La vie est rebelle !
Nom d'un chien !
Tel Bel et Sébastien;
Car mon cousin Sébastien !
Même qu'il n'a pas de chien !
Il a malgré tout
Une belle vie !
ET donc bel et bien !
Quelle chienne de vie !
Ma vie !
Qui dérive à l'ennui !
A tel point
Que la vie est rebelle !
Pas vraiment belle !
Mais dont malgré tout !
J'ai envie d'me faire la belle !
Et pour cela, il faut s'la faire belle !
Et s'la rendre belle !
Sans contrecoups !
Même si mon cousin Sébastien !
A une belle vie !
Sans chien !
Avec de la confiture !
Or ! Quant à moi malgré que ma vie
Part à la dérive de l'ennui !
Avec d'la déconfiture pleine la figure !
Il faut que j'me confiture
Et reconfigure !
Que la vie peut-être belle !
Même que la vie est rebelle !
Et même si la vie
Est une chienne de vie !
Elle peut-être sources d'envie !
En la prenant à la source d'la vie !
Comme Bel est Sébastien !
Tel est le nom de mon cousin !
Car même s'il n'a pas de chien !
Il a une belle vie !
Car pour lui, la vie est belle !
Puisque pour moi, la vie est rebelle !
Comme Abel !
En dégustant de la déconfiture
De mirabelle !
Pleine la figure !
Dont je préfigure !
Que malgré tout
Ce fourre-tout !
J'ai tout de même une belle nature !
Avec parfois des vergetures
En faisant l'immature !
Et dont une fois au pied du mur !
Même si je vais tout droit
Dans le mur !
Il suffit que mon p'tit doigt
Me dise que tu dois t'la faire belle !
La vie en t'la rendant belle
Et plus belle !
Bel et bien !
Comme ton cousin Sébastien !
Même si t'as envie d'te faire la belle
Telle que la vie est rebelle !
Pas comme L'Abel !
Mais la belle !
Comme Bel et Sébastien !
Car malgré que ton cousin Sébastien
A une belle vie
Sans chien !
Tel Bel est Sébastien !
Et que ta vie est une chienne de vie !
Qui dérive
En partant à la dérive
De l'ennui !
Fais-la toi belle la vie !
Avec d'la mirabelle
En confiture !
Après que tu n'aies eu que
D'la déconfiture
Avec des fritures !
Après que tu t'sois autant rendu la vie
Chèvre dans un bêle !
Dont la vie; fais-toi la belle !
En t'la rendant belle !
En t'la faisant plus belle !
Et en t'la refaisant belle !
Et rebelle !
Dont en répartie voici repartie !
Comme ton cousin Sébastien !
Une vie qui est bien !
Puisque bel et bien
De plus bel !
La nouvelle vie est rebelle !
En étant la plus belle.
Jérôme de Mars
Compte-rendu
Voici une p'tite saynète où Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique règle ses comptes avec son ancien ESAT :
Jérôme B appelle Charlotte P, son ancienne collègue et amie à L'ESAT La Fabrique; le téléphone sonne :
Charlotte P, une ancienne agent de production qui bat en retraite :
- " Allo à l'huile ! Bonjour Jérôme; comment vas-tu ? Si tu savais Jérôme après tout ce que tout le monde t'a mis comme l'huile sur le feu pendant tout le temps où tu étais à L'ESAT, et ben si tu te rendais compte maintenant ce que L'ESAT est devenu depuis que t'es parti; car à présent; tout tombe à l'eau à L'ESAT La Fabrique ! "
Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite :
- " Bonjour Charlotte et bien au bout du compte ! Tout compte fait depuis que j'ai quitté L'ESAT La Fabrique ! Et bien en acompte; j'y trouve tout à fait mon compte, avec enfin un compte de fée après tous ces comptes de faits d'hiver à L'ESAT La Fabrique! D'où je règle mes comptes avec cet ancien ESAT; comme ils ne se rendent pas compte la direction de cet ESAT ! Tout le mal qu'ils faisaient et qu'ils font aux salariés et aux agents en ne pensant qu'à leur compte en banque ! Et non à l'intérêt personnel et professionnel des salariés et des agents, car ils ne comptent que sur leur intérêt financier de leur compte courant bancaire; et non sur l'intérêt de leurs salariés et de leurs agents qui ne comptent pas du tout pour elle, la direction ! "
Charlotte P, une ancienne agent de production qui bat en retraite :
- " Mon p'tit Jérôme, je voulais te poser une question; à ton avis, pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique, tout le monde te parlait mal alors qu'aux autres, tout le monde leur parlait bien et pourquoi tout le monde s'en foutait de toi à L'ESAT alors que personne ne s'en foutait des autres ? Est-ce-un conflit d'intérêt vis à vis de toi ? "
Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite :
- " Et bien ma p'tite Charlotte; à toi qui ne perd pas le Nord comme moi ! Et bien ! Je vais te révéler la raison, c'est tout simplement parce-que plus personne ne me calculait à L'ESAT ! Surtout vers la fin; et comme à L'ESAT, on ne comptait plus sur moi; et bien de ce fait, je ne comptais plus pour personne ! Surtout dans cet ESAT avec leur logique de comptables au détriment du compte humain ! Toi Charlotte; tu comptes pour moi sans calculs, mais de façon juste car avec toi, je ne pars pas en terre inconnue; étant donné que toi et moi, on a une bonne adéquation alors que pour les autres; j'étais uniquement un(e) inconnu(e) sous forme d'une équation, que personne n'arrivait à déchiffrer; voilà pourquoi personne ne m'a jamais calculé dans cet ESAT, à part ceux qui jouaient de mes échecs; en faisant échecs et maths ! "
Charlotte P, une ancienne agent de production qui bat en retraite :
- " Et bien au bout du compte Jérôme ! Tout compte fait; je peux te dire chiffres à l'appui que t'as bien fait de quitter cet ESAT de tarés ! Comme plus personne ne tenait compte de ton état, tellement que tu devais tout le temps rendre des comptes, alors qu'à toi; on ne te rendait pas de compte, la preuve; on t'a toujours laissé-pour-compte à L'ESAT ! Et moi Jérôme; je me rends compte que je compte bien garder contact avec toi en tant qu'amis, voilà au bout du compte ! "
Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite :
- " Et bien Charlotte, j'y compte bien; la preuve que tu ne comptes pas pour du beurre en faisant des calculs; mais la preuve que toi et moi, on se connaît tellement bien qu'on se calcule maintenant même sur l'échiquier politique après avoir été des pions de l'échiquier politique de L'ESAT La Fabrique; et bien Charlotte, je vais devoir raccrocher après t'avoir fait mon compte-rendu; et je compte sur toi pour qu'on se voit très bientôt Charlotte, comme les bons comptes font les bons amis ! "
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-que vers la fin, plus personne ne me calculait à L'ESAT La Fabrique ?
- Parce-que vers la fin à L'ESAT La Fabrique, comme on ne comptait plus sur moi et bien au bout du compte, je ne comptais plus pour personne !
Jérôme de Mars
Place Montmartre
En une
De cette ancienne commune;
Voici la Place Montmartre,
Un bourg joie bohème;
Où tout le monde sème
Le chic élégant,
Dans le 18ème arrondissement
De Paris;
En ce quartier fleuri
De la Place Montmartre,
Qui regorge d'un funiculaire;
Direction un renvoi d'ascenseur
Pour contempler
Et surplomber
La Butte Montmartre,
Sûre Place Montmartre;
Car en train de dire salut !
Et bienvenue
A ces messieurs !
Et à ces dames !
Dans Le Paris Padam des quidams,
En apportant de l'eau à son Moulin Rouge;
Dont en étant à la foi
Au four et au Moulin Rouge,
Les Parisiens de ce quartier qui bouge;
Ont le sacré cœur sur la main,
Et un sacré cœur en or
A La Basilique du Sacré Cœur;
En distribuant de la candeur et de la ferveur
Surtout pendant la nuit qui vit jusqu'aux aurores,
En souvenir de Dalida;
Sûre Place Dalida
Sur la Place Montmartre;
Comme à la maison de Dalida,
Pouvant voir en peinture
L'Espace de Salvator Dali ;
Artiste surréaliste,
Embelli par la maison d'Erik Satie;
Dont le Funambule Montmartre
Fait que des comédiens;
Acteurs de leur vie, jouent si bien
Le rôle spectateur de leur vie ;
Qui leur scie en va et vient
Sur la Place Montmartre,
Quartier bourgeois bohème;
Où certains artistes sûrs réalistes
Ou surréalistes,
Parsèment dans l'éloges;
Des concerts de louanges
A la Cigale,
A condition que personne naît la gale !
Mais puisse chanter et enchanter
La vie fredonnée en des amours
De troubadours;
Comme en humour
Au Trianon
Et à L'Elysée-Montmartre,
Un temps que les moins
De 20 ans n'peuvent connaître !
A part renaître
Dans la nostalgie des siècles d'avant !
Et d'antan en s'rappelant le bon vieux temps !
Et avant; était-ce si mieux que ça
Que maintenant ?
A la Place Montmartre,
Sûre Place Montmartre;
A part ceux qui dans les cabarets,
Le Chat Noir et Le Lapin Agile
N'avaient La Boule Noire !
En allant;
Plein d'allant !
Interpréter leurs chansons,
Comme à la maison !
Au cabaret Chez Patachou;
A la même époque que les Chouchous
De Salut Les Copains !
Tels que les débuts de Georges Brassens,
Comme un piaf qui édite
La fin de carrière d'Edith Piaf;
Haute en couleurs !
Dans sa vie olé olé ! Oh ! Les Cœurs !
J'ai de la rancœur !
Qu'il y en ait qui n'souviennent
De la Place Montmartre !
Sûre Place Montmartre,
Et dont amusé pas loin du musée Montmartre;
Il y a la Place Marcel qui Aymé
Le cimetière de Montmartre !
Où reposent pour la postérité
Et l'éternité !
Toute cette galerie d'artistes hédonistes,
Qui amuse la galerie idéaliste et fataliste;
Dont voici sur Place Montmartre,
La sûre Place Montmartre;
Où chacun trouve finement
Et subtilement
Sa place Montmartre,
Car plus de quartier à la Place Montmartre !
Jérôme de Mars
Suis-je négatif ou positif ?
Covid à vide !
Ou avide !
Suis-je négatif
Ou positif ?
En sachant que pour être positif
Face à la vie,
Je dois être négatif
Face à la maladie;
Alors que si je suis positif au Covid,
Je serai négatif face à l'avide;
Si je suis négatif,
Est-ce-parce-que je m'repasse les mêmes négatives
De ma vie qui manque de positive ?
Et en étant objectif;
Même que je suis subjectif !
Est-ce-que dans mon objectif,
Suis-je négatif
Ou positif ?
Et pour que je sois positif
Dans la vie; est-ce-qu'en impératif ?
J'ne dois plus être écorché vif négatif
Sur le vif !
Très piqué au vif !
Et que j'dois être rétabli positif ?
Mais si j'ai le Covid; c'est que je serai positif
Face à la maladie de ma vie;
Alors que si je suis avide et rétabli
Du Covid, c'est que je serai négatif
Dans mon agonie de vie;
Alors pour être objectif
Dans le subjectif,
Suis-je négatif
Ou positif dans mon objectif ?
Et est-ce-que dans ma vie; pour que je sois négatif livide;
Dois-je être positif au Covid ?
Ou bien face à ma maladie rigide positive,
Dois-je être négatif limpide ?
Si jamais dans ma vie; je suis enfin positif,
Serais-je un positif très négatif ?
Ou un négatif très positif ?
Jérôme de Mars
Des oiseaux aux ailes brisées font des zèles !
Noms d'oiseaux en prises de becs
A travers des mots secs;
Des oiseaux aux ailes brisées font des zèles !
Des ailes,
En battant de l'aile !
Et en prenant sous leurs zèles !
Des oiseaux aux elles brisées;
Car elles, leurs ailes !
A tire d'ailes !
Attirent d'elles !
De leurs zèles
Aux zèles brisés;
Qui font des elles !
Elles, aux ailes de leurs zèles;
Qui donnent des ailes !
Aux oiseaux aux elles brisées,
Qui font des ailes !
Sans zèles;
Qui mettent du plomb dans elles,
Qui font des zèles !
Et volent de leurs propres ailes;
Elles qui font des zèles !
Tellement que leurs elles,
Font des ailes ;
Elles brisées
Aux ailes brisées
De par la brisée de leurs zèles,
Qui volent les elles !
En noms d'oiseaux sans prises de becs
Et sans mots secs;
Dont des oiseaux aux zèles brisés
Font des ailes !
Jérôme de Mars
Un poème qui fait mouche...
Voici un poème qui fait mouche; et fout le cafard, dès que l'abeille pompe le dard du bourdon; qui file le bourdon à la guêpe dans un déni de fourmis, qui fourmille d'insectes; dès que la mouche t'sait t'sait, sait qu'un poème qui fait mouche; vole avec les hirondelles, qui battent de l'aile; en sautant à saute-moutons avec les sauterelles, qui papillonnent dès l'effet papillon; qui vole de ses propres ailes, attire d'ailes d'un poème; qui fait mouche avec les libellules, qui prennent sous leurs ailes les moustiques; qui donnent des ailes à ce poème, qui fait mouche en dormant à la belle étoile d'araignée; qui mange les vers de ce poème, qui bouge inerte; comme des larves et des limaces, en péchant en vers les asticots dans un poisson d'avril; d'un poème qui fait mouche, grâce à une mouche qui t'sait t'sait ! Ce que ces vers d'insectes; terminent de manger dans ce poème qui fait pschitt et mouche du coche...
Jérôme de Mars
La musique fait tambouriner !
Amusé Beaubourg !
Grâce à l'homme-orchestre
Emmené tambour-battant;
La musique fait tambouriner !
Frissonner et embobiner
Sur arrêt et rebobinages
Avec des scènes de ménages !
En partant d'un bon coup pédestre
En vers l'homme carnaval orchestre
Dans les beaux bourgs;
Les faux bourgs ou les faubourgs
Avec en calembours,
Des percussions qui tapent
Sur les tambours;
Quand la musique fait tambouriner !
En jouant raffiné complètement
Synthé en odeur de Sainteté,
En jouant en morceaux de guitare
Cette France en lambeaux défigurée
Dans le tintamarre
Aux styles égéries;
Et j'ai ri !
En messes-basses
De sa contrebasse,
En muse
D'accords qui écornent muse !
En jouant diffuse de la cornemuse;
Quand la musique fait tambouriner !
Et remuer
L'inconscience des gens
Par d'la bien-pensance, désarmant
Et charmant les esprits torturés
Dans le but aguiché;
De les rassembler distingués !
En accordant les violons
Et les accordéons, effet saucisson !
C'est l'heure de l'apéro !
Et d'écouter les journaux;
Où en musique
De façon poétique,
Il n'y a que la musique pour rassembler
Et réconcilier
Les âmes nostalgiques !
Dans un instant émouvant
Et mélancolique;
D'où la musique fait tambouriner !
Avec pour répercussions,
Des maracas et des cymbales
Pour taper frontales
Les timbales;
Qui ouvrent le bal
A ceux qui osent ramener,
Emmener et mener
Cette balade
Dans un fin fond de sérénade;
Et dont avec une accolade,
V'là la ballade !
Pour chanter
Les louanges réservées
Dans les loges au complet;
Dont depuis jadis,
Quoique qu'elle harmonise !
La musique vous fait tambouriner !
S'il vous plaît ! Dans ses secrets !
Jérôme de Mars
Je m'en vais siroter une bière au bistrot du coin
Place du quartier du Havre !
Dans un Havre de paix
Avec mon côté qui navre;
Je m'en vais siroter une bière au bistrot du coin,
Après que j'ai été chez moi sur le site du bon coin;
En faisant coin-coin
Avec les canards,
Et dont ça leur en bouche un coin aux canards;
Dont avant leur mise en bière,
Autant que je m'en aille siroter une bière de repères
Au bistrot du coin;
Dans la fraternité assimilée
Avec les potos, entre accolades
Et balades
De gens heureux; le temps d'une ballade
Et promenade,
Dont peu de temps après;
Je m'en vais siroter une bière au bistrot du coin,
En faisant coin coin dans un raz-de-marée
De canards qui arrivent à bon port !
Rapport qualité prix dans un si précieux confort;
Sûre place du Havre,
Certes ! Presque dans un Havre de paix;
Dont j'en ressors souvent par inadvertance !
Mon épée
De Damoclès, tel le sabre
Avec pour prestance
Mon itinérance; dont j'abreuve
Que la vie sur Seine est un long fleuve !
Pas toujours tranquille sur la vie et ses écueils !
A tâtillons sur la pointe des pieds,
Dont sans aucun doute sur place du quartier
Du Havre ! C'est sans conteste un Havre de paix;
En réservant le meilleur accueil
Au bistrot des potos,
Après leur avoir déniché ce bon coin;
D'où je m'en vais siroter une bière au bistrot du coin,
En faisant coin coin
En compagnie des canards;
Avec pour tous égards
Mon ultime regard
Sur le site du coin,
Duquel je fais un coin coin
De canards
Face au cagnard;
D'où je m'en vais boire
Avant ma mise en bière,
Mon désespoir
Dans une dernière cuvée amère;
Oraison pour laquelle je m'en vais siroter
Une bière finale au bistrot du moindre recoin.
Jérôme de Mars
Un arc en ciel dans la pluie
La tête dans les nuages !
Avec aucun nuage
A l'horizon;
Le soleil pas très clair,
A les idées claires !
Quand il regarde en un éclair;
Un arc en ciel dans la pluie,
Qui fait la pluie et le beau temps !
En vidant le puits
Des provisions du soleil;
Lorsqu'il est dans la lune,
A songer effet boule de neige !
Quand dans le ciel; il neige !
Si bien que le soleil fond comme neige,
En faisant pleurer le ciel
Face à l'inertie du soleil moribond;
Dès que tombe le crépuscule diurne
Et la fièvre nocturne,
Si bien qu'aux aurores;
Après qu'il dort !
Et bien ! Le soleil se lève Leste !
En montant au front de son apogée,
Atteignant le point G;
Coulant et transpirant de sa fièvre jaune;
A lui le soleil dans son affront !
Malgré qu'il y a un arc en ciel
Dans la pluie,
Alors qu'une embellie pulmonaire;
Permettrait au soleil de s'époumoner
Là-haut sur le balcon !
Qui prendrait des grands airs à la lune,
Afin que le soleil lunatique s'éclipse volontaire
Quand il couche dans la lune !
De sorte que les giboulées de Jérôme de Mars;
Captent la planète Terre !
En décochant une flèche indicible, en visant
Et en ravisant pour cible, la pomme
De l'arc en ciel; rien que pour sa pomme au ciel;
Téméraire et témoin de Jéjé, oh va ! En parlant
De la bagatelle au soleil et à la lune
Dans la lagune du soleil;
Avant que tout tombe à l'eau avec de l'eau
De pluie ! Dès que sanglote le ciel qui pleure
Misère ! A cause de la météo qui pleut
A la grenouille, et qui s'agenouille en des soupirs;
Face au seigneur Météo,
En chantant et en dansant sur du disco;
Avec un arc en ciel dans la pluie,
Pour qui tout baigne ! Dans de l'eau de pluie qui grêle
Le beau ciel radieux !
Lorsqu'il tombe en dépression;
En dérivant dans le vent de l'ennui,
En partant à la dérive de la pluie;
Et du beau temps en ne sachant !
Quel temps il fera ! Malgré que le temps,
Court et concourt à briller des contrastes
Du soleil bipolaire; qu'il soit sulfureux, valeureux,
Chanceux ou malchanceux;
En attendant que le ciel reprenne des couleurs !
Et qu'il en voit la couleur
Aux choses intemporelles qu'il y a dans
Le ciel, en faisant dans la dentelle;
Ou dans la bagatelle, en soufflant dans le vent,
Qui boursoufle O cœur ! Haut les cœurs !
Du cœur de la grisaille; qui assaille la routine du
Quotidien ! Et dont grâce aux arlequins d'Italie,
Il souffle un vent de poèmes avant de bohème
Universel ! En mettant de son grain de sel, le Missel
Au ciel mi ciel; en tenant compte fluctuant !
Que dans le ciel ! Il arrive là, ici-là, par-ci, par-là !
Et par milliers parmi les sans ciel ! Malgré les aléas
Du temps ! Qui évolue de la grisaille de la pluie !
Vers l'embellie de la griserie ! Là-haut dans le ciel !
En allant plein d'allant au ciel ! Dans le sens du vent !
Et dont grâce au vent en poupe !
Il y a désormais essentiel;
Un arc en ciel extensible dans la pluie de crécelle.
Jérôme de Mars
La Vénus de Milos
Envoi promené chez Les Grecs !
Avec des mots secs;
Moi Jérôme venant de Mars,
Il est l'heure de faire venir
La Vénus de Milos !
Milos; for man !
Tel Milos Forman;
Qui envoie sur Vénus
La Vénus de Milo,
Telle la Vénus de Mile os;
Qui perd La Vénus de mille eaux,
Dont la Vénus de Milos Forman;
A pour Vénus, Milos, for man
Dans un vol au-dessus d'un nid de coucous,
En faisant coucou !
A L'As de Pique; qui épique
En prenant des grands Hair d'Amadeus,
Qui appelle au feu, les pompiers !
Les fantômes de Goya;
Dont les fantômes de Chantal Goya,
Tels les amours d'une blonde;
Qui fume furibonde
Valmont, en voyant La Vénus de Milo;
Qui part direction Là Vénus de Milos !
Pour rejoindre Milos, for man,
Milos Forman;
Tel en faisant sonner l'Angélus mélomane,
Et mégalomane,
De La Vénus de Mille eaux qui éteint
L'incendie du pire one man !
De La Vénus de mille os;
Dont la Vénus de Milo
Est l'Angélus de mille eaux,
Qui perd ses hauts !
Avenue de La Vénus de Milos.
Jérôme de Mars
Saga citée au GEM de Vitry
1) S'il y a un mois; on devait faire le CVS du GEM de Vitry en dehors de La France métropole, on irait à la Réunion !
2) Walid est responsable du GEM de Vitry mais pas coupable.
3) C'est lors de l'atelier repas un samedi midi au GEM de Vitry qu'on met tout à plat en allant manger à table !
4) Si un samedi midi lors de l'atelier repas au GEM de Vitry; on déguste le dessert avec un couteau; c'est qu'on n'y aura pas été par le dos de la cuillère !
5) Si un samedi Guillaume fait du jardinage au GEM de Vitry, c'est qu'il aura réussi à cultiver son jardin secret !
6) Jérôme a trouvé sa voix en écrivant des slams pour ne pas déchanter à cause de sa faible voix !
7) Au GEM de Vitry comme Jérôme dessine mal; pas besoin de lui faire un dessin pour qu'il écrive des slams !
8) A chaque fois qu'au GEM de Vitry, on fait une tombola; ca doit être la loterie pour piocher le bon numéro !
9) A force de faire couler beaucoup d'encre lors de chaque CVS au GEM de Vitry, il n'y aura bientôt plus de stylos !
10) Comme au GEM de Vitry; on compte sur Jérôme pour tenir les comptes, et bien au bout du compte, Jérôme n'a pas une calculette à la place du cœur !
11) Quand Bénédicte fait l'atelier pâtisserie; enfin pour elle, c'est du gâteau comme c'est une crème !
12) Quand Philippe Lin fait des découpages, c'est à couper le souffle !
13) Quand Walid passe des films sur le rétroprojecteur, tout le monde a la nostalgie de la dernière séance d'Eddy Mitchell !
Jérôme de Mars
Les abeilles partent en colonie de vacances
Après leur somnolence;
Entre errances
Et vagabondages,
Les abeilles partent en colonie de vacances
Dans un long voyage;
En prenant un bain de jouvence,
Où pour elles tout baigne !
Quand elles s'imprègnent
De l'insouciance
De leur miel !
Qu'elles fabriquent de leur fiel !
Face à leur fureur de leur toute-puissance;
Comme en fabriquant en série
Le miel et les abeilles, dont leur hégémonie
Bifurque vers la monotonie d'une lune de miel
Au tomber de la nuit qui dégage le soleil !
Dès l'innocence accomplie, d'où leur résilience;
Quand les abeilles partent en colonie de vacances
Dans un essaim d'abeilles,
Lorsqu'il n'y a besoin
D'leur faire un dessin;
En n'sachant à quel sain s'vouer
Ou s'dévouer !
Dans une ribambelle de merveilles,
Dès lors qu'en harmonie et en fluorescence
Sans filer au ciel le bourdon !
Les abeilles partent pour de bon
Dans une si grande colonie de vacances.
Jérôme de Mars
Handicap avec les maux
Paralysie générale de par les mots;
On a peut-être
Un handicap avec les maux,
Comme vouloir
En mouroir;
S'jeter par la fenêtre !
En prenant
Tout pour argent contant
Dans un cap par inadvertance,
Où l'on n'supporte plus rien !
Même le moindre refrain;
Où l'on est impuissant
Avec les maux !
Et où l'on est tout-puissant
Avec les mots !
Qu'on n'supporte plus d'entendre;
Comme je m'en fous !
Sans garde-fous !
Comme ça m'est égal !
Comme si on avait les gales,
Alors que c'est l'égal et légal;
Comme ça ne te regarde pas !
Par mégarde quand
On te dit pousse-toi !
Comme tu n'supportes plus !
Tel un intrus !
A force sans cesse de te répandre
De l'indifférence;
A cause de ta différence
En défiance,
Qui est une offense
A ton infâme enfance;
Si bien que tu ne supportes plus !
Qu'on te dise pousse-toi !
Alors que tu aimerais
Un simple coup de pouce dès fois !
Quelque fois, et parfois toutefois !
Et tu n'supportes plus qu'on te dise
On verra !
A part on verra avec les aléas !
Quoiqu'on en déduise
Dans ce handicap avec les maux;
Qui mènent vers le cap des quiproquos,
Tellement que t'as enduré
Un manque d'affection de longue durée !
Dans la bronca
Des vies brisées en crises de foi !
Dès fois que tu crois encore
Que tu n'vas pas pouvoir t'en sortir en trouvant
Apaisant et conciliant
Des accords raccords;
Où une fois naît pas coutume !
Tu trouveras au fil du temps de la légèreté
A ton enclume,
Même si tu portes un costume
Avec un masque
Pour cacher tes frasques;
Dont qu'avant que tu t'enfumes dans la brume !
Faisons en sorte
D'ouvrir par la grande porte !
Le cap vers la bonne espérance,
Dont en recap sans on-dit crescendo;
On dit cap avec les mots.
Jérôme de Mars
Le soleil fait le beau temps
A chaque jour autant !
Le soleil fait le beau temps;
En allant au front
Et en faisant affront !
Lorsqu'il y a la fièvre jaune
Du soleil à fun,
Avec aucun nuage
A l'horizon !
Malgré les orages
Vers le balcon;
Et même si le soleil
Est l'arbre qui cache
La forêt !
Autant que le ciel
Balance des ramages !
Lorsqu'arrive l'été
A la bordure
De Dame nature,
Et dont sans ratures
Qu'il pleuve !
Qu'il neige !
Qu'il vente !
Ou qu'il y ait un beau ciel
Bleu radieux !
Il faut prier à Dieu !
Effet boule de neige;
Afin qu'effet boule de neige !
Le ciel invente
Désormais autant cependant !
Que c'est pourtant !
Le soleil qui fait le beau temps.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fera si Florent Pagny crève de son cancer des poumons ?
- Ca fera Florent pas né !
Jérôme de Mars
Y a quoi comme débouché à L'ESAT La Fabrique ?
Une p'tite saynète sur ce qu'est devenu L'ESAT La Fabrique en janvier 2022 quasiment un an après mon départ de cet ESAT le 17 février 2021 :
Charlotte P appelle Jérôme B sur son portable :
Charlotte P, une ancienne collègue et agent de production aujourd'hui qui bat en retraite :
- " Bonsoir allo Jérôme ! Comment vas-tu ? "
Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite de la retraite :
- " Allo à l'huile ! Charlotte ! Car depuis que je ne suis plus à L'ESAT La Fabrique, au moins; je ne mets plus d'huile sur le feu ! Parce-que comme à L'ESAT La Fabrique, tout le monde faisait monter la mayonnaise que la mayonnaise avait fini par prendre tellement que ça tournait au vinaigre ! "
Charlotte P, une ancienne collègue et agent de production qui bat en retraite :
- " Et tu vois Jérôme ! Si t'étais encore à L'ESAT; en ne foutant rien au conditionnement que t'aurais fini par travailler à Lesieur de ton front ! "
Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite de la retraite :
- " Et tu peux aussi noter et remarquer Charlotte qu'avec Madame Valérie Perrier, que ça aurait fini par encore gazer; si bien que de nouveau, tout serait tombé à l'eau à L'ESAT La Fabrique ! Charlotte, je te laisse ! Je te rappelle tout de suite après; je vais appeler Nicolas D au téléphone pour prendre de ses nouvelles ! "
Jérôme B raccroche avec Charlotte P et appelle Nicolas D au téléphone :
Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite de la retraite :
- " Bonjour Nicolas, comment vas-tu mon ami ? "
Nicolas D, un ancien collègue, agent de production :
- " Bonjour mon ami, si tu savais, j'en ai marre de cet ESAT, c'est tout pour ma pomme d'épis; surtout depuis que je fais les pommes, dont ce sont des pommes dépits en dépits ! "
Aussitôt, y a Tony A qui est à côté de Nicolas D; qui demande à parler à Jérôme B au téléphone :
Tony A, un ancien collègue, agent de production :
- " Bonjour mon pote, tu vois Jéjé, toi qui es haut comme dix pommes, ce n'est plus pour ta pomme d'api depuis que t'as quitté cet ESAT, alors que le travail des pommes, c'est tout pour notre pomme d'ADAM, avec Adam pour sa pomme qui nous aide à faire les pommes, et dont moi quand je rentre à mon foyer- appartement avec mon colocataire Guillaume, je ne rate pas ma cible envers Guillaume Tel, tout pour sa pomme à Guillaume untel ! Je te repasse Nicolas D ! Salut Jéjé ! "
Tony A repasse le téléphone à Nicolas D qui parle avec Jérôme B :
Nicolas D, un ancien collègue, agent de production :
- " Rebonjour Jérôme, si je veux quitter L'ESAT La Fabrique pour travailler à la boulangerie, je demanderai à faire un PPI ( Pour partir Indéfiniment ) en disant à Laëtitia Bergua que pour partir indéfiniment de cet ESAT que j'ai du pain sur la planche, et dont ainsi je démissionnerai de cet ESAT; indifférent et compétent, dont de votre différent et compétent Madame Bergua; c'est comme votre diplôme, vous l'avez eu dans une pochette surprise, et dont pour moi; ce sera du pain béni de travailler dans une boulangerie en dehors de cet ESAT, à ton avis Jérôme, pour que je puisse quitter L'ESAT La Fabrique et aller travailler à la boulangerie, y a quoi comme débouché à L'ESAT La Fabrique ? "
Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite de la retraite :
- " Mon cher ami, je vais te refiler un bon tuyau; où pour ne pas que ton moral soit plombé à cause de L'ESAT, comme déjà tout tombe à l'eau à La Fabrique ! Où tu as déjà assez payé comme ça les pots cassés Nicolas ! Avec par exemple; Benoîte Barreteau qui a été très fausse sceptique avec toi, à cause de son cabinet de psychologue à côté des toilettes; je pense que le seul débouché que tu peux avoir à L'ESAT La Fabrique, c'est que tu aies les oreilles bouchées par rapport à ce que tous les gens te disent; et que tu te comportes comme un boucher en continuant à faire le service de table à L'ESAT La Fabrique, en rebouchant les tuyaux en attendant mieux; car avant que tu te fasses viander par Laëtitia Bergua, démissionne de L'ESAT La Fabrique; en débouchant au bon moment le champagne pour que tu rendes tout le monde bouche-bée, en faisant avaler une bouchée à Laëtitia Bergua; dont pour que tu puisses viander tous ceux qui t'ont fait du mal dans cet ESAT, ce sera que tu démissionnes de cet ESAT; en partant de façon très pétillante de cet ESAT en sortant de ta bulle, voilà mon conseil; mon ami ! A plus ! "
Jérôme B après avoir raccroché le téléphone avec Nicolas D, rappelle Charlotte P :
Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite de la retraite :
- " Ca y est Charlotte; je te rappelle comme promis, j'ai trouvé un débouché pour Nicolas D ! "
Charlotte P, une ancienne collègue et agent de production qui bat en retraite :
- " Et toi Jérôme; ca a été quoi ton débouché pour quitter cet ESAT ? "
Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat en retraite de la retraite :
- " Et bien Charlotte, le seul débouché que j'ai trouvé pour quitter cet ESAT; c'est qu'après avoir tant trinqué de ma santé à L'ESAT La Fabrique; et bien mon seul débouché, c'était de ne plus boucher les trous au conditionnement; en faisant le bouche-trous, car à chaque fois qu'au conditionnement; il manquait quelqu'un, on faisait tout le temps appel à moi pour remplacer tout le monde; donc maintenant, je trinque à ma santé à la santé des travailleurs de L'ESAT La Fabrique; ça t'en bouche un coin Charlotte, n'est-ce pas ? "
Jérôme de Mars
Stricte art
Street art;
Quartier des beaux-arts,
C'est du stricte art !
Au quartier des Beaux-Arts !
Moi qui viens de Mars !
Et qui vois La Venus de Milo;
Qui part sur Venus de mille eaux,
Dont je mets de mes tripe art
En tombant des nues vers le strip art !
Dont le street art;
C'est du stricte art !
Aux arts et premiers !
Dont c'est de l'art !
D'écouter du Mozart
Avec pour rencards !
Le stricte art,
Quartier du street art !
En remportant un trophée mi-l'eau
En une Vénus mi-lot;
Dont pas de quartier des beaux-arts !
A la rue du quartier des Beaux-Arts !
Qui révise ses classiques de Mozart
En plein strip art !
En tombant des nues de mes tripe art,
Dont unanimement le street art;
C'est du grand stricte art !
Jérôme de Mars
Jérôme deux mars
De Mars;
Je suis Jérôme de Mars !
Qui mange un mars,
Et dont ça repart en Mars;
Jérôme deux mars !
Qui va chaque 2 Mars,
Ecrire Jérôme de Mars;
Hein Jérôme deux mars !
Sur la planète de Mars
Avec Jérôme Demars,
Qui mange un Mars
Au mois de Mars
Sur Mars;
Ainsi de Mars,
Jérôme deux mars !
Jérôme de Mars
Poisson pas né !
Poisson d'Avril;
T'es un poisson pas né !
Sur le grill
Dépanné,
Des pas nés !
Toi le poisson pané;
Dont t'es pané,
Pas né !
Des panés
Dépannés !
Comme t'es un poisson pas né !
Qui a dépanné
Le poisson pané;
Pas né
Des pas nés !
Dont le poisson pané
A dépanné
Ton poisson pas né
Au mois d'Avril !
Sur le grill du fil !
En brochet,
Embroché !
Des panés;
Dépannés
Par le poisson pané !
Jérôme de Mars
A mes risques et puérils !
Je d'enfant !
Dont ma vie
N'en fut bon enfant !
Dans le moi je du Risk;
Où j'ai sans cesse pris
Des risques pas très gentils !
A mes risques et puérils !
Sur le fil émotif
Toujours piqué au vif !
Où pour moi; y a péril
En là que j'meure !
Une fois les projecteurs
Eteints et teints !
En feint en mon déclin,
A mes risques et puérils !
Quand ma vie hait docile !
Dont j'me rends qu'elle naît facile !
A penser; à penser
Ou à décompenser
Qu'il y a des cons pensés !
Pour compenser
Les gens qui avec moi n'furent réceptifs
Ou réactifs,
Surtout que j'ne suis plus actif !
Mais interactif à mes risques et puérils !
Si bien que je prends des risques stériles;
A mes risques et puérils !
Alors que pour j'prenne des risques fertiles !
Et que j'retombe bien sur mes pattes de vieux fossiles !
Autant que j'ne prenne de risques à mes risques et périls !
Dont moi, je d'enfant qui joue haut je Risk à cran tactile !
Largement à mes risques et puérils !
Jérôme de Mars
Ma poésie s'nourrit-elle de vers riches ?
Ame esseulée;
Où je m'épanche !
Quand je m'penche !
Clairsemé et distingué,
Avec pour défriche
Sans que je m'en fiche !
Et où j'aimerais vous demander
A votre avis; si vous vous entichez
De mes poèmes à volonté ! ?
Et si ma poésie s'nourrit-elle de vers riches !
Dans la pauvreté ou la liesse
D'une richesse, empreinte d'hardiesse
Envers; en vers malgré les revers
De ce monde à lents vers !
Qui frappe les rimes en prose,
Ou qui riment en osmose;
En nourrissant ma poésie solitaire
De vers solidaires,
Ou en dégustant ma poésie solidaire
De revers solitaires;
Et si pour respirer la joie de vivre,
J'me demande s'il faut que je m'enivre !
Pour que je défriche
Ma vie maniaque
Sous ammoniaque;
Avec pour niche fiscale
Une chienne de vie fatale,
Et où j'aimerais qu'on me dise !
Quoiqu'on en déduise !
Si depuis ma niche;
Ma poésie s'nourrit-elle de vers riches ?
En s'nourrissant de mots non pète-secs
Sans prises de becs,
Et dont malgré que j'sois un drôle d'oiseau !
Si un jour; je réussirai à avoir pour dernier mot !
Le fait de ne plus m'enfer en accédant à l'eldorado,
Malgré que j'suis un poète maudit !
Ayant pour mélodie;
Mélancolique et névrotique
Toutes ces idées chaotiques,
Et dont pour ne plus que j'm'en fiche !
Si jamais je cultive de l'amour sans friche !
Ma poésie s'nourrira-t-elle encore de vers si riches ?
Jérôme de Mars
J'ai fait le plaint d'indécence !
Essai pilote que je véhicule;
J'suis le pilote unique de mon véhicule,
Dont j'ai la conduite,
Et dont en ligne de conduite;
Je pars à l'aventure
Dans un délit de fuite
A bord de ma voiture,
Dont de mon vécu;
J'en ai la sangsue !
Vu que j'ai su
Qu'assidu, il me rendit
La vie
En un calvaire,
Comme en partant à Cavalaire !
Dont je cavale l'air
Dans un trop plein de déviances;
Dont j'ai fait le plaint d'indécence !
Quand je me bidonne d'un manque de sens !
Et que je m'adonne incongru !
A des abonnements préconçus;
Avec comme marque de fabrique
Le fait qu'en gros, je pèse plus d'une barrique !
Dans mon attitude dissolue et irrésolue
De ma vie et perdue
Dans l'absolu,
Où manque de pot d'échappement;
Je n'ai pas réussi épanoui
A trouver une accalmie
A mes tourments,
Dont à cause de la loi du silence;
Et des gens qui font preuve d'ignorance
Envers moi en n'faisant l'indifférence
De tout mon trop plein de déviances,
J'ai fait le plaint d'indécence !
Si bien que je me bidonne;
Quand tout le monde m'abandonne !
Et que je randonne en marche
Au parti d'en rire de Macron
Dans ma démarche !
En m'esclaffant immatriculé conception,
Alors que ce n'est pas moi qui
Dans ma vie;
A fait vraiment esprit d'invention !
Pour faire la révolution
A ce monde sous perfusion,
Avec pour sensation
Et prémonition;
Que le monde devient plus anxiogène
Sans-gêne
Qu'hallucinogène sans gènes,
Et dont pour retrouver en gros l'innocence
Et l'insouciance
De mon enfance
Malgré ma corpulence;
Il faut que je sache
Que malgré que nul ne guérit
De son offense !
Qu'il vaut pourtant mieux que je garde aguerri
Une part d'enfance,
Dont malgré mon trop plein de déviances;
De ce que j'ai subi dans un trop plein d'indécence !
Il est temps qu'avec aplomb,
Je prenne dans la tête du plomb !
Et que je fasse le super plein des sens !
Jérôme de Mars
Quand on parle du relou...
Comme un voyou ripou !
Qui cherche des poux;
Et bien du jeune vieux loup solitaire !
Quand on parle du relou...
On s'rend compte qu'il alloue salutaire,
Tel un jeune loup solidaire !
Malgré son état délétère;
Et dont quand les esprits s'rencontrent !
Sans aller à leur encontre !
Et bien ! On loue les vertus du loup !
Quand on parle du relou...
Bien entendu sans parler d'Odette Allou,
Car elle ce qu'elle alloue !
Et bien ! On s'en fout !
Aucun intérêt !
De s'attarder
Sur son côté voyou ripou !
Et donc ! Quand on parle du loup !
Et bien ! On loue ses atouts !
Le tout pour le tout !
Sans fourre-tout !
Et donc ! Lorsqu'il y a du redoux !
Et que tout le monde file doux !
Tels de jeunes fous !
C'est quand on parle du loup très relou...
Jérôme de Mars
Buée de sauvetage
Appel d'air;
Prenons l'air
En prenant un bol d'air,
L'air de rien !
Comme c'est dans l'air du temps !
Et que c'est dans l'air !
D'faire
D'la buée de sauvetage;
Avec pour ramages
Un appel d'air,
A voler
Et à s'envoler
Dans les 'R;
Dans le froid rude
De l'hiver,
A regarder prude !
Un oiseau libre
Comme l'air !
Qui dégage
Une buée de sauvetage;
A première vue de ses lunettes
Au sens figuré, qui vibre
En nous en nous racontant
Comme un vieux serpent
De mer...
Quelques sornettes...
Que le ciel fait un appel d'air !
Avec pour courant d'air;
L'air sain qui fait des courants d'air !
A contre-courant populaire !
D'une buée de sauvetage
Qui a pour bouée de sauvetage,
Le naufrage de la vie;
Quand arrive la nuit !
En roulant les 'R,
D'hier à aujourd'hui !
Et dont l'air de rien !
Voici maintenant en accalmie;
Une embellie en galante compagnie,
Comme c'est dans l'air !
D'avoir un nouveau refrain
Pour nous envoyer en l'air
Dans l'air du temps !
Où survolent les 'R
D'un ciel de printemps;
Et souhaitons que ça nous fasse !
Un bien fou en sûre face,
Avec à la clé du beau temps !
Et aucun regret résonnant;
Que la vie c'est un appel d'air !
Après avoir fumé
Notre bouée de sauvetage,
Et dont vers la fin
Qui justifie les moyens !
Où dès lors en otages;
Que nous partons en fumée !
Partons ci-possible !
De façon paisible
En un inventaire,
Enfumé avec dignité;
En crachant en hommage
Notre buée de sauvetage.
Jérôme de Mars
J'aime dîne !
A l'Est d'Eden
Du jardin d'Eden;
A propos de James Dean,
J'aime dîne !
En brûlant ma vie
Par les deux bouts d'la chandelle;
A presque 44 chandelles,
Chères demoiselles !
Où dans ma vie; il fait en corps nuit !
En tenant toujours la chandelle;
Dont j'ai la fureur de vivre !
Sans être un géant comme James Dean !
Dont j'aime dîne !
En une sorte d'rebelle !
Qui s'veut la faire belle !
La vie ! Même qu'il y a à chaque jour
Suffit sa peine !
La même rengaine !
Tels ses éternels côtés obscurs,
Genre vautours !
Qui me mènent
Droit dans le mur !
Tel un dur à cuire !
Qui s'en va luire et reluire
Son idole James Dean !
A l'effarouchée !
Et à l'arrachée !
Sûr le qui vive !
Telle une existence écorchée vive
Et émotive
Jusqu'au bout de sa plaine;
Dont James Dean,
J'aime dîne !
Look rebelle !
Sûr book qui fait des étincelles !
En roulant à vive allure
Avec comme roue de secours
Sa mèche, dont il vend la mèche
En fumant des cigarettes antisèches
Et sèches
Dans une totale désinvolture;
Intrépide, dont les cigarettes
Qu'il fume montrent ses différentes facettes
De sa vie en fossettes;
Pour qu'il parte précoce en fumée
A l'apogée d'une carrière furtive
Captive, et intensive
De sa vie qui sent la cigarette
Du condamné; dont j'aime dîne !
J'aime fumer et enfumer en fumée !
Une taffe
De cigarette, avant d'aller au taf
Rédiger mon épitaphe;
Pour que je l'agrafe
Au cimetière, d'où éphémère;
Je finirai en poussière
Au ciel téméraire
Des étoiles embrasées,
Haut destin brisé !
A la manière
De James Dean;
En vers
Sa fin crépusculaire,
A l'aube d'une vie meilleure
En harmonie
Avec ce que je suis;
Dont je serai ailleurs !
Et nulle part ailleurs !
Pour l'après !
Puisque ce sera l'infini;
Dont je partirai en fumée !
Après avoir fumé le calumet
De la paix, en paix;
Dont j'aime dîne !
Jérôme de Mars
Le blues fait jazzer !
D'la musique en rythmique !
Elle m'fait rouler des mécaniques !
Mécaniques esthétiques éthiques;
Et tics !
En jouant du trombone,
Or punaise ! J'mets un trombone !
En dépassant les bornes monotones !
Genre le blues fait jazzer !
En écoutant Charlie Parker;
Par cœur !
