Quand on parle du loup...
En parlant de la meute
Avant qu'il y ait l'émeute
Quand on parle du loup,
On vous loue
Dans tout ce qui nous alloue,
Avec Lou
Et Marie-Lou,
Qui relouent relous
Avec les filous,
Quand on parle du loup
Et qu'il loue
Des filous
Qui relouent
Et qui nous allouent
Avec les relous,
Où l'on a besoin de la meute
Des loups,
Avant l'émeute
Des relous,
Qui louent,
Qui relouent
Et qui allouent
Les filous,
Quand on parle du loup
De nous à vous,
Qui se dénouent et se dévouent
En faisant les quatre cent coups,
A tous les coups et en surcoûts,
Où l'on ferait mieux d'avoir des gardes-fous
Si par mégarde il y a des fous,
Relous qui font les loups
Et qui relouent les filous,
Quand on parle du loup
Qu'on alloue les ripoux,
Et qu'on cherche des poux,
Quand on loue celui qui s'en fout
De tout ce fourre-tout,
Où on loue la meute des loups
Et on reloue l'émeute des relous,
Qui allouent filous les ripoux
Dont en tout et pour tout,
On loue tout notre va-tout,
Quand on parle du loup
Dont on reloue leurs atouts
En un tout et fourre-tout,
Dont on loue les loups
Et on alloue les relous
Qu'on reloue en filous,
Qui se dénouent et se dévouent
De nous à vous,
En un tout d'atout pour le tout
Et fourre-tout de notre va-tout,
Quand on s'en fout des fous
Et qu'on s'en contrefout des gardes-fous,
Dont par mégarde fous, on est des Nicolas Canteloup,
De la meute des loups
Avant l'émeute des relous,
Car dis donc on est des filous,
Qu'on loue avec Lou
Et qu'on alloue avec Marie-Lou,
Dont on reloue les loulous
Avec Loulou,
Quand on parle du loup.
Jérôme de Mars
L'oasis n'est pas un mirage
Retour en cette Sainte terre sage,
Cette traversée du désert
A besoin d'un point d'eau,
Avec l'illusion que l'oasis n'est pas un mirage,
Qui relève le niveau à L'Oued en buvant un verre
D'eau, qui jonche les souffleurs de verres, en parcourant l'itinéraire
Des voyageurs solitaires et solidaires, qui cherchent un pied-à-terre
Dans le désert, en marchant sur les traces des reliques d'images,
Avec l'illusion que l'oasis n'est pas un mirage,
S'il y a un abordage dans un point d'eau,
Où si par mégarde il y a un matelot, il endossera le rôle du héros,
En traversant le passage pour remonter la cote particulière
Des chameaux, qui crachent leur ras-le-bol dans une chimère,
A gambader et en ayant bon dos,
En roulant leur bosse à dos de chameaux,
Qui jouent gros avant la nuit taciturne
En ce territoire diurne,
Dans la confusion du jour et de la nuit,
Même s'il y a un coup de chaud des inuits,
En froid avec un retard à l'allumage
De ce territoire qui prend le naufrage,
Avec juste un point d'eau
Et l'illusion que l'oasis n'est pas un mirage,
En prenant tout au premier ou au second degré
De la température qui raffermit l'hypocondrie,
Ou l'hypothermie des corps dans l'allergie,
Et les vents contraires surréalistes des sols,
Qui déboussolent
Tous asséchés,
Où manquent des corps beaux avec les chats faux,
En des prises de becs avec les oiseaux
De mauvais augure,
Qui laissent présager et qui inaugurent
En jetant en pâture, pour conserver en intactes images
Avec l'illusion que l'oasis n'est pas un mirage,
Mais un point d'ancrage avec pour gros lot qui sort du lot
Un magnifique point d'eau,
D'où le désert arrive à la fin de sa traversée,
Qui a déversé
En point de sature,
Un propice point d'eau avec vue de là-haut,
Sur l'eldorado de bien belles images, où il fait beau
Et d'où les nuages
Prédisent de leur piédestal, qui émergent de leurs lourds bagages
Qu'il y a extinction des lieux
Pleins feux,
Dont en signaux phares,
Ils lancent sans fard
Un nouveau départ, en cette Sainte terre sage,
Comme des images,
Avec pour point définitif d'atterrissage,
Un pèlerinage à l'endroit du Taj Mahal,
Dans l'illusion que l'oasis n'est pas un mirage,
Mais un point d'accostage,
Destination finale.
Jérôme de Mars
A des haines !
De son ADN
Il a des haines,
Comme il cultive la haine
En taillant les haies,
Qu'il hait
En chantant sur La Seine,
Toute la rengaine
De son ADN,
Qui a des haines
Qu'il hait
En taillant les haies,
Comme il cultive la haine
S'il a de la peine
En formulant un sous haie,
Dont son unique souhait
Pour qu'il ait
Son ADN,
Qui a des haines
Mais dont il hait
Toutes les étrennes,
Comme il cultive la haine
En taillant les haies,
Qu'il refrène
Avec les gênes héréditaires
Et les gènes indigènes,
De sa propre colère
Aborigène et anxiogène,
Dont il a cent gênes
Dans son côté sans gènes,
Pour qu'il hait
Son ADN,
Qui a des haines
Dont il cultive la haine
En taillant les haies,
Avec Jean-Luc qui Lahaye
Brigitte qui Lahaie
La haie d'honneur,
Question d'honneur !
En votre honneur !
Qui hait
Son ADN,
Car il a des haines
Dans une madeleine
De Proust,
Avec un questionnaire
De Proust
En un pur bonheur,
Dont on y met un point d'honneur
Appoint d'honneur
De son ADN,
Qui a des haines.
Jérôme de Mars
Brel et bien
Poète maudit à l'infini bercée de tendre mélancolie,
On connaît la chanson de Jacques Brel
Brel et bien avec l'éternel même refrain,
Car comme lui quand on n'a que l'amour
On enchaîne les ritournelles,
En un tour de manivelle qui nivelle
Vers le haut tous ses maux de passion
Avec Mathilde et leur chanson des vieux amants,
Où Brel compose dans son Plat Pays
Une pléthore de chansons,
Dont on lui fera des concerts de louanges
Avant qu'on enterre sa vie avortée de jeune garçon,
Epris de liberté et d'anarchie
Du à son cancer de langes,
Où il eut les elles brisées de l'ange
Mort prématuré à l'aube de sa cinquantaine,
Qui le taraudait
Comme la mort le rôdait à l'apogée de sa carrière,
Brel et bien pour espérer de futurs lendemains
Pour lui vouer un culte,
Même en sciences occultes, au culte
Ou avec sa dernière compagne, il mit les voiles,
Direction Les Marquises avec la tombe de Paul Gauguin
Qu'il rejoignit post-mortem d'outre-tombe pour reposer à ses côtés
En vieux copains qui ne le mena en bateau,
Mais dont il emmena toutes ses femmes
Dans de fulgurantes romances d'errances en errances,
Telle la chanson des vieux amants triste et tellement réaliste,
Lui le pacifiste sur l'océan pacifique qui partit en fumée
Mais en paix en fumant le calumet de la paix,
Lui l'artiste aux cent mille vies qui vécut plus vite,
Avant que la vie l'évite qu'il brûla par les deux bouts de la chandelle
Avec toutes ces demoiselles,
Brel et bien à déguster le festin de la vie
Et des plaisirs entre amis,
Avec un goût de sel qui scelle
Celles qui lui furent promises de leurs dentelles,
Où lorsqu'il mourra, tout le monde lui pleura, ne me quitte pas,
Comme s'il nous laissait tomber pour le cimetière à pattes d'eph,
Avec sa fanette à Amsterdam, sa maîtresse imaginaire qui est une dame
Issue de ses pensées fantasmées,
D'une vie qui se déroule sous son sol et le dérobe pour le consumer
A petit feu si bien que Brel et bien,
Il aurait du marcher en pèlerinage en Saint-Jacques-De-Compostelle
Pour chercher un Havre De Paix,
En se souvenant de ses vieux, en liens de parenté
Avec une si grande proximité, malgré la mort du sursaut de l'ange
Réparateur en ses vieux démons, qui le tarabustent,
Dont on lui dressa un buste à sa disparition,
Comme il ne fut jamais casse-bonbon mais qu'il distribua des bonbons,
Pour montrer que c'était trop bon, ces bons bons,
Brel et Bien en attendant le même refrain,
Si un jour ou demain, on lui prend la main de son aura
Avec les forces de l'esprit et des mots d'esprit,
Où il gardera la main pour toujours dans le tumulte d'une existence,
Jalonnée de sourires, de rires et du pire aussi de ses soupirs,
Tel un oiseau sans elles,
Qui ne renaît de ses cendres le 9 octobre 1978, où il repose
Pour l'éternité Aux Marquises, du nom de sa dernière chanson,
En ces îles très Marquises du bout du monde,
Car Saint-Jacques-Brel-de-compose-t-elle cette dernière chanson ?
Pourvu qu'après le chaos de sa courte idylle sur La Terre,
Il put accéder à l'eldorado de là-haut, car après le malheur
Vient sans doute le bonheur, en ne se voilant pas la face,
Pile, j'empile, face, je m'efface,
Comme Brel est bien,
Bel et bien.
Jérôme de Mars
Je me présente aux Présidentielles !
Alerte aux électrons Pestilentielles en 2022, comme j'en ai rien à péter, et que je rejette le système qui me tape sur les nerfs, j'ai décidé de me présenter en 2022 aux Présidentielles, en candidat anti-système, où je ferai sans blanc de voter en électron libre, deux vingt par vingt-deux deux par deux, où je me présenterai en candidat libre, sans étiquette politique dont le nom de mon programme sera Justice Sociale, pour plus de social avec du libéral, à prendre tout pour argent comptant, où mon silence sera d'or et ma parole d'argent, et où je m'endors avec toutes les vaines paroles des hommes de l'apolitique, en prenant le gauche et en mettant une droite au centre de l'échiquier politique, qui recentrent tous ces beaux discours autour de ces loups vautours, avec des dents à cirer le parquet judiciaire, dont si je me présente aux Présidentielles en 2022, je voterai nul et sans blanc, en m'isolant dans l'isoloir, et en brûlant vif aux urnes des accesseurs sans renvois d'accesseurs, comme j'aurai un partis pris pour plus de justice sociale, avec du libéral à fond la caisse, dont je prendrai mon envol de drôle d'oiseau, loin des ripoux et des voyous, mais dans un rap-tout avec des inconnus à la rue, où je boirai un pot avec vous en promettant de belles paroles, d'un tant de paroles, car je me présente aux Présidentielles en 2022, si bien qu'étant donné que l'argent n'a pas d'odeurs, j'aurai du flair pour renifler ceux qui ont une chienne de vie, pour qu'ils ne prennent plus de gamelles, mais soient avec moi en électron libre, qui se présente aux électrons pestilentielles, rien à péter !
Jérôme de Mars
La vie continue...quand même !
Début de ce thème en ce poème,
Dans la vie, on a tous nos joies
Et nos problèmes,
Au fil des années et des mois
Pourvu qu'on parsème
Le grain de l'amour,
Pour l'égrener en retour
En faisant le tour
Des gestes qui en valent le détour,
Car malgré le requiem
Et le totem
De la vie en chrysanthèmes,
La vie continue...quand même !
Pour idem,
Pourvu qu'on s'aime
Dans la foi
Et les parois
De l'amour roi,
Car on a qu'une vie
A apprécier les gens dans des domaines inédits,
Où on vous dédie la panoplie
Pour rester un être gentil et poli,
Même que la vie, c'est le totem
Et le requiem,
Avec un emphysème
De problèmes de cœur,
Qui respire l’œdème
Au pire des problèmes,
Alors que bordel,
Pour untel,
La vie continue...quand même
Pour idem,
Quand après la colère
On respire l'embellie pulmonaire,
Fière d'avoir renoué avec une saine atmosphère
Avec nos amis frères,
Où même après des chagrins d'amour ou d'amitié
On revient vers les vertus des vérités et de ses effets,
Qui produisent on l'espère !
Une agréable fable de vie,
Qui jaillit avec poésie
Dans nos quotidiens quelques peu ordinaires,
Mais dont après l'éphémère,
On veut des choses linéaires,
Qui durent paisiblement prodigieux
Par les temps qui concourent jusqu'aux cieux,
De qui sera le plus pieux
Ou le plus miséreux,
Car c'est chacun pour soi, ma foi
Et Dieu pour tous,
Alors qu'on veut juste un coup de pouce
Dans un élan de grands pas,
Si bien que chacun
Qu'on ait des rires aux éclats
Ou qu'on connaisse le pétrin,
On a besoin de bons copains
Pour faire face aux imprévus,
Car chaque jour qui passe
Nous rapproche du jour, où l'on trépasse
En route vers l'inconnu,
Qui nous fait peur,
Mais dont en apesanteur
Il nous faut vivre dans le bonheur,
Car avant l'inéluctable requiem
Post mortem,
La vie continue...quand même
Pour idem.
Jérôme de Mars
Faut-il mentir parfois pour se protéger ?
Déments, souvent, on ment, souvent, on dément avec des gens déments,
Ou nos inconscients ou subconscients déments, où l'on veut se protéger
Ou protéger, face aux réactions imprévisibles, ou impromptues des gens,
Surtout s'ils sont déments, et si avec eux on ment ou on dément, dans quelque Chose de dément, ou si on se ment ou on ment aux autres, dans le souci de se Protéger ou les protéger, du mal qu'on peut leur faire supporter, car si on tient à les Préserver et à les sauvegarder, il faut mentir pour se protéger et pour les protéger, Dans le secret de la vérité car sévérités, ces vérités sont dures à avaler car elles Avalent l'aval laid, car toute vérité n'est pas bonne à avouer, puisque Immédiatement elle est désavouée avec sévérités, ces vérités pliées en quatre Vérités où il faut par précaution, prendre ses dispositions, et parfois mentir pour se Protéger et protéger, ceux ou celles que l'on aime, car qui sème l'avant récolte la Tempête, dans ces vers d'eau de vérités à moitié plaints, en ces vérités, sévérités Où toute vérité à moitié avouée ou désavouée peut-être pardonnée, si elle est à Vous hait dans une vérité apaisée, adoucie et tempérée, dans le souci de la vérité, Mais avec sérénité, car pardonner permet d'effacer ses plaies, donc à la condition Suprême de ne pas recommencer, où l'on dément, quand on ment, dont on dément Quand c'est quelque chose de dément, comme il faut parfois mentir pour se Protéger, et protéger la vérité, dans quelque chose de dément, tout en arrondissant Les angles, et en voyant les choses sous cet angle droit, soyez droit dans vos Bottes tout en étant adroit dans vos bottes, pour botter en touche, d'où l'on est sur La touche en sévérités, ces vérités, car il faut mentir parfois pour se protéger.
Jérôme de Mars
Je ne suis pas né de la dernière pluie
Sur le balcon face à la pluie qui m'enivre rubicond,
Je bois les larmes des orages, quand il y a des nuages à l'horizon
Avec des ballons d'essai, si je sais que j'ai le droit à l'oubli
Et d'avoir un peu de répit, face aux coïncidences de la vie,
Qui font que je ne suis pas né de la dernière pluie,
Et puis que c'est comme ça, si j'amenuise le puits
De la délivrance, à avaler les secrets des contrastes,
Entre le soleil et la pluie, et de pourquoi la pluie est chaste,
Dès que le soleil demeure faste dans le reflet du miroir,
A choir ou à déchoir certains grands soirs,
Où l'on est seuls chez soi dans son assiette,
Et qu'on n'est plus dans son assiette, à récolter des miettes
D'une vie irrésolue, au courant distendu,
Sans que je ne vienne me mêler des autres malentendus,
Qui font que je ne suis pas né de la dernière pluie,
Entre confettis quand je souris et je ris à la vie,
Et des croquis glauques de la vie qui me raidit,
Quand je songe à un ailleurs bien meilleur,
Que l'ennui sur Terre à chagriner le soleil aguicheur,
Qui voudrait que je me détache de la pluie
Endolorie, pour que je me réconcilie avec le soleil
De ses rayons de dentelle, à m'emplir mes prunelles
Avec une soyeuse douceur d'âme en des paradis chéris,
Dont je surenchéris le soleil, pour qu'il dilue la pluie
Sous des rayons de soleil trompeurs,
Et totalement réparateurs, en des semblants sensibilisateurs,
Comme par magie et par façade de l'ennui à la nuit,
Je ne serai plus jamais né de la dernière pluie.
Jérôme de Mars
Texte ponctué
1 ère partie :
Ponctuel, j'écris ce texte ponctué à la virgule près, si jamais ce soir, je joue un seul en scène au Point Virgule; avec ce texte ponctué en deux petits points :
Puisque bientôt, je ferai le point, quand ce texte ponctué sera achevé, où je tirerai un trait final à cette mascarade de simulacre, mais en attendant, je mets ce texte ponctué entre parenthèses
( En Stand Bail )
Car avant de mettre un point final à ce texte ponctué, je fais
trois points de suspension...
Comme c'est l'entracte et dès la reprise, je me livre en ouvrant les guillemets :
" Avec un trait d'union entre la première et la deuxième partie de ce texte ponctué "
2 ème partie :
- Dont je mets un tiret quand je me suis étiré, en arrivant au point crucial de ce texte ponctué et en y mettant un point final, en un point d'honneur, point barre.
Jérôme de Mars
Les aveugles débraillés
Problèmes de vues,
C'est ton problème de bévues !
Comme c'est toi qui vois
Avec la rue,
En allant vers l'inconnu
Regarder les routes pour chercher
Et trouver
Ta voie,
Avec ta croix
Lourde à porter,
Si tu déchois déçu
A ne faire les bons choix
Dans ta vie,
Où tu peux faire une croix
Sur quoi tu te fies,
Dont tu défies
Ce monde perdu,
Comme les aveugles débraillés
Qui beuglent dépareillés
A ne voir,
Ce que tu peux prévoir
Et entrevoir
Dans une sortie sans issue,
Sauf si tu tapes l'ancien CODEVI
Des codes des vies
A ta banque,
Sale ta banque saltimbanque
Pour y trouver ton intérêt
Avec le lit en porte-feuille,
Dont tu manges ton mille-feuilles
En ton seuil,
Dont tu viens juste d'en faire le deuil
Assis sur ton fauteuil
A apaiser tes conflits d'intérêt,
Comme c'est toi qui vois
Avec les aveugles débraillés,
A manger de ta voix éraillée
Des anchois
Dans ta pizza,
Qui beuglent dépareillés
Si jamais t'es grillé !
Invité à te lyncher
Sur le grill en ne faisant les bons choix
Dans ta vie,
Qui dévie
Comme t'as des problèmes de vues,
Dont c'est ton problème de bévues !
Vu et revu
Avec l'émission VU,
A te rendre farfelu
Et fendu,
Avec ta gueule
Casse-gueule
Au fruit défendu,
Dont t'as déjà tout répondu
En crachant ton menu,
Et dont t'as tout répandu
En déroute vers l'inconnu
Des histoires déçues
De ta vie déchue,
Où si tu te repentis
Dans un grand mea culpa,
Tu auras le droit à l'oubli
Avec peut-être dès fois
Quelques joies,
Où tu n'auras
Plus de problèmes de vue,
Dont ton problème ne sera plus bévue !
Mais dont tu trouveras l'issue
Avec désormais une voix,
Et une belle vue
Sur la vie,
Et dont heureusement, tu diras
Merci, la vie !
D'avoir résolu
Tous tes conflits
D'intérêt, où grâce à ton salut,
Il pleuvra
Dorénavant des larmes de joie,
Avec le beau temps
A l'infini,
En plus des confettis
D'au temps que c'est toi,
Qui verras l'embellie
Et l'éclaircie,
Avec pour accalmie
Des belles vues,
En des aveugles débraillés
Qui beuglent dépareillés.
Jérôme de Mars
Correspondance à prendre à la lettre
Recto verso, vers sots au train où vont les choses,
Je fais part de mes ecchymoses
Même que je suis pas du Verseau,
Et que ne n'est pas bon signe
Ce que je désigne,
En empruntant cette correspondance à prendre à la lettre
Sans forcément vouloir me jeter par la fenêtre,
Mais dont je me rappelle au souvenir de mon grand-père,
Mort de remords le jour de la Saint-Valentin le 14 février en impair
Défaite désamours, dont ça fera vingt-cinq ans ce mois-ci
Qu'il a péri en sa de meure tiré à bout portant,
Et retiré à bout pourtant
Dans le noir morbide, quand s'éteignent les projecteurs
D'une vie qui dévie en une pénurie d'éléments moteurs,
Qui auraient pu le carburer réjoui et rétabli
Dans une période vivante ragaillardie,
Comme il manqua de lumière dans sa vie d'acteurs,
Où je me sers de ses trémolos pour écrire le scénario
De ce feuilleton à rebondissements, qui a peur de reproduire en imbroglio
Du fruit de mes malentendus et de mes démêlés avec la vie acide,
Où il me faudrait quelques plaisirs placides,
Pour faire de cette correspondance à prendre à la lettre,
Quelque chose de plus frais, pour aimer et avoir l'appétit de façon concrète,
Qui secrète les secrets de faire table rase du passé, en ayant une vitalité prête
A vivre pour le meilleur, même si j'aurai toujours des penchants traîtres
D'avant et auparavant, où pour avoir le vent en poupe, il faut croire en l'embellie,
Pour véhiculer aux moyens de mes locomotions, une judicieuse maîtrise
De mes émotions pourvu que j'en déduise,
Que la vie en vaut la peine d'être vécue,
Après avoir open survécu à tout ce chahut,
De ce qui a rempli mon existence
Sous les fruits des châtiments et de la sentence,
Où j'écris intense vu l'importance que pour moi ça représente,
Parce-que j'aspire encore à me livrer une espérance, pour que je chante
L'amour de la vie, avec moins de soucis et plus de vitamines
Avec le soleil et son calcium, pour que je termine
Cet itinéraire chaotique en quelque chose de plus anecdotique,
Et de moins névrotique, où je finirai ma vie dans la nature bucolique,
Comme j'arrive au terminus de cette correspondance à prendre à la lettre,
D'où je descends sans rien prendre en argent comptant,
Car je vous dis avec amitiés et sincérités,
Profitez-bien de l'instant présent !
Avec votre famille
Et vos amis,
Dont il faut marquer de votre empreinte toute sa réciprocité
Et le respect,
Pour que vous en restiez les maîtres sans paraître,
Et ainsi renaître afin d'apparaître
Fringants, dès la fin de cette correspondance à prendre à la lettre.
Jérôme de Mars
Mes tissages
A plat de couture,
On brode des ouvertures
De mes tissages
En métissages,
Provenant d'un signal de couleurs
Haut en couleurs avec des images
Sages en symbiose avec l'église du Sacré Cœur,
Pour ne pas perdre le fil de mes tissages
En métissages,
Qui présagent
Un monde meilleur,
Dans la forme et les usages,
Dès que le rideau des ramages
Se lève en des adages,
D'un passage
En première partie d'un maître enchanteur,
Qui fredonne un cantique avec une pelote de laine
Aiguilles sous roche dans l'haleine de sa bedaine,
Qui brode l'envers du décor
En vers des corps qui sont raccords
De mes tissages
En métissages,
Pour coudre de toutes les couleurs
Une ribambelle d'ardeur,
Cosmopolite et hétéroclite
Avec une variété d'images,
Qui pique en un magnifique mythe
Au pays d'un ciel bleu,
Avec aucun nuage
A l'horizon du plumage,
Qui peint le soleil en un radieux météore
Qui regarde de son fort
Des lueurs qui allument le joyeux
Passage de la rue du vernissage,
En mes tissages
De métissages,
Pour plus d'images sages,
Afin de tourner la page
Des souvenirs dans le naufrage,
Et ouvrir une nouvelle page
Avec en couverture
Et en première page,
Mes tissages
De métissages,
Fin du tirage
C'est l'heure de fermeture.
Jérôme de Mars
On vénère et caillera !
Nerfs de la guerre
En n'y allant par le dos de la cuillère,
L'argent est totalitaire,
Comme la cuisse De Jupiter
De l'échelle de Riche Terre,
Quand il y a un tremblement de terre
Sur le monde qui caillera,
En froid avec les gens au ras
Des Pâquerettes qui envoient paître
Les faibles d'esprit qui ne sont maîtres,
Mais qui se font prendre en traîtres,
Comme les gens nous rendent vénères
Sauf si on est des cailleras,
Et qu'on veille au gras
Si c'est Mardi gras
Déguisé en gars rebelles,
Quand on mange de la mirabelle
De déconfiture dont on vénère
Et caillera,
Si c'est pour plaire
Et complaire,
Des êtres exemplaires au ras
Des Pâquerettes qui tombent bien bas,
Quand le monde se fait avocat
A vos cas d'office dans l'en-cas
Avec pertes et fracas,
Lorsqu'on n'y croit
En comportant notre voix à la croix
Lourde à déporter l'étoile jaune
Dans la fore et la faune aphone,
Avec aucune voix qui dévoie
Pour faire la voix
Du mégaphone sur phone radio,
Si on vénère
Et caillera,
Les gens qui nous rendent vénères
Dans le propre et la sale mauvaise foi
Si on a la langue de bois,
Quand on y trouve notre intérêt en agios
Dans une faillite en or,
Si on perd le Nord
En pôle position
Dans le pôle de la surexposition,
Où l'on raconte bonimenteurs avec la peur
Au ventre de fausses rumeurs
En allégations du porte-à-faux,
Dont on prend l'échafaud, les chats faux
Avec les griffes de l'escogriffe en troisième couteaux,
Quand se resserre l'étau
Dont on a froid avec des coups de chaud
En passant tout à plat avec le réchaud
Show l'ambiance ! avec les cailleras,
Qu'on appelle amicalement les voyous,
En chics ripoux qui ne nous cherchent des poux,
Epoux pour servir leur cause à cause
De la sinistrose qui ne voit la vie en rose,
Dont en toute chose
Malgré les ecchymoses, on n'aspire qu'à une chose,
Car même si les cailleras nous rendent vénères
Sachez en tout cas que même si l'immonde caille ras !
Au ras des pâquerettes, on trouve chaussures à nos pieds
En mettant le pied à l'étrier,
Et triez à la criée !
Dont on vous voit
Avec tout le respect que l'on vous doit
Du bout de nos doigts,
Dont on vénère et cailleras
Avec l'écaille ras au chaud et en froid,
Ainsi x fois en et froid
Qu'on emporte et qu'on en porte,
En sujets dont on est les sujets qu'on rapporte,
En maisons écloses,
Et dont on colporte en fermant la porte,
Car ici porte close, on a largement eu notre dose !
Jérôme de Mars
Grasse mat'
Certains débuts de journée,
Dès que la lune se dérobe
Et que le soleil se lève à l'aube,
Après que je dors,
Je me réveille d'un pied fort,
Aux aurores après une grasse mat',
Et une fois que je passe de la peau mate
Et Tchèque et mat,
Lorsque c'est échec et mat
Dans un jeu de dames,
Qui dame
Le pion sur les quidams
D'un macadam,
Sur l'échiquier
Ou le damier ,
Quand je passe de la pommade
Après une grasse mat',
Et que je passe de la peau mate
Sans que je fasse le playmate,
En un automate
A la salade aux taux mats
Et Tchèque et mat,
Si je fais échec et mat
En faisant des maths,
Et que je passe de la peau mate
Quand je passe de la pommade
En une dérobade
Après avoir fait la grasse mat',
Qui formate
Un automate
En une espèce de playmate,
Qui mange une salade aux taux mats,
D'où en faim après la grasse mat'
Pour passer en automate,
Je fais et Tchèque et mat
En passant de la peau mate,
Et en repassant de la pommade
En une dérobade,
Que je ballade
Dans une passade,
D'une marmelade
En faisant une salade
Aux taux mats,
Echec et mat
Après la grasse mat'.
Jérôme de Mars
Les mots somnambules d'un poète qui s'assoupit !
En préambule
D'un soleil qui dort sur ses lauriers,
Cela ne l'empêche
Malgré les dépêches,
De composer en conciliabule
Et en aparté de son appartement,
Pour une fois un poème sans tourment
Du fruit de ses pas qui déambulent
Dans sa bulle,
Qui pétille en Champagne-Ardenne
En s'enivrant au champagne de ses étrennes,
Tels que sonnent et s'entrechoquent
Les mots somnambules
D'un poète qui s'assoupit,
Assoupi aux 35 heures,
Dans leurre,
Qui suit
Sans que ça soit du toc,
Où il s'assouplit pendant son quart d'heure
Armoricain s'il s'en va s'exiler,
En Bretagne en passant de l'ombre
A la lumière qui dénombre
Le Far Breton pas né de la dernière pluie,
Lorsque pleuvent les confettis éblouis
De la nuit qui tombe prématurée,
Comme de ce poème précoce
Dont il a eu du mal à accoucher
Son écriture sage-femme de sacerdoce,
Où en roupillant, il prend pour argent content
Les roupies qui roupillent, quand il s'assouplit
En prenant le pli et en écoutant de la musique amplis,
Qui exacerbe son verbe acerbe grinçant de ses dents,
Où en s'assoupissant aux 35 heures et en gisant
Du fond de son jet d'encre, lui viennent inspirant,
Les mots somnambules
D'un poète qui s'assoupit,
S'assouplissant sur son lit
Et qui véhicule sans tomber dans le ridicule
Des pensées qui le déambulent,
En le faisant sortir de sa bulle en conciliabule
A la sortie du vestibule,
En pétillant de ses mots ineffables
De son ressenti affable quelques fables
En mettant tout sur la table,
Avec au préalable
Tout le matériel des mots d'un poète,
Qui gambade ses jambes
Dans une immense ballade d'esthète,
Dont ça lui fait une belle entre-jambe
S'il enjambe la porte de sortie sans issue,
Après qu'il sue déçu ou reçu
De ce poème qui marque le point final
A tout ce verbal arsenal,
Une fois que ce poète somnambule
Ne déambule en bris de couloirs,
Et se rendort dans son exutoire
En pionçant dans sa bulle,
En plusieurs sonorités, d'où il s'assouplit
Tels les mots somnambules
D'un poète qui s'assoupit,
Fin de la répartie.
Jérôme de Mars
Le virus des idées reçues
Temps difficiles,
Il faut allumer
Le calumet de la paix,
Avec des mots dociles et gentils
En affections de longue durée,
Déjà qu'en pléthore abondent des infections,
En manque d'attentions endurées, en durée
Des états seconds qu'on ressent
En manque d'affections de longue durée,
Lorsque le temps se fait pressant et oppressant
Coutumier des rituels,
Au bord de l'autel
Des manques de confessions,
Que véhicule le virus des idées reçues
Corrompues et ardues,
Dont on nous bassine
En courbant l'échine,
D'il est difficile d'assumer
Dans l'égalité et légalité,,
Si on a le virus de la bagatelle
Ou des on-dit
Sur notre ordi hardi,
Qui frappe nos dignités consensuelles
Avec le virus qui dédie sensuel
Nos penchants pour des choses pareilles
Avec l'anatomie de notre appareil,
Que féconde dans l'immonde
Le virus des idées reçues,
Malvenues et parvenues dans
Des déviances corrompues,
Du fait qu'on répudie et qu'on renie dans le déni
Le fruit défendu,
Dépêchés conspués qui puent
Le virus qui courbe l'échine,
Avec une machine pour ma chine,
S'il y a un virus mortel
Qui frappe l'ordi,
Les interdits et les on-dit
Sans comprendre l'essentiel,
Quand le virus des idées reçues
Frappe n'importe quel inconnu
Dans la rue, la cohue,
Et nous tous si on est des intrus
Dans un salut nazi,
De Dieudonné dont Dieu donnait
Tous les camouflets que camouflait
Les positions sulfureuses,
Des vieux démons,
Aux ascendances furieuses
En des monts joie,
Qui contaminent
En en faisant toute une montagne
En faisant campagne,
Aux Contamines
Mont-joie
Et merveilles,
Où ruisselle le manque du Missel
En une baisse de régime mi-sel,
Quand le virus des idées reçues
Le jour du jugement dernier,
Jugeait sur le bûcher
Celui qui a bûché,
Avec des embûches en manque de denier
A cause de Dieudonné, car Dieu donnait
Le péché originel
Dans les derniers sacrements,
Quand frappait le virus des idées reçues
Du Port-Salut, où on salut
Du bout du temps,
Qui passe
En interface,
Seigneur, à vos amours
Et à un de ces jours,
Si le cœur vous en dit
Pour qu'on prie,
Tous ensemble dans l'ensemble,
Qui assemble et qui rassemble
En un virus qui guérit,
Et change
Dans une vie d'ange,
En l'espoir renoué
Avec la vie et sa bonté,
Quand il n'y aura plus le virus
Des idées reçues,
Mais le virus péché-mignon
De la bagatelle
Pour passer la bague à untel,
D'où l'on vous dit en conclusion
Dans une libre union,
Bienvenue à la communion,
En réunion de l'il ou elle
De la Réunion,
Essentielle en bagatelle,
Trait d'union.
Jérôme de Mars
Blague :
Quelle est la différence entre un jardinier chanceux en amour et un jardinier malchanceux en amour ? - Le premier se ramasse des pelles et le second se ramasse des râteaux
Jérôme de Mars
.
Mis en quarantaine
40 ans des passés, ouf !
De cette vie de ouf !
J'ai 41 ans
Et toutes mes dents,
Et dents aidants
Pour ma pomme d'aidant,
Où j'ai 41 balais des ballets
Dans un futur ménage de printemps,
En un remue-ménage empreint tant
De tant de paroles,
Qui ne me ménagent si je déménage en nage
Si tout tombe à l'eau,
Où il faut que je trouve des mots sans bémol
Sur le piano à queue,
A la queuleuleu
Dans un serpent de mer qui se mord la queue,
Ah que que que !
Où je suis mis en quarantaine
Du fait de ma quarantaine dépassée,
Où j'ai quarante teignes,
Quand je suis confiné chez moi
En étant placé à l'isolement,
Si jamais j'ai un virus sur mon ordinateur
Ou je marche de travers avec un déambulateur,
Artificiel et réanimateur avec pour fil conducteur,
D'être en marge du système en démarches
Des mots, aux adducteurs réducteurs,
Avec mon ticket modérateur,
D'où j'irai moi-même interné d'office
Chez les dingues, dont je suis dingue
Et frappa-dingue et lourdingue,
Comme je suis fou allié
Et que sans garde-fous, je m'en fous
D'être chez les fous,
Car je suis un fou illuminé plus dans l'ombre
Que dans la lumière des gens,
Qui ne sont pas des lumières
Mais sombres, comme une traversée du désert,
Où je demanderai l'asile à Paul-Guiraud
Si je dis que le monde est fou rallié,
Et que je suis un étranger pour ma famille,
Qui ne viendra pas me voir à l'asile
Si j'émigre vers l'hôpital psychiatrique,
Paul-Guiraud avec mes papiers pour régulariser
Ma situation de mon état des lieux névrotique
Dans un exode verbal,
Où je suis mis en quarantaine,
Car en plein dans la quarantaine dépassée,
Et très passée à quarante et un ans sur mon trente et un,
Où je suis confiné chez moi
A gerber la galette désarrois,
Avec un 31 décembre qui sent la bonne faim damnée,
Alors qu'au mois de janvier, il vaut mieux
Que ce soit jusqu'aux cieux un bon début d'année suranné,
Et que je m'intègre dans un travail d'analyse avec un psychanalyste
En étant intègre et un artiste à con pli hédoniste,
Avant que ma faim ne me désintègre de remords
Allègres ou aigre-doux,
Dans un climat au dehors doux-amer acidulés,
Avec du citron piquant à mère, radio citron ça presse !
Et où je m'empresse de passer d'un climat doux !
A quelque chose qui reste dans le coût des temps modernes,
Par être subalterne par les temps qui concourent vers le profit,
Au détriment de l'humain, mais dont en bon Chrétien,
On espère croire encore à l'humain et en l'humain,
Pour un monde meilleur, qui nous restaure dans notre assiette,
Nous pauvres gens ! où l'on dit en faim à Coluche merci d'avoir
Eté notre ballon de baudruche, et de nous avoir enrichi humainement !
Pour nous envoler, et nous envoyer promener dans les airs,
Dès bon air sans faux airs, qui a des airs de déjà bévue,
Depuis que Coluche du fait des multiples hommages,
A son désarroi o'mages, o'désarroi mage, tu nous manques de tes histoires
A dormir debout alors que les blagues à la genre Dieudonné,
C'est comme du pain rassis ou du pain raciste,
Avec ou sans pain, où l'on se rassit,
Dans ce monde bête, avec un panse-bête, qui hébète
Avec que des bris de couloirs, qui singent
Ailleurs et nulle part,
Où je suis mis en quarantaine
Si j'ai la quarantaine dépassée,
Et outrepassée en affront national,
Si jamais le vote Rassemblement National
A l'encre Marine, me tente de mon mal de mère,
Où à cause de la fièvre sur le front
Si Marine Le Pen passe en 2022,
C'est que je vote semblant,
Car ce sera un affront national pour La France,
Où de notre chagrin, on dira à Marine Le Pen,
Marine le peine o' peine !
Open des boulevards des pièces détachées
De Théâtre de Philippe Bouvard,
Où le rideau se lèvera pour jouer notre propre rôle
Dans la vie qui dévie du droit chemin,
Même avec les Chrétiens puritains,
De même si je demande à quoi sers-je là-bas ?
Si à Pigalle on me répond : " Pas de quartier de femmes " ,
Et que je crie : " Putain, je suppute ",
Si Les Putes mettent leur langue de bois,
Ou leur langue de Molière payée à la pièce,
Faisant amende honorable avec les clients,
Dont les humoristes sont très clients si je quémande
En faisant La Manche dans un océan pacifique,
Et que je retrousse mes manches olympiques aux enjeux
tropiques, demandant pour la énième fois, à quoi sers-je ?
