Quand on parle du loup...

 

En parlant de la meute

Avant qu'il y ait l'émeute

Quand on parle du loup,

On vous loue

Dans tout ce qui nous alloue,

Avec Lou 

Et Marie-Lou,

Qui relouent relous 

Avec les filous,

Quand on parle du loup

Et qu'il loue

Des filous

Qui relouent

Et qui nous allouent 

Avec les relous, 

Où l'on a besoin de la meute

Des loups,

Avant l'émeute

Des relous,

Qui louent,

Qui relouent

Et qui allouent

Les filous, 

Quand on parle du loup

De nous à vous,

Qui se dénouent et se dévouent

En faisant les quatre cent coups,

A tous les coups et en surcoûts,

Où l'on ferait mieux d'avoir des gardes-fous

Si par mégarde il y a des fous,

Relous qui font les loups

Et qui relouent les filous,

Quand on parle du loup

Qu'on alloue les ripoux,

Et qu'on cherche des poux, 

Quand on loue celui qui s'en fout

De tout ce fourre-tout,

Où on loue la meute des loups

Et on reloue l'émeute des relous,

Qui allouent filous les ripoux 

Dont en tout et pour tout,

On loue tout notre va-tout, 

Quand on parle du loup

Dont on reloue leurs atouts

En un tout et fourre-tout,

Dont on loue les loups

Et on alloue les relous

Qu'on reloue en filous,

Qui se dénouent et se dévouent

De nous à vous,

En un tout d'atout pour le tout

Et fourre-tout de notre va-tout,

Quand on s'en fout des fous

Et qu'on s'en contrefout des gardes-fous,

Dont par mégarde fous, on est des Nicolas Canteloup,

De la meute des loups

Avant l'émeute des relous,

Car dis donc on est des filous,

Qu'on loue avec Lou

Et qu'on alloue avec Marie-Lou,

Dont on reloue les loulous

Avec Loulou,

Quand on parle du loup.

 

Jérôme de Mars

L'oasis n'est pas un mirage

 

Retour en cette Sainte terre sage,

Cette traversée du désert

A besoin d'un point d'eau,

Avec l'illusion que l'oasis n'est pas un mirage,

Qui relève le niveau à L'Oued en buvant un verre

D'eau, qui jonche les souffleurs de verres, en parcourant l'itinéraire

Des voyageurs solitaires et solidaires, qui cherchent un pied-à-terre

Dans le désert, en marchant sur les traces des reliques d'images,

Avec l'illusion que l'oasis n'est pas un mirage,

S'il y a un abordage dans un point d'eau,

Où si par mégarde il y a un matelot, il endossera le rôle du héros,

En traversant le passage pour remonter la cote particulière

Des chameaux, qui crachent leur ras-le-bol dans une chimère,

A gambader et en ayant bon dos, 

En roulant leur bosse à dos de chameaux,

Qui jouent gros avant la nuit taciturne

En ce territoire diurne, 

Dans la confusion du jour et de la nuit,

Même s'il y a un coup de chaud des inuits, 

En froid avec un retard à l'allumage

De ce territoire qui prend le naufrage,

Avec juste un point d'eau

Et l'illusion que l'oasis n'est pas un mirage,

En prenant tout au premier ou au second degré 

De la température qui raffermit l'hypocondrie,

Ou l'hypothermie des corps dans l'allergie,

Et les vents contraires surréalistes des sols,

Qui déboussolent

Tous asséchés,

Où manquent des corps beaux avec les chats faux, 

En des prises de becs avec les oiseaux

De mauvais augure,

Qui laissent présager et qui inaugurent

En jetant en pâture, pour conserver en intactes images

Avec l'illusion que l'oasis n'est pas un mirage,

Mais un point d'ancrage avec pour gros lot qui sort du lot

Un magnifique point d'eau,

D'où le désert arrive à la fin de sa traversée,

Qui a déversé

En point de sature,

Un propice point d'eau avec vue de là-haut,

Sur l'eldorado de bien belles images, où il fait beau

Et d'où les nuages

Prédisent de leur piédestal, qui émergent de leurs lourds bagages

Qu'il y a extinction des lieux

Pleins feux,

Dont en signaux phares, 

Ils lancent sans fard

Un nouveau départ, en cette Sainte terre sage,

Comme des images,

Avec pour point définitif d'atterrissage, 

Un pèlerinage à l'endroit du Taj Mahal, 

Dans l'illusion que l'oasis n'est pas un mirage,

Mais un point d'accostage,

Destination finale.

 

Jérôme de Mars 

A des haines !

 

De son ADN

Il a des haines,

Comme il cultive la haine

En taillant les haies,

Qu'il hait 

En chantant sur La Seine,

Toute la rengaine

De son ADN,

Qui a des haines

Qu'il hait 

En taillant les haies,

Comme il cultive la haine

S'il a de la peine

En formulant un sous haie,

Dont son unique souhait

Pour qu'il ait 

Son ADN,

Qui a des haines

Mais dont il hait

Toutes les étrennes,

Comme il cultive la haine

En taillant les haies,

Qu'il refrène 

Avec les gênes héréditaires

Et les gènes indigènes,

De sa propre colère

Aborigène et anxiogène,

Dont il a cent gênes

Dans son côté sans gènes,

Pour qu'il hait

Son ADN,

Qui a des haines

Dont il cultive la haine 

En taillant les haies,

Avec Jean-Luc qui Lahaye

Brigitte qui Lahaie

La haie d'honneur,

Question d'honneur  !

En votre honneur !

Qui hait 

Son ADN,

Car il a des haines

Dans une madeleine

De Proust,

Avec un questionnaire

De Proust

En un pur bonheur,

Dont on y met un point d'honneur

Appoint d'honneur

De son ADN,

Qui a des haines.

 

Jérôme de Mars

Brel et bien

 

Poète maudit à l'infini bercée de tendre mélancolie,

On connaît la chanson de Jacques Brel 

Brel et bien avec l'éternel même refrain,

Car comme lui quand on n'a que l'amour

On enchaîne les ritournelles, 

En un tour de manivelle qui nivelle

Vers le haut tous ses maux de passion

Avec Mathilde et leur chanson des vieux amants,

Où Brel compose dans son Plat Pays

Une pléthore de chansons,

Dont on lui fera des concerts de louanges

Avant qu'on enterre sa vie avortée de jeune garçon,

Epris de liberté et d'anarchie

Du à son cancer de langes, 

Où il eut les elles brisées de l'ange 

Mort prématuré à l'aube de sa cinquantaine,

Qui le taraudait

Comme la mort le rôdait à l'apogée de sa carrière,

Brel et bien pour espérer de futurs lendemains

Pour lui vouer un culte,

Même en sciences occultes, au culte

Ou avec sa dernière compagne, il mit les voiles,

Direction Les Marquises avec la tombe de Paul Gauguin

Qu'il rejoignit post-mortem d'outre-tombe pour reposer à ses côtés

En vieux copains qui ne le mena en bateau,

Mais dont il emmena toutes ses femmes

Dans de fulgurantes romances d'errances en errances,

Telle la chanson des vieux amants triste et tellement réaliste,

Lui le pacifiste sur l'océan pacifique qui partit en fumée

Mais en paix en fumant le calumet de la paix,

Lui l'artiste aux cent mille vies qui vécut plus vite,

Avant que la vie l'évite qu'il brûla par les deux bouts de la chandelle

Avec toutes ces demoiselles,

Brel et bien à déguster le festin de la vie

Et des plaisirs entre amis,

Avec un goût de sel qui scelle

Celles qui lui furent promises de leurs dentelles,

Où lorsqu'il mourra, tout le monde lui pleura, ne me quitte pas,

Comme s'il nous laissait tomber pour le cimetière à pattes d'eph,

Avec sa fanette à Amsterdam, sa maîtresse imaginaire qui est une dame

Issue de ses pensées fantasmées,

D'une vie qui se déroule sous son sol et le dérobe pour le consumer

A petit feu si bien que Brel et bien,

Il aurait du marcher en pèlerinage en Saint-Jacques-De-Compostelle

Pour chercher un Havre De Paix,

En se souvenant de ses vieux, en liens de parenté 

Avec une si grande proximité, malgré la mort du sursaut de l'ange

Réparateur en ses vieux démons, qui le tarabustent,

Dont on lui dressa un buste à sa disparition,

Comme il ne fut jamais casse-bonbon mais qu'il distribua des bonbons,

Pour montrer que c'était trop bon, ces bons bons,

Brel et Bien en attendant le même refrain,

Si un jour ou demain, on lui prend la main de son aura

Avec les forces de l'esprit et des mots d'esprit, 

Où il gardera la main pour toujours dans le tumulte d'une existence,

Jalonnée de sourires, de rires et du pire aussi de ses soupirs,

Tel un oiseau sans elles,

Qui ne renaît de ses cendres le 9 octobre 1978, où il repose

Pour l'éternité Aux Marquises, du nom de sa dernière chanson,

En ces îles très Marquises du bout du monde, 

Car Saint-Jacques-Brel-de-compose-t-elle cette dernière chanson  ?

Pourvu qu'après le chaos de sa courte idylle sur La Terre,

Il put accéder à l'eldorado de là-haut, car après le malheur

Vient sans doute le bonheur, en ne se voilant pas la face,

Pile, j'empile, face, je m'efface,

Comme Brel est bien, 

Bel et bien.

 

Jérôme de Mars

                              Je me présente aux Présidentielles !

 

Alerte aux électrons Pestilentielles en 2022, comme j'en ai rien à péter, et que je rejette le système qui me tape sur les nerfs, j'ai décidé de me présenter en 2022 aux Présidentielles, en candidat anti-système, où je ferai sans blanc de voter en électron libre, deux vingt par vingt-deux deux par deux, où je me présenterai en candidat libre, sans étiquette politique dont le nom de mon programme sera Justice Sociale, pour plus de social avec du libéral, à prendre tout pour argent comptant, où mon silence sera d'or et ma parole d'argent, et où je m'endors avec toutes les vaines paroles des hommes de l'apolitique, en prenant le gauche et en mettant une droite au centre de l'échiquier politique, qui recentrent tous ces beaux discours autour de ces loups vautours, avec des dents à cirer le parquet judiciaire, dont si je me présente aux Présidentielles en 2022, je voterai nul et sans blanc, en m'isolant dans l'isoloir, et en brûlant vif aux urnes des accesseurs sans renvois d'accesseurs, comme j'aurai un partis pris pour plus de justice sociale, avec du libéral à fond la caisse, dont je prendrai mon envol de drôle d'oiseau, loin des ripoux et des voyous, mais dans un rap-tout avec des inconnus à la rue, où je boirai un pot avec vous en promettant de belles paroles, d'un tant de paroles, car je me présente aux Présidentielles en 2022, si bien qu'étant donné que l'argent n'a pas d'odeurs, j'aurai du flair pour renifler ceux qui ont une chienne de vie, pour qu'ils ne prennent plus de gamelles, mais soient avec moi en électron libre, qui se présente aux électrons pestilentielles, rien à péter !

 

 

                                                 Jérôme de Mars

La vie continue...quand même !

 

Début de ce thème en ce poème,

Dans la vie, on a tous nos joies

Et nos problèmes,

Au fil des années et des mois

Pourvu qu'on parsème

Le grain de l'amour,

Pour l'égrener en retour

En faisant le tour

Des gestes qui en valent le détour,

Car malgré le requiem

Et le totem

De la vie en chrysanthèmes,

La vie continue...quand même !

Pour idem,

Pourvu qu'on s'aime

Dans la foi

Et les parois

De l'amour roi,

Car on a qu'une vie

A apprécier les gens dans des domaines inédits,

Où on vous dédie la panoplie

Pour rester un être gentil et poli,

Même que la vie, c'est le totem

Et le requiem,

Avec un emphysème

De problèmes de cœur,

Qui respire l’œdème

Au pire des problèmes,

Alors que bordel,

Pour untel,

La vie continue...quand même

Pour idem,

Quand après la colère

On respire l'embellie pulmonaire,

Fière d'avoir renoué avec une saine atmosphère

Avec nos amis frères,

Où même après des chagrins d'amour ou d'amitié

On revient vers les vertus des vérités et de ses effets,

Qui produisent on l'espère  !

Une agréable fable de vie,

Qui jaillit avec poésie

Dans nos quotidiens quelques peu ordinaires,

Mais dont après l'éphémère,

On veut des choses linéaires,

Qui durent paisiblement prodigieux

Par les temps qui concourent jusqu'aux cieux,

De qui sera le plus pieux

Ou le plus miséreux,

Car c'est chacun pour soi, ma foi

Et Dieu pour tous,

Alors qu'on veut juste un coup de pouce

Dans un élan de grands pas,

Si bien que chacun

Qu'on ait des rires aux éclats

Ou qu'on connaisse le pétrin,

On a besoin de bons copains

Pour faire face aux imprévus,

Car chaque jour qui passe

Nous rapproche du jour, où l'on trépasse

En route vers l'inconnu,

Qui nous fait peur,

Mais dont en apesanteur

Il nous faut vivre dans le bonheur,

Car avant l'inéluctable requiem

Post mortem,

La vie continue...quand même

Pour idem.

 

Jérôme de Mars

Faut-il mentir parfois pour se protéger  ?

 

Déments, souvent, on ment, souvent, on dément avec des gens déments,

Ou nos inconscients ou subconscients déments, où l'on veut se protéger

Ou protéger, face aux réactions imprévisibles, ou impromptues des gens,

Surtout s'ils sont déments, et si avec eux on ment ou on dément, dans quelque Chose de dément, ou si on se ment ou on ment aux autres, dans le souci de se Protéger ou les protéger, du mal qu'on peut leur faire supporter, car si on tient à les Préserver et à les sauvegarder, il faut mentir pour se protéger et pour les protéger, Dans le secret de la vérité car sévérités, ces vérités sont dures à avaler car elles Avalent l'aval laid, car toute vérité n'est pas bonne à avouer, puisque Immédiatement elle est désavouée avec sévérités, ces vérités pliées en quatre Vérités où il faut par précaution, prendre ses dispositions, et parfois mentir pour se Protéger et protéger, ceux ou celles que l'on aime, car qui sème l'avant récolte la Tempête, dans ces vers d'eau de vérités à moitié plaints, en ces vérités, sévérités Où toute vérité à moitié avouée ou désavouée peut-être pardonnée, si elle est à Vous hait dans une vérité apaisée, adoucie et tempérée, dans le souci de la vérité, Mais avec sérénité, car pardonner permet d'effacer ses plaies, donc à la condition Suprême de ne pas recommencer, où l'on dément, quand on ment, dont on dément Quand c'est quelque chose de dément, comme il faut parfois mentir pour se Protéger, et protéger la vérité, dans quelque chose de dément, tout en arrondissant Les angles, et en voyant les choses sous cet angle droit, soyez droit dans vos Bottes tout en étant adroit dans vos bottes, pour botter en touche, d'où l'on est sur La touche en sévérités, ces vérités, car il faut mentir parfois pour se protéger.

 

Jérôme de Mars

Je ne suis pas né de la dernière pluie

 

Sur le balcon face à la pluie qui m'enivre rubicond,

Je bois les larmes des orages, quand il y a des nuages à l'horizon

Avec des ballons d'essai, si je sais que j'ai le droit à l'oubli

Et d'avoir un peu de répit, face aux coïncidences de la vie,

Qui font que je ne suis pas né de la dernière pluie,

Et puis que c'est comme ça, si j'amenuise le puits

De la délivrance, à avaler les secrets des contrastes,

Entre le soleil et la pluie, et de pourquoi la pluie est chaste,

Dès que le soleil demeure faste dans le reflet du miroir, 

A choir ou à déchoir certains grands soirs, 

Où l'on est seuls chez soi dans son assiette, 

Et qu'on n'est plus dans son assiette, à récolter des miettes

D'une vie irrésolue, au courant distendu, 

Sans que je ne vienne me mêler des autres malentendus,

Qui font que je ne suis pas né de la dernière pluie,

Entre confettis quand je souris et je ris à la vie,

Et des croquis glauques de la vie qui me raidit, 

Quand je songe à un ailleurs bien meilleur,

Que l'ennui sur Terre à chagriner le soleil aguicheur,

Qui voudrait que je me détache de la pluie

Endolorie, pour que je me réconcilie avec le soleil

De ses rayons de dentelle, à m'emplir mes prunelles

Avec une soyeuse douceur d'âme en des paradis chéris,

Dont je surenchéris le soleil, pour qu'il dilue la pluie

Sous des rayons de soleil trompeurs, 

Et totalement réparateurs, en des semblants sensibilisateurs,

Comme par magie et par façade de l'ennui à la nuit,

Je ne serai plus jamais né de la dernière pluie.

 

Jérôme de Mars

Texte ponctué

 

1 ère partie :

 

Ponctuel, j'écris ce texte ponctué à la virgule près, si jamais ce soir, je joue un seul en scène au Point Virgule; avec ce texte ponctué en deux petits points :

 

Puisque bientôt, je ferai le point, quand ce texte ponctué sera achevé, où je tirerai un trait final à cette mascarade de simulacre, mais en attendant, je mets ce texte ponctué entre parenthèses 

(  En Stand Bail  )

 

Car avant de mettre un point final à ce texte ponctué, je fais 

trois points de suspension...

 

Comme c'est l'entracte et dès la reprise, je me livre en ouvrant les guillemets :

 

" Avec un trait d'union entre la première et la deuxième partie de ce texte ponctué "

 

2 ème partie :

 

-  Dont je mets un tiret quand je me suis étiré, en arrivant au point crucial de ce texte ponctué et en y mettant un point final, en un point d'honneur, point barre.

 

Jérôme de Mars

Les aveugles débraillés

 

Problèmes de vues,

C'est ton problème de bévues  !

Comme c'est toi qui vois

Avec la rue,

En allant vers l'inconnu

Regarder les routes pour chercher

Et trouver 

Ta voie,

Avec ta croix

Lourde à porter,

Si tu déchois déçu

A ne faire les bons choix

Dans ta vie,

Où tu peux faire une croix

Sur quoi tu te fies,

Dont tu défies

Ce monde perdu,

Comme les aveugles débraillés

Qui beuglent dépareillés

A ne voir,

Ce que tu peux prévoir

Et entrevoir 

Dans une sortie sans issue,

Sauf si tu tapes l'ancien CODEVI

Des codes des vies

A ta banque, 

Sale ta banque saltimbanque

Pour y trouver ton intérêt

Avec le lit en porte-feuille,

Dont tu manges ton mille-feuilles

En ton seuil,

Dont tu viens juste d'en faire le deuil

Assis sur ton fauteuil

A apaiser tes conflits d'intérêt,

Comme c'est toi qui vois

Avec les aveugles débraillés,

A manger de ta voix éraillée

Des anchois

Dans ta pizza,

Qui beuglent dépareillés

Si jamais t'es grillé  !

Invité à te lyncher

Sur le grill en ne faisant les bons choix

Dans ta vie,

Qui dévie

Comme t'as des problèmes de vues,

Dont c'est ton problème de bévues  !

Vu et revu 

Avec l'émission VU,

A te rendre farfelu

Et fendu,

Avec ta gueule

Casse-gueule

Au fruit défendu,

Dont t'as déjà tout répondu

En crachant ton menu,

Et dont t'as tout répandu

En déroute vers l'inconnu

Des histoires déçues

De ta vie déchue,

Où si tu te repentis

Dans un grand mea culpa,

Tu auras le droit à l'oubli

Avec peut-être dès fois

Quelques joies,

Où tu n'auras

Plus de problèmes de vue,

Dont ton problème ne sera plus bévue  !

Mais dont tu trouveras l'issue

Avec désormais une voix,

Et une belle vue

Sur la vie, 

Et dont heureusement, tu diras

Merci, la vie !

D'avoir résolu

Tous tes conflits

D'intérêt, où grâce à ton salut,

Il pleuvra

Dorénavant des larmes de joie,

Avec le beau temps

A l'infini,

En plus des confettis

D'au temps que c'est toi,

Qui verras l'embellie

Et l'éclaircie,

Avec pour accalmie

Des belles vues,

En des aveugles débraillés

Qui beuglent dépareillés.

 

Jérôme de Mars

Correspondance à prendre à la lettre

 

Recto verso, vers sots au train où vont les choses,

Je fais part de mes ecchymoses

Même que je suis pas du Verseau,

Et que ne n'est pas bon signe

Ce que je désigne,

En empruntant cette correspondance à prendre à la lettre

Sans forcément vouloir me jeter par la fenêtre,

Mais dont je me rappelle au souvenir de mon grand-père,

Mort de remords le jour de la Saint-Valentin le 14 février en impair

Défaite désamours, dont ça fera vingt-cinq ans ce mois-ci

Qu'il a péri en sa de meure tiré à bout portant,

Et retiré à bout pourtant

Dans le noir morbide, quand s'éteignent les projecteurs

D'une vie qui dévie en une pénurie d'éléments moteurs,

Qui auraient pu le carburer réjoui et rétabli

Dans une période vivante ragaillardie,

Comme il manqua de lumière dans sa vie d'acteurs,

Où je me sers de ses trémolos pour écrire le scénario

De ce feuilleton à rebondissements, qui a peur de reproduire en imbroglio

Du fruit de mes malentendus et de mes démêlés avec la vie acide,

Où il me faudrait quelques plaisirs placides,

Pour faire de cette correspondance à prendre à la lettre,

Quelque chose de plus frais, pour aimer et avoir l'appétit de façon concrète,

Qui secrète les secrets de faire table rase du passé, en ayant une vitalité prête

A vivre pour le meilleur, même si j'aurai toujours des penchants traîtres

D'avant et auparavant, où pour avoir le vent en poupe, il faut croire en l'embellie,

Pour véhiculer aux moyens de mes locomotions, une judicieuse maîtrise

De mes émotions pourvu que j'en déduise,

Que la vie en vaut la peine d'être vécue,

Après avoir open survécu à tout ce chahut,

De ce qui a rempli mon existence

Sous les fruits des châtiments et de la sentence,

Où j'écris intense vu l'importance que pour moi ça représente,

Parce-que j'aspire encore à me livrer une espérance, pour que je chante

L'amour de la vie, avec moins de soucis et plus de vitamines

Avec le soleil et son calcium, pour que je termine

Cet itinéraire chaotique en quelque chose de plus anecdotique,

Et de moins névrotique, où je finirai ma vie dans la nature bucolique,

Comme j'arrive au terminus de cette correspondance à prendre à la lettre,

D'où je descends sans rien prendre en argent comptant,

Car je vous dis avec amitiés et sincérités,

Profitez-bien de l'instant présent  !

Avec votre famille

Et vos amis,

Dont il faut marquer de votre empreinte toute sa réciprocité

Et le respect,

Pour que vous en restiez les maîtres sans paraître,

Et ainsi renaître afin d'apparaître

Fringants, dès la fin de cette correspondance à prendre à la lettre.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mes tissages 

 

A plat de couture,

On brode des ouvertures

De mes tissages

En métissages,

Provenant d'un signal de couleurs

Haut en couleurs avec des images

Sages en symbiose avec l'église du Sacré Cœur,

Pour ne pas perdre le fil de mes tissages

En métissages,

Qui présagent

Un monde meilleur,

Dans la forme et les usages,

Dès que le rideau des ramages

Se lève en des adages,

D'un passage 

En première partie d'un maître enchanteur,

Qui fredonne un cantique avec une pelote de laine

Aiguilles sous roche dans l'haleine de sa bedaine,

Qui brode l'envers du décor

En vers des corps qui sont raccords 

De mes tissages

En métissages,

Pour coudre de toutes les couleurs

Une ribambelle d'ardeur,

Cosmopolite et hétéroclite

Avec une variété d'images,

Qui pique en un magnifique mythe

Au pays d'un ciel bleu, 

Avec aucun nuage

A l'horizon du plumage,

Qui peint le soleil en un radieux météore 

Qui regarde de son fort

Des lueurs qui allument le joyeux

Passage de la rue du vernissage,

En mes tissages

De métissages,

Pour plus d'images sages,

Afin de tourner la page

Des souvenirs dans le naufrage,

Et ouvrir une nouvelle page

Avec en couverture

Et en première page,

Mes tissages

De métissages,

Fin du tirage

C'est l'heure de fermeture.

 

Jérôme de Mars

On vénère et caillera !

 

Nerfs de la guerre

En n'y allant par le dos de la cuillère,

L'argent est totalitaire,

Comme la cuisse De Jupiter

De l'échelle de Riche Terre,

Quand il y a un tremblement de terre

Sur le monde qui caillera,

En froid avec les gens au ras

Des Pâquerettes qui envoient paître

Les faibles d'esprit qui ne sont maîtres,

Mais qui se font prendre en traîtres,

Comme les gens nous rendent vénères 

Sauf si on est des cailleras,

Et qu'on veille au gras

Si c'est Mardi gras

Déguisé en gars rebelles,

Quand on mange de la mirabelle

De déconfiture dont on vénère

Et caillera,

Si c'est pour plaire

Et complaire, 

Des êtres exemplaires au ras

Des Pâquerettes qui tombent bien bas,

Quand le monde se fait avocat

A vos cas d'office dans l'en-cas 

Avec pertes et fracas,

Lorsqu'on n'y croit

En comportant notre voix à la croix

Lourde à déporter l'étoile jaune

Dans la fore et la faune aphone,

Avec aucune voix qui dévoie 

Pour faire la voix

Du mégaphone sur phone radio,

Si on vénère

Et caillera,

Les gens qui nous rendent vénères

Dans le propre et la sale mauvaise foi

Si on a la langue de bois,

Quand on y trouve notre intérêt en agios

Dans une faillite en or, 

Si on perd le Nord

En pôle position

Dans le pôle de la surexposition,

Où l'on raconte bonimenteurs avec la peur

Au ventre de fausses rumeurs

En allégations du porte-à-faux,

Dont on prend l'échafaud, les chats faux

Avec les griffes de l'escogriffe en troisième couteaux,

Quand se resserre l'étau 

Dont on a froid avec des coups de chaud

En passant tout à plat avec le réchaud

Show l'ambiance ! avec les cailleras,

Qu'on appelle amicalement les voyous,

En chics ripoux qui ne nous cherchent des poux,

Epoux pour servir leur cause à cause

De la sinistrose qui ne voit la vie en rose,

Dont en toute chose

Malgré les ecchymoses, on n'aspire qu'à une chose,

Car même si les cailleras nous rendent vénères

Sachez en tout cas que même si l'immonde caille ras  !

Au ras des pâquerettes, on trouve chaussures à nos pieds

En mettant le pied à l'étrier,

Et triez à la criée  !

Dont on vous voit

Avec tout le respect que l'on vous doit

Du bout de nos doigts,

Dont on vénère et cailleras

Avec l'écaille ras au chaud et en froid,

Ainsi x fois en et froid 

Qu'on emporte et qu'on en porte,

En sujets dont on est les sujets qu'on rapporte,

En maisons écloses, 

Et dont on colporte en fermant la porte,

Car ici porte close, on a largement eu notre dose  !

 

Jérôme de Mars

 

 

Grasse mat'

 

Certains débuts de journée,

Dès que la lune se dérobe

Et que le soleil se lève à l'aube,

Après que je dors,

Je me réveille d'un pied fort,

Aux aurores après une grasse mat',

Et une fois que je passe de la peau mate

Et Tchèque et mat,

Lorsque c'est échec et mat

Dans un jeu de dames,

Qui dame 

Le pion sur les quidams

D'un macadam,

Sur l'échiquier

Ou le damier ,

Quand je passe de la pommade

Après une grasse mat',

Et que je passe de la peau mate

Sans que je fasse le playmate,

En un automate

A la salade aux taux mats

Et Tchèque et mat,

Si je fais échec et mat

En faisant des maths,

Et que je passe de la peau mate

Quand je passe de la pommade

En une dérobade

Après avoir fait la grasse mat',

Qui formate 

Un automate

En une espèce de playmate,

Qui mange une salade aux taux mats,

D'où en faim après la grasse mat'

Pour passer en automate,

Je fais et Tchèque et mat

En passant de la peau mate,

Et en repassant de la pommade

En une dérobade,

Que je ballade

Dans une passade,

D'une marmelade

En faisant une salade

Aux taux mats,

Echec et mat

Après la grasse mat'.

 

Jérôme de Mars

 

 

Les mots somnambules d'un poète qui s'assoupit !

 

En préambule

D'un soleil qui dort sur ses lauriers,

Cela ne l'empêche

Malgré les dépêches,

De composer en conciliabule

Et en aparté de son appartement,

Pour une fois un poème sans tourment

Du fruit de ses pas qui déambulent

Dans sa bulle, 

Qui pétille en Champagne-Ardenne

En s'enivrant au champagne de ses étrennes,

Tels que sonnent et s'entrechoquent

Les mots somnambules

D'un poète qui s'assoupit,

Assoupi aux 35 heures, 

Dans leurre,

Qui suit

Sans que ça soit du toc,

Où il s'assouplit pendant son quart d'heure

Armoricain s'il s'en va s'exiler,

En Bretagne en passant de l'ombre 

A la lumière qui dénombre

Le Far Breton pas né de la dernière pluie,

Lorsque pleuvent les confettis éblouis

De la nuit qui tombe prématurée,

Comme de ce poème précoce 

Dont il a eu du mal à accoucher

Son écriture sage-femme de sacerdoce,

Où en roupillant, il prend pour argent content

Les roupies qui roupillent, quand il s'assouplit

En prenant le pli et en écoutant de la musique amplis,

Qui exacerbe son verbe acerbe grinçant de ses dents,

Où en s'assoupissant aux 35 heures et en gisant

Du fond de son jet d'encre, lui viennent inspirant,

Les mots somnambules 

D'un poète qui s'assoupit,

S'assouplissant sur son lit

Et qui véhicule sans tomber dans le ridicule

Des pensées qui le déambulent,

En le faisant sortir de sa bulle en conciliabule

A la sortie du vestibule,

En pétillant de ses mots ineffables

De son ressenti affable quelques fables

En mettant tout sur la table,

Avec au préalable

Tout le matériel des mots d'un poète,

Qui gambade ses jambes

Dans une immense ballade d'esthète,

Dont ça lui fait une belle entre-jambe

S'il enjambe la porte de sortie sans issue,

Après qu'il sue déçu ou reçu

De ce poème qui marque le point final

A tout ce verbal arsenal,

Une fois que ce poète somnambule

Ne déambule en bris de couloirs,

Et se rendort dans son exutoire

En pionçant dans sa bulle, 

En plusieurs sonorités, d'où il s'assouplit

Tels les mots somnambules

D'un poète qui s'assoupit, 

Fin de la répartie.

 

Jérôme de Mars

Le virus des idées reçues

 

Temps difficiles,

Il faut allumer

Le calumet de la paix,

Avec des mots dociles et gentils

En affections de longue durée,

Déjà qu'en pléthore abondent des infections,

En manque d'attentions endurées, en durée

Des états seconds qu'on ressent 

En manque d'affections de longue durée,

Lorsque le temps se fait pressant et oppressant

Coutumier des rituels,

Au bord de l'autel

Des manques de confessions,

Que véhicule le virus des idées reçues

Corrompues et ardues,

Dont on nous bassine 

En courbant l'échine,

D'il est difficile d'assumer

Dans l'égalité et légalité,,

Si on a le virus de la bagatelle

Ou des on-dit

Sur notre ordi hardi,

Qui frappe nos dignités consensuelles

Avec le virus qui dédie sensuel

Nos penchants pour des choses pareilles

Avec l'anatomie de notre appareil,

Que féconde dans l'immonde

Le virus des idées reçues,

Malvenues et parvenues dans 

Des déviances corrompues,

Du fait qu'on répudie et qu'on renie dans le déni

Le fruit défendu, 

Dépêchés conspués qui puent

Le virus qui courbe l'échine,

Avec une machine pour ma chine,

S'il y a un virus mortel

Qui frappe l'ordi,

Les interdits et les on-dit

Sans comprendre l'essentiel,

Quand le virus des idées reçues

Frappe n'importe quel inconnu 

Dans la rue, la cohue, 

Et nous tous si on est des intrus

Dans un salut nazi, 

De Dieudonné dont Dieu donnait

Tous les camouflets que camouflait

Les positions sulfureuses,

Des vieux démons,

Aux ascendances furieuses

En des monts joie, 

Qui contaminent

En en faisant toute une montagne

En faisant campagne,

Aux Contamines

Mont-joie 

Et merveilles,

Où ruisselle le manque du Missel

En une baisse de régime mi-sel,

Quand le virus des idées reçues

Le jour du jugement dernier, 

Jugeait sur le bûcher

Celui qui a bûché, 

Avec des embûches en manque de denier

A cause de Dieudonné, car Dieu donnait

Le péché originel 

Dans les derniers sacrements, 

Quand frappait le virus des idées reçues

Du Port-Salut, où on salut 

Du bout du temps,

Qui passe 

En interface,

Seigneur, à vos amours

Et à un de ces jours,

Si le cœur vous en dit

Pour qu'on prie,

Tous ensemble dans l'ensemble,

Qui assemble et qui rassemble

En un virus qui guérit,

Et change

Dans une vie d'ange,

En l'espoir renoué

Avec la vie et sa bonté,

Quand il n'y aura plus le virus

Des idées reçues,

Mais le virus péché-mignon

De la bagatelle

Pour passer la bague à untel,

D'où l'on vous dit en conclusion

Dans une libre union,

Bienvenue à la communion,

En réunion de l'il ou elle

De la Réunion,

Essentielle en bagatelle,

Trait d'union.

 

Jérôme de Mars

                                               Blague :

 

Quelle est la différence entre un jardinier chanceux en amour et un jardinier malchanceux en amour ? - Le premier se ramasse des pelles et le second se ramasse des râteaux

 

                                        Jérôme de Mars

 

.

Mis en quarantaine

 

40 ans des passés, ouf  !

De cette vie de ouf  !

J'ai 41 ans 

Et toutes mes dents,

Et dents aidants

Pour ma pomme d'aidant,

Où j'ai 41 balais des ballets 

Dans un futur ménage de printemps,

En un remue-ménage empreint tant

De tant de paroles, 

Qui ne me ménagent si je déménage en nage

Si tout tombe à l'eau,

Où il faut que je trouve des mots sans bémol

Sur le piano à queue,

A la queuleuleu 

Dans un serpent de mer qui se mord la queue,

Ah que que que  !

Où je suis mis en quarantaine

Du fait de ma quarantaine dépassée,

Où j'ai quarante teignes,

Quand je suis confiné chez moi

En étant placé à l'isolement,

Si jamais j'ai un virus sur mon ordinateur

Ou je marche de travers avec un déambulateur,

Artificiel et réanimateur avec pour fil conducteur,

D'être en marge du système en démarches

Des mots, aux adducteurs réducteurs,

Avec mon ticket modérateur,

D'où j'irai moi-même interné d'office 

Chez les dingues, dont je suis dingue

Et frappa-dingue et lourdingue,

Comme je suis fou allié 

Et que sans garde-fous, je m'en fous

D'être chez les fous,

Car je suis un fou illuminé plus dans l'ombre

Que dans la lumière des gens, 

Qui ne sont pas des lumières

Mais sombres, comme une traversée du désert,

Où je demanderai l'asile à Paul-Guiraud

Si je dis que le monde est fou rallié,

Et que je suis un étranger pour ma famille,

Qui ne viendra pas me voir à l'asile

Si j'émigre vers l'hôpital psychiatrique, 

Paul-Guiraud avec mes papiers pour régulariser

Ma situation de mon état des lieux névrotique

Dans un exode verbal,

Où je suis mis en quarantaine,

Car en plein dans la quarantaine dépassée,

Et très passée à quarante et un ans sur mon trente et un,

Où je suis confiné chez moi 

A gerber la galette désarrois, 

Avec un 31 décembre qui sent la bonne faim damnée,

Alors qu'au mois de janvier, il vaut mieux 

Que ce soit jusqu'aux cieux un bon début d'année suranné,

Et que je m'intègre dans un travail d'analyse avec un psychanalyste

En étant intègre et un artiste à con pli hédoniste,

Avant que ma faim ne me désintègre de remords

Allègres ou aigre-doux, 

Dans un climat au dehors doux-amer acidulés,

Avec du citron piquant à mère, radio citron ça presse  !

Et où je m'empresse de passer d'un climat doux !

A quelque chose qui reste dans le coût des temps modernes,

Par être subalterne par les temps qui concourent vers le profit,

Au détriment de l'humain, mais dont en bon Chrétien,

On espère croire encore à l'humain et en l'humain,

Pour un monde meilleur, qui nous restaure dans notre assiette,

Nous pauvres gens  ! où l'on dit en faim à Coluche merci d'avoir 

Eté notre ballon de baudruche, et de nous avoir enrichi humainement !

Pour nous envoler, et nous envoyer promener dans les airs,

Dès bon air sans faux airs, qui a des airs de déjà bévue,

Depuis que Coluche du fait des multiples hommages,

A son désarroi o'mages, o'désarroi mage, tu nous manques de tes histoires

A dormir debout alors que les blagues à la genre Dieudonné,

C'est comme du pain rassis ou du pain raciste,

Avec ou sans pain, où l'on se rassit,

Dans ce monde bête, avec un panse-bête, qui hébète

Avec que des bris de couloirs, qui singent

Ailleurs et nulle part,

Où je suis mis en quarantaine

Si j'ai la quarantaine dépassée,

Et outrepassée en affront national,

Si jamais le vote Rassemblement National

A l'encre Marine, me tente de mon mal de mère,

Où à cause de la fièvre sur le front

Si Marine Le Pen passe en 2022,

C'est que je vote semblant,

Car ce sera un affront national pour La France,

Où de notre chagrin, on dira à Marine Le Pen,

Marine le peine o' peine  !

Open des boulevards des pièces détachées

De Théâtre de Philippe Bouvard,

Où le rideau se lèvera pour jouer notre propre rôle

Dans la vie qui dévie du droit chemin,

Même avec les Chrétiens puritains,

De même si je demande à quoi sers-je là-bas  ?

Si à Pigalle on me répond :  " Pas de quartier de femmes " ,

Et que je crie :  " Putain, je suppute ",

Si Les Putes mettent leur langue de bois,

Ou leur langue de Molière payée à la pièce,

Faisant amende honorable avec les clients,

Dont les humoristes sont très clients si je quémande

En faisant La Manche dans un océan pacifique,

Et que je retrousse mes manches olympiques aux enjeux

tropiques, demandant pour la énième fois, à quoi sers-je ?

Si les petites femmes de Pigalle crachent sur un lama,  

Du nom de Serge Lama, et que les putes, putain, elles

Couchent bien dans le lit des passes aux impasses,

Pour avoir le droit de donner une pièce à Serge Lama,

Et d'avoir une place pour aller le voir,

En spectacle avec les petites femmes de Pigalle,

En regardant leur anus horribilis si elles perdent leur Quartier Latin

A Paris, où on leur dit pas de quartier en perdant son latin,

D'où pour terminer ce monologue du vagin de ma mère,

Pile ou face, je finis cette pièce détachée de tout ce one macho,

Qui fait chaud au cul qu'au cul, cocu, et où je suis en corps mis

En quarantaine, comme j'ai la quarantaine dépassée, mais déportée

Sur le virus de la bagatelle, qui perturbe mon ordinateur, où il faut

Que je me fasse soigner au CMP, l'extra hospitalier de Paul Guiraud,

Si jamais j'ai le virus de prendre des râteaux et que je bois six goulots,

En cultivant mes déboires, et en prenant de la bouteille,

Où j'espère faire des extras avec ce spectacle, dont je finis ce ballet divers,

En attendant un surmenage, au printemps déballé de mon burn out,

Où en août prochain, je serai out dans mes burnes, avec mon anniversaire

Mais pas bouc-émissaire, car je battrai en retraite si jamais Jean-Paul Dévoie

Bernard Pivot, qui me conseillera de prendre ma retraite de L'ESAT à 41

Ans, pour raison de santé, et à votre santé, si jamais j'ai atteint un bonus-malus

Dans les par âges, pivot de ma quarantaine surpassée et outrepassée,

Où bien évidemment j'ai quarante teignes avec des châtaignes,

Pourvu que ça baigne avec un ciel bleu ! Malgré mes beignes

Avec des bleus au cœur du ciel, et que je me peigne

En ne me faisant plus de cheveux sans blancs, et où je resterai confiné

Et placé à l'isolement, comme je suis mis en quarantaine

A l'hôpital des fous, qui se fout de la charité avec sans-garde-fous,

Comme je m'en fous de la quarantaine et que je désire me reposer chez moi, 

Avec l'allocation AAH et la location de mon appartement en hlm,

Dès la fin de ce spectacle comme là le rideau tombe,

Et que je suis seul sur la scène de cette vie, qui n'est pas un long fleuve tranquille,

Car maintenant, je suis définitivement mis en quarantaine, de ma

Quarantaine dépassée, avec pour présent le présent plus qu'un parfait,

Si bien que je suis arrivé au terminus de mon bateau, au bout de la scène,

Qui voguera je l'espère, sur une nouvelle Scène Parisienne,

Destination le bonheur, un nouveau fleuve tranquille ! 

