Que fait une femme du nom de Line pour faire cracher la purée à son mari ? - Elle mousQue fait une femme du nom de Line pour faire cracher la purée à son mari ? - Elle mousse Line !
Que fait une femme du nom de Line pour faire cracher la purée à son mari ? v-

Faites rêver les nuages !

 

En partant d'une chanson d'été instantanée;

Et si avec admiration le ciel avec vanité;

Signait des autographes qui donnent une bonne image

Des nuages pleins feux d'artifice !

A l'apologie dès les prémices vespérales propices; 

Qui entonnent en ramages;

Faites rêver les nuages !

Tant que le ciel crédule fait passer le message !

Que tant qu'il y a de la vie; il y a de l'espoir !

Abreuvoir de formidables histoires;

Qui réconcilient le genre boute en train !

Sans dépasser l'entendement humain

Du delta dans l'alpha oméga; 

Puisse durer la joie en éclats 

D'en rire ! En fredonnant en ramages;

Faites rêver les nuages !

Si bien que le destin adore le hasard;

Et les coïncidences qui rendent le ciel hagard;

Et bavard avec du papier buvard

Pour marier les couleurs vives autour de l'étendard,

Tandis qu'en de ça de là ! V'là au-delà du ciel les ramages !

Qui chantent d'un pas sage; 

Faites dans l'infini rêver les nuages !

 

Jérôme de Mars

Les canards qui ont des prises de becs dans leur coin coin

 

Sec plus ultras même quand ils mouillent leur chemise;

Les canards qui ont des prises de becs dans leur coin coin,

Aiment être tranquilles avec la petite bébête qui monte,

Quand il y a l'abbé bête qui a honte

Des sept péchés capitaux, lorsque la mare est pleine près du jardin;

Qui étend au Parc Montsouris ses terres inconnues promises; 

A l'aube d'un anonyme qui regarde son lopin

De terre, où il y a les canards qui ont des prises de becs dans leur coin coin;

En lisant le journal et ses canards ayant tous en chaîne des infos;

Avec une mare qui tient au courant sa vague déferlante du bout de son eau;

Défrichant des souvenirs paysans, comme l'autrefois plaisant des paysans;

Qui riaient en flânant au Parc Montsouris en lisant les canards fluctuants

Suivant le temps, dont paraît à chaque printemps le journal des copains !

Dont en lune, il y a les canards qui ont des prises de becs dans leur coin coin;

En train de jouer du tambourin

Complice avec leur mère casse bonbon; qui s'en va enchanter la confiserie,

Dès le printemps et l'été en griserie chérie;

En lisant le journal avec à chaque coin,

Les canards qui ont tout le temps des prises de becs dans leur coin coin.

 

Jérôme de Mars

Karma tête s'imagine volontiers !

 

Rêves similaires de plusieurs songes parallèles;

Notre imaginaire frémit de tendresse d'anges spirituels

Karma tête s'imagine volontiers !

Qu'il y a quelque part ailleurs un royaume de félicité !

Nuages bleus de vapeur qui sentent les râpages,

Nostalgiques de leurs pulsations chronophages;

D'un moyen âge dès l'âge d'or encensé !

Qui en sensé; stimule des vocations inopinés !

Comme quoi le paradis fait encore rêver !

Dans la quiétude en compagnie d'une fertile communauté;

Karma tête s'imagine volontiers !

Qu'un ailleurs plausible

Est possible !

Par la force de la magie des rêves; à laquelle songe

La vie d'un monde imaginaire avec aucun mensonge;

Or nul irréel surréaliste n'existe !

Quand les anges y croient en êtres hédonistes;

Et bienveillants envers la diversité riche, est variée !

Karma tête s'imagine volontiers !

Que les oiseaux enchanteurs bercent les créatures divines !

En faisant chanter aux fleurs toute leur montée d'adrénaline,

Dont pour remonter à l'origine de leur inconscience conçue

Dans leur fantaisie loufoque; entraperçue

Du haut des oiseaux juchés sur leurs arbres enracinés;

Il leur faut songer à un havre de paix !

Duquel après le printemps; voilà l'été !

Karma tête s' l'imagine très volontiers !

 

Jérôme de Mars

 

La ligne imaginaire des rêves parallèles

 

Aux frontières furtives

Des époques captives;

Le chemin romanesque

De l'histoire trace la fresque

De la ligne imaginaire des rêves parallèles;

D'après le songe d'une nuit d'été qui bêle 

En rendant chèvres les boucs-émissaires;

Qui ont fort affaire à la lisière

De la forêt vierge; 

Qui allume des cierges

En retraçant le triangle des Bermudes isocèle

De la ligne imaginaire des rêves parallèles;

Qui songe à l'été de l'an 40,

Mise en crise de la quarantaine trébuchante;

Et balbutiante en rêvant épisodique,

A des histories énigmatiques

D'un arc en ciel frénétique de la clepsydre;

Qui frôle en fin d'année surannée les déboires du cidre,

Dès le songe d'une nuit d'été du Cid de Corneille;

Qui bat l'acide aux Corneilles; 

En prêtant une oreille 

Attentive pour regarder évasif le soleil ;

Qui laisse sa trace d'aquarelle

Dans une vie qui s'emmitoufle intemporelle;

En tirant un trait définitif irréel

Au bout de la ligne imaginaire des rêves vraiment parallèles.

 

Jérôme de Mars

Une ombre de lumière

 

Inventaire d'une vie charnière;

Entre prendre débonnaire

Et s'y méprendre en colère

En une ombre de lumière;

A la fois aléatoire

En cherchant son territoire,

Et tantôt linéaire;

En recherchant son itinéraire

En ne sachant quoi faire,

Quand son âme se ressent bipolaire

A chaque instant de son existence; 

Qui sent la repentance

Soit imaginaire ou soit patibulaire

De sa vie en embolie pulmonaire,

Alors qu'il suffirait

Juste d'une embellie pulmonaire !

Pour respirer l'air d'une nouvelle ère

En une ombre de lumière;

Qui soit au clair du clerc

A y voir une résilience nécessaire;

Pendant un instant de lumière

A des années-lumière 

De son ombre printanière;

En sanglotant dans sa chaumière

A regretter sa mère;

En souvenirs lapidaires

Maintenant au frigidaire, 

Alors qu'il vaut mieux éclairer le lampadaire !

Pour y voir plus clair dans la lumière

En une ombre de lumière,

Où il fasse à la fois un bleu et clair !

Et des bleus à l'âme austères !

En jouant un rôle contrasté; 

Entre semblant apaisé

Et faux semblants heureux;

D'aller de mieux en mieux

Pour qu'il puisse retrouver les cieux;

Et les yeux de sa mère brumeux,

Et dont pour rester un peu

Encore sur Terre

Dans un paradis sur Terre;

Il vaut mieux qu'il insuffle en un clair

De lune une lune claire !

Tout en étant dans la lune bipolaire !

En une ombre toujours de lumière.

 

Jérôme de Mars

Ecorché vil !

 

Amoché et rétamé dans la ville;

Il était un sacré lascar écorché vil !

Qui en avait marre qu'on le vrille;

Vu l'état du monde qui ne brille

De par son tact qui n'est diplomate,

Dont le contenu est subversif et transgressif;

Emis par des gens aux taux mats; automates;

Avec des gens agressifs

Et écorchés vifs,

Dont le vif du sujet

Prête à confusion décompensée;

Avec en apogée plus de camouflets,

Notamment vu l'état de ce lascar écorché vil !

Dont son état à la fois mature et puérile;

Fait que de son passé; il en est servile

Et indocile !

Face à ceux qui vies à vies

De lui;

Ne sont réceptifs

Et réactifs

Avec en actif;

Tout son passif rétroactif,

En prenant tout en argent comptant

Par rapport à ce qui est alarmant, concernant

Son sale état à ce fameux lascar

Ecorché vil !

Très piqué au vif sur le vif volatile,

Où ce lascar est un drôle d'oiseau !

Vu que ça ne vole pas haut !

Et dont en imminent éruptif;

Il reste captif

De son passé émotif !

Avec à présent un avenir défensif,

Où sa vie à la fois lui fout le cafard !

Et lui donne envie d'allumer la brèche d'un pétard !

Etant donné qu'il s'est décoiffé avec un pétard

De sa vie qui sent le taudis, comme renfermé

Dans un mitard;

Mi tard, et dont pour qu'il ne soit plus jamais écorché vif !

Pourvu qu'il redevienne offensif !

Avec une vie qui lui soit plus gentille !

Vu l'état de ce lascar pour la vie écorché vil !

 

Jérôme de Mars

 

Ce poème est un poids de son Avril !

 

Coup de fil !

Ca y est; on naît au mois d'Avril !

Dont ce poème est un poids de son Avril !

Comme la fille d'Avril

De Laurent Voulzy;

Qui est sur le fil

Du rasoir fragile,

Où Avril ne te découvre pas d'un fil !

Pour ne pas qu'on te refile

Le Covid en poison D'Avril !

Où t'aurais à coup sûr !

De la mémoire en allant tout droit seul vers le mur !

Où ce poème 

Arrime comme un emphysème,

Dont ce poème est un poids de son Avril !

Avec une liberté de thon,

Comme si c'était ton 

Problème ! Que tout le monde souffre d'un mâle

De respiration !

En tout point banal comme il est à tout à fait

Normal ! Que tout le monde l'ait le Covid agile !

Dont ce poème est un poids de son Avril !

Avec des petits pois questions hémophiles,

Où il faut déclarer son âme d'écorché vil !

Sur le point de saillir

Et d'assaillir

A n'en plus finir au mois d'Avril !

Qui risque de rendre le monde fébrile

Et les gens puérils !

Face au déclin de ton âme fragile,

Et dont pour que tu restes tranquille !

Comme un poisson dans l'eau

Dans ton élément en ville !

Il faut déployer le plan Marshall !

Comme quoi t'as le droit d'avoir un beau mois d'Avril !

Même si en Avril, ne te découvre pas d'un fil !

Avec grâce à l'envers du dico;

Ce poème qui est un poids lourd de son Avril !

 

Jérôme de Mars

Hanter ses dents

 

Hanter ses dents

En décédant

Avec en antécédant 

L'ascendant

De qui va en descendant

En antécédant 

Et en décédant

Pour hanter ses dents

En tes aidant 

Hanté cédant 

Et en décédant

Avec en tes cédant

Tes hanté s'aidant

Ayant pour antécédant

Tous tes hanter ses dents.

 

Jérôme de Mars

Un juste milieu

 

Au centre de tous les attentions;

Un juste milieu

Recentre toutes les contestations

De ce climat fiévreux et ténébreux;

En prenant de tout à gauche et à droite

Dans cette France moite; 

Qui file un mauvais coton de ouate, 

Avec un juste milieu

Au centre de toutes les attentions;

Où il faut prêter considération

A ceux qui restent sur le feu

Et au charbon;

A brûler et à crever à petit feu;

Au nom de quel Dieu ? !

Au centre de toutes les attentions;

Avec un juste milieu

D' un peu

De gauche et de droite;

En cette France

De la finance

Très moite;

Qui file un mauvais coton ouate,

Où tout devient fou !

Sans qu'il y ait du redoux

Dans ce monde bizarre;

Qui sent l'apocalypse 

Dans un épais brouillard;

Avec la lune qui éclipse

Le soleil au profit de l'ellipse

Au centre de toutes les attentions,

Avec un petit peu

De gauche et de droite

En un juste milieu;

Qui est une drôle d'incarnation

Au centre de toutes les attentions

Dans cette France abrupte et moite;

Qui file un mauvais coton ouate,

Et dont que faire ainsi soit ? !

Pour qu'entre la gauche et la droite;

Il y ai de l'espoir enfin ouate

Dans cette France de la finance très moite,

Et dont pour croire à nouveau en un dieu

En allant vers les cieux;

Y-at-il encore un juste milieu ?

 

Jérôme de Mars

Le soleil du haut d'un gratte ciel !

 

Building très bling bling en faisant la courte échelle;

Qui gravite le soleil du haut d'un gratte ciel !

Dont le soleil arrête son manège du Carrousel !

En plein bitume dans Paris qui fait son Ménestrel,

En tirant les ficelles des marionnettes qui grattent le ciel !

Dès lors qu'il suffit d'une et d'une part sitôt que le soleil 

Fixe ses décibels plutôt que prévu vie à vie de plus belle !

Envers le soleil du haut d'un gratte ciel !

Et que fait-il de son arc en ciel sinon d'une parcelle ?

Avec le ciel en aquarelle qui dessine des couleurs au pluriel;

En amenuisant les réserves des crayons et des feutres,

Quand le soleil et les nuages se calfeutrent !

Derrière le ciel en rade qui clame en tirade; 

Que le fait de faire de belles ballades en promenade;

Inspire le soleil du haut d'un gratte ciel !

Qu'il peut encore provoquer une vague d'étincelles,

Avec pour mentor le médiator d'un air de guitare de ritournelles,

Dont il faut prendre en exemple celui qui gratte le ciel !

Dans sa suffisance de fanfare pendant que le poète maudit chancelle

Dans sa coquille Sain Jacques Chancelle, et dont avec la manivelle

Pour puiser dans son antre de Mausolée au sanctuaire pucelle;

Pourvu qu'il prenne de la hauteur; le soleil du très haut d'un gratte ciel !

 

Jérôme de Mars

 

Hauts céans 

 

Océans

O sait en

Hauts céans

O c'est an

O c han 

C'est océans

Sait o céans

Ces hauts céans

Cet aux céans

Ces o c han

Ses hauts ces ans

C'est haussez en 

Ces océans

Sait très hauts céans.

 

Jérôme de Mars

Bas bouches

 

Mise en bouche;

T'as l'eau à la bouche !

Qui t'en bouche

Un coin de babouches !

Qui débouchent

Des bas bouches !

Qui rebouchent

Bouche-bée !

Des débouchés !

Qui ont des débouchés

Sur ce que t'as bouché !

Avec les métiers de bouches

Qui ont débouché

Des babouches !

Qui bouchent

Des bas bouches !

En mises en bouche !

Qui débouchent 

Sur une bouchée

De boucher bouche-bée !

Qui débouchait

En commerces de bouches !

Qui rebouchent

La bouche !

En ayant l'eau à la bouche

Des bas bouches !

Qui débouchent

En métiers de bouches;

Avec les commerces de babouches !

Qui débouchaient

Des bouchers bouche-bée !

Ayant pour débouchés;

Des bouchers !

Avec pour mises en bouches

Des bas bouches; bouches fermées !

 

Jérôme de Mars

 

Chacun a sa vie et ses problèmes !

 

Nom d'une chrysanthème blême;

Si plus personne ne s'aime !

C'est qu'il y a un problème !

Où l'on parsème

C'est ton problème !

Avec en rengaine;

Genre comme de la haine,

Chacun a sa vie et ses problèmes !

Comme chacun mène sa p'tite vie bien tranquille !

Dans le bruit de la ville comme dans un jeu de quille !

Où tout ne tient que sur une cheville !

Dont pourvu que rien ne vrille,

Où sinon on te dira en requiem !

C'est ton problème !

Car chacun a sa vie et ses problèmes !

Et dont je m'en fous, c'est mon problème !

Si ce que tu dis; fait que tu parsèmes

Le mâle de vivre dont on respire l'emphysème,

Avec la rancœur d'un œdème;

Qui fait que plus personne ne s'aime !

A part semer la discorde dans un harem,

Si bien que chacun mène sa p'tite vie bien tranquille !

Comme tout tombe comme dans un jeu de quille !

Avec la béquille qui retombe sur la cheville,

Où même si ce n'est plus mon problème, ton problème !

Pourvu qu'avant post-mortem; 

On rentre dans le système

Aidé ! Pourvu que chacun parsème

Des je t'aime ! Même si c'est le problème

De tous ! Afin que le monde respire à nouveau le totem

D'une vie la même,  

Pour rentrer dans le système

Aidé ! De sorte que tout le monde s'aime idem !

Dans une vie pour tous sans problèmes !

 

Jérôme de Mars

Voyage dans une maison

 

Inné pour un nouveau né dans une maisonnée;

Cette maison née, où il n'est !

D'apprécier la vie dans un grand bol d'air

Chez soi; avec les convives et leurs confrères

En mettant à plat les malentendus; 

Qui font que les liens sont distendus

Avec à bord d'un portable en mode avion;

Un voyage à la maison

Qui reste dans les annales,

Comme la maille qui cherche l'originale;

Surtout quand les contradictions

Font la contraction avec érudition !

Entre tout et son contraire;

N'est-ce pas les congénères ! ?

Parmi les irréductibles qui assurent leurs arrières;

En fourmillant d'idées qui bouillissent avec de la matière !

Dont c'est un voyage dans une maison

Avec dans la nichée, le retour au bercail des grandes saisons;

Qui font et défont ce monde linéaire et littéraire

Par le plus profond de son imaginaire,

Dont rien n'est jamais écrit d'avance !

Mais dont avec advertance, on peut espérer une abondance !

En s'esclaffant d'éloquence sans la redondance;

Que la vie est un éternel recommencement dans l'accoutumance !

Et dont à l'hiver de sa vie comme à la fin d'un feuilleton !

C'est le dernier voyage dans une maison.

 

Jérôme de Mars

Fausse route

 

Libre circulation sur le circuit !

Quand je fais fausse route !

Ca fait un court-circuit !

Dans la déroute,

Où j'ai tout fait 

De ce que j'ai avalé et dévalé !

Quand je fais une fausse route !

Où j'étouffais

Dans ma glotte !

Où je grelotte polyglotte,

Comme une crise d'épilepsie !

Dans ma langue fourchée de travers,

Où j'ai en travers

De la gorge tous mes vieux travers !

Dans une infinie colère;

Enfouie dans mon être anéanti

Par une fausse route !

Où j'ai fait fausse route !

Dans une fosse déroute !

Quand j'ai avalé

Et dévalé 

Le Val de Marne des vallées;

Avec des valets !

Où on ne sait jamais !

Ce que je valais

Dans une fosse déroute !

Où je fais fausse route !

Quand j'étouffais une fausse route 

A la vallée dévalée des morts !

Avalés et ravalés !

Dont très à cheval;

J'ai fait le mors

Dans le Val !

Quand j'ai tout fait 

L'ultime fausse route !

 

Jérôme de Mars

 

Qu'est-ce-que tu plantes là ?

 

Bonsaï, banzaï !

Ca rappelle les plantes

De Rika Zaraï !

Avec des baobabs, 

Dont le nabab

Tente en attente;

Qu'est-ce-que tu plantes là ?

Qui ordonne de semer la petite graine,

Dont cela fera un nouvel Eden !

Qui fondera une famille au-delà 

L'entendement humain !

Ou du jardin secret avec pour refrain;

D'agréables matins en deçà, 

Qui demanderont unanimes !

Est-ce-que le monde est magnanime ?

Et qu'est-ce-que tu plantes là ?

A part planter et supplanter

Un mystérieux jardin secret

Au prix de la paix et de la liberté;

Avec de l'humain dans l'engrais

Pour fleurer une saine nature botanique;

Face à ce monde fanatique,

Où il faut de l'esthétique !

Afin que le jardin de l'amour soit magnifique !

En son rentre-dedans fantastique,

Où pour que les femmes soient en joie !

Qu'est-ce-que tu plantes là ?

A l'intérieur des femmes en leur paroi !

Dont ça rappelle la volupté, la candeur

Et la pudeur des êtres qui ont leurs chaleurs !

Avec une grande volonté qui affiche complet

Dans un complexe rien de plus osé !

Et dont il faut s'en émanciper

Dans la gravité et la réalité !

Car pour le reste de l'humanité!

Que vaut-il mieux espérer ?

Soit de l'amour en soi

Ou de l'amour en soie,

Et dont pour cela;

Qu'est-ce-que tu plantes encore là ?

 

Jérôme de Mars

 

Graffiti de poèmes

 

Jeunes des quartiers difficiles;

Il n'en est rien facile !

Face aux problèmes qui sèment

Un graffiti de poèmes !

Que je tague de mon art

En faisant du street art;

Avec en fresque

Ces quelques vers pittoresques;

Qui sèment le doute romanesque

De pourquoi il manque des arabesques

Dans ce graffiti de poèmes;

Que je tague de mon totem

Avec de mon art;

Tout ce street art qui fout le cafard

Comme une racaille; 

Qui caillera ma caille ras d'écaille;

Qui caillera des cailles loin de moi,

De pourquoi

J'y laisse des plumes !

A moins que ma plume m'enfonce dans l'enclume;

Qui rime mon côté renard;

Moi, le lascar de la zone

Dans ma cité en sagacité de la couche d'ozone;

Moi, l'Antigone de tous mes problèmes,

Dont j'écris en un tag ce graffiti de poèmes;

Qui sème cette fresque

Du fruit de mes vers pour ma pomme pittoresque;

Avec pour rengaine

De l'amour qui ADN;

Quelquefois émises en quarantaine;

A chaque jour suffit sa semaine !

Dont pour terminer ce poème;

Je lève mon pouce

En plusieurs j'aime !

Pour tagger les murs un pour tous !

Et tous pour un ! De cette fresque romanesque;

Il était une fois le street art pittoresque !

Avec pour harem

Ce graffiti de poèmes.    

 

Jérôme de Mars   

Un poème rien de plus classique

 

Musique classique

En théorème;

Un poème

Rien de plus classique;

En révisant ses classiques

Pour voler vers le haut;

Tel l'oiseau de feu

Feu Stravinski;

Qui dit flûte 

Avec des vers de flûte,

Comme la flûte enchantée de Mozart;

En jouant du classique

En vers acoustiques,

Et dont Mozart; 

Donne en rencards

Des thèmes pacifiques

Dans un océan de symphonie

Avec de la musique de chambre;

Qui classique; chambre

Ce poème

Rien de plus classique;

Qui sème

De la tendresse;

Et de la liesse

Populaire, dont après la tempête;

Voici le calme qui hébète

Chopin, le vagabond;

Qui chope un éclat furibond;

En faisant des bons en avant;

En faisant des pas;

Et en franchissant des grands pas;

Pas appâts

Dans un parterre;

D'artiste humaniste

En soliste;

A base effet solo;

En accordant ses violons

Et en jouant du violon,

Où avec Chopin, Mozart,

Schubert, Beethoven et Stravinski;

Nous accordéons 

En paix et en symphonie;

Cette musique pacifique,

Dont ce mal de mer pacifique;

Nous calme philharmonique

Et harmonique; 

En révisant et en jouant

Ses classiques;

A effet piano,

Comme une leçon de piano;

Qui note salée son grain de sel

Dans un jeu classique;

Qui joue de la musique classique

En ayant à la base une basse effet stéréo;

Qui joue en harpe diem

Une mélomanie;

Qui a mes lots manient

Qui manient les mots;

Avec pour contrebasse

Un violoncelle, 

Où avec Mozart, Schubert, Stravinski,

Beethoven et Chopin,

Nous violons celle; 

En parlant musique acoustique

Avec en harmonie basique;

De la philharmonie, de la mélancolie,

Et de la symphonie,

Dont ce théorème chope un

Poème qui rime en vers

De flûte enchantée de Mozart,

Et dont pour à portée

Une ambiance pacifique;

Voici en mélomanie

De la musique classique;

En révisant et en jouant ses classiques

Avec pour thème;

Un poème

Rien de plus classique.

 

Jérôme de Mars

Le bouton dort

 

Eruption cutanée;

C'est un instantané

Qui gratte dermato

D'un manque de peau,

D'où le bouton dort

Avec le bouton d'or;

A envoyer des fleurs

Avec du chou-fleur;

A ceux qui lui font une fleur

D'Honfleur  à on fleure

A fleur de peau;

Qui effleure dermato

Le bouton d'or,

Quand gratte le bouton qui dort !

A cause des rougeurs;

Qui jettent aux orties

Le bouton d'or,

D'où le bouton dort !

Avec un droit à l'oubli;

En s'éprenant par cœur

Et en apprenant le bonheur,

Dont d'ore et déjà;

Le bouton d'or;

Avec en rabat-joie

Un bouton qui gratte,

Mais dont avec un fil à la patte

Le bouton dore

A la belle étoile !

Avec un coin de sa vie

Qui dévoile

Un besoin de répit;

Avec au bout de l'embellie

Quelqu'un qui gratte un rendez-vous;

Plus on est de fous !

Plus on guérit !

De l'éruption cutanée,

Et dont après c'est la liberté !

D'où le bouton qui redore.

 

Jérôme de Mars

L'année bissextile

 

Quoi de neuf ?

Comme l'année 69,

Où je me mets en quatre;

Plié en quatre

De l'année bissextile;

En faisant un bras de fer

Avec mon biceps lors de chaque anniversaire;

Telle l'année bissextile;

Asexuée; sexuée

Et bisexuée

En rhabillant avec des maux d'hiver;

L'année bissextile

Avec du textile,

Où je me mets en quatre;

Plié en quatre

De l'année bissextile;

Qui habille avec du textile

Les gens pour l'hiver,

Et dont à chaque anniversaire;

Le vent de la colère

Se morfond dans le vent

D'une nouvelle ère

A la Boris Vian, 

Dont l'année bissextile

Se remet à neuf,

Tous les quatre ans

Comme l'année 69;

Sur année surannée

Dès cette année-là asexuée;

Sexuée et bisexuée;

Entre deux conflits intérieurs;

En prenant son pied pour le meilleur

Et en partant d'un bon pied tactile,

Dont pour habiller et rhabiller les gens

Pour l'hiver malgré la colère;

Qui prend débonnaire; des bon airs;

Il vaut mieux attendre habile

Et agile malgré son être fragile;

Que durant le temps suranné du textile

Que c'est sur année surannée fébrile;

L'instant de l'année 69;

Qui se remet à neuf

Quoi de neuf ?

Depuis le temps,

Où je mets en quatre;

Plié en quatre

Dès l'année bissextile.

 

Jérôme de Mars

Vannes en libre circulation

 

 

1) Claude Evin, l'ancien ministre socialiste de la santé de 1988 à 1990 de François Mitterrand qui avait fait une loi pour interdire la publicité de l'alcool, a fait la loi devin !

 

2) Quelqu'un qui devient sourd en se masturbant; il s'en branle !

 

3) Johnny Hallyday qui sortirait un nouvel album posthume maintenant, ce serait un album DCD !

 

4)  Une personne handicapée physique se raccroche à L'AAH comme béquille pour tenir debout

 

5)  Si je fais le portrait de quelqu'un que je n'aime pas; je ne peux pas l'encadrer chez moi en tableau d'honneur !

 

6)  Evelyne Dhéliat qui présente chaque jour avec bonheur une météo sereine en parlant de la pluie et du beau temps; a une vie avec jamais aucun nuage à l'horizon !

 

7)  Une personne qui chaque jour se lève de bonne humeur en ayant passé une bonne nuit; consulte son portable après avoir rechargé ses batteries !

 

8)  Une femme qui donnait naissance à son enfant tout en faisant l'amour à son mari a couché !

 

9)  Un sommelier qui perd le goût à cause du Covid; pas de pot pour lui ! Il n'a plus de pot comme il paye plein pot !

 

10)  Le gouvernement de Macron et de Castex est au centre de toutes les attentions !

 

11)  Un cardiologue qui opère ses patients qui viennent d'avoir un infarctus; a le cœur qui bat la chamade !

 

12)  Quand on ne peut plus compter sur quelqu'un; on ne peut plus le calculer !

 

13)  Quelqu'un qui prémédite un crime depuis son smartphone détient le mobile du crime !

 

14)  Deux hommes qui font l'amour avec la même femme dans un plan à trois en vacances au Triangle des Bermudes isolent celle, dont il n'y a pas l'égalité hommes femmes !

 

15)  Quand à la fin de sa vie, l'addition devient trop lourde à force de refaire les mêmes erreurs; on est un moins que rien !

 

16)  Un homme qui vient tout juste d'avoir un enfant et qui veut avoir la fibre paternelle; doit s'abonner à Orange pour cela  !

 

17)  Un écrivain qui a du tempérament; écrit ses livres en lettres de caractères !

 

18)  Un jardinier pour aider son collègue à bien arroser les fleurs; lui refile un bon tuyau !

 

19)  Laura Flessel lorsqu'elle était escrimeuse; avait une épée de Damoclès au-dessus de la tête lors des différents jeux olympiques d'été !

 

20)  Pour écouter la même radio musicale que ses amis et avoir les mêmes goûts en commun le tout en harmonie; il vaut mieux être sur la même longueur d'ondes que ses amis !

 

Jérôme de Mars

Pas de pot de quitter L'ESAT !

 

Une pièce de théâtre sarcastique à l'humour satirique en forme de saynètes sur les conditions de départ imaginaires de L'ESAT La Fabrique de Jérôme B, un ancien agent de production de cet ESAT

 

Eric T, le moniteur :  " - Bonjour Jérôme; aujourd'hui, on trinque à ton départ de  L'ESAT ! En trinquant à notre santé après que tu as trinqué de ta santé à L'ESAT, car pas de pot de quitter L'ESAT pour toi Jérôme ! "

 

Jérôme B, un ancien agent de production :  "  -  Comme pour moi, y a pas de pot de départ de quitter L'ESAT ! J'en déduis que la coupe est pleine pour moi ! C'est sûr que vu mon état qu'il ne vaut mieux pas que je boive du champagne ! Comme j'ai trinqué de ma santé pendant ces 16 ans à L'ESAT ! Où j'ai donné mes 16 ans en trinquant à la santé de L'ESAT ! Ce qui fait que si je ne bois pas de champagne avec vous; c'est que ça m'a soûlé mes 16 ans à L'ESAT ! Surtout en faisant Dugas, en me mettant en boîte et en me faisant prendre de la bouteille !  "  

 

Sandrine R, un agent de production :  "  -  C'est pour cela que tu ne sortais plus de ta bulle ! Et aussi pour cela que tu te mettais trop souvent en arrêt-maladie les derniers temps à L'ESAT ! Comme tu étais moins pétillant étant donné que tout tombait à l'eau !  "

 

Tony A, un agent de production :  "  -  Mon petit Jéjé, je trinque à ta santé ! Et je comprends très bien pour toi que la coupe est pleine ! Car y a pas de pot de quitter L'ESAT pour toi Jérôme ! Comme y a pas pot de champagne !  "

 

Christophe P, un agent de production :  "  -  Comme tu te livres beaucoup dans tes poèmes Jérôme ! Pourquoi n'es-tu pas venu travailler avec moi aux livres ? Tu aurais été mieux traité ou mâle traité ! Mais en tout cas, tu n'aurais pas été sous-traité comme au conditionnement parce-qu'à la reliure, le travail est toujours fait en temps et en heure vu qu'on livre !  "

 

Charlotte, un ancien agent qui bat en retraite :  "  -  Mon cher Jérôme, tu as bien fait de quitter L'ESAT ! Moi si j'étais pas partie en retraite, de toute manière;  j'aurais fait comme toi de battre en retraite ! En plus tu sais Jérôme ! Comme on connaît la chanson en écoutant Henri Salvador, le travail c'est la santé ! Et ne rien faire, c'est la conserver !  Tu serais resté à L'ESAT !  T'aurais travaillé à la santé de L'ESAT en trinquant de ta santé  !  "

 

Michelle G, l'ancienne assistante sociale :  "  -  Jérôme, je pense que vous avez bien fait de partir !  Car de toute manière si vous étiez restés à L'ESAT, on vous aurait cuisiné et on vous aurait fait laver votre linge sale en famille, ou on vous aurait roulé des mécaniques en vous faisant faire des pompes ! Un travail qui aurait pompé toute votre énergie ! En écoutant les tubes de la radio Nostalgie pour que vous soyez sur la même longueurs d'ondes que vos collègues !  "

 

Steven I, un agent de production :  "  -  Mon pote à plus ! Porte-toi bien !  Et moi au contraire, je te soutiens dans ta démarche de quitter L'ESAT ! En trinquant avec toi autour d'un ver solidaire, toi, le poète maudit ! Qui rime en revers solitaires ! Où j'espère que tu n'y laisseras pas des plumes !  "

 

Jérôme B, un ex agent qui bat en retraite :  "  -  Merci les amis pour ce départ chaleureux de L'ESAT ! Malgré les contextes de la crise sanitaire ! Où là pour vous ! Mes vrais amis ! Quand le masque tombe à mon égard ! Je vois qu'il y a quand même encore des gens qui m'aiment bien ! Malgré que certains ne m'ont pas compris, moi; le poète maudit incompris ! Un con pris ! Car pour ne plus trinquer de ma santé, je m'en vais partir de cet ESAT ! Malgré qu'il n'y a pas de pot de départ de champagne de L'ESAT ! Où je vous dis que je ne vous oublierai jamais ! Car pas de pot ! La coupe est pleine ! Et je n'y laisserai pas de plumes dans cet ESAT ! Et dont je garde ma plume de poète maudit et de drôle d'oiseau pour voler vers de nouveaux horizons ! Car plus de pot ! J'ai déjà à L'ESAT assez payé comme ça plein pot !  "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

Décroche la nuit pour encadrer le soleil !

 

Défilé des étoiles filantes 

Pendant la nuit fulgurante !

Afin de surfer sur la vague déferlante;

Il faut enrayer le vague à l'âme !

Qui provoque tant de drames

En déployant une dynamique excellente;

Avec en appel de la forêt qui interpelle !

Décroche la nuit pour encadrer le soleil !

Quitte à refaire son autoportrait; 

En crayonnant et en barbouillant avec du Rimmel,

Ses fonds de couleurs en harmonie de sa figure contrastée;

Qui fond comme neige au soleil sous une pluie de grêle,

Et dont pour que la nuit soit éphémère dans l'imaginaire !

Et le jour linéaire en déplaçant des montagnes entières !

Il faut désormais entendre des bonnes nouvelles !

Afin que le ciel soit toujours en ritournelles qui scellent

Les retrouvailles du soleil et du ciel avec leurs voix qui interpellent !

Décroche la nuit pour encadrer le soleil !

Quitte à recadrer la nuit si bien qu'elle deviendra une étincelle;

Qui fera date dans l'historie intemporelle !

Et dont que pour cet instant demeure sempiternel et immortel !

Pourquoi pas l'immortaliser de façon solennelle et officielle !

En ordonnant en paroles formelles d'après le Missel;

Que la nuit meure le jour

Et qu'il fasse beau le jour comme l'amour,

Et dont en fin mot universel; 

Décroche tout le temps la nuit pour encadrer toute la vie le soleil !

 

Jérôme de Mars

Il faut que je me fasse tout petit !

 

En voyant les choses en grand !

Même que je suis grand

De par la taille,

Mais petit de par l'entaille !

Il faut que je me fasse tout petit !

Petit appétit,

Où il faut que je prenne du recul !

En allant de l'avant 

Même que j'y vais à reculons !

Même que parfois; je recule 

En allant de l'avant !

Où il faut que je me fasse tout petit !

Petit à petit appétit;

En étant grand,

Et en y allant petit appétit

Et voyant les choses en grand;

Du plus petit au plus grand

Ou du plus grand petit appétit,

Du plus grand au plus petit du plus grand;

Qui petit à petit va du plus petit

Au plus grand petit appétit !

Où il faut que je me fasse tout petit !

En y allant petit à petit !

Et en allant vers quelque chose de grand !

Petit appétit vers quelque chose de plus grand !

En y allant à reculons et en prenant du recul !

Et dont pour aller de l'avant en avant par avant;

Il faut qu'avant que je sois grand !

Et que je vois les choses en grand !

Que petit appétit !

Il faut que je me fasse tout très petit !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

La frustration amène de la violence !

 

Electron libre celui qui pète les plombs calibres !

Il s'peut qu'il ne soit heureux mais frustré !

Amen que personne ne le considère !

Et ne le prenne au sérieux  !

Avec le supplice de supporter l'enfer

D'une famille; qui le replie vers les aïeux

Avant de décoller aux cieux,

Dont la frustration amène de la violence !

De l'innocence à l'offense avant la repentance;

Ce qui a conduit ces gens à devenir déviants

En passant d'un temps et d'une vie maussade;

A commettre des attentats terroristes Mossad

A force que ces gens, on les ballade !

En leur racontant des salades

En ces innocents d'ostracisme;

Qui trépassent au fanatisme 

Pour exorciser leurs vieux démons,

Dont c'était mieux avant le bon vieux temps !

Comme l'homme de sable dans Spiderman;

Qui tua le grand-père de Spiderman; non qu'il est méchant !

Car juste dépassé par le ressentiment de n'avoir de l'argent

Pour soigner sa petite fille; et dont il se fait repentant

Auprès de Spiderman qui lui pardonne avec de bons sentiments;,

Déjà qu'aux Etats-Unis; ils sont désunis sans sécu !

Alors qu'en France; les gens en ont plein l'écu !

Dont nul n'est méchant comme le jocker dans Batman !