A m'en crever les tympans !
De toute cette musique en traînant,
Qui fait un sacré boucan !
Depuis la nuit des camps;
D'où le blues fait jazzer !
Et voyager !
Dans le but de s'évader
En Mer Emergée,
Sans tambour ni trompette !
Avec lui Armstrong;
Qui luit Armstrong
Et reluit Armstrong !
Ame strong !
Qui démêla le vrai du faux !
En ayant toujours le dernier mot,
Avec Sidney Bechet;
Qui bêchait sa p'tite fleur
Dans son jardin secret,
En écoutant Charlie Parker;
Par chœur,
En naissant comme les grands
Artistes dans les choux fleurs !
Sans rancœur ! Charlie Parker;
En apprenant par cœur
Que le blues fait jazzer !
Ou jaser, dès l'obscurité
Dans l'ambiguïté,
Avant de renaître de ses cendres
Pour rendre
La clarté;
D'Armstrong,
Ame strong
En écoutant dans le vrai !
Charlie Parker;
Avec le cœur par cœur !
Qui bêchait
Sidney Bechet
Dans la ville de Sydney,
En ayant le cœur
Sur la main;
En ayant comme même refrain !
Tout leur jardin secret !
D’Éden
A L'Est d’Éden !
Dont j'aime dîne en vers eux tous !
Et puis mettons tous à eux tous un pouce
Vers, envers et contre tous !
Tous en chœur !
Sans tambour ni trompette !
En jouant d'la clarinette !
En mettant un trombone
Au trombone,
Tout en jouant du trombone !
Monotone en en faisant des tonnes !
Dont on entonne tous en chœur !
Et on détonne haut les cœurs !
Par cœur au grand complet !
Le blues fait vraiment jazzer !
Jérôme de Mars
Propagande
Langues de pub
Qui ont la langue bien pendue;
Il semblerait inopportun !
D'obtenir gain
De cause
En plaidant ses ecchymoses,
En faisant la propagande
De l'offre et la demande;
En faisant quémande
Avec en offrande,
Des secrets bien répandus;
De pourquoi la propagande
Fait que La France n'bande !
Ou débande des bandes
En contrebande !
En des grains de folie rudes,
Qui font qu'il faut tourner
Désormais sept fois sa langue;
Qui tangue exsangue
Pour s'étirer les vers du nez
Dans l'effroi sournois ,
Deux révélations qui font
Que plus personne n'se cause !
Because des liens qui s'défont des fonds !
Au tréfonds; du très fond; aux profonds;
Où tout fond comme neige en contrebande !
De La France qui n'bande !
Et débande des bandes !
Avec pour effet de bande, de la propagande
Dans la loi de l'offre et de la demande;
Qui quémande
L'offrande, afin qu'elle rende
Cette France comme Georges Sand;
Avec dans les langues de pub
Qui s'délient, des vérités
Ou des contre-vérités en sévérités
Aux travers d'une propagande;
Qui font que plus personne n'ose !
S'y rendre quand s'indispose
La propagande,
Où plus ne personne ne s'demande !
Si dans la loi de l'offre et de la demande;
Il y a encore quelqu'un qui quémande
En s'retroussant la manche,
En faisant la manche comme un manche
Lors d'un drôle de dimanche
Etanche; afin que La France bande !
Et n'débande des bandes !
Sans contrebande
Jusqu'à l'andropause
Ou la ménopause,
Si bien que dans un fer de lance;
Pour que tout le monde se lance, s'élance !
Ou s'en balance en bandant rude !
Dans leurs travers prudes de langues de pub !
Il y a sans doute sans bâtons rompus des offrandes
A gagner !
Et à remporter !
En rempart
De par en part
La propagande.
Jérôme de Mars
Bail réel solitaire
Logé à la même enseigne;
De ma patte, j'imprègne
Un bail réel solitaire !
Après avoir tant été
Dans un good bail
En un bail réel solidaire;
Dont en restant pour un bail,
On naît solitaire !
Et dont en étant en stand bail;
On est solidaire !
Foncièrement en étant
Mis au pied du mur !
En bâtissant une ouverture
D'esprit en étant en terrain inconnu,
Comme si un bail réel solitaire
Pouvait paraître aux yeux de certains
Un état des lieux dissolu !
En dépit qu'en bon Chrétien;
On ne laisse jamais les gens sans rien !
En appelant et en rappelant
A loger
Un bail réel solidaire,
Et à déloger un bail réel solitaire;
Pour reloger
Le tout pour un bail réel salutaire !
Dans la maison du bonheur,
En diffusant de la bonne humeur;
Avec un feu chaleureux de cheminée,
En trouvant ici là la clé de l'énigme
A ce cataclysme;
Comme à la maison !
Dont on connaît la chanson !
En étant soit dans l'allocation
Ou la location
Relou, qui reloue
Et alloue comme un vieux loup
Qui baille
En un bail réel solitaire;
Dont le tout ne ferait
Plus la gueule en ouvrant le bail
D'un bail réel solidaire,
Le tout à vos frais et à mes frais;
Aux frais du temps, s'il il fait trop frais !
Si jamais j'en fais les frais !
Pour un bail !
En stand bail;
Et dont en good bail
Pour un bail !
Il faut ouvrir le bail,
En modifiant en temps réel
Les APL; logées au pluriel universel
En temps réel,
Et logées à la même enseigne;
Dont je m'imprègne
En voulant passer du singulier
Au pluriel,
Soit de la propriété
D'un good bail
D'un bail réel solitaire
Que je mettrai en stand bail,
Afin que j'ouvre le bail
Pour un bail réel solidaire.
Jérôme de Mars
Je m'en lèche les bobines !
Jeune vieux loup solitaire;
Je n'en suis pas moins solidaire !
Malgré ma colère
De mes différentes facettes bipolaires,
Où je m'en lèches les bobines !
De mes babines
En jeune vieux loup solitaire;
Léché; a léché
Alléché et à léché !
Dont j'embobine
Tous ceux qui rembobinent
Mes bobines,
Quand je me fais des films !
En me faisant du sans d'encre d'hémoglobines
De ma routine;
Dont il suffit que je remonte aux origines
Aux racines,
Carrées et contrecarrées
De mon état qui laisse à désirer !
En mon manque d'adrénaline
Dans cette vie que je mets en sourdine !
Ou en sardines !
A force qu'on me mette en boîte !
Dont je garde en mémoire chaque poisson d'Avril;
Qui défile si bien que je suis sur le grill !
Duquel parfois, j'emboîte
Le pas de mes babines !
Tant et si bien que j'embobine
Tous ceux qui me débinent !
Qu'ils me binent
Mon jardin secret !
En me faisant déguster ma carabine
Tirée à bout portant !
Retirée; étirée; et tirée à bout pourtant !
Que j'en tire des vers d'hémoglobines,
Desquelles je m'en lèche les bobines !
De voir tout le monde se faisant fataliste
Du sans d'encre d'hémoglobines !
Que je me révolte vers le cataclysme;
Si bien qu'en me mettant en Seine;
Je me fais
Des films
De mécène !
En étant sur le grill de l'égoïsme,
Et en n'étant dans l'individualisme;
D'une vie en manque d'héroïsme !
Que j'en prends pour héroïne,
De l'héroïne !
Où je me shoote en un je m'en foutiste
Jusqu'au boutiste !
Pour le plaisir hédoniste
D'une vie sans langue de bois ébéniste;
Dont je m'allèche les babines !
Que j'en cuisine
Tout le monde qui me cuisine !
Avec sur le grill,
Une poêlée qui fait que je me grille
Auprès de tout le monde; avec le remontant
Acide d'un agrume,
Exacerbé par mon amertume;
Dont je me dandine
En faisant semblant de porter un costume;
Or à laquelle que je dîne !
Parce-que je m'en lèche trop les bobines !
Jérôme de Mars
Extras vacances
Extravagances en extras vacances à la plage de la mer à boire la note salée;
Qui a le vague à l'âme déferlante au bout du rouleau de vagues extras vacances
Sur le sable chaud, qui secoue le coco entier en emmenant les serviettes de
Travail à la plage d'extravagances; en surfant sur la terre nette d'extras vacances,
En envoyant une bouteille de bière à la mer à boire ses déboires d'extravagances;
Quand la mer mène en bateau la terre nette en surfant sur la planche à voile et à
Vapeur, où tout baignait quand c'était du gâteau pour ta pomme d'extravagances
En extras vacances; en repassant la mer sur la planche à voile, où personne ne se
Voile la face sur la mer à la plage; à part dévoiler à la nuit tombée toute son Amertume à la mer, qui fait couler beaucoup d'encre bleue par rapport à ses bleus A l'âme; en écrivant le désespoir en extravagances des extras vacances en Mettant les voiles du bateau vers ma croisière, dont maintenant la mer de tout L'Elvis sera de dire presse les ! En chantant dorénavant; la vie est un long fleuve Tranquille sur Seine ! Dont la mer sans perdre le Nord; se retrousse la Manche Dans un océan pacifique, bordé autour d'un océan d'amour et de tendresse; dont Même si tout tombe à l'eau ! Voici à bord des extravagances des extras vacances.
Jérôme de Mars
Geneviève est jeune vieille !
Vieille avant l'age;
Geneviève est jeune vieille !
Par âges !
En n'étant une vieille
De la veille,
En étant en veille
De la vieille;
Dont Geneviève est jeune vieille !
Qui veille; surveille; éveille et veille !
Elle Geneviève; jeune vieille !
Qui vieille, sûre vieille, et vieille !
Dont Geneviève est jeune vieille !
Parmi les vieux de la veille !
Ou les vœux de la vieille !
Tels des morveux qui veillent
Des morts vieux qui
Font que Geneviève,
Fait vieille avant l'âge;
Et fait éveil par âges
Parmi les vieux de la veille !
Ou les vœux de la vieille !
Dont elle, Geneviève est très jeune vieille !
Jérôme de Mars
La mer qui perd ses os !
Que la vie soit pleine !
En tant que femme fontaine;
Avec la mer qui perd ses os !
Agitée de la sienne
De la mère,
Qui perd ses eaux !
Qu'elle est vilaine !
De sa rengaine !
Aux ecchymoses de sa haine;
Qui lui cause à chaque jour
Suffit sa peine !
En guise de roulement de tambour !
A la femme fontaine !
Avec en rengaine,
La mer qui perd ses eaux !
Dont la haine
Fait que la mère perd ses os !
Os et moi vous le dire !
Que la vie c'est à en crever d'en souffrir;
A chaque jour suffit sa peine !
Et dont au bout du supplice !
En mettant la pierre à l'édifice,
Voici un splendide jardin d'Eden !
Placide en ayant les idées limpides
Au bout de cette vie aride;
Dont après la mère agitée qui perd les eaux !
C'est en femme fontaine sereine,
La mer effarouchée universelle qui perd ses os !
Jérôme de Mars
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Harcèlement solaire
Face à la grêle
Et à ses étincelles;
Qui font grève !
Si grâce au soleil,
Le temps faisait une trêve !
Pour que s'achève
Le harcèlement scolaire;
Et dont le soleil,
Ferait du zèle
En un harcèlement solaire
Sur La Terre solidaire,
Et plus en dessous terre solitaire;
Dont il faudrait que les injustices
Soient des sacrilèges,
Pour que le bon vieux temps
Redevienne un privilège !
Où il serait temps
Que tout le monde se rende service !
En partageant du temps
Ensemble; et en prenant
Des gants,
Les uns envers les autres;
Comme si c'étaient les nôtres !
Afin que tout le monde se vautre
Dans le harcèlement solaire
Qui rassemble;
De sorte que le harcèlement scolaire
Tremble !
Afin que justice soit rendue
Afin que ceux qui rendent le monde dissolu
Soient punis
Afin que repentis;
Ils passent d'ennemis,
Membres de l'aliénation
A des amis de la nation,
Et dont face au soleil;
Il faudrait privilégier la confiture
De groseilles,
Et plus la déconfiture
De l'oseille;
Dont pour que le soleil,
Allège ce monde sous sortilèges;
Il faudrait lui faire confiance
En toute assurance
Au soleil, afin qu'il agrège
Ce monde obscur qui s'abrège;
Et dont pour qu'il n'y ait
Plus de harcèlement scolaire,
Il faudrait illuminer
Face au temps bipolaire;
Le harcèlement solaire.
Jérôme de Mars
Pour 2022, je trinque aux vers de la poésie !
Après avoir trinqué de ma santé
De 2004 à 2021;
Comme dans un je de quatre vingt et un,
Les dés sont lancés !
Et les je sont faits !
Dont à ma santé requinquée !
De par mon moyen-âge !
Et bien pour 2022, je trinque aux vers de la poésie !
Volontaires par l'intermédiaire;
Moyen ah ! Je !
Qui fait qu'en tant que contestataire,
Je me joins à la confrérie
Des laissés-pour-compte !
Dont je me fais l'acompte
Des sans fortune !
En une sans que je sois dans la lune !
Mais sur Terre;
A me faire le chantre de la lumière
Des gens lumière,
Qui s'illuminent dans ce monde pas que délétère !
Qui peut être aussi source régénératrice en frères
Lumières jusqu'au fin fond de l'univers;
Dont avant la chute
De histoire après que j'ai trinqué de ma santé
Dans l'adversité et la férocité
En quelques vers de flûte !
Dont pour 2022, je trinque aux vers de la poésie !
A leur santé avec sincérité et amitiés !
Dont la poésie me fait tenir sur Terre !
Plus que la vie
Au sens élémentaire;
Avec pour lui rendre hommage !
De précieux et rares témoignages
De ceux que je vénère,
Ou de ceux qui sont avec moi extraordinaires
Dans une pure bienveillance populaire;
Dont connaissant la chute
De mon ver s'il chute
Dans le réverbère ou le lampadaire,
Duquel je serai mis dans la lumière;
En entrant dans la lumière nécessaire
Après avoir tant trinqué de ma santé
Entre 2004 et 2021,
Dont j'espère qu'en faim;
J'ai bien renoué avec l'entrain !
Malgré mon embonpoint
En je de quatre vingt et un,
Dont pour 2022; je trinque à la santé
En toute amitié
Aux hauts vers de la poésie !
Jérôme de Mars
Le poète crotté
Comme un air
De mélodie;
Amère de ma colère,
Qui me trotte
Dans la tête;
Je suis le poète crotté !
N'en démordez !
Dont ma mélancolie,
Fait que je suis un poète maudit !
En diverses facettes
Dans ma misère des gueux las
Dégueulasses; où je me lasse
De tout, tel le poète crotté !
Qui fait qu'il est ébranlé
Depuis belle lurette,
Avec que des saynètes
De sa face pas nette;
Tel un globe-trotteur
Et un baroudeur,
N'en démordait de ce qui
Lui trotte à ce poète crotté !
Dont figurez-vous qu'il est gueux !
Et misérable !
Dans un état instable
Parmi des gueux;
Qu'il soit un des gueux las,
Ou un dégueulasse;
Limite pas fréquentable !
Avec sur la table
Ses bottes qui sentent la vase,
Ou son côté lèche-bottes qui dévasent
Toute sa colère pleine;
A cause de chaque semaine,
Qui lui paraît hautaine !
Et puis misère ! Misère !
Qu'a-t-il à proposer ?
Pour changer d'atmosphère;
Afin d'y passer de l'ambiguïté
A la clarté,
Dont crotte de crotte;
Vis-à-vis de ce poète crotté !
Dont ça lui trotte
Dans la tête !
Tout ce casse-tête
Pour conter fleurette !
Dont il n'en démordait
En marge du système !
Tout son théorème qu'il sème !
En vers ce poète décrotté.
Jérôme de Mars
Les volets volent en éclats
Volets en bois;
Sans langue de bois !
Il y a des volets volés,
Qui ont volé en éclats
Volé; envolé et survolé;
Envolée sûre volée
A cause des aléas,
Tandis que les volets volent
En éclats;
Envolent et survolent
Malgré les aléas,
Et sûr volent
Dans une volée volée;
Qui a envolé les volets,
Qui se sont envolés
En volets !
Dans une volée envolée
Lyrique; tels des oiseaux
De feu, feu à leur voler
Le dernier mot;
Tandis que les volets volés
En volée; envolés et en volets,
Ont survolé sur volé
Et envolé les volées volés;
Si bien que les volets,
Volent en éclats;
A cause des aléas,
Because avec pertes et fracas !
Ayant pour ultime volet en volet;
Une volée envolée en volée,
Sur volée, survolée, sûr volets,
Et sûr volée dans une envolée;
En volée de haute volée,
Et à cause des patatras;
Dus aux aléas,
Because avec pertes et fracas !
Dont les volets montrent de quel bois
Ils se chauffent ! Si bien qu'envolés;
Qu'en volée à l'envolée d'une envolée,
Ils ont survolé en volée survolée;
Un dernier volet volé,
Dont ils se sont envolés
Et se sont survolés
En une ultime volée volée à hauts volets;
En hauts volés de leur haute volée !
Qu'ils referment à volée à ôte volée,
En mettant une volée
A leur sûre volée qui a volé; survolé
Et sur volée en envolée,
Où volés; les volets envol, en vol,
En sur vol; en sûr vol et en survol;
Font que s'envolent les aléas,
Qui volent jusqu'aux éclats.
Jérôme de Mars
Compteur d'histoires
Au début de ce conte !
En exutoire
De mon réservoir,
Je suis un compteur d'histoire;
Avec des histoires à dormir debout !
Qui racontent en acompte
Que malgré que je sois à bout !
Que je bous
En abreuvoir d'histoires;
Dues à mon ancien passé
De rappeur, qui avait fait
Des histoires
A dormir debout !
Ou à croupir à bout !
Tout compte fait !
Dont malgré qu'on compte
Sur moi; le mâle est fait !
Et le mal est fait !
Si bien que sûr moi, on conte
Des histoires à dormir assis !
Ou à croupir rassis !
En mangeant leur pain noir
A mon sujet pérempté !
Moi; le compteur d'histoires,
Raconteur de ses idées noires;
Qui a sans arrêt les idées noires !
En broyant du noir
Parmi ses bobards,
Qui ne sont de simples racontars !
Moi; le gars consumé; dont au bout du conte
J'espère que je compte
Pour les gens ! Et que je conte
De belles histoires en acompte !
Dont je leur raconte
Que la vie et ses histoires,
C'est à la fois du rose et du noir !
Si bien que je raconte en fonds de tiroirs;
Le reflet de mon miroir !
Par rapport à mes bris de couloirs
Au tréfonds de mon mouroir,
Et que dès que j'arrive
A la dérive !
A la fin de cette histoire;
Avec en deça mon ancien passé
De conteur histoires,
Qui avait fait des histoires;
Desquelles pour bien conter
Et raconter
Une histoire,
Qui se termine très bien au bout du compte !
En acompte;
J'espère compter,
Conter, escompter, décompter
Et déconter des comtés;
En en faisant tout un fromage !
En un ramage
Au Comté,
En tant que conte; compte
Comte et Vicomte;
Avec au bout du compte !
De ce conte,
Que je puisse raconter
Que je compte pour les gens !
Et que les gens
Ne puissent compter inexorablement
Sur mon conteur d'idées noires !
Mais puissent conter
Sûr moi; l'inéluctable compteur d'histoires,
Raconteur au final de belles histoires.
Jérôme de Mars
Fruits cassés
Friands croissants;
Je suis friand
De croissants,
Croissants de friands !
Dont je suis friand
De fricassés !
En fruits cassés;
Tutti fruitti tracassé,
Dont j'ai un ver
Dans le fricassé !
En revers
De fricassés;
Dont je récolte le fruit
Cassé de mon travail !
Tutti frutti fracassé,
Comme un ver
Dans le fruit tracassé
Avec pour fruit défendu;
Cassé des fricassés fendus,
Dont je suis très friand croissant !
De friands trop croissants;
Avec du pain béni au chocolat,
Et du pain sur la planche au raisin;
Dont je fais des fruits de la passion
Cassés; tracassés et fracassés !
Le fruit de l'amour casé
En fricassés tutti frutti,
Use eu fruits cassés.
Jérôme de Mars
Entretien mensuel pour laver le cerveau et ne pas s'en laver les mains !
Un entretien médical au CMP de Vitry sur Seine le 19 janvier à 12h entre Jérôme Bedrossian; un patient du CMP et sa psychiatre Madame Teillet :
Madame Teillet, une psychiatre au CMP : - " Bonjour Monsieur Bedrossian, comme se sont passées les fêtes de fin d'année ? J'espère que pour vous ça n'a pas senti le sapin ! "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP : - " Ca peut aller Madame Teillet; les fêtes de fin d'année sont souvent difficiles pour moi, vous savez; ça me rappelle les antécédents héréditaires de la famille de ma mère car le jour de Noël 24 décembre 1947; le grand-père de ma mère s'est suicidé en se tirant à bout pourtant et ma mère a été conçue cette folle soirée de Noël 1947 et ma mère est née 9 mois plus tard le 20 septembre 1948; donc Noël, je pense souvent à ma mère car Noël mammaire ! Comme ce n'est pas un jour très sain pour moi ! Comme je ne sais plus à quel sain me vouer; me dévouer ou avouer ! "
Madame Teillet, une psychiatre au CMP : - " Je vois Monsieur Bedrossian; tout cela est mâle sain pour vous ! Donc vous direz que vous avez plutôt passé de bonnes fêtes de fin damnée ou de bonnes fêtes de fin d'année ! "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP : - " On peut dire que j'aurai passé de bonnes fêtes de fin d'année comme je sais que ma fin sera damnée à la fin de ma vie ! "
Madame Teillet, une psychiatre au CMP : - " Que vous êtes ubuesque Monsieur Bedrossian ! Au moins; vous êtes le bouffon du désarroi ! Et pour les fêtes de fin d'année avez-vous trinquer à votre santé ou de votre santé ? "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP : - " Si vous saviez Madame Teillet; tellement qu'à L'ESAT La Fabrique, j'ai trinqué de ma santé que depuis que j'ai quitté cet ESAT que dorénavant je trinque à ma santé retrouvée ! "
Madame Teillet, une psychiatre au CMP : - " Je vois Monsieur Bedrossian; j'espère qu'à minuit quand vous avez trinqué à la nouvelle année; que vous avez bien fait pétiller le champagne pour qu'il sorte ses bulles ! "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP : - " Madame Teillet, je ne vous le fais pas dire; j'ai tellement trinqué à ma santé à Minuit en étant si pétillant que je suis sorti de ma bulle ! "
Madame Teillet, une psychiatre au CMP : - " J'espère que maintenant pour la nouvelle année que vous passerez un bon début d'année et pas un bon début damné à l'hôpital Paul Guiraud qui se fout de la charité car Monsieur Bedrossian, votre place n'est pas à Paul Guiraud surtout à Noël; de peur que vous perdiez la boule et que vous ayez les les boules en redevenant maboule ! "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP : - " Mais non Madame Teillet depuis que j'ai quitté cet ESAT; plus personne ne m'enguirlande alors qu'à L'ESAT on m'enguirlandait si souvent que je finissais dans le décor et l'envers du des cors aux pieds ! Je suis persuadé que maintenant que j'ai quitté L'ESAT qu'à chaque janvier de chaque nouvelle année que ce seront des années sur années de bons débuts d'année et plus des années surannées en bons débuts damnés du temps où j'étais dans ce maudit ESAT ! "
Madame Teillet, une psychiatre au CMP : - " Je vais vous prescrire comme médicament de boire chaque jour mes paroles en trinquant au Champomy à votre santé retrouvée pour que vous restiez comme vous êtes actuellement à savoir pétillant et pour que vous continuez à sortir de votre bulle en allant du lundi au dimanche même les soirées et même les jours fériés au GEM de Vitry ! "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP : - " Si je résume votre ordonnance pour le mois c'est de trinquer au Champomy à ma santé retrouvée en buvant vos paroles pour que je demeure pétillant en sortant de ma bulle, et ainsi je passerai un bon début d'année en n'ayant plus les boules et en ne perdant plus la boule maboule et ainsi, plus jamais personne ne m'enguirlandera et une toute dernière question madame Teillet, comment faire pour qu'à Noël; ça ne sente plus le sapin pour moi ? "
Madame Teillet, une psychiatre au CMP : - " Que vous passiez Noël avec votre famille ou vos amis en pensant certes; à votre mère ! Mais sans repasser en boucle le souvenir du suicide de son grand-père le soir de Noël, quand il se tira à bout portant ! Ce qui eut pour conséquences la conception de votre mère le soir de Noël 1947 ! Si vous repensez à tout cela; ce sera Noël ah ! Mère ! Alors que si vous passez un bon Noël en sachant maintenant à quel sain ! Votre mère se voue là-haut au ciel ! Ca ne ressentira plus jamais le sapin de Noël amer ! Mais dont ça sentira en paix le sapin de cher Noël ma mère en son souvenir le plus précieux ! "
Jérôme de Mars
Qu'est-ce-qu'on y fabrique à L'ESAT La Fabrique ?
Voici une saynète sur L'ESAT La Fabrique où chacun des protagonistes se demande ce qu'il y fabrique dans cet ESAT :
Eric T, le moniteur principal du conditionnement :
- " Moi, je me demande ce que je fabrique dans cet ESAT; à part montrer de quel bois, je me chauffe ! Puisqu'à la base; je suis menuisier sans langue de bois, et si j'y reste dans cet ESAT; c'est parce-que j'ai du pain béni sur la planche ! "
Jérôme B, un ancien agent de production qui bat en retraite :
- " Moi, je me demande ce que j'y ai fabriqué dans cet ESAT; à part fabriquer des bijoux de famille comme j'ai beaucoup enfilé des perles ! Et donc en tirant le constat que tout le monde s'en foutait de moi dans cet ESAT ! Et bien ! Je n'y voyais plus l'intérêt de rester dans cet ESAT à cause de tous cess conflits d'intérêt ! "
Charlotte P, une ancienne agent de production à la retraite :
- " Moi, je me demande ce que j'y ai vraiment fabriqué dans cet ESAT; à part me fabriquer de fausses illusions sur le travail de cet ESAT soi-disant la fabrique des rêves alors que concrètement; c'était plutôt la fabrique des rêves brisés ! "
Michelle G, l'ancienne assistante sociale :
- " Moi, vers la fin de ma dernière année dans cet ESAT en l'occurrence à cause du Covid; je me demande décidément ce que j'ai pu y faire dans cet ESAT, puisque j'ai utilisé en ultime recours mon droit de retrait si bien que Charlotte a fait valoir quant à elle son droit à la retraite ! "
Sandrine R, une agent de production :
- " Moi, je me demande ce que j'y fabrique encore dans cet ESAT; étant donné que plus personne ne me donne un coup de main d'autant que j'en ai perdu la main de ma fabrique dans cet ESAT ! "
Christophe P, un agent de production :
- " Moi, je me demande fataliste ce que j'ai réellement fabriqué à l'atelier sous-traitance; à part être conditionné au pire, alors que maintenant à l'atelier reliure; je me livre désormais à la fabrique ! "
Odette A, une ancienne agent de production à la retraite :
- " Moi, je me demande si Jérôme B a fabriqué quelque chose dans cet ESAT; à part avoir tout le temps un poil à la main ! "
Eric T, le moniteur principal du conditionnement :
- " Tellement que Jérôme B ne fabriquait plus rien à l'atelier sous-traitance de cet ESAT, je confirme qu'il a bien eu raison de quitter " La Fabrique " à force qu'il soit tant mâle traité par tout le monde dans cet ESAT ! "
Jérôme B, un ancien agent de production qui bat en retraite :
- " Voilà pourquoi c'est la raison de mon départ de cet ESAT ! Comme je n'y fabriquais plus rien de mes dix doigts ! Avec pour marque de fabrique dont je me demande résolument ce que j'ai pu y fabriquer dans cet ESAT comme projet, à part fabriquer ma sortie sans issue; de laquelle j'ai trouvé l'issue en fabriquant une porte de sortie ! "
Jérôme de Mars
Sirène la larme à l'œil !
Alarme incendie;
Y a le feu à la maison !
A l'horizon du balcon
De ta mélancolie !
Où tu brûles à petit
Feu en trompe-l'œil !
En ne te rinçant l'œil !
Avec la sirène la larme à l'œil !
Où de ton orgueil,
Tu ne veux laisser rien paraître
De ton mal-être;
Si reine qui t'alarme en non-dits !
Avec une sirène sur l'amère
Depuis que tu n'as plus ta mère,
Volatilisée dans les airs
D'une autre époque linéaire;
Où tu la gardes enfouie
Au fond de ton imaginaire,
Avec la sirène la larme à l'œil !
En trompe-l'œil !
Qu'on te croit si solide
Et limpide avec des lipides;
Alors que tu es si reine de ton désespoir !
Si bien que tu déclenches l'alerte incendie,
Duquel tu t'imbibes de ta mère en déboires;
Alors qu'il te suffit juste d'une accalmie !
Même si son absence
Te paraît à l'infini !
Insoutenable comme une sentence,
En sillonnant ton purgatoire
En bris de couloirs;
Telle la loi du silence !
A garder ton impuissance
Et ton manque de foi en l'existence
Au fond de ton hérésie,
Où de nulle part ! Plus rien ne fleurit
Dans ta vie à l'agonie;
Avec une sirène la larme à l'œil !
En trompe l'œil !
A garder en toi ton intérieur incendie
Pour paraître bien dans ton orgueil,
Alors que t'as l'alarme incendie !
Très alerte incendie
En une sirène sur l'amère;
Si reine de ta mère,
Dont tu veux avant de pleurer
De ton être !
Et de sangloter
Les larmes de ton corps décimé;
Reconnaître que pour retrouver
Du bien être,
Bien naître et renaître !
Qu'il faut
Que tu déclenches la larme incendie
En une alarme incendie,
En te mettant bien au chaud;
Avec la sirène la larme à l'œil !
Sans trompe-l'œil !
Afin que tu démontres que malgré
Ton orgueil;
Tu puisses savoir que tu n'es plus seul !
Si reine de ton désespoir !
En ouvrant une vanne avec une sirène
Dans la mer !
Qui aère l'atmosphère,
En ouvrant en grand les fenêtres;
Direction une sirène pour boire
L'eau de la vie,
De laquelle tu en ressortiras grandie;
Si bien que tu ne seras plus sirène
La larme; l'alarme à l'œil !
Mais si reine
Sans trompe-l'œil de ton orgueil !
Avec ta quintessence
Où tu entreras en résistance !
D'où tu seras sirène sans trompe l'œil !
En te rinçant bien l'œil !
Jérôme de Mars
Gratte la guitare !
Mille et une épate !
Comme un coq en pâte;
Gratte la guitare !
Dans le tintamarre
En larguant les amarres,
Allongé sur la mare;
D'où de ta mélodie Anglo-saxonne,
Tu files à l'anglaise en klaxon !
Quand ta musique résonne
En une mélancolie qui file le cafard !
Et dont en étendard;
Gratte la guitare !
En faisant sonner la musique
Et les chansons mélodiques,
En fredonnant à coups de standards
La nostalgie des tubes à essais;
Qui conquit l'auditoire à répéter
Encore et encore les chansons,
Qui rendent heureuse ta passion
A l'unisson en chantant ton répertoire
Au bistrot du comptoir;
Et dont gratte la guitare !
Pour clore le blues de ton histoire,
Qui rappelle tes vieux démons
De ton côté ange et fripon;
Et dont pour donner rencard
A ton auditoire sur le fil du rasoir,
Gratte une avant-dernière fois ta guitare !
En ne perdant le fil dérisoire;
Et comme ton côté animal,
Tu préfères l'original
A la copie que t'empales
De ton visage pâle !
Et pour terminer ta mélodie
Comme un exutoire;
Garde ta répartie qui t'est impartie !
Et résultat de l'histoire,
Ecris en lettres trempées
De ton caractère bien trempé;
Ton côté désabusé,
Comme dans une chanson
De blues trottoir;
Et va sur le trottoir !
Déchanter ton désespoir
En étendard
De ton standard !
Et gratte ton blues qui fout le cafard !
A l'arrachée de ton médiator,
En accord raccord
De la dernière note salée de la guitare !
Jérôme de Mars
En train
1) Sur les rails je suis en train de faire un calligramme avec pour locomotive un
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20) Avant d'arriver à destination de ce voyage à l'en vers dans ce monde à l'envers
Jérôme de Mars
Une fleur qui avait un grain de folie...
En écoutant petite fleur de Sidney Bechet;
Si on bêchait
Une fleur qui avait un grain de folie...
On ferait aimer
Les saisons fleuries
Dans leur immense folie,
Dont ce serait le bouquet !
D'avoir en un bouquet de chênes !
Michel Bouquet et Carole Bouquet;
Qui s'déchaînent
En une fleur qui avait un grain de folie...
Genre une rose qui en ayant une vie en rose,
Ferait une pétale de rose
Et une feuille de rose
En faisant de la sinistrose
Un magnifique bouquet de roses;
Qui prendrait la pose
En une fleur qui avait un grain de folie...
Dans son bouquet fleuri,
D'après petite fleur de Sidney Bechet !
De façon à semer
De l'amour pour bêcher
Le jardin secret
De l'univers
Dans sa jolie Terre;
Avant tout pour que tout le monde sème
Et parsème dans une vie de bohème,
Avec pour thème;
Un jardin fleuri,
Qui planterait la graine
Et aurait pour jardin d'Eden !
Une fleur qui avait pour la vie
Un si grand grain de folie...
Jérôme de Mars
Jamais deux sans trois
Une petite saynète entre Alexandre S, ses parents Jacques S, Hélène S et sa tante Janine G sur fond de vicissitudes
Janine G, la tante d'Alexandre S : - " Bonjour Hélène, comment vas-tu ? Comment va-t-il Jacques ? Et comment va-t-il Alexandre ? "
Hélène S, la mère d'Alexandre S : - " Bonjour Janine, tu te rends compte ! Alexandre n'arrive pas à quitter notre appartement pour aller dans le sien, comment fera-t-il pour vivre et se gérer quand moi et Jacques, on ne sera plus là ? "
Janine G : - " Ma chère sœur, je comprends tes inquiétudes, je pense que quand toi et Jacques vous ne serez plus là qu'Alexandre sera logé à la même enseigne que tout le monde et qu'il pourra demander l'hospitalité à Dieu pour être logé à l'autel du Bon Dieu; en confessant ses péchés au curé lors du confessionnal ! "
Alexandre S : " - Bien sûr super bulot; que tu as oraison car pince-moi je rêve ! J'en pince de Dieu de la religion avec mon père en protestant que je contemple pour me raccrocher à la vie alors que tu vois Janine; je n'ai rien contre les témoins de Jéhovah, mais tu es témoin que ça me donne envie de courir en protestant contre les extrêmes; tu vois Janine ! Comme je vais au temple avec mon père je n'y vais pas pour tenir la chandelle si bien que quand je vais au temple; je ne prends jamais ma vessie pour des lanternes pour m'éclairer en m'ouvrant à Dieu ! "
Jacques S, père d'Alexandre S : " - Que tu es marrant mon fils avec tes plaisanteries d'un enfant de 5 ans; si depuis le temps que tu étais ouvert sur le plan social; que Mr Gobet était ouvert avec toi sur le plan médical en te donnant les bons médicaments; on aurait trouvé depuis longtemps la clé de l'énigme pour stabiliser ta pathologie ! "
Alexandre S : " - Papa Belmondo si j'étais acteur de ma vie; j'aurai eu le beau rôle pour trouver la solution et une issue à tous mes problèmes, avec tout le mauvais traitement que j'ai subi depuis que je suis enfant après tout ce mauvais traitement; j'ai besoin maintenant et dorénavant que MR Gobet; mon psychiatre au CPRS de Villejuif me donne le bon traitement; le tout pour que je prenne mes médicaments en fonction de mes humeurs ! "
Jacques S : " - Mon cher fils; j'ai la solution; fais un billet d'humeur pour que Dieu te pardonne d'avoir maltraité hier mon ordinateur en effaçant mes données vu le traitement du contexte ! "
Alexandre S : " - Au nom de Dieu, je suis témoin de Jéhovah car je vous aime mes chers parents ainsi que toi; super bulot, car pince-moi je rêve ! J'en pince tellement enfin de faire un billet d'humeur à l'ombre de mes vieux démons pour être et rester dans la lumière de mon frère Jérôme; et tenez-le vous bien ! Le tout dans la bonne humeur ! "
Jérôme de Mars
Le laboratoire JB
Moi, JB; je crée le laboratoire JB à tubes à et sait, qui sait quel échantillon élaborer pour préparer la fameuse potion à idées novatrices avec un flacon; dont l'antidote a la science infuse, en ayant la physique et la chimie des sentiments; quand les idées fusent dans un flacon renfermé, comme un robinet d'eau tiède qui teste des produits faits maison dans le laboratoire JB; avec moi, JB, qui teste des produits pour me doper au négatif; afin de ne pas attraper le Covid 19 dans mon laboratoire à idées, d'où je cherche en antidote le bon vaccin; avec en piqûre de rappel un échantillon d'idées neuves lors de chaque nouvelle année, dont de mes excès; j'en fais des tubes à essais avec dans mon échantillon, un fascicule de produits de démonstration; si bien que moi, JB, j'ai de la suite dans les idées en refilant des tuyaux; avec dans les tuyaux le laboratoire JB ! Où pour que je puisse transformer l'essai après avoir été pris à l'essai ! Autant que je confirme l'essai ! Car qui ne tente rien n'a rien grâce au laboratoire JB !
Jérôme de Mars
Big soûle
Dialogue entre Jérôme; la face claire, qui se soûle aux vers de poèmes et Geronimo; sa face obscure, qui se soûle aux revers de mise en bière !
Jérôme : " - Alors Geronimo, comment vas-tu ? "
Geronimo : " - Je vais mâle comme je prends de la bouteille en vin blanc; en repensant sans arrêt à la mise en bière de ma mère, depuis sa mort, tous ces revers me soûlent dans ma vie, où je lui envoie une bouteille à la mère ! La mère de tous les vices ! "
Jérôme : " - Je te comprends Geronimo, mais moi pour ne pas sombrer et me jeter à la mère dans le vague à l'âme, je m'enivre en me soûlant aux vers de mes poèmes dans mon port d'attache ! "
Geronimo : " - Tu vois Jérôme, je suis sombre et obscur car quand j'étais à L'ESAT La Fabrique, et bien je prenais de la bouteille en faisant Dugas au conditionnement, et j'étais tellement conditionné au pire que tout le monde me mettait en boîte qu'à force tout me soûlait dans cet ESAT en même temps que je me soûlais aux vers de Dugas ! "
Jérôme : " - Si tout te soûle et bien Geronimo, écoute James Brown dans sa soûle musique quand il déchante la vie avec une bouteille de bière à la main; en souvenir de ta mère qui se soûlait aux revers de la bière, et te soûlait en t'enivrant en vin blanc dans sa mise en bière aux vers ! "
Geronimo : " - Que peux-tu me souhaiter pour ce 31 décembre 2021 à part me soûler aux verres avant ma prochaine mise en bière ? "
Jérôme : " - Que plutôt Geronimo; tu t'enivres et tu te soûles dans mes vers de poèmes; en prenant la bouteille à ta mère, d'où qu'elle est pour prendre de la bouteille, loin de ton vague à l'âme pour amerrir et émerger à distance de la partie immergée de ton iceberg; en surfant sur la mère dans une nouvelle vague déferlante en vain blanc, émise en bière écrite de mes poèmes qui feront couler beaucoup d'encre dans ta vie; où tu te soûleras enfin dans une vie plus saine, en te mettant aux vers ! "
Geronimo : " - Mais pour me mettre aux vers et passer un bon 31 décembre 2021 avant de débuter l'année 2022, à quoi trinquer ? "
Jérôme : " - Après que t'aies tant trinqué de ta santé Geronimo; soûles-toi aux vers de mes poèmes en te mettant aux vers, afin que toi et moi; on puisse trinquer à ta santé retrouvée en 2022 !? "
Jérôme de Mars
Chanson à couplets les gens !
L'amour qui roule toujours !
A refrains
De troubadours;
Y met son grain
Et émet du grain en veillant au grain !
Où il y a parfois l'amour qui joue des tours !
En train, très boute en train,
Avec pour refrains;
Une chanson à couplets les gens !
Accouchée de je d'enfants !
Dont la rengaine,
Est de débuter chaque semaine;
Quand l'un dit !
Que Marc dit !
Qu'au mercredi !
Que je dis !
Que vendre dit !
Que ça me dit !
Quand t'as dix manches
A balais !
A avoir quarante ballets
De danse à rat le bord !
Avec en virant de tribord
La chanson à couplets les gens !
Accouchée de je d'enfants !
Lors d'un coucher de soleil,
En mettant en veille
Les jeunes et les anciens;
A coups de refrain !
Avec la chanson à couplets les gens !
A la carte vermeil,
Accouchée de je d'enfants !
Qui font areu areu littéralement fans de BB;
De Brigitte Bardot qui les rend bouche-bée,
Dont la chanson à déboires;
S'termine à boire !
En fin de répertoire !
En brèves de comptoir,
En chantant les amours différents;
Et en déchantant les jours indifférents
Du poète troubadour,
En un compte à rebours;
Avec à la carte des merveilles,
La chanson sans racontars !
A couplets les gens !
Avec en refrains;
Tous ces machins !
Accouchés obstinément
Enjeu d'enfants !
Or ! Nul n'est tenu à l'impossible !
Pourvu que le monde reste paisible !
En buvant le désespoir
Des chansons à déboires !
Et en buvant conciliant
Et réconciliant
Une bonne gorgée en sirotant ambiant,
Dans la paix; la fraternité
Et la liberté
Une chanson décidément !
A couplets les gens !
Accouchée d'en je d'enfants !
Signé en je bon enfant !
Jérôme de Mars
Rock'n'roll l'ovaires
Comme un œuf brouillé;
Je marche sur des œufs embrouillés !
Dont d'œufs, je me suis débrouillé
A clarifier mon obscurité,
A base de pureté
Malgré ma malsaine puberté;
Dont résultat des vers,
J'ai fini par ardemment
Couper le cordon ombilical;
De façon frontale
Avec ma mère,
Dont j'ai fini aux forceps;
A accoucher de ce texte
Du bout de mes biceps,
Vu le contexte
En ce rock'n'roll l'ovaires
Qu'ils sont infâmes;
Les ovaires
A ma mère !
Qui s'enflamme
En écriant aux vers,
Il y a le feu dans la chaumière
Mise en saccage de sa tanière;
Comme un lion dans sa cage
Ou un marécage,
Qui sent la vase ah ! Mère !
Il y a un rock'n'roll l'ovaires
Dans sa Rolls Royce en rock de pierre;
Qui m'joue à l'envers !
Le nouvel an en vers
Lents, dans un verlan chébran;
Qui a les portugaises ensablées,
Qui dérègle ses machins de cycles mammaires
A Noël ma mère !
En ce rock endiablé;
Qui a diabolisé
Et atomisé
Son rock de pierre,
A ma mère !
En un rock'n'roll l'ovaires;
Des prunelles de son cœur
De lover,
A ma mère !
Dans son crépuscule délétère
Depuis qu'elle repose
En poussière;
Au cimetière
En peau des et les faons
Elégants !
En pantalons à pattes d'elfes,
Le jour de Noël mammaire !
En prenant des gants;
Avec la mémoire de ma mère
En ce rock de pierre,
A ma mère feu sa mémoire !
Avec pour déboires
Son inventaire;
Qui m'laisse austère !
De ce que je n'ai pu faire
Pour elle !
En ce rock'n'roll l'ovaires,
Elle; la lover
Et moi le rocker
De poèmes troubadour;
Qui arrime en voulant ajour
Un beau séjour !
Au royaume des immortels
Dans le ciel extraordinaire,
Dont en cette fin d'année crépusculaire;
Vive le rituel
A l'autel des immortels !
Destiné au ciel messager universel,
Dont je crie de ma voix rocailleuse
Et ténébreuse;
Vive aux vers !
Lover !
De mon cœur de rocker !
A ma mère mammaire,
En ce rock'n'roll définitivement très l'ovaires.
Jérôme de Mars
Tour de magie
Tour de baguette magique !
V'là le magicien des mots;
Qui de par son chapeau,
A un stylo;
Qui mène le monde à la baguette,
Avec soit une baguette de pain;
Ou soit une baguette de rupin
En un tour de magie,
Pour remplir ce monde de féérie
Sans poser de lapins;
Qui diront chapeau !
Le tour de magie,
Avec un oiseau qui vole !
Et sûr vole !
Les hauteurs avides
D'un magicien placide;
Qui donne le mot
Au perroquet,
Qui dit karaoké !
En chantant avec l'ara
En un tour de magie;
Très à cheval dans l'ara !
Quand ce magicien,
Qui est un drôle d'oiseau;
Semble malin et enclin,
A déjouer les tours
En des tours qui valent le détour !
Avec les canaris;
Aux Iles Canaris
En ce tour de magie,
Qui régale d'utopie;
Les fameux devins
En donnant un coup
De chapeau en ce tour
De ripoux fourre-tout !
En disant chapeau !