 

Jérôme de Mars

Système solidaire

 

Cantique du chant lunaire 

Dans ce monde terre-à-terre,

Il faudrait composer un chant solaire

En passant de la crème solidaire

Dans le système solaire,

Pour que ça nous tape sur le système solidaire,

Afin que le délétère 

Se change en quelque chose de salutaire

Sur la planète Terre,

Pour que le système D

Devienne un système aidé,

En un système G

Généreux avec les pieux

Jusqu'aux cieux,

En ouvrant le cœur solaire

Des gens, de sorte que le soleil

S'élève au zénith de l'échelle

Des merveilles,

D'un généreux système solidaire

En passant du lunaire au solaire,

Avec un bon Samaritain

En bon Chrétien, 

Qui réunira une pléiade 

De copains,

Sur l'esplanade de l'olympiade

D'un soleil altruiste,

Après la pluie triste

Qui fait grise mine,

Et qui mine

La société égoïste,

Dans le but qu'elle s'achemine

Et qu'elle se termine

En un monde optimiste,

Et positif 

A but non lucratif,

Mais en arrière-pensées philanthropiques, 

Qui fera chaud au cœur

Dans un monde sous les tropiques

En un système solidaire,

Qui passera de la crème solidaire

Universelle et fraternelle,

Avec un peuple plus fidèle

A ses valeurs

Qu'est la chaleur humaine,

Pour qu'elle s'ouvre en magasin

A La Samaritaine,

Si elle rouvre la semaine prochaine

Dans le bonheur et la candeur

Avec un bon samaritain,

Qui en fera la promotion diffuse

Et infuse

Au teint auprès des copains,

Où l'on propagera tous un système solidaire

Du pôle lunaire au pôle solaire

Dans un écran solidaire,

Et où l'on passera à tous les témoins

De la crème solidaire

Pour un soleil réparateur,

Qu'on apprendra par cœur

Dans la ferveur et l'ardeur

Avec tous les copains,

Qui auront le béguin

Pour un monde meilleur,

Avec tous dans le viseur

Et dans le collimateur,

De la chaleur humaine

En amateurs

D'un surcroît de tendresse,

Pour qu'on y croit à la liesse

Etalée à tout le peuple en bon Chrétien,

D'où l'on chantera dans la joie

Dans ce monde désenchanté mais avec l'appât

Du regain entre copains,

D'où l'on se réunira tous avec le soleil à l'heure

Pour fredonner avec des fleurs

Un système solaire,

Qui se fonde en un système solidaire

Pour rouvrir en bon Samaritain,

La Samaritaine

En magasin,

D'où l'on vous scandera devins,

A la semaine prochaine à La Samaritaine.

 

Jérôme de Mars

 

 

On ne choisit pas sa famille, on choisit ses amis  ! 

 

Facile ou pas facile,

En chacun de nous, on connaît

Tôt ou tard,

Que ce soit le cadet ou l'aîné

De la famille diverses injustices pas dociles

Loin d'être rares,

Si bien que quand c'est la famille, ça sera la faucille qui étrille,

Alors qu'avec les amis, ils vous glisseront des mots très gentils

De réconfort, car untel le sait

Avec essai ou sans essai,

On ne choisit pas sa famille,

Mais on choisit ses amis !

Dont tout de même avec eux, il faut faire attention à ce que l'on leur dit,

Car certains seront très fragiles et peu communicatifs,

Pendant que quelques-uns demeureront habiles et fortement expansifs,

Et que si on a des soucis et beaucoup d'ennuis,

Il vaut mieux ne pas leur en faire trop part,

Car si c'est une tare

Par exemple psychique, ça peut leur faire peur,

Comme une bombe à retardement en retard,

Qui fera tout un tintamarre,

Et ils peuvent vous fuir de par les interdits,

De la loi et de la vie

Et devenir vos ennemis,

Car ça leur rappelle des choses largement enfouies

Au fond d'eux, qui leur évoquent des horreurs

Avec le jeu de cette erreur,

Et le jeu de cette famille, car il vaut mieux parler de vos conflits

Avec le psy pour évacuer ces douleurs dans le répit,

Et retrouver l'embellie avec la famille et les amis avec des confettis,

Car si on dit souvent que les relations familiales

Sont plus solides que les relations amicales,

Ca dépend à vos dépens, 

De ce que le temps nonobstant, considère de ce qui est important,

Car parfois, avec la famille, même si on est susceptibles et qu'on pète les fusibles,

Ils ne vous laissent pas forcément tomber,

En cherchant, à vous ramener une accalmie paisible,

Tandis qu'avec les amis si vous êtes trop plausibles 

Et que vous atteignez le point sensible,

Ils peuvent vous tourner le dos

Et ça peut avoir des retombées,

Comme un tourne-dos qui a bon dos,

Car ça en est trop

Pour eux de ce que vous leur demandez,

Et qu'ils vous rétorqueront, que ce ne sont pas des infirmiers

Payés pour vous écouter,

Déjà que parfois, il est sûr qu'une amitié est plus forte qu'un amour,

Vice et versa de ce que la tentation de toujours,

Déversa en vous, pour connaître à votre tour le grand amour,

Et défier les lois de l'humanité, 

Pourvu que vous restiez dans le respect et la loyauté

Vis-à-vis de la famille et des amis,

Pour préserver de bonnes relations

Avec eux, dans la compassion et la compréhension

Avec la famille et les amis, 

Avec qui vous avez de l'affection et des geste d'attention,

Comme cela, ils vous diront et vous rediront merci, 

De les avoir choisis en votre compagnie,

Tant qu'avec vous, ils sourient et ils rient

A l'infini  !

Car on ne choisit pas sa famille,

Mais on choisit ses amis  !

Désormais pour toute la vie, ainsi c'est dit !

 

Jérôme de Mars

 

On recycle nos petits vélos !

 

Nouveau cycle de nos petits bobos 

Quotidiens, nous Français bobos

Pour lancer un actuel cycle,

On recycle nos petits vélos

Ainsi que nos tricycles, 

A force qu'on a des petits vélos

Dans notre cerveau qui roulent en pédalo mollo, 

En rongeant son frein, qu'on enfreint dans le rétro,

Derrière la déroute la tête dans le guidon,

Alors que nos petits vélos nous ordonnent guidons-

Le  ! dans la bonne direction, direction cap vers

Le Cap Vers des vers ! d'une mise aux vers,

Pour se remettre en selle, et remettre en selle la selle

Du grain de selle, qui scelle d'un tour de manivelle, 

Les cyclistes détours de France, qui tiennent les ficelles,

Et nous remettent d'un tour de Ménestrel, en libre circulation, 

Et en roue libre sur l'étape, en échappée libre qui ramène à la maison,

Et mène à la raison ceux qui implorent le ciel,

Que leurs petits vélos de surplace, fassent place à un bel environnement,

Alliant l'effort et le réconfort confinés, dans un espace frais, revigorant et vivifiant,

Où dès le déclic en un tour de clic, on recycle nos petits vélos,

Pour rouler réglos

Curieux et de mieux en mieux, après avoir réglé nos petits vélos, 

Dans un nouveau cycle 

Avec nos tricycles,

Du tri sélectif au tri compétitif, d'où l'on se remotive sur nos petits vélos

En route vers le gros lot,

Qui sort du lot en lots lots, lolos du bibelot,

Où l'on recycle nos petits vélos, 

Illico presto, à partir de la rétro dans le rétro,

De celui qui aura le dernier mot,

A la fin de les tapes amicales,

Etapes par étapes finales  !

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blagues :

 

 

1)

Pourquoi connaît-on trop bien un joueur de basket de NBA du prénom de Tony ?   -  Parce-qu'on connaît Tony par cœur  (  Parker  )

 

2)  Pourquoi les idées de Marine Le Pen manquent-elles de couleurs  ?

      -  Parce-qu'elle broie du noir  !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Liberté, égalité, fraternité  !

 

Naguère, La France était en guerre, et n'avait guère de libertés,

Pour affirmer ses idées et être en paix, avec du respect parmi les communautés,

Dont les mamelles de La France, sont liberté, égalité, fraternité dans légalité

Et la solidarité, de la diversité et de la variété, entre le peuple autochtone

Et le peuple étranger, pas si étranger à vouloir s'assimiler parmi Les Français, 

Malgré les mauvaises ententes entre certains

Alors qu'ils pourraient être amis et copains,

Bien sûr pas avec le Maréchal Pétain, qui pète un coup  !

D'où il est avec tous les coups, qu'il a portés aux innocents dans le sang, 

A contre-coût, et dont ça a eu un coût, tous ces coups,

Portés et déportés Indécents,

Avec en tout et pour tout, malgré tous ces va-touts,

Que La France a joué son va-tout,

Avec les grands manitous de la finance et de la défiance, où il faudrait un sonotone

Pour mieux se comprendre, et s'entendre à minimum

Même s'il y a un ultimatum,

Entre les pourfendeurs de la guerre,

Et les opposants à la paix, qui fait que naguère en France, il y a tout ce boucan,

Et que tout fout le camp, dans le décan 

De concentration à provoquer le bruit, la scission et la rébellion,

Avec pour immense imminence

Et dense dissidence

En France, une totale insurrection,

Quand Marine Le Peine

Toute la peine open aux Le Pen,

Alors que Les Français ouverts et pacifistes, veulent que La France soit soudée

Entre eux parmi le peuple, pourvu qu'il redevienne fou et allié

Et rallié dans la majorité et la vérité,

D'une France ouverte et tolérante, en proclamant aux urnes l'égoïsme

Et l'individualisme !  pour inaugurer le prisme

Pour que brûlent dans la rue des cendres, pour descendre la démagogie

Et le populisme, à pas de prix du dépit de la sécurité asociale avec pour répit,

En dépit, des pis de pis en pis de sacrés peaux de vaches olé olé,

Quelqu'un qui soit une douce crème au lait,

Afin que règne l'épi, qui ouvre le cercle de minuit de pi,

Qui vend la mèche après s'être fait des cheveux blancs,

Sans blanc avec beaucoup de faux semblants,

Pour passer de l'aliénation en subordination

A une nation en adéquation,

D'où tout le peuple en une de libération 

Et du Parisien libéré sifflera la fin de la récréation,

Avec pour invocation de susciter une vocation

Dans les différents métiers de La France libre,

Au cas libre, au calibre pour que ça vibre  !

Au chant de la nation

Et du contre-chant de la soumission, avec pour mission 

Un peu de compassion et de répit, 

D'où l'on récoltera une large accalmie

En zone d'ouverture, 

Avec pour signal de couverture,

Un vent de modernité à la postérité,

Au souffle d'aller de l'avant, car liberté, égalité, fraternité ! Pour l'éternité !

 

Jérôme de Mars

Vivre au jour le jour

 

Par de beaux discours

Tous nos bonjours, bons jours

En ces beaux jours,

D'antan et d'autant

Avec ce temps clément,

D'au temps, qu'on est à la bourre 

D'où l'on s'enivre avec un troubadour

A faire des calembours

Aux alentours,

Et à refaire le tour

De ce monde en séjour,

En ces jours,

Où l'on débourre 

Lorsqu'on préfère vivre au jour au jour

Et que l'on rembourre

Le compte à rebours

En ne sachant quel contour du tour,

Nous réservera le monde de demain en retour,

Détours, des tours du monde par amour vautour,

Si on joue vos tours dans la cour

Des grands à jour sans contre-jour

En recours,

Où l'on s'enivre depuis notre faubourg

Notre faux bourg,

Où l'on se délivre d'un compte à rebours,

Comme on préfère vivre au jour au jour

Dans l'inconnue des prochains jours,

En refaisant un tour à Tours,

Près du Pourtour

Méditerranéen et en étant à jour

A Cabourg,

Au carrefour

De la rue près du magasin Carrefour, qui se fourre

Dans un espèce de four

Tout, extraordinairement fourre-

Tout à Rocamadour,

Où l'on s'enivre de parfums, par feint dans le pour

Et le contre à jour ou à contre-jour

Des roulements de tambour,

Menés tambour

Battant au cours

De la vie, encours au long court, où l'on accourt

A court du revers de la médaille d'argent, dans un cours

Sur le court

Central en détours, des tours

Pour jouer dans un court

Métrage adapté d'un livre Goncourt,

Et pour participer à un concours

Pour le Goncourt,

Où qu'on court,

Et où l'on se livre à jour

Et où l'on se délivre ajour, 

Quand on préfère vivre au jour le jour

Dès que l'on dit bonjour,

Pour passer de nouveaux beaux jours

Et en venir à bout, au bout du compte à rebours

Dans la chasse à courre, 

Qui court quand c'est du lourd, du velours

Et du balourd,

D'où l'on n'est sourd,

Comme Beethoven en fin de parcours,

Par le plus grand des hasards près de Nemours,

Où l'on préfère vivre au jour le jour toujours

En mangeant des topinambours,

Point de non-retour.

 

Jérôme de Mars

T'auras la bible du Coran  !

 

Tous azimuth,

Les religions en réunion

Bizutent et percutent

L'union ou la division,

Qui persécute et exécute 

Les singulières décisions,

A l'endroit de chaque religion

En faisant l'invocation

Ou la révocation,

En te mettant au Coran

Et en édulcorant,

Si tu possèdes le talisman ou le totem,

Pour comprendre ta religion,

Afin que tu sèmes

Face à ta colère,

De bien jolies prières,

Qui Ave mis aux enchères

Ton cœur de jachère,

Dès que tu auras la bénédiction

Du Christ,

Quand t'auras la bible du Coran,

Mis au Coran édulcorant

Et en te convertissant,

Loin des fanatiques,

Mais dans un laps de temps fatidique,

Où tu récolteras fantastique

De réjouissants éléments confiants,

Qui jusqu'à présent te crispent,

Pour te tirer au clair

De l'ombre à ta lumière,

Les réponses à tes questions,

Qui décryptent

La crypte

Légendaire dans son tombeau,

Pour te passer le flambeau,

Du repaire de son Mausolée

Au sanctuaire

De tes repères

Dans des plurielles religions,

Comme l'union

Fait la force

Et amorce

La réconciliation

Et la coalition

En un début d'un mouvement

De recouvrement,

Où t'auras la bible du Coran,

Mis au Coran édulcorant

Et des mis sur les bans,

A la vue de tous ces éléments aimants,

Bénis par le pain béni

De Dieu et des églises au temple,

Qui contemplent 

Les moines,

Dont l'habit

Fait le moine,

Comme Annie Lemoine

Dans une période faste

Et plus chaste,

De par les mariages

Interdits dans certaines religions

Notamment chez les curés catholiques

Qui ne peuvent perdre leur pucelage, 

Où il faut des ramages

Avec des images,

Pour garder son jeune plumage

Avec un Imam 

Dans ce slam islam

Slam is slam,

Comme toutes ces variantes de religions

Se font légion

Et font du ramdam 

Au Ramadan,

Qui fait du boucan

Dans la mosquée du Coran

Où t'auras la bible du Coran,

Mis au Coran édulcorant,

Et où tu garderas en mémoire

De l'hostie toutes tes saines paroles,

Pour boire 

L'espérance de tes déboires

Sans bémol,

Avec en plus

La synagogue,

Qui clôt en bonus

Ce complet épilogue,

De toutes ces religions

Du fruit de toutes les saisons,

Où tu garderas la raison,

Toi en sage de l'oraison,

Tant que t'auras la bible du Coran,

Mis au coran édulcorant

Jusqu'au rang d'Oran,

En crime de L'orient

Express, comme il n'y a rien qui presse,

Et dont ainsi, il faut que tu t'empresses

De parer à ce qui t'oppresse, te presse

Et te compresse, pour accéder à la sagesse,

Tant que jusqu'au rang,

T'auras la bible du Coran,

Mis au Coran édulcorant,

En faim dès sept des péchés capitaux,

D'où tu te ranges du côté des Cardinaux,

En direction 

De toutes les religions,

De la rose des vents

Et en allant de l'avant

Et en avant,

De ces quatre points cardinaux,

D'où l'on a mis les choses aux points Cardinaux,

En pleine vocation

Dès l'évocation,

Trois points de suspension...

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blagues :

 

 

1) Qu'est-ce-que ça fait si Le PSG bute l'équipe de Pau en ligue 1 ?
- Manque de Pau, Le PSG leur aura fait la Pau à l'équipe de Pau !

2) Qu'est-ce-que ça fait le Coronavirus qui contamine tous Les Français ?
- Il prend tout le monde en grippe !

3) Que dira-t-on du Rassemblement National s'il rend La France triste en arrivant au pouvoir en 2022 ?
- Que Marine le peine !

4) Qu'est-ce-que ça fait un Chinois qui a un virus sur son ordinateur ?
- Quelqu'un qui a le Coronavirus !

5) Qu'est-ce-que ça fait une histoire invraisemblable qu'on nous raconte pendant qu'on roupille en n'étant pas assis ?
- Une histoire à dormir debout !

 

                                        Jérôme de Mars

 

Je vote pour les vers

 

Sur mon papier buvard,

Boulevard des bobards,

Je ne fais semblant

Malgré les faux sans blanc,

Où j'ai décidé d'accorder ma voie

Et de raccorder ma courbe voie

En votant à Courbevoie,

Parce-que maintenant, je vote pour les vers

Des vers de bohème

En vers de poème,

Pour me mettre aux vers dans l'emblème

De cette époque à l'an blême,

Où j'en deviens blême

Avec tous les pros blêmes,

Que provoquent les problèmes

Dans cette société anxiogène

Sans gênes avec les gènes,

Qui font couler beaucoup d'encre

De ma plume qui me déplume,

Où j'y laisse des plumes du fond de mon enclume,

Dans un antivol d'oiseau qui fume en ancien cancre

En votant nul,

Car nulle

Part ailleurs, où aller

A part dévaler, des vallées,

Parce-que maintenant je vote pour les vers,

Vers d'orage de mes revers o'rage, 

Où il faut que je tourne la page

Du passé qui est daté et outrepassé,

Afin de me dépasser et de me surpasser

Pour ouvrir en sage de la raison,

Une inflexion dans des actions

Positives, puisque tel est mon objectif,

Que je me fixe en impératif et en rectificatif,

De mon vote semblant, mais ouvert

Parce-que maintenant, je vote pour les vers !

 

Jérôme de Mars

Vis chaque jour comme si c'était le dernier jour !

 

Open O'peine  !

C'est un nouveau jour

Qui s'ouvre à peine,

Avant qu'en retour

La marine le peine

Ces poèmes mélancoliques

D'un troubadour, 

En jeux de calembours 

Névrotiques et amnésiques,

Pour écrire des mémoires

Si on s'en souvient un soir

Et un jour même s'il fait contre-jour,

Où depuis ton faux bourg

Vis chaque jour

Comme si c'était le dernier jour  !

Comme on ne sait

De quoi demain sera fait  !

Et qu'à chaque jour 

Suffit sa peine  !

O'peine Open  !

En pleine Madeleine

De Proust,

Quand la vie

En os de vie dévie

De sa trajectoire,

Et s'acharne sur toi

En bris de couloirs,

Qui foirent en toi en manque de foi,

Quand elle te fout des roustes

Alors dis-le toi bien  !

O'combien  !

Il faut vivre au jour le jour

Ainsi c'est plus prudent  !

En vivant l'instant présent,

Pour rester vigilant

A ce qui peut arriver virulent

Et soudain,

Puisqu'au lieu d'être un vautour

Ne passe pas ton tour  !

Et vis chaque jour

Comme si c'était le dernier jour   !

En compte à rebours

Arrivé au bout du compte détours,

Où le jour 

Où tu devras rendre des comptes en retour,

Assure-toi bien  !

Qu'après séjours

Sur terre, tout va bien  !

Et réassure-toi bien O'combien  !

Que ces jours

T'auront été bénéfiques

Et féériques,

Pour que tu communiques

Plus tard de l'au-delà,

Au-delà de toi  !

Où tu auras bien atteint

Le dernier jour,

En feint 

Et par feint sur Terre, où enfin

Tu seras enclin

De rejoindre défunt,

L'au-delà dans le pourtour

Pour passer ton tour,

Où en attendant d'arriver à ce contour,

O'peine Open  !

Qui te peine !

Vis chaque jour

Comme si c'était le dernier jour !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                                 Blagues :

 

 

 

1) Pourquoi la communauté Chinoise de Paris a-t-elle annulé encore cette année le défilé du Nouvel An Chinois ?

-  Parce-que tout le monde s'est défilé  !

 

2) Qu'est-ce-que ça fait un Chinois qui a un virus sur son ordinateur  ?

-  Quelqu'un qui a attrapé le Coronavirus de Chine !

 

 

                                           Jérôme de Mars

Tout est relatif  !

 

Sur le vif

Du sujet écorché vif,

On est piqués au vif

Subversif dans les récifs

En remontant à la racine,

De pourquoi le malheur nous fascine

Plus que le bonheur qui dessine une routine

Pour des broutilles,

Où l'on s'émoustille

D'une vie avec plus de piment,

Et aimant avec les êtres vivants,

Même si tout est relatif

Dans la vie au prénom relatif,

Où un jour on est là

Et le lendemain, on est dans le trépas,

A passer les plats

Dans une vie, où tout est plat et à plat

Au creux d'un estomac qui a un nœud,

Si on n'a pas rencontré la faim,

Qui justifie les moyens au moyen

Du Moyen-Age,

Où l'on naît dans les parages

Et au garage

D'une vie, où l'on peut peu

S'ennuyer de faire à l'avance

Sa nécro à distance,

De ceux qu'on aime pas aujourd'hui

Et dont on s'en fout à l'infini,

Alors que si demain ils meurent,

La musique funèbre adoucira les mœurs,

Des projecteurs rétro projecteurs,

Braqués dans la nurse

De se revoir bébé,

Dans une enfance BCBG,

Où l'on trouvera à nos chers disparus

Vers l'inconnue,

Des qualités par défaut

Avec zéro défaut,

Car intégrité avec remords

Une fois qu'ils sont morts

Dans l'hypocrisie sans nom,

Comme tout est relatif

Avec son prénom relatif,

Qui est qui ?

Et est-ce-acquis et exquis  ?

Dans une vie sur mesure,

Battue à plat de couture

Avec des points de suture,

Qui saturent d'ordures

Sur le vif transgressif

Et subversif,

De tel est l'objectif  !

Y a pas photo dans l'objectif  !

De si le prénom est un pronom très relatif,

Et de si le pronom est un prêt nom en rectificatif,

Où l'on cherche un pseudo,

Pour cacher sa nécro dans un éventuel eldorado,

Genre Zorro, il va sauver le monde,

Alors qu'un zéro pointé, trop affûté,

Il part à l'affût de pourquoi ce monde abonde,

Et s'inonde avec tous ces gens qui sondent,

De comment il trouve le monde,

Soi-disant dit en liesse dans l'ivresse féconde,

Du bar de La Rotonde,

Qui soûle les déçus 

De Macron,

Très rubicond

Et couillu,

Avec les handicapés

Si ce n'est les quelques rares rescapés,

Qui ont réchappé à cette vie,

Où il faut faire semblant d'être positifs,

Alors que les êtres sont très négatifs,

Face à la dureté de la vie de quand le ciel est gris,

Avant l'embellie qui adoucit

L'aigri au gris d'un gris-gris,

Grisant pour faire joli, joli,

Comme tout est relatif 

Si demain, quelqu'un nous quitte pour un impératif

Et s'en va ailleurs contemplatif, 

En s'en foutant de qui

Du pronom relatif

Au prénom relatif s'il est péjoratif,

De qui que quoi que ce soit 

De cela il y a un mois,

Où l'on voit la vie du bon côté,

A côté et aux-à-côtés, sans point de côté, 

Avec un embonpoint coté, 

En retraçant le portrait de La Joconde,

Qui l'ouvre au musée mausolée,

Où le temps passe et vite,

Et évite à-la-vite

Le jugement dernier, 

Pour rendre des comptes,

Au bout du compte avec pour acompte,

Quelque chose qui lévite

Les-laissés pour compte qui ne comptent,

Mais dont on escompte

Au bout du compte,

Un ailleurs possible, paisible et plus expressif

Sur le vif

Du sujet au sujet assujetti,

Ecorché vif,

Car tout est relatif ! affirmatif.

 

Jérôme de Mars

 

Quand on ne trouve pas des réponses à ses questions  ! ?

 

Questions sans réponses 

Ou avec réponses qu'on ponce,

On est dans la défonce,

Si on s'enfonce

Dans l'équation de l'inconnue,

Si on a peur de marcher dans la rue,

Et que dans la cohue,

On noie le poisson d'avril du merlu,

Lu, relu, vu et revu dans la bévue,

Si on ressent,

On pressent et on consent

Qu'on est l'intrus,

Quand on ne trouve pas des réponses

A ses questions,

Dont on enfonce 

Des portes ouvertes, où l'on fonce

Dans la défonce

Sans réponses,

Dans une inadéquation

En questions 

Saugrenues et couillues,

En des paradoxes et contradictions

Eperdus dans l'absolu,

Où l'on perd la raison

Et le discernement

Dans l'aliénation,

Sans l'assentiment

De trouver des accords,

Avec nos pressentiments

Sous serments,

Où l'on en subit le pire châtiment

De nous ingénus, 

Et naïfs à croire aux prédictions

Des maîtres fourbus,

A force de trop tirer sur la discorde

Des paroles monocordes,

Si on ne fait pas du corps à corps,

Quand on ne trouve pas des réponses

A ses questions,

Entre hallucinations, désillusions et émotions,

Où l'on se défonce et fonce

Vers la langue de bois, qu'on ponce

En réponses toutes faites,

Dans la défaite en fait,

Si on n'a pas le chœur à faire la fête,

Ou si vous faites 

En sorte, qu'on ne vous accorde du crédit,

Si de vos supplices, vous vous épanouissez en des cris,

Si on vous décrit, comme des brebis galeuses

Et ténébreuses, favorables à l'apologie de la grande faucheuse,

Quand vous jouez les victimes de Caliméro,

Entre gros mots, qui grimpent crescendo dans le chaos,

Si vous êtes avec des questions sans réponses,

Quand on ne trouve pas des réponses

A ses questions,

Même si on énonce dans la défonce,

Des vérités sans langue de bois qu'on ponce,

En montrant de quel bois on se chauffe,

Dans un tour de chauffe, si on s'échauffe bof

De nous ! si on est des Français beaufs, 

Où pour trouver un jour ou l'autre des réponses

A nos questions,

Qui nous paraissent trop longues, à tirer au clair en adéquation,

On trouve des réponses dans la défonce,

Sans langue de bois que l'on ponce,

En trouvant des réponses à l'équation, 

De l'inconnue en route vers l'inconnu,

Car merci pour cet exode verbal, 

De drôles d'oiseaux dans un bal floral,

Qui prend son envol, en émigrant et en fermant le bal,

De son point de salut.

 

Jérôme de Mars

 

Tout le monde a des hauts et des bas dans la vie  !

 

Quai ok sur le monde,

On sonde

Quiconque et quelconque,

Pour voir ce qu'ils vont répondre

Et pondre si leurs tourments

Les fait s'effondre,

Si on tronque

Les gens dans les ronces

De mauvaises herbes

De génies en herbe,

S'ils cachent en eux tout ce boucan

Qui fout le camp,

Ou s'ils font brûler un feu de camp

Qui reflète un ciel bleu clément,

Qui énonce

Dans un verbe en pro-verbe,

Un genre de système et D

S'ils aiment être aidés,

Où s'ils sèment un requiem avec du LSD 

De gens fainéants 

Et indifférents,

Qui dénoncent 

Les assistés,

Pour les inciter

A prendre leur vie

En main,

Afin d'être à jour demain

S'il tombent dans les mailles du filet,

Ou s'ils laissent tomber les mails refilés

Si un jour il y a débat,

Comme en chacun

Tout le monde au cours de son destin,

A des hauts et des bas

Dans la vie,

Invités à mettre par écrits

Tout ce qui les plombent

De leurs tracas,

Et qui leur causent des fracas,

Alors qu'après les bris

Il y a 

Peut-être des faiseurs de brillants éclats

En abats-jours, 

Qui illuminent autour des beaux jours

De meneurs d'ébats,

Qui mettent et bas

Comme en chacun

Tout le monde au cours de son destin,

A des hauts et des bas

Dans la vie,

Vis-à-vis visa vie

Des idéaux aux devis,

De la juste panoplie

Au parfait prototype,

Pour connaître 

En chic type,

Un jour peut-être

Au lieu du paraître

De meilleurs aléas,

Car allez ah ! dans la joie  !

Hippie hippie hourra,

Pour demeurer le maître

De son destin,

Et le faire paître

Avec de délicieuses herbes,

Qui préservent 

Un joli festin,

Même si en chacun

Un jour ou l'autre,

Tout le monde au cours de son destin

A des hauts et bas

Dans la vie,

Alors que si les gens prient

Avec l'eau bénite qui les bonifie,

Ils pensent aux Apôtres

Pour mettre bas

En et bas,

Comme avec des si

Dans la vie,

Tout le monde a des hauts et des bas

Alors qu'il n'y a qu'un pas

Des problèmes

A un parfum de bohème,

Avec l'appât

Du regain,

Car à partir de là

Et bien merci  !

Y a plus débat !

 

Jérôme de Mars

                                           Crise de rire

 

 

        Différentes blagues sur mes amis  :

 

1)  Jean-Paul Garnier, un ami au sujet de Jean-Paul May, l'ancien professeur d'histoire-géographie du Cerep

 

 Jérôme :  Bonjour Jean-Paul, te rappelles-tu du prof d'histoire-géo du Cerep ?

 

Jean-Paul :  Pourquoi cette question mon ami  ?

 

Jérôme :  Parce-que Jean-Paul Mais si tu t'en rappelles !

 

2)  Guillaume Leprette, un ami

 

    Jérôme :  Guillaume, mon portable est tombé en panne, puis-je t'emprunter le tien en tapant ton nom  ?

 

    Guillaume :  Pourquoi tu dis ça ?

 

   Jérôme  :  Car Guillaume le prête son portable !

 

3)  Michel Tonneau, un ami

 

      Jérôme  : Bonjour mon petit Michel, pourquoi se voit-on en vin à chaque fois ?

 

      Michel  :   Parce-que je suis Michel Tonneau en vin !

 

4)  Philippe Bourget, un ami

 

     Jérôme  :  Bonjour Philippe, pourquoi mets-tu ton portable en mode avion dans                         ta salle à manger quand je t'appelle  ?

 

    Philippe :  Mon cher Jérôme, car je viens du salon du Bourget

 

5)  Bernard Penot, mon psychiatre

 

      Jérôme :  Pourquoi cher Docteur Penot, n'avez-vous plus honte de me 

      suivre encore dans vos séances  ?

 

     Bernard Penot :  Parce-que je suis tout penaud de t'écouter  !

 

6)  Gérard Barde, l'ancien chef atelier de L'ESAT de Vitry  

 

     Jérôme  :  Pourquoi Gérard depuis que vous êtes parti de L'ESAT de Vitry, ça 

      s'est dégradé, c'est devenu dur, qu'il n'y a plus de social  et que c'est tout pour        l'argent ?

 

    Gérard :  Parce-que ça barde à L'ESAT de Vitry depuis que je suis parti  !

 

7)  Eric Thébault, moniteur à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry

 

     Jérôme  :  Pourquoi Eric même si l'atelier est conditionné au pire, ça peut                 encore aller grâce à vous  ?

 

    Eric :  Parce-que je suis encore là  !

 

   Jérôme :  Parce-que Eric, t'es beau  !

 

8)  Céline Chauvin, une collègue

 

    Jérôme  :  A ton avis, Céline, pourquoi est-ce-que je me fais des cheveux à

     cause des soucis  ?

 

    Céline :  Je sais pas mon petit Jérôme

 

   Jérôme  :  Parce-que comme tu es un peu pour moi une seconde mère, je suis 

    chauve hein  !

 

9)  Jérôme, un ovni décalé

 

    Guillaume L  :   Pourquoi lascar es-tu toujours sur une autre pseudo planète ?

 

    Jérôme  :  Parce-que je suis un pseudo Jérôme de Mars

 

10)  Simone Moll, une cousine germaine nichée à Cavalaire Sur Mer

 

       Jérôme  :  Pourquoi est-ce-que ça te fait une belle jambe que je perde le fil              de notre contact  ?

 

       Simone :  Parce-que je suis Simone Molle des guibolles 

 

      Jérôme  :  Non, car il y a un bémol

 

      Simone :  Ben oui Jérôme comme on a rompu le fil, je n'ai plus de plan bémol !

 

 

11)  Lionel Lellouche, un ami

 

Jérôme :  Bonjour Lionel, je te trouve bizarre aujourd'hui  !

 

Lionel :  Pourquoi dis-tu ça  ?

 

Jérôme :  Parce-que t'es Lionel, le louche  !

 

 

 

               

                                            Jérôme de Mars

 

 

 

Ah Serbe ! Acerbe !

 

Génies en herbe

De mauvaises herbes  !

Si Socrate a de la réserve,

Il a le verbe

Acerbe,

S'il est ah ! Serbe !

Et qu'il observe

Pour que ça lui resserve, 

Avec de la verve 

Et de la verve haine,

S'il boit de la verveine

Et que la vers vaine

Est dans ses veines,

Si jamais Socrate

Est Croate,

Donc ah ! Serbe !

S'il est acerbe !

Avec le verbe

Haut de l'herbe

En vers de proverbe,

Si l'impro verbe 

Est un pro verbe,

Et que Socrate 

A de la réserve,

Pour que ça lui resserve

S'il observe

Son verbe,

Haut pour que ça lui serve

D'exemple casse-cou avec une minerve,

Qui l'énerve

S'il a de la verve,

Et qu'il conserve

La philosophie de Socrate,

Si jamais il est Croate

Et puis donc ah ! Serbe !

S'il reste acerbe

Avec le verbe,

Haut si c'est un pro verbe

Du proverbe, 

Ainsi avec des verbes

Et des pas mûrs acerbes !

Si la fin Croate

De Socrate

Est ah ! Serbe !

Et qu'il observe

Une minute de silence

A sa révérence,

Où il tire sa révérence

Avec les honneurs en référence

D'où de Socrate,

On en fait un pseudo-Croate

Si jamais il croasse avec le verbe

Haut ah !  Serbe !

Et qu'il reste acerbe !

D'où l'on termine cet impro verbe,

De son pro verbe en un proverbe

En verbe, 

Pourvu que la réserve

Serve et resserve

A quelque chose en verve,

Et que ça conserve

Cette mise en boîtes de conserves,

En verve

De Socrate,

S'il est Croate

Et qu'il croasse acerbe,

Avec le verbe

Ah ! Serbe !

En gardant de sa superbe

Avec le verbe haut

Du ver mot, 

Fin mot d'esprit de l'un proverbe.

 

Jérôme de Mars

Et Ruth !  Et rut !

 

Sexe sans complexe,

C'est très complexe

Si t'as des complexes,

Où tu presses

De ton annexe,

Ta bite rude

Dans une turlute,

Quand tu culbutes

Dans le tumulte

A l'âge adulte

Ta femme,

Hein femme, infâme,

Et Ruth !  Et rut !

Avec du jus de chaussettes,

Quand tu pètes

Le derche

De ta femme,

Hein femme, infâme,

Et Ruth !  Et rut  !

Avec ta bite rude,

Qui est dure,

Quand tu carbures

Avec les prudes,

Coincés du cul faux derche,

Où tu cherches

A évacuer le stress

Qui t'oppresse

Dans un jeu de parties fines,

Où tu fais couler la purée mousse Line

Et purée, comme tu craches la butine

De ton miel orgasmique que t'embobines

Dans une turlute,

Que tu culbutes

Bouche-bée

Dans la bouche

De ta dulcinée,

Où tu fais mouche avec une touche

Avec ta femme,

Hein femme, infâme,

Et Ruth  !  Et rut  !

Qui t'excite de ton calbut,

Quand tu l'insultes

Et que tu la culbutes

Dans le tumulte

A l'âge adulte,

Où pour que tu décompresses

Avec ta princesse

Dans des largesses

Histoire de fesses,

Il faut que tu trouves la sagesse

Avec des caresses 

Et de la tendresse,

Dans la paresse

De ta femme,

Hein femme, infâme,

Et Ruth !  Et rut  !

Que tu culbutes

Et que tu insultes

De ton calbut !

Fin mot de l'histoire en chute,

Où avec ta bite rude,

Tu lui hurles de plaisir en prélude !

Tu es à l'étude !

Pour l'avoir en longitude

Dans ta plénitude !

Et ainsi zut !

Si elle te joue de la flûte !

Avec une turlute

Sur ton calbut,

De la part de ta femme,

Hein femme, infâme !

Et Ruth ! 

Car grâce à elle, tu seras toujours en Ruth !

Et puis rut !

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blague :

 

 

Où envoie-ton une femme qui suce mal un homme  ?

 -  On l'envoie au casse-pipe !

 

 

                                           Jérôme de Mars

Nous sommes sur des petits nuages

 

Images sur la lucarne,

On ouvre la fenêtre

Extérieure vers La Marne,

Qui est un long fleuve tranquille

Des lumières de la ville,

Comme un film de Charlie Chaplin

Qui fascine les histoires de douceur câline,

Dès le soir dans notre maisonnée à rester le maître

Des images qui fleurissent à cran en période de rodage,

Jonchée si nous sommes sur des petits nuages

A rêver d'une embellie et d'un mieux,

Vis-à-vis des cieux qui songent à nous harmonieux

A tourner la rétrospective des diapositives,

Y a pas photo dans le rétro ! avec des pensées positives

En s'interrogeant si on a encore l'âge de figurer en première page,

Ecornée si nous sommes sur des petits nuages

A tenir la chandelle et à converser de sujets curieux,

Bien lotis et amoureux fiévreux au coin du feu

A s'imaginer emporter ses souvenirs dans la devanture d'un magasin,

De nostalgie avec des bibelots qui arpentent les brocantes d'un tous pour un,

Qui jalonne le parcours qu'on désire sans fautes même si on fait tous des erreurs

Dans le jardin qui cultive le fruit de notre travail et qui défriche toutes nos ardeurs,

A nous rappeler le temple où on pose nos points d'ancrages

De prières qui consolident nos idéaux, quand nous sommes sur des petits nuages

A souhaiter un monde meilleur plus fabuleux et plus fameux,

Qu'on aimerait partager de nos cadets de soucis avec nos aînés les aïeux,

Où l'on vous cligne des yeux en vous souhaitant dans la vie un bon démarrage,

Si jamais à tout jamais nous sommes sur des petits nuages.

 

Jérôme de Mars

Plusieurs cordes à leur arc

 

Tir à l'arc

Monocorde à l'arc,

Qui s'accorde

Avec la flèche, 

Et qui concorde avec l'arc

Place de La Concorde,

A L'Arche de La Défense

Sans défense avec miséricorde,

Qui raccorde 

Plusieurs cordes à leur arc,

Arc en ciel qui discorde

Dans un tir à la corde, 

A l'Arche de Noë 

Avec plusieurs cordes à leur arche,

Qui accorde l'arche en ciel

D'un arc qui gratte le ciel

Sur un gratte ciel à l'Arc de La Défense,

Défense de tirer une flèche au tir à l'arc  !