Si les petites femmes de Pigalle crachent sur un lama,
Du nom de Serge Lama, et que les putes, putain, elles
Couchent bien dans le lit des passes aux impasses,
Pour avoir le droit de donner une pièce à Serge Lama,
Et d'avoir une place pour aller le voir,
En spectacle avec les petites femmes de Pigalle,
En regardant leur anus horribilis si elles perdent leur Quartier Latin
A Paris, où on leur dit pas de quartier en perdant son latin,
D'où pour terminer ce monologue du vagin de ma mère,
Pile ou face, je finis cette pièce détachée de tout ce one macho,
Qui fait chaud au cul qu'au cul, cocu, et où je suis en corps mis
En quarantaine, comme j'ai la quarantaine dépassée, mais déportée
Sur le virus de la bagatelle, qui perturbe mon ordinateur, où il faut
Que je me fasse soigner au CMP, l'extra hospitalier de Paul Guiraud,
Si jamais j'ai le virus de prendre des râteaux et que je bois six goulots,
En cultivant mes déboires, et en prenant de la bouteille,
Où j'espère faire des extras avec ce spectacle, dont je finis ce ballet divers,
En attendant un surmenage, au printemps déballé de mon burn out,
Où en août prochain, je serai out dans mes burnes, avec mon anniversaire
Mais pas bouc-émissaire, car je battrai en retraite si jamais Jean-Paul Dévoie
Bernard Pivot, qui me conseillera de prendre ma retraite de L'ESAT à 41
Ans, pour raison de santé, et à votre santé, si jamais j'ai atteint un bonus-malus
Dans les par âges, pivot de ma quarantaine surpassée et outrepassée,
Où bien évidemment j'ai quarante teignes avec des châtaignes,
Pourvu que ça baigne avec un ciel bleu ! Malgré mes beignes
Avec des bleus au cœur du ciel, et que je me peigne
En ne me faisant plus de cheveux sans blancs, et où je resterai confiné
Et placé à l'isolement, comme je suis mis en quarantaine
A l'hôpital des fous, qui se fout de la charité avec sans-garde-fous,
Comme je m'en fous de la quarantaine et que je désire me reposer chez moi,
Avec l'allocation AAH et la location de mon appartement en hlm,
Dès la fin de ce spectacle comme là le rideau tombe,
Et que je suis seul sur la scène de cette vie, qui n'est pas un long fleuve tranquille,
Car maintenant, je suis définitivement mis en quarantaine, de ma
Quarantaine dépassée, avec pour présent le présent plus qu'un parfait,
Si bien que je suis arrivé au terminus de mon bateau, au bout de la scène,
Qui voguera je l'espère, sur une nouvelle Scène Parisienne,
Destination le bonheur, un nouveau fleuve tranquille !
Jérôme de Mars
Système solidaire
Cantique du chant lunaire
Dans ce monde terre-à-terre,
Il faudrait composer un chant solaire
En passant de la crème solidaire
Dans le système solaire,
Pour que ça nous tape sur le système solidaire,
Afin que le délétère
Se change en quelque chose de salutaire
Sur la planète Terre,
Pour que le système D
Devienne un système aidé,
En un système G
Généreux avec les pieux
Jusqu'aux cieux,
En ouvrant le cœur solaire
Des gens, de sorte que le soleil
S'élève au zénith de l'échelle
Des merveilles,
D'un généreux système solidaire
En passant du lunaire au solaire,
Avec un bon Samaritain
En bon Chrétien,
Qui réunira une pléiade
De copains,
Sur l'esplanade de l'olympiade
D'un soleil altruiste,
Après la pluie triste
Qui fait grise mine,
Et qui mine
La société égoïste,
Dans le but qu'elle s'achemine
Et qu'elle se termine
En un monde optimiste,
Et positif
A but non lucratif,
Mais en arrière-pensées philanthropiques,
Qui fera chaud au cœur
Dans un monde sous les tropiques
En un système solidaire,
Qui passera de la crème solidaire
Universelle et fraternelle,
Avec un peuple plus fidèle
A ses valeurs
Qu'est la chaleur humaine,
Pour qu'elle s'ouvre en magasin
A La Samaritaine,
Si elle rouvre la semaine prochaine
Dans le bonheur et la candeur
Avec un bon samaritain,
Qui en fera la promotion diffuse
Et infuse
Au teint auprès des copains,
Où l'on propagera tous un système solidaire
Du pôle lunaire au pôle solaire
Dans un écran solidaire,
Et où l'on passera à tous les témoins
De la crème solidaire
Pour un soleil réparateur,
Qu'on apprendra par cœur
Dans la ferveur et l'ardeur
Avec tous les copains,
Qui auront le béguin
Pour un monde meilleur,
Avec tous dans le viseur
Et dans le collimateur,
De la chaleur humaine
En amateurs
D'un surcroît de tendresse,
Pour qu'on y croit à la liesse
Etalée à tout le peuple en bon Chrétien,
D'où l'on chantera dans la joie
Dans ce monde désenchanté mais avec l'appât
Du regain entre copains,
D'où l'on se réunira tous avec le soleil à l'heure
Pour fredonner avec des fleurs
Un système solaire,
Qui se fonde en un système solidaire
Pour rouvrir en bon Samaritain,
La Samaritaine
En magasin,
D'où l'on vous scandera devins,
A la semaine prochaine à La Samaritaine.
Jérôme de Mars
On ne choisit pas sa famille, on choisit ses amis !
Facile ou pas facile,
En chacun de nous, on connaît
Tôt ou tard,
Que ce soit le cadet ou l'aîné
De la famille diverses injustices pas dociles
Loin d'être rares,
Si bien que quand c'est la famille, ça sera la faucille qui étrille,
Alors qu'avec les amis, ils vous glisseront des mots très gentils
De réconfort, car untel le sait
Avec essai ou sans essai,
On ne choisit pas sa famille,
Mais on choisit ses amis !
Dont tout de même avec eux, il faut faire attention à ce que l'on leur dit,
Car certains seront très fragiles et peu communicatifs,
Pendant que quelques-uns demeureront habiles et fortement expansifs,
Et que si on a des soucis et beaucoup d'ennuis,
Il vaut mieux ne pas leur en faire trop part,
Car si c'est une tare
Par exemple psychique, ça peut leur faire peur,
Comme une bombe à retardement en retard,
Qui fera tout un tintamarre,
Et ils peuvent vous fuir de par les interdits,
De la loi et de la vie
Et devenir vos ennemis,
Car ça leur rappelle des choses largement enfouies
Au fond d'eux, qui leur évoquent des horreurs
Avec le jeu de cette erreur,
Et le jeu de cette famille, car il vaut mieux parler de vos conflits
Avec le psy pour évacuer ces douleurs dans le répit,
Et retrouver l'embellie avec la famille et les amis avec des confettis,
Car si on dit souvent que les relations familiales
Sont plus solides que les relations amicales,
Ca dépend à vos dépens,
De ce que le temps nonobstant, considère de ce qui est important,
Car parfois, avec la famille, même si on est susceptibles et qu'on pète les fusibles,
Ils ne vous laissent pas forcément tomber,
En cherchant, à vous ramener une accalmie paisible,
Tandis qu'avec les amis si vous êtes trop plausibles
Et que vous atteignez le point sensible,
Ils peuvent vous tourner le dos
Et ça peut avoir des retombées,
Comme un tourne-dos qui a bon dos,
Car ça en est trop
Pour eux de ce que vous leur demandez,
Et qu'ils vous rétorqueront, que ce ne sont pas des infirmiers
Payés pour vous écouter,
Déjà que parfois, il est sûr qu'une amitié est plus forte qu'un amour,
Vice et versa de ce que la tentation de toujours,
Déversa en vous, pour connaître à votre tour le grand amour,
Et défier les lois de l'humanité,
Pourvu que vous restiez dans le respect et la loyauté
Vis-à-vis de la famille et des amis,
Pour préserver de bonnes relations
Avec eux, dans la compassion et la compréhension
Avec la famille et les amis,
Avec qui vous avez de l'affection et des geste d'attention,
Comme cela, ils vous diront et vous rediront merci,
De les avoir choisis en votre compagnie,
Tant qu'avec vous, ils sourient et ils rient
A l'infini !
Car on ne choisit pas sa famille,
Mais on choisit ses amis !
Désormais pour toute la vie, ainsi c'est dit !
Jérôme de Mars
On recycle nos petits vélos !
Nouveau cycle de nos petits bobos
Quotidiens, nous Français bobos
Pour lancer un actuel cycle,
On recycle nos petits vélos
Ainsi que nos tricycles,
A force qu'on a des petits vélos
Dans notre cerveau qui roulent en pédalo mollo,
En rongeant son frein, qu'on enfreint dans le rétro,
Derrière la déroute la tête dans le guidon,
Alors que nos petits vélos nous ordonnent guidons-
Le ! dans la bonne direction, direction cap vers
Le Cap Vers des vers ! d'une mise aux vers,
Pour se remettre en selle, et remettre en selle la selle
Du grain de selle, qui scelle d'un tour de manivelle,
Les cyclistes détours de France, qui tiennent les ficelles,
Et nous remettent d'un tour de Ménestrel, en libre circulation,
Et en roue libre sur l'étape, en échappée libre qui ramène à la maison,
Et mène à la raison ceux qui implorent le ciel,
Que leurs petits vélos de surplace, fassent place à un bel environnement,
Alliant l'effort et le réconfort confinés, dans un espace frais, revigorant et vivifiant,
Où dès le déclic en un tour de clic, on recycle nos petits vélos,
Pour rouler réglos
Curieux et de mieux en mieux, après avoir réglé nos petits vélos,
Dans un nouveau cycle
Avec nos tricycles,
Du tri sélectif au tri compétitif, d'où l'on se remotive sur nos petits vélos
En route vers le gros lot,
Qui sort du lot en lots lots, lolos du bibelot,
Où l'on recycle nos petits vélos,
Illico presto, à partir de la rétro dans le rétro,
De celui qui aura le dernier mot,
A la fin de les tapes amicales,
Etapes par étapes finales !
Jérôme de Mars
Blagues :
1)
Pourquoi connaît-on trop bien un joueur de basket de NBA du prénom de Tony ? - Parce-qu'on connaît Tony par cœur ( Parker )
2) Pourquoi les idées de Marine Le Pen manquent-elles de couleurs ?
- Parce-qu'elle broie du noir !
Jérôme de Mars
Liberté, égalité, fraternité !
Naguère, La France était en guerre, et n'avait guère de libertés,
Pour affirmer ses idées et être en paix, avec du respect parmi les communautés,
Dont les mamelles de La France, sont liberté, égalité, fraternité dans légalité
Et la solidarité, de la diversité et de la variété, entre le peuple autochtone
Et le peuple étranger, pas si étranger à vouloir s'assimiler parmi Les Français,
Malgré les mauvaises ententes entre certains
Alors qu'ils pourraient être amis et copains,
Bien sûr pas avec le Maréchal Pétain, qui pète un coup !
D'où il est avec tous les coups, qu'il a portés aux innocents dans le sang,
A contre-coût, et dont ça a eu un coût, tous ces coups,
Portés et déportés Indécents,
Avec en tout et pour tout, malgré tous ces va-touts,
Que La France a joué son va-tout,
Avec les grands manitous de la finance et de la défiance, où il faudrait un sonotone
Pour mieux se comprendre, et s'entendre à minimum
Même s'il y a un ultimatum,
Entre les pourfendeurs de la guerre,
Et les opposants à la paix, qui fait que naguère en France, il y a tout ce boucan,
Et que tout fout le camp, dans le décan
De concentration à provoquer le bruit, la scission et la rébellion,
Avec pour immense imminence
Et dense dissidence
En France, une totale insurrection,
Quand Marine Le Peine
Toute la peine open aux Le Pen,
Alors que Les Français ouverts et pacifistes, veulent que La France soit soudée
Entre eux parmi le peuple, pourvu qu'il redevienne fou et allié
Et rallié dans la majorité et la vérité,
D'une France ouverte et tolérante, en proclamant aux urnes l'égoïsme
Et l'individualisme ! pour inaugurer le prisme
Pour que brûlent dans la rue des cendres, pour descendre la démagogie
Et le populisme, à pas de prix du dépit de la sécurité asociale avec pour répit,
En dépit, des pis de pis en pis de sacrés peaux de vaches olé olé,
Quelqu'un qui soit une douce crème au lait,
Afin que règne l'épi, qui ouvre le cercle de minuit de pi,
Qui vend la mèche après s'être fait des cheveux blancs,
Sans blanc avec beaucoup de faux semblants,
Pour passer de l'aliénation en subordination
A une nation en adéquation,
D'où tout le peuple en une de libération
Et du Parisien libéré sifflera la fin de la récréation,
Avec pour invocation de susciter une vocation
Dans les différents métiers de La France libre,
Au cas libre, au calibre pour que ça vibre !
Au chant de la nation
Et du contre-chant de la soumission, avec pour mission
Un peu de compassion et de répit,
D'où l'on récoltera une large accalmie
En zone d'ouverture,
Avec pour signal de couverture,
Un vent de modernité à la postérité,
Au souffle d'aller de l'avant, car liberté, égalité, fraternité ! Pour l'éternité !
Jérôme de Mars
Vivre au jour le jour
Par de beaux discours
Tous nos bonjours, bons jours
En ces beaux jours,
D'antan et d'autant
Avec ce temps clément,
D'au temps, qu'on est à la bourre
D'où l'on s'enivre avec un troubadour
A faire des calembours
Aux alentours,
Et à refaire le tour
De ce monde en séjour,
En ces jours,
Où l'on débourre
Lorsqu'on préfère vivre au jour au jour
Et que l'on rembourre
Le compte à rebours
En ne sachant quel contour du tour,
Nous réservera le monde de demain en retour,
Détours, des tours du monde par amour vautour,
Si on joue vos tours dans la cour
Des grands à jour sans contre-jour
En recours,
Où l'on s'enivre depuis notre faubourg
Notre faux bourg,
Où l'on se délivre d'un compte à rebours,
Comme on préfère vivre au jour au jour
Dans l'inconnue des prochains jours,
En refaisant un tour à Tours,
Près du Pourtour
Méditerranéen et en étant à jour
A Cabourg,
Au carrefour
De la rue près du magasin Carrefour, qui se fourre
Dans un espèce de four
Tout, extraordinairement fourre-
Tout à Rocamadour,
Où l'on s'enivre de parfums, par feint dans le pour
Et le contre à jour ou à contre-jour
Des roulements de tambour,
Menés tambour
Battant au cours
De la vie, encours au long court, où l'on accourt
A court du revers de la médaille d'argent, dans un cours
Sur le court
Central en détours, des tours
Pour jouer dans un court
Métrage adapté d'un livre Goncourt,
Et pour participer à un concours
Pour le Goncourt,
Où qu'on court,
Et où l'on se livre à jour
Et où l'on se délivre ajour,
Quand on préfère vivre au jour le jour
Dès que l'on dit bonjour,
Pour passer de nouveaux beaux jours
Et en venir à bout, au bout du compte à rebours
Dans la chasse à courre,
Qui court quand c'est du lourd, du velours
Et du balourd,
D'où l'on n'est sourd,
Comme Beethoven en fin de parcours,
Par le plus grand des hasards près de Nemours,
Où l'on préfère vivre au jour le jour toujours
En mangeant des topinambours,
Point de non-retour.
Jérôme de Mars
T'auras la bible du Coran !
Tous azimuth,
Les religions en réunion
Bizutent et percutent
L'union ou la division,
Qui persécute et exécute
Les singulières décisions,
A l'endroit de chaque religion
En faisant l'invocation
Ou la révocation,
En te mettant au Coran
Et en édulcorant,
Si tu possèdes le talisman ou le totem,
Pour comprendre ta religion,
Afin que tu sèmes
Face à ta colère,
De bien jolies prières,
Qui Ave mis aux enchères
Ton cœur de jachère,
Dès que tu auras la bénédiction
Du Christ,
Quand t'auras la bible du Coran,
Mis au Coran édulcorant
Et en te convertissant,
Loin des fanatiques,
Mais dans un laps de temps fatidique,
Où tu récolteras fantastique
De réjouissants éléments confiants,
Qui jusqu'à présent te crispent,
Pour te tirer au clair
De l'ombre à ta lumière,
Les réponses à tes questions,
Qui décryptent
La crypte
Légendaire dans son tombeau,
Pour te passer le flambeau,
Du repaire de son Mausolée
Au sanctuaire
De tes repères
Dans des plurielles religions,
Comme l'union
Fait la force
Et amorce
La réconciliation
Et la coalition
En un début d'un mouvement
De recouvrement,
Où t'auras la bible du Coran,
Mis au Coran édulcorant
Et des mis sur les bans,
A la vue de tous ces éléments aimants,
Bénis par le pain béni
De Dieu et des églises au temple,
Qui contemplent
Les moines,
Dont l'habit
Fait le moine,
Comme Annie Lemoine
Dans une période faste
Et plus chaste,
De par les mariages
Interdits dans certaines religions
Notamment chez les curés catholiques
Qui ne peuvent perdre leur pucelage,
Où il faut des ramages
Avec des images,
Pour garder son jeune plumage
Avec un Imam
Dans ce slam islam
Slam is slam,
Comme toutes ces variantes de religions
Se font légion
Et font du ramdam
Au Ramadan,
Qui fait du boucan
Dans la mosquée du Coran
Où t'auras la bible du Coran,
Mis au Coran édulcorant,
Et où tu garderas en mémoire
De l'hostie toutes tes saines paroles,
Pour boire
L'espérance de tes déboires
Sans bémol,
Avec en plus
La synagogue,
Qui clôt en bonus
Ce complet épilogue,
De toutes ces religions
Du fruit de toutes les saisons,
Où tu garderas la raison,
Toi en sage de l'oraison,
Tant que t'auras la bible du Coran,
Mis au coran édulcorant
Jusqu'au rang d'Oran,
En crime de L'orient
Express, comme il n'y a rien qui presse,
Et dont ainsi, il faut que tu t'empresses
De parer à ce qui t'oppresse, te presse
Et te compresse, pour accéder à la sagesse,
Tant que jusqu'au rang,
T'auras la bible du Coran,
Mis au Coran édulcorant,
En faim dès sept des péchés capitaux,
D'où tu te ranges du côté des Cardinaux,
En direction
De toutes les religions,
De la rose des vents
Et en allant de l'avant
Et en avant,
De ces quatre points cardinaux,
D'où l'on a mis les choses aux points Cardinaux,
En pleine vocation
Dès l'évocation,
Trois points de suspension...
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait si Le PSG bute l'équipe de Pau en ligue 1 ?
- Manque de Pau, Le PSG leur aura fait la Pau à l'équipe de Pau !
2) Qu'est-ce-que ça fait le Coronavirus qui contamine tous Les Français ?
- Il prend tout le monde en grippe !
3) Que dira-t-on du Rassemblement National s'il rend La France triste en arrivant au pouvoir en 2022 ?
- Que Marine le peine !
4) Qu'est-ce-que ça fait un Chinois qui a un virus sur son ordinateur ?
- Quelqu'un qui a le Coronavirus !
5) Qu'est-ce-que ça fait une histoire invraisemblable qu'on nous raconte pendant qu'on roupille en n'étant pas assis ?
- Une histoire à dormir debout !
Jérôme de Mars
Je vote pour les vers
Sur mon papier buvard,
Boulevard des bobards,
Je ne fais semblant
Malgré les faux sans blanc,
Où j'ai décidé d'accorder ma voie
Et de raccorder ma courbe voie
En votant à Courbevoie,
Parce-que maintenant, je vote pour les vers
Des vers de bohème
En vers de poème,
Pour me mettre aux vers dans l'emblème
De cette époque à l'an blême,
Où j'en deviens blême
Avec tous les pros blêmes,
Que provoquent les problèmes
Dans cette société anxiogène
Sans gênes avec les gènes,
Qui font couler beaucoup d'encre
De ma plume qui me déplume,
Où j'y laisse des plumes du fond de mon enclume,
Dans un antivol d'oiseau qui fume en ancien cancre
En votant nul,
Car nulle
Part ailleurs, où aller
A part dévaler, des vallées,
Parce-que maintenant je vote pour les vers,
Vers d'orage de mes revers o'rage,
Où il faut que je tourne la page
Du passé qui est daté et outrepassé,
Afin de me dépasser et de me surpasser
Pour ouvrir en sage de la raison,
Une inflexion dans des actions
Positives, puisque tel est mon objectif,
Que je me fixe en impératif et en rectificatif,
De mon vote semblant, mais ouvert
Parce-que maintenant, je vote pour les vers !
Jérôme de Mars
Vis chaque jour comme si c'était le dernier jour !
Open O'peine !
C'est un nouveau jour
Qui s'ouvre à peine,
Avant qu'en retour
La marine le peine
Ces poèmes mélancoliques
D'un troubadour,
En jeux de calembours
Névrotiques et amnésiques,
Pour écrire des mémoires
Si on s'en souvient un soir
Et un jour même s'il fait contre-jour,
Où depuis ton faux bourg
Vis chaque jour
Comme si c'était le dernier jour !
Comme on ne sait
De quoi demain sera fait !
Et qu'à chaque jour
Suffit sa peine !
O'peine Open !
En pleine Madeleine
De Proust,
Quand la vie
En os de vie dévie
De sa trajectoire,
Et s'acharne sur toi
En bris de couloirs,
Qui foirent en toi en manque de foi,
Quand elle te fout des roustes
Alors dis-le toi bien !
O'combien !
Il faut vivre au jour le jour
Ainsi c'est plus prudent !
En vivant l'instant présent,
Pour rester vigilant
A ce qui peut arriver virulent
Et soudain,
Puisqu'au lieu d'être un vautour
Ne passe pas ton tour !
Et vis chaque jour
Comme si c'était le dernier jour !
En compte à rebours
Arrivé au bout du compte détours,
Où le jour
Où tu devras rendre des comptes en retour,
Assure-toi bien !
Qu'après séjours
Sur terre, tout va bien !
Et réassure-toi bien O'combien !
Que ces jours
T'auront été bénéfiques
Et féériques,
Pour que tu communiques
Plus tard de l'au-delà,
Au-delà de toi !
Où tu auras bien atteint
Le dernier jour,
En feint
Et par feint sur Terre, où enfin
Tu seras enclin
De rejoindre défunt,
L'au-delà dans le pourtour
Pour passer ton tour,
Où en attendant d'arriver à ce contour,
O'peine Open !
Qui te peine !
Vis chaque jour
Comme si c'était le dernier jour !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi la communauté Chinoise de Paris a-t-elle annulé encore cette année le défilé du Nouvel An Chinois ?
- Parce-que tout le monde s'est défilé !
2) Qu'est-ce-que ça fait un Chinois qui a un virus sur son ordinateur ?
- Quelqu'un qui a attrapé le Coronavirus de Chine !
Jérôme de Mars
Tout est relatif !
Sur le vif
Du sujet écorché vif,
On est piqués au vif
Subversif dans les récifs
En remontant à la racine,
De pourquoi le malheur nous fascine
Plus que le bonheur qui dessine une routine
Pour des broutilles,
Où l'on s'émoustille
D'une vie avec plus de piment,
Et aimant avec les êtres vivants,
Même si tout est relatif
Dans la vie au prénom relatif,
Où un jour on est là
Et le lendemain, on est dans le trépas,
A passer les plats
Dans une vie, où tout est plat et à plat
Au creux d'un estomac qui a un nœud,
Si on n'a pas rencontré la faim,
Qui justifie les moyens au moyen
Du Moyen-Age,
Où l'on naît dans les parages
Et au garage
D'une vie, où l'on peut peu
S'ennuyer de faire à l'avance
Sa nécro à distance,
De ceux qu'on aime pas aujourd'hui
Et dont on s'en fout à l'infini,
Alors que si demain ils meurent,
La musique funèbre adoucira les mœurs,
Des projecteurs rétro projecteurs,
Braqués dans la nurse
De se revoir bébé,
Dans une enfance BCBG,
Où l'on trouvera à nos chers disparus
Vers l'inconnue,
Des qualités par défaut
Avec zéro défaut,
Car intégrité avec remords
Une fois qu'ils sont morts
Dans l'hypocrisie sans nom,
Comme tout est relatif
Avec son prénom relatif,
Qui est qui ?
Et est-ce-acquis et exquis ?
Dans une vie sur mesure,
Battue à plat de couture
Avec des points de suture,
Qui saturent d'ordures
Sur le vif transgressif
Et subversif,
De tel est l'objectif !
Y a pas photo dans l'objectif !
De si le prénom est un pronom très relatif,
Et de si le pronom est un prêt nom en rectificatif,
Où l'on cherche un pseudo,
Pour cacher sa nécro dans un éventuel eldorado,
Genre Zorro, il va sauver le monde,
Alors qu'un zéro pointé, trop affûté,
Il part à l'affût de pourquoi ce monde abonde,
Et s'inonde avec tous ces gens qui sondent,
De comment il trouve le monde,
Soi-disant dit en liesse dans l'ivresse féconde,
Du bar de La Rotonde,
Qui soûle les déçus
De Macron,
Très rubicond
Et couillu,
Avec les handicapés
Si ce n'est les quelques rares rescapés,
Qui ont réchappé à cette vie,
Où il faut faire semblant d'être positifs,
Alors que les êtres sont très négatifs,
Face à la dureté de la vie de quand le ciel est gris,
Avant l'embellie qui adoucit
L'aigri au gris d'un gris-gris,
Grisant pour faire joli, joli,
Comme tout est relatif
Si demain, quelqu'un nous quitte pour un impératif
Et s'en va ailleurs contemplatif,
En s'en foutant de qui
Du pronom relatif
Au prénom relatif s'il est péjoratif,
De qui que quoi que ce soit
De cela il y a un mois,
Où l'on voit la vie du bon côté,
A côté et aux-à-côtés, sans point de côté,
Avec un embonpoint coté,
En retraçant le portrait de La Joconde,
Qui l'ouvre au musée mausolée,
Où le temps passe et vite,
Et évite à-la-vite
Le jugement dernier,
Pour rendre des comptes,
Au bout du compte avec pour acompte,
Quelque chose qui lévite
Les-laissés pour compte qui ne comptent,
Mais dont on escompte
Au bout du compte,
Un ailleurs possible, paisible et plus expressif
Sur le vif
Du sujet au sujet assujetti,
Ecorché vif,
Car tout est relatif ! affirmatif.
Jérôme de Mars
Quand on ne trouve pas des réponses à ses questions ! ?
Questions sans réponses
Ou avec réponses qu'on ponce,
On est dans la défonce,
Si on s'enfonce
Dans l'équation de l'inconnue,
Si on a peur de marcher dans la rue,
Et que dans la cohue,
On noie le poisson d'avril du merlu,
Lu, relu, vu et revu dans la bévue,
Si on ressent,
On pressent et on consent
Qu'on est l'intrus,
Quand on ne trouve pas des réponses
A ses questions,
Dont on enfonce
Des portes ouvertes, où l'on fonce
Dans la défonce
Sans réponses,
Dans une inadéquation
En questions
Saugrenues et couillues,
En des paradoxes et contradictions
Eperdus dans l'absolu,
Où l'on perd la raison
Et le discernement
Dans l'aliénation,
Sans l'assentiment
De trouver des accords,
Avec nos pressentiments
Sous serments,
Où l'on en subit le pire châtiment
De nous ingénus,
Et naïfs à croire aux prédictions
Des maîtres fourbus,
A force de trop tirer sur la discorde
Des paroles monocordes,
Si on ne fait pas du corps à corps,
Quand on ne trouve pas des réponses
A ses questions,
Entre hallucinations, désillusions et émotions,
Où l'on se défonce et fonce
Vers la langue de bois, qu'on ponce
En réponses toutes faites,
Dans la défaite en fait,
Si on n'a pas le chœur à faire la fête,
Ou si vous faites
En sorte, qu'on ne vous accorde du crédit,
Si de vos supplices, vous vous épanouissez en des cris,
Si on vous décrit, comme des brebis galeuses
Et ténébreuses, favorables à l'apologie de la grande faucheuse,
Quand vous jouez les victimes de Caliméro,
Entre gros mots, qui grimpent crescendo dans le chaos,
Si vous êtes avec des questions sans réponses,
Quand on ne trouve pas des réponses
A ses questions,
Même si on énonce dans la défonce,
Des vérités sans langue de bois qu'on ponce,
En montrant de quel bois on se chauffe,
Dans un tour de chauffe, si on s'échauffe bof
De nous ! si on est des Français beaufs,
Où pour trouver un jour ou l'autre des réponses
A nos questions,
Qui nous paraissent trop longues, à tirer au clair en adéquation,
On trouve des réponses dans la défonce,
Sans langue de bois que l'on ponce,
En trouvant des réponses à l'équation,
De l'inconnue en route vers l'inconnu,
Car merci pour cet exode verbal,
De drôles d'oiseaux dans un bal floral,
Qui prend son envol, en émigrant et en fermant le bal,
De son point de salut.
Jérôme de Mars
Tout le monde a des hauts et des bas dans la vie !
Quai ok sur le monde,
On sonde
Quiconque et quelconque,
Pour voir ce qu'ils vont répondre
Et pondre si leurs tourments
Les fait s'effondre,
Si on tronque
Les gens dans les ronces
De mauvaises herbes
De génies en herbe,
S'ils cachent en eux tout ce boucan
Qui fout le camp,
Ou s'ils font brûler un feu de camp
Qui reflète un ciel bleu clément,
Qui énonce
Dans un verbe en pro-verbe,
Un genre de système et D
S'ils aiment être aidés,
Où s'ils sèment un requiem avec du LSD
De gens fainéants
Et indifférents,
Qui dénoncent
Les assistés,
Pour les inciter
A prendre leur vie
En main,
Afin d'être à jour demain
S'il tombent dans les mailles du filet,
Ou s'ils laissent tomber les mails refilés
Si un jour il y a débat,
Comme en chacun
Tout le monde au cours de son destin,
A des hauts et des bas
Dans la vie,
Invités à mettre par écrits
Tout ce qui les plombent
De leurs tracas,
Et qui leur causent des fracas,
Alors qu'après les bris
Il y a
Peut-être des faiseurs de brillants éclats
En abats-jours,
Qui illuminent autour des beaux jours
De meneurs d'ébats,
Qui mettent et bas
Comme en chacun
Tout le monde au cours de son destin,
A des hauts et des bas
Dans la vie,
Vis-à-vis visa vie
Des idéaux aux devis,
De la juste panoplie
Au parfait prototype,
Pour connaître
En chic type,
Un jour peut-être
Au lieu du paraître
De meilleurs aléas,
Car allez ah ! dans la joie !
Hippie hippie hourra,
Pour demeurer le maître
De son destin,
Et le faire paître
Avec de délicieuses herbes,
Qui préservent
Un joli festin,
Même si en chacun
Un jour ou l'autre,
Tout le monde au cours de son destin
A des hauts et bas
Dans la vie,
Alors que si les gens prient
Avec l'eau bénite qui les bonifie,
Ils pensent aux Apôtres
Pour mettre bas
En et bas,
Comme avec des si
Dans la vie,
Tout le monde a des hauts et des bas
Alors qu'il n'y a qu'un pas
Des problèmes
A un parfum de bohème,
Avec l'appât
Du regain,
Car à partir de là
Et bien merci !
Y a plus débat !
Jérôme de Mars
Crise de rire
Différentes blagues sur mes amis :
1) Jean-Paul Garnier, un ami au sujet de Jean-Paul May, l'ancien professeur d'histoire-géographie du Cerep
Jérôme : Bonjour Jean-Paul, te rappelles-tu du prof d'histoire-géo du Cerep ?
Jean-Paul : Pourquoi cette question mon ami ?
Jérôme : Parce-que Jean-Paul Mais si tu t'en rappelles !
2) Guillaume Leprette, un ami
Jérôme : Guillaume, mon portable est tombé en panne, puis-je t'emprunter le tien en tapant ton nom ?
Guillaume : Pourquoi tu dis ça ?
Jérôme : Car Guillaume le prête son portable !
3) Michel Tonneau, un ami
Jérôme : Bonjour mon petit Michel, pourquoi se voit-on en vin à chaque fois ?
Michel : Parce-que je suis Michel Tonneau en vin !
4) Philippe Bourget, un ami
Jérôme : Bonjour Philippe, pourquoi mets-tu ton portable en mode avion dans ta salle à manger quand je t'appelle ?
Philippe : Mon cher Jérôme, car je viens du salon du Bourget
5) Bernard Penot, mon psychiatre
Jérôme : Pourquoi cher Docteur Penot, n'avez-vous plus honte de me
suivre encore dans vos séances ?
Bernard Penot : Parce-que je suis tout penaud de t'écouter !
6) Gérard Barde, l'ancien chef atelier de L'ESAT de Vitry
Jérôme : Pourquoi Gérard depuis que vous êtes parti de L'ESAT de Vitry, ça
s'est dégradé, c'est devenu dur, qu'il n'y a plus de social et que c'est tout pour l'argent ?
Gérard : Parce-que ça barde à L'ESAT de Vitry depuis que je suis parti !
7) Eric Thébault, moniteur à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry
Jérôme : Pourquoi Eric même si l'atelier est conditionné au pire, ça peut encore aller grâce à vous ?
Eric : Parce-que je suis encore là !
Jérôme : Parce-que Eric, t'es beau !
8) Céline Chauvin, une collègue
Jérôme : A ton avis, Céline, pourquoi est-ce-que je me fais des cheveux à
cause des soucis ?
Céline : Je sais pas mon petit Jérôme
Jérôme : Parce-que comme tu es un peu pour moi une seconde mère, je suis
chauve hein !
9) Jérôme, un ovni décalé
Guillaume L : Pourquoi lascar es-tu toujours sur une autre pseudo planète ?
Jérôme : Parce-que je suis un pseudo Jérôme de Mars
10) Simone Moll, une cousine germaine nichée à Cavalaire Sur Mer
Jérôme : Pourquoi est-ce-que ça te fait une belle jambe que je perde le fil de notre contact ?
Simone : Parce-que je suis Simone Molle des guibolles
Jérôme : Non, car il y a un bémol
Simone : Ben oui Jérôme comme on a rompu le fil, je n'ai plus de plan bémol !
11) Lionel Lellouche, un ami
Jérôme : Bonjour Lionel, je te trouve bizarre aujourd'hui !
Lionel : Pourquoi dis-tu ça ?
Jérôme : Parce-que t'es Lionel, le louche !
Jérôme de Mars
Ah Serbe ! Acerbe !
Génies en herbe
De mauvaises herbes !
Si Socrate a de la réserve,
Il a le verbe
Acerbe,
S'il est ah ! Serbe !
Et qu'il observe
Pour que ça lui resserve,
Avec de la verve
Et de la verve haine,
S'il boit de la verveine
Et que la vers vaine
Est dans ses veines,
Si jamais Socrate
Est Croate,
Donc ah ! Serbe !
S'il est acerbe !
Avec le verbe
Haut de l'herbe
En vers de proverbe,
Si l'impro verbe
Est un pro verbe,
Et que Socrate
A de la réserve,
Pour que ça lui resserve
S'il observe
Son verbe,
Haut pour que ça lui serve
D'exemple casse-cou avec une minerve,
Qui l'énerve
S'il a de la verve,
Et qu'il conserve
La philosophie de Socrate,
Si jamais il est Croate
Et puis donc ah ! Serbe !
S'il reste acerbe
Avec le verbe,
Haut si c'est un pro verbe
Du proverbe,
Ainsi avec des verbes
Et des pas mûrs acerbes !
Si la fin Croate
De Socrate
Est ah ! Serbe !
Et qu'il observe
Une minute de silence
A sa révérence,
Où il tire sa révérence
Avec les honneurs en référence
D'où de Socrate,
On en fait un pseudo-Croate
Si jamais il croasse avec le verbe
Haut ah ! Serbe !
Et qu'il reste acerbe !
D'où l'on termine cet impro verbe,
De son pro verbe en un proverbe
En verbe,
Pourvu que la réserve
Serve et resserve
A quelque chose en verve,
Et que ça conserve
Cette mise en boîtes de conserves,
En verve
De Socrate,
S'il est Croate
Et qu'il croasse acerbe,
Avec le verbe
Ah ! Serbe !
En gardant de sa superbe
Avec le verbe haut
Du ver mot,
Fin mot d'esprit de l'un proverbe.
Jérôme de Mars
Et Ruth ! Et rut !
Sexe sans complexe,
C'est très complexe
Si t'as des complexes,
Où tu presses
De ton annexe,
Ta bite rude
Dans une turlute,
Quand tu culbutes
Dans le tumulte
A l'âge adulte
Ta femme,
Hein femme, infâme,
Et Ruth ! Et rut !
Avec du jus de chaussettes,
Quand tu pètes
Le derche
De ta femme,
Hein femme, infâme,
Et Ruth ! Et rut !
Avec ta bite rude,
Qui est dure,
Quand tu carbures
Avec les prudes,
Coincés du cul faux derche,
Où tu cherches
A évacuer le stress
Qui t'oppresse
Dans un jeu de parties fines,
Où tu fais couler la purée mousse Line
Et purée, comme tu craches la butine
De ton miel orgasmique que t'embobines
Dans une turlute,
Que tu culbutes
Bouche-bée
Dans la bouche
De ta dulcinée,
Où tu fais mouche avec une touche
Avec ta femme,
Hein femme, infâme,
Et Ruth ! Et rut !
Qui t'excite de ton calbut,
Quand tu l'insultes
Et que tu la culbutes
Dans le tumulte
A l'âge adulte,
Où pour que tu décompresses
Avec ta princesse
Dans des largesses
Histoire de fesses,
Il faut que tu trouves la sagesse
Avec des caresses
Et de la tendresse,
Dans la paresse
De ta femme,
Hein femme, infâme,
Et Ruth ! Et rut !
Que tu culbutes
Et que tu insultes
De ton calbut !
Fin mot de l'histoire en chute,
Où avec ta bite rude,
Tu lui hurles de plaisir en prélude !
Tu es à l'étude !
Pour l'avoir en longitude
Dans ta plénitude !
Et ainsi zut !
Si elle te joue de la flûte !
Avec une turlute
Sur ton calbut,
De la part de ta femme,
Hein femme, infâme !
Et Ruth !
Car grâce à elle, tu seras toujours en Ruth !
Et puis rut !
Jérôme de Mars
Blague :
Où envoie-ton une femme qui suce mal un homme ?
- On l'envoie au casse-pipe !
Jérôme de Mars
Nous sommes sur des petits nuages
Images sur la lucarne,
On ouvre la fenêtre
Extérieure vers La Marne,
Qui est un long fleuve tranquille
Des lumières de la ville,
Comme un film de Charlie Chaplin
Qui fascine les histoires de douceur câline,
Dès le soir dans notre maisonnée à rester le maître
Des images qui fleurissent à cran en période de rodage,
Jonchée si nous sommes sur des petits nuages
A rêver d'une embellie et d'un mieux,
Vis-à-vis des cieux qui songent à nous harmonieux
A tourner la rétrospective des diapositives,
Y a pas photo dans le rétro ! avec des pensées positives
En s'interrogeant si on a encore l'âge de figurer en première page,
Ecornée si nous sommes sur des petits nuages
A tenir la chandelle et à converser de sujets curieux,
Bien lotis et amoureux fiévreux au coin du feu
A s'imaginer emporter ses souvenirs dans la devanture d'un magasin,
De nostalgie avec des bibelots qui arpentent les brocantes d'un tous pour un,
Qui jalonne le parcours qu'on désire sans fautes même si on fait tous des erreurs
Dans le jardin qui cultive le fruit de notre travail et qui défriche toutes nos ardeurs,
A nous rappeler le temple où on pose nos points d'ancrages
De prières qui consolident nos idéaux, quand nous sommes sur des petits nuages
A souhaiter un monde meilleur plus fabuleux et plus fameux,
Qu'on aimerait partager de nos cadets de soucis avec nos aînés les aïeux,
Où l'on vous cligne des yeux en vous souhaitant dans la vie un bon démarrage,
Si jamais à tout jamais nous sommes sur des petits nuages.