Ton tour de magie,
Dans ce monde qui regorge
De féérie;
Qui forge
Son caractère,
Bien trempé;
Qui dégorge
Ses lettres détrempées
De sa colère,
Qui envoie en l'air
Sa baguette magique;
Et s'envoie en l'air
Avec un tapis roulant,
Déroulant le temps
En une vitalité;
Qui mène le monde à la baguette
De pain
Et de rupin,
En refaisant un dernier tour
De magie libertin;
En remontant la braguette
De ce magicien maestro,
Avec pour dernier mot;
Rendez-vous mes p'tits lapins !
Sans vous poser de lapins
A vous mes p'tits malins !
Il était une foi la féérie
En un détour de magie.
Jérôme de Mars
Atomes crochus
Science infuse;
Ayant les idées qui fusent !
J'ai des atomes crochus
Avec certains de mes amis,
Qui me comprennent !
Avec lesquels je traîne
Après tous mes hématomes fourbus;
Où j'ai de la suite dans les idées !
De ma vie dissolue perchée,
A chat percé et transpercé !
En reconnaissant in fine déterminé;
Qu'il vaut mieux avoir des remords
Que des regrets qui nous laissent
Pour mort,
Et qui affaissent
Tant notre espèce menacée;
Malgré plusieurs atomes crochus,
Avec ces amis qui vous reconnaissent
Comme si on s'était toujours connus !
Dans cette vie aux abois et débats;
Assaillie d'aléas rabat-joie,
Composée d'affinités
Et de véracité certifiée;
Avec le temps où l'on connaît
Ses amis,
Entre nostalgie et état d'esprit;
En atomes crochus,
Qui laissent la science infuse;
Suspendue en ayant la langue bien pendue
Malgré la langue de bois imbue
A la ballade du pendu,
Et plus si affinités !
Qui avec le temps passant;
Erige édifiant
Une affection longue durée
Entre les vrais amis,
A la mort, à la vie !
Avec des atomes crochus;
Qui consolident les théories
Et les idéologies,
De s'apprécier malgré
Les différences qui
Au final; sont complémentaires
Et salutaires,
En formant un duo très complet;
Et dont avec les atomes crochus !
Qu'il y ait ou non des affinités,
Ce qui compte !
C'est qu'en acompte !
Face à l'adversité
Et dans l'authenticité;
Il y ait de la réciprocité !
Dans un face à face résolu
Et qu'en dénouement, tout cela
S'dissout en une grande amitié;
Et fraternité avec singularité,
Avec bien entendu !
Et plus si affinités !
De grands atomes crochus.
Jérôme de Mars
L'hiver à tous les temps !
D'après Vivaldi et les quatre saisons !
Parfois; les quatre saisons
Sont pliées en quatre !
En tout cas en essuyant les plâtres,
Avec à chaque saison l'oraison;
Dont à la lisière
De l'ancienne année surannée;
Et de la nouvelle année sur année,
Il y a la sûre année;
Qui fait la météo en faisant
La pluie et le beau temps,
Et en parlant
De la pluie et du beau temps;
Comme l'hiver à tous les temps !
Qui givre en jetant un froid,
Glacé; gelé; con gelé
Et sûr gelé;
En ayant la gueule de bois,
Effet boule de neige !
Quand il neige !
Des privilèges qui allègent
Les sacrilèges !
Des flocons de neige;
Et des giboulées de Jérôme de Mars,
Qui grêlent
Celui ou celle qui fait du zèle !
En faisant tomber des grêlons;
Effet boule de neige
Lors de chaque mois de décembre,
Où il fait froid ! Neige comme hiver;
Comme l'hiver à tous les temps !
Qui vante son soleil !
Qui vente; évente ou invente
Un sortilège cruel !
Avec l'aide d'un parapente,
Qui incante en hautes altitudes;
Un soleil bleu radieux en plénitude,
Avec aucun nuage à l'horizon;
Grisant en un joli bonheur sans nuages
Sur le tarmac du balcon,
En ses ramages perdant leur plumage;
Comme l'hiver à tous les temps !
Qui s'des temps ou s'détend !
En écoutant le vent vendre du vent !
En mettant de l'eau à son moulin à vent,
Qui souvent; joue de la flûte de pan !
Et paon !
Voici l'oiseau de toutes les couleurs !
Qui sûr vole les hauteurs du temps,
Qui met des bouffées de chaleur
En ces temps et instants abondants;
Avant que tout foute le camp !
Lors de la nouvelle année sur année,
Après l'année surannée;
Dont résultat ! Il y a une sûre année,
Qui répand un courant d'air;
Comme l'hiver sans fin absolu
A tous les temps révolus !
Jérôme de Mars
Le Mossad est maussade au Maghreb !
Maghreb de canards;
Il y a le soleil sulfureux
Avec des canards boiteux,
Si bien que le cagnard
Se demande unanime !
Avant que ça s'envenime !
Si au Maghreb; tout le monde déprime
S'comprime et comprime
Tout le monde et leur humanisme !
Ou si tout le monde a de l'optimisme
Et est pour l'altruisme;
En étant distant avec l'individualisme et l'égoïsme,
Et si à l'ambassade;
En étant à la foi placide
Et acide,
Le Coran affirme
Que Le Mossad est maussade
Au Maghreb !
Depuis Berbère Oued;
Qui charria
La Charia
Des réacs,
Avec un passage à l'acte !
En vers les récalcitrants
Et les gens bienveillants;
Qui veulent la paix au Moyen-Orient,
Si bien que par conséquent;
Il y a une alerte à la bombe,
Dont c'est de la bombe !
Et une bombe à retardement !
Ce qui en retombe d'outre-tombe !
Depuis les catacombes;
De ce qui leur incombe
Aux Occidentaux dans leur crime de L'Orient
Express ! Qui compresse, oppresse
Et stresse en causant une détresse
Aux musulmans à l'ambassade;
En affirmant mécréant que le Mossad
Est maussade
Avec La Charia !
Qui charria
L'angélisme ou le salafisme
Des Musulmans,
Avec une bombe à retardement
Vies à vies des Juifs Séfarades;
Dans la ballade des gens onéreux,
Heureux ou malheureux !
En proclamant un appel à la paix extérieure;
Après tous ces conflits intérieurs
Sur La Terre de nos aïeux
Au nom de Dieu,
Dont pour que les Occidentaux; Les Musulmans
Se réconcilient avec Les Juifs Séfarades,
Il faut que tout le monde fasse fi des religions !
Et soit légion en une union
Libre dans la paix; l'harmonie;
Et l'amour quelque soit l'ethnie !
Avec au bout la paix,
Une grande communion
Entre les différentes communautés;
Dont voilà maintenant !
A chaque ambassade,
Le Mossad maussade
En embuscade;
Si bien qu'avec un bâton de Pèlerin,
Voici enfin de l'amour en vers son prochain !
A l'ambassade
Du Maghreb ! Avec enfin
La fin qui justifie les moyens !
Quand bien traité grâce à L'OTAN;
Le Mossad n'est maussade
Au Maghreb !
Jérôme de Mars
Fais-sourire la pluie !
Du bout de tes p'tits doigts !
Avec la dextérité
De ta guitare en bois;
Fais-sourire la pluie !
En un grattement de guitare,
Et fais-rire le puits !
Des rêves; afin que plus
Personne n'ait le cafard !
En appréhendant la peur
De l'inconnu !
Avec pudeur;
Et pour que dans la vie !
Il y ait une embellie,
Fais-sourire la pluie !
Avec sœur sourire !
Afin de rire
En bonne compagnie !
Au nom de Dieu !
Et des plaisirs
De la vie
Au nom de toutes les différences !
Où le tout forme la 5ème puissance
Du monde; bardé de confettis !
Et puis ! Pour que le puits
Se remplisse d'illusions !
Rends la vie en une pléiade de féérie,
Dont la magie
Regorge de floraison !
Sans fausses illusions !
Mais avec des papillons
Dans un effet papillon;
Qui jalonne la vie
En un florilège,
Qui allège le sacrilège
Des gens envers ceux;
Qui ont une pléthore de privilèges,
Et fais sourire la pluie !
Afin de rire de la vie !
Sous une satire d'accalmie;
Qui fait le temps d'un répit !
Une chanson d'accoutumance,
En émancipant la semence
Et son essence
Dans une quintessence;
Avec en régénérescence
L'amour de la vie,
Qui ressurgit inouï
En une panoplie qui arbore
La vie dans un folklore !
A l'effigie de toutes les flûte de pan !
Et de tous les instruments à vent !
Et avec sœur sourire !
Fais rire le printemps !
Tout le temps ! Et longtemps !
A l'infini en un huit infini !
Et sans discontinuer,
Fais-sourire la pluie !
De façon effrénée
Ainsi ! En toutes circonstances !
Jérôme de Mars
Je me présente aux présidentielles 2022 pour représenter les vers !
Ayant recueilli les 500 parrainages ;
Avec 500 par un âge de mes 43 ans,
Je me présente aux présidentielles 2022
Pour représenter les vers !
En vers ma colère; en tant que poète maudit
De chaque mot dit !
Où je me présente pour mettre en application
Un programme plus social
Que libéral de sécurité sociale, afin d'y apaiser
Le climat social dans son environnement
En France; en érigeant les maisons
Du Cœur en réquisitionnant les logements
Vides destinés aux sans-abris,
De sorte que tout le monde soit mis
A l'abri; avec aussi la fusion
De toutes les allocations en un revenu
Universel, uni vers celles des allocations
Telles que L'ASS, Le RSA; La Prime d'Activité
Et le Chèque Energie; Les Allocations
Familiales, à part l'APL; L'AAH
Et L'ASPA; l'ancien nom du minimum
Vieillesse qui resteraient comme tels,
Le montant de ce revenu universel;
Serait estimé à 700 Euros par mois,
Sans obligation de contrepartie
Pour les personnes fragiles et handicapées,
Mais si les gens travaillent;
Je propose que les 700 Euros
De leur Revenu Universel soient ajoutés
A leurs salaires, ce qui pourrait donner
Pour ceux qui travaillent; des revenus
Mensuels avec un minimum de 1200 Euros,
Et un maximum entre 2500 Euros et 3700 Euros;
En augmentant leur pouvoir d'achat,
Le plafond de revenus pour être éligible
A ce revenu universel; serait de percevoir
Un salaire inférieur ou égal à 3000 Euros par mois,
En me présentant aux Présidentielles 2022
Et en représentant les vers parmi les revers
De rage; je propose qu'au lieu d'augmenter
Les impôts, et bien pour résorber la dette contractée
Par le Covid; que pour financer la protection
Sociale, que chacun débourse une somme
D'argent mensuelle en fonction de ses moyens;
Avec un minimum de 15 Euros mensuel
Pour les non-imposables et un maximum
De 250 Euros mensuels pour les hauts revenus,
Dont leurs contributions mensuelles
Serviraient à financer la protection sociale;
Et à rembourser quelque peu la dette Covid,
Qui seraient remboursés de moitié le même mois
Par les impôts avec un crédit d'impôt contemporain;
Afin que chacun y trouve son compte au bout du compte,
En tant que candidat des vers; je proposerai
Aussi que les soins de pédicure-podologie,
Soient remboursés à 50 %; 25% par
La sécurité sociale et les autres 25%
Par la mutuelle, et je propose aussi
Que pour faire couler beaucoup d'encre;
Qu'on encourage davantage les artistes
Troubadours à publier des poèmes
Et des livres sur Internet, et que la moitié
De leurs droits d'auteur; soient versés
D'office à des associations caritatives,
A part évidemment les artistes
Précaires bien entendu;
Pour le chômage; je propose que les gens
Qui peuvent travailler, qu'on les oblige à travailler
Mais pas à n'importe quelle condition;
A condition que leur travail soit intéressant,
Et même si le salaire est modeste au début;
Je propose que concernant les salaires
Des employés en même temps que
Leurs carrières professionnelles, qu'il y ait
Des marges de progression proportionnellement;
Aussi bien du côté des salaires que du grade,
En montant du bas de l'échelle
Et en gravissant les échelons; quitte à atteindre
Au dernier stade et en ultime recours,
Un poste de direction et pour les fins de
Carrière difficiles à cause des métiers pénibles;
Je propose que les anciens salariés pour passer
Le relais progressivement, fassent la transmission
De leurs expériences aux nouveaux arrivés
En poste; pour que les novices exécutent
Les tâches professionnelles pénibles;
Je propose que dans les écoles pour
Qu'il n'y ait plus de harcèlement scolaire, qu'il
Y ait des éducateurs dans les écoles
Que ce soit de la maternelle et à l'université;
Pour réguler les comportements inappropriés
Entre les élèves déviants; concernant la
Justice, je propose que pour les crimes
Les plus graves; que les coupables
Soient condamnés à la perpétuité;
Et pour les délits les plus légers
Pour dégraisser la surpopulation
Carcérale, je propose qu'il y ait
Des travaux d'intérêt général
Qui soient imposés aux délinquants;
Pour les remettre sur le droit chemin,
Concernant le cannabis; je propose
Qu'on le légalise, juste à des fins
Thérapeutiques pour soulager
Les douleurs des patients concernant
Leurs pathologies par le biais du
Cannabis thérapeutique; concernant
L'immigration pour limiter les délits
Et les crimes; je propose que les
Immigrés par rapport à leur demande
D'asile et d'intégration en France;
Qu'il y ait soit l'assimilation d'office,
Ou soit une période
D'essai d'office qui serait renouvelable
Tous les 20 ans; même s'ils obtiennent
La nationalité Française, quant au maintien
De leur présence en France pour
Etre sûrs que les étrangers;
Candidats à la nationalité Française,
Soient intègres et se plient aux règles
De La France; tout en respectant
Leurs convictions religieuses qui
Doivent se pratiquer dans l'intimité,
Je propose que par souci
De l'harmonie du climat social
En France et pour que l'environnement
Ambiant soit agréable et bienveillant;
Qu'il y ait 3 jours solidaires
Obligatoires en France chaque
Année, répartis soit la même semaine,
Ou soit fractionnés en plusieurs jours
Dans l'année; où chacun exercerait
Une mission humanitaire
D'intérêt général dans le lieu
De son choix, soit pour
Une association caritative;
Une structure médico-sociale,
Ou un institut social d'utilité publique
A but non lucratif; je propose aussi
Que dans l'année, également
Afin de favoriser l'affection
Et la fraternité; qu'il y ait
5 jours d'affection longue durée,
Afin que tout le monde
Se fasse une accolade 5 jours
Par an; dans les mêmes modalités
Que les 3 jours solidaires, et enfin
En avant-dernier point; je propose
Que pour les retraites que les
Gens qui veulent continuer à travailler,
Après l'âge légal de départ à la retraite
Qu'ils puissent y avoir pour eux;
Un compte retraite en plus de leurs salaires,
Mais dont tant qu'ils sont en activité
Professionnelle, seule leur salaire
Serait versée; tandis que leur compte retraite
Cumulerait toutes les pensions de retraite
Mensuellement; à partir du temps
Où ces salariés auraient du arrêter normalement
De travailler à l'âge légal de départ
A la retraite, et dont lorsqu'ils arrêteront complètement
De travailler, ces personnes toucheront en plus
De leur pension de retraite; un rappel amassé
De leur compte retraite qui aurait du leur être versé
S'ils avaient pris leur retraite à l'âge légal de départ
A la retraite, et ces employés
Qui travaillent largement après l'âge
Légal de départ à la retraite; pourront
S'ils le souhaitent commencer
A réduire progressivement
Leurs activités professionnelles
A partir de 68 ans, et cesser
Complètement leur carrière
Professionnelle à l'âge maximal de
80 ans; et en dernier point, je propose
Que pour la santé des Français à travers
La sécurité sociale que son financement,
Soit géré dans les mêmes modalités
De conditions que pour
Le reste de la protection sociale Française;
Concernant la pérennité du modèle social
Francais, voilà ! Et pour que tout le
Le monde soit logé à la même enseigne;
Je propose qu'il y ait un droit au logement
Obligatoire, avec un relogement obligatoire
Envers Les Francais qui sont expulsés
De leur logement social ou privé;
Sous peine d'amende pour les collectivités locales
Et l'état, et je propose que pour ceux
Qui ne peuvent pas travailler; qu'on
Encourage ceux qui veulent, à faire
Du bénévolat moyennant des tickets-restaurant
Ou chèques-cadeaux pour les inciter, les motiver
Et les récompenser de leur bénévolat;
Car si en tant que bénévoles, ils reçoivent
Un peu d'argent; ça risque d'impacter
Leurs allocations, voilà mon programme
A moi le poète maudit qui me présente
Aux présidentielles 2022 avec mes vers de rage;
Pour représenter les vers à cause des
Revers de la crise, dont pour limiter les effets
De la crise; il vaut mieux avoir
Ou faire une crise de rire...
Jérôme de Mars
For et vers
Dans un fort cagnard !
As-tu les clés de l'énigme
De Fort Boyard
En ton paroxysme ?
Si c'est un euphémisme ? !
Que malgré tes faux revers !
Tu écrives for et vers,
Comme si depuis toujours;
Tu hurlais d'amour
Ton blues linéaire !
A chaque hiver
De ta vie,
Tel un poète maudit !
Qui fait le récit
De sa vie en dents de si;
For et vers,
Malgré tes faux revers !
Où tu as tout faux et vers !
Si tu te mets aux vers
Avec ta bonne nature;
Qui jette en pâture
Tout ce que tu sublimes !
De par ta mise en abîme !
Dans ton fort et vers,
Sauf si tu te présentes parmi les vers
Lors des présidentielles de 2022 !
En vers nous deux !
Si tu représentes les vers
Dans leur faux revers !
En ton for et vers;
Si jamais tu forais vers
L'arbre qui cache la forêt !
De tes vers,
Si seulement si c'est ta tasse de tes vers !
Que tu entasses dans la promiscuité
Et l'insalubrité de ton for et vers;
Alors que tu témoignes souvent
Et souvent
De tes faux revers;
En allant et vers
Envers tes poèmes,
Qui respirent ta ligne marginaux !
Depuis naguère en tes joyaux originaux;
En ton for et vers,
Malgré tes faux revers !
Dans ta vie à découverts !
Alors pour que tu payes le prix
Fort ! Sois un repris
D'injustices au service des couverts !
Sous couvert de rester dans la fourchette
Des prix de par tes emplettes !
Sans faux revers;
Et pour vérifier que dans le fruit
Il n'y aucun ver !
En faux revers,
Rends ta vie si fleurie !
Dans ton for revers;
De faux revers,
Qui s'exacerbent en vers l'embellie
De ton for et vers.
Jérôme de Mars
L'argent ne nous rend immortels !
A l'autel des bonnes consciences;
Même en forte affluence,
Qu'on le veuille ou non !
L'argent ne nous rend immortels !
Dans le plus commun des mortels;
Qu'on soit couillons et bougons !
Qu'on ait le bourdon !
Qu'on s'monte le bourrichon !
Ou qu'on soit folichons !
En joyeux fanfarons
D'anciens larrons,
Pendant que dure la vie réelle
Sur Terre en s' la faisant belle !
Ou qu'elle endure de façon cruelle
Sous la tutelle ou la curatelle
Du plus commun des mortels;
L'argent ne nous rend immortels !
A part peut-être croire untel fidèle
Que la vie dure éternelle !
Ou que la vie endure solennelle !
Que chaque jour nous rappelle
Qu'on naît de passage sur Terre !
En une vie étapes par étapes éphémères,
Où même si l'argent ne fait le bonheur !
L'argent contribue largement au bonheur !
A la grandeur !
D'une vie dans l'honneur
Et l'ardeur !
Parce-qu'avec la ferveur; l'argent comptant
Suffit amplement à mettre des pansements
Dans les plaies !
Des vies impactées et laminées
En rituels de sacrifices décrétés,
En préservant les fragiles
Et en sollicitant les gentils;
Et même si l'argent ne nous rend immortels !
Il peut nous rendre fraternels,
En vue d'aimer
Et d'aider
Son prochain;
Avec de la suite dans les idées !
De la veuve et de l'orphelin,
Où pour ne rester seuls !
Faites venir des gens qui veulent
Avec vous passer le temps !
Et tracasser
Les emmerdes qui durent longtemps !
Qui en découleront
Que le printemps prendra enclin son temps
En ces temps chancelants !
Où tenez-le vous vraiment
Pour dit ! Puisqu'il vaut mieux
Avoir des remords que des regrets !
Avant votre mort sous un soleil radieux
Et bien bleu; dont pour rester humble !
Et simple
Dans le plus commun des mortels !
Et le plus simple appareil !
Il faut savoir sempiternel !
Que ce qui hait mortel
Dans cette vie solennelle,
C'est que l'argent même en prenant
Tout en argent comptant
Et tout pour argent comptant !
Et bien en contretemps; l'argent
Ne nous rendra jamais immortels !
Jérôme de Mars
Un des si !
Un des si !
Certaines amitiés parallèles;
Deviennent au fur et à mesure
Intemporelles et essentielles !
Qui configurent
Non pas indécis !
Mais un des si !
Dont là ! On fonctionne avec des scies !
Qui vous scient
Sciemment ! Confortablement assis !
En mangeant votre pain rassis
Un des si !
Pas indécis !
Dont si si ! On fonctionne avec des si !
Ca fera si scie !
Qui vous scie
Du regard sciemment ! Ah si ! Assis !
En mangeant votre pain rassis !
Et en faisant pâle figure
De si
Votre désinvolture !
A fière allure ! Augure
Et inaugure
Des si indécis !
Et six scies !
Dont ce sera plutôt un des si !
Si si nous assis,
On mange notre pain noir ou blanc rassis !
Et assis ! Ah si !
Et qu'on fonctionne avec des si !
Qui vous disent ainsi si ! Hein si si !
Inquisitrice en fonctionnant avec des si !
De si et seulement si !
On est indécis !
Et on vous claironne en fonctionnant avec des scies !
Qui vous scient
Sciemment ! Un plus hein ! Indécis !
Qui vous déchiffrent à l'appui !
Un des si !
Jérôme de Mars
Mets ta veste !
Maux d'hiver !
V'là un inventaire
De Meta vers,
Où même
Si dans son totem;
Tout le monde retourne sa veste !
Mets ta veste !
Sur Facebook !
En mettant sur ton book !
Le fait que sur Meta vers,
T'es en sûr book !
Où pour le reste !
Essaie de lâcher du leste !
Quitte à ce que tu retournes ta veste !
Après que tu te sois pris une veste !
Donc pour cela, mets ta veste !
Et soit leste et preste !
Comme le soleil qui s'élève à l'Est !
Sur Meta vers;
Instagram;
Ou Twitter;
Si t'as un gramme
De paroles haineuses
Sur Facebook !
En sûr book !
De tes pensées les plus sulfureuses !
En ta colère furieuse
De ce que tu postes,
Et compostes
En posts bizarres
De ta tare;
Où nul ne comprend ta rengaine,
Ta haine;
Et ta colère !
A part chaque fin de semaine,
D'où tu envoies tout promener
La tête en l'air !
En l'air; en prenant de grands airs !
Et si tu retournes ta veste !
Et que tu te prends une veste !
Et bien ! Mets ta veste !
Sur Meta vers !
Pour que dans le fruit, il n'y ait
Aucun ver !
Et lâche du leste !
Pour le reste leste et preste !
En t'en foutant d'Instagram !
Et de ce qu'il y a au programme;
De Facebook
En sûr book !
Ainsi que de Twitter !
A part twitter des insanités !
Et toute la voracité
De ta si indomptable colère !
En écrivant dans ton télégramme,
T'as un gramme
D'Instagram dans le sang !
Où tu te remues en faisant
Un sacré boucan !
De tous tes posts
Sur Facebook !
Que tu postes
Et compostes !
En t'en crevant les tympans !
A coups de malentendus
Des conséquences de ta vie dissolue,
A coups de sûr book !
Où tu retournes ta veste !
Après que tu te sois pris une veste !
Et pour la toute dernière fois preste !
Lâche encore du leste !
Dont tu en restes !
Après Facebook; Instagram et Twitter;
En rédigeant un Meta vers !
En direction d'un avenir
Enjoliveur, réparateur, pacificateur
Et meilleur !
Que tout le monde espère
Pour toi ! Afin
Que tu t'accordes en faim
Du plaisir !
Dans le bon sens du terme !
Après avoir tant vidé ton sac isotherme !
Et pour cela sois leste et preste !
Car pour le reste
De ta vie !
Afin de te protéger
Des éventuelles intempéries !
Et bien au bout du compte !
Mets donc en acompte
Une veste !
Jérôme de Mars
Le soleil va rallumer La Terre...
On dit que l'amour finit toujours par triompher !
Mais à quoi bon patienter afin de le divulguer
Salutaire envers ses congénères;
Qui mènent vers la lumière
A y voir plus clair !
Où enfin linéaire,
Le soleil va rallumer La Terre...
Autant pendant l'été que l'hiver
Dans une fluorescence braquée;
Des projecteurs
Vers les lueurs
Du jour transcendé,
En route vers la résurrection !
Du temps que tout le monde pensait
En extinction;
Alors que d'une incontournable rébellion !
Le simple temps évoqué,
Fait qu'il est transporté nécessaire
Dans un chemin de Compostelle;
Auquel chacun
Y retrouve l'essentiel !
Avec son bâton de pèlerin
En une vie entière et prospère,
De laquelle le soleil va rallumer La Terre...
Le soir de Noël
Un samedi soir sur La Terre !
Comme le fredonnait
Si bien Francis Cabrel;
En y croyant encore exponentiel
Et substantiel !
Dur comme faire
A un monde fraternel,
Mais à cause injustement
Et indirectement
Du soleil;
Le monde est-il condamné à être vieux
Dans de la vermeille
Entre gens vaniteux et sulfureux ?
Alors qu'il faudrait une jeunesse de merveille,
Où tout le monde en chœur chanterait volontaire
Que le soleil va rallumer La Terre...
Dans cette grande pièce noire en y ajoutant
Des couleurs;
Avant le printemps
En chaque journée resplendissant d'ardeur,
En y sirotant un bon café !
Au café des amitiés intemporelles;
Qui durent plus que de clarté
Et de raison,
Desquelles chaque saison compte de floraison
Et de moisson;
Et dont en parsemant une assurance solidaire !
Et bien presque à coup sûr; le soleil interstellaire va rallumer
Durant des années lumière La planète Terre...
Jérôme de Mars
Benjamin de cette famille dont c'est le cadet de ses soucis !
Benjamin, cadet d'une famille de sept enfants; dont en étant le benjamin de cette famille ! Ca fait que c'est le cadet de ses soucis ! Comme il est très privilégié et entouré par sa famille, dont il existe en tant que benjamin; chouchou de cette smala, et en tant que cadet de la famille; cela reste que c'est le cadet de ses soucis à Benjamin, lui le cadet et benjamin de cette tribu; dont pour finir voici en dernier point Benjamin ! Cadet de cette famille unie, dont cela est le cadet de ses soucis ! De demeurer cadet; le benjamin de cette famille.
Jérôme de Mars
La vie est un long fleuve tranquille sur Seine...
De mon temps; y avait Montand sur Seine qui traînait avec Trenet ! En trouvant sur la voie ferrée Léo ferré, qui bécotait avec le temps ! Le calumet de la paix de Gilbert Bécaud; comme tous les chemins menaient au rhum de Serge Reggiani, lui l'italien; dont tous ensemble en chanteurs à textes, c'étaient les copains d'abord à Georges Brassens ! Avec Barbara; la seule amie féminine de ce groupe d'amis quasiment masculin, qui prenait son envol en aigle noir avec Jacques Brel; les bourgeois bohème, tels tous les deux des oiseaux aux ailes brisées; à part chanter avec Claude Nougaro à Toulouse, en faisant la java qui faisait jazzer Charles Aznavour dans ses emmerdes à Ménilmontant; en n'faisant pas de quartiers en plein Paris ! Lui Charles Aznavour, qui traînait avec Charles Trenet; où y avait de la joie ! A ce moment-là sur les bancs publics ! En retrouvant Gainsbourg, assis de mon temps avec Montand; en chantant les feuilles mortes, la chanson de Prévert en plein automne de la Javanaise; dont Bécaud en grillant cigarettes sûres cigarettes, chanta pour conclure ce concert de louanges en hommage à tous ces artistes, chanteurs à textes de mon temps, de Montand à Paris ! Quand il est mort le poète ! Où à Paris; la vie est depuis un long fleuve tranquille sur Seine...
Jérôme de Mars
L'amour est un volcan qui fait éruption !
Eruption dans chaque vie personnelle;
En faisant l'amour charnel,
L'amour est un volcan qui fait éruption !
Dans chaque vie aux sentiments qui font irruption !
Entre fantasmes refoulés et désirs inavoués !
Parce-que faute avouée est à moitié pardonnée !
Quand les sentiments s'emmêlent les pinceaux !
En quiproquos dans un statu quo;
Dans lequel l'amour a ses avantages et ses inconvénients !
Entre naufrages annoncés et rebondissements en sentiments,
Ranimés et revitalisés par la passion atomique !
Dont seule l'alchimie connaît la potion magique et chimique !
Quand l'amour joue des violons !
Au vitriol; afin que les couples pérennes durent sempiternels !
Entre l'amour physique et l'amour charnel
De leurs vies personnelles !
Pour qu'il n'y ait de tue-l'amour en irruption et en interruption !
En ravivant l'amour dans le réel et moins dans le virtuel,
Si bien qu'en accordant les violons de tout un chacun !
Entre plaisirs puritains et libertins;
Vivement que l'amour soit un volcan qui fait éruption !
Et irruption !
En faisant couler de la lave suave !
Par abord aux ravages qui enflamment les liaisons,
Qui en bavent !
Autour de suggestions en irruption;
Dès que l'amour est un volcan qui fait éruption !
En bouchant les cratères
Avant que les artères
Des cœurs d'artichaut soient bouchés !
Et dont en des bouchées; débouchés !
Ca en bouche certains
Dans leur coin !
A attendre le fameux moment divin !
A demander à l'unisson en mariage
Les ramages et leurs des plumages,
Avec pour fin de chanson qui fait irruption !
Des paroles frivoles;
Dont l'amour est un volcan qui fait éruption !
A en perdre ses boutons de manchettes dans de l'amour
En gants de velours !
En faisant du violon,
En surgissant dans l'action;
Et en faisant pour de bonds
Définitifs sans faux bonds furibonds, la jonction
En faisant une irruption
De vers lents !
Avec des sentiments;
De sorte
Que par la grande porte !
L'amour triomphe sans bémol,
Tel un volcan qui fait irruption sans interruption;
En une éruption cutanée !
De la puberté à l'apogée de sa majorité.
Jérôme de Mars
Le soleil dort à la belle étoile
Et fée papillon qui s'assouplit dans un été danseur et toile !
Le soleil dort à la belle étoile;
En haute voltige dans le ciel,
Qui jonche les arcs en ciel
En inspirant la constellation à la prunelle
Des yeux du soleil;
En admirant dans le ciel les nuages qui s'dévoilent !
Puisque le soleil dort à la belle étoile,
Ebahie par la compagnie des lutins;
Qui nettoient les nuages indifférents pour en faire un territoire urbain
En plein Hollywood boulevard des toiles,
Puisque le soleil dort à la belle étoile
Filante et défilante; qui pense regarder chaque jour parallèle
Comme si c'était le dernier à s'rappeler le ciel qui isole celle !
Rue du quartier de la banlieue nuptiale;
Puisque le soleil dort à la belle étoile,
Etoile des neiges qui et fée boule de neige !
Elargit le privilège dans un florilège;
Entre les mots de la déco dans le ciel !
Qui puise l'eau qui ruisselle,
Dont c'est la goutte d'eau qui fait déborder la frontière;
Là-haut dans un ciel imaginaire !
Comme Molière qui truffe
Un personnage à sa démesure de Tartuffe
Jusqu'à recevoir les toiles
De la grande ourse,
En arrivant au bout de la course;
Puisque d'office le soleil dort et redore à la belle étoile.
Jérôme de Mars
Ma lettre
Ma lettre bien naître ! Et bien être de mon mal-être de mon mâle être; telle ma lettre de mal-être de mâle être, où je prends tout au pied de la lettre de ma lettre en ayant envie de me jeter par la fenêtre; en prenant tout en argent contant pour me jeter l'argent contant rejeté par les fenêtres, de ma lettre de mal-être de mâle être; soit pour mourir et reposer éternellement dans mon hêtre en paix dans un Havre de paix planté là, comme un arbre de 100 ans en paix dans le jardin d'Eden; qui plante la graine pour semer un arbre d'amour et de fraternité ! Et pourvu qu'il y ait la paix dans ce monde délétère et austère de ma lettre mal-être de mâle être, où je prends tout tellement au pied de la lettre ! Que ma lettre est le reflet de mon spleen; dans un état des lieux stone et shooté par les excès de mes camouflets, témoin de mon mal-être de mon mâle être, où j'écris ma lettre pour dire que bien naître sur Terre; conditionne son avenir pour bien-être en inventaire ! D'une vie qui sera soit dans un ciel bleu azur ou soit dans des bleus immatures d'une vie à vouloir rejoindre le ciel, dont quiconque qui vient au monde n'est méchant ! On le devient méchant ou gentil selon les évènements que l'on vit dans sa vie ! Qui engendrent soit des confettis extérieurs ou sursoit des conflits intérieurs selon ce qu'on vit dans son enfance ! Dont nul ne guérit de son enfance ! Ou naît à guéri de son offense aguerrie ! Dont pourvu que quiconque ne soit dépourvu de ma lettre; témoin de mal-être de mâle être, pour que ça serve de leçons à autrui ! Afin que personne ne fasse et refasse les mêmes erreurs que moi ! Dont le plus important; naît pas l'argent ! Mais le bien naître pour bien-être dans son avenir ! Car même si, l'argent contribue au bonheur ! L'argent n'achète pas tout y compris le bonheur ! Et à votre avis ? Le fait d'avoir de l'argent vous empêchera-t-il de mourir et vit-on éternellement même qu'on a de l'argent ? Et une fois qu'on naît morts; emporte-t-on tout son argent avec soi au cimetière dans sa tombe ? L'essentiel sur Terre, n'est pas forcément être le plus riche matériellement; car on peut être aussi pauvre humainement en même temps; mais dont l'essentiel, c'est d'être tout simplement un homme riche humainement; tout en étant riche matériellement mais de façon modérée ! Or ! La vie passe vite et on a qu'une vie ! Alors si vous êtes témoins de ma lettre, de mal-être de mâle être ! Prenez vraiment tout au pied de la lettre de ma lettre de mal-être de mâle être ! Dont pour bien naître ! Il faut bien-être dans votre vie professionnelle et votre vie privée, les secrets d'une vie équilibrée et épanouie; en paix et dans la sérénité de son être accompli et réalisé, où au bout du conte; chacun y trouve son conte ! Pour écrire le fil de conducteur de sa vie ! Et ne plus jamais demeurer le fil réducteur de sa vie, en perdant le fil conducteur de sa vie ! Ainsi ! Sont les secrets pour vivre longtemps, en harmonie et en bonne santé de ma lettre pour bien naître dans ma lettre de bien-être.
Jérôme de Mars
Le je de cette famille !
Petites vannes issues des re-vannes où comme je joue au je de cette famille, tout le monde joue cartes sur table avec moi !
1ère vanne :
Jérôme B, fils : " - Papa, pourra-t-on se voir demain soir pour manger ensemble au restaurant ? "
Michel B, père : " - On verra Jérôme ! "
Jérôme B, fils : " - Je pense que tu me dis on verra, car on verra si t'as encore eu la cataracte ou pas, n'est-ce-pas ? "
2ème et re-vanne :
Jérôme B, cousin : " - Pourquoi Sabrina, ne joue-t-on plus ensemble au rami ? "
Sabrina F, cousine : " - Jéjé parce-qu'on joue déjà cartes sur table avec toi comme tu joues au je de cette famille et que ce n'est plus nous ta famille, ton meilleur rami ( ami ) mais que ton meilleur ami, ce sont tous tes amis du Cerep, ceux de l'hôpital de jour du Parc Montsouris que tu connais depuis 1995 ! "
3ème et re-vanne :
Georges B, oncle : " - Jéjé, pourquoi appelles-tu tout le temps par SMS moi, Michel Sardou et ma femme Marie-Ange Nardi ? "
Jérôme B, neveu : " - Pour te faire passer le message qu'on connaît tous la chanson à mon sujet car t'es laid cette chanson ! "
4ème et re-vanne : "
Simone M, cousine : " - Jéjé, pourquoi n'arrêtes-tu pas de m'envoyer par SMS des blagues douteuses en chambrant le génocide des Arméniens ? "
Jérôme B; cousin : " - Parce-que je re-vanne en chambrant le génocide des Arméniens pour qui ça a gazé comme le génocide des Juifs dans leurs chambres à gaz ! "
5ème et re-vanne :
Laëtitia B, cousine : " - Jéjé, pourquoi est-ce-que j'ai été obligé de te menacer de te casser la gueule pour que t'arrêtes d'emmerder par SMS Katia et moi ? "
Jérôme B, cousin : " - Parce-que t'avais ça en magasin en vante ! "
6ème et re-vanne :
Dominique P, cousine : " - Veux-tu venir le jour de Noël manger avec nous pour réveillonner ? "
Jérôme B, cousin : " - Non, je ne viendrais car je ne suis jamais dans mon assiette le jour des fêtes de fin d'année comme en ce moment, je suis à couteaux tirés avec Simone, Dominique Et Jojo ! "
7ème et re-vanne :
Suzanne R, tante : " - Pourquoi ne m'appelles-tu jamais sur mon portable pour prendre de mes nouvelles ? "
Jérôme B, neveu : " - Car pour que mon entente soit au beau fixe avec toi, je t'appelle sur ton téléphone fixe, et c'est ça le mobile de pourquoi je ne t'appelle pas sur ton téléphone mobile ! "
8ème re-vanne :
Jacqueline B, belle tante : " - A ton avis Jéjé, pourquoi n'ai-je jamais arrêter de te dire : " Compte sur toi ! Ne compte pas sur les autres ? "
Jérôme B, neveu par alliance : " - Tout simplement Jacqueline parce-que tu ne m'as jamais calculé ! "
9ème et re-vanne :
La famille Bedrossian, en chœur : " - Jéjé, pourquoi es-tu en conflit avec nous tous ? "
Jérôme B qui joue cartes sur table avec la famille Bedrossian au je de cette famille en chœur, par cœur :
" - Je joue cartes sur table avec vous tous au je de cette famille, car par cœur de ma rancœur, tout m’écœure du fait que mes amis comprennent mieux mon état psychique que vous tous en chœur ! Et bien en jouant cartes sur table au je de cette famille avec vous tous en chœur, et bien par cœur ! Je vous dis à vous tous en chœur à cœur ouvert que je suis las de cœur de toute ma rancœur par cœur avec le cœur sur la main malgré tout mon cœur de pierre ! "
Jérôme de Mars
Le Coran qui charria La Charria !
Religion musulmane;
Dans ce slam
Mélomane,
Faisons appel à un Imam !
Afin qu'il déclame
Mégalomane !
Que C'est Le Coran
Qui charria La Charria !
Et qui part en Coran !
En con Coran !
Et en mettant au Coran
Du Salafisme;
Genre que c'est de l'angélisme
Ou un fatalisme d'intégrisme,
Très kamikaze qui case
Loin du Caucase !
Comme quoi
C'est le Coran
Qui charria La Charria !
A base
D'extrémisme
Radical;
Où en cherchant
L'original,
On s'rend compte que ce slam;
Est du à la réclame d'un imam !
Avec aussitôt Le Salafisme
Qui naît plutôt de l'angélisme !
Mais aussi du pessimisme !
De voir que Le Coran
N'est accepté
Et toléré
Que par quelques gens !
Et une minorité de blancs !
Mais dont Le Coran !
On fait tout pour le dissuader
Et le persuader de renoncer
Au monde des vivants !
Pour le ranger
A la Mosquée !
Au monde des morts-vivants,
Afin que ce soit
Sa tasse de thé;
En servant
Et asservissant
Le thé à la menthe religieuse,
Ravivant les pansements;
Où tout le monde ne fait
Que penser et panser
Les plaies mobiles,
Ombrageuses
En jouant au Playmobil !
Transgenre que Le Coran
Ne doit mettre au courant
Personne qu'il y a le Coran !
Qui ne doit mettre au Coran
Personne; afin que tout le monde
Parte en Coran !
Tellement que dans ce slam;
L'Imam veut mettre au Coran
Tout le monde qu'il sonde !
En les mettant au courant !
Que pour remettre Le Coran
Au courant !
Qu'il faut remettre Le Coran
En rétablissant Le Coran
Du courant au courant
Et avec du courant
Entre les gens !
Dans le courant
Du Coran
Et haut Coran !
Que Le Coran
Dans la vie permet
De relativiser les tourments !
Et le désarroi de chacun !
Pour l'amour de son prochain !
Dans la vie au Coran
Et con Coran,
En édulcorant certains passages
Du Coran pas à fable
Et à pas affables !
Sans blagues !
Car blague is blague !
Où en cette fin de slam;
L'imam veut qu'il y ait de l'amour
En guise d'humour !
Pour remplacer le salafisme qui désintègre !
Par de l'angélisme intègre qui intègre
Et réintègre
Dans le Coran du Coran !
Pour mettre au courant
Tout le monde !
Qui doit mettre au courant
Quiconque qu'on sonde !
Que Le Coran,
C'est de l'amour concourant !
Duquel personne ne doit partir en Coran !
Dont il doit mettre au Coran
Quiconque ! Courant
Coran !
Que pour être dans le Coran !
Et rentrer dans le Coran
Des choses Con Coran !
Qu'il faut que Le Coran
Passe entre ceux qui ont du Coran
Entre les mains et dans les mains !
Et qui ont lu Le Coran
Au nom de l'amour de leur prochain !
Qui rétablissent le Coran
Et qui remettent le Coran !
En étant une bonne foi pour toutes
Au Coran !
Afin que plus personne n'en ai rien à foutre
Du Coran !
Comme c'est Le Coran haut Coran !
Qui charria
Il était une fois pour toutes La Charria !
Jérôme de Mars
Fais couler un bon bain de jouvence !
Eau qui ne coule pas de sources !
C'est la douche froide !
Dès fois que tu ferais la course
A t'en laver les mains
De ton destin !
Alors qu'il suffirait juste
Que tu te prennes en main !
Dont et ben ! Et bien !
Fais couler un bon bain de jouvence !
En te prélassant ainsi robuste
Dans un bon bain de lavande !
Dans la loi de l'offre et de la demande
Pour laver tes sentiments
En faisant un bon ménage de printemps !
A faire couler de tendres insouciances;
Dont pour que tu fasses souffler
Des humeurs froides !
De façon chaleureuse
Dans une atmosphère merveilleuse
Et radieuse !
Fais couler un bon bain de jouvence !
De préférence
Un bain chaud dans une sérénité harmonieuse,
Afin de t'en laver les mains !
De ce que te réserve demain !
Et dont tu verras bien
Demain et ben ! Et bien !
A part passer le temps
En lavant tes sentiments
Dans un élixir d'amour;
Pour que tu influences
Les gens dans une machine
De tambours,
Menée tambour
Battant dans une machine
A laver tes sentiments;
Avec du dépoussiérant
En y insufflant du désodorisant,
Afin qu'il y ait de l'adrénaline
Dans ton bain d'innocence
Dont et ben ! Et bien !
Fais couler un bon bain de jouvence !
En y semant O' bien un essaim
De ton teint empreint !
De tant de machines à remonter le temps
A t'en laver les mains !
De ta machine à laver ton destin !
De lendemains en sûrs lendemains;
En donnant un coût de main
A ta machine de tambour,
Menée tambour
Battant à l'aide d'un tambourin;
Tambour un dans un deux en un !
O ben ! Et bien ! Boute-en-train !
Dont c'est ta chanson numéro un !
A t'en laver les mains !
De ta machine à laver de tes mains
Cette machine à remonter le temps,
En balayant tes sentiments
Avec du dépoussiérant;
En se désolidarisant
De ton désodorisant,
Qui odorant
Ton déodorant;
Provoque un bruissellement
Du fond de tes tympans !
Avec la machine à remonter le temps
Et à laver le temps
Dans ton ménage de printemps,
Qui lave tes sentiments
A travers ta machine à t'en laver les mains !
Qui du soir
Au p'tit matin !
Fait que pour toi ! Et ben ! Et bien !
Au p'tit matin !
C'est la douche froide !
A te doucher tes faux espoirs
Qui t'évadent
Dans ton bain ! Et ben ! Et bien !
O' combien rétro et slow;
Issu de ton cœur d'artichaut !
Et pour que ton bain
Reste évidemment ben bien chaud !
Fais couler dans l'ignorance
Un bon bain de jouvence !
Jérôme de Mars
Ca sent le sapin à L'ESAT La Fabrique !
Petite saynète à propos de L'ESAT La Fabrique à l'approche des fêtes de fin d'année !