En tirant à l'arc avec plusieurs cordes

A son arche qui étirent plusieurs flèches,

Avec plusieurs cordes à leur arc

De miséricorde, qui accorde l'arc qui raccorde

L'arc en ciel, qui concorde l'Arche de La Défense,

Et qui raccorde l'arche en ciel sur un gratte ciel,

De l'arc de la défense à l'arche en ciel, 

Avec plusieurs cordes à leur arc, 

Sur Place de là Qu'on corde  !

O' quelle miséricorde si le tir à l'arche

A plusieurs cordes à son Arche,

Arche de La Défense, défense arc en ciel  !

Avec plusieurs cordes à son arc monocorde,

Arc en ciel, qui gratte le ciel sur un gratte ciel,

Avec dix cordes à leur arc,

Au tir à l'Arche de la défense, 

Défense d'entrer à L'Arche de Noë  !

Sans défense à L'Arc de la défense,

Avec plusieurs discordes à leur arc, 

D'autant qu'on a trop tiré sur la corde avec l'arc

De L'Arc de Triomphe

A L'Arche de Triomphe

Dans les dix cordes, les discordes,

Dont on vous implore miséricorde,

Avec plusieurs cordes à leur arc.

 

Jérôme de Mars

Les pieds sur Terre  !

 

A vos casques

Et à vos casaques,

La maison brûle

En tombant le masque

Sur toute La Péninsule,

Comme le disait Jacques Chirac,

Où je me mets aux vers

Dans ce poème sur La Terre salutaire,

Où il faut sauver la planète

Et la préserver en passant le plat net

D'un inventaire sur La Terre,

Pour protéger notre environnement,

Ambiant en se convertissant

A l'écologie

De la vie dans un devis,

En ayant les pieds sur Terre

Dans un avant Terre,

Comme Amazon

Gaffa 

Avec Les GAFA,

Dans cet état des lieux

Pas loin des adieux,

Si on continue comme ça

En les tas

Dans la couche d'ozone,

Polaire et interstellaire

De cet environnement bipolaire

Avec des cyclones,

Où l'étoile de la grande ourse polaire

Est en grave danger,

Si on persiste à se comporter

En personnes irresponsables,

D'un je-m'en foutisme général

Qui pèse au moral immoral

Sur la planète Terre délétère,

Où les délais perdureront à Terre

Si on ne se met pas aux vers,

En ayant les pieds sur Terre

Dans notre propre environnement

En posant tout sur la table

Et en érigeant un mouvement 

Contestataire pour faire un inventaire

Sur La Terre,

Des océans au courant

Des courants 

D'ère,

Et de tout ce boucan,

Qui fout le camp

Sur La Terre

De la banquise aux sols,

Qui s'assèchent do ré mi fa saules

Pleureurs avec des antisèches, 

Qui sèchent et pèchent

D'orgueil élémentaire

Et complémentaire,

Où il faut une prise de conscience

Collective pour insuffler une tendance,

Et sauver ce qui peut l'être encore

Avec des accords

Sur Le Climat 

A Paris,

Dans cette pure folie,

En ayant les pieds sur Terre

Dans notre atmosphère,

Qui se réchauffe avec son cœur qui bat

La chamade,

En froid avec les gens dont les politiques les baladent

Dont pour eux, ce n'est pas une urgence absolue,

Alors que si on ne fait rien, la planète mourra

Dans la lune,

De part et l'une qui comptent pour des prunes

Malgré les aléas,

Qui décideront si La Terre est perdue ou suspendue

De notre réaction à changer les choses

Et de par notre cause si on se cause,

A effacer les ecchymoses

Pour se mettre tous en osmose,

A faire apparaître des roses pour une vie plus rose

Sur notre planète pour qu'on ose,

A presque l'hiver de l'existence de La Terre

A se mettre aux vers divers,

Afin que la planète dissolue

Redevienne un monde résolu,

A respirer dès bon air

Et à demeurer débonnaires,

En gardant les pieds sur Terre !

 

Jérôme de Mars

 

Passe-moi la crème solidaire !

 

De par ma fantaisie lunaire

Sur le ciel de la terre

Je te passe de la pommade écran solaire,

Quand je te repasse de la peau mate à cran héréditaire

Où de ta pure gentillesse,

Je t'implore avec délicatesse

Passe-moi la crème solidaire  !

Aux rayons X du soleil né sous X

En coups de crayons divers XY,

Où d'un ton hirsute,

Je t'impute et je te suppute

Qu'il faut un état stationnaire

Mis sur orbite,

Pour te passer de la crème solaire

Très passée avec de la crème fouettée scolaire,

A l'encre néophyte 

Novice en la matière,

Quand je te supplie 

Passe-moi la crème solidaire  !

Pour bronzer généreux

Aux cieux fabuleux,

D'autant qu'il y a encore des gens extraordinaires

Sur la terre de nos ancêtres,

En bien-naître et en ouvrant les fenêtres

A l'extérieur, car le meilleur

Reste à venir de sa superbe candeur

Aux effets internes avec le bel itinéraire,

En route vers un jardin à extraire

Le meilleur sur la terre,

Où je te passe de la pommade interstellaire,

Quand je te surpasse de la peau mate éphémère,

Presque dans la messagerie

Coutumière au sommaire de la matière,

Car sur La Terre première

Passe-moi de la crème solidaire  !

Sur le rond-point imaginaire,

Embonpoint lapidaire.

 

Jérôme de Mars

Erudit ! Et Rudy !

 

Intelligentsia Parisienne

De L'Arlésienne des persiennes,

La bronca

Monte le ton du canevas

A son paroxysme,

Enfermé comme un cadenas

Dans la clé de l'énigme, 

Erudit !  Et Rudy !

T'es rude !  Dis  !

Dis-le vite !

Si t'en dédies évite le !

Et vite le !

Ce chien galeux 

Et gâteux,

Comme ton papy

Erudit !  Et Rudy !

T'es rude !  Dis !

Si tu médis 

Que d' la poésie, 

C'est prude dans

Pour rester prudent,

Erudit !  Et Rudy !

T'es rude !  Dis  !

Où tu fais une parodie,

Car par on dit !

Dans les on-dit,

Qu'on en dit de ton ordi,

T'es rude !  Dis !

Erudit !  Et Rudy  !

 

Jérôme de Mars

Le soleil allume la lumière

 

Couleur du ciel, 

Sombre dans les décombres

Après une nuit 

Passée à l'ombre,

A fermer ses prunelles

Dans son abri,

Ainsi dès le petit matin,

Souvent au clair du jour

Et au coucher de la lune,

Le soleil se lève enclin

Et arrose de son rayon ultra libertaire

Toute sa commune

Sur tous les alentours,

Comme le soleil allume la lumière

Repose les réverbères

Et les lanternes rouges,

Dès que le soleil voit rouge

Au feu rouge qui ne bouge,

Quand il est à l'orange 

Du versant du soleil, 

O'range ton rayon universel  !

Epris de liberté et de délicatesse

Egrénées par la finesse

Du soleil qui rit, 

Quand la pluie gémit,

Dès les bourrasques du vent

Dérangeant et accablant,

Comme le soleil ne fait sans blanc

En vers les nuages bleus

D'un caprice des Dieux,

Mais dont heureusement, 

Le soleil complice du beau temps

Allume la lumière

Et stimule ses paupières

Dans un fard de clair,

Grisé à la liesse populaire

Et nécessaire,

A un ciel prospère

Limpide et cupide,

Dès que le soleil est avide

Et participe présent

Longtemps à ce temps demeurant,

Au demeurant des mortels

Ainsi soit-il le soleil !

Qui allume la lumière

Avec ses frères de l'univers,

Aux couleurs calquées 

Et marquées,

De leur empreinte digitale

Et originale,

Lorsque le soleil

Reste sentinelle,

Du temps qui allume la lumière

Du soleil oscillant poussière,

D'où il finira au près des colombes

Blanches en leur donnant

Cartes blanches, qui leur incombent

Aux épreuves de leur firmament,

Dès que le soleil leur demeure fidèle 

Et leur inspire sans paradis artificiel,

Un paradis naturel,

En clair sur La terre,

Tant que le soleil rallume la lumière.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                       Blague :

 

 

Qu'est-ce-qu'une pièce d'Euro qui a pour symbole un couple qui fait l'amour ?

-  Une pièce d'écu

 

 

                                               Jérôme de Mars

Aux mots sexuels

 

Elles brisées,

Les hirondelles

Se font la belle

Autour d'un ver au Troquet,

Pour trinquer à l'amitié

Des elles esseulées,

Avec la gestuelle

Et les mots sensuels,

Aux mots sexuels

Qui voient s'accoupler,

Les hirondelles

Et les tourterelles,

Attire d'elles

En faisant la chose,

Et pas la ménopause

Et l'andropause,

Entre deux pauses

Café et chocolat praliné

Aux mots sexuels,

Qui voient s'enchaîner 

L'acte charnel,

Qui dépucelle

Les parcelles

Hétérosexuelles, 

Genre normal

Et homosexuelles

Transe genre paranormal,

Qui battent de l'elles

Entre elles,

Alors qu'il suffit d'une ritournelle

Pour faire tourner la manivelle,

Qui nivelle

De hauts en ébats,

Pour mettre bas

Entre elles

Aux mots sexuels,

Qui rassemblent les genres

Et les transe genre

Genre transe en transe,

Qui dansent genre trance

Redondance en abondance, 

Alors que les dernières tendances

Promettent du machiavel,

Homos sexués

Et homos sapiens,

Dont ça sent le sapin

Et le tapin asexué,

Homosexuel

Et hétérosexuel,

Qui volent de leur propres elles

Aux mots sexuels.

 

Jérôme de Mars

Slam slom

 

D'home à homme,

Comme à la maison,

Voici une chanson en écusson

Dans un slalom

En slam slom,

Qui snobe le génome

Humain de Jérôme,

En gènes héréditaires

Indigènes parlementaires,

Dans un slalom

En slam slom,

Qui double en salto

Feuilles ramassées recto verso

Dans un jet d'encre de ski,

Quand les bronzés font du ski

Vendu avec l'après-ski,

Exquis, ex-ski 

kiwi kawi kaki, 

Dans un slalom 

En slam slom,

Qui adoube les prudes hommes

En les attaquant aux prud hommes, 

D'home à homme

Comme à la maison,

Où il y a des fantômes

Dans un nouveau tome

De Tom Sawyer, 

Qui chahute dans la rivière

Pour qui tout baigne, 

Comme il daigne

Repeindre l'estuaire,

Avec les couleurs printanières

Du soleil trépidant, 

Avec ce beau temps

Mais dont l'effet boule de neige

Amène des flocons de neige,

Dans ce slalom

En slam slom,

Pour sa pomme d'épi

Au cercle circoncit, 

Et concis et pi

C'est tout  !

Dans son va-tout, 

Où l'on jette le fruit

Défendu sur les orties

Aux bruits poussifs,

Qui ordonnent l'ordre impératif

De regarder les cieux

Plus cléments,

Pour installer son royaume extasiant

Et exaltant vers d'autres horizons,

Sur le balcon

De la mer enchantée dans un froid d'hiver,

D'où l'on vous clame

Dans ce slam

Avec pour intermédiaire,

Un slalom 

En slam slom,

Qui conseille en villégiature

De passer des vacances dans la verdure

A la profonde nature,

Ainsi, semblait satisfait un témoin auriculaire !

A bonne entendeur sur La Terre,

Qui souligne les aventures

De ce slam qui se termine économe,

En slam slom

Au tournant de ce slalom.

 

Jérôme de Mars

me à homme

Mon cher bonhomme, 

Serge, je m'adresse à toi

Dôme à homme,

Dès fois

Que tu es à l'écoute

Dans ce monde qui me déroute,

Et qui m'en coûte,

Dans les voûtes terrestres

Qui m'envoûtent pédestre,

Avec un coup de pied au derrière

Alors que de mon œillère,

Je suis sans barrières

En n'assurant quelques peu mes arrières,

Où Serge, je m'adresse à toi comme un ami,

Depuis mon adresse en mon toit, où je suis en anémie

D'un manque de vitamines

En la vie qui me mine,

Où tôt ou tard, j'ai peur sur le tard

De commettre l'irréparable,

Comme je suis capable 

De péter mon cartable,

Pour foutre en l'air la table

De multiplications

Ou d'irrésolutions, 

Alors que j'ai certainement la solution

Depuis le début d'année en résolutions

Pour trouver l'alchimie à cette équation,

Où je me pose tant de questions

Tu vois Serge, où je te parle dôme à homme

Toi qui es un sacré bonhomme

Malgré tous tes drames,

Alors que moi, j'en fais une trame et un mélodrame

De ce qui se trame avec mes inéluctables travers,

Alors que toi Serge, t'as une force de caractère

Incroyable et extraordinaire,

Qui moi m'aurait mis à terre,

Déjà que ça fera 25 ans le 14 février, le contre jour

De La Saint-Valentin

Que mon grand-père s'est suicidé en enfer,

Aux alentours du désamour

Du purgatoire

De son histoire, 

Qui se répercute à mon triste répertoire

Sur les souvenirs du trottoir,

Quand ma mère 

Se soûlait la gueule casse-gueule au vin, 

Et à la mise en bière

De sa courte existence,

Que fut la sentence

De son incurable cancer,

Qui allait l'emporter dans les vents d'ange

Dont en 2020, ça fait très loin en deux vins

Depuis son absence,

Aux atténuantes circonstances

Dont la constance me fuit pour hein constance,

Où Serge, je me sens en danger,

Tôt ou tard au bord du ravin

Dans une cave à vin,

Où je mourrai prématuré

De jeune précoce,

Dans l'Ecosse 

Du grand chêne,

Où tout ça me gêne

Héréditaire d'un matin d'hiver,

Quand j'écris dix vers

Serge, où je m'adresse à toi

Dôme à homme,

A Paris dans cette pièce 

Détachée en espèce,

Menacée sur le boulevard

Jourdan au Cerep,

Dont j'en fus un adepte

Plus ou moins assidu

Dans tout ce bazar,

Comme j'ai assez dû

Assurer ma sécurité asociale

En arrêt-maladie dominical et inamical, 

Où Dôme à homme

Serge, je m'adresse à toi,

Dès fois parfois quelquefois si toutefois

Tu as des suggestions à me faire,

Pour résoudre tout ce calvaire

Loin pourtant de Cavalaire,

Où je cavale l'air de rien

Toujours dans des pépins,

Du collège privé Epin, où j'eus tous ces pépins

Du fruit de mon travail

Les doigts en éventail,

Où je vous passe du moindre détail,

Quand quelqu'un m'entaille

D'une poignée de fer

De la taille de mes blessures intimes,

Mais infirmes

De ma douleur intérieure,

Où j'ai de la liqueur et de l'aigreur

Dans mon estomac noué sur le tarmac,

Si jamais quelqu'un m'attaque

En bouc-émissaire

Du commissaire ami de mon grand-père,

Qui se sentit trahi

Quand mon déchu grand-père, 

Cacha et dissimula son revolver

En guise de fusil pour se tirer à bout portant

Car à bout pourtant,

Où il me transmis ses gênes

De son propre malheur littéraire comme de ma mère,

Où il ne faudrait pas plus tard

Que je reproduise sur les enfants

Ce je d'enfant malfaisant,

Dont je fus maltraité et malmené

Depuis ma prime enfance

Dans la véhémence,

Où Serge mon ami je t'adresse mes sincères

Salutations distinguées au sommaire

Du prochain numéro,

En délibérations

Et en énumérations, 

Comme j'en suis la victime en Caliméro

Sur le troquet des bars,

Où je rembarre tout ce qui me barre,

Moi l'éternel écorché vif,

Piqué au vif transgressif sur le vif

Du sujet,

Dont je fus le sujet et à quel sujet  ?

En espérant que la victoire

Pérenne et sereine

Sera au rendez-vous abreuvoir

De futures belles histoires,

Même que je suis au bout du rouleau

Compresseur avec mes trémolos

En bistrots de comptoirs,

Où Serge, d'homme à homme,

Et dogme à Dôme,

Je te dis au revoir et à plus tard.

 

Jérôme de Mars

 

                                                       Blague :

 

 

 

Qu'est-ce-que ça fait une femme qui n'en a rien à foutre  ?

 -  Une femme qui a plein de foutre sur elle

 

 

                                               Jérôme de Mars

Le panse-bête des animaux

 

Soins, aux petits soins pour les animaux,

Nous sommes bêtes,

Avec le panse-bête qui hébète

Les animaux sur la ligne des marginaux,

Quand la vache sacrée est olé,

Et qu'au lait, elle épie 

De ses pis dans un laps de répit,

Toutes ses mamelles

Aux femelles,

Bien qu'en des pis, 

De pis en pis, et en dépit,

La vache olé est consacrée

Oh ! la vache  !

Qui cravache

Très à cheval,

Les poulains, les juments et les chevaux

Ainsi que petit à petit les poneys,

Dans un coup de rabot,

Avec deux pieds dans le même sabot

En une vitesse de galop

Qui est le coût de trot,

Pour remettre en selle

Et le pied à l'étrier,

Les rongeurs qui nous rongent les sans

Dans un coup de lapin,

En posant des lapins

Dans un rebond

Sans faire faux-bond ,

Dans le saut

Des sots

En soubresauts,

Qui sourient 

Aux rats,

Et aux hamsters

Terres à terre au ras des pâquerettes,

Où l'on aboie en se prenant des gamelles

En disant ta gueule au chien  !

Dont son nez est truffé

De mauvaises odeurs,

Comme l'argent n'a pas d'odeurs ,

Mais est rôdeur

Dont son museau

S'amuse au zoo,

Pour voir les félins 

Tel des lions dans leur cage,

Qui saccagent 

Les tigres qui mettent

La main à la patte

De leurs proies,

Car qui va à la chasse,

Perd sa place !

Dans le surplace

D'une cage de cochons d'Inde

En Inde et Loir,

Pour dormir comme un loir

Pendant l'hiver qui hiberne

Les marmottes,

Et qui carottent

Les lapins et les lièvres,

En prises de becs de lièvre,

Qui rejoignent les émules

D'Anne avec sa tête de mules,

Qui dégriffent emprises

Les griffes des chats à prises,

Dont ils ont rarement des accidents

Domestiques comme ils sont domestiques

Envers les humains,

Qui sont leurs véritables copains !

De même que certains

Ecureuils sauvages à la caisse d'Epargne,

Qui en épargne quelques-uns

De par leur étonnante gentillesse,

Taupes là d'une poignée de main

Dans la tendresse

De mon refrain, 

Où je pense aussi au renard affûté

Que je suis dans un corps beau,

Ou pas beau sous le Pont Mirabeau,

Comme la chanson Le Loup, Le Renard et La Belette

Du groupe Manau qui furent et des furets,

Où je termine ces vers de terre,

Dans une campagne d'environnement

De mise aux vers,

Comme un poisson dans l'eau en accord,

Depuis mon bocal, oups dans l'envers du décor.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                       Blague :

 

 

Pourquoi suis-je une personne très entière ?

-  Parce-que depuis que je suis né, j'ai eu la totale !

 

                                               Jérôme de Mars

En gains et ben  !

 

Casino, on fait les courses

En jouant au casino of course,

A Enghien-Les-Bains,

En gains et ben !

Si en joue, on joue sans regain et ben,

Avec nos joues, à Dignes-Les-Bains,

Si on prend le bain et la douche

Aux Bains-Douche 

Et ben louche,

Si on reste dignes aux bains,

Et qu'on est sans gains,

Si on se fait du sang d'encre consanguin

Et sanguin,

D'où cons sanguins,

On joue cons sans gains

A Enghien-Les-Bains,

En gains et ben !

Sanguins avec gains,

Sans gains et consanguins,

D'où l'on touche

Le jackpot sur la touche,

Sans retouche

A Enghien-Les-Bains,

Avec nos joues, en gains et bien !

Et en joue, en regain et ben ! 

Les bains !

Si on rejoue cons sanguins

A en gains les bains !

Dont on a cent gains 

A Enghien-Les-Bains,

Et puis ben ! c'est bien !

En gains et ben !

 

Jérôme de Mars

Les Papys Russes

 

Cœur à l'ouvrage

On ouvre une nouvelle page,

Avec les phares à on

Dont les pharaons

Gâtent en gais-pinsons,

Car pinçons

Aux aguets

Les papys Russes,

Avec du papier papyrus

De l'arène d'Egypte,

Dans l'apocalypse

Des gladiateurs,

Amateurs et à mateurs

D'une course-poursuite

Of course pour suite,

Dès que Les Papys russes

Achètent du papier journal papyrus

En jouant à la roulette Russe,

Dont Les Russes

Terminent leurs douze travaux d'astérisques,

A leurs risques

Et périls puérils

Avec leurs vieux fusils,

Pour être en phase

Dans leurs différentes phrases,

En périphrases

Dans leurs périples phrases

Périphériques sur le périphérique,

Quand le téléphérique

Est tel est féerique,

Car pour enterrer sa vie

De vieux garçon avant l'âge,

Autant cimenter

Le sarcophage

Des maçons,

Pour noyer le poisson

D'avril en donnant une bonne leçon,

Avec l'hameçon

Très à cheval d'arçon,

Dont le garçon

Dans les parages

Dit à l'arène d'Egypte,

Face à ses papys Russes

Jouons à la roulette Russe !

Avec du papier papyrus

D'une ellipse,

Où l'on s'éclipse

Dans la lune

Et dans les dunes,

Face aux pharaons

Des montagnes Russes

Et Russes

Dans les phares à on,

D'où l'on vous dédie

Un grand merci,

Merci à qui ?

Acquis

Avec du papyrus,

Quand les papys rusent.

 

Jérôme de Mars

 

 

Ne t'inquiète pas, demain, il fera beau  !

 

Farandole sur le sol

Des jours de gondole,

Après la pluie,

Viendra le soleil,

Dans une accalmie

En une ribambelle

De merveilles

Dans une olympiade

En une pléiade,

Où pour te rassurer,

On a envie de te parler

Avec des paroles,

Qui te gondolent,

Car ne t'inquiète pas !

Demain, il fera beau !

Sur Le Pont Mirabeau,

Comme sur un tableau,

Où il y a

De l'eau en échos,

Qui crépite épanouie

Dans un paradis

Sur l'eau,

En statut quo 

Et ex aequo,

Avec de sublimes éclats

En aquarelles,

Qui chuchotent à quoi

En vers un groupe Danois et Norvégien Aqua,

De celui qui rêve

De ramasser la fève

En faisant une trêve

Et en possédant la sève,

De la panoplie

Des sans-soucis,

Où l'on te dit

Avec le sourire,

A demain avec plaisir

Et dans la joie

Du pont des rires,

Car ne t'inquiète pas !

Demain, il fera beau !

Avec des corps beaux

Dans les ébats

De filles de joie,

Qui te mèneront en bateau

Sur le pack beau

Du Pont Mirabeau,

D'où tu concluras 

Au revoir de là-haut !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                  Blagues :

 

 

1)  Quel genre de cabinets pourrait ouvrir la psychologue de L'ESAT de Vitry si elle veut qu'au bout du compte, ça lui rapporte davantage d'argent  ?

  -  Elle devrait ouvrir son propre cabinet toilettes pour vider son sac

 

2)  Pourquoi si la psychologue de L'ESAT de Vitry ouvrait son propre cabinet toilettes, ça marcherait mieux pour elle ?

 -  Parce-qu'elle, ce serait une fausse sceptique

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

Cas de force majeure

 

Comme il faut se méfier de l'eau qui dort,

Ma vie est un grand torrent d'eau que j'appelle en renfort

Pour contrer et contrecarrer les accidents mineurs,

Dont maintenant je paye le prix fort à l'état majeur

Car quand j'étais mineur,

J'étais comme une mine de charbon mineure

Qui me mina jusqu'à l'âge adulte,

Dont je fus dans le tumulte

D'un cas de force majeure,

Qui s'efforça que ça reste mineurs

Ses problèmes détournés mineurs,

Qui furent contournés à l'état majeur

Revendiqué à 18 ans de ces accidents mineurs

A l'âge majeur, 

Comme on connaît la chanson Le lac Majeur,

Comme il faut se méfier de mon eau qui dore,

Presque qu'elle adore le condor

A vol d'oiseau,

Pourvu que je prenne de la hauteur pour qu'on dore

En survol à-vau-l'eau,

Au fond du ruisseau 

D'un cas de force majeure

De l'état mineur en les tas majeurs,

Dont il faut bien composer

Avec tout ça, en lambeaux

Et se débrouiller,

Pour y voir plus clair

Dans la lumière,

Où après ces accidents mineurs

A l'état majeur,

On ne peut que me souhaiter de la chaleur

Pour éradiquer la froideur et la tiédeur

Dans le collimateur,

Avec mon œil dans le viseur

De mon doigt majeur,

Qui se doit d'être mineur

Dans les gestes, mais être majeur

Dans les paroles majeures

Pour joindre le geste à la parole,

Comme les rossignols 

Dans leur langue d'insigne 

A la maladie bénigne, 

Dont on veut que ce soit bon signe

Dans le lac majeur

Des signes,

Pour qu'après ces regrets et ces remords

Qui témoignent d'un appel en faisant le mort,

Je renaisse vivant majeur

Après ces problèmes mineurs,

Et ces accidents mineurs

A l'état majeur,

Pour qu'en les tas mineur

Ca reste un cas de force majeure.

 

Jérôme de Mars

Amère tune

 

Nuit tombée

Au crépuscule,

Qui bouscule

Ceux qui m'ont en outre laissé tomber

Et qui ont eu des retombées,

Dans le tumulte

De mon amertume,

Hoquet des brumes,

J'ai donc le rhume

A me rappeler

Les souvenirs hantés,

Qui fument

A venir ma mère,

Qui est partie en fumée,

Enfumée dont les os' laids, les osselets,

Je les écoute en replaies

Sur I-Tunes

Dans mon amère tune,

Comme de ma mère,

J'ai plus de tunes,

Dont j'exulte

Avec des ricochets,

Ce qui m'a écorché

Et amoché

O' laid de laie

Au lait,

Si je reste une crème

Olé olé,

Qui parsème

Quelques gentillesses

Dans la liesse

Des caresses

Avec tendresse

De mon amère tune,

Que je réécoute en replaies

Sur I-Tunes,

Comme j'ai plus de tunes

En une,

Quand je suis dans la lune

De mon amertume

Aux agrumes

Acides qui lapident

Aride ma ride,

Qui a des plis

Dans le repli

Sur soi

Sans foi ni loi,

Du fruit de mon travail

Enfoui dans mon émaille,

Où j'ai la dent dure,

Qui endure et carbure

Sur à terre nette,

De mon internet

Qui est toujours un terne net,

Arrivé au bout du compte à terme net

De mon email,

D'où de mon amertume,

Je vous donne rendez-vous

Entre gens un peu fous,

Ok des brumes,

Enfants de la balle 

Qui vaillent

Que dalle,

En arrêtant d'écouter

Les replaies

Sur I-Tunes,

Si jamais j'ai des tunes

A la une,

Quand je suis dans la lune

De mon amère tune.

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blagues :

 

 

1) Pourquoi Philippe quand tu es chez toi dans ta salle à manger, mets-tu ton téléphone portable en mode avion  ?

-  Parce-que Philippe, tu viens du salon du Bourget !

 

2) Pourquoi as-tu eu des coliques néphrétiques dont on t'a opéré ?

-  Parce-que les calculs, tu n'as pas eu le temps de les faire !

 

                                         Jérôme de Mars

Danger de remords 

 

Taire, attention danger !

Je suis sur Terre,

En danger

De remords,

Où j'en démords

Que je risque d'y laisser 

Des plumes,

Qui pèsent sur la balance

Obèse de mon enclume,

Comme de tout, je m'en balance

Et que je m'élance,

Avec redondance

Dans cette routine,

Qui ne me fascine,

Mais me mine

En remontant à la racine,

Prépubère et austère

De mon état crépusculaire,

En l'état anxiogène

De ma pathologie aux gènes

Un dix gènes,

Héréditaires et occasionnées

Par mon enfance

Et mon innocence,

Décompensées et ébranlées

Par mon manque d'affection endurée

De mon affection de longue durée,

Où je suis en danger

De remords,

Comme j'en démords

Parfois que la mort,

D'avances me fait des avances

Dans mes déviances

Et qu'elle me va si bien,

Si je l'attends sanguin, sans gain

Et mâle saint,

Avec le mal de mère

Consanguin au venin mesquin

Et con sans gain

Sur La Terre, taire délétère,

Dans un inventaire lapidaire

De mes antécédents patibulaires,

Où je simule une attitude 

De façade

Totalement Azuréen,

Alors que j'escalade

Las les parages de l'enfer

Dans des turpitudes,

A la lassitude

Entière et linéaire

De cette vie qui part en courant d'ère,

Où j'espère

En conclusion salutaire,

Vous dire salut terre  !

Je rejoins

Très loin,

Ma mère

Jusqu'aux portes de l'enfer,

Où je ne serai 

Plus en danger

De remords,

Comme j'en démords

Que je serai mort.

 

Jérôme de Mars

                                               Blagues :

 

1)  Que demande une femme pâtissière à son mari lors d'un rapport sexuel pour avoir un enfant ?
- Peux-tu me faire un chou à la crème ?

 

 

 

 

 

2)  Que dit-on d'une femme qui fait mourir son mari à force de lui faire une mauvaise fellation  ? 

 

 

- Elle casse sa pipe !

   

 

                                         

 

 

3)  Pourquoi François Mitterrand a-t-il été très sulfureux lorsqu'il était président ?

 

- Parce-qu'à la fin de sa vie, François Mitterrand a eu une baisse de régime Allo ! De Vichy  !

 

                                         Jérôme de Mars

La scène est un long fleuve tranquille !

 

Mécènes où je fais mes scènes,

De l'eau a coulé sous les ponts

Dont ont découlé des bénédictions,

Avec des dictons qui m'ont transporté

Si jamais un jour, je fais de la scène

Et qu'on m'assène si je suis obscène,

Alors que je cherche mécène,

En partenaire allié et rallié

A ma cause,

Pour que je cause

Serein avec comme béquille,

Que la scène est un long fleuve tranquille

Hallucinogène dans l'altruisme généreux,

En vers les autres à qui l'on donne de son mieux

Et que j'abreuve pour supporter les épreuves,

Qui émeuvent les veufs

Et les veuves,

Car quoi de neuf ?

Si tu as des nouvelles neuves,

A partager et à fêter

Avec ta communauté de félicité

Dans le lit de tes chimères,

Qui sont la réalité

Et non ton imaginaire,

Comme les écrits fascinent

Ton inspiration qui tambourine 

Mon écriture qui sourcille,

D'autant que la scène est un long fleuve tranquille !

Si un jour je fais de la scène et que je vogue

D'un monologue sur une pirogue,

A La Place D'Italie

A Paris,

D'où en épilogue

A la fin de ce monologue,

Je ne taris d'éloges

Sur la fête des loges,

En cherchant une subvention

Pour financer ce seul en scène,

Avec mécènes, mes scènes sur scène

En naviguant sur l'eau,

Au contact de l'eau, 

Hello et l'eau  ! D'où de par ma fonction

En injonction d'épris de justice,

Suivez-moi sur le sol lisse  !

De ma vie soliste,

Où je joue un semblant d'artiste

En me donnant en spectacle

Du tacle au tacle,

Avec le respect qui m'émoustille

En martelant sûr et certain,

A la famille,

Aux amis

Et aux copains,

Que la scène est un long fleuve tranquille.

 

Jérôme de Mars

Jean-Paul dévoie !

 

Bouc-émissaire aux retraites  !

Il fut commissaire en battant en retraite,

En étant dans les affaires,

Impliquées dans des affaires

Douteuses et crapuleuses

Dans une colère extraordinaire,

Qui renferme toute une haine pernicieuse,

Comme Jean-Paul dévoie

En Jean-Paul Delevoye,

Qui a cherché sa voix

Et l'a trouvé sans voie, 

Avec un porte-voix sans issue,

Qui ne sut s'il sue

A la sueur de son front,

Pour donner le chemin à l'affront

Du rassemblement national,

Comme il est l'original

De la réforme des retraites,

Et qu'il part en quête

De rédemption,

Même s'il fut à l'action,

Comme Jean-Paul dévoie

En Jean-Paul Delevoye,

Comme c'est lui qui voit

Dans son chemin de croix,

A chercher la paix intérieure

Et la récolter, dans une voix postérieure

D'un futur antérieur,

Qui aurait pu être rieur,

Si Jean-Paul ne dévoie

En Jean-Paul Delevoye, mais voit

Et entrevoit le bout du tunnel,

De la réforme qui traverse la passerelle

Avec une voix et une issue,

Sans que Jean-Paul ne dévoie

Jean-Paul Delevoye qui trouve là sa voix,

Comme il y voit Jean-Paul qui sue et sut,

Que ce fut lui Jean-Paul, qui dévoie

Jean-Paul Delevoye.

 

Jérôme de Mars

 

Impotent ciel !

 

Par ciel partiel,

De votre grâce,

Qui voyait la Vierge,

Si Marie est vierge

Avec la verge effarouchée

De Dieu,

On note sur un piano

Tout le tempo

Impotent ciel,

Un potentiel

Juste ciel,

Farouche et sensuel

Grâce à ses multiples faces,

Aux facettes

Et aux fossettes

Dédouanées et inhibées,

Qui composent le régime Missel,

Mi-sel de juste par celle qui scelle

Impotent ciel,

Un potentiel,

Au pluriel par ciel partiel,

Où l'on passe la mise en examen

Des par ciel partiels,

Afin de tracer le bon chemin,

Suivi par le guide du chemin aux mains,

Impotent ciel,

Un potentiel,

De la grâce charnelle et pucelle

Aux prunelles,

Qui font dans la dentelle

Exacte main, 

Qui commencent leur ardeur

Fertile dans l'ordre de grandeur,

En proclamant Amen,

Amène-

Nous vers le bon chemin,

Dans des câlins

Corporels avec la gestuelle,

Fraternelle dans la passerelle,

Qui mène et emmène

Toute la mène qui promène,

Impotent ciel partiel

En un potentiel par ciel.

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blague :

 

 

Pourquoi y a-t-il eu un attentat terroriste à Villejuif  ?

-  Parce-que les gens sont à couteaux tirés !

 

                                       Jérôme de Mars

Renvoi de censeurs !

 

Système politique,

Je fais de l'apolitique

En marge du système,

Où l'on est tous schizophrènes  !

Dans la voix à trouver

Si on se voit

Ou que l'on dévoie,

Jean-Paul Delevoye

A prouver, à approuver,

A éprouver ou réprouver,

Si on est tous candidats

Au vote nul, blanc,

A s'abstenir semblant

Ou à se positionner à gauche

En prenant le gauche,

Ou à se ranger à droite,

Virage en prenant une droite,

En s'affranchissant des étiquettes

A la quête et à la conquête

Des extrêmes partis d'en rire,

Que sont le rassemblement national

Dans la générale de Gaule, 

Qui gaule

Le front républicain,

Qui monte la fièvre affront

Des manichéens,

Qui y vont à fond

Au fond des coupeurs de pont,

Du pont avec Nicolas qui peine

Marine qui Le Pen 

Et Jean-Luc Mélenchon

Dans ses opinions, 

De jurons les jurons !

En organisant une requête partiale

De Lutte Ouvrière,

Avec la colère du peuple seul tributaire,

Des décisions charnières

D'au peuple, la tribune !

Soyez-en une  !

De vos revendications premières  !

En passant à l'action 

Du scrutin dans l'isoloir,

En urne des journaux sur fond de micros-trottoirs

Du reflet de société sarcastique,

De maladies chroniques psychiques,

D'où je vous en fais un purgatoire

Avec vos bulletins

De butins,

D'escrocs qui sont notoires

De la part 

Des candidats électrons libres,

Où je médis les calibres !

Qui vivent et s'enivrent

Avec la froideur du givre,

Qui livre

Ses états d'âme,

En vagues déferlantes infâmes,

D'où je vote nul et blanc

Aux revers blancs sans blanc,

Car en vérité, de toute façon,

Le monde est noir

Avec des discriminations,

A gauche de la droite

Et à la droite de la gauche étroite

Et des extrêmes,

Aux antipodes

Des codes

Du système que je n'aime,

Comme je m'en fous de la politique !

Et que je fais de l'apolitique satirique !

En disant sans renvoi d'ascenseur

Avec des renvois d'et censeurs,

Mes frères et mes sœurs  !

Soyez les assez sœurs   !

Pour en avoir rien à faire

Des affaires de bonnes mœurs,

Car j'envoie d'assesseurs, à ses sœurs,

Un éternel renvoi d'encenseurs,

Monsieur l'ascenseur !

Sans renvoi d'à sans sœur,

Mais avec maintenant

Et pour tout le temps,

Un renvoi d'à ces sœurs,

Car monsieur, les censeurs  !

C'est un renvoi de censeurs !

 

Jérôme de Mars

 

Je suis un légume qu'on cassait !

 

Dans les fées,

En effet,

L'année dernière

En plus de ma colère,

J'étais à l'hosto

Dingue de mes maux

En HP,

Déchiqueté et pas en paix,

Si jamais je prenais du hasch,

Qui gâche

Tout en un fourre-tout

Du tout pour le tout,

Où lorsque j'étais à l'hosto

J'étais en lambeaux,

Car depuis que je suis malade

Et que tout l'immonde me balade,

Je suis un légume qu'on cassait,

Un légume concassé

Dans la brume du ciel

Avec des agrumes dans ma lune de fiel,

Où naguère, je ne suis guère en tant de paix,

Mais dans le toupet guère de respect,

Où lorsque j'étais en morceaux dans le chaos

J'étais à l'hosto,

Comme je subis les conséquences

De flashbacks en séquences

A la fréquence

De ces cons séquences,

Qui sont l'essence

De mon indécence,

Dont la semence

Alimente la mère à boire

Et à manger dans les déboires,

Lorsque je suis un légume concassé,

Un légume qu'on cassait,

A l'hosto dans mes maux,

Puisque donc, je suis un légume qu'on cassait,

Un légume concassé,

Et tracassait en faisant le cinéma

D'art et d'essai,

Comme dans ma tare, j'en ai assez

Du désarroi,

Et que j'attends le come-back

Sans play-back, 

Dans les bacs

Sans sel sur les plaies,

D'où je vous dis avec sincérité,

Œuvrons pour les désœuvrés  !

Et les paumés dans la paix,

Embaumée dans le respect

Et sans toupet,

D'où après l'hosto

Avec mes maux,

J'en ferai des jolis mots

Que j'espère dans le brio,

D'où je ne serai plus un légume qu'on cassait,

Mets désormais un légume concassé.

 

Jérôme de Mars

S'il pleut, on va pas dire qu'il fait beau  !

 

Positif, négatif,

Pour être positif

On est obligés

De se doper

Au négatif,

Au négatif

Des photos

Y a pas photo  !

Négatif,

Comme en impératif,

Le présent simple

Est simple

D'esprit,

Dans la répartie

D'un passé décomposé,

Pas simple

Mais plus parfait

Alors que s'il pleut,

On va pas dire qu'il fait beau !

D'au temps que d'ici peu !

Le temps est un corps beau  !

A vol d'oiseau

A hauteur de l'eldorado,

Pourvu que de là-haut

Le temps ne tombe à l'eau,

Si jamais, il pleut,

Et qu'on ne dit pas,

Qu'il fait beau

En éclatant

En sanglots rétros,

Qui pleurent 

Une toile fleur

Bleue, aux bleus 

Des caprices des dieux,

D'autant que le temps détend

Les esprits récalcitrants

Nonobstant et à temps,

Qui attend

D'ici là,

Si le temps

Sous peu

Il pleut !

Comme on va pas dire

Qu'il fait beau,

Pied beau près de l'escabeau

Des corps beaux,

Qui volent en drôles d'oiseaux

Le ciel funambule,

Qui déambule

Dans le déséquilibre,

Qui vibre le cas libre

En somnolant

Dans son pieu,

Ici sous peu

Comme il peut  !