Jérôme de Mars
Plusieurs cordes à leur arc
Tir à l'arc
Monocorde à l'arc,
Qui s'accorde
Avec la flèche,
Et qui concorde avec l'arc
Place de La Concorde,
A L'Arche de La Défense
Sans défense avec miséricorde,
Qui raccorde
Plusieurs cordes à leur arc,
Arc en ciel qui discorde
Dans un tir à la corde,
A l'Arche de Noë
Avec plusieurs cordes à leur arche,
Qui accorde l'arche en ciel
D'un arc qui gratte le ciel
Sur un gratte ciel à l'Arc de La Défense,
Défense de tirer une flèche au tir à l'arc !
En tirant à l'arc avec plusieurs cordes
A son arche qui étirent plusieurs flèches,
Avec plusieurs cordes à leur arc
De miséricorde, qui accorde l'arc qui raccorde
L'arc en ciel, qui concorde l'Arche de La Défense,
Et qui raccorde l'arche en ciel sur un gratte ciel,
De l'arc de la défense à l'arche en ciel,
Avec plusieurs cordes à leur arc,
Sur Place de là Qu'on corde !
O' quelle miséricorde si le tir à l'arche
A plusieurs cordes à son Arche,
Arche de La Défense, défense arc en ciel !
Avec plusieurs cordes à son arc monocorde,
Arc en ciel, qui gratte le ciel sur un gratte ciel,
Avec dix cordes à leur arc,
Au tir à l'Arche de la défense,
Défense d'entrer à L'Arche de Noë !
Sans défense à L'Arc de la défense,
Avec plusieurs discordes à leur arc,
D'autant qu'on a trop tiré sur la corde avec l'arc
De L'Arc de Triomphe
A L'Arche de Triomphe
Dans les dix cordes, les discordes,
Dont on vous implore miséricorde,
Avec plusieurs cordes à leur arc.
Jérôme de Mars
Les pieds sur Terre !
A vos casques
Et à vos casaques,
La maison brûle
En tombant le masque
Sur toute La Péninsule,
Comme le disait Jacques Chirac,
Où je me mets aux vers
Dans ce poème sur La Terre salutaire,
Où il faut sauver la planète
Et la préserver en passant le plat net
D'un inventaire sur La Terre,
Pour protéger notre environnement,
Ambiant en se convertissant
A l'écologie
De la vie dans un devis,
En ayant les pieds sur Terre
Dans un avant Terre,
Comme Amazon
Gaffa
Avec Les GAFA,
Dans cet état des lieux
Pas loin des adieux,
Si on continue comme ça
En les tas
Dans la couche d'ozone,
Polaire et interstellaire
De cet environnement bipolaire
Avec des cyclones,
Où l'étoile de la grande ourse polaire
Est en grave danger,
Si on persiste à se comporter
En personnes irresponsables,
D'un je-m'en foutisme général
Qui pèse au moral immoral
Sur la planète Terre délétère,
Où les délais perdureront à Terre
Si on ne se met pas aux vers,
En ayant les pieds sur Terre
Dans notre propre environnement
En posant tout sur la table
Et en érigeant un mouvement
Contestataire pour faire un inventaire
Sur La Terre,
Des océans au courant
Des courants
D'ère,
Et de tout ce boucan,
Qui fout le camp
Sur La Terre
De la banquise aux sols,
Qui s'assèchent do ré mi fa saules
Pleureurs avec des antisèches,
Qui sèchent et pèchent
D'orgueil élémentaire
Et complémentaire,
Où il faut une prise de conscience
Collective pour insuffler une tendance,
Et sauver ce qui peut l'être encore
Avec des accords
Sur Le Climat
A Paris,
Dans cette pure folie,
En ayant les pieds sur Terre
Dans notre atmosphère,
Qui se réchauffe avec son cœur qui bat
La chamade,
En froid avec les gens dont les politiques les baladent
Dont pour eux, ce n'est pas une urgence absolue,
Alors que si on ne fait rien, la planète mourra
Dans la lune,
De part et l'une qui comptent pour des prunes
Malgré les aléas,
Qui décideront si La Terre est perdue ou suspendue
De notre réaction à changer les choses
Et de par notre cause si on se cause,
A effacer les ecchymoses
Pour se mettre tous en osmose,
A faire apparaître des roses pour une vie plus rose
Sur notre planète pour qu'on ose,
A presque l'hiver de l'existence de La Terre
A se mettre aux vers divers,
Afin que la planète dissolue
Redevienne un monde résolu,
A respirer dès bon air
Et à demeurer débonnaires,
En gardant les pieds sur Terre !
Jérôme de Mars
Passe-moi la crème solidaire !
De par ma fantaisie lunaire
Sur le ciel de la terre
Je te passe de la pommade écran solaire,
Quand je te repasse de la peau mate à cran héréditaire
Où de ta pure gentillesse,
Je t'implore avec délicatesse
Passe-moi la crème solidaire !
Aux rayons X du soleil né sous X
En coups de crayons divers XY,
Où d'un ton hirsute,
Je t'impute et je te suppute
Qu'il faut un état stationnaire
Mis sur orbite,
Pour te passer de la crème solaire
Très passée avec de la crème fouettée scolaire,
A l'encre néophyte
Novice en la matière,
Quand je te supplie
Passe-moi la crème solidaire !
Pour bronzer généreux
Aux cieux fabuleux,
D'autant qu'il y a encore des gens extraordinaires
Sur la terre de nos ancêtres,
En bien-naître et en ouvrant les fenêtres
A l'extérieur, car le meilleur
Reste à venir de sa superbe candeur
Aux effets internes avec le bel itinéraire,
En route vers un jardin à extraire
Le meilleur sur la terre,
Où je te passe de la pommade interstellaire,
Quand je te surpasse de la peau mate éphémère,
Presque dans la messagerie
Coutumière au sommaire de la matière,
Car sur La Terre première
Passe-moi de la crème solidaire !
Sur le rond-point imaginaire,
Embonpoint lapidaire.
Jérôme de Mars
Erudit ! Et Rudy !
Intelligentsia Parisienne
De L'Arlésienne des persiennes,
La bronca
Monte le ton du canevas
A son paroxysme,
Enfermé comme un cadenas
Dans la clé de l'énigme,
Erudit ! Et Rudy !
T'es rude ! Dis !
Dis-le vite !
Si t'en dédies évite le !
Et vite le !
Ce chien galeux
Et gâteux,
Comme ton papy
Erudit ! Et Rudy !
T'es rude ! Dis !
Si tu médis
Que d' la poésie,
C'est prude dans
Pour rester prudent,
Erudit ! Et Rudy !
T'es rude ! Dis !
Où tu fais une parodie,
Car par on dit !
Dans les on-dit,
Qu'on en dit de ton ordi,
T'es rude ! Dis !
Erudit ! Et Rudy !
Jérôme de Mars
Le soleil allume la lumière
Couleur du ciel,
Sombre dans les décombres
Après une nuit
Passée à l'ombre,
A fermer ses prunelles
Dans son abri,
Ainsi dès le petit matin,
Souvent au clair du jour
Et au coucher de la lune,
Le soleil se lève enclin
Et arrose de son rayon ultra libertaire
Toute sa commune
Sur tous les alentours,
Comme le soleil allume la lumière
Repose les réverbères
Et les lanternes rouges,
Dès que le soleil voit rouge
Au feu rouge qui ne bouge,
Quand il est à l'orange
Du versant du soleil,
O'range ton rayon universel !
Epris de liberté et de délicatesse
Egrénées par la finesse
Du soleil qui rit,
Quand la pluie gémit,
Dès les bourrasques du vent
Dérangeant et accablant,
Comme le soleil ne fait sans blanc
En vers les nuages bleus
D'un caprice des Dieux,
Mais dont heureusement,
Le soleil complice du beau temps
Allume la lumière
Et stimule ses paupières
Dans un fard de clair,
Grisé à la liesse populaire
Et nécessaire,
A un ciel prospère
Limpide et cupide,
Dès que le soleil est avide
Et participe présent
Longtemps à ce temps demeurant,
Au demeurant des mortels
Ainsi soit-il le soleil !
Qui allume la lumière
Avec ses frères de l'univers,
Aux couleurs calquées
Et marquées,
De leur empreinte digitale
Et originale,
Lorsque le soleil
Reste sentinelle,
Du temps qui allume la lumière
Du soleil oscillant poussière,
D'où il finira au près des colombes
Blanches en leur donnant
Cartes blanches, qui leur incombent
Aux épreuves de leur firmament,
Dès que le soleil leur demeure fidèle
Et leur inspire sans paradis artificiel,
Un paradis naturel,
En clair sur La terre,
Tant que le soleil rallume la lumière.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-qu'une pièce d'Euro qui a pour symbole un couple qui fait l'amour ?
- Une pièce d'écu
Jérôme de Mars
Aux mots sexuels
Elles brisées,
Les hirondelles
Se font la belle
Autour d'un ver au Troquet,
Pour trinquer à l'amitié
Des elles esseulées,
Avec la gestuelle
Et les mots sensuels,
Aux mots sexuels
Qui voient s'accoupler,
Les hirondelles
Et les tourterelles,
Attire d'elles
En faisant la chose,
Et pas la ménopause
Et l'andropause,
Entre deux pauses
Café et chocolat praliné
Aux mots sexuels,
Qui voient s'enchaîner
L'acte charnel,
Qui dépucelle
Les parcelles
Hétérosexuelles,
Genre normal
Et homosexuelles
Transe genre paranormal,
Qui battent de l'elles
Entre elles,
Alors qu'il suffit d'une ritournelle
Pour faire tourner la manivelle,
Qui nivelle
De hauts en ébats,
Pour mettre bas
Entre elles
Aux mots sexuels,
Qui rassemblent les genres
Et les transe genre
Genre transe en transe,
Qui dansent genre trance
Redondance en abondance,
Alors que les dernières tendances
Promettent du machiavel,
Homos sexués
Et homos sapiens,
Dont ça sent le sapin
Et le tapin asexué,
Homosexuel
Et hétérosexuel,
Qui volent de leur propres elles
Aux mots sexuels.
Jérôme de Mars
Slam slom
D'home à homme,
Comme à la maison,
Voici une chanson en écusson
Dans un slalom
En slam slom,
Qui snobe le génome
Humain de Jérôme,
En gènes héréditaires
Indigènes parlementaires,
Dans un slalom
En slam slom,
Qui double en salto
Feuilles ramassées recto verso
Dans un jet d'encre de ski,
Quand les bronzés font du ski
Vendu avec l'après-ski,
Exquis, ex-ski
kiwi kawi kaki,
Dans un slalom
En slam slom,
Qui adoube les prudes hommes
En les attaquant aux prud hommes,
D'home à homme
Comme à la maison,
Où il y a des fantômes
Dans un nouveau tome
De Tom Sawyer,
Qui chahute dans la rivière
Pour qui tout baigne,
Comme il daigne
Repeindre l'estuaire,
Avec les couleurs printanières
Du soleil trépidant,
Avec ce beau temps
Mais dont l'effet boule de neige
Amène des flocons de neige,
Dans ce slalom
En slam slom,
Pour sa pomme d'épi
Au cercle circoncit,
Et concis et pi
C'est tout !
Dans son va-tout,
Où l'on jette le fruit
Défendu sur les orties
Aux bruits poussifs,
Qui ordonnent l'ordre impératif
De regarder les cieux
Plus cléments,
Pour installer son royaume extasiant
Et exaltant vers d'autres horizons,
Sur le balcon
De la mer enchantée dans un froid d'hiver,
D'où l'on vous clame
Dans ce slam
Avec pour intermédiaire,
Un slalom
En slam slom,
Qui conseille en villégiature
De passer des vacances dans la verdure
A la profonde nature,
Ainsi, semblait satisfait un témoin auriculaire !
A bonne entendeur sur La Terre,
Qui souligne les aventures
De ce slam qui se termine économe,
En slam slom
Au tournant de ce slalom.
Jérôme de Mars
Dôme à homme
Mon cher bonhomme,
Serge, je m'adresse à toi
Dôme à homme,
Dès fois
Que tu es à l'écoute
Dans ce monde qui me déroute,
Et qui m'en coûte,
Dans les voûtes terrestres
Qui m'envoûtent pédestre,
Avec un coup de pied au derrière
Alors que de mon œillère,
Je suis sans barrières
En n'assurant quelques peu mes arrières,
Où Serge, je m'adresse à toi comme un ami,
Depuis mon adresse en mon toit, où je suis en anémie
D'un manque de vitamines
En la vie qui me mine,
Où tôt ou tard, j'ai peur sur le tard
De commettre l'irréparable,
Comme je suis capable
De péter mon cartable,
Pour foutre en l'air la table
De multiplications
Ou d'irrésolutions,
Alors que j'ai certainement la solution
Depuis le début d'année en résolutions
Pour trouver l'alchimie à cette équation,
Où je me pose tant de questions
Tu vois Serge, où je te parle dôme à homme
Toi qui es un sacré bonhomme
Malgré tous tes drames,
Alors que moi, j'en fais une trame et un mélodrame
De ce qui se trame avec mes inéluctables travers,
Alors que toi Serge, t'as une force de caractère
Incroyable et extraordinaire,
Qui moi m'aurait mis à terre,
Déjà que ça fera 25 ans le 14 février, le contre jour
De La Saint-Valentin
Que mon grand-père s'est suicidé en enfer,
Aux alentours du désamour
Du purgatoire
De son histoire,
Qui se répercute à mon triste répertoire
Sur les souvenirs du trottoir,
Quand ma mère
Se soûlait la gueule casse-gueule au vin,
Et à la mise en bière
De sa courte existence,
Que fut la sentence
De son incurable cancer,
Qui allait l'emporter dans les vents d'ange
Dont en 2020, ça fait très loin en deux vins
Depuis son absence,
Aux atténuantes circonstances
Dont la constance me fuit pour hein constance,
Où Serge, je me sens en danger,
Tôt ou tard au bord du ravin
Dans une cave à vin,
Où je mourrai prématuré
De jeune précoce,
Dans l'Ecosse
Du grand chêne,
Où tout ça me gêne
Héréditaire d'un matin d'hiver,
Quand j'écris dix vers
Serge, où je m'adresse à toi
Dôme à homme,
A Paris dans cette pièce
Détachée en espèce,
Menacée sur le boulevard
Jourdan au Cerep,
Dont j'en fus un adepte
Plus ou moins assidu
Dans tout ce bazar,
Comme j'ai assez dû
Assurer ma sécurité asociale
En arrêt-maladie dominical et inamical,
Où Dôme à homme
Serge, je m'adresse à toi,
Dès fois parfois quelquefois si toutefois
Tu as des suggestions à me faire,
Pour résoudre tout ce calvaire
Loin pourtant de Cavalaire,
Où je cavale l'air de rien
Toujours dans des pépins,
Du collège privé Epin, où j'eus tous ces pépins
Du fruit de mon travail
Les doigts en éventail,
Où je vous passe du moindre détail,
Quand quelqu'un m'entaille
D'une poignée de fer
De la taille de mes blessures intimes,
Mais infirmes
De ma douleur intérieure,
Où j'ai de la liqueur et de l'aigreur
Dans mon estomac noué sur le tarmac,
Si jamais quelqu'un m'attaque
En bouc-émissaire
Du commissaire ami de mon grand-père,
Qui se sentit trahi
Quand mon déchu grand-père,
Cacha et dissimula son revolver
En guise de fusil pour se tirer à bout portant
Car à bout pourtant,
Où il me transmis ses gênes
De son propre malheur littéraire comme de ma mère,
Où il ne faudrait pas plus tard
Que je reproduise sur les enfants
Ce je d'enfant malfaisant,
Dont je fus maltraité et malmené
Depuis ma prime enfance
Dans la véhémence,
Où Serge mon ami je t'adresse mes sincères
Salutations distinguées au sommaire
Du prochain numéro,
En délibérations
Et en énumérations,
Comme j'en suis la victime en Caliméro
Sur le troquet des bars,
Où je rembarre tout ce qui me barre,
Moi l'éternel écorché vif,
Piqué au vif transgressif sur le vif
Du sujet,
Dont je fus le sujet et à quel sujet ?
En espérant que la victoire
Pérenne et sereine
Sera au rendez-vous abreuvoir
De futures belles histoires,
Même que je suis au bout du rouleau
Compresseur avec mes trémolos
En bistrots de comptoirs,
Où Serge, d'homme à homme,
Et dogme à Dôme,
Je te dis au revoir et à plus tard.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait une femme qui n'en a rien à foutre ?
- Une femme qui a plein de foutre sur elle
Jérôme de Mars
Le panse-bête des animaux
Soins, aux petits soins pour les animaux,
Nous sommes bêtes,
Avec le panse-bête qui hébète
Les animaux sur la ligne des marginaux,
Quand la vache sacrée est olé,
Et qu'au lait, elle épie
De ses pis dans un laps de répit,
Toutes ses mamelles
Aux femelles,
Bien qu'en des pis,
De pis en pis, et en dépit,
La vache olé est consacrée
Oh ! la vache !
Qui cravache
Très à cheval,
Les poulains, les juments et les chevaux
Ainsi que petit à petit les poneys,
Dans un coup de rabot,
Avec deux pieds dans le même sabot
En une vitesse de galop
Qui est le coût de trot,
Pour remettre en selle
Et le pied à l'étrier,
Les rongeurs qui nous rongent les sans
Dans un coup de lapin,
En posant des lapins
Dans un rebond
Sans faire faux-bond ,
Dans le saut
Des sots
En soubresauts,
Qui sourient
Aux rats,
Et aux hamsters
Terres à terre au ras des pâquerettes,
Où l'on aboie en se prenant des gamelles
En disant ta gueule au chien !
Dont son nez est truffé
De mauvaises odeurs,
Comme l'argent n'a pas d'odeurs ,
Mais est rôdeur
Dont son museau
S'amuse au zoo,
Pour voir les félins
Tel des lions dans leur cage,
Qui saccagent
Les tigres qui mettent
La main à la patte
De leurs proies,
Car qui va à la chasse,
Perd sa place !
Dans le surplace
D'une cage de cochons d'Inde
En Inde et Loir,
Pour dormir comme un loir
Pendant l'hiver qui hiberne
Les marmottes,
Et qui carottent
Les lapins et les lièvres,
En prises de becs de lièvre,
Qui rejoignent les émules
D'Anne avec sa tête de mules,
Qui dégriffent emprises
Les griffes des chats à prises,
Dont ils ont rarement des accidents
Domestiques comme ils sont domestiques
Envers les humains,
Qui sont leurs véritables copains !
De même que certains
Ecureuils sauvages à la caisse d'Epargne,
Qui en épargne quelques-uns
De par leur étonnante gentillesse,
Taupes là d'une poignée de main
Dans la tendresse
De mon refrain,
Où je pense aussi au renard affûté
Que je suis dans un corps beau,
Ou pas beau sous le Pont Mirabeau,
Comme la chanson Le Loup, Le Renard et La Belette
Du groupe Manau qui furent et des furets,
Où je termine ces vers de terre,
Dans une campagne d'environnement
De mise aux vers,
Comme un poisson dans l'eau en accord,
Depuis mon bocal, oups dans l'envers du décor.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi suis-je une personne très entière ?
- Parce-que depuis que je suis né, j'ai eu la totale !
Jérôme de Mars
En gains et ben !
Casino, on fait les courses
En jouant au casino of course,
A Enghien-Les-Bains,
En gains et ben !
Si en joue, on joue sans regain et ben,
Avec nos joues, à Dignes-Les-Bains,
Si on prend le bain et la douche
Aux Bains-Douche
Et ben louche,
Si on reste dignes aux bains,
Et qu'on est sans gains,
Si on se fait du sang d'encre consanguin
Et sanguin,
D'où cons sanguins,
On joue cons sans gains
A Enghien-Les-Bains,
En gains et ben !
Sanguins avec gains,
Sans gains et consanguins,
D'où l'on touche
Le jackpot sur la touche,
Sans retouche
A Enghien-Les-Bains,
Avec nos joues, en gains et bien !
Et en joue, en regain et ben !
Les bains !
Si on rejoue cons sanguins
A en gains les bains !
Dont on a cent gains
A Enghien-Les-Bains,
Et puis ben ! c'est bien !
En gains et ben !
Jérôme de Mars
Les Papys Russes
Cœur à l'ouvrage
On ouvre une nouvelle page,
Avec les phares à on
Dont les pharaons
Gâtent en gais-pinsons,
Car pinçons
Aux aguets
Les papys Russes,
Avec du papier papyrus
De l'arène d'Egypte,
Dans l'apocalypse
Des gladiateurs,
Amateurs et à mateurs
D'une course-poursuite
Of course pour suite,
Dès que Les Papys russes
Achètent du papier journal papyrus
En jouant à la roulette Russe,
Dont Les Russes
Terminent leurs douze travaux d'astérisques,
A leurs risques
Et périls puérils
Avec leurs vieux fusils,
Pour être en phase
Dans leurs différentes phrases,
En périphrases
Dans leurs périples phrases
Périphériques sur le périphérique,
Quand le téléphérique
Est tel est féerique,
Car pour enterrer sa vie
De vieux garçon avant l'âge,
Autant cimenter
Le sarcophage
Des maçons,
Pour noyer le poisson
D'avril en donnant une bonne leçon,
Avec l'hameçon
Très à cheval d'arçon,
Dont le garçon
Dans les parages
Dit à l'arène d'Egypte,
Face à ses papys Russes
Jouons à la roulette Russe !
Avec du papier papyrus
D'une ellipse,
Où l'on s'éclipse
Dans la lune
Et dans les dunes,
Face aux pharaons
Des montagnes Russes
Et Russes
Dans les phares à on,
D'où l'on vous dédie
Un grand merci,
Merci à qui ?
Acquis
Avec du papyrus,
Quand les papys rusent.
Jérôme de Mars
Ne t'inquiète pas, demain, il fera beau !
Farandole sur le sol
Des jours de gondole,
Après la pluie,
Viendra le soleil,
Dans une accalmie
En une ribambelle
De merveilles
Dans une olympiade
En une pléiade,
Où pour te rassurer,
On a envie de te parler
Avec des paroles,
Qui te gondolent,
Car ne t'inquiète pas !
Demain, il fera beau !
Sur Le Pont Mirabeau,
Comme sur un tableau,
Où il y a
De l'eau en échos,
Qui crépite épanouie
Dans un paradis
Sur l'eau,
En statut quo
Et ex aequo,
Avec de sublimes éclats
En aquarelles,
Qui chuchotent à quoi
En vers un groupe Danois et Norvégien Aqua,
De celui qui rêve
De ramasser la fève
En faisant une trêve
Et en possédant la sève,
De la panoplie
Des sans-soucis,
Où l'on te dit
Avec le sourire,
A demain avec plaisir
Et dans la joie
Du pont des rires,
Car ne t'inquiète pas !
Demain, il fera beau !
Avec des corps beaux
Dans les ébats
De filles de joie,
Qui te mèneront en bateau
Sur le pack beau
Du Pont Mirabeau,
D'où tu concluras
Au revoir de là-haut !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Quel genre de cabinets pourrait ouvrir la psychologue de L'ESAT de Vitry si elle veut qu'au bout du compte, ça lui rapporte davantage d'argent ?
- Elle devrait ouvrir son propre cabinet toilettes pour vider son sac
2) Pourquoi si la psychologue de L'ESAT de Vitry ouvrait son propre cabinet toilettes, ça marcherait mieux pour elle ?
- Parce-qu'elle, ce serait une fausse sceptique
Jérôme de Mars
Cas de force majeure
Comme il faut se méfier de l'eau qui dort,
Ma vie est un grand torrent d'eau que j'appelle en renfort
Pour contrer et contrecarrer les accidents mineurs,
Dont maintenant je paye le prix fort à l'état majeur
Car quand j'étais mineur,
J'étais comme une mine de charbon mineure
Qui me mina jusqu'à l'âge adulte,
Dont je fus dans le tumulte
D'un cas de force majeure,
Qui s'efforça que ça reste mineurs
Ses problèmes détournés mineurs,
Qui furent contournés à l'état majeur
Revendiqué à 18 ans de ces accidents mineurs
A l'âge majeur,
Comme on connaît la chanson Le lac Majeur,
Comme il faut se méfier de mon eau qui dore,
Presque qu'elle adore le condor
A vol d'oiseau,
Pourvu que je prenne de la hauteur pour qu'on dore
En survol à-vau-l'eau,
Au fond du ruisseau
D'un cas de force majeure
De l'état mineur en les tas majeurs,
Dont il faut bien composer
Avec tout ça, en lambeaux
Et se débrouiller,
Pour y voir plus clair
Dans la lumière,
Où après ces accidents mineurs
A l'état majeur,
On ne peut que me souhaiter de la chaleur
Pour éradiquer la froideur et la tiédeur
Dans le collimateur,
Avec mon œil dans le viseur
De mon doigt majeur,
Qui se doit d'être mineur
Dans les gestes, mais être majeur
Dans les paroles majeures
Pour joindre le geste à la parole,
Comme les rossignols
Dans leur langue d'insigne
A la maladie bénigne,
Dont on veut que ce soit bon signe
Dans le lac majeur
Des signes,
Pour qu'après ces regrets et ces remords
Qui témoignent d'un appel en faisant le mort,
Je renaisse vivant majeur
Après ces problèmes mineurs,
Et ces accidents mineurs
A l'état majeur,
Pour qu'en les tas mineur
Ca reste un cas de force majeure.
Jérôme de Mars
Amère tune
Nuit tombée
Au crépuscule,
Qui bouscule
Ceux qui m'ont en outre laissé tomber
Et qui ont eu des retombées,
Dans le tumulte
De mon amertume,
Hoquet des brumes,
J'ai donc le rhume
A me rappeler
Les souvenirs hantés,
Qui fument
A venir ma mère,
Qui est partie en fumée,
Enfumée dont les os' laids, les osselets,
Je les écoute en replaies
Sur I-Tunes
Dans mon amère tune,
Comme de ma mère,
J'ai plus de tunes,
Dont j'exulte
Avec des ricochets,
Ce qui m'a écorché
Et amoché
O' laid de laie
Au lait,
Si je reste une crème
Olé olé,
Qui parsème
Quelques gentillesses
Dans la liesse
Des caresses
Avec tendresse
De mon amère tune,
Que je réécoute en replaies
Sur I-Tunes,
Comme j'ai plus de tunes
En une,
Quand je suis dans la lune
De mon amertume
Aux agrumes
Acides qui lapident
Aride ma ride,
Qui a des plis
Dans le repli
Sur soi
Sans foi ni loi,
Du fruit de mon travail
Enfoui dans mon émaille,
Où j'ai la dent dure,
Qui endure et carbure
Sur à terre nette,
De mon internet
Qui est toujours un terne net,
Arrivé au bout du compte à terme net
De mon email,
D'où de mon amertume,
Je vous donne rendez-vous
Entre gens un peu fous,
Ok des brumes,
Enfants de la balle
Qui vaillent
Que dalle,
En arrêtant d'écouter
Les replaies
Sur I-Tunes,
Si jamais j'ai des tunes
A la une,
Quand je suis dans la lune
De mon amère tune.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Philippe quand tu es chez toi dans ta salle à manger, mets-tu ton téléphone portable en mode avion ?
- Parce-que Philippe, tu viens du salon du Bourget !
2) Pourquoi as-tu eu des coliques néphrétiques dont on t'a opéré ?
- Parce-que les calculs, tu n'as pas eu le temps de les faire !
Jérôme de Mars
Danger de remords
Taire, attention danger !
Je suis sur Terre,
En danger
De remords,
Où j'en démords
Que je risque d'y laisser
Des plumes,
Qui pèsent sur la balance
Obèse de mon enclume,
Comme de tout, je m'en balance
Et que je m'élance,
Avec redondance
Dans cette routine,
Qui ne me fascine,
Mais me mine
En remontant à la racine,
Prépubère et austère
De mon état crépusculaire,
En l'état anxiogène
De ma pathologie aux gènes
Un dix gènes,
Héréditaires et occasionnées
Par mon enfance
Et mon innocence,
Décompensées et ébranlées
Par mon manque d'affection endurée
De mon affection de longue durée,
Où je suis en danger
De remords,
Comme j'en démords
Parfois que la mort,
D'avances me fait des avances
Dans mes déviances
Et qu'elle me va si bien,
Si je l'attends sanguin, sans gain
Et mâle saint,
Avec le mal de mère
Consanguin au venin mesquin
Et con sans gain
Sur La Terre, taire délétère,
Dans un inventaire lapidaire
De mes antécédents patibulaires,
Où je simule une attitude
De façade
Totalement Azuréen,
Alors que j'escalade
Las les parages de l'enfer
Dans des turpitudes,
A la lassitude
Entière et linéaire
De cette vie qui part en courant d'ère,
Où j'espère
En conclusion salutaire,
Vous dire salut terre !
Je rejoins
Très loin,
Ma mère
Jusqu'aux portes de l'enfer,
Où je ne serai
Plus en danger
De remords,
Comme j'en démords
Que je serai mort.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que demande une femme pâtissière à son mari lors d'un rapport sexuel pour avoir un enfant ?
- Peux-tu me faire un chou à la crème ?
2) Que dit-on d'une femme qui fait mourir son mari à force de lui faire une mauvaise fellation ?
- Elle casse sa pipe !
3) Pourquoi François Mitterrand a-t-il été très sulfureux lorsqu'il était président ?
- Parce-qu'à la fin de sa vie, François Mitterrand a eu une baisse de régime Allo ! De Vichy !
Jérôme de Mars
La scène est un long fleuve tranquille !
Mécènes où je fais mes scènes,
De l'eau a coulé sous les ponts
Dont ont découlé des bénédictions,
Avec des dictons qui m'ont transporté
Si jamais un jour, je fais de la scène
Et qu'on m'assène si je suis obscène,
Alors que je cherche mécène,
En partenaire allié et rallié
A ma cause,
Pour que je cause
Serein avec comme béquille,
Que la scène est un long fleuve tranquille
Hallucinogène dans l'altruisme généreux,
En vers les autres à qui l'on donne de son mieux
Et que j'abreuve pour supporter les épreuves,
Qui émeuvent les veufs
Et les veuves,
Car quoi de neuf ?
Si tu as des nouvelles neuves,
A partager et à fêter
Avec ta communauté de félicité
Dans le lit de tes chimères,
Qui sont la réalité
Et non ton imaginaire,
Comme les écrits fascinent
Ton inspiration qui tambourine
Mon écriture qui sourcille,
D'autant que la scène est un long fleuve tranquille !
Si un jour je fais de la scène et que je vogue
D'un monologue sur une pirogue,
A La Place D'Italie
A Paris,
D'où en épilogue
A la fin de ce monologue,
Je ne taris d'éloges
Sur la fête des loges,
En cherchant une subvention
Pour financer ce seul en scène,
Avec mécènes, mes scènes sur scène
En naviguant sur l'eau,
Au contact de l'eau,
Hello et l'eau ! D'où de par ma fonction
En injonction d'épris de justice,
Suivez-moi sur le sol lisse !
De ma vie soliste,
Où je joue un semblant d'artiste
En me donnant en spectacle
Du tacle au tacle,
Avec le respect qui m'émoustille
En martelant sûr et certain,
A la famille,
Aux amis
Et aux copains,
Que la scène est un long fleuve tranquille.
Jérôme de Mars
Jean-Paul dévoie !
Bouc-émissaire aux retraites !
Il fut commissaire en battant en retraite,
En étant dans les affaires,
Impliquées dans des affaires
Douteuses et crapuleuses
Dans une colère extraordinaire,
Qui renferme toute une haine pernicieuse,
Comme Jean-Paul dévoie
En Jean-Paul Delevoye,
Qui a cherché sa voix
Et l'a trouvé sans voie,
Avec un porte-voix sans issue,
Qui ne sut s'il sue
A la sueur de son front,
Pour donner le chemin à l'affront
Du rassemblement national,
Comme il est l'original
De la réforme des retraites,
Et qu'il part en quête
De rédemption,
Même s'il fut à l'action,
Comme Jean-Paul dévoie
En Jean-Paul Delevoye,
Comme c'est lui qui voit
Dans son chemin de croix,
A chercher la paix intérieure
Et la récolter, dans une voix postérieure
D'un futur antérieur,
Qui aurait pu être rieur,
Si Jean-Paul ne dévoie
En Jean-Paul Delevoye, mais voit
Et entrevoit le bout du tunnel,
De la réforme qui traverse la passerelle
Avec une voix et une issue,
Sans que Jean-Paul ne dévoie
Jean-Paul Delevoye qui trouve là sa voix,
Comme il y voit Jean-Paul qui sue et sut,
Que ce fut lui Jean-Paul, qui dévoie
Jean-Paul Delevoye.
Jérôme de Mars
Impotent ciel !
Par ciel partiel,
De votre grâce,
Qui voyait la Vierge,
Si Marie est vierge
Avec la verge effarouchée
De Dieu,
On note sur un piano
Tout le tempo
Impotent ciel,
Un potentiel
Juste ciel,
Farouche et sensuel
Grâce à ses multiples faces,
Aux facettes
Et aux fossettes
Dédouanées et inhibées,
Qui composent le régime Missel,
Mi-sel de juste par celle qui scelle
Impotent ciel,
Un potentiel,
Au pluriel par ciel partiel,
Où l'on passe la mise en examen
Des par ciel partiels,
Afin de tracer le bon chemin,
Suivi par le guide du chemin aux mains,
Impotent ciel,
Un potentiel,
De la grâce charnelle et pucelle
Aux prunelles,
Qui font dans la dentelle
Exacte main,
Qui commencent leur ardeur
Fertile dans l'ordre de grandeur,
En proclamant Amen,
Amène-
Nous vers le bon chemin,
Dans des câlins
Corporels avec la gestuelle,
Fraternelle dans la passerelle,
Qui mène et emmène
Toute la mène qui promène,
Impotent ciel partiel
En un potentiel par ciel.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi y a-t-il eu un attentat terroriste à Villejuif ?
- Parce-que les gens sont à couteaux tirés !
Jérôme de Mars
Renvoi de censeurs !
Système politique,
Je fais de l'apolitique
En marge du système,
Où l'on est tous schizophrènes !
Dans la voix à trouver
Si on se voit
Ou que l'on dévoie,
Jean-Paul Delevoye
A prouver, à approuver,
A éprouver ou réprouver,
Si on est tous candidats
Au vote nul, blanc,
A s'abstenir semblant
Ou à se positionner à gauche
En prenant le gauche,
Ou à se ranger à droite,
Virage en prenant une droite,
En s'affranchissant des étiquettes
A la quête et à la conquête
Des extrêmes partis d'en rire,
Que sont le rassemblement national
Dans la générale de Gaule,
Qui gaule
Le front républicain,
Qui monte la fièvre affront
Des manichéens,
Qui y vont à fond
Au fond des coupeurs de pont,
Du pont avec Nicolas qui peine
Marine qui Le Pen
Et Jean-Luc Mélenchon
Dans ses opinions,
De jurons les jurons !
En organisant une requête partiale
De Lutte Ouvrière,
Avec la colère du peuple seul tributaire,
Des décisions charnières
D'au peuple, la tribune !
Soyez-en une !
De vos revendications premières !
En passant à l'action
Du scrutin dans l'isoloir,
En urne des journaux sur fond de micros-trottoirs
Du reflet de société sarcastique,
De maladies chroniques psychiques,
D'où je vous en fais un purgatoire
Avec vos bulletins
De butins,
D'escrocs qui sont notoires
De la part
Des candidats électrons libres,
Où je médis les calibres !
Qui vivent et s'enivrent
Avec la froideur du givre,
Qui livre
Ses états d'âme,
En vagues déferlantes infâmes,
D'où je vote nul et blanc
Aux revers blancs sans blanc,
Car en vérité, de toute façon,
Le monde est noir
Avec des discriminations,
A gauche de la droite
Et à la droite de la gauche étroite
Et des extrêmes,
Aux antipodes
Des codes
Du système que je n'aime,
Comme je m'en fous de la politique !
Et que je fais de l'apolitique satirique !
En disant sans renvoi d'ascenseur
Avec des renvois d'et censeurs,
Mes frères et mes sœurs !
Soyez les assez sœurs !
Pour en avoir rien à faire
Des affaires de bonnes mœurs,
Car j'envoie d'assesseurs, à ses sœurs,
Un éternel renvoi d'encenseurs,
Monsieur l'ascenseur !
Sans renvoi d'à sans sœur,
Mais avec maintenant
Et pour tout le temps,
Un renvoi d'à ces sœurs,
Car monsieur, les censeurs !
C'est un renvoi de censeurs !
Jérôme de Mars
Je suis un légume qu'on cassait !
Dans les fées,
En effet,
L'année dernière
En plus de ma colère,
J'étais à l'hosto
Dingue de mes maux
En HP,
Déchiqueté et pas en paix,
Si jamais je prenais du hasch,
Qui gâche
Tout en un fourre-tout
Du tout pour le tout,
Où lorsque j'étais à l'hosto
J'étais en lambeaux,
Car depuis que je suis malade
Et que tout l'immonde me balade,
Je suis un légume qu'on cassait,
Un légume concassé
Dans la brume du ciel
Avec des agrumes dans ma lune de fiel,
Où naguère, je ne suis guère en tant de paix,
Mais dans le toupet guère de respect,
Où lorsque j'étais en morceaux dans le chaos
J'étais à l'hosto,
Comme je subis les conséquences
De flashbacks en séquences
A la fréquence
De ces cons séquences,
Qui sont l'essence
De mon indécence,
Dont la semence
Alimente la mère à boire
Et à manger dans les déboires,
Lorsque je suis un légume concassé,
Un légume qu'on cassait,
A l'hosto dans mes maux,
Puisque donc, je suis un légume qu'on cassait,
Un légume concassé,
Et tracassait en faisant le cinéma
D'art et d'essai,
Comme dans ma tare, j'en ai assez
Du désarroi,
Et que j'attends le come-back
Sans play-back,
Dans les bacs
Sans sel sur les plaies,
D'où je vous dis avec sincérité,
Œuvrons pour les désœuvrés !
Et les paumés dans la paix,
Embaumée dans le respect
Et sans toupet,
D'où après l'hosto
Avec mes maux,
J'en ferai des jolis mots
Que j'espère dans le brio,
D'où je ne serai plus un légume qu'on cassait,
Mets désormais un légume concassé.
Jérôme de Mars
S'il pleut, on va pas dire qu'il fait beau !
Positif, négatif,
Pour être positif
On est obligés
De se doper
Au négatif,
Au négatif
Des photos
Y a pas photo !
Négatif,
Comme en impératif,
Le présent simple
Est simple
D'esprit,
Dans la répartie
D'un passé décomposé,
Pas simple
Mais plus parfait
Alors que s'il pleut,
On va pas dire qu'il fait beau !
D'au temps que d'ici peu !
Le temps est un corps beau !