Qui au début est tout gentil, mais qu'à force qu'on le réfrène;

Qu'on le malmène; qu'on ne le considère;

Qu'on ne l'écoute; qu'on ne le prenne au sérieux,

Et qu'on s'intéresse à lui et ben malgré Amen ! Cela amène

De la violence et de l'indifférence, où avec lui, on fait la différence !

Dont la frustration amène de la violence !

Comme le jocker à la base; n'était pas méchant et l'est devenu !

Tellement qu'on l'a dissolu dans ce monde dissolu et corrompu,

Dont Jamel Debbouze martèle

Comme Charles Martel;

Que la frustration amène de la violence !

Et qu'il n'y a pas que la finance

Qu'il faut considérer, mais aussi l'humain dans sa quintessence,

Où je sors mon jocker que nul n'est parfait !

Et est capable du meilleur comme du pire !

Et dont le mieux c'est d'en faire de la satire !

Dont ce monde expire, 

A force qu'il s'étire vers le pire !

Et sans le meilleur et pour le rire !

Comme encore dans Spiderman; un jeune gars nain;

Que personne ne considère avec sa couleur de peau,

Et dont il devient méchant en dérivant vers le chaos

Pour se faire entendre que lui aussi existe !

Et dont il passe à l'acte pour qu'auprès des autres; il subsiste !

Et dont Spiderman l'anéantit au point

Qu'il a tout tenté ! Pour qu'il revienne vers le droit chemin !

Quitte à l'écouter pour entendre ses doléances,

Comme lors d'une dernière séance, où c'est pas du cinéma !

A part ceux qui croient que c'est un rabat-joie !

Dont la frustration amène de la violence !

Pour trépasser en victimes d'ostracisme; de bourreaux

De jeux d'enfant à un je d'enfant qui naît bon enfant !

Et dont ainsi Jamel Debbouze avait tout à fait raison !

De dire et de médire qu'avec un peu d'écoute et de l'oraison !

On peut faire retrouver la raison aux gens malmenés;

Tourmentés et traumatisés par les difficultés

D'une vie; qui a dérivé à perpétuité vers l'insalubrité;

Du fait qu'ils ont perdu la raison !

Et dont le plus important ! N'ignorons plus notre prochain !

Quitte à s'en faire un copain !

Avant qu'il aille aux cieux !

Dont avec justice;

Equité ! Rendons-lui service !

Dans les hauts et les bas ! 

Dont certains jours bonjour ! Les dégâts !

Avec des jours avec 

En prises de becs;

Et des jours sans

A être exaltant,

Et dont pour ne pas rester spectateur de sa vie !

Soyons-en acteurs de sa vie avec la famille; les amis; 

Les jeunes; les gens; les papys et les mamies  !

Malgré la manie

Et la mégalomanie 

Des gens; qu'ils soient innocents ou méchants !

Car le plus important ! C'est d'être attentif 

Sans être défensif !

Envers les autres avec un discernement offensif 

Et positif !

Afin que le subversif et le transgressif

Ne deviennent captifs et éruptifs !

Mais qu'ils évoluent en mode réceptifs et réactifs !

Avant le passage à l'acte de la démence !

Et dont pour qu'il y ait plus de clémence

Et d'indulgence !

Faisons en sorte qu'on prie Amen !

Afin que cela amène

De la paix intérieure dans la conscience

Des gens ! Malgré que certains sont indifférents !

Tellement que les gens sont différents !

Et où il faut de tout pour faire l'immonde !

Qu'on sonde 

Dans l'ignorance

Et l'inexpérience

D'un monde en pleine décadence

Et indécence !

Que ce soit d'un temps maussade

A l'OTAN Mossad !

Dont pour que le monde soit sauvé

Et préservé

Dans son environnement

Avec un meilleur climat plus plaisant !

Gardons confiance avec prudence !

Pour que vibre 

Le meilleur en chacun de nous avec déférence

Dans la considération et l'élégance !

A fin que la frustration grâce à L'Amen !

N'amène de la violence mais de la résilience !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

La poule au pot d'échappement

 

Bibelots en lancer de javelots !

Henri 4 inventa la poule au pot

D'échappement ! Qui part illico

En mangeant un coq au vin !

Avec des columbos de poulets

Aux amendes honorables;

Qui endimanchent Columbo

Avec un imper en chauffeur 

Du dimanche: qui pousse hein !

La poule au pot d'échappement

En voiture avec Simone;

Qui offre des anémones

A Anémone, dont c'est l'aumône !

Le jour du seigneur un certain

Dimanche; en passant du coq

A La Sainte-Anne, dont l'hôpital

Se fout de la charité très à cheval !

Avec La Sainte-Anne; qui a besoin

De se faire soigner avec Ravaillac;

Qui a tué Henri 4 dans sa baignoire,

Dont sa poule est la poule

Au pot d'échappement;

Rescapée; qui pousse un 

Œuf, quoi de neuf docteur ? Dont le cri

D'Yves Le Coq pousse hein sa poule !

Qui pond un œuf le 9 de chaque mois;

Dont là poule !

La poule au pot d'échappement,

Pas de pot d'échappement !

 

Jérôme de Mars 

Aude psychédélique 

 

Electrique magnétiques;

Tu fais partie de la bande frénétique

Aude psychédélique;

Qui vole la vie rêvée des anges

En cette ode psychédélique; 

Que ce poème arrange

Sous des airs angéliques;

Fanatiques d'Angélique;

Qui engrange à des fins pathétiques

La bande synthétique de la musique;

Aude psychédélique; 

Qui taraude dans une maraude fantastique;

Laquelle fait partir le même phénomène schizophrène;

Qui sous-entend des doubles voix avec un micro aborigène,

Sans-gêne en cette ode psychédélique;

Qui rime métaphysique de façon systématique

Avec en jeux ludiques; l'éternel refrain qui rend gais

Les pigeons voyageurs que les rabat-joie utilisent effarouchés,

Pour faire muse-muse en les prenant pour des pigeons,

Très à cheval comme des canassons, 

Avec des airs angéliques d'Angélique; marquise de mes anges,

Dont avec un air de cocktail molotov; ça fait des bons mélanges !

Avec cette Aude psychédélique, alors que cette ode psychédélique

Rend névrotique; en faisant campagne bucolique

De l'ancien star-système qui parsème en relique l'immense harem,

Dont le t'aime astral provoque un gigantesque carpe-diem, 

Où il faut vivre l'instant présent en présence de la confrérie;

Qui fait amis amis en compagnie de la compagnie auréole; qui remercie

Ces êtres délicats et sensibles; qui ont la baraka pacifique 

De cette ode psychédélique; qui ramasse à l'appel Aude psychédélique.

 

Jérôme de Mars

Le soleil après la pluie

 

En ouvrant la fenêtre;

Il y a le temps qui peut être

Le Messie mais si il embellit !

Jadis la fontaine de la nostalgie;

Cela peut être après la tempête;

Le calme qui hébète

Le soleil après la pluie;

Qui pleure l'eau de la pluie

Avec les sanglots du dépit;

Si jamais par magie; il n'y a

Aucun nuage à l'horizon !

Du balcon qui en jette

Des étoiles filantes

De son panier empli de provisions

De la galaxie; qui prédit constante

Les lignes de la main pour lyre l'avenir

De mille et uns désirs,

Dont avec parcimonie;

Il y a le soleil après la pluie

En oubliant durant des éclats,

Le calme après la tempête;

Qui implore que nul ne prédit

De ce que sera le temps !

A chaque instant

De la vie; qui ravit éblouie

Les poussières de diamants;

Qui ornent le ciel brillant,

Dès le firmament inouï

Avec le soleil après la pluie;

Et qui jette son grain de folie

Dans la dextérité d'une poignée

De main; par ricochets

De cailloux; qui consolent

Dans un do ré mi fa sol;

En jouant avec un médiator d'un saule pleureur

En un sol enchanteur;

Il est où le p'tit bonheur ?

En mangeant son quatre heures

D'il est joyeux ou hardi !

Selon les péripéties

Du ciel joli; qui conclut

En une accalmie

Dans la rue;

Il y a le soleil après la pluie.

 

Jérôme de Mars

 

 

Parlons de la pluie et du beau temps !

 

Para pluie de cher bourg;

Les temps modernes nous sont contés !

En guise d'humanité 

Au long cours,

D'où son immense dignité

Et densité; 

Qui montent par paliers

Pour pallier ambiant les mouvements

Des variantes du temps éclatant,

Dont parlons de la pluie et du beau temps !

A condition que le soleil réveille le printemps !

Et qu'il en fasse un événement 

Qui soit international !

Durant un été convivial et primordial,

Où les gens ne se chamaillent;

Mais s'occupent de la paille,

Car le bonheur est dans le pré !

Et pour rabibocher les amants souffrant

De leur amour absent;

Il faut leur faire offrandes d'un présent !

S'aimant comme des aimants

Dans leur élément,

Dont parlons de la pluie et du beau temps !

Afin qu'il abreuve les soupirants

De sentiments

Sous une pluie de confettis;

Qui agrémentent la ville de Paris

Ainsi que l'orgue de Barbarie;

Qui s'illumine de bougies

En s'enlaçant d'amour;

Et et de romance

Sur Le Parvis de la Défense;

Et en se roulant des patins 

Sur Le Pourtour

Du Bassin Méditerranéen;

Qui chante les cigales

En dégustant une p'tite fringale frugale, 

Dont pour terminer en chansons;

Ce rythme des quatre saisons

De l'été au printemps;

Parlons toujours avec amour de la pluie et du beau temps !

 

Jérôme de Mars

De victime à bourreau ? !

 

Mauvais garçon bouc-émissaire ? !

A qui on jette la pierre ? !

Pierre qui déroule n'amasse 

Pas mousse de jeune pousse; 

Qui l'émousse

A la ramasse;

De sa vie de calvaire

Avec de la haine

Pleine la aine; 

Qui est l'usufruit de sa colère,

Où personne n'en a affaire 

De lui ! Car avec des maux en mots;

Est-il trépassé de victime à bourreau ?

Avec des appels à la lettre de corbeau,

Dont le corps beau en lui; est un vilain salaud;

Est un gros défaut;

Qui est après sa victime; un bourreau

De sa rancœur d'artichaut

En son cœur archi chaud;

Qui sent le réchaud, 

Comme il fut chaud son chaos !

D'untel à un tel et si lourd son fardeau

De ce poète maudit;

Qu'on médit à coûts d'ironie !

Et d'insinuations en allusions !

Dont le comble de son ironie !

Est ses nuit d'insomnie

Avec peu d'amnésie,

Dont sa colère est le témoin

Et le regain

D'un vieux conifère qui sent le sapin;

Et d'un vieux con qu'on n'a rien affaire !

Comme s'il pouvait pressentir le déclin,

Que les gens lui manifestaient

Dans le dédain

De sa vie dingue; dingue d'insurrection !

En sa rébellion des mots du dico,

Dont l'envers du dico

Est le verlan du décor !

Dès l'envers du des cors 

Au pied avec pour verlan de la déco !

Des vers lents du dico !

Et à propos du poète maudit ! 

Qu'on médit; qu'on répudie

Ou qu'on ignore;

Le fait-on en métaphores ?

Ou dans le folklore ?

Avec pour folle clore; 

Une longue route semée de vieille rengaine

Pour éclore

Un semblant de paix ?

Dans la fraternité la plus simulée ?

Ou pour conclure dans la singularité

Son imposture la plus affirmée;

Avec le moindre mot à maux

Qu'on implore; 

A-t-il des remords à moins qu'il en démord ?

Car dans le fond malgré une forme de gentil poto;

A-t-il dans la haine trépassé de victime à bourreau ? !

 

Jérôme de Mars

 

 

Les quatre saisons pliées en quatre

 

Par ordre d'année;

D'après le calendrier,

Les quatre saisons pliées en quatre

Comment dans l'ordre des quatre

Par l'hiver;

Des maux d'hiver

En des mots divers

Et variés;

Du temps contrarié qui avarié 

Les quatre saisons pliées en quatre,

Dont après le blues de l'hiver;

Bienvenue au bleu du printemps !

Qui nettoie l'hiver !

Hop v'là du balai !

Dans un ménage de printemps !

Pour qu'il fasse du remue-ménage !

Assez longtemps en âge !

Et qu'il fasse du beau temps autant de temps

D'un beau ciel bleu !

Avec le soutien mutuel du soleil

Pendant les quatre saisons pliées en quatre !

Dont jamais deux sans trois !

Dans l'ordre des quatre !

D'île est temps de déblayer l'hiver !

Pour le balayer en été,

Comme si c'été 

Toujours plaisant !

D'avoir des balais le printemps

En été; l'été de tous les dangers !

Dont après que l'été s'en lave les mains !

V'là pour terminer les quatre saisons pliées en quatre !

La saison du lendemain

Dans l'ordre des quatre;

Qui balaie l'été

Pour ramasser les feuilles mortes

De l'automne; 

Ultime saison de l'année monotone

Atone et autochtone,

Où le temps revient aux sources

De pourquoi il a le blues;  

Toute l'année même surannée !

Dont pour accorder les violons !

En accord avec les quatre saisons

Pliées en quatre !

V'là les quatre saisons énumérées

Dans l'ordre des quatre !

De Vivaldi;

Ainsi va la vie !

Des quatre saisons pliées en quatre. 

 

Jérôme de Mars

Il était une fois un poème à dormir debout !

 

 

 

                                     1 Il était une fois un poème à dormir

 

                                        m e   n  t                                 2   D

                                       e                                                   e

                                       l      5 On                  fonctionne    b

                                      u                                                   o

                                      e                   6  S                          u

                                      s                        i                           t

 

                                       t            7 A    Sissi                       à

                                       e                                                  s

                                   4 Si  3 On fonctionne avec des si   i

                                   

                                                 8  E                         i

                                                      t                         s

                                                           

                                                     q                          i

                                                     u                         s

                                                     e 9 Sissi scie bien

                                                             10 Elle

                11 Vaci l l e  assis d e b o u t  d a  n s ce po è me ah si à  dormir

                                                                                                               

                c  i e                                                                                               d

                s                                                                                                     e

13                                                                                                                  b    14

 Les si      n                                                                                                   o   Scie

                o                                                                                                    u

          12  Où plus rien ne tient debout car assis à si et seulement  Sissi    t

  

                                15   B                                 16    P

                                       i                                           o

                                       e                                          è

                                      n                                           m

                                                                                   e

                                      i

                                      l                                            r

                                                                                   a

                                      é                                           s

                                      t                                            s

                                     a                                             i

                                      i                                             s  

                                      t

                                                                                  à

                                    u

                                   n                                   18     D

                                                                                 e

                           17    D                                           b

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Jérôme de Mars

 

Aux vers dosent !

 

Osmose en ces temps moroses !

Pourvu qu'éclosent 

Avant l'andropause

Et la ménopause;

De jolies choses

Qui font voir la vie en rose;

Qui arrose

Aux vers dosent !

Qui frôlent l'overdose  

De ce poème qui naît une prose,

Mais qui reste sujet de ce que dispose

Le droit à faire une pose,

Dont mais nos pauses

Causent entre névroses

Et nécroses;

Aux vers dosent !

On a eu largement notre dose

En overdose;

Avec une cirrhose 

En manque de foi; qui cause

A défendre une cause,

Because aux vers dosent !

Qui arrosent

L'arroseur arrosé en névroses;

Avec pour nécrose,

Quelque chose qui ose

Des sûres doses en overdose;

En ayant pour thrombose 

Des névroses;

Qui nécrosent 

De bien vilaines choses;

Qui déposent 

Et  reposent

En prenant pour pose;

Une pause

En overdose;

Qui frôle aux vers surdoses !

 

Jérôme de Mars

Bidon vil

 

Bison affûté;

Il est bidon vil

Le bidonville;

Caire le bon air

Débonnaire; qui aère

Le bidon ville

De Calcutta; qui est bidon vil

Et qui se bidonne servile;

De ces villes à Séville 

Avec pour bi dons viles ;

Le bidonville

De Calcutta; qui est bidon vil

Jusqu'à Séville; ces villes viles; 

Qui ont pour bidons vils 

Ces bidons serviles,

Pour boire en déboires

Des pourboires,

Deux bidonvilles viles

En un bidon ville 

De Calcutta; qu'erre

Au Caire; le bidonville

De Séville à ces villes viles;

Ayant pour bidon ville

Un bidon vil;

Bison réfuté.

 

Jérôme de Mars

A porte un poème !

 

 

 

En fonçant une porte ouverte le poète maudit prend la porte

    

    e                                                                                        à

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    de  lignes  des  colporte  qui  mains  deux   apportai   e

 

 

 

 

Jérôme de Mars

                                                                                            

Boules qui est-ce ?

 

Bris de vers;

Je fais du bruit avec mes revers !

Lorsque j'ai une vie dissolue;

Irrésolue en malentendus,

Où j'ai les boules qui est-ce ?

Quand mes côtés ma boule quies

Font des sous-entendus;

Genre que je suis têtu 

Dans une vie tirée par les cheveux

Crêpus à la recherche d'un ailleurs fabuleux,

Où j'ai les boules qui est-ce ?

Pour ne point entendre de maux qui est-ce ?

Qui me mettent les boules quies,

Quand mes côtés maboule quies

Font que je perds ces vers; 

Et que je perds les boules qui est-ce ?

Sitôt que je sais que l'argent est le nerf

De la guerre, où je n'en peux plus;

Faute d'avoir obtenu ce à quoi j'aspire corrompu,

Où je fais du bruit de mes vers;

Un bris de vers à casser des vers,

Des vers ces solitaires

En vers ces solidaires,

Où je persévère; je perds ces vers,

Et dont en inventaire;

J'en fais une question d'affaire,

Si bien que quand je suis sorti d'affaire;

Eh ben ! J'occulte le fruit défendu !

Pour penser à quelque chose de plus détendu,

Dont je déboule fendu qui est-ce ?

En cassant des bruits de vers

En bris de vers,

Dont pour perdre les boules quies !

Je me mets aux vers

Sans malentendus;

En ayant les boules qui est-ce ! ?

 

Jérôme de Mars

Des ordres en famille

 

Quand les mots me manquent pour décrire le jeu de cette famille ! Du côté de la mère avec une fille au pair; qui est en impair la mère des fils emmêlés du fils 

Mère, dont le grand pair s'est fait sauter le caisson un 14 février; en des ordres en famille pendant que la grand mère perdait la boule, comme elle avait

Les boules maboules qui déboulent; en jouant cartes sur table au jeu de cette famille avec mon grand père qui mourut suicider las de son désarroi; le jour de la Fête du désamour pour trouver la paix intérieure dans un océan pacifique, dont son mâle de mère se fit criant de désespoir avec des ordres en famille

Pour se tirer une balle dans la tête étirée à bout pourtant un soir de 14 février, dont ma mère s'adressa à mon grand pair; l'impair de son impuissance;

Face à son calvaire de jeune fille au pair, dont la mère s'entendait à mère avec sa mère, dont moi; j'en fis les frais à part toucher l'héritage de ma mère

Des ordres en famille, comme à Noël ma mère fut mise en or bite; et naquit le 21 septembre 1948 avec pour à vos cas de défense; sa grand mère que

Ma mère chérit jusqu'à ses 17 ans, et dont aux remords de sa grand mère; elle voua un culte à l'autel du bon Dieu délogé et donné sans confessions à son pair; Responsable de son impair et de son manque de repaire; ma mère qui fit les quatre cent coûts; en sûrs coups à couteaux tirés avec ma grand mère; l'amère de Son existence, dont son pair ne fit de différences avec elle et son frère au jeu de cette famille; en jouant cartes sur table; avec la reine mère; l'impair de son père; Las de son désarroi, dont sans garde-fous; il y a de quoi devenir fous dans cette famille des ordres en famille, dont au suicide de mon grand Impair; ma mère Pour le remercier de sa bravitude d'homme un pair; chef de cette famille dissolue; lui fit un cancer de louanges, dont elle mourut le 20 septembre 1998 en mode Veille de ses cinquante ans, dont ces des ordres en famille firent le fiel du jeu de cette famille, dont on connaît la chanson d'un scandale dans la Famille; d'une Jeune fille au pair très impair avec sa mère; sans avoir réussi à démêler les fils embrouillés du fils emmêlé de son histoire à couteaux tirés sur le fil du rasoir 

En des ordres en famille, dont le manque d'amour se ressent en se faisant un sang d'encre le jour de la sein Valentin; conjugué au passé compliqué d'un noël ma mère !

 

Jérôme de Mars

Et puisé !

 

Epuisé !

Sans filet !

Je suis et puisé !

S'en filer !

Avec pour filet

Un défilé épuisé !

Pour filer

Sans filet et puisé !

Où tout a défilé et puisé !

S'en filer épuisé !

Où je suis et puisé !

Sans filet !

Tellement que je suis épuisé !

Sans filer ! 

A force que tout a défilé !

Pour refiler sans filet

Un filet épuisé !

Tellement enfilé en filet !

Que sans filet sans filer !

J'en suis trop et puisé !

 

Jérôme de Mars

Vague à slam !

 

Lorsque je regarde le jeu slam;

Je suis vague à slam

Et je suis dans le vague à slam !

Quand j'ai le vague à slam

Et que je clame

Que je slame pas dame !

Dans le Paris Padam, 

Où je dame le pion,

Quand je joue aux dames 

Avec les dames;

En déjouant le je du morpion; mort pion,

Comme je suis un pion sur l'échiquier

Dans le macadam en faisant tout un ramdam

Dans mon vague à l'âme, 

Quand je suis vague à slam !

Et que je suis dans le vague à slam !

Dont j'ai le vague à slam !

Et que c'est un drame

De verser dans le méli-mélo drame, 

Dont ma came;

C'est le slam en pièce rapportée !

Où je clame; je déclame; j'acclame et je proclame

Dans une réclame 

Tout ceux qui me réclament,

Pour que je fasse un slam 

En route vers un vague à slam !

Dont je suis vague à slam, 

Quand je suis dans le vague à slam !

Quand j'ai le vague à slam !

Dans un programme

Taillé sur mesure avec ma rancœur en électrocardiogramme, 

Où je fais des gammes aux vers

Pour éclaircir l'ombre à la lumière;

En ayant tout mon fardeau en grammes,

Dont je suis aux vers monogames

Ou aux revers polygames, 

Dont je termine ce slam, 

Quand je rame 

Comme Sophia Aram,

Dont je débarque sur la rame

D'un dernier métro de retard qui rame,

Comme mon âme infâme, 

Dont je cherche la rime finale en âmes;

A qui déclarer ma flamme,

Dont j'enflamme ce slam,

D'où je suis vague à l'âme,

Quand je suis dans le vague à l'âme !

En refermant mon vague à l'âme;

Du Paris Padam pas dame

Aux femmes en cette faim de programme,

Où pour que ma colère se came;

Je ferme le programme

Pour rendre hommage o vers;

En faisant une gamme aux vers,

Où je suis vague à slam, 

Quand je suis dans le vague à slam !

Et que j'ai le vague à slam !

D'où je clame; je déclame; j'acclame et je proclame

En réclame;

Vague is slam !

 

Jérôme de Mars

 

Le chagrin des innocents

 

La mer qui a le vague à l'âme est pleine de tristesse;

Et regrette que ne soit là

Dans sa voix de misère !

Le chagrin des innocents;

Qui en dit long d'antan

Sur ce que sa vie lui a témoigné

De reconnaissance ou de maladresses,

Dont elle trinqua avec ses côtés;

Rabat-joie qui la mirent au pas

Du fruit de sa peine en faces de chimères,

Dont le chagrin des innocents;

Qui n'en fut innocent à part l'affaissant

A la dérive des gens qui la méprisent

En larmes de colères; qui attisent

La pénitence de son âme en rade,

Dont elle a beau clamé la raison de sa tirade

Dans une pseudo parade de son état alarmant,

Dont le chagrin des innocents

A le plaisir sagace en supplices de façade;

En faisant semblant de l'enlacer en accolades,

Dont la mer indigne est la mer de tous les vices;

Qui font la raison sans doute de pourquoi elle a ces sévices

Envers le fruit défendu de son fils; emmêlé dans le complexe d'Œdipe,

De la mer au pair; et de la sœur consœur; auquel tout le monde s'étripe,

Dont le chagrin des innocents

Semble le témoin récalcitrant de tous ces tourments;

Rétroactifs de sa vie au passif;

Avec une mise en abîme de ses démons impulsifs à l'humour corrosif;

Prêt à imploser en un craquement d'os;

Après que la mer pour note salée; a perdu les os; les eaux,

Et dont le résultat final; décisif et transgressif met les accents troublants,

D'où le chagrin des innocents;

De sa vie dissolue

A jamais hélas salée éperdue.

 

Jérôme de Mars

 

Gisèle, repose bien au ciel avec Claude François !

 

Impossible n'est pas François !

Car comme tu le martelais très bien !

Tu as rejoint 

Depuis huit ans ton copain

Claude François !

Au ciel bourgeois;

D'il était bien le temps d'autrefois !

Dont Gisèle, repose bien au ciel

Avec Claude François !

A fredonner avec lui ses tubes rois;

Quitte à gratter le ciel

Avec un arc en ciel !

Ayant pour preuve que j'ai entendu ta voix !

Dont si lourde fut apportée ta croix !

D'où ma chère Tante Gisèle, où que tu sois !

Repose bien au ciel avec Claude François !

Ce chanteur immortel et intemporel;

Qui te mettait en joie,

Comme écrit sur ta stèle,

Où tu remontes en bas de l'échelle

Toute ta vie que tu comparas à Claude François ! 

Et que tu recommences maintenant là-haut au ciel avec lui essentiel !

Dont je te souhaite avec retard de vivre de bien meilleures années éternelles

Avec lui, car impossible n'est pas Claude François !

D'il était une fois !

Ta vie actuelle au ciel 

Avec ton idole Claude François; on le sait déjà !

Et dont je prie avec le missel,

Afin que tu sois dans le réel là-haut 

Au ciel ! Car Gisèle, repose bien en paix au ciel avec Claude François !

 

Jérôme de Mars

Les naufragés de la vie

 

En faisant des plans sur la comète;

Un jour ou l'autre, tout tombe aux oubliettes !

Tels les naufragés de la vie !

Dont la vie dévie,

Comme la vie n'est un long fleuve tranquille !

Tranquille dans la ville vile; 

Soit pour des broutilles; 

Ou soit pour des âmes écorchées vives

Qui ravivent sur le qui vive; 

Ce qui fait que certains sont puérils

Dans cette vie fébrile et agile;

Qui rhabille pour l'hiver

Les naufragés de la vie !

Dont elle dévie et détruit

La vie qui n'est un long fleuve tranquille !

Tranquille dans la ville ou vile

Avec ceux qui sont fragiles;

Et qui n'en peuvent plus 

De ces vies dissolues;

Tels les naufragés de la vie !

Pour qui la vie dévie,

Comme la vie n'est un long fleuve tranquille !

Avec pour les jonquilles 

Les mauvais regards des pupilles,

Dont leurs yeux orphelins écarquillent

Le regard triste, vide et vil

De ceux qui sont malmenés par la vie;

Tels les naufragés de la vie !

Qui chavirent dans la mélancolie 

La plus flétrie par les revers en série,

Dont leur spleen défie la vie !

Qui dévie les naufragés de la vie,

Comme la vie n'est un long fleuve tranquille !

A part mener en bateaux !

Ceux qui épuisent leurs sanglots

Dans la ville vile !

Avant leur fin de vie, où les âmes fragiles

Qui ont les boules; sont sur la quille

Avec des jonquilles,

Pour croupir au cimetière

Dans leurs corps de poussières,

Comme tout n'est que matière

Sur La Terre délétère !

Dont il vaut mieux sombrer

Ensemble dans la solennité !

A plusieurs êtres puérils

Dans la ville vile tranquille;

Qui dévie en plusieurs défis

Que la vie n'est un long fleuve tranquille !

En pleurant de tous leurs sanglots;

Qu'île ou aile naît matelot !

Dont tout tombe à l'eau !

Tels les naufragés de la vie !

 

Jérôme de Mars

Dans les clous

 

Avec des sains clous;

Si j'habitais à Saint- Cloud !

J'aurais joué dans le film " Mange-Clous " !

Pour clouer le bec

A ceux qui me débectent,

Où pour être dans les clous;

Je resterais cloué au lit,

Comme un malade imaginaire

Pour recevoir le Molière;

De celui que personne ne peut encadrer !

Tellement que je sors du cadre !

Et que dans les clous;

On me recadre

Avec des sains clous;

Si j'habitais à Saint-Cloud !

Afin que je cloue le bec !

De ceux qui me clouent

Au lit en prises de becs !

Dont pour que je reste dans les clous;

Il vaudrait mieux que je joue dans le film  "  Mange-Clous " !

En leur passant un p'tit coucou,

Comme dans un vol au-dessus d'un nid de coucous,

Où pour que je sois dans les clous !

Mieux vaut éviter que je joue quelqu'un

De complètement marteau !

Car marteau je le suis déjà  !

Avec mes vices et versa,

Pour serrer le vice qui déversa

En un tour de vice, dont le tour ne vise

Le tournevis ! Et dont ainsi pour que je cloue le bec

A ceux qui me clouent au lit !

Autant que je mange des clous !

En jouant un rôle complètement marteau,

Afin qu'avec des sains clous;

Je meure à Saint-Cloud !

Comme Jésus dans les clous.

 

Jérôme de Mars

 

On fonctionne avec des si !

 

Dans les clous,

On fonctionne avec des si !

Complètement marteaux;

Qui serrent le vice

De la tronçonneuse;

Qui pioche des p'tites bricoles

Dans les clous,

Où on fonctionne avec des si !

Qui vous scient si bien !

En serrant d'un tour de vice

Les p'tits clous,

Pour rester dans les clous

En clouant le bec,

A ceux qui complètement marteaux;

Qui scient si bien la tronçonneuse

Dans la langue de bois,

Où l'on fonctionne avec des si !

Pour être dans les clous

A recadrer; ce qui sort du cadre

Traditionnel, quand les p'tits clous !

Ne peuvent plus encadrer

Ceux qui sont complètement marteaux !

Et qui jouent sur tous les tableaux

En sortant du cadre,

Quand on fonctionne avec des si !

Et que plus rien ne peut encadrer

Des cadres; même en leur décernant

Un tableau d'honneur,

Pour des toutes p'tites bricoles

De rien du tout

Avec des bibelots,

Dont l'objet du scandale

A des p'tits clous

Dans les clous;

Complètement marteaux,

Dont l'objet de l'appel

Recadre le tournevis

En un vice de procédure

Dans une coupe de vice,

Quand la coupe est pleine !

Et qu'elle dévisse des vices

En un tour de vice,

Quand on fonctionne avec des si !

De la scie électrique

A la tronçonneuse;

Qui vous scient si bien !

Les p'tits clous

Pour perdurer dans les clous,

Malgré toutes ces bricoles

De rien du tout,

Car pour rester au top 50 !

Salut les p'tits clous !

En fonctionnant avec des si !

 

Jérôme de Mars

Les ruelles, ça ne court pas les rues !

 

Pavés dans la mare que jettent les badauds;

Les ruelles, ça ne court pas les rues !

Que ce soit la peur de l'inconnu,

Ou le fait que dans les ruelles;

Ils comme elles;

Il n'y a pas de salauds 

Mais des gens paisibles;

Qui aspirent au calme plausible

Dans la mesure du possible

En des relations comestibles;

Avec l'art et la manière distinguée

De déguiser son vague à l'âme

En une rue qui slame

Avec témérité et placidité, 

Comme les ruelles, ça ne court pas les rues !

Et qu'il faut un havre de paix, 

Pour conjurer les malotrus

Et en faire quelque chose de tranquille,

Comme une accalmie sur la ville

Avec un pont en une rive entre deux souffrances,

Afin de juguler les individus 

Lambdas et leurs impatiences;

Avec à chaque passage des vers de l'amitié

En soufflant un vent de fraternité;

Le long de la cohue 

En petit comité, 

De la sorte à trouver son salut

Avec le salut des inconnus, 

Comme les ruelles, ça ne court pas les rues !

Dans Paris ou à Saint-Tropez dans la simple volonté;

Que les gens marchent avec fierté et optimisme exacerbés

Par des gens zélés de tous horizons;

Qu'ils soient bienveillants; cons; rubiconds ou rubis cons;

Avec des allusions en obstination qu'il y a diversions ou divagations

Dans une procrastination, dont il y a peut-être la peur de l'inconnue

En un lendemain moins bon Samaritain,

Et en des jours et en des mois incertains;

S'il faut croire ou ne plus croire en l'humain,

Et dont l'unique solution pour réconcilier la tribu; 

C'est malgré tout de faire un salut à l'inconnu !

Malgré la peur de l'inconnu,

Comme les ruelles, ça ne court désormais plus les rues !

 

Jérôme de Mars

 

Pas ces présents !

 

Passé présent !

Trop assez présent

Pas ces présents !

Dont tu fais un pas

Pas ces présents !

Passés présents !

Avec ce passé 

Très présent !

Et ce présent

Très passé ! 

A présent passé présent !

Pas ces présents !

Passés présents !

Dont le passé

Est présent !

Car le présent

Est passé !

Dont tu as pour présent

Un présent !

Trop assez présent

Pas ces présents !

Dont tu peux passer

D'un présent passé

A un passé présent !

D'où tu as participé passé !

Et où tu participes présent !

A présent au présent

Vers le présent à ces présents !

Dont le passé est

A ces présents !

Et le présent à ces passés !

Dont il faut à présent !

Que le passé soit 

A ces passés !

Pour que le présent

Soit à ces présents !

Avec le passé

Pas à ces présents !

Et le présent 

Pas à ces passés !

Passé présent !

Dont à présent !

Pas ces présents !

 

Jérôme de Mars

Dialogue entre deux amis qui se cramponnent à leur amitié

 

Dialogue entre deux amis Jérôme B et Guillaume L en allant droit au but sans filet :

 

Guillaume  :  "  -  Ca va lascar ?  "

 

Jérôme :  "  -  Ca va comme un lion en cage !  "

 

Guillaume :  "  -  Va droit au but lascar !  "

 

Jérôme :  "  -  Je n'arrive pas à me fixer des buts dans ma vie !  "

 

Guillaume :  "  -  Et c'est quoi le but de ta vie ?  "

 

Jérôme :  "  -  Eh ben ! Le but de ma vie ! C'est que j'en ai rien à foot de tout ! "

 

Guillaume :  "  -  N'en as-tu rien à foot de moi comme ami  ?  "

 

Jérôme :  "  -  Non, je n'en ai pas rien à foot de toi comme ami !  La preuve que j'ai pris Canal Plus pour toi ! Afin que tu viennes regarder les matchs de foot chez moi quand il y a le PSG qui joue ! Le but de notre amitié; c'est de ne pas en avoir rien à foot l'un de l'autre ! Le but de notre amitié; c'est de s'y cramponner à notre amitié ! 

Toi t'as réussi à lâcher ta crampe en amour ! Moi, j'ai jamais réussi à lâcher ma crampe avec une femme !  "

 

Guillaume :  "  -  Quand tu venais avec moi avant au parc des Princes voir des matchs du PSG; tu venais dans quel but ?  "

 

Jérôme :  "  -  Je voulais tenter comme Paris que j'en aurais rien à foot !  Et ben ce fut un Paris gagnant où je réalisai mon but ! Réussi sans filet !  "

 

Guillaume :  "  -  J'espère que quand t'allais avec moi au Parc des Princes ! Eh ben que tu ne te coupais pas l'herbe sous le pied !  "

 

Jérôme :  "  -  Ca ne risquait pas que je me coupe l'herbe sous le pied car j'étais en terrain connu ! "

 

Guillaume :  "  -  Croyais-tu que je te mettais sur la touche quand tu venais avec moi au Parc des Princes ?  "

 

Jérôme :  "  -  Ben non lascar ! Car tu n'en avais pas rien à foot ! Tu ne m'as jamais fait de sales coups ! Tu m'as toujours fait des coups francs dans notre amitié ! Ce qui est la principale raison qu'on s'y cramponne tant à notre amitié si forte ! Toi et moi ! N'est-ce pas lascar ?  "

 

Guillaume :  "  -  Si on fait un ballon d'essai toi et moi ! En allant jouer en amateurs un match amical dans l'équipe du PSG contre Lyon ! Seras-tu comme un lion en cage ?  "

 

Jérôme :  "  -  Oui, je serais comme un lion en cage dans l'équipe du PSG ! Où je sentirais le fauve ! Car j'irais droit au but contre l'équipe de Lyon comme un lion en cage de but !  "   

 

Guillaume :  "  -  Ainsi si le PSG bat Lyon on pourra aussitôt dire que le PSG rugit comme un fauve ! Et que Lyon rougit comme un Lyon en cage de but ! Et dont au final lascar ! Tu auras bien réussi ton but de cramponner notre amitié pour la vie ! Sans n'avoir rien à foot l'un de l'autre ! N'est-ce-pas lascar ? Car sans filet quel but que t'auras réussi à réaliser ! "    

 

Jérôme de Mars

Quand mon blanc alpiniste en fait toute une montagne !

