Joue ton morceau !
Pour faire ramage !
Chante toute ta vie !
Pour rendre hommage !
Danse toute la nuit !
La vie se joue
Durant le jour !
La vie rejoue
Tout à contre-jour !
Toujours ton refrain
Qu't'en fais des caisses !
D'ton tambourin
A fond la caisse !
Toujours enfreint
Sans ton refrain !
Toujours sans frein
Qu'toi boute-en-train !
Joue ton morceau !
Avec tes mots !
Qui font échos !
Qu't'as dans la peau !
Que tu composes
Rien qu'un morceau !
Qui t'décompose
Rien qu'en lambeaux !
Que tu en joues
De la guitare !
Mettant en joue
Ton tintamarre !
Qu'tu recomposes
Ce même morceau !
Sans l'mettre sur pause
Qu'tu trouves les mots !
Qui t'font défaut
D'tes qualités !
Pas par défaut !
Tu chantes si vrai !
Joue ton morceau !
Avec tes mots !
Qui font échos !
Qu't'as dans la peau !
Que ta vie part
Trop en lambeaux !
Sans un rempart
Pour ton morceau !
Que tu défends
Tant bec et ongles !
Tu n'te pourfends
Rubis sur ongles !
Que tu incarnes
La rébellion !
Sans la lucarne
En vibrations !
Tu termines c'morceau
D'tes mots choisis !
Plus en lambeaux !
Que tu choisis
Joue ton morceau !
Avec tes mots !
Qui font échos !
Qu't'as dans la peau !
Jérôme de Mars
Effet d'un cauchemar un beau rêve !
Si à la place de la pluie, l'soleil !
Tu songeais à la refaire ta vie !
Pour y mettre un joli arc en ciel,
Avec des vitamines de folie !
Qui donneraient au ciel une vie d'ange !
Malgré les démons des cauchemars;
Qui ne voudraient que l'enfer s'arrange !
Réconciliant la pluie en cagnard;
Les nuits demeurent trop longues au long cours !
Que le temps concourt à rendre léger
Le soleil et la pluie en c'concours
De circonstances; quitte à égayer
Les rêveries sur les bancs publics !
En causant tant utile que futile !
N'est-ce jamais l'existence frénétique
De t'dévoiler en musique agile ?
Effet d'un cauchemar un beau rêve !
Le cauchemar est l'élève du rêve !
En mettant de la sève qui élève
Le temps que dure ce rêve en cette trêve !
Si tu en faisais des clapotis
Sur l'eau ! Pour qu'elle te sorte de ta bulle,
Ta bulle d'savons à ton effigie !
Conciliabule assez funambule
Que ta vie est fragile; qu'elle te tient
Sur un fil d'équilibriste d'artiste !
En tes va-et-vient manichéens !
Seul t'reste mannequin ! Toi très altruiste !
En tendant la main aux inconnus !
Des gens connus; assez hein connus !
Tes cauchemars te vivent dissolus;
Moins éperdus une fois recousus !
Avec tes beaux rêves qui t'font du bien !
Qui t'en recréent pour demain du lien !
Qui t'font tant de bien en allant loin !
Avec tes copains pour t'faire du bien !
Effet d'un cauchemar un beau rêve !
Le cauchemar est l'élève du rêve !
En mettant de la sève qui élève
Le temps que dure ce rêve en cette trêve !
Et si tu pensais à faire d'ta vie !
Un rêve éternel d'un monde moderne,
Où tu n'penserais plus à la nuit;
Qui t'rend dépendant et subalterne !
Et si tu restais assez fidèle
A tes idéaux intemporels !
Tu réciterais l'Missel au ciel
En tes gestes humanistes; fraternels !
Pour t'repeupler le monde de gens bien !
Tu demanderais sitôt charnel
De l'amour qui en génère du lien !
Faisant d'un singulier au pluriel !
Un monde meilleur sans tes cauchemars,
Pourvu que l'bonheur refasse surface !
Faisant briller au ciel; ton cagnard
Qui n'fera ton surplace; fera place !
Effet d'un cauchemar un beau rêve !
Le cauchemar est l'élève du rêve !
En mettant de la sève qui élève
Le temps que dure ce rêve en cette trêve !
Jérôme de Mars
Casser mon stylo
A force d'en écrire
Pleins d'poèmes de slam !
Je veux resplendir
Pour faire de mon drame,
Le slam de ma vie !
Même si j'vide mon encre !
Du stylo qui crie
Mon âme morte qui entre
Par une porte ouverte;
Qui est la grande porte !
Et l'herbe est-elle verte
Ailleurs qu'elle m'emporte ?
Sans reconnaissance
De mon art qui flirte
Dans l'impertinence !
Si sans aucun heurt !
Casser mon stylo
M'donnerait les mots !
Sans aucun bobo !
Ecrivant l'ver mot !
Et en soulignant
De mon stabilo !
Les mots au tournant
De ce qu'il y a de beau !
Montant le niveau !
Rien que vers le haut !
Gueulant stéréo
Grâce à la sono !
Mes mots en échos;
Echos de ma voix;
Qui se vante en gros
Que je porte ma croix !
La croix d'mes défauts !
Portant le fardeau
D'ma vie en morceaux !
Si bien qu'en lambeaux,
Casser mon stylo
M'donnerait les mots !
Sans aucun bobo !
Ecrivant l'ver mot !
De mes jeux de mots !
Jonglant dans un cirque
Avec mes bibelots;
Qu'je me dis quel cirque !
Ma vie en c'bordel !
Ce putain d'bordel !
Qui est le bazar !
Dérangé hangar !
L'dépôt de mes mots !
Pourvu qu'ça s'arrange
Ce désordre de mots !
Pour que tout s'mélange !
En s'accordant bien;
En se raccordant;
En s'entendant bien;
Si jamais distant !
Casser mon stylo
M'donnerait les mots !
Sans aucun bobo !
Ecrivant l'ver mot !
Jérôme de Mars
Un pot de confiture
Et toujours tartiné
Avec ton gros labeur;
Tu n'as qu'à tartiner
Ta grande tartine de beurre !
En ramenant ta fraise
Pour mûrir toutes tes dents !
De ta dent dure; la fraise
Pour te nourrir aidant !
Si tu en as du pot
De confiture de fraise !
Que tu en bois un pot
Déconfiture de fraise !
Que tu en payes plein pot
Ton pot de confiture !
L'argent de tes impôts !
Ton pot déconfiture !
Un pot de confiture;
Tu le mets à l'or dur !
Un pot déconfiture;
Tu le jettes aux ordures !
Que tu veux faire un pot !
Trinquant à ta santé !
Que tu veux boire un pot
Sans trinquer d'ta santé !
Que tu prépares des toasts !
En buvant tartiné
D'l'alcool; portant un toast
En mangeant ton toast !
Qu'ton argent met du beurre
Dans tous tes épinards !
Que tu fais ton labeur
En buvant ton pinard !
Qu'tu manges du pain demi !
En tartinant ton beurre !
Que tu manges à la mie
De pain ! Rien qu'ton labeur !
Un pot de confiture;
Tu le mets à l'or dur !
Un pot déconfiture;
Tu le jettes aux ordures !
Que tu manges des biscottes !
Tartinées de ton beurre !
Qui font aussi cracottes !
Payées d'ton dur labeur !
Que tu as préparé
Le fil en coupant l'beurre !
Que tu as inventé
Le fil coupant l'labeur !
En plusieurs p'tites pauses
Pendant ta grosse journée !
Et pendant qu'tu te poses
A l'usine d'cheminée !
Tu finis l'dur labeur
En cette fin de journée !
Tartiné d'ton labeur
En cette défunte d'journée !
Un pot de confiture;
Tu le mets à l'or dur !
Un pot déconfiture;
Tu le jettes aux ordures !
Jérôme de Mars
Slam psychédélique
Angélique; cette fille
Est si maléfique !
Qu'elle va dans la file
D'attente magnétique !
Qu'elle en perd le fil !
En se shootant trop !
Qu'ses idées défilent;
Des fils d'un coup d'trot !
Hallucinogène;
Qu'elle se fait un trip
Assez anxiogène !
Que tout l'monde l'étripe !
En appuyant trop
Sur le champignon !
Qu'elle pète d'un coup d'trop !
Son shoot d'champignon !
Slam psychédélique
Sans soins psychologiques;
Drame très psychiatrique;
Excès frénétique;
Angélique parfois;
Est si angélique !
Maléfique par fois;
Qu'elle est frénétique !
Faisant n'importe quoi
Dans toutes ses humeurs !
Comme une crise de foie
D'une vie sans bonheur !
Que pour oublier
Sa peur de survivre;
Elle fait des excès !
Quitte ou double l'enivrent !
Qu'elle en a marre d'vivre
Son ballon d'essai !
Qu'elle en quitte ses vivres !
Déballons; qui sait ?
Slam psychédélique
Sans soins psychologiques;
Drame très psychiatrique;
Excès frénétique;
Angélique subit
L'enfer de s'en faire
Une triste vie ternie !
Flétrie par l'enfer
D'son monde à l'envers !
Qu'elle croit maléfique
Qu'c'est juste sa colère;
Qui est angélique !
En son mal de vivre;
Qui fait qu'elle s'shoote !
Relisant en livre !
Le livre de son shoot
D'ballon qu'elle en a
Vraiment rien à foot !
De son mode d'emploi
A cause de son shoot !
Slam psychédélique
Sans soins psychologiques;
Drame très psychiatrique;
Excès frénétique.
Jérôme de Mars
Le phénix qui renaît de ses cendres...
Comme un oiseau déplumé qui vole
Dans le vide d'une vie dénuée d'sens !
J'écris de ma plume triste des paroles
Lucides, pourvu que la vie m'encense !
Avec de l'encens pour en fumer
D'mon signe vierge effarouché zodiaque
Rebelle; le calumet de la paix !
Rue de la paix hypocondriaque !
Je veux un zodiaque pour naviguer
Sur la terre ouverte sans qu'on me mène
En bateau; disant au quai !
Avec que des gens qui me promènent !
Sans prendre le temps de me faire voler
Vers l'haut pour que j'écrive des chansons
Sans des mots mensongers pour songer
Jamais déplumé en hors-saison !
Le phénix qui renaît de ses cendres...
Attend son ami sans un esclandre
Au jardin des Phénix, pour répandre
De l'amitié, pour donner et rendre
En survolant ce qu'il y a d'futile !
En s'envolant là vers l'essentiel !
En volant là ce qu'il y a d'utile !
En volant de ses propres ailes vers l'ciel !
Le jour soleil, je suis de lumière !
Sitôt la nuit, je ne suis plus clair !
Renfermé de l'ombre à la lumière;
Entre ombre et lumière façon éclairs;
J'écris déplumé que des ramages !
Surtout de ma plume tout mon plumage
En volée d'rossignol à perdrix;
J'renais de mes cendres tel un phénix !
Que j'en ai des humeurs bipolaires !
Alors qu'à la base, je suis névrosé !
Et que je ne suis pas bipolaire
Des brûlures d'mon enfance nécrosée !
Le phénix qui renaît de ses cendres...
Attend son ami sans un esclandre
Au jardin des Phénix, pour répandre
De l'amitié, pour donner et rendre
Qu'on m'dit que je suis un drôle d'oiseau !
Avec quelquefois des prises de becs
D'celui qui aura le dernier mot !
Cherchant celui qui m'clouera le bec !
J'suis souvent dans une mise en abîme;
Qui décime les cymes d'ma vie écime;
Qu'on m'interrompt au long court en bref !
Avec tout le temps que des griefs
A me reprocher; à m'faire entendre...
Que las, je suis long à la détente !
Pourvu qu'on m'entende pour me détendre !
Qu'je veux appuyer sur la détente !
Pour en tirer des vers révolvers...
En fumant le calumet d'la paix !
Passant donc des revers solitaires
Aux vers solidaires fumant en paix...
Le phénix qui renaît de ses cendres...
Attend son ami sans un esclandre
Au jardin des Phénix, pour répandre
De l'amitié, pour donner et rendre.
Jérôme de Mars
Vagabond des étoiles
Vague à bond dans le ciel !
Au printemps galaxie;
Il y a une fresque très belle;
Qui redonne sitôt l'envie !
D'composer le printemps !
Pour s'évader longtemps
Au magasin charmant
De l'hôtel sentiment;
Romantique dès le jour
En une lueur d'espoir !
Plus jamais à contre-jour !
Ca donne envie d'y croire !
Que des étoiles commettent
L'ciel quatre étoiles friand
Jusqu'au ciel des comètes;
Dans la lune des croissants !
Vagabond des étoiles
En composant une toile;
Vague à bond des étoiles !
Recomposant une toile;
Une étoile dans la mer
Rempile à volonté
Sans un serpent de mer;
Déclamant velouté
Un radieux soleil rouge;
Qui navigue dans l'amour
Des sentiments qui bougent;
L'soleil qui fait la cour
Des grands en alchimie
Sans ressentiment rouge !
Y a du feeling en chimie...
Aux sentiments qui bougent !
Voyageant dans le temps
La tête dans le cosmos !
S'érigeant souriant
En embellie symbiose !
Vagabond des étoiles
En composant une toile;
Vague à bond des étoiles !
Recomposant une toile;
A partir des morceaux
D'un ciel qui fait le buzz !
Si on mettait les mots
Dans l'bon ordre du puzzle !
Qui donne des bonnes idées
Pour rajeunir le ciel,
Quitte à le dérider
En ciel intemporel;
Qui traverse chaque époque
Au fil universel;
Redevenant baroque;
Quitte à monter l'échelle
Vers cette belle vue en haut !
Contemplant le soleil;
Terminant c'tableau;
Chantant en ritournelle !
Vagabond des étoiles
En composant une toile;
Vague à bond des étoiles !
Recomposant une toile.
Jérôme de Mars
La ponte des œufs
Cocotte minute !
Quand y a les poules
Tous azimuts !
Qui chantent ma poule !
Faisant des matchs
De poules de coque !
Jeu set et match !
Qui chantent mon coq
Au vin devin !
D'la poule au pot !
Chantant divin
Payant plein pot !
On a du pot
D'avoir des nids !
Buvant un pot
D'poussins déni !
La ponte des œufs
Chantant comme eux !
En parlant d’œufs !
Pondant autour d'eux !
Tout un tas d’œufs
Laissant des plumes !
D'eux au tour d’œufs !
Que les coqs plument
Les poules entre elles;
Les coqs entre eux;
Les poules entre ailes;
Les coqs entre œufs;
Quand tout leur couple;
Il bat de l'aile !
Tout l'monde s'accouple
Très à tire d'aile !
En répondant
Toujours à eux !
Et en pondant
Chaque jour des œufs !
La ponte des œufs
Chantant comme eux !
En parlant d’œufs !
Pondant autour d'eux !
En accouchant
D'un panier d’œufs !
Et en couchant
Dans l'panier d'eux !
D'un déni d'poules
En des nids d'coqs !
Disant mon coq !
Ce sont les poules !
Qui couvent petits
Leurs petits œufs !
P'tit appétit !
Leurs petits d'eux !
Et s'il y avait
En un des nids !
Une emportée
Sans un déni !
La ponte des œufs
Chantant comme eux !
En parlant d’œufs !
Pondant autour d'eux !
Jérôme de Mars
La fabrique d'une chanson
Pour chanter, en chanter
Du bout de mon stylo !
J'écris ludique léger
Des chansons de prolo !
Ouvrier d'l'écriture !
Et c'est comme à l'usine
Des chansons fioritures !
Remontant aux racines
De mon blues d'origine,
Comme une usine à gaz !
Ca fait d'l'adrénaline
Au sillon d'mon teppaz
Jusqu'au microsillon
Du tourbillon ! Jazzant
Du blues au jazz d'un bond
En avant acclamant !
La fabrique d'une chanson;
Et comme à la maison !
Retour à l'horizon
Avec vue sur l'balcon !
Comme la vie à pleins tubes
Pour se faire une chanson !
Que j'en écoute des tubes
Dans la tête d'chaque saison !
Et si sur l'blues trottoir;
J'en écrivais un blues
Lors d'un micro-trottoir,
Pour que chacun m'jalouse !
Les idées noires d'une vie !
Qui arrivent dès la nuit !
Il y a le paradis
Quand j'renais d'embellie !
Ecrivant une chanson;
Faisant d'une pluie l'soleil !
Décrivant l'émotion
Partant d'une ritournelle !
La fabrique d'une chanson;
Et comme à la maison !
Retour à l'horizon
Avec vue sur l'balcon !
Il y a un adhérent
Qui met en musique l'texte
D'ma chanson ! M'apaisant
Si bien malgré l'contexte !
J'écris que des paroles !
Qu'il connaît la musique !
Que moi; je tiens paroles !
Qu'il compose pacifique
De la si belle musique !
Malgré qu'on soit rebelles !
Océan pacifique;
La vie, on la veut belle !
On a besoin d'tendresse
En harmonie d'musique !
Secrets de la liesse !
Avec pour acoustique
La fabrique d'une chanson;
Et comme à la maison !
Retour à l'horizon
Avec vue sur l'balcon !
Jérôme de Mars
La danse des petites tasses de café
A ras le bol qui tasse, pas de bol !
D'avoir une coupe au bol qui entasse
Qui en tasse tes mugs; tu n'as du bol !
D'avoir des bols, des tasses qui te tassent
En buvant ton marc d'café devin !
Avec pour remarques; ta marque d'fabrique !
Qui fabrique l'café moulu en grain
D'café; en cassant du sucre en briques !
Ce n'est ta tasse de thé, ce café !
Fort de café pour marque; d'contremarque !
Une marc de café pour reverser
Ton café de marque en une remarque !
De verser et de tant déverser
Ton café à moudre; à renverser
L'café dans le thé ! Si t'es café !
Avec une cuillère pour détremper
La danse des petites tasses de café;
Qui dansent; contre dansent si tu fais l'café !
Si t'es plus pour le café que l'thé !
Tu bois de tes déboires du café !
En mettant ton sucre dans le café !
Qu'a fait cette boisson plus que sucrée !
Avec des dosettes pour modérer
Ton café qui t'tasse acidulé !
En prenant pour soucoupes tes capsules
Ayant un grain d'insomnie, d'folie !
Qui fait qu'ton état critique bascule
Vers une crise d'euphorie qui ternit !
Le moral des troupes; jamais de bol !
D'avoir une coupe au bol au carré !
Pas de bol; tu en as ras le bol !
D'avoir toujours du café salé !
Tu préférerais le boire sucré !
Pour le savourer avec ta tasse
Pour ne plus le subir acidulé,
Ton café corsé, comme elle te tasse !
La danse des petites tasses de café;
Qui dansent; contre dansent si tu fais l'café !
Si t'es plus café que thé ôté !
Tu bois de tes déboires du café !
A te faire tant passer pour une crème !
Si olé au lait; tu bois tes mots !
Alors que tu bois un café crème !
Pour que ça se tasse dans un verre d'eau !
Et si tu infiltrais ton café
Pour ne plus rien maltraiter sans filtre !
D'tout ça, si t'es plus café que thé !
Alors t'es plus pour l'café au litre !
Et si allongé, tu bois assis
Ton café court ! Pris d'court au long cours !
Tu aurais l'café frappé aussi
Au ras du bol pour toujours faire court !
Si pour une fois, tu avais du bol !
Avec plus rien qui te tasse, t'entasse !
Tu n'en aurais jamais ras-le-bol !
D'ta coupe au bol sans qu'tu bois la tasse !
La danse des petites tasses de café;
Qui dansent; contre dansent si tu fais l'café !
Si t'es plus café que thé ôté !
Tu bois de tes déboires du café !
Jérôme de Mars
Salut Les Beatles !
Cette génération
Des années 60 !
Régénération
Marché à la vente !
En chantant l'amour
D'une vie de bohème !
Hippie ces bons jours
D'une vie sans problèmes !
En fumant à l'instar
De Georges Harrison;
Comme de Ringo Starr
Et d'Saint John Lennon
A Paul McCartney;
En en composant
Si bien incarnés;
En recomposant
Salut Les Beatles !
Sans un juke-box seul !
Comme tous leurs singles,
Furent bien Les Beatles !
Al you need is love !
Ils avaient tout compris !
Qu'seul l'amour rénove
Les gens incompris !
Avec des refrains;
Qui sonnent et résonnent
Toujours boute-en-train !
N'croit en Dieu Les nonnes !
John Lennon n'y croit
Donc pas plus que ça !
Emportant sa croix;
Dieu fut rabat-joie !
Genre un inconnu
Moins connu qu'Beatles !
Côté éperdu
Sans aucun single !
Salut Les Beatles !
Sans un juke-box seul !
Comme tous leurs singles,
Furent bien Les Beatles !
Comme seuls écrivaient
En tenant paroles !
Comme seuls composaient
Sans aucun bémol !
Musique rock'nroll' !
Lennon, McCartney;
Qu'ils furent des idoles
Tant réincarnés !
Sans les idéaux
D'l'actuelle époque !
Avec qu'des gros mots !
Cette époque baroque,
Car sans les Beatles
D'un genre let it be !
C'est du bas rock seul !
Qu'il en soit ainsi !
Salut Les Beatles !
Sans un juke-box seul !
Comme tous leurs singles,
Furent bien Les Beatles !
Jérôme de Mars
Saltimbanque alimentaire
Elémentaire cher Watt Sonne !
Dans le siècle des grandes lumières;
Si j'éclairais d'mes lumières !
Ce triste monde qu'on désarçonne
Rallumant le réverbère !
D'ce monde qui respire son ombre !
Même si entre ombre et lumière;
Il y a grossissant l'nombre
De personnes qui meurent de faim !
Pour qu'elles oublient leurs déboires !
En passant des faims en fin
En leur donnant tous à boire !
Dont pour manger bénévole,
J'en écris humanitaire
Une chanson qui tient paroles
En une colère sans frontières !
Saltimbanque alimentaire,
Pour nourrir la Terre entière !
Sans une banque trop pécuniaire
Si on l'était solidaires !
Ce qui en est la raison;
Que ce monde ne tourne plus rond !
D'illusions désillusions;
S'il y avait de l'oraison !
Pour tordre le cou aux rumeurs,
Et ainsi contrecarrer
Les plans d'enfer du malheur !
Sans rendre ce monde très carré !
Même si je n'ai la sciense infuse !
J'ai une conscience qui diffuse
Des idées jamais confuses;
J'espère d'mes idées qui fusent !
Qu'l'union fait la force !
Et pas qui amorce l'chacun
Pour soi qui s'efforce; s'renforce !
Et si on chantait l'refrain !
Saltimbanque alimentaire,
Pour nourrir la Terre entière !
Sans une banque trop pécuniaire
Si on l'était solidaires !
Et si on écrivait d'notre encre !
En payant des vers d'poèmes !
Des poèmes qui en jettent de l'ancre !
Payant des verres sans problèmes !
Pour boire des verres au comptoir,
Parlant que des mots d'amour !
Avec pour pourboire; l'histoire
Des poètes vrais troubadours !
Qui valent toujours le détour !
Ayant pour argent content !
Du crédit sans un retour
En paroles d'argent comptant !
Tout le monde l'aura son verre
Dans une belle humanité
Aux frais d'la communauté !
Payant toujours solidaire !
Saltimbanque alimentaire,
Pour nourrir la Terre entière !
Sans une banque trop pécuniaire
Si on l'était solidaires !
Jérôme de Mars
Si on fumait de la havane !
A Cuba; y a dépôt d'tabac !
Pour fumer l'calumet en paix !
Sang coups bas ! Y a des pots d'tabac !
Pour enfumer l'tabac en paix
A la Havane ! Roulant ci-joint !
Du tabac à rouler fumant
D'la havane ! Déroulant six joints !
Du tabac des roulées à cran !
On veut avoir la paix Indienne
En file Indienne d'Geronimo !
On veut avoir amérindienne !
La mère Indienne d'Geronimo !
En faisant naguère; guère la guerre
En baba cool de façon cool !
Hippie; bite nique ! Jamais la guerre !
Fête l'amour, pas la guerre ! Ca cool !
Si on fumait de la havane !
Pour enfumer à la Havane,
Si on en fumait d'la havane !
Pour en fumer à la Havane,
De la havane sans des gitanes !
Sers-je Gainsbourg fumant des gitanes ?
A la Havane sans des gitanes !
Serge Gainsbourg fumant des gitanes !
Pour faire un tabac au tabac !
Y a des cigarettes pour fumer !
A faire un tabac au tabac !
Y a des cigares pour en fumer !
Des pipes envoyées au casse-pipe !
Des cigarillos si pipés
A fumer; à en faire des pipes !
Des pipes que les femmes ont fumé !
C'est de la bonne pipe de tabac !
Avec des coups bas à Cuba !
Tout se pipe avec du tabac !
Avec des culs bas à Cuba !
Si on fumait de la havane !
Pour enfumer à la Havane,
Si on en fumait d'la havane !
Pour en fumer à la Havane,
Et pour faire la paix en fumant
Avec tous les gens enfumant !
Il vaut mieux la paix enfumant
Avec tous les gens en fumant !
Le calumet d'la paix Indienne !
Genre sans fumer l'Amérindienne !
Le calumet d'la file Indienne !
Genre sans fumer la fille Indienne !
Pour qu'elle en fume le calumet
De la paix en longues cigarettes !
D'son cigare ! Le gars allumait !
Pour qu'l'indienne fasse des allumettes !
De son cigare en pharaon;
Que tout le monde était tintin !
En fumant six gares phares à on !
On est en train d'faire le tapin !
Si on fumait de la havane !
Pour enfumer à la Havane,
Si on en fumait d'la havane !
Pour en fumer à la Havane.
Jérôme de Mars
Que la paresse paraisse...
Ritournelle dans le ciel !
Chante arrête ton manège !
Qui ruisselle l'arc en ciel !
Avec pour privilège;
Un ciel vierge qui consigne
Que des fautes d'autographes !
Vierge effarouchée; signe
Que des fautes d'orthographes !
Punaise ! Le ciel à graphes
En joue que du trombone !
Punaise ! Le ciel agrafe !
Mettant en joue l'trombone !
Dans la paresse du ciel !
Qui a la flemme d'agir;
N'agissant solennel
Que pour les femmes d'plaisir !
Que la paresse paraisse...
Punaise ! En une punaise !
Qu'elle paraisse sans paresse
En poster de punaise !
Dans un grand paragraphe
En une accroche d'agrafes !
Dans une très grande agrafe
En anicroches de graphes !
Faisant en orthographe
Que des fautes d'autographes !
Faisant en autographes
Que des fautes d'orthographe !
Faisant toujours le point
En consignant d'un graphe !
Refaisant un grand point
En signant d'une agrafe !
Des mots qui font le taf
En ayant dans le paf !
Une recherche qui fait l'taf !
Genre tel est dans le paf !
Que la paresse paraisse...
Punaise ! En une punaise !
Qu'elle paraisse sans paresse
En poster de punaise !
Accrochant les étoiles
En poster quatre étoiles !
Décrochant les étoiles
Pour poster sans étoiles !
Un hôtel dans le ciel;
Accroché en poster !
Logé sur l'arc en ciel;
Raccroché en master !
Signant des autographes
D'orthographe quatre étoiles !
Consignant l'orthographe
D'autographe quatre étoiles !
Retirant les étoiles
Sans un poster d'étoiles !
Enlevant les étoiles
Sans un master d'étoiles !
Que la paresse paraisse...
Punaise ! En une punaise !
Qu'elle paraisse sans paresse
En poster de punaise !
Jérôme de Mars
Le syndrome m'aspergeait artiste !
Issu du fruit d'mon handicap;
J'écris la vie pour la rendre belle !
En gardant toujours le même cap !
Même que les nuits paresse sans ciel !
Un cap vers la vie pour parler
A ceux qui comprennent différence
Par les Français ! Voulant aider
Les différents sans interférence !
Qu'ils écrivent de leur forte belle plume !
L'indifférence en différence !
Qu'ils veulent en faire de leur enclume !
Ma foi nous sauve la résilience !
Même que je ne suis un autiste !
Je fais de chaque nuit une peinture
Vers la joie de ma vie d'artiste !
Pour qu'on puisse me voir en peinture !
Le syndrome m'aspergeait artiste !
Sans syndrome Asperger autiste;
Les autistes sont des grands artistes !
En devenir sans être autistes;
De mon encre noire; je fais des rimes !
Qui reprennent des couleurs en mer
De mon encre couleurs; elles arriment
Mes rimes sans un serpent de mer !
Grâce à la musique; j'ai la clé
D'la solution plus renfermée !
Que j'ai des contacts en ma clé
De ma clé contact ! A vous hé !
Je me dévoue pour vous écrire
Des slams poétiques qui redonnent
L'envie d'y croire pour le plaisir !
De celui qui randonne; s'adonne
A faire en sorte que ça vous porte !
Vous emporte des mots qui colportent
Des belles choses inouïes sans cloporte !
Sans porte close qui apporte; remporte !
Le syndrome m'aspergeait artiste !
Sans syndrome Asperger autiste;
Les autistes sont des grands artistes !
En devenir sans être autistes;
J'attends qu'on mette en musique
Ce slam pour en ouvrir la vie !
Ecoutant en boîte à musique !
Ce slam pour en rouvrir l'envie !
C'est dans la boîte émise en boîte !
Je lui emboîte le pas qui boîte !
Même que je fais des pas en boîte;
Qui boîtent; m'emboîtent; je vais en boîte !
Une grosse boîte de nuit en musique !
Qui m'inspire la boîte à sardines
D'Patrick Sébastien en musique !
J'préfère l'écouter en sourdine !
En mettant en boîte à sourdines !
Les gens serrés comme des sardines !
En mettant emboîte à sardines !
Les gens serrés comme des sourdines
Le syndrome m'aspergeait artiste !
Sans syndrome Asperger autiste;
Les autistes sont des grands artistes !
En devenir sans être autistes.
Jérôme de Mars
Des gros maux
Consultation imaginaire du lundi 04/12/2023 à 11h entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine et Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? Quels sont les dernières nouvelles vous concernant ? "
Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Madame Teillet; je vais bien, les dernières nouvelles; que du vieux comme pour moi, ce sont toujours les montagnes Russes ! "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Monsieur Bedrossian; cela m'étonne que vous dites que du vieux concernant vos dernières nouvelles. Même si vous êtes un vieux avant l'âge du fait de votre histoire héréditaire; vous êtes encore jeune physiquement. Il vous faut du renouveau dans votre vie rien que pour vous. Vous qui naviguez souvent en os troubles à cause de votre mal de mer entre vos Montagnes Russes et votre roulette Russe si Caucase. Comme vous êtes à bout portant au bout du rouleau-compresseur et que vous voulez vous tirer à bout pourtant une balle dans la tête. Au lieu de cela Monsieur Bedrossian, parlez-en avec votre psychiatre le Docteur Bernard Penot qui habite à Rue de La Roquette à Paris Bastille. Vous le voyez une fois de temps en temps en psychothérapie pour qu'il vous empêche moralement d'acheter à Rue de la Roquette un lance-roquettes ! "
Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Madame Teillet, je vous ai bien fait marcher même si ça vous fait une belle jambe mon handicap psychique. Or ! Tout le monde me dit que c'est de la balle mes poèmes en mon âme de poète mots dits ! Vous voyez si je vous le dis que mes dernières nouvelles; c'est que du vieux ! C'est parce-que depuis l'an 40, il y a des gros maux que je ne supporte plus d'entendre. Comme " Pousse-toi ! Je m'en fous ! Ca ne te regarde pas ! On verra ! Je sais ! " Que faire Madame Teillet pour ne plus étayer ces gros maux mais étayer ces gros mots ! "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Monsieur Bedrossian comme dans un mois et demi, c'est 2024 ! J'ai une solution pour vous ! Prenez comme résolution en solution pour 2024 que quand le chien aboie pour que le car à vannes passe ! Vous n'avez qu'à vous dire la phrase suivante :
" J'essaie de dire que je suis fou comme cela, on enverra pour moi; personne ne te regarde en te donnant un coup de pouce ! "
Appliquez cela Monsieur Bedrossian ! C'est ma prescription pour que vous vous traitiez mieux dans votre traitement par Arnaud persécuté ! J'ai voulu faire un jeu de mots avec parano en disant par Arnaud Monsieur Bedrossian ! Vous aussi; vous m'inspirez dans votre ping-pong verbal ! Monsieur Bedrossian, je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année sans sentir le sapin ! Alors Monsieur Bedrossian, que contez-vous faire pour passer de bonnnes fêtes de fin d'année ? "
Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Et bien Madame Teillet ! Je conte étayer vos propos. Pour cela, je compte pour Noël que ce soit du gâteau pour tout le monde avec une bûche patissière sans bûche glacée. Tout le monde a bien besoin pour les fêtes de fin d'année de chaleur humaine. Je veux que personne n'ait les boules en ce monde maboule qui perd la boule comme tout le monde s'enguirlande sans arrêt de bus. Pour éviter des embûches de fin damnée; je compte bûcher chaleureusement ma crème futée pour ne pas finir sur le bûcher de Jeanne D'Arc en mourrant à petit feu ! Et pour ne plus trépasser en fin damnée surannée; je compte passer de bonnes fêtes de fin d'année pour ainsi bien débuter 2024. 2024, une nouvelle année sûre année en trinquant à la santé de tout le monde, voilà mes résolutions ! Au revoir Madame Teillet ! Bonnes fêtes de fin d'année ! "
Jérôme de Mars
Sur une feuille des cris
Tapi sur une feuille;
J'écris ma révolte
Comme un tapis d'feuilles !
Qu'ça fait dérive volts !
Electrique statique;
Je suis satirique
En mes statistiques !
Qu'je suis sarcastique !
Que je crie; j'écris
Tout ce qui m'indigne !
Que je retranscris
Genre ! J'ai que la guigne !
Que je crache mon encre
D'mauvaise impression !
Que je fus le cancre
De mon expression !
Sur une feuille des cris;
Tout c'que je décris !
Dont sur feuille, j'écris
Des écrits décrits !
En échos d'mes cris !
Qu'j'écris des mots
De tous mes débris !
Qu'ça sent le chaos !
De ma peine, où j'peine
A trouver la paix !
Que je suis open
Pour fumer léger
Genre un calumet !
Brûlant mon passé;
Je suis allumé
A p'tit feu pressé !
De mon être stressé,
Que l'on a pressé
Mon jus empressé
Sang jus oppressé !
Sur une feuille des cris;
Tout c'que je décris !
Dont sur feuille, j'écris
Des écrits décrits !
Même qu'ma vie entière
Ne fut du gâteau !
Pour m'chanter entière
Ma part du gâteau !
Avec pour rempart;
De la solitude
En un tintamarre !
Que j'ai l'habitude
De me roucouler
Trop à petit feu !
Et de me couler
Coule; je n'crois radieux !
A que de l'argent !
Et si consciemment;
Le temps; c'est d'l'argent !
Pour couler sciemment
Sur une feuille des cris;
Tout c'que je décris !
Dont sur feuille, j'écris
Des écrits décrits !
Jérôme de Mars
L'homme qui n'avait une parole d'argent...
Ne prenant tout pour argent content !
Voici un homme qui en a bavé !
N'mettant rien à son crédit parlant
Mal à ses amis ! Avant d'payer
Cher le fruit de son assurance-vie !
Lui qui avant; avait plus d'argent !
Mais qui en avait trop de folie !
Avant de se comporter flagrant !
Comme un mort-vivant ayant d'l'argent !
Beaucoup de côté si exclusif
Avec ses amis ! Tout en déviant
Du droit chemin très mâle subversif !
Lui qui rebelle n'avait la vie belle !
Mettant à crédit son discrédit
En un gros découvert personnel !
N'ayant pour crédit pas dix crédits !
L'homme qui n'avait une parole d'argent...
Payant son découvert en argent !
Son argent dort sans métal d'argent...
Payant son crédit d'argent comptant !
Que pendant l'année 2018;
Où il n'avait plus d'allocations...
En des découverts; il décrépite
Tout en préservant la location !
De son HLM qui l'rendit blême !
Qu'quand il retrouva l'allocation
En 2019 sans plus d'problèmes !
Il alla pour sa propre oraison
A l'hôpital; demander l'asile
Frénétique avec ses obsessions
Névrotiques; c'est pas toujours facile
D'résister à son insurrection !
Lui qu'on croît sénile; qu'il ne l'est pas !
Il est clairvoyant et réaliste !
Jamais placide ! C'est un rabat-joie !
Qu'il n'aime plus du tout les égoïstes...
L'homme qui n'avait une parole d'argent...
Payant son découvert en argent !
Son argent dort sans métal d'argent...
Payant son crédit d'argent comptant !
Qu'avant; il fut hardos aux extrêmes
De sa vie dissolue éperdue...
Qu'il voulait tant qu'on lui montre qu'on l'aime !
Malgré ses prises d'positions fourbues
D'un homme qui faute d'carence affective;
Ne pansait qu'à l'argent pour soigner
Ses facettes; ses fossettes émotives;
Ses vieux démons qui l'ont consumé...
Faute d'avoir assumé ses erreurs !
Qu'une fois rétabli durant l'année
2019; même si c'fut l'horreur
D'avoir moins d'argent car apaisé !
Il fut content d'mettre à son crédit
Que ça s'passe mieux avec ses amis !
Avec moins d'argent sans discrédit !
Résilient; modéré; aguerri...
L'homme qui n'avait une parole d'argent...
Payant son découvert en argent !
Son argent dort sans métal d'argent...
Payant son crédit d'argent comptant !
Jérôme de Mars
Roc de punk !
D'ces années
70;
Il y avait
En indice !
Que des hits
En des crêtes !
Qui vont vite;
Qui décrètent
Qu'on sait; c'est
L'Angleterre !
Où y avait
Incendiaire !
L'mouvement
Des grands punks !
En n'marchant
Pour le fun(k) !
Roc de punk !
C'n'est du funk !
Rock de punk !
Pas de funk !
Cette musique
De rebelle !
Frénétique
De plus bel !
Très rythmée;
Tamisée;
Très synthé;
T'as misé !
T'habillant
Dans l'ambiance !
Attisant
L'ambulance !
Qui ne vient !
Noir et blanc !
Va-et-vient !
Sans sang blanc !
Roc de punk !
C'n'est du funk !
Rock de punk !
Pas de funk !
Comme personne
N'est gothique !
Ca n'résonne !
Rock gothique !
A l'église;
Celle gothique !
Quoiqu'on dise !
Catholique !
Ce n'est pas
Catholique !
Rabat-joie !
Cette musique !
Avec sur
Les grosses têtes !
Droit dans l'mur !
Que des crêtes...
Roc de punk !
C'n'est du funk !
Rock de punk !
Pas de funk !
Jérôme de Mars
Nord pas décalé !
Examen d'conduite !
Pour faire que le bien
Sans délit de fuite !
Dans l'Nord; y a du lien !
Donnant des coups d'main !
Bon Samaritain
Envers son prochain !
Sans aucun déclin;
Tout le monde a l'oeil !
Car toujours enclin
De manger à l'oeil
Ayant l'oeil en clin !
D'éviter le Sud
En bas du Midi
Cette région trop prude,
Rude; démons d'Midi !
Nord pas décalé !
Nord pas recalé !
Nord-Pas-de-Calais !
Nord; il est calé !
Pour refaire le bien
Surtout après l'Sud !
Qui n'veut d'aucun lien !
Comme le lien élude
Au Nord tout le bien
D'penser qu'à l'argent !
L'Nord; ça lui va bien !
D'ne penser argent !
Le Nord solidaire;
Ne laisse en fumée
Les pauvres solitaires !
Pour les enfumer
Au Nord; il fait beau !
Dans l'coeur pas le temps !
D'avoir un escabeau;
Eclairant le temps !
Nord pas décalé !
Nord pas recalé !
Nord-Pas-de-Calais !
Nord; il est calé !
Au Nord; tous sourient
Pour rendre la vie belle !
Qu'personne ne tarit
D'avoir de plus bel !
Une belle compagnie
De gens enchanteurs !
Chantant qu'du joli !
L'Nord fédérateur;
Fédérant le Nord;
L'Sud bonnes volontés !
Pour que tous s'adorent
En fraternité !
En lien d'communion !
Pour qu'tout le monde vibre !
Radieux en lurons !
Et dans l'union libre,
Nord pas décalé !
Nord pas recalé !
Nord-Pas-de-Calais !
Nord; il est calé !
Jérôme de Mars
C'est le bonheur !
D'un arc en ciel
Sur la grande Arche
En ritournelle;
Y a la grande marche !
En quête d'douceur
De tant d'amour !
Dans la fraîcheur
Des nouveaux jours;
Qui changent autour
D'un beau soleil !
Sans jours vautours;
Et si d'plus bel !
Y a fraternel
Que de l'amour !
En ribambelle
Faisant la cour !
C'est le bonheur !
Pas dans un leurre;
Plutôt d'bonne heure !
Au tour du leur;
Il faut aimer
Et protéger
Toute sa bonté;
Ses amitiés !
Pour faire le bien
Autour de soi !
Toujours enclin
A donner la foi !
Il faut être fort
Pour tant faire face !
Et de l'effort
Pour faire surface !
Il faut créer
En artiste libre !
Il faut aider
En être qui vibre !
C'est le bonheur !
Pas dans un leurre;
Plutôt d'bonne heure !
Au tour du leur;
Donnant; redonnant
De la tendresse !
Prenant des gants
Dans la liesse !
De faire plaisir
Autour des gens !
Pour qu'tous respirent
Avec l'bon temps !
D'avoir l'plaisir
D'être tous ensemble !
Pour en guérir
D'ses membres qui tremblent
Il faut profiter
Du temps qui passe !
Et festoyer
Avant qu'trépasse !
C'est le bonheur !
Pas dans un leurre;
Plutôt d'bonne heure !
Au tour du leur.
Jérôme de Mars
Si on plaçait des mots déplacés !
En des gros mots de vocabulaire;
Si on disait de jolis bons mots !
Pas des gros maux frappant austères !
Mais d'agréables mots qui font échos
A l'envers du dico; dernier mot !
Prenant à la lettre les radicaux !
Radicalisant les mots en maux
Lexicaux; prenant originaux !
Les mots remontant à la source
De leur origine; qui elle provient
Prélevée, relevée à leur source !
Nul va-et-vient, vient; revient; survient !
Préfixe et suffixe des idées fixes
En mots téléphonés; résonnés !
Qu'on sonne en un mix, téléphone fixe !
Désarçonné, klaxonné; sonné;
Si on plaçait des mots déplacés !
Pour les replacer en maux placés,
Si on déplaçait des maux placés !
