs; 

Telle la loi du silence !

A garder ton impuissance 

Et ton manque de foi en l'existence

Au fond de ton hérésie,

Où de nulle part ! Plus rien ne fleurit

Dans ta vie à l'agonie;

Avec une sirène la larme à l'œil !

En trompe l'œil !

A garder en toi ton intérieur incendie

Pour paraître bien dans ton orgueil,

Alors que t'as l'alarme incendie !

Très alerte incendie

En une sirène sur l'amère;

Si reine de ta mère,

Dont tu veux avant de pleurer

De ton être !

Et de sangloter

Les larmes de ton corps décimé;

Reconnaître que pour retrouver

Du bien être,

Bien naître et renaître !

Qu'il faut

Que tu déclenches la larme incendie

En une alarme incendie,

En te mettant bien au chaud;

Avec la sirène la larme à l'œil !

Sans trompe-l'œil !

Afin que tu démontres que malgré

Ton orgueil;

Tu puisses savoir que tu n'es plus seul !

Si reine de ton désespoir !

En ouvrant une vanne avec une sirène 

Dans la mer !

Qui aère l'atmosphère,

En ouvrant en grand les fenêtres;

Direction une sirène pour boire

L'eau de la vie,

De laquelle tu en ressortiras grandie;

Si bien que tu ne seras plus sirène

La larme; l'alarme à l'œil !

Mais si reine 

Sans trompe-l'œil de ton orgueil !

Avec ta quintessence

Où tu entreras en résistance !

D'où tu seras sirène sans trompe l'œil !

En te rinçant bien l'œil !

 

Jérôme de Mars

Gratte la guitare !

 

Mille et une épate !

Comme un coq en pâte;

Gratte la guitare !

Dans le tintamarre

En larguant les amarres,

Allongé sur la mare;

D'où de ta mélodie Anglo-saxonne,

Tu files à l'anglaise en klaxon !

Quand ta musique résonne

En une mélancolie qui file le cafard !

Et dont en étendard;

Gratte la guitare !

En faisant sonner la musique

Et les chansons mélodiques,

En fredonnant à coups de standards

La nostalgie des tubes à essais;

Qui conquit l'auditoire à répéter

Encore et encore les chansons,

Qui rendent heureuse ta passion

A l'unisson en chantant ton répertoire

Au bistrot du comptoir;

Et dont gratte la guitare !

Pour clore le blues de ton histoire,

Qui rappelle tes vieux démons

De ton côté ange et fripon;

Et dont pour donner rencard

A ton auditoire sur le fil du rasoir,

Gratte une avant-dernière fois ta guitare !

En ne perdant le fil dérisoire;

Et comme ton côté animal,

Tu préfères l'original

A la copie que t'empales

De ton visage pâle !

Et pour terminer ta mélodie

Comme un exutoire;

Garde ta répartie qui t'est impartie !

Et résultat de l'histoire,

Ecris en lettres trempées

De ton caractère bien trempé;

Ton côté désabusé,

Comme dans une chanson

De blues trottoir;

Et va sur le trottoir !

Déchanter ton désespoir

En étendard

De ton standard !

Et gratte ton blues qui fout le cafard !

A l'arrachée de ton médiator,

En accord raccord

De la dernière note salée de la guitare !

 

Jérôme de Mars

En train

 

 

 

1)  Sur les rails je suis en train de faire un calligramme avec pour locomotive un

    eurs

m                                                                                                                       2) T

u                                                                                                                            r

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e                   15) Ayant en faim pris le train à la bonne heure                             à

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i                          t                                                            16) A                            v

t                         n                                                                  p                             a

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a                        a                                                                  è                             e

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                    5)   V                                                       6)   S

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     7)  Train de fumer le                                 11) En train de tracer ma route en

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      taillant en paix la De 9)                      14)   M

                                                                         sûr train en chemin droit le Dans 13)

19) Je suis en train boute en train avec entrain de rattraper mon retard en train

           21)  C                         22)  B                            23)  E       24)  A       25)  D

                  o                                 o                                    n              u               '

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                        i                            mine                              ant           rbon          rain.

20) Avant d'arriver à destination de ce voyage à l'en vers dans ce monde à l'envers

 

 

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une fleur qui avait un grain de folie...

 

En écoutant petite fleur de Sidney Bechet;

Si on bêchait

Une fleur qui avait un grain de folie...

On ferait aimer

Les saisons fleuries

Dans leur immense folie,

Dont ce serait le bouquet !

D'avoir en un bouquet de chênes !

Michel Bouquet et Carole Bouquet;

Qui s'déchaînent 

En une fleur qui avait un grain de folie...

Genre une rose qui en ayant une vie en rose,

Ferait une pétale de rose

Et une feuille de rose

En faisant de la sinistrose

Un magnifique bouquet de roses;

Qui prendrait la pose

En une fleur qui avait un grain de folie...

Dans son bouquet fleuri,

D'après petite fleur de Sidney Bechet !

De façon à semer

De l'amour pour bêcher

Le jardin secret

De l'univers

Dans sa jolie Terre;

Avant tout pour que tout le monde sème

Et parsème dans une vie de bohème,

Avec pour thème;

Un jardin fleuri,

Qui planterait la graine

Et aurait pour jardin d'Eden !

Une fleur qui avait pour la vie

Un si grand grain de folie...

 

Jérôme de Mars

Jamais deux sans trois

 

Une petite saynète entre Alexandre S, ses parents Jacques S, Hélène S et sa tante Janine G sur fond de vicissitudes

 

Janine G, la tante d'Alexandre S :  -  "  Bonjour Hélène, comment vas-tu ? Comment va-t-il Jacques ?  Et comment va-t-il Alexandre ? "

 

Hélène S, la mère d'Alexandre S :  -  "  Bonjour Janine, tu te rends compte ! Alexandre n'arrive pas à quitter notre appartement pour aller dans le sien, comment fera-t-il pour vivre et se gérer quand moi et Jacques, on ne sera plus là ?  "

Janine G :  -  "  Ma chère sœur, je comprends tes inquiétudes, je pense que quand toi et Jacques vous ne serez plus là qu'Alexandre sera logé à la même enseigne que tout le monde et qu'il pourra demander l'hospitalité à Dieu pour être logé à l'autel du Bon Dieu; en confessant ses péchés au curé lors du confessionnal ! "

 

Alexandre S :  "  -  Bien sûr super bulot; que tu as oraison car pince-moi je rêve ! J'en pince de Dieu de la religion avec mon père en protestant que je contemple pour me raccrocher à la vie alors que tu vois Janine; je n'ai rien contre les témoins de Jéhovah, mais tu es témoin que ça me donne envie de courir en protestant contre les extrêmes; tu vois Janine ! Comme je vais au temple avec mon père je n'y vais pas pour tenir la chandelle si bien que quand je vais au temple; je ne prends jamais ma vessie pour des lanternes pour m'éclairer en m'ouvrant à Dieu ! "  

 

Jacques S, père d'Alexandre S :  "  -  Que tu es marrant mon fils avec tes plaisanteries d'un enfant de 5 ans; si depuis le temps que tu étais ouvert sur le plan social; que Mr  Gobet était ouvert avec toi sur le plan médical en te donnant les bons médicaments; on aurait trouvé depuis longtemps la clé de l'énigme pour stabiliser ta pathologie  !  "

 

Alexandre S :  "  -  Papa Belmondo si j'étais acteur de ma vie; j'aurai eu le beau rôle pour trouver la solution et une issue à tous mes problèmes, avec tout le mauvais traitement que j'ai subi depuis que je suis enfant après tout ce mauvais traitement; j'ai besoin maintenant et dorénavant que MR Gobet; mon psychiatre au CPRS de Villejuif me donne le bon traitement; le tout pour que je prenne mes médicaments en fonction de mes humeurs !  "

 

Jacques S :  "  -  Mon cher fils; j'ai la solution; fais un billet d'humeur pour que Dieu te pardonne d'avoir maltraité hier mon ordinateur en effaçant mes données vu le traitement du contexte !  "

 

Alexandre S :  "  -  Au nom de Dieu, je suis témoin de Jéhovah car je vous aime mes chers parents ainsi que toi; super bulot, car pince-moi je rêve ! J'en pince tellement enfin de faire un billet d'humeur à l'ombre de mes vieux démons pour être et rester dans la lumière de mon frère Jérôme; et tenez-le vous bien ! Le tout dans la bonne humeur ! " 

 

Jérôme de Mars

 

Le laboratoire JB

 

Moi, JB; je crée le laboratoire JB à tubes à et sait, qui sait quel échantillon élaborer pour préparer la fameuse potion à idées novatrices avec un flacon; dont l'antidote a la science infuse, en ayant la physique et la chimie des sentiments; quand les idées fusent dans un flacon renfermé, comme un robinet d'eau tiède qui teste des produits faits maison dans le laboratoire JB; avec moi, JB, qui teste des produits pour me doper au négatif; afin de ne pas attraper le Covid 19 dans mon laboratoire à idées, d'où je cherche en antidote le bon vaccin; avec en piqûre de rappel un échantillon d'idées neuves lors de chaque nouvelle année, dont de mes excès; j'en fais des tubes à essais avec dans mon échantillon, un fascicule de produits de démonstration; si bien que moi, JB, j'ai de la suite dans les idées en refilant des tuyaux; avec dans les tuyaux le laboratoire JB ! Où pour que je puisse transformer l'essai après avoir été pris à l'essai ! Autant que je confirme l'essai  ! Car qui ne tente rien n'a rien grâce au laboratoire JB !

 

Jérôme de Mars

Big soûle

 

Dialogue entre Jérôme; la face claire, qui se soûle aux vers de poèmes et Geronimo; sa face obscure, qui se soûle aux revers de mise en bière !

 

 

Jérôme :  "  -  Alors Geronimo, comment vas-tu ?  "

 

Geronimo :  "  -  Je vais mâle comme je prends de la bouteille en vin blanc; en repensant sans arrêt à la mise en bière de ma mère, depuis sa mort, tous ces revers me soûlent dans ma vie, où je lui envoie une bouteille à la mère ! La mère de tous les vices !  "

 

Jérôme :  "  -  Je te comprends Geronimo, mais moi pour ne pas sombrer et me jeter à la mère dans le vague à l'âme, je m'enivre en me soûlant aux vers de mes poèmes dans mon port d'attache !  " 

 

Geronimo :  "  -  Tu vois Jérôme, je suis sombre et obscur car quand j'étais à L'ESAT La Fabrique, et bien je prenais de la bouteille en faisant Dugas au conditionnement, et j'étais tellement conditionné au pire que tout le monde me mettait en boîte qu'à force tout me soûlait dans cet ESAT en même temps que je me soûlais aux vers de Dugas !  "

 

Jérôme :  "  -  Si tout te soûle et bien Geronimo, écoute James Brown dans sa soûle musique quand il déchante la vie avec une bouteille de bière à la main; en souvenir de ta mère qui se soûlait aux revers de la bière, et te soûlait en t'enivrant en vin blanc dans sa mise en bière aux vers ! "

 

Geronimo :  "  -  Que peux-tu me souhaiter pour ce 31 décembre 2021 à part me soûler aux verres avant ma prochaine mise en bière ?  "

 

Jérôme :  "  -  Que plutôt Geronimo; tu t'enivres et tu te soûles dans mes vers de poèmes; en prenant la bouteille à ta mère, d'où qu'elle est pour prendre de la bouteille, loin de ton vague à l'âme pour amerrir et émerger à distance de la partie immergée de ton iceberg; en surfant sur la mère dans une nouvelle vague déferlante en vain blanc, émise en bière écrite de mes poèmes qui feront couler beaucoup d'encre dans ta vie; où tu te soûleras enfin dans une vie plus saine, en te mettant aux vers !  "

 

Geronimo :  "  -  Mais pour me mettre aux vers et passer un bon 31 décembre 2021 avant de débuter l'année 2022, à quoi trinquer ?  "

 

Jérôme :  "  -  Après que t'aies tant trinqué de ta santé Geronimo; soûles-toi aux vers de mes poèmes en te mettant aux vers, afin que toi et moi; on puisse trinquer à ta santé retrouvée en 2022 !? "  

 

Jérôme de Mars

Chanson à couplets les gens !

 

L'amour qui roule toujours !

A refrains

De troubadours;

Y met son grain

Et émet du grain en veillant au grain !

Où il y a parfois l'amour qui joue des tours !

En train, très boute en train,

Avec pour refrains;

Une chanson à couplets les gens !

Accouchée de je d'enfants !

Dont la rengaine,

Est de débuter chaque semaine;

Quand l'un dit !

Que Marc dit !

Qu'au mercredi !

Que je dis !

Que vendre dit !

Que ça me dit !

Quand t'as dix manches

A balais !

A avoir quarante ballets

De danse à rat le bord !

Avec en virant de tribord

La chanson à couplets les gens !

Accouchée de je d'enfants !

Lors d'un coucher de soleil,

En mettant en veille

Les jeunes et les anciens;

A coups de refrain !

Avec la chanson à couplets les gens !

A la carte vermeil,

Accouchée de je d'enfants !

Qui font areu areu littéralement fans de BB;

De Brigitte Bardot qui les rend bouche-bée,

Dont la chanson à déboires;

S'termine à boire !

En fin de répertoire !

En brèves de comptoir,

En chantant les amours différents;

Et en déchantant les jours indifférents

Du poète troubadour,

En un compte à rebours;

Avec à la carte des merveilles,

La chanson sans racontars !

A couplets les gens !

Avec en refrains;

Tous ces machins !

Accouchés obstinément

Enjeu d'enfants !

Or ! Nul n'est tenu à l'impossible !

Pourvu que le monde reste paisible !

En buvant le désespoir

Des chansons à déboires !

Et en buvant conciliant

Et réconciliant

Une bonne gorgée en sirotant ambiant,

Dans la paix; la fraternité

Et la liberté

Une chanson décidément !

A couplets les gens !

Accouchée d'en je d'enfants !

Signé en je bon enfant !

 

Jérôme de Mars

Rock'n'roll l'ovaires

 

Comme un œuf brouillé;

Je marche sur des œufs embrouillés !

Dont d'œufs, je me suis débrouillé

A clarifier mon obscurité,

A base de pureté

Malgré ma malsaine puberté;

Dont résultat des vers,

J'ai fini par ardemment

Couper le cordon ombilical;

De façon frontale

Avec ma mère,

Dont j'ai fini aux forceps;

A accoucher de ce texte

Du bout de mes biceps,

Vu le contexte

En ce rock'n'roll l'ovaires

Qu'ils sont infâmes;

Les ovaires

A ma mère !

Qui s'enflamme

En écriant aux vers,

Il y a le feu dans la chaumière

Mise en saccage de sa tanière;

Comme un lion dans sa cage

Ou un marécage,

Qui sent la vase ah ! Mère !

Il y a un rock'n'roll l'ovaires

Dans sa Rolls Royce en rock de pierre;

Qui m'joue à l'envers !

Le nouvel an en vers

Lents, dans un verlan chébran;

Qui a les portugaises ensablées,

Qui dérègle ses machins de cycles mammaires

A Noël ma mère !

En ce rock endiablé;

Qui a diabolisé

Et atomisé

Son rock de pierre,

A ma mère !

En un rock'n'roll l'ovaires;

Des prunelles de son cœur

De lover,

A ma mère !

Dans son crépuscule délétère

Depuis qu'elle repose

En poussière;

Au cimetière

En peau des et les faons

Elégants !

En pantalons à pattes d'elfes,

Le jour de Noël mammaire !

En prenant des gants;

Avec la mémoire de ma mère

En ce rock de pierre,

A ma mère feu sa mémoire !

Avec pour déboires

Son inventaire; 

Qui m'laisse austère !

De ce que je n'ai pu faire

Pour elle !

En ce rock'n'roll l'ovaires,

Elle; la lover

Et moi le rocker

De poèmes troubadour;

Qui arrime en voulant ajour

Un beau séjour !

Au royaume des immortels

Dans le ciel extraordinaire,

Dont en cette fin d'année crépusculaire;

Vive le rituel

A l'autel des immortels !

Destiné au ciel messager universel,

Dont je crie de ma voix rocailleuse

Et ténébreuse;

Vive aux vers !

Lover !

De mon cœur de rocker !

A ma mère mammaire,

En ce rock'n'roll définitivement très l'ovaires.

 

Jérôme de Mars

Tour de magie

 

Tour de baguette magique !

V'là le magicien des mots;

Qui de par son chapeau,

A un stylo;

Qui mène le monde à la baguette,

Avec soit une baguette de pain;

Ou soit une baguette de rupin 

En un tour de magie,

Pour remplir ce monde de féérie 

Sans poser de lapins;

Qui diront chapeau !

Le tour de magie, 

Avec un oiseau qui vole !

Et sûr vole !

Les hauteurs avides

D'un magicien placide;

Qui donne le mot

Au perroquet,

Qui dit karaoké  !

En chantant avec l'ara

En un tour de magie;

Très à cheval dans l'ara !

Quand ce magicien,

Qui est un drôle d'oiseau;

Semble malin et enclin,

A déjouer les tours 

En des tours qui valent le détour !

Avec les canaris;

Aux Iles Canaris

En ce tour de magie,

Qui régale d'utopie;

Les fameux devins

En donnant un coup

De chapeau en ce tour

De ripoux fourre-tout !

En disant chapeau !

Ton tour de magie,

Dans ce monde qui regorge

De féérie;

Qui forge

Son caractère,

Bien trempé;

Qui dégorge

Ses lettres détrempées

De sa colère,

Qui envoie en l'air

Sa baguette magique;

Et s'envoie en l'air

Avec un tapis roulant,

Déroulant le temps

En une vitalité;

Qui mène le monde à la baguette

De pain 

Et de rupin,

En refaisant un dernier tour

De magie libertin;

En remontant la braguette

De ce magicien maestro,

Avec pour dernier mot;

Rendez-vous mes p'tits lapins !

Sans vous poser de lapins 

A vous mes p'tits malins !

Il était une foi la féérie

En un détour de magie.

 

Jérôme de Mars

Atomes crochus

 

Science infuse;

Ayant les idées qui fusent !

J'ai des atomes crochus

Avec certains de mes amis,

Qui me comprennent !

Avec lesquels je traîne

Après tous mes hématomes fourbus;

Où j'ai de la suite dans les idées !

De ma vie dissolue perchée,

A chat percé et transpercé !

En reconnaissant in fine déterminé;

Qu'il vaut mieux avoir des remords

Que des regrets qui nous laissent

Pour mort,

Et qui affaissent

Tant notre espèce menacée;

Malgré plusieurs atomes crochus,

Avec ces amis qui vous reconnaissent

Comme si on s'était toujours connus !

Dans cette vie aux abois et débats;

Assaillie d'aléas rabat-joie,

Composée d'affinités

Et de véracité certifiée;

Avec le temps où l'on connaît

Ses amis,

Entre nostalgie et état d'esprit;

En atomes crochus,

Qui laissent la science infuse;

Suspendue en ayant la langue bien pendue

Malgré la langue de bois imbue

A la ballade du pendu,

Et plus si affinités !

Qui avec le temps passant;

Erige édifiant

Une affection longue durée

Entre les vrais amis,

A la mort, à la vie !

Avec des atomes crochus;

Qui consolident les théories

Et les idéologies,

De s'apprécier malgré

Les différences qui

Au final; sont complémentaires

Et salutaires,

En formant un duo très complet;

Et dont avec les atomes crochus !

Qu'il y ait ou non des affinités,

Ce qui compte !

C'est qu'en acompte !

Face à l'adversité

Et dans l'authenticité;

Il y ait de la réciprocité !

Dans un face à face résolu

Et qu'en dénouement, tout cela

S'dissout en une grande amitié;

Et fraternité avec singularité,

Avec bien entendu !

Et plus si affinités !

De grands atomes crochus.

 

Jérôme de Mars

L'hiver à tous les temps !

 

D'après Vivaldi et les quatre saisons !

Parfois; les quatre saisons

Sont pliées en quatre !

En tout cas en essuyant les plâtres,

Avec à chaque saison l'oraison;

Dont à la lisière

De l'ancienne année surannée;

Et de la nouvelle année sur année,

Il y a la sûre année;

Qui fait la météo en faisant

La pluie et le beau temps,

Et en parlant

De la pluie et du beau temps;

Comme l'hiver à tous les temps !

Qui givre en jetant un froid,

Glacé; gelé; con gelé

Et sûr gelé;

En ayant la gueule de bois,

Effet boule de neige !

Quand il neige !

Des privilèges qui allègent

Les sacrilèges !

Des flocons de neige;

Et des giboulées de Jérôme de Mars,

Qui grêlent

Celui ou celle qui fait du zèle !

En faisant tomber des grêlons;

Effet boule de neige

Lors de chaque mois de décembre,

Où il fait froid ! Neige comme hiver;

Comme l'hiver à tous les temps !

Qui vante son soleil !

Qui vente; évente ou invente

Un sortilège cruel ! 

Avec l'aide d'un parapente,

Qui incante en hautes altitudes;

Un soleil bleu radieux en plénitude,

Avec aucun nuage à l'horizon;

Grisant en un joli bonheur sans nuages

Sur le tarmac du balcon,

En ses ramages perdant leur plumage;

Comme l'hiver à tous les temps !

Qui s'des temps ou s'détend !

En écoutant le vent vendre du vent !

En mettant de l'eau à son moulin à vent,

Qui souvent; joue de la flûte de pan !

Et paon ! 

Voici l'oiseau de toutes les couleurs !

Qui sûr vole les hauteurs du temps,

Qui met des bouffées de chaleur

En ces temps et instants abondants;

Avant que tout foute le camp !

Lors de la nouvelle année sur année,

Après l'année surannée;

Dont résultat ! Il y a une sûre année,

Qui répand un courant d'air;

Comme l'hiver sans fin absolu

A tous les temps révolus !

 

Jérôme de Mars

Le Mossad est maussade au Maghreb !

 

Maghreb de canards;

Il y a le soleil sulfureux

Avec des canards boiteux,

Si bien que le cagnard

Se demande unanime !

Avant que ça s'envenime !

Si au Maghreb; tout le monde déprime

S'comprime et comprime

Tout le monde et leur humanisme !

Ou si tout le monde a de l'optimisme

Et est pour l'altruisme;

En étant distant avec l'individualisme et l'égoïsme,

Et si à l'ambassade;

En étant à la foi placide

Et acide,

Le Coran affirme

Que Le Mossad est maussade

Au Maghreb !

Depuis Berbère Oued;

Qui charria

La Charia

Des réacs,

Avec un passage à l'acte !

En vers les récalcitrants

Et les gens bienveillants;

Qui veulent la paix au Moyen-Orient,

Si bien que par conséquent;

Il y a une alerte à la bombe,

Dont c'est de la bombe !

Et une bombe à retardement !

Ce qui en retombe d'outre-tombe !

Depuis les catacombes;

De ce qui leur incombe

Aux Occidentaux dans leur crime de L'Orient

Express ! Qui compresse, oppresse

Et stresse en causant une détresse

Aux musulmans à l'ambassade;

En affirmant mécréant que le Mossad

Est maussade

Avec La Charia !

Qui charria

L'angélisme ou le salafisme

Des Musulmans,

Avec une bombe à retardement

Vies à vies des Juifs Séfarades;

Dans la ballade des gens onéreux,

Heureux ou malheureux !

En proclamant un appel à la paix extérieure;

Après tous ces conflits intérieurs

Sur La Terre de nos aïeux

Au nom de Dieu,

Dont pour que les Occidentaux; Les Musulmans

Se réconcilient avec Les Juifs Séfarades,

Il faut que tout le monde fasse fi des religions !

Et soit légion en une union

Libre dans la paix; l'harmonie;

Et l'amour quelque soit l'ethnie !

Avec au bout la paix,

Une grande communion

Entre les différentes communautés;

Dont voilà maintenant !

A chaque ambassade,

Le Mossad maussade

En embuscade;

Si bien qu'avec un bâton de Pèlerin,

Voici enfin de l'amour en vers son prochain !

A l'ambassade

Du Maghreb ! Avec enfin

La fin qui justifie les moyens !

Quand bien traité grâce à L'OTAN;

Le Mossad n'est maussade

Au Maghreb !

 

Jérôme de Mars

Fais-sourire la pluie !

 

Du bout de tes p'tits doigts !

Avec la dextérité

De ta guitare en bois;

Fais-sourire la pluie !

En un grattement de guitare,

Et fais-rire le puits !

Des rêves; afin que plus

Personne n'ait le cafard !

En appréhendant la peur

De l'inconnu !

Avec pudeur;

Et pour que dans la vie !

Il y ait une embellie, 

Fais-sourire la pluie !

Avec sœur sourire !

Afin de rire 

En bonne compagnie !

Au nom de Dieu !

Et des plaisirs

De la vie

Au nom de toutes les différences !

Où le tout forme la 5ème puissance

Du monde; bardé de confettis !

Et puis ! Pour que le puits

Se remplisse d'illusions !

Rends la vie en une pléiade de féérie,

Dont la magie 

Regorge de floraison !

Sans fausses illusions !

Mais avec des papillons

Dans un effet papillon;

Qui jalonne la vie

En un florilège,

Qui allège le sacrilège

Des gens envers ceux;

Qui ont une pléthore de privilèges,

Et fais sourire la pluie !

Afin de rire de la vie !

Sous une satire d'accalmie;

Qui fait le temps d'un répit !

Une chanson d'accoutumance,

En émancipant la semence

Et son essence 

Dans une quintessence;

Avec en régénérescence 

L'amour de la vie, 

Qui ressurgit inouï

En une panoplie qui arbore

La vie dans un folklore !

A l'effigie de toutes les flûte de pan !

Et de tous les instruments à vent !

Et avec sœur sourire !

Fais rire le printemps !

Tout le temps ! Et longtemps !

A l'infini en un huit infini !

Et sans discontinuer,

Fais-sourire la pluie !

De façon effrénée

Ainsi ! En toutes circonstances !

 

Jérôme de Mars

Je me présente aux présidentielles 2022 pour représenter les vers !

 

Ayant recueilli les 500 parrainages ;

Avec 500 par un âge de mes 43 ans,

Je me présente aux présidentielles 2022

Pour représenter les vers !

En vers ma colère; en tant que poète maudit

De chaque mot dit !

Où je me présente pour mettre en application

Un programme plus social

Que libéral de sécurité sociale, afin d'y apaiser

Le climat social dans son environnement

En France; en érigeant les maisons

Du Cœur en réquisitionnant les logements

Vides destinés aux sans-abris,

De sorte que tout le monde soit mis

A l'abri; avec aussi la fusion 

De toutes les allocations en un revenu

Universel, uni vers celles des allocations

Telles que L'ASS, Le RSA; La Prime d'Activité

Et le Chèque Energie; Les Allocations 

Familiales, à part l'APL; L'AAH

Et L'ASPA; l'ancien nom du minimum

Vieillesse qui resteraient comme tels,

Le montant de ce revenu universel;

Serait estimé à 700 Euros par mois,

Sans obligation de contrepartie 

Pour les personnes fragiles et handicapées,

Mais si les gens travaillent;

Je propose que les 700 Euros

De leur Revenu Universel soient ajoutés

A leurs salaires, ce qui pourrait donner

Pour ceux qui travaillent; des revenus

Mensuels avec un minimum de 1200 Euros,

Et un maximum entre 2500 Euros et 3700 Euros;

En augmentant leur pouvoir d'achat,

Le plafond de revenus pour être éligible

A ce revenu universel; serait de percevoir

Un salaire inférieur ou égal à 3000 Euros par mois,

En me présentant aux Présidentielles 2022

Et en représentant les vers parmi les revers

De rage; je propose qu'au lieu d'augmenter

Les impôts, et bien pour résorber la dette contractée

Par le Covid; que pour financer la protection

Sociale, que chacun débourse une somme 

D'argent mensuelle en fonction de ses moyens;

Avec un minimum de 15 Euros mensuel

Pour les non-imposables et un maximum 

De 250 Euros mensuels pour les hauts revenus,

Dont leurs contributions mensuelles

Serviraient à financer la protection sociale;

Et à rembourser quelque peu la dette Covid,

Qui seraient remboursés de moitié le même mois

Par les impôts avec un crédit d'impôt contemporain;

Afin que chacun y trouve son compte au bout du compte,

En tant que candidat des vers; je proposerai

Aussi que les soins de pédicure-podologie,

Soient remboursés à 50 %; 25% par

La sécurité sociale et les autres 25% 

Par la mutuelle, et je propose aussi

Que pour faire couler beaucoup d'encre;

Qu'on encourage davantage les artistes

Troubadours à publier des poèmes

Et des livres sur Internet, et que la moitié

De leurs droits d'auteur; soient versés

D'office à des associations caritatives,

A part évidemment les artistes

Précaires bien entendu;

Pour le chômage; je propose que les gens

Qui peuvent travailler, qu'on les oblige à travailler

Mais pas à n'importe quelle condition;

A condition que leur travail soit intéressant,

Et même si le salaire est modeste au début;

Je propose que concernant les salaires

Des employés en même temps que

Leurs carrières professionnelles, qu'il y ait

Des marges de progression proportionnellement;

Aussi bien du côté des salaires que du grade,

En montant du bas de l'échelle

Et en gravissant les échelons; quitte à atteindre

Au dernier stade et en ultime recours,

Un poste de direction et pour les fins de 

Carrière difficiles à cause des métiers pénibles;

Je propose que les anciens salariés pour passer

Le relais progressivement, fassent la transmission

De leurs expériences aux nouveaux arrivés

En poste; pour que les novices exécutent

Les tâches professionnelles pénibles;

Je propose que dans les écoles pour

Qu'il n'y ait plus de harcèlement scolaire, qu'il

Y ait des éducateurs dans les écoles

Que ce soit de la maternelle et à l'université;

Pour réguler les comportements inappropriés

Entre les élèves déviants; concernant la

Justice, je propose que pour les crimes

Les plus graves; que les coupables

Soient condamnés à la perpétuité;

Et pour les délits les plus légers

Pour dégraisser la surpopulation

Carcérale, je propose qu'il y ait

Des travaux d'intérêt général

Qui soient imposés aux délinquants;

Pour les remettre sur le droit chemin,

Concernant le cannabis; je propose

Qu'on le légalise, juste à des fins

Thérapeutiques pour soulager

Les douleurs des patients concernant

Leurs pathologies par le biais du

Cannabis thérapeutique; concernant

L'immigration pour limiter les délits

Et les crimes; je propose que les

Immigrés par rapport à leur demande

D'asile et d'intégration en France;

Qu'il y ait soit l'assimilation d'office,

Ou soit une période

D'essai d'office qui serait renouvelable

Tous les 20 ans; même s'ils obtiennent

La nationalité Française, quant au maintien

De leur présence en France pour

Etre sûrs que les étrangers;

Candidats à la nationalité Française,

Soient intègres et se plient aux règles

De La France; tout en respectant

Leurs convictions religieuses qui 

Doivent se pratiquer dans l'intimité,

Je propose que par souci

De l'harmonie du climat social

En France et pour que l'environnement

Ambiant soit agréable et bienveillant;

Qu'il y ait 3 jours solidaires

Obligatoires en France chaque

Année, répartis soit la même semaine,

Ou soit fractionnés en plusieurs jours

Dans l'année; où chacun exercerait

Une mission humanitaire 

D'intérêt général dans le lieu

De son choix, soit pour

Une association caritative;

Une structure médico-sociale,

Ou un institut social d'utilité publique

A but non lucratif; je propose aussi

Que dans l'année, également

Afin de favoriser l'affection

Et la fraternité; qu'il y ait

5 jours d'affection longue durée,

Afin que tout le monde

Se fasse une accolade 5 jours 

Par an; dans les mêmes modalités

Que les 3 jours solidaires, et enfin

En avant-dernier point; je propose

Que pour les retraites que les

Gens qui veulent continuer à travailler,

Après l'âge légal de départ à la retraite

Qu'ils puissent y avoir pour eux;

Un compte retraite en plus de leurs salaires,

Mais dont tant qu'ils sont en activité

Professionnelle, seule leur salaire

Serait versée; tandis que leur compte retraite

Cumulerait toutes les pensions de retraite

Mensuellement; à partir du temps 

Où ces salariés auraient du arrêter normalement

De travailler à l'âge légal de départ

A la retraite, et dont lorsqu'ils arrêteront complètement

De travailler, ces personnes toucheront en plus

De leur pension de retraite; un rappel amassé 

De leur compte retraite qui aurait du leur être versé

S'ils avaient pris leur retraite à l'âge légal de départ

A la retraite, et ces employés

Qui travaillent largement après l'âge

Légal de départ à la retraite; pourront

S'ils le souhaitent commencer

A réduire progressivement

Leurs activités professionnelles

A partir de 68 ans, et cesser

Complètement leur carrière

Professionnelle à l'âge maximal de 

80 ans; et en dernier point, je propose

Que pour la santé des Français à travers

La sécurité sociale que son financement,

Soit géré dans les mêmes modalités

De conditions que pour

Le reste de la protection sociale Française;

Concernant la pérennité du modèle social

Francais, voilà ! Et pour que tout le

Le monde soit logé à la même enseigne;

Je propose qu'il y ait un droit au logement

Obligatoire, avec un relogement obligatoire

Envers Les Francais qui sont expulsés

De leur logement social ou privé;

Sous peine d'amende pour les collectivités locales

Et l'état, et je propose que pour ceux

Qui ne peuvent pas travailler; qu'on

Encourage ceux qui veulent, à faire

Du bénévolat moyennant des tickets-restaurant

Ou chèques-cadeaux pour les inciter, les motiver

Et les récompenser de leur bénévolat;

Car si en tant que bénévoles, ils reçoivent

Un peu d'argent; ça risque d'impacter

Leurs allocations, voilà mon programme

A moi le poète maudit qui me présente

Aux présidentielles 2022 avec mes vers de rage;

Pour représenter les vers à cause des

Revers de la crise, dont pour limiter les effets

De la crise; il vaut mieux avoir

Ou faire une crise de rire...

 

Jérôme de Mars

 

 

Pass majeur et vacciné de bonnes fêtes de fin d'année !
Si dans la vie,
Tu pèches du saumon fumé !
En ne fumant le calumet
De la paix !
Et que tu n'as plus la foi
A cause de ton foie gras !
Et ben ! Tu es grillé comme tes toasts !
Auprès de tes convives !
En trinquant de ta santé
A la santé de ceux qui bûchent
Dur pâtissier !
Pour qui ce n'est jamais du gâteau !
Quand les gens vomissent;
En faisant une galette des rois,
Et dont pour que les fêtes de fin d'année;
Se passent bien et ne soient défaites
De fin damnée qui trépassent !
Pourvu que tout le monde n'ait
Les boules en perdant la boule !
Afin d'éviter
Que tout le monde s'enguirlande !
Et que ça sente le sapin !
Dont pour cela il faut trinquer à la santé
De tout le monde dans la fraternité,
La paix, en paix
Avec tout le monde ! Pour passer
Un bon début d'année;
Et ne plus trépasser
Dans un bon début damné,
Où grâce au champagne qui coulera à flots;
Pourvu que tous les convives soient pétillants
Et pétillent
En sortant de leur bulle !
Jérôme de Mars

For et vers

 

Dans un fort cagnard !

As-tu les clés de l'énigme

De Fort Boyard

En ton paroxysme ?

Si c'est un euphémisme ? !

Que malgré tes faux revers !

Tu écrives for et vers,

Comme si depuis toujours;

Tu hurlais d'amour

Ton blues linéaire !

A chaque hiver

De ta vie,

Tel un poète maudit !

Qui fait le récit

De sa vie en dents de si;

For et vers,

Malgré tes faux revers !

Où tu as tout faux et vers !

Si tu te mets aux vers

Avec ta bonne nature;

Qui jette en pâture

Tout ce que tu sublimes !

De par ta mise en abîme !

Dans ton fort et vers,

Sauf si tu te présentes parmi les vers

Lors des présidentielles de 2022 !

En vers nous deux !

Si tu représentes les vers

Dans leur faux revers !

En ton for et vers;

Si jamais tu forais vers 

L'arbre qui cache la forêt !

De tes vers, 

Si seulement si c'est ta tasse de tes vers !

Que tu entasses dans la promiscuité

Et l'insalubrité de ton for et vers;

Alors que tu témoignes souvent

Et souvent

De tes faux revers;

En allant et vers

Envers tes poèmes,

Qui respirent ta ligne marginaux !

Depuis naguère en tes joyaux originaux;

En ton for et vers,

Malgré tes faux revers !

Dans ta vie à découverts !

Alors pour que tu payes le prix 

Fort ! Sois un repris

D'injustices au service des couverts !

Sous couvert de rester dans la fourchette

Des prix de par tes emplettes !

Sans faux revers;

Et pour vérifier que dans le fruit

Il n'y aucun ver !

En faux revers,

Rends ta vie si fleurie !

Dans ton for revers;

De faux revers,

Qui s'exacerbent en vers l'embellie

De ton for et vers.

 

Jérôme de Mars

L'argent ne nous rend immortels !

 

A l'autel des bonnes consciences;

Même en forte affluence,

Qu'on le veuille ou non !

L'argent ne nous rend immortels !

Dans le plus commun des mortels;

Qu'on soit couillons et bougons !

Qu'on ait le bourdon !

Qu'on s'monte le bourrichon !