 

Vallée sur la clairière dont l'arbre cache la forêt noire;

Avec au bout de la piste noire quelques étendards,

Quand mon blanc alpiniste en fait toute une montagne !

Loin du Mont-Blanc; qui dévalait des vallées au rebord 

Du ravin; qui vacille certaines pistes de ski qui stagnent

Le fossé; qui sépare plusieurs générations cadors,

Quand mon blanc alpiniste en fait toute une montagne !

Et remonte la pente avec un tire-fesses qui le laisse

Dans une montagne de glace; qui le laisse de glace en espèce,

Dont il paye le prix fort d'avoir gravi le Mont-Blanc;

Avec un petit verre de vin blanc chaud comme un Tyrolien escaladant

La vallée; qu'il a dévalé avec des valets qui l'accompagnent,

Quand mon blanc alpiniste en fait toute une montagne !

Assommée une fois qu'il arrive au sommet piqué avec son piquet

De glace, dont il donne des sobriquets à ses partenaires à la croisée

De leurs expéditions; desquelles il déboule; tout ce que lui et eux engloutissent

Dans le Mont-Blanc, où il trouve Savoie, dans laquelle il s'immisce aux prémices

Du but de leur escapade; à base d'escalade; avant d'arriver au sommet; qui stagne

Avec la montagne pour compagne dont il fait la campagne,

Quand mon blanc alpiniste en fait encore toute une montagne !

 

Jérôme de Mars

 

Dialogue aux mots entre deux amis

 

Dialogue aux mots entre deux amis Jérôme B et Edwin J

 

Edwin :  " -  Bonjour Jérôme; comment vas-tu ?  "

 

Jérôme :  "  -  Ca va, ça vient !  Pourquoi ne m'appelles-tu plus ?  "

 

Edwin :  "  -  Parce-que comme j'ai peur de l'inconnu et qu'il y a le Covid ! J'appelle en masqué ! Et donc comme le masque tombe souvent avec toi !  Voilà la raison pour laquelle je ne t'appelle pas !   "

 

Jérôme :  "  -  J'en déduis que pour toi; je suis un inconnu ! Ceci qui explique la raison pour laquelle tu m'appellerais en masqué si tu m'appelais avec ton mobile ! Dont tu as pour mobile que tu restes immobile à mes appels de détresse !  " 

 

Edwin :  "  -  Qui c'est qui m'a harcelé avec des appels masqués et des messages haineux dans le passé ?  "

 

Jérôme :  "  -  Oui, Edwin je le concède ! C'est moi qui t'ai appelé en masqué ! C'est vrai ! Il n'y avait pas encore le Covid et je t'ai appelé quand même en masqué !  Sans doute que je croyais avoir un virus sur mon Ordi  !  Est-ce-que tu me prends aux mots ?  "

 

Edwin :  "  -  Oui, je te prends aux mots car je me prends aux maux !  Avec à mon actif tout ton passif !  "

 

 Jérôme :  "  -  Et si c'était rétroactif tout mon passif ! Me prendrais-tu toujours aux mots ?  "

 

Edwin :  "  -  Et à ton avis Jérôme ! Qui cette fois aura le dernier mot ?  "

 

Jérôme :  "  -  Avant que tu aies le dernier mot ! Il faut que tu trouves le grand mot pour que je te prenne aux mots !  "

 

Edwin :  "  -  A ton avis Jérôme; est-ce-que c'est moi ou toi qui joues avec les mots et les maux ?  "

 

Jérôme :  "  - Je pense que c'est toi qui joues avec les maux ! Dont je déjoue tous tes maux ! En ayant à ton actif de mon passif le dernier mot rétroactif ! Je te prends hauts mots !  "

 

Edwin :  "  -  Parce-que je me prends homos ? "

 

Jérôme :  "  -  Non, parce-que je te prends O mots rétroactifs à ton actif de mon passif ! Et dont le dernier mot est que je te prends aux mots qui activent homos !  "

 

Jérôme de Mars

Dialogue de la location à l'allocation 

 

Dialogues sur fond de la location à l'allocation entre deux amis Jérôme B et Philippe Bourget :

 

 

Philippe :   "  -  Allo Jérôme. C'est Philippe qui t'appelle; ça va ? "

 

Jérôme :  "  -  Oui ça va et toi ?  "

 

Philippe :  "  -  Ca va plutôt bien dans l'ensemble !  Pourquoi la plupart du temps quand je t'appelle; ne réponds-tu pas à mes appels ?  "

 

Jérôme :  "  -  Car comme tu t'appelles Philippe et que tu viens du salon du Bourget ! Eh ben ! Donc de ce fait ! Je mets mon portable en mode d'avion pour que ça vole bien haut lorsque je fais salon de tes discussions !  "  

 

Philippe :  "  -  Oh que t'es marrant ! N'y a-t-il pas des sujets de conversation que tu veux évoquer avec moi quand je t'appelle ?  "

 

Jérôme :  "  -  A part dire que toi et moi; on vit dans la location; que veux-tu qu'on se dise à part ça ?  "

 

Philippe :  "  -  On peut aussi se dire que toi et moi, comme on touche L'AAH et qu'on vit en HLM qu'on est dans l'allocation !  "

 

Jérôme :  "  -  On peut également constater que pour que notre conversation prenne son envol ! Sans qu'il y ait de prises de distance de l'un et l'autre qu'il faut qu'après que décolle notre conversation; qu'elle prenne de la hauteur notre conversation en prenant  des risques calculés, de sorte qu'à l'atterrissage; elle retombe sur ses pattes sans trop de dommages collatéraux notre conversation !  "

 

Philippe :  "  -  Que peut-on dire à propos de la réforme des APL ?  "

 

Jérôme :  "  -  Que toi et moi, on sera logés à la même enseigne mais en étant plutôt bien lotis par rapport à la réforme des APL !  "

 

Philippe :   "  -  Que souhaites-tu pour tes 43 balais le 24 août prochain ?  "

 

Jérôme :  "  -  Qu'après tout ce remue-ménage dans ma vie qui déménage ! Que désormais chaque printemps;  je fasse un ménage de printemps afin que je me ménage ! Et qu'on me ménage ! En faisant dans ma vie du ménage pour dire enfin avec soulagement : " Du balai " ! Je balaye devant ma porte !  "

 

 

Jérôme de Mars

C'est dramatique !

 

Dialogue entre deux amis; Jérôme B qui n'arrive pas à trouver son équilibre dans la vie et Jean-Paul G qui a réussi à trouver son équilibre dans la vie !

 

Jean-Paul :  "  -  Comment vas-tu mon ami ? "

 

Jérôme :   "  -  Bien et mâle mon ami avec des va-et-vient !  "  

 

Jean-Paul :  "  -  As-tu réussi à enfin trouver ton équilibre dans la vie ?  "

 

Jérôme :  "  -  Pas vraiment à part être sur un fil d'équilibriste !   "

 

Jean-Paul  :  "  -  Ca me fait une belle jambe que tu n'aies pas réussi à trouver ton équilibre !  Car moi, j'ai réussi à trouver mon équilibre !  "

 

Jérôme :   "  -  Toi ça te fait une belle jambe ! Et moi ça me fait un beau bras mâle  adroit ! Depuis qu'à La Caf; il n' y a que des bras cassés! Comme ils mettent du temps à régulariser mes droits !  Tout ça c'est dramatique !  "

 

Jean-Paul :  "  -  Quand tu dis que c'est dramatique !  Tu parles de La Caf ou de ton état ?  "

 

Jérôme :  "  -  Je parle de mon état qui est dramatique ! Où je joue très bien le rôle de ma vie ! Même si ce n'est pas du théâtre de jouer si bien le rôle de sa vie ! Dont je joue mon propre rôle dans un jeu de rôle ! Et dont c'est dramatique de jouer le rôle de sa vie avec un si grand naturel de façon très spontanée !  "

 

Jean-Paul :  "  -  Que peut-on faire pour toi Jérôme pour que tu trouves ton équilibre dans la vie ?  "

 

Jérôme :  "  -  Ne pas trop secouer mon fil d'équilibriste !   A part si jamais j'ai du fil à retordre !  "

 

Jean-Paul :  "  -  Tu veux dire que tu perds le fil des choses ?  "

 

Jérôme :  "  Non, Jean-Paul que je perds le fil conducteur avec tous ces fils emmêlés !   "

 

Jean-Paul :  "  Surtout quand tout ton passé défile de fil en fil et que tout le monde se défile et se faufile sur le fil !  "

 

Jérôme :  "  Et aussi quand certains me parlent du passé qu'on me refile !  "

 

Jean-Paul :  "  Veux-tu dire qu'on t'enfile ton passé ?  "

 

Jérôme :  "  Oui, car au fil des choses; je suis toujours sur le fil du rasoir !  "

 

Jean-Paul :   "  Je ne pense pas que ta vie soit si dérisoire; à part si t'es sur le fil dérisoire !  "

 

Jérôme :  "  Si, ma vie est vraiment rasoir ! La preuve que je rase les murs ! Quand j'en ai plein la barbe ! Et que tout me barbe ! Si bien que je dois me raser avec un rasoir que je trouve rasoir! Tellement que je trouve que dans ma vie tout est rasoir !   "

 

Jean-Paul :  " Mon cher Jérôme ! Alors, pour terminer sur le bon fil des choses notre discussion arrivée au bout du fil ! Que peut-on faire pour que tu ne tombes pas de ton fil d'équilibriste ? "

 

Jérôme :  "  -  Eh ben mon cher Jean-Paul ! Que de fil en aiguille; tu me passes un coup de fil de temps en temps avec moi en fil rouge ! Pour que je trouve comme toi mon équilibre dans la vie !  "

 

Jérôme de Mars

Le concert des oiseaux à leur zénith

 

Oiseaux de bons ou de mauvais augures; 

Telle est leur profonde nature !

Sinon à part les jeter en pâture

Ricaner de l'état de la verdure,

Où pour éviter les vers durs;

Il vaut mieux écouter le concert des oiseaux à leur zénith;

Qu'édite leur piaf à qui on donne des concerts de louanges,

Où tout le monde se mélange en prenant sous leurs ailes les anges,

Dont leur point culminant se situe vers leur démon de midi qui gravite

Ceux qu'on bénit des anges; avec la chanson de l'été, 

Pour songer qu'il faut recharger les batteries avant la rentrée

Des oiseaux; qui feront la tournée des arbres réenchantant La France

Au zénith de leur popularité, si bien qu'on leur donnera un concert de louanges

A ces oiseaux; qui nous enchantent la vie non pas avec du pipeau,

Mais avec des grands mots qui fredonnent tous les mots du dico,

Dont le concert des oiseaux à leur zénith; est une immense chance

En ces temps difficiles, où les personnes sont volatiles 

Et indociles vu que la vie n'est pas facile,

Et dont pour payer sa place au soleil

Afin d'entendre les oiseaux entonner leurs merveilles;

On peut d'ore et déjà demander à la postérité de leur piaf qu'il édite

Au public une nouvelle Edith Piaf, durant le concert des oiseaux à leur zénith.

 

Jérôme de Mars

A quoi ça rime mes vers de rage ?

 

Poète maudit que je suis

Jérôme de Mars, 

Dont je suis au mois de Mars

Avec une nuance de mélancolie;

Qui fait pleurer la pluie 

Et le soleil, 

Comme une déconfiture de groseilles;

Qui en a un trop plaint sur le parapluie,

Et dont je me pose des questions; 

Pourquoi suis-je en inadéquation ?

Et pourquoi suis-je toujours sauvage ?

Avec de la haine sans que j'arrive

A tourner la page

De mon passé; du fait que je dérive

Et que j'interroge le ciel; 

A quoi ça rime mes vers de rage ?

Pour provoquer un orage

Sur la planète Terre;

Qui embrasera insulaire

Le ciel interstellaire corsaire;

Avec une pure colère

Due à ma guerre des nerfs,

Dont l'argent est le nerf de la guerre !

Avec une drôle d'atmosphère 

Sur La Terre pas si loin 

De sa fin;

Aussi bien dans la planisphère

Que dans l'hémisphère;

Et quels sont les remèdes sages ?

Pour que je tourne la page

De mon passé, afin que j'ouvre en amarrage

Sur la Terre mère

Une nouvelle page

Dans une nouvelle ère,

Dont après la colère de la mère;

De pourquoi je vogue de haine en haine 

En mon ADN placé sous oxygène;

Il est temps sans faire de raccourcis

D'emprunter le passage

De la délivrance; avec pour raccourcis

De passer directement du passé en un présent

Sur un Port de Plaisance plus plaisant;

Avec après la pluie

Des éclaircies dans ma vie;

Qui augure d'un bel horizon

Avec une jolie vue sur la mer

Depuis mon balcon,

Dont pour guérir de mes vieux démons;

Il faut que je me demande en ce moment très déterminant;

Si je veux être un électron libre;

Ou un joyeux luron de mon cas libre; calibre;

Et à quoi ça rime mes vers de rage ?

S'ils deviennent des vers sages;

Avec pour passage;

Une embellie après la pluie,

Avec au bout; des éclaircies

En un point désormais d'ancrage.

 

Jérôme de Mars

 

                                                      Blague :

 

 

 

Pourquoi un Arménien vaut-il trois juifs ?

-  Parce-que c'est la règle d'étroits !

 

 

                                              Jérôme de Mars

Dialogue entre deux fous alliés pour la vie

 

 

Dialogue entre deux amis fous à lier Jérôme B, un patient

                                                      et Alexandre S, impatient :

 

 

Jérôme :  " -  Comment vas-tu mon cher Alexandre ?  "

 

Alexandre :  " -  Plutôt mâle pour un bien et toi lascar ?  "

 

Jérôme :  "  - Dès fois, je vais mal et parfois, je vais mâle !  "

 

Alexandre :  "  -  Toi et moi, on est fous à lier !  "

 

Jérôme :  "  -  Je dirais que moi, je suis un fou allié sans garde-fous à lier ! Et que toi, tu es un fou à lier avec un garde-fou allié ! A savoir l'hôpital Paul Guiraud qui ne se fout pas de ta charité Chrétienne ! Si je pouvais, je me joindrais à toi à l'hôpital Paul Guiraud pour que tu sois moins seul en demandant l'asile à l'hôpital Paul Guiraud ! Pour que toi et moi, on soit logés à la même enseigne après que toi et moi; tout ce qu'on fut délogés à la même en saigne !  "

 

Alexandre :  "  - Merci mon fou à lier !  Avec toi qui viendrait avec moi à Paul Guiraud ! On serait deux fous alliés ! Car plus on est de fous, plus on rit !  "

 

Jérôme :  "  -  T'imagines s'il y aurait Jean-Edern Hallier avec toi et moi à Paul Guiraud ! On serait tous les trois fous Hallier !  "

 

Alexandre :  "  -  Toi si t'allais à Paul Guiraud; tu aurais la camisole de force comme t'es fou à lier !  "

 

Jérôme :  "  -  Oui, mon cher Alexandre; si j'étais à Paul Guiraud, je serais un fou allié à vos cas d'office ! Et interné d'office pour très longtemps ! Comme le cas m'isole ! Dont je suis sans défense !  "

 

Alexandre :  "  -  T'imagines si t'allais avec moi à Paul Guiraud et que ton masque tombe !  On verrait ton vrai visage ! Comme quand le masque tombe au jeu de cette vérité !  "

 

Jérôme :  "  -  Que puis-je te dire en dernière piqûre de rappel sans t'envoyer de piques ?  "

 

Alexandre :  "  -  Que toi t'es un patient d'aller à Paul Guiraud ! Et que moi, je suis impatient d'en sortir de Paul Guiraud ! Sans que toi et moi, on s'en lave les mains ! Et qu'on se les gèle hydro-acolytes ! Même quand le masque tombe ! Et qu'on nous passe un savon ! Si jamais toi et moi; on nous prend en grippe dans le virus des idées reçues ! Mais dont et moi; on s'en fout à lier ! Comme on est deux fous ralliés majeurs et vaccinés pour la vie !  "   

 

 

Jérôme de Mars

 

Le ciel s'écrit avec des nuages !

 

Si on avait un crayon de couleurs pour colorer le ciel 

De sa grisaille grise mine; il pleuvrait des arcs en ciel !

Heureux avec une pléiade d'amour qui resplendirait de son plumage,

Si bien que le ciel s'écrirait avec des nuages !

Avec des plumes d'oiseaux aux ailes brisées;

Qui feraient couler beaucoup de sang d'encre désabusé !

En ne tarissant pas d'éloges qui dérogeraient à la règle

D'étroit ! Qui fixerait la morale sur une ligne de conduite espiègle !

Dont la vertu serait au dessus de tout soupçon !

Même avec des cons à qui on donnerait le bon Dieu sans confessions !

Car de toute façon; il faut de tout pour faire un monde !

Qu'on sonde à coûts de choses fécondes !

Comme la connerie est fertile !

Et la loyauté stérile !

En ces temps difficiles !

Où la population prolifère indocile !

Dont pour calmer les esprits révoltés;

Il vaut mieux jouer du violon sur du velours apaisé;

En allumant les bougies de l'amitié sans crêpage 

De chignons; avant que le ciel se fasse des cheveux !

Faute de croire en Dieu odieux !

Or il faut philosopher et prier avec pour pensées sages !

Que le ciel s'écrit avec des nuages !

En fumant le calumet de la paix avec des Françaises gauloises;

A la façon de raconter des blagues salaces et grivoises;

Et en dépucelant le ciel en ritournelles !

Avec pour idées essentielles que les demoiselles

Réconcilient leur âme entière avec des plaisirs charnels;

Le temps de faire l'amour arc en ciel !

Et de l'enlacer avec le soleil !

Au bord de la mer à lire et à incarner le Missel

Dans un rôle écrit sur mesure; qui reste dans les annales d'anthologie,

Pour rêver d'un monde meilleur qui se rafraîchit et s'adoucit

Dans la nostalgie et l'embellie d'un monde ravi de se rencontrer;

Qui s'éblouit de par la magie

Pas sage des arts comme des images !

Dont les images se subliment jusqu'à tourner l'ultime page,

Si bien que le ciel finit de s'écrire à la toute dernière minute avec des nuages !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Poème qui soûle mes vers à boire !

 

Vague à l'âme; c'est pas la mer à boire !

Ce poème qui soûle mes vers à boire !

Avec des revers en déboires;

Qui riment à l'envers de mon ivresse jubilatoire,

Quand je m'enivre en buvant des vers de poèmes !

De ma vie qui dévie dans son lot dense de problèmes,

Lorsque le monde me tape sur le système

De mes mauvais penchants dans un amalgame; qui sème

Le chaos en des sujets de sociétés aux thèmes;

Qui posent dans un théorème

Les solutions à mes problèmes; 

Qui répondent incantatoire 

A ce poème qui soûle mes vers à boire !

Que ce soit les revers qui me démangent en déboires !

Dans un raz de marée qui conspirera en une vague déferlante;

Si jamais Marine Le Pen l'emporte en 2022 !

Lors de ces présidentielles qui seront des plaies béantes !

En ayant le choix comme en 2017 entre les deux !

Que ce soit la peste ou le choléra !

Youpi, y a d' la joie ! Ou des filles de joies qui contaminent Montjoie !

Dans ce poème qui coule de mon sang; en me faisant un tel sang d'encre !

Qui ancre Marine, dès qu'elle le peine l'élève poète, dont je suis cancre;

Qui arrime la vague à l'âme imaginaire à la frontière linéaire !

Dont c'est pas la mer à boire ce réquisitoire !

Qui me sert d'exutoire écrit blanc sur noir

En ce poème qui soûle en musique mes vers à boire en revers de déboires !

 

Jérôme de Mars 

Extravagances

 

Vacances sur le cap ferré; Léo Ferré manigance une parure de bijoux ferrée 

De joaillerie; avec les bijoux de famille du groupe de musique Bijou; bijoux;

Cailloux; chouchous en jetant la pierre à Pierre Richard; qui en mâle adroit 

Commet des extravagances au bord du guide Duchemin; qui dévie du droit

Chemin, quand tous les chemins mènent divins aux Roms, dont CD Roms qui Sourient en faisant un raz-de-marée dans une vague déferlante au Parc Montceau Rit dans une fête à Paris; qui ne tarit pas des loges malgré la défaite à Paris avec

Un bal masqué; du au Covid 19 d'extravagances en faisant des extras vacances; 

Nec plus extras ordinaires de ce monde mâle aimé; qui se sent mal aimé; enfermé

Et renfermé en prison pour sa santé dans cette France sans barreaux; surtout Quand l'homme a le barreau et que la femme en trinquant de sa santé; doit Soulager la bonne santé de mes cieux en déroute d'extravagances, d'où part la Folie en extras vacances et en accoutumances; qui a besoin de sa semence pour Germer un grain de folie pendant les vacances d'extravagances; qui met le bas bas En baba coule, pour se couler douce la crème fraîche; en mettant le cap ferré à La Barbade pour couler des jours heureux à la mer; la mer el vice de tout le danger; Vice et versa qui déversa des vers vers ça ! En faisant des extras vacances. 

En ce point qui trouve sa vitesse de croisière en extravagances.

 

Jérôme de Mars

Tout le temps

 

Au temps

De notre temps;

Il est temps !

Que le temps d'avant

Soit un temps intemporel !

Avec pour passe-temps;

Un temps suspendu 

Par tous les temps !

Dans le temps

D'un temps d'écriture;

Avec pour temps en bonus

Un temps en supplément !

Qui a du temps en plus,

Dont à temps !

C'est le bon temps;

Tout le temps.

 

Jérôme de Mars

Dialogue thérapeutique de longue durée

 

Dialogue thérapeutique entre Jean-Yves L, infirmier du CMP et Jérôme B, impatient du CMP :

 

Jean-Yves L : "  - Bonjour Jérôme, comment allez-vous ? "

 

Jérôme B :  " - Mâle, car avec ma sécurité asociale, je suis dans une affection endurée, en durée de tout ce que j'ai enduré depuis ma naissance avec un manque d'affection, et dont grâce à vous, qui me suivez, je suis en sécurité sociale dans une affection de longue durée !  "

 

Jean-Yves L :  "  - Sachez Jérôme que je vous trouve drôle, mais que je ne marche pas dans votre jeu !  "

 

Jérôme B  :  " - Pourquoi me dites-vous cela Jean-Yves ? Car de toute façon, le jeu en vaut la chandelle, comme je brûle ma vie par les deux bouts de la chandelle; ne croyez-vous pas ? N'est-ce-pas ! ? "

 

Jean-Yves L :  "  -  J'ai remarqué que vous vous répétez moins depuis quelques temps Jérôme; à quoi est-ce du  ?  "

 

Jérôme B :  "  -  Eh ben du coût ! C'est du certainement au fait qu'à force de repasser la même bande que j'ai fait tellement de contrebande; ce qui fait que comme maintenant, j'ai une bande d'amis, eh bien j'ai moins besoin de me répéter !  "

 

Jean-Yves L :  " -  Vous avez toujours le jeu de maux foireux pour tout chambrer !  "

 

Jérôme B :  "  -  Rien de plus normal Jean-Yves, car en larron en foire, je pédale sans arrêt avec mes petits vélos dans un détour de France, où je chambre à l'air de rien tellement que j'ai envie de crever, à force d'être éternellement la roue de secours et la cinquième roue du carrosse quand je foire tout à la foire d'empoigne !  "

 

Jean-Yves L :  "  -  Vous exagérez Jérôme, pourtant tout devrait bien rouler pour vous désormais, comme vous n'êtes plus à L'ESAT, d'autant plus que vous êtes en roue libre pour pédaler dans la semoule !  "

 

Jérôme B :  "  -  Vous exagérez Jean-Yves, car la seule fois où j'ai pédalé dans la semoule, c'est quand j'avais mangé au restaurant Tunisien avec Adel, car pendant que je mangeais et ben ! Je ruminais en pensant à mes petits vélos; en même temps que je pédalais dans la semoule !  "

 

Jean-Yves L :  " - Que puis-je faire pour vous pour que vous alliez mieux et que vous soyez moins tourmenté ?  "

 

Jérôme B :  "  -  Eh bien cher Jean-Yves que vous m'éclairiez de vos lumières depuis votre phare Breton ?  "  

 

Jean-Yves L :  "  -  Pourquoi me demandez-vous cela ?  "

 

Jérôme B :   "  -  Eh ben Jean-Yves ! C'est tout simple si je vous demande cela, comme ma vie; ça n'a jamais été du gâteau ! OTAN que vous restiez avant votre départ en retraite mon infirmier far Breton au CMP !  "

 

 

Jérôme de Mars

Emprunts tant

 

Si le printemps me contait chimère qui mouche du coche ! 

Quand je hoche la tête avec quelque chose qui cloche;

On peut donc constater que je fais des emprunts tant

En printemps d'hier encore; il est temps que je sois fringant

De fringales; qui signifient l'envers du dico, dont je singe

Frugale de ma baisse de régime; quelques mots en lavant mon linge

Sale en infâmie, dont je suis en printemps le cœur fleuri empreint tant,

Dès lors que je pioche mes droits d'auteur de ceux, dont je fais des emprunts tant,

Comme si c'était tous les jours le printemps sur cette maudite Terre ricanant

De mes noms d'oiseaux, quand ça ne vole pas très haut sur le tarmac rampant !

Au sol qui pleure do ré mi fa sol, si bien que je fais semblant d'être heureux,

Alors que je suis sans cesse ténébreux en voulant m'envoler vers d'autres cieux,

Où je n'aime pas la vie sur Terre qui m'insupporte, dont je déporte en printemps

Certains génocides qui valent le détour, dont j'emprunte temps en laissant

Mon empreinte sur le qui-vive du qu'en dira-t-on ? A part proférer des jurons; 

Style joyeux lurons et gai pinçons-nous ! Je rêve d'être un trublion

Sur La Seine qui n'est un long fleuve tranquille, où je fais des emprunts tant;

Empreints tant de temps de détresse; que j'en fais un constat alarmant

De ma vie en décadence; qui prône la haine de son prochain au lieu 

De s'en faire des copains; en festoyant flamboyant autour d'un beau ciel bleu;

En oubliant pour un temps le passé en un printemps; empreint tant,

Dont il est temps qu'avec l'étang moderne qu'il il y ait de l'eau qui coule

Sous les ponts ! Avec Monsieur Du pont et son frère jumeau, pour que je roucoule

En baba coule, dont pour terminer ce slam éreintant; j'achève en printemps;

Empreints tant en emprunts tant nonobstant.

 

Jérôme de Mars

Méli mélodie 

 

Sacré bordel des belles années de maisons écloses;

Il paraît que maintenant les maisons sont closes,

Avec pour joli mot rose des vents; peut-être des gens charmants;

Qui résultent qu'il y a encore des hommes aimants dans leur élément

Dans un joli méli-mélo; d'après une chanson de méli mélodie,

Si bien qu'il y a en continu des ballades qu'on balade dans une promenade

De santé; dans laquelle existent toujours de paisibles sérénades;

Qui présagent sous de meilleurs hospices de plusieurs romanesques poésies,

Pour les retraités, dont désormais pour eux la vie est un long fleuve tranquille !

A part bien sûr ! Quand le poète maudit se met en Seine en faisant la quille

De tout ce monde; qui a les boules dans ce monde maboule de joyeux drilles;

Qui écarquillent les yeux pour cligner décontractés que l'embellie

Se mérité épanouie, lorsque jouit en un méli-mélo une méli mélodie !

Qui marie la bluette à la complainte des horticulteurs; qui cultivent

Leurs jardins secrets réceptifs jusqu'aux vestiges de leurs âmes captives;

Qui frissonnent d'avances en faisant des avances irrationnelles 

De leurs pulsions impulsions répulsions; qui jettent pour des broutilles

De grandes choses; qui révèlent leurs secrets de polichinelle; 

En faisant dans la dentelle dans des gestes de bagatelle; et en se jetant 

Dans des orgies pour tenir la chandelle; ragoûtant de fantasmes exubérants;

Avec pour principes orgueilleux; de ceux qui prennent des gants inouïs;

En épargnant les gens malmenés par la vie; tel un bric à brac

Face à ceux qui craquent et que le destin matraque

Dans un drôle de bazar; qui jalonne d'un méli-mélo en une méli mélodie;

Qui met mes lots dits sur la chaîne Télé Melody; 

Qui pète un câble par ADSL sur internet

En s'interrogeant; si le monde est vraiment net à terre nette !

Dès lors que la mélodie touche à sa fin

De chanson, dont c'est toujours le même refrain !

Et afin qu'il reste fin pour arriver à ses fins;   

Il est préférable que ce morceau se termine défunt;

Défunts de mois difficiles in fine en feint et empreint

De poésie et de fantaisie; rien de plus réussies en termes de flatterie; 

Tel un méli-mélo qui regarde sa rétro dans le rétro de la chaîne télé Melody;

Qui émet mes lots dits à terre nette; tel est méli mélodie !

 

Jérôme de Mars

Mascarade

 

Ne tenez pas conte de ce texte; c'est une mascarade !

Je ne suis pas un poète maudit même si on me balade !

Comme de toute de manière, je balade tout le monde !

Avec mes ballades qui envoient promener en poèmes; la fronde

De cette mascarade en un simulacre, où je simule le poète maudit !

Alors que de la moindre mélodie; j'en fais un mélo dit avec des mots dits !

Si bien que je fais du cinéma en jouant si bien le rôle de ma vie !

Dans une inertie rude, où je porte un masque depuis le début de la pandémie,

Mais quand le masque tombe ! Je suis moi-même à l'origine

De cette mascarade; qui est un simulacre de contre-vérités, dont je butine

Le fiel avec désinvolture; en étant iconoclaste et incognito; tel un grand zigoto;

Avec pour ces héros de service; ces zéros de sévices; qui me rendent accro

A la parano moi; mégalo de cette mascarade; qui balade en ballades

Toutes mes sinécures de promenades;

Qui font que quand mon ordinateur a été parfois en rade,

Et dont en soldes de tout conte; je vais au rade de cette mascarade

Dans un simulacre, où je fais semblant d'aller bien avec des faux-semblants;

Ou en faisant croire que le poète maudit que je suis

Va très bien ou très mâle; contant

D'être cette mascarade, où je simule un mâle heureux ou un malheureux ?

A vous de deviner laquelle de mes facettes ou de mes fossettes; fausses aides

Est la plus vraie avec comme remède qu'il faut aller chercher Archimède,

Pour avoir une science infuse exacte de cette mascarade; 

Qui sent bientôt d'ici sous peu une nouvelle ballade;

A mettre en poèmes pour diffuser une balade

Sur les quais de scène; avec comme nom de code : Jérôme; un poète maudit ?

Ou un poète qui met en paroles ses poèmes avec le moindre mot dit ?

Et si tel est le cas :  La poésie de Jérôme; est-ce une ballade ?

Ou une mascarade ?

 

Jérôme de Mars

Le plafond de vers

 

Souffleur de vers

Aux vers;

A travers le plafond de vers

Dans lequel il y a des bris de vers;

Et qui se mettent aux vers,

Dès que la poésie libertaire

Dessert des vers solitaires

Pour les servir en vers solidaires;

Après tant de revers de colère

Dans lequel le plafond de vers

Casse des vers à ma mère

Pour que je ne sois plus ovaire;

Over O vers,

Mais que je sois ouvert aux vers;

De Guillaume Apollinaire 

A Charles Baudelaire

Avec pour repère un repaire;

Qui allume de la lumière claire

Dans ma tanière;

A l'ombre d'une chaumière,

Afin que le souffleur de vers

Que je suis; passe du vers

A l'orange compressée de ma colère,

D'où mes crises de nerfs

A répétition desquelles je décolle l'air !

Quand les bris de vers

Eclatent le plafond de vers;

Avec pleins de revers mortifères

En des maux délétères 

Sur La Terre, dont je casse des vers

Dans un ver à soie volontaire

Pour servir vers soi un poème contestataire

De mes vers qui sentent l'âme d'un poète révolutionnaire; 

Avec de la liberté dans les mots lapidaires,

De sorte que le plafond de vers

Résiste en souffleur de vers

Pour insuffler un art linéaire;

Sorti de mon imaginaire téméraire

D'être corsaire;

Qui pirate les ovaires de ma mère;

Qui perd ses hauts vers

Pour émettre des vers aux vers;

Amalgame o vers ouverts !

Avec pour intacts vers

En souffleur de vers;

L'insubmersible plafond de vers.

 

Jérôme de Mars

Détracteur des tracteurs d'être acteur

 

Jeu de rôles jusqu'à la geôle;

Il suffit de faire do ré mi fa sol

Pour être détracteur des tracteurs d'être acteur;

Acteur de sa vie et amateur

En relevant différents défis;

Qui scient l'envie à fortiori

Avec soit un droit à l'oubli;

Ou soit la frénésie,

Détracteur des tracteurs d'être acteur

Et soit d'être le bourreau des cœurs;

Ou soit un jeu d'acteur

Pour cultiver la terre et labourer

Celui ou celle; qui la bourrait 

La bourrée Auvergnate;

Ou une débourrée de scélérates 

Qui rentre dans la peau d'un acteur,

Détracteur des tracteurs d'être acteur

En cultivant les haies, quand l'acteur hait

De tailler les haies pour s'entailler les haies,

Quand c'est la mer à boire la note salée !

Dont la mère à déboires est sale hé !

Avec de la rancœur

A en faner les fleurs;

Qui sentent un acteur né 

Ou un amateur inné,

Détracteur des tracteurs d'être acteur

En oubliant les vraies valeurs

D'une vie authentique douée pour le bonheur,

Soit d'un mâle heureux

Ou d'un malheureux;

A choisir entre les deux

Avant d'aller aux cieux; 

Reposer avec les aïeux

Pour jouer un vrai rôle d'acteur;

Ou surjouer le rôle de sa vie en amateur,

Détracteur des tracteurs d'être acteur

En cultivant terre-à-terre un bon jeu d'acteur

Narcissique; et en buvant les dialogues cent peur;

Avec l'honneur d'apprendre de ses erreurs

Pour que le gars qui est acteur de sa vie;

Devienne le fil conducteur de sa vie et l'ami

De ceux; qui déjouent si bien le rôle de leur vie,

Avant que la vieillesse leur cause une amnésie;

Surplace d'un jeu d'acteur amateur,

Détracteur des tracteurs d'être acteur; 

Moteur; c'est la fin du jeu d'acteur acteur.

 

Jérôme de Mars  

 

Paris ne s'est pas fait en un jour !

 

Ville du grand Paris;

Qui arpente les quais de Seine

De la rive gauche à la rive droite;

Qui fleurit la frénésie

De Paris qui assène;

Que Paris ne s'est pas fait en un jour !

Que ce soit par un roulement de tambour;

Ou par les feux qui voient rouge 

A cause de voitures maladroites,

Comme des chauffeurs du dimanche;

Qui endimanchent

Les repas de famille dans les 20 arrondissements

De Paris qui la nuit illuminent la ville de gens bruyants;

Qui fait que Paris ne s'est pas fait en un jour !

Déjà que pour y faire le tour, il faut passer un concours !

Si bien que dans Paris; tout le monde court !

Sans d'arrêter parmi la foule fébrile et trépidante

Dans ce grand Paris indocile, volatile qui agace;

Sagace ceux; qui refont le monde d'un pas las !

Jusqu'à la place qui prend la défense

De L'Arche de la Défense;

En protégeant la Place des invalides;

Et en préservant leurs bijoux

De famille;

Cupides et avides

Jusqu'à la Place Vendôme,

Comme ceux qui donnent des concerts

De louanges; avec les nerfs de la guerre

A Bercy, comme si le temps n'était que de l'argent !

Sans moral avec l'esprit mâle et animal

Pour faire le mal; l'air de rien de plus banal 

Et normal !

Dans ce Paris au contour global,

Dont comme en refaisant le parcours

Du Grand Paris;

Paris ne s'est pas fait en un jour !

A part prendre tout son temps !

Pour que le Paris soit réussi et gagnant !

De sorte que Les Parisiens; les banlieusards

Et les provinciaux puissent s'amuser;

Du Musée du Louvre au musée de la marine;

Couleur ancre marine qui jette l'ancre en sourdine,

Pendant que tout le monde dîne en faisant

Un renvoi d'ascenseur

A leurs confrères; consœurs; cons frères

Et cons sœurs;

En prenant de haut le Grand Paris,

A bord du Paris des lumières

De La Tour Eiffel;

Scintillante et reluisante 

Pleins feux vers le Carrousel,

Dont arrête ton manège !

Afin que ça reste un privilège !