Pour les remplacer en mots placés,
Bloc opératoire; quand les mots bloquent !
En faisant l'affront ! Quelque chose des blocs !
Débloque opératoire tous font bloc !
En faisant front que tout se débloque !
Pour décoincer les gens; gens coincés
Qui aura enfin le dernier mot ?
Pour rincer l'œil des gens sans frapper
Du regard juste; ceux qui sont aux mots !
Susceptibles d'avoir des symptômes d'gênes !
Au moindre mot sans-gêne plus qu'anxiogène !
Aux origines assez indigènes;
Remontant aux maux aborigènes !
De comment faire une partie de mots !
Répartis; impartis; départis
Du temps des parties qui passe aux maux;
Qui ont de la répartie partie !
Si on plaçait des mots déplacés !
Pour les replacer en maux placés,
Si on déplaçait des maux placés !
Pour les remplacer en mots placés,
Qu'il faut employer de façon droite !
Pour parler Français par les Français !
Qui n'emploient aucune phrase maladroite !
Pour avoir l'Français en franc-parler !
Qui parlait Franc des francs sans L'Euro;
Monnaie Européenne non païenne !
Ereintant ceux qui encaissent les mots
D'la monnaie de L'Euro puritaine !
Qu'Les Français prennent pour argent comptant !
Que les mots qui ne parlent que d'argent !
L'silence dore; la parole est d'argent !
Qu'on est dans une cuillère en argent !
N'allant avec l'dos de la cuillère
En argent à cheval sur les mots !
Allant avec l'dos de l'écuyère
Sans argent à cheval sur métaux !
Si on plaçait des mots déplacés !
Pour les replacer en maux placés,
Si on déplaçait des maux placés !
Pour les remplacer en mots placés.
Jérôme de Mars
Je chante le soleil, je déchante la pluie !
Reçu cinq sur cinq !
De plus, il fait beau !
Soleil qui m'requinque
Sans un placebo;
Genre plat hein, c'est beau !
C'qui compte, c'est l'amour !
Qui renaît joyaux;
Ainsi, pour toujours !
Quand y a la grenouille;
C'est triste, comme il pleut !
La pluie, on se mouille !
Attendant joyeux
Qu'il fasse beau au ciel !
En chantant l'amour
Qui nous ensorcelle !
Déclarant d'amour !
Je chante le soleil !
En une accalmie;
Je déchante la pluie !
Une pluie qui ruisselle;
Effet météo,
Il fait beau; il pleut !
Effet domino,
Radieux; ténébreux !
Entre ombre et lumière !
Et d'un soleil clair
A une pluie d'colère !
Dès l'orage éclair
En des éclairs d'feu,
Il fait feu sur Terre !
Qu'le temps est radieux
D'humeurs bipolaires !
Qu'le temps fluctuant;
S'échange comme le vent !
Constant; inconstant
Comme depuis longtemps !
Je chante le soleil !
En une accalmie;
Je déchante la pluie !
Une pluie qui ruisselle;
J'écris le soleil
Sans un orage clair !
Je crie carte vermeil
Dans une rage éclair !
Comme un ouragan !
Avis de tempête
Sans le bon vieux temps,
Quand l'typhon m'hébète !
Or ! Heureusement !
Le temps change; échange
Pour avoir détend
Du bon temps en frange !
Au fur à mesure
Qu'il fait beau plus haut !
Qu'je jette en pâture
Vers l'eldorado !
Je chante le soleil !
En une accalmie;
Je déchante la pluie !
Une pluie qui ruisselle.
Jérôme de Mars
Si on faisait d'une pluie un soleil !
Temps contrastés des temps bipolaires;
La simple envie d'prendre l'air débonnaire !
Fait d'une vie une embellie solaire;
Pour vaincre la colère qui décolle l'air !
Cet air frais en bluette de complainte !
Pourquoi les gens se plaignent tout le temps
De tout ce temps; qu'il fait dépôt d'plainte ?
Pourvu que le soleil signe long temps !
Une paix solaire sur Terre sans nuages
A l'horizon d'entrain d'l'air du temps !
En appel d'air ! L'air d'rien d'un ramage
En une tramontane; l'air dans le vent !
Qui ne brise le bon vieux temps en brise
D'un pare-brise; pour essuyer la pluie !
Qui coule et tombe; tombant la chemise !
Sans pleurer; il y a en éclaircie !
Si on faisait d'une pluie un soleil !
Fuyant tous les temps assez vermeil !
Embarquant à bord du temps d'merveilles !
Flirtant en une bardée d'étincelles !
Conjuguant le mauvais temps présent
En un futur, où il fera beau !
Offrant en présent et au présent !
A présent ! Un présent vers le haut !
Pour passer d'l'enfer au paradis !
D'un Nirvana aux sunghlits d'ailleurs !
Rallumant le soleil ébloui;
Fixant d'Minuit vers Midi à l'heure !
De revoir la vie en étoiles lentes;
A distance des stars jaunes VIP !
Sans l'instar des hautes étoiles filantes !
Tel le cercle d'un rayon sans des pis !
En un rayon de soleil couleurs !
Qui a temps bonne mine en le taillant;
En un crayon de soleil couleurs !
Qui a tant bonne mine en l'étayant;
Si on faisait d'une pluie un soleil !
Fuyant tous les temps assez vermeil !
Embarquant à bord du temps d'merveilles !
Flirtant en une bardée d'étincelles !
Pour n'faire déconfiture sans oseille !
Il faut faire une confiture d'groseille !
Et à la place de surplace d'l'oseille !
Il vaut mieux faire venir le soleil !
Afin qu'il console la pluie chagrin
En essuyant ses larmes d'un soleil !
En donnant à la pluie le béguin
Pour le soleil sans la carte vermeil !
Et donc pour faire sourire le soleil;
Il faut lui dire : "Ecoute cette chanson ! "
Pour provoquer autant de merveilles !
Qui se profile début d'la saison !
Si on faisait venir l'océan
Pacifique; n'allant à la dérive !
Pour se rappeler du bon vieux temps !
Au temps des 45 berges des rives !
Si on faisait d'une pluie un soleil !
Fuyant tous les temps assez vermeil !
Embarquant à bord du temps d'merveilles !
Flirtant en une bardée d'étincelles !
Jérôme de Mars
Pour faire une salade
Salade composée
Que tu préparais;
Si tu la frisais
En une chicorée !
Pour qu'tu en racontes
Des salades; l'es-tu ?
Genre au bout du conte;
Quelqu'un de têtu ?
Lançant en salade
Salade d'roquettes;
Qu'tu fais une ballade !
Lançant en requête
D'tes petites salades !
Tes mots que tu n'mâches
En petite balade !
De salade de mâche;
Pour faire une salade,
Pour faire ta salade,
Pour vendre des salades,
Pour vendre tes salades,
Salade qu'tu écris
Sur une feuille de chêne !
Que tu retranscris
Toi; qui te déchaîne
En ta batavia;
Salade aux endives;
Tu t'régales oh ! Là !
Elle dégustative !
Qu'tu fais à la chaîne
Sur une feuille d'cresson !
Une salade Romaine;
Salade de cresson;
L'es-tu marchand
Sans jamais friser ?
Laitue marchant
En une chicorée ?
Pour faire une salade,
Pour faire ta salade,
Pour vendre des salades,
Pour vendre tes salades,
Que ça te démange !
Salade aux tomates;
Que l'argent te mange !
Salade automate;
Mangeant ta roquette
En petite salade !
Salade de roquettes;
Lançant en ballade;
Un grand lance-roquettes !
Tu vantes ta salade;
Lançant ta roquette;
De très grande salade !
Pour la défriser
En une minuscule !
D'salade sans friser
Un triste ridicule !
Pour faire une salade,
Pour faire ta salade,
Pour vendre des salades,
Pour vendre tes salades.
Jérôme de Mars
L'Algérie de mon cœur !
D'une pierre deux coups habiles
En consignes de chansons !
Dans mon cœur; j'suis kabyle !
En signant cette chanson
De musique habile fraîche;
Qui sent la mandoline !
Vivant d'amour; d'eau fraîche !
Revêche à la machine
A ériger d'l'amour
Dans toute la Médina !
Ca en vaut le détour !
D'faire la paix avec joie !
Pour reconstruire la paix !
En faisant d'la musique !
Dommage qu'il n'y ait la paix
D'l'océan Pacifique !
L'Algérie de mon cœur !
J'suis Algérien de cœur !
M'ranimant pace-maker
Sans la liqueur d’rancœur !
Il faut construire la paix !
Sans un droit à l'oubli;
Dans la fraternité
Avec une mélodie;
Il faut édifier l'mur
Du son pour faire la paix !
Donnant en belle nature
Le rythme de la bonté !
Pour faire de toutes laideurs
Et du rejet de l'autre;
On se rassemble sans peur !
Tous ensemble aux Apôtres !
Jouant de la mandoline !
Pour remonter au temps !
Remontant aux racines
De la machine autant !
L'Algérie de mon cœur !
J'suis Algérien de cœur !
M'ranimant pace-maker
Sans la liqueur d’rancœur !
Qu'j'ai envie de composer
Un bel hymne lors des nuits !
Il faut donc composer
Avec tout ça l'envie !
En famille composée;
Le tout sans infamie;
Famille recomposée !
D'composer sans famine;
Un air réconciliant
La bonté, la beauté !
De la vie conciliant
Tous ensemble d'loyauté !
Un air d'entrain ensemble !
A votre tour pacifique !
Pourvu qu'personne ne tremble !
D'enchanter mélodique !
L'Algérie de mon cœur !
J'suis Algérien de cœur !
M'ranimant pace-maker
Sans la liqueur d’rancœur !
Jérôme de Mars
Ex père comptable
En racontant
Toute mon histoire !
Enumérant
Mon réservoir,
On peut compter
Toujours sur moi !
Pour tant conter
Depuis des mois !
Que je calcule
Au bout du compte !
Qu'on me calcule
Au bout du conte !
En mes calculs
Si névrotiques;
En leurs calculs
Si frénétiques;
Ex père comptable;
Je suis comptable !
Expert-comptable;
Je suis comptable !
Pour bien comprendre
Mon addition,
Pour bien m'entendre
Sans soustraction,
Traits d'caractères !
J'écris des nombres;
Des chiffres sur Terre !
Qui me dénombrent
Ici en banque
Depuis X fois !
Moi saltimbanque;
C'est toutefois
Et quelques fois
Multipliées;
Faisant X fois;
Régénérés !
Ex père comptable;
Je suis comptable !
Expert-comptable;
Je suis comptable !
J'ne suis un moins
Que rien en tout !
Et pour le moins,
Au moins pour l'tout !
Tous mes remords,
Dont néant moins
Et tous mes morts !
J'fais d'un rien ! Moins
Toute la faillite
En or qui dore !
Toute l'infamie
En or honore !
L'argent qui dort;
Et qui redore
En un renfort !
Y a du confort !
Ex père comptable;
Je suis comptable !
Expert-comptable;
Je suis comptable !
Jérôme de Mars
Les gens s'fritent pour rentrer dans le moule !
A Bruxelles sur le grill d'un moule-frites;
C'est du tout cuit de chanter cui-cui !
Face à cette société qui s'effrite !
Quand des gens se fritent et sont tous cuits !
Se faisant cuisiner dans le Nord !
Passant les plats; mettant tout à plat !
En faisant la cuisine sans perdre l'Nord !
Se faisant cuisiner raplapla
Au Léon de Bruxelles; restaurant
Les plats de moule-frites pour se nourrir
Edulcorant en des aliments !
Pour bien déglutir pour le plaisir !
Sans jamais s'friter au restaurant !
Quitte à faire marcher la sulfateuse !
Pour n'effriter tous les aliments
En allumant sur on la friteuse !
Les gens s'fritent pour rentrer dans le moule !
Pour qu'ce soit du gâteau dans un moule !
D'une foule sentimentale dans un moule;
En fouettant une crème futée d'un moule,
Moule à gâteau, moule à cake qui moule
Les tronches de cake et les tranches de cake !
Mijotant des frites; ça sent la moule
A frites ! Se faisant griller au snack !
Les moules et les frites se mangent dans l'Nord !
Ne perdant jamais le Nord au Sud !
Personne ne se frite dans le Grand Nord !
Avec un cœur en Nord jamais rude !
Face à cette société qui s'effrite
Plus dans le Sud; que dans le grand Nord !
Dans le Sud lointain; tout l'monde se frite !
Tout l'monde au Nord a un cœur en or !
N'étant jamais à L'Ouest parlant leste !
En n'étant violent dans un Far West !
Comme leur état uni s'lève à L'Est !
Etant à L'Ouest; uni au phare Ouest !
Les gens s'fritent pour rentrer dans le moule !
Pour qu'ce soit du gâteau dans un moule !
D'une foule sentimentale dans un moule;
En fouettant une crème futée d'un moule,
En battant les œufs; s'en battant d'eux !
Les gens qui sont des crèmes affûtées;
Prennent tout à la lettre sans la lettre e !
D'eux comme des battants de crèmes futées !
Plus besoin de rentrer dans le moule !
Pour que ce soit du gâteau de crème,
Il vaut toujours mieux rentrer dans l'moule !
Afin que tout l'monde sème tous; on s'aime !
Pour manger tous ensemble solidaire
Dans l'Nord avec un grand cœur en or !
Le Nord; c'est de l'or non solitaire !
D'un grand cœur en Nord; tout l'monde s'adore !
Pour aller dans l'Nord jusqu'à Bruxelles,
Demeurant à Bruxelles des bouts d'choux !
Des choux à la crème du bon Bruxelles !
Tout le monde s'aime et s'appelle mon chou !
Les gens s'fritent pour rentrer dans le moule !
Pour qu'ce soit du gâteau dans un moule !
D'une foule sentimentale dans un moule;
En fouettant une crème futée d'un moule.
Jérôme de Mars
Je sors mon joker !
Jouant au rami
Et à la bataille
Du meilleur ami !
Je suis du sérail
En ayant les cartes
En main ! Pour jouer
Avec une pancarte,
Pour distribuer
L'bon jeu de tarot
Pour rejouer mon je !
Signant mots pour mots,
Donnant en bon jeu !
La chance de gagner
Avec rien à perdre !
Et tout à gagner !
Ayant rien à perdre !
Je sors mon joker !
En faisant la paire !
Buvant du joker;
Trouvant des repères
De ma vie sans mioche;
Etant à la masse
En prenant la pioche !
Disant pioche amasse !
Pour m'battre anchorman,
Me faisant des films !
Rien abattre d'Batman !
Refaisant le film !
Faisant une bataille
En des coups de main !
Tenant en tenailles
Tous mes lendemains !
Toutes mes lentes mains
En des coups de maître !
Filant des coups d'main
En des coups de traître !
Je sors mon joker !
En faisant la paire !
Buvant du joker;
Trouvant des repères
J'distribue les cartes !
C'est pas de la tarte !
Que je donne les cartes;
Qu'je redonne les cartes !
Cartes de discrédit
En un découvert !
Cartes de dix crédits
Sans un découvert !
Je fais des salades !
Salade automate;
Je mange des salades !
Salade aux tomates;
J'ai les cartes en main
De crédit qu'je lis
Des lignes de la main !
Et sans discrédit;
Je sors mon joker !
En faisant la paire !
Buvant du joker;
Trouvant des repères.
Jérôme de Mars
Liberté de ton ton
Comme avec mon oncle;
J'ne veux être son neveu !
Appuyant son furoncle
D'un total désaveu !
Comme cette chipie de soeur !
Dont je suis ah ! L'censeur !
Sans renvoi d'ascenseur !
Oh ! Sans soeur ! Ah ! Sans soeur !
Dont ma nièce; je ne veux
Etre son oncle; je m'en fous !
En total désaveu !
J'en fais l'voeu sans garde-fous !
Que ma tante; elle m'intente !
Que ça la tente; ma tante !
Qui est ma tante; entente
En bonne en tante; ça m'tente !
Liberté de ton ton
En allant ton sur ton !
Liberté de tonton
M'en allant sur ton ton !
Que je n'ai plus de mère;
Plus de père en repère !
Et plus d'mère en repaire;
Qui faisaient pair; impair !
Je n'ai jamais eu d'frère !
A part d'une soeur; consoeur
Qu'je n'ai d'âme soeur en frère !
Qui pourrait être bonne soeur !
Je n'ai presque pas de père !
Ni beau père; ni beau-père !
Je n'en ai plus d'mère !
Ni belle mère; ni belle-mère !
Je n'ai jamais eu d'femmes !
Je ne suis pas le gendre !
Comme je m'enflamme infâme !
Pas d'beau père ! Qui engendre
Liberté de ton ton
En allant ton sur ton !
Liberté de tonton
M'en allant sur ton ton !
Je n'ai plus de grand-père!
D'amour sain Valentin !
Je n'ai plus d'grand repère !
Ayant besoin d'être Saint !
Je n'ai plus de grande paire
D'chaussure pour faire la paire !
Je n'ai plus d'grand repaire !
Je suis débris d'impair !
Je n'ai plus de grand-mère
En un amour serein !
Je n'ai plus de grande mère
Pour r'devenir humain !
Que je reste dans l'amer !
La mer de mon imper
En une grande pluie ah ! Mer !
La mère de mon hein père !
Liberté de ton ton
En allant ton sur ton !
Liberté de tonton
M'en allant sur ton ton !
Jérôme de Mars
Rivage à 180 degrés !
Sur la mer salée d'mon amertume...
En prélude d'mes profonds sables mouvants,
J'écris mon vague à l'âme qui m'consume
A petit feu sur le coin touchant !
Des gestes déplacés de ma belle mer !
Je prends de faux grands airs en gonflant
Mon matelas de bas d'laine cousant
Mon âme en dérivant plus sur Terre !
Vers les berges de l'eau berge Espagnole
En lettres de caractères bien trempées !
Que j'casse eux; d'omelette Espagnole !
Afin que tout baigne quitte à m'mouiller
Mon maillot du grand bain émoussant...
Que j'trempe mon caractère dans la mer
En moussaillons, pour m'faire moussant...
Des compliments qui m'soient salutaires !
Rivage à 180 degrés !
Je n'ai jamais eu aucun regrets...
Virage à 180 degrés !
J'prends toujours tout au premier degré...
Qu'les gens n'arrêtent d'être froids avec moi !
Moi qui ai besoin d'chaleur humaine
Pour plonger en apnée; que je bois
Les paroles de la mer puritaine !
M'menant en bateau eldorado !
Au contraire; c'est plutôt un enfer !
Ma vie à m'en faire l'Colorado
En mes montagnes Russes si délétères !
Que je bois le grand froid de la mer
En plongeant en dauphin désarroi
Vers l'passé irrésolu austère...
Que je recherche les grosses parois
De mon mal de mer assez cocasse !
Que je cherche un rad sans être en rad !
Avec mon histoire qui sent la casse...
Que je ne suis le Marquis de Sade !
Rivage à 180 degrés !
Je n'ai jamais eu aucun regrets...
Virage à 180 degrés !
J'prends toujours tout au premier degré...
La température de cette belle plage;
Plage d'ce climat social contrasté
Au gré des humeurs tournant cépages
Entre êtres stressés et décontractés...
La vie en mer navigue en eaux troubles...
Faisant des poissons d'Avril sur l'fil
De l'eau trémollos qui en voir rouble...
Avec la Marine bleue qui défile !
Tout ne tient qu'à un fil bleu turquoise...
Voguant sur la nouvelle vague qui brasse
De l'eau dans l'air; fumant des gauloises
Sur des paroles sûres en âge de brasse !
Qui font et refont toute mon histoire...
De comment la mer fait une emprise !
En prises de mon histoire abreuvoir...
De la mer ferme; qui fait relâche prise !
Rivage à 180 degrés !
Je n'ai jamais eu aucun regrets...
Virage à 180 degrés !
J'prends toujours tout au premier degré...
Jérôme de Mars
Mix cité sociale
Tu viens d'la cité !
Fais en quelque chose
D'ta vie suscitée
Par tes ecchymoses !
Afin que tu oses
T'affranchir en être
Libre sans sinistrose;
Sans paraître; mais être
Quelqu'un d'responsable
Dans ta vie d'défis !
Mettant sur la table
Un travail joli
En communauté !
Pour vivre et survivre
En fraternité !
Toi en vie qui t'livre !
Mix cité sociale
En des choses banales,
Mixité sociale
En des choses normales,
Tu n'es libéral
En argent comptant !
Tu nais libéral
En argent content !
Comme à la maison,
Tu es là chez toi !
Si t'es l'oraison
De croire en ta foi
De vie; que tu vas
T'en sortir plus fort !
Revenant oups là !
Plus fort en renfort
D'ta saga citée !
Dont tu réécris
Ta vie incitée !
Dont tu retranscris
Mix cité sociale
En des choses banales,
Mixité sociale
En des choses normales,
Faisant du street art;
Rue des vocations !
Faisant de ton art;
Sans révocations !
En faisant couler
En bonne impression !
Ton encre bien ancrée
En surimpression !
Pour t'émanciper
Dans l'bien des valeurs !
Et sans étriper,
Tu fais en labeur
Qu'du bien pour germer
Des idées futures !
Pour en générer
En meilleure nature !
Mix cité sociale
En des choses banales,
Mixité sociale
En des choses normales.
Jérôme de Mars
C'est de la balle !
Ouvrant le bal;
Là c'est cadeau !
Comme je m'emballe,
C'est du gâteau !
Dans l'emballage
De tous ces mots !
En déballage
D'tousser ces maux !
Ballon d'essai !
Pour faire un tube !
Tube à essai !
Regardant l'tube
D'mes bons tuyaux !
Pour me plomber
En matériaux !
Pour m'réparer,
C'est de la balle !
Gilet pare-balle !
Enfant d'la balle !
Ping-pong vers balle !
J'joue sans filet !
Sans m'défiler
Pour en filer;
Vite enfiler
Et refiler
En tant qu'aidant !
Pour émailler
Rien que m'aidant !
M'fixant des buts !
Avec une balle !
Pour que j'la bute
Comme j'ai dix balles !
Déçus; deux sous !
Que j'ai dissous
Très en dessous;
Tous mes dix sous !
C'est de la balle !
Gilet pare-balle !
Enfant d'la balle !
Ping-pong vers balle !
En tant qu'gardien
D'ma cage de buts !
J'suis l'ange-gardien
D'saccage; je bute !
En jongleur d'balles !
Je joue d'la balle !
Que je déballe
Et que j'emballe
Tous mes cadeaux !
Que je remballe
Tous mes cageots !
Qui ne m'emballent;
Qui n'me remballent
En fin de balle !
Comme je remballe !
Fermant le bal !
C'est de la balle !
Gilet pare-balle !
Enfant d'la balle !
Ping-pong vers balle !
Jérôme de Mars
Direction la boussole
Lorsqu'on naît éperdus
Sans aucune direction !
Et qu'on est inné perdus
Sans une méditation !
Il faut trouver la paix
Intérieure pour gagner
Sa lutte pour la bonté !
Avec de la beauté
En un soleil rieur;
Avec l'envie d'y croire
Pour rendre le monde meilleur !
Même qu'on a le cafard !
A la place; il vaut mieux
En avoir du cagnard !
Pour espérer joyeux
Réentendre en fanfare
Direction la boussole;
Pour tenir sa parole !
Avec aucun bémol;
S'envolant rossignol !
Sans être encore à L'Ouest !
En en perdant le Nord !
Si on racontait leste;
Et bienvenue à bord !
Pas au monde du Far West !
L'soleil se lève à L'Est
Dans un monde au phare Ouest !
De Brest léger à Leste !
Grâce à la rose des vents !
Pour aller d'l'avant !
Non à la rose déviant !
Pour que toute foute le camp !
En en perdant du temps
Avec du mauvais temps !
Qu'il y a en c'temps violent
Qui surfe sur l'océan !
Direction la boussole;
Pour tenir sa parole !
Avec aucun bémol;
S'envolant rossignol !
Il faut aller d'l'avant !
Grâce à la rose devant;
Il faut y aller allant !
Sans sinistrose déviant;
En allant en avant !
Sans aller en arrière !
En mettant en avant !
Assurant ses arrières !
En allant droit devant !
Sans retourner derrière !
Allant adroit de vents !
Sans aller par derrière !
En prenant funambule !
On fait d'avance deux pas !
En prenant du recul !
Si on avance d'deux pas !
Direction la boussole;
Pour tenir sa parole !
Avec aucun bémol;
S'envolant rossignol !
Jérôme de Mars
Je ne perds pas le Nord !
Regardant ma boussole;
Changement d'direction !
J'en écris les paroles !
Composant une chanson;
Sans me déboussoler
Pour bien me diriger
Envers une grande clarté !
Sans me déconcerter;
Demeurant en ch'timi;
Je viens du Nord en or !
Enchantant la belle vie
Que j'adore; dore; redore !
D'une vie en or de plomb;
Qui a un soleil d'coeur !
Que l'temps gris pète les plombs
Avec que du bonheur !
Je ne perds pas le Nord !
Avec un coeur en Or !
En père repère du Nord !
Avec un choeur en Nord !
J'préfère le Nord au Sud
Du Démon de Midi !
Je n'aime pas le Sud rude
Aux démons de Minuit !
Il y en a du soleil
Dans l'coeur des gens du Nord !
Il y a une ritournelle
Pour enchanter le Nord !
Au Nord; ils sont altruistes !
Au Sud; y a égoïstes
Des gens sur la longue liste !
Au Nord; il y a artistes
Les gens du Nord à bord !
Qui viennent tous du même bord !
Aux abords sans tribords
Du même bateau à bord !
Je ne perds pas le Nord !
Avec un coeur en Or !
En père repère du Nord !
Avec un choeur en Nord !
J'écris en tant que ch'ti
Que des vers solidaires !
Parlant la même fratrie
Sans revers solitaires !
En tant que gars du Nord;
J'préfère payer un verre
De poèmes aux abords
Du côté de ma mère !
Tel un p'tit bout de choux
Dans la ville de Bruxelles !
Mangeant que des choux
Sans choux-fleurs de Bruxelles !
J'écris dans l'air du temps
Cette chanson vers le Nord !
Apaisant; rassurant
Car bienvenue à bord !
Je ne perds pas le Nord !
Avec un coeur en Or !
En père repère du Nord !
Avec un choeur en Nord !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi en ce moment en France y a-t-il plein d'attentats de gens poignardés ?
- Parce-que La France est très à couteaux tirés !
Jérôme de Mars
La classe
Partant
D'l'histoire !
Contant
L'miroir
D'l'école
D'la vie
En colle;
On dit !
L'histoire
N's'oublie;
Rasoir !
Des ni
Tout ouïs
D'un nom !
Ni oui
Ni non !
La classe
Tracasse;
L'atlas
Fracasse
Vécu;
Jamais
Vaincu
En paix !
Il faut
Parler !
S'en faut
Le vrai !
Pour dire
Qu'on n'veut !
Médire
Morveux !
Qu'on veut
Qu'ça change !
En voeu
D'échange !
La classe
Tracasse;
L'atlas
Fracasse
En casse
Des gens;
Qui s'cassent;
S'brisant !
S'énerve
La foule !
En verve
Défoule !
Le monde
Attend
La fronde !
A cran !
Qu'ça change
En mieux !
Qu's'arrange
Radieux !
La classe
Tracasse;
L'atlas
Fracasse.
Jérôme de Mars
Aux mots gênent !
Y a des jours
Qui passent vite !
Y a vautour !
Qui délite
Anxiogènes;
Des mots moches
Fumigènes;
Qui amochent
En on dit !
Des rumeurs !
Jacques a dit
Ses humeurs !
Qu'tel; untel
Sent mauvais !
Qu'il est tel
Assez niais !
Aux mots gênent !
De ses gènes;
Homogènes
De ses gênes !
Qu'il est sale;
Pas lavé;
Pas normal
A s'gratter !
A s'demander;
Souffre-douleur !
S'il vous plaît !
Pas d'douleur !
A faire mal
En des mots;
Si banals
Du dico !
Qu'il sent l'bouc
Emissaire !
Que son bouc
Ne prend l'air !
Aux mots gênent !
De ses gènes;
Homogènes
De ses gênes !
A sentir
Le roussi !
A croupir
Abruti !
Dans les jupes
De sa mère;
Qu'il suppute
Sans sa mère,
Comment il va
Faire; s'refaire
D'ses dix doigts !
Pour se faire
Jeune adulte;
Résilient
Dans l'tumulte !
Y a urgent !
Aux mots gênent !
De ses gènes;
Homogènes
De ses gênes !
Jérôme de Mars
Un paradis d'en faire un eldorado !
Monsieur; madame; y a le feu au lac qui crame !
Sous les pas du diable d'enfer ! Danse de Saint-Guy !
Pour calmer la transe des gens; il faut d'la came !
Qui fasse roupiller les remords sous un gui
Au cimetière des innocents les mains pleines;
Il faut prier pour eux aux cieux audacieux !
Malgré les démons d'une vie d'en faire une plaine !
Il faut tous s'blottir pour ne plus être anxieux !
En des paradis artificiels qui soûlent
Et enivrent les êtres damnés dans la liesse
D'une foule sentimentale; qui s'défoule; refoule
Leur allégresse; étant l'vice de leur paresse !
D'leur mauvaise image qui écorne leur image !
Hommage des rois mages en prenant le taureau
Par les cornes ! Qui écornent leur très vieil adage !
Glissant maux pour mots trémolos en sanglots;
Un paradis d'en faire un eldorado !
Le sacré diable d'enfer a toujours bon dos !
Un paradis d'enfer un eldorado !
L'consacré diable d'en faire a toujours bon dos !
D'enfer un vaste paradis de vieux démons !
En vidant leur sac lourd grâce au diable d'enfer !
D'une passerelle pour monter vers la maison
Du bonheur ! Quitte à en souffler débonnaire
Une embellie pulmonaire; prenant des airs !
D'respirer la beauté, la bonté en vie !
Avant que le ciel en soit crépusculaire !
Et que la belle vie fasse sur place à la nuit
Des vieux démons de Minuit à ceux d'Midi !
Le diable est un bel eldorado d'enfer !
Allant de Midi à Minuit en furie
Dans la folie de Lucifer pour en faire
Un grand Faust; faucheur en des remords vivants;
Morts-vivants; gisant dans un sombre purgatoire !
S'enlisant; délitant; sombrant; chavirant
Dans les couloirs d'la mort ! Laissant en brouillard
Un paradis d'en faire un eldorado !
Le sacré diable d'enfer a toujours bon dos !
Un paradis d'enfer un eldorado !
L'consacré diable d'en faire a toujours bon dos !
Le jour passe très vite; la nuit trépasse et vite !
Entre ombre et lumière à l'ombre de la lumière !
Qu'elle gravite qu'tout est éphémère ! Qu'elle lévite
Dans un monde éclair en humeurs délétères !
Le soleil courbe l'échine; réveillant la nuit !
Afin de passer à l'heure des fées d'hiver !
Surtout endolories; flétries d'hérésie !
Le paradis n'existe pas; à part l'enfer !
De vivre une apparente belle vie sans remords !
D'avoir vécu l'enfer avec une valise
Lourde à porter; à déporter à frais de port !
Tirée par les cheveux détresses en balises !
Hors ! Il vaut mieux parfois mourir que mûrir !
Une foi mort pour s'en laver les mains d'poussière !
Quitte à dépérir et périr sans souffrir !
Face à la mort pour ne plus mordre la poussière !
Un paradis d'en faire un eldorado !
Le sacré diable d'enfer a toujours bon dos !
Un paradis d'enfer un eldorado !
L'consacré diable d'en faire a toujours bon dos !
Jérôme de Mars
Les vieux démons
N'importe quelle heure
Du jour; d'la nuit !
Tous les malheurs
Frappent à Minuit !
Lors des douze coups
De Minuit pile
En quatre cents coups !
Ca horripile !
Et à Midi;
Y a le démon
Du grand Midi !
Et en amont;
Y a que des ponts
Sur la longue liste !
Monsieur Dupond
A l'air très raciste !
Les vieux démons;
Bravant les monts;
En amont démons;
Des monts au mont;
Monsieur du pont
Est un artiste !
Coupant les ponts
En égoïste !
D'sa panoplie
En monstre sacré !
Qu'il prend le pli;
Monstre consacré !
Tel un zombie !
En dracula
D'un spectre d'momie;
Qui l'affecta
En son fantôme
En reposant
De son syndrome;
En réfrénant
Les vieux démons;
Bravant les monts;
En amont démons;
Des monts au mont;
En Belphégor
Dans son château;
Rebelle fait gore
Disant chapeau;
D'un coup d'chapeau !
Sang Frankestein;
Faisant la peau !
Intello d'Einstein !
Se faisant un sang
D'encre pour des cendres !
Mille et descend !
Brûlant son sang !
Démons d'Midi !
Tant à contre-jour !
Démons d'Minuit !
Il n'fait plus jour !
Les vieux démons;
Bravant les monts;
En amont démons;
Des monts au mont.
Jérôme de Mars
Jérôme, le rappeur de Vitry !
En en faisant tout un fromage !
Sans violence et sans guerre;
J'écris un rap d'ramage !
D'une colère à un inventaire !
Pourquoi ne suis-je pas en paix ?
Genre un beatnik fumant du shit !
Comme un calumet allumé
Dans ma vie en coque qui fait pschitt !
Avec de la coke ah ! En stock !
Comme d'mes tocs; je n'en fais mystère !
D'regarder mon mobile et toque !
On me cuisine pourquoi me taire
Sur ma p'tite vie ! Sans qu'une bite nique !
Epurée; crachant ma purée
Dans l'amorale qui glisse; fornique
La pureté d'impureté !
Jérôme, le rappeur de Vitry !
Son ami habite à Ivry !
Jérôme est sur Seine de Vitry !
Son ami est sur Seine d'Ivry !
Dérapant sur la vie qui râpe
En en faisant tout un fromage !
Un rap à fromage qui dérappe
Que j'en écris tout un ramage !
Même que ma vie n'est un long fleuve
Tranquille dans la vile de Vitry !
Que je fais couler mon encre neuve !
Tranquille près de la ville d'Ivry !
En écrivant sur des feuilles mortes;
Un rap monotone qui résonne
Ma vie triste malgré mon âme forte !
Que pour écrire c'rap; je raisonne
Tartiné de déconfiture;
Mon dur labeur en mon pinard !
Je me tartine de confiture !
J'mets du beurre dans les épinards !
Jérôme, le rappeur de Vitry !
Son ami habite à Ivry !
Jérôme est sur Seine de Vitry !
Son ami est sur Seine d'Ivry !
Avec mon syndrome de Diogène;
Me faisant le complexe d'Oedipe !
Avec mes symptômes anxiogènes;
Me faisant le complexe de type !
Archétype; type; je me modèle !
Prenant pour modèle; je malaxe
La pâte à modeler untel !
Prenant son modèle; j'me relaxe
Indigène; hein dix gènes d'ma mère !
A l'origine aborigène
De mon état si délétère !
Sans-gêne; et sang gène aux mots gênent !
J'ai cent gènes; gênes homogènes
Avec une différence d'Eugène !
Aux origines hétérogènes !
Donc sans aucune haine et sans rengaine !
Jérôme, le rappeur de Vitry !
Son ami habite à Ivry !
Jérôme est sur Seine de Vitry !
Son ami est sur Seine d'Ivry !
Jérôme de Mars
La fête des remords
Ce 1er Novembre
Dans ce monde malsain
Du fond de leurs membres;
Elle tremble la Toussaint !
Et sont-ils tous sains
Dans ce monde en manque ?
Qui en manque des Saints !
Dessins dans une planque
En remords vivants !
Morts au cimetière,
Comme des morts vivants !
Morts et en poussière;
Morts de l'intérieur !
Rongés sans sourire,
Morts à l'extérieur;
Rangés d'un soupir !
La fête des remords
En défaites de morts;
En fait des remords
En des fêtes de morts;
La vie fait trembler
Nageant en eaux troubles !
La vie fait pleurer
Nageant en os troubles !
Sur planche de salut !
Qui planche reposant
En paix port salut !
Qui planche s'apaisant
Comme le bon vieux temps !
Qu'il fasse beau; qu'il pleuve !
Quelque soit le temps !
Malgré que s'émeuvent
Les gens qui se meurent
Donc à petits feux !
Sans des projecteurs
Pour y croire en Dieu !
La fête des remords
En défaites de morts;
En fait des remords
En des fêtes de morts;
Chantant pot-pourri
Avec pour accords !
Leurs corps tout pourri
En des anticorps !
S'en lavant les mains;
Se faisant des fleurs
Aux morts sans deux mains;
Envoyant des fleurs
En des chrysanthèmes;
Temps à fleur de peau !
Morts; personne ne s'aime !
Avec plus de peau;
Corps décomposé;
Bouffé par les vers;
Il faut composer
Ce poème de vers;
La fête des remords
En défaites de morts;
En fait des remords
En des fêtes de morts.
Jérôme de Mars
Poisson dépanné !
Vendredi Poisson
D'Avril sur le fil !
Y en a du poisson
Fragile qui frétille !
Gardant en mémoire;
Les jours qui arrêtent
D'voler ses nageoires !
Poisson aux arêtes !
Qui nage dans la mer !
Qui colle l'un l'colin !
Pour s'embrocher clair !
Du brochet enclin
Au merlu si têtu !
Obtus survolant
La mer presque fourbue
En en fournissant
Poisson dépanné !
Y a l'poisson pas né !
Poisson des panés !
Y a l'poisson pané !
Y en a du poisson !
Inné des pas nés !
Marchant reculons;
Y n'est comme il naît !
Tombant dans le piège
Des vers d'l'hameçon !
Dans le sacrilège
D'lui faire la leçon !
A la mer agitée
Dans son vague à l'âme !
A se trémousser
Moussé par la rame !
Des bateaux qui voguent
Sur la mer rebelle !
Et sur une pirogue;
La mer s'fait la belle !
Poisson dépanné !
Y a l'poisson pas né !
Poisson des panés !
Y a l'poisson pané !
En disant OK
Sur la mer instable !
Allant valdinguer
Pour ne mettre la table !
Pagaille à tribord !
Le poissons dansait
Etant du même bord !
Comme il pinaillait !
En des mots scandant
Allo ! Je suis en nage !
Suave et suant;
Ma vie prend naufrage !
Sur la terre qui s'ferme !
S'renferme sur la mer !
Que sur La Terre ferme !
L'poisson chante eau claire !
Poisson dépanné !
Y a l'poisson pas né !
Poisson des panés !
Y a l'poisson pané !
Jérôme de Mars
Changement d'humeur
A chaque jour sa forme !
Entre joies et colères;
Formes; conformes; méformes;
Qui forment bipolaires !
Des troubles maniaco
Dépressifs sur l'vif !
Du sujet des mots;
Piqués très au vif !
Des grandes variations
D'humeur et d'amour !
Passant d'émotions;
Changement détours !
Quand les émotions;
Tout et son contraire !
Changent d'variations;
Etats bipolaires !
Changement d'humeur
Dans la bonne humeur !
Changement d'honneur
En mauvaise humeur !
Etats fluctuants;
Suivant la nature
Des gens et changeant
D'bonne mauvaise figure !
Donnant l'impression
D'être bien dans sa peau !
Donnant l'expression
D'être mâle dans sa peau !
Et pour faire la peau
Sur tout le qui-vive !
Dépressif des mots
D'humeurs émotives !
Il faut travailler
Sans être malveillant !
Et il faut parler
En être bienveillant !
Changement d'humeur
Dans la bonne humeur !
Changement d'honneur
En mauvaise humeur !
D'états éphémères
Si aléatoires;
Jamais linéaires;
Réservoirs d'histoires!
Or ambivalents !
Semblent tous les états
Bipolaires vaillants !
Avec tout un tas
D'sentiments contraires;
Etats maniacos
Des troubles bipolaires;
Dépressifs aux mots !
Se passant le mot !
Donc des mots aux maux !
S'repassant les maux
En un dernier mot !
Changement d'humeur
Dans la bonne humeur !
Changement d'honneur
En mauvaise humeur !
Jérôme de Mars
Des mots troubadours
Répartie d'poèmes;
J'en écris en chaîne !
Y a pas de problème !
Que ça me déchaîne
De vouloir confier
Confessées subtiles !
Mes idées; pensées;
Accouchant fébrile !
D'une inspiration;
Ecrivant la vie !
En respiration;
Qui donne pour défis
De faire un recueil
De poèmes placides !
Sans en faire l'écueil
D'une bohème acide !
Des mots troubadours;
Qui valent le détour
Des maux troubadour;
Qui valent le contour
Rock tare Moyen-Age !
J'ai bien passé l'âge;
Rock star moyen-âge !
J'ai dépassé l'âge;
D'écrire des mots chocs;
Qui s'entrechoquent pare-chocs !
Personne ne fait bloc !
Y a quelque chose qui bloque
Dans mes mots qui manquent;
Je m'radicalise
Extrême dans ma planque !
Genre comme je m'enlise !
Au suffixe préfixe
D'mes maux radicaux !
En mes idées fixes;
Coups d'points cardinaux !
Des mots troubadours;
Qui valent le détour
Des maux troubadour;
Qui valent le contour
Et en revenant
En pure origine !
D'tous les mots ancrant
Qui trouvent leur racine
En vers du dico !
Pour refaire déco;
Qui font tous échos !
Argent sans éco
Qu'j'en écris le livre
Ouvert de ma vie !
Dont je me délivre
Qu'ouvert qui ravit
D'en faire paradis;
Un enfer hardi !
Dont mon paradis;
J'en fais ébloui
Des mots troubadours;
Qui valent le détour
Des maux troubadour;
Qui valent le contour.
Jérôme de Mars
Monsieur Boucher et Madame Jambon
Il était un foie Monsieur Boucher
Et aussi un foie Madame Jambon !
Des gens bons avec pour débouchés;
Leurs métiers de bouchers en gens bons !
Qui les rendaient bouchés d'déboucher
Le champagne pour manger leur jambon !
Dans un style si boucher par bouchée
De gens bons; viandés par des gens bons !
Mangeant par petite et grande bouchée
Leurs viandes; tous sur le grill des jambons !
Qui leur bouchaient un coin pour boucher
Les trous de leur jambon en gens bons !
Qui voulaient viander tous les bouchers
Jambons; s'faisant passer pour gens bons !
Alors que ces bouchers ont bouché
Et viandé ces gens bons en jambon !
Monsieur Boucher et Madame Jambon
Ont fait d'tous ces jambons des gens bons !
Monsieur bouché et Madame gens bons
En leurs métiers d'bouchers de jambon !
