Joue ton morceau !

 

Pour faire ramage !

Chante toute ta vie !

Pour rendre hommage !

Danse toute la nuit !

 

La vie se joue

Durant le jour !

La vie rejoue

Tout à contre-jour !

 

Toujours ton refrain

Qu't'en fais des caisses !

D'ton tambourin

A fond la caisse !

 

Toujours enfreint

Sans ton refrain !

Toujours sans frein

Qu'toi boute-en-train !

 

Joue ton morceau !

Avec tes mots !

Qui font échos !

Qu't'as dans la peau !

 

Que tu composes

Rien qu'un morceau !

Qui t'décompose

Rien qu'en lambeaux !

 

Que tu en joues

De la guitare !

Mettant en joue

Ton tintamarre !

 

Qu'tu recomposes

Ce même morceau !

Sans l'mettre sur pause

Qu'tu trouves les mots !

 

Qui t'font défaut

D'tes qualités !

Pas par défaut !

Tu chantes si vrai !

 

Joue ton morceau !

Avec tes mots !

Qui font échos !

Qu't'as dans la peau !

 

Que ta vie part

Trop en lambeaux !

Sans un rempart

Pour ton morceau !

 

Que tu défends

Tant bec et ongles !

Tu n'te pourfends

Rubis sur ongles !

 

Que tu incarnes

La rébellion !

Sans la lucarne

En vibrations !

 

Tu termines c'morceau

D'tes mots choisis !

Plus en lambeaux !

Que tu choisis

 

Joue ton morceau !

Avec tes mots !

Qui font échos !

Qu't'as dans la peau !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Effet d'un cauchemar un beau rêve !

 

Si à la place de la pluie, l'soleil !

Tu songeais à la refaire ta vie !

Pour y mettre un joli arc en ciel,

Avec des vitamines de folie !

 

Qui donneraient au ciel une vie d'ange !

Malgré les démons des cauchemars;

Qui ne voudraient que l'enfer s'arrange !

Réconciliant la pluie en cagnard;

 

Les nuits demeurent trop longues au long cours !

Que le temps concourt à rendre léger

Le soleil et la pluie en c'concours

De circonstances; quitte à égayer 

 

Les rêveries sur les bancs publics !

En causant tant utile que futile !

N'est-ce jamais l'existence frénétique

De t'dévoiler en musique agile ?

 

Effet d'un cauchemar un beau rêve !

Le cauchemar est l'élève du rêve !

En mettant de la sève qui élève

Le temps que dure ce rêve en cette trêve !

 

Si tu en faisais des clapotis

Sur l'eau ! Pour qu'elle te sorte de ta bulle,

Ta bulle d'savons à ton effigie !

Conciliabule assez funambule

 

Que ta vie est fragile; qu'elle te tient

Sur un fil d'équilibriste d'artiste !

En tes va-et-vient manichéens !

Seul t'reste mannequin ! Toi très altruiste !

 

En tendant la main aux inconnus !

Des gens connus; assez hein connus !

Tes cauchemars te vivent dissolus;

Moins éperdus une fois recousus !

 

Avec tes beaux rêves qui t'font du bien !

Qui t'en recréent pour demain du lien !

Qui t'font tant de bien en allant loin !

Avec tes copains pour t'faire du bien !

 

Effet d'un cauchemar un beau rêve !

Le cauchemar est l'élève du rêve !

En mettant de la sève qui élève

Le temps que dure ce rêve en cette trêve !

 

Et si tu pensais à faire d'ta vie !

Un rêve éternel d'un monde moderne,

Où tu n'penserais plus à la nuit;

Qui t'rend dépendant et subalterne !

 

Et si tu restais assez fidèle

A tes idéaux intemporels !

Tu réciterais l'Missel au ciel

En tes gestes humanistes; fraternels !

 

Pour t'repeupler le monde de gens bien !

Tu demanderais sitôt charnel

De l'amour qui en génère du lien !

Faisant d'un singulier au pluriel !

 

Un monde meilleur sans tes cauchemars,

Pourvu que l'bonheur refasse surface !

Faisant briller au ciel; ton cagnard

Qui n'fera ton surplace; fera place !

 

Effet d'un cauchemar un beau rêve !

Le cauchemar est l'élève du rêve !

En mettant de la sève qui élève

Le temps que dure ce rêve en cette trêve !

 

Jérôme de Mars

 

Casser mon stylo

 

A force d'en écrire

Pleins d'poèmes de slam !

Je veux resplendir

Pour faire de mon drame,

 

Le slam de ma vie !

Même si j'vide mon encre !

Du stylo qui crie

Mon âme morte qui entre

 

Par une porte ouverte;

Qui est la grande porte !

Et l'herbe est-elle verte 

Ailleurs qu'elle m'emporte ?

 

Sans reconnaissance

De mon art qui flirte

Dans l'impertinence !

Si sans aucun heurt !

 

Casser mon stylo

M'donnerait les mots !

Sans aucun bobo !

Ecrivant l'ver mot !

 

Et en soulignant

De mon stabilo !

Les mots au tournant

De ce qu'il y a de beau !

 

Montant le niveau !

Rien que vers le haut !

Gueulant stéréo

Grâce à la sono !

 

Mes mots en échos;

Echos de ma voix;

Qui se vante en gros

Que je porte ma croix !

 

La croix d'mes défauts !

Portant le fardeau

D'ma vie en morceaux !

Si bien qu'en lambeaux,

 

Casser mon stylo

M'donnerait les mots !

Sans aucun bobo !

Ecrivant l'ver mot !

 

De mes jeux de mots !

Jonglant dans un cirque

Avec mes bibelots;

Qu'je me dis quel cirque !

 

Ma vie en c'bordel !

Ce putain d'bordel !

Qui est le bazar !

Dérangé hangar !

 

L'dépôt de mes mots !

Pourvu qu'ça s'arrange

Ce désordre de mots !

Pour que tout s'mélange !

 

En s'accordant bien;

En se raccordant;

En s'entendant bien;

Si jamais distant !

 

Casser mon stylo

M'donnerait les mots !

Sans aucun bobo !

Ecrivant l'ver mot !

 

Jérôme de Mars

 

 

Un pot de confiture

 

Et toujours tartiné

Avec ton gros labeur;

Tu n'as qu'à tartiner

Ta grande tartine de beurre !

 

En ramenant ta fraise

Pour mûrir toutes tes dents !

De ta dent dure; la fraise

Pour te nourrir aidant !

 

Si tu en as du pot

De confiture de fraise !

Que tu en bois un pot

Déconfiture de fraise !

 

Que tu en payes plein pot

Ton pot de confiture !

L'argent de tes impôts !

Ton pot déconfiture !

 

Un pot de confiture;

Tu le mets à l'or dur !

Un pot déconfiture;

Tu le jettes aux ordures !

 

Que tu veux faire un pot !

Trinquant à ta santé !

Que tu veux boire un pot

Sans trinquer d'ta santé !

 

Que tu prépares des toasts !

En buvant tartiné

D'l'alcool; portant un toast

En mangeant ton toast !

 

Qu'ton argent met du beurre

Dans tous tes épinards !

Que tu fais ton labeur

En buvant ton pinard !

 

Qu'tu manges du pain demi !

En tartinant ton beurre !

Que tu manges à la mie

De pain ! Rien qu'ton labeur !

 

Un pot de confiture;

Tu le mets à l'or dur !

Un pot déconfiture;

Tu le jettes aux ordures !

 

Que tu manges des biscottes !

Tartinées de ton beurre !

Qui font aussi cracottes !

Payées d'ton dur labeur !

 

Que tu as préparé

Le fil en coupant l'beurre !

Que tu as inventé

Le fil coupant l'labeur !

 

En plusieurs p'tites pauses

Pendant ta grosse journée !

Et pendant qu'tu te poses

A l'usine d'cheminée !

 

Tu finis l'dur labeur

En cette fin de journée !

Tartiné d'ton labeur

En cette défunte d'journée !

 

Un pot de confiture;

Tu le mets à l'or dur !

Un pot déconfiture;

Tu le jettes aux ordures !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Slam psychédélique

 

Angélique; cette fille

Est si maléfique !

Qu'elle va dans la file

D'attente magnétique !

 

Qu'elle en perd le fil !

En se shootant trop !

Qu'ses idées défilent;

Des fils d'un coup d'trot !

 

Hallucinogène;

Qu'elle se fait un trip

Assez anxiogène !

Que tout l'monde l'étripe !

 

En appuyant trop

Sur le champignon !

Qu'elle pète d'un coup d'trop !

Son shoot d'champignon !

 

Slam psychédélique

Sans soins psychologiques;

Drame très psychiatrique;

Excès frénétique;

 

Angélique parfois;

Est si angélique !

Maléfique par fois;

Qu'elle est frénétique !

 

Faisant n'importe quoi 

Dans toutes ses humeurs !

Comme une crise de foie

D'une vie sans bonheur !

 

Que pour oublier

Sa peur de survivre;

Elle fait des excès !

Quitte ou double l'enivrent !

 

Qu'elle en a marre d'vivre

Son ballon d'essai !

Qu'elle en quitte ses vivres !

Déballons; qui sait ?

 

Slam psychédélique

Sans soins psychologiques;

Drame très psychiatrique;

Excès frénétique;

 

Angélique subit

L'enfer de s'en faire

Une triste vie ternie !

Flétrie par l'enfer

 

D'son monde à l'envers !

Qu'elle croit maléfique

Qu'c'est juste sa colère;

Qui est angélique !

 

En son mal de vivre;

Qui fait qu'elle s'shoote !

Relisant en livre !

Le livre de son shoot

 

D'ballon qu'elle en a

Vraiment rien à foot !

De son mode d'emploi

A cause de son shoot !

 

Slam psychédélique

Sans soins psychologiques;

Drame très psychiatrique;

Excès frénétique.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Le phénix qui renaît de ses cendres...

 

Comme un oiseau déplumé qui vole

Dans le vide d'une vie dénuée d'sens !

J'écris de ma plume triste des paroles

Lucides, pourvu que la vie m'encense !

 

Avec de l'encens pour en fumer

D'mon signe vierge effarouché zodiaque

Rebelle; le calumet de la paix !

Rue de la paix hypocondriaque !

 

Je veux un zodiaque pour naviguer

Sur la terre ouverte sans qu'on me mène

En bateau; disant au quai !

Avec que des gens qui me promènent !

 

Sans prendre le temps de me faire voler

Vers l'haut pour que j'écrive des chansons

Sans des mots mensongers pour songer

Jamais déplumé en hors-saison !

 

Le phénix qui renaît de ses cendres...

Attend son ami sans un esclandre

Au jardin des Phénix, pour répandre

De l'amitié, pour donner et rendre

 

En survolant ce qu'il y a d'futile !

En s'envolant là vers l'essentiel !

En volant là ce qu'il y a d'utile !

En volant de ses propres ailes vers l'ciel !

 

Le jour soleil, je suis de lumière !

Sitôt la nuit, je ne suis plus clair !

Renfermé de l'ombre à la lumière;

Entre ombre et lumière façon éclairs;

 

J'écris déplumé que des ramages !

Surtout de ma plume tout mon plumage

En volée d'rossignol à perdrix;

J'renais de mes cendres tel un phénix !

 

Que j'en ai des humeurs bipolaires !

Alors qu'à la base, je suis névrosé !

Et que je ne suis pas bipolaire

Des brûlures d'mon enfance nécrosée !

 

Le phénix qui renaît de ses cendres...

Attend son ami sans un esclandre

Au jardin des Phénix, pour répandre

De l'amitié, pour donner et rendre

 

Qu'on m'dit que je suis un drôle d'oiseau !

Avec quelquefois des prises de becs

D'celui qui aura le dernier mot !

Cherchant celui qui m'clouera le bec !

 

J'suis souvent dans une mise en abîme;

Qui décime les cymes d'ma vie écime;

Qu'on m'interrompt au long court en bref !

Avec tout le temps que des griefs

 

A me reprocher; à m'faire entendre...

Que las, je suis long à la détente !

Pourvu qu'on m'entende pour me détendre !

Qu'je veux appuyer sur la détente !

 

Pour en tirer des vers révolvers...

En fumant le calumet d'la paix !

Passant donc des revers solitaires

Aux vers solidaires fumant en paix...

 

Le phénix qui renaît de ses cendres...

Attend son ami sans un esclandre

Au jardin des Phénix, pour répandre

De l'amitié, pour donner et rendre.

 

Jérôme de Mars

 

 

Vagabond des étoiles

 

Vague à bond dans le ciel !

Au printemps galaxie;

Il y a une fresque très belle;

Qui redonne sitôt l'envie !

 

D'composer le printemps !

Pour s'évader longtemps

Au magasin charmant

De l'hôtel sentiment;

 

Romantique dès le jour

En une lueur d'espoir !

Plus jamais à contre-jour !

Ca donne envie d'y croire !

 

Que des étoiles commettent

L'ciel quatre étoiles friand

Jusqu'au ciel des comètes;

Dans la lune des croissants !

 

Vagabond des étoiles

En composant une toile;

Vague à bond des étoiles !

Recomposant une toile;

 

Une étoile dans la mer

Rempile à volonté

Sans un serpent de mer;

Déclamant velouté

 

Un radieux soleil rouge;

Qui navigue dans l'amour

Des sentiments qui bougent;

L'soleil qui fait la cour

 

Des grands en alchimie

Sans ressentiment rouge !

Y a du feeling en chimie...

Aux sentiments qui bougent !

 

Voyageant dans le temps

La tête dans le cosmos !

S'érigeant souriant

En embellie symbiose !

 

Vagabond des étoiles

En composant une toile;

Vague à bond des étoiles !

Recomposant une toile;

 

A partir des morceaux

D'un ciel qui fait le buzz !

Si on mettait les mots

Dans l'bon ordre du puzzle !

 

Qui donne des bonnes idées

Pour rajeunir le ciel,

Quitte à le dérider

En ciel intemporel;

 

Qui traverse chaque époque

Au fil universel;

Redevenant baroque;

Quitte à monter l'échelle

 

Vers cette belle vue en haut !

Contemplant le soleil;

Terminant c'tableau;

Chantant en ritournelle !

 

Vagabond des étoiles

En composant une toile;

Vague à bond des étoiles !

Recomposant une toile.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

La ponte des œufs

 

Cocotte minute !

Quand y a les poules

Tous azimuts !

Qui chantent ma poule !

 

Faisant des matchs

De poules de coque !

Jeu set et match !

Qui chantent mon coq

 

Au vin devin !

D'la poule au pot !

Chantant divin

Payant plein pot !

 

On a du pot

D'avoir des nids !

Buvant un pot

D'poussins déni !

 

La ponte des œufs

Chantant comme eux !

En parlant d’œufs !

Pondant autour d'eux !

 

Tout un tas d’œufs

Laissant des plumes !

D'eux au tour d’œufs !

Que les coqs plument

 

Les poules entre elles;

Les coqs entre eux;

Les poules entre ailes;

Les coqs entre œufs;

 

Quand tout leur couple;

Il bat de l'aile !

Tout l'monde s'accouple

Très à tire d'aile !

 

En répondant

Toujours à eux !

Et en pondant

Chaque jour des œufs !

 

La ponte des œufs

Chantant comme eux !

En parlant d’œufs !

Pondant autour d'eux !

 

En accouchant

D'un panier d’œufs !

Et en couchant

Dans l'panier d'eux !

 

D'un déni d'poules

En des nids d'coqs !

Disant mon coq !

Ce sont les poules !

 

Qui couvent petits

Leurs petits œufs !

P'tit appétit !

Leurs petits d'eux !

 

Et s'il y avait

En un des nids !

Une emportée

Sans un déni !

 

La ponte des œufs

Chantant comme eux !

En parlant d’œufs !

Pondant autour d'eux !

 

Jérôme de Mars

 

La fabrique d'une chanson

 

Pour chanter, en chanter

Du bout de mon stylo !

J'écris ludique léger

Des chansons de prolo  !

 

Ouvrier d'l'écriture !

Et c'est comme à l'usine

Des chansons fioritures !

Remontant aux racines

 

De mon blues d'origine,

Comme une usine à gaz !

Ca fait d'l'adrénaline

Au sillon d'mon teppaz

 

Jusqu'au microsillon

Du tourbillon ! Jazzant

Du blues au jazz d'un bond

En avant acclamant !

 

La fabrique d'une chanson;

Et comme à la maison !

Retour à l'horizon

Avec vue sur l'balcon !

 

Comme la vie à pleins tubes

Pour se faire une chanson !

Que j'en écoute des tubes

Dans la tête d'chaque saison !

 

Et si sur l'blues trottoir;

J'en écrivais un blues

Lors d'un micro-trottoir,

Pour que chacun m'jalouse !

 

Les idées noires d'une vie !

Qui arrivent dès la nuit !

Il y a le paradis

Quand j'renais d'embellie !

 

Ecrivant une chanson;

Faisant d'une pluie l'soleil !

Décrivant l'émotion

Partant d'une ritournelle !

 

La fabrique d'une chanson;

Et comme à la maison !

Retour à l'horizon

Avec vue sur l'balcon !

 

Il y a un adhérent

Qui met en musique l'texte

D'ma chanson ! M'apaisant

Si bien malgré l'contexte !

 

J'écris que des paroles !

Qu'il connaît la musique !

Que moi; je tiens paroles !

Qu'il compose pacifique

 

De la si belle musique !

Malgré qu'on soit rebelles !

Océan pacifique;

La vie, on la veut belle !

 

On a besoin d'tendresse

En harmonie d'musique !

Secrets de la liesse !

Avec pour acoustique

 

La fabrique d'une chanson;

Et comme à la maison !

Retour à l'horizon

Avec vue sur l'balcon !

 

Jérôme de Mars

 

La danse des petites tasses de café

 

A ras le bol qui tasse, pas de bol !

D'avoir une coupe au bol qui entasse

Qui en tasse tes mugs; tu n'as du bol !

D'avoir des bols, des tasses qui te tassent

 

En buvant ton marc d'café devin !

Avec pour remarques; ta marque d'fabrique !

Qui fabrique l'café moulu en grain

D'café; en cassant du sucre en briques !

 

Ce n'est ta tasse de thé, ce café !

Fort de café pour marque; d'contremarque !

Une marc de café pour reverser

Ton café de marque en une remarque !

 

De verser et de tant déverser

Ton café à moudre; à renverser

L'café dans le thé ! Si t'es café !

Avec une cuillère pour détremper

 

La danse des petites tasses de café;

Qui dansent; contre dansent si tu fais l'café !

Si t'es plus pour le café que l'thé !

Tu bois de tes déboires du café !

 

En mettant ton sucre dans le café !

Qu'a fait cette boisson plus que sucrée !

Avec des dosettes pour modérer

Ton café qui t'tasse acidulé !

 

En prenant pour soucoupes tes capsules

Ayant un grain d'insomnie, d'folie !

Qui fait qu'ton état critique bascule

Vers une crise d'euphorie qui ternit !

 

Le moral des troupes; jamais de bol !

D'avoir une coupe au bol au carré !

Pas de bol; tu en as ras le bol !

D'avoir toujours du café salé !

 

Tu préférerais le boire sucré !

Pour le savourer avec ta tasse

Pour ne plus le subir acidulé,

Ton café corsé, comme elle te tasse !

 

La danse des petites tasses de café;

Qui dansent; contre dansent si tu fais l'café !

Si t'es plus café que thé ôté !

Tu bois de tes déboires du café !

 

A te faire tant passer pour une crème !

Si olé au lait; tu bois tes mots !

Alors que tu bois un café crème !

Pour que ça se tasse dans un verre d'eau !

 

Et si tu infiltrais ton café

Pour ne plus rien maltraiter sans filtre !

D'tout ça, si t'es plus café que thé !

Alors t'es plus pour l'café au litre !

 

Et si allongé, tu bois assis

Ton café court ! Pris d'court au long cours !

Tu aurais l'café frappé aussi

Au ras du bol pour toujours faire court !

 

Si pour une fois, tu avais du bol !

Avec plus rien qui te tasse, t'entasse !

Tu n'en aurais jamais ras-le-bol !

D'ta coupe au bol sans qu'tu bois la tasse !

 

La danse des petites tasses de café;

Qui dansent; contre dansent si tu fais l'café !

Si t'es plus café que thé ôté !

Tu bois de tes déboires du café !

 

Jérôme de Mars

 


 

 

 

Salut Les Beatles !

 

Cette génération

Des années 60 !

Régénération

Marché à la vente !

 

En chantant l'amour

D'une vie de bohème !

Hippie ces bons jours

D'une vie sans problèmes !

 

En fumant à l'instar

De Georges Harrison;

Comme de Ringo Starr

Et d'Saint John Lennon

 

A Paul McCartney;

En en composant

Si bien incarnés;

En recomposant

 

Salut Les Beatles !

Sans un juke-box seul !

Comme tous leurs singles,

Furent bien Les Beatles !

 

Al you need is love !

Ils avaient tout compris !

Qu'seul l'amour rénove

Les gens incompris !

 

Avec des refrains;

Qui sonnent et résonnent

Toujours boute-en-train !

N'croit en Dieu Les nonnes !

 

John Lennon n'y croit

Donc pas plus que ça !

Emportant sa croix;

Dieu fut rabat-joie !

 

Genre un inconnu

Moins connu qu'Beatles !

Côté éperdu

Sans aucun single !

 

Salut Les Beatles !

Sans un juke-box seul !

Comme tous leurs singles,

Furent bien Les Beatles !

 

Comme seuls écrivaient

En tenant paroles !

Comme seuls composaient

Sans aucun bémol !

 

Musique rock'nroll' !

Lennon, McCartney;

Qu'ils furent des idoles

Tant réincarnés !