Ou qu'on soit folichons !

En joyeux fanfarons

D'anciens larrons,

Pendant que dure la vie réelle

Sur Terre en s' la faisant belle !

Ou qu'elle endure de façon cruelle

Sous la tutelle ou la curatelle

Du plus commun des mortels;

L'argent ne nous rend immortels !

A part peut-être croire untel fidèle

Que la vie dure éternelle !

Ou que la vie endure solennelle !

Que chaque jour nous rappelle

Qu'on naît de passage sur Terre !

En une vie étapes par étapes éphémères,

Où même si l'argent ne fait le bonheur !

L'argent contribue largement au bonheur !

A la grandeur !

D'une vie dans l'honneur

Et l'ardeur !

Parce-qu'avec la ferveur; l'argent comptant

Suffit amplement à mettre des pansements

Dans les plaies !

Des vies impactées et laminées

En rituels de sacrifices décrétés,

En préservant les fragiles

Et en sollicitant les gentils;

Et même si l'argent ne nous rend immortels !

Il peut nous rendre fraternels,

En vue d'aimer

Et d'aider

Son prochain;

Avec de la suite dans les idées !

De la veuve et de l'orphelin,

Où pour ne rester seuls !

Faites venir des gens qui veulent

Avec vous passer le temps !

Et tracasser

Les emmerdes qui durent longtemps !

Qui en découleront

Que le printemps prendra enclin son temps

En ces temps chancelants !

Où tenez-le vous vraiment

Pour dit ! Puisqu'il vaut mieux

Avoir des remords que des regrets !

Avant votre mort sous un soleil radieux

Et bien bleu; dont pour rester humble !

Et simple

Dans le plus commun des mortels !

Et le plus simple appareil !

Il faut savoir sempiternel !

Que ce qui hait mortel

Dans cette vie solennelle,

C'est que l'argent même en prenant

Tout en argent comptant

Et tout pour argent comptant !

Et bien en contretemps; l'argent

Ne nous rendra jamais immortels !

 

Jérôme de Mars

Un des si !

 

Un des si !

Certaines amitiés parallèles;

Deviennent au fur et à mesure

Intemporelles et essentielles !

Qui configurent

Non pas indécis !

Mais un des si !

Dont là ! On fonctionne avec des scies !

Qui vous scient 

Sciemment ! Confortablement assis !

En mangeant votre pain rassis 

Un des si !

Pas indécis !

Dont si si ! On fonctionne avec des si !

Ca fera si scie !

Qui vous scie

Du regard sciemment ! Ah si ! Assis !

En mangeant votre pain rassis !

Et en faisant pâle figure 

De si

Votre désinvolture !

A fière allure ! Augure

Et inaugure

Des si indécis !

Et six scies !

Dont ce sera plutôt un des si !

Si si nous assis,

On mange notre pain noir ou blanc rassis !

Et assis ! Ah si !

Et qu'on fonctionne avec des si !

Qui vous disent ainsi si ! Hein si si !

Inquisitrice en fonctionnant avec des si !

De si et seulement si !

On est indécis !

Et on vous claironne en fonctionnant avec des scies !

Qui vous scient 

Sciemment ! Un plus hein ! Indécis !

Qui vous déchiffrent à l'appui !

Un des si !

 

Jérôme de Mars

Mets ta veste !

 

Maux d'hiver !

V'là un inventaire

De Meta vers, 

Où même 

Si dans son totem;

Tout le monde retourne sa veste !

Mets ta veste !

Sur Facebook !

En mettant sur ton book !

Le fait que sur Meta vers,

T'es en sûr book !

Où pour le reste !

Essaie de lâcher du leste !

Quitte à ce que tu retournes ta veste !

Après que tu te sois pris une veste !

Donc pour cela, mets ta veste !

Et soit leste et preste !

Comme le soleil qui s'élève à l'Est !

Sur Meta vers;

Instagram;

Ou Twitter;

Si t'as un gramme

De paroles haineuses

Sur Facebook !

En sûr book !

De tes pensées les plus sulfureuses !

En ta colère furieuse

De ce que tu postes,

Et compostes

En posts bizarres

De ta tare;

Où nul ne comprend ta rengaine,

Ta haine; 

Et ta colère !

A part chaque fin de semaine,

D'où tu envoies tout promener

La tête en l'air !

En l'air; en prenant de grands airs !

Et si tu retournes ta veste !

Et que tu te prends une veste !

Et bien ! Mets ta veste !

Sur Meta vers !

Pour que dans le fruit, il n'y ait

Aucun ver !

Et lâche du leste !

Pour le reste leste et preste !

En t'en foutant d'Instagram !

Et de ce qu'il y a au programme;

De Facebook

En sûr book !

Ainsi que de Twitter !

A part twitter des insanités !

Et toute la voracité

De ta si indomptable colère !

En écrivant dans ton télégramme,

T'as un gramme 

D'Instagram dans le sang !

Où tu te remues en faisant

Un sacré boucan !

De tous tes posts

Sur Facebook !

Que tu postes

Et compostes !

En t'en crevant les tympans !

A coups de malentendus

Des conséquences de ta vie dissolue,

A coups de sûr book !

Où tu retournes ta veste !

Après que tu te sois pris une veste !

Et pour la toute dernière fois preste !

Lâche encore du leste !

Dont tu en restes !

Après Facebook; Instagram et Twitter;

En rédigeant un Meta vers !

En direction d'un avenir 

Enjoliveur, réparateur, pacificateur 

Et meilleur !

Que tout le monde espère

Pour toi ! Afin

Que tu t'accordes en faim

Du plaisir !

Dans le bon sens du terme !

Après avoir tant vidé ton sac isotherme !

Et pour cela sois leste et preste !

Car pour le reste

De ta vie !

Afin de te protéger

Des éventuelles intempéries !

Et bien au bout du compte !

Mets donc en acompte

Une veste !

 

Jérôme de Mars

Le soleil va rallumer La Terre...

 

On dit que l'amour finit toujours par triompher !

Mais à quoi bon patienter afin de le divulguer

Salutaire envers ses congénères;

Qui mènent vers la lumière

A y voir plus clair !

Où enfin linéaire,

Le soleil va rallumer La Terre...

Autant pendant l'été que l'hiver

Dans une fluorescence braquée;

Des projecteurs

Vers les lueurs

Du jour transcendé,

En route vers la résurrection !

Du temps que tout le monde pensait

En extinction;

Alors que d'une incontournable rébellion !

Le simple temps évoqué,

Fait qu'il est transporté nécessaire

Dans un chemin de Compostelle;

Auquel chacun

Y retrouve l'essentiel !

Avec son bâton de pèlerin

En une vie entière et prospère,

De laquelle le soleil va rallumer La Terre...

Le soir de Noël 

Un samedi soir sur La Terre !

Comme le fredonnait 

Si bien Francis Cabrel;

En y croyant encore exponentiel

Et substantiel !

Dur comme faire

A un monde fraternel,

Mais à cause injustement

Et indirectement

Du soleil;

Le monde est-il condamné à être vieux

Dans de la vermeille

Entre gens vaniteux et sulfureux ?

Alors qu'il faudrait une jeunesse de merveille,

Où tout le monde en chœur chanterait volontaire

Que le soleil va rallumer La Terre...

Dans cette grande pièce noire en y ajoutant 

Des couleurs;

Avant le printemps

En chaque journée resplendissant d'ardeur,

En y sirotant un bon café !

Au café des amitiés intemporelles;

Qui durent plus que de clarté

Et de raison,

Desquelles chaque saison compte de floraison

Et de moisson;

Et dont en parsemant une assurance solidaire !

Et bien presque à coup sûr; le soleil interstellaire va rallumer

Durant des années lumière La planète Terre...

 

Jérôme de Mars

Benjamin de cette famille dont c'est le cadet de ses soucis !

 

Benjamin, cadet d'une famille de sept enfants; dont en étant le benjamin de cette famille ! Ca fait que c'est le cadet de ses soucis ! Comme il est très privilégié et entouré par sa famille, dont il existe en tant que benjamin; chouchou de cette smala, et en tant que cadet de la famille; cela reste que c'est le cadet de ses soucis à Benjamin, lui le cadet et benjamin de cette tribu; dont pour finir voici en dernier point Benjamin ! Cadet de cette famille unie, dont cela est le cadet de ses soucis ! De demeurer cadet; le benjamin de cette famille.

 

Jérôme de Mars

La vie est un long fleuve tranquille sur Seine...

 

De mon temps; y avait Montand sur Seine qui traînait avec Trenet ! En trouvant sur la voie ferrée Léo ferré, qui bécotait avec le temps ! Le calumet de la paix de Gilbert Bécaud; comme tous les chemins menaient au rhum de Serge Reggiani, lui l'italien; dont tous ensemble en chanteurs à textes, c'étaient les copains d'abord à Georges Brassens ! Avec Barbara; la seule amie féminine de ce groupe d'amis quasiment masculin, qui prenait son envol en aigle noir avec Jacques Brel; les bourgeois bohème, tels tous les deux des oiseaux aux ailes brisées; à part chanter avec Claude Nougaro à Toulouse, en faisant la java qui faisait jazzer Charles Aznavour dans ses emmerdes à Ménilmontant; en n'faisant pas de quartiers en plein Paris ! Lui Charles Aznavour, qui traînait avec Charles Trenet; où y avait de la joie ! A ce moment-là sur les bancs publics ! En retrouvant Gainsbourg, assis de mon temps avec Montand; en chantant les feuilles mortes, la chanson de Prévert en plein automne de la Javanaise; dont Bécaud en grillant cigarettes sûres cigarettes, chanta pour conclure ce concert de louanges en hommage à tous ces artistes, chanteurs à textes de mon temps, de Montand à Paris ! Quand il est mort le poète ! Où à Paris; la vie est depuis un long fleuve tranquille sur Seine...

 

Jérôme de Mars

L'amour est un volcan qui fait éruption !

 

Eruption dans chaque vie personnelle;

En faisant l'amour charnel,

L'amour est un volcan qui fait éruption !

Dans chaque vie aux sentiments qui font irruption !

Entre fantasmes refoulés et désirs inavoués !

Parce-que faute avouée est à moitié pardonnée !

Quand les sentiments s'emmêlent les pinceaux !

En quiproquos dans un statu quo;

Dans lequel l'amour a ses avantages et ses inconvénients !

Entre naufrages annoncés et rebondissements en sentiments,

Ranimés et revitalisés par la passion atomique !

Dont seule l'alchimie connaît la potion magique et chimique !

Quand l'amour joue des violons !

Au vitriol; afin que les couples pérennes durent sempiternels !

Entre l'amour physique et l'amour charnel

De leurs vies personnelles !

Pour qu'il n'y ait de tue-l'amour en irruption et en interruption !

En ravivant l'amour dans le réel et moins dans le virtuel,

Si bien qu'en accordant les violons de tout un chacun !

Entre plaisirs puritains et libertins;

Vivement que l'amour soit un volcan qui fait éruption !

Et irruption !

En faisant couler de la lave suave !

Par abord aux ravages qui enflamment les liaisons, 

Qui en bavent !

Autour de suggestions en irruption;

Dès que l'amour est un volcan qui fait éruption !

En bouchant les cratères

Avant que les artères

Des cœurs d'artichaut soient bouchés !

Et dont en des bouchées; débouchés !

Ca en bouche certains

Dans leur coin !

A attendre le fameux moment divin !

A demander à l'unisson en mariage

Les ramages et leurs des plumages,

Avec pour fin de chanson qui fait irruption !

Des paroles frivoles;

Dont l'amour est un volcan qui fait éruption   !

A en perdre ses boutons de manchettes dans de l'amour

En gants de velours !

En faisant du violon,

En surgissant dans l'action;

Et en faisant pour de bonds 

Définitifs sans faux bonds furibonds, la jonction 

En faisant une irruption 

De vers lents !

Avec des sentiments; 

De sorte

Que par la grande porte !

L'amour triomphe sans bémol,

Tel un volcan qui fait irruption sans interruption;

En une éruption cutanée !

De la puberté à l'apogée de sa majorité.

 

Jérôme de Mars

 

Le soleil dort à la belle étoile

 

Et fée papillon qui s'assouplit dans un été danseur et toile !

Le soleil dort à la belle étoile;

En haute voltige dans le ciel,

Qui jonche les arcs en ciel

En inspirant la constellation à la prunelle

Des yeux du soleil;

En admirant dans le ciel les nuages qui s'dévoilent !

Puisque le soleil dort à la belle étoile,

Ebahie par la compagnie des lutins;

Qui nettoient les nuages indifférents pour en faire un territoire urbain

En plein Hollywood boulevard des toiles,

Puisque le soleil dort à la belle étoile

Filante et défilante; qui pense regarder chaque jour parallèle

Comme si c'était le dernier à s'rappeler le ciel qui isole celle !

Rue du quartier de la banlieue nuptiale;

Puisque le soleil dort à la belle étoile,

Etoile des neiges qui et fée boule de neige !

Elargit le privilège dans un florilège;

Entre les mots de la déco dans le ciel !

Qui puise l'eau qui ruisselle,

Dont c'est la goutte d'eau qui fait déborder la frontière; 

Là-haut dans un ciel imaginaire !

Comme Molière qui truffe

Un personnage à sa démesure de Tartuffe

Jusqu'à recevoir les toiles

De la grande ourse,

En arrivant au bout de la course;

Puisque d'office le soleil dort et redore à la belle étoile.

 

Jérôme de Mars

Ma lettre

 

Ma lettre bien naître ! Et bien être de mon mal-être de mon mâle être; telle ma lettre de mal-être de mâle être, où je prends tout au pied de la lettre de ma lettre en ayant envie de me jeter par la fenêtre; en prenant tout en argent contant pour me jeter l'argent contant rejeté par les fenêtres, de ma lettre de mal-être de mâle être; soit pour mourir et reposer éternellement dans mon hêtre en paix dans un Havre de paix planté là, comme un arbre de 100 ans en paix dans le jardin d'Eden; qui plante la graine pour semer un arbre d'amour et de fraternité ! Et pourvu qu'il y ait la paix dans ce monde délétère et austère de ma lettre mal-être de mâle être, où je prends tout tellement au pied de la lettre ! Que ma lettre est le reflet de mon spleen; dans un état des lieux stone et shooté par les excès de mes camouflets, témoin de mon mal-être de mon mâle être, où j'écris ma lettre pour dire que bien naître sur Terre; conditionne son avenir pour bien-être en inventaire ! D'une vie qui sera soit dans un ciel bleu azur ou soit dans des bleus immatures d'une vie à vouloir rejoindre le ciel, dont quiconque qui vient au monde n'est méchant ! On le devient méchant ou gentil selon les évènements que l'on vit dans sa vie ! Qui engendrent soit des confettis extérieurs ou sursoit des conflits intérieurs selon ce qu'on vit dans son enfance ! Dont nul ne guérit de son enfance ! Ou naît à guéri de son offense aguerrie ! Dont pourvu que quiconque ne soit dépourvu de ma lettre; témoin de mal-être de mâle être, pour que ça serve de leçons à autrui ! Afin que personne ne fasse et refasse les mêmes erreurs que moi ! Dont le plus important; naît pas l'argent ! Mais le bien naître pour bien-être dans son avenir ! Car même si, l'argent contribue au bonheur ! L'argent n'achète pas tout y compris le bonheur ! Et à votre avis ? Le fait d'avoir de l'argent vous empêchera-t-il de mourir et vit-on éternellement même qu'on a de l'argent ? Et une fois qu'on naît morts; emporte-t-on tout son argent avec soi au cimetière dans sa tombe ? L'essentiel sur Terre, n'est pas forcément être le plus riche matériellement; car on peut être aussi pauvre humainement en même temps; mais dont l'essentiel, c'est d'être tout simplement un homme riche humainement; tout en étant riche matériellement mais de façon modérée ! Or ! La vie passe vite et on a qu'une vie !  Alors si vous êtes témoins de ma lettre, de mal-être de mâle être ! Prenez vraiment tout au pied de la lettre de ma lettre de mal-être de mâle être ! Dont pour bien naître ! Il faut bien-être dans votre vie professionnelle et votre vie privée, les secrets d'une vie équilibrée et épanouie; en paix et dans la sérénité de son être accompli et réalisé, où au bout du conte; chacun y trouve son conte !  Pour écrire le fil de conducteur de sa vie ! Et ne plus jamais demeurer le fil réducteur de sa vie, en perdant le fil conducteur de sa vie ! Ainsi ! Sont les secrets pour vivre longtemps, en harmonie et en bonne santé de ma lettre pour bien naître dans ma lettre de bien-être.

 

Jérôme de Mars

Le je de cette famille !

 

Petites vannes issues des re-vannes où comme je joue au je de cette famille, tout le monde joue cartes sur table avec moi !

 

 

1ère vanne :

 

Jérôme B, fils : " - Papa, pourra-t-on se voir demain soir pour manger ensemble au restaurant ?  "

 

Michel B, père :  " - On verra Jérôme !  "

 

Jérôme B, fils :  " - Je pense que tu me dis on verra, car on verra si t'as encore eu la cataracte ou pas, n'est-ce-pas ?  "

 

2ème et re-vanne : 

 

Jérôme B, cousin : " - Pourquoi Sabrina, ne joue-t-on plus ensemble au rami ?  "

 

Sabrina F, cousine :  " - Jéjé parce-qu'on joue déjà cartes sur table avec toi comme tu joues au je de cette famille et que ce n'est plus nous ta famille, ton meilleur rami ( ami ) mais que ton meilleur ami, ce sont tous tes amis du Cerep, ceux de l'hôpital de jour du Parc Montsouris que tu connais depuis 1995 !  "

 

3ème et re-vanne :

 

Georges B, oncle :  " - Jéjé, pourquoi appelles-tu tout le temps par SMS moi, Michel Sardou et ma femme Marie-Ange Nardi ?  "

 

Jérôme B, neveu :  " - Pour te faire passer le message qu'on connaît tous la chanson à mon sujet car t'es laid cette chanson !  "

 

4ème et re-vanne :  " 

 

Simone M, cousine :  " - Jéjé, pourquoi n'arrêtes-tu pas de m'envoyer par SMS des blagues douteuses en chambrant le génocide des Arméniens ?  "

 

Jérôme B; cousin :  " - Parce-que je re-vanne en chambrant le génocide des Arméniens pour qui ça a gazé comme le génocide des Juifs dans leurs chambres à gaz ! "

 

5ème et re-vanne :

 

Laëtitia B, cousine :  " - Jéjé, pourquoi est-ce-que j'ai été obligé de te menacer de te casser la gueule pour que t'arrêtes d'emmerder par SMS Katia et moi ?  "

 

Jérôme B, cousin :  "  - Parce-que t'avais ça en magasin en vante !  "

 

6ème et re-vanne :

 

Dominique P, cousine : " - Veux-tu venir le jour de Noël manger avec nous pour réveillonner ?  "

 

Jérôme B, cousin :  "  -  Non, je ne viendrais car je ne suis jamais dans mon assiette le jour des fêtes de fin d'année comme en ce moment, je suis à couteaux tirés avec Simone, Dominique Et Jojo !  "

 

7ème et re-vanne :

 

Suzanne R, tante :  " - Pourquoi ne m'appelles-tu jamais sur mon portable pour prendre de mes nouvelles ?  "

 

Jérôme B, neveu :  "  - Car pour que mon entente soit au beau fixe avec toi, je t'appelle sur ton téléphone fixe, et c'est ça le mobile de pourquoi je ne t'appelle pas sur ton téléphone mobile !  "

 

8ème re-vanne :

 

Jacqueline B, belle tante : "  - A ton avis Jéjé, pourquoi n'ai-je jamais arrêter de te dire : " Compte sur toi ! Ne compte pas sur les autres ?  "

 

Jérôme B, neveu par alliance :  "  - Tout simplement Jacqueline parce-que tu ne m'as jamais calculé ! "

 

9ème et re-vanne :

 

La famille Bedrossian, en chœur :  " -  Jéjé, pourquoi es-tu en conflit avec nous tous ? "

 

Jérôme B qui joue cartes sur table avec la famille Bedrossian au je de cette famille  en chœur, par cœur :

" - Je joue cartes sur table avec vous tous au je de cette famille, car par cœur de ma rancœur, tout m’écœure du fait que mes amis comprennent mieux mon état psychique que vous tous en chœur ! Et bien en jouant cartes sur table au je de cette famille avec vous tous en chœur, et bien par cœur ! Je vous dis à vous tous en chœur à cœur ouvert que je suis las de cœur de toute ma rancœur par cœur avec le cœur sur la main malgré tout mon cœur de pierre ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

Le Coran qui charria La Charria !

 

Religion musulmane;

Dans ce slam

Mélomane,

Faisons appel à un Imam !

Afin qu'il déclame

Mégalomane !

Que C'est Le Coran

Qui charria La Charria !

Et qui part en Coran !

En con Coran !

Et en mettant au Coran

Du Salafisme;

Genre que c'est de l'angélisme

Ou un fatalisme d'intégrisme,

Très kamikaze qui case

Loin du Caucase !

Comme quoi

C'est le Coran

Qui charria La Charria !

A base

D'extrémisme

Radical;

Où en cherchant

L'original,

On s'rend compte que ce slam;

Est du à la réclame d'un imam !

Avec aussitôt Le Salafisme

Qui naît plutôt de l'angélisme !

Mais aussi du pessimisme !

De voir que Le Coran

N'est accepté

Et toléré

Que par quelques gens !

Et une minorité de blancs !

Mais dont Le Coran !

On fait tout pour le dissuader

Et le persuader de renoncer

Au monde des vivants !

Pour le ranger

A la Mosquée !

Au monde des morts-vivants,

Afin que ce soit

Sa tasse de thé;

En servant

Et asservissant

Le thé à la menthe religieuse,

Ravivant les pansements;

Où tout le monde ne fait

Que penser et panser

Les plaies mobiles,

Ombrageuses

En jouant au Playmobil !

Transgenre que Le Coran

Ne doit mettre au courant

Personne qu'il y a le Coran !

Qui ne doit mettre au Coran

Personne; afin que tout le monde

Parte en Coran !

Tellement que dans ce slam;

L'Imam veut mettre au Coran

Tout le monde qu'il sonde !

En les mettant au courant !

Que pour remettre Le Coran

Au courant  !

Qu'il faut remettre Le Coran

En rétablissant Le Coran

Du courant au courant

Et avec du courant

Entre les gens !

Dans le courant

Du Coran

Et haut Coran !

Que Le Coran

Dans la vie permet

De relativiser les tourments !

Et le désarroi de chacun !

Pour l'amour de son prochain !

Dans la vie au Coran

Et con Coran,

En édulcorant certains passages

Du Coran pas à fable

Et à pas affables !

Sans blagues !

Car blague is blague !

Où en cette fin de slam;

L'imam veut qu'il y ait de l'amour

En guise d'humour !

Pour remplacer le salafisme qui désintègre !

Par de l'angélisme intègre qui intègre

Et réintègre

Dans le Coran du Coran !

Pour mettre au courant

Tout le monde !

Qui doit mettre au courant

Quiconque qu'on sonde !

Que Le Coran,

C'est de l'amour concourant !

Duquel personne ne doit partir en Coran !

Dont il doit mettre au Coran

Quiconque ! Courant

Coran !

Que pour être dans le Coran !

Et rentrer dans le Coran

Des choses Con Coran !

Qu'il faut que Le Coran

Passe entre ceux qui ont du Coran 

Entre les mains et dans les mains !

Et qui ont lu Le Coran 

Au nom de l'amour de leur prochain !

Qui rétablissent le Coran

Et qui remettent le Coran !

En étant une bonne foi pour toutes

Au Coran !

Afin que plus personne n'en ai rien à foutre

Du Coran !

Comme c'est Le Coran haut Coran !

Qui charria

Il était une fois pour toutes La Charria !

 

Jérôme de Mars

Fais couler un bon bain de jouvence !

 

Eau qui ne coule pas de sources !

C'est la douche froide !

Dès fois que tu ferais la course

A t'en laver les mains

De ton destin !

Alors qu'il suffirait juste

Que tu te prennes en main !

Dont et ben ! Et bien !

Fais couler un bon bain de jouvence !

En te prélassant ainsi robuste

Dans un bon bain de lavande !

Dans la loi de l'offre et de la demande

Pour laver tes sentiments

En faisant un bon ménage de printemps !

A faire couler de tendres insouciances;

Dont pour que tu fasses souffler 

Des humeurs froides !

De façon chaleureuse

Dans une atmosphère merveilleuse

Et radieuse !

Fais couler un bon bain de jouvence !

De préférence

Un bain chaud dans une sérénité harmonieuse,

Afin de t'en laver les mains !

De ce que te réserve demain !

Et dont tu verras bien

Demain et ben ! Et bien !

A part passer le temps

En lavant tes sentiments

Dans un élixir d'amour;

Pour que tu influences 

Les gens dans une machine 

De tambours,

Menée tambour

Battant dans une machine

A laver tes sentiments;

Avec du dépoussiérant

En y insufflant du désodorisant,

Afin qu'il y ait de l'adrénaline

Dans ton bain d'innocence

Dont et ben ! Et bien !

Fais couler un bon bain de jouvence !

En y semant O' bien un essaim

De ton teint empreint !

De tant de machines à remonter le temps

A t'en laver les mains !

De ta machine à laver ton destin !

De lendemains en sûrs lendemains;

En donnant un coût de main

A ta machine de tambour,

Menée tambour

Battant à l'aide d'un tambourin;

Tambour un dans un deux en un !

O ben ! Et bien ! Boute-en-train !

Dont c'est ta chanson numéro un !

A t'en laver les mains !

De ta machine à laver de tes mains

Cette machine à remonter le temps,

En balayant tes sentiments

Avec du dépoussiérant;

En se désolidarisant 

De ton désodorisant,

Qui odorant 

Ton déodorant;

Provoque un bruissellement 

Du fond de tes tympans !

Avec la machine à remonter le temps

Et à laver le temps 

Dans ton ménage de printemps,

Qui lave tes sentiments

A travers ta machine à t'en laver les mains !

Qui du soir

Au p'tit matin !

Fait que pour toi ! Et ben ! Et bien ! 

Au p'tit matin !

C'est la douche froide !

A te doucher tes faux espoirs

Qui t'évadent

Dans ton bain ! Et ben ! Et bien !

O' combien rétro et slow;

Issu de ton cœur d'artichaut !

Et pour que ton bain

Reste évidemment ben bien chaud !

Fais couler dans l'ignorance

Un bon bain de jouvence !

 

Jérôme de Mars

 

Ca sent le sapin à L'ESAT La Fabrique !

 

 

Petite saynète à propos de L'ESAT La Fabrique à l'approche des fêtes de fin d'année !

 

 

Echange verbal au téléphone entre Charlotte P et Jérôme B au sujet de L'ESAT La Fabrique, deux anciens collègues et deux anciens agents de production de L'ESAT La Fabrique :

 

 

Charlotte, une ancienne collègue à la retraite :

 

-  " Allo bonsoir mon petit Jérôme, comment vas-tu ?  Effet boule de neige à L'ESAT La Fabrique; il va neiger; c'est le déluge; à L'ESAT La Fabrique vu que tout le monde déguste; il n'y aura pas de fête de fin d'année; il n'y aura juste qu'un repas de Noël amélioré !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production :  

-  "  Bien Charlotte; ça va surtout mieux depuis que j'ai quitté cet ESAT où ça sent le sapin ! Tu vois Charlotte dans cet ESAT, j'en ai tellement dégusté que je me prenais sans arrêt des gamelles en déboires vu qu'on me parlait comme un chien !  Le repas de Noël amélioré à L'ESAT, c'est juste la seule chose sur laquelle ils se sont amélioré ! Remarque Charlotte; toi et moi, on s'en fout de de qui se passe à L'ESAT ! On n'y est plus ! Ce n'est plus notre problème ! C'est à eux de trouver des solutions face aux problèmes qu'ils rencontrent à L'ESAT La Fabrique ! Tu vois Charlotte, je vais pas pleurer pour eux comme à L'ESAT, ça sentait le sapin surtout chaque fin damnée vu que tout le monde m'enguirlandait et que j'avais les boules avec une épine dans le pied !  "

 

Charlotte, une ancienne collègue à la retraite :

 

-  " Oui; je le sais déjà tout ce que tu me dis Jérôme !  Tu me l'avais affirmé une autre fois tout cela !  Je peux te rassurer à L'ESAT Jérôme; tout le monde en a tellement marre de L'ESAT que tout le monde commence à perdre la boule en devenant maboule ( ma boule ) vu que ça sent le sapin à L'ESAT La Fabrique !  En fait juste une simple question par curiosité Jérôme !  Pourquoi les dernières années où tu étais à L'ESAT, allais-tu manger toujours dehors un kebab au lieu de participer au repas de Noël amélioré à L'ESAT ?  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production :

 

-  "  Si à chaque fin d'année, je mangeais toujours au kebab et que je ne participais pas au repas de Noël amélioré à L'ESAT ! C'est parce-que j'avais peur qu'on m'envoie promener chez les Grecs vu que j'étais la tête de Turc de tout le monde  à L'ESAT La Fabrique vu qu'à L'ESAT, je n'arrêtais pas de bûcher sur ma bûche  pâtissière en embûches alors que pourtant j'étais une crème avec tout le monde vu qu'à L'ESAT, c'était pas du gâteau mes relations avec mes collègues qui ne comprenaient pas et dont chaque Noël à L'ESAT, pour moi c'était la fin damnée en faisant une galette désarroi en la vomissant comme chacun avait ses têtes dont la mienne en grosse tête de Turc !  "

 

Charlotte, une ancienne collègue à la retraite :

 

-  "  Que puis-je te souhaiter mon petit Jérôme comme pour toi à chaque fin d'année, ça sent le sapin ?  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production : 

 

-  " Qu'on puisse se souhaiter à toi et à moi une bonne fin d'année 2021 et un bon début d'année 2022 en trinquant à notre santé après que toi et moi, on ait trinqué de notre santé à L'ESAT La Fabrique à chaque fin damnée et à chaque début damné et que pour ceux qui se sont réjouis de mon malheur, qui me parlaient mal  à L'ESAT et qui s'en foutaient de moi ! A qui je formule pour eux en désaveux un mauvais vœu ! De façon qu'ils passent une bonne fin damnée et un bon début damné en trinquant de leur santé à L'ESAT La Fabrique ! Le tout en trinquant à la santé de L'ESAT La Fabrique, vu que tout le monde s'enguirlande, perd la boule maboule ( ma boule ) et vu que tout le monde a les boules à  L'ESAT La Fabrique à chaque fin damnée ! Vu que ça sent le sapin à L'ESAT La Fabrique comme une épine dans le pied ! Et dont moi en quittant L'ESAT La Fabrique, ça m'enlève une belle épine dans le pied ! Car maintenant moi, je passe de bonnes fêtes de fin d'année et un bon début d'année, en prenant les reines de la galette des rois en faisant une galette en tirant les reines ! Comme à présent, ma vie c'est du gâteau à part entière en pas rois !  "  

 

 

Jérôme de Mars

Et si par les temps modernes, le soleil devenait lunatique !

 

Saudade d'une nuance nostalgique;

Qui avec une gouache,

Peint en port d'attache !

Le jour comme la nuit

Dans une ambiance romantique;

Piano-bar !

En des révélations de comptoir !

Dans un papier bleu et noir harmonie

Dans un blues de mélancolie !

Et si par les temps modernes,

Le soleil devenait lunatique !

Avant que le temps subalterne

Eclipse frénétique;

Le ciel bipolaire !

A des fins ternes !

Genre que La Terre manque de lumières,

Et s'renferme trop dans son atmosphère

De misère !

Végétant dans sa poésie de chimère de pacotille;

Tout ça pour des broutilles !

Et si par les temps modernes,

Le soleil devenait lunatique !

Mais aussi pragmatique !

En cas de danger somatique !

Et si jamais il y avait un risque patibulaire !

Le ciel pourrait-il appeler l'éclipse interstellaire ?

Boulevard sur place des étoiles féeriques !

Pour passer du tragique au comique

En ces temps imminents !

Et intermittents !

Du temps bipolaire; qui est salutaire

Ou délétère !

Et si par les temps modernes,

Le soleil devenait lunatique !

Selon les prémices capricieux

Du temps subalterne,

Vertueux ou pernicieux;

Songeur d'un autre temps

Au demeurant davantage charmant !

Et si par les temps modernes,

Le soleil devenait lunatique !

De par son attitude terne !

Et provoquait en réaction un horizon subalterne;

Captif dans une camisole chimique !

Qui faisait comprendre au temps qui lui restait !

A roupiller dans un sommeil pérenne sous Morphée !

Et si de par les temps résolument modernes,

Le soleil pouvait muter énigmatique et flegmatique,

En une éclipse lunatique !

 

Jérôme de Mars

Voyage avec les mots

 

Intelligence sûre naturelle;

Presque sensorielle !

Si tu as le bon tempo !

Et que tu as des bagages,

Intellectuels et manuels !

Fais tes bagages !

Pour un voyage

Avec les mots !

En route vers l'eldorado

Dans le ciel !

A te distraire en un sésame,

Ouvre-toi ces âmes !

Dans un voyage;

Où tu as pour bagages,

Un sac à dos

Sans gros mots !

Mais juste avec un dico;

Pour y trouver les mots

D'un bon scénario,

En route vers l'arrimage;

La toute-puissance

De la passerelle,

En arts et images

Dans une terre de lumière;

Avec un soleil

Qui fait la courte échelle !

Bercé d'amour sensuel 

Et fraternel !

Dans un voyage 

Avec les mots,

Terre d'accueil;

Très synchro

En ce voyage,

Où ton intelligence

Est ton seul bagage !

En vibrant de tes vocalises

Pour brandir tes valises

De tes tresses;

Complètement tirées

Par les cheveux !

Dans ce voyage 

Avec les mots,

En vue d'y trouver

Tes propres mots !

Pour exprimer

En ramages

Les chansons extraordinaires

De ton enfance;

Et dont en héritage !

En marchand d'âges !

A pas d'âge !

Voici en marivaudage !

Dans le ciel clair; 

Ta croisière,

Virtuelle et irréelle

Sur un arc en ciel !

Avec pour adage;

Un parfait voyage

Dans ta chaumière,

Tendance déco

Et synchro

Très illustrée;

Avec tes mots

De fins lettrés.

 

Jérôme de Mars

Changement d'humeur

 

En n'étant bipolaire                                    En étant bipolaire

Variation d'humeur ensoleillée                                  Variation d'humeur lunatique

En n'étant euphorique                                               En étant euphorique

En n'étant guère des nerfs                                         En étant guerre des nerfs

En ne voulant rien détailler dans la même veine      En voulant se tailler les veines

En étant calme                                                       En étant came

En voulant vivre et sûr vivre                                  En ne voulant vivre et survivre

En n'étant offensif                                                 En étant offensif

En n'étant ambivalent                                           En étant ambivalent

En n'ayant des tocs et en n'étant toc toc              En ayant des tocs et en étant toc toc

En étant réfléchi                                                   En n'étant réfléchi

En n'étant triste                                                    En étant triste

En étant mâle heureux                                        En étant malheureux

En n'étant angoissé                                             En étant angoissé

En n'étant parano                                               En étant parano

En n'étant persécuté                                          En étant persécuté

En n'étant dangereux                                        En étant dangereux

En n'étant schizophrène                                  En étant schizophrène

En n'étant mégalo                                           En étant mégalo

En n'étant névrosé                                        En étant névrosé

En n'étant fou                                                 En étant fou

En n'étant sombre                                        En étant sombre

En étang tranquille                                      En n'étant tranquille

En étant apaisé                                        En n'étant apaisé

Dont voilà tous ces changements d'humeur bipolaires et maniaco-dépressifs !

 

Jérôme de Mars

 

A fleur de pot 

 

 

 

      Carole Bouquet    /     pot eaux roses dont c'est le bouquet à fleur de pot !

  

       à                                n         

                                         u

       r

      u                                 s

      e                                 n

      l                                  a

      F                                 D

      5)                                6 )     

  euq top ed sap tnod  teuquoB  l    3)

                                                   e

 C  4)                                          h

 e                                                c

                                                   i

 p                                               M

 o                                                 

 t                                                à

 

f                                                 s

a                                                 r

s                                                u

s                                                e

e                                                l

                                                  f

u

n                                               s

e                                               e

                                                D 2)

 1) A fleur de pot ce pot envoie 

 

 

Jérôme de Mars

C'est un poème court à la longue !

 

Chaque matin à la longue; au court

De la vie !

Et bien !

Pour faire court !

Je prends

Un

Café court au long court !

A la longue ! Dont c'est un poème court et long à la longue !

Dont je prends de court

Ce poème ! A la longue ! Car et bien pour faire long au long court ! Et bien en bref !

La vie est

              Si courte

Que j'écourte ce poème

A la longue ! En prenant des courts 

Dans un court ! En buvant un café au long court ! Au court des choses

De la vie à la longue !

Dont c'est un poème court !

A la longue ! Si bien que je termine ce court ! En sortant du court !

En allant à la chasse à court ! A la longue !

En me faisant des films à la longue !

Dans un court-métrage !

A la longue de ce poème au long

                                                 Court ! En buvant les paroles du café court

       Au long court !  

Dans la court des grands à la longue !

    En court !

