Racaille
Racaille,
J' suis une vieille canaille
Dans la pagaille,
Qui dit aille
En tenant les tenailles,
Vaillent qui vaillent
Avec les trouvailles,
De mes entrailles
Racaille,
Je l' suis qui caille
Ras de mes écailles,
Où je mange de la volaille
Et de la cochonnaille
Dans la tiraille
Du sérail,
Où je s' suis sur la paille
Si j'empaille
Mon fantôme d'épouvantail
De racaille,
Puisque je le s' suis en vieille canaille,
Où j'entaille
Mes failles
En faisant le tour de taille,
Où je n' fais point de détail
Dans toute cette pagaille,
Où j' suis une caille
Ras qui s'écaille
Du droit chemin en écaille,
Comme ça caille !
En mangeant avec maille
Qui maille qui maille
Avec mon émaille,
En ayant la dent dure des mailles
Du filet refilés qui m'assaillent,
Et me saillent
En représailles
A Versailles,
D'où j' termine en vieille canaille
Ce pamphlet d'écailles,
Qui caille
Ras pour un bail,
Où je m' les caille
Et je baille
En cobaye,
De moi la racaille.
Jérôme de Mars
Une maison dans le ciel
Petites frimousses d'hirondelles
Qui volaient dans le ciel,
Voici un arc en ciel
Pour superposer vos silhouettes,
Et les coïncider
Avec celles des mouettes,
Qui font alouettes
Avec les alouettes,
En faisant une pirouette
Dans un gratte-ciel,
Avec un crayon qui dessine
Une maison dans le ciel,
Dont l'homme de la situation
Sera un charpentier,
Qui te donnera un toit
A toi et moi et vlan dans la joie !
Avec un arc en ciel,
Qui réfléchira
Et infléchira
Toutes les couleurs du ciel,
Avec un métissage
Et des travaux d'échafaudage,
Dont on mettra un pommier
En adage,
Pour notre pomme
D'Adam et d'aidant,
Quelque soit le temps
En plusieurs tomes,
Où l'on se livrera
Et où l'on s'enivrera
Dans une maison dans le ciel,
Pour tous les hommes
Et les demoiselles,
Qui s'y reconnaissent avec raison,
Dont le cœur a ses raisons
Que la raison ignore,
Qu'on ait tort ou des remords
A l'orée de chaque saison,
Le corps
Perché sur le balcon,
A attendre l'oraison
Du ciel
Avec un arc en ciel,
Pour rompre les désaccords,
Et signer depuis notre salon
Dans une maison au ciel,
Un laissez-passer intemporel,
Qui scelle la réconciliation
Des métaphores,
Avec le bruit des métaux forts
Dans une rivière,
Qui coule en signe de reconnaissance
Qu'il est temps
Au vu des circonstances,
De battre en retraite
En quête,
Et dans la conquête
D'un crayon,
Qui mutine et butine
La révolte des abeilles,
Pour muter d'une lune de fiel
En une lune de miel,
Où chacun y trouve ses centres d'intérêt
Avec une goutte de bonheur supplémentaire,
A tout ce qui jalonne
Chaque saison qui papillonne,
Avec les papillons
Et les tourterelles
Autour d'un battement d'ailes,
Qui entoure une maison dans le ciel,
Bien gardée dans son jardin secret
Pour toi et moi,
Où l'on aura notre toit
Avec un charpentier,
Qui élira notre port de Plaisance,
Rendez-vous rue de l'élégance
Perpétuelle et sempiternelle,
Avec un crayon de toutes les couleurs
Pour barbouiller tous les vecteurs
Du lien social,
Avec une tape amicale
Qu'on a tous le droit au bonheur
Emmitouflé à toutes les saveurs,
Où l'on dort
Jusqu'aux aurores,
Avec un toit sur la tête
Depuis notre salon,
Où nous savons
En secrets de polichinelle,
Avec ardeur
Et dans la ferveur populaire
De notre candeur imaginaire,
Que nous avons
Une maison dans le ciel.
Jérôme de Mars
La société s'isole.com
Do ré mi fa sol même en paroles,
Il y a un gros bémol
Et que le monde nous débousssole,
Dont la société s'isole.com,
Point de com.
Malgré les télécoms,
Où le virtuel succède au visuel
Et au tactile entre les gens,
Qui s' refoulent contact
Avec un manque de tact
Dans tout l'irréel,
Avec une profusion
De mauvaises nouvelles
Dans une société de consommation,
Où il y a beaucoup de réclamations
Dues à un manque de communications
Avec le goût pour le matérialisme,
Dont pour conjuguer le tout
Perdure un profond individualisme,
Qui fout en l'air notre organisme,
Où avec ce virus on joue notre va-tout,
Soit d'un pour tous et tous pour un
Ou soit de chacun pour soi et tous plus rien !
Dont la société s'isole.com,
Avec point de com.
Malgré les télécoms,
Dont on fait comme
Les gens lambda,
A se convertir avec châtiment
A cette société du chacun pour soi,
Car à quoi bon lutter avec pertes et fracas ?
Dont nos tracas sont l'usufruit
D'un pays en manque de repères,
Avec un sanctuaire
En manque de confettis,
Qui grappille une foison
A chaque saison
D'une multitude de contacts charnels,
Et dont on remplace la gestuelle
Avec le toucher réel
Par un pacte avec le diable virtuel,
Où l'on se dit
Avec agonie,
Où sont nos penchants naturels ?
Car tout part dans le surnaturel
D'une population dressée
Et stressée
Les uns contre les autres,
Où tout le monde se vautre
A Dieu et à ses apôtres,
Alors qu'on a assez de Gaston Lenôtre
Qui nous cuisine déjà assez comme ça
Dans notre vie de tous les jours,
Où ce n'est pas tous les jours la joie !
Car welcome at the home
Qui va become
La société qui s'isole.com,
Et où tout le monde come
Avec point de com.
Malgré les télécoms,
Car seul compte l'argent roi
Avec un manque de magie
Et de féerie
En France,
Avec les lois
De la finance
Qui font foi
Dans la paranoïa,
Parmi vautours, vos tours
De désillusion,
Où pour éviter la rébellion,
Mieux vaut se faire une raison
En gardant l'oraison
Avec des prières,
Pour calmer notre colère
Dans le collectif du peuple à l'appel,
Car malheureusement c'est tout com !
Avec un manque de com,
Qui fait froid
Dans le dos, comme
La société s'isole.com,
Avec point de com.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on de deux bites qui s'en foutent d'être en érection ?
- Elles n'en ont rien à branler !
Jérôme de Mars
Le Martien vers
En verve et en vers,
Je suis Jérôme de Mars
Sur une autre planète
Chaque 2 Mars
La tête dans les comètes,
Où je suis un Martien vers
Qui écrit des vers
Depuis la planète de Mars,
Pour me mettre aux vers
De cette planète,
Où je suis un ovni,
Inné dans le pain béni
Et le ni ni,
Où je ne nie
Que j'ai des travers
Avec toute ma colère,
Qui décolle l'ère, l'air,
Les pieds ailleurs que sur Terre
Toujours dans la lune
A attendre en une,
Le grand amour
Dans différentes facettes
De mon monde de bluette,
Avec la chansonnette
Pour fou allié,
Comme je suis un extraterrestre
Qui se défenestre
Pour sortir prendre un courant d'air,
Comme les hommes viennent de Mars
Et que les femmes viennent de Vénus
Et que je suis un Martien vers,
Qui écrit en vers toute sa colère
Qui décolle l'aire
En faisant le marché aux prospectus,
Pour bien signaler que je viens de Mars
Et que je suis un poète fou illuminé,
Qui mange un Mars et puis ça repart !
Comme des pièces en chocolat
Qui ne comptent pas,
Car si je fais remarcher les puces,
J'accéderai au code du sac à puces,
Où j'utiliserai mes cartes à puces
Electroniques et magnétiques,
Avec le bon processus
Synthétique et tactique,
Pour enfin que je susse
La marche à suivre du casse-bonbon,
Qui suce
Les bonbons pas bons,
Où en Jérôme qui vient de Mars,
Je suis un Martien vers,
Qui donne le cap vers
Les ovnis inouïs,
Dont je suis le pur produit,
Comme les hommes viennent de Mars
Et que les femmes viennent de Vénus,
Dont j'en déduis que le paradis
N'est pas forcément sur Terre,
Mais dans d'autres planètes salutaires
Et extraordinaires,
Avec plus de folie nécessaire
Que sur Terre,
Car je suis pour toujours
Inopiné, déconnecté
Et en instantané,
Un être solitaire et solidaire,
Comme les hommes viennent de Mars
Et que les femmes viennent de Vénus,
Où je donne le cap vers
Le martien vers,
Terminus vers le nimbus
Salut Terre !
Chaque 2 mars
De Jérôme de Mars.
Jérôme de Mars
J'ai pas d'idées !
Une fois n'est pas coutume,
J'use du droit de ma plume
Pour vous signaler,
Que j'ai pas d'idées !
Pour ce poème
N'est-ce-pas Didier ?
J'ai pas Didier !
Pour ce poème
En emblème,
Où je me laisse guider
Et téléguider,
Pour me dicter
La conduite
A tenir,
Alors que sans faiblir,
J'utiliserai le droit de fuite
S'il y a une fuite,
Et que je prends une cuite
Dans de l'eau bénite,
Si tout tombe à l'eau !
Et que je change de scénario,
Si j'ai pas d'idées !
Pour Didier
Et que j'ai pas Didier !
Pour idées
Et pour aider
Ma mauvaise conduite
Au volant de mon délit de fuite,
Où ce poème
Semble un requiem,
Ou un totem
Pour que le système D
Se modifie en un système ET D,
Car quand j'ai pas d'idées !
Je suis bien content !
Que Didier
Puisse en me racontant,
M'en donnait
Et m'en dépannait
Pour me dicter,
Me guider
Et me téléguider
Certes à distance,
Mais avec consistance,
Car le jour que je redoute
Et qui fera que je serai
Dans le doute,
Avec un risque de banqueroute
Dans la déroute,
C'est que quand j'aurai plus Didier !
Et ben, j'aurai plus d'idées !
Jérôme de Mars
La machine à notes
Avec des dents de requins,
Que fut dure l'époque Epin
Du fruit de mes pépins,
Où pour avoir gain de cause
J'offre un regain d'ecchymoses,
Comme cette école de la vice
Fut devant témoin
Quelque chose de supplice,
Où en supplique
Je réplique
Que ce collège des rancœurs brisés,
M'a rétamé avec la paume de mes mains
Paumées dans du papier satin,
Car là s'atteint, ça teint et ça craint !
Même que je fus le plaisantin,
Et que les autres plaisantent un
De mon plumage qui en fut écorné,
Et écorché vif
Dans ce qu'il y a de plus transgressif
Et agressif, car flûte !
Ce fut la machine à notes
Do ré mi fa sol,
Où avec le la, je déboussole,
Si j'affûte
La camisole
De force si le cas m'isole
Dans une permanente lutte,
Car ce ne fut facile
Et docile
Avec des élèves pas réceptifs,
Dont je note une décote
Avec des notes salées
Sur le piano qui vivote
Et qui me détricote,
Comme je récolte la note acidulée
De bonne facture
En des signaux de mauvaise couverture,
Qui m'asticotent
Avec ces vers de terre,
Dont l'envers me désespère
Depuis Epin,
Dont je note tous mes déboires
Sur mon calepin,
En gardant en mémoire
Tout ce qu'on m'a fait
En échauffourées
Dans des coups de chaud fourrés,
Car Epin demeure tristement
La machine à notes,
Qui me boursicote
L'écorce laid,
Maladroitement et désespérément
Avec l'as qui me pique avec un cutter
Entaillé sur le poignet,
Avec des poignets désamours,
Dans des pommes désamours
Roulent toujours,
Où mes bourrelets
Me prédisent bourre-les !
Tes affinités
Avec ton computer,
Comme avec ta paire
De sécateurs,
Dont tes prédateurs
Furent ceux d'Epin,
En mode pépins
Secteur Acteur,
Au mode pas commode
Du ministère amer,
Quand ça dérape
Et que ça frappe
A Epin,
En ramenant ta fraise avec les pépins
Du fruit de tes pépins,
Où Epin, de l'inopportun
A tes accidents pas anodins,
Mais malins,
Tu n'as jamais récolté le gain
De ton regain s'il y a encore un béguin,
Pour un monde plus samaritain
Et Sacristain ,
Car d'après ton rang social,
Il te faut une tape amicale
De la part de tes copains,
Pour que tu lâches du leste
Avec tes conditions modestes,
Malgré que ta colère
Te taraude en maraudes,
Et où tout en toi s'érode,
Car à cause d'Epin
Et de ses pépins,
Tu as composé en antidote,
Pour que ça te ravigote
La machine à notes.
Jérôme de Mars
Les oiseaux volent-ils de leurs propres ailes ?
Tour de contrôle,
Pourvu que les tourterelles
Et les hirondelles
Gardent leur self-contrôle,
Et que les moineaux
Ne se jettent aux corbeaux,
Mais appellent le corbeau
Pour savoir qui est le corbeau
Des lettres et des appels anonymes,
Qui sont de toute manière synonymes
Que le corbeau est un vilain renard,
Qui jaillit de la fontaine pendant ses rencards
Où il sermonne les chats qui ronronnent,
Pour savoir si les oiseaux volent-ils de leurs propres ailes ?
Afin d'échapper aux griffes d'escogriffes à-tire-d'aile,
Qui égrènent ces oiseaux qui ouvrent leur bec avec la lettre
Consonne, d'où là qu'on sonne,
En ouvrant les fenêtres
De la lettre et de l'appel du corbeau,
Qu'il enrôle
Et à qui il quémande avec dentelle,
De si les oiseaux volent-ils de leurs propres ailes ?
Avec leur battement d'ailes,
Ou si leur couple d'oiseaux
Avec leurs corbeaux
Battent de l'aile,
A la lettre qui voyait elle,
En voyelle, envoie-t-elle
En virant de bord sur le paquebot
Et le cargo,
Pour les mener en bateau
Et en trouvant leur vitesse de croisière,
A la croisée des travers
Des pas de l'eau
Qui languissent avec des saltos,
Et de si les oiseaux volent-ils de leurs propres ailes ?
En fumant la clope au bec avec des demoiselles,
Dont les oiseaux en ne voyant pas le mâle partout
Firent des partouzes, par tout en bouchant les trous
Des orifices, qui mettent la pierre à l'édifice
Sans artifices avec des sacrifices,
Dont les corbeaux et les hirondelles
Sont de drôles d'oiseaux ,
Qui vont vers le haut
Et de si ça vole bien oh !
Dans une aquarelle,
A travers les murs transparents
Et tapissés du vide néant
Où le ciel les raisonne,
Quand les chats ronronnent
De si ce sont des oiseaux de mauvais augure
Qui dévoilent leur véritable nature ?
Ou de si à la fin de cette ode plurielle
Et de cette passerelle passionnelle,
Est-ce à-tire-d'aile sans battre de l'aile
Que les oiseaux voleront-ils de leurs propres ailes ?
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi suis-je dans de sales états psychiatriques ?
- Parce-que lésés tas unis
Jérôme de Mars
La java des bombes ah toniques
Pêle-mêle
Comme Boris Vian,
Ici bas je m'emmêle !
Comme maintenant
Boris Déviant,
Où je fais une parodie
Avec ou sans on-dit,
En passant
De la java des bombes atomiques,
Et en très passant
A la java des bombes ah toniques,
Où tonique, je nique
Et je fornique
Tout dans tout ce fourre-tout,
Pour boucher les trous
Et des bouchers les égouts,
Où avec méforme olympiques
J'envoie des piques trop piques,
Où moi, je suis une bombe à retardement
Dont je fais exploser la bombe atomique,
Sous une forme satirique et comique
De mon état mélancomique,
Avec à la fois du tragique et du comique
En faisant la java des bombes ah toniques,
Comme je suis une bombe à retardement
Attardement qui attardé ment,
Déviant comme Boris Vian
En sacré garnement,
Telle une vielle canaille
Dans toute cette pagaille,
Comme avec un lance-roquettes
Et un bazooka,
Pour aller dans la joie
Bazarder le cabinet du Docteur Penot,
Tout penaud
Au 46, rue La Roquette,
En faisant cela
Bien sûr en rigolant,
En me marrant et en m'amarrant
Au volcan de rancœur,
Qui bat la chamade
Avec des consœurs
Dans une sommation en passade
Avec un paréo,
Où je lance tout haut
Des piques tropiques,
Avec méforme olympique
Déviant comme Boris Vian,
Avec la java des bombes ah toniques
Supersoniques qui niquent
Mes symptômes
Et mes hématomes,
Si je bombe le torse
Et que j'envoie une bombe en faisant
Une entorse, qui corse
Mon esprit précoce
Avec un saccerdoce,
Où après qu'il faut laisser couler,
Il faut laisser roucouler
Avec un laissez-passer,
Où le jour que je n'aimerai
Plus Boris Vian,
C'est qu'il sera passé
De la clarté à l'obscurité
En reprenant clément
Ses mouvements virulents,
De chansons à fort tempérament
Du temps d'antan,
Et en étant à nouveau
Dans son élément,
S'armant de patience
Incongrue dans la décadence,
Où il repassera dans une multitude
De multitubes du temps de sa décrépitude,
En renouant avec le fil conducteur du courant
Que c'était mieux avant,
En faisant imploser la java des bombes ah toniques
Pour qu'elle explose dans le chaos
Lors de la java des bombes atomiques,
Du comique au tragique
Mélancomique et cosmique
Sur une autre planète que La Terre,
Car ici bas appelle masqué
Les fous à lier, illuminés, déjantés et bariolés
Complètement fadas,
De youpi hop la joie
Avec pertes et fracas,
Car v'là ici l'inventaire !
Que fut jadis la java des bombes ah toniques
Et qui redevient en Pré-vers
La java des bombes atomiques,
De Boris Vian
A Boris Déviant.
Jérôme de Mars
Cévennes, ces veines
Endroit propice qu'avise ce lieu de la chance vaine,
Où ceux qui y habitent ont Cévennes, ces veines
D'y vivre toute l'année comme à la campagne,
Et de respirer l'air pur en en faisant toute une montagne
Et de grimper les côtes
Pour avoir la cote et décote, si les gens fricotent
Et traficotent en ayant Cévennes, ces veines
A la chaîne dont les montagnes se déchaînent,
Où il est recommandé d'y posséder un mas
Pas pour être avec Alexandre du mas, mais en hissant le mât
Avec un amas
Sans cracher comme un lama,
Parce-que même s'il n'y a pas un chat
Ce n'est pas la traversée du désert,
Qui dessert ces vaines souveraines
Qui ont Cévennes, ces veines,
D'y soulever des montagnes
En trinquant au champagne,
Quand bien même ce n'est pas la région
Des Champagnes-Ardennes,
Mais une destination qui repose les frustrations
Au grand air
Et dans une meilleure atmosphère sur La Terre,
Où les habitants qui n'ont pas une chance vaine
S'y calment les nerfs,
Comme une verre veine
En ayant Cévennes, ces veines.
Jérôme de Mars
Passez donc me voir !
Histoires de bavarder sur la place du hangar
Passez donc me voir !
Pour discuter au bistrot autour du comptoir
Entre brèves à deux balles et le reste dans un déversoir
En un dépotoir,
A percevoir et à apercevoir
A quel moment les gens sauront émouvoir
Le ciel,
Avec tout de même quelques bonnes nouvelles
A espérer au coin du feu
En racontant des blagues à l'humour graveleux,
Où je vous implore
Passez donc me voir !
Pour refaire le monde avec un arrosoir,
Pour le cultiver en mieux,
Avant que les autres m'ignorent
En me prenant pour un ignare
Et un gars bizarre,
Alors qu'ils me connaissent comme un pseudo vieux
Loup solitaire, qui méprise les humains
Et qui se croît hautain,
Tandis que ce n'est qu'une façade
Pour ne pas que les individus ne me calculent,
Me bousculent et me basculent
Dans une saudade,
Où tout le monde me balade
Dans des sornettes,
Où je pénètre
Dans un miroir aux alouettes
Pour me jeter par la fenêtre,
Si vous voulez vous en rendre compte pour mémoire
Passez donc me voir !
Pour constater si ce sont des racontars,
Ou si ce sont les causes du bazar
Dans ma tête
En miettes,
Où presque personne ne prend son temps
Avec moi pour comprendre l'origine
A la racine
De mes tourments,
Et de pourquoi en moi tout fout le camp
Dans le boucan !
Des êtres indifférents
A mon égard,
Et de pourquoi je suis si différent,
Vis-à-vis de leur faux mouvement
De rejet avec un mauvais regard
A mon encontre,
Alors que si je rencontre
Par hasard
Des gens devant des nénuphars,
Ca pourrait être un long moment plaisant
Devant l'étang,
Où tout le monde se détend
Et soit moins distant
Pendant l'espace d'un temps,
Où vous pourrez le constater de votre miroir,
Je ne suis pas si fou que ça
Malgré l'étendue des dégâts,
Pour cela
Passez donc me voir !
Jérôme de Mars
Blague :
A quelle occasion un homme appelle-t-il sa femme bébé ?
- Quand sa femme le tête !
Jérôme de Mars
L'eau qui dort
Dès les aurores,
Et que le ciel taraude
Le sol dans sa dérobade,
Il ne faut se méfier
De l'eau qui dort,
Lorsque les éclats
Appellent en renfort
Des bruits de pas,
Qui proviennent de Morphée
Qui se lève dans une accolade
De la profondeur des sentiments,
De l'eau qui dort
Dans sa zone de confort,
Et provoque des roucoulements
En faisant des ricochets
Sur l'eau qui transpire d'émeraude,
Et qui s'incline devant les mouvements
De l'eau qui dort,
Et qui adore
Que les poissons la dorent,
Comme la sole
Qui cherche la clé de sole,
De l'énigme dans la boussole
Du temps et du vent fluctuant,
En fonction
Et en insurrection
De l'eau qui dort,
Qui jaillit sans agonie
Et qui ragaillardit
A la vue de l'eau qui dort,
Qui bouge crescendo
Et se souvient du folklore ,
En allant vers une mélodie
Dans un rappel à la raison,
Dont arrive effervescent
Le signal d'accoster
Sur le quai qui rôde,
Commode pas loin
Des Comores,
En Afrique sur l'océan
Qui n'est un long fleuve tranquille,
Sur les péripéties des villes
Avec un cœur de volcan,
Sous les abysses des Coraux
Bifurquant vers le tempo
De la fin de ce morceau
En roc de pierre,
Qui coule dans l'estuaire
De la rivière,
En haut de l'essor
De la machine à remonter
Le temps consort,
Qu'on sort
De l'eau qui dort.
Jérôme de Mars
Démise en page
Emise en page.
Et mise en page
Mise en ta page
Emise en dérapage Remise en tapage
Démise en râpage
Des mises en page
Et mise en ces pages
Emise en cépages
Démises en des râpages
Des mises en dérapages
Et mise en dérapages
Emise en des râpages
Des mises en ta page
Et démise en tapage
Remise en tapage
Et mise en ta page
Emise en tapage
Et que tu retournes la page
Dès que tu contournes la page
Dont tu détournes cépages
Avec un marque-page
Dont tu tournes la page
En remise en page
Tu mises en page
Démise en page
Et mise en page
Des mises en page
Emise en page
Mise en page
Jérôme de Mars
Blague :
Que fait une femme à son mari pour qu'il la paye en nature ?
- Elle lui met un doigt dans l'écu !
Jérôme de Mars
Aux vers bordent
Bordel, ça déborde !
Mille millions de mille sabords,
Où sur le rebord
Je saborde,
Car je suis tintin
Avec Rintintin
Dans cette chienne de vie,
Qui flirte avec l'ennui
Aux vers bordent,
Qui débordent
Sur la place de la discorde,
Où je suis monocorde,
Car dehors, il pleut des cordes !
Qui ne concordent,
Où j'accorde
Et je me raccorde
Aux vers bordent,
Dont les revers me sabordent
Et débordent
Sur le rebord
De la mélancolie,
Où je n'ai que l'envers du décor
Dans le droit permanent à l'oubli,
Avec Internet,
Où je suis à terme pas net,
Renfermé dans mes manies,
Paranos de la mégalomanie
Avec des mélodies,
De la bluette
A la chansonnette
Aux vers bordent,
Où je racle les bords
A tribord ,
Aux abords
D'être à fortiori à bord,
Où je suis un mort-vivant
Qui dérape conscient,
Et s'enterrant à petit feu dans le néant,
Vivace et à la ramasse,
Qui reste à la masse, à la MAS,
Handicapé et rescapé
De toutes les échauffourées effarouchées,
Qui l'ont touché
Et percuté de plein fouet,
Où je déborde
D'un nom de limace,
Comme je me lasse
De tout en vers de terre
A poèmes pour ma pomme d'éther,
Avec mon affection de longue durée,
En infection endurée, en durée,
Où je fais un billet d'humour
Dans une liasse et en billet d'amour,
Dont je finis ce gamme aux vers qui aborde
Les hauts vers
Du mal de mère,
Aux vers bordent.
Jérôme de Mars
La mue gaie
A l'approche du 1er mai,
Bientôt vont sonner les cloches
De la mue gaie,
Aussitôt que le mouche du coche
Ordonnera un mai sage,
En guise de message
Pour demeurer sage,
Car en mai, fais-ce qu'il te plaît !
Mais mets tes doux habits
De muguet qui envoient des fleurs,
Car c'est le bouquet !
Qui influe et mousse les coquets
Avec des vers d'orangerie,
Qui tapissent tes odeurs
Aux senteurs, qui propagent
La mue gaie,
Avec du muguet le 1er mai,
Car désormais, la poésie
Réconforte les âmes meurtries,
Par-delà le reflet du miroir
Avec des racontars de fond de tiroirs,
Dans une beuverie et une veulerie,
Où le moins qu'on puisse réagir
C'est maudire les extrêmes
De leur pouvoir suprême,
Qu'il faut interdire et bannir
En assaillant les barricades,
Et en faisant des accolades
Dans la promenade de la mue gaie
Le jour du 1er mai,
Où l'on offre du muguet
Avec des couleurs bariolées,
Pour faire honneur
Aux brins de couleurs,
Qui se mettent aux vers
Des chimères avant le prochain hiver,
Avec tous les travers qui muraillent
En fond artisanal quelques trouvailles,
Où il faut l'union nationale
En traditions inaugurales
Le jour du 1er mai,
Qui désigne la mue gaie
Avec du muguet,
Pour faire une fleur
Avec du bonheur,
Et le peindre avec quelques rougeurs
Si jamais il voit rouge d'impudeur,
Où certes règne la confiance,
Mais dont désormais il faut ignorer
La lenteur et la fadeur,
Des jours d'avant qui sans doute
Seront dans la peur
De la déroute,
Avec pour inclinaison
A l'orée des saisons
De grandes satisfactions,
Car voici à proximité
Du cortège du 1er mai,
Le muguet dans son défilé
Et dans son intégralité,
Qu'égrène la mue gaie
Pour éclore sa destinée,
Et clore cette saga citée
Avec le muguet du 1er mai,
Qui instaure
Avec des stores
Quelques libertés,
Pour atténuer l'ivresse du soleil
Et le relever rebelle de plus bel,
Car le 1er mai,
Fais ce qu'il te plaît !
Dans le respect
Et mets désormais !
Le 1er mai,
Comme le premier jour de la clarté
Et de la liberté retrouvée
Dans la paix,
Mais dont désormais c'est la mue gaie.
Jérôme de Mars
Cavaler
Comme un cheval laid,
Un chevalet
Fait cavaler,
Et fait cavalier
Seul, comme dans un aquarium,
Dans un ultimatum,
Comme un poisson dans l'eau !
Hello, et l'eau !
Car tous les chevaliers
Et les cavaliers,
Ont le droit au bonheur
Avec un prophète,
Qui a la recette
Du gâteau au bonheur
Avec de la crème de Chantilly,
Dont c'est la cerise sur le gâteau
Sur l'hippodrome de Chantilly,
Où en voiture,
Le cheval laid
Prend comme chevalet,
Le rayonnement perpétuel
De l'autel,
Pour se confesser
Avec vérité
Sur les facettes de la pudeur,
Qui lance : " Montre ta vraie nature ! "
Pour être synchrones au micro,
Dont les courses de chevaux
Font cavaler la retransmission en stéréo,
A la télé de façon cavalière
De Cavalière à Cavalaire Sur Mer,
Où comme un lion en cage,
Les chevaliers
Et les cavaliers
Se sentent bien dans leur bocal
Avec leurs affinités locales,
Comme un poisson dans l'eau !
Où les courses de chevaux
Prennent la vie du bon Quartet
Avec Le Golden Gate Quartet,
Où il faut cavaler
Avec un cheval laid,
Un chevalet
A la bonne hauteur,
En trouvant chaussure
A son pied,
En partant du bon pied
Et en voiture,
S'il vous plaît !
Le chevalier épique
Et romanesque,
Qui vous lance et piques
Rocambolesques et pittoresques
Jusqu'à la fin de cette fresque,
Au rayonnement du ciel et du soleil,
En un arc en ciel qui gratte le ciel,
Au pluriel dont c'est du gâteau
De terminer ce quartet
Avec le Golden Gate Quartet,
Quand on voit la vie du bon côté,
Car comme un bonheur seul
Ne suffit jamais,
On en redemande tout béats,
Quand on traîne des pieds dans le patatras,
Où on ne fait que cavaler,
Comme un poisson dans l'eau !
Qui se déchaîne
Sur la chaîne
Télé Bocal,
A Paris sur le canal
De La Seine locale,
Où très à cheval
Et avec équité,
On est quittés
Par les chevaliers
Et les cavaliers,
Quand on fait cavalier seul
De façon cavalière,
Avec l'art et la manière
Distinguée de se distinguer
Original,
Car comme un cheval laid,
Un chevalet,
Il faut cavaler.
Jérôme de Mars
Je suis grave
Gravé dans du marbre,
Je reste planté là
Devant l'arbre,
Où si je me rate
En voulant me suicider,
J'irai assister
Aux obsèques,
Et Tchèques
Et maths,
Où c'est pas la joie
Tous les jours !
Dans de la soie
Avec du velours,
Car c'est lourd, c'est du lourd !
Et balourd, bas lourd !
Car c'est du balourd !
Mon quotidien
Immergé dans le dédain,
Car je suis grave !
Et que j'ai l'accent grave
Si je grave
Ma vie à sang grave,
Dont mon cas
S'aggrave avec l'aval,
De la société de complaisance
En malveillance,
Qui se prétend
Suave avec moi,
Alors que mon repas
Dans le bain de foule
N'est frugal !
Comme tout m'est égal !
Comme si j'avais la gale
Dans quelque chose de pas légale,
Où je ne me foule
Et je refoule
Tout le monde,
Pour rentrer dans le moule
D'un accent grave,
Qui inonde
Mon cas social
D'incohérences,
Qui font désobligeance
Avec accoutumances,
Où je suis grave
A sang grave,
Où je grave
Mon désarroi,
Que je gave
Dans les parois,
Où je perds peu à peu
Et pieux
La foi,
Où je gravis une montagne
D'angoisses,
A soulever
Sur place,
En allant à la campagne,
Faire couler
Le champagne
Champêtre
De mon mal hêtre,
Où je reste planté là
Dans mon par hêtre
A m'en foutre de ça,
Où gravé dans du marbre,
J'implante
De l'encens,
Avec allant
En allant
Sur cet arbre,
Que j'encense
De ma déchéance,
Dont je plante
Toute la semence
De l'essence
Avec aisance,
Où face à la gravité
De la vie,
Je suis grave
D'ennui avec l'hérésie
En inertie,
Dont je grave
Mon dépit,
D'une énergie
Affaiblie
Qui n'a guéri,
Car flétrie
Dans un délit,
Où je me délie
De mon lit,
Aguerri
Et insoumis
Dans des circonstances
Indéfinies et non établies,
Car je suis toujours évanoui
Dans le mal adroit à l'oubli,
Dont l'infini
Me jette en compromis,
Que je suis un con compromis,
Compromis par la vie,
En de ça
De ceux à quoi je crois,
Car je grave
Mon accent grave
A sang grave,
Dont je suis grave.
Jérôme de Mars
Le procès s'use
Les procédures,
Les procès durent
Et les processus,
Les procès sucent
Et les procès s'usent
Avec des procédés,
Dont les pros s'aidaient
En faisant un procès verbal
Devant la cour,
Dans une chasse-à-courre
En arrière-cour,
Où le procès dur,
Utilise comme procédure,
Tout ce qui se clame à l'oral
Avec L'Oréal
Pour lancer les vers bals,
Où on s' fait des cheveux
Chauvins, chauve hein,
Pour défense un accusé
De réception,
Comme un être au poste,
Où tant que les procès durent,
Il y a des procédures
Avec des procès durs,
Et dont le procès suce
Tout le processus
Dont en acompte,
Le procès s'use,
Et le procès verbal
Est gagné en amende honorable
Dans un vice de procès dur,
Où le juge est parti
Dans un dévisse de procédure
Après que le procès dure,
D'où en feint de mandature
On exige une caution
Qu'on ne cautionne,
Dont on non dit à l'oral
Que le juge et partie,
Et qu'il déclare vice à vice
Dans un vice de procès dur
Vis-à-vis du coupable enfant
Son innocence,
Et dont au bout du compte
A terme,
En ces termes,
On en conclut
Que le juge hein parti,
Acquittait l'audience
Et qu'il ne tient bon la barre,
Puisqu'il a quitté l'audience
Et que comme le procès suce,
Ainsi, comme le processus,
Le procès s'use
Sans consensus.
Jérôme de Mars
Aux vers doses
De par cette pseudo prose,
A quoi ça rime cette overdose ?
Où j'ose écrire aux vers doses,
Avec modération
Comme je suis à saturation,
Où je m'immole par le feu
Sans récupération,
Avec un bémol qui tangue
Et qui me fait rentrer dans un gang,
Pour être de peu
En maison de correction
Pour corriger mes fautes d'autographes,
Qui paraphent
Mon overdose
Des maux,
Qui frôlent la cirrhose,
Quand mes ecchymoses
Rentrent en aux vers doses
Sans modération,
Où je ne pèse mes mots,
Car je rature
Et je sature en ossature, oh sature !
De mon manque de stature,
Qui me triture
L'esprit dans sa torture,
Où il n' y a qu'avec des fioritures
Que je peaufine mon écriture
Dans un je d'écriture
Sans commune mesure,
Où je frôle l'overdose
Avec des vers d'o qui arrosent
Le pot aux roses,
En aux vers doses
Et en sûres doses,
Ou en mais nos pauses
Avant Mickaël Landreau pause,
Où je marque pause, pose
Et superpose, super pause,
Quand je me repose
Et que je dispose
D'une overdose,
Que je propose
En aux vers doses,
Et que je cause
En parlant de sinistrose,
Où il me faut une osmose
En art throse,
Pour aller dans le cosmos
De mon imaginaire qui a largement eu sa dose
En sûres doses,
Dont j'ai franchi l'overdose
Avec mes nécroses
Et mes névroses,
Que je compose
En aux vers doses.
Jérôme de Mars
Le soleil va-t-il sauver la pluie ?
Ciel de tristesse,
Que ton ombrelle
Tombe sur les forteresses
D'une infinie de pimprenelles,
Où avec sagesse,
Le ciel saura t'inculquer
Et te cultiver
Des phénomènes surnaturels,
Entre prouesses
Et messages schizophrènes,
Et intemporels
Sur les ondes aires siennes
Avec quelques gouttes de pluie,
Qui tombent du ciel superficiel
Et artificiel,
Avec des pluies diluviennes
Et torrentielles,
Et qu'on s' demande
En offrandes,
Est-ce-que le soleil
Va-t-il sauver la pluie ?
Entre larmes qui brûlent la vie
Par les deux bouts de la chandelle,
Et un court répit
Durant un laps de temps en accalmie,
Et est-ce-que le soleil
Va-t-il sauver la pluie ?
Et les hirondelles ?