 

Sans les idéaux

D'l'actuelle époque !

Avec qu'des gros mots !

Cette époque baroque,

 

Car sans les Beatles

D'un genre let it be !

C'est du bas rock seul !

Qu'il en soit ainsi !

 

Salut Les Beatles !

Sans un juke-box seul !

Comme tous leurs singles,

Furent bien Les Beatles !

 

Jérôme de Mars

 

 

Saltimbanque alimentaire

 

Elémentaire cher Watt Sonne !

Dans le siècle des grandes lumières;

Si j'éclairais d'mes lumières !

Ce triste monde qu'on désarçonne

 

Rallumant le réverbère !

D'ce monde qui respire son ombre !

Même si entre ombre et lumière;

Il y a grossissant l'nombre

 

De personnes qui meurent de faim !

Pour qu'elles oublient leurs déboires !

En passant des faims en fin

En leur donnant tous à boire !

 

Dont pour manger bénévole,

J'en écris humanitaire

Une chanson qui tient paroles

En une colère sans frontières !

 

Saltimbanque alimentaire,

Pour nourrir la Terre entière !

Sans une banque trop pécuniaire 

Si on l'était solidaires !

 

Ce qui en est la raison;

Que ce monde ne tourne plus rond !

D'illusions désillusions;

S'il y avait de l'oraison !

 

Pour tordre le cou aux rumeurs,

Et ainsi contrecarrer

Les plans d'enfer du malheur !

Sans rendre ce monde très carré !

 

Même si je n'ai la sciense infuse !

J'ai une conscience qui diffuse

Des idées jamais confuses;

J'espère d'mes idées qui fusent !

 

Qu'l'union fait la force !

Et pas qui amorce l'chacun

Pour soi qui s'efforce; s'renforce !

Et si on chantait l'refrain !

 

Saltimbanque alimentaire,

Pour nourrir la Terre entière !

Sans une banque trop pécuniaire

Si on l'était solidaires !

 

Et si on écrivait d'notre encre !

En payant des vers d'poèmes !

Des poèmes qui en jettent de l'ancre !

Payant des verres sans problèmes !

 

Pour boire des verres au comptoir,

Parlant que des mots d'amour !

Avec pour pourboire; l'histoire

Des poètes vrais troubadours !

 

Qui valent toujours le détour !

Ayant pour argent content !

Du crédit sans un retour

En paroles d'argent comptant !

 

Tout le monde l'aura son verre

Dans une belle humanité

Aux frais d'la communauté !

Payant toujours solidaire !

 

Saltimbanque alimentaire,

Pour nourrir la Terre entière !

Sans une banque trop pécuniaire

Si on l'était solidaires !

 

Jérôme de Mars

 

Si on fumait de la havane !

 

A Cuba; y a dépôt d'tabac !

Pour fumer l'calumet en paix !

Sang coups bas ! Y a des pots d'tabac !

Pour enfumer l'tabac en paix

 

A la Havane ! Roulant ci-joint !

Du tabac à rouler fumant

D'la havane ! Déroulant six joints !

Du tabac des roulées à cran !

 

On veut avoir la paix Indienne 

En file Indienne d'Geronimo !

On veut avoir amérindienne !

La mère Indienne d'Geronimo !

 

En faisant naguère; guère la guerre 

En baba cool de façon cool !

Hippie; bite nique ! Jamais la guerre !

Fête l'amour, pas la guerre ! Ca cool !

 

Si on fumait de la havane !

Pour enfumer à la Havane,

Si on en fumait d'la havane !

Pour en fumer à la Havane,

 

De la havane sans des gitanes !

Sers-je Gainsbourg fumant des gitanes ?

A la Havane sans des gitanes !

Serge Gainsbourg fumant des gitanes !

 

Pour faire un tabac au tabac !

Y a des cigarettes pour fumer !

A faire un tabac au tabac !

Y a des cigares pour en fumer !

 

Des pipes envoyées au casse-pipe !

Des cigarillos si pipés

A fumer; à en faire des pipes !

Des pipes que les femmes ont fumé !

 

C'est de la bonne pipe de tabac !

Avec des coups bas à Cuba !

Tout se pipe avec du tabac !

Avec des culs bas à Cuba !

 

Si on fumait de la havane !

Pour enfumer à la Havane,

Si on en fumait d'la havane !

Pour en fumer à la Havane,

 

Et pour faire la paix en fumant 

Avec tous les gens enfumant !

Il vaut mieux la paix enfumant

Avec tous les gens en fumant !

 

Le calumet d'la paix Indienne !

Genre sans fumer l'Amérindienne !

Le calumet d'la file Indienne !

Genre sans fumer la fille Indienne !

 

Pour qu'elle en fume le calumet

De la paix en longues cigarettes !

D'son cigare ! Le gars allumait !

Pour qu'l'indienne fasse des allumettes !

 

De son cigare en pharaon;

Que tout le monde était tintin !

En fumant six gares phares à on !

On est en train d'faire le tapin !

 

Si on fumait de la havane !

Pour enfumer à la Havane,

Si on en fumait d'la havane !

Pour en fumer à la Havane.

 

Jérôme de Mars

 

Que la paresse paraisse...

 

Ritournelle dans le ciel !

Chante arrête ton manège !

Qui ruisselle l'arc en ciel !

Avec pour privilège;

 

Un ciel vierge qui consigne

Que des fautes d'autographes !

Vierge effarouchée; signe

Que des fautes d'orthographes !

 

Punaise ! Le ciel à graphes

En joue que du trombone !

Punaise ! Le ciel agrafe !

Mettant en joue l'trombone !

 

Dans la paresse du ciel !

Qui a la flemme d'agir;

N'agissant solennel

Que pour les femmes d'plaisir !

 

Que la paresse paraisse...

Punaise ! En une punaise !

Qu'elle paraisse sans paresse

En poster de punaise !

 

 Dans un grand paragraphe

En une accroche d'agrafes !

Dans une très grande agrafe

En anicroches de graphes !

 

Faisant en orthographe

Que des fautes d'autographes !

Faisant en autographes

Que des fautes d'orthographe !

 

Faisant toujours le point

En consignant d'un graphe !

Refaisant un grand point

En signant d'une agrafe !

 

Des mots qui font le taf

En ayant dans le paf !

Une recherche qui fait l'taf !

Genre tel est dans le paf !

 

Que la paresse paraisse...

Punaise ! En une punaise !

Qu'elle paraisse sans paresse

En poster de punaise !

 

Accrochant les étoiles

En poster quatre étoiles !

Décrochant les étoiles

Pour poster sans étoiles !

 

Un hôtel dans le ciel;

Accroché en poster !

Logé sur l'arc en ciel;

Raccroché en master !

 

Signant des autographes

D'orthographe quatre étoiles !

Consignant l'orthographe

D'autographe quatre étoiles !

 

Retirant les étoiles

Sans un poster d'étoiles !

Enlevant les étoiles

Sans un master d'étoiles !

 

Que la paresse paraisse...

Punaise ! En une punaise !

Qu'elle paraisse sans paresse

En poster de punaise !

 

Jérôme de Mars


 

 

 

 

Le syndrome m'aspergeait artiste !

 

Issu du fruit d'mon handicap;

J'écris la vie pour la rendre belle !

En gardant toujours le même cap !

Même que les nuits paresse sans ciel !

 

Un cap vers la vie pour parler

A ceux qui comprennent différence

Par les Français ! Voulant aider

Les différents sans interférence !

 

Qu'ils écrivent de leur forte belle plume !

L'indifférence en différence !

Qu'ils veulent en faire de leur enclume !

Ma foi nous sauve la résilience !

 

Même que je ne suis un autiste !

Je fais de chaque nuit une peinture

Vers la joie de ma vie d'artiste !

Pour qu'on puisse me voir en peinture !

 

Le syndrome m'aspergeait artiste !

Sans syndrome Asperger autiste;

Les autistes sont des grands artistes !

En devenir sans être autistes;

 

De mon encre noire; je fais des rimes !

Qui reprennent des couleurs en mer

De mon encre couleurs; elles arriment

Mes rimes sans un serpent de mer !

 

Grâce à la musique; j'ai la clé

D'la solution plus renfermée !

Que j'ai des contacts en ma clé

De ma clé contact ! A vous hé !

 

Je me dévoue pour vous écrire

Des slams poétiques qui redonnent

L'envie d'y croire pour le plaisir !

De celui qui randonne; s'adonne

 

A faire en sorte que ça vous porte !

Vous emporte des mots qui colportent

Des belles choses inouïes sans cloporte !

Sans porte close qui apporte; remporte !

 

Le syndrome m'aspergeait artiste !

Sans syndrome Asperger autiste;

Les autistes sont des grands artistes !

En devenir sans être autistes;

 

J'attends qu'on mette en musique

Ce slam pour en ouvrir la vie !

Ecoutant en boîte à musique !

Ce slam pour en rouvrir l'envie !

 

C'est dans la boîte émise en boîte !

Je lui emboîte le pas qui boîte !

Même que je fais des pas en boîte;

Qui boîtent; m'emboîtent; je vais en boîte !

 

Une grosse boîte de nuit en musique !

Qui m'inspire la boîte à sardines

D'Patrick Sébastien en musique !

J'préfère l'écouter en sourdine !

 

En mettant en boîte à sourdines !

Les gens serrés comme des sardines !

En mettant emboîte à sardines !

Les gens serrés comme des sourdines

 

Le syndrome m'aspergeait artiste !

Sans syndrome Asperger autiste;

Les autistes sont des grands artistes !

En devenir sans être autistes.

 

Jérôme de Mars

 

Des gros maux

 

Consultation imaginaire du lundi 04/12/2023 à 11h entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine et Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

 Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? Quels sont les dernières nouvelles vous concernant ? "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Bonjour Madame Teillet; je vais bien, les dernières nouvelles; que du vieux comme pour moi, ce sont toujours les montagnes Russes ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Monsieur Bedrossian; cela m'étonne que vous dites que du vieux concernant vos dernières nouvelles. Même si vous êtes un vieux avant l'âge du fait de votre histoire héréditaire; vous êtes encore jeune physiquement. Il vous faut du renouveau dans votre vie rien que pour vous. Vous qui naviguez souvent en os troubles à cause de votre mal de mer entre vos Montagnes Russes et votre roulette Russe si Caucase. Comme vous êtes à bout portant au bout du rouleau-compresseur et que vous voulez vous tirer à bout pourtant une balle dans la tête. Au lieu de cela Monsieur Bedrossian, parlez-en avec votre psychiatre le Docteur Bernard Penot qui habite à Rue de La Roquette à Paris Bastille. Vous le voyez une fois de temps en temps en psychothérapie pour qu'il vous empêche moralement d'acheter à Rue de la Roquette un lance-roquettes ! "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Madame Teillet, je vous ai bien fait marcher même si ça vous fait une belle jambe mon handicap psychique. Or ! Tout le monde me dit que c'est de la balle mes poèmes en mon âme de poète mots dits ! Vous voyez si je vous le dis que mes dernières nouvelles; c'est que du vieux ! C'est parce-que depuis l'an 40, il y a des gros maux que je ne supporte plus d'entendre. Comme " Pousse-toi ! Je m'en fous ! Ca ne te regarde pas ! On verra  ! Je sais ! " Que faire Madame Teillet pour ne plus étayer ces gros maux mais étayer ces gros mots ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Monsieur Bedrossian comme dans un mois et demi, c'est 2024 ! J'ai une solution pour vous ! Prenez comme résolution en solution pour 2024 que quand le chien aboie pour que le car à vannes passe ! Vous n'avez qu'à vous dire la phrase suivante :

" J'essaie de dire que je suis fou comme cela, on enverra pour moi; personne ne te regarde en te donnant un coup de pouce ! "

Appliquez cela Monsieur Bedrossian ! C'est ma prescription pour que vous vous traitiez mieux dans votre traitement par Arnaud persécuté ! J'ai voulu faire un jeu de mots avec parano en disant par Arnaud Monsieur Bedrossian ! Vous aussi; vous m'inspirez dans votre ping-pong verbal ! Monsieur Bedrossian, je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année sans sentir le sapin ! Alors Monsieur Bedrossian, que contez-vous faire pour passer de bonnnes fêtes de fin d'année ? "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Et bien Madame Teillet ! Je conte étayer vos propos. Pour cela, je compte pour Noël que ce soit du gâteau pour tout le monde avec une bûche patissière sans bûche glacée. Tout le monde a bien besoin pour les fêtes de fin d'année de chaleur humaine. Je veux que personne n'ait les boules en ce monde maboule qui perd la boule comme tout le monde s'enguirlande sans arrêt de bus. Pour éviter des embûches de fin damnée; je compte bûcher chaleureusement ma crème futée pour ne pas finir sur le bûcher de Jeanne D'Arc en mourrant à petit feu ! Et pour ne plus trépasser en fin damnée surannée; je compte passer de bonnes fêtes de fin d'année pour ainsi bien débuter 2024. 2024, une nouvelle année sûre année en trinquant à la santé de tout le monde, voilà mes résolutions ! Au revoir Madame Teillet ! Bonnes fêtes de fin d'année ! "

 

Jérôme de Mars

Sur une feuille des cris

 

Tapi sur une feuille;

J'écris ma révolte

Comme un tapis d'feuilles !

Qu'ça fait dérive volts !

 

Electrique statique;

Je suis satirique

En mes statistiques !

Qu'je suis sarcastique !

 

Que je crie; j'écris

Tout ce qui m'indigne !

Que je retranscris

Genre ! J'ai que la guigne !

 

Que je crache mon encre

D'mauvaise impression !

Que je fus le cancre

De mon expression !

 

Sur une feuille des cris;

Tout c'que je décris !

Dont sur feuille, j'écris

Des écrits décrits !

 

En échos d'mes cris !

Qu'j'écris des mots

De tous mes débris !

Qu'ça sent le chaos !

 

De ma peine, où j'peine

A trouver la paix !

Que je suis open

Pour fumer léger

 

Genre un calumet !

Brûlant mon passé;

Je suis allumé

A p'tit feu pressé !

 

De mon être stressé,

Que l'on a pressé

Mon jus empressé 

Sang jus oppressé !

 

Sur une feuille des cris;

Tout c'que je décris !

Dont sur feuille, j'écris

Des écrits décrits !

 

Même qu'ma vie entière

Ne fut du gâteau !

Pour m'chanter entière

Ma part du gâteau !

 

Avec pour rempart;

De la solitude

En un tintamarre !

Que j'ai l'habitude

 

De me roucouler

Trop à petit feu !

Et de me couler

Coule; je n'crois radieux !

 

A que de l'argent !

Et si consciemment;

Le temps; c'est d'l'argent !

Pour couler sciemment

 

Sur une feuille des cris;

Tout c'que je décris !

Dont sur feuille, j'écris

Des écrits décrits !

 

Jérôme de Mars

L'homme qui n'avait une parole d'argent...

 

Ne prenant tout pour argent content !

Voici un homme qui en a bavé !

N'mettant rien à son crédit parlant 

Mal à ses amis ! Avant d'payer

 

Cher le fruit de son assurance-vie !

Lui qui avant; avait plus d'argent !

Mais qui en avait trop de folie !

Avant de se comporter flagrant !

 

Comme un mort-vivant ayant d'l'argent !

Beaucoup de côté si exclusif 

Avec ses amis ! Tout en déviant

Du droit chemin très mâle subversif !

 

Lui qui rebelle n'avait la vie belle !

Mettant à crédit son discrédit

En un gros découvert personnel !

N'ayant pour crédit pas dix crédits !

 

L'homme qui n'avait une parole d'argent...

Payant son découvert en argent !

Son argent dort sans métal d'argent...

Payant son crédit d'argent comptant !

 

Que pendant l'année 2018;

Où il n'avait plus d'allocations...

En des découverts; il décrépite

Tout en préservant la location !

 

De son HLM qui l'rendit blême !

Qu'quand il retrouva l'allocation

En 2019 sans plus d'problèmes !

Il alla pour sa propre oraison

 

A l'hôpital; demander l'asile

Frénétique avec ses obsessions

Névrotiques; c'est pas toujours facile

D'résister à son insurrection !

 

Lui qu'on croît sénile; qu'il ne l'est pas !

Il est clairvoyant et réaliste !

Jamais placide ! C'est un rabat-joie !

Qu'il n'aime plus du tout les égoïstes...

 

L'homme qui n'avait une parole d'argent...

Payant son découvert en argent !

Son argent dort sans métal d'argent...

Payant son crédit d'argent comptant !

 

Qu'avant; il fut hardos aux extrêmes

De sa vie dissolue éperdue...

Qu'il voulait tant qu'on lui montre qu'on l'aime !

Malgré ses prises d'positions fourbues

 

D'un homme qui faute d'carence affective;

Ne pansait qu'à l'argent pour soigner

Ses facettes; ses fossettes émotives;

Ses vieux démons qui l'ont consumé...

 

Faute d'avoir assumé ses erreurs !

Qu'une fois rétabli durant l'année

2019; même si c'fut l'horreur

D'avoir moins d'argent car apaisé !

 

Il fut content d'mettre à son crédit

Que ça s'passe mieux avec ses amis !

Avec moins d'argent sans discrédit !

Résilient; modéré; aguerri...

 

L'homme qui n'avait une parole d'argent...

Payant son découvert en argent !

Son argent dort sans métal d'argent...

Payant son crédit d'argent comptant !

 

Jérôme de Mars

Roc de punk !

 

D'ces années

70;

Il y avait

En indice !

 

Que des hits

En des crêtes !

Qui vont vite;

Qui décrètent

 

Qu'on sait; c'est

L'Angleterre !

Où y avait

Incendiaire !

 

L'mouvement

Des grands punks !

En n'marchant

Pour le fun(k) !

 

Roc de punk !

C'n'est du funk !

Rock de punk !

Pas de funk !

 

Cette musique

De rebelle !

Frénétique

De plus bel !

 

Très rythmée;

Tamisée;

Très synthé;

T'as misé !

 

T'habillant

Dans l'ambiance !

Attisant

L'ambulance !

 

Qui ne vient !

Noir et blanc !

Va-et-vient !

Sans sang blanc !

 

Roc de punk !

C'n'est du funk !

Rock de punk !

Pas de funk !

 

Comme personne

N'est gothique !

Ca n'résonne !

Rock gothique !

 

A l'église;

Celle gothique !

Quoiqu'on dise !

Catholique !

 

Ce n'est pas

Catholique !

Rabat-joie !

Cette musique !

 

Avec sur

Les grosses têtes !

Droit dans l'mur !

Que des crêtes...

 

Roc de punk !

C'n'est du funk !

Rock de punk !

Pas de funk !

 

Jérôme de Mars

Nord pas décalé !

 

Examen d'conduite !

Pour faire que le bien

Sans délit de fuite !

Dans l'Nord; y a du lien !

 

Donnant des coups d'main !

Bon Samaritain

Envers son prochain !

Sans aucun déclin;

 

Tout le monde a l'oeil !

Car toujours enclin

De manger à l'oeil

Ayant l'oeil en clin !

 

D'éviter le Sud

En bas du Midi

Cette région trop prude,

Rude; démons d'Midi !

 

Nord pas décalé !

Nord pas recalé !

Nord-Pas-de-Calais !

Nord; il est calé !

 

Pour refaire le bien

Surtout après l'Sud !

Qui n'veut d'aucun lien !

Comme le lien élude

 

Au Nord tout le bien

D'penser qu'à l'argent !

L'Nord; ça lui va bien !

D'ne penser argent !

 

Le Nord solidaire;

Ne laisse en fumée

Les pauvres solitaires !

Pour les enfumer

 

Au Nord; il fait beau !

Dans l'coeur pas le temps !

D'avoir un escabeau;

Eclairant le temps !

 

Nord pas décalé !

Nord pas recalé !

Nord-Pas-de-Calais !

Nord; il est calé !

 

Au Nord; tous sourient

Pour rendre la vie belle !

Qu'personne ne tarit

D'avoir de plus bel !

 

Une belle compagnie

De gens enchanteurs !

Chantant qu'du joli !

L'Nord fédérateur;

 

Fédérant le Nord;

L'Sud bonnes volontés !

Pour que tous s'adorent

En fraternité !

 

En lien d'communion !

Pour qu'tout le monde vibre !

Radieux en lurons !

Et dans l'union libre,

 

Nord pas décalé !

Nord pas recalé !

Nord-Pas-de-Calais !

Nord; il est calé !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

C'est le bonheur !

 

 

D'un arc en ciel

 

Sur la grande Arche

 

En ritournelle;

 

Y a la grande marche !

 

 

 

En quête d'douceur

 

De tant d'amour !

 

Dans la fraîcheur

 

Des nouveaux jours;

 

 

 

Qui changent autour

 

D'un beau soleil !

 

Sans jours vautours;

 

Et si d'plus bel !

 

 

 

Y a fraternel

 

Que de l'amour !

 

En ribambelle

 

Faisant la cour !

 

 

 

C'est le bonheur !

 

Pas dans un leurre;

 

Plutôt d'bonne heure !

 

Au tour du leur;

 

 

Il faut aimer

 

Et protéger

 

Toute sa bonté;

 

Ses amitiés !

 

 

 

Pour faire le bien

 

Autour de soi !

 

Toujours enclin

 

A donner la foi !

 

 

 

Il faut être fort

 

Pour tant faire face !

 

Et de l'effort

 

Pour faire surface !

 

 

 

Il faut créer

 

En artiste libre !

 

Il faut aider

 

En être qui vibre !

 

 

 

C'est le bonheur !

 

Pas dans un leurre;

 

Plutôt d'bonne heure !

 

Au tour du leur;

 

 

 

Donnant; redonnant

 

De la tendresse !

 

Prenant des gants

 

Dans la liesse !