Et au court !

De ces revers de ce con court de circonstances à la longue !

     Dont au long court !

                                  C'est un poème tellement court à la longue !

 

 

Jérôme de Mars

Brèves courtes à la longue 

 

Brèves sous forme de petites saynètes entre les adhérents et les animateurs du GEM de Vitry :

 

 

1) L'atelier cuisine qui a lieu un samedi sur deux à midi au GEM de Vitry fait tout le temps recette !

 

2) Comme les adhérents et les animateurs du GEM de Vitry me calculent; tout le monde compte sur moi en tant que trésorier et comptable du GEM de Vitry !

 

3) En tant que comptable au GEM de Vitry; j'espère qu'il y en a sur qui je peux compter !

 

4)  Même si au GEM de Vitry; je ne suis pas expert-comptable, j'espère qu'en tant expert comptable; qu'il y a des adhérents pour qui je compte car la plupart des adhérents du GEM de Vitry comptent pour moi !

 

5)  Au bout du compte en tant qu'adhérent bénévole au GEM de Vitry; je suis président du CVS du GEM de Vitry; je suis comptable et trésorier !

 

6)  Tout conte fait; je n'aime pas qu'on me raconte des histoires !

 

7)  Quand Bénédicte au GEM de Vitry fait l'atelier pâtisserie; sa vie durant quelques heures; c'est en faim du gâteau !

 

8) Durant chaque jour au GEM de Vitry; le temps est tellement court qu'il passe si vite à la longue !

 

9) Guillaume au GEM de Vitry en tant qu'horticulteur pourrait très bien cultiver un jardin secret dehors !

 

10) Si je refais de la poterie un de ces quatre avec Manon au GEM de Vitry, et bien donc début janvier 2022! Je boirai un pot avec Manon au GEM de Vitry pour trinquer à la nouvelle année !

 

11) Comme je déchante souvent de la vie; au moins quand avant j'interprétais mes slams à l'atelier musique qu'animait Gerald; et ben on connaissait tous la chanson !

 

12) Si jamais un jour ! Tous les adhérents à l'atelier terre, cassent par mégarde un objet de poterie; et bien pour rembourser leur dette; ils paieront les pots cassés !

 

13) Les adhérents du GEM de Vitry qui participent à l'atelier philo ont de la suite dans les idées !

 

14) Si jamais Manon met en place un atelier calligrammes au GEM de Vitry ! Et bien cet atelier servira à faire des revers qui arriment la vie; des vers qui riment dans la vie de tous les jours, en lui faisant un dessin à la vie !

 

15)  Si jamais au GEM de Vitry; les gens vont aux toilettes et qu'il n'y a plus de papiers toilettes ! Là les gens seront vraiment au bout du rouleau !

 

 

Jérôme de Mars

Prenez à nouveau votre envol Françoise !

 

Bonjour Françoise !

Si jamais vous mangez

Des framboises;

Pensez à vous apaiser

En vous soignant

Dans votre lutte !

En prenant le gauche

De votre lutte finale !

Pour que votre volonté

Ne vous hoche !

Et bute tous azimuts

Votre affection !

Et gardez votre ténacité !

Afin que votre guérison

Soit triomphale

Dans votre combat !

Pensez vos plaies !

Et préservez votre moral !

Car c'est 40 % de votre guérison !

Dont je panse que vous connaissez

La chanson !

Et pour que vous guérissiez Françoise !

Pensez à manger des framboises !

Et prenez à nouveau votre envol Françoise !

Sans bémol de framboises,

Et envolez-vous vers la guérison !

En résurrection de votre désillusion !

Car vous êtes encore un oiseau

Aux ailes déployées !

Pour voler toujours plus haut

Vers la clarté !

Et pansez vraiment à manger

Des framboises !

Françoise; pour que ayez

Une forme bourgeoise !

Et prenez à nouveau

Votre envol Françoise !

En route vers l'eldorado.

 

Jérôme de Mars

Des pigeons-voyageurs me postent des messages sur mon adresse e-mail !

 

Drôles d'oiseaux qui volent vers le bas avec leurs prises de becs;

Des pigeons-voyageurs me postent des messages sur mon adresse e-mail !

En écrivant des mots secs,

Qui me débectent

Ou que je becte

Envers ces oiseaux de mauvaise augure;

Qui dévoilent leur vraie nature,

En m'apportant plus de mauvaises nouvelles

Que de bonnes nouvelles dans un soleil

Au beau fixe;

Surtout qu'il y a souvent des rixes !

Dans mes écrits par rapport à ce que je poste où je m'emmêle

Les pinceaux !

Avec tous ces gros mots

De ce que je poste

Ou je composte,

Où pour que j'aille à-vau-l'eau

En faisant du vélo !

Rien de tel que je recycle mes petits vélos

Au fond du ruisseau !

Afin que des pigeons voyageurs me postent

Des messages sur mon adresse e-mail !

Desquels je m'emmêle

Les pinceaux !

Moi; le timbré !

Qui fait le guerrier

Avec le moindre mot

Qu'on me médit !

Dans cette grande agonie

Au quotidien;

Qui me frappe dans le dédain !

Où pour qu'enfin je me démêle les pinceaux !

Pourvu que des pigeons-voyageurs me postent sans compost

Des messages sur mon adresse e-mail !

 

Jérôme de Mars

Tchao Paulo !

 

Rythme de la samba du Brésil !

Découvre-toi d'un fil en Avril !

A Brasilia; à Rio de Janeiro

Jusqu'à Sao Paulo !

Dont Tchao Paulo !

Mon ami Polo !

Comme un air des Antilles

A Rio de Janeiro,

Où tu frétilles

De tes pas de danse !

En roulement de cadence;

Avec les ukulélé de musique créole,

Dorlotée par les jolies femmes;

Qui enflamment

Tes paroles vahiné,

Avec ton grand cœur de palmier;

Qui auréole ta gentillesse exotique,

D'où tu viens de par ces Iles tropiques !

Tremper ton âme romantique qui s'émancipe

Du fond de tes tripes !

Dans une danse endiablée;

Qui t'encense en un do ré mi fa sol

Loin des saules pleureurs,

Mais prêt des saules rieurs !

Au Brésil; à Brasilia; à Rio de Janeiro

Jusqu'à Sao Paulo;

Mon cher ami Tchao Paulo !

Qui a le cœur sur la main !

Avec toujours de la lumière claire

Au fond de ses yeux boute-en-train,

Dont son refrain est un festival

Qui dévale dans le Val

De Marne fluvial;

Comme un artiste des Iles tranquilles,

Qui ne s'prend pas la tête ! Mais qui

Rallume une pièce noire en y mettant

Les couleurs du printemps exaltant !

Dans une ambiance cosy;

Qui débarque de par son attitude si gentille !

Et qui fourmilles d'idées à la minute,

Tous azimuts !

Afin que le jardin d'hiver;

Tu l'éclaires dans un soleil extraordinaire,

A toi mon cher ami Tchao Paulo !

Qui danse de tes pas sur une musique torride

Du Brésil; où tu mouilles ta chemise limpide

Au Brésil; à Brasilia; à Rio de Janeiro

Jusqu'à Sao Paulo !

En haut de ton altitude qui va vers le très haut !

Dont Rio Bravo !

Mon cher ami Tchao Paulo !

A Sao Paulo; à Rio de Janeiro

Jusqu'à Brasilia

Sur des airs de joie;

Avec pour toi au mois Avril,

Au Brésil !

Une vie bien paisible;

Pépère et tranquille

Parmi les Iles marquises,

Qui t'sont acquises

D'office de façon très plausible;

Où maintenant tout est possible !

Pour toi mon cher ami, dont je te dis Rio bravo !

Mon très cher tchao Paulo !

 

Jérôme de Mars

La vie ne vaut rien ! Mais rien ne vaut la vie... !

 

En ayant opinion sur rue;

Si vous sondez des inconnus !

Ils vous répondront à coup sûr,

Que la vie c'est à la fois d'la confiture !

Et des moments durs entre rire

Et soupirs; dès que ça tire !

Mais dont il vaut mieux en sourire,

Pour que satire !

D'un rien en un refrain;

Que la vie ne vaut rien !

Mais rien ne vaut la vie.. !

Entre soucis et accalmie,

Le temps d'une embellie pulmonaire

Après une embolie pulmonaire !

En respirant de l'air frais parmi les congénères;

Qui génèrent en appels d'air !

Le besoin de côtoyer une France solidaire

Aux différences bien affirmées,

En s'entendant bien dans la loyauté

Et la réciprocité;

Dont l'air de rien en en profitant !

Et en ne sachant 

De quoi demain

Sera fait !

Et avant que le corps embaumé

Soit bien disloqué 

Dans le déclin !

Il faut chanter la vie en refrain,

La vie ne vaut rien !

Mais rien ne vaut la vie... !

Car même si l'argent contribue au bonheur !

L'argent ne s'emporte avec les morts

Au cimetière du réconfort,

A part faire le bonheur 

De la vie 

Durant quelques heures !

En oubliant les croque-morts;

Le temps de la vie en métaphores !

Et la vie il faut la savourer avec douceur !

A chaque matin aux aurores

Dans la fraîcheur,

En chantant les valeurs

Du quotidien !

Et dont l'air de rien en un refrain;

La vie ne vaut rien !

Mais rien ne vaut la vie... !

Le temps qu'elle dure en harmonie,

Ou le temps qu'elle endure en hérésie !

Dont il ne faut pas vous détromper

Sur la vie ! Qui malgré qu'elle peut être

Un trompe-la-mort ! 

Et bien que malgré tout ! Tôt ou tard ! La mort

Vous rappellera 

A votre fenêtre !

Que vous soyez retors

Ou que vous ayez tort

Que vous devrez rejoindre l'au-delà !

Et dont c'est pour cela !

Faites pour le mieux !

Dans la vie !

En ne vous jetant pas par la fenêtre

Du fruit de votre mal-être !

Mais privilégiez plutôt le bien naître !

En guise de bien être;

En étant un bien hêtre

Au milieu de Dieu !

Et de votre bonne nature !

Pour avoir bonne figure !

Et faire bonne figure !

Et dont l'air de rien en un refrain !

La vie ne vaut rien !

Mais rien ne vaut la vie... !

Car malgré que dans la vie;

On naît parfois dans le pétrin !

On a forcément besoin

D'amis et de copains !

Pour se raccrocher à l'embellie

De la vie, même si souvent;

La vie est mitigée

Entre joies et peines à l'arrachée,

Mais dont il faut s'évertuer

A trouver la solution 

A chaque équation

De la vie malgré la peur de l'inconnu !

Dont la meilleure solution est

De trouver votre point de salut !

En ayant pignon sur rue !

Et en ayant opinion sur rue !

Que malgré tout dans la vie,

Il y a encore des gens bien !

Qui font le bien !

En mariant l'entrain 

Et le pétrin

Dans une embellie éblouie

D'une vie épanouie;

Qui rassemble autant !

Les oubliés de la vie

A l'agonie,

Que les gens qui ont réussi

Dans cette vie; et dont le lien

Social est ce qu'il y a

De plus précieux

En ces temps brumeux et haineux !

Car malgré que dans la vie,

Il y ait des suicides !

Il ne faut pas oublier qu'il y aussi

Des gens placides;

En paix et en harmonie !

Dont en leçon de vie,

Retenez bien comme leçon  !

Que malgré que la vie;

Ce sont régulièrement des soucis

Qu'il y a aussi des choses inouïes,

Qui frappent à votre porte 

Pour vous ramener à la vie

De façon jolie !

Dans la communion

Et la beauté de la vie;

Avec ainsi une accalmie

Et un répit dans une embellie,

Car il n'y a pas 

Que des embolies pulmonaires 

Dans la vie !

Il y a aussi des embellies pulmonaires

Sur la planète Terre !

Qui est ainsi

A la fois délétère et austère;

Que débonnaire et salutaire,

Entre toutes les communautés

Et dans la collectivité s'il vous plaît !

Et le tout sans frein; avec pour refrain

Que la vie ne vaudra vraiment jamais rien !

Mais que rien ne vaudra vraiment jamais la vie... !

 

Jérôme de Mars

On n'est éternels !

 

Comme un grain de poussière !

Avant de croupir au cimetière;

Souvenons-nous !

Avant qu'on soit mis en terre

Sous terre !

Que sur fond

De clairon vers l'oraison

Au garde-à-vous !

Que sur Terre; on est de passage !

On naît de passage !

Et cela jusqu'à refermer

La dernière page

Dans l'obscurité !

Où à l'obstinée !

On naît éternels !

On est éternels !

Juste pour le Missel virtuel !

Alors que dans le Missel réel !

On n'est éternels !

Alors faisons le bien !

Et créons du lien !

Le peu de temps

Qu'on naît sur Terre !

Qu'on est sur Terre !

En en faisant clément,

Un moment savoureux

Et délicieux

Avant de retrouver Dieu

Austère; dont lui seul;

Nous jugera !

Pêché d'orgueil !

En guise d'inventaire

De nos actes, ainsi soit !

Certes; on n'est éternels !

Devant le Missel réel !

Mais dans un rituel sempiternel !

On naît éternels !

On est éternels !

Devant le Missel virtuel !

Autant qu'on veut

De moments soyeux;

Somptueux ou fastidieux !

De nos âmes exilées

Et larguées

Par la déconfiture,

Qui nous pend à la figure !

Alors soyons heureux !

Le peu de temps qu'on naît

Sur Terre !

Qu'on est sur Terre !

En faisant la paix

Avec ses aïeux; 

Et ses démons fiévreux, 

Dont on naît éternels !

On est éternels !

Mais dont on n'est éternels !

Face au Missel virtuel,

Ou face au Missel réel;

Qui malgré repentant !

Sa bonne gestuelle;

N'évitera à quiconque

Parmi les gens quelconques !

Une fin de vie charnelle,

Mais dont il restera toujours spirituelle

A l'autel des bonnes consciences;

Une part de résilience,

Une fois que les âmes intemporelles

Seront repêchées au ciel !

Terre de l'âme dans la délivrance

Ainsi soit-elle !

Dont on naît éternels !

On est éternels !

Pour le Missel virtuel;

Mais dont pour le Missel réel,

On n'est point éternels !

 

Jérôme de Mars

Elle est mégalo Paule !

 

Paule position !

Elle est mégalo Paule !

En plein Paris de sa mégalopole, 

Dont Paule est en pôle position !

Sûre exposition;

Et en ex position Paule

De sa mégalopole !

Dont elle est mégalo Paule !

Sitôt qu'elle a pris inopinément le monopole

A Extrapole !

Avec en magasin; cette extra Paule !

Dont elle hait mégalopole !

Si elle perd son grand Paris en monopole,

Dont elle est mégalo Paule !

Dans sa grande mégalopole !

Si elle va presque par hasard à Pôle Emploi !

Pour connaître son mode d'emploi,

En vue d'avoir un toit

Sur le toit

De Paris et de sa mégalopole;

D'où elle est mégalo Paule !

Dans sa vie en exposition

A son devis en surexposition;

Et dans sa pôle position

A Paule, quelle est sa position ?

Par rapport à son monopole

De sa Paule position ?

Et sa résurrection à Paule ! ?

Elle est pour quand dans son monopole ?

A Paule emploi ? !

Pour connaître son mode d'emploi

A Paule, et enfin pourquoi 

Paule a-t-elle le monopole ?

Par rapport à son pôle ?

Pôle est-elle vraiment mégalo Paule ? 

Au sujet de Paris et de sa mégalopole ? 

Et si elle a une réaction !

Quelle serait sa Paule position ?

En position de sa pole position ?

Si elle hait en surexploitation !

Cette sacrée Paule !

Qui a toujours le monopole !

Pour rire au sujet de son pôle !

Et au sujet de Paris et de sa mégalopole !

Elle est décidément trop mégalo Paule !

 

Jérôme de Mars

Quitte et flûte !

 

Mi-loup; mi-agneau !

Je suis tintin !

Dans le refrain

Des mots

Du professeur Tournesol;

Qui de par ses paroles,

Etait tintin !

Bourré d'entrain;

En train d'écouter Hergé,

Ecrire la bande dessinée

Quick et Flupke;

Dont quitte et flûte !

Et flûte !

Je suis tintin !

A écouter en refrain !

La Castafiore chanter ses classiques

De ses airs d'opéra basiques !

Dont c'est du gâteau d'opéra !

Station Opéra,

En écoutant les danseurs de rats

De La Castafiore;

Chanter sa vie et son folklore,

Quitte et flûte !

Et flûte !

Je suis tintin !

En train d'écouter le capitaine Haddock;

Pêcher du haddock,

Un jour de poisson d'avril !

En l'écoutant griller

Et mastiquer

Son merlu et son colin !

En ayant l'air marin !

Tintintintintin tintintin...

Je suis tintin !

Et de Quick et Flupke  !

En écoutant les leçons

Du professeur Tournesol;

Et la pêche à l'hameçon

Du capitaine Haddock,

En état de loque !

Dont en leur tirant les vers

Du nez à Tintin; au professeur Tournesol;

Au capitaine Haddock; à la Castafiore

Et à Quick et Flupke !

Sans oublier non plus les Dupond !

Qui ont toujours le dernier mot !

Motus et bouche cousue !

Je ne coupe les ponts

Avec aucun

D'entre eux, dont les bijoux de famille

De La Castafiore;

J'en fais tout un trésor !

En étant tintin !

Mi-loup; mi-agneau !

Nom d'un chien !

De Milou et de Tintin !

Dont je suis fan et tintin !

En vers de flûte !

Et flûte !

J'en suis à fortiori quitte et flûte !

 

Jérôme de Mars

Voyage dans le ciel

 

En mode avion;

Si on prenait l'avion !

En faisant un papier d'avion

Aux environs,

Des âmes universelles

Au pluriel;

Qui emmènerait

Nos bagages,

En ayant des bagages

Direction chronophage;

Un voyage dans le ciel

A plusieurs essentiels,

En écoutant les hirondelles

Dans un vol d'hirondelles;

Qui à tire-d'aile !

Battrait de l'aile

Dans les ailes des avions,

En fredonnant deux ritournelles

Dans notre avion;

En mode avion

Untel un voyage dans le ciel,

Qui ferait s'envoler les tourterelles

Aux environs;

Qui font dans la dentelle

En parlant de bagatelle

Dans un marivaudage,

Entre les passagers volages

Dans un ébat d'étalage

En un voyage dans le ciel;

Qui prend son pied

Deux porte-jarretelles,

En mode avion

A bord de notre avion;

Où les demoiselles

Courent aux environs,

Des femmes et de leurs balcons

Au sein de la bagatelle

Dans un voyage dans le ciel;

En allant au septième ciel

Porte inauguration,

De celle qui dépucelle

L'amour décomplexé;

En secrets de polichinelle

Dans une traînée de foutre

L'amour coup de foutre,

Qui s'en va couler de la foutre

Attire d'ailes !

En déployant les ailes

De notre avion

En mode d'avion,

Qui élargit l'horizon

Encens deux la passerelle;

Qui fait la courte échelle

A notre voyage dans le ciel,

Qui ébat d'étage 

Et qui fait la chose en une aquarelle

D'un amour charnel

Dans le ciel essentiel,

En comptant pour la prunelle

De ses yeux écarquillés;

De solitude habituelle

En pleurant à l'autel

De l'hôtel

Des âmes esseulées,

Qui sanglotent dans le même rituel

En un voyage dans le ciel;

Dont la rancœur bat la chamade !

Dans cette ballade

Au sens universel !

Dans le ciel qui a des bagages,

En rapportant les bagages

Du ciel chronophage;

Qui va, s'en va crécher

Et sourciller

A l'emporte-pièce maîtresse;

Dont la déesse

S'veut mutine !

En remontant aux origines

De comment est né le ciel !

En naissant dans les choux ménestrels,

Dont au bout de cette orgie

A base de poésie;

Voici officiel

Ce fameux voyage dans le ciel.

 

Jérôme de Mars

Poèmes deux mots divers

 

Poèmes de mots d'hiver qui friment en poèmes deux maux divers;

Qui arriment en une ode qui taraude       Qui riment en une Aude qui brode 

Dans sa malle de mer qui amerrit,           Tout son mal de mère qui atterrit,              Complètement éprise de BB;                    Complètement en prise de bébés;   

La femme de La Fontaine qui claque       Deux femmes fontaine qui font crac-crac !

Tout ! Et qui médit Fontaine !                    Et qui disent fontaine ! 

Je boirai ton ode !                                     Je boirai ton eau !

De sel qui perd ses os !                            De celle qui perd ses eaux !

Et qui dans un ultime ! Allo !                     Et qui dent un ultime ! A l'eau !

Hello ! Deux poèmes de mots d'hiver.      Et l'eau ! De poèmes deux maux divers.

 

Jérôme de Mars

Je cash mon je !

 

Je en je ! De l'enjeu de de mon ange; je cash mon je ! Avec un cache, dont je cache mon jeu ! Et dont je cash mon je ! Enjeu en je; dont je cache mon je ! Et je cash mon jeu ! Dans un double jeu ! En trouble-jeu, dont je joue à cache-cache dans mon je ! Dont je suis cash dans mon jeu ! Dont je joue à cash-cash dans un double je ! En trouble je; dont je joue à cash-cash dans mon jeu ! Enjeu de mon ange, dont mon en je est que je cache mon enjeu ! Dans une partie de cash-cash à grand en je; enjeu de mon en je de mon je, si je marche dans le jeu de mon je en me servant du cash de mon cache; dont en surjouant à cash-cash ! Je paye en cash très cash un cache ! De mon jeu que je cache au fond de mon jeu, au tréfonds de mon je dans mon enjeu de mon en je de mon ange; dont cash ! Je reste cash en jouant franc je, dont tellement que je suis cache de mon jeu, qu'en demeurant cache; je cache tout le temps le jeu de mon je ! En je de mon ange, en jeu de mon enjeu; dont en faisant un dernier double je en trouble-jeu, je paye très cache le fait de déjouer à cache cash; d'où en je, je cache jusqu'à la fin détend; mon je !

 

Jérôme de Mars

Vers deux flûtes

 

 

1) Fais-les vers deux flûtes                        6) Poèmes qui cassent envers deux 

   i  r  e  s                       F                                  i  r  e  s

 a                                   ê  2)                           o                                           7) V   

 t                                    l                                 b                                                e

 i                                    é                                é                                                r

 l                                    e                                d                                                s

 o                                   s         

 s                                                                     x                                                d

                                      e                                u                                                e

 s                                   n                                e                                                u

 r                                                                     d                                                 x

 e                                   v                                  

 v                                   e                                s                                                p

 e                                   r                                e                                                 o

 R les après Solidaires s 3)                            m                                                è

 4)                                                                   è                                                m

                  5) D                                              o                                                 e

                      e                                               P Deux vers Deux arriment Qui s  8)

                                                                       9)

                      b                                                                    10) E

                      r                                                                           t

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                     d                                                                          û

                     e                                                                          t

                     u                                                                          e

                     x                                                                         

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11) Quitte et flûte revers                                                           e

                                                                                                 u

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                                                                                                 f

                                                                                                 l

                                                                                                û

                                                                                                t

                                                                                                e

                                                                          12)  De vers deux flûtes.

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tout le temps !

 

Autant en ces temps ! OTAN que longtemps ! Au temps que long temps ! Il y ait tout le temps ! Les temps modernes qui prennent tout leur temps ! En passant du bon temps depuis la nuit des temps ! En un passe-temps qui passe le temps et qui passe tout son temps dans un passe-temps ! Dont autant que tout le temps passe très vite et trop vite à tous les temps ! Dans son passe-temps ! Que dure le temps indémodable ! Qui endure tout le temps exécrable ! Le mauvais temps en ces temps difficiles ! De ces temps instables et tant obscurs ! Où tout le temps qui perd son temps ! Vit des temps qui sont durs depuis longtemps et fort longtemps ! Que ce soit lors du printemps ! Empreint tant tout le temps ! De tout ce temps si le temps lui est compté ! Du temps qui est passé et dépassé à force que ça fait longtemps ! Très longtemps ! Et trop longtemps ! De tout ce temps présent qui trouve le futur temps tout le temps bien court ! Ou tout le temps long ! Et ou tout le temps bien long ! Dans un temps suspendu ! Que ce soit le temps d'avant ! D'où il est temps ! Que de notre temps ! Et dans le temps ! Que le temps se fasse à temps ! Et arrive à temps nommé lors du prochain temps ! Et du nouveau temps ! Du temps ! Pour que le temps travaille à temps plaint ! En annonçant le temps qui fera et qui consacre du temps ! A filer et à refiler le mauvais temps du temps pluvieux ! Pour tuer le temps de sa machine à remonter le temps ! Dont OTAN, autant et au temps que passe le temps et OTAN faire la paix depuis le bon vieux temps de tout ce temps passé très vite depuis tout le temps !

 

Jérôme de Mars

 

 

Au pied du sapin divers

 

Au pied du sapin divers pour ne pas que ça sente le sapin ! Il faut bûcher sans embûches, afin de manger une bûche pâtissière en faisant une trêve de Noël pour signer un traité de paix; en dégustant un succulent repas de Noël dans la chaleur humaine, sans que cela jette un froid ! Dans une bûche glacée; de sorte à éviter que les convives dégustent et s'enguirlandent ! Et que tout le monde soit en froid ! en ayant les boules et perde la boule au pied du sapin divers, dont pour que Noël soit une bonne fête de fin d'année; il faut que les convives aient des marrons chauds ! Pour ne pas qu'ils soient marrons ! Afin que leur labeur de fin damnée, soit justement récompensé par une prime émérite qui leur mettra du beurre dans les épinards ! Pour passer de bonnes fêtes de fin d'année; dans le but qu'il y ait défaites de fin damnée au pied du sapin divers ! A faim que non feint ! La faim justifie les moyens ! Avant qu'il y ait la fin damnée de la vie défunt ! Et dont avant de trépasser en défaites de fin damnée ! OTAN faire la paix pour passer de bonnes fêtes de fin d'année ! Afin de bien aborder la nouvelle année en paix, dans la paix; dans l'amour de son prochain et dans la liberté d'aimer qui on vœu ! Dont l'important c'est d'aimer Noël et le nouvel an ! Dans l'amour et la fraternité au pied du sapin divers; d'hiver et variés.

 

Jérôme de Mars

Un concert de louanges au zénith

 

Sur scène, la vie est un long fleuve tranquille

Dans le ciel dans un concert de louanges

Au zénith du soleil; qui prend l'ampli

En cherchant sa voix, en trouvant sa voix

Et en faisant entendre sa voix; en prêtant

L'oreille quand le masque tombe du Covid

Dans un concert de louanges au zénith

Du soleil, affublé d'un costume de scène

De façade lors du printemps; qui dans

Un remue-ménage de printemps a des ballets

D'hiver empreint tant dans le bal des oiseaux,

Sans prises de becs avec la clope au bec

Pour fumer le calumet de la paix; ici re-joint

Par un public essentiel dans ce concert

Des louanges, où sur scène; la vie est un

Long fleuve tranquille malgré et las que

Tout tombe à l'eau ! En voguant sur le rétro

De l'eau fin d'effet du disco voyageant

A toutes les époques, qui partent à la dérive

A-vau-l'eau au fond du ruisseau mélancomique !

A 43 berges de la mer à boire les algues

De ce concert de louanges au zénith du soleil

A l'auberge des cent soucis; en ne mettant

Aucune barrière avec aucune écluse

Sur scène, où la vie est encore un long

Fleuve tranquille qui coule dans la veine;

En s'faisant du sans d'encre dans un concert

De louanges très acoustique, dont maintenant !

En mettant ici bas; voici des joies pas rabat-joie !

Avec des éclats bourgeois dans un bourg joie,

Assailli de filles de joie qui vont bien et qui baignent

Dans un océan pacifique; rempli d'amour

Et de tendresse, jonché dans la liesse d'une note

Salée sur un piano contrasté qui s'harmonise raccord;

En symphonie et en philharmonie, où sûre scène;

La vie comme à l'accoutumée reste le fil sur l'eau,

En étant de fil en aiguille un long fleuve tranquille

Mélancomique dans lequel tout tombe à l'eau !

Car à l'eau ! Ca reste pour toujours notre chant

D'action nostalgique ! Dans un concert de louanges

Depuis d'antan et jadis au zénith du soleil; à des

Années-lumière entre ombre et lumière ! Or et puis !

Ainsi va la vie sur scène, qui chante et déchante !

Et qui sous les projecteurs; demeure avant que s'meurt

La vie ! Un long fleuve tranquille voguant en

Eaux troubles dans un concert de louanges en plein

Soleil, à l'apogée de sa carrière au zénith.

 

Jérôme de Mars

En marchand

 

 

 

Marchant de poèmes en marchand qui fait le gui

 

                                                                          M

                                                                          a

                                                                          r

                                                                          c

                                                                          h

                                                                          a

                                                                         n t Démarchant des marchands

      

                                                                                                                        E

                                                                                                                        n

                                                                                                                    

                                                                                                                        m

                                                                                                                        a

                                                                                                                        r

                                                                                                                        c

                                                                                                                        h

                                                                                                                        a

                                                                                                                        n

                                                                                                                        t

 

                                                  marchand en dard dard marchand l'envers A

 

                                                  D

                                                  '

                                                  e

                                                  u

                                                  x  bohème en marchant qui fait le gui marchand

 

                                                                                                                            R

                                                                                                                            e

                                                                                                                            m

                                                                                                                            a

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                                                                                                                            c

                                                                                                                            h

                                                                                                                            a

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                                     marchands des démarchant et marchant marchand En t

 

                                    D

                                    e

                                    u

                                    x

 

                                  Bonheurs de bonne heure avec Guy marchand en marchand.

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Rock troubadour

 

Revenant du moyen âge;

J'ai un moyen âge !

D'où je suis le survivant

Parmi les morts-vivants,

Ravivant mon passage

Avide de ma vie de désamour

Dans un rock troubadour;

Rock de pierre

Du fruit de ma colère,

Qui n'manque pas d'air !

A toutes les époques

Depuis cette époque baroque;

Bas rock

Dans ce rock troubadour,

Qui vaut son pesant

De détour !

Dans du lourd !

En ne prenant rien à la légère !

En y faisant et en y refaisant

Un tour !

A force que je compte sur moi !

En tapant un sans frein !

Toujours ce même refrain;

Enfreint quand je ne calcule

Plus personne à part

La tare !

De mes calculs

Néphrétiques ou névrotiques,

De mon âme mélancolique

Dans ce rock troubadour;

Dont ma vie manque d'amour !

Où personne ne me bouscule !

Et où je ne bouscule

Personne vers la bascule !

Tellement que je prends du recul

Sur tout en faisant tous mes calculs

Sur les consonnes,

Dès que les cons sonnent !

A ma porte qui résonne !

Dont je ne calcule

Plus personne !

Avec qui je frictionne  !

Dont s'additionne

La somme de tous mes calculs;

Qui font que j'assomme

La somme de tous mes calculs

Néphrétiques ou névrotiques;

De façon systématique;

Symptomatique et somatique

De mon état

De rabat-joie sans filles de joie,

Végétatif dans un désarroi bourgeois;

Il était une fois

Un rock troubadour !

Dans un manque d'amour,

Qui ne manque pas d'airs !

Dont j'erre d'R tertiaire

Et ferroviaire;

Si bien que je déraille

En écoutant le raï,

Qui joue des airs

Du raï

De Khaled en allant; 

Plein d'allant avenant

Droit au but,

Qui rebute

L'ex joueur de foot Raï;

Très boute en train

Dans un entrain

De ce rock troubadour,

Dans le plus désamour

A chaque jour

Suffit ma peine de tous mes grands soirs !

En sanglotant dans mes mouchoirs

Le plus profond de mon désespoir;

Que je calcule en ne comptant que sûr moi !

Les calculs de mes calculs

Néphrétiques et névrotiques,

De ma vésicule 

Biliaire; qui bouscule

Et bascule

Vers le crépuscule

De mes humeurs linéaires

Et parfois bipolaires,

Du fruit de ma colère incendiaire

Et héréditaire

Dans ce rock troubadour;

Où me manque l'amour

De ma mère !

Que je sue dans un désamour !

Ah ! Mère ! Bien enterrée sous terre !

Dont j'enterre maintenant la hache 

De naguère en lâchant du leste !

Dont pour le reste ! OTAN que preste,

Je sois lâche dans un zeste

Ah ! Mère !

A fin que ma ma colère

Manque d'R !

Et ne manque pas d'air !

Dès la fin de ce slam

Dans un bric à brac de mélodrame;

Rock roll poèmes !

Je nais que des problèmes

Dans ma vie de bohème !

A fin de savoir 

S'il y a des gens encore

Que j'aime  !

En passant des accords

Raccords; où si je n'aime

Personne en prenant tout à la lettre !

Les consonnes avant de me jeter

Par la fenêtre !

Et de jeter; rejeter mon mal-être !

Si les cons sonnent !

A ma porte fracassée, tracassée,

Cassée et fêlée !

Dès la mère éjectée dans une jetée rejetée

Et pelletée !

Ah ! Mère !

Dans un mâle de Noël mammaire !

De mon manque de mère ah ! mère !

Dont je manque d'amour !

Avec du désamour balourd !

Du fruit de ma colère,

Terre de ma détresse linéaire;

Entre ombre et lumière

Dont ce naît imaginaire !

D'un rock de pierre

En un rock ultra troubadour.

 

Jérôme de Mars

Quand le soleil allume le jour ! Quand la lune éteint le jour pour la nuit !

 

Allo La Terre ! Y a-t-il quelqu'un qui me répond ?

Et qui correspond ?

En envoyant des messages

De mon passage sur Terre !

Dans les parages

Du soleil et de la lune;

Avec en une,

Quand le soleil allume le jour !

Aux aurores

Pour réveiller le jour

Qui dort !

Dans la lumière !

Qui scintille et brille;

Telle une chimère

Pour des broutilles,

Qui barbouille le ciel

Bleu; auréolé de son arc en ciel !

En le coloriant

De toutes les couleurs !

Et en le maniant

D'ardeur et de ferveur

A tous les temps !

Durant le temps qu'il fait beau !

Avec pour déco,

Un eldorado dans le ciel !

Qui crescendo;

Grimpe à un escabeau

Sur la passerelle

Qui mène vers l'arc en ciel,

Qui bourdonne dans une lune de miel

Autour du miel et de ses abeilles;

Attire d'elles !

Entre deux dépaysantes ritournelles,

Qui montent exponentielles

Le soleil au zénith du ciel !

Afin qu'il accroche l'arc en ciel

Parmi les sept merveilles

Fécondes de ce monde intemporel;

Dont nul naît éternel !

De la lueur de ce jour,

Qui décroche substantiel

Les étoiles;

Qui mettent les voiles !

Dont ça vaut largement le détour !

Durant le temps que dure la lumière

Dans le ciel ancestral bipolaire

De par son brin téméraire,

Du fin fond de l'univers imaginaire

Depuis Cap Canaveral !

Durant le temps autant; au temps et OTAN

Que pendant !

Pour que la lune éteigne

Le jour !

Avant que cependant

La lune envers le jour;

S'en imprègne

Dans une nuit bariolée !

Qui a varié et vacillé

Dans un mélange des genres

Transgenres,

Qui vaudra le détour !

Nulle part ailleurs !

De la lueur

Du jour

A la fraîcheur

De la nuit qui dégorge son univers crépusculaire;

Qui respire le silence de la mer linéaire

Et de la terre interstellaire !

En route vers l'itinéraire

D'un monde de sourds !

Avec en une,

La lune;

Qui éteint le jour !

Pour la nuit !

Dont peut-être plus tard

Et oui !

Pour la vie !

Dans un air de fanfare !

Puisque ainsi venu, survenu,

Revenu et sûr venu,

Quand le soleil allume

Et rallume

Le jour !

A partir de quand la lune

Eteint le jour !

Et s'éteint en une

Pour la nuit !

Dont désormais peut-être ainsi

Dans un tintamarre !

Pour la vie aussi !

 

Jérôme de Mars

J'ai largement eu ma dose !

 

Antidote contre mes névroses;

Qui frôlent l'overdose,

J'ai largement eu ma dose !

En sûre dose; surdose

Aux vers dosent !

De ma sinistrose,

Avec en piqûre de rappel

Toutes les piques;

Dont je ramasse à l'appel,

Les feuilles mortes

Monotones de mon état critique;

Qui sue en mes maladies chroniques

Et psychiques;

Dont j'ai largement ma dose !

Et dont j'ai largement eu ma dose !

De ma décompensation psychologique,

Qui ramasse à l'appel !

Les feuilles mortes

De mes névroses fortes;

Qui rappellent la clinique Pasteur

En cherchant le pasteur,

Afin qu'il me récite le Missel !

De par ses prières

Sans régime Missel

Pour apaiser ma colère;

Qui me transperce l'âme dans ma chair,

Dont j'ai largement eu ma dose !

En cirrhose

De tous mes déboires en overdose;

Aux vers dosent !

De ma surdose, sûre dose;

D'où j'écris mon désarroi !

Et mon manque de foi !

En foi la vie !

Qui ma foi, dévie

Avec en piqûre de rappel !

Toutes les feuilles mortes

Monotones de ma vie atone;

D'où j'en fais des tonnes aux tonnes,

Dont j'ai largement ma dose !

Et dont j'ai largement eu ma dose !