Echange verbal au téléphone entre Charlotte P et Jérôme B au sujet de L'ESAT La Fabrique, deux anciens collègues et deux anciens agents de production de L'ESAT La Fabrique :
Charlotte, une ancienne collègue à la retraite :
- " Allo bonsoir mon petit Jérôme, comment vas-tu ? Effet boule de neige à L'ESAT La Fabrique; il va neiger; c'est le déluge; à L'ESAT La Fabrique vu que tout le monde déguste; il n'y aura pas de fête de fin d'année; il n'y aura juste qu'un repas de Noël amélioré ! "
Jérôme B, un ancien agent de production :
- " Bien Charlotte; ça va surtout mieux depuis que j'ai quitté cet ESAT où ça sent le sapin ! Tu vois Charlotte dans cet ESAT, j'en ai tellement dégusté que je me prenais sans arrêt des gamelles en déboires vu qu'on me parlait comme un chien ! Le repas de Noël amélioré à L'ESAT, c'est juste la seule chose sur laquelle ils se sont amélioré ! Remarque Charlotte; toi et moi, on s'en fout de de qui se passe à L'ESAT ! On n'y est plus ! Ce n'est plus notre problème ! C'est à eux de trouver des solutions face aux problèmes qu'ils rencontrent à L'ESAT La Fabrique ! Tu vois Charlotte, je vais pas pleurer pour eux comme à L'ESAT, ça sentait le sapin surtout chaque fin damnée vu que tout le monde m'enguirlandait et que j'avais les boules avec une épine dans le pied ! "
Charlotte, une ancienne collègue à la retraite :
- " Oui; je le sais déjà tout ce que tu me dis Jérôme ! Tu me l'avais affirmé une autre fois tout cela ! Je peux te rassurer à L'ESAT Jérôme; tout le monde en a tellement marre de L'ESAT que tout le monde commence à perdre la boule en devenant maboule ( ma boule ) vu que ça sent le sapin à L'ESAT La Fabrique ! En fait juste une simple question par curiosité Jérôme ! Pourquoi les dernières années où tu étais à L'ESAT, allais-tu manger toujours dehors un kebab au lieu de participer au repas de Noël amélioré à L'ESAT ? "
Jérôme B, un ancien agent de production :
- " Si à chaque fin d'année, je mangeais toujours au kebab et que je ne participais pas au repas de Noël amélioré à L'ESAT ! C'est parce-que j'avais peur qu'on m'envoie promener chez les Grecs vu que j'étais la tête de Turc de tout le monde à L'ESAT La Fabrique vu qu'à L'ESAT, je n'arrêtais pas de bûcher sur ma bûche pâtissière en embûches alors que pourtant j'étais une crème avec tout le monde vu qu'à L'ESAT, c'était pas du gâteau mes relations avec mes collègues qui ne comprenaient pas et dont chaque Noël à L'ESAT, pour moi c'était la fin damnée en faisant une galette désarroi en la vomissant comme chacun avait ses têtes dont la mienne en grosse tête de Turc ! "
Charlotte, une ancienne collègue à la retraite :
- " Que puis-je te souhaiter mon petit Jérôme comme pour toi à chaque fin d'année, ça sent le sapin ? "
Jérôme B, un ancien agent de production :
- " Qu'on puisse se souhaiter à toi et à moi une bonne fin d'année 2021 et un bon début d'année 2022 en trinquant à notre santé après que toi et moi, on ait trinqué de notre santé à L'ESAT La Fabrique à chaque fin damnée et à chaque début damné et que pour ceux qui se sont réjouis de mon malheur, qui me parlaient mal à L'ESAT et qui s'en foutaient de moi ! A qui je formule pour eux en désaveux un mauvais vœu ! De façon qu'ils passent une bonne fin damnée et un bon début damné en trinquant de leur santé à L'ESAT La Fabrique ! Le tout en trinquant à la santé de L'ESAT La Fabrique, vu que tout le monde s'enguirlande, perd la boule maboule ( ma boule ) et vu que tout le monde a les boules à L'ESAT La Fabrique à chaque fin damnée ! Vu que ça sent le sapin à L'ESAT La Fabrique comme une épine dans le pied ! Et dont moi en quittant L'ESAT La Fabrique, ça m'enlève une belle épine dans le pied ! Car maintenant moi, je passe de bonnes fêtes de fin d'année et un bon début d'année, en prenant les reines de la galette des rois en faisant une galette en tirant les reines ! Comme à présent, ma vie c'est du gâteau à part entière en pas rois ! "
Jérôme de Mars
Et si par les temps modernes, le soleil devenait lunatique !
Saudade d'une nuance nostalgique;
Qui avec une gouache,
Peint en port d'attache !
Le jour comme la nuit
Dans une ambiance romantique;
Piano-bar !
En des révélations de comptoir !
Dans un papier bleu et noir harmonie
Dans un blues de mélancolie !
Et si par les temps modernes,
Le soleil devenait lunatique !
Avant que le temps subalterne
Eclipse frénétique;
Le ciel bipolaire !
A des fins ternes !
Genre que La Terre manque de lumières,
Et s'renferme trop dans son atmosphère
De misère !
Végétant dans sa poésie de chimère de pacotille;
Tout ça pour des broutilles !
Et si par les temps modernes,
Le soleil devenait lunatique !
Mais aussi pragmatique !
En cas de danger somatique !
Et si jamais il y avait un risque patibulaire !
Le ciel pourrait-il appeler l'éclipse interstellaire ?
Boulevard sur place des étoiles féeriques !
Pour passer du tragique au comique
En ces temps imminents !
Et intermittents !
Du temps bipolaire; qui est salutaire
Ou délétère !
Et si par les temps modernes,
Le soleil devenait lunatique !
Selon les prémices capricieux
Du temps subalterne,
Vertueux ou pernicieux;
Songeur d'un autre temps
Au demeurant davantage charmant !
Et si par les temps modernes,
Le soleil devenait lunatique !
De par son attitude terne !
Et provoquait en réaction un horizon subalterne;
Captif dans une camisole chimique !
Qui faisait comprendre au temps qui lui restait !
A roupiller dans un sommeil pérenne sous Morphée !
Et si de par les temps résolument modernes,
Le soleil pouvait muter énigmatique et flegmatique,
En une éclipse lunatique !
Jérôme de Mars
Voyage avec les mots
Intelligence sûre naturelle;
Presque sensorielle !
Si tu as le bon tempo !
Et que tu as des bagages,
Intellectuels et manuels !
Fais tes bagages !
Pour un voyage
Avec les mots !
En route vers l'eldorado
Dans le ciel !
A te distraire en un sésame,
Ouvre-toi ces âmes !
Dans un voyage;
Où tu as pour bagages,
Un sac à dos
Sans gros mots !
Mais juste avec un dico;
Pour y trouver les mots
D'un bon scénario,
En route vers l'arrimage;
La toute-puissance
De la passerelle,
En arts et images
Dans une terre de lumière;
Avec un soleil
Qui fait la courte échelle !
Bercé d'amour sensuel
Et fraternel !
Dans un voyage
Avec les mots,
Terre d'accueil;
Très synchro
En ce voyage,
Où ton intelligence
Est ton seul bagage !
En vibrant de tes vocalises
Pour brandir tes valises
De tes tresses;
Complètement tirées
Par les cheveux !
Dans ce voyage
Avec les mots,
En vue d'y trouver
Tes propres mots !
Pour exprimer
En ramages
Les chansons extraordinaires
De ton enfance;
Et dont en héritage !
En marchand d'âges !
A pas d'âge !
Voici en marivaudage !
Dans le ciel clair;
Ta croisière,
Virtuelle et irréelle
Sur un arc en ciel !
Avec pour adage;
Un parfait voyage
Tendance déco
Et synchro
Très illustrée;
Avec tes mots
De fins lettrés.
Jérôme de Mars
Changement d'humeur
En n'étant bipolaire En étant bipolaire
Variation d'humeur ensoleillée Variation d'humeur lunatique
En n'étant euphorique En étant euphorique
En n'étant guère des nerfs En étant guerre des nerfs
En ne voulant rien détailler dans la même veine En voulant se tailler les veines
En étant calme En étant came
En voulant vivre et sûr vivre En ne voulant vivre et survivre
En n'étant offensif En étant offensif
En n'étant ambivalent En étant ambivalent
En n'ayant des tocs et en n'étant toc toc En ayant des tocs et en étant toc toc
En étant réfléchi En n'étant réfléchi
En n'étant triste En étant triste
En étant mâle heureux En étant malheureux
En n'étant angoissé En étant angoissé
En n'étant parano En étant parano
En n'étant persécuté En étant persécuté
En n'étant dangereux En étant dangereux
En n'étant schizophrène En étant schizophrène
En n'étant mégalo En étant mégalo
En n'étant névrosé En étant névrosé
En n'étant fou En étant fou
En n'étant sombre En étant sombre
En étang tranquille En n'étant tranquille
En étant apaisé En n'étant apaisé
Dont voilà tous ces changements d'humeur bipolaires et maniaco-dépressifs !
Jérôme de Mars
A fleur de pot
Carole Bouquet / pot eaux roses dont c'est le bouquet à fleur de pot !
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D 2)
1) A fleur de pot ce pot envoie
Jérôme de Mars
C'est un poème court à la longue !
Chaque matin à la longue; au court
De la vie !
Et bien !
Pour faire court !
Je prends
Un
Café court au long court !
A la longue ! Dont c'est un poème court et long à la longue !
Dont je prends de court
Ce poème ! A la longue ! Car et bien pour faire long au long court ! Et bien en bref !
La vie est
Si courte
Que j'écourte ce poème
A la longue ! En prenant des courts
Dans un court ! En buvant un café au long court ! Au court des choses
De la vie à la longue !
Dont c'est un poème court !
A la longue ! Si bien que je termine ce court ! En sortant du court !
En allant à la chasse à court ! A la longue !
En me faisant des films à la longue !
Dans un court-métrage !
A la longue de ce poème au long
Court ! En buvant les paroles du café court
Au long court !
Dans la court des grands à la longue !
En court !
Et au court !
De ces revers de ce con court de circonstances à la longue !
Dont au long court !
C'est un poème tellement court à la longue !
Jérôme de Mars
Brèves courtes à la longue
Brèves sous forme de petites saynètes entre les adhérents et les animateurs du GEM de Vitry :
1) L'atelier cuisine qui a lieu un samedi sur deux à midi au GEM de Vitry fait tout le temps recette !
2) Comme les adhérents et les animateurs du GEM de Vitry me calculent; tout le monde compte sur moi en tant que trésorier et comptable du GEM de Vitry !
3) En tant que comptable au GEM de Vitry; j'espère qu'il y en a sur qui je peux compter !
4) Même si au GEM de Vitry; je ne suis pas expert-comptable, j'espère qu'en tant expert comptable; qu'il y a des adhérents pour qui je compte car la plupart des adhérents du GEM de Vitry comptent pour moi !
5) Au bout du compte en tant qu'adhérent bénévole au GEM de Vitry; je suis président du CVS du GEM de Vitry; je suis comptable et trésorier !
6) Tout conte fait; je n'aime pas qu'on me raconte des histoires !
7) Quand Bénédicte au GEM de Vitry fait l'atelier pâtisserie; sa vie durant quelques heures; c'est en faim du gâteau !
8) Durant chaque jour au GEM de Vitry; le temps est tellement court qu'il passe si vite à la longue !
9) Guillaume au GEM de Vitry en tant qu'horticulteur pourrait très bien cultiver un jardin secret dehors !
10) Si je refais de la poterie un de ces quatre avec Manon au GEM de Vitry, et bien donc début janvier 2022! Je boirai un pot avec Manon au GEM de Vitry pour trinquer à la nouvelle année !
11) Comme je déchante souvent de la vie; au moins quand avant j'interprétais mes slams à l'atelier musique qu'animait Gerald; et ben on connaissait tous la chanson !
12) Si jamais un jour ! Tous les adhérents à l'atelier terre, cassent par mégarde un objet de poterie; et bien pour rembourser leur dette; ils paieront les pots cassés !
13) Les adhérents du GEM de Vitry qui participent à l'atelier philo ont de la suite dans les idées !
14) Si jamais Manon met en place un atelier calligrammes au GEM de Vitry ! Et bien cet atelier servira à faire des revers qui arriment la vie; des vers qui riment dans la vie de tous les jours, en lui faisant un dessin à la vie !
15) Si jamais au GEM de Vitry; les gens vont aux toilettes et qu'il n'y a plus de papiers toilettes ! Là les gens seront vraiment au bout du rouleau !
Jérôme de Mars
Prenez à nouveau votre envol Françoise !
Bonjour Françoise !
Si jamais vous mangez
Des framboises;
Pensez à vous apaiser
En vous soignant
Dans votre lutte !
En prenant le gauche
De votre lutte finale !
Pour que votre volonté
Ne vous hoche !
Et bute tous azimuts
Votre affection !
Et gardez votre ténacité !
Afin que votre guérison
Soit triomphale
Dans votre combat !
Pensez vos plaies !
Et préservez votre moral !
Car c'est 40 % de votre guérison !
Dont je panse que vous connaissez
La chanson !
Et pour que vous guérissiez Françoise !
Pensez à manger des framboises !
Et prenez à nouveau votre envol Françoise !
Sans bémol de framboises,
Et envolez-vous vers la guérison !
En résurrection de votre désillusion !
Car vous êtes encore un oiseau
Aux ailes déployées !
Pour voler toujours plus haut
Vers la clarté !
Et pansez vraiment à manger
Des framboises !
Françoise; pour que ayez
Une forme bourgeoise !
Et prenez à nouveau
Votre envol Françoise !
En route vers l'eldorado.
Jérôme de Mars
Des pigeons-voyageurs me postent des messages sur mon adresse e-mail !
Drôles d'oiseaux qui volent vers le bas avec leurs prises de becs;
Des pigeons-voyageurs me postent des messages sur mon adresse e-mail !
En écrivant des mots secs,
Qui me débectent
Ou que je becte
Envers ces oiseaux de mauvaise augure;
Qui dévoilent leur vraie nature,
En m'apportant plus de mauvaises nouvelles
Que de bonnes nouvelles dans un soleil
Au beau fixe;
Surtout qu'il y a souvent des rixes !
Dans mes écrits par rapport à ce que je poste où je m'emmêle
Les pinceaux !
Avec tous ces gros mots
De ce que je poste
Ou je composte,
Où pour que j'aille à-vau-l'eau
En faisant du vélo !
Rien de tel que je recycle mes petits vélos
Au fond du ruisseau !
Afin que des pigeons voyageurs me postent
Des messages sur mon adresse e-mail !
Desquels je m'emmêle
Les pinceaux !
Moi; le timbré !
Qui fait le guerrier
Avec le moindre mot
Qu'on me médit !
Dans cette grande agonie
Au quotidien;
Qui me frappe dans le dédain !
Où pour qu'enfin je me démêle les pinceaux !
Pourvu que des pigeons-voyageurs me postent sans compost
Des messages sur mon adresse e-mail !
Jérôme de Mars
Tchao Paulo !
Rythme de la samba du Brésil !
Découvre-toi d'un fil en Avril !
A Brasilia; à Rio de Janeiro
Jusqu'à Sao Paulo !
Dont Tchao Paulo !
Mon ami Polo !
Comme un air des Antilles
A Rio de Janeiro,
Où tu frétilles
De tes pas de danse !
En roulement de cadence;
Avec les ukulélé de musique créole,
Dorlotée par les jolies femmes;
Qui enflamment
Tes paroles vahiné,
Avec ton grand cœur de palmier;
Qui auréole ta gentillesse exotique,
D'où tu viens de par ces Iles tropiques !
Tremper ton âme romantique qui s'émancipe
Du fond de tes tripes !
Dans une danse endiablée;
Qui t'encense en un do ré mi fa sol
Loin des saules pleureurs,
Mais prêt des saules rieurs !
Au Brésil; à Brasilia; à Rio de Janeiro
Jusqu'à Sao Paulo;
Mon cher ami Tchao Paulo !
Qui a le cœur sur la main !
Avec toujours de la lumière claire
Au fond de ses yeux boute-en-train,
Dont son refrain est un festival
Qui dévale dans le Val
De Marne fluvial;
Comme un artiste des Iles tranquilles,
Qui ne s'prend pas la tête ! Mais qui
Rallume une pièce noire en y mettant
Les couleurs du printemps exaltant !
Dans une ambiance cosy;
Qui débarque de par son attitude si gentille !
Et qui fourmilles d'idées à la minute,
Tous azimuts !
Afin que le jardin d'hiver;
Tu l'éclaires dans un soleil extraordinaire,
A toi mon cher ami Tchao Paulo !
Qui danse de tes pas sur une musique torride
Du Brésil; où tu mouilles ta chemise limpide
Au Brésil; à Brasilia; à Rio de Janeiro
Jusqu'à Sao Paulo !
En haut de ton altitude qui va vers le très haut !
Dont Rio Bravo !
Mon cher ami Tchao Paulo !
A Sao Paulo; à Rio de Janeiro
Jusqu'à Brasilia
Sur des airs de joie;
Avec pour toi au mois Avril,
Au Brésil !
Une vie bien paisible;
Pépère et tranquille
Parmi les Iles marquises,
Qui t'sont acquises
D'office de façon très plausible;
Où maintenant tout est possible !
Pour toi mon cher ami, dont je te dis Rio bravo !
Mon très cher tchao Paulo !
Jérôme de Mars
La vie ne vaut rien ! Mais rien ne vaut la vie... !
En ayant opinion sur rue;
Si vous sondez des inconnus !
Ils vous répondront à coup sûr,
Que la vie c'est à la fois d'la confiture !
Et des moments durs entre rire
Et soupirs; dès que ça tire !
Mais dont il vaut mieux en sourire,
Pour que satire !
D'un rien en un refrain;
Que la vie ne vaut rien !
Mais rien ne vaut la vie.. !
Entre soucis et accalmie,
Le temps d'une embellie pulmonaire
Après une embolie pulmonaire !
En respirant de l'air frais parmi les congénères;
Qui génèrent en appels d'air !
Le besoin de côtoyer une France solidaire
Aux différences bien affirmées,
En s'entendant bien dans la loyauté
Et la réciprocité;
Dont l'air de rien en en profitant !
Et en ne sachant
De quoi demain
Sera fait !
Et avant que le corps embaumé
Soit bien disloqué
Dans le déclin !
Il faut chanter la vie en refrain,
La vie ne vaut rien !
Mais rien ne vaut la vie... !
Car même si l'argent contribue au bonheur !
L'argent ne s'emporte avec les morts
Au cimetière du réconfort,
A part faire le bonheur
De la vie
Durant quelques heures !
En oubliant les croque-morts;
Le temps de la vie en métaphores !
Et la vie il faut la savourer avec douceur !
A chaque matin aux aurores
Dans la fraîcheur,
En chantant les valeurs
Du quotidien !
Et dont l'air de rien en un refrain;
La vie ne vaut rien !
Mais rien ne vaut la vie... !
Le temps qu'elle dure en harmonie,
Ou le temps qu'elle endure en hérésie !
Dont il ne faut pas vous détromper
Sur la vie ! Qui malgré qu'elle peut être
Un trompe-la-mort !
Et bien que malgré tout ! Tôt ou tard ! La mort
Vous rappellera
A votre fenêtre !
Que vous soyez retors
Ou que vous ayez tort
Que vous devrez rejoindre l'au-delà !
Et dont c'est pour cela !
Faites pour le mieux !
Dans la vie !
En ne vous jetant pas par la fenêtre
Du fruit de votre mal-être !
Mais privilégiez plutôt le bien naître !
En guise de bien être;
En étant un bien hêtre
Au milieu de Dieu !
Et de votre bonne nature !
Pour avoir bonne figure !
Et faire bonne figure !
Et dont l'air de rien en un refrain !
La vie ne vaut rien !
Mais rien ne vaut la vie... !
Car malgré que dans la vie;
On naît parfois dans le pétrin !
On a forcément besoin
D'amis et de copains !
Pour se raccrocher à l'embellie
De la vie, même si souvent;
La vie est mitigée
Entre joies et peines à l'arrachée,
Mais dont il faut s'évertuer
A trouver la solution
A chaque équation
De la vie malgré la peur de l'inconnu !
Dont la meilleure solution est
De trouver votre point de salut !
En ayant pignon sur rue !
Et en ayant opinion sur rue !
Que malgré tout dans la vie,
Il y a encore des gens bien !
Qui font le bien !
En mariant l'entrain
Et le pétrin
Dans une embellie éblouie
D'une vie épanouie;
Qui rassemble autant !
Les oubliés de la vie
A l'agonie,
Que les gens qui ont réussi
Dans cette vie; et dont le lien
Social est ce qu'il y a
De plus précieux
En ces temps brumeux et haineux !
Car malgré que dans la vie,
Il y ait des suicides !
Il ne faut pas oublier qu'il y aussi
Des gens placides;
En paix et en harmonie !
Dont en leçon de vie,
Retenez bien comme leçon !
Que malgré que la vie;
Ce sont régulièrement des soucis
Qu'il y a aussi des choses inouïes,
Qui frappent à votre porte
Pour vous ramener à la vie
De façon jolie !
Dans la communion
Et la beauté de la vie;
Avec ainsi une accalmie
Et un répit dans une embellie,
Car il n'y a pas
Que des embolies pulmonaires
Dans la vie !
Il y a aussi des embellies pulmonaires
Sur la planète Terre !
Qui est ainsi
A la fois délétère et austère;
Que débonnaire et salutaire,
Entre toutes les communautés
Et dans la collectivité s'il vous plaît !
Et le tout sans frein; avec pour refrain
Que la vie ne vaudra vraiment jamais rien !
Mais que rien ne vaudra vraiment jamais la vie... !
Jérôme de Mars
On n'est éternels !
Comme un grain de poussière !
Avant de croupir au cimetière;
Souvenons-nous !
Avant qu'on soit mis en terre
Sous terre !
Que sur fond
De clairon vers l'oraison
Au garde-à-vous !
Que sur Terre; on est de passage !
On naît de passage !
Et cela jusqu'à refermer
La dernière page
Dans l'obscurité !
Où à l'obstinée !
On naît éternels !
On est éternels !
Juste pour le Missel virtuel !
Alors que dans le Missel réel !
On n'est éternels !
Alors faisons le bien !
Et créons du lien !
Le peu de temps
Qu'on naît sur Terre !
Qu'on est sur Terre !
En en faisant clément,
Un moment savoureux
Et délicieux
Avant de retrouver Dieu
Austère; dont lui seul;
Nous jugera !
Pêché d'orgueil !
En guise d'inventaire
De nos actes, ainsi soit !
Certes; on n'est éternels !
Devant le Missel réel !
Mais dans un rituel sempiternel !
On naît éternels !
On est éternels !
Devant le Missel virtuel !
Autant qu'on veut
De moments soyeux;
Somptueux ou fastidieux !
De nos âmes exilées
Et larguées
Par la déconfiture,
Qui nous pend à la figure !
Alors soyons heureux !
Le peu de temps qu'on naît
Sur Terre !
Qu'on est sur Terre !
En faisant la paix
Avec ses aïeux;
Et ses démons fiévreux,
Dont on naît éternels !
On est éternels !
Mais dont on n'est éternels !
Face au Missel virtuel,
Ou face au Missel réel;
Qui malgré repentant !
Sa bonne gestuelle;
N'évitera à quiconque
Parmi les gens quelconques !
Une fin de vie charnelle,
Mais dont il restera toujours spirituelle
A l'autel des bonnes consciences;
Une part de résilience,
Une fois que les âmes intemporelles
Seront repêchées au ciel !
Terre de l'âme dans la délivrance
Ainsi soit-elle !
Dont on naît éternels !
On est éternels !
Pour le Missel virtuel;
Mais dont pour le Missel réel,
On n'est point éternels !
Jérôme de Mars
Elle est mégalo Paule !
Paule position !
Elle est mégalo Paule !
En plein Paris de sa mégalopole,
Dont Paule est en pôle position !
Sûre exposition;
Et en ex position Paule
De sa mégalopole !
Dont elle est mégalo Paule !
Sitôt qu'elle a pris inopinément le monopole
A Extrapole !
Avec en magasin; cette extra Paule !
Dont elle hait mégalopole !
Si elle perd son grand Paris en monopole,
Dont elle est mégalo Paule !
Dans sa grande mégalopole !
Si elle va presque par hasard à Pôle Emploi !
Pour connaître son mode d'emploi,
En vue d'avoir un toit
Sur le toit
De Paris et de sa mégalopole;
D'où elle est mégalo Paule !
Dans sa vie en exposition
A son devis en surexposition;
Et dans sa pôle position
A Paule, quelle est sa position ?
Par rapport à son monopole
De sa Paule position ?
Et sa résurrection à Paule ! ?
Elle est pour quand dans son monopole ?
A Paule emploi ? !
Pour connaître son mode d'emploi
A Paule, et enfin pourquoi
Paule a-t-elle le monopole ?
Par rapport à son pôle ?
Pôle est-elle vraiment mégalo Paule ?
Au sujet de Paris et de sa mégalopole ?
Et si elle a une réaction !
Quelle serait sa Paule position ?
En position de sa pole position ?
Si elle hait en surexploitation !
Cette sacrée Paule !
Qui a toujours le monopole !
Pour rire au sujet de son pôle !
Et au sujet de Paris et de sa mégalopole !
Elle est décidément trop mégalo Paule !
Jérôme de Mars
Quitte et flûte !
Mi-loup; mi-agneau !
Je suis tintin !
Dans le refrain
Des mots
Du professeur Tournesol;
Qui de par ses paroles,
Etait tintin !
Bourré d'entrain;
En train d'écouter Hergé,
Ecrire la bande dessinée
Quick et Flupke;
Dont quitte et flûte !
Et flûte !
Je suis tintin !
A écouter en refrain !
La Castafiore chanter ses classiques
De ses airs d'opéra basiques !
Dont c'est du gâteau d'opéra !
Station Opéra,
En écoutant les danseurs de rats
De La Castafiore;
Chanter sa vie et son folklore,
Quitte et flûte !
Et flûte !
Je suis tintin !
En train d'écouter le capitaine Haddock;
Pêcher du haddock,
Un jour de poisson d'avril !
En l'écoutant griller
Et mastiquer
Son merlu et son colin !
En ayant l'air marin !
Tintintintintin tintintin...
Je suis tintin !
Et de Quick et Flupke !
En écoutant les leçons
Du professeur Tournesol;
Et la pêche à l'hameçon
Du capitaine Haddock,
En état de loque !
Dont en leur tirant les vers
Du nez à Tintin; au professeur Tournesol;
Au capitaine Haddock; à la Castafiore
Et à Quick et Flupke !
Sans oublier non plus les Dupond !
Qui ont toujours le dernier mot !
Motus et bouche cousue !
Je ne coupe les ponts
Avec aucun
D'entre eux, dont les bijoux de famille
De La Castafiore;
J'en fais tout un trésor !
En étant tintin !
Mi-loup; mi-agneau !
Nom d'un chien !
De Milou et de Tintin !
Dont je suis fan et tintin !
En vers de flûte !
Et flûte !
J'en suis à fortiori quitte et flûte !
Jérôme de Mars
Voyage dans le ciel
En mode avion;
Si on prenait l'avion !
En faisant un papier d'avion
Aux environs,
Des âmes universelles
Au pluriel;
Qui emmènerait
Nos bagages,
En ayant des bagages
Direction chronophage;
Un voyage dans le ciel
A plusieurs essentiels,
En écoutant les hirondelles
Dans un vol d'hirondelles;
Qui à tire-d'aile !
Battrait de l'aile
Dans les ailes des avions,
En fredonnant deux ritournelles
Dans notre avion;
En mode avion
Untel un voyage dans le ciel,
Qui ferait s'envoler les tourterelles
Aux environs;
Qui font dans la dentelle
En parlant de bagatelle
Dans un marivaudage,
Entre les passagers volages
Dans un ébat d'étalage
En un voyage dans le ciel;
Qui prend son pied
Deux porte-jarretelles,
En mode avion
A bord de notre avion;
Où les demoiselles
Courent aux environs,
Des femmes et de leurs balcons
Au sein de la bagatelle
Dans un voyage dans le ciel;
En allant au septième ciel
Porte inauguration,
De celle qui dépucelle
L'amour décomplexé;
En secrets de polichinelle
Dans une traînée de foutre
L'amour coup de foutre,
Qui s'en va couler de la foutre
Attire d'ailes !
En déployant les ailes
De notre avion
En mode d'avion,
Qui élargit l'horizon
Encens deux la passerelle;
Qui fait la courte échelle
A notre voyage dans le ciel,
Qui ébat d'étage
Et qui fait la chose en une aquarelle
D'un amour charnel
Dans le ciel essentiel,
En comptant pour la prunelle
De ses yeux écarquillés;
De solitude habituelle
En pleurant à l'autel
De l'hôtel
Des âmes esseulées,
Qui sanglotent dans le même rituel
En un voyage dans le ciel;
Dont la rancœur bat la chamade !
Dans cette ballade
Au sens universel !
Dans le ciel qui a des bagages,
En rapportant les bagages
Du ciel chronophage;
Qui va, s'en va crécher
Et sourciller
A l'emporte-pièce maîtresse;
Dont la déesse
S'veut mutine !
En remontant aux origines
De comment est né le ciel !
En naissant dans les choux ménestrels,
Dont au bout de cette orgie
A base de poésie;
Voici officiel
Ce fameux voyage dans le ciel.
Jérôme de Mars
Poèmes deux mots divers
Poèmes de mots d'hiver qui friment en poèmes deux maux divers;
Qui arriment en une ode qui taraude Qui riment en une Aude qui brode
Dans sa malle de mer qui amerrit, Tout son mal de mère qui atterrit, Complètement éprise de BB; Complètement en prise de bébés;
La femme de La Fontaine qui claque Deux femmes fontaine qui font crac-crac !
Tout ! Et qui médit Fontaine ! Et qui disent fontaine !
Je boirai ton ode ! Je boirai ton eau !
De sel qui perd ses os ! De celle qui perd ses eaux !
Et qui dans un ultime ! Allo ! Et qui dent un ultime ! A l'eau !
Hello ! Deux poèmes de mots d'hiver. Et l'eau ! De poèmes deux maux divers.
Jérôme de Mars
Je cash mon je !
Je en je ! De l'enjeu de de mon ange; je cash mon je ! Avec un cache, dont je cache mon jeu ! Et dont je cash mon je ! Enjeu en je; dont je cache mon je ! Et je cash mon jeu ! Dans un double jeu ! En trouble-jeu, dont je joue à cache-cache dans mon je ! Dont je suis cash dans mon jeu ! Dont je joue à cash-cash dans un double je ! En trouble je; dont je joue à cash-cash dans mon jeu ! Enjeu de mon ange, dont mon en je est que je cache mon enjeu ! Dans une partie de cash-cash à grand en je; enjeu de mon en je de mon je, si je marche dans le jeu de mon je en me servant du cash de mon cache; dont en surjouant à cash-cash ! Je paye en cash très cash un cache ! De mon jeu que je cache au fond de mon jeu, au tréfonds de mon je dans mon enjeu de mon en je de mon ange; dont cash ! Je reste cash en jouant franc je, dont tellement que je suis cache de mon jeu, qu'en demeurant cache; je cache tout le temps le jeu de mon je ! En je de mon ange, en jeu de mon enjeu; dont en faisant un dernier double je en trouble-jeu, je paye très cache le fait de déjouer à cache cash; d'où en je, je cache jusqu'à la fin détend; mon je !
Jérôme de Mars
Vers deux flûtes
1) Fais-les vers deux flûtes 6) Poèmes qui cassent envers deux
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11) Quitte et flûte revers e
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12) De vers deux flûtes.
Jérôme de Mars
Tout le temps !
Autant en ces temps ! OTAN que longtemps ! Au temps que long temps ! Il y ait tout le temps ! Les temps modernes qui prennent tout leur temps ! En passant du bon temps depuis la nuit des temps ! En un passe-temps qui passe le temps et qui passe tout son temps dans un passe-temps ! Dont autant que tout le temps passe très vite et trop vite à tous les temps ! Dans son passe-temps ! Que dure le temps indémodable ! Qui endure tout le temps exécrable ! Le mauvais temps en ces temps difficiles ! De ces temps instables et tant obscurs ! Où tout le temps qui perd son temps ! Vit des temps qui sont durs depuis longtemps et fort longtemps ! Que ce soit lors du printemps ! Empreint tant tout le temps ! De tout ce temps si le temps lui est compté ! Du temps qui est passé et dépassé à force que ça fait longtemps ! Très longtemps ! Et trop longtemps ! De tout ce temps présent qui trouve le futur temps tout le temps bien court ! Ou tout le temps long ! Et ou tout le temps bien long ! Dans un temps suspendu ! Que ce soit le temps d'avant ! D'où il est temps ! Que de notre temps ! Et dans le temps ! Que le temps se fasse à temps ! Et arrive à temps nommé lors du prochain temps ! Et du nouveau temps ! Du temps ! Pour que le temps travaille à temps plaint ! En annonçant le temps qui fera et qui consacre du temps ! A filer et à refiler le mauvais temps du temps pluvieux ! Pour tuer le temps de sa machine à remonter le temps ! Dont OTAN, autant et au temps que passe le temps et OTAN faire la paix depuis le bon vieux temps de tout ce temps passé très vite depuis tout le temps !
Jérôme de Mars
Au pied du sapin divers
Au pied du sapin divers pour ne pas que ça sente le sapin ! Il faut bûcher sans embûches, afin de manger une bûche pâtissière en faisant une trêve de Noël pour signer un traité de paix; en dégustant un succulent repas de Noël dans la chaleur humaine, sans que cela jette un froid ! Dans une bûche glacée; de sorte à éviter que les convives dégustent et s'enguirlandent ! Et que tout le monde soit en froid ! en ayant les boules et perde la boule au pied du sapin divers, dont pour que Noël soit une bonne fête de fin d'année; il faut que les convives aient des marrons chauds ! Pour ne pas qu'ils soient marrons ! Afin que leur labeur de fin damnée, soit justement récompensé par une prime émérite qui leur mettra du beurre dans les épinards ! Pour passer de bonnes fêtes de fin d'année; dans le but qu'il y ait défaites de fin damnée au pied du sapin divers ! A faim que non feint ! La faim justifie les moyens ! Avant qu'il y ait la fin damnée de la vie défunt ! Et dont avant de trépasser en défaites de fin damnée ! OTAN faire la paix pour passer de bonnes fêtes de fin d'année ! Afin de bien aborder la nouvelle année en paix, dans la paix; dans l'amour de son prochain et dans la liberté d'aimer qui on vœu ! Dont l'important c'est d'aimer Noël et le nouvel an ! Dans l'amour et la fraternité au pied du sapin divers; d'hiver et variés.
Jérôme de Mars
Un concert de louanges au zénith
Sur scène, la vie est un long fleuve tranquille
Dans le ciel dans un concert de louanges
Au zénith du soleil; qui prend l'ampli
En cherchant sa voix, en trouvant sa voix
Et en faisant entendre sa voix; en prêtant
L'oreille quand le masque tombe du Covid
Dans un concert de louanges au zénith
Du soleil, affublé d'un costume de scène
De façade lors du printemps; qui dans
Un remue-ménage de printemps a des ballets
D'hiver empreint tant dans le bal des oiseaux,
Sans prises de becs avec la clope au bec
Pour fumer le calumet de la paix; ici re-joint
Par un public essentiel dans ce concert
Des louanges, où sur scène; la vie est un
Long fleuve tranquille malgré et las que
Tout tombe à l'eau ! En voguant sur le rétro
De l'eau fin d'effet du disco voyageant
A toutes les époques, qui partent à la dérive
A-vau-l'eau au fond du ruisseau mélancomique !
A 43 berges de la mer à boire les algues
De ce concert de louanges au zénith du soleil
A l'auberge des cent soucis; en ne mettant
Aucune barrière avec aucune écluse
Sur scène, où la vie est encore un long
Fleuve tranquille qui coule dans la veine;
En s'faisant du sans d'encre dans un concert
De louanges très acoustique, dont maintenant !
En mettant ici bas; voici des joies pas rabat-joie !
Avec des éclats bourgeois dans un bourg joie,
Assailli de filles de joie qui vont bien et qui baignent
Dans un océan pacifique; rempli d'amour
Et de tendresse, jonché dans la liesse d'une note
Salée sur un piano contrasté qui s'harmonise raccord;
En symphonie et en philharmonie, où sûre scène;
La vie comme à l'accoutumée reste le fil sur l'eau,
En étant de fil en aiguille un long fleuve tranquille
Mélancomique dans lequel tout tombe à l'eau !
Car à l'eau ! Ca reste pour toujours notre chant
D'action nostalgique ! Dans un concert de louanges
Depuis d'antan et jadis au zénith du soleil; à des
Années-lumière entre ombre et lumière ! Or et puis !
Ainsi va la vie sur scène, qui chante et déchante !
Et qui sous les projecteurs; demeure avant que s'meurt
La vie ! Un long fleuve tranquille voguant en
Eaux troubles dans un concert de louanges en plein
Soleil, à l'apogée de sa carrière au zénith.
Jérôme de Mars
En marchand
Marchant de poèmes en marchand qui fait le gui
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n t Démarchant des marchands
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marchand en dard dard marchand l'envers A
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x bohème en marchant qui fait le gui marchand
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marchands des démarchant et marchant marchand En t
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Bonheurs de bonne heure avec Guy marchand en marchand.
Jérôme de Mars
Rock troubadour
Revenant du moyen âge;
J'ai un moyen âge !
D'où je suis le survivant
Parmi les morts-vivants,
Ravivant mon passage
Avide de ma vie de désamour
Dans un rock troubadour;
Rock de pierre
Du fruit de ma colère,
Qui n'manque pas d'air !
A toutes les époques
Depuis cette époque baroque;
Bas rock
Dans ce rock troubadour,
Qui vaut son pesant
De détour !
Dans du lourd !
En ne prenant rien à la légère !
En y faisant et en y refaisant
Un tour !
A force que je compte sur moi !
En tapant un sans frein !
Toujours ce même refrain;
Enfreint quand je ne calcule
Plus personne à part
La tare !
De mes calculs
Néphrétiques ou névrotiques,
De mon âme mélancolique
Dans ce rock troubadour;
Dont ma vie manque d'amour !
Où personne ne me bouscule !
Et où je ne bouscule
Personne vers la bascule !
Tellement que je prends du recul
Sur tout en faisant tous mes calculs
Sur les consonnes,
Dès que les cons sonnent !
A ma porte qui résonne !
Dont je ne calcule
Plus personne !
Avec qui je frictionne !
Dont s'additionne
La somme de tous mes calculs;
Qui font que j'assomme
La somme de tous mes calculs
Néphrétiques ou névrotiques;
De façon systématique;
Symptomatique et somatique
De mon état
De rabat-joie sans filles de joie,
Végétatif dans un désarroi bourgeois;
Il était une fois
Un rock troubadour !
Dans un manque d'amour,
Qui ne manque pas d'airs !
Dont j'erre d'R tertiaire
Et ferroviaire;
Si bien que je déraille
En écoutant le raï,
Qui joue des airs
Du raï
De Khaled en allant;
Plein d'allant avenant
Droit au but,
Qui rebute
L'ex joueur de foot Raï;
Très boute en train
Dans un entrain
De ce rock troubadour,
Dans le plus désamour
A chaque jour
Suffit ma peine de tous mes grands soirs !
En sanglotant dans mes mouchoirs
Le plus profond de mon désespoir;
Que je calcule en ne comptant que sûr moi !
Les calculs de mes calculs
Néphrétiques et névrotiques,
De ma vésicule
Biliaire; qui bouscule
Et bascule
Vers le crépuscule
De mes humeurs linéaires
Et parfois bipolaires,
Du fruit de ma colère incendiaire
Et héréditaire
Dans ce rock troubadour;
Où me manque l'amour
De ma mère !
Que je sue dans un désamour !
Ah ! Mère ! Bien enterrée sous terre !
Dont j'enterre maintenant la hache
De naguère en lâchant du leste !
Dont pour le reste ! OTAN que preste,
Je sois lâche dans un zeste
Ah ! Mère !
A fin que ma ma colère
Manque d'R !
Et ne manque pas d'air !
Dès la fin de ce slam
Dans un bric à brac de mélodrame;
Rock roll poèmes !
Je nais que des problèmes
Dans ma vie de bohème !
A fin de savoir
S'il y a des gens encore
Que j'aime !
En passant des accords
Raccords; où si je n'aime
Personne en prenant tout à la lettre !
Les consonnes avant de me jeter
Par la fenêtre !
Et de jeter; rejeter mon mal-être !
Si les cons sonnent !
A ma porte fracassée, tracassée,
Cassée et fêlée !
Dès la mère éjectée dans une jetée rejetée
Et pelletée !
Ah ! Mère !
Dans un mâle de Noël mammaire !
De mon manque de mère ah ! mère !
Dont je manque d'amour !
Avec du désamour balourd !
Du fruit de ma colère,
Terre de ma détresse linéaire;
Entre ombre et lumière
Dont ce naît imaginaire !
D'un rock de pierre
En un rock ultra troubadour.
Jérôme de Mars
Quand le soleil allume le jour ! Quand la lune éteint le jour pour la nuit !
Allo La Terre ! Y a-t-il quelqu'un qui me répond ?
Et qui correspond ?
En envoyant des messages
De mon passage sur Terre !
Dans les parages
Du soleil et de la lune;
Avec en une,
Quand le soleil allume le jour !
Aux aurores
Pour réveiller le jour
Qui dort !
Dans la lumière !
Qui scintille et brille;
Telle une chimère
Pour des broutilles,
Qui barbouille le ciel
Bleu; auréolé de son arc en ciel !
En le coloriant
De toutes les couleurs !
Et en le maniant
D'ardeur et de ferveur
A tous les temps !
Durant le temps qu'il fait beau !
Avec pour déco,
Un eldorado dans le ciel !
Qui crescendo;
Grimpe à un escabeau
Sur la passerelle
Qui mène vers l'arc en ciel,
Qui bourdonne dans une lune de miel
Autour du miel et de ses abeilles;
Attire d'elles !
Entre deux dépaysantes ritournelles,
Qui montent exponentielles
Le soleil au zénith du ciel !
Afin qu'il accroche l'arc en ciel
Parmi les sept merveilles
Fécondes de ce monde intemporel;
Dont nul naît éternel !
De la lueur de ce jour,
Qui décroche substantiel
Les étoiles;
Qui mettent les voiles !
Dont ça vaut largement le détour !
Durant le temps que dure la lumière
Dans le ciel ancestral bipolaire
De par son brin téméraire,
Du fin fond de l'univers imaginaire
Depuis Cap Canaveral !
Durant le temps autant; au temps et OTAN
Que pendant !
Pour que la lune éteigne
Le jour !
Avant que cependant
La lune envers le jour;
S'en imprègne
Dans une nuit bariolée !
Qui a varié et vacillé
Dans un mélange des genres
Transgenres,
Qui vaudra le détour !
Nulle part ailleurs !
De la lueur
Du jour
A la fraîcheur
De la nuit qui dégorge son univers crépusculaire;
Qui respire le silence de la mer linéaire
Et de la terre interstellaire !
En route vers l'itinéraire
D'un monde de sourds !
Avec en une,
La lune;
Qui éteint le jour !
Pour la nuit !
Dont peut-être plus tard
Et oui !
Pour la vie !
Dans un air de fanfare !
Puisque ainsi venu, survenu,
Revenu et sûr venu,
Quand le soleil allume
Et rallume
Le jour !
A partir de quand la lune
Eteint le jour !
Et s'éteint en une
Pour la nuit !
Dont désormais peut-être ainsi
Dans un tintamarre !
Pour la vie aussi !
Jérôme de Mars
J'ai largement eu ma dose !
Antidote contre mes névroses;
Qui frôlent l'overdose,
J'ai largement eu ma dose !
En sûre dose; surdose
Aux vers dosent !
De ma sinistrose,
Avec en piqûre de rappel
Toutes les piques;
Dont je ramasse à l'appel,
Les feuilles mortes
Monotones de mon état critique;
Qui sue en mes maladies chroniques
Et psychiques;
Dont j'ai largement ma dose !
Et dont j'ai largement eu ma dose !
De ma décompensation psychologique,
Qui ramasse à l'appel !
Les feuilles mortes
De mes névroses fortes;
Qui rappellent la clinique Pasteur
En cherchant le pasteur,
Afin qu'il me récite le Missel !
De par ses prières
Sans régime Missel
Pour apaiser ma colère;
Qui me transperce l'âme dans ma chair,
Dont j'ai largement eu ma dose !
En cirrhose
De tous mes déboires en overdose;
Aux vers dosent !
De ma surdose, sûre dose;
D'où j'écris mon désarroi !
Et mon manque de foi !
En foi la vie !
Qui ma foi, dévie
Avec en piqûre de rappel !
Toutes les feuilles mortes
Monotones de ma vie atone;
D'où j'en fais des tonnes aux tonnes,
Dont j'ai largement ma dose !
Et dont j'ai largement eu ma dose !
De mes névroses
En surdose; sûre dose
Dans une cirrhose,
Quand c'est la mère à boire !
A retracer le fil de mon histoire !
Avant que j'aille au purgatoire;
Rendre des comptes et sue
De mon réservoir,
Haut comble de mon désespoir !
Où ma vie, c'est à la foi !
Une issue sang issue,
Issue de mon manque de foi;
Qui s'sut
Que j'avais un immense désarroi,
Où il y avait à manger et à boire !
A en sangloter tous mes déboires,
Où j'ai tellement ma dose !
Et où j'ai tellement eu ma dose !