Durant un battement d'ailes
En nuances de chanterelles,
Qui remontent les bretelles
Pour que la liesse
Et l'allégresse,
Remplacent la tristesse
Et la détresse
Par quelque chose de poétesse,
Avec délicatesse et la politesse
Du désespoir,
Dans un abreuvoir de belles histoires
Au long réservoir,
Qui égrène un parfum terroir
Si ça sent bon
Du côté de la saison des bourgeons,
Dont ça coule de source avec les esturgeons
Pour noyer le poisson,
Et dont on quémande
A l'amende et à la demande
Avec comme embellie,
De vouloir et pouvoir
Savoir en réquisitoire,
De est-ce-que le soleil
Va-t-il sauver la pluie ?
Dans une pléthore de confettis
Et d'étincelles,
Et puis, et pluie tant pis.
Jérôme de Mars
Spectacle sans obstacles mais avec tacles
Très à cheval, je me donne en spectacle
En lâchant la bride,
Et en galopant rapide
A grande vitesse de galop,
Sans en faire trot
Et sans obstacles mais avec tacles,
Où sans aller dans le rétro
Je me donne en spectacle,
Où dès que le rideau se lève
Je fais l'élève
Studieux, mais qui révèle
Un rebelle contre l'éternel
Sans obstacles mais avec tacles,
Où quand je monte sur une jument
Je mens comme ma poule hein,
Où j'arrête mon manège
Si jamais c'est un sacrilège,
Que je me donne en spectacles
En sautant les obstacles, mais avec tacles
Of course en relevant,
Et en caressant
Dans le sens du poil mes poulains,
Où il faut que je cherche une aiguille
Dans une meule de foin,
Si jamais j'ai faim et que je me redécouvre clandestin
De cette vie à l'élevage,
Qui n'est pas toujours de l'esclavage,
Mais où il faut que je trouve anguille
Sur roche au bistrot d'en face,
Où j'aimerai mettre en préface
Un visage qui tienne place,
Tout en sirotant une bonne tasse de café
En prenant la vie du bon côté
Et en jouant au tiercé pour demeurer très à cheval,
Car en général, je joue à la loyale
Et on me donne mon aval
Sans que je sois en cavale,
Car c'est ici que mon ami râle, mon amiral
Et que je mousse aillons,
Comme moi et mes mousses, nous moussaillons
Et que je me donne en spectacle,
En sursautant les obstacles mais avec tacles
Très à cheval,
Mon général,
En face à face frontal,
A plus pour la générale.
Jérôme de Mars
A vous le !
Pour beaucoup,
Pour beaux coups,
A vous le Jérôme !
Que tu t'en fous
De tout,
Car tu te dévoues,
Et que tu dis vous
Dont avoue-le Jérôme !
Que tu n'as le bon Génome
Et le bon atome crochus
Mais un hématome ingénu,
Où à vous le !
Tu te crois fichu
Dans ce fouillis très corrompu
Et couillu,
Où l'ennui te guette
Et que tu es à la quête
D'un moi, je plus heureux
Et plus Moyen-Age je,
Où avoue-le t'as besoin d'un peu !
D'affection dans ce corps si douloureux
En décomposition,
Mais où tu signes des compositions,
Entre hallucinations
Et déraisons, des raisons,
A vouloir réparer
Et combler
Toutes tes injustices,
Les plus immondes
Qu'on t'a commises nauséabondes
Sur le quai des brumes,
Où tu t'enrhumes
A vous le Jérôme !
Comme il faut qu'on te greffe
Sans griefs,
Une personnalité
A la gentillesse davantage ronde
A la ronde,
Qui féconde
Plus d'allégresse
Et de tendresse,
Pour guérir tes maladresses
A l'adresse
D'un meilleur monde
Sans fronde,
Car avoue-le Jérôme !
T'aimerais connaître
Quelques bonheurs
A la bonne heure,
Et renaître
En vigueur
Dans un séjour enjoliveur
Sur La Terre,
Car après la colère
Vient l'heure de l'itinéraire
A choisir
Et à élire, après la lyre,
Car avoue-le Jérôme !
Pour beaucoup,
Pour beaux coups,
C'est maintenant ou jamais
Que tu as le droit au bonheur !
Avec de la clarté
Et des couleurs
A vous le Jérôme !
Jérôme de Mars
Et nœud !
Comme un nœud
Dans l'estomac,
Je suis haineux
De par mon état
Avec mes tracas,
Qui me conduisent
Petit à petit
Vers le trépas,
Où je m'enlise
Et nœud,
Avec un manque d'appétit
Dans cette existence,
Qui résonne comme la sentence
D'une vie dans la pénitence,
Où je représente pour beaucoup,
Pour beaux coups,
Une grande insignifiance
Dont mon estomac
Sonne creux,
Comme je suis haineux
De mon état et nœud,
Où il faut que j'en déduise
Que je vais mourir à petit feu,
Proche des cieux
A mouiller ma lourde croix,
A Dieu pour que j'en réduise
Mon fardeau
En l'allégeant sur l'écriteau,
Bienvenue au pays des anges
En volant avec mésanges,
Car après l'enfer,
Le paradis,
Cher poète maudit
Dont je dédie,
Ce message mortifère
A bientôt dans un monde meilleur !
Avec un soleil plus généreux
Et miséricordieux,
Avec un accent régénérateur
Dans l'opulence,
Et la magnificence
Sans aucune réticence,
Dont j'aurai la licence
Avec en effervescence
Plus de message haineux,
Mais des mets sages délicieux !
Et un léger mieux,
Car c'est là à ce moment ténébreux,
Douteux, fameux et fabuleux,
Que je ne serai et nœud !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Paul et Paule sont un couple marié très uni, qui est-ce-qu'elle suce Paule ?
- Paupaul
2) Que demande une abeille mâle à son abeille femelle ?
- Il lui demande de lui pomper le dard
Jérôme de Mars
Quand les vivants aiment la mort, les morts aiment la vie
Nom d'une poésie,
Si la vie
Nous fournissait le devis
D'une vie réussie,
On n'aurait des remords
Si on démord
Qu'une fois morts,
On mord
Le mors de la vie,
Quand les vivants aiment la mort
Sans remords,
Et que les morts aiment la vie
Entre vie et devis, deux vies,
Partagés entre remords
Et le devis qui dévie
La vie,
Et nous plonge dans une eau de vie
Pour oublier les soucis de la vie,
Nom d'une ode qui sourit
A la vie et qui mord l'ennui,
Et le mors qui mort à la mort
Pour qu'elle soit nourrie
De poésie et de fantaisie,
Quand les vivants aiment la mort
Et que les morts aiment la vie,
Pour que la vie sourit à la mort
Et que la mort rit de la vie,
Même que le vivant en démord
Que la vie vaut la peine d'être vécue
Et parcourue dans l'absolu,
Car seul le vivant se veut ravivant
En déviant la mort du droit chemin,
Pour reprendre la main
Sur la vie qui vit après la mort,
Si jamais il y a une vie après la mort
Sans qu'on en démord,
Pourvu qu'on n'ait des remords
De la vie à la mort,
Et de la mort à la vie amie
Qui dévie des vies,
Ainsi pour la vie,
Et après la mort, l'ennui et puis
La vie qui resurgit,
Au-delà de la mort pour plus de vie
Nom d'une poésie
D'une petite mort réussie dans la vie,
Pour être près des vivants vivant dans la mort
Et des morts vivant dans la vie d'après qui dévie
Des vies de la vie à la survie, ravivant les remords
Une fois qu'on est mords à l'infini,
Car ainsi vont la vie
Et la mort,
Surtout quand les vivants aiment la mort
Et que les morts aiment la vie,
De morts et de remords qui dévient
Jusqu'à la vie, et de la vie qui en démord
Que les morts doivent avoir des remords
De ne plus être en vie, car ils ont envie
D'être morts, sans qu'on en démord qu'on mord
Aux morts de la vie et au mors de la vie,
Comme on en démord qu'on mord
A la vie
Sans remords,
Haut de vie, on a le devis de la vie,
Quand les vivants aiment la mort
Et que les morts aiment la vie.
Jérôme de Mars
Oh ! mes gars !
Alpha oh ! dégâts !
Hauts ! des gars !
Oh ! mes gars !
Y a des gars !
Comme y a dégâts !
Oh ! mes gars !
Alpha Oméga
Hauts dégâts !
Oh ! mes gars !
Alpha oh ! dégâts !
Y a oh ! des gars !
Si y a hauts dégâts !
Alpha hauts des gars !
Oh ! mes gars !
Jérôme de Mars
Il faut que tu en parles avant qu'il ne soit trop tard
Y a pas de lézard !
Vu ton état,
Qui se dégrade
Et qui fait que toi malade,
Tout le monde te balade
Dans des salades
Vu ta tare,
Où t'en as marre !
Et où tu t'amarres !
Pas loin du rivage
A prendre naufrage
Dans le trépas de l'au-delà,
Il faut que tu en parles
Avant qu'il ne soit trop tard !
Avant que tu passes à l'acte
En rompant le pacte
Dans le tintamarre,
Car t'en as plus rien à foutre de tout !
Vu qu'on t'ignore comme dans les égouts
Où pas beaucoup te comprennent,
Car ils se méprennent
A ton sujet dans ce bordel monstre,
Qui te ronge de l'intérieur et qui te défonce
Dans la peur et la colère,
De toi en manque de repères
Loin de ton repaire,
Où manque ta mère
Pour faire la paire,
Et vu ton état sulfureux
Il vaut mieux
Que tu en parles
Avant qu'il ne soit trop tard,
Et que ta tare
T'emmène aux cieux,
Car t'as plus rien à perdre !
A part
Te tirer une balle dans la tête,
A bout pourtant
En supplément
De tout ce fardeau,
Où tout le monde te jette
Aux oubliettes,
En allumant les allumettes
Et en les jetant
Une fois obsolètes,
Comme un panse-bête
Alors que tu n'es bête,
Car tu penses-bête !
Mais ne penses bête,
Car il faut
Que tu panses bête
Pour te soigner la tête,
Alors pour cela
Il faut que tu en parles
Avant qu'il ne soit trop tard,
Car regarde
Le monde !
y a pas que toi !
Qui le sonde,
Car plus tu gardes
Les choses pour toi,
Plus tes ecchymoses
Osent en overdose,
Te mettre en danger
Pour toi
Et pour les autres,
Si jamais tu passes à l'acte
Et que tu romps le pacte,
Si un jour tu te vautres
Dans la violence,
Avec pour seule urgence
Ton appel du pied
Pour rendre ce qu'on t'a fait,
Mais dont tu risquerais
De te jeter dans un guêpier ,
Alors pour l'éviter,
Fais un appel du pied !
A contre pied
En prenant ton gai pied,
Pour aller mieux
On espère tous un jour !
Et pour toujours
Durant ton séjour
Sur La Terre,
De préférence
A faire le bien
O combien !
Salutaire et nécessaire
Pour te sortir de cet enfer,
Et rentrer pour de bon dans la lumière
A des années-lumière
De l'ombre de ton histoire,
Qui date de la préhistoire
Même si ce qu'on te dit,
Pour toi est secondaire
Et élémentaire
Vis-à-vis de toi, le poète maudit,
Car souviens-toi ! qu'il y en a tout de même
Qui t'apprécient quand même,
Malgré tes problèmes
Et tes côtés,
Sombres à l'ombre
De ta pénombre,
Aux à côtés restés
Sur le carreau,
De ton cerveau réduit à néant
Dans le chaos et les quiproquos,
Où avant de finir en poussière
Dans un ciel de misère,
Errant dans les couloirs du temps
A ruminer dans un monologue,
Caduc et qu'à Duc
Avant de te jeter d'un viaduc,
Ou d'un aqueduc
En coupant les ponts,
Avec tout le monde à quoi bon ?
Et de rejoindre un ciel nuageux
Avec des nuages à l'horizon,
De ta vie à l'abordage fastidieux,
Mais remets-en toi à Dieu !
Pour lui évoquer tes soucis à Dieu !
En espérant que tu iras mieux
D'ici là pour être plus heureux !
Malgré ton passé pluvieux,
Mais pour l'amour du ciel,
Et pour te recentrer sur l'essentiel,
Oublie-le ci-possible !
Pour vivre un avenir plus comestible,
En oubliant un peu
Tes penchants haineux,
Venimeux et vénéneux,
Pour t'inspirer radieux
Vers un monde joyeux,
Et pour cela
Pour que tu te sentes mieux
Et heureux
Dans la joie et dans de la soie,
Garde la foi !
Mais y a pas de lézard !
Pour clore cet épilogue,
Il faut que tu en parles
Avant qu'il ne soit trop tard.
Jérôme de Mars
Faire contre mauvaise fortune bon cœur
En une,
Faire fortune
C'est bien,
Mais on n'emmène
Pas l'argent
Au cimetière,
Car de toute façon
De quoi, on va en faire ?
Une fois qu'on sera mort
Avec nos remords
Et nos chagrins,
Au rythme du ressort
Si on s'en sort et on en ressort
Avec un trésor,
De si la vie a une véritable destination
A part travailler
Toute sa vie dans l'obscurité,
L'insécurité et l'insalubrité
D'une société en manque de propreté,
D'intégrité et de respect
Dont il faut qu'en étrennes,
Faire contre mauvaise fortune
Bon cœur,
Sans rancune
Et sans lacune,
En harmonisant
Le temps
Avec vigueur,
Et le retenir avec rigueur
Dans ce qu'il y a de sauveur,
Avec douceur
Sans la peur
Au ventre qui nous coule de liqueur,
Comme le monde aigri
Avec noirceur,
Dont il faut à la une
Faire contre mauvaise fortune
Bon cœur,
En se remettant
En questions,
Où tout nous oppresse
Comme en une,
La presse qui nous stresse,
Avec des résolutions
En solutions,
De ce qui nous inquiète
En quête,
D'un monde plus enjoliveur
Aux rives du paradis sur Terre,
En y récoltant ce qu'il y a de saveurs
Avec différentes facettes,
Pour y dénicher les recettes
D'un peuple plus solidaire,
Malgré les carences de la société
De consommation,
Qui ne remplace l'affection
Par de l'incitation
A trouver le bonheur
Dans de l'argent,
Placé et déplacé
Dans le jeu de cette erreur,
A se demander qui sera le meneur
Et le meilleur ?
Pour ravitailler ce monde sous perfusion
Sous tensions avec des dissensions,
Dans la quatrième dimension
Et sous anesthésie profonde,
Car on y féconde
Une société du gâchis pour le fric,
Pour y démanteler les services publics
Au nom de l'égoïsme et de l'argent roi
Avec La France dans cet état-là,
Comme la santé
Qui reste en prison,
Dans les insanités
Et les vanités
Des PDG du CAC 40,
Dont ça leur tente
Si on leur intente
Un procès verbal
Dans un face-à-face au pénal,
S'ils se croient supérieurs
Et méprisants
De la classe ouvrière
Et du manque d'infirmières,
Dans une société infirme
Qu'on malmène,
De cette façon
Et en contrefaçons,
Dont on traite avec une telle manière
La firme,
Car le président ,ce bouffon-là
L'affirme !
Seul l'argent l'intéresse
Au détriment
De la détresse,
Des gens dans le besoin
Face à ce perpétuel boucan
Des tourments innocents,
Dont il faut faire contre mauvaise fortune
Bon cœur,
Pour espérer
Avec volonté
Un monde meilleur,
Plus gai
Et plus transparent,
Sans prendre de gants
Avec les magnats des grandes fortunes,
Pour que la roue de la fortune
Tourne à l'infortune
Des nantis,
Pour nourrir de fortes tunes
Les petits,
Qui triment
Chaque fin de mois,
En joignant les deux bouts
Et en s'ensorcelant de marabouts,
Pour garder espoir en ayant la foi
A la une,
Et sans rancune
D'un monde moins dans la finance,
Comme les hôpitaux qu'on saigne
A coups de matraque
Et de châtaignes,
Avec ma traque
Pour faire des hôpitaux
En réanimations,
De puissants maux
Au diktat de l'argent sale
Et immoral,
Où l'on considère
Les malades,
Comme des clients
Impatients et arrogants
Qu'on ballade,
Comme l'argent est roi
Pour vider toutes leurs perfusions
Et leurs provisions,
Pour que la contagion
Soit générale
En France,
Et menace la santé
Et la bonté
Des soignants,
Autant que des patients
Avec une liberté de ton,
Qui choque
Avec élucubrations,
Comme des électrodes
Qui taraudent
Les électrochocs,
De ceux qui retournent leur conscience
Pare-chocs,
Car leur vertu est en toc
Dans ce monde du troc,
Où tout s'achète
Avec des machettes,
Pour faire ses emplettes
Comme les personnes lambdas
Dont on finira par en faire une tombola,
Pour soigner les gens
En difficultés financières
Et en manque de repères,
Dont pour éviter ce vieux serpent
De mer
Qui risque de détruire l'humanité toute entière,
Ayons pour cela
Une clause de conscience
Dans la confiance !
Avant l'échéance
De nos fins de vie, car si jamais
Il y a la défiance !
Ca finira en contumaces !
Si jamais il y a une menace tenace
Et coriace qui nous terrasse
Dans la violence,
Dont pour éviter d'en arriver là
Dans un monde à découvert
Sur La Terre,
Réagissons et prenons
Des décisions charnières !
Pour assurer nos arrières
Et ainsi assurer un avenir prospère,
A la génération d'après
Sans frontières,
Auprès de laquelle il nous faut renouer
Avec la fierté d'être Français,
Pour faire contre mauvaise fortune
Bon cœur,
A prendre par cœur
En une,
Sans rancœur
Et sans rancune,
Car vlà à cet endroit là !
De la joie alléluia
A la bonne heure.
Jérôme de Mars
Et pas nuit
Nuit tombée
En retombées,
Epanoui c'est vite dit !
Parce-que et pas nuit
Dans le noir morbide,
De sa double face obscur
Avec la pleine lune,
Qui rentre dans le crépuscule
Avec la rancune et en lacunes,
Que subit ce moment qui bouscule
Et bascule vers une période insipide
Face Terre qui va dans le mur,
Car épanoui
Dans le jour,
Et pas nuit
Dans le contour
Sinistre d'un clown triste,
Qui ne rit puisqu'il pleut
En pleurant en haut des cieux,
Faute d'avoir trouvé la paix humaniste
Dans son travail d'artiste toujours seul,
Et qui ne fait le deuil
D'autant et pas nuit,
Qui rappelle épanoui
Les remords de l'ennui
A l'an nuit,
De répondre à ses questions
Les plus profondes,
De plus en fécondes en fronde
Dans une équation en profusion,
Où s'en foutre de tout est l'unique option
A moins d'une réconciliation, après la scission
Avec la nation
A distance de la rébellion,
Où il s'en moque de déchoir
Dans des hallucinations,
Si jamais il a le cafard
Et un manque d'espoir
Jusqu'à l'ennui
Epanoui,
Qui l'an nuit
Et pas nuit.
Jérôme de Mars
Déprime, des primes
En prime
J'imprime
Que j'exprime
Déprime
En prime
Des primes
Dont je me comprime
Et je prime
En prime
Déprime
Que j'imprime
Quand j'exprime
En prime
Déprime
En prime
Des primes
Qui priment
En des primes
Avec en prime
Déprime
Qui me comprime
En prime
Qui prime
Et qui supprime
Mes primes
En déprime
Des primes.
Jérôme de Mars
Rien ne sert de courir, il faut partir à point
D'après La Fontaine,
Fontaine, je ne boirai ton eau,
Du fruit de mes maux
Avec mon immense peine,
Où pour s'y tenir
Et ne pas subir
La force du destin,
Rien ne sert de courir,
Il faut partir à point
Comme on n'est à la virgule près,
Mais qu'il faut s'assumer
Et être dans un corps d'adulte,
Malgré sa vie d'enfant passée
Dans le tumulte
Tous azimuth,
Où le virus en nous mute
Et nous répercute,
De plein fouet
Avec l'uppercut
Du martinet frappé,
Où d'après La Fontaine
Jaillit notre fontaine,
Dans un puits infini
De notre madeleine
De Proust, qui coule meurtri
Dans des choses pas si jolies,
Dont on essaie de se démener
Pour qu'elle nous égaye
Un petit peu
Près du jardin d'Eden,
Même si la vie nous bégaie
Avec la pagaie,
Qui rame
Et qui nous amène
Dans un drame,
En mélo-drame
A la trame
Et à l'issue incertaine,
De par notre folie
Des grandeurs hautaines,
Et puritaines
Sur la plaine,
Qui nous emmène
Vers des terrains,
Dont notre domaine
De prédiction
A l'intuition antérieure,
Ne veut plus souffrir
En contagion
Dans le postérieur
D'une vie mineure,
Mais s'en sortir
Sans artifices
Dans une paix,
Qui nous immisce
Et nous glisse
Avec douceur,
Vers de ce qu'il y a
De meilleur,
Dans notre âme humaine
En gardant une lueur
D'espoir et en franchissant
De grands pas,
Sans histoires
Dans un élan de nulle pareille éclats
De rire,
Au coin du soleil
A se bronzer rieur
Dans une posture d'ailleurs,
A rêvasser de nos prunelles
Pour nous ragaillardir
Et maudire
Les drames de la vie,
Qui incendient
Nos êtres intérieurs
Et personnels,
Dans ce qu'il y a
De plus confidentiel
A l'amour de nos chers devenus
Des êtres d'individus,
Qu'on ne reconnaît
A part aller vers l'inconnu,
Dont nul ne le sait
Ce que demain
Nous apportera
Dans nos choix existentiels,
Mais dont on se contentera
Avec petits pas
Pour limiter les dégâts,
Car oh ! les gars !
D'après La Fontaine,
Malgré nos peines
Qui remplissent ta fontaine
D'une pléiade de mots,
Voici notre vieille rengaine
Pour boire ainsi
Et à l'infini
Ta fontaine,
Qui jaillit
Et que je remplis
De jolis mots,
Dans un bordel
De méli-mélo,
Car à la force du destin
Et pour souscrire
A la vie,
Rien ne sert de courir
Il faut partir à point.
Jérôme de Mars
Or sujet
A sujet-il ?
Assujetti ,
Or sujet
Dans le hors sujet,
De quel est le sujet
De la question ?
En espérant obtenir
Une réponse à cette équation,
Sans subir
Le doute
Et la banqueroute
Du hors-jet
Or sujet,
S'il est assujetti
A ce sujet-il ?
Mais où est donc
Or ni car ?
Sinon dans un rencard,
En faisant du ping-pong
Dans un diphtongue
Avec tes tongs,
Où dis-tu ?
Si tu es sauvé par le gong
Dans des choses saugrenues,
Or sujet
Si t'es hors sujet,
Car dt'es dans le brouillard,
Où tu réfléchis à nulle part
Où aller sauf si tu sauf
Ou que tu es beauf ,
Dans les allées
Et les venues,
Si jamais tu as bien bossé
Ton sujet ,
Assujetti
Et à quel sujet-il ?
Hors sujet
A ton sujet,
Or sujet.
Jérôme de Mars
Qu'à ta strophe
Vers de poèmes du cataclysme,
On s'approche de l'apocalypse
Dans une lunatique éclipse
Dans son overdose d'égoïsme,
Où l'on file tout droit
Et par étroit
Vers la qu'à ta strophe,
Que la catastrophe
Apostrophe limitrophe
Dans cette strophe
En explorant les aventures,
Qui filent vers la nature
De Christophe Colomb,
Qui coupe le cordon
Si nous nous accordons
A explorer les pérégrinations,
De Michel Strogoff
Si jamais on va jouer au golf
Du Golf-Drouot,
Dans une impro
En partant,
Et en s'en allant
Donner une représentation,
Dans le Golfe
Du Var,
Papier buvard
A la main
Au p'tit matin,
Si jamais on file droit
Dans le détroit
Vers la qu'à ta strophe,
Que la catastrophe
Apostrophe limitrophe
Dans cette strophe,
Que je fignole
En tête de gondole
De Venise,
Qui fait le tour de Pise
En tombant la chemise
Avec Zebda,
Qui fait là
Son beurre
Avec du dur labeur,
Où on ovationne
Les gestes qu'on affectionne,
Au sillon
Du tourbillon
De la nation,
Qui fait front
Avec la contagion,
Qui aussi fait légion
Avec L'Armée,
Comme de l'humanité désarmée,
Où il faut rétablir la paix
Et la liberté
Dans l'osmose
Du cosmos,
Avec un espace
De gestes barrière,
Pour faire face
Tous ensemble
Avec nos œillères,
Qui ne tremblent
Car qui se ressemble
S'assemble,
Sans qu'on semble
Des imposteurs
Parmi les leurs,
Où leur de rien
A pas d' leurre !
On chante le refrain
Tous ensemble,
Avec bonheur
Si on rassemble
Toutes les bonnes volontés,
A dépasser
Leurs mentalités,
Pour le bien
De l'humanité,
Pour traverser
La Manche,
En se retroussant
Les dix manches
Avec pour dernière strophe,
Des rimes limitrophes
Qui apostrophent
Après la catastrophe,
Rien qu'à ta strophe.
Jérôme de Mars
Avec les maracas, c'est la baraka !
Hop là !
Que la musique démarre
En fanfare !
Avec des trouvailles
D' troubadours qui tenaillent
Qu'avec les maracas,
C'est la baraka !
Top là quand on est à l'étroit
De Gilbraltar !
Aussitôt il est tard !
Avec les marrons chauds,
Artichaut ambiance torride
Et humide
Dans des bungalows,
Qui font l'amour
Entre deux passes,
Qui font face
Qu'avec les maracas,
C'est la baraka !
Dans une période faste
Du Nord-Irlandais très Belfast,
Tantôt rigolos
Et tantôt gigolos !
Avec des machines
Qui s'dandinent,
Pendant que les gens dansant
Dedans dînent
Dans un salon de thé,
A siroter du bon café
Dans un salto mambo
Sur le préau, pré haut
Sans tracas
Et sans fracas
En encas,
Dont on ne fait en cas
Qu'avec les maracas,
C'est la baraka !
Et la grande darka
Avec Cyril Hanouna,
Dont y a de la joie !
Qui traînait
Avec Charles youpi hourra,
On se marre à l'accoutumée
Une fois n'est pas coutume
Dans ce jeu de masques et de costumes,
Où avec vergogne,
On fait la basse besogne
Vers La Bourgogne
Dans la langue de bois de Boulogne,
Pour que ça reste dans les annales,
Quand on appelle votre numéro
A contrecoup de banjo,
Djobi Djoba
Des Gipsy Kings
Au King
Elvis Presley
Pour qu'ils passent à la télé,
Car en coup de sifflet final,
Rien de plus inaugural
Et original
Que d'envoyer en signal,
Un succès triomphal
Dans le mouvement du mistral,
Comme avec les maracas,
C'est la baraka !
Jérôme de Mars
En marche du système
Système D
Ca me tape sur le système,
Car j'aime
Le système et D,
Comme je suis en marche
Du système,
Dans ma démarche
En marge du star-système,
Comme je suis en marge en Macron
Et que je prends le large face à ce con
Qui ne compatit au macaron,
Car il préfère les rubiconds féconds,
Faits cons du système
Dans la fronde des chrysanthèmes,
Qui abondent en marche su système et D,
Car moi, je suis en marge du système D
Et que je suis un marginal qui me rebelle
Contre le système actuel,
Car moi personne ne m'achète,
Même si on me délivre des bouquins Hachette,
Car à ces cons-là
Comme à Macron et bah,
A couteaux tirés, je leur plante des machettes
Ebats, en tombant bien bas ,où avec une hachette
Je déterre la hache de guerre,
Pour aller en enfer, avec ma langue de vipère,
Comme Macron, je l'envoie voir les cons
Avec les rubiconds, faits cons, féconds
En contradictions en marge su système et D,
Car Macron lui fait de la politique en marche du système D,
Où moi, je nique et fornique
La politique hypothétique et synthétique,
Où je suis en marche du système,
Car en marge du star-système
Qui me tape sur le système,
Où plus personne ne s'aime
Déjà que je m'affranchis de tout ,
En prenant le gauche et en ayant une bonne droite
Très recentrée sur l'essentiel des grands manitous,
Que sont le sérail et l'état-major dans l'apolitique très étroite,
Où il n'y a plus de clivages,
Mais le dépassement des rivages à l'abordage
De la tentation des extrêmes,
Les seuls qui vaillent de plus suprêmes
Pour Les Français, comme le groupe NTM
Dans le harem du totem en marge du système,
Où pour une fois
Et la dernière foi,
En tout et pour tout
Je joue mon va-tout,
En terminant ces notes salées
De bonne facture sans faire de fausse-note acidulée,
Car il vaut mieux paraître en marge du système et D
Pour être a fortiori en marche du système et D
Et ainsi prendre le large du système D,
Car j'aspire à être en marge du star-système
Pour rester en marche du système.
Jérôme de Mars
L'écume des barrés
Complètement taré,
Je me fais rembarrer
Dans l'écume des barrés,
Quand je me barre
Comme Gainsbarre,
Et que je fais la tournée
Des bars,
Où je me tape une barre
Dans l'écume des barrés,
Où je me fais rembarrer
Et débarrer,
Dans des barrées
Comme Gainsbarre,
Où je me barre
Complètement taré
Dans l'écume des barrés,
Où je fais la tournée
Des bars,
Et qu'on me rembarre,
Sauf si on me barre
Le passage pour me taper
Des bars,
Et pour savoir si je me barre
Du côté de Gainsbarre,
Dans un retourné de barré
Et complètement débarré,
De l'écume des barrés
Presque finie la tournée des bars,
Où je me barre complètement barré
Dans des barrées
Comme Gainsbarre
Qui me rembarre,
Où je me tape une avant-dernière barre,
Car ça y est progressivement je me barre
En prenant du recul avec la barre
Du navire,
Comme je chavire
Irrémédiablement oublié,
Dès l'écume des barrés
Dans un échafaud bafoué
De ma relève dans une échappée,
Complètement rescapée
Dont je suis réchappé
Dans une échappatoire
En un réquisitoire d'exutoire,
Dont en débarrée
Complètement rembarrée,
J'arrête des barrées
Complètement taré,
En quittant le bord des marées
Définitivement rembarré,
Comme Gainsbarre
Dont je me barre
En me tapant l'ultime bar,
D'après le code-barres
De l'écume des barrés.
Jérôme de Mars
Ces jours nés
De par cette essence,
Ca part dans tous les sens !
Cette journée
A séjourner
Ces jours nés,
Dans l'immensité
Et la densité,
De la richesse
De la matière
Sur la planète Terre,
Avec de la souplesse
Et de la prouesse,
Quand ces jours nés
Ont séjourné
Cette journée,
Dont on a ces jours nés
Dans la paresse
Et la délicatesse,
Des jours nés
En journées,
Dont on a séjourné
Dans une quiétude
De silence et d'insouciance,
Durant une plénitude
Avec clairvoyance,
Où l'on prie avec sagesse
En cette journée,
Qui a séjourné
En ces jours nés
Chaque journée,
Dont avec quintessence
On parle de renaissance,
De l'antiquité
A la modernité,
Avec dextérité
Dans la postérité,
De cette journée
Qui a séjourné
En ces jours nés,
De cette journée
Qui est ajournée,
Car cette journée
Est à jour né,
Où l'on a séjourné
Et où l'on a ces journées,
En cette journée
De ces journées,
Où l'on a ces jours nés.
Jérôme de Mars
Les jours hypocondriaques
Nuits mâtinées insomniaques,
Nous semblent les jours hypocondriaques
A se marteler nostalgique qu'auparavant,
On avait la niaque bien souvent
Et que le soleil nous lézardait souriant,
Avec du répondant pendant les jours hypocondriaques,
A réfléchir sereins de pourquoi Cupidon
Nous a reflétés sa lumière de grande compassion,
A l'égard de si l'amour joue les troubadours maniaques,
Lorsqu'on avait la mégalomanie et la mélodie
Des onctueux déjeuners au soleil à Midi,
Pendant que la pluie chatouillait le soleil
A coups de parapluie paratonnerre qui ruisselle
L'odeur au réveil du petit matin,
A songer en malade imaginaire de quoi sera composé
Les lendemains au bercail à penser et à suggérer,
Lorsque les jours hypocondriaques
Nous feront prendre des aphrodisiaques paradisiaques,
Pour avoir la niaque au toucher édulcorant des oursins,
Ours seins mal léchés, d'où l'on vous donne rendez-vous l'été
Prochain si tout va bien !
Dans lequel il y aura encore des vacances à pavaner
Sur la mer aux rochers, déversant la colère d'outre-mère
Des versants du relief, de quand la misère
Revêtit sa panoplie sincère,
En brocardant et en regardant cette chimère,
Et en incarnant au théâtre un jeu de rôle d'Andromaque,
Car remarque, il y a en continu les jours aphrodisiaques.
Jérôme de Mars
Blague :
Paul et Paule sont un couple marié très uni, qui est-ce-qu'elle suce Paule ?
- Paupaul
Jérôme de Mars
Singulier, pluriel
Je tue il
Sur mon être singulier,
Où je dis nous
Aux êtres pluriels,
Que je dénoue
Et dont je me voue
A vous
Au garde-à-vous,
Quand je me dévoue
Et que je renoue singulier
Avec vous au pluriel,
De par l'auxiliaire de vie être
Et avoir dans l'auxiliaire du par être,
Où elle est Suisse,
Elle essuie,
Moi, je tue il ou elle
Si je tue nous ou vous,
De par son être à avoir
Une auxiliaire de vie,
Qui renoue avec vous
Et qui se voue à vous,
Quand elle dénoue
Et qu'elle dévoue
De nous à vous
Et de vous à nous,
Quand je tue elle
Dans son il,
Et qu'on renoue
Avec vous,
Auxquels on se dévoue
Et avec lesquels on dénoue,
Quand on se voue
Au garde-à-vous,
Ile ou ailes,
Singulier, pluriel.
Jérôme de Mars
Poème décalé
Vie de bohème allongée j'attends le café frappé A L L O N G é
Ou long au long cours de ce poème d
é
c
a
l
é
Que j'ai calé, accolé et décodé un p eu n'1porte où
Si jamais il est recalé en deuxième année
Où j'ai décidé qu'il serait farfelu et dégusté dans
De la pure f
a
n
t
a
i
s
i
e
De ce poème recalé, calé et décalé d ans ce m o n d e à l'envers
Du décor en vers et en verve
Car vive les vers de terre et les vers de mers sur Terre
D'où je suis rassis à six pieds sur Terre à taire
Ce poème saugrenu et farfadé en mettant la main à la patte
Et d'oU J E cLaMe sur ma barque
Dont je mène ma barque car ici là bientôt que j'embarque
A remord de ce poème DécALé, car je suis définitivement recalé
En deuxième année dont je débarque
A tribord sur le rebord du bateau qui me mène en bateA
U
Point. nA
uFrAgE
à l'aboRDAGE de ce poèMe Décalé
Dont j'AI DéRAngé la cale laid très OLE OLE
En REFERmant S
e
p
T
P
a
G
e
Point.
D
'
A
c
C
O
s
T
A
g
E
.
Jérôme de Mars
La France a le pied nickelé !
Nickel
Soi-disant pour untel,
Si tout allait bien,
On le saurait tel
Que bel et bien,
On connaît l'éternel
Même refrain,
Que l'on vit dans un monde
Qui féconde,
Artificiel et partiel
Les croyants de l'irréel,
Comme La France a le pied nickelé !
Et qu'on a envie de lui hurler
Nique-les ces sales Français !
Qui ne pensent qu'à leur gueule
Toujours bégueule
Dans cette société casse-gueule,
Où c'est le chacun pour soi,
Car tout le monde est en froid
Et n'y croit,
Comme chacun porte sa croix !
Et comme La France a le pied nickelé !
Et fonce
Et se défonce,
Car chère défiance nique-les !
Ces sales Français
En odeur de Sainteté avec les hauts Dieu !
Et dans une mauvaise odeur d'impureté,
Avec ces personnages odieux,
Que sont Les Français qui traînent
Avec un flingue,
Car ils sont dingues, frappe-dingue
Et lourdingue !
Jusqu'aux étrennes
De Noël ma mère, qui ne les freine,
Comme La France a le pied nickelé !
Et qu'elle ordonne aux étrangers !
Etrangers à tout cela
De frapper dans le tas,
En leur scandant
A eux en se rongeant les sangs !
Niquez-les ces chers sales Français !
Qui s'en foutent de tout,
Avec pour seul va-tout tout ce fourre-tout
Dans l'offense du péché d'orgueil,
Pour pécher leur œil,
Qui s'rince l’œil devant des photos
Play-boy en bad boy du ghetto,
Avec leurs frères décents parmi leurs potos,
Où y a pas poto, mais y a photo !