A vol d'oiseau
A hauteur de l'eldorado,
Pourvu que de là-haut
Le temps ne tombe à l'eau,
Si jamais, il pleut,
Et qu'on ne dit pas,
Qu'il fait beau
En éclatant
En sanglots rétros,
Qui pleurent
Une toile fleur
Bleue, aux bleus
Des caprices des dieux,
D'autant que le temps détend
Les esprits récalcitrants
Nonobstant et à temps,
Qui attend
D'ici là,
Si le temps
Sous peu
Il pleut !
Comme on va pas dire
Qu'il fait beau,
Pied beau près de l'escabeau
Des corps beaux,
Qui volent en drôles d'oiseaux
Le ciel funambule,
Qui déambule
Dans le déséquilibre,
Qui vibre le cas libre
En somnolant
Dans son pieu,
Ici sous peu
Comme il peut !
S'assouplir
Sous les soupirs,
Si le temps respire
Les bleus d'éclats,
Avec pour conclure le tempo
Des ébats
D'un boléro,
S'il pleut !
Un soleil
Dans le ciel,
Comme on va pas dire
Qu'il fait pied bot,
Sous les soupirs
Pour s'assoupir,
Car maintenant
En crescendo,
Il fera toujours chaud !
Comme on va désormais
Dire qu'il fera beau.
Jérôme de Mars
Bonne année 2020 !
Quoi de neuf
Après 2019 ?
Où je vous annonce devin
Et en vingt
Que l'on passe au chiffre vingt
Dans le beau vin
En franchissant l'année 2020,
Où d'office,
Je vous souhaite avec délice,
Une bonne année 2020
Après tous ces ans dix vins
Dans les beaux vins,
Qui nous ont soûlé divins
Dans ces années dans le ravin,
Où la bande d'amis
Fut fracassée
Dans l'adversité,
Et les rivalités
D'inutiles ennemis,
Alors qu'il faut une fratrie
D'amis dans la confrérie réunie
Et unie,
Pour passer une bonne d'année 2020
Enclins en un clin
D’œil bon pied bon œil !
En prenant un bon ver
Dans la gaieté interstellaire
D'une tasse de tilleul,
Qui est notre tasse de thé
Rotée, car au thé carottée
Qu'on veut digérer
En paix,
Où il ne faut plus se faire carotter
Dans la marotte pour passer en vingt,
Une bonne année 2020
Dans l'amitié
Et l'humilité de la vérité,
Où après tous ces temps rudes
Dans les tempêtes prudes,
On a besoin de tranquillité
Et de sérénité,
Dans l'innocence
Et l'insouciance,
Où après les débuts damnées
Et les fin damnées,
On veut des bons débuts d'année
Et de bonnes fins d'année
Dans la fraternité,
Qu'on aspire en vœux
De nouvelle année,
Où pour terminer en vingt
Je vous souhaite une bonne année 2020.
Jérôme de Mars
Rendez-vous dans un meilleur monde !
En prenant un ver de contact
Avec toi, mon cher Serge,
Moi, qui rampe comme un asticot
Dans ma tête de bourricot,
Je dois avec mon doigté
Avoir du tact,
Où je te donne à toi
Ainsi qu'aux amis avec leur foi,
Rendez-vous dans un meilleur monde
Meilleur avec ferveur,
Qui inonde
De fraîcheur,
Qu'on sonde pour qu'on fonde
Dans la fronde,
Un meilleur monde qui féconde
Davantage d'amour et d'amitié,
Avec d'avantages de volupté
Pour siroter la vie dans un grand air
En déroulant des R',
Connus et reconnus
Dans la cohue,
Où je te sonde
Serge, dans quel autre monde
Pourrions-nous nous donner rendez-vous ?
Sans garde-fous mais en faisant les fous
Dans le redoux et en faisant le bien,
En sachant combien
Il est important de privilégier
Et de préserver
Le lien,
Dans le regain
D'avoir plaisir à voir
Sa famille
Et ses amis,
Pour raconter de belles histoires
Autour de vers de poèmes de contact
Avec une entracte,
Pour souffler de ce monde
Essoufflé qui abonde
De cruautés
Et de méchancetés,
Où s'évanouit le respect
Et s'étendent les rivalités,
Où je t'en supplie
Serge, dans quel monde meilleur
Pourrions-nous nous donner rendez-vous ?
Avec plus de bonheur
A partager dans la loyauté,
Et plus d'idéaux
Sans prises de bec avec des gros mots,
Où on sera tous pour un
Et un pour tous dans de l'entrain,
Où il faut qu'on soit des manitous
De la joie
Loin du désarroi,
Comme maintenant l'argent est roi
Dans ce monde de vautours,
Où l'on a vite fait le tour
Des contours des pas rois,
Où il nous faut des parois
Pour te donner rendez-vous,
Mon cher Serge dans un meilleur monde
Aux quais qui bondent,
De bons sentiments
En s'embrassant sur la joue,
Pour que l'on joue
Innocents et insouciants
A bon escient,
Où je t'en conjure
Mon cher Serge pour ne pas
Qu'on aille tous droit dans le mur,
Pourvu qu'on soit
Mûrs avec le fruit des mûres
Dans notre coin
Tranquille loin des méchants,
Dans un endroit plaisant et charmant
Avec des gens bienveillants
Et vaillants,
Où le jour Serge, que toi,
Moi et les amis,
On se donnera
Rendez-vous dans un monde meilleur,
Le soleil sourira, rira et s'ouvrira
Dans de riches saveurs,
En sirotant une bière
Eté comme hiver,
Au rendez-vous de l'eldorado
Des villageois,
Et des Liégeois bourgeois
Au chocolat,
En chocolat de fêtes de fin d'année,
Où l'on se dira
Avec joie et paix,
Dans la fraternité
D'un monde enjoliveur,
Rendez-vous dans un monde meilleur !
Jérôme de Mars
Blague :
Que fait un asticot pour se lier avec de nouveaux amis ?
- Il met des vers de contact
Jérôme de Mars
Et dis tôt !
Bonjour chers Français par Les Français, voici cet et dis tôt ! car La France appartient à ceux qui se lèvent tôt ! Où en infos, je bois un pot avec vous, en vous prélevant à la source, comme les problèmes prennent leur source et remontent à la source, Allo ! comme tout tombe à l'eau, car ça coule de source ! et qu'on est tous dans le même bateau, qui coule quand les oiseaux de mauvais augure roucoulent et qu'ils volent les corps beaux en fin damnée, où l'on a les boules maboules, qui déboulent au pied du sapin, comme cette fin damnée sent le sapin, et que tout le monde s'enguirlande avec des ans bûches, qui provoquent des embûches, sur le bûcher des vénalités, où je vous offre un pot revenu, en cette fin damnée pour un début damné, dans la galette désarroi en tirant l'arène, et en tenant les rênes de la bourse, pour vider ses bourses du CAC 40, qui ne nous épargnent guère, comme en France l'argent est roi, en nous tirant les poches du bas de laine, délivré à la baisse du budget des Français, logés à la même enseigne, d'où on nous calculera en temps réel les APL dans un poison d'avril, pour un énième report aux frais de report en ce début damné, où il faudrait chercher à la source la bonne info, puisque avec toutes ces contradictions et ces paradoxes, on ne sait où se loger à la même enseigne, car de toute façon on est des enfants de la balle logée à la même en saigne, d'autant qu'on nous saigne de toutes nos tripes, en jolis coups de pousse, mais sans le moindre coup de pouce, où on a un gouvernement de bras cassés, qui bat en retraite depuis qu'Edouard Philippe a perdu son bras droit, le bouc-émissaire aux retraites Jean-Paul Delevoye, comme en France, on a toujours un métro de retard au train, où vont les choses, déjà que ce qui se trame, ça rame et ça ne circule pas sur de bons rails ! comme Macron a fait les poches des handicapés en station debout, et qui sont au bout du rouleau compresseur de ce gouvernement capitaliste, où Macron vide ses bourses d'ancien banquier, avec sa femme mère Brigitte Macron, la vieille peau de vache olé ! comme leur sécurité est asociale, et notre sécurité sociale est en arrêt-maladie, d'où je vous dis en langue de mauvais signes, signes que les temps sont durs, et que l'on va tous droit dans le mur extrême de Marine Le Pen, du mal de mère qui le peine le far Breton pour 2022 ! Electrons présidentielles à en péter un fusible, de quoi perdre le fil à s'en couper le leurre ! car notre bon leurre est arrivé ! Aux urnes citoyens ! Brûlez vifs ! car piqués au vif de l'apolitique, de cet et dis tôt ! Comme il n'est jamais trop tôt de faire un édito par les temps qui courent, à force de faire le con court d'enrichir le SDF : Le Stade De France, alors qu'il y a de plus en plus de SDF, qui meurent dehors dans l'indifférence générale, car tout le monde n'en a rien à foot, mais pas du foot : avec toutes ces affaires, parce-que tout le monde n'en a rien à faire, signes astrologiques que c'est chacun pour soi et Dieu qui tousse ! Alors retroussons nos manches, et voyons le bout du tunnel de nos manches retroussées, car c'est bientôt leurre de vous délaisser en cette fin damnée, et en conclusion, en fait bon début damné à tous !
Jérôme de Mars
Sur années
Dans un huit fini
Je suis né en 1978 hein fini !
En années sur années,
Où en début d'année,
Je ne savais
Ce que me réserverait,
Les autres sûre années,
Surannées, sur années
Avant l'épopée de dures années,
Qui sonnaient comme un début
Et un rebut
De fin damnée,
Certains 31 décembre,
Comme le 31 décembre 1991
Dans un onze
Féodal, où je perdis
Ma grand-mère,
Le même mois incendiaire
Dans un huit infini
A la mère de mon impair,
Comme ma mère le 21 septembre 1998 à fini
En bouc-émissaire
L'aven-veille de son anniversaire
Avec un huit dès fini,
Où le 31 décembre 1998
Ma sœur me renia dans un huit,
Hein fini,
D'où je ne suis pas fini et n'ai pas fini
D'en découdre dans la rancœur,
De la liqueur
De fin d'année,
En fin damnée
Sur années surannées,
A pécher du fruit défendu
De ma mère fendue,
Dans sa sale gueule
De mon côté casse-gueule bégueule,
Et elle belle gueule
Acidulée douce amère,
Dans la mère
De tous les vices,
Qui sévissent
Sans serrer le vice
Vice
Et versa,
Déversa
Sur année
1994,
Dépliée en quatre
Au repli,
Qui prend le pli
Replié en quatre,
Quatre à la suite
Dans une fuite
En Aven,
Que mon mal de mère
Dans le couvent
De ma mère,
Couvant
La recette du pendu
Aux facettes suspendues,
Répandues dans la honte
Et la fronde,
De l'amère sur années
Sûre année, surannée,
D'une fin d'année
En chaque fin damnée,
Comme après le 31 décembre 2010
Dans un dix
De rechute étiré,
A couteaux tirés
En sortant un couteau retiré,
Sur année, sûre année,
Surannée
De l'année 1995,
Où cinq sur cinq,
Je perdis mon grand-père
Le jour de La Saint-Valentin,
Dans son suicide antichrétien
Et anti-sacristain,
Au teint hautain,
Rouge
De sa robe de chambre qui vit rouge
Dans le sang,
A se ronger les sans,
Aven les mille et décent
De l'an deux mille,
En plein dans le mille qui fourmille
De sang à contre sans,
Et de 1991,
Année sur année,
Du cancer de louanges
De ma mère dans sa vie d'ange,
Mésanges d'aventures, aven de se mettre sur son 31
Décembre 1997,
Au jeu de cette
Famille en camps divisés,
Qui fout le décan de concentration
En camps retranchés,
Dans la soustraction
De ses sûre années, surannées,
Sur années retirées,
De sa courte vie,
Qui dévie
Du droit chemin
En me donnant sa main,
Pour épouser ses gênes homogènes
Cents gènes anxiogènes, hétérogènes
Indigènes hein dix gènes,
Aborigènes sans gênes,
Comme l'année 1999
Quoi de neuf ?
Docteur,
Où j'ai perdu ma sœur
Dans la rancœur,
En prière
De ma colère,
Des bonnes sœurs
En à dieux,
Insidieux sans le teint radieux,
Car odieux avec les hauts dieux,
A force d'accumuler
Et d'acculer
Les tentatives de suicides,
Dans l'acide
Du complexe de type,
Très complexe D'oedipe,
De ma mère parfait archétype
Du prototype,
Qui pique épique
Et pique,
De ces années impaires
Du plaint,
En trop plaint
De super sans repères,
En pair d'impair d'un père
Du mal de mère,
Où sur années, surannées,
J'ai perdu et perdu, éperdu
Des années sûre années,
Comme cette fin damnée
Dernière en hein père,
Où je fus hospitalisé d'auspices
Et d'office
A ma demande,
Que je quémande de mon offrande
En début damné impair,
Dans l'un père
De mon mal de mère amère,
Car depuis l'an deux mille
Je suis en plaint
Dans le mille,
Qui fourmille
De papiers peints dépeints
En parpaings,
Sur années, surannés, sûr année,
D'où je dédie ce prochain
14 février 2020,
Que ça fera vingt cinq
Ans cinq sur cinq
Qu'en vain,
Mon grand-père s'est suicidé
Le jour de la Sain Valentin,
Moi dans le pétrin,
De l'amère
De ma mère,
Qui a besoin
De son hein père
En impair,
De mon grand père,
En imper
De mon grand-père,
Où aven
De terminer cet aven terre,
Je prends les devants
En me mettant en aven,
Et en me mettant
Sur mon 31,
Ce 31
Décembre,
Pour passer en aven terre,
D'une bonne fin damnée surannée,
A un bon début d'année,
Sur année, sûre années,
Le 1er janvier prochain
Et loin le 31
Décembre de la fin damnée,
Pour un bon début d'année
Dans le calendrier sur année,
Bonne faim d'année !
A tous !
Avec ce joli coup de pouce,
Où je mets mon pouce
Vers en vers,
De cet avant terre
En inventaire,
Car maintenant suranné,
C'est L'Aven Terre sur année.
Jérôme de Mars
Hippie hippie hourra !
Religion de la paix !
Dont on a besoin
En légion de respect !
De toutes les communautés
Dans le béguin !
D'un océan de tendresse pacifique
Enfumée par le calumet
De la paix esthétique !
En toute joie, aléas ! khouya inchallah !
D'un hippie hippie hourra !
Allez ah ! dans la joie universelle
D'un monde pacifique, fraternel et charnel,
Où tout le monde posera les armes
Et versera une larme ah ! larme !
D'une époque plus belle
Aux accents fidèles,
Paix et amour envers son prochain !
En se donnant la main
Dans la paix, la bonne humeur,
Le bonheur
Et la joie,
Hippie hippie hourra !
Car venez dans la communauté
De l'authenticité et de la vérité !
Des baba cool religion d'un Havre de paix
Avec que du respect, de la fraternité,
De la solidarité et de l'amitié
Dans des débats qui ouvrent le cœur,
Des romantiques aux chou fleurs,
Qui envoient des fleurs
A leur petit bout de chou ravi par la ferveur !
D'une ola oh ! là ! haut ! la joie !
Hippie hippie hourra !
En donnant avec émois,
Une ribambelle d'amour khouya inchallah !
Alléluia ! dans la pure joie et aux éclats
De la lumière !
Depuis votre chaumière,
Dans la paix
Et le respect,
A l'unisson
De l'amour en contagion
Et avec joie,
Hippie hippie hourra !
Jérôme de Mars
Sur le fil du rasoir !
Pré-histoire
Du comble de mon histoire,
Je vois tout en noir
Et je broie du noir,
Comme toute mon histoire
Sent la préhistoire,
Et qu'elle ne tient
Qu'à un fil
Sur le fil du rasoir,
Où je vis au jour le jour
Et médis ma vie en séjour,
Où j'a vite fait le tour
Et je crains
Qu'un jour tout s'écroule,
Et se déroule
Dans le détour
En sortie de route,
Comme il y a un risque de banqueroute
Dans ma vie out,
Qui est dans la geôle
De mon burn out
Qui m'enrôle,
Où je joue une imposture
Et un rôle
Devant quiconque,
Comme mes problèmes quelconques
Font que je ne peux pas montrer
Et démontrer
Ma véritable nature,
Qui sent le purgatoire
Comble de mon histoire,
Où je n'ai que des histoires
Car tôt ou tard,
J'ai peur qu'avec ma tare
Je sois sur le fil du rasoir
Et que tout défile rasoir,
Car actuellement tout m'est pénible
Serge, comme je pète les fusibles
Depuis mon histoire,
Qui est noire de ma préhistoire,
D'autant que je me sens en sursis
D'Otan que j'en ai pris du dépit,
Où je souffre
A mettre de l'huile sur le feu du souffre
En souffre-douleur,
Comme je souffre de douleur
Et que je boursoufle des horreurs
De mes erreurs,
Où moi, la bombe à retardement,
J'ai peur qu'inexorablement,
Elle explose forcément avec mes tourments
De tout ce boucan,
Et que tombe le masque
Aux ecchymoses de mes frasques,
Où je suis sur le fil du rasoir,
Comme je défile rasoir
De ma vie rasoir,
Pile-poil de mon rasoir,
Qui est rasoir
A force d'en faire toute une histoire,
Qui fait ma propre histoire,
Où ça ne tient qu'à un fil,
Comme je suis sur le fil
Du rasoir,
Et que je vis en perdant le fil
Rasoir du rasoir,
A en avoir peur d'être un abreuvoir
De mon réservoir d'histoires
A mon répertoire,
Dont je lance un appel à l'aide
Dans mon répertoire
Pour trouver des remèdes,
A mon histoire
Sur le fil du rasoir,
Où tôt ou tard
j'ai peur de perdre le fil rasoir
Sur le fil du rasoir,
Car j'ai peur de passer à l'acte
Si jamais je n'ai pas d'entracte
A mon histoire,
Qui sent le crématoire notoire
Sur le boulevard des hasards,
Aux faux rencards
Fin mot de l'histoire,
Qui perd le fil rasoir
Sur le fil du rasoir.
Jérôme de Mars
De l'amour net dans ce monde de brutes
A la nouvelle année qui se profile,
On espère le profil tranquille
D'une année propice
Dans le délice des lisses lisse,
Avec de l'amour net dans ce monde de brutes
En saynètes d'un gramme d'adore à tous azimuts,
Avec de la bienveillance à revendre
Et de la clémence pour prendre
Au ciel de la grâce,
Et la distribuer pléthore, sur Terre par petits sas
De décompression, dans une inflexion,
Pour donner une formidable impulsion
De bonnes actions,
Car la vie c'est aussi, de propager une contagion
D'amour dans l'enseigne
De la résurrection,
Qui imprègne le règne,
De l'amour net dans ce monde de brutes,
En buvant un pot très net, et en souhaitant dans des vers à flûte,
Une meilleure année sur Terre plus fraternelle,
A la santé saine et spirituelle,
Pour loger à l'autel
De l'auberge Espagnole,
Et réciter des belles paroles
Dans la bonté et la solidarité,
Pour aimer son prochain avec charité
Dans la foi Chrétienne
A la sensibilité humaine,
Pour rendre des services utiles
En votre honneur Sacristain,
De votre générosité volubile,
D'on l'on dit en votre honneur !
Aimez le Seigneur !
Et votre prochain !
Avec grandeur,
Pour laisser en testament
Un amour tout-puissant,
Qui mute avec lutte
Dans de l'amour net dans ce monde de brutes.
Jérôme de Mars
Pourvu qu'on croit encore au Père Noël !
Noël ensemble, rassemble !
Dans l'ensemble qui semble
Le seul moment de l'année,
Où l'on se voit toutefois
Et quelquefois,
Pour partager
Un moment en instantané
Et dans la simplicité,
Alors que le reste du temps
Chacun a sa vie et ses problèmes,
Alors qu'il faut dire le mot je t'aime
Tant que les gens sont vivants,
Où je pose en affirmation,
Pourvu qu'on croit encore au Père Noël
Dans l'érudition de notre imagination
D'un monde plus beau et moins givré,
Même si en cette période, il fait froid
Dans la givre des mois,
Alors qu'on a besoin de retrouver la foi
Dans ce monde divisé et fracturé
Du chacun pour soi,
Alors que si on convie tout un chacun
En son toit,
Pour partager un festin
Le soir de Noël,
Alors de nouveau, on y croira
A avoir de la fiesta
Et à interpréter
Les chants de Noël,
En allant à l'essentiel
De la légèreté et de la vérité
Avec réciprocité
A notre escarcelle,
Qui scelle
Dans la dentelle
Pour un soir
Et en fanfare,
Et plus si affinités !
La réconciliation
L'union et la communion
Autour de les tables de Dieu
Et de Jésus,
Qui sut
Qu'il faut changer le monde
Dans une affection de longue durée,
Qui féconde
Le reste de la nation
Dans le lien amical
Et la sécurité sociale,
A partager dans une réunion
En amoureux
De jeux de mots savoureux
Et en épicuriens,
Dans un délicieux
Buffet aux grands plaisirs,
Avec du vin,
De la bûche, du foi gras
Et du saumon fumé,
Enfumé avec dextérité,
Pour dire qu'il ne faut dire
Qu'il n'y a plus rien,
Mais encore des gens manichéens
Pourvu qu'on croit encore au Père Noël !
Même si ça fait longtemps que le Père Noël,
On n'y croit plus comme tout va
Et tout s'en va !
Au ciel de nos prunelles,
Mais dont j'aimerai en ce soir une foi
Par an, supplier les gens
D'oublier leurs tourments et leurs égarements,
Entre habitants d'un même pays, l'humanité
Et la fraternité,
Dont la poste fera foi
Ce soir en famille, entre amis
Et entre copains,
Pourvu qu'on croit encore au Père Noël !
L'espace d'une soirée
Dans la familiarité, l'amitié
La jovialité, la loyauté et l'unité,
Et pourvu qu'on le prolonge après au pluriel !
Sans baisse de régime Missel,
Durant toute l'année dans un élan
En franchissant des grands pas,
Car faites crescendo !
De La France, un eldorado
Avec une passerelle,
Entre toutes les générations
D'un pour tous !
Et tous pour un !
Avec des coups de pouce,
Car pourvu
Qu'on y croit toujours au Père Noël !
De notre point de salut.
Jérôme de Mars
Citation :
" Avant un enterrement, une mise en bière, ça doit faire une drôle d'hein pression ! "
Jérôme de Mars
Vive le vent des vers !
Veille de journée de Noël,
Même si je ne crois plus
Au Père Noël,
Je hurle hurluberlu
De ma voix de crécelle
En ouvrant la passerelle,
Qui déchante chanterelle
La vie en ritournelles,
Où en pré-vers
Renfermé dans ma coquille
De Saint-Jacques Prévert
De Compostelle
Je fredonne avec ma béquille
Psychique et symptomatique
De mes rituelles rhétoriques,
Vive le vent des vers !
En dix vers
Et variés,
Qui sentent le sapin dix vers,
Avarié et pour de vrai
En un conifère,
D'où de ma pique d'abeille
Je bourdonne avec leurs ailes
Douces-amères,
En réenchantant en clair,
Vive le vent des vers !
En dix vers
Avariés,
Dont le sapin dix vers
A varié
Dans une grande longévité,
Qui prend de court,
L'humanité dans une courte durée
Le jour de Noël,
Comme je ne crois plus
Au Père Noël,
Moi, le malotrus,
Qui est sûrement l'intrus
Dans ce je de rebut,
Où je fais le con court
De celui qui est toujours
Dans la lune de fiel,
Où j'espère faire de ma colère
Quelque chose de débonnaire,
En prenant dès bon air
En pré-vers
De Jacques Prévert,
Tel un poète complètement barré
De ver avarié,
Qui a varié
En dix vers
Et variés,
Car sur le qui-vive, vive l'évent dix vers
Dans un instantané
De vive le vent des vers !
Jérôme de Mars
En terrain connu
Voyage dans l'inconnue,
Il y a une équation
A surmonter,
Pour être en adéquation
D'un retour aux sources,
Calculé et décrypté
Avec les ressources,
De la planète Terre
Dans cet inventaire,
En terrain connu
De notre terre inconnue,
En pleine déroute
Vers l'absolu,
Autant de l'univers
Qu'auparavant en un annuaire,
Qui récite austère
Tout le formulaire
De cet inventaire,
En terre inconnue
De notre terrain connu,
Méconnu et reconnu
De cette énigme biscornue,
Qui réclame l'abécédaire
Dans un désordre élémentaire,
A l'envers
De ces hauts vers
De Noël ma mère,
Question primaire
Dans un rôle secondaire
Du secteur tertiaire,
Comme on passe de l'éphémère
A l'effet mère,
En route
Vers la fin de cet inventaire,
Sur La terre subsidiaire
A l'éther délétère,
Dans une banque route
Salutaire qui est une lumière,
En terrain connu
De notre terre inconnue.
Jérôme de Mars
Le soleil va briller dans le monde
Quai des rhumes,
Bientôt les fêtes !
Dans le bitume
En fait avec du net,
Pour boire un pot
Dans ce monde de brutes,
Avec de l'amour à revendre
Pour répandre
L'eldorado du boléro,
Qui danse en vers de flûte
Durant les fêtes à valdinguer
Et à transvaser
Les comètes,
La tête dans les étoiles
A croire pile-poil,
Dont c'est l'heure
Au petit bonheur,
Comme le soleil
Va briller dans le monde
Et scintiller dans une ronde,
Aux étincelles qui ruissellent
Dans un tonnerre d'amour
A y étendre des bonjours,
Qui stimulent la création
Pure avec le soleil en inclinaison
Dans une inflexion
De joyeux trublions,
Comme le soleil va briller
Dans le monde
Et luire
De durs à cuir
Dans un océan de tendresse,
Qui féconde
Les prouesses
De sa Principauté,
Au soleil du Carrousel
Qui l'ouvre de son Cadet Rousselle,
Dont c'est le cadet
De ses soucis d'être laid né,
Né au soir de Noël
Avec la bonne action
Du Bon Dieu,
De s'endormir sur ses lauriers
Depuis son pieux,
A soutenir un formidable
Meilleur monde,
A la ronde
Et à la table
De Jésus,
Pour réciter Notre-Père qui sut
Dans le Laïque
Et sa mosaïque archaïque,
A porter l'espoir
D'un monde meilleur,
Fait à base de chaleur
Humaine dans un exutoire,
Resplendi par la fraternité
Et le respect,
Où tout le monde sue
Et y trouvera
La paix et la joie dans la foi,
Où maigrira la haine
Et grossira l'amour et sa bedaine,
Pour plus de prospérité
Et de simplicité,
Cordiales et amicales
Dans l'affable,
Loyale et égale
D'une fontaine,
Qui jaillit avec la peine
Des âmes,
Qui ont vendu leur vague à l'âme
Au diable infâme,
Qu'on blâme
D'un soleil d'hiver monocorde,
Auquel on accorde
Le grand pardon
En riches effusions,
Dans l'admirable
En espérant,
Avant le printemps
Que le soleil va briller
Dans le monde,
Pendant les fêtes
Et au-delà
Les fêtes
Rubicondes mais dans une ronde,
Car en fait,
Le soleil va briller
De toute sa lueur
Et de son humilité,
Dans l'immensité
La densité et l'intensité,
De la réconciliation
Et de l'union
De l'ancien et du nouveau monde,
Qui abondent
En des résolutions
Surannées et illuminées
Dans la communion,
Comme à tout jamais !
Et pour l'éternité !
Le soleil va briller
Dans le monde.
Jérôme de Mars
Que se serait-il passé si Georges Brassens s'était marié ?
Si Georges Brassens s'était marié à Sète occasion,
Il aurait publié des bancs publics
En invitant tout le monde à s'unir pour le meilleur et pour le pire,
Dans des noces, où il aurait parlé d'argent en or qui dort
Dans les paradis fiscaux et tropicaux, en tant qu'artiste anarchiste,
Où il aurait tenu parole dans ses droits d'auteur, comme on connaît la chanson
Fleuve sur La Seine, où il aurait pétillé avec la foule, qui déambule
En poète médit, qui déclame à quoi ça rime ? s'il chante des vers à flûte,
Renfermés dans leur bulle de champagne, qui stagne en prenant
De la bouteille, avec ses amis acolytes anonymes, assis sur leurs positions
Et campant sur leur pôle position, des copains d'abord aux abords
Du rebord, entre l'euphorie et la mélancolie, qui singent le gorille gare
A la cérémonie, qui marie les femmes et les hommes infâmes,
A la religion d'état, qu'est l'hérésie si Georges Brassens y croit athée,
En portant sa lourde croix à Lourdes, comme si c'était sa tasse de thé !
Qui boit la tasse ôtée, fiancée avec le célibat qu'au Cubain,
Avec le cul bas en des scènes, qui déménagent en supplique,
Pour enterrer sa vie de vieux garçon à Sète occasion,
Si jamais on s'était demandé, ce qui se serait passé si
Georges Brassens s'était marié d'occasion en Sète occasion,
Au rendez-vous du divorce de la vie ! qui épouse la mort dans un paradis
D'enfer ! Au diable les convenances ! avec l'avocat qui se fait la décence !
A la défense de Georges Brassens ! qui mange des avocats, sans défense !
En Sète occasion, si jamais Georges Brassens s'était marié au Parvis
De la défense, en se faisant l'avocat du diable, au diable le paradis d'enfer !
Témoin de la nuit des noces funèbres, où tombe le rideau final avec sa bande,
Dont Fernande en contrebande, d'où l'on trépasse la même bande !
Défunt de bande !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi dans la vieille époque si Marine Le Pen n'avait pas dit de quel parti elle était, n'aurait-on pas pu le deviner ?
- Parce-que ça n'aurait pas été marqué sur son Front !
Jérôme de Mars
Je ne pleus plu !
Gouttes de pluie,
Comme tout tombe à l'eau !
A force de sanglots dans le rétro
Et d'inepties,
Qui me contaminent en allergies
Je ne pleus plu !
Comme je n'en peux plus !
De pleurer de mes trémolos
Tout ce qui me déchire le cœur,
A contrario et crescendo
De ce qui me contrarie,
Dans mon âme maudite
Dans sa noirceur
Face en surface d'eau bénite,
Comme je ne pleus plus !
Et que je n'en peux plus !
De ces gouttes de pluie diluviennes,
Qui tombent quoiqu'il advienne !
Pourvu qu'on me comprenne !
Même si c'est croire au Père Noël
Avec ses étrennes,
Chaque année dans les nouvelles
De quand c'est la goutte de trop,
Qui fait déborder le vase
Qui dévase dans la vase,
Vase éclos !
A plu !
Si ça a plu !
Pour de bon
Dépité au Palais Bourbon,
Comme je n'en peux plus !
Et que je ne pleus plu !
Jérôme de Mars
Des abusés désabusés
Imbu de sa personne,
On a hein bu comme père sonne
Résonne à la consonne
Qu'on sonne
En prenant à la lettre,
Qu'on jette l'argent par les fenêtres
Des abusés désabusés
Par les excès
De nos côtés entiers,
Soit tout ou rien
En être rentier
Ou hêtre entier,
Planté là comme un arbre déraciné
En cherchant à la racine
De pourquoi on s'incline,
Où l'on courbe l'échine
Quand on décline,
Comme des machines
A l'usure
Et courbatures
Tous consumés,
En êtres déchirés
Des abusés désabusés,
Quand on ne croit plus en l'humain
Et en rien même face à son destin,
Dont on se fout avec dédain
Carbonisés et brûlés
Vifs sur le qui vive,
Qu'on meurt ou qu'on survive,
A vive allure
Ou à revivre une vie de sinécure
Nouvelle qu'on n'a jamais eu,
Quand on croyait posséder
Une parure
De dur
A encaisser sans cesse les mésaventures,
Quand la vie nous a bien eus et nous hue
Dans la cohue
D'une société qui ne tourne plus rond,
Mais ristourne dans une soupe aux potirons
Des désabusés désabusés,
A garder et à sauvegarder la paix
Pour préserver encore un tantinet,
Sous peu ou d'ici là
On se demandera
A quoi bon
Se remettre en questions,
Si on n'allume plus le calumet de la paix
Pour enfumer avec toupet,
Une société radicalisée
Des abusés désabusés.
Jérôme de Mars
Trop de colère et de haine !
Décolle l'ère
Avec l'haleine,
J'ai trop de colère
Et de haine,
Avec des abats de laine,
Comme j'ai de la peine
Et que je peine
A effacer ma vieille rengaine,
Qui fout en l'aire
Ma vie de vieux grand-père,
Avant l'âge impair
En nage sans repaires
Et en âge cent repères,
Comme souvent, on me fait
Des remarques déplacées,
Lorsque à cause des grèves,
Je ne peux me déplacer
Remarque !
Car ça me dégrève
Dans mes remarques
Qui me luxent l'épaule,
Comme je n'ai pas les épaules
Larges si je prends le large
Dans le velux en marge
Du système,
Où personne ne m'aime
A cause de mes problèmes,
Où je ne cause que des problèmes
Et ne cause que de problèmes,
A s'en foutre de ma vie que je fous en l'air !
Si un jour à contre-jour, je me fous en l'air !
Pour décoller des étoiles
A Paris en surplace de l'étoile,
Du tréfonds de ma toile inachevée
Avec mon livre par achevé,
Où j'ai trop de colère
Qui accolent l'ère,
Qui racolent LR
Et qui caracolent et l'air,
En tête de l'apolitique
Que je nique satanique,
Où j'ai trop de colère,
Qui décolle l'aire,
Lorsque j'ai trop de haine
Avec du débat de laine
A plat de couture de l'haleine,
Où je m'en fous des courants d'air,
Lorsque je pars en accourant R'
Et que je me remets à être calme
En mettant mon téléphone portable,
Ex portable et un portable
En mode avion
Qui me palme
Quand je décolle l'air
Depuis mon avion,
En m'envoyant en l'air
Avec des ébats de laine
Et plus de haine,
Mais avec l'haleine
De ma colère,
Qui vole en haut des bas de laine
Tout doux,
Dans le redoux
Décolle l'ère,
Avec la laine
En bas de la haine,
Car oh ! beau bah de laine !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi le gouvernement d'Edouard Philippe a perdu son bras-droit aux retraites, Jean-Paul Delevoye ?
- Parce-que c'est un gouvernement de bras cassés !
2) Pourquoi Philippe, fais-tu parfois des remarques déplacées ?
- Parce-que parfois à cause des grèves, tu ne peux pas te déplacer, remarque !
3) Pourquoi Philippe, mets-tu parfois ton téléphone portable en mode avion ?
- Parce-que tu viens du Bourget !
Jérôme de Mars
Attire l'argot !
Dans ma Renault
Et comme Renaud,
Je roule mes galoches
Comme Gavroche,
Où en vieux Parigot
Je bande
Attire l'argot
Et je glande
Avec ma langue
Exsangue
A-tire-larigot
Bien pendue
Et détendue
A la chatte
Ecarlate
Depuis ma mob,
En dansant à contre dense
Un immense
Flashmob
A 41 balais,
Dans un ballet
Eperdu dans mon bled,
Où je suis en rad
En ayant du rab arabe
Oued
Au rade
D'à côté,
Où moi, je becte
Et je débecte
Dans une démo
Mes gros mots,
De tout ce qui me crade
Et me dégrade
A l'hosto,
Qui se fout de la charité
Charité bien désordonnée !
Dans ce bordel
Putain d'orgie !
Qui ne fait
Dans la dentelle !
Putain d'ennui
En contrebande qui capote
Avec ma bagnole,
Qui attire l'hostie
De l'amnistie,
Qui n'en a rien à cirer
Du curé,
A récurer
Les casse-couilles
Aux chiottes,
Qui se frottent
Comme des tafioles,
Pour bidouiller
Ces drôles de fripouilles,
Qui se chatouillent
La foufoune
Avec des barjos
D'affreux-jojos,
Qui débitent
Leur bite
En biroute,
Dans la déroute
De leur scoumoune,
Qui attire l'argot
A-tire-larigot !
En vieux Parigot
Aux chiottes L'OM,
Qui se mettent des beignes
Pour qui tout baigne !
Dans les châtaignes
De ripoux de teignes,
Qui accouchent bof
En vieux beaufs,
En improvisant un bœuf
Avec les boeufs-
Carottes,
Qui carottent
Les gens vénères
Que vénèrent
Les racailles
Qui n'ont que dalle
Sur la dalle de Robespierre
Qui caillent
Ras !
Au-ras-des-pâquerettes,
Chouettes, ça ne vole
Très haut en antivol !
D'un drôle d'oiseau
Au fond du ruisseau,
Très chouette !
Cacahuètes !
On gèle des cacahuètes !
Qui se branlent
Et s'en branlent
En vieux bâtards,
Fonce-dés
Défoncés !
En fumant ci-joint
Du bédo
De génies en herbe,
Qui s'roulent de l'herbe
Pour s'affranchir
Et surenchérir
En mettant du beur
Dans les épinards
Dans un leurre,
Qui foire
Avec de la bidoche
Vendue en gros,
Gros ! t'es pas beau !
Si on te rétame
Dans ce slam,
Qui part en couilles
Dans la foire-fouilles
Et se dévidant les couilles
En ayant la dalle !
Aux gargouilles,
Car grouille-toi !
Et pousse-toi !
Si dès-fois tu fais le boloss !
Alors que t'es pas colosse d'agile !
Mais couilles molles d'argile !
Attire l'argot !
A force de dire des gros mots
Et de mes dires à-tire-larigot
En vieux parigot
De grand allumé,
Qui veut sa thune
Pour planter du blé,
Qui en rit pour s'asticoter
Le poireau
Dans son jardin secret
A la ronce des oliviers,
Qui baise au black
Pour compter pour des prunes,
Et paye tout au blague is blague,
En faisant le crack
Et en se shootant au crack,
En cassant la baraque
Dans la baraque
Du sympa bistrot,
Ou l'on casque
Bigleux
Tout son entre-jambe,
Qui enjambe
En s'assurant
Et en se réassurant,
Pour assurer
La sécurité sociable,
Avec des queutards
De vieux bourricots,
Qui montent à cheval
Sur les voix,
Qui restent dans les anales
De vieux pervers vicieux,
Qui écrivent des poèmes
Dans une vie de bohème,
Pour régler les règles des femmes
Aux règles d'infâmes,
De vieux Prévert visqueux
Dans le bahut,
Où l'on se fait baiser
Dans le baiser
De Judas,
Qui jura,
L'aura-t-on
Dans le fion,
Où avec nos morpions
On retient la leçon en fellation,
Exécution au nom d'une pipe !
Qui se fripe
L'oignon !
Aux balcons
Des sous-tifs !
Des femmes qui portent la déculottée,
Aux résultats réactifs, actifs-passifs,
Comme il est maintenant leurre
De s'arracher
A l'arrachée,
Pour partir de bonne heure
A la chandeleur,
Au jardin secret
Du petit bonheur,
A-tire-larigot !
Car après les gros mots
Attire l'argot !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi si je demande l'asile psychiatrique à l'hôpital psychiatrique Paul Guiraud de Villejuif, ma famille ne viendra pas me voir ?
- Parce-que pour elle, je serai un étranger qui aura émigré vers l'hôpital psychiatrique Paul Guiraud de Villejuif !
