Est-ce pour demain ?
Coup de main
Ou coût demain;
Est-ce pour demain ?
Si hauts deux mains,
On te donne un coup deux mains;
Ou à moins
Qu'on le fasse aujourd'hui;
Pour ne pas le remettre à demain
Dans l'oubli;
Et au lendemain
Et au sûr lendemain, au surlendemain;
A coups d'on verra !
Si on en verra, on enverra
La couleur ou qu'à moins
On le remette à demain;
Et qu'on le remette à deux mains
De procrastination;
Et à maturation,
Comme la nuit porte conseil !
Et que demain est un autre jour !
Pour qu'on veille
En retour;
A son exécution
Et à son application;
Si demain,
On te donne un coup demain;
Est-ce pour demain ?
Le coût de main
Qu'on te donne à deux mains;
Demain au sûr lendemain;
Surlendemain aux mains
D'un nouveau matin,
Où tu seras en forme;
Pour qu'on te donne conforme
Un coup de main,
Dont est-ce pour demain ?
Le coût deux mains;
Si on te le donne avec procrastination
Et si tu en ressens les vibrations;
Pour agir en actions
Et faire ce qu'il faut
Pour démêler le vrai du faux;
Dont enfin pour demain,
Est-ce vraiment un coup deux mains
Que tu veux qu'on te donne de main ?
Jérôme de Mars
Roc correction
D'hier à aujourd'hui;
Les yéyés de la nostalgie
Sont surannées 60 en transe;
Avec les années 80 en trance,
Dont les remontrances
Sont un roc collection;
D'un dur à cuire connection
Instantané en roc de Pierre,
Dont au plus c'est au moins
Et néanmoins
Un surf sur l'eau;
Pour surfer avec les surfs
Très à cheval au turf,
Où c'est le nouveau numéro
Au golf Drouot;
En jouant à l'effet domino
Avec Fats Domino;
Du rock collection
En un roc correction;
Pour remettre les choses
A leur place ;
En une face
Avec pour face B;
Un look BCBG
Limite branché
En station debout;
Surplace Duroc;
Avec toujours un métro
De retard;
Ayant pour roc de pierre
Un roc correction;
Pour rester à sa place
De numéro un;
En hein
Caliméro et en connection
De Johnny Hallyday;
Qui fait l'intendance
Avant la tendance
Eddy Mitchell;
Pour faire son manège
En un tour de Carrousel;
Qui l'ouvre avec pour platine
Un 33 tour ou un 45 tours
Aux détours du contour,
Dont la gélatine
Et la montée d'adrénaline;
Ont leur madeleine
De Proust à chaque jour
Suffit sa peine !
De Dick Rivers, very Nice,
Bouche-bée vie d'ange,
Où avec mésanges;
Les standards naissent à vol d'oiseau
Avec pour espace rétro
Des instants kitchs rigolos,
Dont le temps est un privilège;
Qui fait du solfège
Avec pour stratège;
Une fin lisse des lisses
Jusqu'à Richard Anthony en train de siffler
Trois fois sa nostalgie,
Quand ce fut bon enfant
Son côté jeune fou,
Dont quelquefois, quelques fois
Parfois et dès fois;
Ca endure ras de dur à cuire au microsillon,
Au sillon, au tourbillon
Et en osmose;
D'il était une foi un roc correction.
Jérôme de Mars
La laque des signes
Bouteille envoyée à la mère;
Que ce soit bon signe
Ou mauvais signe,
Il faut toujours se méfier
De l'eau qui dort;
Avec quelques raretés,
Qui appellent en mes tas forts
A la laque des signes;
Pour ajuster dans la dextérité;
A l'inconnu à cette adresse
Bénigne et maligne;
Avec si possible le rétablissement
De ma ligne,
Qui stresse et oppresse
Orange, car O'range ce cancer
De louanges,
Si bien que la vie d'ange
N'existe, où il faut se parfaire
A profiter du jour plaisant;
Tout comme du jour dernier,
Dont pourvu que tout ne tombe à l'eau !
Dans la laque des signes,
Si c'est bon cygne ou mauvais cygne
De prier pour le retour sur Terre;
De l'eldorado au Trocadéro,
Où en vieillissant;
La laque des signes
Prend de la bouteille à la mère;
Après avoir bu divin
Le ver d'un bon samaritain,
En espérant de meilleurs lendemains;
Pour que les oiseaux enchanteurs
Subsistent réanimateurs et migrateurs;
Pour un monde davantage fédérateur
Au coin du feu;
A imaginer ce qu'il y a de mieux
Et de plus fabuleux;
Avec des plaisirs prodigieux et prestigieux
Pour avoir en fameux repères
Jusqu'aux cieux bleus,
Plus aucun bleu à l'âme;
Pour que le cœur d'artichaut
Soit bien au chaud;
Et prenne la température
D'un nouveau monde moins infâme,
Où il sera question de villégiature
Au bord de la nature,
Où le vague à l'âme
Qu'on prélèvera à la source;
Fera des ronds sur l'eau comme Rousseau
Et comme Voltaire un inventaire sur la Terre;
Avec au bout de cette course ses propres ressources,
Car après s'être fait des cheveux
Dans cette laque des signes
Très tirée par les cheveux,
Ce sera alors bon signe
D'avoir en un signe, insigne
Qu'on signe, consigne;
Avec pour littérature du cerveau
La coiffure des mots,
Car si c'est bon ou mauvais cygne;
Ce sera le signe qui se résigne
Dans la laque des signes.
Jérôme de Mars
Inchallah, si Dieu le veut !
Le monde d'après sera-t-il mieux ! ?
Ou est-il prêt à croire radieux
A Dieu ! ?
Face aux aléas de le vie;
Qui font qu'on dévie
Du droit chemin;
Ou qu'on se raidit
A être droit en se prenant en main;
Avec la vie qu'on nous dispose
En habitudes;
Et qu'on nous pose
En turpitudes,
A grande altitude;
Qui détermine notre attitude
A faire face;
Avec la grâce
De Dieu;
Ou à se ranger à la disgrâce
D'odieux; faute de mieux
D'être pieux !
Car pour untel;
C'est être infidèle,
Quand ça paraît copieux
De rester frileux
Dans son pieu,
Car qu'on le veuille ou pas;
La vie est imprévisible
Et invisible !
Où l'on ne sait
Ce qui va se passer après
Les heure prochaines
Et dans la semaine,
Car inchallah,
Si Dieu le veut !
Soit on a le choix
De porter notre croix avec soie
En faisant des vœux;
Ou soit on a le désarroi
De faire de vieux désaveux;
En ne croyant plus en rien,
En se désespérant,
Et en espérant méchants,
Que dans mes champs,
Que ce soit
Le désarroi;
Avec du pétrin dans le foin,
Si on n'a plus de béguin
Et foi
En la vie qui dévie;
Où l'on oublie
Nos copains Chrétiens,
Si on devient misanthrope
Envers les humains;
Avec des psychotropes
Pleins les mains,
Où inchallah,
Si Dieu le veut !
Pourvu qu'il rende les gens moins égoïstes,
Heureux et amoureux
D'une vie optimiste et idéaliste !
Avec des pensées moins tristes,
Et plus avant-gardistes,
Pour que chacun
Parmi nos prochains;
Devienne l'artiste
D'une vie plus hédoniste;
Avec dans la longue liste
Plus de futures actions altruistes;
Pour nous donner envie
D'y croire en un monde
Avec plus de couleurs,
Qui fécondent
Une populaire ferveur,
Où Les Français après
Avoir côtoyé les malsains;
Seront de futurs mâles Saints,
Car nul n'est propriétaire
De sa vie !
Dont on naît locataires
Le temps du devis
De notre passage sur Terre,
Dont autant laisser un bel inventaire !
Pour donner envie
Aux nouveaux pensionnaires
D'habiter avec l'esprit curieux
Sans des faux,
Mais pour éclairer ce monde noir
Avec un soleil bien chaud;
Et pour donner à boire;
Et à manger aux gens qui sont soûlés
Par la monotonie
De la vie,
Et pour leur changer les idées
Et leur inculquer de sereines valeurs,
Autant leur procurer une paix intérieure !
Avec la liberté du travail bien fait
Communié et communiqué
Dans l'amitié et la solidarité
D'un monde plus fraternel et charnel;
Avec au bout des étincelles;
Pour vivre malgré l'échafaud
Dans le carpe-diem;
Avec pour présent le totem;
Malgré les problèmes odieux
De la vie;
Qui fait que parfois,
Par foi,
Les gens ne s'aiment,
Mais dont Dieu
Doit tout faire
Pour les sauver de l'enfer,
Car pour connaître la gloire
De mon père,
Il faut avoir le sein esprit,
Dont le tout-puissant
Est le garant,
Afin qu'il y ait davantage de beau temps
Haut Dieu
Sur tout le paysage du royaume des cieux,
Car après le purgatoire
Qui a pêché nos fausses mentalités;
Il faut se racheter dans la dignité et la probité;
Pour jeter les fosses septiques
Dans l'océan atomique;
Et fourvoyer les vaines prières
Auprès des fausses sceptiques;
Pour se réhabiliter
Dans un repenti
En un mea culpa;
Qui fait qu'on a le droit
A l'oubli ;
Et à se projeter
Sur de nouvelle bases d'amis
Vers une deuxième lumière
Et chance dans le nouveau millénaire,
Car plus le monde sera clair !
Plus il fécondera des idées visionnaires;
Pour le rendre solidaire
Après des feintes solitaires;
Car ce seront ceux qui sèment l'amour !
Qui feront que le monde renaîtra
Et roulera
Pour toujours
Dans le bien !
Eh ben ! Que c'est sein
D'avoir un esprit divin et un corps Saint;
Et d'être rupin dans une richesse de cœur;
Pour supporter les malheurs
Autour de la bienveillance
Et de la renaissance en résilience,
Car ce seront ceux parmi les pieux;
Qui auront respecté leurs aïeux;
Qui baigneront dans l'eau de vie
De l'océan pacifique;
Avec pour devin,
L'eau de vin
Mirifique et bénéfique,
Dont il restera en eaux-de-boudins
Pour les vilains pèlerins
Une potion maléfique,
Car ce que veulent nos prochains pieux;
C'est un monde essentiel
Et plus artificiel;
Avec une ribambelle
D'amis qui sont des membres de la famille,
Pour que l'ensemble forme la passerelle
D'un monde meilleur;
Avec une grande candeur
Et une immense grandeur
D'âme car après l'infâme,
C'est à votre tour, les quidams !
Pour que vous soyez heureux
Et harmonieux
Avec toute votre fratrie;
Et en galante compagnie
Dans votre confrérie;
Si Inchallah,
Dieu le veut !
Jérôme de Mars
Tare 90
Des gens tailleurs de costards
Signifient à mon égard leur mauvais regard,
Dont moi, je fus la tare 90,
Car je suis un lascar académie de dix
De chute,
Avec pour chute de l'histoire,
Beaucoup de rechutes;
A tout raconter au bar du comptoir,
Dont pendant les années 90
Je fus la tare 90,
Où tous m'ont taillé des costards;
Même que je suis un phénix;
Qui renaît de ses cendres;
A en fumer, enfumer descendre
De cigarettes;
A m'en griller à l'instar, l'un star,
De mes diverses facettes,
Où je meurs d'indifférence;
Avec pour circonférence
Une conférence,
Où l'on fait référence
En permanence
A mon inconstance;
Avec pour instances
En ces aggravantes circonstances;
Que des sous-entendus;
Avec pour malentendus
Ma tare 90;
Où on me taille des costards
A l'instar, l'un star;
Si j'ai la tête dans les étoiles défilantes,
Où je renais en cendres
Du fruit défendu
De mes amis
Et de ma famille;
Avec qui certains parfois, les relations sont distendues,
Car répandues
En esclandre,
Alors que je veux me défendre;
Que malgré ma tare 90
Et qu'on me taille des costards;
Je renais à l'instar, l'un star
De brèves de comptoir
Au bar des racontars,
Où malgré mon côté lascar académie;
Rien de tel que je demeure pour ma famille
Et mes amis,
Le gars qui reste à la barre,
Car malgré qu'on me rembarre;
Je perdure en renaissant de mes cendres,
Comme un phénix,
Car pour bien entendre
Et étendre
Toute ma sympathie
En vers ma famille et mes amis;
Autant continuer d'être en synchronie
Durant toute ma vie;
Malgré qu'on me taille des costards
A l'instar, l'un star;
Mais dont je ressuscite en esclandres,
Car tant que je renais de mes cendres,
Comme un phénix;
C'est que je surfe sur la radio nostalgie
De moi, un lascar académie,
Dont les ecchymoses
Me mettent en andropause,
A cause de ma tare;
Complètement à l'instar
De ma tare 90.
Jérôme de Mars
Que se passerait-il si mes vers de poèmes tombaient à l'eau ?
Pluie de cristalline qui fascine par petites gouttes les sanglots;
Qui imbibent mon encre de revers trempés de caractères,
Où je dresse dans un inventaire tous les points communs similaires
Que je partage dans un jeu d'écriture avec pour convergences;
Certaines catégories populaires qui font la différence;
Avec des différends, où j'exprime par intermittences du spectacle;
Tout ce qui fait que je me marginalise avec pour obstacles;
Si je tacle tout le monde et tout ce monde que je féconde;
Et dont j'inonde d'insultes tout ce tumulte qui sonde;
Que se passerait-il si mes vers de poèmes tombaient à l'eau ?
Et laissaient tomber mon âme de poète maudit Hello ! ?
Dont le téléphone morose se demanderait si je perds mon boulot
Avec mon si boulot ? Et si j'ai six boulots ? ! Et si je perds le ciboulot
Avec du bouleau à en tailler les arbres ? Et si de par mes bibelots;
Je suis un bibelot pour sauver les meubles si j'arrive à sortir du lot ! ?
Et si je me fais des scénarios
En interrogeant mon imprésario ! ? A qui je demande franco !
Que se passerait-il si mes vers de poèmes tombaient à l'eau ?
Et que je finis illico presto
A réécrire le film sur mon magnéto;
Et à vérifier que je file et refile des bons tuyaux
Par la force de ce mélo mi-mélo;
Avec mes mots qui me rappellent tout mon passé dans le rétro électro;
Et dont j'en tire en conclusion que mon encre a un caractère bien trempé !
Détrompez-vous ! Si vous décampez
Sur vos surexpositions à la moindre injonction !
Si je reste dans la même version
Du scénario; avec pour question intemporelle qui demeure en échos ;
Avec pour échos qui tiennent à propos;
Que se passerait-il si mes vers de poèmes tombaient à l'eau
Sous une trombe d'eaux ?
Jérôme de Mars
Dix versions
Dans une course-poursuite
Contre l'ennui, vous connaissez
La suite dont et ensuite, en suite,
Vous savez et avez
En votre possession;
Dix versions, pour faire diversion
Et pour fuir la confusion
Des genres avec effusions, et fusion;
Avec davantage de sagesse
Dans votre âge de jeunesse,
Où il vaut simplifier les choses
Pour avoir une vie éclose,
Dont le plus recommandé
Est de rester dans l'authenticité;
En faisant diversion
En dix versions;
Avec pour version initiale
Une réversion principale
Du premier mari;
Qui se marie avec la vierge Marie;
Après avoir goûté
A la verge effarouchée
De son mari;
Pour faire dix versions
En diversion;
Et passer d'une désunion
A une réunion;
Avec pour vocation
La révocation
Des ruptures;
Avec pour point de suture
Après les points de sature;
Des réconciliations
En communions,
Car après pour suite
Dans une course-poursuite,
V'là en suite, ensuite
Le moment de la poursuite;
Pour faire diversion
En dix versions;
Point de dix conversions.
Jérôme de Mars
Poème à bon entendeur pour ceux qui ne sont pas sourds à proprement parler
Pour ceux qui font la sourde oreille,
Ont-ils sans pareille en eux un soleil ?
Pour ranimer la vie de ceux;
Qui sont mélancoliques jusqu'aux cieux
En eux; avec par exemple un bronzage
D'amour, dont il faut avoir le cœur à l'ouvrage
A tous les âges, pour ramener un joli ciel bleu
Dans les parages avec pour azur un joyeux
Poème; pour regarder heureux vers un avenir
Plus harmonieux; et tellement avec du plaisir;
Pour regarder avec Plaisir dans Les Yvelines,
Dont on cherche des phrases fines;
Pour plaire à une génération beaucoup plus réceptive;
Avec pour rhétoriques réactives;
Une vie sur Terre collective, furtive
Et captive;
Pour profiter de l'instant présent;
En savourant aujourd'hui en ce moment,
Car il vaut mieux privilégier la qualité
A la quantité
Dans la vie; qui on l'espère parfois
Peut être un long fleuve tranquille;
En agréments bourgeois;
Riches pendant des mois;
Avec aucun souci
Dans une vie; en ayant une accalmie
Durant un long cours;
Au cours long, ou dans un concours
Dans une période de quelques jours;
Avec de l'amour;
Pour que les vautours deviennent à vos tours;
Des mots synonymes de toujours;
Avec de la légèreté
Dans un gant de velours,
Dont le jour,
Où ce sera votre tour;
Faites-en un bon tour !
Avec vos p'tits vélos;
En passant par Le Trocadéro,
Dont pour vous réconcilier
Avec votre fratrie,
Votre famille et vos amis,
Passez en galante compagnie !
Par ce poème à bon entendeur
Pour ceux qui ne sont pas sourds
A proprement parler par Les Français;
Sans faire la sourde oreille amicale;
Mais en ayant l'oreille musicale;
Pour mettre en musique
Tout ce qui vous émeut en acoustique;
A bon entendeur avec vos écouteurs !
Dans ce poème à bon entendeur
Pour ceux qui ne sont pas sourds
A proprement parler Français;
A bon entendeur avec vos écouteurs !
Burn août
En plein moi du 15 out !
De l'ascension à l'Assomption;
Je vous salue bien immatriculé conception.
Jérôme de Mars
Si mes vers de poète maudit me mangeaient !
De Rimbaud à Verlaine;
Avec un tilleul camomille verveine;
Je souscris un vers laine,
Dont j'écris avec la bedaine
Des mots; en gros tout ce qui
Me torture l'esprit,
Dont si jamais ça ne faisait que me démanger
Mon tombeau à en crever l'abcès,
Si jamais mes vers de poète maudit me mangeaient
Et me consumaient à l'excès;
Avec un ver de trop qui soûle mon intégrité
Dans un état des lieux pas très conseillé;
Et recommandé moi, délabré et laminé
A m'en taper le coquillard,
Car si jamais je perdais la boule
Je serais opéré sur le billard;
Avec tout de l'intérieur de ce que je refoule;
Que par conséquent, je m'en ferai un sang d'encre
Et je jetterai l'encre dans le bourreau des vases clos
Communicants; renfermé dans le ghetto
Des poètes, où j'ancrerai et je rentrerais cancre, qu'ancre
Mon encre avec férocité et vivacité dans la saga cité,
Si mes vers de poète maudit me mangeaient
Et me bouffaient dans mes bouffées d'angoisses;
D'un pas las, où tout me lasse, et où je m'en fous
De tout dans ce monde sans garde-fous,
Où je cherche un rad pour oublier ce monde salace,
Car ça lasse mon côté Rimbaud;
Qui boit un ver de trop
Et aussi Verlaine,
Dont pour ne pas sentir ma sale haleine,
Je me mets à boire des vers de verveine;
En écoutant Grand Corps Malade;
Pour inspirer mes ballades et sérénades,
Car tant que j'aurai des rimes à souffler et à boursoufler
Mes vers ; et ben ! J'en profiterais quitte à m'en démanger mes impuretés,
Si jamais à tout jamais mes vers me mangeaient en vers ma Chrétienté.
Jérôme de Mars
Le je en valait-il la chandelle ?
Triste anniversaire que celui d'hier,
Où certains ont oublié ou n'ont pas voulu
Me le souhaiter du fait de mes péchés,
Où je me fais passer pour un bouc-émissaire
En goûtant le fruit défendu
Et en jouant au face bouc-émissaire,
D'où j'en sors
Et j'essore;
Tout ce qui me cause du tort
En faisant le cruel jeteur de sort;
Qui jette son dévolu
Dans mes excès;
Absolus et éperdus, et perdus,
Car même qu'hier, ce fut du gâteau;
Est-ce-que le je en valait-il la chandelle ?
Qu'on me souhaite mon anniversaire
Moi, empêtré dans de sales affaires,
Où la morale me perd
Pour me consumer
Avec l'amoral sur le bûcher;
En ne faisant pas dans la dentelle
Avec des blagues douteuses
Et sulfureuses;
Qui ne parlent que de bagatelles
Sous des propos crûs;
Qui l'eut-cru ! ?
Qu'un jour, je nivelle
Vers l'ébat,
Car et bas !
Les masques;
Avec les frasques et les bourrasques
Devant, où je me demande
A la quémande et avec des offrandes;
Ce qui peut me motiver
A dériver sans arrêt
Vers le rétro du chaos,
Car même si hier,
Ce fut du gâteau !
Cela était trop
Pour moi que certains hier
Oublient ou ne veuillent
Pas me souhaiter mon anniversaire !
A cause de mes sales affaires,
Où je m'en lave les mains avec mes feuilles
Mortes en pré-vers, où j'en ai marre
De tout comme durant mes nuits de cauchemars,
Et où j'implore le ciel;
Si malgré que je chancelle;
Si ça en valait la peine de colporter
Comme nouvelle !
Que je fête mon anniversaire
Avec mes amis
Et ma famille;
Avec comme question nécessaire;
Est-ce-que le je en valait-il vraiment la chandelle ?
Jérôme de Mars
Je flingue avec des révoltes vers !
A la prunelle de mes yeux;
Que j'observe joyeux ou soyeux
Je suis dingue de revolvers,
Où casse-dingue
Et lourdingue;
Je flingue avec des révoltes vers,
Où je virevolte vers les œillères
Qui me surveillent comme le lait sur le feu;
Avec des pare-feu, départ feu en un nœud
Sur l'estomac, où je ne veux aller à la fête à neuneu,
A la défaite à neuneu;
Tellement que je suis dingue de revolvers;
Que casse-dingue
Et lourdingue;
Je flingue avec des révoltes vers,
Où je virevolte vers et ouvert
A tout pourparlers dont j'arme d'hein patience;
Avec mes larmes de repentance,
Dont je dézingue n'importe quelle importance
Que je sois en vacances;
Ou sur le support de Plaisance;
A vouloir refaire à chaque instance
Ce que j'ai manqué dans l'envers du décor,
Dont l'an vers dû des corps;
Fait que je ne suis raccord
Sur le rebord de la fenêtre;
A défenestrer le maître
De mon destin que je considère,
Comme un traître en travers
A la prunelle de mes yeux;
De l'iris qui hérisse mes vieux
Et mes anciens démons,
Dont j'en veux pour diversions,
Que j'ai dix versions de mon aversion
Sur la planète austère en père versions,
Perversion, dont avec des revolvers,
Je dézingue avec des révoltes vers;
En vers vers ce que quoi ou vers,
Cela me sert, serre ou me dessert,
Si bien que je virevolte vers et aux vers;
Tellement que je dézingue à visage ouvert;
Que j'en reste dingue bien habillé pour lit vers,
L'hiver, où avec tous mes travers;
Je reste à distance très ouvert
Aux vers, dont j'ai en travers
De la gorge dix vers
Et avariés; que j'en suis dingue aux vers
De Noël Mamère à Noël, ma mère,
Dont je dézingue pour l'hiver divers;
Avec des revolvers
Ou vers, ouverts dont je virevolte vers
Les hauts vers, les os vers,
Car je flingue couvert, qu'ouvert, ou vers
Jusqu'à ce que je révolte vers ou vers aux vers.
Jérôme de Mars
Un chagrin en vaut-il la peine ?
Peignée dans une coiffure;
Tirée par les cheveux de désinvolture,
Est-ce-que avec des madeleines
De Proust,
Un chagrin en vaut-il la peine ?
Pour connaître nos goûts
Avec un questionnaire de Proust,
Où l'on avoue
Que l'on vous désavoue
Avec un ouste;
Dehors, si on nous fout des roustes !
Où faut-il que l'on s'éprenne
Aux étrennes ?
Ou qu'on freine notre rengaine ?
Si on peine et on traîne;
Et traîne toute la semaine
En capitaine à tribord
Si on a tort de traîner nos remords;
Et si avec des madeleines
De Proust;
Un chagrin en vaut-il la peine ?
Si on répond au questionnaire de Proust;
Pour qu'on nous foute des roustes
Dehors ! Et ouste !
Dépeignée par les touffes de cheveux;
Qui pouffent nos fronts garnis par la mèche;
Qui vend la mèche en allumant les brèches,
Quand s'embrasent les brûlures de l'histoire;
A raconter au bar en brèves de comptoir;
Pour s' laisser happer par le suspense fabuleux
Et fiévreux à nous décoiffer face à nos impostures,
D'où on se contredit tous avec des costumes sur mesures;
Pour voir si on a une ouverture d'esprit en galante compagnie;
Et si nous vient à l'esprit qu'on concilie
L'harmonie et la frénésie;
Avec des confettis
Si jamais on devient open, O'peine !
En mangeant des madeleines
De Proust,
Car en répondant à nos goûts
Préférés du questionnaire de Proust,
On avoue
Qu'on ne vous désavoue dénoue à vous;
Même qu'on a pris des roustes !
Et qu'on a nous foutus dehors ! Avec un ouste !
Si on mange des langoustes;
Et si en 2022;
V'là nous deux !
Si Marine le peine !
Et si de la peine;
On devient open, O'peine !
Et si jamais un chagrin en vaudra-t-il Le Pen ?
Jérôme de Mars
Des cas faits, décas faits, des cafés
Légitime défiance;
Pour calmer vos impatiences;
Faites-vous des cas faits,
Décas faits, des cafés !
En cas faits,
Encas faits, en cafés !
A vos cas faits,
Avocats faits, à vos cafés !
Pour votre défense;
Qui vous fait offense
A vos cas faits,
Avocats faits, à vos cafés !
Dont il est temps
Que vous ayez un instant
Des cas faits,
Décas faits, des cafés !
Pour trouver la paix
Avec des cas faits,
Décas faits, des cafés !
En cas faits,
Encas faits, en cafés !
Pour votre défense
A vos cas faits,
Avocats faits, à vos cafés !
Et dont pour votre défiance
Des cas faits,
Décas faits, des cafés !
En cas faits,
Encas faits, en cafés !
D'il est, illégitime défense
A vos cas faits,
Avocats faits, à vos cafés !
Point de défiance.
Jérôme de Mars
Quand Port-Grimaud vogue sur Venise !
Eté comme hiver
Dans la zone de l'atmosphère;
L'eau glace le vent
Sur les gondoles
Face à l'océan;
Qui se gondole
De sourires sans bémol;
Sur la baie molle
Du Golfe de Saint-Tropez;
Qui en a vu suer
Comme la pluie sur Grimaud;
Qui mouille sa chemise
En servant le gris-beau,
Quand Port-Grimaud
Vogue sur Venise;
Qu'on se croirait à Port-Grimaud
A Venise;
Avec pour femmes promises
Le pont des soupirants;
Flirtant dans une vie de bons sentiments;
Mélangeant Les Vénitiens
Et Les Vénusiens;
Que ce soit au mois de Mars
Ou un certain Jérôme de Mars
Sur la place Saint Marque;
Avec en son sein Marc;
La vie d'artiste de peintres
Peignant l'ivresse
De la foule en liesse;
A jouer de la harpe
Dans un auto-portrait,
Où plus personne ne s'écharpe
Dans le jeu de la carpe
Et du latin,
Comme au quartier latin;
De quoi en perdre son Paris latin
Dans ce village de rupins;
A songer à des rêveries
Sur le pont des sans soucis;
Pour avoir le droit à l'oubli
Avec pour accalmie;
Une étreinte sans feinte
Et une feinte éteinte;
Avec une teinte atteinte
Et à teinte,
Car c'est l'amour qui fait s'envoler
Les rossignols;
Sur la place de ceux qui tiennent paroles
Dans la farandole,
Comme l'amour donne l'apparence
D'un monde qui va bien;
Mais dont on boit du vin
En substance pour faire résilience;
Et omettre le déclin
De ce monde, où on a besoin
De tant d'amour;
Avec dans la cour
Des grands;
Ci-joints;
Des gens élégants
De velours,
Où Port-Grimaud
Vogue sur l'eau,
Comme Venise
Est un eldorado;
Qui a la mise
Ave une répartie remise
En facéties
Et en pures fantaisies;
En mille et une facettes
Sur la place des comètes
Vers le ciel
Dans ce poème sur aquarelle,
Où on fait dans la dentelle,
Car nulle part ailleurs pareil
Où aller,
Quand les peintres sans quiproquos
Jouent sur tous les tableaux;
Des trémolos avec sanglots
Jusqu'à avoir les mots qu'il faut;
En mouillant la chemise
Des Vénitiens
Et des Vénusiens;
Qu'on se croirait à Venise
Juste ce qu'il faut,
Quand en épilogue;
Port-Grimaud vogue
En monologue;
Tellement en vogue
Sur Venise.
Jérôme de Mars
Avec de l'eau, on boit la tasse !
En buvant des paroles qu'on entasse;
Tout se tasse quand sur la terrasse,
Avec de l'eau, on boit la tasse !
Lorsque tout tombe à l'eau et qu'on potasse !
Tout ce qui nous terrasse
Avec un cancer de louanges de mes tasses tassent,
Si bien qu'avec un sirop
Et un ver d'eau
En une tempête dans un ver d'eau;
Eh bien avec de l'eau, on boit la tasse !
En tasse dont on se prélasse
Sur le boulevard Montparnasse;
A la ramasse
Dans un O' méli-mélo,
Dont l'homélie met l'eau
Et dont avec des flaques d'eau;
On va patraque dans le ruisseau
A-vau-l'eau,
Dont on en fait tout un mélo !
Qui émet l'eau, aimait l'eau,
Dont avec de l'eau, on boit la tasse !
En remontant à la surface de l'eau
Et l'eau ! Hello ! les marrons chauds !
On veut boire un ver bien chaud
Avec un réchaud;
Pour réchauffer la température de l'eau
Depuis notre eldorado;
Avenant et prévenant sous le sirocco
A secouer le cocotier avec les noix des cocos;
Cocoricos et communistes, dont en regardant dans le rétro;
On tombe de haut en hurlant dans le micro !
Qui il y aura-t-il dans le métro ?
A part Zazie si elle vous dit !
Et qu'elle vous embrasse,
En brasse;
Avec de l'eau dont on boit la tasse !
Pour vous dire merci
Mon chéri;
En buvant la tasse
En tasse; qu'on entasse,
Car avec de l'eau, on n'arrête plus de boire
La tasse ! dont on potasse
Avec mes tasses tassent; la tasse
Défunt de soif de purgatoire.
Jérôme de Mars
Du ballet !
A presque quarante deux balais;
Il est l'heure de tout déballer
Dans un remue-ménage de fin d'été,
Alors qu'en nage, ça déménage !
Dès qu'on est en nage;
Et qu'on emménage en ménage
Dans un ménage de printemps périmé,
Dont la date de fraîcheur est dépassée;
Même qu'on s'en lave les mains,
Quand on fait la pelle de bon matin;
Dont du ballet !
Pour tout déballer
En faisant passer le balai
A la pelle de la forêt;
Pour nettoyer les feuilles mortes
Qui tapissent le sol jonché;
Avec une allée d'arbres déracinés
Et peinés sous le chagrin du tronc;
Et des hommes troncs en trublions;
En leur coupant l'herbe sous le pied
Déraciné, lorsqu'il y a une pénurie forte
D'amour dans un balai déballé;
Dont du ballet !
Pour trimbaler
Tous les fruits défendus du péché,
Si bien qu'on en garde des fascicules
Avec des brochures;
Pour affronter à presque quarante deux balais
Le monologue d'un long ballet déballé;
Avec un échantillon grandeur nature,
Dont y a pas photo en pellicules !
Du ballet !
Avec la pelle de la forêt;
Pour ramasser avec la balayette
Toutes les saletés dans un miroir aux alouettes,
Dont pour qu'on s'en sorte
Par une pirouette;
Autant prendre notre envol en étant chouette
Et en ramassant les feuilles mortes,
Dont on en fera avec une porte
Bien grande ouverte de bien belles choses;
Pour connaître la vie en rose,
Avec pour apothéose
Après les névroses;
Du ballet !
Dans un balai enchanté;
Pour ne plus qu'on s'en lave les mains,
Tandis qu'une fois qu'on nous aura passé un savon;
On fredonnera v'là le p'tit matin avec pour refrain !
Des grains de poussière
Pour fermer nos yeux de lumière,
Si bien qu'enfin, on aura presque tout déballé;
Avec à la clé pour balayer devant notre porte;
La pelle de la forêt forte
En hymne de chansons;
Avec l'arbre qui cache la forêt,
Dont pour se laver les mains;
On s'en lavera le sûr lendemain !
D'il était une fois un ballai !
Dont on avait
Fini de tout déballer;
A presque quarante deux balais,
Car du ballet !
Jérôme de Mars
A quoi ça rime d'être un poète maudit ?
De par Guy de Maupassant;
En faisant la contre danse
Des Saint-Guy; soit-dit en mots passant
Dans la redondance
De ce qui se dit ou se fie,
Car à quoi ça rime d'être un poète maudit ?
A part clamer et revendiquer
La fierté de garder sa propre liberté
De ton; en y mettant le ton
De ses fatales lésions
Dangereuses; pour les moduler
En aversions immodérées; via la racaille
En moi qui entaille
Ma saga cité;
De comment entre l'harmonie, la mélancolie
Et la furie de vivre à tout prix et à n'importe quel prix
Tout appris;
De comment j'ai pu oublier d'éprouver
De la sympathie et de la bonhomie
En la vie; en bon homme mis
Devant le fait accompli,
Car à quoi ça rime d'être un poète maudit ?
Soit-dit en mots dits dans le déni du ni-ni,
Où qu'est-ce-qui est le mieux ?
Faute d'avoir trouvé la paix parmi mes aïeux;
Hormis, or mis mes conflits intérieurs;
Avec des confettis aux faux-semblants rémunérateurs
Et fédérateurs;
En fausses postures d'homme rieur;
Faisant croire à une façade d'homme ébloui et ravi,
Car à quoi ça rime d'être un poète maudit ?
A part que s'arrime en s'attachant à l'essentiel;
Avec du pain béni dans l'hébergement d'urgence à l'autel
Du bon Dieu fastidieux, odieux, insidieux et en rêvant chanceux
D'un monde meilleur et plus enjoliveur,
A la quête de la résilience de mes vers;
Comme à la Saint-Patrick de vers
En vers mes cieux audacieux;
Car à quoi ça rime d'être un poète maudit ?
A part tromper l'ennui et duper l'ennemi;
Et à voir le ver à moitié plaint et à moitié avide,
Clair et limpide,
Dont pour composer un prodigieux
Numéro d'artiste avant-gardiste;
Nickel et semblant de plus bel,
Il vaut mieux pour cela
Et sans éclats;
Jouer le parfait rôle du clown triste
A savoir s'il joue le rôle de sa vie;
Ou un rôle de composition aussi,
Car à part être et ne pas avoir été optimiste;
Mais souvent pessimiste et fataliste,
Est-ce-qu'avec parcimonie ?
Cela suffit-il d'être très et trop réaliste ?
Et un brin utopiste ?
Pour rester et demeurer dans la piste ?
Car sinon à part éviter le hors-piste;
A quoi ça rime d'être un poète maudit ?
Jérôme de Mars
On a tellement de choses à se dire et tellement plus encore !
Dans un corps d'adulte qui a gardé l'âme de son enfance;
Ce gars-là ne connaît que le tumulte de la loi du silence;
Or nul ne l'ignore !
On a tellement de choses à se dire et tellement plus encore !
Surtout que le temps passe et trépasse dans l'urgence,
Dont il en faut tirer résultat !
Et en dresser un constat
Qu'il faut vivre l'instant présent avec fulgurance;
A l'aube de l'hiver de sa vie;
Qui dévie vers la vieillesse en simplement quelques oublis;
De reconnaître sa famille
Et ses amis;
Or nul ne l'ignore !
On a tellement de choses à se dire et tellement plus encore !
A savoir qu'on a besoin de compagnie;
Face à la vie qui transvase dans l'agonie de l'inertie,
Où pour rester dans le coup et tromper l'ennui,
Rien de tel que de passer quelques heures en ta présence;
Pour réconforter ta vie qui trépasse après des années d'absence
Et dans la défiance;
Si bien que pour trouver une nouvelle cure de jouvence,
On attend ta réponse pour vivre l'instant présent dans l'innocence
De ton enfance enfouie et refoulée dans l'indécence,
Où tout le monde te fustige;
Mais dont il faut que tu enrayes ces vestiges
D'un autre temps; pour qu'on t'encense
Durant ton court passage sur Terre,
Dont il faut tirer en inventaire;
Car or nul ne l'ignore !
On a tellement de choses à se dire et tellement plus encore !
Jérôme de Mars
O' soleil d'aventure, brille de ta devanture !
Avec des vers durs,
Fais-nous une salade de verdure !
En envoyant ta belle nature
Dans la pâture;
Sans te couper l'herbe sous le pied,
Mais en allant parler avec le verbe
Haut à douze pieds dans un ver acerbe;
Qui résume ta philosophie pour scintiller,
O' soleil d'aventure,
Brille de ta devanture !
Avec un rayon étendard
De ton crayon de couleur standard,
Dont on veut que tu montres ta notice
Pour mettre ta pierre à l'édifice;
Et en connaître ta police
Dans un jeu d'écriture,
O' soleil d'aventure,
Brille de ta devanture !
Avec pour zone de couverture;
L'ami lisse à la place de la milice
Désarmée dans ce poème d'ouverture;
Avec en même temps plusieurs rotations
De la station debout aux ovations;
Et d'être toujours debout et là malgré les écorchures
Et les égratignures;
O' soleil d'aventure,
Brille de ta devanture !