Monsieur fut boucher et charcutier
Pour cuire ces jambons en des gens bons !
Madame fit l'jambon sans charcuter
Ces bouchers pour qu'ils mangent leurs jambons !
Avec pour débouchés charcutiers !
Tous leurs jambons avec pour gens bons;
Monsieur Boucher qui est si bouché
D'vouloir charcuter Madame Jambon !
Pour qu'ils soient cuits tout cuits en bouchée
De viande ! Viandée embrochée d'jambon
Charcutée par leurs métiers d'bouchers !
Dont ils veulent demeurer des gens bons !
Pour ne plus charcuter, en boucher
Et viander donc des broches de jambons !
Pour charcuter et viander bouchés,
Monsieur et Madame en ces gens bons !
Monsieur Boucher et Madame Jambon
Ont fait d'tous ces jambons des gens bons !
Monsieur bouché et Madame gens bons
En leur métiers d'bouchers de jambon !
Se grillant tous en tant que bouchers !
Grillant leurs santés et leurs jambons !
Pour déboucher l'champagne en bouchée;
Embrochée en brochée deux gens bons !
Ces jambons qui ont l'air si bouché !
Si bouchers des bouchées de jambon !
Bouchant bien un coin à ces bouchers;
Qui semblent avant tout que des gens bons
A Monsieur Boucher; Madame Jambon;
Ces gens bons si bouchés en bouchers !
Veulent refaire à eux d'eux des gens bons
En bouchant leurs vieux métiers d'bouchers !
Si bien qu'Monsieur; Madame si bouchers;
Ont viandé en carnage leurs jambons !
Ces vieux bouchers qui ont l'air bouché
D'avoir en des bouchées en gens bons !
Monsieur Boucher et Madame Jambon
Ont fait d'tous ces jambons des gens bons !
Monsieur bouché et Madame gens bons
En leur métiers d'bouchers de jambon !
Jérôme de Mars
T'as six mots de café ?
Six mots pour composer ce slam : café, thé, chocolat, dosettes, capsules, machine
T'as six mots de café ?
Infiltré en machine;
Veux-tu faire du café ?
A filtre qui tambourine
Du café à couler
A roucouler machine ?
En refaisant salon
De thé à l'origine;
De comment tu en fais
Du café en machine
Au salon des causettes;
Ou Tassimo, machine
Au salon des dosettes;
Café, thé, chocolat !
Au salon d'tes boissons
Chaudes pour faire des éclats
En des bulles; nous savons !
T'as six mots de café ?
A en laisser couler
Tout ton Marc de Café !
Pour lire ta marque d'café !
Pour deviner ton café
En ton percolateur;
C'est si fort de café
En ton torréfacteur !
D'un facteur d'café sans filtre !
Est-ce un café sans filtre
Dans lequel tu t'infiltres ?
Toi; qui le bois sans filtre !
Et quand tu devines l'café
De tes déboires; es-tu
Filtre ou sans filtre d'café ?
L'bois-tu café moulu ?
Fais-tu en Tassimo
Du café qui bouscule
L'café de tes grumeaux ?
Si tu l'mets en capsules !
T'as six mots de café ?
A en laisser couler
Tout ton Marc de Café !
Pour lire ta marque d'café !
En refaisant ta danse
De Saint-Guy, où tu marches
En tes pas de contre danse !
Tu déambules dans l'Arche
De Jacques Vabre, Nescafé
Pour boire ta tasse de thé !
Si c'est bien du café !
Est-ce-bien ta tasse de thé ?
Si c'n'est ta tasse de thé
Pour boire ta tasse d'café ?
Fais-tu que du café
Pour boire ta chicorée
En problèmes insolubles ?
Ou bois-tu du café
En solutions solubles ?
Où tu bois rassasié !
T'as six mots de café ?
A en laisser couler
Tout ton Marc de Café !
Pour lire ta marque d'café !
Jérôme de Mars
Y a de l'eau dans le gaz à Gaza !
Guerre de territoire pas de quartier !
Tout le monde se mitraille en tiraille
Du Hamas en Israël corsé,
Comme un Corse de l'écorce qui entaille
Ces écorchés en amas pour tuer
L'ennemi du territoire; flirtant
Avec les extrêmes pour attenter
A la vie des civils; dérapant
En une guerre si vile jamais civile !
Flattant les plus bas instincts des morts
Naguère de remords; toujours fébriles
En Palestine qui mord sans remords !
Qui n'en démord de cette hécatombe;
Qui tombe en éclipse d'apocalypse !
Avec des gens qui tombent sous les bombes !
Genre une guerre lunatique qui éclipse;
Y a de l'eau dans le gaz à Gaza !
Quand et las ! Tout le monde se gaza
Dans la fausse contrebande de Gaza !
Une fosse bande d'ennemis se gaza !
A Rue des Roquettes d'une chienne de vie !
Qui dévie d'un mal d'chien de croquettes;
Surtout à chaque nuit qui répandit
La haine et la guerre en des squelettes
De ce monde immonde qui ne tourne plus rond !
Tout le monde n'en a marre d'une mare d'sang !
Avec à Gaza une bande de cons;
Qui se ronge les sans; sangs indécents !
Qui torpille emmenant en bateau !
Le ghetto de ceux qui sont malsains
En un eldorado de sanglots;
S'jetant des projectiles jamais Saints !
Avec une Kalachnicov qu'ils arment
Sans cerveau qui sert vos grosses colères !
Pleurant de tous leurs corps que des larmes;
Qui provoquent en démons incendiaires !
Y a de l'eau dans le gaz à Gaza !
Quand et las ! Tout le monde se gaza
Dans la fausse contrebande de Gaza !
Une fosse bande d'ennemis se gaza !
Comme personne ne s'entend plus naguère !
Se tirant des balles d'mauvaise entente !
Pour se faire la peau; s'faisant la guerre !
En appuyant trop sur la détente !
Longue à la détente de l'audition
En une meilleure entente qui retente
De faire la paix en érudition !
Signant un traité de paix qui tente
D'fumer le calumet de la paix !
A Rue de la Paix sans maltraiter
Le Traité de paix pour l'sous-traiter
En un traître ennemi; qui traîte hé !
Toute La Palestine et L'Israël
En un amas rien du Hamas !
Ce ne sera plus jamais Noël
A Bethléem ! Sang rien qui amasse
Y a de l'eau dans le gaz à Gaza !
Quand et las ! Tout le monde se gaza
Dans la fausse contrebande de Gaza !
Une fosse bande d'ennemis se gaza !
Jérôme de Mars
Perle à rebours
Depuis la guerre
De Pearl Harbor;
Il n'y a tant guère
Premiers abords !
Rien en amour...
A cause d'la haine
En désamour,
Pour perdre haleine !
Ce monde d'vautours
Donne que la gerbe !
Ce sont vos tours;
Génies en herbe !
De mitrailler
Le nerf d'la guerre !
De tirailler
Depuis naguère...
Perle à rebours;
Compte à rebours;
Ca vaut l'détour !
Cette chasse à courre;
L'homme est une proie !
Rien qu'pour lui-même;
Toujours en proie
En ses problèmes;
Personne ne s'aime !
Pour essaimer
La haine qui sème !
Pour disloquer,
Pour diviser,
Chacun pour soi !
Pour clairsemer
Un monde sans soie !
Dans le désarroi
D'se faire du mal !
Sans aucune joie,
Comme c'est normal !
Perle à rebours;
Compte à rebours;
Ca vaut l'détour !
Cette chasse à courre;
Parlant qu'd'argent !
Nerf de la guerre;
Ca rend vivant !
Empêche naguère:
Ainsi d'mourir
Allant poussière !
Et de pourrir
Au cimetière !
Et comme requête;
Si on priait
Sans lance-roquettes,
Pour décréter
Sans bazooka;
Lâchant en perles
Que de la joie !
D'un collier d'perles;
Perle à rebours;
Compte à rebours;
Ca vaut l'détour !
Cette chasse à courre.
Jérôme de Mars
Si t'es à l'amende !
Amende honorable;
Il y a une contre danse !
Pour mettre sur la table,
Amende de contredanse
En contravention
D'un procès verbal;
En une convention !
En ouvrant le bal
Des bals populaires !
En enrichissant
L'amende incendiaire;
Et en en mangeant
Une amende salée;
Avec pour déboires
Une amande sucrée,
Pour boire en pourboire !
Si t'es à l'amende !
Si t'es à la menthe !
Si t'es à l'amande !
Si t'es à la mante !
Religieuse priant
A n'importe quel prix !
Ton amende jazzant !
Tu as temps appris
Sur comment manger
Des amendes salées,
Pour te démanger
Des amendes sucrées
A La Grande Mosquée
D'Paris; mélangeant
Le sucré; salé !
En tambourinant
Le thé; le café !
Pour faire une causette
Au salon de thé
Avec des dosettes;
Si t'es à l'amende !
Si t'es à la menthe !
Si t'es à l'amande !
Si t'es à la mante !
Attendant le prix
D'un riche tiroir-caisse !
L'argent est épris;
Et à fond la caisse !
Payant en espèces;
L'amende honorable;
Monnaie de ta pièce !
En servant à table
Le prix d'l'addition !
En n'y allant pas
Par la division !
Volant tout un tas
En tournant le dos
De la belle cuillère
En argent ! Bobo
D'une dette pécuniaire !
Si t'es à l'amende !
Si t'es à la menthe !
Si t'es à l'amande !
Si t'es à la mante !
Jérôme de Mars
Je prends le car car il n'y a pas de bus !
Moyen de transport en station debout,
Il y en a qui disent au quai sur le quai !
Pour mettre bout à bout ce monde qui est fou !
Ne tenant plus debout pour travailler
Sans louper le dernier métro ou car,
Car il y a toujours un métro d'retard !
Criant fort mais où est donc or ni car ?
En ligne de conduite sans un grand retard !
Du train déroulant à très vive allure !
Pendant que l'bus est en station debout !
Loupant la station à quelques encablures
Du car; roulant au carrefour car fou !
Il y a le train et le tram qui déraillent !
Lançant des piques hé de grève ! Qui dégrèvent
Le trafic des transports s'shootant d'un rail
D'coke en stock lors des grèves avant la trêve !
Je prends le car car il n'y a pas de bus !
Je n'déchiffre à coût la grève en rébus !
Qu'en station très à bout; je loupe le bus !
Car je n'y comprends rien à c'terminus !
Même qu'il y a le car pour véhiculer
Des idées reçues; conçues; préconçues
Pour avancer de l'avant sans arrêt !
Malgré qu'valides et handicapés suent
Dans ce monde de pression en expression
Des pressions locomotives à vapeur !
Avec un gros coup de tant dépressions !
Pour ceux qui sont à voile et à vapeurs !
Alors que pour remettre le train en marche;
Tout le train en marche, on a tant besoin
De tout le monde même ceux qui votent en marche !
Pour la République en marche boute en train !
Pour remettre La France sur de très bons rails !
Il faut qu'tout le monde se retrousse les manches !
Sans un coup; un mot de trop qui déraille !
Car même si je suis en train d'perdre la Manche !
Je prends le car car il n'y a pas de bus !
Je n'déchiffre à coût la grève en rébus !
Qu'en station très à bout; je loupe le bus !
Car je n'y comprends rien à c'terminus !
J'essaie de ne jamais refaire la manche
En train de louper le dernier métro !
D'un métro toujours de retard qui flanche,
Comme il y a quelque chose qui rame en slow !
Le dernier métro est lent pas comme l'tram;
Qui trame toute une histoire qui n'rame en âge !
Dans Le Paris Paname du train d'ce slam;
Qui clame que le RER rame en nage !
Sur le quai de la rame avec personne;
Qui dit OK pour aider sur le quai !
A vaincre les préjugés qui désarçonnent
Ceux et celles qui ne sont pas respectés !
Attendant le terminus pour souffler
Au quai; merci d'être arrivé en vie !
Pour boursouffler d'avoir été essoufflé
D'arriver à destination la nuit !
Je prends le car car il n'y a pas de bus !
Je n'déchiffre à coût la grève en rébus !
Qu'en station très à bout; je loupe le bus !
Car je n'y comprends rien à c'terminus !
Jérôme de Mars
Clef de voûte
Une musique;
Clé contact !
Mélodique;
Ouvre l'contact !
En ayant
L'tact intact !
Pianotant
Tout un tact !
Musique
De comptoir;
C'est d'la zik
Du trottoir !
Enchantant
Qu'des paroles !
Chantonnant
Dès l'envol,
Clef de voûte;
Qui envoûte
Clef en voûte;
Et qui voûte
Tapant sec
Sur l'piano
Très pète-sec,
Quand les mots
Chantent si secs;
Qui débectent
Des prises d'becs;
Qui éjectent
Lors du blues
De l'hiver;
Et qui loosent;
Faits d'hiver !
Dans la vie
Qui chante triste;
Le dépit,
Ame altruiste !
Clef de voûte;
Qui envoûte
Clef en voûte;
Et qui voûte
Ouverture
De l'esprit
D'envergure;
L'éclaircie
Vous scie bien;
Me sciant;
Ah ! Si bien !
M'asseyant
En des chaises
Musicales;
Charentaises
Médiévales;
Moyen-âge
Pour chaque âge,
Moyenne d'âge
D'être en âge !
Clef de voûte;
Qui envoûte
Clef en voûte;
Et qui voûte.
Jérôme de Mars
Tank you !
En guerre
De frappe;
Naguère
Force d'frappe;
Conflits
De guerre;
Conflits
Naguère;
En balle
D'roquette;
Deux balles
D'roquettes;
D'un char
D'assaut;
Mouroir
Sursaut;
Tank you !
Ripou;
Thank you !
Voyou;
La guerre
Civile;
Naguère
Si vile;
Il faut
Une guerre !
A sots
D'enfer !
Pour faire
Comprendre,
Pour faire
Répandre,
La paix
Sans guerre;
Après
Naguère;
Tank you !
Ripou;
Thank you !
Voyou;
Il faut
Débattre !
Sursaut
Sans s'battre !
S'en battre
Sans sang !
D'abattre
Pur sang !
Il faut
Mettre fin !
Sang chaud;
Enfin
A toute
Cette guerre !
Pour toutes
Naguère !
Tank you !
Ripou;
Thank you !
Voyou.
Jérôme de Mars
Johnny Guitare
Comme dans un film,
Johnny naquit
L'jour qu'il écime
En plein Paris !
Comme un 15 juin
D'l'an 43 !
Non ici joint
Sans père étroit !
Comme un chanteur
Abandonné !
Un enchanteur
D'art et d'essai !
Dans la musique
Et l'cinéma;
Jouant mythique
Que d'la joie !
C'est ton histoire !
Même que ta vie
Fut noire c'est noire
Durant tes nuits !
Priant ta Marie;
Allumant l'feu !
Qu'tu te maries
Sans croire radieux !
Donc que pour toi
La vie; elle va
Commencer quoi !
Où tout ira
Sans liberté !
Juste pour survivre
D'pénitencier !
J'ai oublié d'vivre !
Qu'de ton enfer !
J'en parlerai
Au diable d'enfer !
Un compte défait
D'l'idole des jeunes
D'ton requiem !
Pour un fou d'jeûne
Salaud ! On t'aime !
Johnny Guitare;
Jouant standard
De la guitare
En répertoire;
De ses excès
Buvant d'l'alcool !
Crevant l'abcès
Sans père qui colle !
Qu'il enchanta
Tout son public !
En trompe-la joie
Non impudique !
Pour lui donner
L'envie d'avoir
Envie d'donner
Que de l'espoir !
Et pour cela;
Retiens la nuit !
Johnny tout ça
Pour dire merci !
Malgré ton shoot
De ballons rouges !
Donc tu te shootes
En buvant rouge !
Drogue; héroïne;
Ta cocaïne;
Tes héroïnes
Sans amour hymne !
Où tu cherchas
Ta Gabrielle !
Sans trompe la joie
En ritournelle !
D'ta Laëtitia
En ton quartier
VIP ! Y a
Pas de quartier !
Toi Jean-Philippe
Sang cinéma !
Avec tes tripes
D'ta Laëtitia !
Pas cette chanson
De rock'n'roll !
En cette saison
D'vie rock'n'roll !
Johnny Guitare;
Jouant standard
De la guitare
En répertoire;
Que j't'aime Johnny !
Et j'te promets
Sur toute ma vie !
Comme et puis j'sais !
J'ai un problème
D'tes souvenirs !
Souvenirs blêmes
A en souffrir;
Tout pour ma gueule !
Derrière l'amour
Sans être bégueule;
Ca vaut l'détour !
En fils d'personne !
Car j'serai là !
Afin qu'résonne
Tout ton aura !
D'ta fille Laura !
Conseil d'famille !
Donc tu l'auras
Toute ta pupille !
Toi sans pour sans
La musique qu'j'aime !
D'un sang pour sang !
Ta vie d'bohème !
T'rongeant les sangs;
Que tu mourus
Comme un pur sang
D'ton absolu !
Le 5 Décembre
2017;
Perdant les membres
De tes fossettes;
Tu dévales d'Marnes
Comme la conquête
Du Val-de-Marne !
Marnes-La-Coquette;
Je veux t'graver
Rien qu'dans ma vie !
Toi DCD;
Chacun sa vie !
Johnny Guitare;
Jouant standard
De la guitare
En répertoire.
Jérôme de Mars
Il faut paraître bien !
Non sans aucun mal;
Il faut se donner;
Se donnant du mal !
Pour tant redonner
Si manichéen;
L'envie d'faire le bien !
Bon Samaritain,
Pour créer du lien
En faisant le mâle !
Pour vider la malle
D'ses envies de mal !
Sans créer le mal
Par une frustration;
De n'intéresser
Personne d'exaction !
Vierge effarouchée;
Il faut paraître bien !
Pour créer du lien,
Il faut par être bien !
Pour s'faire des copains,
Du moins d'apparences
En bonne impression !
D'une bonne éloquence
Donnant l'expression !
D'quelqu'un de parfait
Du moins d'apparences !
Dont il est défait
Dans tout son silence !
Cachant ses faiblesses,
Pour tant faire semblant !
Cochant la liesse,
Pour tant faire sans blanc !
Une vie de couleurs
Avec rien de noir !
Car noir de couleurs;
C'est toute une histoire !
Il faut paraître bien !
Pour créer du lien,
Il faut par être bien !
Pour s'faire des copains,
Même si personne n'est
Ni tout noir sans blanc !
Ni tout blanc qui est
Une couleur semblant !
D'un crayon d'couleurs;
Haute dans la couleur !
Crayon sans couleurs;
Ote dans la couleur !
Un homme de couleurs
Ne voit tout en noir !
Mais met des couleurs
Dans une vie si noire !
Pour voir d'la couleur !
En voir la couleur !
Reprendre des couleurs !
Effet noir couleurs !
Il faut paraître bien !
Pour créer du lien,
Il faut par être bien !
Pour s'faire des copains.
Jérôme de Mars
Lanceur de vannes
D'ma caravanne
Dans la vile d'Vannes !
J'ouvre que des vannes
D'un car à vannes !
Afin qu'je vanne
Les gens en blagues;
Qui se pavannent
Genre blague is blague !
Because is car
D'un car à Vannes !
Mais or ni car !
Cela me vanne,
Je me pavanne
D'ma caravanne !
A force qu'je vanne
Les gens à Vannes !
Lanceur de vannes;
Je lance des vannes
En ma vil d'Vannes !
Faisant des vannes
Pour m'fatiguer
Dans la ville d'Vannes !
Exténuée
Par toutes mes vannes !
Qui elles me vannent;
Qui me pavannent
Genre je me vanne;
Robinet d'vannes !
Vannes sans eau tiède
A la casa
Depuis mon bled;
Qui m'recasa
Depuis mon bled !
Couché d'ennui
Avec d'leau tiède;
J'suis pour la vie !
Lanceur de vannes;
Je lance des vannes
En ma vil d'Vannes !
Faisant des vannes
Dans la ville d'Vannes,
Où je m'pavanne
Dans la vil d'vannes !
Ville qui me vanne
Et sans jamais
Aller à Vannes;
J'nvais jamais
A Erevan !
Et je n'appelle
Jamais Sevan !
En un rappel
De toutes ces vannes;
Je me pavanne
Dans la ville d'vannes !
Je ferme les vannes
Dans la vil d'Vannes !
Lanceur de vannes;
Je lance des vannes
En ma vil d'Vannes !
Faisant des vannes.
Jérôme de Mars
Sœur Emmanuelle de cœur !
Une sacrée Sainte qui naquit
L'16 Novembre 1908
A Bruxelles en un croquis !
Que la foule; donc elle lévite !
Elle enseigne Emmanuelle !
Pour remonter le niveau,
Montre-le nous ton manuel !
En y allant vers le haut !
De tout ton engagement
Envers les plus malheureux !
Grâce à ton beau dévouement
Des miséreux jusqu'aux cieux
Des pauvres chiffonniers du Caire;
Tu fus une bonne religieuse !
En aidant les plus précaires;
Toi les couvant chaleureuse !
Sœur Emmanuelle de cœur !
Tu inspiras qu'du bonheur !
En réenchantant en chœur
L'amour qu'tu portes sans rancœur !
Où tu aidas les enfants
D'Egypte; remontant l'ellipse !
Ranimant à tous les temps !
Un monde meilleur sans l'éclipse
Des gens lunatiques imbus
En leurs personnes égoïstes !
Qui croient dus tous leurs indus
En individualistes
Hédonistes ! Tout pour leur gueule !
Toi; tu fus un bout de choux
De Bruxelles ! Sans être bégueule
Envers les grippe-sous relou !
Tu t'en foutais de l'argent
Avec ton grand cœur en or !
Ne parlant argent comptant !
Pour toi; le silence fut d'or !
Sœur Emmanuelle de cœur !
Tu inspiras qu'du bonheur !
En réenchantant en chœur
L'amour qu'tu portes sans rancœur !
Tu fus un bon modèle d'pierre !
Mettant la pierre d'l'édifice
A l'instar de L'Abbé Pierre !
L'tout sans aucun artifices !
Tu prêchas la bonne morale !
Encourageant juste le bien !
Tu luttas contre tout le mal
Encourageant juste le lien !
O combien très solidaire
Rien qu'en des verres solidaires !
Et les revers solitaires;
Tu les rendis incendiaires !
Ecrivant en livre d'ta vie !
Qu'tu mourus le 20 Octobre
Presque cent ans en 2008
A Callian; d'ton Var si sobre !
Sœur Emmanuelle de cœur !
Tu inspiras qu'du bonheur !
En réenchantant en chœur
L'amour qu'tu portes sans rancœur !
Jérôme de Mars
Le plein avide
Par les revers
De toute ta vie !
Si dans un verre
Pour faire joli;
Tu regardais
L'verre à moitié
Plein pour aimer
Ta douce moitié !
Faisant le plein;
Dépôt d'complainte !
Sans un trop plaint;
Dépôt de plainte !
Si tu buvais
Un verre trop-plein !
Sans raccrocher
Un verre trop plaint !
Le plein avide
Sans faire le vide !
Sans plaint à vide
Rendant livide !
Si tu faisais
Salon de thé !
Pour discuter
Buvant tes thés !
En t'rappelant
De toi bébé !
En t'entêtant
Sans ton passé !
Juste en faisant
Place à présent
A un présent !
En grandissant
Du monde d'l'enfance
Au monde d'adultes !
Sans la violence
D'un gros tumulte !
Le plein avide
Sans faire le vide !
Sans plaint à vide
Rendant livide !
Pour oublier
Tout ton passé !
Si tu passais
A volonté !
Vers le présent !
Sans reproduire
Rien à présent !
Pour n'plus souffrir !
Vivant heureux
D'paix intérieure !
Etant radieux !
Enjoliveur !
Ainsi songeur !
Donc pour écrire
Vers l'jour rêveur !
Pour le plaisir !
Le plein avide
Sans faire le vide !
Sans plaint à vide
Rendant livide !
Jérôme de Mars
L'apolitique !
Petites saynètes sur l'apolitique en général des opinions politiques des uns et des autres :
Petite saynète sur l'apolique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et de Guillaume Leprette :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour lascar, es-tu de gauche ou de droite ? "
Guillaume Leprette :
- " Salut, je ne suis ni à gauche à droite, je suis juste devant toi !
Jérôme Bedrossian :
- " J'en déduis donc que tu as pris le gauche de façon droite ! "
Guillaume Leprette :
- " Lascar, je t'ai répondu cela pour replacer tout au centre de la discussion ! "
Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et d'Adel Azak :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Adel, es-tu de gauche ou de droite ? "
Adel Azak :
- " Bonjour Jérôme, je préfère qu'on recentre la politique à gauche de façon modérée ! Jérôme, pourquoi vas-tu toujours dans les extrêmes ? "
Jérôme Bedrossian :
- " Adel, si je me radicalise, c'est parce-que je ne crois plus à la politique mais à l'apolitique en général de façon extrême ! "
Adel Azak :
- " Si tu te radicalises dans les extrêmes, pourquoi ne votes-tu pas pour le Parti Radical de Gauche modérément à l'extrême ! "
Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et d'Alexandre Strub :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Alexandre, ça va ? Es-tu de gauche ou de droite ? "
Alexandre Strub :
- " Bonjour Jérôme, ça va ! Je m'en fous de la politique comme je fais semblant de voter ! Je vote blanc ! Rien à foutre de la politique pas de l'apolitique ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Mais tu dois bien être de gauche ou de droite ! "
Alexandre Strub :
- " Pour voter, j'aimerais voter de façon très gauche pour Mélenchon; moi qui suis si insoumis, la preuve que je ne suis pas au centre de la discussion de la politique mais de l'apolitique ! "
Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et d'Edwin Joseph :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Edwin, es-tu de gauche ou de droite ? "
Edwin Joseph :
- " Coucou, mon cher coco, même si tu es un sans triste pas droit, moi je pivote un coup à gauche; un coup au centre gauche ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Tu veux dire que moi; je suis un sans triste pas droit et que tu es un centriste si gauche ! "
Edwin Joseph :
- " Oui car tu es de plus en plus de façon mal à droite vers les extrêmes alors que moi, je suis plus modéré que toi Jérôme, t'aimes tellement être le centre du monde que tu te radicalises de façon si extrême dans un rassemblement national à cause de tout l'affront national de ton passé ! "
Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et de Brigitte Yvelin :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Brigitte, comment ça va ? Es-tu de gauche ou de droite ? "
Brigitte Yvelin :
- " Coucou, mon petit Jérôme, moi, je suis très à gauche de façon très droite ! et toi même que t'as voté pour Marine Le Pen au second tour des Présidentielles en 2027 ? "
Jérôme Bedrossian :
- " Même si ce fut à mon tour de voter Marine Le Pen au second tour des Présidentielles en 2027 et que j'ai voté pour le rassemblement national au 1er tour des législatives en 2027, pour être au centre de la discussion politique, je me recentre dans mon vote de façon de plus en plus extrême en étant très droit ! "
Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et de Serge Kurts :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour mon cher Serge, es-tu de gauche ou de droite ? "
Serge Kurts :
- " Bonjour Jérôme, je pivote à gauche; à droite au centre de la politique ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Et même si je ne suis pas tout blanc, je vote de façon nulle pour les extrêmes en me radicalisant à gauche, à droite ! "
Serge Kurts :
- " Tu n'as qu'à te radicaliser au centre de la politique très droit même que c'est un centre triste ! "
Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et du Docteur Bernard Penot :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Docteur Penot, ça gaze ? Etes-vous de gauche ou de droite ? "
Bernard Penot :
- " Bonjour Jérôme, tu ne me le fais pas dire que ça gaze partout dans le monde de La Palestine à Israël, en Arménie ainsi qu'en Ukraine et en France; en plus de tous les génocides qu'il y a déjà eu, tu le sais Jérôme, je vote à gauche dans l'environnement de tes vers de poèmes donc, je vote maintenant pour les vers ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Moi, je pivote de façon gauche à droite; et de façon mal à droite en donnant une gauche à la gauche; en prenant le gauche du centre mal à droit ! "
Bernard Penot :
- " Tu vois Jérôme, je suis tout penaud d'entendre ton discours si radical sur l'apolitique, si tu veux être au centre de la discussion pour parler avec des femmes, parle-leur de façon à droite et pas mal à droite; et pas de façon gauche en prenant le gauche, radicalises-toi en posant des questions aux femmes concernant leurs centres d'intérêts extrêmes ! "
Jérôme de Mars
Y a prescription !
Voici une petite saynète sur le CMP de Vitry-sur-Seine entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine et les soignants au CMP de Vitry-sur-Seine :
Une petite saynète entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine
et Jean-Yves Louchouarn, un infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Jean-Yves, comment allez-vous ? C'est quand vos prochaines vacances ? "
Jean-Yves Louchouarn, un infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Jérôme, je vais bien, mes prochaines vacances seront à la Toussaint pour que vous soyez tout sain, Jérôme !
Ecrivez sur une feuille morte à la Toussaint un poème pour mon automne de vacances ! "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Est-ce une prescription que vous me faites Jean-Yves parce-que je suis monotone ? "
Jean-Yves Louchouarn, un infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Non Jérôme, cela n'a rien à voir avec le fait que vous êtes monotone !
C'est tout simplement que maintenant pour vous, y a prescription comme vous avez un bon traitement depuis que vous n'êtes plus à L'ESAT La Fabrique ! "
Une petite saynète entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine
et Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Madame Teillet, comment allez-vous ?
A votre avis, suis-je conditionné au pire au CMP de Vitry-sur-Seine ? "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Monsieur Bedrossian, je vais bien et vous ?
Monsieur Bedrossian, si au CMP de Vitry-sur-Seine, vous étiez conditionnés au
pire, croyez-vous que je me serais donné la peine de vous faire sortir de L'ESAT La Fabrique ?
Maintenant, ne me dites plus que vous avez l'impression d'être maltraité au CMP !
C'est à L'ESAT La Fabrique que vous étiez maltraité; en étant sous-traité et
condtionné au pire !
Monsieur Bedrossian, vous êtes l'un de ceux les mieux traités au CMP, la preuve, grâce à moi, vous avez un bon traitement avec pas trop de médicaments ! "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Je vais bien Madame Teillet, donc, j'en conclus que pour L'ESAT La Fabrique, y a prescription maintenant ? "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Oui, Monsieur Bedrossian, y a bien prescription la preuve, je me suis demandé ce que vous avez fabriqué dans cet ESAT, à part enfiler des perles de bijoux, voilà !
Une petite saynète entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine
et Carole Baltazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Carole, comment allez-vous ? "
Carole Baltazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Merci, je vais bien Jérôme, j'ai lu vos derniers slams que vous avez posté dans la boîte aux lettres du CMP, et je les trouve lumineux !
Qu'est-ce-qui vous a donné envie d'écrire des slams ? "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " A force de déchanter dans la vie, j'ai eu envie d'écrire des slams pour ne plus déchanter ! "
Carole Baltazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Je vois Jérôme, donc, vous ne déchantez plus dans la vie !
Pourquoi ne pas chanter vos slams au micro pour enchanter et réenchanter ce monde désenchanté ?
Jérôme, maintenant y a prescription pour prendre soin des gens autour de vous ! "
Une petite saynète entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine
et Aurélia Korkoff, psychomotricienne au CMP de Vitry-sur-Seine :
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Aurélia, comment allez-vous ? Moi ça va ! "
Aurélia Korkoff, psychomotricienne au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Je vais très bien Jérôme, quelles sont les dernières nouvelles ? "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Aujourd'hui, j'ai encore écrit des paroles de chansons ! "
Aurélia Korkoff, psychomotricienne au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Jérôme, on connaît donc la chanson, même si vous êtes encore jeune !
Pour vous, il n'y a rien de nouveau dans votre vie qu'on peut en déduire qu'il n'y a que du vieux !
Vous qui commencez à vous faire vieux, vous êtes en âge d'oublier vos vieux moeurs du passé !
Comme votre musique adoucit vos moeurs, y a prescription maintenant Jérôme pour avoir un bon traitement par les gens dans votre vie ! "
Une petite saynète entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine
et Gurvan Queffelec, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Gurvan, comment allez-vous ? "
Gurvan Queffelec, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Jérôme, j'espère que vous allez bien, que devenez-vous ? "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Je tiens le coup tant bien que mal en essayant de faire le bien non sans mal ! "
Gurvan Queffelec, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Jérôme, maintenant, ça ne peut qu'aller pour vous, vous avez quitté L'ESAT, donc y a prescription Jérôme, car comme on dit, c'est un mâle pour un bien pour vous avec un bon traitement de texte de vos poèmes sur Internet ! "
Jérôme de Mars
Personne ne me calcule !
Un plus un égale deux !
Car jamais deux sans trois !
Repliés en quatre d'deux !
Car jamais allez trois !
Comme reçu cinq sur cinq
Au je de l'addition !
Il faut qu'je me requinque
En une adéquation !
D'une équation d'la vie
A six sur cette question !
D'un grand huit infini !
Telle est la question !
Quoi de neuf cher Docteur ?
Pour réparer mon manque !
Quoi de neuf en mon coeur ?
D'un dix de chute en planque !
Personne ne me calcule !
J'compte sur moi funambule !
Lorsque j'ai des calculs
Névrotiques dans ma bulle !
Genre; j'en ai rien à foot
De lire le Onze mondial !
Traitement qui me shoote;
Jouant en amical !
Une heure de vérité
En démons de Midi !
Un leurre de vérité
En démons de Minuit !
Comme un vendredi 13 !
Rendez-vous à 16h !
L'jour du vendredi 13 !
Comme à treize à ces heures !
En lisant sept questions
En questions sans réponses !
M'enlisant cette question
En questions que je ponce !
Personne ne me calcule !
J'compte sur moi funambule !
Lorsque j'ai des calculs
Névrotiques dans ma bulle !
Transe genre; je suis devin !
Pas né dans l'année 20 !
Mais inné dans le vain !
Qui m'sôule le jour du vin !
Divin taureau bovin !
J'vais dans la cave à vingt !
Suranné deux mille vins !
Tombant dans le ravin !
Comptant rien qu'sur moi-même !
A quelle heure et quel jour ?
Contant rien qu'sur vous-même !
A quel leurre; à contre-jour ?
Et aditionnant l'tout !
Dont la chute en rechute
D'cette histoire malgré tout !
Est un bof dix de chute !
Personne ne me calcule !
J'compte sur moi funambule !
Lorsque j'ai des calculs
Névrotiques dans ma bulle !
Jérôme de Mars
Pêcheur de vers
En vers contre tous !
Je veux donner
Des coups de pouce,
Pour t'adonner
Donc à pêcher
Un gros poisson !
Donc sans pécher
Un gros poison !
Poison d'Avril !
Hors de question !
Poisson d'Avril !
C'est la question !
D'la pêche au gros
En gros d'poisson !
Sans pèche en gros
D'mauvais poison !
Pêcheur de vers;
Je suis ouvert !
Pècheur de vers;
Je suis over !
Je veux pêcher
Que je te l'donne
L'poisson pêché !
Je n't'abandonne !
J'ne veux pécher
D'faute animale !
Je veux pêcher
D'une belle morale !
Pour te donner
Tant à manger !
Pour t'redonner
L'envie d'manger !
Pour t'en nourrir
Pour toute la vie !
Pour ne t'mourir
Si affaibli !
Pêcheur de vers;
Je suis ouvert !
Pècheur de vers;
Je suis over !
Donc au travail
Qu'je te repêche !
T'es sur la paille !
Donc moi revêche;
Je veux qu'tu pêches
Un gros poisson !
Et non qu'tu pèches
Un gros poison !
En t'apprenant !
Donc à pêcher
L'poisson bravant
A m'en pêcher !
Ainsi à l'faire
Donc à ta place !
Tu dois le faire
Toi à la place !
Pêcheur de vers;
Je suis ouvert !
Pècheur de vers;
Je suis over
Jérôme de Mars
C'est très Causase !
Depuis le bled
A la casa !
Car in the bled;
Il en casa
A la maison !
Des Arméniens
Dès l'oraison;
Toujours enclins
D'lancer des vannes !
En un robinet;
Ouvrant des vannes
Pour débiter
A Erevan !
Toutes sortes de gens
Qui se pavanent
En mouvement !
C'est très Causase !
Qu'on case; recase
C'est très cocasse !
Qu'on se surpasse !
En en faisant
Toute une montagne !
En reparlant
D'la rase campagne !
Et des églises
Qui surplombent L'haut !
Sans qu's'amenuise
Cet eldorado !
Qui vise; révise
Toute son histoire !
En terre promise
D'un réservoir
Pour être en paix
Avec les nuits;
Qui ont brûlé
Le Sacristie !
C'est très Causase !
Qu'on case; recase
C'est très cocasse !
Qu'on se surpasse !
L'un des premiers
Pays Chrétiens !
Dans la bonté;
Pays humain
Dans la beauté;
Aimant; aidant
L'humanité !
En parsemant
En tant que bon
Samaritain !
En sentant bon
Comme le bon teint !
D'un beau pays
D'autant d'souffrances !
Et du dépit
En résilience !
C'est très Causase !
Qu'on case; recase
C'est très cocasse !
Qu'on se surpasse !
Jérôme de Mars
Racaille d'la cité !
Vilain p'tit canard !
Il y a le bitume
En ton grand regard !
Vide de ton enclume;
Il y a des consoles
De belle Nintendo !
En lot qui console
Ta peine en sanglots !
A cause de quelques gens
En leurs préjugés
D'un certain autre temps !
Non assimilé;
Et non intégré
En communauté,
Mais tu l'as prouvé
Que t'es intégré !
Racaille d'la cité !
Ton nom est cité
Que t'as incité
Ta saga citée !
Plus désintégrée
Dans un monde d'voyous !
T'as récupéré
Le monde des gens doux !
Et bon à quelque chose !
Et plus bon à rien !
Pour plaider ta cause,
Comme tu as besoin
De prouver aux gens
Qu'tu veux t'en sortir !
Donc en travaillant
Pour ne plus souffrir
Du regard des gens !
Entre l'chaud et le froid !
Ainsi tous méchants !
Qu'tu montres ta bonne foi !
Racaille d'la cité !
Ton nom est cité
Que t'as incité
Ta saga citée !
Genre y a pas photo !
De rester victime
D'vivre dans le ghetto !
Que tu n'envenimes
Pour trouver ta place
Dans la société !
N'refaisant de casse
Pour te confisquer
Retour en prison
En tant qu'condamné !
Regoûtant l'zonzon
De ton être damné !
Qu'là tu files ah droit !
Dans le droit chemin !
Montrant d'tes dix doigts !
Donnant des coups d'main !
Racaille d'la cité !
Ton nom est cité
Que t'as incité
Ta saga citée !
Jérôme de Mars
Crayon arc en ciel
Si on dessinait
L'amour dans le ciel !
On embrasserait
Toutes les tourterelles
Du vent élevant;
Volant rouge à lèvres !
L'ciel comme un aimant !
Amant rouge à fièvre !
D'la fureur de vivre
Au présent armant !
Duquel il faut vivre
Jusqu'à maintenant
De toutes les couleurs !
Crayons de couleurs;
C'est que du bonheur !
Rayons de couleurs;
Crayon arc en ciel !
En grattant le ciel;
Rayon arc en ciel !
Frottant le gratte-ciel;
Ciel universel;
Il faut essentiel !
Regarder l'Missel !
Implorant le ciel
D'reprendre des couleurs
Au ciel Ménestrel;
Voie de la couleur
D'un joli pot d'fleurs !
Bonne mine de crayon !
Taillée au soleil;
Bonne mine de rayon !
Taillée de merveilles;
Les couleurs font une !
Unies; elles s'assemblent !
En faisant la lune
Du ciel qui ne tremble !
Crayon arc en ciel !
En grattant le ciel;
Rayon arc en ciel !
Frottant le gratte-ciel;
Le soleil se lève
Dans un paradis !
D'une ève qui élève
Un beau ciel hardi !
L'ciel haut en couleurs !
Sème la volupté
Ciel enjoliveur;
Qui hume la bonté !
La beauté du ciel !
Tirant arc en ciel;
Une flèche éternelle
D'l'amour passerelle !
Déclenchant l'ardeur;
Rien que la ferveur
Des âmes en grandeur !
Aimant en vigueur;
Crayon arc en ciel !
En grattant le ciel;
Rayon arc en ciel !
Frottant le gratte-ciel.
Jérôme de Mars
Il faut composer avec tout ça !
Comme une chanson en répartition;
Si on écrivait de belles paroles !
Rallumant la vie sans extinction;
Donnant en vie d'faire la farandole !
Pour chanter la vie et dire merci !
Malgré les grandes épreuves de la vie !
Il faut relever tous les défis !
Que compte la vie pour rester à vie !
Un enchanteur de la bonne musique !
Pour toujours triompher des contre danse
A la mode d'la vie électronique !
Avec en acoustique; la tendance
De danser et d'condenser en bref !
Avec de l'énergie à revendre !
Surfant sur la nouvelle vague d'reliefs !
Avec autant de punch pour répandre,
Il faut composer avec tout ça !
Pour n'décomposer en aléas !
Tout ça pour ça ! Bonjour ! Les dégâts !
Il faut de la joie sans rabat-joie !
La vie se compose surtout la nuit !
Pour composer d'jolies mélodies,
Qui donnent envie de songer à vie !
A la vie qui se compose merci !
D'être en si bonne compagnie créole
Dans les Iles levant vers les Antilles !
Bonjour ! La Biguine qui auréole
Deux pas de danse qui frétillent; fourmillent !
Pour rester dans le vent qui redonne
L'envie ! De vendre du vent qui s'adonne
A la musique qui détonne; entonne !
Tout le monde sillonne et tourbillonne !
A fond la caisse ! Sans en faire des caisses !
Qui encaisse en des billets d'amour !
L'envie de faire l'amour sans espèces;
Reproduisant l'espèce d'un autre jour !
Il faut composer avec tout ça !
Pour n'décomposer en aléas !
Tout ça pour ça ! Bonjour ! Les dégâts !
Il faut de la joie sans rabat-joie !
Pour faire vivre chaque jour; rien à contre jour !
Avec le soleil en ritournelles;
Semeur d'jolies poésies d'amour !
Refaisant bercer les hirondelles !
Faisant battre de nouveau juste l'amour !
Remplaçant les poches sous deux p'tits yeux
Par l'embellie; vitamines d'l'amour !
Pour faire sourire tout-puissant les cieux !
Recomposant en mieux poétique;
Des mots qui redonnent en vie de vivre
De bien belles choses; couleurs exotiques !