Jérôme de Mars
Ouf ! je suis ouf !
Prêt non d'un barouf !
Moi, je bouffe
Dans la mâle bouffe
Ouf ! je suis ouf !
Quand je fais la pouffe !
Sur un pouf !
Pouf ! je pouffe d'un ouf !
D'un ouf ! je suis ouf !
Où j'étouffe !
Ma touffe !
Quand j'ai touffe !
D'un ouf ! je suis ouf !
Relou à frais de port de rhalouf !
Qui met le feu avec des aloufs !
Où je fais plouf
En tombant à l'eau et plouf !
D'un ouf ! je suis ouf !
Et que je pouffe sur un pouf !
Quand je fais la pouffe ! pouf !
Dont j'étouffe ma touffe
Quand j'ai touffe
Sur non d'un barouf !
D'honneur avec un plouf !
Qui tombe à l'eau plouf !
Où je mange du rhalouf
D'un ouf ! je suis ouf !
Quand je mets le feu ouf !
Feu les aloufs !
Pouf ! je pouffe !
Avec les pouffes !
Sur un pouf !
Quand j'étouffe !
Ma touffe
Et que j'ai touffe !
Lorsque je fais plouf !
Dans l'eau en un plouf !
Tiré par les cheveux d'un ouf !
De soulagement ouf de chez ouf !
D'un ouf ! je suis ouf !
Comme ça me bouffe
Dans la mâle bouffe
Non ! d'un barouf !
D'honneur ouf ! je suis ouf !
Jérôme de Mars
Nos chemins se séparent !
De cette histoire, on en fait toute une histoire !
Avec le brouillard qui se voile la face face au hangar
Des souvenirs qui s'entreposent histoire d'antiquité,
De vielles reliques qui bazardent le temps
Des légendes dans la solennité,
Lorsque nos chemins se séparent
Sur le lac d'un roman de Guy de Maupassant,
Passant le mot passant à prendre tout son temps,
En prenant le large de la victoire aux signaux phares,
Dans le phare sans maquillage des passeurs d'histoires,
Qui fleurissent le fleuron des romans-feuilletons fleuves,
Dans l'eau qui coule de source et qui abreuve
Les histoires de l'arrosoir,
Distributeur d'anecdotes étendards,
Lorsque nos chemins se séparent
Sur les nénuphars de la mare, qui largue les amarres
Pour partir en quête d'une tranquillité,
Saine d'esprit et sereine dans la cordialité,
Qui s'accorde en trépassant,
Comme Guy de Maupassant mourant
En passant le mot passant
Sur son lit de mort,
Qui n'en démord
Que tôt ou tard,
Il faudra passer
Et trépasser
Le témoin,
Au prochain !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait un génocide réussi ?
- Quelque chose pour lequel, on n'a pas de remords !
Jérôme de Mars
Aux frontières du supportable
Pour par être affable
En vivant au jour le jour
Dans un compte à rebours,
J'écris cette fable
D'où jaillit aux frontières du supportable
Tout que ce que je balance sur la table,
Qui n'est point du cinéma
Mais le point sensible
De toutes mes difficultés,
Où je pète les fusibles
Avec mes aléas ! Allez ah !
D'où découle ma colère
Et roucoule ma haine délétère,
Du centre de gravité infusée
Sans prendre cela à la légère
Dont je suis conscient
Et parfois impuissant
Que mon état est grave
Dans sa pure réalité
Qui se grave
Aux antécédents du passé
Qui revient en morceaux
Et en lambeaux
Par moments en flash-back
Outrepassés et compressés
Par un con pressé qui a allumé
Le camouflet,
Où j'ai tout camouflé pendant des années
Surannées que ça en est périmé
Aux frontières du supportable,
Où j'ai largement dépassé
Les limites du soutenable,
Dont j'imite mon grand-père
Et ma mère en impair
Aux circonstances aggravantes
En inconstances atténuantes,
Où j'ai atteint seul le seuil critique
Comme mon autocritique est critique,
Qu'on me critique
Et qu'on m'étrique
En ne m'ayant jamais compris,
Comme pour certains je suis un con pris
Et un gars bizarre,
Pas net
Sur le net,
Avec une lourde tare
En retard lourd et bas lourd,
Comme c'est du balourd
Mon état de mise en abîme,
Qui m'écime
Avec le souffle boursouflé,
Et essoufflé, et soufflet
Au fromage à couper
Le souffle,
Qui souffre le souffre
En allumant le feu,
Odieux, aux dieux
Que je n'y crois
Et que je décrois,
En déportant ma lourde
Et balourde
Croix à la croisée des chemins,
Où j'ai peur de reproduire demain
Ce qu'on m'a fait, décompensé
Dans mon passé ultra pas net,
Très et trop critiqué
En saynètes,
Cyniques et désinvoltes
Que je pense
Que tout le monde s'en fout de moi,
Que je compense
En ayant l'envie de tuer
Des gens
Et des enfants
Dans la révolte,
Pour me venger
De tout le mâle,
Qu'on a fait de moi
En des mois,
Comme un animal
Aux frontières du supportable,
Où je mets tout sur la table !
De l'insoutenable
Au soupçonnable,
Jamais récompensé
Mais sans cesse critiqué
Et malmené,
Avec toujours des sous-entendus
Que je suis un intrus, un malotrus
Et un bon à rien,
Dont mon impair m'a souvent dit
Que je finirai un jour comme clochard
Dans les rues de Paris
Pour me rabattre le caquet,
Comme certains
Ne peuvent me saquer,
Comme je soûle les gens
Avec mes tourments,
Qui enivrent mon saqué
De mère à boire,
Avec tous mes déboires
Pour boire mes pourboires
Et mon impair et mon à mère,
Que furent mes parents
Aux accents indécents
Et impudiques de mon purgatoire,
Une fois que mon grand-pair,
Se suicida à La Saint-Valentin
Et dont l'église lui refusa ses portes
A la porte de la sorte,
Comme il a foutu en l'air
Son côté Chrétien,
Et ma mère
Et ainsi mon impair,
Dont moi, j'en fus les frais
Au fret
Et aux frontières du supportable,
Où j'en peux plus
De tout ce tableau,
Aux mots
Tabous et ineffables,
Que renferment mes trémolos
Qui me laissent sans voix,
Et dont j'ai besoin d'aide
Pour y voir plus clair,
Comme seul et unique remède
A tout cela qui est insoutenable,
Dans mon centre de gravité
Dont j'ai ma part de responsabilité
Et que je dois l'accepter
Sans prendre cela à la légère
Comme c'est la réalité
Que j'ai gravé
Dans les dix commandements,
Incommodants et déplaisants,
De ma vie dissolue
Et irrésolue
Aux infinis absolus,
Comme je pense
Que je suis fichu,
Où tôt ou tard, je panse
Que je serai en danger,
Pas forcément dans l'immédiat
Mais dans mes aléas ! Allez ah !
Dans l'insalubrité
De moi le malpropre
En décence propre,
Où je fais l'inventaire
De ma mère,
Dont j'ai de la matière
A réciter ses côtés austères,
Comme la vidéo des ébats
Intimes de mes parents,
Aux accents consanguins
Et condescendants,
De leur acte dégueulasse
Sur la place impudique
Et sur la voix publique,
Où tout me lasse et m'en lasse
Dans ces débats,
Qui ne m'intéressent trop libertins
Dont m'amère m'a foutu en l'air,
Comme mon grand-père s'est foutu en l'air
Dans l'ère primaire,
En désamours, des amours
Et en désordres, des ordres
De tout ce bordel,
Où avant il y avait des bordels
De putains
De putains
De vie,
Comme le Maréchal Pétain
Qui pète un
Coup en un contre-coût
En os dévie,
Qui m'a foutu un sacré coup
Au moral amoral,
Sans pair la pudeur et l'amorale,
Mais en l'amère banale
De tous les vices puritains,
Qui sévissent
En ces vices,
D'un tour de vice
Dans la coupe des vices,
Où la coupe
Est pleine à la découpe,
Aux frontières du supportable
Et au-delà du soutenable,
Où j'ai tout mis sur la table !
Même si on ne m'a pas toujours considéré
Et pris au sérieux !
Car méprisé
Insidieux, ainsi Dieu,
Où j'ai fini tout cet inventaire !
De ce destin
Dans la douleur
Mais sans la douceur,
Oh ! lendemain est-ce-que je perdrai la main
Ou demanderai ta main ?
Enclin au bonheur
Et au déclin du malheur,
Pour réparer cette noirceur
Et la recharger dans la chaleur
Du soleil haut tellement mieux !
Faute d'avoir été joyeux
Et radieux !
Même s'il faut croire à Dieu !
Aux frontières du supportable
Entre en dire
Et pas trop en dire,
Car la frontière est étroite
Alors que dire des choses adroites,
Est bien mieux que le point instable
Point stable,
Jusqu'au jour
Sans détours,
Où j'espère
Arriver au point stable
Point instable.
Jérôme de Mars
Des petits poids chiche
En sur pois,
On soulève des petits poids chiche
Avec du haschisch,
Où l'on shoote à chiche,
Groggy en dégustant des petits poids
Chiche,
En sûrs pois
Verts environnants,
Qui crient ses vers ambiants
Dans notre nature écolo,
En échos économes et solos
Avec des petits poids chiche
Qu'on relève avec des haltères,
Où l'on se désaltère
Sur pois à contre pois,
Qui fait contrepoids
De nos petits poids autonomes
Chiche,
Qu'on déniche
A la niche agronome
Des petits pois chiche,
Qui se désaltèrent
Avec des haltères,
Sur la terre
Du petit pois,
De leur fardeau à prendre à la légère
En ouvrant la fenêtre, à courant d'ère,
Qui erre le long des quais sur la Seine,
Où le mécène regarde mes scènes,
Si elles sont obscènes, ou si elles assènent
Chiche des petits pois chiche,
A contrepoids haschisch
Des petits poids chiche,
A chiche
Dont on a perdu nos petits poids chiche,
Car chiche maintenant on déguste en sûrs poids !
Des petits pois chiche,
En surpoids.
Jérôme de Mars
Donner son aval au veto
A Laval,
Les animaux sont stupides s'ils sont bêtes !
Avec un panse-bête,
A qui il faut donner son aval
Au veto,
Si on les emmène chez le véto
Dont on avale,
La lourde addition dans Le Val
De Marne qui dévale
Dans les évals,
Où il faut donner son aval
Au veto,
Car nous si on est bêtes
Comme les animaux bestiaux !
Il faut démener notre panse-bête
En allant chez le véto,
Si on cavale
En refusant de donner son aval
Au veto,
Mais en acceptant le veto
Dans un aval,
Dont on avale
Chez le véto
La lourde addition en éval,
Dont on dévale
Le Val
De Marne jusqu'à Laval,
Dont le panse-bête
On l'avale,
Comme nous, on est bêtes !
Dans notre pense-bêtes
Qu'on dépense car on hébète !
Jérôme de Mars
L'objet du sujet
Appel en ligne d'un sujet,
Qui est le sujet ?
Et quel est le sujet ?
Dont on lui demande,
A quel sujet il appelle ?
Et de quel est l'objet de son appel ?
Pour savoir si le sujet a un objet
Et si c'est le sujet au sujet,
Dont il est l'objet de l'objet,
En se faisant l'avocat au fruit
De la défense usufruit ,
Dont il est l'objet et à quel sujet ?
De si son sujet a un objet
Et en quel honneur si son objet
En fait le sujet de quel est l'objet ?
De son sujet s'il est sujet
A son objet dont il est l'objet,
Et de si l'objet du sujet
Est sujet à un objet dont il est l'objet,
Au sujet de l'avocat qui clame objection !
Votre honneur, au sujet de la défense !
Dont il fait l'objet et à quel sujet ?
Si le sujet fait l'objet au sujet de quel objet ?
C'est le sujet principal, dont il fait l'objet
Avec son objet, dont c'est l'objet du sujet
Et à quel sujet ?
Dont il fait l'objet au sujet !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi niquer devrait-il être une activité inscrite aux Jeux Olympiques d'été ?
- Parce-que c'est du sport en chambre
2)
Pourquoi est-ce-qu'avec la réforme des retraites universelle, on va en prendre un sacré coût au visage ?
- Parce-que c'est une réforme des retraites universelle qui se fera avec des coûts de points !
Jérôme de Mars
Grosso modo
Gros mots,
C'est grosso modo
Si on va en gros au Mcdo,
Et qu'on est grosso Mcdo
Si on fait le gui grosso modo
Avec Guy Grosso,
Comme c'est grosso modo
En des mots gros
En gros,
Grosso modo
Si on vend en gros,
Grosso modo
S'il pèche en gros,
Des gros
Poissons grosso modo
Avec des gros mots,
Grosso modo
Dont ça démange en gros
De manger au Mcdo,
Grosso Mcdo
Avec les gros mégots,
Qui enfument let's me go !
Grosso modo,
Dans la mode démo
Des mots mémos,
Avec des gros mots,
Très mollos, trémolos
Grosso modo !
Jérôme de Mars
RATP : REVIENS A TON POSTE
SNCF : SOCIETE NATIONALE DES CONNARDS DE FRANCE
SNCF : SOCIETE NATIONALE DES CHEMINOTS FAINEANTS
Jérôme de Mars
Donner et recevoir
De ma patte d'artiste,
Je mets la main à l'épate égoïste
Dans mon écriture humaniste,
Où en tant que de nature fataliste
Mais de par mes convictions optimistes,
je pense qu'il faut encore croire
En l'homme pour donner et recevoir,
Car la vie en somme c'est du partage
Dans un échange équitable au juste dosage,
Où même si l'on joue tous un rôle
Il faut sortir de sa geôle,
Pour donner et recevoir
Pour toujours y croire
Qu'il y a tout de même des gens bien,
Pour donner un coup de main
Et de faire le chacun pour tous
Et Dieu pour soi dans un joli coup de pouce,
Qui pousse à donner le meilleur de soi
Pour donner et recevoir,
Dans la joie et avoir la foi
En la vie comme une fois
N'est pas coutume,
Mais pour se délester de l'enclume
Qu'on porte en soi,
Pour espérer avoir
Un monde meilleur, plus beau et doux
Dans un agréable moment de redoux,
Car on plus on est de fous !
Plus on sourit
Et on rit !
Sans garde-fous
Avec Noël et ses joujoux,
Si bien que parfois malgré tout
Il y a un peu
Et beaucoup de monde à feu
Doux, relou et ripou,
Qui s'en fout,
Alors pour préserver un certain monde si possible encore idéaliste,
Sans péter les fusibles individualistes,
Et le sauvegarder dans l'environnement au maximum altruiste,
Faisons en sorte qu'il soit le moins triste !
Jusqu'au grand soir de l'exutoire,
Où il faut donner et recevoir !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT de Vitry, ça se dégrade comme au conditionnement où on nous maltraite ?
- Parce-que L'ESAT de Vitry est conditionné au pire comme on nous sous-traite !
2) Pourquoi est-ce-que chaque année lorsque c'est mon anniversaire, il y en a certains qui ne me le souhaitent pas ?
- Parce-que pour certains lors de mon anniversaire, je suis out !
3) Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT de Vitry, je fais un burn out ?
- Parce-qu'à cause de L'ESAT de Vitry, je ressens un épuisement général où j'ai les burnes out !
Jérôme de Mars
Le soleil compatit à la pluie
Temps bipolaire
Avec des confettis
Et des mauvaises herbes,
De génies en herbe
Sur La terre, un drôle d'air
Cultive en signe d'inventaire,
Que le temps est grise mine
Et s'achemine
Vers l'apocalypse,
De l'éclipse
Lunatique du contraste
Des caractères fastes
Et chastes,
Lorsque le sourire du soleil
Compatit à la pluie
Dans sa lune de fiel,
A pleurer les sanglots du ciel
Que plus rien ne va,
Alors qu'il ne faut oublier que la joie
Est encore là et sourit
Au Parc Montsouris,
Qui prête à rire à Paris
Dans le sourire
De mon sourire,
Lorsqu'en liesse,
Le soleil compatit
A la tendresse
De la pluie,
Qui sourit et rit
Aux plaisanteries et aux galanteries
Du soleil, qui caresse
De ses fantasmes, que la prouesse
Serait de toucher l'enceinte de la lune,
A écouter en une
Des musiques qui donnent de l'allégresse,
Lorsque le soleil de son oseille
Riche de groseilles,
Couve de sa déconfiture d'escarcelle
Et compatit
A la pauvre pluie,
De la prunelle
De ses yeux soyeux
Et joyeux,
Ainsi radieux !
D'un deux à deux,
Lorsque le soleil console
La pluie
Sur un je de console,
Qui compatit
En des confettis,
Dont le soleil une fois
Le contact rétabli
Avec le ciel,
Demande la lune en mariage
Pour unir les ramages
Et les images
De la paix,
Dans la volupté
De Dieu,
Lorsque parfois
Le temps se guérit des contrepèteries,
Sourit et rit
Avec la lune,
En une
De miel,
Et dont la pluie
Se fait le témoin
De leur union,
En communion
D'un air d'entrain,
En libre union
Aux airs échangistes,
Entre le soleil, la pluie
Et la lune
En une,
De sa lune d'artiste
D'un triste ciel
Et boute-en-train,
A rassurer la pluie
Et à tromper la lune d'ennui
Infidèle de crécelle,
Dont le soleil se console
Avec la pluie,
A l'infini
D'un je de console
Et pour la vie,
Lorsque le soleil de merveilles
Compatit à la pluie,
Avec son étincelle
En lui donnant sa main
Au pluriel pour plusieurs lendemains,
Fin mot du début de leurs sentiments
Dévoilés, où lors du point culminant,
Le temps sera un abreuvoir
De belles histoires,
A voir et à revoir,
Car au revoir !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait si je laisse tomber définitivement un ami Juif ?
- Je fais une croix gammée sur lui !
Jérôme de Mars
Le musée des mots
Amusé, je fais muse-muse au musée
Avec de petites ritournelles,
Toutes fraîches qui ruissellent
Du fond des étincelles qui m'ont démené
A donner le meilleur de moi-même,
Idem malgré les problèmes
D'inspiration à force de s'exposer
Et de se surexposer dans une exposition
Avec trop de surexposition en ex position
Qui m'a ex posé dans le musée des mots
A demi-mots qui sortent du lot hello, et lot,
En pièces détachées amusées, à muse et moi !
Dans le Paris en mouvement, qui joue de la cornemuse amusez-moi !
Dans le musée des mots, en des maux, démons, des monts,
En amont de Marcel Amont, qui déchante la vie triste,
En une dévie d'artiste, qui rend le soleil soliste
De la musicalité et de la dualité dans le musée des mots,
En des maux solides, roulez petits bolides ! qui se consolident
Dans la texture des partitions, en répartitions et en hémorroïdes du Polaroid,
Y a pas photo dans le rétro de la rétro !
Dans le musée des mots
Du Paris rive gauche, rive droite,
Comme la chanson
Très large d'esprit, quand c'est dans la boîte
D'Alain Souchon,
Qui ouvre la boîte de Pandore
De sa nostalgie
Mélancolique d'images d'archives,
Qui l'ouvre amusé au Musée Du Louvre
De François de Grossouvre,
Qui entrouvre les remords
De François Mitterrand au trésor,
Qui entrouvre les recoins qui ravivent
Les souvenirs, au panthéon des monuments
De Paris, qui s'enlisent
Et attisent
Les convoitises,
Qui droitisent
La vie politique,
En stratèges d'arithmétiques
Dans une arythmie cardiaque,
En tachycardie hypocondriaque
Avec des aphrodisiaques,
Qui ont la niaque maniaque,
Amusée et moi, à muse émois et à musée et mois ! sur le fil de l'eau
Dans le musée des mots,
A demi-mots dans un débit eau,
A haut débit,
Rien de tel qu'un peu de répit
Dans un jeu de cornemuse, qui fait muse-muse en mouvement,
Lorsque ainsi vont les violons, qui s'accordent infiniment !
Hello, et lot qui sortent du lot,
Dans le musée des mots.
Jérôme de Mars
Les Amis Du Râtelier !
Voici la fondation de la carpe et du lapin qui fait faux-bonds furibonds en nous parlant comme à des chiens et en nous sautant dessus casse-gueule, comme ils s'en foutent de notre gueule, car leur fond de commerce et la seule chose qui les intéressent, c'est l'argent puisqu'ils n'ont qu'une parole d'argent et qu'ils s'en foutent si on se prend des gamelles comme ils ont des niches fiscales en nous renvoyant à notre niche fécale !
Sandrine : " - A L'ESAT, tout le monde s'en fout de toi comme la direction, les moniteurs et les agents n'en ont rien à péter de toi ! "
Jérôme : " - Je le sais Sandrine, de même que moi aussi idem, j'en ai rien à péter de L'ESAT et de la direction à force de péter des câbles et de perdre le fil des choses, car L'ESAT n'a pas choisi la bonne direction en privilégiant le profit au détriment du social et de l'humain ! "
Jonathan : " - La direction de L'ESAT n'en a rien à foutre de ta petite gueule de merde. "
Jérôme : " - Moi idem Jonathan, je leur dis à la direction de L'ESAT, qu'ils la ferment leur gueule de niches fiscales, comme tout le monde m'envoie balader et me laisse dans la merde dans ma niche fécale en me parlant comme à un chien, comme je me prends des gamelles dont j'appelle La Fondation : " Les Amis Du Râtelier ", pour te dire comment si tu savais que je les emmerde, comme La Fondation ne tient pas debout, avec la façade du bâtiment de L'ESAT de Vitry qui est bancale et que toute la fondation est à revoir en bouffant à tous les râteliers et en bouffant toute notre santé pour l'argent ! "
Célia : " - Jérôme, si tu te suicides à L'ESAT en te jetant par la fenêtre comme tu as déjà tenté de le faire deux fois en mai 2017 et en mai 2019, tout le monde n'en aura rien à foutre et s'en réjouira car personne à L'ESAT ne t'aime. "
Jérôme : " - Je le sais Célia, car à L'ESAT, tout le monde s'en fout de moi, comme tout le monde m'accorde du discrédit content et qu'ils jettent l'argent par les fenêtres, comme ils ont un cœur de pierre en mettant la pierre à l'édifice de ma rancœur, car pierre qui roule en se mettant les pieds dans le tapis, n'amasse pas mousse mais s'émousse. Mais tu vois Célia, si jamais, je me suicide pour de bon en me jetant par la fenêtre de L'ESAT, il y aura une enquête et L'ESAT peut fermer, moi, je m'en fous car je serai mort sans remords, mais il y en a plein qui seront au chômage. "
Christophe M : " - Ne te suicide pas Jérôme ! C'est bientôt Noël ! Sinon, ça me fera de la peine, panses-à toi ? "
Jérôme : " - Merci Christophe, c'est gentil de ta part ta sollicitude, ça me touche, même qu'à L'ESAT, il y a un profond malaise et un mal-être avec mon mâle-naître, et que tout le monde se barre et me rembarre, il faut que je panse à moi, que je prenne soin de moi, je ne veux plus avoir les boules maboules qui déboulent sur mon moral, je ne veux plus m'enguirlander avec les gens et les agents comme l'agent n'a pas d'odeurs, j'emmerde, je m'en fous de la direction en direction d'eux, et je panse à passer avec mes proches de bonnes fêtes de faim damnée, car autant se raccrocher avec Les Amis De L'Atelier ! avant de trépasser avec les embûches, où je bûche à chaque fin damnée ! "
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait un attentat terroriste qui fait beaucoup de morts en traduisant une grande haine ?
- Un attentat à couteaux tirés !
2) Qu'est-ce-que ça fait un attentat terroriste aux lourdes conséquences qui frappe une rue de Londres ?
- Pas de quartier !
3) Qu'est-ce-que ça fait une grève de La RATP et de La SNCF qui est toujours en décalé sur l'évolution de la société ?
- Au train où vont les choses dans ce qui se trame sur les chemins d'enfer qui rament, La RATP et La SNCF ont toujours un métro de retard !
Jérôme de Mars
On ne peut pas plaire à tout le monde !
Savoir-faire
Dans le flair
Du savoir-plaire,
On ne peut pas plaire
A tout le monde !
Dans le micro-ondes
Du monde qu'on sonde
Avec ou pas de bonnes ondes,
Qui abondent
Ou qui inondent,
Ce monde au sillon
Du tourbillon,
Qui gronde
Ce monde qui féconde
Autant de déçus
Que de parvenus,
Dans ce monde dissolu
Et irrésolu,
Où l'on ne peut pas plaire
A tout le monde
Dans le savoir-faire
Du flair
Pour savoir plaire,
Comme on ne peut pas aimer
Et être aimés
De tout le monde
Qu'on sonde
A la ronde,
Pour faire l'unanimité
Au plus complet,
Du con plait
Au distrait écervelé
Et décervelé,
Même si on émet
De bonnes ondes,
Mais dont les mauvaises ondes
Font que les gens
Avec leurs tourments,
Ne peuvent aimer
Ou être aimés,
Car ils aiment détester
Comme on ne peut pas plaire
A tout le monde,
Avec le flair
Du savoir-faire,
Pour savoir plaire
Au plus grand nombre,
Immonde comme dans l'ombre
De leur lumière sombre,
Où dès la pénombre
On dénombre
Avec sonde,
Qu'on ne peut pas plaire
A tout le monde !
Jérôme de Mars
Je sors mon joker !
Cinéma, c'est pas du cinéma !
Mon état en les tas,
Où je me fais des films
En films
Supers huit clos !
Car c'est de là qu'éclot
La nature de mes drames
Dans un authentique mélodrame,
Qui est la trame des travers
De mon cœur en jachère,
Comme mes lots, mélos sortent du lot
Où j'active mon pacemaker
Et que je sors mon joker,
Où je réponds " Joker ",
Je ne l'ai pas vu
Dans la cohue du chahut
A travers ce personnage clair-obscur,
Où ça me parle, je me reconnais
Et je m'identifie à ses côtés,
Sombres et mûrs
De vrai-faux gentil-méchant,
Comme mes champs
D'action après m'avoir tant fait contusion,
Ainsi, je songe à la rébellion ! qui me propage contagion
Vindicatif et piqué au vif
De mes à côtés subversifs et transgressifs,
Qui m'ont rendu agressif,
De mon volcan froid mais prêt
Ah ! les chauds et au réchaud explosif et éruptif,
Où je sors les gants
Et les gants élégants,
Car comme Joker
On ne m'a jamais considéré,
Respecté et écouté,
Comme on m'a mis à l'écart, méprisé
Et pas pris au sérieux,
Alors que mon état est si sulfureux et désastreux
Jusqu'au fond des cieux
De Dieu qui accoste le diable à son pieu,
Où je sors mon joker
Comme il me parle et où je réponds joker
je me reconnais tellement en lui,
Comme jadis il fut un gentil clown
Rouge auguste,
Qui vit rouge lorsqu'on le rangea dans un cartoon,
Car depuis qu'il déguste
Il devint un clown blanc à ce moment
Sans faire sans blanc,
Mais avec un semblant de justice
Aux ecchymoses d'injustice, de ses sévices qui sévissent
Vice et versa,
En lui comme en moi
Dans l'effroi
Et la misanthropie,
Où tôt ou tard, ça risque de mal finir pour moi,
Car lui il a basculé dans la violence
Due à sa vengeance
Insatiable, où il met tout sur la table,
En réponse comme une fable
De la fontaine qui ne coule,
Mais dont découle
La frustration, le dépit
Et la décompensation,
Qui favorisent le passage à l'acte en réaction
A cette misère de vie
Dans l'inertie de sa nostalgie,
Où il agit comme ça pour se faire entendre
Alors qu'il ne fait que distendre
Et répandre
La haine
En requiem,
De personne qui l'aime,
Comme moi, dont tout ça me gangrène,
Car à lui aussi comme à moi,
Ca donne de la migraine,
Avec des mots de tête
Très casse-tête,
Où pour la scène finale,
J'assène fatal,
Que je sortirai pour longtemps sans réserve
Mon joker,
Le jour où j'aurai vu " Joker " avec ma minerve,
Pour qu'en une de première,
Le pacemaker
De mon cœur
Soit réparé à distance de la rancœur,
Puisque qu'il peut encore y avoir
De l'espoir,
Que j'espère
Avec du bonheur réparé
Et préparé,
Sans éphémère
Mais avec de l'effet mère en bonne paire,
Si pour une fois, ma foi !
Je me dis-là !
Pourvu que cette foi, tout baigne !
Ah ! quelle aubaine de ne plus être une teigne !
Mais une belle châtaigne, ah ! la chat teigne !
Jérôme de Mars
Boulevard à ragots
Théâtre de boulevard
A Paris, c'est le brouillard
Au boulevard à ragots
Qui s'le racontent à tire-larigot
Que c'est bientôt, la fin des haricots vers
Vers ce monde à l'an vers,
Qui ne tient debout
Par les caribous et les marabouts
En file amère Indienne,
Qui jouent le rôle de leur vie
A Paris,
Au boulevard à ragots,
Qui est le berceau
Du tombeau des héros,
Acteurs de leur vie,
Comme ils jouent un rôle accompli
Au boulevard à ragots,
Théâtre de boulevard Arago,
Qui s'la joue perso
Entre brio
Et impro
Du mode d'emploi
D'un rôle, qui n'est à contre-emploi
Ni de composition,
Mais la juste partition,
Qui enchaîne
Toujours la même musique
Et scénario,
De ce qui se trame dans ce vaudeville dynamique,
Qui ouvre le bal à oui-éclos
Sur Le Paris rétro
Au boulevard à ragots,
Et qui baisse le rideau
En ayant gagné Le Paris
Au Boulevard Arago.
Jérôme de Mars
Le petit malin
A l'origine de mon sale état malin,
Je ne viens du bénin,
Comme souvent, je suis noir
Dans mon humour de brancard,
Où je soigne mon mal-naître malin,
Comme il n'est bénin
Dans mon territoire,
Comme je suis le petit malin
Du bénin
Très futé,
Avec ma ruse de roublard
Qui prend son envol affûté,
Où mon mal-être loin d'être bénin
Survient du bénin malin,
Où à force de voir tout en noir
Je termine bénin
Cette histoire,
Moi, le petit malin !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi tombe-t-il dans Le Var des pluies diluviennes ?
- Parce-que tout tombe à l'eau !
Jérôme de Mars
Sapin de Noël qui ne sent pas le sapin mais consent à passer une bonne faim damnée
En fait maboules,
Pourvu qu'on ne perde la boule !
Pour les fêtes de faim damnée
Où l'on montera un sapin de Noël
Qui ne sent pas le sapin,
Mais qui consent à passer une bonne faim
Damnée sous les étrennes de Noël
Sans s'enguirlander pour des broutilles,
Qui fleurissent avec la galette des rois
Et les lendemains de gueule de bois,
Chauffés et chauffés
Dans un foyer chaleureux de chocolats pralinés vanille,
Qu'on pétrit de nos mains d'une bouchée de pain
Béni, avec une embûche de Noël qui bûche sur l'an bûche
Glacière ou pâtissière, qui déboule
Dans la ruche
Des abeilles, autour du miel,
Qui fredonne d'un tilleul camomille, pour digérer les excès de Noël
Avec de la groseille
Dans la déconfiture, comme il manque le soleil
Avant la messe de Minuit,
Dans la mi-nuit
De la légende de Jésus, qui naquit dans une étable,
Alors que ce jour-là pendant le réveillon, on sera à et table !
Du grand soir avec un sapin de Noël,
Qui ne sent pas le sapin mais consent à passer
Une bonne faim damnée,
Autour d'un bon buffet, et d'un chaleureux feu feu de cheminée,
Sans langue de bois, mais avec des joies de la charité Chrétienne,
Où l'on y mettra nos papilles gustatives pour déguster,
L'auguste rouge qui voit rouge
Et qui boit du rouge,
Avec l'auguste blanc
Autour d'un ver de vain blanc,
Comme si on s'y prend dans ce réveillon charmant à réveiller puritaine !
Une fête qui doit rester conviviale,
En ces fêtes de faim damnée très royales,
Sans s'enguirlander avec les guirlandes de Noël,
Mais à festoyer et s'amuser dans la flamboyance,
Le temps d'une soirée arrosée, avec redondance et abondance
De cadeaux,
Comme de vins chauds
Réchauffés au feu de cheminée,
Qui fume le calumet de la paix le temps d'une soirée,
En vers de flûtes
En champagnes pour dire flut
A ce monde qui va mal,
Mais à demeurer loyal
Avant la faim damnée,
Pour qu'elle ne soit
Une fin damnée,
Pour la perdurer en fait de bonne faim damnée,
Dès qu'il est Minuit sain
A se souhaiter une bonne année surannée,
En purs hypocrites de Chrétiens puritains,
Alors que le restant du temps, tout le monde s'en fout !
En gardes-fous,
De Dieu, de ses apôtres
Et des autres,
Dans un esprit divin et hautain,
Comme à l'accoutumée, ce jour-là tout le monde aura
La gueule de bois !
Tandis que les autres envers moi, tout le monde me dira ferme-là et pousse-toi !
Avec la bégueule casse-gueule d'abois,
Qui noie sa liqueur
Et sa noirceur,
En gerbant sa galette désarrois
Du grand chagrin aux sanglots parois,
Où avant d'en arriver à cette conclusion fatale
D'un monde qui va mal,
Qui perd la boule maboule,
Faisons en sorte !
D'ouvrir et de balayer devant notre porte,
Pour voir qu'à Minuit à sa porte,
On a désormais un sapin
De Noël
Qui ne sent pas le sapin
Mais qui consent à passer une bonne faim damnée,
Pour débuter joliment une nouvelle année,
Sur année en toute amitié et dans l'égalité,
D'où je vous souhaite, bonnes fêtes de faim damnée !
Jérôme de Mars
Arc en fiel
Couleurs de Ménestrel de crécelle
La colère attire d'ailes Céleste l'arc en fiel,
Qui gronde le tonnerre de son inaptitude
Au bonheur du soleil dans la lune en prélude,
Qui se voile la face volte-face dans la glace
Du reflet de son miroir aux alouettes qui passent
Des sans dessus-dessous, en sens dessus-dessous dans la plénitude,
A la magnitude de l'échelle de riche Terre, aux couleurs décrépitude
Arc en fiel qui tremble de sa Terre, avec la colère en haute voltige,
Qui arrive en déséquilibre, en tombant de si haut en vertiges
En épisodes d'épouvante, qui effraie la maison hantée
Aux couleurs arc en fiel, dont la sorcière monte sur son ballet
De chorégraphie, dans la magie noire aux sciences occultes,
Qui répandent sa fumée, qui prend feu dans le tumulte,
Qui efface avec le temps, les cicatrices arc en fiel, dont grâce au Missel
Ca donne du goût vers mi sel, pour remonter en sel d'un arc en ciel,
Puisque partiel de fiel, par ciel de miel,
Avec plusieurs cordes à son arc à tir d'ailes, pluriel de ritournelles,
Comme les tourterelles volent le ciel, archange ciel
Avec les anges arc en ciel , partiel d'arc en fiel par ciel.
Jérôme de Mars
Les daltoniens reprennent des couleurs
Cow-boys du phare Ouest
Complètement à L'Ouest,
Hauts en couleurs
Et pittoresques, les daltoniens
Truculents reprennent des couleurs
Dans la confusion en grandes frayeurs,
Dont ils se perdent dans les couleurs
En Daltons qui s'étirent pour rien
De leur gâchette
En faisant leurs emplettes,
Avec Lucky Luke qui fume avec son brin
De paille tout l'arsenal,
Qui reste dans les annales
Entre les Daltons hauts en couleurs
Et les daltoniens qui donnent de la vigueur,
Aux couleurs lestes qui lâchent du leste
En s'élevant à L'Est,
Comme le soleil diffuse des images prestes,
Dès que Lucky Luke reprend des couleurs,
Avec les daltoniens qui confondent les couleurs
Aux daltons boute en train,
Qui fument le calumet de la paix
Avec Lucky strike oh ! quel toupet !
Si jamais Lucky Luke signe le traité de la paix
Des daltoniens maltraités par les Daltons,
Dans un humour très cabotin
A l'Anglo-Saxonne,
Cow-boys au Far West,
Comme donc le soleil se couche à L'Ouest !
Oh ! en couleurs !
Car après on éteint le téléviseur
En noir et blanc,
Et on ne fait sans blanc
Entre les albinos et les daltoniens
Jusqu'à demain matin,
Lorsque les daltoniens reprendront aussitôt des couleurs !
Jérôme de Mars
Le bateau givre
Avec le mélo méli-mélo
C'est le bateau d'Arthur Rimbaud,
Qui prend l'eau
A vau-l'eau
Dans le frigidaire,
Comme le bateau givre
Pendant l'hiver
Avec des courants d'air,
Comme Arthur Rimbaud
Se livre et délivre ivre
De ses mots
Le chaos,
Qui frappe les cristaux d'eaux,
Comme tout tombe à l'eau
Dans un froid linéaire,
Qui fait que ces mots divers
Tombent à l'envers
D'Arthur Rimbaud,
Comme le bateau givre
Et prend l'eau
Dans les vivres,
Dont il y a un mal de vivre
Versant les à côtés qui dégivrent
Les fauteurs de troubles qui ont un coup de chaud
Dans un jardin d'hiver
Au froid linéaire,
Qui cultive au fond du ruisseau
A vau-l'eau tous les trémolos,
Qui resserrent l'étau d'Arthur Rimbaud,
Comme le bateau givre
Aux endroits austères,
Dont son abîme d'artiste l'enivre
Et le livre
Au fond de l'eau,
Dont il se délivre
Parmi les coraux de cristaux
Sous le froid de l'eau dans le ghetto,
Qui baisse l'étau
Pour produire de nouveaux livres
De mots,
Qui délivrent
A Arthur Rimbaud
Tout le tréteau,
Comme le bateau prend l'eau
Avec tous ses matériaux
En un effroi pluvieux en échos d'eaux,
Dont le bateau givre,
Ivre, qui livre et délivre
Le fin mot divers
D'Arthur Rimbaud,
Qui repose ramollo
Dans ses trémolos
Au cimetière
Du jardin d'hiver,
Ainsi pourvu qu'il repose débonnaire !
En un des bon air,
Un vent à terre
En inventaire.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi la manifestation de samedi dernier des gilets jaunes a-t-elle été un succès à Place d'Italie ?
- Parce-qu'ils ont cassé la baraque
Jérôme de Mars
Simone s'ignorait quand Yves Montant !
Démarches de la gloire
Du fond de leur personnelle histoire,
Simone s'ignorait quand Yves Montant !
Montait condescendant le seuil de l'escalier
Du temps qui fait défaut,
Lorsqu'on regarde trop dans le rétro,
Comme ils furent les acteurs de leur vie,
En jouant leur propre rôle du rôle de leur vie,
En se faisant des films dans un cinéma distingué,
Dans un système de la débrouille qui brouille
Les pistes, dans une grande confusion fantasmant
Leurs bouilles, que bredouillent Simone Signoret
Et Yves Montand,
Lorsque Simone s'ignorait quand Yves montant !