 

 

 

De faire plaisir

 

Autour des gens !

 

Pour qu'tous respirent

 

Avec l'bon temps !

 

 

 

D'avoir l'plaisir

 

D'être tous ensemble !

 

Pour en guérir

 

D'ses membres qui tremblent

 

 

 

Il faut profiter

 

Du temps qui passe !

 

Et festoyer

 

Avant qu'trépasse !

 

 

 

C'est le bonheur !

 

Pas dans un leurre;

 

Plutôt d'bonne heure !

 

Au tour du leur. 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Si on plaçait des mots déplacés !

 

 

En des gros mots de vocabulaire;

 

Si on disait de jolis bons mots !

 

Pas des gros maux frappant austères !

 

Mais d'agréables mots qui font échos

 

 

 

A l'envers du dico; dernier mot !

 

Prenant à la lettre les radicaux !

 

Radicalisant les mots en maux

 

Lexicaux; prenant originaux !

 

 

 

Les mots remontant à la source

 

De leur origine; qui elle provient

 

Prélevée, relevée à leur source !

 

Nul va-et-vient, vient; revient; survient !

 

 

 

Préfixe et suffixe des idées fixes

 

En mots téléphonés; résonnés !

 

Qu'on sonne en un mix, téléphone fixe !

 

Désarçonné, klaxonné; sonné;

 

 

 

Si on plaçait des mots déplacés !

 

Pour les replacer en maux placés,

 

Si on déplaçait des maux placés !

 

Pour les remplacer en mots placés,

 

 

 

 Bloc opératoire; quand les mots bloquent !

 

En faisant l'affront ! Quelque chose des blocs !

 

Débloque opératoire tous font bloc !

 

En faisant front que tout se débloque !

 

 

 

Pour décoincer les gens; gens coincés

 

Qui aura enfin le dernier mot ?

 

Pour rincer l'œil des gens sans frapper

 

Du regard juste; ceux qui sont aux mots !

 

 

 

Susceptibles d'avoir des symptômes d'gênes !

 

Au moindre mot sans-gêne plus qu'anxiogène !

 

Aux origines assez indigènes;

 

Remontant aux maux aborigènes !

 

 

 

De comment faire une partie de mots !

 

Répartis; impartis; départis

 

Du temps des parties qui passe aux maux;

 

Qui ont de la répartie partie !

 

 

 

Si on plaçait des mots déplacés !

 

Pour les replacer en maux placés,

 

Si on déplaçait des maux placés !

 

Pour les remplacer en mots placés,

 

 

 

 Qu'il faut employer de façon droite !

 

Pour parler Français par les Français !

 

Qui n'emploient aucune phrase maladroite !

 

Pour avoir l'Français en franc-parler !

 

 

Qui parlait Franc des francs sans L'Euro;

 

Monnaie Européenne non païenne !

 

Ereintant ceux qui encaissent les mots

 

D'la monnaie de L'Euro puritaine !

 

 

 

Qu'Les Français prennent pour argent comptant !

 

Que les mots qui ne parlent que d'argent !

 

L'silence dore; la parole est d'argent !

 

Qu'on est dans une cuillère en argent !

 

 

 

N'allant avec l'dos de la cuillère

 

En argent à cheval sur les mots !

 

Allant avec l'dos de l'écuyère

 

Sans argent à cheval sur métaux !

 

 

 

Si on plaçait des mots déplacés !

 

Pour les replacer en maux placés,

 

Si on déplaçait des maux placés !

 

Pour les remplacer en mots placés.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

Je chante le soleil, je déchante la pluie !

 

Reçu cinq sur cinq !

De plus, il fait beau !

Soleil qui m'requinque

Sans un placebo;

 

Genre plat hein, c'est beau !

C'qui compte, c'est l'amour !

Qui renaît joyaux;

Ainsi, pour toujours !

 

Quand y a la grenouille;

C'est triste, comme il pleut !

La pluie, on se mouille !

Attendant joyeux

 

Qu'il fasse beau au ciel !

En chantant l'amour

Qui nous ensorcelle !

Déclarant d'amour !

 

Je chante le soleil !

En une accalmie;

Je déchante la pluie !

Une pluie qui ruisselle;

 

Effet météo,

Il fait beau; il pleut !

Effet domino,

Radieux; ténébreux !

 

Entre ombre et lumière !

Et d'un soleil clair

A une pluie d'colère !

Dès l'orage éclair

 

En des éclairs d'feu,

Il fait feu sur Terre !

Qu'le temps est radieux

D'humeurs bipolaires !

 

Qu'le temps fluctuant;

S'échange comme le vent !

Constant; inconstant

Comme depuis longtemps !

 

Je chante le soleil !

En une accalmie;

Je déchante la pluie !

Une pluie qui ruisselle;

 

J'écris le soleil

Sans un orage clair !

Je crie carte vermeil

Dans une rage éclair !

 

Comme un ouragan !

Avis de tempête

Sans le bon vieux temps,

Quand l'typhon m'hébète !

 

Or ! Heureusement !

Le temps change; échange

Pour avoir détend

Du bon temps en frange !

 

Au fur à mesure

Qu'il fait beau plus haut !

Qu'je jette en pâture

Vers l'eldorado !

 

Je chante le soleil !

En une accalmie;

Je déchante la pluie !

Une pluie qui ruisselle.

 

Jérôme de Mars

 

 

Si on faisait d'une pluie un soleil ! 

 

Temps contrastés des temps bipolaires;

La simple envie d'prendre l'air débonnaire !

Fait d'une vie une embellie solaire;

Pour vaincre la colère qui décolle l'air !

 

Cet air frais en bluette de complainte !

Pourquoi les gens se plaignent tout le temps

De tout ce temps; qu'il fait dépôt d'plainte ?

Pourvu que le soleil signe long temps !

 

Une paix solaire sur Terre sans nuages

A l'horizon d'entrain d'l'air du temps !

En appel d'air ! L'air d'rien d'un ramage

En une tramontane; l'air dans le vent !

 

Qui ne brise le bon vieux temps en brise

D'un pare-brise; pour essuyer la pluie !

Qui coule et tombe; tombant la chemise !

Sans pleurer; il y a en éclaircie !

 

Si on faisait d'une pluie un soleil !

Fuyant tous les temps assez vermeil !

Embarquant à bord du temps d'merveilles !

Flirtant en une bardée d'étincelles !

 

Conjuguant le mauvais temps présent

En un futur, où il fera beau !

Offrant en présent et au présent !

A présent ! Un présent vers le haut !

 

Pour passer d'l'enfer au paradis !

D'un Nirvana aux sunghlits d'ailleurs !

Rallumant le soleil ébloui;

Fixant d'Minuit vers Midi à l'heure !

 

De revoir la vie en étoiles lentes;

A distance des stars jaunes VIP !

Sans l'instar des hautes étoiles filantes !

Tel le cercle d'un rayon sans des pis !

 

En un rayon de soleil couleurs !

Qui a temps bonne mine en le taillant;

En un crayon de soleil couleurs !

Qui a tant bonne mine en l'étayant;

 

Si on faisait d'une pluie un soleil !

Fuyant tous les temps assez vermeil !

Embarquant à bord du temps d'merveilles !

Flirtant en une bardée d'étincelles !

 

Pour n'faire déconfiture sans oseille !

Il faut faire une confiture d'groseille !

Et à la place de surplace d'l'oseille !

Il vaut mieux faire venir le soleil !

 

Afin qu'il console la pluie chagrin

En essuyant ses larmes d'un soleil !

En donnant à la pluie le béguin

Pour le soleil sans la carte vermeil !

 

Et donc pour faire sourire le soleil;

Il faut lui dire : "Ecoute cette chanson ! "

Pour provoquer autant de merveilles !

Qui se profile début d'la saison !

 

Si on faisait venir l'océan 

Pacifique; n'allant à la dérive !

Pour se rappeler du bon vieux temps !

Au temps des 45 berges des rives !

 

Si on faisait d'une pluie un soleil !

Fuyant tous les temps assez vermeil !

Embarquant à bord du temps d'merveilles !

Flirtant en une bardée d'étincelles !

 

Jérôme de Mars

Pour faire une salade

 

 

Salade composée

 

Que tu préparais;

 

Si tu la frisais

 

En une chicorée !

 

 

 

Pour qu'tu en racontes

 

Des salades; l'es-tu ?

 

Genre au bout du conte;

 

Quelqu'un de têtu ?

 

 

 

Lançant en salade

 

Salade d'roquettes;

 

Qu'tu fais une ballade !

 

Lançant en requête

 

 

 

D'tes petites salades !

 

Tes mots que tu n'mâches

 

En petite balade !

 

De salade de mâche;

 

 

 

Pour faire une salade,

 

Pour faire ta salade,

 

Pour vendre des salades,

 

Pour vendre tes salades,

 

 

 

Salade qu'tu écris

 

Sur une feuille de chêne !

 

Que tu retranscris

 

Toi; qui te déchaîne

 

 

 

En ta batavia;

 

Salade aux endives;

 

Tu t'régales oh ! Là !

 

Elle dégustative !

 

 

 

Qu'tu fais à la chaîne

 

Sur une feuille d'cresson !

 

Une salade Romaine;

 

Salade de cresson;

 

 

 

L'es-tu marchand

 

Sans jamais friser ?

 

Laitue marchant

 

En une chicorée ?

 

 

 

Pour faire une salade,

 

Pour faire ta salade,

 

Pour vendre des salades,

 

Pour vendre tes salades,

 

 

 

Que ça te démange !

 

Salade aux tomates;

 

Que l'argent te mange !

 

Salade automate;

 

 

 

Mangeant ta roquette

 

En petite salade !

 

Salade de roquettes;

 

Lançant en ballade;

 

 

 

Un grand lance-roquettes !

 

Tu vantes ta salade;

 

Lançant ta roquette;

 

De très grande salade !

 

 

 

Pour la défriser

 

En une minuscule !

 

D'salade sans friser

 

Un triste ridicule !

 

 

 

Pour faire une salade,

 

Pour faire ta salade,

 

Pour vendre des salades,

 

Pour vendre tes salades.

 

 

Jérôme de Mars

 

L'Algérie de mon cœur !

 

D'une pierre deux coups habiles

En consignes de chansons !

Dans mon cœur; j'suis kabyle !

En signant cette chanson

 

De musique habile fraîche;

Qui sent la mandoline !

Vivant d'amour; d'eau fraîche !

Revêche à la machine

 

A ériger d'l'amour

Dans toute la Médina !

Ca en vaut le détour !

D'faire la paix avec joie !

 

Pour reconstruire la paix !

En faisant d'la musique !

Dommage qu'il n'y ait la paix

D'l'océan Pacifique !

 

L'Algérie de mon cœur !

J'suis Algérien de cœur !

M'ranimant pace-maker

Sans la liqueur d’rancœur !

 

Il faut construire la paix !

Sans un droit à l'oubli;

Dans la fraternité

Avec une mélodie;

 

Il faut édifier l'mur

Du son pour faire la paix !

Donnant en belle nature

Le rythme de la bonté !

 

Pour faire de toutes laideurs

Et du rejet de l'autre;

On se rassemble sans peur !

Tous ensemble aux Apôtres !

 

Jouant de la mandoline !

Pour remonter au temps !

Remontant aux racines

De la machine autant !

 

L'Algérie de mon cœur !

J'suis Algérien de cœur !

M'ranimant pace-maker

Sans la liqueur d’rancœur !

 

Qu'j'ai envie de composer

Un bel hymne lors des nuits !

Il faut donc composer

Avec tout ça l'envie !

 

En famille composée;

Le tout sans infamie;

Famille recomposée !

D'composer sans famine;

 

Un air réconciliant

La bonté, la beauté !

De la vie conciliant

Tous ensemble d'loyauté !

 

Un air d'entrain ensemble !

A votre tour pacifique !

Pourvu qu'personne ne tremble !

D'enchanter mélodique !

 

L'Algérie de mon cœur !

J'suis Algérien de cœur !

M'ranimant pace-maker

Sans la liqueur d’rancœur !

 

Jérôme de Mars

 

 

Ex père comptable 

 

En racontant

Toute mon histoire !

Enumérant

Mon réservoir,

 

On peut compter

Toujours sur moi !

Pour tant conter

Depuis des mois !

 

Que je calcule

Au bout du compte !

Qu'on me calcule

Au bout du conte !

 

En mes calculs

Si névrotiques;

En leurs calculs

Si frénétiques;

 

Ex père comptable;

Je suis comptable !

Expert-comptable;

Je suis comptable !

 

Pour bien comprendre

Mon addition,

Pour bien m'entendre

Sans soustraction,

 

Traits d'caractères !

J'écris des nombres;

Des chiffres sur Terre !

Qui me dénombrent

 

Ici en banque

Depuis X fois !

Moi saltimbanque;

C'est toutefois

 

Et quelques fois

Multipliées;

Faisant X fois;

Régénérés !

 

Ex père comptable;

Je suis comptable !

Expert-comptable;

Je suis comptable !

 

J'ne suis un moins

Que rien en tout !

Et pour le moins,

Au moins pour l'tout !

 

Tous mes remords,

Dont néant moins

Et tous mes morts !

J'fais d'un rien ! Moins

 

Toute la faillite

En or qui dore !

Toute l'infamie

En or honore !

 

L'argent qui dort;

Et qui redore

En un renfort !

Y a du confort !

 

Ex père comptable;

Je suis comptable !

Expert-comptable;

Je suis comptable !

 

Jérôme de Mars

 

Les gens s'fritent pour rentrer dans le moule !

 

A Bruxelles sur le grill d'un moule-frites;

C'est du tout cuit de chanter cui-cui !

Face à cette société qui s'effrite !

Quand des gens se fritent et sont tous cuits !

 

Se faisant cuisiner dans le Nord !

Passant les plats; mettant tout à plat !

En faisant la cuisine sans perdre l'Nord !

Se faisant cuisiner raplapla

 

Au Léon de Bruxelles; restaurant

Les plats de moule-frites pour se nourrir

Edulcorant en des aliments !

Pour bien déglutir pour le plaisir !

 

Sans jamais s'friter au restaurant !

Quitte à faire marcher la sulfateuse !

Pour n'effriter tous les aliments

En allumant sur on la friteuse !

 

Les gens s'fritent pour rentrer dans le moule !

Pour qu'ce soit du gâteau dans un moule !

D'une foule sentimentale dans un moule;

En fouettant une crème futée d'un moule,

 

Moule à gâteau, moule à cake qui moule

Les tronches de cake et les tranches de cake !

Mijotant des frites; ça sent la moule 

A frites ! Se faisant griller au snack !

 

Les moules et les frites se mangent dans l'Nord !

Ne perdant jamais le Nord au Sud !

Personne ne se frite dans le Grand Nord !

Avec un cœur en Nord jamais rude !

 

Face à cette société qui s'effrite

Plus dans le Sud; que dans le grand Nord !

Dans le Sud lointain; tout l'monde se frite !

Tout l'monde au Nord a un cœur en or !

 

N'étant jamais à L'Ouest parlant leste !

En n'étant violent dans un Far West !

Comme leur état uni s'lève à L'Est !

Etant à L'Ouest; uni au phare Ouest !

 

Les gens s'fritent pour rentrer dans le moule !

Pour qu'ce soit du gâteau dans un moule !

D'une foule sentimentale dans un moule;

En fouettant une crème futée d'un moule,

 

En battant les œufs; s'en battant d'eux !

Les gens qui sont des crèmes affûtées;

Prennent tout à la lettre sans la lettre e !

D'eux comme des battants de crèmes futées !

 

Plus besoin de rentrer dans le moule !

Pour que ce soit du gâteau de crème,

Il vaut toujours mieux rentrer dans l'moule !

Afin que tout l'monde sème tous; on s'aime !

 

Pour manger tous ensemble solidaire

Dans l'Nord avec un grand cœur en or !

Le Nord; c'est de l'or non solitaire !

D'un grand cœur en Nord; tout l'monde s'adore !

 

Pour aller dans l'Nord jusqu'à Bruxelles,

Demeurant à Bruxelles des bouts d'choux !

Des choux à la crème du bon Bruxelles !

Tout le monde s'aime et s'appelle mon chou !

 

Les gens s'fritent pour rentrer dans le moule !

Pour qu'ce soit du gâteau dans un moule !

D'une foule sentimentale dans un moule;

En fouettant une crème futée d'un moule.

 

Jérôme de Mars

 

Je sors mon joker !

 

Jouant au rami

Et à la bataille

Du meilleur ami !

Je suis du sérail

 

En ayant les cartes

En main ! Pour jouer

Avec une pancarte,

Pour distribuer

 

L'bon jeu de tarot

Pour rejouer mon je !

Signant mots pour mots,

Donnant en bon jeu !

 

La chance de gagner

Avec rien à perdre !

Et tout à gagner !

Ayant rien à perdre !

 

Je sors mon joker !

En faisant la paire !

Buvant du joker;

Trouvant des repères

 

De ma vie sans mioche;

Etant à la masse

En prenant la pioche !

Disant pioche amasse !

 

Pour m'battre anchorman,

Me faisant des films !

Rien abattre d'Batman !

Refaisant le film !

 

Faisant une bataille

En des coups de main !

Tenant en tenailles

Tous mes lendemains !

 

Toutes mes lentes mains

En des coups de maître !

Filant des coups d'main

En des coups de traître !

 

Je sors mon joker !

En faisant la paire !

Buvant du joker;

Trouvant des repères

 

J'distribue les cartes !

C'est pas de la tarte !

Que je donne les cartes;

Qu'je redonne les cartes !

 

Cartes de discrédit

En un découvert !

Cartes de dix crédits

Sans un découvert !

 

Je fais des salades !

Salade automate;

Je mange des salades !

Salade aux tomates;

 

J'ai les cartes en main

De crédit qu'je lis

Des lignes de la main !

Et sans discrédit;

 

Je sors mon joker !

En faisant la paire !

Buvant du joker;

Trouvant des repères.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Liberté de ton ton 

 

Comme avec mon oncle;

J'ne veux être son neveu !

Appuyant son furoncle

D'un total désaveu !

 

Comme cette chipie de soeur !

Dont je suis ah ! L'censeur !

Sans renvoi d'ascenseur !

Oh ! Sans soeur ! Ah ! Sans soeur !

 

Dont ma nièce; je ne veux

Etre son oncle; je m'en fous !

En total désaveu !

J'en fais l'voeu sans garde-fous !

 

Que ma tante; elle m'intente !

Que ça la tente; ma tante !

Qui est ma tante; entente

En bonne en tante; ça m'tente !

 

Liberté de ton ton 

En allant ton sur ton !

Liberté de tonton

M'en allant sur ton ton !

 

Que je n'ai plus de mère;

Plus de père en repère !

Et plus d'mère en repaire;

Qui faisaient pair; impair !

 

Je n'ai jamais eu d'frère !

A part d'une soeur; consoeur

Qu'je n'ai d'âme soeur en frère !

Qui pourrait être bonne soeur !

 

Je n'ai presque pas de père !

Ni beau père; ni beau-père !

Je n'en ai plus d'mère !

Ni belle mère; ni belle-mère !

 

Je n'ai jamais eu d'femmes !

Je ne suis pas le gendre !

Comme je m'enflamme infâme !

Pas d'beau père ! Qui engendre

 

Liberté de ton ton 

En allant ton sur ton !

Liberté de tonton

M'en allant sur ton ton !

 

Je n'ai plus de grand-père!

D'amour sain Valentin !

Je n'ai plus d'grand repère !

Ayant besoin d'être Saint !

 

Je n'ai plus de grande paire

D'chaussure pour faire la paire !

Je n'ai plus d'grand repaire !

Je suis débris d'impair !

 

Je n'ai plus de grand-mère

En un amour serein !

Je n'ai plus de grande mère

Pour r'devenir humain !

 

Que je reste dans l'amer !

La mer de mon imper

En une grande pluie ah ! Mer !

La mère de mon hein père !

 

Liberté de ton ton 

En allant ton sur ton !

Liberté de tonton

M'en allant sur ton ton !

 

Jérôme de Mars

 

 

Rivage à 180 degrés !

 

Sur la mer salée d'mon amertume...

En prélude d'mes profonds sables mouvants,

J'écris mon vague à l'âme qui m'consume

A petit feu sur le coin touchant !

 

Des gestes déplacés de ma belle mer !

Je prends de faux grands airs en gonflant

Mon matelas de bas d'laine cousant

Mon âme en dérivant plus sur Terre !

 

Vers les berges de l'eau berge Espagnole

En lettres de caractères bien trempées !

Que j'casse eux; d'omelette Espagnole !

Afin que tout baigne quitte à m'mouiller

 

Mon maillot du grand bain émoussant...

Que j'trempe mon caractère dans la mer

En moussaillons, pour m'faire moussant...

Des compliments qui m'soient salutaires !

 

Rivage à 180 degrés !

Je n'ai jamais eu aucun regrets...

Virage à 180 degrés !

J'prends toujours tout au premier degré...

 

Qu'les gens n'arrêtent d'être froids avec moi !

Moi qui ai besoin d'chaleur humaine

Pour plonger en apnée; que je bois

Les paroles de la mer puritaine !

 

M'menant en bateau eldorado !

Au contraire; c'est plutôt un enfer !

Ma vie à m'en faire l'Colorado

En mes montagnes Russes si délétères !

 

Que je bois le grand froid de la mer

En plongeant en dauphin désarroi

Vers l'passé irrésolu austère...

Que je recherche les grosses parois

 

De mon mal de mer assez cocasse !

Que je cherche un rad sans être en rad !

Avec mon histoire qui sent la casse...

Que je ne suis le Marquis de Sade !

 

Rivage à 180 degrés !

Je n'ai jamais eu aucun regrets...