Devant l'objectif,
Qu'ils se fixent objectifs en affirmatif !
Que si La France a le pied nickelé !
Et ben chers Français étrangers
Aux étrangers qui sont étrangers aux Français,
Niquez-les leur pied nickelé !
En les réparant du bon côté,
Et enterrez-donc la hache de guerre !
Pour repartir sur de bons pieds
En frères dans la lumière,
Car après ça, tout cela sera nickel
Les français ! en prenant la vie du bon côté
Pour untel, où tout sera fidèle et nickel
Avec le pied nickel Les Français,
Où La France aura le pied nickel les
En des Saints de bandes animées !
Jérôme de Mars
Christophe a rejoint le paradis perdu
De ton aura,
Cher Christophe
On te rend hommage,
Toi qui est née
Le 13 octobre 1945,
Cinq sur cinq
Et qui t'écrias
En quatre uns,
Toi qui auras
Eté un chanteur légendaire,
Aux paroles et aux musiques
Populaires et extraordinaires,
Avec des R' qui roulent des mécaniques,
De ton mythe sacré
Et sacralisé,
Chanteur premier
Des femmes libérées,
De par ta musique enivrée
De tes sons modernes
Et ultra ternes,
Eclairées de lanternes,
Où tu puisas tes mots
Avec les vestiges du chaos,
Comme avec Aline,
Où tu voulus qu'elle te revienne
Malgré les pluies diluviennes,
Qui te chagrinèrent
En pleurant de tes larmes de cristaux,
Qui remplirent la piscine,
Où Aline te dit,
Je ne t'aime plus,
Car c'est une histoire d'amour
Qui s'achève,
Comme à la fin d'une partition
D'un cours de solfège
En totale perdition,
En anticipant ton sarcophage,
Dont tu viens d'en faire l'usage
En prenant naufrage
Avec ta mort,
Nouée de remords
Malgré tes mots bleus,
Où tu eus tout au long de ta vie
Comme un oh ! devis,
La note salée,
D'une existence consumée
De par tes excès flous,
D'où ton succès fou
Avec des bleus à l'âme
Jusqu'aux cieux,
De ces dames infâmes
Dans Le Paris Paname,
Où c'est cette vie-là
Qui tira les ficelles,
De tes marionnettes
Du blues à la bluette,
Des paradis perdus
Que tu rejoins ici et là
Malgré les aléas,
Où ta vie fut une histoire d'amour
Entre toujours et qui tourna court,
Un coup main dans la main
Et tantôt dans des désordres libertins,
Un coup je t'aime
L'autre coût je ne t'aime plus,
Petite fille du soleil
Nue comme la mer,
Car j'ai entendu la mer
Et son mal de mer
Nue comme la mer,
Car ainsi Señorita,
Les jours où rien ne va
Ne raccroche pas
Ta dolce vita,
Avec les amoureux qui passent
Et qui trépassent,
Lorsque le soleil lézarde
Les ailes brisées de Daisy,
Qui s'en va errer
Dans les paradis perdus,
Eperdus de toi,
Cher Christophe,
Que j'apostrophe
Dans cet hommage,
Qui arrive bientôt
A son point d'ancrage.
Dont tu tiras ta révérence
Le 16 avril à Brest,
Complètement à L'Ouest
De ce Paris-Brest
Sans que ce soit du gâteau,
Comme tu t'envoles
Avec les rossignols,
A la maison de ton repos
Eternel avec toute ta reconnaissance,
Qu'on te témoigne
Avec le cœur empoigne,
D'où on te dit
Bon vent !
Malgré les bourrasques
Des temps déclinants
D'où tu portas un masque,
Contre le virus des idées reçues,
Mais dont à partir de maintenant
Tu es le bienvenu,
Daniel Bevilacqua
Dans une belle vie à quoi ?
Au paradis perdu
Cher Christophe,
Où je finis cette strophe
En te clamant adieu
Jusqu'aux cieux haut Dieu,
De mon point de salut.
Où je referme cette page
En pensant
A toi,
Point d'ancrage.
Jérôme de Mars
La vengeance ou la revanche
Comble de chance ou de malchance,
Tu as le choix étanche
De choisir entre la vengeance
Ou la revanche,
Que tu sois en errances
Ou que tu flanches,
Malgré que tu aies fait amende honorable
Sur la table,
Auprès des pervenches
Avec l'addition salée,
Acidulée et accumulée
De tous tes malheurs,
Que parfois tu as peur
De reproduire,
Tellement qu'on t'a fait souffrir
Avec cruauté,
Et que tu as pour ennemi l'adversité
De tout ce qu'on t'a causé
En préjudice
Et en sévices,
Qu'on t'a fait supporter
Avec ces vices,
Qui t'ont engendré
Des supplices,
Alors que personne
Ne t'a rendu service
Avec ton état sulfureux,
Loin des yeux,
Près du cœur !
D'où tu as toute cette rancœur
Par cœur,
Dont tu essaies
D'en atténuer
Les ennuis,
En en parlant avec ton psy
De tous ces soucis qui te scient,
Avec un manque évident de chaleur
Humaine et de ferveur,
Dont on t'a témoigné
Depuis ta naissance,
Car depuis toujours dans l'indécence,
Les offenses
Et sans défense
De ton innocence,
Dont tu payes le prix fort
A coups de métaphores
Dans tes poèmes,
Qui soufflent et souffrent d'emphysème
Dans un requiem,
Où tu n'aimes
Personne, comme ça résonne !
Comble de malchance ou de chance,
Où tu as le choix étanche
Entre la vengeance
Qui te flanche,
Ou la revanche
Qui provoque ta résilience,
Car comme le disait Patrick Sébastien
Dans l'un de ses bouquins
Pour ne pas que tu sois dans le pétrin,
Fais de ta souffrance
Quelque chose d'Azuréen !
Car comme Patrick Sébastien
L'affirme avec entrain
Et boute-en-train,
Si de tout le mal qu'on t'a fait
Tu te venges dans le mâle,
Tu te referas à nouveau mâle
Dans une vie animale,
Comme les cannibales
Où plus lourde sera encore ta malle !
Alors que si tout le mal
Qu'on t'a fait,
Tu décides de prendre ta revanche,
Tu te serviras de tout le mal
Qu'on t'a fait,
Où tu flanches
Jusqu'à présent,
Pour faire le bien
Et enfin,
Faire tes malles
Aux tourments
Du passé,
Et outrepassé le passé,
Pour te dépasser
Et te surpasser,
A vivre le présent
Et le moment présent
Avec du beau temps,
Car comme Patrick Sébastien
L'affirme
Et le confirme,
On a tous droit à une deuxième chance !
Malgré les malchances,
Car demeure stérile
La vengeance,
Et perdure fertile
La revanche,
Car si jusqu'à présent
Tu flanches
Dans tes errances,
Comble de malchance !
Sers-toi de ta deuxième chance !
Pour éviter la vengeance,
Et pour ainsi prendre ta revanche
Avec une vie étanche,
Car il vaut mieux
Pour les cieux
Eviter la vengeance,
Pour en revanche
Prendre ta revanche,
En faisant amende honorable
Dans une fable affable sur la table
Auprès des pervenches,
Où tu as le choix étanche,
Entre la vengeance
Ou la revanche.
Jérôme de Mars
L'envers du décor
Encore des cors
Aux pieds en corps,
C'est l'envers du décor
En corps accords,
Accords à corps
D'un cor raccord,
Au cor décor
De chasse encore,
De l'envers du décor
Avec des records,
Des corps encore
Accords dans un corps
De cor accord,
De l'envers du décor
En corps encore,
En des corps décors
Dans un cor à corps
En accords,
Des records
Encore raccords,
De l'envers du décor.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi n'a-t-on pas de reconnaissance avec moi ?
- Parce-que j'ai tout le temps peur de l'inconnue !
2) Pourquoi suis-je dans un très sale état psychologique ?
- Parce-que j'ai souvent des mots de tête !
Jérôme de Mars
Versa-t-il ? !
Sur mon il,
Versa-t-il
Versatile ? !
S'il déversa-t-il
Presqu'il
De mon devenir
A venir,
Avec le tumulte
Du blizzard,
De tout ce bazar
Au passage à l'âge adulte,
Où tout se répercute
De ce qui me persécute,
Qui me percute
De plein pied,
Avec ces plaies
Versatiles ? !
Versa-t-il
S'il déversa-t-il
Sur mon il
De presqu'il,
Où je marche sur un fil,
Qui ne tient qu'à un fil
Et qui s'refile,
Tout ce qui défile
Et qu'il enfile
En lui
Avec des étuis,
Qui essuient
Ce profond mal-être,
Pour naître et renaître
Dans le paraître,
A vouloir s'jeter
Par la fenêtre,
Versatile ? !
Versa-t-il
S'il déversa-t-il
Toute sa rage,
Qui lui fait ombrage
Volatile
De par ses névroses volatiles,
Vola-t-il
Le pain de sa vie ?
Ou s'envola-t-il
Pour qu'il dévie
Du droit chemin
Tout ce pétrin,
Qui lui porte malheurs
En gage
De douleurs,
Dont on le dégage
Avec un tueur
A gages,
Qu'il engage
Versa-t-il
Versatile ? !
S'il déversa-t-il
Et volubile,
A force de s'faire de la bile
Dans son il
De presqu'il
De pacotille,
Où pour ne pas rester
Immobile avec son mobile,
Il lui faut trouver le mobile
De comment résister
Et faire face à l'adversité,
Avec classe
Et sans casse,
Car d'avoir un suivi
Ca limite les dégâts,
N'est-ce-pas les gars ?
D'où pour conclure
En poète maudit,
Qui cherche une accalmie
Pour refermer les courbatures,
Qu'il faut avoir une ouverture
D'esprit, avec en zone de couverture
Davantage de folie
Dans l'écriture,
Car après avoir été volage
Dans ma rage,
Autant démarrer une nouvelle page,
En oubliant ces pages, cépages
Du mal de mère nécrophage,
Versatile ? !
Versa-t-il
S'il déversa-t-il
Sur mon il
En presqu'il,
En ayant pour réparation
Des points de sature.
Pour avoir en conclusion,
Des points de suture.
Jérôme de Mars
Blague :
Que fait une bite qui ne paye pas en espèces ?
- Elle paye en liquide
Jérôme de Mars
T'es là Tex ? !
Rumeurs infondées
De tes humeurs fécondées,
T'es là Tex ? !
Avec ton latex
Dont tu te préserves
Avec ton index,
Et que tu réserves
Pour ton ex,
Qui pointe
Du bout de ton latex
Si t'es là Tex ? !
Dont tu portes plainte
Du bout de tes ex crimes,
En crimes de lèse-majesté
Et en escrimes
De ton épée,
De Damoclès
En alèse
De sa majesté,
Où tu es très à l'aise
Car t'as toujours le réflexe
Et que ça te laisse perplexe !
Tout ce latex
Si jamais t'es toujours là Tex ? !
Jérôme de Mars
A contre-courant
A contre-courant,
Je pars en courant
Au courant,
Et concourant,
A contre-courant,
Encourant,
Secourant
Et parcourant
A contre-courant,
Accourant,
Au courant
Et recourant
A contre-courant,
Si je repars en courant
Secourant,
Et concourant
A contre-courant,
Si je répare en recourant,
En accourant
Et en recourant
A contre-courant,
Au courant,
En courant,
Encourant
A contre-courant,
Si je pare en courant,
Au courant,
Parcourant
Et à contre-courant,
De si je me mets au courant
Accourant,
En courant,
A contre-courant,
Encourant
Le courant
Au courant,
Car à contre-courant.
Jérôme de Mars
Grain de poésie
Après le grain de folie
Voici un grain de poésie,
Qui cultive le bien
Dans ce monde manichéen,
Où on saura pour une fois
A quoi ça rime ?
Tout ce va
Et vient
Dans la frime,
Si ça va
Et si tu vas bien
Dans tout ce pétrin,
A respecter tes prochains
Avec ci-possible,
Un petit grain de folie
Mélangé dans un zeste,
Pour lâcher du leste
Dans ce grain de poésie,
Qui je l'espère fera des émules
Pour ne pas péter les fusibles
Dans une nouvelle formule
Magique et épique,
Avec des mots et une rhétorique
De comment composer
Dans la paix et la sérénité,
Un texte compatible
Avec un élan comestible
Et pas irréversible,
Où avec un petit grain de folie
Et une parcelle d'un grain de poésie,
On choisira les disciples
Qui représenteront en novices,
Les coulisses
De ce concours du plus érudit,
Dans la poésie
De génies en herbe
Avec le haut verbe,
Qui réunira
Et associera
Les candides et les candidats,
En franchissant des grands pas
De paroles aux sous-entendus indicibles
De ce périple,
De peur que ce soit risible
Ces états seconds,
Qui sont contagion en légion et par région
Dans la religion,
Où il faut mettre en poésie
Tous ces débris,
Que sont la nuit
Et le chacun pour soi,
De façon à ce que ce soit
Tous pour la foi
D'un monde meilleur,
Pour que ce soit
Nulle part ailleurs,
Et dans des ébats
De l'amour roi,
Avec un grain de folie
Légitime mais sans frime,
De quelque chose qui rime
En un grain de poésie.
Jérôme de Mars
Citation :
Qu'est-ce-qui cloche le jour de Pâques ?
Jérôme de Mars
Pendant la nuit
Jour de Pâques si quelque chose cloche,
Le soleil avant son coucher hoche
De la tête la lune, car il sort avec elle
De ses jolies prunelles qui en pincent d'aquarelle
Pendant la nuit,
Lorsque les deux tourtereaux
Naïfs, se mettent aux fourneaux
Avec une mélodie,
Et réchauffent leur passion dévorante
Devant un bon gueuleton ,
Gueule-t-on ! comme une chanson
Et qu'ils retiennent comme une bluette fringante
Pendant la nuit,
Avis aux amateurs de symphonie et d'harmonie,
Quand le soleil fricote avec la lune
Et que la lune se lève comme une dune,
A gravir du point culminant de leur idylle,
Qui attend la consécration lors de l'éclipse lunatique
Du soleil et de la lune lunatique,s ce jour-là comme dans un cantique
Avec une brindille
De l'amour en secrets de polichinelle,
Qui émerveille leurs courtoisies de dentelle,
Pendant la nuit
A réfléchir de leur vie s'ils veulent devenir hippies,
Paix et amour en un présent,
Qui reste une lueur rallumant
Cette pièce noire dans l'ombre vers la lumière
Du soleil et de la lune dans leur lune de miel,
En route vers leur croisière
Aimant de leur séjour d'amant pour goûter fidèles,
Aux plaisirs de leurs défis,
Pendant la nuit
A réconcilier le ciel
Et le soleil,
Autour des frères lumière
En un éclair
De lune,
Dont en une
On célèbre le mariage du soleil et de la lune
Avec pour témoin les lagunes,
Qui patientent à venir de leur voyage de noces
Destination L'Ecosse,
En lune de miel
Avec du miel dans leurs prunelles
Vers le paradis chéri de leur endroit favori,
Rendez-vous dans une nouvelle vie
Pour un monde plus joli,
Pendant la nuit.
Jérôme de Mars
Le bonheur existe-t-il sur Terre ?
Message pas lapidaire
Dans ce monde patibulaire,
Qui est proche de son éruption incendiaire,
Où je fais un inventaire
De nous chers confrères,
Les congénères, les cons qui génèrent
Toute cette haine sur Terre,
Alors qu'on naît rien sur Terre,
On est juste des grains de poussière,
On est poussière sous les projecteurs
Et quand on meurt
On redevient poussière,
En amateurs sous la fraîcheur
Et la froideur
De ce monde, qui manque de chaleur
Humaine, chrétienne
Et solidaire,
Autour d'un café qui diffuse une odeur
De Sainteté, entre gens qui s'aiment,
Pour des choses qui en valent la peine
Et où ça nous laisse méditer,
Le bonheur existe-t-il sur Terre ?
Ou à moins que c'est à nous selon nos idées,
De nous le créer le bonheur à notre échelle
Et à notre manière,
Car le jeu en vaut la chandelle
Et qu'on se questionne
Pour qu'on se raisonne,
De qu'est-ce-qu'on est sur Terre ?
A part des soldats et des pions sur l'échiquier,
Qui marchent au garde-à-vous dans une époque très austère,
Du terre-à-terre au délétère,
Entre la clarté et l'obscurité,
Car de plus en plus on va dans le mur,
Avec nos côtés ternes et obscures dans nos faces contre-nature,
Même que la politique qu'elle soit de gauche ou de droite,
Ou au centre des extrêmes qui mettent en boîte cette France qui boîte,
Les Français à la place s'emboîtent
Dans la défiance, l'ignorance
Et l'indifférence,
Car Les Français ne croient plus en la politique mais en l'apolitique,
Et quelque soit la couleur politique de notre monde question polytechnique,
Ou technique dans des théorèmes très arithmétiques,
On en déduit que notre monde n'est pas si hermétique,
Que cela dans ces drames écologiques et thermiques,
Et qui nous fait prendre conscience métaphysique et statique,
Que jamais rien n'est figé
Et que tout peut s'arranger,
A condition qu'on soit dans l'éthique, pas les tics,
Mais pas tes tics, ni pathétique,
Mais qu'on soit dans la collectivité et l'activité,
Pour affronter l'adversité
Dans la fraternité,
Car quelque soient ce que veulent faire les politiques,
Qu'ils soient veules, ils ne pourront rien faire,
Si le ciel est en colère
Contre cette façon de faire,
Et qu'il décide de rompre ce climat crépusculaire,
Avec des tempêtes nécessaires,
Pour nous faire comprendre de remplacer les revers solitaires
Par le vers solidaire,
Car où il est intéressant d'agir
C'est de s'investir
Dans des causes populaires
Et humanitaires,
Car c'est ici à mon humble avis
Que le bonheur existe altruiste,
Où on oublie nos malheurs d'égoïstes,
Car sur Terre vis-à-vis des gens démunis,
On leur offre du réconfort,
Car ça nous permet de mesurer notre confort,
Comme dans la vie, tout est relatif !
Et qu'on est tous mortels ce qui fait qu'on reconsidère
Nos impératifs en rectificatif !
Car du bout de notre pif,
On préfère un monde plus salutaire
Et débonnaire du bout de cet inventaire,
De notre monde qui vit
Et survit
Sur La Terre,
Avec ses grands traits de caractère,
Où en sommaire,
On médite sur ce qu'est un monde dans la lumière,
Et dans le clair même avec ses travers,
Et même si le monde est à la fois un peu altruiste,
Et plus individualiste
Selon la longue liste,
Où on se pose en question fatidique,
Question élémentaire,
Si jamais on a la réponse véridique,
Est-ce-que le bonheur existe-t-il sur Terre ?
Jérôme de Mars
Joyeuses fêtes d'opaque !
Sur la côte de Pâques
Il ne fait pas beau !
A bord du paquebot,
Pack beau,
Où ça monte sur la côte d'opaque,
Et où je vous chuchote tout en haut !
Joyeuses fêtes d'opaque !
Comme on n'est pas à la fête de Pâques
Dans un pack d'eau, un Pâques d'eau,
Qui prend l'eau et qui va à-vau-l'eau
Au fond du caniveau,
Et où tout tombe à l'eau
Dans le chaos,
Et le ghetto
Sur la côté de Pâques,
Qui a un R' de côte d'opaque
Dans un effet placebo, placé beau,
Comme on est ah ! la des fêtes de Pâques !
Joyeuses fêtes d'opaque !
Où tout tombe à l'eau !
Dans un pack d'eau, Pâques d'eau,
Qui va à-vau-l'eau
Au fond du ruisseau
Dans le caniveau,
En nous menant en bateau
Au rebord du paquebot,
Qui vire de bord du pack beau
En montant à crescendo
Dans des quiproquos,
En un imbroglio
Très méli-mélo,
Qui jette les bases d'un futur scénario
Du rétro à maintenant illico,
En route vers une fête d'opaque
Après la défaite de Pâques,
Joyeuses fêtes d'opaque !
Sur la côte de Pâques,
En progressant
Au point culminant
De la côte d'opaque,
Point incognito.
Jérôme de Mars
Je suis le seul à savoir que je suis seul
Comme un écureuil,
Je ne m'épargne sur mon fauteuil,
Car je suis le seul à savoir que je suis seul
A ruminer et à décompenser au seuil
De ma porte dans l'adultère
De mes pensées contraires,
Que je le veuille
Ou non si je me rince l’œil,
Car je suis le seul à savoir que je suis seul
Devant les souvenirs de mon aïeul
En sachant que je n'ai de filleul,
En buvant les paroles de mon tilleul
Au seuil
De si pour oublier l'essentiel,
Je me console dans l'escarcelle
De moi veule,
Est-ce-que c'est juste ça que je veuille ?
Ou à part tenir l'accueil
Dans un recueil,
Dont on recueille
Mes écrits d'un homme seul
Et qui fait cavalier seul,
Car je suis le seul à savoir que je suis seul
Et que je vis seul au seuil
Des écueils,
Qui me réservent souvent un vilain accueil
En rédigeant une feuille,
Ou mille-feuilles
Sur mon fauteuil,
Car comme un écureuil,
Je ne m'épargne guère en écueils,
Comme je recueille
Un accueil,
Qui recueille
Le fruit de mon recueil,
Comme depuis mon fauteuil,
Je suis au seuil seul
Et que je suis le seul à savoir que je finirai seul
Tout seul dans un cercueil,
Car je suis le seul à savoir que je suis seul
Et que je vis seul.
Jérôme de Mars
Journal ultime
Compte-rendu dans ce qu'il y a de plus intime,
De mon journal ultime
Dans ce millésime,
Où je me grime
Souvent dans la peau d'un autre pour la jouer bellissime,
Et que tout cela paraît infime
Ce journal ultime,
Où je joue le par être sublime
Qui frime,
Alors que mon plus profond s'envenime
Vers quelque chose de gravissime,
Qui me décime
Et m'écime,
Où j'en fais le compte-rendu dans ce qu'il y a de plus intime
De mon journal ultime
Du mal de mère maritime,
Où je cherche l'info rarissime
De ce qui est à la base de ma dîme,
Comme je m'abîme
De ce que je déclare de plus intime
Dans ce journal ultime,
Qui n'est en tout point un mime,
Car je fais de la gym
Cérébrale avec les mots qui riment
En hymnes de ce journal intime,
Dont j'en fais un journal ultime,
Comme j'intime
L'ordre ultime
D'en faire un journal où je ne me brime,
Car je veux qu'il arrime
Ok en jetant l'encre, de ce que j'ai de plus intime
A l'ultime rime,
D'un au revoir grandissime,
Car légitime
De ce journal ultime.
Jérôme de Mars
Mes cieux
Mesdames et messieurs,
Qui êtes mes cieux !
Priez en êtres merveilleux !
De l'aura de votre Dieu
Et du plus profond de votre pieux,
Mesdames et messieurs,
Qui êtes mes cieux !
Qui veuillez croire audacieux !
En un monde fabuleux,
Qui se soucie obséquieux,
Et qui se solde fameux
Et onéreux,
De vous jusqu'aux cieux,
Et qui allège vos jours fastidieux
De façon à le rendre miséricordieux,
De vous à Dieu !
Mesdames et messieurs,
Qui êtes mes cieux !
Et qui demeuraient radieux
Et merveilleux
Avec vos aïeux,
Soucieux, minutieux,
Pointilleux et consciencieux,
Pour éviter le contentieux
Avec Dieu et les malheureux,
D'où d'ici peu
Avant de rejoindre les cieux,
Vous finirez heureux !
Au royaume des cieux
Mesdames et messieurs,
Qui êtes mes cieux !
Jérôme de Mars
Globe-trotter
Voyage intelligent
Avec des bagages,
Il vogue sur son bateau
Dans un point d'ancrage.
Où il navigue sur l'eau
Avec un éclairage fluorescent,
Effervescent et itinérant,
Tel un globe-trotter,
Sur le globe qui trotte heure
A n'importe quelle heure,
Où il fait son beurre
Avec du labeur,
Qui en conclut
A l'affût,
Du grand Est
Lui complètement
A L'Ouest,
Que le soleil se lève
A L'Est,
Et s'élève
A Leste
D'Eden
Jusqu'au jardin D'Eden,
Qui se cultive sur l'eau,
La mer à taire de ces héros,
Avec en tout point.
Un salut d'appoint.
Tel un globe-trotter,
Sur le globe qui trotte heure
A n'importe quelle heure,
Et qui y met un point d'honneur.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait une fête des œufs que l'on passe tout seul à l'ombre de la lumière ?
- Ca fait une fête opaque !
Jérôme de Mars
L'Ile de Beauté se corse-t-elle ?
L'Ile de Beauté à l'écorce
Terrestre se corse-t-elle ?
Si elle amorce
Le bal des oiseaux
A Bastia,
Dont cet eldorado
Dit basta !
Si L'Ile de Beauté se corse-t-elle ?
Dans un concours de bonté,
Et qu'elle s'efforce
Avec un grain de beauté,
De faire venir les touristes
Et de les faire s'envoler,
De Bonifaccio
A Ajaccio,
Vers l'alizé
Dans une longue liste
D'une file d'attente,
Point d'attente.
Si on tente
L'Ile d'un point de côté.
Si on arpente
Les à-côtés,
En un tour qui se corse
Sur La Corse,
Et qui renforce
Les Corses
Terrestres, si jamais,
L'Ile de Beauté se corse-t-elle !
Jérôme de Mars
C'est net !
1) Si on a fait porter le chapeau à Charlie Chaplin, c'est qu'il avait du talent !
2) Une personne très intelligente qui part en vacances a des bagages !
3) Un serrurier qui trouve des solutions aux problèmes de ses clients détient la clé de l'énigme
4) Claude François qui vend des disques après sa mort a DCD !
5) Un automobiliste qui perd le fil en s'électrocutant dans sa voiture peu de temps après avoir démarré, provoque un court-circuit !
6) Le stylo d'un poète qui rend l'âme après avoir tant fait couler beaucoup d'encre y a laissé des plumes
7) Une personne complètement à L'Ouest est très déboussolée !
8) Une tortue qui se protège des humains pour rester solide de façade se forge une carapace !
9) Monica Lewinski qui fume une cigarette avec Bill Clinton fume au nom d'une pipe !
10) Cabu s'il était encore vivant et qu'il se vengeait des frères Kouachi et Amedy Coulibaly, il leur referait le portrait !
Jérôme de Mars
Peut-on rire de tout ?
D'après mes dires, j'exprime sans médire
Du fond de ma pensée avec satire, car ça tire !
Peut-on rire de tout ?
Dans tout ce fourre-tout,
Ou si on est juste des grands manitous
Avec le rire et le soupir, comme va-tout,
Car rire de tout est la politesse du désespoir !
Et qu'avoir de l'humour noir,
Comble de l'ironie de l'histoire jubilatoire
Permet de supporter mieux l'existence avec un exutoire,
Même si Pierre Desproges a déclaré qu'on peut rire
De tout mais pas avec n'importe qui, qui dans le sous pire,
Fait qu'on respire avec liberté, et que ça nous inspire
Dans cette vie féroce, qui nous rosse de cruauté, où avec mes dires, médire,
Peut-on rire de tout ?
Sans souffrir et sans subir, mais avec plaisir pour s'en sortir
De la vie, qui parfois peut-être un camouflet, et qui petit à petit nous consume,
Et nous enfume dans une enclume, où on y laisse des plumes
Avec des séquelles, qui frappent avec rudesse notre tête, à en sourire
Notre ouverture d'esprit, à en rire et à en sourire pour vivre, et survivre au pire,
Où au pire, il nous reste la satire, pour qu'on en tire quelque chose que ça tire,
Et qu'on s'étire dans un vol à l'attire
De très gros niveau avec en guise d'apéro, un humour de liberté pince sans rire,
Car plus on s'en fout, plus on rit, et plus on est fous sans garde-fous !
Où du meilleur et pour le pire,
Et du meilleur et pour le rire,
Peut-on rire de tout ?
Jérôme de Mars
La ligne marginaux
Sans frontières
Et complètement salutaire,
Je défends les originaux
Décalés en m'abonnant statutaire
A la ligne marginaux,
Dont je suis un élément révolutionnaire
En ne faisant rien comme les autres,
Et en prêchant soit-disant des paroles anticonformistes
En direction des Apôtres
Dont je ne suis pas des vôtres,
Car je me range du côté des libres artistes
Qui ne crois
Que ce qu'il voit en cherchant sa voix
Comme Saint-Thomas,
Comme mon deuxième prénom est Thomas,
Le malsain qui porte sa trop lourde croix,
Dans la ligne marginaux
Avec ses propres mots dans le chaos,
Où je suis en colère contre La Terre
Très terre-à-terre et austère
Dont je m'en fous de mes congénères,
Comme des cons génèrent
La misère sur La Terre
Et que je préfère,
Mes animaux les animaux
Dans la ligne marginaux,
Qui sont moins cons et plus réglos
Dans cette France qui part vers le fond du ruisseau,
En coupant les ponts avec Mirabeau
Dont moi, le prolo,
Je rejoins la ligne marginaux
Avec les originaux,
Sans frontières
Avec les mécanos
Et les dactylos,
Qui mettent sages
Du cœur à l'ouvrage,
Dont je profite de ce passage
Pour vous inciter avec ce vernissage
A rejoindre la ligne marginaux
Avec tous les gens beaux ou pas beaux,
Mais avec un escabeau
Pour aller vers le haut,
Dont je vous scande à la fin de cette page
Avant de rouvrir alcoolo,
Cépages, ces pages
En un nouveau numéro,
Du rétro vers quelque chose de plus beau
Je l'espère !
Où je vous profère
A tchao !
Et à bientôt !
Dans un nouveau numéro
De la ligne marginaux.
Jérôme de Mars
Demain y aura-t-il encore de l'amour entre les gens ?
A portée demain, le soleil est prescripteur d'un meilleur rendement,
Au vu des éléments qui signifient que seul le printemps permet conciliant
A se questionner, malgré la solitude au quotidien quelque peu déroutant,
Est-ce-que demain y aura-t-il encore de l'amour entre les gens ?
A moins que le comportement sera encore plus agressif que maintenant,
Et que leur gentillesse sera dégressive en étant de plus en plus méprisant,
A s'en foutre de tout et que le chacun pour soi l'emporte triomphant
Sur l'affection en manque d'affection, qui évoluera en infection au croisement
Des chemins, où chacun perdra la main ne sachant répondre aux dépens
Des gens, où l'on voudrait leur conseiller avant que la guerre les emporte au néant,
S'il attendent que de leur vivant, ça s'arrange vraiment en prenant les devants,
Ou s'ils préfèrent que le ciel déviant les désintègre dans un enterrement,
Où on saura à ce moment ici présent et pour longtemps,
Si pour demain y aura-t-il encore de l'amour entre les gens ?
Qui les détend ou si ça tend à ce que personne ne s'entend
Depuis la nuit de tous les temps, au seuil tremblant et déambulant,
Que plus rien ne sera comme avant, puisque le monde est totalement indifférent
Et que quiconque ne se comprend, car la haine s'étend et pourtant en adoucissant,
Alors que ce climat anxiogène est de plus en plus plombant et compromettant,
A rendre les gens distants et omniprésents dans ce qu'ils ont de plus médisant,
Où pour savoir vraiment sans être ignorants, impotents et incompétents,
Est-ce-que demain y aura-t-il encore de l'amour entre les gens ?
Jérôme de Mars
Parlons-nous avec douceur !
Malgré qu'en ce moment, il y a la fureur,
Parlons-nous avec douceur !
Et vous verrez qu'on en ressortira meilleurs
Avec davantage de bienveillance en couleurs,
Où il faut faire une trêve
Dans ce monde qui se sèche et s'assèche,
Car tout le monde se dépêche
Dans la peur qui achève
La population confinée,
Alors que s'il y avait de la bonté,
On en serait que confortés
Avec de la liberté en vigueur,
Car parlons-nous avec douceur !
Pour que la lourdeur
Fasse place à la légèreté
Avec des fleurs,
Pour aimer toute la splendeur
Des choses simples dans la vérité,
Où il faut qu'on rallume les couleurs
Pour illuminer les jardins avec candeur,
Où si on donne aux gens une lueur d'espoir,
Ils sauront oublier le noir pour éclairer
Avec gaieté et une ribambelle de belles histoires
Tous les parfums de leur vivacité
Pour passer de l'obscurité à la clarté,
Car parlons-nous avec douceur !
Pour que batte le cœur
Dans la chamade,
Lorsqu'il se ballade
Pour le bien de l'humanité
Dans son immense communauté,
Où il faut rire des plaisirs
De la vie avec un élixir,
Pour que souffrir
Devienne sourire,
En compagnie de sa bande d'amis
Et de sa famille dans une grande sympathie,
Où il y a de l'empathie
Et de la complicité,
Car même si on est fauchés
Dans l'adversité,
Ensemble, on est éméchés de vitalité
Et plus forts dans la fraternité,
Car jusqu'à pas d'heure
Parlons-nous avec douceur !
Jérôme de Mars
Après la tempête, le calme !
Temps troublants de caractères
A prendre à la lettre bipolaire,
Après, la tempête, le calme !
Sans sarcasmes, mais avec une palme
D'honneur pour édulcorer ces situations
Pas évidentes, en l'occurrence en gestation,
Qui cogite en des interrogations douteuses,
Si bien qu'on exige une correction flatteuse,
Avec une collation pour se changer les idées
Et oublier le temps d'un pot ses vanités
De l'esprit mal placé, car déplacé
Et insistant dans la déroute consumée,
Qu'on avait minimisé avec une palme
D'honneur, car après la tempête, le calme !
Dont on subjugue le charme dissident
Des genres chics et BCBG,
Première catégorie dans le silence désobligeant,
Où pour éteindre l'incendie
Feu les rumeurs de calomnie,
On remet aux lauréats une palme
D'honneur, car après la tempête, c'est le calme !
Plat d'après le plat pays de Jacques Brel,
En route vers des histoires belles,
Dont le label
Est en décibels !
Jérôme de Mars
Etre dans l’œil du cyclone
Avec ma montre synchrone,
Je n'arrête d'être dans l’œil du cyclone
Si clone et si économe,
Je me sers des atomes
Crochus avec du carbone,
Et atone si j'en fais des tonnes
Et que j'entonne,
Si j'étonne et je détonne
D'être dans l’œil du cyclone,
Si clone dans un pylône,
Où après le calme, la tempête
Si je m'entête dans un casse-tête,
Et que je pense bête
Si je panse bête et que je m'embête
D'être toujours dans l’œil du cyclone,
Si clone d'être un clone
Dans l'hexagone
Et dans un cône,
Qui me laisse de glace
Si je ne suis une icône,
Qui déconne
Et dont ça me désarçonne
A la garçonne,
Comme une lionne
Qui m'en lasse
Avec des liasses,
De ce billet d'humour
A conter d'aujourd'hui,
Avec un roulement de tambours
En billet pour faire joli-joli
Et en possession d'un gris-gris,
D'où presque stone,
Je n'arrête plus d'être dans l’œil du cyclone,
Si clone et complètement synchrone.
Jérôme de Mars
A l'envers, à l'endroit lents à mettant se en vers l'an de droit n
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à l ' en vers vers lent ver à lent droit à l ' an vers droit à l ' an vers vers lents. A
Jérôme de Mars
L'oreille musicale
Cap vers l'escale
Le temps d'une pause musicale,
En ayant l'oreille musicale
Dans une ambiance cosy
Et très chic conviviale,
D'où l'on trépigne d'impatience
Dans des somnolences,
En faisant une biguine
Collé serré,
Et musique créole décalée
Avec des paroles sucrées et taquines,
Dans une insouciance très insomnie
En ayant l'oreille musicale
Et le rythme dans la peau tropicale,
Où l'on descend lors d'une escale
Avec des tapes musicales
Sur le synthé synchrone,
Et des atomes crochus dans une alchimie
Cyclone qui n'est un clone mais un drone
Sur le trône du désarroi,
Où l'on cherche la courroie
Pour tenir les reines,
De la chaîne humaine
En ayant l'oreille musicale,
Qui écoute la sono lors de l'escale
Sur la scène musicale
Dans un face à face frontal,
Où l'on préfère l'original
A la copie,
Qui épie
La musique des mots,
Dans le déclic du bon tempo
Contemporain, comme dans le street art,
Rendez-vous au passage du répertoire !