Trébuchait condescendant sur une marche d'escalier,
Qui le fit tomber de son piédestal, comme l'homme sauvage
Qu'il incarna quand Simone s'ignorait avec son casque d'or !
Qu'elle mit sur la sellette en réveillant aux aurores Yves montant,
Lorsque Simone s'ignorait quand Yves montant ! sur la scène comme à la ville
De leur couple funeste, dès que Simone s'ignorait quand Yves montant !
Montait condescendant tout un attelage,
Lorsqu'il se prépara au veuvage,
En abreuvage de l'élevage, quand Simone s'ignorait face à la mort
Emportée par un cancer de louanges, parmi les anges qu'Yves montant
Affronta, retors malgré ses torts,
Dont Simone s'ignorait quand Yves montant, condescendant monta enchantant
La chanson nette à bicyclette, en rejoignant réenchanté
Sa dulcinée au pays des étoiles filantes, à l'instar des stars descendant
Le commun des mortels du ciel, en voiture Simone !
Simone S'ignorait quand Yves montant !
Montait condescendant, des montants aux tarifs habituels pour particuliers
Très particuliers !
D'autant qu'on leur offrit des anémones !
Dès que Simone s'ignorait quand Yves montant !
Jérôme de Mars
Coqueluche, l'humaniste !
Comme un rossignol,
Il y a plus de trente ans
Que tu t'envoles,
Au pays des artistes béatifiants
De ta grâce réincarnée,
Que tu as rubis sur ongles incarnés
Pendant tes années de ton vivant,
Où l'on n'oublie ton oeuvre d'artiste humoriste
Qui a façonné de ta vie d'artiste toi l'humaniste,
Qui a réparé les cœurs abîmés et cabossés des gens
En créant Les restos Du Cœur pour les rénover urgents
Dans le lien social, amical et fraternel autour d'un ver
Et d'un repas bien chaud,
Avec un réchaud
Pour réchauffer leurs cœurs de misère
Et allumer le réverbère,
Où ils auront de la lumière pour l'hiver,
Car tu faisais l'inventaire
Et tu étais visionnaire
De cette époque triste et égoïste,
Que tu voulais rendre humaniste et altruiste
Toi, le drôle d'oiseau,
Qui faisait envoler les maux avec tes gros mots,
Car tu étais coqueluche, l'humaniste
Dans ton habit de clown triste mais optimiste,
Malgré l'expansion fataliste et individualiste
D'une époque divisée
Et recroquevillée
Sur elle-même,
Car plus personne ne s'aime
Et sème la gangrène
Dans le repli identitaire
De la haine
A la mode dans un monde emphysème,
Qui respire le chaos
Et le mal de vivre,
Qui enivrent
Les fachos
Dans un monde sous perfusion,
Qui a besoin de soin avec contusion,
Où toi, coqueluche, l'humaniste,
Tu nous apportais ta joie de vivre,
Qui livre
Ton talent d'humoriste,
Dans un pays qui a moins de liberté
Et plus de dictatures
De la pensée
Unique qui creuse les fractures,
Où tu avais pressenti
Ce que le monde capitaliste
Apporterait comme piques fumistes,
Avec du pissenlit et des orties
Pour faire mal,
Dans ce monde qui se renforce animal
Bestial et sauvage,
Où règne la rage sans partage,
Car chacun pour soi
Et rien pour toit car tout pour l'entre-soi,
Où toi, coqueluche, l'humaniste
D'où tu es là-haut, redonne-nous espoir !
Pour qu'il fasse moins triste
De ton nuage,
Que tu mets en image
En fumant le calumet de la paix,
Avec ton toupet
De tout paix,
Où l'on attend ton arrosoir abreuvoir
De belles histoires,
Pour faire de ce monde noir
Dû au reflet de son miroir,
Quelque chose de plus beau
Par le plus heureux des hasards,
Où tu foutras le bazar hilare !
Toi, coqueluche, l'humaniste !
Où tu nous feras rire de ton rire d'artiste !
Avec ta facette d'humoriste
Jusqu'aux cieux loin d'être tristes !
Car on a besoin de tes lumières
Pour un nouveau millénaire,
Davantage solidaire
Dans le lien social,
Loin du réseau alien asocial,
Car on a besoin d'une époque altruiste
Avec toi Coqueluche, l'humaniste !
Jérôme de Mars
Peut-on tout pardonner ?
Faute de commettre des erreurs,
Dans la vie, tout le monde fait des erreurs
Avec des maladresses
A la mauvaise adresse,
Avec nos regrets d'avoir fait du mal
A ceux qui comptent en relations familiales et amicales,
Où l'on philosophe
A travers cette phrase de ceux qu'on apostrophe
Trait d'union en strophes !
De si malgré la catastrophe
Peut-on tout pardonner ?
Même si on part donner
En lot de consolation,
Que personne n'est parfait
Par fait d'un compte par fée,
Si on peut oublier les malheurs
Et œuvrer pour la réconciliation
En repartant sur de nouvelles bases,
Qui est la base d'une page
Qu'on ouvre
Et dont on découvre
Qu'une amitié saine peut-être indéfectible
Et survivre même si on pète les fusibles,
Comme la vie n'est facile
Dans ce monde sauvage et indocile,
Où les humains sont soumis à la tentation
Et qu'ils sont mis à effet de rébellion
Pour résister à leurs pulsions
Dues à leurs vieux démons,
Où l'on médite
En messes dites et inédites,
De si peut-on tout pardonner ?
Et qu'on part donner
Quelquefois des circonstances atténuantes
Dans ces journées trébuchantes,
Qu'on a tous le droit à une deuxième chance
Qui fait qu'on pense
Que le pardon a ses limites
Et que ça nous irrite,
Même si on se repentit
Auprès de nos amis,
Pour qu'il nous accorde leur pardon
Avec compréhension
Même s'il y a des limites à ne pas dépasser,
A franchir, même si on ne fait
Que s'affranchir des limites
Avec certains amis comme ils nous irritent,
Car les amis avec lesquels on a le plus d'affinités
Et le plus de proximité
Résiste le mieux à l'usure du temps,
Car seuls les vrais amis restent présents
Même si on a commis une faute,
Qui ôte
Notre crédibilité
Et notre respect,
Car on peut pardonner
Une fois, deux fois,
A condition qu'il y ait la foi
Et qu'on part donner,
A chercher notre ami
Dans ses difficultés en inepties
Dont on médite en point ancestral,
Peut-t-on tout pardonner ?
Même si on part donner de la sincérité
Et toute notre amitié,
Même si on excuse jusqu'à la faiblesse
Et que ça en devient une forteresse
Dans l'absurde car le pardon malgré tout,
A ses limites même si on l'imite en garde-fous
Mais qu'on reste amis,
Car on tient trop à nos amis avec folie
Car la famille
Et les amis
Sont sacrés,
Car consacrés
Au lien social
Et familial,
Point final.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi ne sait-on pas mesurer la douleur que provoque une colique néphrétique ? - Parce-qu'on ne la calcule pas
Jérôme de Mars
La vie est-elle belle ?
De bon matin
Qui sent le satin
Ou le sapin,
On est en légitimité
De s'interroger,
Si la vie est-elle belle ?
Avec de la mirabelle,
Où l'on fait son beurre
Ou est-ce-qu'elle est poubelle ?
Dans la déconfiture
Qui configure
L'ennui dans le déni d'une vie réussie,
Qui nous congédie et nous répudie
Dans les malheurs
D'autrui avec vicissitudes et turpitudes,
Que sont nos vies avec nos sales habitudes
D'existences les plus normales
Aux plus banales
Dans les rituels sacrés à l'autel,
Où l'on confesse nos problèmes
A Dieu qui les héberge pour untel
Avant la fin de nos vies,
Où il y a un requiem
Pour rendre hommages à nos qualités
Ou à nos plus valeureux défauts,
A ceux
Ou à celles,
Dont lui ou elle fut le héros
A l'irréprochable intégrité,
Car c'est lorsque les gens sont morts
Qu'on dit du bien
Avec remords,
Alors que quand
Ils sont vivants,
On est mesquins
Et déplaisants,
Où l'on cogite et pense
Pour savoir,
S'il y a encore
Des valeurs
Et des repères
Dans ce bas monde
Sans purgatoire,
Que l'on sonde
A la recherche du sain Père,
Et s'il existe, s'il panse
Nos regrets et nos angoisses intenses,
Et si la vie est-elle belle ?
Lorsqu'il y a le soleil
Ou si la vie est-elle poubelle ?
Lorsqu'il y a le gris du ciel,
De ce fait la vie est courte et on a qu'une vie,
Alors pardonnons aussi à nos amis et à nos ennemis
Même s'ils nous ont fait du mal qui dévie
Notre regard sur la vie,
Donc par conséquent faisons le bien !
Et soyons solidaires !
Dans ce monde si solitaire,
Triste et égoïste
Devant les jeunes et les vieux,
Et altruiste
Et pieux devant Dieu,
Comme la vie
C'est d'antan un paradis d'enfer,
D'en faire
Ce que l'on veut,
Amoureux ou haineux
Avec les gens obséquieux
Et sulfureux,
Et que quiconque n'est à l'abri
De rien
Dans la vie,
Dont il faut en tirer le meilleur parti
Pour être au final content,
Si bien que les gens dans le fond
Sont tout de même humains,
Sans amalgame et confusion
En ces jours incertains,
Car personne n'est complètement
Gentil ou méchant
Dans la vie,
Puisqu'on a un peu des deux
Entre le clair et l'obscur,
Et qu'on est tous capable du meilleur
Comme du pire,
Dont on peut en limiter les dégâts
Pour ne pas souffrir à l'avenir,
Dont nos différents caractères
Font notre spécifique nature
Ce qui fait qu'avec notre philosophie,
On en déduit que la vie vaut sans doute
La peine d'être vécue, même si parfois,
On n'a plus la foi,
La faute à subir trop de déroutes
Ou de fausses routes,
C'est sûr que le monde est ainsi fait
Et qu'on ne le changera pas,
Mais que si par notre contribution
Et notre action,
On peut un tout petit peu et un tantinet l'améliorer
C'est déjà ça
Même si c'est une goutte d'eau dans l'océan,
Car le jour où ça sera un monde par fée,
Alors la vie sera éternellement belle
Avec de la mirabelle,
Car ainsi plus belle sera la vie !
Jérôme de Mars
Un artiste est-il là pour apporter du rêve ou dépeindre la réalité ?
D'un coup de crayon, ci-possible avec des rayons de soleil, un artiste
Est là dans la mesure du possible pour apporter du rêve optimiste,
Que déjà la vie n'est toujours rose, comme le clame la vérité
Du bon Dieu d'autant qu'il faut rester pieux, pour affronter avec sérénité,
Les aléas de la vie si bien qu'en dépit, un artiste est là aussi pour dépeindre
La réalité, comme on n'est dans le monde des bisounours mais à craindre
Que la vérité ne soit toujours plaisante à entendre, alors qu'on préfère se détendre,
Avec les merveilles de la grande ourse, pour contempler les étoiles afin d'entendre
L'amour divin et Céleste, car je le martèle avec Saint-Charles, un artiste
Doit apporter du rêve, même simulé et par feint de l'humour feint non triste,
Puisque l'être n'est éternel, comme il chancelle tôt ou tard dans sa vie hédoniste,
Lorsqu'il ne peut réconforter les âmes fatalistes, qu'il peint en impressionniste,
Impressionné par les rebondissements de l'existence, en cours jamais figée
D'antan par conséquent, un artiste se rappelle d'un rappel lors d'un vernissage,
Qui coule l'oeuvre en aval, comme un artiste avale des couleuvres pas sages,
Qui lui restent en travers de la gorge du vers dont, il en conclut avec humilité
Qu'un artiste est là pour apporter du rêve, avec sincérité sans nier la réalité,
Mais qu'aussi, un artiste est là également pour dépeindre la réalité avec humanité,
Lorsqu'on ne peut la voir en peinture,
Tandis qu'on joue sur tous les tableaux d'honneur, de notre morte nature,
A bien des égards de pur saveur !
Où l'on reçoit un tableau d'honneur de nos valeurs,
En tant qu'artiste, qui résume parfaitement les aboutissants
Et les teneurs,
Du temps qui passe vite nous éloignant des remords,
Mais d'au temps qui trépasse et vite nous rapprochant de la mort,
Qu'on est les auteurs de notre vie, en tant que locataires
De notre bail,
Et qu'on en déduit que le ciel nous fait la nécro rétro, en tant que propriétaire
Le jour où il nous rappelle au royaume de Dieu en nous clamant
Dites good bail !
A vos amis sur la Terre,
Car en route vers l'inventaire,
De nos actes les plus humanitaires ou délétères,
D'où l'on nous jugera à part entière !
Au sein de l'univers puisqu'on vous salut Terre !
Jérôme de Mars
Par petits brins dévoués
D'un saut de cabri qui rend chèvres les moutons de Panurge,
Le bétail purge et expurge
Par petits brins dévoués,
Les animaux qui se sont voués
A renouer avec la paille du sérail,
Quand ils ne sont dans la paille mais qu'ils taillent
Leur long bouc de face avec une brindille,
Qui frétille et émoustille leur quadrille
Par petits brins dévoués,
Des vouées auxquels sont voués
Les brebis galeuses et râleuses,
Dès que le froid de l'hiver les rend songeuses
Avant le retour du printemps qui est chaleureux,
Avec un soleil exotique et somptueux
Par petits brins dévoués,
Desquels ont renoués et voués
Les animaux de L'Arche de Noë doux comme des agneaux,
Et qui respectent le pacte des domestiques bestiaux
Sur le bateau imaginaire et légendaire,
Qui longe la mer sur le radeau de la médusée histoires passagères
Par petits brins dévoués,
Des vouées aux bambins qui ont renoué
Avec le jour désavoué
Lequel a déjà avoué,
Qu'on vient bien d'un autre monde
Puisque par ailleurs il nous sonde
Au-delà de l'univers,
Dès qu'on traverse la frontière
En lignes parallèles,
Pourvu que la réception soit nickel !
Auxquels les réseaux d'amis ont voué,
Par petits brins dévoués.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi est-ce-que mon humour est-il de la méchanceté gratuite ?
- Parce-que j'ai déjà payé assez cher comme ça depuis le temps !
2) Pourquoi n'ai-je jamais les pieds sur Terre et que je suis toujours sur une autre planète ?
- Parce-que je suis Jérôme de Mars
3) Qu'est-ce-que je réponds à ceux qui me demandent si j'ai vu le film où il y a l'ennemi de Superman ?
- Je réponds Joker, je ne l'ai pas vu !
4) Pourquoi est-ce-que la nature de notre planète s'éteint-elle à petit feu ?
- Parce-qu'on est dans un mauvais environnement !
5) Pourquoi Raymond Poulidor était-il un fou de cyclisme ?
- Parce-qu'il avait des petits vélos
Jérôme de Mars
Le couple d'oiseaux bat de l'aile !
Couplet du même refrain,
Il est d'un ciel certain
Que les oiseaux ont besoin
De s'accoupler avec volupté,
Depuis que leur puberté
Les a autorisés à s'émanciper,
En cultivant le jardin
Secret de leur amour,
Quand arrive leur tour
Qu'attire d'ailes
Les oiseaux fusionnels,
Qui roucoulent d'amour
Dans un slow qui les entoure,
Avant que le couple d'oiseaux
Batte de l'aile,
Avec des problèmes de fuites de mélos
Déjà que l'eau coule de source et s'enfuit avec la source
Dans une courses aux sentiments qui manque de ressources,
Dont leur cause méritent d'être fendue
Même s'ils ont goûté au fruit défendu
Du couple d'oiseaux qui bat de l'aile,
Attire d'ailes des tourterelles, avec leur belle ritournelle,
Qui se déchire le bec
Et en se bécotant en prises de becs de mots très secs,
Dont leurs ailes se brisent à la brise du vent édulcorant
Leur désinvolture charnelle qui joint le geste à la parole,
Car ce qui compte, c'est le geste permanent,
Qui offre aux oiseaux volages le droit à un vol
Long courrier, où le couple d'oiseaux qui bat de l'aile
Reçoit sa demande de divorce attire d'ailes,
Car ces demoiselles se la racontent pucelles
Et plus en oiseaux de Ménestrel,
Comme le spectacle doit continuer !
Jusqu'à la proximité et la promiscuité,
Du jour et de la nuit en triomphe intemporel
D'un couple d'oiseaux qui bat de l'aile !
Attire d'ailes !
Jérôme de Mars
L'origine des maux
Animaux à demi-maux,
Quel est l'origine des maux ?
S'ils sont radicaux
Et qu'ils ont une langue de vipère,
Qui contient tous les maux de vocabulaire
Ponctués de signes qui alertent si ces bons signes
Jouent à la virgule prêt au point virgule,
Qui fait le point en prenant tout au pied de la lettre
De la racine des maux qui se met en majuscules,
Et qu'on met entre parenthèses
Le temps de connaître l'origine des maux,
En des maux savants qui se tuent à la tache avec du dissolvant,
Trois points de suspension, on suspend le temps...
Dans un néant pas possible qui scande en citation,
Incitation à l'haleine raciale de l'origine des maux,
Méli-mélo comme les lolos sortent du lot,
Au sein des phrases dont l'origine des maux
Est très radicale si elle se conjugue par tous les temps,
Au passé qu'on a composé au présent un parfait
Qui ordonne en impératif de composer l'indicatif du numéro
De téléphone par où les sons Anglo-Saxons sonnent-ils faux ?
En filant à l'Anglaise ballot au bas lot comme il est sot,
D'être le garde par mégarde des soubresauts à l'assaut
De l'origine des maux si on remonte bien à la racine des gens,
Que Jean Racine contrecarrait par la racine très carrée
Au périmètre carré dont on trouve heureusement la racine
De l'origine des maux avec le pivot du Saint-Bernard,
Du génie des maux, point d'exclamation ! Si bien que je vous pose
Quelle question ! en point d'interrogation ? Dans quelle cité s'agace-t-on ?
Si on s'agace en sagace cité, comme c'est terminé de citer la saga incitée,
Point d'affirmation avant le point de conclusion de l'origine des maux,
Qui a sa racine radicale carrée par l'intelligence
Qui fait couler beaucoup d'encre,
En y laissant des plumes.
Jérôme de Mars
Masque singeait !
Oh ! bas les masques !
Je m'en débats les masques,
Comme je porte un masque
Pour masquer mes frasques,
Alors que s'il tombe !
Hauts ! Débats les masques
D'outre-tombe,
Avec des hauts et des bas des masques !
Comme et mission Mask Singer
De mon message messenger mensonger,
Quand mon masque singeait
Masque Singer à la une !
De ma double face obscure en lune
De fiel ou de miel avec couverture
Et la devanture,
Comme j'ai tout fait sur l'oreiller
Dès que mes messages controversés
Ont déversé la haine sur les arènes
De Nîmes qui animent ma mise aux abîmes,
Qui drainent une rengaine,
Certes pas légitimes, mais qui enveniment
Masqué et à moitié divulgué
Mon masque de victime qui décime
En Caliméro !
Les écimes dans la dîme,
Où je paye plein pot, le poto rose,
Lorsque j'ose mettre de la cirrhose
Dès l'ivresse de mes mots
Dont je jette tout le matos sur le pack beau,
Qui me mène en bateau loin de l'eldorado,
Où je démets bas ! les masques en oh !
Dans les bats et les hauts,
Dont je m'en débats bien bas les masques !
Où je porte hauts ! mes frasques !
Dans un programme sur mesure
De ma nature en déconfiture,
Car masque singeait
Le programme à la une Mask Singer,
Où je porte un masque
Jusqu'au jour où il va tomber dans mes frasques,
Dont je porte la casaque sur mon casque
Que j'emporte et que je casque
Dans un masque qui masque ma figure,
Cache mes blessures et mes fissures
Dans un semblant de bonne nature,
Où je dissimule mes vergetures,
Avec des ratures sur mon écriture
Que je jette en pâture,
Quand je me coupe l'herbe sous le pied
Et pas seulement dans mes vers de paroles en douze pieds
Dans les parages
Et par âges,
Où le final de mon message,
C'est portez vos masques en hauts !
Tant qu'ils sont en oh !
Du sommet où vous n'avez
Pas besoin de vous cacher,
Mais de porter et d'emporter
Votre masque songeait
Mensonger au message de messenger,
Comme à la une Masque Singer,
Puisque au masque singeait
Le fond de la vérité
Dans une part de sincérité,
Faute désavouée
Et à moitié pardonnée !
A l'accoutumée des frasques,
Hauts ! des bas les masques !
Oh ! débats les masques !
Hauts ! bas ! les masques !
J'en débats
Et je m'en débats
Au bas haut du baobab au bât !
Jérôme de Mars
De Jérôme à Géronimo
Moi, Jérôme d'un je d'enfant,
J'ai été l'éternel incompris et méprisé comme le Joker,
Dont je m'en fais des films où il faudrait
Que j'ai un pacemaker,
Après tout ce que j'ai pris dans la gueule,
Comme un bégueule casse-gueule
Dans mon cœur de rancœur,
Où l'on ne m'a pas considéré,
Et jamais pris au sérieux juste catalogué
Comme un clown et un bouffon,
Avec que des remarques désobligeantes
Et gênantes
Dans le tréfonds, comme je me morfonds,
A être le bouffon du désarroi,
Car si tout le monde me dit pousse-toi !
C'est à cause des gênes héréditaires
Occasionnées par mon côté cent gènes
Et anxiogène,
Où ma colère me pousse à commettre des sacrilèges,
Lorsque mon flair m'affaire
A n'en a avoir rien affaire
De ce que l'on pense de moi où j'aspire à la vengeance,
Et à me faire justice, d'où le privilège
De ne rester enfant après avoir été tant dans la loi du silence,
A demander réparation du préjudice subi par la violence,
Qui se banalise en accoutumances,
Car trop de sortilèges
Dans une vie en de ça très dramatique
Et fanatique,
Avec une bombe à retardement qui risque de s'embraser
En actes patibulaires et incendiaires,
Puisque je ne me suis jamais fait respecter,
Et que je me suis toujours laissé dominer
Dans une posture de subordination,
Car cependant, je n'ai jamais eu le dernier mot,
Et que ça fait très mal de traîner
Tout cela comme un boulet maboule
En perdant sa lucidité de ma boule,
Mais où là, je crie que ça fait trop,
Et que je n'en peux plus des quiproquos
Dans des imbroglios
De mon cerveau en altération,
Où j'ai été Jérôme
Durant mon enfance à l'innocence
Coupable de m'être trop longtemps tu,
Alors que je tue
Les bourreaux de mes maux,
De ma vie mise dans la défaite accomplie
En un visage en mille morceaux,
Et en lambeaux car je suis dans le chaos
Et que je n'ai plus rien à perdre mais tout à gagner,
A me révolter en mots
Et textes crus,
Qui se sont accrus
Depuis que Jérôme
A fait place dans le surplace
A Géronimo,
Adulte
Dans le tumulte,
Comme le joker qui a besoin d'un pacemaker,
Pour réparer son cœur
Qui n'en a rien à battre en disgrâce,
Grâce et à cause du déshonneur et des malheurs,
En deux je de mots qui vont crescendo
Jusqu'à la montée d'adrénaline,
Dont se dessine le fiel que je butine,
En un gros hématome, feint de cet aima tome.
Jérôme de Mars
Les champs élisaient
Souviens-toi dans les champs des alizés !
Le vent de l'Elysée faisait
Que la lettre Et lys et moi
Chantonnait en générique d'émission l'hymne à la voix,
Lorsque les champs élisaient
La joie,
Qui trouvait sa voix
Dans la croix et la bannière
Avec l'art et la manière,
Lorsque les champs élisaient
A contre-champ l'alizé,
Qui soufflait le vent de l'Elysée
Qui élisait
La lettre Et Lise et moi
Dans des choix,
Qui déchoient
Lorsque les champs élisaient l'alizé,
Voient L'Elysée
Et dévoient L'Elysée
Dans des voix,
Avec voix sans issue
Qui sue des sues, déçues
Sur place de la plus grande place,
De Paris comme dans un palace
Sur la place des boulevards,
Lorsque les champs élisaient,
Elysée l'Elysée-Montmartre
Dans le champ des alizés,
Qui élisaient Et lys et moi,
Dans la lettre
Elise et moi
En prenant tout au pied de la lettre,
Lorsque les champs élisaient
L'Elysée en trouvant sa voix
Parmi les voix en joies,
Car chacun a sa place, à sa place
Sur place du surplace,
Lorsque les champs élisaient
L'Elysée Elise et moi jusqu'au vent
Du champ de l'alizé !
Des champs Elysées et lys et moi,
De vous à et Lise et moi,
Point final de la lettre !
A Elise et moi au pied de la lettre !
Jérôme de Mars
Jardin d'amour
Paris en apothéose,
Un seul domaine porte éclose
C'est le jardin d'amour,
Qui se cultive tous les jours
Dans le jardin secret,
Qui taille les haies
Mais qui flirte sur un je t'aime
Au lieu d'entretenir la haine,
Qui parsème le requiem
Dans le jardin d'Eden,
Puisqu'il vaut mieux
Un jardin d'amour,
Pour donner raison
Joyeux et radieux
Aux troubadours,
Qui regardent de loin
La maison des différentes saisons,
Entre passion et inclinaison
Du soleil qui butine le miel
Du jardin d'amour,
Dont le fiel
Contamine les abeilles
En de mauvais contours,
Qui dessinent des vautours
Pour manger tout l'amour,
En le défrichant
En jachère,
Et en le mettant
Aux enchères
Dans de l'amour sans velours
Du jardin d'amour,
Qui n'aime des amours
Et sème désamours pour toujours,
Alors que le jardin d'amour
Se cultive pendant les beaux jours,
A Paris au jardin des plantes
Près de la fontaine,
Qui jaillit avec les fables De La Fontaine
Au jardin du Luxembourg,
Qui plante
Au jardin des Plantes
Toute la graine,
Qui s'égrène
En un grain de folie
Dans le jardin d'amour,
Si jamais il fait la cour
Dans la cour des grands
En vivant le moment présent,
Car merci
Pour cet amour fleuri,
A chaque instant chéri,
Avec vous chère tendre amie !
Dont je vous chante d'entrain
A bientôt au petit matin !
Jérôme de Mars
Outre-mère d'outre-tombe
Trombes de maux,
Il pleut des trémolos
Et des sanglots !
Dans les voix de métaux,
Qui ont un métro
De retard,
Pour suicider leur tare
Avec l'influence post mortem,
De leur mère mise en terre délétère,
Avec bien des problèmes
A résoudre depuis l'outre-mère,
Comme il manque l'amour des repères,
Dans ces paroles d'un fils déchu
Et dissolu, dans des doutes à jamais résolus,
Que je dédie à ma mère, outre-mère d'outre-tombe !
Ce qui fait inexorablement, je pleure dans les catacombes,
Qui plombent et surplombent, tout ce qui me plombe,
Avec regrets et remords, depuis la mort de ma mère,
Qui laisse une note salée, à L'Océan Pacifique à mère,
Parce-qu'auparavant, je n'ai jamais réussi à apercevoir la lumière,
Près du soleil d'hiver, qui faut le dire ! prenait souvent des courant d'aire,
Pour respirer un ciel serein, et être debout face à l'univers,
Face en surface de caractère, devant ma mère d'outre-mère,
Et d'outre-tombe sous un sol d'outre-terre,
A me souvenir de ses rires et de ses colères légendaires,
En sauvegardant sa volonté première, que je laisse allumer la lumière,
Même si son absence, respire toujours l'ombre partenaire de ma misère,
Puisque inéluctablement je demeure réfractaire !
Depuis que l'amère lui a susurré à l'oreille,
Tu meurs maligne avec ton soleil mitigé de parcelles,
Où part celle qui fut ma mère !
Au paradis d'enfer de ma mère d'outre-mère,
Pourvu que l'outre-tombe
Ne tombe dans les catacombes, car à qui ça incombe
D'oublier ma mère,
En guise de sa lumière charnière,
Où je termine en ces maux, vive l'outre-mère,
D'ici ou d'ailleurs d'outre-tombe, chemin visionnaire,
En route vers un avenir propice, sans messes basses,
Même si la messe funèbre de ma mère, ne fut basse mais à contrebasse,
Où je brasse en cette direction d'un pas las,
Comme je vous embrasse tous dans un palace,
Consigné Jérôme le sagace ! qui s'agace
De ce passage fugace, mais heureusement tenace,
Horizon en marge,
Où je prends désormais le large,
Embarquement immédiat !
Sur le bateau qui vogue,
Pars là-bas alléluia !
Qui clôt cet épilogue.
Jérôme de Mars
Café olé olé
Mare de café au lait,
On a picolé
Au café olé olé,
Qu'on a collé
Au café o'laid,
Qu'on a accolé
En amarre du café o'laid olé,
Et qu'on a racolé
En a marre du café olé o'laid,
Dont on a enrôlé
La mare du café olé olé,
Qu'on a bricolé
O'laid,
Auquel on a caracolé
Olé
Dans un tollé olé o'laid
Du café olé,
Oh ! les cafés !
Que le café olé,
On le préfère café au lait !
Jérôme de Mars
Point sensible
Pour un motif,
On est émotifs
Et motifs
Au moindre motif
Qui devient un point sensible,
Lorsqu'on pète les fusibles
Du fil qui n'est extensible,
Quand on est sur le fil du rasoir
Qu'on arrache à la date butoir,
D'où l'on broie que du noir
Sur du café noir,
Oh ! y en a mare du café qui sent le purgatoire,
Quand on perd espoir
Sur un point sensible
Qui n'est risible,
Comme on le ressent illisible
Et invisible
Sur un point sensible,
Où l'on n'est réceptifs
Puisqu'on est captifs
De notre cerveau immobile
Aux idées volatiles,
Mais dès que le mobile
De notre mobile
Redevient quelque chose d'extensible,
Tout nous paraît de nouveau lisible
Et visible
Sur un point point sensible.
Jérôme de Mars
La mer a une note salée
Piano timbrée sur la tablée,
Les maréchaussées marchent sur la chaussée,
Chaussée crampon qui a une haute opinion
Scellée sur du papier cellophané,
Qui renverse la vie qui n'est un long fleuve tranquille,
Si bien que la mer a une note salée
Tapée par le piano qui provoque la saison
De l'horizon qui lézarde le chausse-pied ensablé,
Par les cailloux anguilles sous roches, qui aiguillent
Les palmes du festival de Cannes en déversant,
La morue des poissons qui fredonnent le courant,
De l'eau emporté par le mistral gagnant intensément,
Dans un roc endiablé d'un cœur de pierre à l'édifice réjouissant,
Tandis que la mer a une note salée,
Sucrée salée parmi les volontaires flibustiers sur la côte large et esquissée,
Du sourire du soleil dans une déconfiture, au parfum de fraise,
Qui fait son beurre dans la terre ferme et glaise,
Eblouie par les falaises de la musique qui adoucit les mœurs,
Choyées, lorsqu'elles étaient B.B dans les bras de leur nurse,
Qui marchent vague à l'âme et qui restent vagues,
Dès que la mer a une note salée
Et qu'elle échoue sur la côte jusqu'à Prague,
En demeurant vague sur la vague déferlante,
Où d'ici la mer s'éteint au fil des étoiles filantes,
Qui a la courante extinction des feux
Depuis le piano sur sa queue,
Au creux de la vague ensablée
Mouvante sur le temps du sablier,
Qui s'écoule
Coule, découle et roucoule,
Depuis que la mer a une note salée.
Jérôme de Mars
Cocotte minute ex presse
Embargo, j'ai un lumbago
Comme j'ai bon dos !
Avec ma cocote en papier
Dont j'écris des textes
Que je triture en prêt texte,
Comme je suis une cocotte minute ex presse,
Qui va exploser de sa cocote minute express
Dans le crime de Lorient express
Coûte que coûte quoique ça m'en coûte,
Puisque personne me m'écoute
Dans mon cerveau consumé par mes excès,
Aux ruminations infondées mais fécondées
In vitro en restant sur le carreau
D'un mal de mère très contrario,
Dans l'allégro, car illico presto
Ex prêt et ex spray comme
Dans la com',
Je ne fais exprès mais que c'est tout comme !
Le jour où ça va sauter et sursauter
La cocotte minute express,
Qui explosera dans ma cocote en papier
A la minute ex presse,
Comme j'oppresse toute cette revue de presse-citron
Mélangé dans un zeste de presse orange menu haché ,
En un poison qui mord à l'hameçon
Et qui est un garçon manqué,
Comme enfant j'ai tout manqué
Et que j'ai manqué de pleins de choses
Dans les ecchymoses et la sinistrose,
Presse purée épurée
Où je scande purée !
Dans le faitout,
Comme ça fait tout
Et puis c'est tout !
Jérôme de Mars
Avoir une parole et tenir parole !
Paroles d'amis
Et de famille,
A l'heure où je vous parle
Avez-vous une parole ?
Et tenez-vous parole ?
Dans ce tant de paroles
Que je vous adresse en farandole,
Avec mon franc-parler, parler franc ces
Par les Français, parler Français,
Où il faut qu'on reste francs ces
Par les Français, par les francs ces
A parler Français à part les Français,
Car c'est Français d'avoir une parole
Parmi ces Français qui tiennent parole,
Et qui enrôlent avec ou sans bémol
Dans l'alpha oméga de la baie molle,
Où il est important d'avoir une parole
Et de tenir parole,
Par Les Français parler Français
A part Les Français,
Qui n'ont pas de parole
Et qui ne tiennent pas parole,
Comme ils sourds d'oreille
A mauvaise entendeur sans soleil
Et muets de leur bouche,
Mais qui débouche
Comme certains peuvent lire dans les lèvres,
Bec de lièvre,
Et que même s'ils n'ont pas de parole
Qu'ils peuvent entendre,
Il peuvent tout de même tenir parole
En faisant des gestes d'orfèvre
De leur bec de lièvre,
Et de leurs mains en fièvre
Et avoir peut-être une parole
Sans entendre pour désormais la porter sans bémol,
De façon à ce que tout le monde s'entende bien et tienne parole
En ayant une parole d'amis
Et de famille,
Si on vous écrit les paroles
De la chanson pour avoir une parole
Et tenir parole !
Jérôme de Mars
Paroles d'amis !
Dans ce monde qui déambule, voici des petites bulles avec des paroles d'amis :
Jean-Paul :
Jérôme : " - Cher Jean-Paul, bon anniversaire ! "
Jean-Paul : " - Merci mon ami, pourquoi es-tu essoufflé ? "
Jérôme : " - Car à force de tenir la chandelle pour donner un nouveau souffle à tous les anniversaires !
Guillaume :
Guillaume : " - Veux-tu qu'on fasse la quiche aux poireaux ce soir ? "
Jérôme : " - Oui, je veux bien, à condition de ne pas dégorger le poireau. "
Christophe P :
Christophe P : " - Lascar, pourquoi ne m'appelles-tu jamais ? "
Jérôme : " - Car je ne veux pas te déranger ! "
Christophe P : " - Tu ne risques pas de me déranger car c'est toi, le dérangé !
Philippe :
Jérôme : " - Pourrais-je fêter avec toi le réveillon de Noël et du Nouvel An ? "
Philippe : " - Oui, à condition mon cher Jérôme, qu'on fasse une bonne fin d'année et pas que tu me dises réveillons une bonne fin damnée ! "
Docteur Penot :
Jérôme : " - Cher Docteur Penot, comment se fait-il que vous soyez apaisé et moi torturé ? "
Docteur Penot : " - Mon cher Jérôme tout simplement parce-que toi tu n'as jamais eu d'histoire d'amour, et que donc tu es dans la préhistoire du Moyen Age et que moi, j'ai atteint le grand âge d'avoir connu pleins d'histoires d'amour ! "
Serge :
Jérôme : " - A ton avis Serge, pourquoi toi et moi, on se comprend bien ? "
Serge : " - Je vois pas, te sers-je le ver de la vérité ? "
Jérôme : " - Pas besoin Serge, tu me l'as déjà sorti ! Je pense que tu es un mélancomique très Funès avec finesse et que moi, je suis un mélancolique très funeste cent finesse ! "
Brigitte :
Jérôme : " - Ma chère Brigitte, pourquoi n'aimes-tu pas Facebook ? "
Brigitte : " - Parce-que pour moi, c'est un réseau asocial d'amis virtuels et que moi, j'ai mon propre réseau d'amis très réel dont toi avec ta face de bouc ! "
Alexandre S :
Jérôme : " - Pourquoi ne te rases-tu pas souvent ? "
Alexandre : " - Car tout me rase comme je suis poil à gratter et que je te retourne la question ! "
Jérôme : " Car ma vie est rasoir et que je me mets à nu dans mes textes en étant pile-poil ! "
Adel :
Jérôme : " - Pourquoi avec ton portable, n'envoies-tu rarement de SMS et que tu préfères appeler tes amis ? "
Adel : " - Tout simplement parce-que c'est là que j'ai trouvé ma voix quand tu n'as pas compris le message ! "
Boris :
Jérôme : " - Pourquoi toi et moi Boris, on a un côté OVNIS ? "
Boris : " - Parce-que toi, tu viens de Mars et que moi, je viens de Vénus ! "
Jérôme : " - Non, tout simplement parce-que tu n'as pas les pieds sur Terre, que tu es dans une autre planète et que moi, j'ai six pieds sous Terre ! "
Edwin :
Jérôme : " - Pourquoi m'as-tu dit l'autre fois que j'étais aigri, amer et méchant et qu'il fallait que je me fasse soigner ? "
Edwin : " - Car tu es ton propre médicament et que tu es interné dans ta folie quand tu me médis : mon cas m'isole ! "
Jérôme de Mars
L'automne était Indien
File Indienne,
De ma mer Indien
Sur la mère Indien
De L'Amérindien,
La pluie est lointaine
Et présent l'automne était Indien
D'un été Indien de Joe Dassin,
Qui durait Azuréen
Jalonné par un soleil adultérin,
Qui trompait sur le terrain
La lune avec le ciel libertin,
Comme l'automne était Indien
De l'amer Indien,
Qui égrène
Des chaleurs anormales et diluviennes,
Auxquelles on engendre
Le beau temps en gendre,
De qui a jonché les feuilles de l'automne
Tapies sur le sol qui a bronché atone,
Avec l'influence du ciel bleu capricieux,
Qui accorde son pardon à l'automne
Qui était indien,
Avec l'eau tonne qui tonne
De milliers de brins
De rayons de soleil fixes,
Que fixe au beau fixe
L'automne qui endurait l'été Indien,
Une fois que l'automne était Indien
Et puis donc plus rien !
Si bien qu'on fait le point noir
Du fin mot de cette histoire.