S'assouplir

Sous les soupirs,

Si le temps respire

Les bleus d'éclats,

Avec pour conclure le tempo

Des ébats

D'un boléro,

S'il pleut  !

Un soleil

Dans le ciel,

Comme on va pas dire

Qu'il fait pied bot, 

Sous les soupirs

Pour s'assoupir,

Car maintenant

En crescendo,

Il fera toujours chaud !

Comme on va désormais

Dire qu'il fera beau.

 

Jérôme de Mars

 

Bonne année 2020 !

 

Quoi de neuf  

Après 2019 ?

Où je vous annonce devin

Et en vingt

Que l'on passe au chiffre vingt

Dans le beau vin

En franchissant l'année 2020,

Où d'office, 

Je vous souhaite avec délice,

Une bonne année 2020

Après tous ces ans dix vins

Dans les beaux vins,

Qui nous ont soûlé divins

Dans ces années dans le ravin,

Où la bande d'amis

Fut fracassée

Dans l'adversité,

Et les rivalités

D'inutiles ennemis,

Alors qu'il faut une fratrie

D'amis dans la confrérie réunie

Et unie,

Pour passer une bonne d'année 2020

Enclins en un clin

D’œil bon pied bon œil  !

En prenant un bon ver

Dans la gaieté interstellaire

D'une tasse de tilleul,

Qui est notre tasse de thé

Rotée, car au thé carottée

Qu'on veut digérer

En paix,

Où il ne faut plus se faire carotter

Dans la marotte pour passer en vingt,

Une bonne année 2020

Dans l'amitié 

Et l'humilité de la vérité,

Où après tous ces temps rudes

Dans les tempêtes prudes,

On a besoin de tranquillité

Et de sérénité,

Dans l'innocence

Et l'insouciance,

Où après les débuts damnées

Et les fin damnées,

On veut des bons débuts d'année

Et de bonnes fins d'année

Dans la fraternité,

Qu'on aspire en vœux

De nouvelle année, 

Où pour terminer en vingt

Je vous souhaite une bonne année 2020.

 

Jérôme de Mars

 

Rendez-vous dans un meilleur monde  !

En prenant un ver de contact

Avec toi, mon cher Serge,

Moi, qui rampe comme un asticot

Dans ma tête de bourricot,

Je dois avec mon doigté 

Avoir du tact, 

Où je te donne à toi

Ainsi qu'aux amis avec leur foi,

Rendez-vous dans un meilleur monde

Meilleur avec ferveur,

Qui inonde

De fraîcheur,

Qu'on sonde pour qu'on fonde

Dans la fronde,

Un meilleur monde qui féconde

Davantage d'amour et d'amitié,

Avec d'avantages de volupté

Pour siroter la vie dans un grand air

En déroulant des R',

Connus et reconnus

Dans la cohue,

Où je te sonde 

Serge, dans quel autre monde

Pourrions-nous nous donner rendez-vous  ?

Sans garde-fous mais en faisant les fous

Dans le redoux et en faisant le bien,

En sachant combien 

Il est important de privilégier

Et de préserver

Le lien,

Dans le regain

D'avoir plaisir à voir

Sa famille

Et ses amis,

Pour raconter de belles histoires

Autour de vers de poèmes de contact

Avec une entracte,

Pour souffler de ce monde 

Essoufflé qui abonde

De cruautés

Et de méchancetés,

Où s'évanouit le respect

Et s'étendent les rivalités,

Où je t'en supplie 

Serge, dans quel monde meilleur

Pourrions-nous nous donner rendez-vous  ?

Avec plus de bonheur

A partager dans la loyauté,

Et plus d'idéaux

Sans prises de bec avec des gros mots,

Où on sera tous pour un 

Et un pour tous dans de l'entrain,

Où il faut qu'on soit des manitous

De la joie

Loin du désarroi,

Comme maintenant l'argent est roi

Dans ce monde de vautours,

Où l'on a vite fait le tour 

Des contours des pas rois,

Où il nous faut des parois

Pour te donner rendez-vous,

Mon cher Serge dans un meilleur monde

Aux quais qui bondent,

De bons sentiments

En s'embrassant sur la joue,

Pour que l'on joue

Innocents et insouciants

A bon escient,

Où je t'en conjure

Mon cher Serge pour ne pas

Qu'on aille tous droit dans le mur,

Pourvu qu'on soit

Mûrs avec le fruit des mûres

Dans notre coin

Tranquille loin des méchants,

Dans un endroit plaisant et charmant

Avec des gens bienveillants

Et vaillants,

Où le jour Serge, que toi,

Moi et les amis,

On se donnera

Rendez-vous dans un monde meilleur,

Le soleil sourira, rira et s'ouvrira

Dans de riches saveurs,

En sirotant une bière

Eté comme hiver,

Au rendez-vous de l'eldorado

Des villageois,

Et des Liégeois bourgeois

Au chocolat,

En chocolat de fêtes de fin d'année,

Où l'on se dira

Avec joie et paix,

Dans la fraternité

D'un monde enjoliveur,

Rendez-vous dans un monde meilleur !

Jérôme de Mars

 

                                                    Blague :

 

 

Que fait un asticot pour se lier avec de nouveaux amis  ?

 -  Il met des vers de contact

 

 

                                            Jérôme de Mars

                                                   Et dis tôt !

 

 

Bonjour chers Français par Les Français, voici cet et dis tôt ! car La France appartient à ceux qui se lèvent tôt ! Où en infos, je bois un pot avec vous, en vous prélevant à la source, comme les problèmes prennent leur source et remontent à la source,  Allo ! comme tout tombe à l'eau, car ça coule de source !  et qu'on est tous dans le même bateau, qui coule quand les oiseaux de mauvais augure roucoulent et qu'ils volent les corps beaux en fin damnée, où l'on a les boules maboules, qui déboulent au pied du sapin, comme cette fin damnée sent le sapin, et que tout le monde s'enguirlande avec des ans bûches, qui provoquent des embûches, sur le bûcher des vénalités, où je vous offre un pot revenu, en cette fin damnée pour un début damné, dans la galette désarroi en tirant l'arène, et en tenant les rênes de la bourse, pour vider ses bourses du CAC 40, qui ne nous épargnent guère, comme en France l'argent est roi, en nous tirant les poches du bas de laine, délivré à la baisse du budget des Français, logés à la même enseigne, d'où on nous calculera en temps réel les APL dans un poison d'avril, pour un énième report aux frais de report en ce début damné, où il faudrait chercher à la source la bonne info, puisque avec toutes ces contradictions et ces paradoxes, on ne sait où se loger à la même enseigne, car de toute façon on est des enfants de la balle logée à la même en saigne, d'autant qu'on nous saigne de toutes nos tripes, en jolis coups de pousse, mais sans le moindre coup de pouce, où on a un gouvernement de bras cassés, qui bat en retraite depuis qu'Edouard Philippe a perdu son bras droit, le bouc-émissaire aux retraites Jean-Paul Delevoye, comme en France, on a toujours un métro de retard au train, où vont les choses, déjà que ce qui se trame, ça rame et ça ne circule pas sur de bons rails ! comme Macron a fait les poches des handicapés en station debout, et qui sont au bout du rouleau compresseur de ce gouvernement capitaliste, où Macron vide ses bourses d'ancien banquier, avec sa femme mère Brigitte Macron, la vieille peau de vache olé ! comme leur sécurité est asociale, et notre sécurité sociale est en arrêt-maladie, d'où je vous dis en langue de mauvais signes, signes que les temps sont durs, et que l'on va tous droit dans le mur extrême de Marine Le Pen, du mal de mère qui le peine le far Breton pour 2022 ! Electrons présidentielles à en péter un fusible, de quoi perdre le fil à s'en couper le leurre ! car notre bon leurre est arrivé ! Aux urnes citoyens ! Brûlez vifs ! car piqués au vif de l'apolitique, de cet et dis tôt ! Comme il n'est jamais trop tôt de faire un édito par les temps qui courent, à force de faire le con court d'enrichir le SDF :  Le Stade De France, alors qu'il y a de plus en plus de SDF, qui meurent dehors dans l'indifférence générale, car tout le monde n'en a rien à foot, mais pas du foot : avec toutes ces affaires, parce-que tout le monde n'en a rien à faire, signes astrologiques que c'est chacun pour soi et Dieu qui tousse ! Alors retroussons nos manches, et voyons le bout du tunnel de nos manches retroussées, car c'est bientôt leurre de vous délaisser en cette fin damnée, et en conclusion, en fait bon début damné à tous !

 

 

                                               Jérôme de Mars

Sur années

 

Dans un huit fini

Je suis né en 1978 hein fini  !

En années sur années,

Où en début d'année,

Je ne savais 

Ce que me réserverait,

Les autres sûre années,

Surannées, sur années

Avant l'épopée de dures années,

Qui sonnaient comme un début

Et un rebut 

De fin damnée,

Certains 31 décembre,

Comme le 31 décembre 1991

Dans un onze 

Féodal, où je perdis 

Ma grand-mère,

Le même mois incendiaire

Dans un huit infini

A la mère de mon impair,

Comme ma mère le 21 septembre 1998 à fini

En bouc-émissaire

L'aven-veille de son anniversaire

Avec un huit dès fini,

Où le 31 décembre 1998

Ma sœur me renia dans un huit,

Hein fini,

D'où je ne suis pas fini et n'ai pas fini

D'en découdre dans la rancœur,

De la liqueur

De fin d'année,

En fin damnée

Sur années surannées,

A pécher du fruit défendu

De ma mère fendue,

Dans sa sale gueule

De mon côté casse-gueule bégueule,

Et elle belle gueule

Acidulée douce amère,

Dans la mère

De tous les vices,

Qui sévissent 

Sans serrer le vice

Vice

Et versa,

Déversa

Sur année

1994,

Dépliée en quatre

Au repli,

Qui prend le pli

Replié en quatre,

Quatre à la suite

Dans une fuite

En Aven, 

Que mon mal de mère

Dans le couvent

De ma mère,

Couvant

La recette du pendu

Aux facettes suspendues,

Répandues dans la honte

Et la fronde,

De l'amère sur années

Sûre année, surannée,

D'une fin d'année

En chaque fin damnée,

Comme après le 31 décembre 2010

Dans un dix 

De rechute étiré,

A couteaux tirés

En sortant un couteau retiré,

Sur année, sûre année,

Surannée

De l'année 1995,

Où cinq sur cinq,

Je perdis mon grand-père

Le jour de La Saint-Valentin,

Dans son suicide antichrétien

Et anti-sacristain,

Au teint hautain,

Rouge 

De sa robe de chambre qui vit rouge

Dans le sang,

A se ronger les sans,

Aven les mille et décent

De l'an deux mille, 

En plein dans le mille qui fourmille

De sang à contre sans, 

Et de 1991,

Année sur année, 

Du cancer de louanges

De ma mère dans sa vie d'ange,

Mésanges d'aventures, aven de se mettre sur son 31

Décembre 1997,

Au jeu de cette

Famille en camps divisés,

Qui fout le décan de concentration

En camps retranchés,

Dans la soustraction

De ses sûre années, surannées,

Sur années retirées,

De sa courte vie,

Qui dévie

Du droit chemin

En me donnant sa main,

Pour épouser ses gênes homogènes

Cents gènes anxiogènes, hétérogènes

Indigènes hein dix gènes,

Aborigènes sans gênes,

Comme l'année 1999

Quoi de neuf ?

Docteur, 

Où j'ai perdu ma sœur

Dans la rancœur,

En prière

De ma colère,

Des bonnes sœurs

En à dieux,

Insidieux sans le teint radieux,

Car odieux avec les hauts dieux,

A force d'accumuler

Et d'acculer

Les tentatives de suicides,

Dans l'acide

Du complexe de type,

Très complexe D'oedipe,

De ma mère parfait archétype

Du prototype,

Qui pique épique

Et pique,

De ces années impaires

Du plaint,

En trop plaint

De super sans repères,

En pair d'impair d'un père

Du mal de mère,

Où sur années, surannées,

J'ai perdu et perdu, éperdu

Des années sûre années,

Comme cette fin damnée

Dernière en hein père,

Où je fus hospitalisé d'auspices

Et d'office

A ma demande,

Que je quémande de mon offrande

En début damné impair,

Dans l'un père

De mon mal de mère amère,

Car depuis l'an deux mille

Je suis en plaint 

Dans le mille,

Qui fourmille

De papiers peints dépeints

En parpaings, 

Sur années, surannés, sûr année,

D'où je dédie ce prochain

14 février 2020,

Que ça fera vingt cinq

Ans cinq sur cinq

Qu'en vain,

Mon grand-père s'est suicidé

Le jour de la Sain Valentin,

Moi dans le pétrin,

De l'amère

De ma mère,

Qui a besoin 

De son hein père

En impair,

De mon grand père,

En imper

De mon grand-père,

Où aven 

De terminer cet aven terre,

Je prends les devants

En me mettant en aven,

Et en me mettant

Sur mon 31,

Ce 31

Décembre,

Pour passer en aven terre,

D'une bonne fin damnée surannée,

A un bon début d'année,

Sur année, sûre années, 

Le 1er janvier prochain

Et loin le 31 

Décembre de la fin damnée,

Pour un bon début d'année 

Dans le calendrier sur année,

Bonne faim d'année  !

A tous  !

Avec ce joli coup de pouce,

Où je mets mon pouce

Vers en vers,

De cet avant terre

En inventaire,

Car maintenant suranné,

C'est L'Aven Terre sur année.

 

Jérôme de Mars

 

Hippie hippie hourra !

 

Religion de la paix  !

Dont on a besoin

En légion de respect  ! 

De toutes les communautés

Dans le béguin  !

D'un océan de tendresse pacifique

Enfumée par le calumet

De la paix esthétique  !

En toute joie, aléas ! khouya inchallah  !

D'un hippie hippie hourra  !

Allez ah !  dans la joie universelle

D'un monde pacifique, fraternel et charnel,

Où tout le monde posera les armes

Et versera une larme ah ! larme  !

D'une époque plus belle 

Aux accents fidèles,

Paix et amour envers son prochain  !

En se donnant la main 

Dans la paix, la bonne humeur,

Le bonheur 

Et la joie,

Hippie hippie hourra  !

Car venez dans la communauté

De l'authenticité et de la vérité  !

Des baba cool religion d'un Havre de paix

Avec que du respect, de la fraternité,

De la solidarité et de l'amitié

Dans des débats qui ouvrent le cœur,

Des romantiques aux chou fleurs,

Qui envoient des fleurs 

A leur petit bout de chou ravi par la ferveur  !

D'une ola oh ! là ! haut ! la joie  !

Hippie hippie hourra  !

En donnant avec émois,

Une ribambelle d'amour khouya inchallah  !

Alléluia !  dans la pure joie et aux éclats

De la lumière  !

Depuis votre chaumière,

Dans la paix 

Et le respect,

A l'unisson

De l'amour en contagion

Et avec joie,

Hippie hippie hourra !

 

Jérôme de Mars

Sur le fil du rasoir !

Pré-histoire

Du comble de mon histoire,

Je vois tout en noir

Et je broie du noir,

Comme toute mon histoire

Sent la préhistoire,

Et qu'elle ne tient 

Qu'à un fil 

Sur le fil du rasoir,

Où je vis au jour le jour

Et médis ma vie en séjour,

Où j'a vite fait le tour

Et je crains

Qu'un jour tout s'écroule,

Et se déroule

Dans le détour

En sortie de route,

Comme il y a un risque de banqueroute

Dans ma vie out,

Qui est dans la geôle

De mon burn out

Qui m'enrôle,

Où je joue une imposture

Et un rôle

Devant quiconque,

Comme mes problèmes quelconques

Font que je ne peux pas montrer

Et démontrer

Ma véritable nature,

Qui sent le purgatoire

Comble de mon histoire,

Où je n'ai que des histoires

Car tôt ou tard,

J'ai peur qu'avec ma tare

Je sois sur le fil du rasoir

Et que tout défile rasoir,

Car actuellement tout m'est pénible

Serge, comme je pète les fusibles

Depuis mon histoire,

Qui est noire de ma préhistoire,

D'autant que je me sens en sursis

D'Otan que j'en ai pris du dépit,

Où je souffre

A mettre de l'huile sur le feu du souffre

En souffre-douleur,

Comme je souffre de douleur

Et que je boursoufle des horreurs

De mes erreurs,

Où moi, la bombe à retardement,

J'ai peur qu'inexorablement,

Elle explose forcément avec mes tourments

De tout ce boucan,

Et que tombe le masque

Aux ecchymoses de mes frasques,

Où je suis sur le fil du rasoir,

Comme je défile rasoir

De ma vie rasoir,

Pile-poil de mon rasoir,

Qui est rasoir

A force d'en faire toute une histoire,

Qui fait ma propre histoire,

Où ça ne tient qu'à un fil,

Comme je suis sur le fil

Du rasoir,

Et que je vis en perdant le fil

Rasoir du rasoir,

A en avoir peur d'être un abreuvoir

De mon réservoir d'histoires

A mon répertoire,

Dont je lance un appel à l'aide

Dans mon répertoire

Pour trouver des remèdes,

A mon histoire

Sur le fil du rasoir,

Où tôt ou tard 

j'ai peur de perdre le fil rasoir

Sur le fil du rasoir,

Car j'ai peur de passer à l'acte

Si jamais je n'ai pas d'entracte

A mon histoire,

Qui sent le crématoire notoire

Sur le boulevard des hasards,

Aux faux rencards

Fin mot de l'histoire, 

Qui perd le fil rasoir 

Sur le fil du rasoir.

Jérôme de Mars

 

De l'amour net dans ce monde de brutes

 

A la nouvelle année qui se profile,

On espère le profil tranquille

D'une année propice

Dans le délice des lisses lisse,

Avec de l'amour net dans ce monde de brutes

En saynètes d'un gramme d'adore à tous azimuts,

Avec de la bienveillance à revendre

Et de la clémence pour prendre

Au ciel de la grâce,

Et la distribuer pléthore, sur Terre par petits sas

De décompression, dans une inflexion,

Pour donner une formidable impulsion

De bonnes actions,

Car la vie c'est aussi, de propager une contagion

D'amour dans l'enseigne

De la résurrection,

Qui imprègne le règne,

De l'amour net dans ce monde de brutes,

En buvant un pot très net, et en souhaitant dans des vers à flûte, 

Une meilleure année sur Terre plus fraternelle,

A la santé saine et spirituelle, 

Pour loger à l'autel

De l'auberge Espagnole,

Et réciter des belles paroles

Dans la bonté et la solidarité,

Pour aimer son prochain avec charité

Dans la foi Chrétienne

A la sensibilité humaine,

Pour rendre des services utiles

En votre honneur Sacristain, 

De votre générosité volubile,

D'on l'on dit en votre honneur !

Aimez le Seigneur  !

Et votre prochain  !

Avec grandeur,

Pour laisser en testament

Un amour tout-puissant,

Qui mute avec lutte

Dans de l'amour net dans ce monde de brutes.

 

Jérôme de Mars

 

Pourvu qu'on croit encore au Père Noël  !

 

Noël ensemble, rassemble  !

Dans l'ensemble qui semble

Le seul moment de l'année,

Où l'on se voit toutefois

Et quelquefois,

Pour partager

Un moment en instantané

Et dans la simplicité,

Alors que le reste du temps

Chacun a sa vie et ses problèmes,

Alors qu'il faut dire le mot je t'aime

Tant que les gens sont vivants,

Où je pose en affirmation,

Pourvu qu'on croit encore au Père Noël

Dans l'érudition de notre imagination

D'un monde plus beau et moins givré,

Même si en cette période, il fait froid

Dans la givre des mois,

Alors qu'on a besoin de retrouver la foi

Dans ce monde divisé et fracturé

Du chacun pour soi,

Alors que si on convie tout un chacun

En son toit,

Pour partager un festin

Le soir de Noël, 

Alors de nouveau, on y croira

A avoir de la fiesta

Et à interpréter 

Les chants de Noël,

En allant à l'essentiel

De la légèreté et de la vérité

Avec réciprocité

A notre escarcelle,

Qui scelle 

Dans la dentelle

Pour un soir

Et en fanfare,

Et plus si affinités  !

La réconciliation

L'union et la communion

Autour de les tables de Dieu

Et de Jésus,

Qui sut

Qu'il faut changer le monde

Dans une affection de longue durée,

Qui féconde

Le reste de la nation

Dans le lien amical

Et la sécurité sociale,

A partager dans une réunion

En amoureux 

De jeux de mots savoureux

Et en épicuriens,

Dans un délicieux

Buffet aux grands plaisirs,

Avec du vin,

De la bûche, du foi gras

Et du saumon fumé,

Enfumé avec dextérité,

Pour dire qu'il ne faut dire

Qu'il n'y a plus rien,

Mais encore des gens manichéens

Pourvu qu'on croit encore au Père Noël  !

Même si ça fait longtemps que le Père Noël,

On n'y croit plus comme tout va

Et tout s'en va  !

Au ciel de nos prunelles,

Mais dont j'aimerai en ce soir une foi

Par an, supplier les gens

D'oublier leurs tourments et leurs égarements,

Entre habitants d'un même pays, l'humanité

Et la fraternité,

Dont la poste fera foi

Ce soir en famille, entre amis

Et entre copains,

Pourvu qu'on croit encore au Père Noël  !

L'espace d'une soirée 

Dans la familiarité, l'amitié 

La jovialité, la loyauté et l'unité,

Et pourvu qu'on le prolonge après au pluriel  !

Sans baisse de régime Missel,

Durant toute l'année dans un élan

En franchissant des grands pas,

Car faites crescendo  !

De La France, un eldorado

Avec une passerelle,

Entre toutes les générations

D'un pour tous   !

Et tous pour un  !

Avec des coups de pouce,

Car pourvu 

Qu'on y croit toujours au Père Noël  !

De notre point de salut.

 

Jérôme de Mars

                                                  Citation :

 

" Avant un enterrement, une mise en bière, ça doit faire une drôle d'hein pression ! "

 

 

                                         

 

 

                                           Jérôme de Mars

Vive le vent des vers  !

 

Veille de journée de Noël,

Même si je ne crois plus

Au Père Noël,

Je hurle hurluberlu 

De ma voix de crécelle

En ouvrant la passerelle,

Qui déchante chanterelle

La vie en ritournelles,

Où en pré-vers 

Renfermé dans ma coquille

De Saint-Jacques Prévert

De Compostelle

Je fredonne avec ma béquille

Psychique et symptomatique 

De mes rituelles rhétoriques,

Vive le vent des vers !

En dix vers

Et variés,

Qui sentent le sapin dix vers,

Avarié et pour de vrai

En un conifère,

D'où de ma pique d'abeille

Je bourdonne avec leurs ailes

Douces-amères,

En réenchantant en clair,

Vive le vent des vers !

En dix vers

Avariés,

Dont le sapin dix vers

A varié

Dans une grande longévité,

Qui prend de court,

L'humanité dans une courte durée

Le jour de Noël,

Comme je ne crois plus

Au Père Noël,

Moi, le malotrus,

Qui est sûrement l'intrus

Dans ce je de rebut,

Où je fais le con court

De celui qui est toujours

Dans la lune de fiel,

Où j'espère faire de ma colère

Quelque chose de débonnaire,

En prenant dès bon air

En pré-vers

De Jacques Prévert,

Tel un poète complètement barré

De ver avarié,

Qui a varié

En dix vers

Et variés,

Car sur le qui-vive, vive l'évent dix vers

Dans un instantané

De vive le vent des vers !

 

Jérôme de Mars

En terrain connu

Voyage dans l'inconnue,

Il y a une équation

A surmonter,

Pour être en adéquation

D'un retour aux sources,

Calculé et décrypté

Avec les ressources,

De la planète Terre

Dans cet inventaire,

En terrain connu

De notre terre inconnue,

En pleine déroute

Vers l'absolu,

Autant de l'univers

Qu'auparavant en un annuaire,

Qui récite austère

Tout le formulaire

De cet inventaire,

En terre inconnue

De notre terrain connu,

Méconnu et reconnu

De cette énigme biscornue,

Qui réclame l'abécédaire

Dans un désordre élémentaire,

A l'envers

De ces hauts vers

De Noël ma mère,

Question primaire

Dans un rôle secondaire

Du secteur tertiaire,

Comme on passe de l'éphémère

A l'effet mère,

En route

Vers la fin de cet inventaire,

Sur La terre subsidiaire

A l'éther délétère,

Dans une banque route

Salutaire qui est une lumière,

En terrain connu

De notre terre inconnue.

Jérôme de Mars

Le soleil va briller dans le monde

 

Quai des rhumes,

Bientôt les fêtes  !

Dans le bitume

En fait avec du net,

Pour boire un pot

Dans ce monde de brutes,

Avec de l'amour à revendre

Pour répandre

L'eldorado du boléro, 

Qui danse en vers de flûte

Durant les fêtes à valdinguer

Et à transvaser

Les comètes,

La tête dans les étoiles

A croire pile-poil,

Dont c'est l'heure

Au petit bonheur,

Comme le soleil

Va briller dans le monde

Et scintiller dans une ronde,

Aux étincelles qui ruissellent

Dans un tonnerre d'amour

A y étendre des bonjours,

Qui stimulent la création

Pure avec le soleil en inclinaison

Dans une inflexion 

De joyeux trublions,

Comme le soleil va briller

Dans le monde

Et luire

De durs à cuir

Dans un océan de tendresse,

Qui féconde

Les prouesses

De sa Principauté,

Au soleil du Carrousel

Qui l'ouvre de son Cadet Rousselle,

Dont c'est le cadet

De ses soucis d'être laid né,

Né au soir de Noël

Avec la bonne action

Du Bon Dieu,

De s'endormir sur ses lauriers

Depuis son pieux,

A soutenir un formidable

Meilleur monde,

A la ronde

Et à la table

De Jésus,

Pour réciter Notre-Père qui sut

Dans le Laïque

Et sa mosaïque archaïque,

A porter l'espoir

D'un monde meilleur,

Fait à base de chaleur

Humaine dans un exutoire,

Resplendi par la fraternité

Et le respect,

Où tout le monde sue

Et y trouvera

La paix et la joie dans la foi,

Où maigrira la haine

Et grossira l'amour et sa bedaine,

Pour plus de prospérité

Et de simplicité,

Cordiales et amicales

Dans l'affable,

Loyale et égale

D'une fontaine, 

Qui jaillit avec la peine

Des âmes, 

Qui ont vendu leur vague à l'âme

Au diable infâme,

Qu'on blâme

D'un soleil d'hiver monocorde,

Auquel on accorde

Le grand pardon 

En riches effusions,

Dans l'admirable

En espérant,

Avant le printemps

Que le soleil va briller

Dans le monde,

Pendant les fêtes

Et au-delà

Les fêtes

Rubicondes mais dans une ronde,

Car en fait,

Le soleil va briller

De toute sa lueur

Et de son humilité,

Dans l'immensité

La densité et l'intensité,

De la réconciliation

Et de l'union

De l'ancien et du nouveau monde,

Qui abondent

En des résolutions

Surannées et illuminées

Dans la communion,

Comme à tout jamais  !

Et pour l'éternité  !

Le soleil va briller

Dans le monde.

 

Jérôme de Mars

 

Que se serait-il passé si Georges Brassens s'était marié  ?

 

Si Georges Brassens s'était marié à Sète occasion,

Il aurait publié des bancs publics 

En invitant tout le monde à s'unir pour le meilleur et pour le pire,

Dans des noces, où il aurait parlé d'argent en or qui dort

Dans les paradis fiscaux et tropicaux, en tant qu'artiste anarchiste,

Où il aurait tenu parole dans ses droits d'auteur, comme on connaît la chanson

Fleuve sur La Seine, où il aurait pétillé avec la foule, qui déambule

En poète médit, qui déclame à quoi ça rime ?  s'il chante des vers à flûte, 

Renfermés dans leur bulle de champagne, qui stagne en prenant 

De la bouteille, avec ses amis acolytes anonymes, assis sur leurs positions

Et campant sur leur pôle position, des copains d'abord aux abords

Du rebord, entre l'euphorie et la mélancolie, qui singent le gorille gare

A la cérémonie, qui marie les femmes et les hommes infâmes, 

A la religion d'état, qu'est l'hérésie si Georges Brassens y croit athée,

En portant sa lourde croix à Lourdes, comme si c'était sa tasse de thé  !

Qui boit la tasse ôtée, fiancée avec le célibat qu'au Cubain, 

Avec le cul bas en des scènes, qui déménagent en supplique,

Pour enterrer sa vie de vieux garçon à Sète occasion,

Si jamais on s'était demandé, ce qui se serait passé si 

Georges Brassens s'était marié d'occasion en Sète occasion,  

Au rendez-vous du divorce de la vie ! qui épouse la mort dans un paradis

D'enfer ! Au diable les convenances ! avec l'avocat qui se fait la décence !

A la défense de Georges Brassens ! qui mange des avocats, sans défense !

En Sète occasion, si jamais Georges Brassens s'était marié au Parvis 

De la défense, en se faisant l'avocat du diable, au diable le paradis d'enfer !

Témoin de la nuit des noces funèbres, où tombe le rideau final avec sa bande, 

Dont Fernande en contrebande, d'où l'on trépasse la même bande !

Défunt de bande !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                     Blague :

 

 

Pourquoi dans la vieille époque si Marine Le Pen n'avait pas dit de quel parti elle était, n'aurait-on pas pu le deviner  ?

 -  Parce-que ça n'aurait pas été marqué sur son Front  !

 

 

                                             Jérôme de Mars

Je ne pleus plu  !

 

Gouttes de pluie,

Comme tout tombe à l'eau  !

A force de sanglots dans le rétro

Et d'inepties,

Qui me contaminent en allergies

Je ne pleus plu  !

Comme je n'en peux plus  !

De pleurer de mes trémolos

Tout ce qui me déchire le cœur,

A contrario et crescendo

De ce qui me contrarie,

Dans mon âme maudite 

Dans sa noirceur

Face en surface d'eau bénite,

Comme je ne pleus plus  !

Et que je n'en peux plus  !

De ces gouttes de pluie diluviennes,

Qui tombent quoiqu'il advienne  !

Pourvu qu'on me comprenne  !

Même si c'est croire au Père Noël

Avec ses étrennes,

Chaque année dans les nouvelles

De quand c'est la goutte de trop,

Qui fait déborder le vase

Qui dévase dans la vase,

Vase éclos   !

A plu  !

Si ça a plu  !

Pour de bon

Dépité au Palais Bourbon,

Comme je n'en peux plus  !

Et que je ne pleus plu  !

 

Jérôme de Mars

 

 

Des abusés désabusés

 

Imbu de sa personne,

On a hein bu comme père sonne

Résonne à la consonne

Qu'on sonne

En prenant à la lettre,

Qu'on jette l'argent par les fenêtres

Des abusés désabusés

Par les excès 

De nos côtés entiers,

Soit tout ou rien

En être rentier

Ou hêtre entier,

Planté là comme un arbre déraciné

En cherchant à la racine

De pourquoi on s'incline,

Où l'on courbe l'échine

Quand on décline,

Comme des machines

A l'usure

Et courbatures

Tous consumés,

En êtres déchirés

Des abusés désabusés,

Quand on ne croit plus en l'humain

Et en rien même face à son destin,

Dont on se fout avec dédain

Carbonisés et brûlés 

Vifs sur le qui vive,

Qu'on meurt ou qu'on survive,

A vive allure

Ou à revivre une vie de sinécure

Nouvelle qu'on n'a jamais eu,

Quand on croyait posséder

Une parure

De dur 

A encaisser sans cesse les mésaventures,

Quand la vie nous a bien eus et nous hue

Dans la cohue

D'une société qui ne tourne plus rond,

Mais ristourne dans une soupe aux potirons

Des désabusés désabusés,

A garder et à sauvegarder la paix

Pour préserver encore un tantinet,

Sous peu ou d'ici là 

On se demandera

A quoi bon

Se remettre en questions,

Si on n'allume plus le calumet de la paix

Pour enfumer avec toupet,

Une société radicalisée

Des abusés désabusés.

 

Jérôme de Mars

 

Trop de colère et de haine  !

 

Décolle l'ère 

Avec l'haleine,

J'ai trop de colère

Et de haine,

Avec des abats de laine,

Comme j'ai de la peine

Et que je peine

A effacer ma vieille rengaine,

Qui fout en l'aire

Ma vie de vieux grand-père,

Avant l'âge impair

En nage sans repaires

Et en âge cent repères,

Comme souvent, on me fait

Des remarques déplacées,

Lorsque à cause des grèves,

Je ne peux me déplacer

Remarque !

Car ça me dégrève

Dans mes remarques

Qui me luxent l'épaule,

Comme je n'ai pas les épaules

Larges si je prends le large

Dans le velux en marge

Du système,

Où personne ne m'aime

A cause de mes problèmes,

Où je ne cause que des problèmes

Et ne cause que de problèmes,

A s'en foutre de ma vie que je fous en l'air  !

Si un jour à contre-jour, je me fous en l'air  !

Pour décoller des étoiles

A Paris en surplace de l'étoile,

Du tréfonds de ma toile inachevée

Avec mon livre par achevé,

Où j'ai trop de colère

Qui accolent l'ère,

Qui racolent LR

Et qui caracolent et l'air,

En tête de l'apolitique

Que je nique satanique,

Où j'ai trop de colère,

Qui décolle l'aire,

Lorsque j'ai trop de haine

Avec du débat de laine

A plat de couture de l'haleine,

Où je m'en fous des courants d'air,

Lorsque je pars en accourant R'

Et que je me remets à être calme

En mettant mon téléphone portable,

Ex portable et un portable

En mode avion

Qui me palme 

Quand je décolle l'air

Depuis mon avion,

En m'envoyant en l'air

Avec des ébats de laine

Et plus de haine,

Mais avec l'haleine

De ma colère,

Qui vole en haut des bas de laine

Tout doux,

Dans le redoux

Décolle l'ère,

Avec la laine 

En bas de la haine,

Car oh ! beau bah de laine !

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blagues :

 

 

1) Pourquoi le gouvernement d'Edouard Philippe a perdu son bras-droit aux retraites, Jean-Paul Delevoye  ?

 -  Parce-que c'est un gouvernement de bras cassés !

 

2) Pourquoi Philippe, fais-tu parfois des remarques déplacées  ?

  -  Parce-que parfois à cause des grèves, tu ne peux pas te déplacer, remarque !

 

3) Pourquoi Philippe, mets-tu parfois ton téléphone portable en mode avion ?

 -  Parce-que tu viens du Bourget !

 

                                     

                                              Jérôme de Mars

Attire l'argot  !

 

Dans ma Renault

Et comme Renaud,

Je roule mes galoches

Comme Gavroche,

Où en vieux Parigot

Je bande

Attire l'argot

Et je glande

Avec ma langue

Exsangue 

A-tire-larigot 

Bien pendue

Et détendue

A la chatte

Ecarlate 

Depuis ma mob,

En dansant à contre dense

Un immense

Flashmob

A 41 balais,

Dans un ballet

Eperdu dans mon bled,

Où je suis en rad 

En ayant du rab arabe

Oued

Au rade

D'à côté,

Où moi, je becte 

Et je débecte

Dans une démo

Mes gros mots,

De tout ce qui me crade

Et me dégrade

A l'hosto,

Qui se fout de la charité

Charité bien désordonnée  !

Dans ce bordel

Putain d'orgie  !

Qui ne fait 

Dans la dentelle  !

Putain d'ennui 

En contrebande qui capote

Avec ma bagnole,

Qui attire l'hostie 

De l'amnistie, 

Qui n'en a rien à cirer

Du curé,

A récurer

Les casse-couilles

Aux chiottes,

Qui se frottent

Comme des tafioles,

Pour bidouiller

Ces drôles de fripouilles,

Qui se chatouillent

La foufoune

Avec des barjos 

D'affreux-jojos,

Qui débitent

Leur bite

En biroute,

Dans la déroute

De leur scoumoune,

Qui attire l'argot

A-tire-larigot  !

En vieux Parigot

Aux chiottes L'OM,

Qui se mettent des beignes

Pour qui tout baigne  !

Dans les châtaignes

De ripoux de teignes,

Qui accouchent bof

En vieux beaufs,

En improvisant un bœuf

Avec les boeufs-

Carottes,

Qui carottent

Les gens vénères

Que vénèrent

Les racailles

Qui n'ont que dalle

Sur la dalle de Robespierre

Qui caillent 

Ras !

Au-ras-des-pâquerettes,

Chouettes, ça ne vole 

Très haut en antivol  !

D'un drôle d'oiseau

Au fond du ruisseau,

Très chouette !

Cacahuètes !

On gèle des cacahuètes !

Qui se branlent

Et s'en branlent

En vieux bâtards,

Fonce-dés 

Défoncés  !

En fumant ci-joint

Du bédo

De génies en herbe,

Qui s'roulent de l'herbe

Pour s'affranchir

Et surenchérir

En mettant du beur

Dans les épinards

Dans un leurre,

Qui foire

Avec de la bidoche

Vendue en gros,

Gros !  t'es pas beau !

Si on te rétame

Dans ce slam,

Qui part en couilles

Dans la foire-fouilles

Et se dévidant les couilles

En ayant la dalle   !

Aux gargouilles,

Car grouille-toi !

Et pousse-toi !

Si dès-fois tu fais le boloss  !

Alors que t'es pas colosse d'agile  !

Mais couilles molles d'argile  !

Attire l'argot  !

A force de dire des gros mots

Et de mes dires à-tire-larigot

En vieux parigot

De grand allumé,

Qui veut sa thune

Pour planter du blé,

Qui en rit pour s'asticoter

Le poireau 

Dans son jardin secret

A la ronce des oliviers,

Qui baise au black

Pour compter pour des prunes,

Et paye tout au blague is blague,

En faisant le crack

Et en se shootant au crack,

En cassant la baraque

Dans la baraque

Du sympa bistrot,

Ou l'on casque

Bigleux 

Tout son entre-jambe,

Qui enjambe

En s'assurant

Et en se réassurant,

Pour assurer

La sécurité sociable, 

Avec des queutards

De vieux bourricots,

Qui montent à cheval

Sur les voix, 

Qui restent dans les anales

De vieux pervers vicieux,

Qui écrivent des poèmes

Dans une vie de bohème,

Pour régler les règles des femmes

Aux règles d'infâmes,

De vieux Prévert visqueux

Dans le bahut,

Où l'on se fait baiser

Dans le baiser

De Judas,

Qui jura, 

L'aura-t-on

Dans le fion, 

Où avec nos morpions

On retient la leçon en fellation,

Exécution au nom d'une pipe  !

Qui se fripe

L'oignon  !

Aux balcons

Des sous-tifs !

Des femmes qui portent la déculottée,

Aux résultats réactifs, actifs-passifs,

Comme il est maintenant leurre

De s'arracher

A l'arrachée, 

Pour partir de bonne heure

A la chandeleur,

Au jardin secret 

Du petit bonheur,

A-tire-larigot  !

Car après les gros mots

Attire l'argot !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                      Blague :

 

 

 

Pourquoi si je demande l'asile psychiatrique à l'hôpital psychiatrique Paul Guiraud de Villejuif, ma famille ne viendra pas me voir  ?

-  Parce-que pour elle, je serai un étranger qui aura émigré vers l'hôpital psychiatrique Paul Guiraud de Villejuif  !

 

 

                                               Jérôme de Mars

Ouf  !  je suis ouf  !

 

Prêt non d'un barouf !

Moi, je bouffe

Dans la mâle bouffe

Ouf ! je suis ouf  !

Quand je fais la pouffe  !

Sur un pouf !

Pouf ! je pouffe d'un ouf !

D'un ouf ! je suis ouf  !

Où j'étouffe  !

Ma touffe  !

Quand j'ai touffe   !

D'un ouf !  je suis ouf  !

Relou à frais de port de rhalouf  !

Qui met le feu avec des aloufs  !

Où je fais plouf 

En tombant à l'eau et plouf !