De tel artiste ou de ses confrères,
Qui interprètent vivement fiers
Lors d'une escale,
En ayant l'oreille musicale
A bord du navire amiral
Lors de la générale,
Pendant un concert
Dans une chambre classique
Avec des classiques basiques
De Mozart ou de Schubert,
D'où l'on siffle à la fin de L'R
Que c'est la fin de la récréation,
Si on puise notre inspiration
Dans un parti pris qui prend de grands R'
Avec et l'air, LR ,
Comme il faut laisser faire
La chambre à aire réfractaire
Jusqu'au passage des arts des chansons,
D'adultère et coutumières
Dont à chaque escale,
Il ne faut avoir le tract
Durant l'entre acte,
Pour toujours garder
La position principale,
En ayant l'oreille musicale
Aux fortes influences
Des dernières tendances,
Car il faut savoir raison
Garder vers l'horizon
Artisanal de l'oeuvre originale,
Pour qu'elle reste dans les annales
Inaugurales d'un chef-d'oeuvre monumental,
Avec pour ligne de mire incontournable
Autour d'un tour de table,
Dont on prend acte que ça augure
La fermeture
De l'escale,
Car v'là le point d'ouverture !
En ayant l'oreille musicale
Sur la scène musicale.
Jérôme de Mars
Les yeux rivés
Smartphone, Iphone et portable,
Tout cela est exportable
Si l'un portable,
On le pose sur la table,
Comme les gens ont les yeux rivés,
Joyeux et soyeux depuis leurs yeux dérivés,
En des aveux, que c'est un désaveu
Ce nœud dans les relations sociales
Et familiales
Avec ce fléau sur le feu,
A cause des yeux rivés
Et de leurs yeux dérivés,
Sur leur portable importable
Et ex portable
S'ils le mettent à l'écart,
Quand il y a des rencards
Sinon c'est bizarre,
D'avoir du retard
Dans le domaine du lien amical,
Si on s'en fout de leur difficulté locale
Ou nationale, si ça prend des ampleurs
Avec la peur et la douleur,
Alors rien de tel qu'un mégaphone
Pour parler à la place du téléphone,
Les yeux rivés
Sur le méga fun,
Et les yeux dérivés
Du tel est fun,
Si on a la voix aphone
A cause du téléphone,
Quand on a des états d'âme
Au Paris pas dame pas dame,
Les yeux dérivés
Sur le Smartphone et L'Iphone,
Alors qu'il suffit d'un simple téléphone
Avec les yeux rivés.
Jérôme de Mars
La tendance des contre danse
Avec redondance
Et abondance,
Il y a l'intendance
De la tendance des contre danse
Avec prudence,
D'après la décadence
De Serge Gainsbourg,
Qui débourre de bourre en bourre
Avec un coup de bourre
Dans un compte à rebours,
Où malgré la cadence
Du relâchement
Pendant ce confinement,
Il y a l'hein tendance
Et l'intendance
Avec redondance,
Et abondance
De la tendance des contre danse,
Avec prudence,
Dès qu'on danse, condense
En y mettant la cadence,
D'après la décadence
De Serge Gainsbourg
Des faux bourgs aux faubourgs,
Où il se bourre et rembourre
De Cabourg à Bourg-
-En-Bresse,
Qui achemine la presse
Dans un Paris-Brest,
Complètement à L'Ouest,
Où ce n'est du gâteau
Si on ne trouve les mots
Avec redondance
Et abondance,
S'il y a toujours l'intendance
Et l'hein tendance,
De la tendance des contre danse
Avec prudence,
D'après la condescendance
Et la descendance,
De Serge Gainsbourg,
Qui débourre de bourg en bourg
Dans un compte à rebours,
En y mettant un coup de bourre
Dans la décadence
De La France en forte cadence,
D'où qu'on danse, condense
Et con dense dans la tendance
Des contre dense,
En redondance
Et en abondance,
Avec prudence
De la tendance
Des contre danse, en forte tendance,
De l'intendance à l'hein tendance,
Da la tendance des contre danse.
Jérôme de Mars
Le soleil garde-t-il le moral ?
Question de bien et de mal,
Le soleil garde-t-il le moral ?
Ou risque-t-il de s'éteindre ?
S'il voit la population geindre
Et atteindre le point de non-retour,
En se perdant
Et en se fourvoyant,
S'il s'égare dans des tours
Qui n'en valent le détour,
Car il prêche pourtant de bonnes paroles
Mais il ne garde la pêche avec la sole,
Qui déboussole
Do ré mi fa sol,
Où en question principale
Le soleil garde-t-il le moral ?
Ou sinon est-ce-qu'il a une succursale,
Avec de l'amour filial
Telle que la lune pour le soulager,
De son penchant fatal
Avec une libido,
Qui monte crescendo
De l'eldorado
Sur la place des désirs d'ados dos-à-dos,
Où après avoir été satisfait
De sa prestation d'assistance sexuée,
Est-il l'heure ou leurre sur le plan sentimental
A ce que le soleil garde-t-il le moral ?
Point inaugural.
Car point vital.
Jérôme de Mars
Blague :
Quelle est la seule chose sexuelle que La France ne peut pas interdire pendant le confinement ?
- La pipe car La France part en sucettes
Jérôme de Mars
Festival de poèmes
Sur les bords du Val
De Marne, je lance un festival
De poèmes,
Qui dévale hallucinogène
Pour passer d'un monde anxiogène,
Le temps d'un festival
De poèmes dans le Val
De Marnes, à une vision indigène
A l'origine brute de décoffrage
En exultant dans un harem,
De partage
De vers de poèmes,
Qui parsèment
Ce festival
De poèmes,
Qui dévale
Dans le Val
De Marne, dans une poésie
Sans frontières,
Impertinente et imminente
En arborescence flamboyante,
Que j'insuffle de ma flûte traversière
Avec des cantiques de rêveries,
Dans ce festival
De poèmes,
Qui en déduit dans un théorème
Qu'il faut que Le Val
De Marne dévale
Dans quelques domaines de slam,
Dont je clame
Haut et métaphores
Qu'on recrute du renfort,
Pour renflouer avec des graines
Tout ce ramdam,
Avec un programme
Téméraire et libertaire,
Dont je termine de cette poésie
Sans frontière
Pour toute la planète Terre,
Qu'urgemment, je convoque
Et j'invoque
Avec la complicité de mes amis,
Un festival de poèmes
Avec un roc de bohème,
D'où d'un roc et clair,
Je vous souffle que le festival
De poèmes qui dévale
Dans le Val
De Marne, reprendra en aval
L'année prochaine,
Et plus si vous restaurez
De la tendresse humaine
Et Chrétienne,
En cette période incertaine
Avec sagacité et solidarité,
Dans la réciprocité
La plus respectée et instaurée
Avec de la matière,
A en faire plus si nécessaire
Si il y a des gens extraordinaires
Sur La Terre,
A bientôt je l'espère !
Dans le carpe-diem
De ce festival de poèmes.
Jérôme de Mars
Service maximum
Face à cet ultimatum,
Qu'est la grève
Des services minimums
Que nous subissons de plein fouet,
Nous avons besoin d'une trêve
Dans les excès,
Que nous encaissons de la part
Des Français,
Avec un peu d'humour
Pour flirter toujours avec l'amour
De rencontres de comptoirs,
Autour du bistrot
D'à côté avec les potos,
Où avec mes poèmes
Face à cette période d'emphysème,
J'écris beaucoup pour que ça sème
Et que ça respire
Au pire,
D'un service maximum
Au summum de ce capharnaüm,
Où pour un peu oublier
Les difficultés engendrées
Par les services minimums,
Et pour faire le lien
Et le bien
Le temps de ce delirium,
Où les gens paraissent avoir pris
De l'opium,
Complètement déboussolés, shootés
Et barrés,
Face à cette crise d'hystérie
Dû au coronavirus
De l'annus
Horribilis, comme on l'a dans le rectum,
Cette crise dans les annales
Pas du tout banale,
Où j'essaie de vous rendre un service maximum
Pour rire de tout et de rien,
Comme on est dans le pétrin
D'un monde qui dérive dans les abysses,
Et qui s'enlise
Dans des attitudes animales,
Où il n'y a plus rien
De normal
Chez les personnes,
Où ça sonne et ça klaxonne
Faux et dans le porte-à-faux,
Comme on porte tous le chapeau
Ou le masque,
Comme on porte tous un masque
Dans la vie de par nos frasques
Et de ce temps,
Qui fout le camp
En France,
Et dans la défiance
Des bourrasques,
Où après les services minimums
Et sans ultimatums,
Je continuerai par écrits
Et par envie aussi,
A vous rendre au minimum,
Un service maximum.
Jérôme de Mars
Il faut repeindre le soleil
Couleurs de pastelles,
Pourvu qu'il ne reste pareil,
Il faut repeindre le soleil
Et l'égayer au pluriel,
En y mettant sa patte d'artiste
Et à distance son aspect triste,
Déjà que le soleil est anticonformiste
Et dont il faudrait qu'il devienne transformiste
Pour qu'il s'inonde par miracle intemporel,
Comme il faut repeindre le soleil
Dans un tableau transgénérationnel
Et l'adapter au goût du jour universel,
Puisque il a besoin de nous fraternels
Pour se généraliser irrationnel,
Traditionnel et multiculturel
En des désirs sensationnels,
Dont il faut repeindre le soleil
Avec des convictions optimistes,
Pour rendre cette satanée Terre altruiste
Et la renouveler du sel,
Du printemps et de l'été pour que ces saisons
De par leurs déclinaisons dès la livraison,
Remettent le soleil dans sa splendeur
D'antan à maintenant avec de la chaleur
Humaine, qui le rend fidèle,
A ses formidables valeurs
D'autrefois en des jours meilleurs,
Car comme maintenant il est opérationnel,
Il faut repeindre le soleil.
Jérôme de Mars
Quand les papillons papillonnent
Vol sur les solides pavillons,
Dans un vol à l'étalage
De bas étage,
Là où survolent les rayons
De soleil,
Qui incantent les prunelles
D'anges de poussière
Avec un teint de lumière,
Quand les papillons papillonnent
Et sillonnent
Les environs de Narbonne,
Qui tourbillonnent
Les ricochets qui étonnent,
Ceux qui ont de la chance
Sans signe de défaillance,
Dans des journées torrides
Au sol aride,
Quand les papillons papillonnent
Et vivotent oisifs
S'ils s'époumonent,
Réceptifs et réactifs
Dans un environnement,
Qu'ils affectionnent
Face à la couleur du ciel,
Qui les chapeaute amusant
Si c'est réciproque
Cette époque baroque,
Autant pour eux
Que pour les oiseaux capricieux,
De ronger leur frein
Enfreint par de sublimes matins,
Quand les papillons papillonnent
Et assaisonnent
Dans un pot-pourri en guise de medley,
Tout le florilège qui égrène les succès
Des années 80,
Qui furent très boute-en-train
A se repasser le triomphe du Sacristain
Avec les copains
Dans un tranquille coin,
Entre deux sujets de discussions coquins
Et libertins,
Au coin du feu
Feu ici sous peu,
Dont on évoque avec enthousiasme
Les sarcasmes
D'un paradis sirupeux,
Qui engendre l'effet papillon
Autour des pavillons
Fastueux aux habitations,
Qui tombent exceptionnelles
Et qui détonnent jusqu'à l'automne,
Quand les papillons papillonnent.
Jérôme de Mars
Laboratoire d'idées
Piqûre de rappel
Avec ce Coronavirus,
Et pour lutter contre le virus
Des idées reçues,
Bienvenue dans ce laboratoire
D'idées pour innover,
Avec une bouilloire
Pour essorer l'eau,
Si tout tombe hello !
Où on choisira
Des cobayes
Avec des aléas,
Pour signer un bail
Pour un bail,
Dans ce laboratoire
D'idées qui est là
Pour déranger
Les biens-pensants,
Comme les méchants
Qui veulent imposer
La dictature de leurs idées,
Toutes faites
Ou contrefaites,
Où grâce à un entonnoir,
On fera de bonnes analyses
En donnant des bon tuyaux,
Qui glissent
Avec des experts en bricolos ,
Pour installer tous les matériaux
Et réussir avec brio,
A faire une bonne opération
De bonne facture,
Grâce au scalpel
D'envergure qui augure
Sans doute, que pour guérir
Votre destin
Avec satire,
On trouvera le bon vaccin
Contre Le Coronavirus,
Et le virus
Des idées reçues,
Avec pour antidote,
Un laboratoire
D'idées,
Pour essayer
Avec rage
Un remède incantatoire,
Qui résoudra le désespoir
Pour de nouveau y croire,
Qu'on peut vaincre les o'rages
Avec de la volonté,
Pour remonter la cote
Et le cours des choses,
Avec des décotes
Pour les ecchymoses,
Et une surcote
Pour vivre une vie en roses,
D'où on lancera
Prochainement un ballon d'essai,
Comme on sait
Que ce laboratoire
D'idées confirmera
En conclusion notoire,
Que s'il veut connaître des succès,
Il faudra qu'il lance des tubes à essais,
Avec en solution en point de salut
Quelques anciennes idées
Qu'il faudra faire évoluer et changer,
Comme elles semblent révolues
Etc etc etc etc etc........
Jérôme de Mars
Clément, Clémence et Clémentine
Tout clément, Clément fait preuve de clémence avec Clémence, en mangeant une clémentine avec Clémentine, faisant preuve de clémence avec Clément, tout clément et faisant toujours preuve de clémence, avec Clémentine en récoltant le fruit de son travail clément avec clémence, en épluchant une clémentine, et en la mangeant avec Clémence, dont Clémentine fait encore preuve de Clémence avec Clément, tout clément avec Clémentine, qui revend sa clémentine pour rester toujours dans la clémence avec Clément, demeurant tout clément et faisant éternellement preuve de clémence, dans une épreuve avec Clémence, dont la clémentine restera définitivement dans la clémence avec Clément, tout clément.
Jérôme de Mars
Hier, j'ai vu un pigeon-voyageur qui a parlé à un passant !
Passeur d'histoires de situations cocasses,
Hier, j'ai vu un pigeon-voyageur qui a parlé à un passant,
Jacassant, roucoulant, jactant loquace,
Et soupirant à son soupirant, tout le bien qu'il pensait de son accent
De bourgeois vieux parigot qui jette ses mégots, comme il ne mégotait
Pas à-tire-larigot, qui erre dans les rues de Paris, avec l'orgue qui chantonnait
Ceux qui dorment sous les ponts de Paris avec le moral en berne,
Et dont en voyant une église, il y pénétra
Et y entra, d'un pas lent, dont il essaya de garder son sérieux dans tous les cas,
En allumant un cierge le regard livide, et terne en subalterne,
Comme le pigeon-voyageur était un drôle d'oiseau, avec le corps beau,
Qui eut une prise de bec avec ce passant, comme avec les autres badauds
Quand hier, j'ai vu un pigeon-voyageur qui a parlé un passant,
En bavardant de Maupassant, de mots passants, trépignant l'air causant
De belles balades, comme si de rien n'était en un vol , qui ne vola pas très haut,
Et qui fut un antivol très frivole, avec un rossignol qui se gondola en mots snobs
De troisièmes couteaux, au large d'un bateau sur la Seine qui prit sa vitesse
De croisière, en vagabondant avec tonton Bob,
L'air de rien, quand le pigeon-voyageur murmura au passant qu'il était ballot
Et qu'il avait la bedaine oh ! Quelle aubaine de vieux réac ! Avec la paresse
De son tempérament godillot, qui empêche de par des histoires parallèles
De refaire le monde de la vente à l'épouvante, de tel à untel,
D'où au moment des adieux, le pigeon-voyageur prit congé de cet être arrogant,
Car c'est hier, que j'ai vu un pigeon-voyageur qui a parlé à un passant,
Passeur d'histoires,
De Maupassant à mots passant, d'où l'on arrive au terme de ce répertoire,
Bonsoir les badauds !
Et métro, boulot, dodo, comme les oiseaux font aussi dodo !
Jérôme de Mars
Prions à votre santé !
Ceux parmi les agents qui travaillent
Du tréfonds de leurs tenailles,
En ces temps difficiles,
Il ne faut rien lâcher,
Même si certains vacillent
Du fait de la maladie,
Mais il faut rester toujours à quai
Et prêt,
A prier pour que tout aille
Bien, vaille qui vaille !
Où je vous souffle du fruit de ce poème
Malgré vos problèmes,
Un totem,
Qui sème le carpe-diem
Car prions à votre santé !
Pourvu que vous demeuriez
Encore vaillants,
Et tout le temps en forme,
Pour perdurer conforme
Dans des habitudes de bienveillance
Et de d'indulgence,
Car actuellement, pour personne
Ce n'est facile !
Mais essayez de devenir dociles
Solidaire et gentils,
Pour que résonnent
L'harmonie et l'accalmie,
Au travail entre encadrants
Et collègues,
Pour que le beau temps
Vous délègue
Des moments intéressants,
Pour apprendre à se connaître
Durant cette période de confinement,
En prenant le temps
De comprendre votre être,
Car prions à votre santé !
Dans la loyauté et la bonté,
Car soyons différents !
Mais pas indifférents !
Pour que tous les gens
Malgré tout ce boucan,
Soient conciliants
Et cléments,
Pour que le beau temps
Vous réponde souriant et indulgent,
Efforcez-vous de passer du beau temps !
Pendant ce temps, tout autant,
Et pour tout le temps, au temps
Durant longtemps, et mieux encore si éternellement,
Ne soyez plus entre vous si distants !
Car ce que ce virus nous apprend,
C'est qu'il faut que vous soyez vigilants
Et bienveillants en ces temps troublants,
Et pas semblant, mais vraiment
Pendant et après le confinement,
Et soyez confiants et contents !
De vous retrouver une fois le beau temps
Rétabli après le confinement,
Où après tous ces moments,
Où on fut tous capricieux, insidieux
Et pernicieux,
Soyez heureux et valeureux !
Dans la bonté et la loyauté,
Car prions à votre santé !
Jérôme de Mars
Venez quand vous voulez regarder les étoiles !
Télescope sur Le Pariscope,
Le ciel veut son horoscope
Pour élire de son piédestal,
Tout ce qui scintille le ciel
Avec des bonnes nouvelles,
Qui gravent les choses originales
Dans un ciel qui décroche la lune,
Pour remettre en une
Des quantités de brins de lucioles,
Qui virent de bord les petites babioles
Au ciel qui dévoile,
De sa liturgie
Parmi notre galaxie,
Car venez
Quand vous voulez
Regarder les étoiles !
Sur le coin de l'espace du temps,
Qui mijote de son décan
Si c'est bon signe,
De porter l'insigne
De la voix lactée,
Qui allaite en instantané
Tout qui est immortel
Sur le ciel inconditionnel,
Qui déclare la trêve
Avec quelques rêves,
Que le ciel dévoile
Sur sa toile
Tout ce qu'il peint
En horizons lointains,
Car venez
Quand vous voulez regarder
Les étoiles filantes !
Qui amusent la galerie défilante,
En substances de sa semence
Que le ciel aligne en abondance,
Car vu les circonstances atténuantes
De l'atmosphère déclinante,
Avant que le ciel se voile
De toute matière
Sur La Terre,
Venez quand vous voulez
Regarder de l'obscurité
A la clarté,
Les étoiles !
Jérôme de Mars
Hécatombe
Catacombes,
Tout tombe
Sous les décombres,
De ce qui m'incombe
Dans cette hécatombe,
D'outre-tombe qui surplombe
Tout ce qui plombe,
Le monde qui pète les plombs
Avec quand même de l'aplomb,
Où l'on bombe le torse
S'il y a une bombe
En faisant une entorse,
Qui se corse
Avec l'écorce,
Qui amorce
Cette hécatombe,
Où on a peur
Dans la douleur,
Que tout tombe
Dans ce monde à l'ombre,
Qui sombre
Du côté de la pénombre
Plus dans l'ombre,
Qui se dénombre
Dans un important nombre,
Et qu'à tombe
Les catacombes,
Sous les décombres
De l'hécatombe,
Quand tout tombe
D'outre-tombe,
Et plombe
Ce qui surplombe,
Dans une bombe
A retardement qui bombe
Le torse
Dans une entorse,
Qui amorce
Cette hécatombe,
D'où ça m'incombe
En ne mettant pas trois plombes,
Et qu'à tombe
Une tombe,
Qui pète les plombs
Avec de l'aplomb,
A l'ombre
Sombre et en grand nombre,
Qui se dénombre
Dans cette hécatombe.
Jérôme de Mars
Ca va bien, il y a le soleil !
Battement d'ailes des hirondelles
Et des tourterelles,
V'là le beau temps !
Comme c'est l' printemps
Et qu'il faut être content
Avec des aquarelles,
Car quand ça va bien,
Il y a le soleil !
Au bord du chemin
Sur la passerelle,
Qui joue du tambourin
Pour passer en musique
Le bal des joyeux samedis psychédéliques,
Où quand ça va bien,
Il y a le soleil !
Pour sourire au destin
Et pour demain,
En espérant que le prochain
Sera une ribambelle
De demoiselles,
Qui viendront égayer
De merveilles
Les saisons enjouées,
D'où avec des couleurs de pastelle,
Cela fera repeindre le soleil
Accroché au bercail essentiel
Dans un jaune oranger,
Avec un considérable festin,
Car quand ça va bien,
Il y a le soleil !
D'où à la fin de la saison
Avant l'été,
Le ciel lui fredonnera
Toute la moisson,
Qui boira en tant que telle
Toute l'ivresse passionnelle
Dans un élan
Pendant plusieurs mois,
Où tant que ça ira,
Le ciel fera foi
Durant longtemps,
Dès les escapades
Des nuages libertins
En ballade,
Car quand ça va bien,
Il y a le soleil !
Jérôme de Mars
Je marche sur des œufs !
L'existence est fragile,
Comme elle ne tient qu'à un fil
Et dont en pensant à mes aïeux,
Et en parlant d'eux,
Je marche sur des œufs,
Eux qu'il ne faut pas mettre
Dans le même panier
Et les jeter au feu,
Si jamais il s'avère
Qu'ils furent de mauvais êtres,
Qu'on ne vénère,
Car ils me rendent vénères
Et à bout de nerfs sévères,
Où je marche sur des œufs
Si je parle d'eux,
En priant Dieu
Et en le révoquant ,
S'il me paraît fastidieux,
Dès fois que je parle insidieux
Et que je n'oublie ceux,
Quand je parle d'eux
Et que je marche sur des œufs,
Tandis que l'itinéraire de notre vie
Se perd sans les repères,
Où l'on ne se fie,
Parce-que le destin nous défie
Et que l'on ne sait ce qu'on veut
Mais qu'on sait ce qu'on ne veut,
Comme un désaveu
Sauve qui peut !
Dans l'hérésie et l'autarcie,
A compter que sur eux,
Dont je parle d'eux,
Quand je marche sur des œufs.
Jérôme de Mars
On en voit la couleur !
Après des années de faux-fuyants
En noir et blanc,
J'espère qu'on en voit la couleur
Et qu'on reprend des couleurs,
Avec du beau temps
Pendant longtemps
En adéquation avec le soleil dompteur,
Qui met du créole sur les îles bariolées
Avec du ukulélé,
Rédempteur et enjôleur
Avec un hamac,
En cas de mic-mac
Sur le tarmac,
En mode avion
Dans les environs
D'un tic et tac,
Si jamais craque
Le saut à l'élastique
Dans un sursaut athlétique,
Où après des années de faux-semblants
Et surannées en noir et blanc,
Je pense sincère qu'on en voit la couleur
Et qu'on reprend des couleurs,
Y a pas photo !
Dans le genre roman-photo,
Où c'est pas le ghetto !
D'où tu viens avec ta couleur
De peau !
Dans le rétro sur le magnéto,
Car ce qui compte, c'est ton attitude crescendo,
Qui monte en amplitude en demeurant réglos
Et synchros,
Dont après de rudes années de dur labeur,
On fait son beurre
Dans le bonheur,
De toutes les couleurs
Divers et variées
Avec du grain de sel acidulé,
D'où pour conclure
En endurcissant notre nature,
Qu'on soit noir et blanc,
On n'est plus dans le noir et blanc
Mais avec de vrais éléments,
De toutes les couleurs
Métisses et mes tisses,
Qui tissent
Du lien social,
Avec le fil amical
Ayant pour point inaugural
Quelque chose d'original,
En messages
Pour mes sages,
Dont le fil conducteur
N'est point réducteur,
Mais un point innovateur, novateur
Et précurseur,
Qui stipule qu'il est nécessaire
D'avoir toutes les couleurs
Avec de la matière,
Dans des à-côtés enjoliveurs
A plusieurs,
Si bien que quand on reprend des couleurs,
On en voit la couleur.
Jérôme de Mars
C'est votre tour !
On fait le tour
De la question en retour,
A qui le tour ?
En des tours, détours,
Si ce sont vautours,
Qui valent le détour
Et qui volent aux alentours,
Autour, au tour
De tout le monde, donc au tour
De vous et de lui, à vos tours,
Dont le con tour
Désigne votre tour, autour
Du contour autour
De vous, au tour,
Dont en retour
De vous en détours, des tours,
C'est votre tour à Tours,
Loin du Pourtour !
Jérôme de Mars
Je touche du bois
Du Bois de Boulogne
Au Bois de Vincennes,
Je touche du bois,
Quand je montre de quel bois
Je me chauffe,
En surchauffe dans un tour de chauffe,
Où je m'échauffe
En proférant quel cirque !
Au Cirque Bouglione,
Où je suis le bouffon sur scène,
Si je touche du bois
Avec Paul Préboist,
Aux à bois
Si je bûche du bois,
Dans des embûches du Bois
De Boulogne
A celui de Vincennes,
En prenant garde-forestier
A demeurer l'artisan roi
Avec du bois affûté,
Si je touche du bois
Des vers ,
Quand j'erre
Sur un nouvel itinéraire,
Où je respire pubère
Sans langue de bois,
Mais en demeurant sincère
Jusqu'au bout des bois,
Comme je ne suis en bois
De mes parois,
Et que je tourne autour,
Aux alentours,
En étant aux à bois,
Tandis que je touche du bois
Pour rester moi, chez moi
Du chaud au froid,
Où sans langue de bois
Et en montrant de quel bois
Je me chauffe,
Je suis en surchauffe,
Dès qu'en bravant le froid,
Je touche du bois.
Jérôme de Mars
A-t-on fait porter le chapeau à Charlie Chaplin ?
Il était presque
Une fresque
Du nom de Charlie Chaplin,
Qui fascine
Son mythe légendaire
Entre controverses et adultère,
Où avec ses faits et gestes,
Du reste, il lâcha du leste
Plus tard lors du cinéma parlant,
Déclamant et clamant son accent
Dans le cinéma burlesque,
Où il trémoussa romanesque
Dans des films aux histoires,
Qui restent dans les annales
Et originales,
Pour l'époque
A dénoncer sur un ton baroque,
Hitler, dans " Le dictateur, "
Acteur de son propre film et orateur
Sur le ton de la parodie
Et des on-dit,
De tous les ravages du totalitarisme,
Qui véhiculait les égocentrismes
Du cataclysme avant-gardiste,
Il fut un précurseur
Et un génial inventeur
D'un style spécifique,
A faire du cinéma comique
Et dramatique
Loin d'être soporifique,
Car véridique
En un état des lieux,
De la nation
En ébullitions,
Et en perte de repères
Jusqu'aux cieux,
Où il alluma les lumières
De la ville
Pour que brille
Son étincelle,
Malgré l'ombrelle
Des artistes qui chancellent
En noir et blanc,
Alors que Charlie Chaplin
Voulait des couleurs
Pour les bobines,
Afin qu'il embobine
Dans son cinéma,
Tous les acteurs phares
De la nouvelle génération,
Notamment en allant
Avec allant,
A la ruée vers l'or
Sous les feux de la rampe,
Même si à un moment,
Il décampe
De ses états désunis
Vers une moindre folie,
En déménageant des Etats-Unis
Et en se ménageant
En Suisse,
En cherchant la cuisse
De Jupiter,
Même qu'il ne connut Macron
De Jupiter,
A force de trop parler
De l'opinion publique,
Où on se demande
Et on quémande,
A-t-on fait porter le chapeau à Charlie Chaplin ?
De la rustine à La Berline,
Où ainsi, il chercha des chaînes
De télévision,
Avec Les temps modernes
Pour dénoncer
Les méfaits et les dangers,
D'une société de consommation
Lucrative et œuvrant
Pour la rentabilité,
Au détriment de l'humanité
Et de la solidarité,
Dans les rudes conditions
Du travail en chaîne,
Où vers la fin de sa vie
Il passa de l'enfer
Quand il fut Le kid,
Au paradis
D'un roi à New York,
Où il reçut une standing ovation
Pour l'ensemble de sa carrière,
Sur le tard
Et dans le tintamarre,
Qui amorça sa décadence charnière
Dans une incroyable réhabilitation
Et résurrection,
En fin de cycle
Qu'on recycle,
En rediffusions
De ses films,
Où l'on ne se fait plus de films
Sur son incontournable talent
En haut de son firmament,
Où à l'été de sa vie,
Il trouva un repère
En la personne de L'Abbé Pierre,
Pour un don en espèces
Pour rendre tout ce qu'on lui a donné,
Lorsqu'il était en espèce
Menacée, dont il rendit la monnaie
De sa pièce,
Comme sa vie fut une pièce attachée
En allant à l'essentiel
Et détachée,
Lorsqu'il mourut pour rejoindre le ciel,
Dont on lui souffle de nos prunelles
Au terminus de son répertoire,
A bientôt vers l'éternel.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-qu'avec le confinement, c'est le meilleur moyen pour un homme et une femme de faire un enfant ?
- Parce-que là de toute façon, c'est sûr, l'homme aura les boules !
Jérôme de Mars
A mère !
Repaire depuis mon repaire,
Comme les deux ne font la paire
Je manque de repères
Sans paire et sans maire,
D'où j'écris ce pamphlet
Au vitriol
A mère,
De mon état qui s'étiole
Et qui me désespère,
Dont cette nuit encore
J'ai fait des cauchemars
A propos de ma mère,
De tout mon corps
Dans son emprise,
Avec méprise
Dans une fanfare,
Que je préférerai oublier
En mettant du fard,
Pour dissimuler les supplices
De toutes les cicatrices
Du passé,
Qui m'a défiguré
Et configuré
A la décence figurée,
Où j'ai pensé cette nuit
A ma mère
A mère,
Qui me vociférait dessus
Une fois de plus et qui me conspue,
Et où j'en sue de son indélicatesse,
Envers ma personne en manque de tendresse,
Où une fois, j'avais cauchemardé sur elle
Son visage en squelette, qui chancelle
Ma vie qui dérive vers le hors-piste,
D'où ma plume si triste d'artiste,
Où je ne me remets toujours pas de sa disparition,
Partagée entre regrets et remords,
Car me tente la mort,
Et où plus ça va, et plus j'ai des hallucinations
Que tout le monde me veut du mal, me parle mâle,
Et s'en fout de moi car pour eux, comme je suis bancal,
D'où cher mère,
Je te glisse un portrait guère flatteur et à mère,
Mais où je n'arrive à prendre de la distance
Avec toi, avec tout ce que tu m'as fait subir en offense,
D'où je suis dans cet état-là
Avec tes erreurs de jeunesse,
Que tu as reproduit sur moi dans une forteresse,
D'où je n'arrive point à décrocher et à dépasser
Ton influence écorchée et amochée,
Où tout le monde me parle mal et agressivement,
Et dont je voudrais savoir pourquoi et quelle en est l'oraison
Que ce soit objectivement et subjectivement,
Où chaque saison qui s'achève, je suis la tête sur le guidon,
Avec ce portrait en demi-teinte, en anti-portrait chinois de ma mère,
A mère, amère,
Pour que nous nous guidons
Et nous y arrivions au point de sagesse,
D'où j'espère que je pourrai avoir des largesses,
Avec le passé de ma mère et de son père,
Mon grand-père, manque de paire,
Dont je n'ai plus de repère ni de repaire,
A moins que je m'affranchisse du passé de ma mère
Dans cet écrit de ma mère à mère, pour que je franchisse le deuil
Au seuil assis sur mon fauteuil,
Et que je me défasse de l'emprise des destins pairs de ma mère
Et de mon grand-père,
Pour que ça ne sente plus le sapin
Le jour de Noël, et que ça ne sente plus le tapin
Le jour de La Saint-Valentin,
Pour que je rejoigne enclin,
Et en un clin
D’œil, le bonheur samaritain
En un avenir meilleur,
Ailleurs et avec des couleurs,
Pour que je trépasse
D'un portrait amère,
Et que je passe
A un anti-portrait à mère,
Dont je me détache à grands pas,
Car vive le présent hip hip hip hourra !
Jérôme de Mars
Dédicaces
Cocasse et insolite,
L'objet du scandale
Délite, effrite,
Et frite l'objet du sujet
Original et pâle,
Dont il est le sujet
De l'objet,
Dont l'objet de son appel
Epelle solennel,
Dédicaces, des dix casses loquaces
Et cocasses,
Si on casse
Concasse, et qu'on tracasse
Le casse du siècle loquace,
Dont la forme est conforme
Et le fond confond
Méforme, qui informe
Le tréfonds, qui fond
Des dix casses, dédicaces,
Qui cassent et concassent
Dédicaces, des dix casses,
Qui fracassent le capitaine fracasse
Avec la carcasse cocasse,
Et loquace,
Dont on a fait le tour du casse
Du siècle, dédicaces, des dix casses.
Jérôme de Mars
Heure d'été
Heure d'été,
C'est du bonheur
Qu'on nous a prêtés,
Dont on s'est apprêtés
A passer dans la bonne humeur
Tous ces jours dans la clarté,
Lorsque le soleil vend la mèche
Eméché avec la mèche rêche,
Cheveux dans le vent
Qui parle à tous les courants
Du temps,
Comme du printemps
Heure d'été
Entre printemps et été,
Où l'on aspire à la gaieté
Et à la légèreté,
Avec des ricochets
Sur la rivière,
Comme emplir
Ses poumons
D'une recharge d'air
Dans la profusion,
Pour s'amuser et rire
Dans la simplicité,
D'être vivant
S'enivrant au temps grisant,
Heure d'été,
On va siroter
Une bière qui mousse
Dans l'écume qui émousse
La blouse du blues des soignants,
Où on leur apporte tout notre soutien
Pour de meilleurs lendemains,
Conciliants et plus avenants
Venant du soleil trompeur,
Mais enchanteur
De l'adultère
Au regard des frères,
Qu'est une relation particulière
Et solaire
Sous l'emprise du ciel,
D'où l'on agite enfin des bonnes nouvelles
Une fois affirmé le regain d'activité,
Au bout de la saison
Et en floraison,
De l'heure d'été.
Jérôme de Mars
Un paradis d'enfer
Vanessa Paradis
Qui est au paradis,
Vit un paradis d'enfer !
Si elle s'entend
Avec l'enfer,
Et qu'elle s'attend
A un paradis d'enfer,
Dont l'enfer est un paradis
Et le paradis un enfer,
Dont un paradis d'enfer
Pour Vanessa Paradis,
Qui est d'enfer
De Denfert-Rochereau,
Où c'est d'enfer !
Mais dont pour Vanessa Paradis,
C'est un paradis de mots
Dans le paradis de Denfert-Rochereau,
Dont c'est Denfert le paradis !
Pour Vanessa Paradis
Qui est dans un paradis d'enfer !
Denfert ! Au paradis d'enfer !
Jérôme de Mars
Je croise les doigts
Hello, et l'eau !
Comme tout tombe allo, à l'eau !
Et que je m'inquiète pour demain
Par rapport à mon destin
Si à la croisée des chemins,
Je me tambourine l'esprit
Avec des si,
Où je me tarabuste
Et si,
Car je fonctionne avec des scies,
Qui me scient, sciemment
Et abondamment
Avec mon buste, en art buste,
Où je croise les doigts
Comme tout tombe à l'eau !
A-vau-l'eau au fond du ruisseau,
En buvant les paroles des autres
Avec de la Badoit, de mes bas doigts !
