Racaille

 

Racaille,

J' suis une vieille canaille

Dans la pagaille,

Qui dit aille 

En tenant les tenailles,

Vaillent qui vaillent

Avec les trouvailles,

De mes entrailles

Racaille,

Je l' suis qui caille

Ras de mes écailles, 

Où je mange de la volaille

Et de la cochonnaille 

Dans la tiraille 

Du sérail,

Où je s' suis sur la paille

Si j'empaille

Mon fantôme d'épouvantail

De racaille,

Puisque je le s' suis en vieille canaille,

Où j'entaille

Mes failles

En faisant le tour de taille,

Où je n' fais point de détail

Dans toute cette pagaille,

Où j' suis une caille

Ras qui s'écaille 

Du droit chemin en écaille,

Comme ça caille  !

En mangeant avec maille 

Qui maille qui maille

Avec mon émaille, 

En ayant la dent dure des mailles

Du filet refilés qui m'assaillent, 

Et me saillent 

En représailles

A Versailles,

D'où j' termine en vieille canaille

Ce pamphlet d'écailles, 

Qui caille

Ras pour un bail, 

Où je m' les caille

Et je baille

En cobaye,

De moi la racaille.

 

Jérôme de Mars

 

Une maison dans le ciel

 

Petites frimousses d'hirondelles

Qui volaient dans le ciel,

Voici un arc en ciel

Pour superposer vos silhouettes,

Et les coïncider

Avec celles des mouettes,

Qui font alouettes

Avec les alouettes,

En faisant une pirouette

Dans un gratte-ciel,

Avec un crayon qui dessine

Une maison dans le ciel,

Dont l'homme de la situation

Sera un charpentier,

Qui te donnera un toit

A toi et moi et vlan dans la joie !

Avec un arc en ciel,

Qui réfléchira 

Et infléchira 

Toutes les couleurs du ciel,

Avec un métissage

Et des travaux d'échafaudage,

Dont on mettra un pommier

En adage,

Pour notre pomme

D'Adam et d'aidant,

Quelque soit le temps

En plusieurs tomes,

Où l'on se livrera

Et où l'on s'enivrera

Dans une maison dans le ciel,

Pour tous les hommes

Et les demoiselles,

Qui s'y reconnaissent avec raison,

Dont le cœur a ses raisons

Que la raison ignore,

Qu'on ait tort ou des remords

A l'orée de chaque saison,

Le corps

Perché sur le balcon,

A attendre l'oraison

Du ciel

Avec un arc en ciel,

Pour rompre les désaccords,

Et signer depuis notre salon

Dans une maison au ciel,

Un laissez-passer intemporel,

Qui scelle la réconciliation

Des métaphores,

Avec le bruit des métaux forts

Dans une rivière, 

Qui coule en signe de reconnaissance

Qu'il est temps

Au vu des circonstances,

De battre en retraite

En quête,

Et dans la conquête

D'un crayon,

Qui mutine et butine

La révolte des abeilles,

Pour muter d'une lune de fiel

En une lune de miel,

Où chacun y trouve ses centres d'intérêt

Avec une goutte de bonheur supplémentaire,

A tout ce qui jalonne

Chaque saison qui papillonne,

Avec les papillons 

Et les tourterelles

Autour d'un battement d'ailes,

Qui entoure une maison dans le ciel,

Bien gardée dans son jardin secret

Pour toi et moi,

Où l'on aura notre toit

Avec un charpentier,

Qui élira notre port de Plaisance,

Rendez-vous rue de l'élégance

Perpétuelle et sempiternelle,

Avec un crayon de toutes les couleurs

Pour barbouiller tous les vecteurs

Du lien social,

Avec une tape amicale 

Qu'on a tous le droit au bonheur

Emmitouflé à toutes les saveurs,

Où l'on dort 

Jusqu'aux aurores,

Avec un toit sur la tête

Depuis notre salon,

Où nous savons

En secrets de polichinelle,

Avec ardeur 

Et dans la ferveur populaire

De notre candeur imaginaire,

Que nous avons 

Une maison dans le ciel.

 

Jérôme de Mars

 

La société s'isole.com

 

Do ré mi fa sol même en paroles,

Il y a un gros bémol

Et que le monde nous débousssole,

Dont la société s'isole.com,

Point de com.

Malgré les télécoms,

Où le virtuel succède au visuel

Et au tactile entre les gens, 

Qui s' refoulent contact 

Avec un manque de tact

Dans tout l'irréel,

Avec une profusion 

De mauvaises nouvelles

Dans une société de consommation, 

Où il y a beaucoup de réclamations

Dues à un manque de communications

Avec le goût pour le matérialisme,

Dont pour conjuguer le tout

Perdure un profond individualisme,

Qui fout en l'air notre organisme,

Où avec ce virus on joue notre va-tout,

Soit d'un pour tous et tous pour un

Ou soit de chacun pour soi et tous plus rien !

Dont la société s'isole.com,

Avec point de com.

Malgré les télécoms,

Dont on fait comme

Les gens lambda,

A se convertir avec châtiment

A cette société du chacun pour soi,

Car à quoi bon lutter avec pertes et fracas  ?

Dont nos tracas sont l'usufruit

D'un pays en manque de repères,

Avec un sanctuaire

En manque de confettis,

Qui grappille une foison

A chaque saison

D'une multitude de contacts charnels,

Et dont on remplace la gestuelle 

Avec le toucher réel

Par un pacte avec le diable virtuel,

Où l'on se dit 

Avec agonie,

Où sont nos penchants naturels ?

Car tout part dans le surnaturel

D'une population dressée

Et stressée

Les uns contre les autres,

Où tout le monde se vautre

A Dieu et à ses apôtres,

Alors qu'on a assez de Gaston Lenôtre

Qui nous cuisine déjà assez comme ça

Dans notre vie de tous les jours,

Où ce n'est pas tous les jours la joie !

Car welcome at the home

Qui va become 

La société qui s'isole.com,

Et où tout le monde come

Avec point de com.

Malgré les télécoms,

Car seul compte l'argent roi

Avec un manque de magie

Et de féerie

En France,

Avec les lois

De la finance

Qui font foi

Dans la paranoïa,

Parmi vautours, vos tours

De désillusion,

Où pour éviter la rébellion,

Mieux vaut se faire une raison

En gardant l'oraison

Avec des prières,

Pour calmer notre colère

Dans le collectif du peuple à l'appel,

Car malheureusement c'est tout com !

Avec un manque de com,

Qui fait froid

Dans le dos, comme

La société s'isole.com,

Avec point de com.

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blague :

 

 

Que dit-on de deux bites qui s'en foutent d'être en érection  ?

-  Elles n'en ont rien à branler !

 

 

                                       Jérôme de Mars

Le Martien vers

 

En verve et en vers,

Je suis Jérôme de Mars

Sur une autre planète

Chaque 2 Mars

La tête dans les comètes,

Où je suis un Martien vers

Qui écrit des vers

Depuis la planète de Mars,

Pour me mettre aux vers

De cette planète,

Où je suis un ovni,

Inné dans le pain béni

Et le ni ni,

Où je ne nie

Que j'ai des travers

Avec toute ma colère,

Qui décolle l'ère, l'air,

Les pieds ailleurs que sur Terre

Toujours dans la lune

A attendre en une,

Le grand amour

Dans différentes facettes

De mon monde de bluette,

Avec la chansonnette

Pour fou allié, 

Comme je suis un extraterrestre

Qui se défenestre

Pour sortir prendre un courant d'air,

Comme les hommes viennent de Mars

Et que les femmes viennent de Vénus

Et que je suis un Martien vers,

Qui écrit en vers toute sa colère

Qui décolle l'aire

En faisant le marché aux prospectus,

Pour bien signaler que je viens de Mars

Et que je suis un poète fou illuminé,

Qui mange un Mars et puis ça repart  !

Comme des pièces en chocolat

Qui ne comptent pas,

Car si je fais remarcher les puces,

J'accéderai au code du sac à puces,

Où j'utiliserai mes cartes à puces

Electroniques et magnétiques,

Avec le bon processus

Synthétique et tactique,

Pour enfin que je susse 

La marche à suivre du casse-bonbon, 

Qui suce 

Les bonbons pas bons,

Où en Jérôme qui vient de Mars,

Je suis un Martien vers,

Qui donne le cap vers

Les ovnis inouïs,

Dont je suis le pur produit,

Comme les hommes viennent de Mars

Et que les femmes viennent de Vénus,

Dont j'en déduis que le paradis

N'est pas forcément sur Terre,

Mais dans d'autres planètes salutaires

Et extraordinaires,

Avec plus de folie nécessaire

Que sur Terre,

Car je suis pour toujours 

Inopiné, déconnecté

Et en instantané,

Un être solitaire et solidaire,

Comme les hommes viennent de Mars

Et que les femmes viennent de Vénus,

Où je donne le cap vers

Le martien vers,

Terminus vers le nimbus

Salut Terre !

Chaque 2 mars

De Jérôme de Mars.

 

Jérôme de Mars

J'ai pas d'idées !

 

Une fois n'est pas coutume,

J'use du droit de ma plume

Pour vous signaler,

Que j'ai pas d'idées  !

Pour ce poème

N'est-ce-pas Didier ?

J'ai pas Didier  !

Pour ce poème

En emblème,

Où je me laisse guider

Et téléguider,

Pour me dicter 

La conduite

A tenir,

Alors que sans faiblir,

J'utiliserai le droit de fuite

S'il y a une fuite,

Et que je prends une cuite

Dans de l'eau bénite,

Si tout tombe à l'eau  !

Et que je change de scénario,

Si j'ai pas d'idées !

Pour Didier

Et que j'ai pas Didier  !

Pour idées

Et pour aider

Ma mauvaise conduite

Au volant de mon délit de fuite,

Où ce poème

Semble un requiem,

Ou un totem

Pour que le système D

Se modifie en un système ET D,

Car quand j'ai pas d'idées  !

Je suis bien content !

Que Didier

Puisse en me racontant,

M'en donnait

Et m'en dépannait

Pour me dicter,

Me guider

Et me téléguider

Certes à distance,

Mais avec consistance,

Car le jour que je redoute

Et qui fera que je serai

Dans le doute,

Avec un risque de banqueroute

Dans la déroute,

C'est que quand j'aurai plus Didier  !

Et ben, j'aurai plus d'idées !

 

Jérôme de Mars

La machine à notes

 

Avec des dents de requins,

Que fut dure l'époque Epin

Du fruit de mes pépins,

Où pour avoir gain de cause

J'offre un regain d'ecchymoses,

Comme cette école de la vice

Fut devant témoin

Quelque chose de supplice,

Où en supplique

Je réplique

Que ce collège des rancœurs brisés,

M'a rétamé avec la paume de mes mains

Paumées dans du papier satin,

Car là s'atteint, ça teint et ça craint !

Même que je fus le plaisantin, 

Et que les autres plaisantent un

De mon plumage qui en fut écorné,

Et écorché vif

Dans ce qu'il y a de plus transgressif 

Et agressif, car flûte  !

Ce fut la machine à notes 

Do ré mi fa sol,

Où avec le la, je déboussole,

Si j'affûte 

La camisole

De force si le cas m'isole

Dans une permanente lutte,

Car ce ne fut facile

Et docile

Avec des élèves pas réceptifs,

Dont je note une décote

Avec des notes salées

Sur le piano qui vivote 

Et qui me détricote,

Comme je récolte la note acidulée

De bonne facture 

En des signaux de mauvaise couverture,

Qui m'asticotent

Avec ces vers de terre,

Dont l'envers me désespère

Depuis Epin,

Dont je note tous mes déboires

Sur mon calepin, 

En gardant en mémoire

Tout ce qu'on m'a fait

En échauffourées

Dans des coups de chaud fourrés,

Car Epin demeure tristement

La machine à notes,

Qui me boursicote 

L'écorce laid, 

Maladroitement et désespérément 

Avec l'as qui me pique avec un cutter

Entaillé sur le poignet,

Avec des poignets désamours,

Dans des pommes désamours

Roulent toujours,

Où mes bourrelets

Me prédisent bourre-les  !

Tes affinités 

Avec ton computer,

Comme avec ta paire

De sécateurs,

Dont tes prédateurs

Furent ceux d'Epin,

En mode pépins

Secteur Acteur,

Au mode pas commode

Du ministère amer,

Quand ça dérape 

Et que ça frappe

A Epin,

En ramenant ta fraise avec les pépins

Du fruit de tes pépins,

Où Epin, de l'inopportun 

A tes accidents pas anodins,

Mais malins,

Tu n'as jamais récolté le gain

De ton regain s'il y a encore un béguin,

Pour un monde plus samaritain

Et Sacristain ,

Car d'après ton rang social,

Il te faut une tape amicale

De la part de tes copains,

Pour que tu lâches du leste

Avec tes conditions modestes,

Malgré que ta colère

Te taraude en maraudes, 

Et où tout en toi s'érode,

Car à cause d'Epin

Et de ses pépins,

Tu as composé en antidote,

Pour que ça te ravigote 

La machine à notes.

 

Jérôme de Mars

Les oiseaux volent-ils de leurs propres ailes ?

 

Tour de contrôle,

Pourvu que les tourterelles

Et les hirondelles

Gardent leur self-contrôle,

Et que les moineaux

Ne se jettent aux corbeaux,

Mais appellent le corbeau

Pour savoir qui est le corbeau

Des lettres et des appels anonymes,

Qui sont de toute manière synonymes

Que le corbeau est un vilain renard,

Qui jaillit de la fontaine pendant ses rencards

Où il sermonne les chats qui ronronnent,

Pour savoir si les oiseaux volent-ils de leurs propres ailes ?

Afin d'échapper aux griffes d'escogriffes à-tire-d'aile,

Qui égrènent ces oiseaux qui ouvrent leur bec avec la lettre

Consonne, d'où là qu'on sonne,

En ouvrant les fenêtres

De la lettre et de l'appel du corbeau,

Qu'il enrôle 

Et à qui il quémande avec dentelle,

De si les oiseaux volent-ils de leurs propres ailes ?

Avec leur battement d'ailes,

Ou si leur couple d'oiseaux

Avec leurs corbeaux

Battent de l'aile,

A la lettre qui voyait elle,

En voyelle, envoie-t-elle

En virant de bord sur le paquebot

Et le cargo,

Pour les mener en bateau

Et en trouvant leur vitesse de croisière,

A la croisée des travers

Des pas de l'eau

Qui languissent avec des saltos, 

Et de si les oiseaux volent-ils de leurs propres ailes ?

En fumant la clope au bec avec des demoiselles,

Dont les oiseaux en ne voyant pas le mâle partout

Firent des partouzes, par tout en bouchant les trous

Des orifices, qui mettent la pierre à l'édifice

Sans artifices avec des sacrifices,

Dont les corbeaux et les hirondelles

Sont de drôles d'oiseaux ,

Qui vont vers le haut

Et de si ça vole bien oh !

Dans une aquarelle,

A travers les murs transparents

Et tapissés du vide néant

Où le ciel les raisonne,

Quand les chats ronronnent

De si ce sont des oiseaux de mauvais augure 

Qui dévoilent leur véritable nature ?

Ou de si à la fin de cette ode plurielle

Et de cette passerelle passionnelle,

Est-ce à-tire-d'aile sans battre de l'aile

Que les oiseaux voleront-ils de leurs propres ailes ?

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                     Blague :

 

 

Pourquoi suis-je dans de sales états psychiatriques ?

- Parce-que lésés tas unis

 

 

                                             Jérôme de Mars

La java des bombes ah toniques

 

Pêle-mêle

Comme Boris Vian,

Ici bas je m'emmêle  !

Comme maintenant

Boris Déviant,

Où je fais une parodie

Avec ou sans on-dit,

En passant

De la java des bombes atomiques,

Et en très passant

A la java des bombes ah toniques,

Où tonique, je nique

Et je fornique

Tout dans tout ce fourre-tout,

Pour boucher les trous

Et des bouchers les égouts,

Où avec méforme olympiques

J'envoie des piques trop piques,

Où moi, je suis une bombe à retardement

Dont je fais exploser la bombe atomique,

Sous une forme satirique et comique

De mon état mélancomique,

Avec à la fois du tragique et du comique

En faisant la java des bombes ah toniques,

Comme je suis une bombe à retardement

Attardement qui attardé ment,

Déviant comme Boris Vian

En sacré garnement,

Telle une vielle canaille

Dans toute cette pagaille,

Comme avec un lance-roquettes

Et un bazooka,

Pour aller dans la joie

Bazarder le cabinet du Docteur Penot,

Tout penaud

Au 46, rue La Roquette,

En faisant cela

Bien sûr en rigolant,

En me marrant et en m'amarrant

Au volcan de rancœur,

Qui bat la chamade

Avec des consœurs 

Dans une sommation en passade

Avec un paréo,

Où je lance tout haut

Des piques tropiques,

Avec méforme olympique

Déviant comme Boris Vian,

Avec la java des bombes ah toniques

Supersoniques qui niquent

Mes symptômes

Et mes hématomes,

Si je bombe le torse

Et que j'envoie une bombe en faisant 

Une entorse, qui corse

Mon esprit précoce

Avec un saccerdoce,

Où après qu'il faut laisser couler,

Il faut laisser roucouler

Avec un laissez-passer,

Où le jour que je n'aimerai 

Plus Boris Vian,

C'est qu'il sera passé

De la clarté à l'obscurité

En reprenant clément

Ses mouvements virulents,

De chansons à fort tempérament

Du temps d'antan,

Et en étant à nouveau

Dans son élément,

S'armant de patience

Incongrue dans la décadence,

Où il repassera dans une multitude

De multitubes du temps de sa décrépitude,

En renouant avec le fil conducteur du courant

Que c'était mieux avant,

En faisant imploser la java des bombes ah toniques

Pour qu'elle explose dans le chaos

Lors de la java des bombes atomiques,

Du comique au tragique

Mélancomique et cosmique

Sur une autre planète que La Terre,

Car ici bas appelle masqué

Les fous à lier, illuminés, déjantés et bariolés

Complètement fadas, 

De youpi hop la joie

Avec pertes et fracas, 

Car v'là ici l'inventaire  !

Que fut jadis la java des bombes ah toniques

Et qui redevient en Pré-vers 

La java des bombes atomiques,

De Boris Vian

A Boris Déviant.

 

Jérôme de Mars

 

 

Cévennes, ces veines

 

Endroit propice qu'avise ce lieu de la chance vaine,

Où ceux qui y habitent ont Cévennes, ces veines

D'y vivre toute l'année comme à la campagne, 

Et de respirer l'air pur en en faisant toute une montagne

Et de grimper les côtes

Pour avoir la cote et décote, si les gens fricotent

Et traficotent en ayant Cévennes, ces veines

A la chaîne dont les montagnes se déchaînent,

Où il est recommandé d'y posséder un mas

Pas pour être avec Alexandre du mas, mais en hissant le mât

Avec un amas

Sans cracher comme un lama,

Parce-que même s'il n'y a pas un chat

Ce n'est pas la traversée du désert,

Qui dessert ces vaines souveraines

Qui ont Cévennes, ces veines,

D'y soulever des montagnes

En trinquant au champagne,

Quand bien même ce n'est pas la région

Des Champagnes-Ardennes,

Mais une destination qui repose les frustrations

Au grand air 

Et dans une meilleure atmosphère sur La Terre,

Où les habitants qui n'ont pas une chance vaine

S'y calment les nerfs,

Comme une verre veine

En ayant Cévennes, ces veines.

 

Jérôme de Mars

 

Passez donc me voir  !

 

Histoires de bavarder sur la place du hangar

Passez donc me voir  !

Pour discuter au bistrot autour du comptoir

Entre brèves à deux balles et le reste dans un déversoir 

En un dépotoir,

A percevoir et à apercevoir 

A quel moment les gens sauront émouvoir

Le ciel,

Avec tout de même quelques bonnes nouvelles

A espérer au coin du feu

En racontant des blagues à l'humour graveleux,

Où je vous implore

Passez donc me voir !

Pour refaire le monde avec un arrosoir,

Pour le cultiver en mieux,

Avant que les autres m'ignorent

En me prenant pour un ignare 

Et un gars bizarre,

Alors qu'ils me connaissent comme un pseudo vieux 

Loup solitaire, qui méprise les humains

Et qui se croît hautain,

Tandis que ce n'est qu'une façade

Pour ne pas que les individus ne me calculent,

Me bousculent et me basculent

Dans une saudade, 

Où tout le monde me balade

Dans des sornettes,

Où je pénètre

Dans un miroir aux alouettes

Pour me jeter par la fenêtre,

Si vous voulez vous en rendre compte pour mémoire

Passez donc me voir  !

Pour constater si ce sont des racontars,

Ou si ce sont les causes du bazar

Dans ma tête

En miettes,

Où presque personne ne prend son temps

Avec moi pour comprendre l'origine

A la racine

De mes tourments,

Et de pourquoi en moi tout fout le camp

Dans le boucan !

Des êtres indifférents

A mon égard,

Et de pourquoi je suis si différent,

Vis-à-vis de leur faux mouvement

De rejet avec un mauvais regard

A mon encontre,

Alors que si je rencontre

Par hasard

Des gens devant des nénuphars,

Ca pourrait être un long moment plaisant

Devant l'étang,

Où tout le monde se détend

Et soit moins distant

Pendant l'espace d'un temps,

Où vous pourrez le constater de votre miroir,

Je ne suis pas si fou que ça

Malgré l'étendue des dégâts,

Pour cela

Passez donc me voir !

 

Jérôme de Mars

 

                                            Blague :

 

 

A quelle occasion un homme appelle-t-il sa femme bébé ?

 - Quand sa femme le tête !

 

 

                                     Jérôme de Mars

         

L'eau qui dort

 

Dès les aurores,

Et que le ciel taraude

Le sol dans sa dérobade,

Il ne faut se méfier 

De l'eau qui dort,

Lorsque les éclats

Appellent en renfort

Des bruits de pas,

Qui proviennent de Morphée

Qui se lève dans une accolade

De la profondeur des sentiments,

De l'eau qui dort

Dans sa zone de confort,

Et provoque des roucoulements

En faisant des ricochets

Sur l'eau qui transpire d'émeraude,

Et qui s'incline devant les mouvements

De l'eau qui dort,

Et qui adore

Que les poissons la dorent,

Comme la sole 

Qui cherche la clé de sole,

De l'énigme dans la boussole

Du temps et du vent fluctuant,

En fonction 

Et en insurrection

De l'eau qui dort,

Qui jaillit sans agonie

Et qui ragaillardit

A la vue de l'eau qui dort,

Qui bouge crescendo

Et se souvient du folklore ,

En allant vers une mélodie

Dans un rappel à la raison,

Dont arrive effervescent

Le signal d'accoster

Sur le quai qui rôde,

Commode pas loin

Des Comores, 

En Afrique sur l'océan

Qui n'est un long fleuve tranquille,

Sur les péripéties des villes

Avec un cœur de volcan,

Sous les abysses des Coraux

Bifurquant vers le tempo

De la fin de ce morceau

En roc de pierre,

Qui coule dans l'estuaire

De la rivière,

En haut de l'essor

De la machine à remonter

Le temps consort,

Qu'on sort

De l'eau qui dort.

 

Jérôme de Mars

Démise en page

 

                                                         

Emise en page.

 

            

                                                                                          Et mise en page

 

Mise en ta page

 

 

Emise en dérapage                                                         Remise en tapage

 

 

                                                                                       Démise en râpage

Des mises en page

 

                                                                                    Et mise en ces pages

 

Emise en cépages

                                                                                   

 

                                                                                  Démises en des râpages

 

 

 

Des mises en dérapages                                         

                                                                                     

                                                                                     Et mise en dérapages

 

Emise en des râpages

 

 

Des mises en ta page

 

                                                                                     Et démise en tapage

 

Remise en tapage

 

                                                                                   Et mise en ta page

 

 

Emise en tapage                                                                               

 

                                                                                    Et que tu retournes la page

 

 

Dès que tu contournes la page

 

                                                                                        Dont tu détournes cépages

 

Avec un marque-page

 

                                                                                               Dont tu tournes la page

 

En remise en page

 

                                                                                                      Tu mises en page

Démise en page                                                                                       

                                                                                                      Et mise en page

                                                                                         

Des mises en page

                                                                                                      Emise en page

 

 

Mise en page

 

 

 

Jérôme de Mars

                                               Blague :

 

Que fait une femme à son mari pour qu'il la paye en nature ?
- Elle lui met un doigt dans l'écu !

 

 

                                       

 

 

                                        Jérôme de Mars

Aux vers bordent

 

Bordel, ça déborde !

Mille millions de mille sabords,

Où sur le rebord

Je saborde,

Car je suis tintin

Avec Rintintin

Dans cette chienne de vie,

Qui flirte avec l'ennui

Aux vers bordent,

Qui débordent 

Sur la place de la discorde,

Où je suis monocorde,

Car dehors, il pleut des cordes  ! 

Qui ne concordent,

Où j'accorde

Et je me raccorde

Aux vers bordent,

Dont les revers me sabordent

Et débordent

Sur le rebord

De la mélancolie,

Où je n'ai que l'envers du décor

Dans le droit permanent à l'oubli,

Avec Internet,

Où je suis à terme pas net,

Renfermé dans mes manies,

Paranos de la mégalomanie

Avec des mélodies,

De la bluette

A la chansonnette

Aux vers bordent,

Où je racle les bords

A tribord ,

Aux abords

D'être à fortiori à bord,

Où je suis un mort-vivant

Qui dérape conscient,

Et s'enterrant à petit feu dans le néant,

Vivace et à la ramasse,

Qui reste à la masse, à la MAS,

Handicapé et rescapé

De toutes les échauffourées effarouchées, 

Qui l'ont touché

Et percuté de plein fouet,

Où je déborde

D'un nom de limace,

Comme je me lasse

De tout en vers de terre

A poèmes pour ma pomme d'éther,

Avec mon affection de longue durée,

En infection endurée, en durée,

Où je fais un billet d'humour

Dans une liasse et en billet d'amour,

Dont je finis ce gamme aux vers qui aborde

Les hauts vers 

Du mal de mère,

Aux vers bordent.

 

Jérôme de Mars

La mue gaie

 

A l'approche du 1er mai,

Bientôt vont sonner les cloches

De la mue gaie,

Aussitôt que le mouche du coche

Ordonnera un mai sage,

En guise de message

Pour demeurer sage,

Car en mai, fais-ce qu'il te plaît  !

Mais mets tes doux habits 

De muguet qui envoient des fleurs,

Car c'est le bouquet  !

Qui influe et mousse les coquets

Avec des vers d'orangerie, 

Qui tapissent tes odeurs

Aux senteurs, qui propagent

La mue gaie,

Avec du muguet le 1er mai,

Car désormais, la poésie

Réconforte les âmes meurtries,

Par-delà le reflet du miroir

Avec des racontars de fond de tiroirs,

Dans une beuverie et une veulerie, 

Où le moins qu'on puisse réagir

C'est maudire les extrêmes

De leur pouvoir suprême,

Qu'il faut interdire et bannir

En assaillant les barricades,

Et en faisant des accolades

Dans la promenade de la mue gaie

Le jour du 1er mai,

Où l'on offre du muguet

Avec des couleurs bariolées, 

Pour faire honneur

Aux brins de couleurs,

Qui se mettent aux vers

Des chimères avant le prochain hiver,

Avec tous les travers qui muraillent 

En fond artisanal quelques trouvailles,

Où il faut l'union nationale 

En traditions inaugurales

Le jour du 1er mai,

Qui désigne la mue gaie

Avec du muguet,

Pour faire une fleur

Avec du bonheur,

Et le peindre avec quelques rougeurs

Si jamais il voit rouge d'impudeur,

Où certes règne la confiance,

Mais dont désormais il faut ignorer

La lenteur et la fadeur, 

Des jours d'avant qui sans doute

Seront dans la peur

De la déroute,

Avec pour inclinaison

A l'orée des saisons

De grandes satisfactions,

Car voici à proximité

Du cortège du 1er mai, 

Le muguet dans son défilé

Et dans son intégralité,

Qu'égrène la mue gaie

Pour éclore sa destinée,

Et clore cette saga citée

Avec le muguet du 1er mai,

Qui instaure

Avec des stores

Quelques libertés,

Pour atténuer l'ivresse du soleil

Et le relever rebelle de plus bel,

Car le 1er mai,

Fais ce qu'il te plaît  !

Dans le respect

Et mets désormais  !

Le 1er mai, 

Comme le premier jour de la clarté

Et de la liberté retrouvée

Dans la paix,

Mais dont désormais c'est la mue gaie.

 

Jérôme de Mars

 

Cavaler

 

Comme un cheval laid,

Un chevalet

Fait cavaler,

Et fait cavalier

Seul, comme dans un aquarium,

Dans un ultimatum,

Comme un poisson dans l'eau  !

Hello, et l'eau  !

Car tous les chevaliers

Et les cavaliers,

Ont le droit au bonheur

Avec un prophète,

Qui a la recette

Du gâteau au bonheur

Avec de la crème de Chantilly,

Dont c'est la cerise sur le gâteau

Sur l'hippodrome de Chantilly,

Où en voiture,

Le cheval laid

Prend comme chevalet,

Le rayonnement perpétuel

De l'autel,

Pour se confesser

Avec vérité

Sur les facettes de la pudeur,

Qui lance : " Montre ta vraie nature ! "

Pour être synchrones au micro,

Dont les courses de chevaux

Font cavaler la retransmission en stéréo,

A la télé de façon cavalière

De Cavalière à Cavalaire Sur Mer,

Où comme un lion en cage,

Les chevaliers

Et les cavaliers

Se sentent bien dans leur bocal

Avec leurs affinités locales,

Comme un poisson dans l'eau !

Où les courses de chevaux

Prennent la vie du bon Quartet

Avec Le Golden Gate Quartet,

Où il faut cavaler

Avec un cheval laid,

Un chevalet

A la bonne hauteur,

En trouvant chaussure

A son pied,

En partant du bon pied

Et en voiture,

S'il vous plaît !

Le chevalier épique

Et romanesque,

Qui vous lance et piques

Rocambolesques et pittoresques

Jusqu'à la fin de cette fresque,

Au rayonnement du ciel et du soleil,

En un arc en ciel qui gratte le ciel,

Au pluriel dont c'est du gâteau

De terminer ce quartet

Avec le Golden Gate Quartet,

Quand on voit la vie du bon côté,

Car comme un bonheur seul

Ne suffit jamais,

On en redemande tout béats,

Quand on traîne des pieds dans le patatras,

Où on ne fait que cavaler,

Comme un poisson dans l'eau  !

Qui se déchaîne

Sur la chaîne

Télé Bocal,

A Paris sur le canal

De La Seine locale,

Où très à cheval

Et avec équité,

On est quittés

Par les chevaliers

Et les cavaliers,

Quand on fait cavalier seul

De façon cavalière,

Avec l'art et la manière

Distinguée de se distinguer

Original,

Car comme un cheval laid,

Un chevalet,

Il faut cavaler.

 

Jérôme de Mars

Je suis grave

 

Gravé dans du marbre,

Je reste planté là

Devant l'arbre,

Où si je me rate

En voulant me suicider,

J'irai assister

Aux obsèques,

Et Tchèques

Et maths,

Où c'est pas la joie

Tous les jours !

Dans de la soie

Avec du velours,

Car c'est lourd, c'est du lourd !

Et balourd, bas lourd  !

Car c'est du balourd  !

Mon quotidien

Immergé dans le dédain,

Car je suis grave  !

Et que j'ai l'accent grave

Si je grave

Ma vie à sang grave,

Dont mon cas

S'aggrave avec l'aval,

De la société de complaisance

En malveillance,

Qui se prétend

Suave avec moi,

Alors que mon repas

Dans le bain de foule

N'est frugal  !

Comme tout m'est égal  !

Comme si j'avais la gale

Dans quelque chose de pas légale,

Où je ne me foule

Et je refoule

Tout le monde,

Pour rentrer dans le moule

D'un accent grave,

Qui inonde

Mon cas social

D'incohérences,

Qui font désobligeance 

Avec accoutumances,

Où je suis grave

A sang grave,

Où je grave

Mon désarroi,

Que je gave

Dans les parois,

Où je perds peu à peu

Et pieux

La foi,

Où je gravis une montagne

D'angoisses,

A soulever

Sur place, 

En allant à la campagne,

Faire couler

Le champagne

Champêtre

De mon mal hêtre,

Où je reste planté là

Dans mon par hêtre

A m'en foutre de ça,

Où gravé dans du marbre,

J'implante 

De l'encens,

Avec allant

En allant

Sur cet arbre, 

Que j'encense

De ma déchéance,

Dont je plante

Toute la semence

De l'essence

Avec aisance,

Où face à la gravité

De la vie,

Je suis grave

D'ennui avec l'hérésie

En inertie,

Dont je grave

Mon dépit,

D'une énergie

Affaiblie 

Qui n'a guéri,

Car flétrie

Dans un délit,

Où je me délie 

De mon lit, 

Aguerri 

Et insoumis

Dans des circonstances

Indéfinies et non établies,

Car je suis toujours évanoui

Dans le mal adroit à l'oubli,

Dont l'infini

Me jette en compromis,

Que je suis un con compromis,

Compromis par la vie,

En de ça

De ceux à quoi je crois,

Car je grave

Mon accent grave

A sang grave,

Dont je suis grave.

 

Jérôme de Mars

Le procès s'use

 

Les procédures,

Les procès durent

Et les processus,

Les procès sucent

Et les procès s'usent

Avec des procédés,

Dont les pros s'aidaient

En faisant un procès verbal

Devant la cour,

Dans une chasse-à-courre

En arrière-cour,

Où le procès dur,

Utilise comme procédure, 

Tout ce qui se clame à l'oral

Avec L'Oréal 

Pour lancer les vers bals, 

Où on s' fait des cheveux

Chauvins, chauve hein,

Pour défense un accusé

De réception,

Comme un être au poste,

Où tant que les procès durent,

Il y a des procédures

Avec des procès durs,

Et dont le procès suce

Tout le processus

Dont en acompte,

Le procès s'use,

Et le procès verbal

Est gagné en amende honorable

Dans un vice de procès dur,

Où le juge est parti

Dans un dévisse de procédure

Après que le procès dure,

D'où en feint de mandature

On exige une caution 

Qu'on ne cautionne,

Dont on non dit à l'oral

Que le juge et partie,

Et qu'il déclare vice à vice

Dans un vice de procès dur

Vis-à-vis du coupable enfant

Son innocence,

Et dont au bout du compte

A terme,

En ces termes,

On en conclut

Que le juge hein parti,

Acquittait l'audience

Et qu'il ne tient bon la barre,

Puisqu'il a quitté l'audience

Et que comme le procès suce,

Ainsi, comme le processus,

Le procès s'use

Sans consensus.

 

Jérôme de Mars

Aux vers doses 

 

De par cette pseudo prose,

A quoi ça rime cette overdose ?

Où j'ose écrire aux vers doses,

Avec modération

Comme je suis à saturation,

Où je m'immole par le feu

Sans récupération,

Avec un bémol qui tangue

Et qui me fait rentrer dans un gang,

Pour être de peu

En maison de correction

Pour corriger mes fautes d'autographes,

Qui paraphent

Mon overdose

Des maux,

Qui frôlent la cirrhose,

Quand mes ecchymoses

Rentrent en aux vers doses

Sans modération,

Où je ne pèse mes mots,

Car je rature

Et je sature en ossature, oh sature !

De mon manque de stature,

Qui me triture

L'esprit dans sa torture,

Où il n' y a qu'avec des fioritures 

Que je peaufine mon écriture

Dans un je d'écriture

Sans commune mesure,

Où je frôle l'overdose

Avec des vers d'o qui arrosent

Le pot aux roses, 

En aux vers doses

Et en sûres doses,

Ou en mais nos pauses

Avant Mickaël Landreau pause,

Où je marque pause, pose

Et superpose, super pause, 

Quand je me repose

Et que je dispose

D'une overdose,

Que je propose

En aux vers doses,

Et que je cause

En parlant de sinistrose,

Où il me faut une osmose

En art throse, 

Pour aller dans le cosmos

De mon imaginaire qui a largement eu sa dose

En sûres doses,

Dont j'ai franchi l'overdose

Avec mes nécroses

Et mes névroses,

Que je compose

En aux vers doses.

 

Jérôme de Mars

Le soleil va-t-il sauver la pluie ?

 

Ciel de tristesse,

Que ton ombrelle

Tombe sur les forteresses

D'une infinie de pimprenelles,

Où avec sagesse,

Le ciel saura t'inculquer

Et te cultiver

Des phénomènes surnaturels,

Entre prouesses

Et messages schizophrènes,

Et intemporels

Sur les ondes aires siennes

Avec quelques gouttes de pluie,

Qui tombent du ciel superficiel

Et artificiel,

Avec des pluies diluviennes

Et torrentielles,

Et qu'on s' demande

En offrandes,

Est-ce-que le soleil

Va-t-il sauver la pluie ?

Entre larmes qui brûlent la vie

Par les deux bouts de la chandelle,

Et un court répit

Durant un laps de temps en accalmie,

Et est-ce-que le soleil 

Va-t-il sauver la pluie ?

Et les hirondelles ?