Une énergie d'amour; ça enivre !
Avec l'envie d'écrire une chanson !
Qu'on soit épanouis ou maudits;
Qu'on perde la raison ou l'oraison !
Et pour mille et bonnes raisons merci !
Il faut composer avec tout ça !
Pour n'décomposer en aléas !
Tout ça pour ça ! Bonjour ! Les dégâts !
Il faut de la joie sans rabat-joie !
Jérôme de Mars
Notre cher Walid !
Si on parlait
D'notre responsable;
Du GEM si vrai;
Par ailleurs serviable !
Qui fait l'travail;
Jamais malade !
Dans le sérail
D'une belle balade !
Il nous emmène
Voir des musées !
Il se démène
Pour nous parler,
Toujours vers l'haut !
Grâce à Walid
Qui dit allo !
Sans prendre de rides !
Notre cher Walid !
Toujours limpide !
Même à L'Aïd;
Jamais aride !
Il est très drôle
Et généreux !
Prenant son rôle
Très au sérieux !
Sans un arrêt
D'bus; de métro !
Toujours au quai
Sans dire qu'c'est trop !
Pour rendre service
Aux adhérents;
Jamais novice
Luit compétent !
A d'la patience !
Pour animer
Avec vaillance;
Et nous aider
Notre cher Walid !
Toujours limpide !
Même à L'Aïd;
Jamais aride !
Sans prises de becs !
Il est gentil
Sans des mots secs !
En être docile;
Irréprochable;
Si rassurant
En être affable;
Toujours confiant
En l'avenir;
Rien qu'avec nous !
Pour n'rien franchir
Sans des garde-fous !
Il a le cœur
En coup de main !
Pour notre bonheur !
Et pour demain !
Notre cher Walid !
Toujours limpide !
Même à L'Aïd;
Jamais aride !
Jérôme de Mars
Achète Baker !
Monnaie d'la pièce !
Artiste de jazz;
Ecoute sa pièce
Sur ton teppaz !
De son standard;
Que tu appelles
En un standard !
Lors d'un rappel
Sans un tambour,
Mais une trompette !
Durant chaque jour
De cette bluette;
Qui fait jazzer
Dans les brancards !
Qui fait ruer
Sur les trottoirs !
Achète Baker !
Ecoute par coeur !
A Chet Baker !
Ecoute ton coeur !
En sa trompette ;
Qui joue en âge !
Une chansonnette;
Qui fait son âge !
Creusant ses joues
En sa trompette;
Qu'il met en joue
En sa bluette !
Que Chet achète
L'orchestre de Jazz !
Afin que Chet
Sur un teppaz;
Fasse jouer l'orchestre
En un trombone !
D'l'appel pédestre
En saxophone !
Achète Baker !
Ecoute par coeur !
A Chet Baker !
Ecoute ton coeur !
Allant d'Paris
A Orléans !
Dans la furie
Nouv'lle Orléans !
En Amérique;
Musique de Jazz !
Très mécanique
Sur ton teppaz !
Avant c'était
Charlie Parker !
Maintenant sait
A Chet Baker !
Un artiste d'jazz;
Que tu écoutes
Sur ton teppaz !
En clé de voûte;
Achète Baker !
Ecoute par coeur !
A Chet Baker !
Ecoute ton coeur !
Jérôme de Mars
Mes peaux aiment !
Sur une feuille;
J'en écris
Un recueil
D'poésie !
Qui traduit
Tout l'état !
De ma vie
En amas !
D'un jet d'encre
Imprimé !
Jetant l'ancre
Comprimé !
D'mon état
Abîmé !
En un tas
Consumé !
Mes peaux aiment !
Mes mots sèment
Mes poèmes
D'ma bohème !
En un pot
Très pourri !
Manque de peau
Si flétrie !
A écrire
L'florilège !
A traduire
L'sacrilège !
D'mon fardeau !
Qui me pèse
Demi-mot !
C'est obèse !
Que je pèse
Tous mes maux !
En mon pèze
Du dico !
Mes peaux aiment !
Mes mots sèment
Mes poèmes
D'ma bohème !
Que ma vie
Est corvée
D'hérésie !
Ecorchée
A m'pourrir
Manque de peau !
A croupir
Sous l'ghetto !
Que je meurs
A p'tit feu !
D'extincteurs !
J'suis odieux !
D'insulter
Toute ma vie !
Rétamée
En folie !
Mes peaux aiment !
Mes mots sèment
Mes poèmes
D'ma bohème !
Jérôme de Mars
Une chanson médicale
Si on soignait les gens !
En oubliant l'orage
De ce temps grisonnant;
Qui fait encore naufrage !
Aux bords de ce ramage;
En chantant des chansons
Et en rendant hommage
A chaque nouvelle saison !
Qui resplendit le ciel
Formidable; admirable
En des couleurs d'arc en ciel !
Pour rendre les gens aimables
Et extraordinaires
Sous un soleil sublime;
Allumant sur La Terre
Quelque chose qui anime !
Une chanson médicale
Guérissant tout le mal;
Une chanson musicale
Apaisant tout le mal;
Que se font tous les gens !
On n'connaît la raison !
Pour guérir leurs tourments,
On connaît l'oraison !
Pour soigner les excès
Grâce à un antidote !
Pour panser les abcès
Grâce à une bergamote !
La musique; elle guérit
Tous les mauvais démons !
La musique aguerrie;
Elle en brave tous les monts !
Ecrivant troubadour !
Que des mots qui apaisent
En de beaux mots d'amour !
Avec des mots sans pèze !
Une chanson médicale
Guérissant tout le mal;
Une chanson musicale
Apaisant tout le mal;
Parlant juste que d'amour
En racontant fleurette !
Ca en vaut le détour
De chanter cette bluette !
Avec légèreté !
Sans aucun pèze qui pèse
Dans la médiocrité
En gros d'un genre obèse !
L'argent est gourmandise !
Bouffée à velouté !
L'argent est roublardise !
Buffet à volonté !
Et si on guérissait
Le mal par de la joie !
En chantant l'amitié
En ayant pour chackra !
Une chanson médicale
Guérissant tout le mal;
Une chanson musicale
Apaisant tout le mal.
Jérôme de Mars
Tout le monde paie en brute !
Trop brut de décoffrage !
Plus personne ne se saque
Plus sage, comme une image !
Pour vider tout son sac !
Méchanceté gratuite;
Y en a plus de morale !
Y en a plus d'eau bénite !
Qu's'étend en large le mal !
Et dans tout ce bas-monde;
Plus personne n'est très net !
Internet de l'immonde;
Se cassant la nénette !
Dans ce monde de grosses brutes;
Plus rien dans la cervelle !
Que tout le mal; il mute !
Rendant l'monde solennel !
Tout le monde paie en brute !
Plus en net mais en brute !
Tout va tous azimuts !
Comme tout se répercute !
Impôts d'mauvaise fortune !
Pourquoi personnne n'a du coeur
En revers d'infortune !
Pour puer la rancoeur,
Sans aucun pacemaker
Pour refaire battre ce monde !
Avec que du bonheur
Pour s'en battre de qui gronde !
L'argent n'fait le bonheur !
Tout l'monde paye en brute
La brute; le brut n'font coeur !
La preuve que tout hait brut !
Et que personne naît net !
En ne payant gratuit !
Que personne n'est là net !
En payant tout fortuit !
Tout le monde paie en brute !
Plus en net mais en brute !
Tout va tous azimuts !
Comme tout se répercute !
Dans l'argent racontant
Que le temps; c'est d'l'argent !
Parlant argent comptant
En place du coeur content !
L'argent n'rend éternel
Ceux qui pensent qu'à l'argent !
L'argent rend solennel
Ceux qui pansent qu'à l'argent !
Or ! Il vaut toujours mieux
Avoir de l'argent net !
Pour aller jusqu'aux cieux,
Conscience tranquille du net !
Et pour avoir l'esprit
Sain en bons sentiments !
Y a pas qu'l'économie
D'paie de ressentiment !
Tout le monde paie en brute !
Plus en net mais en brute !
Tout va tous azimuts !
Comme tout se répercute !
Jérôme de Mars
Maroc qui ne rit...
Dans ce beau pays
Où les gens accostent,
Il y a l'embellie
De ceux qui s'accostent
En des accolades !
Ce pays d'accueil
En des roucoulades;
Les gens ne sont seuls !
Comme ils restent ensemble
Avec des valeurs !
Où tous se rassemblent
Dans un pur bonheur !
Y a pas que l'argent
Dans c'triste cataclysme !
Personne n'est comptant !
Depuis le séisme !
Maroc qui ne rit...
Sans larmes d'crocodile;
Maroquinerie
Sang larmes d'crocodile;
En cette traversée
Du désert de sable;
Ils ont traversé
Un temps exécrable !
Fait désillusions
En butte de leur lutte !
Faite sans illusions
Personne ne se butte !
Tout le monde s'assemble
Dans leur élément !
Tout l'monde se rassemble
Comme de purs aimants !
Face à ce soleil
Pour être à la une !
D'ce soleil vermeil
Montant jusqu'aux dunes !
Maroc qui ne rit...
Sans larmes d'crocodile;
Maroquinerie
Sang larmes d'crocodile;
L'Maroc dans sa lutte
Etant sur la paille !
Il construit des huttes;
Les huttes qui empaillent
Ceux qui sont rongés
Par la mort remord !
Pour tous les soigner;
Il faut rester fort !
Pour les consoler
En des accolades;
Il faut cajoler
C'pays en balade !
Embrassant d'amour
Avec des caresses !
Chantant troubadour
L'amour en liesse !
Maroc qui ne rit...
Sans larmes d'crocodile;
Maroquinerie
Sang larmes d'crocodile.
Jérôme de Mars
Une chanson qui fait mouche !
Voiture de coccinelle;
Elle refile le cafard
Qui fourmille d'ritournelle !
Eclairant le cagnard;
Qui refile le bourdon
Vers le chant des cigales;
Qui était la saison
Aux dépens des cigales
Economes à la une !
Du miel et les abeilles
Agronome, dès la lune
D'une lune de miel qui veille
Au soleil économe
En déni de fourmi,
Qui fourmille agronome
Et d'un nid de fourmis !
Une chanson qui fait mouche !
Paraît qu'on n'attire les mouches
Avec du vinaigre d'souche !
D'un mouche du coche qui mouche
La vermine qui débecte
Une colonie de fourmis
En des vacances d'insectes;
Qui fourmille de folie
Dès l'effet papillon
Lors d'l'été des chenilles !
D'la chenille en saison
Au papillon qui brille;
Qui envole les hirondelles
Et toutes les libellules !
Qui s'attirent à tire d'ailes !
Qui ovulent puis pullulent...
Tirant les vers du nez
Au poète qui fait mouche !
Avec les doigts dans l'nez
En un spray qui fait mouche !
Une chanson qui fait mouche !
Paraît qu'on n'attire les mouches
Avec du vinaigre d'souche !
D'un mouche du coche qui mouche
Qui mousse tics les moustiques
Dans la loi du talion;
Des moustiques-tigres qui tiquent !
Sentant le fauve du lion !
Rien qu'au marché aux puces
Oh ! Les punaises de lit !
Excitées comme des puces !
Punaises d'poster délit !
En tissant rien qu'une toile
D'araignée en peinture !
Dormant à la belle 'toile !
Pouvant voir en peinture
La compagnie des insectes;
Qui volent dans les pays !
Tellement qu'ils débectent
Pour tous les goûts exquis !
Une chanson qui fait mouche !
Paraît qu'on n'attire les mouches
Avec du vinaigre d'souche !
D'un mouche du coche qui mouche.
Jérôme de Mars
Mère rapporteuse !
De mon enfance;
J'avais une mère !
En mon offense
Sans un repaire !
Qu'elle ne pondit
Un tas d'autres eux !
Qu'elle m'répondit
Que de ses œufs;
Elle n'fit d'inceste !
Rien avec moi !
Je m'en déleste !
Comme toutefois !
Ma mère m'en fit
Quelqu'un d'inné !
En faisant fi
Que ma mère n'est !
Mère rapporteuse !
Elle sulfureuse;
En mère porteuse !
Toujours furieuse;
Qu'elle déroulait
Sans aucun frein !
Qu'elle en roulait
L'refrain enfreint !
Mère hystérique
En crises de nerfs !
Roule mécanique
D'la guerre des nerfs !
Système nerveux
Rien que pour elle !
J'fus un morveux;
Mort vœu d'Noël !
Mère acolyte
Genre frénétique !
Aux ovocytes
Si hystériques !
Mère rapporteuse !
Elle sulfureuse;
En mère porteuse !
Toujours furieuse;
Je fus conçu
Par mes parents !
Genre préconçu
Enfant n'aimant !
En son côté
Précoce qui veut
En à côté !
Un désaveu
Prématuré;
Comme un bébé !
Prématuré
Et avorté
Sans PMA;
Laissée portée !
Sans GPA;
Laissée porter !
Mère rapporteuse !
Elle sulfureuse;
En mère porteuse !
Toujours furieuse.
Jérôme de Mars
Sers-je Gainsbourg ?
Artiste libre;
Il naquit !
Lui qui vibre
L'être exquis !
L'2 Avril
En 28 !
Sur le fil
Qu'il lévite
De son art
D'origine !
Luit Gainsbarre
Qu'il dessine
De son être
Mal-aimé !
Pour paraître
L'plus complet !
En ballade
Initiale !
BB Clyde
En balade !
D'un dépôt
De plainte !
Y a du pot
De complainte !
Marseillaise;
Reggae
Charentaises !
Aux armes d'guêt !
You'under
The arrest !
Incendiaire
Pour le reste !
De sa Jane
A Bardot !
Ca n'le gêne
Le bédo !
Qu'il n'eut donc
Pas la gale !
En France donc !
C'est l'égal !
Sers-je Gainsbourg ?
Des faux bourgs;
Serge Gainsbourg
Des faubourgs;
D'origine
Roulette Russe !
Juive d'racines
Quoiqu'il fusse !
L'poète maudit !
Artiste peintre;
Qu'il dédie
D'Melody !
Elisa;
L'poinçonneur
Des Lilas;
Enchanteur
Qu'il mit l'eau
A la bouche !
Donc hello
Sur la touche !
Libérant
69 !
S'excitant
L'69 !
Erotique
Sur année;
Poétique
Suranné;
Comme il dit
A Angèle !
Et souris !
Comme on gèle !
De Melody
A Nelson !
D'une mélodie
Qui résonne
See; sex; sun
Dans la lune !
Une du Sun;
C'est la une !
D'légionnaire !
Un emprunt
Piaf ! Faux airs
80 !
Sers-je Gainsbourg ?
Des faux bourgs;
Serge Gainsbourg
Des faubourgs;
Qu'il chanta
La chanson
D'Prévert là !
Chaque saison
D'l'anamour;
Décadanse !
Troubadour;
De la chance !
Aux enfants
De la chance !
Exact'ment
L'innocence !
Sous l'soleil !
D'Javanaise
Là vermeil !
Sans fadaise !
En effet
Boomerang !
Que fut fait
Son drôle d'gang !
Qu'il débite
De son love
On the Beat !
Qui rénove
Son image
Jamais sage !
A l'image
Qui présage
Qu'il mourut;
Or de bronze
Absolu !
Sa mort l'bronze
Le 2 Mars
En 91 !
Planète d'mars !
Coule son bronze !
Son génie
Sur Paris !
Pour la vie !
L'incompris !
Sers-je Gainsbourg ?
Des faux bourgs;
Serge Gainsbourg
Des faubourgs.
Jérôme de Mars
Le café linéaire
Dans la faune et la flore;
Je vais me cultiver
Buvant les mots exports
En quête de liberté !
D'un bon percolateur;
C'est toujours fort d'café !
D'un bon torréfacteur
Dans le Marc de Café !
Je lis d'désinvolture
En mon jeu d'écriture !
Sans contre marque de culture !
Qui n'est une imposture !
Jetée en pleine figure;
Stylo de mon jet d'encre !
Rejetée configure;
C'est l'objet de mon encre !
Le café linéaire;
Solidaire; libertaire !
Le café littéraire
Des livres contestataires !
Au café suspendu
Solitaire solidaire;
Que je suis suspendu
En une quête libertaire
De boire mon café d'artiste
En ma fibre si sociale !
Qu'je veux rester altruiste;
Hédoniste; amical !
Pour lire tout l'avenir
D'un bon Marc de Café !
Buvant tout le plaisir
De boire un bon café
Au café du Troquet !
Ame d'artiste très rebelle;
Requête de liberté
M'évadant d'façon belle !
Le café linéaire;
Solidaire; libertaire !
Le café littéraire
Des livres contestataires !
Parlant l'inquisition
De la recherche des mots
En une révolution;
Faisant aller vers l'haut !
Montant d'un escabeau !
Voyant sur une échelle;
La joie d'un monde plus beau !
Elançant fraternel;
L'origine radical
Des mots en conflit !
Qui désire si verbal;
Un bal d'vers définis
En une fête d'confettis !
Remise du prix d'un livre
Au café d'Flore qui fleurit
D'un mot d'où je m'enivre !
Le café linéaire;
Solidaire; libertaire !
Le café littéraire
Des livres contestataires !
Jérôme de Mars
Le bazar fait bien les choses !
Nom d'un putain de bordel !
Il y a tout un bric-à-brac,
Pour slamer cette ritournelle;
Grossiste d'artiste d'tact au tact !
Comme le Big Bazar d'Fugain !
On y trouve d'un tas d'articles;
Articles de la presse d'demain !
Il y a des cycles qui recyclent
Les objets qui font l'objet !
En sortant les griffes d'achat
Du capharnaüm d'objet !
Avec pour pouvoir d'chat;
Un achat à fond la caisse !
D'L'Euro en appât du gain !
Payant content en espèces !
Et donc pour bien faire l'appoint;
Le bazar fait bien les choses !
Pour bien remuer les choses,
Le hasard fait bien les choses !
Pour bien échanger les choses,
Si l'espèce est menacée;
Il faut payer en liquide
Sa dette ! Pour mieux rembourser
L'capitalisme qui liquide
Parlant en argent comptant !
Sans connaître le prix des choses !
Si la parole hait d'argent !
C'est l'argent qui est en cause
A cause de devoir toujours
Payer ce qui est gratuit !
Ca n'vaut le détour vautour !
De l'argent qui n'est fortuit
En méchanceté gratuite !
A payer les libéraux:
L'eau toute bénite est gratuite
D'points cardinaux radicaux !
Le bazar fait bien les choses !
Pour bien remuer les choses,
Le hasard fait bien les choses !
Pour bien échanger les choses,
L'argent a tant de pouvoir !
Achetant les sentiments
Automates; sans s'émouvoir
De la vie n'réconciliant
Les gens qui n'pensent qu'à l'argent !
N'y allant avec le dos
De la cuillère en argent !
L'argent provoque des bobos !
Des bourgeois bohème à gauche !
Qui prennent le gauche de la droite,
Comme de la droite; ils sont gauches !
En des maux extrêmes à droite !
L'argent certes ne fait pas tout !
Mais comme l'temps; c'est de l'argent !
L'objet de la vie en tout
A pour pouvoir fructifiant !
Le bazar fait bien les choses !
Pour bien remuer les choses,
Le hasard fait bien les choses !
Pour bien échanger les choses.
Jérôme de Mars
Je me fais du mâle pour ne faire du mal aux autres !
Mes cieux audacieux; monsieur odieux pernicieux !
J'n'en ai rien à faire de mes affaires; rien affaire !
Que dans ma vie; plus rien n'est précieux capricieux !
Comme ma vie est un enfer ! A force de m'en faire !
Dans un paradis d'enfer ! Parodie d'en faire !
Un paradis artificiel d'en faire d'enfer
Dans une parodie d'en faire ! Paradis d'enfer !
Une parodie artificielle d'enfer d'en faire
Un diable d'enfer d'en faire un sacré diable d'enfer !
Pour transporter un chariot d'en faire l'paradis !
D'un diable d'en faire d'enfer un sacré diable d'en faire !
Transportant un chariot d'enfer la parodie !
De mon image qui s'écorne par les cornes du diable !
Et en prenant le taureau par les cornes du diable !
De mon image de par les cornes d'enfer du diable !
En m'éprenant de par les cornes d'en faire du diable !
Je me fais du mâle pour ne faire du mal aux autres !
Que j'en saigne animal comme personne ne me vautre !
Je me donne du mal pour ne faire du mâle aux autres !
Que j'enseigne animal comme personne ne me vôtre !
Je me ronge les ongles pour défendre rubis sur ongles !
Restant droit devant et plus maladroit déviant !
Les ongles m'rongent de l'intérieur; prises de becs et ongles !
N'restant droit déviant pour être mâle adroit devant !
Je suis un mâle heureux; un malheureux du slam !
Qui chante; déchante si bien que quand tout ça me chante !
J'vous suis en malheureux; en mâle heureux du slam !
Qui déchante; chante et bien et quand tout ça m'en chante !
J'parle pour ne plus déchanter que la vie m'enchante !
Jouant avec les mots; surjouant d'par les mots !
Comme tout ça me parle avec la vie qui m'déchante !
Déjouant tous les maux; c'est l'envers du dico !
La vie, je la vis qu'elle m'envie; je la dévie !
Qu'tout ça fait du bruit en débris faisant du brie
De Comté; sans compter pour personne en des bris
De glace; je fends l'armure sans des fêtes d'confettis !
Je me fais du mâle pour ne faire du mal aux autres !
Que j'en saigne animal comme personne ne me vautre !
Je me donne du mal pour ne faire du mâle aux autres !
Que j'enseigne animal comme personne ne me vôtre !
En une affection de longue durée en durée !
Avec tout ce que j'ai supporté enduré !
Que j'ai trop morflé écorché d'un ricochet !
Faisant hibou; caillou; chouchou d'un ricochet !
Je n'ai point marqué; remarqué une marque de luxe !
Avec l'en vie de me jeter par la fenêtre !
Que je me luxe le moral avec pour velux;
Pas l'envie de jeter l'argent par la fenêtre !
J'essaie tant bien que mâle de faire le bien sans mal !
Même si je me donne du mal pour faire tant le bien !
Malgré mon côté animal; je n'fais le mâle !
O combien déconseillé pour en faire un lien !
Pour penser; compenser; autant à moi qu'aux autres !
Car même si je suis odieux; je peux croire à Dieu !
Comme au bon Dieu et à tous ses très bons Apôtres !
Qui me donnent encore tant en vie d'y croire radieux !
Je me fais du mâle pour ne faire du mal aux autres !
Que j'en saigne animal que personne ne me vautre !
Je me donne du mal pour ne faire du mâle aux autres !
Que j'enseigne animal que personne ne me vôtre !
Jérôme de Mars
On en voit la couleur !
Aux couleurs de la vie !
D'une vie rose qui arrose
Aux couleurs qui dévient
D'une vie en sinistrose !
Aux mots roses qui voient rouge !
En noir et blanc sans blanc;
N's'arrêtant au feu rouge !
Troublant; tremblant; semblant !
Où on voit tout en gris !
Quand tout l'monde est marron !
En cet immonde aigri;
Sans nourriture d'marrons !
En des marrons chauds;
Grande période de froideur;
Personne n'est jamais chaud !
A cause des bleus au coeur !
On n'en voit la couleur !
Jamais haute-en-couleurs !
Pour reprendre des couleurs !
Ce monde manque de couleurs !
Pressé comme une orange !
Manquant de jus en jaune;
Travaillant à Orange;
Qui ne s'arrange en jaune !
C'est la faune et la flore
En c'monde ultra-violé !
Personne ne fait le fort !
N'bronzant ultra-violet !
Personne n'est vraiment noir !
Personne n'est vraiment blanc !
Même en broyant du noir
D'un humoir noir sans blanc;
Etant si noir en gris;
Ce monde manque de gri-gri !
Pour ne plus être et gris,
On veut d'la griserie !
On en voit la couleur !
Jamais ôte-en-couleurs !
Pour reprendre des couleurs !
Ce monde manque de couleurs !
Qu'on veut du bleu très clair !
Et plus de bleu foncé !
En formes de bleus éclairs !
Et plus d'bleu défoncé !
Qu'on veut un bleu turquoise !
Sans des presqu'îles turquoises
En des couleurs sournoises;
On veut des Iles Turquoises !
On veut du rouge très vif
En couleur écarlate !
Sans rouge piqué au vif
En couleur délicate !
Plus de couleurs émeraude;
Fragiles d'ptits bijoux !
Qu'on veut une chose qui brode
Un arc en ciel bijou !
On en voit la couleur !
Jamais ôte-en-couleurs !
Pour reprendre des couleurs !
Ce monde manque de couleurs !
Jérôme de Mars
Rimbaud et Verlaine
Deux poètes maudits;
Ils en furent un couple
De mélancolie;
Qu'ils ne furent guerre souples
Avec tout leur spleen;
Eux; ces grands corbeaux
En vers plus que green !
Lettres de ces corbeaux !
En leurs trop gros mots
Aux mots sexuels !
Sans eldorado
Homosexuel !
Quand le bateau ivre;
Livre que des grosses larmes !
Quand le bateau livre
Le givre qui désarme
Pierrot; sa lune blanche
Sur l'herbe à Paris !
L'art poétique flanche
La mort qui fleurit
D'premières communions !
Entre vents et colères !
D'leur première union
A Charles Baudelaire;
Rimbaud et Verlaine;
D'l'amour à la haine !
L'amour fut rengaine !
Qu'il n'reprit haleine !
A l'aube qui taraude
L'soir d'un clair de lune !
Vie fragile d'émeraude;
Comptant pour des prunes !
Le dormeur du val
D'Marne; bal des pendus !
Qui dévale l'aval
D'Septembre suspendu !
Il pleut dans mon coeur !
Une mélodie d'poèmes;
Que l'amour rancoeur
En fut ma bohème !
Dans l'angoisse oraison
D'une nuit en enfer !
Qu'ils n'eurent pas raison
A force d'trop s'en faire !
L'poète et la muse
Vivent bien tous ces vers !
Madame; ça l'amuse !
La vie est sévère !
Bien ces vers sans filles !
Eux; ils ne filent droit !
Que leur vie défile
En mots maladroits !
Rimbaud et Verlaine;
D'l'amour à la haine !
L'amour fut rengaine !
Qu'il n'reprit haleine !
Quand le loup criait
Tout leur coeur volé !
Leur mal effaré;
Bouffé en buffet !
Manque de volonté !
Manque de femmes et chattes !
Tous les soirs d'été;
Rendant écarlate
Leur rouge sérénade
Au soleil couchant !
Chantant leur ballade;
Promenade sentant
L'soleil du matin !
Avec pour mémoires
En bateau; l'entrain
Pour boire en déboires !
J'ai toujours presque peur
En vérité des vers !
Adieu ! Le bonheur !
Qui reflète ces vers !
Bien après trois ans
Une chanson d'automne !
D'la rivière pleurant
En danse monotone !
Rimbaud et Verlaine;
D'l'amour à la haine !
L'amour fut rengaine !
Qu'il n'reprit haleine !
Jérôme de Mars
Le blues du poète maudit
Mélancolie d'accoudoir;
Je ne fais que trop pleurer
Aux reflets de mon mouchoir !
Aux regrets d'ma vie passée;
Qui passe firmament du temps
Mensonger, comme de mes rêves
Aux cauchemars; m'embrasant
Avec le feu qui m'achève !
Ecrivant mon désespoir
En saignant de mon sang d'encre;
Que ma vie est un foutoir !
Surtout la nuit d'un jet d'encre !
M'y laissant des plumes si noires
D'mon stylo à l'emporte-plume !
Qui est l'cruel exutoire;
M'enfonçant vers le bitume !
Le blues du poète maudit;
A tous les maux qu'on me dit !
Le blues du pote être mots dits;
A tous les mots qu'on me dit !
Je fais monotone d'une feuille
Morte; franc-parler en langue morte !
Quelque chose; j'sors un recueil !
Je fais mon automne d'une feuille
Forte; franc-parler en langue forte !
Me livrant tapis de feuille !
D'sorte de murmurer voix forte !
Me livrant tapi de feuille !
En écrivant un beau livre;
Qui me livre mes états d'âme !
En forme d'poèmes qui m'enivrent;
Qui me livrent à l'état d'lames !
Les aléas de la vie !
Au fil du temps qui se meurt !
Que la vie me rend flétri !
Extinction des projecteurs !
Le blues du poète maudit;
A tous les maux qu'on me dit !
Le blues du pote être mots dits;
A tous les mots qu'on me dit !
Je déferle d'mon vague à l'âme !
En mon internet d'fossettes;
Qui m'inspirent tant pour le slam !
Que j'en fais un drame d'saynètes !
Ma vie part en des lambeaux !
Sans remparts d'sécurité;
Mes excès me font la peau !
Remparts d'insécurité;
Je vais tout droit dans le mur !
D'un bloc de mur de béton !
Que je perds ma vraie nature !
D'un bloc pas mûr laisse-béton !
J'écris pour ne pas pleurer
En peinant de ma peine !
Je jette l'encre pour m'défouler
A peine ! Faisant de la peine !
Le blues du poète maudit;
A tous les maux qu'on me dit !
Le blues du pote être mots dits;
A tous les mots qu'on me dit !
Jérôme de Mars
Toute l'humeur des gens
Humeurs bipolaires;
On en naît tous là !
Humeurs délétères;
On en est tous là !
Du temps lunatique;
Changement d'humeur !
En périodes cycliques;
Changement tu meurs !
Que tout l'monde s'éclipse
Dès le soir d'la lune !
Avec pour ellipse;
La montée d'la dune !
Plus rien n'tourne en rond !
Aux gens euphoriques;
Qui s'soûlent rubiconds !
Et soûlent frénétiques !
Toute l'humeur des gens;
Sautes d'humeur volcan;
Des tourments néants
Aux gens apaisants;
En c'monde toxico;
Ultra agressif !
En c'monde maniaco;
Ultra dépressif !
Lumières du soleil
D'un clair de lumière !
A l'ombre de vermeille
Sombre d'merveilles éclairs !
Personne n'se comprend
Dans ce monde qui change !
Regrettant touchant
C'monde qui manque d'échanges !
Changeant; fluctuant
En fonction du temps !
Qui tourne constant
Direction le vent !
Toute l'humeur des gens;
Sautes d'humeur volcan;
Des tourments néants
Aux gens apaisants;
Les gens changent d'humeur !
Comme le temps qui change
D'humeur et d'bonheur !
Le monde se mélange
Entre les déprimés;
Les gros schizophrènes;
Les grands névrosés;
Que rien ne réfrène !
En problèmes d'humeur
Et d'identité;
Masquant leur humeur !
N'pouvant effacer
Leurs mauvaises humeurs !
Entre joies et tristesses;
Colère et bonheur;
D'harmonie d'liesse;
Toute l'humeur des gens;
Sautes d'humeur volcan;
Des tourments néants
Aux gens apaisants.
Jérôme de Mars
Papier à musique
A portée de notes !
En trouvant ses mots;
On apporte des notes !
Qu'on note crescendo !
Faisant l'interro
En quête d'partition !
Notant sur l'piano;
La répartition
En une portée d'mots !
Apportée synchrone;
Qui fait des échos
De musique qui sonnent !
Emportée de notes
Qui met que des notes;
D'interro qui trotte
Dans la tête; qui frotte !
Papier à musique;
Roule des mécaniques !
Mémos de techniques;
Qui fait d'la musique !
Partition d'musique !
Tape sur le tam tam !
Qui fait pas tes tics
En des mots qui slament !
D'une musique de bruit;
Ambiance garantie !
Les mots font débris !
Composant joli;
La folie des grandeurs !
Composant rythmique
Ce qui fait fureur !
L'heure de la musique
Folie des frondeurs !
Quand un traitement
D'médiator chante leurre !
En en composant
Papier à musique;
Roule des mécaniques !
Mémos de techniques;
Qui fait d'la musique !
On a les papiers
Pour faire d'la musique !
Avec cent papiers
Pour faire pacifique
Tout en pénétrant !
Entre dans les critères !
Rentre émoustillant !
Colère; décolle l'air
De rien ! L'air du temps !
Prenant tous les airs
Débonnaires; chantant
Les bals populaires !
Avec un papier;
Un crayon d'couleurs !
Glissant le papier;
Ampli de candeur !
Papier à musique;
Roule des mécaniques !
Mémos de techniques;
Qui fait d'la musique !
Jérôme de Mars
Romanichelle
Chic bohémien;
Je suis très louche !
Comme un Indien !
Jouant manouche !
Des airs gitans
De la bohème
En claironnant;
Anti-système !
Un marginal
En file Indienne !
Un original
Amère Indienne !
Je fume Gitane !
Jouant Roumain
Des airs tziganes !
Payant rupin;
Romanichelle
En ritournelle !
De manivelle;
Qui amoncelle
Une pléiade d'choses
En artiste libre !
D'une overdose;
Bohème qui vibre
Fumant roulés;
Que des gitanes !
J'fume déroulée !
Toute la havane !
Ainsi d'ma vie !
Qui part en fume;
Fumée d'ennui
Sur le bitume !
De ma bohème
Si marginale;
Anti-système
Originale;
Romanichelle
En ritournelle !
De manivelle;
Qui amoncelle
En vagabond;
Je fume nuages
D'Reinhardt ! Ah ! Bon !
Jouant nuages
Nuages d'fumée !
Tziganes qui fanent !
Epoumoné
En mélomane !
Jouant manouche
Des airs Roumains !
Indiens si louches !
Fumant rupin;
En file Indienne !
Le calumet
Que de la paix !
Amère Indienne !
Romanichelle
En ritournelle !
De manivelle;
Qui amoncelle.
Jérôme de Mars
Rendez-vous à ces heures !
Une heure de vérité;
A n'importe quelle heure dite !
D'un leurre de vérité;
A une messe qui est dite !
A ces heures éperdues;
Font c'est du pain béni !
A ces grandes heures perdues,
Quand il y a des non-dits !
En quelques sorte des messes basses;
Chaque jour compte vingt-quatre heures !
Jouant en contrebasse
A contre-jour conte des leurres !
Faisant l'confessionnal !
Confessant des péchés;
Faisant cérémonial !
En confiant en péchés;
Rendez-vous à ces heures !
Rendez-vous à seize heures !
Rendez-vous à cette heure !
Rendez-vous en ce leurre !
Au curé de l'église;
C'curé est une cloche !
Que sa foi; il la puise !
Y a quelque chose qui cloche !
Quand il faut mettre la pierre
A tout son édifice !
Quand y a de la matière
A tout son artifice !
Ecrivant des paroles
Sur la bible d'son histoire !
Toutes les paroles s'envolent !
Travers du purgatoire
Sans un régime Missel;
Surtout quand les cris restent !
Et d'un régime Mi-sel;
Missel; sans sel; pour l'reste !
Rendez-vous à ces heures !
Rendez-vous à seize heures !
Rendez-vous à cette heure !
Rendez-vous en ce leurre !
Pour avoir des repères
En une vie sans la nuit !
S'il y avait en repaire
La foi rendant toute ouïe !
Le fait d'y croire encore !
Rassemblant en réunion
En des accords raccords;
L'union en communion !
Tout le monde se mélange !
Afin que tout s'arrange
D'une vidange en vie d'ange;
Qui se change en échanges
D'écrits contre des paroles !
Faisant manichéens
Qu'du lien en farandole !
Faisant tant mal que bien !
Rendez-vous à ces heures !
Rendez-vous à seize heures !
Rendez-vous à cette heure !
Rendez-vous en ce leurre !
Jérôme de Mars
A la sueur de mon affront à L'ESAT La Fabrique !
Voici une petite saynète sur L'ESAT La Fabrique, où deux amis, anciens collègues de L'ESAT La Fabrique se confient des choses au sujet de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique à Vitry sur Seine :
Voici Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite; qui appelle avec son téléphone portable Charlotte Prêtre, son amie et ancienne collègue de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :
- " Allo, bonjour Charlotte, comment vas-tu ? C'est Jérôme qui t'appelle au téléphone ! "
Charlotte Prêtre, ancienne agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :
- " Bonjour Jérôme, moi ça va ! Et toi ? En tout cas, je voulais te redire, je te trouve beaucoup mieux depuis que t'as quitté cet ESAT de merde à L'ESAT La Fabrique, tu étais tellement au bout du rouleau qu'il n'y avait plus de papier toilettes quand les gens allaient aux toilettes ! Surtout à cause de Benoîte Barreteau, cette fausse sceptique, dont son bureau de cabinet de pseudo psychologue était à côté des cabinets toilettes, que pour toi, elle fut un rouleau-compresseur qui te mit au bout du rouleau de papier; et à cause d'elle, tu n'eus jamais d'écu avec tes problèmes d'argent d'allocations de l'époque ! Jérôme, je me demande bien ce que t'y as fabriqué à L'ESAT La Fabrique ! A part perdre ta santé à la prison de la santé où tu fus si renfermé avec aucune clé de la solution ! "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :
- " Pour répondre à ta question Charlotte, moi ça va ! Ca ira mieux le jour où cet ESAT de merde fermera, où je pense que je trouverai la clé de la solution pour être ouvert et ne plus être Over renfermé ! Tu vois Charlotte, je pense que l'atelier conditionnement va couler quand Eric Thébault, le moniteur principal de l'atelier conditionnement va prendre sa retraite en Juillet 2025, surtout qu'à partir de ce moment-là, Eric pourra dire qu'il s'en bat en retraite de L'ESAT La Fabrique tout comme toi, alors que moi, je bats en retraite depuis ma démission de cet ESAT le 17 Février 2021 ! En plus il paraît qu'à L'ESAT La Fabrique, il n'y aura pas de fête de Noël en Décembre 2023 prochain, comme l'atelier cuisine a perdu un gros client, ce qui fera un manque d'argent pour cet ESAT ! "
Charlotte Prêtre, ancienne agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :
- " Jérôme, c'est bien fait pour leur gueule à cet ESAT de merde ! Ils récoltent ce qu'ils ont semé ! En plus, tu vois Jérôme, toi et toi, on n'arrêtait pas de nous cuisiner à cause du manque d'hygiène quand nous passions les bouteilles en mettant tout à plat avec Dugas, dont les revers furent : " Bonjour ! Les Dugas ! " Mais la preuve Jérôme que toi et moi, on ne manquait pas d'hygiène malgré qu'on était conditionné au pire ! C'est bien l'atelier cuisine qui manquait d'hygiène avec une mauvaise hygiène de vie; à cause de quelques agents qui fumaient du shit ici joint; et rejoint pour joindre l'utile à l'agréable que la cuisine en perdit un gros contrat juteux en argent content, comme à L'ESAT La Fabrique, le silence est d'or, la parole est d'argent, surtout avec une direction qui prend tout pour argent content ! Et toi Jérôme de rester dans cet ESAT, ça ne t'a pas du tout aidé, comme tout le monde te flinguait avec des maux ! "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :
- " Je ne te le fais pas dire Charlotte, comme à L'ESAT La Fabrique, on n'arrêtait pas de me flinguer en me disant que j'étais un assisté, même que personne ne m'aidait à part m'enfoncer, le mieux aurait été de m'aider à mieux m'enfoncer pour me flinguer dans un suicide assisté ! A ton avis Charlotte pourquoi je ne parle de la politique mais de l'apolitique ? "
Charlotte Prêtre, ancienne agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :
- " Je ne sais pas Jérôme ! "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :
- A force qu'on me pousse dans mes extrêmes et dans mes retranchements qui a fait que la politique de L'ESAT avant; me parlait bien de façon droite sans prendre le gauche et sans aller dans les extrêmes au centre des discussions de la politique, alors que les derniers temps, cet ESAT de merde me parlait mal à l'extrême de façon mal à droite en prenant le gauche largement au centre des discussions de l'apolitique ! Charlotte, j'ai une colle à te poser, à quoi on trinquera toi et moi le jour où L'ESAT La Fabrique fermera en mettant la clé sous la porte ? "
Charlotte Prêtre, ancienne agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :
- " Au ver de l'amitié solidaire après tes revers solitaires ! "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :
- " C'est pas vraiment ça Charlotte; en tant que poète maudit délétère qui rime avec amer et qui arrime avec ah ! Mer, le jour où cet ESAT de merde fermera, je te proposerai pour nous deux après avoir trinqué de notre santé de trinquer à notre santé retrouvée en arrosant la fermeture de L'ESAT La Fabrique avec du rosé arrosé à la sueur de mon affront ! "
Jérôme de Mars
Quel est ton mobile pour écrire ce slam ?
Immobile dans mes idées fixes portables;
Je cherche mon mobile avec pour mobile !
L'appel d'mon inspiration importable
Au beau fixe ! Pour être ci-joint immobile !
Appelant d'un mobile immobile fixe
En mes idées fixes mobiles; ne gardant
La raison ! Perdant l'oraison en rixe !
M'épelant par mon nom en l'écorchant !
Tel un écorché vif ! Piqué au vif !
Rentrant dans le vif du sujet; sujet
Apparent toujours si vif; subversif;
Transgressif; ce n'est jamais le sujet !
D'être sans arrêt l'objet de temps de soin !
J'peux être aussi un sujet principal !
Avec l'envie d'écrire ayant besoin
De me demander de façon frontale !
Quel est ton mobile pour écrire ce slam ?
Quand je suis en train d'écrire toute ma trame !
Dans l'trame du Paris Paname macadam;
Avec pour métro de retard mon drame !
De n'être hein compris ! Pour naître incompris
Dans un système marginal atypique !
Pour hêtre un compris en tant qu'un con pris !
Genre un rebelle soporifique antique !
J'ai le tic systématique sans éthique !
D'avoir pour tactique l'jeu d'écriture !
Jouant avec les mots qui hé moussent tics
Les moustiques; qui m'envoient des piques en durs !
Que j'endure avec personne qui m'appelle !
Ayant pour rappel l'appel d'la forêt !
Qui fait qu'personne ne répond à l'appel !
Que j'en deviens renfermé; emmuré !
Ne me répondant à mes SMS;
Moi qui manque de répondant; répandant
Que la haine avec tous mes SMS !
Ayant du cran que je suis trop à cran !
Quel est ton mobile pour écrire ce slam ?
Quand je suis en train d'écrire toute ma trame !
Dans l'trame du Paris Paname macadam;
Avec pour métro de retard mon drame !
Même s'il faut que j'me remette en questions !
Quel hait celui qui voudra me répondre ?
Ayant pour répondant toutes mes questions !
Quel est celui qui voudra me faire fondre ?
En sanglots en m'disant la vérité !
Les quatre vérités; repliées en quatre !
Que j'me plie en quatre de ces vérités !