D'une vie pansée dans la déconfiture
Et dès la confiture des pruneaux à jeun;
De la religion du Ramadan
A ras ma dent
En joints six besoins,
Dont pour pêcher l'orgueil
Et l'écueil dans un recueil;
Il faut patienter en ramassant
Les feuilles mortes de Jacques Pré vers;
Pour apercevoir le bout du tunnel
Dans la passerelle;
Qui mène vers la liberté extraordinaire
Avec en magasin des fournitures;
O' soleil d'aventure,
Qui brille de ta devanture !
Avec pour armure
L'esprit dur d'Excalibur;
Qui carbure
A la passion à plat de couture,
Dont le dindon de la farce est d'un don;
Dont il a le mérite d'être un Armageddon;
Pour réconcilier toutes les différentes confessions;
Avec pour inflexion un nouveau regard de compassion
Au rebord des changements d'opinions
Sur ce que le monde contient pour horizon;
Plié en quatre saisons avec le seigneur;
Pour apaiser les douleurs,
Dont pour conjuguer
Et concilier
Le tout dans de la musique Céleste;
Il faut lâcher du leste pour le reste;
O' soleil d'aventure,
Brille à l'infini de ta devanture !
Jérôme de Mars
Les fées papillons
Au soleil minot
D'au sole mi-haut;
Qu'on sole
Ou qu'on console;
Les parasols
Surplombent les tournesols
Avec les fées papillons;
Qui grattent leur guitare en caressant
Le soleil levant
Dans des moments de suggestions;
Avec l'effet papillon
Ou les faits du tourbillon
Du vol des papillons;
Qui lézardent le talus
Au sillon d'un pied à terre;
Terre-à-terre
Sur le sol déchu;
De par quelques vers de terre qui riment
A chaque aphorisme qui écime
Ce trop plein fulgurant
De les fées papillons;
Qui sonnent dès les malentendus
Avec un risque de saturation
Si les confettis restent en émulation;
Avec pour direction
Des éruditions ayant pour diction;
L'effet papillon qui frétille et titille
La mue des chenilles
De la chenille au papillon;
En bisbilles
Et à maturation;
Si de chouettes fleurs
S'envolent avec des chouettes qui effleurent
A fleurs de peau;
Leurs caractères qui tempèrent
Et obtempèrent
Crescendo sans quiproquos;
A bon entendeur
D'un matin de senteur;
Avec l'effet papillon
A la sueur
De son affront;
Pour transformer
Sans tonalité
Et avec un sourire aguicheur;
Ces indémodables portées
De saveurs aux portes du guichet;
Avec en gestation
Innée et inopinée;
En un vol de papillons
Dès les fées papillons.
Jérôme de Mars
Quand à L'ESAT LA FABRIQUE, le masque tombe !
La directrice propose de faire une réunion à l'atelier conditionnement entre les moniteurs, la direction et les agents, gare à celui qui proclamera ses quatre vérités si le masque tombe ! :
Eric, le moniteur : " - Qui veut commencer à prendre la parole ? "
Jérôme, un agent : " - Moi pour demander, pourquoi est-ce-qu'au conditionnement, il y a des clans et que personne ne s'entend entre collègues ? "
Tony, un agent : " - Car mon petit Jéjé, si le masque tombe, tout le monde nous prendra en grippe et tout le monde s'en lavera les mains et en plus au conditionnement si jamais le masque tombe, il y aura des malentendus si jamais tous les agents se sous-traitent et se maltraitent si comme le décide la direction de L'ESAT, on ne fait pas d'appel masqué aux agents "
Jérôme, un agent : " - Sans doute pour ça que les rares personnes qui m'appellent, m'appellent en masqué. "
Eric, le moniteur : " - Pourquoi dans l'atelier, la plupart des agents ne veulent pas passer le balai ? "
Jérôme, un agent : " - Car tout le monde me dit du balai quand j'ai des choses à déballer ! "
Madame Manoiline-Proaï, la directrice : " - Quelle est la raison pour laquelle personne ne veut quasiment pas passer le balai ? "
Charlotte, une ex-agent partie à la retraite : " - Moi, je m'en fous, j'ai plus rien à perdre comme je suis partie à la retraite, c'est à cause de vous Madame Manoiline, que personne ne passe le balai, à cause de votre mentalité de merde, vous faites régner la terreur dans tout ce remue-ménage, en ne ménageant personne, c'est vous qu'on devrait déménager, vu que ça déménage à L'ESAT depuis que vous êtes là, c'est pas parce-que vous avez quarante ballets et quelques, que vous allez nettoyer tous les gens de L'ESAT, vu que vous vous en lavez les mains ! "
Madame Manoiline-Proïa, la directrice : " - Mais sur quel ton vous me parlez ? Modérez vos propos ! "
Charlotte, une ex-agent partie à la retraite : " - Si vous saviez ce que j'en ai rien à foutre, moi, j'ai mon franc-parler sans perdre le Nord, c'est vous qui devriez vous modérer avec votre face sur facebouc-émissaire vu que vous rendez chèvres tout le monde à L'ESAT ! Je vous parle de cette façon, déjà premièrement, parce-qu'à cause de vous j'ai fait tomber mon masque et comme le masque tombe, je vous dis mes quatre vérités, moi, je m'en fous, je suis partie à la retraite et Jérôme débat à la retraite ! "
Madame Manoiline-Proïa, la directrice : " - Vous croyez que vous me faites peur avec vos vérités, car chez moi, le silence est d'or et la parole est d'argent ! "
Jérôme, un agent : " - Madame la directrice, on connaît par rancœur votre discours ! On ne fait que vous dire que vos quatre vérités pliées en quatre sévérités, ces vérités ! "
Eric, un moniteur : " - Qui d'autre veut dire un dernier mot avant la pause pour tout déballer ? "
Sandrine, un agent : " - Moi, je ne sais pas si j'aurai le dernier mot, mais en tout cas avec tout ce que j'ai trimbalé jusqu'à présent, j'aurai besoin de savoir que faire pour entretenir de bonnes relations dans l'atelier entre collègues et pour qu'on travaille dans l'harmonie même si on ne peut pas aimer tout le monde dans l'atelier ? "
Jérôme, un agent : " - Moi, je pense qu'il faut respecter le travail des agents et des moniteurs en portant un masque, et en appelant les gens masqués, car si on se fait démasquer et que le masque tombe ! Ebats les masques ! On se met à nu en tombant des nus ! Avec le risque que tout le monde nous passe un savon si jamais, on s'en lave les mains ! Voilà ce que ça signifie mon dernier mot si le masque tombe ! "
Jérôme de Mars
Zazous dans le rétro
Coupe électro magnéto;
Ca jazze
Avec ton Tépale !
Si t'es pâle et que c'est pâle !
Cépale avec ton Tefal;
Si ça t'est égal !
Et si c'est l'égal, légal !
Ta contre-culture à effet de mode,
Qui te raccommode
Parmi les zazous dans le rétro,
Qui sont en phase
Avec le micro de Zaz,
Qui chante le jazz;
Si ça jazze
Et que ça rase
La moquette
Au ras des pâquerettes;
Avec des hindous dans le tempo;
S'il y a des zazous dans le rétro
Dans ce monde de fous d'artistes;
Avec des gardes-fous avant-gardiste,
Où avec une coupe chelou,
Tu seras un filou
Et tu fileras doux;
En gardant le fil sur le redoux;
Si jamais tu rencontres Léa Seydoux,
Et que c'est doux et trop doux
De faire le fou;
Avec cet effet des modes;
Si tu t'en accommodes
En et lisant une revue de commode;
Avec des gens commodes,
Dont il faut que ça jazze !
Sans que ça te rase !
Car effet domino;
Comme un château de cartes,
Tu ne pourras appeler René Descartes;
Même avec une pancarte,
Là où tu seras illico presto !
Obligé de jouer cartes
Sur table; pour que tu t'encartes
Coupe électro magnéto;
Avec ton perfecto
Et avec Zazie dans le métro;
Mais dont Zazie
Te dédiera un joli merci
Dans son dernier numéro;
Pour être mis au courant de ta contre-culture
Et pour savoir si au pied du mûr;
Tu auras toujours eu la stature
Des zazous dans le rétro.
Jérôme de Mars
Rebelote
Jouons cartes sur table à la belote !
Dont rebelote,
Si on joue aussi à la pelote
Basque et si on coud avec la pelote
De laine rebelote;
Avec en haleine, à laine, ce qui nous fagote
Rebelote;
Avec également en bas de laine une répartie de belote,
Dont rebelote;
On arrête ce court texte avec des menottes,
Dont après avoir tant surjoué à la belote;
Et ben rebelote !
Jérôme de Mars
Il faut s'méfier de l'eau qui dort
Dans le plat pays, la mer agitée a besoin de calme
En faisant un raz-de-marée au bord des algues;
Qui traînent comme des âmes désœuvrées, dont le point d'orgue;
C'est de gésir dans leurs sentiments qui reposent dans la morgue
Taciturne, où il suffit que grâce à Morphée; on redore
Leur sulfureux blason, dont il faut s'méfier de l'eau qui dort;
Avec pour cador qu'adore composer comme morceau;
Un certain poète maudit qui s'enfonce dans le caniveau;
Ayant pour principal credo leur jargon,
Où il vaut mieux parfois que leurs cœurs d'artichaut
Se rapportent à la raison à chaque début de nouvelle saison;
Avec pour équivoque qu'à chaque époque baroque;
On retentisse en chanson leurs grandes sérénades dans un colloque;
Avec pour apogée au sommet des transistors;
Qu'on sache que pour point d'attache;
On attende tranquillement le jour où y a relâche,
Dont on ouvre la bâche
Si on s'impatiente en faux lâche,
Car c'est en créant et en survolant à vol d'oiseau le condor;
Qu'on adore; qu'on se dore la pilule
Avec pour conquistador;
Une pluie qui ovule et qui pullule
Une grande marée noire,
Dont pour qu'elle reste incantatoire
Et que s'finisse bien l'histoire
En puisant dans son réservoir;
Et dont en abreuvoir;
Autant avoir pour renfort
Un parloir en pléthore,
Car il faut toujours s'méfier de l'eau qui dort.
Jérôme de Mars
Blague :
Que fait un homme casse-cou pour baiser sa femme avec un string ?
- Il la saute à l'élastique !
Jérôme de Mars
La foudre d'escampette
Coup de foudre en contant fleurette;
L'amour saupoudre la poudre d'escampette,
Quand les tourtereaux prennent la foudre d'escampette
A songer à une idyllique amourette;
Qui dure depuis belle lurette,
Et dont ça en devient très jazzy;
Si la relation cosy passe avec fantaisie
De rengaine coups de blues à une bluette;
Qui rassemble dans un coup de foudre
Sans tambour ni trompette;
Tout ce que l'amour divin saupoudre pour coudre
Une relation qui ne soit cousue de fil blanc;
Pour rentrer dans le moule et pour faire trempette,
Quand les tourtereaux prennent la foudre d'escampette
En fuyant les faux-fuyants, les faux-semblants,
Et en s'emparant des comètes;
La tête dans les étoiles pour vivre leur romance;
A coups de résonance sur le Port de Plaisance,
Dont il faut unir la raison et la passion en fredonnant
La marche nuptiale lors d'un mariage intemporel;
Qui traverse les générations à coups de bagatelle,
Dont pour souhaiter aux tourtereaux un coup de foudre durable;
Que l'amour saupoudre dans une relation stable
Sur le long terme; il faut que le démon de Midi préconise
En mouillant sa chemise des paroles promises,
Car après le coup de foudre en contant fleurette;
C'est l'amour qui saupoudre pour de bon la poudre d'escampette,
Quand les tourtereaux prennent désormais la foudre d'escampette.
Jérôme de Mars
Pourvu que la clepsydre nous laisse du temps !
Si on faisait le fort à Fort bagnard
Sous un ciel de grand cagnard;
Avec de grandes épreuves
Face aux galères neuves
De nos vies, où durant un laps de temps
Dans un feu de camp;
Pourvu que la clepsydre nous laisse du temps !
Pour résoudre nos tracas;
Face aux aléas
De nos existences, où tout reste provisoire
Qu'on soit chez soi ou au bistrot du comptoir;
Et pourvu qu'on ne nous envoie pas dans les galères
Qui nous mènent en bateau face au grand air de la mer;
Et pour rester dans le vent;
Pourvu que la clepsydre nous laisse du temps !
Pour trouver la clé de l'énigme pendant l'épreuve
Sur l'océan pacifique; pour apaiser nos tourments
Dans la terre neuve et la mer veuve,
Où l'espace d'un instant, soyons heureux !
En lisant Tristan et Iseut et en priant pieux;
Pour un avenir merveilleux et en paix;
Dans la sérénité et l'amour de son prochain;
Avec de la clarté
Au bout du chemin,
Dont il faut espérer de la liberté
Pour nous libérer
De l'emprise du destin;
Qui nous emprisonne en mannequins;
Et qui nous empêche de profiter
De la vie en bon Chrétien;
Et avec nos copains;
Et dont pour remporter
La victoire après tant de déboires
Dans les longs couloirs du purgatoire;
Buvons aux gouttes du bonheur
Dans l'ivresse de l'insouciance;
Pour faire offense
Au passé mouroir,
Et dont pour inventer un lendemain
Meilleur avec de grandes saveurs;
Prêtons renfort en faisant les forts,
L'effort au fort bagnard
Sous un soleil de grand cagnard,
Dont après l'effort, les forts;
V'là du réconfort devant le boss fort !
En arlequins
Du soleil et en métaphore,
Car pour nous sortir de l'enfer
Et nous libérer de la mer sanctuaire,
Autant demander sous un ciel clément;
Un répit en étant dans l’œil du cyclone
Après tous ces ans, seize ans déments,
Où pour sortir de la mauvaise zone,
Soyons confiant mais prudents !
En des endroits rassurants;
Avec pour Dieu bienveillant;
Un signal tout-puissant;
Ayant pour talisman
Un précieux soutien assurant et réassurant
Notre retour dans le monde des vivants,
Et pour profiter encore davantage de l'instant présent;
Pourvu que la clepsydre nous laisse toujours autant de temps !
Jérôme de Mars
Oh ! Low cost ! ( holocauste )
D'après la damnation de Faust,
En ce moment, il fait chaud ah !
Comme maintenant, ça coûte moins cher
D'évoquer le génocide des Juifs,
Car maintenant, c'est Oh ! Low cost !
Et qu'avant c'était holocauste;
Avec des toasts grillés
Dans les fours crématoires;
Avec pour chambre de sport,
Des chambrent à gaz;
Si ça gaze comble de l'histoire
Dans les brûlures de l'histoire;
Question de territoire
Arrivé à bon port
Au train où vont les choses;
Si ça déraille dans les camps
De concentration ,
Où les occupés font
De la résistance;
En étant en pleine concentration
A vouloir la décentralisation;
Si jamais ça foutait le camp !
Et pour savoir si leur balle
Etait dans leur camp;
Pour reporter les nouvelles déportées
Vers les camps de déportation, déportés
Et colportés pour que ça brûle en cendres !
A en descendre, des cendres l'urne
Diurne; pour que feu la damnation de Faust !
On dise feu ! Action ! ca tourne ! Moteur !
Avec des coureurs qui ont des petits vélos
Au Vel D'hiv dont naguère, on signe pour traité
De paix après avoir été maltraité avec toupet;
Car avant c'était holocauste
Et que maintenant c'est Oh ! Low cost !
Pour que ça coûte moins cher d'en parler;
Et merci de ne jamais oublier oh jamais !
Car là ! Il fait toujours chaud ah !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi comme il fait chaud ah ! Que maintenant, ça coûte moins cher par rapport à avant d'évoquer le génocides des Juifs ?
- Car maintenant, c'est Oh ! Low cost ! et qu'avant c'était holocauste !
Jérôme de Mars
La musique roule des mécaniques
Ricanement arithmétique;
Que c'est mathématique
Quand menée tambour battant;
La musique roule des mécaniques
D'un point de bévue technique
Sous les effets de seuil des vents,
Où on ne calcule sonore,
Quand le tempo est incolore et indolore
Avec qui vole un œuf,
Vole un bœuf, survole quand on fait un bœuf;
Avec les musiciens veufs dont l'effet teuf
C'est de voir comme on est faits neufs, tout neuf,
Dont avec la puissance de nos quintessences;
On fait de la résistance en œuvrant d'auto-suffisance;
Avec pour prétention des choses présomptueuses,
Dont le péché d'orgueil nous conduit à des fautes fabuleuses,
Imbues de nos personnes arrogantes et pathétiques,
Avec pas tes tics et tics, éthiques,
Quand la musique roule des mécaniques.
Jérôme de Mars
L'orgue de Barbarie enchante la ville de Paris
Instrument de musique à Paris dont on ne tarit pas d'éloges;
Il vaut mieux que pour lui, il reste à sa place sans qu'on déroge
A la règle; qu'il occupe en bonne position, le titre agrée pour les plus démunis
Sur les bancs publics; dont l'orgue de Barbarie enchante la ville de Paris
Avec parcimonie, comme une ballade dans une bluette sur la complainte,
Quand l'empreinte déteint dans une teinte; ayant pour atteinte une plainte
Déposée à l'orgue de Notre-Dame de Paris; qui met tout son grain de folie
En rencontrant des péripéties, quand l'orgue de Barbarie enchante la ville de Paris
De Barbara; qui interprète la mélodie de l'aigle noir au parvis de la défense;
Avec pour avocat l'avocat du diable; qui recense son entière innocence,
Dont sa légitime défense serait d'attendrir l'arène avec pour Sainte chérie;
L'orgue de Barbarie qui enchante la ville de Paris;
En vue d'anoblir l'appareil de la Butte Montmartre; qui rebute dans la lutte
Tout ce que le droit à l'oubli; lui rebute de La Butte
Aux cailles jusqu'aux vieilles canailles ayant pour lutte finale;
Tout le sérail pour rester dans les annales, dont le terminal
Définit l'apologie de la gloire;
Histoire de préserver son territoire;
Avec pour grande frénésie être en galante compagnie
De la Compagnie Créole;
En gardant le droit du sol,
Si bien que d'aujourd'hui à demain;
On retient pour éternel refrain;
Que l'orgue de Barbarie enchante la ville de Paris.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Philippe parfois, n'es-tu pas fin dans tes propos ?
- Parce-que la fin justifie les moyens
Jérôme de Mars
Le Bedros show
Des petites saynètes avec un air de famille :
1) Laëtitia, une cousine : " - Pourquoi déprimes-tu dans ton appartement en rampant avec tes insectes ?
Jérôme : - Parce-que j'ai sans arrêt le cafard ! "
2) Sébastien, un cousin : " - Jéjé, pourquoi aimes-tu me cuisiner en voulant savoir si j'ai des casseroles ?
Jérôme : - Parce-que c'est si bon de passer tout à plat depuis le temps où avant, tu faisais une école d'hôtellerie-restauration à Brunoy ! "
3) Simone, une cousine : " - Pourquoi veux-tu que je joue cartes sur table avec toi à chaque fois, où tu me fais des téléphones anonymes en m'appelant et en me raccrochant au nez ?
Jérôme : - Parce-que je joue au jeu de cette famille ! "
4) Sabrina, une cousine : " - Pourquoi mon petit Jéjé, quand t'étais enfant jouais-tu souvent cartes sur table avec moi, comme tu n'avais pas de copains étant môme ?
Jérôme : - Parce-que je jouais cartes sur table au meilleur rami ! "
5) Dominique P, une cousine : " - Pourquoi durant le confinement, m'as-tu appelé pour que je te prenne un nouveau ventilateur ?
Jérôme : - Parce-qu'avec tout ce que j'ai supporté, j'ai besoin de changer souvent d'air ! "
6) Michel, mon père : " - A ton avis pourquoi le génocide Aménien de mon côté et tous les suicides en série qu'il y eu du côté de ta mère, est-ce-que tout cela t'a-t-il autant traumatisé et marqué à ce point ?
Jérôme : - Parce-que de ton propre chef, c'est le Boss fort avec un à vie de recommandé ! "
7) Maurice, un oncle : " - Pourquoi est-ce-que tu vends toujours l'histoire du génocide de ma famille en lavant en public le linge sale en famille ?
Jérôme : - Parce-que ton fond de commerce, c'est d'avoir ça en magasin ! "
8) Simon, un oncle : " - Pourquoi m'as-tu toujours dit qu'à la mort de mon Atlas, le livre ouvert de la famille, que j'étais le chef de famille ?
Jérôme : - Parce-que tu hais les nés ! "
9) Michel, mon père : " - Te rappelles-quand t'étais enfant, pourquoi est-ce-qu'à Cavalaire, je t'avais dit une fois que t'étais l'idiot du village ?
Jérôme : - Sans doute, parce-que j'étais la tête de Turc de tout le monde ! "
10) Georges, un oncle : " - Pourquoi te rappelles-tu tout le temps de la blague que tu m'as toujours faite avec la vitre, quand t'étais gamin ?
Jérôme : - Parce-que comme je ne me tenais pas à carreaux, j'ai bien failli rester sur le carreau ! "
11) Dominique B, une belle-tante : " - Mon petit Jéjé, pourquoi est-ce-qu'à chaque fois que je te reparle de l'histoire de la vitre cassée à Cavalaire, où t'as failli rester sur le carreau; que ça t'émeut tant si particulièrement ?
Jérôme : - Parce-que ça me donne envie de pleurer avec mon mouchoir à carreaux ! "
12) La famille Bedrossian qui se ligue ensemble demande à Jérôme :
" - Pourquoi es-tu nostalgique de tous tes souvenirs avec nous quand t'étais gamin ?
Jérôme : Parce-que tout cela fut bon enfant ! "
Jérôme de Mars
Si jamais, le soleil réchauffait la vie des gens !
Allumé avec une mèche dans les cheveux;
Ou si t'es un allumé avec une antisèche pour mettre le feu;
Si jamais, le soleil réchauffait la vie des gens !
Et qu'il mettait un peu de bleu au ciel pour jeter dans le courant
De l'eau bénite, en apprivoisant les aléas de la vie avec harmonie;
Et que les gens aient le droit aussi à l'oubli, et au répit pour oublier leurs soucis,
Où après la pluie, rien de tel quand jaillit avec aucun nuage à l'horizon !
Qu'il soit clair-obscur ou sans cloisons dans une ambiance bon enfant,
En toute saison pourvu que fleurissent la mousson;
Avec en écusson une pléiade d'innocence qui baigne les torrents;
D'autant que s'il y avait dans l'eau un peu de décolorant !
Ca permettrait d'ériger des arc en ciel fluorescents avec un déodorant;
Si jamais le soleil réchauffait la vie des gens !
Avec comme remède flamboyant quelques gouttes de lavande en compliments,
Si bien que le temps en vaudrait quelques assouplissements pour changer
Les idées des gens; qui ne pensent qu'à leur boulot plantés là comme des arbres,
Soit en lézardant comme un silence de tombeau qui laisse de marbre;
Ce pourquoi le soleil se montre conciliant et très liant en alliant, avec pour alliage;
A part des commérages, des plages où se reposer sur ses lauriers au village,
Si jamais, le soleil réchauffait la vie des gens !
Et qu'il leur permettait d'allumer avec quelques lueurs;
Leurs petits chez soi à n'importe quelle heure;
En prétextant la solitude comme n'importe quel alibi !
Ou même qu'un jour ou l'autre, il y a un risque que le soleil laisse tomber le ciel;
Avant que le ciel nous tombe sur la tête d'escarcelle,
Alors que pour rester charmant et séduisant, il faut au demeurant
Songer au bon vieux temps d'avant rassurant et réassurant;
Si jamais pour fort longtemps, le soleil réchauffait la vie des gens !
Jérôme de Mars
Et migrer vers la poésie sans frontières
De mon plein gré,
J'écris envers la communauté
Que je me sers de l'exode oral;
Pour et migrer vers la poésie sans frontières
Sans ligne particulière;
Avec l'emprise murale;
Pour exprimer dans une ouverture d'esprit
Toute l'immigration de drôles d'oiseaux,
Dont je suis
Et je fais partie;
En ayant pour encre de ma tanière;
L'occasion d'être à l'ombre de la lumière;
Pour et migrer vers la poésie sans frontières
Sans racismes des différentes façons de faire
Diverses couleurs de peaux,
D'où le plus important est de revenir à la maison
Et au bercail en organisant une fête de la chanson;
Pour faire revenir les gens et les enfants
Au rebord de Jean De La Fontaine et de Jacques Prévert;
En survolant les ramages et les plumages dans l'eldorado
Du corbeau et le renard jusqu'aux feuilles mortes avec pour testament;
L'héritage et l'amnistie des poètes contestataires et libertaires
Aux frais des artistes qui fleurent bon l'artisanat;
Avec pour partenaire
En mécénat;
Un ami musicien du nom de Serge s'il met en musique
Doucement et lentement;
Avec sa partition
Et sa répartition;
Un des derniers poèmes : " Coucou, p'tits oiseaux ";
Avec pour effets bucoliques aux rythmes exotiques
D'un été sans pareil,
Dont on voit le ver à moitié plaint
Ou à moitié avide en prenant de la bouteille;
Après tous ces revers,
Où l'on se feint avec pour espoir défunt, des fins;
En route vers les territoires terres-à-terres sur La Terre salutaire
Pour et migrer vers la poésie sans frontières.
Jérôme de Mars
Je ne peux que limiter les dégâts !
Face en surface à tant de galères et de colères;
Il faut que je m'aère
L'esprit et le visage;
Avec tout cet engrenage,
Qui m'engage
Avec des gages, pour que ça dégage,
Dont j'en conclus que mon seul salut
Pour éviter un tohu bohu;
C'est de sauver en bon soldat
Chaque gars dont moi,
Si bien que je ne peux que limiter les dégâts !
Et l'imiter laid des gars, dont gare à moi !
Si je reste à porter ma croix
Au plus profond de mon désarroi,
Où à tout prix pour éliminer toutes ces nuisances
Qui sommeillent en moi, autant éradiquer ces souffrances !
Avec un lourd handicap que je survis au quotidien;
Même en faisant pour certains, le bon Samaritain,
Ce qui fait que si je priais en bon Chrétien;
Peut-être que le mâle Saint deviendrait un Saint humain,
Où j'aurai pour refuge avec quelques subterfuges;
Des moyens de reconsidérer et de voir qu'il n'y a pas
Que des grabuges
Sur Terre; et qu'il y a aussi à la place des rabat-joie;
Certains qui en valent la peine, car ils ont une douce voix
A faire porter plus facilement ma croix,
Où malgré cela et en de ça de quelques éclats,
Il ne faut pas se leurrer dans le n'importe quoi,
Car pourquoi ? à quoi ? et pour ne pas devenir ultra,
Autant écouter dans la sérénité le groupe Aqua,
Car à quoi ? à part dire que pour sauver chaque gars dont moi,
J'en déduis que je ne peux que limiter les dégâts !
Jérôme de Mars
J'ouvre la frontière en vers
Nulle part pareil;
Un tel, untel nickel;
Tel le poète téméraire
Que je suis sans frontières;
Je décrète dans l'univers des unis vers;
Que j'ouvre la frontière en vers pour converser vers;
Et conserver pour assurer mes arrières, en arrière-pensées
Que j'ai l'honneur et le privilège de réguler dans le centre de gravité,
Où il faut de l'humilité, de la dextérité et de la légèreté pour consoler en interlude;
Là où je prends autant de temps qu'il le faut, afin que j'ouvre la frontière en vers,
Dont ce qui sera à l'étude sera de passer le Bach dans une prélude prude
Vers ces vers; qu'on servait en vers et qu'on versait vers ces vers;
L'air ces vers, où je me sers désarmé; des armées si le désert
Me dessert; si je vais avec Boris Vian dans le désert paumé;
Et embaumé l'âme en jachère; à la pointe de pousser
Mon dernier cri à cran tactile, où pour finir linéaire;
Rien de tel que dans le commun de l'imaginaire;
J'ouvre en paix de la poésie sans frontières.
Jérôme de mars
Y a un trop plaint d'indécence !
Régénérescence il y a urgence !
Sans condescendance
De prendre le dessus sur son ascendance,
Car y a un trop plaint d'indécence !
Un trop plein d'un des sens !
Avec un des sens dans tous les sens
Du terme,
Avec pour ignorance
De l'expérience
Arrivée au bout du compte à terme;
Un cruel besoin en permanence
De vider son sac isotherme;
Qui en perd de sa superbe
Avec un trop plaint de super;
A s'couper l'herbe
Sous le pied du guêpier;
Avec des bonbonnes à oxygène
A réanimer
Son cœur anxiogène;
Et à respirer sans gène
Tout ce qui indigènes;
Remonte à la surface avec des turbulences,
Dont il faut qu'il se démène;
Et qu'il mène
Ce combat pas forcément
Eperdu d'avances;
Dans toutes ces déviances,
Qui en parlent avec insistance
De toutes ces substances
Aux origines de son état en l'occurrence,
Dont le fruit défendu donne naissance
Et l'essence, les sens,
Dont on offense l'enfance
De ce qui condense
Ces sens avec de l'encens,
Qui part dans tous les sens
Qu'on encense
Et qu'on recense
Avec pour d'essence;
Un rôle moteur en fulgurance
Et en endurance
Dans un rallye un des sens
Qu'on rallie en quintessence,
Dont l'essence
A l'origine d'où elle prend sa source;
Donne au bout de la course
Avec pour circonstances;
Une hein constance, inconstance
A toutes les instances,
Dont avec un plaint de super;
Ca donne des pépères qu'on vénère
Et qui sont complètement vénères,
Car en renaissance;
Pour un trop plein d'un des sens;
Y a un trop plaint d'indécence !
Jérôme de Mars
Y a que les cons qui ne changent pas d'avis !
Rubiconds qui voient rouge sur la table de nuit;
Y a que les cons qui ne changent pas d'avis !
Depuis leur cocon qui ne joue qu'aux cons
Avec leur flacon; pour se croire dans un bal con
Sur leur balcon; en pensant qu'ils sont irrésistibles,
Fascinants et intéressants avec leurs réactions prévisibles,
Ou ils seraient autant invisibles qu'on n'enverrait fortuits
Dans un bain de minuit;
Les cons se refaire le maillot au paradis hardi
Des on-dit, qu'on les laisserait dans le prochain numéro inédit !
Car de façon véridique ce qui paraît inouïe,
C'est que y a que les cons qui ne changent pas d'avis !
A part s'ils sont mis devant le fait accompli,
Ou soient ils prennent le pli;
Ou soient ils se méprennent avec des amplis;
Pour écouter dans un monde de sourds
Le mur du son balourd,
Où depuis la nuit des temps en injonction;
Les cons ne font que voir rouge leur mise en bière;
Rubiconds avec des réclamations
Genre; si on pouvait les foutre en l'air;
Une fois morts de tort
Ou complètement retors;
Où si c'est à cause de leur soi-disant confort
Avec des remords en renfort,
Qu'ils sont si incompris,
Car c'est dans l'envers du décor;
Raccord ou bardé de records;
Qu'on en déduit
A l'infini;
Que y a les cons qui ne changent pas d'avis !
Jérôme de Mars
Aux dernières nouvelles, soyons brèves !
1) Jean-Marie Bigard, si jamais il se fait viander aux présidentielles de 2022, il pourra se reconvertir en boucher Bigard !
2) Si Nicolas Sarkozy va encore dans le sud cette année à Bormes-Les-Mimosas dans la propriété de sa femme Carla Bruni, on ne pourra plus dire qu'il est raciste, car il sera au Cap-Nègre !
3) Si Lagaf ne fait pas de jet-ski cette année à Cavalaire, c'est qu'il est en nage avec la chaleur !
4) Un plombier pour qui c'est trop dur d'installer la robinetterie d'une douche est inflexible ( un flexible ) !
5) Si la cruelle réforme de l'assurance-chômage s'applique en janvier prochain pour durcir les droits d'indemnisation des chômeurs, face à cela, les chômeurs auront bien du boulot !
6) Si jamais, il y a une deuxième vague de Coronavirus, qu'on est reconfinés partiellement et qu'on n'est pas assurés de voir nos amis, c'est qu'on aura une sécurité sociale qui ne sera pas mutuelle pour tous !
7) Le jour où l'on saura quand Fort Boyard va s'arrêter, c'est qu'on aura trouvé la clé de l'énigme du Père Fourras !
8) A Paris, c'est un putain de bordel car il n'y a plus de maisons closes !
9) Une prostituée spécialiste des fellations dans les chambres d'un bureau de tabac; fait les meilleures pipes !
10) Une femme qui a des problèmes de pouvoir d'achat, si c'est une langue de pute; elle peut arrondir ses fins de mois en ayant du pouvoir à chatte !
11) Si le gouvernement de Jean Castex veut refaire à nouveau la réforme des retraites et qu'il y a une énième grève des transports, eh ben pour que ça rame bien ! Questions pépètes à la RATP et à la SNCF, pour bien leur faire payer leur grève, faisons-leur un billet d'honneur en y mettant l'appoint d'honneur !
12) Si jamais Marine Le Pen dit ses quatre vérités sur la gestion de la crise du Coronavirus par le gouvernement, et bien, il y a un risque que le masque tombe !
Jérôme de Mars
Je suis tintin avec des astérisques
Potion magique, je sers souvent la soupe du druide Panoramix;
Et par postillons, parfois, je crache dans la soupe d'Obélix;
Si je suis tintin avec des astérisques;
Et que Tintin me fait prendre des risques
Inconsidérés, dès lors où plus personne;
Ne me pardonne, ne me questionne, ne me frictionne,
Et ne me calcule si par Tintin, je suis complètement tintin;
Avec une chienne de vie à la Rintintin;
Si jamais le capitaine Haddock
Me soûle; comme à Moulinsart, où il y a des paddocks;
Et que le professeur Tournesol qui croit avoir la science infuse;
Me fasse la leçon pour que ça me serve de leçon; afin qu'il me diffuse
De ses bonnes ondes; comment planter des tournesols
Sur les terres de Moulinsart; si je suis tintin avec des bémols;
Et si jamais ; La Castafiore me chante
Tout l'opéra de son pianiste Igor Wagner; avec pour note salée
Sa voix quelque peu élégante,
Mais en soit quoique intrigante;
Dont j'en fus endimanché
Par des dimanches à en déguster le sanglier d'Obélix;
Ensorcelé sous les effets de la potion magique du druide Panoramix;
A en digérer non sans risques;
Tout mon repas dans mon estomac gastrique,
D'où avec Tintin comme à l'agence tous risques;
Je suis tintin avec des astérisques.
Jérôme de Mars
Pas la langue dans sa poche ! ?
Petites saynètes :
1) Philippe : " - Pourquoi quand on a été au resto Turc l'autre fois, as-tu mis ton grain de sel ?
Jérôme : - Parce-que j'étais dans mon assiette avec mon grain de celle. "
2) Jean-Paul : " - Pourquoi est-ce-que ce mois-ci pour toi, c'est du gâteau mon petit Jéjé ?
Jérôme : - Parce-que mon petit Jean-Paul, c'est mon anniversaire ce mois-ci !"
3) Guillaume : " - Pourquoi lascar à chaque fin de tes blagues, je me fais mâle ?
Jérôme : - Parce-que c'est la chute de l'histoire !
4) Serge : " - Mon cher Jérôme, pourquoi veux-tu que je mette en musique ton poème : " Coucou, p'tits oiseaux " ?
Jérôme : - Déjà coucou pour commencer Serge et en plus, ça volera bien haut avec toi, comme je suis un drôle d'oiseau ! "
5) Adel : " - Que fais-tu Jérôme lorsqu'il y a le Tour de France à la télé ?
Jérôme : - Cher Adel, je regarde mes petits vélos de fou allié ! "
6) Christophe : " - Qu'est-ce-que ça ferait si je t'offrais un téléphone portable
écran tactile de mon dernier cri afin que tu m'appelles plus souvent ?
Jérôme : - Ca serait l'objet de mon appel ! "
7) Alexandre : " - Pourquoi viens-tu plus souvent au Gem que moi ?
Jérôme : - Parce-que GEM bien ! "
8) Edwin : " - Pourquoi mon cher Jérôme, cultives-tu la haine avec des SMS méchants ?
Jérôme : - Parce-que je taille les haies ! "
9) Boris : " - Pourquoi mon cher Jérôme, comme je suis le Facebook du réel,
likes-tu toujours mes demandes d'ami ?
Jérôme : - Parce-que mon petit doigt me l'a dit de te donner un coup de pouce ! "
10) Bernard Penot : " - Pourquoi est-ce-que je te fais payer mes consultations ?
Jérôme : - Parce-que le silence est d'or, la parole est d'argent ! "
11) Jean-Paul : " - Pourquoi est-ce-que ça te démange de me demander si je
veux bien aller avec toi au resto Turc à côté de chez toi ?
Jérôme : - Parce-qu'il faut laisser le temps que je digère tout ce que
j'ai dégusté jusqu'à présent ! "
12) Jérôme : " - Pourquoi Brigitte, préfères-tu que je t'envoie des SMS au lieu de t'appeler ?
Brigitte : - Parce-que comme ça, c'est écrit noir sur blanc; comme je prends tout ce que tu me dis maux pour maux ! "
13) Jean-Yves : " - Pourquoi Jérôme, est-ce-que je vous ai donné rendez-vous
vendredi prochain même jour, même heure, mêmes pommes ?
Jérôme : - Parce-que comme on connaît la chanson, je n'ai qu'une parole
pour venir vendredi prochain à 10 h surplace des grands
hommes; vu qu'en plus la musique adoucit les mœurs sur le plan
thérapeutique ! "
Jérôme de Mars
Hein citations :
1) Un boulanger travaille à la sueur de son front pour gagner sa croûte !
2) Dieudonné qui écrit une pensée haineuse, c'est une incitation ( hein citation ) !
3) Un cordonnier qui rencontre la femme de sa vie sur son lieu de travail trouve chaussure à son pied !
4) Robin des bois qui vole les riches pour donner l'argent aux pauvres, c'est l'antivol d'un drôle d'oiseau !
5) Un homme politique très maladroit prend le gauche droit en étant très gauche !
Jérôme de Mars
- Il la prend par la chatte !