En invoquant
Et en priant
Dieu et ses apôtres,
Où je déguste
Moi, le clown auguste,
Et où je croise les doigts
Pour ne craquent mes doigts,
De mes dix doigts,
Si je ne lève le moindre petit doigt
Et que je bois à l'eau hello !
De la Badoit, de mes bas doigts,
Où je fais des gammes aux vers
Au piano, dans un programme ouvert
Sur la scène dans un petit café de slam,
Où je clame que j'ai besoin de came
Pour me shooter au slam,
Et où en moment ça rame !
Sur la rame du métro,
Comme j'ai toujours un métro
De retard à sans arrêt rester dans le rétro,
Où je croise les doigts,
Je claque mes doigts,
Et je craque mes doigts
De mes dix doigts,
A force d'encaisser les déboires
De ma Badoit,
Sans lever le moindre petit doigt,
Où en pourboire, je veux aller au purgatoire
Pour trépasser des remords
Et passer en torts retords,
Où je n'aurai plus tort,
Car je tords les idées reçus,
Message reçu cinq sur cinq en bienvenue !
Où je vous dis salut ! en buvant de la Badoit,
De mes bas doigts, quand je croise les doigts.
Jérôme de Mars
Jadis, Jade dit !
Jadis, Jade dit !
Que Jacques a dit maudit !
De préserver les bijoux de famille,
Même si c'est facile
En pupilles,
De l'aliénation,
Pour la nation,
De sauvegarder pour des pacotilles
Tout ce que jadis, Jade dit !
Quand Jacques a dit maudit !
Qu'il fallait sembler rester intelligent
Avec les gens et les agents,
Même si ça paraît loufoque
Et fantaisiste,
Tous ces éternels débats folkloriques
Et surréalistes,
Entre baroque
Et sujets philosophiques,
Quand jadis, Jade dit !
Que Jacques a dit maudit !
Que c'est inédit !
Ce vécu avec des mots dits,
Dont il dédie
En sortant de sa coquille
Saint-Jacques de Compostelle,
Qu'il faut un numéro d'urgence universelle,
Pour appeler à l'aide d'untel
En frères de misère,
Comme on naît et qu'on meurt poussières !
Histoire de familles
Avec les bijoux de famille,
Dont jadis, Jade dit !
Que Jacques a dit !
De faire une prière générationnelle,
Singulière et plurielle
A l'adresse des congénères,
Car après le recueil des doléances,
Cela génère
Des séances
Plénières et premières,
De toute une série
De mesures pour réconforter les amis,
Du pays en frénésie
Et dans la liturgie,
Dont Jadis, Jade dit !
Que Jacques a dit !
Que ce n'était point interdit.
Jérôme de Mars
La prison sans les barreaux
Temps de confinement,
On est prisonniers cléments
Empêchés de circuler,
Mais encouragés à véhiculer
Que c'est la prison sans les barreaux
Si on place la barre haut,
Car on a le droit de s'évader
Dans des choses dépaysantes
Et plaisantes,
Dans notre nature spontanée
Et instantanée,
Comme c'est le moment de tout relativiser
Que sur Terre, tout est relatif !
Et qu'il est impératif
De rester négatifs,
Pour ne pas attraper positifs
Le Coronavirus, mais dont il faut être positifs
Face aux gens qui sont négatifs en rectificatif,
Comme c'est la prison sans les barreaux,
Mais dont on a le droit de s'évader
En plaçant la barre haut,
Que même si les gens nous manquent
Pendant cette période de confinement,
Que de l'endroit où l'on est
En décompressant de tout ce boucan,
Il faut qu'on pense à ceux qu'on aime
De notre planque
Avec le carpe diem,
Où l'on sème le grain de l'amour
Pour dériver les vautours,
Et river vos tours, dont c'est le tour
De susurrer je t'aime !
A l'ensemble de la population en emphysème,
Dont si on s'évade en plaçant la barre haut !
Pour se changer les idées
Avec un vent de liberté,
C'est la prison sans les barreaux.
Jérôme de Mars
Ceux qui croient en Dieu sont-ils des anges ?
Faire le bien dans ce monde animal,
Permet de cultiver pour son prochain
De l'amour très divin,
Pour contrer le mal
De ce monde sauvage,
Où l'on ouvre une nouvelle page,
Car on fait voler mésanges, mes anges
En priant pragmatique,
Pour voir si c'est systématique
Et prophétique,
Si on se demande mystiques
Que ceux qui croient en Dieu sont-ils des anges ?
Dans une vie d'ange ou dans un mélange ,
Où l'on croise les doigts des phalanges
Pour voir si on se range
Du côté de l'Archange,
Ou si on se fourvoie
Du côté des méchants si on change
Du bout qui porte notre croix,
Ou si on cherche à trouver notre voix
Voix de la croix ,
Ou si on mange
De ce qui nous démange,
En cherchant la frange
Que ceux qui croient en Dieu sont-ils des anges ?
Dans une vie d'ange de l'Archange,
Ou si on vole avec mésanges, mes anges,
A vol d'oiseau sur les hauteurs,
Des lieux de prières fidèles aux valeurs
On instaure d'office une office avec des images,
Pour restaurer chronophages à devenir un sage
Dans une vie d'ange, où l'on se range si on change
En bien, radieux, hauts dieux !
Jusqu'aux cieux,
Où l'on s'arrange
Que ceux qui croient en Dieu soient des anges !
Jérôme de Mars
Jusqu'au ciel
A son zénith, le soleil
Stimule les tourterelles,
En cajolant de son balcon
Y a pas de nuages à l'horizon !
Qui relève en faisant dans la dentelle
Jusqu'au ciel,
Enjôleur qui fait son come-back
Si jamais il chante en playback
Tout le ressenti de l'univers,
Qui en a marre que la saison printanière
Sorte de sa chaumière,
Pour cracher sur les artères des cratères
Qui sont comme des volcans océans,
Qui cherchent pourquoi La terre fout le camp
De la lune au soleil
Jusqu'au ciel,
Malgré que le ciel parle de la pluie
Et du beau temps,
Qui s'amenuise de son dépit
Et parcourt en courant
Le soleil qui fait la météo,
Car mettez-haut !
Les paréos ,
Car il faut paré haut ! En ne regardant
Dans le rétro,
Mais aller de l'avant souvent,
Tandis que le vent répand
Bien auparavant et cependant,
Pendant que le soleil fulgurant
Déploie et tournoie en un éclair,
Furtif et condescendant
Tout ce que que le remède intemporel,
Dépend occasionnel
Jusqu'au ciel,
Et se manifeste dilettante,
Dès que l'attente ne se veut concluante
Soi-disant en passant,
De la passerelle
Jusqu'au ciel.
Jérôme de Mars
Il y a longtemps
D'antan au long temps,
Il y a longtemps
Que le temps s'étend
De l'étang qui se détend
Au printemps,
Et s'étend
Il y a longtemps,
Quand le temps
Se tend,
Passe temps de temps,
Outrepasse autant de tant,
Surpasse autant,
Dépasse au temps,
Et trépasse tant
Si le temps
Est dans les temps,
Pour se rappeler à temps
Du bon vieux temps,
Il y a longtemps
Au cours du long temps,
Pour passer du bon temps
En passe-temps,
Si on entend
Remonter le temps
Comme c'est tentant
Et important,
En important,
Et en exportant
Le temps,
Consentant de tant
Et bien entendant,
S'il consent tant
Il y a longtemps,
A se souvenir insistant
Et distant
Du temps,
Qui passe à temps
Consistant et repentant,
A vouloir persistant
Il y a longtemps,
Qu'on va autant
Passer au temps
De tant,
Et au temps
Nonobstant, dès cet instant
Pour un long temps,
D'antan dont ça tend
A devancer autant,
Et à défier le temps
Dont il s'attend
Pour un temps,
Au temps
D'il est tant,
Car il y a longtemps.
Jérôme de Mars
Le franc-parler
Par Les Français
Ils ont un franc-parler
De parler Français
Aux francs ces
Dont ils ont un franc-parler
A parler francs ces
Dont ils sont francs ces
Français avec un franc-parler
D'être francs à parler
Français par Les français
De leur franc-parler
A part Les Français
De leur franc-parler
A parler Français
Par Les Français
A part les Francs-parlers
Parler Français
Par le franc-parler
En pourparlers
De part Les Français
Pour parler
Le Franc-parler.
Jérôme de Mars
Crise de rire sanitaire
Sur fond de crise, voici des petites saynètes pour désamorcer les tensions :
1) Jean-Paul : " - Pourquoi portes-tu toujours un masque dans la vie ?
Jérôme : - Parce-que si j'ai le virus, tout le monde me prendra en grippe ! "
2) Adel : " - Pourquoi t'en laves-tu les mains du Coronavirus ?
Jérôme : - Pour qu'on me passe un savon ! "
3) Guillaume : " - Pourquoi as-tu toujours ton attestation de dérogation sur toi ?
Jérôme : - Parce-que si les flics me contrôlent, je m'en tamponne ! "
4) Alexandre : " - Mon cher Jérôme, quelle est la différence entre toi et moi ?
Jérôme : - Toi, tu es confiné et moi, je suis con fini ! "
5) Boris : " - A ton avis, Jérôme, pourquoi les enfants doivent-ils continuer à étudier malgré le Coronavirus ?
Jérôme : - Parce-que les enfants passent toujours des tests avec les contrôles de la police ! "
6) Philippe : " - Pourquoi n'es-tu pas dans le mouvement comme les autres depuis le début du confinement ?
Jérôme : - Parce-qu'à cause de la police, je suis dans la contre danse. "
7) Jérôme : " - A ton avis Brigitte, que puis-je faire pour mon père qui souffre d'hypertension artérielle ?
Brigitte : - Tu peux juste faire très attention à lui en désamorçant les tensions ! "
8) Jérôme : " - A ton avis, Sandrine, que pourrai-je dire au médecin si le 9 avril prochain, j'ai le Coronavirus ?
Sandrine : - Tu lui diras, quoi de neuf, docteur ? "
9) Jérôme : " - A ton avis, Christophe, pourquoi les soignants sont-ils plus sensibles aux applaudissements des Français qu'aux annonces du gouvernement ?
Christophe : - Parce-que c'est l'hôpital qui se fout de la charité ! "
10) Muriel : " - Jérôme à ton avis, pourquoi fera-ton une prise de sang après le
confinement aux Français qui auront eu la chance de ne pas tomber malades du Coronavirus ?
Jérôme : - Parce-que ceux-là auront de la veine ! "
11) Jérôme : " - Serge, pourquoi me conseilles-tu d'écrire pour soigner mes plaies ?
Serge : - Mon cher Jérôme car aux grands mots, les grands remèdes ! "
Jérôme de Mars
Concours de bonté
Laps de temps annuel,
Pas besoin du bescherelle
Pour savoir que ce n'est un concours
De beauté,
Mais un concours
De bonté,
Où seule la beauté intérieure compte
Et où la beauté extérieure n'escompte,
Car les lauréats de ce concours de bonté
Devront avoir un cœur en or de sincérité dévouée,
Avec l'identité d'une personne entière et débonnaire,
Sans faire de zèle mais juste ce qu'il faut d'ordinaire,
Dont ses qualité humaines feront le reste,
Pour que la beauté se déleste
Et fasse place à la bonté,
D'où les candidats à ce titre
Du concours de bonté,
Devront signer la charte de la loyauté
A bord de leur pupitre,
Où l'on veut des gens honnêtes, oh nets !
Et des artisans d'un concours très élégant,
Où l'on prendra des gants en demeurant bienveillants
Avec une pléiade de valeurs,
Qui feront office de preuves d'honneur
Que ce ne sera pas du pipeau, puisque ce sera du grand niveau,
Dont on fera de ces candidats des héros
Ayant un réel talent sans qu'ils tombent dans les oubliettes,
Où ce concours de bonté
J'espère qu'il fera des émules dans le monde entier,
Et en France dans les zones de pénétration,
Où enfin v'là une bonne action,
Qui en sera extraite de ce concours de bonté,
Car ce qui compte ce n'est pas la beauté,
Comme on escompte l'art de la bonté
Dans la vérité de ce concours de bonté,
A plus si affinités !
Jérôme de Mars
En attendant des jours meilleurs
En ces temps de tiédeur, de tiède heure,
Et en attendant des jours meilleurs,
Profitons du soleil réparateur
Afin qu'il soit acteur
D'un monde conciliateur, réconciliateur,
Médiateur, pacificateur et réanimateur,
Car il y a urgence sanitaire
Face à nos civilisations délétères,
Qui s'égrènent de colère
Face aux frustrations incendiaires,
Où en attendant des jours meilleurs,
Profitons d'un beau ciel bleu
Vers le paradis somptueux et majestueux,
A vouloir et à espérer un monde meilleur
Plus fédérateur et plus enjoliveur
Avec une ribambelle de fleurs,
Pour rassembler toutes les générations
Quelque soit l'orientation et les questions,
Où on implore le ciel de nous fournir
De la chaleur avec beaucoup de douceur
Fertile, en plaisirs pour ne plus souffrir
L'espace d'un instant,
Grâce au printemps,
Un vecteur colossal,
Qui favorise le lien social
En ces temps incertains,
Où nul ne sait de quoi sera fait demain !
A part croire au soleil divinateur ,
En attendant des jours meilleurs,
A prospérer en un monde dans la chaleur
Humaine après la tiédeur, la tiède heure,
Où on vous souhaite de la vigueur
En ces temps âpres de rigueur,
Avec le printemps pour orner modérateur,
Ce climat ambiant dévastateur,
En ayant pour toile de fond
Et pour liberté de ton,
La bonne formule pour renouer avec nos idéaux,
En sachant trouver les mots
Dans un monde plus enchanteur,
En attendant des jours meilleurs.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi en ces temps de confinement, ne faut-il pas qu'un homme très gentil se retienne trop auprès de sa copine ?
- Parce-que sinon après, ce sera une crème brûlée !
Jérôme de Mars
C'est le bazar !
Capharnaüm,
J'ai le cafard
Comme j'ai des cafards
Chez moi, et que c'est le bazar !
Dans ce putain de bordel,
Où j'implore le ciel
Dans ce putain de bordel,
De rouvrir les maisons et closes
En vase-clos communicants,
Ou à huis clos porte close
Si c'est la sinistrose
Des gens bien-pensants,
Alors que c'est le bazar !
A moins que Michel Fugain
Revienne avec son big bazar,
Dans l'entrain des boute-en-train
Dans un ultimatum,
Qui sera le résultat
Des filles de joie,
Car oh ! putain de bordel !
Si on rouvrait les maisons closes,
On aurait des paroles écloses
Loin du hangar,
Mais par le plus grand des hasards,
Car oui clos !
On clôt
Ce bordel,
Avec une passerelle
A son escarcelle,
Car putain ! de bordel
C'est le bazar !
Jérôme de Mars
Les cons finis
Confinés, les impatients meurent sur le champ d'honneur,
A attendre que le temps passe ou trépasse, avec les règles en vigueur,
Où ils veulent de la teneur, pour savoir à quoi s'attendre, s'ils sont résolus
A demeurer dans leur léthargie en réanimation, ou à une déconvenue
Comme les cons finis, confinés et efféminés, dans leur sensibilité de midinette
A faire du surplace, de toutes leurs différentes facettes dans le miroir des paillettes,
Où ils s'épanchent ou se penchent à rencontrer paroles d'Evangile,
Agiles, fragiles et adeptes d'un périple en route vers la période bissextile,
Comme les cons finis dénichent la péniche à déchanter sur La Seine,
Confinés à chercher le rôle moteur, d'un public digne dans une parade seine,
Tel le troubadour, qui attend de passer son tour dans la grande tour des cons finis,
A implorer le ciel, de sa basse besogne, ou à étaler sa dette céleste dans une folie
De l'hérésie, ou à tout gérer en autarcie, qui veut que le Bon Dieu sème un totem
Dans un nom de baptême, dans le confessionnal, où l'on désigne le carpe-diem
Pour résoudre ses problèmes, et profiter de l'instant présent dans un paradis
Sur Terre, avant l'inventaire dans le couloir du jugement dernier des cons finis,
Qui décident le jardin secret d'Eden, où sera enseveli dans l'éloge de la nécrologie,
La synchronie de Dieu, si jamais il réussit à convertir confinés, les cons finis.
Jérôme de Mars
Pas rassis !
Etrangers
De France,
Ils sont étrangers
Aux lois de la finance,
Ils ne prennent
Le pain
De La France,
Mais s'éprennent
De notre pain
Avec accoutumance,
Comme pour eux,
Ca a de l'importance
D'aimer La France,
Autant que Dieu,
Dont c'est du pain béni
Que le pain ne soit rassis,
Ni que Les Français ne soient rassis
Sur le pain des Français rassis,
Car Les Français ne sont racistes,
Puisque notre pain est aussi
Celui des étrangers optimistes,
Etrangers à tout ceci
Pour la vie,
Car pour eux
Et pour nous aussi
Jusqu'aux cieux,
C'est du pain béni
Pas rassis !
Jérôme de Mars
CD tubes
Tubes cathodiques,
On nous passe
Et on nous trépasse
En tubes nostalgiques,
Des chanteurs DCD
Dont CD tubes
De chansons euphoriques,
Mélancoliques ou mélancomiques,
Tous les tubes
Qu'on nous passe
Ou on nous trépasse,
En tubes qui nous pompent
En faisant des pompes,
Ou en ayant des coups de pompes
Avec des pompes à savons,
Si on nous passe des savons
Et si nous savons que CD tubes,
Tout ce qu'on nous fredonne de chansons
Avec des pompes à moutarde,
Qui me tardent et m'attardent
Qu'elle me monte au nez
Avec nos pifs,
Où l'on a dans le pif
Tout ce qu'on sniffe,
De tubes de bulles à savons
Si on s'en lave les mains
Et que dès demain,
On nous passe un cahier
Pour noter tous les tubes,
Des chanteurs DCD
Dont CD tubes
Tous leurs tubes,
Qu'on nous repasse
Sur les tubes cathodiques,
Aux refrains alchimiques
Et chimiques avec des affinités,
Et atomes crochus
Tous ces chanteurs DCD,
Dont CD tubes
Pour certains
Très BCBG,
Avec ACDC
A l'affût
De tubes de bulles à savons,
Si nous savons
Que des tubes
Des chanteurs DCD,
CD tubes.
Jérôme de Mars
De mon œil en trompe l’œil !
Œil de vers
Mon œil ! J'écris en vers
De mon œil hier, œillère,
Avec une cuillère en argent
A prendre tout pour argent contant
De mon œil en trompe l’œil !
Si jamais je me rince l’œil !
A boire des tilleuls,
Qui me fassent souvenir de mon aïeul,
Où je reste confiné à mon fauteuil,
Seul chez moi confiné,
Avec les cons finis de mes écrits raffinés
Ou efféminés, de mes grandes excentricités,
Mon œil ! De vers, je bois avec vous un ver
Depuis mon refuge en verve, et qui vous ressert
Un ver de poème qui dessert
Mon œil de vers aux forts revers,
Où je me mets aux vers
De l'an vers au père vers,
En toute humanité et simplicité
Avec réciprocité
Dans ma fugace sagacité,
D'où j'ai fini de vous citer et inciter
Bon pied bon œil !
De mon œil en trompe-l’œil !
Jérôme de Mars
Les bites seules
Il est question de parodie
Dans ce poème,
Où j'en déduis
Qu'il brocarde Les Beatles
Dans les bites seules,
Comme nom de baptême
A la file Anglaise,
Qui faufile à La Française
Les Beatles
Vers les bites seules,
Qui meuglent
Aveugles et qui meublent
Leur concert de louanges,
Dans un cancer de langes
Pour l'ex-femme de Paul McCartney,
Du nom de Linda, car désincarnée
Avec ses ongles incarnées,
Dont les bites seules de toc
Sont en roc
De Beatles,
Avec leurs bites seules
Dont ils tiennent à L'Anglaise
Leurs paroles de pubs,
Terre-à-terre glaise,
Agile et argile
Si ce sont des paroles d'Evangile,
Comme John Lennon
Se prenait pour Dieu,
Plus célèbre que Jésus Christ
En tant qu'artiste ébéniste,
Qui montre de quel bois il se chauffe
De vieux réac et beauf,
Avec ses caprices d'odieux
Veules qui meulent,
Oh ! La vache sacrée trop olé olé,
Car ça ne sonne, ne raisonne
Et ne tourne pas rond chez John Lennon,
Très imbu de sa personne,
Presque complètement givré et barré,
Avec les bites seules
Du groupe Les Beatles
En manœuvre,
Avec Philippe Manœuvre à la manœuvre,
Dont c'est leur oeuvre
En hors-d'oeuvre,
Comme ils œuvrent
A recevoir leur sensible reconnaissance,
De la quintessence à l'essence
De leur talent,
Dont c'est leur tempérament
D'arriver à échéance,
A la date butoir
De leur répertoire,
En guise d'au revoir
Et à revoir
De toute urgence,
Car on confirme
Que de leur firme,
Les Bites seules
Sont des imposteurs,
Et que les seuls vrais acteurs
De cette entière manigance,
Avec arrogance
Sont Les Beatles,
Avec leurs bites seules.
Jérôme de Mars
C'est le fruit de mon travail !
Pour ma pomme,
Je mange une pomme dépit,
Sans que je prenne le melon
De la pastèque,
Où j'ouvre ma fraise
En gardant la pêche,
Si je fais la peau au brugnon
Et que je m'assois sur une poire,
Qu'assis sur le cassis,
Où je suis une poire
En payant l'amande honorable
A l'avocat du diable,
Où je dégoupille la grenade,
Et je la désamorce avec Clémentine
Qui est en faim le fruit de l'amour,
Où je ne reste dans mon coing,
Car je tape sur les mûres
Pour lui dire à Clémentine
Qu'elle ne compte pour des prunes,
Où je lâche la grappe au raisin
En prenant un forfait Orange stressé,
D'où avec Olive, je mange mon olive,
Quand je rencontre Popeye
Qui met du fer dans mes épinards,
Si bien que je cherche une datte
Pour fixer une datte,
De mon prochain mariage
Avec Clémentine,
Car c'est le fruit de mon travail !
Jérôme de Mars
Une hirondelle ne fait pas le printemps
Porte-jarretelle, jactent-elles !
Les hirondelles rôdent à leurs aises
Lors de la saison de l'amour,
Où épousent-elles dans du velours
La musique qui frétille les soupirants
Dans un genre bossa-nova,
Qu'une hirondelle ne fait pas le printemps
Surtout si le couple bat de l'aile
A-tire-d'aile dans un battement d'ailes,
Si surgit un tue-l'amour vanille fraise
Dans un concerto pour piano aux ébats,
De filles de joie pour mettre bas
Le numéro de séduction ainsi Cupidon,
Dans un jeu de rentre-dedans très torride
Sur les Iles du sexe sans complexe avec addictions,
Qu'une hirondelle ne fait pas le printemps
Dans un remue-ménage de printemps longtemps,
Après les ballets de la marche nuptiale en cas
Si les ailes sont volatiles ou volages au contact humide,
Qu'une hirondelle ne fait pas le printemps
Dans un endroit décomplexé de scrupules,
Mais cherche le subterfuge qui pullule
Du pollen à une odeur de meilleure haleine,
Dans la rengaine que la saison a rencontré sa madeleine
De Proust sitôt la trêve,
Où là s'achève Adam à la recherche de son Eve, en élève
De l'amour, qui déniche le cinquième élément,
Comme ici et là
Une hirondelle ne fait pas le printemps.
Jérôme de Mars
Chauvin, chauve hein !
Chaud vin,
On s'fait des cheveux !
Chauvin, chauve hein !
En show 2020,
Où on boit du vin chaud
A votre santé sur le réchaud,
Presque sur les cieux
A patauger,
Et à se badigeonner
Avec des gars doux, des gadoues
Sur le redoux,
Où l'on glisse
En mastiquant du réglisse,
Dans un délice, des lisses
Lisse avec hélice,
Et Lise,
De la lettre à Elise !
Où on s'fait des cheveux !
Si je veux
Qu'on boit du vin chaud
En 2020 show,
Chaud vin,
Où on est chauvin, chauve hein !
Avec Céline Chauvin
Des vins de vins, devins,
Où l'on esquisse
Un sourire dans des caprices,
De l'emprise
Qui méprise,
Les caractéristiques
D'astérisques risques sur risques,
Où on boit à votre santé,
Sans l'ivresse d'excès désaxés
Sur la voie publique,
Avant un mariage sur les bans pudiques,
D'où l'on trinque à votre vin chaud,
Du chaud vin
Au show vin,
2020 chauds,
Comme on ne s'fait des cheveux !
Grâce à un si Dieu
Avec du chaud vin,
Car on reste avec Céline Chauvin !
Chauvin, chauve hein !
Jérôme de Mars
Taboulé, t'as boulé !
Des boulets, t'as déboulé !
En mangeant du taboulé,
Que t'as boulé !
Sur ton tabouret
Avec Jean-Claude Bourret,
Que t'as bourré
Et débourré !
A la bourrée Auvergnate,
Dont tu prépares de ta cuisine délicate,
Du taboulé,
Que t'as boulé !
Jérôme de Mars
Dernier texte avant un laps de temps indéfini
Prétexte : Vu le con texte, ce n'est pas un prétexte si je vous écris ces ultimes maux, à travers ce dernier texte avant un laps de temps indéfini, car nul ne sait de quoi demain sera fait ! Où il faut vivre au jour le jour, et à contre-jour intempestif, où même si ce n'est pas festif, il faut continuer à espérer et à croire en l'humain, il y en a encore qui en vaillent la peine dans ce monde individualiste, qui peine à recruter des gens bien, humbles et altruistes dans ce monde d'égoïstes.
Contexte : Ce dernier texte que j'écris avant un laps de temps indéfini, est symptomatique et systématique du syndrome de la situation très critique, que je prends beaucoup au sérieux, vu l'ampleur de la situation, où oh ! vue des circonstances graves, pendant quelques temps, je n'écrirai pas de textes et je reviendrai prochainement vers vous, d'ici une certaine période charnière, qui reste à déterminer, où si elle est charnière cette période, je me livrerai et je me délivrerai à vous, avec pudeur de ce fardeau, sans que ce soit un prétexte vu le contexte.
Dernier texte : Avant de vous dire au revoir pendant quelques temps, voire quelques jours, voire une semaine ou plus, je vous clame mes sincères amitiés à vous tous, même si ça tousse ! Et qu'il faut rester soudés et se serrer les coudes en ces temps difficiles et instables, où il faut une fable affable, en une morale de la fontaine pour avoir le moral, et lui chuchoter d'une voix suave, " Fontaine, je boirai ton eau sans que ce soit un prétexte vu le contexte de ce dernier texte ", car pour tenir le coût, Prenez sur vous ! Prenez soin de vous ! Et puisez dans vos ressources ! En remontant à la source de pourquoi la vie n'est pas un long fleuve tranquille, dont c'est pour cela que je me produis sur Seine devant vous dans l'écriture, en faisant couler beaucoup d'encre de ma plume, d'où je jette l'encre, car y en amarre ! Et que vu le con texte, c'est là finalement, avec ce prétexte dans ce dernier texte, que j'ai décidé de larguer les amarres !
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on à une prostituée qui ne veut pas rester chez elle confinée ?
- Mais putain reste chez toi !
Jérôme de Mars
Décalage à l'an vers
De ce verlan
Je parle de vers lents,
Quand je me mets aux vers
Dans ce décalage à l'an vers,
Où c'est le monde à l'envers
De l'an vers,
Où il faut qu'on boive des vers solidaires
Dans ce monde actuel de vers solitaires,
Pour passer de la zone lunaire
A la dimension solaire
De ce décalage à l'an vers,
Où je me mets aux vers
Pour prendre un ver
A votre santé
Et sans excès,
Où l'on a besoin de choses légères
Dans notre imaginaire,
Quand l'air dans cette embolie pulmonaire
A besoin en urgence vitale d'embellie pulmonaire,
Pour passer de la colère qui nous trépasse
A une joie populaire qui nous surpasse,
Pour passer de l'impasse
A l'un passe
Dans ce décalage à l'an vers,
Où il nous faut faire un inventaire
De notre Terre en faillite pécuniaire,
Pour la changer d'égoïste
En l'adaptant en mode altruiste,
Car pour tous c'est la crise,
Et si on ne fait rien, on s'enlise dans la bêtise
De ce monde à l'envers,
Qui parle d'extraordinaire,
Mais par l'intermédiaire
Des couches pas forcément populaires
Car prospères,
Mais il dont refonder l'immonde
En un monde
Plus solidaire
Après l'immonde solitaire,
Où même si ça choque
De ce que je vais dire,
Je m'en fous en pare-chocs
A en suffire,
Que cette crise a du bon
Si ça permet juste de changer l'emballage
Du carton,
Dans ce décalage
A l'an vers,
Pour rendre le monde meilleur
Avec moins de rancœur,
Mais pourquoi attendre cette crise ?
Pour être plus solidaires
Avant que tout cela s'enlise
Alors que c'est d'ordinaire,
Qu'on devrait toujours être solidaires
Et dont cela serait salutaire sur place,
Alors qu'actuellement notre monde est délétère
Avec du surplace,
Car comme par hasard
Dans le hangar,
On trouve de l'argent
En argent comptant,
Alors que le reste du temps,
On ne veut faire que des économies
Pour en tirer profit
Dans ce monde à l'envers,
Où je me mets aux vers
Dans ce décalage à l'an vers,
Dont je fais le déballage en inventaire
Alors pour que tout ça soit salutaire
Sur La Terre, tirons-en des leçons de cette crise !
Avant qu'on s'enlise dans la bêtise,
Car seuls, nous pouvons changer le cours des choses,
En sachant pour quelle cause, on se cause,
Si on passe du ver solitaire
En des vers solidaires
En inventaire,
Quand je me mets aux vers
Dans ce monde à l'envers,
En totale décalage à l'an vers.
Jérôme de Mars
Escapades vers un voyage de l'inconscient
Science infuse, pourvu qu'on diffuse
Dans un cas de conscience, l'écluse
Qui fait barrage sur La Seine
Et qui avec du bois d'ébène,
Vogue destination les escapades
Vers un voyage de l'inconscient,
En se produisant sur l'estrade de l'esplanade
Avec des figurants qui se rangent coopérants,
En obéissant aux forces de l'ordre dans un rôle prépondérant
Dès l'avènement de l'événement,
En un confinement juste au moment du printemps,
Où l'on se serait bien passés de ces éléments troublants,
Où il faut qu'on se mette aux vers
Disponibles dans un je de gamme ouverts,
A pianoter des notes salées sur notre piano d'amende honorable,
Où on se sert affables du chaos qui nous plonge ineffables,
Dans quelque chose de très déroutant,
Et de particulier chez les particuliers, où il faut une attestation
Pour démontrer l'accréditation,
Que ce n'est une imposture de manipulations,
Où l'on joue franc jeu sans objections
Et où influents, on demeure humbles et souriants
Jusqu'en escapades vers un voyage de l'inconscient.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Marine Le Pen risque-t-elle de passer en 2022 ?
- Parce-qu'elle fera un rassemblement national !
Jérôme de Mars
Quand la pluie aura cessé, le soleil reviendra-t-il ?
Variations constantes du temps fluctuant,
On implore le ciel
De nous donner au plus vite des nouvelles,
De quand le temps contrasté
Cessera de nous importuner,
Dont on déplore qu'il soit géré
Avec des bouts de ficelles,
Le temps bipolaire avec son fort tempérament
A la nuance de s'il est méchant ou gentil,
Pour savoir quand la pluie aura cessé,
Et si le soleil reviendra-t-il ?
Plus fort
Ou dans le phosphore d'une métaphore,
Car le temps ne ricane,
D'autant qu'il brûle avec son Jerrican
Tout ce qui le dérange,
De Paris à Orange, O' range !
Où l'on s'évertue
Dans le bruit des déconvenues,
A déplorer le ciel
De ce qu'il est devenu,
Car nul ne sait de quoi !
Il adviendra
Dans les prochaines nouvelles,
Comme ça sera l'inconnu
Et de si le temps restera volatile,
Ou bien quand la pluie aura cessé,
Est-ce-que le soleil reviendra-t-il ?
Jérôme de Mars
La gym tonique des mots
Dimanche, quand tu t'endimanches !
Supersonique et tectonique,
T'as la gym tonique
Des mots,
Où t'es confus dans l'embarras,
Bon débarras !
Si t'as l'embarras du choix
A te mettre dans des états unis,
En des vibrations
D'élucubrations et de résurrection
Dans un bruyant méli-mélo,
Où c'est la mélo mégalomanie
Si t'as la gym
Des mots,
A rester sur le carreau
De ton mouchoir à carreaux,
Aux vitraux
En se tenant à carreaux
Ou à faire partie de la dream team,
Où d'après l'idéal scénario,
T'as de quoi te mélanger incognito !
Parmi tous les badauds,
Qui se ruent
A l'affût de la rue,
Si t'as la gym
Des mots,
Toniques et tectoniques
Dans la frime qui se grime
En des métaux,
De musiques de métaux
Durs comme du salto
Dans le mambo,
Où t'as la gym
Des mots,
Tant que tu crois
En des fantômes,
Qui sont les tomes
Et les atomes crochus,
Qui se livrent
Et se délivrent
D'une vie de bordel,
Où il faut remettre de l'ordre
Des côtés les plus sobres,
En priant ainsi corporels
Pour encore
Conclure des accords,
En tout point supersonique
En y posant aucun point de veto,
De la gym tonique
Des mots
Dimanche, quand tu t'endimanches !
Jérôme de Mars
On revient à l'essentiel !
Sur un point sensible,
Pour ne pas qu'on pète
Les fusibles,
Dans d'amères défaites
Avec ce cas solennel,
On revient à l'essentiel
D'une vie plus saine,
Moins reine
Sur le profit,
Mais dont il faut tirer profit
Dans une meilleure haleine,
Pour filer un coup de pied ferme
A ce virus,
Et lui hurler
A tue-tête,
Ferme-là ! et renferme-
Toi s! Sale Coronavirus !
Comme on ne souhaite
Qu'une chose,
Ta simple mort
Sans aucun remord,
Dont tu ne causes que des ecchymoses,
En ayant de la veine
Avec les défunts que tu jettes aux oubliettes,
Où pour triompher en singulier, pluriel,
On revient à l'essentiel,
En prenant des nouvelles
D'untel et de tel,
Où il faut garder
Et préserver,
Le lien social
Et amical,
En ces temps rudes
Et prudes,
Car les gens sont pudiques
Pour affirmer qu'ils aiment
Leur famille,
Et leurs amis
Malgré ces tristes chrysanthèmes,
Où c'est un service public
De se recentrer sur l'essentiel,
Comme on revient à l'essentiel
Dans cette période charnière,
Qui ne sera la dernière
A coups de frustrations substantielles,
Habituelles et ponctuelles,
Où il nous faut une fontaine,
Car fontaine, je ne boirai ton eau
Mais juste tes peines,
En compatissant à tes doubles maux
Que nous provoque ce confinement,
Et dont je revendique
Tant que je n'abdique,
Qu'il faut résister patients
A tous ces sordides événements,
Où je vous souhaite
Pour passer le temps,
De faire des emplettes
Dans ce qu'il y a de plus rationnel,
Et en vous de personnel,
Car là on revient à l'essentiel.
Jérôme de Mars
Art t'es ras pied !
Ecriture qui est une sinécure
Avec désinvolture,
Pour adopter la bonne posture
Dans notre authentique nature,
D’œuvrer pour l'art thérapie
Si jamais tu manœuvres,
Et que tu causes un hors d'oeuvre
En faisant de l'art de tes petits papiers,
Où il faut que tu sois dans les petits papiers
Si jamais de ton art t'es ras pied !
En endossant le rôle du ramier,
Où tu peux concevoir de biens jolies poésies
Avec des ramettes de papier,
Qui font tourner les cartouches d'encre
A volonté, sans gâcher l'encre qu'ancre
L'art terre à terre d'une mise à disposition,
Quand de ton art t'es ras pied !
En prenant tout à contre pied,
Quand tu inventes l'usurpation
De quelle est ton identité ?
A proprement parlée avec ton franc-parler,
Où tu montes le ton avec une liberté
De ton, ton ton
Si ton ton est ton tonton,
Pour raser les murs,
A base de fruits mûrs
De l'art thérapie,
Où tu cherches à qui ?