Essuyant tous les plâtres de mon psychiatre !
Et malgré que je sois immodéré
Avec les gros excès de mes messages !
Si je redevenais très modéré;
Envoyant pour mais sage ! Un beau mets sage !
Faisant d'rage en orages; le présage
D'un retour à un mobile immobile !
Mobilisant en un premier pas sage;
L'message mobile fixe ayant pour mobile !
Quel est ton mobile pour écrire ce slam ?
Quand je suis en train d'écrire toute ma trame !
Dans l'trame du Paris Paname macadam;
Avec pour métro de retard mon drame !
Jérôme de Mars
L'hiver été empreint tant de monotone !
A chaque saison de l'année des quatre saisons
Du calendrier; survolant toute l'année !
Les saisons ne font qu'fredonnner des chansons !
En sirotant une bière aux frais d'un air frais !
Comme les quatre saisons de Vivaldi pliées
En quatre; se mettant en quatre des quatre saisons !
Repliées en cadre; émoussé qui essaie
De chanter jusqu'à l'horizon du bal con !
En lançant une perche à l'oiseau du perchoir;
Cet oiseau volatile; chantant; vola-t-il ?
Vers le haut ou le bas d'son instinct notoire ?
Déchantant; indocile; enchantant; docile !
Se faisant la belle ! Battant d'l'aile à-tire-d'aile !
Chantant une ritournelle en des mots d'hiver;
Qui dépucellent le signe de la vierge au ciel !
Déchantant une ritournelle en des maux d'hiver !
L'hiver été empreint tant de monotone !
Des maux d'hiver d'printemps étaient sonotones !
L'hiver; été; en printemps de mon automne !
Des mots d'hiver d'printemps n'étaient sonotones !
Cherchant des confettis pour faire une grande fête !
Avec des fruits des confits en danse d'cagnard !
N'cherchant des confettis pour faire une défaite !
Avec des fruits déconfits contre danse d'canard !
Dès l'été; la saison des amours flirtant
Corse air; piratant la saison désamour !
Grattant le ciel gratte ciel lors du firmament,
Comme un aimant collant; racolant le jour !
Ecrivant sur une feuille morte des mots d'amour !
Sans maux d'amour; parlant une mauvaise langue morte !
Boléro romantique au jour l'jour vos tours !
Il y a les flammes d'l'amour qui parlent la langue forte !
Avec l'amour de la bébête qui est bête !
Faisant des suçons; tirant l'coup du lapin !
Avec l'amour de la belle bête qui hébète !
Suçant des glaçons en posant des lapins !
L'hiver été empreint tant de monotone !
Des maux d'hiver d'printemps étaient sonotones !
L'hiver; été; en printemps de mon automne !
Des mots d'hiver d'printemps n'étaient sonotones !
Mangeant au réveillon d'Noël ! Une embûche
De travail qui bûche pâtissière en dessert !
C'est une lune de miel qui se prépare en ruche;
Qui dessert sans ombre que de la lumière claire !
Skiant l'hiver en surfant sur la terre nette !
Faisant touche touche sur une touche d'ordinateur !
Skiant divers en surfant sur Internet !
Faisant mouche sur une touche d'l'élu de son coeur !
Faisant bourdonner chaque été les bourdons !
N'boudez pas votre plaisir d'avoir le bourdon !
Filant l'bourdon et le cafard au cafard !
Pour avoir le moral; il faut le cagnard !
Dans un nid d'abeilles sans un déni de miel !
Avec pour dune de miel; rien que de l'amour !
Conjugué en des saisons intemporelles
Qu'il faut entretenir pour faire tant l'amour !
L'hiver été empreint tant de monotone !
Des maux d'hiver d'printemps étaient sonotones !
L'hiver; été; en printemps de mon automne !
Des mots d'hiver d'printemps n'étaient sonotones !
Jérôme de Mars
Nelson Mandala
Ce fut un grand homme !
En somme qui naquit
L'18 Juillet ! Comme
Un être si exquis !
Acquis à sa cause;
Oeuvrant pour la paix !
Que d'ses ecchymoses;
Il fit d'la bonté !
Cap d'bonne espérance !
1918;
Naît son enfance !
Qu'il ne veut de fuite
En avant; allant
Pour changer les choses
D'Apartheid défiant !
Qu'il veut d'son osmose !
Aider les plus pauvres
Sans son embolie !
Respirant l'air sobre
En une embellie !
Voulant changer l'monde !
Pour que tout l'monde s'aime
Sans une fronde immonde !
Afin que parsème
Nelson Mandala;
Donnant de la joie !
Nelson Mandela;
Jamais rabat-joie !
Voulut des couleurs
Dans ce monde si noir !
Luit homme de couleurs;
Voulut l'histoire
D'son Afrique du Sud;
Il fut l'président !
Contre le peule blanc rude
Et prude; sans semblant !
94
-99;
Etant opiniâtre
Dans un pays neuf
En son ANC;
Tout son ADN !
Aidant les fauchés;
Victimes de la haine !
De tout L'Apartheid
En couleurs de peau;
Il voulut que tous s'aident !
Tous ayant du pot !
D'solidarité;
Tous pareils; égaux !
En fraternité;
Déclamant let's go !
Nelson Mandala;
Donnant de la joie !
Nelson Mandela;
Jamais rabat-joie !
Comme dans sa prison
A lui sans santé !
Qu'à l'horizon;
Il fut libéré !
Luttant sans violence
En paix contre l'racisme
Avec élégance !
Chassant l'égoïsme
Des blancs contre les noirs !
Minorité blanche
Dans un purgatoire
D'une nouvelle page blanche !
Que notre Madiba
Lutta contre L'Sida !
La cause de son coeur !
Et sans une rancoeur
En son embellie
Pulmonaire à mort;
Il mourut d'embolie
Pulmonaire retors;
Un triste 9 Juillet
2013; ce jour !
Luit idolâtré
A Johannesburg !
Nelson Mandala;
Donnant de la joie !
Nelson Mandela;
Jamais rabat-joie !
Jérôme de Mars
Le parloir des chansons
Comme mon grand corps malade
Dans la tête; j'fais du slam
Envoyant en ballade;
Je n'aime pas les quidams !
Qui me font tant de mal;
M'disant des choses méchantes !
J'ai la haine animale !
Telle une hyène mécréante !
Je m'en fous d'la planète !
J'ai envie d'me venger !
Faisant des choses pas nettes !
Genre en poil à gratter !
Grattant là en plantant
En tant qu'second couteaux !
M'exprimant; expliquant
Ma prison sans barreaux !
Le parloir des chansons
Depuis ma belle prison
Adorée; faisant front !
Car rien à l'horizon !
Comme je ne vois jamais
Le bout de mon tunnel !
Ecorché par l'bûcher
De ma vie sans Missel !
Je vends mon âme au diable !
Ce sacré diable d'enfer !
Dont je porte exécrable
Ma vie à bout d'l'enfer !
Je suis désabusé
Brûlant tous mes ancêtres !
Toujours pour déchanter
Mes nuits sans un maître !
Pour ne faire n'importe quoi !
Comme le temps d'la grenouille !
Que je croasse acoa
Bon ? Donc que j'agenouille !
Le parloir des chansons
Depuis ma belle prison
Adorée; faisant front !
Car rien à l'horizon !
J'essuie la cheminée
De mes nuits qui essuient
Les suies; je traîne mon boulet !
Que s'ensuit c'que je suis !
Enfermé; renfermé
Dans ma prison dorée !
A devoir composer
Avec tout ça d'cramé !
Qu'je joue avec le feu !
En blasphémant odieux !
Mon Dieu si belliqueux !
J'n'ai jamais été pieux !
Attendant donc la mort !
Pour écrire si ces vers
A bouffer mes remords !
Et bouffé par les vers !
Le parloir des chansons
Depuis ma belle prison
Adorée; faisant front !
Car rien à l'horizon !
Jérôme de Mars
Clé à mimolette !
Si j'ouvrais d'une clé;
Une clé musicale
En karaoké !
Version la totale !
Si originale;
Avec que des mots !
Version phénoménale;
Chantant au micro !
Des slams; des chansons !
Ou peut-être du rap !
Ouvrant l'horizon
Au fromage qui rappe !
Qui dérape au front !
A l'affront d'la fièvre !
En une rébellion
Sans des chansons mièvres !
Clé à mimolette !
Fromage mimolette !
D'une clé à molette
Faisant chansonnette !
Faisant tout l'fromage !
Paroles et musique !
Version d'un ramage;
Chantant frénétique !
Un refrain plein d'entrain !
D'l'hiver au printemps !
Enclin; boute-en-train !
Chantant exaltant !
Exultant sur des bans;
L'mariage des ramages !
Exultant sur des bancs;
Oiseaux au plumage !
Y laissant des plumes !
Rien qu'sur des chansons !
Le mariage déplume !
Rien qu'à l'horizon !
Clé à mimolette !
Fromage mimolette !
D'une clé à molette
Faisant chansonnette !
Ecrivant d'une traite !
Des mots qui affrètent
Le droit qui s'apprête
En rien qui maltraite !
Fumant; enfumant
Tout le calumet
D'la paix ! En faisant
D'une fumée; l'pompier
De service novice !
En rendant service !
Rien qu'en enchantant
Chaque danse arrosant
De leurs bons tuyaux !
Rien que les bons mots
De la pompe à eau !
S'arrosant l'pinceau !
Clé à mimolette !
Fromage mimolette !
D'une clé à molette
Faisant chansonnette !
Jérôme de Mars
Ca fait jazzer le standard !
Standards de jazz effusion !
Y a le xylophone qui sonne !
Standards de jazz et fusion !
Y a le téléphone qui sonne !
Avec Sidney qui bêchait
Luit Ame strong; reluit Armstrong !
Connaissant l'jardin secret
De ces artistes qui diphtonguent !
Filant à L'Anglaise filante !
Je connais Charlie par coeur !
Que son étoile défilante !
J'reconnais Charlie Parker !
Que j'entrevois Fitzgerald !
Comme Fitzgerald; elle est là !
Qu'je vois Ella Fitzgerald !
Comme Fitzgerald; elle Ella !
Ca fait jazzer le standard !
Standard de jazz étendard !
Ca fait jaser le standard !
Standard de jase étendard !
Que je rencontre Count Basie
Avec sa musique magique !
Que je lui souffle Cool Basile !
En une musique pacifique !
Que j'ai en plein dans le mille !
Luit Mile Davis qui dévisse !
Que j'ai refrain d'l'an de mille !
Mille devises qui serrent la vis !
Sans tambour et ni trompette !
Avec en persécutions ;
Une musique de clarinette;
Tapant sur des percussions !
Une bourrée de ratatam !
En faisant que du tam-tam,
Un bourré de ratatam !
En jouant que du tam-tam,
Ca fait jazzer le standard !
Standard de jazz étendard !
Ca fait jaser le standard !
Standard de jase étendard !
Jouant d'la flûte traversière !
Disant flûte la Truite d'Schubert !
Harmonie d'harmonica !
Soufflant; siffant la bronca !
Rechargeant les batteries !
Tel est fun le saxophone !
Rechargeant la batterie !
Où sonnent; résonnent les consonnes !
Des cons qui sonnent du klaxon !
En musique anglo-saxonne !
Cette musique qui désarçonne
La fanfare phare des garçonnes !
Où avec des violoncelles;
D'contrebasses; nous accordons
Nos violons; nous violons celles
En messes basses de nos violons !
Ca fait jazzer le standard !
Standard de jazz étendard !
Ca fait jaser le standard !
Standard de jase étendard !
Jérôme de Mars
Dépôt de complainte
Empreinte d'une chanson !
Qui s'écrit en rose;
Là ! Y a les marrons
Chauds d'l'automne morose !
Emprunte de saison !
Qui chante des paroles
De joyeux lurons !
Lors d'une farandole;
Qui fait se bouger
Les micros chanteurs,
Comme pour faire chanter
Tous les enchanteurs,
Comme à la maison !
Des larrons en foire
Jusqu'à l'oraison
Des micros-trottoirs !
Dépôt de complainte
Au bureau des plaintes !
D'un dépôt de plainte !
Bureau des complaintes !
Pour réenchanter
Les désenchantés,
Pour les enchanter
Sans les déchanter,
Les faisant parler
Au bistrot du coin
D'un karaoké;
Chantant en refrain !
Tout l'monde est en train !
Chantant d'bonne humeur !
Tout l'monde est d'entrain !
Chantant le bonheur !
D'être bien tous ensemble !
Chantant d'la ferveur !
Qui se rassemble; s'assemble !
Chantant d'la candeur !
Dépôt de complainte
Au bureau des plaintes !
D'un dépôt de plainte !
Bureau des complaintes !
Tout l'monde est OK
Pour chanter; en chanter
Au Karaoké !
Au quai pour chanter
La vie et l'amour !
Pour rire et sourire
A n'importe quel jour !
Avec du plaisir
A OK chorale !
Sans aucun Ouest terne !
Non O.K. Corral !
Sang d'aucun western !
Sans tuer en fait
L'règlement de comptes !
Car tu es en fête
Tout au bout du conte !
Dépôt de complainte
Au bureau des plaintes !
D'un dépôt de plainte !
Bureau des complaintes !
Jérôme de Mars
L'état des dégâts
Il était une fois
Le chiffre reçu !
Cinq sur cinq ! Parfois
Dès fois mal reçu !
En débris des bris
Du passage d'l'enfance
A l'adulte des bruits;
N'a guéri d'l'enfance !
Rien ne fut traité
Juste à la racine !
Un gars maltraité;
Qui courba l'échine !
Qu'on ne sait quoi faire !
A part s'enfoncer
Dans une vie d'enfer !
A part s'affaisser
L'état des dégâts !
D'avoir fait Dugas !
Bonjour, les dégâts !
En déboires du gars !
Revers d'la médaille !
Il n'y a rien qui vaille
Du fond des entrailles !
Qu'on veut que ça aille !
D'un monde à l'envers;
Qui ne se remet
En questions en vers
De ce qui démet !
Faute d'pouvoir émettre
Des ondes positives !
Faute d'avoir un maître
Sans ondes négatives !
Donc la vérité !
Et bien dans tout ça !
C'est de l'affirmer;
L'responsable de ça !
L'état des dégâts !
D'avoir fait Dugas !
Bonjour, les dégâts !
En déboires du gars !
Comme ceux qui conseillent
Sans être à la place
De ceux qui essayent
D'n'avoir du surplace !
Seuls peuvent vous comprendre
Rien que vos amis !
Qui ont à apprendre
D'vous en agonie !
Qu'il faut du courage
Pour rester en vie !
Malgré toute la rage !
Quand il fait bien nuit !
En remettant tout
A demain ! Tout seul !
Tout le monde s'en fout
Que le monde est veule !
L'état des dégâts !
D'avoir fait Dugas !
Bonjour, les dégâts !
En déboires du gars !
Jérôme de Mars
Brèves sur L'ESAT La Fabrique
1) Si un jour L'ESAT La Fabrique ferme, je redeviendrai ouvert comme
avant en étant moins renfermé !
2) Même si j'ai passé et obtenu le diplôme de reconnaissance des compétences :
" Différent et Compétent ", cela me laisse indifférent comme j'ai manqué de
reconnaissance à L'ESAT La Fabrique !
3) Même si j'y ai travaillé 16 ans et 4 moi à L'ESAT La Fabrique, je me demande
vraiment ce que j'y ai fabriqué dans cet ESAT !
4) Je me dis enfin du balai de ne plus travailler à l'atelier conditionnement de
L'ESAT La Fabrique; étant donné que l'atelier conditionnement manque toujours
autant d'hygiène avec personne qui passe le balai !
5) A l'atelier Conditionnement de L'ESAT La Fabrique, je fus tellement une éponge sur laquelle tout le monde s'essore que tout le monde me dit sans coups de pouce en coups de pousse : " Et sors-là ! "
6) Quand Eric Thébault, le moniteur principal de l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique va partir à la retraite en Juillet 2025, il pourra dire :
" De tout, je m'en bats en retraite ! "
7) Ca ne m'étonne pas du tout qu'il y ait de plus en plus d'arrêts-maladie à L'ESAT La Fabrique comme personne ne dit jamais stop ! Ca suffit comme ça à la direction !
8) La preuve que je n'aime plus du tout la politique de L'ESAT La Fabrique, au début, cet ESAT nous parlait bien sans prendre le gauche de façon à droite sans aller dans les extrêmes au centre des discussions, alors que maintenant cet ESAT parle mal aux gens de façon extrême en prenant le gauche de façon mal à droite largement au centre de l'apolitique !
9) La preuve qu'à L'ESAT La Fabrique, on n'est que poussière vu le nombre d'agents et de moniteurs qui sont morts dans cet ESAT; en leur faisant mordre la poussière qu'ils sont morts en redevenant poussière !
10) La preuve qu'à L'ESAT La Fabrique, il n'y a plus d'agents d'entretien pour faire le ménage étant donné que la direction ne ménage personne dans un tel remue-ménage que ça déménage sans arrêt en un turn-over !
11) La preuve qu'à L'ESAT La Fabrique, tout le monde s'en lavait les mains de moi que je n'ai entretenu l'amitié qu'avec très peu de personnes qui m'ont vraiment compris !
12) La preuve qu'à L'ESAT La Fabrique, le ménage n'est jamais fait, à tel point qu'on m'a déroulé en tapis rouge que je n'ai fait que me ramasser des pelles et des râteaux même si ce que je balance est mon jardin secret !
13) A L'ESAT La Fabrique, derrière mon dos, on a souvent dit que j'étais bête en pense-bête sans prendre soin de mon panse bête; déjà qu'on me faisait porter sans arrêt-maladie tous les sots avec souvent, tout qui tombait à l'eau tout le
temps !
14) La preuve qu'à L'ESAT La fabrique, rien n'était aux normes comme tout le monde était hors-normes !
15) Comme à L'ESAT La Fabrique, on n'arrêtait pas de me flinguer en me disant que j'étais un assisté, le mieux aurait été de m'aider à me flinguer dans un suicide assisté !
16) Ma seule issue de secours à L'ESAT La Fabrique fut de partir avant que je m'enflamme en alerte incendie avec tout ce que j'ai sue dans cet ESAT à la sueur de mon affront !
Jérôme de Mars
Mère acolyte
D'une vide bouteille
Dans tout l'amer !
Sans un soleil
D'un inventaire !
C'est donc une mère;
Qui en avait
De la colère;
Et des excès !
Qu'elle en prenait
De la bouteille !
Se méprenait
En étincelles !
Et dont sa cure,
Elle donc; elle n'en
Avait guère cure !
En retournant
Mère acolyte;
Elle périclite !
Comme elle délite
En son grand litre !
Mère alcoolique;
Elle fut en vraie
Si hystérique;
En sévérité !
Qu'elle fut en flux
Une alcoolique;
Et en afflux
Une frénétique;
Qu'elle se soûla
A la bouteille !
En femme sans joie
Sans un soleil !
Qu'elle but d'la bière !
Pour boire en vin
Sa mise en bière !
Et dont devin,
Mère acolyte;
Elle périclite !
Comme elle délite
En son grand litre !
Elle fut l'amie
De son soleil !
Fut l'ennemie
De son oseille !
Que son oseille;
Il lui brûla
Les mains vermeil !
Qu'elle se soûla
En envoyant
Une grande bouteille
A la mer ! Sans
Aucun soleil !
Que fut sa vie;
Démons d'Midi !
Que furent ses nuits;
Démons d'Minuit !
Mère acolyte;
Elle périclite !
Comme elle délite
En son grand litre !
Jérôme de Mars
J'écris sur des feuilles qui tombent !
Saison de l'automne atone
Sur un tapis de fouillis,
Rempli de feuilles monotones;
Qui amusent la galerie !
J'achète l'ancre d'mon texte bateau !
Ecrivant sur une page blanche;
Quelques mots qui m'mènent en bateau !
Si bien qu'avant que je flanche,
Je fais alors un voyage
Avec les mots en pagaille !
Avant d'prendre dès lors naufrage;
Qui me laisse donc sur la paille !
Je m'inspire de Jacques Prévert !
Vers sa belle mélancolie,
Fataliste; et mes pré-vers !
Ecrivant d'une poésie;
J'écris sur des feuilles qui tombent !
Si bien que les bras m'en tombent !
Avec des mots qui m'incombent !
Ce n'est l'comble des catacombes !
Au tréfonds du désespoir
Que j'en pleure de mes sanglots !
Que la vie est dépotoir !
Si je tombe de mes sabots !
Sabotant mon écriture !
A en écrire détritus
De poème d'désinvolture !
A en souffrir l'absolu !
Même si je suis monotone;
Je ne suis pas à l'automne
De ma vie en sonotone !
J'en suis à l'été aphone !
Ayant trouvé là ma voix;
Même si je porte toute ma croix !
Qui l'eût cru; buffet tout cru !
Que j'y ai cru éperdu !
J'écris sur des feuilles qui tombent !
Si bien que les bras m'en tombent !
Avec des mots qui m'incombent !
Ce n'est l'comble des catacombes !
J'écris avec mon stylo
Sur des feuilles mortes; d'la tristesse !
A la limite d'mes bobos !
Manque plus que de l'allégresse !
Pour réécrire au stylo
Sur des feuilles mortes; d'politesse !
Soulignant au stabilo
Que des rimes fortes; d'poétesse !
L'humour est la politesse
Du désespoir dès la nuit !
L'amour est la poétesse
De l'espoir surtout en vie !
Pour n'mourir sur des feuilles mortes;
J'écris le jour sans la nuit !
Et pour mûrir sur des feuilles fortes;
J'écris déclamant tout ouï !
J'écris sur des feuilles qui tombent !
Si bien que les bras m'en tombent !
Avec des mots qui m'incombent !
Ce n'est l'comble des catacombes !
Jérôme de Mars
Regarde plutôt le soleil que la pluie !
Si tu faisais un concert de louanges
Aux aurores pendant que tout le monde dort !
Tu composerais une chanson que t'arranges !
Avec en renfort toutes tes métaphores !
Pour dire que la vie est belle; mirabelle !
Sans déconfiture; avec des merveilles !
Pour faire resplendir l'soleil arc en ciel,
Qui enchantera ta belle ritournelle !
Chantant en mâtinées; tes après-midis
A surfer sur la terre nette de la mer !
Berçant tes étés qui t'lèvent à Midi
Jusqu'à Minuit d'légende interstellaire !
Qui fait qu'tu es né sous la bonne étoile !
Et fredonnant ton sommeil qui t'héberge
Toutes tes nuits; dormant à la belle étoile
Sur les berges de ta vie en des auberges !
Regarde plutôt le soleil que la pluie !
Pour rire dans un puits sans fond infini !
Remplaçant ton dépit par une embellie !
Autant d'une accalmie que d'un répit !
Profite bien de la beauté des nuits fauves !
En souriant à l'écume de la mer
Dans les bars, où ta tournée sera sauve
Une réussite à ton image populaire !
Unissant les ramages et les mariages
Autour d'ton amour triomphant toujours !
Pour réenchanter tout ton métissage,
Avec des couleurs ranimant les jours
D'ton été plus jamais réactionnaire !
Mais en ton état; refaisant l'amour
De ton prochain à l'état stationnaire;
Actionnaire non de l'argent ! Oui d'l'amour !
Faisant changer tout ton ressentiment
En un nouveau serment d'un grand amour
Pour ta vie ! Eprouvant des sentiments !
Et comme ça vaut largement le détour !
Regarde plutôt le soleil que la pluie !
Pour rire dans un puits sans fond infini !
Remplaçant ton dépit par une embellie !
Autant d'une accalmie que d'un répit !
Envers le bleu radieux de l'océan !
Afin que ton amour, il baigne au frais
De la mer calme en paix; imaginant
Ton besoin d'affection de longue durée !
Chicanant superficiel virtuel;
Il te faut donc désormais du concret !
Pour venir; revenir dans le réel,
Embrassant ton partenaire en portrait !
Flirtant durant l'été de tes succès !
Et le tout sans excès; tu veux aimer
Celui qui te rallume ta cheminée !
Grâce aux flammes de ton amour désiré !
Et pour qu'il fasse toujours beau dans ta vie !
Fais-la briller de soleil sans orages !
Et pour qu'il fasse toujours beau dans tes nuits
En leur donnant de la joie sans ta rage !
Regarde plutôt le soleil que la pluie !
Pour rire dans un puits sans fond infini !
Remplaçant ton dépit par une embellie !
Autant d'une accalmie que d'un répit !
Jérôme de Mars
Un océan d'vide !
D'une mise en abîme;
J'vais dans les abysses !
Comme elles me déciment
Le terrain qui glisse
Dans un mal de mer !
Au creux de la vague
En un inventaire !
Mes remords me draguent !
Malgré que ça baigne
L'océan à mer !
Si bien que j'en saigne !
C'est l'anniversaire
D'la mort de ma mer;
Le 20 Septembre !
En c'monde délétère !
Noël de Décembre !
Un océan d'vide !
J'en deviens livide !
Un océan ah vide !
J'en reviens avide !
Comme la mer est plaine !
A remonter l'temps !
Que j'en perds haleine !
En allant et v'lan !
Vers la haine farouche !
Qui m'mène en bateau !
Que j'en deviens louche !
Ayant maux pour mots !
Une louche innée;
Je ne suis pas né
Avec une cuillère
En argent solaire !
En n'y allant pas
Avec le bon dos
D'la cuillère qui va
Me donner bobo !
Un océan d'vide !
J'en deviens livide !
Un océan ah vide !
J'en reviens avide !
J'ai le vague à l'âme
De mon mal de mer !
Ecrivant ce slam
Si crépusculaire
En mes côtés sombres;
Je suis renfermé
Quand je dors à l'ombre !
Je trinque d'ma santé !
Pour ne plus dévier
De mon droit chemin !
J'appuie sur l'levier !
Reprenant la main
Sans dériver d'bord !
Je reste bien à bord !
N'allant à l'abord
D'âge ! Et à tribord !
Un océan d'vide !
J'en deviens livide !
Un océan ah ! Vide !
J'en reviens avide !
Jérôme de Mars
Blagues is black au noir !
Même que je vais le payer au noir en travaillant au noir, voici des blagues is black au noir !
1) Un arabe à qui on octroie la prime d'activité, ça lui met du labeur dans les épinards !
2) Un Asiatique ne pense tellement qu'à travailler dans la vie qu'il ne travaille pas au noir pour en voir la couleur de son argent déclaré !
3) Comme il y a tellement de Portugais qui trinquent de leur santé en étant maçons, je porte un toast à leurs déboires !
4) Je me verrais bien travailler avec un humoriste Africain pour faire davantage d'humour noir en reprenant des couleurs !
5) Il vaudrait mieux qu'un SDF pour devenir sobre qu'il utilise l'argent que lui donne les gens dans la rue pour acheter à manger en mettant du beurre dans les épinards sans acheter de pinards pour le boire en déboires de dur labeur !
6) Un commerçant Italien qui fait tout lui-même, met la main à la pâte !
7) Je n'ai jamais été un robinet d'eau tiède que je lance sans arrêt des vannes féroces pour que ça coule de source !
8) Le fonds de commerce d'un commerçant Juif, c'est juste de voir son intérêt au café du commerce en n'en ayant rien à faire du reste à part ses affaires de commerce !
9) Le jour où il y aura davantage d'Arabes qui deviendront maçons, au lieu de manger des briques à l'oeuf, ils poseront des briques à l’œil !
10) Cela ne me dérange pas qu'on embauche plus de cuisiniers Asiatiques au lieu de cuisiniers Français, ils veulent tellement bosser plus que les Français,
qu'au bout du compte, quand on nem, on ne compte pas !
11) Le jour, où il y aura un Juif qui fera sa bar-mitsva pour s'envoyer en l'air avec sa femme dans un avion en plein vol au septième ciel, il fera son baptême du feu en pleine communion Juive !
12) Ca doit être un sacré casse-tête chinois qu'un Asiatique soit conseiller bancaire dans une grosse banque multinationale !
13) Un homo poète qui prend tout aux mots doit être souvent qu'au cul dans la vie !
14) Un handicapé qui n'a jamais de chance dans la vie, ça doit lui faire une belle jambe de perdre la main et de perdre pied en ne prenant jamais son pied !
15) Au bout du compte, je préfère faire de l'humour noir bénévolement sans méchanceté gratuite, comme j'ai déjà assez payé comme ça dans la vie avec mon enfance qui fut si noire !
Jérôme de Mars
L'Islam Charia la France !
Slam Islam slam is slam !
Il y a donc la Charia !
Qui provoque que des drames
Dans l'humour qui charria
Ceux qui partent en Coran !
Radicaux intégristes;
Sans rien d'édulcorant !
Pour devenir altruiste
Dans ce monde d'égoïstes !
Qui part trop en courant !
Il n'reste rien d'hédoniste !
Accourant; concourant
Pour que tout foute le camp !
Avec le Salafisme !
Prédisant en décans !
Pourquoi c'est l'cataclysme !
L'Islam charia la France !
Pays de l'indécence !
Où s'en va l'innocence
Dans la loi du silence !
Al-Quaïda charria
Ceux qui partent en courant !
Alors que la Charria
Veut nous mettre au Coran !
Sans être édulcorant
En des mots messagers !
Faisant couler le sang
En des maux mensongers !
L'amour part en courant !
Accourant; concourant
Pour nous mettre au Coran
Pour qu'on soit au courant !
De faire passer l'Coran
Dans l'courant de l'histoire !
Pour rétablir le courant
Entre tous sans purgatoire !
L'Islam charia la France !
Pays de l'indécence !
Où s'en va l'innocence
Dans la loi du silence !
Et pour tous nous guérir;
Il faut nous mettre l'Coran !
Sans partir en courant !
Donc pour nous aguerrir
En partant au Coran !
Quitte à en rire nous tous !
N'courant édulcorant
Sans provoquer la frousse !
Riant de la Charia !
Pour mourir en martyr !
Quand le monde se charria !
Kamikaze de l'empire !
Avec le salafisme
En des gros coups de chauds !
Mourant d'un cataclysme;
Avec pour échafaud !
L'Islam charia la France !
Pays de l'indécence !
Où s'en va l'innocence
Dans la loi du silence !
Jérôme de Mars
Rap à fromage !
Si je dérape
Dans ma chanson !
J'écris un rap
A la maison !
Comme la raison
Hait du plus fort !
Comme l'oraison
En mes tas forts !
Je fais des rimes !
De sorte qu'elles ancrent
La mer d'l'arrime
En jetant l'encre !
En écrivant
Cet exutoire !
En exprimant
Mon purgatoire !
Rap à fromage !
J'fais un ramage !
Râpe à fromage !
J'fais un fromage !
En écimant
A l'entrecoupe !
En décimant
A la découpe !
Poil à gratter !
Brosse à enduire;
J'aime tant piquer
En dur à cuire !
Avec mes mots;
Qui font trop mal !
En quiproquo
Genre animal !
J'aime déraper
Sur un piano !
J'aime tant rapper
Sur mon micro !
Rap à fromage !
J'fais un ramage !
Râpe à fromage !
J'fais un fromage !
Fromage râpé !
Et dérapé !
Fromage rappé !
Et des rappées !
Je coupe le son
De ma Télé !
Mûrs ultrasons;
Transe genre; telle est
Ma façon d'écrire
Et de penser !
Quitte à en rire
Pour dépenser
Pour des pensées !
Et sans sourire;
Décompensé;
Et sang souffrir !
Rap à fromage !
J'fais un ramage !
Râpe à fromage !
J'fais un fromage !
Jérôme de Mars
Yves montant à Paris !
D'un artiste des faux bourgs;
Il naît le 13 Octobre
En Italie, son amour !
Toute son enfance fut sobre...
1921,
Son année de naissance
Remplit sa vie d'refrain !
En décence; un des sens
De musique; cinéma !
Chanteur; acteur d'Paris !
Qu'il remplit de chaque joie !
Luit l'gamin de Paris !
Enchantant à Paris
Avec son double secret !
Lui donnant frénésie,
Comme Simone s'ignorait !
Avec François, Paul et
Les autres, tout comme César
Et Rosalie aimés !
Yves Montand n'eut d'César !
Yves montant à Paris !
Sa bicyclette jolie !
Yves Montand à Paris !
Sa chansonnette jolie !
Comme c'est toujours si bon !
D'avoir pour coup d'folie
Des grandeurs ! Ses chansons
Avec pour compagnie
Dans son cercle rouge d'amis,
Son auberge rouge d'envie !
En milliardaire la nuit,
Courtisant sa chérie !
Sa Marilyn Monroe;
Lui glissant des mots doux !
Avec pour dernier mot;
Tout son côté si fou !
De tromper sa Simone
Qui hélas; s'ignorait !
Elle ne fut jamais lionne
Comme elle lui pardonnait
Toutes ses frasques au sauvage !
Qu'il lui fit comme aveu !
L'animal qui enrage,
Tel le diable par la queue !
Yves montant à Paris !
Sa bicyclette jolie !
Yves Montand à Paris !
Sa chansonnette jolie !
Avec pour grand salaire,
Son salaire de la peur !
Au début d'sa carrière,
Qu'il fit dans la ferveur
Avec pour idéaux;
Ses idées communistes !
Qu'il portait tout en haut
De ses idées altruistes !
Avant d'évoluer
Lui en grand libéral !
Qu'il voulait tout changer;
Roulette Russe si fatale !
Lui ancien communiste,
Qu'il chanta les feuilles mortes !
Luit plus jamais altruiste;
Son âme à p'tit feu morte !
Qu'il mourut l'9 Novembre
A quelques 70 ans !
A Senlis d'ses membres !
En 91 pan...
Yves montant à Paris !
Sa bicyclette jolie !
Yves Montand à Paris !
Sa chansonnette jolie !
Jérôme de Mars
Si on jardinait !
Printemps comme été...
Dans la vie privée;
Donc si on bêchait;
Et si on binait !
Si on débinait
Un jardin secret !
Pour toujours aimer
Son jardin secret !
Au contact d'la terre;
De la vie sur Terre !
Sans être terre-à-terre,
Mais juste être prospère !
Pour entretenir
Ainsi l'amitié !
Et de s'y tenir
Pour éparpiller
Si on jardinait !
Le jardin secret !
Si on jardinait !
Son jardin secret !
Embrassant la vie !
Pour tant défricher
Les démons d'la nuit !
Et les cultiver
En êtres cultivés !
Ramassant des feuilles
A l'effarouchée !
Ecrivant sur feuilles
Des mots monotones !
Labourant autour...
Signaux de l'automne !
Débourrant toujours;
Semant; parsemant;
Ramassant la pelle !
Tout en balayant
Les noms qu'on appelle !
Si on jardinait !
Un jardin secret !
Pour toujours aimer !
Son jardin secret !
Donc en élaguant...
L'amour du travail
Bien fait écimant...
Les plantes que l'on taille
Sans rien décimer
De l'amour sur Terre !
Au contraire d'aimer
L'jardin populaire !
Pour tout couper
Avec un ciseau,
Pour entrecouper
D'un effet ciseau
Les gens qu'on effleure...
Arrosant leurs plantes !
N'aimant que les fleurs !
Qui génèrent et plantent...
Si on jardinait !
Un jardin secret !
Pour toujours aimer !
Son jardin secret !
Jérôme de Mars
25 ans déjà !
D'une date, j'me souviens !
De la mort d'ma mère !
Qui me dit reviens
A la vie sur Terre !
Ma mère en est morte
Donc le 20 Septembre !
Mon âme en fut forte
Du bout de mes membres !
Ma mère; elle fut morte
En 98 !
Prenant la porte
Comme à la-vite !
D'un délit de fuite !
Fuyant tout l'immonde
D'cette France qui délite !
Bêtises qui abondent !
25 ans déjà !
En mon désarroi !
Autant rabat-joie
De tout, je m'en bats !
Ma mère; elle mourut
Un certain dimanche !
Peur de l'inconnu;
J'en perdis ma manche !
La Manche de ces gens
Du Nord aux abords !
D'leurs côtés charmants
Malgré le décor !
Ma mère; en avait
Du Nord; un grand cœur
D'chez les Ch'tis qui met
Que du baume au cœur !
A tout cet endroit
Même qu'il n'fait pas beau !
Donnant de la joie;
Remontant plus haut !
25 ans déjà !
En mon désarroi !
Autant rabat-joie
De tout, je m'en bats !
Elle fut mise poussière
Donc rien qu'à la veille
D'son anniversaire !
D'où qu'elle est; elle veille
A toujours m'redire
Que là; elle est morte !
Ca m'a fait souffrir
Malgré mon âme forte !
Son anniversaire
Fut le 21
Septembre d'colère !
Qu'je manquais d'entrain !
Et dire qu'elle allait
Avoir 50 ans !
Depuis j'fais aller
Profitant du temps !
25 ans déjà !
En mon désarroi !
Autant rabat-joie
De tout, je m'en bats !
Jérôme de Mars
Pays du Maroc
D'un souffle sur La Terre
Du Maroc; embrasant
Le séisme austère
Du baroque; embrassant
La belle Médina !
Horizon sur du sable;
Il y a immédiats
Tous ces gens aimables;
Si hospitaliers;
Le cœur sur la main !
Voulant parsemer
Pour tenir demain !
Grâce à leur culture !
Entretenant tant
L'amitié d'nature !
A les aimer temps !
Pays du Maroc;
Un pays baroque !
Ici tout l'monde troque
En faisant toc toc !
A la porte d'l'accueil !
Les gens ne sont seuls
D'quoi les inviter
A boire; à manger !
Pour leur faire passer
L'temps en un bon temps !
Pour encore aimer
Ce monde d'océan !
Avec un riad
Pour tout embarquer
En une sérénade,
Pour se balader
Vers la rive de ceux;
Qui bien y arrivent !
Et loin parmi ceux,
Eux à la dérive !
Pays du Maroc;
Un pays baroque !
Ici tout l'monde troque
En faisant toc toc !
Ici rien n'est cher !
A faire des affaires
Jusqu'à des enchères,
Payant là cash cher !
Même sans La Goulette
Volant sur l'tapis !
Pour faire des emplettes
Sur le tatamis !
D'leur lutte quotidienne;
Montant sur chameaux
Faisant chaque semaine
L'boulot sur le dos
De ces dromadaires !
En crachant la vie
Parfois incendiaire !
D'Sahara la nuit !
Pays du Maroc;
Un pays baroque !
Ici tout l'monde troque
En faisant toc toc !
Jérôme de Mars
Un monde de pluie baignant dans du soleil
En ces temps bipolaires et contrastés,
Il fait naufrage sur La Terre incendiaire !
Réchauffant le temps semblant contracté
Du réchauffement climatique impair,
Où sont les repères d'ce manque de lumière ?
Et même si lunatique, il y a en clair
Encore quelques grandes lumières dans la chaumière !
Elles semblent d'loin linéiaires trop éphémères !
Comme tout tombe à l'eau aux travers des rages !
D'la fonte de la Banquise; restant de glace !
Faisant tomber dans le ciel des orages !
Et remonter sans blanc à la surface;
Le monde est noir bariolé de couleurs !
Entre les deux d'un monde clair; d'un monde éclair
Polaire; bipolaire, et si la ferveur
Attisait en une colère débonnaire;
Un monde de pluie baignant dans du soleil !
Trempant de merveilles; détrempant vermeil !
Le temps préfère le soleil ou l'oseille ?
Le soleil; la pluie restent intemporels !
Et si le temps faisait en étincelles;
Un monde meilleur dans la chaleur humaine !
Enchantant une pléiade de ritournelles
Pour faire briller la charité Chrétienne,
Loin de ce monde, où il fait vraiment froid !
Et où tous les humains sont tous en froid !
Egoïstes; individualistes; rois !
Rien que Dieu oh ! Dieu d'leur désarroi !
Pour remettre rien que de l'amour sans haine !
Il faudrait remplacer le bas de laine !
Par de la laine pour reprendre tous haleine !
En cultivant l'amitié chaque semaine !
Et si pour remettre tout ce temps en forme,
Le soleil donnait que des vitamines
Sans méforme ! Afin que tout soit conforme !
Et que le monde entier frais ait bonne mine !
Un monde de pluie baignant dans du soleil,
Trempant de merveilles; détrempant vermeil !
Le temps préfère le soleil ou l'oseille ?
Le soleil; la pluie restent intemporels !
Et si le soleil faisait tout le temps
De la prévention dans la bonne humeur !
Empêchant autant conjugué au temps !
L'apparition de la mauvaise humeur !
Refroidissant la pluie, rien que la pluie !
Réchauffant le soleil dans la chaleur !
Eau dépit de la pluie, et puis le puits !
C'est un puits au tréfonds de la ferveur !
Et si sans réchauffer la pluie; la pluie !
Sans refroidir le soleil; le soleil !
S'il y avait des confettis d'embellie !
Avec en embellie une passerelle !
Pour tremper la pluie en un caractère
Bien trempé ! Détrempé sans une colère !
Pour tromper le soleil dans la lumière
Claire au clair ! Et d'un éclair linéaire !
Un monde de pluie baignant dans du soleil,
Trempant de merveilles; détrempant vermeil !
Le temps préfère le soleil ou l'oseille ?
Le soleil; la pluie restent intemporels !
Jérôme de Mars
Arc en ciel d'amour
Flèche vers Cupidon !
Cherchant la lumière
Claire, cupide dont !
Faisant des éclairs
Ephémères; songeant
De la cour des grands !
Déclarant charmants;
Des rêves fulgurants
En une variété
D'couleurs mélangées;
En diversité
Limite bariolées;
L'amour fait du bien
A ceux qui nous aiment !
L'amour fait le lien
Et du lien qui sème !
Arc en ciel d'amour;
En faisant la cour !
Faisant les beaux jours;
Déclamant bonjour !
A l'élu d'l'amour
En Saint Valentin !
Qui veut fait l'amour
En sain Valentin !
En un septième ciel;
Point imaginaire !
Non superficiel
En chose linéaire !
Refaisant la chose
A n'importe quelle heure !
Sans la sinistrose
D'partir avant l'heure
Très surréaliste !
De ceux qui attendent
Sur une trop longue liste !
Qu'leur cœur les détende !
Arc en ciel d'amour;
En faisant la cour !
Faisant les beaux jours;
Déclamant bonjour !
En déclaration
D'un si bel amour !
En réclamation
Volage pour toujours !
Volatile oiseau
De toutes les couleurs;
Il sort le tuyau
Qui sent le bonheur !
D'atterrir au ciel
En un joli cœur !
Volant ritournelle
Offrant tout son cœur !
En joli bouquet
D'un cœur d'artichaut !