J'ai si souvent flirté avec la mort !
Esclave de mon passé;
Et ex slave de ce que je n'arrive à dépasser;
Tout ce qui jusqu'à présent m'a oppressé,
Oh ! Pressé tellement que je suis stressé;
Ce qui fait que je m'enclave avec Le Bosphore;
Prisonnier sous l'emprise captive du boss fort,
Où tout le temps, j'ai si souvent flirté avec la mort !
Que je ne me crois plus si fort;
Avec tout ce que j'en démords,
Où il y a eu trop de morts dans l'amour de la mort;
Car après avoir tant flirté sans réconfort avec la mort;
J'aimerai passer au stade supérieur et y dénicher
Un trésor;
Pour faire le mort dans le confort
De la loi du plus fort;
Avec quelque chose de très à cheval;
Pour faire le mors,
Où je dévale Le Val
De Marne pour rejoindre le tombeau sans remords;
Et ainsi passer le flambeau à l'être suivant;
Avec pour béguin que dans un bouche à bouche;
Il y a tout ce qui débouche;
Et qui me laisse bouche-bée
Vers la vie d'après,
Où ça ne paraîtra plus louche
De servir la soupe avec une louche;
Après que j'ai tant craché dans la soupe
Et que ça a pu paraître louche;
En n'y allant pas par le dos de la cuillère
En argent; et en prenant tout pour argent comptant
A la découpe;
Dont le plus important; c'est de servir un ver solidaire
Après avoir fait feu vent
De tant de poussières,
Et que ça m'ait tant desservi tant de revers solitaires,
Où j'invoque pour Testament;
La parole du Tout-Puissant
Dans une relation de longue durée;
Après avoir tant fait semblant de faire l'amour
Dans une vie au long court,
Alors que maintenant, je souhaite ardemment;
Passer l'arme à bout pourtant et portant
Très à gauche,
En espérant que je ne serai pas assez gauche;
Pour me rater de manière très mâle à droite;
Avec la main moite,
Alors que le peu de gain
Et de regain
De temps; qu'il me reste,
Autant que je lâche du leste;
Et que je passe une fin de vie ouate
Après des relations endurées;
A des relations en durée,
Où j'aurai pour espoir avec de la clarté;
De rallumer avec de la lumière
Cette pièce détachée dans le noir,
Où je broie du noir;
Triste à s'en émouvoir;
Et où il faut que ma chaumière
Reprenne des couleurs
Dans le bonheur;
Avant d'avoir des remords,
Car le jour où pour de bon; je ferai le mort
En faisant l'amour avec la mort;
J'entrerai dans la cour
Des morts-vivants,
Où là ! Je cesserai enfin de faire la mort
Avec l'amour;
Et de faire le mort avec l'amour,
Car faute d'amour,
J'y enclencherai sans doute la fin du compte à rebours,
Comme je serai défunt pour toujours,
Où dans l'au-delà pour l'éternité; j'en démords
Que sans remords;
J'aurai fait l'amour avec la mort,
Car vis-à-vis du Bosphore,
J'aurai fini de si souvent flirter avec la mort.
Jérôme de Mars
Sans eux
A fortiori, il nous parut d'antan sans eux, qu'on soit autant OTAN à vouloir là, qu'on ait mis ici bas pour avoir tout bon, pour avoir un bavoir, comme BB star sans eux pour lui, dont il rit, il sourit, pour avoir un joli bouquin taquin, coquin, qu'aucun naît sans eux, du BB star à BCBG costard, à pourvoir, pour voir, si sans eux, il aura un PIB s'il naît dans un pays bas sans eux, dont, lui, donc, il aura pour cuit-cuit, du tout cuit s'il lui, il cuit sans eux.
Jérôme de Mars
Qu'est-ce-que ça fait Obélix qui crache dans la soupe du druide Panoramix ?
Nom d'un dieu fastidieux;
Cela peut paraître odieux !
Si d'idée fixe
Traverse à l'esprit d'Idéfix;
Qu'il a peut-être une chienne de vie
Avec des déboires à l'eau-de-vie;
Dont se sert le druide Panoramix;
Pour y mijoter sa potion magique;
Bercée par la harpe
D'Assurancetourix certes;
Mais avec une sécurité asociale alerte !
Dont ça peut être l'antivol;
De la carpe
Et du latin,
Avec un coup de lapin;
Si jamais il y a
Entre deux faux rendez-vous,
Des gens qui osent poser des lapins;
Et qui disposent en vol
De larcins;
Des assassins tel Jules César,
Qui Ave César
En faisant son cinéma;
Mais pas en jouant du cinéma;
Car cela, ça n'existait pas !
Encore avant à bras-le-corps !
Dont pour éviter l'envers du décor,
Autant passer des accords raccords;
En ayant une Bonemine;
Avec pour chef-lieu Abraracourcix,
Et si tout de même Ordralfabetix
Prend tout au pied de la lettre !
Et ben ! Autant le déranger !
En jetant l'argent par les fenêtres,
Là où Astronomix dort;
Comme à l'accoutumée
A la belle étoile;
Avec pour et toile la tête dans les étoiles,
Dont le voile se dévoile
A voile et à vapeur;
Et en odeur
De Sa Majesté,
Qui prend tout au pied
De la lettre Romaine;
Jules César
Qui Ave César;
Dont son dolmen de prédilection
Est de jeter la pierre
A Monosyllabix et à ses menhirs,
Car pour avoir la gaule;
Autant avoir en général
Astérix et sa potion magique,
Pour calmer naguère
Obélix; et faire en sorte;
Qu'il en ressorte
Plus fort par la grande porte;
Ce afin qu'il emporte
Avec lui que de la gaieté
Et de la légèreté;
Pour être en paix,
Si jamais mal lui en prit
A Obélix de cracher dans la soupe
Du Druide Panoramix,
Car au lieu qu'Obélix en gros;
Crache dans la soupe du Druide Panoramix,
Il vaut mieux qu'Obélix en gros serve la soupe;
Pour avoir la gaule en général.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on d'Obélix en gros qui manque de reconnaissance envers le druide Panoramix ?
- On dit qu'Obélix crache dans la soupe !
Jérôme de Mars
Texte affranchi les limites
Con texte, je l'imite en ermite en remplissant la marmite;
Dont ce texte affranchi les limites avec des mites,
Oh ! Punaise de lit ! A moins que j'ai encore le cafard;
Sans fard en taillant des costards, en m'entaillant avec un dard;
Et en utilisant ces rites standards aux rituels,
Pour déguster des andouillettes, des rillettes et des quenelles;
En repassant tout à plat, dont tout ce borderline m'irrite
Et me met dans des états limite, dont je l'imite l'impact;
Avec ce texte affranchi les limites; en pétant avec de la dynamite
Toute la TNT de la télé; en signant un pacte avec le diable compact,
Qu'on pacte avec un doigt d'honneur;
Dans ce billet très déplacé en billet d'humeur,
D'où je vous salue mari plein de dise grâces;
De pile comme de face, dont ce texte a franchi les limites si bien qu'il l'imite;
La casse et les passes de tout ce qui se trame avec les origines; ayant pour race
Tout ce qui se débine par devant et par derrière; avec les faux derches que limite
En ermite ce texte affranchi les limites; presque aussi bien que je vous le rends;
En mettant un masque avec ce putain de Coronavirus; et en prenant des gants,
Dont j'achève de retracer toutes les limites, dont je l'imite la péritonite;
Et la libre circulation;
En prenant toutes les précautions,
Dont ce texte a franchi sans l'imite le hors-limite.
Jérôme de Mars
Français de sang mêlé
Carte de ma propre identité;
Avec un passeport Français
J'suis un Français de sang mêlé,
Dont mon origine ne fait que s'emmêlait
D'être à la fois Français;
De par mon identité
Et si je suis bien intégré ! ?
Ou désintégré par mon passé
Déraciné et désengagé,
Mais qui reste surtout obstiné
A être Français;
De par mon identité
De Français de sang mêlé,
Qui s'en mêlait
De se ronger les sangs,
Les s'emmêlés,
Où je perds à la racine
La base de mon origine;
Et si de par mes hémoglobines
Si j'embobine;
Ou si je me fais des films
Avec des bobines,
Qui mésestiment
Mon âme de déraciné
Et d'étranger;
A moi étranger de mon passé
D'un génocide,
A la fois acide
D'un peuple qui revient de l'enfer;
Ou soit d'une famille décimée
Au sortir de la guerre,
Car naguère marquée
Et contrariée par un suicide,
Qui écime
Ma vie mise en abîme;
Moi, Le Français de sang mêlé,
Qui s'emmêlait à se ronger
Les sangs déracinés;
Et étrangers à sa propre identité
De Français de souche;
Partiellement ou entièrement
De Français mis sur la touche,
Qui voudra demeurer
Surtout un véritable Français;
De par les sangs emmêlés
Et intégré sur le territoire Français,
Dont au fond sa véritable identité
Sera la fierté;
Et la postérité
De demeurer un humble Français,
Malgré les innombrables difficultés
D'être en paix;
Avec tout ce qu'il a traversé
Et déversé,
Par de multiples haines
Et de gangrènes;
A la p'tite semaine,
Avec pour rengaine;
Sa mauvaise haleine,
Malgré son bas de laine,
Dont je reste exilé;
De par ma racine carrée
Et heureusement contrecarrée,
Dont je prends ma racine;
En remontant à l'origine
De Jean Racine,
D'où enfin, je m'enracine;
Après que je courbe l'échine,
Si bien que maintenant
Je chine
En étranger;
Ma propre identité
En cherchant une machine,
Pour laver mes origines
Et faire qu'elles soient divines,
Dont l'objet de mes racines
Prend pour origine;
En remontant à la racine
Carrée et contrecarrée;
Avec une tête au maître carrée;
Qui se ronge les s'emmêlés,
Dont ma propre identité;
C'est d'être un Français de sang mêlé.
Jérôme de Mars
Coucou, p'tits oiseaux !
Et paon !
Oiseau de toutes les couleurs;
Tu me fends le cœur !
Avec un amour de géant
Coucou, p'tit oiseau !
Dont toi, le p'tit coucou !
Je te voue
Une légende incognito;
Où tu joues à l'épervier
Et à la marelle, dont tu écris
Avec la craie;
Toutes tes indignations
Et toutes tes roucoulades,
Quand à reculons;
Tu pars à la dérobade
Et en ballade;
Dans un lad
Des cygnes,
Si c'est bon cygne
De porter l'insigne,
Dont je t' dédie
Et paon !
Et pan !
P'tit oiseau
De mauvaise augure !
Tu inaugures
D' ta belle nature;
Toutes tes désinvoltures
A jeter en pâture,
Toi, à qui je fais coucou !
Parce-que coucou, p'tit oiseau !
Qui me fait tourner des bourriques;
En passant du coq à l'âne
De cette bourrique qui t'étrique;
Avec un bonnet d'âne n'est-ce-pas man ?
Où t'es un bourricot et un sacré zigotto !
De faire le fou; alors que t'as des gardes-fous !
Quand tu joues à l'épervier;
Avec le cruel projet de réaliser ce trajet
Avec le paon; qui t'en fait voir de toutes les couleurs
Et dont pan ! Tu vas enfin voir la couleur !
Quand Peter Pan te fait reprendre des couleurs,
De la candeur
Et à la ferveur,
Lorsque c'est la chandeleur
Qui chante l'heure,
Où surtout, ne te coupe l'herbe sous le pied;
Même s'il y a des génies en herbe,
Qui te font un appel du pied
A Boulevard Malesherbes,
Avec d' p'tites pousses d'herbes,
Pour leur donner un joli coup de pouce en verve et avec le verbe;
Pourvu qu'à vol d'oiseau, toi, l'gentil petit oiseau idiot,
Paresseux et jeune manchot !
Tu t'accroches à-tire-larigot
A ton manteau;
Au théâtre Les-Blancs-Manteaux;
Avec des gens complètement marteaux;
Qui fabriquent et tapent du marteau,
Dont tu finiras en drôle d'oiseau
Dans la forêt; en prenant pour imprésario
Le coucou de p'tit oiseau,
A qui tu feras un éternel coucou !
Avec des gardes-fous,
Car plus on est de fous !
Plus on rit !
En compagnie
Des gentils oiseaux,
Pour lesquels tu ramèneras
Un excellent scénario;
Pas rabat-joie,
Mais faisant l'apologie
Du je de l'épervier
Avec tes amis oiseaux,
Des drôles de zigottos;
Où tu apprendras incognito
En leur compagnie;
Le code de la vie
Avec tout ce qu'il y a
De rassurant,
De grands
Et de petits soucis,
Car une p'tite accalmie
Avant des mélis-mélos;
Entre deux vents
A forte tempête,
Où depuis l'âge bête
Tu auras plutôt réussi,
Grâce à ton pense-bête
A passer d'un état qui t'embête,
Où tu rouspètes
Avec ton air hagard hébète,
Car maintenant coucou p'tit oiseau !
Fais-coucou à tes amis les oiseaux !
Autour du cercle des potos;
De l'épervier avec qui
Tu joues à l'épervier,
Et du paon, car et pan
A tes dépens,
Dont pour respecter leur loyauté
Et leur fidélité vis-à-vis
De toi,
A la mort, à la vie,
Dont tu leur passeras en ultime coucou;
Coucou, mes amis !
Et mes potos d'oiseaux !
Et ainsi, ne soyons plus dans le déni !
Mais quittons le ni;
Et volons de nos propres ailes !
Avec nos amies tourterelles,
Car merci l'épervier
Pour ton jeu de la marelle,
Où maintenant, je sais
Que le jeu en vaut la chandelle;
Avec celle qui sera ma ritournelle
Parmi les demoiselles,
Dont grâce au paon
Et pan !
Vlà le p'tit bonheur !
Toi, l'oiseau de toutes les couleurs,
Dont à bonne entendeur
Coucou et cuit-cuit !
Les p'tits oiseaux !
Entre joies et filles de joie,
Qui contaminent mes joies rabat-joie,
Dont à vous mes potos,
Je vous adresse un dernier coucou;
A la fois au coucou
De p'tit oiseau;
A l'oiseau qui joue à l'épervier;
Et à l'oiseau qui en fait voir de toutes les couleurs;
Et paon, et pan !
Et vlan !
A la fin du lad des cygnes,
Dont si jamais; c'est bon cygne, je vous adresse en insigne,
Un signe,
Sans garde-fous,
Au terminus de tous mes coucous,
A vous les coucous;
De p'tits oiseaux !
Cocorico; en volant vers le haut !
Jérôme de Mars
Dialogue imaginaire entre un musicien hors père et un poète hein père !
Dialogue imaginaire entre Serge, un ancien éducateur du Cerep et Jérôme, un vieil hein patient du Cerep :
Jérôme : " - Bonjour Serge, ça jazze de ton côté ?
Serge : - Ben oui, ça ne fait que jazzer avec tes poèmes, mon cher Jérôme, comme on connaît ta chanson ! Et toi ces temps-ci à quoi ça rime quand tu fais couler beaucoup d'encre ? !
Jérôme : - Eh ben ! C'est simple, mon cher Serge, j'y laisse des plumes avec ma poésie sans vergogne surtout avec la goutte d'eau qui fait déborder le vase si jamais, je faisais un pot-pourri de tous mes poèmes !
Serge : - Et tu voulais à nouveau me faire avaler ton pot aux roses ! Mais je n'ai pas marcher, t'as vu ! ?
Jérôme : - Si Serge, d'une certaine façon, t'as démarché mon poto rose !
Serge : - C'est pas possible Jérôme, t'as trouvé à nouveau mon point sensible ! ?
Jérôme : - Oui d'une certaine façon Serge en faisant l'appoint; comme dans ma vie, j'ai eu beaucoup d'impairs, je te prends pour mon compère, car les deux font la paire !
Serge : - Qui de nous deux aura le dernier mot, à ton avis, Jérôme ! ?
Jérôme : - Moi Serge, car je te mets au défi d'avoir le dernier mot, toi, le musicien hors père qui met en musique mes poèmes hein père !
Serge : - T'es un filou et un vieux renard futé Jérôme ! Que puis-je ajouter de plus à tes mots qui me donnent des sanglots impairs ! ?
Jérôme : - Eh bien ! Mon cher Serge ! En vieux renard affûté que je suis ! Toi qui fais jazzer tous mes poèmes un père; avec ta musique hors père et qui adoucit également mes mœurs, eh ben, cette fois-ci, c'est moi qui aurai le dernier mot imper, comme tu m'as donné la parole et que je n'ai qu'une parole hein père ! Parole d'artiste ! "
Jérôme de Mars
Autant en emporte l'avant !
D'avant à maintenant;
Fut jadis Olivia de Havilland,
Qui depuis hier naît plus
Partie ailleurs sur d'autres landes,
Autant en emporte l'avant !
Dont il faut rendre hommage
A son talent d'immortelle actrice;
Avec une classe distinguée
De femme qui eut du panache,
En s'enivrant de champagne
Aux bords du rivage,
Et dont le cinéma
Entre émois et joies rabat-joie;
Fut sa principale compagne
Des verres de flûte aux refus
Des compromissions,
Telle cette femme sans concessions
Qu'elle demeurera en héritage;
Des périodes sans partage,
Dont il faut tourner la page
Du cinéma d'avant-guerre;
Dont on tire en inventaire
Que ce fut une femme de tempérament;
Dotée d'un sacré caractère,
Où elle ne se laissa jamais faire
Durant cette période de cravache,
Et très à cheval avec des principes,
Où en femme libre, elle s'émancipe
A la marge des actrices lambdas
De l'époque,
En femme baroque
Et originale dans ce qu'il y a
De plus forte tête qu'elle hoche,
Elle, qui n'avait sa langue dans sa poche,
Autant en emporte l'avant !
Car même si elle fut souvent
Sous le vent d'Autant en emporte le vent,
Pourvu qu'OTAN en temps de paix;
On emporte cette actrice de second rôle
En la sortant de sa geôle;
Et en la mettant en premier plan;
Face caméra,
Avec respect et mille et une vertus
Où l'on s'évertue à confirmer,
Qu'elle perdurera dans la postérité
Des grandes actrices, réalisatrice
D'une vie, où elle s'émancipe
Précoce, et très tôt dans une vie;
Dont elle obtiendra son salut
Et sa reconnaissance avec deux Oscars;
Car Ave César
Pour l'ensemble de sa carrière;
En femme insoumise,
Qui mouilla sa chemise
En éternelle et magistrale artiste;
Qui fit que la vie fut moins triste,
Autant en emporte l'avant !
D'autant en emporte le vent !
D'auparavant au paravent,
Car de là à maintenant;
Elle fut l'actrice d'une vie éblouie
Et réussie;
Dont on retiendra
De sa naissance
En 1916,
A sa mort en 2020,
Que c'est l'année de sa partance
Qu'elle prit congés
De nous;
Vers la fin du mois de Juillet
A destination d'un autre monde,
Sans doute meilleur et moins fou
A l'âge de 104 ans;
Où si on sonde
Sa révérence
Auprès des Français,
Elle restera pour La France
Toute sa préférence;
D'ici à maintenant
En une sorte de Joconde;
Et pas en vins,
Mais en deux mille vins
De tours de ronde;
Autant en emporte le vent
Et OTAN en temps de paix;
Avec mille mercis
Et avec respect;
Car maintenant pour le restant,
Autant en emporte l'avant !
Jérôme de Mars
Les vers beaux restent verbaux
Jeu d'écriture,
A fière allure
Avec le verbe haut;
Les vers beaux restent verbaux
Avec les oraux, les Zorros,
Ou bien la poésie sur un escabeau,
Pour aller vers le haut,
Voler et s'élever bien haut;
Quand le destin s'croit tout écrit
Noir sur blanc dernier cri,
Alors que par notre plume
De duvet, on s'verrait bien
Sous un masque et un costume;
Faire le lien manichéen
Avec un mannequin sur mesure,
En une façade de surface dont ce serait
Notre bonne nature d'envoyer paître,
Avec pour maître
De la verdure;
Des vers durs
Pour miroiter
Notre propre ridicule;
Qui tue notre matricule
Dans un jeu de figure,
Où tout s'configure,
Quand les vers beaux restent verbaux
Du temps d'Arthur Rimbaud,
Ou de Jean-Jacques Rousseau,
Et que pour terminer
Le tout dans un synchrone tempo,
Il vaut mieux y aller avec le verbe haut;
Avant d'atterrir dans le ruisseau
Et de sombrer à-vau-l'eau
Au fond de l'eau,
Tel un poète qui passe du ghetto
Au chaos avec pour maître mot;
Qu'il est leurre de chavirer
Et de virer dans la verdure;
Avec pour vers durs,
Notre profonde nature
Qui s'dévoie
Et se fourvoie
Avec des rayures,
Quand avec le verbe haut,
On finit les oraux;
Et dont en drôles d'oiseaux loyaux,
On tient paroles de moineaux,
Avec en coup de chapeau;
Que les vers beaux restent verbaux.
Jérôme de Mars
La clé des Champs
Champs-Elysées dévalisés;
Sur la place du marché
Pour remporter la loi du marché,
Il faut démarcher
Dans un laps de temps,
La clé des Champs,
En trouvant la clé de l'énigme;
Qui déchante
Et qui invente
Jusqu'au paroxysme;
Tout le cataclysme
Des égoïsmes,
Surplace d'Auchan
Avec en magasin;
De p'tits grains
De folie à cultiver OTAN
En temps de paix;
Avec la clé des Champs
Qui a besoin Deschamps,
Pour cultiver du bon jeu
Sur le terrain,
Avec des moi, je
En vitesse tout terre un
Et en trouvant la clé d'Auchan;
Pour résoudre la clé de l'énigme
Et décrypter à Fort Boyard
Sous un grand cagnard,
De multiples rebondissements qui riment
Avec la clé des Champs;
Du poète aux Champs-Elysées dévalisés,
Qui déchantent
Avec pour servante;
Le prix de la liberté
Sans faux procès D,
Qu'on intente
Avec du LSD;
Soi-disant pour aider
A trouver le meilleur remède;
Avec en intermède
De sacrées jolies choses;
En codes de névroses,
Qui ne respectent la clause
De conscience de cause
A effet immédiat;
Et imminent
Avec des enfants,
Pour qui c'est un jeu d'enfant
De prendre les grands
Pour des petits;
Et les petits pour des grands;
Avec des petits plats
Dans les grands;
Pour avancer sans émois
Mais avec la clé Deschamps;
Auchan dont le fond de commerce;
C'est qu'il s'exerce
Avec la clé des Champs;
En cultivant l'amour du beau jeu
Tout terrain;
Et en terre un
Connu et bienvenu
Au prix du salut;
Qui vous va droit
Au cœur
De rockeur ;
En regardant
Et en gardant
La clé de l'énigme;
Dont on ouvre la porte
De l'apocalypse;
Après l'avoir trouvée
Avec une éclipse;
Qui emporte
La clepsydre ,
Dont le cidre
Vaut un millier d'acolytes,
Dont on périclite
A la moindre difficulté;
Et à volonté
Selon vos souhaits,
Car le principal
C'est de faire dans l'artisanal
Un texte si original,
De façon la plus magistrale
Avec Auchan en temps de paix
Qui cultive la clé des Champs;
Pour contribuer à l'instant
Du point fermé
Et point lié,
Dont Auchan cultive le jardin secret
En trouvant la clé de l'énigme
Deschamps, et en taillant les haies
De la haine,
Car à chaque semaine
Aux Champs-Elysées dévalisés;
C'est le prisme
OTAN en temps de paix,
De la clé des champs.
Jérôme de Mars
Le revers de la médaille
En vers qui aillent;
Si c'est le revers de la médaille
Pas de médailles en chocolat,
Mais peut-être une médaille en or;
Or ni argent mais sans doute en bronze
Qui bronze,
Pendant que le souffleur de vers
S'essouffle en courant un ver
A la main; qui dédie à la mère
A boire tous les revers des hauts vers,
Dont c'est le revers de la médaille;
Pour qu'avec les tenailles,
Ca tienne la route jusqu'aux entrailles
Du jardinier qui taille bien les vers;
Pour toujours faux revers
En vers et contre tous;
Avoir un joli coup de pouce
En ayant à sa disposition,
Une pléiade d'occasions
En pratiquant l'autodérision;
Pour faire les fanfarons
Au service de l'état,
Dont c'est le revers de la médaille
D'espérer que tout se vaille
Et que tout aille;
Sans que ça fasse aïe
En mangeant de l'ail ;
Avec en épouvantail
Tous les détails,
Pour faire un état des lieux;
Avec au summum des jours joyeux;
Quelques p'tits vers heureux
A écrire; avec pour meilleurs
Mots qui assaillent,
Tout ce qui rime, car pour ça aille
Rien de tel que d'aller au travail;
Avec en éventail
Le revers de la médaille.
Jérôme de Mars
Triangle isole celle
q
d u
o e
n l
t c
o
i n
s q
o u
c e
è
l m
e ê
. m
T e
r -
i e
a l
n l
g e
l à
e Des Bermudes isole celle équilatérale qui est égale
Jérôme de Mars
Les osselets, les os laids
Compte à rebours;
T'es à la bourre !
Quand avec des calembours,
Tu es à la bourre !
Et que tu es bourré
A contre danse de la bourrée;
Dont tu rembourres
Des bourgs
Aux faux bourgs, faubourgs;
Dont tu déjoues les osselets,
Quand tu joues avec les os laids;
Pour te ronger les os olé olé ! O'laids ! O'laids !
Quand on te profère à la bourre,
Avec tes bourrelets;
Bourre-les !
En condensant la bourrée
Que t'as rembourré;
Avec tes déboires de bourré,
Quand tu rencontres Jean-Claude Bourret
Que t'as bourré;
Dans une mise en bière
Du Corona,
En écoutant la chanson du groupe Corona
Des années 90; bourrée avec de la bière
Sûrement de La Canebière;
Si tu bois un Monaco
En allant à Monaco,
Car que ce soit un Monaco
Ou une bière,
Bourre-les
Tes bourrelets !
En jouant aux osselets, os laids,
Pour te ronger les os olé olé ! O'laids ! O'laids !
Dont tu fais ton deuil
Assis tout seul sur ton fauteuil;
A regarder à la télé
Tous tes calembours,
Que tu bourres
Et que tu rembourres;
En pensant et en repensant
En contre dansant la bourrée,
Car bourre les
Tes bourrelets !
Des bourgs
Aux faux bourgs, faubourgs;
De Cabourg
A Bourg en Bresse,
Dont tu te presses
De faire de nouveaux calembours
De troubadours;
A la fin de ce compte à rebours,
Où tu es à la bourre;
Quand tu débourres des bourres
En mettant des coups de bourre,
Car ose-les pour te ronger les os olé ! olé !
O'laids ! O'laids !
En surjouant avec des osselets,
Des os laids.
Jérôme de Mars
Des cas laids décalés
Recalé,
T'es calé !
Et très olé olé !
Aux couleurs bariolées
Des cas laids décalés;
Au lait caracolé
Et accolé,
Quand t'as collé
Et bricolé
Des cas laids décalés;
Où si jamais t'es encore recalé
C'est que t'es toujours calé;
Avec ton genre trop olé olé
Au lait bariolé,
Où ça signifie que t'es un roquet;
Karaoké car ah ok !
Avec ta langue de perroquet picolée;
Dont les paroles ont retoqué,
Rétorqué et toqué
Que c'est du toquet,
Comme tu ne perds pas Le Nord-Pas-De-Calais
A Calais recalé;
Vu que tu n'es calé,
Car t'as racolé
Et que t'as caracolé
Avec des cas laids décalés;
Vraiment olé olé,
Bariolés et bricolés
Avec ton colley;
Avec qui t'as recollé
Les morceaux tantôt disloqués,
Interloqués et suffoqués,
Où maintenant te v'là plus recalé !
Car tu t'es calé et intercalé à Calais;
Tant et si bien que t'as racolé, accolé et caracolé !
Des cas laids décalés.
Jérôme de Mars
Novices, nos vices
Surplace de l'église
Du fond de nos pensées promises;
On ne fait que des péchés
Fautes de vérités,
Où l'on est désavoués
Même si faute dès avouée
Est à moitié pardonnée,
Pendant que novices, nos vices
Font qu'on dévisse, des vices
Avec la coupe qui est pleine des vices;
Pendant que novices, nos vices
Trouent nos jean's les vices;
Avec une gymnastique arythmique
Du tréfonds de notre gymnastique à rythmique;
Pendant que nos cœurs déprogramment
A rythmique l'électrocardiogramme,
Qui tombe en panne
Faute de vannes;
Pour ranimer le cœur qui boîte
De nos chers aînés très ouates,
En filant un mauvais coton
A tatillons;
Pendant que novices, nos vices
S' régalent avec délices,
Que tout fout le camp à l'église
Avec comme devise,
Que toute devise dévisse et divise
Avec parmi la milice, l'ami lisse;
Qui adoucit la confrérie
En charmante compagnie
Et au garde-à-vous;
Avec comme garde-fous
Une meilleure gymnastique arythmique;
Pour consoler nos peines de cœurs
Avec comme gymnastique à rythmique;
De parfaites mimiques
De rockeurs;
Comiques et cosmiques
Parmi les fous alliés;
Et ralliés à la voie lactée
Avec pour devises,
Qui dévissent et divisent;
Pendant qu'on vise
Et qu'on révise
Novices, nos vices.
Jérôme de Mars
On n'a pas assez d'une vie pour apprendre !
Chaque jour qui passe,
Nous casse, nous fracasse,
Nous tracasse,
Ou nous surpasse,
Tandis qu'à la fin de notre vie;
On trépasse
En route vers l'infini;
Même si ça paraît démagogique
Qu'on affirme d'une voix catégorique;
Qu'on n'a pas assez d'une vie pour apprendre
Les rudiments;
Car les lendemains, soit on affirme des boniments,
Soit du ressentiment,
Ou sur soit, sursoit, on exprime des compliments;
Pour en reprendre et se détendre,
Ou attendre et se méprendre
Du jeu de cette erreur;
En adressant ses excuses,
Ou soit qu'on récuse
Dans un démenti;
Avec un manque évident
De déontologie,
En faisant l'apologie
Des horreurs
De l'espèce humaine;
Surtout qu'elle peut être hautaine ou puritaine;
Au fil des semaines,
Où on n'a pas assez d'une vie pour apprendre,
Car on en fait qu'à en reprendre;
Si bien qu'on en apprend un peu plus chaque jour;
Soit pour s'entendre,
Ou soit pour provoquer un esclandre,
Pour jeter en cendres;
Ceux qu'on a envie de descendre,
Lorsqu'on ne fait que répandre
De vilaines rumeurs
Sur untel;
Jusqu'à sa stèle;
Ou à son hôtel;
A en perdre son honneur
Et sa grandeur;
A l'autel
Des mauvaises humeurs,
Où on n'a pas assez d'une vie pour apprendre
Tout et son contraire;
Et entreprendre
De rétablir le courant
Du fil de l'univers;
Entre les amis frères
A la vie, à la mort,
Car l'amitié est un réconfort
Pour rester du côté de la lumière;
En frères de prières
Contre la colère
Qui est un vice,
Alors que de ce fait, il vaut mieux
En nos vices, novices,
Rétablir sans frontières
Toutes les religions de La Terre;
Pour réconcilier les réfractaires
Avec les Sains du presbytères,
Car OTAN faire la paix
Entre toutes les communautés,
Car on en apprend tous les jours
Qu'il faut s'aimer dans la fraternité;
Pour faire face à l'adversité
Durant notre court séjour
Sur La Terre,
Où là, y a de la matière !
A en discuter sans frontières !
Autour du feu
Des pieux,
Car là c'est sûr, ça en vaut le détour !
Vu qu'on n'a pas assez d'une vie pour apprendre !
Jérôme de Mars
Voyage sur La Seine qui est un long fleuve tranquille
Mécènes, la vie sur Terre
Cherche un partenaire;
Pour faire une croisière
Linéaire le long de l'imaginaire;
A vouloir boire près de la frontière
Des vers bien solidaires,
Où d'eux ne font qu'un
En récitant les prières
Du Sacristain;
Pour faire le lien
Dans ce voyage sur La Seine qui est un long fleuve tranquille;
Pour relier sans broutilles
Des parfums sur la ville qui voguent
Dans un sempiternel monologue;
De qui croire entre le poète des rives sur La Seine;
Et celui du poète maudit qui part à la dérive et qui arrive
Avec des bagages;
Avant que son cœur insalubre
De par ses grains de poussière,
Parte en rad vers un naufrage,
Dont pour éviter cette chose lugubre,
Autant opter dans l'option du partage;
Pour songer chronophage
A aller sur le radeau;
Pour picorer des p'tits mots
Lors de ce voyage sur La Seine qui est un long fleuve tranquille,
Avant que le courant emporte à contre-courant
Les souvenirs qui errent en vagabondant;
Mélancoliques et pessimistes en dans une résignation qui grésille
Avec le capitaine des destins fracassés sur Le Pont Neuf;
Au cœur de Paris à chercher la rivière
Et l'estuaire qui mène vers l'itinéraire
Nomade; avec de l'eau qui coule sous les ponts veufs;
Une fois acheminée dans le chemin de l'océan pacifique,
Où aux rebords de la croisière;
Avant qu'elle change de destinataires;
Le temps s'achève décisif et charnier en pacifique;
Pour signer le traité de Paix avec respect;
Et en tout paix, avec toupet,
Où pour refermer cette parenthèse de manière gentille
Avec des béquilles;
Il faut y affronter la suite qui fourmille
Dans les années 2000, en plein dans le deux mille;
Car autant que ce voyage sur La Seine reste un long fleuve tranquille.
Jérôme de Mars
L'argent fait-il le bonheur ?
Argent comptant;
En prenant tout pour argent comptant
Chaque parole,
Alors que sans bémol;
Le silence est d'or, la parole est d'argent !
Dont ceux qui volent,
Ils oublient d'avoir un antivol,
Car pour eux, tout est frivole
Et cela somnole
Tout leur argent;
Qui fructifie dans les paradis fiscaux
Pour payer moins d'impôts;
Bien planqué au soleil
Sous les tropicaux;
Avec au bout du compte de l'oseille;
Individualiste et opportuniste
Et en fin arriviste,
D'où l'on demande aux acteurs et amateurs
D'argent, si l'argent fait-il le bonheur ?
Ou à défaut, comme il contribue
Vice et vertu
A la sécurité intérieure;
Afin de passer davantage
De moments rieurs;
Avec pour gage
Et bagage,
L'occasion de démarrer
Une nouvelle page;
Avec en apogée
Un avenir bien meilleur,
Mais dont il faut bien entendu
Profiter de cet argent;
En gardant du crédit comptant
Auprès des gens;
Malgré les tourments
Des jours ambiants;
Où on en conclura,
Est-ce-que les gens
Nous fréquentent pour notre argent comptant ?
Ou bien parce-qu'on a une parole d'argent comptant
A prendre tout en argent content ?
Car pendant le temps
Qu'on naît sur Terre,
Et qu'on naît de passage,
Il faut se faire plaisir sans abuser
Des excès; mais dans une saveur
Modérée et appréciée;
Car le jour, où on meurt,
Ca ne sert à rien d'être le plus riche
Du cimetière,
Une fois éteinte la lumière
Dans des étreintes passagères
A assurer nos arrières,
Ou à défaut
D'être de qualité,
Est-ce-que l'argent est-il fait
Et contrefait avec des faux ?
Avec usage
Ou sans usage
De faux, des faux, défauts ?
Ou est-ce-qu'au contraire
L'intérêt est-il capital
De tout ce que représente l'argent ?
Tant qu'il nous épargne
Des intérêts, désintérêts
D'être pauvres ou orphelins,
Mais dont le plus souvent,
On est riche
En tant qu'être humains;
Qu'on défriche
En étant un bon samaritain;
Avec nos copains
Et en bons Chrétiens,
Ou est-ce-qu'en général,
L'argent fait-il le bonheur
Avec de gros intérêts ?
Ou provoque-t-il de gros conflits d'intérêt
Avec pour total intérêt,
L'intérêt du gain en un pas ?
Avec en grands intérêts, l'appât
Du regain ?
Avec des amis profiteurs
Qui te restent fidèles;
Tant qu'untel
A du fric pleins les ardeurs
Et les odeurs,
Même si l'argent n'a pas d'odeur
Et dont certains amis
Te laissent tomber
Avec pour retombées,
La faillite de tes billets de loterie;
Et dont tu n'es plus en odeur
De Sainteté
Auprès de certains amis,
Mais en pure mauvaise compagnie;
Comme La Compagnie Générale des os,
En os usés, de par un des gars
Des os,
Où pour éviter que tout tombe à l'eau !
Disons à l'eau, allo !
A un compromis !
Entre les amis, pas des cons promis
Mais à des vrais amis
Et à au banquier,
Afin de délivrer le billet
D'honneur et d'humeur;
Avec pour délivrance
Une nouvelle confiance
De bonne facture; pour passer
Du découvert
Avec des dettes;
A des coups vers
Avec pour vedettes
Une remise de dette;
Pour passer d'un et tas de squelette
En un état à pouvoir refaire des emplettes,
Car après les fossettes
Et les fausses aides,
Voici pour intermède et pour ultime remède
De nouvelles facettes;
Pour revenir avec une belle silhouette
Et des choses chouettes,
Car après les dettes,
Nous v'là de retour en esthètes;
Avec des projets pleins la tête,
Car certes, l'argent ne fait pas le bonheur !
Mais il y contribue avec grandeur;
Pour vivre avec sérénité
Et en paix intérieure,
Avec pour liberté
De l'argent content;
Se racontant et se contant
En prenant tout pour argent comptant,
Car si le silence est d'or et la parole est d'argent !
Est-ce-que l'argent fait-il le bonheur ?
Même s'il y contribue fortement
En prenant tout pour argent content ?
Jérôme de Mars
Indigo, hein dit go !
Leste go !
Il faut lâcher du leste à gogo !
Indigo, hein dit go !
Sur la terre let's go !
Avec les maux bleus
A l'âme infâme,
Dont on jette sur la grande bleue;
Dès lame
Indigo, quand un dit go !