De ne pas se mêler du jardin secret

Des Champs Elysées,

Quand les champs élisaient

Tous les cinq ans; le nouveau président

De L'Elysée; avec des alizés,

Pour que le vent tourne 

Et change de direction;

Avec ceux qui détournent

L'argent de La France;

Qui passe aux travers 

De tous ces malfrats de la finance,

Où Paris ne s'est pas fait en un jour !

En chantant des troubadours;

Que soit à Opéra dans un opéra;

Qui opéra le jardin des plantes

Jusqu'au musée Picasso;

Qui ne peut voir en peinture

Le Palais de la Découverte;

Que ce soit en sortant du cadre

Du Jardin des Tuileries;

Que personne n'encadre !

En allant écouter des vertes

Et des pas mûres !

Au parc Montsouris

Jusqu'au Jardin du Luxembourg;

Qui monte au Palais des députés

Ecouter leurs doléances

Durant la dernière séance,

Comme si tout tombait à l'eau !

Au grand aquarium de Paris,

Où les poissons restent bouche-bée

Dans leur bocal, comme un poisson

Dans l'eau ! A écouter fascinés pleurer

De leurs sanglots les gens énervés;

Qui loupent leur dernier métro,

Vu tout ce qui se trame à Paris

Dans la ville du Grand Paris,

Pendant que tout le monde regarde dans le rétro !

En constatant que c'était mieux avant !

De L'Arc de Triomphe;

Qui triomphe

Durant les années folles et les années zazous !

De la griserie avant de Paris

Au gris actuel de Paris,

Qui rentre au Panthéon

Des monuments,

Comme L'Obélisque,

Car même si Paris ne s'est pas fait en un jour !

Avant y avait moins de risque !

Car les gens avant étaient moins stressés !

Du fée du prince de vivre dans un Paris enchanté,

Alors que maintenant Paris est désenchanté !

Où chacun attend que ce soit son tour !

Pour marcher sur la pointe des pieds;

Sur les pieds des gens à contrepied,

Mais à Paris; où y a pas de quartier !

C'est au Quartier Montparnasse !

Où tout le monde déguste et fait son cinéma !

A part ceux qui peuvent encore s'amuser;

Près ou loin de là au musée d'Orsay;

En train de partir en gare d'Orsay;

En sentant le fauve de la gare de Lyon;

Qui rugit en perdant le nord

De la gare du Nord;

Ou à La Gare Montparnasse,

Où tout le monde déraille en train

A la Gare Austerlitz !

Pour dire plus de quartier ! Par ici, par-là !

Quand les badauds flânent dans les terrasses;

Dans les bars des troquets;

Ou dans les grands restaurants,

Car même si la vie n'est pas un long fleuve tranquille !

Lorsque les artistes montent sur Seine !

Au moins tous les chemins mènent à Rome !

De la Porte d'Italie à la Place d'Italie;

En ouvrant et en prenant la Porte d'Italie;

Dans ce bal fleuri jusqu'à la Place d'Italie

Dans le grand Paris;

En station debout et en prenant le bus 

Pour retracer avec astuce 

Le parcours du grand Paris;

En 20 arrondissements; de Ménilmontant

A Saint-Germain des Près;

De Maurice Chevalier

A Boris Vian;

Qui traînait avec Charles Trenet;

Boulevard des Capucines,

Où traîne à l'Olympia

La riche mémoire des hip hip hip hourra;

Des artiste d'avant-guerre et d'après-guerre,

Dont il était naguère !

Ce Paris d'autrefois

Avec des filles de joie;

Qui se révoltent

De Place de La Bastille,

De Pigalle 

Jusqu'à la Rue Strasbourg-Saint-Denis;

Dans la ville

Du Grand Paris;

D'île est point tranquille !

De vivre dans la frénésie

De ce Paris mouvementé;

Stressé; pressé et empressé

Avec la foule; qui se défoule

Et qui refoule

N'importe quel maudit troubadour !

Si bien qu'à l'infini

De L'Orgue de Barbarie;

Paris ne s'est jamais fait en un jour !

 

Jérôme de Mars

Et si le soleil donnait un concert de louanges !

 

Accroché au zénith de son étoile corsaire;

Un bonheur sans nuages prend place en émissaire

Avec pour ravitailler sa panoplie d'anges;

Un simple plaisir de redorer le blason du ciel,

Accompagné par l'envie irrésistible d'absoudre le soleil

Sans commune mesure pour adoucir son escapade;

Dans laquelle il fredonne des ballades sur son esplanade,

Et si le soleil donnait un concert de louanges !

Sur l'estrade de son zénith perché

Très haut; qui gravite dans un mélange

De stars d'étoiles éphémères; qui décrochent le ciel qui arrange

Son arc en ciel insoumis; qui s'éparpille en décrochant l'étoile;

Plus vite que la musique, lorsqu'elle se dévoile

Parmi les voix lactées; qui tournent dans le système solaire

Autour de plusieurs planètes,

Similaires rabibochées en des choses extraordinaires;

De Jérôme de Mars à Boris sur Vénus; avec la Vénus de Milo toute chouette;

A faire de puissantes saynètes, quand le ciel obtempère en vers l'archange;

En se demandant s'il arrange la frange, et si le soleil; ça le démange !

Dès qu'il se range du côté des vies d'ange qu'il engrange de mélanges; 

En jouant avec ses phalanges des chansons qui partent en lambeaux !

Et en morceaux en scandant des gros mots avec pour démo,

Et si le soleil donnait un concert de louanges !

En occultant les anges pour qu'ils changent

De répertoire; du blues des trottoirs

Surplace des grands boulevards;

Au zénith de la popularité du soleil qui fixe le prix des billets,

Dont c'est le même tarif de faire des billets d'humour déplacés en billets; 

Qui reflètent le sommet des occasions en or que le ciel rend indolore,

Lorsque le soleil rêve sonore que rien ne colore !

Ce bonheur sans nuages à stabiliser d'un point de vue; qui endimanche 

Ce tour de chant qui dérange, 

Et dont le tout-puissant implore étrange; 

Le ciel intemporel pour qu'il arrange l'archange et les vies d'ange, 

En disant à mésanges;

Et si le soleil donnait un dernier concert de louanges !

 

Jérôme de Mars

Le soir à regarder par la fenêtre

 

Il était une fois peut être

Un poète maudit;

Qui dès la nuit,

Passait à la tombée du crépuscule

Son temps le soir à regarder par la fenêtre;

Sans scrupules en simulant qu'il était une crapule

Avec pour vergogne l'excès de boire son ver

D'absinthe, dont pour calmer son être

D'homme en colère; 

Il passait son temps le soir à regarder par la fenêtre;

Son être qui réfléchissait à la lumière 

Du reflet de son miroir; qui lui renvoyait son mal-être délétère;

Avec pour satisfaction salutaire

Que tôt ou tard; il quitterait cette Terre,

Pour rejoindre sa mère

Au ciel des bonnes nouvelles pour se taire

En gisant dans un vieux cimetière;

Reposant tout ce qu'il a supporté

Sur cette maudite Terre

Et pour une fois en paix, 

Pour des cendres à fumer le calumet

De la paix; avec pour repère

Son désormais éternel repaire;

Tel un poète maudit;

Qui le moindre mot dit se raidit

Le soir à regarder par la fenêtre

Tout ce qui lui renvoie son hêtre;

Qui reste de marbre devant le cimetière

A s'esclaffer de choses élémentaires,

Comme sur Terre; tout naît que matière !

Dans le paraître à envoyer paître

Et repaître son être de mélancolie;

Et spleen; qui pleurait sa mère 

De l'amère nostalgie,

Comme un poète maudit 

Qui passait son temps le soir à regarder par la fenêtre;

Toute son histoire à consoler son penchant suicidaire,

Avant de finir sa vie au cimetière 

Des poètes disparus, où tout est fleuri,

Comme s'il restait un semblant de poésie;

De la poésie libertaire 

A son mal-être lapidaire;

De crimes de lèse-majesté sanguinaires

Et révolutionnaires;

A faire le vraisemblable ou le surréaliste poète patibulaire;

Qui songeait à finir sa vie au presbytère;

Avec pour repères; un repaire de monastère

Très terre à terre; à qui le poète maudit

Pourrait confesser ses pensées sans interdits,

Dont il est permis d'interdire et interdit

De permettre à s'interdire d'être heureux

Sur Terre au poète maudit;

Avec le temps qui lui restait à vivre

Avant de rejoindre les cieux de son corps poussiéreux,

Dont avant qu'il soit trop tard; il n'était que temps d'être libre;

Pour vibrer en poète libre qui s'enivrait

En recevant les derniers sacrements

De son existence de mort-vivant;

Tellement que son passé fut déviant

Sans réussir à aller de l'avant,

Dont il n'était que temps qu'il ait un sain père

Grâce au Saint père en repères;

Qui lui donnait pour repaire

Un endroit pour penser à sa mère,

D'où qu'elle était malgré qu'elle fut l'amère;

Elle pour lui; qui reposait en anticorps de poussière,

Dont avant que le poète maudit rejoigne sa mère

Au cimetière des poètes disparus; il lui restait à faire

Une dernière prière,

Pour que sa colère devienne la constellation de lumière;

Avec les idées claires durant ce laps de temps furtif; 

A passer pour le mieux le reste du temps qui lui restait captif

Et émotif à vivre sur Terre; avant que l'amère le fasse taire;

En trépassant de la colère à un état de poussière;

Pour consoler sa peine à peine de son mal-être et de son paraître;

Tel un poète maudit qui avait le blues de son hêtre;

Tel qu'il restait de marbre au cimetière

Des poètes disparus;

Avec pour peur de l'inconnue

L'ultime soir à regarder sa vie par la fenêtre.

 

Jérôme de Mars

 

Blagues :
1) Que dit-on d'une femme qui s'en fout de branler son mari ? - Elle n'en a rien à branler
2) Que dit un mari à sa femme qui n'a rien à foutre de sa vie tellement qu'elle oublie de le branler ? - Tu n'as rien à branler dans ta vie !
Jérôme de Mars

Un bateau qui a migré vers l'exode étranger

 

Dès que le soleil friand se lève à leste;

Complètement à l'Ouest;

Il y a en direction des pays de L'Est

Un bateau qui a migré vers l'exode étranger;

Avec parmi cette population des Français assumés

Fiers d'être avec des Français de sang mêlés; 

Etrangers à ces étrangers parlant comme eux

Le Français miséricordieux, comme leurs aïeux

Heureux de faire partie de la diversité;

Et de la variété de toutes les origines, 

Dont elles sont toutes composées d'hémoglobines; 

En remontant à la racine carrée et contrecarrée 

D'anciens principes d'une autre époque; 

Pourvu qu'il en reste des paroles sans équivoque

Grâce à un bateau qui a migré vers l'exode étranger;

Avec parmi la communauté autant d'étrangers

Que de Français; à se mélanger dans la fraternité

Et la solidarité pour faire front ensemble, 

Car qui se rassemble s'assemble !

Face à l'adversité, où seuls peuvent triompher

L'amour et l'amitié qu'on soit étrangers ou Français;

En partant du fait qu'il n'y a qu'une seule lune pour tous

Avec au mieux et au préalable des coups de pouce,

Afin que chacun y trouve son compte sans être étranger

Aux Français étrangers; en remédiant à ce que Les Français

Soient étrangers aux idées émanant des préjugés 

Vis à vis des étrangers, alors que tout le monde est pareil

De la terre au soleil

Qui brille à Leste;

Complètement à L'Ouest vers L'Est

De ce que ce pensent Les Français des étrangers;

Etrangers de ce qui compense Les Français étrangers 

Grâce à ce fabuleux bateau qui a migré pour de bon

Vers l'exode étranger, pour reconnaitre que l'immigration 

Ca a du bon du moment ! Que les étrangers sont étrangers

Aux étrangers Français ! Pour demeurer un bon Français étranger;

Etranger à être un véritable Français; enclin à parler 

Français; à part les Français par les Français, pour demeurer

Du même bord au rebord; en virant de bord à bord de ce bateau Français;

Qui a migré vers l'exode étranger; étranger aux Français étrangers,

Mais étrangers en véritables vrais bons Français et en vrais Français;

Etrangers qui parlent un bon Français étranger; et étranger

Aux véritables héros Français étrangers; qui parlent un vrai bon Français

Aux Français; en route étranger vers le bel eldorado Français.

 

Jérôme de Mars

 

 

Y a pas de temps à perdre !

 

Sablier du temps qui prend sa source

Pour passer du bon temps;

Malgré que le temps passe en puisant

Dans ses ressources,

Où les secondes épuisent les minutes,

Comme un compte à rebours;

Telle une cocotte minute dans l'encours

Au cours d'un long cours du temps;

Ou au cours d'un cours long du temps;

Au cours du temps autant au temps,

Où y a pas de temps à perdre !

A part passer les heures et tuer le temps,

Où pour qu'il gravisse vite les échelons;

Il faut qu'il passe évite sans y aller à reculons,

Comme le temps passe dans un passe-temps;

Et que le sablier s'écoule dans la marche détend,

Où y a pas de temps à perdre !

Sachant que le temps, c'est de l'argent !

Alors que maintenant, le temps;

C'est une parole d'argent comptant !

Déjà que le temps qui passe; 

C'est déjà des minutes en moins 

Et des secondes néanmoins moins que rien !

Avant que chaque jour qui passe;

Nous rapproche du néant qui trépasse

Le reste du temps les morts-vivants,

Où y a pas de temps à perdre !

A part perdre du temps;

Et faire perdre son temps 

A ceux qui sont encore vivants !

Dans ce monde qui surpasse

Nonobstant; malgré les tourments

Du temps qui fait des ravages avec le temps;

Et du temps autant d'au temps qui fait du boucan !

Où y a pas de temps à perdre !

A part perdre quelques minutes,

Comme quand le temps est cuit 

Dans une cocotte-minute !

A rappeler la nostalgie d'une harmonie

Disparue, quand apparaît la mélancolie,

Dont le fameux c'était mieux avant !

Car qu'on le veuille ou pas le temps

Fait aller de l'avant 

Dans le sens du vent !

Pour rester et être dans le vent

D'auparavant à au par avant; 

D'au paravent pour bloquer le temps

Durant quelques minutes;

Et chasser le mauvais temps,

Comme une cocotte-minute,

Dont le temps passé est devenu

Un droit à l'oubli,

Quand le temps cuit absolu

Tous les souvenirs enfouis et enfuis

Au cours du temps, dont pour calmer

Sa furie autant d'au temps;

OTAN être en paix

Avec de la poésie et de la philosophie;

Pleins les tympans,

Comme de toute façon nonobstant

Et sans malentendus !

Le temps fout le camp !

En changeant de décan,

Car avec le temps;

Il est tant d'arriver à temps !

Dans le néant détend

De tant de temps,

Dont il est temps !

Que le sablier vide son bon vieux temps révolu,

Où y a plus de temps à perdre !

 

Jérôme de Mars

Vers D'O

 

Depuis que j'ai quitté mon boulot;

Illico ce soir avant d'aller faire dodo;

Je m'en vais presto

Ecrire des vers D'O,   

Dont je bois les paroles du KO

Dans un joyeux méli-mélo,

Où je navigue en eaux

Troubles en allant à vau l'eau

Au fond du ruisseau,

Dont je bois des vers D'O

Avec du sirop

D'orgeat dans la tempête d'un ver D'O

A moitié plaint, dont pour vaincre le chaos

Après les revers D'O;

Empêtrés dans la spirale du ghetto

Des O fléaux;

Il me faut pour boire les maux; des mots

Ecrits dans des vers D'O,

Pour aller vers le haut

D'un bel eldorado,

Où ainsi ce sera loin l'enfant do,

Dès lors que j'aurai fini de boire avec brio;

Ces revers D'O

Dans ces vers D'O.

 

Jérôme de Mars

 

 

Jeune fille au père

 

Paire et mère;

Les deux font la paire

D'une jeune fille au père;

Telle fille telle paire,

Où ça fait une jeune fille au pair,

Dont l'impaire fait l'un père

En repaire,

Dont les deux font l'impair;

Avec pour repère

L'amère de la mère,

Dont l'amer 

Fait une jeune fille au pair,

Dont l'un pair 

De l'impair 

Font de l'un père,

Quand les deux font la paire

D'une jeune fille au père.

 

Jérôme de Mars

Les insectes qui font mouche !

 

Battements d'ailes des mouches;

Qui hochent

La tête qui mouche

Du coche,

Quand il y a les insectes qui font mouche !

En piquant de leur dard

Les guêpes, les frelons et les bourdons;

Qui leur filent le bourdon 

Sans fard de leur regard phare,

Quand il y a les insectes qui font mouche !

Avec les mouches dans leurs métiers de bouche

A tire d'ailes dans un bouche à oreille,

Lorsqu'il y a les oreilles qui sifflent à cause du soleil;

Qui boutonne le miel des abeilles

En leur filant le bourdon dans une lune de miel,

Quand il y a les insectes qui font mouche !

Et qui mouchent ceux qui se bouchent

Les oreilles ! En faisant la politique de l'autruche;

Et en faisant des têtes d'enterrements, comme des cruches

Avec leur couche; qui les couche lors du coucher du soleil;

Qui égratigne les demoiselles de leurs prunelles;

Et qui leur en mettent plein les yeux joyeux

Et soyeux; en rêvant mieux; faute de mieux

En des paysages endimanchés; 

Qui tiennent le manche lors de plusieurs dimanches dépaysés

Au soleil; en chantant d'une voix de crécelle

Que le reste de la semaine; il risque d'y avoir en une de miel;

Les moustiques; les moucherons; et les mouches tsé-tsé, 

Dont allez leur demander avec curiosité !

Si lors d'un bouche à oreille; il y a un bouche à bouche qui débouche

Sur des couches de populations; qui se couchent ou qui couchent

Histoire de boucher les souches des mouches;

Avec les insectes qui font toujours mouche !

 

Jérôme de Mars

Je suis un sacré numéro vers aide si !

 

Sos solitude !

Il serait préférable

De mettre sur la table; 

De la plénitude !

Avec pour partager

Tes problèmes;

Des gens qui t'aiment

SOS amitié !

Je suis un sacré numéro vers aide si !

Si je fais le psy

Au comptoir

Avec à manger tes déboires,

Où pour t'épancher

En confessions;

Il faut faire abstraction

De tes névroses,

Pour que chacun ose

Te confier ses états d'âmes

Dans ce monde de lames;

Qui manque d'âmes, 

Comme un pion sur l'échiquier

Parmi tous les quidams,

Où pour que je dame le pion

En faisant le fanfaron;

Je suis un sacré numéro vers aide si !

Des travers à travers ce numéro vert aide psy,

Où si je fonctionne avec des si !

Eh bien assis !

J'appelle SOS amitié

Avec à partager au coin du buffet;

Tout ce que tu dégustes;

Avec comme auguste des arbustes

Pour embellir la nature de ton buste,

Vu que par les temps qui courent !

Tu as bûché 

Pour converser dans la loyauté;

La probité et la réciprocité; 

Dans davantage d'échanges à proprement parler

Sans tabous; 

Vu que t'es à bout !

Avec pour franc parler 

Tout ce que t'as pourparlers; pour parler

Face à face pour affronter l'adversité

Dans la fraternité

Des revers de la vie;

Qui font qu'il y a des bris de revers qui dévient,

Comme un souffleur de vers boursouflé; 

Qui a besoin d'un numéro vert aide psy,

Comme moi, dont je suis un sacré numéro vers aide si !

Si t'es béni inouï !

Avec pour appeler SOS amitié !

Et SOS suicide rigide !

Le revers de ne pas te flinguer

Et te dézinguer

Avec de l'acide livide,

Dont le mieux; c'est de prendre des lipides

Et des protides 

Pour retrouver une forme et une force placides,

Dont après avoir été l'appelant;

Il est temps OTAN d'être l'écoutant

Au bout du fil du rasoir d'un coup de fil dérisoire !

Pour confier tes infâmes histoires

A la bonne personne comme au comptoir,  

Quand tout le monde se barre et te rembarre !

Dont grâce à l'amitié et à de similaires affinités;

C'est la solennité qui t'emporte

En ouvrant ta porte !

A SOS amitié

Et à SOS cœurs brisés à partager,

Dont grâce au numéro vert aide psy;

Je demeure comme la loterie

Après avoir fait le tour

De la question;

Un sacré numéro vers aide si !

 

Jérôme de Mars

 

Un soleil sans nuages malgré que parfois il y a la pluie

 

Rêveurs d'un monde meilleur qui ne soit source de conflits

Dans la vie, il y a le droit à l'oubli !

Avec un soleil sans nuages

Malgré que parfois il y a la pluie,

Où pour que le monde soit moins sauvage;

Il est plus simple de faire de l'élevage

Pour élever le monde vers le haut

Jusqu'au sommet de l'eldorado

Des grands étages; 

Qui respirent les ramages

D'un soleil sans nuages

Malgré que parfois il y a la pluie,

Dont il faut l'égoutter

Dans une mélodie en sous saules

Pleureurs en do ré mi fa sol;

Avec de l'innocence dans la maturité

D'un monde meilleur

Pour vieillir enjoliveur;

Avec le bonheur

D'un soleil sans nuages

Malgré que parfois il y a la pluie,

Alors que le ciel veut un lavage

Complet de la pluie, 

Pour qu'elle se soit toute propre et épanouie 

En un joli balcon fleuri;

Plein les maisons dans les villes

Dans leur coin niché tranquille,

Pour faire sourire les jonquilles

Jusqu'aux chevilles;

Qui raniment les cœurs

Brisés, dont leur p'tit bout de chou

Alimente gratuits les articles en série;

Et font les choux

Gras de la presse;

Qui s'empresse

A scandales et qui a besoin de sous,

Alors que d'un petit rien; rien qu'avec des confettis !

Il est possible d'avoir le droit à l'oubli !

En ayant pour galante compagnie

Une ribambelle d'amis, 

Pour que la vie soit plus belle et en harmonie,

Où il vaut mieux laisser le froid; en froid dans un sac isotherme 

En ces termes, dont à terme il y a dorénavant sur le long terme;

Un soleil sans nuages 

Malgré que parfois il y a encore la pluie

En arrosage.

 

Jérôme de Mars

Donne-nous un billet d'humour Jérôme !

 

En ces temps incertains et difficiles, le temps; ce n'est plus de l'argent ! Car en ce moment; le silence est d'or et la parole est d'argent !  Ce gouvernement deux bras cassés depuis que leur meilleur bras droit; Edouard Philippe a démissionné de son poste de premier ministre en juillet dernier; ne cherche pas à étudier pourquoi les étudiants sont dans une telle détresse financière; au lieu de leur parler avec franchise pour leur sécurité sociale; le gouvernement leur joue du pipeau en leur parlant la langue de bois; de pourquoi ils ont perdu leur petit bouleau pour payer leurs études; et au lieu de cela; les étudiants ne sont plus logés à la même enseigne avec leurs APL supprimées, car le gouvernement n'a pas cherché à calculer les étudiants en temps réel; et pour montrer de quel bois ils se chauffent; les étudiants sont obligés de voler de la nourriture dans les magasins; vu tout ce que les étudiants dégustent avec ce gouvernement aux bottes du patronat et du MEDEF; le gouvernent pour aider les étudiants en l'occurrence les jeunes; devrait plutôt créer un revenu minimum vital; revenu uni vers celles d'autres prestations; qui simplifierait toutes les allocations et garantirait un revenu garanti pour chaque Français; quelque soient les accidents de la vie; vu que la seule chose qui intéresse ce gouvernement; c'est la monnaie en libre circulation, où ce gouvernement fait fausse route, car la preuve que tout le monde se rue dans les magasins malgré le couvre-feu et le feu qui couve à La BCE; pour rembourser la dette Covid; les pauvres de la BCE; eux qui sont riches de ne pas être pauvres; ont-ils de l'empathie pour les SDF qui abondent les rues du Grand Paris et dans La France entière en étant délogés à la même en saigne ? Depuis qu'il y a la crise sanitaire et économique et pour ne pas répandre la rage des Français dans la France entière; à cause des piques de ce gouvernement qui pique au vif les Français; comme en cherchant une aiguille dans une meule de foin; Les Français se renferment comme tout le monde est sur la paille; ce pourquoi le gouvernement la ferme pour l'instant avec le résultat du fiasco de leur vaccin du Covid avec les variants; pour rendre la monnaie de sa pièce à La BCE, et dont pour résorber la dette Covid, comme Les Français sont en train de se faire baiser par ce gouvernement; au lieu de créer des impôts pour les riches pour combler le déficit; il vaudrait mieux que les riches soient comblés par des femmes en vidant leurs bourses, ainsi cela serait une preuve de plus que les Français se font baiser par les riches ! Oh !  Les pauvres ! On va tous les plaindre ! Vu que tous les Français commencent à répandre toutes leurs rages en France à cause du Covid en attendant qu'on les pique pour euthanasier leur colère, dont de toute façon comme les Français à partir de 18 ans sont majeurs et vaccinés; même s'ils ne se font pas vacciner contre le Covid; ça ne changera pas grand-chose à leur rage; il y a donc de ce fait; deux manières de les calmer dans la sérénité; soit ils se font vacciner par la prière en allant voir un pasteur pour calmer leur rage; ou soit quand ils pourront se faire vacciner; ils n'auront qu'à aller se faire piquer en se faisant injecter le vaccin à la clinique Pasteur à Vitry Sur Seine pour apaiser leur rage; et si en 2022; Les Français votent Marine Le Pen aux présidentielles ! C'est qu'on pourra dire que là ! Marine peine les Français dans un rassemblement national pour faire un affront national à Emmanuel Macron en lui faisant un bras cassé d'honneur; lui Macron; qui essuie les plâtres depuis son élection en 2017, dont pour que les Français ruinés; aient de l'argent durant ce court répit d'édito; je leur donne en monnaie de ma pièce un billet d'humour car n'est-ce pas Jérôme ? !

 

Jérôme de Mars

Il vole haut !

 

Comme un oiseau;

Qui prend sa vitesse 

De croisière sur un bateau;

Il vole haut !

Tel le moussaillon 

En pleine allégresse;

Qui vogue sur le sillon

Du tourbillon

De Zucchero; Il volo !

Dont en oiseau libre;

Il vole haut !

En électron libre avec sa fibre

Jusqu'au panthéon

Du Parthénon; 

Qui creuse le sillon

Suprême comme un genre de roman-feuilleton,

Où y a photos dans le rétro !

Comme un oiseau aux ailes brisées,

Où il vole haut !

Tel un oiseau déplumé !

A l'encre marine;

Qui jette l'encre de ses hémoglobines;

De pourquoi la raison

De sa balise de détresse l'a plongé à l'apogée

D'un océan vide; qui vacille dans une forteresse;

Convertie en fausses promesses;

Qu'il tient,

Comme un oiseau qui fait le beau

Avec son corps beau 

Sur le paquebot 

De son bateau,

Où il vole haut !

Avec Zucchero; il volo !

En des mots déplacés

D'un escabeau sorti

De son con texte,

Où il sort son index,

Dont il pointe le majeur majeur;

En faisant un doigt d'honneur

En l'air !

L'air de rien;

Dont c'est encore le même refrain

Qui reflète la colère

De L'Asie mineure;

Qui est un art mineur,

Tel un oiseau consumé;

Au stress comprimé

Et rétamé

Par les aléas de la vie,

Dont il dévie ici

Du droit chemin !

Avec ses copains musiciens,

Où il volo !

Avec Zucchero

Jusqu'à propager la foule de la défoule,

Dont la musique le soule

D'allégresse envers l'art Italien

Aux prouesses d'érudit parolier

Et plutôt doué Cartésien,

Qui s' la joue manichéen !

Tel un oiseau libre;

Qui vole libre avec son calibre,

Dont il a la fibre

Fluviale, dès que tout tombe à l'eau !

Des larmes de cristaux

A la croix qu'il porte dans son désarroi,

Dont il tient en roi la courroie

De sa voix de trémolos,

Car il va à vau l'eau 

De ce drôle d'oiseau;

Où il Volo avec Zucchero,

Dont jusqu'au sommet de l'eldorado;

Il vole haut !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

Il faut se laver l'aidant !

 

Bal masqué du Covid;

Que les poches des Français

Sont vides !

A part ceux qu'on épargne

A la caisse d'Epargne,

Dont ils épargnent leurs intérêts

Chaque mois aux frais;

Et à leurs frais chers Français,

Dont pour assurer leur argent

Il faut se laver l'aidant !

Soit avec de l'argent dissous !

Ou soit en paroles d'argent !

Sens dessus dessous

Avec pour mots décapants;

Des propos percutants

Avec la grande hargne;

Qu'ont les Français

En ce moment,

Dont ils détestent arrogants

Que leurs gouvernants

Leurs soient infantilisant,

Dont pour que ça reste bon enfant !

Il faut se laver l'aidant !

Avec pour garder 

La tête haute dignement,

Le fait de rester poli et élégant;

Avec un Français châtié

Et soutenu à proprement parler;

En guise de franc-parler

Pour assurer; réassurer; rassurer

S'assurer; se réassurer et se rassurer

Que le lien amical

Est toujours en sécurité sociale,

Dont pour demeurer fringant

Et pimpant sans que ce soit pompant;

Il faut se laver l'aidant !

A moins de s'en laver les mains !

Chaque matin au réveil; replié

Dans son coin;

A réciter la prière du bon Chrétien

En faisant son malin,

Où pour continuer à être content;

Autant chanter l'amour charmant

Qu'ont les gens entre eux;

Soit miséricordieux ou sursoit pieux,

Dont il faut se laver l'aidant !

Pour respirer plusieurs jours apaisés

Dans la sérénité des temps;

Qui durent conciliants,

Où tout le monde se comprend !

Et y met du sien !

En faisant front commun

Que tout le monde est pareil !

Dans le plus simple appareil,

Dont les plus bas instincts

Sommeillent en chacun

De nous jusqu'à la carte vermeille,

Avec de préférence à la pluie;

Un si grand soleil en série;

Qui place les merveilles

Dans un monde plus plaisant,

Dont il faut un peu de confettis;

Pour que les uns oublient

Néanmoins leurs soucis;

Et les autres leurs misanthropies,

Dont il faut se laver l'aidant !

Et les dents pour en avoir rien 

A cirer du parquet; qui juge

Les scrupules des imbéciles qui;

Eux avec le temps; se rachètent

Une conduite en n'étant

Plus des crapules

Avec leur hachette,    

Car grâce à l'âge et dent !

Il ne faut plus s'en laver les mains !

Dont grâce en bons Samaritains

Et entre copains Chrétiens;

Les gens semblent de plus en plus humains ! 

Même quand le bal masqué tombe

D'outre-tombe jusqu'aux catacombes,

Et dont ici présent ll faut se laver l'aidant !

 

Jérôme de Mars

Dialogue en parallèle

 

Dialogue en parallèle entre deux amis Farid H et Jérôme B :

 

Farid :  "  -  Bonjour Jérôme, comment vas-tu ?  "

 

Jérôme :  "  -  Je me lève et tout le monde me bouscule, comme d'habitude !  "

 

Farid :  "  -  Te sens-tu grillé par tout le monde ?  "

 

Jérôme :  " - Oui, je pense que toi aussi vu que tu grilles cigarettes sur cigarettes ! "

 

Farid :  "  -  Depuis combien de temps; crois-tu que t'es sur le grill ?  "

 

Jérôme :  "  -  Depuis que j'ai du pain béni sur le grille-pain chaque matin !  Non, je plaisante Farid; je suis sur le grill seulement quand je fais griller de la viande dans mon barbecue électrique !  "  

 

Farid :  "  -  Te sens-tu sur le fil du rasoir ?  "

 

Jérôme :  "  -  Oui, tout à fait je suis sur le fil dérisoire, car ma vie est trop rasoir tellement que ça me rase que je rase les murs !  "

 

Farid :  "  -  Crois-tu que j'en ai plein la barbe de la vie ?  "

 

Jérôme :  "  -  Oui, sans doute que toi et moi, on en a plein la barbe de la vie, tellement que ça nous barbe, comme le barbier de ces vies !  "

 

Farid :  "  -  Toujours des jeux de maux à déballes, n'est-ce-pas Jérôme ? !  "

 

Jérôme :  "  -  Surtout que si toi et moi; on se tire une balle dans la tête, toi, tu ouvriras le bal et moi; je fermerai le bal car ce que je ferai, ce sera de la balle sans gilet-pare balle, comme une roquette envoyée à la venue de La Roquette, où je ferai une révolution française surplace de La Bastille qu'habite le docteur Penaud !  "

 

Farid :  "  -  Mon cher Jérôme; toi et moi, on pourrait se suicider légalement et tranquillement sans être empêchés et inquiétés mais où le faire ?  "

 

Jérôme :  "  -  Je pense que si toi et moi; on veut se suicider légalement sans être empêchés et inquiétés, autant faire et pratiquer un suicide assisté en Suisse dans la ville de Bâle, où moi cette fois-ci, j'ouvrirai le bal et toi; tu fermeras le bal !  "

 

Jérôme de Mars

 

 

Du lourd et du léger !

 

Quand c'est du balourd !

Autant prendre les choses

A la légère,

Dont c'est du lourd

D'avoir de la légèreté ;

Lourde et balourde !

Quand la lourdeur est légère !

Si légèrement lourde !

Et que la légèreté est lourde

Avec le cœur lourd,

Quand c'est en chœur balourd

Que la vie est à prendre à la légère !

Et que c'est du lourd !

Dont le balourd est bas lourd !

Avec du lourd et du léger !

En prenant les choses

A la légère lourde,

Quand le poids du fardeau

Est si lourdement léger !

Et que c'est du balourd !

D'avoir de la rancœur par cœur bas lourd,

Dont c'est du lourd de prendre tout à la légère !

Avec de la lourdeur légère et de la légèreté

Lourde et bas lourde; balourde !

Avec du lourd léger et du léger lourd !

Dans du lourd balourd et du léger allégé,

Dont c'est du lourd et du léger !

 

Jérôme de Mars

L'amour sain Valentin

 

Après le mois de janvier;

V'là que le 14 février

Il y a l'amour sain Valentin;

A fêter pour les femmes et leurs copains

Avec de l'amour rupin; 

Que les amoureux flamboient 

Avec entrain;

En ayant ou pas la gueule de bois

Qu'ils sabrent au champagne;

Ou avec un beau bouquet de fleurs

A offrir à l'élue de leur cœur à la campagne,

De sorte que la vie respire la candeur

Avec l'amour sain valentin;

En oubliant durant un jour

La vie sous ses mauvais jours

Comme un tour de passe;

Qui surpasse; dépasse et outrepasse

Les contours de ceux qui loupent leur tour,

Alors qu'il faut se pencher dans la cour

Des grands pour sourire béats,

Comme des enfants qui rient aux éclats

Des femmes et de leurs copains;

Avec l'amour sain Valentin

De par la grâce de l'amour boute-en-train

Le temps d'inspirer l'eau à la bouche;

Qui débouche sur des baisers qui font mouche,

Quand le cœur bat la chamade,

Dès que les amoureux se baladent

En se mettant en Seine sur la péniche,

Dont ils s'entichent à la défriche 

En faisant l'amour sain Valentin;

Et en faisant des roucoulades

Lors de quelques vagabondages;

En prenant leur envol d'étalage

Et en dérangeant l'amour coquin et libertin

Au bon étage,

Quand l'homme chante ses sérénades

Sur le balcon de sa dulcinée; en récitant 

Et en riant

Avec les arlequins;

Clamant son amour de la commedia dell'arte, 

Comme sur ARTE

Dans l'amour saint Valentin;

Qui redonne le souffle divin

Aux soupirants; qui s'en vont en soupirant

Et en baillant aux corneilles

Avec le poète Corneille;

Le soupirant de l'amour

En guise de bon séjour

Dans un dîner romantique aux chandelles,

Dont pour que la relation demeure sans nuages;

Il vaut mieux en prendre soin avec élagage

En prenant de court la routine du quotidien;

Avec des tue-l'amour qui disent bonjour les dégâts !

Allez les gars ! On se bouge pour que l'amour 

Soit comme les filles de joie !

Toujours dans un roulement de tambour 

Avec des troubadours;

Tellement que les jours seront séjours

De long en large dans le quotidien épicurien

Avec chaque année pour ce jour manichéen;

Quelque chose qui en vaut le détour

Avec de l'amour Byzantin très sain Valentin.