Durant un battement d'ailes

En nuances de chanterelles,

Qui remontent les bretelles

Pour que la liesse

Et l'allégresse,

Remplacent la tristesse

Et la détresse

Par quelque chose de poétesse, 

Avec délicatesse et la politesse

Du désespoir,

Dans un abreuvoir de belles histoires

Au long réservoir,

Qui égrène un parfum terroir

Si ça sent bon

Du côté de la saison des bourgeons,

Dont ça coule de source avec les esturgeons

Pour noyer le poisson,

Et dont on quémande

A l'amende et à la demande

Avec comme embellie,

De vouloir et pouvoir

Savoir en réquisitoire,

De est-ce-que le soleil

Va-t-il sauver la pluie ?

Dans une pléthore de confettis

Et d'étincelles,

Et puis, et pluie tant pis.

 

Jérôme de Mars

Spectacle sans obstacles mais avec tacles

 

Très à cheval, je me donne en spectacle

En lâchant la bride, 

Et en galopant rapide

A grande vitesse de galop,

Sans en faire trot

Et sans obstacles mais avec tacles,

Où sans aller dans le rétro

Je me donne en spectacle,

Où dès que le rideau se lève

Je fais l'élève 

Studieux, mais qui révèle

Un rebelle contre l'éternel

Sans obstacles mais avec tacles,

Où quand je monte sur une jument

Je mens comme ma poule hein,

Où j'arrête mon manège 

Si jamais c'est un sacrilège,

Que je me donne en spectacles

En sautant les obstacles, mais avec tacles

Of course en relevant,

Et en caressant

Dans le sens du poil mes poulains,

Où il faut que je cherche une aiguille

Dans une meule de foin,

Si jamais j'ai faim et que je me redécouvre clandestin

De cette vie à l'élevage,

Qui n'est pas toujours de l'esclavage, 

Mais où il faut que je trouve anguille

Sur roche au bistrot d'en face,

Où j'aimerai mettre en préface

Un visage qui tienne place,

Tout en sirotant une bonne tasse de café

En prenant la vie du bon côté

Et en jouant au tiercé pour demeurer très à cheval,

Car en général, je joue à la loyale

Et on me donne mon aval 

Sans que je sois en cavale,

Car c'est ici que mon ami râle, mon amiral

Et que je mousse aillons, 

Comme moi et mes mousses, nous moussaillons

Et que je me donne en spectacle,

En sursautant les obstacles mais avec tacles

Très à cheval,

Mon général,

En face à face frontal,

A plus pour la générale.

 

Jérôme de Mars

 

 

A vous le  !

 

Pour beaucoup,

Pour beaux coups,

A vous le Jérôme !

Que tu t'en fous

De tout, 

Car tu te dévoues,

Et que tu dis vous

Dont avoue-le Jérôme !

Que tu n'as le bon Génome

Et le bon atome crochus

Mais un hématome ingénu,

Où à vous le !

Tu te crois fichu

Dans ce fouillis très corrompu

Et couillu,

Où l'ennui te guette

Et que tu es à la quête

D'un moi, je plus heureux

Et plus Moyen-Age je,

Où avoue-le t'as besoin d'un peu  !

D'affection dans ce corps si douloureux

En décomposition,

Mais où tu signes des compositions,

Entre hallucinations

Et déraisons, des raisons,

A vouloir réparer

Et combler

Toutes tes injustices,

Les plus immondes

Qu'on t'a commises nauséabondes

Sur le quai des brumes,

Où tu t'enrhumes

A vous le Jérôme !

Comme il faut qu'on te greffe

Sans griefs,

Une personnalité

A la gentillesse davantage ronde

A la ronde,

Qui féconde

Plus d'allégresse

Et de tendresse,

Pour guérir tes maladresses

A l'adresse

D'un meilleur monde

Sans fronde, 

Car avoue-le Jérôme !

T'aimerais connaître

Quelques bonheurs

A la bonne heure,

Et renaître

En vigueur

Dans un séjour enjoliveur

Sur La Terre,

Car après la colère

Vient l'heure de l'itinéraire

A choisir

Et à élire, après la lyre, 

Car avoue-le Jérôme !

Pour beaucoup,

Pour beaux coups,

C'est maintenant ou jamais

Que tu as le droit au bonheur !

Avec de la clarté

Et des couleurs

A vous le Jérôme !

 

Jérôme de Mars

Et nœud !

 

Comme un nœud

Dans l'estomac,

Je suis haineux

De par mon état

Avec mes tracas,

Qui me conduisent

Petit à petit

Vers le trépas,

Où je m'enlise

Et nœud,

Avec un manque d'appétit

Dans cette existence,

Qui résonne comme la sentence

D'une vie dans la pénitence,

Où je représente pour beaucoup,

Pour beaux coups,

Une grande insignifiance

Dont mon estomac

Sonne creux,

Comme je suis haineux

De mon état et nœud,

Où il faut que j'en déduise

Que je vais mourir à petit feu,

Proche des cieux

A mouiller ma lourde croix,

A Dieu pour que j'en réduise

Mon fardeau 

En l'allégeant sur l'écriteau,

Bienvenue au pays des anges

En volant avec mésanges,

Car après l'enfer,

Le paradis,

Cher poète maudit

Dont je dédie,

Ce message mortifère

A bientôt dans un monde meilleur !

Avec un soleil plus généreux

Et miséricordieux,

Avec un accent régénérateur

Dans l'opulence,

Et la magnificence 

Sans aucune réticence,

Dont j'aurai la licence

Avec en effervescence

Plus de message haineux,

Mais des mets sages délicieux !

Et un léger mieux,

Car c'est là à ce moment ténébreux,

Douteux, fameux et fabuleux,

Que je ne serai et nœud !

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blagues :

 

 

 

1)  Paul et Paule sont un couple marié très uni, qui est-ce-qu'elle suce Paule ?

 

 - Paupaul

 

 

 

 

2)  Que demande une abeille mâle à son abeille femelle ?
   - Il lui demande de lui pomper le dard

 

                                        

 

                                        Jérôme de Mars

Quand les vivants aiment la mort, les morts aiment la vie

 

Nom d'une poésie,

Si la vie 

Nous fournissait le devis

D'une vie réussie,

On n'aurait des remords

Si on démord

Qu'une fois morts,

On mord 

Le mors de la vie,

Quand les vivants aiment la mort

Sans remords,

Et que les morts aiment la vie

Entre vie et devis, deux vies,

Partagés entre remords

Et le devis qui dévie

La vie,

Et nous plonge dans une eau de vie

Pour oublier les soucis de la vie,

Nom d'une ode qui sourit

A la vie et qui mord l'ennui,

Et le mors qui mort à la mort

Pour qu'elle soit nourrie

De poésie et de fantaisie,

Quand les vivants aiment la mort

Et que les morts aiment la vie,

Pour que la vie sourit à la mort

Et que la mort rit de la vie,

Même que le vivant en démord

Que la vie vaut la peine d'être vécue

Et parcourue dans l'absolu,

Car seul le vivant se veut ravivant

En déviant la mort du droit chemin,

Pour reprendre la main

Sur la vie qui vit après la mort,

Si jamais il y a une vie après la mort

Sans qu'on en démord,

Pourvu qu'on n'ait des remords

De la vie à la mort, 

Et de la mort à la vie amie

Qui dévie des vies, 

Ainsi pour la vie,

Et après la mort, l'ennui et puis

La vie qui resurgit,

Au-delà de la mort pour plus de vie

Nom d'une poésie

D'une petite mort réussie dans la vie,

Pour être près des vivants vivant dans la mort

Et des morts vivant dans la vie d'après qui dévie

Des vies de la vie à la survie, ravivant les remords

Une fois qu'on est mords à l'infini,

Car ainsi vont la vie

Et la mort,

Surtout quand les vivants aiment la mort

Et que les morts aiment la vie,

De morts et de remords qui dévient 

Jusqu'à la vie, et de la vie qui en démord

Que les morts doivent avoir des remords

De ne plus être en vie, car ils ont envie

D'être morts, sans qu'on en démord qu'on mord

Aux morts de la vie et au mors de la vie,

Comme on en démord qu'on mord

A la vie

Sans remords,

Haut de vie, on a le devis de la vie,

Quand les vivants aiment la mort

Et que les morts aiment la vie.

 

Jérôme de Mars

Oh ! mes gars !

 

Alpha oh ! dégâts !

Hauts !  des gars !

Oh ! mes gars !

Y a des gars !

Comme y a dégâts !

Oh ! mes gars !

Alpha Oméga

Hauts dégâts !

Oh ! mes gars !

Alpha oh ! dégâts !

Y a oh ! des gars !

Si y a hauts dégâts !

Alpha hauts des gars !

Oh ! mes gars !

 

Jérôme de Mars

Il faut que tu en parles avant qu'il ne soit trop tard 

 

Y a pas de lézard !

Vu ton état,

Qui se dégrade

Et qui fait que toi malade,

Tout le monde te balade

Dans des salades

Vu ta tare, 

Où t'en as marre  !

Et où tu t'amarres !

Pas loin du rivage

A prendre naufrage

Dans le trépas de l'au-delà,

Il faut que tu en parles

Avant qu'il ne soit trop tard !

Avant que tu passes à l'acte

En rompant le pacte

Dans le tintamarre,

Car t'en as plus rien à foutre de tout  !

Vu qu'on t'ignore comme dans les égouts

Où pas beaucoup te comprennent,

Car ils se méprennent 

A ton sujet dans ce bordel monstre,

Qui te ronge de l'intérieur et qui te défonce

Dans la peur et la colère,

De toi en manque de repères

Loin de ton repaire,

Où manque ta mère

Pour faire la paire,

Et vu ton état sulfureux

Il vaut mieux

Que tu en parles

Avant qu'il ne soit trop tard,

Et que ta tare

T'emmène aux cieux,

Car t'as plus rien à perdre !

A part 

Te tirer une balle dans la tête,

A bout pourtant 

En supplément

De tout ce fardeau, 

Où tout le monde te jette

Aux oubliettes,

En allumant les allumettes

Et en les jetant

Une fois obsolètes,

Comme un panse-bête

Alors que tu n'es bête,

Car tu penses-bête  !

Mais ne penses bête,

Car il faut

Que tu panses bête

Pour te soigner la tête,

Alors pour cela

Il faut que tu en parles 

Avant qu'il ne soit trop tard,

Car regarde

Le monde  !

y a pas que toi  !

Qui le sonde,

Car plus tu gardes

Les choses pour toi,

Plus tes ecchymoses

Osent en overdose,

Te mettre en danger

Pour toi 

Et pour les autres,

Si jamais tu passes à l'acte

Et que tu romps le pacte,

Si un jour tu te vautres

Dans la violence,

Avec pour seule urgence

Ton appel du pied

Pour rendre ce qu'on t'a fait, 

Mais dont tu risquerais

De te jeter dans un guêpier ,

Alors pour l'éviter,

Fais un appel du pied !

A contre pied 

En prenant ton gai pied,

Pour aller mieux

On espère tous un jour  !

Et pour toujours 

Durant ton séjour

Sur La Terre,

De préférence

A faire le bien

O combien  !

Salutaire et nécessaire

Pour te sortir de cet enfer,

Et rentrer pour de bon dans la lumière

A des années-lumière

De l'ombre de ton histoire,

Qui date de la préhistoire

Même si ce qu'on te dit,

Pour toi est secondaire

Et élémentaire

Vis-à-vis de toi, le poète maudit,

Car souviens-toi  ! qu'il y en a tout de même

Qui t'apprécient quand même,

Malgré tes problèmes

Et tes côtés,

Sombres à l'ombre

De ta pénombre, 

Aux à côtés restés

Sur le carreau,

De ton cerveau réduit à néant

Dans le chaos et les quiproquos,

Où avant de finir en poussière

Dans un ciel de misère,

Errant dans les couloirs du temps

A ruminer dans un monologue,

Caduc et qu'à Duc

Avant de te jeter d'un viaduc,

Ou d'un aqueduc 

En coupant les ponts, 

Avec tout le monde à quoi bon ?

Et de rejoindre un ciel nuageux

Avec des nuages à l'horizon,

De ta vie à l'abordage fastidieux,

Mais remets-en toi à Dieu  !

Pour lui évoquer tes soucis à Dieu !

En espérant que tu iras mieux

D'ici là pour être plus heureux !

Malgré ton passé pluvieux,

Mais pour l'amour du ciel,

Et pour te recentrer sur l'essentiel,

Oublie-le ci-possible !

Pour vivre un avenir plus comestible,

En oubliant un peu 

Tes penchants haineux,

Venimeux et vénéneux, 

Pour t'inspirer radieux

Vers un monde joyeux,

Et pour cela

Pour que tu te sentes mieux

Et heureux

Dans la joie et dans de la soie,

Garde la foi  !

Mais y a pas de lézard !

Pour clore cet épilogue,

Il faut que tu en parles

Avant qu'il ne soit trop tard.

 

Jérôme de Mars

 

Faire contre mauvaise fortune bon cœur

 

En une,

Faire fortune

C'est bien,

Mais on n'emmène

Pas l'argent 

Au cimetière,

Car de toute façon

De quoi, on va en faire  ?

Une fois qu'on sera mort

Avec nos remords

Et nos chagrins, 

Au rythme du ressort

Si on s'en sort et on en ressort

Avec un trésor,

De si la vie a une véritable destination

A part travailler

Toute sa vie dans l'obscurité,

L'insécurité et l'insalubrité

D'une société en manque de propreté,

D'intégrité et de respect

Dont il faut qu'en étrennes,

Faire contre mauvaise fortune

Bon cœur,

Sans rancune

Et sans lacune,

En harmonisant 

Le temps

Avec vigueur,

Et le retenir avec rigueur

Dans ce qu'il y a de sauveur,

Avec douceur

Sans la peur

Au ventre qui nous coule de liqueur,

Comme le monde aigri

Avec noirceur,

Dont il faut à la une

Faire contre mauvaise fortune

Bon cœur,

En se remettant

En questions,

Où tout nous oppresse

Comme en une,

La presse qui nous stresse,

Avec des résolutions

En solutions,

De ce qui nous inquiète

En quête,

D'un monde plus enjoliveur

Aux rives du paradis sur Terre,

En y récoltant ce qu'il y a de saveurs

Avec différentes facettes,

Pour y dénicher les recettes

D'un peuple plus solidaire,

Malgré les carences de la société

De consommation,

Qui ne remplace l'affection

Par de l'incitation

A trouver le bonheur

Dans de l'argent,

Placé et déplacé

Dans le jeu de cette erreur,

A se demander qui sera le meneur

Et le meilleur  ?

Pour ravitailler ce monde sous perfusion

Sous tensions avec des dissensions,

Dans la quatrième dimension

Et sous anesthésie profonde,

Car on y féconde 

Une société du gâchis pour le fric,

Pour y démanteler les services publics

Au nom de l'égoïsme et de l'argent roi

Avec La France dans cet état-là,

Comme la santé

Qui reste en prison,

Dans les insanités

Et les vanités

Des PDG du CAC 40,

Dont ça leur tente

Si on leur intente

Un procès verbal

Dans un face-à-face au pénal,

S'ils se croient supérieurs

Et méprisants

De la classe ouvrière

Et du manque d'infirmières,

Dans une société infirme

Qu'on malmène,

De cette façon 

Et en contrefaçons,

Dont on traite avec une telle manière

La firme,

Car le président ,ce bouffon-là

L'affirme !

Seul l'argent l'intéresse

Au détriment

De la détresse,

Des gens dans le besoin

Face à ce perpétuel boucan

Des tourments innocents,

Dont il faut faire contre mauvaise fortune

Bon cœur,

Pour espérer 

Avec volonté

Un monde meilleur,

Plus gai

Et plus transparent,

Sans prendre de gants

Avec les magnats des grandes fortunes,

Pour que la roue de la fortune

Tourne à l'infortune

Des nantis,

Pour nourrir de fortes tunes

Les petits,

Qui triment

Chaque fin de mois,

En joignant les deux bouts

Et en s'ensorcelant de marabouts,

Pour garder espoir en ayant la foi

A la une,

Et sans rancune

D'un monde moins dans la finance,

Comme les hôpitaux qu'on saigne

A coups de matraque

Et de châtaignes, 

Avec ma traque

Pour faire des hôpitaux

En réanimations,

De puissants maux

Au diktat de l'argent sale

Et immoral,

Où l'on considère

Les malades,

Comme des clients

Impatients et arrogants

Qu'on ballade,

Comme l'argent est roi

Pour vider toutes leurs perfusions

Et leurs provisions,

Pour que la contagion

Soit générale 

En France,

Et menace la santé

Et la bonté

Des soignants,

Autant que des patients

Avec une liberté de ton,

Qui choque

Avec élucubrations,

Comme des électrodes

Qui taraudent

Les électrochocs,

De ceux qui retournent leur conscience

Pare-chocs,

Car leur vertu est en toc

Dans ce monde du troc,

Où tout s'achète 

Avec des machettes,

Pour faire ses emplettes

Comme les personnes lambdas

Dont on finira par en faire une tombola,

Pour soigner les gens

En difficultés financières

Et en manque de repères,

Dont pour éviter ce vieux serpent

De mer

Qui risque de détruire l'humanité toute entière,

Ayons pour cela

Une clause de conscience 

Dans la confiance !

Avant l'échéance

De nos fins de vie, car si jamais

Il y a la défiance  !

Ca finira en contumaces !

Si jamais il y a une menace tenace

Et coriace qui nous terrasse

Dans la violence,

Dont pour éviter d'en arriver là

Dans un monde à découvert

Sur La Terre,

Réagissons et prenons

Des décisions charnières !

Pour assurer nos arrières

Et ainsi assurer un avenir prospère,

A la génération d'après

Sans frontières,

Auprès de laquelle il nous faut renouer

Avec la fierté d'être Français,

Pour faire contre mauvaise fortune

Bon cœur,

A prendre par cœur

En une, 

Sans rancœur

Et sans rancune,

Car vlà à cet endroit là  !

De la joie alléluia 

A la bonne heure.

 

Jérôme de Mars

Et pas nuit

 

Nuit tombée

En retombées,

Epanoui c'est vite dit  !

Parce-que et pas nuit

Dans le noir morbide,

De sa double face obscur

Avec la pleine lune, 

Qui rentre dans le crépuscule

Avec la rancune et en lacunes,

Que subit ce moment qui bouscule

Et bascule vers une période insipide

Face Terre qui va dans le mur,

Car épanoui

Dans le jour,

Et pas nuit

Dans le contour

Sinistre d'un clown triste,

Qui ne rit puisqu'il pleut

En pleurant en haut des cieux, 

Faute d'avoir trouvé la paix humaniste

Dans son travail d'artiste toujours seul,

Et qui ne fait le deuil 

D'autant et pas nuit,

Qui rappelle épanoui

Les remords de l'ennui

A l'an nuit,

De répondre à ses questions

Les plus profondes,

De plus en fécondes en fronde

Dans une équation en profusion,

Où s'en foutre de tout est l'unique option

A moins d'une réconciliation, après la scission

Avec la nation

A distance de la rébellion,

Où il s'en moque de déchoir

Dans des hallucinations,

Si jamais il a le cafard

Et un manque d'espoir 

Jusqu'à l'ennui

Epanoui,

Qui l'an nuit

Et pas nuit.

 

Jérôme de Mars

 

Déprime, des primes

 

En prime

J'imprime

Que j'exprime

Déprime

En prime

Des primes

Dont je me comprime

Et je prime

En prime

Déprime

Que j'imprime

Quand j'exprime

En prime

Déprime

En prime

Des primes

Qui priment

En des primes

Avec en prime

Déprime

Qui me comprime

En prime

Qui prime

Et qui supprime

Mes primes

En déprime

Des primes.

 

Jérôme de Mars

Rien ne sert de courir, il faut partir à point 

 

D'après La Fontaine,

Fontaine, je ne boirai ton eau,

Du fruit de mes maux

Avec mon immense peine,

Où pour s'y tenir

Et ne pas subir

La force du destin,

Rien ne sert de courir,

Il faut partir à point 

Comme on n'est à la virgule près,

Mais qu'il faut s'assumer

Et être dans un corps d'adulte,

Malgré sa vie d'enfant passée

Dans le tumulte

Tous azimuth,

Où le virus en nous mute

Et nous répercute,

De plein fouet

Avec l'uppercut

Du martinet frappé,

Où d'après La Fontaine

Jaillit notre fontaine,

Dans un puits infini

De notre madeleine

De Proust, qui coule meurtri

Dans des choses pas si jolies,

Dont on essaie de se démener

Pour qu'elle nous égaye 

Un petit peu

Près du jardin d'Eden,

Même si la vie nous bégaie

Avec la pagaie,

Qui rame

Et qui nous amène

Dans un drame,

En mélo-drame

A la trame

Et à l'issue incertaine,

De par notre folie

Des grandeurs hautaines,

Et puritaines

Sur la plaine,

Qui nous emmène

Vers des terrains,

Dont notre domaine

De prédiction

A l'intuition antérieure,

Ne veut plus souffrir

En contagion

Dans le postérieur

D'une vie mineure,

Mais s'en sortir

Sans artifices

Dans une paix,

Qui nous immisce 

Et nous glisse

Avec douceur,

Vers de ce qu'il y a

De meilleur,

Dans  notre âme humaine

En gardant une lueur

D'espoir et en franchissant

De grands pas,

Sans histoires

Dans un élan de nulle pareille éclats

De rire,

Au coin du soleil

A se bronzer rieur

Dans une posture d'ailleurs,

A rêvasser de nos prunelles

Pour nous ragaillardir

Et maudire

Les drames de la vie,

Qui incendient

Nos êtres intérieurs

Et personnels,

Dans ce qu'il y a 

De plus confidentiel

A l'amour de nos chers devenus

Des êtres d'individus,

Qu'on ne reconnaît

A part aller vers l'inconnu,

Dont nul ne le sait

Ce que demain

Nous apportera

Dans nos choix existentiels,

Mais dont on se contentera

Avec petits pas

Pour limiter les dégâts,

Car oh ! les gars !

D'après La Fontaine,

Malgré nos peines

Qui remplissent ta fontaine

D'une pléiade de mots,

Voici notre vieille rengaine

Pour boire ainsi 

Et à l'infini

Ta fontaine,

Qui jaillit

Et que je remplis

De jolis mots,

Dans un bordel

De méli-mélo,

Car à la force du destin

Et pour souscrire

A la vie,

Rien ne sert de courir

Il faut partir à point. 

 

Jérôme de Mars

Or sujet

 

A sujet-il  ?

Assujetti ,

Or sujet

Dans le hors sujet,

De quel est le sujet

De la question  ?

En espérant obtenir

Une réponse à cette équation,

Sans subir

Le doute

Et la banqueroute

Du hors-jet

Or sujet,

S'il est assujetti

A ce sujet-il  ?

Mais où est donc 

Or ni car  ?

Sinon dans un rencard,

En faisant du ping-pong

Dans un diphtongue 

Avec tes tongs, 

Où dis-tu  ?

Si tu es sauvé par le gong

Dans des choses saugrenues,

Or sujet

Si t'es hors sujet,

Car dt'es dans le brouillard,

Où tu réfléchis à nulle part

Où aller sauf si tu sauf

Ou que tu es beauf ,

Dans les allées

Et les venues,

Si jamais tu as bien bossé

Ton sujet ,

Assujetti 

Et à quel sujet-il  ?

Hors sujet

A ton sujet,

Or sujet.

 

Jérôme de Mars

Qu'à ta strophe

 

Vers de poèmes du cataclysme,

On s'approche de l'apocalypse

Dans une lunatique éclipse

Dans son overdose d'égoïsme,

Où l'on file tout droit

Et par étroit

Vers la qu'à ta strophe,

Que la catastrophe

Apostrophe limitrophe

Dans cette strophe

En explorant les aventures,

Qui filent vers la nature

De Christophe Colomb,

Qui coupe le cordon

Si nous nous accordons

A explorer les pérégrinations,

De Michel Strogoff

Si jamais on va jouer au golf

Du Golf-Drouot, 

Dans une impro

En partant,

Et en s'en allant

Donner une représentation,

Dans le Golfe 

Du Var,

Papier buvard

A la main

Au p'tit matin,

Si jamais on file droit

Dans le détroit

Vers la qu'à ta strophe,

Que la catastrophe

Apostrophe limitrophe

Dans cette strophe,

Que je fignole

En tête de gondole

De Venise,

Qui fait le tour de Pise

En tombant la chemise

Avec Zebda,

Qui fait là

Son beurre

Avec du dur labeur,

Où on ovationne

Les gestes qu'on affectionne,

Au sillon

Du tourbillon

De la nation,

Qui fait front

Avec la contagion,

Qui aussi fait légion

Avec L'Armée,

Comme de l'humanité désarmée,

Où il faut rétablir la paix

Et la liberté

Dans l'osmose

Du cosmos,

Avec un espace

De gestes barrière,

Pour faire face

Tous ensemble 

Avec nos œillères,

Qui ne tremblent

Car qui se ressemble

S'assemble, 

Sans qu'on semble

Des imposteurs

Parmi les leurs,

Où leur de rien

A pas d' leurre  !

On chante le refrain

Tous ensemble,

Avec bonheur

Si on rassemble

Toutes les bonnes volontés,

A dépasser

Leurs mentalités,

Pour le bien

De l'humanité,

Pour traverser

La Manche,

En se retroussant

Les dix manches

Avec pour dernière strophe,

Des rimes limitrophes

Qui apostrophent

Après la catastrophe,

Rien qu'à ta strophe.

 

Jérôme de Mars

Avec les maracas, c'est la baraka !

 

Hop là !

Que la musique démarre

En fanfare  !

Avec des trouvailles

D' troubadours qui tenaillent 

Qu'avec les maracas,

C'est la baraka  !

Top là quand on est à l'étroit

De Gilbraltar   !

Aussitôt il est tard  !

Avec les marrons chauds,

Artichaut ambiance torride 

Et humide

Dans des bungalows,

Qui font l'amour

Entre deux passes,

Qui font face

Qu'avec les maracas,

C'est la baraka  !

Dans une période faste

Du Nord-Irlandais très Belfast,

Tantôt rigolos

Et tantôt gigolos  !

Avec des machines

Qui s'dandinent,

Pendant que les gens dansant

Dedans dînent

Dans un salon de thé,

A siroter du bon café

Dans un salto mambo

Sur le préau, pré haut

Sans tracas

Et sans fracas

En encas,

Dont on ne fait en cas

Qu'avec les maracas,

C'est la baraka !

Et la grande darka

Avec Cyril Hanouna,

Dont y a de la joie  !

Qui traînait 

Avec Charles youpi hourra,

On se marre à l'accoutumée

Une fois n'est pas coutume

Dans ce jeu de masques et de costumes,

Où avec vergogne,

On fait la basse besogne

Vers La Bourgogne

Dans la langue de bois de Boulogne,

Pour que ça reste dans les annales,

Quand on appelle votre numéro

A contrecoup de banjo,

Djobi Djoba 

Des Gipsy Kings 

Au King

Elvis Presley

Pour qu'ils passent à la télé,

Car en coup de sifflet final,

Rien de plus inaugural

Et original

Que d'envoyer en signal,

Un succès triomphal

Dans le mouvement du mistral,

Comme avec les maracas,

C'est la baraka !

 

Jérôme de Mars

En marche du système

 

Système D

Ca me tape sur le système,

Car j'aime

Le système et D,

Comme je suis en marche 

Du système,

Dans ma démarche 

En marge du star-système, 

Comme je suis en marge en Macron

Et que je prends le large face à ce con

Qui ne compatit au macaron,

Car il préfère les rubiconds féconds,

Faits cons du système 

Dans la fronde des chrysanthèmes,

Qui abondent en marche su système et D,

Car moi, je suis en marge du système D

Et que je suis un marginal qui me rebelle

Contre le système actuel,

Car moi personne ne m'achète,

Même si on me délivre des bouquins Hachette,

Car  à ces cons-là

Comme à Macron et bah, 

A couteaux tirés, je leur plante des machettes

Ebats, en tombant bien bas ,où avec une hachette

Je déterre la hache de guerre,

Pour aller en enfer, avec ma langue de vipère,

Comme Macron, je l'envoie voir les cons

Avec les rubiconds, faits cons, féconds

En contradictions en marge su système et D,

Car Macron lui fait de la politique en marche du système D,

Où moi, je nique et fornique

La politique hypothétique et synthétique,

Où je suis en marche du système,

Car en marge du star-système

Qui me tape sur le système,

Où plus personne ne s'aime

Déjà que je m'affranchis de tout ,

En prenant le gauche et en ayant une bonne droite

Très recentrée sur l'essentiel des grands manitous,

Que sont le sérail et l'état-major dans l'apolitique très étroite,

Où il n'y a plus de clivages,

Mais le dépassement des rivages à l'abordage

De la tentation des extrêmes,

Les seuls qui vaillent de plus suprêmes

Pour Les Français, comme le groupe NTM

Dans le harem du totem en marge du système,

Où pour une fois

Et la dernière foi,

En tout et pour tout

Je joue mon va-tout, 

En terminant ces notes salées

De bonne facture sans faire de fausse-note acidulée,

Car il vaut mieux paraître en marge du système et D

Pour être a fortiori en marche du système et D

Et ainsi prendre le large du système D,

Car j'aspire à être en marge du star-système 

Pour rester en marche du système.

 

Jérôme de Mars

L'écume des barrés

 

Complètement taré, 

Je me fais rembarrer

Dans l'écume des barrés,

Quand je me barre

Comme Gainsbarre,

Et que je fais la tournée

Des bars,

Où je me tape une barre

Dans l'écume des barrés,

Où je me fais rembarrer

Et débarrer, 

Dans des barrées 

Comme Gainsbarre,

Où je me barre

Complètement taré

Dans l'écume des barrés,

Où je fais la tournée

Des bars,

Et qu'on me rembarre,

Sauf si on me barre

Le passage pour me taper

Des bars,

Et pour savoir si je me barre

Du côté de Gainsbarre,

Dans un retourné de barré

Et complètement débarré, 

De l'écume des barrés

Presque finie la tournée des bars,

Où je me barre complètement barré

Dans des barrées 

Comme Gainsbarre

Qui me rembarre,

Où je me tape une avant-dernière barre,

Car ça y est progressivement je me barre

En prenant du recul avec la barre

Du navire,

Comme je chavire

Irrémédiablement oublié,

Dès l'écume des barrés

Dans un échafaud bafoué

De ma relève dans une échappée,

Complètement rescapée

Dont je suis réchappé

Dans une échappatoire

En un réquisitoire d'exutoire,

Dont en débarrée

Complètement rembarrée,

J'arrête des barrées

Complètement taré,

En quittant le bord des marées 

Définitivement rembarré,

Comme Gainsbarre

Dont je me barre

En me tapant l'ultime bar,

D'après le code-barres

De l'écume des barrés.

 

Jérôme de Mars

Ces jours nés

 

De par cette essence,

Ca part dans tous les sens  !

Cette journée

A séjourner

Ces jours nés,

Dans l'immensité

Et la densité,

De la richesse 

De la matière

Sur la planète Terre,

Avec de la souplesse

Et de la prouesse,

Quand ces jours nés

Ont séjourné

Cette journée,

Dont on a ces jours nés

Dans la paresse

Et la délicatesse,

Des jours nés

En journées,

Dont on a séjourné

Dans une quiétude

De silence et d'insouciance,

Durant une plénitude

Avec clairvoyance,

Où l'on prie avec sagesse

En cette journée,

Qui a séjourné

En ces jours nés

Chaque journée,

Dont avec quintessence

On parle de renaissance,

De l'antiquité

A la modernité,

Avec dextérité

Dans la postérité,

De cette journée

Qui a séjourné

En ces jours nés,

De cette journée

Qui est ajournée,

Car cette journée

Est à jour né,

Où l'on a séjourné

Et où l'on a ces journées,

En cette journée

De ces journées,

Où l'on a ces jours nés.

 

Jérôme de Mars

Les jours hypocondriaques

 

Nuits mâtinées insomniaques,

Nous semblent les jours hypocondriaques 

A se marteler nostalgique qu'auparavant,

On avait la niaque bien souvent

Et que le soleil nous lézardait souriant,

Avec du répondant pendant les jours hypocondriaques,

A réfléchir sereins de pourquoi Cupidon

Nous a reflétés sa lumière de grande compassion,

A l'égard de si l'amour joue les troubadours maniaques,

Lorsqu'on avait la mégalomanie et la mélodie

Des onctueux déjeuners au soleil à Midi,

Pendant que la pluie chatouillait le soleil

A coups de parapluie paratonnerre qui ruisselle

L'odeur au réveil du petit matin,

A songer en malade imaginaire de quoi sera composé

Les lendemains au bercail à penser et à suggérer,

Lorsque les jours hypocondriaques

Nous feront prendre des aphrodisiaques paradisiaques,

Pour avoir la niaque au toucher édulcorant des oursins,

Ours seins mal léchés, d'où l'on vous donne rendez-vous l'été

Prochain si tout va bien  !

Dans lequel il y aura encore des vacances à pavaner

Sur la mer aux rochers, déversant la colère d'outre-mère

Des versants du relief, de quand la misère

Revêtit sa panoplie sincère,

En brocardant et en regardant cette chimère,

Et en incarnant au théâtre un jeu de rôle d'Andromaque,

Car remarque, il y a en continu les jours aphrodisiaques.

 

Jérôme de Mars

                                                   Blague :

 

Paul et Paule sont un couple marié très uni, qui est-ce-qu'elle suce Paule ?

 

 - Paupaul

 

 

                                           Jérôme de Mars

Singulier, pluriel

 

Je tue il

Sur mon être singulier,

Où je dis nous

Aux êtres pluriels,

Que je dénoue

Et dont je me voue

A vous

Au garde-à-vous,

Quand je me dévoue

Et que je renoue singulier

Avec vous au pluriel,

De par l'auxiliaire de vie être

Et avoir dans l'auxiliaire du par être,

Où elle est Suisse,

Elle essuie,

Moi, je tue il ou elle

Si je tue nous ou vous,

De par son être à avoir

Une auxiliaire de vie,

Qui renoue avec vous

Et qui se voue à vous,

Quand elle dénoue 

Et qu'elle dévoue 

De nous à vous

Et de vous à nous,

Quand je tue elle

Dans son il,

Et qu'on renoue 

Avec vous,

Auxquels on se dévoue

Et avec lesquels on dénoue,

Quand on se voue

Au garde-à-vous,

Ile ou ailes,

Singulier, pluriel.

 

Jérôme de Mars

 

Poème décalé

 

Vie de bohème allongée j'attends le café frappé  A L L O N G é

Ou long au long cours de ce poème d

                                                         é

                                                         c

                                                         a

                                                         l

                                                         é

 

Que j'ai calé, accolé et décodé un p eu n'1porte où

Si jamais il est recalé en deuxième année

 

Où j'ai décidé qu'il serait farfelu et dégusté dans

 

 

De la pure f

                  a

                    n

                      t

                       a

                        i

                         s

                           i

                             e

 

De ce poème recalé, calé et décalé  d ans ce m o n d e à l'envers

Du décor en vers et en verve

 

Car vive les vers de terre et les vers de mers  sur Terre 

 

D'où je suis rassis à six pieds sur Terre à taire 

 

 

Ce poème saugrenu et farfadé en mettant la main à la patte

 

 

Et d'oU J E cLaMe sur ma barque 

 

Dont je mène ma barque car ici là bientôt que j'embarque

 

A remord  de ce poème DécALé, car je suis définitivement recalé

 

En deuxième année dont je débarque

A tribord sur le rebord du bateau qui me mène en bateA

                                                                                       U

 

Point.  nA

              uFrAgE  

  à l'aboRDAGE  de ce poèMe Décalé

 

Dont j'AI DéRAngé la cale laid très OLE OLE 

 

En REFERmant   S

                              e

                                p

                                  T

 

                                   P

                                     a

                                        G

                                            e

 

 

   Point.

     D

     '

    A

   c

  C

  O

s

 T

  A

  g

   E

   .

 

Jérôme de Mars

La France a le pied nickelé !

 

Nickel 

Soi-disant pour untel,

Si tout allait bien,

On le saurait tel

Que bel et bien,

On connaît l'éternel

Même refrain,

Que l'on vit dans un monde

Qui féconde,

Artificiel et partiel

Les croyants de l'irréel,

Comme La France a le pied nickelé  !

Et qu'on a envie de lui hurler

Nique-les ces sales Français  !

Qui ne pensent qu'à leur gueule

Toujours bégueule 

Dans cette société casse-gueule,

Où c'est le chacun pour soi,

Car tout le monde est en froid

Et n'y croit,

Comme chacun porte sa croix  !

Et comme La France a le pied nickelé !

Et fonce

Et se défonce,

Car chère défiance nique-les  !

Ces sales Français

En odeur de Sainteté avec les hauts Dieu !

Et dans une mauvaise odeur d'impureté,

Avec ces personnages odieux,

Que sont Les Français qui traînent

Avec un flingue,

Car ils sont dingues, frappe-dingue

Et lourdingue  !

Jusqu'aux étrennes 

De Noël ma mère, qui ne les freine,

Comme La France a le pied nickelé  !

Et qu'elle ordonne aux étrangers  !

Etrangers à tout cela

De frapper dans le tas,

En leur scandant

A eux en se rongeant les sangs  !

Niquez-les ces chers sales Français  !