De mes névroses
En surdose; sûre dose
Que j'en ai bu
Et imbu
Mes regrets monotones,
En en faisant des tonnes
De cirrhose;
A l'automne, aux tonnes
De ma vie morose;
D'où je jette ma dernière encre,
Qui sort de mon stylo qu'ancrent
Mes rituels sempiternels;
Avec en piqûre de rappel
De mon état stationnaire
Et solennel,
L'attente à y trouver des réponses essentielles
A ma crise existentielle;
D'où le sens naturel
Et surnaturel; sûr naturel
De mon état normal; anormal
Et paranormal,
Qui fait que mes névroses
Frôlent l'overdose !
Aux vers dosent !
Dont en surdose; sûre dose,
J'ai eu trop ma dose !
Car j'ai eu largement plus que ma dose !
En cirrhose...
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fera si tous les Français prennent Emmanuel Macron en grippe à cause du nouveau variant qui provient d'Afrique du Sud ?
- Ca fera le nouveau variant Oh ! Macron !
2) Pourquoi serons-nous cuits s'il y avait la 5ème vague du Covid ?
- Parce-qu'on serait tellement au creux de la vague qu'on finirait par être cuits au four Omicron ondes !
Jérôme de Mars
Vannes qui coulent de source !
Petites brèves de comptoir au GEM de Vitry entre les adhérents et les animateurs :
1) Quand Jérôme fait les comptes chaque fin de mois du GEM de Vitry et de Choisy; il y va à fond la caisse !
2) Un samedi sur deux à midi au GEM de Vitry; il y a un repas pour que tout le monde soit dans son assiette !
3) Si un jour pour le repas du samedi midi au GEM de Vitry si c'est Raphaël qui fait la cuisine; Raphaël calculera l'assiette de l'impôt des animateurs et des adhérents du GEM de Vitry !
4) Le samedi midi au GEM de Vitry après le repas; ceux qui font la vaisselle se vannent en ouvrant les vannes qui coulent de source !
5) Alexandre pour faire bonne impression; fait couler beaucoup d'encre en imprimant ses textes sur l'ordinateur du GEM de Vitry !
6) Of course car chaque fois que le samedi midi; il y a un repas au GEM de Vitry, c'est moi; Guillaume et Raphaël qui faisons les courses !
7) Lors de chaque repas le samedi midi au GEM de Vitry pour que ce lien reste dans l'harmonie, personne n'est à couteaux tirés en restant dans la fourchette des prix et en y allant par le dos de la cuillère !
8) Les chèques-cadeaux de 70 Euros qu'ont eu les adhérents du GEM de Vitry pour les récompenser de leur bénévolat; ne sont pas des chèques en bois !
9) Pour Walid; le mobile de son travail, c'est de répondre aux appels sur son téléphone portable !
10) Lors de chaque repas annuel de Noël au GEM de Vitry pour que l'ambiance reste chaleureuse au sein de ce lieu, il n'y a jamais de buffet froid vu que tous les adhérents dégustent déjà assez comme ça dans la vie !
11) Lors de chaque loto au GEM de Vitry; il y a toujours un sacré numéro nommé Alexandre !
12) Lors de chaque atelier terre avec Manon; les adhérents qui participent à cet atelier, ont vraiment du pot !
13) Le jour où au GEM de Vitry; nous aiderons Walid dans ses maraudes pour distribuer de la nourriture aux plus pauvres, cela nous permettra de restaurer notre joie de vivre tous en chœur en étant utiles et pas futiles !
14) Philippe L fait des découpages à en couper le souffle !
15) Grâce à Philippe B qui nous fait bien rire avec ses blagues; c'est faites l'humour et pas la guerre !
Jérôme de Mars
L'indifférence
Inventaire de notre monde actuel;
Qui en ressort de plus en plus cruel !
Avec ce qui fait la différence,
L'indifférence en un manque de déférence;
Alors qu'avant elle, était avec révérence;
Tandis que maintenant, elle souffle
Et boursoufle
Dans l'irrévérence;
Où on en meurt tous à petit feu
De l'indifférence !
En ne croyant plus en Dieu !
Où l'indifférence est très en vogue !
Et trop à la mode dans son monologue !
Où tout le monde s'en fout de tout !
En étant malgré tout très malheureux !
De vivre
Et de survivre
Dans ce triste fourre-tout !
Où il y a une hémorragie de gens généreux,
Avec l'indifférence qui fait la différence !
De la déférence à l'indifférence;
Où l'indifférence défait
Ce monde de conte de fée !
En un immonde compte de fait !
D'indifférence avec irrévérence,
Qui coule dans nos veines
Avec dans nos veines;
Des choses obscènes et vaines,
Dont de l'indifférence !
On en meurt à petit feu
Au coin du feu ténébreux;
Alors que de la déférence ! On en retient
De la vigueur en faisant le bien !
Pour l'amour des cieux et de Dieu,
Où en ces temps difficiles !
Il faudrait que tout le monde ne soit plus volatile !
Et redevienne docile;
Expansif et volubile,
Afin que la vie soit plus facile !
Et qu'on en ressorte
Très heureux; en ouvrant grand la porte
A tous ceux qui ont besoin de nous !
Afin qu'on renoue
Dans la fraternité !
Et qu'on dénoue l'adversité,
Afin qu'on renoue en paix
Dans un monde meilleur !
Pour faire réapparaître le bonheur !
Dans un grand bonheur !
Puisque ce monde hait de laideur !
Et naît plus beau !
Alors qu'il suffirait de trouver les mots !
Pour que la déférence fasse la peau
A l'indifférence; afin que la déférence
Fasse la différence avec l'indifférence !
Afin que plus personne ne soit malheureux
Dans l'indifférence, mais que tout le monde
D'après une sonde sans une fronde;
S'porte beaucoup mieux !
Car les gens qui sont pour l'indifférence !
N'en sont pas heureux, v'là la différence !
Où enfin un peu de déférence;
Nous ferait le plus grand bien !
Et v'là la différence !
Avant que tout le monde s'meurt d'indifférence !
Pour eux, entre eux et pour leurs aïeux;
Alors que comble de l'ignorance,
L'importance serait de la déférence;
Afin de rallumer les projecteurs du bonheur,
De la ferveur; de l'ardeur et de la candeur
Pour faire crever l'indifférence;
Et redonner la vie à la différence !
Et aux différences
D'un melting potes ! Car ceux qui sont
Pour l'indifférence ! Et font
L'indifférence ! Qui vous dit qu'un jour ? !
Que leur vie à eux aussi ne sera pas
A contre-jour !
Et qu'ils n'auront pas besoin eux aussi,
Pour ranimer leur vie !
De déférence et pas d'indifférence !
Car dans une vie réussie; éblouie
Ravie et épanouie,
C'est la déférence qui fait la différence
De l'indifférence !
Dont de toutes les différences !
Pourvu qu'il n'y ait plus d'indifférence
Avec irrévérence !
Dont la révérence
Serait la réconciliation
Dans une alchimie d'union
Libre ! Afin que la déférence,
Fasse la peau à l'indifférence
Et qu'en un tempo;
Tout le monde soit mieux
Dans sa peau !
En vivant dans un monde plus beau,
En croyant à nouveau en Dieu;
En faisant le bien
Et en faisant du lien,
Le programme politique
De l'apolitique;
Dont pourvu que la déférence
Fasse la peau à l'indifférence !
Pour ne pas que le monde s'meurt
A petit feu !
Mais dont la déférence
Serait la seule résilience
En ce monde, pour qu'il rallume tous ses projecteurs
Avec dans un tempo;
La lumière de tous leurs Dieux
Aux différences,
Car v'là la différence !
Qui fera toutes les différences !
De l'indifférence
A la déférence; dont avec joie,
Ce sera le retour de la nouba et de la java,
Où ce sera revoilà là déférence !
Jérôme de Mars
Des girouettes
Français si vous parliez le même Français !
Sans vous contredire en étrangers !
En parlant l'étranger entre étrangers
Français ! Dont vous êtes des girouettes !
A dire un coup blanc !
Et un coup noir !
Avec et cris noir sur blanc !
En disant blanc bonnet bonnet blanc !
Tels vous les Français !
Dont vous êtes des girouettes !
A dire un jour oui !
Un jour non !
Dans un miroir aux alouettes;
Pirouettes ! Vous ne valez des cacahuètes !
En faisant vos emplettes !
Telles des girouettes
Un coup en votant
A gauche,
Pour mettre la gauche
Aux manettes;
Et un coup en pivotant
A droite,
Pour mettre la droite
Aux manettes;
Telles des girouettes
En allant dans la direction du vent,
De la roses des vents;
Qui tourne élevant !
Surélevant; soulevant
Et relevant !
Le niveau
A niveau zéro !
Telles des girouettes,
Un coup qui parlent Français
Aux étrangers;
Et un coup qui parle Etranger
Aux Français étrangers,
Entre étrangers;
Dont le Français
Leur paraît tellement étranger !
Qu'ils en perdent leur latin
Aux racines de leur lien !
Dont les Français sont des girouettes,
A croire au miroir aux alouettes
Alouette ! Cacahuètes !
Tout ça ne vole pas bien haut !
A part croire à l'eldorado
Pour les étrangers qui ne parlent Français !
Mais dont leur accent étranger;
Fait que les Français
Ne les comprennent,
A part faire des étrennes
Aux Etrangers qui parlent un peu Français;
Un Français étranger étranger
A tous les Français étrangers Etrangers,
Dont vous les Français ! Vous êtes des girouettes
Dans un miroir aux alouettes;
Trop individualistes, en pieux copieux !
Faute de mieux !
Arrogants en ne prenant
Pas de gants !
Dont vous êtes des oiseaux de mauvaise augure !
Que votre profonde nature hait
Avec des ratures;
Vous les Français ! Têtes de veaux !
Qui suivaient le troupeau
Des moutons de Panurge,
Qui faisaient comme les chèvres
Qui rendent chèvres
Le bout de vos lèvres;
Qui vous purgent et expurgent
Vous, qui êtes mal dans votre peau !
Qui vous sèvre !
Ce que vous Français ! Telles des girouettes !
Vous êtes désabusés et affligés
Par toutes vos diverses facettes !
Pour une amourette;
Ou pour conter fleurette
Dans un miroir aux alouettes,
Du reflet de votre miroir depuis belle lurette;
Ainsi tristement, en parlant le Français !
Etranger aux Etrangers Français !
Qui parlent un Français étranger étranger !
A vous les Français qui restez d'untel
A untel !
D'interchangeables girouettes.
Jérôme de Mars
Rue des poètes
Ames esseulées sur la rive;
Qui partez à la dérive !
Venez esthètes !
A la rue des poètes,
Qui arrime
Chaque vague à l'âme !
Qui rime
Accoudé en buvant un café crème !
De crème futée
Ou affûtée
En vers les quidams;
Où quand un seul être
Vous manque;
Tout est dépeuplé !
D'après Alphonse de Lamartine,
Qui butine
Son miel !
Lors de sa lune de fiel
Jusqu'aux peupliers
De leur planque;
En leur donnant envie
De s'jeter par la fenêtre,
Dont c'est la mer à boire
Au comptoir !
A causer guinguettes,
A névroser ou à nécroser fossettes;
Usés; consumés et décompensés
Dans cette vie infinie
A l'infinie routine,
Qui dessine
Fataliste ! Une utopie
Dans une montée d'adrénaline,
A la rue des poètes
Entre esthètes;
En lisant Les lettres de mon moulin
D'Alphonse Daudet,
En étant à la fois au four et au moulin !
En mettant de l'eau à leur moulin;
Qui dégouline de plaisirs libertins !
A la rue des poètes
Entre esthètes,
Soûlés par la rudesse
Et l'hardiesse
De leur vie déesse;
Entre paresse
Et forteresse,
Soûlés par le désespoir
De leur vie en ambulatoire;
Déambulatoire dans leurs bruits de couloirs,
En s'enivrant soûlés par l'écume
Des jours dans leur amertume;
Soûlés par la bouteille en vin
De leur eau de vie,
Qui dévie
En prenant de la bouteille !
Dans un entrain
Au soleil qui cherche son oseille !
Pour éclaircir leur austère horizon
Sur leur délétère balcon;
Face à la mer
En envoyant une bouteille
A la mer,
A la rue des poètes
Entre esthètes;
En écumant les bars
Des boulevards,
A la recherche des travers
De la rue des poètes
Entre poètes;
Avant que dans la rue,
Tout le monde s'rue !
A incliner le soleil du Nord
Vers Paris pour ne perdre le Nord
A tribord !
De Paris mi lord; milord,
Riches ou pauvres; où tout le monde
Attend dans la fronde !
Une embellie
Sûre Paris,
Et où dans ces primes vers;
Jacques Prévert y dissémine
Toute sa vert mine !
Afin qu'il y plante sa graine
Dans son jardin d'Eden,
De sorte qu'il y ait des feuilles mortes
Dans son jardin secret
De ses amours mortes;
Ames esseulées, ayez une attitude forte !
En y semant des primevères; des bruyères
Et des fougères, d'hier
A aujourd'hui; le nouvel prochain hiver
A la rue des poètes
Entre esthètes;
Où tout le monde paye sa consommation !
En réglant dans une sommation,
Son addition salée
Dans leur jardin d'hiver;
Dans lequel Jean de La Fontaine
Attend impatient
Sur son banc le printemps !
En chantonnant Fontaine !
Je ne boirai ton eau ! En jaillissant
L'eau de la fontaine en son fruit défendu !
De leur rengaine
A chaque semaine dissolue,
En buvant les vers
Et les revers
D'Arthur Rimbaud;
En trinquant à sa santé !
Et en trinquant
Au troquet de sa santé !
A la rue des poètes
Entre esthètes,
En buvant les travers
Du bateau ivre;
Qui soûle la vie qui enivre
L'oiseau aux aile brisées libre,
Et qui s'enivre !
Brisé par le vent et les bris
De la vie;
Qui le mettent en lambeaux
A la rue des poètes
Entre poètes,
Quai Voltaire
Sûre place du boulevard;
De leur révolution libertaire
Et rebelle dans ton songe de leur travers,
Dont Guillaume Apollinaire
En a fait des calligrammes;
Avec au programme
Beaucoup de grammes d'alcool
Au compte-gouttes, qui enivre
Sa poésie libre qui givre
Son mal de vivre;
En soûlant sa vie
Dans de l'alcool d'absinthe,
Qui éreinte
Son appétit de vivre;
Duquel il y met ses paroles
De désespoir au fond du bistrot,
Avec ou sans ses potos !
A la rue des poètes
Entre esthètes;
Dont parmi ceux qui passent un éthylotest
Dans leur coma esthétique,
Symptomatique et lunatique;
Comme aussi bien !
Charles Baudelaire qui fit du mal
A ses fleurs du mâle,
Aux travers
De leurs poésies sans frontières;
A tous ces poètes névrotiques et frénétiques !
Qui dorment sempiternels,
Sombres à l'ombre !
En gisant
Et en reposant;
Eternels et immortels !
A l'autel
De leur pénombre de leur lumière,
Sombre dans leur lumière en clair !
Et eau claire !
Entre ombre et lumière !
Au cimetière des élégants
Poètes ! Qui s'meurent en poussière !
En sentant le vent
Tourner et retourner projecteur !
Et rétroprojecteur !
Qui détourne entre esthètes;
Et contourne en faisant la fête
Discontinue et sans s'arrêter avec excès !
Dans la cohue désormais connue,
Et reconnue entre inconnus !
A la rue esthète des grands poètes.
Jérôme de Mars
S'il y avait une maison dans le ciel !
Aquarelle qui tombe à l'eau dans un arc en ciel !
L'eau de pluie fait pleurer avec des ritournelles
Les messages immortels destinés à untel !
En consolant les sans ciel face à l'essentiel
De la matière sur Terre qui est éphémère !
Et dont tout le monde rêverait à de l'amour linéaire
Du fin fond de l'imaginaire
Des humains; nos chers frères !
Aussi bien débonnaires que solitaires,
Alors que s'il y avait une maison dans le ciel !
Le monde aurait fière allure !
En donnant une meilleure nature
Aux âmes spirituelles pétries d'humanité !
Qui feraient feu de tout bois avec humilité
Dans un convivial feu de cheminée d'authenticité;
Ragaillardi par un ciel chaleureux et cordial
En des tapes amicales
Et fraternelles, en décochant une flèche à travers
Un arc en ciel en direction de sa cible universelle;
Et s'il y avait une maison dans le ciel !
La bonté et l'amour ne seraient superficielles
Mais essentielles en érigeant sans barrières,
Un monde sans frontières et solidaire
Dans un ciel solaire qui tournerait davantage rond !
Au contact de la lumière en formant une ronde;
Qui dessinait un monde où la solidarité serait féconde,
Et s'il y avait une maison dans le ciel !
L'amour serait logée à l'autel
Sur le plan spirituel et charnel;
Avec de l'encens universel !
Dont le Missel enseignerait l'essentiel naturel
Malgré les sans ciel virtuels !
Pour que l'artificiel
Fasse place au triangle des Bermudes,
Qui isole celles des mauvaises habitudes !
Et s'il y avait une maison dans le ciel !
Peut-être que la solidarité serait exponentielle
Et que la solitude s'viderait dans un chemin de Compostelle !
Qui compose telle une stèle en hommage aux défunts corporels;
En signant des accords éternels !
Avant que la mort mette les corps en poussière
Au cimetière des et les vents qui mettent de la poussière !
Partout dans le ciel artificiel et superficiel !
Et dont dans une parole charnière,
Il serait OTAN d'imaginer un monde de lumière en clair !
Et en paix dans la liberté d'aimer
Qui on veut !
Malgré son Dieu !
En ayant les idées claires; dont l'essentiel et plus les sans ciel !
Serait le titulaire de l'autel spirituel et cent ciel !
De façon formelle et solennelle !
Et dont à l'unanimité au complet dans le ciel !
On s'demanderait tous une fois au ciel !
Et si pour l'éternité; il y avait une maison à l'unisson dans le ciel !
Jérôme de Mars
La main sur le cœur
En ayant toutes les cartes
En main !
Je joue cartes
Sur table de mon destin !
Que j'entarte
Moi qui suis une crème fouettée;
Ou futée, affûtée
En ayant le cœur sur la main,
Et dont de mon destin;
J'en fais par cœur
De la rancœur,
En chantant avec mon pacemaker;
Haut ! Mon cœur !
Avec des oh de cœur !
Avec la main sur le cœur !
En envoyant des piques
De mon désarroi épique,
En écrivant avec mon cœur
Avec le cœur sur la main;
Dont de mon destin,
J'essaie de me tenir à carreaux !
En lavant mes carreaux !
Avant que je reste sur le carreau
De tout mon fardeau !
Que j'écris dans un désarroi de trèfle
A quatre feuilles !
Où j'espère que vous lui réserverez
Un bon accueil
A mon recueil
Du fruit de mes écueils;
Où j'ai du mal à faire le deuil !
Seul avachi sur mon fauteuil
Avec la main sur le cœur,
Dont j'apprends par cœur !
En déchantant en cœur
Toute ma rancœur !
Haut ! Mon cœur !
Avec des oh de cœur !
Avec le cœur sur la main;
Dont de mon destin,
J'en fais une affaire de cœur
A base de liqueur;
Qui écœure
Mon manque de cœur !
Avec mes problèmes de cœur
Qui écœurent mon pacemaker !
Pince mon cœur !
Haut ! Mon cœur !
Or ! Il prend tout très à cœur par cœur !
Avec des oh de cœur !
En rentrant dans la reine
De la rancœur;
Qui valait de la part de mon valet
Un valet de rancœur,
Qui avait dévalé
Et cavalé
Manque de pot !
Ma tête sur le carreau;
Qui resta sur le carreau
Du chaos !
Avec la main sur le cœur !
Et le cœur sur la main ,
Dont de mon destin;
J'en ai un cœur de pierre !
Pierre
Qui déroule !
Et qui ne ramasse pas s'émousse !
Quand ma rancœur me mousse !
Et dont mon cœur s'émousse !
En jouant cartes
Sur table avec une pancarte !
Qui a toutes les cartes
En main,
Dont je tombe souvent dans le panneau !
Avec le cœur sur la main;
Et la main sur le cœur,
Dont mon destin
Lui fait une fleur !
Et lui envoie des fleurs
Dans un désarroi de trèfle à quatre feuilles;
De mon état à fleur
De peau; de pot,
Qui fleure; effleure
Et effeuille
Mon désarroi de pique;
Avec le roi d'épique,
Qui m'envoie des piques
Pour que je ne me tienne à carreaux !
Et que je m'en lave les mains
De mes carreaux !
Pour que je reste sur le carreau
De mon chaos;
Où avant que déguerpisse mon eldorado !
Il serait temps qu'avec la reine de la rancœur !
Que je rentre dans la reine de cœur,
Par cœur pour que mon pacemaker
Haut ! Mon cœur !
Guérisse de sa rancœur
Avec des oh de cœur !
En chantant en cœur !
Et de gaieté de cœur !
Avec le cœur sûr la main;
Dont de mon destin,
J'aurai fini par décider
De me tenir à carreaux;
Et de laver mes carreaux,
Avant que j'y reste sûr le carreau
De mon chaos ;
Dont manque de peau,
Je continuerai à jouer cartes sur table !
En ayant toutes les cartes
En main;
Dont de surlendemains
En sûrs lendemains,
J'aurai toujours
Et pour toujours
Chaque jour !
Qui passe de mon destin;
Tout ce lien,
Dont je ferai encore le bien !
Et bien !
En récitant o combien
Par cœur
Oh ! Mon cœur !
Sans hauts de cœur !
Avec le cœur sûr la main;
Et en chantant en cœur
Avec la main sûre le cœur.
Jérôme de Mars
Je fume des cigarettes !
Fumeur de joints;
Ici si enjoint, ici-ci en joints !
Au sens figuré du garde-à-vous !
Je fume des cigarettes !
Pour avoir la paix
Sous diverses facettes
De mes fossettes
En joue de mon amertume,
Où j'enfile des costumes
Sur mesure ! Dont j'enfume
Toute ma bouffée d'oxygène
En un buffet anxiogène;
Où je fume des cigarettes !
En faisant des emplettes
Dont c'est le prix de ma liberté !
Enfumée en fumée,
D'où il y a de la buée
Dans mes lunettes;
Où pour avoir la paix
Et être en paix !
Il faudrait peut-être
Qu'au lieu de vouloir
Me jeter par la fenêtre;
Que je raconte des brèves de comptoir
Au comptoir
Du bistrot
Avec les potos !
Pour que je fume des cigarettes !
En fumant le calumet de la paix
Qu'allumait ce monde qui part en sucettes !
Au non d'une pipe
Vu que tout le monde s'étripe !
Afin que la démocratie s'émancipe !
Et où pour leur cracher la fumée
Aux gens enfumés;
Qui m'enfument
De leur amertume !
Et bah ! j'en fume, j'enfume
Les gens dans leur amertume !
Et leur enclume !
Où je fume des cigarettes !
Afin que ma fumée
Aille sur leurs lunettes
Et pas sur mes lunettes;
Qui ont tant supporté
A première vue toutes mes fossettes !
Avec la tête dans les comètes !
Et où je fume des cigarettes !
Avec diverses facettes,
Car il y a de la fumée enfumée en fumée !
Qui crame sur la cheminée
De mon chemin né;
Moi la tête d'enclume,
De par l'insulte
Des gens vies à vies de mon amertume !
Dont ma vie est le fruit du tumulte
Depuis l'âge adulte;
Où bordel ! Il y a de la fumée
Dans mes lunettes !
Tellement que je fume des cigarettes !
Et que j'en fume; que j'enfume la pipe
Au nom d'une pipe !
De ce monde qui part en sucettes !
Et dont moi à la bonne franquette !
Je suis en quête de paix !
Et en requête pour être en paix
Et aspirer en paix à la paix !
D'où la raison pour laquelle je fume le calumet
De la paix qu'allumait
Ma vie, dont c'est le prix de ma liberté !
D'où je rejoins ici joint; ci-joint
Six joints !
Le mois de joints
En fumeur de juin;
Dont c'est le prix de ma liberté !
Et en paix s'il vous plaît !
Dont je fume enfumé, en fumée
Le calumet de la paix
Qu'allumait mon traité de paix !
Après avoir été tant maltraité de paix;
Mâle traité de paix !
Dont j'aspire arrivé à bon port à être
Dans un Havre de paix !
Terre du bien naître
De ma résilience
Dans la loi du silence !
Pour passer de mes fossettes
A mes diverses facettes,
Dont pour que ma tête respire la paix !
La tête dans les comètes !
Je fume le calumet de la paix
Qu'allumaient mes allumettes !
Dont c'est le prix de ma liberté !
Où figurez-vous !
Je fume encore
Et encore
Cigarettes sûres cigarettes !
Jérôme de Mars
De ce poème qui fait mouche...
De ce poème qui fait mouche...
Dard-dard; il y a des abeilles; des guêpes;
Des frelons et des bourdons,
Qui filent le bourdon en lançant des piques en rentrant
De leur lune de miel;
Dard-dard avec des cafards qui foutent le cafard
Aux fourmis dans le déni de la reine,
Qui fourmille d'idées
Aux dépens des cigales;
Qui chantent durant chaque été
A La Cigale face au soleil,
Qui est à son zénith dans un concert
De louanges qui fait mouche;
Avec des mouches et des
Papillons, qui prennent leur envol
Dans un effet papillon; qui mouche du moche
En s'mouchant le nez lors du rhume des foins,
Qui chenille les chenilles
Sur le corps des mille-pattes;
Qui retombent toujours sur leurs mille pattes,
En plein dans le mille pattes
De l'an deux mille pattes
Vers à soit des vers de terre-à-terre;
Où avec des grillons; nous grillons notre vie
En la brûlant par les deux bouts de la chandelle,
En tenant la chandelle et en allant;
Plein d'allant vers le haut,
Avec des hirondelles qui volent très haut
Vers le haut et avec des libellules qui pullulent,
En relevant le niveau de ce poème
Qui fait vraiment mouche...
Jérôme de Mars
Quand le soleil fait effet boule de neige !
Entre l'automne et l'hiver
De ces saisons,
Qui grèvent leurs flocons
De neige;
Qui grêlent leurs privilèges,
Il y a des badauds divers
Juste avant les fêtes de fin d'année;
Qui vont bûcher
Dur surtout quand le soleil
Fait effet boule de neige !
A s'raconter la givre,
Qui jette un froid et qui enivre
Avec du vin chaud;
Les badauds dans leur fardeau
Avec de la neige,
Surtout quand le soleil
Fait effet boule de neige !
En donnant du grain à moudre
Pour absoudre et résoudre
Les péchés des quidams;
Qui dans leurs drames
Au quotidien oublient
D'appeler leur familles et leurs amis,
Afin de prendre de leurs nouvelles;
Et dont lorsque tombe la neige !
Quand le soleil fait effet boule de neige !
Et bien ! Les badauds appellent
En ritournelles leurs proches,
Pour leur dire qu'ils ne les oublient
Mais qu'ils ont aussi leurs soucis;
Avec la peur d'avoir les poches
Vides et des poches
Sous les yeux, vu que les aléas
Du temps les amochent;
Avec le temps rabat-joie !
Mais dont le ciel
Ordonne aux badauds,
De faire une trêve
Le temps des fêtes qui achèvent
L'année en milles morceaux,
De ce monde qui dérive vers le chaos;
Avec la neige et ses flocons de neige,
Surtout quand le temps très à cran !
Vu que tout fout le camp !
Fait en sacrilège désormais
Un grand effet boule de neige !
Jérôme de Mars
Quand le soleil fait effet boule de neige !
Entre l'automne et l'hiver
De ces saisons,
Qui grèvent leurs flocons
De neige;
Qui grêlent leurs privilèges,
Il y a des badauds divers
Juste avant les fêtes de fin d'année;
Qui vont bûcher
Dur surtout quand le soleil
Fait effet boule de neige !
A s'raconter la givre,
Qui jette un froid et qui enivre
Avec du vin chaud;
Les badauds dans leur fardeau
Avec de la neige,
Surtout quand le soleil
Fait effet boule de neige !
En donnant du grain à moudre
Pour absoudre et résoudre
Les péchés des quidams;
Qui dans leurs drames
Au quotidien oublient
D'appeler leur familles et leurs amis,
Afin de prendre de leurs nouvelles;
Et dont lorsque tombe la neige !
Quand le soleil fait effet boule de neige !
Et bien ! Les badauds appellent
En ritournelles leurs proches,
Pour leur dire qu'ils ne les oublient
Mais qu'ils ont aussi leurs soucis;
Avec la peur d'avoir les poches
Vides et des poches
Sous les yeux, vu que les aléas
Du temps les amochent;
Avec le temps rabat-joie !
Mais dont le ciel
Ordonne aux badauds,
De faire une trêve
Le temps des fêtes qui achèvent
L'année en milles morceaux,
De ce monde qui dérive vers le chaos;
Avec la neige et ses flocons de neige,
Surtout quand le temps très à cran !
Vu que tout fout le camp !
Fait en sacrilège désormais
Un grand effet boule de neige !
Jérôme de Mars
Michel au pays des anges !
En vol Michel au pays des anges !
Avec mes anges; mésanges
Depuis que tu nais
Plus de ce monde; tu es
Mon cher oncle Michel
Au pays des anges;
En volant avec mésanges,
Dont j'arrange
Ce poème à ton image;
Toi au pays des rois mages,
Où je te rends hommage;
Toi qui voles parmi les anges,
Dont je te chante cette ritournelle
Pour toi qui prend ton envol !
Avec les tourterelles;
Où toi Michel, tes paroles
Me manquent dans une passerelle !
Entre toi et moi et sans ciel,
Toi qui es au ciel,
Et qui a trouvé la paix intérieure
Dans un monde meilleur;
Après une vie de dur labeur,
Où toi Michel qui es au pays des anges;
J'espère que là-haut; tu as une vie d'ange !
Où tout le monde se mélange
Entre mésanges et mes anges,
En chantant toutes les saisons
De la vie dans une chanson;
Dès l'oraison
En te prêtant mon attention
A toi Michel; mon cher ange
Au ciel parmi mésanges,
Où je chante tes éloges
Sans que cela déroge
A tes défauts;
Mais qui sont bien mieux
Que tes mots pieux,
Toi depuis là-haut vers l'eldorado;
Où mon cher Michel,
Tes ritournelles
Me manquent à en pleurer
Toute mon intégrité;
Mais dont mon âme se console
En sachant que maintenant
Que t'es là-haut !
T'as retrouvé papy
Et mamie
En passant aussi du temps
Avec tata, mon cher oncle Michel !
De par tes paroles sans bémol !
Là-haut au ciel !
Et dans le ciel !
Où pour te dire je t'aime !
Sans chrysanthèmes,
Je décoche une flèche !
De par la grâce de mon arc en ciel
Indicible
Pour atteindre la cible
De ton affection éternelle !
En t'accordant toute mon attention essentielle
De par mes larmes qui ne sèchent;
Où je veux pieux
Que tu voles vers de nouveaux horizons !
Sur le balcon
Du Missel !
Toi mon cher oncle Michel
Au pays des anges universels,
Pour que toi en oiseau libre;
Tu puisses vivre
Afin que tu voles
De tes propres ailes,
En prenant ton envol
Avec les tourterelles;
Le tout en ritournelles,
Mon cher oncle Michel
Dorénavant au pays des anges.
Jérôme de Mars
Coup de folie
Petite saynète sous forme d'une pièce de théâtre qui évoque deux anniversaires, où bientôt ça fera presque 1 an le 5 décembre 2021 ! Que Madame Manoiline; l'ancienne directrice de L'ESAT La Fabrique, a été virée de cet ESAT le 5 décembre 2020 pour fêter cet anniversaire ainsi que l'anniversaire, où y a presque 2 ans; Jérôme B avait écrit sur FACEBOOK le 18 décembre 2019 que comme à L'ESAT La Fabrique, tout le monde s'en foutait de lui parmi ses collègues et les salariés, et ben ! Jérôme B avait écrit sur FACEBOOK qu'il voulait se suicider à L'ESAT La Fabrique en se jetant par la fenêtre, comme cela en conséquence; il y aurait eu une enquête, et dont ainsi de cette manière ! L'ESAT La Fabrique aurait fermé ses portes définitivement !
Charlotte P; une ancienne collègue qui s'en bat en retraite :
" - Bonsoir mon petit Jérôme; comment vas-tu ? Mon cher Jérôme tu t'en rappelles quand il y a presque 1 an madame Manoiline avait été virée de L'ESAT La Fabrique suite à sa politique désastreuse dans cet ESAT, dont un agent dont je ne me rappelle pas le nom avait tout dénoncé à L'ARS; et dont toi peu de temps après, tu avais démissionné de cet ESAT le 17 février 2021 dernier; tu vois Jérôme ! Qu'est-ce-que les agents fabriquent dans cet ESAT où il y en a que pour l'argent ? ! En tout cas Jérôme, tu as bien fait de quitter cet ESAT de tarets ! En plus dans cet ESAT; personne ne t'écoutait, ne te prenait au sérieux et tout le monde s'en foutait de toi ! Franchement Jérôme ! Tu ne dois vraiment avoir aucun regret à avoir quitter cet ESAT de merde ! "
Jérôme B; un ancien agent de production :
" - Merci Charlotte; je suis amplement d'accord avec toi par rapport avec tout ce que tu dis au sujet de madame Manoiline qui a été virée de cet ESAT le 5 décembre 2021 ! Moi; j'ai viré de bord comme dans cet ESAT; c'était la prison de la santé dorée; ce qui fait que j'ai sorti mon joker en devenant comme le joker de Batman, en me rebellant contre tout le monde qui me menait en bateau, où je me voilais tellement la face ! Que Marie-Laure Mollet a fini par démissionner de L'ESAT en août 2019; en mettant les voiles que l'activité voile a fini par être supprimée comme activité de L'ESAT, surtout qu'à cause de Madame Manoiline à l'époque à L'ESAT et ben; ma vie n'était jamais un long fleuve tranquille à Vitry sur scène dans cet ESAT de merde; ce qui faisait que j'étais au bout du rouleau quand j'allais toutes les 5 minutes me planquer dans les toilettes pour fuir l'atelier sous-traitance, où j'étais maltraité; mâle traité et conditionné au pire que les cabinets toilettes, où j'allais souvent me réfugier toutes les 5 minutes; étaient juste situés à côté du cabinet du bureau des plaintes de Benoîte Barreteau; la fausse sceptique, dont à cause d'elle, je déchantais tous les jours puisqu'elle me baladait tout le temps en ballades dans son bureau des complaintes ! "
Charlotte P; une ancienne collègue qui s'en bat en retraite :
" - Tu vois Jérôme il y aura bientôt 2 ans; tu écrivais sur FACEBOOK le 18 décembre 2019 que comme dans cet ESAT; tout le monde s'en foutait de toi que tu allais te suicider ici bas dans L'ESAT, en te jetant par la fenêtre; pourquoi avais-tu écrit cela sur FACEBOOK Jérôme ? "
Jérôme B; un ancien agent de production :
" - Et ben; c'est simple Charlotte ! Parce-que personne ne m'épargnait avec au bout du compte des conflits d'intérêts ! Et où tout compte fait ! Etant donné que comme personne ne m'accordait du crédit et de l'intérêt dans cet ESAT ! Que j'ai fini par marquer sur FACEBOOK ce que tu sais ! Car j'en avais ras-le-bol, et que tout le monde sait bien qu'à L'ESAT La Fabrique; on jette l'agent par les fenêtres, d'où on m'a jeté en agent comptant par les fenêtres ! "
Charlotte P; une ancienne collègue qui s'en bat en retraite :
" - Tu as bien fait de quitter cet ESAT de merde Jérôme ! Déjà que t'étais dans la merde à cause de cet ESAT; et au moins maintenant; tu fais du bénévolat au GEM de Vitry, où tu es mieux considéré ! A L'ESAT; t'étais au bout du rouleau car comme tu n'étais dans les papiers de personne, j'en déduis que tu étais comme un sans-papier dans cet ESAT; étranger aux autres, qui t'étaient étranger de même ! Je pense que c'est pour cela que tu as immigré dans cet ESAT, comme tu étais un drôle d'oiseau, mais dont à L'ESAT; question niveau; ça ne volait pas haut du tout ! Que j'en conclus donc que tu as eu plus de bats que de hauts ! Et c'est sans doute pour cela qu'à L'ESAT que tu dépassais régulièrement les limites de la frontière, comme tout le monde te mettait une frontière pour ne pas parler avec toi ! Et c'est aussi la raison qui explique pour laquelle tu ne savais pas mettre de frontière en te demandant ; où est la frontière entre en dire et ne pas trop en dire ! "
Jérôme B; un ancien agent de production :
" - T'inquiète pas Charlotte depuis que j'ai quitté cet ESAT; je suis sûrement un oiseau aux ailes brisées, mais au moins; je suis un oiseau libre qui prend son envol, en volant vers de nouveaux horizons dont cap vers la bonne espérance pour que ça vole vers le haut ! "
Jérôme de Mars
Dommage est intérêt !
Par intérêt !
Il y a souvent
Dans la vie
Des conflits d'intérêts !
Pour l'intérêt
Des gens !
Qui pour être dans le vent !
Y ont leur intérêt !
Et y voient leur intérêt !
Qui évoque les rois mages
De leur désarroi mage,
A l'image
Des images;
Qui font du bruit
Car dommage est intérêt !
Avec des dommages et intérêts
En conflits d'intérêt !
Dont le seul intérêt
De leur seul intérêt !
Est leur unique centre d'intérêt !
En aimant
Et en s'mariant par intérêt !
Et pour l'intérêt !
D'avoir des dommages et intérêts,
Dont leur dommage est intérêt !
Et a de l'intérêt
En ayant de l'intérêt;
Qui a intérêt
D'avoir pour intérêt !
Des conflits sans intérêts
En conflits d'intérêts !
Dont le seul intérêt
Est d'avoir des dommages et intérêts,
Dont le dommage est intérêt !
Pour ceux qui par exemple;
Ont intérêt
A ce qu'il y ait un plagiat !
Qui contemple
Dans une amende honorable !
En faisant amende honorable
Et en mangeant en amende honorable !
La chanson des rois mages
De Sheila !
S'il y a encore un intérêt !
D'y voir son désarroi mage
A l'image
Des images;
Qui tournent la page
Des conflits d'intérêts;
Qui bafouent les droits d'auteur
De cette chanson écrite
Et décrite
Par des auteurs-compositeurs;
Aussi talentueux
Qu'harmonieux
Pour y trouver la paix intérieure
Dans un monde davantage meilleur,
Dont pour ne plus avoir de conflits d'intérêts !
Par intérêt !
Et pour l'intérêt !
De leur intérêt !
Dont le seul intérêt
Et unique intérêt
De leur intérêt !
Est qu'il n'y ait plus d'intérêt !
A y trouver de l'intérêt !
Et à y accorder de l'intérêt
A leur centre d'intérêt;
Qui aurait de toute façon intérêt !
A y avoir intérêt !
En ayant de l'intérêt !
En dommages et intérêts !
Pour avoir intérêt
D'avoir son intérêt !
Et d'y voir son intérêt !
Sans conflits d'intérêts,
Dont leur seul intérêt !
Et leur unique intérêt !
Aurait dommage !
Dommage dommage !
Par intérêt !
Des dommages; dédommages
Pour l'intérêt d'aimer !
Et de s'marier par intérêt !
Et d'aider par intérêt !
Pour l'intérêt des intérêts
En dommage est intérêt !
Jérôme de Mars
Le crabe en pince !
Pince-moi je rêve !
Avant que le crabe m'achève !
Le crabe en pince !
Et s'rince l'œil !
Dans un cancer de louanges
Mi-loup,
Avec pour ange
Un poisson d'avril
D'Haddock;
Qui est complètement tintin !
Quand le crabe en pince !
Le crabe aux pinces d'or,
Si bien que le crabe en pince dort !
Avec du haddock;
Qui est complètement tintin !
En mettant de l'huile de tournesol
Sans dorer la sole,
Quand le crabe en pince !
Et s'rince l'œil !
Dans un concert de louanges;
Ou un cancer de louanges,
Si bien que le crabe qui en pince !
Qui est complètement tintin !
Chante ou déchante !
Mi-loup !
Selon les circonstances qui tentent
De manger du haddock;
Avec de l'huile de tournesol
Pour faire dorer la sole,
Et dont pour vaincre le crabe
Aux pinces d'or !
Il vaut mieux manger du crabe
Qui en pince dort !
Dont le crabe en pince !
En un cancer de louanges !
Pour qu'il s'rince l'œil !
Dans un concert de louanges
Avec une vie d'ange;
Qui arrange
En disant mon œil !
Bon pied ! Bon œil !
Genre pince-moi je rêve !
Avant que le crabe m'achève !
Et dont pendant la trêve
D'un concert de louanges,
Il y a la sève
D'un crabe qui en pince !
De ses pinces d'or !
En un crabe
Qui en pince aux pinces dort !
Pour dorer la sole
En mangeant du haddock;
Qui est complètement tintin !
Et dont le crabe qui en pince !
Mi-loup !
Est complètement tintin !
Et mange du haddock;
En donnant
Rendez-vous prochainement
En avril !
Dans un poisson d'avril !
Avec de l'huile de tournesol
Pour dorer la sole !
Et passer d'un concert de louanges
Pour trépasser en un cancer de louanges,
Dont le crabe
Qui en pince d'or !
Est complètement tintin
Et mi-loup
De ses pinces dort !
Parce-que pince-moi je rêve !
Avant que la trêve s'achève !
Et m'achève !
En un crabe;
Dont le crabe en pince !
Et en repince !
Jérôme de Mars
Mes vers de poèmes me soûlent-ils ?
Revers de problèmes
Avant une mise en bière
Comme ma mère,
A votre avis !
Dans ma vie !
Mes vers de problèmes me soûlent-ils ?
Ou est-ce-que mes vers sont un presqu'il ?
De ma personnalité en dents de si !
En vers de bohème !
D'il paraît que mes vers de poèmes
Me soûlent-ils ?
Comme une mise en bière
Du temps de ma mère !
En vin de ce cruel inventaire !
Que me causent mes revers de problèmes
Dans l'anarchie
Et la rébellion !
Des qu'en-dira-t-on ! ?
Où l'envers du décor
Fait que je ne suis en accord
Avec moi-même !
En s'demandant idem
S'il y en a qui m'aiment
Tout de même; m'aime !
Avant le jour de mon requiem
Et ma mise en bière,
Comme ma mère !
Si à dater de ce jour
De ma parole de troubadour;
Si mes vers de poèmes continueront de me soûler !
Au-delà que l'aurait présagé ma conscience
Dans son obscurité,
En terre
Emise en terre délétère;
Où j'aimerais savoir
Si de mon mouroir;
Il y en aurait qui sur leur perchoir
Que ça risquerait d'émouvoir !
Le fait; la fête que j'aurai retrouvé l'insouciance
De l'essence de mes vers de bohème
Après tous ces revers de problèmes !
Et à votre avis !
Depuis que dans ma vie; il fait nuit !
Est-ce-que mes vers de poèmes me soûlent-ils
Jusqu'à l'ivresse
Parmi la foule en liesse,
De laquelle je m'enivre !
Pour vivre
En marge du système !
En un presqu'il
De ma terre d'asile !
De l'hôpital qui s'fout de la charité !
Au fond des chimères
De ma vie à l'agonie;
Qui dérive vers l'ennui
A s'en foutre des misères
Des vies bien esseulées,
Alors qu'il suffit d'êtreensemble
Et tous ensemble !
Pour que tout s'assemble !
Car qui s'ressemble s'assemble !
Afin que l'égoïsme tremble
Et s'meurt dans la solidarité
Tous ensemble dans l'ensemble !
Car entre amis et en famille !
Et bien en galante et charmante compagnie
Après un ver solitaire;
Voici un ver solidaire
A plusieurs en profitant
Du temps présent
Qui reste !
Pour lâcher du leste
Avant la mise en bière,
Comme ma mère
Au cimetière;
Où je finirai en poussière !
Mais pas mes vers de poèmes,
Dont j'aime
Etre en marge du système;
Qui me tape sur le système
En vous disant que j'aime
La vie,
Quand il y a de l'embellie !
Et que je n'aime les conflits;
Mais dont je préfère
Quand il y a des confettis !
Certes pas en vin !
Mais avec de l'entrain
Après tous mes revers de problèmes,
D'où maintenant ! C'est le monde à l'envers !
En vers de bohème !
En voulant savoir
Avant de m'éteindre dans mon mouroir !
Si mes vers de poèmes
Me soûleront encore même post mortem ?
Jérôme de Mars
Le bureau des complaintes
A la queuleuleu !
Il y a d'ici peu
Des gens qui attendent
Et qui prétendent
A attendre leur tour;
Qui vaut le détour
Vers le bureau des complaintes,
A y déposer plainte !
Et à porter plainte !
Pour atteinte
Au bureau des plaintes
Avec pour chose peinte,
Des complaintes
Vers le bureau des complaintes;
Qui met en ballade
Dans une escapade;
Quelque teinte
En demi-teinte,
Hors d'atteinte !
Succincte dans un écrin
De fumée en un brin;
Qui fait taquin
Des câlins coquins
Vers le bureau des plaintes,
Avec pour le rendre libertin
Un accès vers le bureau des complaintes;
Dont c'est un trop plaint !