Leste go !
Dont le mâle de mère;
On en défait un mal de mer
Let's go !
Indigo, hein dit go !
En lâchant du leste à gogo !
De l'amère bleue
A la mer bleu sur la grande bleue;
Dont un dit go !
Quand indigo, hein dit go !
A-tire-larigot
Sur tout le territoire de Pago-Pago;
Avec le trésor d'un joli magot
Sur la Terre Indigo;
En un bonheur Indigo,
Quand l'amère bleue
Et ses maux bleus;
Font couler beaucoup d'encre bleue,
Dont l'encre marine le peine
Sur la grande bleue,
Qui jette l'ancre;
Dont l'ancre Marine Le Pen,
L'élève qu'ancre, cancre
O'peine, Open !
Jusqu'aux bleus des cieux;
Avec un lâcher à gogo;
D'un leste go
En un let's go !
Quand un dit go !
Indigo, hein dit go !
Jérôme de Mars
Le professeur Choron nous fit la leçon en nous servant la soupe
Le professeur Choron nous fit la leçon;
En nous servant la soupe dans un chaudron;
Dans un tour de chauffe
En vieux réac beauf,
Dont sa femme se fit hara-kiri
Grâce au journal Hara-Kiri;
Avec des confettis et de la drôlerie
Dans une ambiance morbide de cette sinistre confrérie,
Où avec des potirons, des p'tits ronds,
Dans un esprit de garderie
Et de franche camaraderie,
Le professeur Choron nous fit la leçon
En nous servant la soupe dans un chaudron;
Et en épluchant ses oignons,
Dont c'est à partir de là qu'il se mêla de nos oignons;
En nous servant la soupe à la grimace qu'il pela en réaction;
A la calomnie dont il fit l'objet et à quel sujet ? !
Dont il prit sa dernière compagne comme un objet,
Dont il fut le sujet principal et elle le sujet de femme fatale;
Comme un objet vaginal et anal,
Dans les anales de ses magazines subversifs et transgressifs;
Que furent Hara-Kiri et Charlie-Hebdo où en écorché vif,
Il fit imploser et exploser à la nitroglycérine;
Toutes ses luttes en rut;
Qui supputent
De vaines tentatives pour se racheter une conduite digne, dont il dessine
Avec de grandes caricatures;
Ses traits de caractère de gros dur
Et insensible,
Comme sur le fil, il ne péta que des fusibles
De son art si original, bancal et fécal,
Où le professeur Choron à la racine carrée et contrecarrée, contre carré;
De sa femme qui se suicida pour rejoindre Jean Racine;
Dont la racine se déracine;
Et dont à l'origine, le professeur Choron fit une tête au carré
A tout ce qui lui semblait légitime;
Pour régler ses comptes avec en lignes de mire;
Une ligne jaune qu'il franchit en déportant un cachemire,
Car il aima que les choses se déciment et s'enveniment;
Avec dextérité et désinvolture;
Dont ce fut sa profonde nature
De vieux désabusé et déchanté,
Comme son enfance et sa vie
Furent du cyanure
Pour lui,
Allant jusqu'à souvent franchir les interdits;
Tellement tabous dans ce monde de fous,
Et dont il s'en affranchit;
Qu'il franchit
Tout le temps en déchiffrant le code même mis sous verrous;
Et dont avec sa folie des grandeurs;
Il fit la folie des grondeurs;
En lui de Funeste;
Un modèle de satire indigeste,
Car comme pour le reste;
On ne lui fit guère confiance; il ne lâcha du leste
Dans son humour grinçant,
Décapant et percutant,
A un tel point qu'il rechargea ses batteries exportables;
En mettant tout sur la table ineffable
Qu'il fallut aller chercher en autoportraits à charge,
Car maintenant où il est est, de toute manière, il s'en décharge,
Où pour la décharge, des charges,
Autant prendre le large
En marge,
Avec le Professeur Chaudron qui prit le professeur Choron
A part pour lui faire la leçon,
Lui donner des leçons;
Et pour terminer de le jeter à l'hameçon
A cause de ses péchés,
Dont il s'en fit en n'importe quel toupet !
Un lâcheur de pet, loin d'avoir du respect;
Dont le professeur Chaudron
Servit, asservit la soupe au Professeur Choron,
Dont lui, le professeur Choron
Desservit la soupe au Professeur Chaudron;
Avec des potirons pour le professeur Chaudron;
Et des p'tits ronds pour le professeur Choron,
Car bienvenue au bal des cons
Du professeur Choron,
Dont on retiendra comme leçons
Qu'il fut un professeur à deux balles;
Enfant de la déballe, qu'on emballe
Et qu'on déballe dans un gilet;
Sans gilets pare-balles dans la cabale,
Dont on referme le bal;
Sans filet.
Jérôme de Mars
Salon de tes cafés, thé café !
Salon de thé,
Pour faire salon
De tes cafés, thé café !
De conversation;
Il y a la réunion
Au salon
De tes cafés, thé café !
Avec tes thés;
Pour téter
Le vaccin du BCG,
Car quand t'es majeur,
T'es vacciné !
Plus comme un bébé mineur;
Mais dans une vie d'adulte,
Où tu exultes
En BCBG,
Dont tu n'es plus un bébé
Mais comme BB,
A boire le café
Dans ton salon de thé;
Pour faire salon
De tes cafés, thé café !
En formes de discussions
Conformes et pour y aller à reculons;
Car nous avançons
Sans prendre de recul
Au salon de tes cafés, thé café !
Car le café, ce n'est
Pas ta tasse de thé !
Mais le salon de thé,
De tes thés;
Pour téter athée, à thé,
Une formule,
Où tu fais salon
De tes cafés, thé café !
Si nous saluons et salons
Des salons; et que nous dessalons
Des salons,
En prenant des savons;
Et si nous savons
Que le seul moment;
De respirer l'arôme
De tes cafés, thé café,
C'est en faisant
Salon en binôme;
Alors profitons-en !
Pour siroter insouciants
L'instantané du salon
De tes cafés, thé café !
Car c'est en faisant salon
De causettes,
Avec des sucrettes;
Que nous remplissons
Nos missions;
De discussions
Avec du café,
Car le café, ce n'est
Pas ta tasse de thé !
Athée, au salon
De thé café, tes cafés !
Pour faire salon
De thé,
Au salon de tes cafés, thé café !
Jérôme de Mars
Pardonne comme à chaque saison !
A l'horizon,
Au tout début de la chanson
En préambule;
Sors de ta bulle !
Et féconde en injonction !
La réconciliation avec une rémission,
Car pardonne à chaque saison !
Et fais en sorte qu'il y ait une résurrection !
Du monde des morts;
Où il vaut mieux avoir des remords,
Que des regrets,
Pour que tu reviennes vivant et en paix
Parmi tes semblables avec des illuminations;
Qui seront légion;
Avec une réunion
D'amis, pour que tu reprennes goût
A la vie avec du bagout, bas goût,
Où tu renoueras avec la passion
De la vie sans fausse illusions;
Mais avec des effusions,
Où plus tu auras de l'affection
Pour tes amis
Et ta famille,
Plus tu y croiras à l'oraison;
Que la prière
Vaut largement mieux que la colère,
Car pardonne à chaque saison !
En assaisonnant les salades
Avec de belles et longues promenades;
Et en cultivant de l'amour
Qui rime avec des mots de troubadours;
Pour oublier tes lourds sacrifices
D'un passé sans gloire avec des artifices,
Où plus tu profiteras des armistices
Pour passer du bon temps;
Et plus tu rigoleras comme avant
En effaçant tes cicatrices;
Et en érigeant pour édifice;
Que les soucis, c'est derrière toi
En allant de l'avant plein d'allant,
Où tu avanceras à grands pas
Vers la résilience;
Avec pour point de convergences
Des compromis;
Avec tes frères amis
Et ta famille pour être en bonne compagnie;
Et ainsi, aimer l'existence,
Dont pour demeurer au summum
D'une cure de jouvence;
Il te restera en ultimatum
Un minimum de temps imparti;
Avec au final une répartie,
Où tout sera reparti dans la réincarnation
D'une vie; d'où tu rebondiras
Et où tu brilleras comme autrefois,
Car souviens-toi !
Que pour retrouver l'éclat
D'écouter une fin de chanson
Dans une ambiance paisible;
Fais ton possible d'être flexible !
Et pardonne extensible
Au maximum
A chaque saison !
Jérôme de Mars
Blague :
Que fait un homme à sa femme qui s'appelle Mouss ?
- Il mousse Line en crachant la purée !
Jérôme de Mars
Perds ces vers, persévère !
En père Noël de la tristesse;
J'aurai besoin de la mère Noël en allégresse
Pour le soir de la messe,
Avoir tantôt meilleur un cœur en oxygène;
Qui soit sans gènes
Héréditaires pour insuffler de la liesse,
Où je me dis à moi-même,
Face à mes graves problèmes
Du requiem,
De ma mère
A celui de mon grand-père;
Perds ces vers, persévère !
Car le pervers
Qui sommeille en toi, se perd vers
Le père vers;
De ma poésie sans frontière;
Et en très grande colère
Sur La Terre
De mes ancêtres;
A voir renaître
Le mal-être,
Dans un par-être;
Qu'on envoie paître
A jeter l'argent content par les fenêtres,
Où je chante de mes malheurs;
Quelques regrets d'avoir éperdu l'âme sœur
Avec ma consœur,
Dont je suis le con frère, le confrère;
En maître absolu de mon destin;
Qui sent le manque Sacristain,
Où y a en moi malgré quelques bémols;
Quelques gestes tendres de paroles
Dans ces vers,
Qui peut-être
Prédisent un bon Samaritain,
Dont on peut être le copain
En bon Chrétien,
D'où Jérôme, je t'ordonne
Et je te sermonne,
Jette le désarroi de ta couronne !
Et fais que ta vie jalonne
Dans les parois, d'où tu perds ces vers,
Car enfin, tu persévères !
Jérôme de Mars
Tout et son contraire
Avec vue sur la mer,
Y a des bévues sur la mère !
Amère et ah Maire !
Tout et son contraire
De chercher un père,
Et d'avoir impair;
En repères
Dans son repaire,
Tout et son contraire
De trouver le temps long,
Les temps, l'étang longs;
Etalon très à cheval et talons;
En états longs, en et tas longs;
Au cours, au long cours,
Au concours, au con cours
Dans un recours, encours,
En cours d'un vol au long court,
Tout et son contraire
Quand le bonheur est auprès,
Quand le bonheur est prêt,
Et quand le bonheur est dans le pré,
Exprès, ex prêt, ex pré,
Tout et son contraire
Au cours du long des saisons,
Quand l'hiver fut divers, varié;
Et a varié, avarié, empreint tant,
En printemps, qu'était l'été;
Avant monotone de revenir à mon automne,
Tout et son contraire
De chanter avec Georges Brassens
Sur les bancs publics;
Pour publier les bans pudiques
De son mariage en union libre,
Tout et son contraire
Si je suis sans dessus dessous,
Si j'essuie cents déçus, deux sous,
Tout et son contraire
Sur la Terre délétère, à terre,
A taire l'éther,
Les terres à six pieds
Sous terre austère
Jusqu'à Fred Astaire,
Tout et son contraire
Sens contraire sans contraire;
De tout en atout de joli fourre-tout;
En jouant son va-tout, où va tout
Tout et son contraire
Quand par mes gardes sots,
Je suis le garde des Seaux,
Où ça me regarde sursaut
Au Sceau des chiennes de Garde,
Tout et son contraire
Quand les vils
Sont dans les villes de solitude,
Tout et son contraire
De ce que veulent en remous;
Les gens veules et mous,
Où de nous à vous;
Tout se dénoue et se dévoue,
Quand on renoue et qu'on se voue;
Tout et son contraire
Auparavant, au paravent,
Car par avant ! Oh par avent !
Serge me demanda, te sers-je un ver
De l'amitié ou de contact ?
Avec pour revers, soit des vers solitaires
Ou solidaires ?
Où pour terminer ces hauts vers,
Je mets ces ovaires,
Quand l'eau perd ses vers, persévère;
Tout et son contraire
Avec pour fil conducteur,
Un fil à couper le labeur,
Qui perd le fil du beurre,
Car tout ne tient qu'à un fil
Où la note salée défile des fils
Qui défilent, qui enfilent et qui refilent
Le fil statique, avec pour effet statistique
L'effet domino jusqu'à la fée Domino de Renaud,
Où en auto, j'en fais mon loto, en haut taux
Satisfaction, là où de la mer,
Y aurait eu des belles vues sur l'amère !
Déjà qu'il y aura eu des bévues sur la mère,
Quand Charles Trenet avec mon grand-père
Charles, qui traînait
Sur l'océan Pacifique à chercher en pacifique,
Un océan de tendresse avec pour repère,
D'où qu'il est dans son repaire en ayant pour un père,
Impair,
Tout et son contraire.
Jérôme de Mars
Rami de l'atelier !
Comme La Fondation Des Amis De L'atelier a une façade de bâtiment qui a l'air solide, mais qu'en vérité, la construction de L'ESAT est une façade bancale comme la direction de L'ESAT, et que toute la fondation du bâtiment est à revoir, et ben ! Madame Manoiline-Proïa, la directrice de L'ESAT a décidé que pour faire des économies, vu que les temps sont durs, de fusionner tous les ateliers en un seul, le conditionnement, comme tout le monde à l'ESAT est conditionné au pire et que tout le monde se maltraite et se sous-traite ! Ainsi, les 140 agents de l'ESAT et également tous les moniteurs seront réunis tous ensemble pour le pire et le meilleur au sein du conditionnement, dont le seul travail de L'ESAT sera dorénavant DUGAS avec Rami, l'employé de Dugas qui traitera lui-même les contrats avec Eric, le moniteur responsable du conditionnement car Dugas rapporte tellement à L'ESAT, que dorénavant, on ne parlera plus que d'argent à L'ESAT et pas d'autre chose car la seule chose qui intéresse L'ESAT est le profit avec pour slogan célèbre :
Le silence est d'or, la parole est d'argent !
- Eric, un moniteur : " - Allez ! Les Loulous ! Le camion de Dugas est arrivé, on a 40 palettes à faire pour demain, appelez-moi ce feignant et ce tire-au-flanc de Jérôme pour vous aider à monter les palettes !
- Kemais, un moniteur : - Mais Eric, Jérôme est en arrêt, il est pas là ! ?
- Eric, un moniteur : - Encore, alors appelez-moi Charlotte !
- Christophe, un moniteur : - Pareil, Charlotte n'est pas là, elle est partie à la retraite !
- Eric, un moniteur : - Mais putain ! c'est pas possible, on est conditionnés au pire ! Charlotte est partie en retraite et Jérôme débat en retraite !
- Christophe, un moniteur : - Eric, tu pourrais ajouter aussi que L'ESAT de Vitry est au rat des pâquerettes !
- Eric, un moniteur : - Ah oui ! Tu n'as pas tort là-dessus ! Et moi, j'en ai rat la casquette !
- Sandrine, un agent : - Et puis on est conditionnés au pire dans cet atelier de Rami de L'atelier, en plus à L'ESAT, tout le monde se maltraite et se sous-traite ! La preuve, l'autre fois au conditionnement, y a eu un rat par terre car quand Eric, le chat n'est pas là, Jérôme sourit en contre dense et sort les griffes !
- Eric, un moniteur : - Le téléphone sonne : Dring, dring : Allo Rami de l'atelier, il faut que tu nous ramènes plutôt 60 palettes au lieu de 40 pour demain car là question finances, on est dans le rouge !
- Rami, l'employé de Dugas : - Mais c'est normal mon cher ami, si tu es dans le rouge, la preuve que tu ne fais pas ça en vain le 20 de chaque mois au moment où arrive la paye, Eric et puis si ton ESAT est dans le rouge et que tu vois rouge, il faut que tu prennes de la bouteille en faisant travailler tes agents en les mettant en boîte, comme cela, ils travailleront vite pour pas cher et ainsi, ça rapportera plus à L'ESAT surtout à la direction qui trinquera, à la santé de ses agents qui vont trinquer de leur santé, pour une moindre qualité prix pas chère, et de ce fait, tu ne seras plus dans le rouge question pépètes, mais en devin rouge de la rentabilité, où tu ne verras plus jamais rouge, car tu auras soûlé tes agents avec ce travail !
- Eric, un moniteur : - Et pour te remercier de cet unique travail que tu confies à notre ESAT, je te donnerais en prime d'activité 50 % de commissions des bénéfices et en commission, les agents auront droit à une prime d'inactivité de commissions de 0,001 % des recettes de Dugas !
- Christophe, un moniteur : - En plus dans tout cela ! La chef de service de L'ESAT ne veut plus que les agents aillent voir aïe l'assistante sociale car selon elle, ils sont autonomes !
- Eric, un moniteur : - Oui mon cher Christophe, cher Rami de l'atelier, car on n'est jamais mieux que desservis que par soi-même !
- Rami, l'employé de Dugas : - Et pour te remercier de m'octroyer 10% des bénéfices, qui serviront en pots de vins pour la directrice de L'ESAT, je te fais chevalier divin de Dugas !
- Eric, un moniteur : - Oh ! La vache, ce sont des beaux vins oh ! Rami de l'atelier ! "
Jérôme de Mars
Y a pas des kilomètres !
Prise de distance
Avec les gens;
Selon l'importance
Qu'il y a un pavé
Dans le torrent,
Y a pas des kilomètres !
D'ici là à ce qu'on soit reconfinés
Dans le désordre altéré
De mon cerveau ensuqué;
Où je ne serai plus maître
De rester chez moi;
Dans le froid
Et l'inconfort,
Où je m'endors
Sur mes lauriers,
Et je vais à tribord
Pas loin, d'où je chavire
Et je me déchire;
Si je dérive de bord
Aux rebords de raviver
Le tensiomètre,
Où y a pas des kilomètres !
A ce que bientôt je vous quitte
Dans un suicide assisté
Et requalifié
Dans un burn out;
Dans un quitte
Ou double complètement août,
Où je ne serai plus jamais maître
De mon destin mais un par être
Qu'on envoie paître;
A me jeter en argent comptant
Par les fenêtres
De mon hêtre,
Où y a tellement de kilomètres !
A remonter à la racine
Et aux origines;
De pourquoi je suis toujours bougon
Aux troncs
D'un arbre déraciné
Et expatrié,
Là-haut perché
Et transpercé !
Par un coup de poignard
Dans le dos en dépotoir,
Où je suis près du mouroir
De toutes ces histoires,
Qui risquent de mal finir;
A en croupir
Dans une prison
Dorée et mal adorée,
Dont le blason
Est à redorer
Dans une armure;
De façade de dur
A cuire, avec pour cela
Après les abois,
V'là sans doute !
En banqueroute
Une déroute,
Pour jeter en argent comptant
Par la fenêtre,
Mon être en traître;
Ainsi que mes tourments;
A plus de si maître !
Où là y aura plus du tout de kilomètres !
Jérôme de Mars
La danse des cagnards
Saudade de ce titre étendard
Dans un international standard;
Après la danse des canards;
Voici à contre danse;
La danse des cagnards;
Pour voir si on est dans l'air du temps
A bouger par les mouvements;
Sans faux mouvements
Son corps;
Et ses anticorps
Pour faire tendance;
Et voir si la danse des cagnards
Explose avec accoutumance
Dans le starting-block;
En faisant bloc sans troc,
Sans baisser son froc,
Et si elle provoque un engouement
Aussi populaire que la danse des canards;
Version transe
De la danse des cagnards;
En intemporels tubes phares,
Dont pour rester dans l'air du temps;
Il faut rivaliser d'imaginations dans un déferlement,
Au nirvana du Panthéon de la danse des cagnards;
En donnant rendez-vous au soleil hagard;
Ici bon chic bazar;
Par le plus grand des hasards;
Avec un concert de programmé au hangar,
Car après avoir écouté en réversion transe
La danse des canards;
C'est l'occasion d'entendre à contre danse
Et en inversion intense;
La danse des cagnards.
Jérôme de Mars
Désaxés, des accès
Malaxés, mal axés,
On a désaxé,
Si on a des accès,
Qu'on a des abcès,
Qu'on en a assez,
Si on en a abcès,
D'avoir excès
En désaxés, des accès,
Où ce n'est ni la panacée,
Ni le panaché
D'avoir malaxé
Mal axé,
Ce à quoi on a accès,
Si on a désaxé,
Qu'on a des accès
D'avoir assez,
Et d'en avoir abcès
Des excès,
Si on a désaxé
Des accès,
Après malaxé,
Mal axés
La panacée,
Dans un panaché,
En désaxés,
Des accès.
Jérôme de Mars
En toute amitié, toutes mes amitiés
Pour partager le temps d'une soirée
D'innombrables agréables moments en continu;
Je vous transmets en toutes amitié, toutes mes amitiés
Dans la fraternité et la réciprocité,
Après une soirée bien arrosée
A avoir bu de belles paroles dans un raffut,
Où l'on fut content et satisfait de se retrouver
Eméchés dans l'ivresse, et de profiter
D'une délicieuse bière rousse;
En la sirotant la rousse sans qu'elle s'émousse;
Pour définir le mot sincérité et probité,
Sans qu'on nous mousse
D'avoir dénoncé dans la cambrousse des vérités;
En ayant réalisé nos souhaits d'être toujours liés;
Et alliés par des sentiments enjoués, distingués,
Raffinés et mis en valeurs par efficacité;
Pour partager le temps d'une nuitée, quelques annuités,
Où je vous transmets en toute amitié, toutes mes amitiés
Dans le respect de la bonté et dans la beauté de la paix;
Pour vous prouver ce que dans le passé, on a pu éprouver;
Et que ce fut quelquefois des regrets de nos erreurs contrariés,
Ou perturbés par nos excès, qui furent désaxés, des accès;
En ayant abcès d'en avoir assez, et dont pour pardonner
Et s'excuser d'avoir commis trop de fautes qui vous ont perturbé,
Il faut sans cesser faire preuve de loyauté et d'intégrité;
Pour avouer ses erreurs qui furent des passages avides, décriés
Et controversés, et dont on n'aurait dû avoir la langue bien pendue
Dans une vie, qu'on croyait résolue mais qui au final fut dissolue;
Et corrompue dans des choses interminables et insoutenables;
Pour montrer de quoi on est capables,
Où pour mériter vos affinités
Sans vanités et insanités;
Je vous transmets en toute amitié, toutes mes amitiés.
Jérôme de Mars
Un monde sans artifice
Feu,
C'est un 14 juillet
Qui part en fumée,
Avec un monde sans artifice
Et sans feux d'artifices,
Avec pour armistice
Un cessez-le-feu,
Pour un tantinet
Etre un tout petit peu
En paix,
Et qu'il fasse beau
Dans ce monde en lambeaux,
Et qu'une armistice
Adoucit les supplices,
Avec malice
Et délice,
Pourvu que ce soit lisse
Avec des lisses
En ayant dans les coulisses,
Un monde qui glisse
Vers un monde sans artifice,
Comme ce 14 juillet
Part en fumée,
Avec solennité
Et gravité,
Où pour être en paix,
Autant vivre
Dans un centre de gravité,
Pour qu'on s'enivre
A prendre tout à la légère
Dans un monde bienheureux,
Fameux et joyeux,
Avec des amis précieux et sérieux
Et des membres de la famille fabuleux,
Afin que la douceur
Efface les peurs
Ephémères et héréditaires,
Car autant être en paix,
Avec ce 14 juillet
Qui part en fumée,
En fumant le calumet de la paix,
Avec pour édifice
Un monde sans artifice.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait un 14 juillet qui part en fumée ?
- Un monde sans artifices
Jérôme de Mars
Pas de quartier pour le 14 juillet !
Avant d'être complètement août,
Liberté, égalité et fraternité !
En ce 14 juillet très particulier
Pour les particuliers,
Où c'est surtout dictature, légalité et individualité !
Qui est toujours et de plus en plus d'actualité
Dans ces jours très difficiles,
Où plus rien ne semble facile
Et où tout vacille
Dans la faucille !
Avant d'être atomisés de nouveau
Par le virus qui rebondit dans le chaos,
Et que par être, on finisse par être en burn out,
Car pas de quartier pour le 14 juillet !
Soi-disant pour rassembler Les Français;
Alors que le reste du temps, c'est chacun pour soi !
Pendant des mois sans joie et foi,
Où on déploie des trésors de militaires
Le 14 juillet pour nous faire croire à la guerre;
Tandis qu'on déploie une multitude d'avions
En rafale avec des rafales; qui veulent que les signaux
Soient orange, voire rouge et qui voient rouge,
Dont je mets aux vers originaux;
L'état de la patrie et de La France en ce 14 juillet
De toutes les singularités d'années en matières d'inégalités,
Où l'on veut nous démontrer qu'on fait la guerre
Au virus; par des moyens de Martin-Guerre depuis naguère
Dans le tout Paris; à l'avenue des Champs-dévalisés car bienvenue
Et advenue dans la plus belle avenue revenue, survenue et prévenue,
Où l'on fait arriver médisant, arrogant et feignant un monde imaginaire et salutaire;
Mais tellement plus réfractaire, libertaire et contestataire que débonnaire
A l'ordinaire terre-à-terre,
En l'occurrence
Et en concurrence
Présumé solidaire;
Parce-que sur Terre,
On naît dans un monde qu'on féconde délétère et austère en solitaire,
Car pas de quartier pour le 14 juillet !
Où l'on convoque des hommes simulant pour faire la guerre
En portant et en déportant la lourde croix de guerre;
Qu'on invoque sans blancs et sans couleurs nécessaire;
Quand on révoque les bonhommes légendaires
De l'époque d'avant, pour faire semblant
Que le monde change
Et s'arrange,
Alors qu'il ne fait que passer du vers à l'orange,
Voire rouge et qui voit rouge;
Avec tout ce qui bouge
Dans du surplace;
Avec le monde de la finance
Qui fracasse et tracasse
Ce monde qui part en lambeaux
Et en mille morceaux;
Avec sans arrêt comme prétexte la résurgence,
Tandis qu'il y a urgence
A réparer l'état
Des dégâts, des gars !
Car en vérité, ce n'est ni une guerre nucléaire,
Ni militaire qu'il faut faire mais bien une guerre sanitaire,
Dont il faut poser les avions
Et les mettre en mode avions dans les environs,
Car avec cette singularité pour cette année;
Pas de quartier pour le 14 juillet !
Jérôme de Mars
Les fleurs feront-elle une fleur et enverront-elles des fleurs ?
Petite fleur que bêchait Sydney !
Pas en Australie à Sydney ;
Mais en harmonie
Dans tous ses états unis;
Avec pour partenaire;
Le parterre
De la collectivité,
Qui entonne en chœur
Les fleurs feront-elles une fleur ?
Et enverront-elles des fleurs ?
Qu'elles aiguisent
A leur guise;
Pour un monde meilleur;
Conçu et aguicheur,
En rallumant le bouquet
Du muguet du 1er mai;
Avec des fleurs qui s'enchaînent
Et si à la chaîne;
Les fleurs feront-elles une fleur
Et enverront-elles des fleurs ?
Sur le chêne,
Qui appuie sur le bouton
De l'écran des fleurs
De la télé lors de ses bonnes heures;
Avec pour message fédérateur
Et dicton en écusson;
Réunissez-vous acteurs !
Pour être dans le collimateur
Des fleurs devant l'écran réconciliateur;
Autour des amateurs
Friands de grandes couleurs,
Pour en mettre plein les yeux
De l'iris de vos fleurs en amoureux;
En se souvenant des œillets d'hier;
Et aujourd'hui avec des œillets vers
Les œillères; à la frontière
De votre imaginaire linéaire;
Le jour où pour vous, ce sera le bouquet !
De Michel à Carole Bouquet
Au banquet du bouquet du muguet
Du 1er mai;
Avec pour fil conducteur
La petite fleur de Sydney,
Qui ne bêchait pas à Sydney;
Mais dans une riche communauté,
Qui défriche d'amitié et d'humanité;
En ayant pour lien de dense fraîcheur
Des affinités avec les fleurs;
Et si jamais en chœur,
Les fleurs feront-elles une fleur ?
Et enverront-elles des fleurs ?
Jérôme de Mars
Des vers nus comme des vers
Qu'est-ce-que tu plantes là avec ta primevère ?
Et à quoi ça rime si tu n'es pas Jacques Prévert ?
Sauf que là, tu fais des prêts vers !
Avec des vers nus comme des vers;
Dont un ver nu égal un revers qui tombe des nus;
Ingénus et fourbus;
Dont deux vers égaux comme deux vers,
Avec le vers de Patrick Dewaere, le revers
De la médaille avec des vers nus comme des vers,
Dont on s'en sert pour boire des paroles écrites;
Et décrites par cette poésie manuscrite;
Avec tous ces pré-vers
En herbe, qui se coupent l'herbe sous le pied;
A pied et à douze pieds dont on prend à contre épier;
Les vers qui se servent à boire de tous leurs déboires;
Avec beaucoup de désespoir dans leur réservoir,
Qui leur sert à écrire des vers nus comme des vers;
Du fruit de leurs revers; qui leur donnent de la matière;
Avec Serge qui me clame en réclame, te sers-je un ver ?
De contact ou de diplomate ?
Dont Serge m'épate en mettant la pain à l'appâte;
En terminant ces vers de cette manière grâce à Jacques Prévert,
Qui souffle mes vers sous l'influence de Guillaume Apollinaire
Et d'Arthur Rimbaud;
Qui m'arrachent les mots de mon cerveau en méli-mélo,
Dont en tombant des nus, on termine ces vers en les voyant à moitié pleins;
Et à moitié vides cons plaints;
Après vous avoir servi des vers,
D'autant qu'avant largement, on vous a desservi des revers;
Dont un ver a servi
Et un revers asservi
De rimes à ces poésies sans frontières;
En trinquant à ta santé linéaire ou imaginaire,
Que nous achevons libertaires
Et contestataires;
Avec pour vertus, des vers tus
De vers nus,
Comme des vers absolus
Et éperdus,
Dont les vers sont signés Jacques Pré-vers
Et les revers consignés Jacques Prêts vers
Vers le fond de ta chaumière,
Où pour y voir de la lumière;
Reste à des années-lumière
Du déclin de l'univers,
Pour y voir toujours clair, en clair
Et au clair des vers nus,
Comme des vers tus, vice
Des vertus de ta vertu
En lice.
Jérôme de Mars
Je voudrais mourir sur Seine
Comme dans un essaim d'abeilles,
Je glisse d'un dessein tout mon fiel;
Qui s'agglutine avec du miel
Dans un soleil dardé d'étincelles;
Et bardé sur scène;
Là où je voudrais mourir sur Seine,
Comme la vie n'est un long fleuve tranquille;
Mais un long requiem vers l'ennui
Que je traîne comme un boulet dans la ville,
Comme Samson et Dalila
Dans cette chanson hommage à Dalida;
Dommages collatéraux;
Avec le désarroi mage dans le rétro
A base de tempo,
Pour faire passer en mode sanglots
Tous ces trémolos
Dans la voix qui me laissent sans voix;
Avec ma croix
Que je porte comme un œdème,
Où je n'aime
La vie,
Car je la parsème vers l'agonie,
En vers mi-longs, mi salés
Dans une note salée de lentilles;
Sans vers de contacts,
Où je manque de tact
Dans ma note saccadée qui dérive vers l'abcès,
Où je voudrais mourir sur Seine;
Obscène sur la scène, que j'assène
De toute ma haine,
A chaque fin de semaine
Dans l'usufruit de ma rengaine,
Comme la vie n'est un long fleuve tranquille;
Mais un fleuve qui me transporte nu
Comme un ver,
Et qui me retombe déçu
Dans les revers
De la ville qui part en vrille;
Et qui brille d'ignorance
Dans la loi du silence,
Comme Samson et Dalila
Dans cette chanson hommage à Dalida;
Chronophage qui prend naufrage
Sur le rivage, dans un virage
Droit à sang à l'heure
Dans cet échafaudage,
Ayant pour adage,
Qu'avant d'être hors-d'usage,
Il est l'heure
Que je meurs sur Seine,
Sur scène
En éteignant les projecteurs,
Comme Samson et Dalila
Dans cette chanson hommage à Dalida,
Dont ce n'est plus la joie
Depuis des mois,
Car la vie n'a jamais été
Un long fleuve tranquille
Dans la ville,
Et dans la saga cité,
Puisque pour terminer à temps ma scène à Vitry Sur Seine,
Il est temps que je meurs sur Seine.
Jérôme de Mars
En somme
En somme
Dans La Somme
On nous assomme
Et nous somme
Que nous sommes
La somme
Qu'on consomme
En somme
Dans La Somme
Dont on somme
Que nous sommes
La somme
Dont on nous assomme
Et nous somme
La Somme
Dans La Somme
Dont on consomme
La somme
Qu'on somme
Que nous sommes
Dans La Somme
En somme.
Jérôme de Mars
Dans quel état sommes-nous ?
Lésés tas unis, dans quel état sommes-nous ? Comme Vitry Sur Seine qui reste communiste, mais change de maire à la suite d'un putsch, dont Jean-Claude Kennedy cède sa place en surplace à Pierre Bell-Lloch, en totale anti-démocratie dans un état désuni, depuis qu'il n'y a plus Jean-Claude Kennedy, où l'on ne sait si on est dans un état de droit ou un et tas mâle adroit, mais dont bien sûr on n'est au centre droit comme Emmanuel Macron, d'où je dédie en démarche, dans quel état sommes-nous ? A part dire de pis en pis, oh ! La vache enragée ! Avec le jeu de la roulette Russe, comme on est dans un état communiste, qui voit rouge dans la première ville de la banlieue rouge du Val-de-Marne, où au temps par les temps qui courent, faire abstention à tout ! Car dans la vie, on doit déjà faire abstention à tout ! Dans quel état sommes-nous ? A part dire dans un état de guerre, comme tout fout le camp déconcentration, avec la décentralisation, d'un état désuni, où il n'y a plus de droit mais que des gens mâles adroits dans ce conseil municipal, car conseil d'ami ! Vitry-Sur Seine est dans un état désuni sans Jean-Claude Kennedy, dont autant voter nul, car nul n'est censé ignorer la loi ! Comme on dit ! Par cette lettre qui restera de toute manière lettre morte ! En faisant découler beaucoup d'encre, dont j'y laisse de ma plume une quelconque désinvolture, de vieux désabusé aigri et ah maire ! Dont autant brûler les votes de l'urne et les descendre dans l'une funéraire ! Feu ! La démocratie brûlée vive ! Dans la technocratie et la bureaucratie, dont on nous assomme et nous somme que nous sommes dans un état très mâle adroit !
Jérôme de Mars
L'arbre cache-t-il la forêt ?
Point noir
De la vierge forêt;
Dont l'arbre cache-t-il la forêt ?
Noire depuis la préhistoire
Ou jouissant de la volupté,
En un exquis exutoire;
Entre les dualités,
Qui signent et consignent la musicalité;
Dont l'arbre cache-t-il la forêt ?
Et si c'est sans vergogne
Ou avec rogne;
Que les arbres envoient des fleurs
A l'arborescence; qui fait une fleur
A Sidney Bechet; qui bêchait
Le jardin secret; qui cultive la paix,
Entre la bataille des rosiers
Et des oliviers,
Avec les eaux, les os
Usées des roseaux, des roses os;
Dont l'arbre cache-t-il la forêt ?
Et s'il le fait avec dévouement;
Et s'il guette l'assentiment,
Qui envoient sur les roses;
La forêt vierge à cause de la sinistrose,
Qui arrose et irrigue le pot aux roses,
Le poto rose avec une osmose,
Entre des incartades et des cierges,
Si jamais la forêt vierge
Est complice et torride, et si elle est
Plantée là comme un arbre, si c'est
L'arbre docile ou volatile,
Qui vola-t-il,
Vers la forêt noire,
Avec pour point de purgatoire;
Des bris de couloirs
Au parloir;
Habile et volubile,
Dont l'arbre cache-t-il
Si bien que ça la forêt ?
Jérôme de Mars
Vers d'éther
Comme un poète solitaire,
Je pars dans une route solidaire,
Ecologiste et réaliste
Dans ma facette d'artiste,
Lucide avec mes revers,
Où pour marcher imaginaire;
Avec des vers de terre
Sur la Terre,
J'écris des vers d'éther
Pour soigner ma colère,
Qui me cause des points de sature
Et d'ossature
Sur la planète Terre;
Loin de ce que j'avais rêver,
Où j'aurai préféré vivre
Dans un monde davantage enchanté;
Avec un livre
Ouvert et populaire empêtré dans de la ferveur
Et du bonheur,
Où il n'y aurait plus de fureur
Et de peurs,
Ainsi que des côtés austères
Sur la Terre,
Qui aurait bien besoin
D'un inventaire,
Car il y a un déclin
Pas loin d'un tonnerre,
Qui pourrait envoyer le système solaire
Sur une civière,
Alors que pour éviter cela
A nos congénères,
Autant y puiser des éclats;
Avec des effusions de fois
Et de joies
Dans un hip hip hip hourra,
Pour rendre le monde meilleur
Sur La Terre,
Pour qu'elle brille comme autrefois;
Et qu'on y édifie un lieu de poésie,
Sans frontières
De vers salutaires,
Avec un rassemblement d'ardeur;
Pour avoir de la fierté et de la chaleur
Humaine sur La Terre;
Chaque semaine
Et pour y semer de petites graines
De folies,
Qui y amènent une génération volontaire
Sur La Terre,
Où enfin, pour y écrire des poèmes,
Je n'aurai plus le réflexe bohème
D'y mettre des vers d'éther;
Pour soigner mes problèmes d’œdème,
D'embollie pulmonaire,
De colère et de crises de nerfs;
Dans la ligne marginaux
Et d'emphysème,
Qui me font respirer un très mauvais mal
De Terre délétère sur La Terre;
En étant six pieds sous terre
Dans des pêchés à malignes,
Car pour y retourner à ma ligne bénigne;
Autant que je sois inspiré par des vers de Terre,
Qui me donnent un nouveau souffle de vers,
Débonnaire avec des bons airs
D'embellie pulmonaire;
Avec pour points de suture,
Un point final
A la ligne Maginot.