De mes névroses

En surdose; sûre dose

Dans une cirrhose,

Quand c'est la mère à boire !

A retracer le fil de mon histoire !

Avant que j'aille au purgatoire;

Rendre des comptes et sue

De mon réservoir,

Haut comble de mon désespoir !

Où ma vie, c'est à la foi !

Une issue sang issue,

Issue de mon manque de foi;

Qui s'sut

Que j'avais un immense désarroi,

Où il y avait à manger et à boire !

A en sangloter tous mes déboires,

Où j'ai tellement ma dose !

Et où j'ai tellement eu ma dose !

De mes névroses

En surdose; sûre dose

Que j'en ai bu

Et imbu

Mes regrets monotones,

En en faisant des tonnes

De cirrhose;

A l'automne, aux tonnes

De ma vie morose;

D'où je jette ma dernière encre,

Qui sort de mon stylo qu'ancrent

Mes rituels sempiternels;

Avec en piqûre de rappel

De mon état stationnaire

Et solennel,

L'attente à y trouver des réponses essentielles

A ma crise existentielle;

D'où le sens naturel

Et surnaturel; sûr naturel

De mon état normal; anormal

Et paranormal,

Qui fait que mes névroses

Frôlent l'overdose !

Aux vers dosent !

Dont en surdose; sûre dose,

J'ai eu trop ma dose !

Car j'ai eu largement plus que ma dose !

En cirrhose...

 

Jérôme de Mars

                                                Blagues :  

 

 

1) Qu'est-ce-que ça fera si tous les Français prennent Emmanuel Macron en grippe à cause du nouveau variant qui provient d'Afrique du Sud ?

-  Ca fera le nouveau variant Oh ! Macron !

 

2) Pourquoi serons-nous cuits s'il y avait la 5ème vague du Covid ?

-  Parce-qu'on serait tellement au creux de la vague qu'on finirait par être cuits au four Omicron ondes !

 

                                         Jérôme de Mars

 

Vannes qui coulent de source !

 

Petites brèves de comptoir au GEM de Vitry entre les adhérents et les animateurs :

 

1) Quand Jérôme  fait les comptes chaque fin de mois du GEM de Vitry et de Choisy; il y va à fond la caisse !

 

2) Un samedi sur deux à midi au GEM de Vitry; il y a un repas pour que tout le monde soit dans son assiette !

 

3) Si un jour pour le repas du samedi midi au GEM de Vitry si c'est Raphaël qui fait la cuisine; Raphaël calculera l'assiette de l'impôt des animateurs et des adhérents du GEM de Vitry !

 

4) Le samedi midi au GEM de Vitry après le repas; ceux qui font la vaisselle se vannent en ouvrant les vannes qui coulent de source !

 

5)  Alexandre pour faire bonne impression; fait couler beaucoup d'encre en imprimant ses textes sur l'ordinateur du GEM de Vitry !

 

6)  Of course car chaque fois que le samedi midi; il y a un repas au GEM de Vitry, c'est moi; Guillaume et Raphaël qui faisons les courses !

 

7)  Lors de chaque repas le samedi midi au GEM de Vitry pour que ce lien reste dans l'harmonie, personne n'est à couteaux tirés en restant dans la fourchette des prix et en y allant par le dos de la cuillère !

 

8) Les chèques-cadeaux de 70 Euros qu'ont eu les adhérents du GEM de Vitry pour les récompenser de leur bénévolat; ne sont pas des chèques en bois !

 

9) Pour Walid; le mobile de son travail, c'est de répondre aux appels sur son téléphone portable !

 

10) Lors de chaque repas annuel de Noël au GEM de Vitry pour que l'ambiance reste chaleureuse au sein de ce lieu, il n'y a jamais de buffet froid vu que tous les adhérents dégustent déjà assez comme ça dans la vie !

 

11)  Lors de chaque loto au GEM de Vitry; il y a toujours un sacré numéro nommé Alexandre !

 

12)  Lors de chaque atelier terre avec Manon; les adhérents qui participent à cet atelier, ont vraiment du pot !

 

13)  Le jour où au GEM de Vitry; nous aiderons Walid dans ses maraudes pour distribuer de la nourriture aux plus pauvres, cela nous permettra de restaurer notre joie de vivre tous en chœur en étant utiles et pas futiles !

 

14)  Philippe L fait des découpages à en couper le souffle !

 

15)  Grâce à Philippe B qui nous fait bien rire avec ses blagues; c'est faites l'humour et pas la guerre !

 

Jérôme de Mars

L'indifférence

 

Inventaire de notre monde actuel;

Qui en ressort de plus en plus cruel !

Avec ce qui fait la différence,

L'indifférence en un manque de déférence;

Alors qu'avant elle, était avec révérence;

Tandis que maintenant, elle souffle

Et boursoufle 

Dans l'irrévérence;

Où on en meurt tous à petit feu 

De l'indifférence !

En ne croyant plus en Dieu !

Où l'indifférence est très en vogue !

Et trop à la mode dans son monologue !

Où tout le monde s'en fout de tout !

En étant malgré tout très malheureux !

De vivre

Et de survivre

Dans ce triste fourre-tout !

Où il y a une hémorragie de gens généreux,

Avec l'indifférence qui fait la différence !

De la déférence à l'indifférence;

Où l'indifférence défait 

Ce monde de conte de fée !

En un immonde compte de fait !

D'indifférence avec irrévérence,

Qui coule dans nos veines

Avec dans nos veines;

Des choses obscènes et vaines,

Dont de l'indifférence !

On en meurt à petit feu

Au coin du feu ténébreux;

Alors que de la déférence ! On en retient

De la vigueur en faisant le bien !

Pour l'amour des cieux et de Dieu,

Où en ces temps difficiles !

Il faudrait que tout le monde ne soit plus volatile !

Et redevienne docile;

Expansif et volubile,

Afin que la vie soit plus facile !

Et qu'on en ressorte

Très heureux; en ouvrant grand la porte

A tous ceux qui ont besoin de nous !

Afin qu'on renoue

Dans la fraternité !

Et qu'on dénoue l'adversité,

Afin qu'on renoue en paix

Dans un monde meilleur !

Pour faire réapparaître le bonheur !

Dans un grand bonheur !

Puisque ce monde hait de laideur !

Et naît plus beau !

Alors qu'il suffirait de trouver les mots !

Pour que la déférence fasse la peau

A l'indifférence; afin que la déférence

Fasse la différence avec l'indifférence !

Afin que plus personne ne soit malheureux

Dans l'indifférence, mais que tout le monde

D'après une sonde sans une fronde;

S'porte beaucoup mieux !

Car les gens qui sont pour l'indifférence !

N'en sont pas heureux, v'là la différence !

Où enfin un peu de déférence;

Nous ferait le plus grand bien !

Et v'là la différence !

Avant que tout le monde s'meurt d'indifférence !

Pour eux, entre eux et pour leurs aïeux;

Alors que comble de l'ignorance,

L'importance serait de la déférence;

Afin de rallumer les projecteurs du bonheur,

De la ferveur; de l'ardeur et de la candeur

Pour faire crever l'indifférence;

Et redonner la vie à la différence !

Et aux différences

D'un melting potes ! Car ceux qui sont 

Pour l'indifférence ! Et font

L'indifférence ! Qui vous dit qu'un jour ? !

Que leur vie à eux aussi ne sera pas

A contre-jour !

Et qu'ils n'auront pas besoin eux aussi,

Pour ranimer leur vie !

De déférence et pas d'indifférence !

Car dans une vie réussie; éblouie

Ravie et épanouie,

C'est la déférence qui fait la différence

De l'indifférence !

Dont de toutes les différences !

Pourvu qu'il n'y ait plus d'indifférence

Avec irrévérence !

Dont la révérence

Serait la réconciliation

Dans une alchimie d'union

Libre ! Afin que la déférence, 

Fasse la peau à l'indifférence

Et qu'en un tempo; 

Tout le monde soit mieux

Dans sa peau !

En vivant dans un monde plus beau,

En croyant à nouveau en Dieu;

En faisant le bien

Et en faisant du lien,

Le programme politique

De l'apolitique;

Dont pourvu que la déférence

Fasse la peau à l'indifférence !

Pour ne pas que le monde s'meurt

A petit feu !

Mais dont la déférence

Serait la seule résilience

En ce monde, pour qu'il rallume tous ses projecteurs

Avec dans un tempo;

La lumière de tous leurs Dieux

Aux différences,

Car v'là la différence !

Qui fera toutes les différences !

De l'indifférence

A la déférence; dont avec joie,

Ce sera le retour de la nouba et de la java,

Où ce sera revoilà là déférence !

 

Jérôme de Mars

BLAGUES :
1) QU'EST-CE-QUE CA FAIT PHILIPPE BOURGET QUAND TU M'APPELLES AVEC TON PORTABLE ET QUE JE NE DECROCHE PAS ?
- CA FAIT PHILIPPE BOURGET QUE QUAND JE SUIS AU SALON DU BOURGET, ET BEN, JE METS MON PORTABLE EN MODE AVION !
2) POURQUOI PHILIPPE BOURGET, QUAND TU ME PARLES, DIS-TU TOUJOURS CA NE ME REGARDE PAS ?
- CAR QUAND TU ME PARLES, CA TE REGARDE !
Jérôme de Mars

Des girouettes

 

Français si vous parliez le même Français !

Sans vous contredire en étrangers !

En parlant l'étranger entre étrangers

Français ! Dont vous êtes des girouettes !

A dire un coup blanc !

Et un coup noir !

Avec et cris noir sur blanc !

En disant blanc bonnet bonnet blanc !

Tels vous les Français !

Dont vous êtes des girouettes !

A dire un jour oui !

Un jour non !

Dans un miroir aux alouettes;

Pirouettes ! Vous ne valez des cacahuètes !

En faisant vos emplettes !

Telles des girouettes

Un coup en votant

A gauche,

Pour mettre la gauche

Aux manettes;

Et un coup en pivotant

A droite,

Pour mettre la droite

Aux manettes;

Telles des girouettes

En allant dans la direction du vent,

De la roses des vents;

Qui tourne élevant !

Surélevant; soulevant

Et relevant !

Le niveau

A niveau zéro !

Telles des girouettes,

Un coup qui parlent Français

Aux étrangers;

Et un coup qui parle Etranger

Aux Français étrangers,

Entre étrangers;

Dont le Français

Leur paraît tellement étranger !

Qu'ils en perdent leur latin

Aux racines de leur lien !

Dont les Français sont des girouettes,

A croire au miroir aux alouettes

Alouette ! Cacahuètes !

Tout ça ne vole pas bien haut !

A part croire à l'eldorado

Pour les étrangers qui ne parlent Français !

Mais dont leur accent étranger;

Fait que les Français

Ne les comprennent,

A part faire des étrennes

Aux Etrangers qui parlent un peu Français;

Un Français étranger étranger

A tous les Français étrangers Etrangers,

Dont vous les Français ! Vous êtes des girouettes

Dans un miroir aux alouettes;

Trop individualistes, en pieux copieux !

Faute de mieux !

Arrogants en ne prenant

Pas de gants !

Dont vous êtes des oiseaux de mauvaise augure !

Que votre profonde nature hait

Avec des ratures;

Vous les Français ! Têtes de veaux !

Qui suivaient le troupeau

Des moutons de Panurge,

Qui faisaient comme les chèvres

Qui rendent chèvres

Le bout de vos lèvres;

Qui vous purgent et expurgent

Vous, qui êtes mal dans votre peau !

Qui vous sèvre !

Ce que vous Français ! Telles des girouettes !

Vous êtes désabusés et affligés

Par toutes vos diverses facettes !

Pour une amourette;

Ou pour conter fleurette

Dans un miroir aux alouettes,

Du reflet de votre miroir depuis belle lurette;

Ainsi tristement, en parlant le Français !

Etranger aux Etrangers Français !

Qui parlent un Français étranger étranger !

A vous les Français qui restez d'untel

A untel !

D'interchangeables girouettes.

 

Jérôme de Mars

Rue des poètes

 

Ames esseulées sur la rive;

Qui partez à la dérive !

Venez esthètes !

A la rue des poètes, 

Qui arrime

Chaque vague à l'âme !

Qui rime

Accoudé en buvant un café crème !

De crème futée

Ou affûtée 

En vers les quidams;

Où quand un seul être

Vous manque;

Tout est dépeuplé !

D'après Alphonse de Lamartine,

Qui butine

Son miel !

Lors de sa lune de fiel

Jusqu'aux peupliers

De leur planque;

En leur donnant envie

De s'jeter par la fenêtre,

Dont c'est la mer à boire

Au comptoir !

A causer guinguettes,

A névroser ou à nécroser fossettes;

Usés; consumés et décompensés

Dans cette vie infinie

A l'infinie routine,

Qui dessine

Fataliste ! Une utopie

Dans une montée d'adrénaline,

A la rue des poètes

Entre esthètes;

En lisant Les lettres de mon moulin

D'Alphonse Daudet,

En étant à la fois au four et au moulin !

En mettant de l'eau à leur moulin;

Qui dégouline de plaisirs libertins !

A la rue des poètes

Entre esthètes,

Soûlés par la rudesse

Et l'hardiesse

De leur vie déesse;

Entre paresse

Et forteresse,

Soûlés par le désespoir

De leur vie en ambulatoire;

Déambulatoire dans leurs bruits de couloirs,

En s'enivrant soûlés par l'écume

Des jours dans leur amertume;

Soûlés par la bouteille en vin

De leur eau de vie,

Qui dévie

En prenant de la bouteille !

Dans un entrain

Au soleil qui cherche son oseille !

Pour éclaircir leur austère horizon

Sur leur délétère balcon;

Face à la mer

En envoyant une bouteille

A la mer,

A la rue des poètes

Entre esthètes;

En écumant les bars

Des boulevards,

A la recherche des travers

De la rue des poètes

Entre poètes;

Avant que dans la rue,

Tout le monde s'rue !

A incliner le soleil du Nord

Vers Paris pour ne perdre le Nord

A tribord !

De Paris mi lord; milord,

Riches ou pauvres; où tout le monde 

Attend dans la fronde !

Une embellie

Sûre Paris,

Et où dans ces primes vers;

Jacques Prévert y dissémine

Toute sa vert mine !

Afin qu'il y plante sa graine

Dans son jardin d'Eden,

De sorte qu'il y ait des feuilles mortes

Dans son jardin secret

De ses amours mortes;

Ames esseulées, ayez une attitude forte !

En y semant des primevères; des bruyères

Et des fougères, d'hier

A aujourd'hui; le nouvel prochain hiver

A la rue des poètes

Entre esthètes;

Où tout le monde paye sa consommation !

En réglant dans une sommation, 

Son addition salée

Dans leur jardin d'hiver; 

Dans lequel Jean de La Fontaine

Attend impatient

Sur son banc le printemps !

En chantonnant Fontaine !

Je ne boirai ton eau ! En jaillissant

L'eau de la fontaine en son fruit défendu !

De leur rengaine

A chaque semaine dissolue,

En buvant les vers

Et les revers

D'Arthur Rimbaud;

En trinquant à sa santé !

Et en trinquant

Au troquet de sa santé !

A la rue des poètes

Entre esthètes,

En buvant les travers

Du bateau ivre;

Qui soûle la vie qui enivre

L'oiseau aux aile brisées libre,

Et qui s'enivre !

Brisé par le vent et les bris

De la vie;

Qui le mettent en lambeaux

A la rue des poètes

Entre poètes,

Quai Voltaire

Sûre place du boulevard;

De leur révolution libertaire

Et rebelle dans ton songe de leur travers,

Dont Guillaume Apollinaire

En a fait des calligrammes;

Avec au programme 

Beaucoup de grammes d'alcool

Au compte-gouttes, qui enivre

Sa poésie libre qui givre

Son mal de vivre;

En soûlant sa vie

Dans de l'alcool d'absinthe, 

Qui éreinte

Son appétit de vivre;

Duquel il y met ses paroles

De désespoir au fond du bistrot,

Avec ou sans ses potos !

A la rue des poètes

Entre esthètes;

Dont parmi ceux qui passent un éthylotest 

Dans leur coma esthétique,

Symptomatique et lunatique;

Comme aussi bien !

Charles Baudelaire qui fit du mal

A ses fleurs du mâle,

Aux travers

De leurs poésies sans frontières;

A tous ces poètes névrotiques et frénétiques !

Qui dorment sempiternels, 

Sombres à l'ombre !

En gisant

Et en reposant;

Eternels et immortels !

A l'autel

De leur pénombre de leur lumière,

Sombre dans leur lumière en clair !

Et eau claire !

Entre ombre et lumière !

Au cimetière des élégants

Poètes ! Qui s'meurent en poussière !

En sentant le vent

Tourner et retourner projecteur !

Et rétroprojecteur !

Qui détourne entre esthètes;

Et contourne en faisant la fête

Discontinue et sans s'arrêter avec excès !

Dans la cohue désormais connue,

Et reconnue entre inconnus !

A la rue esthète des grands poètes.

 

Jérôme de Mars

 

S'il y avait une maison dans le ciel !

 

Aquarelle qui tombe à l'eau dans un arc en ciel !

L'eau de pluie fait pleurer avec des ritournelles

Les messages immortels destinés à untel !

En consolant les sans ciel face à l'essentiel

De la matière sur Terre qui est éphémère !

Et dont tout le monde rêverait à de l'amour linéaire

Du fin fond de l'imaginaire

Des humains; nos chers frères  !

Aussi bien débonnaires que solitaires,

Alors que s'il y avait une maison dans le ciel !

Le monde aurait fière allure !

En donnant une meilleure nature

Aux âmes spirituelles pétries d'humanité !

Qui feraient feu de tout bois avec humilité

Dans un convivial feu de cheminée d'authenticité;

Ragaillardi par un ciel chaleureux et cordial

En des tapes amicales

Et fraternelles, en décochant une flèche à travers

Un arc en ciel en direction de sa cible universelle;

Et s'il y avait une maison dans le ciel !

La bonté et l'amour ne seraient superficielles

Mais essentielles en érigeant sans barrières,

Un monde sans frontières et solidaire

Dans un ciel solaire qui tournerait davantage rond !

Au contact de la lumière en formant une ronde;

Qui dessinait un monde où la solidarité serait féconde,

Et s'il y avait une maison dans le ciel !

L'amour serait logée à l'autel

Sur le plan spirituel et charnel;

Avec de l'encens universel !

Dont le Missel enseignerait l'essentiel naturel

Malgré les sans ciel virtuels !

Pour que l'artificiel

Fasse place au triangle des Bermudes,

Qui isole celles des mauvaises habitudes !

Et s'il y avait une maison dans le ciel !

Peut-être que la solidarité serait exponentielle

Et que la solitude s'viderait dans un chemin de Compostelle !

Qui compose telle une stèle en hommage aux défunts corporels;

En signant des accords éternels !

Avant que la mort mette les corps en poussière

Au cimetière des et les vents qui mettent de la poussière !

Partout dans le ciel artificiel et superficiel !

Et dont dans une parole charnière,

Il serait OTAN d'imaginer un monde de lumière en clair !

Et en paix dans la liberté d'aimer

Qui on veut !

Malgré son Dieu !

En ayant les idées claires; dont l'essentiel et plus les sans ciel !

Serait le titulaire de l'autel spirituel et cent ciel !

De façon formelle et solennelle !

Et dont à l'unanimité au complet dans le ciel !

On s'demanderait tous une fois au ciel  !

Et si pour l'éternité; il y avait une maison à l'unisson dans le ciel !

 

Jérôme de Mars

La main sur le cœur

 

En ayant toutes les cartes

En main !

Je joue cartes

Sur table de mon destin !

Que j'entarte

Moi qui suis une crème fouettée;

Ou futée, affûtée

En ayant le cœur sur la main,

Et dont de mon destin;

J'en fais par cœur

De la rancœur,

En chantant avec mon pacemaker;

Haut ! Mon cœur !

Avec des oh de cœur !

Avec la main sur le cœur !

En envoyant des piques

De mon désarroi épique,

En écrivant avec mon cœur

Avec le cœur sur la main;

Dont de mon destin,

J'essaie de me tenir à carreaux !

En lavant mes carreaux !

Avant que je reste sur le carreau

De tout mon fardeau !

Que j'écris dans un désarroi de trèfle

A quatre feuilles !

Où j'espère que vous lui réserverez

Un bon accueil

A mon recueil

Du fruit de mes écueils;

Où j'ai du mal à faire le deuil !

Seul avachi sur mon fauteuil

Avec la main sur le cœur,

Dont j'apprends par cœur !

En déchantant en cœur

Toute ma rancœur !

Haut ! Mon cœur !

Avec des oh de cœur !

Avec le cœur sur la main;

Dont de mon destin,

J'en fais une affaire de cœur

A base de liqueur;

Qui écœure

Mon manque de cœur !

Avec mes problèmes de cœur

Qui écœurent mon pacemaker !

Pince mon cœur !

Haut ! Mon cœur !

Or ! Il prend tout très à cœur par cœur !

Avec des oh de cœur !

En rentrant dans la reine

De la rancœur;

Qui valait de la part de mon valet

Un valet de rancœur,

Qui avait dévalé

Et cavalé

Manque de pot !

Ma tête sur le carreau;

Qui resta sur le carreau

Du chaos !

Avec la main sur le cœur !

Et le cœur sur la main ,

Dont de mon destin;

J'en ai un cœur de pierre !

Pierre

Qui déroule !

Et qui ne ramasse pas s'émousse !

Quand ma rancœur me mousse !

Et dont mon cœur s'émousse !

En jouant cartes

Sur table avec une pancarte !

Qui a toutes les cartes

En main,

Dont je tombe souvent dans le panneau !

Avec le cœur sur la main;

Et la main sur le cœur,

Dont mon destin

Lui fait une fleur !

Et lui envoie des fleurs

Dans un désarroi de trèfle à quatre feuilles;

De mon état à fleur 

De peau; de pot,

Qui fleure; effleure

Et effeuille

Mon désarroi de pique;

Avec le roi d'épique,

Qui m'envoie des piques

Pour que je ne me tienne à carreaux !

Et que je m'en lave les mains

De mes carreaux !

Pour que je reste sur le carreau

De mon chaos;

Où avant que déguerpisse mon eldorado !

Il serait temps qu'avec la reine de la rancœur !

Que je rentre dans la reine de cœur,

Par cœur pour que mon pacemaker

Haut ! Mon cœur !

Guérisse de sa rancœur

Avec des oh de cœur !

En chantant en cœur !

Et de gaieté de cœur !

Avec le cœur sûr la main;

Dont de mon destin,

J'aurai fini par décider

De me tenir à carreaux;

Et de laver mes carreaux,

Avant que j'y reste sûr le carreau

De mon chaos ;

Dont manque de peau,

Je continuerai à jouer cartes sur table !

En ayant toutes les cartes

En main;

Dont de surlendemains

En sûrs lendemains,

J'aurai toujours

Et pour toujours

Chaque jour !

Qui passe de mon destin;

Tout ce lien,

Dont je ferai encore le bien !

Et bien !

En récitant o combien

Par cœur

Oh ! Mon cœur !

Sans hauts de cœur !

Avec le cœur sûr la main;

Et en chantant en cœur

Avec la main sûre le cœur.

 

Jérôme de Mars

 

Je fume des cigarettes !

 

Fumeur de joints;

Ici si enjoint, ici-ci en joints !

Au sens figuré du garde-à-vous !

Je fume des cigarettes !

Pour avoir la paix

Sous diverses facettes

De mes fossettes

En joue de mon amertume,

Où j'enfile des costumes

Sur mesure ! Dont j'enfume

Toute ma bouffée d'oxygène

En un buffet anxiogène;

Où je fume des cigarettes !

En faisant des emplettes

Dont c'est le prix de ma liberté !

Enfumée en fumée,

D'où il y a de la buée

Dans mes lunettes;

Où pour avoir la paix

Et être en paix !

Il faudrait peut-être

Qu'au lieu de vouloir

Me jeter par la fenêtre;

Que je raconte des brèves de comptoir

Au comptoir

Du bistrot

Avec les potos !

Pour que je fume des cigarettes !

En fumant le calumet de la paix

Qu'allumait ce monde qui part en sucettes !

Au non d'une pipe

Vu que tout le monde s'étripe !

Afin que la démocratie s'émancipe !

Et où pour leur cracher la fumée

Aux gens enfumés;

Qui m'enfument

De leur amertume !

Et bah ! j'en fume, j'enfume

Les gens dans leur amertume !

Et leur enclume !

Où je fume des cigarettes !

Afin que ma fumée

Aille sur leurs lunettes

Et pas sur mes lunettes;

Qui ont tant supporté

A première vue toutes mes fossettes !

Avec la tête dans les comètes !

Et où je fume des cigarettes !

Avec diverses facettes,

Car il y a de la fumée enfumée en fumée !

Qui crame sur la cheminée

De mon chemin né;

Moi la tête d'enclume,

De par l'insulte

Des gens vies à vies de mon amertume !

Dont ma vie est le fruit du tumulte

Depuis l'âge adulte;

Où bordel ! Il y a de la fumée

Dans mes lunettes !

Tellement que je fume des cigarettes !

Et que j'en fume; que j'enfume la pipe

Au nom d'une pipe !

De ce monde qui part en sucettes !

Et dont moi à la bonne franquette !

Je suis en quête de paix !

Et en requête pour être en paix

Et aspirer en paix à la paix !

D'où la raison pour laquelle je fume le calumet

De la paix qu'allumait 

Ma vie, dont c'est le prix de ma liberté !

D'où je rejoins ici joint; ci-joint

Six joints !

Le mois de joints

En fumeur de juin;

Dont c'est le prix de ma liberté !

Et en paix s'il vous plaît !

Dont je fume enfumé, en fumée

Le calumet de la paix

Qu'allumait mon traité de paix !

Après avoir été tant maltraité de paix;

Mâle traité de paix !

Dont j'aspire arrivé à bon port à être

Dans un Havre de paix !

Terre du bien naître

De ma résilience

Dans la loi du silence !

Pour passer de mes fossettes

A mes diverses facettes,

Dont pour que ma tête respire la paix !

La tête dans les comètes !

Je fume le calumet de la paix

Qu'allumaient mes allumettes !

Dont c'est le prix de ma liberté !

Où figurez-vous !

Je fume encore

Et encore

Cigarettes sûres cigarettes !

 

Jérôme de Mars

 

De ce poème qui fait mouche...

 

De ce poème qui fait mouche...

Dard-dard; il y a des abeilles; des guêpes;

Des frelons et des bourdons,

Qui filent le bourdon en lançant des piques en rentrant

De leur lune de miel;

Dard-dard avec des cafards qui foutent le cafard

Aux fourmis dans le déni de la reine,

Qui fourmille d'idées

Aux dépens des cigales;

Qui chantent durant chaque été

A La Cigale face au soleil, 

Qui est à son zénith dans un concert

De louanges qui fait mouche;

Avec des mouches et des

Papillons, qui prennent leur envol

Dans un effet papillon; qui mouche du moche

En s'mouchant le nez lors du rhume des foins,

Qui chenille les chenilles

Sur le corps des mille-pattes;

Qui retombent toujours sur leurs mille pattes,

En plein dans le mille pattes

De l'an deux mille pattes

Vers à soit des vers de terre-à-terre;

Où avec des grillons; nous grillons notre vie

En la brûlant par les deux bouts de la chandelle,

En tenant la chandelle et en allant;

Plein d'allant vers le haut,

Avec des hirondelles qui volent très haut

Vers le haut et avec des libellules qui pullulent,

En relevant le niveau de ce poème 

Qui fait vraiment mouche...

 

Jérôme de Mars

Quand le soleil fait effet boule de neige !

 

Entre l'automne et l'hiver

De ces saisons,

Qui grèvent leurs flocons

De neige;

Qui grêlent leurs privilèges,

Il y a des badauds divers

Juste avant les fêtes de fin d'année;

Qui vont bûcher 

Dur surtout quand le soleil 

Fait effet boule de neige !

A s'raconter la givre, 

Qui jette un froid et qui enivre

Avec du vin chaud;

Les badauds dans leur fardeau

Avec de la neige,

Surtout quand le soleil 

Fait effet boule de neige !

En donnant du grain à moudre

Pour absoudre et résoudre

Les péchés des quidams;

Qui dans leurs drames

Au quotidien oublient

D'appeler leur familles et leurs amis,

Afin de prendre de leurs nouvelles;

Et dont lorsque tombe la neige !

Quand le soleil fait effet boule de neige !

Et bien ! Les badauds appellent

En ritournelles leurs proches,

Pour leur dire qu'ils ne les oublient

Mais qu'ils ont aussi leurs soucis;

Avec la peur d'avoir les poches

Vides et des poches

Sous les yeux, vu que les aléas

Du temps les amochent;

Avec le temps rabat-joie !

Mais dont le ciel

Ordonne aux badauds,

De faire une trêve

Le temps des fêtes qui achèvent

L'année en milles morceaux,

De ce monde qui dérive vers le chaos;

Avec la neige et ses flocons de neige,

Surtout quand le temps très à cran !

Vu que tout fout le camp !

Fait en sacrilège désormais 

Un grand effet boule de neige !

 

Jérôme de Mars

 

 

Quand le soleil fait effet boule de neige !

 

Entre l'automne et l'hiver

De ces saisons,

Qui grèvent leurs flocons

De neige;

Qui grêlent leurs privilèges,

Il y a des badauds divers

Juste avant les fêtes de fin d'année;

Qui vont bûcher 

Dur surtout quand le soleil 

Fait effet boule de neige !

A s'raconter la givre, 

Qui jette un froid et qui enivre

Avec du vin chaud;

Les badauds dans leur fardeau

Avec de la neige,

Surtout quand le soleil 

Fait effet boule de neige !

En donnant du grain à moudre

Pour absoudre et résoudre

Les péchés des quidams;

Qui dans leurs drames

Au quotidien oublient

D'appeler leur familles et leurs amis,

Afin de prendre de leurs nouvelles;

Et dont lorsque tombe la neige !

Quand le soleil fait effet boule de neige !

Et bien ! Les badauds appellent

En ritournelles leurs proches,

Pour leur dire qu'ils ne les oublient

Mais qu'ils ont aussi leurs soucis;

Avec la peur d'avoir les poches

Vides et des poches

Sous les yeux, vu que les aléas

Du temps les amochent;

Avec le temps rabat-joie !

Mais dont le ciel

Ordonne aux badauds,

De faire une trêve

Le temps des fêtes qui achèvent

L'année en milles morceaux,

De ce monde qui dérive vers le chaos;

Avec la neige et ses flocons de neige,

Surtout quand le temps très à cran !

Vu que tout fout le camp !

Fait en sacrilège désormais 

Un grand effet boule de neige !

 

Jérôme de Mars

 

Michel au pays des anges !

 

En vol Michel au pays des anges !

Avec mes anges; mésanges

Depuis que tu nais

Plus de ce monde; tu es

Mon cher oncle Michel

Au pays des anges;

En volant avec mésanges,

Dont j'arrange

Ce poème à ton image;

Toi au pays des rois mages,

Où je te rends hommage;

Toi qui voles parmi les anges,

Dont je te chante cette ritournelle

Pour toi qui prend ton envol !

Avec les tourterelles;

Où toi Michel, tes paroles

Me manquent dans une passerelle !

Entre toi et moi et sans ciel,

Toi qui es au ciel,

Et qui a trouvé la paix intérieure

Dans un monde meilleur;

Après une vie de dur labeur,

Où toi Michel qui es au pays des anges;

J'espère que là-haut; tu as une vie d'ange !

Où tout le monde se mélange

Entre mésanges et mes anges,

En chantant toutes les saisons

De la vie dans une chanson;

Dès l'oraison

En te prêtant mon attention

A toi Michel; mon cher ange

Au ciel parmi mésanges,

Où je chante tes éloges

Sans que cela déroge

A tes défauts;

Mais qui sont bien mieux

Que tes mots pieux,

Toi depuis là-haut vers l'eldorado;

Où mon cher Michel,

Tes ritournelles

Me manquent à en pleurer

Toute mon intégrité;

Mais dont mon âme se console

En sachant que maintenant

Que t'es là-haut !

T'as retrouvé papy 

Et mamie

En passant aussi du temps

Avec tata, mon cher oncle Michel !

De par tes paroles sans bémol !

Là-haut au ciel !

Et dans le ciel !

Où pour te dire je t'aime !

Sans chrysanthèmes,

Je décoche une flèche !

De par la grâce de mon arc en ciel

Indicible

Pour atteindre la cible

De ton affection éternelle !

En t'accordant toute mon attention essentielle

De par mes larmes qui ne sèchent;

Où je veux pieux

Que tu voles vers de nouveaux horizons !

Sur le balcon

Du Missel !

Toi mon cher oncle Michel

Au pays des anges universels,

Pour que toi en oiseau libre;

Tu puisses vivre

Afin que tu voles

De tes propres ailes,

En prenant ton envol

Avec les tourterelles;

Le tout en ritournelles,

Mon cher oncle Michel

Dorénavant au pays des anges.

 

Jérôme de Mars

Coup de folie

 

Petite saynète sous forme d'une pièce de théâtre qui évoque deux anniversaires, où bientôt ça fera presque 1 an le 5 décembre 2021 ! Que Madame Manoiline; l'ancienne directrice de L'ESAT La Fabrique, a été virée de cet ESAT le 5 décembre 2020 pour fêter cet anniversaire ainsi que l'anniversaire, où y a presque 2 ans; Jérôme B avait écrit sur FACEBOOK le 18 décembre 2019 que comme à L'ESAT La Fabrique, tout le monde s'en foutait de lui parmi ses collègues et les salariés, et ben ! Jérôme B avait écrit sur FACEBOOK qu'il voulait se suicider à L'ESAT La Fabrique en se jetant par la fenêtre, comme cela en conséquence; il y aurait eu une enquête, et dont ainsi de cette manière ! L'ESAT La Fabrique aurait fermé ses portes définitivement !

 

Charlotte P; une ancienne collègue qui s'en bat en retraite : 

"  - Bonsoir mon petit Jérôme; comment vas-tu ? Mon cher Jérôme tu t'en rappelles quand il y a presque 1 an madame Manoiline avait été virée de L'ESAT La Fabrique suite à sa politique désastreuse dans cet ESAT, dont un agent dont je ne me rappelle pas le nom avait tout dénoncé à L'ARS; et dont toi peu de temps après, tu avais démissionné de cet ESAT le 17 février 2021 dernier; tu vois Jérôme ! Qu'est-ce-que les agents fabriquent dans cet ESAT où il y en a que pour l'argent   ? ! En tout cas Jérôme, tu as bien fait de quitter cet ESAT de tarets ! En plus dans cet ESAT; personne ne t'écoutait, ne te prenait au sérieux et tout le monde s'en foutait de toi !  Franchement Jérôme ! Tu ne dois vraiment avoir aucun regret à avoir quitter cet ESAT de merde !  "

 

Jérôme B; un  ancien agent de production : 

"  -  Merci Charlotte; je suis amplement d'accord avec toi par rapport avec tout ce que tu dis au sujet de madame Manoiline qui a été virée de cet ESAT le 5 décembre 2021 ! Moi; j'ai viré de bord comme dans cet ESAT; c'était la prison de la santé dorée; ce qui fait que j'ai sorti mon joker en devenant comme le joker de Batman, en me rebellant contre tout le monde qui me menait en bateau, où je me voilais tellement la face ! Que Marie-Laure Mollet a fini par démissionner de L'ESAT en août 2019; en mettant les voiles que l'activité voile a fini par être supprimée comme activité de L'ESAT, surtout qu'à cause de Madame Manoiline à l'époque à L'ESAT et ben; ma vie n'était jamais un long fleuve tranquille à Vitry sur scène dans cet ESAT de merde; ce qui faisait que j'étais au bout du rouleau quand j'allais toutes les 5 minutes me planquer dans les toilettes pour fuir l'atelier sous-traitance, où j'étais maltraité; mâle traité et conditionné au pire que les cabinets toilettes, où j'allais souvent me réfugier toutes les 5 minutes; étaient juste situés à côté du cabinet du bureau des plaintes de Benoîte Barreteau; la fausse sceptique, dont à cause d'elle, je déchantais tous les jours puisqu'elle me baladait tout le temps en ballades dans son bureau des complaintes !  "

 

Charlotte P; une ancienne collègue qui s'en bat en retraite :  

"  - Tu vois Jérôme il y aura bientôt 2 ans; tu écrivais sur FACEBOOK le 18 décembre 2019 que comme dans cet ESAT; tout le monde s'en foutait de toi que tu allais te suicider ici bas dans L'ESAT, en te jetant par la fenêtre; pourquoi avais-tu écrit cela sur FACEBOOK Jérôme ?  "

 

Jérôme B; un ancien agent de production :  

 

" - Et ben; c'est simple Charlotte ! Parce-que personne ne m'épargnait avec au bout du compte des conflits d'intérêts ! Et où tout compte fait ! Etant donné que comme personne ne m'accordait du crédit et de l'intérêt dans cet ESAT ! Que j'ai fini par marquer sur FACEBOOK ce que tu sais ! Car j'en avais ras-le-bol, et que tout le monde sait bien qu'à L'ESAT La Fabrique; on jette l'agent par les fenêtres, d'où on m'a jeté en agent comptant par les fenêtres !  "   

 

Charlotte P; une ancienne collègue qui s'en bat en retraite :

 

"  - Tu as bien fait de quitter cet ESAT de merde Jérôme ! Déjà que t'étais dans la merde à cause de cet ESAT; et au moins maintenant; tu fais du bénévolat au GEM de Vitry, où tu es mieux considéré !  A L'ESAT; t'étais au bout du rouleau car comme tu n'étais dans les papiers de personne, j'en déduis que tu étais comme un sans-papier dans cet ESAT; étranger aux autres, qui t'étaient étranger de même ! Je pense que c'est pour cela que tu as immigré dans cet ESAT, comme tu étais un drôle d'oiseau, mais dont à L'ESAT; question niveau; ça ne volait pas haut du tout ! Que j'en conclus donc que tu as eu plus de bats que de hauts ! Et c'est sans doute pour cela qu'à L'ESAT que tu dépassais régulièrement les limites de la frontière, comme tout le monde te mettait une frontière pour ne pas parler avec toi !  Et c'est aussi la raison qui explique pour laquelle tu ne savais pas mettre de frontière en te demandant ; où est la frontière entre en dire et ne pas trop en dire !  "

 

Jérôme B; un ancien agent de production :  

 

"  -  T'inquiète pas Charlotte depuis que j'ai quitté cet ESAT; je suis sûrement un oiseau aux ailes brisées, mais au moins; je suis un oiseau libre qui prend son envol, en volant vers de nouveaux horizons dont cap vers la bonne espérance pour que ça vole vers le haut !  "

 

Jérôme de Mars

Dommage est intérêt !