Qui s'en foutent de tout,

Avec pour seul va-tout tout ce fourre-tout

Dans l'offense du péché d'orgueil,

Pour pécher leur œil,

Qui s'rince l’œil devant des photos

Play-boy en bad boy du ghetto,

Avec leurs frères décents parmi leurs potos,

Où y a pas poto, mais y a photo  !

Devant l'objectif,

Qu'ils se fixent objectifs en affirmatif  ! 

Que si La France a le pied nickelé  !

Et ben chers Français étrangers 

Aux étrangers qui sont étrangers aux Français,

Niquez-les leur pied nickelé  !

En les réparant du bon côté,

Et enterrez-donc la hache de guerre  !

Pour repartir sur de bons pieds

En frères dans la lumière,

Car après ça, tout cela sera nickel   

Les français ! en prenant la vie du bon côté

Pour untel, où tout sera fidèle et nickel

Avec le pied nickel Les Français,

Où La France aura le pied nickel les

En des Saints de bandes animées !

 

Jérôme de Mars

Christophe a rejoint le paradis perdu

 

De ton aura,

Cher Christophe

On te rend hommage,

Toi qui est née

Le 13 octobre 1945,

Cinq sur cinq

Et qui t'écrias

En quatre uns,

Toi qui auras

Eté un chanteur légendaire,

Aux paroles et aux musiques

Populaires et extraordinaires,

Avec des R' qui roulent des mécaniques,

De ton mythe sacré

Et sacralisé,

Chanteur premier

Des femmes libérées,

De par ta musique enivrée

De tes sons modernes

Et ultra ternes, 

Eclairées de lanternes,

Où tu puisas tes mots 

Avec les vestiges du chaos,

Comme avec Aline,

Où tu voulus qu'elle te revienne

Malgré les pluies diluviennes,

Qui te chagrinèrent

En pleurant de tes larmes de cristaux,

Qui remplirent la piscine,

Où Aline te dit,

Je ne t'aime plus,

Car c'est une histoire d'amour

Qui s'achève,

Comme à la fin d'une partition

D'un cours de solfège 

En totale perdition,

En anticipant ton sarcophage,

Dont tu viens d'en faire l'usage

En prenant naufrage

Avec ta mort, 

Nouée de remords

Malgré tes mots bleus,

Où tu eus tout au long de ta vie

Comme un oh ! devis,

La note salée, 

D'une existence consumée

De par tes excès flous,

D'où ton succès fou

Avec des bleus à l'âme

Jusqu'aux cieux,

De ces dames infâmes

Dans Le Paris Paname,

Où c'est cette vie-là

Qui tira les ficelles,

De tes marionnettes

Du blues à la bluette,

Des paradis perdus

Que tu rejoins ici et là

Malgré les aléas,

Où ta vie fut une histoire d'amour

Entre toujours et qui tourna court,

Un coup main dans la main

Et tantôt dans des désordres libertins,

Un coup je t'aime

L'autre coût je ne t'aime plus,

Petite fille du soleil

Nue comme la mer,

Car j'ai entendu la mer

Et son mal de mer

Nue comme la mer,

Car ainsi Señorita,

Les jours où rien ne va

Ne raccroche pas

Ta dolce vita,

Avec les amoureux qui passent

Et qui trépassent,

Lorsque le soleil lézarde

Les ailes brisées de Daisy,

Qui s'en va errer 

Dans les paradis perdus,

Eperdus de toi,

Cher Christophe, 

Que j'apostrophe

Dans cet hommage,

Qui arrive bientôt

A son point d'ancrage.

Dont tu tiras ta révérence

Le 16 avril à Brest,

Complètement à L'Ouest

De ce Paris-Brest

Sans que ce soit du gâteau,

Comme tu t'envoles 

Avec les rossignols,

A la maison de ton repos

Eternel avec toute ta reconnaissance,

Qu'on te témoigne 

Avec le cœur empoigne, 

D'où on te dit 

Bon vent  !

Malgré les bourrasques

Des temps déclinants

D'où tu portas un masque,

Contre le virus des idées reçues,

Mais dont à partir de maintenant

Tu es le bienvenu,

Daniel Bevilacqua

Dans une belle vie à quoi ?

Au paradis perdu

Cher Christophe,

Où je finis cette strophe

En te clamant adieu

Jusqu'aux cieux haut Dieu,

De mon point de salut.

Où je referme cette page

En pensant

A toi,

Point d'ancrage.

 

Jérôme de Mars

La vengeance ou la revanche

 

Comble de chance ou de malchance,

Tu as le choix étanche

De choisir entre la vengeance

Ou la revanche,

Que tu sois en errances

Ou que tu flanches,

Malgré que tu aies fait amende honorable

Sur la table,

Auprès des pervenches

Avec l'addition salée,

Acidulée et accumulée

De tous tes malheurs,

Que parfois tu as peur

De reproduire,

Tellement qu'on t'a fait souffrir

Avec cruauté,

Et que tu as pour ennemi l'adversité

De tout ce qu'on t'a causé

En préjudice

Et en sévices,

Qu'on t'a fait supporter

Avec ces vices,

Qui t'ont engendré 

Des supplices,

Alors que personne 

Ne t'a rendu service

Avec ton état sulfureux,

Loin des yeux, 

Près du cœur  !

D'où tu as toute cette rancœur

Par cœur,

Dont tu essaies

D'en atténuer

Les ennuis,

En en parlant avec ton psy

De tous ces soucis qui te scient,

Avec un manque évident de chaleur

Humaine et de ferveur,

Dont on t'a témoigné 

Depuis ta naissance,

Car depuis toujours dans l'indécence,

Les offenses

Et sans défense

De ton innocence,

Dont tu payes le prix fort

A coups de métaphores

Dans tes poèmes,

Qui soufflent et souffrent d'emphysème

Dans un requiem,

Où tu n'aimes

Personne, comme ça résonne  !

Comble de malchance ou de chance,

Où tu as le choix étanche

Entre la vengeance

Qui te flanche,

Ou la revanche

Qui provoque ta résilience,

Car comme le disait Patrick Sébastien

Dans l'un de ses bouquins 

Pour ne pas que tu sois dans le pétrin,

Fais de ta souffrance

Quelque chose d'Azuréen  !

Car comme Patrick Sébastien

L'affirme avec entrain

Et boute-en-train,

Si de tout le mal qu'on t'a fait

Tu te venges dans le mâle,

Tu te referas à nouveau mâle

Dans une vie animale,

Comme les cannibales 

Où plus lourde sera encore ta malle  !

Alors que si tout le mal

Qu'on t'a fait,

Tu décides de prendre ta revanche,

Tu te serviras de tout le mal

Qu'on t'a fait,

Où tu flanches

Jusqu'à présent,

Pour faire le bien

Et enfin,

Faire tes malles 

Aux tourments

Du passé,

Et outrepassé le passé,

Pour te dépasser

Et te surpasser,

A vivre le présent

Et le moment présent

Avec du beau temps,

Car comme Patrick Sébastien

L'affirme

Et le confirme,

On a tous droit à une deuxième chance  !

Malgré les malchances,

Car demeure stérile

La vengeance,

Et perdure fertile

La revanche,

Car si jusqu'à présent

Tu flanches

Dans tes errances,

Comble de malchance  !

Sers-toi de ta deuxième chance  !

Pour éviter la vengeance,

Et pour ainsi prendre ta revanche

Avec une vie étanche,

Car il vaut mieux

Pour les cieux

Eviter la vengeance,

Pour en revanche

Prendre ta revanche,

En faisant amende honorable

Dans une fable affable sur la table

Auprès des pervenches,

Où tu as le choix étanche,

Entre la vengeance

Ou la revanche.

 

Jérôme de Mars

L'envers du décor

 

Encore des cors

Aux pieds en corps,

C'est l'envers du décor

En corps accords,

Accords à corps

D'un cor raccord,

Au cor décor

De chasse encore,

De l'envers du décor

Avec des records,

Des corps encore

Accords dans un corps

De cor accord,

De l'envers du décor

En corps encore,

En des corps décors

Dans un cor à corps

En accords,

Des records 

Encore raccords,

De l'envers du décor.

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blagues :

 

 

1)  Pourquoi n'a-t-on pas de reconnaissance avec moi  ?

     -  Parce-que j'ai tout le temps peur de l'inconnue !

 

2)  Pourquoi suis-je dans un très sale état psychologique ?

    -  Parce-que j'ai souvent des mots de tête !

 

 

                                         Jérôme de Mars

Versa-t-il  ? !

 

Sur mon il,

Versa-t-il

Versatile ? !

S'il déversa-t-il 

Presqu'il 

De mon devenir

A venir,

Avec le tumulte

Du blizzard,

De tout ce bazar

Au passage à l'âge adulte,

Où tout se répercute

De ce qui me persécute,

Qui me percute

De plein pied,

Avec ces plaies

Versatiles ? !

Versa-t-il

S'il déversa-t-il

Sur mon il

De presqu'il,

Où je marche sur un fil,

Qui ne tient qu'à un fil 

Et qui s'refile, 

Tout ce qui défile

Et qu'il enfile

En lui 

Avec des étuis,

Qui essuient

Ce profond mal-être,

Pour naître et renaître

Dans le paraître,

A vouloir s'jeter 

Par la fenêtre,

Versatile  ? !

Versa-t-il

S'il déversa-t-il

Toute sa rage,

Qui lui fait ombrage

Volatile

De par ses névroses volatiles,

Vola-t-il 

Le pain de sa vie  ?

Ou s'envola-t-il

Pour qu'il dévie

Du droit chemin

Tout ce pétrin,

Qui lui porte malheurs

En gage

De douleurs,

Dont on le dégage

Avec un tueur

A gages,

Qu'il engage

Versa-t-il

Versatile  ? !

S'il déversa-t-il

Et volubile,

A force de s'faire de la bile

Dans son il

De presqu'il

De pacotille,

Où pour ne pas rester 

Immobile avec son mobile,

Il lui faut trouver le mobile

De comment résister

Et faire face à l'adversité,

Avec classe

Et sans casse,

Car d'avoir un suivi

Ca limite les dégâts,

N'est-ce-pas les gars ?

D'où pour conclure 

En poète maudit,

Qui cherche une accalmie

Pour refermer les courbatures,

Qu'il faut avoir une ouverture

D'esprit, avec en zone de couverture

Davantage de folie

Dans l'écriture,

Car après avoir été volage

Dans ma rage,

Autant démarrer une nouvelle page,

En oubliant ces pages, cépages

Du mal de mère nécrophage,

Versatile  ? !

Versa-t-il

S'il déversa-t-il 

Sur mon il

En presqu'il,

En ayant pour réparation

Des points de sature.

Pour avoir en conclusion,

Des points de suture.

 

Jérôme de Mars

                            Blague :

 

Que fait une bite qui ne paye pas en espèces ?
- Elle paye en liquide

 

                     Jérôme de Mars

T'es là Tex  ? !

 

Rumeurs infondées

De tes humeurs fécondées,

T'es là Tex  ? !

Avec ton latex

Dont tu te préserves

Avec ton index,

Et que tu réserves

Pour ton ex,

Qui pointe

Du bout de ton latex

Si t'es là Tex ? !

Dont tu portes plainte

Du bout de tes ex crimes,

En crimes de lèse-majesté

Et en escrimes

De ton épée,

De Damoclès

En alèse

De sa majesté,

Où tu es très à l'aise

Car t'as toujours le réflexe

Et que ça te laisse perplexe  !

Tout ce latex

Si jamais t'es toujours là Tex  ? !

 

Jérôme de Mars

 

 

A contre-courant

 

A contre-courant,

Je pars en courant

Au courant,

Et concourant,

A contre-courant,

Encourant,

Secourant

Et parcourant

A contre-courant,

Accourant,

Au courant

Et recourant

A contre-courant,

Si je repars en courant

Secourant, 

Et concourant

A contre-courant,

Si je répare en recourant,

En accourant

Et en recourant

A contre-courant,

Au courant,

En courant,

Encourant 

A contre-courant,

Si je pare en courant,

Au courant,

Parcourant

Et à contre-courant,

De si je me mets au courant

Accourant,

En courant,

A contre-courant,

Encourant 

Le courant

Au courant, 

Car à contre-courant.

 

Jérôme de Mars

 

Grain de poésie

 

Après le grain de folie

Voici un grain de poésie,

Qui cultive le bien

Dans ce monde manichéen,

Où on saura pour une fois

A quoi ça rime ?

Tout ce va  

Et vient

Dans la frime,

Si ça va 

Et si tu vas bien

Dans tout ce pétrin,

A respecter tes prochains

Avec ci-possible, 

Un petit grain de folie

Mélangé dans un zeste,

Pour lâcher du leste

Dans ce grain de poésie,

Qui je l'espère fera des émules

Pour ne pas péter les fusibles

Dans une nouvelle formule

Magique et épique,

Avec des mots et une rhétorique 

De comment composer

Dans la paix et la sérénité,

Un texte compatible

Avec un élan comestible 

Et pas irréversible,

Où avec un petit grain de folie

Et une parcelle d'un grain de poésie,

On choisira les disciples

Qui représenteront en novices,

Les coulisses

De ce concours du plus érudit,

Dans la poésie

De génies en herbe

Avec le haut verbe,

Qui réunira 

Et associera

Les candides et les candidats,

En franchissant des grands pas

De paroles aux sous-entendus indicibles

De ce périple,

De peur que ce soit risible

Ces états seconds,

Qui sont contagion en légion et par région

Dans la religion,

Où il faut mettre en poésie

Tous ces débris,

Que sont la nuit 

Et le chacun pour soi,

De façon à ce que ce soit

Tous pour la foi 

D'un monde meilleur,

Pour que ce soit

Nulle part ailleurs,

Et dans des ébats

De l'amour roi,

Avec un grain de folie

Légitime mais sans frime,

De quelque chose qui rime

En un grain de poésie.

 

Jérôme de Mars

                          Citation :

 

Qu'est-ce-qui cloche le jour de Pâques ?

 

                     Jérôme de Mars

Pendant la nuit

 

Jour de Pâques si quelque chose cloche,

Le soleil avant son coucher hoche

De la tête la lune, car il sort avec elle

De ses jolies prunelles qui en pincent d'aquarelle

Pendant la nuit,

Lorsque les deux tourtereaux

Naïfs, se mettent aux fourneaux

Avec une mélodie,

Et réchauffent leur passion dévorante

Devant un bon gueuleton ,

Gueule-t-on ! comme une chanson

Et qu'ils retiennent comme une bluette fringante

Pendant la nuit, 

Avis aux amateurs de symphonie et d'harmonie,

Quand le soleil fricote avec la lune

Et que la lune se lève comme une dune,

A gravir du point culminant de leur idylle,

Qui attend la consécration lors de l'éclipse lunatique

Du soleil et de la lune lunatique,s ce jour-là comme dans un cantique

Avec une brindille 

De l'amour en secrets de polichinelle, 

Qui émerveille leurs courtoisies de dentelle,

Pendant la nuit

A réfléchir de leur vie s'ils veulent devenir hippies,

Paix et amour en un présent,

Qui reste une lueur rallumant

Cette pièce noire dans l'ombre vers la lumière

Du soleil et de la lune dans leur lune de miel,

En route vers leur croisière

Aimant de leur séjour d'amant pour goûter fidèles,

Aux plaisirs de leurs défis,

Pendant la nuit

A réconcilier le ciel

Et le soleil,

Autour des frères lumière

En un éclair

De lune, 

Dont en une

On célèbre le mariage du soleil et de la lune

Avec pour témoin les lagunes,

Qui patientent à venir de leur voyage de noces

Destination L'Ecosse,

En lune de miel 

Avec du miel dans leurs prunelles

Vers le paradis chéri de leur endroit favori,

Rendez-vous dans une nouvelle vie

Pour un monde plus joli,

Pendant la nuit.

 

Jérôme de Mars

Le bonheur existe-t-il sur Terre  ?

 

Message pas lapidaire 

Dans ce monde patibulaire,

Qui est proche de son éruption incendiaire,

Où je fais un inventaire 

De nous chers confrères,

Les congénères, les cons qui génèrent

Toute cette haine sur Terre,

Alors qu'on naît rien sur Terre,

On est juste des grains de poussière,

On est poussière sous les projecteurs

Et quand on meurt

On redevient poussière,

En amateurs sous la fraîcheur

Et la froideur

De ce monde, qui manque de chaleur

Humaine, chrétienne

Et solidaire,

Autour d'un café qui diffuse une odeur

De Sainteté, entre gens qui s'aiment,

Pour des choses qui en valent la peine

Et où ça nous laisse méditer,

Le bonheur existe-t-il sur Terre ?

Ou à moins que c'est à nous selon nos idées,

De nous le créer le bonheur à notre échelle

Et à notre manière,

Car le jeu en vaut la chandelle

Et qu'on se questionne 

Pour qu'on se raisonne,

De qu'est-ce-qu'on est sur Terre  ?

A part des soldats et des pions sur l'échiquier,

Qui marchent au garde-à-vous dans une époque très austère,

Du terre-à-terre au délétère,

Entre la clarté et l'obscurité,

Car de plus en plus on va dans le mur,

Avec nos côtés ternes et obscures dans nos faces contre-nature,

Même que la politique qu'elle soit de gauche ou de droite,

Ou au centre des extrêmes qui mettent en boîte cette France qui boîte,

Les Français à la place s'emboîtent 

Dans la défiance, l'ignorance

Et l'indifférence,

Car Les Français ne croient plus en la politique mais en l'apolitique,

Et quelque soit la couleur politique de notre monde question polytechnique,

Ou technique dans des théorèmes très arithmétiques, 

On en déduit que notre monde n'est pas si hermétique,

Que cela dans ces drames écologiques et thermiques,

Et qui nous fait prendre conscience métaphysique et statique,

Que jamais rien n'est figé

Et que tout peut s'arranger,

A condition qu'on soit dans l'éthique, pas les tics,

Mais pas tes tics, ni pathétique,

Mais qu'on soit dans la collectivité et l'activité,

Pour affronter l'adversité

Dans la fraternité,

Car quelque soient ce que veulent faire les politiques,

Qu'ils soient veules, ils ne pourront rien faire,

Si le ciel est en colère

Contre cette façon de faire,

Et qu'il décide de rompre ce climat crépusculaire,

Avec des tempêtes nécessaires,

Pour nous faire comprendre de remplacer les revers solitaires

Par le vers solidaire,

Car où il est intéressant d'agir 

C'est de s'investir

Dans des causes populaires

Et humanitaires,

Car c'est ici à mon humble avis

Que le bonheur existe altruiste,

Où on oublie nos malheurs d'égoïstes,

Car sur Terre vis-à-vis des gens démunis,

On leur offre du réconfort,

Car ça nous permet de mesurer notre confort,

Comme dans la vie, tout est relatif  !

Et qu'on est tous mortels ce qui fait qu'on reconsidère

Nos impératifs en rectificatif  !

Car du bout de notre pif,

On préfère un monde plus salutaire

Et débonnaire du bout de cet inventaire,

De notre monde qui vit

Et survit

Sur La Terre, 

Avec ses grands traits de caractère,

Où en sommaire,

On médite sur ce qu'est un monde dans la lumière,

Et dans le clair même avec ses travers,

Et même si le monde est à la fois un peu altruiste,

Et plus individualiste

Selon la longue liste,

Où on se pose en question fatidique, 

Question élémentaire,

Si jamais on a la réponse véridique,

Est-ce-que le bonheur existe-t-il sur Terre  ?

 

 

Jérôme de Mars

Joyeuses fêtes d'opaque !

 

Sur la côte de Pâques

Il ne fait pas beau  !

A bord du paquebot,

Pack beau,

Où ça monte sur la côte d'opaque,

Et où je vous chuchote tout en haut  !

Joyeuses fêtes d'opaque  !

Comme on n'est pas à la fête de Pâques

Dans un pack d'eau, un Pâques d'eau,

Qui prend l'eau et qui va à-vau-l'eau

Au fond du caniveau,

Et où tout tombe à l'eau

Dans le chaos, 

Et le ghetto

Sur la côté de Pâques,

Qui a un R' de côte d'opaque

Dans un effet placebo, placé beau,

Comme on est ah ! la des fêtes de Pâques  !

Joyeuses fêtes d'opaque  !

Où tout tombe à l'eau  !

Dans un pack d'eau, Pâques d'eau,

Qui va à-vau-l'eau

Au fond du ruisseau

Dans le caniveau,

En nous menant en bateau

Au rebord du paquebot,

Qui vire de bord du pack beau

En montant à crescendo

Dans des quiproquos,

En un imbroglio

Très méli-mélo,

Qui jette les bases d'un futur scénario

Du rétro à maintenant illico,

En route vers une fête d'opaque

Après la défaite de Pâques,  

Joyeuses fêtes d'opaque  !

Sur la côte de Pâques,

En progressant

Au point culminant

De la côte d'opaque,

Point incognito.

 

Jérôme de Mars

Je suis le seul à savoir que je suis seul

 

Comme un écureuil,

Je ne m'épargne sur mon fauteuil,

Car je suis le seul à savoir que je suis seul

A ruminer et à décompenser au seuil

De ma porte dans l'adultère

De mes pensées contraires,

Que je le veuille

Ou non si je me rince l’œil,

Car je suis le seul à savoir que je suis seul

Devant les souvenirs de mon aïeul

En sachant que je n'ai de filleul,

En buvant les paroles de mon tilleul

Au seuil 

De si pour oublier l'essentiel,

Je me console dans l'escarcelle

De moi veule,

Est-ce-que c'est juste ça que je veuille ?

Ou à part tenir l'accueil

Dans un recueil,

Dont on recueille

Mes écrits d'un homme seul

Et qui fait cavalier seul,

Car je suis le seul à savoir que je suis seul

Et que je vis seul au seuil

Des écueils,

Qui me réservent souvent un vilain accueil

En rédigeant une feuille,

Ou mille-feuilles

Sur mon fauteuil,

Car comme un écureuil,

Je ne m'épargne guère en écueils,

Comme je recueille

Un accueil,

Qui recueille

Le fruit de mon recueil,

Comme depuis mon fauteuil,

Je suis au seuil seul

Et que je suis le seul à savoir que je finirai seul

Tout seul dans un cercueil,

Car je suis le seul à savoir que je suis seul

Et que je vis seul.

 

Jérôme de Mars

Journal ultime

 

Compte-rendu dans ce qu'il y a de plus intime,

De mon journal ultime

Dans ce millésime, 

Où je me grime 

Souvent dans la peau d'un autre pour la jouer bellissime,

Et que tout cela paraît infime

Ce journal ultime,

Où je joue le par être sublime

Qui frime,

Alors que mon plus profond s'envenime

Vers quelque chose de gravissime,

Qui me décime

Et m'écime,

Où j'en fais le compte-rendu dans ce qu'il y a de plus intime

De mon journal ultime

Du mal de mère maritime,

Où je cherche l'info rarissime 

De ce qui est à la base de ma dîme,

Comme je m'abîme

De ce que je déclare de plus intime

Dans ce journal ultime,

Qui n'est en tout point un mime,

Car je fais de la gym

Cérébrale avec les mots qui riment

En hymnes de ce journal intime,

Dont j'en fais un journal ultime,

Comme j'intime

L'ordre ultime

D'en faire un journal où je ne me brime,

Car je veux qu'il arrime

Ok en jetant l'encre, de ce que j'ai de plus intime

A l'ultime rime,

D'un au revoir grandissime, 

Car légitime

De ce journal ultime.

 

 

Jérôme de Mars

Mes cieux

 

Mesdames et messieurs,

Qui êtes mes cieux !

Priez en êtres merveilleux  !

De l'aura de votre Dieu

Et du plus profond de votre pieux,

Mesdames et messieurs,

Qui êtes mes cieux !

Qui veuillez croire audacieux  !

En un monde fabuleux,

Qui se soucie obséquieux,

Et qui se solde fameux

Et onéreux,

De vous jusqu'aux cieux,

Et qui allège vos jours fastidieux

De façon à le rendre miséricordieux,

De vous à Dieu !

Mesdames et messieurs,

Qui êtes mes cieux  !

Et qui demeuraient radieux

Et merveilleux

Avec vos aïeux,

Soucieux, minutieux,

Pointilleux et consciencieux,

Pour éviter le contentieux

Avec Dieu et les malheureux,

D'où d'ici peu

Avant de rejoindre les cieux,

Vous finirez heureux  !

Au royaume des cieux

Mesdames et messieurs,

Qui êtes mes cieux !

 

Jérôme de Mars

Globe-trotter

 

Voyage intelligent

Avec des bagages, 

Il vogue sur son bateau

Dans un point d'ancrage.

Où il navigue sur l'eau

Avec un éclairage fluorescent, 

Effervescent et itinérant,

Tel un globe-trotter,

Sur le globe qui trotte heure

A n'importe quelle heure,

Où il fait son beurre

Avec du labeur,

Qui en conclut

A l'affût,

Du grand Est

Lui complètement

A L'Ouest,

Que le soleil se lève

A L'Est,

Et s'élève 

A Leste

D'Eden

Jusqu'au jardin D'Eden,

Qui se cultive sur l'eau,

La mer à taire de ces héros,

Avec en tout point.

Un salut d'appoint.

Tel un globe-trotter,

Sur le globe qui trotte heure

A n'importe quelle heure,

Et qui y met un point d'honneur.

 

Jérôme de Mars

                                               Blague :

 

Qu'est-ce-que ça fait une fête des œufs que l'on passe tout seul à l'ombre de la lumière ?
- Ca fait une fête opaque !

 

 

                                         Jérôme de Mars

L'Ile de Beauté se corse-t-elle  ?

 

L'Ile de Beauté à l'écorce

Terrestre se corse-t-elle  ?

Si elle amorce

Le bal des oiseaux

A Bastia,

Dont cet eldorado

Dit basta   !

Si L'Ile de Beauté se corse-t-elle  ?

Dans un concours de bonté,

Et qu'elle s'efforce

Avec un grain de beauté,

De faire venir les touristes

Et de les faire s'envoler,

De Bonifaccio

A Ajaccio,

Vers l'alizé 

Dans une longue liste

D'une file d'attente,

Point d'attente.

Si on tente

L'Ile d'un point de côté.

Si on arpente

Les à-côtés, 

En un tour qui se corse

Sur La Corse,

Et qui renforce

Les Corses

Terrestres, si jamais,

L'Ile de Beauté se corse-t-elle  !

 

Jérôme de Mars

 

C'est net  !

 

1)  Si on a fait porter le chapeau à Charlie Chaplin, c'est qu'il avait du talent !

 

2)  Une personne très intelligente qui part en vacances a des bagages !

 

3)  Un serrurier qui trouve des solutions aux problèmes de ses clients détient la clé de l'énigme 

 

4) Claude François qui vend des disques après sa mort a DCD !

 

5)  Un automobiliste qui perd le fil en s'électrocutant dans sa voiture peu de temps après avoir démarré, provoque un court-circuit !

 

6)  Le stylo d'un poète qui rend l'âme après avoir tant fait couler beaucoup d'encre y a laissé des plumes

 

7)  Une personne complètement à L'Ouest est très déboussolée !

 

8)  Une tortue qui se protège des humains pour rester solide de façade se forge une carapace !

 

9)  Monica Lewinski qui fume une cigarette avec Bill Clinton fume au nom d'une pipe !

 

10)  Cabu s'il était encore vivant et qu'il se vengeait des frères Kouachi et Amedy Coulibaly, il leur referait le portrait !

 

 

Jérôme de Mars

Peut-on rire de tout ?

 

D'après mes dires, j'exprime sans médire

Du fond de ma pensée avec satire, car ça tire !

Peut-on rire de tout  ?

Dans tout ce fourre-tout, 

Ou si on est juste des grands manitous

Avec le rire et le soupir, comme va-tout, 

Car rire de tout est la politesse du désespoir !

Et qu'avoir de l'humour noir,

Comble de l'ironie de l'histoire jubilatoire

Permet de supporter mieux l'existence avec un exutoire,

Même si Pierre Desproges a déclaré qu'on peut rire

De tout mais pas avec n'importe qui, qui dans le sous pire,

Fait qu'on respire avec liberté, et que ça nous inspire

Dans cette vie féroce, qui nous rosse de cruauté, où avec mes dires, médire,

Peut-on rire de tout ?

Sans souffrir et sans subir, mais avec plaisir pour s'en sortir

De la vie, qui parfois peut-être un camouflet, et qui petit à petit nous consume,

Et nous enfume dans une enclume, où on y laisse des plumes

Avec des séquelles, qui frappent avec rudesse notre tête, à en sourire

Notre ouverture d'esprit, à en rire et à en sourire pour vivre, et survivre au pire,

Où au pire, il nous reste la satire, pour qu'on en tire quelque chose que ça tire,

Et qu'on s'étire dans un vol à l'attire

De très gros niveau avec en guise d'apéro, un humour de liberté pince sans rire,

Car plus on s'en fout, plus on rit, et plus on est fous sans garde-fous !

Où du meilleur et pour le pire,

Et du meilleur et pour le rire, 

Peut-on rire de tout  ?

 

Jérôme de Mars

 

La ligne marginaux

 

Sans frontières 

Et complètement salutaire,

Je défends les originaux

Décalés en m'abonnant statutaire

A la ligne marginaux,

Dont je suis un élément révolutionnaire

En ne faisant rien comme les autres,

Et en prêchant soit-disant des paroles anticonformistes

En direction des Apôtres 

Dont je ne suis pas des vôtres,

Car je me range du côté des libres artistes

Qui ne crois 

Que ce qu'il voit en cherchant sa voix

Comme Saint-Thomas,

Comme mon deuxième prénom est Thomas,

Le malsain qui porte sa trop lourde croix,

Dans la ligne marginaux

Avec ses propres mots dans le chaos,

Où je suis en colère contre La Terre

Très terre-à-terre et austère

Dont je m'en fous de mes congénères,

Comme des cons génèrent 

La misère sur La Terre 

Et que je préfère,

Mes animaux les animaux

Dans la ligne marginaux,

Qui sont moins cons et plus réglos

Dans cette France qui part vers le fond du ruisseau,

En coupant les ponts avec Mirabeau

Dont moi, le prolo,

Je rejoins la ligne marginaux

Avec les originaux,

Sans frontières

Avec les mécanos

Et les dactylos,

Qui mettent sages

Du cœur à l'ouvrage,

Dont je profite de ce passage

Pour vous inciter avec ce vernissage

A rejoindre la ligne marginaux

Avec tous les gens beaux ou pas beaux,

Mais avec un escabeau

Pour aller vers le haut,

Dont je vous scande à la fin de cette page

Avant de rouvrir alcoolo, 

Cépages, ces pages

En un nouveau numéro,

Du rétro vers quelque chose de plus beau

Je l'espère !

Où je vous profère

A tchao !

Et à bientôt  !

Dans un nouveau numéro

De la ligne marginaux.

 

Jérôme de Mars

Demain y aura-t-il encore de l'amour entre les gens ?

 

A portée demain, le soleil est prescripteur d'un meilleur rendement,

Au vu des éléments qui signifient que seul le printemps permet conciliant

A se questionner, malgré la solitude au quotidien quelque peu déroutant,

Est-ce-que demain y aura-t-il encore de l'amour entre les gens ?

A moins que le comportement sera encore plus agressif que maintenant,

Et que leur gentillesse sera dégressive en étant de plus en plus méprisant,

A s'en foutre de tout et que le chacun pour soi l'emporte triomphant

Sur l'affection en manque d'affection, qui évoluera en infection au croisement

Des chemins, où chacun perdra la main ne sachant répondre aux dépens

Des gens, où l'on voudrait leur conseiller avant que la guerre les emporte au néant,

S'il attendent que de leur vivant, ça s'arrange vraiment en prenant les devants,

Ou s'ils préfèrent que le ciel déviant les désintègre dans un enterrement,

Où on saura à ce moment ici présent et pour longtemps,

Si pour demain y aura-t-il encore de l'amour entre les gens ?

Qui les détend ou si ça tend à ce que personne ne s'entend

Depuis la nuit de tous les temps, au seuil tremblant et déambulant,

Que plus rien ne sera comme avant, puisque le monde est totalement indifférent

Et que quiconque ne se comprend, car la haine s'étend et pourtant en adoucissant,

Alors que ce climat anxiogène est de plus en plus plombant et compromettant,

A rendre les gens distants et omniprésents dans ce qu'ils ont de plus médisant,

Où pour savoir vraiment sans être ignorants, impotents et incompétents, 

Est-ce-que demain y aura-t-il encore de l'amour entre les gens  ?

 

Jérôme de Mars

Parlons-nous avec douceur !

 

Malgré qu'en ce moment, il y a la fureur,

Parlons-nous avec douceur !

Et vous verrez qu'on en ressortira meilleurs

Avec davantage de bienveillance en couleurs,

Où il faut faire une trêve 

Dans ce monde qui se sèche et s'assèche,

Car tout le monde se dépêche

Dans la peur qui achève

La population confinée,

Alors que s'il y avait de la bonté,

On en serait que confortés

Avec de la liberté en vigueur,

Car parlons-nous avec douceur  !

Pour que la lourdeur 

Fasse place à la légèreté

Avec des fleurs, 

Pour aimer toute la splendeur

Des choses simples dans la vérité,

Où il faut qu'on rallume les couleurs

Pour illuminer les jardins avec candeur,

Où si on donne aux gens une lueur d'espoir,

Ils sauront oublier le noir pour éclairer

Avec gaieté et une ribambelle de belles histoires

Tous les parfums de leur vivacité

Pour passer de l'obscurité à la clarté,

Car parlons-nous avec douceur  !

Pour que batte le cœur

Dans la chamade,

Lorsqu'il se ballade

Pour le bien de l'humanité

Dans son immense communauté,

Où il faut rire des plaisirs 

De la vie avec un élixir,

Pour que souffrir

Devienne sourire,

En compagnie de sa bande d'amis

Et de sa famille dans une grande sympathie,

Où il y a de l'empathie

Et de la complicité,

Car même si on est fauchés

Dans l'adversité,

Ensemble, on est éméchés de vitalité

Et plus forts dans la fraternité,

Car jusqu'à pas d'heure

Parlons-nous avec douceur !

 

Jérôme de Mars

Après la tempête, le calme !

 

Temps troublants de caractères

A prendre à la lettre bipolaire,

Après, la tempête, le calme !

Sans sarcasmes, mais avec une palme

D'honneur pour édulcorer ces situations

Pas évidentes, en l'occurrence en gestation,

Qui cogite en des interrogations douteuses,

Si bien qu'on exige une correction flatteuse,

Avec une collation pour se changer les idées

Et oublier le temps d'un pot ses vanités

De l'esprit mal placé, car déplacé

Et insistant dans la déroute consumée,

Qu'on avait minimisé avec une palme 

D'honneur, car après la tempête, le calme  !

Dont on subjugue le charme dissident

Des genres chics et BCBG,

Première catégorie dans le silence désobligeant,

Où pour éteindre l'incendie

Feu les rumeurs de calomnie,

On remet aux lauréats une palme

D'honneur, car après la tempête, c'est le calme  !

Plat d'après le plat pays de Jacques Brel,

En route vers des histoires belles,

Dont le label

Est en décibels !

 

Jérôme de Mars

Etre dans l’œil du cyclone 

 

Avec ma montre synchrone,

Je n'arrête d'être dans l’œil du cyclone

Si clone et si économe,

Je me sers des atomes

Crochus avec du carbone,

Et atone si j'en fais des tonnes

Et que j'entonne,

Si j'étonne et je détonne

D'être dans l’œil du cyclone,

Si clone dans un pylône, 

Où après le calme, la tempête

Si je m'entête dans un casse-tête,

Et que je pense bête 

Si je panse bête et que je m'embête

D'être toujours dans l’œil du cyclone,

Si clone d'être un clone 

Dans l'hexagone 

Et dans un cône,

Qui me laisse de glace

Si je ne suis une icône, 

Qui déconne

Et dont ça me désarçonne

A la garçonne, 

Comme une lionne

Qui m'en lasse 

Avec des liasses,

De ce billet d'humour

A conter d'aujourd'hui, 

Avec un roulement de tambours

En billet pour faire joli-joli 

Et en possession d'un gris-gris,

D'où presque stone,

Je n'arrête plus d'être dans l’œil du cyclone,

Si clone et complètement synchrone.

 

Jérôme de Mars 

A l'envers, à l'endroit                                                                                                lents            à          mettant     se       en     vers       l'an     de    droit                  n

 

v                                                                                                                             a

e                                                                                                                              '

 r                                                                                                                              l

 s                                                                                                                           

                                                                                                                               à

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 u                                                                                                                              a

                                                                                                                               v

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 e                                                                                                                             n

  r                                                                                                                            o

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  u                                                                                                                           o

                                                                                                                           r

                                                                                                                           d

  v                                                                                                                         n

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                                                                                                                                 à

  l                                                                                                                               

  '                                                                                                                         s

  e                                                                                                                        r

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 à l ' en vers vers lent ver à lent droit à l ' an vers droit  à  l '  an  vers vers lents. A         

                                                                         

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'oreille musicale

 

Cap vers l'escale

Le temps d'une pause musicale,

En ayant l'oreille musicale

Dans une ambiance cosy

Et très chic conviviale,

D'où l'on trépigne d'impatience

Dans des somnolences, 

En faisant une biguine

Collé serré,

Et musique créole décalée

Avec des paroles sucrées et taquines,

Dans une insouciance très insomnie

En ayant l'oreille musicale

Et le rythme dans la peau tropicale,

Où l'on descend lors d'une escale

Avec des tapes musicales

Sur le synthé synchrone,

Et des atomes crochus dans une alchimie

Cyclone qui n'est un clone mais un drone

Sur le trône du désarroi,

Où l'on cherche la courroie

Pour tenir les reines,

De la chaîne humaine

En ayant l'oreille musicale,

Qui écoute la sono lors de l'escale

Sur la scène musicale 

Dans un face à face frontal,

Où l'on préfère l'original

A la copie,

Qui épie

La musique des mots,

Dans le déclic du bon tempo

Contemporain, comme dans le street art,

Rendez-vous au passage du répertoire !