 

Jérôme de Mars

Tir à l'arc en ciel

 

Archange ciel;

Il est possible

Dans la mesure

Du plausible;

De peindre une aquarelle

Qui augure d'une belle nature;

En faisant du tir à l'arc en ciel

Et en mélangeant pimprenelles 

Et déesses intemporelles;

Qui trempent leur Missel

En faisant du tir à l'arc en ciel

Pour décocher une flèche; 

Direction la peinture fraîche

Qui met de la peinture d'huile

Avec de la poésie indicible;

Qui cible sa cible en passant au crible 

Accessible son portrait craché; en le brossant agile

Avec de la terre d'argile d'huile essentielle,

En faisant du tir à l'arc en ciel;

Qui décoche une flèche 

Pour la pomme de Guillaume untel revêche;

Qui a la pêche lorsqu'il se dépêche

De chercher les nouvelles fraîches;

En faisant du tir à l'arc en ciel

Avec un trop plaint insurrectionnel;

Qui précise de quelle manière pondre

Le journal des bonnes nouvelles pour répondre

A la loi de l'offre et de la demande,

Pour ceux qui quémandent à la commande

L'archange ciel; en déployant tournoyées les elles

Des anges; qui survolent les hirondelles

Et les tourterelles;

En échangeant des noms d'oiseaux

En faisant du tir à l'arc en ciel;

Et en adressant un appel au corbeau,

Dont il est naturel 

De ne point être artificiel

Et superficiel;

Avec pour bouts de supers ficelles

Un arc en ciel

Pour le peindre en un archange ciel;

Avec pour vies d'anges fraternelles

Des ange rebelles;

En faisant du tir à l'arc et et sans ciel.

 

Jérôme de Mars 

 

Super ficelle superficielle

 

Petits bouts de ficelle;

Avec des bouts de ficelles,

Il y a des manivelles

De super ficelle superficielle;

Artificielle et surnaturelle,

Où les paradis artificiels

Visent les sans ciel

De l'essentiel;

Qui égrène par le petit bout de la lorgnette

Ce monde de paillettes;

Qui recèle de multiples facettes

Avec des fossettes;

Qui se mélangent dans un sac de nœuds,

De ceux qui sont paresseux

De s'en défaire très pointilleux;

Avec de super ficelle superficielle

A jeter par petits bouts de ficelle

Des bouts de ficelles,

Qui intemporels;

Se détachent de l'essentiel,

Quand les sans ciel 

Grattent le ciel;

Et s'étirent au tir à l'arc en ciel;

Artificiel; semi partiel et par ciel;

Qui gratte le gratte ciel

De ses multiples facettes;

En contant fleurette

Dans une pseudo amourette;

Qui fait trempette

En jouant de la trompette;

Par des petits bouts de ficelles

D'un tas de bouts de ficelle;

Qui nivellent et amoncellent

Au singulier pluriel

Quelques demoiselles;

Qui se dépucellent

Avec pour Ménestrel; 

De super ficelle superficielle.

 

Jérôme de Mars

Ecris sur une feuille morte !

 

Comme ce monde est mon automne !

Et que tu prends tout pour ta pomme !

Ecris sur une feuille morte !

Tout ce que tu traînes dans ton cœur d'hématomes;

En employant la manière forte

Et en glissant à la manière de Prévert

Des pré-vers; 

Qui signifient que t'en as gros sur la patate !

Dans cette France, où il n'y a plus la patate,

Comme tout le monde se frite en permanence !

Dans cette France de la finance;

Dirigée par son éminence Monsieur Macron;

Qui prend Les Français pour des cons et des rubiconds,

Où il gèle toute sa politique sociale 

Parce-que ça le laisse de glace le lien social !

Où écris sur une feuille morte !

Tout ce que tu ressens de la sorte;

Même si tu fais croire que t'es une personne forte

Dans ce monde monotone;

Avec des feuilles mortes d'automne,

Où tu cherches ta voix aphone,

Quand tu la trouves atone;

Complètement stone,

Où écris sur une feuille morte !

Ce que t'inspire l'automne, de sa morte

Saison ce qu'elle t'apporte !

Ou t'emporte par la grande porte !

Avec tout ce qui transporte !

Et dont tu auras pour dernier tome;

Soit des atomes crochus;

Ou soit la somme au final qu'on te distribue

Pour payer tous tes malentendus,

Et dont pour régler l'ultime solde attendu;

Tu choisiras pour paroles fortes ;

Ce que t'auras écrit sur mille dernières feuilles mortes !

 

Jérôme de Mars

Blagues :
1) Pourquoi en France plus personne n'a la patate ?
- Parce-que tout le monde se frite en permanence !
2) Pourquoi Emmanuel Macron gèle-t-il toute sa politique sociale depuis le Covid ?
- Parce-que ça le laisse de glace !
Jérôme de Mars

Piqûre de rappel

 

Voici une grande saynète sur le thème du Covid :

 

Jean-Paul :  "  -  Bonjour, mon cher Jérôme, qu'as-tu de nouveau à me dire en piqûre de rappel à propos du Covid ?  "

 

Jérôme :  "  -  Qu'il vaut mieux se faire vacciner vu toute la rage qu'ont tous Les Français !  "

 

Philippe  :  "  - Bonjour à ton avis, Jérôme, que faut-il faire pour que je n'ai plus la rage à cause de ce Covid pour ainsi prier en paix ?  "

 

Jérôme :  "  -  Essaie d'aller voir hein Pasteur comme t'as la rage du Covid pour que tu puisses prier en paix !  "

 

Adel :  "  -   Salut Jérôme, quel conseil peux-tu me donner pour ne pas que je me prenne la tête à cause du Covid ? "

 

Jérôme : "  -  Mon cher Adel, ne cherche pas une aiguille dans une meule de foin si jamais t'as la vache enragée !  "

 

Guillaume :  "  -  Mon petit lascar, comment vas-tu ?  Que peux-me dire pour ne pas que les gens me blessent avec leurs agressivités à cause du Covid ? "

 

Jérôme :  "  -  La seule chose que je peux te dire lascar; c'est que comme t'es majeur et vacciné; c'est qu'il n'y a pas de raison que tu sois piqué au vif !  "

 

Alexandre :  "  -  Mon cher Jérôme, pourquoi ne veux-tu pas que je télécharge un film porno sur ton ordi  ?  "  

 

Jérôme : "  -  Parce-que si tu fais ça, ça risque de provoquer un virus sur mon ordinateur surtout avec le virus du Covid !  "

 

Boris :  "  -  Bonjour mon pote, que veux-tu que je te dise pour te faire rire ?  "

 

Jérôme :  "  -  Comme il y a le Covid, peux-tu m'envoyer des piques ?  "

 

Christophe P :  "  - Coucou mon pote; pourquoi m'envoies-tu souvent des blagues sarcastiques par sms ?  "

 

Jérôme :  "  -  Parce-que comme il y a le Covid, ça met un peu de piquant !  "

 

Steven :  "  -  Coucou mon pote, comment vas-tu ?  Comme je suis diabétique, quelle est à ton avis la meilleure manière de me protéger du Covid  ?  "

 

Jérôme :  "  -  Comme t'es diabétique, la meilleure manière de te protéger du Covid; c'est que tu te piques !  "

 

Brigitte Y :  "  -  Bonjour mon petit Jérôme; que peux-tu me dire de rassurant pour me rappeler le bon vieux temps de mon enfance face au Covid ?  "

 

Jérôme :  "  -  Pic et colégram  "

 

Farid :  "  -  A ton avis Jérôme; de quelle façon me conseillerais-tu de me shooter pour oublier le Covid  ?  "

 

Jérôme :  "  -  Je te conseillerais de te piquer avec une seringue !  "

 

Docteur Bernard Penot :  "  -  Mon cher Jérôme, que puis-je te dire pour te confirmer que tu es majeur et vacciné contre le Covid ?  "

 

Jérôme :  "  -  Mon cher docteur Penot que vous me fassiez une piqûre de rappel pour préserver ma santé !  "

 

Serge :  "  -  A ton avis mon cher Jérôme; le poète maudit, que faudrait-il faire pour que tout le monde soit majeur et vacciné du Covid ? "

 

Jérôme : "  -  Chercher une solution de fil en aiguille !  "

 

Edwin :  "  -  Pourquoi est-ce-qu'à cause de toi; tout était tombé à l'eau dans ma vie quand tu m'avais harcelé ?  "

 

Jérôme :  "  -  Parce-qu'à cause de moi, t'as piqué une tête dans l'amer !  "

 

 

 Jérôme :  "  -  Pourquoi Géronimo; as-tu des petits vélos depuis le temps que t'as pris ton envol ?  "

 

Géronimo :  "  -  Parce-que comme je suis un drôle d'oiseau; je pique des petits vélos dans ma tête pour voler de mes propres ailes !  "

 

Jérôme de Mars

 

 

Quand l'épervier fait dodo et que le dodo joue à l'épervier !

 

Dodo ! Il est l'heure de faire dodo avec ton épervier !

Si bien que quand le dodo joue à l'épervier !

Eh bien ! L'épervier fait dodo !

Qu'on appelle les inséparables;

Toujours près ensemble à s'amuser inopinément

Pendant que les canaris s'enlacent

Aux Iles Canaries; 

Avec leurs femmes et leurs maris

Dans leurs vies de famille; qui vident leur sac !

Dont leur besace

Demeure leur quotidien routinier ineffable

Qu'ils ne saquent !

Quand l'épervier fait dodo et que le dodo joue à l'épervier !

Avec le dodo qui fait dodo pendant que l'épervier joue à l'épervier;

Et que les canaris vivent aux Iles Canaris inséparables;

Des inséparables; qui affables plantent leur graine 

Envers le jardin d'Eden; qui a bien besoin d'une portée

Pour apporter en gestation une nichée de prises de becs, 

Afin que l'épervier se débecte, 

Lorsque l'épervier fait dodo et que le dodo joue à l'épervier !

Inséparables des inséparables canaris

Aux Iles Canaris; avec leurs femmes et leurs maris; qui volent le ciel

En drôles d'oiseaux, dont maintenant;

Il est temps que les inséparables plument de leur argent contant;

Les canaris; qui survivent aux Iles Canaris; avec comme projet en gestation;

Que l'épervier fasse vraiment dodo avec le dodo !

Et que le dodo joue en gagnant à l'épervier avec l'épervier ! 

Dont au final, l'épervier et le dodo restent très inséparables

Aux Iles Canaries, quand petit à petit sans déni; leurs oiseaux font leur nid...

 

Jérôme de Mars

Je m'en fous de m'en foutre que tout le monde s'en fout de moi !

 

Histoire de fous dans ce monde à dormir debout !

Tenez-le pour dit !

Que même si je suis un poète maudit;

Que je m'en fous de m'en foutre

Que tout le monde s'en fout de moi !

Même si il y a des gens avec qui je suis en froid,

Dont je m'en fous de tout 

Dans tout ce joli fourre-tout;

En bande organisée de lascars ripoux;

A moins qu'il y en ait qui me cherchent des poux

En tout et pour tout de joyeux manitous,

Où je déverrouille les écrous

De mon verrou,

Quand je me renferme trop derrière un trou

De cellules;

En me faisant des cheveux parmi mes cellules; 

Qui se renferment dans leurs bulles,

Comme je m'en fous de m'en foutre

Que tout le monde s'en fout de moi !

Même que parfois, ça jette un froid

Dans tout mon désarroi !

Que je traîne en pâture 

En jetant tout dans le vide or dur,

Où je m'en fous que tout foute le camp !

Même que passe le temps !

Dans un espèce de passe-temps;

Qui sent au fur et à mesure le néant

Dans ce monde de morts-vivants,

Où tout ne fait qu'en allant déviant;

D'autant que je m'en fous de m'en foutre

Que tout le monde s'en fout de moi !

A braver le chaud et le froid,

Où dès fois s'il y a quelqu'un 

Qui serait prêt à converser avec moi !

Peut-être que d'OTAN en paix;

Je m'en ferai un bon copain

Dans une relation de longue durée;

Aux affinités de bon Samaritain,

Où les deux se comprendraient

Avec singularité pour affronter

L'adversité dans une profonde amitié,

Où chacun chercherait à se raccrocher

A quelque chose de bien et d'humain,

Malgré les vicissitudes de la vie; 

Qui peuvent être mesquins

A faire que chacun dévie

Du droit chemin ! Mais 

Dont pour rester amplement opportuns

Et ne plus être orphelins;

Il vaut mieux que face aux aléas

Et pour que ça fasse débat !

Que je m'en foute de m'en foutre

Que tout le monde s'en foute de moi !

Le cul sur la poutre !

 

Jérôme de Mars

 

Défilé poétique

 

Comme ces vers de Jacques Prévert;

Je m'en vais jeter mon bateau ivre

Dans les bras d'Arthur Rimbaud;

Entre la givre de l'hiver

Et la poésie sous toutes ses formes

De Guillaume Apollinaire; 

Qui dépeuple Alphonse de Lamartine,

Quand tout lui manque au poète maudit;

Paul Verlaine qui jette son bas de laine

En vers Charles Baudelaire;

Avec de l'alcool d'absinthe, 

Quand Pierre De Ronsard;

Qui fait couler beaucoup d'encre

En plumant sa mignonne;

Genre allons voir si le mot rose !

Côtoie et boit un ver solidaire de poèmes

Avec Pierre Corneille,

Quand il dort si bien aux corneilles

Auprès vers Edmond Rostand,

Où tous marchent et défilent

Dans le champ des partisans,

Comme au temps des cerises

De ce défilé poétique,

Dont je jette toute mon encre

En vers pro-courant libertaire;

Pourvu que je reste affable

Avec la morale des fables 

De la fontaine, d'où jaillit la fontaine

De ce défilé poétique,

Dont je signe le traité de paix

Pour bien traiter ces vers

De mâles traités;

En vers de l'envers du décor

Envers l'envers du Vercors; 

En faisant un pied de nez

Aux cors de pieds, 

D'où pour terminer ce défilé poétique;

Je fais un appel de douze pieds,

Si bien que vont sonner les sonnets

Ici bien résonnés en alexandrins;

Avec Alexandre sans drains;

Ou sans grain de folie,

Telle la fin du chant d'action

De ce défilé poétique.

 

Jérôme de Mars

Eclats de vers

 

Vers de vers

Avec que des revers;

Il y a des éclats de vers

De bris en bruits aux vers

En faux revers; 

Avec des vers

Et des pas mûrs o vers;

Qui se mettent aux vers,

Quand mes vers passent aux vers;

O vers de mille et uns revers

Avec des éclats de vers;

Qui cassent de travers

Le parterre par terre;

Elémentaire de la terre mère

Pour y voir clair 

Dans la lumière;

De vers à vers vers

Ce nouveau poèmes de vers

En éclats de vers;

Que je casse de revers,

Alors que je mange une orange

Et que je passe aux vers,

Dès que je vois rouge de travers

Et que je vois ce qui m'arrange;

Avec des éclats de vers

Pour mettre en pré-vers

L'influence de Prévert;

A des coups vers

En mettant de travers;

Mes vieux travers

En éclats de vers;

Qui se jettent en mots couverts;

Ouverts ou vers

De mille et une manière

Pour partir recouvert;

En quittant cette maudite terre

Sur La Terre délétère 

Et exemplaire,

Où seul au cimetière;

Je saurai respirer un ver solitaire 

Salutaire venu de vers de terre,

Dont après les éclats de vers;

Il sera temps de susurrer débonnaire;

V'là dès bon air !

Avec de la poussière;

Qui brilleront de derniers éclats de vers

Gamme hauts vers revers.

 

Jérôme de Mars

 

 

Petit à petit, l'oiseau fait son déni...

 

Cuicui petit oiseau troubadour

Qui se jette dans le four des vautours

Dans les entrailles de leur nid,

Quand petit à petit, l'oiseau fait son déni...

Et qu'il renie tout ce qu'il a construit;

Bâti et érigé à la sueur

De son front; avec quelques lueurs

Dans la fureur de quelques raisons;

De sourire encore à la vie jusqu'à son nid,

Quand petit à petit, l'oiseau fait son lit...

Dans le déni du ni oui ni non tout béni;

A qui il dédie une chanson d'amour auréolée;

Bercée de belles paroles olé olé pour encenser

Des vols d'hirondelles; qui remercient

L'oiseau avec la clope au bec; qui 

S'assoit sur la branche qui le fait miroiter 

Sans soucis et sans inepties d'un monde enchanté;

Même en disant mille et une mercis,

Quand petit à petit, l'oiseau fait son déni...

Et son lit avec en cerise sur le gâteau une fée;

Qui répare les dégâts de la forêt dépeuplée,

Pour la remettre sur l'orée de nouvelles saisons;

Qui en diront long sur ce que veut l'oiseau et sa smala;

En franchissant de ses pas

La route immense à destination du paradis,

Quand petit à petit après son déni,

L'oiseau fait enfin son nid...

 

Jérôme de Mars

Lorsque la mer pleure après avoir fait le vide !

 

Songes des nuits troublantes trépassées sur l'océan Pacifique;

De similaires manières indiquent en optique qu'il faut en êtres pacifiques;

Rester solidaires de la mer; complémentaire de la terre même qu'elle est livide,

Alors que si l'océan demeure rigide de caractère; il faut le rendre symphonique

Et compatible pour le mettre au courant d'eau; de l'au-delà magnétique;

S'il y a des forces de l'esprit qui font semblant d'être livides et avides,

Lorsque que la mer pleure après avoir fait le vide !

A cause du Covid ou bien si elle demeure sous le feu des projecteurs;

A embraser le démon du Midi dans un renvoi de censeurs sans sœur,

De telle sorte à résister au cours du temps symptomatique ou asymptomatique; 

A s'en foutre des conséquences stratosphériques et atmosphériques;

Qui surgissent sur l'océan Pacifique en anciens nageurs en nage pacifique;

Avec des regards de compassion qui respirent un sourire placide,

Lorsque la mer pleure après avoir le vide !

Dans sa vie mais pas dans l'océan Pacifique,

Dont il faut persévérer à œuvrer au pardon charismatique 

Pour rendre automatique les versets aquatiques;

Qui ont versé des prières pacifiques,

Afin de préserver la paix sur la terre mer

Au beau milieu des courants d'air bordés de rivières,

Car même s'il faut se méfier de l'eau qui dort !

Il faut bien que le soleil se lève aux aurores;

En jouant au golfe persique

Sur l'océan Pacifique;

En train de calmer les conflits puérils avec des vagues synthétiques

Dans le but de prendre sa source; en revenant aux sources de la vie pacifique

A nager avec les baleines et les dauphins, car cétacés

Qu'il y en a maintenant assez

De regretter le temps de la guerre nostalgique et névrotique,

Dont il vaut mieux songer à des fantasmes bucoliques

Et périodiques, pour qu'abdique le Covid vide, 

Lorsque la mer en chœur valide 

La nouvelle vague placide après être revenue avide !

 

Jérôme de Mars

Il faut avoir la franchise de faire ses courses

 

C'est label et répartie de plus belle !

Pour avoir la franchise

De le dire qu'on va faire ses courses

Dans un magasin; qui a la franchise

De faire ses courses en mettant la main

Au panier; avec un panier garni  

A francs prix; qui a l'honnêteté

Et la franchise d'avoir une franchise,

Dont il faut avoir la franchise

De faire ses courses à francs prix;

Avec des francs prix, dont avec la franchise

De le dire; il faut avoir la franchise

De faire ses courses;

Avec franchise à francs prix.

 

Jérôme de Mars

Michel qui mit en Seine Audiard

 

Michel Audiard naquit à Paris; en 1920 sur les rives des quais de la Seine,

Dont sa vie ne fut un long fleuve tranquille, et où à l'âge de la vingtaine; il resta

Marqué par les traumatismes de la seconde guerre mondiale, dont malgré le fait

Qu'il écrivit des articles dans des journaux collabos; d'antan qu'il en justifia que

Ce fut une imposture; lui l'artiste touche-à-tout; qui fut très polyvalent dans sa Carrière  éclectique à la fois écrivain; acteur; dialoguiste; scénariste; réalisateur; Journaliste; chroniqueur de presse et critique de cinéma, mais dont malgré sa carrière de réalisateur critique de cinéma; on retient surtout son talent de Dialoguiste et de scénariste aux dialogues percutants; décapants et truculents qui Font mouche dans des films magistraux; avec toute l'irrévérence d'une époque Hélas révolue; de laquelle il collabora avec des cinéastes de premier plan comme Gilles Grangier; Henri Verneuil; Georges Lautner; Edouard Molinaro; Jacques Deray; Pierre Granier-Deferre; Denys de la Patellière etc.. en faisant avec eux

Des chefs-d'œuvre; desquels il tira des films mémorables qu'il subjugua de par

Ses dialogues avec sa verve perspicace; teintée de sa gouaille de vieux titi parisien Qui fit qu'aux abords de sa carrière; il réalisa des films hilarants et désopilants; Ensuite; il se maria en 1947, dont avec sa femme; il eut deux garçons Jacques Audiard; le futur cinéaste à succès comme son illustre père; duquel il marcha sur ses plates-bandes; et François, son second fils qui mourut le 19 janvier 1975 dans Un accident de voiture, dont ce fut au moment, où Michel Audiard rédigea le Scénario et les dialogues du film " L'incorrigible " avec Philippe Broca, dont de ce drame tragique; il ne s'en remit jamais; s'éplorant de son désarroi en s'enivrant Dans la cigarette pour mourir à petit feu, dont il en tira en 1978 un livre en partie autobiographique : " La nuit, le jour et toutes les nuits "; dont en faisant preuves de déduction; j'en tire comme conclusion; avec épreuves à l'appui que ce désastre l'affecta à tel point; que cela eut une influence pour la suite de sa carrière, d'où il Pondit dans la dernière partie de sa route ses ultimes scénarios dans les affres de Nuits d'hôtel dans un hôtel; logé à la même enseigne de la solitude; avec la clope

Au bec, dont ses derniers films furent dramatiques et sombres tels que " Garde à Vue ", dont il reçut la récompense du césar du meilleur scénario original en 1982; 

Et aussi " Mortelle Randonnée " , mais avant de connaître une fin de vie triste et Tumultueuse, retour à l'apogée de sa carrière pendant ses jeunes années en Pleine force de l'âge, d'où il composa une pléthore de dialogues et de scénarios Savoureux; cocasses et subtils dans de grands films saisissants au retentissement Conséquent, desquels il tourna 17 films avec son ami Jean Gabin dont : " Les Grandes Familles "; " Les vieux de la vieille "; "  Le Baron de l'écluse "; "  Un singe En hiver "; Le cave se rebiffe "; Mélodie en sous-sol " ; lorsque Michel Sardou; un Chanteur populaire de la même trempe et veine que lui; avec un caractère similaire Au Sien; lui; qui ne tarissait pas d'éloges à son égard; lui rendit hommage avec sa Chanson : " Le Cinéma D'Audiard "; en référence à ses multiples films de sa Panoplie de dialoguiste et scénariste aux innombrables succès; que furent : " Un Taxi pour Tobrouk "; Mission à Tanger ", comme pour se taire; terre attention Danger; avec également :  " Le marginal "; " Le guignolo " ; " Cent mille dollars au Soleil " ; ainsi que " Le professionnel "  pour l'ami Bébel, dont ainsi de plus bel pour Michard Audiard, quand la vie fut plus belle pour lui; lui; le rebelle de droite; il Réalisa aussi durant sa période de réalisateur de films; 8 longs-métrages, dont de Mémoire; ce ne fut des souvenirs impérissables; avec parmi lesquels de long en Large parmi ses films aux titres très longs : " Une veuve en or " ;  "  Comment Réussir quand on est con et Pleurnichard " ; " Le drapeau noir flotte sur la marmite " ;  " Le cri du cormoran le soir au-dessus des jonques "  ; " Bons baiser.. à lundi " ;  " Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages " ; " Elle Boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais elle ... cause ! " ;  " Elle cause plus... Elle flingue "; Michel Audiard fut humblement meilleur dans son registre de Dialoguiste et scénariste; que dans celui de sa réalisation de films, dont il ne faut Omettre au maître à l'actif de Michel Audiard; qu'il a écrit les dialogues et les Scénarios de deux films qui demeurent des chefs-d'œuvre prestigieux et prodigieux De grande envergure tels que :  " Les tontons flingueurs " ;  et  "  Les Barbouzes " Qu'il flingua à coûts de répliques assassines; avec sa bande de copains acteurs, Dont parmi lesquels " Lino Ventura " ;  " Francis Blanche " ;  " Jean Lefebvre " ; 

" Bernard Blier " et " Claude Rich "; riche d'immensité; qui en plus de l'enrichir Financièrement; l'enrichira très humainement duquel il perpétua le mythe et la Légende de faire du cinéma à l'ancienne, et dont il eut pour lot de consolation si on Peut dire ça malgré la mort de son fils; la légion d'honneur remise par son ami Jean Gabin en avril 1976, dont le seul regret de sa vie fut de ne pas adapter le livre De Louis-Ferdinand Céline : " Voyage au bout de la nuit ", mais dont malgré tout; il Mourut dans un voyage au bout de la nuit en 1985; des suites d'un cancer du Poumon dans sa maison à Dourdan malgré que durant toute sa vie; il fit un tabac Avec la cigarette pour noyer son chagrin dans les excès d'une vie consumée et

Assumée, dont il ne réussira jamais à crever l'abcès; à part crever après s'être fait 

Griller la politesse et la cigarette, pour partir en fumée après avoir fait de sa vie une Embellie pulmonaire; de Michel qui mit en Seine Audiard.

 

Jérôme de Mars

Passeur de mots

 

Avec moi l'espace d'un instant;

Oubliez vous soucis !

En faisant de vos maux

Une possible accalmie;

Grâce à moi; le passeur de mots:

En fuyant les mauvaises nouvelles

Et en vous bronzant face au soleil artificiel,

Dont l'essentiel est les sans-ciel 

En imaginant en parallèle

Dans un avenir intemporel;

De passer de bons moments

Bardés de plaisirs exaltants;

Grisant le temps,

Dont pour cela; oubliez vos ennuis !

En trompant l'ennui,

Malgré que parfois dans votre vie;

Il fait nuit !

Alors pour cela, prenez votre mal 

En patience ! En attendant

De renouer avec le cours normal

De votre vie; à fortiori

A nouveau belle 

En oubliant vos maux;

Grâce à moi; le passeur de mots,

Pour regarder l'envers de la déco

Grâce aux vers du dico;

Même si ce n'est pas du disco

Tout ce méli-mélo,

Dont autant faire l'apéro

De comptoir au bistrot

D'en face; ou au resto

Surplace, pour s'enivrer;

Virer et dériver vers le paradis superficiel

Des amis, quand le mélo dit !

Qu'il faut conclure cette mélodie

Sans soucis; 

Complètement space

L'espace d'un instant,

Afin que tout le monde se prélasse

En oubliant ses maux;

Grâce à moi; le passeur de grands mots.

 

Jérôme de Mars

 

Mais quel ange a piqué Michel Ange ?

 

Italie dont les chemins mènent toujours à Rome !

A la Rome antique de sa renaissance,

Mais quel ange a piqué Michel Ange ?

Artiste iconoclaste doué d'un génie absolu;

Avant-gardiste préférant parler de ses maux

Aux mots; de ce qu'il est au plus profond de ses trémolos;

Qui riment avec des poésies qui sonnaient, 

Comme un camouflet à la fin de sa vie;

Lui qui avait peur que Les Italiens réacs;

Ne puissent l'encadrer 

Et le voir en peinture, dont sa fragile nature pour certains;

Et parmi les puritains; considérèrent qu'il avait trahi l'église;

Et les conservateurs bien-pensants dans le péché

De l'acte consentant qu'en sentant son côté mi ange

Mi démon; même si dans son art de Trafalgar;

Il jeta de Florence des poésies en allusion

A ses hommes, dont en garçons manqués;

Il fit croire que ses lettres de duchesse

Etaient adressées et destinées à ses demoiselles dulcinées,

Dont il n'en fut rien ! De tel qu'il se dépucela

Avec des hommes préférant cacher ses rêves

De nudités en vers ses penchants; tel

Un camouflet qu'il aimait autant être aux mots

Qu'homos, dont ce n'est pas une honte;

Mais quel ange a piqué Michel Ange ?

De vouloir convaincre l'humanité que c'est un ange;

Qui arrange mes anges pour voler bien haut;

Tel un drôle d'oiseau de mésanges; qui vole vers le chaos

De son esprit libertaire et rebelle; qui sculpte en peinture la chapelle

Sixtine du Vatican; même s'il est bien présent, 

Pour camoufler ses idées précurseurs; très en avance

Sur son temps, malgré qu'il fait des avances

De ses errances, pour voir le vent tourner en écumant les tableaux;

Les sculptures et les poèmes, même s'il ne fut souvent en odeur de Sainteté,

D'où qu'il vient; et que ce soit en alexandrins en plus de 300 poèmes,

Qui riment à jeter son encre, mais quel ange a piqué Michel Ange ?

D'avoir honte d'être à voile et à vapeur, dont il n'y a aucun scandale

D'être ce qu'il veut être et ce qu'il est vraiment; du moment qu'il ne fait de mal

A personne, pourvu qu'il fasse le mâle en artiste sculpteur; poète et peintre,

Pour peindre la vie sous de meilleures couleurs; en sortant du cadre

Et en jouant sur tous les tableaux; avec à sa disposition une palette

De différentes gouaches; allant des couleurs pastelle à des aquarelles,

Pour faire croire que dans sa vie; tout tombe à l'eau !

Alors qu'il suffit qu'il scande hello ! Et l'eau ! Pour épater et amuser

La galerie; avec son égérie de vie d'ange, pour nettoyer son jardin secret

De sa vie d'ange; et vider sa vie d'ange en balayant devant sa porte; 

Dans sa vie mi ange mi démon, et dont il vaut mieux qu'il fasse de son art;

Une vie d'ange dans un archange; qui se mélange et qui arrange à qui bon;

Semble bien le croire ! Du genre qui se ressemble s'assemble !

Même s'il eut la reconnaissance de ses pères qu'avec des connaissances;

Passées le seuil de sa renaissance; bien des années après; entre souvenirs

Et anecdotes de sa vie d'ange, dont il fut l'autodidacte en peignant la vérité

De sa personnalité et de son authenticité; à coûts de couleurs pour voir

La vie haute en couleurs; en reprenant des couleurs et en en voyant la couleur

De ses sentiments; dissimulés sous des mensonges d'apparences et de façade,

Si bien qu'on en vient à lui réclamer des sérénades et des accolades, pour que

Le soleil se fasse plus pressant et insistant en ce monde tumultueux et brumeux,

Dont mais quel ange a piqué Michel Ange? D'avoir manqué de reconnaissance

Durant sa renaissance, mais dont maintenant sa quintessence est l'essence

Et le sel de sa vie, dont lui manque juste celle de la parcelle de par celle, où part Celle de la renaissance à la reconnaissance de son talent, dont dis donc ! 

Mais quel ange a piqué désormais Michel Ange au pays des anges ?

 

Jérôme de Mars 

 

 

 

 

 

 

Le renard affûté qui a de l'esprit libre !

 

Maître corbeau; qui passe un appel de corbeau

Au renard affûté qui a de l'esprit libre !

Aiguisé comme un animal renard;

Tel un drôle d'oiseau aux ailes brisées;

Goguenard qui va en direction du vent

De la rose déviant dans une brise;

Tel le renard affûté qui a de l'esprit libre !

A coûts de répliques assassines;

Qui enclenchent le plan troisièmes 

Couteaux Suisses dans la jungle

De la corde d'Eliane; qui tire trop sur la corde raide !

Tel le renard affûté qui a de l'esprit libre !

A hurler le cri de Tarzan et qui singe Cheetah; 

En montrant de quel bois il se chauffe !

A l'abri dans sa cabane en bois

En parlant la langue des bois;

Avec son pagne pour cacher

Ses réparties intimes; tel le renard futé

Qui affûté a de l'esprit libre; esprits rebelles !

 

Jérôme de Mars

Tout est pour ma pomme de terre 

 

Plus haut que trois pommes;

Si je mange des pommes,

Tout est pour ma pomme de terre;

Si j'épluche pour ma pomme de taire

Toutes les pelures de ce monde ,

Où tout le monde se frite,

Quand plus personne n'a la frite !

Sur le boulevard côté du trottoir,

Où les gens qui abondent

Le quai; sont comme à au quai chorale; 

En ayant le cafard et en pleurant dans leur mouchoir

De la chorale de cette France qu'ils déchantent, 

Comme dans un mouroir qui incante

Tout le mal en France qui en devient normal;

Avec tout qui se banalise dans ce monde en larmes décrites,

Comme si elles étaient écrites

D'office; hautes comme trois pommes de taire,

Où tout est pour ma pomme de terre

A pleurer de s'en mêler des oignons délétères 

De ce monde austère; qui n'est pas loin d'une fin d'adultère,

Où tout le monde trompe tout le monde; détrompe-toi !

De ta pomme dépit qui plonge le monde dans le brouillard ou le noir,

Où tout le monde se dit et te dit ça ne nous regarde pas !

Où tout est pour ma pomme de terre;

Si j'épluche pour ma pomme de taire

Tout ce monde qui se crispe dans le chaos;

Avec pour lourd fardeau tout ce qui risque d'arriver paranos

Aux gens mégalos; qui se croient invincibles;

Tellement que tout le monde sur le fil du rasoir en pète ses fusibles,

Comme dans un drible; 

A tout trépasser au crible 

Ayant pour cibles et en ligne de mire;

Tout ce qui est anxiogène en ce monde qui est de pire en pire;

Avec pour satire que j'épluche ma pomme de taire,

De toutes ses pelures jusqu'au trognon où tout est pour ma pomme de terre.

 

Jérôme de Mars

La différence qui fait la différence !

 

Vision des choses avec vue sur l'appareil !

Malgré la différence; on est tous pareils !

Du pareil au même

Avec dans la vie les mêmes problèmes,

Pourvu que tout le monde s'aime

Avec la différence qui la différence !

Dans le souci qu'il n'y ait plus d'indifférence;

Mais de la déférence 

Avec bienveillance; vaillance 

Et révérence

Dans une société inclusive,

Où l'handicap ne sera plus une place exclusive

De seuls ceux qui sont concernés par le handicap !

Afin d'aller tous ensemble vers le même cap,

Cap de la bonne espérance

Avec la différence qui fait la différence !

Sans insolence mais avec pertinence

Loin de la loi du silence, 

Mais dans le un pour tous !

Avec des coups de pouce;

Doublée d'une sympathie 

Et d'une empathie

De ceux qui comprennent le handicap;

Et dont il faut aller encore plus

Vers une société davantage ouverte

Avec pour bénéfices de précieux bonus;

Même que dans la nature

Il y a des vertes

Et des pas mûres !

Car si personne ne fait bloc

Dans un roc

De pierre, alors on ira tous droit dans le mur !

Et dont pour cela; il suffit juste d'afficher le cap

A suivre pour mener une bonne politique pragmatique;

Sans arithmétiques et statistiques,

Pour que l'intégration des personnes handicapées

Et en difficultés

Se fasse dans une place en direction de chacun,

Pour que chacun trouve sa place un jour certain;

Avec la différence qui fait la différence !

Et sachez pour votre gouvernance !

Que ceux qui sont dans l'ignorance

Avec un manque d'expérience;

Qu'il y a une multitude d'handicaps invisibles,

Dont on soupçonnerait que ce sont des gens tout simplement ordinaires;

Avec aucun risque de péter les fusibles,

Mais dont elles veulent de la part des Français un regard sincère

Sur leurs capacités à être dans la résilience,

Pour s'adapter en toutes circonstances 

Sans être victimes de préjugés

Qu'on envenime sur la surplace du bûcher;

Mais ce dont les personnes handicapées veulent;

C'est travailler et bûcher dur malgré leur peur de l'inconnue

Pour ne pas rester assis sur leur fauteuil en ne faisant pas le deuil 

De leur handicap, 

Pour démontrer de quoi elles sont cap !

Au seuil de leur handicap;

Qui leur précise qu'elles sont cap

D'avoir comme tous les autres une tape

Amicale galvanisée par du lien social;

En ayant une vie la plus normale

Possible pour qu'on les considère,

Comme des êtres à part entière;

Débonnaires et salutaires

Dans une attitude volontaire;

Qu'elles soient dans le bus ou dans la rue,

Car ce qui défait l'indifférence;

C'est la différence qui fait la différence !

 

Jérôme de Mars

Poème bénévole

 

Argent contant;

Je ne fais pas ce poème

Pour l'argent,

Où je sème

Dans un poème bénévole

Tout ce que frivole;

J'apporte pour prendre mon envol,

Pour que ça vole

Bien haut dans ce temps de parole;

En chantant des sérénades 

De rossignol; qui se gondolent

En fredonnant des airs de ballade

Au jardin des gondoles; qui m'enrôle

Dans ce poème bénévole,

D'où je cherche comme antivol;

Quelque chose pour m'ouvrir en un sanctuaire

Après un vol d'oiseau aux ailes brisées,

Pour avoir de quoi souffler des vers salutaires;

Qui iraient convoiter le prestige de la liberté,

En quête d'une reconnaissance tant rameutée;

Depuis ce temps que je cherche à prendre mon envol

Avec ce poème bénévole,

D'où je caracole

Evidemment pas comme à l'époque, où j'étais tombé bien bas,

Et dont ce qui fit débat auparavant ce furent mes aléas;

Qui confirmèrent que je dégringole sur un col jalonné d'alcool,

Où je voulus malgré tout remonter la pente en tapant sur un piano !