 

Par intérêt !

Il y a souvent

Dans la vie

Des conflits d'intérêts !

Pour l'intérêt

Des gens !

Qui pour être dans le vent !

Y ont leur intérêt !

Et y voient leur intérêt !

Qui évoque les rois mages

De leur désarroi mage,

A l'image

Des images;

Qui font du bruit

Car dommage est intérêt !

Avec des dommages et intérêts

En conflits d'intérêt !

Dont le seul intérêt

De leur seul intérêt !

Est leur unique centre d'intérêt !

En aimant

Et en s'mariant par intérêt !

Et pour l'intérêt !

D'avoir des dommages et intérêts,

Dont leur dommage est intérêt !

Et a de l'intérêt

En ayant de l'intérêt;

Qui a intérêt

D'avoir pour intérêt !

Des conflits sans intérêts

En conflits d'intérêts !

Dont le seul intérêt

Est d'avoir des dommages et intérêts,

Dont le dommage est intérêt !

Pour ceux qui par exemple;

Ont intérêt

A ce qu'il y ait un plagiat !

Qui contemple

Dans une amende honorable !

En faisant amende honorable

Et en mangeant en amende honorable !

La chanson des rois mages

De Sheila !

S'il y a encore un intérêt !

D'y voir son désarroi mage

A l'image

Des images;

Qui tournent la page

Des conflits d'intérêts;

Qui bafouent les droits d'auteur

De cette chanson écrite

Et décrite

Par des auteurs-compositeurs;

Aussi talentueux

Qu'harmonieux

Pour y trouver la paix intérieure

Dans un monde davantage meilleur,

Dont pour ne plus avoir de conflits d'intérêts !

Par intérêt !

Et pour l'intérêt !

De leur intérêt !

Dont le seul intérêt

Et unique intérêt

De leur intérêt !

Est qu'il n'y ait plus d'intérêt !

A y trouver de l'intérêt !

Et à y accorder de l'intérêt

A leur centre d'intérêt;

Qui aurait de toute façon intérêt !

A y avoir intérêt !

En ayant de l'intérêt !

En dommages et intérêts !

Pour avoir intérêt

D'avoir son intérêt !

Et d'y voir son intérêt !

Sans conflits d'intérêts,

Dont leur seul intérêt !

Et leur unique intérêt !

Aurait dommage !

Dommage dommage !

Par intérêt !

Des dommages; dédommages

Pour l'intérêt d'aimer !

Et de s'marier par intérêt !

Et d'aider par intérêt !

Pour l'intérêt des intérêts

En dommage est intérêt !

 

Jérôme de Mars

Le crabe en pince !

 

Pince-moi je rêve !

Avant que le crabe m'achève !

Le crabe en pince !

Et s'rince l'œil !

Dans un cancer de louanges

Mi-loup,

Avec pour ange

Un poisson d'avril

D'Haddock;

Qui est complètement tintin !

Quand le crabe en pince !

Le crabe aux pinces d'or,

Si bien que le crabe en pince dort !

Avec du haddock;

Qui est complètement tintin !

En mettant de l'huile de tournesol

Sans dorer la sole,

Quand le crabe en pince !

Et s'rince l'œil !

Dans un concert de louanges;

Ou un cancer de louanges,

Si bien que le crabe qui en pince !

Qui est complètement tintin !

Chante ou déchante !

Mi-loup !

Selon les circonstances qui tentent

De manger du haddock;

Avec de l'huile de tournesol

Pour faire dorer la sole,

Et dont pour vaincre le crabe

Aux pinces d'or !

Il vaut mieux manger du crabe

Qui en pince dort !

Dont le crabe en pince !

En un cancer de louanges !

Pour qu'il s'rince l'œil !

Dans un concert de louanges

Avec une vie d'ange;

Qui arrange

En disant mon œil !

Bon pied ! Bon œil !

Genre pince-moi je rêve !

Avant que le crabe m'achève !

Et dont pendant la trêve

D'un concert de louanges,

Il y a la sève

D'un crabe qui en pince !

De ses pinces d'or !

En un crabe

Qui en pince aux pinces dort !

Pour dorer la sole

En mangeant du haddock;

Qui est complètement tintin !

Et dont le crabe qui en pince !

Mi-loup !

Est complètement tintin !

Et mange du haddock;

En donnant

Rendez-vous prochainement

En avril !

Dans un poisson d'avril !

Avec de l'huile de tournesol

Pour dorer la sole !

Et passer d'un concert de louanges

Pour trépasser en un cancer de louanges,

Dont le crabe

Qui en pince d'or !

Est complètement tintin

Et mi-loup

De ses pinces dort !

Parce-que pince-moi je rêve !

Avant que la trêve s'achève !

Et m'achève !

En un crabe; 

Dont le crabe en pince !

Et en repince !

 

Jérôme de Mars

Mes vers de poèmes me soûlent-ils ?

 

Revers de problèmes

Avant une mise en bière

Comme ma mère,

A votre avis !

Dans ma vie !

Mes vers de problèmes me soûlent-ils ?

Ou est-ce-que mes vers sont un presqu'il ?

De ma personnalité en dents de si !

En vers de bohème !

D'il paraît que mes vers de poèmes

Me soûlent-ils ?

Comme une mise en bière

Du temps de ma mère !

En vin de ce cruel inventaire !

Que me causent mes revers de problèmes

Dans l'anarchie

Et la rébellion !

Des qu'en-dira-t-on ! ?

Où l'envers du décor

Fait que je ne suis en accord

Avec moi-même !

En s'demandant idem

S'il y en a qui m'aiment

Tout de même; m'aime !

Avant le jour de mon requiem

Et ma mise en bière,

Comme ma mère !

Si à dater de ce jour

De ma parole de troubadour;

Si mes vers de poèmes continueront de me soûler !

Au-delà que l'aurait présagé ma conscience

Dans son obscurité,

En terre

Emise en terre délétère;

Où j'aimerais savoir

Si de mon mouroir;

Il y en aurait qui sur leur perchoir

Que ça risquerait d'émouvoir !

Le fait; la fête que j'aurai retrouvé l'insouciance

De l'essence de mes vers de bohème

Après tous ces revers de problèmes !

Et à votre avis !

Depuis que dans ma vie; il fait nuit !

Est-ce-que mes vers de poèmes me soûlent-ils

Jusqu'à l'ivresse

Parmi la foule en liesse,

De laquelle je m'enivre !

Pour vivre

En marge du système !

En un presqu'il

De ma terre d'asile !

De l'hôpital qui s'fout de la charité !

Au fond des chimères

De ma vie à l'agonie;

Qui dérive vers l'ennui

A s'en foutre des misères

Des vies bien esseulées,

Alors qu'il suffit d'êtreensemble

Et tous ensemble !

Pour que tout s'assemble !

Car qui s'ressemble s'assemble !

Afin que l'égoïsme tremble

Et s'meurt dans la solidarité

Tous ensemble dans l'ensemble !

Car entre amis et en famille !

Et bien en galante et charmante compagnie

Après un ver solitaire;

Voici un ver solidaire

A plusieurs en profitant

Du temps présent

Qui reste !

Pour lâcher du leste

Avant la mise en bière,

Comme ma mère

Au cimetière;

Où je finirai en poussière !

Mais pas mes vers de poèmes,

Dont j'aime

Etre en marge du système;

Qui me tape sur le système

En vous disant que j'aime

La vie,

Quand il y a de l'embellie !

Et que je n'aime les conflits;

Mais dont je préfère

Quand il y a des confettis !

Certes pas en vin !

Mais avec de l'entrain

Après tous mes revers de problèmes,

D'où maintenant ! C'est le monde à l'envers !

En vers de bohème !

En voulant savoir

Avant de m'éteindre dans mon mouroir !

Si mes vers de poèmes

Me soûleront encore même post mortem ?

 

Jérôme de Mars

Le bureau des complaintes

 

A la queuleuleu !

Il y a d'ici peu

Des gens qui attendent

Et qui prétendent

A attendre leur tour;

Qui vaut le détour

Vers le bureau des complaintes,

A y déposer plainte !

Et à porter plainte !

Pour atteinte 

Au bureau des plaintes

Avec pour chose peinte,

Des complaintes

Vers le bureau des complaintes;

Qui met en ballade

Dans une escapade;

Quelque teinte

En demi-teinte,

Hors d'atteinte !

Succincte dans un écrin

De fumée en un brin;

Qui fait taquin

Des câlins coquins

Vers le bureau des plaintes,

Avec pour le rendre libertin

Un accès vers le bureau des complaintes;

Dont c'est un trop plaint !

Tout ce trop-plein !

Ce trop plaint d'indécence

Avec un trop plein décence, 

Qui raconte des salades !

Dans cette ballade

En roucoulades

D'accolades; dès l'étreinte

Vers le bureau des complaintes,

Dont on connaît la chanson !

Des folichons en larrons

En foire !

Le jour du grand soir

En va-et-vient !

Du bureau des plaintes;

Dont ça vient !

Ca survient !

Ca revient !

Ca prévient !

Et ça devient

Le bureau des plaintes;

Avec pour déchanter en refrain

Le bureau des complaintes.

 

Jérôme de Mars

Souris ! On gèle !

 

Depuis mon patelin pourri

En forme de pot-pourri !

A travers

Les travers

Deux Gainsbourg

Depuis mon faux bourg !

On connaît tellement bien

La chanson !

Et tellement son refrain !

Qu'au début de chaque saison !

Et bien pour jeter un froid !

On déchante du bout des doigts !

Souris ! On gèle !

On s'les gèle en antigel !

Avec pour porte-à-faux

De sacrés coups de chaud;

Amoureux en vieux cœurs d'artichaut !

Hardi show !

Souris ! On gèle !

Et on s'les gèle en antigel !

Quand on déchante la chanson

Deux Gainsbourg !

Sorry Angel

Depuis mon vieux faux bourg;

En mettant de l'eau à mon moulin

Moulin avant on ne peut pas

Etre à la fois !

Au four et au moulin !

Et dont pour repartir sur de nouvelles basses !

En faisant des messes-basses !

On déchante Souris ! On gèle !

Où on s'les gèle en antigel !

A basses de Sorry Angel !

Aux travers 

Des travers

De ce cher

Vieux téméraire 

Deux Gainsbourg !

Arrivé au bout de son itinéraire

Depuis mon faux bourg

De calembours !

Or ! Il fait chaud !

Ah ! les chats faux !

Serge Gainsbourg

Sort ici là

Ses griffes 

D'escogriffes !

Griffes passés démodes !

Dont parfois !

Les gens ne sont si commodes !

Avec de puits mon faux bourg

Un véritable faubourg

Dans la joie !

Car depuis mes calembours !

En comptes à rebours !

On connaît si bien 

La chanson !

Et son refrain !

Qu'on naît en fin de saison !

Car d'après la chanson

Deux Gainsbourg !

Sorry Angel !

Et bien dans mon faubourg !

Plus un faux bourg !

Puis que plus que bien

En jetant un froid !

Souris ! On s'les gèle !

Avec en antigel

Souris ! On gèle !

 

Jérôme de Mars

Joueur d'échecs

 

Situé à gauche de l'échiquier poétique !

Je suis un joueur d'échecs;

Qui fait un Tchèque

En disant bonjour aux dames;

Qui sont des pions sur l'échiquier !

Et qui dament

Le pion,

Comme un morpion;

Qui dame; quidam

Le fou du roi !

Et la reine de la dame

Sur le macadam de ce slam,

Où je suis un joueur d'échecs;

Qui subit une ribambelle d'échecs

Dans le fou du désarroi,

Où je suis le fou du roi

Sur un je de dames,

Dont l'en je est un quidam;

Qui dame 

Le pion, 

Qui est un pion

A gauche de l'échiquier poétique,

Dont ma folie névrotique

Refoule le fou !

Avec pour garde-fous

Un je de dames;

Qui fait un Tchèque

Echecs et maths !

En calculant le pion

De son échiquier poétique;

Arrivé au bout du compte

Avec pour acompte

Un compte de Morphée

Tout compte fait !

Dont en tant que joueur d'échecs;

Je suis un pion sur l'échiquier

A gauche de l'échiquier poétique;

Tel un morpion névrotique,

D'où je prends le fou 

Et je fais le fou

En prenant la dame;

Qui dame le quidam,

Déplacé sur le macadam,

Dont en bout de ce slam;

Je fais le fou désarroi !

Et je prends le fou du roi

En saluant les quidams !

Qui dament le mort pion;

En faisant un Tchèque et maths !

Moi le joueur d'échecs.

 

Jérôme de Mars

L'autel des péchés

 

Lettre destinée à celui ou celle,

Qui lira son Missel

D'une vie amère salée;

Qui respire le renfermé consumé

En mourant à p'tit feu 

Au nom de Dieu !

A l'autel des péchés,

Où cet être pestiféré

Est logé à la m'aime enseigne,

Dont son cœur en saigne 

De toute la misère de sa vie affective !

Qu'il en résulte une chimère négative,

Où il s'repasse sans cesse la même bande;

Untel de son passé avec en offrande

De la contrebande,

Où durant son enfance malgré sa légitime offense,

Il n'eut d'amis!

Mais le prix

D'un fardeau à double tranchant;

Se calfeutrant et s'retranchant

Dans les tranchées,

Dont il voulut s'trancher les veines

Dans la veine de ses grands-parents;

Qui n'eurent pas de vaines !

Où cet être malheureux en tant que poète maudit;

Cherche la meilleure façon d'en finir avec sa mélancolie

A l'autel des péchés

Pour confesser ses fautes au curé !

Avant que tout le monde n'en ait rien à cirer de lui !

Malgré que lui;

Il pleure toutes les larmes de son cœur !

Avec un pacemaker,

Tellement qu'il en a mal à son cœur !

Comme il respire la liqueur de la rancœur !

A prendre par cœur ce qu'il reluit

Dans la médisance !

Et la bien-pensance !

Dont nul ne guérit de son offense !

Comme il n'est aguerri de son enfance,

Où il voudrait à tout prix !

Avoir de l'embellie

Dans sa vie !

Pour y éloigner ses vieux démons;

Ses addictions

Et ses penchants d'hallucinations !

Qui le plongent dans un pot-pourri

De ses écarts avec en florilège !

Le sacrilège

De son âme flétrie

A l'autel des péchés,

Où il serait temps pour lui !

De déloger

Ses balles

Dans un gilet pare-balles !

Depuis le temps

Que ce gars déballe

Toute sa malle !

En allant voir son psy !

A Rue de La Roquette;

En quête

D'un droit à l'oubli !

En faisant ses emplettes;

En vue de signer un traité de paix !

Après avoir tant

Eté maltraité; mâle traité sans être en paix !

Dans son passé outre passé !

Dont malgré le mâle qu'il a hérité

De son grand-père maternel;

Du à ce passé anxiogène,

Il serait temps pour lui fraternel et charnel !

Qu'il trouve chaussure à son pied

Dans un océan d'amour outre atlantique !

En paix dans un océan pacifique !

Afin qu'il parte sur la pointe des pieds

Vers un avenir meilleur !

Au jardin secret du p'tit bonheur !

Où jusqu'à présent cent gênes ! 

Ses gènes

L'avaient tant trépassé !

Qu'en faim; il réussira en indigène !

On l'espère !

Après tout cet enfer !

A dépasser !

Tout ce camouflet 

Et ses déconvenues de nulle part résiliés

A l'autel des repêchés.

 

Jérôme de Mars

L'automne qui déshabille les arbres

 

Un automne à chaque saison,

Comme à la maison !

Elague les feuilles

Qui effeuillent un mille feuilles;

En laissant de marbre !

L'automne qui déshabille les arbres,

Si courtement vêtus

En tombant des nus;

Ecimés et décimés

A en couper le souffle écorché !

En laissant de marbre !

L'automne qui déshabille les arbres

Sous des grands airs de blues qui jalousent,

Un amour de trèfles à quatre feuilles

Avec un mille feuilles;

Qui effeuille et blouse 

L'automne qui déshabille les arbres;

En laissant de marbre !

L'arbre qui cache la forêt

Dans une étendue qui a la langue boisée;

Embourgeoisée et vivifiée,

Puisque bienvenue en une parure

De couverture

De bijoux 

De famille qui laissent totalement de marbre !

En acajou,

L'automne qui déshabille jusqu'au bout les arbres.

 

Jérôme de Mars

 

Blague :
Que doit faire une femme à son mari pour s'en laver les mains ?
- Elle doit astiquer le poireau de son mari !
Jérôme de Mars

Vers progressifs

 

Un ver

Avec vue

Sur la mer agitée;

S'boit en un ver solitaire !

Avant qu'en vers progressifs;

Les déboires se boivent fatalistes !

Dans une monture de vers progressifs

Autour d'une collectivité de vers solidaires

De vers progressifs avec vue sur la mer salée;

Qui dans un raz-de-marée s'retire en vers progressifs

Dans des éclats de vers et des bris de vers en vers fêlés;

Horizon à mer de vers progressifs écorchés vifs sur le vif du sujet !

Piqué au vif au sujet de l'attribut des attributs; à tribus du fils emmêlé !

Qui perd les fils des vers progressifs avec une belle vue sur la mer ingurgitée,

Dont la mer à boire ne boit que des vers progressifs qui soûlent sa vie chaotique.

 

Jérôme de Mars

Les hommes prennent les oiseaux pour des pigeons

 

Lâchés dans la nature;

Les oiseaux de mauvais augure

Veulent voler

Et aller

Vers le haut !

Pour relever le niveau !

En ayant pignon

Sur rue !

Et une opinion

Malgré la peur de l'inconnu !

A propos des donneurs de leçons,

Où les hommes prennent les oiseaux

Pour des pigeons

En sûrs hommes;

Tels des surhommes

Dans des prises de becs;

Avec des mots secs,

Envolés

Et survolés

Sur leurs corps beaux,

Où autrefois; les hommes

Que la nature prit pour des pigeons;

Sont maintenant des sûrs hommes,

En surhommes,

Où les hommes prennent les oiseaux

Pour des pigeons;

Ayant pignon

Sur rue,

Avec une opinion

Qui s'rue !

Malgré la peur de l'inconnue

Dans leur implacable équation;

Tels des hommes qui s'posent une pléthore

De questions,

En écoutant leur antique transistor

Ayant en métaphore

Des trésors;

Qui filent des salutations

Distinguées dans une effusion,

Dont les idées reçues; fusent dans la nature

En temps qu'oiseaux de mauvais augure,

Où au final; cela préfigure et configure

Dans leur bonne nature !

Une ouverture

D'envolée lyrique

Et féerique;

Déployée,

Où en sûrs hommes;

Tels des surhommes,

Les hommes prennent en pleine figure

Les oiseaux pour des pigeons.

 

Jérôme de Mars

Blague :
Pourquoi est-ce-qu'à l'ESAT La Fabrique; on parle aux agents comme à des chiens et pourquoi dans cet ESAT; tout le monde se prend-il des gamelles ?
- Parce-que c'est la fondation des amis du râtelier ( dur atelier ) !
Jérôme de Mars

Régulateur d'humour

 

Changement d'humeur !

Matin bonheur !

Il y a chaque jour de la lueur;

En travaillant à la sueur

De son front

Avec l'horizon;

Qui lézarde

Et regarde

Le régulateur d'humour;

En donnant par amour

Des maux de troubadour,

Pour les transformer

Par roulement de tambour

En des mots extasiés;

A bluffer le commun des mortels

Qui songent à enjoliver

Par amour;

Le régulateur d'humour,

Presque comme par hasard !

Tandis qu'il y a un brouillard

Qui brouille les pistes !

De la liste

De chimère;

En désillusions incendiaires,

Et dont pour modérer les vautours;

Voici l'heure de vos tours

Au tour du régulateur d'humour;

En voulant que les humeurs

Fassent honneur

A un ciel d'amour !

Déployé dans un joli séjour;

Avec un régulateur d'humour

Pour soigner la mélancolie

Des poésies dans l'anarchie !

Avec de l'espoir

Au bout du purgatoire

Vers un appel formel et officiel

A un immense consensus;

Qui rend riche comme Crésus !

Les pauvres dans une richesse

Et une liesse;

D'un billet d'humeur

Et d'humour 

En un régulateur d'humour !

En leur donnant de l'amour

Par amour

Pour donner;

Recevoir

Et s'adonner

Lors du fameux soir !

A enrichir les gens;

Humainement tout simplement

En ouvrant bien grand ses oreilles;

En écoutant émerveillés les ritournelles

Du printemps en des mots d'hiver;

Qui arriment qu'il est temps

De retomber les pieds sur Terre !

Avant qu'il fasse à nouveau 

Du beau temps !

En trouvant les mots

Par amour !

Et pour toujours

En un éternel régulateur d'humour.

 

Jérôme de Mars

La boîte à gants

 

Mise en boîte et les gants !

Il y a dans la boîte à gants

Des gens élégants;

En glissant sur un toboggan arrogant;

Fringant et élégant

En prenant des gants

Elégants, 

Comme dans la boîte à gants;

Qui roule en mettant les gants

Qui emboîtent élégant

Le pied qui boîte et les gants,

Et fringant;

En allant sur un terrain glissant du toboggan

Avec la boîte à gants arrogants,

Où il faut toujours prendre des gants !

Avec les gens en mettant les gants élégants,

Où le tout élégant;

C'est bientôt dans la boite à gants élégants !

Et les gants arrogants,

Avec pour glisser dans le toboggan élégant

Et fringant;

Des gants élégants,

Et les gants qui prennent des gants

Arrogants; en mettant les gants

De la boîte à gants fringants,

Où maintenant ça y est; c'est dans la boîte à gants !

 

Jérôme de Mars

Un violon dingue

 

Violoncelles; nous violons celles !

Qui ont un violon dingue;

Frappa-dingue

Dans ce monde dingue

De dingues;

Qui flingue

Avec un porte-flingue

Les gens et leur violon d'Ingres,

Où nous accordons nos violons !

Quand nous raccordons nos violons celles

Des violoncelles, dont nous violons celles !

Qui ont dans leur violon d'Ingres,

Un violon dingue;

Qui accorde

Et raccorde

Monocordes les discordes;

Qui concordent

Surplace de la concorde;

Et qui discordent

Dans leur violon d'Ingres

En un violon dingue;

Frappa-dingue,

Et qui flingue

Avec un porte-flingue

Les violoncelles,

Dont nous violons celles

Des violons celles !

Quand nous accordons

Et raccordons nos violons

Dingues; complètement frappa dingue

Dans ce monde dingue

De dingues; qui flingue

Avec un porte-flingue;

Les gens et leurs violons d'Ingres

En un violon dingue lourdingue.

 

Jérôme de Mars

La fleur dans la vase

 

Laissez-aller; c'est un vase !

En faisant une fleur !

Et en envoyant des fleurs

A la fleur dans la vase !

Qui dévase des vases !

Nullement triomphateurs !

Dès lors de l'embellie d'une fleur !

Qui éclot

Une porte qu'elle et clôt

A huis-clos  !

Avec la fleur dans la vase;

Qui transvase

Et puits laissez-aller; c'est une vase !

Qui fait des clapotis dans un bouquet

De fleurs on fleur; Honfleur !

C'est un p'tit bout de chou-fleur  !

Avec la fleur dans la vase;

Qui évase

Et vases !

Laissez-vraiment aller; c'est un vase !

Dans un laissez-aller; c'est une vase !

Qui évase et vases !

Qui dévase des vases !

Et transvase l'eau du vase !

Dans l'eau de la vase,

Dont c'est le bouquet

De fleurs !

De p'tits bouts de chou-fleur !

D'on fleur qui effleure Honfleur !

Et fleur

De pot !

A fleur de pot !

Avec la fleur du vase;

En mettant endimanchée

Dans l'eau;

La fleur dans la vase.

 

Jérôme de Mars

Le cercle des potes dix parus !

 

En compagnie de Jérôme de Mars; le poète maudit !

Voici ses amis qu'il réunit

Dans le cercle des potes dix parus !

Parus et apparus en continu !

Avec dans la clique Alexandre; Guillaume; Adel;

Boris et Jean-Paul; avec en plus dans la passerelle,

Edwin; Brigitte; Christophe; Charlotte; Bénédicte; Michel;

Philippe; Tony; Stéphane; Muriel; Farid; Dorothée et Raphaël

Ayant dans l'escarcelle

Des amis connus et reconnus !

Dans la bande à plus de cinq

Qui s'requinque !

Reçue cinq sur cinq !

Dans le cercle des potes dix parus !

En d'écrivant aux travers d'une poésie désabusée;

Un regard amusé et singulier

Depuis le temps que dans ce jeu d'écriture !

Il y a de quoi avoir fort allure !

Avec en aperçu !

Le cercle des potes dix parus !

Si jamais Jérôme de Mars évolue

En un poète maudit disparu !

Dont la principale vertu

Serait de donner en aperçu

Une envie

De s'abonner en point de salut !

En compagnie des amis

Du cercle des potes définitivement dix parus !

 

Jérôme de Mars

Bouddha bouda !

 

Voici un Havre de paix !

Pour Bouddha !

Pourvu qu'il trouve la paix !

Et pourvu qu'on lui foute la paix

Intérieure !

Naguère en conflits d'intérieurs !

A l'extérieur

De ses apparences de son sourire rieur !

Où Bouddha bouda !

Les rabat-joie et les filles de joie !

A y duper l'ignorance de leurs éclats

D'innocence; à méditer leurs pensées

D'arrière-pensées !

Pour assurer; leurs arrière-pensées

A rassurer !

Et à réassurer

Leurs arrières dépensés; des pensées

En arrière décompensés par leur passé !

Trépassé et outrepassé ! 

Qui a consumé

Dans le passé Bouddha !

Dont Bouddha bouda !

Ce maudit passé

Dans la méditation

De ses pensées très dépassées ! 

Afin d'arriver à bon port

Dans un Havre de paix !

Et de trouver dans le confort

La paix !

En s'enivrant vers le nirvana !

En ne faisant du cinéma

D'action ! Mais en étant

Dans la zénitude

D'un long fleuve tranquille étang

Dans un changement d'attitude !

Où pour rester Bouddha !

Bouddha bouda !

Les âmes sans joie !

Pour naviguer durant 

Des mois

Vers la sagesse qui boit

Des paroles modérées;

A deux doigts

D'honneur

De faire un bras

D'honneur ! En faisant honneur !

A cet Havre de paix !

Dans lequel Bouddha

Aspire en paix à la paix !

Dont Bouddha bouda !

La Macédoine;

Qui raconte des salades !

Dans cette ballade

Et même si l'habit ne fait pas le moine !

Bouddha aspire à la paix !

Sous ses habits de moine,

Dont Bouddha bouda !

Les rabat-joie et les filles de joie !

Mais pas la joie,

Dont grâce à son karma;

Bouddha bouda !

Son passé trépassé et outrepassé !

Avec pour trouver la paix;

La paix intérieure

En extérieur !

Malgré ses conflits intérieurs !

En accédant au bonheur

D'un mantra,

Dont de son aura !

Bouddha ne bouda !

 

Jérôme de Mars

 

Mimi fait crac-crac !

 

Dans sa bulle de bande-dessinée;

Mimi Cracra

Avait dans ses paroles;

Des fantasmes bien suggérées

Avec des hommes qui bandent des six nés,

Si bien que Mimi fait crac-crac !

Dans une apparence de farandole;

Qui fut frivole

Sous ses airs de rossignol;

Qui faisait penser

Que Mimi Cracra

Avait prise son envol !

Pendant que Mimi fait crac-crac !

Soit en prenant du crack;

Ou soit en étant une crack 

En vidant les bourses

De son homme qui débourse

Un krach-boursier,

Comme un homme qui crache sa purée;

Epurée !

A Mimi Cracra !

Pendant que Mimi fait crac-crac !

Dans une bande dessinée

En faisant l'amour qui bande des six nés !

Que ce soit en restant dans sa bulle

Ou en étant mise en ovule

Par son homme, dont son sexe

Sans complexe;

Pullule les monologues de son vagin

Avec son homme et son machin,

Dont pour que ça reste une bande dessinée !

Bien édulcorée genre chicorée !

Sucrée sans salée !

Il vaut mieux que Mimi Cracra

Reste dans sa bulle

De bande-dessinée;

En faisant Ah ! Ah !

Sans que le sexe de son homme

Bande des six nés !

Avec en somme

Sa purée;

Epurée !

Genre un krach boursier !

Qui crache bousiller !

Ami qui craque 

Mimi qui fait crac-crac !

 

Jérôme de Mars

De l'eau a coulé sous les ponts de puits !

 

Eau de savon de Marseille !

Qui coule de source !

Face au soleil 

D'une eau de puits;

Il y a dans le soleil !

L'étoile de la grande ourse;

Qui s'badigeonne de Rimmel !

Si bien que le ciel siffle 

Que c'est l'heure de la récré !

Pour s'amuser 

Les doigts dans le nez !

Qui reniflent

L'écume de la mousson;

Qui épouse l'eau de puits !

Dès que nous nous émoussons

Avec à partir de là

Des éclats,

Où de l'eau a coulé sous les ponts de puits !

Avec de l'eau de pluie;

Qui remplit le puits

De brèves de comptoir !

Pendant que s'amenuise le réservoir;

Abreuvoir d'airs de fanfares

Lors de somptueuses journées;

Qui jouent déserts phares !

Face au soleil qui crécelle

Des assiettes de porcelaine

En cassant de la vaisselle;

Qui rappelle Verlaine

Depuis dépits,

Où de l'eau a coulé sous les ponts de puits !

Avant qu'il y ait pour répit

Une accalmie dans une embellie

Vers l'endroit d'à côté;

Qui adorait pivoter

Sur la rivière qui erre

Dans l'eau de savon de Marseille;

Qui lavait son linge sale en famille face au soleil,

Et depuis en retournant dans l'eau de pluie;

De l'eau pour de bon a coulé sous les ponts de puits !

 

Jérôme de Mars

Mets l'eau drame !

 

Slam qui clame

Un mélodrame  !

Où le mélo

Déclame et trame !

Mets l'eau drame !

Pour que tout tombe à l'eau !

Dans le ghetto

De ton chaos;

Qui percute écolo; mégalo

Et parano

L'eau bouillante;

Qui t'arrive impressionnante

Dans les brûlures de l'histoire;

Avec au comptoir

Des brèves de comptoirs;

Distributeurs de tes bruits de couloirs

Dans les couloirs du temps;

Parasitant et embarrassant

Ton mélodrame, 

Et pour que de l'eau coule les ponts !

Utilise en élucubrations

Et en vibrations

Ce slam !

Mets l'eau drame !

Dans ton mélodrame !

Avant qu'il y ait un drame

Dans ta vie, où tu te cames !

Afin que le superficiel

Fasse sûre place au paradis artificiel !

Alors qu'il te suffit juste d'être naturel

Pour que tu mettes de l'eau

Dans ton vin qui te soûle péquenot  !

Avec comme solution provisoire

Un réquisitoire !

Afin que ta vie de quiproquos

Soit rédhibitoire; 

Dont il te suffit que tu coules un bain de jouvence !

Afin que tu aies la recouvrance 

En comprenant que la vie peut être aussi du plaisir !

Malgré ce que certains t'en ont à médire !

Dont pour qu'il y ait moins de mélodrame

Dans tes slams;

Mets l'eau drame !

Dans ton mélodrame !

Et afin que tout ne tombe à l'eau !

Malgré ta vie dans le chaos !

Mets pour mets !

Un entremets !

Qui met et émet des mets

Dans ton mélodrame

En mets l'eau drame !

 

Jérôme de Mars

La plénière séance 

 

Nouvelle consultation imaginaire au CMP entre Madame Teillet; une psychiatre et son patient; Jérôme Bedrossian :

 

Madame Teillet; une psychiatre :  -  " Bonjour monsieur Bedrossian; alors comment allez-vous ?  Faites-toujours le même cinéma en ayant un poil à la main ?  "

 

Jérôme B; un patient :  -  "  Bien, Madame Teillet; vous savez ce n'est pas du cinéma mon état ! Même que je suis acteur de ma vie malgré que je repasse toujours dans ma tête la sempiternelle bande originale négative de ma vie ! Si j'ai un poil à la main; c'est pour que vous vous en laviez les mains en me passant la brosse à reluire !  "  

 

Madame Teillet; une psychiatre :  -  " Ne vous faites pas passer pour plus handicapé que vous êtes monsieur Bedrossian; vous allez très bien ! Même si c'est vrai qu'à cause de vos névroses; vous êtes paralysé en ayant tout le temps un métro de retard, où vous êtes souvent en train d'avoir des ruminations pour  remettre votre trame sur de bons rails ! Mais il est vrai que vous avez un handicap certes moins lourd et moins pire que d'autres ! Mais dont je reconnais que votre handicap vous paralyse et que c'est notamment à cause de ça ! Que vous n'allez pas de l'avant notamment avec les fêtes de fin d'année qui vous rappellent la conception de votre mère, où lors des fêtes de fin d'année; vous irez de l'avent de toute manière; que vous le vouliez ou non !  "

 

Jérôme B; un patient :  -  "  Oui c'est vrai ! Et si jamais simple hasard du calendrier; je vais de l'avent pour passer une bonne fin d'année ! Ce sera de toute façon du vent avec un par avent car après le calme; la tempête !  "  

 

Madame Teillet; une psychiatre : -  " Il faut que vous alliez de l'avant Monsieur Bedrossian; que voulez-vous de plus ? Vous avez pu obtenir du fait de ne plus travailler à L'ESAT mais de faire du bénévolat au GEM; que demander de plus Monsieur Bedrossian ?  "  

 

Jérôme B; un patient :  "  Oui c'est vrai Madame Teillet ! Vous avez raison ! Il faut que j'aille de l'avant mais je vais malgré tout de l'avant car j'arrive à marcher; donc je vais quand même de l'avant ! Comme ceux qui ont voté la république en Marche ! Tellement en marche que je voulais vous dire Madame Teillet que j'ai reçu la notification de la MDPH qui rejette mon 80 % !  "  

 

Madame Teillet; une psychiatre :  -  " Mais monsieur Bedrossian; vous n'êtes pas handicapé pour marcher dans la rue; en sachant toutefois que vous avez eu un lourd passé qui ne tient pas debout ! Donc Monsieur Bedrossian; j'en déduis que vous êtes plutôt handicapé par vos démarches à cause de la marche du siècle, où vous êtes resté depuis jadis aux 30 glorieuses alors qu'on naît en 2021 ! Monsieur Bedrossian; il faut vous remettre au goût du jour !  " 

 

Jérôme B; un patient :  -  " Madame Teillet; je voulais vous demander; vous voyez mon AAH est valable jusqu'au 11 septembre 2023 ! Madame Poplawska; mon assistante sociale m'a confirmé par mail qu'il faudra faire le renouvellement de mon AAH un an avant l'échéance; soit commencer à procéder au renouvellement de mon AAH en septembre 2022 !  Vous voyez Madame Teillet; là ! Je vais de l'avant pour être en marche ! Jean-Yves m'a informé que pour le renouvellement de mon AAH en septembre 2022 prochain; il vous aidera à détailler mes symptômes de santé; notamment mes dernières difficultés liées aux incidents et difficultés qu'il y a eu à L'ESAT; notamment les deux tentatives de suicide à L'ESAT, où j'ai tenté de me jeter par la balustrade qui se sont produites la première fois en juin 20217 et la seconde fois en mai 2019 tout cela à mon ancien ESAT, comme de mon hospitalisation en janvier 2019 à Paul Guiraud pour cause de crises de panique et d'épuisement général; dus en l'occurrence au nouvel an 2019 qui avait été éprouvant, où là; ce n'était pas l'hôpital qui se foutait de la charité ! car à ce moment-là précis; j'avais vraiment besoin d'aide et de souffler puisque j'étais réellement à bout de nerfs et au bout du rouleau ! Vous aviez oublié de préciser tout cela dans le certificat médical que vous aviez signé en février 2021 dernier pour ma demande de 80 % à la MDPH; mais c'est vrai qu'à l'époque; vous ne me connaissiez pas en 2018-2019 et que Jean-Yves ou moi; on ne vous avait pas trop évoqué l'étendue de mon état même si depuis tout ce temps; de l'eau a coulé sous les ponts ! Parce-qu'à fortiori; je voulais également vous affirmer qu'en septembre 2022 et bien en plus de faire le renouvellement de mon AAH; c'est-à-dire de l'ensemble de mon dossier MDPH que par conséquent; je ne demanderai pas le 80 %; et que ce sera à la MDPH de jauger le taux de mon handicap selon ce que vous et Jean-Yves aurez marqués dans mon dossier MDPH par rapport à mon état de santé psychique; en se basant sur l'analyse de Jean-Yves; sur votre diagnostic et sur mes déclarations; tout en connaissant et reconnaissant mes antécédents psychiatriques et la réalité de mon état psychique sans noircir le tableau mais sans non plus l'embellir ! Tout simplement en disant juste la vérité; telle qu'elle est ! Et dont ce sera alors à La MDPH de trancher selon vos rapports médicaux et sociaux si La MDPH doit situer mon taux d'incapacité à 80 % ou à plus de 80 %; ou à moins de 80 % entre 50 % et 79 %; donc vous voyez bien Madame Teillet que mon état; ce n'est pas du cinéma ! En dépit du fait que je suis acteur de ma vie; voilà !  "

 

Madame Teillet; une psychiatre : -  " Et ben dis donc Monsieur Bedrossian ! Quel remue-ménage dans tout ce que vous me dites  ! "

 

Jérôme B; un patient :  -  " Madame Teillet; vous faites bien de m'en avertir ! Car je voulais vous demander si vous avez signé le certificat médical pour donner votre aval de Marne pour que je puisse bénéficier d'une aide-ménagère à domicile pour m'aider à faire le ménage; à entretenir mon logement et pour que ça déménage ! Même s'il y en a beaucoup qui ne m'ont pas ménagé notamment quand j'ai déménagé pour emménager dans mon appartement il y a 11 ans !  Même si parfois vous aussi; vous ne me ménagez pas non plus pour ne pas que j'entretienne mes malheurs !  "

 

Madame Teillet; une psychiatre :  -  "  Monsieur Bedrossian; vous avez sans arrêt le mot pour rire; maux pour maux ! Et c'est quoi votre dernier mot pour que je vous donne mon aval de Marne pour que vous ayez une aide-ménagère à domicile ? "

 

Jérôme B; un patient :  -  " Qu'au moins; si vous donnez votre aval de Marne pour que j'ai une aide-ménagère à domicile à travers un certificat médical que ce ne soit pas mon dernier entretien de la dernière séance avec vous ! Mais qu'il y ait encore une multitude de plénières séances avec vous dans une crise de rire malgré mes crises de nerfs !  "  

 

Jérôme de Mars

Jérôme et Farid; les deux potos qui s'appuient sur un pote haut ( poteau ) !

