Est-ce pour demain ? 

 

Coup de main

Ou coût demain;

Est-ce pour demain ? 

Si hauts deux mains,

On te donne un coup deux mains;

Ou à moins

Qu'on le fasse aujourd'hui;

Pour ne pas le remettre à demain

Dans l'oubli;

Et au lendemain 

Et au sûr lendemain, au surlendemain;

A coups d'on verra  !

Si on en verra, on enverra

La couleur ou qu'à moins

On le remette à demain;

Et qu'on le remette à deux mains

De procrastination; 

Et à maturation,

Comme la nuit porte conseil !

Et que demain est un autre jour !

Pour qu'on veille 

En retour;

A son exécution

Et à son application;

Si demain, 

On te donne un coup demain;

Est-ce pour demain ?

Le coût de main 

Qu'on te donne à deux mains;

Demain au sûr lendemain;

Surlendemain aux mains

D'un nouveau matin,

Où tu seras en forme;

Pour qu'on te donne conforme

Un coup de main,

Dont est-ce pour demain ?

Le coût deux mains;

Si on te le donne avec procrastination

Et si tu en ressens les vibrations;

Pour agir en actions

Et faire ce qu'il faut

Pour démêler le vrai du faux;

Dont enfin pour demain,

Est-ce vraiment un coup deux mains

Que tu veux qu'on te donne de main ?

 

Jérôme de Mars

Roc correction

 

D'hier à aujourd'hui;

Les yéyés de la nostalgie

Sont surannées 60 en transe;

Avec les années 80 en trance, 

Dont les remontrances 

Sont un roc collection;

D'un dur à cuire connection

Instantané en roc de Pierre,

Dont au plus c'est au moins

Et néanmoins

Un surf sur l'eau;

Pour surfer avec les surfs

Très à cheval au turf,

Où c'est le nouveau numéro

Au golf Drouot;

En jouant à l'effet domino

Avec Fats Domino;

Du rock collection

En un roc correction;

Pour remettre les choses

A leur place ;

En une face

Avec pour face B;

Un look BCBG

Limite branché

En station debout;

Surplace Duroc;

Avec toujours un métro

De retard;

Ayant pour roc de pierre

Un roc correction;

Pour rester à sa place

De numéro un;

En hein

Caliméro et en connection

De Johnny Hallyday;

Qui fait l'intendance

Avant la tendance

Eddy Mitchell;

Pour faire son manège

En un tour de Carrousel;

Qui l'ouvre avec pour platine

Un 33 tour ou un 45 tours

Aux détours du contour,

Dont la gélatine

Et la montée d'adrénaline;

Ont leur madeleine

De Proust à chaque jour

Suffit sa peine !

De Dick Rivers, very Nice,

Bouche-bée vie d'ange,

Où avec mésanges;

Les standards naissent à vol d'oiseau

Avec pour espace rétro

Des instants kitchs rigolos,

Dont le temps est un privilège;

Qui fait du solfège

Avec pour stratège; 

Une fin lisse des lisses

Jusqu'à Richard Anthony en train de siffler

Trois fois sa nostalgie,

Quand ce fut bon enfant

Son côté jeune fou,

Dont quelquefois, quelques fois

Parfois et dès fois; 

Ca endure ras de dur à cuire au microsillon, 

Au sillon, au tourbillon

Et en osmose;

D'il était une foi un roc correction.

 

Jérôme de Mars

La laque des signes 

 

Bouteille envoyée à la mère;

Que ce soit bon signe

Ou mauvais signe,

Il faut toujours se méfier

De l'eau qui dort;

Avec quelques raretés,

Qui appellent en mes tas forts

A la laque des signes;

Pour ajuster dans la dextérité;

A l'inconnu à cette adresse

Bénigne et maligne;

Avec si possible le rétablissement

De ma ligne,

Qui stresse et oppresse

Orange, car O'range ce cancer

De louanges,

Si bien que la vie d'ange

N'existe, où il faut se parfaire 

A profiter du jour plaisant;

Tout comme du jour dernier,

Dont pourvu que tout ne tombe à l'eau !

Dans la laque des signes,

Si c'est bon cygne ou mauvais cygne 

De prier pour le retour sur Terre;

De l'eldorado au Trocadéro,

Où en vieillissant;

La laque des signes

Prend de la bouteille à la mère;

Après avoir bu divin

Le ver d'un bon samaritain,

En espérant de meilleurs lendemains;

Pour que les oiseaux enchanteurs

Subsistent réanimateurs et migrateurs;

Pour un monde davantage fédérateur

Au coin du feu;

A imaginer ce qu'il y a de mieux 

Et de plus fabuleux;

Avec des plaisirs prodigieux et prestigieux

Pour avoir en fameux repères 

Jusqu'aux cieux bleus,

Plus aucun bleu à l'âme;

Pour que le cœur d'artichaut

Soit bien au chaud;

Et prenne la température

D'un nouveau monde moins infâme,

Où il sera question de villégiature

Au bord de la nature,

Où le vague à l'âme

Qu'on prélèvera à la source;

Fera des ronds sur l'eau comme Rousseau

Et comme Voltaire un inventaire sur la Terre; 

Avec au bout de cette course ses propres ressources,

Car après s'être fait des cheveux

Dans cette laque des signes

Très tirée par les cheveux,

Ce sera alors bon signe

D'avoir en un signe, insigne

Qu'on signe, consigne;

Avec pour littérature du cerveau

La coiffure des mots,

Car si c'est bon ou mauvais cygne;

Ce sera le signe qui se résigne

Dans la laque des signes.

 

Jérôme de Mars

 

Inchallah, si Dieu le veut !  

 

Le monde d'après sera-t-il mieux ! ? 

Ou est-il prêt à croire radieux

A Dieu ! ?

Face aux aléas de le vie;

Qui font qu'on dévie 

Du droit chemin;

Ou qu'on se raidit

A être droit en se prenant en main;

Avec la vie qu'on nous dispose

En habitudes;

Et qu'on nous pose

En turpitudes,

A grande altitude;

Qui détermine notre attitude

A faire face;

Avec la grâce

De Dieu;

Ou à se ranger à la disgrâce

D'odieux; faute de mieux

D'être pieux !

Car pour untel;

C'est être infidèle,

Quand ça paraît copieux

De rester frileux

Dans son pieu,

Car qu'on le veuille ou pas;

La vie est imprévisible

Et invisible !

Où l'on ne sait 

Ce qui va se passer après

Les heure prochaines

Et dans la semaine,

Car inchallah, 

Si Dieu le veut !

Soit on a le choix

De porter notre croix avec soie

En faisant des vœux;

Ou soit on a le désarroi

De faire de vieux désaveux; 

En ne croyant plus en rien,

En se désespérant,

Et en espérant méchants,

Que dans mes champs,

Que ce soit

Le désarroi;

Avec du pétrin dans le foin,

Si on n'a plus de béguin

Et foi 

En la vie qui dévie;

Où l'on oublie

Nos copains Chrétiens,

Si on devient misanthrope

Envers les humains;

Avec des psychotropes

Pleins les mains,

Où inchallah,

Si Dieu le veut !

Pourvu qu'il rende les gens moins égoïstes,

Heureux et amoureux

D'une vie optimiste et idéaliste !

Avec des pensées moins tristes,

Et plus avant-gardistes,

Pour que chacun 

Parmi nos prochains;

Devienne l'artiste

D'une vie plus hédoniste;

Avec dans la longue liste

Plus de futures actions altruistes;

Pour nous donner envie

D'y croire en un monde 

Avec plus de couleurs,

Qui fécondent

Une populaire ferveur,

Où Les Français après

Avoir côtoyé les malsains;

Seront de futurs mâles Saints,

Car nul n'est propriétaire

De sa vie !

Dont on naît locataires

Le temps du devis

De notre passage sur Terre,

Dont autant laisser un bel inventaire !

Pour donner envie

Aux nouveaux pensionnaires

D'habiter avec l'esprit curieux

Sans des faux,

Mais pour éclairer ce monde noir

Avec un soleil bien chaud;

Et pour donner à boire;

Et à manger aux gens qui sont soûlés

Par la monotonie

De la vie,

Et pour leur changer les idées

Et leur inculquer de sereines valeurs,

Autant leur procurer une paix intérieure !

Avec la liberté du travail bien fait

Communié et communiqué 

Dans l'amitié et la solidarité

D'un monde plus fraternel et charnel;

Avec au bout des étincelles;

Pour vivre malgré l'échafaud

Dans le carpe-diem;

Avec pour présent le totem;

Malgré les problèmes odieux

De la vie;

Qui fait que parfois,

Par foi,

Les gens ne s'aiment,

Mais dont Dieu

Doit tout faire

Pour les sauver de l'enfer,

Car pour connaître la gloire

De mon père,

Il faut avoir le sein esprit,

Dont le tout-puissant

Est le garant, 

Afin qu'il y ait davantage de beau temps

Haut Dieu

Sur tout le paysage du royaume des cieux,

Car après le purgatoire

Qui a pêché nos fausses mentalités;

Il faut se racheter dans la dignité et la probité;

Pour jeter les fosses septiques

Dans l'océan atomique;

Et fourvoyer les vaines prières

Auprès des fausses sceptiques;

Pour se réhabiliter 

Dans un repenti

En un mea culpa;

Qui fait qu'on a le droit

A l'oubli ;

Et à se projeter

Sur de nouvelle bases d'amis

Vers une deuxième lumière

Et chance dans le nouveau millénaire,

Car plus le monde sera clair !

Plus il fécondera des idées visionnaires;

Pour le rendre solidaire

Après des feintes solitaires;

Car ce seront ceux qui sèment l'amour !

Qui feront que le monde renaîtra

Et roulera

Pour toujours

Dans le bien ! 

Eh ben !  Que c'est sein 

D'avoir un esprit divin et un corps Saint;

Et d'être rupin dans une richesse de cœur; 

Pour supporter les malheurs

Autour de la bienveillance

Et de la renaissance en résilience,

Car ce seront ceux parmi les pieux;

Qui auront respecté leurs aïeux;

Qui baigneront dans l'eau de vie

De l'océan pacifique;

Avec pour devin, 

L'eau de vin

Mirifique et bénéfique,

Dont il restera en eaux-de-boudins

Pour les vilains pèlerins

Une potion maléfique, 

Car ce que veulent nos prochains pieux;

C'est un monde essentiel

Et plus artificiel;

Avec une ribambelle 

D'amis qui sont des membres de la famille,

Pour que l'ensemble forme la passerelle

D'un monde meilleur;

Avec une grande candeur

Et une immense grandeur

D'âme car après l'infâme,

C'est à votre tour, les quidams !

Pour que vous soyez heureux

Et harmonieux 

Avec toute votre fratrie;

Et en galante compagnie

Dans votre confrérie;

Si Inchallah,

Dieu le veut !

 

Jérôme de Mars

 

 

Tare 90

 

Des gens tailleurs de costards

Signifient à mon égard  leur mauvais regard,

Dont moi, je fus la tare 90,

Car je suis un lascar académie de dix

De chute,

Avec pour chute de l'histoire, 

Beaucoup de rechutes;

A tout raconter au bar du comptoir,

Dont pendant les années 90

Je fus la tare 90,

Où tous m'ont taillé des costards; 

Même que je suis un phénix;

Qui renaît de ses cendres;

A en fumer, enfumer descendre

De cigarettes;

A m'en griller à l'instar, l'un star,

De mes diverses facettes,

Où je meurs d'indifférence;

Avec pour circonférence

Une conférence,

Où l'on fait référence

En permanence

A mon inconstance;

Avec pour instances

En ces aggravantes circonstances;

Que des sous-entendus;

Avec pour malentendus

Ma tare 90;

Où on me taille des costards

A l'instar, l'un star;

Si j'ai la tête dans les étoiles défilantes,

Où je renais en cendres

Du fruit défendu

De mes amis

Et de ma famille;

Avec qui certains parfois, les relations sont distendues,

Car répandues

En esclandre,

Alors que je veux me défendre;

Que malgré ma tare 90

Et qu'on me taille des costards;

Je renais à l'instar, l'un star

De brèves de comptoir

Au bar des racontars,

Où malgré mon côté lascar académie;

Rien de tel que je demeure pour ma famille

Et mes amis,

Le gars qui reste à la barre, 

Car malgré qu'on me rembarre;

Je perdure en renaissant de mes cendres,

Comme un phénix,

Car pour bien entendre

Et étendre

Toute ma sympathie

En vers ma famille et mes amis;

Autant continuer d'être en synchronie 

Durant toute ma vie;

Malgré qu'on me taille des costards

A l'instar, l'un star;

Mais dont je ressuscite en esclandres,

Car tant que je renais de mes cendres, 

Comme un phénix;

C'est que je surfe sur la radio nostalgie

De moi, un lascar académie,

Dont les ecchymoses

Me mettent en andropause,

A cause de ma tare; 

Complètement à l'instar

De ma tare 90.

 

Jérôme de Mars

 

Que se passerait-il si mes vers de poèmes tombaient à l'eau ?

 

Pluie de cristalline qui fascine par petites gouttes les sanglots;

Qui imbibent mon encre de revers trempés de caractères,

Où je dresse dans un inventaire tous les points communs similaires

Que je partage dans un jeu d'écriture avec pour convergences; 

Certaines catégories populaires qui font la différence; 

Avec des différends, où j'exprime par intermittences du spectacle;

Tout ce qui fait que je me marginalise avec pour obstacles;

Si je tacle tout le monde et tout ce monde que je féconde;

Et dont j'inonde d'insultes tout ce tumulte qui sonde;

Que se passerait-il si mes vers de poèmes tombaient à l'eau ?

Et laissaient tomber mon âme de poète maudit Hello ! ?

Dont le téléphone morose se demanderait si je perds mon boulot

Avec mon si boulot ? Et si j'ai six boulots ? ! Et si je perds le ciboulot 

Avec du bouleau à en tailler les arbres ? Et si de par mes bibelots;

Je suis un bibelot pour sauver les meubles si j'arrive à sortir du lot ! ?

Et si je me fais des scénarios 

En interrogeant mon imprésario ! ? A qui je demande franco ! 

Que se passerait-il si mes vers de poèmes tombaient à l'eau ?

Et que je finis illico presto 

A réécrire le film sur mon magnéto; 

Et à vérifier que je file et refile des bons tuyaux

Par la force de ce mélo mi-mélo; 

Avec mes mots qui me rappellent tout mon passé dans le rétro électro;

Et dont j'en tire en conclusion que mon encre a un caractère bien trempé !

Détrompez-vous !  Si vous décampez 

Sur vos surexpositions à la moindre injonction !

Si je reste dans la même version

Du scénario; avec pour question intemporelle qui demeure en échos ;

Avec pour échos qui tiennent à propos; 

Que se passerait-il si mes vers de poèmes tombaient à l'eau 

Sous une trombe d'eaux ?

 

Jérôme de Mars

Dix versions

 

Dans une course-poursuite

Contre l'ennui, vous connaissez

La suite dont et ensuite, en suite,

Vous savez et avez

En votre possession;

Dix versions, pour faire diversion

Et pour fuir la confusion 

Des genres avec effusions, et fusion;

Avec davantage de sagesse

Dans votre âge de jeunesse,

Où il vaut simplifier les choses

Pour avoir une vie éclose,

Dont le plus recommandé

Est de rester dans l'authenticité;

En faisant diversion

En dix versions;

Avec pour version initiale

Une réversion principale

Du premier mari; 

Qui se marie avec la vierge Marie;

Après avoir goûté 

A la verge effarouchée 

De son mari;

Pour faire dix versions

En diversion;

Et passer d'une désunion

A une réunion; 

Avec pour vocation

La révocation

Des ruptures;

Avec pour point de suture

Après les points de sature;

Des réconciliations

En communions,

Car après pour suite

Dans une course-poursuite,

V'là en suite, ensuite

Le moment de la poursuite;

Pour faire diversion

En dix versions;

Point de dix conversions.

 

Jérôme de Mars

Poème à bon entendeur pour ceux qui ne sont pas sourds à proprement parler

 

Pour ceux qui font la sourde oreille,

Ont-ils sans pareille en eux un soleil ?

Pour ranimer la vie de ceux; 

Qui sont mélancoliques jusqu'aux cieux

En eux; avec par exemple un bronzage 

D'amour, dont il faut avoir le cœur à l'ouvrage

A tous les âges, pour ramener un joli ciel bleu

Dans les parages avec pour azur un joyeux

Poème; pour regarder heureux vers un avenir

Plus harmonieux; et tellement avec du plaisir;

Pour regarder avec Plaisir dans Les Yvelines,

Dont on cherche des phrases fines; 

Pour plaire à une génération beaucoup plus réceptive;

Avec pour rhétoriques réactives; 

Une vie sur Terre collective, furtive 

Et captive;

Pour profiter de l'instant présent; 

En savourant aujourd'hui en ce moment,

Car il vaut mieux privilégier la qualité

A la quantité

Dans la vie; qui on l'espère parfois

Peut être un long fleuve tranquille; 

En agréments bourgeois; 

Riches pendant des mois;

Avec aucun souci

Dans une vie; en ayant une accalmie

Durant un long cours;

Au cours long, ou dans un concours

Dans une période de quelques jours;

Avec de l'amour; 

Pour que les vautours deviennent à vos tours;

Des mots synonymes de toujours;

Avec de la légèreté 

Dans un gant de velours,

Dont le jour, 

Où ce sera votre tour;

Faites-en un bon tour !

Avec vos p'tits vélos;

En passant par Le Trocadéro,

Dont pour vous réconcilier

Avec votre fratrie,

Votre famille et vos amis,

Passez en galante compagnie !

Par ce poème à bon entendeur

Pour ceux qui ne sont pas sourds

A proprement parler par Les Français;

Sans faire la sourde oreille amicale;

Mais en ayant l'oreille musicale;

Pour mettre en musique

Tout ce qui vous émeut en acoustique;

A bon entendeur avec vos écouteurs !

Dans ce poème à bon entendeur

Pour ceux qui ne sont pas sourds

A proprement parler Français;

A bon entendeur avec vos écouteurs !

Burn août 

En plein moi du 15 out !

De l'ascension à l'Assomption; 

Je vous salue bien immatriculé conception.

 

Jérôme de Mars

Si mes vers de poète maudit me mangeaient !

 

De Rimbaud à Verlaine;

Avec un tilleul camomille verveine;

Je souscris un vers laine,

Dont j'écris avec la bedaine

Des mots; en gros tout ce qui

Me torture l'esprit, 

Dont si jamais ça ne faisait que me démanger

Mon tombeau à en crever l'abcès,

Si jamais mes vers de poète maudit me mangeaient

Et me consumaient à l'excès; 

Avec un ver de trop qui soûle mon intégrité

Dans un état des lieux pas très conseillé;

Et recommandé moi, délabré et laminé

A m'en taper le coquillard,

Car si jamais je perdais la boule

Je serais opéré sur le billard;

Avec tout de l'intérieur de ce que je refoule;

Que par conséquent, je m'en ferai un sang d'encre

Et je jetterai l'encre dans le bourreau des vases clos

Communicants; renfermé dans le ghetto

Des poètes, où j'ancrerai et je rentrerais cancre, qu'ancre

Mon encre avec férocité et vivacité dans la saga cité,

Si mes vers de poète maudit me mangeaient

Et me bouffaient dans mes bouffées d'angoisses;

D'un pas las, où tout me lasse, et où je m'en fous 

De tout dans ce monde sans garde-fous, 

Où je cherche un rad pour oublier ce monde salace,

Car ça lasse mon côté Rimbaud;

Qui boit un ver de trop 

Et aussi Verlaine,

Dont pour ne pas sentir ma sale haleine,

Je me mets à boire des vers de verveine;

En écoutant Grand Corps Malade;

Pour inspirer mes ballades et sérénades,

Car tant que j'aurai des rimes à souffler et à boursoufler 

Mes vers ; et ben ! J'en profiterais quitte à m'en démanger mes impuretés,

Si jamais à tout jamais mes vers me mangeaient en vers ma Chrétienté.

 

Jérôme de Mars

Le je en valait-il la chandelle ?

 

Triste anniversaire que celui d'hier,

Où certains ont oublié ou n'ont pas voulu

Me le souhaiter du fait de mes péchés,

Où je me fais passer pour un bouc-émissaire 

En goûtant le fruit défendu

Et en jouant au face bouc-émissaire,

D'où j'en sors

Et j'essore;

Tout ce qui me cause du tort

En faisant le cruel jeteur de sort;

Qui jette son dévolu

Dans mes excès;

Absolus et éperdus, et perdus,

Car même qu'hier, ce fut du gâteau;

Est-ce-que le je en valait-il la chandelle ?

Qu'on me souhaite mon anniversaire

Moi, empêtré dans de sales affaires,

Où la morale me perd

Pour me consumer 

Avec l'amoral sur le bûcher;

En ne faisant pas dans la dentelle

Avec des blagues douteuses

Et sulfureuses;

Qui ne parlent que de bagatelles

Sous des propos crûs; 

Qui l'eut-cru ! ?

Qu'un jour, je nivelle

Vers l'ébat, 

Car et bas !

Les masques;

Avec les frasques et les bourrasques

Devant, où je me demande 

A la quémande et avec des offrandes;

Ce qui peut me motiver

A dériver sans arrêt

Vers le rétro du chaos,

Car même si hier,

Ce fut du gâteau !

Cela était trop

Pour moi que certains hier

Oublient ou ne veuillent

Pas me souhaiter mon anniversaire !

A cause de mes sales affaires,

Où je m'en lave les mains avec mes feuilles

Mortes en pré-vers, où j'en ai marre

De tout comme durant mes nuits de cauchemars,

Et où j'implore le ciel; 

Si malgré que je chancelle;

Si ça en valait la peine de colporter 

Comme nouvelle !

Que je fête mon anniversaire

Avec mes amis

Et ma famille;

Avec comme question nécessaire;

Est-ce-que le je en valait-il vraiment la chandelle ?

 

Jérôme de Mars

Je flingue avec des révoltes vers !

 

A la prunelle de mes yeux;

Que j'observe joyeux ou soyeux

Je suis dingue de revolvers,

Où casse-dingue 

Et lourdingue;

Je flingue avec des révoltes vers,

Où je virevolte vers les œillères

Qui me surveillent comme le lait sur le feu;

Avec des pare-feu, départ feu en un nœud

Sur l'estomac, où je ne veux aller à la fête à neuneu,

A la défaite à neuneu; 

Tellement que je suis dingue de revolvers;

Que casse-dingue 

Et lourdingue;

Je flingue avec des révoltes vers,

Où je virevolte vers et ouvert

A tout pourparlers dont j'arme d'hein patience;

Avec mes larmes de repentance, 

Dont je dézingue n'importe quelle importance

Que je sois en vacances;

Ou sur le support de Plaisance;

A vouloir refaire à chaque instance

Ce que j'ai manqué dans l'envers du décor,

Dont l'an vers dû des corps; 

Fait que je ne suis raccord

Sur le rebord de la fenêtre; 

A défenestrer le maître

De mon destin que je considère,

Comme un traître en travers

A la prunelle de mes yeux;

De l'iris qui hérisse mes vieux 

Et mes anciens démons, 

Dont j'en veux pour diversions,

Que j'ai dix versions de mon aversion

Sur la planète austère en père versions,

Perversion, dont avec des revolvers,

Je dézingue avec des révoltes vers;

En vers vers ce que quoi ou vers,

Cela me sert, serre ou me dessert,

Si bien que je virevolte vers et aux vers;

Tellement que je dézingue à visage ouvert;

Que j'en reste dingue bien habillé pour lit vers,

L'hiver, où avec tous mes travers;

Je reste à distance très ouvert

Aux vers, dont j'ai en travers

De la gorge dix vers

Et avariés; que j'en suis dingue aux vers

De Noël Mamère à Noël, ma mère,

Dont je dézingue pour l'hiver divers;

Avec des revolvers

Ou vers, ouverts dont je virevolte vers

Les hauts vers, les os vers,

Car je flingue couvert, qu'ouvert, ou vers

Jusqu'à ce que je révolte vers ou vers aux vers.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Un chagrin en vaut-il la peine ?

 

Peignée dans une coiffure;

Tirée par les cheveux de désinvolture,

Est-ce-que avec des madeleines

De Proust,

Un chagrin en vaut-il la peine ?

Pour connaître nos goûts

Avec un questionnaire de Proust,

Où l'on avoue 

Que l'on vous désavoue

Avec un ouste; 

Dehors, si on nous fout des roustes !

Où faut-il que l'on s'éprenne

Aux étrennes ?

Ou qu'on freine notre rengaine ?

Si on peine et on traîne;

Et traîne toute la semaine

En capitaine à tribord

Si on a tort de traîner nos remords;

Et si avec des madeleines

De Proust;

Un chagrin en vaut-il la peine ?

Si on répond au questionnaire de Proust;

Pour qu'on nous foute des roustes

Dehors ! Et ouste !

Dépeignée par les touffes de cheveux;

Qui pouffent nos fronts garnis par la mèche; 

Qui vend la mèche en allumant les brèches,

Quand s'embrasent les brûlures de l'histoire;

A raconter au bar en brèves de comptoir;

Pour s' laisser happer par le suspense fabuleux

Et fiévreux à nous décoiffer face à nos impostures,

D'où on se contredit tous avec des costumes sur mesures;

Pour voir si on a une ouverture d'esprit en galante compagnie;

Et si nous vient à l'esprit qu'on concilie

L'harmonie et la frénésie;

Avec des confettis

Si jamais on devient open, O'peine !

En mangeant des madeleines

De Proust,

Car en répondant à nos goûts

Préférés du questionnaire de Proust,

On avoue

Qu'on ne vous désavoue dénoue à vous;

Même qu'on a pris des roustes !

Et qu'on a nous foutus dehors ! Avec un ouste !

Si on mange des langoustes;

Et si en 2022;

V'là nous deux !

Si Marine le peine !

Et si de la peine;

On devient open, O'peine !

Et si jamais un chagrin en vaudra-t-il Le Pen ?

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Des cas faits, décas faits, des cafés

 

Légitime défiance;

Pour calmer vos impatiences;

Faites-vous des cas faits,

Décas faits, des cafés !

En cas faits,

Encas faits, en cafés !

A vos cas faits,

Avocats faits, à vos cafés !

Pour votre défense;

Qui vous fait offense

A vos cas faits,

Avocats faits, à vos cafés !

Dont il est temps

Que vous ayez un instant

Des cas faits,

Décas faits, des cafés !

Pour trouver la paix

Avec des cas faits, 

Décas faits, des cafés !

En cas faits,

Encas faits, en cafés !

Pour votre défense

A vos cas faits,

Avocats faits, à vos cafés !

Et dont pour votre défiance

Des cas faits,

Décas faits, des cafés !

En cas faits,

Encas faits, en cafés !

D'il est, illégitime défense

A vos cas faits,

Avocats faits, à vos cafés !

Point de défiance.

 

Jérôme de Mars

Quand Port-Grimaud vogue sur Venise !

 

Eté comme hiver

Dans la zone de l'atmosphère;

L'eau glace le vent

Sur les gondoles

Face à l'océan;

Qui se gondole 

De sourires sans bémol;

Sur la baie molle

Du Golfe de Saint-Tropez;

Qui en a vu suer

Comme la pluie sur Grimaud;

Qui mouille sa chemise

En servant le gris-beau, 

Quand Port-Grimaud

Vogue sur Venise;

Qu'on se croirait à Port-Grimaud

A Venise;

Avec pour femmes promises

Le pont des soupirants;

Flirtant dans une vie de bons sentiments;

Mélangeant Les Vénitiens

Et Les Vénusiens; 

Que ce soit au mois de Mars

Ou un certain Jérôme de Mars

Sur la place Saint Marque;

Avec en son sein Marc;

La vie d'artiste de peintres

Peignant l'ivresse

De la foule en liesse;

A jouer de la harpe

Dans un auto-portrait, 

Où plus personne ne s'écharpe

Dans le jeu de la carpe

Et du latin, 

Comme au quartier latin;

De quoi en perdre son Paris latin

Dans ce village de rupins; 

A songer à des rêveries

Sur le pont des sans soucis;

Pour avoir le droit à l'oubli

Avec pour accalmie;

Une étreinte sans feinte

Et une feinte éteinte;

Avec une teinte atteinte 

Et à teinte,

Car c'est l'amour qui fait s'envoler

Les rossignols;

Sur la place de ceux qui tiennent paroles

Dans la farandole,

Comme l'amour donne l'apparence

D'un monde qui va bien;

Mais dont on boit du vin

En substance pour faire résilience;

Et omettre le déclin

De ce monde, où on a besoin

De tant d'amour;

Avec dans la cour

Des grands;

Ci-joints;

Des gens élégants

De velours,

Où Port-Grimaud

Vogue sur l'eau,

Comme Venise

Est un eldorado;

Qui a la mise

Ave une répartie remise

En facéties

Et en pures fantaisies;

En mille et une facettes

Sur la place des comètes

Vers le ciel

Dans ce poème sur aquarelle,

Où on fait dans la dentelle,

Car nulle part ailleurs pareil

Où aller,

Quand les peintres sans quiproquos

Jouent sur tous les tableaux;

Des trémolos avec sanglots

Jusqu'à avoir les mots qu'il faut;

En mouillant la chemise

Des Vénitiens

Et des Vénusiens;

Qu'on se croirait à Venise

Juste ce qu'il faut,

Quand en épilogue;

Port-Grimaud vogue

En monologue; 

Tellement en vogue

Sur Venise.

 

Jérôme de Mars

 

Avec de l'eau, on boit la tasse !

 

En buvant des paroles qu'on entasse;

Tout se tasse quand sur la terrasse,

Avec de l'eau, on boit la tasse !

Lorsque tout tombe à l'eau et qu'on potasse !

Tout ce qui nous terrasse

Avec un cancer de louanges de mes tasses tassent,

Si bien qu'avec un sirop

Et un ver d'eau 

En une tempête dans un ver d'eau;

Eh bien avec de l'eau, on boit la tasse !

En tasse dont on se prélasse 

Sur le boulevard Montparnasse; 

A la ramasse

Dans un O' méli-mélo,

Dont l'homélie met l'eau

Et dont avec des flaques d'eau;

On va patraque dans le ruisseau

A-vau-l'eau, 

Dont on en fait tout un mélo !

Qui émet l'eau, aimait l'eau,

Dont avec de l'eau, on boit la tasse !

En remontant à la surface de l'eau

Et l'eau ! Hello ! les marrons chauds !

On veut boire un ver bien chaud 

Avec un réchaud;

Pour réchauffer la température de l'eau

Depuis notre eldorado;

Avenant et prévenant sous le sirocco

A secouer le cocotier avec les noix des cocos;

Cocoricos et communistes, dont en regardant dans le rétro;

On tombe de haut en hurlant dans le micro !

Qui il y aura-t-il dans le métro ?

A part Zazie si elle vous dit !

Et qu'elle vous embrasse,

En brasse;

Avec de l'eau dont on boit la tasse !

Pour vous dire merci

Mon chéri;

En buvant la tasse

En tasse; qu'on entasse,

Car avec de l'eau, on n'arrête plus de boire

La tasse ! dont on potasse

Avec mes tasses tassent; la tasse

Défunt de soif de purgatoire.

 

Jérôme de Mars

Du ballet !

 

A presque quarante deux balais;

Il est l'heure de tout déballer

Dans un remue-ménage de fin d'été,

Alors qu'en nage, ça déménage !

Dès qu'on est en nage;

Et qu'on emménage en ménage

Dans un ménage de printemps périmé,

Dont la date de fraîcheur est dépassée;

Même qu'on s'en lave les mains,

Quand on fait la pelle de bon matin;

Dont du ballet !

Pour tout déballer 

En faisant passer le balai

A la pelle de la forêt;

Pour nettoyer les feuilles mortes

Qui tapissent le sol jonché;

Avec une allée d'arbres déracinés 

Et peinés sous le chagrin du tronc;

Et des hommes troncs en trublions;

En leur coupant l'herbe sous le pied

Déraciné, lorsqu'il y a une pénurie forte

D'amour dans un balai déballé;

Dont du ballet !

Pour trimbaler 

Tous les fruits défendus du péché,

Si bien qu'on en garde des fascicules

Avec des brochures;

Pour affronter à presque quarante deux balais

Le monologue d'un long ballet déballé;

Avec un échantillon grandeur nature,

Dont y a pas photo en pellicules !

Du ballet !

Avec la pelle de la forêt;

Pour ramasser avec la balayette

Toutes les saletés dans un miroir aux alouettes,

Dont pour qu'on s'en sorte

Par une pirouette;

Autant prendre notre envol en étant chouette

Et en ramassant les feuilles mortes,

Dont on en fera avec une porte

Bien grande ouverte de bien belles choses; 

Pour connaître la vie en rose,

Avec pour apothéose

Après les névroses;

Du ballet !

Dans un balai enchanté;

Pour ne plus qu'on s'en lave les mains,

Tandis qu'une fois qu'on nous aura passé un savon;

On fredonnera v'là le p'tit matin avec pour refrain !

Des grains de poussière

Pour fermer nos yeux de lumière,

Si bien qu'enfin, on aura presque tout déballé;

Avec à la clé pour balayer devant notre porte;

La pelle de la forêt forte

En hymne de chansons;

Avec l'arbre qui cache la forêt,

Dont pour se laver les mains;

On s'en lavera le sûr lendemain !

D'il était une fois un ballai !

Dont on avait

Fini de tout déballer;

A presque quarante deux balais,

Car du ballet !

 

Jérôme de Mars

A quoi ça rime d'être un poète maudit ?

 

De par Guy de Maupassant;

En faisant la contre danse

Des Saint-Guy; soit-dit en mots passant

Dans la redondance

De ce qui se dit ou se fie,

Car à quoi ça rime d'être un poète maudit ?

A part clamer et revendiquer

La fierté de garder sa propre liberté

De ton; en y mettant le ton 

De ses fatales lésions

Dangereuses; pour les moduler

En aversions immodérées; via la racaille

En moi qui entaille

Ma saga cité; 

De comment entre l'harmonie, la mélancolie

Et la furie de vivre à tout prix et à n'importe quel prix

Tout appris;

De comment j'ai pu oublier d'éprouver 

De la sympathie et de la bonhomie

En la vie; en bon homme mis

Devant le fait accompli, 

Car à quoi ça rime d'être un poète maudit ?

Soit-dit en mots dits dans le déni du ni-ni,

Où qu'est-ce-qui est le mieux ?

Faute d'avoir trouvé la paix parmi mes aïeux;

Hormis, or mis mes conflits intérieurs;

Avec des confettis aux faux-semblants rémunérateurs

Et fédérateurs;

En fausses postures d'homme rieur;

Faisant croire à une façade d'homme ébloui et ravi,

Car à quoi ça rime d'être un poète maudit ?

A part que s'arrime en s'attachant à l'essentiel;

Avec du pain béni dans l'hébergement d'urgence à l'autel

Du bon Dieu fastidieux, odieux, insidieux et en rêvant chanceux

D'un monde meilleur et plus enjoliveur,

A la quête de la résilience de mes vers;

Comme à la Saint-Patrick de vers

En vers mes cieux audacieux;

Car à quoi ça rime d'être un poète maudit ?

A part tromper l'ennui et duper l'ennemi;

Et à voir le ver à moitié plaint et à moitié avide,

Clair et limpide, 

Dont pour composer un prodigieux

Numéro d'artiste avant-gardiste;

Nickel et semblant de plus bel,

Il vaut mieux pour cela

Et sans éclats;

Jouer le parfait rôle du clown triste

A savoir s'il joue le rôle de sa vie;

Ou un rôle de composition aussi,

Car à part être et ne pas avoir été optimiste;

Mais souvent pessimiste et fataliste,

Est-ce-qu'avec parcimonie ?

Cela suffit-il d'être très et trop réaliste ?

Et un brin utopiste ?

Pour rester et demeurer dans la piste ?

Car sinon à part éviter le hors-piste;

A quoi ça rime d'être un poète maudit ?

 

Jérôme de Mars

 

On a tellement de choses à se dire et tellement plus encore !

 

Dans un corps d'adulte qui a gardé l'âme de son enfance; 

Ce gars-là ne connaît que le tumulte de la loi du silence;

Or nul ne l'ignore !  

On a tellement de choses à se dire et tellement plus encore !

Surtout que le temps passe et trépasse dans l'urgence,

Dont il en faut tirer résultat !

Et en dresser un constat 

Qu'il faut vivre l'instant présent avec fulgurance; 

A l'aube de l'hiver de sa vie; 

Qui dévie vers la vieillesse en simplement quelques oublis;

De reconnaître sa famille

Et ses amis;

Or nul ne l'ignore !

On a tellement de choses à se dire et tellement plus encore !

A savoir qu'on a besoin de compagnie;

Face à la vie qui transvase dans l'agonie de l'inertie,

Où pour rester dans le coup et tromper l'ennui,

Rien de tel que de passer quelques heures en ta présence;

Pour réconforter ta vie qui trépasse après des années d'absence

Et dans la défiance; 

Si bien que pour trouver une nouvelle cure de jouvence,

On attend ta réponse pour vivre l'instant présent dans l'innocence

De ton enfance enfouie et refoulée dans l'indécence, 

Où tout le monde te fustige;

Mais dont il faut que tu enrayes ces vestiges

D'un autre temps; pour qu'on t'encense

Durant ton court passage sur Terre,

Dont il faut tirer en inventaire;

Car or nul ne l'ignore !

On a tellement de choses à se dire et tellement plus encore ! 

 

Jérôme de Mars 

 

 

 

O' soleil d'aventure, brille de ta devanture !

 

Avec des vers durs,

Fais-nous une salade de verdure !

En envoyant ta belle nature

Dans la pâture;

Sans te couper l'herbe sous le pied,

Mais en allant parler avec le verbe 

Haut à douze pieds dans un ver acerbe;

Qui résume ta philosophie pour scintiller,

O' soleil d'aventure,

Brille de ta devanture !

Avec un rayon étendard

De ton crayon de couleur standard,

Dont on veut que tu montres ta notice

Pour mettre ta pierre à l'édifice;

Et en connaître ta police

Dans un jeu d'écriture,

O' soleil d'aventure,

Brille de ta devanture !

Avec pour zone de couverture;

L'ami lisse à la place de la milice

Désarmée dans ce poème d'ouverture;

Avec en même temps plusieurs rotations

De la station debout aux ovations;

Et d'être toujours debout et là malgré les écorchures

Et les égratignures;

O' soleil d'aventure,

Brille de ta devanture !

D'une vie pansée dans la déconfiture

Et dès la confiture des pruneaux à jeun; 

De la religion du Ramadan 

A ras ma dent 

En joints six besoins,

Dont pour pêcher l'orgueil

Et l'écueil dans un recueil;

Il faut patienter en ramassant 

Les feuilles mortes de Jacques Pré vers;

Pour apercevoir le bout du tunnel 

Dans la passerelle;

Qui mène vers la liberté extraordinaire

Avec en magasin des fournitures;

O' soleil d'aventure,

Qui brille de ta devanture !