Que j'accole d'un do ré mi fa sol,

Comme la queue d'un chat coincée sur un piano !

Dont y allez-y mollo !

Pour y dénicher la parfaite soprano

Grâce à la chaîne Mezzo,

Dont le seul mentor;

Qui saurait trouver ma voix en écriture si t'es Nord !

C'est lorsque j'aurais pris mon envol 

Vers le grand Nord ici Milord; mi lord;

Aux premiers abords en virant de rebord

Frivole; et en ayant fait le guignol

Et la farandole;

De ce pourquoi ma parole est d'argent !

Et mon silence en argent contant !

De ce poème davantage bénévole.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                          Blague :

 

 

 

Que fait une femme du nom de Line à son mari pour lui faire cracher la purée ?

-  Elle mousse Line !

 

 

                                                  Jérôme de Mars

Ceux qui se shootent sont très stupéfiants !

 

Résine de cannabis de ceux qui fument des joints !

Ils enroulent dans du bedeau ce qu'ils fument en juin !

En fumant le calumet de la paix avec du shit,

Pour ne plus que ça fasse pschitt !

Mais que ce soit un hip hip hip hippie

Dans un youpi nous v'là dans de beaux draps d'euphorie !

Entre le spleen et l'harmonie, où ici à l'avenant

Ceux qui se shootent sont très stupéfiants !

Pour oublier le temps d'un snif la dure réalité de la vie

Dans des paradis artificiels,

Où tout le monde se sent pousser des ailes !

Ailes d'ange ou de la poudre blanche en plus ci-joint !

Et rejoint avec de l'ecstasy qui saupoudre la marijuana ici enjoint !

Pour que soit joint l'utile à l'agréable en des substituts plaisants et complaisants !

En occultant l'espace d'un moment; tout ce que ce monde déviant

Provoque à l'état de panique d'un mal de vivre environnant

Et ambiant, où l'on met des pansements en ruban;

A la place des gens exaltants qui distribuent de l'amour ambulant;

En tant qu'artistes déambulant charmants !

Pour faire rire les enfants et les grands,

Où ceux qui se shootent sont très stupéfiants !

Soit stupéfiants pour tromper les gens;

Ou soit avec des stupéfiants pour faire croire qu'ils sont plein d'allant !

Et qu'ils vont de l'avant alors qu'ils sont totalement dans leurs tourments !

En pensant persécutés que tout le monde leur en veut et se dépréciant;

En se persuadant que personne ne les aime car sentant qu'ils sont indifférents !

A leur égard dans un mauvais regard stupéfiant ,

Et dont pour que les autres leur soient à nouveau bienveillants !

Et compatissant  vis-à-vis d'eux malgré qu'ils sont souffrants !

Au temps leur laisser le temps que les autres leur soient stupéfiants !

Sans qu'ils prennent forcément de stupéfiants;

D'OTAN que s'ils tapent dans un ballon d'essai au combien vivifiant !

Ceux qui shooteront en seront cette fois trop stupéfiants !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Conversation secrète

 

Conversation secrète entre impatient; Jérôme Bedrossian et sa psychiatre du CMP de Vitry Sur Seine Madame Teillet :

 

Madame Teillet : -  "  Bonjour comment allez-vous Monsieur Bedrossian ?  "

 

Impatient; Jérôme Bedrossian :  -  "  Bien Madame Teillet; vous pensez que c'est un mal pour un bien et que ça cache quelque chose ? "

 

Madame Teillet :  -  "  Comme vous le savez Monsieur Bedrossian; je ne vous cache rien car je suis cash avec vous dans une répartie de cash/cash et dont je pense comme vous le dites; que vous êtes un mâle pour un bien !  "

 

Impatient; Jérôme Bedrossian :  -  "  Ca tombe bien ce que vous dites Madame Teillet ! C'est un ping-pong verbal les entretiens mensuels que j'ai avec vous; vous êtes cash comme mon psychiatre en libéral dans le cadre de la psychothérapie qui me connaît depuis plus de 25 ans le docteur Bernard Penot et qui comble ironique de l'histoire habite à Rue de La Roquette !  Dont tout ce qu'il me dit et tout ce que je lui dis; ce sont des vannes à deux balles sans gilet pare-balle ! Comme la capitale de L'Arménie que je chambre à plein gaz et revanne !  Et dont les entretiens avec vous sont sans filet !  "

 

Madame Teillet : -  "  Vous me faites trop rire Monsieur Bedrossian; j'avais une question à vous poser; pourquoi L'Arménie a-t-elle été persécutée par Les Turcs ? "

 

Impatient; Jérôme Bedrossian : -  "  Parce-que La Turquie a toujours été le boss fort ( Bosphore ) de L'Arménie  "

 

Madame Teillet :  -  "  Donc j'en déduis Monsieur Bedrossian que c'est la raison qui explique pour laquelle à L'ESAT; vous ne bossiez pas fort avec un poil dans la main !  "

 

Impatient; Jérôme Bedrossian :  -  "  Non; je ne suis pas d'accord avec vous; je dirai plutôt que j'étais poil à gratter !  "

 

Madame Teillet : -  " Je pense que vous me baratinez !  "

 

Impatient; Jérôme Bedrossian :  -  "  Mais non; pourquoi pensez-vous cela ? Je dis juste toute la vérité rien que la vérité à vos cas d'office ! Dans un cas de légitime décence; en jouant au jeu de cette vérité et au je de cette erreur !  "

 

Madame Teillet :  -  "  Comme vous croyez tout savoir que puis-je vous prescrire comme médicament et vous proscrire de ce qui est prescrit avec vos erreurs du passé ?  "

 

Impatient; Jérôme Bedrossian :  -  "  Ne pas me prescrire un médicament en cachet mais cacher ce cachet pour le proscrire, car le seul médicament qu'on peut me prescrire; c'est que toutes mes erreurs du passé soient prescrites et qu'elles soient  proscrites à l'avenir, dont l'unique chose à me prescrire c'est de profiter de la vie et du moment présent ! En sirotant un bon sirop d'orgeat pour me soigner en buvant de belles paroles sobres dans la vie ! Qui ne soûlent personne mais qui permettent de profiter de la vie en fumant le calumet de la paix pour être en paix depuis naguère ! Dont c'est en signant le traité de la paix et en faisant la paix ! Que je ne me maltraiterai plus; que je ne serai plus maltraité; que je ne me sous-traiterai plus et que je ne serai plus sous-traité mais que je serai traité comme quelqu'un à part entière comme les autres; qui a une parole d'honneur et qui respecte sa parole; voilà !  "

 

Jérôme de Mars

 

Les voyages forment la genèse

 

Voyage vers le subconscient inconscient

De ma jeunesse éperdue,

Dont tout semble irrésolu

Vice à vice de mes écarts intrigants,

Dont les voyages forment la genèse

Dans mon profond malaise qui reste balèze,

Comme un fil d'équilibriste sur un trapèze

De ce fardeau qui m'est trop obèse,

Et où je ne vois le bout du tunnel;

Enseveli dans les vestiges d'une ombrelle

Entre ombre et lumière,

D'où je perdure dans une éternelle crise de nerfs,

Où les voyages forment la genèse

Et déforment dans une antithèse;

Ma vie qui s'effondre dans une falaise en fadaises,

Pourvu que mon passé me taise,

Malgré que j'en ressors à l'insu

De mon plein gré, où je sue

Dans une pléthore de foutaises;

Punaise de mon portrait craché;

Duquel j'ai la figure rétamée

Par les stigmates de ma vie échec et mat;

Ou et Tchèque et mat dans ma vision

Des choses qui me causent une aversion,

D'où je perds la vue renfermée dans mes bévues astigmates,

Où les voyages forment la genèse

De ma jeunesse rongée par ses vieux démons intérieurs;

Qui font que je tente de rire dans une façade de soleil aguicheur,

Pour prouver tout ce que j'ai éprouvé dans mes vieilles charentaises,

Où j'ai envie de mettre ma jeunesse entre parenthèses

Pour voir si les voyages forment encore la genèse.

 

Jérôme de Mars

                                                    Blague :

 

 

Pourquoi La Turquie a-t-elle toujours été en guerre avec L'Arménie ?

 -  Parce-que La Turquie a toujours été le Boss fort ( Bosphore ) de L'Arménie !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Votre honneur !

 

Bienvenue en apesanteur

Dans la folie des grandeurs;

Votre honneur !

Haut ! Quel honneur !

Et quel bonheur !

De mieux vous connaître

De votre être

Intérieur; de ce qui vous ronge

De l'intérieur; et de ce vous songe

En tout point tout honneur !

Oh ! Quelle bande de râleurs !

Dont vous faites partie en inquisiteur

A bonne entendeur !

Pourvu qu'avec saveur !

Vous en ayez les faveurs

Votre honneur !

Oh ! Quel honneur !

Si vous en tirez comme leçon;

Qu'il ne faut point mordre à l'hameçon !

Genre garçon manqué

Que vous êtes en vieux planqué !

Dérangé et dégénéré; 

En partant sur la pointe des pieds !

Engranger des noms de sobriquets;

En allumant votre relique de briquet

Votre honneur !

Haut ! Quel honneur !

A part penser qu'il faut évoluer

Avec la société et ses idées !

Pour que la peur change de camp

Et qu'elle foute le camp dans le champ

Des possibles égarements;

D'une jeunesse en désagréments;

Qui n'y voit que des inconvénients, 

Alors qu'il suffit de bons vieux arguments

Pour passer des tourments;

Et les trépasser en ouvrant

En un précieux sésame le printemps;

Et d'y voir clair dans la lumière

En ayant les idées claires; proches d'une nouvelle ère,

Dont avec éloquence;

Vous tirez inexorablement votre révérence;

Qui fait la différence

Entre irrévérence et indifférence;

Oh ! Quel honneur !

Et haut ! Quel bonheur !

Dont c'est l'heure comme un leurre

De tirer votre révérence !

En votre honneur !

Votre honneur !

 

Jérôme de Mars

On croit savoir qu'on sait tout mais dont en fait; on ne sait rien de ce qu'on sait et de ce qu'on en sait car on sait qu'on n'en sait rien du tout !

 

Avec le temps et l'expérience; on croit savoir

Qu'on sait tout mais dont en fait; on ne sait rien

De ce qu'on sait et de ce qu'on en sait,

Car on sait qu'on n'en sait rien du tout ! Et qui sait !

Si quelqu'un le sait qu'on le sait ce qu'on doit savoir;

Et sur ce qu'on est censés savoir; si jamais

On sait qu'on le sait qu'on croit savoir

Qu'on le sait; même qu'on n'en sait rien !

Qui sait ! Qu'on le sait si tout le monde le sait !

Et doit savoir qu'on en sait quelque chose !

Sur ce que les gens doivent savoir;

Qui croient savoir que le savoir se transmet

Par le savoir-vivre et le savoir-faire;

Et si tout le monde le sait ! Qu'on doit

Savoir ce que tout le monde croit

Savoir ! Et est censé savoir qu'on le sait !

Dont au final; on sait tous qu'on

Croit savoir qu'on sait tout mais dont

En fait; on ne sait rien de ce qu'on sait et de ce

Qu'on en sait, car on sait qu'on n'en sait rien du tout !

 

Jérôme de Mars

Et Jerry !

 

Pantalon jean's troués Levis 

Et Jerry !

Si égérie

Lewis; qui attise !

Si tel est ton principe !

D'où tu t'émancipes !

Avec pour promise;

Si tu tombes la chemise !

Et Jerry !

Egérie Lewis;

Qui attise

Tout ce que tu nies

Dans le ni oui ni non;

Avec pour devise

Tel est ton dicton !

Que tu applaudis

Et Jerry jean's troués Levis !

Egérie Lewis;

Si tel est ton don !

Que tu fais au téléthon

Sans que ce soit bidon;

Même si tu te bidonnes

Avec pour bonbonnes; 

Des bouteilles pour reprendre

Ton oxygène, afin de te détendre

Dans ce monde anxiogène;

Sans gêne aborigène,

Dont et Jerry attise !

Egérie Lewis !

Nom d'un génie;

Et Jerry !

 

Jérôme de Mars

Un homme affable fait jaillir La Fontaine

 

A fable; un homme affable fait jaillir La Fontaine

Lors du jaillissement de la fontaine; en ayant

Des prises de bec avec le corbeau et le renard;

Qui posent des lapins lents au lièvre et à la tortue,

Tel un loup doux comme un agneau,

Dont les deux amis sont à leurs dépens;

Plus cigales que fourmis; 

Qui fourmillent en faisant chanter les cigales,

Dont le chat sort les grilles affûtées 

En vers le renard futé, 

Pour rendre le pouvoir aux fables;

Qui se couchent tôt comme la poule aux œufs d'or;

Telle une jeune veuve qui rugit 

Face à un lion et à un rat au ras des pâquerettes;

D'un chat à la marque dégriffée qui sourit au rat,

Comme un animal dans la lune qui s'enivre

A l'ivrogne et sa femme; qui les soûlent 

Dans l'amour et la folie;

Qui cultivent un drôle de jardin secret

Du jardinier et son seigneur;

En faisant comme les moutons de Panurge; 

Qui suivent le troupeau du berger et de la mer;

Très à cheval avec l'âne et le chien;

Qui louent et allouent relou l'aigle; qui vole 

Le hibou renfermé dans la ferme

De L'Arche de Noé; avec en mélodrame

Ce slam; qui clame que le fermier, le chien

Et le renard sont comme le soleil et les grenouilles;

Ils en pleuvent autant qu'ils en pleurent,

Dont ils en rient dans la ferveur selon la météo

Du soleil qui rit et de la grenouille qui pleure;

Qui louent et allouent le loup relou et la cigogne

Pour leur voler bien haut la vedette, dès que

Jaillit la fontaine ! Or quand tout tombe à l'eau !

Il est l'heure de rendre le pouvoir aux fables à fable;

De cet homme affable qui fait jaillir La Fontaine.

 

Jérôme de Mars

 

 

L'ivre de poèmes

 

En prélude de ce poème;

Je suis l'ivre de poèmes,

Comme dans un livre de poèmes;

Qui sent bon la bohème,

D'où je m'enivre en un requiem;

Pour mettre fin par ce totem

A tous mes problèmes,

Où je suis l'ivre de poèmes;

Tant que je m'enivre avec flegme 

Pourvu que tout le monde s'aime;

Tandis que je parsème

Mes mots dans un harem;

Post-mortem qui se clairsème 

Et qui respire un nouveau thème,

Pour tout le monde de même

Et idem;

Comme dans un livre de poèmes,

Dont je m'enivre de bohème

En rentrant dans le système,

D'où je suis l'ivre de poèmes.

 

Jérôme de Mars

 

L'aimante religieuse

 

En mangeant une religieuse,

Comme cette part de gâteau 

Est bonne !

En buvant des paroles d'eau

Ma sœur en Sainte nonne;

Telle l'aimante religieuse

Qui mange sa foi;

Après l'avoir dégusté ma sir

Sister qui jette un froid;

Telle l'aimante religieuse

Qui prône l'affection chaleureuse

Au non de la religion !

Qui témoigne de l'amour passion;

Telle l'aimante religieuse 

Qu'avale la mante religieuse;

Qui se fait dévoreuse

En un bien pour un mâle !

De sa face frontale

Avec une renaissance fœtale;

Même que l'aimante religieuse

Se fait en un bien pour un mâle !

Absorber sa part litigieuse 

Dans un face à face très fatal,

Dont seul reste la mante religieuse

Après avoir happé l'aimante religieuse.

 

Jérôme de Mars

Quand la mer évolue avec le temps !

 

Temps révolus jusqu'au-boutisme qui émerge vers l'océan,

Quand la mer évolue avec le temps !

A tout jamais disparue dans le néant !

A moins que maintenant; le naufrage ne soit insistant !

D'auparavant à vouloir immerger la partie de l'iceberg;

En cachant ses fêlures fragiles à Bergues;

De la Belgique frontale

A La France natale, 

Quand avec la mer évolue avec le temps !

Et que ces temps dévolus nonobstant  !

Ici et partout puisque part de là le printemps !

Qui vient de Mars en tout point éclatant  !

Dans un océan de vide ou de tendresse;

A vouloir faire la fête dans une pléiade de kermesse,

Quand la mer évolue avec le temps !

En perdant le Nord; boulevard des tourments,

Où que foute le camp tout ce boucan !

Qui crève les tympans 

A mettre souvent des pansements

Sur les plaies de ce monde;

Qui se dévergonde

Dans un mal de mer qui abonde

Les frissons de ce monde qu'on sonde;

Et qu'on trouve de plus en plus nauséabond

Et furibond avec des faux bonds

Dans tous les sens, où tout le monde

Sort le gong;

En sortant de ses gonds 

Ding dang dong !

D'où tout fout le camp !

En ces temps révolus

Dans ce qu'il y a de plus éperdu;

A moins que tout le monde se détende

Et répande

De la bonne humeur contagieuse

Dans une communion fabuleuse;

Tout cela au fur et à mesure qu'approche

Le printemps;

Et que sonnent

Et résonnent

Aux Pâques les cloches

Qui désarçonnent la pioche,

Quand la mer révolue avec le temps !

 

Jérôme de Mars

Le soleil va croissant au clair de la lune

 

O soleil finaud si le temps se prête !

A la conquête d'une requête avec une enquête;

En partant à la quête qui s'apprête

Depuis belle lurette à faire des plans sur la comète,

Dont si le soleil va croissant au clair de la lune

Sans rancune ou ayant pour rancune

Ce qui fait pencher du côté de la balance;

A moins que ce soit bon signe si le ciel s'en balance !

Et qu'il s'élance avec pour repentance; 

Si le soleil préfère y voir clair face de pleine lune;

Ou que tantôt il récupère au crépuscule toute sa tune;

A prendre pour argent comptant, ce dont il traque

Avec pour panique de prendre une claque;

Si le soleil va croissant au clair de la lune

Ou s'il s'en va croisant en un éclair de l'une;

Qui montre de belles faces cachées

Ou en prenant son cachet divulguée;

Pendant que le ciel jette aux ordures

Tout ce qui compte pour des prunes;

Sauf à écouter ses morsures qu'il jette en pâture

Du passé; en un temps record sur une dune

En une d'il y en a qu'une c'est la lune !

Croisant le nouvel an qui s'en va quémander en tune;

Si le soleil y va vraiment croissant au clair de la lune.

 

Jérôme de Mars

La cérémonie des costards sans tailler de costards

 

Voici dans ce texte la remise des costards sans tailler de costards; à ceux parmi mon entourage proche qui le mérite dans cette cérémonie libre d'accès; qui est présidée par Boris Pitoeff; en tant qu'amuseur public numéro un et Alexandre Strub qui sera chargé de présider la cérémonie des costards sans tailler de costards, pour commencer voici pour le trophée de l'ami le plus original qui intrigue par son excentricité venant de Vénus, alors que moi; je viens de Mars, je remets le trophée du costard de l'ami le plus original dans une soucoupe volante en faisant le café du commerce dans un salon de tes remises de prix; n'est-ce-pas sacré Boris ? !

Pour le deuxième trophée dans la catégorie de l'ami; qui a une mémoire qui déchiffre toutes les lettres en prenant tout à la lettre, voici Alexandre Strub qui va slamer sur le rap " Chacun sa banqueroute, chacun son regain ", où il va remettre ce costard au fameux Adel Azak; qui va compter en Euros pour voir combien ses amis comptent pour lui, et dont combien va lui rapporter ce costard pour le convertir en paroles d'argent; en vue de racheter l'APF et d'en faire un lieu sans être paralysé par la grève des transports, si jamais la RATP refait une grève qui déraille toute la réforme des retraites à point nommé; pour remettre le troisième costard de l'ami le plus passionné de football dans sa cage d'escalier; surtout quand il réussit très bien son Paris en faisant un côté match côté match; qui parle très bien de son métier; tout en cultivant son jardin secret et en faisant le bien; Guillaume Leprette, dont c'est Christophe Pou qui va lui remettre le trophée du costard de l'ami très fair-play en étant beau joueur sur ses adversaires; qui n'arrêtent pas de le tacler réellement quand il est dans une impasse; après pour remettre le trophée de l'ami le plus solidaire en ces temps difficiles; qui va toujours de l'avant et qui reste quoiqu'il arrive toujours optimiste; voici Serge Kurtz pour remettre la récompense de l'ami le plus solidaire à Jean-Paul Garnier; qui a comme béquilles sa compagne Christèle et tous ses amis de la bande du Cerep pour tenir tout le temps debout; après pour décerner la catégorie, dont l'activité intellectuelle rime à quelque chose, quand il écrit des textes d'humour; voici Boris Pitoeff; qui remet le costard de l'ami le plus humoriste des poètes à Alexandre Strub; qui remercie le public en faisant couler beaucoup d'encre; en imitant ses amis les plus phénoménales et en rimant poésie avec encore frénésie et euphorie; pour remettre le costard de l'ami qui prend soin des autres; voici Guillaume Leprette qui va remettre le trophée de l'ami qui prend soin de ses autres amis; en étant sans arrêt à leurs trousses de pharmacie; de ceux qui sont détroussés par différents pépins de santé, dont le fruit de cette récompense revient à Philippe Bourget; qui est un excellent ami qui connaît si bien les jeux d'écriture de la littérature; ensuite pour remettre le prix du costard de l'ami le plus humain et empathique; voici Boris Pitoeff; qui va remettre le prix de l'ami; qui remet si bien les gens dans le droit chemin par le biais de l'éducation en vers les jeunes désœuvrés; notamment au Cerep, dont je nomme Serge Kurts; qui demande si tous les chemins mènent au rhum pour boire son petit rhum; avant que les gens le soulent avec leurs problèmes, si bien qu'après pour remettre le prochain costard de l'ami le plus droit; c'est Jérôme; son fidèle ami qui va appeler à point nommé ce lauréat, dont malgré les revers de Jérôme dans ses vers de poème; Jérôme de Mars va remettre le trophée du costard de l'ami le plus droit et le plus adroit à Christophe Pou; un très bon ami qui cherche souvent à arrondir les angles droits par le moyen de trouver des angles adroits; ainsi de suite après ! Philippe Bourget va donner le prochain prix de l'amie la plus mystérieuse; qui se livre rarement sauf en littérature; tout en étant truculente, cocasse et très espiègle, mais dont il lui arrive d'affronter parfois comme bombe à retardement; des grosses galères en lâchant des bombes; car c'est de la bombe ! Le non de cette personne, car c'est Brigitte Yvelin; enfin pour remettre l'avant-dernier costard de l'ami; qui fait un tabac avec la cigarette ! Vu qu'il veut partir le plus vite possible en fumée; pour lui remettre ce prix de l'amitié sans tailler de costard mais en lui faisant un cadeau de costard; voici Jérôme; son plus proche ami; qui arrive encore de Mars pour remettre le costard de l'ami le plus torturé à Farid Hamza, dont pour qu'il soit en paix comme Jérôme; ils fument tous deux le calumet de la paix, et pour remettre l'ultime prix du costard d'honneur pour l'ensemble de sa carrière; dans la catégorie du psychiatre tout embarrassé de tailler des costards; voici le docteur Bernard Penot; à qui on remet ce dernier prix; réunis tous ensemble ! Avec les différents lauréats récompensés; ayant pour dernier imprévu que c'est la dernière séance dans son divan au docteur Penot; et pour terminer cette première cérémonie des costards; sans tailler de costards mais en entaillant des costards, comme tout le monde est fragile et qu'on est tous facteurs à risque à cause du Covid 19 ! V'là que tout le monde déchante que le facteur repassera trois fois dans un vol long courrier; en route vers un monde meilleur davantage réenchanté; après avoir connu tant de coups durs désenchantés !

 

Jérôme de Mars

Mais nos pauses pendant qu'Andros pose !

 

Pour défendre notre cause,

Comme on le martèle sans prose ! 

L'homme propose; la femme dispose !

Mais nos pauses pendant qu'Andros pose !

Sans qu'il impose

Sa clause de conscience; à qui les ecchymoses 

Causent que ce ne sont des sciences infuses en osmose;

Qui osent

Dire tout et son contraire, comme une overdose

De cirrhose;

Mais nos pauses pendant qu'Andros pose !

En mettant sur pause

Son andropause

Pendant que sa femme a la ménopause;

Espace temps dans le cosmos;

En se souvenant d'avoir fait beaucoup la chose,

Lorsque Eros 

Ramazzotti remit le trophée Andros

Lors de la nuit des Eros !

A celui ou celle qui fit beaucoup de choses

En faisant la chose;

Avant qu'Andros pose

Son andropause;

Et que sa femme soit mise sur ménopause,

Car mais nos pauses pendant qu'Andros pose ! 

 

Jérôme de Mars

Le clocher de l'église

 

Comme à Venise;

Cet havre de paix;

Quoiqu'on en dise !

On respire sa clarté,

Dont le clocher de l'église

Exacerbe notre part; qui fragilise

Nos conditions de simples mortels;

Qu'on stérilise 

En faisant ce qui nous pulvérise

Vers le clocher de l'église;

Cet havre de paix;

Qui respire bon la fraternité

D'un monde plus heureux;

Avec le hasard qui fait bien les choses

Plus généreux,

Pour distribuer davantage d'osmose

Entre les gens, afin qu'ils s'aiment

Grâce à un totem; qui parsème

De l'amour qui attise

Avec l'aide du Missel

Le clocher de l'église.

 

Jérôme de Mars

Quand l'iris en met plein les yeux en leur envoyant des fleurs d'iris !

 

Mon œil l'iris; m'hérisse les poils !

Dès que je me voile

La face, où je lui fais une fleur d'iris !

Quand l'iris en met plein les yeux;

En leur envoyant des fleurs d'iris

Dans un deux à deux;

Qui font la paire dans une reprise

Deux volets; en tombant la chemise

Dans l'œil du cyclone;

Œil pour œil dent pour aidant !

Qui chassent les amazones

Avec pour strident, 

Quand l'iris en met plein les yeux !

En leur envoyant des fleurs d'iris;

En faisant comme s'ils sont radieux

Et heureux; 

D'être de réels amoureux

Au coin du feu; qui galvanise

L'iris de mes yeux;

Qui lui fait une fleur d'iris !

Duquel de mes yeux poussiéreux; 

Regarde le ciel nuageux 

Et vaporeux;

Des aïeux

Aux adieux,

Dont il faut signer le décret entre quatre yeux,

Quand l'iris en met plein les yeux !

En leur envoyant des fleurs d'iris;

Qui ragaillardissent et s'étourdissent

En ouvrant grands les yeux,

Pour s'en rendre compte que des paresseux

Grimpent aux arbres ;qui raidissent

Leurs espèces protégées vis à vis des cieux;

Qui restent friands de dialogues dans un moment de creux

Au creux très vague; qui supervise

Dans un deux à deux,

Dont même que l'iris leur en met plein les yeux !

A mes yeux qui lui envoient des fleurs d'iris !

Il en demeure que de mes yeux la fleur d'iris;

Leur fait une fleur à l'iris de mes yeux !

Qui gisent 

Jusqu'à mes yeux;

Qui sont deux

Dans un deux à deux,

Quand l'iris en met plein les yeux !

A mes yeux qui lui envoient des fleurs d'iris !

En lui faisant une fleur d'iris !

A l'iris de mes yeux

En fermant les yeux.

 

Jérôme de Mars

Le spectacle du ciel

 

Feux d'artifice sans artifice

En mettant sa pierre à l'édifice;

Porte éclose dans les coulisses

Il y a le spectacle du ciel;

Qui éteint les bougies qui régissent

Avec des économies de bouts de chandelle;

Tout ce qu'il y a dans le spectacle du ciel

A faire rêver les hommes comme les jeunes demoiselles;

En mettant tout le monde pareil

Si bien qu'untel est un tel !

Comme le commun des mortels

Avec des avions qui volent effet papillon,

Lorsqu'une mélodie apaise en chansons

Tout ce qu'il y a dans le spectacle du ciel;

A croire que le public regarde plutôt l'arc en ciel

Pour s'émerveiller de par ses prunelles,

Puisqu'il faut pour lui en mettre plein les yeux

Quelques signes somptueux qui sont fabuleux;

Avec des papillons qui volent bien haut couleur pastelle,

Alors qu'il y a dans le spectacle du ciel

Des avantages grandioses et incroyables donc juste démentiels;

Avec la farouche volonté de se raccrocher à l'essentiel

Pas en des petites choses superficielles;

Mais en faisant la part des choses hautement surnaturelle,

Dont vu du ciel !

Il existe encore le spectacle du ciel.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                                            

 

 

 

 

 

 

 

 

Du plus grand au plus petit

 

Dans la cour des grands petit à petit, l'oiseau fait son nid dans le ni oui ni non

                                                                                                                         

 Avec un appétit petit appétit qui va en devenant plus grand du plus petit      d

                                                                                                                          é

 Manqué alors que c'est petit de déclarer cela dont le plus grand            a      j

                                                                                                                  u      à

 Comme c'est petit de dire que le monde est petit à petit          d                         

                                                                                                    e            p      c

 Où il faut être grand du plus petit au                          p             s            l       o                                                                    p                        a                          u       m    

  Dans le monde des grands             l                         r              p            s       m 

                                                         u                        m             e                    e

De clamer du plus            v             s                         i               t            g

                                        u                                                         i             r        l

                           g                           g                      l                  t           a       e

                          r           q                 r                     e                s           n

                          a          u                a                       s                          d         m

                          n          e                n                                        q                   o

                         d                            d                       p                 u        c         n

                                  l                                            l                   i         o         d

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                    i                                                       p                     t            d         

                  t      p                    p                           p                    i                          

                .       e                   e                            é                     t

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               p

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               t

 

 

 

Jérôme de Mars

 

Quoi de neuf ?

 

 

 

Pas un œuf dans le même panier tout neuf sauf si tu fais une teufe 

 

A

v                                                                                                     e

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o                                                                                                     u

e                                                                                                     Q   

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f   Dans mon panier neuf en ton œuf et en faisant un bœuf même      

 

                                                                                                       S

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                                                                                                       u                           Car quoi de neuf d'un œuf à la maison de la radio cent neuf  ?    f                                           

         

                                                                                   

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

Une nuit romantique à passer sous naphtaline

 

Lumière tamisée vers les rebords du vide;

Il se passe quelque chose dans un regard livide;

En faisant des nuits blanches sous effet d'adrénaline;

Telle une nuit romantique à passer sous naphtaline

Dans la nostalgie des jours d'il y a très longtemps !

En se questionnant était-ce bien mieux avant ?

Que ce soit les seventies, les eighties ou les nineties 

Jusqu'aux prémices; dans lesquelles s'immiscent 

Les ex-fans des sixties ! 

Dans cette période favorable et propice,

Comme si que pour conjurer la routine;

Il valait mieux avoir une nuit romantique 

A passer sous naphtaline; 

A chanter cette France désenchantée en des cantiques

Prolifiques; avec l'art et la manière de s'adresser

A tous les publics, quels qu'ils soient singuliers;

Avec des lunettes noires pour nuits blanches,

Pourvu que la danse fasse que les gens se déhanchent

Dans le but de créer et de ranimer des essaims animés;

De tout ce qui fut à l'origine de cette vague déferlante survoltée;

Telle une nuit romantique à passer sous naphtaline; 

En espérant convaincre la majorité des gens que ça turlupine !

Dont pour rassembler toutes les générations diverses et variées

Devant leur télé; il suffit juste de leur laisser le temps face à la proximité

De leur artiste; en des compositions; décompositions dissipées,

Pour dissiper les doutes avec toute la mémoire que les fans ont

En réserves; donc pourvu qu'elle leur serve à déléguer avec raison

Dans la modération d'un total lâcher prise;

Avec des jolis lots qui sortent du lot de quelques lubies éprises;

En mélangeant tous les genres à tous les temps effet vieilles rustines; 

Sans faire machine arrière mais à faire une machine à démonter

Le temps escompté; en s'en lavant les mains que le ciel a décompté;

Puis passé au bout d'une nuit romantique qui a fait son effet naphtaline.

 

Jérôme de Mars

Deux amoureux blottis dans leur lit d'amour

 

Rêveurs tels l'amant et sa maîtresse

Qui admirent les histoires de comtesses ;

Il est temps que ce couple fasse la cour

A leur amour pénétrant dans le séjour;

Qui conte leurs aventures de contrebasse cour

De deux amoureux blottis dans leur lit d'amour

A accomplir le devoir conjugal,

Comme une envie de fringale frugale;

Tels deux tourtereaux qui ne s'ennuient jamais

Tellement qu'entre eux; il y a à la fois de l'amour et de l'amitié,

Où rien n'est hypocrite mais au demeurant sincère;

Et dans la réciprocité la plus transparente; émue jusque dans les viscères

Dans la cour des grands; à refaire le tour de pourquoi ils s'aiment en retour

Ces deux amoureux blottis dans leur lit d'amour;

A faire l'amour et à entretenir l'amour lors de leur torride séjour,

Comme à se bécoter sur les bancs publics qui enchantaient Brassens; 

Genre qu'on connaît trop bien la chanson d'un essaim; qui fonctionne à l'instinct

Pour apprendre et réapprendre l'amour; qui est souvent un monde de sourds

De deux amoureux blottis dans leur lit d'amour;

A rêver du grand amour indéfectible et perfectible avec le temps même archaïque,

Dont il faut de solides édifices pour le consolider en rhétorique alchimique, 

Pour cerner si l'amour demeure pour toujours jusqu'à ce que la vie meurt;

Ou s'il gît au fond des sanglots dans la peur de rencontrer le bourreau des cœurs,

Dont par cœur et avec le cœur, pourvu que soit non dénué leur si beau parcours

De deux amoureux si bien blottis dans leur lit d'amour.

 

Jérôme de Mars

Comme un poème de près vers

 

Déjeuner du matin; 

Je m'en vais prendre un ver

De poèmes logés;

Avec les yeux rivés

Dans un p'tit coin

Tranquille blotti vers la crémaillère

De vers ni sages; telle la complainte du fusillé,

Comme un poème de près vers;

Qui ramasse ses feuilles mortes à l'appel

Durant le temps perdu des étrennes;

Qu'à cela ne tienne malgré les pluies diluviennes !

Genre vous allez voir ce que vous allez voir !

Avec des histoires à manger et à boire:

Comme un poème de près vers

A la manière de Prévert;

Telle untel la chanson de l'oiseleur

En alicante ;

Qui incante

Immense et rouge

Tout ce qui bouge;

Tels les enfants qui s'aiment

Dans un bain de jouvence

Encore en adolescence dans une romance,

Comme un poème de près vers;

Qui raconte de semblables misères

En vieilles chimères Parisiennes;

Qui ensorcellent les tendres berceurs

D'un monde peut-être meilleur

Ainsi imposteur,

Comme un poème de près vers monotone,

Comme le clamait Gainsbourg

Près du faubourg;

Genre les feuilles mortes qui manquent à la pelle,

Dont Prévert épelle en un rappel

De toutes sortes de saveurs;

Qu'il y a aussi le cancre qu'ancre,

Dont j'en déduis que c'est moi qui jette l'encre,

Comme un poème de près vers

A la manière de Jacques Prévert;

Qui prend son envol de pivert; 

Tel un vendredi qui parsème

Des feuilles mortes d'automne

Dans ce monde aphone et atone,

Que je termine un beau matin

En franchissant de grands pas

Dès que ça enchante Barbara;

Avec toujours le même refrain

A la manière de Jacques Prévert,

Comme un dernier poème de près vers.

 

Jérôme de Mars

A siphon fond fond !

 

Prêt de la baignoire, où l'on fond

En larmes; on se morfond,

Quand on confond

Tout en tournant en rond;

A siphon fond fond !

Où l'on marche à reculons

Dans des jurons

De rien au tréfond; très fond

Du commun des mortels profonds;

A siphon fond fond !

On correspond

En passant les plats fonds

Jusqu'au plafond,

Où l'on se morfond

Prêt de la baignoire, où l'on fond

En rendant les armes à reculons;

Jurons et conjurons

De rien ! Qui ne nous correspond;

A siphon fond fond !

Tout nous confond

Jusqu'au tréfonds; très fond;

La tête à prendre l'air sur le balcon

En parlant de sujets profonds;

Si nos centres d'intérêts sont très féconds

Ou rubiconds;

A envoyer une bouteille à la mère dans le tourbillon

Du sillon;

Que trace le fond

Des cernes de nos yeux; qui prennent le bouillon

Dans un espèce de brouillon

En libre-circulation,

Où tout tombe à l'eau de trémolos près de la baignoire à fond !

En allant à fond !

Et au fond

Des choses en ébullition;

A siphon fond fond !