 

 

Deux amis Jérôme et Farid; qui ont le blues discutent de l'époque d'avant dans une ambiance saudade !

 

Farid :  -  "  Salut ! Comment vas-tu Jérôme ?  As-tu le moral mon pote haut ? "

 

Jérôme : -  "  Pas trop; j'ai le blues du businessman  !  "

 

Farid :  -  "  Pourquoi dis-tu cela mon poto ? "

 

Jérôme :  "  Car tu vois Farid je m'appuie sur un poteau pour consoler ma peine avec toute la musique dont les maux ne sont jamais les mêmes à part que les maux m'aiment !  J'en ai ras le bol Farid de cette putain de vie !  Avec les amis à part toi ! Je prends du recul; sans doute que j'ai déçu certains amis mais d'autant m'ont frustré genre quand ils ont eu besoin de moi; j'avais beau leur dire que j'étais pas dispo; ils voulaient rien savoir; il fallait quand même que je sois là pour eux alors que quand j'ai eu besoin deux !  Ils n'ont pas toujours été tout le temps présents que je l'ai été pour eux car souvent; ils prétextaient qu'ils n'étaient pas dispos ! L'amitié; ça ne va jamais dans les deux sens !  C'est pour cela Farid que je dis que je déchante à sang unique que j'ai le blues du businessman car tout ce que j'ai entrepris; ça n'a jamais marché avec toute la musique que j'aime, dont les maux sont toujours les mêmes puisque les maux m'aiment !  C'est pour cela que je m'intéresse plus à l'argent qu'aux amis à part toi Farid ! J'ai tellement le blues que je suis dégoûté de tout mon cher Farid; toi; mon poteau !   Au moins avec toi; il n'y a pas de pot aux roses ! Surtout que moi; je ne suis pas un poto rose malgré mes défauts !  "

 

Farid :  -  " Je m'inquiète pour toi mon cher Jérôme; mon pote haut !  En ce moment; t'as plus de plus de oh ! Que débat !  Tiens le courage ! Mon pote haut ! Heureusement que t'as le blues du businessman ! Car c'est grâce à toi que j'ai pu obtenir le bénéfice de l'aide des 30 Euros par virement de l'aide départementale Val de Marne Solidarité !  Et tu m'as aussi beaucoup soutenu et aidé pour que j'ai des aides sociales et notamment pour mon renouvellement AAH !  Avec toi Jérôme; la faim justifie les moyens comme quand tu m'as aidé en me donnant des boîtes de conserves tellement que tu conserves tes mises en boîte de moi !  Malgré ton potentiel Jérôme ! Tu es paralysé par le handicap de ton passé outre passé; ce qui t'empêche d'aller de l'avant !  "

 

Jérôme :  -  "  T'inquiète Farid comme dans moins de deux mois; ça va être les fêtes de fin d'année ! Pour moi; ça sentira le sapin tant et si bien que j'aurai les boules maboules que je risque de m'enguirlander avec tout le monde que je m'en bats les steaks de tout que je vais sans doute trépasser de bonnes fêtes de fin damnée ! En souhaitant comme à l'accoutumée chaque année surannée; une bonne année et une bonne année à votre santé en trinquant à votre santé et en trinquant de ma santé !  Comme cela; je pourrais à la rigueur me suicider le 1er janvier de la nouvelle année surannée en commençant un bon début damné ! Ce qui fera que je le veuille ou non que j'irai de l'avent d'après le calendrier !  "

 

Farid :  " -  Que puis-je te souhaiter pour que tu sois un peu en paix ?  "

 

Jérôme :  "  -  Peut-être Farid que pour avoir un peu de succès que je devrais me mettre à fumer comme toi en fumant le calumet de la paix pour faire un tabac !  "

 

Farid :  "  -  Ou si tu fais un bureau de tabac si par conséquent; t'achètes des cartouches de cigarettes en grillant toutes tes cartouches vu que tu brûles ta vie comme moi par les deux bouts de la chandelle !  "

 

Jérôme :  "  -  Ne crois-tu pas Farid que le je en vaut la chandelle ! Surtout que ton anniversaire c'est au mois de Mars alors que le mien d'anniversaire est au mois d'août complètement out dans un burne août à force que je fasse un burn out !  "  

 

Farid :  "  - Alors Jérôme ! Que proposes-tu pour ne pas que toi et moi; on se jette en argent content par la fenêtre ?  "

 

Jérôme :  "  - Que toi; tu t'appuies sur un pote haut; moi et que moi; je m'appuie sur un poteau toi  l  Si bien que moi; Jérôme et toi; Farid; on naît les deux potos qui nous appuyons sur un pote haut ( poteau ) !  "

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

Aquarius; le moribond !

 

Un bond furibond

Dans le temps;

Et en avant !

Comme un poisson

Dans l'eau !

Car et bien ! Tout tombe à l'eau !

Dans le ghetto,

Où se resserre

L'étau dans la mer !

Tel avide !

Un bocal

Qui se vide !

En s'donnant du mal !

Et en faisant le mal !

En virant de bord d'un bateau !

Ceux à travers;

De ceux qui ont émigré

En mer direction

Le soi-disant eldorado !

Médisant l'aversion;

La version ou l'inversion 

Qu'ont Les Français

De l'immigration !

Qui a tendance à rentrer

Trop ou pas assez 

En France ! Selon les rumeurs

Des donneurs de leçons;

Qui font 

Ou défont des fonds !

Ce qui a causé

Un naufrage 

A l'abordage

D'Aquarius; le moribond !

Qui a fait faux bond furibond

A bord du bateau;

En tournant le dos

A la raison, 

Où pour tous !

Vivement un coup de pouce

Du genre bienvenue !

Comme à la maison !

En mangeant du merlu ,

Comme un poisson

Dans l'eau !

Dans le port salut !

D'Aquarius; le moribond !

Qui trouve que tout cela est bon !

Quand il clame et bien ! C'est bon !

Ces naufragés, dont beaucoup

La plupart au grand cœur;

Il faut les secourir en bienfaiteurs,

Comme des seigneurs !

En leur trouvant un abri

Malgré les débris !

Puisque s'amorce

En France avant le déluge !

L'union fait la force !

En un subterfuge avec une des luges !

Dont à partir de maintenant !

Afin que la vie reste un long fleuve tranquille !

Erigeons des maisons

Avec le printemps !

A la place des bidonvilles,

Avant que ça parte en vrille

Dans la déraison !

Et pour cela; retrouvons l'oraison !

De la prière qui Ave misère !

De sorte que la colère

Mûrisse en une terre de lumière !

Dont après Aquarius; le moribond !

Voici le retour sur la terre ferme de la reine mer !

Avec à bord ! Aquarius; le mari bon !

 

Jérôme de Mars

Crie l'heure !

 

Frictions garanties !

Crie l'heure !

Et frissons garantis !

Thriller !

Quand ma gueule !

Jack sonne !

Résonne et raisonne !

A l'Anglo-Saxonne !

Avec un klaxon;

En voiture Michael !

Quand ma gueule !

Jack sonne !

Résonne et raisonne !

A l'Anglo-Saxonne !

Avec un klaxon; 

Frictions garanties !

Crie l'heure !

Et frissons garantis !

Thriller !

Dans une déroute !

De banqueroute !

Ma gueule !

Jack sonne !

Résonne et raisonne !

A l'Anglo-Saxonne !

Avec un klaxon;

Quand son venin 

De serpent a sonné !

Résonné et raisonné !

Quand ma gueule !

Jack sonne !

Résonne et raisonne !

A l'Anglo-Saxonne !

Avec un klaxon;

Frictions garanties !

Crie l'heure !

Avec pour refrain

Et frissons garantis !

Thriller !

Quand ma gueule !

Jack sonne !

Résonne et raisonne !

A l'Anglo-Saxonne !

Avec un klaxon;

Frissons garantis !

Dans un thriller

Et frictions garanties !

Et crie l'heure !

 

Jérôme de Mars

Un buisson qui hait un arbuste !

 

Naquit dans le maquis;

Un paysage croquis très exquis

D'un buisson qui hait un arbuste !

Avec pour figure robuste

L'arbre qui cache la forêt !

Planté là en continu

Dans la forêt vierge effarouchée;

Têtue de par l'envers du décor crêpu,

Qui jalonne ce parcours semé

D'embûches qui aura essaimé 

Et clairsemé ce chemin tohu-bohu

En un horizon fourbu;

Ayant pour buste !

Une figure décomposée

D'un buisson qui hait un arbuste !

Dans un jardin secret pas très clair !

Avant qu'il y ait des frontières linéaires,

Dès l'appel de la forêt !

Borné et inopiné, 

Dont hélas ! Ce serait bon signe vierge !

S'il y avait grâce à ce remue-ménage !

Une concierge

Qui ménage

Les sages !

Dans un buisson qui hait un arbuste !

Avec aucun engrenage fruste,

Et dont pour terminer 

L'appel de la forêt vierge !

Telle une vierge effarouchée !

Il serait opportun 

Et sain !

De tailler les haies

En une haie d'honneur !

En jonchant de toute sa splendeur;

Un buisson qui hait un arbuste !

 

Jérôme de Mars

 

Un ver dans le fruit 

 

Rien que pour ta pomme;

Mange une pomme

De poète maudit !

Avec un ver dans le fruit;

Même s'il y a un ver

Dans le fruit défendu !

De ta gueule fendue

Au clair de ta lumière,

Quand ta vie

Vacille vers la peur de l'inconnu !

Si bien que tu plantes une graine !

Qui égrène ton jardin d'Eden

Avec ton grain de folie,

Lorsque survient ta peur de la nuit

Et de l'ennui,

Si bien que ta poésie désespérée

Et désabusée;

Rime avec un ver dans le fruit;

Qui est un ver à soi tutti frutti !

Avec un ver dans le fruit défendu

De ta vie;

Qui dévie à l'ennui

De ta gueule fendue;

Rien que pour ta pomme dépit,

Avec une sacrée

Vache enragée,

Quand tu manges ta pomme des pis !

Avec un ver dans le fruit,

Dont ta mère fut l'usufruit

Dans un clerc de notaire,

Quand ta mère fut ton fruit défendu

De ta gueule fendue !

En déroute dont tu es la bonne poire

De tout le monde; larrons en foire !

En ayant de tes déboires;

Une poire pour la soif assis

Sur une grosse poire,

Et dès qu'arrive le grand soir,

Tu termines ton ver solitaire

Au clerc de tes vers solidaires,

Dont la mère de ta mère;

Te rappelle l'agonie

De ta poésie en misanthropie;

Avec pour boire le ver à moitié plaint !

Un ver à moitié plein !

Autour d'un ver dans un fruit défendu

De ta gueule fendue,

Où tu récoltes le fruit

De ton travail;

En buvant un ver à la paille !

Dont tu t'entailles pour ta pomme flétrie;

En mangeant ta dernière pomme d'usufruit !

Avant qu'il n'y ait dans le fruit

Plus aucun ver dans le fruit.

 

Jérôme de Mars

Une nuit quatre étoiles

 

En dormant à la belle étoile;

Il y a un palace dans le ciel

Gravitant autour de lumières

Sûres naturelles;

Qui s'assoupissent en une nuit

Quatre étoiles;

Logée à l'autel des constellations;

Porté par la voix lactée;

Qui fait des messes-basses

Pour y jouer

De la contrebasse;

Avec des instruments à vent;

Qui vendent du vent

En singeant la réincarnation

D'une éphéméride limpide;

Qui a les idées claires

Sous l'égide

D'une aquarelle dans le ciel;

Qui dévoile

Une nuit complète quatre étoiles

En dormant à la belle étoile;

Qui luit de brillantines

En s'faisant des cheveux qui imaginent

Placide un monde meilleur

Et sincère

Orné d'un ciel bleu azur

Et diurne pour inaugurer

Un délicieux futur;

Qui augure d'un précieux bonheur;

A consommer

Dans une nuit plus complète

Quatre étoiles;

Avec dans la compète

Des comètes;

Qui appellent

De la part du ciel;

Le Missel,

En messager de la paix

D'un monde davantage fraternel;

Semi-modulé de vent et de bonté

En regardant de plus bel;

Un ciel de nuit

Dans une ribambelle;

Complice et choyée

Par une confrérie à voile

Et à vapeur;

Au tour de l'heure

Qui tourne chaque nuit !

Dont avant

Que retentissent les douze coups de minuit;

Voici à minuit !

En dormant à la belle étoile;

Logée à l'autel des amoureux

Un avenir incroyablement radieux !

De par la grâce d'un ciel qui dévoile

De par ses nouvelles facettes;

Une nuit très complète

Et très quatre étoiles.

 

Jérôme de Mars

Blague :
Pourquoi y a-t-il encore eu un attentat terroriste à Paris mais cette fois-ci à la gare Saint-Lazare ?
Parce-que La France est en train de dérailler tellement qu'elle hait à couteaux tirés !
Jérôme de Mars

Des faux-jetons

 

Rejetons;

Nuls ne guérissent

De leurs enfance même !

Qu'ils mûrissent

De leurs problèmes

Dans la vie, 

Où il faut rentrer 

Dans le système !

Des conventions sociales

Avec une tape amicale;

En faisant la comédie

Et en occultant la tragédie,

Pour incarner la loyauté

Et l'intégrité;

De façon simulée !

En ramassant des faux jetons

Pour y jouer au loto;

En vue de ramasser

Le bon numéro

En eux; eux; ces sacrés numéros !

Qui sont des faux-jetons !

Que nous rejetons; après avoir été

Des rejetons;

En sortant du lot

De consolation;

Avec maintenant; le lot

De décompensation;

Eux; des faux-jetons;

Qui devinent le vrai du faux

Avant d'aller à l'échafaud;

Et qui ont les jetons !

D'être des jetons;

Et d'avoir été des rejetons

Que nous rejetons !

Eux; des faux-jetons

Avec leurs faux jetons;

Qui ont les jetons,

Dont nous jetons

Leurs faux jetons

De faux-jetons,

Dont nous rejetons

Leurs faux rejetons

De faux-rejetons;

Eux; qui ont les jetons !

D'avoir les jetons;

Qui ont les rejetons

D'avoir les rejetons;

D'avoir été des faux rejetons;

Faux-jetons;

Et d'avoir eu des faux jetons,

Comme faux-rejetons !

Avec pour tirer réellement 

Le bon numéro !

A partir de cet instant !

Des sacrés numéros;

Qui sortent à l'instant

Du lot;

En ayant pour jolis lots

Des vrais faux jetons rejetons !

Que nous ne jetons

Et ne rejetons !

Et dont pour ne plus avoir les jetons !

OTAN qu'on tire comme dernier bon numéro;

Ces sacrés numéros

Avec des faux jetons !

Dans un porte-à-faux rejetons !

En ayant pour de faux;

Ces sacrés numéros;

Qui sortent à nouveau du lot;

Des faux-jetons.

 

Jérôme de Mars

Le je en vaut la chandelle !

 

Triste anniversaire;

Chaque année

Sur année surannée

A ce bouc-émissaire;

Qui ressent 

A sang !

Toute la colère

De son passé;

Qui le consume

A p'tit feu !

Dans son amertume

A prier Dieu !

Avant de rejoindre

Les cieux !

En cendres,

Car à chaque mois d'août;

Ce garçon triste !

Mais altruiste !

Mais tellement peu reconnu

Du fait de sa vie dissolue

Et absolue;

Mais éperdue; et perdue;

Brûle sa vie

Par les deux bouts de le chandelle  !

Des bougies !

Puisque selon lui;

Le je en vaut la chandelle !

Avec les bougies ! 

Avant qu'il chancelle

Vers la curiosité 

Et sans peur de l'inconnu,

Dont il en n'a plus rien à foutre !

De tout ce qu'il en cogne sa vie

Dans la poutre !

Or selon lui;

Le je en vaut la chandelle !

Car à part chaque anniversaire;

Il ne fait que tenir la chandelle !

D'une vie qui naît plus celle

Qu'il voulait !

A part s'envoler comme une tourterelle !

Lui; l'oiseau aux ailes brisées;

Qui lui rappelle la ritournelle

De sa mère !

Qu'à chaque anniversaire

Sur année surannée;

Le je en vaut la chandelle !

Qu'il brûle sa vie

Par les deux bouts de la chandelle !

Plus il n'y a pucelle dépucelle;

Qui était sa mère !

Mais qu'il ne dépucelle

Du fait de l'inceste,

Dont pour lâcher du leste;

OTAN qu'il épluche le Missel !

En faisant un régime mi sel !

Avant de rejoindre les cieux;

Nom de Dieu !

Dans le repos éternel

De son paisible pieux !

En implorant la paix de son âme !

Malgré sa vie infâme; hein femmes !

Où l'on espère !

Qu'avant son prochain anniversaire

Au prochain mois burne août !

Malgré qu'il est burn out !

Qu'il aura moins de colère !

Pour qu'il décolle l'air

A faim de ne plus brûler sa vie

Par les deux bouts de la chandelle !

Avec les bougies !

Nom d'une ritournelle !

Car à partir de là sans les bougies !

Le je en vaudra vraiment la chandelle !

 

Jérôme de Mars

Le blizzard est bizarre !

 

En général !

Le général Bigeard;

Qui en a eu vent

Que le monde devenait déviant !

Loin très loin de vent !

Avait trouvé Bigeard

Que le blizzard soit bizarre !

En ayant le vent en poupe;

Tellement qu'élevant !

Que levant; le vent

Lui jeta un vent 

Au général Bigeard !

Que le blizzard fut bizarre !

Avec de grosses bourrasques

De vent !

A cause de ses frasques

Au vent de vent déviant !

Qu'en général !

En amiral;

Il mena tout le monde 

En bateau !

Dans la sonde

Du chaos !

Or et bien le général Bigeard !

Dans une étape amicale;

Décida à la loyale

De façon royale !

Que le blizzard serait dorénavant 

Bizarre !

En général !

Comme le général Bigeard;

Qui vendait; vend et vendra du vent !

Pour rester dans le vent !

Et cheveux dans le vent !

Event et vent d'auparavant; 

Au paravent; au par avent 

Et au par avant !

Dont et maintenant !

En général !

De face frontale;

Le général Bigeard

Décréta devant !

Et très loin devant !

Que le blizzard était bizarre !

Et décrète des crêtes;

Aussi loin de vent devant !

Que le blizzard qui va de l'avant;

Est bizarre !

 

Jérôme de Mars

Des fautes d'autographes

 

Signature qu'on paraphe

Sur un document;

Rempli de fautes d'orthographes,

Il manque comme élément

Un autographe qui agrafe

Des fautes d'autographes;

Faute d'autographes

De celui ou celle;

Qui fait des fautes d'orthographe,

Faute d'orthographe

Avec pour paragraphe !

Qu'il ou elle

Naît pas loin de son épitaphe !

Pour trépasser le flambeau

Depuis son tombeau,

Où il ou elle maintenant ;

Qui est au ciel !

A commis une faute qui paraphe

Sa fin de vie en signant un autographe

Avec des fautes d'orthographes;

Faute d'orthographes

En faisant des fautes d'autographes,

Qui agrafent 

Faute d'autographe;

La graphe 

Avec pour terminer le paragraphe;

Aucune faute d'orthographe

Sur l'épitaphe;

Faute d'autographes

En signant

Et en consignant

En dernier paragraphe;

Des fautes d'autographes.

 

Jérôme de Mars

 

Peut-on pardonner dans la vie à quelqu'un ?

 

Amis et famille dans la vie !

On en a besoin en embellie

Dans ce monde d'infamie !

Pour tenir en ces difficiles jours,

Comme le monde respire la mélancolie

Et soupire dans le gris aigri

De cette vie de vautours !

L'amour universel

Et spirituel d'untel à untel

Dans un monde avide d'amour;

Permettrait la résurrection

De ce monde sous perfusion !

Certes; personne n'est parfait !

Et quiconque est capable du meilleur

Comme du pire !

Surtout que tout peut arriver

Dans la vie !

De la lueur

Du jour !

A la sueur

De l'obscurité !

Dans le désamour

De ce monde de plus en plus obscur !

Où l'humanité va droit dans le mur !

Où même les pires crapules;

Ont une part de bonté

En elle !

Avec des scrupules !

Grâce à l'autel !

Et si un membre de votre famille

Ou un de vos amis;

Fait une faute morale

Et passe à l'acte en faisant le mal;

Le dénoncerez-vous à la police ?

Le laisserez-vous tomber ?

Pour qu'il dévisse

Vers le vice ou s'il est dans le besoin !

L'aiderez-vous pour qu'il soit entre de bonnes mains ?

Et pris en charge par des bienfaiteurs ?

Afin qu'il aille mieux ailleurs;

Et à votre avis; peut-on pardonner

Dans la vie à quelqu'un;

Même qu'il a fait une faute morale

Et fait du mal

A quelqu'un d'autre,

Alors qu'il lui manquait juste peut-être des principes

Et des convictions;

Lui qui croyait sans doute que tout le monde s'étripe !

Sans penser qu'il y en a certains;

Qui se vautrent

De leurs tripes

Vers l'amour pour leur prochain !

Dans une attitude altruiste

En oubliant ce monde triste !

Selon vous; peut-on pardonner

Dans la vie à quelqu'un ?

Même s'il a fait une grosse erreur

Dans un acte vilain,

Alors qu'au fond; il naît pas complètement méchant !

Mais tellement à cran

Du fait que tout fout le camp !

Dans ce monde à l'agonie

Et dans l'anarchie !

Où règne l'hérésie !

Et où il fait tout le temps nuit !

Et plus tellement jour !

A votre avis; si un de vos copains

Ou un membre de votre famille;

Suite à un accident de la vie;

Un deuil; un divorce; un licenciement;

Une agression ou des problèmes d'argent;

Du fait que cette personne ne mange pas

Ou plus

A sa faim !

Avec un manque de moyens

Dans les tracas !

Et si aussi;

Cette personne est à la rue,

Car elle ne peut plus payer

Son crédit ou son loyer !

Et qu'avec sa vie dissolue !

Cette personne est tellement à cran

Qu'à cause de son passé oppressant !

Elle n'y arrive plus maintenant !

Et si cette personne; c'est-à-dire ce quelqu'un

Est un copain

De votre bande d'amis;

Ou quelqu'un de votre famille;

Qui vacille

Et qui passe à l'acte en faisant le mal !

En commettant une chose immorale;

Laisserez-vous tomber cette personne ?

Ou essaierez-vous de l'aider ?

Afin qu'elle retrouve la voix de la raison

Et la foi de l'oraison;

Certes; personne n'est parfait !

Et le monde dans la réalité naît

Pas un conte de fées !

Mais à votre avis; peut-on pardonner

A quelqu'un dans la vie ?

Même qu'il a commis une grande infamie !

En provoquant d'abominables horreurs

Qu'il aurait perpétrés dans un coup de folie !

Et si cette personne est un ami;

Ou quelqu'un de votre famille !

A votre avis; si lui

Ou elle; peut revenir dans le droit chemin !

Ou si c'est à la vie; à l'amour; à la mort !

Avec l'amour; la famille ou l'amitié avant tout !

Malgré que sa vie

Est un vaste fourre-tout !

A l'intérieur de lui !

Malgré son acte infâme

Pour la paix de son âme !

OTAN pour lui que pour soi !

Même si lui ou elle; fut sans foi; ni loi !

Et dans le but crucial 

De trouver la paix intérieure

Pour le reste de sa vie;

Avec le besoin vital

De se changer

Les idées ailleurs !

Et de se recharger

Les batteries

Nulle part ailleurs !

Peut tout pardonner dans la vie

A quelqu'un ?

Pour qu'il fasse enfin le bien !

Et du lien divin !

Et bien en tout point tout honneur !

En retrouvant jusqu'à la fin des temps

Le droit chemin.

 

Jérôme de Mars

Il y en a qui font ex spray de s'tenir à carreaux !

 

Exprès quand l'amour est dans le près en susurrant à demi-mot !

Qu'il y en a qui font ex spray de s'tenir à carreaux !

En nettoyant les vitres avec du spray qui produit

Un bruit en faisant pschitt ! En lavant sans merci 

Les carreaux de l'argent jeté par les fenêtres !

Qui envoie paître les laveurs de carreaux, 

Quand il y en a qui font ex spray d'se tenir à carreaux !

Avec pour drôle de scénario des imbroglios;

En faisant semblant de rester planter là comme un hêtre !

Ex prêt d'avoir un spray pour nettoyer les vitraux;

Qui s'tiennent à carreaux devant le bureau;

Qui met en chantier les maîtres contremaîtres,

Quand il y en a qui font ex spray de s'tenir à carreaux !

Pendant que cependant; il y a ceux pendant des pendants; 

Suspendant; répondant; pondant et dépendant

Des êtres indépendants en un des pendants, 

Quand il y en a encore qui font trop ex spray de s'tenir si bien à carreaux !

 

Jérôme de Mars

Quand le bateau s'voile la face !

 

Démarrage du bateau dès l'embargo !

En dérivant de bord au rebord du cargo;

Il y a des outrages à bord qui enlacent

Les passagers ayant l'avantage

D'arriver à tanguer lors de l'abordage,

Quand le bateau s'voile la face !

Et cherche un port d'attache;

En vue d'y accoster avec panache

Sur la rive des berges, 

Dont ce bateau n'est pas sorti de l'auberge !

Inouïe en tentant de remonter à la surface,

Quand le bateau s'voile la face !

Et cherche le marivaudage

Pour y trouver sa vitesse de croisière

Au bord de la mer; 

Qui ne met aucune barrière

A la frontière de l'écluse

Incluse, afin que l'eau ne soit recluse 

Dans la mer; qui écume toutes les races

Des poissons; bourrés de remords

Sur les traces

Du chlore dans l'eau pour éclore

L'envers du décor 

En mettant ici bas !

Quand le bateau s'voile la face !

Et fait des ébats !

Quand la mer dans un vague à l'âme;

Roule de vagues les quidams !

En envoyant promener les dames;

Qui dans une impasse;

Cherchent en argent contant

Une passe !

A accorder

Et à donner

Aux clients friands

Dans un tour de passe-passe;

Qui repasse idem la même face

En tentant de faire face !

A la face

Des quarante-cinq tours

Qui valent le détour !

Et pour qu'il n'y ait à nouveau de volte-face,

Quand est-ce que le bateau s'dévoilera-t-il la face ? 

 

Jérôme de Mars

 

La ballade du slameur

 

En prélude 

De ce slam;

J'élude

Et je déclame !

Que j'envoie valser

Et tout valdinguer !

En envoyant promener

Toutes ces rumeurs

A mon sujet !

Dans la ballade du slameur,

D'où je fais mon beurre !

A tartiner dans du pain béni,

D'où je dédie ces vilaines calomnies !

En faisant la ballade des Jean heureux,

Notamment avec Jean Ferrat; 

En composant à l'unanimité

La ballade du slameur;

Qui affiche complet

Avec pour aura;

Cette chanson qui balade

Mes paroles en rad

Au rade d'à côté !

Dans une longue tirade,

Dès que je parade conteur !

Dans la ballade du slameur;

En roucoulant des sérénades

Par la fenêtre extérieure; en amateur

De vers du bonheur

De façade dans une escalade,

Quand tout le monde me balade !

En me faisant une accolade

Dans un semblant de rigolade;

Avec pour boire le ver du vainqueur,

La signature d'un autographe d'imposteur,

Quand arrive la clameur

Au bout de la ballade du slameur.

 

Jérôme de Mars

 

Toboggan

 

 

 

 

 

Feu de rampe de lancement 

 

                                            c

                                            e

                                        

                                            toboggan va sur un

 

                                                                           t

                                                                          e

                                                                          r

                                                                          r

                                                                         a

                                                                         in  glissant  qui

 

                                                                                                 d

                                                                                                 é

                                                                                                 v

                                                                                                 a

                                                                                                  l

                                                                                                  e

 

                                                                                                  de Marne en un

                                

                                                                                                                          t

                                                                                                                          o

                                                                                                                          b

                                                                                                                          o

                                                                                                                          g

                                                                                                                          a

                                                                                                                          n

 

                                                                                                                        et vlan !

                                                                               

 

 

 

Jérôme de Mars

 

                                                                                            

 

 

 

 

 

Les beaux arts

 

A l'école de la vie;

Il y a la panoplie

Et la notice

De la vie

Pour serrer la vis

Des rencards;

Dans un jeu d'écriture

Avec pour dévoiler

La profonde nature

Des beaux arts,

Etendards de la poésie;

De la mélancolie

Et de la fatalité;

Qui endurent

La réalité

De la vie qui envie

Ou dévie

De sa trajectoire;

En bruits de couloirs

Dans un parloir oral

Pour verbaliser

Leur mot égal;

Ou inégal

Dans un esprit

De camaraderie,

Où les beaux arts

Avant d'être des arts

Premiers et singuliers;

Sont des arts mineurs

A l'état majeur !

Avec un doigt majeur

En une forme mineure

D'une folie des grandeurs

A l'école des Beaux-Arts;

Qui ont tant appris

Et inspiré

Les beaux arts,

Comme si Mozart

Etait aujourd'hui là avec Vivaldi !

Durant les quatre saisons

En chantonnant l'oraison;

Qui bat la chamade

Dans la ballade

Des gens heureux

Au coin du feu pieux;

A rêver de l'école

De la vie;

Qui colle

A l'esprit !

Qui montre 

Des grands airs;

Et a des grands airs

 A la rencontre

Des congénères;

Qui génèrent

Un appel d'air;

Qui a tant appris

Des rudiments

Dans les tenants

Et les aboutissants;

Aboutissant à l'école

Des Beaux-Arts;

Qui décollent l'air

Et décolèrent,

Lorsque décollent

Les pots de colle

A l'école;

Qui ont tant besoin

Qu'on leur dise !

Qu'on va pas    

Leur faire un dessin !

Comme quoi les beaux arts !

Malgré qu'ils reluisent !

Et bien !

Par-dessus tout !

Les beaux arts

Restent avant tout !

Faramineux; studieux

Et fabuleux !

Comme si Mozart

Connaissait par chœur

Toute leur chanson classique !

Pour réviser leurs classiques basiques

Et pacifiques dans un océan de tendresse;

Avec en lyrique liesse

A chaque rencard !

La rubrique

A l'état clinique

De l'école des Beaux-Arts;

Qui ont tant été épris

De l'art et la manière

Pas à n'importe quel prix !

Avec pour argent contant

Un répertoire fleuri !

Emmenant et ramenant

Sur la pointe des pieds;

Les magnifiques beaux arts.

 

Jérôme de Mars

 

Je ne suis pas un sain !

 

Oursin, 

Comme un ours sain

Mal léché;

De mon côté ours alléché;

A léché

Je ne suis pas un sain !

Mais juste un mâle sain

Ou un malsain;

Pas loin 

De la tous sains;

En ne sachant 

A quel sain

Me vouer;

A part me dévouer

Au sain de ma mère;

Avec une bouteille 

A la mère

Dans l'appareil de ma colère,

D'où je ne suis pas un sain !

Mais un mâle sain

Ou un malsain;

Qui s'fait du mâle sain !

A la tous sain !

Où je tousse hein !

Dans mon côté oursin

En à côtés ours sain,

D'où je ne suis pas un sain !

Mais un mâle sain

Ou un malsain;

Qui s'fait du mâle sain !

Débecté par sa mère agitée

Dans une vie survoltée;

Et ensevelie dans un chaos dissipé

Avec mon côté ours mâle alléché;

Qui a du mal a léché

Les ourses mâles sains

De ma mère;

En mon côté ours sain

Et oursin;

Ours qui vieux loue solitaire;

Empêtré dans l'appareil de ma mère

Mâle sain

Ou malsain,  

D'où je ne suis pas sain !

Comme un mâle sain;

Qui ne sait 

A quel malsain;

Se vouer

Et dévouer

En vers sa mère;

En lui envoyant une bouteille

A la mère;

Face à l'inertie du soleil,

Dont malgré que je sois

Sans foi ni loi;

Un mâle sein

Ou un malsain;

Je ne suis désormais plus un sain !

 

Jérôme de Mars

 

L'aimante religieuse

 

Au nom d'une bible

Qui tire les ficelles

Femelles qui bouffent le mal,

Comme un insecte

Qui fait mouche !

Animal et loyal !

Des regards louches

Débectent en prises de becs 

La France de pure souche;

Qui s'fait la belle !

Dès qu'il y a l'aimante religieuse;

Qui aime la mante religieuse;

Qui aime songeuse

Boire de la menthe religieuse;

Avec les mantes religieuses,

Où il leur manque la parole indicible !

Qui ruisselle d'une couche

De la population qui couche;

Et peint des toiles pieuses;

Telle la croix de l'aimante religieuse;

Qui porte sa croix de les mantes religieuses

En mangeant une religieuse;

Sine qua nonne !

Oh ! Que la menthe religieuse

Est bonne !

En barbouillant le ciel

Du signe du Missel !

Qui trifouille les arcs en ciel

Dans un archange ciel;

Telle l'aimante religieuse;

Qui prie pour l'amante religieuse;

Qui régente parcimonieuse 

De rêves pleins les nuages; 

Au-delà les parages !

D'une relation amoureuse

Par ciel,

Lorsque l'adage

De l'aimante religieuse;

Aime boire les paroles

De les mantes religieuses;

Grâce à Sir sourire qui fignole

Les dernies détails avant le passage

De l'extrême ponction en un Carrousel;

Qui l'ouvre le ciel !

En route vers l'aquarelle

Au pays des merveilles

De l'amante religieuse;

Qui achète par amour par ciel

L'amour de l'aimante religieuse;

Qui fait mouche

Avec les mantes religieuses;

Que régente la mante religieuse

Dans un coin essentiel;

En priant pour l'amour du ciel !

En faisant s'envoler les tourterelles

Dans des standards de ritournelles;

De par la grâce de l'aimante religieuse...

 

Jérôme de Mars

Voudrais-tu prendre un ver avec moi ?

 

Eclats de vers;

En débris de vers

De vers fêlés;

S'il te venait

A l'esprit sans vanité;

De flamboyer

Ma vie dissolue

Dans l'absolu !

Pour festoyer

Autour d'un ver

Dans un bistrot

Avec les potos;

Et comble de moi !

En te relançant roi !

Voudrais-tu prendre un ver avec moi ?