Jérôme de Mars
L'exil des âmes éraflées
Au fleuret effleuré d'une épée de Damoclès
M'était contée la Comtesse,
Qui de par sa paresse
Me vantait les louanges,
En lettres de noblesses
De la vie des anges,
Qui battaient de l'aile
A tire d'aile,
Dès l'exil des âmes éraflées
Au fleuret effleuré
D'une épée de Damoclès,
En crime d'alèse-majesté,
Qui dormait sur ses lauriers
En couronnes de désarrois en osier,
Dont les auréoles
Me rappelaient les chants créoles
De L'Outre-mère,
Comme une loutre amère
Aux habits bariolés,
Et à l'ambiance de savane
Du sillon au parcours de leur caravane,
Qui empruntait la déroute des bananiers
Et des douaniers,
Qui se dédouanaient plantés là comme des arbres
Sur leurs arbres,
Perchés et trempés
De l'enclume de l'esclavage,
Qui faisait ravage et rivage dans un virage
Qui tombait à l'eau dès l'exil des âmes éraflées,
Au fleuret effleuré
D'une épée de Damoclès,
Humide de tristesse et de détresse
Dans des sentiments mitigés,
Et partagés
Par l'exode murale qui allait vers le mur
De la nature immature,
Comme des oiseaux qui survolent actuellement l'exode rural
Pour dénicher leur nid d'un pied-à-terre en période australe
D'un meilleur monde à l'avenir astral
Et amical dans une politique moins libérale,
Mais davantage sociale et florale,
Comme l'extase des fleurs qui recommandent
A la demande de panser aux amendes
Honorables pour servir et asservir une table endimanchée,
Par un agréable dimanche de circonstances enjolivées
Dans la beauté incarnée dès l'exil des âmes éraflées,
Qui est contemplé et décompté par la prêtresse
Lors de la fin de vie maîtresse de la Déesse,
Au fleuret effleuré
D'une épée de Damoclès,
Quand s'éteint la Comtesse
Faiseuse d'histoires,
Epiée sur le boulevard des racontars,
En un au revoir
Et à un de ces jours peut-être sur le tard !
Jérôme de Mars
Les vers me mangent
Délétère sous terre
Sans commentaires,
J'exprime en vers
Des thèmes élémentaires,
Complémentaires et supplémentaires,
Comme ma colère me démange,
Quand les vers me mangent
Sous terre austère
De la pire misère,
Que me rapporte le soleil qui pleure
Sous la pluie des orages à fleur
De peau et du chaos,
Quand les vers me mangent
Et que les revers me démangent
En me faisant la peau
En peau de chagrin,
Qui jette son venin
Dans la mélancolie
Et la folie
Des nuits qui reflètent les mots des faux
Et sonnent faux,
Comme je les traduis,
Les induis et les déduis
Sous terre austère
Du ministère,
Quand les dix vers de colère me démangent
Et que les vers divers me mangent
Dans le soleil de l'hiver,
Qui m'enivre statutaire
Et tutélaire
De la colère qui monte protocolaire
Dans un silence de vers,
Où je prends un ver délétère,
Hauts vers de rage, qui m'inspirent de la peine planétaire
Au magnéto précaire
Sur les hauts de scène, où je termine ces vers,
Qui me démangent
Sous terre
Le jour où je réécris des vers salutaires,
Qui me mangent
En paroles d'argent pécuniaires
Linéaires dans mon profond imaginaire,
Pour toi Voltaire,
Vole terre, en variés et divers volontaires
Que je ponctue signé Jérôme
Dans l'arôme,
Et consigné Géronimo en très mollo,
Car y a photo dans la rétro du rétro !
Jérôme de Mars
J'ai les gênes de ma mère !
Noël ma mère !
A été conçue
Dans l'absolu
De façon patibulaire,
Avec le suicide
Et acide
De son grand-père,
D'où j'ai les gênes
De ma mère !
Au noël amer
Des gênes héréditaires,
Cent gênes
Occasionnés indigènes
Par hein dix gènes,
Aborigènes et anxiogènes,
Qui me gênent
Sans gênes,
Comme j'ai les gênes
De ma mère,
A Noël ma mère !
Anxiogène
De mon état indigène,
Ah ! les tas aborigène
Au noël amer,
De l'arche de Noël ah mère !
Du noël ma mère,
Où j'ai la rébellion
Car réveillons
Les morts !
Du bout de mes remords
Au réveillon amer,
Oh ! Noël ah mère !
Où sont mes repères
De ton grand-père
Au repaire désacralisé,
Comme j'ai les gênes
Héréditaires et patibulaires,
De ma mère
Occasionnée
Par les gènes anxiogènes
De mon état aborigène,
A l'origine indigène
Ah ! un, dix gènes !
Cent gènes
Et sans-gênes,
Ah ! qui ça gêne !
Transgène
En transe gêne,
Dont mes gènes
Héréditaires
Et occasionnées
Me causent un Noël amer,
Car oh ! Noël ma mère !
Dont les gènes anxiogènes
Ah ! les tas indigènes !
De mon état aborigène
A l'origine transgène,
En transe gêne
Hallucinogène,
Hétérogène
Et homogène,
Aux mots gênent
Mes maux anxiogènes,
Qui me gênent
Hein dix gènes !
Dont j'ai les gênes
De ma mère,
Gène héréditaire
Et occasionnée,
Ah ! Noël Mamère !
De l'amer Noël à mère !
Ah ! mère
C'est Noël ma mère !
Jérôme de Mars
Te sers-je un ver de l'amitié, mon cher Serge ?
Mon cher Serge,
Si tu savais
Comme tu me connais,
Me permets-tu de te demander ?
Te sers-je un ver de l'amitié ?
Mon cher Serge,
Où je répète en boucle
Comme la boucle
Est bouclée
Et entourloupée,
Dans ma déroute
A l'accoutumée,
Où je me pose
Comme question,
A quoi sers-je ?
Dans l'inconnue de mon équation,
Où si tu savais Serge,
Comme je suis perdu
Et totalement dissolu
Dans ma vie irrésolue
Dans le plus absolu,
Où j'espère que tu disposes
D'un créneau
Pour lire ce texte,
Vu le con texte
De la décrépitude
De mon état,
En décomposition avancée
Avec des mauvaises habitudes,
En les tas
De ces tristes choses,
Qui sont la cause
De ma décadence consumée,
Largement entamée et rétamée,
Où te sers-je un ver de l'amitié
Et de la fraternité ?
Avec réciprocité et loyauté,
Mon cher Serge,
Depuis le temps qu'on se connaît
Au bar des vieux copains
De l'ancien bistrot
Du troquet,
Qui a troqué
Ses potos,
Qu'il rembarre en pseudos
Soi-disant connaissances de vrais-faux amis voisins,
Avant que je me barre
Lointain et Azuréen
Avec ma tintamarre,
Comme j'en ai marre
Et que j'ai envie de larguer les amarres,
Où mon cher Serge,
Te sers-je un ver de l'amitié frais ?
Payé à mes frais sur mes propres deniers,
Comme je vis au jour le jour
En ne sachant ce que demain
Me réservera comme vilains
Tours en détours,
Jusqu'au prochain jour d'un nouveau resto
Entre potos,
Mon cher Serge,
Où en cet instant fatidique
De mon état très critique,
Tu me demanderas si de par mes revers en difficulté
Dans l'égalité en légalité,
Te sers-je un ver de l'amitié ?
En trinquant pour une bonne fin d'année
Sans difficultés,
Même si avec mes difficultés,
Ce sera pour moi une bonne fin damnée.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi une femme a-t-elle plus de principes qu'un homme ?
- Parce-qu'elle a ses règles !
Jérôme de Mars
Le je de sévérités
Plié en quatre repassé,
Je me mets en quatre dépassé,
Car mon intégrité
Et ma dignité
Sont en je,
A force de jouer avec le feu
Ce qui m'amène
Dans l'amen
De Dieu,
A déjouer au je de sévérités
Avec ces vérités,
Comme je ne suis pas un Sain
Mais un mâle Saint,
Qui clame qu'il veut
La guerre,
En invoquant le salut d'Hitler
Ah que aille !
Haut que tu souffres !
Du souffre
De tes entrailles,
A vouloir l'anarchie
De ta vie en autarcie,
Où tu scies
Les branches sur lesquelles tu es assis,
Comme on ne refait pas le monde avec des si
Puisque tu n'arrêtes pas sur Facebook
De prôner la haine,
Avec ton haleine
De vieux chacal qui pue ta face de bouc,
Quand tu médis
Vivement qu'il y ait une guerre civile,
Vivement qu'il y ait une fin du monde indocile
Et vivement Le Pen
Au pouvoir
De tes déboires,
Comme si déjà Marine
Ne te peine
Suffisamment dans ta colère,
Qui sent le frigidaire
Du passé périmé,
Avec ta bouche décousue et mauvaise langue
De vipère
Exsangue qui tangue,
Comme là tu meurs malignes
De ta mère indigne,
Où je joue au je de ces vérités
Avec sévérités,
Comme ma vie dévie est en je,
Où je ne me cherche aucune excuse,
Comme j'accuse
Le coût de tous ces coups de Trafalgar,
Où je m'égare hagard,
Comme je ne sais où je me gare
Perdu, éperdu
Dans mon comportement absolu
Et excessif,
A la racine
Contrecarrée de mon état malentendu,
Avec des sous-entendus
Distendus et évasifs
Dans les récifs anguilles sous roches de mes taux,
Dispersés et éparpillés
Dans de l'eau en cristaux,
Avec la partie émergée
De l'iceberg,
Qui me glace nice berk
En me grillant sur le grill,
Dont je suis l'invité à éviter
Et à avorter
De ma mère morte-née
Et amorphe contrariée,
D'où mon état des lieux
Aux dégâts brumeux et nébuleux,
Comme je joue au je de sévérités
Avec ces vérités
Pas bonnes à étaler
Sur la place impudique,
Avec ces vices publiques
Dû à mon passé,
Cabossé et surpassé
De par mes absurdités,
Avec mon tempérament sombre de sa cruelle férocité
Dans une saga cité,
Où je vis dans ma cité en saga citée,
Car mon ami Edwin
M'alarme sur mon état préoccupant
Et inquiétant,
En me conseillant
D'aller me faire soigner
Et hospitaliser,
En appelant à l'aide
Et en épelant le miraculeux remède,
Après avoir tant saigné
Mon sang d'encre à lui déverser
Toute ma haine controversée,
De ma personnalité déloyale et abîmée
Par ce monde égoïste, abyssal et décrié
A la criée contrariée,
Avec ses paradoxes et ses contradictions,
Dont j'ai payé trop souvent l'addition
Dans des addictions, où je fume qui a allumé la haine
A force de tenir la chandelle
Qui chancelle le feu de ma rengaine,
Où je joue au je de sévérités
Avec ces vérités,
Pliées en quatre,
Où je me mets en quatre
Pour tenter de ne pas prendre le pli
De cette vie qui dévie vis-à-vis
De mes racines,
Où il faut que je remonte à la racine
En un gens racine,
Sans courber l'échine
Mais à réparer la machine,
Pour qu'elle reparte en allant de l'avant,
Comme l'avant-guerre et l'après-guerre
Pour ne plus que naguère,
Et jadis, je sois déviant,
De sorte à ce que je prenne les devants
En je de ces vérités
Car ma vie est en je de sévérités,
Au mare de café nuageux
Et ombrageux,
Alors autant de ce fait que je me plie au je des quatre vérités
En me pliant en quatre
Pour me mettre en quatre
De sévérités,
En ces vérités et ainsi contourner le passé
Pour ressusciter et me tourner vers un avenir outrepassé,
Et en vivant le temps présent
Dans un présent
Plus que parfait,
Au pluriel de rouvrir les ailes
Par fées essentielles.
Jérôme de Mars
Le temps est-il le reflet de la société ?
A temps, assis-toi sur un banc !
En regardant le miroir de la société
Comme la firme, l'affirme le reflet,
En s'interrogeant avec curiosité
Désarmante si les gens sont aimants,
Ou haïssant tire-aux-flanc, nonobstant l'aura d'étang
Moderne qui se détend subalterne et veut la vérité
Libérale de si le temps est-il le reflet de la société ?
Entre le miroir aux alouettes et eaux alouettes au miroir
Déformant, comme les cormorans au fond d'un tiroir
Sont de drôles d'oiseaux délurés, à songer et à incarner l'antivol
Des voyous casse-cous, qui font coucou au bémol
Des gens qui ne tiennent paroles mais juste en surface de l'eau,
Allo, ça tombe à l'huile la sueur ! en façade, où ça découle de trémolos
De si le temps est-il le reflet de la société ?
Et de pourquoi les gens sont-ils égoïstes et arrogants ?
En prenant tare aux gants inélégants soit disant
Dit, en trépassant sur le sol maudit des briseurs de rêves au vent,
Qui cause l'ouragan du désespoir déviant,
En ne sachant où, en allant dans l'allant de l'élan
Des gens aux tourments pleurant
A gauche, les cocos du val qui dévale De Marne,
En secouant les noix de cocos qui émanent à la droite du Tarn,
Dans un cocorico qui plante là, la déco en peaux de crocos,
Dans la loco illico d'un petit coquelicot,
Qui envoie des fleurs aux cocos,
En vases clos communicants et communistes en communion,
D'un vol républicain sur la réunion dans une libre union,
Où l'on déchante de si le temps est-il le reflet de la société ?
Dans une société du profit flétri et endolori qui en rit de sagacité,
Et veut amadouer les gens doués qui louent
Les allocations qu'ils allouent en vieux loups
Solitaires, comme un artiste soliste sur La terre, fertile en négations,
Et de savoir si jamais, ils jouent les authentiques rébellions,
Est-ce-qu'ils deviendront l'abnégation ?
Du bien et du mâle en tout et pour fourre-tout frontal,
Car v'là la totale !
Attends !
Jérôme de Mars
Le ver à moitié plaint et à moitié avide
A vide de sens
Et avide d'essence,
J'écris des vers
Tantôt clairs
Et tantôt de colère,
Comme en vers
Je vois le ver
A moitié plaint,
Quand il est plein
Et je dévoie le ver
A moitié avide,
Quand il est livide
Et à vide
De substance,
Qui demeure mon essence
De création
Et du reconstitution
Du puzzle à l'envers,
Quand mes vers
Passent aux vers
Et voient rouge ovaires
De l'amère over,
Avide de sens
Et à vide d'essence,
Quand je perds
La quintessence,
Quand je vois le ver
A moitié plaint,
Quand il est plein
Et que je dévoie le ver
A moitié à vide,
Où je me régénère
Avec mes nerfs
A vif,
En tant que poète écorché vif
Qui piqué au vif,
Entame le tourniquet subversif
Et transgressif
Dans une tournée
Détournée et contournée,
A la base à l'origine
De cette routine,
Qui butine mon fiel
A fiel allure,
Et dont l'ouverture
De vieille pucelle
Une fois périnée
La déconfiture
En confiture,
M'ouvre ou vers
De la mère pacifique,
Avec le ver à moitié plein
Et à moitié vide,
Quand avide
Je ne me plains
De l'amère orgasmique,
Car j'ai fait le plein
A vide !
Et ouvert aux vers.
Jérôme de Mars
Aime à l'envers
Aime à l'envers vie mais qui t'M
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Jérôme de Mars
Ce poème qui me tire les vers du nez
Ver arrosé d'un ver divin,
Je me grime
En essayant de trouver la rime,
Comme je quémande à quoi ça rime ?
Ce poème qui me tire les vers du nez,
En cherchant à savoir si le grain
De folie de mon écriture signifie innée,
Et inopinée et si la rencontre
Entre deux vers de poèmes, se produit
A mon encontre ou en contre
Le pour et le contre de ce poème,
Qui m'inspire d'un ver de bohème
De pourquoi ce poème m'attire les vers du nez,
Nez à nez avec ma carte d'identité,
S'il est bien marqué que je suis né
Désarçonné et abonné,
A bon nez aux abonnés absents,
Car qui ne dit rien consent !
A se poser de à quoi ça rime ?
Mes rimes à deux balles qui arriment
En dévirant à sabord,
A bord de mes mots
Sur le pack beau,
Qui jette de son rebord
La définition de ce ver
De poèmes bien arrosé de mes travers,
En restant sur le qui-vive
De ma poésie morte ou vive,
Qui ravive mes douleurs écorchées vives
Et amochées sur le vif du sujet,
Pour demander quel est l'objet
De l'appel ? qui épelle
Le bescherelle
Du sujet assujetti,
De mes absurdités au langage cru et endolori,
Comme j'en ris avec Henri, où j'aurai le dernier mot
De ce poème comme de l'almanach du ver mot,
A contre pied bot d'un ver d'eau, de ce poème qui m'étire les vers du nez
A point renommée.
Jérôme de Mars
Blague :
Que sort une femme à son homme qu'elle cuisine ?
- Sa crème fouettée
Jérôme de Mars
Amène !
De l'amour à la haine,
Avec des jours qu'on aime
Et des contre-jours en chrysanthèmes,
On prie
Et on se dit
Amène !
La prière
Du bon Dieu
En Amen,
Qui guérit
Notre colère,
Et nous aguerrit
Dans des joies plénières
Et premières,
Dans la lumière
En clair
Du bon Dieu,
Loin de nos vieux
Démons odieux
Et insidieux,
Comme on le réclame,
Qu'on l'acclame et qu'on le proclame
Oh Dieu !
Et ainsi Dieu !
Amène
Ton remède
De la prière,
Pour que ça nous aide
En adhérant radieux,
Et que ça nous procure
Dans notre nature
Le Messie,
Qui nous amène
Mais si !
Des confettis
Qu'on prie
En Ave Maria,
Si on avait Marie
En face de nous,
Qu'on prie
Dans la mène
Du Jardin d'Eden
Qui se démène,
Nous promène
Et nous emmène
Dans l'amen,
D'un paradis
D'en fer
Un jardin de l'amour,
Pour qu'on cultive en bien
Tout le bien,
Que nous avons en nous
Qui est notre domaine
De prédilection
Et de résurrection,
Si jamais nous n'avons
Plus rien,
Alors que si on y croit,
Même que notre croix
Est lourde à porter,
Elle sera plus légère
A emporter,
Si on y croit encore en l'espoir
Si même tout de même
On a des problèmes idem,
Mais que grâce
A la grâce
Du totem
De Dieu,
Cela nous aidera
Dans notre âme de miséricordieux,
A accorder notre pardon
A ceux qui nous ont fait
Du mal dans les jours
Pluvieux en détour,
Tandis que si on y croit au retour,
On aura de nouveau en nous
Et en joue
Dans la joue,
Le retour
Du Sain Esprit,
Après le purgatoire
De l'hérésie
Des mauvais esprits,
Si on prie et qu'on est épris
Au prix qu'on prie,
L'Amen, la mène
Du bon Dieu,
Pour qu'il nous amène
La paix messagère,
La liberté, la solidarité
Et la fraternité
De l'amour éternel,
Qui ouvre nos ailes
Si on prie comme les moines,
Même si l'habit
Ne fait pas le moine,
Mais que si on continue l'invocation
On récolte les effets de la prédication,
Car on ne nie pas le moine !
Comme Annie, Anne-Elisabeth et Jean-Luc dont l'habit
Fait Lemoine,
Pourvu que le jour où aura lieu
Notre destinée !
Qu'on soit tous destinés
A L'Amen, la mène
Du Bon Dieu !
Pour qu'il nous amène,
Nous promène et nous emmène
Dans le jardin D'Eden,
Au paradis d'enfer
Un meilleur monde pour prier à Dieu, oh Dieu !
Ainsi dieux !
Et aussi Radieux !
Jérôme de Mars
Oh ! dis-le moi ! ( Odile moi ) texte destiné à la mère de Guillaume
Je vous écris cette lettre
De mon état d'hêtre,
Où je vous adresse
A votre adresse,
Un texte de poème
Qui respire l’œdème
Et l'emphysème,
Avec tout mon stress,
Tiré par les cheveux en tresses
Et en détresse,
Où j'oppresse
Tout ce qui me presse
Et me compresse
Express,
Comme cette revue de stress,
Où je vous vous vois
Par respect,
Comme il se doit,
Où je vous déclame et dis
Par poésie,
Oh ! dis-le moi !
De votre prénom Odile moi,
Où je vous écris ce texte écorché
Pour que vous me donniez
La force
De trouver la paix
Intérieure qui amorce
Au sommet de L'OTAN,
Car autant qu'il soit temps,
Comme depuis longtemps, j'attends
Une sereine accalmie
Qui me laisse du répit,
Où je vous vouvoie
Même si je vous appelle
Odile moi,
Avec ce jeu de mots
Oh ! dis-le moi !
Qui vous interpelle
En cherchant le point d'arrêt
De mes maux
Et en piochant à l'appel
Mon nom malpropre,
Qui me correspond
Si jamais c'est du papier propre,
Que ce soit
Avec soie,
Où chacun pour soit
Ainsi soit,
Où je vous décris dans cette lettre,
Mon piteux état d'hêtre,
Planté là comme un arbre,
Qui laisse de marbre,
Ceux qui s'en foutent
De moi
Et se shootent
Avec mon désarroi,
Comme sûrement, ils s'en réjouissent
Et se jouissent
Avec volupté
Dès leur puberté,
Où je vous demande
En point d'interrogation,
Odile moi,
Quand pourrai-je manger
Dans votre maison,
Un dimanche d'offrande
Avec vous, Guillaume et les vôtres ?
Sans que je quémande
Votre avenante hospitalité,
Mais où avec sincérité,
Cordialité et vérité,
Cela me ferait plaisir
De déguster à votre table,
Le festin de votre cuisine affable,
Avec l'eau à fable de la fontaine
Parmi ces gens,
Dont j'espère
Que malgré mes tourments,
Je ne leur inspire
Pas de la haine
Dans le pire
Mais une affection saine,
Qui désormais me tient en haleine
En cette fin de ce texte de paternité,
Où j'aspire
A la tranquillité
D'esprit et d'harmonie,
Alors que souvent, je n'ai fait
Que souffrir
Et croupir
Sur le bûcher des vénalités,
Où je bûche d'embûches
En embûches
De ces vérités,
Qui me contrarient
Dans ma vie
En autarcie
De sa principale inertie,
Mais où après l'état nazi
Et le tas nazi,
Je désire
L'euthanasie,
Pour que je respire
Une meilleure vie
Avec davantage d'embellie,
En avantages dans les états unis,
Et puis loin lésés tas unis,
En inventaire
De vouloir plus de courants d'air,
Afin de boire
Plus de choses extraordinaires
En écartant mes déboires,
Et d'avoir en pourboires
Des belles paroles pulmonaires,
Comme d'un paradis
D'en faire
Des joies,
Avec vous Odile moi
Et les apôtres,
Oh ! dis-le moi !
En point de contusion.
Jérôme de Mars
De l'ombre lumineuse à la lumière sombre
A des années-lumière,
Tu es une ombre lumineuse,
Où tu es aussi une lumière sombre,
A l'ombre de ta lumière
Et à la lumière de ton ombre,
A des années-lumière
De ton ombre lumineuse
A l'ombre de ta lumière sombre,
Où tu es clair-obscur
Entre le jour et la nuit,
A des années-lumière
De la clarté et de l'obscurité,
Où tu as ta part de lumière
Et ta part d'ombre
A des années-lumière,
Où en clair,
Tu n'es pas au clair,
Comme tu es une lumière
De l'ombre lumineuse
A des années-lumière
De la lumière sombre,
A l'ombre de ta lumière
Et à la lumière de ton ombre,
Où tu éteins la lumière
Et tu rallumes l'ombre,
De l'ombre lumineuse
A la lumière sombre
A des années-lumière.
Jérôme de Mars
Comme un poisson étanche !
A l'eau,
Les bateaux voguent sur l'eau
En un monologue sur l'eau,
Où tout tombe à l'eau
Comme un poisson étanche,
Qui est une tanche
Et tanche,
Qui flanche,
Quand il penche,
S'épanche
Et se marie pervenche
Avec une pervenche,
Qui survole
A vol d'oiseau,
L'eau qui bouge crescendo,
Comme un poisson étanche,
Qui est une tanche
Et tanche,
Qui flanche,
Quand il penche,
S'épanche
Et se marie pervenche
Avec une pervenche,
Frivole, qui envole
A vol d'oiseau,
Le fond de l'eau
Qui va à-vau-l'eau,
Car merci le poisson et tanche,
Comme un poisson tanche étanche,
De plusieurs bulles de mots
En épilogue sur l'eau.
Jérôme de Mars
Et pinard, c'est d'en fer épinard !
Et pinard, en vin, je bois tes paroles !
Quoique c'est d'en fer épinard,
Où il y a du fer dans épinards
Et qu'il faut pas s'en fer et pinard,
Quand Paul paye le verre à Olive
Avec son olive,
Accrochée à son verre et pinard
A qui ça donne du fer épinard,
Mais où donc en vin, il faut pas s'en fer
Et que c'est d'en fer de boire la fiole
De l'élixir d'en fer de l'amour,
Or Paul paye un verre pour son tour
A Olive,
Avec son olive
Qu'il met dans son et pinard
D'en fer épinard,
Et dont il conclut avec Olive
Non pas en vin
Mais en devin,
Puisqu'il a trouvé avec olive
Son amour sur le qui vive,
Sitôt l'épinard d'en fer
Trop pour boire le pinard et s'en fer
En vin pour boire et pinard,
Car c'est d'en fer épinard !
Jérôme de Mars
Terre d'accueil !
Peuple d'autochtones
Ou population immigrée,
Ne soyons stones !
Mais ouverts
Face à aux étrangers !
Comme ils sont étrangers
Aux problèmes de La France,
Terre d'accueil,
Pour protéger et mettre à l'abri
Avec humanité
Les immigrés sans-abris,
Qui demandent l'asile
A La France,
Terre d'accueil,
Avec les écueils
Et les bris,
Que traversent les fratries
Et les familles
De migrants qui viennent en France,
Pour trouver une meilleure vie
Que dans leur propre pays,
Où règnent la violence
Et la famine responsables de la nuisance,
De la pauvreté et de la misère
Que causent ces guerres
Dans la colère
De la loi du silence,
Qui font qu'ils vivent l'enfer
Dans leur propre pays
Et que c'est pour ça qu'ils demandent l'asile
A La France,
Terre d'accueil
Du partage,
A qui il faut rendre hommage
De recevoir la diversité
En France,
Terre d'accueil
Avec les écueils,
Dont il faut protéger
Les réfugiés
Politiques victimes de gouvernements indociles
Et imbéciles qui agissent avec incivisme,
Comme en France, il y a l'égoïsme et le racisme,
Mais dont les immigrés soufflent une ouverture d'esprit
Dans la fraternité, la solidarité
Et la liberté
Du peuple Français,
Malgré l'adversité
Des gouvernements politiques,
Qui pensent qu'ils sont tous fanatiques
Alors qu'il y en a qui sont bien,
Comme en plus, ils sont face à leur destin
Et que souvent, ils sont beaucoup plus chaleureux,
Généreux et valeureux
Que Les Français,
Très malheureux et houleux
Pour exercer les métiers les plus pénibles,
Puisque pour Les Français, ça équivaut à péter les fusibles,
Donc en général,
Comme l'aurait affirmé le Général
De Gaulle, on a besoin de main-d'oeuvre
Dans certaines branches professionnelles en avalant des couleuvres,
Car on est tous étrangers
A la racine de l'ascendance de notre arbre généalogique,
Ce qui fait qu'en toute logique,
Parce-que La France
Est une terre d'accueil,
Avec les écueils,
Réservons-leur le meilleur accueil
Dans la passion
De ce recueil
Et de l'accueil
De toute urgence et
Dans la compassion
Et la solidarité
Avec bienveillance
Et tolérance
A La France, terre d'immigrée
De son plein gré,
Car avec un joyeux coup de pouce,
Bienvenue à La France pour tous.
Jérôme de Mars
Le concert des maîtres-chanteurs
Sur place de la République
Assis sur les bancs pudiques,
Les oiseaux font du chantage
Comme leurs ailes sauvages,
Où ils fument le calumet de la paix
Avec Georges Brassens,
Un rouge-georges qui implore le respect
Dans le concert des maîtres-chanteurs,
En amateurs de musiques de professeurs
A Paris avec les colombes,
Les corbeaux et les merles qui incombent
L'instinct face à leur destin
Dans le concert des maîtres-chanteurs,
Applaudis de leurs concert de louanges,
Qui arrangent les anges
Vautours, qui semblent inquisiteurs
Et visiteurs d'un soir
Sur place de leur répertoire,
En préface de la République
Rassis comme du pain béni
Sur les bancs pudiques,
A réciter la poésie
Bohème de ces hilares
Dans le concert des maîtres-chanteurs,
Surface de tenir paroles dans le grand bazar
Qui rappelle leur concert de bateleurs
Et dont on appelle le sauveur,
Divin et rassembleur en hauts-parleurs
Du concert des maîtres-chanteurs,
A condition qu'ils fassent une audition
A bonne entendeur,
Dont c'est l'heure
De payer l'addition,
Sucrée-salée dans un chantage
De beaux-parleurs,
Au parloir du propre langage
Et de réenchanter le public,
Place de la République
Assis et rassis sur les bancs pudiques,
Du concert des maîtres-chanteurs
En point d'honneur.
Jérôme de Mars
Mes tas forts
Le soleil brûle de sa fièvre jaune,
Quand l'eau de La Fontaine jaillit
Chez les gens qui roucoulent de ressources,
En remontant à l'origine de la source
En prenant des gants emmitouflés
Dans de la soie chacun pour soie,
Pour préserver son environnement
A l'écologie de la vie en montrant
Sa véritable nature en appelant le docteur,
Qui vous soigne s'il vous plaît !
En pansant bien à vous,
Qui vous restaure lorsque vous
Etes bien dans votre assiette,
A manger à couteaux tirés
Tout ce qui vous fâche !
En vaches folles enragées,
Qui vous viandent sur le rebord
De la déroute qui fait banqueroute,
Comme elle a failli dans sa cuillère
En argent qui bronze du masque d'en fer,
Qui se forge en métal forgé de mes tas forts,
Comme c'est votre fort en phosphore
Sur le boss fort, à ma zone de confort,
En métaphores phares, fermeture du Fort.
Jérôme de Mars
Blague :
1) Qu'est-ce-qu'un sexe gros d'un homme qui prend son temps pour se faire du bien ? - Quelque chose qui est long à la détente
Jérôme de Mars
Soleil divers empreint tant qui était monotone
Feuille de tome
Qui détonne,
Elle écrit de sa pomme
Une bluette,
A toutes les saisons, cette chanson nette !
Qui brille et reluit
Le soleil divers empreint tant qui était monotone,
Comme un Ave Maria qui prie de son psaume
Et embaume le baume
Au cœur de La Sainte-Baume, qui est atone et entonne
De sa feuille d'automne, toutes les feuilles de tonnes,
Qui fredonnent et bourdonnent
La piqûre des abeilles dans l'allergie,
Qui inspire le soleil divers empreint tant qui était monotone,
A réfléchir la lumière du soleil qui reflète
A l'instar des étoiles les comètes qui commettent
Des stars qui gravitent au ciel, avec une parcimonie
Et une énergie à envier les hirondelles,
Qui font du zèle
Avec les cigales et les fourmis,
Qui fourmillent en six gales plutôt gentilles
Du soleil divers empreint tant qui était monotone,
A en croire les feuilles de l'élue de leur cœur sonotone
Sur un malentendu très scopitone,
Qui en fait des tonnes
De cette feuille d'automne
En mille feuilles de tonnes,
Qui en appellent à toutes les saisons
De cette chanson nette
En bluette,
Comme à la maison
Du soleil divers empreint tant qui était monotone.
Jérôme de Mars
Casser les vers
Brise de vers en trombes
Lavés au pare-brise de l'eau qui tombe,
Le vent des mots se jette dans la foule
Et rentre dans le moule,
Pour casser les vers
Des poésies au long cours précaire
Et rincer l'eau mensongère
De leurs vers emplis de colère,
Dont il faut absoudre l'irrévérence
Et l'émanciper dans la prestance et l'élégance
Des savants mots de Rousseau et de Voltaire,
Pour casser les vers
Et les servir sur un plateau en ver solidaire,
Puisque nous devons avec notre œil de vers
Rendre les poèmes altruistes,
Loin de cette contagion triste
Et s'enlacer dans des câlins avec de la tendresse
Souple en étreintes enjolivées de caresses
Qu'on se doit de magnifier en parfaites conseillères,
Pour casser les vers
Et les asservir en gentils êtres débonnaires,
Comme la plume cause des dégâts qui prennent de la bouteille
En se grisant de soûler l'encre des vers de contact dans le plus simple appareil,
Pour ainsi casser les vers
En les mettant en retrait des vers solitaires
Et en les casant dans de l'amour aux plaisirs de La Fontaine, cher poète téméraire,
Qui lave les vers de l'imaginaire
Epique et romanesque
Sur la fresque,
Des précieux souvenirs comme Fontaine, nous ne boirons ton eau
Mais tes mots !
Jérôme de Mars
Mes faits !
D'après le calendrier,
Au mois de Mai,
Mais fais ce qu'il plaît,
Car mets mes faits
En méfaits
De mes fées,
Emets mes faits
En mets faits
Et mets fées,
D'après le message
Qu'au mois de Juin
Fume des joints, dès Juin,
En Mai sage
Aimais fée
De Mai fait.
Jérôme de Mars
Mois surannés
Janvier : Au début de mon calendrier suranné,
Février : De mon levier de sécurité, j'ai un mâle de chien avec mon lévrier,
Mars : Moi, Jérôme de Mars qui suis sur une autre planète, où je mange des chocolats,
Avril : Quand j'écris des poésies qui brillent et qui partent en vrille,
Mai : Car on me dit : " - Mais fais ce qu'il te plaît ! "
Juin : En fumant des joints, dès juin, ci-joints !
Juillet : Lorsque avec mes petits vélos, je fais le Tour de France en pointillés ....
Août : Et que je suis out quand c'est mon anniversaire !
Septembre : Dès que je mange du gingembre,
Octobre : En étant sobre et monotone, comme on m'appelle le mâle propre
de mon non propre,
Novembre : Comme aven la fin damnée, je tremble de mes membres,
Décembre : Où j'assemble le tout en finissant le con texte de mes mois surannés ensemble.
Jérôme de Mars
Il attend Guy !
Vieux garçon
Toujours à la maison,
Il me fait penser
A travers sa personnalité
Avec les années,
Qu'il attend Guy
En faisant le gui
Planté comme un arbre enraciné,
Comme il a Tanguy,
Un homme qui ne réalise pas sa vie,
Mais qui reste dans l'inertie,
Comme il attend Guy
En faisant le gui
Avec des guili-guili,
Comme il a Tanguy
A la maison,
Ce vieux garçon
Qui ne réalise pas sa vie,
Mais qui demeure
Dans l'inertie,
A portée de la demeure,
Car c'est là qu'il meure
Sous les projecteurs,
Comme il attend Guy
Et qu'il a Tanguy
En faisant le gui
Groggy
Et en mettant les points sur les i,
I comme a fini.
Jérôme de Mars
Poète du dimanche
Pays Scandinaves
Comme de mes origines slaves,
Je brave le danger
Dans mes écrits dérangés,
Où j'endimanche
De ma paire
De manche,
Des longs dimanches
Avec un mal de mère
De la Manche,
Où je suis un poète
Du dimanche
Svelte et esthète,
Même si en gros
Je suis un gros prolo,
Qui a une vie de survêt
A perpet
Les oies dont je fais semblant
D'incarner le bête
Dans un pense-bête
Comme d'un panse-bête,
Où il faut que je pense
A soigner mes plaies,
Qui reviennent intenses
S'il vous plaît !
Moi, le poète
Du dimanche,
Qui endimanche
Les éternels pessimistes,
Même si mon âme d'artiste
A plutôt l'attitude fataliste
Et le cœur triste,
Si je perds la paire
De manche
Et la mère
De la Manche,
Où je pose en interrogation
De quelle est la recette,
Pour briser cette équation
Dans l'inconnue
De mes multiples facettes
Aux horizons farfelus,
Dont j'ai une tête
A claques
Si je fais claque,
Que je claque
Et que je craque
Dans un mic mac,
Où je ne suis dac
Mais peut-être pas réac
Avec personne,
Mais avec là qu'on sonne
Si ma poésie résonne
Dans une lettre à L'Anglaise
Que je file à L'Anglaise
Et à l'Anglo-Saxonne,
Où je klaxonne
Avec des foutaises,
Car bien punaise !
En décrochant le tableau
Des gros mots
Grosso modo,
Comme je suis et que je resterai
Le poète
Du dimanche,
A m'en allumer
Des cigarettes
En chocolat,
Qui endimanchent
Les filles de joie,
Comme je fume en appât
Qui fait un tabac
Par l'intermédiaire
Du salaire de la pire,
En montant le château d'Yves
Sur mes grands chevaux,
Telle une poésie en satire
Dont la nature est soi
Aléatoire ou linéaire
Dans un combat,
Qui fait débat
Comme dans la vie,
Il y a des hauts
Et des débats,
Mais dont il faut garder l'énergie
De conserver une part de rêve
En un regain d'une trêve,
Qui achève
Ce poème qui sonne
Je l'espère vrai,
Et soupçonne
Une vérité
Et une sincérité
A n'en pas douter,
Qui au final
Sera original,
Qui endimanche
Vos dimanches,
Moi, le poète
Du dimanche.
Jérôme de Mars
L'ouragan du désespoir
Toboggan d'où je tombe,
Je prends des gants d'outre-tombe
Décès en essais,
En picorant dans le vent du hasard
D'essais en naissait,
Tel l'ouragan du désespoir,
Qui ne sait où ça va le mener
Si ça jette un vent surmené,
Pour choir et déchoir
Dans les abysses d'un long couloir
En bris de glace,
Où je m'enlace
Dans la contre dense du ventre,
Comme je rentre
Petit à petit
Dans le ventre de la mort,
En un vorace appétit sur le nid
Du déni des remords,
Où j'en démords
Dans l'ouragan du désespoir,
Comme ma vie est un à vie de tempête,
Où je m'embête et j'hébète
Dans les steppes
Sur un nid de guêpes,
En chavirant dans un submersible naufrage
Dans un étalage,
Qui m'épanche
Et qui penche
Du côté du mauvais regard,
Comme ma vie est un typhon,
Où je suis dans le vent du tréfonds
Aux abîmes marines,
D'où je me dandine
Dans un simulacre de nénuphars
Sur les jardins moroses et maussades,
Où je balade
Mon ennui dans un pseudo répertoire,
A faire croire
Que le solo se joue mieux en rétro
Que de l'interpréter en maestro,
Si jamais j'orchestre l'ouragan du désespoir
Dans des bris de couloirs
Haut sur le perchoir
D'un drôle d'oiseau dans le coltard,
Où je m'en fous du mitard,
Comme ma vie m'a plongé
Et immergé
Dan un rôle de dépressif chronique mi-tare,
Où avant de terminer en fanfare
Je vous confie de mes vaines paroles,
Que j'ai les veines qui somnolent
Dans la geôle
De mes paroles que je termine en bémol,
Comme d'ici où là, il est trop tard
Dans le vent
Au courant
A surseoir,
Avis de mistral,
Pour rester dans les annales
De l'ouragan du désespoir.