Virage à 180 degrés !

J'prends toujours tout au premier degré...

 

La température de cette belle plage;

Plage d'ce climat social contrasté

Au gré des humeurs tournant cépages

Entre êtres stressés et décontractés...

 

La vie en mer navigue en eaux troubles...

Faisant des poissons d'Avril sur l'fil

De l'eau trémollos qui en voir rouble...

Avec la Marine bleue qui défile !

 

Tout ne tient qu'à un fil bleu turquoise...

Voguant sur la nouvelle vague qui brasse

De l'eau dans l'air; fumant des gauloises

Sur des paroles sûres en âge de brasse !

 

Qui font et refont toute mon histoire...

De comment la mer fait une emprise !

En prises de mon histoire abreuvoir...

De la mer ferme; qui fait relâche prise !

 

Rivage à 180 degrés !

Je n'ai jamais eu aucun regrets...

Virage à 180 degrés !

J'prends toujours tout au premier degré...

 

Jérôme de Mars

 

 

Mix cité sociale

 

Tu viens d'la cité !

Fais en quelque chose

D'ta vie suscitée

Par tes ecchymoses !

 

Afin que tu oses

T'affranchir en être

Libre sans sinistrose;

Sans paraître; mais être

 

Quelqu'un d'responsable

Dans ta vie d'défis !

Mettant sur la table

Un travail joli

 

En communauté !

Pour vivre et survivre

En fraternité !

Toi en vie qui t'livre !

 

Mix cité sociale

En des choses banales,

Mixité sociale

En des choses normales,

 

Tu n'es libéral

En argent comptant !

Tu nais libéral

En argent content !

 

Comme à la maison,

Tu es là chez toi !

Si t'es l'oraison

De croire en ta foi

 

De vie; que tu vas

T'en sortir plus fort !

Revenant oups là !

Plus fort en renfort

 

D'ta saga citée !

Dont tu réécris

Ta vie incitée !

Dont tu retranscris

 

Mix cité sociale

En des choses banales,

Mixité sociale

En des choses normales,

 

Faisant du street art;

Rue des vocations !

Faisant de ton art;

Sans révocations !

 

En faisant couler

En bonne impression !

Ton encre bien ancrée

En surimpression !

 

Pour t'émanciper

Dans l'bien des valeurs !

Et sans étriper,

Tu fais en labeur

 

Qu'du bien pour germer

Des idées futures !

Pour en générer

En meilleure nature !

 

Mix cité sociale

En des choses banales,

Mixité sociale

En des choses normales.

 

Jérôme de Mars

 

 

C'est de la balle !

 

Ouvrant le bal;

Là c'est cadeau !

Comme je m'emballe,

C'est du gâteau !

 

Dans l'emballage

De tous ces mots !

En déballage

D'tousser ces maux !

 

Ballon d'essai !

Pour faire un tube !

Tube à essai !

Regardant l'tube

 

D'mes bons tuyaux !

Pour me plomber

En matériaux !

Pour m'réparer,

 

C'est de la balle !

Gilet pare-balle !

Enfant d'la balle !

Ping-pong vers balle !

 

J'joue sans filet !

Sans m'défiler

Pour en filer;

Vite enfiler

 

Et refiler

En tant qu'aidant !

Pour émailler

Rien que m'aidant !

 

M'fixant des buts !

Avec une balle !

Pour que j'la bute

Comme j'ai dix balles !

 

Déçus; deux sous !

Que j'ai dissous

Très en dessous;

Tous mes dix sous !

 

C'est de la balle !

Gilet pare-balle !

Enfant d'la balle !

Ping-pong vers balle !

 

En tant qu'gardien

D'ma cage de buts !

J'suis l'ange-gardien

D'saccage; je bute !

 

En jongleur d'balles !

Je joue d'la balle !

Que je déballe

Et que j'emballe

 

Tous mes cadeaux !

Que je remballe

Tous mes cageots !

Qui ne m'emballent;

 

Qui n'me remballent

En fin de balle !

Comme je remballe !

Fermant le bal !

 

C'est de la balle !

Gilet pare-balle !

Enfant d'la balle !

Ping-pong vers balle !

 

Jérôme de Mars

 

 

Direction la boussole

 

Lorsqu'on naît éperdus

Sans aucune direction !

Et qu'on est inné perdus

Sans une méditation !

 

Il faut trouver la paix

Intérieure pour gagner

Sa lutte pour la bonté !

Avec de la beauté

 

En un soleil rieur;

Avec l'envie d'y croire

Pour rendre le monde meilleur !

Même qu'on a le cafard !

 

A la place; il vaut mieux

En avoir du cagnard !

Pour espérer joyeux

Réentendre en fanfare

 

Direction la boussole;

Pour tenir sa parole !

Avec aucun bémol;

S'envolant rossignol !

 

Sans être encore à L'Ouest !

En en perdant le Nord !

Si on racontait leste;

Et bienvenue à bord !

 

Pas au monde du Far West !

L'soleil se lève à L'Est

Dans un monde au phare Ouest !

De Brest léger à Leste !

 

Grâce à la rose des vents !

Pour aller d'l'avant !

Non à la rose déviant !

Pour que toute foute le camp !

 

En en perdant du temps

Avec du mauvais temps !

Qu'il y a en c'temps violent

Qui surfe sur l'océan !

 

Direction la boussole;

Pour tenir sa parole !

Avec aucun bémol;

S'envolant rossignol !

 

Il faut aller d'l'avant !

Grâce à la rose devant;

Il faut y aller allant !

Sans sinistrose déviant;

 

En allant en avant !

Sans aller en arrière !

En mettant en avant !

Assurant ses arrières !

 

En allant droit devant !

Sans retourner derrière !

Allant adroit de vents !

Sans aller par derrière !

 

En prenant funambule !

On fait d'avance deux pas !

En prenant du recul !

Si on avance d'deux pas !

 

Direction la boussole;

Pour tenir sa parole !

Avec aucun bémol;

S'envolant rossignol !

 

Jérôme de Mars

Je ne perds pas le Nord !

 

Regardant ma boussole;

Changement d'direction !

J'en écris les paroles !

Composant une chanson;

 

Sans me déboussoler

Pour bien me diriger

Envers une grande clarté !

Sans me déconcerter;

 

Demeurant en ch'timi;

Je viens du Nord en or !

Enchantant la belle vie

Que j'adore; dore; redore !

 

D'une vie en or de plomb;

Qui a un soleil d'coeur !

Que l'temps gris pète les plombs

Avec que du bonheur !

 

Je ne perds pas le Nord !

Avec un coeur en Or !

En père repère du Nord !

Avec un choeur en Nord ! 

 

J'préfère le Nord au Sud

Du Démon de Midi !

Je n'aime pas le Sud rude 

Aux démons de Minuit !

 

Il y en a du soleil

Dans l'coeur des gens du Nord !

Il y a une ritournelle

Pour enchanter le Nord !

 

Au Nord; ils sont altruistes !

Au Sud; y a égoïstes

Des gens sur la longue liste !

Au Nord; il y a artistes

 

Les gens du Nord à bord !

Qui viennent tous du même bord !

Aux abords sans tribords

Du même bateau à bord !

 

Je ne perds pas le Nord !

Avec un coeur en Or !

En père repère du Nord !

Avec un choeur en Nord !

 

J'écris en tant que ch'ti

Que des vers solidaires !

Parlant la même fratrie

Sans revers solitaires !

 

En tant que gars du Nord;

J'préfère payer un verre

De poèmes aux abords

Du côté de ma mère !

 

Tel un p'tit bout de choux

Dans la ville de Bruxelles !

Mangeant que des choux

Sans choux-fleurs de Bruxelles !

 

J'écris dans l'air du temps

Cette chanson vers le Nord !

Apaisant; rassurant

Car bienvenue à bord !

 

Je ne perds pas le Nord !

Avec un coeur en Or !

En père repère du Nord !

Avec un choeur en Nord !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                               Blague :

 

 

Pourquoi en ce moment en France y a-t-il plein d'attentats de gens poignardés ?

-  Parce-que La France est très à couteaux tirés !

 

                     

                                       Jérôme de Mars

La classe 

 

Partant

D'l'histoire !

Contant

L'miroir

 

D'l'école

D'la vie

En colle;

On dit !

 

L'histoire

N's'oublie;

Rasoir !

Des ni

 

Tout ouïs

D'un nom !

Ni oui

Ni non !

 

La classe 

Tracasse;

L'atlas

Fracasse

 

Vécu;

Jamais

Vaincu

En paix !

 

Il faut

Parler !

S'en faut

Le vrai !

 

Pour dire

Qu'on n'veut !

Médire

Morveux !

 

Qu'on veut

Qu'ça change !

En voeu

D'échange !

 

La classe

Tracasse;

L'atlas

Fracasse

 

En casse

Des gens;

Qui s'cassent;

S'brisant !

 

S'énerve

La foule !

En verve 

Défoule !

 

Le monde

Attend

La fronde !

A cran !

 

Qu'ça change

En mieux !

Qu's'arrange

Radieux !

 

La classe

Tracasse;

L'atlas

Fracasse.

 

Jérôme de Mars

Aux mots gênent !

 

Y a des jours

Qui passent vite !

Y a vautour !

Qui délite

 

Anxiogènes;

Des mots moches

Fumigènes;

Qui amochent

 

En on dit !

Des rumeurs !

Jacques a dit

Ses humeurs !

 

Qu'tel; untel

Sent mauvais !

Qu'il est tel

Assez niais !

 

Aux mots gênent !

De ses gènes;

Homogènes

De ses gênes !

 

Qu'il est sale;

Pas lavé;

Pas normal

A s'gratter !

 

A s'demander;

Souffre-douleur !

S'il vous plaît !

Pas d'douleur !

 

A faire mal

En des mots;

Si banals

Du dico !

 

Qu'il sent l'bouc

Emissaire !

Que son bouc

Ne prend l'air !

 

Aux mots gênent !

De ses gènes;

Homogènes

De ses gênes !

 

A sentir

Le roussi !

A croupir

Abruti !

 

Dans les jupes

De sa mère;

Qu'il suppute

Sans sa mère,

 

Comment il va

Faire; s'refaire

D'ses dix doigts !

Pour se faire

 

Jeune adulte;

Résilient

Dans l'tumulte !

Y a urgent !

 

Aux mots gênent !

De ses gènes;

Homogènes

De ses gênes !

 

Jérôme de Mars

 

Un paradis d'en faire un eldorado !

 

Monsieur; madame; y a le feu au lac qui crame !

Sous les pas du diable d'enfer ! Danse de Saint-Guy !

Pour calmer la transe des gens; il faut d'la came !

Qui fasse roupiller les remords sous un gui

 

Au cimetière des innocents les mains pleines;

Il faut prier pour eux aux cieux audacieux !

Malgré les démons d'une vie d'en faire une plaine !

Il faut tous s'blottir pour ne plus être anxieux !

 

En des paradis artificiels qui soûlent

Et enivrent les êtres damnés dans la liesse

D'une foule sentimentale; qui s'défoule; refoule

Leur allégresse; étant l'vice de leur paresse !

 

D'leur mauvaise image qui écorne leur image !

Hommage des rois mages en prenant le taureau

Par les cornes ! Qui écornent leur très vieil adage !

Glissant maux pour mots trémolos en sanglots;

 

Un paradis d'en faire un eldorado !

Le sacré diable d'enfer a toujours bon dos !

Un paradis d'enfer un eldorado !

L'consacré diable d'en faire a toujours bon dos !

 

D'enfer un vaste paradis de vieux démons !

En vidant leur sac lourd grâce au diable d'enfer !

D'une passerelle pour monter vers la maison

Du bonheur ! Quitte à en souffler débonnaire

 

Une embellie pulmonaire; prenant des airs !

D'respirer la beauté, la bonté en vie !

Avant que le ciel en soit crépusculaire !

Et que la belle vie fasse sur place à la nuit

 

Des vieux démons de Minuit à ceux d'Midi !

Le diable est un bel eldorado d'enfer !

Allant de Midi à Minuit en furie

Dans la folie de Lucifer pour en faire

 

Un grand Faust; faucheur en des remords vivants;

Morts-vivants; gisant dans un sombre purgatoire !

S'enlisant; délitant; sombrant; chavirant

Dans les couloirs d'la mort ! Laissant en brouillard

 

Un paradis d'en faire un eldorado !

Le sacré diable d'enfer a toujours bon dos !

Un paradis d'enfer un eldorado !

L'consacré diable d'en faire a toujours bon dos !

 

Le jour passe très vite; la nuit trépasse et vite !

Entre ombre et lumière à l'ombre de la lumière !

Qu'elle gravite qu'tout est éphémère ! Qu'elle lévite

Dans un monde éclair en humeurs délétères !

 

Le soleil courbe l'échine; réveillant la nuit !

Afin de passer à l'heure des fées d'hiver !

Surtout endolories; flétries d'hérésie !

Le paradis n'existe pas; à part l'enfer !

 

De vivre une apparente belle vie sans remords !

D'avoir vécu l'enfer avec une valise

Lourde à porter; à déporter à frais de port !

Tirée par les cheveux détresses en balises !

 

Hors ! Il vaut mieux parfois mourir que mûrir !

Une foi mort pour s'en laver les mains d'poussière !

Quitte à dépérir et périr sans souffrir !

Face à la mort pour ne plus mordre la poussière !

 

Un paradis d'en faire un eldorado !

Le sacré diable d'enfer a toujours bon dos !

Un paradis d'enfer un eldorado !

L'consacré diable d'en faire a toujours bon dos !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Les vieux démons

 

N'importe quelle heure

Du jour; d'la nuit !

Tous les malheurs

Frappent à Minuit !

 

Lors des douze coups

De Minuit pile

En quatre cents coups !

Ca horripile !

 

Et à Midi;

Y a le démon

Du grand Midi !

Et en amont;

 

Y a que des ponts

Sur la longue liste !

Monsieur Dupond

A l'air très raciste !

 

Les vieux démons;

Bravant les monts;

En amont démons;

Des monts au mont;

 

Monsieur du pont

Est un artiste !

Coupant les ponts

En égoïste !

 

D'sa panoplie

En monstre sacré !

Qu'il prend le pli;

Monstre consacré !

 

Tel un zombie !

En dracula

D'un spectre d'momie;

Qui l'affecta

 

En son fantôme

En reposant

De son syndrome;

En réfrénant

 

Les vieux démons;

Bravant les monts;

En amont démons;

Des monts au mont;

 

En Belphégor

Dans son château;

Rebelle fait gore

Disant chapeau;

 

D'un coup d'chapeau !

Sang Frankestein;

Faisant la peau !

Intello d'Einstein !

 

Se faisant un sang

D'encre pour des cendres !

Mille et descend !

Brûlant son sang !

 

Démons d'Midi !

Tant à contre-jour !

Démons d'Minuit !

Il n'fait plus jour !

 

Les vieux démons;

Bravant les monts;

En amont démons;

Des monts au mont.

 

Jérôme de Mars

 

 

Jérôme, le rappeur de Vitry !

 

En en faisant tout un fromage !

Sans violence et sans guerre;

J'écris un rap d'ramage !

D'une colère à un inventaire !

 

Pourquoi ne suis-je pas en paix ?

Genre un beatnik fumant du shit !

Comme un calumet allumé

Dans ma vie en coque qui fait pschitt !

 

Avec de la coke ah ! En stock !

Comme d'mes tocs; je n'en fais mystère !

D'regarder mon mobile et toque !

On me cuisine pourquoi me taire

 

Sur ma p'tite vie ! Sans qu'une bite nique !

Epurée; crachant ma purée

Dans l'amorale qui glisse; fornique

La pureté d'impureté !

 

Jérôme, le rappeur de Vitry !

Son ami habite à Ivry !

Jérôme est sur Seine de Vitry !

Son ami est sur Seine d'Ivry !

 

Dérapant sur la vie qui râpe

En en faisant tout un fromage !

Un rap à fromage qui dérappe

Que j'en écris tout un ramage !

 

Même que ma vie n'est un long fleuve

Tranquille dans la vile de Vitry !

Que je fais couler mon encre neuve !

Tranquille près de la ville d'Ivry !

 

En écrivant sur des feuilles mortes;

Un rap monotone qui résonne

Ma vie triste malgré mon âme forte !

Que pour écrire c'rap; je raisonne

 

Tartiné de déconfiture;

Mon dur labeur en mon pinard !

Je me tartine de confiture !

J'mets du beurre dans les épinards !

 

Jérôme, le rappeur de Vitry !

Son ami habite à Ivry !

Jérôme est sur Seine de Vitry !

Son ami est sur Seine d'Ivry !

 

Avec mon syndrome de Diogène;

Me faisant le complexe d'Oedipe !

Avec mes symptômes anxiogènes;

Me faisant le complexe de type !

 

Archétype; type; je me modèle !

Prenant pour modèle; je malaxe

La pâte à modeler untel !

Prenant son modèle; j'me relaxe

 

Indigène; hein dix gènes d'ma mère !

A l'origine aborigène

De mon état si délétère !

Sans-gêne; et sang gène aux mots gênent !

 

J'ai cent gènes; gênes homogènes

Avec une différence d'Eugène !

Aux origines hétérogènes !

Donc sans aucune haine et sans rengaine !

 

Jérôme, le rappeur de Vitry !

Son ami habite à Ivry !

Jérôme est sur Seine de Vitry !

Son ami est sur Seine d'Ivry !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

La fête des remords

 

Ce 1er Novembre

Dans ce monde malsain

Du fond de leurs membres;

Elle tremble la Toussaint !

 

Et sont-ils tous sains

Dans ce monde en manque ?

Qui en manque des Saints !

Dessins dans une planque

 

En remords vivants !

Morts au cimetière,

Comme des morts vivants !

Morts et en poussière;

 

Morts de l'intérieur !

Rongés sans sourire,

Morts à l'extérieur;

Rangés d'un soupir !

 

La fête des remords

En défaites de morts;

En fait des remords

En des fêtes de morts;

 

La vie fait trembler

Nageant en eaux troubles !

La vie fait pleurer

Nageant en os troubles !

 

Sur planche de salut !

Qui planche reposant

En paix port salut !

Qui planche s'apaisant

 

Comme le bon vieux temps !

Qu'il fasse beau; qu'il pleuve !

Quelque soit le temps !

Malgré que s'émeuvent

 

Les gens qui se meurent

Donc à petits feux !

Sans des projecteurs

Pour y croire en Dieu !

 

La fête des remords

En défaites de morts;

En fait des remords

En des fêtes de morts;

 

Chantant pot-pourri

Avec pour accords !

Leurs corps tout pourri

En des anticorps !

 

S'en lavant les mains;

Se faisant des fleurs

Aux morts sans deux mains;

Envoyant des fleurs

 

En des chrysanthèmes;

Temps à fleur de peau !

Morts; personne ne s'aime !

Avec plus de peau;

 

Corps décomposé;

Bouffé par les vers;

Il faut composer

Ce poème de vers;

 

La fête des remords

En défaites de morts;

En fait des remords

En des fêtes de morts.

 

Jérôme de Mars

 

Poisson dépanné !

 

Vendredi Poisson

D'Avril sur le fil !

Y en a du poisson

Fragile qui frétille !

 

Gardant en mémoire;

Les jours qui arrêtent

D'voler ses nageoires !

Poisson aux arêtes !

 

Qui nage dans la mer !

Qui colle l'un l'colin !

Pour s'embrocher clair !

Du brochet enclin

 

Au merlu si têtu !

Obtus survolant

La mer presque fourbue

En en fournissant

 

Poisson dépanné !

Y a l'poisson pas né !

Poisson des panés !

Y a l'poisson pané !

 

Y en a du poisson !

Inné des pas nés !

Marchant reculons;

Y n'est comme il naît !

 

Tombant dans le piège

Des vers d'l'hameçon !

Dans le sacrilège

D'lui faire la leçon !

 

A la mer agitée

Dans son vague à l'âme !

A se trémousser

Moussé par la rame !

 

Des bateaux qui voguent

Sur la mer rebelle !

Et sur une pirogue;

La mer s'fait la belle !

 

Poisson dépanné !

Y a l'poisson pas né !

Poisson des panés !

Y a l'poisson pané !

 

En disant OK

Sur la mer instable !

Allant valdinguer

Pour ne mettre la table !

 

Pagaille à tribord !

Le poissons dansait

Etant du même bord !

Comme il pinaillait !

 

En des mots scandant

Allo ! Je suis en nage !

Suave et suant;

Ma vie prend naufrage !

 

Sur la terre qui s'ferme !

S'renferme sur la mer !

Que sur La Terre ferme !

L'poisson chante eau claire !

 

Poisson dépanné !

Y a l'poisson pas né !

Poisson des panés !

Y a l'poisson pané !

 

Jérôme de Mars

Changement d'humeur 

 

A chaque jour sa forme !

Entre joies et colères;

Formes; conformes; méformes;

Qui forment bipolaires !

 

Des troubles maniaco

Dépressifs sur l'vif !

Du sujet des mots;

Piqués très au vif !

 

Des grandes variations

D'humeur et d'amour !

Passant d'émotions;

Changement détours !

 

Quand les émotions;

Tout et son contraire !

Changent d'variations;

Etats bipolaires !

 

Changement d'humeur 

Dans la bonne humeur !

Changement d'honneur

En mauvaise humeur !

 

Etats fluctuants;

Suivant la nature

Des gens et changeant

D'bonne mauvaise figure !

 

Donnant l'impression

D'être bien dans sa peau !

Donnant l'expression

D'être mâle dans sa peau !

 

Et pour faire la peau

Sur tout le qui-vive !

Dépressif des mots

D'humeurs émotives !

 

Il faut travailler

Sans être malveillant !

Et il faut parler

En être bienveillant !