Moi; le mâle poli

Et un poli luxe en bourgeois;

Malgré mon état endolori

Par la maladie

Et la psychiatrie,

Si je te sers un ver de poèmes;

Voudrais-tu prendre un ver avec moi ?

En toute amitié !

Du fait de notre amitié

Pour raconter nos histoires

En brèves de comptoir;

Le temps d'un ver solidaire

En oubliant mes vers solitaires;

Imbus de moi-même !

Dus aux revers délétères;

Et te sers-je un ver fleuri ?

En tant que poto rose

Au bistrot

Des potos;

Malgré que mes vers

De poèmes respirent la bohème

De mes problèmes;

Qui parsèment un avant-goût de requiem;

En tentant malgré tout d'entretenir

La fleur de la vie;

Cultivée quelque peu

Et sulfureux

Dans un drôle de jardin secret;

Si je te sers un ver de poèmes;

Voudrais-tu prendre un ver avec moi ?

Même que le ver est parfois rabat-joie

Et sournois;

Tels sont les ecchymoses

De ma crise d'identité;

Aux vers dosent !

J'ai largement eu ma dose

De mes névroses,

Et dont malgré mes vers fêlés;

A boire mes déboires

En brèves de comptoir !

Comble de l'ironie

Et de l'histoire !

Serais-tu prêt à boire un ver de l'amitié  

Avec moi pour que mon désarroi

Murisse en une joie ?

Synonyme de mon amitié

Avec toi en vieux amis;

Riches de souvenirs bourgeois,

Et dont pour terminer en beauté

Ce ver de l'amitié

En toute fraternité;

Si je te sers un ver solidaire;

Serais-tu prêt à m'accorder

Du temps pour que mes revers solitaires;

Boivent nos paroles salutaires ?

Et que le tout nous dessert 

En vers extraordinaires,

D'où le sel d'une amitié épanouie

Autour d'un ver au bistrot

Entre potos;

En s'racontant nos revers nécessaires !

Afin que le tout évolue en vers populaires;

Qui nous rassemblent dans la fraternité

Et en fait Serge; te sers-je un ver solidaire ?

A toi et à moi autour de nos vers solitaires;

En trinquant à notre santé requinquée

Après que j'ai tant trinqué de ma santé,

Et pour oublier nos revers qui furent prospères;

Accepterais-tu de prendre un ver de poèmes

Avec moi ?

Pour oublier nos revers de problèmes;

Et pour que mes vers de poèmes

Deviennent des vers de bohème;

Voudrais-tu avant que je règle l'addition salée

Prendre un dernier ver avec moi ?

 

Jérôme de Mars 

Etat d'armes

 

Vague à l'âme !

Comme dans ce monde

Que je fronde !

Il n'y a plus d'état d'âmes;

OTAN qu'on passe avec l'arme

A l'œil à un état d'armes !

Qui crame

Ce monde de came;

Que j'exècre

De mon état piètre

En tirant la larme,

Comme la solidarité

Se désarme;

Et que la médiocrité

De pensée s'arme

Dans un état d'armes,

Comme tout le monde

En faisant une ronde;

S'en fout des états d'âme

Qui fait que ce monde

Ne tourne plus rond,

Car il hait rubicond

Et con !

En voyant rouge 

Dans tout ce qui bouge;

Avec du vague à l'âme

Et qui fait place

A un vague à larmes;

En faisant remonter

A la surface;

La raison pourquoi

Laquelle; tout le monde

Se lasse 

De tout

Dans tout ce fourre-tout;

Sans joie et rabat-joie

Dans un état d'armes;

Qui outrepasse larmes

A l'œil en tirant la larme,

D'où on trépasse larme

A gauche dans cet état de larmes

Dans un état d'armes.

 

Jérôme de Mars

La bonne humeur

 

Etat délétère

De notre monde anxiogène;

Il y a des sang gènes

Qui ont un état bipolaire;

Un jour de bonne humeur

Et tantôt d'humeur exécrable;

En balançant les dernières rumeurs

Sur la table 

En croyant se rendre intéressant,

Alors qu'ils sont juste méchants;

Et quelle est la bonne humeur

A avoir au final ?

Afin de semer du bonheur

En général !

De la tare

Et de la part

Des états maniaco-dépressifs;

Ecorchés vifs sur le vif

Du sujet; piqué au vif

Et qui voit rouge vif !

En ayant une humeur massacrante

Ou exaltante

Dans un contraste en tout point 

Tout honneur !

De la bonne humeur

A avoir jusqu'à l'embonpoint

Des humeurs bipolaires;

Un coup salutaire !

Et tantôt mortifère !

A s'extraire

Des vents contraires

Dans un effet de mode;

Qui ne peut être commode

Ou auquel tout le monde s'en accommode !

Avant que le vent démode

Le temps éphémère

Des humeurs bipolaires;

En essayant d'avoir en permanence

Avec inconstance

Et dans une bonne fréquence;

La bonne humeur,

Entre soit prendre un bol d'air

Qui aère les nerfs !

Ou soit avoir une crise de nerf

Dans la guerre des nerfs

A cran de viscères;

Entre l'euphorie

Et la mélancolie;

Sans modération

Dans l'aliénation

Irrationnelle et incendiaire

D'humeurs bipolaires;

Qui s'en vont crépusculaires

Dans l'amère;

A l'ombre d'un état de fureur

Avec malheur;

Ou au clair de la lumière;

Qui éclaire les réverbères

Et les lampadaires

Avec lueurs;

Le tout tout ça avec bonheur !

De tout cela qui fait en inventaire;

La bonne humeur.

 

Jérôme de Mars

Les démons de mes nuits

 

Dans les vaps;

En pleine nuit

Je dérape

Fortuit et dépéri !

Dans les démons de mes nuits;

Desquels j'essaie de résister

Aux tentations instantanées;

Qui me laissent augurer

De me révolter

Contre des choses pas chouettes

De la vie en chouettes; 

Qui me volent ma vie

Qui part en miettes,

D'où je tombe dans les oubliettes

De les démons de mes nuits;

En repassant les mêmes images

De mes différents passages,

Dont on connaît la chanson !

A chaque année ses propres saisons !

Où redémarrent mes démons

Et mes pulsions

De les démons de mes nuits;

En posant mon sac lourd

Dans un diable d'enfer;

Qui circule et s'indiffère

De mon état décrépi

Dans ce monde sourd,

D'où les démons de mes nuits

A l'état d'agonie dans un monde d'inertie,

Où je ne sais parfois ce que j'espère

A part évacuer mon sac très lourd

Dans un diable d'enfer,

Où le chariot demeure 

A en finir avec le bonheur;

Tellement lourd que ça en devient

Une vie de bohème de désamour !

A flirter avec le diable requin;

Qui bouffe vorace mon appétit

Pour la vie

Sous les démons de mes nuits;

Avec en rappel d'images

Tous ces moments de naufrage,

Dès l'abordage,

D'où personne à l'accostage

Pour faire part de ma rage,

Dont pour faire un virage

Sur le rivage

A 180 degrés;

OTAN surfer en paix

D'un mal de mère

En un mal de mère !

Pour que ma vie

Devienne un long fleuve tranquille,

Dont on connaîtra la chanson

A l'issue de chaque saison;

D'un état puéril

A l'état adulte dans la ville,

Comme un individu lambda

Avec des hauts et des bas,

D'où pour que la vie soit fleurie

En adulte très accompli !

Vivement le lever du jour !

Dont ce sera à mon tour

De faire partir

En guise de plaisirs;

Les démons de mes nuits.

 

Jérôme de Mars

Un être ambivalent

 

Etat des lieux ambigus 

En son état confus;

Il était un être ambivalent !

Un jour opposé

A l'autre jour apposé

De ses jours fluctuants;

Au fil du temps qui laisse présager

Que parfois; son moral au beau fixe !

Serait passager

Ou mensonger, comme la rixe

Dans sa vie qui le met omniprésent

En un être ambivalent;

Changeant comme la direction

Du vent en aversion;

En mettant en pension de réversion

L'inversion du temps qui bat

En pulsation d'impulsion;

Qui rabat

Les cartes cependant

En un être ambivalent;

Inconstant, regardant

Le ciel dans ses caprices,

Dès que le soleil avec malice;

Jette un sort à tort; redondant

A un être ambivalent;

Changeant, comme le temps fluctuant

Au cours impuissant 

Des horizons; passant le temps

Et le flambeau 

A un nouvel arrivant soupirant

D'un être ambivalent;

En causant muni de son sombrero

Au pays du soleil levant; 

Songeant en donnant un coup de chapeau

Dans un sacré numéro;

En tirant son chapeau ambigu

En cet endroit exigu; 

De si c'est aigu 

Ou pointu !

Que son art est folichon

Ou consensuel,

Comme le soleil 

Se dandinant 

Et se pavanant !

Polisson; fripon 

Affriolant et fluctuant

En son horizon édifiant;

Reflétant son miroir éclairant

Son caractère réfléchissant;

Sans modération

Dans l'aliénation; 

Il était déjà

Une fois

De trop un être très ambivalent.

 

Jérôme de Mars

 

L'oiseau aux ailes brisées face à la mère agitée

 

Vague à l'âme;

Il y a du drame

Dans ce slam;

Vis à vis d'une dame

Et pas n'importe laquelle,

Où elle loge depuis longtemps

A l'autel

Du ciel;

Avec en ritournelles

Ses souvenirs de demoiselle,

Dont moi

Avec mon désarroi;

Je suis dans un mâle de mère;

Ivre de colère;

Tel l'oiseau aux ailes brisées

Face à la mère agitée;

Terre-à-terre

De ses ancêtres givrés

Par le froid

Et la glace dans ses pas rois,

Dont la mère avait 

Beaucoup de vague à l'âme;

En tant que quidam !

Avec hélas depuis jadis !

Son emprise qui m'enlise,

Où j'ai du mal à prendre mon envol

En ecchymoses de tourments;

Qui frôlent

L'antivol depuis Mathusalem,

Dont tout me tape sur le système !

En prenant la mère de face;

Qui laisse de glace !

Mes apparences trompeuses

Et nébuleuses 

De mon état de disgrâce,

Où avec l'absence 

De ma mère;

J'ai tant de mâle à faire face !

Dans mon quotidien crépusculaire,

Où moi 

Dans mon désarroi;

Je suis l'oiseau aux ailes brisées

Face à la mère agitée

Dans l'amère survoltée;

Qui jette ses tourments

Dans une écriture généreuse

Ténébreuse et sulfureuse,

D'écrits en forme de romans,

Où je survole en survivant

Sans vivre l'instant présent;

En repensant chaque jour

Au boucan de mon passé;

Périmé qui ne peut s'effacer

De mon esprit troubadour;

Vindicatif et frondeur

Avec l'envie saigneur

De me venger 

De tous les camouflets

Que j'ai subis en oiseau de vautour,

Dont maintenant c'est à vautours;

D'être l'oiseau aux ailes brisées

Face à la mère agitée;

Pour me venger

Par écrits en prenant

A l'arrachée déplumée

Toute l'ivresse de ma rengaine,

D'où je m'enivre en ma haine;

Qui me tient en haleine

Chaque semaine,

Dont grâce à la brise de vent !

V'là que je me les brise devant

Mes chaînes !

Où dorénavant je m'entraîne

A rendre par écrit la vengeance

Du poète masqué 

Sous forme de pamphlet

En toute transparence;

Tel est je prends enfin mon envol !

De la mère défunte, dont je fignole

Les derniers détails de ma plume

Pour barrer la route à mon amertume;

Tel l'oiseau aux ailes brisées

Face à une mère définitivement apaisée.

 

Jérôme de Mars

Odette Allou

 

Ancienne collègue de L'ESAT;

Odette Allou fut avec moi psychopathe

Aux dettes relou;

En me prenant la tête

Aux dettes, dont Odette Allou

Me fit mâle avec sa tête

A la tête

Dans un bordel de casse-tête,

Dont Odette alloue 

Son handicap en vieille louve solitaire

Qu'elle couve de son mâle patibulaire,

Où Odette alloue L'AAH et L'APL

Qu'elle épelle dans un rappel,

Dont Odette Allou; la vieille relou;

Qui loue vis-à-vis de moi son antipathie

En guise de trous à y faire son beurre,

Dont son labeur

Fut qu'elle me considéra 

Comme son meilleur ennemi,

Dont Odette alloue

Qu'il me manqua une case dans la tête,

Comme elle s'entête

A faire en prises de têtes

Des coups de traître,

Quand à l'époque; j'avais voulu

Irrésolu et absolu;

Me jeter par la fenêtre

Avec en tête à tête;

Le vieux portrait

D'Odette relou,

Dont aux dettes allouent

Des eux brouillés;

Et embrouillés

A Odette Allou,

Dont Odette alloue

Que je suis un bon à rien;

Déjà que pour elle; je fus un paria,

Et dont elle, elle délégua 

A L'ESAT; que je fus un très mauvais

Collègue genre quelqu'un de mesquin,

Où une foi; 

Sans foi ni loi;

Elle me dit qu'à la sortie

Et à pas d'heure !

Qu'avant de prendre mon quatre heures

J'allais goûté le déjeuner; 

Rétamé par son copain,

Dont Odette Allou;

Relou; alloue 

Que moi; j'étais un vieux loup solitaire,

Mais que contrairement à elle;

Je loue solidaire

Au pluriel,

Comme je vois avant tout le ver

A moitié plaint

Et à moitié avide ! Vis-à-vis

D'Odette relou;

L'ennemi de moi;

Mi-doux; mi amer,

Et dont en inventaire

De fin de série;

j'alloue que de mon AAH

Et de mon APL

En rappel;

Que vis-à-vis d'Odette qui alloue

Et bien !

Aux dettes !

Elle s'appelle 

O combien Odette Allou.

 

Jérôme de Mars

 

 

L'amour rentre-dedans

 

Après avoir essuyé des refus;

L'amour diffus !

Pour ne plus

Qu'il soit confus !

Essuie les revers

De l'amitié, afin de le prendre

Par le dos de la cuillère,

Tandis que l'amitié tendre

Fait place à de l'amour rentre-dedans,

Où chacun trouve sa pomme d'Adam !

Pour sa pomme et aussi 

En faisant l'amour de façon très jolie;

Et réussie avec son partenaire;

En en faisant un moment permanent

Et constant en criant !

A l'amour hyper pénétrant !

En faisant l'amour à rentre-dedans,

Afin que l'amour rentre-dedans;

Rentre et pénètre 

En ouvrant les fenêtres,

Quand l'amour charmant

Et exaltant rend heureux les gens;

Friands d'en consommer

Et de sommer

L'amour aidant !

En s'entraidant avec un trident

Pour sonner la sirène de l'amour rentre-dedans,

Afin que l'amour tendre;

Puisse détendre

Ceux ou celles;

Qui attendent que leur partenaire

Les dépucellent 

En des pucelles; 

Ceux ou celles qui habitent à Sarcelles, 

Et pour que l'amour se détende

A plusieurs au pluriel !

Rien de tel ! Que les sexes opposés se tendent

Et attendent 

De rencontrer le grand amour qui rentre d'aidant !

Pour y faire l'amour très rentre-dedans.

 

Jérôme de Mars

Papier à musique

 

Roulement de tambour battant;

Il y a la machine à laver à tambour !

A s'en laver les mains !

Mené tambour débattant !

Autour d'un papier à musique;

Qui déchante en pareil refrain !

Que d'être dans les p'tits papiers

Systématiques de la radio nostalgique;

C'est taper des mains dans les faubourgs

D'un papier à musique à partition !

Qui est victime de la barbarie

De l'Orgue de Barbarie qui ne tarit

Pas des loges en répartition;

Victime de son succès fou

En un palmarès relou;

Qui tape sur le système 

Des refrains de la mémoire;

Avec des chansons à déboires

Et à manger son chapeau;

En murmurant je t'aime !

En guise d'un sacré grand numéro

Autour d'un papier à musique;

Qui sème la zizanie en fredonnant

Des mot magiques;

Féériques; conjugués

Et subjugués

A tous les temps !

Qui passent ronronnant

Sur la radio nostalgique;

Autour d'un papier à musique;

Effet disco

Ou refait mambo;

En faisant la java

Ou le cha-cha-cha; 

En dansant un slow

Endiablé rétro projecteur;

Amateur de contre danse,

Dont l'instigateur

Est un artiste chanteur

Sur son 31;

En chantant avec entrain

Des chansons pacifiques

Autour d'un papier à musique,

Dont on connaît la chanson 

Des joyeux larrons

En foire;

Dont ça y est ! C'est le fameux soir !

Pour clamer son amour

Des chansons romantiques

Autour d'un papier à musique;

Qui compose un hymne

A aimer son prochain;

Avec des mots qui arriment

Pour narguer les amarres

Du journal des cagnards,

Afin de rester dans les temps !

Sans contre-temps !

Un facétieux garnement;

Doué d'un phénomène amusant;

En écoutant et en réécoutant 

Sans acouphènes des morceaux;

Charmants en vers l'eldorado;

Il naît pas trop tôt !

De passer du bon temps;

Acoustique et synchronique; 

Qui roule des mécaniques

Autour d'un papier carrément

A musique.

 

Jérôme de Mars

En vers le poète !

 

Avec l'art et la manière,

Malgré ses travers;

Le poète maudit reste libre

Et vibre

En étant un passeur;

Et un conteur d'émotions;

Raconteur et songeur

En allant vers une direction

En vers le poète !

Qu'il soit esthète

Ou désabusé 

Sous une pluie de chimère;

Qui traduit sa poésie contrastée,

Dont malgré sa colère;

Le poète désabusé

Fait tout pour encore espérer;

Et aspirer à la paix

Dans un vent de liberté;

De façon à pouvoir aimer

Les comètes

Dans un ciel de fossettes;

En vers le poète !

En gardant espoir de ne pas tomber

Dans les oubliettes;

De sa vie cabossée

En miettes

Dans une existence décompensée

Et consumée;

A passer son temps à vouloir 

Trouver un sens à sa vie de mouroir;

En invoquant ici présent

Son ressenti bien émouvant

En vers le poète !

Avant qu'il hébète

Dans les couloirs du temps; 

A attendre quel courant 

Prendre pour aller errer

Et dévaler

Vers le bon océan

Pacifique bien assorti,

Auquel il pourra prétendre

Serein et amorti;

En y répandant les cendres

De son écriture;

Déplumée sans fioritures

En vers le poète !

Où maintenant;

Il serait bienvenu que le poète

Maudit empiète

Sur son temps, afin qu'il affrète 

Sur mesure sa juste planète

De Jérôme de Mars;

En gisant

Et en se reposant

Sur Mars, 

Malgré les revers de sa colère

Incendiaire, dont sa vie

Est et las délétère !

Avec toutefois de la matière

A retranscrire;

A écrire et à réécrire 

Sur le fil du rasoir

Son histoire,

Comme son état décrète

A l'envers;

Toute sa colère

En vers le poète !

Dont il est absolument

L'issue de sa vie irrésolue.

 

Jérôme de Mars

 

 

Plaie mobile

 

Jouets d'enfants;

Rejoués méchants !

Certains jouent au Playmobil, 

Alors que moi de mon enfance,

Comme un éléphant

Sans défense;

Je trompe ma décence !

Avec ma plaie mobile

Que je traîne immobile !

Depuis mon à mère enfance,

Où je me fais de la bile débile;

A tromper l'ennui

Dans un tue-l'amour,

Où je n'ai plus d'amour !

Mais de la haine de vautours;

A idolâtrer l'apologie de l'anarchie;

Qui traîne en moi

Avec ma plaie mobile;

Qui gangrène

Mes jouets rejoués; 

Défiants et répercutés

Dans un Playmobil, 

Dont le mobile de mon mobile; 

Est que je sois immobile

De mon mobile !

Même si maintenant;

Je n'ai plus d'écran tactile,

Comme je suis à cran fébrile;

En ayant du cran 

Avec une crise de nerf,

Comme nerf de la guerre !

Dont de mon enfance immobile;

Je suis cent offense mobile !

Que je sois en légitime défiance !

Ou en légitime offense !

Avec pour illégitime défense

Qu'à leurre actuelle;

Je ne suis plus dans l'enfance !

Mais dans le tumulte

D'une vie d'adulte;

En picorant comme légitime décence;

Le fruit défendu de ma plaie mobile;

Déjouée des jouets trop tard; 

En déjouant mon Playmobil !

Et en enjouant

Ma plaie mobile !

Dans ma tare à l'instar

De ma rengaine qui jubile;

Volubile en mon âme qui m'émoustille !

Sans que ce soit pour des broutilles

Ma curiosité qui me démet,

Comme un vieux serpent de mer

En une sorte de reptile;

Qui attaque son mâle de mère !

Malgré qu'il est ébranlé

Dans son jouet Playmobil;

Et effondré 

Rejoué; re jouet dans sa plaie mobile

En son état toutefois docile,

Et dont pour ne plus rejouer

Mon enfance sans défense,

Pour qu'elle ne mute 

Et qu'elle ne se répercute

En une légitime défiance;

Il vaut mieux !

En faisant pour le mieux 

Dans ce qu'il y a de plus fabuleux !

Que je nage dans un bonheur;

Sans nuages et radieux

Avec de la chaleur;

Humaine et sereine

En remplissant mes semaines,

Dans le but

Qu'elles m'amènent

Jusqu'au jardin d'Eden,

Afin que je me démène open !

On l'espère sans peine !

Dont enjoué sans jouer;

Et déjoué sans jouets;

Je ne sois un jouet endimanché !

Mais un adulte sensé

Et avisé; 

Qui veut faire de son Playmobil 

Et de sa plaie mobile,

Un instantané; 

Avec pour sagacité 

Et mobile;

Une plaie immobile.

 

Jérôme de Mars

Laver les sentiments pour ne pas s'en laver les mains !

 

Bourré de ressentiment;

A l'état sale

Dans un sale état pâle;

Il faut appeler monsieur propre

En l'appelant par son nom propre,

Où il faut laver les sentiments

Pour ne pas s'en laver les mains !

Dont il faut balayer devant sa porte

De la sorte,

Pour que le malpropre

Soit nettoyé en un mâle propre

Avec l'assentiment du tout-puissant,

Afin d'éviter l'indifférence

Grâce à un bain de jouvence,

Dont v'là l'innocence retrouvée

En un sourire revitalisé,

Où il faut laver les sentiments

Pour ne pas s'en laver les mains !

Dans un bain de jouvence 

Et ben ! On se met dans le bain !

A laver la différence des gens,

Pour que le tout soit brillant

Et pimpant !

Dans du neuf reluisant;

Respirant la différence 

Et plus du tout l'indifférence

En tout point tout honneur !

Au p'tit bonheur

Tout le monde est singulier !

Au pluriel bien imaginé

Et ressuscité;

Avec l'assentiment du tout-puissant,

Pour que le ressentiment

Mûrisse apaisant

En un soleil de printemps;

Qui respire la quintessence

D'un monde meilleur;

Avec des envies de donner

Et de redonner

Le meilleur de soi,

Pour qu'il y ait de la joie

Autour d'éclats; 

Avançant à grands pas !

Et v'là la résilience

D'un temps grisant !

Car après la grisaille du gris;

Voici la marmaille de la griserie,

Dont après l'indifférence;

Maintenant voilà la différence

Des ethnies en opulence !

Et tant mieux qu'elles soient

En augmentation de fréquence,

Dont pour s'en laver les mains

De l'indifférence;

Il faut laver le ressentiment

Dans un grand bain de jouvence,

Afin qu'avec l'assentiment

Du tout-puissant;

Cela redevienne un sentiment

Bienveillant avec un soleil scintillant,

Pour que la différence

Soit un allié de bienfaisance

Et de tolérance,

Dont en donnant des coups de main

Et en s'adonnant à rendre meilleur demain;

Il faut laver les sentiments

Pour ne plus s'en laver les mains !

Et bain !

 

Jérôme de Mars

Avec des crayons de couleurs; colorie le ciel !

 

Haut en couleurs;

Le soleil truculent dresse à l'effigie

Du ciel

Des orgies;

Couleur bleue pastelle, 

Puisque en une aquarelle;

Avec des crayons de couleurs;

Colorie le ciel !

Pour le combler de bonheur;

Et le rendre amateur

De fumées de gitane,

Quand les nuages sans blanc chicanent

D'une bouffée d'air frais

Aux frais du ciel le soleil;

Qui semble hébété

Dans le brouillard de son visage miné,

Quand le soleil pleure

De l'absence du soleil; 

Et donc en lui changeant les idées

Au ciel;

Avec des crayons de couleurs;

Colorie le ciel !

Avec des arcs en ciel;

Qui songent au soleil;

Habillé d'un rouge écarlate

Lors d'un grand soir 

Avant de roupiller au dortoir;

Après une escapade délicate

En sillonnant la route universelle;

Qui monte avec son échelle,

En lui faisant la courte échelle

Vers la passerelle

D'un paradis sûr naturel;

Après avoir goûté

Sur Terre

Aux paradis artificiels,

Dont pour goûter 

A nouveau au bonheur;

De côtoyer un monde meilleur

Rien de plus extraordinaire !

Que de mettre des couleurs

Au ciel !

Avec des arcs en ciel

Et pour avoir bonne mine;

Qui chemine et termine

L'essentiel vers le ciel !

Et bien avec des crayons de couleurs;

Colorie ainsi essentiel le ciel !

 

Jérôme de Mars

 

Ma mère; ce fut une belle mère !

 

A ma mère !

J'envoie une bouteille à la mère,

Où qu'elle est ma mère;

Qu'elle soit en mère

Agitée à la dérive à mère !

Car ma mère;

Ce fut une belle mère !

Pas une belle-mère;

Même que ma belle mère;

Ne s'entendait pas avec sa belle-mère,

Ma grand-mère,

Car ma mère;

Ce fut une belle mère !

Qui ne l'a pas eu belle mer

Sa vie, où elle ne fut jamais grand-mère

De son vivant à mère;

Or malgré tout ma mère;

Ce fut une belle mère !

Pas ma belle-mère

Certes; mais ma mère

Qui fut ma belle mère !

Et dont la mère de mon père !

Fut la belle-mère de ma mère,

Car même si ma mère

Ne fut pas ma belle-mère;

Ma mère elle; ce fut une très belle mère !

 

Jérôme de Mars

A sa santé !

 

 

Petite pièce de théâtre sous formes de différentes saynètes brèves entre les soignants du CMP de Vitry sur Seine au sujet de leur patient monsieur Jérôme Bedrossian

 

1ère saynète)

 

Madame Teillet; psychiatre :  

 

-  "  Bonjour Jean-Yves; à ton avis, comment se porte Monsieur Bedrossian ?  "

 

Jean-Yves L; infirmier :  

 

-  "  La santé de Monsieur Bedrossian se requinque depuis qu'il a quitté L'ESAT La Fabrique maintenant; on trinque à sa santé après qu'il a trinqué de sa santé toutes ces années à L'ESAT !  "

 

2ème saynète :

 

Madame Teillet; psychiatre :

 

-  " Jean-Yves; il me semble que tu m'avais dit qu'en général Monsieur Bedrossian ne supporte pas les fêtes de fin d'année !  Quelle est la raison de son malaise vis-à-vis des fêtes de fin d'année à monsieur Bedrossian ?  "

 

Jean-Yves L; l'infirmier :  

 

-  "  C'est normal que Monsieur Bedrossian ne supporte pas les fêtes de fin d'année car pour lui chaque année en décembre ça sent le sapin pour lui et c'est pour ça qu'il a les boules !  "

 

3ème saynète)

 

Jean-Yves L; infirmier :  

 

-  " Marie; monsieur Bedrossian m'avait dit qu'en décembre 2001; tu lui avais dit que nous les infirmiers du CMP; on s'en foutait des problèmes des patients !  "

 

Marie; infirmière :  

 

-  "  C'est normal qu'à Jérôme je lui ai déclaré ça car monsieur Bedrossian était un patient de tout m'épancher sur sa vie  !  "

 

4ème saynète)  

 

Gurvan Q; infirmier :

 

-  "  Jean-Yves; à ton avis pourquoi quand on voit Jérôme Bedrossian; à chaque fois; il passe de l'ombre à la lumière !  "

 

Jean-Yves L; infirmier :

 

-  "  Cherche pas Gurvan c'est parce-que nous; on éclaire de notre lumière monsieur Bedrossian en fars Bretons afin qu'il ait les idées claires !  "

 

5ème saynète)  

 

Madame Poplawka; l'assistante sociale :   

 

-  "  Pourquoi Jean-Yves; ça ne tourne jamais rond avec monsieur Bedrossian ? "

 

Jean-Yves L; infirmier :  

 

-  "  Parce-que monsieur Bedrossian a toujours été très carré !  "

 

6ème saynète)

 

Madame Teillet; psychiatre :

 

-  "  A ton avis Jean-Yves; pourquoi as-tu toujours été convaincu que monsieur Bedrossian avait toutes les ressources pour remonter à la source de ses problèmes ?  "

 

Jean-Yves L; infirmier :  

 

-  "  Car monsieur Bedrossian sait trop bien que ça coule de sources !  "

 

7ème saynète :

 

Aurélia K; la psychomotricienne :

 

-  " A ton avis Jean-Yves pourquoi est-ce-que Monsieur Bedrossian a-t-il voulu reprendre les séances de relaxation avec moi en 2020 alors qu'il avait interrompu sa thérapie avec en moi en 2006 ? "

 

Jean-Yves L; infirmier :

 

-  "  Sans doute parce-que monsieur Bedrossian est long à la détente !  "

 

8ème saynète :

 

Madame Poplawska; l'assistante sociale :

 

-  "  Jean-Yves; pourquoi est-ce-que monsieur Bedrossian n'arrête-t-il pas de me poster des courriers dans la boîte à lettres du CMP ?  "

 

Jean-Yves L; infirmier :

 

-  "  Pour te refiler des tuyaux dans ton rôle d'assistante sociale mais surtout pour qu'on prenne à la lettre tout ce qu'il nous dit  !  "

 

9ème saynète :

 

Catherine; secrétaire :

 

-  "  Jean-Yves; pourquoi est-ce-que monsieur Bedrossian n'arrête-t-il pas de nous faire des appels avec son portable et de nous raccrocher au nez dès qu'on décroche ?  "

 

Jean-Yves L; infirmier :

 

-  "  Parce-que c'est son seul mobile de nous appeler !  "

 

 

10ème saynète :

 

Aurélia K; psychomotricienne :

 

-  "  Jean-Yves; tu vois lors de sa dernière séance avec moi monsieur Bedrossian m'a dit que tu étais plus heureux que lui car toi; ton métier; c'est la planque et que t'es toujours en vacances et que tu n'as du tout de problèmes dans ta vie; pourquoi Jérôme a-t-il ça alors à ton sujet ?  "

 

Jean-Yves L; infirmier : 

 

- "  Aurélia; tout simplement parce-qu'à la fin de chaque VAD; je prends congés de monsieur Bedrossian !  "

 

11ème saynète :

 

Madame Poplawska; assistante sociale :

 

-  "  Jean-Yves; pourquoi est-ce-que monsieur Bedrossian a-t-il pris RDV avec moi le mardi 19 octobre à 14h et pourquoi veut-il faire une demande d'aide-ménagère ?  "

 

Jean-Yves L; infirmier : 

 

-  "  Parce-que pour monsieur Bedrossian; ça déménage en ce moment avec son entreprise de services à la personne Ok Service ! Qui ne veut plus intervenir chez lu;i étant donné que le ménage n'est pas fait chez lui ! et que dans tout ce remue-ménage ! Personne ne ménage Jérôme en ce moment !  "

 

12ème saynète : 

 

Madame Teillet; psychiatre : 

 

-  "  Jean-Yves; pourquoi est-ce-que monsieur Bedrossian ne fait-il pas le ménage chez lui malgré qu'il a tout le temps maintenant comme il n'est plus à L'ESAT ? "

 

Jean-Yves L; infirmier :

 

-  " Pour qu'on le ménage comme il ne vit pas en ménage !  " 

 

13ème saynète :

 

Carole B; infirmière :

 

- " Pourquoi quand Jérôme vient au CMP Jean-Yves; ne lui fais-tu plus de piqûre de rappel ?  "

 

Jean-Yves L; infirmier :

 

-  " Parce-que Jérôme est majeur et vacciné malgré ses accidents mineurs à l'état majeur !  "

 

 

Jérôme de Mars

Bis billes

 

Bis billes;

Je me fais de la bile !

En jouant aux billes

Et en étant en bisbilles,

Dont je n'ai pas réellement digéré !

Et vraiment jamais digéré !

Quand certains m'ont dit !

Que tout le monde se fichait

De moi en non-dits,

Où avec cette phrase qui frémit

Et fourmille

En moi en une agonie,

Où je suis en bisbilles !

En train de me faire de la bile;

Et en jouant aux billes,

Où ça en est aux énièmes

Bis billes !

Comme dans un théorème;

Un jour je t'aime

Moi non plus !

Comme un intrus

Qui me tape sur le système;

En marge du système !

Alors que la plupart m'aiment !

Et me parsèment !

De leur affection de longue durée;

Et carburée avec bienveillance;

Vaillance et indulgence,

Face à mon état laminé

Par tous les camouflets;

Qui m'ont tant écorché

La bile !

Où je suis en bisbilles

Contre ceux qui me provoquent

Avec équivoque !

En me faisant de la bile !

Où à cause d'eux; je me fais

De la bile !

Même en jouant aux billes;

En étant encore en bis billes !

Dans cette époque rigide,

Où plus rien ne me paraît 

Limpide à force d'être torride !

Avec des coups de chauds; 

Qui me mettent la rancœur

Sur le cœur par cœur !

Après avoir été longtemps un chou-fleur,

Dont ma vie stagne à à présent à l'échafaud !

En étant encore plus en bis billes,

Dont je suis en bisbilles

Avec ma bile volubile,

Dont je me fais de la bile !

Comme une plaie mobile;

Immobile dans ma bile,

Dont le mobile !

C'est qu'il faut que je ne sois immobile;

Avec mon mobile pour le rendre immobile,

Dont résultat du mobile volubile;

Ca y est j'ai en feint trouvé le mobile immobile !

Pour ne plus me faire de bile

Des biles débiles;

Défunt de ma bile,

Oups; je ne joue plus du tout aux billes !

Car après avoir été tellement en bisbilles;

J'en meure volubile des biles débiles !

En étant complètement en bis billes.

 

Jérôme de Mars

 

Chanteur de slam

 

Des chanteur de slam;

Je suis un chanteur de slam;

En chantant la vie !

Et en déchantant la nuit !

Puisqu'il paraît que de ma vie;

J'en fais un slam

En chantant le drame de ma vie !

Et en le déchantant en un mélodrame !

Que je slame dans une trame !

Dont Jérôme; came-toi !

Si jamais je crame de froid !

En brûlant ma vie

Par les deux bouts de chandelle !

Comme en chanteur de slam;

Je chancelle

Et je crame

En des chanteur de slam;

Qui clame

En vers les quidams

Que ma vie naît réussi !

Puisque je suis in accompli !

Si bien qu'on ne me réclame !

Quand bien même ! Cela enflamme 

Mes regrets qui m'acclament;

Proclament et déclament

Que je suis un chanteur de slam,

Dont le drame de ma vie;

C'est d'en faire un mélodrame

D'art-thérapie ;

En des chanteur de slam

A Paris !

Et dans la banlieue 

A mille lieux, 

Quand ma colère drague

Mes plus bas instincts,

Dont le mieux !

C'est que j'élague

Tous mes côtés mesquins;

En allant à l'essentiel

Et en choisissant Le Missel

De mes vers Missel

En chanteur de slam;

Des chanteur de slam

Pour évoluer 

Du drame

Des paradis superficiels

En un mélodrame

Des paradis super Missel !

En donnant un sens à ma vie;

Avec de l'encens pour que je prie !

Après avoir été à l'état désuni

De des chanteur de slam;

Pourvu qu'en l'état uni;

Je sois en faisant la java;

Un chanteur de slam.

 

Jérôme de Mars

 

 

Voyons les gens pour ne pas qu'ils meurent seuls !

 

Comme le disait très bien François Valéry !

Aimons-nous vivants !

Avant que la mort nous trouve du talent !

Et avant que le néant

Emporte les gens

Pour la vie !

Et comme pour rendre hommage à un aïeul,

Voyons les gens 

Pour ne pas qu'ils meurent seuls !

Dans leur fauteuil !

Ou dans leur lit !

Après qu'ils se soient rincé

Une dernière fois l'œil !

Car la vie passe tellement vite !

Et avant que le temps nous trépasse !

Pourvu qu'on se surpasse !

Et qu'on n'évite 

La famille 

Et les amis !

Dont profitons-en de les voir !

Tant qu'ils sont en vie !

Et encore en vie !

Et le plus souvent 

Et presque tout le temps !

Voyons les gens

Pour ne pas qu'ils meurent seuls !

Dans leur fauteuil

Ou dans leur lit !

Et aimons les gens !

Tant qu'ils sont vivants !

Et encore vivants !

Avant que l'impérissable faucheuse;

Les emporte nébuleuse !

Vers un monde certes ! Peut-être meilleur !

Loin de tous les malheurs

Du monde qui inonde

Les gens qu'on sonde !

Dont pour ne pas finir seuls

Dans son fauteuil  !

Ou dans son lit !

A choir et à déchoir dans un isoloir !

Le plus souvent

Et presque tout le temps !