Comme on correspond;

On se morfond ;

On fond; 

Et on confond

Tout, d'où l'on se confond

En touchant le fond;

Au tréfonds

Du très fond,

Dont il nous faut un rebond;

En faisant des bonds en avant furibonds;

Dont vivement qu'on soit au fond 

De la baignoire ! Pour changer le fond;

A siphon fond fond !

 

Jérôme de Mars

Mystère qui a la banane flambée !

 

Miss tique mystique tel un moustique,

Quand un mousse tique 

Des plats bien assaisonnés 

Et bien mijotés; 

Mystère qui a la banane flambée !

Qui a flamboyé le framboisier

Rictus; sentez-moi bien ça !

Qui régale le palais de papa !

Dans une mise en bouche fine;

Qui débouche le raggamuffin 

Mystère qui a la banane flambée !

Qui a flambé les flamby; 

Qui ont le goût de la vanille

Avec le muffin au chocolat qui titille

Les palais gustatifs jusqu'à l'orifice,

Où certes; l'argent n'a pas d'odeurs !

Mais sent la saveur

De la cuisine de vapeur sans artifice;

A coups de chantilly,

Comme dans la ville de Chantilly !

Mystère qui a la banane flambée !

Qui a tout flambé en allant jusqu'au péché,

Où tout le monde déguste des gugusses;

Qui truculent les fripouilles du cirque Arlette Gruss ;

Mon pote à la compote ! Qui se comporte

Selon ce qu'on lui apporte;

Comme sur un plateau !

La nuit au resto en rembobinant le magnéto;

Dont il est temps de préparer l'apéro

En apéritif présent grâce au cuisto; 

Mystère qui a la banane flambée !

Qui a flamboyé et flambé le bananier;

Place des palmiers en mangeant

Des rancœurs de palmiers;

Avec une cuillère en argent,

Dont pour terminer ce repas

Dans la simplicité la plus extra;

N'oubliez pas la priorité ! Qui a flambé

Et flamboyé du côté de la forme du soleil sacré;

Car c'est mystère qui a la banane flambée !

 

Jérôme de Mars

Fumeur de juin

 

Après la tempête;

V'là le calme !

En ouvrant les fenêtres

De son être qui crame,

D'où pour apaiser

Sa colère intérieure;

Qui le ronge en pesanteur; 

Il lui faut voilà ici joint

En apesanteur;

Etre un fumeur de juin

Pour fumer le calumet

De la paix avec respect;

En éteignant à temps l'incendie

Avant que ça le raidit !

En sources de confits; 

Histoire que les tensions

Retombent en rétentions

D'eau de pertes d'attention;

Il y a le feu qui couve

Et qui l'ouvre a mère; telle une louve;

Qui protège son petit,

Où tout tombe à l'eau !

En mauvais quiproquos,

Où pour oublier le chaos

A tire larigot; 

Qui part à vau l'eau

Dans ce monde qui ronge ses os;

Il est temps ici joint 

D'être un fumeur de juin,

Pour fumer le calumet 

De la paix haut ! Quel toupet !

Avec respect,

Où que vous alliez; 

D'ailleurs avenue des ralliés

Il risque d'y avoir certains;

Qui partent en fumée

En faisant un tabac au bistrot

D'avec les potos;

Au comptoir en train

De refaire le monde en camouflets,

D'où ici joint

Pour calmer les ardeurs de certains;

Il faut être un fumeur de juin

En remplaçant était par été,

Comme pour mieux démarrer

Une nouvelle saison;

A chaque fin de chanson

En fumant le calumet de la paix;

Avec respect haut ! Quel toupet !

Dont avec une poignée de bouffée;

Tout le monde encourage tout le monde

Jusqu'à la fronde !

A rester en paix avec respect

Haut ! Quel toupet !

Dont pour calmer certains ici joint;

Il faut être jusqu'au bout un fumeur de juin.

 

Jérôme de Mars

 

S'en aller malgré les feuilles mortes dans Paris !

 

 

Ok des brumes qui s'embellit dans la frénésie;

S'en aller malgré les feuilles mortes dans Paris !

Ecrit tous les trémolos qu'il y a dans la vie;

Entre l'inertie de la paralysie des pouvoirs publics;

Et le fait de s'asseoir sans soucis sur des bancs impudiques;

A se dévergonder en buvant les paroles de ses camarades;

Qui flânent dans une grosse rigolade en longues promenades;

En rad comme les rades; qui ferment à coups de langue de bois

Pendant que durant ce temps-là; les bûcherons fonctionnent avec des scies;

Qui les amenuise de fatigues désabusées à errer jusqu'à songer à l'hérésie,

Pour expliquer leur désarroi dans ce monde qui vole ici bas !

Et où tout tombe en éclats dans une ville aigrie !

Où s'en aller malgré les feuilles mortes dans Paris !

Revient à laisser les orgues de Barbarie lettre morte !

Où les âmes dans leur larmes de chimères semblent plus fortes

Que le reste rationnel; qui est du ressort d'un autre ailleurs,

Pour se rendre compte si dans le Grand Nord; la vie se respire de façon meilleure;

En vagabondages mûrissant avec l'âge un gras ou l'âge ingrat

D'un jeu de mots; soit facile ou soit faucille en étant marteau;

Avec que des gros mots, pour illustrer tout ce chaos dans le landerneau 

De Paris; entre crises et tout qui s'enlise à vau l'eau ! 

Où s'en aller malgré les feuilles mortes dans Paris !

Revient à donner oraison aux orgues de Barbarie !

Qui coulent de sueur et transpirent dans le dépit;

De ne point pouvoir rendre à Paris son emblème de confettis !

Où comme le spectacle doit continuer dans la fureur

Du Grand Paris; autant ne pas être dans la torpeur,

Mais à œuvrer à la sueur de son affront pour dire mille et une mercis,

Pour partir avec dignité dans une autre vie plus paisible avec le droit à l'oubli

De sa vie d'avant; avec des défis à relever élégants dans la galanterie,

Pour rester en agréable compagnie d'une vie ravie qui revit, 

Où pour perdurer ébloui dans une existence qui ne pourra être qu'inouïe,

Il vaut mieux s'en aller chercher meilleure accalmie 

Malgré les feuilles mortes dans le Grand Paris !

 

Jérôme de Mars

 

Décroche le ciel  !

 

Comme un tableau

Qu'on ne peut encadrer;

Il y a des mots

Qu'on ne peut blairer;

Et dont on exalte

A agir dans la halte;

En fredonnant insurrectionnel

Décroche le ciel !

Si tu ne peux décrocher les étoiles,

Lorsque durant la nuit elles se voilent,

Et dont il faut une dynamite

Pour qu'elles lâchent le mythe,

Comme si c'était mieux avant,

Alors que maintenant; il y a variant

Les genres des trésors de Carrousel;

Qui marchent dans ton manège !

Avec en faisant du solfège;

Quelque chose qui allège

Tout ce sacrilège

Dans un prodigieux privilège,

Où l'on fredonne en plusieurs décibels;

Décroche le ciel !

A moins que tu décroches le soleil !

Pour illuminer quelques matins 

Qui s'amoncellent

Dans le dédain des p'tits malins;

Qui croient tout savoir 

Comme si le ciel était un réservoir

Sans puits et sans fin !

Si bien que tout a une fin !

Dont la fin justifie les moyens !

Avec pour bien faire avaler la pilule;

Quelque chose qui pullule

En plusieurs ritournelles;

En fredonnant décroche le ciel !

A moins que tu y arrives enclin

Par tes propres moyens 

Artificiels et superficiels;

En jouant sur tous les tableaux 

Avec des gros mots,

Pour y dépeindre des contrastes naturelles;

Tandis qu'il suffit de franchir la zone rouge

Pour que les choses enfin; elles bougent !

En jouant cartes sur table vermeil 

Sans fard de Rimmel,

Dont on fredonne tous pluriels

En regardant vers cet hymne universel;

Décroche à tout jamais le ciel !

 

Jérôme de Mars

Le soleil est tombé du ciel !

 

Décrocher les étoiles relève de l'exploit;

Surtout quand elles volent en éclats !

Et que le soleil est tombé du ciel !

Chutant du quatrième étage

Sans un renvoi d'ascenseur;

Monsieur les encenseurs !

Qui boivent les paroles de laitage;

Vu du ciel à s'imaginer qu'il y aura réciproque !

L'avènement d'une meilleure époque;

Plus baroque dans l'envol

Et un antivol

D'hirondelles; à-tire d'ailes superficielles; exponentielles

Et artificielles d'il y a longtemps exceptionnel !

Que le soleil est tombé du ciel !

Avant que le ciel nous tombe sur la tête !

La tête dans les comètes;

Plurielles et fusionnelles à l'emporte ciel substantiel;

Avec quelques formidables aquarelles;

Qui font dans la dentelle

Entre élever les ailes;

Ou battre de l'aile;

Si jamais le soleil est tombé du ciel !

Ou à part peut-être rentrer au bercail;

Avec de sacrées vieilles canailles;

Qui s'entaillent

Mains et poings liés par la taille d'un détail;

D'un des tailles express; d'une tête d'épouvantail

Jusqu'aux entrailles;

D'il est surréaliste;

Ou altruiste si le soleil triste

Arrive toujours à éblouir les tourterelles;

En volant de leurs propres ailes;

Avant que le soleil de son gratte ciel essentiel

Soit tombé du ciel sempiternel.

 

Jérôme de Mars

Vivement que les abeilles nous filent le bourdon de l'été !

 

Elucubrations même si ce n'est le mot adéquat;

Il risque d'y avoir au retour des beaux jours un reliquat,

Dont pour le reste; l'été ne nous filera le cafard mais

Juste un capharnaüm, où on suppliera

Vivement que les abeilles nous filent le bourdon de l'été !

Certes; pas un bourdon de déprime; mais un bourdon ensoleillé;

Qui restera gravé dans la mémoire, afin que tout le monde ait le droit

Au bonheur malgré les aléas du temps; qui fait prendre conscience

Que rien ne dure éternellement, dont il faut savoir en profiter avec insouciance

Pendant que ça dure encore un temps;

Avant que le soleil s'unisse pour le meilleur et pour le pire;

Avec la lune dans une lune de fiel comme dans une satire,

Où nul ne sait si ce sera l'hiver ou le printemps !

Qui l'emportera à tout jamais dans le ciel de sa densité;

Qui gravit les marches une par une au-delà et avec ténacité

Dans la dextérité la plus émancipée,

Où vivement que les abeilles nous filent avec du bourbon le bourdon de l'été !

 

Jérôme de Mars

Passé, présent, futur

 

 

Un poète maudit  du nom de Geronimo en file indienne; qui traverse le temps du passé, du présent jusqu'au futur :

 

 

Passé :  Poète maudit de son passé maudit avec des mots dits et des non-dits, comme une mélodie outrepassée; dépassée qui l'a sûre passé et surpassé, dont il a repassé ces vers sévères; qui l'ont trépassé, comme il a très mal passé son passé, puisque par conséquent, il a du mal à s'en défaire, car le moindre mot dit le rend mélancolique; désabusé et névrotique au regard de son passé tumultueux des abusés par n'importe quel personnage odieux; qu'il a rencontrés sur sa route semée d'embûches, où il trébuche à moins d'avoir pour présent;

 

Présent :  Un présent plus que parfait, où son passé compliqué; il en fait un passé simple à l'imparfait; soit-il pour qu'il soit par fée en un conte à rebours très présent et plus présent ! Ce qui fait qu'il en devient omniprésent, dont après avoir eu un passé temps oppressant; il a enfin un présent plus plaisant avec un rôle présent pour jouer à présent un personnage présent et con plaisant, comme il a un besoin pressant de regarder le temps qui passe en se dirigeant vers le futur;

 

Futur :  Tel pour aller flâner au Futuroscope de Poitiers; à la pointe des nouvelles technologies robotiques et futuristes; abouties ou inabouties, dont il fait de son passé présent; un présent passé en route vers le futur inconditionnel; à condition désormais d'aller de l'avant dans un impératif présent, pour remettre de l'ordre dans sa vie en naviguant en os sûrs, pour ne pas sombrer dans le futur; qui augurera d'une profonde remise en question de sa nature cynique; désinvolte et aigrie; qui restera longtemps lettre morte et moribonde; mais en étant toujours arrivé attend; à temps dans les temps actuels non sans difficultés et sans effet de mode, car sans être à la mode; il restera souvent et dorénavant un poète maudit des temps modernes; du passé plus que jamais présent au futur.

 

Jérôme de Mars

Bonne année 2021

 

Après avoir été sur mon 31;

V'là une nouvelle année en 2021 !

Qui a sonné résonné 2020,

Comme un sonnet resonné 2021,

Comme dans un quatre un,

Où vivement qu'on soit comme avent boute-en-train;

Avant d'avoir à nouveau; je l'espère ! De l'entrain

En 2021, 

Alors que 2020 fut devin en vingt !

Telle une année de vache enragée de bovins;

Durant cette année surannée qui nous soula 

Vice-et-versa comme big ben repetita !

A remettre les pendules toujours à l'heure,

Comme le jeu de cette vérité dans un leurre

De sévérités, où après avoir été sur mon 31;

Et en ayant fait un faux-semblant de chocolat

De l'an vingt en 2020,

Si bien que maintenant, je trépasse en 2021;

En attendant mieux pour que 2021 soit divin !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                     Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça ferait si je chambre à plein gaz la capitale de L'Arménie ?

-  Et revanne !

 

                                             Jérôme de Mars

L'Eve reste !

 

En en faisant toute une montagne de L'Everest !

Tantôt dès l'appel du soleil !

Il ne faut point s'étonner solennel !

Quand L'Eve reste !

Et que l'élève dépasse le maître;

A penser comme son être

Que parfois et souvent;

Le talent se transmet parlant

De générations en générations;

En vases éclos communicant

Dans l'encens de l'action;

Dont les enfants héritent

De leurs parents même que l'amour irrite;

En en faisant toute une montagne de L'Everest !

Même quand L'Eve reste !

Et que leste; elle lâche du leste !

En se levant complètement à L'Est;

Au fard Ouest,

Où les étoiles filantes déclarent la guerre

Au soleil qui répond de manière claire;

Qu'en en faisant toute une montagne de L'Everest !

Que même quand L'Eve reste !

Il suffit de siffler la ritournelle

De la paix; pour insuffler à tout le monde pareil

Que le ciel a besoin du soleil,

Pour qu'il resplendisse de merveilles

Avec des éclats d'étincelles;

Qui ornent de lumières à son escarcelle;

Tout ce que le soleil 

Lorgne en matières essentielles;

Qui oscillent en remettant des parcelles;

Des parts celles de par celles;

Qui font comprendre que le ciel ruisselle

De par sa voix de crécelle;

En en faisant complètement

Toute une montagne de L'Everest !

Quand pour de bon L'Eve reste !

 

Jérôme de Mars

Le jour se lève avec le soleil

 

Matins aux aurores;

Avec Aurore qui dort

De par les prunelles

De ses yeux ouverts;

Le jour se lève avec le soleil;

Qui réfléchit à la lumière,

Dont après la tempête; v'là le calme

Dans l'œil du cyclone 

De l'hexagone;

Qui offre ses palmes,

Dès que le jour se lève avec le soleil

Bardé des sans ciel,

Où il jette son dévolu

Sur de belles femmes ingénues

Naïves; qui cherchent des parcelles

De rêves en conquérant les aquarelles,

Dès que le jour se lève avec le soleil;

Complètement à l'ouest comme il est à L'est;

En espérant réaliser ses objectifs, dont l'Eve reste !

En en faisant toute une montagne D'Everest, 

Dès que le jour se lève avec le soleil

En grapillant mille et une merveilles;

En allant de les sans ciel

A l'essentiel

Sans oublier de remercier Le Missel;

Qui est mis celle; émit celle

Sous la tutelle

Factuelle de la gestuelle; 

En commençant en bas de l'échelle

Et en faisant la courte échelle universelle;

En route vers la passerelle

D'un monde davantage fraternel; 

Et positif à la joie corporelle 

En plein dans un élan exponentiel,

Tel est le ciel éternel !

Dès que le jour se lève pour toujours avec le soleil.

 

Jérôme de Mars

Désaxé de colère !

 

Face à tout ce boucan,

Où tout fout le camp !

Voici des accès de colère,

Où je suis désaxé de colère

Avec des accès de violence !

Où je suis désaxé de violence !

En des portées de vent

D'insolence et d'indifférence,

Où plus rien pour moi n'est important;

Naît important !

A part me venger dans une vendetta

De tous ceux; qui m'ont rendu hors-la-loi

Dans le chacun pour soi,

Où je ne crois

Plus en rien ! Mais dont le plus souvent;

Je prie à n'importe quel prix !

Tout mon dépit

En invoquant

Le tout-puissant,

Pour qu'arrive au plus vite la fin du monde,

Afin qu'on sonde

Les citoyens s'ils aiment le monde;

Dans lequel on vit

Ou la fronde;

Qui grandit petit à petit,

Où en des accès de colère:

Je suis désaxé de colère !

Où je décolle l'air

De rien en guise d'inventaire,

Où tout m'indiffère !

Et où je diffère

Mon suicide à l'état !

Avorté en des accès de violence,

Où je suis désaxé de violence !

Avec virulence 

Dans l'opulence

La plus à mère;

Qui m'a rendu vulgaire

Dans des écrits pubères,

Où je suis vénère !

Vu que personne ne me vénère !

Et qu'on me façonne:

Vu qu'on me désarçonne

A L'Anglo-Saxonne !

Avec pleins de voitures qui me klaxonnent;

Vu qu'il y a tout le monde qu'on sonne;

Consonne, où je prends tout au pied de la lettre !

Et dont il y a un risque qu'un jour,

Qu'en poète maudit de troubadour,

Je me jette argent content

Par la fenêtre;

Ne regrettant point mon être;

Qui n'aura été que paraître

Tout le long de sa vie 

Sur le fil du rasoir;

A ne plus trouver de raison d'avoir envie

De dénicher de nouvelles histoires,

Où en des accès de colère

Et de violence;

Je garderai sans doute toujours la virulence

Et l'évidence

Que de ma providence;

Je suis en désaxé de violence;

Qui me fait pénitence

Dans la loi

Du silence;

Due à ma perte d'innocence

Vue et revue en moi

Dans la loi

De l'insolence

Et de l'impertinence,

Où il me faudrait de la résilience

Pour occulter tout ce fardeau;

Et vider mon sac à dos

Dans un dos à dos;

Pas loin de l'eldorado,

Où en des accès de colère;

Je serai désaxé si je décolère

En des accès décolère; 

Avec pour point salutaire

Que si je décolle l'air 

De rien !

Et bien !

Je décolère !

En des accès solaires

De tous mes excès scolaires,

Quand de tous mes abcès scolaires;

J'en aurai assez des échecs scolaires,

D'où je ferai et Tchèque solaire !

En des accès solaires,

D'où je serai désaxé décolle l'air.

 

Jérôme de Mars

Vers de porcelaine

 

Quitter la semaine;

Avec encore la même rengaine,

Pour tuer le temps et les secondes;

Qui exige que des vers de porcelaine

Sondent le monde;

Très fragile et vulnérable;

Qui ne tient toujours qu'à un fil exécrable 

Dans le bas de laine;

En cassant de la vaisselle de porcelaine

Avec des vers de porcelaine;

Enrayant; en rayant

Ce qu'il y a dedans dans de la pure haine;

Crayonnant de ses feutres dévoyant

Des voyants en vers de porcelaine;

Avec pour tenir la chandelle; le bris de Verlaine;

Habitant en son fantôme du jardin D'Eden;

Qui vient à peine

De repartir en compagnie vaine;

Dans la veine de boire une infusion de verveine;

Carrément saine et pleine 

De vers de porcelaine;

Pour renverser de l'eau bénite sereine

A chaque immersion humaine;

En cassant des vers de porcelaine;

Oh ! Quelle haine ! 

Qui tient en haleine 

Le mal de mer des baleines;

Qui réclament de la charité Chrétienne

Sans mauvaise haleine vilaine,

Dont pour rompre chaque week-end;

Vivement le retour de début de semaine !

A savoir lundi qui vient après le oui qu'haine;

Après avoir tant fracassé de Madeleine

De Proust; en arrivant au bout des peines

Tracassées de ces vers de porcelaine.

 

Jérôme de Mars

 

L'aimant songe

 

Comme un mensonge;

L'aimant songe

A tout ce qui le ronge;

S'il éponge

Le roman d'un songe;

Qu'il rallonge

D'une nuit d'été,

Où il paraît

Comme un mensonge;

Tel l'aimant songe

A tout ce qui le ronge

Qu'il éponge,

Quand il allonge

Comme un mensonge;

S'il longe

L'aimant songe.

 

Jérôme de Mars

Bars parallèles

 

 

 

 

          V                     d

           i                     a

          e                     n

          n                     s

          s                         

                                 u

          b                     n

          o

          i                      c

          r                     a

          e                     f

                                 é

          t                         

          e                     f

          s                     r

                                a

          d                    p

          é                    p

          b                    é

          o

          i                     q

          r                     u

          e                     i

          s                       

                                 t

                                 i

          e                    e

          n                    n

                                 t

         b                    

         u                     c

         v                     h

         a                     a

         n                     u

         t                      d

                                

         d                     e

         e                     n

         s                      

                                f

         b                     a

         r                      i

        è                      s

        v                      a

        e                      n

        s                      t

 

       d                      d

       e                      e

       u                      s

       x

                               b

      c                       a

      o                       r

      m                      s

      p

      t                        p

      o                       a

      i                        r

      r                        a

      s                        l

                                l

                               è

                               l

                               e

                               s

                               .

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                

 

 

 

Je ne calcule plus vu le con texte !

 

Un deux pliés en quatre; en se mettant en quatre de sept vérités, car quoi de neuf docteur ? Où votre message est reçu cinq sur cinq parmi les quarante rougissants; qui balayent devant leur porte, dont ça lui est égale cinquante balais ! Dont jamais d'eux cent et trois; dans le nouveau numéro du magazine papier de football en étant onze mondial, pour souler en vingt la fin de ce mois-ci; égale de sept à huit pendant le cinq à set en sept vérités pliées en quatre, car dix donc ! Si on est à six sur les bancs impudiques des trente glorieuses, dont résultat de l'inadéquation; et gale un quatre vingt et un en me mettant sur mon 31, d'où je ne calcule plus vu le con texte !

 

Jérôme de Mars

A la croisée des mots

 

 

 

 

 

                                                x  de  M

                                              i            a

                                          o

                                       r                     c

Si j'y crois; je porte ma Croix                   r

                                 M                              o

                      a  n  t            A                       i

                     t                                                x

                  r                        l

                  o                       a                           r

                  p                                                      o

                                          c                                 u

                  n                      r                                    g

                  e                     o                                       e            

                                          i

                 s                      s                                               A            

                 î                       é                                                           

                 o                      e                                                       l     

                  r                                                                                 a

                  c                Des mots si bien que je croise les bras Croisés de ceux Q

                  é                                                                               r                          u

                   d                                                                              o                         e

                                                                                                 i

                       s                                                                     s                               j

                        i                                                                   é                                 '

                       o                                                               e                                    e

                       r                                                                                                      n

                       c                                                        d                                           t

                                                                              e                                             r

                       e                                                  s                                                e

                        j                                                                                                    c

                                                               g                                                            r

                        e                             r                                                                   o

             .      x  u   a  M             o                                                                         i

                        Q                s                                                                               s

                                                                                                                             e

                        croîs je si surcroît de croix en jambes les doigts les croisant En  

 

 

 

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel

 

En faisant la courte échelle;

Difficile d'épeler le Bescherelle; 

Si les arbres ne montent pas jusqu'au ciel

A part peut-être contempler l'essentiel

De ce qui s'y dresse et s'y déroule sur le tapis rouge;

Or et puis les fuseaux horaires se dévoilent !

Quand faute de place, ils bougent !

En hissant les étoiles

A la première place des constellations

Dans une apparence de façade en injonctions;

En embrassant les ombrelles; 

Qui ne comptent pour des prunelles

Avec des économies de bouts de chandelle,

Si bien que les arbres ne montent pas jusqu'au ciel;

Sinon cela se saurait que c'est le soleil qui tire les ficelles;

D'un miroir aux alouettes jusqu'à l'autre côté du miroir; 

En marchant sur la pointe des pieds, comme un déversoir

De bonnes ou de mauvaises nouvelles;

En s'emportant avec excès; qui ne fait dans la dentelle

Du delta de l'alpha oméga, pour passer la passerelle

Des rudes journées qui éveillent

Le rugueux réveil, dès que les arbres ne montent pas jusqu'au ciel;

A se bercer de fausses illusions nulle part pareilles;

Sitôt un miracle qui arriverait si vite en rentrant au bercail; 

Avec les doigts en éventail 

En songeant à l'après d'une vie d'ailleurs;

Qui retrouverait le sourire grâce aux lueurs;

Qui présageraient d'un avenir meilleur

Et pour tout le monde ainsi fédérateur,

Dont ce serait jusqu'à quand que la planète Terre resterait taciturne

Face à cette époque lugubre et diurne ?

Et si jamais c'était en faisant la courte échelle; 

Des histoires parallèles

Au monde de l'au-delà sempiternel;

Que fatalement; les arbres monteraient peut-être jusqu'au ciel.

 

Jérôme de Mars

Sûre face cachée

 

Au crépuscule de nos vies

Ou sans scrupule qui nuit;

On a tous en nous une face cachée;

Qui remonte à la sûre face cachée

Dissimulée derrière une apparence 

Trompeuse pour paraître paisible en résilience,

Alors que le fond de nos âmes semble désabusé;

Causé par tant de chocs qui nous ont ébranlé;

Et effondré dans des impostures, où l'on naît

Toujours dans l'effervescence;

Avec des parures d'opulence;

Ce qui est le plus profond de notre face cachée;

Qui remonte à la sûre face cachée

Et qui réprouve

Tout ce qu'on éprouve,

Puisque rien n'est figé en surface cachée !

Où l'on est ce que l'on paraît aux gens

Pour ne pas les faire fuir avec nos tourments,

De ce qui leur plaît de savoir ou croyant savoir,

Si bien qu'on panse en replaies tous nos déboires;

Et de quelle est la raison si on est à ce point

Mâle en point dans l'essaim

D'une lune de fiel ?

Avec trop de points de sature qui s'amoncellent,

Où l'on joue tous un rôle

Pour faire plaisir à tous ceux qui croient nous connaître

Dans le paraître, où l'on est maître

De notre destin; qui sent la geôle 

En nous libérant par les mots

De ce qui nous ronge dans un méli-mélo,

Où le jour où on remontera à la surface cachée;

On saura avec diplomatie dévoiler notre face cachée

Avec doigté, car d'où l'on naît

Et selon qu'on est !

On a tous en nous en remontant à la surface cachée;

Une sûre face cachée.

 

Jérôme de Mars

Des oliviers dans la lavande

 

Arbres plantés là dans la quémande

De la loi de l'offre et la demande;

Ici là avec l'offrande; 

Il y a des oliviers dans la lavande

Avec du romarin et du teint;

Qui sentent bon le mariage enclin

A dépasser le baume au cœur;

Qui irrigue les souvenirs bienfaiteurs

Des paysages de la garrigue;

Dessinée avec des maquis 

En croquis exquis; 

Qui naviguent 

Dans un champ de fleurs;

Là où il y a des oliviers dans la lavande

Des champs de blé;

En plein dans le Sud de la Provence

Avec un ciel subjugué de providence;

Bercée par la musique diurne des cigales,

Comme dans un concert de louanges

A La Cigale; qui régale

Un public friand qui est aux anges,

Quand les oiseaux volages 

Survolent et volent l'âge dans le naufrage

Des peines de cœurs; qui vendent

Des oliviers dans la lavande;

En faisant semblant de marcher

Dans les parages endimanchés;

D'un jour paresseux loin 

De la banquise et des pingouins

En un coup de chaud de créances;

Durant la dernière séance

Des oliviers dans la lavande;

Qui en redemandent

Que le soleil jette un coup d'œil

De sa fièvre jaune en trompe-l'œil;

Qui précise si les tilleurs

Se boivent dans un salon de thé;

Ou dans un salon de tes divinités,

Pendant que les collines sinueuses

Rendent les pierres poussiéreuses, 

Dès que le sol se dérobe sous les pieds

Des oliviers dans la lavande,

Lorsque son instinct inné; décide médusé

Que le soleil commande

Un ciel bleu azur,

Pour réparer les écorchures

De la loi de l'offre et de la demande;

Qui engendre un sol tapi de cailloux;

Qui lézarde un coin tranquille pour dire coucou

Aux hiboux cailloux chouchous;

Avant de retrouver la terre ferme

Dans la ferme d'un mas de terre

En un parfait pied-à-terre,

Dont unanime tout le monde germe

D'idées novatrices en offrandes;

Qui en demandent et en redemandent,

D'où le ciel quémande 

Des oliviers désormais renommés dans la lavande.

 

Jérôme de Mars

Il monte sur ses grands cheveux !

 

En gardant la tête haute

Ou en perdant la tête hôte;

C'est un casse-tête qui ôte

A-tue-tête 

A vitesse à grand cheveu,

Dont il monte sur ses grands cheveux !

Décoiffés; dépeignés, ébouriffés 

Et hirsutes complètement brossés

Dans le sens à contre-poil;

Qui ne caresse dans le sens du poil

Mais à rebrousse-poil;

Genre poil à gratter

A vitesse à grand cheveu,

Dont il monte sur ses grands cheveux !

Le peu de cheveu qui lui reste

Sur le caillou au long cours 

Ou au cours long,

Dont à vitesse à grand cheveu,

Il monte très très long sur ses grands cheveux.

 

Jérôme de Mars

On refait un tour de ma neige !

 

Tour de carrousel;

Effet boule de neige !

On refait un tour de ma neige !

En marchant dans son manège

Des temps; qui ravivent les prunelles

De ceux ou celles; qui ouvrent grands

Leurs yeux; sur ce qui fait marcher

Les manèges; avec dedans les enfants;

Qui effet boule de neige !

Demandent déterminés;

On refait un tour de ma neige !

En marchant dans son manège

De la raison: qui pousse à s'amuser

Durant un tour de manège:

Avant le tumulte de l'âge du sacrilège

Avec en guise de sortilège: 

Est-ce-que le sort sort-il lège ?

Avec effet boule neige !

En marchant tout le temps dans son manège;

Et en demandant satisfait ou remboursé;

Si on refait sans s'arrêter

Un dernier tour de ma neige !

 

Jérôme de Mars

Vannes qui coulent de source :

 

 

1)  Concernant un cuisinier aveugle qui n'a pas d'amis; il est indispensable pour lui; qu'il ait des lentilles de contact pour y voir plus clair dans sa vie

 

2)  Un poète maudit qui habituellement; pêche d'orgueil des poissons; a besoin d'un ver pour les attraper

 

3)  Un pâtissier qui vomit le jour de L'Epiphanie; crache une galette des rois

 

4)  Jésus qui est puceau; épouse le jour de son mariage la vierge effarouchée Marie

 

5)  Les frères Lumière s'ils n'avaient pas été clairs; ils auraient toujours été dans l'ombre !

 

6)  Un père Noël très âgé sent le sapin !

 

7)  Un employé d'une caserne qui allume cigarettes sur cigarettes; fume comme un pompier

 

8)  Un sculpteur qui mène une vie rien de plus ordinaire; est très terre-à-terre

 

9)  Michaël Jordan est resté sans arrêt trop honnête à force de faire des lancers francs

 

10) Depuis le temps qu'existe la marque Evian; elle a pris de la bouteille

 

11)  Un serveur de bar qui prépare plusieurs expressos d'affilée pour différents clients; pour lui; c'est le café du commerce  !

 

12)  L'Orchestre du Splendid a mené tambour battant pendant des années la salsa du démon

 

13)  Le Qatar se fixe des buts pour que Le PSG continue à atteindre de nouveau la première place du classement de Ligue 1

 

14)  Jacques Vabre, Nescafé et Café Grand-Mère qui se battent préparent un café frappé !

 

15)  L'horloger qui gronde son salarié lui remet les pendules à l'heure

 

16)  Un jardinier très cultivé qui aide des personnes; leur file des bons tuyaux !

 

17)  Un lecteur de bouquins en colère ne fait que l'ire !

 

18)  Un pêcheur qui capture des poissons sans épuisette; le fait sans filet !

 

19)  Un artiste qui réalise différents numéros dans un cirque; dans la vie; il n'arrête pas de jongler !

 

20)  Un propriétaire de chevaux met le pied à l'étrier à ses futurs jockeys

 

 

Jérôme de Mars 

 

Jérôme de Mars

 

 

    Qu'on a remonté la pente.

        Avec une force confiante

      En fin itinérante

             Dont on invente

                   Qu'on évente

               Grâce au parapente

                                     On arpente

                             Ici là conquérante

               Où avec volonté persévérante

    Après toutes ces galères omniprésentes

                              Trouvé notre voie présente

                                          Où l'on aura insistante

                                                            Et persistante 

                                     Dans une résilience Protestante

                                                             Pour qu'on arpente

                                                                          En parapente

                                                         Pourvu qu'on remonte la pente

                                                        D'où on a des paroles balbutiantes

                                                    A la tenue fringante et clinquante

                                            Avec des étoiles reluisantes

                                       Brillante et luisante 

                                  Qui soit étincelante 

                             Avec une voix si puissante

                        Quand on remonte la pente 

                    Et qu'on pressente

              Qu'on ressente

          Qu'on consente

              Pourvu qu'on sente

             Tout ce qui nous contente                   

                  Avec une personne aimante

                                           En bonne entente

                                    Qui souhaite qu'on retente

                                   Grâce à l'aide de notre tante

                                        Quand on remonte la pente                                                

                                                                 Sous la tente

                                                                  Et on tente

                                                       Ce qu'on intente

                                                            On arpente

                                     En faisant du parapente

 

 

On remonte la pente !

Marchand deux poèmes

 

 

Pris à la vente                                                Prix à la vante

 

 

Je suis un marchand deux poèmes      Je suis un marchand de bohèmes

A la vente qui vend pour du vent        A la vante qui évent pour devant

Ce poème composé à la découpe    Cette bohème qu'on posait ah ! La des coupes

Où je suis pris à la vente                   Où je suis épris à la vante

Avec une réduction ah ! Pris moins cher  Avec une reproduction à ! Prix main chair

Où mon poème est compris néant moins Où ma bohème est à prix néanmoins

Avec le café offert pour un poème        Avec le café frappé au fer pour une bohème

Si ça rime marchant à la vente            Si ça arrime marchand à la vante

De ce marchand de poèmes.                De ceux marchant deux bohèmes.

 

 

Jérôme de Mars

 

Jamais d'eux sans trois  !

 

 

Un égale deux puisse jamais d'eux sans trois si étroit fait un d'eux

Qui régale un deux          Dans un repas d'eux        Dans la règle d'eux trois

Et trois d'esprit frugal      A trois en d'eux temps      Du détroit de Gibraltar

Effet d'eux égal trois       D'un pas de deux              En appât qui règle deux trois

Un à un d'eux détroits     Marchand d'étroit             En un de trois très étroit d'eux

Plié en deux et trois        Qui régale des trois          Qui un fait d'eux détroit  

En un détroit d'eux          D'eux en un des trois       Et fée deux en un d'étroit

Qui est fait en un détroit   Qui égale de en nain    Qui règle les trois d'étroits détroits

Jamais deux sans trois qui régale égal en un d'eux des trois détroits et trois étroits.

 

 

Jérôme de Mars

Paris ou vers

 

Paris ou vers;

On ne tarit pas des loges

Grâce à la Fête des Loges,

Dont les Paris sont ouverts !

Sous la coupe de La Coupole,

Et dont à La Rotonde;

Il y a la ronde

Des stars;

A l'instar

Du Fouquet's;

Qui élit les champs alizés 

Avec Paris au vers,

Dont les Paris sont ouverts !

Dans Paris ou vers;

En étant sans arrêt la grande roue

De secours, où tout le monde

Fait place de la concorde,

Avec pour Jérôme de Mars

Le champ de Mars, 

Quand la Tour Eiffel

Fait un renvoi d'ascenseur;

A monsieur les censeurs

De bas étages;

Surplace de L'Obélisque;

Avec comme handicap

La place des invalides

Sur le Paris ou vers,

Dont les paris restent ouverts !

Quand Paris se met au vers,

Comme à Montparnasse

Qui ne fait pas de quartier

Au petit journal Montparnasse,

Quand tous les chemins mènent

A Rome; en prenant la porte d'Italie

Surplace d'Italie,

Comme au quartier Asiatique

Dans le 13ème arrondissement,

Où quand on nem; on ne compte pas !

D'où l'on rit quand on est !