Tout ce trop-plein !
Ce trop plaint d'indécence
Avec un trop plein décence,
Qui raconte des salades !
Dans cette ballade
En roucoulades
D'accolades; dès l'étreinte
Vers le bureau des complaintes,
Dont on connaît la chanson !
Des folichons en larrons
En foire !
Le jour du grand soir
En va-et-vient !
Du bureau des plaintes;
Dont ça vient !
Ca survient !
Ca revient !
Ca prévient !
Et ça devient
Le bureau des plaintes;
Avec pour déchanter en refrain
Le bureau des complaintes.
Jérôme de Mars
Souris ! On gèle !
Depuis mon patelin pourri
En forme de pot-pourri !
A travers
Les travers
Deux Gainsbourg
Depuis mon faux bourg !
On connaît tellement bien
La chanson !
Et tellement son refrain !
Qu'au début de chaque saison !
Et bien pour jeter un froid !
On déchante du bout des doigts !
Souris ! On gèle !
On s'les gèle en antigel !
Avec pour porte-à-faux
De sacrés coups de chaud;
Amoureux en vieux cœurs d'artichaut !
Hardi show !
Souris ! On gèle !
Et on s'les gèle en antigel !
Quand on déchante la chanson
Deux Gainsbourg !
Sorry Angel
Depuis mon vieux faux bourg;
En mettant de l'eau à mon moulin
Moulin avant on ne peut pas
Etre à la fois !
Au four et au moulin !
Et dont pour repartir sur de nouvelles basses !
En faisant des messes-basses !
On déchante Souris ! On gèle !
Où on s'les gèle en antigel !
A basses de Sorry Angel !
Aux travers
Des travers
De ce cher
Vieux téméraire
Deux Gainsbourg !
Arrivé au bout de son itinéraire
Depuis mon faux bourg
De calembours !
Or ! Il fait chaud !
Ah ! les chats faux !
Serge Gainsbourg
Sort ici là
Ses griffes
D'escogriffes !
Griffes passés démodes !
Dont parfois !
Les gens ne sont si commodes !
Avec de puits mon faux bourg
Un véritable faubourg
Dans la joie !
Car depuis mes calembours !
En comptes à rebours !
On connaît si bien
La chanson !
Et son refrain !
Qu'on naît en fin de saison !
Car d'après la chanson
Deux Gainsbourg !
Sorry Angel !
Et bien dans mon faubourg !
Plus un faux bourg !
Puis que plus que bien
En jetant un froid !
Souris ! On s'les gèle !
Avec en antigel
Souris ! On gèle !
Jérôme de Mars
Joueur d'échecs
Situé à gauche de l'échiquier poétique !
Je suis un joueur d'échecs;
Qui fait un Tchèque
En disant bonjour aux dames;
Qui sont des pions sur l'échiquier !
Et qui dament
Le pion,
Comme un morpion;
Qui dame; quidam
Le fou du roi !
Et la reine de la dame
Sur le macadam de ce slam,
Où je suis un joueur d'échecs;
Qui subit une ribambelle d'échecs
Dans le fou du désarroi,
Où je suis le fou du roi
Sur un je de dames,
Dont l'en je est un quidam;
Qui dame
Le pion,
Qui est un pion
A gauche de l'échiquier poétique,
Dont ma folie névrotique
Refoule le fou !
Avec pour garde-fous
Un je de dames;
Qui fait un Tchèque
Echecs et maths !
En calculant le pion
De son échiquier poétique;
Arrivé au bout du compte
Avec pour acompte
Un compte de Morphée
Tout compte fait !
Dont en tant que joueur d'échecs;
Je suis un pion sur l'échiquier
A gauche de l'échiquier poétique;
Tel un morpion névrotique,
D'où je prends le fou
Et je fais le fou
En prenant la dame;
Qui dame le quidam,
Déplacé sur le macadam,
Dont en bout de ce slam;
Je fais le fou désarroi !
Et je prends le fou du roi
En saluant les quidams !
Qui dament le mort pion;
En faisant un Tchèque et maths !
Moi le joueur d'échecs.
Jérôme de Mars
L'autel des péchés
Lettre destinée à celui ou celle,
Qui lira son Missel
D'une vie amère salée;
Qui respire le renfermé consumé
En mourant à p'tit feu
Au nom de Dieu !
A l'autel des péchés,
Où cet être pestiféré
Est logé à la m'aime enseigne,
Dont son cœur en saigne
De toute la misère de sa vie affective !
Qu'il en résulte une chimère négative,
Où il s'repasse sans cesse la même bande;
Untel de son passé avec en offrande
De la contrebande,
Où durant son enfance malgré sa légitime offense,
Il n'eut d'amis!
Mais le prix
D'un fardeau à double tranchant;
Se calfeutrant et s'retranchant
Dans les tranchées,
Dont il voulut s'trancher les veines
Dans la veine de ses grands-parents;
Qui n'eurent pas de vaines !
Où cet être malheureux en tant que poète maudit;
Cherche la meilleure façon d'en finir avec sa mélancolie
A l'autel des péchés
Pour confesser ses fautes au curé !
Avant que tout le monde n'en ait rien à cirer de lui !
Malgré que lui;
Il pleure toutes les larmes de son cœur !
Avec un pacemaker,
Tellement qu'il en a mal à son cœur !
Comme il respire la liqueur de la rancœur !
A prendre par cœur ce qu'il reluit
Dans la médisance !
Et la bien-pensance !
Dont nul ne guérit de son offense !
Comme il n'est aguerri de son enfance,
Où il voudrait à tout prix !
Avoir de l'embellie
Dans sa vie !
Pour y éloigner ses vieux démons;
Ses addictions
Et ses penchants d'hallucinations !
Qui le plongent dans un pot-pourri
De ses écarts avec en florilège !
Le sacrilège
De son âme flétrie
A l'autel des péchés,
Où il serait temps pour lui !
De déloger
Ses balles
Dans un gilet pare-balles !
Depuis le temps
Que ce gars déballe
Toute sa malle !
En allant voir son psy !
A Rue de La Roquette;
En quête
D'un droit à l'oubli !
En faisant ses emplettes;
En vue de signer un traité de paix !
Après avoir tant
Eté maltraité; mâle traité sans être en paix !
Dans son passé outre passé !
Dont malgré le mâle qu'il a hérité
De son grand-père maternel;
Du à ce passé anxiogène,
Il serait temps pour lui fraternel et charnel !
Qu'il trouve chaussure à son pied
Dans un océan d'amour outre atlantique !
En paix dans un océan pacifique !
Afin qu'il parte sur la pointe des pieds
Vers un avenir meilleur !
Au jardin secret du p'tit bonheur !
Où jusqu'à présent cent gênes !
Ses gènes
L'avaient tant trépassé !
Qu'en faim; il réussira en indigène !
On l'espère !
Après tout cet enfer !
A dépasser !
Tout ce camouflet
Et ses déconvenues de nulle part résiliés
A l'autel des repêchés.
Jérôme de Mars
L'automne qui déshabille les arbres
Un automne à chaque saison,
Comme à la maison !
Elague les feuilles
Qui effeuillent un mille feuilles;
En laissant de marbre !
L'automne qui déshabille les arbres,
Si courtement vêtus
En tombant des nus;
Ecimés et décimés
A en couper le souffle écorché !
En laissant de marbre !
L'automne qui déshabille les arbres
Sous des grands airs de blues qui jalousent,
Un amour de trèfles à quatre feuilles
Avec un mille feuilles;
Qui effeuille et blouse
L'automne qui déshabille les arbres;
En laissant de marbre !
L'arbre qui cache la forêt
Dans une étendue qui a la langue boisée;
Embourgeoisée et vivifiée,
Puisque bienvenue en une parure
De couverture
De bijoux
De famille qui laissent totalement de marbre !
En acajou,
L'automne qui déshabille jusqu'au bout les arbres.
Jérôme de Mars
Vers progressifs
Un ver
Avec vue
Sur la mer agitée;
S'boit en un ver solitaire !
Avant qu'en vers progressifs;
Les déboires se boivent fatalistes !
Dans une monture de vers progressifs
Autour d'une collectivité de vers solidaires
De vers progressifs avec vue sur la mer salée;
Qui dans un raz-de-marée s'retire en vers progressifs
Dans des éclats de vers et des bris de vers en vers fêlés;
Horizon à mer de vers progressifs écorchés vifs sur le vif du sujet !
Piqué au vif au sujet de l'attribut des attributs; à tribus du fils emmêlé !
Qui perd les fils des vers progressifs avec une belle vue sur la mer ingurgitée,
Dont la mer à boire ne boit que des vers progressifs qui soûlent sa vie chaotique.
Jérôme de Mars
Les hommes prennent les oiseaux pour des pigeons
Lâchés dans la nature;
Les oiseaux de mauvais augure
Veulent voler
Et aller
Vers le haut !
Pour relever le niveau !
En ayant pignon
Sur rue !
Et une opinion
Malgré la peur de l'inconnu !
A propos des donneurs de leçons,
Où les hommes prennent les oiseaux
Pour des pigeons
En sûrs hommes;
Tels des surhommes
Dans des prises de becs;
Avec des mots secs,
Envolés
Et survolés
Sur leurs corps beaux,
Où autrefois; les hommes
Que la nature prit pour des pigeons;
Sont maintenant des sûrs hommes,
En surhommes,
Où les hommes prennent les oiseaux
Pour des pigeons;
Ayant pignon
Sur rue,
Avec une opinion
Qui s'rue !
Malgré la peur de l'inconnue
Dans leur implacable équation;
Tels des hommes qui s'posent une pléthore
De questions,
En écoutant leur antique transistor
Ayant en métaphore
Des trésors;
Qui filent des salutations
Distinguées dans une effusion,
Dont les idées reçues; fusent dans la nature
En temps qu'oiseaux de mauvais augure,
Où au final; cela préfigure et configure
Dans leur bonne nature !
Une ouverture
D'envolée lyrique
Et féerique;
Déployée,
Où en sûrs hommes;
Tels des surhommes,
Les hommes prennent en pleine figure
Les oiseaux pour des pigeons.
Jérôme de Mars
Régulateur d'humour
Changement d'humeur !
Matin bonheur !
Il y a chaque jour de la lueur;
En travaillant à la sueur
De son front
Avec l'horizon;
Qui lézarde
Et regarde
Le régulateur d'humour;
En donnant par amour
Des maux de troubadour,
Pour les transformer
Par roulement de tambour
En des mots extasiés;
A bluffer le commun des mortels
Qui songent à enjoliver
Par amour;
Le régulateur d'humour,
Presque comme par hasard !
Tandis qu'il y a un brouillard
Qui brouille les pistes !
De la liste
De chimère;
En désillusions incendiaires,
Et dont pour modérer les vautours;
Voici l'heure de vos tours
Au tour du régulateur d'humour;
En voulant que les humeurs
Fassent honneur
A un ciel d'amour !
Déployé dans un joli séjour;
Avec un régulateur d'humour
Pour soigner la mélancolie
Des poésies dans l'anarchie !
Avec de l'espoir
Au bout du purgatoire
Vers un appel formel et officiel
A un immense consensus;
Qui rend riche comme Crésus !
Les pauvres dans une richesse
Et une liesse;
D'un billet d'humeur
Et d'humour
En un régulateur d'humour !
En leur donnant de l'amour
Par amour
Pour donner;
Recevoir
Et s'adonner
Lors du fameux soir !
A enrichir les gens;
Humainement tout simplement
En ouvrant bien grand ses oreilles;
En écoutant émerveillés les ritournelles
Du printemps en des mots d'hiver;
Qui arriment qu'il est temps
De retomber les pieds sur Terre !
Avant qu'il fasse à nouveau
Du beau temps !
En trouvant les mots
Par amour !
Et pour toujours
En un éternel régulateur d'humour.
Jérôme de Mars
La boîte à gants
Mise en boîte et les gants !
Il y a dans la boîte à gants
Des gens élégants;
En glissant sur un toboggan arrogant;
Fringant et élégant
En prenant des gants
Elégants,
Comme dans la boîte à gants;
Qui roule en mettant les gants
Qui emboîtent élégant
Le pied qui boîte et les gants,
Et fringant;
En allant sur un terrain glissant du toboggan
Avec la boîte à gants arrogants,
Où il faut toujours prendre des gants !
Avec les gens en mettant les gants élégants,
Où le tout élégant;
C'est bientôt dans la boite à gants élégants !
Et les gants arrogants,
Avec pour glisser dans le toboggan élégant
Et fringant;
Des gants élégants,
Et les gants qui prennent des gants
Arrogants; en mettant les gants
De la boîte à gants fringants,
Où maintenant ça y est; c'est dans la boîte à gants !
Jérôme de Mars
Un violon dingue
Violoncelles; nous violons celles !
Qui ont un violon dingue;
Frappa-dingue
Dans ce monde dingue
De dingues;
Qui flingue
Avec un porte-flingue
Les gens et leur violon d'Ingres,
Où nous accordons nos violons !
Quand nous raccordons nos violons celles
Des violoncelles, dont nous violons celles !
Qui ont dans leur violon d'Ingres,
Un violon dingue;
Qui accorde
Et raccorde
Monocordes les discordes;
Qui concordent
Surplace de la concorde;
Et qui discordent
Dans leur violon d'Ingres
En un violon dingue;
Frappa-dingue,
Et qui flingue
Avec un porte-flingue
Les violoncelles,
Dont nous violons celles
Des violons celles !
Quand nous accordons
Et raccordons nos violons
Dingues; complètement frappa dingue
Dans ce monde dingue
De dingues; qui flingue
Avec un porte-flingue;
Les gens et leurs violons d'Ingres
En un violon dingue lourdingue.
Jérôme de Mars
La fleur dans la vase
Laissez-aller; c'est un vase !
En faisant une fleur !
Et en envoyant des fleurs
A la fleur dans la vase !
Qui dévase des vases !
Nullement triomphateurs !
Dès lors de l'embellie d'une fleur !
Qui éclot
Une porte qu'elle et clôt
A huis-clos !
Avec la fleur dans la vase;
Qui transvase
Et puits laissez-aller; c'est une vase !
Qui fait des clapotis dans un bouquet
De fleurs on fleur; Honfleur !
C'est un p'tit bout de chou-fleur !
Avec la fleur dans la vase;
Qui évase
Et vases !
Laissez-vraiment aller; c'est un vase !
Dans un laissez-aller; c'est une vase !
Qui évase et vases !
Qui dévase des vases !
Et transvase l'eau du vase !
Dans l'eau de la vase,
Dont c'est le bouquet
De fleurs !
De p'tits bouts de chou-fleur !
D'on fleur qui effleure Honfleur !
Et fleur
De pot !
A fleur de pot !
Avec la fleur du vase;
En mettant endimanchée
Dans l'eau;
La fleur dans la vase.
Jérôme de Mars
Le cercle des potes dix parus !
En compagnie de Jérôme de Mars; le poète maudit !
Voici ses amis qu'il réunit
Dans le cercle des potes dix parus !
Parus et apparus en continu !
Avec dans la clique Alexandre; Guillaume; Adel;
Boris et Jean-Paul; avec en plus dans la passerelle,
Edwin; Brigitte; Christophe; Charlotte; Bénédicte; Michel;
Philippe; Tony; Stéphane; Muriel; Farid; Dorothée et Raphaël
Ayant dans l'escarcelle
Des amis connus et reconnus !
Dans la bande à plus de cinq
Qui s'requinque !
Reçue cinq sur cinq !
Dans le cercle des potes dix parus !
En d'écrivant aux travers d'une poésie désabusée;
Un regard amusé et singulier
Depuis le temps que dans ce jeu d'écriture !
Il y a de quoi avoir fort allure !
Avec en aperçu !
Le cercle des potes dix parus !
Si jamais Jérôme de Mars évolue
En un poète maudit disparu !
Dont la principale vertu
Serait de donner en aperçu
Une envie
De s'abonner en point de salut !
En compagnie des amis
Du cercle des potes définitivement dix parus !
Jérôme de Mars
Bouddha bouda !
Voici un Havre de paix !
Pour Bouddha !
Pourvu qu'il trouve la paix !
Et pourvu qu'on lui foute la paix
Intérieure !
Naguère en conflits d'intérieurs !
A l'extérieur
De ses apparences de son sourire rieur !
Où Bouddha bouda !
Les rabat-joie et les filles de joie !
A y duper l'ignorance de leurs éclats
D'innocence; à méditer leurs pensées
D'arrière-pensées !
Pour assurer; leurs arrière-pensées
A rassurer !
Et à réassurer
Leurs arrières dépensés; des pensées
En arrière décompensés par leur passé !
Trépassé et outrepassé !
Qui a consumé
Dans le passé Bouddha !
Dont Bouddha bouda !
Ce maudit passé
Dans la méditation
De ses pensées très dépassées !
Afin d'arriver à bon port
Dans un Havre de paix !
Et de trouver dans le confort
La paix !
En s'enivrant vers le nirvana !
En ne faisant du cinéma
D'action ! Mais en étant
Dans la zénitude
D'un long fleuve tranquille étang
Dans un changement d'attitude !
Où pour rester Bouddha !
Bouddha bouda !
Les âmes sans joie !
Pour naviguer durant
Des mois
Vers la sagesse qui boit
Des paroles modérées;
A deux doigts
D'honneur
De faire un bras
D'honneur ! En faisant honneur !
A cet Havre de paix !
Dans lequel Bouddha
Aspire en paix à la paix !
Dont Bouddha bouda !
La Macédoine;
Qui raconte des salades !
Dans cette ballade
Et même si l'habit ne fait pas le moine !
Bouddha aspire à la paix !
Sous ses habits de moine,
Dont Bouddha bouda !
Les rabat-joie et les filles de joie !
Mais pas la joie,
Dont grâce à son karma;
Bouddha bouda !
Son passé trépassé et outrepassé !
Avec pour trouver la paix;
La paix intérieure
En extérieur !
Malgré ses conflits intérieurs !
En accédant au bonheur
D'un mantra,
Dont de son aura !
Bouddha ne bouda !
Jérôme de Mars
Mimi fait crac-crac !
Dans sa bulle de bande-dessinée;
Mimi Cracra
Avait dans ses paroles;
Des fantasmes bien suggérées
Avec des hommes qui bandent des six nés,
Si bien que Mimi fait crac-crac !
Dans une apparence de farandole;
Qui fut frivole
Sous ses airs de rossignol;
Qui faisait penser
Que Mimi Cracra
Avait prise son envol !
Pendant que Mimi fait crac-crac !
Soit en prenant du crack;
Ou soit en étant une crack
En vidant les bourses
De son homme qui débourse
Un krach-boursier,
Comme un homme qui crache sa purée;
Epurée !
A Mimi Cracra !
Pendant que Mimi fait crac-crac !
Dans une bande dessinée
En faisant l'amour qui bande des six nés !
Que ce soit en restant dans sa bulle
Ou en étant mise en ovule
Par son homme, dont son sexe
Sans complexe;
Pullule les monologues de son vagin
Avec son homme et son machin,
Dont pour que ça reste une bande dessinée !
Bien édulcorée genre chicorée !
Sucrée sans salée !
Il vaut mieux que Mimi Cracra
Reste dans sa bulle
De bande-dessinée;
En faisant Ah ! Ah !
Sans que le sexe de son homme
Bande des six nés !
Avec en somme
Sa purée;
Epurée !
Genre un krach boursier !
Qui crache bousiller !
Ami qui craque
Mimi qui fait crac-crac !
Jérôme de Mars
De l'eau a coulé sous les ponts de puits !
Eau de savon de Marseille !
Qui coule de source !
Face au soleil
D'une eau de puits;
Il y a dans le soleil !
L'étoile de la grande ourse;
Qui s'badigeonne de Rimmel !
Si bien que le ciel siffle
Que c'est l'heure de la récré !
Pour s'amuser
Les doigts dans le nez !
Qui reniflent
L'écume de la mousson;
Qui épouse l'eau de puits !
Dès que nous nous émoussons
Avec à partir de là
Des éclats,
Où de l'eau a coulé sous les ponts de puits !
Avec de l'eau de pluie;
Qui remplit le puits
De brèves de comptoir !
Pendant que s'amenuise le réservoir;
Abreuvoir d'airs de fanfares
Lors de somptueuses journées;
Qui jouent déserts phares !
Face au soleil qui crécelle
Des assiettes de porcelaine
En cassant de la vaisselle;
Qui rappelle Verlaine
Depuis dépits,
Où de l'eau a coulé sous les ponts de puits !
Avant qu'il y ait pour répit
Une accalmie dans une embellie
Vers l'endroit d'à côté;
Qui adorait pivoter
Sur la rivière qui erre
Dans l'eau de savon de Marseille;
Qui lavait son linge sale en famille face au soleil,
Et depuis en retournant dans l'eau de pluie;
De l'eau pour de bon a coulé sous les ponts de puits !
Jérôme de Mars
Mets l'eau drame !
Slam qui clame
Un mélodrame !
Où le mélo
Déclame et trame !
Mets l'eau drame !
Pour que tout tombe à l'eau !
Dans le ghetto
De ton chaos;
Qui percute écolo; mégalo
Et parano
L'eau bouillante;
Qui t'arrive impressionnante
Dans les brûlures de l'histoire;
Avec au comptoir
Des brèves de comptoirs;
Distributeurs de tes bruits de couloirs
Dans les couloirs du temps;
Parasitant et embarrassant
Ton mélodrame,
Et pour que de l'eau coule les ponts !
Utilise en élucubrations
Et en vibrations
Ce slam !
Mets l'eau drame !
Dans ton mélodrame !
Avant qu'il y ait un drame
Dans ta vie, où tu te cames !
Afin que le superficiel
Fasse sûre place au paradis artificiel !
Alors qu'il te suffit juste d'être naturel
Pour que tu mettes de l'eau
Dans ton vin qui te soûle péquenot !
Avec comme solution provisoire
Un réquisitoire !
Afin que ta vie de quiproquos
Soit rédhibitoire;
Dont il te suffit que tu coules un bain de jouvence !
Afin que tu aies la recouvrance
En comprenant que la vie peut être aussi du plaisir !
Malgré ce que certains t'en ont à médire !
Dont pour qu'il y ait moins de mélodrame
Dans tes slams;
Mets l'eau drame !
Dans ton mélodrame !
Et afin que tout ne tombe à l'eau !
Malgré ta vie dans le chaos !
Mets pour mets !
Un entremets !
Qui met et émet des mets
Dans ton mélodrame
En mets l'eau drame !
Jérôme de Mars
La plénière séance
Nouvelle consultation imaginaire au CMP entre Madame Teillet; une psychiatre et son patient; Jérôme Bedrossian :
Madame Teillet; une psychiatre : - " Bonjour monsieur Bedrossian; alors comment allez-vous ? Faites-toujours le même cinéma en ayant un poil à la main ? "
Jérôme B; un patient : - " Bien, Madame Teillet; vous savez ce n'est pas du cinéma mon état ! Même que je suis acteur de ma vie malgré que je repasse toujours dans ma tête la sempiternelle bande originale négative de ma vie ! Si j'ai un poil à la main; c'est pour que vous vous en laviez les mains en me passant la brosse à reluire ! "
Madame Teillet; une psychiatre : - " Ne vous faites pas passer pour plus handicapé que vous êtes monsieur Bedrossian; vous allez très bien ! Même si c'est vrai qu'à cause de vos névroses; vous êtes paralysé en ayant tout le temps un métro de retard, où vous êtes souvent en train d'avoir des ruminations pour remettre votre trame sur de bons rails ! Mais il est vrai que vous avez un handicap certes moins lourd et moins pire que d'autres ! Mais dont je reconnais que votre handicap vous paralyse et que c'est notamment à cause de ça ! Que vous n'allez pas de l'avant notamment avec les fêtes de fin d'année qui vous rappellent la conception de votre mère, où lors des fêtes de fin d'année; vous irez de l'avent de toute manière; que vous le vouliez ou non ! "
Jérôme B; un patient : - " Oui c'est vrai ! Et si jamais simple hasard du calendrier; je vais de l'avent pour passer une bonne fin d'année ! Ce sera de toute façon du vent avec un par avent car après le calme; la tempête ! "
Madame Teillet; une psychiatre : - " Il faut que vous alliez de l'avant Monsieur Bedrossian; que voulez-vous de plus ? Vous avez pu obtenir du fait de ne plus travailler à L'ESAT mais de faire du bénévolat au GEM; que demander de plus Monsieur Bedrossian ? "
Jérôme B; un patient : " Oui c'est vrai Madame Teillet ! Vous avez raison ! Il faut que j'aille de l'avant mais je vais malgré tout de l'avant car j'arrive à marcher; donc je vais quand même de l'avant ! Comme ceux qui ont voté la république en Marche ! Tellement en marche que je voulais vous dire Madame Teillet que j'ai reçu la notification de la MDPH qui rejette mon 80 % ! "
Madame Teillet; une psychiatre : - " Mais monsieur Bedrossian; vous n'êtes pas handicapé pour marcher dans la rue; en sachant toutefois que vous avez eu un lourd passé qui ne tient pas debout ! Donc Monsieur Bedrossian; j'en déduis que vous êtes plutôt handicapé par vos démarches à cause de la marche du siècle, où vous êtes resté depuis jadis aux 30 glorieuses alors qu'on naît en 2021 ! Monsieur Bedrossian; il faut vous remettre au goût du jour ! "
Jérôme B; un patient : - " Madame Teillet; je voulais vous demander; vous voyez mon AAH est valable jusqu'au 11 septembre 2023 ! Madame Poplawska; mon assistante sociale m'a confirmé par mail qu'il faudra faire le renouvellement de mon AAH un an avant l'échéance; soit commencer à procéder au renouvellement de mon AAH en septembre 2022 ! Vous voyez Madame Teillet; là ! Je vais de l'avant pour être en marche ! Jean-Yves m'a informé que pour le renouvellement de mon AAH en septembre 2022 prochain; il vous aidera à détailler mes symptômes de santé; notamment mes dernières difficultés liées aux incidents et difficultés qu'il y a eu à L'ESAT; notamment les deux tentatives de suicide à L'ESAT, où j'ai tenté de me jeter par la balustrade qui se sont produites la première fois en juin 20217 et la seconde fois en mai 2019 tout cela à mon ancien ESAT, comme de mon hospitalisation en janvier 2019 à Paul Guiraud pour cause de crises de panique et d'épuisement général; dus en l'occurrence au nouvel an 2019 qui avait été éprouvant, où là; ce n'était pas l'hôpital qui se foutait de la charité ! car à ce moment-là précis; j'avais vraiment besoin d'aide et de souffler puisque j'étais réellement à bout de nerfs et au bout du rouleau ! Vous aviez oublié de préciser tout cela dans le certificat médical que vous aviez signé en février 2021 dernier pour ma demande de 80 % à la MDPH; mais c'est vrai qu'à l'époque; vous ne me connaissiez pas en 2018-2019 et que Jean-Yves ou moi; on ne vous avait pas trop évoqué l'étendue de mon état même si depuis tout ce temps; de l'eau a coulé sous les ponts ! Parce-qu'à fortiori; je voulais également vous affirmer qu'en septembre 2022 et bien en plus de faire le renouvellement de mon AAH; c'est-à-dire de l'ensemble de mon dossier MDPH que par conséquent; je ne demanderai pas le 80 %; et que ce sera à la MDPH de jauger le taux de mon handicap selon ce que vous et Jean-Yves aurez marqués dans mon dossier MDPH par rapport à mon état de santé psychique; en se basant sur l'analyse de Jean-Yves; sur votre diagnostic et sur mes déclarations; tout en connaissant et reconnaissant mes antécédents psychiatriques et la réalité de mon état psychique sans noircir le tableau mais sans non plus l'embellir ! Tout simplement en disant juste la vérité; telle qu'elle est ! Et dont ce sera alors à La MDPH de trancher selon vos rapports médicaux et sociaux si La MDPH doit situer mon taux d'incapacité à 80 % ou à plus de 80 %; ou à moins de 80 % entre 50 % et 79 %; donc vous voyez bien Madame Teillet que mon état; ce n'est pas du cinéma ! En dépit du fait que je suis acteur de ma vie; voilà ! "
Madame Teillet; une psychiatre : - " Et ben dis donc Monsieur Bedrossian ! Quel remue-ménage dans tout ce que vous me dites ! "
Jérôme B; un patient : - " Madame Teillet; vous faites bien de m'en avertir ! Car je voulais vous demander si vous avez signé le certificat médical pour donner votre aval de Marne pour que je puisse bénéficier d'une aide-ménagère à domicile pour m'aider à faire le ménage; à entretenir mon logement et pour que ça déménage ! Même s'il y en a beaucoup qui ne m'ont pas ménagé notamment quand j'ai déménagé pour emménager dans mon appartement il y a 11 ans ! Même si parfois vous aussi; vous ne me ménagez pas non plus pour ne pas que j'entretienne mes malheurs ! "
Madame Teillet; une psychiatre : - " Monsieur Bedrossian; vous avez sans arrêt le mot pour rire; maux pour maux ! Et c'est quoi votre dernier mot pour que je vous donne mon aval de Marne pour que vous ayez une aide-ménagère à domicile ? "
Jérôme B; un patient : - " Qu'au moins; si vous donnez votre aval de Marne pour que j'ai une aide-ménagère à domicile à travers un certificat médical que ce ne soit pas mon dernier entretien de la dernière séance avec vous ! Mais qu'il y ait encore une multitude de plénières séances avec vous dans une crise de rire malgré mes crises de nerfs ! "
Jérôme de Mars
Jérôme et Farid; les deux potos qui s'appuient sur un pote haut ( poteau ) !
Deux amis Jérôme et Farid; qui ont le blues discutent de l'époque d'avant dans une ambiance saudade !
Farid : - " Salut ! Comment vas-tu Jérôme ? As-tu le moral mon pote haut ? "
Jérôme : - " Pas trop; j'ai le blues du businessman ! "
Farid : - " Pourquoi dis-tu cela mon poto ? "
Jérôme : " Car tu vois Farid je m'appuie sur un poteau pour consoler ma peine avec toute la musique dont les maux ne sont jamais les mêmes à part que les maux m'aiment ! J'en ai ras le bol Farid de cette putain de vie ! Avec les amis à part toi ! Je prends du recul; sans doute que j'ai déçu certains amis mais d'autant m'ont frustré genre quand ils ont eu besoin de moi; j'avais beau leur dire que j'étais pas dispo; ils voulaient rien savoir; il fallait quand même que je sois là pour eux alors que quand j'ai eu besoin deux ! Ils n'ont pas toujours été tout le temps présents que je l'ai été pour eux car souvent; ils prétextaient qu'ils n'étaient pas dispos ! L'amitié; ça ne va jamais dans les deux sens ! C'est pour cela Farid que je dis que je déchante à sang unique que j'ai le blues du businessman car tout ce que j'ai entrepris; ça n'a jamais marché avec toute la musique que j'aime, dont les maux sont toujours les mêmes puisque les maux m'aiment ! C'est pour cela que je m'intéresse plus à l'argent qu'aux amis à part toi Farid ! J'ai tellement le blues que je suis dégoûté de tout mon cher Farid; toi; mon poteau ! Au moins avec toi; il n'y a pas de pot aux roses ! Surtout que moi; je ne suis pas un poto rose malgré mes défauts ! "
Farid : - " Je m'inquiète pour toi mon cher Jérôme; mon pote haut ! En ce moment; t'as plus de plus de oh ! Que débat ! Tiens le courage ! Mon pote haut ! Heureusement que t'as le blues du businessman ! Car c'est grâce à toi que j'ai pu obtenir le bénéfice de l'aide des 30 Euros par virement de l'aide départementale Val de Marne Solidarité ! Et tu m'as aussi beaucoup soutenu et aidé pour que j'ai des aides sociales et notamment pour mon renouvellement AAH ! Avec toi Jérôme; la faim justifie les moyens comme quand tu m'as aidé en me donnant des boîtes de conserves tellement que tu conserves tes mises en boîte de moi ! Malgré ton potentiel Jérôme ! Tu es paralysé par le handicap de ton passé outre passé; ce qui t'empêche d'aller de l'avant ! "
Jérôme : - " T'inquiète Farid comme dans moins de deux mois; ça va être les fêtes de fin d'année ! Pour moi; ça sentira le sapin tant et si bien que j'aurai les boules maboules que je risque de m'enguirlander avec tout le monde que je m'en bats les steaks de tout que je vais sans doute trépasser de bonnes fêtes de fin damnée ! En souhaitant comme à l'accoutumée chaque année surannée; une bonne année et une bonne année à votre santé en trinquant à votre santé et en trinquant de ma santé ! Comme cela; je pourrais à la rigueur me suicider le 1er janvier de la nouvelle année surannée en commençant un bon début damné ! Ce qui fera que je le veuille ou non que j'irai de l'avent d'après le calendrier ! "
Farid : " - Que puis-je te souhaiter pour que tu sois un peu en paix ? "
Jérôme : " - Peut-être Farid que pour avoir un peu de succès que je devrais me mettre à fumer comme toi en fumant le calumet de la paix pour faire un tabac ! "
Farid : " - Ou si tu fais un bureau de tabac si par conséquent; t'achètes des cartouches de cigarettes en grillant toutes tes cartouches vu que tu brûles ta vie comme moi par les deux bouts de la chandelle ! "
Jérôme : " - Ne crois-tu pas Farid que le je en vaut la chandelle ! Surtout que ton anniversaire c'est au mois de Mars alors que le mien d'anniversaire est au mois d'août complètement out dans un burne août à force que je fasse un burn out ! "
Farid : " - Alors Jérôme ! Que proposes-tu pour ne pas que toi et moi; on se jette en argent content par la fenêtre ? "
Jérôme : " - Que toi; tu t'appuies sur un pote haut; moi et que moi; je m'appuie sur un poteau toi l Si bien que moi; Jérôme et toi; Farid; on naît les deux potos qui nous appuyons sur un pote haut ( poteau ) ! "
Jérôme de Mars
Aquarius; le moribond !
Un bond furibond
Dans le temps;
Et en avant !
Comme un poisson
Dans l'eau !
Car et bien ! Tout tombe à l'eau !
Dans le ghetto,
Où se resserre
L'étau dans la mer !
Tel avide !
Un bocal
Qui se vide !
En s'donnant du mal !
Et en faisant le mal !
En virant de bord d'un bateau !
Ceux à travers;
De ceux qui ont émigré
En mer direction
Le soi-disant eldorado !
Médisant l'aversion;
La version ou l'inversion
Qu'ont Les Français
De l'immigration !
Qui a tendance à rentrer
Trop ou pas assez
En France ! Selon les rumeurs
Des donneurs de leçons;
Qui font
Ou défont des fonds !
Ce qui a causé
Un naufrage
A l'abordage
D'Aquarius; le moribond !
Qui a fait faux bond furibond
A bord du bateau;
En tournant le dos
A la raison,
Où pour tous !
Vivement un coup de pouce
Du genre bienvenue !
Comme à la maison !
En mangeant du merlu ,
Comme un poisson
Dans l'eau !
Dans le port salut !
D'Aquarius; le moribond !
Qui trouve que tout cela est bon !
Quand il clame et bien ! C'est bon !
Ces naufragés, dont beaucoup
La plupart au grand cœur;
Il faut les secourir en bienfaiteurs,
Comme des seigneurs !
En leur trouvant un abri
Malgré les débris !
Puisque s'amorce
En France avant le déluge !
L'union fait la force !
En un subterfuge avec une des luges !
Dont à partir de maintenant !
Afin que la vie reste un long fleuve tranquille !
Erigeons des maisons
Avec le printemps !
A la place des bidonvilles,
Avant que ça parte en vrille
Dans la déraison !
Et pour cela; retrouvons l'oraison !
De la prière qui Ave misère !
De sorte que la colère
Mûrisse en une terre de lumière !
Dont après Aquarius; le moribond !
Voici le retour sur la terre ferme de la reine mer !
Avec à bord ! Aquarius; le mari bon !
Jérôme de Mars
Crie l'heure !
Frictions garanties !
Crie l'heure !
Et frissons garantis !
Thriller !
Quand ma gueule !
Jack sonne !
Résonne et raisonne !
A l'Anglo-Saxonne !
Avec un klaxon;
En voiture Michael !
Quand ma gueule !
Jack sonne !
Résonne et raisonne !
A l'Anglo-Saxonne !
Avec un klaxon;
Frictions garanties !
Crie l'heure !
Et frissons garantis !
Thriller !
Dans une déroute !
De banqueroute !
Ma gueule !
Jack sonne !
Résonne et raisonne !
A l'Anglo-Saxonne !
Avec un klaxon;
Quand son venin
De serpent a sonné !
Résonné et raisonné !
Quand ma gueule !
Jack sonne !
Résonne et raisonne !
A l'Anglo-Saxonne !
Avec un klaxon;
Frictions garanties !
Crie l'heure !
Avec pour refrain
Et frissons garantis !
Thriller !
Quand ma gueule !
Jack sonne !
Résonne et raisonne !
A l'Anglo-Saxonne !
Avec un klaxon;
Frissons garantis !
Dans un thriller
Et frictions garanties !
Et crie l'heure !
Jérôme de Mars
Un buisson qui hait un arbuste !
Naquit dans le maquis;
Un paysage croquis très exquis
D'un buisson qui hait un arbuste !
Avec pour figure robuste
L'arbre qui cache la forêt !
Planté là en continu
Dans la forêt vierge effarouchée;
Têtue de par l'envers du décor crêpu,
Qui jalonne ce parcours semé
D'embûches qui aura essaimé
Et clairsemé ce chemin tohu-bohu
En un horizon fourbu;
Ayant pour buste !
Une figure décomposée
D'un buisson qui hait un arbuste !
Dans un jardin secret pas très clair !
Avant qu'il y ait des frontières linéaires,
Dès l'appel de la forêt !
Borné et inopiné,
Dont hélas ! Ce serait bon signe vierge !
S'il y avait grâce à ce remue-ménage !
Une concierge
Qui ménage
Les sages !
Dans un buisson qui hait un arbuste !
Avec aucun engrenage fruste,
Et dont pour terminer
L'appel de la forêt vierge !
Telle une vierge effarouchée !
Il serait opportun
Et sain !
De tailler les haies
En une haie d'honneur !
En jonchant de toute sa splendeur;
Un buisson qui hait un arbuste !
Jérôme de Mars
Un ver dans le fruit
Rien que pour ta pomme;
Mange une pomme
De poète maudit !
Avec un ver dans le fruit;
Même s'il y a un ver
Dans le fruit défendu !
De ta gueule fendue
Au clair de ta lumière,
Quand ta vie
Vacille vers la peur de l'inconnu !
Si bien que tu plantes une graine !
Qui égrène ton jardin d'Eden
Avec ton grain de folie,
Lorsque survient ta peur de la nuit
Et de l'ennui,
Si bien que ta poésie désespérée
Et désabusée;
Rime avec un ver dans le fruit;
Qui est un ver à soi tutti frutti !
Avec un ver dans le fruit défendu
De ta vie;
Qui dévie à l'ennui
De ta gueule fendue;
Rien que pour ta pomme dépit,
Avec une sacrée
Vache enragée,
Quand tu manges ta pomme des pis !
Avec un ver dans le fruit,
Dont ta mère fut l'usufruit
Dans un clerc de notaire,
Quand ta mère fut ton fruit défendu
De ta gueule fendue !
En déroute dont tu es la bonne poire
De tout le monde; larrons en foire !
En ayant de tes déboires;
Une poire pour la soif assis
Sur une grosse poire,
Et dès qu'arrive le grand soir,
Tu termines ton ver solitaire
Au clerc de tes vers solidaires,
Dont la mère de ta mère;
Te rappelle l'agonie
De ta poésie en misanthropie;
Avec pour boire le ver à moitié plaint !
Un ver à moitié plein !
Autour d'un ver dans un fruit défendu
De ta gueule fendue,
Où tu récoltes le fruit
De ton travail;
En buvant un ver à la paille !
Dont tu t'entailles pour ta pomme flétrie;
En mangeant ta dernière pomme d'usufruit !
Avant qu'il n'y ait dans le fruit
Plus aucun ver dans le fruit.
Jérôme de Mars
Une nuit quatre étoiles
En dormant à la belle étoile;
Il y a un palace dans le ciel
Gravitant autour de lumières
Sûres naturelles;
Qui s'assoupissent en une nuit
Quatre étoiles;
Logée à l'autel des constellations;
Porté par la voix lactée;
Qui fait des messes-basses
Pour y jouer
De la contrebasse;
Avec des instruments à vent;
Qui vendent du vent
En singeant la réincarnation
D'une éphéméride limpide;
Qui a les idées claires
Sous l'égide
D'une aquarelle dans le ciel;
Qui dévoile
Une nuit complète quatre étoiles
En dormant à la belle étoile;
Qui luit de brillantines
En s'faisant des cheveux qui imaginent
Placide un monde meilleur
Et sincère
Orné d'un ciel bleu azur
Et diurne pour inaugurer
Un délicieux futur;
Qui augure d'un précieux bonheur;
A consommer
Dans une nuit plus complète
Quatre étoiles;
Avec dans la compète
Des comètes;
Qui appellent
De la part du ciel;
Le Missel,
En messager de la paix
D'un monde davantage fraternel;
Semi-modulé de vent et de bonté
En regardant de plus bel;
Un ciel de nuit
Dans une ribambelle;
Complice et choyée
Par une confrérie à voile
Et à vapeur;
Au tour de l'heure
Qui tourne chaque nuit !
Dont avant
Que retentissent les douze coups de minuit;
Voici à minuit !
En dormant à la belle étoile;
Logée à l'autel des amoureux
Un avenir incroyablement radieux !
De par la grâce d'un ciel qui dévoile
De par ses nouvelles facettes;
Une nuit très complète
Et très quatre étoiles.
Jérôme de Mars
Des faux-jetons
Rejetons;
Nuls ne guérissent
De leurs enfance même !
Qu'ils mûrissent
De leurs problèmes
Dans la vie,
Où il faut rentrer
Dans le système !
Des conventions sociales
Avec une tape amicale;
En faisant la comédie
Et en occultant la tragédie,
Pour incarner la loyauté
Et l'intégrité;
De façon simulée !
En ramassant des faux jetons
Pour y jouer au loto;
En vue de ramasser
Le bon numéro
En eux; eux; ces sacrés numéros !
Qui sont des faux-jetons !
Que nous rejetons; après avoir été
Des rejetons;
En sortant du lot
De consolation;
Avec maintenant; le lot
De décompensation;
Eux; des faux-jetons;
Qui devinent le vrai du faux
Avant d'aller à l'échafaud;
Et qui ont les jetons !
D'être des jetons;
Et d'avoir été des rejetons
Que nous rejetons !
Eux; des faux-jetons
Avec leurs faux jetons;
Qui ont les jetons,
Dont nous jetons
Leurs faux jetons
De faux-jetons,
Dont nous rejetons
Leurs faux rejetons
De faux-rejetons;
Eux; qui ont les jetons !
D'avoir les jetons;
Qui ont les rejetons
D'avoir les rejetons;
D'avoir été des faux rejetons;
Faux-jetons;
Et d'avoir eu des faux jetons,
Comme faux-rejetons !
Avec pour tirer réellement
Le bon numéro !
A partir de cet instant !
Des sacrés numéros;
Qui sortent à l'instant
Du lot;
En ayant pour jolis lots
Des vrais faux jetons rejetons !
Que nous ne jetons
Et ne rejetons !
Et dont pour ne plus avoir les jetons !
OTAN qu'on tire comme dernier bon numéro;
Ces sacrés numéros
Avec des faux jetons !
Dans un porte-à-faux rejetons !
En ayant pour de faux;
Ces sacrés numéros;
Qui sortent à nouveau du lot;
Des faux-jetons.
Jérôme de Mars
Le je en vaut la chandelle !
Triste anniversaire;
Chaque année
Sur année surannée
A ce bouc-émissaire;
Qui ressent
A sang !
Toute la colère
De son passé;
Qui le consume
A p'tit feu !
Dans son amertume
A prier Dieu !
Avant de rejoindre
Les cieux !
En cendres,
Car à chaque mois d'août;
Ce garçon triste !
Mais altruiste !
Mais tellement peu reconnu
Du fait de sa vie dissolue
Et absolue;
Mais éperdue; et perdue;
Brûle sa vie
Par les deux bouts de le chandelle !
Des bougies !
Puisque selon lui;
Le je en vaut la chandelle !
Avec les bougies !
Avant qu'il chancelle
Vers la curiosité
Et sans peur de l'inconnu,
Dont il en n'a plus rien à foutre !
De tout ce qu'il en cogne sa vie
Dans la poutre !
Or selon lui;
Le je en vaut la chandelle !
Car à part chaque anniversaire;
Il ne fait que tenir la chandelle !
D'une vie qui naît plus celle
Qu'il voulait !
A part s'envoler comme une tourterelle !
Lui; l'oiseau aux ailes brisées;
Qui lui rappelle la ritournelle
De sa mère !
Qu'à chaque anniversaire
Sur année surannée;
Le je en vaut la chandelle !
Qu'il brûle sa vie
Par les deux bouts de la chandelle !
Plus il n'y a pucelle dépucelle;
Qui était sa mère !