De tel artiste ou de ses confrères,

Qui interprètent vivement fiers

Lors d'une escale,

En ayant l'oreille musicale

A bord du navire amiral

Lors de la générale,

Pendant un concert

Dans une chambre classique

Avec des classiques basiques

De Mozart ou de Schubert,

D'où l'on siffle à la fin de L'R

Que c'est la fin de la récréation,

Si on puise notre inspiration

Dans un parti pris qui prend de grands R'

Avec et l'air, LR ,

Comme il faut laisser faire

La chambre à aire réfractaire

Jusqu'au passage des arts des chansons,

D'adultère et coutumières

Dont à chaque escale,

Il ne faut avoir le tract

Durant l'entre acte,

Pour toujours garder 

La position principale,

En ayant l'oreille musicale

Aux fortes influences

Des dernières tendances,

Car il faut savoir raison

Garder vers l'horizon

Artisanal de l'oeuvre originale,

Pour qu'elle reste dans les annales

Inaugurales d'un chef-d'oeuvre monumental,

Avec pour ligne de mire incontournable

Autour d'un tour de table,

Dont on prend acte que ça augure

La fermeture

De l'escale,

Car v'là le point d'ouverture !

En ayant l'oreille musicale

Sur la scène musicale.

 

Jérôme de Mars

Les yeux rivés

 

Smartphone, Iphone et portable,

Tout cela est exportable

Si l'un portable,

On le pose sur la table,

Comme les gens ont les yeux rivés,

Joyeux et soyeux depuis leurs yeux dérivés,

En des aveux, que c'est un désaveu

Ce nœud dans les relations sociales

Et familiales

Avec ce fléau sur le feu,

A cause des yeux rivés

Et de leurs yeux dérivés,

Sur leur portable importable

Et ex portable

S'ils le mettent à l'écart,

Quand il y a des rencards

Sinon c'est bizarre,

D'avoir du retard

Dans le domaine du lien amical,

Si on s'en fout de leur difficulté locale

Ou nationale, si ça prend des ampleurs

Avec la peur et la douleur,

Alors rien de tel qu'un mégaphone

Pour parler à la place du téléphone,

Les yeux rivés

Sur le méga fun,

Et les yeux dérivés

Du tel est fun,

Si on a la voix aphone

A cause du téléphone,

Quand on a des états d'âme

Au Paris pas dame pas dame,

Les yeux dérivés 

Sur le Smartphone et L'Iphone,

Alors qu'il suffit d'un simple téléphone

Avec les yeux rivés.

 

Jérôme de Mars

La tendance des contre danse

 

Avec redondance 

Et abondance,

Il y a l'intendance 

De la tendance des contre danse

Avec prudence,

D'après la décadence

De Serge Gainsbourg,

Qui débourre de bourre en bourre

Avec un coup de bourre

Dans un compte à rebours,

Où malgré la cadence

Du relâchement

Pendant ce confinement,

Il y a l'hein tendance

Et l'intendance

Avec redondance,

Et abondance

De la tendance des contre danse,

Avec prudence,

Dès qu'on danse, condense

En y mettant la cadence,

D'après la décadence 

De Serge Gainsbourg

Des faux bourgs aux faubourgs,

Où il se bourre et rembourre 

De Cabourg à Bourg-

-En-Bresse, 

Qui achemine la presse

Dans un Paris-Brest,

Complètement à L'Ouest,

Où ce n'est du gâteau

Si on ne trouve les mots

Avec redondance

Et abondance,

S'il y a toujours l'intendance

Et l'hein tendance,

De la tendance des contre danse

Avec prudence,

D'après la condescendance 

Et la descendance,

De Serge Gainsbourg,

Qui débourre de bourg en bourg

Dans un compte à rebours,

En y mettant un coup de bourre

Dans la décadence

De La France en forte cadence,

D'où qu'on danse, condense

Et con dense dans la tendance

Des contre dense,

En redondance

Et en abondance,

Avec prudence

De la tendance

Des contre danse, en forte tendance,

De l'intendance à l'hein tendance, 

Da la tendance des contre danse.

 

Jérôme de Mars

 

Le soleil garde-t-il le moral  ?

 

Question de bien et de mal,

Le soleil garde-t-il le moral  ?

Ou risque-t-il de s'éteindre  ?

S'il voit la population geindre

Et atteindre le point de non-retour, 

En se perdant 

Et en se fourvoyant,

S'il s'égare dans des tours

Qui n'en valent le détour,

Car il prêche pourtant de bonnes paroles

Mais il ne garde la pêche avec la sole,

Qui déboussole

Do ré mi fa sol,

Où en question principale

Le soleil garde-t-il le moral  ?

Ou sinon est-ce-qu'il a une succursale,

Avec de l'amour filial

Telle que la lune pour le soulager, 

De son penchant fatal

Avec une libido,

Qui monte crescendo

De l'eldorado

Sur la place des désirs d'ados dos-à-dos,

Où après avoir été satisfait

De sa prestation d'assistance sexuée,

Est-il l'heure ou leurre sur le plan sentimental

A ce que le soleil garde-t-il le moral  ?

Point inaugural.

Car point vital.

 

Jérôme de Mars

 

                                                        Blague :

 

 

Quelle est la seule chose sexuelle que La France ne peut pas interdire pendant le confinement ?

 -  La pipe car La France part en sucettes

 

 

                                                 Jérôme de Mars

Festival de poèmes

 

Sur les bords du Val

De Marne, je lance un festival

De poèmes,

Qui dévale hallucinogène

Pour passer d'un monde anxiogène,

Le temps d'un festival

De poèmes dans le Val

De Marnes, à une vision indigène

A l'origine brute de décoffrage

En exultant dans un harem,

De partage

De vers de poèmes,

Qui parsèment

Ce festival 

De poèmes,

Qui dévale

Dans le Val

De Marne, dans une poésie

Sans frontières,

Impertinente et imminente

En arborescence flamboyante,

Que j'insuffle de ma flûte traversière

Avec des cantiques de rêveries,

Dans ce festival 

De poèmes,

Qui en déduit dans un théorème 

Qu'il faut que Le Val

De Marne dévale

Dans quelques domaines de slam,

Dont je clame

Haut et métaphores

Qu'on recrute du renfort,

Pour renflouer avec des graines

Tout ce ramdam,

Avec un programme

Téméraire et libertaire,

Dont je termine de cette poésie

Sans frontière

Pour toute la planète Terre,

Qu'urgemment, je convoque

Et j'invoque

Avec la complicité de mes amis,

Un festival de poèmes

Avec un roc de bohème,

D'où d'un roc et clair,

Je vous souffle que le festival

De poèmes qui dévale

Dans le Val

De Marne, reprendra en aval

L'année prochaine,

Et plus si vous restaurez 

De la tendresse humaine

Et Chrétienne,

En cette période incertaine

Avec sagacité et solidarité,

Dans la réciprocité

La plus respectée et instaurée

Avec de la matière,

A en faire plus si nécessaire

Si il y a des gens extraordinaires

Sur La Terre,

A bientôt je l'espère  !

Dans le carpe-diem

De ce festival de poèmes.

 

Jérôme de Mars

 

 

Service maximum

 

Face à cet ultimatum,

Qu'est la grève

Des services minimums

Que nous subissons de plein fouet,

Nous avons besoin d'une trêve

Dans les excès, 

Que nous encaissons de la part

Des Français,

Avec un peu d'humour

Pour flirter toujours avec l'amour

De rencontres de comptoirs,

Autour du bistrot

D'à côté avec les potos,

Où avec mes poèmes

Face à cette période d'emphysème,

J'écris beaucoup pour que ça sème

Et que ça respire

Au pire,

D'un service maximum

Au summum de ce capharnaüm,

Où pour un peu oublier 

Les difficultés engendrées

Par les services minimums,

Et pour faire le lien

Et le bien

Le temps de ce delirium, 

Où les gens paraissent avoir pris

De l'opium,

Complètement déboussolés, shootés

Et barrés,

Face à cette crise d'hystérie

Dû au coronavirus

De l'annus

Horribilis, comme on l'a dans le rectum,

Cette crise dans les annales

Pas du tout banale,

Où j'essaie de vous rendre un service maximum

Pour rire de tout et de rien,

Comme on est dans le pétrin

D'un monde qui dérive dans les abysses,

Et qui s'enlise

Dans des attitudes animales,

Où il n'y a plus rien

De normal

Chez les personnes, 

Où ça sonne et ça klaxonne

Faux et dans le porte-à-faux, 

Comme on porte tous le chapeau

Ou le masque, 

Comme on porte tous un masque

Dans la vie de par nos frasques

Et de ce temps, 

Qui fout le camp

En France,

Et dans la défiance

Des bourrasques,

Où après les services minimums

Et sans ultimatums,

Je continuerai par écrits

Et par envie aussi,

A vous rendre au minimum,

Un service maximum.

 

Jérôme de Mars

Il faut repeindre le soleil

 

Couleurs de pastelles,

Pourvu qu'il ne reste pareil,

Il faut repeindre le soleil

Et l'égayer au pluriel,

En y mettant sa patte d'artiste

Et à distance son aspect triste,

Déjà que le soleil est anticonformiste 

Et dont il faudrait qu'il devienne transformiste

Pour qu'il s'inonde par miracle intemporel,

Comme il faut repeindre le soleil

Dans un tableau transgénérationnel

Et l'adapter au goût du jour universel,

Puisque il a besoin de nous fraternels

Pour se généraliser irrationnel,

Traditionnel et multiculturel 

En des désirs sensationnels,

Dont il faut repeindre le soleil

Avec des convictions optimistes,

Pour rendre cette satanée Terre altruiste

Et la renouveler du sel,

Du printemps et de l'été pour que ces saisons

De par leurs déclinaisons dès la livraison,

Remettent le soleil dans sa splendeur 

D'antan à maintenant avec de la chaleur

Humaine, qui le rend fidèle, 

A ses formidables valeurs

D'autrefois en des jours meilleurs,

Car comme maintenant il est opérationnel,

Il faut repeindre le soleil.

 

Jérôme de Mars

Quand les papillons papillonnent 

 

Vol sur les solides pavillons,

Dans un vol à l'étalage

De bas étage,

Là où survolent les rayons

De soleil,

Qui incantent les prunelles

D'anges de poussière

Avec un teint de lumière,

Quand les papillons papillonnent

Et sillonnent

Les environs de Narbonne,

Qui tourbillonnent

Les ricochets qui étonnent,

Ceux qui ont de la chance

Sans signe de défaillance,

Dans des journées torrides

Au sol aride, 

Quand les papillons papillonnent

Et vivotent oisifs

S'ils s'époumonent,

Réceptifs et réactifs

Dans un environnement,

Qu'ils affectionnent

Face à la couleur du ciel,

Qui les chapeaute amusant

Si c'est réciproque

Cette époque baroque,

Autant pour eux

Que pour les oiseaux capricieux,

De ronger leur frein

Enfreint par de sublimes matins,

Quand les papillons papillonnent

Et assaisonnent

Dans un pot-pourri en guise de medley,

Tout le florilège qui égrène les succès

Des années 80,

Qui furent très boute-en-train

A se repasser le triomphe du Sacristain 

Avec les copains

Dans un tranquille coin,

Entre deux sujets de discussions coquins

Et libertins,

Au coin du feu

Feu ici sous peu,

Dont on évoque avec enthousiasme 

Les sarcasmes

D'un paradis sirupeux,

Qui engendre l'effet papillon

Autour des pavillons

Fastueux aux habitations, 

Qui tombent exceptionnelles

Et qui détonnent jusqu'à l'automne,

Quand les papillons papillonnent.

 

Jérôme de Mars

Laboratoire d'idées

 

Piqûre de rappel

Avec ce Coronavirus,

Et pour lutter contre le virus

Des idées reçues,

Bienvenue dans ce laboratoire

D'idées pour innover,

Avec une bouilloire 

Pour essorer l'eau,

Si tout tombe hello !

Où on choisira

Des cobayes

Avec des aléas,

Pour signer un bail

Pour un bail,

Dans ce laboratoire

D'idées qui est là

Pour déranger

Les biens-pensants,

Comme les méchants

Qui veulent imposer

La dictature de leurs idées,

Toutes faites

Ou contrefaites, 

Où grâce à un entonnoir,

On fera de bonnes analyses

En donnant des bon tuyaux,

Qui glissent

Avec des experts en bricolos ,

Pour installer tous les matériaux

Et réussir avec brio,

A faire une bonne opération

De bonne facture,

Grâce au scalpel

D'envergure qui augure

Sans doute, que pour guérir

Votre destin

Avec satire,

On trouvera le bon vaccin

Contre Le Coronavirus,

Et le virus

Des idées reçues,

Avec pour antidote,

Un laboratoire

D'idées,

Pour essayer 

Avec rage

Un remède incantatoire,

Qui résoudra le désespoir

Pour de nouveau y croire,

Qu'on peut vaincre les o'rages

Avec de la volonté,

Pour remonter la cote

Et le cours des choses,

Avec des décotes

Pour les ecchymoses,

Et une surcote

Pour vivre une vie en roses,

D'où on lancera

Prochainement un ballon d'essai,

Comme on sait

Que ce laboratoire

D'idées confirmera

En conclusion notoire,

Que s'il veut connaître des succès,

Il faudra qu'il lance des tubes à essais,

Avec en solution en point de salut

Quelques anciennes idées 

Qu'il faudra faire évoluer et changer,

Comme elles semblent révolues

Etc etc etc etc etc........

 

Jérôme de Mars

Clément, Clémence et Clémentine

 

Tout clément, Clément fait preuve de clémence avec Clémence, en mangeant une clémentine avec Clémentine, faisant preuve de clémence avec Clément, tout clément et faisant toujours preuve de clémence, avec Clémentine en récoltant le fruit de son travail clément avec clémence, en épluchant une clémentine, et en la mangeant avec Clémence, dont Clémentine fait encore preuve de Clémence avec Clément, tout clément avec Clémentine, qui revend sa clémentine pour rester toujours dans la clémence avec Clément, demeurant tout clément et faisant éternellement preuve de clémence, dans une épreuve avec Clémence, dont la clémentine restera définitivement dans la clémence avec Clément, tout clément.

 

Jérôme de Mars

Hier, j'ai vu un pigeon-voyageur qui a parlé à un passant  !

 

Passeur d'histoires de situations cocasses,

Hier, j'ai vu un pigeon-voyageur qui a parlé à un passant,

Jacassant, roucoulant, jactant loquace,

Et soupirant à son soupirant, tout le bien qu'il pensait de son accent

De bourgeois vieux parigot qui jette ses mégots, comme il ne mégotait

Pas à-tire-larigot, qui erre dans les rues de Paris, avec l'orgue qui chantonnait

Ceux qui dorment sous les ponts de Paris avec le moral en berne,

Et dont en voyant une église, il y pénétra

Et y entra, d'un pas lent, dont il essaya de garder son sérieux dans tous les cas,

En allumant un cierge le regard livide, et terne en subalterne, 

Comme le pigeon-voyageur était un drôle d'oiseau, avec le corps beau, 

Qui eut une prise de bec avec ce passant, comme avec les autres badauds

Quand hier, j'ai vu un pigeon-voyageur qui a parlé un passant,

En bavardant de Maupassant, de mots passants, trépignant l'air causant

De belles balades, comme si de rien n'était en un vol , qui ne vola pas très haut,

Et qui fut un antivol très frivole, avec un rossignol qui se gondola en mots snobs 

De troisièmes couteaux, au large d'un bateau sur la Seine qui prit sa vitesse

De croisière, en vagabondant avec tonton Bob,

L'air de rien, quand le pigeon-voyageur murmura au passant qu'il était ballot

Et qu'il avait la bedaine oh ! Quelle aubaine de vieux réac ! Avec la paresse

De son tempérament godillot, qui empêche de par des histoires parallèles

De refaire le monde de la vente à l'épouvante, de tel à untel,

D'où au moment des adieux, le pigeon-voyageur prit congé de cet être arrogant,

Car c'est hier, que j'ai vu un pigeon-voyageur qui a parlé à un passant,

Passeur d'histoires,

De Maupassant à mots passant, d'où l'on arrive au terme de ce répertoire,

Bonsoir les badauds !

Et métro, boulot, dodo, comme les oiseaux font aussi dodo !

 

Jérôme de Mars

Prions à votre santé !

 

Ceux parmi les agents qui travaillent

Du tréfonds de leurs tenailles,

En ces temps difficiles,

Il ne faut rien lâcher, 

Même si certains vacillent

Du fait de la maladie,

Mais il faut rester toujours à quai 

Et prêt,

A prier pour que tout aille

Bien, vaille qui vaille !

Où je vous souffle du fruit de ce poème

Malgré vos problèmes, 

Un totem,

Qui sème le carpe-diem

Car prions à votre santé !

Pourvu que vous demeuriez

Encore vaillants,

Et tout le temps en forme,

Pour perdurer conforme

Dans des habitudes de bienveillance

Et de d'indulgence,

Car actuellement, pour personne

Ce n'est facile !

Mais essayez de devenir dociles

Solidaire et gentils, 

Pour que résonnent

L'harmonie et l'accalmie,

Au travail entre encadrants

Et collègues,

Pour que le beau temps

Vous délègue

Des moments intéressants,

Pour apprendre à se connaître

Durant cette période de confinement,

En prenant le temps

De comprendre votre être,

Car prions à votre santé !

Dans la loyauté et la bonté,

Car soyons différents  !

Mais pas indifférents  !

Pour que tous les gens

Malgré tout ce boucan,

Soient conciliants

Et cléments,

Pour que le beau temps

Vous réponde souriant et indulgent,

Efforcez-vous de passer du beau temps  !

Pendant ce temps, tout autant,

Et pour tout le temps, au temps 

Durant longtemps, et mieux encore si éternellement,

Ne soyez plus entre vous si distants !

Car ce que ce virus nous apprend,

C'est qu'il faut que vous soyez vigilants 

Et bienveillants en ces temps troublants,

Et pas semblant, mais vraiment

Pendant et après le confinement,

Et soyez confiants et contents !

De vous retrouver une fois le beau temps

Rétabli après le confinement,

Où après tous ces moments,

Où on fut tous capricieux, insidieux

Et pernicieux,

Soyez heureux et valeureux  !

Dans la bonté et la loyauté,

Car prions à votre santé  !

 

Jérôme de Mars

Venez quand vous voulez regarder les étoiles !

 

Télescope sur Le Pariscope,

Le ciel veut son horoscope 

Pour élire de son piédestal,

Tout ce qui scintille le ciel

Avec des bonnes nouvelles,

Qui gravent les choses originales

Dans un ciel qui décroche la lune,

Pour remettre en une 

Des quantités de brins de lucioles,

Qui virent de bord les petites babioles

Au ciel qui dévoile, 

De sa liturgie

Parmi notre galaxie,

Car venez 

Quand vous voulez 

Regarder les étoiles !

Sur le coin de l'espace du temps,

Qui mijote de son décan

Si c'est bon signe,

De porter l'insigne

De la voix lactée,

Qui allaite en instantané

Tout qui est immortel

Sur le ciel inconditionnel,

Qui déclare la trêve

Avec quelques rêves,

Que le ciel dévoile

Sur sa toile

Tout ce qu'il peint 

En horizons lointains,

Car venez

Quand vous voulez regarder

Les étoiles filantes  !

Qui amusent la galerie défilante,

En substances de sa semence

Que le ciel aligne en abondance,

Car vu les circonstances atténuantes

De l'atmosphère déclinante,

Avant que le ciel se voile

De toute matière

Sur La Terre,

Venez quand vous voulez 

Regarder de l'obscurité

A la clarté,

Les étoiles !

 

Jérôme de Mars

 

Hécatombe

 

Catacombes,

Tout tombe

Sous les décombres,

De ce qui m'incombe

Dans cette hécatombe,

D'outre-tombe qui surplombe

Tout ce qui plombe,

Le monde qui pète les plombs

Avec quand même de l'aplomb,

Où l'on bombe le torse

S'il y a une bombe

En faisant une entorse,

Qui se corse

Avec l'écorce,

Qui amorce

Cette hécatombe,

Où on a peur

Dans la douleur,

Que tout tombe

Dans ce monde à l'ombre,

Qui sombre

Du côté de la pénombre

Plus dans l'ombre,

Qui se dénombre

Dans un important nombre,

Et qu'à tombe

Les catacombes,

Sous les décombres

De l'hécatombe,

Quand tout tombe

D'outre-tombe,

Et plombe

Ce qui surplombe,

Dans une bombe

A retardement qui bombe

Le torse 

Dans une entorse,

Qui amorce

Cette hécatombe,

D'où ça m'incombe

En ne mettant pas trois plombes, 

Et qu'à tombe

Une tombe,

Qui pète les plombs

Avec de l'aplomb,

A l'ombre

Sombre et en grand nombre,

Qui se dénombre

Dans cette hécatombe.

 

Jérôme de Mars

 

Ca va bien, il y a le soleil !

 

Battement d'ailes des hirondelles

Et des tourterelles,

V'là le beau temps   !

Comme c'est l' printemps

Et qu'il faut être content

Avec des aquarelles,

Car quand ça va bien,

Il y a le soleil !

Au bord du chemin

Sur la passerelle,

Qui joue du tambourin

Pour passer en musique

Le bal des joyeux samedis psychédéliques,

Où quand ça va bien,

Il y a le soleil !

Pour sourire au destin

Et pour demain,

En espérant que le prochain

Sera une ribambelle

De demoiselles,

Qui viendront égayer

De merveilles

Les saisons enjouées,

D'où avec des couleurs de pastelle,

Cela fera repeindre le soleil 

Accroché au bercail essentiel

Dans un jaune oranger,

Avec un considérable festin,

Car quand ça va bien,

Il y a le soleil !

D'où à la fin de la saison

Avant l'été,

Le ciel lui fredonnera

Toute la moisson,

Qui boira en tant que telle

Toute l'ivresse passionnelle

Dans un élan 

Pendant plusieurs mois,

Où tant que ça ira,

Le ciel fera foi

Durant longtemps,

Dès les escapades

Des nuages libertins

En ballade,

Car quand ça va bien,

Il y a le soleil !

 

Jérôme de Mars

Je marche sur des œufs !

 

L'existence est fragile,

Comme elle ne tient qu'à un fil

Et dont en pensant à mes aïeux,

Et en parlant d'eux,

Je marche sur des œufs,

Eux qu'il ne faut pas mettre 

Dans le même panier 

Et les jeter au feu,

Si jamais il s'avère 

Qu'ils furent de mauvais êtres,

Qu'on ne vénère, 

Car ils me rendent vénères

Et à bout de nerfs sévères,

Où je marche sur des œufs

Si je parle d'eux, 

En priant Dieu 

Et en le révoquant ,

S'il me paraît fastidieux,

Dès fois que je parle insidieux

Et que je n'oublie ceux,

Quand je parle d'eux

Et que je marche sur des œufs,

Tandis que l'itinéraire de notre vie

Se perd sans les repères,

Où l'on ne se fie,

Parce-que le destin nous défie

Et que l'on ne sait ce qu'on veut

Mais qu'on sait ce qu'on ne veut,

Comme un désaveu

Sauve qui peut !

Dans l'hérésie et l'autarcie,

A compter que sur eux,

Dont je parle d'eux,

Quand je marche sur des œufs.

 

Jérôme de Mars

On en voit la couleur !

 

Après des années de faux-fuyants

En noir et blanc,

J'espère qu'on en voit la couleur

Et qu'on reprend des couleurs,

Avec du beau temps

Pendant longtemps

En adéquation avec le soleil dompteur, 

Qui met du créole sur les îles bariolées

Avec du ukulélé,

Rédempteur et enjôleur

Avec un hamac,

En cas de mic-mac

Sur le tarmac,

En mode avion

Dans les environs

D'un tic et tac,

Si jamais craque

Le saut à l'élastique

Dans un sursaut athlétique,

Où après des années de faux-semblants

Et surannées en noir et blanc,

Je pense sincère qu'on en voit la couleur

Et qu'on reprend des couleurs,

Y a pas photo !

Dans le genre roman-photo,

Où c'est pas le ghetto !

D'où tu viens avec ta couleur 

De peau !

Dans le rétro sur le magnéto,

Car ce qui compte, c'est ton attitude crescendo,

Qui monte en amplitude en demeurant réglos

Et synchros,

Dont après de rudes années de dur labeur,

On fait son beurre

Dans le bonheur,

De toutes les couleurs

Divers et variées

Avec du grain de sel acidulé,

D'où pour conclure

En endurcissant notre nature,

Qu'on soit noir et blanc,

On n'est plus dans le noir et blanc

Mais avec de vrais éléments,

De toutes les couleurs

Métisses et mes tisses,

Qui tissent

Du lien social,

Avec le fil amical

Ayant pour point inaugural

Quelque chose d'original,

En messages

Pour mes sages,

Dont le fil conducteur

N'est point réducteur,

Mais un point innovateur, novateur

Et précurseur,

Qui stipule qu'il est nécessaire

D'avoir toutes les couleurs

Avec de la matière,

Dans des à-côtés enjoliveurs

A plusieurs,

Si bien que quand on reprend des couleurs,

On en voit la couleur.

 

Jérôme de Mars

C'est votre tour !

 

On fait le tour

De la question en retour,

A qui le tour  ?

En des tours, détours,

Si ce sont vautours,

Qui valent le détour

Et qui volent aux alentours,

Autour, au tour

De tout le monde, donc au tour

De vous et de lui, à vos tours,

Dont le con tour

Désigne votre tour, autour

Du contour autour

De vous, au tour,

Dont en retour

De vous en détours, des tours,

C'est votre tour à Tours,

Loin du Pourtour !

 

Jérôme de Mars

 

Je touche du bois

 

Du Bois de Boulogne

Au Bois de Vincennes,

Je touche du bois,

Quand je montre de quel bois

Je me chauffe,

En surchauffe dans un tour de chauffe,

Où je m'échauffe 

En proférant quel cirque !

Au Cirque Bouglione,

Où je suis le bouffon sur scène,

Si je touche du bois

Avec Paul Préboist,

Aux à bois

Si je bûche du bois,

Dans des embûches du Bois

De Boulogne

A celui de Vincennes,

En prenant garde-forestier

A demeurer l'artisan roi

Avec du bois affûté,

Si je touche du bois

Des vers ,

Quand j'erre 

Sur un nouvel itinéraire,

Où je respire pubère

Sans langue de bois,

Mais en demeurant sincère

Jusqu'au bout des bois,

Comme je ne suis en bois

De mes parois,

Et que je tourne autour,

Aux alentours,

En étant aux à bois,

Tandis que je touche du bois

Pour rester moi, chez moi

Du chaud au froid,

Où sans langue de bois

Et en montrant de quel bois

Je me chauffe,

Je suis en surchauffe,

Dès qu'en bravant le froid,

Je touche du bois.

 

Jérôme de Mars

 

A-t-on fait porter le chapeau à Charlie Chaplin ?

 

Il était presque

Une fresque

Du nom de Charlie Chaplin,

Qui fascine

Son mythe légendaire

Entre controverses et adultère,

Où avec ses faits et gestes,

Du reste, il lâcha du leste

Plus tard lors du cinéma parlant,

Déclamant et clamant son accent

Dans le cinéma burlesque,

Où il trémoussa romanesque

Dans des films aux histoires,

Qui restent dans les annales

Et originales,

Pour l'époque

A dénoncer sur un ton baroque,

Hitler, dans " Le dictateur, "

Acteur de son propre film et orateur

Sur le ton de la parodie

Et des on-dit, 

De tous les ravages du totalitarisme,

Qui véhiculait les égocentrismes

Du cataclysme avant-gardiste,

Il fut un précurseur

Et un génial inventeur

D'un style spécifique,

A faire du cinéma comique

Et dramatique

Loin d'être soporifique, 

Car véridique

En un état des lieux,

De la nation

En ébullitions,

Et en perte de repères

Jusqu'aux cieux,

Où il alluma les lumières

De la ville

Pour que brille

Son étincelle,

Malgré l'ombrelle

Des artistes qui chancellent

En noir et blanc,

Alors que Charlie Chaplin

Voulait des couleurs

Pour les bobines,

Afin qu'il embobine

Dans son cinéma,

Tous les acteurs phares

De la nouvelle génération,

Notamment en allant

Avec allant,

A la ruée vers l'or

Sous les feux de la rampe,

Même si à un moment,

Il décampe

De ses états désunis

Vers une moindre folie,

En déménageant des Etats-Unis

Et en se ménageant

En Suisse, 

En cherchant la cuisse

De Jupiter,

Même qu'il ne connut Macron

De Jupiter,

A force de trop parler

De l'opinion publique,

Où on se demande

Et on quémande,

A-t-on fait porter le chapeau à Charlie Chaplin ?

De la rustine à La Berline,

Où ainsi, il chercha des chaînes

De télévision,

Avec Les temps modernes

Pour dénoncer 

Les méfaits et les dangers,

D'une société de consommation

Lucrative et œuvrant 

Pour la rentabilité,

Au détriment de l'humanité

Et de la solidarité,

Dans les rudes conditions

Du travail en chaîne,

Où vers la fin de sa vie

Il passa de l'enfer

Quand il fut Le kid,

Au paradis

D'un roi à New York,

Où il reçut une standing ovation

Pour l'ensemble de sa carrière,

Sur le tard

Et dans le tintamarre,

Qui amorça sa décadence charnière

Dans une incroyable réhabilitation

Et résurrection,

En fin de cycle

Qu'on recycle,

En rediffusions 

De ses films,

Où l'on ne se fait plus de films

Sur son incontournable talent

En haut de son firmament,

Où à l'été de sa vie,

Il trouva un repère

En la personne de L'Abbé Pierre,

Pour un don en espèces

Pour rendre tout ce qu'on lui a donné,

Lorsqu'il était en espèce

Menacée, dont il rendit la monnaie 

De sa pièce,

Comme sa vie fut une pièce attachée

En allant à l'essentiel

Et détachée,

Lorsqu'il mourut pour rejoindre le ciel,

Dont on lui souffle de nos prunelles

Au terminus de son répertoire,

A bientôt vers l'éternel.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                    Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-qu'avec le confinement, c'est le meilleur moyen pour un homme et une femme de faire un enfant  ?

-  Parce-que là de toute façon, c'est sûr, l'homme aura les boules !

 

 

                                            Jérôme de Mars

A mère !

 

Repaire depuis mon repaire,

Comme les deux ne font la paire

Je manque de repères

Sans paire et sans maire,

D'où j'écris ce pamphlet 

Au vitriol 

A mère,

De mon état qui s'étiole

Et qui me désespère,

Dont cette nuit encore

J'ai fait des cauchemars

A propos de ma mère, 

De tout mon corps

Dans son emprise, 

Avec méprise

Dans une fanfare,

Que je préférerai oublier

En mettant du fard,

Pour dissimuler les supplices

De toutes les cicatrices

Du passé,

Qui m'a défiguré

Et configuré

A la décence figurée,

Où j'ai pensé cette nuit

A ma mère

A mère,

Qui me vociférait dessus

Une fois de plus et qui me conspue,

Et où j'en sue de son indélicatesse,

Envers ma personne en manque de tendresse,

Où une fois, j'avais cauchemardé sur elle

Son visage en squelette, qui chancelle

Ma vie qui dérive vers le hors-piste,

D'où ma plume si triste d'artiste,

Où je ne me remets toujours pas de sa disparition,

Partagée entre regrets et remords,

Car me tente la mort,

Et où plus ça va, et plus j'ai des hallucinations

Que tout le monde me veut du mal, me parle mâle,

Et s'en fout de moi car pour eux, comme je suis bancal,

D'où cher mère,

Je te glisse un portrait guère flatteur et à mère,

Mais où je n'arrive à prendre de la distance

Avec toi, avec tout ce que tu m'as fait subir en offense,

D'où je suis dans cet état-là 

Avec tes erreurs de jeunesse, 

Que tu as reproduit sur moi dans une forteresse,

D'où je n'arrive point à décrocher et à dépasser

Ton influence écorchée et amochée,

Où tout le monde me parle mal et agressivement,

Et dont je voudrais savoir pourquoi et quelle en est l'oraison

Que ce soit objectivement et subjectivement,

Où chaque saison qui s'achève, je suis la tête sur le guidon,

Avec ce portrait en demi-teinte, en anti-portrait chinois de ma mère,

A mère, amère,

Pour que nous nous guidons

Et nous y arrivions au point de sagesse,

D'où j'espère que je pourrai avoir des largesses,

Avec le passé de ma mère et de son père,

Mon grand-père, manque de paire,

Dont je n'ai plus de repère ni de repaire,

A moins que je m'affranchisse du passé de ma mère

Dans cet écrit de ma mère à mère, pour que je franchisse le deuil

Au seuil assis sur mon fauteuil,

Et que je me défasse de l'emprise des destins pairs de ma mère

Et de mon grand-père,

Pour que ça ne sente plus le sapin

Le jour de Noël, et que ça ne sente plus le tapin

Le jour de La Saint-Valentin,

Pour que je rejoigne enclin, 

Et en un clin

D’œil, le bonheur samaritain

En un avenir meilleur, 

Ailleurs et avec des couleurs,

Pour que je trépasse

D'un portrait amère,

Et que je passe

A un anti-portrait à mère,

Dont je me détache à grands pas,

Car vive le présent hip hip hip hourra !

 

Jérôme de Mars

Dédicaces

 

Cocasse et insolite,

L'objet du scandale

Délite, effrite,

Et frite l'objet du sujet

Original et pâle,

Dont il est le sujet 

De l'objet, 

Dont l'objet de son appel

Epelle solennel,

Dédicaces, des dix casses loquaces

Et cocasses,

Si on casse

Concasse, et qu'on tracasse

Le casse du siècle loquace,

Dont la forme est conforme

Et le fond confond

Méforme, qui informe

Le tréfonds, qui fond

Des dix casses, dédicaces,

Qui cassent et concassent 

Dédicaces, des dix casses,

Qui fracassent le capitaine fracasse

Avec la carcasse cocasse,

Et loquace,

Dont on a fait le tour du casse

Du siècle, dédicaces, des dix casses. 

 

Jérôme de Mars

Heure d'été

 

Heure d'été,

C'est du bonheur 

Qu'on nous a prêtés,

Dont on s'est apprêtés

A passer dans la bonne humeur

Tous ces jours dans la clarté,

Lorsque le soleil vend la mèche

Eméché avec la mèche rêche,

Cheveux dans le vent

Qui parle à tous les courants

Du temps,

Comme du printemps

Heure d'été

Entre printemps et été,

Où l'on aspire à la gaieté

Et à la légèreté,

Avec des ricochets

Sur la rivière,

Comme emplir 

Ses poumons

D'une recharge d'air

Dans la profusion,

Pour s'amuser et rire

Dans la simplicité,

D'être vivant

S'enivrant au temps grisant,

Heure d'été,

On va siroter

Une bière qui mousse

Dans l'écume qui émousse

La blouse du blues des soignants,

Où on leur apporte tout notre soutien

Pour de meilleurs lendemains,

Conciliants et plus avenants

Venant du soleil trompeur,

Mais enchanteur

De l'adultère

Au regard des frères,

Qu'est une relation particulière

Et solaire

Sous l'emprise du ciel,

D'où l'on agite enfin des bonnes nouvelles

Une fois affirmé le regain d'activité,

Au bout de la saison

Et en floraison,

De l'heure d'été.

 

Jérôme de Mars

Un paradis d'enfer

 

Vanessa Paradis

Qui est au paradis,

Vit un paradis d'enfer  !

Si elle s'entend

Avec l'enfer,

Et qu'elle s'attend

A un paradis d'enfer,

Dont l'enfer est un paradis

Et le paradis un enfer,

Dont un paradis d'enfer

Pour Vanessa Paradis,

Qui est d'enfer

De Denfert-Rochereau,

Où c'est d'enfer  !

Mais dont pour Vanessa Paradis,

C'est un paradis de mots

Dans le paradis de Denfert-Rochereau,

Dont c'est Denfert le paradis !

Pour Vanessa Paradis

Qui est dans un paradis d'enfer !

Denfert ! Au paradis d'enfer !

 

Jérôme de Mars

Je croise les doigts

 

Hello, et l'eau !

Comme tout tombe allo, à l'eau  !

Et que je m'inquiète pour demain

Par rapport à mon destin

Si à la croisée des chemins,

Je me tambourine l'esprit

Avec des si,

Où je me tarabuste

Et si,

Car je fonctionne avec des scies,

Qui me scient, sciemment

Et abondamment

Avec mon buste, en art buste,

Où je croise les doigts

Comme tout tombe à l'eau  !