Aux abords de premier abord

En ce Paris ou vers;

Qui monte sur Seine

Avec un énorme raz-de-marée,

Si bien que La Seine a de l'eau-de-vie;

Qui est un long fleuve tranquille

Pour mener sa barque tout seul;

Sans être mené en bateau

Dans la cour des grands;

En mettant des petits plats

Dans les grands;

Et en ne lésinant pas sur les moyens,

Dont les paris restent tout le temps

Ouverts; en se mettant pour l'éternité

Aux vers ; avec un mal de mer over

En mangeant un Opéra, 

Dont c'est du gâteau d'écouter 

De l'opéra en station debout;

En faisant Duroc 

A Châtelet-Les-Halles;

Et en remportant le marché 

Aux Halles; qui peut bien marcher

Avec Serge Gainsbourg, pour brûler

Sa vie par les deux bouts de la chandelle;

En faisant un billet d'amour de 500 Francs;

Très franc du collier en anciens Francs

Ayant pour franc-parler;

La magie des transports en commun

De la rive gauche à la rive droite

De Paris, dont lui se fait le poinçonneur

De la porte des Lilas; de La Porte Brancion 

A La Porte Montreuil en mettant l'eau

Qui débouche sur La Porte de Versailles,

Dont tout le monde déguste

La pléiade de lumières allumées,

Quand les badauds Parisiens

Envoient promener ceux;

Qui ne sont des lumières

Mais en tournant du mauvais côté

Des lanternes rouges;

Qui l'ouvrent au Musée du Louvre

Après s'être rincé l'œil;

Et d'avoir rincé son Palais de la Découverte

Au Grand Palais, pour ne plus pouvoir

Voir en peinture et encadrer Le musée

Picasso dans ce Paris ouvert;

Qui se met aux vers avec les paris ouverts

En ce Paris ou vers,

Où tout le monde se livre

Et s'expose;

De La Bibliothèque 

François Mitterrand

A La Cinémathèque

De Louis; qui dore de funeste

En ce Paris; qui demeurera toujours ouvert

Avec les paris encore ouverts;

En se mettant trop aux vers

Et au Panthéon;

De ce Paris ou vers.

 

Jérôme de Mars

Des dix cassent !

 

Casse du siècle !

Dédicaces !

Quand des dix cassent

Le mariage du siècle !

Quand dédicaces

La marche du siècle !

Quand des dix concassent

Ceux qui n'ont du blé qu'on casse !

Quand dédicaces le blé concasse

Ceux dont la maladie du siècle !

Quand des dix cassent tracassent

Dédicaces ! Qui fracassent

La chanson du siècle !

Quand des dix cassent

Cette fin de siècle !

Quand dédicaces

De leurs doigts des dix cassent !

 

Jérôme de Mars

 

Et si on me tirait les vers du nez !

 

Nez à nez;

Je suis né

Avec l'âme d'un poète

Maudit; qui sécrète

Ce que bon lui décrète;

Avec une complexité de mots;

Qui apparaissent tel l'envers du dico

De ce qu'on en regrette;

Et si on me tirait les vers du nez !

Que se passerait-il envers mon intégrité ?

Serais-je irréprochable

Ou plus du tout fréquentable ?

A savoir si l'envers de mon corps

Serait compatible envers l'envers du décor;

Si ça rime à quelque chose

De toujours faire dans le morose ?

Ou peut-être que je dois me renouveler

En composant des poèmes endiablés,

Pour mettre la barre encore

Plus haut avec la volonté d'avoir des anticorps,

Pour me prémunir et me protéger

De ceux qui me veulent du mal; 

Ou bien pour rester

Dans les annales;    

De quelqu'un qui veut s'améliorer

Pour réparer ses injustices passées

A refaire sa vie cabossée; 

Et si on me tirait les vers du nez !

Aurais-en encore l'inspiration inné ?

Nez à nez avec mon passé pour y puiser;

Et puiser; épuisé en vue d'amenuiser 

Ce trop plaint, de sorte qu'il devienne

Après les pluies diluviennes;

Un trop plein face à mes vieux démons;

Qui me rongent de l'intérieur en amont

De ce que je vais écrire; si je suis libéré

Et soulagé de cette emprise; qui me cause

Toutes ces ecchymoses et névroses;

Même que parfois;

Je rédige des proses,

Pour souffler sur le chaud du froid;

Et si pour changer le cours de mon humanité,

Afin que je jette l'encre de ma poésie

Avec frénésie; 

Et si on me tirait à tout jamais les vers du nez !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Oasis

 

Si nous pouvions occulter l'espace d'une journée;

Le monde tel qu'il est; nous nous emporterions 

Bien mieux; en parvenant à la clarté de l'immensité

Parmi le peuple désireux d'accéder à la saison;

Et à la moisson d'idées et d'illusions certes; qui embellissent

Notre quotidien avec pour soutien; un oasis

De liberté et de fraternité; frères de chimère;

Qui pour une fois éclairerait de lumière

Ce monde de mirages;

Emplie d'images dans les parages;

Qui fonctionnent avec des si avec des œillères,

Et dont je me sers de ces vers; pour faire prendre conscience

Qu'il y a urgence à germer une terre; qui cultive la régénérescence 

D'une terre d'oasis pour boire les paroles sages de l'homme indolore;

Si parmi miracle, il colore ce monde d'un bleu de l'espoir; qui redore

Son blason arrivé à péremption et à maturation, dont il est temps de mélanger

Toutes les couleurs; à l'origine des machine à laver d'une dense variété;

D'un peuple de métissages, pour coudre mes tissages d'un oasis

De vent de fraîcheur; qui mêle des délices de plats exotiques; qui misent

Sur la disposition d'une diaspora; nantie dans la savane d'une ouverture

D'esprit; qui serait bien meilleure avec pour suprêmes figures;

Des gens libres de tempérament, mais soucieux d'apaiser les églises,

Comme le temple des mosquées et synagogues, dont l'unique ralliement

De toutes les communautés; serait de s'entendre dans l'intérêt de chaque rang;

Avec pour boire des paroles sobres; un vent de liberté dans chaque oasis !

 

Jérôme de Mars

L'habit ne fait pas le moine Tibétain  

 

Nom d'un Sacristain 

Avec la charité Chrétienne;

Il n'y a point besoin d'avoir fière allure hautaine, 

Mais d'arborer pareille figure humaine;

Avec pour affinités saines

De connaître en préceptes;

Que l'habit ne fais pas le moine Tibétain,

Quand l'ange intercepte

Le démon, d'où qu'il soit le copain

Des bons samaritains;

Qui sont les témoins

D'un autre temps autrefois moins incertain

Que l'époque actuelle; 

Qui loge tous les mêmes rituels;

Logés à la même enseigne de l'autel;

Qui démontre prières qu' Ave à l'appui serein;

Tendances à prouver sur de solides refrains

Que l'habit ne fait pas le moine Tibétain;

A part hiberner dans la confrérie de meilleurs lendemains

Que chaque jour n'est pareil ! Mais à chaque semaine

Suffit sa peine ! Pour sans doute emmagasiner que la haine

N'est point la solution !

Mais dont désormais l'unique absolution 

Pour éradiquer les péchés d'orgueil ! 

C'est boire du tilleul en évoquant l'aïeul !

Au seuil de la crise de la quarantaine;

A part se mettre en quarantaine

Pour une semaine; 

Nom d'un Sacristain,

Dont le ciel implore devin

A l'église des Byzantins 

Que l'habit ne fait pas le moine Tibétain.

 

Jérôme de Mars

Ca sent le sapin !

 

 

 

                                                 Bonne année

                                        Ca sent le sapin suranné

                                  Qui a les boules maboules au gui 

                            Quand les jeune femmes s'enguirlandent

                     Au pair du père Noël dont ça sent le sapin qui bûche

             Où tout le monde déguste la galette des rois pour passer une

     Bonne fin damnée et se souhaiter pour la nouvelles année un bon début

D'année au mois de Janvier en fredonnant une France réenchantée dont ça ne

                                                           s .    

                                                s         r

                                                e         e

                                                n         v

                                                t              

                                                i         s

                                                r         e 

                                                a        d   

                                                      

                                                p        n

                                                l          i

                                               u         p

                                               s         a

                                                          s

                                               l          

                                              e         e  

                                                         l

                                              s         

                                              a         a

                                              p         r

                                              i          i

                                             n         t

                                                        n

                                            d          e

                                            '           s

                                            h            

                                            i           a

                                           v           ç

                                           e

                                           r   d o n t

 

 

 

 

Jérôme de Mars

La sirène qui appelle les pompiers

 

Sirène de la mère morte;

V'là la sirène qui appelle les pompiers !

Lettre morte !

Avec des ah larmes fortes !

Au secours ! Les pompiers !

Y a le feu au lac !

Comme à la maison opaque;

Gisant dans sa laque de l'obscurité;

Qui enclenche la sirène des pompiers,

Dont la sirène de la mère morte

Respecte à la loupe les dernières volontés;

Avec de la sorte;

Peut-être un espoir de rencontrer

La mère noire dans l'au-delà !

Pour discuter et converser 

De ce qu'il y a après le trépas

Avec la grande faucheuse;

Qui se fait ravageuse 

A n'importe quel âge !

Dans les parages des nuages

Du royaume de l'au-delà; 

Avec la sirène qui appelle les pompiers

Pour secourir son âme assaillie d'éclats,

Quand la sirène de la mère morte 

Se fait l'écho en s'apprêtant à ouvrir la porte

D'un monde meilleur; en pénétrant dans l'au-delà

Pas à pas,

Dont elle va retrouver la mère morte;

Par la grande porte

Dans la mère noire;

Histoire que maintenant son réquisitoire

Fasse l'écho d'un bal des pompiers !

Parmi la communauté

Des défunts, dont tout le monde dira

Que ce n'est plus la sirène qui appelle les pompiers;

Mais les pompiers qui retentissent la sirène d'ah larme !

Y a plus le feu au lac et dont tout le monde baisse les armes !

 

Jérôme de Mars

 

Par écrit

 

Par écrit, je fais couler

Beaucoup d'encre 

Roucoulée ! En me faisant

Un sang d'encre; 

Et en portant toute mon enclume

Par écrit, où je fais découler

Des coulées debout; 

En me jetant dans la boue,

D'où je patauge par écrit

Cette poésie courte;

Rédigée noir sur blanc,

Où par écrit; j'écris

La machine à décrire

Le temps ! Qui fuit

De mon stylo par écrit;

En faisant mauvaise impression,

Quand je change les cartouches

D'encre pour écrire sur mille feuilles;

Un instant de ma vie;

Qui durera toute la vie,

D'où voici pourquoi je jette l'encre

Par écrit.

 

Jérôme de Mars

T   ex     te         au      x         mots       con       fi       nés

 

 

 

D i    s    t  an  c  i    a t i   o    n      s   o   ci  a   l   e       ;

 

 

V o    i     là         un    t   ex     t    e    a u  x   m  o   t  s  c o n  fi    né   s       !

 

 

 

A v   e  c     l   a  pand   é mie   q u  i    p  r  e  n     d    e n   g r i   pp   e     

 

 

 

 

 

 

Ce  u     x     q   u     i      s  '   en   la   v   e  nt    la  i  d  s   mai  n   s     ;

 

 

 

E t   d o    n     t   s i   j   a ma   i   s     l    e    m    as   qu    e      t  om   b   e       !

 

 

 

I   l    s     p     r   end    ron    t         u  n      sa  v  o     n         ,

 

 

 

C o  m   me   si    n o u   s   s  avo      ns   

 

 

 

 

Q    u    '    en   pr   e    nan   t       ho   m   o   s      h   été     ro  s

 

 

 

Au    x     mo   t   s   d e    l  e  urs    a ct   e   s ;  on   e  n    p   r  en  d    a  c  te     !

 

 

 

 

 

 

A  v  e     c        e    n    pi   q   ûr     e      d   e      ra  pp   el   ;    le   va c  ci    n

 

 

 

                                           

 

Contre     c  eu   x         vi   r   u   s    ;     a n     u       n         r a  pp     e       l

 

 

 

 

 

 

 

 

D   u         B   c     B   g   ,        p  o   ur     n  e   p   l   us     qu  e   per  so  nne       ;

 

 

N   e          s   e            piq        ue       a  ve   c     la        ser  ing  u   e   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

D  e      c          e        te     xt     e      au   x      m   ot   s           con   fin   és.

 

 

 

 

  Jérôme      deux          Mars

 

 

 

 

Ces femmes qui font une fleur à celle qui récolte le fruit de son travail

 

Fleur d'Eglantine; qui fait une fleur de Capucine

A Clémentine; qui récolte le fruit de son travail

De la clémentine; qui envoie des fleurs d'églantines

Et de capucines à Eglantine et à Capucine,

Dont la clémentine récolte le fruit de son travail

De là Clémentine; qui achète des fleurs

De Capucine et d'Eglantine pour Clémentine;

Qui récolte le fruit de son travail de la clémentine

Pour ces femmes; qui font une fleur d'Eglantine

Et de Capucine à celle; qui envoie des fleurs

D'églantines et de capucines pour Eglantine

Et Capucine; qui récoltent la clémentine

Du fruit de là Clémentine de son travail.

 

Jérôme de Mars

Le soleil au beau fixe

 

Ca y est, nous y sommes en 2021 !

Après avoir été sur notre 31,

Dont je vous en prie; servez-vous de votre téléphone !

Afin qu'en 2021; ce soit une année pour le fun;

En diffusant à l'aide de votre mégaphone

Un message de paix, pour que l'indifférence soit aphone

Avec le soleil au beau fixe;

En ayant pour idées fixes qu'il n'y ait plus de rixes !

Et buvez du cidre doux  !

Pour qu'en 2021; il y ait du redoux

Dans ce monde de fous,

Où tout le monde s'en fout de tout !

Sans garde-fous;

Qui se dévouent

Pour qu'on renoue

Avec le soleil soit au beau fixe;

Et qu'on mixe les rixes en un remix;

Où tout le monde pour une fois y trouverait son compte,

Pourvu que cette année 2021

Se fasse sur son 31;

Et que chacun compte sans honte

Pour quelqu'un;

Avec le soleil au beau fixe,

Pour que l'amour remplace les rixes

De ce monde désenchanté,

Où on a tant besoin

D'un maître chanteur,

Pour réapprendre à interpréter

Le bonheur dans la chaleur

Humaine, pour qu'à chaque semaine

Suffit sa peine !

Avec on l'espère ! Du parfum

Et du teint empreint 

De bienveillance, de valeurs et de ferveur,

Afin que ce monde d'égoïstes retrouve quelques saveurs !

Et que par conséquent; on en déguste les vertus,

Qui tuent le mal de telle manière qu'on renoue

Avec le bien; 

Auquel on voue

Un remix qu'on mixe

Dans la fraternité

Et la solidarité;

Entre copains

Autour d'un ver de bons samaritains,

Dont on espère qu'en 2021;

Le monde sera toujours sur son 31

Avec le soleil au beau fixe.

 

Jérôme de Mars

Le bouc qui rend chèvre

 

Bouc-émissaire;

Et haut-commissaire

Aux solidarités actives;

Il y a le bouc qui rend chèvre

Ceux qui ont un bouc du bout des lèvres

Avec des apparences trompeuses positives,

Dont les cornes du bouc écornent 

La licorne très à cheval; qui a des cornes

Au pied, quand le bouc rend chèvre

Les brebis galeuses,

Dont certains parmi eux;

Sont doux comme des agneaux

Du bout des lèvres, comme des becs de lièvres;

Qui posent des lapins au bouc-émissaire;

Et puis bougre de malotrus; doux

Comme des agneaux; malgré que le bouc

Rend chèvre le bouc de sa barbe;

Qui en a plein la barbe du bouc-émissaire;

Qui le barbe tellement de le mêler à ses affaires;

Avec des brebis galeuses comme mauvaises

Fréquentations; qui lui inspirent un manque de confiance

Au bouc qui rend chèvre le bouc-émissaire;

Genre un gars limite plouc avec son bouc;

Qui fait sa campagne avec des brebis galeuses;

Qui rendent doux comme un agneau;

Le bouc-émissaire qui a le bouc qui rend chèvre.

 

Jérôme de Mars

Les barbus sont barbants !

 

Barbe à papa

Barbe papa;

Qui a en a plein la barbe

De sa rhubarbe; 

Qui le barbe

D'avoir un rasoir;

Qui est très rasoir 

Et qui mousse à raser;

Et mousse; émousse

Le blaireau; qui rase

Les blaireaux, dont les barbus

Sont barbants 

Et couillus;

Avec des poils au cul;

Trop poil à gratter

Les poilus;

Qui partent en guerre

Pour raser leur derrière;

Et piler; épiler

Et s'épiler 

L'anus horribilis,

Pourvu que la syphilis 

Ne leur cause de poils

A gratter s'ils sont à poil;

Ceux qui en ont plein la barbe

D'avoir de la rhubarbe;

Qui leur barbe

La barbe à papa

Que leur barbe papa;

Qu'ils soient couillus

Avec des poils au cul,

Dont pour prendre

Des calmants

Qui les rasent;

Ils font table rase

Du passé; qui est rasoir,

Pourvu qu'ils se rasent

Avec un rasoir

Si ce sont des blaireaux;

Avec pour blaireau

De la rhubarbe,

Dont les barbus sont barbants.

 

Jérôme de Mars

 

Personne n'a gratté !

 

Infréquentable et instable;

A classer parmi les infréquenstables,

Personne n'a gratté !

Comme persona non grata !

A taxer d'opportun s'il épate ta

Galerie à racketter

Les plus faibles !

A part ceux qui sont espiègles !

Et qui ont la légitime défense 

Dans une légitime défiance !

Comme personne n'a gratté !

Comme persona non grata !

Avec le bénéfice du doute;

Qui déroute ceux qui font banqueroute;

Notamment les gens sans scrupules;

Qui sont des crapules,

Comme personne n'a gratté !

Persona non grata !

Surtout ceux qui sont sans foi ni loi;

Et qui s'en foutent d'être des hors-la-loi !

Au-delà du raisonnable !

Quitte à franchir le soutenable;

En commettant des choses implacables;

Qui dépassent l'entendement fréquentable

Et stable;

A déclasser parmi les gens affables;

Et à classer parmi les infréquenstables;

Comme persona non grata !

Si à l'effarouchée personne n'a gratté !

 

Jérôme de Mars

L'eus-tu cru ?

 

En nouvelle recrue;

L'eus-tu cru ?

Si jamais tu ris

Avec L'Uncle Ben's;

Et que tu mets la main

A la pâte si tu ris

Quand on naît !

L'eus-tu cru ?

En parlant de façon 

Très crue;

Avec L'Uncle Ben's

Avant la décrue;

Si tu ris 

Et que tu prends

Un bain marie;

En mangeant

Un plat tout fait Marie;

Avec L'Uncle Ben's 

L'eus-tu cru ?

 

Jérôme de Mars

Manger des mots d'hiver

 

Avant la prochaine saison printanière;

Depuis la tanière

Bien au chaud; 

Il faut manger des mots d'hiver !

Et boire des paroles avec du sirop 

D'érable ! Pour réchauffer la voix;

En dégustant par avances

Une nouvelle année;

Qui portera offense,

Comme à l'accoutumée

Avec son lot de misère;

Et aussi de quelques sobriétés 

A n'en pas louper et duper !

Ce qui risque d'arriver;

Même que inadvertance;

Il y a de la prudence !

A s'en cacher avec des pincettes;

Ce qui fait que quand il y a

Une minuscule amourette;

Eh ben avec ses confrères !

Il faut boire des vers d'hiver !

Et manger des mots d'hiver !

 

Jérôme de Mars

 

 

Le pot de terre contre le pot de fer

 

Hommage à Jean-Claude Athané;

Auquel je tire tout mon chapeau;

A lui que j'invoque de tout mon respect;

Avec le pot de terre contre le pot de fer

Pour déposer à terre tous mes souvenirs

Les plus sincères; à polir ou à pétrir

En mettant la main à la pâte de son atelier

De terre; terre d'argile à l'aise glaise 

Sans foutaises, mais juste pour le plaisir 

De manipuler la terre et d'en faire

Le pot de terre contre le pot de fer;

Avec à chaque numéro 

De quoi inventer un monde qui ne lèse

Personne; et qui donne de la matière

A chacun au ciel, d'où est Jean-Claude Athané;

Et s'il nous regarde de là où il est

Avec le pot de terre contre le pot de fer,

Si bien que même si Popeye avait du fer

Dans les épinards; eh ben ! Lui;

Jean Claude Athané

Avait la passion de son art très instantané,

Dès l'école des Beaux-Arts

Avec l'art et la manière;

D'adresser son regard spontané

Sans un coup de Trafalgar;

Avec ses mots qui montraient toute la déco

De sa gestuelle empreinte au geste; 

Qui joignait la parole; le temps qu'on se déleste

De tout le reste 

Pendant ses courtes séances!

Et de ceux qui lui confiaient leurs doléances

Avec le pot de terre contre le pot de fer,

Si bien que Le Cerep a de ce fait maintenant

Un rideau de fer, 

Pour modeler de la poterie avec un savoir-faire

Passionnant et captivant; nous berçant

A faire de nos vies un inventaire;

En prenant tout à la légère !

Avec le pot de terre contre le pot de fer

Et en déposant tout à terre;

Ici présent ! Où dorénavant

A 90 ans;

Jean-Claude Athané vient de quitter

La terre ferme;

Avec tout son mystère, dont il renferme

La clé d'une pléiade 

De trouvailles; en route vers l'olympiade

Dans le hangar du ciel; avec des bibelots;

De quoi embobiner l'au-delà avec son savoir;

Et son extensible réservoir

D'une multitude d'idées;

Issues de son grand cerveau;

Abreuvoir de brèves de comptoir,

Dont à toi Jean-Claude Athané;

On te souhaite bon vent !

Et bon repos éternel !

Juste là-haut au ciel !

En contemplant les ailes

Des anges; qui admirent ton intégrité,

Dont même si tu deviens Céleste;

Et ben pour le reste !

On t'adresse d'où on naît !

Un salut très amical

Et cordial

En ta mémoire;

En te souhaitant bon repos 

Bien mérité

Parmi tes confrères;

Certes plus sur Terre !

Mais en parlant de terre

De toute ta matière;

En s'inclinant à terre !

En vers toi ! Qui nous éclaira

De ta lumière

Durant tous nos tracas;

A toi en trinquant

Au ver de l'amitié !

Du pot de terre 

Contre le pot de fer.

 

Jérôme de Mars

Si les arbres ont des sols pleureurs !

 

Plantés là d'un grain de folie !

Qu'attendent-ils ainsi ?

Pour semer une graine;

Et faire en sorte qu'un Eden

Naisse en ayant les faveurs

Des arbres en chaleur;

Si les arbres ont des sols pleureurs !

Et dont ils veulent beaucoup d'amour

Pour passer un agréable séjour

Sur le sillon de la route en zig zag;

Toujours à un tournant qui drague

Ces arbres en chaleur;

Si les arbres ont des sols pleureurs !

En riant au célibat de leurs branches;

Qui n'endimanchent et ne branchent

Personne avec un manche !

Et dont pour sangloter en amateurs

De tendresse; il suffit que L'Equateur

Les arrange, pour que La France tempère

Leurs ardeurs;

Et calme leurs pulsions étrangères;

Qui ne les laissent de marbre;

De ce que les arbres

Dégorgent de leurs humeurs;

Si les arbres ont des sols pleureurs !

Pour consoler leurs peines;

Qui arrivent à peine à être reines,

Pour que les arbres se dominent

De cette mélancolie; qui les mine

Et pour laquelle ils se démènent,

Pour que la joie les emmène

Vers des arbres plantés

Là ! Comme des sols pleureurs;

D'un jour tant désiré;

Si les arbres ont par bonheur 

Des saules pleureurs !

 

Jérôme de Mars

Musique habile 

 

Dans ce slam islam;

Y a de la musique habile !

Qui fait de la musique kabyle 

A la fois de ses facettes agiles;

Fragiles et subtiles

Sur la terre d'argile;

Qui envoie balader les quidams !

De leur bon vouloir

Ou en faire-valoir

Dans ce slam is slam,

Où y a de la musique kabyle !

Qui fait de la musique habile;

En se faisant de la bile

Ou en étant en bisbilles,

Où tout le monde part en vrille !

Et ignore la raison qui fourmille

Ce monde qui ne brille

De par son originalité,

Mais en des tonalités 

Dans la solennité

Pour le plus grand sérieux

De parvenir à être heureux;

En écoutant de la musique habile

Aux sonorités qui font de la musique kabyle;

En ne se faisant plus de la bile;

Mais à fredonner

A bonne entendeur

Des mélodies ludiques;

Qui rendent amnésique

Le passé désenchanté;

En devenant nostalgique

D'un avenir pour espérer

Réenchanter les névrotiques,

Pourvu qu'avec de la musique kabyle;

Le monde soit plus gentleman

Et mélomane

Dans ce slam islam;

Qui veut que l'Islam

Soit compatible avec le slam

Parmi tous les quidams;

De toutes les cultures,  

Pourvu que tout le monde s'entende

En paix;

Et dans la richesse d'une communauté

Sans fioritures,

Mais avec humanité

Et dans la liberté,

Pourvu qu'en 2021;

Tout le monde se détende

Sur son 31

Dans ce slam !

Où y en aura pour toute la postérité

De la musique habile !

 

Jérôme de Mars

On descend très bas !

 

 

Marche

           Démarche;

                            En marge

                                          Du

                                              Système,

                                                           On

                                                              Descend

                                                                           Très

                                                                                 Bas

                                                                                      Les

                                                                                          Escaliers !

                                                                                                        Qu'on

                                                                                              Dévale

                                                                                      Dans

                                                            Le Val de Marne,

                                                     Dont

                                                   A

                                           Force

                                  Qu'on

                 Descende

  Tellement

                  Bas !

                        Les

                             Escaliers

                                           Risquent

                                                        De

                                                            Nous

                                                                    Descendre

                                                                                     Trop

                                                                                           Bas,

                                                                                                 Si

                                                                                                    Bien

                                                                                                           Qu'on

                                                                                                                    Dévale

                                                                                                             Trop

                                                                                                       Bas

                                                                            Le Val de Marne !

                                                                     D'où

                                                               L'on

                                                 Descend

                                              Ici                                             

                                          Là !

                                      En

                         Tombant

                   Bien

             Bas !

 

 

Jérôme de Mars

                                                            

Comme un château de cartes...

Effet domino

Dans un coup de trop;

Si je pense, je suis !

Et si je ne compense; j'essuie !

Comme un château de cartes...

Les peurs avec les tentations

De dériver en diversions et perversions;

Avec des envies de mettre des tartes

A ceux qui sont infâmes

Avec moi, d'où le fait que je m'enflamme

A cause de toutes ces injustices;

Qui sont sévices; ces vices,

Où je dévisse comme un château de cartes...

Tout ce qui s'écroule sans une pancarte,

Pour me montrer le droit chemin

Dès que je perds la main,

Où parfois; malgré que j'essaie

Et que je veuille valeureux

Faire des efforts;

Et ben ! Très souvent, je ne peux

Face à mes vieux travers; 

Qui me regardent de travers

Avec ces vers sévères,

Où j'ai peur que la loi du plus fort;

M'emporte avec déraison 

Vers l'inconfort

D'une porte de prison;

A invoquer l'oraison 

Du plus fort à n'importe quelle saison,

Où je suis désarmé de remords

Face à chaque situation,

Comme l'effet domino

Et comme un château de cartes...

Où tout s'écroule dans un coup de trop,

Et où je ne peux malgré que je veux

Tenir le coup, mais dont tous ces désaveux ;

Me font trop mal avec une tarte

A la crème fouettée

Du père Fouettard; avec mes piques affûtées; 

Entre garder la raison

Et foncer tête baissée vers le fruit de mon imagination;

De mon âme parano

Ou à l'ego mégalo; 

Avec soit des mégas lots

Ou si je sors du lot;

Et ben ! Tout s'écroule comme un château de cartes...

Et dont malgré des frictions

Dans mon cerveau;

Il faut que je résiste à mes vieux démons !

Pour revenir parmi les joyaux

De la vie sur Terre;

Même que parfois; elle peut être délétère

A faire un inventaire, 

Pour reprendre un bon bol d'air 

Et reprendre le cours de sa vie;

Avec les idées claires

Pour prendre des vers

Entre potos; 

Sinon qu'il y a plus photo !

A admirer son passé dans le rétro,

Car avec les amis et la famille;

Il faut tourner la page des années ennemies

Et faire fi; 

De ce que ta famille et tes amis

Se fient 

En toi, car après le dépit;

Peut surgir épanoui ;

Ton être qui reluit ébloui et ravi

Au fond du miroir,

Pour que tu reviennes dans la lumière;

En passant du mouroir

Aux confettis qui te scient;

Si bien assis !

Avec ta famille et tes amis

Autour d'un ver de porto, 

 Puisque comme le disait 

Si bien René Descartes !

En jouant cartes sur table; 

Je pense donc je suis !

Et si j'y suis !

Et ben! Je compense en faisant table

Rasé du passé avec un bon café frappé;

Pour être en froid avec le passé, où tu seras sommé

D'assommer ton passé qui te raidit,

Pour retrouver une vie mûre

Avec ta bonne nature,

S bien que tu ramasseras la pancarte;

Qui te montrera le bon chemin

A suivre, pour que demain

Soit meilleur qu'aujourd'hui

Et hier,

Et pour qu'il n'y ait plus de coup de trop

Sous l'effet domino;

Et que l'effet miroir

Fasse que tu tournes le dos

Au désespoir

De cette vie si noire,

Car lorsque tu seras happé par la philosophie

De René Descartes;

Je pense donc je suis !

Et ben tu pourras dire j'y suis !

Dans la bonne direction,

Pour aller de l'avant

Dans le sens du vent,

Où comme t'auras tellement joué cartes sur table !

Et ben affable !

Tu trouveras la pancarte

En revenant dans le droit chemin,

Comme un château Descartes...

Jérôme de Mars

La machine à démonter le temps

 

Remonte-fesses au ski;

Qui à fesses, affaissent ceux qui 

Furent victimes ici présent;

De la machine à remonter le temps

Du présent au passé,

Dont comme un raz de marée

En arrière; ils font démarrer

La machine à démonter le temps;

En revenant du passé au présent

Et en l'échangeant; le changeant;

Tout ce qui s'est passé

En un présent outre-passé consolidé;

Avec quelque chose de plus charmant,

Pour omettre ce qui s'est passé

Des choses anxiogènes

Avec dans le présent des gênes;

Qui empêchent d'être aborigène,

Dont l'amer

A laissé des gènes héréditaires

Dans un état délétère,

Dont pour inhiber tous ces tourments;

Autant mettre en marge du système

Tout ce qui tape sur le système;

De ceux qui sèment

Des problèmes

Avec la machine à démonter le temps;

Du passé au présent, 

Pour paraître heureux l'espace 

D'un instant complètement space

En remontant à la surface;

Et en changeant le cours du temps

De l'autant à l'Otan,

Pour être en paix 

Et fumer le calumet de la liberté;

En voulant que tout aille bien !

Et profiter de l'instant présent !

Entre copains qui faisons 

Les bons samaritains;

En joyeux larrons

Avec la machine à démonter le temps,

Dont la machine machine à remonter 

Le temps mais dont maintenant;

Il est temps d'aller de l'avant !

En étant sur un étang

D'une vie qui est un long fleuve tranquille !

En plantant là des jonquilles;

Et en les parsemant d'un frottement;

Avec du froment pour demeurer exaltant

Jusqu'à la fin des temps,

D'une vie aspirée à devenir dans le temps

Quelque chose de plus clément,

Dont il est temps que tout le monde se détend !

En mettant à l'arrêt la machine à remonter 

Le temps du présent au passé;

Autant d'OTAN

D'être maintenant tout le temps en paix;

Et en fumant toute l'éternité

Le calumet de la liberté;

En démontant la machine à remonter le temps,

Pour transposer dorénavant le passé en un présent;

Plus présent et plus plaisant

Grâce à la machine à démonter le temps.

 

Jérôme de Mars

En janvier 2021, un bon début d'année ou un bon début damné ?

 

Janvier arrive bientôt;

Pourvu qu'elle arrive tôt !

Et pas dans le chaos !

Mais plutôt dans un eldorado

Avec pour janvier 2021;

Un bon début d'année 

Ou un bon début damné ?

Où tous, on en a marre

Prêt à dériver 

Et  à se rebeller

Contre le système,

Où il n'y a plus de solidarité;

Qui démarre

Et où plus personne ne s'aime !

Mais se défie

A jouer au plus pourri;

En même temps c'est normal; 

Anormal et amoral

En cette période bancale;

Qui sent le sapin

A moins que certains

Fassent le tapin; 

Ou s'en tapent hein  !

A s'enguirlander

A volonté,

Parce-qu'on a tous

Les boules

Dans ce monde maboule;

Qui déboule,

Où parmi la foule;

Tout le monde ne se foule;

Se refoule

Et se défoule

Sans un moindre coup de pouce;

Et est-ce-qu'à partir de janvier 2021 ?

Ce sera un bon début d'année

Ou un bon début damné ?

Dans l'obscurité

Ou la clarté;

A s'apprécier , à s'ignorer

Ou à déplorer

L'humanité; qui s'en va quémander

Et s'épancher

De pourquoi le monde est ainsi dans le rejet;

A ne plus savoir pourquoi tout le monde est agonisant;

A ne plus s'entendre en demeurant franc

Et de pourquoi tout fout le camp mécréant !

Dans le néant

A être des morts-vivants déviants;

Plus dans le courant

Et en étant au courant

De rien,

Comme des pantins

Dans notre propre pays,

Où le monde est devenu trop grand !

Pour se comprendre dans la fratrie

Et la sérénité,

Pour aussi se respecter

Dans la fraternité

Et l'amitié;

Dont malgré que le monde est agonisant !

Et l'immonde présent, pressant et oppressant !

Peut-on encore croire en la solidarité

Dans ce monde sous anesthésie

Et moribond dans sa léthargie ?

Où tous Les Français sont allergiques

Entre eux et névrotiques;

En ne sachant

Pourquoi le monde est devenu si affreux !

En restant à se morfondre dans son pieu, 

Dont en 2021, est-ce-qu'on sera ensemble pliés en quatre

Dans un quatre vingt et un ?

Ou est-ce-qu'on sera repliés sur nous-même en

Se mettant en quatre

Sur son 31 ?

En attendant 2021,

Comme en 2020

En vin 

Et dans le ravin 

Ou en devins divins ?

Et dont en janvier 2021; dans la solidarité

Ou le rejet;

Est-ce-que ce sera un bon début d'année 

Ou un bon début damné ?

 

Jérôme de Mars

Tous les voyants sont aux vers !

 

Clignotant où je suis à un tournant,

Dès que s'use le temps

De ce poème à l'an vers;

Malgré que tous les voyants sont au rouge !

Je vois rouge en buvant le rouge de mes paroles,

Si bien que je me mets aux vers,

Quand tous les voyants sont aux vers !

En écrivant l'oraison de ma colère

Et en volant de mes propres ailes brisées;

Tel un rossignol qui fait semblant la farandole;

Avec pour seul bémol si rien ne bouge

Dans la solennité de mon âme désabusée;

Qui divague à l'âme avec mon cœur;

Qui bat la chamade de toute sa noirceur;

En ne sachant que faire

De tout ce parfum qui m'indiffère !

A me foutre dans des états délétères !

Où je prends de court des cafés 

Dans un état laminé et délabré;

Avec pour constat que tout cela est involontaire !

Malgré mon état de révolutionnaire

En des faits contestataires et protestataires;

Faute de quoi je désespère !

Même quand tous les voyants sont aux vers !

De ma poésie débonnaire ou incendiaire,

Pourvu que je me mette tout le temps aux vers !

Pour oublier tout ce que l'amer 

Me cause comme état bipolaire;

De la mélancolie à l'euphorie éphémère,

Dont après tant de fluctuations précaires;

Il me faut pour consoler ma peine héréditaire;

Davantage de choses linéaires

Du fond de mon imaginaire;

Après avoir connu tant de passages à vides

Ou avides; pâle et livide dans un semblant rigide,

Pourvu qu'après mes déboires;

Je boive un peu d'espoir 

En modulant mon état d'esprit aléatoire

Jusqu'à l'exutoire jubilatoire,

Où j'aurai ainsi un réservoir

Abreuvoir de belles histoires,

Pour rencontrer au bar

Mes amis poètes du cercle des poètes férus

De rimes; qui résument bien ma vie éperdue

Dans le brouillard des rues aphones;

Avec au téléphone

Toute l'étendue de ma croix

Que je porte sans voix,

Si bien que je vois rouge

Après avoir bu tant de rouge;

En regardant les poissons rouges

Dans le bocal qui bougent,

Dont même si tous les voyants sont au rouge !

Je reste convaincu,

Pourvu que je ne sois vaincu

Par tout ce qui bouge;

Que tant que je me mettrai aux vers !

Je ne penserai au passé de l'amer,

Tant que tous les voyants seront encore aux vers !

 

Jérôme de Mars