Mais qu'il ne dépucelle
Du fait de l'inceste,
Dont pour lâcher du leste;
OTAN qu'il épluche le Missel !
En faisant un régime mi sel !
Avant de rejoindre les cieux;
Nom de Dieu !
Dans le repos éternel
De son paisible pieux !
En implorant la paix de son âme !
Malgré sa vie infâme; hein femmes !
Où l'on espère !
Qu'avant son prochain anniversaire
Au prochain mois burne août !
Malgré qu'il est burn out !
Qu'il aura moins de colère !
Pour qu'il décolle l'air
A faim de ne plus brûler sa vie
Par les deux bouts de la chandelle !
Avec les bougies !
Nom d'une ritournelle !
Car à partir de là sans les bougies !
Le je en vaudra vraiment la chandelle !
Jérôme de Mars
Le blizzard est bizarre !
En général !
Le général Bigeard;
Qui en a eu vent
Que le monde devenait déviant !
Loin très loin de vent !
Avait trouvé Bigeard
Que le blizzard soit bizarre !
En ayant le vent en poupe;
Tellement qu'élevant !
Que levant; le vent
Lui jeta un vent
Au général Bigeard !
Que le blizzard fut bizarre !
Avec de grosses bourrasques
De vent !
A cause de ses frasques
Au vent de vent déviant !
Qu'en général !
En amiral;
Il mena tout le monde
En bateau !
Dans la sonde
Du chaos !
Or et bien le général Bigeard !
Dans une étape amicale;
Décida à la loyale
De façon royale !
Que le blizzard serait dorénavant
Bizarre !
En général !
Comme le général Bigeard;
Qui vendait; vend et vendra du vent !
Pour rester dans le vent !
Et cheveux dans le vent !
Event et vent d'auparavant;
Au paravent; au par avent
Et au par avant !
Dont et maintenant !
En général !
De face frontale;
Le général Bigeard
Décréta devant !
Et très loin devant !
Que le blizzard était bizarre !
Et décrète des crêtes;
Aussi loin de vent devant !
Que le blizzard qui va de l'avant;
Est bizarre !
Jérôme de Mars
Des fautes d'autographes
Signature qu'on paraphe
Sur un document;
Rempli de fautes d'orthographes,
Il manque comme élément
Un autographe qui agrafe
Des fautes d'autographes;
Faute d'autographes
De celui ou celle;
Qui fait des fautes d'orthographe,
Faute d'orthographe
Avec pour paragraphe !
Qu'il ou elle
Naît pas loin de son épitaphe !
Pour trépasser le flambeau
Depuis son tombeau,
Où il ou elle maintenant ;
Qui est au ciel !
A commis une faute qui paraphe
Sa fin de vie en signant un autographe
Avec des fautes d'orthographes;
Faute d'orthographes
En faisant des fautes d'autographes,
Qui agrafent
Faute d'autographe;
La graphe
Avec pour terminer le paragraphe;
Aucune faute d'orthographe
Sur l'épitaphe;
Faute d'autographes
En signant
Et en consignant
En dernier paragraphe;
Des fautes d'autographes.
Jérôme de Mars
Peut-on pardonner dans la vie à quelqu'un ?
Amis et famille dans la vie !
On en a besoin en embellie
Dans ce monde d'infamie !
Pour tenir en ces difficiles jours,
Comme le monde respire la mélancolie
Et soupire dans le gris aigri
De cette vie de vautours !
L'amour universel
Et spirituel d'untel à untel
Dans un monde avide d'amour;
Permettrait la résurrection
De ce monde sous perfusion !
Certes; personne n'est parfait !
Et quiconque est capable du meilleur
Comme du pire !
Surtout que tout peut arriver
Dans la vie !
De la lueur
Du jour !
A la sueur
De l'obscurité !
Dans le désamour
De ce monde de plus en plus obscur !
Où l'humanité va droit dans le mur !
Où même les pires crapules;
Ont une part de bonté
En elle !
Avec des scrupules !
Grâce à l'autel !
Et si un membre de votre famille
Ou un de vos amis;
Fait une faute morale
Et passe à l'acte en faisant le mal;
Le dénoncerez-vous à la police ?
Le laisserez-vous tomber ?
Pour qu'il dévisse
Vers le vice ou s'il est dans le besoin !
L'aiderez-vous pour qu'il soit entre de bonnes mains ?
Et pris en charge par des bienfaiteurs ?
Afin qu'il aille mieux ailleurs;
Et à votre avis; peut-on pardonner
Dans la vie à quelqu'un;
Même qu'il a fait une faute morale
Et fait du mal
A quelqu'un d'autre,
Alors qu'il lui manquait juste peut-être des principes
Et des convictions;
Lui qui croyait sans doute que tout le monde s'étripe !
Sans penser qu'il y en a certains;
Qui se vautrent
De leurs tripes
Vers l'amour pour leur prochain !
Dans une attitude altruiste
En oubliant ce monde triste !
Selon vous; peut-on pardonner
Dans la vie à quelqu'un ?
Même s'il a fait une grosse erreur
Dans un acte vilain,
Alors qu'au fond; il naît pas complètement méchant !
Mais tellement à cran
Du fait que tout fout le camp !
Dans ce monde à l'agonie
Et dans l'anarchie !
Où règne l'hérésie !
Et où il fait tout le temps nuit !
Et plus tellement jour !
A votre avis; si un de vos copains
Ou un membre de votre famille;
Suite à un accident de la vie;
Un deuil; un divorce; un licenciement;
Une agression ou des problèmes d'argent;
Du fait que cette personne ne mange pas
Ou plus
A sa faim !
Avec un manque de moyens
Dans les tracas !
Et si aussi;
Cette personne est à la rue,
Car elle ne peut plus payer
Son crédit ou son loyer !
Et qu'avec sa vie dissolue !
Cette personne est tellement à cran
Qu'à cause de son passé oppressant !
Elle n'y arrive plus maintenant !
Et si cette personne; c'est-à-dire ce quelqu'un
Est un copain
De votre bande d'amis;
Ou quelqu'un de votre famille;
Qui vacille
Et qui passe à l'acte en faisant le mal !
En commettant une chose immorale;
Laisserez-vous tomber cette personne ?
Ou essaierez-vous de l'aider ?
Afin qu'elle retrouve la voix de la raison
Et la foi de l'oraison;
Certes; personne n'est parfait !
Et le monde dans la réalité naît
Pas un conte de fées !
Mais à votre avis; peut-on pardonner
A quelqu'un dans la vie ?
Même qu'il a commis une grande infamie !
En provoquant d'abominables horreurs
Qu'il aurait perpétrés dans un coup de folie !
Et si cette personne est un ami;
Ou quelqu'un de votre famille !
A votre avis; si lui
Ou elle; peut revenir dans le droit chemin !
Ou si c'est à la vie; à l'amour; à la mort !
Avec l'amour; la famille ou l'amitié avant tout !
Malgré que sa vie
Est un vaste fourre-tout !
A l'intérieur de lui !
Malgré son acte infâme
Pour la paix de son âme !
OTAN pour lui que pour soi !
Même si lui ou elle; fut sans foi; ni loi !
Et dans le but crucial
De trouver la paix intérieure
Pour le reste de sa vie;
Avec le besoin vital
De se changer
Les idées ailleurs !
Et de se recharger
Les batteries
Nulle part ailleurs !
Peut tout pardonner dans la vie
A quelqu'un ?
Pour qu'il fasse enfin le bien !
Et du lien divin !
Et bien en tout point tout honneur !
En retrouvant jusqu'à la fin des temps
Le droit chemin.
Jérôme de Mars
Il y en a qui font ex spray de s'tenir à carreaux !
Exprès quand l'amour est dans le près en susurrant à demi-mot !
Qu'il y en a qui font ex spray de s'tenir à carreaux !
En nettoyant les vitres avec du spray qui produit
Un bruit en faisant pschitt ! En lavant sans merci
Les carreaux de l'argent jeté par les fenêtres !
Qui envoie paître les laveurs de carreaux,
Quand il y en a qui font ex spray d'se tenir à carreaux !
Avec pour drôle de scénario des imbroglios;
En faisant semblant de rester planter là comme un hêtre !
Ex prêt d'avoir un spray pour nettoyer les vitraux;
Qui s'tiennent à carreaux devant le bureau;
Qui met en chantier les maîtres contremaîtres,
Quand il y en a qui font ex spray de s'tenir à carreaux !
Pendant que cependant; il y a ceux pendant des pendants;
Suspendant; répondant; pondant et dépendant
Des êtres indépendants en un des pendants,
Quand il y en a encore qui font trop ex spray de s'tenir si bien à carreaux !
Jérôme de Mars
Quand le bateau s'voile la face !
Démarrage du bateau dès l'embargo !
En dérivant de bord au rebord du cargo;
Il y a des outrages à bord qui enlacent
Les passagers ayant l'avantage
D'arriver à tanguer lors de l'abordage,
Quand le bateau s'voile la face !
Et cherche un port d'attache;
En vue d'y accoster avec panache
Sur la rive des berges,
Dont ce bateau n'est pas sorti de l'auberge !
Inouïe en tentant de remonter à la surface,
Quand le bateau s'voile la face !
Et cherche le marivaudage
Pour y trouver sa vitesse de croisière
Au bord de la mer;
Qui ne met aucune barrière
A la frontière de l'écluse
Incluse, afin que l'eau ne soit recluse
Dans la mer; qui écume toutes les races
Des poissons; bourrés de remords
Sur les traces
Du chlore dans l'eau pour éclore
L'envers du décor
En mettant ici bas !
Quand le bateau s'voile la face !
Et fait des ébats !
Quand la mer dans un vague à l'âme;
Roule de vagues les quidams !
En envoyant promener les dames;
Qui dans une impasse;
Cherchent en argent contant
Une passe !
A accorder
Et à donner
Aux clients friands
Dans un tour de passe-passe;
Qui repasse idem la même face
En tentant de faire face !
A la face
Des quarante-cinq tours
Qui valent le détour !
Et pour qu'il n'y ait à nouveau de volte-face,
Quand est-ce que le bateau s'dévoilera-t-il la face ?
Jérôme de Mars
La ballade du slameur
En prélude
De ce slam;
J'élude
Et je déclame !
Que j'envoie valser
Et tout valdinguer !
En envoyant promener
Toutes ces rumeurs
A mon sujet !
Dans la ballade du slameur,
D'où je fais mon beurre !
A tartiner dans du pain béni,
D'où je dédie ces vilaines calomnies !
En faisant la ballade des Jean heureux,
Notamment avec Jean Ferrat;
En composant à l'unanimité
La ballade du slameur;
Qui affiche complet
Avec pour aura;
Cette chanson qui balade
Mes paroles en rad
Au rade d'à côté !
Dans une longue tirade,
Dès que je parade conteur !
Dans la ballade du slameur;
En roucoulant des sérénades
Par la fenêtre extérieure; en amateur
De vers du bonheur
De façade dans une escalade,
Quand tout le monde me balade !
En me faisant une accolade
Dans un semblant de rigolade;
Avec pour boire le ver du vainqueur,
La signature d'un autographe d'imposteur,
Quand arrive la clameur
Au bout de la ballade du slameur.
Jérôme de Mars
Toboggan
Feu de rampe de lancement
c
e
toboggan va sur un
t
e
r
r
a
in glissant qui
d
é
v
a
l
e
de Marne en un
t
o
b
o
g
a
n
et vlan !
Jérôme de Mars
Les beaux arts
A l'école de la vie;
Il y a la panoplie
Et la notice
De la vie
Pour serrer la vis
Des rencards;
Dans un jeu d'écriture
Avec pour dévoiler
La profonde nature
Des beaux arts,
Etendards de la poésie;
De la mélancolie
Et de la fatalité;
Qui endurent
La réalité
De la vie qui envie
Ou dévie
De sa trajectoire;
En bruits de couloirs
Dans un parloir oral
Pour verbaliser
Leur mot égal;
Ou inégal
Dans un esprit
De camaraderie,
Où les beaux arts
Avant d'être des arts
Premiers et singuliers;
Sont des arts mineurs
A l'état majeur !
Avec un doigt majeur
En une forme mineure
D'une folie des grandeurs
A l'école des Beaux-Arts;
Qui ont tant appris
Et inspiré
Les beaux arts,
Comme si Mozart
Etait aujourd'hui là avec Vivaldi !
Durant les quatre saisons
En chantonnant l'oraison;
Qui bat la chamade
Dans la ballade
Des gens heureux
Au coin du feu pieux;
A rêver de l'école
De la vie;
Qui colle
A l'esprit !
Qui montre
Des grands airs;
Et a des grands airs
A la rencontre
Des congénères;
Qui génèrent
Un appel d'air;
Qui a tant appris
Des rudiments
Dans les tenants
Et les aboutissants;
Aboutissant à l'école
Des Beaux-Arts;
Qui décollent l'air
Et décolèrent,
Lorsque décollent
Les pots de colle
A l'école;
Qui ont tant besoin
Qu'on leur dise !
Qu'on va pas
Leur faire un dessin !
Comme quoi les beaux arts !
Malgré qu'ils reluisent !
Et bien !
Par-dessus tout !
Les beaux arts
Restent avant tout !
Faramineux; studieux
Et fabuleux !
Comme si Mozart
Connaissait par chœur
Toute leur chanson classique !
Pour réviser leurs classiques basiques
Et pacifiques dans un océan de tendresse;
Avec en lyrique liesse
A chaque rencard !
La rubrique
A l'état clinique
De l'école des Beaux-Arts;
Qui ont tant été épris
De l'art et la manière
Pas à n'importe quel prix !
Avec pour argent contant
Un répertoire fleuri !
Emmenant et ramenant
Sur la pointe des pieds;
Les magnifiques beaux arts.
Jérôme de Mars
Je ne suis pas un sain !
Oursin,
Comme un ours sain
Mal léché;
De mon côté ours alléché;
A léché
Je ne suis pas un sain !
Mais juste un mâle sain
Ou un malsain;
Pas loin
De la tous sains;
En ne sachant
A quel sain
Me vouer;
A part me dévouer
Au sain de ma mère;
Avec une bouteille
A la mère
Dans l'appareil de ma colère,
D'où je ne suis pas un sain !
Mais un mâle sain
Ou un malsain;
Qui s'fait du mâle sain !
A la tous sain !
Où je tousse hein !
Dans mon côté oursin
En à côtés ours sain,
D'où je ne suis pas un sain !
Mais un mâle sain
Ou un malsain;
Qui s'fait du mâle sain !
Débecté par sa mère agitée
Dans une vie survoltée;
Et ensevelie dans un chaos dissipé
Avec mon côté ours mâle alléché;
Qui a du mal a léché
Les ourses mâles sains
De ma mère;
En mon côté ours sain
Et oursin;
Ours qui vieux loue solitaire;
Empêtré dans l'appareil de ma mère
Mâle sain
Ou malsain,
D'où je ne suis pas sain !
Comme un mâle sain;
Qui ne sait
A quel malsain;
Se vouer
Et dévouer
En vers sa mère;
En lui envoyant une bouteille
A la mère;
Face à l'inertie du soleil,
Dont malgré que je sois
Sans foi ni loi;
Un mâle sein
Ou un malsain;
Je ne suis désormais plus un sain !
Jérôme de Mars
L'aimante religieuse
Au nom d'une bible
Qui tire les ficelles
Femelles qui bouffent le mal,
Comme un insecte
Qui fait mouche !
Animal et loyal !
Des regards louches
Débectent en prises de becs
La France de pure souche;
Qui s'fait la belle !
Dès qu'il y a l'aimante religieuse;
Qui aime la mante religieuse;
Qui aime songeuse
Boire de la menthe religieuse;
Avec les mantes religieuses,
Où il leur manque la parole indicible !
Qui ruisselle d'une couche
De la population qui couche;
Et peint des toiles pieuses;
Telle la croix de l'aimante religieuse;
Qui porte sa croix de les mantes religieuses
En mangeant une religieuse;
Sine qua nonne !
Oh ! Que la menthe religieuse
Est bonne !
En barbouillant le ciel
Du signe du Missel !
Qui trifouille les arcs en ciel
Dans un archange ciel;
Telle l'aimante religieuse;
Qui prie pour l'amante religieuse;
Qui régente parcimonieuse
De rêves pleins les nuages;
Au-delà les parages !
D'une relation amoureuse
Par ciel,
Lorsque l'adage
De l'aimante religieuse;
Aime boire les paroles
De les mantes religieuses;
Grâce à Sir sourire qui fignole
Les dernies détails avant le passage
De l'extrême ponction en un Carrousel;
Qui l'ouvre le ciel !
En route vers l'aquarelle
Au pays des merveilles
De l'amante religieuse;
Qui achète par amour par ciel
L'amour de l'aimante religieuse;
Qui fait mouche
Avec les mantes religieuses;
Que régente la mante religieuse
Dans un coin essentiel;
En priant pour l'amour du ciel !
En faisant s'envoler les tourterelles
Dans des standards de ritournelles;
De par la grâce de l'aimante religieuse...
Jérôme de Mars
Voudrais-tu prendre un ver avec moi ?
Eclats de vers;
En débris de vers
De vers fêlés;
S'il te venait
A l'esprit sans vanité;
De flamboyer
Ma vie dissolue
Dans l'absolu !
Pour festoyer
Autour d'un ver
Dans un bistrot
Avec les potos;
Et comble de moi !
En te relançant roi !
Voudrais-tu prendre un ver avec moi ?
Moi; le mâle poli
Et un poli luxe en bourgeois;
Malgré mon état endolori
Par la maladie
Et la psychiatrie,
Si je te sers un ver de poèmes;
Voudrais-tu prendre un ver avec moi ?
En toute amitié !
Du fait de notre amitié
Pour raconter nos histoires
En brèves de comptoir;
Le temps d'un ver solidaire
En oubliant mes vers solitaires;
Imbus de moi-même !
Dus aux revers délétères;
Et te sers-je un ver fleuri ?
En tant que poto rose
Au bistrot
Des potos;
Malgré que mes vers
De poèmes respirent la bohème
De mes problèmes;
Qui parsèment un avant-goût de requiem;
En tentant malgré tout d'entretenir
La fleur de la vie;
Cultivée quelque peu
Et sulfureux
Dans un drôle de jardin secret;
Si je te sers un ver de poèmes;
Voudrais-tu prendre un ver avec moi ?
Même que le ver est parfois rabat-joie
Et sournois;
Tels sont les ecchymoses
De ma crise d'identité;
Aux vers dosent !
J'ai largement eu ma dose
De mes névroses,
Et dont malgré mes vers fêlés;
A boire mes déboires
En brèves de comptoir !
Comble de l'ironie
Et de l'histoire !
Serais-tu prêt à boire un ver de l'amitié
Avec moi pour que mon désarroi
Murisse en une joie ?
Synonyme de mon amitié
Avec toi en vieux amis;
Riches de souvenirs bourgeois,
Et dont pour terminer en beauté
Ce ver de l'amitié
En toute fraternité;
Si je te sers un ver solidaire;
Serais-tu prêt à m'accorder
Du temps pour que mes revers solitaires;
Boivent nos paroles salutaires ?
Et que le tout nous dessert
En vers extraordinaires,
D'où le sel d'une amitié épanouie
Autour d'un ver au bistrot
Entre potos;
En s'racontant nos revers nécessaires !
Afin que le tout évolue en vers populaires;
Qui nous rassemblent dans la fraternité
Et en fait Serge; te sers-je un ver solidaire ?
A toi et à moi autour de nos vers solitaires;
En trinquant à notre santé requinquée
Après que j'ai tant trinqué de ma santé,
Et pour oublier nos revers qui furent prospères;
Accepterais-tu de prendre un ver de poèmes
Avec moi ?
Pour oublier nos revers de problèmes;
Et pour que mes vers de poèmes
Deviennent des vers de bohème;
Voudrais-tu avant que je règle l'addition salée
Prendre un dernier ver avec moi ?
Jérôme de Mars
Etat d'armes
Vague à l'âme !
Comme dans ce monde
Que je fronde !
Il n'y a plus d'état d'âmes;
OTAN qu'on passe avec l'arme
A l'œil à un état d'armes !
Qui crame
Ce monde de came;
Que j'exècre
De mon état piètre
En tirant la larme,
Comme la solidarité
Se désarme;
Et que la médiocrité
De pensée s'arme
Dans un état d'armes,
Comme tout le monde
En faisant une ronde;
S'en fout des états d'âme
Qui fait que ce monde
Ne tourne plus rond,
Car il hait rubicond
Et con !
En voyant rouge
Dans tout ce qui bouge;
Avec du vague à l'âme
Et qui fait place
A un vague à larmes;
En faisant remonter
A la surface;
La raison pourquoi
Laquelle; tout le monde
Se lasse
De tout
Dans tout ce fourre-tout;
Sans joie et rabat-joie
Dans un état d'armes;
Qui outrepasse larmes
A l'œil en tirant la larme,
D'où on trépasse larme
A gauche dans cet état de larmes
Dans un état d'armes.
Jérôme de Mars
La bonne humeur
Etat délétère
De notre monde anxiogène;
Il y a des sang gènes
Qui ont un état bipolaire;
Un jour de bonne humeur
Et tantôt d'humeur exécrable;
En balançant les dernières rumeurs
Sur la table
En croyant se rendre intéressant,
Alors qu'ils sont juste méchants;
Et quelle est la bonne humeur
A avoir au final ?
Afin de semer du bonheur
En général !
De la tare
Et de la part
Des états maniaco-dépressifs;
Ecorchés vifs sur le vif
Du sujet; piqué au vif
Et qui voit rouge vif !
En ayant une humeur massacrante
Ou exaltante
Dans un contraste en tout point
Tout honneur !
De la bonne humeur
A avoir jusqu'à l'embonpoint
Des humeurs bipolaires;
Un coup salutaire !
Et tantôt mortifère !
A s'extraire
Des vents contraires
Dans un effet de mode;
Qui ne peut être commode
Ou auquel tout le monde s'en accommode !
Avant que le vent démode
Le temps éphémère
Des humeurs bipolaires;
En essayant d'avoir en permanence
Avec inconstance
Et dans une bonne fréquence;
La bonne humeur,
Entre soit prendre un bol d'air
Qui aère les nerfs !
Ou soit avoir une crise de nerf
Dans la guerre des nerfs
A cran de viscères;
Entre l'euphorie
Et la mélancolie;
Sans modération
Dans l'aliénation
Irrationnelle et incendiaire
D'humeurs bipolaires;
Qui s'en vont crépusculaires
Dans l'amère;
A l'ombre d'un état de fureur
Avec malheur;
Ou au clair de la lumière;
Qui éclaire les réverbères
Et les lampadaires
Avec lueurs;
Le tout tout ça avec bonheur !
De tout cela qui fait en inventaire;
La bonne humeur.
Jérôme de Mars
Les démons de mes nuits
Dans les vaps;
En pleine nuit
Je dérape
Fortuit et dépéri !
Dans les démons de mes nuits;
Desquels j'essaie de résister
Aux tentations instantanées;
Qui me laissent augurer
De me révolter
Contre des choses pas chouettes
De la vie en chouettes;
Qui me volent ma vie
Qui part en miettes,
D'où je tombe dans les oubliettes
De les démons de mes nuits;
En repassant les mêmes images
De mes différents passages,
Dont on connaît la chanson !
A chaque année ses propres saisons !
Où redémarrent mes démons
Et mes pulsions
De les démons de mes nuits;
En posant mon sac lourd
Dans un diable d'enfer;
Qui circule et s'indiffère
De mon état décrépi
Dans ce monde sourd,
D'où les démons de mes nuits
A l'état d'agonie dans un monde d'inertie,
Où je ne sais parfois ce que j'espère
A part évacuer mon sac très lourd
Dans un diable d'enfer,
Où le chariot demeure
A en finir avec le bonheur;
Tellement lourd que ça en devient
Une vie de bohème de désamour !
A flirter avec le diable requin;
Qui bouffe vorace mon appétit
Pour la vie
Sous les démons de mes nuits;
Avec en rappel d'images
Tous ces moments de naufrage,
Dès l'abordage,
D'où personne à l'accostage
Pour faire part de ma rage,
Dont pour faire un virage
Sur le rivage
A 180 degrés;
OTAN surfer en paix
D'un mal de mère
En un mal de mère !
Pour que ma vie
Devienne un long fleuve tranquille,
Dont on connaîtra la chanson
A l'issue de chaque saison;
D'un état puéril
A l'état adulte dans la ville,
Comme un individu lambda
Avec des hauts et des bas,
D'où pour que la vie soit fleurie
En adulte très accompli !
Vivement le lever du jour !
Dont ce sera à mon tour
De faire partir
En guise de plaisirs;
Les démons de mes nuits.
Jérôme de Mars
Un être ambivalent
Etat des lieux ambigus
En son état confus;
Il était un être ambivalent !
Un jour opposé
A l'autre jour apposé
De ses jours fluctuants;
Au fil du temps qui laisse présager
Que parfois; son moral au beau fixe !
Serait passager
Ou mensonger, comme la rixe
Dans sa vie qui le met omniprésent
En un être ambivalent;
Changeant comme la direction
Du vent en aversion;
En mettant en pension de réversion
L'inversion du temps qui bat
En pulsation d'impulsion;
Qui rabat
Les cartes cependant
En un être ambivalent;
Inconstant, regardant
Le ciel dans ses caprices,
Dès que le soleil avec malice;
Jette un sort à tort; redondant
A un être ambivalent;
Changeant, comme le temps fluctuant
Au cours impuissant
Des horizons; passant le temps
Et le flambeau
A un nouvel arrivant soupirant
D'un être ambivalent;
En causant muni de son sombrero
Au pays du soleil levant;
Songeant en donnant un coup de chapeau
Dans un sacré numéro;
En tirant son chapeau ambigu
En cet endroit exigu;
De si c'est aigu
Ou pointu !
Que son art est folichon
Ou consensuel,
Comme le soleil
Se dandinant
Et se pavanant !
Polisson; fripon
Affriolant et fluctuant
En son horizon édifiant;
Reflétant son miroir éclairant
Son caractère réfléchissant;
Sans modération
Dans l'aliénation;
Il était déjà
Une fois
De trop un être très ambivalent.
Jérôme de Mars
L'oiseau aux ailes brisées face à la mère agitée
Vague à l'âme;
Il y a du drame
Dans ce slam;
Vis à vis d'une dame
Et pas n'importe laquelle,
Où elle loge depuis longtemps
A l'autel
Du ciel;
Avec en ritournelles
Ses souvenirs de demoiselle,
Dont moi
Avec mon désarroi;
Je suis dans un mâle de mère;
Ivre de colère;
Tel l'oiseau aux ailes brisées
Face à la mère agitée;
Terre-à-terre
De ses ancêtres givrés
Par le froid
Et la glace dans ses pas rois,
Dont la mère avait
Beaucoup de vague à l'âme;
En tant que quidam !
Avec hélas depuis jadis !
Son emprise qui m'enlise,
Où j'ai du mal à prendre mon envol
En ecchymoses de tourments;
Qui frôlent
L'antivol depuis Mathusalem,
Dont tout me tape sur le système !
En prenant la mère de face;
Qui laisse de glace !
Mes apparences trompeuses
Et nébuleuses
De mon état de disgrâce,
Où avec l'absence
De ma mère;
J'ai tant de mâle à faire face !
Dans mon quotidien crépusculaire,
Où moi
Dans mon désarroi;
Je suis l'oiseau aux ailes brisées
Face à la mère agitée
Dans l'amère survoltée;
Qui jette ses tourments
Dans une écriture généreuse
Ténébreuse et sulfureuse,
D'écrits en forme de romans,
Où je survole en survivant
Sans vivre l'instant présent;
En repensant chaque jour
Au boucan de mon passé;
Périmé qui ne peut s'effacer
De mon esprit troubadour;
Vindicatif et frondeur
Avec l'envie saigneur
De me venger
De tous les camouflets
Que j'ai subis en oiseau de vautour,
Dont maintenant c'est à vautours;
D'être l'oiseau aux ailes brisées
Face à la mère agitée;
Pour me venger
Par écrits en prenant
A l'arrachée déplumée
Toute l'ivresse de ma rengaine,
D'où je m'enivre en ma haine;
Qui me tient en haleine
Chaque semaine,
Dont grâce à la brise de vent !
V'là que je me les brise devant
Mes chaînes !
Où dorénavant je m'entraîne
A rendre par écrit la vengeance
Du poète masqué
Sous forme de pamphlet
En toute transparence;
Tel est je prends enfin mon envol !
De la mère défunte, dont je fignole
Les derniers détails de ma plume
Pour barrer la route à mon amertume;
Tel l'oiseau aux ailes brisées
Face à une mère définitivement apaisée.
Jérôme de Mars
Odette Allou
Ancienne collègue de L'ESAT;
Odette Allou fut avec moi psychopathe
Aux dettes relou;
En me prenant la tête
Aux dettes, dont Odette Allou
Me fit mâle avec sa tête
A la tête
Dans un bordel de casse-tête,
Dont Odette alloue
Son handicap en vieille louve solitaire
Qu'elle couve de son mâle patibulaire,
Où Odette alloue L'AAH et L'APL
Qu'elle épelle dans un rappel,
Dont Odette Allou; la vieille relou;
Qui loue vis-à-vis de moi son antipathie
En guise de trous à y faire son beurre,
Dont son labeur
Fut qu'elle me considéra
Comme son meilleur ennemi,
Dont Odette alloue
Qu'il me manqua une case dans la tête,
Comme elle s'entête
A faire en prises de têtes
Des coups de traître,
Quand à l'époque; j'avais voulu
Irrésolu et absolu;
Me jeter par la fenêtre
Avec en tête à tête;
Le vieux portrait
D'Odette relou,
Dont aux dettes allouent
Des eux brouillés;
Et embrouillés
A Odette Allou,
Dont Odette alloue
Que je suis un bon à rien;
Déjà que pour elle; je fus un paria,
Et dont elle, elle délégua
A L'ESAT; que je fus un très mauvais
Collègue genre quelqu'un de mesquin,
Où une foi;
Sans foi ni loi;
Elle me dit qu'à la sortie
Et à pas d'heure !
Qu'avant de prendre mon quatre heures
J'allais goûté le déjeuner;
Rétamé par son copain,
Dont Odette Allou;
Relou; alloue
Que moi; j'étais un vieux loup solitaire,
Mais que contrairement à elle;
Je loue solidaire
Au pluriel,
Comme je vois avant tout le ver
A moitié plaint
Et à moitié avide ! Vis-à-vis
D'Odette relou;
L'ennemi de moi;
Mi-doux; mi amer,
Et dont en inventaire
De fin de série;
j'alloue que de mon AAH
Et de mon APL
En rappel;
Que vis-à-vis d'Odette qui alloue
Et bien !
Aux dettes !
Elle s'appelle
O combien Odette Allou.
Jérôme de Mars
L'amour rentre-dedans
Après avoir essuyé des refus;
L'amour diffus !
Pour ne plus
Qu'il soit confus !
Essuie les revers
De l'amitié, afin de le prendre
Par le dos de la cuillère,
Tandis que l'amitié tendre
Fait place à de l'amour rentre-dedans,
Où chacun trouve sa pomme d'Adam !
Pour sa pomme et aussi
En faisant l'amour de façon très jolie;
Et réussie avec son partenaire;
En en faisant un moment permanent
Et constant en criant !
A l'amour hyper pénétrant !
En faisant l'amour à rentre-dedans,
Afin que l'amour rentre-dedans;
Rentre et pénètre
En ouvrant les fenêtres,
Quand l'amour charmant
Et exaltant rend heureux les gens;
Friands d'en consommer
Et de sommer
L'amour aidant !
En s'entraidant avec un trident
Pour sonner la sirène de l'amour rentre-dedans,
Afin que l'amour tendre;
Puisse détendre
Ceux ou celles;
Qui attendent que leur partenaire
Les dépucellent
En des pucelles;
Ceux ou celles qui habitent à Sarcelles,
Et pour que l'amour se détende
A plusieurs au pluriel !
Rien de tel ! Que les sexes opposés se tendent
Et attendent
De rencontrer le grand amour qui rentre d'aidant !
Pour y faire l'amour très rentre-dedans.
Jérôme de Mars
Papier à musique
Roulement de tambour battant;
Il y a la machine à laver à tambour !
A s'en laver les mains !
Mené tambour débattant !
Autour d'un papier à musique;
Qui déchante en pareil refrain !
Que d'être dans les p'tits papiers
Systématiques de la radio nostalgique;
C'est taper des mains dans les faubourgs
D'un papier à musique à partition !
Qui est victime de la barbarie
De l'Orgue de Barbarie qui ne tarit
Pas des loges en répartition;
Victime de son succès fou
En un palmarès relou;
Qui tape sur le système
Des refrains de la mémoire;
Avec des chansons à déboires
Et à manger son chapeau;
En murmurant je t'aime !
En guise d'un sacré grand numéro
Autour d'un papier à musique;
Qui sème la zizanie en fredonnant
Des mot magiques;
Féériques; conjugués
Et subjugués
A tous les temps !
Qui passent ronronnant
Sur la radio nostalgique;
Autour d'un papier à musique;
Effet disco
Ou refait mambo;
En faisant la java
Ou le cha-cha-cha;
En dansant un slow
Endiablé rétro projecteur;
Amateur de contre danse,
Dont l'instigateur
Est un artiste chanteur
Sur son 31;
En chantant avec entrain
Des chansons pacifiques
Autour d'un papier à musique,
Dont on connaît la chanson
Des joyeux larrons
En foire;
Dont ça y est ! C'est le fameux soir !
Pour clamer son amour
Des chansons romantiques
Autour d'un papier à musique;
Qui compose un hymne
A aimer son prochain;
Avec des mots qui arriment
Pour narguer les amarres
Du journal des cagnards,
Afin de rester dans les temps !
Sans contre-temps !
Un facétieux garnement;
Doué d'un phénomène amusant;
En écoutant et en réécoutant
Sans acouphènes des morceaux;
Charmants en vers l'eldorado;
Il naît pas trop tôt !
De passer du bon temps;
Acoustique et synchronique;
Qui roule des mécaniques
Autour d'un papier carrément
A musique.
Jérôme de Mars
En vers le poète !
Avec l'art et la manière,
Malgré ses travers;
Le poète maudit reste libre
Et vibre
En étant un passeur;
Et un conteur d'émotions;
Raconteur et songeur
En allant vers une direction
En vers le poète !
Qu'il soit esthète
Ou désabusé
Sous une pluie de chimère;
Qui traduit sa poésie contrastée,
Dont malgré sa colère;
Le poète désabusé
Fait tout pour encore espérer;
Et aspirer à la paix
Dans un vent de liberté;
De façon à pouvoir aimer
Les comètes
Dans un ciel de fossettes;
En vers le poète !
En gardant espoir de ne pas tomber
Dans les oubliettes;
De sa vie cabossée
En miettes
Dans une existence décompensée
Et consumée;
A passer son temps à vouloir
Trouver un sens à sa vie de mouroir;
En invoquant ici présent
Son ressenti bien émouvant
En vers le poète !
Avant qu'il hébète
Dans les couloirs du temps;
A attendre quel courant
Prendre pour aller errer
Et dévaler
Vers le bon océan
Pacifique bien assorti,
Auquel il pourra prétendre
Serein et amorti;
En y répandant les cendres
De son écriture;
Déplumée sans fioritures
En vers le poète !
Où maintenant;
Il serait bienvenu que le poète
Maudit empiète
Sur son temps, afin qu'il affrète
Sur mesure sa juste planète
De Jérôme de Mars;
En gisant
Et en se reposant
Sur Mars,
Malgré les revers de sa colère
Incendiaire, dont sa vie
Est et las délétère !
Avec toutefois de la matière
A retranscrire;
A écrire et à réécrire
Sur le fil du rasoir
Son histoire,
Comme son état décrète
A l'envers;
Toute sa colère
En vers le poète !
Dont il est absolument
L'issue de sa vie irrésolue.
Jérôme de Mars
Plaie mobile
Jouets d'enfants;
Rejoués méchants !
Certains jouent au Playmobil,
Alors que moi de mon enfance,
Comme un éléphant
Sans défense;
Je trompe ma décence !
Avec ma plaie mobile
Que je traîne immobile !
Depuis mon à mère enfance,
Où je me fais de la bile débile;
A tromper l'ennui
Dans un tue-l'amour,
Où je n'ai plus d'amour !
Mais de la haine de vautours;
A idolâtrer l'apologie de l'anarchie;
Qui traîne en moi
Avec ma plaie mobile;
Qui gangrène
Mes jouets rejoués;
Défiants et répercutés
Dans un Playmobil,
Dont le mobile de mon mobile;
Est que je sois immobile
De mon mobile !
Même si maintenant;
Je n'ai plus d'écran tactile,
Comme je suis à cran fébrile;
En ayant du cran
Avec une crise de nerf,
Comme nerf de la guerre !
Dont de mon enfance immobile;
Je suis cent offense mobile !
Que je sois en légitime défiance !
Ou en légitime offense !
Avec pour illégitime défense
Qu'à leurre actuelle;
Je ne suis plus dans l'enfance !
Mais dans le tumulte
D'une vie d'adulte;
En picorant comme légitime décence;
Le fruit défendu de ma plaie mobile;
Déjouée des jouets trop tard;
En déjouant mon Playmobil !
Et en enjouant
Ma plaie mobile !
Dans ma tare à l'instar
De ma rengaine qui jubile;
Volubile en mon âme qui m'émoustille !
Sans que ce soit pour des broutilles
Ma curiosité qui me démet,
Comme un vieux serpent de mer
En une sorte de reptile;
Qui attaque son mâle de mère !
Malgré qu'il est ébranlé
Dans son jouet Playmobil;
Et effondré
Rejoué; re jouet dans sa plaie mobile
En son état toutefois docile,
Et dont pour ne plus rejouer
Mon enfance sans défense,
Pour qu'elle ne mute
Et qu'elle ne se répercute
En une légitime défiance;
Il vaut mieux !
En faisant pour le mieux
Dans ce qu'il y a de plus fabuleux !
Que je nage dans un bonheur;
Sans nuages et radieux
Avec de la chaleur;
Humaine et sereine
En remplissant mes semaines,
Dans le but
Qu'elles m'amènent
Jusqu'au jardin d'Eden,
Afin que je me démène open !
On l'espère sans peine !
Dont enjoué sans jouer;
Et déjoué sans jouets;
Je ne sois un jouet endimanché !
Mais un adulte sensé
Et avisé;
Qui veut faire de son Playmobil
Et de sa plaie mobile,
Un instantané;
Avec pour sagacité
Et mobile;
Une plaie immobile.
Jérôme de Mars
Laver les sentiments pour ne pas s'en laver les mains !
Bourré de ressentiment;
A l'état sale
Dans un sale état pâle;
Il faut appeler monsieur propre
En l'appelant par son nom propre,
Où il faut laver les sentiments
Pour ne pas s'en laver les mains !
Dont il faut balayer devant sa porte
De la sorte,
Pour que le malpropre
Soit nettoyé en un mâle propre
Avec l'assentiment du tout-puissant,
Afin d'éviter l'indifférence
Grâce à un bain de jouvence,
Dont v'là l'innocence retrouvée
En un sourire revitalisé,
Où il faut laver les sentiments
Pour ne pas s'en laver les mains !
Dans un bain de jouvence
Et ben ! On se met dans le bain !
A laver la différence des gens,
Pour que le tout soit brillant
Et pimpant !
Dans du neuf reluisant;
Respirant la différence
Et plus du tout l'indifférence
En tout point tout honneur !
Au p'tit bonheur
Tout le monde est singulier !
Au pluriel bien imaginé
Et ressuscité;
Avec l'assentiment du tout-puissant,
Pour que le ressentiment
Mûrisse apaisant
En un soleil de printemps;
Qui respire la quintessence
D'un monde meilleur;
Avec des envies de donner
Et de redonner
Le meilleur de soi,
Pour qu'il y ait de la joie
Autour d'éclats;
Avançant à grands pas !
Et v'là la résilience
D'un temps grisant !
Car après la grisaille du gris;
Voici la marmaille de la griserie,
Dont après l'indifférence;
Maintenant voilà la différence
Des ethnies en opulence !
Et tant mieux qu'elles soient
En augmentation de fréquence,
Dont pour s'en laver les mains
De l'indifférence;
Il faut laver le ressentiment
Dans un grand bain de jouvence,
Afin qu'avec l'assentiment
Du tout-puissant;
Cela redevienne un sentiment
Bienveillant avec un soleil scintillant,
Pour que la différence
Soit un allié de bienfaisance
Et de tolérance,
Dont en donnant des coups de main
Et en s'adonnant à rendre meilleur demain;
Il faut laver les sentiments
Pour ne plus s'en laver les mains !
Et bain !
Jérôme de Mars
Avec des crayons de couleurs; colorie le ciel !
Haut en couleurs;
Le soleil truculent dresse à l'effigie
Du ciel
Des orgies;
Couleur bleue pastelle,
Puisque en une aquarelle;
Avec des crayons de couleurs;
Colorie le ciel !
Pour le combler de bonheur;
Et le rendre amateur
De fumées de gitane,
Quand les nuages sans blanc chicanent
D'une bouffée d'air frais
Aux frais du ciel le soleil;
Qui semble hébété
Dans le brouillard de son visage miné,
Quand le soleil pleure
De l'absence du soleil;
Et donc en lui changeant les idées
Au ciel;
Avec des crayons de couleurs;
Colorie le ciel !
Avec des arcs en ciel;
Qui songent au soleil;
Habillé d'un rouge écarlate
Lors d'un grand soir
Avant de roupiller au dortoir;
Après une escapade délicate
En sillonnant la route universelle;
Qui monte avec son échelle,
En lui faisant la courte échelle
Vers la passerelle
D'un paradis sûr naturel;
Après avoir goûté
Sur Terre
Aux paradis artificiels,
Dont pour goûter
A nouveau au bonheur;
De côtoyer un monde meilleur
Rien de plus extraordinaire !
Que de mettre des couleurs
Au ciel !
Avec des arcs en ciel
Et pour avoir bonne mine;
Qui chemine et termine
L'essentiel vers le ciel !
Et bien avec des crayons de couleurs;
Colorie ainsi essentiel le ciel !
Jérôme de Mars
Ma mère; ce fut une belle mère !
A ma mère !
J'envoie une bouteille à la mère,
Où qu'elle est ma mère;
Qu'elle soit en mère
Agitée à la dérive à mère !
Car ma mère;
Ce fut une belle mère !
Pas une belle-mère;
Même que ma belle mère;
Ne s'entendait pas avec sa belle-mère,
Ma grand-mère,
Car ma mère;
Ce fut une belle mère !
Qui ne l'a pas eu belle mer
Sa vie, où elle ne fut jamais grand-mère
De son vivant à mère;
Or malgré tout ma mère;
Ce fut une belle mère !
Pas ma belle-mère
Certes; mais ma mère
Qui fut ma belle mère !
Et dont la mère de mon père !
Fut la belle-mère de ma mère,
Car même si ma mère
Ne fut pas ma belle-mère;
Ma mère elle; ce fut une très belle mère !
Jérôme de Mars
A sa santé !