Varié réchauffé
D'un chœur archi chaud !
Arc en ciel d'amour;
En faisant la cour !
Faisant les beaux jours;
Déclamant bonjour !
Jérôme de Mars
Fosse Celtique
Si on chante
La Bretagne !
Et qu'on entre
En campagne !
En grimpant
Des montagnes;
En buvant
Du champagne;
On peut être
Ce qu'on naît !
Par hêtre
De nos haies !
Sans nausées
En Bretagne,
Pour chanter
Quand on gagne !
Fosse Celtique;
Poétique
Fausse sceptique;
Polémique
La beauté
D'cette région !
En bonté
De légion !
En repaire
De Quimper,
Sans impair
De repères,
Plein d'entrain
A Lorient !
Dans le train
Loin d'L'orient !
Dans la reine
De la ville,
Sans l'arène
De la vile,
Fosse Celtique;
Poétique
Fausse sceptique;
Polémique
En lançant
Que des vannes !
En ouvrant
Que des vannes !
Ville de Vannes,
Comme à Brest !
Qui pavane
Très à L'Ouest !
Des paroles
Qui pressent leste !
Sans bémol
C'qui déleste !
En lâchant
Que du leste !
En riant
Toujours preste !
Fosse Celtique;
Poétique
Fausse sceptique;
Polémique.
Jérôme de Mars
Un ver pour ma pomme
Pépins de santé;
La vie est cruelle !
Pour tant déguster
En choses solennelles
Dans une pomme d'api !
Il n'y a plus de blé
En une pomme d'épi !
Pour en faire du blé
Pour ma pomme dépit
En des épluchures !
Pour peler pourri
En de sales pelures !
Pour épeler fort
L'pépin de la pomme !
Ce n'est plus mon fort
D'avoir pour ma pomme !
Un ver pour ma pomme
Sans oh ! Comme trois pommes !
Un ver pour la pomme
Sans hauts ! Comme trois pommes !
Ecrivant en je !
Tout un jeu de paume
En moyen ah ! Je !
Un enjeu de pomme
D'un ver dans le fruit !
Qui s'enfuit en moi,
Je n'm'abonne à Free !
Qui s'enfouit dès mois
Et si j'écrivais
Des vers dans la pomme !
Et si je tapais
Des vers pour ma pomme !
En un pot pourri !
Pourrissant l'fruit !
En un pot-pourri !
N'm'abonnant à Free !
Un ver pour ma pomme
Sans oh ! Comme trois pommes !
Un ver pour la pomme
Sans hauts ! Comme trois pommes !
Et si je trinquais
Rien qu'à ma santé !
Et si je n'trinquais
Rien de ma santé !
Pour tant déguster
L'plaisir d'une bonne table !
Sans plus déguster
Les X fois des tables !
Qui me calculent temps
Dans toutes mes névroses !
Qui m'recalculent tant
Dans toutes mes nécroses
Intellectuelles
En seconds couteaux !
Toujours virtuels
Et d'effet ciseaux !
Un ver pour ma pomme
Sans oh ! Comme trois pommes !
Un ver pour la pomme
Sans hauts ! Comme trois pommes !
Jérôme de Mars
Les saisons de la vie
Inné en mode printemps,
Nul aguerri d'l'enfance !
Avec que du beau temps,
Nul ne guérit d'l'enfance !
Que le printemps balaie
En un remue-ménage...
Le printemps en ballets
Qui fait ça déménage !
En annuités de piges;
Ecrivant le journal
De la vie en des piges;
Décrivant le passage
Des ramages du printemps !
Balayant le printemps;
Empreint tant d'temps d'été !
Avant hier; c'était
Les saisons de la vie;
Dans la nuit embellie
Vers la vie de la nuit;
Un merci paradis
Surtout qu'arrive l'été !
M'en songeait passager;
Le temps d'une accalmie !
Rêvant de poésie
Pour convertir l'envie
Vers la vie animée,
Comme un oiseau de nuit
En des seins animés !
Pour flirter et aimer,
Entretenant l'amour
En des amours d'été;
Faisant le troubadour
Pour aimer que la mer,
Sirotant une bonne bière
D'l'été imaginaire
Avant la vie d'hiver,
Les saisons de la vie;
Dans la nuit embellie
Vers la vie de la nuit;
Un merci paradis
Après la fin d'l'été !
C'est la saison d'automne !
Qui rappelait l'été
En des maux sonotones !
Qu'été l'année atone !
Ecrivant sur une feuille
Morte des mots monotones;
Effeuillant le fauteuil
Des amours mortes d'automne
Pouvant se réveiller
En amours fortes au tonne,
Dès la vie éveillée !
Suscitant que l'envie !
Décrire sur une feuille morte;
La vie comme toute la nuit !
Réveillant d'année forte !
Les saisons de la vie;
Dans la nuit embellie
Vers la vie de la nuit;
Un merci paradis
A l'hiver de la vie !
Surtout quand il fait nuit !
Que ça sent le sapin
D'hiver faisant l'sapin
En une grande panoplie,
Composée d'maux d'hiver !
En galante compagnie;
Réveillée d'mots d'hiver !
Réchauffant tous les coeurs !
Allumant des bougies !
N'faisant des oh ! Le coeur !
Racontant frénésie
Les fêtes de fin d'année !
Y laissant que des plumes...
Davantage surannées,
Et très loin de l'enclume...
Les saisons de la vie;
Dans la nuit embellie
Vers la vie de la nuit;
Un merci paradis.
Jérôme de Mars
Ma neige
Effet;
Il tourne !
En fée;
Ristourne !
D'flocons
Qui tombent !
D'grêlons
Qui plombent !
L'moral
Des troupes !
Du mal
En groupe !
D'père noël
Impair !
D'mère noël
Repaire !
Ma neige,
Il neige !
Manège,
D'solfège !
D'chansons;
Qui chantent
Marrons;
Elles chantent
Le chaud;
Le froid !
Réchaud;
Crise d'foi !
Embûche !
Qui bûche
En bûche
De Tuche !
Arrête
La neige !
Arrête
L'manège !
Ma neige,
Il neige !
Manège,
D'solfège !
Effet
Boule d'neige !
Et fée
D'manège !
Il tourne
Au tour !
Ristourne
Détour !
D'ticket
De caisse,
Payé
D'espèces,
Ma neige,
On boit !
Manège
En bois !
Ma neige,
Il neige !
Manège
D'solfège !
Jérôme de Mars
Poésie lente
Cherchant des poux
Dans les cheveux !
Cherchant époux
Pour s'gratter mieux !
Y a pas photo
Dans les cheveux !
De tous les maux
Qui frisent à feu
Toute leur tête lente
Cherchant des poux !
Avec des lentes
Cherchant époux !
Prenant le pouls
En se grattant
D'la tête aux poux !
En se frottant
Poésie lente,
Qu'leur tête est lente !
Comme en attente !
Elle a des lentes !
Sans pellicules,
Y a la photo
Des pellicules !
Qui grattent le dos !
Ces pellicules
Qui font des tresses !
Comme elles pullulent
En leur détresse !
Faisant des nattes
Très à cheval !
Que ça les gratte
Leur queue d'cheval !
En se mariant
Entre ces époux !
En se grattant
De tous ces poux !
Poésie lente,
Qu'leur tête est lente !
Comme en attente !
Elle a des lentes !
En se faisant
Que des cheveux !
En s'les séchant
D'un sèche-cheveux !
En s'les lavant
Face au soleil !
Des ils levant
A nu d'merveilles !
Si leur fureur
Les emmenait
Chez le coiffeur !
Pour s'démener
En se brossant;
En se coiffant;
Se dépeignant
Et s'décoiffant
Poésie lente,
Qu'leur tête est lente !
Comme en attente !
Elle a des lentes !
Jérôme de Mars
Un ciel à feu orange
Au coucher du soleil
Bercé; ouvrant le bal
D'un vol de tourterelles !
Il y a la vie verbale
Des ritournelles qui chantent
Le printemps et l'été !
Surtout le soir qui vante
Des paroles bricolées
Au comptoir qui dévale
Les déboires en une foire !
Buvant originale
La nuit du territoire !
Pénétrant les étoiles
Par la brise défilante !
Regardant conviviale
La lumière qui incante
Un ciel à feu orange,
Pourvu que tout s'arrange;
S'arrête au feu orange !
Chaque mélange de vie d'ange !
La nuit s'éteint le soir
Rallumant en lueurs
D'espoirs ! Tous les trottoirs !
Fureurs de la sueur !
En prenant pour pigeon,
Le ciel à l'horizon
Du bal con au balcon !
En chantant rubicond
Tout le ciel qui voit rouge !
Le soir en allumant
Les braises du quartier louche,
Qui louche en implosant
Le ciel par des pétards !
Jouant avec le feu
En fumant des pétards !
Criant feu insidieux !
Un ciel à feu orange,
Pourvu que tout s'arrange;
S'arrête au feu orange !
Chaque mélange de vie d'ange !
Dans le mélange des genres
Vers aux mots sexuels !
Si se mélange transe genre !
Que des âmes sensuelles
En une recherche d'amour
Dans le ciel luit réel !
Ruisselant tous les jours !
Besoin de gestes charnels !
Juste avec Ken; Barbie,
Jouant aux poupées rousses !
N'étant haine; Klaus Barbie,
Jouant aux poupées Russes !
Et si pour faire merveilles !
L'ciel rassemblait les jeunes
Jusqu'à la carte vermeille !
Faisant ensemble le jeûne !
Un ciel à feu orange,
Pourvu que tout s'arrange;
S'arrête au feu orange !
D'un mélange de vie d'ange !
Jérôme de Mars
Charles et Stone !
Monotones
En chanson,
Ca détonne
En maison !
Dès la nuit
D'l'oraison !
Ils disent oui
D'la raison !
Comme une danse !
Qui bêchait
La contre danse
De Sidney !
Qui bêchait
Au jardin
Très secret;
Plein d'entrain !
Charles et Stone !
L'monde est stone !
D'charleston !
Appel d'Stone !
Sans la faune
D'être sans voix
Trop aphone !
Qu'ils n'y croient
Années folles
Si devins;
En paroles
D'années 20
D'Joséphine
La Baker !
Qui dessine
Ca par cœur !
Charles et Stone !
Pour qu'ils chantent
C'qu'ils fredonnent
D'âmes ferventes !
Charles et Stone !
L'monde est stone !
D'charleston !
Appel d'Stone !
D'entrejambe !
Ca leur fait
Une belle jambe !
D'faire jazzer !
En voyant
Tout en noir !
Donc pendant
Années noires !
Tenant l'rythme
De ces pas
D'algorithme !
Clamant là !
Que des chants
Génériques !
D'traitements
Génériques !
Charles et Stone !
L'monde est stone !
D'charleston !
Appel d'Stone
Jérôme de Mars
David guetta sa musique !
Musique d'ambiance à la house !
David Guetta joue d'la house !
S'reposant sur ses lauriers;
Ses taies d'oreillers
Couvertes d'une house d'oreiller
En des batailles d'oreillers !
En y laissant que des plumes !
Qu'il écrivit sans sa plume,
Des morceaux qui font échos !
En temps que DJ d'contre dense !
Mangeant sa musique sans mots;
Cela est encore la tendance !
Des nuits très gaies aux bains douches;
Paradis artificiels
Dans sa musique qui fait mouche !
Parodies artificielles !
David guetta sa musique !
Sans des paroles frénétiques,
Musique roule des mécaniques !
Electriques; électroniques !
David guetta dans sa house
En étant en trance intense !
Que sa musique; elle le mousse !
Composant en intendance !
Toutes les tendances du moment !
Et même s'il ne fait pas d'rock !
C'est un DJ assurant
Et rassurant comme Jean Roch !
David est un DJ d'platines !
Qui fait bouger les platines !
En remixant les platines,
Sans que sa musique patine
A l'instar de Bob Sinclar !
De leur musique qu'elle commette
Leurs étoiles de boulevard !
Qui déclarent stars des comètes !
David guetta sa musique !
Sans des paroles frénétiques,
Musique roule des mécaniques !
Electriques; électroniques !
D'Norvège sans Martin Solveig,
Tirant les vers d'Dj Snake !
Toute leur musique; ils la lèguent !
David Guetta qui délègue
David Guetta se refait
Les cheveux d'Laurent Garnier !
A cause d'avoir trop fait
Un trophée Shampoings Garnier !
Ayant à la fois l'venin
De DJ Snake d'serpent !
David Guetta a l'béguin
Aussi bien en un volcan!
Quand Bob Sinclar et Jean Roch,
Jouent avec Laurent Garnier,
Une musique sans effet d'rock !
Quitte ou double ! A déclaré
David guetta sa musique !
Sans des paroles frénétiques,
Musique roule des mécaniques !
Electriques; électroniques !
Jérôme de Mars
Elle habite une île, il vole de son aile !
Comme une presqu'île qui bat de l'elle en aile;
L'oiseau libre en son île; presqu'il habite Lille !
Pas dans L'île ! Mais à Lille en une presqu'île !
La presqu'île Loin de Giens, car à tire d'elle !
Il n'habite pas elle, mais aile habite l'île
En son il ! Dans la ville de Lille pas vile !
Elle habite son il, comme l'île habite aile !
Déployant elle; habitant la ville d'elle !
Si bien qu'il habite elle dans l'île de l'il !
Pas Lille ! Comme elle habite toute la presqu'île
De ville en villle, jamais vile ! D'aile en aile !
En battant de l'aile ! A tire d'aile pour elle !
Volant de sa propre aile ! La ville de Lille
Depuis son île en presqu'île de son elle
Brisée ! Qu'il faudrait soigner en son il
A la Clinique de L'Isle ! Rien que son aile !
Elle habite une île, il vole de son aile !
Attire d'elle ! A tire d'aile ! Volant d'son elle !
En battant de l'aile ! Déployant son aile !
En ouvrant et en refermant son elle !
L'île abrite son elle; l'aile habite son il !
De sa presqu'île; de Lille, de L'Isle en île !
Ils volaient à elles, s'envolaient en ailes !
Des ailes brisées aux ailes, battant de l'elle !
Et si d'île en elles, il y avait des ailes !
Pour ouvrir ailes, sans refermer leurs zèles !
Et si d'elle en il; il y avait un il !
Et une île ! Habitant de tout cet il !
Et si d'un presqu'il en une belle presqu'île !
Il y avait l'île de la ville de Lille; d'L'isle !
Soignant la presqu'île ! Rouvrant toutes les ailes !
En redéployant attire d'aile ! Les elles !
A tire d'elles ! Pour rabattre, pour abattre les ailes,
A tire d'ailes ! Pour envoler, en volant elle
De ses propres elles ! Pour habiter son il;
Son île de la presqu'île de L'isle; de Lille !
Elle habite une île, il vole de son aile !
Attire d'elle ! A tire d'aile ! Volant d'son elle !
En battant de l'aile ! Déployant son aile !
En ouvrant et en refermant son elle !
Ils et elles forment; conformes plusieurs presqu'îles!
S'envolant d'la vile de L'isle à la ville
De Lille, dont elle répare l'aile, battant d'l'elle
A ailes ! Pour revoler de toutes ses ailes,
Lille permet de voler de ses propres ailes
Jusqu'à la presqu'île de la ville de L'île !
Pour aider son il, à envoler elle !
De villes en villes jamais jamais viles !
Pour redéployer et rouvrir les ailes,
Il faut faire d'une presqu'île ! Une île à Lille
Sans la vile de L'isle ! Prenant son son elle !
L'île au Trésor en Ile de France dans l'île !
Et si pour s'envoler, il rouvrait l'aile !
A travers elle ! Pour redécouvrir L'Isle,
Quitte à la réapprendre sous toute son elle !
Partant d'l'île vile ! Arrivant à Lille ville !
Elle habite une île, il vole de son aile !
Attire d'elle ! A tire d'aile ! Volant d'son elle !
En battant de l'aile ! Déployant son aile !
En ouvrant et en refermant son elle !
Jérôme de Mars
Au nom d'une pipe !
u nom
7) A d'une pipe ! 6) E n
1) S mait 2) L pour casser sa fumant
4)E i on fu e de la paix pe
n c et i
j alum ea u de havane à la Havane3) P
o p
u pi
an u
t ant d
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t u
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n 5)
Jérôme de Mars
Vague à slam !
Rouleau d'vague
D'la mer morte !
Que j'élague
En mon âme forte !
J'en écris
Sous une drague
D'poésie;
Genre au rade !
Un stricte art
Dans la rue
D'mes rencards !
Bienvenue !
Au concours,
D'où j'vous livre
Sans Goncourt
En un livre !
Vague à slam !
Pas de drame !
Vague à l'âme !
C'n'est un drame !
D'être un livre
Très ouvert;
Qui délivre
Que des vers
De poèmes !
Sans problèmes
De bohème;
Qui parsèment
Je m'enivre
Dans l'écume !
Monnaie d'livre !
Qui m'enfume
Dans l'brouillard
Au hangar !
D'où j'm'égare,
Je m'gare !
Vague à slam !
Pas de drame !
Vague à l'âme !
C'n'est un drame !
J'dis hello !
En bonjour
D'un allo !
Genre bon jour !
Qui passe vite;
Qui repasse
Qu'on s'évite !
Qui ressasse
J'en attends
Le soleil !
Qui m'détend
A merveilles !
Je ne perds
Le stylo !
En repaire
De mes eaux !
Vague à slam !
Pas de drame !
Vague à l'âme !
C'n'est un drame !
Jérôme de Mars
Le lac paisible de la forêt
Au Bois de Boulogne Molitor,
Il y a des eaux calmes qui frétillent;
Qui fricotent avec pour mentor,
Des kiosques pour chanter toute la ville
De Paris; son jardin tranquille !
Champignons hallucinogènes
Dans un quartier moins que fébrile !
Loin des rues d'Paris anxiogènes;
Qui avancent à très vive allure !
Mais heureusement qu'il y a l'eau
Pour montrer aux gens leur nature !
Occultant tous les quiproquos
De la vie en son quotidien
Sans langue de bois jusqu'au charbon !
Au bois plutôt manichéen !
Et au bois; il y a de plus bon !
Le lac paisible de la forêt,
C'est du gâteau dans la forêt !
Que chantait Marie La forêt
Lors de l'appel de la forêt !
Au Bois d'Boulogne; Porte Molitor !
Pour jouer avec toutes ses boules
Sans avoir les boules du mentor
En ce monde maboule qui déboule...
Il ne faut jamais perdre la boule
Sur des sables mouvants de pétanque !
Il vaut mieux rentrer dans le moule !
Cherchant le jeu de la bonne planque,
Il faut s'méfier de l'eau qui dort !
Sur les nénuphars eaux hagards
Du folklore de l'eau en renfort !
Qui joue du pipeau en fanfare !
Trompant les clapotis de l'eau
Dans un éternel vague à slam !
En en faisant des ronds sur l'eau !
Qui déclament; proclame pas de drame !
Le lac paisible de la forêt,
C'est du gâteau dans la forêt !
Que chantait Marie La forêt
Lors de l'appel de la forêt !
Il y a une foule qui se défoule
En une belle foule sentimentale !
Que le capitalisme refoule
En de vilaines choses trop banales !
Il faut se changer les idées !
En écoutant le calme de l'eau !
En se rinçant l'intégrité
Et les qualités, car hello !
Bonjour, le cher Bois de Boulogne !
Montrant de quel bois il se chauffe
En chaleur humaine de vergogne !
Tout le monde s'échauffe en tour d'chauffe !
Réchauffant le froid des Banquises
En ambiance cordiale; conviviale
D'une solidarité marquise,
Exquise et en détente triviale !
Le lac paisible de la forêt,
C'est du gâteau dans la forêt !
Que chantait Marie La forêt
Lors de l'appel de la forêt !
Jérôme de Mars
Vers mi sel
Pour manger,
Je parsème
A manger,
Dont je sème
Une bonne soupe
De légumes !
En soucoupe
Sans agrumes,
J'en écris
Des vertes mûres;
J'en décris
Vertes pas mûres !
En salade;
Verte ouverte
En ballade
Verte couverte;
Vers mi sel
Hormis celle,
Vermicelle
Envers celle,
C'est d'la soupe !
Populaire !
Soucoupe
Populaire !
En denrée,
Qui bombait
Le Glaude;
Ainsi glauque !
Qui donnait
Envie d'manger
De la soupe !
En soucoupe
D'un régime
Sans sel,
D'un régime
Sans celle,
Vers mi sel
Hormis celle,
Vermicelle
Envers celle,
Qui prépare
Une bonne soupe,
D'une fanfare
De soucoupe,
En buvant
Sa soupe,
En tapant
Sa soucoupe,
En comptant
L'ver mi sel !
En contant
L'vermicelle !
En histoire
De cette soupe,
Et pour boire
Sa soucoupe,
Vers mi sel
Hormis celle,
Vermicelle
Envers celle.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi la femme, elle débite l'homme ?
- Pour que l'homme paye en liquide content la femme !
Jérôme de Mars
Un nanti pauvre; un anti riche
Il était une fois que l'argent !
Qui faisait ce monde qui mine d'or...
La parole n'en est que d'argent !
Comme le silence dore et redore !
Prenant tout pour argent comptant !
Sans en vérifier sa valeur !
Et s'il rend indolore content;
L'argent contribue au bonheur !
Mais n'est rare entier de bonheur !
Comme c'est trop une tare d'être rentier
Au bout du compte fait de l'honneur !
En avoir et tout posséder
Certes, met à l'abri pour toujours !
A part de s'ennuyer frivole !
L'argent; il en vaut le détour !
Et pour prendre son envol sans vol,
Un anti pauvre; un nanti riche
Est d'être anéanti en friche;
Un nanti pauvre; un anti riche
Est d'être un accompli des friches;
Il vaut mieux entreprendre des choses !
Pas que pour l'argent; pour l'amour
De son métier ayant d'l'osmose !
Pour dire que ça vaut le détour !
D'entreprendre des choses pour l'plaisir !
Autant que pour gagner sa vie !
Sans plus souffrir à l'avenir;
Quitte à surfer dans l'autarcie !
Pour ne plus dépendre de personne !
Juste pour collaborer pour l'fun !
Afin que tout sonne vrai sans klaxon,
Anglo-saxonne quand des cons sonnent !
On vous met tous à la grande porte !
Virés, rivés et dérivés,
Traités comme des malpropres en sorte !
De la sorte qui en fait songer !
Un anti pauvre; un nanti riche
Est d'être anéanti en friche;
Un nanti pauvre; un anti riche
Est d'être un accompli des friches;
Il faut faire quelque chose d'sa vie !
Entreprenant tout l'intérêt
Des choses qui donnent; redonnent envie
D'avoir d'la personnalité !
Pour s'intégrer en être intègre,
Trouvant en vitesse de croisière;
Tout l'amour du travail allègre
En un inventaire sans colère !
Avec pour contremarque de fabrique;
Le fait de bien gagner sa vie
Sans le luxe d'une marque de fabrique;
Qui fabrique pour la vie l'ennui !
Et si pour mieux gagner sa vie;
Il y avait en gain le besoin;
De déclarer son appétit
En grande forme avec en regain !
Un anti pauvre; un nanti riche
Est d'être anéanti en friche;
Un nanti pauvre; un anti riche
Est d'être un accompli des friches.
Jérôme de Mars
Faites du sport !
D'un concours
D'circonstances,
Le temps court
En constance
D'badminton !
Qui rackette;
Qui détonne
Les raquettes !
Jeu d'tennis
En filet !
Coupe Davis
Sans filet !
Jeu d'ping-pong,
Ouvrant l'bal !
Qui diphtongue
Si verbal !
Jeu d'football
Dans les cages,
Le handball
Qui saccage
En hockey
Sur glace;
Son hoquet
Restant d'glace
Sur gazon !
S'coupant l'herbe !
Dont gageons
Qui désherbe ?
En faisant
Trop de ski !
Refaisant
Si exquis !
Vous semez
Que du grain !
Vous avez
Que du pain
Sur votre planche
De snowboard !
Comme il planche
Story board !
En jouant
Au billard,
Enjouant
Corbillard
De polo
En maillet,
D'où Paulo
Emaillait
Faites du sport !
Dans l'confort !
Vive le sport !
C'est votre fort !
D'natation
Dans la nage
De l'action !
Et en âge !
Jeu d'basket !
Lançant franc !
Vos baskets
D'lancer franc !
A cheval
C'est d'la bombe !
En aval
C'est une bombe !
Dans votre box
Elégant !
Dans votre boxe
Et les gants !
En pelote
Si basque,
Qui grelotte
Dans les basques !
Jeu d'rugby
A l'essai !
Qui vous dit
Tout se sait !
En jouant
Au golf,
En allant
Dans le Golfe
De l'arène
D'corrida !
Etant reine
Des férias !
Jeu d'fléchettes
Indicibles !
Visant d'tête
Toute votre cible !
Si maboule
D'la pétanque,
Qui déboule
Toute votre planque !
En faisant
De la gym !
En buvant
D'aquagym !
A cheval
Que d'arçon,
Qui cavale
Sans garçons !
Faites du sport !
Dans l'confort !
Vive le sport !
C'est votre fort !
D'athlétisme,
Course à fond
D'olympisme !
Course de fond
En une course
Solitaire !
Et of course
Solidaire,
Comme l'escrime,
Qui fleurait
Sans le crime
D'un fleuret !
Eflfleurant
Votre bateau,
Ecorchant
D'vos gouttes d'eau,
Votre épée
D'Damoclès !
L'flibustier,
Comme il lèse !
A voile et
A vapeur !
Démarrez
Votre moteur !
Vos voitures
De rallye,
D'couverture
Qui rallie
Le cyclisme
D'vos vélos !
Cataclysme
P'tits vélos !
En filet
D'volley-ball !
Enfilé
Volé all !
Sous le vent
D'alters égos !
Soulevant
D'halters égaux !
En plongeant
Assez splatch !
En faisant
Que du catch !
Sans base-ball
Dans votre lutte
De horse-ball !
Et sans butte,
Faites du sport !
Dans l'confort !
Vive le sport !
C'est votre fort !
Jérôme de Mars
Maux croisés
D'une balade;
J'en écris
Une ballade !
D'maladie
Schizophrène;
Bipolaire
Qui ne freine
Ma colère !
En humeur
Névrosée;
Je meurs
Nécrosé
En schizo
Affectif !
Non triso
En canif !
Maux croisés
Décroisés;
Mots croisés
Des croisées;
Ame d'artiste;
J'ai des mots !
Ame d'autiste;
J'ai des maux !
Ame altruiste
Solidaire;
Ame si triste
Solitaire;
J'pleure la nuit
Névrotique !
J'aime la vie
Bucolique !
Dépressif;
J'fais du rock !
Expressif;
J'fais le roc !
Maux croisés
Décroisés;
Mots croisés
Des croisées;
Déprimé
Trop chronique;
Et primé
Euphorique;
Je n'comprends
Quand je vois !
Si j'entends
Que des voix !
Que je stresse
Oppressé
En des tresses
Et tirées !
D'mon cheveu
Sur la langue
Si odieux;
Que je tangue !
Maux croisés
Des croisées;
Mots croisés
Décroisés.
Jérôme de Mars
Interro musicale
D'une portée rapportée
Sur une note de piano;
Je ne fais qu'apporter
Une quantité de mots !
Ecrivant l'fleuve d'une vie !
Emportée en mélo;
Qui fait; kiffait ovni !
En ressortant mes lots
De l'écume de ma mer !
Jetant l'encre d'mon histoire !
Assurant mes arrières
Du fruit d'mon purgatoire !
Faisant d'une oeuvre hors d'oeuvre !
Quelpart gouttant la pluie
Du tourbillon qui oeuvre
Défaites de confettis !
Interro musicale
En un terreau génial;
J'préfère l'original
A la copie banale !
Tapant tape amicale
Des notes salées trempées
De mon encre animale !
Caractère bien trempé
De ma composition !
Chantant à la maison !
Rebelle état sauvage;
J'écris ma zone sauvage !
Tapage nocturne extrême !
Je crée d'un drôle d'adage
Des mots volages suprêmes;
Qui sortent du paysage
Ordinaire et terrien
Sur la terre immorale
D'mon système D païen !
Je veux me faire la malle !
Interro musicale
En un terreau génial;
J'préfère l'original
A la copie banale !
Qui veut m'interroger
Sur tout le contenu
De mes poèmes slamés
Pour parler dissolu
Et si irrésolu ?
En mettant une note
A chaque nuit ingénue !
Je m'y pique; je m'y frotte
En des orties qui m'piquent
Loin d'une vie jamais rose !
Qui suffoque très épique;
Toujours en sinistrose !
Pourvu qu'j'ose de mes mots !
L'envie de faire la fête
Dans un eldorado
Retrouvé sans défaites !
Interro musicale
En un terreau génial;
J'préfère l'original
A la copie banale !
Jérôme de Mars
49.3
Projet de loi
Et du plus fort !
D'un jeu de l'oie
En un renfort !
Qui est l'cador
Sur la commande ?
Qui dore; redore
Dans la demande !
Ceux qui ont tort
Ou oraison !
En des remords
De déraison !
D'un droit de vote
A gauche; à droite !
Et qui pivote ?
C'est dans la boîte !
49.3
En règle de trois;
Sentant l'étroit
Dans un détroit !
D'l'apolitique !
Tout l'monde s'en fout
D'la politique !
Dans c'monde ripou !
Je n'en suis dingue !
Celui qu'je flingue
En étant dinde,
Marron et dinde !
C'est le chaos
En société !
Qu'ça fait bobos !
BCBG !
Personne n'y croît !
Ordre de grandeur,
Personne n'y croit !
Ordre de frondeur,
49.3
En règle de trois;
Sentant l'étroit
Dans un détroit !
C'est n'importe quoi
Cette météo !
Au sujet d'quoi ? !
C'méli-mélo !
Pluie et beau temps
De la grenouille,
A bout portant
De ces fripouilles !
Mauvais discours !
Pour qui ils roulent
Les prix d'concours !
Que ça déroule
Prix de Goncourt,
Que tous écrivent
Compte à rebours !
Scandant furtives
49.3
En règle de trois;
Sentant l'étroit
Dans un détroit !
Jérôme de Mars
Volcanique
Un cratère;
Il crachait
Sa colère !
Pour crier
Eruption;
Y a la lave !
Irruption;
Qui en bave !
Sur des monts
Noirs et blancs !
En démons
Blancs troublant !
Que d'un mont;
Il jura
En amont
Du Jura !
Volcanique
En musique,
Acoustique
Pacifique,
Pyrénées
En taverne !
L'pire est né
Dans l'Auvergne !
Y a l'massif
Très central !
Si massif
Ancestral !
Loin des Alpes
En montagne;
Qui palpent
La campagne !
D'la Vendée
Qui disait;
Donc vendez !
Pour hurler
Volcanique
En musique,
Acoustique
Pacifique,
Pour en faire
Au Jura
Du cratère;
Il jura
En faisant
Une montagne !
Sous le vent
D'une montagne !
Gravissant
L'Everest !
En gravant
Elle, Eve reste !
Contamines
De Montjoie !
Contamine
Mon bourgeois !
Volcaniques
En musique,
Acoustique
Pacifique.
Jérôme de Mars
Petites brèves du GEM de Vitry !
Voici des petites brèves sur le GEM de Vitry :
1) Pour chaque adhérent du GEM de Vitry, le jour où c'est leur anniversaire, c'est du gâteau pour tout le monde !
2) Walid fait tellement bonne impression au GEM de Vitry que c'est lui qui change à chaque fois les cartouches d'encre de l'imprimante !
3) S'il y avait un atelier peinture au GEM de Vitry, tout le monde pourrait se voir davantage en peinture !
4) Chaque fin de mois, Jérôme fait les comptes du GEM de Vitry en saltimbanque !
5) Quand le GEM de Vitry a davantage d'argent dans les caisses, tout le monde est de bonne humeur que Jérôme fait un billet d'humour !
6) Gerald se débrouille si bien en poterie que tout ce qu'il dit concerne la vie sur Terre !
7) Rafaël est tellement doué dans le poste qu'il occupe aux impôts concernant l'argent qu'il n'est jamais économe dans l'art de prodiguer des bons conseils financiers !
8) La preuve que Jérôme n'a jamais travaillé dans une banque car à chaque fois qu'il parle de placements financiers; il raconte des blagues déplacées sans s'épargner !
9) Philippe Benguigui raconte si bien les blagues cochonnes qu'il pourrait bien manier le cochonnet en tirant ou en pointant à la pétanque !
10) Guillaume pourrait très bien entretenir le jardin du GEM de Vitry en cultivant l'amour du travail bien fait ainsi que l'amitié avec tous les adhérents du GEM de Vitry !
11) Dorothée connaît si bien la chanson à la FNAC que le mardi et le jeudi quand elle ne travaille pas, elle vient parfois au GEM de Vitry !
12) Le GEM de Vitry attend de voir les Œuvres Falret à l’œuvre comme le nouveau gestionnaire du GEM de Vitry !
Jérôme de Mars
L'opération totale !
Multiplié X fois !
Le monde est divisé
Par un grand manque de foi
En ce monde fracturé;
C'est l'addition salée !
Avec des moins que rien !
Pour sucrer des salées !
Ce monde qui manque d'entrain !
En inadéquation !
Déroute vers l'inconnu !
Quelle serait l'équation
Pour n'être un inconnu ?
Mais quelqu'un d'reconnu
Dans la rue, salut !
Arrondissant les angles,
Sans attacher les sangles !
L'opération totale !
C'est jamais amical
De s'affronter frontal !
Le monde devient fatal !
Avec aucun angle droit,
Le monde ne tourne plus rond !
D'plus en plus maladroit !
Avec des rubiconds
En un monde trop carré !
Nul ne peut s'encadrer !
Ne peut contrecarrer,
Sans se faire recadrer
En triangle isocèle
Du triangle des Bermudes !
Celui qui isole celle
D'sa mauvaise altitude
Trop perpendiculaire !
Sans histoires parallèles
Dans les bars parallèles !
Qui attirent au contraire,
L'opération totale !
C'est jamais amical
De s'affronter frontal !
Le monde devient fatal !
En une fraction d'secondes !
Les gens; ils veulent leur part
En effractions qui frondent
Leurs côtés sans rempart !
Le monde est morcelé
Et plus que fractionné
En mille et un morceaux !
Comme tout part en lambeaux !
Dont l'dénominateur
Commun; est d'réunir
Fait multiplicateur !
Tous pour se soutenir
Un égale un plus un !
Qui régale un plus un !
Un légal un plus un !
Qui l'égale un plus un !
L'opération totale !
C'est jamais amical
De s'affronter frontal !
Le monde devient fatal !
Jérôme de Mars
Ca décoiffe !
Me faisant
Des cheveux !
Malfaisant
Odieux !
Je me fais
Des cheveux !
En effet
Sans cheveux !
Et hirsutes
D'mes cheveux !
Y a la chute
D'mes cheveux !
Que je frise
L'ridicule !
Sur la frise;
J'déambule !
Ca décoiffe !
Bien à poil !
Qu'ça ne coiffe !
Bien pile-poil !
Dépeigné
A l'arrêt !
Décoiffé
A la raie !
Coupe-ciseau;
D'calvitie !
J'ai tout faux !
Qu'il fait gris !
Que je vends
Toute la mèche !
Dans le vent
Luit revêche !
Qui m'assèche;
Implosant
Dans la brèche;
Explosant
Ca décoiffe !
Bien à poil !
Qu'ça ne coiffe !
Bien pile-poil !
C'est rasoir
Dans ma tête !
Défouloir
En casse-tête !
Exutoire
De la tondeuse !
C'est rasoir
Et songeuse !
Qu'mot pour maux
Si rasoirs !
J'ai l'blaireau
Du rasoir !
Pour étaler,
M'épancher;
Mélangé;
Figuré !
Ca décoiffe !
Bien à poil !
Qu'ça ne coiffe !
Bien pile-poil !
Jérôme de Mars
Bienvenue au Parc Montsouris
Dans les allées pour dévaler,
Il y a des ronds sur l'eau dans l'lac !
Pour avaler et ravaler
Les gens qui remarchent sur des flaques !
Tous les badauds pique-niquent sur l'herbe !
Déjeuner de génies en herbe !
Le déjeuner sur l'herbe de Manet
Sans s'couper l'herbe qui émanait
Des passants mangeant que des glaces
A l'eau; se regardant dans la glace !
Eux forts, comme des armoires à glace !
Pour échauffer eux en froid d'glace !
Il suffit de se réchauffer
Face au soleil pour regarder
Les gros poissons dans leurs péchés !
Commettant la faute d'n'être pêchés !
Bienvenue au Parc Montsouris,
Pourvu que les gens, ils sourient
A la vie qui les épanouit !
Pourvu que les gens, ils en rient !
En joue, les promeneurs rejouent
A leur puissance pliée en quatre !
Si bien qu'ils baladent tous les fous !
Qui ont tant besoin d'un psychiatre !
Pour essuyer les plâtres d'leur mal
De vivre dans la fureur d'survivre !
Mais grâce à ce Parc en aval,
Il y a d'l'énergie qui enivre
Tous ceux qui en font leur footing !
Courant beaucoup plus vite qu'Paris !
Ici il y a un bon feeling,
Qui fait oublier les soucis
Jusqu'à la terrasse de café,
Avant qu'elle terrasse tout l'été !
Qu'arrive l'hiver en clapotis
Sur l'eau, dès qu'il y a la pluie !
Bienvenue au Parc Montsouris,
Pourvu que les gens, ils sourient
A la vie qui les épanouit !
Pourvu que les gens, ils en rient !
Malgré les aléas du temps
S'il fait beau pour monter le temps !
Il faut qu'il y ait un escabeau
Pour tout remonter vers le haut !
En mangeant près de la cabane
Toute en bois; des crêpes et des gaufres
En queue d'peloton qui pavane
Les gens, attendant qu'on leur offre
Des barbes à papa rabat-joie !
Si bien que tous les papas barbent
Leurs enfants pour connaître la joie
Acidulée de la rhubarbe !
Et même si contre vents et marées !
Il y a des humeurs bipolaires !
Il faut prendre le temps d'se marrer,
Et effaçant toutes les colères;
Bienvenue au Parc Montsouris,
Pourvu que les gens, ils sourient
A la vie qui les épanouit !
Pourvu que les gens, ils en rient !
Jérôme de Mars
La courte échelle
En hissant O !
De bas en haut !
Avec hauteur
Et d'la ferveur,
Si on s'aidait
Et s'entraidait !
Sans rien attendre
Pour se détendre !
Ca vaut l'détour !
De rendre service !
Chacun son tour !
Dans la justice !
Et d'impulsion
En une pulsion,
Si on voulait
Et on faisait
La courte échelle,
Montant le ciel !
Gravant l'réel
De l'essentiel !
Pour faire d'une vie,
Une embellie !
Quelque part aussi
En choses jolies !
Pour transformer
Rien que la nuit
Et la changer
En accalmie !
Le temps de fuir
Tous les ennuis
De la vie enfouie,
Rien qu'pour s'enfuir !
Durant le jour
Face au soleil;
Donnant d'l'amour !
Qui amoncelle
La courte échelle,
Montant le ciel !
Gravant l'réel
De l'essentiel !
Et en aimant
Rien que les gens,
Si on semait
Et parsemait
De l'énergie !
En clairsemant
Que des envies !
En diffusant
Que des bonnes ondes
Très positives !
Sans micro-ondes
Trop négatives !
On déchantait
Que là c'est cuit !
Chantant cuit cuit !
Si on faisait
La courte échelle,
Montant le ciel !
Gravant l'réel
De l'essentiel !
Jérôme de Mars
Névrose obsessionnelle
Question d'un handicap,
On fait face comme on peut !
Gardant toujours le cap !
Pour se relever mieux
Malgré la parano
Des mots qu'on n'aime entendre !
Quand parfois ça fait trop !
Pour vraiment se détendre
En conflits psychiatriques;
En luttant tout le temps
Contre ses pensées psychiques
Depuis naguère OTAN !
En faisant trop toc toc
De ce gros handicap !
Comme ce n'est pas du toque !
De vouloir garder l'cap !
Névrose obsessionnelle;
Question si solennelle
Pour garder l'essentiel
Sans s'en aller au ciel !
Luttant contre ses démons
A force de s'en faire trop !
Voulant braver les monts !
Façon incognito,
Contre tous ses vieux démons
D'un paradis d'enfer !
D'une psychose d'obsession
Sans parodie d'en faire !
Du cinéma qui n'en
N'est pas sans aucune joie !
Surtout au Nouvel An,
Question trop rabat-joie !
De se répéter trop !
Accro synchro pour
Tenter d'être sans rétro
Dans la haine sans amour !
Névrose obsessionnelle;
Question si solennelle
Pour garder l'essentiel
Sans s'en aller au ciel !
Tentant tant bien que mal
De rester dans la vie !
Sans côté chacal
De rester dans la nuit !
Entre l'ombre et la lumière;
Lunatique et lunaire !
Du côté de son ombre !
La nuit dans la pénombre !
Au nombre des côtés sombres;
Qui grandissent en un nombre
Record sans être raccord !
S'il n'y a jamais d'accord !
Pour rester en accord
Avec soi ! Sans des cors
En procrastination !
On n'domine ses démons !
Névrose obsessionnelle;
Question si solennelle
Pour garder l'essentiel
Sans s'en aller au ciel !
Jérôme de Mars
Mixe les platines !
DJ Gégé !
Il met le disque !
Fréquence FG;
Prenant des risques
Dans la truande
De négatifs !
En contrebande
Deux négatifs !
Allez ! Musique !
Ca danse, contre danse !
Rythme dynamique !
Gare à contre dense !
En un PV,
Procès-verbal !
Sur du synthé,
Ouvrant le bal !
Mixe les platines !
D'adrénaline !
Remix d'platines !
A l'origine !
Musique branchée;
Fil électrique !
Pour débrancher
Rythme hystérique !
Montant des pièces
Su des platines,
Payant en pièces
Sûres des platines,
Quarante-cinq tours !
Ca vaut l'détour !
Et trente-trois tour !
A qui le tour ?
Pour tourner l'disque,
Manger le disque,
Pour détourner,
Et contourner
Mixe les platines !
D'adrénaline !
Remix d'platines !
A l'origine !
Y a pas photo
De positifs !
Y a la photo
De négatifs !
Pour reformer
L'duo d'enfer !
Pour retourner
A des concerts !
Et pour remonter
A ces racines;
Il faut monter !
Courbant l'échine !
Pour démonter
D'un roc de pierre !