Avec pour armure

L'esprit dur d'Excalibur;

Qui carbure

A la passion à plat de couture,

Dont le dindon de la farce est d'un don;

Dont il a le mérite d'être un Armageddon;

Pour réconcilier toutes les différentes confessions;

Avec pour inflexion un nouveau regard de compassion

Au rebord des changements d'opinions

Sur ce que le monde contient pour horizon;

Plié en quatre saisons avec le seigneur;

Pour apaiser les douleurs,

Dont pour conjuguer 

Et concilier

Le tout dans de la musique Céleste;

Il faut lâcher du leste pour le reste;

O' soleil d'aventure,

Brille à l'infini de ta devanture !

 

Jérôme de Mars

Les fées papillons

 

Au soleil minot 

D'au sole mi-haut;

Qu'on sole

Ou qu'on console;

Les parasols 

Surplombent les tournesols

Avec les fées papillons;

Qui grattent leur guitare en caressant

Le soleil levant

Dans des moments de suggestions;

Avec l'effet papillon

Ou les faits du tourbillon

Du vol des papillons;

Qui lézardent le talus

Au sillon d'un pied à terre;

Terre-à-terre

Sur le sol déchu;

De par quelques vers de terre qui riment

A chaque aphorisme qui écime

Ce trop plein fulgurant 

De les fées papillons;

Qui sonnent dès les malentendus

Avec un risque de saturation

Si les confettis restent en émulation;

Avec pour direction

Des éruditions ayant pour diction;

L'effet papillon qui frétille et titille

La mue des chenilles

De la chenille au papillon;

En bisbilles

Et à maturation;

Si de chouettes fleurs

S'envolent avec des chouettes qui effleurent

A fleurs de peau;

Leurs caractères qui tempèrent

Et obtempèrent

Crescendo sans quiproquos;

A bon entendeur

D'un matin de senteur;

Avec l'effet papillon

A la sueur

De son affront;

Pour transformer

Sans tonalité 

Et avec un sourire aguicheur;

Ces indémodables portées

De saveurs aux portes du guichet;

Avec en gestation

Innée et inopinée;

En un vol de papillons

Dès les fées papillons.

 

Jérôme de Mars 

 

 

Quand à L'ESAT LA FABRIQUE, le masque tombe !

 

La directrice propose de faire une réunion à l'atelier conditionnement entre les moniteurs, la direction et les agents, gare à celui qui proclamera ses quatre vérités si le masque tombe !  :

 

Eric, le moniteur :  " -  Qui veut commencer à prendre la parole ?  "

 

Jérôme, un agent :  " - Moi pour demander, pourquoi est-ce-qu'au conditionnement, il y a des clans et que personne ne s'entend entre collègues ?  "

 

Tony, un agent :  " -  Car mon petit Jéjé, si le masque tombe, tout le monde nous prendra en grippe et tout le monde s'en lavera les mains et en plus au conditionnement si jamais le masque tombe, il y aura des malentendus si jamais tous les agents se sous-traitent et se maltraitent si comme le décide la direction de L'ESAT, on ne fait pas d'appel masqué aux agents  "

 

Jérôme, un agent : "  -  Sans doute pour ça que les rares personnes qui m'appellent, m'appellent en masqué.  "

 

Eric, le moniteur :  "  -  Pourquoi dans l'atelier, la plupart des agents ne veulent pas passer le balai  ?  "

 

Jérôme, un agent :  "  -  Car tout le monde me dit du balai quand j'ai des choses à déballer !  "

 

Madame Manoiline-Proaï, la directrice :  "  -  Quelle est la raison pour laquelle personne ne veut quasiment pas passer le balai  ?  "

 

Charlotte, une ex-agent partie à la retraite :  "  -  Moi, je m'en fous, j'ai plus rien à perdre comme je suis partie à la retraite, c'est à cause de vous Madame Manoiline, que personne ne passe le balai, à cause de votre mentalité de merde, vous faites régner la terreur dans tout ce remue-ménage, en ne ménageant personne, c'est vous qu'on devrait déménager, vu que ça déménage à L'ESAT depuis que vous êtes là, c'est pas parce-que vous avez quarante ballets et quelques, que vous allez nettoyer tous les gens de L'ESAT, vu que vous vous en lavez les mains !  "

 

Madame Manoiline-Proïa, la directrice :  "  -  Mais sur quel ton vous me parlez ?   Modérez vos propos !  "

 

Charlotte, une ex-agent partie à la retraite :  "  -  Si vous saviez ce que j'en ai rien à foutre, moi, j'ai mon franc-parler sans perdre le Nord, c'est vous qui devriez vous modérer avec votre face sur facebouc-émissaire vu que vous rendez chèvres tout le monde à L'ESAT !  Je vous parle de cette façon, déjà premièrement, parce-qu'à cause de vous j'ai fait tomber mon masque et comme le masque tombe, je vous dis mes quatre vérités, moi, je m'en fous, je suis partie à la retraite et Jérôme débat à la retraite !  "

 

Madame Manoiline-Proïa, la directrice :  "  - Vous croyez que vous me faites peur avec vos vérités, car chez moi, le silence est d'or et la parole est d'argent !  "

 

Jérôme, un agent :  "  - Madame la directrice, on connaît par rancœur votre discours !  On ne fait que vous dire que vos quatre vérités pliées en quatre sévérités, ces vérités !  "

 

Eric, un moniteur :  "  -  Qui d'autre veut dire un dernier mot avant la pause pour tout déballer ?  "

 

Sandrine, un agent :  "  -  Moi, je ne sais pas si j'aurai le dernier mot, mais en tout cas avec tout ce que j'ai trimbalé jusqu'à présent, j'aurai besoin de savoir que faire pour entretenir de bonnes relations dans l'atelier entre collègues et pour qu'on travaille dans l'harmonie même si on ne peut pas aimer tout le monde dans l'atelier ?  "

 

Jérôme, un agent :  " -  Moi, je pense qu'il faut respecter le travail des agents et des moniteurs en portant un masque, et en appelant les gens masqués, car si on se fait démasquer et que le masque tombe ! Ebats les masques !  On se met à nu en tombant des nus !  Avec le risque que tout le monde nous passe un savon si jamais, on s'en lave les mains ! Voilà ce que ça signifie mon dernier mot si le masque tombe !  "  

 

Jérôme de Mars

Zazous dans le rétro

 

Coupe électro magnéto;

Ca jazze

Avec ton Tépale !

Si t'es pâle et que c'est pâle !

Cépale avec ton Tefal; 

Si ça t'est égal !

Et si c'est l'égal, légal !

Ta contre-culture à effet de mode,

Qui te raccommode 

Parmi les zazous dans le rétro,

Qui sont en phase

Avec le micro de Zaz,

Qui chante le jazz;

Si ça jazze

Et que ça rase 

La moquette

Au ras des pâquerettes; 

Avec des hindous dans le tempo;

S'il y a des zazous dans le rétro

Dans ce monde de fous d'artistes;

Avec des gardes-fous avant-gardiste,

Où avec une coupe chelou,

Tu seras un filou

Et tu fileras doux;

En gardant le fil sur le redoux;

Si jamais tu rencontres Léa Seydoux,

Et que c'est doux et trop doux

De faire le fou;

Avec cet effet des modes;

Si tu t'en accommodes

En et lisant une revue de commode;

Avec des gens commodes,

Dont il faut que ça jazze !

Sans que ça te rase !

Car effet domino;

Comme un château de cartes,

Tu ne pourras appeler René Descartes;

Même avec une pancarte,

Là où tu seras illico presto !

Obligé de jouer cartes 

Sur table; pour que tu t'encartes

Coupe électro magnéto;

Avec ton perfecto

Et avec Zazie dans le métro;

Mais dont Zazie

Te dédiera un joli merci

Dans son dernier numéro;

Pour être mis au courant de ta contre-culture

Et pour savoir si au pied du mûr;

Tu auras toujours eu la stature

Des zazous dans le rétro. 

 

Jérôme de Mars

Rebelote

 

Jouons cartes sur table à la belote !

Dont rebelote,

Si on joue aussi à la pelote 

Basque et si on coud avec la pelote

De laine rebelote;

Avec en haleine, à laine, ce qui nous fagote 

Rebelote;

Avec également en bas de laine une répartie de belote,

Dont rebelote;

On arrête ce court texte avec des menottes,

Dont après avoir tant surjoué à la belote;

Et ben rebelote !

 

Jérôme de Mars

Il faut s'méfier de l'eau qui dort

 

Dans le plat pays, la mer agitée a besoin de calme

En faisant un raz-de-marée au bord des algues;

Qui traînent comme des âmes désœuvrées, dont le point d'orgue;

C'est de gésir dans leurs sentiments qui reposent dans la morgue

Taciturne, où il suffit que grâce à Morphée; on redore

Leur sulfureux blason, dont il faut s'méfier de l'eau qui dort;

Avec pour cador qu'adore composer comme morceau;

Un certain poète maudit qui s'enfonce dans le caniveau;

Ayant pour principal credo leur jargon,

Où il vaut mieux parfois que leurs cœurs d'artichaut 

Se rapportent à la raison à chaque début de nouvelle saison;

Avec pour équivoque qu'à chaque époque baroque;

On retentisse en chanson leurs grandes sérénades dans un colloque;

Avec pour apogée au sommet des transistors;

Qu'on sache que pour point d'attache;

On attende tranquillement le jour où y a relâche, 

Dont on ouvre la bâche

Si on s'impatiente en faux lâche,

Car c'est en créant et en survolant à vol d'oiseau le condor;

Qu'on adore; qu'on se dore la pilule 

Avec pour conquistador;

Une pluie qui ovule et qui pullule

Une grande marée noire, 

Dont pour qu'elle reste incantatoire

Et que s'finisse bien l'histoire

En puisant dans son réservoir;

Et dont en abreuvoir; 

Autant avoir pour renfort

Un parloir en pléthore,

Car il faut toujours s'méfier de l'eau qui dort. 

 

Jérôme de Mars

 

                                                    Blague :

 

 

Que fait un homme casse-cou pour baiser sa femme avec un string ?

-  Il la saute à l'élastique !

 

                                     

                                             Jérôme de Mars

 

 

La foudre d'escampette

 

Coup de foudre en contant fleurette;

L'amour saupoudre la poudre d'escampette,

Quand les tourtereaux prennent la foudre d'escampette

A songer à une idyllique amourette;

Qui dure depuis belle lurette,

Et dont ça en devient très jazzy;

Si la relation cosy passe avec fantaisie

De rengaine coups de blues à une bluette;

Qui rassemble dans un coup de foudre 

Sans tambour ni trompette;

Tout ce que l'amour divin saupoudre pour coudre 

Une relation qui ne soit cousue de fil blanc;

Pour rentrer dans le moule et pour faire trempette,

Quand les tourtereaux prennent la foudre d'escampette

En fuyant les faux-fuyants, les faux-semblants,

Et en s'emparant des comètes;

La tête dans les étoiles pour vivre leur romance;

A coups de résonance sur le Port de Plaisance,

Dont il faut unir la raison et la passion en fredonnant

La marche nuptiale lors d'un mariage intemporel;

Qui traverse les générations à coups de bagatelle,

Dont pour souhaiter aux tourtereaux un coup de foudre durable;

Que l'amour saupoudre dans une relation stable 

Sur le long terme; il faut que le démon de Midi préconise

En mouillant sa chemise des paroles promises,

Car après le coup de foudre en contant fleurette;

C'est l'amour qui saupoudre pour de bon la poudre d'escampette,

Quand les tourtereaux prennent désormais la foudre d'escampette.

 

Jérôme de Mars

Pourvu que la clepsydre nous laisse du temps !

 

Si on faisait le fort à Fort bagnard 

Sous un ciel de grand cagnard;

Avec de grandes épreuves

Face aux galères neuves

De nos vies, où durant un laps de temps

Dans un feu de camp;

Pourvu que la clepsydre nous laisse du temps !

Pour résoudre nos tracas; 

Face aux aléas 

De nos existences, où tout reste provisoire

Qu'on soit chez soi ou au bistrot du comptoir;

Et pourvu qu'on ne nous envoie pas dans les galères

Qui nous mènent en bateau face au grand air de la mer;

Et pour rester dans le vent;

Pourvu que la clepsydre nous laisse du temps !

Pour trouver la clé de l'énigme pendant l'épreuve

Sur l'océan pacifique; pour apaiser nos tourments

Dans la terre neuve et la mer veuve,

Où l'espace d'un instant, soyons heureux !

En lisant Tristan et Iseut et en priant pieux;

Pour un avenir merveilleux et en paix;

Dans la sérénité et l'amour de son prochain;

Avec de la clarté 

Au bout du chemin,

Dont il faut espérer de la liberté

Pour nous libérer 

De l'emprise du destin;

Qui nous emprisonne en mannequins;

Et qui nous empêche de profiter

De la vie en bon Chrétien; 

Et avec nos copains;

Et dont pour remporter 

La victoire après tant de déboires

Dans les longs couloirs du purgatoire;

Buvons aux gouttes du bonheur

Dans l'ivresse de l'insouciance;

Pour faire offense

Au passé mouroir,

Et dont pour inventer un lendemain

Meilleur avec de grandes saveurs;

Prêtons renfort en faisant les forts,

L'effort au fort bagnard

Sous un soleil de grand cagnard,

Dont après l'effort, les forts;

V'là du réconfort devant le boss fort !

En arlequins

Du soleil et en métaphore,

Car pour nous sortir de l'enfer

Et nous libérer de la mer sanctuaire,

Autant demander sous un ciel clément;

Un répit en étant dans l’œil du cyclone

Après tous ces ans, seize ans déments,

Où pour sortir de la mauvaise zone,

Soyons confiant mais prudents !

En des endroits rassurants;

Avec pour Dieu bienveillant; 

Un signal tout-puissant;

Ayant pour talisman 

Un précieux soutien assurant et réassurant

Notre retour dans le monde des vivants,

Et pour profiter encore davantage de l'instant présent;

Pourvu que la clepsydre nous laisse toujours autant de temps !

 

Jérôme de Mars

 

Oh ! Low cost  !  (  holocauste )  

 

D'après la damnation de Faust,

En ce moment, il fait chaud ah !

Comme maintenant, ça coûte moins cher

D'évoquer le génocide des Juifs,

Car maintenant, c'est Oh ! Low cost !

Et qu'avant c'était holocauste;

Avec des toasts grillés

Dans les fours crématoires;

Avec pour chambre de sport,

Des chambrent à gaz;

Si ça gaze comble de l'histoire

Dans les brûlures de l'histoire;

Question de territoire

Arrivé à bon port

Au train où vont les choses;

Si ça déraille dans les camps 

De concentration ,

Où les occupés font 

De la résistance;

En étant en pleine concentration

A vouloir la décentralisation;

Si jamais ça foutait le camp !

Et pour savoir si leur balle 

Etait dans leur camp;

Pour reporter les nouvelles déportées

Vers les camps de déportation, déportés

Et colportés pour que ça brûle en cendres !

A en descendre, des cendres l'urne

Diurne; pour que feu la damnation de Faust !

On dise feu ! Action ! ca tourne ! Moteur !

Avec des coureurs qui ont des petits vélos

Au Vel D'hiv dont naguère, on signe pour traité

De paix après avoir été maltraité avec toupet;

Car avant c'était holocauste 

Et que maintenant c'est Oh ! Low cost !

Pour que ça coûte moins cher d'en parler;

Et merci de ne jamais oublier oh jamais !

Car là ! Il fait toujours chaud ah !

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blague :

 

 

Pourquoi comme il fait chaud ah !  Que maintenant, ça coûte moins cher par rapport à avant d'évoquer le génocides des Juifs ?

-  Car maintenant, c'est Oh !  Low cost  ! et qu'avant c'était holocauste !

 

                                     

                                           Jérôme de Mars

La musique roule des mécaniques

 

Ricanement arithmétique; 

Que c'est mathématique

Quand menée tambour battant;

La musique roule des mécaniques

D'un point de bévue technique

Sous les effets de seuil des vents,

Où on ne calcule sonore,

Quand le tempo est incolore et indolore

Avec qui vole un œuf,

Vole un bœuf, survole quand on fait un bœuf;

Avec les musiciens veufs dont l'effet teuf

C'est de voir comme on est faits neufs, tout neuf,

Dont avec la puissance de nos quintessences;

On fait de la résistance en œuvrant d'auto-suffisance;

Avec pour prétention des choses présomptueuses,

Dont le péché d'orgueil nous conduit à des fautes fabuleuses,

Imbues de nos personnes arrogantes et pathétiques,

Avec pas tes tics et tics, éthiques,

Quand la musique roule des mécaniques.

 

Jérôme de Mars

 

L'orgue de Barbarie enchante la ville de Paris

 

 

Instrument de musique à Paris dont on ne tarit pas d'éloges;

Il vaut mieux que pour lui, il reste à sa place sans qu'on déroge

A la règle; qu'il occupe en bonne position, le titre agrée pour les plus démunis

Sur les bancs publics; dont l'orgue de Barbarie enchante la ville de Paris

Avec parcimonie, comme une ballade dans une bluette sur la complainte, 

Quand l'empreinte déteint dans une teinte; ayant pour atteinte une plainte

Déposée à l'orgue de Notre-Dame de Paris; qui met tout son grain de folie

En rencontrant des péripéties, quand l'orgue de Barbarie enchante la ville de Paris

De Barbara; qui interprète la mélodie de l'aigle noir au parvis de la défense;

Avec pour avocat l'avocat du diable; qui recense son entière innocence,

Dont sa légitime défense serait d'attendrir l'arène avec pour Sainte chérie;

L'orgue de Barbarie qui enchante la ville de Paris;

En vue d'anoblir l'appareil de la Butte Montmartre; qui rebute dans la lutte

Tout ce que le droit à l'oubli; lui rebute de La Butte 

Aux cailles jusqu'aux vieilles canailles ayant pour lutte finale;

Tout le sérail pour rester dans les annales, dont le terminal

Définit l'apologie de la gloire;

Histoire de préserver son territoire;

Avec pour grande frénésie être en galante compagnie

De la Compagnie Créole;

En gardant le droit du sol,

Si bien que d'aujourd'hui à demain;

On retient pour éternel refrain;

Que l'orgue de Barbarie enchante la ville de Paris.

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blague :

 

 

Pourquoi Philippe parfois, n'es-tu pas fin dans tes propos ?

-  Parce-que la fin justifie les moyens

 

                                        Jérôme de Mars

Le Bedros show 

 

Des petites saynètes avec un air de famille :

 

1) Laëtitia, une cousine :  " - Pourquoi déprimes-tu dans ton appartement en rampant avec tes insectes ?

 

Jérôme :  -  Parce-que j'ai sans arrêt le cafard !  "

 

2)  Sébastien, un cousin :  "  -  Jéjé, pourquoi aimes-tu me cuisiner en voulant savoir si j'ai des casseroles ?

 

Jérôme :  -  Parce-que c'est si bon de passer tout à plat depuis le temps où avant, tu faisais une école d'hôtellerie-restauration à Brunoy  !  "

 

3)   Simone, une cousine :   " -  Pourquoi veux-tu que je joue cartes sur table avec toi à chaque fois, où tu me fais des téléphones anonymes en m'appelant et en me raccrochant au nez  ?

 

Jérôme :  -  Parce-que je joue au jeu de cette famille !  "

 

4)  Sabrina, une cousine :  "  -  Pourquoi mon petit Jéjé, quand t'étais enfant jouais-tu souvent cartes sur table avec moi, comme tu n'avais pas de copains étant môme ?

 

Jérôme :   -  Parce-que je jouais cartes sur table au meilleur rami !  "

 

5)  Dominique P, une cousine :  "  -  Pourquoi durant le confinement, m'as-tu appelé pour que je te prenne un nouveau ventilateur ?

 

Jérôme :  -  Parce-qu'avec tout ce que j'ai supporté, j'ai besoin de changer souvent d'air !  "

 

6)  Michel, mon père :   "  -  A ton avis pourquoi le génocide Aménien de mon côté et tous les suicides en série qu'il y eu du côté de ta mère, est-ce-que tout cela t'a-t-il autant traumatisé et marqué à ce point ?  

 

Jérôme :  -  Parce-que de ton propre chef, c'est le Boss fort avec un à vie de recommandé !  "

 

7)  Maurice, un oncle :  "  -  Pourquoi est-ce-que tu vends toujours l'histoire du génocide de ma famille en lavant en public le linge sale en famille  ?

 

Jérôme :  -  Parce-que ton fond de commerce, c'est d'avoir ça en magasin !  "

 

8)  Simon, un oncle :  "  -  Pourquoi m'as-tu toujours dit qu'à la mort de mon Atlas, le livre ouvert de la famille, que j'étais le chef de famille ?

 

Jérôme :  -  Parce-que tu hais les nés ! "

 

9)   Michel, mon père :   "  -  Te rappelles-quand t'étais enfant, pourquoi est-ce-qu'à Cavalaire, je t'avais dit une fois que t'étais l'idiot du village ?

 

Jérôme :  -  Sans doute, parce-que j'étais la tête de Turc de tout le monde !  "

 

10)  Georges, un oncle :  "  -  Pourquoi te rappelles-tu tout le temps de la blague que tu m'as toujours faite avec la vitre, quand t'étais gamin ?  

 

Jérôme :  -  Parce-que comme je ne me tenais pas à carreaux, j'ai bien failli rester sur le carreau !  "

 

11)  Dominique B, une belle-tante :  "  -  Mon petit Jéjé, pourquoi est-ce-qu'à chaque fois que je te reparle de l'histoire de la vitre cassée à Cavalaire, où t'as failli rester sur le carreau; que ça t'émeut tant si particulièrement ?

 

Jérôme :  -  Parce-que ça me donne envie de pleurer avec mon mouchoir à carreaux !  "

 

12)  La famille Bedrossian qui se ligue ensemble demande à Jérôme :

" -  Pourquoi es-tu nostalgique de tous tes souvenirs avec nous quand t'étais gamin ? 

 

Jérôme :  Parce-que tout cela fut bon enfant !  "

 

Jérôme de Mars

Si jamais, le soleil réchauffait la vie des gens !

 

Allumé avec une mèche dans les cheveux;

Ou si t'es un allumé avec une antisèche pour mettre le feu;

Si jamais, le soleil réchauffait la vie des gens !

Et qu'il mettait un peu de bleu au ciel pour jeter dans le courant

De l'eau bénite, en apprivoisant les aléas de la vie avec harmonie;

Et que les gens aient le droit aussi à l'oubli, et au répit pour oublier leurs soucis,

Où après la pluie, rien de tel quand jaillit avec aucun nuage à l'horizon !

Qu'il soit clair-obscur ou sans cloisons dans une ambiance bon enfant,

En toute saison pourvu que fleurissent la mousson; 

Avec en écusson une pléiade d'innocence qui baigne les torrents;

D'autant que s'il y avait dans l'eau un peu de décolorant !

Ca permettrait d'ériger des arc en ciel fluorescents avec un déodorant;

Si jamais le soleil réchauffait la vie des gens !

Avec comme remède flamboyant quelques gouttes de lavande en compliments,

Si bien que le temps en vaudrait quelques assouplissements pour changer

Les idées des gens; qui ne pensent qu'à leur boulot plantés là comme des arbres,

Soit en lézardant comme un silence de tombeau qui laisse de marbre;

Ce pourquoi le soleil se montre conciliant et très liant en alliant, avec pour alliage;

A part des commérages, des plages où se reposer sur ses lauriers au village,

Si jamais, le soleil réchauffait la vie des gens !

Et qu'il leur permettait d'allumer avec quelques lueurs; 

Leurs petits chez soi à n'importe quelle heure;

En prétextant la solitude comme n'importe quel alibi !

Ou même qu'un jour ou l'autre, il y a un risque que le soleil laisse tomber le ciel;

Avant que le ciel nous tombe sur la tête d'escarcelle,

Alors que pour rester charmant et séduisant, il faut au demeurant

Songer au bon vieux temps d'avant rassurant et réassurant; 

Si jamais pour fort longtemps, le soleil réchauffait la vie des gens !

 

Jérôme de Mars

Et migrer vers la poésie sans frontières

 

De mon plein gré,

J'écris envers la communauté

Que je me sers de l'exode oral;

Pour et migrer vers la poésie sans frontières

Sans ligne particulière;

Avec l'emprise murale;

Pour exprimer dans une ouverture d'esprit

Toute l'immigration de drôles d'oiseaux,

Dont je suis

Et je fais partie;

En ayant pour encre de ma tanière;

L'occasion d'être à l'ombre de la lumière;

Pour et migrer vers la poésie sans frontières

Sans racismes des différentes façons de faire

Diverses couleurs de peaux,

D'où le plus important est de revenir à la maison

Et au bercail en organisant une fête de la chanson;

Pour faire revenir les gens et les enfants

Au rebord de Jean De La Fontaine et de Jacques Prévert;

En survolant les ramages et les plumages dans l'eldorado

Du corbeau et le renard jusqu'aux feuilles mortes avec pour testament;

L'héritage et l'amnistie des poètes contestataires et libertaires

Aux frais des artistes qui fleurent bon l'artisanat;

Avec pour partenaire

En mécénat;

Un ami musicien du nom de Serge s'il met en musique

Doucement et lentement;

Avec sa partition

Et sa répartition;

Un des derniers poèmes :  " Coucou, p'tits oiseaux ";

Avec pour effets bucoliques aux rythmes exotiques

D'un été sans pareil,

Dont on voit le ver à moitié plaint 

Ou à moitié avide en prenant de la bouteille;

Après tous ces revers,

Où l'on se feint avec pour espoir défunt, des fins;

En route vers les territoires terres-à-terres sur La Terre salutaire

Pour et migrer vers la poésie sans frontières.

 

Jérôme de Mars

Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait une lapine qui fait plusieurs bonds au moment où le mâle la nique bien ?
- Elle se fait sauter la lapine !
2) Qu'est-ce-qu'un vieil alcoolique qui vient de mourir après avoir subi trop de pressions au moment où il enterrait sa vie de garçon ?
- Une mise en bière
Jérôme de Mars

Je ne peux que limiter les dégâts !

 

Face en surface à tant de galères et de colères;

Il faut que je m'aère

L'esprit et le visage;

Avec tout cet engrenage,

Qui m'engage

Avec des gages, pour que ça dégage,

Dont j'en conclus que mon seul salut

Pour éviter un tohu bohu;

C'est de sauver en bon soldat

Chaque gars dont moi,

Si bien que je ne peux que limiter les dégâts !

Et l'imiter laid des gars, dont gare à moi !

Si je reste à porter ma croix

Au plus profond de mon désarroi,

Où à tout prix pour éliminer toutes ces nuisances

Qui sommeillent en moi, autant éradiquer ces souffrances !

Avec un lourd handicap que je survis au quotidien;

Même en faisant pour certains, le bon Samaritain,

Ce qui fait que si je priais en bon Chrétien;

Peut-être que le mâle Saint deviendrait un Saint humain,

Où j'aurai pour refuge avec quelques subterfuges;

Des moyens de reconsidérer et de voir qu'il n'y a pas 

Que des grabuges 

Sur Terre; et qu'il y a aussi à la place des rabat-joie;

Certains qui en valent la peine, car ils ont une douce voix

A faire porter plus facilement ma croix, 

Où malgré cela et en de ça de quelques éclats,

Il ne faut pas se leurrer dans le n'importe quoi,

Car pourquoi ? à quoi ? et pour ne pas devenir ultra,

Autant écouter dans la sérénité le groupe Aqua,

Car à quoi ? à part dire que pour sauver chaque gars dont moi,

J'en déduis que je ne peux que limiter les dégâts !

 

Jérôme de Mars

J'ouvre la frontière en vers

 

Nulle part pareil;

Un tel, untel nickel;

Tel le poète téméraire

Que je suis sans frontières;

Je décrète dans l'univers des unis vers;

Que j'ouvre la frontière en vers pour converser vers;

Et conserver pour assurer mes arrières, en arrière-pensées

Que j'ai l'honneur et le privilège de réguler dans le centre de gravité,

Où il faut de l'humilité, de la dextérité et de la légèreté pour consoler en interlude;

 

 

 

Là où je prends autant de temps qu'il le faut, afin que j'ouvre la frontière en vers,

Dont ce qui sera à l'étude sera de passer le Bach dans une prélude prude

Vers ces vers; qu'on servait en vers et qu'on versait vers ces vers;

L'air ces vers, où je me sers désarmé; des armées si le désert

Me dessert; si je vais avec Boris Vian dans le désert paumé;

Et embaumé l'âme en jachère; à la pointe de pousser

Mon dernier cri à cran tactile, où pour finir linéaire;

Rien de tel que dans le commun de l'imaginaire;

J'ouvre en paix de la poésie sans frontières.

 

 

Jérôme de mars

Y a un trop plaint d'indécence !

 

Régénérescence il y a urgence !

Sans condescendance

De prendre le dessus sur son ascendance,

Car y a un trop plaint d'indécence !

Un trop plein d'un des sens !

Avec un des sens dans tous les sens

Du terme,

Avec pour ignorance

De l'expérience

Arrivée au bout du compte à terme;

Un cruel besoin en permanence

De vider son sac isotherme;

Qui en perd de sa superbe

Avec un trop plaint de super; 

A s'couper l'herbe

Sous le pied du guêpier; 

Avec des bonbonnes à oxygène

A réanimer

Son cœur anxiogène;

Et à respirer sans gène

Tout ce qui indigènes;

Remonte à la surface avec des turbulences,

Dont il faut qu'il se démène;

Et qu'il mène

Ce combat pas forcément

Eperdu d'avances;

Dans toutes ces déviances,

Qui en parlent avec insistance

De toutes ces substances

Aux origines de son état en l'occurrence,

Dont le fruit défendu donne naissance

Et l'essence, les sens,

Dont on offense l'enfance

De ce qui condense 

Ces sens avec de l'encens,

Qui part dans tous les sens

Qu'on encense 

Et qu'on recense

Avec pour d'essence;

Un rôle moteur en fulgurance 

Et en endurance

Dans un rallye un des sens

Qu'on rallie en quintessence,

Dont l'essence

A l'origine d'où elle prend sa source;

Donne au bout de la course

Avec pour circonstances;

Une hein constance, inconstance

A toutes les instances,

Dont avec un plaint de super;

Ca donne des pépères qu'on vénère

Et qui sont complètement vénères,

Car en renaissance;

Pour un trop plein d'un des sens;

Y a un trop plaint d'indécence !

 

Jérôme de Mars

Y a que les cons qui ne changent pas d'avis !

 

Rubiconds qui voient rouge sur la table de nuit;

Y a que les cons qui ne changent pas d'avis !

Depuis leur cocon qui ne joue qu'aux cons

Avec leur flacon; pour se croire dans un bal con

Sur leur balcon; en pensant qu'ils sont irrésistibles,

Fascinants et intéressants avec leurs réactions prévisibles,

Ou ils seraient autant invisibles qu'on n'enverrait fortuits

Dans un bain de minuit;

Les cons se refaire le maillot au paradis hardi

Des on-dit, qu'on les laisserait dans le prochain numéro inédit !

Car de façon véridique ce qui paraît inouïe,

C'est que y a que les cons qui ne changent pas d'avis !

A part s'ils sont mis devant le fait accompli,

Ou soient ils prennent le pli;

Ou soient ils se méprennent avec des amplis;

Pour écouter dans un monde de sourds

Le mur du son balourd,

Où depuis la nuit des temps en injonction;

Les cons ne font que voir rouge leur mise en bière;

Rubiconds avec des réclamations

Genre; si on pouvait les foutre en l'air;

Une fois morts de tort

Ou complètement retors;

Où si c'est à cause de leur soi-disant confort

Avec des remords en renfort,

Qu'ils sont si incompris,

Car c'est dans l'envers du décor;

Raccord ou bardé de records;

Qu'on en déduit

A l'infini;

Que y a les cons qui ne changent pas d'avis !

 

Jérôme de Mars

Aux dernières nouvelles, soyons brèves !

 

1) Jean-Marie Bigard, si jamais il se fait viander aux présidentielles de 2022, il pourra se reconvertir en boucher Bigard !

 

2)  Si Nicolas Sarkozy va encore dans le sud cette année à Bormes-Les-Mimosas dans la propriété de sa femme Carla Bruni, on ne pourra plus dire qu'il est raciste, car il sera au Cap-Nègre !

 

3)  Si Lagaf ne fait pas de jet-ski cette année à Cavalaire, c'est qu'il est en nage avec la chaleur !

 

4)  Un plombier pour qui c'est trop dur d'installer la robinetterie d'une douche est inflexible ( un flexible )  !

 

5)  Si la cruelle réforme de l'assurance-chômage s'applique en janvier prochain pour durcir les droits d'indemnisation des chômeurs, face à cela, les chômeurs auront bien du boulot !

 

6)  Si jamais, il y a une deuxième vague de Coronavirus, qu'on est reconfinés partiellement et qu'on n'est pas assurés de voir nos amis, c'est qu'on aura une sécurité sociale qui ne sera pas mutuelle pour tous !

 

7)  Le jour où l'on saura quand Fort Boyard va s'arrêter, c'est qu'on aura trouvé la clé de l'énigme du Père Fourras !

 

8)  A Paris, c'est un putain de bordel car il n'y a plus de maisons closes !

 

9)  Une prostituée spécialiste des fellations dans les chambres d'un bureau de tabac; fait les meilleures pipes !

 

10)  Une femme qui a des problèmes de pouvoir d'achat, si c'est une langue de pute; elle peut arrondir ses fins de mois en ayant du pouvoir à chatte !

 

11)  Si le gouvernement de Jean Castex veut refaire  à nouveau la réforme des retraites et qu'il y a une énième grève des transports, eh ben pour que ça rame bien ! Questions pépètes à la RATP et à la SNCF, pour bien leur faire payer leur grève, faisons-leur un billet d'honneur en y mettant l'appoint d'honneur !

 

12)  Si jamais Marine Le Pen dit ses quatre vérités sur la gestion de la crise du Coronavirus par le gouvernement, et bien, il y a un risque que le masque tombe !

 

Jérôme de Mars

Je suis tintin avec des astérisques 

 

Potion magique, je sers souvent la soupe du druide Panoramix;

Et par postillons, parfois, je crache dans la soupe d'Obélix;

Si je suis tintin avec des astérisques;

Et que Tintin me fait prendre des risques

Inconsidérés, dès lors où plus personne;

Ne me pardonne, ne me questionne, ne me frictionne,

Et ne me calcule si par Tintin, je suis complètement tintin;

Avec une chienne de vie à la Rintintin;

Si jamais le capitaine Haddock

Me soûle; comme à Moulinsart, où il y a des paddocks; 

Et que le professeur Tournesol qui croit avoir la science infuse;

Me fasse la leçon pour que ça me serve de leçon; afin qu'il me diffuse

De ses bonnes ondes; comment planter des tournesols 

Sur les terres de Moulinsart; si je suis tintin avec des bémols;

Et si jamais ; La Castafiore me chante

Tout l'opéra de son pianiste Igor Wagner; avec pour note salée 

Sa voix quelque peu élégante, 

Mais en soit quoique intrigante;

Dont j'en fus endimanché

Par des dimanches à en déguster le sanglier d'Obélix;

Ensorcelé sous les effets de la potion magique du druide Panoramix;

A en digérer non sans risques; 

Tout mon repas dans mon estomac gastrique,

D'où avec Tintin comme à l'agence tous risques;

Je suis tintin avec des astérisques.

 

Jérôme de Mars

 

Pas la langue dans sa poche ! ?

 

Petites saynètes :  

 

1)  Philippe :  "  -  Pourquoi quand on a été au resto Turc l'autre fois, as-tu mis ton                                grain de sel ?

 

    Jérôme :  -  Parce-que j'étais dans mon assiette avec mon grain de celle. "

 

2)  Jean-Paul :  "  -  Pourquoi est-ce-que ce mois-ci pour toi, c'est du gâteau mon                                    petit Jéjé  ?

 

     Jérôme :  -  Parce-que mon petit Jean-Paul, c'est mon anniversaire ce mois-ci !"

 

3)  Guillaume :  "  -  Pourquoi lascar à chaque fin de tes blagues, je me fais mâle ?

     

     Jérôme :        -  Parce-que c'est la chute de l'histoire !

 

4)  Serge :  "   -  Mon cher Jérôme, pourquoi veux-tu que je mette en musique ton                               poème :  "  Coucou, p'tits oiseaux "  ?

 

   Jérôme :  -  Déjà coucou pour commencer Serge et en plus, ça volera bien haut                          avec toi, comme je suis un drôle d'oiseau  !  "

 

5)  Adel :  "  -  Que fais-tu Jérôme lorsqu'il y a le Tour de France  à la télé ?

    

    Jérôme :  -  Cher Adel, je regarde mes petits vélos de fou allié !  "

 

6)  Christophe :  "  -  Qu'est-ce-que ça ferait si je t'offrais un téléphone portable 

                      écran tactile de mon dernier cri afin que tu m'appelles plus souvent ?

 

    Jérôme :     -  Ca serait l'objet de mon appel !  "

 

7)  Alexandre :  "  -  Pourquoi viens-tu plus souvent au Gem que moi ?

 

   Jérôme :   -  Parce-que GEM bien !  "  

 

8)  Edwin :  "  -  Pourquoi mon cher Jérôme, cultives-tu la haine avec des SMS                                  méchants  ?

 

    Jérôme :   -  Parce-que je taille les haies !  "

 

9)  Boris :   "  -  Pourquoi mon cher Jérôme, comme je suis le Facebook du réel, 

                         likes-tu toujours mes demandes d'ami ?

     

     Jérôme :   -  Parce-que mon petit doigt me l'a dit de te donner un coup de                                   pouce !  "

 

10)   Bernard Penot  : " - Pourquoi est-ce-que je te fais payer mes consultations ?

 

       Jérôme :   -  Parce-que le silence est d'or, la parole est d'argent !  "

 

11)  Jean-Paul :  "  -  Pourquoi est-ce-que ça te démange de me demander si je 

                                  veux bien aller avec toi au resto Turc à côté de chez toi  ?

 

       Jérôme  :   -  Parce-qu'il faut laisser le temps que je digère tout ce que

                              j'ai dégusté jusqu'à présent !  "

 

12)  Jérôme :   "   -  Pourquoi Brigitte, préfères-tu que je t'envoie des SMS au lieu                                    de t'appeler ?

  

       Brigitte :   -  Parce-que comme ça, c'est écrit noir sur blanc; comme je prends                               tout ce que tu me dis maux pour maux !  "

 

13)   Jean-Yves :   "  -  Pourquoi Jérôme, est-ce-que je vous ai donné rendez-vous 

                             vendredi prochain même jour, même heure, mêmes pommes ?

             

        Jérôme :    -  Parce-que comme on connaît la chanson, je n'ai qu'une parole 

                             pour venir vendredi prochain à 10 h surplace des grands 

                            hommes; vu qu'en plus la musique adoucit les mœurs sur le plan

                            thérapeutique !   "

 

 

Jérôme de Mars

 

Hein citations :   

 

1)  Un boulanger travaille à la sueur de son front pour gagner sa croûte !