D'un ouf !  je suis ouf !

Et que je pouffe sur un pouf  !

Quand je fais la pouffe  ! pouf !

Dont j'étouffe ma touffe

Quand j'ai touffe

Sur non d'un barouf !

D'honneur avec un plouf !

Qui tombe à l'eau plouf !

Où je mange du rhalouf

D'un ouf ! je suis ouf !

Quand je mets le feu ouf !

Feu les aloufs !

Pouf  !  je pouffe  !

Avec les pouffes !

Sur un pouf !

Quand j'étouffe  !

Ma touffe

Et que j'ai touffe  !

Lorsque je fais plouf !

Dans l'eau en un plouf !

Tiré par les cheveux d'un ouf !

De soulagement ouf de chez ouf !

D'un ouf ! je suis ouf !

Comme ça me bouffe

Dans la mâle bouffe

Non ! d'un barouf !

D'honneur ouf ! je suis ouf !

 

Jérôme de Mars

Nos chemins se séparent !

 

De cette histoire, on en fait toute une histoire !

Avec le brouillard qui se voile la face face au hangar

Des souvenirs qui s'entreposent histoire d'antiquité,

De vielles reliques qui bazardent le temps

Des légendes dans la solennité,

Lorsque nos chemins se séparent

Sur le lac d'un roman de Guy de Maupassant,

Passant le mot passant à prendre tout son temps,

En prenant le large de la victoire aux signaux phares,

Dans le phare sans maquillage des passeurs d'histoires,

Qui fleurissent le fleuron des romans-feuilletons fleuves,

Dans l'eau qui coule de source et qui abreuve

Les histoires de l'arrosoir,

Distributeur d'anecdotes étendards,  

Lorsque nos chemins se séparent

Sur les nénuphars de la mare, qui largue les amarres

Pour partir en quête d'une tranquillité,

Saine d'esprit et sereine dans la cordialité,

Qui s'accorde en trépassant,

Comme Guy de Maupassant mourant

En passant le mot passant 

Sur son lit de mort,

Qui n'en démord 

Que tôt ou tard,

Il faudra passer

Et trépasser

Le témoin,

Au prochain !

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blague :

 

 

 

Qu'est-ce-que ça fait un génocide réussi  ?

 -  Quelque chose pour lequel, on n'a pas de remords !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Aux frontières du supportable

 

Pour par être affable

En vivant au jour le jour

Dans un compte à rebours,

J'écris cette fable

D'où jaillit aux frontières du supportable

Tout que ce que je balance sur la table,

Qui n'est point du cinéma

Mais le point sensible

De toutes mes difficultés,

Où je pète les fusibles

Avec mes aléas !  Allez ah !

D'où découle ma colère

Et roucoule ma haine délétère,

Du centre de gravité infusée

Sans prendre cela à la légère

Dont je suis conscient

Et parfois impuissant

Que mon état est grave 

Dans sa pure réalité

Qui se grave

Aux antécédents du passé

Qui revient en morceaux

Et en lambeaux

Par moments en flash-back 

Outrepassés et compressés

Par un con pressé qui a allumé

Le camouflet,

Où j'ai tout camouflé pendant des années

Surannées que ça en est périmé

Aux frontières du supportable,

Où j'ai largement dépassé

Les limites du soutenable,

Dont j'imite mon grand-père

Et ma mère en impair

Aux circonstances aggravantes

En inconstances atténuantes,

Où j'ai atteint seul le seuil critique

Comme mon autocritique est critique,

Qu'on me critique

Et qu'on m'étrique

En ne m'ayant jamais compris,

Comme pour certains je suis un con pris

Et un gars bizarre,

Pas net

Sur le net,

Avec une lourde tare

En retard lourd et bas lourd,

Comme c'est du balourd

Mon état de mise en abîme,

Qui m'écime

Avec le souffle boursouflé,

Et essoufflé, et soufflet

Au fromage à couper

Le souffle,

Qui souffre le souffre

En allumant le feu,

Odieux, aux dieux

Que je n'y crois

Et que je décrois, 

En déportant ma lourde

Et balourde

Croix à la croisée des chemins,

Où j'ai peur de reproduire demain

Ce qu'on m'a fait, décompensé

Dans mon passé ultra pas net,

Très et trop critiqué

En saynètes,

Cyniques et désinvoltes

Que je pense

Que tout le monde s'en fout de moi,

Que je compense

En ayant l'envie de tuer

Des gens

Et des enfants

Dans la révolte,

Pour me venger

De tout le mâle,

Qu'on a fait de moi

En des mois, 

Comme un animal

Aux frontières du supportable,

Où je mets tout sur la table  !

De l'insoutenable 

Au soupçonnable, 

Jamais récompensé

Mais sans cesse critiqué

Et malmené,

Avec toujours des sous-entendus

Que je suis un intrus, un malotrus

Et un bon à rien,

Dont mon impair m'a souvent dit

Que je finirai un jour comme clochard 

Dans les rues de Paris

Pour me rabattre le caquet, 

Comme certains

Ne peuvent me saquer,

Comme je soûle les gens

Avec mes tourments,

Qui enivrent mon saqué

De mère à boire,

Avec tous mes déboires

Pour boire mes pourboires

Et mon impair et mon à mère,

Que furent mes parents

Aux accents indécents

Et impudiques de mon purgatoire,

Une fois que mon grand-pair, 

Se suicida à La Saint-Valentin

Et dont l'église lui refusa ses portes

A la porte de la sorte,

Comme il a foutu en l'air

Son côté Chrétien,

Et ma mère

Et ainsi mon impair,

Dont moi, j'en fus les frais

Au fret 

Et aux frontières du supportable,

Où j'en peux plus

De tout ce tableau,

Aux mots

Tabous et ineffables,

Que renferment mes trémolos

Qui me laissent sans voix,

Et dont j'ai besoin d'aide

Pour y voir plus clair,

Comme seul et unique remède

A tout cela qui est insoutenable,

Dans mon centre de gravité

Dont j'ai ma part de responsabilité

Et que je dois l'accepter

Sans prendre cela à la légère

Comme c'est la réalité

Que j'ai gravé

Dans les dix commandements,

Incommodants et déplaisants,

De ma vie dissolue

Et irrésolue

Aux infinis absolus,

Comme je pense

Que je suis fichu,

Où tôt ou tard, je panse

Que je serai en danger,

Pas forcément dans l'immédiat

Mais dans mes aléas ! Allez ah !

Dans l'insalubrité

De moi le malpropre

En décence propre,

Où je fais l'inventaire

De ma mère, 

Dont j'ai de la matière

A réciter ses côtés austères,

Comme la vidéo des ébats

Intimes de mes parents,

Aux accents consanguins

Et condescendants,

De leur acte dégueulasse

Sur la place impudique

Et sur la voix publique,

Où tout me lasse et m'en lasse

Dans ces débats,

Qui ne m'intéressent trop libertins

Dont m'amère m'a foutu en l'air,

Comme mon grand-père s'est foutu en l'air

Dans l'ère primaire,

En désamours, des amours

Et en désordres, des ordres

De tout ce bordel,

Où avant il y avait des bordels

De putains

De putains

De vie,

Comme le Maréchal Pétain

Qui pète un

Coup en un contre-coût

En os dévie, 

Qui m'a foutu un sacré coup

Au moral amoral,

Sans pair la pudeur et l'amorale,

Mais en l'amère banale

De tous les vices puritains,

Qui sévissent 

En ces vices,

D'un tour de vice

Dans la coupe des vices,

Où la coupe

Est pleine à la découpe,

Aux frontières du supportable

Et au-delà du soutenable,

Où j'ai tout mis sur la table  !

Même si on ne m'a pas toujours considéré

Et pris au sérieux  !

Car méprisé

Insidieux, ainsi Dieu,

Où j'ai fini tout cet inventaire  !

De ce destin 

Dans la douleur

Mais sans la douceur,

Oh ! lendemain est-ce-que je perdrai la main

Ou demanderai ta main  ?

Enclin au bonheur

Et au déclin du malheur,

Pour réparer cette noirceur

Et la recharger dans la chaleur

Du soleil haut tellement mieux  !

Faute d'avoir été joyeux

Et radieux  !

Même s'il faut croire à Dieu !

Aux frontières du supportable

Entre en dire

Et pas trop en dire,

Car la frontière est étroite

Alors que dire des choses adroites,

Est bien mieux que le point instable

Point stable,

Jusqu'au jour 

Sans détours,

Où j'espère

Arriver au point stable

Point instable.

 

Jérôme de Mars

Des petits poids chiche

 

En sur pois,

On soulève des petits poids chiche

Avec du haschisch, 

Où l'on shoote à chiche,

Groggy en dégustant des petits poids

Chiche,

En sûrs pois

Verts environnants,

Qui crient ses vers ambiants 

Dans notre nature écolo,

En échos économes et solos

Avec des petits poids chiche

Qu'on relève avec des haltères, 

Où l'on se désaltère

Sur pois à contre pois,

Qui fait contrepoids 

De nos petits poids autonomes

Chiche, 

Qu'on déniche

A la niche agronome 

Des petits pois chiche,

Qui se désaltèrent

Avec des haltères,

Sur la terre

Du petit pois,

De leur fardeau à prendre à la légère

En ouvrant la fenêtre, à courant d'ère,

Qui erre le long des quais sur la Seine,

Où le mécène regarde mes scènes,

Si elles sont obscènes, ou si elles assènent

Chiche des petits pois chiche,

A contrepoids haschisch 

Des petits poids chiche,

A chiche

Dont on a perdu nos petits poids chiche,

Car chiche maintenant on déguste en sûrs poids  !

Des petits pois chiche, 

En surpoids.

 

Jérôme de Mars

Donner son aval au veto

 

A Laval,

Les animaux sont stupides s'ils sont bêtes  !

Avec un panse-bête, 

A qui il faut donner son aval

Au veto,

Si on les emmène chez le véto

Dont on avale,

La lourde addition dans Le Val

De Marne qui dévale

Dans les évals,

Où il faut donner son aval

Au veto,

Car nous si on est bêtes

Comme les animaux bestiaux  !

Il faut démener notre panse-bête

En allant chez le véto,

Si on cavale

En refusant de donner son aval

Au veto,

Mais en acceptant le veto

Dans un aval,

Dont on avale

Chez le véto

La lourde addition en éval,

Dont on dévale 

Le Val

De Marne jusqu'à Laval,

Dont le panse-bête

On l'avale,

Comme nous, on est bêtes  !

Dans notre pense-bêtes

Qu'on dépense car on hébète !

 

Jérôme de Mars

L'objet du sujet

 

Appel en ligne d'un sujet,

Qui est le sujet   ?

Et quel est le sujet  ?

Dont on lui demande,

A quel sujet il appelle  ?

Et de quel est l'objet de son appel  ?

Pour savoir si le sujet a un objet

Et si c'est le sujet au sujet,

Dont il est l'objet de l'objet,

En se faisant l'avocat au fruit

De la défense usufruit ,

Dont il est l'objet et à quel sujet  ?

De si son sujet a un objet

Et en quel honneur si son objet

En fait le sujet de quel est l'objet  ?

De son sujet s'il est sujet 

A son objet dont il est l'objet,

Et de si l'objet du sujet 

Est sujet à un objet dont il est l'objet,

Au sujet de l'avocat qui clame objection  !

Votre honneur, au sujet de la défense  !

Dont il fait l'objet et à quel sujet  ?

Si le sujet fait l'objet au sujet de quel objet  ?

C'est le sujet principal, dont il fait l'objet

Avec son objet, dont c'est l'objet du sujet

Et à quel sujet ? 

Dont il fait l'objet au sujet !

 

Jérôme de Mars

                                                    Blagues :

 

 

1)  Pourquoi niquer devrait-il être une activité inscrite aux Jeux Olympiques d'été ?

 

     

 

     - Parce-que c'est du sport en chambre

 

 

 

                                             

 

 

 

2) 

Pourquoi est-ce-qu'avec la réforme des retraites universelle, on va en prendre un sacré coût au visage ?
     - Parce-que c'est une réforme des retraites universelle qui se fera avec          des coûts de points !

 

 

 

                                           

 

 

 

                                            Jérôme de Mars

Grosso modo

 

Gros mots,

C'est grosso modo

Si on va en gros au Mcdo,

Et qu'on est grosso Mcdo

Si on fait le gui grosso modo

Avec Guy Grosso,

Comme c'est grosso modo

En des mots gros

En gros,

Grosso modo

Si on vend en gros, 

Grosso modo

S'il pèche en gros,

Des gros

Poissons grosso modo

Avec des gros mots,

Grosso modo

Dont ça démange en gros

De manger au Mcdo,

Grosso Mcdo

Avec les gros mégots,

Qui enfument let's me go  !

Grosso modo,

Dans la mode démo

Des mots mémos,

Avec des gros mots,

Très mollos, trémolos

Grosso modo  !

 

Jérôme de Mars

 

RATP  :   REVIENS A TON POSTE

 

SNCF  :  SOCIETE NATIONALE DES CONNARDS DE FRANCE

 

SNCF  :  SOCIETE NATIONALE DES CHEMINOTS FAINEANTS

 

 

Jérôme de Mars

Donner et recevoir

 

De ma patte d'artiste,

Je mets la main à l'épate égoïste

Dans mon écriture humaniste,

Où en tant que de nature fataliste

Mais de par mes convictions optimistes,

je pense qu'il faut encore croire

En l'homme pour donner et recevoir,

Car la vie en somme c'est du partage

Dans un échange équitable au juste dosage,

Où même si l'on joue tous un rôle

Il faut sortir de sa geôle,

Pour donner et recevoir

Pour toujours y croire

Qu'il y a tout de même des gens bien,

Pour donner un coup de main

Et de faire le chacun pour tous

Et Dieu pour soi dans un joli coup de pouce,

Qui pousse à donner le meilleur de soi

Pour donner et recevoir,

Dans la joie et avoir la foi

En la vie comme une fois

N'est pas coutume,

Mais pour se délester de l'enclume

Qu'on porte en soi,

Pour espérer avoir

Un monde meilleur, plus beau et doux

Dans un agréable moment de redoux,

Car on plus on est de fous !

Plus on sourit 

Et on rit !

Sans garde-fous

Avec Noël et ses joujoux,

Si bien que parfois malgré tout

Il y a un peu

Et beaucoup de monde à feu

Doux, relou et ripou,

Qui s'en fout,

Alors pour préserver un certain monde si possible encore idéaliste,

Sans péter les fusibles individualistes,

Et le sauvegarder dans l'environnement au maximum altruiste,

Faisons en sorte qu'il soit le moins triste  !

Jusqu'au grand soir de l'exutoire,

Où il faut donner et recevoir  !

 

Jérôme de Mars

 

                                                    Blagues :

 

 

1)  Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT de Vitry, ça se dégrade comme au conditionnement où on nous maltraite ?
   - Parce-que L'ESAT de Vitry est conditionné au pire comme on nous sous-traite !

 

 

2)   Pourquoi est-ce-que chaque année lorsque c'est mon anniversaire, il y en a certains qui ne me le souhaitent pas ?

      -  Parce-que pour certains lors de mon anniversaire, je suis out  !

 

3)  Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT de Vitry, je fais un burn out  ?

     -   Parce-qu'à cause de L'ESAT de Vitry, je ressens un épuisement général      où j'ai les burnes out  !

 

 

                                              Jérôme de Mars

Le soleil compatit à la pluie

 

Temps bipolaire 

Avec des confettis

Et des mauvaises herbes,

De génies en herbe

Sur La terre, un drôle d'air

Cultive en signe d'inventaire,

Que le temps est grise mine

Et s'achemine

Vers l'apocalypse, 

De l'éclipse

Lunatique du contraste

Des caractères fastes

Et chastes,

Lorsque le sourire du soleil

Compatit à la pluie

Dans sa lune de fiel,

A pleurer les sanglots du ciel

Que plus rien ne va,

Alors qu'il ne faut oublier que la joie

Est encore là et sourit

Au Parc Montsouris,

Qui prête à rire à Paris

Dans le sourire

De mon sourire,

Lorsqu'en liesse,

Le soleil compatit

A la tendresse

De la pluie,

Qui sourit et rit

Aux plaisanteries et aux galanteries

Du soleil, qui caresse

De ses fantasmes, que la prouesse

Serait de toucher l'enceinte de la lune,

A écouter en une

Des musiques qui donnent de l'allégresse,

Lorsque le soleil de son oseille

Riche de groseilles,

Couve de sa déconfiture d'escarcelle

Et compatit 

A la pauvre pluie,

De la prunelle

De ses yeux soyeux

Et joyeux,

Ainsi radieux  !

D'un deux à deux,

Lorsque le soleil console

La pluie

Sur un je de console,

Qui compatit

En des confettis,

Dont le soleil une fois

Le contact rétabli

Avec le ciel,

Demande la lune en mariage

Pour unir les ramages

Et les images

De la paix,

Dans la volupté

De Dieu,

Lorsque parfois

Le temps se guérit des contrepèteries,

Sourit et rit 

Avec la lune,

En une 

De miel,

Et dont la pluie

Se fait le témoin

De leur union,

En communion

D'un air d'entrain,

En libre union

Aux airs échangistes,

Entre le soleil, la pluie

Et la lune

En une,

De sa lune d'artiste

D'un triste ciel

Et boute-en-train,

A rassurer la pluie

Et à tromper la lune d'ennui

Infidèle de crécelle,

Dont le soleil se console

Avec la pluie,

A l'infini

D'un je de console

Et pour la vie,

Lorsque le soleil de merveilles

Compatit à la pluie,

Avec son étincelle 

En lui donnant sa main

Au pluriel pour plusieurs lendemains,

Fin mot du début de leurs sentiments

Dévoilés, où lors du point culminant,

Le temps sera un abreuvoir

De belles histoires,

A voir et à revoir,

Car au revoir !

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça fait si je laisse tomber définitivement un ami Juif  ?

 -  Je fais une croix gammée sur lui !

 

                                           Jérôme de Mars

Le musée des mots

 

Amusé, je fais muse-muse au musée

Avec de petites ritournelles,

Toutes fraîches qui ruissellent

Du fond des étincelles qui m'ont démené

A donner le meilleur de moi-même,

Idem malgré les problèmes 

D'inspiration à force de s'exposer

Et de se surexposer dans une exposition

Avec trop de surexposition en ex position

Qui m'a ex posé dans le musée des mots

A demi-mots qui sortent du lot hello, et lot,

En pièces détachées amusées, à muse et moi  !

Dans le Paris en mouvement, qui joue de la cornemuse amusez-moi  !

Dans le musée des mots, en des maux, démons, des monts, 

En amont de Marcel Amont, qui déchante la vie triste,

En une dévie d'artiste, qui rend le soleil soliste

De la musicalité et de la dualité dans le musée des mots,

En des maux solides, roulez petits bolides ! qui se consolident

Dans la texture des partitions, en répartitions et en hémorroïdes du Polaroid, 

Y a pas photo dans le rétro de la rétro  !

Dans le musée des mots

Du Paris rive gauche, rive droite,

Comme la chanson

Très large d'esprit, quand c'est dans la boîte

D'Alain Souchon,

Qui ouvre la boîte de Pandore

De sa nostalgie

Mélancolique d'images d'archives,

Qui l'ouvre amusé au Musée Du Louvre

De François de Grossouvre,

Qui entrouvre les remords

De François Mitterrand au trésor,

Qui entrouvre les recoins qui ravivent

Les souvenirs, au panthéon des monuments

De Paris, qui s'enlisent

Et attisent

Les convoitises,

Qui droitisent

La vie politique,

En stratèges d'arithmétiques

Dans une arythmie cardiaque,

En tachycardie hypocondriaque

Avec des aphrodisiaques,

Qui ont la niaque maniaque,

Amusée et moi, à muse émois et à musée et mois ! sur le fil de l'eau

Dans le musée des mots,

A demi-mots dans un débit eau,

A haut débit,

Rien de tel qu'un peu de répit

Dans un jeu de cornemuse, qui fait muse-muse en mouvement,

Lorsque ainsi vont les violons, qui s'accordent infiniment  !

Hello, et lot qui sortent du lot,

Dans le musée des mots.

 

Jérôme de Mars

Les Amis Du Râtelier  !

 

Voici la fondation de la carpe et du lapin qui fait faux-bonds furibonds en nous parlant comme à des chiens et en nous sautant dessus casse-gueule, comme ils s'en foutent de notre gueule, car leur fond de commerce et la seule chose qui les intéressent, c'est l'argent puisqu'ils n'ont qu'une parole d'argent et qu'ils s'en foutent si on se prend des gamelles comme ils ont des niches fiscales en nous renvoyant à notre niche fécale !

 

Sandrine :  " - A L'ESAT, tout le monde s'en fout de toi comme la direction, les moniteurs et les agents n'en ont rien à péter de toi  !  "

 

Jérôme :  "  -  Je le sais Sandrine, de même que moi aussi idem, j'en ai rien à péter de L'ESAT et de la direction à force de péter des câbles et de perdre le fil des choses, car L'ESAT n'a pas choisi la bonne direction en privilégiant le profit au détriment du social et de l'humain !  "

 

Jonathan :  "  -  La direction de L'ESAT n'en a rien à foutre de ta petite gueule de merde. "

 

Jérôme :  "  -  Moi idem Jonathan, je leur dis à la direction de L'ESAT, qu'ils la ferment leur gueule de niches fiscales, comme tout le monde m'envoie balader et me laisse dans la merde dans ma niche fécale en me parlant comme à un chien, comme je me prends des gamelles dont j'appelle La Fondation :  "  Les Amis Du Râtelier ", pour te dire comment si tu savais que je les emmerde, comme La Fondation ne tient pas debout, avec la façade du bâtiment de L'ESAT de Vitry qui est bancale et que toute la fondation est à revoir en bouffant à tous les râteliers et en bouffant toute notre santé pour l'argent !  "

 

Célia :  "  -  Jérôme, si tu te suicides à L'ESAT en te jetant par la fenêtre comme tu as déjà tenté de le faire deux fois en mai 2017 et en mai 2019, tout le monde n'en aura rien à foutre et s'en réjouira car personne à L'ESAT ne t'aime. "

 

Jérôme :  "  -  Je le sais Célia, car à L'ESAT, tout le monde s'en fout de moi, comme tout le monde m'accorde du discrédit content et qu'ils jettent l'argent par les fenêtres, comme ils ont un cœur de pierre en mettant la pierre à l'édifice de ma rancœur, car pierre qui roule en se mettant les pieds dans le tapis, n'amasse pas mousse mais s'émousse. Mais tu vois Célia, si jamais, je me suicide pour de bon en me jetant par la fenêtre de L'ESAT, il y aura une enquête et L'ESAT peut fermer, moi, je m'en fous car je serai mort sans remords, mais il y en a plein qui seront au chômage. "

 

Christophe M :  "  -  Ne te suicide pas Jérôme !  C'est bientôt Noël ! Sinon, ça me fera de la peine, panses-à toi  ?  "

 

Jérôme :  "  -  Merci Christophe, c'est gentil de ta part ta sollicitude, ça me touche, même qu'à L'ESAT, il y a un profond malaise et un mal-être avec mon mâle-naître, et que tout le monde se barre et me rembarre, il faut que je panse à moi, que je prenne soin de moi, je ne veux plus avoir les boules maboules qui déboulent sur mon moral, je ne veux plus m'enguirlander avec les gens et les agents comme l'agent n'a pas d'odeurs, j'emmerde, je m'en fous de la direction en direction d'eux, et je panse à passer avec mes proches de bonnes fêtes de faim damnée, car autant se raccrocher avec Les Amis De L'Atelier ! avant de trépasser avec les embûches, où je bûche à chaque fin damnée !  "

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                    Blagues :

 

 

1)  Qu'est-ce-que ça fait un attentat terroriste qui fait beaucoup de morts en traduisant une grande haine  ?

    -  Un attentat à couteaux tirés  !

 

2)  Qu'est-ce-que ça fait un attentat terroriste aux lourdes conséquences qui frappe une rue de Londres ?

   -   Pas de quartier !

 

3)  Qu'est-ce-que ça fait une grève de La RATP et de La SNCF qui est toujours en décalé sur l'évolution de la société ?

  -   Au train où vont les choses dans ce qui se trame sur les chemins d'enfer qui rament, La RATP et La SNCF ont toujours un métro de retard !

 

 

                                             Jérôme de Mars

On ne peut pas plaire à tout le monde !

 

Savoir-faire

Dans le flair

Du savoir-plaire,

On ne peut pas plaire

A tout le monde  !

Dans le micro-ondes

Du monde qu'on sonde

Avec ou pas de bonnes ondes,

Qui abondent

Ou qui inondent,

Ce monde au sillon

Du tourbillon,

Qui gronde

Ce monde qui féconde

Autant de déçus

Que de parvenus,

Dans ce monde dissolu

Et irrésolu,

Où l'on ne peut pas plaire

A tout le monde

Dans le savoir-faire

Du flair

Pour savoir plaire,

Comme on ne peut pas aimer

Et être aimés

De tout le monde

Qu'on sonde

A la ronde,

Pour faire l'unanimité

Au plus complet,

Du con plait

Au distrait écervelé

Et décervelé,

Même si on émet

De bonnes ondes,

Mais dont les mauvaises ondes

Font que les gens

Avec leurs tourments,

Ne peuvent aimer

Ou être aimés,

Car ils aiment détester

Comme on ne peut pas plaire

A tout le monde,

Avec le flair

Du savoir-faire,

Pour savoir plaire

Au plus grand nombre,

Immonde comme dans l'ombre

De leur lumière sombre,

Où dès la pénombre

On dénombre

Avec sonde,

Qu'on ne peut pas plaire

A tout le monde !

 

Jérôme de Mars

Je sors mon joker !

 

Cinéma, c'est pas du cinéma  !

Mon état en les tas,

Où je me fais des films

En films

Supers huit clos !

Car c'est de là qu'éclot

La nature de mes drames

Dans un authentique mélodrame,

Qui est la trame des travers

De mon cœur en jachère,

Comme mes lots, mélos sortent du lot

Où j'active mon pacemaker

Et que je sors mon joker,

Où je réponds " Joker ",

Je ne l'ai pas vu

Dans la cohue du chahut

A travers ce personnage clair-obscur,

Où ça me parle, je me reconnais 

Et je m'identifie à ses côtés,

Sombres et mûrs

De vrai-faux gentil-méchant,

Comme mes champs

D'action après m'avoir tant fait contusion,

Ainsi, je songe à la rébellion ! qui me propage contagion

Vindicatif et piqué au vif

De mes à côtés subversifs et transgressifs,

Qui m'ont rendu agressif,

De mon volcan froid mais prêt  

Ah !  les chauds et au réchaud explosif et éruptif,

Où je sors les gants

Et les gants élégants,

Car comme Joker

On ne m'a jamais considéré,

Respecté et écouté,

Comme on m'a mis à l'écart,  méprisé

Et pas pris au sérieux,

Alors que mon état est si sulfureux et désastreux

Jusqu'au fond des cieux 

De Dieu qui accoste le diable à son pieu,

Où je sors mon joker

Comme il me parle et où je réponds joker

je me reconnais tellement en lui,

Comme jadis il fut un gentil clown

Rouge auguste,

Qui vit rouge lorsqu'on le rangea dans un cartoon,

Car depuis qu'il déguste

Il devint un clown blanc à ce moment

Sans faire sans blanc,

Mais avec un semblant de justice

Aux ecchymoses d'injustice, de ses sévices qui sévissent

Vice et versa,

En lui comme en moi

Dans l'effroi

Et la misanthropie,

Où tôt ou tard, ça risque de mal finir pour moi,

Car lui il a basculé dans la violence

Due à sa vengeance

Insatiable, où il met tout sur la table,

En réponse comme une fable

De la fontaine qui ne coule,

Mais dont découle

La frustration, le dépit

Et la décompensation,

Qui favorisent le passage à l'acte en réaction

A cette misère de vie

Dans l'inertie de sa nostalgie,

Où il agit comme ça pour se faire entendre

Alors qu'il ne fait que distendre

Et répandre

La haine 

En requiem,

De personne qui l'aime,

Comme moi, dont tout ça me gangrène,

Car à lui aussi comme à moi,

Ca donne de la migraine,

Avec des mots de tête

Très casse-tête,

Où pour la scène finale,

J'assène fatal,

Que je sortirai pour longtemps sans réserve

Mon joker,

Le jour où j'aurai vu " Joker " avec ma minerve,

Pour qu'en une de première,

Le pacemaker

De mon cœur

Soit réparé à distance de la rancœur, 

Puisque qu'il peut encore y avoir

De l'espoir,

Que j'espère

Avec du bonheur réparé

Et préparé,

Sans éphémère

Mais avec de l'effet mère en bonne paire,

Si pour une fois, ma foi  !

Je me dis-là  !

Pourvu que cette foi, tout baigne  !

Ah ! quelle aubaine de ne plus être une teigne  !

Mais une belle châtaigne, ah ! la chat teigne !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Boulevard à ragots

 

Théâtre de boulevard

A Paris, c'est le brouillard

Au boulevard à ragots

Qui s'le racontent à tire-larigot

Que c'est bientôt, la fin des haricots vers

Vers ce monde à l'an vers,

Qui ne tient debout

Par les caribous et les marabouts

En file amère Indienne,

Qui jouent le rôle de leur vie

A Paris,

Au boulevard à ragots,

Qui est le berceau

Du tombeau des héros,

Acteurs de leur vie,

Comme ils jouent un rôle accompli

Au boulevard à ragots,

Théâtre de boulevard Arago,

Qui s'la joue perso

Entre brio

Et impro

Du mode d'emploi

D'un rôle, qui n'est à contre-emploi

Ni de composition,

Mais la juste partition,

Qui enchaîne

Toujours la même musique

Et scénario,

De ce qui se trame dans ce vaudeville dynamique,

Qui ouvre le bal à oui-éclos 

Sur Le Paris rétro

Au boulevard à ragots,

Et qui baisse le rideau

En ayant gagné Le Paris

Au Boulevard Arago.

 

Jérôme de Mars

Le petit malin

 

A l'origine de mon sale état malin,

Je ne viens du bénin,

Comme souvent, je suis noir

Dans mon humour de brancard,

Où je soigne mon mal-naître malin,

Comme il n'est bénin

Dans mon territoire,

Comme je suis le petit malin

Du bénin

Très futé,

Avec ma ruse de roublard

Qui prend son envol affûté,

Où mon mal-être loin d'être bénin

Survient du bénin malin,

Où à force de voir tout en noir

Je termine bénin

Cette histoire,

Moi, le petit malin !

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blague :

 

 

Pourquoi tombe-t-il dans Le Var des pluies diluviennes  ?

-  Parce-que tout tombe à l'eau  !

 

 

                                           Jérôme de Mars

Sapin de Noël qui ne sent pas le sapin mais consent à passer une bonne faim damnée

 

En fait maboules,

Pourvu qu'on ne perde la boule  !

Pour les fêtes de faim damnée

Où l'on montera un sapin de Noël

Qui ne sent pas le sapin,

Mais qui consent à passer une bonne faim

Damnée sous les étrennes de Noël 

Sans s'enguirlander pour des broutilles,

Qui fleurissent avec la galette des rois

Et les lendemains de gueule de bois,

Chauffés et chauffés

Dans un foyer chaleureux de chocolats pralinés vanille,

Qu'on pétrit de nos mains d'une bouchée de pain

Béni, avec une embûche de Noël qui bûche sur l'an bûche

Glacière ou pâtissière, qui déboule 

Dans la ruche

Des abeilles, autour du miel,  

Qui fredonne d'un tilleul camomille, pour digérer les excès de Noël

Avec de la groseille 

Dans la déconfiture, comme il manque le soleil

Avant la messe de Minuit,

Dans la mi-nuit 

De la légende de Jésus, qui naquit dans une étable,

Alors que ce jour-là pendant le réveillon, on sera à et table  !

Du grand soir avec un sapin de Noël,

Qui ne sent pas le sapin mais consent à passer

Une bonne faim damnée,

Autour d'un bon buffet, et d'un chaleureux feu feu de cheminée,

Sans langue de bois, mais avec des joies de la charité Chrétienne,

Où l'on y mettra nos papilles gustatives pour déguster,

L'auguste rouge qui voit rouge

Et qui boit du rouge,

Avec l'auguste blanc

Autour d'un ver de vain blanc,

Comme si on s'y prend dans ce réveillon charmant à réveiller puritaine !

Une fête qui doit rester conviviale,

En ces fêtes de faim damnée très royales,

Sans s'enguirlander avec les guirlandes de Noël,

Mais à festoyer et s'amuser dans la flamboyance,

Le temps d'une soirée arrosée, avec redondance et abondance

De cadeaux,

Comme de vins chauds

Réchauffés au feu de cheminée,

Qui fume le calumet de la paix le temps d'une soirée,

En vers de flûtes

En champagnes pour dire flut

A ce monde qui va mal,

Mais à demeurer loyal

Avant la faim damnée,

Pour qu'elle ne soit

Une fin damnée,

Pour la perdurer en fait de bonne faim damnée,

Dès qu'il est Minuit sain

A se souhaiter une bonne année surannée,

En purs hypocrites de Chrétiens puritains,

Alors que le restant du temps, tout le monde s'en fout  !

En gardes-fous,

De Dieu, de ses apôtres

Et des autres,

Dans un esprit divin et hautain,

Comme à l'accoutumée, ce jour-là tout le monde aura

La gueule de bois  !

Tandis que les autres envers moi, tout le monde me dira ferme-là et pousse-toi !

Avec la bégueule casse-gueule d'abois,

Qui noie sa liqueur

Et sa noirceur,

En gerbant sa galette désarrois

Du grand chagrin aux sanglots parois,

Où avant d'en arriver à cette conclusion fatale

D'un monde qui va mal,

Qui perd la boule maboule,

Faisons en sorte  !

D'ouvrir et de balayer devant notre porte,

Pour voir qu'à Minuit à sa porte,

On a désormais un sapin

De Noël

Qui ne sent pas le sapin

Mais qui consent à passer une bonne faim damnée,

Pour débuter joliment une nouvelle année,

Sur année en toute amitié et dans l'égalité,

D'où je vous souhaite, bonnes fêtes de faim damnée  !

 

Jérôme de Mars

 

Arc en fiel

 

Couleurs de Ménestrel de crécelle

La colère attire d'ailes Céleste l'arc en fiel,

Qui gronde le tonnerre de son inaptitude

Au bonheur du soleil dans la lune en prélude,

Qui se voile la face volte-face dans la glace

Du reflet de son miroir aux alouettes qui passent

Des sans dessus-dessous, en sens dessus-dessous dans la plénitude,

A la magnitude de l'échelle de riche Terre, aux couleurs décrépitude

Arc en fiel qui tremble de sa Terre, avec la colère en haute voltige,

Qui arrive en déséquilibre, en tombant de si haut en vertiges

En épisodes d'épouvante, qui effraie la maison hantée 

Aux couleurs arc en fiel, dont la sorcière monte sur son ballet

De chorégraphie, dans la magie noire aux sciences occultes,

Qui répandent sa fumée, qui prend feu dans le tumulte,

Qui efface avec le temps, les cicatrices arc en fiel, dont grâce au Missel

Ca donne du goût vers mi sel, pour remonter en sel d'un arc en ciel,

Puisque partiel de fiel, par ciel de miel, 

Avec plusieurs cordes à son arc à tir d'ailes, pluriel de ritournelles,

Comme les tourterelles volent le ciel, archange ciel

Avec les anges arc en ciel , partiel d'arc en fiel par ciel.

 

Jérôme de Mars

Les daltoniens reprennent des couleurs

 

Cow-boys du phare Ouest

Complètement à L'Ouest,

Hauts en couleurs 

Et pittoresques, les daltoniens

Truculents reprennent des couleurs

Dans la confusion en grandes frayeurs,

Dont ils se perdent dans les couleurs

En Daltons qui s'étirent pour rien

De leur gâchette 

En faisant leurs emplettes,

Avec Lucky Luke qui fume avec son brin

De paille tout l'arsenal, 

Qui reste dans les annales

Entre les Daltons hauts en couleurs

Et les daltoniens qui donnent de la vigueur,

Aux couleurs lestes qui lâchent du leste

En s'élevant à L'Est,

Comme le soleil diffuse des images prestes,

Dès que Lucky Luke reprend des couleurs,

Avec les daltoniens qui confondent les couleurs

Aux daltons boute en train,

Qui fument le calumet de la paix

Avec Lucky strike oh ! quel toupet !

Si jamais Lucky Luke signe le traité de la paix

Des daltoniens maltraités par les Daltons,

Dans un humour très cabotin

A l'Anglo-Saxonne, 

Cow-boys au Far West,

Comme donc le soleil se couche à L'Ouest  !

Oh ! en couleurs !  

Car après on éteint le téléviseur 

En noir et blanc,

Et on ne fait sans blanc

Entre les albinos et les daltoniens

Jusqu'à demain matin,

Lorsque les daltoniens reprendront aussitôt des couleurs  !

 

Jérôme de Mars

 

Le bateau givre

 

Avec le mélo méli-mélo

C'est le bateau d'Arthur Rimbaud,

Qui prend l'eau

A vau-l'eau

Dans le frigidaire,

Comme le bateau givre

Pendant l'hiver

Avec des courants d'air,

Comme Arthur Rimbaud

Se livre et délivre ivre

De ses mots

Le chaos,

Qui frappe les cristaux d'eaux,

Comme tout tombe à l'eau

Dans un froid linéaire,

Qui fait que ces mots divers

Tombent à l'envers

D'Arthur Rimbaud,

Comme le bateau givre

Et prend l'eau

Dans les vivres,

Dont il y a un mal de vivre

Versant les à côtés qui dégivrent

Les fauteurs de troubles qui ont un coup de chaud

Dans un jardin d'hiver

Au froid linéaire,

Qui cultive au fond du ruisseau

A vau-l'eau tous les trémolos,

Qui resserrent l'étau d'Arthur Rimbaud,

Comme le bateau givre

Aux endroits austères,

Dont son abîme d'artiste l'enivre

Et le livre

Au fond de l'eau,

Dont il se délivre

Parmi les coraux de cristaux

Sous le froid de l'eau dans le ghetto,

Qui baisse l'étau 

Pour produire de nouveaux livres

De mots,

Qui délivrent

A Arthur Rimbaud

Tout le tréteau,

Comme le bateau prend l'eau

Avec tous ses matériaux

En un effroi pluvieux en échos d'eaux,

Dont le bateau givre,

Ivre, qui livre et délivre

Le fin mot divers

D'Arthur Rimbaud,

Qui repose ramollo 

Dans ses trémolos

Au cimetière 

Du jardin d'hiver,

Ainsi pourvu qu'il repose débonnaire  !

En un des bon air,

Un vent à terre

En inventaire.

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blague :

 

 

Pourquoi la manifestation de samedi dernier des gilets jaunes a-t-elle été un succès à Place d'Italie ?
- Parce-qu'ils ont cassé la baraque

 

 

                                           

 

 

                                         

 

 

                                           Jérôme de Mars

Simone s'ignorait quand Yves Montant !

 

Démarches de la gloire

Du fond de leur personnelle histoire,

Simone s'ignorait quand Yves Montant !

Montait condescendant le seuil de l'escalier

Du temps qui fait défaut, 

Lorsqu'on regarde trop dans le rétro,

Comme ils furent les acteurs de leur vie,

En jouant leur propre rôle du rôle de leur vie,

En se faisant des films dans un cinéma distingué,

Dans un système de la débrouille qui brouille

Les pistes, dans une grande confusion fantasmant

Leurs bouilles, que bredouillent Simone Signoret

Et Yves Montand,

Lorsque Simone s'ignorait quand Yves montant !

Trébuchait condescendant sur une marche d'escalier,

Qui le fit tomber de son piédestal, comme l'homme sauvage

Qu'il incarna quand Simone s'ignorait avec son casque d'or !

Qu'elle mit sur la sellette en réveillant aux aurores Yves montant,

Lorsque Simone s'ignorait quand Yves montant ! sur la scène comme à la ville

De leur couple funeste, dès que Simone s'ignorait quand Yves montant !