A-vau-l'eau au fond du ruisseau,

En buvant les paroles des autres

Avec de la Badoit, de mes bas doigts !

En invoquant 

Et en priant

Dieu et ses apôtres, 

Où je déguste 

Moi, le clown auguste,

Et où je croise les doigts

Pour ne craquent mes doigts,

De mes dix doigts,

Si je ne lève le moindre petit doigt

Et que je bois à l'eau hello !

De la Badoit, de mes bas doigts,

Où je fais des gammes aux vers

Au piano, dans un programme ouvert

Sur la scène dans un petit café de slam,

Où je clame que j'ai besoin de came

Pour me shooter au slam,

Et où en moment ça rame  !

Sur la rame du métro,

Comme j'ai toujours un métro

De retard à sans arrêt rester dans le rétro,

Où je croise les doigts,

Je claque mes doigts,

Et je craque mes doigts

De mes dix doigts,

A force d'encaisser les déboires

De ma Badoit,

Sans lever le moindre petit doigt,

Où en pourboire, je veux aller au purgatoire

Pour trépasser des remords

Et passer en torts retords,

Où je n'aurai plus tort,

Car je tords les idées reçus,

Message reçu cinq sur cinq en bienvenue !

Où je vous dis salut ! en buvant de la Badoit,

De mes bas doigts, quand je croise les doigts.

 

Jérôme de Mars

Jadis, Jade dit !

 

Jadis, Jade dit !

Que Jacques a dit maudit !

De préserver les bijoux de famille,

Même si c'est facile 

En pupilles,

De l'aliénation,

Pour la nation,

De sauvegarder pour des pacotilles

Tout ce que jadis, Jade dit !

Quand Jacques a dit maudit !

Qu'il fallait sembler rester intelligent

Avec les gens et les agents,

Même si ça paraît loufoque

Et fantaisiste,

Tous ces éternels débats folkloriques

Et surréalistes,

Entre baroque

Et sujets philosophiques,

Quand jadis, Jade dit  !

Que Jacques a dit maudit  !

Que c'est inédit  !

Ce vécu avec des mots dits,

Dont il dédie

En sortant de sa coquille 

Saint-Jacques de Compostelle,

Qu'il faut un numéro d'urgence universelle,

Pour appeler à l'aide d'untel

En frères de misère,

Comme on naît et qu'on meurt poussières  !

Histoire de familles

Avec les bijoux de famille,

Dont jadis, Jade dit  !

Que Jacques a dit  !

De faire une prière générationnelle, 

Singulière et plurielle

A l'adresse des congénères, 

Car après le recueil des doléances,

Cela génère

Des séances

Plénières et premières,

De toute une série

De mesures pour réconforter les amis,

Du pays en frénésie

Et dans la liturgie,

Dont Jadis, Jade dit  !

Que Jacques a dit !

Que ce n'était point interdit.

 

Jérôme de Mars

La prison sans les barreaux

 

Temps de confinement,

On est prisonniers cléments

Empêchés de circuler,

Mais encouragés à véhiculer

Que c'est la prison sans les barreaux

Si on place la barre haut,

Car on a le droit de s'évader

Dans des choses dépaysantes

Et plaisantes,

Dans notre nature spontanée

Et instantanée,

Comme c'est le moment de tout relativiser

Que sur Terre, tout est relatif !

Et qu'il est impératif

De rester négatifs,

Pour ne pas attraper positifs

Le Coronavirus, mais dont il faut être positifs

Face aux gens qui sont négatifs en rectificatif,

Comme c'est la prison sans les barreaux,

Mais dont on a le droit de s'évader

En plaçant la barre haut,

Que même si les gens nous manquent

Pendant cette période de confinement,

Que de l'endroit où l'on est

En décompressant de tout ce boucan,

Il faut qu'on pense à ceux qu'on aime

De notre planque

Avec le carpe diem,

Où l'on sème le grain de l'amour

Pour dériver les vautours,

Et river vos tours, dont c'est le tour

De susurrer je t'aime !

A l'ensemble de la population en emphysème,

Dont si on s'évade en plaçant la barre haut !

Pour se changer les idées

Avec un vent de liberté,

C'est la prison sans les barreaux.

 

Jérôme de Mars

Ceux qui croient en Dieu sont-ils des anges ?

 

Faire le bien dans ce monde animal,

Permet de cultiver pour son prochain

De l'amour très divin,

Pour contrer le mal

De ce monde sauvage,

Où l'on ouvre une nouvelle page,

Car on fait voler mésanges, mes anges

En priant pragmatique,

Pour voir si c'est systématique

Et prophétique, 

Si on se demande mystiques

Que ceux qui croient en Dieu sont-ils des anges ?

Dans une vie d'ange ou dans un mélange ,

Où l'on croise les doigts des phalanges

Pour voir si on se range 

Du côté de l'Archange,

Ou si on se fourvoie

Du côté des méchants si on change

Du bout qui porte notre croix,

Ou si on cherche à trouver notre voix

Voix de la croix ,

Ou si on mange 

De ce qui nous démange,

En cherchant la frange

Que ceux qui croient en Dieu sont-ils des anges ?

Dans une vie d'ange de l'Archange,

Ou si on vole avec mésanges, mes anges,

A vol d'oiseau sur les hauteurs,

Des lieux de prières fidèles aux valeurs

On instaure d'office une office avec des images,

Pour restaurer chronophages à devenir un sage

Dans une vie d'ange, où l'on se range si on change 

En bien, radieux, hauts dieux  !

Jusqu'aux cieux,

Où l'on s'arrange

Que ceux qui croient en Dieu soient des anges !

 

Jérôme de Mars

Jusqu'au ciel

 

A son zénith, le soleil

Stimule les tourterelles,

En cajolant de son balcon

Y a pas de nuages à l'horizon  !

Qui relève en faisant dans la dentelle

Jusqu'au ciel,

Enjôleur qui fait son come-back

Si jamais il chante en playback

Tout le ressenti de l'univers,

Qui en a marre que la saison printanière

Sorte de sa chaumière,

Pour cracher sur les artères des cratères

Qui sont comme des volcans océans,

Qui cherchent pourquoi La terre fout le camp

De la lune au soleil

Jusqu'au ciel,

Malgré que le ciel parle de la pluie

Et du beau temps,

Qui s'amenuise de son dépit

Et parcourt en courant

Le soleil qui fait la météo,

Car mettez-haut  !

Les paréos ,

Car il faut paré haut ! En ne regardant

Dans le rétro,

Mais aller de l'avant souvent,

Tandis que le vent répand

Bien auparavant et cependant,

Pendant que le soleil fulgurant

Déploie et tournoie en un éclair,

Furtif et condescendant

Tout ce que que le remède intemporel,

Dépend occasionnel 

Jusqu'au ciel,

Et se manifeste dilettante, 

Dès que l'attente ne se veut concluante

Soi-disant en passant,

De la passerelle 

Jusqu'au ciel.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Il y a longtemps  

 

D'antan au long temps,

Il y a longtemps

Que le temps s'étend

De l'étang qui se détend

Au printemps,

Et s'étend 

Il y a longtemps,

Quand le temps

Se tend,

Passe temps de temps,

Outrepasse autant de tant,

Surpasse autant,

Dépasse au temps,

Et trépasse tant

Si le temps

Est dans les temps,

Pour se rappeler à temps

Du bon vieux temps,

Il y a longtemps

Au cours du long temps,

Pour passer du bon temps

En passe-temps,

Si on entend

Remonter le temps

Comme c'est tentant

Et important, 

En important,

Et en exportant 

Le temps,

Consentant de tant

Et bien entendant,

S'il consent tant

Il y a longtemps,

A se souvenir insistant

Et distant

Du temps,

Qui passe à temps

Consistant et repentant,

A vouloir persistant

Il y a longtemps,

Qu'on va autant

Passer au temps

De tant,

Et au temps 

Nonobstant, dès cet instant

Pour un long temps,

D'antan dont ça tend

A devancer autant,

Et à défier le temps

Dont il s'attend

Pour un temps,

Au temps 

D'il est tant,

Car il y a longtemps.

 

Jérôme de Mars

 

Le franc-parler

 

Par Les Français

Ils ont un franc-parler

De parler Français

Aux francs ces

Dont ils ont un franc-parler

A parler francs ces

Dont ils sont francs ces

Français avec un franc-parler

D'être francs à parler

Français par Les français

De leur franc-parler

A part Les Français

De leur franc-parler

A parler Français

Par Les Français

A part les Francs-parlers

Parler Français

Par le franc-parler

En pourparlers

De part Les Français

Pour parler

Le Franc-parler.

 

Jérôme de Mars 

                                          Crise de rire sanitaire

 

 

Sur fond de crise, voici des petites saynètes pour désamorcer les tensions :

 

 

1)  Jean-Paul : " - Pourquoi portes-tu toujours un masque dans la vie  ?

 

     Jérôme :  - Parce-que si j'ai le virus, tout le monde me prendra en grippe !  "

 

2)  Adel  : " - Pourquoi t'en laves-tu les mains du Coronavirus  ?

    

    Jérôme :  - Pour qu'on me passe un savon  !  "

 

3)  Guillaume :  " - Pourquoi as-tu toujours ton attestation de dérogation sur toi  ?

  

     Jérôme :  - Parce-que si les flics me contrôlent, je m'en tamponne ! "

 

4)  Alexandre : " - Mon cher Jérôme, quelle est la différence entre toi et moi  ?

 

     Jérôme :  - Toi, tu es confiné et moi, je suis con fini  !  "

 

5)   Boris :  " - A ton avis, Jérôme, pourquoi les enfants doivent-ils continuer à                                étudier malgré le Coronavirus  ?

 

      Jérôme :  - Parce-que les enfants passent toujours des tests avec les                                         contrôles de la police ! "

 

6)   Philippe :  " - Pourquoi n'es-tu pas dans le mouvement comme les autres                                       depuis le début du confinement  ?

 

      Jérôme :  - Parce-qu'à cause de la police, je suis dans la contre danse.  "

 

7)   Jérôme :  " - A ton avis Brigitte, que puis-je faire pour mon père qui                                              souffre d'hypertension artérielle  ?

 

      Brigitte :  - Tu peux juste faire très attention à lui en désamorçant les tensions ! "

 

8)   Jérôme :   " - A ton avis, Sandrine, que pourrai-je dire au médecin si le 9 avril                                prochain, j'ai le Coronavirus  ?

 

     Sandrine :     - Tu lui diras, quoi de neuf, docteur ?  "

 

9)  Jérôme :  " - A ton avis, Christophe, pourquoi les soignants sont-ils plus                                        sensibles aux applaudissements des Français qu'aux annonces                                du gouvernement  ?

 

    Christophe :  - Parce-que c'est l'hôpital qui se fout de la charité !  "

 

10)  Muriel  :    " - Jérôme à ton avis, pourquoi fera-ton une prise de sang après le

                         confinement aux Français qui auront eu la chance de ne pas                                     tomber malades du Coronavirus ?

                       

      Jérôme :   - Parce-que ceux-là auront de la veine !  "

 

11)  Jérôme :  " - Serge, pourquoi me conseilles-tu d'écrire pour soigner mes                                       plaies  ?

 

       Serge :  - Mon cher Jérôme car aux grands mots, les grands remèdes !  "

 

 

                                             Jérôme de Mars

                        

Concours de bonté

 

Laps de temps annuel,

Pas besoin du bescherelle 

Pour savoir que ce n'est un concours

De beauté,

Mais un concours

De bonté,

Où seule la beauté intérieure compte

Et où la beauté extérieure n'escompte, 

Car les lauréats de ce concours de bonté

Devront avoir un cœur en or de sincérité dévouée,

Avec l'identité d'une personne entière et débonnaire,

Sans faire de zèle mais juste ce qu'il faut d'ordinaire,

Dont ses qualité humaines feront le reste,

Pour que la beauté se déleste

Et fasse place à la bonté,

D'où les candidats à ce titre

Du concours de bonté,

Devront signer la charte de la loyauté

A bord de leur pupitre,

Où l'on veut des gens honnêtes, oh nets !

Et des artisans d'un concours très élégant,

Où l'on prendra des gants en demeurant bienveillants

Avec une pléiade de valeurs,

Qui feront office de preuves d'honneur

Que ce ne sera pas du pipeau, puisque ce sera du grand niveau,

Dont on fera de ces candidats des héros

Ayant un réel talent sans qu'ils tombent dans les oubliettes,

Où ce concours de bonté

J'espère qu'il fera des émules dans le monde entier,

Et en France dans les zones de pénétration,

Où enfin v'là une bonne action,

Qui en sera extraite de ce concours de bonté,

Car ce qui compte ce n'est pas la beauté,

Comme on escompte l'art de la bonté

Dans la vérité de ce concours de bonté,

A plus si affinités !

 

Jérôme de Mars

En attendant des jours meilleurs

 

En ces temps de tiédeur, de tiède heure,

Et en attendant des jours meilleurs,

Profitons du soleil réparateur

Afin qu'il soit acteur 

D'un monde conciliateur, réconciliateur,

Médiateur, pacificateur et réanimateur,

Car il y a urgence sanitaire

Face à nos civilisations délétères,

Qui s'égrènent de colère

Face aux frustrations incendiaires, 

Où en attendant des jours meilleurs,

Profitons d'un beau ciel bleu

Vers le paradis somptueux et majestueux,

A vouloir et à espérer un monde meilleur

Plus fédérateur et plus enjoliveur 

Avec une ribambelle de fleurs,

Pour rassembler toutes les générations

Quelque soit l'orientation et les questions,

Où on implore le ciel de nous fournir

De la chaleur avec beaucoup de douceur

Fertile, en plaisirs pour ne plus souffrir

L'espace d'un instant,

Grâce au printemps,

Un vecteur colossal,

Qui favorise le lien social

En ces temps incertains,

Où nul ne sait de quoi sera fait demain  !

A part croire au soleil divinateur ,

En attendant des jours meilleurs,

A prospérer en un monde dans la chaleur

Humaine après la tiédeur, la tiède heure,

Où on vous souhaite de la vigueur

En ces temps âpres de rigueur,

Avec le printemps pour orner modérateur,

Ce climat ambiant dévastateur,

En ayant pour toile de fond

Et pour liberté de ton,

La bonne formule pour renouer avec nos idéaux, 

En sachant trouver les mots

Dans un monde plus enchanteur,

En attendant des jours meilleurs.

 

Jérôme de Mars

 

                                                         Blague :

 

 

Pourquoi en ces temps de confinement, ne faut-il pas qu'un homme très gentil se retienne trop auprès de sa copine  ?

-  Parce-que sinon après, ce sera une crème brûlée !

 

                                                 Jérôme de Mars

C'est le bazar !

 

Capharnaüm, 

J'ai le cafard

Comme j'ai des cafards

Chez moi, et que c'est le bazar !

Dans ce putain de bordel,

Où j'implore le ciel

Dans ce putain de bordel,

De rouvrir les maisons et closes 

En vase-clos communicants,

Ou à huis clos porte close

Si c'est la sinistrose

Des gens bien-pensants, 

Alors que c'est le bazar !

A moins que Michel Fugain

Revienne avec son big bazar,

Dans l'entrain des boute-en-train

Dans un ultimatum,

Qui sera le résultat

Des filles de joie,

Car oh ! putain de bordel !

Si on rouvrait les maisons closes,

On aurait des paroles écloses

Loin du hangar,

Mais par le plus grand des hasards,

Car oui clos  !

On clôt

Ce bordel,

Avec une passerelle

A son escarcelle,

Car putain ! de bordel

C'est le bazar !

 

Jérôme de Mars

 

Les cons finis

 

Confinés, les impatients meurent sur le champ d'honneur,

A attendre que le temps passe ou trépasse, avec les règles en vigueur,

Où ils veulent de la teneur, pour savoir à quoi s'attendre, s'ils sont résolus

A demeurer dans leur léthargie en réanimation, ou à une déconvenue

Comme les cons finis, confinés et efféminés, dans leur sensibilité de midinette

A faire du surplace, de toutes leurs différentes facettes dans le miroir des paillettes,

Où ils s'épanchent ou se penchent à rencontrer paroles d'Evangile,

Agiles, fragiles et adeptes d'un périple en route vers la période bissextile,

Comme les cons finis dénichent la péniche à déchanter sur La Seine, 

Confinés à chercher le rôle moteur, d'un public digne dans une parade seine,

Tel le troubadour, qui attend de passer son tour dans la grande tour des cons finis,

A implorer le ciel, de sa basse besogne, ou à étaler sa dette céleste dans une folie

De l'hérésie, ou à tout gérer en autarcie, qui veut que le Bon Dieu sème un totem

Dans un nom de baptême, dans le confessionnal, où l'on désigne le carpe-diem

Pour résoudre ses problèmes, et profiter de l'instant présent dans un paradis 

Sur Terre, avant l'inventaire dans le couloir du jugement dernier des cons finis,

Qui décident le jardin secret d'Eden, où sera enseveli dans l'éloge de la nécrologie,

La synchronie de Dieu, si jamais il réussit à convertir confinés, les cons finis.

 

Jérôme de Mars

Pas rassis !

 

Etrangers

De France,

Ils sont étrangers

Aux lois de la finance,

Ils ne prennent

Le pain

De La France,

Mais s'éprennent

De notre pain

Avec accoutumance,

Comme pour eux,

Ca a de l'importance

D'aimer La France,

Autant que Dieu,

Dont c'est du pain béni

Que le pain ne soit rassis,

Ni que Les Français ne soient rassis

Sur le pain des Français rassis,

Car Les Français ne sont racistes,

Puisque notre pain est aussi

Celui des étrangers optimistes,

Etrangers à tout ceci

Pour la vie,

Car pour eux

Et pour nous aussi

Jusqu'aux cieux,

C'est du pain béni

Pas rassis !

 

Jérôme de Mars

CD tubes

 

Tubes cathodiques,

On nous passe

Et on nous trépasse

En tubes nostalgiques,

Des chanteurs DCD

Dont CD tubes

De chansons euphoriques,

Mélancoliques ou mélancomiques,

Tous les tubes

Qu'on nous passe

Ou on nous trépasse,

En tubes qui nous pompent

En faisant des pompes,

Ou en ayant des coups de pompes

Avec des pompes à savons,

Si on nous passe des savons

Et si nous savons que CD tubes,

Tout ce qu'on nous fredonne de chansons

Avec des pompes à moutarde,

Qui me tardent et m'attardent

Qu'elle me monte au nez

Avec nos pifs, 

Où l'on a dans le pif

Tout ce qu'on sniffe,

De tubes de bulles à savons

Si on s'en lave les mains

Et que dès demain,

On nous passe un cahier

Pour noter tous les tubes,

Des chanteurs DCD

Dont CD tubes

Tous leurs tubes,

Qu'on nous repasse

Sur les tubes cathodiques,

Aux refrains alchimiques 

Et chimiques avec des affinités,

Et atomes crochus

Tous ces chanteurs DCD,

Dont CD tubes

Pour certains

Très BCBG,

Avec ACDC

A l'affût 

De tubes de bulles à savons,

Si nous savons

Que des tubes

Des chanteurs DCD,

CD tubes.

 

Jérôme de Mars

 

De mon œil en trompe l’œil !

 

Œil de vers

Mon œil ! J'écris en vers

De mon œil hier, œillère,

Avec une cuillère en argent

A prendre tout pour argent contant

De mon œil en trompe l’œil !

Si jamais je me rince l’œil !

A boire des tilleuls,

Qui me fassent souvenir de mon aïeul,

Où je reste confiné à mon fauteuil,

Seul chez moi confiné,

Avec les cons finis de mes écrits raffinés

Ou efféminés, de mes grandes excentricités,

Mon œil ! De vers, je bois avec vous un ver

Depuis mon refuge en verve, et qui vous ressert

Un ver de poème qui dessert 

Mon œil de vers aux forts revers,

Où je me mets aux vers

De l'an vers au père vers,

En toute humanité et simplicité

Avec réciprocité 

Dans ma fugace sagacité, 

D'où j'ai fini de vous citer et inciter

Bon pied bon œil !

De mon œil en trompe-l’œil !

 

Jérôme de Mars

Les bites seules

 

Il est question de parodie

Dans ce poème, 

Où j'en déduis

Qu'il brocarde Les Beatles

Dans les bites seules,

Comme nom de baptême

A la file Anglaise,

Qui faufile à La Française

Les Beatles

Vers les bites seules,

Qui meuglent 

Aveugles et qui meublent

Leur concert de louanges,

Dans un cancer de langes

Pour l'ex-femme de Paul McCartney, 

Du nom de Linda, car désincarnée

Avec ses ongles incarnées,

Dont les bites seules de toc

Sont en roc 

De Beatles,

Avec leurs bites seules

Dont ils tiennent à L'Anglaise

Leurs paroles de pubs, 

Terre-à-terre glaise,

Agile et argile

Si ce sont des paroles d'Evangile,

Comme John Lennon

Se prenait pour Dieu,

Plus célèbre que Jésus Christ

En tant qu'artiste ébéniste,

Qui montre de quel bois il se chauffe

De vieux réac et beauf,

Avec ses caprices d'odieux

Veules qui meulent, 

Oh ! La vache sacrée trop olé olé,

Car ça ne sonne, ne raisonne

Et ne tourne pas rond chez John Lennon,

Très imbu de sa personne,

Presque complètement givré et barré,

Avec les bites seules

Du groupe Les Beatles

En manœuvre,

Avec Philippe Manœuvre à la manœuvre,

Dont c'est leur oeuvre

En hors-d'oeuvre,

Comme ils œuvrent 

A recevoir leur sensible reconnaissance,

De la quintessence à l'essence

De leur talent,

Dont c'est leur tempérament

D'arriver à échéance,

A la date butoir

De leur répertoire,

En guise d'au revoir

Et à revoir

De toute urgence,

Car on confirme

Que de leur firme,

Les Bites seules

Sont des imposteurs,

Et que les seuls vrais acteurs

De cette entière manigance,

Avec arrogance

Sont Les Beatles,

Avec leurs bites seules.

 

Jérôme de Mars

C'est le fruit de mon travail !

 

Pour ma pomme,

Je mange une pomme dépit,

Sans que je prenne le melon

De la pastèque,

Où j'ouvre ma fraise

En gardant la pêche,

Si je fais la peau au brugnon

Et que je m'assois sur une poire,

Qu'assis sur le cassis,

Où je suis une poire

En payant l'amande honorable

A l'avocat du diable,

Où je dégoupille la grenade,

Et je la désamorce avec Clémentine

Qui est en faim le fruit de l'amour,

Où je ne reste dans mon coing,

Car je tape sur les mûres

Pour lui dire à Clémentine

Qu'elle ne compte pour des prunes,

Où je lâche la grappe au raisin

En prenant un forfait Orange stressé,

D'où avec Olive, je mange mon olive,

Quand je rencontre Popeye

Qui met du fer dans mes épinards,

Si bien que je cherche une datte

Pour fixer une datte, 

De mon prochain mariage

Avec Clémentine,

Car c'est le fruit de mon travail !

 

Jérôme de Mars

Une hirondelle ne fait pas le printemps

 

Porte-jarretelle, jactent-elles  !

Les hirondelles rôdent à leurs aises

Lors de la saison de l'amour,

Où épousent-elles dans du velours

La musique qui frétille les soupirants

Dans un genre bossa-nova,

Qu'une hirondelle ne fait pas le printemps

Surtout si le couple bat de l'aile

A-tire-d'aile dans un battement d'ailes,

Si surgit un tue-l'amour vanille fraise

Dans un concerto pour piano aux ébats,

De filles de joie pour mettre bas

Le numéro de séduction ainsi Cupidon,

Dans un jeu de rentre-dedans très torride

Sur les Iles du sexe sans complexe avec addictions, 

Qu'une hirondelle ne fait pas le printemps

Dans un remue-ménage de printemps longtemps,

Après les ballets de la marche nuptiale en cas

Si les ailes sont volatiles ou volages au contact humide,

Qu'une hirondelle ne fait pas le printemps 

Dans un endroit décomplexé de scrupules,

Mais cherche le subterfuge qui pullule

Du pollen à une odeur de meilleure haleine,

Dans la rengaine que la saison a rencontré sa madeleine

De Proust sitôt la trêve, 

Où là s'achève Adam à la recherche de son Eve, en élève

De l'amour, qui déniche le cinquième élément,

Comme ici et là

Une hirondelle ne fait pas le printemps.

 

Jérôme de Mars

Chauvin, chauve hein !

 

Chaud vin, 

On s'fait des cheveux  !

Chauvin, chauve hein !

En show 2020,

Où on boit du vin chaud

A votre santé sur le réchaud,

Presque sur les cieux

A patauger, 

Et à se badigeonner

Avec des gars doux, des gadoues

Sur le redoux,

Où l'on glisse

En mastiquant du réglisse,

Dans un délice, des lisses

Lisse avec hélice,

Et Lise, 

De la lettre à Elise  !

Où on s'fait des cheveux  !

Si je veux 

Qu'on boit du vin chaud

En 2020 show,

Chaud vin,

Où on est chauvin, chauve hein !

Avec Céline Chauvin

Des vins de vins, devins,

Où l'on esquisse

Un sourire dans des caprices,

De l'emprise 

Qui méprise,

Les caractéristiques

D'astérisques risques sur risques,

Où on boit à votre santé,

Sans l'ivresse d'excès désaxés 

Sur la voie publique,

Avant un mariage sur les bans pudiques,

D'où l'on trinque à votre vin chaud,

Du chaud vin

Au show vin,

2020 chauds,

Comme on ne s'fait des cheveux  !

Grâce à un si Dieu

Avec du chaud vin,

Car on reste avec Céline Chauvin  !

Chauvin, chauve hein !

 

Jérôme de Mars

 

Taboulé, t'as boulé !

 

Des boulets, t'as déboulé !

En mangeant du taboulé,

Que t'as boulé !

Sur ton tabouret

Avec Jean-Claude Bourret,

Que t'as bourré

Et débourré !

A la bourrée Auvergnate,

Dont tu prépares de ta cuisine délicate,

Du taboulé,

Que t'as boulé !

 

Jérôme de Mars

Dernier texte avant un laps de temps indéfini

 

Prétexte :  Vu le con texte, ce n'est pas un prétexte si je vous écris ces ultimes maux, à travers ce dernier texte avant un laps de temps indéfini, car nul ne sait de quoi demain sera fait ! Où il faut vivre au jour le jour, et à contre-jour intempestif, où même si ce n'est pas festif, il faut continuer à espérer et à croire en l'humain, il y en a encore qui en vaillent la peine dans ce monde individualiste, qui peine à recruter des gens bien, humbles et altruistes dans ce monde d'égoïstes.

 

Contexte :  Ce dernier texte que j'écris avant un laps de temps indéfini, est symptomatique et systématique du syndrome de la situation très critique, que je prends beaucoup au sérieux, vu l'ampleur de la situation, où oh ! vue des circonstances graves, pendant quelques temps, je n'écrirai pas de textes et je reviendrai prochainement vers vous, d'ici une certaine période charnière, qui reste à déterminer, où si elle est charnière cette période, je me livrerai et je me délivrerai à vous, avec pudeur de ce fardeau, sans que ce soit un prétexte vu le contexte.

 

Dernier texte : Avant de vous dire au revoir pendant quelques temps, voire quelques jours, voire une semaine ou plus, je vous clame mes sincères amitiés à vous tous, même si ça tousse  !  Et qu'il faut rester soudés et se serrer les coudes en ces temps difficiles et instables, où il faut une fable affable, en une morale de la fontaine pour avoir le moral, et lui chuchoter d'une voix suave, " Fontaine, je boirai ton eau sans que ce soit un prétexte vu le contexte de ce dernier texte ", car pour tenir le coût, Prenez sur vous ! Prenez soin de vous ! Et puisez dans vos ressources ! En remontant à la source de pourquoi la vie n'est pas un long fleuve tranquille, dont c'est pour cela que je me produis sur Seine devant vous dans l'écriture, en faisant couler beaucoup d'encre de ma plume, d'où je jette l'encre, car y en amarre !  Et que vu le con texte, c'est là finalement, avec ce prétexte dans ce dernier texte, que j'ai décidé de larguer les amarres !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                 Blague :

 

Que dit-on à une prostituée qui ne veut pas rester chez elle confinée ?
- Mais putain reste chez toi !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Décalage à l'an vers

 

De ce verlan

Je parle de vers lents,

Quand je me mets aux vers

Dans ce décalage à l'an vers,

Où c'est le monde à l'envers

De l'an vers, 

Où il faut qu'on boive des vers solidaires

Dans ce monde actuel de vers solitaires,

Pour passer de la zone lunaire

A la dimension solaire

De ce décalage à l'an vers,

Où je me mets aux vers

Pour prendre un ver

A votre santé

Et sans excès,

Où l'on a besoin de choses légères

Dans notre imaginaire,

Quand l'air dans cette embolie pulmonaire

A besoin en urgence vitale d'embellie pulmonaire,

Pour passer de la colère qui nous trépasse

A une joie populaire qui nous surpasse,

Pour passer de l'impasse

A l'un passe

Dans ce décalage à l'an vers,

Où il nous faut faire un inventaire

De notre Terre en faillite pécuniaire,

Pour la changer d'égoïste

En l'adaptant en mode altruiste,

Car pour tous c'est la crise,

Et si on ne fait rien, on s'enlise dans la bêtise

De ce monde à l'envers,

Qui parle d'extraordinaire,

Mais par l'intermédiaire

Des couches pas forcément populaires

Car prospères,

Mais il dont refonder l'immonde

En un monde

Plus solidaire

Après l'immonde solitaire,

Où même si ça choque

De ce que je vais dire,

Je m'en fous en pare-chocs

A en suffire,

Que cette crise a du bon

Si ça permet juste de changer l'emballage

Du carton,

Dans ce décalage

A l'an vers,

Pour rendre le monde meilleur 

Avec moins de rancœur,

Mais pourquoi attendre cette crise  ?

Pour être plus solidaires

Avant que tout cela s'enlise

Alors que c'est d'ordinaire,

Qu'on devrait toujours être solidaires

Et dont cela serait salutaire sur place,

Alors qu'actuellement notre monde est délétère

Avec du surplace,

Car comme par hasard

Dans le hangar,

On trouve de l'argent

En argent comptant,

Alors que le reste du temps,

On ne veut faire que des économies

Pour en tirer profit

Dans ce monde à l'envers,

Où je me mets aux vers

Dans ce décalage à l'an vers,

Dont je fais le déballage en inventaire

Alors pour que tout ça soit salutaire

Sur La Terre, tirons-en des leçons de cette crise !

Avant qu'on s'enlise dans la bêtise,

Car seuls, nous pouvons changer le cours des choses,

En sachant pour quelle cause, on se cause,

Si on passe du ver solitaire

En des vers solidaires

En inventaire,

Quand je me mets aux vers

Dans ce monde à l'envers,

En totale décalage à l'an vers.

 

Jérôme de Mars

Escapades vers un voyage de l'inconscient

 

Science infuse, pourvu qu'on diffuse

Dans un cas de conscience, l'écluse

Qui fait barrage sur La Seine

Et qui avec du bois d'ébène,

Vogue destination les escapades

Vers un voyage de l'inconscient,

En se produisant sur l'estrade de l'esplanade

Avec des figurants qui se rangent coopérants,

En obéissant aux forces de l'ordre dans un rôle prépondérant

Dès l'avènement de l'événement,

En un confinement juste au moment du printemps,

Où l'on se serait bien passés de ces éléments troublants,

Où il faut qu'on se mette aux vers

Disponibles dans un je de gamme ouverts,

A pianoter des notes salées sur notre piano d'amende honorable,

Où on se sert affables du chaos qui nous plonge ineffables, 

Dans quelque chose de très déroutant,

Et de particulier chez les particuliers, où il faut une attestation

Pour démontrer l'accréditation,

Que ce n'est une imposture de manipulations,

Où l'on joue franc jeu sans objections

Et où influents, on demeure humbles et souriants 

Jusqu'en escapades vers un voyage de l'inconscient.

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blague :

 

Pourquoi Marine Le Pen risque-t-elle de passer en 2022 ?
- Parce-qu'elle fera un rassemblement national !

 

 

 

                                        Jérôme de Mars

Quand la pluie aura cessé, le soleil reviendra-t-il ?

 

Variations constantes du temps fluctuant,

On implore le ciel

De nous donner au plus vite des nouvelles,

De quand le temps contrasté

Cessera de nous importuner,

Dont on déplore qu'il soit géré

Avec des bouts de ficelles,

Le temps bipolaire avec son fort tempérament

A la nuance de s'il est méchant ou gentil,

Pour savoir quand la pluie aura cessé,

Et si le soleil reviendra-t-il ?

Plus fort 

Ou dans le phosphore d'une métaphore,

Car le temps ne ricane,

D'autant qu'il brûle avec son Jerrican 

Tout ce qui le dérange,  

De Paris à Orange, O' range !

Où l'on s'évertue 

Dans le bruit des déconvenues,

A déplorer le ciel

De ce qu'il est devenu,

Car nul ne sait de quoi  !

Il adviendra

Dans les prochaines nouvelles,

Comme ça sera l'inconnu

Et de si le temps restera volatile,

Ou bien quand la pluie aura cessé,

Est-ce-que le soleil reviendra-t-il  ?

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

La gym tonique des mots

 

Dimanche, quand tu t'endimanches  !

Supersonique et tectonique,

T'as la gym tonique

Des mots,

Où t'es confus dans l'embarras,

Bon débarras  !

Si t'as l'embarras du choix

A te mettre dans des états unis,

En des vibrations

D'élucubrations et de résurrection

Dans un bruyant méli-mélo,

Où c'est la mélo mégalomanie 

Si t'as la gym 

Des mots,

A rester sur le carreau

De ton mouchoir à carreaux,

Aux vitraux 

En se tenant à carreaux

Ou à faire partie de la dream team, 

Où d'après l'idéal scénario,

T'as de quoi te mélanger incognito  !

Parmi tous les badauds,

Qui se ruent

A l'affût de la rue,

Si t'as la gym

Des mots,

Toniques et tectoniques

Dans la frime qui se grime

En des métaux, 

De musiques de métaux 

Durs comme du salto 

Dans le mambo,

Où t'as la gym

Des mots,

Tant que tu crois 

En des fantômes,

Qui sont les tomes

Et les atomes crochus, 

Qui se livrent

Et se délivrent

D'une vie de bordel,

Où il faut remettre de l'ordre

Des côtés les plus sobres,

En priant ainsi corporels

Pour encore 

Conclure des accords,

En tout point supersonique 

En y posant aucun point de veto,

De la gym tonique

Des mots

Dimanche, quand tu t'endimanches !

 

Jérôme de Mars

On revient à l'essentiel  !

 

Sur un point sensible,

Pour ne pas qu'on pète

Les fusibles,

Dans d'amères défaites

Avec ce cas solennel,

On revient à l'essentiel

D'une vie plus saine,

Moins reine

Sur le profit,

Mais dont il faut tirer profit

Dans une meilleure haleine,

Pour filer un coup de pied ferme

A ce virus,

Et lui hurler

A tue-tête,

Ferme-là ! et renferme-

Toi s! Sale Coronavirus !

Comme on ne souhaite

Qu'une chose,

Ta simple mort

Sans aucun remord, 

Dont tu ne causes que des ecchymoses,

En ayant de la veine

Avec les défunts que tu jettes aux oubliettes,

Où pour triompher en singulier, pluriel,

On revient à l'essentiel,

En prenant des nouvelles

D'untel et de tel,

Où il faut garder

Et préserver,

Le lien social

Et amical,

En ces temps rudes

Et prudes,

Car les gens sont pudiques

Pour affirmer qu'ils aiment

Leur famille,

Et leurs amis

Malgré ces tristes chrysanthèmes,

Où c'est un service public

De se recentrer sur l'essentiel,

Comme on revient à l'essentiel

Dans cette période charnière,

Qui ne sera la dernière

A coups de frustrations substantielles,

Habituelles et ponctuelles,

Où il nous faut une fontaine,

Car fontaine, je ne boirai ton eau

Mais juste tes peines,

En compatissant à tes doubles maux

Que nous provoque ce confinement,

Et dont je revendique

Tant que je n'abdique,

Qu'il faut résister patients

A tous ces sordides événements, 

Où je vous souhaite 

Pour passer le temps,

De faire des emplettes

Dans ce qu'il y a de plus rationnel,

Et en vous de personnel,

Car là on revient à l'essentiel.

 

Jérôme de Mars

 

Art t'es ras pied !

 

Ecriture qui est une sinécure

Avec désinvolture,

Pour adopter la bonne posture

Dans notre authentique nature,

D’œuvrer pour l'art thérapie

Si jamais tu manœuvres,

Et que tu causes un hors d'oeuvre

En faisant de l'art de tes petits papiers,

Où il faut que tu sois dans les petits papiers

Si jamais de ton art t'es ras pied !

En endossant le rôle du ramier, 

Où tu peux concevoir de biens jolies poésies

Avec des ramettes de papier,

Qui font tourner les cartouches d'encre 

A volonté, sans gâcher l'encre qu'ancre 

L'art terre à terre d'une mise à disposition,

Quand de ton art t'es ras pied !

En prenant tout à contre pied,

Quand tu inventes l'usurpation

De quelle est ton identité ?