 

2) Dieudonné qui écrit une pensée haineuse, c'est une incitation ( hein citation ) !

 

3)  Un cordonnier qui rencontre la femme de sa vie sur son lieu de travail trouve chaussure à son pied !

 

4)  Robin des bois qui vole les riches pour donner l'argent aux pauvres, c'est l'antivol d'un drôle d'oiseau !

 

5)  Un homme politique très maladroit prend le gauche droit en étant très gauche !

 

Jérôme de Mars

                                            Blague :
Où un matou prend-il la femelle ?
- Il la prend par la chatte !
 
                                     Jérôme de Mars

J'ai si souvent flirté avec la mort !

 

Esclave de mon passé;

Et ex slave de ce que je n'arrive à dépasser;

Tout ce qui jusqu'à présent m'a oppressé,

Oh ! Pressé tellement que je suis stressé;

Ce qui fait que je m'enclave avec Le Bosphore;

Prisonnier sous l'emprise captive du boss fort,

Où tout le temps, j'ai si souvent flirté avec la mort !

Que je ne me crois plus si fort;

Avec tout ce que j'en démords,

Où il y a eu trop de morts dans l'amour de la mort;

Car après avoir tant flirté sans réconfort avec la mort;

J'aimerai passer au stade supérieur et y dénicher

Un trésor;

Pour faire le mort dans le confort

De la loi du plus fort;

Avec quelque chose de très à cheval;

Pour faire le mors,

Où je dévale Le Val

De Marne pour rejoindre le tombeau sans remords;

Et ainsi passer le flambeau à l'être suivant;

Avec pour béguin que dans un bouche à bouche;

Il y a tout ce qui débouche; 

Et qui me laisse bouche-bée 

Vers la vie d'après,

Où ça ne paraîtra plus louche

De servir la soupe avec une louche;

Après que j'ai tant craché dans la soupe 

Et que ça a pu paraître louche;

En n'y allant pas par le dos de la cuillère

En argent; et en prenant tout pour argent comptant

A la découpe;

Dont le plus important; c'est de servir un ver solidaire

Après avoir fait feu vent

De tant de poussières,

Et que ça m'ait tant desservi tant de revers solitaires,

Où j'invoque pour Testament;

La parole du Tout-Puissant

Dans une relation de longue durée;

Après avoir tant fait semblant de faire l'amour

Dans une vie au long court, 

Alors que maintenant, je souhaite ardemment;

Passer l'arme à bout pourtant et portant

Très à gauche,

En espérant que je ne serai pas assez gauche;

Pour me rater de manière très mâle à droite;

Avec la main moite,

Alors que le peu de gain

Et de regain

De temps; qu'il me reste,

Autant que je lâche du leste;

Et que je passe une fin de vie ouate

Après des relations endurées;

A des relations en durée,

Où j'aurai pour espoir avec de la clarté;

De rallumer avec de la lumière

Cette pièce détachée dans le noir,

Où je broie du noir;

Triste à s'en émouvoir;

Et où il faut que ma chaumière

Reprenne des couleurs

Dans le bonheur;

Avant d'avoir des remords,

Car le jour où pour de bon; je ferai le mort

En faisant l'amour avec la mort;

J'entrerai dans la cour 

Des morts-vivants,

Où là ! Je cesserai enfin de faire la mort

Avec l'amour;

Et de faire le mort avec l'amour,

Car faute d'amour,

J'y enclencherai sans doute la fin du compte à rebours,

Comme je serai défunt pour toujours,

Où dans l'au-delà pour l'éternité; j'en démords

Que sans remords;

J'aurai fait l'amour avec la mort,

Car vis-à-vis du Bosphore,

J'aurai fini de si souvent flirter avec la mort.

 

Jérôme de Mars

Sans eux

 

A fortiori, il nous parut d'antan sans eux, qu'on soit autant OTAN à vouloir là, qu'on ait mis ici bas pour avoir tout bon, pour avoir un bavoir, comme BB star sans eux pour lui, dont il rit, il sourit, pour avoir un joli bouquin taquin, coquin, qu'aucun naît sans eux, du BB star à BCBG costard, à pourvoir, pour voir, si sans eux, il aura un PIB s'il naît dans un pays bas sans eux, dont, lui, donc, il aura pour cuit-cuit, du tout cuit s'il lui, il cuit sans eux.

 

Jérôme de Mars

Qu'est-ce-que ça fait Obélix qui crache dans la soupe du druide Panoramix ?

 

Nom d'un dieu fastidieux;

Cela peut paraître odieux !

Si d'idée fixe

Traverse à l'esprit d'Idéfix;

Qu'il a peut-être une chienne de vie

Avec des déboires à l'eau-de-vie;

Dont se sert le druide Panoramix;

Pour y mijoter sa potion magique;

Bercée par la harpe

D'Assurancetourix certes; 

Mais avec une sécurité asociale alerte !

Dont ça peut être l'antivol;

De la carpe

Et du latin,

Avec un coup de lapin;

Si jamais il y a

Entre deux faux rendez-vous,

Des gens qui osent poser des lapins;

Et qui disposent en vol

De larcins;

Des assassins tel Jules César,

Qui Ave César

En faisant son cinéma;

Mais pas en jouant du cinéma;

Car cela, ça n'existait pas !

Encore avant à bras-le-corps !

Dont pour éviter l'envers du décor,

Autant passer des accords raccords;

En ayant une Bonemine;

Avec pour chef-lieu Abraracourcix,

Et si tout de même Ordralfabetix

Prend tout au pied de la lettre !

Et ben ! Autant le déranger !

En jetant l'argent par les fenêtres,

Là où Astronomix dort;

Comme à l'accoutumée

A la belle étoile;

Avec pour et toile la tête dans les étoiles,

Dont le voile se dévoile

A voile et à vapeur;

Et en odeur 

De Sa Majesté,

Qui prend tout au pied

De la lettre Romaine;

Jules César

Qui Ave César;

Dont son dolmen de prédilection

Est de jeter la pierre

A Monosyllabix et à ses menhirs,

Car pour avoir la gaule;

Autant avoir en général

Astérix et sa potion magique,

Pour calmer naguère 

Obélix; et faire en sorte;

Qu'il en ressorte

Plus fort par la grande porte;

Ce afin qu'il emporte 

Avec lui que de la gaieté

Et de la légèreté;

Pour être en paix,

Si jamais mal lui en prit

A Obélix de cracher dans la soupe

Du Druide Panoramix,

Car au lieu qu'Obélix en gros;

Crache dans la soupe du Druide Panoramix,

Il vaut mieux qu'Obélix en gros serve la soupe;

Pour avoir la gaule en général.

 

Jérôme de Mars

                                                  Blague :

 

Que dit-on d'Obélix en gros qui manque de reconnaissance envers le druide Panoramix ?

 -  On dit qu'Obélix crache dans la soupe !

 

                                            Jérôme de Mars

Texte affranchi les limites

 

Con texte, je l'imite en ermite en remplissant la marmite; 

Dont ce texte affranchi les limites avec des mites, 

Oh ! Punaise de lit ! A moins que j'ai encore le cafard;

Sans fard en taillant des costards, en m'entaillant avec un dard;

Et en utilisant ces rites standards aux rituels,

Pour déguster des andouillettes, des rillettes et des quenelles;

En repassant tout à plat, dont tout ce borderline m'irrite

Et me met dans des états limite, dont je l'imite l'impact; 

Avec ce texte affranchi les limites; en pétant avec de la dynamite

Toute la TNT de la télé; en signant un pacte avec le diable compact,

Qu'on pacte avec un doigt d'honneur;

Dans ce billet très déplacé en billet d'humeur,

D'où je vous salue mari plein de dise grâces;

De pile comme de face, dont ce texte a franchi les limites si bien qu'il l'imite;

La casse et les passes de tout ce qui se trame avec les origines; ayant pour race

Tout ce qui se débine par devant et par derrière; avec les faux derches que limite

En ermite ce texte affranchi les limites; presque aussi bien que je vous le rends;

En mettant un masque avec ce putain de Coronavirus; et en prenant des gants,

Dont j'achève de retracer toutes les limites, dont je l'imite la péritonite;

Et la libre circulation;

En prenant toutes les précautions,

Dont ce texte a franchi sans l'imite le hors-limite.

 

Jérôme de Mars

Français de sang mêlé 

 

Carte de ma propre identité;

Avec un passeport Français

J'suis un Français de sang mêlé,

Dont mon origine ne fait que s'emmêlait

D'être à la fois Français;

De par mon identité

Et si je suis bien intégré ! ?

Ou désintégré par mon passé

Déraciné et désengagé,

Mais qui reste surtout obstiné

A être Français;

De par mon identité

De Français de sang mêlé,

Qui s'en mêlait

De se ronger les sangs, 

Les s'emmêlés,

Où je perds à la racine

La base de mon origine;

Et si de par mes hémoglobines

Si j'embobine; 

Ou si je me fais des films 

Avec des bobines,

Qui mésestiment

Mon âme de déraciné

Et d'étranger;

A moi étranger de mon passé

D'un génocide,

A la fois acide

D'un peuple qui revient de l'enfer;

Ou soit d'une famille décimée

Au sortir de la guerre,

Car naguère marquée

Et contrariée par un suicide,

Qui écime

Ma vie mise en abîme;

Moi, Le Français de sang mêlé,

Qui s'emmêlait à se ronger

Les sangs déracinés;

Et étrangers à sa propre identité

De Français de souche;

Partiellement ou entièrement

De Français mis sur la touche,

Qui voudra demeurer

Surtout un véritable Français;

De par les sangs emmêlés

Et intégré sur le territoire Français,

Dont au fond sa véritable identité

Sera la fierté; 

Et la postérité

De demeurer un humble Français,

Malgré les innombrables difficultés

D'être en paix;

Avec tout ce qu'il a traversé

Et déversé,

Par de multiples haines

Et de gangrènes;

A la p'tite semaine,

Avec pour rengaine;

Sa mauvaise haleine,

Malgré son bas de laine,

Dont je reste exilé;

De par ma racine carrée

Et heureusement contrecarrée,

Dont je prends ma racine;

En remontant à l'origine

De Jean Racine,

D'où enfin, je m'enracine;

Après que je courbe l'échine,

Si bien que maintenant

Je chine

En étranger;

Ma propre identité

En cherchant une machine,

Pour laver mes origines

Et faire qu'elles soient divines,

Dont l'objet de mes racines

Prend pour origine;

En remontant à la racine

Carrée et contrecarrée;

Avec une tête au maître carrée;

Qui se ronge les s'emmêlés,

Dont ma propre identité;

C'est d'être un Français de sang mêlé.

 

Jérôme de Mars

 

Coucou, p'tits oiseaux !

 

Et paon !

Oiseau de toutes les couleurs;

Tu me fends le cœur  !

Avec un amour de géant

Coucou, p'tit oiseau !

Dont toi, le p'tit coucou !

Je te voue

Une légende incognito;

Où tu joues à l'épervier

Et à la marelle, dont tu écris

Avec la craie;

Toutes tes indignations

Et toutes tes roucoulades,

Quand à reculons;

Tu pars à la dérobade

Et en ballade;

Dans un lad

Des cygnes,

Si c'est bon cygne

De porter l'insigne,

Dont je t' dédie

Et paon !

Et pan !

P'tit oiseau 

De mauvaise augure !

Tu inaugures

D' ta belle nature;

Toutes tes désinvoltures

A jeter en pâture,

Toi, à qui je fais coucou !

Parce-que coucou, p'tit oiseau !

Qui me fait tourner des bourriques;

En passant du coq à l'âne

De cette bourrique qui t'étrique; 

Avec un bonnet d'âne n'est-ce-pas man ?

Où t'es un bourricot et un sacré zigotto !

De faire le fou; alors que t'as des gardes-fous !

Quand tu joues à l'épervier;

Avec le cruel projet de réaliser ce trajet

Avec le paon; qui t'en fait voir de toutes les couleurs

Et dont pan !  Tu vas enfin voir la couleur !

Quand Peter Pan te fait reprendre des couleurs,

De la candeur

Et à la ferveur,

Lorsque c'est la chandeleur

Qui chante l'heure,

Où surtout, ne te coupe l'herbe sous le pied;

Même s'il y a des génies en herbe, 

Qui te font un appel du pied 

A Boulevard Malesherbes,

Avec d' p'tites pousses d'herbes,

Pour leur donner un joli coup de pouce en verve et avec le verbe;

Pourvu qu'à vol d'oiseau, toi, l'gentil petit oiseau idiot,

Paresseux et jeune manchot !

Tu t'accroches à-tire-larigot 

 A ton manteau;

Au théâtre Les-Blancs-Manteaux; 

Avec des gens complètement marteaux;

Qui fabriquent et tapent du marteau,

Dont tu finiras en drôle d'oiseau

Dans la forêt; en prenant pour imprésario

Le coucou de p'tit oiseau,

A qui tu feras un éternel coucou !

Avec des gardes-fous,

Car plus on est de fous !

Plus on rit  !

En compagnie

Des gentils oiseaux, 

Pour lesquels tu ramèneras

Un excellent scénario;

Pas rabat-joie,

Mais faisant l'apologie

Du je de l'épervier

Avec tes amis oiseaux,

Des drôles de zigottos;

Où tu apprendras incognito

En leur compagnie;

Le code de la vie

Avec tout ce qu'il y a

De rassurant,

De grands

Et de petits soucis,

Car une p'tite accalmie

Avant des mélis-mélos;

Entre deux vents

A forte tempête,

Où depuis l'âge bête

Tu auras plutôt réussi,

Grâce à ton pense-bête

A passer d'un état qui t'embête,

Où tu rouspètes 

Avec ton air hagard hébète,

Car maintenant coucou p'tit oiseau  !

Fais-coucou à tes amis les oiseaux  !

Autour du cercle des potos;

De l'épervier avec qui

Tu joues à l'épervier,

Et du paon, car et pan

A tes dépens,

Dont pour respecter leur loyauté

Et leur fidélité vis-à-vis

De toi,

A la mort, à la vie,

Dont tu leur passeras en ultime coucou;

Coucou, mes amis  !

Et mes potos d'oiseaux   !

Et ainsi, ne soyons plus dans le déni  !

Mais quittons le ni;

Et volons de nos propres ailes  !

Avec nos amies tourterelles,

Car merci l'épervier 

Pour ton jeu de la marelle,

Où maintenant, je sais

Que le jeu en vaut la chandelle; 

Avec celle qui sera ma ritournelle

Parmi les demoiselles,

Dont grâce au paon 

Et pan  !

Vlà le p'tit bonheur !

Toi, l'oiseau de toutes les couleurs,

Dont à bonne entendeur

Coucou et cuit-cuit  !

Les p'tits oiseaux  !

Entre joies et filles de joie,

Qui contaminent mes joies rabat-joie,

Dont à vous mes potos, 

Je vous adresse un dernier coucou;

A la fois au coucou

De p'tit oiseau;

A l'oiseau qui joue à l'épervier;

Et à l'oiseau qui en fait voir de toutes les couleurs;

Et paon, et pan !

Et vlan !

A la fin du lad des cygnes,

Dont si jamais; c'est bon cygne, je vous adresse en insigne,

Un signe,

Sans garde-fous,

Au terminus de tous mes coucous,

A vous les coucous;

De p'tits oiseaux !

Cocorico; en volant vers le haut !

 

Jérôme de Mars

Dialogue imaginaire entre un musicien hors père et un poète hein père !

 

 

Dialogue imaginaire entre Serge, un ancien éducateur du Cerep et Jérôme, un vieil hein patient du Cerep :

 

Jérôme :   " -  Bonjour Serge, ça jazze de ton côté  ?

 

Serge :   -  Ben oui, ça ne fait que jazzer avec tes poèmes, mon cher Jérôme, comme on connaît ta chanson ! Et toi ces temps-ci à quoi ça rime quand tu fais couler beaucoup d'encre ? !

 

Jérôme :  -  Eh ben !  C'est simple, mon cher Serge, j'y laisse des plumes avec ma poésie sans vergogne surtout avec la goutte d'eau qui fait déborder le vase si jamais, je faisais un pot-pourri de tous mes poèmes !

 

Serge :   -  Et tu voulais à nouveau me faire avaler ton pot aux roses ! Mais je n'ai pas marcher, t'as vu ! ?

 

Jérôme :  -  Si Serge, d'une certaine façon, t'as démarché mon poto rose !

 

Serge :  -  C'est pas possible Jérôme, t'as trouvé à nouveau mon point sensible ! ?

 

Jérôme :  -  Oui d'une certaine façon Serge en faisant l'appoint; comme dans ma vie, j'ai eu beaucoup d'impairs, je te prends pour mon compère, car les deux font la paire !

 

Serge :   -  Qui de nous deux aura le dernier mot, à ton avis, Jérôme ! ?

 

Jérôme :   -  Moi Serge, car je te mets au défi d'avoir le dernier mot, toi, le musicien hors père qui met en musique mes poèmes hein père !   

 

Serge :  -  T'es un filou et un vieux renard futé Jérôme !  Que puis-je ajouter de plus à tes mots qui me donnent des sanglots impairs ! ?

 

Jérôme :  -  Eh bien ! Mon cher Serge ! En vieux renard affûté que je suis ! Toi qui fais jazzer tous mes poèmes un père; avec ta musique hors père et qui adoucit également mes mœurs, eh ben, cette fois-ci, c'est moi qui aurai le dernier mot imper, comme tu m'as donné la parole et que je n'ai qu'une parole hein père !  Parole d'artiste !  "

 

Jérôme de Mars

Autant en emporte l'avant !

 

D'avant à maintenant;

Fut jadis Olivia de Havilland,

Qui depuis hier naît plus

Partie ailleurs sur d'autres landes,

Autant en emporte l'avant  !

Dont il faut rendre hommage

A son talent d'immortelle actrice;

Avec une classe distinguée

De femme qui eut du panache,

En s'enivrant de champagne

Aux bords du rivage,

Et dont le cinéma

Entre émois et joies rabat-joie;

Fut sa principale compagne

Des verres de flûte aux refus

Des compromissions,

Telle cette femme sans concessions

Qu'elle demeurera en héritage;

Des périodes sans partage,

Dont il faut tourner la page

Du cinéma d'avant-guerre;

Dont on tire en inventaire

Que ce fut une femme de tempérament;

Dotée d'un sacré caractère,

Où elle ne se laissa jamais faire

Durant cette période de cravache,

Et très à cheval avec des principes,

Où en femme libre, elle s'émancipe

A la marge des actrices lambdas

De l'époque,

En femme baroque

Et originale dans ce qu'il y a

De plus forte tête qu'elle hoche,

Elle, qui n'avait sa langue dans sa poche,

Autant en emporte l'avant !

Car même si elle fut souvent

Sous le vent d'Autant en emporte le vent,

Pourvu qu'OTAN en temps de paix;

On emporte cette actrice de second rôle

En la sortant de sa geôle;

Et en la mettant en premier plan;

Face caméra,

Avec respect et mille et une vertus

Où l'on s'évertue à confirmer,

Qu'elle perdurera dans la postérité

Des grandes actrices, réalisatrice

D'une vie, où elle s'émancipe

Précoce, et très tôt dans une vie; 

Dont elle obtiendra son salut 

Et sa reconnaissance avec deux Oscars;

Car Ave César

Pour l'ensemble de sa carrière;

En femme insoumise,

Qui mouilla sa chemise

En éternelle et magistrale artiste;

Qui fit que la vie fut moins triste,

Autant en emporte l'avant !

D'autant en emporte le vent !

D'auparavant au paravent,

Car de là à maintenant;

Elle fut l'actrice d'une vie éblouie

Et réussie;

Dont on retiendra

De sa naissance

En 1916,

A sa mort en 2020,

Que c'est l'année de sa partance 

Qu'elle prit congés

De nous;

Vers la fin du mois de Juillet

A destination d'un autre monde,

Sans doute meilleur et moins fou

A l'âge de 104 ans;

Où si on sonde

Sa révérence

Auprès des Français,

Elle restera pour La France

Toute sa préférence;

D'ici à maintenant

En une sorte de Joconde;

Et pas en vins,

Mais en deux mille vins

De tours de ronde;

Autant en emporte le vent

Et OTAN en temps de paix;

Avec mille mercis

Et avec respect;

Car maintenant pour le restant,

Autant en emporte l'avant !

 

Jérôme de Mars

Les vers beaux restent verbaux

 

Jeu d'écriture,

A fière allure

Avec le verbe haut;

Les vers beaux restent verbaux

Avec les oraux, les Zorros,

Ou bien la poésie sur un escabeau,

Pour aller vers le haut,

Voler et s'élever bien haut;

Quand le destin s'croit tout écrit 

Noir sur blanc dernier cri,

Alors que par notre plume

De duvet, on s'verrait bien 

Sous un masque et un costume;

Faire le lien manichéen

Avec un mannequin sur mesure,

En une façade de surface dont ce serait

Notre bonne nature d'envoyer paître,

Avec pour maître

De la verdure;

Des vers durs

Pour miroiter 

Notre propre ridicule;

Qui tue notre matricule

Dans un jeu de figure,

Où tout s'configure,

Quand les vers beaux restent verbaux

Du temps d'Arthur Rimbaud,

Ou de Jean-Jacques Rousseau,

Et que pour terminer

Le tout dans un synchrone tempo,

Il vaut mieux y aller avec le verbe haut;

Avant d'atterrir dans le ruisseau

Et de sombrer à-vau-l'eau

Au fond de l'eau,

Tel un poète qui passe du ghetto

Au chaos avec pour maître mot;

Qu'il est leurre de chavirer

Et de virer dans la verdure;

Avec pour vers durs,

Notre profonde nature

Qui s'dévoie

Et se fourvoie

Avec des rayures,

Quand avec le verbe haut,

On finit les oraux;

Et dont en drôles d'oiseaux loyaux,

On tient paroles de moineaux,

Avec en coup de chapeau;

Que les vers beaux restent verbaux.

 

Jérôme de Mars

La clé des Champs

 

Champs-Elysées dévalisés;

Sur la place du marché

Pour remporter la loi du marché,

Il faut démarcher

Dans un laps de temps,

La clé des Champs,

En trouvant la clé de l'énigme;

Qui déchante 

Et qui invente

Jusqu'au paroxysme; 

Tout le cataclysme

Des égoïsmes,

Surplace d'Auchan

Avec en magasin;

De p'tits grains

De folie à cultiver OTAN

En temps de paix;

Avec la clé des Champs

Qui a besoin Deschamps,

Pour cultiver du bon jeu

Sur le terrain,

Avec des moi, je

En vitesse tout terre un

Et en trouvant la clé d'Auchan;

Pour résoudre la clé de l'énigme

Et décrypter à Fort Boyard

Sous un grand cagnard,

De multiples rebondissements qui riment

Avec la clé des Champs;

Du poète aux Champs-Elysées dévalisés,

Qui déchantent 

Avec pour servante;

Le prix de la liberté

Sans faux procès D,

Qu'on intente 

Avec du LSD;

Soi-disant pour aider

A trouver le meilleur remède;

Avec en intermède

De sacrées jolies choses;

En codes de névroses,

Qui ne respectent la clause

De conscience de cause

A effet immédiat;

Et imminent 

Avec des enfants,

Pour qui c'est un jeu d'enfant

De prendre les grands

Pour des petits;

Et les petits pour des grands;

Avec des petits plats

Dans les grands;

Pour avancer sans émois

Mais avec la clé Deschamps;

Auchan dont le fond de commerce;

C'est qu'il s'exerce

Avec la clé des Champs;

En cultivant l'amour du beau jeu

Tout terrain;

Et en terre un 

Connu et bienvenu

Au prix du salut;

Qui vous va droit

Au cœur

De rockeur ;

En regardant

Et en gardant

La clé de l'énigme;

Dont on ouvre la porte 

De l'apocalypse;

Après l'avoir trouvée

Avec une éclipse;

Qui emporte

La clepsydre ,

Dont le cidre

Vaut un millier d'acolytes,

Dont on périclite

A la moindre difficulté;

Et à volonté

Selon vos souhaits,

Car le principal

C'est de faire dans l'artisanal

Un texte si original,

De façon la plus magistrale

Avec Auchan en temps de paix

Qui cultive la clé des Champs;

Pour contribuer à l'instant

Du point fermé

Et point lié,

Dont Auchan cultive le jardin secret

En trouvant la clé de l'énigme

Deschamps, et en taillant les haies

De la haine,

Car à chaque semaine

Aux Champs-Elysées dévalisés;

C'est le prisme

OTAN en temps de paix,

De la clé des champs.

 

Jérôme de Mars

Le revers de la médaille 

 

En vers qui aillent;

Si c'est le revers de la médaille

Pas de médailles en chocolat,

Mais peut-être une médaille en or;

Or ni argent mais sans doute en bronze

Qui bronze,

Pendant que le souffleur de vers

S'essouffle en courant un ver

A la main; qui dédie à la mère

A boire tous les revers des hauts vers,

Dont c'est le revers de la médaille;

Pour qu'avec les tenailles,

Ca tienne la route jusqu'aux entrailles

Du jardinier qui taille bien les vers;

Pour toujours faux revers

En vers et contre tous;

Avoir un joli coup de pouce

En ayant à sa disposition, 

Une pléiade d'occasions 

En pratiquant l'autodérision; 

Pour faire les fanfarons

Au service de l'état,

Dont c'est le revers de la médaille

D'espérer que tout se vaille

Et que tout aille;

Sans que ça fasse aïe 

En mangeant de l'ail ;

Avec en épouvantail

Tous les détails,

Pour faire un état des lieux;

Avec au summum des jours joyeux;

Quelques p'tits vers heureux

A écrire; avec pour meilleurs

Mots qui assaillent, 

Tout ce qui rime, car pour ça aille

Rien de tel que d'aller au travail;

Avec en éventail

Le revers de la médaille.

 

Jérôme de Mars

 

Triangle isole celle

 

 

                                            q

                                       d       u

                                   o                e

                             n                            l

                     t                                          c

                                                                   o

                  i                                                     n

                      s                                                   q

                             o                                              u

                                  c                                           e

                                       è                                       

                                          l                                       m

                                             e                                     ê

                                               .                                       m

                                         T                                              e

                                        r                                                 -

                                      i                                                    e

                                   a                                                         l

                                n                                                             l

                              g                                                                 e

                           l                                                                         à

                       e Des Bermudes isole celle équilatérale qui est égale

 

 

 

Jérôme de Mars

 

Les osselets, les os laids

 

Compte à rebours;

T'es à la bourre  !

Quand avec des calembours,

Tu es à la bourre !

Et que tu es bourré

A contre danse de la bourrée;

Dont tu rembourres

Des bourgs

Aux faux bourgs, faubourgs;

Dont tu déjoues les osselets,

Quand tu joues avec les os laids;

Pour te ronger les os olé olé !  O'laids ! O'laids !

Quand on te profère à la bourre,

Avec tes bourrelets;

Bourre-les  !

En condensant la bourrée

Que t'as rembourré; 

Avec tes déboires de bourré,

Quand tu rencontres Jean-Claude Bourret

Que t'as bourré;

Dans une mise en bière

Du Corona,

En écoutant la chanson du groupe Corona

Des années 90; bourrée avec de la bière

Sûrement de La Canebière;

Si tu bois un Monaco

En allant à Monaco,

Car que ce soit un Monaco

Ou une bière,

Bourre-les

Tes bourrelets !

En jouant aux osselets, os laids,

Pour te ronger les os olé olé !  O'laids !  O'laids !

Dont tu fais ton deuil

Assis tout seul sur ton fauteuil;

A regarder à la télé

Tous tes calembours,

Que tu bourres

Et que tu rembourres;

En pensant et en repensant

En contre dansant la bourrée,

Car bourre les

Tes bourrelets !

Des bourgs

Aux faux bourgs, faubourgs;

De Cabourg

A Bourg en Bresse,

Dont tu te presses 

De faire de nouveaux calembours

De troubadours;

A la fin de ce compte à rebours,

Où tu es à la bourre;

Quand tu débourres des bourres

En mettant des coups de bourre,

Car ose-les pour te ronger les os olé ! olé ! 

O'laids !  O'laids  !

En surjouant avec des osselets,

Des os laids.

 

Jérôme de Mars

Des cas laids décalés

 

Recalé,

T'es calé  !

Et très olé olé  !

Aux couleurs bariolées

Des cas laids décalés;

Au lait caracolé

Et accolé,

Quand t'as collé

Et bricolé

Des cas laids décalés;

Où si jamais t'es encore recalé

C'est que t'es toujours calé;

Avec ton genre trop olé olé

Au lait bariolé,

Où ça signifie que t'es un roquet;

Karaoké car ah ok !

Avec ta langue de perroquet picolée;

Dont les paroles ont retoqué,

Rétorqué et toqué

Que c'est du toquet,

Comme tu ne perds pas Le Nord-Pas-De-Calais

A Calais recalé;

Vu que tu n'es calé,

Car t'as racolé 

Et que t'as caracolé 

Avec des cas laids décalés;

Vraiment olé olé,

Bariolés et bricolés

Avec ton colley; 

Avec qui t'as recollé

Les morceaux tantôt disloqués,

Interloqués et suffoqués,

Où maintenant te v'là plus recalé !

Car tu t'es calé et intercalé à Calais;

Tant et si bien que t'as racolé, accolé et caracolé  !

Des cas laids décalés.

 

Jérôme de Mars

Novices, nos vices

 

Surplace de l'église

Du fond de nos pensées promises;

On ne fait que des péchés

Fautes de vérités,

Où l'on est désavoués

Même si faute dès avouée

Est à moitié pardonnée,

Pendant que novices, nos vices

Font qu'on dévisse, des vices

Avec la coupe qui est pleine des vices;

Pendant que novices, nos vices

Trouent nos jean's les vices;

Avec une gymnastique arythmique

Du tréfonds de notre gymnastique à rythmique;

Pendant que nos cœurs déprogramment

A rythmique l'électrocardiogramme,

Qui tombe en panne

Faute de vannes;

Pour ranimer le cœur qui boîte

De nos chers aînés très ouates,

En filant un mauvais coton

A tatillons;

Pendant que novices, nos vices

S' régalent avec délices,

Que tout fout le camp à l'église

Avec comme devise,

Que toute devise dévisse et divise

Avec parmi la milice, l'ami lisse;

Qui adoucit la confrérie

En charmante compagnie

Et au garde-à-vous;

Avec comme garde-fous

Une meilleure gymnastique arythmique;

Pour consoler nos peines de cœurs

Avec comme gymnastique à rythmique;

De parfaites mimiques

De rockeurs;

Comiques et cosmiques

Parmi les fous alliés;

Et ralliés à la voie lactée

Avec pour devises,

Qui dévissent et divisent;

Pendant qu'on vise 

Et qu'on révise

Novices, nos vices.

 

Jérôme de Mars

 

 

On n'a pas assez d'une vie pour apprendre !

 

Chaque jour qui passe,

Nous casse, nous fracasse,

Nous tracasse, 

Ou nous surpasse,

Tandis qu'à la fin de notre vie; 

On trépasse

En route vers l'infini;

Même si ça paraît démagogique

Qu'on affirme d'une voix catégorique;

Qu'on n'a pas assez d'une vie pour apprendre

Les rudiments; 

Car les lendemains, soit on affirme des boniments,

Soit du ressentiment,

Ou sur soit, sursoit, on exprime des compliments;

Pour en reprendre et se détendre,

Ou attendre et se méprendre

Du jeu de cette erreur;

En adressant ses excuses,

Ou soit qu'on récuse

Dans un démenti;

Avec un manque évident

De déontologie,

En faisant l'apologie

Des horreurs

De l'espèce humaine;

Surtout qu'elle peut être hautaine ou puritaine;

Au fil des semaines,

Où on n'a pas assez d'une vie pour apprendre,

Car on en fait qu'à en reprendre;

Si bien qu'on en apprend un peu plus chaque jour;

Soit pour s'entendre,

Ou soit pour provoquer un esclandre,

Pour jeter en cendres;

Ceux qu'on a envie de descendre,

Lorsqu'on ne fait que répandre

De vilaines rumeurs

Sur untel;

Jusqu'à sa stèle;

Ou à son hôtel;

A en perdre son honneur

Et sa grandeur;

A l'autel

Des mauvaises humeurs,

Où on n'a pas assez d'une vie pour apprendre

Tout et son contraire;

Et entreprendre

De rétablir le courant 

Du fil de l'univers;

Entre les amis frères

A la vie, à la mort,

Car l'amitié est un réconfort

Pour rester du côté de la lumière;

En frères de prières 

Contre la colère

Qui est un vice,

Alors que de ce fait, il vaut mieux

En nos vices, novices,

Rétablir sans frontières

Toutes les religions de La Terre;

Pour réconcilier les réfractaires

Avec les Sains du presbytères,

Car OTAN  faire la paix

Entre toutes les communautés,

Car on en apprend tous les jours

Qu'il faut s'aimer dans la fraternité;

Pour faire face à l'adversité

Durant notre court séjour

Sur La Terre, 

Où là, y a de la matière  !

A en discuter sans frontières  !

Autour du feu

Des pieux,

Car là c'est sûr, ça en vaut le détour !

Vu qu'on n'a pas assez d'une vie pour apprendre !

 

Jérôme de Mars

 

Voyage sur La Seine qui est un long fleuve tranquille

 

Mécènes, la vie sur Terre

Cherche un partenaire;

Pour faire une croisière

Linéaire le long de l'imaginaire;

A vouloir boire près de la frontière

Des vers bien solidaires,

Où d'eux ne font qu'un

En récitant les prières

Du Sacristain;

Pour faire le lien

Dans ce voyage sur La Seine qui est un long fleuve tranquille;

Pour relier sans broutilles

Des parfums sur la ville qui voguent

Dans un sempiternel monologue;

De qui croire entre le poète des rives sur La Seine;

Et celui du poète maudit qui part à la dérive et qui arrive

Avec des bagages;

Avant que son cœur insalubre

De par ses grains de poussière,

Parte en rad vers un naufrage,

Dont pour éviter cette chose lugubre,

Autant opter dans l'option du partage;

Pour songer chronophage 

A aller sur le radeau; 

Pour picorer des p'tits mots

Lors de ce voyage sur La Seine qui est un long fleuve tranquille,

Avant que le courant emporte à contre-courant

Les souvenirs qui errent en vagabondant; 

Mélancoliques et pessimistes en dans une résignation qui grésille

Avec le capitaine des destins fracassés sur Le Pont Neuf;

Au cœur de Paris à chercher la rivière

Et l'estuaire qui mène vers l'itinéraire 

Nomade; avec de l'eau qui coule sous les ponts veufs;

Une fois acheminée dans le chemin de l'océan pacifique,

Où aux rebords de la croisière;

Avant qu'elle change de destinataires;

Le temps s'achève décisif et charnier en pacifique;

Pour signer le traité de Paix avec respect;

Et en tout paix, avec toupet,

Où pour refermer cette parenthèse de manière gentille 

Avec des béquilles;

Il faut y affronter la suite qui fourmille

Dans les années 2000, en plein dans le deux mille;

Car autant que ce voyage sur La Seine reste un long fleuve tranquille.

 

Jérôme de Mars

 

L'argent fait-il le bonheur  ?

 

Argent comptant;

En prenant tout pour argent comptant

Chaque parole, 

Alors que sans bémol;

Le silence est d'or, la parole est d'argent  !

Dont ceux qui volent,

Ils oublient d'avoir un antivol,

Car pour eux, tout est frivole

Et cela somnole

Tout leur argent;

Qui fructifie dans les paradis fiscaux

Pour payer moins d'impôts;

Bien planqué au soleil

Sous les tropicaux;

Avec au bout du compte de l'oseille;

Individualiste et opportuniste

Et en fin arriviste,

D'où l'on demande aux acteurs et amateurs

D'argent, si l'argent fait-il le bonheur ?

Ou à défaut, comme il contribue

Vice et vertu

A la sécurité intérieure;

Afin de passer davantage

De moments rieurs;

Avec pour gage 

Et bagage,

L'occasion de démarrer

Une nouvelle page;

Avec en apogée

Un avenir bien meilleur,

Mais dont il faut bien entendu

Profiter de cet argent;

En gardant du crédit comptant

Auprès des gens;

Malgré les tourments

Des jours ambiants;

Où on en conclura,

Est-ce-que les gens

Nous fréquentent pour notre argent comptant ?

Ou bien parce-qu'on a une parole d'argent comptant 

A prendre tout en argent content ?

Car pendant le temps

Qu'on naît sur Terre,

Et qu'on naît de passage,

Il faut se faire plaisir sans abuser

Des excès; mais dans une saveur

Modérée et appréciée;

Car le jour, où on meurt,

Ca ne sert à rien d'être le plus riche

Du cimetière,

Une fois éteinte la lumière

Dans des étreintes passagères

A assurer nos arrières,

Ou à défaut 

D'être de qualité,

Est-ce-que l'argent est-il fait

Et contrefait avec des faux ?

Avec usage

Ou sans usage

De faux, des faux, défauts ?

Ou est-ce-qu'au contraire

L'intérêt est-il capital 

De tout ce que représente l'argent ?

Tant qu'il nous épargne

Des intérêts, désintérêts

D'être pauvres ou orphelins,

Mais dont le plus souvent,

On est riche

En tant qu'être humains;

Qu'on défriche

En étant un bon samaritain;

Avec nos copains

Et en bons Chrétiens,

Ou est-ce-qu'en général,

L'argent fait-il le bonheur 

Avec de gros intérêts ?

Ou provoque-t-il de gros conflits d'intérêt

Avec pour total intérêt, 

L'intérêt du gain en un pas ?

Avec en grands intérêts, l'appât

Du regain ?

Avec des amis profiteurs

Qui te restent fidèles;

Tant qu'untel

A du fric pleins les ardeurs

Et les odeurs,

Même si l'argent n'a pas d'odeur

Et dont certains amis

Te laissent tomber

Avec pour retombées,

La faillite de tes billets de loterie;

Et dont tu n'es plus en odeur

De Sainteté

Auprès de certains amis,

Mais en pure mauvaise compagnie;

Comme La Compagnie Générale des os,

En os usés, de par un des gars

Des os,

Où pour éviter que tout tombe à l'eau !

Disons à l'eau, allo !

A un compromis !

Entre les amis, pas des cons promis

Mais à des vrais amis

Et à au banquier,

Afin de délivrer le billet

D'honneur et d'humeur;

Avec pour délivrance

Une nouvelle confiance

De bonne facture; pour passer

Du découvert

Avec des dettes;

A des coups vers

Avec pour vedettes

Une remise de dette;

Pour passer d'un et tas de squelette

En un état à pouvoir refaire des emplettes,

Car après les fossettes 

Et les fausses aides,

Voici pour intermède et pour ultime remède

De nouvelles facettes;

Pour revenir avec une belle silhouette

Et des choses chouettes,

Car après les dettes,

Nous v'là de retour en esthètes;

Avec des projets pleins la tête,

Car certes, l'argent ne fait pas le bonheur !