Appartient cet art de petits papiers
S'ils rentrent dans tes petits papiers,
Quand de ton art t'es ras pied !
Jérôme de Mars
Et gars ! Edgar !
Avec un jaguar à la gare,
Et gars ! Edgar !
Il faut que tu te gares
Et que tu t'égares,
Près du hangar
Gare aux gorilles,
Si tu vois Georges Brassens
Qui te singe en te prenant pour un poulain,
Sous son aile ma poule hein !
Si tu t'éparpilles et qu'il te pille,
Le registre de ton répertoire
Histoire de garder ses droits
D'auteur, à raconter au bistrot du comptoir
Tous tes déboires,
Quand tu bois
Et gars ! Edgar !
Et que tu promènes ton jaguar
Près du hangar,
Où tu te gares
Et où tu t'égares,
Cher Edgar !
Avec ton cigare
Du bout des lèvres,
Où tu balances
Que des racontars,
Comme tu t'en balances !
Si ça balance pas mal à Paris
Avec la fièvre,
Qui surgit à redondance
Avec ton innocence,
D'où j'espère, tu auras
La décence,
Quand tu élances
Tes bobards,
D'attendre que ce soit
Le soir,
Près du hangar
Pour aller,
Et pénétrer
Dans des pérégrinations succinctes,
En flânant sur le nénuphar,
Qui n'est nu phare
Sur l'étang,
Qui s'étend
Au fard plein Ouest,
Dès que le soleil se lève à l'Est
Et gars ! Edgar !
Lorsqu'avec ton jaguar,
Tu quittes la société Dugas !
Bonjour ! les dégâts !
Et les gars !
Quand arrive l'heure
Dans la chandeleur,
A te murmurer au revoir,
On t'attend pour la prochaine fanfare
Et gars ! Mon cher Edgar !
Jérôme de Mars
L'oiseau qui a la clope au bec
Bec et ongles,
Avec du rubis sur ongles,
Qui jonglent
Pour ne pas qu'il y ait
De prises de becs,
Le ciel témoin a décrété
Que l'oiseau qui a la clope
Au bec,
Fumerait le calumet
De la paix,
Dans un monde cyclope
Avec six clopes,
Desquelles l'oiseau volerait
De ses propres ailes
A tire d'aile,
Malgré que le ciel
Bat de l'aile,
Ainsi pour envoler
Une pléiade d'hirondelles,
Dont nous laisserons
Celles, qui décideront
A l'issue de toutes les saisons,
Lequel de l'oiseau qui aura
La clope au bec,
Dans ce monde cyclopes sec
Avec six clopes nec plus ultra,
Qui détectent la mauvaise odeur
Des cigarettes à base de noirceur,
Où pour diffuser de plus belles
Ondes dans le ciel, vivement la ritournelle
De l'oiseau qui a la clope au bec,
Pour infuser sans prises de becs secs
Six clopes, dans ce monde cyclope
Et pop rock, dont c'est le top du top
Que l'oiseau qui a la clope au bec
Répande le calumet de la paix,
Avec pour respect
Qu'il becte sans prises de becs secs
D'un monde meilleur,
Qui accouche sans douleur
Dans la fraternité et la solidarité,
Où celui qui aura résolu
Toutes les prises de becs,
Sera dans l'absolu
L'oiseau qui a la clope au bec.
Jérôme de Mars
Donnez-moi des vers gratuits pour rendre le monde meilleur !
Venez au bar avec des accoudoirs, pour se serrer les coudes,
En ces temps difficiles, où il faut boire des vers qui nous soudent,
Où un pour tous et tous pour un, avant que ce soit tous plus rien !
Où je vous en conjure
Pour ne pas qu'on aille dans le mur,
Donnez-moi des vers gratuits pour rendre le monde meilleur !
Et y composer un poème, en une ode à l'amitié en plusieurs
Facettes, où chacun y trouverait son compte en quatre un,
Où l'union fait la force et nous renforce, dans ce qu'on a de plus brillant
En nous, pour faire illuminer le soleil, dans ses côtés les plus charmants,
Où je vous le jure
Pour ne pas que périsse notre nature,
Donnez-moi des vers gratuits pour rendre le monde meilleur !
Pour en avoir la garantie qu'il sera plus enjoliveur,
Si j'écris avec métamorphoses un poème qui ose
Se fondre contre la morosité ambiante, dans une permanente osmose
Dans le cosmos en espace temps pour y planter une fleur,
Qui cultivera un monde plus extérieur et davantage fédérateur,
Où l'on sera tous acteurs d'un monde plus civilisateur,
Avec malin l'enchanteur, pour réveiller nos âmes inertes,
Où il faut que vous me donniez des vers gratuits pour rendre le monde meilleur !
Afin de donner l'alerte d'un monde plus alerte et sans perte,
Où le jour que j'aurai fini de transcrire un poème salvateur,
Je vous en donnerai la recette pour que l'on soit plusieurs,
A en composer à base d'ingrédients sains
Dans le dessein, un plat avec de la nourriture digeste,
Car pour le reste,
Pour qu'on passe de chacun pour soi à tous pour un !
Dans la chaleur d'un cordial radiateur,
Donnez-moi des vers gratuits pour rendre le monde meilleur !
Jérôme de Mars
La clé de sol
Pas de bol !
Il y en a ras le bol
Qu'on ne trouve la clé
De l'énigme,
Rangée dans la clé de sol,
Qui nous déboussole
Renfermé dans l'obscurité,
Do ré mi fa sol
Sur le saule pleureur
De la sole qui reste ampleurs,
Si jamais il y a la camisole
De force en un cataclysme,
Qui suggère une ombrelle
De lumière,
Sur un ton solennel
D'une clé de sol,
Où dans le sous-sol
On requiert linéaire
Une boussole,
Où la clé de sol
Mettra en musique
Sur un air traditionnel,
Des chansons populaires
En guise de plaisirs héréditaires,
Car grâce aux anges venus du ciel
On aura ouvert la clé de sol,
Et découvert une parabole
Pour capter l'air du temps
Comme bientôt surgira le printemps,
Où après le ras le bol,
Succédera une coupe au bol,
Dès qu'on aura pour longtemps
Un peu de bol avec la clé de sole.
Jérôme de Mars
La petite bête qui monte, qui monte...
Panse-bête, on renaît au printemps,
Dont avec un pense-bête, il y a tant
De petites bébêtes qui hébètent,
Et qui montent, qui montent....
Avec la petite bête qui monte, qui monte...
Sans avoir honte dans la fonte
Des glaces, qui laissent de glace,
Le retour du printemps qui s'enlace
Avec les animaux qui sont bêtes,
Et qui sont des bêtes, quand ils embêtent
La petite bête qui monte, qui monte...
Et qui démonte,
La course de la honte, dans la fonte
De la banquise, qui démontre
Et montre
Que les petites bébêtes qui hébètent,
Restent bêtes avec la petite bête,
Qui monte, qui monte...
De la fonte des glaces
A la fonte de la banquise, qui laisse de glace
Le printemps qui s'enlace et se prélasse
Avec le temps grisant, qui surmonte
D'un panse-bête, qui pense bête
Avec un pense-bête,
Quand pour de bon, on hébète
Avec la petite bébête qui monte, qui monte...
Jérôme de Mars
Lyre avec ses yeux la musique de sa vie
Bande originale,
On préfère l'original
A la copie,
Quand avec du collyre
Il faut lyre
Avec ses yeux ,
La musique de sa vie
En faisant un album studieux
Du studio aux paroles,
Dont on met en musique
Avec une distribution symphonique
Tout notre ras de bol ,
Où il nous faut une boussole
Et une parabole,
Pour capter l'air du temps
Et si ça reste fascinant et intéressant,
De lyre avec ses yeux
La musique de sa vie,
Dont avec le collyre on y voit mieux
A vouloir ce qu'il y a de plus épanoui,
Quand de notre bémol
On compose des paroles,
Pour réconcilier les gens
Avec la vie,
Et ses inepties
Qui font en chacun tout un boucan,
Où l'on veut en accalmie
Avec du collyre fameux,
Lyre avec ses yeux
La musique de sa vie,
Grâce à un somptueux ciel bleu
Pour rêver d'un monde fabuleux,
Qui demeurera dans les annales
D'une nation qui fait front,
Mais dans un affront national à l'union
Sacrée, où de notre besoin viscéral
On aspire à un pays généreux
Dans notre belle vieille France féodale,
Lorsqu'on allie l'amical avec l'amiral,
Où ainsi avec du collyre on arrive de mieux en mieux
A lyre avec ses yeux
La musique de sa vie,
En paroles et en musiques
De notre système G, comme on vous déclare aptes
Après l'entracte, si on vous capte
Pacifiques et mélodiques,
Pour une chanson en émotions
D'un au revoir à chaque saison.
Jérôme de Mars
Le barbier de ces vies
Début de la trame,
Avec des lames
De rasoir,
Aux prémices de cette histoire,
Qui a l'air rasoir
Avec des larmes de mots,
Qui coulent paranos
Et mégalos,
Tirées de l'opéra de Rossini
D'après la pièce de Beaumarchais,
A bon marché,
Qui se déroule entre L'Italie
Et Paris,
Et qui le barbe
Avec de la rhubarbe
Le barbier de ces vies,
Qui sévit de Séville
A ces villes,
Du barbier de ces villes
Poil à gratter,
Dans un micro-trottoir
Sur les trottoirs,
De ces villes
A Séville,
Qui laissent à désirer
Le bistrot de comptoir
Du petit commerce,
Du barbier de ces vies
Dont c'est son fond commerce
Dans lequel il exerce,
Quand il taille les barbes
Hauts ! la barbe !
Dont il en a plein la barbe
Et plein la rhubarbe,
Comme ça le barbe
Le barbier de ces villes,
Qui exerce de Séville
A ces villes
De Paris
Et d'Italie,
Lorsque le barbier sévit
Et s'assouvit
A bon marché,
De la pièce détachée
De Beaumarchais,
Dont il rend la monnaie
De sa pièce,
En espèces
A Rossini,
Du confinement de L'Italie
Jusqu'à Paris,
Dont le barbier de ces villes
En a plein la barbe,
Et que ça le barbe !
De Séville
A ces villes,
Où sévit
Le barbier de ces vies,
Comme cette histoire
Est rasoir,
Avec un immense réservoir,
Abreuvoir et déversoir !
Avec un entonnoir
Du fond des tiroirs,
Dont en réquisitoire
Avec des bruits de couloirs,
Il ordonne en exutoire
Dans une date butoir,
Fin de cette trame
Qu'il déclame avec des lames
De rasoir,
Comme elle fut largement rasoir,
Pile-poil à déranger
Et poil à gratter
Du barbier de ces villes,
Qui sévit,
De Séville
A ces vies,
Oh ! La Barbe,
Il en a plein la barbe !
Beaumarchais,
Quand il donne à bon marché
Une pièce détachée,
En espèces menacées
A Rossini, dont lui,
Il n'en a plein la barbe de ces vies !
Avec de la rhubarbe qui sévit
De Séville
A ces villes,
Dont le barbier de ces villes
Sévit de Séville
Jusqu'au barbier de ces vies,
Dont il rend la monnaie
De sa pièce,
De Rossini
En espèces,
A Beaumarchais
A bon marché,
Et aux marchés d'Italie
A Paris,
Car c'est là que sévit,
De ces villes
A Séville,
Le barbier de ces vies.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi le lien social est-il gelé à cause du CORONAVIRUS ?
- Parce-que si on s'en lave les mains, on nous passera un savon avec du gel hydroacolyte !
2) Pourquoi est-on obligés d'être négatifs face au CORONAVIRUS ?
- Parce-que si on est positifs, c'est qu'on l'aura chopé le CORONAVIRUS
Jérôme de Mars
Le soleil de Mars
Plutôt Pluton au mois de Mars,
Je mange un Mars
En allant sur la planète de Mars,
Où gravite le soleil de Mars
Dans le changement de la continuité
En quarante annuités,
Si je rencontre l'amour sur Venus
Avec la Venus
De Milo, qui gratte son anus
Pendant l'annus horribilis,
A en perdre son latin,
Au quartier Latin,
Pas d'quartier d'effets d'aubaine !
Si le soleil de Mars
Se démène en un phénomène
De société, à bifurquer sur Saturne,
En des jours et des nuits diurnes,
A songer être à la une de la lune,
En comptant pour des prunes
Sur Neptune,
Sans rancune mais avec des lacunes,
Quand le soleil de Mars
Luit au mois de Mars,
En mangeant un Mars
Et ça repart !
Sur la planète Terre
Très terre-à-terre,
Proche
Des anicroches,
Qui crochent sur pied
Et qui clochent à contre-pied,
Quand je suis sur une autre planète
A prendre la température
De Mercure,
Quand elle s'éprend au premier degré
Et se méprend au second degré
De l'étoile du soleil,
Avec les comètes
De l'angélisme, qui chancelle
La planète Uranus,
Qui est stérile avec aucun fœtus
D'aucune fertilité,
Si le sourire aux lèvres
Reste mièvre
Et sourd au danger,
Que représente toutes les planètes,
Entières et interstellaires,
En en faisant une automatique ritournelle,
Qui tourne en boucle la même aquarelle,
Quand la boucle est bouclée
Sur le domaine majestueux, qui tient tête !
En une de la lune, en mettant tous à la une !
Quelques lagunes
D'une mer de sable,
Avec du sirop d'érable,
Pour lisser et coulisser
Les coulisses et
Du soleil de Mars,
Qui rit au mois de Mars
Et sourit en mangeant un Mars,
Car un Mars et ça repart !
Si ça ne se trouve nulle part,
Avec Jérôme de mars
Du soleil 2 Mars.
Jérôme de Mars
Album pour le printemps
Comme une chanson,
Si lors de la première saison
On te fait une fleur
Et qu'on t'envoie des fleurs,
C'est que tu as le droit au bonheur !
Avec la fièvre du soleil
Qui rend rebelle
Dès l'accalmie durant un laps de temps,
Quand y a pas photo !
Dans l'objectif,
Afin qu'on réalise un album
Pour le printemps,
Dans un ultimatum
Imparti que rend serein
Le beau temps
Dans une fugue d'extase,
Qu'offre le répit d'occase
Près des jasmins,
Comme une chanson
Dont on entend toujours
Les beaux jours,
En répétition dans une partition
Entre immense solitude
Et dense attitude,
Quand avec la chaleur
Du soleil,
On offre du réconfort incognito
Aux gestes ponctuels,
Lorsqu'on réalise un album
Pour le printemps,
Et qu'il sort au summum
A l'apogée d'un bleu ciel clignotant,
Comme il est temps d'opérer un tournant !
Dans une principale inflexion
Parce-que le temps est venu à l'action,
Pour réconcilier les enfants
Et les grands-parents,
Et de garder leurs petits enfants
En passant d'agréables moments,
A fredonner exaltants
Tous ces formidables instants
Autour du temps fluctuant,
Qui a du talent
Condescendant et inconstant,
Se bonifiant réassurant
Et rassurant,
Une fois le grand barnum
Du printemps mué en un tendre dépaysement,
Lorsqu'on a fini triomphant
Comme une chanson
A la fin de la saison,
De réaliser l'ultime album
Pour le printemps.
Jérôme de Mars
Boris déviant
V'là 100 ans !
Que l'artiste naquit
Dans le maquis
De Boris Vian,
Boris déviant
Un tel génie!
Erudit et poète maudit
Avec des mots dits
De Boris Déviant
Du droit chemin,
Avec ses contrepèteries
Et ses idolâtries,
A flatter ses bas instincts
De Boris Déviant,
Et v'lan passe-moi l'éponge !
De ton bon vieux copain
Fernand Reynaud !
Que je t'essore
Et je te sors
De là,
Avec panache
En te tuant
A la tâche,
Dans import d'attache
De ta musique mécanique,
Qui recueille dans un recueil
Les écueils
De ta courte vie,
A braver le danger
Et à adouber
Ta reconnaissance tardive,
Dont à tes débuts ta poésie
Ne fut réceptive, car subversive
Dans une hérésie,
Aux yeux
Des cieux
Des plus ardus,
Que t'as mordu indu
De ta poésie corrosive,
A déranger les bien-pensants
Et à les ranger décompensant
De toute ton énergie,
A dépenser,
A repenser et à panser
Toutes tes pensées,
Mal soignées
De ta vie,
Consumée avant leurre
Au p'tit bonheur !
Tel le blouse du dentiste !
De Boris Déviant
En un déserteur,
Où tu t'en fous
Si une fois mort,
Même avec de brillant retords
J'irai cracher sur ta tombe
D'outre-tombe,
Entre fous
Alliés et illuminés,
En cet hommage posthume
Du génie et du récit de ta plume,
Acide et féroce
Dont la fée rosse,
Comme tu fus un cabossé
De la vie,
Qu'à bossé
A l'envie, où en artiste
Aux multiples facettes,
Tu conçus une pléiade
De saynètes,
Au zénith de ta vie
Dans un concert de louanges,
Durant ta propre olympiade
Bien avant les autres artistes,
Dont toi, tu fus avant les autres
Avant-gardiste,
Athée des apôtres,
Génial touche à tout
Dont ça tenait debout
Sur la longueur et la durée,
De ce que tu disais
Et tu prédisais
Dans l'écume des jours,
Où toi Boris Déviant,
Tu fis imploser
Sous un air très rock'n rôle,
Toute la java des bombes atomiques
Du rockn' roll,
D'où fais-moi mal Johnny !
Aux Holidays
Des abonnés absents,
Car les absents ont toujours tort !
Même s'ils sont retords,
Car il vaut mieux avoir des regrets
Que des remords d'être mort,
Car malheureusement,
Dans l'éphémère
De ton existence furtive,
Tu ne pris le temps de vivre,
Préférant manier
Et jongler
Avec les maux,
Pour apporter plainte
Dans la complainte
Du progrès,
Comme tu clamais
Je suis snob !
Même si t'avais pas de mob
Comme Bob Marley,
Et que tu suppliais,
Je voudrais pas crever
De mon herbe rouge,
Si jamais tu te coupes l'herbe
Sous le pied,
En vers coquins de douze pieds,
D'après Vercoquin et Le Plancton
Au peloton
De ton exécution,
Où toi Boris déviant
Boris Vian,
Qui est en toi en fidèle marginal
Et en être original,
Qui sort des sentiers battus
Atypiques avec des piques,
Battues dans la battue débattue
Toxique et magnétique,
Car on n'est pas là pour se faire engueuler !
A cause de ta colère et de tes excès !
Où tu en avais assez
De tes problèmes de cœur,
D'où tu mourus le 23 juin 1959
Dans l'arrache-cœur,
A 39 ans dans un jour neuf
Lors d'une projection,
En introspection
De J'irai cracher sur vos tombes,
Quoi de neuf docteur ?
A part de méconnaître mâle
Et quand même
Te connaître par cœur,
D'où lors de ton requiem,
On reconnut qu'on t'aime
Avec tes problèmes,
Malgré que le système D
Ne t'ait point aidé
Dans ton angine
De poitrine,
Avec ton histoire qui jase
Et jazze
Avec tes maux,
Et qui fait froid dans le dos,
Car maintenant, ça jazze !
Tout le temps sur toi !
D'où de ton petit commerce,
Tu en fis, amphis
Ton fond de commerce,
Toi, Boris déviant
Boris Vian,
Bourré de complexes,
Où tu fus si complexe,
A cerner ci-joint
Et à concerner si enjoint
Dans le complexe,
Où ça nous laisse perplexe
Tous tes réflexes
De prodigieux musicien,
Des mots et des maux
Pas ramollos,
Mais qui prennent aux tripes
Sans qu'on s'étripe,
Avec tes trémolos, traits mollos et très mollos,
Qui ne sont pas très ramollos,
Où si tu avais connu les garçons bouchers,
Tu aurais eu des débouchés
Avec les joyeux bouchers,
D'où on te dédie avec une dernière taffe
De cigarette jusqu'à ton épitaphe,
Où tu n'as plus la dent dure
Depuis que t'es mort,
Si jamais t'avais encore
De ton corps des anticorps,
Composés de la blouse du dentiste
Du à ton blues d'artiste triste,
Ecorché vif, névrotique
Et mélancolique,
Mais tellement frénétique
Et euphorique
Dans ton rythme des mots,
Dont tu fis la peau,
Car maintenant
Depuis le temps
Au ciel,
Tu écris essentiel et pluriel
En plantant l'arbre aux pendus,
D'où tu es suspendu,
Car on te remercie Boris Vian
D'avoir rendu Boris déviant,
Et vlan Evian,
Comme tout tombe à l'eau
Sous une tonne de mots,
Et dont de ton brio
On se demande
Et on quémande
De qui aura le dernier mot singulier ?
Jérôme de Mars
L'amitié malgré tout
Dialogue cocasse mais tellement universel entre
Jérôme : un ancien patient du CEREP
et Serge : un vieil éducateur du CEREP devenu un ami :
Serge : - " Bonjour Jérôme, te sers-je un ver ?
Jérôme : - Bonjour, mon cher Serge, tu me l'as déjà fait cette vanne, je devrais te demander : - Te sers-tu de mes revers ?
Serge : - Mon cher Jérôme, je bois un ver solidaire en ta santé en espérant que tu ne flancheras pas à cause de tes vieux côtés sombres !
Jérôme : - Et moi, je trinque de mon ver solitaire pourvu que je reste toujours solidaire et dans le droit chemin, pour ne pas me venger de tout le mal qu'on m'a fait !
Serge : - C'est tout le mâle que je te souhaite Jérôme, pourvu que tu trouves la paix intérieure, et que tu ne sois pas tenté par le diable, même s'il s'attend à ce que tu le rallies ! Comme je te l'avais dit l'autre fois au téléphone, te rappelles-tu quand on s'est parlés ? Il faut que tu franchisses des petits pas !
Jérôme : - Je suis tout à fait OK avec toi, mais pas être attiré par l'appât du gain mais par le pas du regain !
Serge : - Ah que c'est drôle Jérôme ! Ah ! ah ! je suis mort de rire ! C'est ta crise de rire ?!
Jérôme : - Serge, trèfle de plaisanterie, Sers-je à quoi dans la vie ? Non sérieux dans la vie, crois-tu que mes amis me laisseraient tomber si je faisais quelque chose de grave ?
Serge : - Mon cher Jérôme, je ne peux pas répondre à la place de tes amis, il n'y a qu'eux qui le savent ! J'en déduis que seuls tes vrais amis avec lesquels tu es le plus lié, et avec lesquels il y a le plus d'atomes crochus et d'empathie ne te laisseront sans doute pas tomber ! Mais Jérôme, un conseil à te donner, ne dévie pas du droit chemin ! Je comprends tes craintes Jérôme ! Avec ton état désastreux, tu as peur de commettre l'irréparable ! Je panse que seuls tes vrais amis qui te connaissent par cœur, ne te laisseront pas tomber, car comme on dit l'amitié, à la vie, à la mort ! Tu sais Jérôme, c'est pas la quantité qui compte mais la qualité qui importe, il vaut mieux avoir quelques rares vrais amis que d'en avoir cinquante et que ça parte en vrille ! Seuls les vrais amis restent dans les hauts et les bas ! Certes, l'amitié malgré tout Jérôme, mais Jérôme, ne craque pas et ne passe pas à l'acte, contiens-toi !
Jérôme : - Merci Serge de tes précieux conseils ! Tu vois quand à l'époque certains de mes amis, ont découvert certaines facettes de mes difficultés, certains m'ont tourné le dos, car ils ne m'ont pas compris en se basant sur des rumeurs et en faisant des raccourcis !
Serge : - Sans doute Jérôme, n'avais-tu pas bon dos ? Non, je plaisante Jérôme, tu connaissais Jean-Jacques Debout et l'ennemi public numéro un Jacques Mesrine malgré que Mesrine fut un dangereux hors-la-loi, même si ça ne tient pas debout, ils restèrent proches et très amis au non de la loi, car l'amitié malgré tout !
Jérôme : - Et tu vois Serge, savais-tu qu'on aime ou qu'on n'aime pas Alain Delon, que malgré sa stature et son charisme, il fut très ami avec de grands truands et caïds et savais-tu que Johnny Hallyday, s'il n'avait pas percé dans la musique, il aurait pu mal tourner et devenir un voyou, de même qu'Alain Delon, s'il n'était pas devenu acteur, tu vois Serge, même que je suis acteur de ma vie, je joue un rôle devant tout le monde dans ma vie de tous les jours, pour ne pas gonfler les autres, je joue le rôle du bouffon du désarroi, en faisant croire dans une attitude de façade, que tout va bien ! Pour ne pas que les gens me fuient, mais à l'intérieur, je suis anéanti, détruit, en miettes et dévasté de colère, de haine, de révolte, de rébellion et de hargne, avec en continu l'envie de me venger, à cause de tout ce qu'on m'a fait, tu vois Serge !
Serge : - Mon cher Jérôme, si j'ai un conseil à te donner, joue le rôle de ta vie en écrivant ta colère et aussi ta poésie de bohème sous ton parfait pseudo Jérôme de Mars, en faisant couler de l'encre de ta plume et en jetant l'encre dans le fardeau de ton écriture, sans faire couler de l'encre qui te plume, car comme tu m'avais révélé, de Mars, ce n'est pas une imposture, c'est bien le nom de jeune fille de ta maman, Jérôme, ça ne s'invente pas mon cher Jérôme ! Courage, mon ami ! Tiens-le coup ! T'as des bons amis autour de toi ! Même si t'es un joyeux fou allié et illuminé, demeure très allié et rallié à tes amis, car l'amitié malgré tout ! Même si t'es en danger, pas plus que d'habitude, à cause de ton enfance, vis au jour le jour, car vis pour le carpe-diem ! Je comprends maintenant pourquoi, t'es toujours sur une autre planète ! Car tu viens de Mars !
Jérôme : - Et tu vois Serge ! Pour conclure notre discussion qui sort des sentiers battus, mais en étant à bâtons rompus, avec sans arrêt un retour de bâton, je te dis et te dédie loquace, cocasse et en dédicace, que si j'avais vu la vierge effarouchée Marie, de mon signe astrologique vierge, que le seul jour où pour moi ça aurait été bon signe et plus vierge, c'est le lundi 2 mars car l'un dit Jérôme de mars ! "
Jérôme de Mars
Mise en quarantaine
Cap franchi de la quarantaine
Avec la maladie du virus,
Intitulée Le Coronavirus
On met en quarantaine,
Ceux qui sont touchés par la rengaine
D'avoir toujours la même haine,
Qui égrène toute leur teigne
Pourvu que leur folie ne les atteigne !
En parvenant à leurs pulsions
Les plus hautaines,
En des expulsions
Très inhumaines,
Dont c'est leur domaine
Lors du passage à la quarantaine,
Et de leur mise en quarantaine
En des mises en quarante teignes,
Dont avec leur gueule casse-gueule,
Ils t'engueulent
Et te disent ! Ta gueule ! T'as une sale gueule bégueule !
Comme on te met une baigne,
Pourvu que ça baigne !
Dans le règne
De garder la foi
Et pas du chacun pour soi,
Mais un pour tous
Avec de jolis coups de pouce,
Pour ne pas qu'on tousse
Dans une mise en quarantaine,
Et pour ne pas qu'on te pousse
Dans le cap franchi de la quarantaine,
Où comme prescription,
On recommande d'après
L'organisme de la santé,
De prendre soin des cadets
Et des aînés
Avec des cachets
En paroles d'argent content,
Et pas avec des cachets
Médicaux en argent comptant,
Où avec satisfaction,
On espère à l'unanimité
Atteindre en odeur de Sainteté,
La paix intérieure
Des ethnies inférieures et supérieures,
Pour se réunir certes
Dans une mise en quarantaine,
Mais dans l'alerte
Du cap franchi de la quarantaine,
D'où après quarante teignes
On espère franchir
Et s'affranchir
De la teigne,
Pour ci-possible
Continuer d'espérer,
En la sagesse
Et en la liesse,
Pour que ça atteigne
Après la rengaine
Et la haine,
Une des mises en quarantaine,
Une fois le cap largement franchi
Et affranchi
De la quarantaine,
Pour prôner
La réconciliation humaine,
Malgré ses failles hautaines et puritaines,
Où avant la fin de la semaine saine,
On atteindra le passage de la quarantaine
Pas en vilaine vaine,
Mais dans la bonne veine
Verveine, vers veine,
D'où l'on fera roucouler la fontaine
Qui emmène et mène,
Vers la mène de L'Eden
Sans peine,
D'où l'on te guérira de tes peurs anciennes,
Car après cela v'là la mise en quarantaine
Heureuse et accomplie,
Grâce à la philharmonie et à l'harmonie
Du passage réussi,
A l'alchimie
De la quarantaine,
Car te voici donc reparti
Pour quarantaine années pleines !
Jérôme de Mars
Vivement le printemps et les beaux jours !
D'antan et autant,
Il serait temps que le printemps
Arrive sur la rive
Des berges de Seine,
Qui assènent
Après la pluie, le beau temps
Sur La Terre réceptive,
Du soleil volage
Et volatile,
Avec les volatiles
En noms d'oiseaux,
Durant l'année des quiproquos
Versatiles et expansives
En gros mots,
Où on veut un eldorado
Pour avoir bon dos
Et poser notre dos,
Au temps
De vivement le printemps
Et les beaux jours,
Afin que dans ce compte à rebours
Près des faubourgs et des bourgs,
On chante le printemps
Avec le soleil fidèle
Au Missel,
Malgré les bleus
Que connaissent les flots bleus,
A bord des cieux capricieux
Que recèle le temps,
Lorsqu'il se détend
Au rebord de l'étang,
Car vivement le printemps
Et vivement les beaux jours,
En lisant ce qui rime chacun son tour
Et ce qui arrime de ces vers de troubadours,
Au contour d'y voir plus clair
Lors des lueurs du printemps,
Qui réveille la lumière
Au contact collé-serré du soleil,
Qui émerveille
Les faiseurs de merveilles
En virant de bord le ciel,
De son coup de crayon avec ses orteils
En mettant sur pied un rayon de soleil,
Qui flatte son ego
A temps en faisant la paix
Avec l'OTAN,
Car autant en emporte le temps
Aux prunelles essentielles,
Les yeux rivés vers les cieux
D'un monde plus radieux,
D'O' temps que pour demeurer intemporel
Il faut toujours avec les calembours
Durer instantané,
Et demeurer souvent propice
Lors des prémices
Du printemps,
Pas dans la routine
Mais dans une montée d'adrénaline,
Dès le début du printemps
Sur année et en durée indéterminée,
Car à partir de maintenant,
Vivement le printemps
Et vivement les beaux jours !
Jérôme de Mars
Blague :
Que se passera-t-il si je m'en lave les mains du CORONAVIRUS ?
- On me passera un savon !
Jérôme de Mars
Jamais deux sans trois !
Et un et deux et trois Jamais deux sans trois Si à trois, on est pliés en quatre
Et qu'on reçoit cinq Sur cinq le club Des cinq éléments
Où à six, on scie Le bout de la branche Sur laquelle tu es assis
En jouant au jeu De cette famille dans Le jeu de cette erreur
Où on met C8 Dans un huit à l'infini Débranché huit fi
Sur W9 où en un Jour neuf on te demande Quoi de neuf ?
Dans un dix De chute de tension Où ça y est c'est la chute
De ce jamais Deux sans trois Où d’œufs, on est à l'étroit en un
Dans le même Panier, jamais Deux sans trois !
Jérôme de Mars
La machine à laver le temps
Linge sale qu'on lave en famille
Si on le sèche avec infamie,
On s'en lave les mains
Si avec le séchoir,
On ne fait que déchoir certains grands soirs
Si on nous passe des savons,
En faisant des bulles de savons,
Comme nous savons tout de l'envol des papillons
De la machine à laver le temps
A l'origine des couleurs de décoloration,
Dès l'envers du décor pour proposer des suggestions
A faire une machine
Pour Ma Chine,
Lorsqu'on chine avec la lessive
Qui lessive la poudre d'escampette,
A faire la vaisselle de porcelaine
Aussi bien à des couverts qu'à découvert,
De la petite assiette dans son assiette
A prendre par le dos de la cuillère,
Ou de l'écuyère qui égrène
La machine à laver les temps,
Quand elle s'en lave les mains
A passer toujours des chansons
Similaires, si nous savons
Qu'on nous passe des savons,
Dès le petit matin à réciter son linge
Tout propre nec plus ultra,
Avec des couleurs dans leurs éclats
Dont ça nous secoue les méninges,
Lorsqu'on endosse des habits très Chrétiens
Alors que s'ils sont libertins,
Nos affaires de mœurs
Seront liées aux nurses,
D'une mégarde d'enfant
Si ça reste un jeu d'enfant,
A pattes D'ELPH des faons
Et paons,
Si l'oiseau sort son petit oiseau
De toutes les couleurs
A s'en délaver du linge sale aux tâches,
Qui font tache d'huile sans relâche
Si jamais le linge sale s'en lave les mains dans le ghetto
Des quiproquos, qui engendrent une si dense vigueur,
En remontant à l'origine de quand,
Date la machine à remonter le temps
De la machine à laver le temps
Pour un temps très propre,
Loin de la saleté des malpropres
Au sens propre du terme,
Qui arrive à terme
En vidant son sac isotherme,
Au terme de l'origine à s'en laver les mains
Dans un ménage de printemps,
Dès les p'tits matins
De la machine à remonter autant,
Qui parvient à être en paix OTAN,
Nonobstant, dès les fatidiques instants
A s'en délaver à temps qui se détend,
Et à en dévaler l'étang,
Dont on arrête le temps empreint tant
De la machine à laver le temps.
Jérôme de Mars
Blague :
Que fait une femme qui respecte ses cycles mensuels ?
- Elle respecte les règles de son corps
Jérôme de Mars
LE CORONAVIRUS ME PREND EN GRIPPE !
Motus et bouche cousue,
Je porte un masque
Contre LE CORONAVIRUS,
Et le virus
Des idées reçues,
Où je m'en lave les mains
De qui ce passera demain
Concernant LE CORONAVIRUS,
Où si jamais j'ai le virus
Tout le monde me prendra en grippe !
Si jamais LE CORONAVIRUS s'agrippe
A moi,
Où je m'en fous complètement de ce virus
Même si on me passe des savons,
Car tous nous savons
Que je m'en lave les mains,
Et que ce n'est pas mon problème
De ce qui arrivera
Demain aux humains,
Si jamais LE CORONAVIRUS
Mute
En prenant de l'assurance
Avec MATMUT,
Pour garder confiance
Dans une formule 1,
Qui percute et permute
Le virus,
En UN CORONAVIRUS
Vice versa,
Si jamais j'ai le vice qui déversa
Toute ma haine,
Même qu'il y a une mutuelle
Pour rassurer et réassurer untel,
Mais dont j'ai le venin
Et j'ai de la veine vaine,
A en vouloir à La Terre entière
Responsable de mon déclin,
Et de mon béguin,
Au diable s'il s'attend !
A ce que je réponde à ses avances
Qui sont des accoutumances en déviances,
Pour semer un grain de mauvais temps
Par les temps qui courent,
Au long con cours,
Du virus
S'il mute,
Tous azimuth
En un CORONAVIRUS,
Car je m'en laverai pour toujours
Les mains,
Comme j'en ai plus rien à foutre du destin
Et qui que soit plus malin,
Qui prétend que je suis un crétin,
Où je dis bien
En vers les humains,
Que je m'en lave les mains
Du virus des idées reçues,
Comme du CORONAVIRUS des sues,
Alors que je ne suis point déçu
Mais comptant,
En compte-rendu
De ce virus qui me prend en grippe,
Si jamais je m'agrippe
Au virus des idées reçues
Et conçues,
Dont je suis pour certains
Le malvenu,
Et pour d'autres plaisantins
Le bienvenu
Même si je suis corrompu,
Quand on me passe des savons
D'ancien enfant débattu,
Car nous tous, nous savons
Que je m'en lave les mains
Du CORONAVIRUS,
Qui s'agrippe
Au virus
De la grippe,
D'où de mon point de salut,
Je vous dit salut
Bien bas !
De mes frasques
Fin du des bas !
Bas débat
Les masques,
Je tombe le masque
Comme je porte les frasques
De mes idées reçues,
D'où je dis bien reçu
De mes idées préconçues,
En une bienvenue
Au mâle venu,
Car bienvenue
Si j'ai su
Que je sue
Que j'avais tort,
Avec des remords d'être mort
Si bien que le virus s'agrippe
En moi,
Et qu'avec mon désarroi
LE CORONAVIRUS me prend en grippe.