A proprement parlée avec ton franc-parler,

Où tu montes le ton avec une liberté

De ton, ton ton

Si ton ton est ton tonton,

Pour raser les murs,

A base de fruits mûrs

De l'art thérapie,

Où tu cherches à qui  ?

Appartient cet art de petits papiers

S'ils rentrent dans tes petits papiers,

Quand de ton art t'es ras pied !

 

Jérôme de Mars

Et gars ! Edgar !

 

Avec un jaguar à la gare,

Et gars !  Edgar !

Il faut que tu te gares

Et que tu t'égares,

Près du hangar

Gare aux gorilles,

Si tu vois Georges Brassens

Qui te singe en te prenant pour un poulain,

Sous son aile ma poule hein !

Si tu t'éparpilles et qu'il te pille,

Le registre de ton répertoire

Histoire de garder ses droits

D'auteur, à raconter au bistrot du comptoir

Tous tes déboires,

Quand tu bois

Et gars !  Edgar  !

Et que tu promènes ton jaguar

Près du hangar,

Où tu te gares

Et où tu t'égares,

Cher Edgar  !

Avec ton cigare

Du bout des lèvres,

Où tu balances

Que des racontars,

Comme tu t'en balances  !

Si ça balance pas mal à Paris

Avec la fièvre,

Qui surgit à redondance

Avec ton innocence,

D'où j'espère, tu auras 

La décence,

Quand tu élances

Tes bobards,

D'attendre que ce soit

Le soir,

Près du hangar

Pour aller,

Et pénétrer

Dans des pérégrinations succinctes, 

En flânant sur le nénuphar,

Qui n'est nu phare

Sur l'étang,

Qui s'étend

Au fard plein Ouest,

Dès que le soleil se lève à l'Est

Et gars !  Edgar  !

Lorsqu'avec ton jaguar,

Tu quittes la société Dugas !

Bonjour ! les dégâts !

Et les gars !

Quand arrive l'heure

Dans la chandeleur, 

A te murmurer au revoir,

On t'attend pour la prochaine fanfare

Et gars !  Mon cher Edgar !

 

Jérôme de Mars

 

L'oiseau qui a la clope au bec

 

Bec et ongles,

Avec du rubis sur ongles,

Qui jonglent

Pour ne pas qu'il y ait

De prises de becs,

Le ciel témoin a décrété

Que l'oiseau qui a la clope 

Au bec,

Fumerait le calumet

De la paix,

Dans un monde cyclope

Avec six clopes,

Desquelles l'oiseau volerait

De ses propres ailes

A tire d'aile,

Malgré que le ciel 

Bat de l'aile,

Ainsi pour envoler

Une pléiade d'hirondelles,

Dont nous laisserons

Celles, qui décideront

A l'issue de toutes les saisons,

Lequel de l'oiseau qui aura 

La clope au bec,

Dans ce monde cyclopes sec

Avec six clopes nec plus ultra,

Qui détectent la mauvaise odeur

Des cigarettes à base de noirceur,

Où pour diffuser de plus belles 

Ondes dans le ciel, vivement la ritournelle

De l'oiseau qui a la clope au bec,

Pour infuser sans prises de becs secs

Six clopes, dans ce monde cyclope

Et pop rock, dont c'est le top du top

Que l'oiseau qui a la clope au bec

Répande le calumet de la paix,

Avec pour respect 

Qu'il becte sans prises de becs secs

D'un monde meilleur,

Qui accouche sans douleur

Dans la fraternité et la solidarité,

Où celui qui aura résolu 

Toutes les prises de becs,

Sera dans l'absolu

L'oiseau qui a la clope au bec.

 

Jérôme de Mars

Donnez-moi des vers gratuits pour rendre le monde meilleur !

 

Venez au bar avec des accoudoirs, pour se serrer les coudes,

En ces temps difficiles, où il faut boire des vers qui nous soudent,

Où un pour tous et tous pour un, avant que ce soit tous plus rien !

Où je vous en conjure

Pour ne pas qu'on aille dans le mur,

Donnez-moi des vers gratuits pour rendre le monde meilleur  !

Et y composer un poème, en une ode à l'amitié en plusieurs

Facettes, où chacun y trouverait son compte en quatre un,

Où l'union fait la force et nous renforce, dans ce qu'on a de plus brillant

En nous, pour faire illuminer le soleil, dans ses côtés les plus charmants,

Où je vous le jure

Pour ne pas que périsse notre nature,

Donnez-moi des vers gratuits pour rendre le monde meilleur  !

Pour en avoir la garantie qu'il sera plus enjoliveur,

Si j'écris avec métamorphoses un poème qui ose

Se fondre contre la morosité ambiante, dans une permanente osmose

Dans le cosmos en espace temps pour y planter une fleur,

Qui cultivera un monde plus extérieur et davantage fédérateur,

Où l'on sera tous acteurs d'un monde plus civilisateur,

Avec malin l'enchanteur, pour réveiller nos âmes inertes,

Où il faut que vous me donniez des vers gratuits pour rendre le monde meilleur !

Afin de donner l'alerte d'un monde plus alerte et sans perte,

Où le jour que j'aurai fini de transcrire un poème salvateur,

Je vous en donnerai la recette pour que l'on soit plusieurs, 

A en composer à base d'ingrédients sains

Dans le dessein, un plat avec de la nourriture digeste,

Car pour le reste,

Pour qu'on passe de chacun pour soi à tous pour un  !

Dans la chaleur d'un cordial radiateur,

Donnez-moi des vers gratuits pour rendre le monde meilleur !

 

Jérôme de Mars

 

La clé de sol

 

Pas de bol  !

Il y en a ras le bol

Qu'on ne trouve la clé

De l'énigme,

Rangée dans la clé de sol,

Qui nous déboussole

Renfermé dans l'obscurité,

Do ré mi fa sol

Sur le saule pleureur

De la sole qui reste ampleurs,

Si jamais il y a la camisole

De force en un cataclysme, 

Qui suggère une ombrelle

De lumière,

Sur un ton solennel

D'une clé de sol,

Où dans le sous-sol

On requiert linéaire

Une boussole,

Où la clé de sol

Mettra en musique

Sur un air traditionnel,

Des chansons populaires

En guise de plaisirs héréditaires,

Car grâce aux anges venus du ciel

On aura ouvert la clé de sol,

Et découvert une parabole

Pour capter l'air du temps

Comme bientôt surgira le printemps,

Où après le ras le bol,

Succédera une coupe au bol,

Dès qu'on aura pour longtemps

Un peu de bol avec la clé de sole.

 

Jérôme de Mars 

La petite bête qui monte, qui monte...

 

Panse-bête, on renaît au printemps,

Dont avec un pense-bête, il y a tant

De petites bébêtes qui hébètent,

Et qui montent, qui montent....

Avec la petite bête qui monte, qui monte...

Sans avoir honte dans la fonte

Des glaces, qui laissent de glace,

Le retour du printemps qui s'enlace

Avec les animaux qui sont bêtes,

Et qui sont des bêtes, quand ils embêtent

La petite bête qui monte, qui monte...

Et qui démonte, 

La course de la honte, dans la fonte

De la banquise, qui démontre

Et montre

Que les petites bébêtes qui hébètent,

Restent bêtes avec la petite bête,

Qui monte, qui monte...

De la fonte des glaces

A la fonte de la banquise, qui laisse de glace

Le printemps qui s'enlace et se prélasse

Avec le temps grisant, qui surmonte

D'un panse-bête, qui pense bête 

Avec un pense-bête,

Quand pour de bon, on hébète

Avec la petite bébête qui monte, qui monte...

 

Jérôme de Mars

Lyre avec ses yeux la musique de sa vie

 

Bande originale, 

On préfère l'original

A la copie,

Quand avec du collyre 

Il faut lyre

Avec ses yeux ,

La musique de sa vie

En faisant un album studieux

Du studio aux paroles,

Dont on met en musique 

Avec une distribution symphonique

Tout notre ras de bol ,

Où il nous faut une boussole

Et une parabole,

Pour capter l'air du temps

Et si ça reste fascinant et intéressant,

De lyre avec ses yeux

La musique de sa vie,

Dont avec le collyre on y voit mieux

A vouloir ce qu'il y a de plus épanoui,

Quand de notre bémol

On compose des paroles,

Pour réconcilier les gens

Avec la vie,

Et ses inepties

Qui font en chacun tout un boucan,

Où l'on veut en accalmie

Avec du collyre fameux,

Lyre avec ses yeux

La musique de sa vie,

Grâce à un somptueux ciel bleu

Pour rêver d'un monde fabuleux,

Qui demeurera dans les annales

D'une nation qui fait front, 

Mais dans un affront national à l'union

Sacrée, où de notre besoin viscéral

On aspire à un pays généreux

Dans notre belle vieille France féodale,

Lorsqu'on allie l'amical avec l'amiral,

Où ainsi avec du collyre on arrive de mieux en mieux

A lyre avec ses yeux

La musique de sa vie,

En paroles et en musiques

De notre système G, comme on vous déclare aptes

Après l'entracte, si on vous capte

Pacifiques et mélodiques,

Pour une chanson en émotions

D'un au revoir à chaque saison.

 

Jérôme de Mars

 

Le barbier de ces vies

 

Début de la trame,

Avec des lames

De rasoir,

Aux prémices de cette histoire,

Qui a l'air rasoir

Avec des larmes de mots,

Qui coulent paranos 

Et mégalos,

Tirées de l'opéra de Rossini

D'après la pièce de Beaumarchais,

A bon marché,

Qui se déroule entre L'Italie

Et Paris,

Et qui le barbe

Avec de la rhubarbe 

Le barbier de ces vies,

Qui sévit de Séville

A ces villes,

Du barbier de ces villes

Poil à gratter,

Dans un micro-trottoir

Sur les trottoirs,

De ces villes

A Séville,

Qui laissent à désirer

Le bistrot de comptoir

Du petit commerce,

Du barbier de ces vies

Dont c'est son fond commerce

Dans lequel il exerce,

Quand il taille les barbes

Hauts !  la barbe  !

Dont il en a plein la barbe

Et plein la rhubarbe,

Comme ça le barbe

Le barbier de ces villes,

Qui exerce de Séville

A ces villes

De Paris

Et d'Italie,

Lorsque le barbier sévit

Et s'assouvit

A bon marché,

De la pièce détachée

De Beaumarchais,

Dont il rend la monnaie

De sa pièce,

En espèces

A Rossini,

Du confinement de L'Italie

Jusqu'à Paris,

Dont le barbier de ces villes

En a plein la barbe,

Et que ça le barbe  !

De Séville

A ces villes,

Où sévit

Le barbier de ces vies,

Comme cette histoire

Est rasoir,

Avec un immense réservoir,

Abreuvoir et déversoir  !

Avec un entonnoir

Du fond des tiroirs,

Dont en réquisitoire

Avec des bruits de couloirs,

Il ordonne en exutoire

Dans une date butoir,

Fin de cette trame

Qu'il déclame avec des lames

De rasoir,

Comme elle fut largement rasoir,

Pile-poil à déranger

Et poil à gratter

Du barbier de ces villes,

Qui sévit, 

De Séville

A ces vies,

Oh !  La Barbe,

Il en a plein la barbe  !

Beaumarchais,

Quand il donne à bon marché

Une pièce détachée,

En espèces menacées

A Rossini, dont lui,

Il n'en a plein la barbe de ces vies  !

Avec de la rhubarbe qui sévit

De Séville

A ces villes,

Dont le barbier de ces villes 

Sévit de Séville

Jusqu'au barbier de ces vies,

Dont il rend la monnaie

De sa pièce,

De Rossini

En espèces,

A Beaumarchais

A bon marché,

Et aux marchés d'Italie

A Paris,

Car c'est là que sévit,

De ces villes

A Séville,

Le barbier de ces vies.

 

Jérôme de Mars

                                                 Blagues :

 

 

1) Pourquoi le lien social est-il gelé à cause du CORONAVIRUS ?
- Parce-que si on s'en lave les mains, on nous passera un savon avec du gel hydroacolyte !

 

 

     

 

 

2) Pourquoi est-on obligés d'être négatifs face au CORONAVIRUS ?
- Parce-que si on est positifs, c'est qu'on l'aura chopé le CORONAVIRUS

                      

 

 

                                                             

 

                                           Jérôme de Mars

Le soleil de Mars

 

Plutôt Pluton au mois de Mars,

Je mange un Mars

En allant sur la planète de Mars,

Où gravite le soleil de Mars

Dans le changement de la continuité

En quarante annuités, 

Si je rencontre l'amour sur Venus

Avec la Venus 

De Milo, qui gratte son anus

Pendant l'annus horribilis,

A en perdre son latin,

Au quartier Latin,

Pas d'quartier d'effets d'aubaine !

Si le soleil de Mars

Se démène en un phénomène

De société, à bifurquer sur Saturne,

En des jours et des nuits diurnes,

A songer être à la une de la lune,

En comptant pour des prunes

Sur Neptune,

Sans rancune mais avec des lacunes,

Quand le soleil de Mars

Luit au mois de Mars,

En mangeant un Mars

Et ça repart   !

Sur la planète Terre

Très terre-à-terre,

Proche

Des anicroches,

Qui crochent sur pied

Et qui clochent à contre-pied, 

Quand je suis sur une autre planète

A prendre la température

De Mercure,

Quand elle s'éprend au premier degré

Et se méprend au second degré

De l'étoile du soleil,

Avec les comètes

De l'angélisme, qui chancelle

La planète Uranus,

Qui est stérile avec aucun fœtus

D'aucune fertilité,

Si le sourire aux lèvres

Reste mièvre 

Et sourd au danger,

Que représente toutes les planètes,

Entières et interstellaires,

En en faisant une automatique ritournelle,

Qui tourne en boucle la même aquarelle,

Quand la boucle est bouclée

Sur le domaine majestueux, qui tient tête  !

En une de la lune, en mettant tous à la une  !

Quelques lagunes 

D'une mer de sable,

Avec du sirop d'érable,

Pour lisser et coulisser 

Les coulisses et

Du soleil de Mars,

Qui rit au mois de Mars

Et sourit en mangeant un Mars,

Car un Mars et ça repart  !

Si ça ne se trouve nulle part,

Avec Jérôme de mars

Du soleil 2 Mars.

 

Jérôme de Mars

Album pour le printemps

 

Comme une chanson,

Si lors de la première saison

On te fait une fleur

Et qu'on t'envoie des fleurs,

C'est que tu as le droit au bonheur  !

Avec la fièvre du soleil

Qui rend rebelle

Dès l'accalmie durant un laps de temps,

Quand y a pas photo  !

Dans l'objectif,

Afin qu'on réalise un album

Pour le printemps,

Dans un ultimatum

Imparti que rend serein

Le beau temps

Dans une fugue d'extase,

Qu'offre le répit d'occase 

Près des jasmins,

Comme une chanson

Dont on entend toujours

Les beaux jours,

En répétition dans une partition

Entre immense solitude

Et dense attitude,

Quand avec la chaleur

Du soleil,

On offre du réconfort incognito

Aux gestes ponctuels,

Lorsqu'on réalise un album

Pour le printemps,

Et qu'il sort au summum

A l'apogée d'un bleu ciel clignotant,

Comme il est temps d'opérer un tournant  !

Dans une principale inflexion

Parce-que le temps est venu à l'action,

Pour réconcilier les enfants

Et les grands-parents,

Et de garder leurs petits enfants

En passant d'agréables moments,

A fredonner exaltants

Tous ces formidables instants

Autour du temps fluctuant,

Qui a du talent

Condescendant et inconstant,

Se bonifiant réassurant 

Et rassurant,

Une fois le grand barnum

Du printemps mué en un tendre dépaysement,

Lorsqu'on a fini triomphant

Comme une chanson

A la fin de la saison,

De réaliser l'ultime album

Pour le printemps.

 

Jérôme de Mars

Boris déviant

 

V'là 100 ans !

Que l'artiste naquit

Dans le maquis

De Boris Vian,

Boris déviant

Un tel génie!

Erudit et poète maudit

Avec des mots dits

De Boris Déviant

Du droit chemin,

Avec ses contrepèteries

Et ses idolâtries,

A flatter ses bas instincts

De Boris Déviant,

Et v'lan passe-moi l'éponge  !

De ton bon vieux copain

Fernand Reynaud  !

Que je t'essore

Et je te sors 

De là,

Avec panache

En te tuant

A la tâche,

Dans import d'attache

De ta musique mécanique,

Qui recueille dans un recueil

Les écueils

De ta courte vie,

A braver le danger

Et à adouber

Ta reconnaissance tardive,

Dont à tes débuts ta poésie

Ne fut réceptive, car subversive

Dans une hérésie,

Aux yeux 

Des cieux

Des plus ardus,

Que t'as mordu indu

De ta poésie corrosive,

A déranger les bien-pensants

Et à les ranger décompensant

De toute ton énergie,

A dépenser,

A repenser et à panser

Toutes tes pensées,

Mal soignées

De ta vie,

Consumée avant leurre

Au p'tit bonheur   !

Tel le blouse du dentiste  !

De Boris Déviant

En un déserteur,

Où tu t'en fous

Si une fois mort,

Même avec de brillant retords

J'irai cracher sur ta tombe

D'outre-tombe,

Entre fous

Alliés et illuminés,

En cet hommage posthume

Du génie et du récit de ta plume,

Acide et féroce

Dont la fée rosse, 

Comme tu fus un cabossé

De la vie,

Qu'à bossé

A l'envie, où en artiste

Aux multiples facettes,

Tu conçus une pléiade 

De saynètes,

Au zénith de ta vie

Dans un concert de louanges,

Durant ta propre olympiade

Bien avant les autres artistes,

Dont toi, tu fus avant les autres

Avant-gardiste,

Athée des apôtres,

Génial touche à tout

Dont ça tenait debout

Sur la longueur et la durée,

De ce que tu disais

Et tu prédisais

Dans l'écume des jours,

Où toi Boris Déviant,

Tu fis imploser 

Sous un air très rock'n rôle,

Toute la java des bombes atomiques

Du rockn' roll, 

D'où fais-moi mal Johnny  !

Aux Holidays

Des abonnés absents,

Car les absents ont toujours tort  !

Même s'ils sont retords, 

Car il vaut mieux avoir des regrets

Que des remords d'être mort,

Car malheureusement,

Dans l'éphémère

De ton existence furtive,

Tu ne pris le temps de vivre,

Préférant manier

Et jongler

Avec les maux,

Pour apporter plainte

Dans la complainte

Du progrès,

Comme tu clamais

Je suis snob  !

Même si t'avais pas de mob

Comme Bob Marley,

Et que tu suppliais,

Je voudrais pas crever

De mon herbe rouge,

Si jamais tu te coupes l'herbe

Sous le pied,

En vers coquins de douze pieds,

D'après Vercoquin et Le Plancton

Au peloton

De ton exécution,

Où toi Boris déviant

Boris Vian, 

Qui est en toi en fidèle marginal

Et en être original,

Qui sort des sentiers battus

Atypiques avec des piques,

Battues dans la battue débattue

Toxique et magnétique,

Car on n'est pas là pour se faire engueuler  !

A cause de ta colère et de tes excès  !

Où tu en avais assez 

De tes problèmes de cœur,

D'où tu mourus le 23 juin 1959

Dans l'arrache-cœur,

A 39 ans dans un jour neuf

Lors d'une projection,

En introspection

De J'irai cracher sur vos tombes,

Quoi de neuf docteur  ?

A part de méconnaître mâle

Et quand même 

Te connaître par cœur,

D'où lors de ton requiem,

On reconnut qu'on t'aime

Avec tes problèmes, 

Malgré que le système D

Ne t'ait point aidé

Dans ton angine

De poitrine,

Avec ton histoire qui jase

Et jazze

Avec tes maux,

Et qui fait froid dans le dos,

Car maintenant, ça jazze  !

Tout le temps sur toi  !

D'où de ton petit commerce,

Tu en fis, amphis

Ton fond de commerce,

Toi, Boris déviant

Boris Vian,

Bourré de complexes,

Où tu fus si complexe,

A cerner ci-joint

Et à concerner si enjoint

Dans le complexe,

Où ça nous laisse perplexe

Tous tes réflexes

De prodigieux musicien,

Des mots et des maux

Pas ramollos, 

Mais qui prennent aux tripes

Sans qu'on s'étripe,

Avec tes trémolos, traits mollos et très mollos,

Qui ne sont pas très ramollos,

Où si tu avais connu les garçons bouchers,

Tu aurais eu des débouchés

Avec les joyeux bouchers,

D'où on te dédie avec une dernière taffe 

De cigarette jusqu'à ton épitaphe,

Où tu n'as plus la dent dure

Depuis que t'es mort,

Si jamais t'avais encore

De ton corps des anticorps,

Composés de la blouse du dentiste

Du à ton blues d'artiste triste,

Ecorché vif, névrotique

Et mélancolique,

Mais tellement frénétique

Et euphorique

Dans ton rythme des mots,

Dont tu fis la peau,

Car maintenant

Depuis le temps

Au ciel,

Tu écris essentiel et pluriel

En plantant l'arbre aux pendus,

D'où tu es suspendu,

Car on te remercie Boris Vian

D'avoir rendu Boris déviant,

Et vlan Evian,

Comme tout tombe à l'eau

Sous une tonne de mots,

Et dont de ton brio

On se demande 

Et on quémande

De qui aura le dernier mot singulier ?

 

Jérôme de Mars

L'amitié malgré tout

 

Dialogue cocasse mais tellement universel entre

Jérôme : un ancien patient du CEREP 

et Serge : un vieil éducateur du CEREP devenu un ami  :

 

Serge :  - " Bonjour Jérôme, te sers-je un ver  ?

 

Jérôme :  -  Bonjour, mon cher Serge, tu me l'as déjà fait cette vanne, je devrais te demander :  -  Te sers-tu de mes revers ?

 

Serge :  -  Mon cher Jérôme, je bois un ver solidaire en ta santé en espérant que tu ne flancheras pas à cause de tes vieux côtés sombres !

 

Jérôme :  -  Et moi, je trinque de mon ver solitaire pourvu que je reste toujours solidaire et dans le droit chemin, pour ne pas me venger de tout le mal qu'on m'a fait !

 

Serge :  -  C'est tout le mâle que je te souhaite Jérôme, pourvu que tu trouves la paix intérieure, et que tu ne sois pas tenté par le diable, même s'il s'attend à ce que tu le rallies !  Comme je te l'avais dit l'autre fois au téléphone, te rappelles-tu quand on s'est parlés ?  Il faut que tu franchisses des petits pas !

 

Jérôme :  -  Je suis tout à fait OK avec toi, mais pas être attiré par l'appât du gain mais par le pas du regain  !

 

Serge :  -  Ah que c'est drôle Jérôme !  Ah ! ah !  je suis mort de rire ! C'est ta crise de rire ?!

 

Jérôme :  -  Serge, trèfle de plaisanterie, Sers-je à quoi dans la vie ?  Non sérieux dans la vie, crois-tu que mes amis me laisseraient tomber si je faisais quelque chose de grave  ?

 

Serge :  -  Mon cher Jérôme, je ne peux pas répondre à la place de tes amis, il n'y a qu'eux qui le savent ! J'en déduis que seuls tes vrais amis avec lesquels tu es le plus lié, et avec lesquels il y a le plus d'atomes crochus et d'empathie ne te laisseront sans doute pas tomber ! Mais Jérôme, un conseil à te donner, ne dévie pas du droit chemin ! Je comprends tes craintes Jérôme !  Avec ton état désastreux, tu as peur de commettre l'irréparable !  Je panse que seuls tes vrais amis qui te connaissent par cœur, ne te laisseront pas tomber, car comme on dit l'amitié, à la vie, à la mort  !  Tu sais Jérôme, c'est pas la quantité qui compte mais la qualité qui importe, il vaut mieux avoir quelques rares vrais amis que d'en avoir cinquante et que ça parte en vrille !  Seuls les vrais amis restent dans les hauts et les bas ! Certes, l'amitié malgré tout Jérôme, mais Jérôme, ne craque pas et ne passe pas à l'acte, contiens-toi !

 

Jérôme :  -  Merci Serge de tes précieux conseils ! Tu vois quand à l'époque certains de mes amis, ont découvert certaines facettes de mes difficultés, certains m'ont tourné le dos, car ils ne m'ont pas compris en se basant sur des rumeurs et en faisant des raccourcis !

 

Serge :  -  Sans doute Jérôme, n'avais-tu pas bon dos  ?  Non, je plaisante Jérôme, tu connaissais Jean-Jacques Debout et l'ennemi public numéro un Jacques Mesrine malgré que Mesrine fut un dangereux hors-la-loi, même si ça ne tient pas debout, ils restèrent proches et très amis au non de la loi, car l'amitié malgré tout !

 

Jérôme :  -  Et tu vois Serge, savais-tu qu'on aime ou qu'on n'aime pas Alain Delon, que malgré sa stature et son charisme, il fut très ami avec de grands truands et caïds et savais-tu que Johnny Hallyday, s'il n'avait pas percé dans la musique, il aurait pu mal tourner et devenir un voyou, de même qu'Alain Delon, s'il n'était pas devenu acteur, tu vois Serge, même que je suis acteur de ma vie, je joue un rôle devant tout le monde dans ma vie de tous les jours, pour ne pas gonfler les autres, je joue le rôle du bouffon du désarroi, en faisant croire dans une attitude de façade, que tout va bien ! Pour ne pas que les gens me fuient, mais à l'intérieur, je suis anéanti, détruit, en miettes et dévasté de colère, de haine, de révolte, de rébellion et de hargne, avec en continu l'envie de me venger, à cause de tout ce qu'on m'a fait, tu vois Serge !  

 

Serge :  -  Mon cher Jérôme, si j'ai un conseil à te donner, joue le rôle de ta vie en écrivant ta colère et aussi ta poésie de bohème sous ton parfait pseudo Jérôme de Mars, en faisant couler de l'encre de ta plume et en jetant l'encre dans le fardeau de ton écriture, sans faire couler de l'encre qui te plume, car comme tu m'avais révélé, de Mars, ce n'est pas une imposture, c'est bien le nom de jeune fille de ta maman, Jérôme, ça ne s'invente pas mon cher Jérôme ! Courage, mon ami ! Tiens-le coup ! T'as des bons amis autour de toi ! Même si t'es un joyeux fou allié et illuminé, demeure très allié et rallié à tes amis, car l'amitié malgré tout !  Même si t'es en danger, pas plus que d'habitude, à cause de ton enfance, vis au jour le jour, car vis pour le carpe-diem  !  Je comprends maintenant pourquoi, t'es toujours sur une autre planète !  Car tu viens de Mars !

 

Jérôme  :  -  Et tu vois Serge !  Pour conclure notre discussion qui sort des sentiers battus, mais en étant à bâtons rompus, avec sans arrêt un retour de bâton, je te dis et te dédie loquace, cocasse et en dédicace, que si j'avais vu la vierge effarouchée Marie, de mon signe astrologique vierge, que le seul jour où pour moi ça aurait été bon signe et plus vierge, c'est le lundi 2 mars car l'un dit Jérôme de mars !  "

 

Jérôme de Mars 

Mise en quarantaine

 

Cap franchi de la quarantaine

Avec la maladie du virus,

Intitulée Le Coronavirus

On met en quarantaine,

Ceux qui sont touchés par la rengaine

D'avoir toujours la même haine,

Qui égrène toute leur teigne

Pourvu que leur folie ne les atteigne !

En parvenant à leurs pulsions

Les plus hautaines,

En des expulsions

Très inhumaines,

Dont c'est leur domaine

Lors du passage à la quarantaine,

Et de leur mise en quarantaine

En des mises en quarante teignes,

Dont avec leur gueule casse-gueule,

Ils t'engueulent

Et te disent !  Ta gueule ! T'as une sale gueule bégueule !

Comme on te met une baigne,

Pourvu que ça baigne  !

Dans le règne

De garder la foi

Et pas du chacun pour soi,

Mais un pour tous

Avec de jolis coups de pouce,

Pour ne pas qu'on tousse

Dans une mise en quarantaine,

Et pour ne pas qu'on te pousse

Dans le cap franchi de la quarantaine,

Où comme prescription,

On recommande d'après 

L'organisme de la santé,

De prendre soin des cadets

Et des aînés

Avec des cachets 

En paroles d'argent content,

Et pas avec des cachets

Médicaux en argent comptant,

Où avec satisfaction,

On espère à l'unanimité

Atteindre en odeur de Sainteté,

La paix intérieure

Des ethnies inférieures et supérieures,

Pour se réunir certes 

Dans une mise en quarantaine,

Mais dans l'alerte

Du cap franchi de la quarantaine,

D'où après quarante teignes

On espère franchir

Et s'affranchir

De la teigne,

Pour ci-possible

Continuer d'espérer,

En la sagesse

Et en la liesse,

Pour que ça atteigne

Après la rengaine

Et la haine,

Une des mises en quarantaine,

Une fois le cap largement franchi

Et affranchi

De la quarantaine,

Pour prôner

La réconciliation humaine,

Malgré ses failles hautaines et puritaines,

Où avant la fin de la semaine saine,

On atteindra le passage de la quarantaine

Pas en vilaine vaine,

Mais dans la bonne veine

Verveine, vers veine,

D'où l'on fera roucouler la fontaine

Qui emmène et mène,

Vers la mène de L'Eden

Sans peine,

D'où l'on te guérira de tes peurs anciennes,

Car après cela v'là la mise en quarantaine

Heureuse et accomplie,

Grâce à la philharmonie et à l'harmonie

Du passage réussi,

A l'alchimie

De la quarantaine,

Car te voici donc reparti

Pour quarantaine années pleines !

 

Jérôme de Mars

 

Vivement le printemps et les beaux jours !

 

D'antan et autant,

Il serait temps que le printemps

Arrive sur la rive

Des berges de Seine,

Qui assènent

Après la pluie, le beau temps

Sur La Terre réceptive,

Du soleil volage

Et volatile,

Avec les volatiles

En noms d'oiseaux,

Durant l'année des quiproquos

Versatiles et expansives

En gros mots,

Où on veut un eldorado

Pour avoir bon dos 

Et poser notre dos,

Au temps

De vivement le printemps

Et les beaux jours,

Afin que dans ce compte à rebours

Près des faubourgs et des bourgs,

On chante le printemps

Avec le soleil fidèle

Au Missel,

Malgré les bleus

Que connaissent les flots bleus,

A bord des cieux capricieux

Que recèle le temps,

Lorsqu'il se détend

Au rebord de l'étang,

Car vivement le printemps

Et vivement les beaux jours,

En lisant ce qui rime chacun son tour

Et ce qui arrime de ces vers de troubadours,

Au contour d'y voir plus clair

Lors des lueurs du printemps,

Qui réveille la lumière

Au contact collé-serré du soleil,

Qui émerveille 

Les faiseurs de merveilles

En virant de bord le ciel,

De son coup de crayon avec ses orteils

En mettant sur pied un rayon de soleil,

Qui flatte son ego

A temps en faisant la paix

Avec l'OTAN,

Car autant en emporte le temps

Aux prunelles essentielles,

Les yeux rivés vers les cieux

D'un monde plus radieux,

D'O' temps que pour demeurer intemporel

Il faut toujours avec les calembours

Durer instantané, 

Et demeurer souvent propice

Lors des prémices

Du printemps,

Pas dans la routine

Mais dans une montée d'adrénaline,

Dès le début du printemps

Sur année et en durée indéterminée,

Car à partir de maintenant,

Vivement le printemps

Et vivement les beaux jours !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                 Blague :

 

 

Que se passera-t-il si je m'en lave les mains du CORONAVIRUS  ?

-  On me passera un savon  !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Jamais deux sans trois  !

 

 

Et un et deux et trois     Jamais deux sans trois       Si à trois, on est pliés en quatre

Et qu'on reçoit cinq       Sur cinq le club                   Des cinq éléments

Où à six, on scie           Le bout de la branche        Sur laquelle tu es assis

En jouant au jeu           De cette famille dans          Le jeu de cette erreur

Où on met C8              Dans un huit à l'infini           Débranché huit fi

Sur W9 où en un        Jour neuf on te demande      Quoi de neuf  ? 

Dans un dix                 De chute de tension            Où ça y est c'est la chute

De ce jamais               Deux sans trois                   Où d’œufs, on est à l'étroit en un

Dans le même             Panier, jamais                     Deux sans trois   !         

 

 

Jérôme de Mars  

La machine à laver le temps

 

Linge sale qu'on lave en famille

Si on le sèche avec infamie,

On s'en lave les mains 

Si avec le séchoir,

On ne fait que déchoir certains grands soirs

Si on nous passe des savons,

En faisant des bulles de savons,

Comme nous savons tout de l'envol des papillons

De la machine à laver le temps

A l'origine des couleurs de décoloration, 

Dès l'envers du décor pour proposer des suggestions

A faire une machine

Pour Ma Chine,

Lorsqu'on chine avec la lessive

Qui lessive la poudre d'escampette, 

A faire la vaisselle de porcelaine

Aussi bien à des couverts qu'à découvert,

De la petite assiette dans son assiette

A prendre par le dos de la cuillère,

Ou de l'écuyère qui égrène

La machine à laver les temps,

Quand elle s'en lave les mains

A passer toujours des chansons

Similaires, si nous savons

Qu'on nous passe des savons,

Dès le petit matin à réciter son linge 

Tout propre nec plus ultra,

Avec des couleurs dans leurs éclats

Dont ça nous secoue les méninges,

Lorsqu'on endosse des habits très Chrétiens

Alors que s'ils sont libertins,

Nos affaires de mœurs

Seront liées aux nurses,

D'une mégarde d'enfant 

Si ça reste un jeu d'enfant,

A pattes D'ELPH des faons

Et paons,

Si l'oiseau sort son petit oiseau

De toutes les couleurs

A s'en délaver du linge sale aux tâches,

Qui font tache d'huile sans relâche

Si jamais le linge sale s'en lave les mains dans le ghetto

Des quiproquos, qui engendrent une si dense vigueur,

En remontant à l'origine de quand,

Date la machine à remonter le temps

De la machine à laver le temps

Pour un temps très propre,

Loin de la saleté des malpropres

Au sens propre du terme,

Qui arrive à terme

En vidant son sac isotherme, 

Au terme de l'origine à s'en laver les mains

Dans un ménage de printemps,

Dès les p'tits matins

De la machine à remonter autant,

Qui parvient à être en paix OTAN,

Nonobstant, dès les fatidiques instants

A s'en délaver à temps qui se détend,

Et à en dévaler l'étang,

Dont on arrête le temps empreint tant

De la machine à laver le temps.

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blague :

 

 

 

Que fait une femme qui respecte ses cycles mensuels  ?

-  Elle respecte les règles de son corps

 

 

                                           Jérôme de Mars

LE CORONAVIRUS ME PREND EN GRIPPE !

 

Motus et bouche cousue,

Je porte un masque

Contre LE CORONAVIRUS,

Et le virus

Des idées reçues,

Où je m'en lave les mains

De qui ce passera demain

Concernant LE CORONAVIRUS,

Où si jamais j'ai le virus

Tout le monde me prendra en grippe  !

Si jamais LE CORONAVIRUS s'agrippe

A moi,

Où je m'en fous complètement de ce virus

Même si on me passe des savons,

Car tous nous savons

Que je m'en lave les mains,

Et que ce n'est pas mon problème

De ce qui arrivera

Demain aux humains,

Si jamais LE CORONAVIRUS

Mute

En prenant de l'assurance

Avec MATMUT,

Pour garder confiance

Dans une formule 1,

Qui percute et permute

Le virus, 

En UN CORONAVIRUS

Vice versa,

Si jamais j'ai le vice qui déversa

Toute ma haine,

Même qu'il y a une mutuelle

Pour rassurer et réassurer untel, 

Mais dont j'ai le venin

Et j'ai de la veine vaine,

A en vouloir à La Terre entière

Responsable de mon déclin,

Et de mon béguin,

Au diable s'il s'attend  !

A ce que je réponde à ses avances

Qui sont des accoutumances en déviances,

Pour semer un grain de mauvais temps

Par les temps qui courent,

Au long con cours,

Du virus

S'il mute,

Tous azimuth

En un CORONAVIRUS,

Car je m'en laverai pour toujours 

Les mains,

Comme j'en ai plus rien à foutre du destin

Et qui que soit plus malin,

Qui prétend que je suis un crétin,

Où je dis bien

En vers les humains,

Que je m'en lave les mains

Du virus des idées reçues,

Comme du CORONAVIRUS des sues, 

Alors que je ne suis point déçu

Mais comptant, 

En compte-rendu

De ce virus qui me prend en grippe,

Si jamais je m'agrippe

Au virus des idées reçues

Et conçues,

Dont je suis pour certains

Le malvenu,

Et pour d'autres plaisantins

Le bienvenu 

Même si je suis corrompu,

Quand on me passe des savons

D'ancien enfant débattu,

Car nous tous, nous savons

Que je m'en lave les mains

Du CORONAVIRUS, 

Qui s'agrippe

Au virus

De la grippe,

D'où de mon point de salut,

Je vous dit salut

Bien bas  !

De mes frasques

Fin du des bas !