Montait condescendant tout un attelage,

Lorsqu'il se prépara au veuvage,

En abreuvage de l'élevage, quand Simone s'ignorait face à la mort

Emportée par un cancer de louanges, parmi les anges qu'Yves montant

Affronta, retors malgré ses torts, 

Dont Simone s'ignorait quand Yves montant, condescendant monta enchantant

La chanson nette à bicyclette, en rejoignant réenchanté

Sa dulcinée au pays des étoiles filantes, à l'instar des stars descendant

Le commun des mortels du ciel, en voiture Simone !

Simone S'ignorait quand Yves montant !

Montait condescendant, des montants aux tarifs habituels pour particuliers

Très particuliers !

D'autant qu'on leur offrit des anémones !

Dès que Simone s'ignorait quand Yves montant !

 

Jérôme de Mars

Coqueluche, l'humaniste ! 

 

Comme un rossignol,

Il y a plus de trente ans

Que tu t'envoles,

Au pays des artistes béatifiants

De ta grâce réincarnée,

Que tu as rubis sur ongles incarnés

Pendant tes années de ton vivant,

Où l'on n'oublie ton oeuvre d'artiste humoriste

Qui a façonné de ta vie d'artiste toi l'humaniste,

Qui a réparé les cœurs abîmés et cabossés des gens

En créant Les restos Du Cœur pour les rénover urgents

Dans le lien social, amical et fraternel autour d'un ver

Et d'un repas bien chaud,

Avec un réchaud

Pour réchauffer leurs cœurs de misère

Et allumer le réverbère,

Où ils auront de la lumière pour l'hiver,

Car tu faisais l'inventaire

Et tu étais visionnaire

De cette époque triste et égoïste,

Que tu voulais rendre humaniste et altruiste

Toi, le drôle d'oiseau,

Qui faisait envoler les maux avec tes gros mots,

Car tu étais coqueluche, l'humaniste

Dans ton habit de clown triste mais optimiste,

Malgré l'expansion fataliste et individualiste

D'une époque divisée

Et recroquevillée 

Sur elle-même,

Car plus personne ne s'aime

Et sème la gangrène

Dans le repli identitaire

De la haine

A la mode dans un monde emphysème,

Qui respire le chaos

Et le mal de vivre,

Qui enivrent

Les fachos

Dans un monde sous perfusion,

Qui a besoin de soin avec contusion,

Où toi, coqueluche, l'humaniste,

Tu nous apportais ta joie de vivre,

Qui livre

Ton talent d'humoriste,

Dans un pays qui a moins de liberté

Et plus de dictatures

De la pensée

Unique qui creuse les fractures,

Où tu avais pressenti

Ce que le monde capitaliste

Apporterait comme piques fumistes,

Avec du pissenlit et des orties

Pour faire mal,

Dans ce monde qui se renforce animal

Bestial et sauvage,

Où règne la rage sans partage,

Car chacun pour soi

Et rien pour toit car tout pour l'entre-soi, 

Où toi, coqueluche, l'humaniste

D'où tu es là-haut, redonne-nous espoir  !

Pour qu'il fasse moins triste

De ton nuage, 

Que tu mets en image

En fumant le calumet de la paix,

Avec ton toupet

De tout paix,

Où l'on attend ton arrosoir abreuvoir

De belles histoires,

Pour faire de ce monde noir

Dû au reflet de son miroir,

Quelque chose de plus beau

Par le plus heureux des hasards,

Où tu foutras le bazar hilare  !

Toi, coqueluche, l'humaniste  !

Où tu nous feras rire de ton rire d'artiste  !

Avec ta facette d'humoriste

Jusqu'aux cieux loin d'être tristes  !

Car on a besoin de tes lumières

Pour un nouveau millénaire,

Davantage solidaire

Dans le lien social,

Loin du réseau alien asocial,

Car on a besoin d'une époque altruiste

Avec toi Coqueluche, l'humaniste !

 

Jérôme de Mars

 

Peut-on tout pardonner  ?

 

Faute de commettre des erreurs, 

Dans la vie, tout le monde fait des erreurs

Avec des maladresses

A la mauvaise adresse,

Avec nos regrets d'avoir fait du mal

A ceux qui comptent en relations familiales et amicales,

Où l'on philosophe

A travers cette phrase de ceux qu'on apostrophe

Trait d'union en strophes !

De si malgré la catastrophe

Peut-on tout pardonner  ?

Même si on part donner

En lot de consolation,

Que personne n'est parfait

Par fait d'un compte par fée,

Si on peut oublier les malheurs

Et œuvrer pour la réconciliation

En repartant sur de nouvelles bases,

Qui est la base d'une page

Qu'on ouvre 

Et dont on découvre

Qu'une amitié saine peut-être indéfectible

Et survivre même si on pète les fusibles, 

Comme la vie n'est facile

Dans ce monde sauvage et indocile,

Où les humains sont soumis à la tentation

Et qu'ils sont mis à effet de rébellion

Pour résister à leurs pulsions

Dues à leurs vieux démons,

Où l'on médite

En messes dites et inédites,

De si peut-on tout pardonner  ?

Et qu'on part donner

Quelquefois des circonstances atténuantes

Dans ces journées trébuchantes,

Qu'on a tous le droit à une deuxième chance

Qui fait qu'on pense

Que le pardon a ses limites

Et que ça nous irrite,

Même si on se repentit

Auprès de nos amis, 

Pour qu'il nous accorde leur pardon

Avec compréhension

Même s'il y a des limites à ne pas dépasser,

A franchir, même si on ne fait

Que s'affranchir des limites

Avec certains amis comme ils nous irritent,

Car les amis avec lesquels on a le plus d'affinités

Et le plus de proximité 

Résiste le mieux à l'usure du temps,

Car seuls les vrais amis restent présents

Même si on a commis une faute,

Qui ôte

Notre crédibilité

Et notre respect,

Car on peut pardonner 

Une fois, deux fois,

A condition qu'il y ait la foi

Et qu'on part donner,

A chercher notre ami

Dans ses difficultés en inepties

Dont on médite en point ancestral,

Peut-t-on tout pardonner  ?

Même si on part donner de la sincérité

Et toute notre amitié,

Même si on excuse jusqu'à la faiblesse

Et que ça en devient une forteresse

Dans l'absurde car le pardon malgré tout,

A ses limites même si on l'imite en garde-fous

Mais qu'on reste amis,

Car on tient trop à nos amis avec folie

Car la famille

Et les amis 

Sont sacrés,

Car consacrés

Au lien social

Et familial,

Point final.

 

Jérôme de Mars

 

                                                      Blague :

 

 

Pourquoi ne sait-on pas mesurer la douleur que provoque une colique néphrétique ?  -  Parce-qu'on ne la calcule pas

 

 

                                               Jérôme de Mars

La vie est-elle belle  ?

 

De bon matin 

Qui sent le satin

Ou le sapin,

On est en légitimité

De s'interroger, 

Si la vie est-elle belle  ?

Avec de la mirabelle,

Où l'on fait son beurre

Ou est-ce-qu'elle est poubelle ?

Dans la déconfiture 

Qui configure

L'ennui dans le déni d'une vie réussie,

Qui nous congédie et nous répudie

Dans les malheurs

D'autrui avec vicissitudes et turpitudes,

Que sont nos vies avec nos sales habitudes

D'existences les plus normales

Aux plus banales

Dans les rituels sacrés à l'autel,

Où l'on confesse nos problèmes

A Dieu qui les héberge pour untel

Avant la fin de nos vies,

Où il y a un requiem

Pour rendre hommages à nos qualités

Ou à nos plus valeureux défauts,

A ceux

Ou à celles,

Dont lui ou elle fut le héros

A l'irréprochable intégrité,

Car c'est lorsque les gens sont morts

Qu'on dit du bien

Avec remords,

Alors que quand

Ils sont vivants,

On est mesquins

Et déplaisants,

Où l'on cogite et pense

Pour savoir,

S'il y a encore

Des valeurs

Et des repères

Dans ce bas monde

Sans purgatoire,

Que l'on sonde

A la recherche du sain Père,

Et s'il existe, s'il panse

Nos regrets et nos angoisses intenses,

Et si la vie est-elle belle ?

Lorsqu'il y a le soleil

Ou si la vie est-elle poubelle ?

Lorsqu'il y a le gris du ciel,

De ce fait la vie est courte et on a qu'une vie,

Alors pardonnons aussi à nos amis et à nos ennemis

Même s'ils nous ont fait du mal qui dévie

Notre regard sur la vie, 

Donc par conséquent faisons le bien  !

Et soyons solidaires  !

Dans ce monde si solitaire,

Triste et égoïste

Devant les jeunes et les vieux,

Et altruiste

Et pieux devant Dieu,

Comme la vie

C'est d'antan un paradis d'enfer,

D'en faire

Ce que l'on veut, 

Amoureux ou haineux

Avec les gens obséquieux

Et sulfureux,

Et que quiconque n'est à l'abri

De rien

Dans la vie,

Dont il faut en tirer le meilleur parti

Pour être au final content,

Si bien que les gens dans le fond

Sont tout de même humains,

Sans amalgame et confusion

En ces jours incertains,

Car personne n'est complètement

Gentil ou méchant

Dans la vie,

Puisqu'on a un peu des deux

Entre le clair et l'obscur,

Et qu'on est tous capable du meilleur

Comme du pire,

Dont on peut en limiter les dégâts

Pour ne pas souffrir à l'avenir,

Dont nos différents caractères

Font notre spécifique nature

Ce qui fait qu'avec notre philosophie,

On en déduit que la vie vaut sans doute

La peine d'être vécue, même si parfois,

On n'a plus la foi,

La faute à subir trop de déroutes

Ou de fausses routes,

C'est sûr que le monde est ainsi fait

Et qu'on ne le changera pas,

Mais que si par notre contribution

Et notre action,

On peut un tout petit peu et un tantinet l'améliorer

C'est déjà ça

Même si c'est une goutte d'eau dans l'océan,

Car le jour où ça sera un monde par fée,

Alors la vie sera éternellement belle

Avec de la mirabelle, 

Car ainsi plus belle sera la vie !

 

Jérôme de Mars

 

Un artiste est-il là pour apporter du rêve ou dépeindre la réalité ?

 

D'un coup de crayon, ci-possible avec des rayons de soleil, un artiste

Est là dans la mesure du possible pour apporter du rêve optimiste,

Que déjà la vie n'est toujours rose, comme le clame la vérité

Du bon Dieu d'autant qu'il faut rester pieux, pour affronter avec sérénité,

Les aléas de la vie si bien qu'en dépit, un artiste est là aussi pour dépeindre

La réalité, comme on n'est dans le monde des bisounours mais à craindre

Que la vérité ne soit toujours plaisante à entendre, alors qu'on préfère se détendre,

Avec les merveilles de la grande ourse, pour contempler les étoiles afin d'entendre

L'amour divin et Céleste, car je le martèle avec Saint-Charles, un artiste 

Doit apporter du rêve, même simulé et par feint de l'humour feint non triste,

Puisque l'être n'est éternel, comme il chancelle tôt ou tard dans sa vie hédoniste,

Lorsqu'il ne peut réconforter les âmes fatalistes, qu'il peint en impressionniste,

Impressionné par les rebondissements de l'existence, en cours jamais figée

D'antan par conséquent, un artiste se rappelle d'un rappel lors d'un vernissage,

Qui coule l'oeuvre en aval, comme un artiste avale des couleuvres pas sages,

Qui lui restent en travers de la gorge du vers dont, il en conclut avec humilité

Qu'un artiste est là pour apporter du rêve, avec sincérité sans nier la réalité,

Mais qu'aussi, un artiste est là également pour dépeindre la réalité avec humanité,

Lorsqu'on ne peut la voir en peinture,

Tandis qu'on joue sur tous les tableaux d'honneur, de notre morte nature,

A bien des égards de pur saveur  !

Où l'on reçoit un tableau d'honneur de nos valeurs,

En tant qu'artiste, qui résume parfaitement les aboutissants

Et les teneurs,

Du temps qui passe vite nous éloignant des remords,

Mais d'au temps qui trépasse et vite nous rapprochant de la mort,

Qu'on est les auteurs de notre vie, en tant que locataires

De notre bail,

Et qu'on en déduit que le ciel nous fait la nécro rétro, en tant que propriétaire

Le jour où il nous rappelle au royaume de Dieu en nous clamant

Dites good bail  !

A vos amis sur la Terre,

Car en route vers l'inventaire, 

De nos actes les plus humanitaires ou délétères,

D'où l'on nous jugera à part entière !

Au sein de l'univers puisqu'on vous salut Terre !

 

Jérôme de Mars

 

 

Par petits brins dévoués

 

D'un saut de cabri qui rend chèvres les moutons de Panurge,

Le bétail purge et expurge 

Par petits brins dévoués,

Les animaux qui se sont voués

A renouer avec la paille du sérail,

Quand ils ne sont dans la paille mais qu'ils taillent

Leur long bouc de face avec une brindille,

Qui frétille et émoustille leur quadrille 

Par petits brins dévoués,

Des vouées auxquels sont voués

Les brebis galeuses et râleuses,

Dès que le froid de l'hiver les rend songeuses

Avant le retour du printemps qui est chaleureux,

Avec un soleil exotique et somptueux

Par petits brins dévoués,

Desquels ont renoués et voués

Les animaux de L'Arche de Noë doux comme des agneaux,

Et qui respectent le pacte des domestiques bestiaux

Sur le bateau imaginaire et légendaire, 

Qui longe la mer sur le radeau de la médusée histoires passagères

Par petits brins dévoués,

Des vouées aux bambins qui ont renoué

Avec le jour désavoué 

Lequel a déjà avoué,

Qu'on vient bien d'un autre monde

Puisque par ailleurs il nous sonde

Au-delà de l'univers,

Dès qu'on traverse la frontière 

En lignes parallèles,

Pourvu que la réception soit nickel !

Auxquels les réseaux d'amis ont voué,

Par petits brins dévoués.

 

Jérôme de Mars

 

                                            Blagues :

 

 

1)  Pourquoi est-ce-que mon humour est-il de la méchanceté gratuite ?
     - Parce-que j'ai déjà payé assez cher comme ça depuis le temps !

 

2)  Pourquoi n'ai-je jamais les pieds sur Terre et que je suis toujours sur une autre planète ?
     - Parce-que je suis Jérôme de Mars

 

3)  Qu'est-ce-que je réponds à ceux qui me demandent si j'ai vu le film où il y a l'ennemi de Superman ?

     - Je réponds Joker, je ne l'ai pas vu !

 

4)  Pourquoi est-ce-que la nature de notre planète s'éteint-elle à petit feu ?

     - Parce-qu'on est dans un mauvais environnement !

 

 

 

5)  Pourquoi Raymond Poulidor était-il un fou de cyclisme ?
     - Parce-qu'il avait des petits vélos

 

 

                                           Jérôme de Mars

Le couple d'oiseaux bat de l'aile !

 

Couplet du même refrain,

Il est d'un ciel certain

Que les oiseaux ont besoin

De s'accoupler avec volupté,

Depuis que leur puberté 
Les a autorisés à s'émanciper,

En cultivant le jardin

Secret de leur amour, 

Quand arrive leur tour

Qu'attire d'ailes

Les oiseaux fusionnels,

Qui roucoulent d'amour 

Dans un slow qui les entoure,

Avant que le couple d'oiseaux

Batte de l'aile,

Avec des problèmes de fuites de mélos

Déjà que l'eau coule de source et s'enfuit avec la source

Dans une courses aux sentiments qui manque de ressources,

Dont leur cause méritent d'être fendue

Même s'ils ont goûté au fruit défendu

Du couple d'oiseaux qui bat de l'aile,

Attire d'ailes des tourterelles, avec leur belle ritournelle,

Qui se déchire le bec 

Et en se bécotant en prises de becs de mots très secs,

Dont leurs ailes se brisent à la brise du vent édulcorant

Leur désinvolture charnelle qui joint le geste à la parole,

Car ce qui compte, c'est le geste permanent,

Qui offre aux oiseaux volages le droit à un vol

Long courrier, où le couple d'oiseaux qui bat de l'aile

Reçoit sa demande de divorce attire d'ailes,

Car ces demoiselles se la racontent pucelles

Et plus en oiseaux de Ménestrel, 

Comme le spectacle doit continuer !

Jusqu'à la proximité et la promiscuité,

Du jour et de la nuit en triomphe intemporel

D'un couple d'oiseaux qui bat de l'aile !

Attire d'ailes !

 

Jérôme de Mars

 

L'origine des maux

 

Animaux à demi-maux,

Quel est l'origine des maux  ?

S'ils sont radicaux

Et qu'ils ont une langue de vipère,

Qui contient tous les maux de vocabulaire

Ponctués de signes qui alertent si ces bons signes

Jouent à la virgule prêt au point virgule, 

Qui fait le point en prenant tout au pied de la lettre

De la racine des maux qui se met en majuscules,

Et qu'on met entre parenthèses

Le temps de connaître l'origine des maux,

En des maux savants qui se tuent à la tache avec du dissolvant,

Trois points de suspension, on suspend le temps...

Dans un néant pas possible qui scande en citation,

Incitation à l'haleine raciale de l'origine des maux,

Méli-mélo comme les lolos sortent du lot,

Au sein des phrases dont l'origine des maux

Est très radicale si elle se conjugue par tous les temps,

Au passé qu'on a composé au présent un parfait

Qui ordonne en impératif de composer l'indicatif du numéro

De téléphone par où les sons Anglo-Saxons sonnent-ils faux  ?

En filant à l'Anglaise ballot au bas lot comme il est sot,

D'être le garde par mégarde des soubresauts à l'assaut

De l'origine des maux si on remonte bien à la racine des gens,

Que Jean Racine contrecarrait par la racine très carrée

Au périmètre carré dont on trouve heureusement la racine

De l'origine des maux avec le pivot du Saint-Bernard,

Du génie des maux, point d'exclamation !  Si bien que je vous pose

Quelle question ! en point d'interrogation ?  Dans quelle cité s'agace-t-on ?

Si on s'agace en sagace cité, comme c'est terminé de citer la saga incitée, 

Point d'affirmation avant le point de conclusion de l'origine des maux,

Qui a sa racine radicale carrée par l'intelligence

Qui fait couler beaucoup d'encre,

En y laissant des plumes.

 

Jérôme de Mars

Masque singeait !

 

Oh !  bas les masques !

Je m'en débats les masques,

Comme je porte un masque

Pour masquer mes frasques,

Alors que s'il tombe !

Hauts ! Débats les masques

D'outre-tombe,

Avec des hauts et des bas des masques  !

Comme et mission Mask Singer

De mon message messenger mensonger,

Quand mon masque singeait

Masque Singer à la une !

De ma double face obscure en lune

De fiel ou de miel avec couverture 

Et la devanture,

Comme j'ai tout fait sur l'oreiller

Dès que mes messages controversés

Ont déversé la haine sur les arènes

De Nîmes qui animent ma mise aux abîmes,

Qui drainent une rengaine,

Certes pas légitimes, mais qui enveniment

Masqué et à moitié divulgué

Mon masque de victime qui décime

En Caliméro !

Les écimes dans la dîme,

Où je paye plein pot, le poto rose,

Lorsque j'ose mettre de la cirrhose

Dès l'ivresse de mes mots

Dont je jette tout le matos sur le pack beau,

Qui me mène en bateau loin de l'eldorado,

Où je démets bas ! les masques en oh !

Dans les bats et les hauts,

Dont je m'en débats bien bas les masques  !

Où je porte hauts ! mes frasques  !

Dans un programme sur mesure

De ma nature en déconfiture,

Car masque singeait

Le programme à la une Mask Singer,

Où je porte un masque

Jusqu'au jour où il va tomber dans mes frasques,

Dont je porte la casaque sur mon casque

Que j'emporte et que je casque

Dans un masque qui masque ma figure,

Cache mes blessures et mes fissures

Dans un semblant de bonne nature,

Où je dissimule mes vergetures,

Avec des ratures sur mon écriture

Que je jette en pâture,

Quand je me coupe l'herbe sous le pied

Et pas seulement dans mes vers de paroles en douze pieds

Dans les parages

Et par âges,

Où le final de mon message,

C'est portez vos masques en hauts !

Tant qu'ils sont en oh !

Du sommet où vous n'avez 

Pas besoin de vous cacher,

Mais de porter et d'emporter

Votre masque songeait

Mensonger au message de messenger,

Comme à la une Masque Singer,

Puisque au masque singeait

Le fond de la vérité

Dans une part de sincérité,

Faute désavouée

Et à moitié pardonnée  !

A l'accoutumée des frasques,

Hauts ! des bas les masques  !

Oh ! débats les masques !

Hauts ! bas ! les masques !

J'en débats

Et je m'en débats

Au bas haut du baobab au bât !

 

Jérôme de Mars

De Jérôme à Géronimo

Moi, Jérôme d'un je d'enfant,

J'ai été l'éternel incompris et méprisé comme le Joker,

Dont je m'en fais des films où il faudrait

Que j'ai un pacemaker, 

Après tout ce que j'ai pris dans la gueule,

Comme un bégueule casse-gueule

Dans mon cœur de rancœur,

Où l'on ne m'a pas considéré,

Et jamais pris au sérieux juste catalogué

Comme un clown et un bouffon,

Avec que des remarques désobligeantes

Et gênantes

Dans le tréfonds, comme je me morfonds,

A être le bouffon du désarroi,

Car si tout le monde me dit pousse-toi !

C'est à cause des gênes héréditaires

Occasionnées par mon côté cent gènes

Et anxiogène,

Où ma colère me pousse à commettre des sacrilèges,

Lorsque mon flair m'affaire

A n'en a avoir rien affaire

De ce que l'on pense de moi où j'aspire à la vengeance,

Et à me faire justice, d'où le privilège

De ne rester enfant après avoir été tant dans la loi du silence,

A demander réparation du préjudice subi par la violence,

Qui se banalise en accoutumances,

Car trop de sortilèges

Dans une vie en de ça très dramatique

Et fanatique,

Avec une bombe à retardement qui risque de s'embraser

En actes patibulaires et incendiaires,

Puisque je ne me suis jamais fait respecter,

Et que je me suis toujours laissé dominer

Dans une posture de subordination,

Car cependant, je n'ai jamais eu le dernier mot,

Et que ça fait très mal de traîner

Tout cela comme un boulet maboule

En perdant sa lucidité de ma boule,

Mais où là, je crie que ça fait trop,

Et que je n'en peux plus des quiproquos

Dans des imbroglios

De mon cerveau en altération,

Où j'ai été Jérôme

Durant mon enfance à l'innocence

Coupable de m'être trop longtemps tu,

Alors que je tue

Les bourreaux de mes maux,

De ma vie mise dans la défaite accomplie

En un visage en mille morceaux,

Et en lambeaux car je suis dans le chaos

Et que je n'ai plus rien à perdre mais tout à gagner,

A me révolter en mots

Et textes crus,

Qui se sont accrus

Depuis que Jérôme

A fait place dans le surplace

A Géronimo,

Adulte 

Dans le tumulte,

Comme le joker qui a besoin d'un pacemaker,

Pour réparer son cœur

Qui n'en a rien à battre en disgrâce,

Grâce et à cause du déshonneur et des malheurs,

En deux je de mots qui vont crescendo

Jusqu'à la montée d'adrénaline,

Dont se dessine le fiel que je butine,

En un gros hématome, feint de cet aima tome.

Jérôme de Mars

Les champs élisaient

 

Souviens-toi dans les champs des alizés !

Le vent de l'Elysée faisait 

Que la lettre Et lys et moi

Chantonnait en générique d'émission l'hymne à la voix,

Lorsque les champs élisaient

La joie,

Qui trouvait sa voix

Dans la croix et la bannière

Avec l'art et la manière,

Lorsque les champs élisaient

A contre-champ l'alizé,

Qui soufflait le vent de l'Elysée

Qui élisait

La lettre Et Lise et moi

Dans des choix,

Qui déchoient

Lorsque les champs élisaient l'alizé,

Voient L'Elysée

Et dévoient L'Elysée

Dans des voix,

Avec voix sans issue

Qui sue des sues, déçues

Sur place de la plus grande place,

De Paris comme dans un palace

Sur la place des boulevards,

Lorsque les champs élisaient,

Elysée l'Elysée-Montmartre

Dans le champ des alizés,

Qui élisaient Et lys et moi,

Dans la lettre

Elise et moi

En prenant tout au pied de la lettre,

Lorsque les champs élisaient

L'Elysée en trouvant sa voix

Parmi les voix en joies,

Car chacun a sa place, à sa place

Sur place du surplace,

Lorsque les champs élisaient

L'Elysée Elise et moi jusqu'au vent

Du champ de l'alizé !

Des champs Elysées et lys et moi,

De vous à et Lise et moi, 

Point final de la lettre !

A Elise et moi au pied de la lettre !

 

Jérôme de Mars

Jardin d'amour

 

Paris en apothéose,

Un seul domaine porte éclose

C'est le jardin d'amour,

Qui se cultive tous les jours

Dans le jardin secret, 

Qui taille les haies

Mais qui flirte sur un je t'aime

Au lieu d'entretenir la haine,

Qui parsème le requiem

Dans le jardin d'Eden,

Puisqu'il vaut mieux

Un jardin d'amour,

Pour donner raison

Joyeux et radieux

Aux troubadours,

Qui regardent de loin

La maison des différentes saisons,

Entre passion et inclinaison

Du soleil qui butine le miel

Du jardin d'amour,

Dont le fiel

Contamine les abeilles 

En de mauvais contours,

Qui dessinent des vautours

Pour manger tout l'amour,

En le défrichant

En jachère,

Et en le mettant

Aux enchères

Dans de l'amour sans velours

Du jardin d'amour,

Qui n'aime des amours

Et sème désamours pour toujours,

Alors que le jardin d'amour

Se cultive pendant les beaux jours,

A Paris au jardin des plantes

Près de la fontaine,

Qui jaillit avec les fables De La Fontaine

Au jardin du Luxembourg,

Qui plante

Au jardin des Plantes

Toute la graine,

Qui s'égrène

En un grain de folie

Dans le jardin d'amour,

Si jamais il fait la cour

Dans la cour des grands

En vivant le moment présent,

Car merci

Pour cet amour fleuri,

A chaque instant chéri,

Avec vous chère tendre amie  !

Dont je vous chante d'entrain

A bientôt au petit matin !

 

Jérôme de Mars

 

Outre-mère d'outre-tombe

 

Trombes de maux,

Il pleut des trémolos

Et des sanglots  !

Dans les voix de métaux,

Qui ont un métro

De retard,

Pour suicider leur tare

Avec l'influence post mortem,

De leur mère mise en terre délétère,

Avec bien des problèmes

A résoudre depuis l'outre-mère,

Comme il manque l'amour des repères,

Dans ces paroles d'un fils déchu

Et dissolu, dans des doutes à jamais résolus,

Que je dédie à ma mère, outre-mère d'outre-tombe !

Ce qui fait inexorablement, je pleure dans les catacombes,

Qui plombent et surplombent, tout ce qui me plombe,

Avec regrets et remords, depuis la mort de ma mère,

Qui laisse une note salée, à L'Océan Pacifique à mère,

Parce-qu'auparavant, je n'ai jamais réussi à apercevoir la lumière,

Près du soleil d'hiver, qui faut le dire ! prenait souvent des courant d'aire,

Pour respirer un ciel serein, et être debout face à l'univers,

Face en surface de caractère, devant ma mère d'outre-mère,

Et d'outre-tombe sous un sol d'outre-terre,

A me souvenir de ses rires et de ses colères légendaires,

En sauvegardant sa volonté première, que je laisse allumer la lumière,

Même si son absence, respire toujours l'ombre partenaire de ma misère, 

Puisque inéluctablement je demeure réfractaire !

Depuis que l'amère lui a susurré à l'oreille,

Tu meurs maligne avec ton soleil mitigé de parcelles,

Où part celle qui fut ma mère !

Au paradis d'enfer de ma mère d'outre-mère,

Pourvu que l'outre-tombe

Ne tombe dans les catacombes, car à qui ça incombe

D'oublier ma mère,

En guise de sa lumière charnière,

Où je termine en ces maux, vive l'outre-mère,

D'ici ou d'ailleurs d'outre-tombe, chemin visionnaire,

En route vers un avenir propice, sans messes basses,

Même si la messe funèbre de ma mère, ne fut basse mais à contrebasse,

Où je brasse en cette direction d'un pas las,

Comme je vous embrasse tous dans un palace,

Consigné Jérôme le sagace  ! qui s'agace 

De ce passage fugace, mais heureusement tenace,

Horizon en marge,

Où je prends désormais le large,

Embarquement immédiat !

Sur le bateau qui vogue,

Pars là-bas alléluia !

Qui clôt cet épilogue.

 

Jérôme de Mars

 

 

Café olé olé

 

Mare de café au lait,

On a picolé

Au café olé olé,

Qu'on a collé

Au café o'laid, 

Qu'on a accolé

En amarre du café o'laid olé,

Et qu'on a racolé

En a marre du café olé o'laid,

Dont on a enrôlé 

La mare du café olé olé,

Qu'on a bricolé 

O'laid,

Auquel on a caracolé

Olé 

Dans un tollé olé o'laid

Du café olé,

Oh ! les cafés !

Que le café olé,

On le préfère café au lait !

 

Jérôme de Mars

Point sensible

 

Pour un motif,

On est émotifs

Et motifs

Au moindre motif

Qui devient un point sensible,

Lorsqu'on pète les fusibles

Du fil qui n'est extensible,

Quand on est sur le fil du rasoir

Qu'on arrache à la date butoir,

D'où l'on broie que du noir

Sur du café noir,

Oh ! y en a mare du café qui sent le purgatoire,

Quand on perd espoir

Sur un point sensible

Qui n'est risible,

Comme on le ressent illisible

Et invisible

Sur un point sensible,

Où l'on n'est réceptifs

Puisqu'on est captifs

De notre cerveau immobile

Aux idées volatiles,

Mais dès que le mobile

De notre mobile

Redevient quelque chose d'extensible,

Tout nous paraît de nouveau lisible

Et visible

Sur un point point sensible.

 

Jérôme de Mars

La mer a une note salée

 

Piano timbrée sur la tablée,

Les maréchaussées marchent sur la chaussée,

Chaussée crampon qui a une haute opinion

Scellée sur du papier cellophané, 

Qui renverse la vie qui n'est un long fleuve tranquille,

Si bien que la mer a une note salée

Tapée par le piano qui provoque la saison

De l'horizon qui lézarde le chausse-pied ensablé,

Par les cailloux anguilles sous roches, qui aiguillent

Les palmes du festival de Cannes en déversant,

La morue des poissons qui fredonnent le courant,

De l'eau emporté par le mistral gagnant intensément,

Dans un roc endiablé d'un cœur de pierre à l'édifice réjouissant,

Tandis que la mer a une note salée,

Sucrée salée parmi les volontaires flibustiers sur la côte large et esquissée,

Du sourire du soleil dans une déconfiture, au parfum de fraise, 

Qui fait son beurre dans la terre ferme et glaise,

Eblouie par les falaises de la musique qui adoucit les mœurs,

Choyées, lorsqu'elles étaient B.B dans les bras de leur nurse,

Qui marchent vague à l'âme et qui restent vagues,

Dès que la mer a une note salée

Et qu'elle échoue sur la côte jusqu'à Prague,

En demeurant vague sur la vague déferlante,

Où d'ici la mer s'éteint au fil des étoiles filantes,

Qui a la courante extinction des feux

Depuis le piano sur sa queue,

Au creux de la vague ensablée

Mouvante sur le temps du sablier,

Qui s'écoule 

Coule, découle et roucoule,

Depuis que la mer a une note salée.

 

Jérôme de Mars

Cocotte minute ex presse

 

Embargo, j'ai un lumbago  

Comme j'ai bon dos  !

Avec ma cocote en papier

Dont j'écris des textes

Que je triture en prêt texte,

Comme je suis une cocotte minute ex presse,

Qui va exploser de sa cocote minute express

Dans le crime de Lorient express

Coûte que coûte quoique ça m'en coûte,

Puisque personne me m'écoute

Dans mon cerveau consumé par mes excès,

Aux ruminations infondées mais fécondées

In vitro en restant sur le carreau

D'un mal de mère très contrario, 

Dans l'allégro, car illico presto

Ex prêt et ex spray comme 

Dans la com',

Je ne fais exprès mais que c'est tout comme !

Le jour où ça va sauter et sursauter

La cocotte minute express,

Qui explosera dans ma cocote en papier

A la minute ex presse,

Comme j'oppresse toute cette revue de presse-citron

Mélangé dans un zeste de presse orange menu haché ,

En un poison qui mord à l'hameçon

Et qui est un garçon manqué,

Comme enfant j'ai tout manqué

Et que j'ai manqué de pleins de choses

Dans les ecchymoses et la sinistrose,

Presse purée épurée

Où je scande purée  !

Dans le faitout,

Comme ça fait tout

Et puis c'est tout !

 

Jérôme de Mars

 

 

Avoir une parole et tenir parole  !

 

Paroles d'amis

Et de famille,

A l'heure où je vous parle

Avez-vous une parole ?

Et tenez-vous parole ?

Dans ce tant de paroles

Que je vous adresse en farandole,

Avec mon franc-parler, parler franc ces

Par les Français, parler Français,

Où il faut qu'on reste francs ces

Par les Français, par les francs ces

A parler Français à part les Français,

Car c'est Français d'avoir une parole

Parmi ces Français qui tiennent parole,

Et qui enrôlent avec ou sans bémol

Dans l'alpha oméga de la baie molle,

Où il est important d'avoir une parole

Et de tenir parole, 

Par Les Français parler Français

A part Les Français,

Qui n'ont pas de parole

Et qui ne tiennent pas parole,

Comme ils sourds d'oreille

A mauvaise entendeur sans soleil

Et muets de leur bouche,

Mais qui débouche

Comme certains peuvent lire dans les lèvres,

Bec de lièvre, 

Et que même s'ils n'ont pas de parole

Qu'ils peuvent entendre,

Il peuvent tout de même tenir parole

En faisant des gestes d'orfèvre

De leur bec de lièvre, 

Et de leurs mains en fièvre

Et avoir peut-être une parole

Sans entendre pour désormais la porter sans bémol,

De façon à ce que tout le monde s'entende bien et tienne parole

En ayant une parole d'amis

Et de famille,

Si on vous écrit les paroles

De la chanson pour avoir une parole

Et tenir parole !

 

Jérôme de Mars

Paroles d'amis  !

 

Dans ce monde qui déambule, voici des petites bulles avec des paroles d'amis  :

 

Jean-Paul  :

 

Jérôme : " - Cher Jean-Paul, bon anniversaire !  "

 

Jean-Paul : " - Merci mon ami, pourquoi es-tu essoufflé  ?  "

 

Jérôme :  "  -  Car à force de tenir la chandelle pour donner un nouveau souffle à tous les anniversaires !

 

Guillaume :

 

Guillaume :  "  -  Veux-tu qu'on fasse la quiche aux poireaux ce soir  ?  "

 

Jérôme :  "  -  Oui, je veux bien, à condition de ne pas dégorger le poireau.  "

 

Christophe P

 

Christophe P :  "  -  Lascar, pourquoi ne m'appelles-tu jamais  ?  "

 

Jérôme :  "  -  Car je ne veux pas te déranger !  "

 

Christophe P :  "  -  Tu ne risques pas de me déranger car c'est toi, le dérangé !

 

Philippe :  

 

Jérôme :  - Pourrais-je fêter avec toi le réveillon de Noël et du Nouvel An ?  "

 

Philippe :  "  -  Oui, à condition mon cher Jérôme, qu'on fasse une bonne fin d'année et pas que tu me dises réveillons une bonne fin damnée !  "

 

Docteur Penot :

 

Jérôme :  "  -  Cher Docteur Penot, comment se fait-il que vous soyez apaisé et moi torturé ?  "

 

Docteur Penot :  "  -  Mon cher Jérôme tout simplement parce-que toi tu n'as jamais eu d'histoire d'amour, et que donc tu es dans la préhistoire du Moyen Age et que moi, j'ai atteint le grand âge d'avoir connu pleins d'histoires d'amour !  "

 

Serge :  

 

Jérôme :  "  -  A ton avis Serge, pourquoi toi et moi, on se comprend bien  ?  "

 

Serge :  "  -  Je vois pas, te sers-je le ver de la vérité ?  "

 

Jérôme :  "  -  Pas besoin Serge, tu me l'as déjà sorti !  Je pense que tu es un mélancomique très Funès avec finesse et que moi, je suis un mélancolique très funeste cent finesse !  "

 

Brigitte :  

 

Jérôme :  "  -  Ma chère Brigitte, pourquoi n'aimes-tu pas Facebook ?  "

 

Brigitte :  "  -  Parce-que pour moi, c'est un réseau asocial d'amis virtuels et que moi, j'ai mon propre réseau d'amis très réel dont toi avec ta face de bouc  !  "

 

Alexandre  S :  

 

Jérôme  :  "  -  Pourquoi ne te rases-tu pas souvent ?  "

 

Alexandre :  "  -  Car tout me rase comme  je suis poil à gratter et que je te retourne la question  !  "

 

Jérôme :  "  Car ma vie est rasoir et que je me mets à nu dans mes textes en étant pile-poil !  "

 

Adel  :  

 

Jérôme  :  "  -  Pourquoi avec ton portable, n'envoies-tu rarement de SMS et que tu préfères appeler tes amis  ?  "

 

Adel :  "  -  Tout simplement parce-que c'est là que j'ai trouvé ma voix quand tu n'as pas compris le message  !  "

 

Boris  :

 

Jérôme  :   "  -  Pourquoi toi et moi Boris, on a un côté OVNIS  ?  "

 

Boris :  "  -  Parce-que toi, tu viens de Mars et que moi, je viens de Vénus  !  "

 

Jérôme :  "  -  Non, tout simplement parce-que tu n'as pas les pieds sur Terre, que tu es dans une autre planète et que moi, j'ai six pieds sous Terre !  "

 

Edwin

 

Jérôme :  " - Pourquoi m'as-tu dit l'autre fois que j'étais aigri, amer et méchant et qu'il fallait que je me fasse soigner  ?  "

 

Edwin  :   "  - Car tu es ton propre médicament et que tu es interné dans ta folie quand tu me médis :  mon cas m'isole !  "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

L'automne était Indien

 

File Indienne,

De ma mer Indien

Sur la mère Indien

De L'Amérindien,

La pluie est lointaine

Et présent l'automne était Indien

D'un été Indien de Joe Dassin,

Qui durait Azuréen 

Jalonné par un soleil adultérin,

Qui trompait sur le terrain

La lune avec le ciel libertin,

Comme l'automne était Indien

De l'amer Indien,

Qui égrène 

Des chaleurs anormales et diluviennes,

Auxquelles on engendre 

Le beau temps en gendre,

De qui a jonché les feuilles de l'automne

Tapies sur le sol qui a bronché atone,

Avec l'influence du ciel bleu capricieux,

Qui accorde son pardon à l'automne

Qui était indien,

Avec l'eau tonne qui tonne

De milliers de brins

De rayons de soleil fixes,

Que fixe au beau fixe

L'automne qui endurait l'été Indien,

Une fois que l'automne était Indien

Et puis donc plus rien  !

Si bien qu'on fait le point noir

Du fin mot de cette histoire.