 

Changement d'humeur

Dans la bonne humeur !

Changement d'honneur

En mauvaise humeur !

 

D'états éphémères

Si aléatoires;

Jamais linéaires;

Réservoirs d'histoires!

 

Or ambivalents !

Semblent tous les états

Bipolaires vaillants !

Avec tout un tas

 

D'sentiments contraires;

Etats maniacos

Des troubles bipolaires;

Dépressifs aux mots !

 

Se passant le mot !

Donc des mots aux maux !

S'repassant les maux

En un dernier mot !

 

Changement d'humeur

Dans la bonne humeur !

Changement d'honneur

En mauvaise humeur !

 

Jérôme de Mars

 

 

Des mots troubadours

 

Répartie d'poèmes;

J'en écris en chaîne !

Y a pas de problème !

Que ça me déchaîne

 

De vouloir confier

Confessées subtiles !

Mes idées; pensées;

Accouchant fébrile !

 

D'une inspiration;

Ecrivant la vie !

En respiration;

Qui donne pour défis

 

De faire un recueil

De poèmes placides !

Sans en faire l'écueil

D'une bohème acide !

 

Des mots troubadours;

Qui valent le détour

Des maux troubadour;

Qui valent le contour

 

Rock tare Moyen-Age !

J'ai bien passé l'âge;

Rock star moyen-âge !

J'ai dépassé l'âge;

 

D'écrire des mots chocs;

Qui s'entrechoquent pare-chocs !

Personne ne fait bloc !

Y a quelque chose qui bloque

 

Dans mes mots qui manquent;

Je m'radicalise

Extrême dans ma planque !

Genre comme je m'enlise !

 

Au suffixe préfixe

D'mes maux radicaux !

En mes idées fixes;

Coups d'points cardinaux !

 

Des mots troubadours;

Qui valent le détour

Des maux troubadour;

Qui valent le contour

 

Et en revenant

En pure origine !

D'tous les mots ancrant

Qui trouvent leur racine

 

En vers du dico !

Pour refaire déco;

Qui font tous échos !

Argent sans éco

 

Qu'j'en écris le livre

Ouvert de ma vie !

Dont je me délivre

Qu'ouvert qui ravit

 

D'en faire paradis;

Un enfer hardi !

Dont mon paradis;

J'en fais ébloui

 

Des mots troubadours;

Qui valent le détour

Des maux troubadour;

Qui valent le contour.

 

Jérôme de Mars

 

Monsieur Boucher et Madame Jambon

 

Il était un foie Monsieur Boucher

Et aussi un foie Madame Jambon !

Des gens bons avec pour débouchés;

Leurs métiers de bouchers en gens bons !

 

Qui les rendaient bouchés d'déboucher

Le champagne pour manger leur jambon !

Dans un style si boucher par bouchée

De gens bons; viandés par des gens bons !

 

Mangeant par petite et grande bouchée

Leurs viandes; tous sur le grill des jambons !

Qui leur bouchaient un coin pour boucher

Les trous de leur jambon en gens bons !

 

Qui voulaient viander tous les bouchers

Jambons; s'faisant passer pour gens bons !

Alors que ces bouchers ont bouché

Et viandé ces gens bons en jambon !

 

Monsieur Boucher et Madame Jambon

Ont fait d'tous ces jambons des gens bons !

Monsieur bouché et Madame gens bons

En leurs métiers d'bouchers de jambon !

 

Monsieur fut boucher et charcutier

Pour cuire ces jambons en des gens bons !

Madame fit l'jambon sans charcuter

Ces bouchers pour qu'ils mangent leurs jambons !

 

Avec pour débouchés charcutiers !

Tous leurs jambons avec pour gens bons;

Monsieur Boucher qui est si bouché

D'vouloir charcuter Madame Jambon !

 

Pour qu'ils soient cuits tout cuits en bouchée

De viande ! Viandée embrochée d'jambon

Charcutée par leurs métiers d'bouchers !

Dont ils veulent demeurer des gens bons !

 

Pour ne plus charcuter, en boucher

Et viander donc des broches de jambons !

Pour charcuter et viander bouchés,

Monsieur et Madame en ces gens bons !

 

Monsieur Boucher et Madame Jambon

Ont fait d'tous ces jambons des gens bons !

Monsieur bouché et Madame gens bons

En leur métiers d'bouchers de jambon !

 

Se grillant tous en tant que bouchers !

Grillant leurs santés et leurs jambons !

Pour déboucher l'champagne en bouchée;

Embrochée en brochée deux gens bons !

 

Ces jambons qui ont l'air si bouché !

Si bouchers des bouchées de jambon !

Bouchant bien un coin à ces bouchers;

Qui semblent avant tout que des gens bons

 

A Monsieur Boucher; Madame Jambon;

Ces gens bons si bouchés en bouchers !

Veulent refaire à eux d'eux des gens bons

En bouchant leurs vieux métiers d'bouchers !

 

Si bien qu'Monsieur; Madame si bouchers;

Ont viandé en carnage leurs jambons !

Ces vieux bouchers qui ont l'air bouché

D'avoir en des bouchées en gens bons !

 

Monsieur Boucher et Madame Jambon

Ont fait d'tous ces jambons des gens bons !

Monsieur bouché et Madame gens bons

En leur métiers d'bouchers de jambon !

 

Jérôme de Mars

 

 

T'as six mots de café ?

 

Six mots pour composer ce slam : café, thé, chocolat, dosettes, capsules, machine

 

T'as six mots de café ?

 

Infiltré en machine;

Veux-tu faire du café ?

A filtre qui tambourine

Du café à couler

 

A roucouler machine ?

En refaisant salon

De thé à l'origine;

De comment tu en fais

 

Du café en machine

Au salon des causettes;

Ou Tassimo, machine

Au salon des dosettes;

 

Café, thé, chocolat !

Au salon d'tes boissons

Chaudes pour faire des éclats

En des bulles; nous savons !

 

T'as six mots de café ?

A en laisser couler

Tout ton Marc de Café !

Pour lire ta marque d'café  !

 

Pour deviner ton café

En ton percolateur;

C'est si fort de café

En ton torréfacteur !

 

D'un facteur d'café sans filtre !

Est-ce un café sans filtre 

Dans lequel tu t'infiltres ?

Toi; qui le bois sans filtre !

 

Et quand tu devines l'café

De tes déboires; es-tu

Filtre ou sans filtre d'café ?

L'bois-tu café moulu ?

 

Fais-tu en Tassimo

Du café qui bouscule

L'café de tes grumeaux ?

Si tu l'mets en capsules !

 

T'as six mots de café ?

A en laisser couler

Tout ton Marc de Café !

Pour lire ta marque d'café  !

 

En refaisant ta danse

De Saint-Guy, où tu marches

En tes pas de contre danse !

Tu déambules dans l'Arche

 

De Jacques Vabre, Nescafé

Pour boire ta tasse de thé !

Si c'est bien du café !

Est-ce-bien ta tasse de thé ?

 

Si c'n'est ta tasse de thé 

Pour boire ta tasse d'café ?

Fais-tu que du café

Pour boire ta chicorée  

 

En problèmes insolubles ?

Ou bois-tu du café

En solutions solubles ?

Où tu bois rassasié !

 

T'as six mots de café ?

A en laisser couler

Tout ton Marc de Café !

Pour lire ta marque d'café !

 

Jérôme de Mars

 

Y a de l'eau dans le gaz à Gaza !

 

Guerre de territoire pas de quartier !

Tout le monde se mitraille en tiraille

Du Hamas en Israël corsé,

Comme un Corse de l'écorce qui entaille

 

Ces écorchés en amas pour tuer

L'ennemi du territoire; flirtant

Avec les extrêmes pour attenter

A la vie des civils; dérapant

 

En une guerre si vile jamais civile !

Flattant les plus bas instincts des morts

Naguère de remords; toujours fébriles

En Palestine qui mord sans remords !

 

Qui n'en démord de cette hécatombe;

Qui tombe en éclipse d'apocalypse !

Avec des gens qui tombent sous les bombes !

Genre une guerre lunatique qui éclipse;

 

Y a de l'eau dans le gaz à Gaza !

Quand et las ! Tout le monde se gaza

Dans la fausse contrebande de Gaza !

Une fosse bande d'ennemis se gaza !

 

A Rue des Roquettes d'une chienne de vie !

Qui dévie d'un mal d'chien de croquettes;

Surtout à chaque nuit qui répandit

La haine et la guerre en des squelettes

 

De ce monde immonde qui ne tourne plus rond !

Tout le monde n'en a marre d'une mare d'sang !

Avec à Gaza une bande de cons;

Qui se ronge les sans; sangs indécents !

 

Qui torpille emmenant en bateau !

Le ghetto de ceux qui sont malsains

En un eldorado de sanglots;

S'jetant des projectiles jamais Saints !

 

Avec une Kalachnicov qu'ils arment

Sans cerveau qui sert vos grosses colères !

Pleurant de tous leurs corps que des larmes;

Qui provoquent en démons incendiaires  !

 

Y a de l'eau dans le gaz à Gaza !

Quand et las ! Tout le monde se gaza

Dans la fausse contrebande de Gaza !

Une fosse bande d'ennemis se gaza !

 

Comme personne ne s'entend plus naguère !

Se tirant des balles d'mauvaise entente !

Pour se faire la peau; s'faisant la guerre !

En appuyant trop sur la détente !

 

Longue à la détente de l'audition

En une meilleure entente qui retente

De faire la paix en érudition !

Signant un traité de paix qui tente

 

D'fumer le calumet de la paix !

A Rue de la Paix sans maltraiter

Le Traité de paix pour l'sous-traiter

En un traître ennemi; qui traîte hé !

 

Toute La Palestine et L'Israël 

En un amas rien du Hamas !

Ce ne sera plus jamais Noël

A Bethléem ! Sang rien qui amasse

 

Y a de l'eau dans le gaz à Gaza !

Quand et las ! Tout le monde se gaza

Dans la fausse contrebande de Gaza !

Une fosse bande d'ennemis se gaza !

 

Jérôme de Mars

Perle à rebours

 

Depuis la guerre

De Pearl Harbor;

Il n'y a tant guère

Premiers abords !

 

Rien en amour...

A cause d'la haine

En désamour,

Pour perdre haleine !

 

Ce monde d'vautours

Donne que la gerbe !

Ce sont vos tours;

Génies en herbe !

 

De mitrailler

Le nerf d'la guerre !

De tirailler

Depuis naguère...

 

Perle à rebours;

Compte à rebours;

Ca vaut l'détour !

Cette chasse à courre;

 

L'homme est une proie !

Rien qu'pour lui-même;

Toujours en proie

En ses problèmes;

 

Personne ne s'aime !

Pour essaimer

La haine qui sème !

Pour disloquer,

 

Pour diviser,

Chacun pour soi !

Pour clairsemer

Un monde sans soie !

 

Dans le désarroi

D'se faire du mal !

Sans aucune joie,

Comme c'est normal !

 

Perle à rebours;

Compte à rebours;

Ca vaut l'détour !

Cette chasse à courre;

 

Parlant qu'd'argent !

Nerf de la guerre;

Ca rend vivant !

Empêche naguère:

 

Ainsi d'mourir

Allant poussière !

Et de pourrir

Au cimetière !

 

Et comme requête;

Si on priait

Sans lance-roquettes,

Pour décréter

 

Sans bazooka;

Lâchant en perles

Que de la joie !

D'un collier d'perles;

 

Perle à rebours;

Compte à rebours;

Ca vaut l'détour !

Cette chasse à courre.

 

Jérôme de Mars

 

 

Si t'es à l'amende !

 

Amende honorable;

Il y a une contre danse !

Pour mettre sur la table,

Amende de contredanse

 

En contravention

D'un procès verbal;

En une convention !

En ouvrant le bal

 

Des bals populaires !

En enrichissant

L'amende incendiaire;

Et en en mangeant

 

Une amende salée;

Avec pour déboires

Une amande sucrée,

Pour boire en pourboire !

 

Si t'es à l'amende !

Si t'es à la menthe !

Si t'es à l'amande !

Si t'es à la mante !

 

Religieuse priant

A n'importe quel prix !

Ton amende jazzant !

Tu as temps appris

 

Sur comment manger

Des amendes salées,

Pour te démanger

Des amendes sucrées

 

A La Grande Mosquée

D'Paris; mélangeant

Le sucré; salé !

En tambourinant

 

Le thé; le café !

Pour faire une causette

Au salon de thé

Avec des dosettes;

 

Si t'es à l'amende !

Si t'es à la menthe !

Si t'es à l'amande !

Si t'es à la mante !

 

Attendant le prix

D'un riche tiroir-caisse !

L'argent est épris;

Et à fond la caisse !

 

Payant en espèces;

L'amende honorable;

Monnaie de ta pièce !

En servant à table

 

Le prix d'l'addition !

En n'y allant pas

Par la division !

Volant tout un tas

 

En tournant le dos

De la belle cuillère

En argent ! Bobo

D'une dette pécuniaire !

 

Si t'es à l'amende !

Si t'es à la menthe !

Si t'es à l'amande !

Si t'es à la mante !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Je prends le car car il n'y a pas de bus !

 

Moyen de transport en station debout,

Il y en a qui disent au quai sur le quai !

Pour mettre bout à bout ce monde qui est fou !

Ne tenant plus debout pour travailler

 

Sans louper le dernier métro ou car,

Car il y a toujours un métro d'retard !

Criant fort mais où est donc or ni car ?

En ligne de conduite sans un grand retard !

 

Du train déroulant à très vive allure !

Pendant que l'bus est en station debout !

Loupant la station à quelques encablures

Du car; roulant au carrefour car fou !

 

Il y a le train et le tram qui déraillent !

Lançant des piques hé de grève ! Qui dégrèvent

Le trafic des transports s'shootant d'un rail

D'coke en stock lors des grèves avant la trêve !

 

Je prends le car car il n'y a pas de bus !

Je n'déchiffre à coût la grève en rébus !

Qu'en station très à bout; je loupe le bus !

Car je n'y comprends rien à c'terminus !

 

Même qu'il y a le car pour véhiculer

Des idées reçues; conçues; préconçues

Pour avancer de l'avant sans arrêt !

Malgré qu'valides et handicapés suent

 

Dans ce monde de pression en expression

Des pressions locomotives à vapeur !

Avec un gros coup de tant dépressions !

Pour ceux qui sont à voile et à vapeurs !

 

Alors que pour remettre le train en marche;

Tout le train en marche, on a tant besoin

De tout le monde même ceux qui votent en marche !

Pour la République en marche boute en train !

 

Pour remettre La France sur de très bons rails !

Il faut qu'tout le monde se retrousse les manches !

Sans un coup; un mot de trop qui déraille !

Car même si je suis en train d'perdre la Manche !

 

Je prends le car car il n'y a pas de bus !

Je n'déchiffre à coût la grève en rébus !

Qu'en station très à bout; je loupe le bus !

Car je n'y comprends rien à c'terminus !

  

J'essaie de ne jamais refaire la manche

En train de louper le dernier métro !

D'un métro toujours de retard qui flanche,

Comme il y a quelque chose qui rame en slow !

 

Le dernier métro est lent pas comme l'tram;

Qui trame toute une histoire qui n'rame en âge !

Dans Le Paris Paname du train d'ce slam;

Qui clame que le RER rame en nage !

 

Sur le quai de la rame avec personne;

Qui dit OK pour aider sur le quai !

A vaincre les préjugés qui désarçonnent

Ceux et celles qui ne sont pas respectés !

 

Attendant le terminus pour souffler

Au quai; merci d'être arrivé en vie !

Pour boursouffler d'avoir été essoufflé

D'arriver à destination la nuit !

 

Je prends le car car il n'y a pas de bus !

Je n'déchiffre à coût la grève en rébus !

Qu'en station très à bout; je loupe le bus !

Car je n'y comprends rien à c'terminus !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Clef de voûte

 

Une musique;

Clé contact !

Mélodique;

Ouvre l'contact !

 

En ayant

L'tact intact !

Pianotant

Tout un tact !

 

Musique

De comptoir;

C'est d'la zik

Du trottoir !

 

Enchantant

Qu'des paroles !

Chantonnant

Dès l'envol,

 

Clef de voûte;

Qui envoûte

Clef en voûte;

Et qui voûte

 

Tapant sec

Sur l'piano

Très pète-sec,

Quand les mots

 

Chantent si secs;

Qui débectent

Des prises d'becs;

Qui éjectent

 

Lors du blues

De l'hiver;

Et qui loosent;

Faits d'hiver !

 

Dans la vie

Qui chante triste;

Le dépit,

Ame altruiste !

 

Clef de voûte;

Qui envoûte

Clef en voûte;

Et qui voûte

 

Ouverture

De l'esprit

D'envergure;

L'éclaircie

 

Vous scie bien;

Me sciant;

Ah ! Si bien !

M'asseyant

 

En des chaises

Musicales;

Charentaises

Médiévales;

 

Moyen-âge

Pour chaque âge,

Moyenne d'âge

D'être en âge !

 

Clef de voûte;

Qui envoûte

Clef en voûte;

Et qui voûte.

 

Jérôme de Mars

Tank you !

 

En guerre

De frappe;

Naguère

Force d'frappe;

 

Conflits

De guerre;

Conflits

Naguère;

 

En balle

D'roquette;

Deux balles

D'roquettes;

 

D'un char

D'assaut;

Mouroir

Sursaut;

 

Tank you !

Ripou;

Thank you !

Voyou;

 

La guerre

Civile;

Naguère

Si vile;

 

Il faut 

Une guerre !

A sots

D'enfer !

 

Pour faire

Comprendre,

Pour faire

Répandre,

 

La paix

Sans guerre;

Après

Naguère;

 

Tank you !

Ripou;

Thank you !

Voyou;

 

Il faut

Débattre !

Sursaut

Sans s'battre !

 

S'en battre

Sans sang !

D'abattre

Pur sang !

 

Il faut

Mettre fin !

Sang chaud;

Enfin

 

A toute

Cette guerre !

Pour toutes

Naguère !

 

Tank you !

Ripou;

Thank you !

Voyou.

 

Jérôme de Mars

Johnny Guitare

 

Comme dans un film,

Johnny naquit

L'jour qu'il écime

En plein Paris !

 

Comme un 15 juin

D'l'an 43 !

Non ici joint

Sans père étroit !

 

Comme un chanteur

Abandonné !

Un enchanteur

D'art et d'essai !

 

Dans la musique

Et l'cinéma;

Jouant mythique

Que d'la joie !

 

C'est ton histoire !

Même que ta vie

Fut noire c'est noire

Durant tes nuits !

 

Priant ta Marie;

Allumant l'feu !

Qu'tu te maries

Sans croire radieux !

 

Donc que pour toi

La vie; elle va

Commencer quoi !

Où tout ira

 

Sans liberté !

Juste pour survivre

D'pénitencier !

J'ai oublié d'vivre !

 

Qu'de ton enfer !

J'en parlerai

Au diable d'enfer !

Un compte défait

 

D'l'idole des jeunes

D'ton requiem !

Pour un fou d'jeûne

Salaud ! On t'aime !

 

Johnny Guitare;

Jouant standard

De la guitare

En répertoire;

 

De ses excès

Buvant d'l'alcool !

Crevant l'abcès

Sans père qui colle !

 

Qu'il enchanta

Tout son public !

En trompe-la joie

Non impudique !

 

Pour lui donner

L'envie d'avoir

Envie d'donner

Que de l'espoir !

 

Et pour cela;

Retiens la nuit !

Johnny tout ça

Pour dire merci !

 

Malgré ton shoot

De ballons rouges !

Donc tu te shootes

En buvant rouge !

 

Drogue; héroïne;

Ta cocaïne;

Tes héroïnes

Sans amour hymne !

 

Où tu cherchas

Ta Gabrielle !

Sans trompe la joie

En ritournelle !

 

D'ta Laëtitia

En ton quartier

VIP ! Y a

Pas de quartier !

 

Toi Jean-Philippe

Sang cinéma !

Avec tes tripes

D'ta Laëtitia !

 

Pas cette chanson

De rock'n'roll !

En cette saison

D'vie rock'n'roll !

 

Johnny Guitare;

Jouant standard

De la guitare

En répertoire;

 

Que j't'aime Johnny !

Et j'te promets

Sur toute ma vie !

Comme et puis j'sais !

 

J'ai un problème

D'tes souvenirs !

Souvenirs blêmes

A en souffrir;

 

Tout pour ma gueule !

Derrière l'amour

Sans être bégueule;

Ca vaut l'détour !

 

En fils d'personne !

Car j'serai là !

Afin qu'résonne

Tout ton aura !

 

D'ta fille Laura !

Conseil d'famille !

Donc tu l'auras

Toute ta pupille !

 

Toi sans pour sans

La musique qu'j'aime !

D'un sang pour sang !

Ta vie d'bohème !

 

T'rongeant les sangs;

Que tu mourus

Comme un pur sang

D'ton absolu !

 

Le 5 Décembre

2017;

Perdant les membres

De tes fossettes;

 

Tu dévales d'Marnes

Comme la conquête

Du Val-de-Marne !

Marnes-La-Coquette;

 

Je veux t'graver

Rien qu'dans ma vie !

Toi DCD;

Chacun sa vie !

 

Johnny Guitare;

Jouant standard

De la guitare

En répertoire.

 

Jérôme de Mars

 

 

Il faut paraître bien !

 

Non sans aucun mal;

Il faut se donner;

Se donnant du mal !

Pour tant redonner

 

Si manichéen;

L'envie d'faire le bien !

Bon Samaritain,

Pour créer du lien

 

En faisant le mâle !

Pour vider la malle

D'ses envies de mal !

Sans créer le mal

 

Par une frustration;

De n'intéresser

Personne d'exaction !