Mais il y contribue avec grandeur;

Pour vivre avec sérénité

Et en paix intérieure,

Avec pour liberté

De l'argent content;

Se racontant et se contant

En prenant tout pour argent comptant,

Car si le silence est d'or et la parole est d'argent !

Est-ce-que l'argent fait-il le bonheur ?

Même s'il y contribue fortement

En prenant tout pour argent content ? 

 

Jérôme de Mars

 

 

Indigo, hein dit go  !

 

Leste go !

Il faut lâcher du leste à gogo !

Indigo, hein dit go !

Sur la terre let's go !

Avec les maux bleus

A l'âme infâme,

Dont on jette sur la grande bleue; 

Dès lame

Indigo, quand un dit go !

Leste go !

Dont le mâle de mère;

On en défait un mal de mer

Let's go !

Indigo, hein dit go !

En lâchant du leste à gogo !

De l'amère bleue

A la mer bleu sur la grande bleue;

Dont un dit go !

Quand indigo, hein dit go !

A-tire-larigot 

Sur tout le territoire de Pago-Pago;

Avec le trésor d'un joli magot

Sur la Terre Indigo;

En un bonheur Indigo,

Quand l'amère bleue

Et ses maux bleus;

Font couler beaucoup d'encre bleue,

Dont l'encre marine le peine

Sur la grande bleue,

Qui jette l'ancre;

Dont l'ancre Marine Le Pen,

L'élève qu'ancre, cancre

O'peine, Open !

Jusqu'aux bleus des cieux;

Avec un lâcher à gogo;

D'un leste go

En un let's go !

Quand un dit go !

Indigo, hein dit go !

 

Jérôme de Mars

Le professeur Choron nous fit la leçon en nous servant la soupe 

 

Le professeur Choron nous fit la leçon;

En nous servant la soupe dans un chaudron;

Dans un tour de chauffe 

En vieux réac beauf,

Dont sa femme se fit hara-kiri

Grâce au journal Hara-Kiri;

Avec des confettis et de la drôlerie

Dans une ambiance morbide de cette sinistre confrérie,

Où avec des potirons, des p'tits ronds,

Dans un esprit de garderie

Et de franche camaraderie,

Le professeur Choron nous fit la leçon

En nous servant la soupe dans un chaudron;

Et en épluchant ses oignons,

Dont c'est à partir de là qu'il se mêla de nos oignons;

En nous servant la soupe à la grimace qu'il pela en réaction;

A la calomnie dont il fit l'objet et à quel sujet ? !

Dont il prit sa dernière compagne comme un objet,

Dont il fut le sujet principal et elle le sujet de femme fatale;

Comme un objet vaginal et anal,

Dans les anales de ses magazines subversifs et transgressifs;

Que furent Hara-Kiri et Charlie-Hebdo où en écorché vif,

Il fit imploser et exploser à la nitroglycérine;

Toutes ses luttes en rut;

Qui supputent 

De vaines tentatives pour se racheter une conduite digne, dont il dessine

Avec de grandes caricatures;

Ses traits de caractère de gros dur

Et insensible, 

Comme sur le fil, il ne péta que des fusibles

De son art si original, bancal et fécal, 

Où le professeur Choron à la racine carrée et contrecarrée, contre carré;

De sa femme qui se suicida pour rejoindre Jean Racine;

Dont la racine se déracine;

Et dont à l'origine, le professeur Choron fit une tête au carré

A tout ce qui lui semblait légitime;

Pour régler ses comptes avec en lignes de mire;

Une ligne jaune qu'il franchit en déportant un cachemire,

Car il aima que les choses se déciment et s'enveniment;

Avec dextérité et désinvolture;

Dont ce fut sa profonde nature

De vieux désabusé et déchanté,

Comme son enfance et sa vie 

Furent du cyanure 

Pour lui,

Allant jusqu'à souvent franchir les interdits;

Tellement tabous dans ce monde de fous,

Et dont il s'en affranchit; 

Qu'il franchit 

Tout le temps en déchiffrant le code même mis sous verrous;

Et dont avec sa folie des grandeurs; 

Il fit la folie des grondeurs;

En lui de Funeste;

Un modèle de satire indigeste,

Car comme pour le reste;

On ne lui fit guère confiance; il ne lâcha du leste

Dans son humour grinçant,

Décapant et percutant,

A un tel point qu'il rechargea ses batteries exportables;

En mettant tout sur la table ineffable

Qu'il fallut aller chercher en autoportraits à charge,

Car maintenant où il est est, de toute manière, il s'en décharge,

Où pour la décharge, des charges,

Autant prendre le large

En marge,

Avec le Professeur Chaudron qui prit le professeur Choron

A part pour lui faire la leçon,

Lui donner des leçons;

Et pour terminer de le jeter à l'hameçon

A cause de ses péchés,

Dont il s'en fit en n'importe quel toupet !

Un lâcheur de pet, loin d'avoir du respect;

Dont le professeur Chaudron 

Servit, asservit la soupe au Professeur Choron,

Dont lui, le professeur Choron

Desservit la soupe au Professeur Chaudron;

Avec des potirons pour le professeur Chaudron;

Et des p'tits ronds pour le professeur Choron,

Car bienvenue au bal des cons

Du professeur Choron, 

Dont on retiendra comme leçons

Qu'il fut un professeur à deux balles;

Enfant de la déballe, qu'on emballe

Et qu'on déballe dans un gilet;

Sans gilets pare-balles dans la cabale, 

Dont on referme le bal;

Sans filet.

 

Jérôme de Mars

Salon de tes cafés, thé café !

 

Salon de thé,

Pour faire salon

De tes cafés, thé café !

De conversation;

Il y a la réunion

Au salon

De tes cafés, thé café !

Avec tes thés;

Pour téter

Le vaccin du BCG,

Car quand t'es majeur,

T'es vacciné !

Plus comme un bébé mineur;

Mais dans une vie d'adulte,

Où tu exultes

En BCBG,

Dont tu n'es plus un bébé

Mais comme BB,

A boire le café

Dans ton salon de thé;

Pour faire salon

De tes cafés, thé café !

En formes de discussions

Conformes et pour y aller à reculons;

Car nous avançons

Sans prendre de recul

Au salon de tes cafés, thé café !

Car le café, ce n'est

Pas ta tasse de thé !

Mais le salon de thé,

De tes thés;

Pour téter athée, à thé,

Une formule,

Où tu fais salon

De tes cafés, thé café !

Si nous saluons et salons

Des salons; et que nous dessalons

Des salons,

En prenant des savons;

Et si nous savons

Que le seul moment;

De respirer l'arôme

De tes cafés, thé café,

C'est en faisant

Salon en binôme;

Alors profitons-en !

Pour siroter insouciants

L'instantané du salon

De tes cafés, thé café !

Car c'est en faisant salon

De causettes,

Avec des sucrettes;

Que nous remplissons

Nos missions;

De discussions

Avec du café,

Car le café, ce n'est

Pas ta tasse de thé !

Athée, au salon

De thé café, tes cafés !

Pour faire salon

De thé,

Au salon de tes cafés, thé café !

 

Jérôme de Mars

 

Pardonne comme à chaque saison !

 

A l'horizon,

Au tout début de la chanson

En préambule;

Sors de ta bulle  !

Et féconde en injonction  !

La réconciliation avec une rémission,

Car pardonne à chaque saison !

Et fais en sorte qu'il y ait une résurrection  !

Du monde des morts;

Où il vaut mieux avoir des remords,

Que des regrets,

Pour que tu reviennes vivant et en paix

Parmi tes semblables avec des illuminations;

Qui seront légion;

Avec une réunion

D'amis, pour que tu reprennes goût

A la vie avec du bagout, bas goût,

Où tu renoueras avec la passion

De la vie sans fausse illusions;

Mais avec des effusions,

Où plus tu auras de l'affection

Pour tes amis

Et ta famille,

Plus tu y croiras à l'oraison;

Que la prière

Vaut largement mieux que la colère,

Car pardonne à chaque saison !

En assaisonnant les salades

Avec de belles et longues promenades;

Et en cultivant de l'amour 

Qui rime avec des mots de troubadours;

Pour oublier tes lourds sacrifices

D'un passé sans gloire avec des artifices,

Où plus tu profiteras des armistices

Pour passer du bon temps;

Et plus tu rigoleras comme avant

En effaçant tes cicatrices;

Et en érigeant pour édifice;

Que les soucis, c'est derrière toi

En allant de l'avant plein d'allant,

Où tu avanceras à grands pas

Vers la résilience;

Avec pour point de convergences

Des compromis;

Avec tes frères amis

Et ta famille pour être en bonne compagnie;

Et ainsi, aimer l'existence,

Dont pour demeurer au summum 

D'une cure de jouvence;

Il te restera en ultimatum

Un minimum de temps imparti;

Avec au final une répartie,

Où tout sera reparti dans la réincarnation

D'une vie; d'où tu rebondiras

Et où tu brilleras comme autrefois,

Car souviens-toi  !

Que pour retrouver l'éclat

D'écouter une fin de chanson

Dans une ambiance paisible;

Fais ton possible d'être flexible !

Et pardonne extensible

Au maximum

A chaque saison !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                              Blague  :

 

 

Que fait un homme à sa femme qui s'appelle Mouss ?

-  Il mousse Line en crachant la purée   !

 

 

                                      Jérôme de Mars

Blague :
Pourquoi ce que je vais dire, c'est à partager de plus en plus ?
- Parce-que depuis X fois, Les Français sont divisés !
Jérôme de Mars

Perds ces vers, persévère !

 

En père Noël de la tristesse;

J'aurai besoin de la mère Noël en allégresse

Pour le soir de la messe,

Avoir tantôt meilleur un cœur en oxygène;

Qui soit sans gènes

Héréditaires pour insuffler de la liesse,

Où je me dis à moi-même,

Face à mes graves problèmes

Du requiem,

De ma mère

A celui de mon grand-père;

Perds ces vers, persévère !

Car le pervers

Qui sommeille en toi, se perd vers

Le père vers;

De ma poésie sans frontière;

Et en très grande colère

Sur La Terre

De mes ancêtres;

A voir renaître

Le mal-être,

Dans un par-être;

Qu'on envoie paître

A jeter l'argent content par les fenêtres,

Où je chante de mes malheurs;

Quelques regrets d'avoir éperdu l'âme sœur

Avec ma consœur,

Dont je suis le con frère, le confrère;

En maître absolu de mon destin;

Qui sent le manque Sacristain,

Où y a en moi malgré quelques bémols;

Quelques gestes tendres de paroles

Dans ces vers,

Qui peut-être

Prédisent un bon Samaritain,

Dont on peut être le copain

En bon Chrétien,

D'où Jérôme, je t'ordonne

Et je te sermonne, 

Jette le désarroi de ta couronne !

Et fais que ta vie jalonne 

Dans les parois, d'où tu perds ces vers,

Car enfin, tu persévères !

 

Jérôme de Mars

Tout et son contraire

 

Avec vue sur la mer,

Y a des bévues sur la mère  !

Amère et ah Maire !

Tout et son contraire

De chercher un père,

Et d'avoir impair;

En repères

Dans son repaire,

Tout et son contraire

De trouver le temps long,

Les temps, l'étang longs;

Etalon très à cheval et talons;

En états longs, en et tas longs;

Au cours, au long cours,

Au concours, au con cours

Dans un recours, encours,

En cours d'un vol au long court,

Tout et son contraire

Quand le bonheur est auprès,

Quand le bonheur est prêt,

Et quand le bonheur est dans le pré,

Exprès, ex prêt, ex pré,

Tout et son contraire

Au cours du long des saisons,

Quand l'hiver fut divers, varié;

Et a varié, avarié, empreint tant,

En printemps, qu'était l'été;

Avant monotone de revenir à mon automne,

Tout et son contraire

De chanter avec Georges Brassens

Sur les bancs publics;

Pour publier les bans pudiques

De son mariage en union libre,

Tout et son contraire

Si je suis sans dessus dessous,

Si j'essuie cents déçus, deux sous,

Tout et son contraire

Sur la Terre délétère, à terre,

A taire l'éther,

Les terres à six pieds

Sous terre austère

Jusqu'à Fred Astaire,

Tout et son contraire

Sens contraire sans contraire;

De tout en atout de joli fourre-tout;

En jouant son va-tout, où va tout

Tout et son contraire

Quand par mes gardes sots,

Je suis le garde des Seaux,

Où ça me regarde sursaut

Au Sceau des chiennes de Garde,

Tout et son contraire

Quand les vils 

Sont dans les villes de solitude,

Tout et son contraire

De ce que veulent en remous;

Les gens veules et mous,

Où de nous à vous;

Tout se dénoue et se dévoue,

Quand on renoue et qu'on se voue;

Tout et son contraire

Auparavant, au paravent,

Car par avant ! Oh par avent !

Serge me demanda, te sers-je un ver 

De l'amitié ou de contact ?

Avec pour revers, soit des vers solitaires

Ou solidaires ?

Où pour terminer ces hauts vers,

Je mets ces ovaires,

Quand l'eau perd ses vers, persévère;

Tout et son contraire

Avec pour fil conducteur,

Un fil à couper le labeur,

Qui perd le fil du beurre,

Car tout ne tient qu'à un fil

Où la note salée défile des fils

Qui défilent, qui enfilent et qui refilent

Le fil statique, avec pour effet statistique

L'effet domino jusqu'à la fée Domino de Renaud,

Où en auto, j'en fais mon loto, en haut taux 

Satisfaction, là où de la mer,

Y aurait eu des belles vues sur l'amère !

Déjà qu'il y aura eu des bévues sur la mère,

Quand Charles Trenet avec mon grand-père

Charles, qui traînait

Sur l'océan Pacifique à chercher en pacifique,

Un océan de tendresse avec pour repère,

D'où qu'il est dans son repaire en ayant pour un père,

Impair,

Tout et son contraire.

 

Jérôme de Mars

 

Rami de l'atelier  !

 

Comme La Fondation Des Amis De L'atelier a une façade de bâtiment qui a l'air solide, mais qu'en vérité, la construction de L'ESAT est une façade bancale comme la direction de L'ESAT, et que toute la fondation du bâtiment est à revoir, et ben ! Madame Manoiline-Proïa, la directrice de L'ESAT a décidé que pour faire des économies, vu que les temps sont durs, de fusionner tous les ateliers en un seul, le conditionnement, comme tout le monde à l'ESAT est conditionné au pire et que tout le monde se maltraite et se sous-traite !  Ainsi, les 140 agents de l'ESAT et également tous les moniteurs seront réunis tous ensemble pour le pire et le meilleur au sein du conditionnement, dont le seul travail de L'ESAT sera dorénavant DUGAS avec Rami, l'employé de Dugas qui traitera lui-même les contrats avec Eric, le moniteur responsable du conditionnement car Dugas rapporte tellement à L'ESAT, que dorénavant, on ne parlera plus que d'argent à L'ESAT et pas d'autre chose car la seule chose qui intéresse L'ESAT est le profit avec pour slogan célèbre :  

 

Le silence est d'or, la parole est d'argent !

 

- Eric, un moniteur  : " - Allez !  Les Loulous !  Le camion de Dugas est arrivé, on a 40 palettes à faire pour demain, appelez-moi ce feignant et ce tire-au-flanc de Jérôme pour vous aider à monter les palettes !  

 

- Kemais, un moniteur :   - Mais Eric, Jérôme est en arrêt, il est pas là ! ?

 

- Eric, un moniteur :  - Encore, alors appelez-moi Charlotte !

 

- Christophe, un moniteur :  - Pareil, Charlotte n'est pas là, elle est partie à la retraite !

 

- Eric, un moniteur :  - Mais putain !  c'est pas possible, on est conditionnés au pire ! Charlotte est partie en retraite et Jérôme débat en retraite !

 

- Christophe, un moniteur  :  - Eric, tu pourrais ajouter aussi que L'ESAT de Vitry est au rat des pâquerettes ! 

 

- Eric, un moniteur  : - Ah oui !  Tu n'as pas tort là-dessus !  Et moi, j'en ai rat la casquette !

 

- Sandrine, un agent : - Et puis on est conditionnés au pire dans cet atelier de Rami de L'atelier, en plus à L'ESAT, tout le monde se maltraite et se sous-traite !  La preuve, l'autre fois au conditionnement, y a eu un rat par terre car quand Eric, le chat n'est pas là, Jérôme sourit en contre dense et sort les griffes  !

 

- Eric, un moniteur  : -  Le téléphone sonne :  Dring, dring  : Allo Rami de l'atelier, il faut que tu nous ramènes plutôt 60 palettes au lieu de 40 pour demain car là question finances, on est dans le rouge  !

 

- Rami, l'employé de Dugas :  - Mais c'est normal mon cher ami, si tu es dans le rouge, la preuve que tu ne fais pas ça en vain le 20 de chaque mois au moment où arrive la paye, Eric et puis si ton ESAT est dans le rouge et que tu vois rouge, il faut que tu prennes de la bouteille en faisant travailler tes agents en les mettant en boîte, comme cela, ils travailleront vite pour pas cher et ainsi, ça rapportera plus à L'ESAT surtout à la direction qui trinquera, à la santé de ses agents qui vont trinquer de leur santé, pour une moindre qualité prix pas chère, et de ce fait, tu ne seras plus dans le rouge question pépètes, mais en devin rouge de la rentabilité, où tu ne verras plus jamais rouge, car tu auras soûlé tes agents avec ce travail  !

 

- Eric, un moniteur :   -  Et pour te remercier de cet unique travail que tu confies à notre ESAT, je te donnerais en prime d'activité 50 % de commissions des bénéfices et en commission, les agents auront droit à une prime d'inactivité de commissions de 0,001 % des recettes de Dugas !

 

 - Christophe, un moniteur :  -  En plus dans tout cela !  La chef de service de L'ESAT ne veut plus que les agents aillent voir aïe l'assistante sociale car selon elle, ils sont autonomes !   

 

Eric, un moniteur :   -  Oui mon cher Christophe, cher Rami de l'atelier, car on n'est jamais mieux que desservis que par soi-même !

 

- Rami, l'employé de Dugas :  -  Et pour te remercier de m'octroyer 10% des bénéfices, qui serviront en pots de vins pour la directrice de L'ESAT, je te fais chevalier divin de Dugas !

 

- Eric, un moniteur :  -  Oh  !  La vache, ce sont des beaux vins oh !  Rami de l'atelier  !  "

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Y a pas des kilomètres !

 

Prise de distance

Avec les gens;

Selon l'importance

Qu'il y a un pavé

Dans le torrent,

Y a pas des kilomètres !

D'ici là à ce qu'on soit reconfinés

Dans le désordre altéré

De mon cerveau ensuqué;

Où je ne serai plus maître

De rester chez moi;

Dans le froid

Et l'inconfort,

Où je m'endors

Sur mes lauriers,

Et je vais à tribord

Pas loin, d'où je chavire

Et je me déchire;

Si je dérive de bord

Aux rebords de raviver

Le tensiomètre,

Où y a pas des kilomètres  !

A ce que bientôt je vous quitte

Dans un suicide assisté

Et requalifié

Dans un burn out;

Dans un quitte

Ou double complètement août,

Où je ne serai plus jamais maître

De mon destin mais un par être

Qu'on envoie paître;

A me jeter en argent comptant

Par les fenêtres

De mon hêtre, 

Où y a tellement de kilomètres !

A remonter à la racine

Et aux origines;

De pourquoi je suis toujours bougon

Aux troncs

D'un arbre déraciné

Et expatrié,

Là-haut perché

Et transpercé !

Par un coup de poignard

Dans le dos en dépotoir,

Où je suis près du mouroir

De toutes ces histoires,

Qui risquent de mal finir;

A en croupir

Dans une prison

Dorée et mal adorée,

Dont le blason

Est à redorer

Dans une armure;

De façade de dur

A cuire, avec pour cela

Après les abois,

V'là sans doute  !

En banqueroute

Une déroute,

Pour jeter en argent comptant

Par la fenêtre,

Mon être en traître;

Ainsi que mes tourments;

A plus de si maître !

Où là y aura plus du tout de kilomètres !

 

Jérôme de Mars

 

La danse des cagnards 

 

Saudade de ce titre étendard

Dans un international standard;

Après la danse des canards;

Voici à contre danse;

La danse des cagnards;

Pour voir si on est dans l'air du temps

A bouger par les mouvements;

Sans faux mouvements 

Son corps; 

Et ses anticorps 

Pour faire tendance;

Et voir si la danse des cagnards

Explose avec accoutumance

Dans le starting-block;

En faisant bloc sans troc,

Sans baisser son froc,

Et si elle provoque un engouement

Aussi populaire que la danse des canards;

Version transe 

De la danse des cagnards;

En intemporels tubes phares,

Dont pour rester dans l'air du temps;

Il faut rivaliser d'imaginations dans un déferlement,

Au nirvana du Panthéon de la danse des cagnards;

En donnant rendez-vous au soleil hagard;

Ici bon chic bazar;

Par le plus grand des hasards;

Avec un concert de programmé au hangar,

Car après avoir écouté en réversion transe

La danse des canards;

C'est l'occasion d'entendre à contre danse

Et en inversion intense;

La danse des cagnards.

 

Jérôme de Mars

Désaxés, des accès

 

Malaxés, mal axés,

On a désaxé,

Si on a des accès,

Qu'on a des abcès, 

Qu'on en a assez,

Si on en a abcès,

D'avoir excès

En désaxés, des accès,

Où ce n'est ni la panacée,

Ni le panaché

D'avoir malaxé

Mal axé,

Ce à quoi on a accès,

Si on a désaxé, 

Qu'on a des accès

D'avoir assez,

Et d'en avoir abcès

Des excès,

Si on a désaxé

Des accès,

Après malaxé,

Mal axés

La panacée,

Dans un panaché,

En désaxés,

Des accès.

 

Jérôme de Mars

En toute amitié, toutes mes amitiés

 

Pour partager le temps d'une soirée

D'innombrables agréables moments en continu;

Je vous transmets en toutes amitié, toutes mes amitiés

Dans la fraternité et la réciprocité,

Après une soirée bien arrosée

A avoir bu de belles paroles dans un raffut,

Où l'on fut content et satisfait de se retrouver

Eméchés dans l'ivresse, et de profiter

D'une délicieuse bière rousse;

En la sirotant la rousse sans qu'elle s'émousse;

Pour définir le mot sincérité et probité,

Sans qu'on nous mousse

D'avoir dénoncé dans la cambrousse des vérités;

En ayant réalisé nos souhaits d'être toujours liés;

Et alliés par des sentiments enjoués, distingués,

Raffinés et mis en valeurs par efficacité;

Pour partager le temps d'une nuitée, quelques annuités,

Où je vous transmets en toute amitié, toutes mes amitiés

Dans le respect de la bonté et dans la beauté de la paix;

Pour vous prouver ce que dans le passé, on a pu éprouver;

Et que ce fut quelquefois des regrets de nos erreurs contrariés,

Ou perturbés par nos excès, qui furent désaxés, des accès;

En ayant abcès d'en avoir assez, et dont pour pardonner

Et s'excuser d'avoir commis trop de fautes qui vous ont perturbé,

Il faut sans cesser faire preuve de loyauté et d'intégrité;

Pour avouer ses erreurs qui furent des passages avides, décriés

Et controversés, et dont on n'aurait dû avoir la langue bien pendue

Dans une vie, qu'on croyait résolue mais qui au final fut dissolue;

Et corrompue dans des choses interminables et insoutenables;

Pour montrer de quoi on est capables,

Où pour mériter vos affinités

Sans vanités et insanités;

Je vous transmets en toute amitié, toutes mes amitiés.

 

Jérôme de Mars

Un monde sans artifice

 

Feu,

C'est un 14 juillet

Qui part en fumée,

Avec un monde sans artifice

Et sans feux d'artifices,

Avec pour armistice 

Un cessez-le-feu,

Pour un tantinet

Etre un tout petit peu

En paix,

Et qu'il fasse beau

Dans ce monde en lambeaux,

Et qu'une armistice

Adoucit les supplices,

Avec malice

Et délice,

Pourvu que ce soit lisse

Avec des lisses

En ayant dans les coulisses,

Un monde qui glisse

Vers un monde sans artifice,

Comme ce 14 juillet

Part en fumée,

Avec solennité 

Et gravité,

Où pour être en paix,

Autant vivre

Dans un centre de gravité,

Pour qu'on s'enivre

A prendre tout à la légère

Dans un monde bienheureux,

Fameux et joyeux,

Avec des amis précieux et sérieux

Et des membres de la famille fabuleux,

Afin que la douceur

Efface les peurs

Ephémères et héréditaires,

Car autant être en paix,

Avec ce 14 juillet

Qui part en fumée,

En fumant le calumet de la paix,

Avec pour édifice

Un monde sans artifice.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                     Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça fait un 14 juillet qui part en fumée ?
- Un monde sans artifices

 

 

 

                                          Jérôme de Mars

Pas de quartier pour le 14 juillet !

 

Avant d'être complètement août,

Liberté, égalité et fraternité !

En ce 14 juillet très particulier

Pour les particuliers,

Où c'est surtout dictature, légalité et individualité  ! 

Qui est toujours et de plus en plus d'actualité

Dans ces jours très difficiles,

Où plus rien ne semble facile

Et où tout vacille 

Dans la faucille !

Avant d'être atomisés de nouveau

Par le virus qui rebondit dans le chaos,

Et que par être, on finisse par être en burn out,

Car pas de quartier pour le 14 juillet !

Soi-disant pour rassembler Les Français;

Alors que le reste du temps, c'est chacun pour soi !

Pendant des mois sans joie et foi,

Où on déploie des trésors de militaires

Le 14 juillet pour nous faire croire à la guerre;

Tandis qu'on déploie une multitude d'avions

En rafale avec des rafales; qui veulent que les signaux 

Soient orange, voire rouge et qui voient rouge,

Dont je mets aux vers originaux;

L'état de la patrie et de La France en ce 14 juillet

De toutes les singularités d'années en matières d'inégalités,

Où l'on veut nous démontrer qu'on fait la guerre

Au virus; par des moyens de Martin-Guerre depuis naguère

Dans le tout Paris; à l'avenue des Champs-dévalisés car bienvenue

Et advenue dans la plus belle avenue revenue, survenue et prévenue,

Où l'on fait arriver médisant, arrogant et feignant un monde imaginaire et salutaire;

Mais tellement plus réfractaire, libertaire et contestataire que débonnaire

A l'ordinaire terre-à-terre,

En l'occurrence

Et en concurrence

Présumé solidaire;

Parce-que sur Terre,

On naît dans un monde qu'on féconde délétère et austère en solitaire, 

Car pas de quartier pour le 14 juillet !

Où l'on convoque des hommes simulant pour faire la guerre

En portant et en déportant la lourde croix de guerre;

Qu'on invoque sans blancs et sans couleurs nécessaire;

Quand on révoque les bonhommes légendaires

De l'époque d'avant, pour faire semblant

Que le monde change

Et s'arrange, 

Alors qu'il ne fait que passer du vers à l'orange,

Voire rouge et qui voit rouge;

Avec tout ce qui bouge

Dans du surplace;

Avec le monde de la finance

Qui fracasse et tracasse

Ce monde qui part en lambeaux

Et en mille morceaux;

Avec sans arrêt comme prétexte la résurgence,

Tandis qu'il y a urgence

A réparer l'état 

Des dégâts, des gars !

Car en vérité, ce n'est ni une guerre nucléaire,

Ni militaire qu'il faut faire mais bien une guerre sanitaire,

Dont il faut poser les avions

Et les mettre en mode avions dans les environs, 

Car avec cette singularité pour cette année;

Pas de quartier pour le 14 juillet !

 

Jérôme de Mars

Blague :
 
Qu'est-ce-que ça fera si je me flingue avec les autres en ligne sur Facebook ? - Ca sera un suicide connectif !
Jérôme de Mars

Les fleurs feront-elle une fleur et enverront-elles des fleurs ?

 

Petite fleur que bêchait Sydney !

Pas en Australie à Sydney ;

Mais en harmonie

Dans tous ses états unis;

Avec pour partenaire;

Le parterre

De la collectivité,

Qui entonne en chœur

Les fleurs feront-elles une fleur ?

Et enverront-elles des fleurs ?

Qu'elles aiguisent

A leur guise;

Pour un monde meilleur;

Conçu et aguicheur, 

En rallumant le bouquet

Du muguet du 1er mai;

Avec des fleurs qui s'enchaînent

Et si à la chaîne;

Les fleurs feront-elles une fleur

Et enverront-elles des fleurs ?

Sur le chêne,

Qui appuie sur le bouton

De l'écran des fleurs

De la télé lors de ses bonnes heures;

Avec pour message fédérateur

Et dicton en écusson;

Réunissez-vous acteurs  !

Pour être dans le collimateur

Des fleurs devant l'écran réconciliateur;

Autour des amateurs 

Friands de grandes couleurs,

Pour en mettre plein les yeux

De l'iris de vos fleurs en amoureux;

En se souvenant des œillets d'hier;

Et aujourd'hui avec des œillets vers

Les œillères; à la frontière

De votre imaginaire linéaire;

Le jour où pour vous, ce sera le bouquet  !

De Michel à Carole Bouquet

Au banquet du bouquet du muguet

Du 1er mai; 

Avec pour fil conducteur

La petite fleur de Sydney,

Qui ne bêchait pas à Sydney;

Mais dans une riche communauté,

Qui défriche d'amitié et d'humanité;

En ayant pour lien de dense fraîcheur

Des affinités avec les fleurs;

Et si jamais en chœur,

Les fleurs feront-elles une fleur ?

Et enverront-elles des fleurs ?

 

Jérôme de Mars

 

Des vers nus comme des vers

 

Qu'est-ce-que tu plantes là avec ta primevère ?

Et à quoi ça rime si tu n'es pas Jacques Prévert ?

Sauf que là, tu fais des prêts vers  !

Avec des vers nus comme des vers;

Dont un ver nu égal un revers qui tombe des nus;

Ingénus et fourbus;

Dont deux vers égaux comme deux vers,

Avec le vers de Patrick Dewaere, le revers

De la médaille avec des vers nus comme des vers,

Dont on s'en sert pour boire des paroles écrites;

Et décrites par cette poésie manuscrite;

Avec tous ces pré-vers

En herbe, qui se coupent l'herbe sous le pied;

A pied et à douze pieds dont on prend à contre épier;

Les vers qui se servent à boire de tous leurs déboires;

Avec beaucoup de désespoir dans leur réservoir,

Qui leur sert à écrire des vers nus comme des vers;

Du fruit de leurs revers; qui leur donnent de la matière;

Avec Serge qui me clame en réclame, te sers-je un ver ?

De contact ou de diplomate ?

Dont Serge m'épate en mettant la pain à l'appâte; 

En terminant ces vers de cette manière grâce à Jacques Prévert,

Qui souffle mes vers sous l'influence de Guillaume Apollinaire

Et d'Arthur Rimbaud;

Qui m'arrachent les mots de mon cerveau en méli-mélo,

Dont en tombant des nus, on termine ces vers en les voyant à moitié pleins;

Et à moitié vides cons plaints; 

Après vous avoir servi des vers,

D'autant qu'avant largement, on vous a desservi des revers;

Dont un ver a servi

Et un revers asservi

De rimes à ces poésies sans frontières;

En trinquant à ta santé linéaire ou imaginaire,

Que nous achevons libertaires

Et contestataires;

Avec pour vertus, des vers tus

De vers nus, 

Comme des vers absolus

Et éperdus,

Dont les vers sont signés Jacques Pré-vers

Et les revers consignés Jacques Prêts vers

Vers le fond de ta chaumière,

Où pour y voir de la lumière;

Reste à des années-lumière

Du déclin de l'univers,

Pour y voir toujours clair, en clair

Et au clair des vers nus,

Comme des vers tus, vice

Des vertus de ta vertu

En lice.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Je voudrais mourir sur Seine

 

Comme dans un essaim d'abeilles,

Je glisse d'un dessein tout mon fiel;

Qui s'agglutine avec du miel

Dans un soleil dardé d'étincelles;

Et bardé sur scène;

Là où je voudrais mourir sur Seine,

Comme la vie n'est un long fleuve tranquille;

Mais un long requiem vers l'ennui

Que je traîne comme un boulet dans la ville,

Comme Samson et Dalila

Dans cette chanson hommage à Dalida;

Dommages collatéraux;

Avec le désarroi mage dans le rétro

A base de tempo,

Pour faire passer en mode sanglots

Tous ces trémolos

Dans la voix qui me laissent sans voix;

Avec ma croix

Que je porte comme un œdème,

Où je n'aime

La vie,

Car je la parsème vers l'agonie,

En vers mi-longs, mi salés

Dans une note salée de lentilles;

Sans vers de contacts,

Où je manque de tact

Dans ma note saccadée qui dérive vers l'abcès,

Où je voudrais mourir sur Seine;

Obscène sur la scène, que j'assène

De toute ma haine,

A chaque fin de semaine

Dans l'usufruit de ma rengaine,

Comme la vie n'est un long fleuve tranquille;

Mais un fleuve qui me transporte nu 

Comme un ver,

Et qui me retombe déçu

Dans les revers

De la ville qui part en vrille;

Et qui brille d'ignorance

Dans la loi du silence,

Comme Samson et Dalila

Dans cette chanson hommage à Dalida;

Chronophage qui prend naufrage

Sur le rivage, dans un virage

Droit à sang à l'heure

Dans cet échafaudage,

Ayant pour adage,

Qu'avant d'être hors-d'usage,

Il est l'heure

Que je meurs sur Seine,

Sur scène

En éteignant les projecteurs,

Comme Samson et Dalila

Dans cette chanson hommage à Dalida,

Dont ce n'est plus la joie

Depuis des mois,

Car la vie n'a jamais été

Un long fleuve tranquille

Dans la ville,

Et dans la saga cité,

Puisque pour terminer à temps ma scène à Vitry Sur Seine,

Il est temps que je meurs sur Seine.

 

Jérôme de Mars

En somme

 

En somme

Dans La Somme

On nous assomme

Et nous somme

Que nous sommes

La somme

Qu'on consomme

En somme

Dans La Somme

Dont on somme

Que nous sommes

La somme

Dont on nous assomme

Et nous somme

La Somme

Dans La Somme

Dont on consomme

La somme

Qu'on somme

Que nous sommes

Dans La Somme

En somme.

 

Jérôme de Mars

Dans quel état sommes-nous  ?

 

Lésés tas unis, dans quel état sommes-nous ?  Comme Vitry Sur Seine qui reste communiste, mais change de maire à la suite d'un putsch, dont Jean-Claude Kennedy cède sa place en surplace à Pierre Bell-Lloch, en totale anti-démocratie dans un état désuni, depuis qu'il n'y a plus Jean-Claude Kennedy, où l'on ne sait si on est dans un état de droit ou un et tas mâle adroit, mais dont bien sûr on n'est au centre droit comme Emmanuel Macron, d'où je dédie en démarche, dans quel état sommes-nous ?  A part dire de pis en pis, oh ! La vache enragée !  Avec le jeu de la roulette Russe, comme on est dans un état communiste, qui voit rouge dans la première ville de la banlieue rouge du Val-de-Marne, où au temps par les temps qui courent, faire abstention à tout ! Car dans la vie, on doit déjà faire abstention à tout ! Dans quel état sommes-nous ? A part dire dans un état de guerre, comme tout fout le camp déconcentration, avec la décentralisation, d'un état désuni, où il n'y a plus de droit mais que des gens mâles adroits dans ce conseil municipal, car conseil d'ami ! Vitry-Sur Seine est dans un état désuni sans Jean-Claude Kennedy, dont autant voter nul, car nul n'est censé ignorer la loi !  Comme on dit !  Par cette lettre qui restera de toute manière lettre morte !  En faisant découler beaucoup d'encre, dont j'y laisse de ma plume une quelconque désinvolture, de vieux désabusé aigri et ah maire !  Dont autant brûler les votes de l'urne et les descendre dans l'une funéraire !  Feu !  La démocratie brûlée vive ! Dans la technocratie et la bureaucratie, dont on nous assomme et nous somme que nous sommes dans un état très mâle adroit ! 

 

Jérôme de Mars

L'arbre cache-t-il la forêt ?

 

Point noir 

De la vierge forêt;

Dont l'arbre cache-t-il la forêt ?

Noire depuis la préhistoire

Ou jouissant de la volupté,

En un exquis exutoire;

Entre les dualités,

Qui signent et consignent la musicalité;

Dont l'arbre cache-t-il la forêt ?

Et si c'est sans vergogne

Ou avec rogne;

Que les arbres envoient des fleurs

A l'arborescence; qui fait une fleur

A Sidney Bechet; qui bêchait

Le jardin secret; qui cultive la paix,

Entre la bataille des rosiers

Et des oliviers,

Avec les eaux, les os

Usées des roseaux, des roses os;

Dont l'arbre cache-t-il la forêt ?

Et s'il le fait avec dévouement;

Et s'il guette l'assentiment, 

Qui envoient sur les roses;

La forêt vierge à cause de la sinistrose,

Qui arrose et irrigue le pot aux roses,

Le poto rose avec une osmose,

Entre des incartades et des cierges,

Si jamais la forêt vierge

Est complice et torride, et si elle est

Plantée là comme un arbre, si c'est 

L'arbre docile ou volatile,

Qui vola-t-il, 

Vers la forêt noire,

Avec pour point de purgatoire;

Des bris de couloirs

Au parloir;

Habile et volubile, 

Dont l'arbre cache-t-il

Si bien que ça la forêt ?

 

Jérôme de Mars

Vers d'éther

 

Comme un poète solitaire,

Je pars dans une route solidaire,

Ecologiste et réaliste

Dans ma facette d'artiste,

Lucide avec mes revers,

Où pour marcher imaginaire;

Avec des vers de terre

Sur la Terre,

J'écris des vers d'éther

Pour soigner ma colère,

Qui me cause des points de sature

Et d'ossature

Sur la planète Terre;

Loin de ce que j'avais rêver,

Où j'aurai préféré vivre

Dans un monde davantage enchanté;

Avec un livre 

Ouvert et populaire empêtré dans de la ferveur

Et du bonheur,

Où il n'y aurait plus de fureur

Et de peurs,

Ainsi que des côtés austères

Sur la Terre, 

Qui aurait bien besoin

D'un inventaire,

Car il y a un déclin

Pas loin d'un tonnerre,

Qui pourrait envoyer le système solaire

Sur une civière,

Alors que pour éviter cela

A nos congénères,

Autant y puiser des éclats;

Avec des effusions de fois

Et de joies

Dans un hip hip hip hourra,

Pour rendre le monde meilleur

Sur La Terre,

Pour qu'elle brille comme autrefois;

Et qu'on y édifie un lieu de poésie,

Sans frontières

De vers salutaires,

Avec un rassemblement d'ardeur;

Pour avoir de la fierté et de la chaleur

Humaine sur La Terre;

Chaque semaine

Et pour y semer de petites graines

De folies,

Qui y amènent une génération volontaire

Sur La Terre,

Où enfin, pour y écrire des poèmes,

Je n'aurai plus le réflexe bohème

D'y mettre des vers d'éther;

Pour soigner mes problèmes d’œdème,

D'embollie pulmonaire,

De colère et de crises de nerfs;

Dans la ligne marginaux

Et d'emphysème, 

Qui me font respirer un très mauvais mal

De Terre délétère sur La Terre;

En étant six pieds sous terre

Dans des pêchés à malignes, 

Car pour y retourner à ma ligne bénigne;

Autant que je sois inspiré par des vers de Terre,

Qui me donnent un nouveau souffle de vers,

Débonnaire avec des bons airs

D'embellie pulmonaire;

Avec pour points de suture,

Un point final

A la ligne Maginot.