 

Jérôme de Mars

L'exil des âmes éraflées

 

Au fleuret effleuré d'une épée de Damoclès

M'était contée la Comtesse,

Qui de par sa paresse

Me vantait les louanges,

En lettres de noblesses

De la vie des anges,

Qui battaient de l'aile

A tire d'aile,

Dès l'exil des âmes éraflées

Au fleuret effleuré 

D'une épée de Damoclès,

En crime d'alèse-majesté,

Qui dormait sur ses lauriers

En couronnes de désarrois en osier,

Dont les auréoles

Me rappelaient les chants créoles

De L'Outre-mère,

Comme une loutre amère

Aux habits bariolés, 

Et à l'ambiance de savane

Du sillon au parcours de leur caravane,

Qui empruntait la déroute des bananiers

Et des douaniers,

Qui se dédouanaient plantés là comme des arbres

Sur leurs arbres, 

Perchés et trempés

De l'enclume de l'esclavage,

Qui faisait ravage et rivage dans un virage

Qui tombait à l'eau dès l'exil des âmes éraflées,

Au fleuret effleuré

D'une épée de Damoclès,

Humide de tristesse et de détresse

Dans des sentiments mitigés,

Et partagés

Par l'exode murale qui allait vers le mur

De la nature immature, 

Comme des oiseaux qui survolent actuellement l'exode rural

Pour dénicher leur nid d'un pied-à-terre en période australe

D'un meilleur monde à l'avenir astral

Et amical dans une politique moins libérale, 

Mais davantage sociale et florale,

Comme l'extase des fleurs qui recommandent

A la demande de panser aux amendes 

Honorables pour servir et asservir une table endimanchée,

Par un agréable dimanche de circonstances enjolivées

Dans la beauté incarnée dès l'exil des âmes éraflées,

Qui est contemplé et décompté par la prêtresse

Lors de la fin de vie maîtresse de la Déesse,

Au fleuret effleuré

D'une épée de Damoclès,

Quand s'éteint la Comtesse

Faiseuse d'histoires, 

Epiée sur le boulevard des racontars, 

En un au revoir

Et à un de ces jours peut-être sur le tard !

 

Jérôme de Mars

Les vers me mangent

 

Délétère sous terre

Sans commentaires,

J'exprime en vers

Des thèmes élémentaires,

Complémentaires et supplémentaires,

Comme ma colère me démange,

Quand les vers me mangent

Sous terre austère

De la pire misère,

Que me rapporte le soleil qui pleure

Sous la pluie des orages à fleur

De peau et du chaos,

Quand les vers me mangent

Et que les revers me démangent

En me faisant la peau

En peau de chagrin,

Qui jette son venin

Dans la mélancolie

Et la folie

Des nuits qui reflètent les mots des faux

Et sonnent faux,

Comme je les traduis,

Les induis et les déduis

Sous terre austère

Du ministère,

Quand les dix vers de colère me démangent

Et que les vers divers me mangent

Dans le soleil de l'hiver,

Qui m'enivre statutaire 

Et tutélaire

De la colère qui monte protocolaire

Dans un silence de vers,

Où je prends un ver délétère,

Hauts vers de rage, qui m'inspirent de la peine planétaire

Au magnéto précaire 

Sur les hauts de scène, où je termine ces vers,

Qui me démangent 

Sous terre

Le jour où je réécris des vers salutaires,

Qui me mangent

En paroles d'argent pécuniaires

Linéaires dans mon profond imaginaire,

Pour toi Voltaire,

Vole terre, en variés et divers volontaires

Que je ponctue signé Jérôme

Dans l'arôme,

Et consigné Géronimo en très mollo,

Car y a photo dans la rétro du rétro !

 

Jérôme de Mars

 

 

J'ai les gênes de ma mère  !

 

Noël ma mère  !

A été conçue 

Dans l'absolu

De façon patibulaire,

Avec le suicide 

Et acide

De son grand-père,

D'où j'ai les gênes

De ma mère  !

Au noël amer

Des gênes héréditaires,  

Cent gênes 

Occasionnés indigènes

Par hein dix gènes,

Aborigènes et anxiogènes,

Qui me gênent 

Sans gênes,

Comme j'ai les gênes

De ma mère,

A Noël ma mère  !

Anxiogène

De mon état indigène,

Ah !  les tas aborigène

Au noël amer,

De l'arche de Noël ah mère  !

Du noël ma mère,

Où j'ai la rébellion

Car réveillons 

Les morts   !

Du bout de mes remords

Au réveillon amer,

Oh !  Noël ah mère  !

Où sont mes repères

De ton grand-père

Au repaire désacralisé,

Comme j'ai les gênes

Héréditaires et patibulaires,

De ma mère

Occasionnée 

Par les gènes anxiogènes

De mon état aborigène,

A l'origine indigène

Ah !  un, dix gènes  !

Cent gènes

Et sans-gênes,

Ah ! qui ça gêne  !

Transgène 

En transe gêne,  

Dont mes gènes

Héréditaires

Et occasionnées

Me causent un Noël amer,

Car oh !  Noël ma mère !

Dont les gènes anxiogènes

Ah !  les tas indigènes  !

De mon état aborigène

A l'origine transgène,

En transe gêne

Hallucinogène,

Hétérogène

Et homogène,

Aux mots gênent

Mes maux anxiogènes,

Qui me gênent

Hein dix gènes  !

Dont j'ai les gênes

De ma mère,

Gène héréditaire

Et occasionnée,

Ah ! Noël Mamère  !

De l'amer Noël à mère  !

Ah ! mère

C'est Noël ma mère !

 

Jérôme de Mars

Te sers-je un ver de l'amitié, mon cher Serge  ?

Mon cher Serge,

Si tu savais

Comme tu me connais,

Me permets-tu de te demander  ?

Te sers-je un ver de l'amitié  ?

Mon cher Serge,

Où je répète en boucle

Comme la boucle

Est bouclée

Et entourloupée,

Dans ma déroute

A l'accoutumée,

Où je me pose

Comme question,

A quoi sers-je  ?

Dans l'inconnue de mon équation,

Où si tu savais Serge,

Comme je suis perdu

Et totalement dissolu

Dans ma vie irrésolue

Dans le plus absolu,

Où j'espère que tu disposes

D'un créneau

Pour lire ce texte,

Vu le con texte

De la décrépitude

De mon état,

En décomposition avancée

Avec des mauvaises habitudes,

En les tas

De ces tristes choses,

Qui sont la cause

De ma décadence consumée,

Largement entamée et rétamée, 

Où te sers-je un ver de l'amitié  

Et de la fraternité  ?

Avec réciprocité et loyauté,

Mon cher Serge,

Depuis le temps qu'on se connaît

Au bar des vieux copains

De l'ancien bistrot

Du troquet,

Qui a troqué 

Ses potos,

Qu'il rembarre en pseudos

Soi-disant connaissances de vrais-faux amis voisins,

Avant que je me barre

Lointain et Azuréen

Avec ma tintamarre,

Comme j'en ai marre

Et que j'ai envie de larguer les amarres,

Où mon cher Serge,

Te sers-je un ver de l'amitié frais  ?

Payé à mes frais sur mes propres deniers,

Comme je vis au jour le jour

En ne sachant ce que demain

Me réservera comme vilains

Tours en détours,

Jusqu'au prochain jour d'un nouveau resto

Entre potos,

Mon cher Serge,

Où en cet instant fatidique

De mon état très critique,

Tu me demanderas si de par mes revers en difficulté 

Dans l'égalité en légalité,

Te sers-je un ver de l'amitié  ?

En trinquant pour une bonne fin d'année

Sans difficultés,

Même si avec mes difficultés,

Ce sera pour moi une bonne fin damnée.

Jérôme de Mars

 

                                                Blague :

 

 

Pourquoi une femme a-t-elle plus de principes qu'un homme  ?

 -  Parce-qu'elle a ses règles !

 

 

                                        Jérôme de Mars

Le je de sévérités

Plié en quatre repassé,

Je me mets en quatre dépassé,

Car mon intégrité 

Et ma dignité

Sont en je,

A force de jouer avec le feu

Ce qui m'amène

Dans l'amen 

De Dieu,

A déjouer au je de sévérités

Avec ces vérités,

Comme je ne suis pas un Sain

Mais un mâle Saint,

Qui clame qu'il veut 

La guerre,

En invoquant le salut d'Hitler

Ah que aille  !

Haut que tu souffres !

Du souffre

De tes entrailles,

A vouloir l'anarchie

De ta vie en autarcie,

Où tu scies

Les branches sur lesquelles tu es assis,

Comme on ne refait pas le monde avec des si

Puisque tu n'arrêtes pas sur Facebook 

De prôner la haine,

Avec ton haleine

De vieux chacal qui pue ta face de bouc,

Quand tu médis 

Vivement qu'il y ait une guerre civile,

Vivement qu'il y ait une fin du monde indocile

Et vivement Le Pen 

Au pouvoir

De tes déboires,

Comme si déjà Marine

Ne te peine

Suffisamment dans ta colère,

Qui sent le frigidaire

Du passé périmé,

Avec ta bouche décousue et mauvaise langue

De vipère

Exsangue qui tangue,

Comme là tu meurs malignes

De ta mère indigne,

Où je joue au je de ces vérités

Avec sévérités,

Comme ma vie dévie est en je,

Où je ne me cherche aucune excuse,

Comme j'accuse

Le coût de tous ces coups de Trafalgar, 

Où je m'égare hagard, 

Comme je ne sais où je me gare

Perdu, éperdu

Dans mon comportement absolu

Et excessif,

A la racine

Contrecarrée de mon état malentendu,

Avec des sous-entendus

Distendus et évasifs

Dans les récifs anguilles sous roches de mes taux,

Dispersés et éparpillés

Dans de l'eau en cristaux,

Avec la partie émergée

De l'iceberg,

Qui me glace nice berk

En me grillant sur le grill,

Dont je suis l'invité à éviter

Et à avorter

De ma mère morte-née

Et amorphe contrariée,

D'où mon état des lieux

Aux dégâts brumeux et nébuleux,

Comme je joue au je de sévérités

Avec ces vérités

Pas bonnes à étaler

Sur la place impudique, 

Avec ces vices publiques

Dû à mon passé, 

Cabossé et surpassé

De par mes absurdités,

Avec mon tempérament sombre de sa cruelle férocité

Dans une saga cité,

Où je vis dans ma cité en saga citée,

Car mon ami Edwin

M'alarme sur mon état préoccupant

Et inquiétant,

En me conseillant

D'aller me faire soigner

Et hospitaliser,

En appelant à l'aide

Et en épelant le miraculeux remède,

Après avoir tant saigné

Mon sang d'encre à lui déverser

Toute ma haine controversée,

De ma personnalité déloyale et abîmée

Par ce monde égoïste, abyssal et décrié

A la criée contrariée, 

Avec ses paradoxes et ses contradictions,

Dont j'ai payé trop souvent l'addition

Dans des addictions, où je fume qui a allumé la haine

A force de tenir la chandelle

Qui chancelle le feu de ma rengaine,

Où je joue au je de sévérités

Avec ces vérités,

Pliées en quatre,

Où je me mets en quatre

Pour tenter de ne pas prendre le pli

De cette vie qui dévie vis-à-vis

De mes racines,

Où il faut que je remonte à la racine

En un gens racine,

Sans courber l'échine

Mais à réparer la machine,

Pour qu'elle reparte en allant de l'avant,

Comme l'avant-guerre et l'après-guerre

Pour ne plus que naguère,

Et jadis, je sois déviant,

De sorte à ce que je prenne les devants

En je de ces vérités

Car ma vie est en je de sévérités,

Au mare de café nuageux

Et ombrageux,

Alors autant de ce fait que je me plie au je des quatre vérités

En me pliant en quatre

Pour me mettre en quatre

De sévérités,

En ces vérités et ainsi contourner le passé

Pour ressusciter et me tourner vers un avenir outrepassé,

Et en vivant le temps présent

Dans un présent

Plus que parfait,

Au pluriel de rouvrir les ailes

Par fées essentielles.

Jérôme de Mars

Le temps est-il le reflet de la société  ?

 

A temps, assis-toi sur un banc  !

En regardant le miroir de la société

Comme la firme, l'affirme le reflet,

En s'interrogeant avec curiosité 

Désarmante si les gens sont aimants,

Ou haïssant tire-aux-flanc, nonobstant l'aura d'étang

Moderne qui se détend subalterne et veut la vérité

Libérale de si le temps est-il le reflet de la société ?

Entre le miroir aux alouettes et eaux alouettes au miroir

Déformant, comme les cormorans au fond d'un tiroir

Sont de drôles d'oiseaux délurés, à songer et à incarner l'antivol 

Des voyous casse-cous, qui font coucou au bémol

Des gens qui ne tiennent paroles mais juste en surface de l'eau,

Allo, ça tombe à l'huile la sueur ! en façade, où ça découle de trémolos

De si le temps est-il le reflet de la société ?

Et de pourquoi les gens sont-ils égoïstes et arrogants  ?

En prenant tare aux gants inélégants soit disant

Dit, en trépassant sur le sol maudit des briseurs de rêves au vent,

Qui cause l'ouragan du désespoir déviant, 

En ne sachant où, en allant dans l'allant de l'élan 

Des gens aux tourments pleurant 

A gauche, les cocos du val qui dévale De Marne,

En secouant les noix de cocos qui émanent à la droite du Tarn,

Dans un cocorico qui plante là, la déco en peaux de crocos,

Dans la loco illico d'un petit coquelicot, 

Qui envoie des fleurs aux cocos,

En vases clos communicants et communistes en communion,

D'un vol républicain sur la réunion dans une libre union,

Où l'on déchante de si le temps est-il le reflet de la société ?

Dans une société du profit flétri et endolori qui en rit de sagacité, 

Et veut amadouer les gens doués qui louent 

Les allocations qu'ils allouent en vieux loups

Solitaires, comme un artiste soliste sur La terre, fertile en négations,

Et de savoir si jamais, ils jouent les authentiques rébellions,

Est-ce-qu'ils deviendront l'abnégation  ?

Du bien et du mâle en tout et pour fourre-tout frontal,

Car v'là la totale !

Attends !

 

Jérôme de Mars

Le ver à moitié plaint et à moitié avide

 

A vide de sens

Et avide d'essence,

J'écris des vers 

Tantôt clairs

Et tantôt de colère,

Comme en vers

Je vois le ver

A moitié plaint,

Quand il est plein

Et je dévoie le ver

A moitié avide,

Quand il est livide

Et à vide 

De substance,

Qui demeure mon essence

De création

Et du reconstitution

Du puzzle à l'envers,

Quand mes vers 

Passent aux vers

Et voient rouge ovaires

De l'amère over,

Avide de sens

Et à vide d'essence,

Quand je perds

La quintessence,

Quand je vois le ver

A moitié plaint,

Quand il est plein

Et que je dévoie le ver

A moitié à vide,

Où je me régénère 

Avec mes nerfs

A vif,

En tant que poète écorché vif

Qui piqué au vif,

Entame le tourniquet subversif

Et transgressif

Dans une tournée

Détournée et contournée,

A la base à l'origine

De cette routine,

Qui butine mon fiel

A fiel allure,

Et dont l'ouverture

De vieille pucelle 

Une fois périnée 

La déconfiture

En confiture,

M'ouvre ou vers

De la mère pacifique,

Avec le ver à moitié plein

Et à moitié vide,

Quand avide

Je ne me plains

De l'amère orgasmique, 

Car j'ai fait le plein

A vide  !

Et ouvert aux vers.

 

Jérôme de Mars

 

Aime à l'envers

 

Aime à l'envers                                                                            vie mais qui t'M 

                                                                                                    a

                                                                                                   t                    à                                 t                                                                             e

                      a                                                                              d

                                                                                                                          l

                      m                                                                              t                  '

                      a                                                                               i                 e

                     m                                                                               o                n

                     a                                                                                 r

                    n                                                                                  d               v

                                                                                                        n               e

                  q                                                                                    e               r

                  u                                                                                     '               s

                  i                                                                                      l

                                                                                                                        d

                 t                                                                                       à             e

                 '

                a    donné la vie de                                  même qui t'aime             c

                                                                           e                                           e

                                            l                               i

                                            '                               v                                         p

                                           e                                                                         o

                                           s                              a                                         è

                                           s                               s                                        m

                                           e                                                                         e

                                           n                               à                                      

                                           c                                                                         e

                                           e  qui adonné le sens                                       n

                                                                                          

                                                                                                                     b

                                                                                                                     o

                                                                                                                     n

 

                                                                                                                    p

                                                                                                                    o

                                                                                                                    i

                                                                                                                   n

                                                                                                                   t

                                                                                                                   .

 

 

Jérôme de Mars

                                                                                                                     

Ce poème qui me tire les vers du nez

 

Ver arrosé d'un ver divin,

Je me grime 

En essayant de trouver la rime,

Comme je quémande à quoi ça rime ?

Ce poème qui me tire les vers du nez,

En cherchant à savoir si le grain

De folie de mon écriture signifie innée,

Et inopinée et si la rencontre 

Entre deux vers de poèmes, se produit

A mon encontre ou en contre 

Le pour et le contre de ce poème,

Qui m'inspire d'un ver de bohème

De pourquoi ce poème m'attire les vers du nez,

Nez à nez avec ma carte d'identité,

S'il est bien marqué que je suis né

Désarçonné et abonné,

A bon nez aux abonnés absents,

Car qui ne dit rien consent  !

A se poser de à quoi ça rime ?

Mes rimes à deux balles qui arriment

En dévirant à sabord, 

A bord de mes mots 

Sur le pack beau,

Qui jette de son rebord

La définition de ce ver

De poèmes bien arrosé de mes travers,

En restant sur le qui-vive

De ma poésie morte ou vive,

Qui ravive mes douleurs écorchées vives

Et amochées sur le vif du sujet,

Pour demander quel est l'objet

De l'appel  ?  qui épelle 

Le bescherelle

Du sujet assujetti,

De mes absurdités au langage cru et endolori,

Comme j'en ris avec Henri, où j'aurai le dernier mot

De ce poème comme de l'almanach du ver mot,

A contre pied bot d'un ver d'eau, de ce poème qui m'étire les vers du nez

A point renommée.

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blague  :

 

 

Que sort une femme à son homme qu'elle cuisine  ?

 -  Sa crème fouettée

 

 

                                           Jérôme de Mars

Amène !

 

De l'amour à la haine,

Avec des jours qu'on aime

Et des contre-jours en chrysanthèmes,

On prie

Et on se dit

Amène  !

La prière

Du bon Dieu

En Amen,

Qui guérit

Notre colère,

Et nous aguerrit 

Dans des joies plénières

Et premières,

Dans la lumière

En clair

Du bon Dieu,

Loin de nos vieux

Démons odieux

Et insidieux,

Comme on le réclame,

Qu'on l'acclame et qu'on le proclame

Oh Dieu  !

Et ainsi Dieu  !

Amène

Ton remède

De la prière,

Pour que ça nous aide

En adhérant radieux,

Et que ça nous procure

Dans notre nature

Le Messie, 

Qui nous amène

Mais si  !

Des confettis

Qu'on prie

En Ave Maria,

Si on avait Marie

En face de nous,

Qu'on prie

Dans la mène

Du Jardin d'Eden

Qui se démène,

Nous promène

Et nous emmène

Dans l'amen,

D'un paradis

D'en fer

Un jardin de l'amour,

Pour qu'on cultive en bien

Tout le bien,

Que nous avons en nous

Qui est notre domaine

De prédilection

Et de résurrection,

Si jamais nous n'avons

Plus rien,

Alors que si on y croit,

Même que notre croix

Est lourde à porter,

Elle sera plus légère

A emporter,

Si on y croit encore en l'espoir

Si même tout de même

On a des problèmes idem,

Mais que grâce

A la grâce

Du totem

De Dieu,

Cela nous aidera

Dans notre âme de miséricordieux,

A accorder notre pardon

A ceux qui nous ont fait

Du mal dans les jours

Pluvieux en détour,

Tandis que si on y croit au retour,

On aura de nouveau en nous

Et en joue

Dans la joue,

Le retour

Du Sain Esprit,

Après le purgatoire

De l'hérésie

Des mauvais esprits,

Si on prie et qu'on est épris

Au prix qu'on prie,

L'Amen, la mène

Du bon Dieu,

Pour qu'il nous amène

La paix messagère,

La liberté, la solidarité

Et la fraternité

De l'amour éternel,

Qui ouvre nos ailes

Si on prie comme les moines,

Même si l'habit

Ne fait pas le moine,

Mais que si on continue l'invocation

On récolte les effets de la prédication,

Car on ne nie pas le moine !

Comme Annie, Anne-Elisabeth et Jean-Luc dont l'habit

Fait Lemoine,

Pourvu que le jour où aura lieu

Notre destinée  !

Qu'on soit tous destinés

A L'Amen, la mène

Du Bon Dieu  !

Pour qu'il nous amène,

Nous promène et nous emmène

Dans le jardin D'Eden,

Au paradis d'enfer

Un meilleur monde pour prier à Dieu, oh Dieu !

Ainsi dieux  !

Et aussi Radieux !

 

Jérôme de Mars

Oh !  dis-le moi  !   (  Odile moi  )   texte destiné à la mère de Guillaume

 

Je vous écris cette lettre

De mon état d'hêtre,

Où je vous adresse

A votre adresse,

Un texte de poème

Qui respire l’œdème

Et l'emphysème,

Avec tout mon stress,

Tiré par les cheveux en tresses

Et en détresse,

Où j'oppresse 

Tout ce qui me presse

Et me compresse

Express, 

Comme cette revue de stress,

Où je vous vous vois

Par respect,

Comme il se doit,

Où je vous déclame et dis

Par poésie,

Oh !  dis-le moi !

De votre prénom Odile moi,

Où je vous écris ce texte écorché

Pour que vous me donniez

La force

De trouver la paix

Intérieure qui amorce

Au sommet de L'OTAN,

Car autant qu'il soit temps,

Comme depuis longtemps, j'attends

Une sereine accalmie

Qui me laisse du répit,

Où je vous vouvoie

Même si je vous appelle

Odile moi,

Avec ce jeu de mots

Oh !  dis-le moi !

Qui vous interpelle

En cherchant le point d'arrêt

De mes maux

Et en piochant à l'appel

Mon nom malpropre,

Qui me correspond

Si jamais c'est du papier propre,

Que ce soit 

Avec soie,

Où chacun pour soit

Ainsi soit,

Où je vous décris dans cette lettre,

Mon piteux état d'hêtre,

Planté là comme un arbre,

Qui laisse de marbre,

Ceux qui s'en foutent

De moi

Et se shootent 

Avec mon désarroi,

Comme sûrement, ils s'en réjouissent

Et se jouissent

Avec volupté

Dès leur puberté,

Où je vous demande

En point d'interrogation,

Odile moi,

Quand pourrai-je manger

Dans votre maison,

Un dimanche d'offrande

Avec vous, Guillaume et les vôtres ?

Sans que je quémande

Votre avenante hospitalité,

Mais où avec sincérité,

Cordialité et vérité,

Cela me ferait plaisir

De déguster à votre table,

Le festin de votre cuisine affable,

Avec l'eau à fable de la fontaine

Parmi ces gens,

Dont j'espère

Que malgré mes tourments,

Je ne leur inspire

Pas de la haine

Dans le pire

Mais une affection saine,

Qui désormais me tient en haleine

En cette fin de ce texte de paternité,

Où j'aspire

A la tranquillité

D'esprit et d'harmonie,

Alors que souvent, je n'ai fait

Que souffrir

Et croupir

Sur le bûcher des vénalités,

Où je bûche d'embûches

En embûches 

De ces vérités,

Qui me contrarient

Dans ma vie

En autarcie

De sa principale inertie,

Mais où après l'état nazi

Et le tas nazi,

Je désire

L'euthanasie,

Pour que je respire

Une meilleure vie

Avec davantage d'embellie,

En avantages dans les états unis,

Et puis loin lésés tas unis,

En inventaire

De vouloir plus de courants d'air,

Afin de boire

Plus de choses extraordinaires

En écartant mes déboires,

Et d'avoir en pourboires

Des belles paroles pulmonaires,

Comme d'un paradis

D'en faire

Des joies,

Avec vous Odile moi

Et les apôtres,

Oh !  dis-le moi  !

En point de contusion.

 

Jérôme de Mars

 

De l'ombre lumineuse à la lumière sombre

 

A des années-lumière,

Tu es une ombre lumineuse,

Où tu es aussi une lumière sombre,

A l'ombre de ta lumière

Et à la lumière de ton ombre,

A des années-lumière

De ton ombre lumineuse

A l'ombre de ta lumière sombre,

Où tu es clair-obscur

Entre le jour et la nuit,

A des années-lumière

De la clarté et de l'obscurité,

Où tu as ta part de lumière

Et ta part d'ombre

A des années-lumière,

Où en clair,

Tu n'es pas au clair,

Comme tu es une lumière

De l'ombre lumineuse

A des années-lumière

De la lumière sombre,

A l'ombre de ta lumière

Et à la lumière de ton ombre,

Où tu éteins la lumière

Et tu rallumes l'ombre,

De l'ombre lumineuse

A la lumière sombre

A des années-lumière.

 

Jérôme de Mars

Comme un poisson étanche  !

 

A l'eau,

Les bateaux voguent sur l'eau

En un monologue sur l'eau,

Où tout tombe à l'eau

Comme un poisson étanche,

Qui est une tanche

Et tanche,

Qui flanche,

Quand il penche,

S'épanche

Et se marie pervenche

Avec une pervenche,

Qui survole

A vol d'oiseau,

L'eau qui bouge crescendo,

Comme un poisson étanche,

Qui est une tanche

Et tanche,

Qui flanche,

Quand il penche,

S'épanche

Et se marie pervenche

Avec une pervenche,

Frivole, qui envole

A vol d'oiseau,

Le fond de l'eau

Qui va à-vau-l'eau,

Car merci le poisson et tanche,

Comme un poisson tanche étanche,

De plusieurs bulles de mots

En épilogue sur l'eau.

 

Jérôme de Mars

Et pinard, c'est d'en fer épinard !

 

Et pinard, en vin, je bois tes paroles  !

Quoique c'est d'en fer épinard,

Où il y a du fer dans épinards

Et qu'il faut pas s'en fer et pinard,

Quand Paul paye le verre à Olive

Avec son olive,

Accrochée à son verre et pinard

A qui ça donne du fer épinard,

Mais où donc en vin, il faut pas s'en fer

Et que c'est d'en fer de boire la fiole 

De l'élixir d'en fer de l'amour,

Or Paul paye un verre pour son tour

A Olive,

Avec son olive

Qu'il met dans son et pinard

D'en fer épinard,

Et dont il conclut avec Olive

Non pas en vin

Mais en devin,

Puisqu'il a trouvé avec olive

Son amour sur le qui vive,

Sitôt l'épinard d'en fer  

Trop pour boire le pinard et s'en fer

En vin pour boire et pinard,

Car c'est d'en fer épinard !

 

Jérôme de Mars

Terre d'accueil  !

 

Peuple d'autochtones

Ou population immigrée,

Ne soyons stones  !

Mais ouverts

Face à aux étrangers  !

Comme ils sont étrangers

Aux problèmes de La France,

Terre d'accueil,

Pour protéger et mettre à l'abri

Avec humanité

Les immigrés sans-abris,

Qui demandent l'asile

A La France,

Terre d'accueil,

Avec les écueils

Et les bris,

Que traversent les fratries

Et les familles

De migrants qui viennent en France,

Pour trouver une meilleure vie

Que dans leur propre pays,

Où règnent la violence

Et la famine responsables de la nuisance,

De la pauvreté et de la misère

Que causent ces guerres

Dans la colère

De la loi du silence,

Qui font qu'ils vivent l'enfer

Dans leur propre pays

Et que c'est pour ça qu'ils demandent l'asile

A La France,

Terre d'accueil

Du partage,

A qui il faut rendre hommage

De recevoir la diversité

En France,

Terre d'accueil

Avec les écueils,

Dont il faut protéger 

Les réfugiés

Politiques victimes de gouvernements indociles

Et imbéciles qui agissent avec incivisme,

Comme en France, il y a l'égoïsme et le racisme,

Mais dont les immigrés soufflent une ouverture d'esprit

Dans la fraternité, la solidarité

Et la liberté

Du peuple Français,

Malgré l'adversité

Des gouvernements politiques,

Qui pensent qu'ils sont tous fanatiques

Alors qu'il y en a qui sont bien,

Comme en plus, ils sont face à leur destin

Et que souvent, ils sont beaucoup plus chaleureux,

Généreux et valeureux

Que Les Français,

Très malheureux et houleux

Pour exercer les métiers les plus pénibles,

Puisque pour Les Français, ça équivaut à péter les fusibles,

Donc en général,

Comme l'aurait affirmé le Général

De Gaulle, on a besoin de main-d'oeuvre

Dans certaines branches professionnelles en avalant des couleuvres,

Car on est tous étrangers

A la racine de l'ascendance de notre arbre généalogique,

Ce qui fait qu'en toute logique,

Parce-que La France 

Est une terre d'accueil,

Avec les écueils,

Réservons-leur le meilleur accueil

Dans la passion

De ce recueil

Et de l'accueil

De toute urgence et

Dans la compassion

Et la solidarité

Avec bienveillance

Et tolérance

A La France, terre d'immigrée

De son plein gré,

Car avec un joyeux coup de pouce,

Bienvenue à La France pour tous.

 

Jérôme de Mars

 

Le concert des maîtres-chanteurs

 

Sur place de la République

Assis sur les bancs pudiques,

Les oiseaux font du chantage

Comme leurs ailes sauvages,

Où ils fument le calumet de la paix

Avec Georges Brassens,

Un rouge-georges qui implore le respect

Dans le concert des maîtres-chanteurs,

En amateurs de musiques de professeurs

A Paris avec les colombes,

Les corbeaux et les merles qui incombent

L'instinct face à leur destin

Dans le concert des maîtres-chanteurs,

Applaudis de leurs concert de louanges,

Qui arrangent les anges

Vautours, qui semblent inquisiteurs

Et visiteurs d'un soir

Sur place de leur répertoire,

En préface de la République

Rassis comme du pain béni

Sur les bancs pudiques,

A réciter la poésie

Bohème de ces hilares

Dans le concert des maîtres-chanteurs,

Surface de tenir paroles dans le grand bazar

Qui rappelle leur concert de bateleurs

Et dont on appelle le sauveur,

Divin et rassembleur en hauts-parleurs

Du concert des maîtres-chanteurs,

A condition qu'ils fassent une audition

A bonne entendeur, 

Dont c'est l'heure

De payer l'addition, 

Sucrée-salée dans un chantage

De beaux-parleurs,

Au parloir du propre langage

Et de réenchanter le public,

Place de la République

Assis et rassis sur les bancs pudiques,

Du concert des maîtres-chanteurs

En point d'honneur.

 

Jérôme de Mars

Mes tas forts

 

Le soleil brûle de sa fièvre jaune,

Quand l'eau de La Fontaine jaillit

Chez les gens qui roucoulent de ressources,

En remontant à l'origine de la source

En prenant des gants emmitouflés 

Dans de la soie chacun pour soie,

Pour préserver son environnement

A l'écologie de la vie en montrant 

Sa véritable nature en appelant le docteur,

Qui vous soigne s'il vous plaît   !

En pansant bien à vous,

Qui vous restaure lorsque vous

Etes bien dans votre assiette,

A manger à couteaux tirés

Tout ce qui vous fâche  !

En vaches folles enragées,

Qui vous viandent sur le rebord 

De la déroute qui fait banqueroute,

Comme elle a failli dans sa cuillère

En argent qui bronze du masque d'en fer,

Qui se forge en métal forgé de mes tas forts,

Comme c'est votre fort en phosphore 

Sur le boss fort, à ma zone de confort,

En métaphores phares, fermeture du Fort.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                       Blague :

 

 

1)  Qu'est-ce-qu'un sexe gros d'un homme qui prend son temps pour se faire du bien  ?  -   Quelque chose qui est long à la détente

 

 

                                                Jérôme de Mars

 

 

Soleil divers empreint tant qui était monotone

 

Feuille de tome

Qui détonne, 

Elle écrit de sa pomme

Une bluette,

A toutes les saisons, cette chanson nette  !

Qui brille et reluit

Le soleil divers empreint tant qui était monotone,

Comme un Ave Maria qui prie de son psaume

Et embaume le baume

Au cœur de La Sainte-Baume, qui est atone et entonne

De sa feuille d'automne, toutes les feuilles de tonnes,

Qui fredonnent et bourdonnent

La piqûre des abeilles dans l'allergie,

Qui inspire le soleil divers empreint tant qui était monotone,

A réfléchir la lumière du soleil qui reflète

A l'instar des étoiles les comètes qui commettent

Des stars qui gravitent au ciel, avec une parcimonie

Et une énergie à envier les hirondelles,

Qui font du zèle

Avec les cigales et les fourmis,

Qui fourmillent en six gales plutôt gentilles

Du soleil divers empreint tant qui était monotone,

A en croire les feuilles de l'élue de leur cœur sonotone

Sur un malentendu très scopitone,

Qui en fait des tonnes

De cette feuille d'automne

En mille feuilles de tonnes,

Qui en appellent à toutes les saisons

De cette chanson nette

En bluette,

Comme à la maison

Du soleil divers empreint tant qui était monotone.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Casser les vers

 

Brise de vers en trombes

Lavés au pare-brise de l'eau qui tombe,

Le vent des mots se jette dans la foule

Et rentre dans le moule,

Pour casser les vers

Des poésies au long cours précaire

Et rincer l'eau mensongère

De leurs vers emplis de colère,

Dont il faut absoudre l'irrévérence

Et l'émanciper dans la prestance et l'élégance

Des savants mots de Rousseau et de Voltaire,

Pour casser les vers

Et les servir sur un plateau en ver solidaire,

Puisque nous devons avec notre œil de vers

Rendre les poèmes altruistes,

Loin de cette contagion triste

Et s'enlacer dans des câlins avec de la tendresse

Souple en étreintes enjolivées de caresses

Qu'on se doit de magnifier en parfaites conseillères,

Pour casser les vers

Et les asservir en gentils êtres débonnaires,

Comme la plume cause des dégâts qui prennent de la bouteille

En se grisant de soûler l'encre des vers de contact dans le plus simple appareil,

Pour ainsi casser les vers

En les mettant en retrait des vers solitaires

Et en les casant dans de l'amour aux plaisirs de La Fontaine, cher poète téméraire,

Qui lave les vers de l'imaginaire

Epique et romanesque

Sur la fresque,

Des précieux souvenirs comme Fontaine, nous ne boirons ton eau

Mais tes mots !

 

Jérôme de Mars

Mes faits !

 

D'après le calendrier,

Au mois de Mai,

Mais fais ce qu'il plaît,

Car mets mes faits

En méfaits

De mes fées,

Emets mes faits

En mets faits

Et mets fées,

D'après le message

Qu'au mois de Juin

Fume des joints, dès Juin,

En Mai sage

Aimais fée

De Mai fait.

 

Jérôme de Mars

Mois surannés

 

Janvier  :   Au début de mon calendrier suranné,

 

Février  :    De mon levier de sécurité, j'ai un mâle de chien avec mon lévrier,

 

Mars  :      Moi, Jérôme de Mars qui suis sur une autre planète, où je mange des chocolats,

 

Avril  :       Quand j'écris des poésies qui brillent et qui partent en vrille,

 

Mai  :      Car on me dit :   "   -  Mais fais ce qu'il te plaît !  "

 

Juin  :    En fumant des joints, dès juin, ci-joints !

 

Juillet :   Lorsque avec mes petits vélos, je fais le Tour de France en pointillés ....

 

Août :    Et que je suis out quand c'est mon anniversaire !

 

Septembre :  Dès que je mange du gingembre,

 

Octobre  :   En étant sobre et monotone, comme on m'appelle le mâle propre

                   de mon non propre,

 

Novembre  :  Comme aven la fin damnée, je tremble de mes membres,

 

Décembre  :  Où j'assemble le tout en finissant le con texte de mes mois surannés ensemble.

 

 

Jérôme de Mars

Il attend Guy  !

 

Vieux garçon

Toujours à la maison,

Il me fait penser

A travers sa personnalité

Avec les années,

Qu'il attend Guy

En faisant le gui

Planté comme un arbre enraciné,

Comme il a Tanguy,

Un homme qui ne réalise pas sa vie,

Mais qui reste dans l'inertie,

Comme il attend Guy

En faisant le gui

Avec des guili-guili,

Comme il a Tanguy

A la maison,

Ce vieux garçon

Qui ne réalise pas sa vie,

Mais qui demeure

Dans l'inertie,

A portée de la demeure,

Car c'est là qu'il meure

Sous les projecteurs,

Comme il attend Guy

Et qu'il a Tanguy

En faisant le gui

Groggy

Et en mettant les points sur les i,

I comme a fini.

 

Jérôme de Mars

 

Poète du dimanche

 

Pays Scandinaves

Comme de mes origines slaves,

Je brave le danger

Dans mes écrits dérangés,

Où j'endimanche 

De ma paire

De manche,

Des longs dimanches

Avec un mal de mère

De la Manche,

Où je suis un poète

Du dimanche

Svelte et esthète,

Même si en gros

Je suis un gros prolo,

Qui a une vie de survêt

A perpet

Les oies dont je fais semblant

D'incarner le bête

Dans un pense-bête

Comme d'un panse-bête, 

Où il faut que je pense

A soigner mes plaies,

Qui reviennent intenses

S'il vous plaît  !

Moi, le poète

Du dimanche,

Qui endimanche

Les éternels pessimistes,

Même si mon âme d'artiste

A plutôt l'attitude fataliste

Et le cœur triste,

Si je perds la paire

De manche

Et la mère

De la Manche,

Où je pose en interrogation

De quelle est la recette,

Pour briser cette équation

Dans l'inconnue

De mes multiples facettes

Aux horizons farfelus,

Dont j'ai une tête

A claques

Si je fais claque,

Que je claque

Et que je craque

Dans un mic mac,

Où je ne suis dac

Mais peut-être pas réac

Avec personne,

Mais avec là qu'on sonne

Si ma poésie résonne

Dans une lettre à L'Anglaise

Que je file à L'Anglaise

Et à l'Anglo-Saxonne,

Où je klaxonne

Avec des foutaises,

Car bien punaise  !

En décrochant le tableau

Des gros mots

Grosso modo,

Comme je suis et que je resterai

Le poète

Du dimanche,

A m'en allumer

Des cigarettes

En chocolat,

Qui endimanchent

Les filles de joie,

Comme je fume en appât

Qui fait un tabac

Par l'intermédiaire

Du salaire de la pire,

En montant le château d'Yves

Sur mes grands chevaux,

Telle une poésie en satire

Dont la nature est soi

Aléatoire ou linéaire

Dans un combat,

Qui fait débat

Comme dans la vie, 

Il y a des hauts

Et des débats,

Mais dont il faut garder l'énergie

De conserver une part de rêve

En un regain d'une trêve,

Qui achève

Ce poème qui sonne 

Je l'espère vrai,

Et soupçonne

Une vérité

Et une sincérité

A n'en pas douter,

Qui au final

Sera original,

Qui endimanche

Vos dimanches,

Moi, le poète

Du dimanche.

 

Jérôme de Mars

L'ouragan du désespoir

 

Toboggan d'où je tombe,

Je prends des gants d'outre-tombe

Décès en essais,

En picorant dans le vent du hasard

D'essais en naissait,

Tel l'ouragan du désespoir,

Qui ne sait où ça va le mener

Si ça jette un vent surmené,

Pour choir et déchoir

Dans les abysses d'un long couloir

En bris de glace,

Où je m'enlace

Dans la contre dense du ventre,

Comme je rentre

Petit à petit

Dans le ventre de la mort,

En un vorace appétit sur le nid

Du déni des remords,

Où j'en démords

Dans l'ouragan du désespoir,

Comme ma vie est un à vie de tempête,

Où je m'embête et j'hébète

Dans les steppes

Sur un nid de guêpes,

En chavirant dans un submersible naufrage

Dans un étalage,

Qui m'épanche

Et qui penche

Du côté du mauvais regard,

Comme ma vie est un typhon,

Où je suis dans le vent du tréfonds

Aux abîmes marines,

D'où je me dandine

Dans un simulacre de nénuphars

Sur les jardins moroses et maussades,

Où je balade

Mon ennui dans un pseudo répertoire,

A faire croire

Que le solo se joue mieux en rétro

Que de l'interpréter en maestro,

Si jamais j'orchestre l'ouragan du désespoir

Dans des bris de couloirs

Haut sur le perchoir

D'un drôle d'oiseau dans le coltard,

Où je m'en fous du mitard,

Comme ma vie m'a plongé

Et immergé

Dan un rôle de dépressif chronique mi-tare,

Où avant de terminer en fanfare

Je vous confie de mes vaines paroles,

Que j'ai les veines qui somnolent

Dans la geôle

De mes paroles que je termine en bémol,

Comme d'ici où là, il est trop tard

Dans le vent

Au courant

A surseoir,

Avis de mistral,

Pour rester dans les annales

De l'ouragan du désespoir.