Jérôme de Mars
Pierre, Paul, Jacques
Pierre est payé au lance-pierre, pendant que Paul est au pôle Sud sans perdre le Nord, alors que Jacques est renfermé dans sa coquille Saint-Jacques, tandis que s'il y avait un pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle, cela permettrait à Pierre de ne pas rouler mais de fouler le sol, car qui pierre qui roule n'amasse pas mousse ! Mais si jamais Jacques arrive à sortir de sa coquille Saint-Jacques grâce à Saint-Jacques-de-Compostelle, ainsi Pierre mettra la dernière pierre à l'édifice et Jacques adhérera en marche à Saint-Jacques-de-Compostelle, dont également grâce à ce pèlerinage, Paul qui sera en pôle position, surgira en excès de grande vitesse à Saint-Jacques-de-Compostelle, en marche de ce pèlerinage avec Pierre, Paul, Jacques.
Jérôme de Mars
Le désarroi feignant
Par roi, paroi, pas roi
D'une autre fois,
Où je fus roi semblant;
Mais dont j'ai le désarroi feignant;
Feignant de faire croire
Que pendant ce temps,
Louis Dore,
Alors qu'indolore,
Je ne fais qu'attendre le mouroir
Avec mon Louis D'Or,
Dont j'ai le désarroi feignant;
Paroi, par roi, pas roi
D'il était une courroie;
Qui tenait la reine,
Alors qu'avec le désarroi feignant;
Je fais semblant
D'être roi,
Car occupé à tenir la courroie;
Qui me foudroie
Avec la paroi, par roi, pas roi,
Pourvu que mon désarroi soit néant
Et feignant
De faire semblant,
Pour qu'à chaque fin de semaine;
Je passe du roi feignant;
Semblant et feignant
Le désarroi feignant.
Jérôme de Mars
Si cette fois-ci, je ne fais pas un slam, ce ne sera pas un drame !
Dans ce mélodrame;
Qu'est-ce-que tu trames
Jérôme, en tant que quidam ?
Et quel est ton programme
Avec ton hologramme ?
Où tu ne pèses tes mots en grammes;
Bas de gammes !
Et oh ! De gammes !
Comme enfin, je vous réponds polygame
Que j'aime bien faire du slam bigame !
A plusieurs avec des dames,
Dont je dame
Les femmes;
En jeu de dames,
Car si cette fois-ci, je ne fais pas un slam,
Ce ne sera pas un drame !
Vu ce qui se trame
Sur tout Le Paris Paname;
Padam pas dame !
Où ça rame
Ok sur la rame !
Avec tout ce ramdam;
Sur le boulevard en lames
De rasoirs infâmes,
Où si cette fois-ci, je ne fais pas un slam,
Ce ne sera pas un drame !
Car vu ce qui se trame
Ca peut faire un monogame;
Avec un seul en scène en hologramme,
Dont il y a beaucoup de grammes;
A porter sur une vie de tant de drames;
Edulcorée en mélodrame,
Où manquent des femmes !
Dans un jeu de dames
Avec au programme,
De quelconques drames
A Amsterdam,
Dans un joli mélodrame;
Avec un tram;
Vu ce qui se trame
Sur la rame,
Quand partout ça rame !
Et que grâce au pictogramme,
Je prends à cœur tout le programme !
En y mettant tout mon cœur en grammes;
Et en apprenant par cœur l'électrocardiogramme,
Dont pour terminer le ramdam
De tout ce programme;
J'appuie sur aux vers gammes,
Car si cette fois-ci, je ne fais plus de slam,
C'est que ce sera juste un mélodrame !
Jérôme de Mars
Vos cas lisent !
Décas faits, des cafés,
Y a des cafés, des cas faits !
Où l'on reste sans voix !
A force de porter notre croix
Avec des vocalises;
Quand vos cas lisent
Et prédisent
Un avenir songeur;
En cas où il peut être meilleur,
Si c'est bon signe
De porter l'insigne;
Pour incarner le parfait gentleman
Qui mouille sa chemise,
Quand avec des vocalises;
Vos cas lisent
Qui du jingle émane;
Avec toute la volonté
Du monde qui grince divulgué;
De par les voix qui dévoient
En entendant d'un porte-voix;
Ce qui vole en éclats
En atterrissant dans de beaux draps,
Dont c'est la croix et la bannière
En y mettant l'art et la manière;
Avec des vocalises,
Quand vos cas lisent
Et prédisent
Leurs choix,
Quand ils en déduisent
Qu'ils ont trouvé leurs voix;
Avec pour uniques et seules
Choses promises;
Une remise
A la remise,
Où ce n'est que partie remise
Avec pour mise;
Des mises démises,
Après avoir déporté élégamment
Son deuil,
Mélancolique et seul sur son fauteuil
Avec des vocalises;
Pas gaies,
Qui pagaient,
Innocentes et déchantant
Placées sur écoute,
Et déplacées burn out;
Quand vos cas lisent !
Jérôme de Mars
Une âme d'enfant dans un corps d'adulte
Jeu d'enfant !
Ce ne fut un je d'enfant,
Cette vie d'enfant
Derrière les barreaux
Avec les bourreaux
Qui m'ont fait ça !
Et dont v'là le résultat !
Et bonjour ! Les dégâts !
D'une vie foutue en l'air,
Comme mon grand-père
Qui s'est éteint volontaire;
Avec une balle à bout pourtant
Dans la tête patibulaire,
Qui a mis le feu aux poudres;
Où tout le monde saupoudre
Pour faire croire à quelque chose
Genre malade imaginaire;
Dont les ecchymoses
Lui ont fait en découdre;
Avec ce qu'il n'arrivait à résoudre
Dans sa vie qui sentait le tumulte,
Comme moi avec une âme d'enfant
Dans un corps d'adulte;
Qui se croit petit,
Alors que petit à petit, il a hélas
De guerre et lasse,
Bien et mâle grandi
Dans le monde des grands;
Avec tout ce qu'il y a parfois de gentils
Et de méchants parmi les gens,
Où j'exulte;
Quand le pire exécute
Tous ceux qui ont fait que j'en subisse;
Autant et farouchement;
Et que j'en raidisse
Dans mon dernier testament;
Qu'ils le paieront tôt ou tard de leurs mauvais garnements
Et traitements,
Qui m'ont causé du tort à m'en pervertir désobligeant;
Tout en m'humiliant d'autant que passe le temps;
Avec pour prescription que tout s'efface patiemment,
Dont moi, le poète maudit
Avec mes mots dits, j'en déduis;
Par défaut
Qu'avec mes vieux travers,
Qui amplifient ma colère;
Que certains de mes ennemis
Furent comme des collabos,
Qui me balancèrent
Aux autres avec mon passé commando,
Dont naguère, je fus à fleur de peau;
De tout ce qu'on m'a fait dans le rétro avec la rétro,
Où j'en ai assez et tellement assez;
Que pour me rendre hard dans mon art;
J'écoute la fanfare et le tintamarre
D'ACDC, où j'ai d'assez d'essais avec tous ces décès,
En abécédaire;
A retracer ma vie sur une ligne austère,
Dont en traits de caractères,
Je dresse un portrait de moi délétère, dès l'éther, dès les terres,
Six pieds sous Terre;
Avec en fond de caractère de mon immonde déviant,
Que tout tombe à l'eau
Dans le chaos,
Où je bois de l'eau d'Evian;
Avec pour tumulte,
Une âme d'enfant
Dans un corps d'adulte.
Jérôme de Mars
Parle en ton nom ? !
Ce sont paroles contre paroles entre toutes ces personnes :
Jérôme : " - Bonjour Serge, est-ce-que ça t'a plu le resto d'hier soir ? "
Serge : " - Oui, ça m'a fait plaisir de te voir ainsi qu'Adel, pourquoi n'y avait-il pas Alexandre, Guillaume et Brigitte ? "
Jérôme : " - Parce-qu'ils n'étaient pas dans leurs assiettes, et vu qu'on est tous à découvert et à couteaux tirés, il faut prendre le temps d'y aller par le dos de la cuillère, pour être dans la bonne fourchette des prix, et ainsi qu'on ait des couverts d'assurés, pour restaurer le lien de confiance entre tous les amis conviés. "
Jean-Paul : " - Comment vas-tu Serge ? "
Serge : " - Je vais bien, Jean-Paul, hier soir j'ai dit à ton sujet au resto que j'ai un bon souvenir de toi, et que je me rappelle de tes talents de musicien, à jouer de ton synthé avec tes deux doigts ! "
Jean-Paul : " - C'est normal Serge ! Car c'est mon petit doigt qui me l'avait dit de jouer du synthé de cette manière ! "
Serge : " - Jean-Paul, grâce à mes leçons de solfège que je t'ai données, tu joues tellement bien du synthé que pour toi, la note n'est pas salée ! "
Jean-Paul : " - C'est normal Serge, car touche pas à mon poste ! "
Jérôme : " - Et aussi Jean-Paul, je pense que si tu joues avec brio du synthé, c'est grâce également au film : " La leçon de piano ! "
Jean-Paul : " - Mais Jéjé, c'est pas du cinéma, c'est vrai en partie que j'ai perfectionné mon art du piano et du synthé grâce à ce film ! "
Serge : " - Tu vois Jean-Paul, je fus l'acteur-clé de la découverte de ton talent ! "
Jean-Paul : " - Merci mon cher Serge de m'avoir donné le rôle de ma vie, et en plus, ce n'est pas du cinéma ! Et toi, Jérôme, arrête de te faire des films à croire parano, que tout le monde te veut du mal, en te disant pousse-toi ! Et en te repassant sans cesse les bobines de ta vie en contrebande ! "
Jérôme : " - Plus besoin de marcher sur mes plates bandes, car enfin, j'ai composé la bande originale de ma vie dont toi Serge, tu m'as aidé à écrire avec de vraies paroles le sens de ce qu'est une authentique bande de vrais amis dans la vie de ma vie, et dont c'est aussi grâce à toi Jean-Paul, car après les coups de pousse, place aux véritables coups de pouce dans la vie ! "
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait Edouard Philippe, le bras droit d'Emmanuel Macron qui démissionne ?
- Un gouvernement de bras cassés
Jérôme de Mars
Nous grillons les cigales
Une nuit à la belle étoile,
Sur la plage du rivage
Au sillage du village,
Nous grillons les cigales
Pendant que ceux qui ont la martingale
De la soirée du partage;
Creusent inégales
Les six gales;
De ceux qui ont la gale,
Lorsque les uns sont plutôt fourmis
Aux dépens des cigales,
Tandis que les autres sont tantôt cigales;
En faisant les économies
Des faiseurs d'éphémères racolages;
Dans des petits boulots de bricolages,
Qui font office de bibelots de cambriolages;
Avec pour adage;
De quelconques grillons,
Dont nous grillons les cigales;
Avec pour électrons libres des divagations;
Pour faire diversion;
Perchés sur le balcon;
Au son d'une dérobade
D'été, qui part en escapades;
Dans la ballade
Des gens du chant des cigales;
Là-haut au sein du village,
Dont pour ne pas faire d'ombrage;
Nous grillons les cigales
Et les grillons, à tribord d'un carambolage,
Entre deux variations en point d'ancrage.
Avec les cigales, six gales, si gales inégales,
Dont pour profiter de ce pur régal,
Nous grillons les cigales.
Jérôme de Mars
On vend du vent ? !
Auparavant,
Bien avant l'aven
En prenant les devants,
On vend du vent ? !
Souvent,
Et très sous vent
Dans la rose des vents,
Avant de jeter un vent
Au couvent,
Et d'avoir le vent
En poupe; pouvant
Et prouvant
Si on vend du vent ? !
Eprouvant
Dans un évent,
Emouvant,
Et mouvant
En cherchant des mots savants,
Qui veulent dire que c'est du vent
Si on vend du vent ? !
Et qu'on n'est dans le vent
En n'allant de l'avant,
Quand on ne va dans la direction du vent;
Comme on part avant !
Soulevant; sous le vent,
Sous le pays du soleil levant,
Elevant; et le vent;
S'élevant; c'est le vent;
Et relevant du vent;
Bien à vent,
Avant,
Dès le jour où souvent,
Au par avant;
Avec du dissolvant;
On souffle en un solvant, seul vent !
Bon ! Allez ! Du vent !
Quand le vent en couvant;
Souffle o'vent !
On vend du vent
Comme au paravent ? !
Jérôme de Mars
Le bazar fait bien les choses !
Hagard sur le big bazar;
C'est l'heure de la fanfare !
Quand le bazar fait bien
Les choses avec Michel Fugain !
Dans un bazar bric à brac;
Dont c'est le casse du siècle mic-mac !
En consignant le pacte du diable;
Et en signant l'entracte, oh que c'est adorable !
Aimable et serviable avec Aimable,
Qui marie l'affable avec l'abordable
En unissant les accordéons,
Quand nous nous accordons en chansons
Dans une tirade avec en escapade...
Quelques paroles qui riment en R' de ballade,
Quand le bazar fait bien
Les choses avec Michel Fugain
Au bazar du big bazar !
Sur la place du tintamarre,
Où il est temps de larguer les amarres !
Pour partir en vacances
Bronzer dans l'insolence de l'indolence,
Et flâner sur le port de Plaisance, à raconter au bar
Ses brèves de comptoir;
Avec des bruits de couloirs,
Qui signifient que grâce au hasard;
Le bazar fait bien
Les choses avec Michel Fugain !
Pour s'entendre entre potos
Dans les bistrots à s'marrer rigolos !
De tout jeter en mégots
De cigarettes; à mégoter
Le joli magot;
A-tire-larigot
Pour parler le parler vrai ;
Du genre populo Français
Envers ces Français, dont c'est francs ces
Français, encore temps de bavarder
Et à discuter de tout et de rien !
Au big bazar de Michel Fugain;
Dont c'est le bazar
Par le plus pur des hasards,
Quand le bazar fait bien
Les choses ! En tout point.
Tout honneur, embonpoint.
Jérôme de Mars
Je passe aux vers
Vague verte;
J'ai du vague à l'âme ouverte,
Quand après avoir vu rouge;
Le feu bouge
Du rouge
Au feu orange,
Après quand feu Orange
Fut orange;
Je passe à la ville d'orange
Aux vers;
Feux ou verts,
Quand je passe aux vers
Ouverts;
Over,
Quand je vois rouge;
Et que rien ne bouge
A la ville d'Orange,
Sauf quand je passe du feu orange
Aux feux vers,
Quand je passe feu aux vers
Ouverts, ou vers
Aux vers, over ,
Quand je passe aux vers
Après m'être mis ouverts,
Ou vers aux vers
Avec du bas de gamme over,
Alors que j'attends du polygame ouvert
Ou vers,
Quand je passe aux vers
Après m'être mis over,
Quand je passe amalgame ouvert
Au gamme aux vers;
Avec pour haut de gamme ou vers,
Quand je passe ouvert ou vers
Aux vers;
Bigame over.
Jérôme de Mars
Ca nous regarde si personne ne s'en fout d'un coup de pouce pour toi !
Ironie du destin,
Regardons aujourd'hui
Et demain !
Sans laisser personne
Sur le bord du chemin,
Qui indiffère
N'importe qui,
Quand on considère
Personne, car ça déraisonne
A l'esprit
De tous,
Sans coup de pouce
Qu'on risque tous de tomber
Dans l'oubli,
De la communauté
Et de l'humanité,
Où après la vanité,
On a besoin d'humilité !
Car après avoir tant critiqué
L'intégrité des gens,
En leur ordonnant
Pousse-toi de là !
Donnons-leur avec foi !
Un coup de pouce
Du destin,
Où on ne dira
Ca ne nous regarde
Pas appât !
Et ça ne te regarde pas !
Par mes gardes, mégarde,
Où je m'en fous
De toi,
Si t'es fou sans garde-fous !
Où pour le tout et le tout
Dans tout ce fourre-tout,
On joue notre va-tout
Avec en tout et pour tout
Un atout,
Quand on se dit
Altruiste et optimiste
Dans ce monde triste et égoïste,
Où de ma patte d'artiste,
Je glisse en fin mot humaniste
Et idéaliste,
On ne s'en fout
Des fous
Dans ce monde, où on a besoin
Pour notre destin
De garde-fous,
Car plus on est de fous !
Plus on rit
En harmonie !
Avec cette phrase qui réconcilie
La famille
Et les amis,
Malgré les aléas,
Où je vous dis
A tous !
Donnons-nous tous
Un coup de pouce !
Car ainsi,
Pour ne plus que ça nous lézarde !
Prenons garde !
Que ça nous regarde !
Si personne ne s'en fout
D'un coup de pouce pour toi !
De toi à moi,
Car il était une foi
De la joie,
Avec éclats
Dans la vie,
Pour garder la foi
Et ne plus tomber
Dans l'oubli,
Car pour une foi,
Pour ne pas
Que ça nous lézarde !
Pourvu que ça nous regarde
Tous !
Si personne ne s'en fout
D'un coup de pouce
Pour toi !
De toi à moi.
Jérôme de Mars
Haltères égaux
Pour l'ego,
Il faut muscler
Son jeu
Avec des haltères égaux,
Pour affronter l'adversité
Avec solidité,
Et dépasser
Avec ses alters-egos,
Les ennuis du ghetto;
Lets' go !
Où l'on se sert
Des haltères,
Pour muscler
Ses biscotos
Et son derrière,
Avec âpreté
Et dureté,
Lorsqu'on se désaltère
L'ego,
Avec des haltères égaux,
Qui font bloc
En roc
D'alters-egos,
Pour défier
Et braver
La loi du plus fort;
En appelant let's go !
Pour son confort
Ses haltères égaux,
Car après l'effort;
Vient le réconfort
De ses alters-egos;
En renfort,
Pour aller au Fort
Du plus Fort,
Et faire le Fort du plus fort,
En jouant à la loi du plus fort,
Et fort, effort,
Où l'on se désaltère
Avec des alters-egos,
Pour muscler l'après
Et affronter avec difficultés,
Ce qui vient se succéder
Aux autres forces du danger,
Avec la vérité;
De ce qu'on a à défier
Depuis le temps moyen-âge-je,
Où pour braver la loi du plus fort;
On fait appel à la témérité
Du folklore, fol clore
Avec pour métaphore;
Que grâce aux alters-egos,
On muscle sa ténacité
Et on se désaltère;
Des années bien après pubères
Avec pour repères;
Dans la saga cité
Du ghetto;
Ses haltères égaux,
Let's go ! Ego !
Jérôme de Mars
A rosé, arrosé
Cocktail molotov
Genre Peter Ustinov,
Je rénove
Et j'innove,
La musique qui soûle
La foule,
Arrosée et névrosée
A rosé, arrosé,
Qui a branché
Nécrosée,
Les nuits bien branchées
Blanches,
Quand je flanche
En prenant de la drogue,
Qui me shoote dans un grog,
Dont la drogue est l'héroïne
Blanche que je concocte
Avec de la cocaïne, coca hymne
A rosé, arrosé
Au vin deux mille vins,
Dont je ne suis devin, de vins,
Si je tombe dans le ravin
Divin, du bon Dieu en vin,
Comme je mange et je bois
Du coque au vin
A rosé, arrosé,
Qu'on a arrosé
Au vin frais de l'été,
Que j'ai imbibé
Et ingurgité
En vain,
En sautant dans le grand bain,
A rosé, arrosé
En perdant le Nord
Au sud à tribord,
Dont j'ai arrosé
Les tenants
Et les aboutissants,
En tenant
Les teneurs,
Déglutissant
Et s'abêtissant,
A rosé, arrosé
Avec la liqueur,
Des règles en vigueur
Eaux conflits bovins,
Oh que les alcooliques, acolytes
Sont devenus des beaux vins !
Avec pour gel hydroalcoolique
Des crises névrotiques,
Sur fond de crimes laisse-majesté
Néphrétiques,
Quand je ne calcule sans calculette
Ce que je calcule mental,
Dans mes propos
Et problèmes d'aliénés mentaux,
Avec pour fondamentaux
Des calculs de sciences-po,
Où pour taper sur la calculette
Les éléments primordiaux, idéaux
Conviviaux et cordiaux,
Si je suis
Un gros cerveau
Ou en gros un blaireau,
En tombant dans l'oubli
Avec ou cent potos,
Qui donnent le tempo,
Qu'autant trinquer à ma santé
A la santé de ceux qui m'ont fait trinquer,
Aux vins, beaux vins, bovins, devins, de vin,
De vingt, de la cuvée deux mille vins,
Que j'ai cuvé en deux mille vingt, en vingt,
En vain et en vin,
En tombant dans le caniveau
Du ravin devin,
Où j'ai accompli
Mon rêve,
Avec pour trêve
L'éternité auprès,
Du seigneur divin
Qui me rendra exprès
Dix vins,
Pour muscler mon ivresse
Qui soûle ma liesse,
Près de la forteresse
Avec pour vitesse,
La vitesse express
Du bon vin, en vain,
Et pas en vin;
Dont j'écope
En excès de vitesse;
Avec pour prouesse,
Où je m'enivre
Pour vivre,
Pour de bon
Dans le vin blanc,
Dont je gèle le prix
Du gel hydroalcoolique,
En overdose de saturation
Après les coliques, bues coliques
Bucoliques,
Dont je survole la rase campagne
En soulevant des montagnes
Avec du champagne,
Qui gèle le prix des amis
Du gel hydroalcolytes
Néophyte,
Car je ne fais pas cela en vin,
Mais en vin tremblant
Au levain blanc transparent,
Avec pour hymne en vin
De la villageoise
A la Liégeoise, bourgeoises
Et sournoises pour des noises,
Car ça y est, j'ai franchi
Les interdits !
En buvant du vin sang blanc,
Dont désormais, après une soirée
Bien arrosée,
J'ai arrosé au rosé chauvin;
Ah rosé ! chaud vin !
Arrosé eau rosé.
Jérôme de Mars
Carte d'identité
Papiers de vérité,
Qui suis-je ?
Avec ma carte d'identité,
Si je joue cartes sur table
Avec toute ma sincérité,
Où je peux être à la fois
Un être affable,
Ou bien le diable
A réciter, quand mon petit doigt
Me dit si je demeure exécrable,
Adorable ou bien frileux
De tout ce que je prie à Dieu
Si je suis pieux,
Lorsque je suis superstitieux
Et que je me demande si je peux
D'ici peu, trouver
Mon authentique identité,
En parlant moins sulfureux
Et plus vertueux,
Avec un langage convenable,
Parcimonieux et harmonieux
Avec mes papiers Français,
Papiers toilettes
Ou papiers lingettes,
Dès que je chante La Marseillaise
En chanson Française,
Avec des charentaises,
Oh ! Punaise !
Avec ma carte d'identité
Si je joue cartes sur table,
Avec comme fable
Que je suis un vrai Français,
Un vrai Français en vérité
Ou avec volonté,
Pour oublier les mauvais souvenirs
Du passé quitte à maudire
Mon identité,
Et croire que je suis impur Français,
Alors que par désespoir
De toute mon histoire,
Je ne suis un vrai Français,
Mais un vrai Français avec volonté,
Pour m'intégrer parmi Les Français,
Alors que je siffle La Marseillaise,
Quand je crie qu'avec tout le monde
Je suis désintégré,
Sous les sales gens qui m'inondent
D'insultes dans le tumulte,
D'une vie qui résulte
En vivant à la façon Française,
Car est de là ma propre identité,
Lorsque je joue cartes sur tables
Avec pour vérité
Que pour moi,
Je suis un vrai Français
Pas en vérité,
Mais avec volonté,
Car je me sens capable
De prouver que je suis Français
Avec tout ce que j'ai éprouvé
Dans mon entière sincérité,
Car avec cette fable
Je veux rester affable,
En jouant cartes sur tables
Avec au préalable,
Ma propre carte d'identité.
Jérôme de Mars
On ne peut réécrire le passé mais on peut écrire l'avenir !
A tous les temps tant qu'il est temps,
Faisons un compte-rendu
Pour voir ce qui va et ce qui est fichu
En sachant que malgré les contretemps,
Autant se rendre compte qu'avec les regrets
Et de ce qu'on est contents, qu'il faut aller
De l'avant en prenant les devants,
Pour être en paix avec nos amis
Et notre famille, avant qu'eux ou nous
Tombions dans l'oubli
Dans ce monde de fous,
Car ce qui est sûr
C'est que dans notre folle aventure,
On peut choisir
Soit d'être seuls ou accompagnés,
Face aux aléas de la vie
D'autant qu'entre répit et furie,
On ne peut réécrire le passé
Mais on peut écrire l'avenir,
Et se dire que pour limiter
Les dégâts dans ce vaste merdier,
Autant faire en sorte
Que par la grande porte,
Le pire devienne au pire
Un sous-pire qui expire en soupir,
Pour s'assouplir
Et qui n'empire,
Car un peu de plaisir
Conjugué avec du rire et des sourires,
Ne fait qu'embellir
Notre vie jalonnée de l'ire,
Ou des l'ire, délires,
Dont pour lire
Le tout et y décrocher la tirelire,
Il est temps qu'avec un paravent
On y décroche le passe-temps,
Qui passe à tous les temps
Pendant que passe le temps,
Dont autant en emporte l'avant,
Car on ne peut réécrire le passé
Mais on peut écrire l'avenir...
Jérôme de Mars
Médecins, mes deux Saints
Prendre soin
De soi
Veut dire qu'on s'assoit
Avec le rire médecin
Pour sourire mes deux Saints
Et réanimer
Mes deux seins animés
Avec mes dessins ranimés
Par mes desseins anémiés
Où pour prendre du plaisir
Et à en rougir
Rien de tel que rire médecins,
Pour sourire mes deux Saints
Et réanimer
Ma femme avec mes deux seins
Animés
Comme un dessin anémié
Dont mes desseins ranimés
Sont à en rire médecins
Et à en sourire mes deux Saints.
Jérôme de Mars
Sous un soleil qui chantait
D'aplomb sous les cocotiers
Et triomphant sous les palmiers,
Et si dans les vahinés,
Il y avait un bienfaiteur
Adulé et fédérateur,
Qui distribuait de la chaleur
A toute sa communauté,
Dans la clameur
D'un slameur,
Sous un soleil qui chantait
La vie autant qu'il la pleurait,
Lorsqu'il pleuvait la liberté
Et que ça voulait dire,
Qu'il était temps de chérir
Le ciel bleu de l'humanité,
Bien grand bien lui en fasse,
Pendant que l'horizon limitait
La casse en paraissant las
En surface, qui tasse le sas
De décompression,
Malgré les hallucinations
Du ciel qui fredonnait,
Sous un soleil qui chantait
La vie dans un paradis,
Qui suggérait plein de non-dits
Avec un pied-à-terre
Dans un paradis sur terre,
Qui voulait attendrir le baiser
Langoureux des papillons,
Qui interprétaient la chanson
Ephémère ride
Comme un éphéméride,
Lorsque le temps aride
Parlait sèchement de façon
Torride et rigide,
Aux caprices du soleil
Avec les ritournelles,
Pour accompagner
En musique la clarté,
Sous un soleil qui chantait
La chanson de sa vie,
Lorsque le jour vit
Après avoir dormi
A la belle étoile,
Dès le voile
A marée basse
De la mer grasse,
Où dans une dédicace,
Pourvu que la mer n'efface
Les souvenirs qui dorlotaient
Depuis fort longtemps,
Le printemps harcelant
Et s'harassant impatient
De convier ses semblables
A table, avec au préalable
Quelque chose de consistant,
Et qui défend nonobstant
Les errances de L'Ile des vahinés,
Qui encensait l'accueil fraternel
D'un morceau intemporel
Lors d'un troisième rappel,
Sous un soleil qui chantait.
Jérôme de Mars
Quand le bateau jette l'ancre
Us et coutumes
J'ai pour habitude,
Comme dans un costume
Sur mesure,
De faire croire à de L'Azur
Sous un ciel qui m'use,
Dont je m'amuse
A accorder les violons
Et les accordéons,
Ensemble dans la plénitude
Bien sûr
D'un chemin de croix,
Quand j'y laisse des plumes
Sur le rebord de l'enclume,
Où ma plume éjecte mon désarroi,
Quand le bateau jette l'ancre,
Lorsque ma plume fait couler
Beaucoup d'ancre,
Qui a presque lézardé
Les fleurs d'orangers
Dans une libre circulation,
Fluide en déchéance
Avec pour échéance,
La fin espérons-le !
De la contagion,
Dans l'enjeu
De la rébellion,
Qui est en fait à nœud-nœud
Dans la langue de bois
De Boulogne,
Qui me mène en cirque de Bouglione
Tête de nœud certes bigle,
Où je raccorde semblant les violons
Pour faire consensuel,
Et pour plaire malgré mes ombrelles
Avec ces confusions,
Où j'y laisse des plumes,
Quand le bateau jette l'ancre
A quai, au quai, et qui plume
Mon masque d'enclume,
Où ça sent le bitume !
Lorsque ma plume se vide
De sa substance,
Où quelle importance !
Vu mon impotence,
Si j'avais la décence
De prendre l'assurance,
Du druide très limpide
Dans ses prises de position
En surexposition,
Avant que les fleurs d'orangers
Me fassent aller dans la lune,
Le temps de la plénitude
Malgré les habitudes,
De répandre mon éternelle rancune,
Alors que si j'étais dans la lagune
Je n'aurai aucune lacune,
Car je serai en paix
Avec la communauté,
A exprimer mon émotion
Dans un bouillon de sinécure,
Où j'en aurai cure des cures
Mais pas de la manucure,
De la pédicure et de l'acupuncture,
Dont ma nature
Relève du plus profond
De mon matricule,
Car je bascule
De la dérision
Aux perfusions,
De mon mal-être qui chancelle
Et qui vacille
De la vanille,
Où je sombre
A l'ombre
De mes secrets de polichinelle,
Eveillé à songer à un monde
Plus bleu,
Comme il me féconde
Dans des bleus,
Qui façonnent
Ma personnalité sulfureuse,
Qui me désarçonne
Dans des ecchymoses furieuses,
Où j'attends le courage valeureux
Pour mettre fin à mon ombrage brumeux,
Où lorsque j'aurai fini d'y laisser des plumes,
Il sera temps de remplacer l'enclume
Par des plumes d'encre,
Quand le bateau ok, jettera pour de bon l'ancre.
Jérôme de Mars
Vers à repasser
Comme un prophète;
Je suis un poète
Peut-être pas esthète;
Mais qui soûle éthylotest,
Où je teste
En fait, en fête;
Si ma poésie est imaginaire,
Ou si ce sont des vers
A repasser,
Avec un fer
A repasser tout mon passé;
Dont j'ai du fer dans les épinards,
Car je n'en ai que faire
Du pinard;
Ave tous ces tocards,
Qui m'ont taillé des costards
No smoking;
A en fumer le king
Des ringards,
Avec pleins de rencards,
Annulés avec une mise au placard
De ma poésie;
Qu'on panse en anémie,
Alors que j'en fais une amie
Face à mon ennui ennemi;
Profond et moribond,
Où je me morfonds
Seul à l'abandon;
Dans tout ce que je confonds,
Avec des revers à trépasser
Les vers à repasser,
A la fois tous mes succès;
Mes échecs et mes excès,
Où je n'en ai que faire
Des connards,
Qui me mettent du fer
Dans les épinards;
No smoking
A enfumer Le Burger King,
Comme Popeye, pot paye
Ma papaye;
Du fruit de mon travail,
Dont je suis le cobaye
En éventail,
Quand certains amis
Me rayent;
Moi, le tocard
En me mettant au placard;
Dont avec les confettis,
Peut-être que je suis un prophète,
En fait, en fête, pro-fête;
Avant de tomber dans l'oubli
Des mes anciens amis;
Qui sont maintenant mes ennemis,
Dont j'ai le droit à l'oubli
Avec tous ces soucis,
Si je vais à l'abbaye
En terminant de trépasser ces vers,
Dès que ma part de poète
En moi; a fini
Décrire ces saynètes,
Net plus ultra;
Une fois que c'est extra
De ne plus avoir de revers
A surpasser, car ça y est;
J'ai pioché la manière
Ave dextérité et doigté,
Comme Popeye, pot paye
Le prophète;
Que j'essaye
D'être que je suis,
En fait, en fête;
Dépassé de l'esthète,
Dont j'essuie
Les revers à trépasser,
Une fois que j'ai réussi
Mon défi;
Avec un fer à surpasser
Mes vers à repasser.
Jérôme de Mars
L'appel démasqué
Open bar,
O' peine tout le monde me rembarre !
Quand je passe un appel masqué
Qui est au bout de l'appel démasqué,
Comme Brigitte, Christophe et Sandrine
Ne me répondent quand ça fait ding ding !
Au téléphone fatigué et aphone,
Même que je hausse le ton avec un mégaphone,
Où open bar
Je suis o'peine au bar d'où je me barre,
Quand je repasse un appel masqué,
Qui est au bout du compte un appel démasqué,
Où le masque tombe même que je porte un masque
Dans la vie, pour faire semblant malgré les bourrasques
Avec des frasques ,
Où je traîne aux basques
Du masque mortifère,
Et délétère de ma mère,
Pour mettre de l'éther
En soignant mes plaies sur La Terre,
D'où je n'arrive à avoir un équilibre
Car l'envie me titille
De la rejoindre sur la pointe de mes escadrilles,
Pour ne plus faire avec feinte le joyeux drille,
Comme la vie de l'au-delà me vibre
Davantage que sur La Terre,
Où tout le monde m'étrille
Dans un sale inventaire,
Comme les temps deviennent durs
Et obscurs où l'on va tous dans le mur !
Comme Brigitte, Christophe et Sandrine
Ne me répondent en m'invoquant,
Comme excuse où tout fout le camp !
Qu'il ou elles dînent,
Car qui dort, dîne,
Et se dandine,
Comme tout le monde s'en balance ,
De ma gueule sur laquelle ils ou elles s'élancent,
Open bar
J'arrive au bout o'peine où je me rembarre !
De tout le monde vu ma tare,
Où j'ai toujours du retard
Avec ma tête dans le brouillard,
Complètement hagard
Par le plus pur des hasards,
Où j'outrepasse un dernier appel masqué,
D'où on me trépasse mis bout à bout
Avec des histoires à dormir debout,
Où je ramasse des râteaux
Avec l'or à l'appel démasqué,
Dont en dernier mot,
Donnez-moi la définition du mot
Open bar !
Dans le dico,
Car je suis au bout du rouleau
O'peine d'où on me rembarre !
Au bar d'où je me barre
Une fois passé un appel masqué,
D'où je récolte avec des râteaux
En dernier mot,
L'appel démasqué.
Jérôme de Mars
La poésie en apesanteur
D t l s e
a n o u s e n
s s s
A n t d r e à l r e
u t a pr e n la é g è
L e e e n t u
a p o é s i n a p s a e r
A i s l u e s t e d m s
u p o d p m v e l e s o t
Av e e p l u p i s p
c u n u m e a o d l u m e
Qui n p è e o t a n p d s
e s e s s m s d n s so o i
P m u p e o t à é g è
l u e q i r n d t u la l r e
E t a n a s l u e e a c
n é t d n a l n s p e
D t e p o e e apesa
e m o d l é i n a
s s a s nteur.
Jérôme de Mars
La fête de la musique
Chaque 21 juin,
Lorsqu'on joint
L'utile à l'agréable,
On pose sur la table
Tous les instruments,
Pour braver la direction
Du vent philharmonique,
Et être dans le vent,
De l'orchestration
De la fête de la musique,
Dont on recharge les batteries
Menées tambour battant,
Avec l'élan de flûtes à vent
Et de vers à flûtes avant,
Comme auparavant
Etaient les rares instants,
Où l'on mariait la trompette
Et les bals musettes,
Avec la guinguette
De Nogent Sur Marne,
Qui dévale sur La Marne
En mélangeant les chanson symphoniques,
Avec des variétés acoustiques,
Toniques et supersoniques
A base de refrains sur Nostalgie,
Où chaque 21 juin,
C'est la fête de la musique,
Où l'on danse ci-joint,
Quand le folklore rejoint
Toutes les diversités,
Des quatre vérités
Aux percussions,
Qui tapent sur le tam-tam
Avec tout ce ramdam,
Que procure la fête de la musique
Avec une alchimie fantastique,
Et féerique
Chaque 21 juin,
Quand l'amateur rejoint
Le chanteur enchanteur,
Qui enjoint
Une nouvelle période
Dans cette ode,
Pour réanimer les faiseurs
De merveilles et de tubes,
Dont il y a des répercussions
Au niveau des cubes,
Quand la musique joue
En joue,
Avec les rubicubes
Dont avec des guitares sèches,
On enjoue, on en joue
Lors de la fête de la musique,
Sans pannes antisèches
A la pêche aux tubes,
Dont nous accordons
Avec des accordéons,
Nos violons d'Ingres
A base de guitare basse,
En contrebasse
D'une harmonie,
Avec l'harmonica
Pour accorder les violons,
Dont nous violons celles
Avec les violoncelles
A chaque 21 juin,
Dont on enjoint
Ci-joint,
Lorsqu'on joint l'utile
Du futile à l'agréable,
En mettant tout sur la table
Pour instaurer une ambiance pacifique,
Et y restaurer dans un océan poétique
Avec de la tendresse,
Pour la foule en liesse
Sans tambour ni trompette,
Pendant cette chansonnette,
Cette chanson nette,
Avec des airs de bluette
Chaque 21 juin,
Qu'on enjoint
Dans la fanfare,
Et dont on rejoint
Avant qu'il ne soit trop tard,
La fête de la musique.
Jérôme de Mars
Bonne fête des pères !
Faites des pères !
Des pairs,
En impair,
Il nous faut des repères
Dans nos repaires,
Bonne fête des pères !
Sur La Terre,
En guise d'inventaire
Où les deux font la paire,
En un père,
Comme repère
De nos repaires,
S'il fallait refaire
En hein pair,
Tout le parfait guide
Du bon père
En hein père,
Car faites des paires !
Et bonne fête des pères
Pour faire la bonne paire,
Car les deux font la père !