Vierge effarouchée;

 

Il faut paraître bien !

Pour créer du lien,

Il faut par être bien !

Pour s'faire des copains,

 

Du moins d'apparences

En bonne impression !

D'une bonne éloquence

Donnant l'expression !

 

D'quelqu'un de parfait

Du moins d'apparences !

Dont il est défait

Dans tout son silence !

 

Cachant ses faiblesses,

Pour tant faire semblant !

Cochant la liesse,

Pour tant faire sans blanc !

 

Une vie de couleurs

Avec rien de noir !

Car noir de couleurs;

C'est toute une histoire !

 

Il faut paraître bien !

Pour créer du lien,

Il faut par être bien !

Pour s'faire des copains,

 

Même si personne n'est

Ni tout noir sans blanc !

Ni tout blanc qui est

Une couleur semblant !

 

D'un crayon d'couleurs;

Haute dans la couleur !

Crayon sans couleurs;

Ote dans la couleur !

 

Un homme de couleurs

Ne voit tout en noir !

Mais met des couleurs

Dans une vie si noire !

 

Pour voir d'la couleur !

En voir la couleur !

Reprendre des couleurs !

Effet noir couleurs !

 

Il faut paraître bien !

Pour créer du lien,

Il faut par être bien !

Pour s'faire des copains.

 

Jérôme de Mars

Lanceur de vannes

 

D'ma caravanne

Dans la vile d'Vannes !

J'ouvre que des vannes

D'un car à vannes !

 

Afin qu'je vanne

Les gens en blagues;

Qui se pavannent

Genre blague is blague !

 

Because is car

D'un car à Vannes !

Mais or ni car !

Cela me vanne,

 

Je me pavanne

D'ma caravanne !

A force qu'je vanne

Les gens à Vannes !

 

Lanceur de vannes;

Je lance des vannes

En ma vil d'Vannes !

Faisant des vannes

 

Pour m'fatiguer

Dans la ville d'Vannes !

Exténuée

Par toutes mes vannes !

 

Qui elles me vannent;

Qui me pavannent

Genre je me vanne;

Robinet d'vannes !

 

Vannes sans eau tiède

A la casa

Depuis mon bled;

Qui m'recasa

 

Depuis mon bled !

Couché d'ennui

Avec d'leau tiède;

J'suis pour la vie !

 

Lanceur de vannes;

Je lance des vannes

En ma vil d'Vannes !

Faisant des vannes

 

Dans la ville d'Vannes,

Où je m'pavanne

Dans la vil d'vannes !

Ville qui me vanne

 

Et sans jamais

Aller à Vannes;

J'nvais jamais

A Erevan !

 

Et je n'appelle

Jamais Sevan !

En un rappel

De toutes ces vannes;

 

Je me pavanne

Dans la ville d'vannes !

Je ferme les vannes

Dans la vil d'Vannes !

 

Lanceur de vannes;

Je lance des vannes

En ma vil d'Vannes !

Faisant des vannes.

 

Jérôme de Mars

Sœur Emmanuelle de cœur !

 

Une sacrée Sainte qui naquit

L'16 Novembre 1908

A Bruxelles en un croquis !

Que la foule; donc elle lévite !

 

Elle enseigne Emmanuelle !

Pour remonter le niveau,

Montre-le nous ton manuel !

En y allant vers le haut !

 

De tout ton engagement

Envers les plus malheureux !

Grâce à ton beau dévouement

Des miséreux jusqu'aux cieux 

 

Des pauvres chiffonniers du Caire;

Tu fus une bonne religieuse !

En aidant les plus précaires;

Toi les couvant chaleureuse !

 

Sœur Emmanuelle de cœur !

Tu inspiras qu'du bonheur !

En réenchantant en chœur

L'amour qu'tu portes sans rancœur !

 

Où tu aidas les enfants

D'Egypte; remontant l'ellipse !

Ranimant à tous les temps !

Un monde meilleur sans l'éclipse

 

Des gens lunatiques imbus

En leurs personnes égoïstes !

Qui croient dus tous leurs indus

En individualistes 

 

Hédonistes ! Tout pour leur gueule !

Toi; tu fus un bout de choux 

De Bruxelles ! Sans être bégueule

Envers les grippe-sous relou !

 

Tu t'en foutais de l'argent

Avec ton grand cœur en or !

Ne parlant argent comptant !

Pour toi; le silence fut d'or !

 

Sœur Emmanuelle de cœur !

Tu inspiras qu'du bonheur !

En réenchantant en chœur

L'amour qu'tu portes sans rancœur !

 

Tu fus un bon modèle d'pierre !

Mettant la pierre d'l'édifice

A l'instar de L'Abbé Pierre !

L'tout sans aucun artifices !

 

Tu prêchas la bonne morale !

Encourageant juste le bien !

Tu luttas contre tout le mal

Encourageant juste le lien !

 

O combien très solidaire

Rien qu'en des verres solidaires !

Et les revers solitaires;

Tu les rendis incendiaires !

 

Ecrivant en livre d'ta vie !

Qu'tu mourus le 20 Octobre

Presque cent ans en 2008

A Callian; d'ton Var si sobre !

 

Sœur Emmanuelle de cœur !

Tu inspiras qu'du bonheur !

En réenchantant en chœur

L'amour qu'tu portes sans rancœur !

 

Jérôme de Mars

 

Le plein avide

 

Par les revers

De toute ta vie !

Si dans un verre

Pour faire joli;

 

Tu regardais

L'verre à moitié

Plein pour aimer

Ta douce moitié !

 

Faisant le plein;

Dépôt d'complainte !

Sans un trop plaint;

Dépôt de plainte !

 

Si tu buvais

Un verre trop-plein !

Sans raccrocher

Un verre trop plaint !

 

Le plein avide

Sans faire le vide !

Sans plaint à vide

Rendant livide !

 

Si tu faisais

Salon de thé !

Pour discuter

Buvant tes thés !

 

En t'rappelant

De toi bébé !

En t'entêtant

Sans ton passé !

 

Juste en faisant

Place à présent

A un présent !

En grandissant

 

Du monde d'l'enfance

Au monde d'adultes !

Sans la violence

D'un gros tumulte !

 

Le plein avide

Sans faire le vide !

Sans plaint à vide

Rendant livide !

 

Pour oublier

Tout ton passé !

Si tu passais

A volonté !

 

Vers le présent !

Sans reproduire

Rien à présent !

Pour n'plus souffrir !

 

Vivant heureux

D'paix intérieure !

Etant radieux !

Enjoliveur !

 

Ainsi songeur !

Donc pour écrire

Vers l'jour rêveur !

Pour le plaisir !

 

Le plein avide

Sans faire le vide !

Sans plaint à vide

Rendant livide !

 

Jérôme de Mars

L'apolitique !

 

Petites saynètes sur l'apolitique en général des opinions politiques des uns et des autres : 

 

Petite saynète sur l'apolique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et de Guillaume Leprette :

 

Jérôme Bedrossian :

- " Bonjour lascar, es-tu de gauche ou de droite ? "

 

Guillaume Leprette :

- " Salut, je ne suis ni à gauche à droite, je suis juste devant toi ! 

 

Jérôme Bedrossian :

- " J'en déduis donc que tu as pris le gauche de façon droite ! "

 

Guillaume Leprette :

- " Lascar, je t'ai répondu cela pour replacer tout au centre de la discussion ! "

 

Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et d'Adel Azak :

 

Jérôme Bedrossian :

- " Bonjour Adel, es-tu de gauche ou de droite ? "

 

Adel Azak :

- " Bonjour Jérôme, je préfère qu'on recentre la politique à gauche de façon modérée ! Jérôme, pourquoi vas-tu toujours dans les extrêmes ? "

 

Jérôme Bedrossian :

- " Adel, si je me radicalise, c'est parce-que je ne crois plus à la politique mais à l'apolitique en général de façon extrême ! "

 

Adel Azak :

- " Si tu te radicalises dans les extrêmes, pourquoi ne votes-tu pas pour le Parti Radical de Gauche modérément à l'extrême ! "

 

Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et d'Alexandre Strub :

 

Jérôme Bedrossian :

- "  Bonjour Alexandre, ça va ? Es-tu de gauche ou de droite ? "

 

Alexandre Strub :

- " Bonjour Jérôme, ça va ! Je m'en fous de la politique comme je fais semblant de voter ! Je vote blanc ! Rien à foutre de la politique pas de l'apolitique ! "

 

Jérôme Bedrossian :

- " Mais tu dois bien être de gauche ou de droite ! "

 

Alexandre Strub :

- " Pour voter, j'aimerais voter de façon très gauche pour Mélenchon; moi qui suis si insoumis, la preuve que je ne suis pas au centre de la discussion de la politique mais de l'apolitique ! "  

 

Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et d'Edwin Joseph :

 

Jérôme Bedrossian :

- " Bonjour Edwin, es-tu de gauche ou de droite ? "

 

Edwin Joseph :

- " Coucou, mon cher coco, même si tu es un sans triste pas droit, moi je pivote un coup à gauche; un coup au centre gauche ! "

 

Jérôme Bedrossian :

- " Tu veux dire que moi; je suis un sans triste pas droit et que tu es un centriste si gauche ! "

 

Edwin Joseph :

- " Oui car tu es de plus en plus de façon mal à droite vers les extrêmes alors que moi, je suis plus modéré que toi Jérôme, t'aimes tellement être le centre du monde que tu te radicalises de façon si extrême dans un rassemblement national à cause de tout l'affront national de ton passé ! "

 

Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et de Brigitte Yvelin :

 

Jérôme Bedrossian :

- " Bonjour Brigitte, comment ça va ? Es-tu de gauche ou de droite ? " 

 

Brigitte Yvelin :

- " Coucou, mon petit Jérôme, moi, je suis très à gauche de façon très droite ! et toi même que t'as voté pour Marine Le Pen au second tour des Présidentielles en 2027 ? "

 

Jérôme Bedrossian :

- " Même si ce fut à mon tour de voter Marine Le Pen au second tour des Présidentielles en 2027 et que j'ai voté pour le rassemblement national au 1er tour des législatives en 2027, pour être au centre de la discussion politique, je me recentre dans mon vote de façon de plus en plus extrême en étant très droit ! "

 

Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et de Serge Kurts :

 

Jérôme Bedrossian :

- " Bonjour mon cher Serge, es-tu de gauche ou de droite ? "

 

Serge Kurts :

- " Bonjour Jérôme, je pivote à gauche; à droite au centre de la politique ! "

 

Jérôme Bedrossian :

- " Et même si je ne suis pas tout blanc, je vote de façon nulle pour les extrêmes en me radicalisant à gauche, à droite ! "

 

Serge Kurts :

- " Tu n'as qu'à te radicaliser au centre de la politique très droit même que c'est un centre triste ! "

 

Petite saynète sur l'apolitique en général des opinions politiques de Jérôme Bedrossian et du Docteur Bernard Penot :

 

Jérôme Bedrossian :

- " Bonjour Docteur Penot, ça gaze ? Etes-vous de gauche ou de droite ? "

 

Bernard Penot :

- " Bonjour Jérôme, tu ne me le fais pas dire que ça gaze partout dans le monde de La Palestine à Israël, en Arménie ainsi qu'en Ukraine et en France; en plus de tous les génocides qu'il y a déjà eu, tu le sais Jérôme, je vote à gauche dans l'environnement de tes vers de poèmes donc, je vote maintenant pour les vers ! "

 

Jérôme Bedrossian : 

- " Moi, je pivote de façon gauche à droite; et de façon mal à droite en donnant une gauche à la gauche; en prenant le gauche du centre mal à droit ! "

 

Bernard Penot :

- " Tu vois Jérôme, je suis tout penaud d'entendre ton discours si radical sur l'apolitique, si tu veux être au centre de la discussion pour parler avec des femmes, parle-leur de façon à droite et pas mal à droite; et pas de façon gauche en prenant le gauche, radicalises-toi en posant des questions aux femmes concernant leurs centres d'intérêts extrêmes ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

Y a prescription !

 

Voici une petite saynète sur le CMP de Vitry-sur-Seine entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine et les soignants au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Une petite saynète entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine

 

et Jean-Yves Louchouarn, un infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Bonjour Jean-Yves, comment allez-vous ? C'est quand vos prochaines vacances ? "

 

Jean-Yves Louchouarn, un infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Jérôme, je vais bien, mes prochaines vacances seront à la Toussaint pour que vous soyez tout sain, Jérôme !

Ecrivez sur une feuille morte à la Toussaint un poème pour mon automne de vacances ! "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Est-ce une prescription que vous me faites Jean-Yves parce-que je suis monotone ? "

 

Jean-Yves Louchouarn, un infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Non Jérôme, cela n'a rien à voir avec le fait que vous êtes monotone ! 

C'est tout simplement que maintenant pour vous, y a prescription comme vous avez un bon traitement depuis que vous n'êtes plus à L'ESAT La Fabrique ! "

 

Une petite saynète entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine

et Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Bonjour Madame Teillet, comment allez-vous ?

A votre avis, suis-je conditionné au pire au CMP de Vitry-sur-Seine ? "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Monsieur Bedrossian, je vais bien et vous ? 

Monsieur Bedrossian, si au CMP de Vitry-sur-Seine, vous étiez conditionnés au 

pire, croyez-vous que je me serais donné la peine de vous faire sortir de L'ESAT La Fabrique ?

Maintenant, ne me dites plus que vous avez l'impression d'être maltraité au CMP !

C'est à L'ESAT La Fabrique que vous étiez maltraité; en étant sous-traité et

condtionné au pire !

Monsieur Bedrossian, vous êtes l'un de ceux les mieux traités au CMP, la preuve, grâce à moi, vous avez un bon traitement avec pas trop de médicaments ! "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Je vais bien Madame Teillet, donc, j'en conclus que pour L'ESAT La Fabrique, y a prescription maintenant ? "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Oui, Monsieur Bedrossian, y a bien prescription la preuve, je me suis demandé ce que vous avez fabriqué dans cet ESAT, à part enfiler des perles de bijoux, voilà !

 

Une petite saynète entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine

et Carole Baltazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Carole, comment allez-vous ? "

 

Carole Baltazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Merci, je vais bien Jérôme, j'ai lu vos derniers slams que vous avez posté dans la boîte aux lettres du CMP, et je les trouve lumineux ! 

Qu'est-ce-qui vous a donné envie d'écrire des slams ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " A force de déchanter dans la vie, j'ai eu envie d'écrire des slams pour ne plus déchanter ! "

 

Carole Baltazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Je vois Jérôme, donc, vous ne déchantez plus dans la vie !

Pourquoi ne pas chanter vos slams au micro pour enchanter et réenchanter ce monde désenchanté ?

Jérôme, maintenant y a prescription pour prendre soin des gens autour de vous ! "

 

Une petite saynète entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine

et Aurélia Korkoff, psychomotricienne au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- "  Bonjour Aurélia, comment allez-vous ? Moi ça va ! "

 

Aurélia Korkoff, psychomotricienne au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Je vais très bien Jérôme, quelles sont les dernières nouvelles ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Aujourd'hui, j'ai encore écrit des paroles de chansons ! "

 

Aurélia Korkoff, psychomotricienne au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Jérôme, on connaît donc la chanson, même si vous êtes encore jeune !

Pour vous, il n'y a rien de nouveau dans votre vie qu'on peut en déduire qu'il n'y a que du vieux !

Vous qui commencez à vous faire vieux, vous êtes en âge d'oublier vos vieux moeurs du passé !

Comme votre musique adoucit vos moeurs, y a prescription maintenant Jérôme pour avoir un bon traitement par les gens dans votre vie ! "

 

Une petite saynète entre Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine

et Gurvan Queffelec, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Gurvan, comment allez-vous ? "

 

 Gurvan Queffelec, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Jérôme, j'espère que vous allez bien, que devenez-vous ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Je tiens le coup tant bien que mal en essayant de faire le bien non sans mal ! "

 

Gurvan Queffelec, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Jérôme, maintenant, ça ne peut qu'aller pour vous, vous avez quitté L'ESAT, donc y a prescription Jérôme, car comme on dit, c'est un mâle pour un bien pour vous avec un bon traitement de texte de vos poèmes sur Internet ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Personne ne me calcule !

 

Un plus un égale deux !

Car jamais deux sans trois !

Repliés en quatre d'deux !

Car jamais allez trois !

 

Comme reçu cinq sur cinq

Au je de l'addition !

Il faut qu'je me requinque

En une adéquation !

 

D'une équation d'la vie

A six sur cette question !

D'un grand huit infini !

Telle est la question !

 

Quoi de neuf cher Docteur ?

Pour réparer mon manque !

Quoi de neuf en mon coeur ?

D'un dix de chute en planque !

 

Personne ne me calcule !

J'compte sur moi funambule  !

Lorsque j'ai des calculs

Névrotiques dans ma bulle !

 

Genre; j'en ai rien à foot

De lire le Onze mondial !

Traitement qui me shoote;

Jouant en amical !

 

Une heure de vérité

En démons de Midi !

Un leurre de vérité

En démons de Minuit !

 

Comme un vendredi 13 !

Rendez-vous à 16h !

L'jour du vendredi 13 !

Comme à treize à ces heures !

 

En lisant sept questions

En questions sans réponses !

M'enlisant cette question

En questions que je ponce !

 

Personne ne me calcule !

J'compte sur moi funambule !

Lorsque j'ai des calculs

Névrotiques dans ma bulle !

 

Transe genre; je suis devin !

Pas né dans l'année 20 !

Mais inné dans le vain !

Qui m'sôule le jour du vin !

 

Divin taureau bovin !

J'vais dans la cave à vingt !

Suranné deux mille vins !

Tombant dans le ravin !

 

Comptant rien qu'sur moi-même !

A quelle heure et quel jour ?

Contant rien qu'sur vous-même !

A quel leurre; à contre-jour ?

 

Et aditionnant l'tout !

Dont la chute en rechute

D'cette histoire malgré tout !

Est un bof dix de chute !

 

Personne ne me calcule !

J'compte sur moi funambule !

Lorsque j'ai des calculs

Névrotiques dans ma bulle !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pêcheur de vers

 

En vers contre tous !

Je veux donner

Des coups de pouce,

Pour t'adonner

 

Donc à pêcher

Un gros poisson !

Donc sans pécher

Un gros poison !

 

Poison d'Avril !

Hors de question !

Poisson d'Avril !

C'est la question !

 

D'la pêche au gros

En gros d'poisson !

Sans pèche en gros

D'mauvais poison !

 

Pêcheur de vers;

Je suis ouvert !

Pècheur de vers;

Je suis over !

 

Je veux pêcher

Que je te l'donne

L'poisson pêché !

Je n't'abandonne !

 

J'ne veux pécher

D'faute animale !

Je veux pêcher

D'une belle morale !

 

Pour te donner

Tant à manger !

Pour t'redonner

L'envie d'manger !

 

Pour t'en nourrir

Pour toute la vie !

Pour ne t'mourir

Si affaibli !

 

Pêcheur de vers;

Je suis ouvert !

Pècheur de vers;

Je suis over !

 

Donc au travail

Qu'je te repêche !

T'es sur la paille !

Donc moi revêche;

 

Je veux qu'tu pêches

Un gros poisson !

Et non qu'tu pèches

Un gros poison !

 

En t'apprenant !

Donc à pêcher

L'poisson bravant

A m'en pêcher !

 

Ainsi à l'faire

Donc à ta place !

Tu dois le faire

Toi à la place !

 

Pêcheur de vers;

Je suis ouvert !

Pècheur de vers;

Je suis over 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

C'est très Causase !

 

Depuis le bled

A la casa !

Car in the bled;

Il en casa

 

A la maison !

Des Arméniens

Dès l'oraison;

Toujours enclins

 

D'lancer des vannes !

En un robinet;

Ouvrant des vannes

Pour débiter

 

A Erevan !

Toutes sortes de gens

Qui se pavanent

En mouvement !

 

C'est très Causase !

Qu'on case; recase

C'est très cocasse !

Qu'on se surpasse !

 

En en faisant

Toute une montagne !

En reparlant

D'la rase campagne !

 

Et des églises

Qui surplombent L'haut !

Sans qu's'amenuise

Cet eldorado !

 

Qui vise; révise

Toute son histoire !

En terre promise

D'un réservoir

 

Pour être en paix

Avec les nuits;

Qui ont brûlé

Le Sacristie !

 

C'est très Causase !

Qu'on case; recase

C'est très cocasse !

Qu'on se surpasse !

 

L'un des premiers

Pays Chrétiens !

Dans la bonté;

Pays humain

 

Dans la beauté;

Aimant; aidant

L'humanité !

En parsemant

 

En tant que bon

Samaritain !

En sentant bon

Comme le bon teint !

 

D'un beau pays

D'autant d'souffrances !

Et du dépit

En résilience !

 

C'est très Causase !

Qu'on case; recase

C'est très cocasse !

Qu'on se surpasse !

 

Jérôme de Mars

Racaille d'la cité !

 

Vilain p'tit canard !

Il y a le bitume

En ton grand regard !

Vide de ton enclume;

 

Il y a des consoles

De belle Nintendo !

En lot qui console

Ta peine en sanglots !

 

A cause de quelques gens

En leurs préjugés

D'un certain autre temps !

Non assimilé;

 

Et non intégré

En communauté,

Mais tu l'as prouvé

Que t'es intégré !

 

Racaille d'la cité !

Ton nom est cité

Que t'as incité

Ta saga citée !

 

Plus désintégrée

Dans un monde d'voyous !

T'as récupéré

Le monde des gens doux !

 

Et bon à quelque chose !

Et plus bon à rien !