 

Jérôme de Mars

Pierre, Paul, Jacques

 

Pierre est payé au lance-pierre, pendant que Paul est au pôle Sud sans perdre le Nord, alors que Jacques est renfermé dans sa coquille Saint-Jacques, tandis que s'il y avait un pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle, cela permettrait à Pierre de ne pas rouler mais de fouler le sol, car qui pierre qui roule n'amasse pas mousse ! Mais si jamais Jacques arrive à sortir de sa coquille Saint-Jacques grâce à Saint-Jacques-de-Compostelle, ainsi Pierre mettra la dernière pierre à l'édifice et Jacques adhérera en marche à Saint-Jacques-de-Compostelle, dont également grâce à ce pèlerinage, Paul qui sera en pôle position, surgira en excès de grande vitesse à Saint-Jacques-de-Compostelle, en marche de ce pèlerinage avec Pierre, Paul, Jacques.

 

Jérôme de Mars

Le désarroi feignant 

 

Par roi, paroi, pas roi

D'une autre fois,

Où je fus roi semblant;

Mais dont j'ai le désarroi feignant;

Feignant de faire croire

Que pendant ce temps,

Louis Dore,

Alors qu'indolore,

Je ne fais qu'attendre le mouroir

Avec mon Louis D'Or,

Dont j'ai le désarroi feignant;

Paroi, par roi, pas roi

D'il était une courroie;

Qui tenait la reine,

Alors qu'avec le désarroi feignant;

Je fais semblant

D'être roi,

Car occupé à tenir la courroie;

Qui me foudroie

Avec la paroi, par roi, pas roi,

Pourvu que mon désarroi soit néant

Et feignant

De faire semblant,

Pour qu'à chaque fin de semaine;

Je passe du roi feignant;

Semblant et feignant

Le désarroi feignant.

 

Jérôme de Mars

 

 

Si cette fois-ci, je ne fais pas un slam, ce ne sera pas un drame !

 

Dans ce mélodrame;

Qu'est-ce-que tu trames

Jérôme, en tant que quidam ?

Et quel est ton programme

Avec ton hologramme ?

Où tu ne pèses tes mots en grammes;

Bas de gammes !

Et oh ! De gammes  !

Comme enfin, je vous réponds polygame

Que j'aime bien faire du slam bigame  !

A plusieurs avec des dames,

Dont je dame

Les femmes; 

En jeu de dames,

Car si cette fois-ci, je ne fais pas un slam,

Ce ne sera pas un drame  !

Vu ce qui se trame

Sur tout Le Paris Paname; 

Padam pas dame !

Où ça rame

Ok sur la rame  !

Avec tout ce ramdam;

Sur le boulevard en lames

De rasoirs infâmes,

Où si cette fois-ci, je ne fais pas un slam,

Ce ne sera pas un drame !

Car vu ce qui se trame

Ca peut faire un monogame; 

Avec un seul en scène en hologramme,

Dont il y a beaucoup de grammes;

A porter sur une vie de tant de drames;

Edulcorée en mélodrame,

Où manquent des femmes !

Dans un jeu de dames

Avec au programme,

De quelconques drames

A Amsterdam,

Dans un joli mélodrame;

Avec un tram;

Vu ce qui se trame

Sur la rame,

Quand partout ça rame  !

Et que grâce au pictogramme,

Je prends à cœur tout le programme  !

En y mettant tout mon cœur en grammes;

Et en apprenant par cœur l'électrocardiogramme,  

Dont pour terminer le ramdam

De tout ce programme;

J'appuie sur aux vers gammes,

Car si cette fois-ci, je ne fais plus de slam,

C'est que ce sera juste un mélodrame !

 

Jérôme de Mars

Vos cas lisent !

 

Décas faits, des cafés,

Y a des cafés, des cas faits !

Où l'on reste sans voix !

A force de porter notre croix

Avec des vocalises;

Quand vos cas lisent

Et prédisent

Un avenir songeur;

En cas où il peut être meilleur,

Si c'est bon signe

De porter l'insigne;

Pour incarner le parfait gentleman

Qui mouille sa chemise,

Quand avec des vocalises;

Vos cas lisent

Qui du jingle émane;

Avec toute la volonté

Du monde qui grince divulgué;

De par les voix qui dévoient

En entendant d'un porte-voix;

Ce qui vole en éclats

En atterrissant dans de beaux draps,

Dont c'est la croix et la bannière 

En y mettant l'art et la manière;

Avec des vocalises,

Quand vos cas lisent

Et prédisent

Leurs choix,

Quand ils en déduisent 

Qu'ils ont trouvé leurs voix;

Avec pour uniques et seules

Choses promises;

Une remise

A la remise,

Où ce n'est que partie remise

Avec pour mise; 

Des mises démises,

Après avoir déporté élégamment

Son deuil,

Mélancolique et seul sur son fauteuil

Avec des vocalises;

Pas gaies,

Qui pagaient,

Innocentes et déchantant

Placées sur écoute,

Et déplacées burn out;

Quand vos cas lisent !

 

Jérôme de Mars

Une âme d'enfant dans un corps d'adulte

 

Jeu d'enfant !

Ce ne fut un je d'enfant,

Cette vie d'enfant

Derrière les barreaux

Avec les bourreaux

Qui m'ont fait ça !

Et dont v'là le résultat !

Et bonjour ! Les dégâts !

D'une vie foutue en l'air,

Comme mon grand-père 

Qui s'est éteint volontaire;

Avec une balle à bout pourtant

Dans la tête patibulaire,

Qui a mis le feu aux poudres;

Où tout le monde saupoudre

Pour faire croire à quelque chose

Genre malade imaginaire;

Dont les ecchymoses

Lui ont fait en découdre;

Avec ce qu'il n'arrivait à résoudre

Dans sa vie qui sentait le tumulte,

Comme moi avec une âme d'enfant

Dans un corps d'adulte;

Qui se croit petit,

Alors que petit à petit, il a hélas

De guerre et lasse,

Bien et mâle grandi

Dans le monde des grands;

Avec tout ce qu'il y a parfois de gentils

Et de méchants parmi les gens,

Où j'exulte;

Quand le pire exécute 

Tous ceux qui ont fait que j'en subisse;

Autant et farouchement;

Et que j'en raidisse 

Dans mon dernier testament;

Qu'ils le paieront tôt ou tard de leurs mauvais garnements

Et traitements,

Qui m'ont causé du tort à m'en pervertir désobligeant;

Tout en m'humiliant d'autant que passe le temps;

Avec pour prescription que tout s'efface patiemment,

Dont moi, le poète maudit

Avec mes mots dits, j'en déduis;

Par défaut

Qu'avec mes vieux travers,

Qui amplifient ma colère;

Que certains de mes ennemis

Furent comme des collabos,

Qui me balancèrent

Aux autres avec mon passé commando,

Dont naguère, je fus à fleur de peau;

De tout ce qu'on m'a fait dans le rétro avec la rétro,

Où j'en ai assez et tellement assez;

Que pour me rendre hard dans mon art;

J'écoute la fanfare et le tintamarre

D'ACDC, où j'ai d'assez d'essais avec tous ces décès,

En abécédaire;

A retracer ma vie sur une ligne austère,

Dont en traits de caractères,

Je dresse un portrait de moi délétère, dès l'éther, dès les terres,

Six pieds sous Terre; 

Avec en fond de caractère de mon immonde déviant,

Que tout tombe à l'eau

Dans le chaos,

Où je bois de l'eau d'Evian;

Avec pour tumulte,

Une âme d'enfant

Dans un corps d'adulte.

 

Jérôme de Mars

Parle en ton nom ? ! 

 

Ce sont paroles contre paroles entre toutes ces personnes :

 

Jérôme :  "  -  Bonjour Serge, est-ce-que ça t'a plu le resto d'hier soir ? "

 

Serge :  " -  Oui, ça m'a fait plaisir de te voir ainsi qu'Adel, pourquoi n'y avait-il pas Alexandre, Guillaume et Brigitte ? "

 

Jérôme : " - Parce-qu'ils n'étaient pas dans leurs assiettes, et vu qu'on est tous à découvert et à couteaux tirés, il faut prendre le temps d'y aller par le dos de la cuillère, pour être dans la bonne fourchette des prix, et ainsi qu'on ait des couverts d'assurés, pour restaurer le lien de confiance entre tous les amis conviés. "

 

Jean-Paul : "  -  Comment vas-tu Serge ? "

 

Serge :  " - Je vais bien, Jean-Paul, hier soir j'ai dit à ton sujet au resto que j'ai un bon souvenir de toi, et que je me rappelle de tes talents de musicien, à jouer de ton synthé avec tes deux doigts  ! "

 

Jean-Paul : "  - C'est normal Serge !  Car c'est mon petit doigt qui me l'avait dit de jouer du synthé de cette manière !  "

 

Serge :  " -  Jean-Paul, grâce à mes leçons de solfège que je t'ai données, tu joues tellement bien du synthé que pour toi, la note n'est pas salée ! "

 

Jean-Paul :  " -  C'est normal Serge, car touche pas à mon poste !  "

 

Jérôme : "  -  Et aussi Jean-Paul, je pense que si tu joues avec brio du synthé, c'est grâce également au film : " La leçon de piano ! "

 

Jean-Paul : " - Mais Jéjé, c'est pas du cinéma, c'est vrai en partie que j'ai perfectionné mon art du piano et du synthé grâce à ce film !  "

 

Serge :   " -  Tu vois Jean-Paul, je fus l'acteur-clé de la découverte de ton talent ! "

 

Jean-Paul :  " -  Merci mon cher Serge de m'avoir donné le rôle de ma vie, et en plus, ce n'est pas du cinéma !  Et toi, Jérôme, arrête de te faire des films à croire parano, que tout le monde te veut du mal, en te disant pousse-toi ! Et en te repassant sans cesse les bobines de ta vie en contrebande !  "

 

Jérôme :  "  -  Plus besoin de marcher sur mes plates bandes, car enfin, j'ai composé la bande originale de ma vie dont toi Serge, tu m'as aidé à écrire avec de vraies paroles le sens de ce qu'est une authentique bande de vrais amis dans la vie de ma vie, et dont c'est aussi grâce à toi Jean-Paul, car après les coups de pousse, place aux véritables coups de pouce dans la vie !  "

 

Jérôme de Mars

 

                                              Blague :

 

Qu'est-ce-que ça fait Edouard Philippe, le bras droit d'Emmanuel Macron qui démissionne ?
- Un gouvernement de bras cassés

 

 

                                       Jérôme de Mars

Nous grillons les cigales 

 

Une nuit à la belle étoile,

Sur la plage du rivage

Au sillage du village,

Nous grillons les cigales

Pendant que ceux qui ont la martingale 

De la soirée du partage;

Creusent inégales

Les six gales;

De ceux qui ont la gale,

Lorsque les uns sont plutôt fourmis

Aux dépens des cigales,

Tandis que les autres sont tantôt cigales;

En faisant les économies

Des faiseurs d'éphémères racolages;

Dans des petits boulots de bricolages,

Qui font office de bibelots de cambriolages;

Avec pour adage;

De quelconques grillons,

Dont nous grillons les cigales;

Avec pour électrons libres des divagations;

Pour faire diversion;

Perchés sur le balcon;

Au son d'une dérobade

D'été, qui part en escapades;

Dans la ballade 

Des gens du chant des cigales;

Là-haut au sein du village,

Dont pour ne pas faire d'ombrage;

Nous grillons les cigales

Et les grillons, à tribord d'un carambolage, 

Entre deux variations en point d'ancrage.

Avec les cigales, six gales, si gales inégales,

Dont pour profiter de ce pur régal,

Nous grillons les cigales.

 

Jérôme de Mars

On vend du vent ? !

 

Auparavant,

Bien avant l'aven

En prenant les devants,

On vend du vent ? !

Souvent,

Et très sous vent

Dans la rose des vents,

Avant de jeter un vent

Au couvent,

Et d'avoir le vent

En poupe; pouvant

Et prouvant

Si on vend du vent ? !

Eprouvant

Dans un évent, 

Emouvant, 

Et mouvant

En cherchant des mots savants,

Qui veulent dire que c'est du vent

Si on vend du vent ? !

Et qu'on n'est dans le vent

En n'allant de l'avant,

Quand on ne va dans la direction du vent;

Comme on part avant !

Soulevant; sous le vent,

Sous le pays du soleil levant,

Elevant; et le vent;

S'élevant; c'est le vent;

Et relevant du vent;

Bien à vent, 

Avant,

Dès le jour où souvent,

Au par avant;

Avec du dissolvant;

On souffle en un solvant, seul vent !

Bon ! Allez ! Du vent !

Quand le vent en couvant;

Souffle o'vent !

On vend du vent

Comme au paravent ? !

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le bazar fait bien les choses !

 

Hagard sur le big bazar;

C'est l'heure de la fanfare  !

Quand le bazar fait bien

Les choses avec Michel Fugain !

Dans un bazar bric à brac;

Dont c'est le casse du siècle mic-mac !

En consignant le pacte du diable;

Et en signant l'entracte, oh que c'est adorable !

Aimable et serviable avec Aimable,

Qui marie l'affable avec l'abordable

En unissant les accordéons,

Quand nous nous accordons en chansons

Dans une tirade avec en escapade...

Quelques paroles qui riment en R' de ballade,

Quand le bazar fait bien 

Les choses avec Michel Fugain

Au bazar du big bazar !

Sur la place du tintamarre,

Où il est temps de larguer les amarres !

Pour partir en vacances

Bronzer dans l'insolence de l'indolence,

Et flâner sur le port de Plaisance, à raconter au bar

Ses brèves de comptoir;

Avec des bruits de couloirs,

Qui signifient que grâce au hasard;

Le bazar fait bien

Les choses avec Michel Fugain !

Pour s'entendre entre potos

Dans les bistrots à s'marrer rigolos !

De tout jeter en mégots

De cigarettes; à mégoter

Le joli magot;

A-tire-larigot 

Pour parler le parler vrai ;

Du genre populo Français

Envers ces Français, dont c'est francs ces

Français, encore temps de bavarder

Et à discuter de tout et de rien !

Au big bazar de Michel Fugain;

Dont c'est le bazar 

Par le plus pur des hasards,

Quand le bazar fait bien

Les choses ! En tout point.

Tout honneur, embonpoint.

 

Jérôme de Mars

Je passe aux vers

 

Vague verte;

J'ai du vague à l'âme ouverte,

Quand après avoir vu rouge;

Le feu bouge

Du rouge

Au feu orange,

Après quand feu Orange

Fut orange;

Je passe à la ville d'orange

Aux vers;

Feux ou verts,

Quand je passe aux vers

Ouverts; 

Over,

Quand je vois rouge;

Et que rien ne bouge

A la ville d'Orange,

Sauf quand je passe du feu orange

Aux feux vers,

Quand je passe feu aux vers

Ouverts, ou vers

Aux vers, over ,

Quand je passe aux vers

Après m'être mis ouverts,

Ou vers aux vers

Avec du bas de gamme over,

Alors que j'attends du polygame ouvert

Ou vers,

Quand je passe aux vers

Après m'être mis over,

Quand je passe amalgame ouvert

Au gamme aux vers;

Avec pour haut de gamme ou vers,

Quand je passe ouvert ou vers

Aux vers;

Bigame over.

 

Jérôme de Mars

 

Ca nous regarde si personne ne s'en fout d'un coup de pouce pour toi !

 

Ironie du destin,

Regardons aujourd'hui

Et demain !

Sans laisser personne

Sur le bord du chemin,

Qui indiffère

N'importe qui, 

Quand on considère

Personne, car ça déraisonne

A l'esprit

De tous,

Sans coup de pouce

Qu'on risque tous de tomber

Dans l'oubli,

De la communauté

Et de l'humanité,

Où après la vanité,

On a besoin d'humilité  !

Car après avoir tant critiqué

L'intégrité des gens,

En leur ordonnant

Pousse-toi de là !

Donnons-leur avec foi  !

Un coup de pouce

Du destin,

Où on ne dira

Ca ne nous regarde

Pas appât  !

Et ça ne te regarde pas  !

Par mes gardes, mégarde,

Où je m'en fous

De toi,

Si t'es fou sans garde-fous  !

Où pour le tout et le tout

Dans tout ce fourre-tout,

On joue notre va-tout

Avec en tout et pour tout

Un atout,

Quand on se dit

Altruiste et optimiste

Dans ce monde triste et égoïste,

Où de ma patte d'artiste,

Je glisse en fin mot humaniste

Et idéaliste,

On ne s'en fout

Des fous 

Dans ce monde, où on a besoin

Pour notre destin

De garde-fous,

Car plus on est de fous !

Plus on rit

En harmonie !

Avec cette phrase qui réconcilie

La famille

Et les amis,

Malgré les aléas,

Où je vous dis

A tous !

Donnons-nous tous 

Un coup de pouce !

Car ainsi,

Pour ne plus que ça nous lézarde !

Prenons garde !

Que ça nous regarde !

Si personne ne s'en fout

D'un coup de pouce pour toi !

De toi à moi,

Car il était une foi

De la joie,

Avec éclats

Dans la vie, 

Pour garder la foi 

Et ne plus tomber 

Dans l'oubli,

Car pour une foi,

Pour ne pas

Que ça nous lézarde !

Pourvu que ça nous regarde

Tous  ! 

Si personne ne s'en fout

D'un coup de pouce

Pour toi !

De toi à moi.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Haltères égaux

 

Pour l'ego,

Il faut muscler 

Son jeu

Avec des haltères égaux,

Pour affronter l'adversité

Avec solidité,

Et dépasser

Avec ses alters-egos,

Les ennuis du ghetto;

Lets' go !

Où l'on se sert

Des haltères,

Pour muscler

Ses biscotos

Et son derrière,

Avec âpreté

Et dureté,

Lorsqu'on se désaltère

L'ego,

Avec des haltères égaux,

Qui font bloc

En roc

D'alters-egos,

Pour défier

Et braver

La loi du plus fort;

En appelant let's go !

Pour son confort

Ses haltères égaux,

Car après l'effort;

Vient le réconfort

De ses alters-egos;

En renfort,

Pour aller au Fort

Du plus Fort,

Et faire le Fort du plus fort,

En jouant à la loi du plus fort,

Et fort, effort,

Où l'on se désaltère

Avec des alters-egos,

Pour muscler l'après

Et affronter avec difficultés,

Ce qui vient se succéder

Aux autres forces du danger,

Avec la vérité;

De ce qu'on a à défier

Depuis le temps moyen-âge-je,

Où pour braver la loi du plus fort;

On fait appel à la témérité

Du folklore, fol clore 

Avec pour métaphore;

Que grâce aux alters-egos,

On muscle sa ténacité

Et on se désaltère;

Des années bien après pubères

Avec pour repères;

Dans la saga cité

Du ghetto;

Ses haltères égaux,

Let's go ! Ego !

 

Jérôme de Mars

 

A rosé, arrosé

 

Cocktail molotov

Genre Peter Ustinov,

Je rénove

Et j'innove,

La musique qui soûle

La foule,

Arrosée et névrosée

A rosé, arrosé,

Qui a branché

Nécrosée,

Les nuits bien branchées

Blanches,

Quand je flanche

En prenant de la drogue,

Qui me shoote dans un grog,

Dont la drogue est l'héroïne

Blanche que je concocte

Avec de la cocaïne, coca hymne

A rosé, arrosé

Au vin deux mille vins,

Dont je ne suis devin, de vins,

Si je tombe dans le ravin

Divin, du bon Dieu en vin,

Comme je mange et je bois

Du coque au vin

A rosé, arrosé,

Qu'on a arrosé

Au vin frais de l'été,

Que j'ai imbibé

Et ingurgité

En vain,

En sautant dans le grand bain,

A rosé, arrosé

En perdant le Nord

Au sud à tribord,

Dont j'ai arrosé

Les tenants

Et les aboutissants,

En tenant

Les teneurs,

Déglutissant 

Et s'abêtissant,

A rosé, arrosé

Avec la liqueur,

Des règles en vigueur

Eaux conflits bovins,

Oh que les alcooliques, acolytes  

Sont devenus des beaux vins  !

Avec pour gel hydroalcoolique 

Des crises névrotiques,

Sur fond de crimes laisse-majesté

Néphrétiques, 

Quand je ne calcule sans calculette

Ce que je calcule mental,

Dans mes propos

Et problèmes d'aliénés mentaux,

Avec pour fondamentaux

Des calculs de sciences-po, 

Où pour taper sur la calculette

Les éléments primordiaux, idéaux

Conviviaux et cordiaux,

Si je suis 

Un gros cerveau

Ou en gros un blaireau,

En tombant dans l'oubli

Avec ou cent potos,

Qui donnent le tempo,

Qu'autant trinquer à ma santé

A la santé de ceux qui m'ont fait trinquer,

Aux vins, beaux vins, bovins, devins, de vin,

De vingt, de la cuvée deux mille vins,

Que j'ai cuvé en deux mille vingt, en vingt,

En vain et en vin, 

En tombant dans le caniveau

Du ravin devin, 

Où j'ai accompli

Mon rêve,

Avec pour trêve

L'éternité auprès,

Du seigneur divin

Qui me rendra exprès

Dix vins,

Pour muscler mon ivresse

Qui soûle ma liesse,

Près de la forteresse

Avec pour vitesse,

La vitesse express

Du bon vin, en vain,

Et pas en vin;

Dont j'écope

En excès de vitesse;

Avec pour prouesse,

Où je m'enivre

Pour vivre,

Pour de bon

Dans le vin blanc,

Dont je gèle le prix

Du gel hydroalcoolique,

En overdose de saturation

Après les coliques, bues coliques

Bucoliques,

Dont je survole la rase campagne

En soulevant des montagnes

Avec du champagne,

Qui gèle le prix des amis

Du gel hydroalcolytes 

Néophyte, 

Car je ne fais pas cela en vin,

Mais en vin tremblant 

Au levain blanc transparent,

Avec pour hymne en vin 

De la villageoise

A la Liégeoise, bourgeoises

Et sournoises pour des noises,

Car ça y est, j'ai franchi

Les interdits !

En buvant du vin sang blanc,

Dont désormais, après une soirée

Bien arrosée,

J'ai arrosé au rosé chauvin;

Ah rosé ! chaud vin !

Arrosé eau rosé.

 

Jérôme de Mars

Carte d'identité

 

Papiers de vérité,

Qui suis-je  ?

Avec ma carte d'identité,

Si je joue cartes sur table

Avec toute ma sincérité,

Où je peux être à la fois

Un être affable, 

Ou bien le diable

A réciter, quand mon petit doigt

Me dit si je demeure exécrable,

Adorable ou bien frileux

De tout ce que je prie à Dieu

Si je suis pieux,

Lorsque je suis superstitieux

Et que je me demande si je peux

D'ici peu, trouver

Mon authentique identité,

En parlant moins sulfureux

Et plus vertueux,

Avec un langage convenable,

Parcimonieux et harmonieux

Avec mes papiers Français,

Papiers toilettes

Ou papiers lingettes,

Dès que je chante La Marseillaise

En chanson Française,

Avec des charentaises,

Oh ! Punaise !

Avec ma carte d'identité

Si je joue cartes sur table,

Avec comme fable

Que je suis un vrai Français,

Un vrai Français en vérité

Ou avec volonté,

Pour oublier les mauvais souvenirs

Du passé quitte à maudire

Mon identité,

Et croire que je suis impur Français,

Alors que par désespoir

De toute mon histoire,

Je ne suis un vrai Français,

Mais un vrai Français avec volonté,

Pour m'intégrer parmi Les Français,

Alors que je siffle La Marseillaise,

Quand je crie qu'avec tout le monde

Je suis désintégré, 

Sous les sales gens qui m'inondent

D'insultes dans le tumulte,

D'une vie qui résulte

En vivant à la façon Française,

Car est de là ma propre identité,

Lorsque je joue cartes sur tables

Avec pour vérité

Que pour moi,

Je suis un vrai Français

Pas en vérité,

Mais avec volonté,

Car je me sens capable

De prouver que je suis Français

Avec tout ce que j'ai éprouvé

Dans mon entière sincérité,

Car avec cette fable

Je veux rester affable,

En jouant cartes sur tables

Avec au préalable,

Ma propre carte d'identité.

 

Jérôme de Mars

On ne peut réécrire le passé mais on peut écrire l'avenir !

 

A tous les temps tant qu'il est temps,

Faisons un compte-rendu 

Pour voir ce qui va et ce qui est fichu

En sachant que malgré les contretemps,

Autant se rendre compte qu'avec les regrets

Et de ce qu'on est contents, qu'il faut aller

De l'avant en prenant les devants,

Pour être en paix avec nos amis

Et notre famille, avant qu'eux ou nous

Tombions dans l'oubli

Dans ce monde de fous,

Car ce qui est sûr

C'est que dans notre folle aventure,

On peut choisir

Soit d'être seuls ou accompagnés,

Face aux aléas de la vie

D'autant qu'entre répit et furie,

On ne peut réécrire le passé

Mais on peut écrire l'avenir,

Et se dire que pour limiter

Les dégâts dans ce vaste merdier,

Autant faire en sorte 

Que par la grande porte,

Le pire devienne au pire

Un sous-pire qui expire en soupir,

Pour s'assouplir 

Et qui n'empire,

Car un peu de plaisir

Conjugué avec du rire et des sourires,

Ne fait qu'embellir

Notre vie jalonnée de l'ire, 

Ou des l'ire, délires,

Dont pour lire

Le tout et y décrocher la tirelire,

Il est temps qu'avec un paravent

On y décroche le passe-temps,

Qui passe à tous les temps

Pendant que passe le temps,

Dont autant en emporte l'avant,

Car on ne peut réécrire le passé

Mais on peut écrire l'avenir...

 

Jérôme de Mars

 

 

Médecins, mes deux Saints

 

Prendre soin

De soi

Veut dire qu'on s'assoit

Avec le rire médecin

Pour sourire mes deux Saints

Et réanimer

Mes deux seins animés

Avec mes dessins ranimés

Par mes desseins anémiés

Où pour prendre du plaisir

Et à en rougir

Rien de tel que rire médecins,

Pour sourire mes deux Saints

Et réanimer

Ma femme avec mes deux seins

Animés

Comme un dessin anémié

Dont mes desseins ranimés

Sont à en rire médecins

Et à en sourire mes deux Saints.

 

Jérôme de Mars

 

Sous un soleil qui chantait

 

D'aplomb sous les cocotiers

Et triomphant sous les palmiers,

Et si dans les vahinés, 

Il y avait un bienfaiteur

Adulé et fédérateur,

Qui distribuait de la chaleur

A toute sa communauté,

Dans la clameur

D'un slameur,

Sous un soleil qui chantait

La vie autant qu'il la pleurait,

Lorsqu'il pleuvait la liberté

Et que ça voulait dire,

Qu'il était temps de chérir

Le ciel bleu de l'humanité,

Bien grand bien lui en fasse,

Pendant que l'horizon limitait

La casse en paraissant las

En surface, qui tasse le sas

De décompression, 

Malgré les hallucinations

Du ciel qui fredonnait, 

Sous un soleil qui chantait

La vie dans un paradis, 

Qui suggérait plein de non-dits

Avec un pied-à-terre

Dans un paradis sur terre,

Qui voulait attendrir le baiser

Langoureux des papillons,

Qui interprétaient la chanson

Ephémère ride

Comme un éphéméride,

Lorsque le temps aride

Parlait sèchement de façon

Torride et rigide,

Aux caprices du soleil

Avec les ritournelles,

Pour accompagner 

En musique la clarté,

Sous un soleil qui chantait

La chanson de sa vie,

Lorsque le jour vit

Après avoir dormi

A la belle étoile,

Dès le voile

A marée basse

De la mer grasse,

Où dans une dédicace,

Pourvu que la mer n'efface

Les souvenirs qui dorlotaient

Depuis fort longtemps, 

Le printemps harcelant

Et s'harassant impatient

De convier ses semblables

A table, avec au préalable

Quelque chose de consistant,

Et qui défend nonobstant 

Les errances de L'Ile des vahinés,

Qui encensait l'accueil fraternel

D'un morceau intemporel

Lors d'un troisième rappel,

Sous un soleil qui chantait.

 

Jérôme de Mars

Quand le bateau jette l'ancre 

 

Us et coutumes

J'ai pour habitude,

Comme dans un costume

Sur mesure,

De faire croire à de L'Azur

Sous un ciel qui m'use,

Dont je m'amuse

A accorder les violons

Et les accordéons,

Ensemble dans la plénitude

Bien sûr

D'un chemin de croix,

Quand j'y laisse des plumes

Sur le rebord de l'enclume,

Où ma plume éjecte mon désarroi,

Quand le bateau jette l'ancre,

Lorsque ma plume fait couler

Beaucoup d'ancre,

Qui a presque lézardé

Les fleurs d'orangers

Dans une libre circulation,

Fluide en déchéance

Avec pour échéance,

La fin espérons-le !

De la contagion,

Dans l'enjeu 

De la rébellion, 

Qui est en fait à nœud-nœud

Dans la langue de bois

De Boulogne, 

Qui me mène en cirque de Bouglione

Tête de nœud certes bigle, 

Où je raccorde semblant les violons

Pour faire consensuel,

Et pour plaire malgré mes ombrelles

Avec ces confusions,

Où j'y laisse des plumes,

Quand le bateau jette l'ancre

A quai, au quai, et qui plume

Mon masque d'enclume,

Où ça sent le bitume !

Lorsque ma plume se vide

De sa substance,

Où quelle importance !

Vu mon impotence, 

Si j'avais la décence

De prendre l'assurance,

Du druide très limpide

Dans ses prises de position

En surexposition,

Avant que les fleurs d'orangers

Me fassent aller dans la lune,

Le temps de la plénitude

Malgré les habitudes,

De répandre mon éternelle rancune,

Alors que si j'étais dans la lagune

Je n'aurai aucune lacune,

Car je serai en paix

Avec la communauté,

A exprimer mon émotion

Dans un bouillon de sinécure,

Où j'en aurai cure des cures

Mais pas de la manucure,

De la pédicure et de l'acupuncture, 

Dont ma nature

Relève du plus profond

De mon matricule,

Car je bascule

De la dérision

Aux perfusions,

De mon mal-être qui chancelle

Et qui vacille

De la vanille,

Où je sombre 

A l'ombre

De mes secrets de polichinelle,

Eveillé à songer à un monde 

Plus bleu,

Comme il me féconde

Dans des bleus, 

Qui façonnent

Ma personnalité sulfureuse,

Qui me désarçonne

Dans des ecchymoses furieuses,

Où j'attends le courage valeureux

Pour mettre fin à mon ombrage brumeux,

Où lorsque j'aurai fini d'y laisser des plumes,

Il sera temps de remplacer l'enclume

Par des plumes d'encre,

Quand le bateau ok, jettera pour de bon l'ancre.

 

Jérôme de Mars

Vers à repasser

 

Comme un prophète;

Je suis un poète

Peut-être pas esthète;

Mais qui soûle éthylotest,

Où je teste

En fait, en fête;

Si ma poésie est imaginaire,

Ou si ce sont des vers

A repasser,

Avec un fer

A repasser tout mon passé;

Dont j'ai du fer dans les épinards,

Car je n'en ai que faire

Du pinard;

Ave tous ces tocards,

Qui m'ont taillé des costards

No smoking;

A en fumer le king

Des ringards,

Avec pleins de rencards,

Annulés avec une mise au placard

De ma poésie;

Qu'on panse en anémie,

Alors que j'en fais une amie

Face à mon ennui ennemi;

Profond et moribond,

Où je me morfonds

Seul à l'abandon;

Dans tout ce que je confonds,

Avec des revers à trépasser

Les vers à repasser,

A la fois tous mes succès;

Mes échecs et mes excès,

Où je n'en ai que faire

Des connards,

Qui me mettent du fer

Dans les épinards;

No smoking

A enfumer Le Burger King,

Comme Popeye, pot paye

Ma papaye; 

Du fruit de mon travail,

Dont je suis le cobaye

En éventail,

Quand certains amis

Me rayent;

Moi, le tocard

En me mettant au placard;

Dont avec les confettis,

Peut-être que je suis un prophète,

En fait, en fête, pro-fête;

Avant de tomber dans l'oubli

Des mes anciens amis;

Qui sont maintenant mes ennemis,

Dont j'ai le droit à l'oubli

Avec tous ces soucis,

Si je vais à l'abbaye

En terminant de trépasser ces vers,

Dès que ma part de poète

En moi; a fini

Décrire ces saynètes,

Net plus ultra;

Une fois que c'est extra

De ne plus avoir de revers

A surpasser, car ça y est;

J'ai pioché la manière

Ave dextérité et doigté,

Comme Popeye, pot paye

Le prophète;

Que j'essaye

D'être que je suis,

En fait, en fête;

Dépassé de l'esthète,

Dont j'essuie

Les revers à trépasser,

Une fois que j'ai réussi

Mon défi;

Avec un fer à surpasser

Mes vers à repasser.

 

Jérôme de Mars

L'appel démasqué

Open bar,

O' peine tout le monde me rembarre !

Quand je passe un appel masqué

Qui est au bout de l'appel démasqué,

Comme Brigitte, Christophe et Sandrine

Ne me répondent quand ça fait ding ding  !

Au téléphone fatigué et aphone,

Même que je hausse le ton avec un mégaphone,

Où open bar

Je suis o'peine au bar d'où je me barre,

Quand je repasse un appel masqué,

Qui est au bout du compte un appel démasqué,

Où le masque tombe même que je porte un masque

Dans la vie, pour faire semblant malgré les bourrasques

Avec des frasques ,

Où je traîne aux basques

Du masque mortifère,

Et délétère de ma mère,

Pour mettre de l'éther

En soignant mes plaies sur La Terre,

D'où je n'arrive à avoir un équilibre

Car l'envie me titille

De la rejoindre sur la pointe de mes escadrilles,

Pour ne plus faire avec feinte le joyeux drille,

Comme la vie de l'au-delà me vibre

Davantage que sur La Terre, 

Où tout le monde m'étrille

Dans un sale inventaire,

Comme les temps deviennent durs

Et obscurs où l'on va tous dans le mur !

Comme Brigitte, Christophe et Sandrine

Ne me répondent en m'invoquant,

Comme excuse où tout fout le camp  !

Qu'il ou elles dînent,

Car qui dort, dîne,

Et se dandine,

Comme tout le monde s'en balance ,

De ma gueule sur laquelle ils ou elles s'élancent,

Open bar

J'arrive au bout o'peine où je me rembarre !

De tout le monde vu ma tare, 

Où j'ai toujours du retard

Avec ma tête dans le brouillard,

Complètement hagard

Par le plus pur des hasards,

Où j'outrepasse un dernier appel masqué,

D'où on me trépasse mis bout à bout 

Avec des histoires à dormir debout,

Où je ramasse des râteaux

Avec l'or à l'appel démasqué,

Dont en dernier mot,

Donnez-moi la définition du mot

Open bar !

Dans le dico,

Car je suis au bout du rouleau

O'peine d'où on me rembarre !

Au bar d'où je me barre

Une fois passé un appel masqué,

D'où je récolte avec des râteaux

En dernier mot,

L'appel démasqué.

Jérôme de Mars

La poésie en apesanteur

 

D                        t                              l                            s  e

     a     n               o    u    s              e                               n

                s                                  s                                s

 

 

A        n     t            d r e        à           l         r  e

u t   a               pr e n                 la     é    g è

 

 

L                   e       e            e     n     t    u

a      p o é s i        n       a p     s a     e       r

     

A             i        s        l   u    e     s        t  e     d                  m  s

 u      p o     d            p      m        v  e l              e  s            o  t

 

  

Av e             e     p   l               u      p     i      s    p

      c      u n            u m  e    a             o   d         l  u  m  e  

 

Qui  n        p è          e          o t            a             n     p   d  s   

          e      s   e     s   s     m     s      d   n  s     so      o  i

 

P       m             u         p   e             o     t     à          é g è

 l   u      e       q   i       r   n  d        t    u            la     l        r   e

  

E        t  a n           a     s       l           u    e      e    a   c

  n    é         t       d   n             a     l     n           s  p    e

 

D                  t         e                p o      e      e     apesa

   e       m  o        d           l           é   i           n         a

s                 s                     a          s                        nteur.

 

 

Jérôme de Mars

La fête de la musique

 

Chaque 21 juin,

Lorsqu'on joint

L'utile à l'agréable,

On pose sur la table

Tous les instruments,

Pour braver la direction

Du vent philharmonique,

Et être dans le vent,

De l'orchestration

De la fête de la musique,

Dont on recharge les batteries

Menées tambour battant,

Avec l'élan de flûtes à vent

Et de vers à flûtes avant,

Comme auparavant

Etaient les rares instants, 

Où l'on mariait la trompette

Et les bals musettes,

Avec la guinguette

De Nogent Sur Marne,

Qui dévale sur La Marne

En mélangeant les chanson symphoniques,

Avec des variétés acoustiques,

Toniques et supersoniques

A base de refrains sur Nostalgie,

Où chaque 21 juin,

C'est la fête de la musique,

Où l'on danse ci-joint,

Quand le folklore rejoint

Toutes les diversités,

Des quatre vérités

Aux percussions,

Qui tapent sur le tam-tam

Avec tout ce ramdam,

Que procure la fête de la musique

Avec une alchimie fantastique,

Et féerique 

Chaque 21 juin,

Quand l'amateur rejoint

Le chanteur enchanteur,

Qui enjoint

Une nouvelle période

Dans cette ode, 

Pour réanimer les faiseurs

De merveilles et de tubes,

Dont il y a des répercussions

Au niveau des cubes,

Quand la musique joue

En joue,

Avec les rubicubes

Dont avec des guitares sèches,

On enjoue, on en joue

Lors de la fête de la musique,

Sans pannes antisèches

A la pêche aux tubes,

Dont nous accordons

Avec des accordéons,

Nos violons d'Ingres

A base de guitare basse,

En contrebasse

D'une harmonie,

Avec l'harmonica

Pour accorder les violons,

Dont nous violons celles

Avec les violoncelles

A chaque 21 juin,

Dont on enjoint

Ci-joint,

Lorsqu'on joint l'utile

Du futile à l'agréable,

En mettant tout sur la table

Pour instaurer une ambiance pacifique,

Et y restaurer dans un océan poétique

Avec de la tendresse,

Pour la foule en liesse

Sans tambour ni trompette,

Pendant cette chansonnette,

Cette chanson nette,

Avec des airs de bluette

Chaque 21 juin,

Qu'on enjoint

Dans la fanfare,

Et dont on rejoint

Avant qu'il ne soit trop tard,

La fête de la musique.