Malgré les impairs,
Les hein pères,
Où pour rester limpide
Dans le guide du parfait père,
Il est temps d'avoir des repères
Dans nos repaires,
Sans impair,
Mais avec un père,
Hein pair !
Comme les deux font l'un père !
Et la paire !
Donc faites des pairs !
Car bonne fête des pères !
Jérôme de Mars
Le poème du bonheur
Avec l'âme des poètes,
J'ai rêvé d'un autre monde,
Pour voir la vie en rose
Qu'édite la belle de Cadix !
Avec son piaf d'impatience,
Qui bécote sur les bancs publics
Avec les copains d'abord,
Et un rouge-Georges Brassens
Sur Les Champs-Elysées
Dans un kamasutra,
Dont Charles Traînait
Dans cette Douce France,
Comme un homme heureux
Car y'a d' la joie !
Vers la route enchantée,
Dont c'est bon pour le moral
Si le jardin extraordinaire
Chante ! La vie chante !
Direction la mer,
Comme la vie est belle, le monde est beau !
Où c'est là tout le bonheur du monde !
Puisque dans ce poème du bonheur,
Qu'est-ce-qu'on attend pour être heureux ?
Qui chante tout le bonheur du monde,
Quand la vie chante
Il est où le bonheur ?
Quand Charles traînait
Comme un homme heureux,
Avec un piaf qui édite
Le kamasutra de la vie en rose,
Direction pour de bon
La route enchantée,
Car c'est si bon
De vivre dans cette douce France !
Comme y a de la joie !
En quête de l'âme des poètes,
Pour voir la vie du bon côté
Dans ce poème du bonheur.
Jérôme de Mars
Si on vivait tous d'amour et d'eau fraîche ? !
Près de la fontaine
Qui jaillit,
Si on vivait tous d'amour
Et d'eau fraîche ? !
Sans panne sèche,
En nous enivrant
Aux poésies
De La Fontaine,
Qui riment de troubadours
Pendant que brille le soleil
Avec ce temps clément
Nulle part pareil,
Quand Eros
Ose montrer son andropause,
A la ménopause
Des femmes qui disposent
De coureurs de jupons,
Qui s'agenouillent fripons
Avec la bagatelle,
Pour âme maîtresse
Qui nivelle
Les poétesses
Par les bas,
Oh ! Sujet de vieux ébats !
Si on vivait tous d'amour
Et d'eau fraîche ? !
A réconcilier les quiproquos
Avec de meilleurs pinceaux,
Qui composent de bons tableaux
En donnant les parfaits numéros
Qui jaillissent près de la fontaine,
Pendant que les plumes des oiseaux
Jettent de l'encre qui riment aux poésies
De La Fontaine,
Qui plantent la petite graine
Qu'elle supplante à la pêche,
Qui met l'eau à la bouche
Qui débouche,
En ayant de la veine
Dans ce poème,
Qui respire des airs de bohème,
Face à ceux qui souffrent d'emphysème
Dans ce monde odieux qui boursoufle
D’œdème, qui parsème
Le vent au souffle
Coupé, entrecoupé,
Et haché, à l'emportée
Et à la portée déportée
Et survoltée,
Où la reine,
Parmi les abeilles
Demande si elle peut mettre
Un peu de miel,
Pour remplacer le fiel
Par le miel,
Qui fera roucouler
Du soleil avec des groseilles,
Pour rouvrir les fenêtres
Et ainsi être plus heureux
Avec un bleu ciel lumineux,
Où dorénavant, partout jaillira
La fontaine dans une madeleine
De Proust, qui fredonnera
D'autres rengaines
Avec pour message universel,
Qu'il faut s'enivrer aux poèmes
De La Fontaine,
Pour que tout le monde s'aime
De façon saine,
Et sauf
Dans ce monde de beauf,
Avec aucune panne sèche
Et aucunes antisèches revêches,
Presque autant rêver d'un paradis
Plus tôt harmonieux !
Sur La Terre de nos aïeux,
Pieux et orgueilleux,
Où pour y refaire un tour
Du côté des troubadours
Sans tambour ni trompette,
Allons-y partout faire trempette
Aux poésies
De La Fontaine,
Dès que jaillit
Là ! la fontaine !
Aux frais qui égrènent
A partir de ce jardin d'Eden
Avec le dernier décan,
Lorsqu'il y a un beau temps
Qui murmure insistant !
Et inspirant aux soupirants,
Que c'est l'heure en y repensant !
Et en y soupirant !
Dans la cour
Des grands,
Et si on vivait tous d'amour
Et d'eau fraîche ?
Dans un monde meilleur
Nulle part ailleurs.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Philippe, fais-tu souvent des réflexions déplacées et ironiques avec des sous-entendus ?
- Parce-qu'à force de te déplacer, tu es hors de propos !
Jérôme de Mars
Je fais du rapt !
Contact,
Je manque de con tact
Avec un foule contact,
Si je fais du rapt
Et qu'en diplomate,
On me fait échec et mat
Si en automate,
On me mate
Dans un joli mic-mac,
Comme le big mag
D'un Mcdo,
Où tout est cadeau
Si je fais du rapt
Avec un double impact,
Comme un pacte
Si ça dérape,
Quand je fais du rap
En utilisant le terme,
Je fais du rapt
En vidant mon sac isotherme,
Qui jette un froid,
Quelquefois, toutefois,
Parfois et dès fois,
Dès que je touche le fond
Très fond, tréfonds
Jusqu'au plafond, plat fond,
Où je confonds, je fonds
Et je me morfonds,
Quand je fais du rapt
Dans un rap élégant
De rapt d'un jeu d'enfant,
Lorsqu'on capte
Le cap à prendre,
Si on est cap à en reprendre
Sans se méprendre,
Si on n'arrive pas à s'entendre
Parmi cette foule contact,
Où il faut qu'on ait du tact
En signant un pacte,
Pour que ça n'ait pas d'impact
Compact, con pacte,
Si je fais du rapt
Qui casse la baraque
Intact, un tact,
Où quelque soit le tract,
Je risque d'avoir le trac
Avec du crack,
Mais comme toute cette foule
Me soûle,
Je préfère être un crack
Dans ma traque,
Avec matraque, ma matraque,
Pour avoir ma niaque,
Même si je suis insomniaque,
Comme je suis maniaque,
Avec ma niaque
Hypocondriaque,
Mais vu que je surprends
Avec des aphrodisiaques,
Pour rester en forme sur le zodiaque
Qui me mène en bateau,
Dans le chaos
Des mauvais signes du zodiaque,
J'en reprends plein le pot paranoïaque
Si jamais je contracte
Ma niaque hypocondriaque,
Et que je me rétracte
De ma niaque patraque,
Pas trac, pas traque,
De mon trac tic tac, où je craque
De ma traque à ma traque
Avec ma matraque,
Car je fais du rapt.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-que à Dijon ça dégénère ?
- Parce-que la moutarde de Dijon leur monte innés !
Jérôme de Mars
Y aura-t-il encore des gens gens t-ils, des gens gentils demain dans notre monde ?
Ce sujet dont on est le sujet et dont on fait l'objet, mérite d'être abordé avec bienveillance et discernement, certes, personne ne pense pareil mais dans l'appareil, essayons tout de même de nous rassembler vers des convergences sans insignifiance, où l'on demande aux citoyens Français, y aura-t-il encore des gens gens t-ils, des gens gentils demain dans notre monde ? Qui tiennent parole, qui sont bienveillants, sympathiques, cordiaux, conviviaux, chaleureux et courtois, en ayant le dernier mot, mais le dernier mot, et pas un gros mot, ni un mot de trop, ni de cynisme et ni d'indifférence sans avoir un esprit troupier je m'en-foutisme en laissant les gens sur le bord du rebord, où mille millions de mille sabords, on est tintins si on s'en fout de tout et qu'on s'intéresse à rien, avec le professeur qui tourne et retourne le sol, et le capitaine paddock, où on ordonne aux gens :
" Arrêtez de vous parler méchamment et violemment entre vous ! Prenez le temps de discuter doucement et calmement avec les gens en essayant de les connaître davantage, de façon bienveillante et clémente en ménageant les gens dans tout ce remue-ménage ! ", comme les gens ne se ménagent à force de tout déballer, où il faut faire table rase du passé pour être pile-poil à leurre dans ce monde oppressé, pressé et stressé, sans être poil à gratter avec la brosse à reluire, mais juste ce qu'il faut de juste et ferme pour faire un bon ménage de printemps, sans surmenage et sans être l'objet du scandale, car lorsqu'on fêtera notre anniversaire en balayant devant notre porte, on aura quelques années et des balais, où enfin, on saura enfin avec le temps qui passe, de s'il y aura encore des gens gens t-ils, des gens gentils demain dans notre monde à rebrousse-poil, avec un poil dans la main ?
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fera si en septembre en France, il y a une deuxième vague du Coronavirus ?
- On aura du vague à l'âme !
Jérôme de Mars
Le frondeur
Rebelle dans l'âme,
Je ne veux dépendre
De personne,
Et garder mon indépendance
Avec une grande liberté,
D'agir comme dans un slam
Que je compose en frondeur,
Qui n'a peur, kidnappeur,
Pour comprendre
Que la vie, c'est aussi des sacrifices,
Sans artifices pour faire office
Avec impertinence et abstinence,
Dont ça confectionne
Ma façon de voir les choses,
Pourvu que je cause
Avec vérité,
Et rien que des affinités
Avec les amis sincères,
Qui pensent comme mon caractère
Avec la meilleure volonté,
De comprendre
Et d'entendre
Que je suis un frondeur,
En guerre avec les ordres de grandeurs
Dont ce n'est un leurre,
Quand c'est du dur labeur
Pour mettre du beurre
Dans les épinards,
Avec des rencards
Pour apaiser mes peurs,
Où l'on me range dans la catégorie
Des réfractaires,
Car je veux conserver mon autonomie
Même si parfois c'est l'agonie
Dans une forme d'inertie,
Où j'ai du tempérament
Et du flair,
Avec des petits moments
Pour me rafraîchir le cœur
Sans rancœur,
Comme à bon entendeur !
Je reste un frondeur.
Jérôme de Mars
Metteur en scène
Bande originale de sa vie,
On est le metteur en scène
De nos envies,
A mettre dans l'arène
Dans un combat du quotidien,
A faire valoir ses droits
Que l'on mange ou que l'on boit
Dans le train-train du quotidien,
En bon samaritain
D'être puritain et copain,
Avec le film qu'on déroule
Sur un tapis rouge qui foule
Le sol en metteur de scène,
De sa vie pour jouer un rôle
Sur mesure alors qu'on frôle
Le rôle de sa vie pleine,
A en remplir ses bons côtés
Très humains de notre destin,
Où l'on compose sa propre musique
Qui rassemble nos souvenirs nostalgiques,
De si c'était mieux avant !
Tandis qu'il faut vivre maintenant
Pour être un bon metteur en scène
De sa vie, à balayer ses côtés obscènes,
Pour écrire la parfaite histoire
Du jour, où l'on rédigera nos mémoires
De si on interroge les gens
Dans des micros-trottoirs,
Pour voir à s'en émouvoir
De s'ils nous aimaient passionnément,
En nous admirant
Malgré les casseroles,
Que l'on traîne tous en nous comme un bémol
Du rôle que l'on joue dans la vie,
Ou dans sa vie à relever les défis,
Où pour être un bon metteur en scène,
Il faut faire bande à part, à part filmer sa rengaine,
Dont on trouvera un mécène
Qui sera notre témoin de nous égérie à lui,
Notre mentor et notre pygmalion à la mort, à la vie !
Dont c'est à partir de l'action de longue haleine
Qui s'arrête à la chaîne de mes scènes,
Qu'on est pour toujours le metteur en scène.
Jérôme de Mars
Les filles de joie
Hip hip hip hourra !
Comme le chantait
Charles Trenet,
Bonjour les hirondelles,
Y a de la joie !
A Paris !
Où avec des orgies,
Les hommes grimpent
Les filles de joie
Au mont de L'Olympe,
Comme elles battent de l'aile
En filles de joie,
Dont on suppute
Qu'avec leur langue de pute,
Elles aguichent les hommes
Si elles friment en roulant,
Des boniments
Pour leur pomme,
Dont avec leur entrejambe
Elles jouent à les faire jouir
De plaisirs,
Qui flambent
Leurs parties intimes,
Où les filles de joie
De Pigalle à Strasbourg Saint-Denis,
A Paris font des vieux débats
Dans leurs ébats magnanimes,
Où avec les hommes, elles leur dégonflent
Leurs ballons qui ronflent
Avec leurs semences,
Qui reflètent l'essence
Hip hip hip hourra !
Où elles prennent leur pied
En faisant des galipettes,
Avec leurs roupettes
Des hommes remis de leur puberté,
Car ils ont acquis de la maturité
Avec les filles de joie
Pendant plusieurs mois,
Après avoir fait des orgies,
Dont elles ébranlent les hommes
Avec leur gris-gris dans la griserie
De leurs fantasmes,
Après qu'ils aient eu leur orgasme
En bavant après une affaire
Au prude home; aux prud'hommes,
Dont elles n'ont rien à espérer,
A part que les hommes pénètrent
Leurs fenêtres
Pour vouloir les satisfaire,
Dont les filles de joie
S'en émeuvent de vive voix,
Avec des couples échangistes
Très libertins en artistes tristes,
De leur corps-à-corps
Sans accords,
Où avant que leurs sales états
Battent de l'aile,
On leur souhaite aux filles de joie
Qu'à-tire-d'ailes, elles attirent d'ailes
Des hommes bourgeois,
Qui les prennent sous leurs ailes,
Endimanchées et bien membrées
Pour qu'elles volent de leurs propres ailes
Avec de la bagatelle, ainsi soie-t-elle !
Pendant plusieurs mois
Et au-delà de l'au-delà !
En des pis, en dépits
De ça,
De leurs orgies
Et de leur frénésie
Dans une pure folie,
Dont bonjour ! Les Dégâts !
Les gars !
Si elles font voler en éclats
Les hommes,
Dont en somme,
Elles roulent pour leur pomme
De vieux amants dans leur sitcom,
De France tel est com !
Point.com signé
De la part des filles de joie.
Jérôme de Mars
Point de salut.
Salut ! On aborde un nouveau point. Dont on fait le point. Dans un point de salut. Car salut ! on tient notre salut au Port-Salut ! Si on en fait tout un fromage ! Pourvu qu'on ait notre salut en disant salut ! A la foule ! Dans un salut ! Où l'on tient notre point de Salut. Genre : Salut ! Ici, on tient notre salut ! comme on salue tout haut ce que les gens pensent tout bas au Port-Salut ! Enfin arrivé à bon port, car Salut ! On a fait le point. Et on a fini de donner notre point de vue. Point de salut.
Jérôme de Mars
C'est le pied avec des claquettes !
Danse du pied;
A contre danse du guêpier,
Un nid de guêpes pique
Avec son dard épique;
Les abeilles,
Qui mettent du miel,
Pour que le soleil
Apaise le fiel,
Dès que le soleil
A contre pied prend son pied,
Dont avec les emplettes
Et en mille facettes,
C'est le pied avec des claquettes !
Qui tapent du pied
Avec des dames coquettes,
Quand le serpent qui danse
Jette son venin en abondance,
Avec des sornettes
A sonnettes,
Dont c'est le pied avec des claquettes !
En quête de reconnaissance;
Dans une enquête de connaissances,
Comme des chansons pour les pieds;
Un album ancien,
Le dernier en antiquité, de notre copain
Jean-Jacques Goldman dans un appel
Du pied en contre pied,
Où l'on veut des résultats
Après tant de paroles etc,etc.....
Dont c'est le pied avec des claquettes !
Comme Fred Astaire, Gêne Kelly,
Et Ginger Rogers, dans la confrérie
D'un appel du pied en série;
Dans un contre pied en folie,
Dont avec un lance-roquettes;
On s'envole à la tire;
A la Rue De La Roquette
Du cher psy Docteur Penot,
Qui a le dernier mot
En vieux martyr;
De mes soupirs,
Dont je suis le sous pire;
En sbire du pire
Dans un appel du pied,
Comme une chanson pour les pieds
Dans le contre pied du ghetto;
Dont Jean-Pierre Cassel
Jette son fiel avec du miel,
Comme le miel et les abeilles
Dans un appel en série,
Quand le soleil
La tête dans les comètes,
Fait un contre pied
Dans un appel du pied,
Car c'est le pied avec des claquettes !
Jérôme de Mars
La colère ne fait que se l'ire dans tes yeux !
Quatre yeux, mets tes lunettes !
Pour y voir plus clair
Sur la nature humaine !
Rien que pendant une semaine,
Et tu verras ! Y a de quoi tomber à terre !
Les pieds à terre, quatre pieds sous terre !
Où si tu ne montres pas aux autres
Que tu existes, tu tombes aux oubliettes !
Où tout le monde se vautre
Pour te bouffer tout crû,
Accru et décru, des crues,
Où la colère ne fait que se l'ire
Dans tes yeux !
Pour lyre du collyre,
Où tu trépasses du soupir
Au pire des martyrs,
A rêver d'un monde plus fabuleux
Et à songer à un ailleurs mieux,
Où le monde serait plus amoureux,
Heureux et harmonieux d'être pieux
A encourager la vertu,
Au lieu du vice qui tue
A petit feu,
Ce monde frileux et paresseux,
Où la colère ne fait que se l'ire
Dans tes yeux !
Pour lyre du collyre
Des cernes de tes yeux,
Où tu es terne jusqu'aux cieux
A vouloir rejoindre tes aïeux,
Car ton voyage sur terre
N'est guère fameux,
Car ennuyeux et subalterne
Dans ta taverne,
De tes vieux penchants ténébreux,
Comme avant c'était le bon temps !
Et que le monde donnait envie d'être charmant
Et exaltant,
Lorsqu'avant la vie était un printemps !
Où tu es dépassé, rageant, outrageant
Et dérangeant de ne croire émerveillé
En un destin enjoué,
Où tu oublies le néant
Pour être à temps
Avec tes congénères,
Tes cons qui génèrent
Le nerf de la guerre,
Qu'est l'argent
Et dont tu lui es indifférent,
Et dont lui t'est affligeant
A n'importe quels tourments,
Où le jour où la colère ne se fera
Plus l'ire dans tes yeux,
C'est que ta vie sera un roman élégant
Et fringant !
Où tu feras lyre joyeux
Un monde plus valeureux,
Où tu seras heureux
Et amoureux
Jusqu'aux cieux consciencieux,
Car radieux, tu y verras
Enfin plus clair !
Dans ta chaumière
Avec une vue sur la mère!
Où le collyre
Ne se fera que se l'ire, lire
Dans tes yeux !
Quatre yeux joyeux.
Jérôme de Mars
L'amour répare-t-il les cœurs désœuvrés ?
A la dérive, c'est de là que boîte l'humanité,
Avec des jalousies au bord des frontières,
A partir de ça qu'on en déduit avec fermeté,
Que le monde traverse une sombre crise,
Parce-que tout dans l'atmosphère et dans la sphère
Tout à l'air, a l'air de se casser la figure, quand tout s'enlise
Et qu'on en vient à prier et à invoquer avec témérité,
Est-ce-que seul l'amour répare-t-il les cœurs désœuvrés ?
Lasse de sa manœuvre, où il faut acharner garder
Le moral, et ne pas faire le mal en ayant une ligne
De conduite à ne pas franchir et à outrepasser maligne,
Sinon tu meurs de tristesse, en tombant au fond
Des oubliettes diluviennes, qui surgissent en trombes
D'eaux et de larmes avec un besoin de tendresse,
Qui caresse l'amour en pénurie dans ces catacombes,
Où l'on chante l'amour qui nous confond et morfond
A songer à des paroles de poétesses, qui laissent
Nos carences d'amour, en affections compensées
Par une liberté d'aller et venir, en consolant nos pensées,
Qu'on en survient à réclamer une réponse cruciale,
L'amour répare-t-il les cœurs désœuvrés ?
Pendant qu'on préfère l'originale à une copie pâle
Dans ce monde à la fois désenchanté et enchanté,
De frapper à la porte des oiseaux colporteurs
De bonnes nouvelles, qu'on espère porteurs
D'une vitalité ressuscitée, dont on désire
Que le meilleur soit à venir pour maudire,
Ceux qui ne font médire que les autres,
Alors qu'il faut que l'amour se vautre parmi les vôtres,
Dont la communauté perdurera à vos côtés
Le jour, où l'amour réparera à tout jamais
Les cœurs désœuvrés, du fin mot de l'humanité.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi est-ce-que je perds la raison ?
- Parce-qu'on me donne toujours tort !
2) Pourquoi est-ce-que tout le monde me parle-t-il mal et m'agresse-t-il même que je prie pour être en paix ?
- Parce-que c'est l'oraison de ma colère avec de la haine dans les yeux !
3) Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT et partout tout le monde s'en fout-il de moi comme tout est pour l'argent et qu'il n'y a plus rien pour l'humain ?
- Parce-que tout le monde en tire profit de s'en foutre de moi !
Jérôme de Mars
Est-ce-que les pies bavardent ?
Rendez-vous dans la rue des pigeons qui bazardent !
On en tire donc en conclusion que les oiseaux sont des pigeons,
Qu'on prend comme larbins à tout faire, dans un nettoyage
Par procuration à n'importe quelle occasion !
Dont est-ce-que les pies bavardent ?
Pendant que les badauds regardent
Ceux qui s'enlacent,
Et celles qui passent dans une passe
Avec les hommes bourgeois pudibonds,
De par leur pudeur à s'exprimer de par la dimension
Que ça génère s'il y a des dissensions !
Qui provoquent la scission
Des sentiments, si la nature lézarde par mégarde
Avec pour question,
Pour y voir une rébellion,
Est-ce-que les pieds bavardent ?
Durant un laps de temps à méditer
Et à observer les faits et gestes à relativiser,
Puisque dans la vie, tout est relatif !
Et qu'un jour ou l'autre comme les oiseaux évasifs,
On mourra réceptifs dans notre repos éternel au cimetière
Pour faire taire les colombes,
A qui ça incombe leurs tombes !
En mettant en jachère la colère
Du terre-à-terre ensemble réfractaires,
Dont on enterre le message prédateur,
Quand les pigeons ont dans le collimateur,
Les instigateurs qui retardent
Trop longtemps le moment de l'incorporation,
Et en ébullition, dès la gestation
Des bécasses lors de leur dépucelage,
Qui réclament un pillage
Dans le village,
Avec pour point d'interrogation ?
Est-ce-que les pies bavardent ?
En attendant de bien meilleurs horizons.
Jérôme de Mars
Peut-on voir en peinture les artistes ?
Artistes génies en herbe,
Comme le déjeuner sur l'herbe,
On refait le portrait
Des artistes torturés,
Qui ont cabossé
Tumultueux et talentueux,
Dans le sillage aventureux
Genre Claude Monet,
Qui rend la monnaie
De sa pièce,
En payant en espèces
Impressionnistes et hédonistes,
Toute sa palette d'artiste
Au confort,
D'où c'est son fort en métaphores
De peintures,
Qui révèlent sa vraie nature
Et dont l'on pose en questions fatalistes,
Peut-on voir en peinture les artistes ?
De l'autoportrait
En portrait
Sur mesure,
Qui révèle les profondes fêlures
En ayant eu à l'usure
Vincent Van Gogh,
Dont en épilogue
Il se coupa l'oreille,
De par l'oseille
De son art
En triste répertoire,
Où l'on refait le trottoir
En micros-trottoirs
Pour savoir,
Peut-on voir en peinture les artistes ?
Qu'ils soient optimistes ou pessimistes
Ou qu'ils aient ou non le cafard,
Idéaliste ou fataliste
Avec Edouard Manet,
Qui repeint les tableaux de Picasso
A géométrie variable,
Dans une variable
D'ajustement avec instruments,
Pour apporter de l'eau
Au moulin même si c'est du vent,
Et qu'Auguste Renoir
Déguste en voyant tout en noir,
Quelque soit que la peinture des mots
Dans un slam moderne sur les aquarelles,
Qui dessinent à l'eau en nuances
Des secrets de polichinelle,
Dont on avance les errances
En partant sur la pointe des pieds,
Admirer au musée
Des vieux bibelots et tableaux,
A qui on remet un tableau d'honneur
A devancer des succès d'estime
En ordre de grandeur,
Car c'est dans le rétro et la rétro
Qu'on pense et qu'on évoque la nostalgie
Du dernier métro
Et du dernier slow,
Dans le mouvement de tempo
Du pinceau,
Avec un maître qui peint un nouveau tableau
Et dont sur un morceau de piano,
On rejoue la partition sublime
De vieux souvenirs,
A se rappeler toutes les satires
De nos plaisirs ultimes,
Car on a envie de demander unanimes
Aux peintres magnanimes
Sans mourir tristes,
Peut-on encore voir en peinture les artistes ?
Jérôme de Mars
Faites des mères !
Dimanche 7 juin 2020,
On joint
L'utile à l'agréable
A table,
Autour d'un bon vin
Et en dégustant des plats divins,
Où l'on souhaite à nos féminines congénères
Qui ont l'âge d'être nos mères,
Bonnes fêtes des mères !
Et faites des mères !
Tant qu'on a notre mère,
Avec qui boire un ver
De contact
Et avec tact,
Pourvu qu'on en profite
Le plus possible,
De façon paisible
Et qu'on évite
Les colères,
D'être fâchés
Et d'êtres fauchés
Par ce manque de caractères,
Une fois que notre mère
N'est plus,
Partie vers l'inconnue,
Dont on ne sait
Si on pourra s'en remettre,
En voulant se jeter
Par la fenêtre,
Car une mère
C'est comme une embellie pulmonaire,
On y respire le grand air
Et dès qu'on l'enterre,
On finit dans un container
Avec une crise de nerfs,
Car une mère
C'est sacrément nécessaire,
Et dont on leur souhaite une bonne fête
Avec une boule à facettes,
De bonne fête des mères,
Car faites des mères !
Jérôme de Mars
Facebook, je suis le troupeau !
Moi, Jérôme, j'ai Facebook dont au bout du compte, je cultive la haine en taillant les haies car je suis le troupeau ! Je suis en manque d'amis réels dont avec ce réseau asocial, j'ai que des amis virtuels, dont Facebook me rend chèvre alors que si je suivais le troupeau ! Je serai doux comme un agneau avec les moutons de Panurge ! Comme Facebook est un facteur de risque au long courrier par mail, je prends mon envol de drôle d'oiseau en postant n'importe quoi sur Facebook et en me faisant passer pour un facho alors que je ne suis pas comme ça dans la vie, ce qui fait que sur Facebook, je suis en guerre contre tout le monde en postant des propos diffamatoires, misogynes, racistes et antisémites comme je suis mal dans ma peau, et que ce n'est pas moi qui fais ça à l'état normal, mais comme mon état est à normal, je me sers de Facebook en lâchant des bombes, comme des armes pour être en guerre avec tout le monde, car comme Facebook me rend chèvre, je suis le troupeau ! Alors que pourtant à la base, je suis doux comme un agneau en suivant les moutons de Panurge, car maintenant, je me sers d'un portable ultra simple et basique comme au tout début, car j'ai pris mon envol avec importable à touches où j'ai mis sur la touche en antivol mon exportable écran tactile que j'ai atterri en mode avion, Facebook, j'en ai marre, je n'ai pas de réseau d'amis sur Facebook car j'attire les foudres de mes ennemis avec ma o'rage qui pleut dans une pluie,où tout tombe à l'eau ! dont tonnerre, j'attends du soleil qui ne me gronde comme du tonnerre, où Facebook a des problèmes de réseaux d'amis, avec de mauvaises ondes positives, dont il me faut des bonnes ondes, qui me donnent la voix à trouver le bon parti pris pour le second tour des Municipales du 28 juin dont j'irai y faire un nouveau tour pour me changer les idées, car Facebook est un réseau asocial d'amis virtuels qui s'en foutent de moi, alors autant avoir de vrais amis avec Boris qui vient de Vénus et qui est un Facebook à lui seul et dont moi, je viens de Mars pour me constituer un vrai réseau d'amis du virtuel au réel en étant sur une autre planète Terre que sur la planète Terre délétère, pour faire une véritable demande d'amis, où enfin, Facebook ne me rendra plus chèvre, où je suivrais pour de bon le troupeau en étant doux comme un agneau, car on pourra me dire et pas médire que je suis un mouton de Panurge car à part Facebook, maintenant, je suis logé à la même enseigne que les autres depuis qu'Emmanuel Macron a baissé les APL de 5 Euros dont je suis le troupeau !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il baissé les APL de 5 Euros au début de son mandat ?
- Parce-que pour lui, on est tous logés à la même enseigne !
Jérôme de Mars
Entretenir une amitié, c'est comme une fleur, il faut la cultiver !
Cher ami, merci de m'offrir ton amitié !
Que tu me donnes en solidarité,
Dont c'est une relation qui repose
Sur de la confiance réciproque
Et sans équivoque,
Où l'on dispose
D'une affection mutuelle
Avec une mutuelle,
Pour qu'elle soit assurée
Et réassurée
De plus belle,
Dans une sécurité sociale
Et amicale,
Où il ne faut pas que l'amitié
Soit à sens unique !
Car il faut donner et recevoir
Avec un pourboire,
Pour remercier son action sympathique
Et accorder en musique symbolique et pacifique,
Une concordance philharmonique et symphonique,
Comme entretenir une amitié,
C'est comme une fleur, il faut la cultiver !
Dans le partage et la réciprocité
Du respect et en paix,
Où il faut cultiver ce lien
Dans le bien,
Du jardin secret
En taillant les haies,
Pour ne pas cultiver la haine
Déjà que ce monde a une mauvaise haleine,
Où si ton ami te fait une fleur,
Et bien ! Offre à cette amitié une fleur !
Si tu lui envoies des fleurs,
Pour récompenser cette amitié de valeurs
Avec du pur bonheur,
Comme entretenir une amitié,
C'est comme une fleur, il faut la cultiver !
Et l'arroser avec de l'eau,
Pour ne pas que l'amitié prenne l'eau,
Mais aussi dire allo ! Hello ! Et l'eau !
Je prends de tes nouvelles
En sortant du lot,
Pour savoir si ta vie reprend de plus bel
Avec du soleil,
Et si tu lui chantes des ritournelles
Pour faire un tour sur le carrousel
Depuis Cadet Rousselle,
Où on ne marche dans ton manège
Si tu t'en sers en sortilège,
Et avec sacrilège
Comme d'un privilège,
Pour rendre la vie impossible
A ta famille
Et à tes amis dont ils fuient ta compagnie,
Car tu pètes souvent les fusibles !
A te sentir parano
Et mégalo,
Alors que ta vie, ce n'est pas un méga lot,
Comme entretenir une amitié,
C'est comme une fleur, il faut la cultiver !
Avec ardeur et légèreté,
Car même si ta vie est lourde,
Mieux vaut que tu ailles à Lourdes !
Pour l'alléger,
Et faire en sorte que ta souffrance soit sourde
Et ainsi la redémarrer avec soin,
Où tu auras de nouveau
Le béguin,
Avec un festin
Qui te ramènera du ciel,
Des plats distingués
Pour rassasier ton palais,
Qui te mettra l'eau
A la bouche,
D'autant que tu déboucheras
A la louche
Le champagne
Après en avoir fait toute une montagne
De tracas,
Car enfin,
Tu sembles avoir compris
Que pour gagner des amis
Dans ta vie,
Et afin qu'ils ne fuient ta compagnie,
Il faut que tu mettes de l'eau
Dans ton vin
Avec des délices divins,
Car si tu veux que tes amis
T'envoient des fleurs,
Et ben ! Fais-leur une fleur !
En leur offrant une fleur,
Que tu cultives avec candeur
Et ferveur,
Dans le lien
Et dans le bien,
O' combien
Bon samaritain,
Pour garder tes bons copains
Comme entretenir une amitié,
C'est comme une fleur, il faut toujours la cultiver !
Jérôme de Mars
Mieux vaut avoir des remords que des regrets !
Même que la mort, on ne peut l'éviter,
Mieux vaut avoir des remords que des regrets !
Car le jour où on sera face à Dieu
Dans les portes des couloirs du temps,
On devra lui rendre des comptes, de si on était méchants
Ou gentils, à propos de nos actes qu'on aura commis
Tout au long de notre vie, insidieux ou valeureux,
Qu'on soit malheureux ou mâles heureux
Dans un monde qu'on aura porté en nous pluvieux ou plus heureux,
Qu'on espère le plus possible dans la bonté et la clarté,
Car même que la mort, on ne peut l'éviter
Mieux vaut avoir des remords que des regrets,
Car le jour où on sera morts, on sera face au jugement dernier
De si tu iras au paradis, en enfer ou au purgatoire,
Selon ce que tu auras fait dans ta vie sur Terre
Dans l'éclaircie ou dans le brouillard,
Que tu sois hagard ou au clair
De ta lumière à rassurer les gens dans ta chaumière,
Où souviens-toi ! Fais quelque chose de ta vie
Pour que tu sois ébloui, et que tu t'en réjouisses d'être épanoui !
Dans un monde, où les gens sont tout ouï que tu y crois inouï
A porter des valeurs qui sont tout à ton honneur,
Et qui sourient à ton bonheur,
Car ainsi si tu fais le bien !
Il t'arrivera quelque chose de bien
Pour toi et ton prochain,
Où il est préférable que tu te serves de tes qualités
Pour en faire un tremplin
Vers davantage de respect et de paix,
Pour que tu sois en paix intérieure,
Quoique fasse le monde extérieur si jamais
Il est moqueur ou aguicheur !
Mais dont toi tu gardes ta loyauté
Auxquelles tu renouvelles tes fidélités et tes amitiés,
Car même que la mort, on ne peut l'éviter !
Mieux vaut avoir des remords que des regrets !
Pour demeurer en paix avec Dieu et les cieux,
Que tu passes du temps fastidieux, capricieux
Ou harmonieux, où tu restes obséquieux et poli,
Quoique ce que te fait subir la vie,
Où soit tu baisses les bras !
Soit tu continues tout droit !
Où certes, partout où tu iras,
Tu ne changeras surtout pas le monde tel qu'il est aux abois !
Mais où tu as le choix t'apporter ta modeste contribution,
Quelque soient les déboires
Et où tu auras pour rétribution de la gratification,
Car ce n'est pas la mer à boire,
Même que c'est une goutte d'eau dans l'océan,
Où tu jettes l'encre dans cette mer de poèmes
Pour que tout le monde t'aime,
Avec pour te calmer les nerfs, un petit vent te rassurant
Et te réassurant vers le bien,
O' combien rafraîchissant et auquel tu tiens,
Car même que la mort, on ne peut l'éviter !
Mieux vaut autant avoir des remords que des regrets !
Jérôme de Mars
Entre l'amour et l'amitié
Aux frontières
D'un jardin d'hier,
Y a de la matière
A s'interroger bipolaires,
Qu'y a-t-il entre l'amour et l'amitié ?
A part songer de si la frontière est étroite
Ou très droite,
Où l'on ne sait différencier ces deux domaines
Entre la fatalité et l'espérance, où l'on se démène
A comprendre l'aléatoire et le linéaire,
Entre l'amour et l'amitié
Et de si c'est si étranger d'éprouver
Ces deux sentiments,
Entre ressentiment et assentiment
De tout un chacun,
Qui peut un jour ou l'autre
Le croiser sur son chemin,
A savoir de si on se vautre
Ou si on prie à Dieu et à ses Apôtres,
Entre l'amour et l'amitié
Où le premier, tu aimes avec le sexe,
Et où le second tu adores cent sexes
Dans la génération unisexe
Avec ou sans complexe,
Génération qui en jouit ou sacrifiée
Par les préjugés en guise de camouflets,
De préférence peut-être platonique
Et iconique ,
Très asexuée
Entre l'amour et l'amitié,
A savoir une période faste
Ou une période chaste,
Ou entre les deux iconoclastes
Pour sortir des sentiers battus,
Après avoir débattus
De ces sujets de société
Sur fond d'à peu prêt,
Où les deux sont si proches
Avec sous sans anicroches,
Où il risque toujours
A chaque jour
D'avoir une décroche,
D'un croche-pied
Pour tomber dans un guêpier ,
Entre sincérité
Et mauvaise volonté,
Et entre l'amour et l'amitié
De souffrir,
Ou de ragaillardir
Parmi les vivants
Après un séjour dans le néant,
D'où à la fois
Sans mauvaise foi,
On questionne, on déraisonne,
On raisonne et on sermonne
En allant au fond
Des choses, entre passion
Et friction,
Quand la réalité rejoint la friction
Du rationnel à l'irrationnel,
Où pour garder la raison
Dans son cœur,
Mieux vaut sans doute
Coûte que coûte
Faire une oraison
Au ciel,
Pour connaître quelques bonheurs
Spirituels après avoir eu des relations
Irrationnelles et charnelles,
Avec des demoiselles
Dans des questions
Essentielles, pour mettre du miel
Dans le fiel,
D'où en joue finale,
On joue la marche nuptiale
Et amicale,
Pour passer de l'ambiguïté
A de grandes vérités,
Qui affirmera à la longue
Et dans un ping-pong,
Avec une bouche verbale
A l'oral,
De si ce nouveau moyen d'expression
Fera bonne ou mauvaise impression
Avec en une du journal,
Réconciliation, résignation, ou extinction ?
Des aléas de la relation
D'affections de longue durée,
Ou en manque d'affections endurées, en durée,
Dans la filiation ou l'affiliation
D'une sécurité sociale
Ou fatale ?
Entre l'amour et l'amitié.
Jérôme de Mars
Tout le monde me dit : " On verra " !
Bon pied, bon œil !
Tout le monde me dit : " On verra " !
Mon œil en trompe-l’œil !
On en verra, on enverra
De quoi te rincer l’œil !
Pour pécher par orgueil
Toutes tes frustrations,
Qui font
Que tu fais cavalier seul
Sur ton fauteuil,
Après le deuil
De ta mère
Depuis belle lurette,
En épargnant ton père
A la caisse d'Epargne de l'écureuil,
Où tu n'as que des noises
Sur ton ardoise,
Avec des dettes
De pourquoi ,
Tout le monde me dit : " On verra " !