Petite pièce de théâtre sous formes de différentes saynètes brèves entre les soignants du CMP de Vitry sur Seine au sujet de leur patient monsieur Jérôme Bedrossian
1ère saynète)
Madame Teillet; psychiatre :
- " Bonjour Jean-Yves; à ton avis, comment se porte Monsieur Bedrossian ? "
Jean-Yves L; infirmier :
- " La santé de Monsieur Bedrossian se requinque depuis qu'il a quitté L'ESAT La Fabrique maintenant; on trinque à sa santé après qu'il a trinqué de sa santé toutes ces années à L'ESAT ! "
2ème saynète :
Madame Teillet; psychiatre :
- " Jean-Yves; il me semble que tu m'avais dit qu'en général Monsieur Bedrossian ne supporte pas les fêtes de fin d'année ! Quelle est la raison de son malaise vis-à-vis des fêtes de fin d'année à monsieur Bedrossian ? "
Jean-Yves L; l'infirmier :
- " C'est normal que Monsieur Bedrossian ne supporte pas les fêtes de fin d'année car pour lui chaque année en décembre ça sent le sapin pour lui et c'est pour ça qu'il a les boules ! "
3ème saynète)
Jean-Yves L; infirmier :
- " Marie; monsieur Bedrossian m'avait dit qu'en décembre 2001; tu lui avais dit que nous les infirmiers du CMP; on s'en foutait des problèmes des patients ! "
Marie; infirmière :
- " C'est normal qu'à Jérôme je lui ai déclaré ça car monsieur Bedrossian était un patient de tout m'épancher sur sa vie ! "
4ème saynète)
Gurvan Q; infirmier :
- " Jean-Yves; à ton avis pourquoi quand on voit Jérôme Bedrossian; à chaque fois; il passe de l'ombre à la lumière ! "
Jean-Yves L; infirmier :
- " Cherche pas Gurvan c'est parce-que nous; on éclaire de notre lumière monsieur Bedrossian en fars Bretons afin qu'il ait les idées claires ! "
5ème saynète)
Madame Poplawka; l'assistante sociale :
- " Pourquoi Jean-Yves; ça ne tourne jamais rond avec monsieur Bedrossian ? "
Jean-Yves L; infirmier :
- " Parce-que monsieur Bedrossian a toujours été très carré ! "
6ème saynète)
Madame Teillet; psychiatre :
- " A ton avis Jean-Yves; pourquoi as-tu toujours été convaincu que monsieur Bedrossian avait toutes les ressources pour remonter à la source de ses problèmes ? "
Jean-Yves L; infirmier :
- " Car monsieur Bedrossian sait trop bien que ça coule de sources ! "
7ème saynète :
Aurélia K; la psychomotricienne :
- " A ton avis Jean-Yves pourquoi est-ce-que Monsieur Bedrossian a-t-il voulu reprendre les séances de relaxation avec moi en 2020 alors qu'il avait interrompu sa thérapie avec en moi en 2006 ? "
Jean-Yves L; infirmier :
- " Sans doute parce-que monsieur Bedrossian est long à la détente ! "
8ème saynète :
Madame Poplawska; l'assistante sociale :
- " Jean-Yves; pourquoi est-ce-que monsieur Bedrossian n'arrête-t-il pas de me poster des courriers dans la boîte à lettres du CMP ? "
Jean-Yves L; infirmier :
- " Pour te refiler des tuyaux dans ton rôle d'assistante sociale mais surtout pour qu'on prenne à la lettre tout ce qu'il nous dit ! "
9ème saynète :
Catherine; secrétaire :
- " Jean-Yves; pourquoi est-ce-que monsieur Bedrossian n'arrête-t-il pas de nous faire des appels avec son portable et de nous raccrocher au nez dès qu'on décroche ? "
Jean-Yves L; infirmier :
- " Parce-que c'est son seul mobile de nous appeler ! "
10ème saynète :
Aurélia K; psychomotricienne :
- " Jean-Yves; tu vois lors de sa dernière séance avec moi monsieur Bedrossian m'a dit que tu étais plus heureux que lui car toi; ton métier; c'est la planque et que t'es toujours en vacances et que tu n'as du tout de problèmes dans ta vie; pourquoi Jérôme a-t-il ça alors à ton sujet ? "
Jean-Yves L; infirmier :
- " Aurélia; tout simplement parce-qu'à la fin de chaque VAD; je prends congés de monsieur Bedrossian ! "
11ème saynète :
Madame Poplawska; assistante sociale :
- " Jean-Yves; pourquoi est-ce-que monsieur Bedrossian a-t-il pris RDV avec moi le mardi 19 octobre à 14h et pourquoi veut-il faire une demande d'aide-ménagère ? "
Jean-Yves L; infirmier :
- " Parce-que pour monsieur Bedrossian; ça déménage en ce moment avec son entreprise de services à la personne Ok Service ! Qui ne veut plus intervenir chez lu;i étant donné que le ménage n'est pas fait chez lui ! et que dans tout ce remue-ménage ! Personne ne ménage Jérôme en ce moment ! "
12ème saynète :
Madame Teillet; psychiatre :
- " Jean-Yves; pourquoi est-ce-que monsieur Bedrossian ne fait-il pas le ménage chez lui malgré qu'il a tout le temps maintenant comme il n'est plus à L'ESAT ? "
Jean-Yves L; infirmier :
- " Pour qu'on le ménage comme il ne vit pas en ménage ! "
13ème saynète :
Carole B; infirmière :
- " Pourquoi quand Jérôme vient au CMP Jean-Yves; ne lui fais-tu plus de piqûre de rappel ? "
Jean-Yves L; infirmier :
- " Parce-que Jérôme est majeur et vacciné malgré ses accidents mineurs à l'état majeur ! "
Jérôme de Mars
Bis billes
Bis billes;
Je me fais de la bile !
En jouant aux billes
Et en étant en bisbilles,
Dont je n'ai pas réellement digéré !
Et vraiment jamais digéré !
Quand certains m'ont dit !
Que tout le monde se fichait
De moi en non-dits,
Où avec cette phrase qui frémit
Et fourmille
En moi en une agonie,
Où je suis en bisbilles !
En train de me faire de la bile;
Et en jouant aux billes,
Où ça en est aux énièmes
Bis billes !
Comme dans un théorème;
Un jour je t'aime
Moi non plus !
Comme un intrus
Qui me tape sur le système;
En marge du système !
Alors que la plupart m'aiment !
Et me parsèment !
De leur affection de longue durée;
Et carburée avec bienveillance;
Vaillance et indulgence,
Face à mon état laminé
Par tous les camouflets;
Qui m'ont tant écorché
La bile !
Où je suis en bisbilles
Contre ceux qui me provoquent
Avec équivoque !
En me faisant de la bile !
Où à cause d'eux; je me fais
De la bile !
Même en jouant aux billes;
En étant encore en bis billes !
Dans cette époque rigide,
Où plus rien ne me paraît
Limpide à force d'être torride !
Avec des coups de chauds;
Qui me mettent la rancœur
Sur le cœur par cœur !
Après avoir été longtemps un chou-fleur,
Dont ma vie stagne à à présent à l'échafaud !
En étant encore plus en bis billes,
Dont je suis en bisbilles
Avec ma bile volubile,
Dont je me fais de la bile !
Comme une plaie mobile;
Immobile dans ma bile,
Dont le mobile !
C'est qu'il faut que je ne sois immobile;
Avec mon mobile pour le rendre immobile,
Dont résultat du mobile volubile;
Ca y est j'ai en feint trouvé le mobile immobile !
Pour ne plus me faire de bile
Des biles débiles;
Défunt de ma bile,
Oups; je ne joue plus du tout aux billes !
Car après avoir été tellement en bisbilles;
J'en meure volubile des biles débiles !
En étant complètement en bis billes.
Jérôme de Mars
Chanteur de slam
Des chanteur de slam;
Je suis un chanteur de slam;
En chantant la vie !
Et en déchantant la nuit !
Puisqu'il paraît que de ma vie;
J'en fais un slam
En chantant le drame de ma vie !
Et en le déchantant en un mélodrame !
Que je slame dans une trame !
Dont Jérôme; came-toi !
Si jamais je crame de froid !
En brûlant ma vie
Par les deux bouts de chandelle !
Comme en chanteur de slam;
Je chancelle
Et je crame
En des chanteur de slam;
Qui clame
En vers les quidams
Que ma vie naît réussi !
Puisque je suis in accompli !
Si bien qu'on ne me réclame !
Quand bien même ! Cela enflamme
Mes regrets qui m'acclament;
Proclament et déclament
Que je suis un chanteur de slam,
Dont le drame de ma vie;
C'est d'en faire un mélodrame
D'art-thérapie ;
En des chanteur de slam
A Paris !
Et dans la banlieue
A mille lieux,
Quand ma colère drague
Mes plus bas instincts,
Dont le mieux !
C'est que j'élague
Tous mes côtés mesquins;
En allant à l'essentiel
Et en choisissant Le Missel
De mes vers Missel
En chanteur de slam;
Des chanteur de slam
Pour évoluer
Du drame
Des paradis superficiels
En un mélodrame
Des paradis super Missel !
En donnant un sens à ma vie;
Avec de l'encens pour que je prie !
Après avoir été à l'état désuni
De des chanteur de slam;
Pourvu qu'en l'état uni;
Je sois en faisant la java;
Un chanteur de slam.
Jérôme de Mars
Voyons les gens pour ne pas qu'ils meurent seuls !
Comme le disait très bien François Valéry !
Aimons-nous vivants !
Avant que la mort nous trouve du talent !
Et avant que le néant
Emporte les gens
Pour la vie !
Et comme pour rendre hommage à un aïeul,
Voyons les gens
Pour ne pas qu'ils meurent seuls !
Dans leur fauteuil !
Ou dans leur lit !
Après qu'ils se soient rincé
Une dernière fois l'œil !
Car la vie passe tellement vite !
Et avant que le temps nous trépasse !
Pourvu qu'on se surpasse !
Et qu'on n'évite
La famille
Et les amis !
Dont profitons-en de les voir !
Tant qu'ils sont en vie !
Et encore en vie !
Et le plus souvent
Et presque tout le temps !
Voyons les gens
Pour ne pas qu'ils meurent seuls !
Dans leur fauteuil
Ou dans leur lit !
Et aimons les gens !
Tant qu'ils sont vivants !
Et encore vivants !
Avant que l'impérissable faucheuse;
Les emporte nébuleuse !
Vers un monde certes ! Peut-être meilleur !
Loin de tous les malheurs
Du monde qui inonde
Les gens qu'on sonde !
Dont pour ne pas finir seuls
Dans son fauteuil !
Ou dans son lit !
A choir et à déchoir dans un isoloir !
Le plus souvent
Et presque tout le temps !
Voyons les gens
Pour ne pas qu'ils meurent seuls !
Dans leur fauteuil
Ou dans leur lit !
Comme pour rendre hommage à un aïeul;
En buvant un tilleul
Avec lui
Et en lui parlant de sa fin de vie !
Pour qu'il parte en paix !
Après avoir tant aimé
Cette vie !
Avec vérité; liberté !
Solidarité et sincérité !
Dont servons-nous retors !
De ce qui dessert juste avant
La mort !
Pour leur dire aux gens
Qu'on les aime !
En leur parlant !
Le plus souvent
Et presque tout le temps !
Et pour ne pas avoir de regrets !
Voyons les gens
Pour ne pas qu'ils meurent seuls !
Dans leur fauteuil !
Ou dans leur lit !
De sorte qu'on les parsème
De réconfort !
En leur confirmant
Qu'ils ont eu une belle vie
Bien remplie !
Et qu'ils méritent
Maintenant un repos bien éternel
Au prie
De l'autel !
Afin que tout le monde se réconcilie
Au paradis !
D'untel à untel
Entre immortels !
Avant que les gens
Meurent seuls dans leur fauteuil !
Ou dans leur lit !
Car comme le disait
Très bien François Valéry !
Aimons-nous vivants
Avant que la mort
Nous trouve du talent !
Et le plus souvent
Et presque tout le temps !
Voyons-nous encore jusqu'à la fin
De leur destin
Les gens !
Pour ne plus qu'ils meurent seuls !
Dans leur fauteuil !
Ou dans leur lit !
Jérôme de Mars
La vie est mioche !
Langue de poche;
Je n'ai pas
Ma langue dans ma poche !
Où pas appât;
Je trouve la vie moche,
Car la vie est mioche !
Dont nul ne guérit de son enfance !
Où je suis nul aguerri de mon offense !
Ecorché dans une immense défiance;
Et à fleur de peau dans la méfiance !
D'où je trouve que la vie est moche !
Car la vie est mioche !
Dont nul ne guérit de son enfance !
Où le soir je suis nul aguerri de mon offense !
Innocent et coupable à la fois !
Quelquefois, toutefois et parfois !
Dont je n'ai pas à pas !
Et je nais pas appât !
Avec une langue de poche,
Dont je n'ai pas
Ma langue dans ma poche !
Avec pour langue de pioche;
Une des fêtes où je trouve que la vie
Est moche !
Comme lors de mes nuits;
La vie est mioche !
Dont nul je ne guéris de mon enfance !
Où je suis nul aguerri de mon offense !
Entre innocence
Et indécence !
Tellement que la vie est moche !
Et dont comme nul ne guérit de son enfance !
OTAN garder en soi une part d'enfance !
D'au temps que la vie est généralement mioche !
Jérôme de Mars
La vie m'insupporte !
Porte close !
J'ai des névroses
En me foutant à la porte éclose !
Où ma vie sur Seine
N'est guerre un long fleuve tranquille !
Mais une mère avec une note salée;
Qui m'assène
Une vie qui ne tient pas debout !
Avec une béquille;
Qui tient
Tant bien que mâle,
Où je suis très à bout !
Portant et pourtant,
Où j'ai envie de me tirer
A bout portant !
Et de me flinguer !
Tellement que la vie m'insupporte !
Et dont je reporte
Sans cesse mon suicide acide !
De cette vie qui m'ennuie,
Et où je dévie
Dans une trajectoire rigide,
Où j'ai mâle à la vie !
De ma vie qui m'emporte
Vers l'agonie
Sans arrêt !
Où en des pis
De ma vache enragée;
Je ne parviens
Pas à trouver mon équilibre
Dans cette vie,
Dont malgré tout;
Je reste libre
De mon destin
Borderline dans cet inextricable
Et implacable
Irrésolu fourre-tout !
Où ma vie ne tient
Plus debout !
Tellement que je suis
A bout
Et frontal !
Dans ma vie à cent contrecoups,
Où je paye le coup
De ma vie
En hérésie et en litanie,
Où je me demande si
Ca vaut encore le coût
Que je vive !
Moi; l'âme écorchée vive
Toujours sur le qui-vive;
Qui ravive
Mes tendances suicidaires,
Pour que je rejoigne
Dans une foire d'empoigne;
Ma mère et mon grand-père
A Noël ou à la Sain-Valentin,
Où comme je m'emporte !
La vie m'insupporte !
Comme j'ai un passé
Qui me déporte
Du côte de mon hein père;
Ou dont je me comporte
Dans un mal de mère !
A réciter
Et à ressusciter
Le complexe d'Œdipe;
Avec pour passé outrepassé
Le fait que je m'étripe !
Avec ma mère
Ou ma sœur !
Cette con sœur; cette consœur;
Qui est le fruit défendu
De ma rancœur,
Où je m'emporte
Dans mes excès,
Et où je me comporte
Dans l'aigreur,
Dont je colporte
En crevant l'abcès !
Toute ma noirceur,
Dont la vie m'insupporte !
Comme je m'emporte !
Dont j'apporte le calumet
De la paix !
Et où je rapporte
Tous les camouflets !
Qui sont issus
De ma vie, dont je sue !
Comme je suis consumé
De l'intérieur,
Dont je sus
Qu'avant d'arriver
A l'échéance
De ma vie
En sursis,
Qu'avant d'aller ailleurs;
Il faut que je trouve le mode d'emploi !
Pour passer du désarroi
A la joie;
En provoquant la chance !
D'être un miraculé
De la vie évanouie
Et décompensée,
Dont je voudrai
Bien que mon passé
Devienne de l'amnésie,
Afin que je sois plus présent
En un présent plus plaisant
Et revigorant;
En revivant
Et en m'esclaffant
Dans l'euphorie
Et la frénésie
D'une embellie,
Dont pour que ma vie ne soit ennui !
Vivement qu'elle redevienne éblouie !
Et qu'elle me rende ravie !
En passant de la nuit
A un nouveau jour aguerri,
Dont je serai guéri
De mes névroses
Porte close !
Avec pour porte éclose !
De nouvelles bonnes choses !
Qui m'attendront à la porte !
Avant que de nouveau
De la sorte
Jusqu'au caniveau;
La vie m'emporte !
Si à tout jamais la vie m'insupporte !
Jérôme de Mars
Poésie gitane
Fumer une gitane;
C'est fumer
Le calumet de la paix !
Dans cette poésie gitane
En roulant des joints tziganes,
Que ça jazze manouche !
Dans cette poésie gitane;
Qui roule des tafs
De cigarettes gitanes;
Et paf !
Que ça paraît louche !
Dans cette poésie gitane;
Qui fume des gitanes
Pour trouver la paix intérieure;
En accédant à un monde
Davantage enjoliveur;
Qui roule en formant
Une ronde,
Où cette poésie gitane
En fumant des gitanes;
Rend le monde plus souriant
Et conciliant,
Afin que ça jazze manouche !
Dans ce monde louche !
Que tout le monde y gagne revitalisant
Et vivifiant !
A être liant ;
Alliant comme entrain !
Des boute-en-train, dont le refrain
Que tout le monde sifflote
Et sirote
Pour trouver la paix intérieure;
Est fume des gitanes tziganes !
En rassemblant toutes les communautés
Extérieures dans un soleil d'aplomb;
Réconciliateur et réanimateur,
De sorte que plus personne
Ne pète les plombs !
A l'Anglo-Saxonne !
Dans le but que résonne;
Le calumet de la paix;
En fumant des gitanes
Dans une ambiance tzigane,
Pour fédérer et aimer
Autour du ver de l'amitié;
Tellement louche !
Que ça jazze manouche !
Du fin fond cette poésie gitane.
Jérôme de Mars
Quand l'aube réveille la conscience de l'humanité !
Après la nuit assoupie;
Un nouveau jour surgit
Et ressurgit;
Assoupli dans une embellie;
En route vers une journée accomplie,
Où chaque personne vaque dans sa vie
En profitant du moment instantané,
Quand l'aube réveille la conscience de l'humanité !
En picorant
Et en prenant
Un peu à gauche; à droite !
Tout le meilleur avec en boîte;
La boîte à idées
Pour dépoussiérer
Les tourments des gens;
Et les muter
Dans un état exaltant;
Heureux d'aimer !
Plus que de compter
Son argent qui en fait pourtant la fierté,
Quand l'aube réveille la conscience de l'humanité !
Aux aurores
Après la nuit qui dort,
Dont en renfort;
Des métaphores !
En rendant chaque mâtinée
En une matinée, où au petit déjeuner,
Tout le monde fait ici-là son beurre;
Teinté d'une journée ensoleillée
Avec pour dur labeur;
La responsabilité d'aider
Et de protéger sa communauté,
Avec après la déconfiture
D'une journée en démesure,
Le plaisir du soir de retrouver
Et de saluer
Sa progéniture;
En guise de bonne nature,
En profitant du soir avant l'aube;
Qui dérobe de la nuit vers le p'tit matin;
A travers un lob;
Malin et succinct,
Quand l'aube réveille la pleine conscience de l'humanité !
Jérôme de Mars
Ménage à trois dans l'aube
Remue-ménage de printemps !
Dans un ménage à trois dans l'aube,
Dont l'aube se déroba,
Sous les pieds
De la tombe de ma mère !
Au cimetière !
Avec éclats !
Quand ma mère ne se ménagea
Tout le temps !
Dans son passé outrepassé,
Dont avant; elle vivait
Dans un ménage à Troyes dans L'Aude,
Si bien qu'il y eut dans son ménage !
Du remue-ménage !
Qui déménage
Dans un ménage d'emprunt tant !
De ma mère qui survivait
Dans un ménage à trois dans l'aube;
Au printemps de sa vie,
De jour comme de nuit
Dans un surmenage de printemps
A trois dans l'aube;
Qui fit le ménage
Dans un sûr ménage à Troyes dans L'Aude
Avec des maraudes;
Qui faisaient
Un ménage de printemps;
Qui ménage
A jamais ma mère
Eternellement et sempiternellement
De tout ce qu'elle a souffert
Depuis hier;
Après avoir tant vécu
Et autant survécu
Dans un ménage à trois dans l'aube;
Et qui déménage en ce moment
Dans un surmenage à trois dans l'aube,
Si bien que d'où ma mère
Est au cimentière
Eh bien ! Maintenant !
Elle naît que poussière de diamant !
Dans de l'émeraude qui rôde
Autour d'elle qui la taraude !
Avec le sol qui s'dérobe !
Sous ses pieds !
A ma mère !
Qui déménage
Dans un remue-ménage d'empreint tant
En un remue-ménage à Troyes dans L'Aude;
D'un ménage de printemps qui ménage
En un remue-ménage à trois dans l'aube;
Qui enrobe
Ma morte mère
Dans un ménage à Troyes dans L'Aude
En un mâle de mère;
Qui taraude en surmenage
Ma mère délétère
Et mortifère;
Qui déménage en un sûr ménage;
D'un remue-ménage à Troie dans l'ode
En un ménage à trois dans l'aube;
Qui ménage
Ici présent !
Ma mère qui s'repose depuis d'antan !
Après une vie patibulaire
Et incendiaire !
Et qui déménage vraiment
Ma mère au cimetière !
Car dorénavant
A l'aube;
Le sol s'dérobe !
Sous les pieds de ma mère !
Qui la taraude
En un grand ménage à Trois dans l'aube.
Jérôme de Mars
Mes paroles ont fait jazzer en musique en Amérique !
Paroles dans une rythmique frénétique;
Mes doigts agiles glissent pacifique
Dans une ode à la musique psychédélique,
Où mes paroles ont fait jazzer en musique
En Amérique !
Pendant que Sydney Bechet son jardin secret;
En apprenant par cœur
Les airs jazzy de Charlie Parker;
Et en écoutant en même temps
Pour passer le temps longtemps !
Benny Goodman;
Qui fut un good man !
Où mes paroles ont fait jazzer en musique
En Amérique !
A base de morceaux raccords acoustiques,
Dont pour trouver la paix intérieure;
Il vaut mieux aller voir ailleurs !
Si j'y suis !
Dont s'ensuit
Un appel à la paix philharmonique;
Qui a des airs symphoniques
Pendant que Sydney Bechet sa petite fleur !
Où mes paroles ont fait jazzer en musique
En Amérique !
Et ont arrosé en chœur !
Cet air si joli; jazzy et mélodique !
Avec Louis Armstrong;
Qui ne s'était jamais trompé,
D'où son strong
Avec sa trompette;
A part duper en contant fleurette !
Duke Ellington;
Qui fait jazzer sans tambour ni trompette
Duke qui étonne; détonne;
Entonne et fredonne en en faisant des tonnes;
Pendant que Glenn Miller joue du trombone,
Où mes paroles ont encore fait jazzer en musique
En Amérique !
Rustique une journée à la campagne;
Avec pour compagne
De la musique névrotique;
Qui joue sur plusieurs identités psychiques;
Raison pour laquelle; Sydnet Bechet en chœur !
Avec Duke Ellington; Louis Armstrong; Charlie Parker
Et Benny Goodman;
Qui furent tous des good mans !
Sans oublier Glenn Miller;
Qui jouait à mille à l'heure
Sur un ton nuances mille heures,
Car pas de quartier !
Avec Le Golden Gate Quartet !
Qui constate alors une ambiance pacifique;
Dont la preuve rythmique !
Où mes paroles ont tellement fait jazzer
En musique
En Amérique !
Jérôme de Mars
Eux brouillés
Fâcherie d'adulte;
Dans une vie
De tumulte;
Il fait gris
Pendant la nuit !
Car eux; brouillés;
Mettent leurs œufs
Embrouillés
Dans le même panier !
Et eux
Brouillés pour la vie;
Et embrouillés
Pendant la nuit;
Font des œufs
A la neige revitalisée;
Avec pour effet boule de neige
Revigoré;
Des choses qui allègent
Leur amitié à eux brouillés;
Car avant eux; eux furent
Très embrouillés,
Dont maintenant; ils surent
Sur ceux se réconcilier;
Eux débrouillés !
Jérôme de Mars
Si on accordait nos violons d'Ingres !
Passion de nos musiques pingres;
Si on accordait nos violons d'Ingres !
En étant soyeux
Et généreux
Avec le plus commun des immortels,
La contrebasse perdurerait
Intemporelle en un violoncelle,
Si bien que la nature
Semblerait mature !
A imprégner une ambiance cosy
Dans une chapelle de fratrie,
Et pour boire des paroles pingres;
Si on accordait nos violons d'Ingres !
En utilisant le Missel
Et en ayant la grâce des tourterelles;
Auxquelles le soupirant
Se grimerait en confident
Des âmes esseulées
Dans leur face
B; qui resterait à la surface
Des mélodies pingres;
Economes de leurs paroles;
Où en faisant la farandole,
Il suffirait d'avoir de la volonté
Et la garder sauvegardée
Au prix de la liberté;
En tant qu'artiste non négocié,
Et pour demeurer économe
De notre parole autonome,
Si pour raccorder les violoncelles;
On faisait un triangle isocèle !
De mélodies qui isolent celles
D'égal à égal !
Dans un entier égal; régal;
Amateurs de musiques frugales,
En ayant tout pour notre fringale;
Et pour accorder
Et raccorder
Nos musiques sur des paroles pingres;
Si par accord; on raccordait tous nos violons d'Ingres !
Jérôme de Mars
Buffet d'oxygène
Sans gêne !
Avec toute ta haine !
Tu reproduis toutes tes gènes héréditaires
Du motif de ta colère délétère;
Qui t'enterre
A p'tit feu !
Du prix en adieu
De tes aïeux !
Et puis certes !
Il te faut alerte !
Une bouffée d'oxygène
En une bouffée à volonté,
Dont ta volonté première
Devrait être un buffet d'oxygène,
Pour que tu te regénères
Et que tu retrouves la maîtrise
De ta destinée,
Car qu'on se lise !
Là; tu t'enlises !
Dans ta vulnérabilité;
Ecorchée et doublée
De ta fragilité;
Avec parfois un manque
De volonté,
Où tu te planques !
En étant à cran
Sûr ton écran
D'ordinateur à déblatérer
A vociférer et à vilipender
Toute ta haine !
Chaque fin de semaine,
D'où en rengaine;
Il y a peut-être
Sans-gêne !
Dans ta vie un manque d'oxygène;
Du à ton état anxiogène,
Alors que si tu fumais
Le calumet de la paix !
Pour toi ce serait une bouffée d'oxygène !
Qui se réoxygène
Dans une bouffée à volonté !
Avec pour dernières volontés;
Un buffet très à volonté !
Et plus du tout anxiogène !
Tellement qu'après
Que tu aies tant dégusté
Dans ta vie ! Et bien maintenant !
Au temps que tu dégustes OTAN !
Sans gène !
Un grand buffet d'oxygène.
Jérôme de Mars
Laisse les avions planer et prendre leur envol !
En direction des paradoxes,
Dès l'équinoxe !
Sitôt que les planeurs survolent
Le ciel attendri dans sa geôle;
Laisse les avions planer
Et prendre leur envol !
Comme un antivol frivole
Qui soudoie les rossignols,
Sinon à quoi bon songer
A ce qui apaiserait ce monde !
Mensonger vindicatif qui fait
Une ronde à la rotonde;
En signant à vive allure !
Ce qui recouvre le ciel
Sous ses parures
Superficielles qui font du zèle;
Et pour respecter sa parole
Donnée et adonnée;
Laisse les avions planer
Et prendre leur envol !
A condition sine qua none,
Si bien que tout le monde donne
De sa personne !
Quand une paire sonne !
En naviguant en de larges horizons;
Avec dans les paroles
Des chansons;
A conjuguer à n'importe quelle saison !
Et pour voguer en antivol !
Sans bémol !
Laisse pour de bon les avions planer
Et prendre leur envol !
Jérôme de Mars
Et norme !
Conforme; je suis hors-normes !
Dans la norme et norme !
De ma forme difforme énorme;
Où j'ai l'air souvent en forme !
Avec pour mes formes;
Méformes conformes,
Dont j'ai dix formes difformes !
Enormes dans la norme;
Je suis hors-norme et norme !
Enorme, dont je forme
Et je reforme
Régulièrement la même forme !
Méforme de mes formes
Enormes et norme !
Je ne rentre jamais dans la norme !
Dont je suis hors-normes !
Conforme dans ma forme;
Difforme, dont j'ai dix formes !
Conformes qui déforment
Des formes de mes formes !
Méformes qui informent !
Hein forme ! La forme !
Qu'on forme en forme !
De ma norme hors-normes !
Enorme et norme !
Jérôme de Mars
Tout le monde déguste !
Clown auguste !
Triste qui déguste
Avec lui !
Tout le monde déguste !
De la suie à la vie qu'il essuie !
Dans une mélancolie qui gronde
Son corps de buste,
Dont il sonde le monde;
De pourquoi il est fruste !
Où avec lui;
Tout le monde déguste !
A manger de la bouillie
De cochons s'il a failli
En clown triste auguste !
En faisant semblant
D'enjamber les arbustes;
Avec pour buste
Un sacré boucan;
Qui crève les tympans,
Où tout le monde déguste !
Entre un clown triste auguste
Et un clown radieux fruste,
Dont pour connaître le subtil
Subterfuge; il faut ruser habile !
En maniant la langue fruste !
Et en tirant bien la langue du buste
Avec pour arbuste;
De l'art buste
Fruste qui fait le clown triste auguste,
Dont son avatar
De clown radieux est fruste,
Et comme il est bien conseillé de dévisager
Son buste !
Il est fort à parier
Qu'en faisant le vilain petit canard;
Que tout le monde déguste !
Jérôme de Mars
Le poète libre
Face à ma colère dans ma house;
Je compose ce blues;
Reflet de ma poésie libertaire,
Et dont je mets dans un inventaire
Toute ma colère
Dans cet hymne à la paix;
Feu les années 70 en irrévérence;
Tendre temps de l'insouciance;
Qui donne toute son essence;
A il était une fois le poète libre !
Qui voulait rester libre;
Et qui avait la fibre
Sociale et pas qu'optique;
Avec en optique
Des rimes frénétiques;
Qui ne décolèrent
Tout ce temps
Qui passe pourtant
Depuis les vents contraires,
Dont depuis ma house;
J'écris avec une housse;
Pourquoi ce monde hostile
M'est stérile;
M'émousse et me mousse
A moi qui écris ce blues;
Il était une fois le poète libre !
Qui veut rester
Et demeurer
Libre en ayant la fibre !
Avec pour calibre;
Le fait de vivre
En paix
Et de garder
Sa liberté,
Pour aimer
Et humer
Quelques odeurs
En Provence
Dans la providence;
Qui sent bon l'odeur
De la lavande;
Avec pour demande
Des offrandes;
Qui régalent de saveurs
Le blues érudit
De ce poète maudit;
Qui veut rester
Et demeurer
Libre en ayant la fibre !
Depuis sa house
Malgré sa frousse puritaine,
Comme dans la brousse Africaine,
Dont pour conjuguer harmonie
Et embellie;
En mettant du soleil
A tous les temps qui réveillent
Ce poète libertaire
Et contestataire
A sens contraire;
Qui s'indiffère
De ce qu'on pense de lui !
Car lui; il ne panse qu'à l'accalmie !
Afin que les temps soient meilleurs !
Avec en vigueur
Un blues
Que je compose depuis ma house,
Et dont en teneur;
V'là un peu de douceur
En un matin bonheur !
Dont pourvu que ma poésie
Me mousse !
Malgré que mon état m'émousse !
Et dont de mes derniers vers;
Voici des vers solaires
Après tous ces revers lunaires !
Dont je laisse de mon calibre
La fibre
Optique avec pour optique;
Des vers synchroniques
De mon état chronique;
Systématique et symptomatique;
Du à mon enfance post-traumatique,
Dont je suis ludique et un pudique !
Genre hippie hippie hippie;
Celui qui veut rester
Et demeurer
De mon cas libre;
Un poète ultra libre
En paix.
Jérôme de Mars
Ceux qui ne savent pas l'ire se mettent en colère !
Avec ou sans pense-bête;
Personne naît bête !
Qu'il ou elle soit analphabète !
Même qu'elle hébète !
En cavalant l'air
De rien !
Avec pour refrain
Que ceux qui ne savent
Pas l'ire se mettent en colère !
En étant brave
A force qu'il ou elle brave
Le danger malgré leur passé slave !
Dans une rafle
Départie déportée;
A l'emporte-pièce !
De cette espèce
Emportée et comportée
En voie de disparition,
Dont avant son extinction;
Il faut s'rappeler que ceux
Qui ne savent pas l'ire
Peuvent se mettre en colère !
Parmi les braves
Ou les slaves;
Que ça gave
D'aller dans une rafle !
En partie blasée;
Avec l'air qui s'aère
Dans un courant d'air;
Qui prouve que personne
Naît bête !
Mais qu'il ou elle est analphabète !
Même qu'elle hébète
Dans le brouillard;
Qui lui rappelle dans le hangar;
La rafle déportée des braves
Dans la cave
Des slaves;
Que ça gave
De ne savoir lire !
Mais de savoir l'ire !
Dont parmi ceux
Qui ne savent pas l'ire;
Peuvent pour la lire !
Se mettre encore
Et encore
En colère !
Jérôme de Mars
Deux amoureux sur une patinoire
Il y a quelques années;
Après avoir regardé
Intervilles sur Glace !
Deux armoires à glace
Très amoureux;
Qui ne peuvent
S'regarder dans la glace;
Ont eu comme idée
Tout en s'roulant des patins !
D'aller à la patinoire
Glisser sur la glace
Pour laisser de glace;
Les badauds
Sur la patinoire,
Comme un couple
Bien assorti;
Qui a sorti
Deux amoureux
Sur une patinoire;
Qui font de la glace !
Juste avant
De manger une glace;
Qui les laisse de glace !
Si jamais ils regardent
Dans la glace !
Leurs armoires à glace !
A ces deux armoires
A glace;
Qui prennent place !
Sur la piste
De danse
De la patinoire
A redondance,
Où ces deux amoureux
Sur la patinoire;
Tout en s'roulant
Des patins !
Patinent sur la glace !
Et font de la glace
Sur glace;
Qui roule des patins
A la patinoire !
Comme deux amoureux
Sur une patinoire;
Qui laissent de glace
Ces deux armoires
A glace;
S'ils arrivent
A s'regarder dans la glace !
Dont le reflet de leur glace;
Voit patiner
Deux amoureux
Sur une patinoire;
Qui tout en s'roulant
Des patins !
Arrive le moment
A s'enrouler des patins !
Déroulant des patins
A ces deux amoureux
Sur une patinoire,
Dont le reflet de leur glace;
Voit leurs armoires à glace;
Qui les laissent de glace
Eux; ces armoires à glace !
Après avoir regardé
Intervilles sur Glace;
En ayant pour
Effet boule de neige !
Deux amoureux
Sur une patinoire;
Qui s'glacent
Les sangs !
Vu qu'ils s'les gèlent !
Avec en antigel;
Une glace
A manger devant leur glace;
Qui les laisse de glace !
Eux; les armoires à glace !
Qui s'voient derrière leurs
Armoires à glace !
En s'roulant des patins
Jusqu'au p'tit matin !
Eux; ce couple à deux !
Très amoureux
Sur une patinoire;
Qui les laisse de glace !
En pouvant enfin
S'regarder dans la glace !
Jérôme de Mars
Les gens costauds se désaltèrent avec des altères !
P'tits et grands musclés !
Il faut muscler vos biscottos
Et vos pectoraux !
Sans compter;
En buvant de l'eau
Et en faisant du vélo !
Dont les gens costauds
Se désaltèrent
Avec des altères !
Pourvu que cela n'altère !
Leurs corps déjà éprouvés
Par l'effort; condamnés
A devoir toujours et toujours
En faire plus chaque jour !
Dont pour muscler votre jeu;
Il faut sans cesse faire mieux !
Pour se sentir mieux
Dans votre corps parfois paresseux;
Et pour que cela n'altère
Les gens !
Les gens costauds se désaltèrent
Avec des altères !
Assoiffés et guère rassasiés;
De faire tout le temps
Du sport jusqu'à l'excès !
Notamment en courant
Sur un tapis de courses;
Se déroulant devant vous;
Et qui vous fera courir
A n'en plus finir !
En étant longs à la détente !
En espérant que ça tente !
Tous ceux qui sont à bout !
Et qui veulent renouer
Avec le sport !
Pour retrouver leur confort !
Et puis le sport !
Tout le monde le prend
A la source !
La source pour régler
Tous les conflits intérieurs !
Où là ! Tout le monde trouve
Apparemment ici son bonheur !
Qui couve !
D'où coulent leurs ressources,
Dès que les gens costauds;
Sans que rien ne les altère !
Se désaltèrent avec des altères !
En ayant l'âge de leurs artères.
Jérôme de Mars
Bernard Tapie, de la lumière à l'ombre !
Bernard Tapie qui naquit
Dans le maquis de Paris
Le 26 janvier 1943,
Alors que sa véritable terre
De maquis;
Fut sa vie de marquis;
Auréolé de diverses facettes,
Dont la plus lumineuse
Fut le maquis de Marseille;
Terre de ses trophées;
Notamment quand il réalisa
Le but de sa vie
En rachetant L'OM, dont il s'en fit le chantre;
Grâce à qui il remporta
Quatre titres de champions de France;
Et aussi un titre de coupe de France,
Sans omettre non plus
L'unique titre Européen
Pour un club Français sous l'ère Tapie;
Du trophée de la Ligue Des Champions
Décerné à L'OM en mai 1993;
Qui réussit donc à sortir du lot
En battant le Milan Ac;
Avec les recrues de choc que furent
A l'époque :
Chris Waddle; Jean-Pierre Papin
Et Eric Cantona,
Mais c'est peu de temps après
Que s'amorça pour Bernard Tapie !
Le prélude de sa décadence;
Avec l'affaire de corruption
Du match VA-OM en juillet 1993,
Dont avant ça; il racheta
Dans les affaires !
De nombreuses entreprises
Pour un Franc symbolique;
Avec un billet d'honneur !
Lui; le touche-à-tout
A l'apogée de sa gloire
Dans les années 80;
Avec notamment le rachat
D'Adidas; lui; l'homme
Aux mille et une vies;
Qui montra qu'il valut plus
Qu'une plus-value,
Malgré ce qu'on dit de lui;
Lui en revendant régulièrement
Peu de temps
Après ces entreprises qu'il racheta;
Ce fut dans l'ensemble;
Un homme précurseur
Dans tous les domaines;
La preuve que personne
N'en avait affaire de lui;
Lui; l'homme d'affaires
Au bagout incontournable;
Qui eut un destin extraordinaire
Et hors-norme,
Dont la seule norme pour lui;
Fut d'avoir quatre enfants de deux femmes
Différentes et avec lesquels;
Il fut très lié; très aimant
Et très famille
Comme dans son élément;
Son seul rempart;
Face à face frontal
De ses démêlés judiciaires;
Qui l'affecta beaucoup,
Mais dont lui; en vrai roc
Et incurable lion; mena
Une vie baroque;
En chanta quelques chansons
Pour réussir sa vie; lui qui avait
Toujours le blues du businessman;
Qui fit de sa vie un rôle majeur;
En jouant le rôle de sa vie;
Lui qui ne croyait plus aux filles,
Mais dont il eut malgré tout
Deux filles avec les mères
De ses deux filles;
Lui qui eut une vie pas vraiment facile;
Et qui était à la fois moitié-méchant
Et moitié gentil en faisant un affront
National à Jean-Marie Le Pen;
Lui qui se montra aussi dur
Comme le far Breton Le Pen;
En combattant l'extrême-droite
De ses idées, dont lui se situa plutôt
Au Parti Radical De Gauche,
Dont François Mitterrand en fit l'ouverture
Du gouvernement de Pierre Bérégovoy;
En tant que Ministre De La Ville
Lors du second mandat
De François Mitterrand;
Lui Bernard Tapie;
Qui anima sur TF1 de 1986
A 1987 l'émission " Ambitions " ;
Destiné à donner aux futurs chefs d'entreprise
De l'ambition;
Vis à vis des jeunes qu'il aida
En montant
Leurs projets d'entreprise,
Mais dont une de ses plus belles
Entreprises; fut de lutter contre
Le chômage; en érigeant
Des écoles de commerce
A destination des chômeurs;
Pour aider les jeunes;
Sans affectation scolaire;
Sans diplôme ou au chômage,
De telle manière
A les préparer à entrer
Dans la vie active;
En les soutenant
Et en les formant,
De sorte à qu'ils puissent s'intégrer
Dans le monde professionnel,
Afin qu'ils trouvent leur métier
Adéquat leur correspondant
Au mieux dans une profession
De foi,
Par le biais de la vie d'entreprise,
Dans le but qu'ils se réalisent
Eux-mêmes
Et qu'ils s'accomplissent
Dans leur vie d'adulte;
Lui qui ne déchanta jamais,
Malgré qu'il connaissait
Sans arrêt la même chanson;
Bernard Tapie fut quelqu'un;
Qui n'avait pas de petits vélos
Dans sa tête; à part fonder
Une équipe cycliste,
Quand sa vie fut claire
Courant 1984;
Grâce à qui Bernard Hinault
Put se remettre en selle;
En gagnant un 5ème et ultime
Tour de France; Bernard Tapie
Fut un homme atypique;
Qui lors de ses affres judiciaires;
L'amena à toucher le fond,
Et dont avant d'aller en prison;
Lui acteur de sa vie;
Tourna son unique film
Sous la direction de Claude Lelouch;
" Hommes; femmes; mode d'emploi "
Lui; l'homme courageux qui n'avait
Peur de rien, et qui joua son plus beau
Rôle, en jouant notamment
Un beau salaud lors d'un vol
Dans un nid de coucous,
Et dont grâce à qui avec Oscar;
Il se transcenda en tant que comédien,
Et dont en plein dans l'an deux mille;
Il n'eut rien à cacher de sa cible
Sur le câble en pétant un câble;
Même qu'il présenta
A tort ou à raison; une émission
Sur TF1 pendant la saison 2002-2003
A l'aube de la soixantaine; lui;
Qui ne battit jamais en retraite
Préférant donner à sa vie
Malgré la maladie; un cancer de louanges;
A travers comme mode d'emploi; le travail
Pour bien s'employer dans le présent;
Lui le plus qu'imparfait, mais qui eut
Malgré tout des bons côtés,
Desquels il se livra artistiquement au cinéma;
Au théâtre; à la musique; en littérature
Et à la télévision;
Lui; le bouc-émissaire en politique,
Quand il joua le rôle
Du commissaire Valence ou
Du médecin baroudeur Cazas
Sur TF1;
Après tout ce temps
A déchanter la Marseillaise
A L'OM,
Si bien qu'il ne perdit le Nord !
Quand il retourna à Paris,
Lors de ses démêlés dans ses
Affres judiciaires, et dont le point culminant
A sa déroute et à sa banqueroute;
Fut dès qu'il fit fausse route avec
Le Crédit Lyonnais; la source
De tous ses scandales financiers
Et d'escroqueries avec Adidas etc..
Mais dont il trouva un nouveau sens
A sa vie pour laver son honneur,
Lorsqu'il trépassa quelques mois
En prison; certes; en ayant la santé,
Mais dont sa santé psychique
Vacilla ! En dépit de sa vache enragée
Durant laquelle, il mena
Certaines personnes en bateau
Avec le Phocéa; à qui la justice
Lui passa un sacré savon de Marseille,
Dont le pari le plus éperdu de sa vie;
Après tous ces paris perdus fut
Sa résurrection au théâtre, où comme je le
Mentionnais initialement;
Il interpréta le plus beau
Rôle de sa vie; avec pour
Garde-fous; toute sa famille dans ce
Qu'il y a de plus précieux;
Et de plus somptueux;
Lui qui avant qu'il soit
De ses entrailles au septième
Ciel de sa vie; chanta
C'est beau la vie en duo !
Avec Doc Gynéco pour ne pas
Que sa vie dérape à nouveau !
Lui qui n'avait plus rien à perdre !
Mais avait tout à gagner ! Lui;
Le redoutable battant et gagnant;
Avec pour soigner ses plaies;
Doc gynéco, avant de rejouer
Au vilain petit canard
De Caliméro en rachetant
Le journal La Provence,
Dont sa vie se corsa au petit matin
Du dimanche 3 octobre 2021,
Dès le moment où
La Provence annonça la mort
De Bernard Tapie des
Suites d'un cancer des louanges
A 78 ans,
Dont maintenant Bernard Tapie
N'est plus et dort en paix
Sur une feuille morte !
Loin de ce monde monotone;
Lui qui repose à présent
Dans un monde plus parfait
Au pays des anges;
Lui; Bernard Tapie; de la lumière
En dormant dorénavant
Bien à l'ombre !
Jérôme de Mars
Dealer de poèmes
Comme ma vie; c'est un mélodrame !
J'écris ce slam;
Qui trame
Ma solitude la plus infâme,
Et dont je m'enivre
Pour vivre
Sous absinthe !
Pour faire entendre ma complainte;
Moi; le dealer de poèmes;
Qui se shoote aux problèmes,
Afin de vendre de l'ivresse
Face à la foule
En liesse;
Qui me refoule,
Pour tenter de tenir le cou
Dans ce monde à contrecoups;
Et ce monde de fous
Sans garde-fous,
Où comme tout me soûle !
Avant ma mise en bière;
Certes; loin de la Cannebière,
Mais dont avec la fureur et la colère !
De ma fureur de vivre;
Je m'enivre
Pour tenter de survivre
Sous absinthe,
Pour faire entendre ma colère
Grâce aux enceintes,
D'où je me soûle à la bière
De mes poèmes
Dans une soul de mise en bière
Face à mes problèmes;
Qui gangrènent
Ma vieille rengaine
Sous forme de haine;
Moi; le dealeur de poèmes;
Qui vend des poèmes
Pour me raccrocher
Dans l'amarre
De la mer;
A l'arrachée,
Alors que la marre
Est pleine !
A chaque semaine
Suffit ma peine !
Dont à peine !
Je suis tant bien
Que mal Open,
Comme dans un Open
Soi-disant humain !
Dont moi; le dealer de poèmes;
Je me shoote dans un ballon d'essai
Au shit virtuel,
Où tout baigne avec des pépètes irréelles !
Et dont en rituel
Pour me donner
Bonne conscience à l'autel
Du bon Dieu ! Je me soûle
A la soul
Musique pour rentrer dans le moule !
Dont malgré ma colère
En l'absence de ma mère;
Et bien ! Pour faire entendre ma rengaine
Grâce aux enceintes
De la soul musique;
Qui soûle mon état frénétique !
Sans que ça soûle
La foule;
Et bien ! Je m'enivre
Sous absinthe !
Pour vivre
Et rentrer dans le moule;
En écoutant désormais
Tout le temps de la soûl;
Qui dessoûle
Mes problèmes;
Moi; l'aguerri dealer de poèmes.
Jérôme de Mars