Pour plaider ta cause,

Comme tu as besoin

 

De prouver aux gens

Qu'tu veux t'en sortir !

Donc en travaillant

Pour ne plus souffrir

 

Du regard des gens !

Entre l'chaud et le froid !

Ainsi tous méchants !

Qu'tu montres ta bonne foi !

 

Racaille d'la cité !

Ton nom est cité

Que t'as incité

Ta saga citée !

 

 

Genre y a pas photo !

De rester victime

D'vivre dans le ghetto !

Que tu n'envenimes

 

Pour trouver ta place

Dans la société !

N'refaisant de casse

Pour te confisquer

 

Retour en prison

En tant qu'condamné !

Regoûtant l'zonzon

De ton être damné !

 

Qu'là tu files ah droit !

Dans le droit chemin !

Montrant d'tes dix doigts !

Donnant des coups d'main !

 

Racaille d'la cité !

Ton nom est cité

Que t'as incité

Ta saga citée !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Crayon arc en ciel

 

Si on dessinait

L'amour dans le ciel !

On embrasserait

Toutes les tourterelles

 

Du vent élevant;

Volant rouge à lèvres !

L'ciel comme un aimant !

Amant rouge à fièvre !

 

D'la fureur de vivre

Au présent armant !

Duquel il faut vivre

Jusqu'à maintenant

 

De toutes les couleurs !

Crayons de couleurs;

C'est que du bonheur !

Rayons de couleurs;

 

Crayon arc en ciel !

En grattant le ciel;

Rayon arc en ciel !

Frottant le gratte-ciel;

 

Ciel universel;

Il faut essentiel !

Regarder l'Missel !

Implorant le ciel

 

D'reprendre des couleurs

Au ciel Ménestrel;

Voie de la couleur

D'un joli pot d'fleurs !

 

Bonne mine de crayon !

Taillée au soleil;

Bonne mine de rayon !

Taillée de merveilles;

 

Les couleurs font une !

Unies; elles s'assemblent !

En faisant la lune

Du ciel qui ne tremble !

 

Crayon arc en ciel !

En grattant le ciel;

Rayon arc en ciel !

Frottant le gratte-ciel;

 

Le soleil se lève

Dans un paradis !

D'une ève qui élève

Un beau ciel hardi !

 

L'ciel haut en couleurs !

Sème la volupté

Ciel enjoliveur;

Qui hume la bonté !

 

La beauté du ciel !

Tirant arc en ciel;

Une flèche éternelle

D'l'amour passerelle !

 

Déclenchant l'ardeur;

Rien que la ferveur

Des âmes en grandeur !

Aimant en vigueur;

 

Crayon arc en ciel !

En grattant le ciel;

Rayon arc en ciel !

Frottant le gratte-ciel.

 

Jérôme de Mars

 

Il faut composer avec tout ça !

 

Comme une chanson en répartition;

Si on écrivait de belles paroles !

Rallumant la vie sans extinction;

Donnant en vie d'faire la farandole !

 

Pour chanter la vie et dire merci !

Malgré les grandes épreuves de la vie !

Il faut relever tous les défis !

Que compte la vie pour rester à vie !

 

Un enchanteur de la bonne musique !

Pour toujours triompher des contre danse

A la mode d'la vie électronique !

Avec en acoustique; la tendance

 

De danser et d'condenser en bref !

Avec de l'énergie à revendre !

Surfant sur la nouvelle vague d'reliefs !

Avec autant de punch pour répandre,

 

Il faut composer avec tout ça !

Pour n'décomposer en aléas !

Tout ça pour ça ! Bonjour ! Les dégâts !

Il faut de la joie sans rabat-joie !

 

La vie se compose surtout la nuit !

Pour composer d'jolies mélodies,

Qui donnent envie de songer à vie !

A la vie qui se compose merci !

 

D'être en si bonne compagnie créole

Dans les Iles levant vers les Antilles !

Bonjour ! La Biguine qui auréole

Deux pas de danse qui frétillent; fourmillent !

 

Pour rester dans le vent qui redonne

L'envie ! De vendre du vent qui s'adonne

A la musique qui détonne; entonne !

Tout le monde sillonne et tourbillonne !

 

A fond la caisse ! Sans en faire des caisses !

Qui encaisse en des billets d'amour !

L'envie de faire l'amour sans espèces;

Reproduisant l'espèce d'un autre jour !

 

Il faut composer avec tout ça !

Pour n'décomposer en aléas !

Tout ça pour ça ! Bonjour ! Les dégâts !

Il faut de la joie sans rabat-joie !

 

Pour faire vivre chaque jour; rien à contre jour !

Avec le soleil en ritournelles;

Semeur d'jolies poésies d'amour !

Refaisant bercer les hirondelles !

 

Faisant battre de nouveau juste l'amour !

Remplaçant les poches sous deux p'tits yeux

Par l'embellie; vitamines d'l'amour !

Pour faire sourire tout-puissant les cieux !

 

Recomposant en mieux poétique;

Des mots qui redonnent en vie de vivre

De bien belles choses; couleurs exotiques !

Une énergie d'amour; ça enivre !

 

Avec l'envie d'écrire une chanson !

Qu'on soit épanouis ou maudits;

Qu'on perde la raison ou l'oraison !

Et pour mille et bonnes raisons merci !

 

Il faut composer avec tout ça !

Pour n'décomposer en aléas !

Tout ça pour ça ! Bonjour ! Les dégâts !

Il faut de la joie sans rabat-joie !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Notre cher Walid !

 

Si on parlait

D'notre responsable;

Du GEM si vrai;

Par ailleurs serviable !

 

Qui fait l'travail;

Jamais malade !

Dans le sérail

D'une belle balade !

 

Il nous emmène

Voir des musées !

Il se démène

Pour nous parler,

 

Toujours vers l'haut !

Grâce à Walid

Qui dit allo !

Sans prendre de rides !

 

Notre cher Walid !

Toujours limpide !

Même à L'Aïd;

Jamais aride !

 

Il est très drôle

Et généreux !

Prenant son rôle

Très au sérieux !

 

Sans un arrêt

D'bus; de métro !

Toujours au quai

Sans dire qu'c'est trop !

 

Pour rendre service

Aux adhérents;

Jamais novice

Luit compétent !

 

A d'la patience !

Pour animer

Avec vaillance;

Et nous aider

 

Notre cher Walid !

Toujours limpide !

Même à L'Aïd;

Jamais aride !

 

Sans prises de becs !

Il est gentil

Sans des mots secs !

En être docile;

 

Irréprochable;

Si rassurant

En être affable;

Toujours confiant

 

En l'avenir;

Rien qu'avec nous !

Pour n'rien franchir

Sans des garde-fous !

 

Il a le cœur

En coup de main !

Pour notre bonheur !

Et pour demain !

 

Notre cher Walid !

Toujours limpide !

Même à L'Aïd;

Jamais aride !

 

Jérôme de Mars

Achète Baker !

 

Monnaie d'la pièce !

Artiste de jazz;

Ecoute sa pièce

Sur ton teppaz !

 

De son standard;

Que tu appelles

En un standard !

Lors d'un rappel

 

Sans un tambour,

Mais une trompette !

Durant chaque jour

De cette bluette;

 

Qui fait jazzer

Dans les brancards !

Qui fait ruer

Sur les trottoirs !

 

Achète Baker !

Ecoute par coeur !

A Chet Baker !

Ecoute ton coeur !

 

En sa trompette ;

Qui joue en âge !

Une chansonnette;

Qui fait son âge !

 

Creusant ses joues

En sa trompette;

Qu'il met en joue

En sa bluette !

 

Que Chet achète

L'orchestre de Jazz !

Afin que Chet

Sur un teppaz;

 

Fasse jouer l'orchestre

En un trombone !

D'l'appel pédestre

En saxophone !

 

Achète Baker !

Ecoute par coeur !

A Chet Baker !

Ecoute ton coeur !

 

Allant d'Paris

A Orléans !

Dans la furie

Nouv'lle Orléans !

 

En Amérique;

Musique de Jazz !

Très mécanique

Sur ton teppaz !

 

Avant c'était 

Charlie Parker !

Maintenant sait

A Chet Baker !

 

Un artiste d'jazz;

Que tu écoutes

Sur ton teppaz !

En clé de voûte;

 

Achète Baker !

Ecoute par coeur !

A Chet Baker !

Ecoute ton coeur !

 

Jérôme de Mars

 

Mes peaux aiment !

 

Sur une feuille;

J'en écris

Un recueil

D'poésie !

 

Qui traduit

Tout l'état !

De ma vie

En amas !

 

D'un jet d'encre

Imprimé !

Jetant l'ancre

Comprimé !

 

D'mon état

Abîmé !

En un tas

Consumé !

 

Mes peaux aiment !

Mes mots sèment

Mes poèmes

D'ma bohème !

 

En un pot

Très pourri !

Manque de peau

Si flétrie !

 

A écrire

L'florilège !

A traduire

L'sacrilège !

 

D'mon fardeau !

Qui me pèse

Demi-mot !

C'est obèse !

 

Que je pèse

Tous mes maux !

En mon pèze

Du dico !

 

Mes peaux aiment !

Mes mots sèment

Mes poèmes

D'ma bohème !

 

Que ma vie

Est corvée

D'hérésie !

Ecorchée

 

A m'pourrir

Manque de peau !

A croupir

Sous l'ghetto !

 

Que je meurs

A p'tit feu !

D'extincteurs !

J'suis odieux !

 

D'insulter

Toute ma vie !

Rétamée

En folie !

 

Mes peaux aiment !

Mes mots sèment

Mes poèmes

D'ma bohème !

 

Jérôme de Mars

Une chanson médicale

 

Si on soignait les gens !

En oubliant l'orage

De ce temps grisonnant;

Qui fait encore naufrage !

 

Aux bords de ce ramage;

En chantant des chansons

Et en rendant hommage

A chaque nouvelle saison !

 

Qui resplendit le ciel

Formidable; admirable

En des couleurs d'arc en ciel !

Pour rendre les gens aimables

 

Et extraordinaires

Sous un soleil sublime;

Allumant sur La Terre

Quelque chose qui anime !

 

Une chanson médicale

Guérissant tout le mal;

Une chanson musicale

Apaisant tout le mal;

 

Que se font tous les gens !

On n'connaît la raison !

Pour guérir leurs tourments,

On connaît l'oraison !

 

Pour soigner les excès

Grâce à un antidote !

Pour panser les abcès

Grâce à une bergamote !

 

La musique; elle guérit

Tous les mauvais démons !

La musique aguerrie;

Elle en brave tous les monts !

 

Ecrivant troubadour !

Que des mots qui apaisent

En de beaux mots d'amour !

Avec des mots sans pèze !

 

Une chanson médicale

Guérissant tout le mal;

Une chanson musicale

Apaisant tout le mal;

 

Parlant juste que d'amour

En racontant fleurette !

Ca en vaut le détour

De chanter cette bluette !

 

Avec légèreté !

Sans aucun pèze qui pèse 

Dans la médiocrité

En gros d'un genre obèse !

 

L'argent est gourmandise !

Bouffée à velouté !

L'argent est roublardise !

Buffet à volonté !

 

Et si on guérissait

Le mal par de la joie !

En chantant l'amitié

En ayant pour chackra !

 

Une chanson médicale

Guérissant tout le mal;

Une chanson musicale

Apaisant tout le mal.

 

Jérôme de Mars

 

Tout le monde paie en brute !

 

Trop brut de décoffrage !

Plus personne ne se saque

Plus sage, comme une image !

Pour vider tout son sac !

 

Méchanceté gratuite;

Y en a plus de morale !

Y en a plus d'eau bénite !

Qu's'étend en large le mal !

 

Et dans tout ce bas-monde;

Plus personne n'est très net !

Internet de l'immonde;

Se cassant la nénette !

 

Dans ce monde de grosses brutes;

Plus rien dans la cervelle !

Que tout le mal; il mute !

Rendant l'monde solennel !

 

Tout le monde paie en brute !

Plus en net mais en brute !

Tout va tous azimuts !

Comme tout se répercute !

 

Impôts d'mauvaise fortune !

Pourquoi personnne n'a du coeur

En revers d'infortune !

Pour puer la rancoeur,

 

Sans aucun pacemaker

Pour refaire battre ce monde !

Avec que du bonheur

Pour s'en battre de qui gronde !

 

L'argent n'fait le bonheur !

Tout l'monde paye en brute

La brute; le brut n'font coeur !

La preuve que tout hait brut !

 

Et que personne naît net !

En ne payant gratuit !

Que personne n'est là net !

En payant tout fortuit !

 

Tout le monde paie en brute !

Plus en net mais en brute !

Tout va tous azimuts !

Comme tout se répercute !

 

Dans l'argent racontant

Que le temps; c'est d'l'argent !

Parlant argent comptant

En place du coeur content !

 

L'argent n'rend éternel

Ceux qui pensent qu'à l'argent !

L'argent rend solennel

Ceux qui pansent qu'à l'argent !

 

Or ! Il vaut toujours mieux

Avoir de l'argent net !

Pour aller jusqu'aux cieux,

Conscience tranquille du net !

 

Et pour avoir l'esprit

Sain en bons sentiments !

Y a pas qu'l'économie

D'paie de ressentiment !

 

Tout le monde paie en brute !

Plus en net mais en brute !

Tout va tous azimuts !

Comme tout se répercute !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Maroc qui ne rit...

 

Dans ce beau pays

Où les gens accostent,

Il y a l'embellie

De ceux qui s'accostent

 

En des accolades !

Ce pays d'accueil

En des roucoulades;

Les gens ne sont seuls !

 

Comme ils restent ensemble

Avec des valeurs !

Où tous se rassemblent

Dans un pur bonheur !

 

Y a pas que l'argent

Dans c'triste cataclysme !

Personne n'est comptant !

Depuis le séisme !

 

Maroc qui ne rit...

Sans larmes d'crocodile;

Maroquinerie

Sang larmes d'crocodile;

 

En cette traversée

Du désert de sable;

Ils ont traversé

Un temps exécrable !

 

Fait désillusions

En butte de leur lutte !

Faite sans illusions

Personne ne se butte !

 

Tout le monde s'assemble

Dans leur élément !

Tout l'monde se rassemble

Comme de purs aimants !

 

Face à ce soleil

Pour être à la une !

D'ce soleil vermeil

Montant jusqu'aux dunes !

 

Maroc qui ne rit...

Sans larmes d'crocodile;

Maroquinerie

Sang larmes d'crocodile;

 

L'Maroc dans sa lutte

Etant sur la paille !

Il construit des huttes;

Les huttes qui empaillent

 

Ceux qui sont rongés

Par la mort remord !

Pour tous les soigner;

Il faut rester fort !

 

Pour les consoler

En des accolades;

Il faut cajoler

C'pays en balade !

 

Embrassant d'amour

Avec des caresses !

Chantant troubadour

L'amour en liesse !

 

Maroc qui ne rit...

Sans larmes d'crocodile;

Maroquinerie

Sang larmes d'crocodile.

 

Jérôme de Mars

 

Une chanson qui fait mouche !

 

Voiture de coccinelle;

Elle refile le cafard

Qui fourmille d'ritournelle !

Eclairant le cagnard;

 

Qui refile le bourdon

Vers le chant des cigales;

Qui était la saison

Aux dépens des cigales

 

Economes à la une !

Du miel et les abeilles

Agronome, dès la lune

D'une lune de miel qui veille

 

Au soleil économe

En déni de fourmi,

Qui fourmille agronome

Et d'un nid de fourmis !

 

Une chanson qui fait mouche !

Paraît qu'on n'attire les mouches

Avec du vinaigre d'souche !

D'un mouche du coche qui mouche

 

La vermine qui débecte

Une colonie de fourmis

En des vacances d'insectes;

Qui fourmille de folie

 

Dès l'effet papillon

Lors d'l'été des chenilles !

D'la chenille en saison

Au papillon qui brille;

 

Qui envole les hirondelles

Et toutes les libellules !

Qui s'attirent à tire d'ailes !

Qui ovulent puis pullulent...

 

Tirant les vers du nez

Au poète qui fait mouche !

Avec les doigts dans l'nez

En un spray qui fait mouche !

 

Une chanson qui fait mouche !

Paraît qu'on n'attire les mouches

Avec du vinaigre d'souche !

D'un mouche du coche qui mouche

 

Qui mousse tics les moustiques

Dans la loi du talion;

Des moustiques-tigres qui tiquent !

Sentant le fauve du lion !

 

Rien qu'au marché aux puces

Oh ! Les punaises de lit !

Excitées comme des puces !

Punaises d'poster délit !

 

En tissant rien qu'une toile

D'araignée en peinture !

Dormant à la belle 'toile !

Pouvant voir en peinture

 

La compagnie des insectes;

Qui volent dans les pays !

Tellement qu'ils débectent

Pour tous les goûts exquis !

 

Une chanson qui fait mouche !

Paraît qu'on n'attire les mouches

Avec du vinaigre d'souche !

D'un mouche du coche qui mouche.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Mère rapporteuse !

 

De mon enfance;

J'avais une mère !

En mon offense 

Sans un repaire !

 

Qu'elle ne pondit

Un tas d'autres eux !

Qu'elle m'répondit

Que de ses œufs;

 

Elle n'fit d'inceste !

Rien avec moi !

Je m'en déleste !

Comme toutefois !

 

Ma mère m'en fit

Quelqu'un d'inné !

En faisant fi

Que ma mère n'est !

 

Mère rapporteuse !

Elle sulfureuse;

En mère porteuse !

Toujours furieuse;

 

Qu'elle déroulait

Sans aucun frein !

Qu'elle en roulait

L'refrain enfreint !

 

Mère hystérique

En crises de nerfs !

Roule mécanique

D'la guerre des nerfs !

 

Système nerveux

Rien que pour elle !

J'fus un morveux;

Mort vœu d'Noël !

 

Mère acolyte

Genre frénétique !

Aux ovocytes

Si hystériques !

 

Mère rapporteuse !

Elle sulfureuse;

En mère porteuse !

Toujours furieuse;

 

Je fus conçu

Par mes parents !

Genre préconçu

Enfant n'aimant !

 

En son côté 

Précoce qui veut

En à côté !

Un désaveu 

 

Prématuré;

Comme un bébé !

Prématuré

Et avorté

 

Sans PMA;

Laissée portée !

Sans GPA;

Laissée porter !

 

Mère rapporteuse !

Elle sulfureuse;

En mère porteuse !

Toujours furieuse.

 

Jérôme de Mars

 

 

Sers-je Gainsbourg ?

 

Artiste libre;

Il naquit !

Lui qui vibre

L'être exquis !

 

L'2 Avril

En 28 !

Sur le fil

Qu'il lévite

 

De son art

D'origine !

Luit Gainsbarre

Qu'il dessine

 

De son être

Mal-aimé !

Pour paraître

L'plus complet !

 

En ballade

Initiale !

BB Clyde

En balade !

 

D'un dépôt 

De plainte !

Y a du pot

De complainte !

 

Marseillaise;

Reggae

Charentaises !

Aux armes d'guêt !

 

You'under

The arrest !

Incendiaire

Pour le reste !

 

De sa Jane

A Bardot !

Ca n'le gêne

Le bédo !

 

Qu'il n'eut donc

Pas la gale !

En France donc !

C'est l'égal !

 

Sers-je Gainsbourg ?

Des faux bourgs;

Serge Gainsbourg

Des faubourgs;

 

D'origine

Roulette Russe !

Juive d'racines

Quoiqu'il fusse !

 

L'poète maudit !

Artiste peintre;

Qu'il dédie

D'Melody !

 

Elisa;

L'poinçonneur

Des Lilas;

Enchanteur

 

Qu'il mit l'eau

A la bouche !

Donc hello

Sur la touche !

 

Libérant

69 !

S'excitant

L'69 !

 

Erotique

Sur année;

Poétique

Suranné;

 

Comme il dit

A Angèle !

Et souris !

Comme on gèle !

 

De Melody

A Nelson !

D'une mélodie

Qui résonne

 

See; sex; sun

Dans la lune !

Une du Sun;

C'est la une !

 

D'légionnaire !

Un emprunt

Piaf ! Faux airs

80 !

 

Sers-je Gainsbourg ?

Des faux bourgs;

Serge Gainsbourg

Des faubourgs;

 

Qu'il chanta

La chanson

D'Prévert là !

Chaque saison

 

D'l'anamour;

Décadanse !

Troubadour;

De la chance !

 

Aux enfants

De la chance !

Exact'ment

L'innocence !

 

Sous l'soleil !

D'Javanaise

Là vermeil !

Sans fadaise !

 

En effet

Boomerang !

Que fut fait

Son drôle d'gang !

 

Qu'il débite 

De son love

On the Beat !

Qui rénove

 

Son image

Jamais sage !

A l'image

Qui présage

 

Qu'il mourut;

Or de bronze

Absolu !

Sa mort l'bronze

 

Le 2 Mars

En 91 !

Planète d'mars !

Coule son bronze !

 

Son génie

Sur Paris !

Pour la vie !

L'incompris !

 

Sers-je Gainsbourg ?

Des faux bourgs;

Serge Gainsbourg

Des faubourgs.

 

Jérôme de Mars

 

 

Le café linéaire

 

Dans la faune et la flore;

Je vais me cultiver

Buvant les mots exports

En quête de liberté !

 

D'un bon percolateur;

C'est toujours fort d'café !

D'un bon torréfacteur

Dans le Marc de Café !

 

Je lis d'désinvolture

En mon jeu d'écriture !

Sans contre marque de culture !

Qui n'est une imposture !

 

Jetée en pleine figure;

Stylo de mon jet d'encre !

Rejetée configure;

C'est l'objet de mon encre !

 

Le café linéaire;

Solidaire; libertaire !

Le café littéraire

Des livres contestataires !