Voyons les gens

Pour ne pas qu'ils meurent seuls !

Dans leur fauteuil 

Ou dans leur lit !

Comme pour rendre hommage à un aïeul;

En buvant un tilleul

Avec lui 

Et en lui parlant de sa fin de vie !

Pour qu'il parte en paix !

Après avoir tant aimé

Cette vie !

Avec vérité; liberté !

Solidarité et sincérité !

Dont servons-nous retors !

De ce qui dessert juste avant

La mort !

Pour leur dire aux gens

Qu'on les aime !

En leur parlant !

Le plus souvent

Et presque tout le temps !

Et pour ne pas avoir de regrets !

Voyons les gens

Pour ne pas qu'ils meurent seuls !

Dans leur fauteuil !

Ou dans leur lit !

De sorte qu'on les parsème

De réconfort !

En leur confirmant

Qu'ils ont eu une belle vie

Bien remplie !

Et qu'ils méritent

Maintenant un repos bien éternel

Au prie 

De l'autel !

Afin que tout le monde se réconcilie

Au paradis !

D'untel à untel

Entre immortels !

Avant que les gens

Meurent seuls dans leur fauteuil !

Ou dans leur lit !

Car comme le disait 

Très bien François Valéry !

Aimons-nous vivants

Avant que la mort 

Nous trouve du talent !

Et le plus souvent

Et presque tout le temps !

Voyons-nous encore jusqu'à la fin 

De leur destin 

Les gens !

Pour ne plus qu'ils meurent seuls !

Dans leur fauteuil !

Ou dans leur lit !

 

Jérôme de Mars

La vie est mioche !

 

Langue de poche;

Je n'ai pas

Ma langue dans ma poche !

Où pas appât;

Je trouve la vie moche,

Car la vie est mioche !

Dont nul ne guérit de son enfance !

Où je suis nul aguerri de mon offense !

Ecorché dans une immense défiance;

Et à fleur de peau dans la méfiance !

D'où je trouve que la vie est moche !

Car la vie est mioche !

Dont nul ne guérit de son enfance !

Où le soir je suis nul aguerri de mon offense !

Innocent et coupable à la fois !

Quelquefois, toutefois et parfois !

Dont je n'ai pas à pas !

Et je nais pas appât !

Avec une langue de poche,

Dont je n'ai pas

Ma langue dans ma poche !

Avec pour langue de pioche;

Une des fêtes où je trouve que la vie

Est moche !

Comme lors de mes nuits;

La vie est mioche !

Dont nul je ne guéris de mon enfance !

Où je suis nul aguerri de mon offense !

Entre innocence 

Et indécence !

Tellement que la vie est moche !

Et dont comme nul ne guérit de son enfance !

OTAN garder en soi une part d'enfance !

D'au temps que la vie est généralement mioche !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

La vie m'insupporte !

 

Porte close !

J'ai des névroses

En me foutant à la porte éclose !

Où ma vie sur Seine

N'est guerre un long fleuve tranquille !

Mais une mère avec une note salée;

Qui m'assène

Une vie qui ne tient pas debout !

Avec une béquille;

Qui tient

Tant bien que mâle, 

Où je suis très à bout !

Portant et pourtant,

Où j'ai envie de me tirer

A bout portant !

Et de me flinguer !

Tellement que la vie m'insupporte !

Et dont je reporte

Sans cesse mon suicide acide !

De cette vie qui m'ennuie,

Et où je dévie

Dans une trajectoire rigide,

Où j'ai mâle à la vie !

De ma vie qui m'emporte

Vers l'agonie 

Sans arrêt !

Où en des pis

De ma vache enragée;

Je ne parviens

Pas à trouver mon équilibre

Dans cette vie, 

Dont malgré tout;

Je reste libre

De mon destin

Borderline dans cet inextricable

Et implacable

Irrésolu fourre-tout !

Où ma vie ne tient

Plus debout !

Tellement que je suis

A bout  

Et frontal !

Dans ma vie à cent contrecoups,

Où je paye le coup 

De ma vie

En hérésie et en litanie,

Où je me demande si

Ca vaut encore le coût

Que je vive !

Moi; l'âme écorchée vive

Toujours sur le qui-vive;

Qui ravive

Mes tendances suicidaires,

Pour que je rejoigne

Dans une foire d'empoigne;

Ma mère et mon grand-père

A Noël ou à la Sain-Valentin,

Où comme je m'emporte !

La vie m'insupporte !

Comme j'ai un passé 

Qui me déporte

Du côte de mon hein père;

Ou dont je me comporte 

Dans un mal de mère !

A réciter

Et à ressusciter

Le complexe d'Œdipe;

Avec pour passé outrepassé

Le fait que je m'étripe !

Avec ma mère

Ou ma sœur !

Cette con sœur; cette consœur;

Qui est le fruit défendu

De ma rancœur,

Où je m'emporte

Dans mes excès,

Et où je me comporte 

Dans l'aigreur,

Dont je colporte

En crevant l'abcès !

Toute ma noirceur,

Dont la vie m'insupporte !

Comme je m'emporte !

Dont j'apporte le calumet

De la paix !

Et où je rapporte

Tous les camouflets !

Qui sont issus

De ma vie, dont je sue !

Comme je suis consumé

De l'intérieur,

Dont je sus 

Qu'avant d'arriver

A l'échéance

De ma vie 

En sursis,

Qu'avant d'aller ailleurs;

Il faut que je trouve le mode d'emploi !

Pour passer du désarroi

A la joie;

En provoquant la chance !

D'être un miraculé

De la vie évanouie

Et décompensée,

Dont je voudrai

Bien que mon passé

Devienne de l'amnésie,

Afin que je sois plus présent

En un présent plus plaisant

Et revigorant;

En revivant

Et en m'esclaffant 

Dans l'euphorie

Et la frénésie 

D'une embellie,

Dont pour que ma vie ne soit ennui !

Vivement qu'elle redevienne éblouie !

Et qu'elle me rende ravie !

En passant de la nuit

A un nouveau jour aguerri,

Dont je serai guéri

De mes névroses

Porte close !

Avec pour porte éclose !

De nouvelles bonnes choses !

Qui m'attendront à la porte !

Avant que de nouveau

De la sorte

Jusqu'au caniveau;

La vie m'emporte !

Si à tout jamais la vie m'insupporte !

 

Jérôme de Mars

Poésie gitane

 

Fumer une gitane;

C'est fumer 

Le calumet de la paix !

Dans cette poésie gitane

En roulant des joints tziganes,

Que ça jazze manouche !

Dans cette poésie gitane;

Qui roule des tafs 

De cigarettes gitanes;

Et paf !

Que ça paraît louche !

Dans cette poésie gitane;

Qui fume des gitanes

Pour trouver la paix intérieure;

En accédant à un monde 

Davantage enjoliveur;

Qui roule en formant

Une ronde,

Où cette poésie gitane

En fumant des gitanes;

Rend le monde plus souriant

Et conciliant,

Afin que ça jazze manouche !

Dans ce monde louche !

Que tout le monde y gagne revitalisant

Et vivifiant !

A être liant ;

Alliant comme entrain !

Des boute-en-train, dont le refrain

Que tout le monde sifflote 

Et sirote

Pour trouver la paix intérieure;

Est fume des gitanes tziganes !

En rassemblant toutes les communautés

Extérieures dans un soleil d'aplomb; 

Réconciliateur et réanimateur,

De sorte que plus personne 

Ne pète les plombs !

A l'Anglo-Saxonne !

Dans le but que résonne;

Le calumet de la paix;

En fumant des gitanes

Dans une ambiance tzigane,

Pour fédérer et aimer

Autour du ver de l'amitié;

Tellement louche !

Que ça jazze manouche !

Du fin fond cette poésie gitane.

 

Jérôme de Mars

Quand l'aube réveille la conscience de l'humanité !

 

Après la nuit assoupie;

Un nouveau jour surgit

Et ressurgit;

Assoupli dans une embellie;

En route vers une journée accomplie,

Où chaque personne vaque dans sa vie

En profitant du moment instantané,

Quand l'aube réveille la conscience de l'humanité !

En picorant

Et en prenant 

Un peu à gauche; à droite !

Tout le meilleur avec en boîte;

La boîte à idées

Pour dépoussiérer

Les tourments des gens;

Et les muter

Dans un état exaltant;

Heureux d'aimer !

Plus que de compter

Son argent qui en fait pourtant la fierté,

Quand l'aube réveille la conscience de l'humanité !

Aux aurores

Après la nuit qui dort,

Dont en renfort;

Des métaphores !

En rendant chaque mâtinée 

En une matinée, où au petit déjeuner,

Tout le monde fait ici-là son beurre;

Teinté d'une journée ensoleillée

Avec pour dur labeur;

La responsabilité d'aider 

Et de protéger sa communauté,

Avec après la déconfiture

D'une journée en démesure,

Le plaisir du soir de retrouver

Et de saluer

Sa progéniture;

En guise de bonne nature,

En profitant du soir avant l'aube;

Qui dérobe de la nuit vers le p'tit matin;

A travers un lob;

Malin et succinct,

Quand l'aube réveille la pleine conscience de l'humanité !

 

Jérôme de Mars

 

Ménage à trois dans l'aube

 

Remue-ménage de printemps !

Dans un ménage à trois dans l'aube,

Dont l'aube se déroba,

Sous les pieds

De la tombe de ma mère !

Au cimetière !

Avec éclats !

Quand ma mère ne se ménagea

Tout le temps !

Dans son passé outrepassé,

Dont avant; elle vivait 

Dans un ménage à Troyes dans L'Aude,

Si bien qu'il y eut dans son ménage !

Du remue-ménage !

Qui déménage

Dans un ménage d'emprunt tant !

De ma mère qui survivait

Dans un ménage à trois dans l'aube;

Au printemps de sa vie,

De jour comme de nuit

Dans un surmenage de printemps

A trois dans l'aube;

Qui fit le ménage

Dans un sûr ménage à Troyes dans L'Aude

Avec des maraudes;

Qui faisaient

Un ménage de printemps;

Qui ménage

A jamais ma mère

Eternellement et sempiternellement 

De tout ce qu'elle a souffert

Depuis hier; 

Après avoir tant vécu 

Et autant survécu

Dans un ménage à trois dans l'aube;

Et qui déménage en ce moment

Dans un surmenage à trois dans l'aube,

Si bien que d'où ma mère

Est au cimentière 

Eh bien ! Maintenant !

Elle naît que poussière de diamant !

Dans de l'émeraude qui rôde

Autour d'elle qui la taraude !

Avec le sol qui s'dérobe !

Sous ses pieds !

A ma mère !

Qui déménage

Dans un remue-ménage d'empreint tant

En un remue-ménage à Troyes dans L'Aude;

D'un ménage de printemps qui ménage

En un remue-ménage à trois dans l'aube;

Qui enrobe

Ma morte mère

Dans un ménage à Troyes dans L'Aude

En un mâle de mère;

Qui taraude en surmenage

Ma mère délétère

Et mortifère;

Qui déménage en un sûr ménage;

D'un remue-ménage à Troie dans l'ode

En un ménage à trois dans l'aube;

Qui ménage

Ici présent !

Ma mère qui s'repose depuis d'antan !

Après une vie patibulaire

Et incendiaire !

Et qui déménage vraiment

Ma mère au cimetière !

Car dorénavant

A l'aube;

Le sol s'dérobe !

Sous les pieds de ma mère !

Qui la taraude

En un grand ménage à Trois dans l'aube.

 

Jérôme de Mars

Mes paroles ont fait jazzer en musique en Amérique !

 

Paroles dans une rythmique frénétique;

Mes doigts agiles glissent pacifique 

Dans une ode à la musique psychédélique,

Où mes paroles ont fait jazzer en musique 

En Amérique !

Pendant que Sydney Bechet son jardin secret;

En apprenant par cœur

Les airs jazzy de Charlie Parker;

Et en écoutant en même temps

Pour passer le temps longtemps !

Benny Goodman;

Qui fut un good man !

Où mes paroles ont fait jazzer en musique 

En Amérique !

A base de morceaux raccords acoustiques,

Dont pour trouver la paix intérieure;

Il vaut mieux aller voir ailleurs !

Si j'y suis !

Dont s'ensuit 

Un appel à la paix philharmonique;

Qui a des airs symphoniques

Pendant que Sydney Bechet sa petite fleur !

Où mes paroles ont fait jazzer en musique

En Amérique !

Et ont arrosé en chœur !

Cet air si joli; jazzy et mélodique ! 

Avec Louis Armstrong; 

Qui ne s'était jamais trompé,

D'où son strong

Avec sa trompette;

A part duper en contant fleurette !

Duke Ellington;

Qui fait jazzer sans tambour ni trompette

Duke qui étonne; détonne;

Entonne et fredonne en en faisant des tonnes;

Pendant que Glenn Miller joue du trombone,

Où mes paroles ont encore fait jazzer en musique

En Amérique !

Rustique une journée à la campagne;

Avec pour compagne

De la musique névrotique;

Qui joue sur plusieurs identités psychiques;

Raison pour laquelle; Sydnet Bechet en chœur !

Avec Duke Ellington; Louis Armstrong; Charlie Parker

Et Benny Goodman; 

Qui furent tous des good mans !

Sans oublier Glenn Miller;

Qui jouait à mille à l'heure

Sur un ton nuances mille heures,

Car pas de quartier !

Avec Le Golden Gate Quartet !

Qui constate alors une ambiance pacifique;

Dont la preuve rythmique !

Où mes paroles ont tellement fait jazzer

En musique

En Amérique !

 

Jérôme de Mars

Eux brouillés

 

Fâcherie d'adulte;

Dans une vie

De tumulte;

Il fait gris

Pendant la nuit !

Car eux; brouillés;

Mettent leurs œufs

Embrouillés

Dans le même panier !

Et eux

Brouillés pour la vie;

Et embrouillés

Pendant la nuit;

Font des œufs

A la neige revitalisée;

Avec pour effet boule de neige

Revigoré;

Des choses qui allègent

Leur amitié à eux brouillés;

Car avant eux; eux furent

Très embrouillés,

Dont maintenant; ils surent 

Sur ceux se réconcilier;

Eux débrouillés !

 

Jérôme de Mars 

Si on accordait nos violons d'Ingres !

 

Passion de nos musiques pingres;

Si on accordait nos violons d'Ingres !

En étant soyeux

Et généreux

Avec le plus commun des immortels,

La contrebasse perdurerait

Intemporelle en un violoncelle,

Si bien que la nature

Semblerait mature !

A imprégner une ambiance cosy

Dans une chapelle de fratrie,

Et pour boire des paroles pingres;

Si on accordait nos violons d'Ingres !

En utilisant le Missel

Et en ayant la grâce des tourterelles;

Auxquelles le soupirant

Se grimerait en confident

Des âmes esseulées

Dans leur face

B; qui resterait à la surface

Des mélodies pingres;

Economes de leurs paroles;

Où en faisant la farandole,

Il suffirait d'avoir de la volonté

Et la garder sauvegardée

Au prix de la liberté;

En tant qu'artiste non négocié,

Et pour demeurer économe

De notre parole autonome,

Si pour raccorder les violoncelles;

On faisait un triangle isocèle !

De mélodies qui isolent celles

D'égal à égal !

Dans un entier égal; régal;

Amateurs de musiques frugales,

En ayant tout pour notre fringale;

Et pour accorder

Et raccorder

Nos musiques sur des paroles pingres;

Si par accord; on raccordait tous nos violons d'Ingres !

 

Jérôme de Mars

 

 

Buffet d'oxygène

 

Sans gêne !

Avec toute ta haine !

Tu reproduis toutes tes gènes héréditaires

Du motif de ta colère délétère;

Qui t'enterre

A p'tit feu !

Du prix en adieu 

De tes aïeux !

Et puis certes !

Il te faut alerte !

Une bouffée d'oxygène

En une bouffée à volonté,

Dont ta volonté première

Devrait être un buffet d'oxygène,

Pour que tu te regénères

Et que tu retrouves la maîtrise

De ta destinée,

Car qu'on se lise !

Là; tu t'enlises !

Dans ta vulnérabilité;

Ecorchée et doublée

De ta fragilité;

Avec parfois un manque 

De volonté,

Où tu te planques !

En étant à cran

Sûr ton écran

D'ordinateur à déblatérer

A vociférer et à vilipender 

Toute ta haine !

Chaque fin de semaine,

D'où en rengaine;

Il y a peut-être

Sans-gêne !

Dans ta vie un manque d'oxygène;

Du à ton état anxiogène,

Alors que si tu fumais

Le calumet de la paix !

Pour toi ce serait une bouffée d'oxygène !

Qui se réoxygène 

Dans une bouffée à volonté !

Avec pour dernières volontés;

Un buffet très à volonté !

Et plus du tout anxiogène !

Tellement qu'après 

Que tu aies tant dégusté

Dans ta vie ! Et bien maintenant !

Au temps que tu dégustes OTAN !

Sans gène !

Un grand buffet d'oxygène.

 

Jérôme de Mars

Laisse les avions planer et prendre leur envol !

 

En direction des paradoxes,

Dès l'équinoxe !

Sitôt que les planeurs survolent

Le ciel attendri dans sa geôle;

Laisse les avions planer

Et prendre leur envol !

Comme un antivol frivole

Qui soudoie les rossignols,

Sinon à quoi bon songer

A ce qui apaiserait ce monde !

Mensonger vindicatif qui fait

Une ronde à la rotonde; 

En signant à vive allure !

Ce qui recouvre le ciel

Sous ses parures

Superficielles qui font du zèle;

Et pour respecter sa parole

Donnée et adonnée;

Laisse les avions planer

Et prendre leur envol !

A condition sine qua none, 

Si bien que tout le monde donne

De sa personne !

Quand une paire sonne !

En naviguant en de larges horizons;

Avec dans les paroles

Des chansons;

A conjuguer à n'importe quelle saison !

Et pour voguer en antivol !

Sans bémol !

Laisse pour de bon les avions planer

Et prendre leur envol !

 

Jérôme de Mars

 

Et norme !

 

Conforme; je suis hors-normes !

Dans la norme et norme !

De ma forme difforme énorme;

Où j'ai l'air souvent en forme !

Avec pour mes formes;

Méformes conformes,

Dont j'ai dix formes difformes !

Enormes dans la norme;

Je suis hors-norme et norme !

Enorme, dont je forme 

Et je reforme

Régulièrement la même forme !

Méforme de mes formes

Enormes et norme !

Je ne rentre jamais dans la norme !

Dont je suis hors-normes !

Conforme dans ma forme;

Difforme, dont j'ai dix formes !

Conformes qui déforment

Des formes de mes formes !

Méformes qui informent !

Hein forme ! La forme !

Qu'on forme en forme  !

De ma norme hors-normes !

Enorme et norme !

 

Jérôme de Mars

Tout le monde déguste !

 

Clown auguste !

Triste qui déguste

Avec lui !

Tout le monde déguste !

De la suie à la vie qu'il essuie !

Dans une mélancolie qui gronde

Son corps de buste,

Dont il sonde le monde;

De pourquoi il est fruste !

Où avec lui;

Tout le monde déguste !

A manger de la bouillie

De cochons s'il a failli

En clown triste auguste !

En faisant semblant 

D'enjamber les arbustes;

Avec pour buste

Un sacré boucan;

Qui crève les tympans,

Où tout le monde déguste !

Entre un clown triste auguste

Et un clown radieux fruste,

Dont pour connaître le subtil

Subterfuge; il faut ruser habile !

En maniant la langue fruste !

Et en tirant bien la langue du buste

Avec pour arbuste;

De l'art buste

Fruste qui fait le clown triste auguste,

Dont son avatar 

De clown radieux est fruste,

Et comme il est bien conseillé de dévisager 

Son buste !

Il est fort à parier

Qu'en faisant le vilain petit canard;

Que tout le monde déguste !

 

Jérôme de Mars

Le poète libre

 

Face à ma colère dans ma house;

Je compose ce blues;

Reflet de ma poésie libertaire,

Et dont je mets dans un inventaire

Toute ma colère

Dans cet hymne à la paix;

Feu les années 70 en irrévérence;

Tendre temps de l'insouciance;

Qui donne toute son essence;

A il était une fois le poète libre !

Qui voulait rester libre;

Et qui avait la fibre

Sociale et pas qu'optique;

Avec en optique 

Des rimes frénétiques;

Qui ne décolèrent

Tout ce temps 

Qui passe pourtant

Depuis les vents contraires,

Dont depuis ma house;

J'écris avec une housse;

Pourquoi ce monde hostile

M'est stérile;

M'émousse et me mousse

A moi qui écris ce blues;

Il était une fois le poète libre !

Qui veut rester 

Et demeurer

Libre en ayant la fibre !

Avec pour calibre;

Le fait de vivre 

En paix

Et de garder

Sa liberté,

Pour aimer

Et humer

Quelques odeurs

En Provence

Dans la providence;

Qui sent bon l'odeur

De la lavande;

Avec pour demande

Des offrandes;

Qui régalent de saveurs

Le blues érudit

De ce poète maudit;

Qui veut rester 

Et demeurer

Libre en ayant la fibre !

Depuis sa house

Malgré sa frousse puritaine,

Comme dans la brousse Africaine,

Dont pour conjuguer harmonie

Et embellie;

En mettant du soleil

A tous les temps qui réveillent

Ce poète libertaire

Et contestataire

A sens contraire;

Qui s'indiffère

De ce qu'on pense de lui !

Car lui; il ne panse qu'à l'accalmie !

Afin que les temps soient meilleurs !

Avec en vigueur

Un blues

Que je compose depuis ma house,

Et dont en teneur;

V'là un peu de douceur

En un matin bonheur !

Dont pourvu que ma poésie

Me mousse !

Malgré que mon état m'émousse !

Et dont de mes derniers vers;

Voici des vers solaires

Après tous ces revers lunaires !

Dont je laisse de mon calibre

La fibre

Optique avec pour optique;

Des vers synchroniques 

De mon état chronique;

Systématique et symptomatique;

Du à mon enfance post-traumatique,

Dont je suis ludique et un pudique !

Genre hippie hippie hippie;

Celui qui veut rester 

Et demeurer 

De mon cas libre;

Un poète ultra libre

En paix.

 

Jérôme de Mars

 

Ceux qui ne savent pas l'ire se mettent en colère !

 

Avec ou sans pense-bête;

Personne naît bête !

Qu'il ou elle soit analphabète !

Même qu'elle hébète !

En cavalant l'air

De rien !

Avec pour refrain

Que ceux qui ne savent

Pas l'ire se mettent en colère !

En étant brave 

A force qu'il ou elle brave

Le danger malgré leur passé slave !

Dans une rafle

Départie déportée;

A l'emporte-pièce !

De cette espèce

Emportée et comportée

En voie de disparition,

Dont avant son extinction;

Il faut s'rappeler que ceux

Qui ne savent pas l'ire

Peuvent se mettre en colère !

Parmi les braves

Ou les slaves;

Que ça gave

D'aller dans une rafle !

En partie blasée;

Avec l'air qui s'aère

Dans un courant d'air;

Qui prouve que personne

Naît bête !

Mais qu'il ou elle est analphabète !

Même qu'elle hébète

Dans le brouillard;

Qui lui rappelle dans le hangar;

La rafle déportée des braves

Dans la cave

Des slaves;

Que ça gave

De ne savoir lire !

Mais de savoir l'ire !

Dont parmi ceux

Qui ne savent pas l'ire;

Peuvent pour la lire !

Se mettre encore

Et encore

En colère !

 

Jérôme de Mars

Deux amoureux sur une patinoire

 

Il y a quelques années;

Après avoir regardé

Intervilles sur Glace !

Deux armoires à glace

Très amoureux;

Qui ne peuvent

S'regarder dans la glace;

Ont eu comme idée

Tout en s'roulant des patins !

D'aller à la patinoire

Glisser sur la glace

Pour laisser de glace;

Les badauds 

Sur la patinoire,

Comme un couple

Bien assorti;

Qui a sorti

Deux amoureux

Sur une patinoire;

Qui font de la glace !

Juste avant 

De manger une glace;

Qui les laisse de glace !

Si jamais ils regardent

Dans la glace !

Leurs armoires à glace !

A ces deux armoires

A glace;

Qui prennent place !

Sur la piste

De danse

De la patinoire

A redondance,

Où ces deux amoureux

Sur la patinoire;

Tout en s'roulant

Des patins !

Patinent sur la glace !

Et font de la glace

Sur glace;

Qui roule des patins

A la patinoire !

Comme deux amoureux

Sur une patinoire;

Qui laissent de glace

Ces deux armoires

A glace;

S'ils arrivent

A s'regarder dans la glace !

Dont le reflet de leur glace;

Voit patiner

Deux amoureux

Sur une patinoire;

Qui tout en s'roulant

Des patins !

Arrive le moment

A s'enrouler des patins !

Déroulant des patins

A ces deux amoureux

Sur une patinoire,

Dont le reflet de leur glace;

Voit leurs armoires à glace;

Qui les laissent de glace

Eux; ces armoires à glace !

Après avoir regardé

Intervilles sur Glace;

En ayant pour

Effet boule de neige !

Deux amoureux

Sur une patinoire;

Qui s'glacent

Les sangs !

Vu qu'ils s'les gèlent !

Avec en antigel;

Une glace

A manger devant leur glace;

Qui les laisse de glace !

Eux; les armoires à glace !

Qui s'voient derrière leurs 

Armoires à glace !

En s'roulant des patins

Jusqu'au p'tit matin !

Eux; ce couple à deux !

Très amoureux

Sur une patinoire;

Qui les laisse de glace !

En pouvant enfin

S'regarder dans la glace !

 

Jérôme de Mars

Les gens costauds se désaltèrent avec des altères !

 

P'tits et grands musclés !

Il faut muscler vos biscottos

Et vos pectoraux !

Sans compter;

En buvant de l'eau

Et en faisant du vélo !

Dont les gens costauds

Se désaltèrent

Avec des altères !

Pourvu que cela n'altère !

Leurs corps déjà éprouvés

Par l'effort; condamnés

A devoir toujours et toujours

En faire plus chaque jour !

Dont pour muscler votre jeu;

Il faut sans cesse faire mieux !

Pour se sentir mieux

Dans votre corps parfois paresseux;

Et pour que cela n'altère 

Les gens !

Les gens costauds se désaltèrent

Avec des altères !

Assoiffés et guère rassasiés; 

De faire tout le temps

Du sport jusqu'à l'excès !

Notamment en courant

Sur un tapis de courses;

Se déroulant devant vous;

Et qui vous fera courir

A n'en plus finir !

En étant longs à la détente !

En espérant que ça tente !

Tous ceux qui sont à bout !

Et qui veulent renouer

Avec le sport !

Pour retrouver leur confort !

Et puis le sport !

Tout le monde le prend

A la source !

La source pour régler

Tous les conflits intérieurs !

Où là ! Tout le monde trouve 

Apparemment ici son bonheur !

Qui couve !

D'où coulent leurs ressources,

Dès que les gens costauds;

Sans que rien ne les altère !

Se désaltèrent avec des altères !

En ayant l'âge de leurs artères.

 

Jérôme de Mars

Bernard Tapie, de la lumière à l'ombre !

 

Bernard Tapie qui naquit

Dans le maquis de Paris

Le 26 janvier 1943,

Alors que sa véritable terre

De maquis;

Fut sa vie de marquis;

Auréolé de diverses facettes,

Dont la plus lumineuse

Fut le maquis de Marseille;

Terre de ses trophées;

Notamment quand il réalisa

Le but de sa vie 

En rachetant L'OM, dont il s'en fit le chantre;

Grâce à qui il remporta

Quatre titres de champions de France;

Et aussi un titre de coupe de France,

Sans omettre non plus

L'unique titre Européen

Pour un club Français sous l'ère Tapie;

Du trophée de la Ligue Des Champions

Décerné à L'OM en mai 1993;

Qui réussit donc à sortir du lot 

En battant le Milan Ac;

Avec les recrues de choc que furent

A l'époque :

Chris Waddle; Jean-Pierre Papin

Et Eric Cantona,

Mais c'est peu de temps après

Que s'amorça pour Bernard Tapie !

Le prélude de sa décadence;

Avec l'affaire de corruption

Du match VA-OM en juillet 1993,

Dont avant ça; il racheta

Dans les affaires !

De nombreuses entreprises

Pour un Franc symbolique;

Avec un billet d'honneur !

Lui; le touche-à-tout

A l'apogée de sa gloire

Dans les années 80;

Avec notamment le rachat

D'Adidas; lui; l'homme

Aux mille et une vies;

Qui montra qu'il valut plus

Qu'une plus-value, 

Malgré ce qu'on dit de lui;

Lui en revendant régulièrement

Peu de temps 

Après ces entreprises qu'il racheta;

Ce fut dans l'ensemble;

Un homme précurseur

Dans tous les domaines;

La preuve que personne

N'en avait affaire de lui;

Lui; l'homme d'affaires

Au bagout incontournable;

Qui eut un destin extraordinaire

Et hors-norme,

Dont la seule norme pour lui;

Fut d'avoir quatre enfants de deux femmes

Différentes et avec lesquels;

Il fut très lié; très aimant

Et très famille

Comme dans son élément;

Son seul rempart;

Face à face frontal

De ses démêlés judiciaires;

Qui l'affecta beaucoup,

Mais dont lui; en vrai roc

Et incurable lion; mena

Une vie baroque;

En chanta quelques chansons

Pour réussir sa vie; lui qui avait

Toujours le blues du businessman; 

Qui fit de sa vie un rôle majeur;

En jouant le rôle de sa vie;

Lui qui ne croyait plus aux filles,

Mais dont il eut malgré tout

Deux filles avec les mères

De ses deux filles;

Lui qui eut une vie pas vraiment facile;

Et qui était à la fois moitié-méchant

Et moitié gentil en faisant un affront

National à Jean-Marie Le Pen;

Lui qui se montra aussi dur

Comme le far Breton Le Pen;

En combattant l'extrême-droite

De ses idées, dont lui se situa plutôt

Au Parti Radical De Gauche,

Dont François Mitterrand en fit l'ouverture

Du gouvernement de Pierre Bérégovoy;

En tant que Ministre De La Ville

Lors du second mandat

De François Mitterrand;

Lui Bernard Tapie;

Qui anima sur TF1 de 1986 

A 1987 l'émission " Ambitions " ;

Destiné à donner aux futurs chefs d'entreprise

De l'ambition;

Vis à vis des jeunes qu'il aida

En montant

Leurs projets d'entreprise,

Mais dont une de ses plus belles

Entreprises; fut de lutter contre

Le chômage; en érigeant

Des écoles de commerce

A destination des chômeurs;

Pour aider les jeunes;

Sans affectation scolaire;

Sans diplôme ou au chômage,

De telle manière

A les préparer à entrer

Dans la vie active;

En les soutenant

Et en les formant,

De sorte à qu'ils puissent s'intégrer

Dans le monde professionnel,

Afin qu'ils trouvent leur métier

Adéquat leur correspondant

Au mieux dans une profession

De foi,

Par le biais de la vie d'entreprise,

Dans le but qu'ils se réalisent

Eux-mêmes 

Et qu'ils s'accomplissent

Dans leur vie d'adulte;

Lui qui ne déchanta jamais,

Malgré qu'il connaissait 

Sans arrêt la même chanson;

Bernard Tapie fut quelqu'un;

Qui n'avait pas de petits vélos

Dans sa tête; à part fonder

Une équipe cycliste,

Quand sa vie fut claire

Courant 1984;

Grâce à qui Bernard Hinault

Put se remettre en selle;

En gagnant un 5ème et ultime 

Tour de France; Bernard Tapie

Fut un homme atypique;

Qui lors de ses affres judiciaires;

L'amena à toucher le fond,

Et dont avant d'aller en prison;

Lui acteur de sa vie;

Tourna son unique film

Sous la direction de Claude Lelouch;

" Hommes; femmes; mode d'emploi "

Lui; l'homme courageux qui n'avait

Peur de rien, et qui joua son plus beau

Rôle, en jouant notamment

Un beau salaud lors d'un vol 

Dans un nid de coucous,

Et dont grâce à qui avec Oscar;

Il se transcenda en tant que comédien,

Et dont en plein dans l'an deux mille;

Il n'eut rien à cacher de sa cible

Sur le câble en pétant un câble;

Même qu'il présenta

A tort ou à raison; une émission

Sur TF1 pendant la saison 2002-2003

A l'aube de la soixantaine; lui;

Qui ne battit jamais en retraite

Préférant donner à sa vie

Malgré la maladie; un cancer de louanges;

A travers comme mode d'emploi; le travail

Pour bien s'employer dans le présent;

Lui le plus qu'imparfait, mais qui eut

Malgré tout des bons côtés,

Desquels il se livra artistiquement au cinéma;

Au théâtre; à la musique; en littérature

Et à la télévision;

Lui; le bouc-émissaire en politique,

Quand il joua le rôle

Du commissaire Valence ou

Du médecin baroudeur Cazas

Sur TF1; 

Après tout ce temps

A déchanter la Marseillaise

A L'OM,

Si bien qu'il ne perdit le Nord !

Quand il retourna à Paris,

Lors de ses démêlés dans ses 

Affres judiciaires, et dont le point culminant

A sa déroute et à sa banqueroute;

Fut dès qu'il fit fausse route avec

Le Crédit Lyonnais; la source

De tous ses scandales financiers

Et d'escroqueries avec Adidas etc..

Mais dont il trouva un nouveau sens

A sa vie pour laver son honneur,

Lorsqu'il trépassa quelques mois

En prison; certes; en ayant la santé,

Mais dont sa santé psychique

Vacilla ! En dépit de sa vache enragée

Durant laquelle, il mena

Certaines personnes en bateau

Avec le Phocéa; à qui la justice

Lui passa un sacré savon de Marseille,

Dont le pari le plus éperdu de sa vie;

Après tous ces paris perdus fut

Sa résurrection au théâtre, où comme je le 

Mentionnais initialement;

Il interpréta le plus beau

Rôle de sa vie; avec pour 

Garde-fous; toute sa famille dans ce

Qu'il y a de plus précieux;

Et de plus somptueux;

Lui qui avant qu'il soit

De ses entrailles au septième

Ciel de sa vie; chanta

C'est beau la vie en duo !

Avec Doc Gynéco pour ne pas

Que sa vie dérape à nouveau !

Lui qui n'avait plus rien à perdre !

Mais avait tout à gagner ! Lui; 

Le redoutable battant et gagnant;

Avec pour soigner ses plaies;

Doc gynéco, avant de rejouer

Au vilain petit canard

De Caliméro en rachetant

Le journal La Provence,

Dont sa vie se corsa au petit matin

Du dimanche 3 octobre 2021,

Dès le moment où

La Provence annonça la mort

De Bernard Tapie des

Suites d'un cancer des louanges

A 78 ans,

Dont maintenant Bernard Tapie 

N'est plus et dort en paix

Sur une feuille morte !

Loin de ce monde monotone;

Lui qui repose à présent

Dans un monde plus parfait

Au pays des anges;

Lui; Bernard Tapie; de la lumière

En dormant dorénavant

Bien à l'ombre !

 

Jérôme de Mars  

 

Dealer de poèmes

 

Comme ma vie; c'est un mélodrame !

J'écris ce slam;

Qui trame

Ma solitude la plus infâme,

Et dont je m'enivre

Pour vivre

Sous absinthe !

Pour faire entendre ma complainte;

Moi; le dealer de poèmes;

Qui se shoote aux problèmes,

Afin de vendre de l'ivresse

Face à la foule

En liesse;

Qui me refoule,

Pour tenter de tenir le cou

Dans ce monde à contrecoups;

Et ce monde de fous

Sans garde-fous,

Où comme tout me soûle !

Avant ma mise en bière;

Certes; loin de la Cannebière,

Mais dont avec la fureur et la colère !

De ma fureur de vivre;

Je m'enivre

Pour tenter de survivre

Sous absinthe,

Pour faire entendre ma colère

Grâce aux enceintes,

D'où je me soûle à la bière

De mes poèmes

Dans une soul de mise en bière

Face à mes problèmes;

Qui gangrènent

Ma vieille rengaine

Sous forme de haine;

Moi; le dealeur de poèmes;

Qui vend des poèmes

Pour me raccrocher 

Dans l'amarre

De la mer;

A l'arrachée,

Alors que la marre

Est pleine !

A chaque semaine

Suffit ma peine !

Dont à peine !

Je suis tant bien 

Que mal Open,

Comme dans un Open

Soi-disant humain !

Dont moi; le dealer de poèmes;

Je me shoote dans un ballon d'essai

Au shit virtuel,

Où tout baigne avec des pépètes irréelles ! 

Et dont en rituel

Pour me donner

Bonne conscience à l'autel

Du bon Dieu ! Je me soûle

A la soul

Musique pour rentrer dans le moule !

Dont malgré ma colère 

En l'absence de ma mère;

Et bien ! Pour faire entendre ma rengaine

Grâce aux enceintes

De la soul musique;

Qui soûle mon état frénétique !

Sans que ça soûle

La foule;

Et bien ! Je m'enivre

Sous absinthe !

Pour vivre

Et rentrer dans le moule;

En écoutant désormais

Tout le temps de la soûl;

Qui dessoûle

Mes problèmes;

Moi; l'aguerri dealer de poèmes.

 

Jérôme de Mars