Jérôme de Mars
Rock'n rôle
Poème maudit
De mes mots dits,
J'entonne et je détonne
Sous une des tonnes,
Quand je bétonne
Et je marmonne
Des refrains que je fredonne,
Quand je donne et je bourdonne
Sous un essaim d'abeilles,
Tout mon subconscient qui sommeille
En moi vorace, vos races
Tenaces et coriaces,
En jouant du rock'n rôle
Dans un jeu de rôle presque drôle,
Où je chantonne la dèche
De ce monde avec des dépêches,
A la pelle où j'épelle le bescherelle
De ce qui m'interpelle,
Dès l'appel de la forêt noire
Sous une tonne de poil à poil
Et à rebrousse-poil,
A rebrousser chemin
Main dans la main,
Dans des monotones
Et autochtones
Espèces de foires lors du grand soir,
Larrons en foire,
Bruts de décoffrage
A l'origine sinistre,
Qui ternit leurs images
Avec de l'art
A fournir des faux rencards,
En jouant du rock'n rôle
Pour voir si on joue le bon rôle,
Et si c'est drôle
De constater que ça nous est égal !
De si on préfère la copie ou l'original,
Et de si ça nous met du beurre
Ou du leurre
Dans les épinards,
Ou dans une foire aux vins et pinards
Dans lesquels on aimerait regarder
Et observer
A l'égard du droit à notre image,
Dont dispose notre geôle
En héritage,
Et en de ça si ça reste dans le partage
Ou en totale décalage
Voraces, vos races,
D'où on en tire tenaces et coriaces
Tout un attelage
En abattage,
En jouant du rock'n rôle
Dans une espèce de jeu de rôle,
Qui est soit drôle ou qui nous déboussole
De notre boussole sur le saule
Pleureur dans un do ré mi fa sol,
Parasol et parabole pas de bol !
D'où l'on achève le chapitre
De notre pupitre,
Chapeau débat d'artiste !
En route vers des spectacles idéalistes !
En passant du mode soliste
En se dépassant dans un registre dualiste,
D'où après les mots dits
Ce poème maudit est presque fini,
En déjouant le rock'n roll
De Schmoll sans bémol,
Mais en jouant sans paracétamol
Sur la scène du droit du sol,
A l'origine
D'une montée d'adrénaline,
En surjouant son propre rôle drôle
Et en tenant paroles,
Quand on joue du rock'n rôle !
Jérôme de Mars
Y a pas d'lézard quand on a le cafard !
Rusée comme un renard,
Une pièce remplie de cafards,
Bourdonne d'un tintamarre
D'un y a pas d'lézard quand on a le cafard !
Où il n'y a que les roublards,
Qui foutent le cafard
Au bar des gens complètement barrés,
Qui se barrent rembarrés
Par la tare et de la tare,
D'un y a pas d'lézard quand on a le cafard !
Et mis vers le signal plein phare
Du far Breton au dicton sans fard,
Où s'il y a des nénuphars
Ca mettra dans le café du mare !
Lorsqu'à quai on amarre,
Comme on en a marre
Et qu'on se marre
De tout ce bazar,
Par le plus grand des hasards hagards
Monumentaux sur la place du cagnard,
Qui jette un épais brouillard
Sur des pièces détachées de boulevards,
D'un y a pas d'lézard quand on a le cafard !
Et que ça fout le cafard
De croire en ces bobards,
Si on a peut-être un rencard
Dérangé au placard,
Avec des coquards
Emprisonnés au mitard,
Mi-tare avec du retard
Dans un vieux serpent de mer,
Qui nettoie dans un remue-ménage
De printemps avec la serpillière,
Tout le naufrage à l'abordage
En nage qui nage
Dans un rideau d'enfumage,
A en perdre son pucelage
Et son plumage,
D'où de cette plume en accostage
On finit bientôt les ramages
En souvenir vintage,
Dès qu'on naît sage comme des images,
Car tôt ou tard même sans cafards !
Il n'y a plus d'lézard quand on a le cafard.
Jérôme de Mars
Broyer du noir en faisant sans blanc !
Faisant mâle faisant
Malfaisant mâle faisan,
Ou faisant
Mâle mal faisan,
On n'est ni tout noir,
Ni tout blanc !
Si on rentre dans l'histoire
En portant un masque,
Pour faire croire
Qu'on est élégants et les gants
Même qu'on ne prend pas de gants,
Comme on n'arrête de broyer
Du noir en faisant sans blanc
Ou à boire du café noir semblant,
Où on fait croire qu'on garde encore espoir
Alors que depuis longtemps on dit au revoir
A tout et à tous avec que des frasques,
Qui montent crescendo
Illico aux rebords,
Qui virent de bord
A bord de l'hélico,
Où on est très dépassés
Dans un rôle taillé et entaillé
Sur mesure,
Qui défie les lois de la nature
Et du centre de gravité,
En incarnant son propre rôle dans la réalité
Très rock'n rôle,
En cherchant les pôles
Pour poser l'épaule,
Où on veut demeurer effervescents
Et affriolants,
Sans que ce soit édulcorant
Mais quelque chose de raffolant
Et pas affolant, pour ne pas ameuter
Et rameuter
Les gens, qui ont peur des méchants
Sur la longue liste
En émergence des êtres individualistes,
Où on ne fait que broyer
Du noir en faisant sans blanc,
Comme le clown blanc qui fait sans blanc
De boire son café noir, malgré les déboires
De toutes ses sales histoires
A boire, et à démanger en déboires,
Qu'on raconte aux potos
Du bistrot
De comptoir,
Dont leur fond de commerce
S'exerce
Avec un réservoir
De cafés noirs,
En abreuvoir du désespoir
A l'effigie des nouveaux faux espoirs,
Qui ont du talent
S'ils viennent du terroir
Faiseurs d'histoires,
Où le jour qu'on arrêtera
Avec les aléas
De broyer du noir en faisant semblant,
On ajoutera une couche de lait olé
Dans le café noir,
Pour reprendre des couleurs
Dans de l'humour noir,
Avec jeux de mots féroces et saveurs
Dans un réservoir
De blagues is blagues,
Au noir
En forme de tags,
Où après avoir broyé du noir,
On boira à l'étendard
De vieux standards,
Dès qu'on recommencera
Comme avant
Et dans la joie,
A broyer du noir
En faisant semblant !
Jérôme de Mars
Que ce fut brèves !
1) La directrice de L'ESAT de Vitry fait toujours un ménage de printemps chaque mois de Mars en disant : - " Du balai ! Vous, les malpropres ! " , dans un tel remue-ménage, comme L'ESAT de Vitry est dans un sale état et qu'il a 18 balais !
2) Avec le CORONAVIRUS, si jamais le masque tombe à L'ESAT de Vitry et qu'on a un virus, tout le monde nous prendra en grippe !
3) On dit au moniteur principal du conditionnement grâce à qui L'ESAT de Vitry a encore du charme : - " Eric, t'es beau ! "
4) Pour les salariés qui travaillent dans l'informatique et qui ont de faibles revenus, il faudrait que le gouvernement crée la prime d'interactivité !
5) Quand à l'atelier bijoux de L'ESAT de Vitry, on enfile des perles et que les autres viennent de manger des flageolets, s'ils n'en ont rien à péter, ils lâchent des perles !
6) Grâce à la directrice de L'ESAT de Vitry chaque 1er janvier, on trinque de notre santé à sa santé !
7) Chaque fois que la directrice de L'ESAT de Vitry s'en lave les mains de nous, on nous passe des savons à cause du CORONAVIRUS !
8) Quand à l'atelier bijoux de L'ESAT de Vitry on a rien à faire, on nous donne du fil à retordre comme on en a rien affaire !
9) Quand on aime bien travailler à l'atelier bijoux de L'ESAT de Vitry, on en pince pour les perles !
10) A l'atelier bijoux quand on a rien à faire, la directrice de L'ESAT de Vitry nous lance des piques pour chercher une aiguille dans une meule de foin comme avant, lorsqu'on faisait Lou Berret en restant sur la paille !
Jérôme de Mars
De la poésie contre les sanglots de ce monde
Aux prémices,
Que fut érigée
Et instituée
La poésie,
Comme le disait
Charles Baudelaire,
On a besoin
De prendre l'R,
Avec de la poésie
Contre les sanglots de ce monde,
Qui abonde ceux
Avec des mauvaises ondes,
Qui se servent d'une montée d'adrénaline,
Qui fascine
Les hélices lisses,
Que provoque bénévole
L'envol d'un poète maudit,
Reconverti en rossignol,
Qui chante la farandole
Des bourdonnements d'oreille,
Qui sifflent du même refrain,
Qu'on a besoin de vin,
De poésie et de vertu,
Comme le disait
Charles Baudelaire
Dans l'absolu,
Pourvu qu'on s'enivre avec l'art et la manière,
En oubliant le poids de ce monde
Et son fardeau qui fécondent
Les pourfendeurs de la liesse
Et de l'allégresse
Populaires, qui préfèrent la paresse
S'opposant à l'ivresse
Du poète épanoui
Qu'on préfère maudit,
Qui se soûle devin
En 2020,
Pour prendre du recul avec le chagrin
Et les ravins
De ce monde,
Où on sonde
Ceux qui espèrent,
Comme le disait
Charles Baudelaire,
De la poésie
Contre les sanglots de ce monde,
Qui abonde
Ce monde de brouillons,
Qui a bien besoin d'un petit bouillon,
Pour y mettre du soleil
A la place de la pluie,
D'aucuns de ceux
Que ça tuerait,
Un peu
De miel
Dans ce monde de fiel,
Dont aucun saturait
Jusqu'aux cieux,
S'il y avait
Quelques bonheurs,
Pour s'enivrer dans le béguin
D'un monde meilleur,
Où on est tant enclins
A s'enivrer
De vin, de poésie
Et de vertu,
Pour ne pas qu'on se tue
Dans les sanglots de ce monde,
Où l'on a besoin de de désinvolture
Dans une fausse posture
De poète maudit,
Car comme le répétait
A l'infini
Charles Baudelaire,
On a bien besoin face à la colère
Qui gronde,
D' la poésie
Contre les sanglots de ce monde.
Jérôme de Mars
Pas gai !
Au début de cette trame
Quand ça rame !
T'utilises ta pagaie,
Comme t'es pas gai
Mais gay,
En prenant ton pied gai
Dans un guêpier,
Où tu demeures gai-pinson,
Car pinçons-nous aux aguets,
Où tu fais le guet
En restant aux aguets,
D'où de ta rame,
Tu rames, Thuram
Lilian avec Sophia Aram,
En ayant fini d'utiliser ta pagaie,
Comme t'es pas gay
Avec le tram
Qui rame
Dans un guêpier,
Où tu es aux aguets,
En faisant le guet
Plus gai
Jusqu'à la fin de cette trame.
Jérôme de Mars
LES JOYEUX DRILLES
Billet d’humour enjeux de calembours, voici un billet d’amour pour rire en famille,
Dans la bonne humeur et en billet d’humeur, où l’on passe du bon temps hilarants
Nous, les joyeux drilles qui mettons des escadrilles pour les pupilles
De l’aliénation et de la révolution Française, en riant aux éclats dans la passion du gotha,
Qui manie la langue de Molière, en restant loyaux, comme les loyaux de la couronne,
Sans langue de bois dont nous, les joyeux drilles,
Jouons les trublions dans la passion anglo-Saxonne,
Avec les joyaux de la couronne, qui a la dent dure dans un mâle d’aidant,
Où on joue à la roulette Russe, quand la roue let ruse en s’affranchissant de petits pas,
Comme des grands pas sur l’une, qui est dans la lune, avec des lacunes d’aucune
De nous, les joyeux drilles qui nous, bronzons sur la plage des lagunes,
Où on recycle nos vieilles idées, en faisant de la récupération de l’objet du sujet,
Dont il est sujet à n’importe quel objet, en snobant les gens élégants, et les gants proute ma chère,
Où les joyeux drilles se font les disciples, des bouffons du roi, qui restent chers aux ans chers,
Où l’amitié n’a pas de prix, mais un prix contant et constant dans le sale argent roi, qui vaut
Le mal à prix, de ce qui équivaut nous les joyeux drilles, à panser que les français sont des veaux,
Qui se font viander dans du tourne-dos, où avec des quadrilles, on brille de par notre non brille,
Qui scintille arlequins, de ce qui n’est mesquins sont les dents de lapins, qui froncent les sourcils,
D’où en cette fin de billet d’humour, rangé en billet d’humeur et dérangé dans un billet d’amour,
Je vous glisse un billet d’honneur, pour faire face à la vie face à ses bonjours et à ses tristes jours,
En votre honneur et à qui le prochain tour?
Des joyeux drilles,
De notre part
Avant qu’il ne soit trop tard !
Espèces de saltimbanques de quadrilles !
Jérôme de Mars
Ca ne tient qu'à un fil !
Perdre le fil
En donnant du fil
A retordre dans la file
D'attente qui se faufile
Quand tout défile
Sur le fil
Du rasoir qui file
Dans un fil
Rouge qui refile
Le fil
Conducteur qui enfile
Tout le fil
Electrique à en retrouver le fil
En suivant le fil
D'Ariane pour passer un coup de fil
Où ça ne tient qu'à un fil !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit une bite à ses deux testicules qui sont chiantes ?
- Vous êtes casse-couille !
2) Pourquoi est-ce-que je porte un masque dans la vie ?
- Parce-que si jamais j'ai un virus, tout le monde me prendra en grippe !
Jérôme de Mars
Au point où on en est.
Majuscule à prendre au pied de la lettre, au point où on en est, avant le point.
A la ligne où de là qu'on sonne, on nous répond radical, en remontant à la racine
Radicale des maux à la virgule près, quand on arrondit au bout de la somme finale
( entre parenthèses ), d'où l'on tire un trait - au point où on en est.
Phrase à maligne où trois petits points de suspension...
Et on reprend tout depuis le début au point où on en est.
Ponctué d'un embonpoint en bon point de l'appoint. Où l'on fait le point au point
Où on en est à prendre tout au pied de la lettre minuscule, dans un trait d'union-
Libre dans toute l'Europe, comme était en magasin Continent, l'achat gagnant.
Au point où on en est dans cette ponctuation, où ce n'est pas bon signe comme
On nous envoie des signes hauts, signaux pas très positifs, du virus en un CORONAVIRUS qui prend en grippe tout le monde, où au point où on en est. On a besoin d'une piqûre de rappel, en jouant un spectacle au point virgule; un antidote contre la sinistrose ambiante, où on tire sur l'ambulance, car c'est l'hôpital qui se fout de la charité, puisque la société est malade et sans garde-malade, parce-qu'infirme à prendre soin des Français, au point où on en est. Car la santé est devenue un luxe en France, avec un velux point de luxe. Dans la luxe sûre, luxure qui se luxe l'épaule, en n'étant pas épaulé par les gens, et en ne serrant pas les coudes et en demeurant pointsoudés. Entre les impatients qui ne pensent qu'à eux au point où on en est. Où c'est bientôt la fin de cette mise au point. où on donne un coup de point final.
Point rectiligne à ma ligne.
Point sensible. En mettant les points sur les i, au point où on en est. point crucial.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi me réponds-tu toujours on verra quand je te demande quelque chose ?
- Parce-que mon œil, on verra !
Jérôme de Mars
Personne n'est parfait !
De l'étoile jaune à la grande ourse
On naît pas dans le monde des bisounours,
Car personne n'est parfait !
Dans ce monde par fée ou contrefait,
Où l'on cogite à savoir s'il y a encore un conte de fées
Dans ce monde très sombre,
De la lumière à l'ombre avec une certaine pénombre
Ou la paix nombre qu'on dénombre
De son nombril puéril,
Du fil à couper le leurre sénile
Des gens déments et fulgurants
Aux idées extrêmes et nazies,
Comme Klaus Barbie genre poupée Russe Barbie,
Où l'on se rend compte au bout du compte
Du conte en acompte, en un conte
Que personne n'est parfait !
Dans ce monde par fée ou contrefait
Basé sur des arrière-pensées,
A se repasser le film à couper le beurre
Des Jean-Marie qui allient les fous alliés
Aux fous aliénés qui se marient avec peine
Aux Marine Le Pen,
Où les Sir British ne pourraient être les sœurs
Dégénérées et ravagées
De par leurs idées nauséabondes,
Qui vagabondent et dévergondent
La France pudibonde
Et furibonde,
Qui en a marre que ces étrangers
Envahissent La France,
Alors que les pauvres sont étrangers
A tout ce que traverse La France,
De par sa colère
Dans la défiance et l'ignorance
De sa misère, d'où l'on nous berce de chimères
Pour nous faire passer la pilule,
Qui pullule sous un apparent beau ciel
De libellules,
Dans le mythe perpétuel
Que La France c'était mieux avant,
Alors qu'auparavant, c'était comme maintenant
Mais certes en moins pire,
Mais dans les soupirs, où il n'y avait que le rire
Et le sourire
Pour sauver le ciel avec tendresse,
Et ci-possible dans la liesse
Populaire d'un peuple, qui peut-être avant
Etait plus fraternel
Et plus charnel
Dans ce qui lui était le plus cher,
Avec la bonne chère,
L'amie de la mélancolie
Et une bonne compagnie contre le dépit,
Comme on le sait
Que personne n'est parfait !
Dans ce monde des fées et contrefait,
Où l'on vote souvent par défaut
Sans doute pour de faux,
Pour réchapper au porte-à-faux
De l'échafaud des coups de réchaud,
Nostalgiques des camps d'Hitler,
Certainement parmi nos confrères
Qu'on pensait comme des frères,
Mais qui sont cons frères
Ennemis et qui s'avèrent sévères,
Avec ces vers pour décrire ces cris de misère,
Où certes, il vaut mieux privilégier la qualité
A la quantité,
Mais dont on peut aussi
Avoir la quantité avec qualité
Et aussi peut-être la qualité avec quantité,
Où si on semble faux,
On n'est pas forcément pour les chats faux
Si on sort nos griffes, et où il nous faudrait un sursaut
D'un nouveau coup de chaud,
Entre les gens pour que le boucan
Efface les tourments,
Car ainsi il nous ferait remonter à la surface
Que l'on ait des faces claires ou à terre,
Qu'on a besoin dans l'urgence
D'une carapace,
En préface de ce texte, où après que les gens
Ont fini d'être en froid, il leur faut revenir
Pour ne plus souffrir,
Sur la terre débonnaire et salutaire
Après tous les mauvais côtés austères et délétères,
Où même si personne n'est parfait !
On a besoin par vitalité de croire au conte de fée
Plus contrefait mais par fée,
Pour y vivre dans une riche communauté
Dans le respect de la paix et de l'amitié,
Car après la violence de ce monde en déliquescence,
Vivre dans la bienveillance nous serait bénéfique
Pour redevenir pacifiques
Dans un océan d'allégresse, avec un grand écran panoramique,
Où après qu'on se soit trop regardés en chiens de faïence,
On surferait parallèles de se rabibocher avec un évident plaisir
Renoué et resurgi dans un Port de Plaisance
Sur La Terre mer,
Où après une époque baroque triste,
Vivement qu'on navigue revigorés dans une épopée altruiste,
Romanesque et épique !
Loin des parasites
Et des élites,
Où le jour qu'on croira comme avant
Et auparavant
En un conte de fées et plus contrefait,
Plus personne ne sera parfait !
Mais par fée
Au bout du compte de faits,
Tout compte fée !
Jérôme de Mars
L'ouvrier de l'écriture
Artisan sans langue de bois,
Je suis l'ouvrier de l'écriture
Ainsi que menuisier
Dans ma façon de m'exprimer,
Où avec la langue des si
Je fonctionne avec des si qui me scient
Avec du pain rassis sur la planche,
Où je prône l'ouverture
De toutes les formes d'art,
Très hardies et audacieuses
A la liberté ravageuse,
Où je croise les doigts
Ave doigté pour que l'avalanche
Ne soit trop critique
De mon état critique,
Où j'aspire sans fioritures
Et sans chichis,
A l'envers du décor dans la simplicité
Et à l'élasticité,
Athlétiques est esthétiques
En jouant avec la beauté des mots,
Qui jonglent avec des bibelots
Et des gros lots qui sortent du lot,
Lorsque je suis l'ouvrier de l'écriture,
Où je retire ma couverture,
Pour que je ne fasse le sot
Mais le bas lot du ballot,
Quand je veux que la justice
Arrondisse les angles droits
Dans un sur sceau,
Marqué du fer de service
Public et impudique,
Où je recherche l'élan retrouvé,
En artisan qui montre de quel bois
Il se chauffe dans un tour de chauffe,
Qui réchauffe les cœurs d'hardi chaud,
Où je repère qui sera le lance lot
Pour lancer depuis la dame de fer,
Marquée aux fers rouges si je planche
Et je flanche avec mes hanches,
Pour constater si les gars
Et les dégâts,
Sont étanches
Et extraordinaires,
Comme des tanches étanches
Qui noient le poisson,
Dès le mois d'avril
Avant que je frétille
Parce-que de poisson,
Où avec jugeote
Je tremble et rebelote,
Car mais ne te découvre point d'un fil !
Sans perdre le fil de la discussion
A bâtons rompus,
D'où de mon répertoire
Déçu et déchu,
Je vous glisse en avoir
Et en un au revoir c'est à voir !
S'il faut vous voir,
Ou sinon gare
A vous si vouvoyez
Pour achever en ouvrier de l'écriture,
Ce texte qui achève enfin son point de sature.
De telle est mon écriture,
Où j'en conjure et j'en jure
Vu la conjoncture,
En artisan et en menuisier
De l'orfèvre de caricature
Que j'en prends plein la figure
Figurez-vous au sens configuré !
Point de salut. Si je vous salue
Bien bas
Sans faux des bas,
Mais avec désinvolture
De mes impostures,
Où je vous susurre
Gare à l'usure,
En ouvrier de l'écriture
Point d'ossature.
Jérôme de Mars
Ampleurs
Mis en pli
Lorsque j'écoute mes amplis,
Je prends le pli
Si je ne fais le tri,
Et que près du saule pleureur,
Ca me déboussole pleureur
Pas de bol parabole,
Avec sans paracétamol
Et qu'il y a un bémol
Dans mes paroles,
Où je suis en pleurs,
Ampleurs
Et que ça n'est enjoliveur,
Parce-que il n'y a une roue de secours
Dans mes fameux discours,
Où je cherche le concours
D'une personne pour exprimer
Sans calembours
Dans un compte à rebours,
Tout mon parcours de par ce discours
En cours et au long cours,
Où je suis en pleurs,
Ampleurs
Près du saule pleureur
Et que ça me déboussole pleureur,
En perdant mes paroles
Du fait qu'il y a toujours un bémol,
Où il me faut du paracétamol
Pour vaincre mes douleurs
Et mes peurs,
Qui rajoutent de la liqueur aux laideurs
Que sont le curseur précurseur
De ma vie dans le rétroviseur
De mon collimateur,
Où je suis en pleurs,
Ampleurs
En réécoutant mes amplis,
Mis en pli,
Où je prends le pli
Du repli
Sur moi,
Et sur toi ma foi,
Comme je n'y crois
Dans la bannière,
Où tout ressort de ma colère
Près du saule pleureur
Do ré mi fa sol tiédeur,
Ca me déboussole pleureur
Sans chaleurs,
Quand je suis en pleurs,
Ampleurs
Avec la peur
Au ventre du souffre-douleur
De mes douleurs,
Dont j'aspire à un peu de bonheur
Après le malheur,
Où j'espère juste pour une fois
Avoir quelques jolis mois
Sans aigreur,
Où avec gaieté et pour m'amuser
J'écouterai indéfiniment mes amplis,
Mis aux plis
Dont je prendrai le pli
En faisant du tri
De ne plus être en pleurs,
Ampleurs,
Comme j'aurai repris de belles paroles
Avec sans paracétamol
Et sans bémol,
Comme j'aurai de nouveau déployé
Mon envol tel un rossignol,
En voulant refaire la farandole,
Où je me gondole
Sur les gondoles
De Venise en Italie,
En compagnie de la famille
Et des amis,
Et dont avec ardeur
J'aurai en moi
Quelques joies pas rabat-joie,
Avec de bien meilleures
Choses à partager
A vous dans la simplicité
Et la réciprocité,
Dont je vous témoigne toutes mes sincères
Amitiés et plus si affinités !
D'où je vous laisse songeur sans pleurs,
Mais ampleurs.
Jérôme de Mars
Le soleil cache les laideurs de ce monde
En fronde à la seconde,
Le temps qu'on sonde
Orne le ciel monotone
D'un sonotone,
Que jalonne le caprice
D'un ciel bleu vivace,
Qui se prélasse
Aux bords des rives qui s'immiscent,
Lorsque le soleil cache les laideurs
De ce monde
Sous des goûts enjôleurs,
Quand la lune en éclairs
Talonne la chimère,
Qui féconde la ribambelle
De la volupté des petits nuages,
Pour remplacer les turpitudes
Du fiel par de l'amplitude,
Lorsque le soleil cache les laideurs
De ce monde,
Quand gronde un avenir meilleur,
Afin qu'il ne rembarre
Le code-barres
Du ciel,
Pour voir s'il vaut une amourette
Ou des clopinettes,
Dans des faux airs de clarinette
Avec de la flûte traversière,
Qui amourache les fleurs
Sous les beaux arts,
Si l'arrosoir abreuvoir
Irrigue la fontaine qui amoncelle,
Les rideaux qui harmonisent
Les joyaux de la couronne, qui déduisent
Les promesses
De kermesse,
Lorsque le soleil cache les laideurs
De ce monde,
Qui brocarde
La grande lucarne monocorde,
Dès que la pluie saborde et déborde
D'un immense enthousiasme
Avec le Marquis de Sarde,
Qui possède ses propres fantasmes
Dès le plaisir bienfaiteur,
Dont le ciel se fait l'orateur
Pour le meilleur,
Jusqu'à ce que redonde
Toute une population qui abonde
Furibonde et moins moribonde,
Juste avec une parcelle d'aquarelle
De terre
Sur la planète débonnaire
Aux impulsions linéaires,
Dont en pleine insurrection littéraire
Le ciel s'adonne à la peinture de La Joconde,
Où s'égrènent les secondes
Qui jouent sur tous les tableaux
Aux volets envolés mi-clos,
Lorsque le soleil cache les laideurs
De ce monde
Dans la lune profonde,
Pour que la fronde fonde
Un meilleur monde aguicheur,
Afin qu'il se confonde
Dans la chaleur
Humaine à la une du ciel,
Le jour où le soleil
Cesse de cacher les laideurs
De ce monde
En une du monde,
Dont le ciel rêve d'un nulle part ailleurs
A la une de plusieurs mondes,
Toujours de ce monde
Dans la lune, où elle sonde
Le point final du soleil,
Qui se couche essentiel,
Lorsque en plusieurs secondes
Le soleil cache intemporel
Les laideurs de ce monde.
Jérôme de Mars
Je porte un masque !
De ma plume,
Comme l'émission de radio
Le masque et la plume
En version stéréo,
Je porte un masque
Pour rester motus
Et bouche cousue,
De même pour lutter
Contre le virus
Des idées reçues,
Ainsi que du Coronavirus
Dont j'emporte un casque,
Si jamais mes frasques
Font tomber le masque,
Car bas les masques !
Si jamais je casque
En prenant tout pour argent contant,
Alors qu'il suffit d'un déclic,
Pour que je prenne mes clics
Et mes claques,
Pour ne plus que je craque
Sur mon clic-clac,
Où je porte un masque
Pour être sur Les Basques
Du Pays Basque
En enfreignant les frasques,
Où de ma plume
Il faut prendre à la légère
Toute cette enclume,
Qui est le fruit pour ma pomme
De cette entière colère
En un tome,
Avec des atomes crochus
Parmi mes amis,
Ceux avec qui
Sont en terrain inconnu
Et pas en terre inconnue,
Même si c'est l'absolu
De penser qu'ils se sont abstenus
De déverser leur droit de vote,
Qui pivote ou vivote
Selon que je me suis tu
En paroles de bévues,
Car je porte un masque
Pour éloigner les frasques,
Et donner une image en apparences
Si flatteuses, alors que en vraisemblance
C'est une fausse image à double face,
Où tantôt, je remonte à la surface
Et tantôt, pile ou face,
Je suis à la masse,
Si bien que je porte un masque
Pour que j'efface
Mes frasques,
De la pelote Basque
Au Pays Basque,
Pour ne pas que je refasse
Le je de cette erreur,
Qui n'a la primeur
Que ça reste dans mon cerveau,
Imprimeur pour retenir la leçon du vade-rétro
Satanas, comme je porte un masque
Aux semblants de porter un casque,
Pour me protéger des casses,
Si jamais il y a de la casse
Pas avec une bécasse
Mais en des noms d'oiseaux,
Qui me tracassent
Dans ma carcasse,
Doux après avoir vidé ma plume,
Et écouté en radio
Le masque et la plume
En aversion stéréo,
Je laisse tomber le masque
Car ainsi débats les masques !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit une oreille à son amie oreille qui s'en lave les mains de sa copine car elle sort du droit chemin en ne lui ayant pas acheté de quoi nettoyer son oreille ?
- " Tu files un mauvais coton ! "
2) Pourquoi est-ce-que ça arrive qu'un vagin enlève une verge de son sexe ?
- Parce-queue !
Parce-que !
Jérôme de Mars
On ne quitte le monde que si au monde il est quitte !
Danse de l'Arlésienne au contact du kilt
Ecossais, au point où on en est,
Il nous faut obtenir avec les soubresauts de ce monde,
Un kit
De survie, qui ne nous quitte,
Comme on ne quitte le monde
Que si au monde il est quitte,
Avec de l'équité et de l'égalité
Au maximum et au summum
De légalité,
D'où l'on sort de ce forum
Une fois qu'on quitte
Cet auditorium,
Avec moins de malentendus
Dans un ultimatum,
Pour que gueuler et se faire entendre
Dans la bataille de la rue,
Serve à distendre les malentendus,
Et à étendre et à répandre
Dans un kit
De survie, avec davantage de douceur
Et de vigueur
Dans ce monde, pour qu'il soit plus détendu
Et pas dans une contre danse mauvaise,
Mais en mettant à ses pieds des charentaises
Entre parenthèses sans foutaises,
Et en bougeant ses pas
En franchissant des grands pas, dans l'appât
De la danse, avec le kilt
Ecossais et épais,
Comme une épée
Dans l'eau, mais dont on ne quitte
Le monde,
Que si au monde
Il est quitte,
Avec un kit
De survie,
Dont à l'infini
On veut d' la poésie,
Arrosée de vers romarins,
Marqués offerts, aux fers aux verres au marins,
Dont sans malentendus,
On part vers l'inconnu
En route avec un kit
Indéfini de survie,
Dont on répète ravis,
De notre kilt
Ecossais, qu'on se calme au Beaujolais,
D'où l'on ressort tous frais
Aux frais
D'un monde régénéré,
Dont quitte,
On ne quitte le monde,
Que si au monde
Il est quitte,
Point com i monde.
Jérôme de Mars
Paroles sans bulles car je reste toujours dans ma bulle à l'ESAT de Vitry
Scène 1 :
Christophe P : - " Pourquoi est-ce-que tu fais un burn out à cause de ton travail, l'année de tes 42 ans ? "
Jérôme : - " Parce-que c'est août pour célébrer ce triste anniversaire ! ".
Scène 2 :
Sandrine : - "Zigotto, pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT de Vitry, ils font tout pour pousser les personnes handicapées au suicide ? "
Jérôme : - " Parce-que L'ESAT de Vitry jette l'agent par les fenêtres ! "
Scène 3 :
Jonathan : - " Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT de Vitry, es-tu un pion sur l'échiquier et qu'ils s'en foutent de ta gueule et de ta santé comme ils ne pensent qu'au pognon ? "
Jérôme : - " Parce-que l'agent n'a pas d'odeurs !"
Scène 4 :
Célia : - " Pourquoi est-ce-que la directrice de L'ESAT de Vitry vire-t-elle pour un rien les gens ? "
Jérôme : - " Parce-que depuis qu'elle est aux manettes, L'ESAT de Vitry vire de bord ! "
Scène 5 :
Jean-Paul : - " A ton ESAT Jéjé, que dit la directrice quand elle vire sans ménagement quelqu'un en lui donnant des vacances indéfinies ? "
Jérôme : - " Je prends congé de vous ! "
Scène 6 :
Brigitte : - " Jérôme, sur quoi la directrice ne manque-t-elle jamais à sa parole ? "
Jérôme : - " En argent, car elle a une parole en argent comptant comme sa parole est d'argent ! "
Scène 7 :
Adel : - " Jérôme, pourquoi est-ce-que la directrice de ton ESAT mène-t-elle la guerre aux personnes handicapées comme tout est pour le profit ? "
Jérôme : - " Parce-qu'à L'ESAT de Vitry, pour la directrice, l'agent est le nerf
l'argent
de la guerre ! "
Scène 8 :
Guillaume : - "Lascar, pourquoi à ton ESAT, tout le monde se tacle-t-il et se dribble-t-il ? "
Jérôme : - " Pour avoir une mise à pied par la directrice ! "
Scène 9 :
Alexandre : - " Pourquoi est-ce-que c'est toujours au mois de Mars, qu'à L'ESAT, il y a un véritable remue-ménage de printemps ? "
Jérôme : - " Parce-que le reste du temps, la directrice s'en lave les mains ! "
Scène 10 :
Céline : - " Mon petit Jérôme, à ton avis pourquoi a-t-on le virus de ne plus faire les dossiers de la clinique Pasteur ? "
Jérôme : - " Céline c'est simple, parce-qu'en piqûre de rappel, on n'a toujours pas été vaccinés contre Le CORONAVIRUS ! "
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT où je travaille, j'ai tenté par deux fois de me suicider en mai 2017 et en juin 2019 en voulant me jeter par la balustrade de la terrasse de L'ESAT ? - Parce-que l'ESAT jette l'agent par les fenêtres !
Jérôme de Mars
Maquette
Maquette, je fais des emplettes
En quête de ma quête,
Où je mène une enquête
Dans le cadre d'une requête,
Dans ma quête, maquette
En buvant un bouillon
Dans une espèce de brouillon,
Où je ne parle que de chiffons
Genre bouffons du roi,
Qui bouffons du désarroi
Dans ma quête, maquette
En quête d'un espoir,
Où je mène une enquête
Avant la vie de tempête,
Qui provoque une requête
Si je fais une quête
Sur la place du boulevard,
Où je veux accéder aux archives
Car qui survive me suive !
Des jeux interdits
Aux Moyen âge jeux en sursis,
Car prescrits d'office
Qui font aux fils,
Et aux filles
De bonnes familles,
Pour mener une enquête
En quête
De ces vérités
Pour faire office aux fils de sévérités,
Si je peux me démener dans ma quête, maquette,
Qui prend le bouillon
Si ça perdure en brouillon,
Pour constater si c'est bon
Pour de bon
Dans le cadre d'une requête,
Si je fais la quête
En me retroussant les manches,
Avant l'office de dimanche qui m'endimanche
Prochain pour les Saints,
Quand j'aurai terminé mon dessin
Dans une ébauche,
Qui signifie si on m'embauche
Pas dans la débauche
Mais si on me débauche,
Lorsque j'achèverai mon destin
Avec les humains,
En quête d'une enquête
De ma requête dans ma quête
De maquette, où je serai entre les mains
Du Tout-Puissant pourvu que de ma quête,
Ce soit une requête, en quête
D'une enquête, prête à payer les emplettes
De ma quête, maquette,
D'où j'irai dans une nouvelle conquête,
Sans racket mais désormais avec une raquette
D'enfant de la balle,
D'où il sera temps en requête !
De ma quête, maquette
De fermer le bal.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-que je fais un burn out à cause de mon travail, l'année de mes 42 ans ? - Parce-que c'est août pour célébrer ce triste anniversaire !