Jérôme de Mars
Mettons en marche notre imaginaire !
Moi et mes amis, on s'en fout de la politique mais on s'intéresse à l'apolitique
anti-système ni de gauche ni de droite sans parti pris, mais en recentrant les débats en prenant le gauche droit, car comme le monde est noir on vote blanc sans aller par les extrêmes, je me présenterai en 2022 aux élections présidentielles avec un parti pris de l'humain au détriment du libéral avec des prises de position pour se diriger vers le progrès, en s'orientant vers le centre gauche dont le nom de mon parti pris s'appellera " Justice Sociale ", un parti qui s'occupera surtout des plus fragiles mais où les riches contribueront à l'effort national, pauvres gens qui êtes riches d'argent, mais où les pauvres sont riches humainement, où l'on tiendra parole sur nos engagements pour ne pas finir dans l'urne dans une crème brûlée avec pour exemple la tentation de l'affront national comme Marine Le Pen le rassemblement national, pour ce gouvernement imaginaire, je nommerai Boris comme premier ministre en étant un ovni de Vénus et moi je viendrai en ovni de Mars comme j'ai pas les pieds sur Terre et que je suis dans la lune, dans une autre planète en faisant des plans sur la comète,
Voici la composition de mon gouvernement imaginaire :
- Boris : premier ministre
- Lionel : ministre de l'intérieur
- Adel : ministre de l'économie et des finances
- Christophe : ministre des affaires étrangères
- Jean-Paul : ministre de l'outre-mer
- Guillaume : ministre des sports
- Alexandre : ministre de la culture
- Brigitte : ministre de l'emploi
- Philippe : ministre de la communication
- Edwin : ministre de la santé et des solidarités
Ce gouvernement qui sera conduit par Boris, pilotera une politique au centre gauche anti-système, où il y en aura pour tous les goûts et toutes les couleurs, où le président de la république dirigera La France pendant un seul et unique mandat de 7 ans en lettres de noblesse en prenant le mandat pour argent content et en mettant notre crédit au découvert des Français par rapport aux dépités de l'Assemblée nationale dans leur palais Bourbon du fond de leur palais, l'eau à la bouche qui cultiveront le jardin de l'amour du pouvoir au jardin Du Luxembourg avec le Sénat, au non de la loi du silence dans des emprises de paroles d'argent, comme leur parole est en argent et dore au soleil des paradis fiscaux, car hein pas de pot, ils payent un pot revenu au revers de l'impôt sur la fortune comme ils boivent un pot de leur fortune immobilière, revenue du revenu universel pour tous et pour tous en étant réassurés par la sécurité sociale, de leur argent sans conflit d'intérêt, en banque comme ils diront banco aux frais du contribuable, en payant en espèces menacées l'argent liquide qui liquide tout le monde, dans un vote nul en aidant les SDF mis aux bancs de la République, où le mariage des riches et des pauvres, on le mettra sur les bancs de la mairie et de l'église d'un non de Dieu pour organiser le mariage du siècle dans une union libre, aux frontières de L'Europe, sans commettre un crime lèse-majesté, au Coran de L'Orient express, mais dans l'Occident au courant et au Coran, où chacun quelqu'il soit y trouvera son compte dans un compte courant, en argent content et en achetant content pour demeurer la propriété du commun des mortels, avant qu'on nous mette au crédit de l'outre-tombe le jour où l'on meurt en tombant dans les Catacombes, avant que le ciel nous tombe sur la tête, sauf si on préserve notre environnement dans notre nature profonde en ayant les pieds sur Terre terre-à-terre et en n'étant pas dans une autre planète, avant d'être une nature morte aux portes d'un paradis d'enfer, car dans la vie, il faut pas s'en faire mais être au paradis avec Vanessa dans notre jardin
d' Eden, comme religion d'état dans un état des lieux, dont le chef de l'état sera dans un état de droit en prenant le gauche,
Car vive l'apolitique !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait une femme qui l'a dans le baba à cause de son mari ?
- Elle l'a dans le cul !
Jérôme de Mars
Poésie désabusée
Ode à l'orgie abusée
Des vers condamnés,
Les vers du serpent à lunettes
Sonnent les sonnets déplumés
De la plume acide et trempée
Dans le mare de café,
Qui achète les emplettes
D'une amourette ensorcelée
Dans cette poésie désabusée,
En se mettant en quatre un
Sur le quatrain
Des alexandrins,
Qui jettent leur grain
De folie sur Alex en grain,
En crachant son venin
Avec la langue de vipère,
Comme le cobra
Qui sonnait les sonnets
Et le boa,
Qui résonnait aux sommets
De qu'il est beau ah !
D'appeler vipère au poing
De Hervé Bazin,
Qui scratche sa colère
Dans cette poésie désabusée,
Aux revers abusés
Et contrastés
Dans les rimes composées,
De cette figure de style défigurée
Et configurée,
Aux vers vers les revers
De la colère
De cette poésie désabusée,
Qui taraude en orgie abusée,
Quand le serpent à lunettes
Fait ses emplettes depuis belle lurette,
En sonnant les sonnets
D'un quatrain au sommet
Dans un quatre un au complet,
Qui jette son drain
Avec le venin,
Du serpent qui injecte son grain
De folie
Et de poésie
Dans les alexandrins,
En vers Alex en grain
De ce poème
A l’œdème,
De ce ver de poèmes abusés
De poésie désabusée,
Point de poésie.
Jérôme de Mars
Blague :
Que pourrait dire une femme à Johnny Hallyday si elle le suce ?
- Ah queue !
Jérôme de Mars
Le masque d'enfer
Ainsi entre Lucifer
Et Les Trois Mousquetaires
D'après Alexandre Dumas,
Je porte le masque d'enfer
De mon immense colère,
Comme mille et disent
Que Milady m'a accusé
D'en faire trop et que j'ai récusé
Que je n'ai pas de My Lady,
Pour que ce soit partie remise
De parties fines et infimes
Dans la firme que j'affirme,
Qu'on me mène en bateau dans le mâts
Du mas,
Où je me renferme
Dans ma ferme,
En portant le masque d'enfer
D'en faire de Lucifer,
Pourvu qu'on me laisse faire
Pour expliquer de pourquoi ça m'indiffère
De pourquoi tout le monde n'en a rien à faire
De moi, même si je défère,
Et que je diffère
L'enfer de moi pour le reporter à plus tard
Avec ma tare en tintamarre,
Où j'en ai marre
D'attirer sur moi les mauvais regards
Qui ne me comprennent
Comme les pluies diluviennes,
Où tôt ou tard, si le masque
Tombe, tout le monde sera au courant
Au Coran de L'occident
De mes frasques sur mes basques,
Où je joue un rôle devant tout le monde
Dans un scénario
Ecrit sur mesures concernant mes maux,
Pour qu'ils s'inondent
Sur une apparence de bien naître,
Alors que si je pouvais, je les enverrai paître
En rejouant le même rôle dans la vie,
Comme je suis acteur de ma vie en dépit,
Puisque comme je porte le masque d'enfer
Autant que je l'emporte dans le masque d'affaire,
Comme je n'en ai que faire
Et que j'en ai plus rien à faire
De ma vie dissolue
Et irrésolue,
Comme je me résous à l'ultime absolu,
Eperdu de rejoindre ma mère,
Avec mon masque d'enfer,
Qui porte le masque de fer
Du suicide de mon grand-père,
Dont ça fera 25 ans en février prochain
Le jour de La Saint-Valentin
Un quart de siècle,
Que j'exècre
Mon désamour,
Avec mon enclume de troubadour
Dans cette putain d'os de vie ennemie,
Pour le veuf et l'orphelin
Que je suis dans le souvenir de ma mère,
A en croupir d'enfer
A m'en foutre des intrus et des inconnus,
Car avec mon masque d'enfer
C'est un masque d'affaire
Que je porte, que j'emporte
Et que je déporte
Aux portes de l'enfer,
Comme ce n'est plus
Un pour tous et tous pour un,
Mais chacun pour soi dans le vilain
Et le plus crétin
De cette devise,
Que j'emmerde et que je révise,
Même si les gens de la fontaine
De Trévise
Disent fontaine, je ne boirai pas ton eau
Mais le ghetto
Qui va à-vau-l'eau
Dans le porte-à-faux,
Où tu t'es empêtré dans le caniveau
En eaux de boudins
Qui expirent de poésie et respirent
Le pire
De toute ta haine,
Où c'est chacun pour soi
Et tous plus rien,
Car tous purin
Sans la soie
Du chacun pour soi ma foi,
Ainsi soit sans foi !
Comme je n'ai plus foi en rien
Même pas en l'humain,
Car nos copains
Sont les ennemis
De nos amis,
Ainsi face
Et pile,
Que j'empile
Vice et versa,
Où ma plume déversa
En vice de procédure
Toute ma déconfiture de ma profonde nature en mots d'ordure
En inventaire
Du destin le plus ordinaire,
Où ma foi, je ne porterai plus
Le masque d'enfer,
Le jour où je dirai bas les masques !
Et loin de mes frasques
D'après Guillaume Apollinaire,
Si je prends et je reprends l'air,
L'air de rien,
Pour un nouveau millénaire
Dans les fuseaux horaires,
Pour un avenir meilleur sur terre
A voir et à revoir salutaire !
Avec l'art et la manière
Salut terre !
Jérôme de Mars
Autant
OTAN pour avoir la paix,
On écrit au temps au singulier complet
A tous les temps pluriels,
Comme autant se demande si au temps inconditionnel
On a le temps pour parachever que l'étang moderne coule de source,
Au temps de l'ignorance
Qu'il en a la substance
A l'étoile de la grande ourse,
Car OTAN naguère
Ne faire la guerre,
Comme ça ne mène à rien !
Autant qu'on se le dise !
Au temps des journées promises
Distinguées et relevées,
De par le niveau escompté
Des temps, comme on se détend
A espérer des temps meilleurs au sommet
De L'OTAN,
Assommé par de longs discours accablés,
Où autant on se résout au temps
En emporte l'avant auparavant !
En allant de l'avant au paravent,
Par avant dans l'aven du vent, au temps d'OTAN !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi les hommes ne payent-ils pas en espèces ?
- Parce-que comme ils débitent, ils payent en liquide !
Jérôme de Mars
Le roman des fleurs
Jardin secret, tu plantes la fleur de la paix !
Que tu défriches en une rose aux pétales de roses
Que tu cultives dans l'amour étendard avec des belles choses
Dans un trèfle à quatre feuilles que tu conjures avec singularité,
Au pluriel de ce roman des fleurs que tu arroses de tes marguerites
Avec un parterre d'un pied-à-terre comme c'est la goutte d'eau qui fait
Déborder le vase-clos communicant à bien des tourments qui irritent
Le beau temps clément abordable et affable dans l'eau de la rivière irriguée,
Par le roman des fleurs qui sourit aux jonquilles d'une petite fleur de Sidney Bechet
Qui bêchait et élaguait en binant la terre tout-terrain en ayant la main verte trempée
De sueurs à la suée de son front de ce roman des fleurs qui caresse la tige
Des vestiges qui prennent tout à la lettre en ayant la fenêtre ouverte en vertiges,
En offrant un bouquet de fleurs de pétunias et de jacinthes enceintes dans la sève
Comme c'est le bouquet d'œillères en ouvrant les œillères très à cheval qui rêvent
De ce roman des fleurs qui t'envoie des fleurs dans un mai sage du muguet,
Qui fait le gui dans un message d'amour qui taille les haies en cultivant la haine
Pour la changer en affection de longue durée dans la sécurité sociale réassurée,
Et endimanchée par un beau dimanche qui respire la volupté et qui a l'haleine
Du pollen des fleurs de ce roman des fleurs qui te donne des lilas,
Comme tu lis l'apologie et l'hymne de la raison en chantant à toutes les fleurs
Des fougères à Fougères et lys et moi !
Dans ce pur roman des fleurs qui t'aime de tout ton cœur, à bonne senteur !
Jérôme de Mars
Tam tam
Baisse de régime hippopotame,
On tape sur des tambours tam tam !
Qui entament
La bourrée bourrée ratatam,
Quand on rétame
Le tam tam,
Mené tambour battant débouché
Des garçons bouchers bouche-bée,
Qui contre dansent la bourrée bourrée ratatam
En paroles et en musique qui slament
Dans le slam slom qui spasme en padam padam,
Et en sarcasmes de spam
Sur Le Paris Paname
A Paname,
Avec pas de dame
A Padam Padam
Du tam tam,
Qui tape et qui rame
Dans la rame
D'un métro de retard dans le drame
D'un mélodrame
Des quidams,
Qui dament
La bourrée bourrée ratatam
Et qu'on entame,
Quand on rétame
Le tam tam
Hip pop pop tame
Des garçons bouchers
Bouchers aux débouchés,
Qui sont bouche-bée
Dans le programme
Et le pictogramme
D'un personnage en hologramme,
Qui en voit un télégramme,
Où il n'y a pas de dame
D'après le piaf d'Edith au Paris Paname
Dans le padam padam,
Qui came
Dans le calme du tam tam,
Qui tape sur des tambours
Menés tambour battant en rythmes de troubadour,
A la cure d'austérité synthétique
Dans le synthé pacifique,
Qui n'en a cure de réciprocité
Dans l'amitié, la liberté et la fraternité,
De la bourrée bourrée ratatam
Des garçons bouchers bouchers
Aux débouchés bouchés,
Du tam tam
Qu'on rétame
Et dont on entame
Le morceau empreint hip pop pop tame,
Qu'on referme en filigrane vague à l'âme !
Qu'on étame
Dans le tam tam
Défunt du programme.
Jérôme de Mars
Vos tours, vautours
Drôles d'oiseaux de phénomènes,
Ils se démènent
Pour vous jouer de sales tours,
De vos tours, vautours
Aux contours du pourtour,
En prenant son tour
Dans le sillon qui gronde
Avec de bonnes ou mauvaises ondes,
De vos tours, vautours
En détours, des tours
De magie à Tours,
Qui émet des vibrations
Avec un tatouage d'aigle,
Espiègle qui règle
La course aux émissions,
De bonnes ondes
Positives, en micro ondes
Négatives au four,
Fourre-tout en rythme de troubadour,
De vos tours, vautours
Dont le niveau ne vole pas très haut,
Comme les drôles d'oiseaux,
Qui sèment le chaos
En brisant les ailes
De leurs femelles,
A-tire-d'ailes ridicules
Qui font des émules
Dans leur tête de mule,
Qui trouve la formule
Hein gagnante en prenant du recul
En avançant et en se dorant la pilule
Du bonheur, qui ovule les femelles faibles
Des rapaces, qui chassent avec leurs têtes d'aigle,
De vos tours, vautours,
En terminant le tour
De la question
En conclusion, point de contusion
En retour.
Jérôme de Mars
A cappella !
En tenant paroles,
Ca y est j'ai trouvé ma voix
Dans cette tirade
Sans musique,
Mais dans la symphonie pacifique
Qui pavane dans la parade
Des mots dont je fignole
A cappella !
Tous les accords etc, etc,
Et dans la loi
Du silence de mes mots
Par qualité et par défaut,
Qui slament
Et qui dament en quidams
Pour les hommes et les dames,
En tenant paroles
Dans la farandole
Des mots,
Qui présentent quelques défauts
En fredonnant à cappella !
Tous les accords etc, etc,
Sans musique
Mais avec ma voix,
Qui fait échos
En acoustique sans musique
A cappella !
Des mots du tempo,
Qui sonne faux
Par qualité et par défaut
A bonne entendeur !
Dans la tessiture et la teneur
De la fatigue des paroles etc, etc,
Qui sifflent sur mes oreilles acouphènes
Sans gêne et sans être anxiogène
De mes mots fins lettrés,
A l'école intello
Des troubadours sans magnétos,
Qui signent le texte feutré
Car c'est là qu'on sonne,
Les voyelles, consonnes
Des mots qui prennent tout à la lettre,
Ou vers par la fenêtre
Ouverte de l'alphabet BCBG,
De l'alpha et de l'oméga
A cappella !
Des mots qui résonnent au creux de la vague par-ci-, par-là,
Où je trouve dorénavant ma voix,
A cappella !
Etc, etc.
Jérôme de Mars
Tout a taché
Tache d'huile,
Ca met de l'huile
Sur le feu,
Quand ça tourne au vinaigre
A feu
Aigre
-Doux
Feu le réchaud chaleureux,
Qui est à côté de la plaque
D'induction
Et de déduction,
Avec des flaques
En trombes d'eaux,
Comme tout a taché
En lien du cœur
Et en alien rocker,
En mot tout attaché
Et en port d'attache,
A l'export d'à tache,
Quand on tâche
D'y faire attention
Aux taches
Sous tension,
Que ce soit une tâche
De travail
Qu'on tache
En rentrant au bercail,
Comme en gros
Tout a taché
Et dans la nécro rétro,
Tout attaché,
Comme on a levé
Le petit doigt,
En buvant notre Badoit
Prélevée
Avec nos bas doigts,
Relevés
Et surélevés,
Du niveau zéro
Au rez-de-chaussée
Jusqu'à l'étage très haut,
D'où l'on tape au piano, incognito
Et illico presto
De nos dix petits doigts
Avec la gamme de nos bas doigts,
Avec notre Badoit,
Que tout tombe à l'eau
Accompagnée de nos trémolos
Qui vont à-vau-l'eau,
En vidant leur sac du cabas
En cas bas
De l'encas bas,
Comme bas les masques !
En haut
De nos frasques
Qu'on encense malpropre
Tout a taché,
Dont au sens propre,
Tout attaché,
En marque de fabrique en gros
Sur l'écriteau,
Car stop !
On arrête les frais,
Au frais
Non-stop
Du point d'arrêt.
Jérôme de Mars
One macho
Comme ma vie n'est pas un long fleuve tranquille, je me mets en Seine dans ce one macho en eaux troubles dans l'ombre de ma lumière à des années-lumière des gens lumière si je suis une lumière, comme je suis un poisson dans l'eau en nage dans mes textes, en faisant couler beaucoup d'encre du poids de mon enclume, qui pèse trop lourd en gros balourd, ben mince ! de tout mon fardeau, où je me donne en spectacle, quand le rideau d'enfer se lève avec mes jeux de mots, qui fleurissent quand je taille les haies en cultivant la haine dans mon jardin secret, où j'écris ce pamphlet en tirant mes vers de ce one macho, quand je suis l'être supérieur aux femmes du sexe haut posé, moi l'homme infâme, dès que je dame le pion en étant un morpion sur l'échiquier du jeu de dames, qui croit décroissant en demeurant dans la lune, comme je ne crois pas en Dieu dans mon pieux depuis Notre Dame De Paris, sur le macadam du Paris éperdu de ma vie dissolue et irrésolue dans ma vie en os dévie, qui tourne à l'ennui et en vain, dont je joue un rôle en tant qu'acteur de ma vie, sauf que quand le masque tombe, je montre le vrai rôle de ma vie en étant un comédien raté qui se fait des films, en faisant du cinéma, alors que mon état des lieux ce n'est pas du cinéma, comme j'embobine tout le monde avec les bobines de mes films sur pellicules, car y a pas
photo ! devant l'objectif négatif, où mon objectif principal objectif c'est d'être moi-même, mais en me dopant au positif pour que les négatifs de mon objectif soient positifs sur la photo de mon objectif premier, comme de déballer ce qui se passe à L'Esat, où je travaille et que j'en conviens que L'Esat ne prend pas la bonne direction, en privilégiant le profit au détriment du social et de l'humain, comme L'Esat n'a pas choisi la bonne direction en décidant comme politique suivante, chacun pour soi et Dieu pour tous ! avec un coup de pouce d'un non de Dieu et un coup de pousse des agents, comme l'agent n'a pas d'odeur et que l'argent n'a pas d'ardeur, puisque désormais le bonheur signifie à ce que les paroles de L'Esat soient en argent content pour y trouver leur seul conflit d'intérêt en intérêt majeur, en ne nous accordant pas de crédit et en nous mettant à visage découvert de la direction, qui ne privilégie pas les liens sociaux mais les abus de biens
psycho-sociaux, comme la parole de L'Esat est d'argent, et en argent dans leurs paroles, dont leur seule monnaie d'échanges en paroles est le café du commerce, comme c'est leur fond de commerce, l'argent de L'Esat en pièces détachées, lorsque L'Esat des Amis Du Ratelier bouffe toute notre santé pour leur argent, dont la construction du bâtiment est de façade solide alors qu'il est bancal, comme toute la fondation est à revoir, et que les agents sont agressifs entre eux, comme l'agent est le nerf de la guerre, tout comme l'argent naguère, où je dresse aussi un état des lieux catastrophiques, comme un séisme sur l'échelle de riche terre, lorsque je tremble sur Terre de ma vie délétère, comme je suis souvent sur une autre planète en faisant des plans sur la comète, moi l'ovni extraterrestre, car je viens de Mars, une planète, où je suis barge et à la marge décalée, comme je dore à la belle étoile de l'auberge Espagnole dans ma toile sans filet, car mon pseudo est Jérôme de Mars et que le non de jeune fille de ma mère était Demars, d'où Jérôme de Mars et ça repart ! comme à l'apolitique, où je n'y crois plus en recentrant ma couleur politique, comme je prends le gauche très droit comme Macron, mais dont les extrêmes enlèvent les couleurs de ce monde, qui est noir en nous mettant au Coran de toutes les choses, que se disent les gens qui émigrent à l'autre bout du fil du téléphone arabe, quand tout défile dans mon inconscient d'un fil d'équilibriste, mais qui perd le fil dans un total déséquilibre, comme j'ai peur lors des prochaines élections départementales que Le Val De Marne dévale en trépassant à droite, au centre des discussions de l'apolitique de Macron, en n'oubliant pas de rendre hommage à Jacques Chirac pour sa pomme dépit de vaches enragées, en ces périodes de vaches maigres dans ce one macho, qui fait son tour de chauffe dans ce monde égoïste et pieux, comme je m'en fous de tout il était sans foi ni loi ! en religion des tas d'un non de Dieu, qui n'a pas une vie d'ange dans l'enfer du climat social, où les gens sont froids et prennent tout au premier degré sans second degré, et où le temps est chaud à cause du réchauffement climatique, dont la banquise fond à effet boule de neige, avec l'étoile de la grande ourse mal léchée dans sa tanière, qui fond, et où tout tombe à l'eau à cause des coups de chaud dans un réchaud, où je traîne toutes mes casseroles en passant tout à plat, comme je suis cuit, car la cousine de ma mère ne peut me voir en peinture, que quand je ne suis pas une nature morte, et en jouant sur un tableau d'honneur dans ce one macho, où je fais mon show même si souvent je suis froid avec les variations de températures, comme le temps est bipolaire et que je suis déboussolé en ne sachant quelle direction prendre dans ma vie d'hauts rages et leste complètement à L'Ouest avec des nuages à l'horizon, et le soleil qui manque en chacun de nous pour être solidaire et joyeux, où je finis ce one macho en un billet d'échange d'amour pour tenir paroles en monnaie d'échanges, pendant qu'il en est encore temps avant qu'on récolte la monnaie de sa pièce de théâtre, mais dans un vrai rôle, où l'on joue le rôle de sa vie dans la réalité de la cour des grands, comme nul ne guérit de son enfance, mais dont c'est un jeu d'enfant si l'on veut réussir sa vie d'adulte en appoint final, de ce one macho.
Jérôme de Mars
C'est ta fête !
Sur ton 31
Avant le 31,
Jérôme, c'est ta fête
En fait
Le 30 septembre,
Trois mois avant décembre
Des fêtes de fin d'année
En défaites de fin damnée,
Comme tu n'as le goût à des fêtes
Mais en fait
Le dégoût défaites,
Comme c'est ta fête
Jérôme, le 30 septembre,
Mais que tu t'en fous comme du 31 décembre
Sur ton 31,
Avant le 31
Du mois de septembre,
Trois mois avant décembre
Des fêtes de fin d'année,
Dont le goût
Se transforme en des goûts, dégoûts
Défaites de fin damnée
Sur ton 31,
Avant le 31
Du mois de septembre
Le 30 précisément,
Comme les 30 glorieuses passionnément
Sur ton 31,
Mais pas le 31
Décembre
Ni septembre,
Car en fait
T'as des goûts de fêtes de fin d'année
En dégoûts défaites de fin damnée,
Mais merci à plus s'il vous plaît !
Si vous me le souhaitez
C'est ta fête Jérôme
Le 30 dans l'arôme,
Car en tout et pour tout en fait
C'est ta fête dans là des fêtes
En défaites des fêtes en fait,
Comme c'est le 30 sur ton 31
Et pas le 31
Du mois de septembre
Avant décembre,
Où Jérôme, tu seras sur ton 31
Le 31
Décembre en défaites de fin damnée,
Mais où tu préfères le 30 septembre sur ton 31
Car Jérôme en fait
C'est ta fête !
Jérôme de Mars
Entre deux éclaircies
Soleil d'Eden
Avec ton bois d'ébène,
Tu t'adonnes
Dans la donne,
A un temps contrasté
Entre deux éclaircies,
Moitié orage semi répit
Dans le sillage raccommodé
Des variations de températures,
Quand le temps est au beau fixe
Et qu'il se fixe en rixe
D'avoir un soleil chaud volcan,
Qui bat la chamade en forte nature
Dans les aléas du temps attirant,
De par ses pulsions
Et ses pulsations
Entre deux éclaircies,
Qui fonctionnent avec des scies
Pour scier la branche de l'arbre,
Et remercier l'hêtre qui reste de marbre
Dans le temps ambivalent,
Et exubérant de par son croisement,
Dans le métissage du soleil
Et de la pluie,
Qui concordent sur la place de l'étoile comme les hirondelles
Ne font le printemps !
Mais l'ensorcellent
Sous le joug des confettis fleuris,
Entre deux éclaircies
Atout fratries,
Dans une éclipse qui fusionne
Le soleil et la pluie qui bouillonnent,
D'impatience avec fréquence
Dans la zone réceptive émettrice en amours de séquences
Avec le tout Paris chéri
Entre deux éclaircies,
Car merci d'être en concert au zénith du soleil
De loin la pluie sitôt demain au réveil,
Ici là que s'achève
Cette ode du parfum de sève,
Au-delà les rêves !
Par feint d'Eve qui s'élève
Dans une accalmie,
Entre deux éclaircies
Car maintenant c'est fini !
Et au revoir les amis.
Jérôme de Mars
Jacques Chirac, une belle nature !
En vers et des pas mûrs,
Depuis la mort de Jacques Chirac,
La France a baissé sa casaque
En hommage à l'ancien président,
Très influent et puissant
Qu'on pouvait voir en peinture,
Car Jacques Chirac, une belle nature !
Qui s'en va cap vers
Cap vers le handicap,
Comme sa politique montrait le cap
Que les handicapés étaient cap
Malgré les revers à terre,
Car c'était l'homme pour l'humain
En un cheval de bataille
Vaille que vaille du fond de ses entrailles,
Quand il était sur le terrain
Dans sa terre un de prédilection,
La Corrèze,
Terre des balèzes
Sur la terre des agriculteurs,
Dont c'était son moteur
L'agriculture dans sa culture,
Comme Jacques Chirac, une belle nature !
En vers les plus fragiles,
Qui souffrent
Dans le souffre
De la douleur
Et des souffres-douleurs,
Qu'il engouffre dans sa politique
Altruiste et catholique,
Au nom de la religion
D'état et des tas
De dire non
A la guerre en Irak,
Avec du sang en amas
Du temps maussade
Dans le Mossad,
Comme il baisse le casque
De la violence,
Avec l'innocence de l'enfance
Pure et immature,
Avec en nourriture
Sa tête de veau,
Qui tourne le dos
A vos tourne-dos,
Comme en France
On a des idées,
Mais pas le pétrole en évidence
Dans la providence
De cette chère France d'itinérance
Et de différence,
Par Les Français
Pour parler Français,
Encore dans la sobriété
Et la propreté de Paris,
Avec ses amis,
Les humains
Et Les Parisiens,
Lui qui aimait les chiens
Et les sumos,
Sans les gros mots
Des crétins d'Oran,
Mais avec Les Chrétiens d'Orient
Très orthodoxe
Avec ses propres paradoxes,
De Jacques Chirac, l'homme mobile
Mais immobile dans le bile de son mobile,
Comme Jacques Chirac, une belle nature !
Qu'on pouvait voir en peinture
En nature forte,
Durant ses deux mandats
Un septennat et un quinquennat,
Avec au final
En général
Le Général de Gaulle, son modèle,
Car untel lui rappelle
Les idéaux et les valeurs
De la France
Durant sa prestance
Pendant les trente glorieuses en résistance,
Juste vecteur et fédérateur,
De la communion
Et de la nation
Humanistes et hédonistes,
Comme il n'émet Les Français égoïstes
Mais les simples petites gens
Bienveillants et conciliants,
Avec un regard optimiste
Sur l'avenir qu'il espérait idéaliste
De cette France qu'il aimait tant,
Lui, le grand de ce monde
Qui n'est plus mais inonde
Le ciel et le soleil,
Tristes et en berne mais qui veillent
Au grain de Jacques Chirac, une belle nature !
Pourvu que maintenant
Il repose en paix !
En éternelles villégiatures
Avec respect,
Qu'on pourra voir dorénavant
En peinture
En nature morte,
Comme Jacques Chirac, une belle nature !
Point d'ossature.
Jérôme de Mars
Et tic
Ethique
J'ai des tics
Phonétiques,
Asthmatiques
Et poly tics,
Qui font et tic
Politique
Et alphabétique
D'un coup de tac tac,
Du tac au tac
D'attaque,
Et tic
Avec mes tics
Frénétiques
Et aromatiques
Ethique,
Qui font toc toc
Comme je suis toc toc
Et que je retoque
Avec mes tocs
Névrotiques,
Et tocs
En toque,
Et tic
De mes tics
Bureaucratiques
Ethique,
Qui font tic tic
Technocratiques
D'un coup de moustique
Qui mousse et tique,
Comme je suis un loustic
Acrobatique,
Hypothétique
Ethique
Et somatique,
Qui m'assomma tic
De mes tics
Ethique,
Comme c'est dramatique
Lunatique
Et fantastique
Et tic,
Comme je mastique
Chaotique
Et j'astique
Esthétique,
Ethique
Et fanatique,
Dans une fin gothique
Pathétique
Et tactique,
Comme j'ai des tics
Monolithiques
Et magnétiques
Tac tic,
Et tic.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait Jessica qui se fait arracher les tifs par son ex Stéphane ?
- Une histoire tirée par les cheveux !
Jérôme de Mars
Je prends le pli
Ampli
Accompli
Dès fois,
Je prends le pli
En repli
Sur moi,
Plié en quatre
Et replié
Avec la panoplie,
Où je prends le pli
En essuyant les plâtres
A con pli
Dès fois,
En pli
Et en repli
Sur moi
Du par fait accompli
Avec la parfaite panoplie,
Comme je prends le pli
Ampli !
Jérôme de Mars
Pire ratage
Page sommaire,
Du tac au tac
En tirage,
Y a un pire ratage
Sur ta page première
Avec un piratage
Qui la prend en otage,
Comme t'es pas net !
Internet,
En pire attaque
Du tac au tac
En tirage,
Qui et prend naufrage
Sur les réseaux d'amis
Psycho-sociaux ennemis
De ton facebook
Jusqu'au bouc
De ta barbe,
Où t'en as la rhubarbe
Avec ce piratage
De ton pire ratage,
Alors qu'il suffit
D'un simple clic
En redémarrage
De ton ordi,
Après un retard à l'allumage
Pour que ta page
Redevienne sage
Comme une image,
Avec le bon réglage
D'attaque
Du tac au tac,
Où à nouveau tu es net
A terre nette
Avec des plans sur la comète
En déclic,
Comme en feint saynètes !
Jérôme de Mars
Poème bénévole
Comme un oiseau libre
Qui vole
Avec son calibre,
Je déverse mon encre
Dans ce poème bénévole,
Antivol et qui survole
La vie qui n'est un long fleuve tranquille,
Quand on est sur Seine dans sa bulle
A caresser les gentils paresseux qui déambulent
Sur le chemin passager qui calme le paysage,
Avec les béquilles
Des gens en rôdage,
Qui mènent en bateau
Mes mots qui jettent l'encre
De ce poème bénévole,
Qui vole
Mes idéaux,
De vieux cancre
Refoulé en oiseau libre,
Dont le cas libre
Cannalise mes rimes,
Qui griment
Le parfait du ridicule
Frivole avec des paroles,
Qui sonnent l'écluse funambule
De la vie qui n'est un long fleuve tranquille,
Dès qu'on est sur Seine dans les eaux de la ville
Où je flaire avec ma semence,
Toute l'essence de la quintessence
De ce poème bénévole,
Où je tourne en rond
Car je n'ai pas un rond rubicond
En vol d'antivol,
Si bien que mon silence est d'argent
Et ma parole en argent,
Qui dore sur le condor
Qu'on dore,
Dont on redore
Le blason
A vol d'oiseau,
Qui me pique les mots
A la fin de cette chanson,
En antivol qui a fini son vol
Dans ce poème bénévole.
Jérôme de Mars
Joue-t-on tous un rôle dans la vie ?
Dans la réalité
Au théâtre
Ou au cinéma,
Joue-t-on tous un rôle dans la vie ?
Que ce soit au paradis
A l'écran
A cran
Ou dès que le rideau se lève
Dans une pièce détachée,
En élèves
De l'école de la vie,
Où on a appris
Sur ce qu'il faut dire
En famille
Et entre amis,
Pour ne pas les froisser
Et les choquer
Dans l'infamie
Et la tyrannie
De ce qui les fera souffrir,
Si jamais on montre notre vraie visage
Alors qu'il faut dissimuler
Notre propre identité
En étant sages comme des images,
Car il faut être poli
Dans l'humour du désespoir,
Et que l'humour noir
Est la politesse
A l'adresse
Du désespoir,
Quand on essuie
Les plâtres
Dans une pièce de théâtre,
Où il vaut mieux jouer
Un rôle
Dans la geôle
De sa vie,
Comme un défi
Comme on est acteurs
De sa vie,
Dès qu'on dit
Moteur dans un rôle majeur,
Qui sera l'élément déclencheur
Et moteur,
Pour trouver la juste frontière
Entre en dire
Et ne pas trop en dire,
Pour taire
Ses côtés les plus sombres,
A l'ombre
De la lumière,
Pour ne pas offusquer
Et faire fuir
Ses partenaires
Dans la vie,
Ou dans une comédie
De cinéma,
A faire semblant
Sans blanc
Que ça va,
Car si on montre trop
Ses failles, les gens s'en iront dans la rétro
Des bons moments et des regrets
D'avoir connu ces gens-là bizarres,
Comme un soupçon
De blizzard
Dans la raison,
Qu'il vaut mieux tard
Que jamais
Pour bien cerner
Les gens,
Quand ils montrent leur vraie visage
A visage découvert d'un retard
A l'allumage
Ce qui conforte qu'on joue tous un rôle dans la vie,
Comme on est acteurs de sa vie à l'infini
Sauf que quand le masque tombe
Ca retombe et ça plombe
Le tout
Sur nous et vous,
Car c'est bien de jouer au je de cette vérité
Mais qu'il faut bien savoir les en je de sévérités,
Si on joue à tirer les vers du nez
Des quatre vérités
Pliées en quatre sévérités,
Où l'on joue tous un rôle dans la vie
Pour enfin deviner
Si on est sincères,
Comme dans un dispensaire
Ou si l'on fait du cinéma
Dans la comédie
Ou la dramaturgie
D'un rôle de composition,
De ce que l'on dira
En inventaire
De notre vie
Un vent terre à genoux,
Où l'on joue
En joue,
Lorsque l'on tire à bout portant
Et que l'on s'étire à bout pourtant
Fin de la trame
De ce qui se trame,
Comme l'on joue tous un rôle
Dans la vie
En tant qu'acteur de sa vie,
Car le jour où l'on sera tous rattrapés
Par la réalité, faute avouée
Est à moitié pardonnée,
Jalonnée et sillonnée
D'après une histoire,
Qu'on aurait écrite
Dans notre imagination linéaire
Décrite et retranscrite,
Comme dans un film de cinéma
Le jour où l'on jouera notre propre rôle,
Dans la vie que ce soit
Une comédie
Ou une dramaturgie,
Car je serai moi
Et que tu seras toi
Ainsi x foi,
En inventaire sur la terre
On ferme la frontière.
Jérôme de Mars
L'air marin
Tourbillon du vent,
Au petit matin des goélands
La mer avec sa contrebasse
Fait des messes basses
Au sillon des cheveux ébouriffants,
Qui coiffent le poteau fluctuant
De l'air marin,
Câlin avec les oiseaux félins,
Avec leur marque de griffe
Dans l'escogriffe,
Qui gifle le tempo à contre-temps
Des danses en faux mouvement
Dans un slow langoureux,
A aimer s'enticher d'un café dans un coin
Tranquille sur le port fabuleux,
A compter les oiseaux qui ont un grain
De folie dans l'air marin
Des jours émotifs sur le bassin,
Qui roule en tourtereaux,
Témoins des noceurs
Avec la main sur le cœur,
En récitant l'ode d'une plume assidue
Et dissolue
Au fil de l'eau à-vau-l'eau
De l'air marin,
Qui cajole les oiseaux félins
Avec leurs marques de griffes
Sous l'empreinte de l'escogriffe,
Qui pavane la tournée du pourtour Méditerranéen
Aux contours Azuréens
De l'air marin,
Qui rend malins
Les oiseaux faiseurs de tours,
De magies ou de détours
Au doux tourbillon du vent
Qui ordonne ici et maintenant,
Car jusqu'à quand
L'air marin
Vous rendra-t-il orphelin ?
Or félins dans un camp,
Comme les oiseaux vous saluent
Au Port-Salut
De l'air marin,
Car au revoir les anges manichéens.
Jérôme de Mars
Sur le sol tapi rêveur
Tapies en bémol sur le piano chanteur,
Les notes salées de la mer
Tapent sur le sol tapi rêveur
En forces de frappes élémentaires,
Qui grattent la guitare électrique
En deux saltos effets majeurs crescendo
D'un musicien entier dans les affaires fanatiques,
Qui monte d'un créneau en manœuvres solos
Du solitaire artiste dans sa course charnière,
En musique populaire à la voix pécuniaire
Qui vaut un silence d'or comme la parole est d'argent,
Comme c'est bon signe astrologique en mots conciliants
Sur le sol tapi rêveur
Tapi en paroles de l'élément déclencheur
De la parade des notes rissolées,
Comme c'est pour sa pomme de terre purifiée
Et certifiée disque d'argent de métal
En musiques de métal,
Horizon fatal
Avec effet majeur ultérieur,
Car merci à l'œuvre originale
D'être l'inspirateur
En deux temps évocateurs,
Tapis au dénouement majeur et bienfaiteur
Sur le sol tapis rêveur.
Jérôme de Mars