 

Jérôme de Mars

Bonne fête des pères !

 

Faites des pères !

Des pairs, 

En impair,

Il nous faut des repères

Dans nos repaires,

Bonne fête des pères !

Sur La Terre,

En guise d'inventaire

Où les deux font la paire,

En un père,

Comme repère

De nos repaires,

S'il fallait refaire

En hein pair,

Tout le parfait guide

Du bon père

En hein père,

Car faites des paires !

Et bonne fête des pères

Pour faire la bonne paire,

Car les deux font la père !

Malgré les impairs,

Les hein pères,

Où pour rester limpide

Dans le guide du parfait père,

Il est temps d'avoir des repères

Dans nos repaires,

Sans impair,

Mais avec un père,

Hein pair !

Comme les deux font l'un père !

Et la paire !

Donc faites des pairs !

Car bonne fête des pères !

 

Jérôme de Mars

Le poème du bonheur

 

Avec l'âme des poètes,

J'ai rêvé d'un autre monde,

Pour voir la vie en rose

Qu'édite la belle de Cadix !

Avec son piaf d'impatience,

Qui bécote sur les bancs publics

Avec les copains d'abord,

Et un rouge-Georges Brassens

Sur Les Champs-Elysées

Dans un kamasutra,

Dont Charles Traînait

Dans cette Douce France,

Comme un homme heureux 

Car y'a d' la joie !

Vers la route enchantée,

Dont c'est bon pour le moral

Si le jardin extraordinaire

Chante ! La vie chante !

Direction la mer,

Comme la vie est belle, le monde est beau !

Où c'est là tout le bonheur du monde !

Puisque dans ce poème du bonheur,

Qu'est-ce-qu'on attend pour être heureux ?

Qui chante tout le bonheur du monde,

Quand la vie chante

Il est où le bonheur ?

Quand Charles traînait

Comme un homme heureux,

Avec un piaf qui édite

Le kamasutra de la vie en rose,

Direction pour de bon

La route enchantée,

Car c'est si bon

De vivre dans cette douce France !

Comme y a de la joie !

En quête de l'âme des poètes,

Pour voir la vie du bon côté

Dans ce poème du bonheur.

 

Jérôme de Mars

Si on vivait tous d'amour et d'eau fraîche ? !

 

Près de la fontaine

Qui jaillit,

Si on vivait tous d'amour

Et d'eau fraîche ? !

Sans panne sèche,

En nous enivrant

Aux poésies

De La Fontaine,

Qui riment de troubadours

Pendant que brille le soleil

Avec ce temps clément

Nulle part pareil, 

Quand Eros 

Ose montrer son andropause,

A la ménopause

Des femmes qui disposent

De coureurs de jupons,

Qui s'agenouillent fripons

Avec la bagatelle,

Pour âme maîtresse

Qui nivelle

Les poétesses

Par les bas,

Oh ! Sujet de vieux ébats !

Si on vivait tous d'amour 

Et d'eau fraîche ? !

A réconcilier les quiproquos

Avec de meilleurs pinceaux,

Qui composent de bons tableaux

En donnant les parfaits numéros

Qui jaillissent près de la fontaine,

Pendant que les plumes des oiseaux

Jettent de l'encre qui riment aux poésies

De La Fontaine,

Qui plantent la petite graine

Qu'elle supplante à la pêche,

Qui met l'eau à la bouche

Qui débouche, 

En ayant de la veine 

Dans ce poème,

Qui respire des airs de bohème,

Face à ceux qui souffrent d'emphysème

Dans ce monde odieux qui boursoufle

D’œdème, qui parsème

Le vent au souffle

Coupé, entrecoupé,

Et haché, à l'emportée

Et à la portée déportée

Et survoltée,

Où la reine,

Parmi les abeilles

Demande si elle peut mettre

Un peu de miel,

Pour remplacer le fiel

Par le miel,

Qui fera roucouler

Du soleil avec des groseilles,

Pour rouvrir les fenêtres

Et ainsi être plus heureux

Avec un bleu ciel lumineux,

Où dorénavant, partout jaillira

La fontaine dans une madeleine

De Proust, qui fredonnera

D'autres rengaines

Avec pour message universel,

Qu'il faut s'enivrer aux poèmes

De La Fontaine,

Pour que tout le monde s'aime

De façon saine,

Et sauf

Dans ce monde de beauf,

Avec aucune panne sèche 

Et aucunes antisèches revêches,

Presque autant rêver d'un paradis

Plus tôt harmonieux  !

Sur La Terre de nos aïeux,

Pieux et orgueilleux,

Où pour y refaire un tour

Du côté des troubadours

Sans tambour ni trompette,

Allons-y partout faire trempette

Aux poésies

De La Fontaine,

Dès que jaillit

Là ! la fontaine !

Aux frais qui égrènent

A partir de ce jardin d'Eden

Avec le dernier décan,

Lorsqu'il y a un beau temps

Qui murmure insistant !

Et inspirant aux soupirants,

Que c'est l'heure en y repensant !

Et en y soupirant !

Dans la cour

Des grands,

Et si on vivait tous d'amour

Et d'eau fraîche ? 

Dans un monde meilleur

Nulle part ailleurs.

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blague :

 

Pourquoi Philippe, fais-tu souvent des réflexions déplacées et ironiques avec des sous-entendus ?
- Parce-qu'à force de te déplacer, tu es hors de propos !

 

 

                                           Jérôme de Mars

Je fais du rapt !

 

Contact,

Je manque de con tact

Avec un foule contact,

Si je fais du rapt

Et qu'en diplomate,

On me fait échec et mat

Si en automate,

On me mate

Dans un joli mic-mac,

Comme le big mag 

D'un Mcdo, 

Où tout est cadeau

Si je fais du rapt

Avec un double impact,

Comme un pacte

Si ça dérape,

Quand je fais du rap

En utilisant le terme,

Je fais du rapt

En vidant mon sac isotherme,

Qui jette un froid,

Quelquefois, toutefois,

Parfois et dès fois,

Dès que je touche le fond

Très fond, tréfonds

Jusqu'au plafond, plat fond,

Où je confonds, je fonds

Et je me morfonds,

Quand je fais du rapt

Dans un rap élégant

De rapt d'un jeu d'enfant,

Lorsqu'on capte

Le cap à prendre,

Si on est cap à en reprendre

Sans se méprendre, 

Si on n'arrive pas à s'entendre

Parmi cette foule contact,

Où il faut qu'on ait du tact

En signant un pacte,

Pour que ça n'ait pas d'impact

Compact, con pacte,

Si je fais du rapt

Qui casse la baraque

Intact, un tact,

Où quelque soit le tract,

Je risque d'avoir le trac

Avec du crack,

Mais comme toute cette foule

Me soûle,

Je préfère être un crack

Dans ma traque,

Avec matraque, ma matraque,

Pour avoir ma niaque,

Même si je suis insomniaque,

Comme je suis maniaque,

Avec ma niaque

Hypocondriaque,

Mais vu que je surprends

Avec des aphrodisiaques,

Pour rester en forme sur le zodiaque

Qui me mène en bateau,

Dans le chaos

Des mauvais signes du zodiaque,

J'en reprends plein le pot paranoïaque

Si jamais je contracte

Ma niaque hypocondriaque,

Et que je me rétracte

De ma niaque patraque,

Pas trac, pas traque,

De mon trac tic tac, où je craque

De ma traque à ma traque

Avec ma matraque,

Car je fais du rapt.

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-que à Dijon ça dégénère ?

-  Parce-que la moutarde de Dijon leur monte innés !

 

                                           Jérôme de Mars

Y aura-t-il encore des gens gens t-ils, des gens gentils demain dans notre monde ?

 

Ce sujet dont on est le sujet et dont on fait l'objet, mérite d'être abordé avec bienveillance et discernement, certes, personne ne pense pareil mais dans l'appareil, essayons tout de même de nous rassembler vers des convergences sans insignifiance, où l'on demande aux citoyens Français, y aura-t-il encore des gens gens t-ils, des gens gentils demain dans notre monde ? Qui tiennent parole, qui sont bienveillants, sympathiques, cordiaux, conviviaux, chaleureux et courtois, en ayant le dernier mot, mais le dernier mot, et pas un gros mot, ni un mot de trop, ni de cynisme et ni d'indifférence sans avoir un esprit troupier je m'en-foutisme en laissant les gens sur le bord du rebord, où mille millions de mille sabords, on est tintins si on s'en fout de tout et qu'on s'intéresse à rien, avec le professeur qui tourne et retourne le sol, et le capitaine paddock, où on ordonne aux gens : 

" Arrêtez de vous parler méchamment et violemment entre vous ! Prenez le temps de discuter doucement et calmement avec les gens en essayant de les connaître davantage, de façon bienveillante et clémente en ménageant les gens dans tout ce remue-ménage ! ", comme les gens ne se ménagent à force de tout déballer, où il faut faire table rase du passé pour être pile-poil à leurre dans ce monde oppressé, pressé et stressé, sans être poil à gratter avec la brosse à reluire, mais juste ce qu'il faut de juste et ferme pour faire un bon ménage de printemps, sans surmenage et sans être l'objet du scandale, car lorsqu'on fêtera notre anniversaire en balayant devant notre porte, on aura quelques années et des balais, où enfin, on saura enfin avec le temps qui passe, de s'il y aura encore des gens gens t-ils, des gens gentils demain dans notre monde à rebrousse-poil, avec un poil dans la main ? 

 

                                              Jérôme de Mars

                                                  Blague :

 

Qu'est-ce-que ça fera si en septembre en France, il y a une deuxième vague du Coronavirus ?
- On aura du vague à l'âme !

 

 

                                               Jérôme de Mars

Le frondeur

 

Rebelle dans l'âme,

Je ne veux dépendre

De personne,

Et garder mon indépendance

Avec une grande liberté,

D'agir comme dans un slam

Que je compose en frondeur,

Qui n'a peur, kidnappeur,

Pour comprendre

Que la vie, c'est aussi des sacrifices,

Sans artifices pour faire office

Avec impertinence et abstinence,

Dont ça confectionne  

Ma façon de voir les choses,

Pourvu que je cause

Avec vérité, 

Et rien que des affinités

Avec les amis sincères,

Qui pensent comme mon caractère

Avec la meilleure volonté,

De comprendre

Et d'entendre

Que je suis un frondeur,

En guerre avec les ordres de grandeurs

Dont ce n'est un leurre,

Quand c'est du dur labeur

Pour mettre du beurre

Dans les épinards,

Avec des rencards

Pour apaiser mes peurs,

Où l'on me range dans la catégorie

Des réfractaires,

Car je veux conserver mon autonomie

Même si parfois c'est l'agonie

Dans une forme d'inertie,

Où j'ai du tempérament

Et du flair,

Avec des petits moments

Pour me rafraîchir le cœur

Sans rancœur,

Comme à bon entendeur !

Je reste un frondeur.

 

Jérôme de Mars

Metteur en scène 

 

Bande originale de sa vie,

On est le metteur en scène

De nos envies,

A mettre dans l'arène

Dans un combat du quotidien,

A faire valoir ses droits

Que l'on mange ou que l'on boit

Dans le train-train du quotidien,

En bon samaritain

D'être puritain et copain,

Avec le film qu'on déroule

Sur un tapis rouge qui foule

Le sol en metteur de scène,

De sa vie pour jouer un rôle

Sur mesure alors qu'on frôle

Le rôle de sa vie pleine,

A en remplir ses bons côtés

Très humains de notre destin,

Où l'on compose sa propre musique

Qui rassemble nos souvenirs nostalgiques,

De si c'était mieux avant !

Tandis qu'il faut vivre maintenant

Pour être un bon metteur en scène

De sa vie, à balayer ses côtés obscènes,

Pour écrire la parfaite histoire

Du jour, où l'on rédigera nos mémoires

De si on interroge les gens 

Dans des micros-trottoirs,

Pour voir à s'en émouvoir

De s'ils nous aimaient passionnément,

En nous admirant

Malgré les casseroles,

Que l'on traîne tous en nous comme un bémol

Du rôle que l'on joue dans la vie,

Ou dans sa vie à relever les défis,

Où pour être un bon metteur en scène,

Il faut faire bande à part, à part filmer sa rengaine,

Dont on trouvera un mécène

Qui sera notre témoin de nous égérie à lui, 

Notre mentor et notre pygmalion à la mort, à la vie !

Dont c'est à partir de l'action de longue haleine

Qui s'arrête à la chaîne de mes scènes,

Qu'on est pour toujours le metteur en scène.

 

Jérôme de Mars

Les filles de joie

 

Hip hip hip hourra !

Comme le chantait

Charles Trenet,

Bonjour les hirondelles,

Y a de la joie !

A Paris !

Où avec des orgies,

Les hommes grimpent

Les filles de joie

Au mont de L'Olympe,

Comme elles battent de l'aile

En filles de joie,

Dont on suppute

Qu'avec leur langue de pute,

Elles aguichent les hommes

Si elles friment en roulant,

Des boniments

Pour leur pomme,

Dont avec leur entrejambe 

Elles jouent à les faire jouir

De plaisirs,

Qui flambent

Leurs parties intimes,

Où les filles de joie

De Pigalle à Strasbourg Saint-Denis,

A Paris font des vieux débats

Dans leurs ébats magnanimes,

Où avec les hommes, elles leur dégonflent

Leurs ballons qui ronflent

Avec leurs semences,

Qui reflètent l'essence

Hip hip hip hourra !

Où elles prennent leur pied

En faisant des galipettes,

Avec leurs roupettes

Des hommes remis de leur puberté,

Car ils ont acquis de la maturité

Avec les filles de joie

Pendant plusieurs mois,

Après avoir fait des orgies,

Dont elles ébranlent les hommes

Avec leur gris-gris dans la griserie

De leurs fantasmes,

Après qu'ils aient eu leur orgasme

En bavant après une affaire

Au prude home; aux prud'hommes,

Dont elles n'ont rien à espérer,

A part que les hommes pénètrent

Leurs fenêtres

Pour vouloir les satisfaire,

Dont les filles de joie

S'en émeuvent de vive voix,

Avec des couples échangistes

Très libertins en artistes tristes,

De leur corps-à-corps

Sans accords,

Où avant que leurs sales états

Battent de l'aile,

On leur souhaite aux filles de joie

Qu'à-tire-d'ailes, elles attirent d'ailes

Des hommes bourgeois,

Qui les prennent sous leurs ailes,

Endimanchées et bien membrées

Pour qu'elles volent de leurs propres ailes

Avec de la bagatelle, ainsi soie-t-elle !

Pendant plusieurs mois 

Et au-delà de l'au-delà ! 

En des pis, en dépits

De ça,

De leurs orgies

Et de leur frénésie

Dans une pure folie,

Dont bonjour ! Les Dégâts !

Les gars !

Si elles font voler en éclats

Les hommes,

Dont en somme,

Elles roulent pour leur pomme

De vieux amants dans leur sitcom,

De France tel est com !

Point.com signé

De la part des filles de joie.

 

Jérôme de Mars

Point de salut.

 

Salut ! On aborde un nouveau point. Dont on fait le point. Dans un point de salut. Car salut ! on tient notre salut au Port-Salut ! Si on en fait tout un fromage ! Pourvu qu'on ait notre salut en disant salut ! A la foule ! Dans un salut ! Où l'on tient notre point de Salut. Genre :  Salut ! Ici, on tient notre salut ! comme on salue tout haut ce que les gens pensent tout bas au Port-Salut ! Enfin arrivé à bon port, car Salut ! On a fait le point. Et on a fini de donner notre point de vue. Point de salut.

 

Jérôme de Mars

C'est le pied avec des claquettes !

 

Danse du pied;

A contre danse du guêpier, 

Un nid de guêpes pique

Avec son dard épique;

Les abeilles,

Qui mettent du miel,

Pour que le soleil

Apaise le fiel,

Dès que le soleil

A contre pied prend son pied,

Dont avec les emplettes

Et en mille facettes,

C'est le pied avec des claquettes !

Qui tapent du pied 

Avec des dames coquettes,

Quand le serpent qui danse

Jette son venin en abondance,

Avec des sornettes

A sonnettes,

Dont c'est le pied avec des claquettes !

En quête de reconnaissance;

Dans une enquête de connaissances,

Comme des chansons pour les pieds;

Un album ancien, 

Le dernier en antiquité, de notre copain

Jean-Jacques Goldman dans un appel

Du pied en contre pied,

Où l'on veut des résultats

Après tant de paroles etc,etc.....

Dont c'est le pied avec des claquettes !

Comme Fred Astaire, Gêne Kelly,

Et Ginger Rogers, dans la confrérie

D'un appel du pied en série;

Dans un contre pied en folie,

Dont avec un lance-roquettes;

On s'envole à la tire;

A la Rue De La Roquette 

Du cher psy Docteur Penot,

Qui a le dernier mot 

En vieux martyr; 

De mes soupirs,

Dont je suis le sous pire;

En sbire du pire

Dans un appel du pied,

Comme une chanson pour les pieds

Dans le contre pied du ghetto;

Dont Jean-Pierre Cassel

Jette son fiel avec du miel,

Comme le miel et les abeilles

Dans un appel en série,

Quand le soleil

La tête dans les comètes,

Fait un contre pied

Dans un appel du pied,

Car c'est le pied avec des claquettes !

 

Jérôme de Mars 

La colère ne fait que se l'ire dans tes yeux !

 

Quatre yeux, mets tes lunettes !

Pour y voir plus clair

Sur la nature humaine !

Rien que pendant une semaine,

Et tu verras ! Y a de quoi tomber à terre !

Les pieds à terre, quatre pieds sous terre !

Où si tu ne montres pas aux autres

Que tu existes, tu tombes aux oubliettes !

Où tout le monde se vautre

Pour te bouffer tout crû, 

Accru et décru, des crues,

Où la colère ne fait que se l'ire

Dans tes yeux ! 

Pour lyre du collyre,

Où tu trépasses du soupir

Au pire des martyrs,

A rêver d'un monde plus fabuleux

Et à songer à un ailleurs mieux,

Où le monde serait plus amoureux,

Heureux et harmonieux d'être pieux

A encourager la vertu,

Au lieu du vice qui tue

A petit feu,

Ce monde frileux et paresseux,

Où la colère ne fait que se l'ire 

Dans tes yeux !

Pour lyre du collyre

Des cernes de tes yeux,

Où tu es terne jusqu'aux cieux

A vouloir rejoindre tes aïeux,

Car ton voyage sur terre

N'est guère fameux,

Car ennuyeux et subalterne

Dans ta taverne,

De tes vieux penchants ténébreux,

Comme avant c'était le bon temps !

Et que le monde donnait envie d'être charmant

Et exaltant,

Lorsqu'avant la vie était un printemps !

Où tu es dépassé, rageant, outrageant 

Et dérangeant de ne croire émerveillé

En un destin enjoué,

Où tu oublies le néant

Pour être à temps

Avec tes congénères,

Tes cons qui génèrent

Le nerf de la guerre,

Qu'est l'argent

Et dont tu lui es indifférent,

Et dont lui t'est affligeant

A n'importe quels tourments,

Où le jour où la colère ne se fera

Plus l'ire dans tes yeux,

C'est que ta vie sera un roman élégant

Et fringant !

Où tu feras lyre joyeux

Un monde plus valeureux,

Où tu seras heureux 

Et amoureux

Jusqu'aux cieux consciencieux,

Car radieux, tu y verras

Enfin plus clair !

Dans ta chaumière

Avec une vue sur la mère!

Où le collyre 

Ne se fera que se l'ire, lire

Dans tes yeux !

Quatre yeux joyeux.

 

Jérôme de Mars

L'amour répare-t-il les cœurs désœuvrés ?

 

A la dérive, c'est de là que boîte l'humanité,

Avec des jalousies au bord des frontières,

A partir de ça qu'on en déduit avec fermeté,

Que le monde traverse une sombre crise, 

Parce-que tout dans l'atmosphère et dans la sphère

Tout à l'air, a l'air de se casser la figure, quand tout s'enlise

Et qu'on en vient à prier et à invoquer avec témérité,

Est-ce-que seul l'amour répare-t-il les cœurs désœuvrés ?

Lasse de sa manœuvre, où il faut acharner garder

Le moral, et ne pas faire le mal en ayant une ligne 

De conduite à ne pas franchir et à outrepasser maligne,

Sinon tu meurs de tristesse, en tombant au fond 

Des oubliettes diluviennes, qui surgissent en trombes

D'eaux et de larmes avec un besoin de tendresse, 

Qui caresse l'amour en pénurie dans ces catacombes,

Où l'on chante l'amour qui nous confond et morfond

A songer à des paroles de poétesses, qui laissent

Nos carences d'amour, en affections compensées

Par une liberté d'aller et venir, en consolant nos pensées,

Qu'on en survient à réclamer une réponse cruciale,

L'amour répare-t-il les cœurs désœuvrés ?

Pendant qu'on préfère l'originale à une copie pâle

Dans ce monde à la fois désenchanté et enchanté,

De frapper à la porte des oiseaux colporteurs

De bonnes nouvelles, qu'on espère porteurs

D'une vitalité ressuscitée, dont on désire

Que le meilleur soit à venir pour maudire,

Ceux qui ne font médire que les autres,

Alors qu'il faut que l'amour se vautre parmi les vôtres,

Dont la communauté perdurera à vos côtés

Le jour, où l'amour réparera à tout jamais

Les cœurs désœuvrés, du fin mot de l'humanité.

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blagues :

 

 

1)  Pourquoi est-ce-que je perds la raison ?

    -  Parce-qu'on me donne toujours tort !

 

2)  Pourquoi est-ce-que tout le monde me parle-t-il mal et m'agresse-t-il même que je prie pour être en paix ?

  -  Parce-que c'est l'oraison de ma colère avec de la haine dans les yeux !

 

3)  Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT et partout tout le monde s'en fout-il de moi comme tout est pour l'argent et qu'il n'y a plus rien pour l'humain ?

 -  Parce-que tout le monde en tire profit de s'en foutre de moi !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Est-ce-que les pies bavardent ?

 

Rendez-vous dans la rue des pigeons qui bazardent !

On en tire donc en conclusion que les oiseaux sont des pigeons,

Qu'on prend comme larbins à tout faire, dans un nettoyage 

Par procuration à n'importe quelle occasion !

Dont est-ce-que les pies bavardent ?

Pendant que les badauds regardent

Ceux qui s'enlacent,

Et celles qui passent dans une passe

Avec les hommes bourgeois pudibonds, 

De par leur pudeur à s'exprimer de par la dimension

Que ça génère s'il y a des dissensions !

Qui provoquent la scission

Des sentiments, si la nature lézarde par mégarde

Avec pour question,

Pour y voir une rébellion,

Est-ce-que les pieds bavardent ?

Durant un laps de temps à méditer

Et à observer les faits et gestes à relativiser,

Puisque dans la vie, tout est relatif  !

Et qu'un jour ou l'autre comme les oiseaux évasifs,

On mourra réceptifs dans notre repos éternel au cimetière

Pour faire taire les colombes,

A qui ça incombe leurs tombes !

En mettant en jachère la colère

Du terre-à-terre ensemble réfractaires,

Dont on enterre le message prédateur,

Quand les pigeons ont dans le collimateur,

Les instigateurs qui retardent

Trop longtemps le moment de l'incorporation,

Et en ébullition, dès la gestation

Des bécasses lors de leur dépucelage, 

Qui réclament un pillage

Dans le village,

Avec pour point d'interrogation ?

Est-ce-que les pies bavardent ?

En attendant de bien meilleurs horizons.

 

Jérôme de Mars

 

Peut-on voir en peinture les artistes ?

 

Artistes génies en herbe,

Comme le déjeuner sur l'herbe,

On refait le portrait

Des artistes torturés,

Qui ont cabossé

Tumultueux et talentueux,

Dans le sillage aventureux

Genre Claude Monet, 

Qui rend la monnaie

De sa pièce,

En payant en espèces

Impressionnistes et hédonistes,

Toute sa palette d'artiste

Au confort, 

D'où c'est son fort en métaphores

De peintures,

Qui révèlent sa vraie nature

Et dont l'on pose en questions fatalistes,

Peut-on voir en peinture les artistes ?

De l'autoportrait

En portrait

Sur mesure,

Qui révèle les profondes fêlures

En ayant eu à l'usure 

Vincent Van Gogh, 

Dont en épilogue

Il se coupa l'oreille,

De par l'oseille

De son art

En triste répertoire,

Où l'on refait le trottoir

En micros-trottoirs

Pour savoir,

Peut-on voir en peinture les artistes ?

Qu'ils soient optimistes ou pessimistes

Ou qu'ils aient ou non le cafard,

Idéaliste ou fataliste

Avec Edouard Manet,

Qui repeint les tableaux de Picasso

A géométrie variable,

Dans une variable

D'ajustement avec instruments,

Pour apporter de l'eau

Au moulin même si c'est du vent,

Et qu'Auguste Renoir

Déguste en voyant tout en noir,

Quelque soit que la peinture des mots

Dans un slam moderne sur les aquarelles,

Qui dessinent à l'eau en nuances

Des secrets de polichinelle,

Dont on avance les errances

En partant sur la pointe des pieds,

Admirer au musée

Des vieux bibelots et tableaux,

A qui on remet un tableau d'honneur

A devancer des succès d'estime

En ordre de grandeur,

Car c'est dans le rétro et la rétro

Qu'on pense et qu'on évoque la nostalgie

Du dernier métro

Et du dernier slow,

Dans le mouvement de tempo

Du pinceau,

Avec un maître qui peint un nouveau tableau

Et dont sur un morceau de piano,

On rejoue la partition sublime

De vieux souvenirs,

A se rappeler toutes les satires

De nos plaisirs ultimes,

Car on a envie de demander unanimes

Aux peintres magnanimes

Sans mourir tristes,

Peut-on encore voir en peinture les artistes ?

 

Jérôme de Mars

Faites des mères !

 

Dimanche 7 juin 2020,

On joint

L'utile à l'agréable

A table, 

Autour d'un bon vin

Et en dégustant des plats divins,

Où l'on souhaite à nos féminines congénères

Qui ont l'âge d'être nos mères,

Bonnes fêtes des mères  !

Et faites des mères !

Tant qu'on a notre mère,

Avec qui boire un ver

De contact

Et avec tact,

Pourvu qu'on en profite

Le plus possible,

De façon paisible

Et qu'on évite

Les colères,

D'être fâchés

Et d'êtres fauchés

Par ce manque de caractères,

Une fois que notre mère

N'est plus,

Partie vers l'inconnue,

Dont on ne sait

Si on pourra s'en remettre,

En voulant se jeter

Par la fenêtre,

Car une mère

C'est comme une embellie pulmonaire,

On y respire le grand air

Et dès qu'on l'enterre,

On finit dans un container 

Avec une crise de nerfs,

Car une mère

C'est sacrément nécessaire,

Et dont on leur souhaite une bonne fête

Avec une boule à facettes,

De bonne fête des mères,

Car faites des mères !

 

Jérôme de Mars

Facebook, je suis le troupeau !

 

Moi, Jérôme, j'ai Facebook dont au bout du compte, je cultive la haine en taillant les haies car je suis le troupeau ! Je suis en manque d'amis réels dont avec ce réseau asocial, j'ai que des amis virtuels, dont Facebook me rend chèvre alors que si je suivais le troupeau ! Je serai doux comme un agneau avec les moutons de Panurge !  Comme Facebook est un facteur de risque au long courrier par mail, je prends mon envol de drôle d'oiseau en postant n'importe quoi sur Facebook et en me faisant passer pour un facho alors que je ne suis pas comme ça dans la vie, ce qui fait que sur Facebook, je suis en guerre contre tout le monde en postant des propos diffamatoires, misogynes, racistes et antisémites comme je suis mal dans ma peau, et que ce n'est pas moi qui fais ça à l'état normal, mais comme mon état est à normal, je me sers de Facebook en lâchant des bombes, comme des armes pour être en guerre avec tout le monde, car comme Facebook me rend chèvre, je suis le troupeau !  Alors que pourtant à la base, je suis doux comme un agneau en suivant les moutons de Panurge, car maintenant, je me sers d'un portable ultra simple et basique comme au tout début, car j'ai pris mon envol avec importable à touches où j'ai mis sur la touche en antivol mon exportable écran tactile que j'ai atterri en mode avion, Facebook, j'en ai marre, je n'ai pas de réseau d'amis sur Facebook car j'attire les foudres de mes ennemis avec ma o'rage qui pleut dans une pluie,où tout tombe à l'eau ! dont tonnerre, j'attends du soleil qui ne me gronde comme du tonnerre, où Facebook a des problèmes de réseaux d'amis, avec de mauvaises ondes positives, dont il me faut des bonnes ondes, qui me donnent la voix à trouver le bon parti pris pour le second tour des Municipales du 28 juin dont j'irai y faire un nouveau tour pour me changer les idées, car Facebook est un réseau asocial d'amis virtuels qui s'en foutent de moi, alors autant avoir de vrais amis avec Boris qui vient de Vénus et qui est un Facebook à lui seul et dont moi, je viens de Mars pour me constituer un vrai réseau d'amis du virtuel au réel en étant sur une autre planète Terre que sur la planète Terre délétère, pour faire une véritable demande d'amis, où enfin, Facebook ne me rendra plus chèvre, où je suivrais pour de bon le troupeau en étant doux comme un agneau, car on pourra me dire et pas médire que je suis un mouton de Panurge car à part Facebook, maintenant, je suis logé à la même enseigne que les autres depuis qu'Emmanuel Macron a baissé les APL de 5 Euros dont je suis le troupeau !

 

Jérôme de Mars

                                                 Blague :

 

Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il baissé les APL de 5 Euros au début de son mandat ?
- Parce-que pour lui, on est tous logés à la même enseigne !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Entretenir une amitié, c'est comme une fleur, il faut la cultiver !

 

Cher ami, merci de m'offrir ton amitié  !

Que tu me donnes en solidarité,

Dont c'est une relation qui repose

Sur de la confiance réciproque

Et sans équivoque,

Où l'on dispose

D'une affection mutuelle

Avec une mutuelle, 

Pour qu'elle soit assurée

Et réassurée

De plus belle,

Dans une sécurité sociale

Et amicale,

Où il ne faut pas que l'amitié

Soit à sens unique !

Car il faut donner et recevoir

Avec un pourboire,

Pour remercier son action sympathique

Et accorder en musique symbolique et pacifique,

Une concordance philharmonique et symphonique,

Comme entretenir une amitié,

C'est comme une fleur, il faut la cultiver !

Dans le partage et la réciprocité

Du respect et en paix,

Où il faut cultiver ce lien

Dans le bien,

Du jardin secret

En taillant les haies,

Pour ne pas cultiver la haine

Déjà que ce monde a une mauvaise haleine,

Où si ton ami te fait une fleur,

Et bien ! Offre à cette amitié une fleur !

Si tu lui envoies des fleurs,

Pour récompenser cette amitié de valeurs

Avec du pur bonheur,

Comme entretenir une amitié,

C'est comme une fleur, il faut la cultiver !

Et l'arroser avec de l'eau,

Pour ne pas que l'amitié prenne l'eau,

Mais aussi dire allo ! Hello !  Et l'eau !

Je prends de tes nouvelles

En sortant du lot,

Pour savoir si ta vie reprend de plus bel

Avec du soleil,

Et si tu lui chantes des ritournelles

Pour faire un tour sur le carrousel

Depuis Cadet Rousselle, 

Où on ne marche dans ton manège

Si tu t'en sers en sortilège,

Et avec sacrilège

Comme d'un privilège,

Pour rendre la vie impossible

A ta famille

Et à tes amis dont ils fuient ta compagnie,

Car tu pètes souvent les fusibles !

A te sentir parano 

Et mégalo,

Alors que ta vie, ce n'est pas un méga lot,

Comme entretenir une amitié, 

C'est comme une fleur, il faut la cultiver !

Avec ardeur et légèreté,

Car même si ta vie est lourde,

Mieux vaut que tu ailles à Lourdes !

Pour l'alléger,

Et faire en sorte que ta souffrance soit sourde

Et ainsi la redémarrer avec soin,

Où tu auras de nouveau

Le béguin,

Avec un festin

Qui te ramènera du ciel,

Des plats distingués

Pour rassasier ton palais,

Qui te mettra l'eau

A la bouche,

D'autant que tu déboucheras

A la louche

Le champagne

Après en avoir fait toute une montagne

De tracas,

Car enfin,

Tu sembles avoir compris

Que pour gagner des amis

Dans ta vie,

Et afin qu'ils ne fuient ta compagnie,

Il faut que tu mettes de l'eau 

Dans ton vin

Avec des délices divins,

Car si tu veux que tes amis

T'envoient des fleurs,

Et ben ! Fais-leur une fleur !

En leur offrant une fleur,

Que tu cultives avec candeur

Et ferveur,

Dans le lien

Et dans le bien,

O' combien 

Bon samaritain,

Pour garder tes bons copains

Comme entretenir une amitié,

C'est comme une fleur, il faut toujours la cultiver !

 

Jérôme de Mars

Mieux vaut avoir des remords que des regrets !

 

Même que la mort, on ne peut l'éviter,

Mieux vaut avoir des remords que des regrets !

Car le jour où on sera face à Dieu

Dans les portes des couloirs du temps,

On devra lui rendre des comptes, de si on était méchants

Ou gentils, à propos de nos actes qu'on aura commis

Tout au long de notre vie, insidieux ou valeureux,

Qu'on soit malheureux ou mâles heureux

Dans un monde qu'on aura porté en nous pluvieux ou plus heureux,

Qu'on espère le plus possible dans la bonté et la clarté,

Car même que la mort, on ne peut l'éviter

Mieux vaut avoir des remords que des regrets,

Car le jour où on sera morts, on sera face au jugement dernier

De si tu iras au paradis, en enfer ou au purgatoire, 

Selon ce que tu auras fait dans ta vie sur Terre

Dans l'éclaircie ou dans le brouillard,

Que tu sois hagard ou au clair

De ta lumière à rassurer les gens dans ta chaumière,

Où souviens-toi ! Fais quelque chose de ta vie

Pour que tu sois ébloui, et que tu t'en réjouisses d'être épanoui !

Dans un monde, où les gens sont tout ouï que tu y crois inouï

A porter des valeurs qui sont tout à ton honneur,

Et qui sourient à ton bonheur,

Car ainsi si tu fais le bien !

Il t'arrivera quelque chose de bien

Pour toi et ton prochain,

Où il est préférable que tu te serves de tes qualités

Pour en faire un tremplin

Vers davantage de respect et de paix,

Pour que tu sois en paix intérieure,

Quoique fasse le monde extérieur si jamais

Il est moqueur ou aguicheur !

Mais dont toi tu gardes ta loyauté

Auxquelles tu renouvelles tes fidélités et tes amitiés,

Car même que la mort, on ne peut l'éviter  !

Mieux vaut avoir des remords que des regrets  !

Pour demeurer en paix avec Dieu et les cieux,

Que tu passes du temps fastidieux, capricieux

Ou harmonieux, où tu restes obséquieux et poli,

Quoique ce que te fait subir la vie,

Où soit tu baisses les bras !

Soit tu continues tout droit !

Où certes, partout où tu iras,

Tu ne changeras surtout pas le monde tel qu'il est aux abois !

Mais où tu as le choix t'apporter ta modeste contribution,

Quelque soient les déboires

Et où tu auras pour rétribution de la gratification,

Car ce n'est pas la mer à boire, 

Même que c'est une goutte d'eau dans l'océan,

Où tu jettes l'encre dans cette mer de poèmes

Pour que tout le monde t'aime, 

Avec pour te calmer les nerfs, un petit vent te rassurant 

Et te réassurant vers le bien,

O' combien rafraîchissant et auquel tu tiens,

Car même que la mort, on ne peut l'éviter !

Mieux vaut autant avoir des remords que des regrets !

 

Jérôme de Mars

 

 

Entre l'amour et l'amitié

 

Aux frontières

D'un jardin d'hier,

Y a de la matière

A s'interroger bipolaires,

Qu'y a-t-il entre l'amour et l'amitié ?

A part songer de si la frontière est étroite

Ou très droite,

Où l'on ne sait différencier ces deux domaines

Entre la fatalité et l'espérance, où l'on se démène

A comprendre l'aléatoire et le linéaire,

Entre l'amour et l'amitié

Et de si c'est si étranger d'éprouver

Ces deux sentiments,

Entre ressentiment et assentiment

De tout un chacun,

Qui peut un jour ou l'autre

Le croiser sur son chemin,

A savoir de si on se vautre

Ou si on prie à Dieu et à ses Apôtres,

Entre l'amour et l'amitié

Où le premier, tu aimes avec le sexe,

Et où le second tu adores cent sexes

Dans la génération unisexe 

Avec ou sans complexe,

Génération qui en jouit ou sacrifiée

Par les préjugés en guise de camouflets,

De préférence peut-être platonique

Et iconique ,

Très asexuée 

Entre l'amour et l'amitié,

A savoir une période faste

Ou une période chaste,

Ou entre les deux iconoclastes

Pour sortir des sentiers battus,

Après avoir débattus

De ces sujets de société

Sur fond d'à peu prêt,

Où les deux sont si proches

Avec sous sans anicroches,

Où il risque toujours

A chaque jour

D'avoir une décroche,

D'un croche-pied

Pour tomber dans un guêpier ,

Entre sincérité 

Et mauvaise volonté,

Et entre l'amour et l'amitié

De souffrir,

Ou de ragaillardir

Parmi les vivants

Après un séjour dans le néant,

D'où à la fois

Sans mauvaise foi,

On questionne, on déraisonne,

On raisonne et on sermonne

En allant au fond 

Des choses, entre passion

Et friction,

Quand la réalité rejoint la friction

Du rationnel à l'irrationnel,

Où pour garder la raison

Dans son cœur,

Mieux vaut sans doute 

Coûte que coûte

Faire une oraison

Au ciel,

Pour connaître quelques bonheurs

Spirituels après avoir eu des relations

Irrationnelles et charnelles, 

Avec des demoiselles

Dans des questions 

Essentielles, pour mettre du miel

Dans le fiel,

D'où en joue finale,

On joue la marche nuptiale

Et amicale,

Pour passer de l'ambiguïté 

A de grandes vérités,

Qui affirmera à la longue

Et dans un ping-pong,

Avec une bouche verbale

A l'oral,

De si ce nouveau moyen d'expression

Fera bonne ou mauvaise impression

Avec en une du journal,

Réconciliation, résignation, ou extinction ?

Des aléas de la relation

D'affections de longue durée,

Ou en manque d'affections endurées, en durée,

Dans la filiation ou l'affiliation 

D'une sécurité sociale

Ou fatale ?

Entre l'amour et l'amitié.

 

Jérôme de Mars

 

Tout le monde me dit : " On verra " !

 

Bon pied, bon œil !

Tout le monde me dit : " On verra " !

Mon œil en trompe-l’œil !

On en verra, on enverra

De quoi te rincer l’œil !