Mon œil en trompe l’œil !
On en verra, on enverra
De quoi te rincer l’œil !
Avec l'alarme à l’œil
Pour pécher par orgueil,
Ce qui fait que par désillusions
Tu fuis les civilisations,
Où tu es seul
Sur ton fauteuil,
A pleurer le deuil
De ta mère,
A espérer la rejoindre
Au ciel, pour joindre
L'utile nécessaire,
A l'agréable sans commentaires,
Pour tout mettre sur la table
De ce qui t'accable,
Dans l'ineffable
Avec des paroles affables,
Où tout le monde arrêtera
De me dire : " On verra " !
Mon œil en trompe-l’œil !
Le jour où tu enverras, tu en verras
Sans péché d'orgueil
Et sans te rincer l’œil !
Où tout le monde me dira :
" On te verra
A Bonneuil " !
Bon pied bon œil !
Jérôme de Mars
Les gens à problèmes font des belles histoires !
Histoire de rien à dormir debout !
Si au bout du conte,
On escompte
Les vraies gens, on attend qu'ils soient doux
Et des gentils fous,
Car plus on est de fous !
Plus on rit sans garde-fous !
Et c'est de là rédhibitoire
Qu'on voit comme dans un théorème,
Que les gens à problèmes
Font des belles histoires !
Au bistrot
Avec les potos
Du comptoir,
A refaire le monde avec des si
Comme si, ils étaient assis !
En mangeant leur pain noir rassis,
Où c'est souvent les gens à problèmes
Qui font des belles histoires,
Entre des je t'aime,
Où tout le monde sème
Comme un totem,
Et des problèmes
Où plus personne ne s'aime
Qui finit en requiem,
Alors que le mieux, c'est le carpe-diem
D'un monde avec plus de bohème,
Pour peindre le purgatoire
En un exutoire
Avec des cabris de couloirs,
Où ainsi, grâce au pouvoir
Des parloirs
Et au réservoir d'histoires,
Tout le monde sème
Et parsème,
Avec en abreuvoir
Un grain de folie,
Où tout le monde s'aime
En cultivant de la poésie,
Car c'est de là
En brillant aux éclats,
Que les gens à problèmes
Font des belles histoires.
Jérôme de Mars
T'as tout ! ?
Papa, rappelle-toi des Trente Glorieuses ! ?
Où la vie semblait plus heureuse,
Mais dont tu me répéterais
De quoi te plains-tu ?
T'as tout ! ?
Mais dont le problème,
C'est que je n'aime
La vie qui est un éternel recommencement,
Où je m'ennuie inopinément
Et profondément,
Si bien que je me tus
Peu à peu,
Et à petit feu
Dans la loi du silence,
En demandant
Et en affirmant,
Sûr à Jérôme
Avec quelques ignorances,
T'as tout ! ?
Même si quand je prends
Un café,
Ca a l'air de me mettre de l'arôme
Qui avec un tatoueur
Me demande expressément ,
Un expresso s'il te plaît ! ?
Et veux-tu qu'on te tatoue ! ?
Mais dont je réponds,
Avec émotions,
Je ne sais vraiment !
En me raisonnant
Jérôme dans la vie, si t'as tout ! ?
A moins qu'il te manque
Au bord de la mer une calanque
En souvenir de tes grands-parents,
Dont tu te rappelles enfant !
Mais que ça paraît bien loin !
Ces années d'avant,
Et dont j'ai besoin
De récolter un peu de tendresse
Et de liesse,
Car après les remords, les re-morts,
Rien de tel que du réconfort,
Pour reprendre goût à la vie
Avec un féroce appétit,
Et qu'elle me tatoue
En chansons
Et pour de bon,
Enfin, t'as tout ! ?
Jérôme de Mars
Le soleil décroche la lune
Jour le plus long en été,
La saison des amours a récité
Au bercail quelques vérités,
Qui résument bien les attentes
Du temps en tourmentes
Avec les mêmes rituels,
Dont les habitudes sempiternelles
Provoquent la fureur des dunes
Dans une pente descendante,
Quand le soleil décroche la lune
Qui va punaise droit dans le mur,
A espérer une rature
Pour jeter en pâture
Toutes ses frustrations pénétrantes,
Qui murmurent près de la nature
Qui veut que la voie soit un long fleuve tranquille,
Pour que le soleil décroche la lune
En une d'une ville qui envoie des fleurs,
Avec des p'tits bonheurs
Du quotidien dans le ciel mélodique,
Où malgré que le temps a des lacunes
Autant être long à la détente
Avec le parfum mélancomique,
Qui rappelle les bizarreries
Et les rêveries
Sur les bancs publiques,
Comme le chantait si bien
Georges Brassens boute-en-train,
Avec d' la poésie plein les tiroirs
Dont le reflet du miroir,
Est de sertir
Et de sortir les plaisirs
En une des tunes,
Qui prennent pour argent content
Toutes les mélodies de I-Tunes,
Qui s'écoutent au printemps
En chantant la vie des dunes,
Quand le soleil décroche la lune
En une qui récolte des prunes,
Comme fruit de son travail
En venant du sérail,
Qui chante que la vie des bons dieux
Hébergent à l'autel tous leurs mots radieux,
En quête d'un monde meilleur,
Ailleurs et enjoliveur
De cieux capricieux,
Qui songent harmonieux
A croire encore en l'esprit
Subtil et fragile,
Que les voix du seigneur
Rendent volubiles
De par la parole de Dieu,
Dont ainsi en rêves fabuleux,
On imagine en mieux
Un monde sans lacunes,
Avec en une
Des mélodies de I-Tunes,
Qui fredonnent en paroles de tunes
Des vertus qui promettent
La tête dans les comètes,
Avec en une des dunes,
Le soleil qui décroche la lune.
Jérôme de Mars
La gauche caviar
Gauche caviar,
J'ai bobo
Pour les bobos,
Car la famille Bedrossian
N'aime la gauche caviar
Petrossian à bon escient,
Car la gauche caviar
Fait salon à part
Dans une BO,
Qui singe les bonobos
Des bobos,
Qui ont bobos
De la riche gauche caviar
A la pauvre droite cassoulet,
Où l'on ne sait
Si c'est la pauvre gauche
Riche de la droite,
Ou l'inverse,
Car l'un verse
De la riche gauche
A la pauvre droite,
Où c'est un sacré casse-tête
Toutes ces étiquettes,
Qui ne veulent plus rien dire
Pour l'avenir,
Où parfois, les riches
Ont le cœur à gauche,
Dont ils défrichent
En prenant le gauche,
Car ils ont le portefeuille à droite
Et quelquefois les pauvres,
Ont le cœur à droite
En prenant à droite le gauche,
Et en s'éprenant à la droite de la gauche
A gauche de la droite
Complètement gauches,
De la droite à la gauche,
A gauche de la droite,
Et un gauche de la droite,
Dont la famille Petrossian
Vote pour la gauche caviar à droite,
Et la famille Bedrossian vivote
En prenant le gauche caviar à droite,
De la gauche caviar
A la droite cassoulet,
En ayant le cœur au centre,
Dont on recentre le tout
Dans un joli fourre-tout,
De la gauche qui donne une droite
En prenant le gauche caviar
A droite complètement gauche,
De la droite cassoulet
A la gauche caviar.
Jérôme de Mars
Oh ! Revue que ça presse !
Papier journal, il est temps de faire une revue de presse, oh ! Revue que ça presse ! Comme en France, on nous presse comme des citrons, avec ce texte doux-amer où j'envoie des piques pressées comme du citron acidulé aigre-doux, dans ce monde de fous sans garde-fous, comme avec la mort de Guy Bedos et de Jean-Loup Dabadie récemment, où Guy Bedos tenait paroles pour nous faire rire en voulant donner un droit au logement à tout le monde dont il n'était pas si étranger que ça, car sérieux ?! C'est pour rire ?! Alors qu'avec Jean-Loup Dabadie, on prenait tout à la lettre en buvant ses paroles, pour nous réenchanter la vie à la fois triste et joyeuse avec ses effets mélancomiques, où en ce moment, avec le Coronavirus, on met un masque pour ne pas que les gens nous prennent en grippe, si on s'agrippe aux potos ( poteaux ), où Jean-Marie Bigard de par son nom de boucher, a trouvé le moyen de se griller en se lançant dans la politique, sans nier qu'il pouvait peut-être se présenter en 2022 aux présidentielles en faisant de l'apolitique, car s'il persiste dans cette voix-là, il aura trouvé un débouché si jamais d'ici là, tout tombe à l'eau ! Et qu'il se fait viander de par sa personne par des criminels, où ça risque de lui en boucher un coin si jamais, il est victime d'un attentat Jean-Marie Bigard, où l'on affirmera que c'est un boucher qui a commis ça ! Bientôt, on ira voter d'ici un mois pour le second tour des Municipales, mais la maire ( l'amère ) dans tout ça, c'est qu'on a déjà fait le tour des municipales le 15 mars dernier dont moi, Jérôme de Mars, je dis et redis que si on avait eu une piqûre de rappel, contre la rage des gens en faisant appel à un pasteur, on aurait trouvé la paix intérieure, avec des prières pour que le premier tour des municipales se passe dans de bonnes conditions sans Coronavirus, où l'on aurait vite fait le second tour dans la maire en élisant soit à Paris, Rachida Dati ou Anne Hidalgo, même qu'Anne Hidalgo a des petits vélos dans une déroute ( des routes ), car en fête, comment voulez-vous qu'on soit positifs avec le Coronavirus ?!, comme on est obligés d'être négatifs, pour ne pas l'attraper en farces et à trappes, où tout fout le camp de déconcentration avec les dérapages d'Eric Zemmour, qui fait monter le rassemblement national des Français, avec en affront national l'horizon 2022 dégagé pour Marine Le Pen, même si là Marine le peine mon mal de mère, comme à L'ESAT de Vitry avec Les Amis Dur Atelier ! Comme décidément, la vie est dure maintenant ! Où la parole est d'argent contant, et le silence et dore à tomber aux oubliettes dans la loi du silence ! Même si la vie est un facteur de risques de ce que l'on poste sur Facebook en prenant tout à la lettre comme moi, je ne m'en cache pas ! Ainsi si je cultive la haine, autant tailler les haies ! En cultivant bien son jardin secret autour du bien, même si on se donne du mal pour y arriver à l'amour en vers tus ! Oh ! revue de Presse ! Oh ! revue que ça presse !
Comme un citron pressé !
Jérôme de Mars
Bain de foule
Bain de foule,
A minuit !
C'est un bain de mes nuits,
En se mettant à nu
Dans un bain de minuit,
Où l'on s' défoule,
Et s' foule,
Quand le bain de foule
Nous refoule
Et que motus,
On est bouche cousue !
Quand on est le fœtus
D'une vie digne d'un bain,
A Digne-Les-Bains
Dans un bain de foule,
Qui nous défoule,
Nous foule,
Et nous refoule
Le bain de minuit,
Du bain de mes nuits
A Aix-Les-Bains,
Comme un ex les bains
Douche, qui bouche
Les Bains-Douche,
Avec une douche froide
Et Ecossaise,
Qui débouche
Le champagne au bivouac,
Avec un quad
Dans une espèce de couac
En une traversée du désert,
Qui dessert
Oh ! punaise !
Délit qui fait monter la mayonnaise
D'un bain de foule,
Qui refoule
Ce qui ne rentre dans le moule,
Qui défoule
Et foule
Le bain de minuit,
Du bain de mes nuits
Qui met à nu,
Quand ingénus,
On tombe des nus
A Enghien-Les-bains,
Pour gagner en gain
Les Bains-Douche,
Dont on bouche
Les ex-Bains-Douche,
D'Aix-Les-Bains
A Digne-Les-Bains,
En prenant dignes des bains douche
A Enghien-Les-Bains,
Avec en gain les bains de minuit
Des bains de mes nuits,
D'où l'on se jette vers l'inconnue
Avec des vers hein connus
De la rue à l'avenue,
Bienvenue et advenue !
Eh ! ben qui défoule,
Et qui refoule,
Et ! bains qui foulent,
Du bain de foule.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que fait une femme pour ne pas s'en laver les mains de son petit ami ?
- Elle l'astique !
2) Que répond une femme qui veut tomber enceinte à son mari énervé au moment où il s'apprête à éjaculer pour le calmer ?
- Laisse couler !
Jérôme de Mars
Parlons de la pluie et du beau temps !
Météo, tenez-nous au courant !
De s'il y a de la pluie et du beau temps !
Car souvent, c'est du vent !
Si l'on va dans le sens ou dans la direction du vent,
Avec des vents d'ange
Et des vents de tramontane qui nous arrangent,
Si le soleil est au rendez-vous !
Et que c'est notre garde-fou ! Durant tout ce temps
Que nous parlons de la pluie et du beau temps,
Pendant longtemps dont cependant,
Auparavant, on prend du bon temps !
A passer du temps au fur et à mesure que le temps passe,
Autant passe et trépasse depuis bien longtemps,
Dont OTAN faire la paix ! S'il n'y a pas de nuage
A l'horizon ! Et que nous parlions surtout de la pluie
Et du beau temps pour faire chanter
Et enchanter partout les oiseaux sur le balcon,
Qui jette un vent de tramontane,
Avec des bourrasques de vent qui brisent
La brise devant, avec des bises en vendant du vent,
Avant la fin des temps des temps modernes
Avec effet boule de neige dans les neiges éternelles,
Si la pluie se met à pleuvoir et à pleurer toutes les étincelles
Du soleil coulant de sa fièvre jaune,
En prenant sa température, quand nous parlons
De la pluie et du beau temps, en prenant tout
Au premier degré, avec de temps en temps
Du second degré en jetant un froid,
Avec des coups de chaud et en étant en froid
Avec la chaleur humaine, car après la tempête,
Le calme ! Dans un ciel partiel, par ciel,
Avec un arc en ciel dans un gratte ciel,
Qui gratte le ciel au ciel des remords
Pour livrer dans les temps,
Davantage de soleil, car après la pluie,
Le soleil ! En gros titre et en une de la météo
Dans la lune, car il n'y en a qu'une, c'est la lune !
Quand nous parlons sans interruption
De la pluie et du beau temps.
Jérôme de Mars
Je casse des vers
Casse du siècle
Je casse espiègle,
Comme un aigle
Aux ailes brisées,
Dont je casse des vers
Et je concasse avec légèreté
Une certaine liberté,
Qui me tracasse avec impureté
Que je fracasse avec plus d'humanité
Et amabilité,
Dont je suis habilité
A manier avec habileté
Toute la dextérité,
Que me procure contestataire
Ma liberté d'écrire statutaire
Et tutélaire,
Avec ma liberté de penser charnière
Où je me livre avec charnières,
Dès que je casse des vers,
Et que je concasse avec gravité
Toute ma vie, qui me tracasse dans la loi de la gravité,
Où j'y perds des plumes quand je fracasse le centre de gravité,
Que j'ai habité imprégné, pendant des années
Dans mon fort tempérament de vif écorché,
Où je plume de mon pelage d'oiseau
Mon duvet de mes noms d'oiseaux,
Car je sombre dans les gros mots
De mes trémolos, dans une solitude en solo
A regarder dans le rétro,
Où pour exister de façon plénière,
Rien de tel que je glisse les revers
Dont je casse des vers,
Et je concasse toute la matière
De ma poésie que je tracasse sommaire,
Dont je fracasse volontaire
Avec des noms complémentaires, élémentaires,
Supplémentaires et subsidiaires,
D'où je tire ma révérence
Dans la loi du silence en somnolence,
Avec en guise de délivrance
Le maintien d'une forme d'indépendance,
Dont je m'émancipe et je m'affranchis
Avec franchise comme je franchis,
Les limites très limites de la ligne jaune
Dans la flore et la faune,
Aphone d'avoir trouvé ma voix
Dans ce registre-là,
Dont je concasse les revers
Qui me tracassent avec l'art et la manière,
Car je fracasse avec ma hargne ordinaire
Tous mes vieux démons prospères,
Dont je casse des vers, gamme aux vers.
Jérôme de Mars
Tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs !
Tragédienne de l'époque Freudienne,
Comme dans une comédie Italienne,
Tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs !
Avec une vision mélancomique
De la vie avant que ça finisse en tragique !
Mais dont il faut en profiter
Pendant les courts instants magiques,
Déjà que le soleil préfère se coucher
A l'aube avec un cancer de louanges,
Tu meurs, que tu sembles connaître
Par cœur au bout du saule pleureur,
Car la vie, c'est à la fois, du paraître
Avec pudeur,
Et de voler de ses propres ailes d'ange,
Comme tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs !
Entre joies, peines, frustrations et petites victoires
Dans une vie soumise aux micros-trottoirs,
De si la vie est un dépotoir
Ou une odeur de Sainteté,
Pour te raccrocher à Dieu
Avec les bleus
A l'âme du vague à l'âme de la vie qui semble rasoir,
Avec une lame à émouvoir tranchoir
Les mouroirs à la fin des longues histoires
Qui se terminent en pièce de Boulevard,
Car tout a une fin avec une espérance de candeur
Pour rejoindre les cieux
Avec pour message fabuleux,
Tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs !
Entre deux lueurs
D'espoir et de cafard,
Car la vie est schizophrène !
Et fait prendre du Tranxène
Pour calmer ses bleus à l'âme anxieux,
Qui rongent de l'intérieur
Plus vieux,
Et en profondeur
Alors que faute de mieux,
Rien de tel qu'un peu de bleu
Dans un ciel radieux,
Car le jour où Dieu
Nous rappelle, on est harmonieux !
Pour un sommeil éternel sur notre pieu
Copieux et pieux,
Avec pour refrain réconciliateur
Que le meilleur est à venir mâle heureux !
Afin d'accepter le début de la vie
Dans les cieux,
Après une vie sur Terre à se ronger
Le corps douloureux,
Malheureux et pernicieux
A la fois vicieux et vertueux,
A vouloir respectueux
Et à songer à un avenir meilleur
Dans les cieux,
Car que tu le veuilles beaucoup ou peu
Tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs !
Jérôme de Mars
Je prends un café court
Concours de café frappé,
Je prends un café court
Allongé étiré, dont je bois
Les paroles qui courent,
D'où je me livre Goncourt !
Car je prends un café court,
D'où je m'enivre au long court
Et où je me livre au Goncourt,
Car je prends un café court
Qui résume mon parcours,
Et dont en cours, encours
Pour faire court métrage,
Dont je fais un café frappé
Et allongé au long cours,
D'où ça va tourner court
Kilométrage dans un long métrage,
Car je prends pour faire cours
Un café court.
Jérôme de Mars
Le serpent a sonné
Venin de mon acide colère,
Je crache mon dédain
Que je vocifère
Avec une crème brûlée,
Carbonisée avec une vendetta
Désamours que j'embrase
Avec dépit,
Dès l'agonie
De ma langue de vipère,
Quand le serpent a sonné
Avec le serpent qui danse,
D'après Charles Baudelaire,
Téméraire, à en extraire
Tout ce putain
De trafic immense,
Fluide dans une déroute,
A redondance qui a sonné
Le glas
Des routes en banqueroute,
Quand je rase
Les murs avec des baguettes
Magiques, qui me mènent à la baguette,
Quand le serpent à sonnettes
A sonné
Et désarçonné le ricochet
De la langue écorchée,
Qui a écorché
La langue de molière,
En tirant la langue à la cuillère
Avec un service à la cuillère,
Quand le serpent a sonné
Que des remontrances
Avec insignifiance,
Dès que le serpent qui danse
Récolte le ver
A moitié plaint,
Et à moitié plein
Livide, vide,
Limpide et aride,
Quand le serpent a sonné
Et a klaxonné
Qu'on met les choses au clair,
En ayant besoin
De lumières,
Pour rallumer les tanières
Et ne faire pleurer
Que les chimères,
Dans les chaumières
De mille manières,
Quand le serpent a sonnettes,
En tirant la langue de Molière
Fait la cueillette,
Quand je crache mon venin
Sous le dédain
De la colère,
Dont je réclame avec ces derniers vers
Davantage de vers sévères, ces vers,
Après avoir versé vers, vers ces vers,
Si bien que je me mets aux vers
En vers de terre,
De pareille misère
Avec les œillères,
Quand le serpent qui danse
A sonné
Et désarçonné
Ces sonnets,
D'après Charles Baudelaire
En contre dense
Protocolaire, d'où pour achever
Ce récit prolétaire,
Je termine dans du terre-à-terre
En des unis vers,
Quand le serpent a sonné
Et résonné,
Complémentaire sur La Terre !
Jérôme de Mars
Sur la pointe des pieds
Avec un chausse-pied
En chaussant ses pieds,
On pose pied
A terre sur un pose-pied,
Où l'on perd pied,
Car l'on cherche chaussure à son pied
Pour retomber sur ses pieds,
Sur la pointe des pieds
En prenant son pied,
Avec un pied
A-terre de pied
Ferme, où l'on fait un contre pied
D'un appel du pied,
Pour partir d'un bon pied
En faisant un pied
De nez au passé à pied,
Casse-pied,
Pour casser les pieds,
Dans un gai pied,
Pour partir sur la pointe des pieds.
Jérôme de Mars
De l'eau à mon moulin !
L'être de mon moulin,
J'apporte de l'eau à mon moulin !
En faisant tourner mon moulin,
Avec de l'eau et du vent bien avant
Et avec un éventail auparavant,
Dont ce n'est pas un moulin avant
D'habiter dans cet endroit-là !
A cause de mon état,
Qui sent le patelin
Bien paumé,
Et embaumé
Dans du purin,
Avec comme embarras
Du choix de boire la tasse
D'eau, en tirant la chasse
D'eau, fausse sceptique
Avec mes coliques névrotiques,
Où face au mal être de mon moulin,
Je mets de l'eau dans mon moulin !
Pour qu'il tourne bien !
Et allo ! car ce n'est plus le chaos !
Mais un joli lot
Dont grâce au vent,
Je sors du lot !
Au par avant, avenant et allant
Dans le sens du vent d'un paravent
En un magnifique conte de Noël,
Qui ne sera la mère Cruelle,
Où j'apporte de l'eau à mon moulin !
En y mettant ma pierre à l'édifice,
Sans artifice mais avec malice
Et sans maléfice, quelque soit
Les avants en prenant les devants,
Pour évoluer du chacun pour soie
Au chacun pour soie, sursoie, sur soi,
Ainsi soit !
Pourvu qu'avec la vie, je franchisse
De grands pas !
Avec éclats,
Dont avec mon mal être à mon moulin,
Je mets de l'eau et du vent à mon moulin !
Pour que je me retourne bien !
Et ainsi, pour que je puisse
Bien renaître et être de nouveau bien
Dans mon moulin,
Quand j'apporte du bien être à mon moulin !
Avec l'être de mon moulin.
Jérôme de Mars
Faites du carnaval cet été !
Sapin de Noël en été,
Ca ne sent le sapin !
En cette période
Déballe masquée,
Où faites du carnaval cet été !
Pour que personne
Ne s'enguirlande,
Et n'ait les boules !
Même que ce n'est Noël
En été ! Donc mettez un masque
Cet été ! Pour masquer
L'appel de la forêt,
Et que vous passiez en paix,
Un bon Noël en faites
De faim damnée !
Car par avances surannées
De vos vacances sur années,
Faites du carnaval cet été !
Jérôme de Mars
Je suis dans un état is slam hic !
Mimiques avec mes tics,
Pathétiques, pas tes tics,
A rythme mes tics
Arithmétiques,
Je ne calcule
Personne,
Comme je me radicalise
Et que je généralise
Mes vocalises,
Que je confectionne
En fascicules,
Car je suis dans un état is slam hic !
Hypothétique, symptomatique,
Et systématique,
Comme je suis dans la dèche
Avec D'Ardèche,
Où ce slam,
Je le clame
Dans tout ce ramdam
Avec au programme,
Des nouvelles dépêches,
Dont je me dépêche
De regarder revêche
Mes antisèches,
Où j'envoie des piques épiques
En mouillant ma chemise
Sans remise,
Avec les piques exotiques
Des moustiques tropiques,
Qui m'astiquent
Pathétiques, par tes tics,
Pas tes tics,
Où en prenant mes clics
Dans un des clics, déclic,
Je suis dans un état is slam hic !
Où le seul hic
Dans tout ça à ma vie
Qui dérive à l'ennui,
Est une agence tous risques
Avec des assurances d'astérisques
Et réassurance tous risques,
Dont au plus profond
De moi
Et de mes parois,
Je confonds
Le terrorisme
Et l'hégémonisme,
Et je me morfonds
Avec l'héroïsme
Et l'égoïsme,
Sur fond
De teint d'idéalisme
Atteint de fatalisme,
Entre immobilisme,
Populisme
Et cataclysme,
Dans un tréfonds
De mélo-drame
Dans ce slam
Epique
Qui me mène et pique
A la baguette magique,
D'où je généralise
Et je me radicalise
Avec mes vocalises,
En posant mes valises
De détresse,
D'où je stresse
Et je m'enlise
En étant dans la dèche
Avec D'Ardèche,
Certainement la cause systématique,
Symptomatique, automatique
Et aromatique
Par tes tics,
Pas tes tics pathétiques,
D'où au final
Et de façon frontale,
Je suis dans un état is slam hic !
Dont c'est le seul hic !
Jérôme de Mars
Quel cirque !
Sous le chapiteau, on jongle avec le temps
Sur un fil d'équilibriste funambule,
Dans de la haute voltige sans filet
Avec des acrobates qui jonglent maboules,
Et qui ont les boules
Dressées pour apprivoiser les dompteurs
Comme des lions fauves en cage,
Où dans quel cirque on a embarqué
Et débarqué pour mener sa barque,
Avec des félins qui peuvent se dompter
A l'état sauvage pour les dresser contre les
Contorsionnistes, sans faux mouvements
Dans un grand corps pas malade,
D'où on joue avec le feu et les acrobates
Dans un numéro d'équilibriste sans perdre le fil,
Pour trouver son équilibre funambule,
D'où l'on balance haut ! Quel cirque !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-que le préfet de Paris ne parle-t-il pas le même langage que Les Français ?
- Parce-que Didier L'Allemand !
Jérôme de Mars
Le droit et le devoir
Droit dans ses bottes,
On a le droit de voir
Avec le droit et le devoir,
Où il faut qu'on soit à droits
Car c'est un devoir de voir
Qu'on a le droit de voir,
Avec le droit et le devoir
Et qu'on a le devoir d'y avoir droit,
Si on a le droit de voir
Qu'on fait du droit
En devoir,
Et qu'on étudie le droit
Avec le droit et le devoir,
Dont on a le devoir d'être droit
Le temps de voir qu'on y a droit,
Quand on a le droit de voir
Avec le droit et le devoir.
Jérôme de Mars
Collection printemps, été, automne, hiver, habillée et masquée
Bienvenue dans cette collection printemps,
Eté, automne, hiver,
Habillée et masquée
Au bal masqué et bariolé,
De ce défilé très à la mode,
Où l'on raccommode
Les Français pour les habiller pour l'hiver,
Malgré ce contexte empreint tant
Dans cette époque monotone,
Mais dont on peut souhaiter en chansons
Un retour divers très à la mode et commode,
Pour qu'on raccommode
Très à la mode,
Cette collection printemps, été, automne,
Hiver, habillée et masqué jusqu'au bal masqué.
Jérôme de Mars
Ode au printemps
Un petit poème pour faire passer le temps,
Dans cette ode au printemps
Qui sent le romarin,
Le teint et le satin,
Dont s'atteint l'inclinaison
Du soleil à chaque saison
Dans cette ode au printemps,
Qui remonte le temps d'avant
A maintenant pour voir si c'était mieux
Dans les cieux,
Du temps de nos aïeux
Pour songer à un beau ciel bleu,
Dont ce petit poème qui s'achève imminent
S'arrête au bon moment,
Dès le firmament
Qui s'érode dans son talisman,
Et rôde tout le temps
Et maintenant,
Dans cette ode au printemps.
Jérôme de Mars
La réponse est dans la question ?!
" En ouvrant les guillemets, je m'exclame ! Est-ce-que la réponse est dans la question ? ! Ou est-ce-que la question est dans la réponse ?! (En mettant tout cela entre parenthèses), pour trouver une thèse ou une antithèse, où la question est : Peut-on trouver des réponses à ses questions même qu'il y a différentes réponses ? Et de quelle est la bonne question à poser pour obtenir la bonne réponse ? En ayant soit le choix dans un QCM ou soit dans un questionnaire à choix unique en démêlant le vrai du faux, où j'écris ce texte comme en jouant au point virgule; Où je me demande dans cette équation, de me faire passer le bac, en étant en adéquation pour trouver la solution à cette inconnue, dès lors que je trouverai la réponse à cette question, car la réponse est dans la question?! "
Jérôme de Mars
Brèves des confinements :
1) Si on s'en lave les mains du Coronavirus, on nous passe un savon !
2) Depuis le début du Coronavirus, on nous prend la température sans arrêt, pour qu'on prenne tout au premier degré !
3) On porte tous un masque dans la vie car sinon tout le monde nous prend en grippe !
4) Quand on trouvera le vaccin contre le Coronavirus, on nous fera une piqûre de rappel contre la rage !
5) Comme les gens ne prennent pas de gants avec nous depuis le début du Coronavirus, il faut qu'on en trouve des gants et qu'on en prenne élégants !
6) La seule chose que les humoristes vont connaître à cause du Coronavirus, c'est une crise de rire !
7) Heureusement que durant le Coronavirus, on n'a pas eu comme monnaie l'écu, sinon on aurait eu le doigt dans l'écu en récoltant la monnaie de notre pièce !
8) Les seules choses que Plantu a pu trouver comme excuses plausibles durant le confinement pour aller voir ses proches, sont des motifs impérieux, car on n'a pas besoin de lui faire un dessin à Plantu !
9) Le seul produit qui n'a pas connu de gel des prix depuis le déconfinement et à qui on peut passer un savon, est le gel hydroalcoolique !
10) Le revers de la médaille pour le gouvernement à l'issue du confinement c'est que les soignants ne veulent pas de médailles en chocolat !
Jérôme de Mars
Le concert de louanges des oiseaux en chanteurs
Perchés sur les arbres en corbeaux migrateurs,
A chaque saison correspondent les chansons
Qui rassemblent et qui ressemblent en constellation,
Quand le concert de louanges des oiseaux en chanteurs
Sont sur le perron à fredonner des mélodies petit à petit,
Des moineaux enchanteurs aux oiseaux migrateurs,
Devant la forêt qui fait office de public, dans un rappel promis
De la forêt, dont le concert de louanges des oiseaux en chanteurs
Donne du grain à moudre, dans un moulin à vent lors d'un palmarès,
En variétés et diversités des oiseaux qui ont la clope au bec,
Et qui entonnent sans prises de becs, des rythmes secs
Dans un tempo d'harmonie, qui retentit en un pataquès,
Où le roi lion comme un lion dans sa cage, attend que les clignotants
Mouvants, se mettent aux vers dans un tournant à quatre temps,
Comme les quatre saisons de Vivaldi,
Hiver, printemps, été, hiver dans une collection très à la mode,
Où les oiseaux font cuit-cuit,
Dont ça ne leur passe de mode de la lumière à l'ombre, qui taraude
Dans une ode quelques épaisseurs
Dans un gant de velours, dont on mélange
Des vies d'ange en mésanges,
Lorsque le concert de louanges des oiseaux en chanteurs
Met en orbite les lucioles, les hirondelles et les tourterelles,
Et leur fait un rappel,
Pour savoir si viendront-elles !
Au retour des gentils vents d'ange avec leurs porte-jarretelle,
Concernant la bagatelle de l'amour pendant le printemps,
La saison de l'amour,
Où arrive le tour
Du troubadour oscillant sans tambour ni trompette,
Mais avec ses différentes facettes
En un festival prestant et fringant,
Avec en signal fédérateur, réanimateur
Et avec chaleur
De l'eau bénite,
Dont le soleil lévite
A son zénith,
Le concert de louanges des oiseaux en chanteurs.
Jérôme de Mars
Comme un château de sable
Cartes sur tables,
Je joue cartes sur table
Comme dans un château de cartes,
Où j'ai peur que tout s'écroule
Sur la table,
Comme dans un château de sable
Avec des coquillages,
Sur la plage
Dans mon jus de rêves,
Des cauchemars
Aux rêves bercés de fausses illusions,
Où comme René Descartes,
En proclamant, je pense donc je suis !
Me fait comprendre qu'il ne faut
Se reposer sur ses lauriers roses,
Où si j'y panse, donc j'essuie !
Ma piscine qui déborde,
Quand tout tombe à l'eau !
Et que ça borde et saborde
Le pot aux roses dans la nécrose
De mes névroses,
Entre sinistrose
Et overdose
De mes mots, aux vers dosent,
Comme sur un toboggan,
Où ça glisse tout doucement !
Comme un paquebot échoué
Au fond de la mer,
Où je lance une bouteille à la mère
Pour vider l'encre de la mer,
Et la remplir de poésies douces amères
En lettres incendiaires,
Où j'ai envie que sa présence
Ne me manque
Pour ne pas être en chiens de faïence,
Et qu'elle ne me démarque
Dans une chienne de vie d'opulence,
Pour qu'en énarque
De la langue de Molière,
Elle me tire les vers
Du nez en tant que monarque,
Où elle m'inspire ses lueurs de clarté
Comme un château de sable,
Où tout s'enroule dans l'ineffable
Comme une fable à fable,
Où fontaine, je ne boirai ton eau !
Tant qu'elle demeurera en quiproquos
Et dans le statut quo,
Dont mes larmes de cristaux
Sonneront l'alarme du chaos
En un mal adroit de veto,
Où je reprendrai un apéro
Avec la mer,
Dès lors qu'elle aura mis de l'eau
Dans son vin,
Devin en 2020,
Année où la langue de ma mère
Ne sera une langue de vipère
Avec pour venin,
Tout le béguin,
Comme un château de cartes
Qui tirera au hasard la bonne carte
De René Descartes,
Car si j'y pense, donc j'y suis !
Comme un château de cartes
Etanche et insubmersible,
Au-delà du possible,
Bien après les sables mouvants,
Mais cette fois bien résistant
Sur la table affable,
Comme un château de sable.
Jérôme de Mars
Je fais le pont !
Jours fériés,
Je fais le pont !
Sur Le Pont Neuf,
Veuf dans une forme de teuf
En dormant sous les ponts,
Si je coupe les ponts !
Sur La Seine,
Ou sous La Seine,
Si je fais le pont !
Sur Le Pont D'Avignon,
Alors que pour le pont du 1er janvier,
Je fais le pont !
En souhaitant une bonne année surannée,
Dont je fais à nouveau le pont !
Comme Monsieur et Madame Dupont
Lors de la fête de Pâques,
Où je passe de l'ombre opaque
A la lumière du 1er mai,
Fête du travail,
Où je fais le pont !
Pin-pon pin-pon,
Comme on ne tire pas sur une ambulance !
Où mai, fais-ce qu'il te plaît !
Mais mets désormais les mets,
En mettant tout à plat
Dans ces fêtes, où l'on apprend
Tout sur le tas,
Dont le 8 mai, oui mais !
Y a de l'eau qui a coulé depuis sous les ponts !
Où je fais le pont !
Du 8 mai,
Oui mais en commémorant
L'armistice sans amnistie nationale,
De la seconde guerre mondiale
En fait national,
Et en fête Deschamps
A L'internationale,
Où je prends de l'ascension
Lorsque je fais le pont !
De l'ascension, dont attention !
Et ascension ! les dégâts !
Avant que je monte en pente
Et dans une côte,
Où je fais encore le pont !
De La Pentecôte,
Vers fin mai
Début juin
Oui mais ci-juin,
En prenant six joints
Joints de l'utile à l'agréable,
Où je fais le pont !
Sans couper les ponts
Avec Monsieur et Madame Dupont,
Dans un jour neuf qui pond
Avant la fête du 14 juillet,
Où je vois tout filer et défiler
En fêtant la révolution,
Et en faisant la révolution
Surplace de La Bastille,
En mourant d'avance
Dans le chant d'honneur,
A contre-chant d'action
Sur les chants dévalisés,
Quand je fais toujours le pont !
En plusieurs fériés,
Durant toute l'année
Avant de passer des vacances,
Et que je fasse le pont !
Sur le pont d'Avignon
Ou sur le Pont-Neuf,
En allant sur La Seine
Du monde entier
Avant en fait le 15 août,
Où je fais pour toujours le pont !
De L'Assomption,
En résurrection à bout portant
Du débarquement
Avant la libération,
Où y a encore depuis de l'eau
Qui a coulé sous les ponts !
De Monsieur et Madame Dupont,
Où j'attends le pont du 1er novembre,
Comme je fais toujours par habitude le pont !
Tout sein, en ne sachant à quel sein me vouer
Avant Décembre,
Où je tremble de mes membres
En allant le jour de la Toussaint,
Me recueillir tout Saint
Sur la tombe de mes reproches,
Avec des approches
Vis-à-vis des morts
Revenant de mes remords,
Où j'en démords
Que c'est le 11 novembre,
Que je fais surtout le pont !
En ne coupant les ponts,
Ce jour neuf
Sur le pont Neuf
De mon état veuf,
Où je fais de La Seine !
Une vie qui n'est un long fleuve tranquille,
En fait de l'armistice de la première guerre
Mondiale dans une finale d'un Mondial
Des champs naguère,
Où je termine de dormir sous les ponts
Et officiellement de couper les ponts,
Le temps défaites
Avec Monsieur et Madame Dupont
Le 25 décembre,
Où je fais une dernière fois le pont !
Sur Le Pont Suspendu,
En donnant un ultime récital
De lecture de textes
Sur La Seine musicale,
Vu le contexte
Le jour de Noël,
Avec Noël, ma mère,
Conçue le jour de Noël,
Dans un mélodrame
Hyper fatal, avec ces qui dames
Sur le macadam,
Où je fais un pont d'honneur !