Bas débat

Les masques,

Je tombe le masque

Comme je porte les frasques

De mes idées reçues,

D'où je dis bien reçu

De mes idées préconçues,

En une bienvenue

Au mâle venu,

Car bienvenue

Si j'ai su

Que je sue

Que j'avais tort,

Avec des remords d'être mort

Si bien que le virus s'agrippe

En moi,

Et qu'avec mon désarroi

LE CORONAVIRUS me prend en grippe.

 

Jérôme de Mars

Rock'n rôle 

 

Poème maudit

De mes mots dits,

J'entonne et je détonne

Sous une des tonnes,

Quand je bétonne

Et je marmonne

Des refrains que je fredonne,

Quand je donne et je bourdonne

Sous un essaim d'abeilles,

Tout mon subconscient qui sommeille

En moi vorace, vos races

Tenaces et coriaces,

En jouant du rock'n rôle

Dans un jeu de rôle presque drôle,

Où je chantonne la dèche

De ce monde avec des dépêches,

A la pelle où  j'épelle le bescherelle

De ce qui m'interpelle,

Dès l'appel de la forêt noire

Sous une tonne de poil à poil 

Et à rebrousse-poil,

A rebrousser chemin

Main dans la main,

Dans des monotones 

Et autochtones

Espèces de foires lors du grand soir,

Larrons en foire, 

Bruts de décoffrage

A l'origine sinistre, 

Qui ternit leurs images

Avec de l'art

A fournir des faux rencards,

En jouant du rock'n rôle

Pour voir si on joue le bon rôle,

Et si c'est drôle

De constater que ça nous est égal  !

De si on préfère la copie ou l'original,

Et de si ça nous met du beurre

Ou du leurre

Dans les épinards,

Ou dans une foire aux vins et pinards

Dans lesquels on aimerait regarder

Et observer

A l'égard du droit à notre image,

Dont dispose notre geôle

En héritage,

Et en de ça si ça reste dans le partage

Ou en totale décalage

Voraces, vos races,

D'où on en tire tenaces et coriaces

Tout un attelage

En abattage,

En jouant du rock'n rôle

Dans une espèce de jeu de rôle,

Qui est soit drôle ou qui nous déboussole

De notre boussole sur le saule

Pleureur dans un do ré mi fa sol,

Parasol et parabole pas de bol   !

D'où l'on achève le chapitre

De notre pupitre,

Chapeau débat d'artiste  !

En route vers des spectacles idéalistes  !

En passant du mode soliste

En se dépassant dans un registre dualiste,

D'où après les mots dits

Ce poème maudit est presque fini,

En déjouant le rock'n roll 

De Schmoll sans bémol,

Mais en jouant sans paracétamol

Sur la scène du droit du sol,

A l'origine

D'une montée d'adrénaline,

En surjouant son propre rôle drôle 

Et en tenant paroles,

Quand on joue du rock'n rôle !

 

Jérôme de Mars

Y a pas d'lézard quand on a le cafard !

 

Rusée comme un renard,

Une pièce remplie de cafards,

Bourdonne d'un tintamarre

D'un y a pas d'lézard quand on a le cafard  !

Où il n'y a que les roublards,

Qui foutent le cafard

Au bar des gens complètement barrés,

Qui se barrent rembarrés

Par la tare et de la tare,

D'un y a pas d'lézard quand on a le cafard  !

Et mis vers le signal plein phare

Du far Breton au dicton sans fard,

Où s'il y a des nénuphars

Ca mettra dans le café du mare  !

Lorsqu'à quai on amarre,

Comme on en a marre

Et qu'on se marre

De tout ce bazar,

Par le plus grand des hasards hagards

Monumentaux sur la place du cagnard,

Qui jette un épais brouillard

Sur des pièces détachées de boulevards,

D'un y a pas d'lézard quand on a le cafard  !

Et que ça fout le cafard

De croire en ces bobards,

Si on a peut-être un rencard

Dérangé au placard,

Avec des coquards 

Emprisonnés au mitard,

Mi-tare avec du retard

Dans un vieux serpent de mer,

Qui nettoie dans un remue-ménage 

De printemps avec la serpillière, 

Tout le naufrage à l'abordage

En nage qui nage

Dans un rideau d'enfumage,

A en perdre son pucelage

Et son plumage,

D'où de cette plume en accostage

On finit bientôt les ramages

En souvenir vintage, 

Dès qu'on naît sage comme des images,

Car tôt ou tard même sans cafards  !

Il n'y a plus d'lézard quand on a le cafard.

 

Jérôme de Mars

Broyer du noir en faisant sans blanc  !

 

Faisant mâle faisant

Malfaisant mâle faisan,

Ou faisant

Mâle mal faisan,

On n'est ni tout noir,

Ni tout blanc  !

Si on rentre dans l'histoire

En portant un masque,

Pour faire croire

Qu'on est élégants et les gants

Même qu'on ne prend pas de gants,

Comme on n'arrête de broyer 

Du noir en faisant sans blanc

Ou à boire du café noir semblant,

Où on fait croire qu'on garde encore espoir

Alors que depuis longtemps on dit au revoir

A tout et à tous avec que des frasques,

Qui montent crescendo 

Illico aux rebords,

Qui virent de bord

A bord de l'hélico, 

Où on est très dépassés

Dans un rôle taillé et entaillé

Sur mesure,

Qui défie les lois de la nature

Et du centre de gravité,

En incarnant son propre rôle dans la réalité

Très rock'n rôle, 

En cherchant les pôles

Pour poser l'épaule,

Où on veut demeurer effervescents

Et affriolants, 

Sans que ce soit édulcorant 

Mais quelque chose de raffolant 

Et pas affolant, pour ne pas ameuter

Et rameuter

Les gens, qui ont peur des méchants

Sur la longue liste

En émergence des êtres individualistes,

Où on ne fait que broyer 

Du noir en faisant sans blanc,

Comme le clown blanc qui fait sans blanc

De boire son café noir, malgré les déboires

De toutes ses sales histoires 

A boire, et à démanger en déboires,

Qu'on raconte aux potos

Du bistrot

De comptoir,

Dont leur fond de commerce

S'exerce 

Avec un réservoir

De cafés noirs,

En abreuvoir du désespoir

A l'effigie des nouveaux faux espoirs,

Qui ont du talent

S'ils viennent du terroir

Faiseurs d'histoires,

Où le jour qu'on arrêtera

Avec les aléas

De broyer du noir en faisant semblant,

On ajoutera une couche de lait olé

Dans le café noir, 

Pour reprendre des couleurs

Dans de l'humour noir,

Avec jeux de mots féroces et saveurs

Dans un réservoir

De blagues is blagues,

Au noir

En forme de tags,

Où après avoir broyé du noir,

On boira à l'étendard

De vieux standards,

Dès qu'on recommencera

Comme avant

Et dans la joie,

A broyer du noir

En faisant semblant !

 

Jérôme de Mars

Que ce fut brèves !

 

 

1) La directrice de L'ESAT de Vitry fait toujours un ménage de printemps chaque mois de Mars en disant : - "  Du balai ! Vous, les malpropres !  " , dans un tel remue-ménage, comme L'ESAT de Vitry est dans un sale état et qu'il a 18 balais !

 

2)  Avec le CORONAVIRUS, si jamais le masque tombe à L'ESAT  de Vitry et qu'on a un virus, tout le monde nous prendra en grippe !

 

3)  On dit au moniteur principal du conditionnement grâce à qui L'ESAT de Vitry a encore du charme :  -  "  Eric, t'es beau !  "

 

4)  Pour les salariés qui travaillent dans l'informatique et qui ont de faibles revenus, il faudrait que le gouvernement crée la prime d'interactivité !

 

5)  Quand à l'atelier bijoux de L'ESAT de Vitry, on enfile des perles et que les autres viennent de manger des flageolets, s'ils n'en ont rien à péter, ils lâchent des perles !

 

6)  Grâce à la directrice de L'ESAT de Vitry chaque 1er janvier, on trinque de notre santé à sa santé !

 

7) Chaque fois que la directrice de L'ESAT de Vitry s'en lave les mains de nous, on nous passe des savons à cause du CORONAVIRUS !

 

8)  Quand à l'atelier bijoux de L'ESAT de Vitry on a rien à faire, on nous donne du fil à retordre comme on en a rien affaire  !

 

9)  Quand on aime bien travailler à l'atelier bijoux de L'ESAT de Vitry, on en pince pour les perles !

 

10)  A l'atelier bijoux quand on a rien à faire, la directrice de L'ESAT de Vitry nous lance des piques pour chercher une aiguille dans une meule de foin comme avant, lorsqu'on faisait Lou Berret en restant sur la paille !

 

 

Jérôme de Mars

De la poésie contre les sanglots de ce monde

 

Aux prémices,

Que fut érigée

Et instituée

La poésie,

Comme le disait

Charles Baudelaire,

On a besoin

De prendre l'R,

Avec de la poésie

Contre les sanglots de ce monde,

Qui abonde ceux 

Avec des mauvaises ondes,

Qui se servent d'une montée d'adrénaline,

Qui fascine

Les hélices lisses,

Que provoque bénévole

L'envol d'un poète maudit,

Reconverti en rossignol,

Qui chante la farandole

Des bourdonnements d'oreille,

Qui sifflent du même refrain,

Qu'on a besoin de vin,

De poésie et de vertu,

Comme le disait

Charles Baudelaire

Dans l'absolu,

Pourvu qu'on s'enivre avec l'art et la manière,

En oubliant le poids de ce monde

Et son fardeau qui fécondent

Les pourfendeurs de la liesse

Et de l'allégresse

Populaires, qui préfèrent la paresse

S'opposant à l'ivresse 

Du poète épanoui

Qu'on préfère maudit,

Qui se soûle devin

En 2020,

Pour prendre du recul avec le chagrin

Et les ravins

De ce monde,

Où on sonde

Ceux qui espèrent,

Comme le disait

Charles Baudelaire,

De la poésie

Contre les sanglots de ce monde,

Qui abonde

Ce monde de brouillons,

Qui a bien besoin d'un petit bouillon,

Pour y mettre du soleil

A la place de la pluie,

D'aucuns de ceux

Que ça tuerait,

Un peu

De miel

Dans ce monde de fiel,

Dont aucun saturait

Jusqu'aux cieux,

S'il y avait

Quelques bonheurs,

Pour s'enivrer dans le béguin

D'un monde meilleur,

Où on est tant enclins

A s'enivrer 

De vin, de poésie

Et de vertu,

Pour ne pas qu'on se tue

Dans les sanglots de ce monde,

Où l'on a besoin de de désinvolture

Dans une fausse posture

De poète maudit,

Car comme le répétait

A l'infini

Charles Baudelaire,

On a bien besoin face à la colère

Qui gronde,

D' la poésie 

Contre les sanglots de ce monde.

 

Jérôme de Mars

Pas gai !

 

Au début de cette trame

Quand ça rame !

T'utilises ta pagaie,

Comme t'es pas gai

Mais gay,

En prenant ton pied gai

Dans un guêpier,

Où tu demeures gai-pinson,

Car pinçons-nous aux aguets,

Où tu fais le guet 

En restant aux aguets,

D'où de ta rame,

Tu rames, Thuram

Lilian avec Sophia Aram,

En ayant fini d'utiliser ta pagaie,

Comme t'es pas gay

Avec le tram

Qui rame

Dans un guêpier,

Où tu es aux aguets,

En faisant le guet

Plus gai

Jusqu'à la fin de cette trame.

 

Jérôme de Mars

 

LES JOYEUX DRILLES


Billet d’humour enjeux de calembours, voici un billet d’amour pour rire en famille,

Dans la bonne humeur et en billet d’humeur, où l’on passe du bon temps hilarants

Nous, les joyeux drilles qui mettons des escadrilles pour les pupilles

De l’aliénation et de la révolution Française, en riant aux éclats dans la passion du gotha,

Qui manie la langue de Molière, en restant loyaux, comme les loyaux de la couronne,

Sans langue de bois dont nous, les joyeux drilles,

Jouons les trublions dans la passion anglo-Saxonne,

Avec les joyaux de la couronne, qui a la dent dure dans un mâle d’aidant,

Où on joue à la roulette Russe, quand la roue let ruse en s’affranchissant de petits pas,

Comme des grands pas sur l’une, qui est dans la lune, avec des lacunes d’aucune

De nous, les joyeux drilles qui nous, bronzons sur la plage des lagunes,

Où on recycle nos vieilles idées, en faisant de la récupération de l’objet du sujet,

Dont il est sujet à n’importe quel objet, en snobant les gens élégants, et les gants proute ma chère,

Où les joyeux drilles se font les disciples, des bouffons du roi, qui restent chers aux ans chers,

Où l’amitié n’a pas de prix, mais un prix contant et constant dans le sale argent roi, qui vaut

Le mal à prix, de ce qui équivaut nous les joyeux drilles, à panser que les français sont des veaux,

Qui se font viander dans du tourne-dos, où avec des quadrilles, on brille de par notre non brille,

Qui scintille arlequins, de ce qui n’est mesquins sont les dents de lapins, qui froncent les sourcils,

D’où en cette fin de billet d’humour, rangé en billet d’humeur et dérangé dans un billet d’amour,

Je vous glisse un billet d’honneur, pour faire face à la vie face à ses bonjours et à ses tristes jours,

En votre honneur et à qui le prochain tour?

Des joyeux drilles,

De notre part

Avant qu’il ne soit trop tard !

Espèces de saltimbanques de quadrilles !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Ca ne tient qu'à un fil !

 

Perdre le fil

En donnant du fil

A retordre dans la file

D'attente qui se faufile

Quand tout défile

Sur le fil

Du rasoir qui file

Dans un fil

Rouge qui refile

Le fil 

Conducteur qui enfile

Tout le fil

Electrique à en retrouver le fil

En suivant le fil

D'Ariane pour passer un coup de fil

Où ça ne tient qu'à un fil !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                 Blagues :

 

 

1)  Que dit une bite à ses deux testicules qui sont chiantes  ?

     -  Vous êtes casse-couille !

 

2)  Pourquoi est-ce-que je porte un masque dans la vie  ?

    -  Parce-que si jamais j'ai un virus, tout le monde me prendra en grippe !

 

                                     

                                          Jérôme de Mars

Au point où on en est.

 

Majuscule à prendre au pied de la lettre, au point où on en est, avant le point.

A la ligne où de là qu'on sonne, on nous répond radical, en remontant à la racine

Radicale des maux à la virgule près, quand on arrondit au bout de la somme finale

( entre parenthèses ), d'où l'on tire un trait - au point où on en est.  

Phrase à maligne où trois petits points de suspension... 

Et on reprend tout depuis le début au point où on en est. 

Ponctué d'un embonpoint en bon point de l'appoint. Où l'on fait le point au point

Où on en est à prendre tout au pied de la lettre minuscule, dans un trait d'union-

Libre dans toute l'Europe, comme était en magasin Continent, l'achat gagnant.

Au point où on en est dans cette ponctuation, où ce n'est pas bon signe comme

On nous envoie des signes hauts, signaux pas très positifs, du virus en un CORONAVIRUS qui prend en grippe tout le monde, où au point où on en est. On a besoin d'une piqûre de rappel, en jouant un spectacle au point virgule; un antidote contre la sinistrose ambiante, où on tire sur l'ambulance, car c'est l'hôpital qui se fout de la charité, puisque la société est malade et sans garde-malade, parce-qu'infirme à prendre soin des Français, au point où on en est. Car la santé est devenue un luxe en France, avec un velux point de luxe. Dans la luxe sûre, luxure qui se luxe l'épaule, en n'étant pas épaulé par les gens, et en ne serrant pas les coudes et en demeurant pointsoudés. Entre les impatients qui ne pensent qu'à eux au point où on en est. Où c'est bientôt la fin de cette mise au point. où on donne un coup de point final.

Point rectiligne à ma ligne.

Point sensible. En mettant les points sur les i, au point où on en est. point crucial.

 

Jérôme de Mars

                                                 Blague :

 

 

Pourquoi me réponds-tu toujours on verra quand je te demande quelque chose ?
- Parce-que mon œil, on verra !

 

 

 

                                         Jérôme de Mars

Personne n'est parfait  !

 

De l'étoile jaune à la grande ourse

On naît pas dans le monde des bisounours,

Car personne n'est parfait !

Dans ce monde par fée ou contrefait,

Où l'on cogite à savoir s'il y a encore un conte de fées

Dans ce monde très sombre,

De la lumière à l'ombre avec une certaine pénombre

Ou la paix nombre qu'on dénombre

De son nombril puéril,

Du fil à couper le leurre sénile

Des gens déments et fulgurants

Aux idées extrêmes et nazies,

Comme Klaus Barbie genre poupée Russe Barbie,

Où l'on se rend compte au bout du compte

Du conte en acompte, en un conte

Que personne n'est parfait !

Dans ce monde par fée ou contrefait

Basé sur des arrière-pensées,

A se repasser le film à couper le beurre

Des Jean-Marie qui allient les fous alliés

Aux fous aliénés qui se marient avec peine

Aux Marine Le Pen,

Où les Sir British ne pourraient être les sœurs

Dégénérées et ravagées

De par leurs idées nauséabondes,

Qui vagabondent et dévergondent

La France pudibonde

Et furibonde,

Qui en a marre que ces étrangers

Envahissent La France,

Alors que les pauvres sont étrangers

A tout ce que traverse La France,

De par sa colère

Dans la défiance et l'ignorance

De sa misère, d'où l'on nous berce de chimères

Pour nous faire passer la pilule,

Qui pullule sous un apparent beau ciel

De libellules,

Dans le mythe perpétuel

Que La France c'était mieux avant,

Alors qu'auparavant, c'était comme maintenant

Mais certes en moins pire,

Mais dans les soupirs, où il n'y avait que le rire

Et le sourire

Pour sauver le ciel avec tendresse,

Et ci-possible dans la liesse

Populaire d'un peuple, qui peut-être avant

Etait plus fraternel

Et plus charnel

Dans ce qui lui était le plus cher,

Avec la bonne chère,

L'amie de la mélancolie

Et une bonne compagnie contre le dépit,

Comme on le sait

Que personne n'est parfait !

Dans ce monde des fées et contrefait,

Où l'on vote souvent par défaut

Sans doute pour de faux,

Pour réchapper au porte-à-faux

De l'échafaud des coups de réchaud,

Nostalgiques des camps d'Hitler,

Certainement parmi nos confrères

Qu'on pensait comme des frères,

Mais qui sont cons frères

Ennemis et qui s'avèrent sévères,

Avec ces vers pour décrire ces cris de misère,

Où certes, il vaut mieux privilégier la qualité

A la quantité,

Mais dont on peut aussi

Avoir la quantité avec qualité

Et aussi peut-être la qualité avec quantité,

Où si on semble faux,

On n'est pas forcément pour les chats faux

Si on sort nos griffes, et où il nous faudrait un sursaut

D'un nouveau coup de chaud,

Entre les gens pour que le boucan

Efface les tourments,

Car ainsi il nous ferait remonter à la surface

Que l'on ait des faces claires ou à terre,

Qu'on a besoin dans l'urgence

D'une carapace,

En préface de ce texte, où après que les gens

Ont fini d'être en froid, il leur faut revenir

Pour ne plus souffrir,

Sur la terre débonnaire et salutaire

Après tous les mauvais côtés austères et délétères,

Où même si personne n'est parfait  !

On a besoin par vitalité de croire au conte de fée

Plus contrefait mais par fée,

Pour y vivre dans une riche communauté

Dans le respect de la paix et de l'amitié,

Car après la violence de ce monde en déliquescence, 

Vivre dans la bienveillance nous serait bénéfique

Pour redevenir pacifiques

Dans un océan d'allégresse, avec un grand écran panoramique,

Où après qu'on se soit trop regardés en chiens de faïence,

On surferait parallèles de se rabibocher avec un évident plaisir

Renoué et resurgi dans un Port de Plaisance

Sur La Terre mer,

Où après une époque baroque triste,

Vivement qu'on navigue revigorés dans une épopée altruiste,

Romanesque et épique !

Loin des parasites

Et des élites,

Où le jour qu'on croira comme avant

Et auparavant

En un conte de fées et plus contrefait,

Plus personne ne sera parfait !

Mais par fée

Au bout du compte de faits, 

Tout compte fée !

 

Jérôme de Mars

L'ouvrier de l'écriture

 

Artisan sans langue de bois,

Je suis l'ouvrier de l'écriture

Ainsi que menuisier

Dans ma façon de m'exprimer,

Où avec la langue des si

Je fonctionne avec des si qui me scient

Avec du pain rassis sur la planche,

Où je prône l'ouverture

De toutes les formes d'art,

Très hardies et audacieuses

A la liberté ravageuse,

Où je croise les doigts

Ave doigté pour que l'avalanche

Ne soit trop critique

De mon état critique, 

Où j'aspire sans fioritures

Et sans chichis,

A l'envers du décor dans la simplicité

Et à l'élasticité,

Athlétiques est esthétiques

En jouant avec la beauté des mots,

Qui jonglent avec des bibelots

Et des gros lots qui sortent du lot,

Lorsque je suis l'ouvrier de l'écriture,

Où je retire ma couverture,

Pour que je ne fasse le sot

Mais le bas lot du ballot,

Quand je veux que la justice

Arrondisse les angles droits

Dans un sur sceau, 

Marqué du fer de service

Public et impudique,

Où je recherche l'élan retrouvé,

En artisan qui montre de quel bois

Il se chauffe dans un tour de chauffe,

Qui réchauffe les cœurs d'hardi chaud,

Où je repère qui sera le lance lot 

Pour lancer depuis la dame de fer,

Marquée aux fers rouges si je planche

Et je flanche avec mes hanches,

Pour constater si les gars

Et les dégâts,

Sont étanches

Et extraordinaires,

Comme des tanches étanches

Qui noient le poisson,

Dès le mois d'avril

Avant que je frétille

Parce-que de poisson,

Où avec jugeote 

Je tremble et rebelote,

Car mais ne te découvre point d'un fil  !

Sans perdre le fil de la discussion

A bâtons rompus, 

D'où de mon répertoire

Déçu et déchu,

Je vous glisse en avoir

Et en un au revoir c'est à voir  !

S'il faut vous voir, 

Ou sinon gare

A vous si vouvoyez

Pour achever en ouvrier de l'écriture,

Ce texte qui achève enfin son point de sature.

De telle est mon écriture,

Où j'en conjure et j'en jure

Vu la conjoncture,

En artisan et en menuisier

De l'orfèvre de caricature

Que j'en prends plein la figure

Figurez-vous au sens configuré  !

Point de salut. Si je vous salue

Bien bas 

Sans faux des bas,

Mais avec désinvolture

De mes impostures,

Où je vous susurre 

Gare à l'usure,

En ouvrier de l'écriture 

Point d'ossature.

 

Jérôme de Mars

Ampleurs

 

Mis en pli

Lorsque j'écoute mes amplis,

Je prends le pli

Si je ne fais le tri,

Et que près du saule pleureur,

Ca me déboussole pleureur

Pas de bol parabole,

Avec sans paracétamol

Et qu'il y a un bémol

Dans mes paroles,

Où je suis en pleurs,

Ampleurs

Et que ça n'est enjoliveur,

Parce-que il n'y a une roue de secours

Dans mes fameux discours,

Où je cherche le concours

D'une personne pour exprimer

Sans calembours

Dans un compte à rebours,

Tout mon parcours de par ce discours

En cours et au long cours,

Où je suis en pleurs,

Ampleurs

Près du saule pleureur

Et que ça me déboussole pleureur,

En perdant mes paroles

Du fait qu'il y a toujours un bémol,

Où il me faut du paracétamol

Pour vaincre mes douleurs

Et mes peurs,

Qui rajoutent de la liqueur aux laideurs

Que sont le curseur précurseur

De ma vie dans le rétroviseur

De mon collimateur,

Où je suis en pleurs,

Ampleurs

En réécoutant mes amplis,

Mis en pli,

Où je prends le pli

Du repli

Sur moi,

Et sur toi ma foi,

Comme je n'y crois

Dans la bannière,

Où tout ressort de ma colère

Près du saule pleureur

Do ré mi fa sol tiédeur,

Ca me déboussole pleureur

Sans chaleurs,

Quand je suis en pleurs,

Ampleurs

Avec la peur

Au ventre du souffre-douleur

De mes douleurs,

Dont j'aspire à un peu de bonheur

Après le malheur,

Où j'espère juste pour une fois

Avoir quelques jolis mois

Sans aigreur, 

Où avec gaieté et pour m'amuser

J'écouterai indéfiniment mes amplis,

Mis aux plis

Dont je prendrai le pli

En faisant du tri

De ne plus être en pleurs,

Ampleurs,

Comme j'aurai repris de belles paroles

Avec sans paracétamol

Et sans bémol,

Comme j'aurai de nouveau déployé

Mon envol tel un rossignol,

En voulant refaire la farandole,

Où je me gondole

Sur les gondoles

De Venise en Italie,

En compagnie de la famille

Et des amis,

Et dont avec ardeur

J'aurai en moi 

Quelques joies pas rabat-joie,

Avec de bien meilleures

Choses à partager

A vous dans la simplicité

Et la réciprocité,

Dont je vous témoigne toutes mes sincères

Amitiés et plus si affinités  !

D'où je vous laisse songeur sans pleurs,

Mais ampleurs.

 

Jérôme de Mars

 

 

Le soleil cache les laideurs de ce monde

 

En fronde à la seconde,

Le temps qu'on sonde

Orne le ciel monotone

D'un sonotone,

Que jalonne le caprice

D'un ciel bleu vivace,

Qui se prélasse

Aux bords des rives qui s'immiscent,

Lorsque le soleil cache les laideurs

De ce monde

Sous des goûts enjôleurs, 

Quand la lune en éclairs

Talonne la chimère,

Qui féconde la ribambelle

De la volupté des petits nuages,

Pour remplacer les turpitudes

Du fiel par de l'amplitude, 

Lorsque le soleil cache les laideurs

De ce monde,

Quand gronde un avenir meilleur,

Afin qu'il ne rembarre 

Le code-barres

Du ciel,

Pour voir s'il vaut une amourette

Ou des clopinettes,

Dans des faux airs de clarinette

Avec de la flûte traversière, 

Qui amourache les fleurs

Sous les beaux arts,

Si l'arrosoir abreuvoir

Irrigue la fontaine qui amoncelle, 

Les rideaux qui harmonisent

Les joyaux de la couronne, qui déduisent

Les promesses

De kermesse,

Lorsque le soleil cache les laideurs

De ce monde,

Qui brocarde

La grande lucarne monocorde, 

Dès que la pluie saborde et déborde

D'un immense enthousiasme 

Avec le Marquis de Sarde, 

Qui possède ses propres fantasmes

Dès le plaisir bienfaiteur,

Dont le ciel se fait l'orateur

Pour le meilleur,

Jusqu'à ce que redonde 

Toute une population qui abonde

Furibonde et moins moribonde,

Juste avec une parcelle d'aquarelle

De terre

Sur la planète débonnaire

Aux impulsions linéaires,

Dont en pleine insurrection littéraire

Le ciel s'adonne à la peinture de La Joconde,

Où s'égrènent les secondes

Qui jouent sur tous les tableaux

Aux volets envolés mi-clos,

Lorsque le soleil cache les laideurs

De ce monde

Dans la lune profonde,

Pour que la fronde fonde

Un meilleur monde aguicheur,

Afin qu'il se confonde

Dans la chaleur

Humaine à la une du ciel,

Le jour où le soleil

Cesse de cacher les laideurs

De ce monde

En une du monde,

Dont le ciel rêve d'un nulle part ailleurs

A la une de plusieurs mondes,

Toujours de ce monde

Dans la lune, où elle sonde

Le point final du soleil, 

Qui se couche essentiel,

Lorsque en plusieurs secondes

Le soleil cache intemporel

Les laideurs de ce monde.

 

Jérôme de Mars

 

Je porte un masque !

 

De ma plume,

Comme l'émission de radio

Le masque et la plume

En version stéréo,

Je porte un masque

Pour rester motus

Et bouche cousue,

De même pour lutter

Contre le virus

Des idées reçues,

Ainsi que du Coronavirus

Dont j'emporte un casque,

Si jamais mes frasques

Font tomber le masque,

Car bas les masques  !

Si jamais je casque

En prenant tout pour argent contant,

Alors qu'il suffit d'un déclic,

Pour que je prenne mes clics

Et mes claques,

Pour ne plus que je craque

Sur mon clic-clac,

Où je porte un masque

Pour être sur Les Basques

Du Pays Basque

En enfreignant les frasques,

Où de ma plume

Il faut prendre à la légère

Toute cette enclume,

Qui est le fruit pour ma pomme

De cette entière colère

En un tome,

Avec des atomes crochus

Parmi mes amis,

Ceux avec qui 

Sont en terrain inconnu

Et pas en terre inconnue,

Même si c'est l'absolu

De penser qu'ils se sont abstenus

De déverser leur droit de vote,

Qui pivote ou vivote

Selon que je me suis tu

En paroles de bévues,

Car je porte un masque

Pour éloigner les frasques,

Et donner une image en apparences

Si flatteuses, alors que en vraisemblance

C'est une fausse image à double face,

Où tantôt, je remonte à la surface

Et tantôt, pile ou face,

Je suis à la masse, 

Si bien que je porte un masque

Pour que j'efface

Mes frasques,

De la pelote Basque

Au Pays Basque,

Pour ne pas que je refasse

Le je de cette erreur,

Qui n'a la primeur 

Que ça reste dans mon cerveau,

Imprimeur pour retenir la leçon du vade-rétro

Satanas, comme je porte un masque

Aux semblants de porter un casque,

Pour me protéger des casses,

Si jamais il y a de la casse

Pas avec une bécasse

Mais en des noms d'oiseaux,

Qui me tracassent

Dans ma carcasse,

Doux après avoir vidé ma plume,

Et écouté en radio

Le masque et la plume

En aversion stéréo,

Je laisse tomber le masque

Car ainsi débats les masques !

 

Jérôme de Mars

 

                                                    Blagues :

 

 

1) Que dit une oreille à son amie oreille qui s'en lave les mains de sa copine car elle sort du droit chemin en ne lui ayant pas acheté de quoi nettoyer son oreille ?

 -  " Tu files un mauvais coton  ! "

 

2) Pourquoi est-ce-que ça arrive qu'un vagin enlève une verge de son sexe ?

    -  Parce-queue !

        Parce-que    !

 

                                      

                                           Jérôme de Mars

On ne quitte le monde que si au monde il est quitte !

 

Danse de l'Arlésienne au contact du kilt

Ecossais, au point où on en est,

Il nous faut obtenir avec les soubresauts de ce monde,

Un kit 

De survie, qui ne nous quitte,

Comme on ne quitte le monde

Que si au monde il est quitte,

Avec de l'équité et de l'égalité

Au maximum et au summum

De légalité,

D'où l'on sort de ce forum

Une fois qu'on quitte

Cet auditorium, 

Avec moins de malentendus

Dans un ultimatum,

Pour que gueuler et se faire entendre

Dans la bataille de la rue,

Serve à distendre les malentendus,

Et à étendre et à répandre

Dans un kit

De survie, avec davantage de douceur

Et de vigueur

Dans ce monde, pour qu'il soit plus détendu

Et pas dans une contre danse mauvaise,

Mais en mettant à ses pieds des charentaises

Entre parenthèses sans foutaises,

Et en bougeant ses pas

En franchissant des grands pas, dans l'appât

De la danse, avec le kilt

Ecossais et épais,

Comme une épée

Dans l'eau, mais dont on ne quitte

Le monde,

Que si au monde

Il est quitte,

Avec un kit

De survie,

Dont à l'infini

On veut d' la poésie,

Arrosée de vers romarins,

Marqués offerts, aux fers aux verres au marins,

Dont sans malentendus,

On part vers l'inconnu

En route avec un kit

Indéfini de survie,

Dont on répète ravis,

De notre kilt

Ecossais, qu'on se calme au Beaujolais,

D'où l'on ressort tous frais

Aux frais

D'un monde régénéré,

Dont quitte,

On ne quitte le monde,

Que si au monde

Il est quitte,

Point com i monde.

 

Jérôme de Mars

Paroles sans bulles car je reste toujours dans ma bulle à l'ESAT de Vitry

 

 

 

Scène 1 :

 

Christophe P :  -  " Pourquoi est-ce-que tu fais un burn out à cause de ton travail, l'année de tes 42 ans ?  "

 

Jérôme :  -  "  Parce-que c'est août pour célébrer ce triste anniversaire ! ".

 

Scène 2 :

 

Sandrine :  -  "Zigotto, pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT de Vitry, ils font tout pour pousser les personnes handicapées au suicide  ?  "

 

Jérôme :  - "  Parce-que L'ESAT de Vitry jette l'agent par les fenêtres ! "

 

Scène 3 :

 

Jonathan :  - " Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT de Vitry, es-tu un pion sur l'échiquier et qu'ils s'en foutent de ta gueule et de ta santé comme ils ne pensent qu'au pognon ? "

 

Jérôme :  -  " Parce-que l'agent n'a pas d'odeurs !"

 

Scène 4 :

 

Célia : - "  Pourquoi est-ce-que la directrice de L'ESAT de Vitry vire-t-elle pour un rien les gens ? "

 

Jérôme : - " Parce-que depuis qu'elle est aux manettes, L'ESAT de Vitry vire de bord ! "

 

Scène 5 :

 

Jean-Paul : - "  A ton ESAT Jéjé, que dit la directrice quand elle vire sans ménagement quelqu'un en lui donnant des vacances indéfinies  ? "

 

Jérôme :  - "  Je prends congé de vous !  "

 

Scène 6  :

 

Brigitte :  - " Jérôme, sur quoi la directrice ne manque-t-elle jamais à sa parole ? "

 

Jérôme :  - "  En argent, car elle a une parole en argent comptant comme sa parole est d'argent ! "

 

Scène 7 :

 

Adel :  - "  Jérôme, pourquoi est-ce-que la directrice de ton ESAT mène-t-elle la guerre aux personnes handicapées comme tout est pour le profit ?  "

 

Jérôme : - "  Parce-qu'à L'ESAT de Vitry, pour la directrice, l'agent est le nerf

                                                                                              l'argent

                    

                                                                                             de la guerre ! "

 

Scène 8 :

 

Guillaume :  - "Lascar, pourquoi à ton ESAT, tout le monde se tacle-t-il et se dribble-t-il ?  "

 

Jérôme : - " Pour avoir une mise à pied par la directrice ! "

 

 

Scène 9 :

 

Alexandre :  - "  Pourquoi est-ce-que c'est toujours au mois de Mars, qu'à L'ESAT, il y a un véritable remue-ménage de printemps  ? "

 

Jérôme : - " Parce-que le reste du temps, la directrice s'en lave les mains ! "

 

Scène 10 :

 

Céline :  - " Mon petit Jérôme, à ton avis pourquoi a-t-on le virus de ne plus faire  les dossiers de la clinique Pasteur  ?  "

 

Jérôme :  - " Céline c'est simple, parce-qu'en piqûre de rappel, on n'a toujours pas été vaccinés contre Le CORONAVIRUS ! "

 

 

 

                                           Jérôme de Mars

                     

 

 

 

 

 

                                                    Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT où je travaille, j'ai tenté par deux fois de me suicider en mai 2017 et en juin 2019 en voulant me jeter par la balustrade de la terrasse de L'ESAT ?  -  Parce-que l'ESAT jette l'agent par les fenêtres !

 

 

                                            Jérôme de Mars

 

 

 

Maquette

 

Maquette, je fais des emplettes

En quête de ma quête,

Où je mène une enquête

Dans le cadre d'une requête,

Dans ma quête, maquette

En buvant un bouillon

Dans une espèce de brouillon,

Où je ne parle que de chiffons

Genre bouffons du roi,

Qui bouffons du désarroi

Dans ma quête, maquette

En quête d'un espoir,

Où je mène une enquête

Avant la vie de tempête,

Qui provoque une requête

Si je fais une quête

Sur la place du boulevard,

Où je veux accéder aux archives

Car qui survive me suive  !

Des jeux interdits 

Aux Moyen âge jeux en sursis,

Car prescrits d'office 

Qui font aux fils, 

Et aux filles

De bonnes familles,

Pour mener une enquête

En quête

De ces vérités

Pour faire office aux fils de sévérités,

Si je peux me démener dans ma quête, maquette,

Qui prend le bouillon

Si ça perdure en brouillon,

Pour constater si c'est bon

Pour de bon

Dans le cadre d'une requête,

Si je fais la quête

En me retroussant les manches,

Avant l'office de dimanche qui m'endimanche 

Prochain pour les Saints,

Quand j'aurai terminé mon dessin

Dans une ébauche,

Qui signifie si on m'embauche

Pas dans la débauche 

Mais si on me débauche,

Lorsque j'achèverai mon destin

Avec les humains,

En quête d'une enquête

De ma requête dans ma quête

De maquette, où je serai entre les mains

Du Tout-Puissant pourvu que de ma quête,

Ce soit une requête, en quête

D'une enquête, prête à payer les emplettes

De ma quête, maquette,

D'où j'irai dans une nouvelle conquête,

Sans racket mais désormais avec une raquette

D'enfant de la balle,

D'où il sera temps en requête  !

De ma quête, maquette

De fermer le bal.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                       Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-que je fais un burn out à cause de mon travail, l'année de mes 42 ans  ? -  Parce-que c'est août pour célébrer ce triste anniversaire  !