Pour démontrer
D'un rock de Pierre !
Mixe les platines !
D'adrénaline !
Remix d'platines !
A l'origine !
Jérôme de Mars
Il y a des noms d'oiseaux !
Epie, la pie qui chante
Le corps beau en son corbeau !
Canaris, des îles lentes;
Clopant que du pipeau !
En vers tous les pigeons !
Prenant pour des pigeons
Les mouettes du bitume;
Alouettes de leur plume !
Hibou; caillou; chouchou,
Déposant sans vergogne
Que de jolies cigognes !
Chantant que des mots doux !
Paroles de perroquet !
Se faisant des cheveux !
Pour coiffer; décoiffer
En inséparables deux !
Il y a des noms d'oiseaux !
En passant des gros mots
Aux différents oiseaux
Volants; faisant les beaux !
En faisant d'une vie d'ange
Que des tifs de mes nattes !
En s'appelant mésanges
Dans un kif de mainates !
En proie plus que vorace
A ces aigles de rapaces !
Renaissant en phénix
Sans provoquer de rixe !
L'hirondelle fait l'printemps !
Qu'elle vole de ses propres ailes !
Attendant l'firmament
Avant d'aller au ciel !
Volant les tourterelles
Fanatiques des moineaux !
Flirtant comme demoiselles !
Avec pour dernier mot !
Il y a des noms d'oiseaux !
En passant des gros mots
Aux différents oiseaux
Volants; faisant les beaux !
Très à cheval d'ara !
Jamais dans leur ara !
Les aras, ces oiseaux !
Flânant dans leur aura,
Avec des pélicans,
Allumant cigarettes
Sur cigarettes; faisant
Des plans sur la comète !
Emprises de becs pète-secs !
Déclamant en mots secs
Qu'ils sont tous de mauviettes !
Pour leur conter fleurette !
Le temps d'une amourette
Sans tambour ni trompette !
Et s'il y avait des merles
Pour enfiler des perles !
Il y a des noms d'oiseaux !
En passant des gros mots
Aux différents oiseaux
Volants; faisant les beaux !
Jérôme de Mars
Verres de flûte !
Eau salée
De musique;
Démarrée
Poétique;
Une guitare
A deux mains
En fanfare;
Joue enclin !
D'un clin d'oeil
Une bluette;
Gardant l'oeil
D'amourette !
Pour un air !
En roulant
Tous les airs !
Déroulant
Verres de flûte;
Air de flûte;
Chantant flûte !
Et puis flûte !
En buvant
Chaque parole,
Dessoûlant
Chaque bémol,
Chaque matin
De rengaine
En refrain;
La semaine !
En cassant
Tous les vers,
Fracassant
Les revers
Mélodies
Sous silence,
Et hormis
Toute puissance !
Verres de flûte;
Air de flûte;
Chantant flûte !
Et puis flûte !
D'une complainte;
Enchantant
Dépôt d'plainte;
Déchantant
Bonne ambiance;
Chef-d'orchestre
D'une séquence !
Tape pédestre !
Il en faut
Des malins;
Porte-à-faux !
Qui bénins;
En merlins
Enchanteurs,
Magiciens
En chanteurs,
Verres de flûte;
Air de flûte;
Chantant flûte !
Et puis flûte !
Jérôme de Mars
La machine à soûls
Ivresse de la nuit
Dans l'écume des bars;
Tournée très bouffie !
Avant que l'chef rembarre
Les gens éméchés;
Allumant leur verre,
Comme des têtes brûlées !
Pour fuir leurs revers
En droit à l'oubli !
Le temps d'une soirée
En disant merci
A toute la tablée !
En vers ceux qui payent
Leur verre conciliant !
Pour qu'l'alcool les haït !
Faut réconciliant
La machine à soûls
En musique de soule;
Qui soûle et dessoûle,
Chantant de la soule !
Soûlant les poltrons
En peur d'la boisson !
Dessoûlant pochtrons
Sans envie d'boisson !
Mise en bouteille !
Comme tous les sous sous,
Prenant d'la bouteille !
Sens déçus deux sous !
Nous encaissons tout
Pour nous faire sauter
Le caisson à bout !
Pour tant sursauter
A l'aide du tesson
En des bris de verres !
Comme nous nous taisons
En des bruits d'hiver !
La machine à soûls
En musique de soule;
Qui soûle et dessoûle,
Chantant de la soule !
Lançant une bouteille
A toute la belle mer !
Cherchant le soleil
Sans un mal de mer !
Naufrage de la vie;
On en fait un blues,
Virage de la nuit !
Le blues nous émousse
En bande d'alcooliques,
Faisant d'une contrebande
Une bande d'acolytes,
Formant tous une bande
Coliques névrotiques;
Coliques néphrétiques;
D'une bande bucolique
En bande frénétique !
La machine à soûls
En musique de soule;
Qui soûle et dessoûle,
Chantant de la soule !
Jérôme de Mars
Le kiosque en ballade
Clamer des chansons
Sur la voie publique !
Effleure les saisons
En mots impudiques
Sur les bancs publics
Du jardin secret
De La République,
Comme un Mausolée !
Vendant des journaux
Pour tant déchanter
Tous les marmots,
Pour les faire pleurer
Avec leurs sanglots !
Et au lieu de ça !
Si très rigolos;
On leur chantait là !
Le kiosque en ballade
En guise d'sérénade,
Le kiosque en balade
Dans une promenade,
Il faut se méfier
De toute l'eau qui dort !
Sans vraiment bouger,
Alors qu'aux aurores,
Si jamais elle s'met
A crier des mots !
Elle pourra chanter
Ses bruits en échos !
Sans malentendus,
Avenue salut !
Bonjour de la rue !
Et bienvenue
Dans la rue des chants;
Qui rend attachants
Les enfants et grands,
Clamant; déclamant
Le kiosque en ballade
En guise d'sérénade,
Le kiosque en balade
Dans une promenade,
Faisant que des ronds
Sur l'eau ! Car allo !
Il y a des chansons
En des bons tuyaux
D'arrosage; hommage
Aux clapotis qui
Font des ramages
Jusqu'à l'embellie
Des rois mages; le jour
Et la nuit durant
La lumière séjour,
Durant; endurant
Un jardin public
Avec que des clowns
Amusant le public;
Chantant en cartoons !
Le kiosque en ballade
En guise d'sérénade,
Le kiosque en balade
Dans une promenade.
Jérôme de Mars
Calculs névrotiques
En arithmétique;
Et si je comptais
Personne frénétique;
Tout vous raconter !
Je fais des calculs
En tête d'un casse-tête;
Personne n'me calcule !
Je me casse la tête
A vouloir changer
Notre Terre si immonde !
Qu'je la sentirais
Très nauséabonde !
L'addition salée
En conflits psychiques;
Qui m'auraient sucré,
Comptant psychiatriques !
Calculs névrotiques;
Coliques néphrétiques;
Calculs néphrétiques;
Coliques névrotiques;
Du pareil au même,
Ca cause des problèmes !
D'savoir si on compte
Tous au bout du conte !
Comptant sur quelqu'un;
Règlant l'équation !
Contant sur quelqu'un
En adéquation !
Si on comptait tous !
Ainsi sur les gens,
Si on contait tousse !
Assis sur les gens
En une solution
Pour trouver la paix !
En résolution
Fumant l'calumet !
Calculs névrotiques;
Coliques néphrétiques;
Calculs néphrétiques;
Coliques névrotiques;
Si loin solitaires,
On pouvait compter
Entre nous solidaires !
On pouvait conter
Qu'il y a des gens bien !
Qui veulent tous notre bien !
Rien que pour notre bien !
Assez au con bien !
Dont le résultat
De toute l'addition;
Ferait qu'de la joie
Sans une division !
Ainsi rassemblés
En fraternité,
Jamais divisés !
Pour tous enseigner !
Calculs névrotiques;
Coliques néphrétiques;
Calculs néphrétiques;
Coliques névrotiques.
Jérôme de Mars
La concordance détend !
Aux temps indicatifs,
Le temps passe imparfait
En rectificatif !
Conté de fées; conte défait !
Il faut vivre au présent !
En attendant demain,
Vivant l'instant présent
En étant boute-en-train !
Le futur; c'est demain !
Le passé; c'est hier !
Le présent est entrain !
Contant demain hier !
Etant plus que parfait
D'un temps au passé simple !
Filant très vite par fait
En impératif humble !
La concordance détend !
Accordant; raccordant
La concordance des temps !
Convergeant, arrangeant
Remettant sur la ligne
Tous les temps qu'on subjugue !
Repêchant à la ligne
Tous les temps qu'on conjugue !
Raccommodant par fait
Le temps plus qu'imparfait !
Recommandant par fée
Le temps plus que parfait !
En un subjonctif
Du futur postérieur
Jusqu'à l'impératif
D'un futur antérieur !
Pour remettre d'un désordre;
Outre passé oppressant !
En remettant de l'ordre;
Impératif présent !
La concordance détend !
Accordant; raccordant
La concordance des temps !
Convergeant; arrangeant
Ces vieux temps divergents,
Passant ambivalents
Sans des temps discordants,
Qui en soient dérangeants !
En s'en accommodant,
Et tout en démordant !
S'il y avait l'temps clément !
Exaltant, conciliant
Le subjonctif présent;
L'subjonctif imparfait
En rendant à présent,
Un temps plus que parfait !
Qui conjugue l'imparfait
Au passé composé !
Qui conjugue plus que parfait,
L'présent simple composé !
La concordance détend !
Accordant; raccordant
La concordance des temps !
Convergeant, arrangeant.
Jérôme de Mars
Quand La Fontaine jaillit...
Voici à fable affable !
Un Jean de la Fontaine;
Qui clame en mots aimables;
Des poèmes chaque semaine
En paroles dépensières !
Beaucoup moins économes
Que ses fables populaires !
Reflétant les symptômes
D'la morale de l'histoire;
Cigale et la fourmi
Aux dépens du comptoir
Et d'ses économies,
Plus fourmis que cigales;
Cigales plus que fourmis;
Qui fourmillent de cigales
Aux cigales qui fourmillent !
Quand la Fontaine jaillit...
Toute sa belle poésie !
Quand la fontaine jaillit
Son redoux Boétie !
Etalant son corps beau
Malin jusqu'au cagnard,
Tel un oiseau corbeau;
Le corbeau, le renard
Rapide; tel comme un lièvre
Lente; telle comme une tortue
En prises de becs de lièvres;
Ingénus comme la mue !
Posant que des lapins
Aux lapins et aux lièvres;
Affables vers les lapins;
Rongeant les sangs des lièvres !
Louant plus que relous
Le loup et la cigogne;
Qui loue; alloue; reloue
Des mots en leur vergogne
Quand la Fontaine jaillit...
Toute sa belle poésie !
Quand la fontaine jaillit
Son redoux Boétie !
Buvant en petit lait !
La laitière, l'pot au lait;
P'tit lait si olé !
Genre très olé au lait !
Qui singe; sortant les griffes
D'tout le singe et le chat
En imprégnant leurs griffes !
Coups de grosses griffes d'achat !
Dont là ! Ce sont vos tours !
Vautours et les pigeons !
Prenant juste pour pigeons !
Vos tours vos races d'vautours !
J'mets la main à la patte !
En paroles de Socrate,
Dont tous mes mots dilatent
Que ses vers qui le flattent !
Quand la Fontaine jaillit...
Toute sa belle poésie !
Quand la fontaine jaillit
Son redoux Boétie !
Jérôme de Mars
On marche dans la république en marche pour sa renaissance !
Après avoir voté au plus pour le moins pire, voici élu Emmanuel Macron pour un deuxième mandat, comme une lettre à la poste, on marche dans la république en marche pour sa renaissance ! En mettant son parti pris au centre de l'apolitique; en prenant le gauche avec une politique à droite mal à droite avant les extrêmes, qui feront que Marine peine Les Français, car pas de bol !
Tout le monde en ras-le-bol de boire la tasse, surtout avec le Corona avant la mise en bière qui fera que tout le monde aura pris de la bouteille; envoyant une bouteille à la mer à marine; avec en piqûre de rappel le fait de rappeler aux Français à l'état majeur leur accident mineur que chacun est majeur et vacciné en voyant des piques assassines à la politique de l'apolitique, comme chacun pour soi et Dieu pour tousse ! Car un pour tousse et tous plus rien ! Le monde va mal car comme l'église, il n'y a plus rien de sacré et de consacré; à part mettre la pierre à son édifice; payée en bâtissant au lance-pierres avec plus rien de béni, comme c'est du pain béni que la faim justifie les moyens aux moyens des impôts ! Donc de l'argent du contribuable, comme les Français payent trop d'impôts et que La France est le deuxième pays bas le plus taxé au monde, franchement, vous ne croyez pas que c'est l'hôpital qui se fout de la charité ! Quand on dit qu'il manque une vocation de blouses blanches, écoutez, c'est bien normal, comme dans notre monde, il n'y a plus rien de normal avec un monde qui ne tourne plus rond; étant devenu trop carré, les gens ont tellement le blues et des problèmes de santé à répétition que les Français préfèrent prendre soin de leur santé sans la sécurité sociale des services publics, concernant leur maladie; c'est tellement personnel et confidentiel, secret défiance, que les Français préfèrent se soigner dans le privé avec un manque de public dans les hôpitaux privés, le gouvernement d'Emmanuel Macron, un coût, il est à gauche en prenant le gauche ah ! Droit au centre droit, un coup, il donne une droite en prenant le gauche en esquivant la droite des extrêmes au centre de la discussion pour 2027 ! Prenez-en votre parti de l'apolitique ! Comme
on marche dans la république en marche pour sa renaissance !
Jérôme de Mars
Rocking stone !
Rock'n'roll
Dans la peau !
Dans ta roll's,
Tu fais l'pot !
Pot-pourri
D'tes succès !
Et nourri
D'tes excès !
Dont tu fumes
Toute ta brume !
Que t'enfumes
Le bitume !
Que tu crèves
Trop l'abcès !
Pour qu's'achève
T'as assez !
Rocking stone !
L'monde est stone !
Rolling-Stones !
En sonotone !
Rock de pierre,
Tu en joues
Rock éclair !
Qu'tu rejoues
Ce morceau !
Quand ta vie
En lambeaux,
Te dévie
D'trajectoire,
La semaine
Sur l'trottoir !
Ta rengaine
T'fait chanter,
Ainsi stone !
Ta bonté,
Un si Stone !
Rock'ing stone !
L'monde est stone !
Rolling-Stones !
En sonotone !
Et de Stone
Et Charden !
Tu fredonnes
Ton Eden !
Et toi stone,
Tu entonnes
L'monde est stone !
Tu détonnes !
Le Berger,
Loin du rock,
L'loup berger
Près d'un roc
De sa pierre !
L'loup berger
D'sa bergère !
T'laisse songer
Rocking stone !
L'monde est stone !
Rolling-Stones !
En sonotone !
Jérôme de Mars
Le diable dans la peau !
Roulant de secours
Un chariot d'étoiles !
J'vais porter secours !
L'enfer qui m'dévoile
En un diable d'enfer !
Me roulant dessus;
A force de m'en faire
Une vie dissolue
D'l'image qui m'écorne !
Je tire sur la corde
Animale d'la corne !
Pourvu qu'on m'accorde
Toutes les cornes du diable !
Mi-ange; mi-démon !
Qui raccordent louable
L'diable loué affront !
Le diable dans la peau !
Diable d'enfer rétro !
Très à fleur de peau !
C'est presque la nécro !
D'avoir survécu
A c'qui m'oppressait !
D'avoir vécu; vaincu,
D'avoir tant bûché,
D'avoir brûlé vif !
Brûlures de l'histoires !
En écorché vif
Dans le purgatoire !
Comme il n'y en a qu'urne !
Pour toujours des cendres,
Et comme c'est dans l'urne !
Pour finir en cendres
D'où j'pourrais voir rouge !
M'faisant du sans d'encre !
Brûlant les feux rouges,
Ecrivant d'sang d'encre !
Le diable dans la peau !
Diable d'enfer rétro !
Très à fleur de peau !
C'est presque la nécro !
La vie; c'est la mort
Surtout à chaque nuit !
Bourré de remords
Attendant la pluie !
Pour pleurer consort
A l'être qui manque,
Pleurant sur notre sort !
Notre mal-être, on s'planque
Derrière une calanque !
Pleurant l'mal de mer !
Ame de saltimbanque,
Une bouteille à l'amer !
Attendant l'abbé
Sur toute la baie molle,
J'prie avec la baie !
Avec en bémol,
Le diable dans la peau !
Diable d'enfer rétro !
Très à fleur de peau !
C'est presque la nécro !
Jérôme de Mars
Longue crise
Aimé
Johnny;
Emet
Long Cris;
Ils furent
Amis !
Dans l'dur
D'patrie !
Du rock
En dur !
En Rock
Dans l'pur !
Démons
D'Midi !
Démons
D'Minuit !
Longue crise
En Cris,
Long Chris
En crise,
Johnny
Fut star
De crise !
L'instar
De Cris;
Concert !
Une crise
D'colère
Entre eux !
Ils furent
Odieux !
Qu'ils durent
Aux dieux
Déviants !
Au pieu
Devant !
Longue crise
En Cris,
Long Chris
En crise,
Faisant
Quatre sang !
Aux coûts !
D'beaucoup
D'excès !
D'beaux coups
D'assez
D'contrecoup !
Ils furent
Les dieux !
Impurs
Odieux !
D'la nuit
En bar !
Qu'Johhny
Rembarre !
Longue crise
En Cris,
Long Chris
En crise.
Jérôme de Mars
Cour de jouvence
Cour de l'amour
En séduction,
Il y a des jours
En déduction,
Cure de genèse,
Où il y en a
Qui font jeunesse !
L'amour étroit;
Adroit à trois !
Faisant la cour
Aux filles de joie !
Faisant l'amour
A cour d'argent !
Portant secours
A cours d'argent !
Et à chaque jour,
Cour de jouvence
En abondance,
Cure de jouvence
En opulence,
L'amour est roi !
La cour d'l'arène !
L'amour paroi,
Font la cour reine
D'la petite reine !
Montant l'arène
Glissant comme mot
Ses p'tits vélos !
Pédalant dur
Dans la colline,
Crachant si dur;
Pure gélatine
De lune de miel !
Faisant l'amour
Ange du soleil,
Faisant la cour
Cour de jouvence
En abondance,
Cure de jouvence
En opulence,
Cure de jeunesse,
L'amour rend jeune !
Cour de genèse,
L'amour fait l'jeûne !
Cour de jeunesse,
C'est la liesse
Dans l'allégresse !
Fondant la graisse
Bouquet de fleurs,
L'amour est fleur !
Trouvant l'âme soeur,
L'amour effleure
En bande à part !
Qu'il est rempart
Dans la plupart !
Prenant grande part
Cour de jouvence,
En abondance
Cure de jouvence,
En opulence.
Jérôme de Mars
A côté de la plaque, je jette l'encre !
Au GEM de Vitry comme adhérent,
Je suis le poète très bénévole
A la fois l'aidant dur confident,
Où j'écris la dent dure des paroles !
En respestant ma parole donnée !
Pour soutenir tous les adhérents,
Même si parfois je peux m'emporter;
Alliant fervent et ralliant ardent
Mes bons et mauvais côtés !
Faisant bonne impression d'une feuille forte;
Ecrivant qu'il y a des à côtés
D'écrire et de décrire mon âme morte !
J'aime tant aller au GEM de Vitry !
Pour voir mes amis buvant leurs mots
Autour d'une tasse de café en vie !
De boire et de manger, ici oh !
A côté de la plaque, je jette l'encre !
Je suis à côté de la plaque cancre
A côté de la plaque, je jette l'ancre !
Qu'on m'emmène toujours en bateau qu'ancre
Qu'je me dévoile prenant à la lettre !
Récoltant que des pièces de Monnet
En peinture; jetant par la fenêtre
Argent comptant, des pièces de monnaie !
En tant qu'trésorier-comptable du GEM;
Tout le monde peut tant compter sur moi
Au bout du compte toujours que l'on aime,
Dont j'aime autant bien conter sur moi
Dans le but de compter pour les gens !
Moi qui n'ai pas vraiment trop compter
Pour les gens; à part parler d'argent !
J'espère raconter qu'la vérité
A mon sujet apparent réel !
J'ai tant traîné dans le virtuel !
Que j'en ai oublié d'être si vrai !
Moins superficiel, comme à mes frais
A côté de la plaque, je jette l'encre !
Je suis à côté de la plaque cancre
A côté de la plaque, je jette l'ancre !
Qu'on m'emmène toujours en bateau qu'ancre
Que c'est maintenant qu'on me calcule !
Davantage avantage à mon âge,
Où tout l'monde me bouscule en bascule;
A la sueur de mon front en âge !
D'avoir trop de calculs névrotiques !
Que j'passe mon temps à faire des calculs !
Avec ma calculette euphorique
Et frénétique sans vie funambule,
D'où je déambule en bruits d'couloirs !
D'mon sujet apparent irréel;
Parfois je suis si prêt du mouroir !
A mourir sans aucune vie charnelle !
Que j'ai d'la peine; à peine d'exister
Pour naître qu'un être ayant la dent dure !
Pour me rejeter; donc subsister;
Jetant mes détritus aux ordures !
A côté de la plaque, je jette l'encre !
Je suis à côté de la plaque cancre
A côté de la plaque, je jette l'ancre !
Qu'on m'emmène toujours en bateau qu'ancre.
Jérôme de Mars
Du bleu aux vers
D'une poésie;
J'écris les bleus
De toute ma vie !
Ciel nuageux;
J'ai de la rage !
Qu'j'écris la pluie
De mon orage
Endolori
Aux aléas;
Du temps qu'il fait
En mes tracas !
D'mon être défait !
La vie me pèse;
Argent content !
La vie d'mon pèse;
Me pèse comptant !
Du bleu aux vers
En mes revers;
Du bleu over
En mes travers
Qui m'ont dissous;
Je cours deux sous !
N'ayant dix sous;
J'suis sans deux sous !
Payant comptant
Mon discrédit;
Payant content
Mes dix crédits
Propriétaires
D'ma poésie;
Cris libertaires
D'la Boétie !
Je fais gratuit
D'méchanceté !
Et si fortuit;
Je veux payer
Du bleu aux vers
En mes revers;
Du bleu over
En mes travers
Sur mon nuage
De cauchemars;
J'écris l'ramage !
Antique cafard;
Capharnaüm;
J'ai le cafard !
D'ultimatum
Sans aucun fard !
Pour n'être à L'Ouest,
Comme je n'déleste !
Pour naître à L'Ouest,
J'me lève à Leste !
Si leste; j'déleste
Anti cafard !
Sans le Far Ouest;
J'allume pleins phares !
Du bleu aux vers
Sans mes revers;
Du bleu over
Sans mes travers.
Jérôme de Mars
J'écris dérape !
Sous le cagnard
De ma cité;
Mc Solaar
Me fait citer
Tous mes écrits
D'saga-cité;
Je pousse des cris
Pour susciter
Une meilleure vie;
Loin de mon spleen !
Surtout la nuit;
Ecrivant green
Des vers d'poèmes !
M'bouffant tout crus
Dans ma bohème !
Et qui l'eût crû ?
J'écris dérape !
Ma vie en rap;
J'écris des raps !
Ma vie en rapt;
Fromage râpé;
J'vais déraper !
Ramage rapé,
Comme je m'en vais
Clamer ma vache
Si enragée !
Comme j'suis très vache
Pour faire la paix !
Et d'ma cravache;
Tel un Apache
En file Indienne !
Ah ! Mère Indienne !
J'ai du panache
Dans l'attelage !
J'ai trop de rage !
Qu'en jumelage;
J'écris dérape !
Ma vie en rap;
J'écris des raps !
Ma vie en rapt;
Geronimo
Côté rebelle;
Veut faire la peau
A son âme belle !
Pour s'révolter
En société,
Pour tant cracher
Son âme blessée
Dans l'chant de tir !
Comme ça l'inspire
L'meilleur du pire !
Pour retranscrire
L'humanité;
Autant altruiste
Qu'elle égoïste !
Insatisfait;
J'écris dérape !
Ma vie en rap;
J'écris des raps !
Ma vie en rapt.
Jérôme de Mars
Toute une histoire !
Comme il était
Foi bien portant !
Un conte de fées;
A bras portant !
Dormant debout !
Faisant l'histoire;
Mise bout à bout;
D'une brève d'comptoir !
Comme en faisant
Que des histoires !
En racontant
Les cris d'histoire !
D'celui acteur
De son histoire !
En orateur
Art exutoire !
Toute une histoire
En réservoir !
D'la chaîne histoire
En déversoir !
De cette histoire;
Qui n'tient debout !
Elle est bizarre
Qu'elle tient deux bouts !
D'une maigre chandelle;
Or, en bougeant;
Cette histoire chancelle !
Et en parlant
D'histoire de France;
Elle joue personne
A part l'enfance,
Comme elle résonne
En inventant
Que des histoires;
En répandant
De drôles d'histoires !
Toute une histoire
En réservoir !
D'la chaîne histoire
En déversoir !
De l'humour Belge
En histoires drôles;
S'faisant la belle !
Dans le hall
Pour pénétrer
Par la fenêtre
De toute l'entrée !
Envoyant paître
Les sales histoires
D'la vie sur Terre,
Contant l'histoire
Imaginaire !
Des brèves d'comptoir
Au bistrot d'en face;
Et au parloir;
Donc; on ressasse
Toute une histoire
En réservoir !
D'la chaîne histoire
En déversoir !
Jérôme de Mars
Deux bouts sans cannes !
Si on faisait
D'un handicap
Pour l'accepter !
Ah ! On dit cap !
Pour s'accepter
Psychologique,
Pour s'respecter
Physiologique,
Comme on est tous
Vraiment pareils !
Qu'on pousse; qu'on tousse !
Simple ah ! Pareils !
Qu'on soit valides;
Ou invalides;
Si on s'donnait
La main touchée !
Deux bouts sans cannes !
Pour qu'on se vanne,
Debout sans cannes !
Pour qu'on s'pavanne !
Ah ! Si ! Assis
En fonctionnant
Avec des si !
En se montrant;
En se chambrant;
Prenant la main !
En se serrant
Bien tous la main !
Et si on perd
Tous bien la main;
On aura l'repère
De notre destin !
Etant manchot
Vers le pôle Nord !
Marchant sans chaud
Vers les abords !
Deux bouts sans cannes !
Pour qu'on se vanne,
Debout sans cannes !
Pour qu'on s'pavanne !
Ca nous fera
Tous une belle jambe !
Elle qui montera
En notre entrejambe !
Si mutilée
Le cul-de-Jatte;
Si estropiée
Le cul de Jade;
Pourvu qu'on prenne
Tous bien notre pied !
Sans qu'on s'méprenne
D'nous éclopé !
Fauteuil roulant;
Roue de secours !
Et déroulant;
Issue d'secours !
Deux bouts sans cannes !
Pour qu'on se vanne,
Debout sans cannes !
Pour qu'on s'pavanne !
Jérôme de Mars
L'apolitique
Ni droite ni gauche;
Et je m'adapte
Prenant le gauche !
Ma prime s'adapte
Au centre de tout;
Très mal à droite
Au centre fourre-tout;
Façon adroite
De recentrer
Tout le débat,
Pour concentrer
Y a des éclats !
A gauche; à droite !
Et aux extrêmes !
C'est dans la boîte
D'un théorème;
L'apolitique;
J'vote satanique !
La politique;
J'vote ça te nique !
Je vote; pivote
A gauche; à droite !
J'ai les chocottes
Trop maladroites !
Nul n'est content
De voter nul !
Nul naît comptant
D'pivoter nul !
Faisant semblant
D'aller voter;
Votant bien blanc
Pour pivoter
Tremblant; troublant
En noir et blanc !
Et tous pareils !
Même appareil !
L'apolitique;
J'vote satanique !
La politique;
J'vote ça te nique !
On nous prend tous
Donc pour des cons !
En coups de pousse
Sans macarons;
Je vote un coup
Vraiment à gauche !
Je vote un coût
Prenant le gauche !
Votant à droite
Pour recentrer,
Façon étroite
Pour excentrer
Dans un détroit;
Très bien à gauche
Au centre moins droit !
De façon gauche !
L'apolitique;
J'vote satanique !
La politique;
J'vote ça te nique !
Jérôme de Mars
Blues divers
Comme un jour;
C'est l'automne !
A contre-jour;
Sonotone !
L'hiver jette
Tout un froid !
Oubliettes;
Manque de foi !
A Noël !
Scie triste fête
Solennelle
En miettes;
Ecrivant
Sur une feuille
Morte; vivant
Toujours seul !
Blues divers;
Vent d'colère
Lapidaire;
Incendiaire;
On repense
Aux souvenirs
A contre dense !
A souffrir
En regrets
Eternels !
Morts-nés
Immortels !
D'ce qu'on loupe !
Envoyant
Sur la loupe;
Mort-vivant
Trais tirés;
Sans printemps
Détaché;
Temps présent !
Blues divers;
Vent d'colère
Lapidaire;
Incendiaire;
On ne sait
Etoffer !
Que l'on sait
Etouffer !
Regardant
Par derrière;
Lancinant
Sans œillères;
Maintenant;
Ca se passe !
Bien avant;
On trépasse !
Même l'été !
S'repassant;
Si c'était
Mieux avant !
Blues divers;
Vent d'colère
Lapidaire;
Incendiaire.
Jérôme de Mars
Un poulet-frites
Passant le plat !
Je suis l'passeur !
Mettant à plat !
En raconteur
De mes histoires,
Toute ma peau lisse !
En déversoir
Sans un des lisses !
J'appelle l'17 !
Parlant aux flics
De leurs préceptes !
Quand j'ai la trique !
Retour d'bâton !
Bâtons rompus !
Je manie l'bâton
En des battues !
Un poulet-frites,
Quand tout s'effrite !
Des poulets s'fritent,
Et tous s'effritent !
Cuisant au four,
Le doigt dans l’œil !
Tout le monde s'fourre
En un trompe-l’œil !
Faisant monter
La mayonnaise !
Pour remonter
Toutes leurs foutaises !
Et pour que là
Mayonnaise prenne !
Avancent d'leurs pas !
Des flics qui traînent
Toutes leurs étrennes !
Et ils s'grillent tous !
Qu'leur bouche s'éprenne !
S'tournant les pousses !
Un poulet-frites,
Quand tout s'effrite !
Des poulets s'fritent,
Et tous s'effritent !
Tout l'monde est cuit !
En drôles d'oiseaux,
Chantant cuit-cuit
Sous les barreaux !
Tous aux arrêts
Prenant leur poste !
Tout dans la raie !
Eux qui compostent
Leur matricule !
Y a réservé
L'immatricule !
Poste observé !
Tous en prison !
Y a sur le grill !
Que des matons !
Comme ils s'en grillent !
Un poulet-frites,
Quand tout s'effrite !
Des poulets s'fritent,
Et tous s'effritent !
Jérôme de Mars
Les mots par Arnaud
Reçu cinq sur cinq !
Et qu'est-ce-que j'entends ?
Sans que je m'requinque;
Je ne me détends
En malentendus
En ma sourde oreille;
Foutue et fourbue
En voix de crécelle !
On parle tant sur moi !
Pour dire que du mal,
A propos de moi !
D'un oeil animal !
En des mots sournois;
Moi qui fais l'sourd moi !
Faisant et semblant
De m'en foutre troublant !
Les mots par Arnaud
Sont-ils ses propres mots ?
Les mots paranos;
Ou sont-ils mes maux ?
Je n'vois que le mal
Partout répandu !
Tous m'renvoient la balle
D'ma vie éperdue !
Qui sent le passé;
Regard oppressé !
Je suis tant stressé
Par la vie pressée !
Pressé en citron
En électron libre;
Les arbres ont six troncs !
Citronniers qui vibrent
A mes jeux de mots,
Où tout le monde joue !
Moi; l'enjeu des maux !
Que tous mettent en joue !
Les mots par Arnaud
Sont-ils ses propres mots ?
Les mots paranos;
Ou sont-ils mes maux ?
Que j'entends le pire !
Long à la détente !
Que je vois en pire !
Que tout ça me tente
D'vraiment appuyer;
Fou sur la détente !
Pour me reposer
De ce qu'on m'intente
En procès-verbal !
Tout l'monde dans la rue
Me regarde très mal !
Limite hein connu !
M'regardant de travers !
Tel un gars trop bizarre !
Malgré mes travers,
Y at-il l'blizzard ?
Les mots par Arnaud
Sont-ils ses propres mots ?
Les mots paranos;
Ou sont-ils mes maux ?
Jérôme de Mars
Du coq à Anne !
Il y a Anne très à cheval; mère poule qui rend chèvres ses petits quand elle leur prépare un coq au vin, un plat qui sent le bouc; doux comme un agneau suivant comme les brebis galeuses le troupeau des moutons de Panurge qui sont des têtes de mules, des têtes de bourricots qui rendent si olé olé les vaches qui prennent de façon vache; le taureau par les cornes en des pis des matchs de poules; organisant des courses de taureaux en des férias qui animent à Nîmes dans les arènes des courses de vachettes; guérissant le mal par le mâle en s'appelant mon coq, dont la mamelle de La France s'appelle entre femelles ma poule; sortant leurs griffes de chat concernant ceux qui ont une chienne de vie; n'arrêtant pas de prendre des gamelles en mangeant dans leurs gamelles; la marque d'l'avoine qui appelle son poulain et sa poule hein, mes mulets qui font des émules parmi la basse-cour; qui se fait la cour en chasse à cour; mangeant de la volaille en contre dansant la danse des canards; prenant le jeu de l'oie comme vilain petit canard qui pousse hein le déni des mères poules; mettant ici bas leurs petits en faisant fausse-route en déroute d'un effet de fausse-route; envoyant des piques aux hérissons ne faisant de mâle au truie; apportant en frais de porc du lard aux cochons; en faisant leurs têtes de cochons roses; pointant le cochon né en ayant les boules; buvant le lait olé de la laie et du sanglier; posant des lapins en becs de lièvres; faisant faux-bond en un faux-bond furibond à la caisse d'Epargne saltimbanque de L'Ecureuil; mangeant ses noisettes durant les nuits fauves; sentant le fauve de la cage du roi Lion, comme un lion dans sa cage dans L'Yonne; telle une mère louve qui couve ses petits du plus petit au plus grand; remettant de l'ordre en faisant voler du bas vers le haut les oiseaux malgré leurs prises de becs; se passant des mots messagers comme une lettre à la poste qui est un facteur à risques; livrant des beaux colis de tigresses; ayant besoin de leurs meutes pour faire des émeutes aux huskys et aux chiens loups; rusés comme des renards relous; mangeant dehors une dinde aux marrons le soir de Noël, où c'est la jungle dans la l'oie de la jungle; souriant au rat des pâquerettes; rongeant le frein des poissons rouges; chavirant à bord de l'aquarius; regardant la chaîne telle est bocal; ayant pour dauphins ce monde de requins, dont c'est vautours d'être la proie des rapaces, dont j'écris ces vers de poèmes pour nourrir les petits des oiseaux, comme une hirondelle fait le printemps ! Avant l'été et son effet papillon lors du départ en vacances aux Iles Canaries, pour faire répéter les maux au perroquet jamais renfermé dans sa coquille Saint-Jacques, dont le dindon de la farce est de mettre un pantalon panthère avec des hyènes; conduisant leur jaguar et leur coccinelle; perdant la main devenant manchots comme bras droits; faisant le temps de la grenouille jusqu'aux pingouins; en froid avec notre monde qui manque de chaleur humaine depuis la fonte de la Banquise; due au réchauffement climatique en ces temps lunatiques et bipolaires; ces temps rudes étant des ours mal léchés; en pinçant pour leurs oursins et leurs crabes; avec la maladie du crabe pour faire un cancer de louanges; péchant en faisant un blasphème à la crevette; à la langouste; au homard et au calamar; cherchant à noyer le poisson et l'écrevisse très pince sans rire; appelant âne, du coq à Anne !
Jérôme de Mars
Si nous attendons Achille !
Là ça nous fait une belle jambe !
D'avoir défauts d'ses qualités !
Et en défaut de l'entrejambe;
Tout est donc de qualité !
Malgré son vague à l'âme triste;
Achille Zavatta; clown triste !
Il figure sur la longue liste
Qui fait rire ce monde si triste !
A défaut de qualités;
Il veut rendre sans un vrai-faux !
Ce monde en son franc-parler;
Parlant Français sans défauts !
Il veut parler donc en vrai
A ces gens mélancoliques,
Pour leur rendre la vérité
Comme des gens mélancomiques !
Si nous attendons Achille
En son tendon très fragile !
Si nous étalons Achille
En son talon très fébrile !
Comme nous étendons Achille !
Et que le tendon d'Achille;
Nous l'attendons moins fragile,
Comme nous l'étendons puéril !
Voulant rendre gentil Achille !
Pour qu'il ait les qualités
Défauts du talon d'Achille !
Avec pour améliorer
Les facettes de son talent;
L'talent d'Achille Zavatta !
Pourvu qu'il soit insolent;
Impertinent de tous ses pas !
Pour enchanter la la la !
Achille Zavatta est là !
Pour vous faire sourire et rire,
Oubliant c'qui fait souffrir !
Si nous attendons Achille
En son tendon très fragile !
Si nous étalons Achille
En son talon très fébrile !
On en fait donc tout un cirque !
Tenant sur un fil fragile
De saltimbanque folklorique;
On a tous une âme puérile !
Retraçant le vieux trapèze
De l'enfance géométrique !
Oh ! Que ça paraît balèze !
L'tragi-comique poétique !
Jonglant avec le temps des boules
En c'monde qui nous rend maboules !
Qui déboule; on a les boules !
Perdant la boule qu'on refoule !
Funambule sans équilibre
Sur la quille; clown malheureux !
Il cherche à rester libre
En acrobate; mâle heureux !
Si nous attendons Achille
En son tendon très fragile !
Si nous étalons Achille
En son talon très fébrile !
Jérôme de Mars
Le crabe pince-sans-rire
Ironie du destin;
Il y avait un crabe
Qui en pinçait d'main !
Qui avait comme d'hab;
Le signe du scorpion;
Envoyant des piques !
Lui qui fut champion !
Si épique tropique
Sous un ciel torride;
Cancer de louanges !
La vie n'est limpide !
Qu'elle n'est une vie d'ange !
Tel un scarabée,
Et qui s'épuisait
Tant à l'attraper;
Lui est sans filet !
Le crabe pince-sans-rire,
Pour ne plus souffrir
A part juste sourire;
Faute de ne plus rire !
Passant à la trappe !
Si quelqu'un l'attrape !
Faisant juste la queue;
Jouant de sa queue !
Un piano salé,
Quand y a la mer morte !
C'est elle qui soûlait
Toutes les sortes d'algues fortes !
Soûlant la morue !
Pour noyer l'poisson !
Maladie fichue;
Qui pique le scorpion
En héros et pique !
Qui pique d'une seringue;
L'immonde exotique !
Que tout le monde flingue
Le crabe pince-sans-rire,
Pour ne plus souffrir
A part juste sourire;
Faute de ne plus rire !
Maladie du crabe,
Pour vivre et survivre !
Il en pince comme d'hab !
L'amour qu'il enivre
D'sa chimiothérapie;
Qui écrit son encre
En art-thérapie;
Et aguerri qu'ancre
Le crabe; il en pince
De sa langoustine !
Qu'sa colère le grince !
O marre de rustine !
Dégustant en Août;
Calamars; langoustes,
Le crabe fait fausse-route !
Se foutant des roustes !
Le crabe pince-sans-rire,
Pour ne plus souffrir
A part juste sourire;
Faute de ne plus rire !
Jérôme de Mars
Monsieur Le Président !
Bonjour Monsieur Macron,
Je vous écris ce slam !
Vous par votre belle action
Pour tous les bons quidams !
Qui avait augmenté
Toute leur allocation;
Personnes handicapés !
De par la location
Des APL; logés
A la même grande enseigne !
Pour qu'ils soient tous logés !
Cap vers, on les imprègne !
Pour qu'ils soient comme nous tous !
Assez bien intégrés
En de jolis coups d'pouce,
Très bien réintégrés !
Pour reprendre à la source
Toute votre solidarité;
Recherchant des ressources
Sans une fragilité;
Remboursant toute notre dette
En une quête sans merci !
Relevant tous la tête,
Pour vous dire tous ravis !
Qu'on veut tous boire un pot
Avec vous de crédit !
Sans monter les impôts;
C'est à votre bon crédit !
Sans mettre toute cette belle France
En un gros découvert !
Envers toute leur enfance
A ces êtres prépubères !
Rendant de fiers services
A toutes les belles personnes;
Crédit en un service
D'impôt pour chaque personne !
Pour toute la garde d'enfants
En un grand complément
D'un joli mode de garde;
Donc, cela vous regarde !
Monsieur Le Président !
Qui êtes chic; influent !
Etant si bienveillant !
Vous êtes toujours vaillant !
De vouloir le progrès
Pour tous Les bons Français !
Afin de s'assumer
Et de tous subsister
Du fruit de son travail !
Pour être vraiment quelqu'un;
Qui vaille de ses entrailles !
Comme tous ses bons copains !
Vous avez tant permis
De par votre belle action !
Jusqu'à une embellie
En une adaptation !
D'un monde bon et qui change
En des temps très modernes !
D'un monde qui libre-échange !
Vie d'ange libre subalterne !
Et comme à la maison !
Parlant que de bonnes choses;
Qui vous donnent votre raison !
Par toutes les ecchymoses
Qu'il y a en cette rude France !
Qui fut douce ! Et puis là !
Elle est toute la défiance
De par ses aléas !
Vous faites ce que vous dites !
Faisant des bonnes réformes
En lois juste inédites !
Vous y mettez les formes !
Le tout toujours en forme !
Le tout sans une méforme;
Vous donnez tant sa chance
A chacun en brillance !
Comme pour les retraités
En leur pouvoir d'achat,
Pour tous tant les aider,
Où chacun; il pourra
Tant et vous remercier !
D'avoir tant augmenté
Le Minimum vieillesse
En une douce allégresse;
Monsieur Le Président !
Qui êtes chic; influent !
Etant si bienveillant !
Vous êtes toujours vaillant !
En couverture santé,
Pour bien améliorer
Tous les droits des aidants !
Aucun aidant dur en
Faisant le reste à charge
De par votre énergie !
Pour se prendre tous en charge
En bon chèque énergie !
Sans aucun chèque en bois;
Sans mauvaise langue de bois;
Il y a le Pass Culture
De par votre belle nature !