Jérôme de Mars
Solitaire solidaire
Course en solitaire,
Je voyage of course solidaire
En quête de mon univers,
Où je verse dans l'envers
Du décor,
Tout ce qui me traverse
A-bras-le-corps
Dans ces chemins de tempête,
Où je m'embête
Dans le brouillard,
Quand je m'hébète hagard
A la renverse,
Des averses qui tombent en pluie
Dans une vie humide qui dépérit
Dans une course en solitaire,
Où je dis évidement of course solidaire,
En soliste sur la liste
En dualiste,
Pour peindre un tableau
Avec en toile de fond la mer,
Dans une saudade
En ère de ballade,
Qui m'évoque que le bateau
Prend l'eau à-vau-l'eau,
Nostalgique des journées impressionnistes,
D'où l'artiste triste
Se fait le conteur
Et le révélateur,
D'une époque très maussade
Et mensongère,
D'où l'on colporte que des mauvaises nouvelles
Sur une ambiance de musique de carrousel,
D'où en solitaire
Je suis solidaire,
Dans les périodes volontaires
Et charnières,
Entre un ver solitaire
Et des vers solidaires,
Où je préfère
Chanter l'espoir,
Même si je suis déchanté dans des idées noires
A croire
Et à vouloir,
Que tout est à choir et à déchoir
Sur le perchoir,
Dans le mouroir
Des hôpitaux en bruits de couloir,
Si j'en suis fou et dingue
De faire la paranoïa des frappa-dingues,
Et lourdingues, si ça tangue
En faisant parti d'un gang
Dans le ghetto solitaire,
D'où j'espère rester dans une vie de château solidaire
Et minoritaire dans les effets d'apparences
En l'occurrence à forte cadence,
D'où pour éliminer l'effet domino,
Il ne faut jouer au jeu de cette famille
En jouant cartes sur table,
Dans un château de cartes
Avec une pancarte,
Pour qu'on ne te range dans une catégorie de gars pas aimable
Et pas agréable, comme une torpille qui pille
Tout ce qu'il ramasse,
Comme il est à la ramasse et à la masse
Et qu'il amasse en terminant sa course en solitaire
D'où je conclus dans l'impasse qu'il faut que ça passe,
Quand je riposte of course en solidaire
Et que ça se tasse en faisant face et en remontant à la surface,
Face Terre dans ce monde à l'envers, à l'an vers
Cap vers le Cap vert
Dans une course en solitaire,
Of course solidaire
Y a plus rien en inventaire !
Cap vent à Terre.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi risque-t-il d'avoir une révolution Française à Cavalaire si Le Rassemblement National ne remporte pas les élections municipales en mars 2020 prochain ?
- Parce-que sinon ce sera Napoléon qui sera réélue maire de Cavalaire en mars 2020 prochain à l'issue des élections municipales !
Jérôme de Mars
Plus rien à perdre !
Secondes infinies qui s'écoulent
De mon sang d'encre qui coule,
En remontant à la source, d'où roucoulent les blessures immenses
De mon enfance sans cesse mise en abîme,
Dans les cymes qui éciment mon parcours de vie qui décime
Avec la faucille, mon existence pas vraiment facile qui veut paraître dense,
Mais qui naît en réalité qu'à contre dense,
Car mise en amende honorable,
De tout ce qu'on me jeta en pâture sur les tables,
Très à cheval entre mon côté animal sauvage,
Comme une bête de foire, où tout foire ah les tas d'élevage !
D'une bête à l'abattoir ! Où je n'ai plus rien à perdre,
Après tout ce que j'ai supporté et suffoqué comme une perdrix,
Avec sans ailes dont les ailes furent brisées dans la brise du vent,
Elevant et les vents dans le chaos d'un poète maudit,
Et béni par un Dieu si Dieu existe, comme je subsiste dans un vol déviant
De drôle d'oiseau qui crache ses trémolos dans l'écriture,
Où je révèle mes facettes sombres entre années-lumière et ombre schizophrènes,
De par ma nature,
Très profonde
Et moribonde,
En cherchant ma propre identité, sous des faux airs de jouer un rôle
D'homme très propre, sûr de lui et clair, alors que je suis dans la geôle
De l'emprise de ma mère et de mon grand-père, entre couteaux
Tirés et suicide amer ah mère ! de tout ce mal, où l'étau se resserre
Comme je n'ai plus rien à perdre,
Entre harcèlement scolaire à l'école du vice qui dévie du droit chemin,
Où malgré tout il faut que je tente de me prendre en main, malgré le dédain
Et le déclin,
Dont pas mâles de gens immondes me témoignèrent,
Comme si tout était de ma faute,
Si seulement ce sont les sévices, ces vices qui sévissent
En moi, et qu'à cause de tout cela,
Tout compte fait c'est pour ça !
Et que c'est bien fait pour moi,
Qu'on me serre
La vice en coupe qui des vices
Ce simulacre, où l'on m'ôte
Le peu de respect et de dignité, qui me reste
Et où il faut que je lâche du leste,
Pour le reste de ma vie
En dépit, de pis en pis,
Où devant tout le monde, je joue le par être,
Sans être pour être
Ce qu'on attend de moi,
Alors que je ne le suis pas,
Car si je déroule mon authentique et entière
Identité du fruit de mes colères,
Je ferai fuir de par ma calamité
Le reste de l'humanité,
Alors que mon enfance fut amochée et rétamée,
En manque à mère et impair,
Dont ma mère m'entoura dans le délétère et le mortifère,
Avec mille regrets et mille remords, de lui avoir fait tout ce mâle
Que je traîne de mes malles,
Pleines d'insanités et de vanités,
Dont beaucoup de méchants et de mécréants
Abîmèrent et écorchèrent mon décan
A venir,
De mon cran qui est à cran,
Et avec soupirs, de tout ce que j'ai eu à subir avec des sbires,
Qui me causèrent du tort en fameux bouc-émissaire,
Alors que personne n'en avait rien affaire
De moi, comme à ce moment-là, tout foutait le camp
Avec tous ces gens malsains et cyniques,
Qui me jetèrent en trique
Verbale, des sous-entendus en malentendus,
Dont certains amis avec qui les relations furent distendues,
A cause de révélations
De mes ecchymoses en effraction et affections
De longue durée
En durée, endurée,
Où je le martèle comme mon grand-père Charles qui martèle,
Que je n'ai plus rien à perdre,
A part détenir les qualités littéraires
De ma mère et de mon grand-pères,
Fins-lettrés et jamais vulgaires
En êtres érudits,
Mais avec beaucoup de choses tabous
Et de non-dits,
Car dans cette famille à cause des préjugés,
On fuit les fous, dont on se fout,
Même sans garde-fous, comme on s'en contrefout
Puisque pas nets,
Comme Jérôme, ce vilain gars très austère,
Qui se lâche sur le FACEBOOK d'internet
Avec une rengaine,
Comme s'il était le seul avec qui la vie fut vilaine,
Mais dont j'insiste que je n'ai plus rien à perdre,
A part gagner l'éternité si je rejoins ma mère,
Loin de La Terre et de cet mon immonde délétère,
Comme j'ai déjà perdu, éperdu trop de secondes
Dans la fronde qui m'inonde,
D'insultes dans le tumulte des injures,
Où j'en conjure que je ne jure
Plus de rien, si on me traite
Et on me maltraite
A nouveau
Comme un vaurien,
Sous des tonnes de camouflets,
Qui détonnent en déconvenues, qui m'ont ébranlé
Mon côté de dur
A cuire en fendant l'armure,
Comme y a que la vérité qui fait
Pas plaisir à entendre !
A force de répandre
La haine,
Et de semer le grain pour étendre
Des choses bizarres,
A mon encontre avec ma tare,
Où je suis toujours en retard
Sur tout dans le tintamarre,
Comme je n'ai plus rien à perdre,
A part gagner encore le respect
De mes aînés, car eux ont bûché
Sur le bûcher des vénalités avec atrocité,
Où pour que j'enracine Jean Racine
Qui écrit sa littérature, il faut que je remonte à la racine
Des gens de pourquoi je suis comme ça,
Et de quelle en est l'origine ?
De toutes ces hémoglobines
En me rongeant les sangs d'encre, où j'embobine
Et je rembobine sans discontinuer ces vieilles bobines,
Où j'ai le flair de renifler de pourquoi j'ai cette odeur
De pourquoi en odeur de Sainteté avec saveur,
Tout le monde s'en lave les mains de moi
Et de mes babines,
En me passant tout le temps des savons
Sur ma planche d'artiste mélancolique, névrotique
Et frénétique avec des manies et des tics,
Où pourquoi j'ai pas d'éthique et de pourquoi j'ai des tics,
Poly tics et politiques,
En demeurant souvent sur un terrain glissant,
Où le jour où je lirai Maupassant
Je vous slamerai des mots passants,
Comme j'aurai trouvé la paix intérieure
Sous le soleil rieur, enjoliveur et enjôleur,
D'où il y a pas d'heure à leurre,
Pour qu'un jour, j'ai ma part aussi du bonheur,
Car le jour où j'aurai plus rien à perdre,
J'aurai tout à gagner comme une perdrix
Et un phénix,
Qui renaît de ses cendres,
Pour des cendres, descendre
Le vide et remonter avide,
D'une vie plus limpide et moins aride,
Le jour où je ne ferai plus d'esclandre,
Car c'est ce jour-là que je n'aurai plus de rides,
Comme j'aurai tout gagné en victoires
Et que je n'aurai plus rien à perdre, d'où je vous clame
Dans ce slam,
Au revoir,
Car tout est à voir et à revoir,
Et que plus rien n'est à surseoir, mais à prévoir
Pour passer des déboires du purgatoire,
A des pourboires pour boire l'exutoire,
De toutes ces belles paroles,
Où j'espère qu'il n'y a plus de bémol,
Car fini de faire le guignol,
Lorsque vient l'heure du rossignol pour faire la farandole,
D'où de là je prends mon envol après l'antivol,
Car à partir de là, je n'ai plus rien à perdre !
Mais tout a gagné !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-qu'un jour ou l'autre, je risque de me retrouver enfermé à l'hôpital psychiatrique Paul Guiraud à Villejuif si mes problèmes psychiques ne sont pas résolus ? - Parce-que je n'aurai pas trouvé la clé de l'énigme à mes problèmes !
Jérôme de Mars
Sirènes
Gyrophares pleins phares,
Dans un monde sans fard
Ou sans far Breton
De telle est la question,
Si on évolue
Ou si on dévolue
A se rompre aux cous des sirènes,
De l'amour en six reines si reines
En tenant les rênes
De la reine
Dans son règne,
Qui imprègne
Toute son haleine,
Du bas de laine à la laine
De casser de la vaisselle de porcelaine,
Avec les six reines si reines
En des sirènes,
Qui signifient bientôt la fin du règne
De l'amour à la haine,
Quand on traîne les rennes
De l'amour au créneau de la haine,
Qui sèment et parsèment
Ceux qui ne s'aiment
Dans le harem
De la reine,
Qui combat
Et met bas
Dans la reine
Du gladiateur,
Qui se bat en inconditionnel séducteur
Avec ses adducteurs,
Sans que ce soit réducteur
D'avoir le ticket modérateur,
Pour répondre aux si reines
Désamours sirènes aux six reines,
D'avoir la même rengaine
Jusqu'à Harlem,
De L'Harlem Davidson
A L'Harley de Rock Hudson,
Très gai-pinçons
Pinçons-nous les futurs Robinson Crusoë,
Si Les Robins sont Crusoë
Ou cruels avec Daniel Ducruet,
Qui déchaînent et enchaînent
Leurs ardentes et infidèles passions,
De l'électrocution
D'électrons libres,
A l'hydrocution qui tombe à l'eau leurs perfusions qui vibrent
Aux sirènes si reines six reines, qui tirent sur une ambulance
Avec une fréquence sur cas de séquences,
Dans ces différentes péripéties
Que sont les celles de la vie,
D'où en défunt de règne,
On nomme ces six reines si reines sirènes,
En futures princesses du Prince qui régnait
Dans un Monaco, en mettant en bière
La Cannebière,
A Marseille qui dépeigne
Tous hirsutes ! ce défilé de personnes hautaines
Dans le domaine,
Qui amène et emmène
Vers les six reines si reines sirènes,
Dont on attelle
Avec ou sans attelle,
Du bras droit
Au bras droit,
Avec un doigt d'honneur, de ces zones d'heure
Que pour telle ou untel,
C'est le déclin des six reines si reines sirènes,
Fin de la reine à l'arène,
Due des honneurs, en des odeurs.
Jérôme de Mars
Il fait le ciel !
Il fait le ciel !
En faisant des siennes;
Avec ses fenêtres persiennes
Sur la fréquence des amis hertzienne,
Comme les femmes Martiennes;
Qui en ont marre des siennes
Dans ce monde artificiel
Et superficiel,
Dont il fait le ciel partiel
Par ciel d'arc en ciel,
Quand on implore le ciel
Qu'il gratte les gratte ciel;
Sous un ciel de bon augure,
Qui laisse présager sa véritable envergure;
Quand il fait le ciel
Artificiel et superficiel,
Qui fait des siennes;
Avec ses fenêtres persiennes
Sur la fréquence des amis hertzienne,
Comme les femmes Martiennes;
Qui en ont marre des siennes,
Par ciel
Dans une mise en examen partielle,
Avant un passage en folie démentielle;
Dément ciel, qui fait le ciel
Incommodant et accommodant;
Qui mord le temps distant
Dans un arc en ciel,
Qui en fait voir de toutes les couleurs;
Sous une feinte de fraîcheur
Moderne et sensorielle,
Où les nuages influencent par ciel
Le ciel partiel,
Quand il fait le ciel
Avec aucun nuage à l'horizon;
Sur le balcon ou le bal con,
Pas loin de l'estuaire de la rivière
Qui sait où est son repère en son repaire,
Comme si c'était sa mère qui fait la paire;
Avant de la regretter avec remords au cimetière,
Dont on en démord qu'il faut conserver avec elle mémorielle
Une relation existentielle, exceptionnelle et fusionnelle,
Très particulière et salutaire;
Dont le ciel s'en souviendra intemporel,
Pas dans l'éphémère;
Mais dans l'éternel;
Effet mère,
D'un ciel par ciel,
Dont il fait le ciel
D'un arc en ciel,
Qui gratte le ciel
Dans les gratte ciel,
Démentiels du ciel dément ciel;
A l'altitude artificielle et superficielle
Pour prendre de la hauteur,
En faisant des siennes;
Sans avoir peur du syndrome moteur
Qu'est le bonheur,
Où il fait le ciel
Avec ses fenêtres persiennes;
Sur la fréquence des amis hertzienne,
Comme les dames Martiennes;
Qui en ont marre des siennes
En faisant la pluie et le beau temps universel
Sur un arc en ciel par ciel; partiel,
Artificiel et superficiel
Dont il fait le ciel !
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on à un vitrier pour qu'il fasse attention ?
- Tiens-toi à carreaux !
Jérôme de Mars
Un homme en colère
Point sur la question,
De toute cette haine
Qui aime ma rengaine,
Je rentre
Avec une boule au ventre
Depuis mon embonpoint en rébellion,
Où je souffre au cœur avec un souffle,
Qui me boursoufle et où je m'essouffle
A chercher mon point de salut
Si je trouve l'intrus de mon inconnue,
Comme je suis un homme en colère
Qui décolle l'air
De rien, alors que ce n'est pas rien
Tous ces bourrelets qui m'envahissent d'un trop plein,
Où je ne ressens plus rien sinon que du dégoût
Où je n'ai plus goût à rien sinon dans les égouts,
Comme je suis un homme en colère,
Qui a dépassé et outrepassé les frontières, où je ne décolle l'air
De rien sinon à rêvasser de rejoindre ma mère,
Disparue dans un cancer de louanges
Au pays des anges dans les vents d'ange,
Où je m'en fous des conifères,
Comme je suis con et que j'en ai rien à y faire,
En cet inventaire, où je suis à terre
De tout ce qu'on m'a fait depuis miss Terre, mystère austère,
Si bien que personne ne me comprend
Et de quoi est à l'origine de tout ce boucan en tourments,
Comme je suis un homme en colère avec tous ces pétrins
Et que je décolle l'air de rien,
Pour savoir pourquoi j'ai perdu le béguin en la vie
Et de quelle est la recette qui peut en être sortie,
Afin que l'issue à tous ces problèmes,
J'en fasse un requiem qui parsème le totem
Pour resplendir et resurgir dans un carpe diem
Sur Terre pour profiter de l'instant présent,
Avec de jolis moments plaisants et puissants
A passer sur un joyeux thème,
A me réconcilier avec la vie, après toute cette violence
Et tous ces camouflets en déconvenues, où je suis en repentance
Sans forcément aspirer à la vengeance
Pour espérer changer de comportements,
En ces instances charnières avec l'art et la manière en décantant
L'imminent signal,
D'où je termine ce texte original
Pour signifier un traité de Paix,
Après été maltraité et malmené
Par la guerre,
Car ça y est c'est maintenant que je décolle l'air dans un air,
De boute en train
Avec entrain,
Dès le moment où je ne serai plus un homme en colère.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'aurait-dit Shakespeare s'il a vu sa queue en pièce détachée ?
- To bite or not to bite
2) Qu'est-ce-que ça fait un poisson mâle qui sodomise une poisson femelle ?
- La raie du cul !
Jérôme de Mars
Coucher de soleil
Pénombre du soir dès que tombe le crépuscule,
Le ciel est crépu sous un enduit de sans pareille
Sous la nuance du ciel ,dans sa face lunatique
Lors d'un coucher de soleil les doigts en éventail,
Qui regrette avec remords, le soleil qui fuit pathétique
La lune, sous un clair en une de ses prouesses avec ses failles,
Quand les nuages décampent du ciel, mis en orbite confidentiels,
Lorsque l'éclipse lunatique, absorbe le soleil et la lune qui ondulent
La planète taciturne, face au silence globe-trotter qui trotte
Le coucher de soleil, mis en merveilles qui gravit les lèche-bottes,
Qui bottent en touche, dans le paraître artificiel en ces temps confus,
Qui jette son dévolu, dès que le ciel furieux gravite miséricordieux le reflux ,
Si la vie est un long fleuve tranquille, sur les rives d'un chemin paisible,
Quand le soleil biscornu, côtoie la lune fourbue dans ce coucher de soleil,
Qui parle à l'apogée des euphémismes, au summum d' un franc-parler comestible,
Où l'on a besoin de dentelle, pour faire passer un message corporel et intemporel
Dans ce coucher de soleil, qui éclipse le soleil et la lune qui hallucinent
De ses penchants hétérogènes, dans une langue des signes d'adrénaline,
Dans ce coucher de soleil, à la nuance d'ombrelle peinte dans sa feinte orange,
Qui dérange les vents d'ange, ivres de l'anarchie du ciel, à qui on crie o'range
Ton désespoir ! pour le changer en une idylle à l'effigie de ce coucher de soleil,
Qui s'assoupit et s'assouplit dans un sommeil de porcelaine, ainsi ponctuelle !
De ce coucher de soleil qui tire sa révérence, ainsi soit-elle, ça soit-elle !
Jérôme de Mars
Le courrier d'électeurs
Libres paroles,
On vous donne l'occasion
De manifester vos idées,
Dans des manuscrits
De bonne facture,
Où on trempe sa plume
Dans le courrier d'électeurs,
Qui prend tout à la lettre
En jetant par la fenêtre
Le courrier des lecteurs,
Lorsqu'il retranscrit circoncis
Le cercle de minuit du cercle pi,
Qui glisse sur le sol
A force de passer
Des savons qui moussent en babioles,
Ceux qui sortent du lot pour saisir l'opportunité
D'avaler des pseudos-excuses de désinvolture,
En adoptant une vraie-fausse posture,
Qui instaure des griffures
Dans une nouvelle mouture,
Qui vote l'adoption
Des lois qui assument
Le courrier de lecteurs,
En lisant le courrier d'électeurs
S'enlisant à chercher le facteur,
Pour distribuer des lettres à voter
A pivoter et à vivoter
Dans une vie oisive,
De la mère de tous les vices de drôles d'oiseaux
En hilarants sacrés zozos
Dans une écriture,
Pensive et émotive
Du courrier des lecteurs,
De bonne lecture
En des vols long courrier d'électeurs,
Qui s'acheminent un jour d'élection
Appelée aux urnes
Dans un turnover,
Qui se met dans un tournant aux vers
A rêvasser intimidé et timoré
Les cheveux, qui vendent la mèche,
Dans une panne sèche
Des jours et des nuits diurnes,
D'où de cet ultime crépuscule,
Lors du vote final
Et phénoménal, ça restera dans les annales !
En se faisant la malle
De ce courrier des lecteurs,
Qui termine sa bande de lecture
Dès la fin du vol long courrier d'électeurs,
De vos si hautes opinions,
Opinion sur rue, en se faisant une formule,
Qui fait des émules
Avis aux amateurs !
A la fin de ce journal,
Du journal
Le point minuscule,
Où l'on envoie un bon signal
En allant dans le sens du vent,
Avis de mistral !
Qu'on encense auparavant
Vers la direction
D'une ouverture,
Point de suture
De la terminaison.
Jérôme de Mars
Pitié, on veut de la compassion !
Noblesse dans l'ordre de grandeur,
On veut de la richesse humaine
Et pas à prendre en argent comptant
De ce que le ciel nous offre de meilleur,
Sans les bassesses puritaines
De certaines personnes qui se proclament
Dans un slam que L'Islam is slam !
Car avec une contre basse,
On fait des messes basses
Cosmopolites avec toutes les religions !
Où en légion, on se pose tous comme question
Faut-il mieux avec passion
La pitié ou la compassion ?
Ce à quoi nous répondons à l'unanimité,
Pitié, on veut de la compassion !
Pour élever la passion
Vers l'unité et la fraternité,
De nous élever tout en haut triomphant
D'avoir su dépasser nos différences
Pour faire de la tolérance, un point de convergence,
Qui nous rassemble tous dans la passion,
Car pitié, on veut de la compassion !
Pour aller plus haut sans messes basses
Et sans utiliser une contre basse,
Mais en maniant l'outil intelligent
De la foi et de la résilience,
Avec la preuve que d'après les progrès
De la science, si on fait tous front,
On fera la communion
D'un état d'esprit pour réunir
Avec le rire et le sourire,
Davantage d'individus certes ignorants,
Mais dont avec une ouverture d'esprit,
On en fera tous à l'avenir
De futurs gagnants en gens conciliants,
Dans une foi réparatrice offrant
Ses services de compétence,
Entre des novices et des aguerris
En fournissant bien la notice
Que c'est avec humanisme et sans artifice,
Qu'on vaincra la pitié avec passion,
Car pitié ! on veut de la compassion !
Jérôme de Mars
Peut-on vivre sans amour ?
Presque arrivé au bout du compte à rebours,
On se demande sans détour
Peut-on vivre sans amour ?
En retour pour toujours,
Alors qu'on a tous besoin un jour
De connaître l'amour sous un grand jour,
Car l'amour est le ciment de la vie
Et consolide nos péripéties,
Pour soigner nos plaies
Afin qu'on soit aguerris comme on a guéri,
En vivant une multitude d'expériences
Avec appétence
Sur le quai à la frontière de plusieurs générations,
Dont chacune insuffle une impulsion
Différente, qui lui est propre en étant amorti
Sans une amortie d'enfants de la balle,
Qui déballent tout ce qui les trimbale
Où en êtres investis d'une mission,
On a la vocation ou la révocation
De signifier sa spécificité
En ce domaine étrange qu'est l'amour,
Avec ou pas des calembours
Et de peut-on vivre sans amour ?
Car l'amour est ce qui fait marcher le monde
Et concerne tous ceux qu'on sonde,
Pour reproduire le monde
Même si souvent il abonde
Dans des choses nauséabondes,
Comme un ballon qui rebondit
Toujours avec le même ressort,
De si on périt,
On en sort ou on en ressort
De ce trésor qu'est l'amour,
Qui peut être aussi un débat de vieux sourds,
Où l'on s'en fout de la détresse de l'amour,
Si jamais il naît à jour, car à contre-jour
Dans sa tour
D'ivoire à Tours,
Où l'on dessine les cons tours
Des faubourgs derrière leurs mauvais contours,
Où dans ce sujet qui guette les vautours
Si ce n'est vos tours,
Peut-on vivre sans amour ?
A moins que l'on vous coupe les vivres en désamours
Pas loin de son dernier compte à rebours,
Si autour, il n'y a guère matière d'avoir du velours
Dans ce sujet sensible qu'est l'amour
Et où c'est du lourd balourd,
Si jamais on espère qu'il fera son retour
Lors du retour des grands jours,
Pour toujours,
Car paroles de troubadour,
Peut-on malgré tout croire en l'amour ?
Avant qu'il passe son tour et se trépasse dans son parcours,
Où en des tours de ce concours,
Peut-on encore vivre sans amour ?
Jérôme de Mars
Attire-t-on plus les gens avec de la lumière ou de l'ombre ?
Qu'on soit en prison à l'ombre,
Ou avec des questions sombres
A l'ombre de la lumière,
Ou qu'on soit à la lumière de l'ombre
Avec des gens lumière,
Qui disent être des lumières,
Alors qu'ils sont à des années-lumière
De Jean Lumière
En nombre,
Attire-t-on plus les gens avec de la lumière
Ou de l'ombre ?
En jouant les joyeux illuminés
Ou en déjouant les fous illuminés,
Tel Serge Gainsbourg, un artiste torturé
Qui malgré ses blessures a su carburer
En amour,
Avec ses talents de troubadours
Pourtant, il était olé, O'laid,
Et toujours dans l'ombre,
Mais grâce à son génie,
Il a su fée inédit, attirer les plus belles femmes
Du fée de son génie en mettant à la lumière,
Tout son art dans sa chaumière,
A faire resplendir la pluie en un soleil intemporel
Dans les neiges éternelles,
Où en gentil quidam,
Névrosé et tumultueux
Il nous fit réfléchir,
Que ce n'est pas la beauté
Qui fait fléchir,
Mais la bonté
Pour infléchir
En sagaces dire,
Ce qui agace pour médire,
Car c'est ce qu'il y a à l'intérieur
Qui attire le meilleur,
Car même si on est à l'ombre
On a toujours une part de lumière,
Qui jaillit en nous sombre mais en grand nombre
Porteur de lumière au clair,
De lune qu'on soit lunatiques
Ou bipolaires,
Du froid polaire,
Au soleil chaleureux et généreux
Jusqu'aux cieux linéaires
De cette société psychédélique,
Où je pense qu'on peut attirer les gens
Avec plus d'ombre
Que de lumière,
A condition sine qua non qu'on reste extraordinaires
Avec un mâle nécessaire,
Pour plaire
Au plus grand nombre,
Ainsi qu'aux dames,
Où même s'il y en a qui sont la lumière,
De fait que la vie provoque tout un tas de boucan
Ou de tourments,
Les gens lumière
Ou les gens tristes dans leur chaumière,
Peuvent s'identifier et se reconnaître
En nous pour voir apparaître
Leur part de lumière,
Dans ce monde à l'ombre
De sa lumière,
Car c'est quand il y aura la pénombre
Et le crépuscule perpendiculaire
En plusieurs jours sombres,
Qu'on arrondira les angles populaires
Autour d'un grand ver de lumière et en clair,
S'il vous plaît, car ce n'est pas la lumière !
Ou l'ombre qui attire les gens,
Mais de ce qu'on en fait sans nous crever les tympans,
En ayant dans notre part d'ombre
Quelques lueurs de lumière,
Quand on attire en grand nombre
Sans lumière et ombre,
Car c'est la paix nombre
Sans encombres dans les décombres,
De l'ombre à des années-lumière
De la lumière,
Car voilà les conséquences de cet inventaire,
Dont on rallume la lumière sur Terre.
Jérôme de Mars
Naît-on sur Terre pour être heureux ?
Pile ou face,
Pile, on empile qui tombe à pile,
Face, on est face, on efface,
Dont la face Terre,
Qu'on la fasse taire,
Si on est de l'ombre à la lumière
Ou de la lumière à l'ombre,
Où l'on dort en nombre
Tantôt face claire,
Tantôt délétère si on est face contre Terre
A ruminer ses antiques souvenirs à Terre,
Où dans cet inventaire avant Terre,
On réfléchit avec la lumière réfléchie,
En faisant des plans sur la comète
Naît-on sur Terre pour être heureux ?
Sur la planète Terre
Ou pour être mâle heureux, malheureux
Sur la planète austère et délétère ?
Avec ce sujet universel
Qui met son grain de sel,
Envers ceux
Ou celles,
Que ça interpelle
Ce sujet entre soit faire une pelle,
Ou soit se faire ramasser à la pelle,
Si on épelle
A travers cet appel,
De ce que ça nous rappelle
En faisant un choix pieux
De croix aux cieux harmonieux,
Ou de faire déchoit audacieux,
Si on décroît fastidieux
En des domaines odieux et insidieux,
Où l'on ne croit en rien, sinon à l'enfer
De si la vie en vaut la peine d'être vécue,
Ou de si la vie équivaut open de par être convaincu
Avec plus de peines que de joies,
O'pen qui peine à y croire
A part,
Si le mal de mère
Fait que la marine le peine,
Le désarroi sans la courroie
Pour tenir les rênes,
Sans les étrennes qui freinent
Et rebutent les incrédules,
Qui croient que la vie c'est que gesticulent
Tes testicules, alors que tout cela se module
Avec des pellicules,
Car y a pas photo !
De nos angoisses et de nos maux,
Où il faut avoir de la philosophie
Question diplomatie et aristocratie,
Avec la grandeur de l'âme
Sans la folie des grandeurs infâmes,
Où les grands artistes
En solistes ou en dualistes,
Qu'ils aient ou non de la méritocratie
Posent comme énième question existentielle,
Et essentielles du sel
De nos vies artificielles ou
De nos vides superficielles,
Naît-on sur Terre pour être heureux ?
Ou pour par être heureux ?
Et de si la vie nous rend malheureux
Ou mâles heureux ?
Obséquieux et audacieux
Jusqu'aux cieux sirupeux,
Ainsi Dieux sous pieux.
Jérôme de Mars
La vie sur Terre est-elle éternelle et belle ?
Comme des anges, on naît sur Terre pour passer du bon temps,
Le peu de temps qu'on est sur Terre, d'autant qu'on est de passage,
Où il faut espérer, qu'on sera raisonnables et sages comme des images,
Et croire en la vie spirituelle et éternelle, de l'archange d'antan à maintenant,
Où à-tire-d'ailes, il faut ouvrir ses ailes dans la vie,
Pour ne pas qu'elle dévie, mais qu'elle reste loin de l'agonie et de l'inertie,
Pour respirer avec les tourterelles, toutes les ritournelles dans l'hégémonie,
Et prier dans l'harmonie, du bonheur sur Terre en ne tarissant pas d'éloges, le prix
Précieux qu'a la vie sur Terre, où l'on quémande en faisant la manche,
Auprès des badauds, s'ils préfèrent une vie oisive ou spirituelle,
En se retroussant les manches pas que le dimanche, mais en dix manches
De coups de balais, dans un ménage de printemps pour entretenir la gestuelle,
A adopter et à rétorquer, en disant oui tout béni à l'appel de Dieu,
Avant que l'existence ne se fasse la pénitence, et qu'elle batte de l'aile en ailes
Brisées, dans la brise du vent, où l'on préfère faire une bise à nos aïeux les pieux,
Où l'on met en point d'interrogation, La vie sur Terre est-elle éternelle et belle ?
Si l'on tient la chandelle,
Avec les vierges effarouchées, si résonnent les chanterelles
D'un avenir meilleur, en priant dans un Ave Maria de la Vierge Marie, qui marie
Nos colères et nos liesses pragmatiques, qui se fient à l'instinct du génie impuni,
Qui guérit les âmes damnées, pour qu'elles guérissent et soient aguerries
Dans l'expérience chevronnée, qui a rempli sa mission
En omission et en rémission
Dans un concert de louanges, en une vie d'ange
Avec l'essence de la bénédiction,
Où l'on se dédie lors d'un rappel à Dieu, qu'on vaut mieux
Que ce que vous croyez pleine de grâce, comme Grace Kelly,
La princesse qui équivaut à la loyauté
Et à la probité, avec tout le respect,
Que l'on doit aux fidèles avec parcimonie,
Où l'on ouvre ses ailes fidèles, comme de belles paroles de tourterelles,
Le jour de la divination sacrée,
Où l'on aura répondu à la question qui taraude Le Missel,
De est-ce-que la vie est-elle éternelle, belle et essentielle ?
Si jamais l'invocation et la vocation spirituelles demeurent par ciel,
En tout point partielles, mais substantielles et exponentielles,
De si la durée de la vie est-elle éternelle et belle ?
Adressée aux messagers du ciel et au pluriel,
Car si vous avez la réponse sempiternelle à cette question existentielle,
C'est là que demeure l'essentiel, de ce qu'on prie avec nos prières torrentielles,
Dont on aborde et on déborde dans une fontaine affable et belle,
Car bel et bien les fidèles, c'est l'heure du Missel,
Et est-ce-que en tenant la chandelle,
Le jeu en vaut-il la chandelle ?
Et si la vie est-elle éternelle et belle ?
Pour conter fleurette ou pour une amourette,
Depuis belle lurette, comme on termine nos emplettes,
Et qu'on tombe dans les oubliettes, en récoltant les miettes
D'une vie en dents de scie, dont on vous dit merci la vie essentielle,
De si jamais la vie est éternelle et belle, en huiles d'onction essentielles,
Dont on vous offre l'hostie toute en pain béni
Et ordonnée toute ouïe,
Comme tout a une fin chers fidèles,
Avec des messes-basses demoiselles et sensuelles,
En ayant une ribambelle d'étincelles et de merveilles,
De si en éveil le soleil veille
Sur vous, et vous surveille de la jeunesse à la vieillesse vermeille,
Car vient de là l'essentiel !
De si la vie vous est éternelle et belle,
Chers fidèles, en restant le témoin universel
Pour très longtemps,
D'antan à maintenant,
Puisque vous ramasserez le message du ciel
Intemporel, où grâce au rituel,
Vous pourrez dorénavant dormir à l'autel
Du Bon Dieu en paix,
Avec pour Missel
Que la vie est désormais éternelle et belle.
Jérôme de Mars
La Presqu'île de Giens
Tranquille sous les tropiques,
La Presqu'île nous susurre au souffle du vent
Qu'il est temps Ménilmontant,
De bifurquer son QG Parisien
Vers la Presqu'île de Giens,
Quand cette presqu'île nous chuchote
Que voilà nous y tient lorsque notre tête nous ôte
Et nous hoche d'un revers exotique,
Que notre paradis flamboyant
Nous tombe triomphant
Sous les cocotiers,
A secouer le cocotier parmi les palmiers
Au chœur des palmiers,
A jouer de la mandoline
Dans le paradis des lagons,
Si bien qu'on connaît trop bien la chanson
Qui fascine les mélodies douces et les affine
Sur cette Presqu'île de Giens,
Où c'est sans arrêt le même refrain empreint,
De tant de poésie, adulée et acidulée dans la miséricorde,
Où il ne pleut des cordes qui concordent,
A accorder leur pardon
Aux gens qui s'égarent dans la rébellion tout papier chiffons,
Où la poésie, comme Les Iles des Antilles déchiffrent
Les hiéroglyphes, très stéréotypes qui griffent
Les effets mers éphémères des modes, qu'on retient
Si bien qu'on est bien sur la Presqu'île de Giens,
Autant que La Martinique ou La Guadeloupe,
A contre danser sur du zouk, qui fout le souk dans la chaloupe,
Pour en mettre plein la vue, en nous menant en bateau
En faisant des ronds sur l'eau
Sur La Presqu'île de Giens,
A fredonner les matins d'entrain
Dans la lagune,
Face à la lune qui s'excuse de ne plus avoir de tunes
Pour écouter sur I-tunes,
La romantique musique des vacances
Sur la fréquence de ce Port de Plaisance,
A volonté et pour toujours sur cette Presqu'île de Giens,
Où l'on y restera et vivra toute notre vie
Sur ce paradis
Aquatique, en ouvrant le bal des oiseaux
Zigottos qui font dodo avec les dodos,
Jusqu'à la fin sur La Presqu'île de Giens,
Car plus on sera fous !
Sans garde-fous,
Et plus on y sera bien !
A oublier le train-train quotidien
Métro-boulot-dodo,
Chers bons samaritains !
Comme on vous tend la main
Envers vous les futurs riverains,
Dont on vous attend boute-en-train
Et à plus si vous le voulez bien !
Sur La Presqu'île de Giens.
Jérôme de Mars