Pour pécher par orgueil

Toutes tes frustrations,

Qui font

Que tu fais cavalier seul

Sur ton fauteuil,

Après le deuil

De ta mère 

Depuis belle lurette,

En épargnant ton père

A la caisse d'Epargne de l'écureuil,

Où tu n'as que des noises

Sur ton ardoise,

Avec des dettes

De pourquoi ,

Tout le monde me dit :  " On verra " !

Mon œil en trompe l’œil  !

On en verra, on enverra

De quoi te rincer l’œil !

Avec l'alarme à l’œil

Pour pécher par orgueil,

Ce qui fait que par désillusions

Tu fuis les civilisations,

Où tu es seul

Sur ton fauteuil,

A pleurer le deuil

De ta mère,

A espérer la rejoindre

Au ciel, pour joindre

L'utile nécessaire,

A l'agréable sans commentaires,

Pour tout mettre sur la table

De ce qui t'accable, 

Dans l'ineffable 

Avec des paroles affables,

Où tout le monde arrêtera

De me dire :  " On verra " !

Mon œil en trompe-l’œil !

Le jour où tu enverras, tu en verras

Sans péché d'orgueil

Et sans te rincer l’œil !

Où tout le monde me dira :

" On te verra 

A Bonneuil  " !

Bon pied bon œil !

 

Jérôme de Mars

Les gens à problèmes font des belles histoires !

 

Histoire de rien à dormir debout !

Si au bout du conte, 

On escompte

Les vraies gens, on attend qu'ils soient doux

Et des gentils fous,

Car plus on est de fous !

Plus on rit sans garde-fous !

Et c'est de là rédhibitoire 

Qu'on voit comme dans un théorème,

Que les gens à problèmes

Font des belles histoires !

Au bistrot

Avec les potos

Du comptoir,

A refaire le monde avec des si

Comme si, ils étaient assis  !

En mangeant leur pain noir rassis, 

Où c'est souvent les gens à problèmes

Qui font des belles histoires,

Entre des je t'aime,

Où tout le monde sème

Comme un totem,

Et des problèmes

Où plus personne ne s'aime

Qui finit en requiem,

Alors que le mieux, c'est le carpe-diem

D'un monde avec plus de bohème,

Pour peindre le purgatoire

En un exutoire

Avec des cabris de couloirs,

Où ainsi, grâce au pouvoir

Des parloirs

Et au réservoir d'histoires,

Tout le monde sème

Et parsème,

Avec en abreuvoir

Un grain de folie,

Où tout le monde s'aime

En cultivant de la poésie,

Car c'est de là

En brillant aux éclats,

Que les gens à problèmes

Font des belles histoires.

 

Jérôme de Mars

T'as tout ! ?

 

Papa, rappelle-toi des Trente Glorieuses ! ?

Où la vie semblait plus heureuse,

Mais dont tu me répéterais 

De quoi te plains-tu ?

T'as tout ! ?

Mais dont le problème,

C'est que je n'aime

La vie qui est un éternel recommencement,

Où je m'ennuie inopinément

Et profondément,

Si bien que je me tus

Peu à peu,

Et à petit feu

Dans la loi du silence,

En demandant

Et en affirmant,

Sûr à Jérôme

Avec quelques ignorances,

T'as tout ! ?

Même si quand je prends

Un café,

Ca a l'air de me mettre de l'arôme

Qui avec un tatoueur

Me demande expressément ,

Un expresso s'il te plaît ! ?

Et veux-tu qu'on te tatoue ! ?

Mais dont je réponds,

Avec émotions,

Je ne sais vraiment !

En me raisonnant

Jérôme dans la vie, si t'as tout ! ?

A moins qu'il te manque

Au bord de la mer une calanque

En souvenir de tes grands-parents,

Dont tu te rappelles enfant  !

Mais que ça paraît bien loin !

Ces années d'avant,

Et dont j'ai besoin

De récolter un peu de tendresse

Et de liesse,

Car après les remords, les re-morts,

Rien de tel que du réconfort,

Pour reprendre goût à la vie

Avec un féroce appétit,

Et qu'elle me tatoue

En chansons

Et pour de bon,

Enfin, t'as tout  ! ?

 

Jérôme de Mars

 

Le soleil décroche la lune

 

Jour le plus long en été,

La saison des amours a récité

Au bercail quelques vérités,

Qui résument bien les attentes

Du temps en tourmentes

Avec les mêmes rituels, 

Dont les habitudes sempiternelles

Provoquent la fureur des dunes

Dans une pente descendante,

Quand le soleil décroche la lune

Qui va punaise droit dans le mur,

A espérer une rature 

Pour jeter en pâture 

Toutes ses frustrations pénétrantes, 

Qui murmurent près de la nature

Qui veut que la voie soit un long fleuve tranquille,

Pour que le soleil décroche la lune

En une d'une ville qui envoie des fleurs,

Avec des p'tits bonheurs

Du quotidien dans le ciel mélodique,

Où malgré que le temps a des lacunes

Autant être long à la détente

Avec le parfum mélancomique,

Qui rappelle les bizarreries

Et les rêveries

Sur les bancs publiques,

Comme le chantait si bien

Georges Brassens boute-en-train, 

Avec d' la poésie plein les tiroirs

Dont le reflet du miroir,

Est de sertir

Et de sortir les plaisirs

En une des tunes,

Qui prennent pour argent content

Toutes les mélodies de I-Tunes, 

Qui s'écoutent au printemps

En chantant la vie des dunes,

Quand le soleil décroche la lune

En une qui récolte des prunes,

Comme fruit de son travail

En venant du sérail,

Qui chante que la vie des bons dieux

Hébergent à l'autel tous leurs mots radieux,

En quête d'un monde meilleur,

Ailleurs et enjoliveur

De cieux capricieux, 

Qui songent harmonieux

A croire encore en l'esprit

Subtil et fragile,

Que les voix du seigneur

Rendent volubiles

De par la parole de Dieu,

Dont ainsi en rêves fabuleux,

On imagine en mieux

Un monde sans lacunes,

Avec en une 

Des mélodies de I-Tunes,

Qui fredonnent en paroles de tunes

Des vertus qui promettent

La tête dans les comètes,

Avec en une des dunes,

Le soleil qui décroche la lune.

 

Jérôme de Mars

La gauche caviar

 

Gauche caviar,

J'ai bobo 

Pour les bobos,

Car la famille Bedrossian

N'aime la gauche caviar

Petrossian à bon escient,

Car la gauche caviar

Fait salon à part

Dans une BO,

Qui singe les bonobos

Des bobos,

Qui ont bobos

De la riche gauche caviar 

A la pauvre droite cassoulet,

Où l'on ne sait 

Si c'est la pauvre gauche

Riche de la droite,

Ou l'inverse,

Car l'un verse

De la riche gauche

A la pauvre droite,

Où c'est un sacré casse-tête

Toutes ces étiquettes,

Qui ne veulent plus rien dire

Pour l'avenir,

Où parfois, les riches 

Ont le cœur à gauche,

Dont ils défrichent

En prenant le gauche,

Car ils ont le portefeuille à droite

Et quelquefois les pauvres,

Ont le cœur à droite

En prenant à droite le gauche,

Et en s'éprenant à la droite de la gauche

A gauche de la droite

Complètement gauches,

De la droite à la gauche, 

A gauche de la droite,

Et un gauche de la droite,

Dont la famille Petrossian

Vote pour la gauche caviar à droite,

Et la famille Bedrossian vivote 

En prenant le gauche caviar à droite,

De la gauche caviar

A la droite cassoulet,

En ayant le cœur au centre,

Dont on recentre le tout

Dans un joli fourre-tout,

De la gauche qui donne une droite

En prenant le gauche caviar

A droite complètement gauche,

De la droite cassoulet

A la gauche caviar.

 

Jérôme de Mars

 

Oh ! Revue que ça presse !

 

Papier journal, il est temps de faire une revue de presse, oh !  Revue que ça presse !  Comme en France, on nous presse comme des citrons, avec ce texte doux-amer où j'envoie des piques pressées comme du citron acidulé aigre-doux, dans ce monde de fous sans garde-fous, comme avec la mort de Guy Bedos et de Jean-Loup Dabadie récemment, où Guy Bedos tenait paroles pour nous faire rire en voulant donner un droit au logement à tout le monde dont il n'était pas si étranger que ça, car sérieux ?! C'est pour rire ?!  Alors qu'avec Jean-Loup Dabadie, on prenait tout à la lettre en buvant ses paroles, pour nous réenchanter la vie à la fois triste et joyeuse avec ses effets mélancomiques, où en ce moment, avec le Coronavirus, on met un masque pour ne pas que les gens nous prennent en grippe, si on s'agrippe aux potos ( poteaux ), où Jean-Marie Bigard de par son nom de boucher, a trouvé le moyen de se griller en se lançant dans la politique, sans nier qu'il pouvait peut-être se présenter en 2022 aux présidentielles en faisant de l'apolitique, car s'il persiste dans cette voix-là, il aura trouvé un débouché si jamais d'ici là, tout tombe à l'eau ! Et qu'il se fait viander de par sa personne par des criminels, où ça risque de lui en boucher un coin si jamais, il est victime d'un attentat Jean-Marie Bigard, où l'on affirmera que c'est un boucher qui a commis ça !  Bientôt, on ira voter d'ici un mois pour le second tour des Municipales, mais la maire ( l'amère ) dans tout ça, c'est qu'on a déjà fait le tour des municipales le 15 mars dernier dont moi, Jérôme de Mars, je dis et redis que si on avait eu une piqûre de rappel, contre la rage des gens en faisant appel à un pasteur, on aurait trouvé la paix intérieure, avec des prières pour que le premier tour des municipales se passe dans de bonnes conditions sans Coronavirus, où l'on aurait vite fait le second tour dans la maire en élisant soit à Paris, Rachida Dati ou Anne Hidalgo, même qu'Anne Hidalgo a des petits vélos dans une déroute ( des routes ), car en fête, comment voulez-vous qu'on soit positifs avec le Coronavirus ?!, comme on est obligés d'être négatifs, pour ne pas l'attraper en farces et à trappes, où tout fout le camp de déconcentration avec les dérapages d'Eric Zemmour, qui fait monter le rassemblement national des Français, avec en affront national l'horizon 2022 dégagé pour Marine Le Pen, même si là Marine le peine mon mal de mère, comme à L'ESAT de Vitry avec Les Amis Dur Atelier !  Comme décidément, la vie est dure maintenant ! Où la parole est d'argent contant, et le silence et dore à tomber aux oubliettes dans la loi du silence ! Même si la vie est un facteur de risques de ce que l'on poste sur Facebook en prenant tout à la lettre comme moi, je ne m'en cache pas !  Ainsi si je cultive la haine, autant tailler les haies !  En cultivant bien son jardin secret autour du bien, même si on se donne du mal pour y arriver à l'amour en vers tus !  Oh !  revue de Presse !  Oh !  revue que ça presse !

Comme un citron pressé ! 

 

Jérôme de Mars

Bain de foule

 

Bain de foule,

A minuit  !

C'est un bain de mes nuits,

En se mettant à nu

Dans un bain de minuit,

Où l'on s' défoule,

Et s' foule,

Quand le bain de foule

Nous refoule

Et que motus,

On est bouche cousue !

Quand on est le fœtus

D'une vie digne d'un bain,

A Digne-Les-Bains

Dans un bain de foule,

Qui nous défoule,

Nous foule,

Et nous refoule

Le bain de minuit,

Du bain de mes nuits

A Aix-Les-Bains,

Comme un ex les bains

Douche, qui bouche

Les Bains-Douche,

Avec une douche froide

Et Ecossaise,

Qui débouche

Le champagne au bivouac,

Avec un quad 

Dans une espèce de couac

En une traversée du désert,

Qui dessert

Oh ! punaise !

Délit qui fait monter la mayonnaise

D'un bain de foule,

Qui refoule

Ce qui ne rentre dans le moule,

Qui défoule

Et foule

Le bain de minuit,

Du bain de mes nuits

Qui met à nu,

Quand ingénus, 

On tombe des nus

A Enghien-Les-bains, 

Pour gagner en gain

Les Bains-Douche,

Dont on bouche

Les ex-Bains-Douche,

D'Aix-Les-Bains

A Digne-Les-Bains,

En prenant dignes des bains douche

A Enghien-Les-Bains,

Avec en gain les bains de minuit

Des bains de mes nuits,

D'où l'on se jette vers l'inconnue

Avec des vers hein connus

De la rue à l'avenue, 

Bienvenue et advenue  !

Eh ! ben qui défoule,

Et qui refoule,

Et ! bains qui foulent,

Du bain de foule.

 

Jérôme de Mars

                                                Blagues :

 

1) Que fait une femme pour ne pas s'en laver les mains de son petit ami ?
- Elle l'astique !

2) Que répond une femme qui veut tomber enceinte à son mari énervé au moment où il s'apprête à éjaculer pour le calmer ?
- Laisse couler !

 

                                              Jérôme de Mars

Parlons de la pluie et du beau temps !

 

Météo, tenez-nous au courant !

De s'il y a de la pluie et du beau temps !

Car souvent, c'est du vent !

Si l'on va dans le sens ou dans la direction du vent,

Avec des vents d'ange 

Et des vents de tramontane qui nous arrangent,

Si le soleil est au rendez-vous !

Et que c'est notre garde-fou ! Durant tout ce temps

Que nous parlons de la pluie et du beau temps,

Pendant longtemps dont cependant,

Auparavant, on prend du bon temps !

A passer du temps au fur et à mesure que le temps passe,

Autant passe et trépasse depuis bien longtemps,

Dont OTAN faire la paix ! S'il n'y a pas de nuage

A l'horizon ! Et que nous parlions surtout de la pluie 

Et du beau temps pour faire chanter

Et enchanter partout les oiseaux sur le balcon,

Qui jette un vent de tramontane,

Avec des bourrasques de vent qui brisent

La brise devant, avec des bises en vendant du vent,

Avant la fin des temps des temps modernes

Avec effet boule de neige dans les neiges éternelles,

Si la pluie se met à pleuvoir et à pleurer toutes les étincelles

Du soleil coulant de sa fièvre jaune,

En prenant sa température, quand nous parlons

De la pluie et du beau temps, en prenant tout

Au premier degré, avec de temps en temps

Du second degré en jetant un froid,

Avec des coups de chaud et en étant en froid

Avec la chaleur humaine, car après la tempête,

Le calme ! Dans un ciel partiel, par ciel,

Avec un arc en ciel dans un gratte ciel,

Qui gratte le ciel au ciel des remords

Pour livrer dans les temps,

Davantage de soleil, car après la pluie, 

Le soleil ! En gros titre et en une de la météo

Dans la lune, car il n'y en a qu'une, c'est la lune !

Quand nous parlons sans interruption 

De la pluie et du beau temps.

 

Jérôme de Mars

Je casse des vers

 

Casse du siècle

Je casse espiègle,

Comme un aigle

Aux ailes brisées,

Dont je casse des vers

Et je concasse avec légèreté

Une certaine liberté,

Qui me tracasse avec impureté

Que je fracasse avec plus d'humanité

Et amabilité,

Dont je suis habilité 

A manier avec habileté

Toute la dextérité,

Que me procure contestataire

Ma liberté d'écrire statutaire

Et tutélaire,

Avec ma liberté de penser charnière

Où je me livre avec charnières,

Dès que je casse des vers,

Et que je concasse avec gravité

Toute ma vie, qui me tracasse dans la loi de la gravité,

Où j'y perds des plumes quand je fracasse le centre de gravité,

Que j'ai habité imprégné, pendant des années

Dans mon fort tempérament de vif écorché,

Où je plume de mon pelage d'oiseau 

Mon duvet de mes noms d'oiseaux, 

Car je sombre dans les gros mots

De mes trémolos, dans une solitude en solo

A regarder dans le rétro,

Où pour exister de façon plénière, 

Rien de tel que je glisse les revers

Dont je casse des vers,

Et je concasse toute la matière

De ma poésie que je tracasse sommaire,

Dont je fracasse volontaire

Avec des noms complémentaires, élémentaires,

Supplémentaires et subsidiaires,

D'où je tire ma révérence

Dans la loi du silence en somnolence,

Avec en guise de délivrance

Le maintien d'une forme d'indépendance,

Dont je m'émancipe et je m'affranchis

Avec franchise comme je franchis,

Les limites très limites de la ligne jaune

Dans la flore et la faune,

Aphone d'avoir trouvé ma voix

Dans ce registre-là, 

Dont je concasse les revers

Qui me tracassent avec l'art et la manière,

Car je fracasse avec ma hargne ordinaire

Tous mes vieux démons prospères,

Dont je casse des vers, gamme aux vers.

 

Jérôme de Mars

Tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs !

 

Tragédienne de l'époque Freudienne,

Comme dans une comédie Italienne,

Tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs !

Avec une vision mélancomique 

De la vie avant que ça finisse en tragique !

Mais dont il faut en profiter

Pendant les courts instants magiques,

Déjà que le soleil préfère se coucher

A l'aube avec un cancer de louanges, 

Tu meurs, que tu sembles connaître

Par cœur au bout du saule pleureur,

Car la vie, c'est à la fois, du paraître

Avec pudeur,

Et de voler de ses propres ailes d'ange,

Comme tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs !

Entre joies, peines, frustrations et petites victoires

Dans une vie soumise aux micros-trottoirs,

De si la vie est un dépotoir 

Ou une odeur de Sainteté,

Pour te raccrocher à Dieu

Avec les bleus

A l'âme du vague à l'âme de la vie qui semble rasoir,

Avec une lame à émouvoir tranchoir 

Les mouroirs à la fin des longues histoires

Qui se terminent en pièce de Boulevard,

Car tout a une fin avec une espérance de candeur

Pour rejoindre les cieux

Avec pour message fabuleux,

Tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs !

Entre deux lueurs

D'espoir et de cafard,

Car la vie est schizophrène  !

Et fait prendre du Tranxène

Pour calmer ses bleus à l'âme anxieux,

Qui rongent de l'intérieur

Plus vieux,

Et en profondeur

Alors que faute de mieux,

Rien de tel qu'un peu de bleu

Dans un ciel radieux,

Car le jour où Dieu

Nous rappelle, on est harmonieux !

Pour un sommeil éternel sur notre pieu

Copieux et pieux,

Avec pour refrain réconciliateur

Que le meilleur est à venir mâle heureux !

Afin d'accepter le début de la vie

Dans les cieux, 

Après une vie sur Terre à se ronger

Le corps douloureux,

Malheureux et pernicieux

A la fois vicieux et vertueux,

A vouloir respectueux

Et à songer à un avenir meilleur

Dans les cieux,

Car que tu le veuilles beaucoup ou peu

Tu ris, tu pleures, tu vis, tu meurs !

 

Jérôme de Mars

Je prends un café court 

 

Concours de café frappé,

Je prends un café court

Allongé étiré, dont je bois

Les paroles qui courent,

D'où je me livre Goncourt !

Car je prends un café court,

D'où je m'enivre au long court

Et où je me livre au Goncourt,

Car je prends un café court

Qui résume mon parcours,

Et dont en cours, encours

Pour faire court métrage,

Dont je fais un café frappé 

Et allongé au long cours,

D'où ça va tourner court 

Kilométrage dans un long métrage,

Car je prends pour faire cours

Un café court.

 

Jérôme de Mars

Le serpent a sonné 

 

Venin de mon acide colère,

Je crache mon dédain 

Que je vocifère 

Avec une crème brûlée,

Carbonisée avec une vendetta

Désamours que j'embrase 

Avec dépit, 

Dès l'agonie

De ma langue de vipère,

Quand le serpent a sonné

Avec le serpent qui danse,

D'après Charles Baudelaire,

Téméraire, à en extraire

Tout ce putain 

De trafic immense,

Fluide dans une déroute,

A redondance qui a sonné

Le glas

Des routes en banqueroute,

Quand je rase 

Les murs avec des baguettes

Magiques, qui me mènent à la baguette,

Quand le serpent à sonnettes

A sonné 

Et désarçonné le ricochet

De la langue écorchée,

Qui a écorché

La langue de molière,

En tirant la langue à la cuillère

Avec un service à la cuillère,

Quand le serpent a sonné

Que des remontrances

Avec insignifiance,

Dès que le serpent qui danse

Récolte le ver

A moitié plaint,

Et à moitié plein

Livide, vide,

Limpide et aride,

Quand le serpent a sonné

Et a klaxonné 

Qu'on met les choses au clair,

En ayant besoin

De lumières,

Pour rallumer les tanières

Et ne faire pleurer

Que les chimères,

Dans les chaumières

De mille manières,

Quand le serpent a sonnettes,

En tirant la langue de Molière

Fait la cueillette, 

Quand je crache mon venin

Sous le dédain

De la colère,

Dont je réclame avec ces derniers vers

Davantage de vers sévères, ces vers,

Après avoir versé vers, vers ces vers,

Si bien que je me mets aux vers

En vers de terre,

De pareille misère

Avec les œillères,

Quand le serpent qui danse

A sonné

Et désarçonné 

Ces sonnets,

D'après Charles Baudelaire

En contre dense 

Protocolaire, d'où pour achever

Ce récit prolétaire,

Je termine dans du terre-à-terre

En des unis vers,

Quand le serpent a sonné

Et résonné, 

Complémentaire sur La Terre !

 

Jérôme de Mars

 

Sur la pointe des pieds

 

Avec un chausse-pied

En chaussant ses pieds,

On pose pied

A terre sur un pose-pied,

Où l'on perd pied,

Car l'on cherche chaussure à son pied

Pour retomber sur ses pieds,

Sur la pointe des pieds

En prenant son pied,

Avec un pied

A-terre de pied

Ferme, où l'on fait un contre pied

D'un appel du pied,

Pour partir d'un bon pied

En faisant un pied

De nez au passé à pied,

Casse-pied,

Pour casser les pieds,

Dans un gai pied,

Pour partir sur la pointe des pieds.

 

Jérôme de Mars

De l'eau à mon moulin !

 

L'être de mon moulin,

J'apporte de l'eau à mon moulin !

En faisant tourner mon moulin,

Avec de l'eau et du vent bien avant

Et avec un éventail auparavant,

Dont ce n'est pas un moulin avant

D'habiter dans cet endroit-là  !

A cause de mon état,

Qui sent le patelin

Bien paumé,

Et embaumé 

Dans du purin, 

Avec comme embarras

Du choix de boire la tasse

D'eau, en tirant la chasse

D'eau, fausse sceptique 

Avec mes coliques névrotiques,

Où face au mal être de mon moulin,

Je mets de l'eau dans mon moulin !

Pour qu'il tourne bien !

Et allo ! car ce n'est plus le chaos  !

Mais un joli lot 

Dont grâce au vent,

Je sors du lot  !

Au par avant, avenant et allant

Dans le sens du vent d'un paravent 

En un magnifique conte de Noël,

Qui ne sera la mère Cruelle,

Où j'apporte de l'eau à mon moulin !

En y mettant ma pierre à l'édifice,

Sans artifice mais avec malice

Et sans maléfice, quelque soit 

Les avants en prenant les devants,

Pour évoluer du chacun pour soie

Au chacun pour soie, sursoie, sur soi, 

Ainsi soit !

Pourvu qu'avec la vie, je franchisse

De grands pas !

Avec éclats,

Dont avec mon mal être à mon moulin,

Je mets de l'eau et du vent à mon moulin !

Pour que je me retourne bien !

Et ainsi, pour que je puisse

Bien renaître et être de nouveau bien

Dans mon moulin, 

Quand j'apporte du bien être à mon moulin !

Avec l'être de mon moulin.

 

Jérôme de Mars

Faites du carnaval cet été !

 

Sapin de Noël en été,

Ca ne sent le sapin !

En cette période

Déballe masquée,

Où faites du carnaval cet été !

Pour que personne

Ne s'enguirlande,

Et n'ait les boules !

Même que ce n'est Noël 

En été ! Donc mettez un masque

Cet été ! Pour masquer

L'appel de la forêt,

Et que vous passiez en paix,

Un bon Noël en faites

De faim damnée  !

Car par avances surannées

De vos vacances sur années,

Faites du carnaval cet été !

 

Jérôme de Mars

 

Je suis dans un état is slam hic !

 

Mimiques avec mes tics,

Pathétiques, pas tes tics,

A rythme mes tics

Arithmétiques,

Je ne calcule

Personne,

Comme je me radicalise

Et que je généralise

Mes vocalises,

Que je confectionne

En fascicules,

Car je suis dans un état is slam hic !

Hypothétique, symptomatique,

Et systématique,

Comme je suis dans la dèche

Avec D'Ardèche,

Où ce slam,

Je le clame

Dans tout ce ramdam

Avec au programme,

Des nouvelles dépêches,

Dont je me dépêche 

De regarder revêche

Mes antisèches,

Où j'envoie des piques épiques

En mouillant ma chemise

Sans remise,

Avec les piques exotiques

Des moustiques tropiques,

Qui m'astiquent 

Pathétiques, par tes tics,

Pas tes tics,

Où en prenant mes clics

Dans un des clics, déclic,

Je suis dans un état is slam hic !

Où le seul hic

Dans tout ça à ma vie

Qui dérive à l'ennui,

Est une agence tous risques 

Avec des assurances d'astérisques

Et réassurance tous risques,

Dont au plus profond

De moi

Et de mes parois,

Je confonds

Le terrorisme

Et l'hégémonisme,

Et je me morfonds

Avec l'héroïsme

Et l'égoïsme,

Sur fond

De teint d'idéalisme

Atteint de fatalisme,

Entre immobilisme,

Populisme

Et cataclysme,

Dans un tréfonds 

De mélo-drame

Dans ce slam

Epique 

Qui me mène et pique

A la baguette magique,

D'où je généralise

Et je me radicalise

Avec mes vocalises,

En posant mes valises

De détresse,

D'où je stresse

Et je m'enlise

En étant dans la dèche

Avec D'Ardèche,

Certainement la cause systématique,

Symptomatique, automatique

Et aromatique

Par tes tics,

Pas tes tics pathétiques,

D'où au final

Et de façon frontale,

Je suis dans un état is slam hic !

Dont c'est le seul hic !

 

Jérôme de Mars

Quel cirque !

 

Sous le chapiteau, on jongle avec le temps

Sur un fil d'équilibriste funambule,

Dans de la haute voltige sans filet

Avec des acrobates qui jonglent maboules,

Et qui ont les boules

Dressées pour apprivoiser les dompteurs

Comme des lions fauves en cage,

Où dans quel cirque on a embarqué

Et débarqué pour mener sa barque,

Avec des félins qui peuvent se dompter

A l'état sauvage pour les dresser contre les

Contorsionnistes, sans faux mouvements

Dans un grand corps pas malade, 

D'où on joue avec le feu et les acrobates

Dans un numéro d'équilibriste sans perdre le fil,

Pour trouver son équilibre funambule, 

D'où l'on balance haut ! Quel cirque !

 

Jérôme de Mars

                                                 Blague :

 

Pourquoi est-ce-que le préfet de Paris ne parle-t-il pas le même langage que Les Français ?
- Parce-que Didier L'Allemand !

 

 

                                         Jérôme de Mars

Le droit et le devoir

 

Droit dans ses bottes,

On a le droit de voir

Avec le droit et le devoir,

Où il faut qu'on soit à droits

Car c'est un devoir de voir

Qu'on a le droit de voir,

Avec le droit et le devoir

Et qu'on a le devoir d'y avoir droit,

Si on a le droit de voir

Qu'on fait du droit

En devoir,

Et qu'on étudie le droit

Avec le droit et le devoir,

Dont on a le devoir d'être droit

Le temps de voir qu'on y a droit,

Quand on a le droit de voir

Avec le droit et le devoir.

 

Jérôme de Mars

Collection printemps, été, automne, hiver, habillée et masquée

 

Bienvenue dans cette collection printemps,

Eté, automne, hiver,

Habillée et masquée

Au bal masqué et bariolé, 

De ce défilé très à la mode,

Où l'on raccommode

Les Français pour les habiller pour l'hiver,

Malgré ce contexte empreint tant

Dans cette époque monotone,

Mais dont on peut souhaiter en chansons

Un retour divers très à la mode et commode,

Pour qu'on raccommode

Très à la mode,

Cette collection printemps, été, automne,

Hiver, habillée et masqué jusqu'au bal masqué.

 

Jérôme de Mars

 

Ode au printemps

 

Un petit poème pour faire passer le temps,

Dans cette ode au printemps

Qui sent le romarin,

Le teint et le satin,

Dont s'atteint l'inclinaison

Du soleil à chaque saison

Dans cette ode au printemps,

Qui remonte le temps d'avant

A maintenant pour voir si c'était mieux

Dans les cieux, 

Du temps de nos aïeux

Pour songer à un beau ciel bleu,

Dont ce petit poème qui s'achève imminent

S'arrête au bon moment, 

Dès le firmament

Qui s'érode dans son talisman,

Et rôde tout le temps

Et maintenant,

Dans cette ode au printemps.

 

Jérôme de Mars

La réponse est dans la question ?!

 

"  En ouvrant les guillemets, je m'exclame ! Est-ce-que la réponse est dans la question ? ! Ou est-ce-que la question est dans la réponse ?!  (En mettant tout cela entre parenthèses), pour trouver une thèse ou une antithèse, où la question est : Peut-on trouver des réponses à ses questions même qu'il y a différentes réponses ? Et de quelle est la bonne question à poser pour obtenir la bonne réponse ?  En ayant soit le choix dans un QCM ou soit dans un questionnaire à choix unique en démêlant le vrai du faux, où j'écris ce texte comme en jouant au point virgule; Où je me demande dans cette équation, de me faire passer le bac, en étant en adéquation pour trouver la solution à cette inconnue, dès lors que je trouverai la réponse à cette question, car la réponse est dans la question?!  "

 

Jérôme de Mars

 

Brèves des confinements :

 

1)  Si on s'en lave les mains du Coronavirus, on nous passe un savon !

 

2)  Depuis le début du Coronavirus, on nous prend la température sans arrêt, pour qu'on prenne tout au premier degré !

 

3)  On porte tous un masque dans la vie car sinon tout le monde nous prend en grippe !

 

4)  Quand on trouvera le vaccin contre le Coronavirus, on nous fera une piqûre de rappel contre la rage !

 

5)  Comme les gens ne prennent pas de gants avec nous depuis le début du Coronavirus, il faut qu'on en trouve des gants et qu'on en prenne élégants !

 

6)  La seule chose que les humoristes vont connaître à cause du Coronavirus, c'est une crise de rire !

 

7) Heureusement que durant le Coronavirus, on n'a pas eu comme monnaie l'écu, sinon on aurait eu le doigt dans l'écu en récoltant la monnaie de notre pièce !

 

8)  Les seules choses que Plantu a pu trouver comme excuses plausibles durant le confinement pour aller voir ses proches, sont des motifs impérieux, car on n'a pas besoin de lui faire un dessin à Plantu !

 

9)  Le seul produit qui n'a pas connu de gel des prix depuis le déconfinement et à qui on peut passer un savon, est le gel hydroalcoolique !

 

10)  Le revers de la médaille pour le gouvernement à l'issue du confinement c'est que les soignants ne veulent pas de médailles en chocolat !

 

Jérôme de Mars

Le concert de louanges des oiseaux en chanteurs

 

Perchés sur les arbres en corbeaux migrateurs,

A chaque saison correspondent les chansons

Qui rassemblent et qui ressemblent en constellation,

Quand le concert de louanges des oiseaux en chanteurs

Sont sur le perron à fredonner des mélodies petit à petit,

Des moineaux enchanteurs aux oiseaux migrateurs,

Devant la forêt qui fait office de public, dans un rappel promis

De la forêt, dont le concert de louanges des oiseaux en chanteurs

Donne du grain à moudre, dans un moulin à vent lors d'un palmarès,

En variétés et diversités des oiseaux qui ont la clope au bec,

Et qui entonnent sans prises de becs, des rythmes secs

Dans un tempo d'harmonie, qui retentit en un pataquès, 

Où le roi lion comme un lion dans sa cage, attend que les clignotants 

Mouvants, se mettent aux vers dans un tournant à quatre temps, 

Comme les quatre saisons de Vivaldi,

Hiver, printemps, été, hiver dans une collection très à la mode, 

Où les oiseaux font cuit-cuit, 

Dont ça ne leur passe de mode de la lumière à l'ombre, qui taraude

Dans une ode quelques épaisseurs

Dans un gant de velours, dont on mélange

Des vies d'ange en mésanges,

Lorsque le concert de louanges des oiseaux en chanteurs

Met en orbite les lucioles, les hirondelles et les tourterelles,

Et leur fait un rappel,

Pour savoir si viendront-elles  !

Au retour des gentils vents d'ange avec leurs porte-jarretelle, 

Concernant la bagatelle de l'amour pendant le printemps,

La saison de l'amour,

Où arrive le tour

Du troubadour oscillant sans tambour ni trompette,

Mais avec ses différentes facettes

En un festival prestant et fringant,

Avec en signal fédérateur, réanimateur 

Et avec chaleur 

De l'eau bénite,

Dont le soleil lévite

A son zénith,

Le concert de louanges des oiseaux en chanteurs.

 

Jérôme de Mars

 

Comme un château de sable

 

Cartes sur tables,

Je joue cartes sur table

Comme dans un château de cartes,

Où j'ai peur que tout s'écroule

Sur la table,

Comme dans un château de sable

Avec des coquillages,

Sur la plage

Dans mon jus de rêves,

Des cauchemars

Aux rêves bercés de fausses illusions,

Où comme René Descartes,

En proclamant, je pense donc je suis !

Me fait comprendre qu'il ne faut

Se reposer sur ses lauriers roses,

Où si j'y panse, donc j'essuie !

Ma piscine qui déborde,

Quand tout tombe à l'eau  !

Et que ça borde et saborde

Le pot aux roses dans la nécrose

De mes névroses, 

Entre sinistrose

Et overdose

De mes mots, aux vers dosent,

Comme sur un toboggan,

Où ça glisse tout doucement  !

Comme un paquebot échoué

Au fond de la mer,

Où je lance une bouteille à la mère

Pour vider l'encre de la mer,

Et la remplir de poésies douces amères

En lettres incendiaires,

Où j'ai envie que sa présence 

Ne me manque

Pour ne pas être en chiens de faïence,

Et qu'elle ne me démarque

Dans une chienne de vie d'opulence,

Pour qu'en énarque

De la langue de Molière,

Elle me tire les vers

Du nez en tant que monarque,

Où elle m'inspire ses lueurs de clarté

Comme un château de sable,

Où tout s'enroule dans l'ineffable 

Comme une fable à fable,

Où fontaine, je ne boirai ton eau  !

Tant qu'elle demeurera en quiproquos

Et dans le statut quo, 

Dont mes larmes de cristaux

Sonneront l'alarme du chaos

En un mal adroit de veto,

Où je reprendrai un apéro

Avec la mer,

Dès lors qu'elle aura mis de l'eau

Dans son vin,

Devin en 2020,

Année où la langue de ma mère

Ne sera une langue de vipère

Avec pour venin,

Tout le béguin,

Comme un château de cartes

Qui tirera au hasard la bonne carte

De René Descartes,

Car si j'y pense, donc j'y suis  !

Comme un château de cartes

Etanche et insubmersible, 

Au-delà du possible,

Bien après les sables mouvants,

Mais cette fois bien résistant

Sur la table affable,

Comme un château de sable.

 

Jérôme de Mars

 

Je fais le pont !

 

Jours fériés,

Je fais le pont !

Sur Le Pont Neuf,

Veuf dans une forme de teuf

En dormant sous les ponts,

Si je coupe les ponts !

Sur La Seine,

Ou sous La Seine,

Si je fais le pont  !

Sur Le Pont D'Avignon,

Alors que pour le pont du 1er janvier,

Je fais le pont  !

En souhaitant une bonne année surannée,

Dont je fais à nouveau le pont !

Comme Monsieur et Madame Dupont

Lors de la fête de Pâques,

Où je passe de l'ombre opaque

A la lumière du 1er mai,

Fête du travail,

Où je fais le pont  !

Pin-pon pin-pon,

Comme on ne tire pas sur une ambulance !

Où mai, fais-ce qu'il te plaît !

Mais mets désormais les mets,

En mettant tout à plat

Dans ces fêtes, où l'on apprend

Tout sur le tas,

Dont le 8 mai, oui mais  !

Y a de l'eau qui a coulé depuis sous les ponts !

Où je fais le pont  !

Du 8 mai,

Oui mais en commémorant

L'armistice sans amnistie nationale,

De la seconde guerre mondiale

En fait national,

Et en fête Deschamps

A L'internationale,

Où je prends de l'ascension

Lorsque je fais le pont  !

De l'ascension, dont attention !

Et ascension ! les dégâts !

Avant que je monte en pente

Et dans une côte,

Où je fais encore le pont  !

De La Pentecôte,

Vers fin mai

Début juin

Oui mais ci-juin,

En prenant six joints

Joints de l'utile à l'agréable,

Où je fais le pont  !

Sans couper les ponts

Avec Monsieur et Madame Dupont,

Dans un jour neuf qui pond

Avant la fête du 14 juillet,

Où je vois tout filer et défiler

En fêtant la révolution,

Et en faisant la révolution

Surplace de La Bastille,

En mourant d'avance

Dans le chant d'honneur,

A contre-chant d'action

Sur les chants dévalisés,

Quand je fais toujours le pont  !

En plusieurs fériés,

Durant toute l'année

Avant de passer des vacances,

Et que je fasse le pont  !

Sur le pont d'Avignon

Ou sur le Pont-Neuf,

En allant sur La Seine

Du monde entier

Avant en fait le 15 août,

Où je fais pour toujours le pont  !

De L'Assomption,

En résurrection à bout portant

Du débarquement

Avant la libération,

Où y a encore depuis de l'eau

Qui a coulé sous les ponts !

De Monsieur et Madame Dupont,

Où j'attends le pont du 1er novembre,

Comme je fais toujours par habitude le pont  !

Tout sein, en ne sachant à quel sein me vouer

Avant Décembre,

Où je tremble de mes membres

En allant le jour de la Toussaint,

Me recueillir tout Saint

Sur la tombe de mes reproches,

Avec des approches

Vis-à-vis des morts

Revenant de mes remords,

Où j'en démords

Que c'est le 11 novembre,

Que je fais surtout le pont  !

En ne coupant les ponts,

Ce jour neuf

Sur le pont Neuf

De mon état veuf,

Où je fais de La Seine !

Une vie qui n'est un long fleuve tranquille,

En fait de l'armistice de la première guerre

Mondiale dans une finale d'un Mondial

Des champs naguère,

Où je termine de dormir sous les ponts

Et officiellement de couper les ponts,

Le temps défaites

Avec Monsieur et Madame Dupont

Le 25 décembre,

Où je fais une dernière fois le pont  !

Sur Le Pont Suspendu,

En donnant un ultime récital

De lecture de textes

Sur La Seine musicale,

Vu le contexte

Le jour de Noël,

Avec Noël, ma mère,

Conçue le jour de Noël,

Dans un mélodrame

Hyper fatal, avec ces qui dames

Sur le macadam,

Où je fais un pont d'honneur  !