En droits adroits à vie
Pour leur juste AAH !
A ces endoloris
De la vie sans un cash;
Vous avez fait des choses !
Pour tant aider les gens,
Pourvu ainsi qu'ils osent !
Se parlant; travaillant !
Pour que toute votre belle prime
Au travail paye beaucoup
Plus sans aucune surprime !
Et le tout à moindre coût !
Sans aucune assistance
Pour bien vivre et revivre
Dans la pure quintessence,
Le tout juste sans survivre
A toute cette vie sur Terre !
Qui coûte ainsi trop chère,
Où il y a égoïstes
Des Français en longue liste !
J'espère donc bien qu'avant
Votre fin de Présidence !
Que vous rendrez liant
Chaque Français d'résilience !
En un contrat social,
Comme pour tous les bons jeunes !
Contrat de lien social;
Qu'La France reste belle et jeune !
Monsieur Le Président !
Qui êtes chic; influent !
Etant si bienveillant !
Vous êtes toujours vaillant !
Jérôme de Mars
Alternatif
Ecrit d'un bloc;
Comme une chanson !
J'écris un rock;
Fée sensation !
En solution;
Recette magique !
Résolution;
C'est féérique !
Qu'il y ait l'courant
Très électrique;
Avec les gens !
Courant mystique,
Où tous s'entendent !
Comme une belle bande !
Où tous s'détendent !
Mettant en bande !
Alternatif;
Je suis natif
Des mots captifs;
Qui font un kif !
Dans ma maison;
Jouant du rock
Dur en chanson;
Je suis un roc !
Un rebelle tendre !
Tout en douceur,
Pour se détendre
Sans une douleur,
Où tout est fait;
Effet maison
D'un compte de fées !
Y a en chanson
Mon âme rebelle !
Chantant la vie
En décibels,
Quand y a la nuit !
Alternatif;
Je suis natif
Des mots captifs;
Qui font un kif !
Faisant la fête;
Buvant des bières !
D'un coin d'ma tête
Imaginaire;
Me vient l'idée
Comme une machine
De mots croisés !
Qui m'tambourine
Et me machine
A la croisée
D'mes origines !
Pour décréter
J'fais un concert
De mes louanges !
Sans ma colère
Et tout s'arrange !
Alternatif;
Je suis natif
Des mots captifs;
Qui font un kif !
Jérôme de Mars
L'aidant dur
Tel l'email
Que j'envoie;
Où j'en vois
Tout l'émail
De mes dents !
La roue tourne
En pair-aidant !
Qu'je détourne
La roulette !
Assez Russe
Des boulettes;
Montagnes Russes
Chez l'dentiste !
Qu'je contourne
Ame d'artiste;
Je retourne
L'aidant dur;
Ayant dur
La dent dure
Dans le dur !
Sans filet
De mes mailles
Enfilées !
Que j'ai mal
A mes dents !
Même qu'je suis
Pair-aidant !
Et qu's'ensuit
Ma rage d'dent !
La couronne;
Moi aidant
Qui m'détrône !
Et m'aidant
Sans sagesse
En mes dents
D'poétesses;
L'aidant dur;
Ayant dur
La dent dure
Dans le dur !
En couronne
Désarroi
Sur le trône;
Sans parois
D'ma colère
Aux orages
De molaires;
J'ai la rage
Chienne de vie !
Que j'en pleure
A chaque nuit
Une liqueur
D'mon aigreur;
Rage de dents !
Manque l'ardeur;
Rage d'aidant !
L'aidant dur;
Ayant dur
La dent dure
Dans le dur !
Jérôme de Mars
Docteur Jérôme, Mister Geronimo
Faits d'hivers et faits d'hivers avariés;
Je suis à la fois l'ombre et la lumière !
Pour tant dériver et pour tant river
De mes côtés sombres à mes côtés clairs !
Le jour; je suis le démon de Midi !
Voulant semer et cultiver l'amour;
Le soir; je suis le démon de Minuit !
Voulant parsemer; étaler la haine;
En m'épanchant de tout mon bas de laine
Dans ce monde de sourds que je trouve balourd !
Et lourd portant; déportant ma rengaine;
Je suis un loup solitaire manque d'amour !
J'perds mes idéaux sans être solidaire
En mes jours lunatiques en noir et blanc !
En repères des mots; je suis solidaire
En mes jours frénétiques troublants; tremblants !
Docteur Jérôme, Mister Geronimo,
Quand je suis Jérôme; je sens que l'arôme !
Docteur Jérôme, Mister Geronimo,
Quand j'suis Geronimo; je sens l'chaos !
Face éclaire cadence mi-ange, mi-démon;
J'ai à la fois des facettes; des fossettes !
Bravant tous les ponts; coupant tous les ponts !
Avec joie et peine; je fais des saynètes !
Faisant des plans cocus contant fleurette !
Voulant être égoïste paraître rebelle !
Faisant toujours des plans sur la comète !
Voulant être altruiste dans une vie plus belle !
Quand j'essuie toute ma face obscure trop sombre;
Je souhaite de rancoeur la fin du monde !
Quand je suis dans ma face loin de mon ombre;
Je souhaite par coeur la fin de l'immonde !
Quand je déchante trop; je peux être très méchant !
Désabusé qui n'tiens toujours paroles !
Quand je réenchante trop; je veux être mes chants !
Idéaliste qui tiens toujours paroles !
Docteur Jérôme, Mister Geronimo,
Quand je suis Jérôme; je sens que l'arôme !
Docteur Jérôme, Mister Geronimo,
Quand j'suis Geronimo; je sens l'chaos !
Je dis à la fois tout et son contraire !
Comme avant quand j'allais à Cavalaire !
Vivant et survivant à mon calvaire,
Alors que maintenant; je cavale l'air
De rien dans mon embellie pulmonaire !
Où je respire l'air chaleureux; heureux !
Plus rien de mon embolie pulmonaire !
Que j'expire l'air si frais sang malheureux !
Parfois la nuit tout seul; j'ai des colères !
Je repense décompensé au passé,
Parfois la nuit plus seul; je décolère !
Je repanse compensé sans le passé,
En pensant à un avenir joyeux
Pour le meilleur sans changement d'humeur !
Oubliant la crainte du pire ténébreux !
Et dans ma vie; il y a des bonheurs, des malheurs !
Docteur Jérôme, Mister Geronimo,
Quand je suis Jérôme; je sens que l'arôme !
Docteur Jérôme, Mister Geronimo,
Quand j'suis Geronimo; je sens l'chaos !
Jérôme de Mars
Plutôt riche d'amour que pauvre d'argent !
Quoi de neuf dans une vie sans amour ?
L'argent contribue certes au bonheur !
Mais il n'efface pas les peines de coeur !
Pour y croire que ça vaut le détour !
Il faut semer l'amour dans la cour !
Pour faire la cour dans la chasse à cour
Autour de l'amour; mené tambour
Battant; débattant à quoi l'amour
Mène à ne voir juste que par l'argent ?
Le plus souvent juste par des paroles
Qu'tout le monde prend pour argent content !
L'argent n'fait le bonheur ! Que rigole
Le seigneur, l'argent ! On ne l'emporte
Dans la tombe d'outre-tombe en catacombes !
Même si l'argent ça rapporte; âme forte !
Il vaut mieux l'amour qui tombe en trombes !
Plutôt riche d'amour que pauvre d'argent !
L'silence est d'or; la parole d'argent !
Racontant; contant et escomptant
L'crédit d'amour comptant sans argent !
Pas pour du beurre mais pour du labeur !
L'argent met l'beurre dans les épinards !
L'argent arrive juste à la bonne heure !
Pour pouvoir honorer les rencards,
L'amour est un métal d'or dur de fer !
Le plus souvent en métal d'argent;
Quitte à subir tout ce grand enfer
Qu'on fait trop payer à prix content !
Appris coûtant de la vie aux dettes
De l'amour, de la haine matériels;
L'argent n'fait pas le bonheur en quête
D'amour ultre réel et essentiel !
Pour fuir les choses trop superficielles,
L'amour est plus l'alliance de l'utile
A chaque jour jusqu'à la mort éternelle !
Loin des mauvaises choses frivoles; futiles
Plutôt riche d'amour que pauvre d'argent !
L'silence est d'or; la parole d'argent !
Racontant; contant et escomptant
L'crédit d'amour comptant sans argent !
Il vaut mieux vivre d'amour et d'eau fraîche !
Ayant juste l'argent oh nécessaire !
Parlant argent contant si revêche;
Vivant des choses extraordinaires !
L'argent ne nous rend pas éternels !
L'amour nous débarrasse en réel
De tout ce qui n'est point matériel !
Et virtuel; besoin de charnel !
Pour toucher la quête de l'existence
En regrettant d'avoir spéculé,
Pour connaître tous les secrets d'jouvence;
L'amour; il vaut mieux le fructifier
En paroles, contant l'argent content
En prenant juste pour argent comptant
L'amour, dont le silence est en or !
La parole d'argent; l'argent dehors !
Plutôt riche d'amour que pauvre d'argent !
L'silence est d'or; la parole d'argent !
Racontant; contant et escomptant
L'crédit d'amour comptant sans argent !
Jérôme de Mars
Embouteillages
Sur la déroute;
Y a un bouchon !
Où tous en route;
Sont des bougons !
Hurlant d'colère !
Qu'ils en dégorgent
L'air pulmonaire !
Et qui les forge
Dans leur voiture,
Comme un refrain
D'désinvolture !
Ils n'rongent leur frein !
Loin boute-en-train;
C'est les vacances !
Enfreint à main
Dans la violence !
Embouteillages
Dans les parages;
Il y a l'passage
Pour les virages
D'une route sauvage
Sur l'autoroute;
Billet d'péage !
Qu'est-ce-qu'ça leur coûte ?
De trop pousser
L'bouchon trop loin !
Pour repousser
Comme c'est leur destin !
D'attendre leur tour
A reculons !
Avançant pour
Leurs gueules d'frictions !
Que tous s'insultent
En s'envolant !
Dans un grand tumulte
Au volant volant !
Embouteillages
Dans les parages;
Il y a l'passage
Pour les virages
D'circulation !
Il y a des troubles
D'circulation !
Qui se dédoublent,
Si bien qu'ils doublent
Les conducteurs,
Comme ils redoublent
Face à la peur !
De la conduite
A tenir sans
Délit de fuite;
A coups de sang !
Qu'ils mettent leur phare !
Passant leur route
Sur la route phare !
Et sans des routes;
Embouteillages
Dans les parages;
Il y a l'passage
Pour les virages.
Jérôme de Mars
La musique dans la peau !
Musique de déchaînés;
Maillot fort de la chaîne !
Malgré l'chaos forgé
D'ton caractère d'ébène !
Tu tires la langue de bois !
Bois de chêne de bambou;
Que t'attends plusieurs mois
Pour tenir le bon bout !
Faisant d'un pot-pourri;
Une mélodie qui danse
Ta vie surtout la nuit !
Et cadence d'abondance;
Tu ouvres l'micro-trottoir !
Pour parler au parleur,
Qui t'fout le blues notoire !
Hurlant d'tes écouteurs !
La musique dans la peau !
Qu'elle t'fait payer plein pot !
Voulant te faire la peau !
Buvant tous tes sanglots;
Tes déboires de paroles !
Tu n'fais la farandole !
Que tu as des fossettes
Parmi toutes tes facettes !
Miroir aux alouettes;
Tu éteins la radio;
La radio alouette
En sono stéréo !
Parce-que tu parles trop fort
Qu'il faut baisser le son;
Mur-porteur du folklore !
T'parles en mur d'ultra-sons !
Et si tu écrivais
La vie au jour le jour !
Et si tu décrivais
A chaque jour à contre-jour !
La musique dans la peau !
Qu'elle t'fait payer plein pot !
Voulant te faire la peau !
Buvant tous tes sanglots !
Que t'as toujours l'cafard !
Même que t'as la console
D'musique mise au placard !
Pourvu qu'elle te console !
Bien sans aucun bémol
En baie molle d'Côte d'Azur;
T'faut paracétamol
En verdure d'villégiature !
Sans des vers durs d'ordure;
Et rien n'est à jeter
Dans ta très bonne nature !
Tout est à convoîter
En musique d'un soleil
Sous de gros projecteurs;
Faisant que des merveilles
D'un nouveau jour d'lueur !
La musique dans la peau !
Qu'elle t'fait payer plein pot !
Voulant te faire la peau !
Buvant tous tes sanglots !
Jérôme de Mars
Tchao Paulo !
Danse du Brésil
En mouvement;
Danse de Saint-Guy
Effervescent;
T'as la bougeotte
En une contre danse
Dans ta roulotte !
Que ta cadence
En une samba
Te fait remuer
Bossa nova !
Pour t'dandiner;
Te déhancher
Samba d'Brésil !
Pour t'défouler !
Ca te frétille !
Tchao Paulo !
Mon cher Paulo;
Sao Paulo;
C'est ici haut !
Rio d'Janeiro
Et Brasilia,
Comme hissez haut !
Danse de la joie
En des sunlights
Sucrés salés;
Où tu danses light !
Olé olé
En danse du ventre;
Que t'as le rythme
D'la peau qui vante !
Tout c'que tu trimes
Dans toute ta musique !
Ton rythme synchro
T'rend frénétique !
Comme t'es accro !
Tchao Paulo !
Mon cher Paulo;
Sao Paulo;
C'est ici haut !
Melting-potes d'colos !
Même si l'Brésil
Ne fut la colo
D'ta France fébrile !
Et maintenant
Au Brésil; y a
Le bon vieux temps !
Qui donne le là
En écolo !
Sans dictateur
Bolsonaro;
Inquisiteur
D'musique sauvage;
Et d'un pas sage
Et d'un breuvage
En un brassage;
Tchao Paulo !
Mon cher Paulo;
Sao Paulo;
C'est ici haut !
Jérôme de Mars
Arc en ciel de couleurs
Monde multiculturel;
On est donc tous pareils !
Dans le simple appareil
Jeune à la carte vermeille !
Mon pote à la compote !
Et si d'un melting-potes;
On faisait un meeting
Pour qu'il y ait un feeling !
Malgré les différences !
Tout l'monde peut s'accoupler
Et faire dans le silence;
De magniques bébés !
Comme un ciel Africain
En bon Samaritain,
Célébrant l'union mixte
Et sans qu'il y ait une rixe;
Arc en ciel de couleurs;
On reprend des couleurs;
On en voit la couleur;
Couleurs d'un grand bonheur
D'être la diversité
Même que sans faire sans blanc;
J'n'ai dit dix vers cités
Tremblant ! Mais en comblant
La vie en noir et blanc
Par du café au lait !
Chantant les gens sans blanc;
Qui boivent olé olé
Des paroles immigrantes !
Emigrant d'un voyage
En chansons inspirantes,
Dont leur unique bagage
Est d'arriver à l'heure !
Envol d'l'exode rural;
Destination l'ardeur
D'une bonne surprise rurale !
Arc en ciel de couleurs;
On reprend des couleurs;
On en voit la couleur;
Couleurs d'un grand bonheur
Dans la fraternité;
Au-delà de la langue
Variée dans l'amitié
De tous les langues exsangues !
Et s'il y a des gens pâles
En voyant des Créoles;
Toute leur surcote d'Haut pâle
Baissera en bémol !
Tous Les Français créoles
Et Français Africains;
Ont toujours des paroles
Qui nous rendent tous copains !
Car tous dans la Savane,
Tous la main dans la main !
On marche; on se pavane !
S'donnant des coups demain !
Arc en ciel de couleurs;
On reprend des couleurs;
On en voit la couleur;
Couleurs d'un grand bonheur.
Jérôme de Mars
Une douce sage femme
C'est un bébé;
Baba trop cool !
Qui rigolait,
Comme il roucoule !
Il va sortir
Le p'tit oiseau !
Pour l'assortir
Le p'tit tuyau !
Sorti issu
Du ventre d'sa mère,
Comme elle a su
Le mettre sur Terre !
Même qu'elle; elle sue !
L'mettant au monde;
Elle si fourbue;
Et si féconde !
Une douce sage femme
Fut sa sage-femme;
Jamais infâme !
Qu'elle en fut fan !
De son bébé
En un massage !
Luit qui riait
D'être l'nouveau-né !
Lui dont on dit
Qu'il était né
Dans les choux; si
C'est trop inné !
Que cette sage femme
Lui fasse l'massage !
Comme ma sage-femme,
Elle qui est sage !
Elle l'fit une fleur !
Sans qu'elle le fane !
Rien qu'elle effleure
En mélomane !
Une douce sage femme
Fut sa sage-femme;
Jamais infâme !
Qu'elle en fut fan !
Dont elle l'appelle
Mon bout d'choux-fleur !
Nom qu'elle épelle
D'une fleur mon coeur !
Salle de travail;
En accouchant
D'idées d'détail;
Et en couchant
Toutes ses idées
A la minute !
Jamais ridées,
Dont elle exulte
En l'allaitant
Olé olé !
Juste son enfant
Au lait eau lait !
Une douce sage femme
Fut sa sage-femme;
Jamais infâme !
Qu'elle en fut fan
Jérôme de Mars !
Je casse des vers
Sans un soleil
En un brouillard;
Moi; je chancelle
Etant hagard !
Comme dans la brume
De mes nuages;
Foutaise; je fume
En mon ramage !
Dans les ténèbres
De mes orages;
Sont les vertèbres
De ma grosse rage !
Envers la pluie
Du souffre du feu,
Dont mon dépit
Allume en feu !
Je casse des vers
Et de poèmes !
Je souffle des vers
Et de bohème !
Comme La Toussaint
M'remplit de larmes;
Donc elle tousse hein !
M'emplit; m'désarme !
En mise en bière
D'une carte vermeille !
Je bois en bière
Tout mon oseille !
Si bien qu'j'envoie
Toute une bouteille
En mer qui voit
Ma voix d'crécelle !
Qui respire mal
Le vide d'une vie,
Comme dans une malle
Livide la nuit !
Je casse des vers
Et de poèmes !
Je souffle des vers
Et de bohème !
J'ai le vide plaint !
Avide à vide !
J'ai livide plein !
A vide avide !
Qu'j'écris mon mal
De vivre; d'en survivre !
Cris d'animal;
Qui donc m'enivrent
Du vide d'ma mer !
A l'encre de brume
A vide sur Terre !
Son encre m'enrhume
Aléatoire;
Rien d'linéaire !
Rédhibitoire
D'imaginaire !
Je casse des vers
Et de poèmes !
Je souffle des vers
Et de bohème !
Jérôme de Mars
Etre dans les clous
Si on parle et
De bricolage !
Pour proposer
Tout un montage !
Oh ! Hein punaise !
On serre la vis !
Avec la chaise;
Qu'il n'y a plus d'vice !
Vice et versa !
Genre un novice;
Qui déversa
Pleins de sévices !
Etant marteaux;
Qui détournent l'vice !
Visant l'fourreau !
Car vis à vis,
Nous détenons
Les tenailles;
Nous entonnons
En nos cisailles
De sécateurs;
Tout notre secteur !
Pas de quartier !
Et dans l'quartier !
Etre dans les clous;
Enfonce le clou,
Comme un bijou !
Faisant joujou !
Donc en disant
A la bonne pioche !
Donc en dix ans
Pioche dans la pioche !
Pour des bricoles
L'as las des nazes !
Genre des frivoles;
De l'as des as !
La coupe est pleine !
Qu'elle visse; dévisse
La coupe est plaine !
Qu'elle serre le vice !
Vice et vertu !
On s'évertue
A préparer
Et bricoler
Des bibelots !
Fixant l'regard
En matériaux;
Fixant hagard
Dans la débrouille !
N'rentrant bredouille !
Et dont l'objet
A pour objet
Etre dans les clous;
Enfonce le clou,
Comme un bijou !
Faisant joujou !
En fonctionnant
Avec des si !
En réparant
Si indécis !
La tronçonneuse,
Pour bien poncer
La planche râpeuse !
Pour bien penser
La langue de bois;
La langue râpeuse
Et valeureuse
D'Robin des bois;
La vérité
Si sulfureuse;
Nous déboulons
En un boulon !
Que des écrous
En prison !
Faisant leurs trous
De rébellion
Que c'est en taule;
Qu'on est enfer !
Que c'est en tôle;
Qu'on naît enfer !
Etre dans les clous;
Enfonce le clou,
Comme un bijou !
Faisant joujou !
Jérôme de Mars
J'aime Birkin !
D'son royaume;
Etat uni
En un psaume;
Elle Naquit
Jane Birkin
Un 14 !
D'la piscine
Qui amorce
Qu'elle arrive
D'Angleterre !
Sur La Terre
De la rive;
D'Grande-Bretagne
A La France
D'grande Bretagne !
C'est une chance !
J'aime Birkin !
Sur l'Rocking
Chair living;
I'm Loving
Ses chansons;
Dis doux da
Sa maison;
Chantant là !
Et je t'aime
Mon non plus !
D'un poème
Dans l'absolu
Dessous chics
Soixante neufs !
C'est la clique !
Quoi de neuf ?
C'est l'amour
69 !
L'anamour
69 !
J'aime Birkin !
Sur l'Rocking
Chair living;
I'm Loving
Son année
Erotique;
Sûre année
Bucolique;
Un slogan
Fait des films !
Embrassant
Comme un film !
En ex femme
Des Sixtines;
Clame en flamme
Morte l'sixteen !
Dont elle boxe
L'amour défunte !
Et juke-box
La mort des feintes !
J'aime Birkin !
Sur l'Rocking
Chair living;
I'm Loving.
Jérôme de Mars
Des beaux liens de parenté
Vague à l'âme de mal de mère,
Il y a la mère; la belle mère
Pour resserrer tous les liens,
En faisant que des câlins
A sa belle famille aimée,
Comme à sa belle soeur; âme soeur !
Que tous prennent pour leur consoeur !
Et leur beau frère qui émet
Des vibrations; gestes d'amour !
Qui s'aiment tant depuis toujours !
Comme le gendre tant idéal;
Qui respecte tout si légal !
Comme ça lui est trop égal !
D'avoir un beau-père et une
Belle-mère qui ont la fringale !
D'avoir l'âme originale
Des beaux liens de parenté
En tout bon lien d'amitié;
Et dans la fraternité
Ayant un grain de bonté !
A la place de la beauté;
Qui n'est que de la matière !
Comme la vieillesse pour les frais !
Sans laits frais de toute la terre !
Avec en pièce rapportée;
Tout ce qui est surnaturel !
Superficiel; passager !
Messager sans naturel
Au je de toute cette famille !
Jouant toujours cartes sur table
Au jeu de cette infâmie !
En étant vache de l'étable !
Au jeu du meilleur rami !
En jouant que cartes sur table !
Au je du meilleur ami !
Déjouant toutes cartes sur table !
Des beaux liens de parenté
En tout bon lien d'amitié;
Et dans la fraternité
Ayant un grain de bonté !
Et si la belle-mère si jeune;
Se réconciliait toute calme
Avec sa mère pour le fun !
Afin que le père acclame
Son beau-père en un bon père !
Qui cherche l'âme soeur pour consoeur,
Alors que son beau-frère serre
Dans ses bras sa soeur; belle-soeur !
A demi-soeur dans son coeur;
A demi-frère comme un frère
A sa demi-soeur censeur,
Comme l'âme soeur cherche tout un frère !
Pour que tous soient une famille !
Forment une famille; belle famille !
Une bonne famille hein famille !
Sans infâmie; hein famille !
Des beaux liens de parenté
En tout bon lien d'amitié;
Et dans la fraternité
Ayant un grain de bonté !
Jérôme de Mars
Débranche l'emprise !
Mis sur écoute !
Tu branches l'ampli,
Dont coûte que coûte;
Tu prends le pli
D'musique branchée !
Musique en Sainte;
Toi; le branché !
Musique enceinte;
Chansons d'enfants;
C'est une comptine
Très bon enfant !
Genre Bécassine
Pour débrancher
Tous les branchés,
Musique pour jeunes;
Tu fais le jeûne !
Débranche l'emprise !
Prises en reprises,
Dont tu lâches prises !
Surprises sur prises !
Musique chébran;
Tu es branché !
Parlant six francs;
T'es débranché !
Perdant le fil;
Fil conducteur !
Ta vie défile;
Fil salvateur !
Tu gardes contact
Vers le contact !
Toi; t'as du tact !
Tu foules contact !
Le fil d'Ariane
Interrupteur;
Fil mélomane
Perturbateur;
Débranche l'emprise !
Prises en reprises,
Dont tu lâches prises !
Surprises sur prises !
T'électrocutent;
Te persécutent;
Te catapultent
Dans le tumulte !
Que tu pars en
Courant sur l'fil
Du rasoir lent !
Que tu refiles
Si électrique;
Tout ton courant
Très frénétique !
Ici courant
D'avoir en fait
Tant rétabli
L'courant en fête !
Et aguerri !
Débranche l'emprise !
Prises en reprises,
Dont tu lâches prises !
Surprises sur prises !
Jérôme de Mars
Blues de roc
Rythme and blues
Dans la peau;
Qui donne l'blues;
Manque de peau !
La musique
Rock'n'roll
Hystérique;
Tient paroles
En tes coudes !
Pour t'souder
Pour t'découdre
T'accouder
D'un effet
Domino !
Fats Domino,
Et d'un fait;
Blues de roc;
Qui a l'rock !
Peau en cloque;
Qu'tu suffoques !
Nom d'un phoque
Jamais trop
Aidé d'fuck !
Donne pour mot !
Mot pour mot
Déhanché;
T'as le mot
Débranché !
Du dico
Pour décrire
Tes échos,
Pour écrire
Ton sans d'encre,
Comme tu t'fais
Un sang d'ancre !
Et d'un fait;
Blues de roc;
Qui a l'rock !
Peau en cloque;
Qu'tu suffoques !
Dans ta peau;
Tu es mal
Manque de peau !
Tu es l'mâle
Croco en peau !
T'fait la peau
A fleur d'peau !
Fait rétro
D'ta nécro !
Qu't'en peux plus;
C'en est trop
Tout c'chahut !
Dans ta vie;
Et qui dévie
De ta route;
T'fait fausse-route !
Blues de roc;
Qui a l'rock !
Peau en cloque;
Qu'tu suffoques !
Jérôme de Mars
Un sacré numéro
Jouant grille sur l'grille !
Quand tu joues au loto;
Tu joues comme en famille;
Un sacré numéro !
Dont tu es un sacré
Numéro ! En sortant
Du lot sacralisé;
Tout écrit noir sur blanc !
Te rangeant dans des cases !
Qu'tu coches d'un morpion;
Grattant usine à gaz !
Jouant de tous tes pions;
Celui qui sort du lot !
A qui on dit tombe haut
Là ! Ca y est; c'est bingo !
Quand tu joues au loto !
Un sacré numéro,
Comme le bon numéro !
Qu'tu topes là au loto !
Top ! T'as gagné ! Bingo !
Remportant le joli
Magot; malle du trésor !
Ca fait joli joli
Tont argent en renfort !
Grillant toutes tes cartouches
De cigarettes ! Fumant
Tes cigares de manouche;
T'as d'la chance enfumant
Ton argent pour t'caser
La roue de la fortune !
Il te faut tant garder
Les pieds sur Terre sans lune !
Or ! Il te faut trouver
La bonne grille du loto !
Pour gagner; remporter
En bel eldorado !
Un sacré numéro,
Comme le bon numéro !
Qu' tu topes là au loto !
Top ! T'as gagné ! Bingo !
Paroles d'argent content !
N'prenant pas pour paroles
D'argent comptant ton argent !
Qu't'as gagné rossignol !
Pour voler vers le haut
D'par ta grille du loto
En sacré numéro !
T'as remporté l'gros lot !
Toi en essor du lot,
Dont tu grattes et bingo !
C'est le jackpot; mon pote !
Mon pote à la compote !
Or ! A présent ! tu es
A l'abri du besoin !
Que tu peux te gratter !
T'griller ! Tu es en faim !
Un sacré numéro,
Comme le bon numéro !
Qu' tu topes là au loto !
Top ! T'as gagné ! Bingo !
Jérôme de Mars
La machine à notes !
Portée rapportée;
Il y a d'quoi jouer
Des airs déportés !
Qu'il faut en jouer
Portée sur piano;
Déjouant assis
Larsen bricolos !
Fonctionnant indécis;
Jouant partition
Une mise en retraite
De répartition;
Faisant toute une quête !
Pour toute la musique;
Qui fait que des sons
En métaphysique;
Ainsi font font font !
La machine à notes !
Interro J'grelotte !
Mettant que des notes !
Impro ! Ca me trotte !
Moi; contre le piano !
Jouant note salée
La mer d'mes sanglots;
Ecumant cuvé
La meilleure cuvée
De ma note soûlée
Au bistrot couvé;
Que j'ai retrouvé
Jouant au piano;
La note du bistrot !
M'faisant regretter
D'avoir du toupet !
Robinet d'eau tiède;
Je sais réchauffer
La note; rien qu'au bled !
Chauffée réchauffée
La machine à notes !
Interro J'grelotte !
Mettant que des notes !
Impro ! Ca me trotte !
Jeu déperdition;
Je joue déchanté
L'jeu en perdition !
Partition fêlée;
Je cherche un instit;
Qui joue du piano !
M'apprenant d'un tilt;
Les notes du piano !
Me mettant des notes;
Interro sur prises !
En ayant la cote
D'surprises en surprises !
Jouant comme un pro;
Mélodie d'un artiste !
Composant rétro;
Avec sur la liste !
La machine à notes !
Interro J'grelotte !
Mettant que des notes !
Impro ! Ca me trotte !
Jérôme de Mars
Message long à la détente !
Dialogue entre Jérôme B et Edwin J; un (ex) ami !
Jérôme B :
- " Bonjour Edwin, comment vas-tu ? "
Edwin J :
- " Bonjour Jérôme; pourquoi me contactes-tu ? "
Jérôme B :
- " Pour avoir de tes nouvelles; même s'il y a rien de neuf pour toi !
A première vue; je t'envoie des vers de contact à travers ce dialogue
comme un salé aux lentilles ! "
Edwin J :
- " Jérôme, je ne veux plus te voir à cause de toutes tes erreurs et de ton
mauvais comportement ! Souviens-toi du texte que tu m'avais envoyé :
" Accidents mineurs à l'état majeur ", même si tu as supporté
de gros problèmes majeurs dans ta vie de mineure; ta vie pour moi
est si mineure que tu récoltes tout maintenant à l'état majeur !
Et aussi que souvent; tu fais des doigts d'honneur dans la rue que
tu dois majeur de faire des doigts majeurs ! Jérôme; tu n'es pas net
comme gars ! Je ne comprends pas pourquoi tu as dévie du droit
chemin avec toute ta colère et toute ta haine que tu as contre la société !
Qu'as-tu à me répondre à mon mets sage où j'appuie sur la détente
pour vivre tranquille et penser juste à moi rien qu'à moi ? "
Jérôme B :
- " Pour toi c'est un jeu d'enfant de me répondre cela alors que ce que tu m'envoies; ce n'est pas un mets sage pour appuyer sur la détente mais un message long à la détente ! Même si je n'ai pas toujours pas été bon enfant;
Ma vie n'a pas toujours été un jeu d'enfant à l'état mineur car maintenant à
l'état majeur où j'en suis; ma vie est enjeu d'enfant à l'état majeur du à mon enfance mineure avec tous ces problèmes majeurs ! "
Edwin J :
- " Jérôme; tu crois que tu me fais rire avec tes jeux de maux à deux balles; avec toi; c'est tout ou rien; soit tu fais des mots croisés ou des maux croisés à la croisée
de ton humour à deux balles où tu déballes tout; c'est de la balle ! Jérôme pour terminer ce dialogue à bâtons rompus entre toi et moi, que proposes-tu pour qu'on enterre la hache de guerre sans retour de bâtons ? "
Jérôme B :
- " Et bien mon cher Edwin, comme tu cherches à m'attirer en mettant le bâton et la carotte et comme les carottes sont cuites; je propose qu'on enterre la hache de guerre et qu'on fume du hasch naguère moi et toi qui n'est plus long à la détente ! A travers ce mets sage, où je conclus ce message en appuyant sur la détente longue à la détente avec plus jamais de stress ! Si tu cherches un mobile pour m'appeler; appelles-moi au numéro suivant importable; exportable :
Jérôme B Port : 0617135443 ! "
Jérôme de Mars
C'est du gâteau !
Durant la vie !
Suivant ce que
L'on a subi !
Hormis quoique,
On est soit une
Crème ah ! Futée !
On naît soit une
Crème affûtée !
Suivant qu'on aime
La vie au jour !
Suivant qu'on sème
La nuit contre-jour !
C'est la cerise
Sur le gâteau !
Est là Cerise
Sur le gâteau !
C'est du gâteau !
Que c'est cadeau !
Mangeant l'gâteau !
L'plus beau cadeau !
Que chacun mange
Sa part; par(t) du
Gâteau des anges !
Qu'tout leur est dû !
Qu'ils n'sont imbus
De par eux-même !
Qu'ce n'est indu !
Tout l'monde les aime
En crèmes fûtées;
Qui font le bien !
Crèmes affûtées;
Qui font et bien !
C'est de la tarte !
Qu'il y ait des crèmes !
Donc qui s'entartent !
Bien comme ils s'aiment !
C'est du gâteau !
Que c'est cadeau !
Mangeant l'gâteau !
L'plus beau cadeau !
Roulant dans la
Farine la pâte !
Ca donne d'la joie !
Que ça épate
De mettre la main
A la bonne pâte !
Mettant l'béguin !
Que ça appâte
En un rouleau
D'pâtisserie !
Au bout d'rouleau
L'besoin d'amis !
En compagnie
D'être une pure-crème
D'boulangerie !
Pourvu que sème !
C'est du gâteau !
Que c'est cadeau !
Mangeant l'gâteau !
L'plus beau cadeau !
Jérôme de Mars
Et fait minés !
Un homme à femmes;
Qui est à voile;
A vapeur flamme !
Comme se dévoile
Un homme infâme;
Qui plaît aux dames !
Infâme à femmes;
Qui dame quidam !
Dans les deux sexes
Bisexuels;
C'est unisexe !
Très sexuel !
Tendance en transe
En intendance;
Tendande en trans
Et abondance;
Et faits minés !
La chatte minée !
Et fait minet !
Efféminée !
Pénétration;
Il y a un trou
En érection !
Bouchant les trous
De par des mots
Sensuels; sexuels !
Or ! Homos
Sensuels; sexuels !
Qui aiment les deux !
D'une chatte qui griffe
Une foutre d'ses deux
Couilles dans le pif !
Ca fait du bien !
Par où ça passe !
C'est du venin !
Où ça repasse !
Et faits minés !
La chatte minée !
Et fait minet !
Efféminée !
Musique en trance;
Une chatte mouillée
Rentre redondance;
Qu'elle a mouillé
Toute sa culotte;
Perdant les eaux;
Ses seins grelottent
Faisant pipeau !
Faisant bouche-à-bouche
Au sexe d'son ami !
Genre un touche-touche
En gâterie !
Qu'elle s'en branle tant
De faire la queue !
Qu'elle branle rien c'temps !
Tirant la queue !
Et faits minés !
La chatte minée !
Et fait minet !
Efféminée !
Jérôme de Mars
Aux berges de genèse !
Hier de mon enfance;
Je me rappelle tant
De toute mon offense !
Qu'je ne me détends
Comme une balle logée
En plein de rancoeur !
Gilet par balles, mais
Plaint de mon aigreur,
La noirceur d'mon coeur !
Cavalaire sur Mer;
C'est de la liqueur !
J'cavale l'air sur mère !
Sang regrets d'avant;
Je fus délaissé !
Sans remords distants;
Je fus affaissé !
Aux berges de genèse !
J'héberge la jeunesse !
Auberge de jeunesse !
J'héberge la genèse !
De mes souvenirs
M'enfuyant hagard !
J'ai connu le pire !
Fuyant du regard
L'bazar de ma vie !
Tout ce bric à brac !
Hasard de la nuit;
C'est tout un mic mac
De ne point savoir
Tout ce que je veux
Dans ma préhistoire !
Que je fais comme voeux
De ne plus aller
A Cavalaire Plage !
Même dans les allées
De tout ce ravage !
Aux berges de genèse !
J'héberge la jeunesse !
Auberge de jeunesse !
J'héberge la genèse !
Cavalaire l'rivage
Dont je cavale l'air !
Cavalaire l'virage
Dont je décolle l'air !
De la mer salée
Jouant sur piano !
Une note de portée;
Déportée sanglots
Dans l'écume des bars
De ma mère soûlée;
Que tous la rembarrent
Toute cette mer salée;
Qu'elle moussa sa bière
Comme sa mise en bière !
Et même si j'suis logée
Même enseigne; je sais !
Aux berges de genèse !
J'héberge la jeunesse !
Auberge de jeunesse !
J'héberge la genèse !
Jérôme de Mars
Joséphine Baker
Comme une artiste noire;
Naquit le 3 Juin
Une femme ! Dont l'histoire
Changea le destin
De la cause des noirs;
Née dans L'Missouri;
Son histoire fut noire !
Luit comme à Saint Louis !
Qu'elle fut victime d'racisme
Aux Etats-Unis;
Pays sans angélisme;
Qui ne la chérit !
Elle quitta l'Pays
Des Etats-Unis !
Avec un bateau
Pour trouver ses mots !
Joséphine Baker;
J'la connais par coeur !
Comme Charlie Parker !
Qu'elle avait bon coeur !
Aidant son prochain
Luttant contre l'racisme;
Son côté humain
N'aima l'égoïsme !
Qu'elle lutta; femme libre
Pour la cause des noirs
Jusqu'en France, qu'elle vibre
Résultat d'lhistoire !
Elle agit pour toute
L'émancipation !
Agissant contre toute
Ségrégation;
Elle fit d'un spectacle;
Toute une revue nègre !
Années folles d'obstacles
En revue allègre !
Joséphine Baker;
J'la connais par coeur !
Comme Charlie Parker !
Qu'elle avait bon coeur !
Elle a la banane;
Ayant deux amours !
Qu'elle se pavane;
Paris, mes amours !
En folie du jour
D'une grande dépression !
Elle dessine l'contour
D'une bonne impression !
Parlez-moi d'amour
Au Moulin-Rouge !
J'attendrai l'amour;
Si j'étais noire rouge !
En amère Indienne
Qu'elle meurt l'12 Avril !
Et en file Indienne !
D'son panthéon défile;
Joséphine Baker;
J'la connais par coeur !
Comme Charlie Parker !
Qu'elle avait bon coeur !
Jérôme de Mars
Le bureau des complaintes
Si on chante au travail !
Quand l'un dit que je dis
Mes doigts en éventail;
Quand je dis; ça me dit !
D'manger au restaurant;
Parlant de doléances !
Bouffant tous mes tourments
En mes condoléances;
Me refaisant des films
De la dernière séance !
En scénarios de films;
Et quelle est la fréquence ?
Pour revoir chaque séquence
D'ma vie en super huit !
Ca me rappelle l'enfance,
Où rien ne passa vite !
Le bureau des complaintes;
Ecoutant mon enceinte,
Comme du bureau des plaintes !
Ecoutant ma complainte,
Comme tout le monde déchante !
On connaît la chanson !
Qui tous nous désenchante;
Et comme à la maison !
On cherche que des paroles !
Pourvu qu'elles réenchantent
Chacun d'nous en gondoles;
Qu'elles nous gondolent charmantes !
Etant dans leurs papiers;
Papiers d'un grand journal
Super millimétré !
Qu'on décide qu'on ouvre l'bal !
Bal masqué; démasqué;
On met la cape et cap !
Vers la fête au troquet !
J'en déduis qu'on est cap !
Le bureau des complaintes;
Ecoutant mon enceinte,
Comme du bureau des plaintes !
Ecoutant ma complainte !
En évasion d'escale;
Je m'évade animal
En un spectacle floral;
Qui emballe et déballe
Avant qu'on me remballe
En mon blues du trottoir !
Pas gai ! J'pagaie si mal !
Où je rame dépotoir
En un grand défouloir !
Et bien quand ça me chante !
Chantant en exutoire
En mon âme nonchalante;
Pourquoi j'ai que du blues !
Tristesse d'un clair de lune,
Et pourquoi je m'émousse
Terne éclair de plaine lune !
Le bureau des complaintes;
Ecoutant mon enceinte,
Comme du bureau des plaintes !
Ecoutant ma complainte.
Jérôme de Mars
Comédien déambulant
Artiste jonglant dans la rue;
Je suis un clown très auguste !
Qui déguste blanc ingénu;
Que je dévisage mon buste !
Avec un masque et des plumes !
Si bien que j'y laisse des plumes
Du fond tréfonds de mes frasques !
Que je suis à vent d'bourrasques !
En jonglant avec les mots;
Tel un saltimbanque qui s'planque
Derrière son costume penaud !
D'où je planque dessous en banque !
En dessinant un trapèze
Dans la rue; c'est tout un cirque !
Que les artistes sont balèzes !
Et si costauds pacifiques !
Comédien déambulant;
Peut-être suis-je amusant ? !
En comédien ambulant;
Jouant à l'acteur plaisant !
Que je cherche mon équilibre
Funambule; ne perdant le fil
De mon être rebelle et libre !
Qui ne veut pas lâcher l'fil !
Le fil conducteur d'sa vie !
Pour rétablir le courant
Entre les gens surtout la nuit !
Pour se tenir au courant
De jongler en jeux de quilles !
Avant d'partir en retraite !
C'est l'heure de fêter la quille
En quête de faire une requête !
Pour que tout ce monde maboule
N'ait les boules ! Perdant la boule !
Il vaut mieux raison garder !
Garder juste que l'oraison !
Comédien déambulant;
Peut-être suis-je amusant ? !
En comédien ambulant;
Jouant à l'acteur plaisant !
Me complaisant en clown triste;
Un transe genre mélancolique !
Me préférant genre altruiste;
Un transgenre mélancomique !
Je joue un rôle si joyeux
Que j'en oublie tout mon rôle
D'être paraître si fastidieux !
Que je renie toute ma taule !
Enfer d'ma prison dorée !
Acrobatie haute voltige !
De ma prison à dorer !
J'n'ai qu'à avoir des vertiges !
Contorsionniste retourné;
J'me suis détourné du droit
Chemin à tout contourner;
Qu'en claquant de mes dix doigts !
Comédien déambulant;
Peut-être suis-je amusant ? !
En comédien ambulant;
Jouant à l'acteur plaisant !
Jérôme de Mars