En vous souhaitant
De bonnes fêtes
De faim damnée,
Pour virer de bord
Sur le rebord,
Du Pont suspendu
Et pendu,
Sans ne plus jamais couper
Les Ponts,
Du Pont Neuf
Jusqu'au terminus
Sur Le Pont d'Avignon,
D'où je coupe les ponts !
Dans ce jour neuf,
Qui pond
Moi, neuf,
Dans ce baroud d'honneur,
Où y aura eu beaucoup d'eau
Qui aura depuis coulé
Et roucoulé
Sous les ponts !
A l'infini,
En dormant
Dorénavant,
Et irrémédiablement
Sous les ponts
A l'un fini.
Jérôme de Mars
Le chien aboie, le car à vannes passe !
A Vannes, la caravane passe !
Car à vannes, c'est van sur van
A Erevan,
Car à Vanne,
Le chien aboie, le car à vannes passe !
Et vanne sur vannes,
Car à vanne, la caravane passe !
Caravane, le car à vannes passe !
Car à Vannes, l'écart à Vannes
Vannent sur Vannes, car à van,
Le chien aboie, quand le car à vannes passe !
Et que la caravane vanne sur Vannes,
Quand les cars à vannes passent,
Quand le chien aboie et que le car à Vannes passe !
Quand le chien aboie car à vannes et à Erevan,
Le chien aboie, quand la caravane passe !
A Van sur Vannes car à Erevan,quand le chien aboie,
Le car à van passe !
Jérôme de Mars
Aux acolytes anonymes !
Ivresse sur la voix publique,
Nous sommes impudiques
Avec la version Satanique
Et l'aversion sadique,
Où l'on abdique
Véridiques et acronymes
En abrégé
Dans les plus brefs délais,
Où l'on va dans un condensé,
Qu'on dansait
Dans un contre dense,
Intense et immense,
En appelant avec des sigles
Et initiales,
Ce qui nous paraît primordiales
Et vitales,
Si on est des personnes cordiales
Soûles d'imposture
Et de désinvolture,
Radicales et frontales
Avec un ver de trop,
De pochtrons
Et poltrons,
Ayant pris une cuite
A la va-vite,
Eméchée et bourrée,
Aux acolytes anonymes,
Avec nos amis
Et notre famille,
Dont on décime
Ce que la vie nous écime
Dans des mises en abîme,
Où avec les revers hardis
Des paradis éperdus,
Nous sommes obtus
Et nous sommes résignés,
A nous assigner , à signer
A résidence sociale,
De nos mots ivrognes
Balancés sans vergogne,
Aux acolytes anonymes,
Avec nos amis
Et notre famille,
Ivres de colère,
Comme le bateau ivre
D'Arthur Rimbaud,
Qui frôle le chaos
Dans ces vers qui ne s'tiennent à carreau
Et qui se retrouvent sur le carreau,
Où l'on une jette une bouteille
A la mère,
Pour avoir pris notre oseille
Amer et dans un mâle d'Homer,
Comme la famille Simpson
Et l'infamie O.J. Simpson,
Où le soleil nous laisse tomber
Pour surplomber les collines
D'un monde plus clair,
Sans faire pleurer
Dans les chaumières
Depuis notre tanière,
Avec le cou du lapin
A en jeter tous ses larcins,
Du vol à l'attire qui envenime
Notre rôle à faire sans arrêt
La victime,
Certes légitime,
Mais qu'on incrimine,
Qu'on assassine
Et qu'on égratigne,
Aux acolytes anonymes,
Si on soûle nos amis
Avec des vers,
Et des revers
De poèmes,
Dans une anémie
De bohème,
En vers
De problèmes,
Si bien que malgré l'amnistie
Et l'hostie,
Personne ne s'aime,
A part semer, à sommer
Et assommer d'inhumanité
La terre entière
Dans du ter-à-terre,
Où après une bouteille
A la mère,
Rien de tel
Que le soleil,
Face à la mer,
Où l'on s'enivre,
Quand on se livre
Dans un livre ouvert
Ou vers la mère,
De l'amère
A la mer
Morte et forte,
De la sorte,
Où l'on soûle en musique
Avec un esprit pacifique,
Les amis,
La famille
Et les poètes dissolus,
Avec des vers
De bouteilles,
D'acolytes anonymes,
Et qui acronymes
Dans les plus brèves merveilles,
Clament avec l'art
Et la manière,
Qu'il faut prêter
Main forte
En ouvrant sa porte,
Afin que l'art
Se renouvelle
Avec des bouts de ficelle,
Avant qu'il ne soit trop tard,
D'où avec nos amis
Les alcooliques anonymes,
Avant que ça s'envenime
En jouant aux victimes,
Genre Caliméro
Qui est un sacré numéro,
Où l'on soûle ivres de colère
Les injustices les plus illégitimes,
Mais dont en tombeau à l'eau
Maritime et sublime,
On s'enivre
A-vau-l'eau,
Dans le caniveau
Au fond du ruisseau,
Dans un livre ouvert
Ou vers,
Avec des vers
Et des revers
De colère,
En ne manquant pas d'R
Et en roulant des R
Mécaniques, et acronymes
En rejoignant homonymes
Et synonymes,
Avec nos amis
Pour vaincre cette infamie,
Hein famille antonyme
Et victime,
Aux acolytes anonymes.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi mes amis comprennent-ils mieux ma détresse psychologique que ma famille ?
- Car mes amis me trouvent pathétique et que ma famille me dit pas tes tics !
Jérôme de Mars
Je ne joue du violon
Violons celles
Des violoncelles,
J'accorde les violons
Mais je ne joue du violon,
Avec une contrebasse
En messes basses,
Quand nous accordons
Les accordéons,
Et que nous violons celles
Avec des violoncelles,
Où ils jouent du violon,
Alors que je ne joue du violon
Avec une contre basse
En messes basses,
Où je joue avec mon violon d'Ingres
Tous les violoncelles,
Que nous violons celles
Par celle avec un grain de celles,
Où je ne joue du violon,
Tandis que j'accorde mon violon
Avec des accordéons,
En contrebasse
De ce que nous accordons,
Comme place à la musique
Et à la symphonie pacifique,
Et acoustique
En mode philharmonique,
Avec un harmonica
Harmonique et philanthropique,
Où avec des violoncelles,
Nous violons celles
Qui n'apprennent le solfège,
Au collège
Des fous chantants,
Qui traînaient avec Charles à Ménilmontant,
Pas de quartier sur la place du Sacré Coeur !
Par chœur des enfants de cœurs,
Où je ne joue du violon,
Tandis que je joue mon violon d'Ingres,
Pingre
Dans mon cœur,
Et goinfre
Avec mon violon d'Ingres
Dans mon chœur,
Où ce sont les enfants de cœur,
En odeur
De Sainteté
Sur la place de la liberté,
D'où pour terminer
Avec éclats,
Cet hymne à la paix
Et à la fraternité,
Je temporise
Et j'harmonise en l'église,
Quelques cantiques
Poétiques et liturgiques
A écran de fumée panoramique,
Où pour le final
Et en version originale,
Nous accordons nos violons
Et les accordéons,
Pour que je ne joue plus jamais de violon
Mais du violoncelle,
Car nous violons celles,
Quand goinfre,
Je joue du violon d'Ingres.
Jérôme de Mars
Rôle de décomposition
Avec une partition
En musique,
Qui joue toujours
Les mêmes rhétoriques,
Théoriques en déperdition,
En battant en retraite
En répartition
Dans mon rôle de décomposition,
En pôle surexposition
Et en exposition,
D'où je vis à crédit
Et à découvert,
Avec des coups vers
Après tout puisé
Dans mes réserves,
Où je sors de ma réserve
En verve,
Extraverti en y mettant des réserves
Et introverti, où je me préserve
Avec réserve,
Que ça me desserve
Ou que ça me serve,
Comme je m'en fous de tout
En attrape-tout
Et dans un joli manitou,
Où ce bordel me rend casse-cou
A tous les coups,
Dans mon rôle de décomposition,
Où je prends le bouillon
Dans ma vie qui survit,
Dans une espèce menacée
De brouillon,
Consumée dans l'inertie
De mon agonie psychique,
Qui sent une quête
A la recherche d'un océan de tendresse,
Pacifique et symphonique
En symbiose avec les caresses
De la liesse des gens,
Alors que souvent ils me rendent méchant
Avec leur entière agressivité
Sans cesse,
Où j'ai envie de tuer tout le monde,
Surtout l'immonde qui féconde
Ce bas monde avec subjectivité,
Du verbe en état d'avoir en auxiliaire
De vie un laisser-paraître,
Qui cache un profond mal-être
Ayant pour amour d'attribut
Dans l'attribut,
Dont il est le sujet apparent,
Mais néanmoins, le sujet réel
Avec des déviances corporelles
Et sexuelles,
Aux carences familiales
Et filiales,
Avec un désordre sentimental
En face de douleurs frontales,
Où je me révolte contre les injustices
Du fruit de mes sévices, qui sévissent
Dans mon rôle de décomposition,
Où j'incarne le rôle de ma vie
Sans jouer pour de faux,
Malgré l'échafaud, en porte-à-faux,
Où j'ai souvent eu chaud dans une paralysie
Partielle et ponctuelle,
De mon état psychologique ,
Pathologique et névrotique
Avec des coliques pathétiques,
Pas tes tics avec des névroses arithmétiques,
Où je m'enrôle
Dans la geôle,
De mon état laminé
Et délabré ,
Où j'ai vraiment
Peur de passer à l'acte
Avec mon manque de tact,
Où je n'arrive à oublier
Le harcèlement scolaire,
De mes pépins
Qui m'enveniment
Et me déciment,
Dont j'ai été victime
Au collège privé Epin,
Avec l'envie farouche
Et légitime,
De prendre la mouche
Et de faire mouche,
En me vengeant
De ces méchants élèves,
Qui ont contribué
A donner
De la sève
A ma colère,
Et de tuer avec mon être incendiaire
Tous ces enfants de salauds,
Pour leur faire la peau
En échos,
De l'ensemble de ma vie,
Qui dévie
En tombant à l'eau
Au téléphone,
Ou sur la radio Fun
Radio avec un méga fun,
Dont le tel est fun
M'a fait trouvé ma voix aphone,
D'où en ce des gars des os,
Je crie à la vengeance
Et à la sentence
Contre tous ces enfoirés,
Dans la rue qui m'agressent
Verbalement et qui me stressent,
Où je vais aux restos
Des rancœurs en pénitence,
De toutes ces offenses
Dans l'indécence,
Où après côtoyer le pire
Comme le meilleur,
Dans cette vie douce à mère
Acidulée à l'écorchée,
A en subir et à en souffrir
Toutes les laideurs
De l'espèce humaine,
Que j'ai en travers
De la gorge par derrière
Et sans barrière,
D'où je cherche une ouverture d'esprit
Avec des personnes samaritaines
En attendant une nouvelle semaine,
Après avoir été avec ma partition
De musique en introspection,
En totale des perditions, déperdition,
De mon rôle de décomposition.
Jérôme de Mars
Faisons preuve de bienveillance !
Après les urgences,
Est venue l'heure
De la résilience
Avec du bonheur,
Dans nos assiettes
En faisant nos emplettes,
Où pour que ça reste honnête
Entre les êtres
Sans paraître,
Faisons preuve de bienveillance !
Pour que la gentillesse
Reste une accoutumance
En semant l'essence,
Et en la proliférant
En frappant à toutes les fenêtres,
Où l'on veut un peu de clémence
Et d'indulgence
Dans la bienveillance,
Mais certes pas la complaisance,
Où l'on veut triomphants
Goûter à nos libertés recommencées
Dans la liesse,
Et la bonté
D'une société quelque peu réanimée,
Et remaniée
Je l'espère,
Dans le champ de la solidarité
Et de la fraternité,
Avec du respect
Pour vaincre l'adversité,
Dont pour cela,
Faisons preuve de bienveillance !
A l'épreuve au frais
Dans un port de Plaisance,
A siroter plaisant
Une future mise en bière,
Lorsque les bistrots
Rouvriront avec les potos,
Et qu'ils se rencontreront à nouveau
De Paris à Marseille,
Au soleil
De la Canebière et en plein air,
Une fois qu'on aura enrayé
Toutes les colères
Des Français,
Et qu'on aura imaginé
Un avenir meilleur,
Comme des envies d'ailleurs
Dans la fraîcheur,
Où l'aura trouvé notre voix
Et retrouvé tous avec foi,
L'esprit de la loi
Après je l'espère,
Le chacun pour soi
Qui nous a tant fait défaut,
Où pour apprécier
Un ciel transparent,
Faisons preuve de bienveillance !
Dans des œuvres de bienfaisance
Et humanitaires,
Pour faire marcher et remarcher
Notre imaginaire,
De ce que l'on songe pour mettre
La pierre à notre édifice,
Pour un monde meilleur
Sans artifices,
Mais avec quelques sacrifices,
Pour vivre dans une France
Charnière et dans la lumière,
Avec en première
Du flair
Et un savoir-faire,
Où chacun serait au clair
Avec des réverbères,
Pour illuminer des lueurs
D'espoirs dans la chaleur
Humaine, en plantant
Une graine
De folie,
Pour plus de poésie
Et de frénésie,
Avec des confettis
Pour passer plusieurs
Belles semaines,
Avec pour capitaine
De la bienveillance,
Sur le port de Plaisance
Sans complaisance,
Avec pour assaut de résurgence
Une grande bienveillance,
Qui fait notre expérience
En parsemant davantage de flamboyance,
Pour scintiller en brindilles d'effervescence
Dans nos cœurs en quintessence
Avec pour excellence,
Une opulence
Et une abondance
De bonnes actions,
Exemplaires, humanitaires
Et salutaires,
D'où l'on glisse en inventaire
Et en résurrection,
Faisons preuve de bienveillance !
Jérôme de Mars
Je déballe masqué
Gilet à deux balles,
Je mets mon gilet pare-balles
Sans être un enfant de la balle,
Par conséquent, je ne suis un gilet jaune !
Mais dont néanmoins, je ris jaune
Avec mon masque
Et avec les bourrasques
Du vent en plein dans mes frasques,
Où je déballe masqué
Au bal masqué ohé ! ohé !
Avec la compagnie créole,
Dont je fais des glorioles
Et dont je fais des auréoles
Avec une visière dont je tombe le masque,
Bas les masques !
Dont je déballe masqué
Au bal bariolé,
Et déjanté, déluré,
Dont je ne me suis pas arrangé
Avec le temps à passer,
Et à enfreindre la légalité
En étant démasqué,
Quand je ne respecte le confinement
Où je ne suis dans mon élément,
Car je déballe démasqué
Au bal masqué à enfiler,
Et à endosser
Un masque d'apparences
Dans un concours de circonstances,
Où ma façade
De prélude,
Cache une vie d'escalade
Emplie d'inquiétudes,
Avec obstacles
Pendant que tout le monde me tacle,
Où j'avance en portant un masque
Dans la vie pour voiler mes frasques
Derrière des bourrasques,
Pour être dans le vent avec un casque
Sur la tête, où j'embrase
Les brûlures de l'histoires avec des brases
De fumée dans un écran de fumée,
A enfumer le bal masqué
Dont à force de porter un masque,
Je tombe le masque
Pour longtemps,
En n'étant dans mon élément,
En souhaitant mettre le feu
A tout et en enflammant
Dieu dans son pieux,
Où je m'en fous de tout !
En ripoux avec des poux
Qui s' font des cheveux
Dans un crâne chauve hein,
Dans cette putain de faune
A flore de peau dans le déclin,
D'où pour terminer ce bal masqué,
Je débarque masqué
Avec un masque dans mon enclume,
D'où j'y laisse des plumes de ma plume
Avec un costume masqué,
D'où en final d'apothéose,
Je déballe démasqué
En enfonçant des portes ouvertes,
Porte-close,
Direction les fenêtres ou vertes et couvertes
Par la découverte,
Quand je tire à deux balles démasquées,
D'où je m'étire à des balles démasquées
Au bal masqué,
Quand je déballe masqué.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Quelle est la différence entre un obsédé sexuel trompé par sa femme et un obsédé sexuel ?
- Le premier pense cocu et le second pense qu'au cul !
2) Où envoie-t-on une femme qui suce mal ?
- On l'envoie au casse-pipes !
Jérôme de Mars
Personne n'est gentil ou méchant dans la vie !
Du thème que cela nous inspire,
On est tous capable du meilleur
Comme du pire !
Dans la vie avec ci-possible des valeurs
Pour qu'on respire
La sainte odeur,
De la vie avec de l'encens
Qu'on encense,
En béatitude
En ayant de bonnes attitudes
Mais facile à dire,
Quand la vie ne fait que vous maudire
Ou vous médire,
Alors qu'à d'autres elle ne fait que les bénir,
Où le diable
Peut nous tenter de commettre l'irréparable,
Du fait de la solitude
Dans nos vies,
Qui dévient
En décrépitude,
Alors qu'une simple plénitude
Suffit à nous faire reprendre de l'altitude,
Dont j'en déduis
A fortiori,
Que personne n'est gentil
Ou méchant dans la vie !
Mais capable du meilleur
Comme du pire,
Alors qu'au pire,
Autant avoir un soupir
Pour ne pas connaître le sous-pire,
Où en nous, on a tous du bon et du mauvais
Entre mes champs d'action
Et méchants d'action,
Où il vaut mieux
Opter pour la religion,
Et une philosophie
De vie,
Pour changer la personne
Avec des lettres qu'on sonne bien
Pour faire le bien,
Et qui sonnent mieux
Grâce aux cieux,
Qui leur font prendre conscience
Qu'il vaut mieux l'abstinence,
Qu'une accoutumance
A la violence,
Alors qu'une urgence
Dans la résilience,
Est beaucoup mieux
Par l'intermédiaire de Dieu,
Car la vie nous rend meilleurs
Du fruit de nos erreurs,
Où l'on en tire toujours une leçon
Pour ne plus pêcher à l'hameçon,
En vieux garçons manqués
Dans notre enfance marquée,
Par les excès de la frustration
Et de notre rébellion,
A changer le mode d'action
En inter action,
Mais sachez
Donc que personne n'est parfait !
Ca, vous le savez !
Si la personne dévie du droit chemin,
Ne la laissez pas tomber !
Tendez-lui la main !
Pour qu'elle puisse changer
Et devenir une meilleure personne,
Grâce aux changements de saison
Qui l'impressionnent et la sermonnent,
Que dans la vie, on a tous le droit
A une seconde chance !
Si on fait acte de repentance
Avec pour sentence
Et pour pénitence,
L'abstinence
Du fruit défend,u
De ce qui nous est absolu
Au prix de la rédemption
Et de l'absolution,
En résolution
De nos pêchés les plus éperdus,
Car nul n'est perdu !
En se faisant le défenseur
D'un monde meilleur,
Et dans lequel il est le contributeur
Et l'élément déclencheur,
D'un monde idéal
Et plus jovial,
Car même qu'on est tous capable
Du meilleur comme du pire !
De l'affable à l'ineffable sur la table,
Autant attirer ce qui nous inspire
De plus fréquentable,
Pour qu'on respire
Stables dans une belle fable
Sur la vie,
Et de ce qu'elle resplendit
En nous aussi,
Car même si personne n'est
Gentil ou méchant
Dans la vie !
Autant se faire l'amour d'une vie réussie
Avec à nos côtés,
Et selon les affinités,
Les amis
Et la famille,
Et peut-être connaître l'amour,
Un de ces beaux jours,
Si le cœur vous en dit !
En vous souhaitant le meilleur appétit
Et en n'oubliant pas,
Qu'avec et que malgré les aléas,
Personne n'est complètement
Gentil ou méchant
Dans la vie !
Jérôme de Mars
Le plus important, c'est d'être heureux !
A la bonheur,
Par les temps qui courent
Le plus important, c'est d'être heureux !
Malgré les beaux discours
Que l'argent fait le bonheur,
Certes, il y contribue
Mais il peut aussi rendre les individus
Encore plus corrompus,
Et les malotrus beaucoup plus tordus
Avec plus aucune morale,
Car seul compte en général
L'argent sale,
Au détriment de ceux qui travaillent
Et qu'on range en fantôme d'épouvantail,
Comme les politiques entaillent
Les travailleurs dans un mauvais arsenal,
Et qu'il leur provoque du harcèlement moral
Avec un redressement ou un matraquage fiscal
Qui peut leur être fatal
Avec des douleurs abdominales,
Certes, on ne vit pas d'amour
Et d'eau fraîche !
Car la vie, c'est plus souvent des pannes sèches
D'argent ou à mauvais escient
De soucis humains !
Que tout le monde connaît chaque lendemain,
Certes, l'argent c'est important !
Mais il n'y a pas que ça,
Car de toute façon, un jour ou l'autre on y va !
Vous savez tous au même endroit !
Ce qui fait qu'il faut avoir de la joie,
Car le plus important, c'est d'être heureux !
En croyant et en priant jusqu'aux cieux
Si on croit en Dieu !
Avec cette vie de dur labeur,
Où l'on doit
Tous mettre dans les épinards du beurre,
Pour arrondir nos fins de moi,
Et essayer d'arrondir les angles malgré son désarroi,
Qui pousse l'argent roi
A tenir les rênes des courroies,
En coûts mâles adroits
Et en sûrs coûts maladroits,
Comme déjà, chaque jour
On porte tous notre croix !
Avec la roue qui tourne
Et qui détourne
Avec ou sans ristourne,
Quand elle contourne
Notre bonheur !
Avec les aléas félins,
Que nous procurent les allées-retours
Du quotidien,
Qui est un éternel recommencement
Entre boucan, tourments,
Le pétrin et le train train
Du quotidien,
En espérant de côtoyer à portée de main
Quelques plaisirs pour alléger dans un trot,
Notre fardeau avec des cadeaux,
Que nous recevons des bons samaritains,
Qui nous remercient de les avoir soutenu
Malgré la vie et l'inconnue
Où s'en va notre destin,
Pour nous à qui c'est gratifiant
D'aimer et d'aider son prochain,
En bons Chrétiens
Et en êtres ordinaires et humains,
Pour oublier un peu
Son être intérieur de fort tempérament,
Et s'occuper des autres
Au prix de Dieu
Et de ses apôtres,
Où l'on se vautre
Parmi les vôtres !
En êtres généreux,
Car le plus important n'est pas
Que l'argent !
Mais aussi de prier radieux !
En des cieux plus audacieux,
Plus cléments,
Moins rabats-joie
Et moins fastidieux,
Pour un monde plus fabuleux
Et plus fameux
Autour d'un monde meilleur
Et migrateur
Avec un peuple réconciliateur,
Des aïeux à ceux
Qui maintenant,
Sont valeureux
Et courageux,
Car pour aimer
Les autres,
Il faut s'aimer soi-même,
Quand même,
Et pour être bien
Avec les autres,
Il faut être bien
Soi-même,
Idem,
Pour que tout le monde s'aime
Malgré les problèmes,
Car on récolte avec le temps
Ce que l'on sème !
Et que le plus précieux
De nos totems,
En emblème
Jusqu'à Dieu
Et jusqu'aux cieux,
C'est d'espérer un paradis amoureux
De la vie et de ses gens,
Avec un mot loyal
Qui désigne en général,
Que le plus important, c'est d'être heureux !
Jérôme de Mars
Blague :
Que faut-il mettre à plat quand tout le monde se fait viander par la crise que traverse La France ?
- Il faut s'en battre les steaks quand tout le monde se frite !
Jérôme de Mars
Sain drone
En utilisant les gimmicks
Des geeks
Par l'intermédiaire de google,
J'ai le sain drone
Casse-gueule !
Quand je suis dans l’œil du cyclone,
Si clone où je prends le melon
En faisant du covoiturage,
Quand je m'ubérise
Et que je pulvérise
En faisant une blague
Depuis mon mobile,
Où j'ai comme mobile
Le principe de faire rire
Dans la satire,
Que ce soit une blague is blague
Ou un mauvais gag,
Dont j'ai les geeks
Avec mes gimmicks
Du sain drone,
Où c'est la zone !
Dans laquelle j'habite dans les orages,
Où je me sers de google
En faisant une gueule
D'enterrement, dont j'ai le syndrome
Et les symptômes,
En demeurant un mort-vivant
Aux travers d'un fantôme,
Qui gît sur les parois du néant
En mangeant du melon,
Lorsque je m'ubérise
Et que je pulvérise
En me décomplexant,
Qu'on presse comme un libre électron
Et un citron,
Dans de l'acide,
Aride et frigide,
Quand je mouille ma chemise
En utilisant un drone
De mon sain drone,
A travers une blague de google
Dont je m'amuse en amuse-gueule,
En me servant de mon mobile
Dont je me sers comme mobile,
En un parfait mobile
Du crime de l'alèse-majesté
Depuis la royauté et la principauté,
Dont je fais des geeks
Avec des gimmicks
Et des mimiques,
En terminant mon covoiturage
Après tous ces moments
De partage
Sur google,
Dont ma blague is blague
Sent la fin du gag,
Avec ma gueule
Très bégueule
En tag,
Que j'ubérise
Et que je pulvérise
Depuis mon saint drone,
En étant dans l’œil du cyclone
Si clone,
Fin du tome
Avec les hématomes,
Du syndrome
De mes symptômes,
Atones
Sur de l'atome,
En priant des psaumes
Avec des remords,
Dont on m'embaume
Une fois mort,
Avec en syndrome
Tout mon sain drone.
Jérôme de Mars
La carafe des mots
Calendrier lunaire
De cendres de mois héréditaires
Sur la terre,
On a soif de piscine
Qui nous livre
Le sapin manuscrit,
Dans un champ de mots
Lexique, en remontant à la racine
De la folie
Des frondeurs,
Et aux origines que nous montre
La carafe des mots radicaux,
Dont le radical est un amas
Allongé sur un matelas,
Qui roupille ivre
Dans la givre du froid,
En tombant bien bas
Et en prenant l'eau
Avec de la farine,
Qui prend la poudre d'escampette
En faisant ses emplettes
Au carrefour de la carafe des mots,
Où on a bien soif d'y voir le dico
Pour dépoussiérer le calendrier,
Et l'amener à la bonne datte
Du fruit de son travail,
Qui sent le sapin
Et dont ça l'épate,
De mettre la main
A la pâte,
Dans un champ de mots
Du dico à la déco
Accro ou pas à la nécro,
Qui nous montre avec un livre
Duquel on s'enivre,
Avec la course à la montre
Qui nous montre
Qu'on y arrive
Dans une course de fond,
Et qui démontre
Qu'à pas d'heure,
On est toujours donneur,
De leçons en organes de presses
Qui pressent express,
Dès la dernière page de ce livre
Avec en conclusion,
Qu'on ait légion
Dans la communion
En portant sa croix,
Comme le journal La Croix
Avec pour credo et en un pro,
Qu'on ait dans la carafe des mots
Soifs de connaissances et de dico,
Avec des connaissances parmi nos potos
Fin du protocole,
Où l'on s'accole et dont on caracole
Car ça colle !
Quand ça décolle !
Du dico en papiers déco
Papier journal,
Que l'on veut en originale
Version et aversion,
Perversion et père version,
Avec en fond de pension
De réversion,
La version principale
Qui sent le sapin,
Avec du pin
Béni sur la couverture,
Dans une fermeture
Et claire
Du calendrier lunaire,
Pour boucler le dico
De la carafe des mots.
Jérôme de Mars
La pelle de la forêt
Forêt noire d'amazone sauvage,
L'écorce souriant des arbres
Appelle Jack London pour livrer
Sa cabriolet grâce à Amazon,
Dès la pelle de la forêt
Pour creuser le fond du problème,
En lançant une bouteille à la mère
Avec des mots roses sur la plage,
Où l'écorce terrestre corse
Les Corses Terrestres,
A tournoyer La Cabriolet
Pour véhiculer souriant
A la pelle de la forêt,
Et prendre des râteaux
Avec une mauvaise séduction
Du jardin secret renfermé
Dans un sanctuaire,
En un mausolée très chasse gardée
Loin des yeux, loin du cœur,
Car pour vivre heureux,
Vivons cachés !
A la jetée
D'une bouteille à la mère,
Avec le mal de mère
Sur la terre ferme
En ayant du vague à l'âme,
Quand Jack London
Dès la pelle de la forêt
Livre avec sa Cabriolet,
Via Amazon un mot rose
Souriant vivant et sauvage,
Avec l'écorce sur la plage
Pour tournoyer des passions
Révolues et absolues,
Avec des amazones sauvages
En se prenant un râteau,
Dès la pelle de la forêt.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi les prostituées ne sucent-elles les mecs qu'avec un préservatif ?
- Parce-qu'elles ont une langue de pute !
Jérôme de Mars
L'océan Pacifique ne doit pas tomber à l'eau !
La mer s'emballe artistique avec un défilé aquatique
Dans un verset lunatique, qui flâne romantique
En des clins-d’œil qui laissent présager en statut quo,
Que L'Océan Pacifique ne doit pas tomber à l'eau !
Mais voguer dans un embargo allons-y à Rio de Janeiro,
Pour signer un traité de paix avec pour évasion,
Le soleil intrépide des Iles du Levant, de là-bas par procuration !
Dans un total lâcher-prise avec un optimisme arguant
De bon allant, avenant en allant vers la direction, où tourne le vent,
Calme et reposant, dans un Havre de paix qui dicte dans un édito,
Que L'Océan Pacifique ne doit pas tomber à l'eau !
Mais cesser d'être ramollo pour braver dans un coup de sirocco,
L'eldorado des beaux jours qui reviennent prochainement dans un apéro,
Pour réfléchir à l'endroit idyllique, qui redevienne le flamenco
Des paradis sensuels, d'expression aquatique dans un slow
D'été, à toutes les saisons, car il est temps d'apprécier avec brio
Dans une tonalité irréversible, qui accorde le tempo
Dans un traité de paix, où sont conviées toutes les couleurs de peau,
Car il faut y aller illico presto !
Comme quoi Daniel Bevilacqua ne doit pas mourir pour de faux !
Pour rejoindre crescendo
Les environs de Porto Rico,
Car à partir de là recto verso,
L'océan Pacifique ne doit plus tomber à l'eau !
Jérôme de Mars
A chaque saison, les salades composées s'assaisonnent !
A l'orée
Et à la croisée
Des quatre saisons,
A chaque saison,
Les salades composées s'assaisonnent
Et chantonnent
Au rythme des assiettes composées,
En faisant monter la mayonnaise
Pour que la mayonnaise prenne,
Et que ça tourne au vinaigre !
Avec un colombo de poulet
Qui flique,
A l'orée
Et à la croisée
Des quatre saisons,
A chaque saison,
Lorsque les salades composées s'assaisonnent
Comme des robots avec des salades aux tomates,
Et qu'on mélange le tout dans un florilège,
En racontant des salades en prenant en sandwich
Les femmes des Parisiens, des gens bons,
Où l'on sait à quelle sauce, on va être manger
Dans un medley de pot pourri aux roses,
Où l'on ne tarit pas d'éloges à la fête d'éloges
A Paris au mois de juillet, dont leur fond de commerce
C'est de raconter des salades composées,
Avec des doubles peinés qui mettent la main à la pâte
En en faisant tout un fromage de gruyère qui a dérapé,
Et de mozzarella,
A l'orée
Et à la croisée
Des quatre saisons,
Car ainsi à chaque saison,
Les salades s'assaisonnent aussi à L'Italienne
Avec du gorgonzola et du chorizo,
Quand le printemps était monotone
En des jardins divers.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on d'un homme qui s'empare des orteils de sa femme en jouissant au moment où il lui fait l'amour ?
- Il prend son pied !
Jérôme de Mars
Là où il y a de la haine, il y a aussi de l'amour !
Pour cultiver le bien,
Il faut cultiver ton bien !
En taillant les haies
Si tout le monde te hait
Parmi les gentils hommes érudits,
S'ils manifestent quelques jalousies
A ton intelligence et rude dit !
Alors que là où il y a de la haine,
Il y a aussi de l'amour !
Chaque jour
Avec en rengaine,
De la laine
Bien chaude pour réchauffer
Les cœurs bien lourds,
Déjà soumis à trop d'échauffourées
Effarouchés avec la même haleine,
Qui en suggère long sur la condition humaine
Des personnes hautaines et puritaines
Qu'il y a sur les plaines,
Mais n'oublie pas qu'en haut des vautours !
Que là où il y a de la haine,
Il y aussi de l'amour !
A en revendre
Et à répandre
Toujours dans des gants de velours,
A qui le prochain tour ?
Où pour semer de l'amour,
Il faut que tu cultives des topinambours
Dans un compte à rebours,
En roulement de tambours
De bourgs, en faubourgs
Et en calembours,
Où si tu cultives le bien
Tu cultiveras ton bien !
O'combien entre de bonnes mains
Pour demain,
Et ainsi pour le reste de ton destin
De ce que tu trouveras sur ton chemin,
D'autant que plus tu cultiveras de l'amour
Dans ton jardin secret,
Plus tu sèmeras pour l'humanité
De belles choses pour toujours,
Avec en retour
La réciprocité
Et l'amitié,
En lampe de chevet,
D'où en taillant les haies,
Tu cultiveras la bonté
Et la beauté
De l'été à l'hiver,
Et dont tu renverras la haine
En jachère,
Avec en bas de laine
Et en haleine
De la chaude laine,
Pour passer
Plusieurs belles semaines
Dans le jardin d'Eden,
Puisque désormais n'oublie plus !
Que malgré l'inconnue,
C'est à ton tour
De connaître l'amour,
Car là où il y a de la haine,
Il y a aussi en retour de l'amour !
Jérôme de Mars
Le boss fort est-il une tête de Turc ?
Bosphore à l'étroit
Dans le détroit
Du Boss Fort,
Ainsi, le boss fort est-il une tête de Turc ?
Dans le phosphore
De L'Asie mineure,
Aux calendes Grecques
Un sultan la Mer Noire
De l'Empire qui Perse
L'Empire Byzantin,
Fertile de plaisantes hein !
Qui ouvre grand à bouche-bée
Son Palais de Topkapi ,
Au képi
De La Mosquée Bleue,
Avec des bleus
A l'encre marine de Chine,
Qui se jette à l'étroit
Dans le détroit
Du Bosphore,
Où dans le phosphore,
On se demande en métaphores
Est-ce-que le boss fort
Est-il une tête de Turc ?
En anti-portrait Chinois
Ou dans un casse-tête Chinois ?
Bon enfant
De L'Asie mineure,
Avec des accords majeurs
Avec le doigt majeur,
Loin du Lac Majeur
En Suisse,
Riche humainement
De L'Empire Byzantin,
Naguère en guerre
Avec L'Empire Ottoman,
Autrement que le génocide
Perpétré contre Les Arméniens,
Dont on quémande sont-ils des têtes de Turc ?
Pour aller en cas de besoin
Dans les toilettes Turques,
Où est-ce-que Le Bosphore
De La Turquie jette-t-il son détroit
A l'étroit ?
De si le boss fort est-il une tête de Turc ?
Dont après avoir enfumé le calumet naguère
Au temps, il serait temps OTAN
D'en fumer le calumet de la paix
D'Istanbul à Ankara, car OTAN
Vivre en paix depuis naguère,
Pour que Le Bosphore
Et Les Arméniens ne soient plus des têtes de Turc,
Mais Le boss fort qui se jette dans le Détroit
Mais désormais dans les trois, l'étroit
Avec La Turquie, L'Arménie
Et l'Asie Mineure à demander le droit d'asile majeure,
Qui perce dans L'Empire de la bonté
Et de la beauté interstellaire,
La tête dans les étoiles
Avec en et toile de fond,
Pourvu qu'il n'y ait plus rien
Qui ne se voile la face,
Mais se voile en fasse
Et se dévoile en surface,
Face au reflet du miroir
Pour que ce ne soit plus le mouroir,
Mais incarner l'espoir
En refaisant l'histoire,
Complètement à L'Ouest
De L'Europe,
Car OTAN garantir la paix
Au Bosphore qui se jette
A l'encre marine de Chine de La Mer Noire,
Sans faux-semblants mais en étant
Au clair de longtemps, car Otan
Que le Boss Fort ne soit plus une tête de Turc,
Pour qu'il ait la tête à avoir la paix
Et être en paix avec Le Bosphore,
Sans être en fausse sceptique
Avec les toilettes Turques,
Dont enfin lorsqu'il sera en paix,
Ainsi, et donc là, Le Bosphore
Ne sera plus une tête de Turc.
Jérôme de Mars
De notre temps
Image phare
Du soleil au rencard,
Il y a le cagnard
Qui fout le cafard
Dans un capharnaüm,
Qui embaume
Les pantalons à pattes d'elph',
Comme un elfe
Dont la totale
S'range marginale
Dans des fringales,
De notre temps
Qu'on imagine effervescent,
Tant que la boule à facettes
Ne perd la boule maboule à fossettes
Des stigmates de la vie
Astigmate qui s' fie
De notre temps,
A s'imaginer un instant
Qu'on n' répond présent
En fanfaronnant,
Que c'est amusant
Si on range son frein,
Ou si on arrange son refrain
De notre temps,
Par tous les temps
Qu'on parcourt
Au long cours
Sur la vie des hauts paravents,
Auparavant d'il y a nulle part,
Où aller avec le cagnard
Qui pullule
La canicule,
Avec effets de bascule
Dans la fournaise
Des charentaises,
Qui dans un coup de chaud
Montent aux fourneaux
Exacerber l'étuve,
Pour que l'effluve
Et Le Vésuve
Galvanisent le cœur volcan
Avec du boucan,
A en crever nos tympans
De notre temps,
Au temps qu'apporte l'avant
Si on partage
D'agréables moments
Jusqu'à la ville de Carthage,
En Tunisie de la révolution
Du jasmin en perpétuelle évolution
Avec du teint empreint de civilisations,
Pour resserrer les fossés qui se creusent,
Afin que le département de La Creuse
Offre du réconfort après l'effort,
Afin que les Forts
Du cagnard
Et de Fort Boyard
S' mettent à chanter en ritournelle,
Pourvu que La Rochelle
Se rapproche itinérant,
Du temps inébranlable
Et intemporel,
De l'insupportable à l'affable
Sur la table en paix,
Autant de L'OTAN
De notre temps.
Jérôme de Mars