 

 

                                               Jérôme de Mars

Solitaire solidaire

 

Course en solitaire,

Je voyage of course solidaire

En quête de mon univers,

Où je verse dans l'envers

Du décor,

Tout ce qui me traverse

A-bras-le-corps

Dans ces chemins de tempête,

Où je m'embête

Dans le brouillard,

Quand je m'hébète hagard

A la renverse,

Des averses qui tombent en pluie

Dans une vie humide qui dépérit

Dans une course en solitaire,

Où je dis évidement of course solidaire,

En soliste sur la liste

En dualiste, 

Pour peindre un tableau

Avec en toile de fond la mer,

Dans une saudade

En ère de ballade,

Qui m'évoque que le bateau

Prend l'eau à-vau-l'eau, 

Nostalgique des journées impressionnistes,

D'où l'artiste triste

Se fait le conteur 

Et le révélateur,

D'une époque très maussade

Et mensongère, 

D'où l'on colporte que des mauvaises nouvelles

Sur une ambiance de musique de carrousel,

D'où en solitaire 

Je suis solidaire,

Dans les périodes volontaires

Et charnières,

Entre un ver solitaire

Et des vers solidaires,

Où je préfère 

Chanter l'espoir,

Même si je suis déchanté dans des idées noires

A croire

Et à vouloir,

Que tout est à choir et à déchoir

Sur le perchoir,

Dans le mouroir

Des hôpitaux en bruits de couloir,

Si j'en suis fou et dingue

De faire la paranoïa des frappa-dingues, 

Et lourdingues, si ça tangue

En faisant parti d'un gang

Dans le ghetto solitaire,

D'où j'espère rester dans une vie de château solidaire

Et minoritaire dans les effets d'apparences

En l'occurrence à forte cadence,

D'où pour éliminer l'effet domino,

Il ne faut jouer au jeu de cette famille

En jouant cartes sur table, 

Dans un château de cartes

Avec une pancarte,

Pour qu'on ne te range dans une catégorie de gars pas aimable

Et pas agréable, comme une torpille qui pille

Tout ce qu'il ramasse,

Comme il est à la ramasse et à la masse

Et qu'il amasse en terminant sa course en solitaire

D'où je conclus dans l'impasse qu'il faut que ça passe,

Quand je riposte of course en solidaire

Et que ça se tasse en faisant face et en remontant à la surface,

Face Terre dans ce monde à l'envers, à l'an vers

Cap vers le Cap vert 

Dans une course en solitaire,

Of course solidaire

Y a plus rien en inventaire  !

Cap vent à Terre.

 

Jérôme de Mars

 

                                                       Blague :

 

 

Pourquoi risque-t-il d'avoir une révolution Française à Cavalaire si Le Rassemblement National ne remporte pas les élections municipales en mars 2020 prochain  ? 

-  Parce-que sinon ce sera Napoléon qui sera réélue maire de Cavalaire en mars 2020 prochain à l'issue des élections municipales !

 

 

                                               Jérôme de Mars

 

 

 

Plus rien à perdre  !

 

Secondes infinies qui s'écoulent

De mon sang d'encre qui coule,

En remontant à la source, d'où roucoulent les blessures immenses

De mon enfance sans cesse mise en abîme,

Dans les cymes qui éciment mon parcours de vie qui décime

Avec la faucille, mon existence pas vraiment facile qui veut paraître dense,

Mais qui naît en réalité qu'à contre dense,

Car mise en amende honorable,

De tout ce qu'on me jeta en pâture sur les tables,

Très à cheval entre mon côté animal sauvage,

Comme une bête de foire, où tout foire ah les tas d'élevage  !

D'une bête à l'abattoir ! Où je n'ai plus rien à perdre,

Après tout ce que j'ai supporté et suffoqué comme une perdrix,

Avec sans ailes dont les ailes furent brisées dans la brise du vent,

Elevant et les vents dans le chaos d'un poète maudit, 

Et béni par un Dieu si Dieu existe, comme je subsiste dans un vol déviant

De drôle d'oiseau qui crache ses trémolos dans l'écriture, 

Où je révèle mes facettes sombres entre années-lumière et ombre schizophrènes,

De par ma nature,

Très profonde

Et moribonde,

En cherchant ma propre identité, sous des faux airs de jouer un rôle

D'homme très propre, sûr de lui et clair, alors que je suis dans la geôle

De l'emprise de ma mère et de mon grand-père, entre couteaux

Tirés et suicide amer ah mère ! de tout ce mal, où l'étau se resserre

Comme je n'ai plus rien à perdre,

Entre harcèlement scolaire à l'école du vice qui dévie du droit chemin,

Où malgré tout il faut que je tente de me prendre en main, malgré le dédain

Et le déclin,

Dont pas mâles de gens immondes me témoignèrent,

Comme si tout était de ma faute,

Si seulement ce sont les sévices, ces vices qui sévissent

En moi, et qu'à cause de tout cela,

Tout compte fait c'est pour ça !

Et que c'est bien fait pour moi,

Qu'on me serre

La vice en coupe qui des vices

Ce simulacre, où l'on m'ôte

Le peu de respect et de dignité, qui me reste

Et où il faut que je lâche du leste,

Pour le reste de ma vie

En dépit, de pis en pis,

Où devant tout le monde, je joue le par être,

Sans être pour être 

Ce qu'on attend de moi,

Alors que je ne le suis pas,

Car si je déroule mon authentique et entière 

Identité du fruit de mes colères,

Je ferai fuir de par ma calamité

Le reste de l'humanité,

Alors que mon enfance fut amochée et rétamée,

En manque à mère et impair, 

Dont ma mère m'entoura dans le délétère et le mortifère,

Avec mille regrets et mille remords, de lui avoir fait tout ce mâle 

Que je traîne de mes malles,

Pleines d'insanités et de vanités,

Dont beaucoup de méchants et de mécréants

Abîmèrent et écorchèrent mon décan

A venir,

De mon cran qui est à cran, 

Et avec soupirs, de tout ce que j'ai eu à subir avec des sbires,

Qui me causèrent du tort en fameux bouc-émissaire,

Alors que personne n'en avait rien affaire

De moi, comme à ce moment-là, tout foutait le camp

Avec tous ces gens malsains et cyniques,

Qui me jetèrent en trique

Verbale, des sous-entendus en malentendus,

Dont certains amis avec qui les relations furent distendues,

A cause de révélations

De mes ecchymoses en effraction et affections

De longue durée

En durée, endurée,

Où je le martèle comme mon grand-père Charles qui martèle,

Que je n'ai plus rien à perdre,

A part détenir les qualités littéraires

De ma mère et de mon grand-pères,

Fins-lettrés et jamais vulgaires

En êtres érudits,

Mais avec beaucoup de choses tabous

Et de non-dits,

Car dans cette famille à cause des préjugés,

On fuit les fous, dont on se fout,

Même sans garde-fous, comme on s'en contrefout

Puisque pas nets,

Comme Jérôme, ce vilain gars très austère,

Qui se lâche sur le FACEBOOK d'internet

Avec une rengaine,

Comme s'il était le seul avec qui la vie fut vilaine,

Mais dont j'insiste que je n'ai plus rien à perdre,

A part gagner l'éternité si je rejoins ma mère,

Loin de La Terre et de cet mon immonde délétère,

Comme j'ai déjà perdu, éperdu trop de secondes

Dans la fronde qui m'inonde,

D'insultes dans le tumulte des injures,

Où j'en conjure que je ne jure

Plus de rien, si on me traite

Et on me maltraite

A nouveau

Comme un vaurien, 

Sous des tonnes de camouflets,

Qui détonnent en déconvenues, qui m'ont ébranlé

Mon côté de dur

A cuire en fendant l'armure,

Comme y a que la vérité qui fait 

Pas plaisir à entendre  !

A force de répandre

La haine,

Et de semer le grain pour étendre

Des choses bizarres,

A mon encontre avec ma tare,

Où je suis toujours en retard

Sur tout dans le tintamarre,

Comme je n'ai plus rien à perdre,

A part gagner encore le respect 

De mes aînés, car eux ont bûché

Sur le bûcher des vénalités avec atrocité,

Où pour que j'enracine Jean Racine

Qui écrit sa littérature, il faut que je remonte à la racine

Des gens de pourquoi je suis comme ça,

Et de quelle en est l'origine  ?

De toutes ces hémoglobines

En me rongeant les sangs d'encre, où j'embobine

Et je rembobine sans discontinuer ces vieilles bobines,

Où j'ai le flair de renifler de pourquoi j'ai cette odeur

De pourquoi en odeur de Sainteté avec saveur,

Tout le monde s'en lave les mains de moi

Et de mes babines, 

En me passant tout le temps des savons

Sur ma planche d'artiste mélancolique, névrotique

Et frénétique avec des manies et des tics,

Où pourquoi j'ai pas d'éthique et de pourquoi j'ai des tics,

Poly tics et politiques,

En demeurant souvent sur un terrain glissant,

Où le jour où je lirai Maupassant

Je vous slamerai des mots passants,

Comme j'aurai trouvé la paix intérieure

Sous le soleil rieur, enjoliveur et enjôleur, 

D'où il y a pas d'heure à leurre,

Pour qu'un jour, j'ai ma part aussi du bonheur,

Car le jour où j'aurai plus rien à perdre,

J'aurai tout à gagner comme une perdrix

Et un phénix, 

Qui renaît de ses cendres,

Pour des cendres, descendre 

Le vide et remonter avide,

D'une vie plus limpide et moins aride,

Le jour où je ne ferai plus d'esclandre,

Car c'est ce jour-là que je n'aurai plus de rides,

Comme j'aurai tout gagné en victoires

Et que je n'aurai plus rien à perdre, d'où je vous clame

Dans ce slam,

Au revoir,

Car tout est à voir et à revoir,

Et que plus rien n'est à surseoir, mais à prévoir

Pour passer des déboires du purgatoire,

A des pourboires pour boire l'exutoire,

De toutes ces belles paroles,

Où j'espère qu'il n'y a plus de bémol,

Car fini de faire le guignol,

Lorsque vient l'heure du rossignol pour faire la farandole,

D'où de là je prends mon envol après l'antivol,

Car à partir de là, je n'ai plus rien à perdre  !

Mais tout a gagné !

 

Jérôme de Mars

 

                                                     Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-qu'un jour ou l'autre, je risque de me retrouver enfermé à l'hôpital psychiatrique Paul Guiraud à Villejuif si mes problèmes psychiques ne sont pas résolus  ? -  Parce-que je n'aurai pas trouvé la clé de l'énigme à mes problèmes !

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

 

Sirènes

 

Gyrophares pleins phares,

Dans un monde sans fard

Ou sans far Breton

De telle est la question,

Si on évolue

Ou si on dévolue 

A se rompre aux cous des sirènes,

De l'amour en six reines si reines

En tenant les rênes

De la reine

Dans son règne,

Qui imprègne

Toute son haleine,

Du bas de laine à la laine

De casser de la vaisselle de porcelaine,

Avec les six reines si reines

En des sirènes,

Qui signifient bientôt la fin du règne

De l'amour à la haine,

Quand on traîne les rennes

De l'amour au créneau de la haine,

Qui sèment et parsèment

Ceux qui ne s'aiment

Dans le harem

De la reine,

Qui combat

Et met bas

Dans la reine

Du gladiateur,

Qui se bat en inconditionnel séducteur

Avec ses adducteurs, 

Sans que ce soit réducteur

D'avoir le ticket modérateur,

Pour répondre aux si reines

Désamours sirènes aux six reines,

D'avoir la même rengaine

Jusqu'à Harlem,

De L'Harlem Davidson

A L'Harley de Rock Hudson,

Très gai-pinçons

Pinçons-nous les futurs Robinson Crusoë,

Si Les Robins sont Crusoë

Ou cruels avec Daniel Ducruet,

Qui déchaînent et enchaînent

Leurs ardentes et infidèles passions,

De l'électrocution

D'électrons libres,

A l'hydrocution qui tombe à l'eau leurs perfusions qui vibrent

Aux sirènes si reines six reines, qui tirent sur une ambulance

Avec une fréquence sur cas de séquences,

Dans ces différentes péripéties

Que sont les celles de la vie,

D'où en défunt de règne, 

On nomme ces six reines si reines sirènes,

En futures princesses du Prince qui régnait

Dans un Monaco, en mettant en bière

La Cannebière,

A Marseille qui dépeigne

Tous hirsutes ! ce défilé de personnes hautaines

Dans le domaine,

Qui amène et emmène

Vers les six reines si reines sirènes,

Dont on attelle 

Avec ou sans attelle, 

Du bras droit

Au bras droit, 

Avec un doigt d'honneur, de ces zones d'heure

Que pour telle ou untel,

C'est le déclin des six reines si reines sirènes,

Fin de la reine à l'arène,

Due des honneurs, en des odeurs.

 

Jérôme de Mars

 

Il fait le ciel !

 

Il fait le ciel  !

En faisant des siennes;

Avec ses fenêtres persiennes 

Sur la fréquence des amis hertzienne, 

Comme les femmes Martiennes;

Qui en ont marre des siennes

Dans ce monde artificiel

Et superficiel,

Dont il fait le ciel partiel

Par ciel d'arc en ciel,

Quand on implore le ciel

Qu'il gratte les gratte ciel;

Sous un ciel de bon augure,

Qui laisse présager sa véritable envergure;

Quand il fait le ciel

Artificiel et superficiel,

Qui fait des siennes;

Avec ses fenêtres persiennes

Sur la fréquence des amis hertzienne,

Comme les femmes Martiennes;

Qui en ont marre des siennes,

Par ciel 

Dans une mise en examen partielle,

Avant un passage en folie démentielle;

Dément ciel, qui fait le ciel

Incommodant et accommodant; 

Qui mord le temps distant

Dans un arc en ciel,

Qui en fait voir de toutes les couleurs;

Sous une feinte de fraîcheur

Moderne et sensorielle,

Où les nuages influencent par ciel

Le ciel partiel,

Quand il fait le ciel

Avec aucun nuage à l'horizon;

Sur le balcon ou le bal con,

Pas loin de l'estuaire de la rivière

Qui sait où est son repère en son repaire,

Comme si c'était sa mère qui fait la paire;

Avant de la regretter avec remords au cimetière,

Dont on en démord qu'il faut conserver avec elle mémorielle

Une relation existentielle, exceptionnelle et fusionnelle,

Très particulière et salutaire;

Dont le ciel s'en souviendra intemporel,

Pas dans l'éphémère; 

Mais dans l'éternel;

Effet mère,

D'un ciel par ciel,

Dont il fait le ciel

D'un arc en ciel,

Qui gratte le ciel 

Dans les gratte ciel,

Démentiels du ciel dément ciel;

A l'altitude artificielle et superficielle

Pour prendre de la hauteur, 

En faisant des siennes;

Sans avoir peur du syndrome moteur

Qu'est le bonheur,

Où il fait le ciel 

Avec ses fenêtres persiennes;

Sur la fréquence des amis hertzienne,

Comme les dames Martiennes;

Qui en ont marre des siennes

En faisant la pluie et le beau temps universel

Sur un arc en ciel par ciel; partiel,

Artificiel et superficiel

Dont il fait le ciel  !

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blague  :

 

 

Que dit-on à un vitrier pour qu'il fasse attention  ?

-  Tiens-toi à carreaux  !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Un homme en colère

 

Point sur la question,

De toute cette haine

Qui aime ma rengaine,

Je rentre

Avec une boule au ventre

Depuis mon embonpoint en rébellion,

Où je souffre au cœur avec un souffle,

Qui me boursoufle et où je m'essouffle 

A chercher mon point de salut

Si je trouve l'intrus de mon inconnue,

Comme je suis un homme en colère

Qui décolle l'air

De rien, alors que ce n'est pas rien

Tous ces bourrelets qui m'envahissent d'un trop plein,

Où je ne ressens plus rien sinon que du dégoût

Où je n'ai plus goût à rien sinon dans les égouts, 

Comme je suis un homme en colère,

Qui a dépassé et outrepassé les frontières, où je ne décolle l'air

De rien sinon à rêvasser de rejoindre ma mère,

Disparue dans un cancer de louanges

Au pays des anges dans les vents d'ange,

Où je m'en fous des conifères, 

Comme je suis con et que j'en ai rien à y faire,

En cet inventaire, où je suis à terre

De tout ce qu'on m'a fait depuis miss Terre, mystère austère,

Si bien que personne ne me comprend

Et de quoi est à l'origine de tout ce boucan en tourments,

Comme je suis un homme en colère avec tous ces pétrins

Et que je décolle l'air de rien,

Pour savoir pourquoi j'ai perdu le béguin en la vie

Et de quelle est la recette qui peut en être sortie,

Afin que l'issue à tous ces problèmes,

J'en fasse un requiem qui parsème le totem

Pour resplendir et resurgir dans un carpe diem

Sur Terre pour profiter de l'instant présent,

Avec de jolis moments plaisants et puissants

A passer sur un joyeux thème,

A me réconcilier avec la vie, après toute cette violence

Et tous ces camouflets en déconvenues, où je suis en repentance

Sans forcément aspirer à la vengeance

Pour espérer changer de comportements,

En ces instances charnières avec l'art et la manière en décantant

L'imminent signal,

D'où je termine ce texte original 

Pour signifier un traité de Paix,

Après été maltraité et malmené

Par la guerre,

Car ça y est c'est maintenant que je décolle l'air dans un air,

De boute en train

Avec entrain, 

Dès le moment où je ne serai plus un homme en colère.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                       Blagues :

 

 

1)  Qu'aurait-dit Shakespeare s'il a vu sa queue en pièce détachée  ?

     -  To bite or not to bite

 

2)  Qu'est-ce-que ça fait un poisson mâle qui sodomise une poisson femelle  ?

    -   La raie du cul  !

 

 

                                                Jérôme de Mars

Coucher de soleil

 

Pénombre du soir dès que tombe le crépuscule,

Le ciel est crépu sous un enduit de sans pareille

Sous la nuance du ciel ,dans sa face lunatique

Lors d'un coucher de soleil les doigts en éventail,

Qui regrette avec remords, le soleil qui fuit pathétique

La lune, sous un clair en une de ses prouesses avec ses failles,

Quand les nuages décampent du ciel, mis en orbite confidentiels,

Lorsque l'éclipse lunatique, absorbe le soleil et la lune qui ondulent

La planète taciturne, face au silence globe-trotter qui trotte

Le coucher de soleil, mis en merveilles qui gravit les lèche-bottes,

Qui bottent en touche, dans le paraître artificiel en ces temps confus,

Qui jette son dévolu, dès que le ciel furieux gravite miséricordieux le reflux ,

Si la vie est un long fleuve tranquille, sur les rives d'un chemin paisible,

Quand le soleil biscornu, côtoie la lune fourbue dans ce coucher de soleil,

Qui parle à l'apogée des euphémismes, au summum d' un franc-parler comestible,

Où l'on a besoin de dentelle, pour faire passer un message corporel et intemporel

Dans ce coucher de soleil, qui éclipse le soleil et la lune qui hallucinent 

De ses penchants hétérogènes, dans une langue des signes d'adrénaline,

Dans ce coucher de soleil, à la nuance d'ombrelle peinte dans sa feinte orange,

Qui dérange les vents d'ange, ivres de l'anarchie du ciel, à qui on crie o'range

Ton désespoir ! pour le changer en une idylle à l'effigie de ce coucher de soleil,

Qui s'assoupit et s'assouplit dans un sommeil de porcelaine, ainsi ponctuelle !

De ce coucher de soleil qui tire sa révérence, ainsi soit-elle, ça soit-elle !

 

Jérôme de Mars

 

Le courrier d'électeurs

 

Libres paroles,

On vous donne l'occasion

De manifester vos idées,

Dans des manuscrits

De bonne facture,

Où on trempe sa plume

Dans le courrier d'électeurs,

Qui prend tout à la lettre

En jetant par la fenêtre

Le courrier des lecteurs,

Lorsqu'il retranscrit circoncis

Le cercle de minuit du cercle pi,

Qui glisse sur le sol

A force de passer 

Des savons qui moussent en babioles,

Ceux qui sortent du lot pour saisir l'opportunité

D'avaler des pseudos-excuses de désinvolture,

En adoptant une vraie-fausse posture,

Qui instaure des griffures 

Dans une nouvelle mouture,

Qui vote l'adoption

Des lois qui assument

Le courrier de lecteurs,

En lisant le courrier d'électeurs

S'enlisant à chercher le facteur,

Pour distribuer des lettres à voter

A pivoter et à vivoter

Dans une vie oisive, 

De la mère de tous les vices de drôles d'oiseaux

En hilarants sacrés zozos

Dans une écriture,

Pensive et émotive

Du courrier des lecteurs,

De bonne lecture

En des vols long courrier d'électeurs,

Qui s'acheminent un jour d'élection

Appelée aux urnes

Dans un turnover, 

Qui se met dans un tournant aux vers

A rêvasser intimidé et timoré

Les cheveux, qui vendent la mèche, 

Dans une panne sèche

Des jours et des nuits diurnes,

D'où de cet ultime crépuscule,

Lors du vote final

Et phénoménal, ça restera dans les annales  !

En se faisant la malle 

De ce courrier des lecteurs,

Qui termine sa bande de lecture

Dès la fin du vol long courrier d'électeurs,

De vos si hautes opinions,

Opinion sur rue, en se faisant une formule,

Qui fait des émules

Avis aux amateurs  !

A la fin de ce journal,

Du journal

Le point minuscule,

Où l'on envoie un bon signal

En allant dans le sens du vent,

Avis de mistral  !

Qu'on encense auparavant

Vers la direction

D'une ouverture,

Point de suture

De la terminaison.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Pitié, on veut de la compassion  !

 

Noblesse dans l'ordre de grandeur,

On veut de la richesse humaine

Et pas à prendre en argent comptant

De ce que le ciel nous offre de meilleur,

Sans les bassesses puritaines

De certaines personnes qui se proclament 

Dans un slam que L'Islam is slam !

Car avec une contre basse,

On fait des messes basses

Cosmopolites avec toutes les religions  !

Où en légion, on se pose tous comme question

Faut-il mieux avec passion 

La pitié ou la compassion  ?

Ce à quoi nous répondons à l'unanimité,

Pitié, on veut de la compassion  !

Pour élever la passion

Vers l'unité et la fraternité,

De nous élever tout en haut triomphant

D'avoir su dépasser nos différences

Pour faire de la tolérance, un point de convergence,

Qui nous rassemble tous dans la passion,

Car pitié, on veut de la compassion  !

Pour aller plus haut sans messes basses

Et sans utiliser une contre basse, 

Mais en maniant l'outil intelligent 

De la foi et de la résilience,

Avec la preuve que d'après les progrès

De la science, si on fait tous front,

On fera la communion 

D'un état d'esprit pour réunir

Avec le rire et le sourire,

Davantage d'individus certes ignorants,

Mais dont avec une ouverture d'esprit,

On en fera tous à l'avenir

De futurs gagnants en gens conciliants,

Dans une foi réparatrice offrant 

Ses services de compétence,

Entre des novices et des aguerris

En fournissant bien la notice

Que c'est avec humanisme et sans artifice,

Qu'on vaincra la pitié avec passion,

Car pitié ! on veut de la compassion !

 

Jérôme de Mars

 

Peut-on vivre sans amour ?

 

Presque arrivé au bout du compte à rebours,

On se demande sans détour

Peut-on vivre sans amour ?

En retour pour toujours,

Alors qu'on a tous besoin un jour

De connaître l'amour sous un grand jour,

Car l'amour est le ciment de la vie

Et consolide nos péripéties,

Pour soigner nos plaies 

Afin qu'on soit aguerris comme on a guéri,

En vivant une multitude d'expériences

Avec appétence

Sur le quai à la frontière de plusieurs générations,

Dont chacune insuffle une impulsion

Différente, qui lui est propre en étant amorti

Sans une amortie d'enfants de la balle,

Qui déballent tout ce qui les trimbale

Où en êtres investis d'une mission,

On a la vocation ou la révocation

De signifier sa spécificité

En ce domaine étrange qu'est l'amour,

Avec ou pas des calembours

Et de peut-on vivre sans amour ?

Car l'amour est ce qui fait marcher le monde

Et concerne tous ceux qu'on sonde,

Pour reproduire le monde

Même si souvent il abonde 

Dans des choses nauséabondes,

Comme un ballon qui rebondit

Toujours avec le même ressort,

De si on périt,

On en sort ou on en ressort

De ce trésor qu'est l'amour,

Qui peut être aussi un débat de vieux sourds,

Où l'on s'en fout de la détresse de l'amour,

Si jamais il naît à jour, car à contre-jour

Dans sa tour 

D'ivoire à Tours, 

Où l'on dessine les cons tours

Des faubourgs derrière leurs mauvais contours,

Où dans ce sujet qui guette les vautours

Si ce n'est vos tours,

Peut-on vivre sans amour  ?

A moins que l'on vous coupe les vivres en désamours

Pas loin de son dernier compte à rebours,

Si autour, il n'y a guère matière d'avoir du velours

Dans ce sujet sensible qu'est l'amour

Et où c'est du lourd balourd,

Si jamais on espère qu'il fera son retour

Lors du retour des grands jours,

Pour toujours,

Car paroles de troubadour,

Peut-on malgré tout croire en l'amour  ?

Avant qu'il passe son tour et se trépasse dans son parcours,

Où en des tours de ce concours,

Peut-on encore vivre sans amour  ?

 

Jérôme de Mars

Attire-t-on plus les gens avec de la lumière ou de l'ombre ?

 

Qu'on soit en prison à l'ombre,

Ou avec des questions sombres

A l'ombre de la lumière,

Ou qu'on soit à la lumière de l'ombre

Avec des gens lumière,

Qui disent être des lumières,

Alors qu'ils sont à des années-lumière

De Jean Lumière

En nombre,

Attire-t-on plus les gens avec de la lumière 

Ou de l'ombre ?

En jouant les joyeux illuminés

Ou en déjouant les fous illuminés,

Tel Serge Gainsbourg, un artiste torturé

Qui malgré ses blessures a su carburer

En amour,

Avec ses talents de troubadours

Pourtant, il était olé, O'laid, 

Et toujours dans l'ombre,

Mais grâce à son génie,

Il a su fée inédit, attirer les plus belles femmes

Du fée de son génie en mettant à la lumière,

Tout son art dans sa chaumière,

A faire resplendir la pluie en un soleil intemporel

Dans les neiges éternelles,

Où en gentil quidam,

Névrosé et tumultueux

Il nous fit réfléchir,

Que ce n'est pas la beauté 

Qui fait fléchir,

Mais la bonté

Pour infléchir

En sagaces dire,

Ce qui agace pour médire,

Car c'est ce qu'il y a à l'intérieur

Qui attire le meilleur,

Car même si on est à l'ombre

On a toujours une part de lumière,

Qui jaillit en nous sombre mais en grand nombre

Porteur de lumière au clair,

De lune qu'on soit lunatiques

Ou bipolaires,

Du froid polaire,

Au soleil chaleureux et généreux

Jusqu'aux cieux linéaires

De cette société psychédélique,

Où je pense qu'on peut attirer les gens

Avec plus d'ombre

Que de lumière,

A condition sine qua non qu'on reste extraordinaires

Avec un mâle nécessaire,

Pour plaire

Au plus grand nombre,

Ainsi qu'aux dames,

Où même s'il y en a qui sont la lumière,

De fait que la vie provoque tout un tas de boucan

Ou de tourments,

Les gens lumière  

Ou les gens tristes dans leur chaumière,

Peuvent s'identifier et se reconnaître 

En nous pour voir apparaître

Leur part de lumière,

Dans ce monde à l'ombre

De sa lumière,

Car c'est quand il y aura la pénombre

Et le crépuscule perpendiculaire

En plusieurs jours sombres,

Qu'on arrondira les angles populaires

Autour d'un grand ver de lumière et en clair,

S'il vous plaît, car ce n'est pas la lumière !

Ou l'ombre qui attire les gens,

Mais de ce qu'on en fait sans nous crever les tympans,

En ayant dans notre part d'ombre 

Quelques lueurs de lumière,

Quand on attire en grand nombre

Sans lumière et ombre,

Car c'est la paix nombre

Sans encombres dans les décombres,

De l'ombre à des années-lumière

De la lumière,

Car voilà les conséquences de cet inventaire,

Dont on rallume la lumière sur Terre.

 

Jérôme de Mars

Naît-on sur Terre pour être heureux  ?

 

Pile ou face,

Pile, on empile qui tombe à pile,

Face, on est face, on efface,

Dont la face Terre,

Qu'on la fasse taire,

Si on est de l'ombre à la lumière

Ou de la lumière à l'ombre,

Où l'on dort en nombre

Tantôt face claire,

Tantôt délétère si on est face contre Terre

A ruminer ses antiques souvenirs à Terre,

Où dans cet inventaire avant Terre,

On réfléchit avec la lumière réfléchie,

En faisant des plans sur la comète 

Naît-on sur Terre pour être heureux  ?

Sur la planète Terre

Ou pour être mâle heureux, malheureux 

Sur la planète austère et délétère  ?

Avec ce sujet universel

Qui met son grain de sel,

Envers ceux

Ou celles,

Que ça interpelle

Ce sujet entre soit faire une pelle,

Ou soit se faire ramasser à la pelle,

Si on épelle

A travers cet appel,

De ce que ça nous rappelle

En faisant un choix pieux

De croix aux cieux harmonieux,

Ou de faire déchoit audacieux,

Si on décroît fastidieux

En des domaines odieux et insidieux,

Où l'on ne croit en rien, sinon à l'enfer

De si la vie en vaut la peine d'être vécue,

Ou de si la vie équivaut open de par être convaincu

Avec plus de peines que de joies,

O'pen qui peine à y croire 

A part,

Si le mal de mère 

Fait que la marine le peine,

Le désarroi sans la courroie

Pour tenir les rênes,

Sans les étrennes qui freinent

Et rebutent les incrédules,

Qui croient que la vie c'est que gesticulent

Tes testicules, alors que tout cela se module

Avec des pellicules,

Car y a pas photo  !

De nos angoisses et de nos maux,

Où il faut avoir de la philosophie 

Question diplomatie et aristocratie,

Avec la grandeur de l'âme

Sans la folie des grandeurs infâmes,

Où les grands artistes 

En solistes ou en dualistes, 

Qu'ils aient ou non de la méritocratie

Posent comme énième question existentielle,

Et essentielles du sel

De nos vies artificielles ou

De nos vides superficielles,

Naît-on sur Terre pour être heureux ?

Ou pour par être heureux ?

Et de si la vie nous rend malheureux

Ou mâles heureux ?

Obséquieux et audacieux

Jusqu'aux cieux sirupeux,

Ainsi Dieux sous pieux.

 

Jérôme de Mars

La vie sur Terre est-elle éternelle et belle ?

 

Comme des anges, on naît sur Terre pour passer du bon temps,

Le peu de temps qu'on est sur Terre, d'autant qu'on est de passage,

Où il faut espérer, qu'on sera raisonnables et sages comme des images,

Et croire en la vie spirituelle et éternelle, de l'archange d'antan à maintenant,

Où à-tire-d'ailes, il faut ouvrir ses ailes dans la vie, 

Pour ne pas qu'elle dévie, mais qu'elle reste loin de l'agonie et de l'inertie,

Pour respirer avec les tourterelles, toutes les ritournelles dans l'hégémonie,

Et prier dans l'harmonie, du bonheur sur Terre en ne tarissant pas d'éloges, le prix

Précieux qu'a la vie sur Terre, où l'on quémande en faisant la manche, 

Auprès des badauds, s'ils préfèrent une vie oisive ou spirituelle,

En se retroussant les manches pas que le dimanche, mais en dix manches

De coups de balais, dans un ménage de printemps pour entretenir la gestuelle,

A adopter et à rétorquer, en disant oui tout béni à l'appel de Dieu, 

Avant que l'existence ne se fasse la pénitence, et qu'elle batte de l'aile en ailes

Brisées, dans la brise du vent, où l'on préfère faire une bise à nos aïeux les pieux,

Où l'on met en point d'interrogation, La vie sur Terre est-elle éternelle et belle ?

Si l'on tient la chandelle,

Avec les vierges effarouchées, si résonnent les chanterelles

D'un avenir meilleur, en priant dans un Ave Maria de la Vierge Marie, qui marie

Nos colères et nos liesses pragmatiques, qui se fient à l'instinct du génie impuni,

Qui guérit les âmes damnées, pour qu'elles guérissent et soient aguerries

Dans l'expérience chevronnée, qui a rempli sa mission

En omission et en rémission

Dans un concert de louanges, en une vie d'ange

Avec l'essence de la bénédiction,

Où l'on se dédie lors d'un rappel à Dieu, qu'on vaut mieux

Que ce que vous croyez pleine de grâce, comme Grace Kelly,

La princesse qui équivaut à la loyauté

Et à la probité, avec tout le respect,

Que l'on doit aux fidèles avec parcimonie, 

Où l'on ouvre ses ailes fidèles, comme de belles paroles de tourterelles,

Le jour de la divination sacrée,

Où l'on aura répondu à la question qui taraude Le Missel,

De est-ce-que la vie est-elle éternelle, belle et essentielle ?

Si jamais l'invocation et la vocation spirituelles demeurent par ciel,

En tout point partielles, mais substantielles et exponentielles,

De si la durée de la vie est-elle éternelle et belle  ?

Adressée aux messagers du ciel et au pluriel,

Car si vous avez la réponse sempiternelle à cette question existentielle, 

C'est là que demeure l'essentiel, de ce qu'on prie avec nos prières torrentielles,

Dont on aborde et on déborde dans une fontaine affable et belle,

Car bel et bien les fidèles, c'est l'heure du Missel,

Et est-ce-que en tenant la chandelle,

Le jeu en vaut-il la chandelle ?

Et si la vie est-elle éternelle et belle ?

Pour conter fleurette ou pour une amourette,

Depuis belle lurette, comme on termine nos emplettes,

Et qu'on tombe dans les oubliettes, en récoltant les miettes

D'une vie en dents de scie, dont on vous dit merci la vie essentielle,

De si jamais la vie est éternelle et belle, en huiles d'onction essentielles,

Dont on vous offre l'hostie toute en pain béni

Et ordonnée toute ouïe,

Comme tout a une fin chers fidèles,

Avec des messes-basses demoiselles et sensuelles,

En ayant une ribambelle d'étincelles et de merveilles,

De si en éveil le soleil veille

Sur vous, et vous surveille de la jeunesse à la vieillesse vermeille, 

Car vient de là l'essentiel !

De si la vie vous est éternelle et belle,

Chers fidèles, en restant le témoin universel

Pour très longtemps,

D'antan à maintenant,

Puisque vous ramasserez le message du ciel

Intemporel, où grâce au rituel, 

Vous pourrez dorénavant dormir à l'autel

Du Bon Dieu en paix,

Avec pour Missel

Que la vie est désormais éternelle et belle.

 

Jérôme de Mars

 

La Presqu'île de Giens

 

Tranquille sous les tropiques,

La Presqu'île nous susurre au souffle du vent

Qu'il est temps Ménilmontant,

De bifurquer son QG Parisien

Vers la Presqu'île de Giens, 

Quand cette presqu'île nous chuchote

Que voilà nous y tient lorsque notre tête nous ôte

Et nous hoche d'un revers exotique,

Que notre paradis flamboyant

Nous tombe triomphant 

Sous les cocotiers,

A secouer le cocotier parmi les palmiers

Au chœur des palmiers,

A jouer de la mandoline

Dans le paradis des lagons,

Si bien qu'on connaît trop bien la chanson

Qui fascine les mélodies douces et les affine

Sur cette Presqu'île de Giens,

Où c'est sans arrêt le même refrain empreint,

De tant de poésie, adulée et acidulée dans la miséricorde,

Où il ne pleut des cordes qui concordent,

A accorder leur pardon

Aux gens qui s'égarent dans la rébellion tout papier chiffons,

Où la poésie, comme Les Iles des Antilles déchiffrent 

Les hiéroglyphes, très stéréotypes qui griffent

Les effets mers éphémères des modes, qu'on retient

Si bien qu'on est bien sur la Presqu'île de Giens,

Autant que La Martinique ou La Guadeloupe,

A contre danser sur du zouk, qui fout le souk dans la chaloupe,

Pour en mettre plein la vue, en nous menant en bateau

En faisant des ronds sur l'eau 

Sur La Presqu'île de Giens,

A fredonner les matins d'entrain

Dans la lagune,

Face à la lune qui s'excuse de ne plus avoir de tunes

Pour écouter sur I-tunes,

La romantique musique des vacances

Sur la fréquence de ce Port de Plaisance,

A volonté et pour toujours sur cette Presqu'île de Giens,

Où l'on y restera et vivra toute notre vie 

Sur ce paradis

Aquatique, en ouvrant le bal des oiseaux

Zigottos qui font dodo avec les dodos,

Jusqu'à la fin sur La Presqu'île de Giens,

Car plus on sera fous  !

Sans garde-fous,

Et plus on y sera bien  !

A oublier le train-train quotidien

Métro-boulot-dodo,

Chers bons samaritains  !

Comme on vous tend la main

Envers vous les futurs riverains,

Dont on vous attend boute-en-train

Et à plus si vous le voulez bien  !

Sur La Presqu'île de Giens.

 

Jérôme de Mars