 

Jérôme de Mars

Mettons en marche notre imaginaire  !

 

Moi et mes amis, on s'en fout de la politique mais on s'intéresse à l'apolitique

anti-système ni de gauche ni de droite sans parti pris, mais en recentrant les débats en prenant le gauche droit, car comme le monde est noir on vote blanc sans aller par les extrêmes, je me présenterai en 2022 aux élections présidentielles avec un parti pris de l'humain au détriment du libéral avec des prises de position pour se diriger vers le progrès, en s'orientant vers le centre gauche dont le nom de mon parti pris s'appellera  " Justice Sociale ", un parti qui s'occupera surtout des plus fragiles mais où les riches contribueront à l'effort national, pauvres gens qui êtes riches d'argent, mais où les pauvres sont riches humainement,  où l'on tiendra parole sur nos engagements pour ne pas finir dans l'urne dans une crème brûlée avec pour exemple la tentation de l'affront national comme Marine Le Pen le rassemblement national, pour ce gouvernement imaginaire, je nommerai Boris comme premier ministre en étant un ovni de Vénus et moi je viendrai en ovni de Mars comme j'ai pas les pieds sur Terre et que je suis dans la lune, dans une autre planète en faisant des plans sur la comète, 

 Voici la composition de mon gouvernement imaginaire  :

 

                        -  Boris :  premier ministre

                        -  Lionel :  ministre de l'intérieur

                        -  Adel  :  ministre de l'économie et des finances

                        -  Christophe :  ministre des affaires étrangères

                        -  Jean-Paul :  ministre de l'outre-mer

                        -  Guillaume :  ministre des sports

                        -  Alexandre :  ministre de la culture

                        -  Brigitte :  ministre de l'emploi

                        -  Philippe :  ministre de la communication

                        -  Edwin :  ministre de la santé et des solidarités

 

Ce gouvernement qui sera conduit par Boris, pilotera une politique au centre gauche anti-système, où il y en aura pour tous les goûts et toutes les couleurs, où le président de la république dirigera La France pendant un seul et unique mandat de 7 ans en lettres de noblesse en prenant le mandat pour argent content et en mettant notre crédit au découvert des Français par rapport aux dépités de l'Assemblée nationale dans leur palais Bourbon du fond de leur palais, l'eau à la bouche qui cultiveront le jardin de l'amour du pouvoir au jardin Du Luxembourg avec le Sénat, au non de la loi du silence dans des emprises de paroles d'argent, comme leur parole est en argent et dore au soleil des paradis fiscaux, car hein pas de pot, ils payent un pot revenu au revers de l'impôt sur la fortune comme ils boivent un pot de leur fortune immobilière, revenue du revenu universel pour tous et pour tous en étant réassurés par la sécurité sociale, de leur argent sans conflit d'intérêt, en banque comme ils diront banco aux frais du contribuable, en payant en espèces menacées l'argent liquide qui liquide tout le monde, dans un vote nul en aidant les SDF mis aux bancs de la République, où le mariage des riches et des pauvres, on le mettra sur les bancs de la mairie et de l'église d'un non de Dieu pour organiser le mariage du siècle dans une union libre, aux frontières de L'Europe, sans commettre un crime lèse-majesté, au Coran de L'Orient express, mais dans l'Occident au courant et au Coran, où chacun quelqu'il soit y trouvera son compte dans un compte courant, en argent content et en achetant content pour demeurer la propriété du commun des mortels, avant qu'on nous mette au crédit de l'outre-tombe le jour où l'on meurt en tombant dans les Catacombes, avant que le ciel nous tombe sur la tête, sauf si on préserve notre environnement dans notre nature profonde en ayant les pieds sur Terre terre-à-terre et en n'étant pas dans une autre planète, avant d'être une nature morte aux portes d'un paradis d'enfer, car dans la vie, il faut pas s'en faire mais être au paradis avec Vanessa dans notre jardin

d' Eden, comme religion d'état dans un état des lieux, dont le chef de l'état sera dans un état de droit en prenant le gauche, 

Car vive l'apolitique !

 

Jérôme de Mars

 

                                                    Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça fait une femme qui l'a dans le baba à cause de son mari ?

 -  Elle l'a dans le cul  !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Poésie désabusée

 

Ode à l'orgie abusée                                         

Des vers condamnés,

Les vers du serpent à lunettes

Sonnent les sonnets déplumés

De la plume acide et trempée

Dans le mare de café,

Qui achète les emplettes

D'une amourette ensorcelée

Dans cette poésie désabusée,

En se mettant en quatre un

Sur le quatrain

Des alexandrins,

Qui jettent leur grain

De folie sur Alex en grain,

En crachant son venin

Avec la langue de vipère,

Comme le cobra

Qui sonnait les sonnets

Et le boa,

Qui résonnait aux sommets

De qu'il est beau ah  !

D'appeler vipère au poing

De Hervé Bazin,

Qui scratche sa colère

Dans cette poésie désabusée,

Aux revers abusés

Et contrastés

Dans les rimes composées,

De cette figure de style défigurée

Et configurée,

Aux vers vers les revers

De la colère

De cette poésie désabusée,

Qui taraude en orgie abusée,

Quand le serpent à lunettes

Fait ses emplettes depuis belle lurette,

En sonnant les sonnets

D'un quatrain au sommet

Dans un quatre un au complet,

Qui jette son drain 

Avec le venin,

Du serpent qui injecte son grain 

De folie

Et de poésie

Dans les alexandrins,

En vers Alex en grain

De ce poème

A l’œdème,

De ce ver de poèmes abusés

De poésie désabusée, 

Point de poésie.

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blague :

 

 

Que pourrait dire une femme à Johnny Hallyday si elle le suce  ?

 -  Ah queue !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Le masque d'enfer

 

Ainsi entre Lucifer

Et Les Trois Mousquetaires

D'après Alexandre Dumas,

Je porte le masque d'enfer

De mon immense colère,

Comme mille et disent

Que Milady m'a accusé

D'en faire trop et que j'ai récusé

Que je n'ai pas de My Lady,

Pour que ce soit partie remise

De parties fines et infimes

Dans la firme que j'affirme,

Qu'on me mène en bateau dans le mâts

Du mas,

Où je me renferme

Dans ma ferme,

En portant le masque d'enfer

D'en faire de Lucifer,

Pourvu qu'on me laisse faire

Pour expliquer de pourquoi ça m'indiffère 

De pourquoi tout le monde n'en a rien à faire

De moi, même si je défère,

Et que je diffère

L'enfer de moi pour le reporter à plus tard

Avec ma tare en tintamarre,

Où j'en ai marre

D'attirer sur moi les mauvais regards

Qui ne me comprennent

Comme les pluies diluviennes,

Où tôt ou tard, si le masque

Tombe, tout le monde sera au courant

Au Coran de L'occident

De mes frasques sur mes basques,

Où je joue un rôle devant tout le monde

Dans un scénario

Ecrit sur mesures concernant mes maux,

Pour qu'ils s'inondent

Sur une apparence de bien naître,

Alors que si je pouvais, je les enverrai paître

En rejouant le même rôle dans la vie,

Comme je suis acteur de ma vie en dépit,

Puisque comme je porte le masque d'enfer

Autant que je l'emporte dans le masque d'affaire,

Comme je n'en ai que faire

Et que j'en ai plus rien à faire

De ma vie dissolue

Et irrésolue,

Comme je me résous à l'ultime absolu,

Eperdu de rejoindre ma mère,

Avec mon masque d'enfer,

Qui porte le masque de fer

Du suicide de mon grand-père,

Dont ça fera 25 ans en février prochain

Le jour de La Saint-Valentin

Un quart de siècle,

Que j'exècre

Mon désamour,

Avec mon enclume de troubadour

Dans cette putain d'os de vie ennemie,

Pour le veuf et l'orphelin

Que je suis dans le souvenir de ma mère,

A en croupir d'enfer

A m'en foutre des intrus et des inconnus,

Car avec mon masque d'enfer

C'est un masque d'affaire

Que je porte, que j'emporte 

Et que je déporte

Aux portes de l'enfer,

Comme ce n'est plus 

Un pour tous et tous pour un,

Mais chacun pour soi dans le vilain

Et le plus crétin

De cette devise,

Que j'emmerde et que je révise,

Même si les gens de la fontaine

De Trévise

Disent fontaine, je ne boirai pas ton eau

Mais le ghetto

Qui va à-vau-l'eau 

Dans le porte-à-faux,

Où tu t'es empêtré dans le caniveau

En eaux de boudins

Qui expirent de poésie et respirent

Le pire

De toute ta haine,

Où c'est chacun pour soi

Et tous plus rien,

Car tous purin

Sans la soie

Du chacun pour soi ma foi,

Ainsi soit sans foi  !

Comme je n'ai plus foi en rien

Même pas en l'humain,

Car nos copains

Sont les ennemis

De nos amis,

Ainsi face

Et pile,

Que j'empile

Vice et versa,

Où ma plume déversa

En vice de procédure

Toute ma déconfiture de ma profonde nature en mots d'ordure

En inventaire

Du destin le plus ordinaire,

Où ma foi, je ne porterai plus

Le masque d'enfer,

Le jour où je dirai bas les masques  !

Et loin de mes frasques

D'après Guillaume Apollinaire,

Si je prends et je reprends l'air,

L'air de rien,

Pour un nouveau millénaire

Dans les fuseaux horaires,

Pour un avenir meilleur sur terre

A voir et à revoir salutaire  !

Avec l'art et la manière

Salut terre !

 

Jérôme de Mars

Autant

 

OTAN pour avoir la paix,

On écrit au temps au singulier complet

A tous les temps pluriels,

Comme autant se demande si au temps inconditionnel

On a le temps pour parachever que l'étang moderne coule de source,

Au temps de l'ignorance

Qu'il en a la substance

A l'étoile de la grande ourse,

Car OTAN naguère

Ne faire la guerre,

Comme ça ne mène à rien  !

Autant qu'on se le dise  !

Au temps des journées promises

Distinguées et relevées,

De par le niveau escompté

Des temps, comme on se détend

A espérer des temps meilleurs au sommet

De L'OTAN,

Assommé par de longs discours accablés,

Où autant on se résout au temps

En emporte l'avant auparavant  !

En allant de l'avant au paravent,

Par avant dans l'aven du vent, au temps d'OTAN !

 

Jérôme de Mars

 

                                              Blague :

 

 

Pourquoi les hommes ne payent-ils pas en espèces ?

 -  Parce-que comme ils débitent, ils payent en liquide !

 

 

                                       Jérôme de Mars

Le roman des fleurs

 

Jardin secret, tu plantes la fleur de la paix  !

Que tu défriches en une rose aux pétales de roses

Que tu cultives dans l'amour étendard avec des belles choses

Dans un trèfle à quatre feuilles que tu conjures avec singularité,

Au pluriel de ce roman des fleurs que tu arroses de tes marguerites

Avec un parterre d'un pied-à-terre comme c'est la goutte d'eau qui fait

Déborder le vase-clos communicant à bien des tourments qui irritent

Le beau temps clément abordable et affable dans l'eau de la rivière irriguée,

Par le roman des fleurs qui sourit aux jonquilles d'une petite fleur de Sidney Bechet

Qui bêchait et élaguait en binant la terre tout-terrain en ayant la main verte trempée

De sueurs à la suée de son front de ce roman des fleurs qui caresse la tige

Des vestiges qui prennent tout à la lettre en ayant la fenêtre ouverte en vertiges,

En offrant un bouquet de fleurs de pétunias et de jacinthes enceintes dans la sève

Comme c'est le bouquet d'œillères en ouvrant les œillères très à cheval qui rêvent

De ce roman des fleurs qui t'envoie des fleurs dans un mai sage du muguet,

Qui fait le gui dans un message d'amour qui taille les haies en cultivant la haine 

Pour la changer en affection de longue durée dans la sécurité sociale réassurée,

Et endimanchée par un beau dimanche qui respire la volupté et qui a l'haleine

Du pollen des fleurs de ce roman des fleurs qui te donne des lilas,

Comme tu lis l'apologie et l'hymne de la raison en chantant à toutes les fleurs

Des fougères à Fougères et lys et moi  !

Dans ce pur roman des fleurs qui t'aime de tout ton cœur, à bonne senteur  !

 

Jérôme de Mars

 

Tam tam

 

Baisse de régime hippopotame,

On tape sur des tambours tam tam  !

Qui entament

La bourrée bourrée ratatam,

Quand on rétame

Le tam tam,

Mené tambour battant débouché

Des garçons bouchers bouche-bée,

Qui contre dansent la bourrée bourrée ratatam

En paroles et en musique qui slament

Dans le slam slom qui spasme en padam padam,

Et en sarcasmes de spam 

Sur Le Paris Paname

A Paname,

Avec pas de dame

A Padam Padam

Du tam tam,

Qui tape et qui rame

Dans la rame

D'un métro de retard dans le drame

D'un mélodrame

Des quidams,

Qui dament 

La bourrée bourrée ratatam

Et qu'on entame,

Quand on rétame

Le tam tam

Hip pop pop tame

Des garçons bouchers

Bouchers aux débouchés,

Qui sont bouche-bée

Dans le programme

Et le pictogramme

D'un personnage en hologramme,

Qui en voit un télégramme,

Où il n'y a pas de dame

D'après le piaf d'Edith au Paris Paname

Dans le padam padam,

Qui came

Dans le calme du tam tam,

Qui tape sur des tambours

Menés tambour battant en rythmes de troubadour,

A la cure d'austérité synthétique

Dans le synthé pacifique, 

Qui n'en a cure de réciprocité

Dans l'amitié, la liberté et la fraternité,

De la bourrée bourrée ratatam

Des garçons bouchers bouchers

Aux débouchés bouchés,

Du tam tam

Qu'on rétame

Et dont on entame

Le morceau empreint hip pop pop tame,

Qu'on referme en filigrane vague à l'âme  !

Qu'on étame 

Dans le tam tam

Défunt du programme.

 

Jérôme de Mars

Vos tours, vautours

 

Drôles d'oiseaux de phénomènes,

Ils se démènent 

Pour vous jouer de sales tours,

De vos tours, vautours

Aux contours du pourtour,

En prenant son tour

Dans le sillon qui gronde

Avec de bonnes ou mauvaises ondes,

De vos tours, vautours

En détours, des tours

De magie à Tours,

Qui émet des vibrations

Avec un tatouage d'aigle,

Espiègle qui règle

La course aux émissions,

De bonnes ondes 

Positives, en micro ondes

Négatives au four,

Fourre-tout en rythme de troubadour,

De vos tours, vautours

Dont le niveau ne vole pas très haut,

Comme les drôles d'oiseaux,

Qui sèment le chaos

En brisant les ailes

De leurs femelles,

A-tire-d'ailes ridicules

Qui font des émules 

Dans leur tête de mule,

Qui trouve la formule

Hein gagnante en prenant du recul

En avançant et en se dorant la pilule

Du bonheur, qui ovule les femelles faibles

Des rapaces, qui chassent avec leurs têtes d'aigle,

De vos tours, vautours,

En terminant le tour 

De la question

En conclusion, point de contusion

En retour.

 

Jérôme de Mars

A cappella !

 

En tenant paroles,

Ca y est j'ai trouvé ma voix

Dans cette tirade

Sans musique,

Mais dans la symphonie pacifique

Qui pavane dans la parade

Des mots dont je fignole

A cappella  !

Tous les accords etc, etc,

Et dans la loi

Du silence de mes mots

Par qualité et par défaut,

Qui slament 

Et qui dament en quidams

Pour les hommes et les dames,

En tenant paroles

Dans la farandole

Des mots,

Qui présentent quelques défauts

En fredonnant à cappella  !

Tous les accords etc, etc,

Sans musique

Mais avec ma voix,

Qui fait échos

En acoustique sans musique

A cappella  !

Des mots du tempo,

Qui sonne faux

Par qualité et par défaut

A bonne entendeur  !

Dans la tessiture et la teneur

De la fatigue des paroles etc, etc,

Qui sifflent sur mes oreilles acouphènes

Sans gêne et sans être anxiogène

De mes mots fins lettrés,

A l'école intello

Des troubadours sans magnétos,

Qui signent le texte feutré

Car c'est là qu'on sonne,

Les voyelles, consonnes

Des mots qui prennent tout à la lettre,

Ou vers par la fenêtre

Ouverte de l'alphabet BCBG,

De l'alpha et de l'oméga 

A cappella  !

Des mots qui résonnent au creux de la vague par-ci-, par-là,

Où je trouve dorénavant ma voix,

A cappella   !

Etc, etc.

 

Jérôme de Mars

Tout a taché

 

Tache d'huile,

Ca met de l'huile 

Sur le feu,

Quand ça tourne au vinaigre

A feu

Aigre

-Doux

Feu le réchaud chaleureux,

Qui est à côté de la plaque

D'induction

Et de déduction,

Avec des flaques

En trombes d'eaux,

Comme tout a taché

En lien du cœur

Et en alien rocker,

En mot tout attaché

Et en port d'attache,

A l'export d'à tache, 

Quand on tâche

D'y faire attention

Aux taches

Sous tension,

Que ce soit une tâche

De travail

Qu'on tache

En rentrant au bercail,

Comme en gros

Tout a taché

Et dans la nécro rétro,

Tout attaché,

Comme on a levé

Le petit doigt,

En buvant notre Badoit

Prélevée

Avec nos bas doigts,

Relevés

Et surélevés,

Du niveau zéro

Au rez-de-chaussée

Jusqu'à l'étage très haut,

D'où l'on tape au piano, incognito

Et illico presto

De nos dix petits doigts

Avec la gamme de nos bas doigts,

Avec notre Badoit, 

Que tout tombe à l'eau

Accompagnée de nos trémolos

Qui vont à-vau-l'eau,

En vidant leur sac du cabas

En cas bas

De l'encas bas,

Comme bas les masques !

En haut 

De  nos frasques

Qu'on encense malpropre

Tout a taché,

Dont au sens propre,

Tout attaché,

En marque de fabrique en gros

Sur l'écriteau,

Car stop !

On arrête les frais,

Au frais

Non-stop

Du point d'arrêt.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                    One macho

 

Comme ma vie n'est pas un long fleuve tranquille, je me mets en Seine dans ce one macho en eaux troubles dans l'ombre de ma lumière à des années-lumière des gens lumière si je suis une lumière, comme je suis un poisson dans l'eau en nage dans mes textes, en faisant couler beaucoup d'encre du poids de mon enclume, qui pèse trop lourd en gros balourd, ben mince  ! de tout mon fardeau, où je me donne en spectacle, quand le rideau d'enfer se lève avec mes jeux de mots, qui fleurissent quand je taille les haies en cultivant la haine dans mon jardin secret, où j'écris ce pamphlet en tirant mes vers de ce one macho, quand je suis l'être supérieur aux femmes du sexe haut posé, moi l'homme infâme, dès que je dame le pion en étant un morpion sur l'échiquier du jeu de dames, qui croit décroissant en demeurant dans la lune, comme je ne crois pas en Dieu dans mon pieux depuis Notre Dame De Paris, sur le macadam du Paris éperdu de ma vie dissolue et irrésolue dans ma vie en os dévie, qui tourne à l'ennui et en vain, dont je joue un rôle en tant qu'acteur de ma vie, sauf que quand le masque tombe, je montre le vrai rôle de ma vie en étant un comédien raté qui se fait des films, en faisant du cinéma, alors que mon état des lieux ce n'est pas du cinéma, comme j'embobine tout le monde avec les bobines de mes films sur pellicules, car y a pas

photo ! devant l'objectif négatif, où mon objectif principal objectif c'est d'être moi-même, mais en me dopant au positif pour que les négatifs de mon objectif soient positifs sur la photo de mon objectif premier, comme de déballer ce qui se passe à L'Esat, où je travaille et que j'en conviens que L'Esat ne prend pas la bonne direction, en privilégiant le profit au détriment du social et de l'humain, comme L'Esat n'a pas choisi la bonne direction en décidant comme politique suivante, chacun pour soi et Dieu pour tous  ! avec un coup de pouce d'un non de Dieu et un coup de pousse des agents, comme l'agent n'a pas d'odeur et que l'argent n'a pas d'ardeur, puisque désormais le bonheur signifie à ce que les paroles de L'Esat soient en argent content pour y trouver leur seul conflit d'intérêt en intérêt majeur, en ne nous accordant pas de crédit et en nous mettant à visage découvert de la direction, qui ne privilégie pas les liens sociaux mais les abus de biens

psycho-sociaux, comme la parole de L'Esat est d'argent, et en argent dans leurs paroles, dont leur seule monnaie d'échanges en paroles est le café du commerce, comme c'est leur fond de commerce,  l'argent de L'Esat en pièces détachées, lorsque L'Esat des Amis Du Ratelier bouffe toute notre santé pour leur argent, dont la construction du bâtiment est de façade solide alors qu'il est bancal, comme toute la fondation est à revoir, et que les agents sont agressifs entre eux, comme l'agent est le nerf de la guerre, tout comme l'argent naguère, où je dresse aussi un état des lieux catastrophiques, comme un séisme sur l'échelle de riche terre, lorsque je tremble sur Terre de ma vie délétère, comme je suis souvent sur une autre planète en faisant des plans sur la comète, moi l'ovni extraterrestre, car je viens de Mars, une planète, où je suis barge et à la marge décalée, comme je dore à la belle étoile de l'auberge Espagnole dans ma toile sans filet, car mon pseudo est Jérôme de Mars et que le non de jeune fille de ma mère était Demars, d'où Jérôme de Mars et ça repart ! comme à l'apolitique, où je n'y crois plus en recentrant ma couleur politique, comme je prends le gauche très droit comme Macron, mais dont les extrêmes enlèvent les couleurs de ce monde, qui est noir en nous mettant au Coran de toutes les choses, que se disent les gens qui émigrent à l'autre bout du fil du téléphone arabe, quand tout défile dans mon inconscient d'un fil d'équilibriste, mais qui perd le fil dans un total déséquilibre, comme j'ai peur lors des prochaines élections départementales que Le Val De Marne dévale en trépassant à droite, au centre des discussions de l'apolitique de Macron, en n'oubliant pas de rendre hommage à Jacques Chirac pour sa pomme dépit de vaches enragées, en ces périodes de vaches maigres dans ce one macho, qui fait son tour de chauffe dans ce monde égoïste et pieux, comme je m'en fous de tout il était sans foi ni loi ! en religion des tas d'un non de Dieu, qui n'a pas une vie d'ange dans l'enfer du climat social, où les gens sont froids et prennent tout au premier degré sans second degré, et où le temps est chaud à cause du réchauffement climatique, dont la banquise fond à effet boule de neige, avec l'étoile de la grande ourse mal léchée dans sa tanière, qui fond, et où tout tombe à l'eau à cause des coups de chaud dans un réchaud, où je traîne toutes mes casseroles en passant tout à plat,  comme je suis cuit, car la cousine de ma mère ne peut me voir en peinture, que quand je ne suis pas une nature morte, et en jouant sur un tableau d'honneur dans ce one macho, où je fais mon show même si souvent je suis froid avec les variations de températures, comme le temps est bipolaire et que je suis déboussolé en ne sachant quelle direction prendre dans ma vie d'hauts rages et leste complètement à L'Ouest avec des nuages à l'horizon, et le soleil qui manque en chacun de nous pour être solidaire et joyeux, où je finis ce one macho en un billet d'échange d'amour pour tenir paroles en monnaie d'échanges, pendant qu'il en est encore temps avant qu'on récolte la monnaie de sa pièce de théâtre, mais dans un vrai rôle, où l'on joue le rôle de sa vie dans la réalité de la cour des grands, comme nul ne guérit de son enfance, mais dont c'est un jeu d'enfant si l'on veut réussir sa vie d'adulte en appoint final, de ce one macho.

 

                                                   Jérôme de Mars

C'est ta fête !

 

Sur ton 31

Avant le 31,

Jérôme, c'est ta fête

En fait

Le 30 septembre,

Trois mois avant décembre

Des fêtes de fin d'année

En défaites de fin damnée,

Comme tu n'as le goût à des fêtes

Mais en fait

Le dégoût défaites,

Comme c'est ta fête

Jérôme, le 30 septembre,

Mais que tu t'en fous comme du 31 décembre

Sur ton 31,

Avant le 31

Du mois de septembre,

Trois mois avant décembre

Des fêtes de fin d'année, 

Dont le goût

Se transforme en des goûts, dégoûts

Défaites de fin damnée

Sur ton 31,

Avant le 31 

Du mois de septembre

Le 30 précisément,

Comme les 30 glorieuses passionnément

Sur ton 31,

Mais pas le 31

Décembre

Ni septembre,

Car en fait

T'as des goûts de fêtes de fin d'année

En dégoûts défaites de fin damnée,

Mais merci à plus s'il vous plaît !

Si vous me le souhaitez

C'est ta fête Jérôme

Le 30 dans l'arôme,

Car en tout et pour tout en fait

C'est ta fête dans là des fêtes

En défaites des fêtes en fait,

Comme c'est le 30 sur ton 31

Et pas le 31 

Du mois de septembre

Avant décembre,

Où Jérôme, tu seras sur ton 31

Le 31

Décembre en défaites de fin damnée,

Mais où tu préfères le 30 septembre sur ton 31

Car Jérôme en fait

C'est ta fête !

 

Jérôme de Mars

Entre deux éclaircies

 

Soleil d'Eden

Avec ton bois d'ébène,

Tu t'adonnes

Dans la donne,

A un temps contrasté

Entre deux éclaircies,

Moitié orage semi répit

Dans le sillage raccommodé

Des variations de températures,

Quand le temps est au beau fixe

Et qu'il se fixe en rixe

D'avoir un soleil chaud volcan,

Qui bat la chamade en forte nature

Dans les aléas du temps attirant,

De par ses pulsions

Et ses pulsations

Entre deux éclaircies,

Qui fonctionnent avec des scies

Pour scier la branche de l'arbre,

Et remercier l'hêtre qui reste de marbre

Dans le temps ambivalent,

Et exubérant de par son croisement,

Dans le métissage du soleil

Et de la pluie,

Qui concordent sur la place de l'étoile comme les hirondelles

Ne font le printemps  !

Mais l'ensorcellent

Sous le joug des confettis fleuris,

Entre deux éclaircies

Atout fratries,

Dans une éclipse qui fusionne

Le soleil et la pluie qui bouillonnent,

D'impatience avec fréquence

Dans la zone réceptive émettrice en amours de séquences

Avec le tout Paris chéri

Entre deux éclaircies,

Car merci d'être en concert au zénith du soleil

De loin la pluie sitôt demain au réveil, 

Ici là que s'achève 

Cette ode du parfum de sève,

Au-delà les rêves  !

Par feint d'Eve qui s'élève

Dans une accalmie,

Entre deux éclaircies

Car maintenant c'est fini  !

Et au revoir les amis.

 

Jérôme de Mars

Jacques Chirac, une belle nature  !

 

En vers et des pas mûrs,

Depuis la mort de Jacques Chirac,

La France a baissé sa casaque

En hommage à l'ancien président,

Très influent et puissant

Qu'on pouvait voir en peinture,

Car Jacques Chirac, une belle nature  !

Qui s'en va cap vers

Cap vers le handicap,

Comme sa politique montrait le cap

Que les handicapés étaient cap

Malgré les revers à terre,

Car c'était l'homme pour l'humain

En un cheval de bataille

Vaille que vaille du fond de ses entrailles,

Quand il était sur le terrain

Dans sa terre un de prédilection,

La Corrèze,

Terre des balèzes

Sur la terre des agriculteurs,

Dont c'était son moteur

L'agriculture dans sa culture,

Comme Jacques Chirac, une belle nature  !

En vers les plus fragiles,

Qui souffrent

Dans le souffre

De la douleur

Et des souffres-douleurs, 

Qu'il engouffre dans sa politique

Altruiste et catholique,

Au nom de la religion

D'état et des tas

De dire non

A la guerre en Irak,

Avec du sang en amas

Du temps maussade

Dans le Mossad, 

Comme il baisse le casque

De la violence, 

Avec l'innocence de l'enfance

Pure et immature,

Avec en nourriture

Sa tête de veau,

Qui tourne le dos

A vos tourne-dos,

Comme en France

On a des idées,

Mais pas le pétrole en évidence

Dans la providence

De cette chère France d'itinérance

Et de différence,

Par Les Français

Pour parler Français,

Encore dans la sobriété

Et la propreté de Paris,

Avec ses amis,

Les humains

Et Les Parisiens,

Lui qui aimait les chiens

Et les sumos,

Sans les gros mots

Des crétins d'Oran,

Mais avec Les Chrétiens d'Orient

Très orthodoxe

Avec ses propres paradoxes,

De Jacques Chirac, l'homme mobile

Mais immobile dans le bile de son mobile,

Comme Jacques Chirac, une belle nature  !

Qu'on pouvait voir en peinture

En nature forte,

Durant ses deux mandats

Un septennat et un quinquennat,

Avec au final

En général

Le Général de Gaulle, son modèle,

Car untel lui rappelle

Les idéaux et les valeurs

De la France

Durant sa prestance

Pendant les trente glorieuses en résistance,

Juste vecteur et fédérateur,

De la communion

Et de la nation

Humanistes et hédonistes, 

Comme il n'émet Les Français égoïstes

Mais les simples petites gens

Bienveillants et conciliants,

Avec un regard optimiste

Sur l'avenir qu'il espérait idéaliste

De cette France qu'il aimait tant,

Lui, le grand de ce monde

Qui n'est plus mais inonde

Le ciel et le soleil,

Tristes et en berne mais qui veillent

Au grain de Jacques Chirac, une belle nature  !

Pourvu que maintenant  

Il repose en paix  !

En éternelles villégiatures

Avec respect,

Qu'on pourra voir dorénavant

En peinture

En nature morte,

Comme Jacques Chirac, une belle nature  !

Point d'ossature.

 

Jérôme de Mars

Et tic

 

Ethique

J'ai des tics

Phonétiques,

Asthmatiques

Et poly tics,

Qui font et tic

Politique

Et alphabétique

D'un coup de tac tac,

Du tac au tac

D'attaque,

Et tic

Avec mes tics

Frénétiques

Et aromatiques 

Ethique,

Qui font toc toc

Comme je suis toc toc

Et que je retoque 

Avec mes tocs

Névrotiques,

Et tocs

En toque,

Et tic

De mes tics

Bureaucratiques

Ethique,

Qui font tic tic

Technocratiques

D'un coup de moustique

Qui mousse et tique,

Comme je suis un loustic

Acrobatique, 

Hypothétique 

Ethique

Et somatique,

Qui m'assomma tic

De mes tics

Ethique,

Comme c'est dramatique

Lunatique

Et fantastique

Et tic,

Comme je mastique

Chaotique

Et j'astique

Esthétique,

Ethique

Et fanatique,

Dans une fin gothique

Pathétique

Et tactique,

Comme j'ai des tics

Monolithiques 

Et magnétiques

Tac tic,

Et tic.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                 Blague  :

 

 

Qu'est-ce-que ça fait Jessica qui se fait arracher les tifs par son ex Stéphane ?

 -  Une histoire tirée par les cheveux  !

 

                                         Jérôme de Mars

Je prends le pli

 

Ampli

Accompli

Dès fois,

Je prends le pli

En repli

Sur moi,

Plié en quatre

Et replié

Avec la panoplie,

Où je prends le pli

En essuyant les plâtres

A con pli

Dès fois,

En pli

Et en repli

Sur moi

Du par fait accompli

Avec la parfaite panoplie,

Comme je prends le pli

Ampli !

 

Jérôme de Mars

 

Pire ratage

 

Page sommaire,

Du tac au tac

En tirage,

Y a un pire ratage

Sur ta page première

Avec un piratage

Qui la prend en otage,

Comme t'es pas net !

Internet,

En pire attaque

Du tac au tac

En tirage,

Qui et prend naufrage

Sur les réseaux d'amis

Psycho-sociaux ennemis

De ton facebook

Jusqu'au bouc

De ta barbe,

Où t'en as la rhubarbe 

Avec ce piratage

De ton pire ratage,

Alors qu'il suffit

D'un simple clic

En redémarrage

De ton ordi,

Après un retard à l'allumage

Pour que ta page

Redevienne sage 

Comme une image,

Avec le bon réglage 

D'attaque

Du tac au tac,

Où à nouveau tu es net

A terre nette

Avec des plans sur la comète

En déclic,

Comme en feint saynètes !

 

Jérôme de Mars

Poème bénévole

Comme un oiseau libre

Qui vole

Avec son calibre,

Je déverse mon encre

Dans ce poème bénévole,

Antivol et qui survole

La vie qui n'est un long fleuve tranquille,

Quand on est sur Seine dans sa bulle

A caresser les gentils paresseux qui déambulent

Sur le chemin passager qui calme le paysage, 

Avec les béquilles 

Des gens en rôdage,

Qui mènent en bateau

Mes mots qui jettent l'encre 

De ce poème bénévole,

Qui vole

Mes idéaux,

De vieux cancre

Refoulé en oiseau libre,

Dont le cas libre

Cannalise mes rimes,

Qui griment

Le parfait du ridicule

Frivole avec des paroles,

Qui sonnent l'écluse funambule

De la vie qui n'est un long fleuve tranquille,

Dès qu'on est sur Seine dans les eaux de la ville

Où je flaire avec ma semence,

Toute l'essence de la quintessence

De ce poème bénévole,

Où je tourne en rond

Car je n'ai pas un rond rubicond

En vol d'antivol,

Si bien que mon silence est d'argent

Et ma parole en argent,

Qui dore sur le condor

Qu'on dore,

Dont on redore

Le blason

A vol d'oiseau,

Qui me pique les mots

A la fin de cette chanson,

En antivol qui a fini son vol

Dans ce poème bénévole.

Jérôme de Mars

Joue-t-on tous un rôle dans la vie ?

Dans la réalité

Au théâtre

Ou au cinéma,

Joue-t-on tous un rôle dans la vie ?

Que ce soit au paradis

A l'écran

A cran

Ou dès que le rideau se lève

Dans une pièce détachée,

En élèves

De l'école de la vie,

Où on a appris

Sur ce qu'il faut dire

En famille

Et entre amis,

Pour ne pas les froisser

Et les choquer

Dans l'infamie

Et la tyrannie

De ce qui les fera souffrir,

Si jamais on montre notre vraie visage

Alors qu'il faut dissimuler

Notre propre identité

En étant sages comme des images,

Car il faut être poli

Dans l'humour du désespoir,

Et que l'humour noir

Est la politesse

A l'adresse

Du désespoir,

Quand on essuie

Les plâtres

Dans une pièce de théâtre,

Où il vaut mieux jouer

Un rôle

Dans la geôle

De sa vie,

Comme un défi

Comme on est acteurs

De sa vie,

Dès qu'on dit

Moteur dans un rôle majeur,

Qui sera l'élément déclencheur

Et moteur,

Pour trouver la juste frontière

Entre en dire

Et ne pas trop en dire,

Pour taire

Ses côtés les plus sombres,

A l'ombre

De la lumière,

Pour ne pas offusquer

Et faire fuir

Ses partenaires

Dans la vie,

Ou dans une comédie

De cinéma,

A faire semblant

Sans blanc

Que ça va,

Car si on montre trop

Ses failles, les gens s'en iront dans la rétro

Des bons moments et des regrets

D'avoir connu ces gens-là bizarres,

Comme un soupçon

De blizzard

Dans la raison,

Qu'il vaut mieux tard

Que jamais

Pour bien cerner

Les gens,

Quand ils montrent leur vraie visage

A visage découvert d'un retard

A l'allumage

Ce qui conforte qu'on joue tous un rôle dans la vie,

Comme on est acteurs de sa vie à l'infini

Sauf que quand le masque tombe

Ca retombe et ça plombe

Le tout

Sur nous et vous,

Car c'est bien de jouer au je de cette vérité

Mais qu'il faut bien savoir les en je de sévérités,

Si on joue à tirer les vers du nez

Des quatre vérités

Pliées en quatre sévérités,

Où l'on joue tous un rôle dans la vie

Pour enfin deviner

Si on est sincères,

Comme dans un dispensaire

Ou si l'on fait du cinéma

Dans la comédie

Ou la dramaturgie

D'un rôle de composition,

De ce que l'on dira

En inventaire

De notre vie

Un vent terre à genoux,

Où l'on joue

En joue,

Lorsque l'on tire à bout portant

Et que l'on s'étire à bout pourtant

Fin de la trame

De ce qui se trame,

Comme l'on joue tous un rôle

Dans la vie

En tant qu'acteur de sa vie,

Car le jour où l'on sera tous rattrapés

Par la réalité, faute avouée

Est à moitié pardonnée,

Jalonnée et sillonnée

D'après une histoire,

Qu'on aurait écrite

Dans notre imagination linéaire

Décrite et retranscrite,

Comme dans un film de cinéma

Le jour où l'on jouera notre propre rôle,

Dans la vie que ce soit

Une comédie

Ou une dramaturgie,

Car je serai moi

Et que tu seras toi

Ainsi x foi,

En inventaire sur la terre

On ferme la frontière.

Jérôme de Mars

L'air marin

Tourbillon du vent,

Au petit matin des goélands

La mer avec sa contrebasse

Fait des messes basses

Au sillon des cheveux ébouriffants,

Qui coiffent le poteau fluctuant

De l'air marin,

Câlin avec les oiseaux félins,

Avec leur marque de griffe

Dans l'escogriffe,

Qui gifle le tempo à contre-temps

Des danses en faux mouvement

Dans un slow langoureux,

A aimer s'enticher d'un café dans un coin

Tranquille sur le port fabuleux,

A compter les oiseaux qui ont un grain 

De folie dans l'air marin

Des jours émotifs sur le bassin,

Qui roule en tourtereaux,

Témoins des noceurs 

Avec la main sur le cœur,

En récitant l'ode d'une plume assidue

Et dissolue

Au fil de l'eau à-vau-l'eau

De l'air marin,

Qui cajole les oiseaux félins

Avec leurs marques de griffes

Sous l'empreinte de l'escogriffe,

Qui pavane la tournée du pourtour Méditerranéen

Aux contours Azuréens

De l'air marin,

Qui rend malins

Les oiseaux faiseurs de tours,

De magies ou de détours

Au doux tourbillon du vent

Qui ordonne ici et maintenant,

Car jusqu'à quand 

L'air marin

Vous rendra-t-il orphelin  ?

Or félins dans un camp,

Comme les oiseaux vous saluent

Au Port-Salut

De l'air marin,

Car au revoir les anges manichéens.

Jérôme de Mars

Sur le sol tapi rêveur

Tapies en bémol sur le piano chanteur,

Les notes salées de la mer

Tapent sur le sol tapi rêveur

En forces de frappes élémentaires,

Qui grattent la guitare électrique

En deux saltos effets majeurs crescendo

D'un musicien entier dans les affaires fanatiques,

Qui monte d'un créneau en manœuvres solos

Du solitaire artiste dans sa course charnière,

En musique populaire à la voix pécuniaire

Qui vaut un silence d'or comme la parole est d'argent,

Comme c'est bon signe astrologique en mots conciliants

Sur le sol tapi rêveur

Tapi en paroles de l'élément déclencheur

De la parade des notes rissolées, 

Comme c'est pour sa pomme de terre purifiée

Et certifiée disque d'argent de métal

En musiques de métal,

Horizon fatal

Avec effet majeur ultérieur,

Car merci à l'œuvre originale

D'être l'inspirateur

En deux temps évocateurs,

Tapis au dénouement majeur et bienfaiteur

Sur le sol tapis rêveur.

Jérôme de Mars