En vous souhaitant

De bonnes fêtes

De faim damnée,

Pour virer de bord

Sur le rebord,

Du Pont suspendu

Et pendu,

Sans ne plus jamais couper

Les Ponts,

Du Pont Neuf

Jusqu'au terminus

Sur Le Pont d'Avignon,

D'où je coupe les ponts  !

Dans ce jour neuf,

Qui pond

Moi, neuf,

Dans ce baroud d'honneur,

Où y aura eu beaucoup d'eau

Qui aura depuis coulé

Et roucoulé

Sous les ponts !

A l'infini,

En dormant

Dorénavant,

Et irrémédiablement

Sous les ponts

A l'un fini.

 

Jérôme de Mars 

Le chien aboie, le car à vannes passe !

 

A Vannes, la caravane passe  !

Car à vannes, c'est van sur van

A Erevan,

Car à Vanne, 

Le chien aboie, le car à vannes passe  !

Et vanne sur vannes,

Car à vanne, la caravane passe  !

Caravane, le car à vannes passe  !

Car à Vannes, l'écart à Vannes

Vannent sur Vannes, car à van,

Le chien aboie, quand le car à vannes passe  !

Et que la caravane vanne sur Vannes, 

Quand les cars à vannes passent,

Quand le chien aboie et que le car à Vannes passe !

Quand le chien aboie car à vannes et à Erevan,

Le chien aboie, quand la caravane passe  !

A Van sur Vannes car à Erevan,quand le chien aboie,

Le car à van passe !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Aux acolytes anonymes !

 

Ivresse sur la voix publique,

Nous sommes impudiques

Avec la version Satanique

Et l'aversion sadique,

Où l'on abdique

Véridiques et acronymes

En abrégé

Dans les plus brefs délais,

Où l'on va dans un condensé,

Qu'on dansait

Dans un contre dense,

Intense et immense,

En appelant avec des sigles

Et initiales,

Ce qui nous paraît primordiales

Et vitales,

Si on est des personnes cordiales

Soûles d'imposture

Et de désinvolture,

Radicales et frontales

Avec un ver de trop,

De pochtrons

Et poltrons,

Ayant pris une cuite 

A la va-vite,

Eméchée et bourrée,

Aux acolytes anonymes,

Avec nos amis

Et notre famille,

Dont on décime

Ce que la vie nous écime

Dans des mises en abîme,

Où avec les revers hardis

Des paradis éperdus,

Nous sommes obtus

Et nous sommes résignés,

A nous assigner , à signer

A résidence sociale,

De nos mots ivrognes

Balancés sans vergogne,

Aux acolytes anonymes,

Avec nos amis

Et notre famille,

Ivres de colère,

Comme le bateau ivre

D'Arthur Rimbaud,

Qui frôle le chaos

Dans ces vers qui ne s'tiennent à carreau

Et qui se retrouvent sur le carreau,

Où l'on une jette une bouteille

A la mère,

Pour avoir pris notre oseille 

Amer et dans un mâle d'Homer,

Comme la famille Simpson

Et l'infamie O.J. Simpson,

Où le soleil nous laisse tomber

Pour surplomber les collines

D'un monde plus clair,

Sans faire pleurer

Dans les chaumières

Depuis notre tanière,

Avec le cou du lapin

A en jeter tous ses larcins,

Du vol à l'attire qui envenime

Notre rôle à faire sans arrêt

La victime,

Certes légitime,

Mais qu'on incrimine,

Qu'on assassine

Et qu'on égratigne,

Aux acolytes anonymes,

Si on soûle nos amis

Avec des vers, 

Et des revers

De poèmes,

Dans une anémie

De bohème, 

En vers

De problèmes,

Si bien que malgré l'amnistie

Et l'hostie,

Personne ne s'aime,

A part semer, à sommer

Et assommer d'inhumanité

La terre entière

Dans du ter-à-terre,

Où après une bouteille 

A la mère,

Rien de tel

Que le soleil,

Face à la mer,

Où l'on s'enivre,

Quand on se livre

Dans un livre ouvert

Ou vers la mère,

De l'amère

A la mer 

Morte et forte,

De la sorte,

Où l'on soûle en musique

Avec un esprit pacifique,

Les amis,

La famille

Et les poètes dissolus,

Avec des vers

De bouteilles,

D'acolytes anonymes,

Et qui acronymes

Dans les plus brèves merveilles,

Clament avec l'art

Et la manière,

Qu'il faut prêter

Main forte

En ouvrant sa porte,

Afin que l'art

Se renouvelle 

Avec des bouts de ficelle,

Avant qu'il ne soit trop tard,

D'où avec nos amis

Les alcooliques anonymes,

Avant que ça s'envenime

En jouant aux victimes,

Genre Caliméro

Qui est un sacré numéro,

Où l'on soûle ivres de colère

Les injustices les plus illégitimes,

Mais dont en tombeau à l'eau

Maritime et sublime,

On s'enivre 

A-vau-l'eau,

Dans le caniveau

Au fond du ruisseau,

Dans un livre ouvert

Ou vers,

Avec des vers 

Et des revers

De colère,

En ne manquant pas d'R

Et en roulant des R

Mécaniques, et acronymes

En rejoignant homonymes

Et synonymes,

Avec nos amis

Pour vaincre cette infamie,

Hein famille antonyme

Et victime,

Aux acolytes anonymes.

 

Jérôme de Mars

                                                    Blague :

 

Pourquoi mes amis comprennent-ils mieux ma détresse psychologique que ma famille ?
- Car mes amis me trouvent pathétique et que ma famille me dit pas tes tics !

 

 

 

                                         Jérôme de Mars

Je ne joue du violon

 

Violons celles

Des violoncelles,

J'accorde les violons

Mais je ne joue du violon,

Avec une contrebasse 

En messes basses,

Quand nous accordons

Les accordéons,

Et que nous violons celles

Avec des violoncelles,

Où ils jouent du violon,

Alors que je ne joue du violon

Avec une contre basse 

En messes basses,

Où je joue avec mon violon d'Ingres 

Tous les violoncelles,

Que nous violons celles

Par celle avec un grain de celles,

Où je ne joue du violon,

Tandis que j'accorde mon violon

Avec des accordéons,

En contrebasse

De ce que nous accordons,

Comme place à la musique

Et à la symphonie pacifique,

Et acoustique 

En mode philharmonique,

Avec un harmonica

Harmonique et philanthropique,

Où avec des violoncelles,

Nous violons celles

Qui n'apprennent le solfège,

Au collège

Des fous chantants,

Qui traînaient avec Charles à Ménilmontant,

Pas de quartier sur la place du Sacré Coeur  !

Par chœur des enfants de cœurs,

Où je ne joue du violon,

Tandis que je joue mon violon d'Ingres, 

Pingre 

Dans mon cœur,

Et goinfre

Avec mon violon d'Ingres

Dans mon chœur,

Où ce sont les enfants de cœur,

En odeur

De Sainteté

Sur la place de la liberté,

D'où pour terminer

Avec éclats,

Cet hymne à la paix

Et à la fraternité,

Je temporise 

Et j'harmonise en l'église,

Quelques cantiques

Poétiques et liturgiques

A écran de fumée panoramique,

Où pour le final

Et en version originale,

Nous accordons nos violons

Et les accordéons,

Pour que je ne joue plus jamais de violon

Mais du violoncelle,

Car nous violons celles,

Quand goinfre, 

Je joue du violon d'Ingres.

 

Jérôme de Mars

Rôle de décomposition

 

Avec une partition

En musique,

Qui joue toujours

Les mêmes rhétoriques,

Théoriques en déperdition,

En battant en retraite

En répartition

Dans mon rôle de décomposition,

En pôle surexposition

Et en exposition,

D'où je vis à crédit

Et à découvert,

Avec des coups vers

Après tout puisé

Dans mes réserves,

Où je sors de ma réserve

En verve, 

Extraverti en y mettant des réserves

Et introverti, où je me préserve

Avec réserve,

Que ça me desserve

Ou que ça me serve,

Comme je m'en fous de tout

En attrape-tout 

Et dans un joli manitou, 

Où ce bordel me rend casse-cou

A tous les coups,

Dans mon rôle de décomposition,

Où je prends le bouillon

Dans ma vie qui survit,

Dans une espèce menacée

De brouillon,

Consumée dans l'inertie

De mon agonie psychique,

Qui sent une quête

A la recherche d'un océan de tendresse,

Pacifique et symphonique

En symbiose avec les caresses

De la liesse des gens,

Alors que souvent ils me rendent méchant

Avec leur entière agressivité

Sans cesse,

Où j'ai envie de tuer tout le monde,

Surtout l'immonde qui féconde 

Ce bas monde avec subjectivité, 

Du verbe en état d'avoir en auxiliaire

De vie un laisser-paraître, 

Qui cache un profond mal-être

Ayant pour amour d'attribut

Dans l'attribut,

Dont il est le sujet apparent,

Mais néanmoins, le sujet réel

Avec des déviances corporelles

Et sexuelles,

Aux carences familiales

Et filiales,

Avec un désordre sentimental

En face de douleurs frontales,

Où je me révolte contre les injustices

Du fruit de mes sévices, qui sévissent

Dans mon rôle de décomposition,

Où j'incarne le rôle de ma vie

Sans jouer pour de faux,

Malgré l'échafaud, en porte-à-faux,

Où j'ai souvent eu chaud dans une paralysie

Partielle et ponctuelle,

De mon état psychologique ,

Pathologique et névrotique

Avec des coliques pathétiques,

Pas tes tics avec des névroses arithmétiques,

Où je m'enrôle 

Dans la geôle,

De mon état laminé

Et délabré ,

Où j'ai vraiment

Peur de passer à l'acte

Avec mon manque de tact,

Où je n'arrive à oublier

Le harcèlement scolaire,

De mes pépins 

Qui m'enveniment

Et me déciment,

Dont j'ai été victime

Au collège privé Epin,

Avec l'envie farouche

Et légitime,

De prendre la mouche

Et de faire mouche,

En me vengeant 

De ces méchants élèves,

Qui ont contribué

A donner

De la sève

A ma colère,

Et de tuer avec mon être incendiaire

Tous ces enfants de salauds,

Pour leur faire la peau

En échos,

De l'ensemble de ma vie,

Qui dévie

En tombant à l'eau

Au téléphone,

Ou sur la radio Fun

Radio avec un méga fun,

Dont le tel est fun

M'a fait trouvé ma voix aphone,

D'où en ce des gars des os,

Je crie à la vengeance

Et à la sentence

Contre tous ces enfoirés,

Dans la rue qui m'agressent

Verbalement et qui me stressent,

Où je vais aux restos

Des rancœurs en pénitence,

De toutes ces offenses

Dans l'indécence,

Où après côtoyer le pire

Comme le meilleur,

Dans cette vie douce à mère

Acidulée à l'écorchée,

A en subir et à en souffrir

Toutes les laideurs

De l'espèce humaine,

Que j'ai en travers

De la gorge par derrière

Et sans barrière,

D'où je cherche une ouverture d'esprit

Avec des personnes samaritaines

En attendant une nouvelle semaine,

Après avoir été avec ma partition

De musique en introspection,

En totale des perditions, déperdition,

De mon rôle de décomposition.

 

Jérôme de Mars

Faisons preuve de bienveillance !

 

Après les urgences,

Est venue l'heure

De la résilience

Avec du bonheur,

Dans nos assiettes

En faisant nos emplettes,

Où pour que ça reste honnête

Entre les êtres 

Sans paraître,

Faisons preuve de bienveillance  !

Pour que la gentillesse 

Reste une accoutumance

En semant l'essence,

Et en la proliférant

En frappant à toutes les fenêtres,

Où l'on veut un peu de clémence

Et d'indulgence

Dans la bienveillance,

Mais certes pas la complaisance,

Où l'on veut triomphants

Goûter à nos libertés recommencées

Dans la liesse,

Et la bonté

D'une société quelque peu réanimée,

Et remaniée

Je l'espère,

Dans le champ de la solidarité

Et de la fraternité,

Avec du respect

Pour vaincre l'adversité,

Dont pour cela,

Faisons preuve de bienveillance  !

A l'épreuve au frais

Dans un port de Plaisance,

A siroter plaisant

Une future mise en bière,

Lorsque les bistrots

Rouvriront avec les potos,

Et qu'ils se rencontreront à nouveau

De Paris à Marseille,

Au soleil

De la Canebière et en plein air,

Une fois qu'on aura enrayé 

Toutes les colères

Des Français,

Et qu'on aura imaginé

Un avenir meilleur,

Comme des envies d'ailleurs

Dans la fraîcheur,

Où l'aura trouvé notre voix

Et retrouvé tous avec foi,

L'esprit de la loi

Après je l'espère,

Le chacun pour soi

Qui nous a tant fait défaut,

Où pour apprécier

Un ciel transparent,

Faisons preuve de bienveillance  !

Dans des œuvres de bienfaisance

Et humanitaires,

Pour faire marcher et remarcher

Notre imaginaire,

De ce que l'on songe pour mettre

La pierre à notre édifice,

Pour un monde meilleur

Sans artifices,

Mais avec quelques sacrifices,

Pour vivre dans une France

Charnière et dans la lumière,

Avec en première

Du flair

Et un savoir-faire,

Où chacun serait au clair

Avec des réverbères,

Pour illuminer des lueurs

D'espoirs dans la chaleur

Humaine, en plantant

Une graine

De folie,

Pour plus de poésie

Et de frénésie,

Avec des confettis

Pour passer plusieurs

Belles semaines,

Avec pour capitaine

De la bienveillance,

Sur le port de Plaisance

Sans complaisance,

Avec pour assaut de résurgence

Une grande bienveillance,

Qui fait notre expérience

En parsemant davantage de flamboyance,

Pour scintiller en brindilles d'effervescence 

Dans nos cœurs en quintessence

Avec pour excellence,

Une opulence 

Et une abondance

De bonnes actions,

Exemplaires, humanitaires

Et salutaires,

D'où l'on glisse en inventaire

Et en résurrection,

Faisons preuve de bienveillance !

 

Jérôme de Mars

Je déballe masqué

 

Gilet à deux balles,

Je mets mon gilet pare-balles

Sans être un enfant de la balle,

Par conséquent, je ne suis un gilet jaune !

Mais dont néanmoins, je ris jaune

Avec mon masque 

Et avec les bourrasques

Du vent en plein dans mes frasques,

Où je déballe masqué

Au bal masqué ohé ! ohé !

Avec la compagnie créole,

Dont je fais des glorioles

Et dont je fais des auréoles

Avec une visière dont je tombe le masque,

Bas les masques !

Dont je déballe masqué

Au bal bariolé, 

Et déjanté, déluré,

Dont je ne me suis pas arrangé

Avec le temps à passer,

Et à enfreindre la légalité

En étant démasqué,

Quand je ne respecte le confinement

Où je ne suis dans mon élément,

Car je déballe démasqué

Au bal masqué à enfiler,

Et à endosser

Un masque d'apparences

Dans un concours de circonstances,

Où ma façade

De prélude,

Cache une vie d'escalade

Emplie d'inquiétudes,

Avec obstacles

Pendant que tout le monde me tacle,

Où j'avance en portant un masque 

Dans la vie pour voiler mes frasques

Derrière des bourrasques,

Pour être dans le vent avec un casque

Sur la tête, où j'embrase

Les brûlures de l'histoires avec des brases 

De fumée dans un écran de fumée,

A enfumer le bal masqué

Dont à force de porter un masque,

Je tombe le masque 

Pour longtemps,

En n'étant dans mon élément,

En souhaitant mettre le feu

A tout et en enflammant

Dieu dans son pieux,

Où je m'en fous de tout !

En ripoux avec des poux

Qui s' font des cheveux

Dans un crâne chauve hein,

Dans cette putain de faune

A flore de peau dans le déclin,

D'où pour terminer ce bal masqué,

Je débarque masqué

Avec un masque dans mon enclume,

D'où j'y laisse des plumes de ma plume

Avec un costume masqué,

D'où en final d'apothéose,

Je déballe démasqué

En enfonçant des portes ouvertes,

Porte-close, 

Direction les fenêtres ou vertes et couvertes

Par la découverte,

Quand je tire à deux balles démasquées,

D'où je m'étire à des balles démasquées 

Au bal masqué,

Quand je déballe masqué.

 

Jérôme de Mars

 

                                                    Blagues :

 

 

1)  Quelle est la différence entre un obsédé sexuel trompé par sa femme et un obsédé sexuel  ?

-  Le premier pense cocu et le second pense qu'au cul !

 

2)  Où envoie-t-on une femme qui suce mal  ?

-  On l'envoie au casse-pipes !

 

     

                                              Jérôme de Mars

Personne n'est gentil ou méchant dans la vie !

 

Du thème que cela nous inspire,

On est tous capable du meilleur

Comme du pire !

Dans la vie avec ci-possible des valeurs

Pour qu'on respire

La sainte odeur,

De la vie avec de l'encens

Qu'on encense,

En béatitude

En ayant de bonnes attitudes

Mais facile à dire,

Quand la vie ne fait que vous maudire

Ou vous médire,

Alors qu'à d'autres elle ne fait que les bénir,

Où le diable

Peut nous tenter de commettre l'irréparable, 

Du fait de la solitude

Dans nos vies,

Qui dévient

En décrépitude,

Alors qu'une simple plénitude

Suffit à nous faire reprendre de l'altitude,

Dont j'en déduis

A fortiori,

Que personne n'est gentil

Ou méchant dans la vie !

Mais capable du meilleur

Comme du pire,

Alors qu'au pire,

Autant avoir un soupir

Pour ne pas connaître le sous-pire, 

Où en nous, on a tous du bon et du mauvais

Entre mes champs d'action

Et méchants d'action,

Où il vaut mieux

Opter pour la religion,

Et une philosophie

De vie,

Pour changer la personne

Avec des lettres qu'on sonne bien

Pour faire le bien,  

Et qui sonnent mieux

Grâce aux cieux,

Qui leur font prendre conscience

Qu'il vaut mieux l'abstinence,

Qu'une accoutumance

A la violence,

Alors qu'une urgence

Dans la résilience,

Est beaucoup mieux

Par l'intermédiaire de Dieu,

Car la vie nous rend meilleurs

Du fruit de nos erreurs,

Où l'on en tire toujours une leçon

Pour ne plus pêcher à l'hameçon,

En vieux garçons manqués

Dans notre enfance marquée,

Par les excès de la frustration

Et de notre rébellion,

A changer le mode d'action

En inter action,

Mais sachez

Donc que personne n'est parfait !

Ca, vous le savez !

Si la personne dévie du droit chemin,

Ne la laissez pas tomber !

Tendez-lui la main  !

Pour qu'elle puisse changer

Et devenir une meilleure personne,

Grâce aux changements de saison

Qui l'impressionnent et la sermonnent,

Que dans la vie, on a tous le droit

A une seconde chance  !

Si on fait acte de repentance

Avec pour sentence

Et pour pénitence,

L'abstinence

Du fruit défend,u

De ce qui nous est absolu

Au prix de la rédemption

Et de l'absolution,

En résolution

De nos pêchés les plus éperdus,

Car nul n'est perdu !

En se faisant le défenseur

D'un monde meilleur,

Et dans lequel il est le contributeur

Et l'élément déclencheur,

D'un monde idéal

Et plus jovial,

Car même qu'on est tous capable

Du meilleur comme du pire  !

De l'affable à l'ineffable sur la table,

Autant attirer ce qui nous inspire

De plus fréquentable,

Pour qu'on respire 

Stables dans une belle fable

Sur la vie,

Et de ce qu'elle resplendit

En nous aussi,

Car même si personne n'est 

Gentil ou méchant

Dans la vie  !

Autant se faire l'amour d'une vie réussie

Avec à nos côtés,

Et selon les affinités,

Les amis

Et la famille,

Et peut-être connaître l'amour,

Un de ces beaux jours,

Si le cœur vous en dit  !

En vous souhaitant le meilleur appétit

Et en n'oubliant pas,

Qu'avec et que malgré les aléas,

Personne n'est complètement

Gentil ou méchant

Dans la vie !

 

Jérôme de Mars

Le plus important, c'est d'être heureux !

 

A la bonheur,

Par les temps qui courent

Le plus important, c'est d'être heureux !

Malgré les beaux discours

Que l'argent fait le bonheur,

Certes, il y contribue

Mais il peut aussi rendre les individus

Encore plus corrompus,

Et les malotrus beaucoup plus tordus

Avec plus aucune morale,

Car seul compte en général

L'argent sale,

Au détriment de ceux qui travaillent

Et qu'on range en fantôme d'épouvantail,

Comme les politiques entaillent

Les travailleurs dans un mauvais arsenal,

Et qu'il leur provoque du harcèlement moral

Avec un redressement ou un matraquage fiscal

Qui peut leur être fatal

Avec des douleurs abdominales,

Certes, on ne vit pas d'amour

Et d'eau fraîche !

Car la vie, c'est plus souvent des pannes sèches

D'argent ou à mauvais escient

De soucis humains !

Que tout le monde connaît chaque lendemain,

Certes, l'argent c'est important  !

Mais il n'y a pas que ça, 

Car de toute façon, un jour ou l'autre on y va  !

Vous savez tous au même endroit !

Ce qui fait qu'il faut avoir de la joie,

Car le plus important, c'est d'être heureux !

En croyant et en priant jusqu'aux cieux

Si on croit en Dieu !

Avec cette vie de dur labeur,

Où l'on doit 

Tous mettre dans les épinards du beurre,

Pour arrondir nos fins de moi,

Et essayer d'arrondir les angles malgré son désarroi,

Qui pousse l'argent roi

A tenir les rênes des courroies,

En coûts mâles adroits

Et en sûrs coûts maladroits,

Comme déjà, chaque jour

On porte tous notre croix  !

Avec la roue qui tourne

Et qui détourne 

Avec ou sans ristourne,

Quand elle contourne

Notre bonheur !

Avec les aléas félins,

Que nous procurent les allées-retours

Du quotidien,

Qui est un éternel recommencement

Entre boucan, tourments,

Le pétrin et le train train 

Du quotidien,

En espérant de côtoyer à portée de main

Quelques plaisirs pour alléger dans un trot,

Notre fardeau avec des cadeaux,

Que nous recevons des bons samaritains,

Qui nous remercient de les avoir soutenu

Malgré la vie et l'inconnue

Où s'en va notre destin, 

Pour nous à qui c'est gratifiant

D'aimer et d'aider son prochain,

En bons Chrétiens

Et en êtres ordinaires et humains,

Pour oublier un peu

Son être intérieur de fort tempérament,

Et s'occuper des autres

Au prix de Dieu

Et de ses apôtres,

Où l'on se vautre

Parmi les vôtres  !

En êtres généreux,

Car le plus important n'est pas

Que l'argent !

Mais aussi de prier radieux !

En des cieux plus audacieux,

Plus cléments,

Moins rabats-joie

Et moins fastidieux,

Pour un monde plus fabuleux

Et plus fameux 

Autour d'un monde meilleur

Et migrateur

Avec un peuple réconciliateur,

Des aïeux à ceux 

Qui maintenant,

Sont valeureux

Et courageux,

Car pour aimer

Les autres,

Il faut s'aimer soi-même,

Quand même,

Et pour être bien

Avec les autres,

Il faut être bien

Soi-même,

Idem,

Pour que tout le monde s'aime

Malgré les problèmes,

Car on récolte avec le temps

Ce que l'on sème !

Et que le plus précieux

De nos totems,

En emblème

Jusqu'à Dieu

Et jusqu'aux cieux,

C'est d'espérer un paradis amoureux

De la vie et de ses gens, 

Avec un mot loyal

Qui désigne en général, 

Que le plus important, c'est d'être heureux !

 

Jérôme de Mars 

 

 

                                                Blague :

 

 

Que faut-il mettre à plat quand tout le monde se fait viander par la crise que traverse La France ?
- Il faut s'en battre les steaks quand tout le monde se frite !

 

 

 

                                         Jérôme de Mars

Sain drone

 

En utilisant les gimmicks

Des geeks

Par l'intermédiaire de google,

J'ai le sain drone

Casse-gueule !

Quand je suis dans l’œil du cyclone,

Si clone où je prends le melon

En faisant du covoiturage,

Quand je m'ubérise

Et que je pulvérise

En faisant une blague 

Depuis mon mobile,

Où j'ai comme mobile

Le principe de faire rire

Dans la satire,

Que ce soit une blague is blague

Ou un mauvais gag,

Dont j'ai les geeks

Avec mes gimmicks

Du sain drone,

Où c'est la zone  !

Dans laquelle j'habite dans les orages,

Où je me sers de google 

En faisant une gueule

D'enterrement, dont j'ai le syndrome 

Et les symptômes, 

En demeurant un mort-vivant

Aux travers d'un fantôme, 

Qui gît sur les parois du néant

En mangeant du melon,

Lorsque je m'ubérise

Et que je pulvérise

En me décomplexant,

Qu'on presse comme un libre électron

Et un citron,

Dans de l'acide,

Aride et frigide,

Quand je mouille ma chemise

En utilisant un drone

De mon sain drone,

A travers une blague de google

Dont je m'amuse en amuse-gueule,

En me servant de mon mobile

Dont je me sers comme mobile,

En un parfait mobile

Du crime de l'alèse-majesté 

Depuis la royauté et la principauté,

Dont je fais des geeks

Avec des gimmicks 

Et des mimiques,

En terminant mon covoiturage

Après tous ces moments

De partage

Sur google,

Dont ma blague is blague

Sent la fin du gag,

Avec ma gueule

Très bégueule

En tag,

Que j'ubérise

Et que je pulvérise

Depuis mon saint drone,

En étant dans l’œil du cyclone 

Si clone,

Fin du tome

Avec les hématomes,

Du syndrome

De mes symptômes,

Atones

Sur de l'atome,

En priant des psaumes

Avec des remords,

Dont on m'embaume

Une fois mort,

Avec en syndrome

Tout mon sain drone.

 

Jérôme de Mars

La carafe des mots

 

Calendrier lunaire

De cendres de mois héréditaires

Sur la terre,

On a soif de piscine

Qui nous livre 

Le sapin manuscrit,

Dans un champ de mots

Lexique, en remontant à la racine

De la folie

Des frondeurs,

Et aux origines que nous montre

La carafe des mots radicaux,

Dont le radical est un amas

Allongé sur un matelas,

Qui roupille ivre

Dans la givre du froid,

En tombant bien bas

Et en prenant l'eau

Avec de la farine,

Qui prend la poudre d'escampette

En faisant ses emplettes

Au carrefour de la carafe des mots,

Où on a bien soif d'y voir le dico

Pour dépoussiérer le calendrier, 

Et l'amener à la bonne datte

Du fruit de son travail,

Qui sent le sapin

Et dont ça l'épate,

De mettre la main

A la pâte,

Dans un champ de mots

Du dico à la déco

Accro ou pas à la nécro,

Qui nous montre avec un livre

Duquel on s'enivre,

Avec la course à la montre

Qui nous montre

Qu'on y arrive 

Dans une course de fond,

Et qui démontre

Qu'à pas d'heure,

On est toujours donneur,

De leçons en organes de presses

Qui pressent express,

Dès la dernière page de ce livre

Avec en conclusion,

Qu'on ait légion

Dans la communion

En portant sa croix,

Comme le journal La Croix

Avec pour credo et en un pro,

Qu'on ait dans la carafe des mots

Soifs de connaissances et de dico,

Avec des connaissances parmi nos potos

Fin du protocole,

Où l'on s'accole et dont on caracole

Car ça colle  !

Quand ça décolle !

Du dico en papiers déco

Papier journal,

Que l'on veut en originale 

Version et aversion,

Perversion et père version,

Avec en fond de pension

De réversion,

La version principale

Qui sent le sapin,

Avec du pin

Béni sur la couverture,

Dans une fermeture

Et claire 

Du calendrier lunaire,

Pour boucler le dico

De la carafe des mots.

 

Jérôme de Mars

La pelle de la forêt

 

Forêt noire d'amazone sauvage,

L'écorce souriant des arbres

Appelle Jack London pour livrer

Sa cabriolet grâce à Amazon,

Dès la pelle de la forêt

Pour creuser le fond du problème,

En lançant une bouteille à la mère

Avec des mots roses sur la plage,

Où l'écorce terrestre corse

Les Corses Terrestres,

A tournoyer La Cabriolet

Pour véhiculer souriant

A la pelle de la forêt,

Et prendre des râteaux

Avec une mauvaise séduction

Du jardin secret renfermé

Dans un sanctuaire, 

En un mausolée très chasse gardée

Loin des yeux, loin du cœur,

Car pour vivre heureux,

Vivons cachés !

A la jetée

D'une bouteille à la mère,

Avec le mal de mère

Sur la terre ferme 

En ayant du vague à l'âme,

Quand Jack London

Dès la pelle de la forêt

Livre avec sa Cabriolet,

Via Amazon un mot rose

Souriant vivant et sauvage,

Avec l'écorce sur la plage

Pour tournoyer des passions

Révolues et absolues,

Avec des amazones sauvages

En se prenant un râteau,

Dès la pelle de la forêt.

 

Jérôme de Mars

 

                                                       Blague :

 

 

Pourquoi les prostituées ne sucent-elles les mecs qu'avec un préservatif ?
- Parce-qu'elles ont une langue de pute !

 

 

 

                                           Jérôme de Mars

L'océan Pacifique ne doit pas tomber à l'eau !

 

La mer s'emballe artistique avec un défilé aquatique

Dans un verset lunatique, qui flâne romantique

En des clins-d’œil qui laissent présager en statut quo, 

Que L'Océan Pacifique ne doit pas tomber à l'eau  !

Mais voguer dans un embargo allons-y à Rio de Janeiro,

Pour signer un traité de paix avec pour évasion,

Le soleil intrépide des Iles du Levant, de là-bas par procuration  !

Dans un total lâcher-prise avec un optimisme arguant 

De bon allant, avenant en allant vers la direction, où tourne le vent,

Calme et reposant, dans un Havre de paix qui dicte dans un édito,

Que L'Océan Pacifique ne doit pas tomber à l'eau  !

Mais cesser d'être ramollo pour braver dans un coup de sirocco,

L'eldorado des beaux jours qui reviennent prochainement dans un apéro,

Pour réfléchir à l'endroit idyllique, qui redevienne le flamenco 

Des paradis sensuels, d'expression aquatique dans un slow

D'été, à toutes les saisons, car il est temps d'apprécier avec brio 

Dans une tonalité irréversible, qui accorde le tempo 

Dans un traité de paix, où sont conviées toutes les couleurs de peau, 

Car il faut y aller illico presto !

Comme quoi Daniel Bevilacqua ne doit pas mourir pour de faux !

Pour rejoindre crescendo 

Les environs de Porto Rico,

Car à partir de là recto verso,

L'océan Pacifique ne doit plus tomber à l'eau !

 

Jérôme de Mars

A chaque saison, les salades composées s'assaisonnent !

 

A l'orée

Et à la croisée

Des quatre saisons,

A chaque saison,

Les salades composées s'assaisonnent

Et chantonnent

Au rythme des assiettes composées,

En faisant monter la mayonnaise

Pour que la mayonnaise prenne,

Et que ça tourne au vinaigre !

Avec un colombo de poulet 

Qui flique,

A l'orée

Et à la croisée

Des quatre saisons,

A chaque saison,

Lorsque les salades composées s'assaisonnent

Comme des robots avec des salades aux tomates,

Et qu'on mélange le tout dans un florilège,

En racontant des salades en prenant en sandwich

Les femmes des Parisiens, des gens bons, 

Où l'on sait à quelle sauce, on va être manger

Dans un medley de pot pourri aux roses,

Où l'on ne tarit pas d'éloges à la fête d'éloges

A Paris au mois de juillet, dont leur fond de commerce

C'est de raconter des salades composées,

Avec des doubles peinés qui mettent la main à la pâte

En en faisant tout un fromage de gruyère qui a dérapé,

Et de mozzarella,

A l'orée

Et à la croisée

Des quatre saisons,

Car ainsi à chaque saison,

Les salades s'assaisonnent aussi à L'Italienne

Avec du gorgonzola et du chorizo,

Quand le printemps était monotone

En des jardins divers.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                     Blague :

 

 

Que dit-on d'un homme qui s'empare des orteils de sa femme en jouissant au moment où il lui fait l'amour ?

- Il prend son pied !

 

                                             Jérôme de Mars

Là où il y a de la haine, il y a aussi de l'amour !

 

Pour cultiver le bien,

Il faut cultiver ton bien  !

En taillant les haies

Si tout le monde te hait

Parmi les gentils hommes érudits,

S'ils manifestent quelques jalousies

A ton intelligence et rude dit !

Alors que là où il y a de la haine,

Il y a aussi de l'amour !

Chaque jour

Avec en rengaine,

De la laine

Bien chaude pour réchauffer

Les cœurs bien lourds,

Déjà soumis à trop d'échauffourées

Effarouchés avec la même haleine,

Qui en suggère long sur la condition humaine

Des personnes hautaines et puritaines

Qu'il y a sur les plaines,

Mais n'oublie pas qu'en haut des vautours !

Que là où il y a de la haine,

Il y aussi de l'amour !

A en revendre

Et à répandre

Toujours dans des gants de velours,

A qui le prochain tour ?

Où pour semer de l'amour,

Il faut que tu cultives des topinambours 

Dans un compte à rebours,

En roulement de tambours

De bourgs, en faubourgs

Et en calembours,

Où si tu cultives le bien

Tu cultiveras ton bien !

O'combien entre de bonnes mains

Pour demain,

Et ainsi pour le reste de ton destin

De ce que tu trouveras sur ton chemin,

D'autant que plus tu cultiveras de l'amour

Dans ton jardin secret,

Plus tu sèmeras pour l'humanité

De belles choses pour toujours,

Avec en retour

La réciprocité

Et l'amitié,

En lampe de chevet,

D'où en taillant les haies,

Tu cultiveras la bonté 

Et la beauté

De l'été à l'hiver,

Et dont tu renverras la haine

En jachère,

Avec en bas de laine

Et en haleine

De la chaude laine,

Pour passer

Plusieurs belles semaines

Dans le jardin d'Eden,

Puisque désormais n'oublie plus !

Que malgré l'inconnue,

C'est à ton tour

De connaître l'amour,

Car là où il y a de la haine,

Il y a aussi en retour de l'amour !

 

Jérôme de Mars

Le boss fort est-il une tête de Turc ?

 

Bosphore à l'étroit

Dans le détroit

Du Boss Fort,

Ainsi, le boss fort est-il une tête de Turc ?

Dans le phosphore

De L'Asie mineure,

Aux calendes Grecques

Un sultan la Mer Noire

De l'Empire qui Perse

L'Empire Byzantin,

Fertile de plaisantes hein !

Qui ouvre grand à bouche-bée

Son Palais de Topkapi ,

Au képi 

De La Mosquée Bleue,

Avec des bleus

A l'encre marine de Chine,

Qui se jette à l'étroit

Dans le détroit

Du Bosphore,

Où dans le phosphore,

On se demande en métaphores

Est-ce-que le boss fort

Est-il une tête de Turc ?

En anti-portrait Chinois

Ou dans un casse-tête Chinois ?

Bon enfant

De L'Asie mineure,

Avec des accords majeurs

Avec le doigt majeur,

Loin du Lac Majeur

En Suisse,

Riche humainement

De L'Empire Byzantin,

Naguère en guerre

Avec L'Empire Ottoman,

Autrement que le génocide

Perpétré contre Les Arméniens,

Dont on quémande sont-ils des têtes de Turc ?

Pour aller en cas de besoin

Dans les toilettes Turques,

Où est-ce-que Le Bosphore

De La Turquie jette-t-il son détroit

A l'étroit ?

De si le boss fort est-il une tête de Turc ?

Dont après avoir enfumé le calumet naguère

Au temps, il serait temps OTAN

D'en fumer le calumet de la paix

D'Istanbul à Ankara, car OTAN

Vivre en paix depuis naguère, 

Pour que Le Bosphore

Et Les Arméniens ne soient plus des têtes de Turc,

Mais Le boss fort qui se jette dans le Détroit

Mais désormais dans les trois, l'étroit

Avec La Turquie, L'Arménie

Et l'Asie Mineure à demander le droit d'asile majeure,

Qui perce dans L'Empire de la bonté

Et de la beauté interstellaire,

La tête dans les étoiles

Avec en et toile de fond, 

Pourvu qu'il n'y ait plus rien

Qui ne se voile la face,

Mais se voile en fasse 

Et se dévoile en surface,

Face au reflet du miroir

Pour que ce ne soit plus le mouroir,

Mais incarner l'espoir

En refaisant l'histoire, 

Complètement à L'Ouest

De L'Europe,

Car OTAN garantir la paix

Au Bosphore qui se jette

A l'encre marine de Chine de La Mer Noire,

Sans faux-semblants mais en étant

Au clair de longtemps, car Otan

Que le Boss Fort ne soit plus une tête de Turc,

Pour qu'il ait la tête à avoir la paix

Et être en paix avec Le Bosphore,

Sans être en fausse sceptique

Avec les toilettes Turques,

Dont enfin lorsqu'il sera en paix,

Ainsi, et donc là, Le Bosphore

Ne sera plus une tête de Turc.

 

Jérôme de Mars

De notre temps

 

Image phare

Du soleil au rencard,

Il y a le cagnard

Qui fout le cafard

Dans un capharnaüm, 

Qui embaume

Les pantalons à pattes d'elph',

Comme un elfe 

Dont la totale 

S'range marginale

Dans des fringales, 

De notre temps

Qu'on imagine effervescent,

Tant que la boule à facettes

Ne perd la boule maboule à fossettes

Des stigmates de la vie

Astigmate qui s' fie

De notre temps,

A s'imaginer un instant

Qu'on n' répond présent

En fanfaronnant, 

Que c'est amusant

Si on range son frein,

Ou si on arrange son refrain 

De notre temps,

Par tous les temps

Qu'on parcourt

Au long cours

Sur la vie des hauts paravents,

Auparavant d'il y a nulle part,

Où aller avec le cagnard

Qui pullule

La canicule,

Avec effets de bascule

Dans la fournaise

Des charentaises,

Qui dans un coup de chaud

Montent aux fourneaux

Exacerber l'étuve,

Pour que l'effluve 

Et Le Vésuve 

Galvanisent le cœur volcan

Avec du boucan,

A en crever nos tympans

De notre temps,

Au temps qu'apporte l'avant

Si on partage

D'agréables moments

Jusqu'à la ville de Carthage, 

En Tunisie de la révolution

Du jasmin en perpétuelle évolution

Avec du teint empreint de civilisations,

Pour resserrer les fossés qui se creusent,

Afin que le département de La Creuse

Offre du réconfort après l'effort,

Afin que les Forts

Du cagnard

Et de Fort Boyard

S' mettent à chanter en ritournelle,

Pourvu que La Rochelle

Se rapproche itinérant,

Du temps inébranlable

Et intemporel,

De l'insupportable à l'affable

Sur la table en paix,

Autant de L'OTAN

De notre temps.

 

Jérôme de Mars