 

Au café suspendu

Solitaire solidaire;

Que je suis suspendu

En une quête libertaire

 

De boire mon café d'artiste

En ma fibre si sociale !

Qu'je veux rester altruiste;

Hédoniste; amical !

 

Pour lire tout l'avenir

D'un bon Marc de Café !

Buvant tout le plaisir

De boire un bon café 

 

Au café du Troquet !

Ame d'artiste très rebelle;

Requête de liberté

M'évadant d'façon belle !

 

Le café linéaire;

Solidaire; libertaire !

Le café littéraire

Des livres contestataires !

 

Parlant l'inquisition

De la recherche des mots

En une révolution;

Faisant aller vers l'haut !

 

Montant d'un escabeau !

Voyant sur une échelle;

La joie d'un monde plus beau !

Elançant fraternel;

 

L'origine radical

Des mots en conflit !

Qui désire si verbal;

Un bal d'vers définis

 

En une fête d'confettis !

Remise du prix d'un livre

Au café d'Flore qui fleurit

D'un mot d'où je m'enivre !

 

Le café linéaire;

Solidaire; libertaire !

Le café littéraire

Des livres contestataires !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le bazar fait bien les choses !

 

Nom d'un putain de bordel !

Il y a tout un bric-à-brac,

Pour slamer cette ritournelle;

Grossiste d'artiste d'tact au tact !

 

Comme le Big Bazar d'Fugain !

On y trouve d'un tas d'articles;

Articles de la presse d'demain !

Il y a des cycles qui recyclent

 

Les objets qui font l'objet !

En sortant les griffes d'achat

Du capharnaüm d'objet !

Avec pour pouvoir d'chat;

 

Un achat à fond la caisse !

D'L'Euro en appât du gain !

Payant content en espèces !

Et donc pour bien faire l'appoint;

 

Le bazar fait bien les choses !

Pour bien remuer les choses,

Le hasard fait bien les choses !

Pour bien échanger les choses,

 

Si l'espèce est menacée;

Il faut payer en liquide

Sa dette ! Pour mieux rembourser

L'capitalisme qui liquide

 

Parlant en argent comptant !

Sans connaître le prix des choses !

Si la parole hait d'argent !

C'est l'argent qui est en cause

 

A cause de devoir toujours

Payer ce qui est gratuit !

Ca n'vaut le détour vautour !

De l'argent qui n'est fortuit

 

En méchanceté gratuite !

A payer les libéraux:

L'eau toute bénite est gratuite

D'points cardinaux radicaux !

 

Le bazar fait bien les choses !

Pour bien remuer les choses,

Le hasard fait bien les choses !

Pour bien échanger les choses,

 

L'argent a tant de pouvoir !

Achetant les sentiments

Automates; sans s'émouvoir

De la vie n'réconciliant

 

Les gens qui n'pensent qu'à l'argent !

N'y allant avec le dos

De la cuillère en argent !

L'argent provoque des bobos !

 

Des bourgeois bohème à gauche !

Qui prennent le gauche de la droite,

Comme de la droite; ils sont gauches !

En des maux extrêmes à droite !

 

L'argent certes ne fait pas tout !

Mais comme l'temps; c'est de l'argent !

L'objet de la vie en tout

A pour pouvoir fructifiant !

 

Le bazar fait bien les choses !

Pour bien remuer les choses,

Le hasard fait bien les choses !

Pour bien échanger les choses.

 

Jérôme de Mars

 

 

Je me fais du mâle pour ne faire du mal aux autres !

 

Mes cieux audacieux; monsieur odieux pernicieux !

J'n'en ai rien à faire de mes affaires; rien affaire !

Que dans ma vie; plus rien n'est précieux capricieux !

Comme ma vie est un enfer ! A force de m'en faire !

 

Dans un paradis d'enfer ! Parodie d'en faire !

Un paradis artificiel d'en faire d'enfer

Dans une parodie d'en faire ! Paradis d'enfer !

Une parodie artificielle d'enfer d'en faire

 

Un diable d'enfer d'en faire un sacré diable d'enfer !

Pour transporter un chariot d'en faire l'paradis !

D'un diable d'en faire d'enfer un sacré diable d'en faire !

Transportant un chariot d'enfer la parodie !

 

De mon image qui s'écorne par les cornes du diable !

Et en prenant le taureau par les cornes du diable !

De mon image de par les cornes d'enfer du diable !

En m'éprenant de par les cornes d'en faire du diable !

 

Je me fais du mâle pour ne faire du mal aux autres !

Que j'en saigne animal comme personne ne me vautre !

Je me donne du mal pour ne faire du mâle aux autres !

Que j'enseigne animal comme personne ne me vôtre !

 

Je me ronge les ongles pour défendre rubis sur ongles !

Restant droit devant et plus maladroit déviant !

Les ongles m'rongent de l'intérieur; prises de becs et ongles !

N'restant droit déviant pour être mâle adroit devant !

 

Je suis un mâle heureux; un malheureux du slam !

Qui chante; déchante si bien que quand tout ça me chante !

J'vous suis en malheureux; en mâle heureux du slam !

Qui déchante; chante et bien et quand tout ça m'en chante !

 

J'parle pour ne plus déchanter que la vie m'enchante !

Jouant avec les mots; surjouant d'par les mots !

Comme tout ça me parle avec la vie qui m'déchante !

Déjouant tous les maux; c'est l'envers du dico !

 

La vie, je la vis qu'elle m'envie; je la dévie !

Qu'tout ça fait du bruit en débris faisant du brie

De Comté; sans compter pour personne en des bris

De glace; je fends l'armure sans des fêtes d'confettis !

 

Je me fais du mâle pour ne faire du mal aux autres !

Que j'en saigne animal comme personne ne me vautre !

Je me donne du mal pour ne faire du mâle aux autres !

Que j'enseigne animal comme personne ne me vôtre !

 

En une affection de longue durée en durée !

Avec tout ce que j'ai supporté enduré !

Que j'ai trop morflé écorché d'un ricochet !

Faisant hibou; caillou; chouchou d'un ricochet !

 

Je n'ai point marqué; remarqué une marque de luxe !

Avec l'en vie de me jeter par la fenêtre !

Que je me luxe le moral avec pour velux;

Pas l'envie de jeter l'argent par la fenêtre !

 

J'essaie tant bien que mâle de faire le bien sans mal !

Même si je me donne du mal pour faire tant le bien !

Malgré mon côté animal; je n'fais le mâle !

O combien déconseillé pour en faire un lien !

 

Pour penser; compenser; autant à moi qu'aux autres !

Car même si je suis odieux; je peux croire à Dieu !

Comme au bon Dieu et à tous ses très bons Apôtres !

Qui me donnent encore tant en vie d'y croire radieux !

 

Je me fais du mâle pour ne faire du mal aux autres !

Que j'en saigne animal que personne ne me vautre !

Je me donne du mal pour ne faire du mâle aux autres !

Que j'enseigne animal que personne ne me vôtre !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

On en voit la couleur !

 

Aux couleurs de la vie !

D'une vie rose qui arrose

Aux couleurs qui dévient

D'une vie en sinistrose !

 

Aux mots roses qui voient rouge !

En noir et blanc sans blanc;

N's'arrêtant au feu rouge !

Troublant; tremblant; semblant !

 

Où on voit tout en gris !

Quand tout l'monde est marron !

En cet immonde aigri;

Sans nourriture d'marrons !

 

En des marrons chauds;

Grande période de froideur;

Personne n'est jamais chaud !

A cause des bleus au coeur !

 

On n'en voit la couleur !

Jamais haute-en-couleurs !

Pour reprendre des couleurs !

Ce monde manque de couleurs !

 

Pressé comme une orange !

Manquant de jus en jaune;

Travaillant à Orange;

Qui ne s'arrange en jaune !

 

C'est la faune et la flore

En c'monde ultra-violé !

Personne ne fait le fort !

N'bronzant ultra-violet !

 

Personne n'est vraiment noir !

Personne n'est vraiment blanc !

Même en broyant du noir

D'un humoir noir sans blanc;

 

Etant si noir en gris;

Ce monde manque de gri-gri !

Pour ne plus être et gris,

On veut d'la griserie !

 

On en voit la couleur !

Jamais ôte-en-couleurs !

Pour reprendre des couleurs !

Ce monde manque de couleurs !

 

Qu'on veut du bleu très clair !

Et plus de bleu foncé !

En formes de bleus éclairs !

Et plus d'bleu défoncé !

 

Qu'on veut un bleu turquoise !

Sans des presqu'îles turquoises 

En des couleurs sournoises;

On veut des Iles Turquoises !

 

On veut du rouge très vif

En couleur écarlate !

Sans rouge piqué au vif

En couleur délicate !

 

Plus de couleurs émeraude;

Fragiles d'ptits bijoux !

Qu'on veut une chose qui brode

Un arc en ciel bijou !

 

On en voit la couleur !

Jamais ôte-en-couleurs !

Pour reprendre des couleurs !

Ce monde manque de couleurs !

 

Jérôme de Mars

Rimbaud et Verlaine

 

Deux poètes maudits;

Ils en furent un couple

De mélancolie;

Qu'ils ne furent guerre souples

 

Avec tout leur spleen;

Eux; ces grands corbeaux

En vers plus que green !

Lettres de ces corbeaux !

 

En leurs trop gros mots 

Aux mots sexuels !

Sans eldorado

Homosexuel !

 

Quand le bateau ivre;

Livre que des grosses larmes !

Quand le bateau livre

Le givre qui désarme

 

Pierrot; sa lune blanche

Sur l'herbe à Paris !

L'art poétique flanche

La mort qui fleurit

 

D'premières communions !

Entre vents et colères !

D'leur première union

A Charles Baudelaire;

 

Rimbaud et Verlaine;

D'l'amour à la haine !

L'amour fut rengaine !

Qu'il n'reprit haleine !

 

A l'aube qui taraude

L'soir d'un clair de lune !

Vie fragile d'émeraude;

Comptant pour des prunes !

 

Le dormeur du val

D'Marne; bal des pendus !

Qui dévale l'aval

D'Septembre suspendu !

 

Il pleut dans mon coeur !

Une mélodie d'poèmes;

Que l'amour rancoeur

En fut ma bohème !

 

Dans l'angoisse oraison

D'une nuit en enfer !

Qu'ils n'eurent pas raison

A force d'trop s'en faire !

 

L'poète et la muse

Vivent bien tous ces vers !

Madame; ça l'amuse !

La vie est sévère !

 

Bien ces vers sans filles !

Eux; ils ne filent droit !

Que leur vie défile

En mots maladroits !

 

Rimbaud et Verlaine;

D'l'amour à la haine !

L'amour fut rengaine !

Qu'il n'reprit haleine !

 

Quand le loup criait

Tout leur coeur volé !

Leur mal effaré;

Bouffé en buffet !

 

Manque de volonté !

Manque de femmes et chattes !

Tous les soirs d'été;

Rendant écarlate

 

Leur rouge sérénade

Au soleil couchant !

Chantant leur ballade;

Promenade sentant

 

L'soleil du matin !

Avec pour mémoires

En bateau; l'entrain

Pour boire en déboires !

 

J'ai toujours presque peur

En vérité des vers !

Adieu ! Le bonheur !

Qui reflète ces vers !

 

Bien après trois ans

Une chanson d'automne !

D'la rivière pleurant

En danse monotone !

 

Rimbaud et Verlaine;

D'l'amour à la haine !

L'amour fut rengaine !

Qu'il n'reprit haleine !

 

Jérôme de Mars

Le blues du poète maudit 

 

Mélancolie d'accoudoir;

Je ne fais que trop pleurer

Aux reflets de mon mouchoir !

Aux regrets d'ma vie passée;

 

Qui passe firmament du temps

Mensonger, comme de mes rêves

Aux cauchemars; m'embrasant

Avec le feu qui m'achève !

 

Ecrivant mon désespoir

En saignant de mon sang d'encre;

Que ma vie est un foutoir !

Surtout la nuit d'un jet d'encre !

 

M'y laissant des plumes si noires

D'mon stylo à l'emporte-plume !

Qui est l'cruel exutoire;

M'enfonçant vers le bitume !

 

Le blues du poète maudit;

A tous les maux qu'on me dit !

Le blues du pote être mots dits;

A tous les mots qu'on me dit !

 

Je fais monotone d'une feuille

Morte; franc-parler en langue morte !

Quelque chose; j'sors un recueil !

Je fais mon automne d'une feuille

 

Forte; franc-parler en langue forte !

Me livrant tapis de feuille !

D'sorte de murmurer voix forte !

Me livrant tapi de feuille !

 

En écrivant un beau livre;

Qui me livre mes états d'âme !

En forme d'poèmes qui m'enivrent;

Qui me livrent à l'état d'lames !

 

Les aléas de la vie !

Au fil du temps qui se meurt !

Que la vie me rend flétri !

Extinction des projecteurs !

 

Le blues du poète maudit;

A tous les maux qu'on me dit !

Le blues du pote être mots dits;

A tous les mots qu'on me dit !

 

Je déferle d'mon vague à l'âme !

En mon internet d'fossettes;

Qui m'inspirent tant pour le slam !

Que j'en fais un drame d'saynètes !

 

Ma vie part en des lambeaux !

Sans remparts d'sécurité;

Mes excès me font la peau !

Remparts d'insécurité;

 

Je vais tout droit dans le mur !

D'un bloc de mur de béton !

Que je perds ma vraie nature !

D'un bloc pas mûr laisse-béton !

 

J'écris pour ne pas pleurer

En peinant de ma peine !

Je jette l'encre pour m'défouler

A peine ! Faisant de la peine !

 

Le blues du poète maudit;

A tous les maux qu'on me dit !

Le blues du pote être mots dits;

A tous les mots qu'on me dit !

 

Jérôme de Mars

Toute l'humeur des gens

 

Humeurs bipolaires;

On en naît tous là !

Humeurs délétères;

On en est tous là !

 

Du temps lunatique;

Changement d'humeur !

En périodes cycliques;

Changement tu meurs !

 

Que tout l'monde s'éclipse

Dès le soir d'la lune !

Avec pour ellipse;

La montée d'la dune !

 

Plus rien n'tourne en rond !

Aux gens euphoriques;

Qui s'soûlent rubiconds !

Et soûlent frénétiques !

 

Toute l'humeur des gens;

Sautes d'humeur volcan;

Des tourments néants

Aux gens apaisants;

 

En c'monde toxico;

Ultra agressif !

En c'monde maniaco;

Ultra dépressif !

 

Lumières du soleil

D'un clair de lumière !

A l'ombre de vermeille

Sombre d'merveilles éclairs !

 

Personne n'se comprend

Dans ce monde qui change !

Regrettant touchant

C'monde qui manque d'échanges !

 

Changeant; fluctuant

En fonction du temps !

Qui tourne constant

Direction le vent !

 

Toute l'humeur des gens;

Sautes d'humeur volcan;

 Des tourments néants

Aux gens apaisants;

 

Les gens changent d'humeur !

Comme le temps qui change

D'humeur et d'bonheur !

Le monde se mélange

 

Entre les déprimés;

Les gros schizophrènes;

Les grands névrosés;

Que rien ne réfrène !

 

En problèmes d'humeur

Et d'identité;

Masquant leur humeur !

N'pouvant effacer

 

Leurs mauvaises humeurs !

Entre joies et tristesses;

Colère et bonheur;

D'harmonie d'liesse;

 

Toute l'humeur des gens;

Sautes d'humeur volcan;

Des tourments néants

Aux gens apaisants.

 

Jérôme de Mars

Papier à musique 

 

A portée de notes !

En trouvant ses mots;

On apporte des notes !

Qu'on note crescendo !

 

Faisant l'interro

En quête d'partition !

Notant sur l'piano;

La répartition

 

En une portée d'mots !

Apportée synchrone;

Qui fait des échos

De musique qui sonnent !

 

Emportée de notes

Qui met que des notes;

D'interro qui trotte

Dans la tête; qui frotte !

 

Papier à musique;

Roule des mécaniques !

Mémos de techniques;

Qui fait d'la musique !

 

Partition d'musique !

Tape sur le tam tam !

Qui fait pas tes tics

En des mots qui slament !

 

D'une musique de bruit;

Ambiance garantie !

Les mots font débris !

Composant joli;

 

La folie des grandeurs !

Composant rythmique

Ce qui fait fureur !

L'heure de la musique

 

Folie des frondeurs !

Quand un traitement

D'médiator chante leurre !

En en composant

 

Papier à musique;

Roule des mécaniques !

Mémos de techniques;

Qui fait d'la musique !

 

On a les papiers

Pour faire d'la musique !

Avec cent papiers

Pour faire pacifique

 

Tout en pénétrant !

Entre dans les critères !

Rentre émoustillant !

Colère; décolle l'air

 

De rien ! L'air du temps !

Prenant tous les airs

Débonnaires; chantant

Les bals populaires !

 

Avec un papier;

Un crayon d'couleurs !

Glissant le papier;

Ampli de candeur !

 

Papier à musique;

Roule des mécaniques !

Mémos de techniques;

Qui fait d'la musique !

 

Jérôme de Mars

Romanichelle

 

Chic bohémien;

Je suis très louche !

Comme un Indien !

Jouant manouche !

 

Des airs gitans

De la bohème

En claironnant;

Anti-système !

 

Un marginal

En file Indienne !

Un original

Amère Indienne !

 

Je fume Gitane !

Jouant Roumain

Des airs tziganes !

Payant rupin;

 

Romanichelle

En ritournelle !

De manivelle;

Qui amoncelle

 

Une pléiade d'choses

En artiste libre !

D'une overdose;

Bohème qui vibre

 

Fumant roulés;

Que des gitanes !

J'fume déroulée !

Toute la havane !

 

Ainsi d'ma vie !

Qui part en fume;

Fumée d'ennui

Sur le bitume !

 

De ma bohème

Si marginale;

Anti-système

Originale;

 

Romanichelle

En ritournelle !

De manivelle;

Qui amoncelle

 

En vagabond;

Je fume nuages

D'Reinhardt ! Ah ! Bon !

Jouant nuages

 

Nuages d'fumée !

Tziganes qui fanent !

Epoumoné

En mélomane !

 

Jouant manouche

Des airs Roumains !

Indiens si louches !

Fumant rupin;

 

En file Indienne !

Le calumet

Que de la paix !

Amère Indienne !

 

Romanichelle

En ritournelle !

De manivelle;

Qui amoncelle.

 

Jérôme de Mars

 

Rendez-vous à ces heures !

 

Une heure de vérité;

A n'importe quelle heure dite !

D'un leurre de vérité;

A une messe qui est dite !

 

A ces heures éperdues;

Font c'est du pain béni !

A ces grandes heures perdues,

Quand il y a des non-dits !

 

En quelques sorte des messes basses;

Chaque jour compte vingt-quatre heures !

Jouant en contrebasse

A contre-jour conte des leurres !

 

Faisant l'confessionnal !

Confessant des péchés;

Faisant cérémonial !

En confiant en péchés;

 

Rendez-vous à ces heures !

Rendez-vous à seize heures !

Rendez-vous à cette heure !

Rendez-vous en ce leurre !

 

Au curé de l'église;

C'curé est une cloche !

Que sa foi; il la puise !

Y a quelque chose qui cloche !

 

Quand il faut mettre la pierre

A tout son édifice !

Quand y a de la matière

A tout son artifice !

 

Ecrivant des paroles

Sur la bible d'son histoire !

Toutes les paroles s'envolent !

Travers du purgatoire

 

Sans un régime Missel;

Surtout quand les cris restent !

Et d'un régime Mi-sel;

Missel; sans sel; pour l'reste !

 

Rendez-vous à ces heures !

Rendez-vous à seize heures !

Rendez-vous à cette heure !

Rendez-vous en ce leurre !

 

Pour avoir des repères

En une vie sans la nuit !

S'il y avait en repaire

La foi rendant toute ouïe !

 

Le fait d'y croire encore !

Rassemblant en réunion

En des accords raccords;

L'union en communion !

 

Tout le monde se mélange !

Afin que tout s'arrange

D'une vidange en vie d'ange;

Qui se change en échanges

 

D'écrits contre des paroles !

Faisant manichéens

Qu'du lien en farandole !

Faisant tant mal que bien !

 

Rendez-vous à ces heures !

Rendez-vous à seize heures !

Rendez-vous à cette heure !

Rendez-vous en ce leurre !

 

Jérôme de Mars

 

A la sueur de mon affront à L'ESAT La Fabrique !

 

Voici une petite saynète sur L'ESAT La Fabrique, où deux amis, anciens collègues de L'ESAT La Fabrique se confient des choses au sujet de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique à Vitry sur Seine :

 

Voici Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite; qui appelle avec son téléphone portable Charlotte Prêtre, son amie et ancienne collègue de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

-  "  Allo, bonjour Charlotte, comment vas-tu ? C'est Jérôme qui t'appelle au téléphone ! "

 

Charlotte Prêtre, ancienne agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :

- " Bonjour Jérôme, moi ça va ! Et toi ? En tout cas, je voulais te redire, je te trouve beaucoup mieux depuis que t'as quitté cet ESAT de merde à L'ESAT La Fabrique, tu étais tellement au bout du rouleau qu'il n'y avait plus de papier toilettes quand les gens allaient aux toilettes ! Surtout à cause de Benoîte Barreteau, cette fausse sceptique, dont son bureau de cabinet de pseudo psychologue était à côté des cabinets toilettes, que pour toi, elle fut un rouleau-compresseur qui te mit au bout du rouleau de papier; et à cause d'elle, tu n'eus jamais d'écu avec tes problèmes d'argent d'allocations de l'époque ! Jérôme, je me demande bien ce que t'y as fabriqué à L'ESAT La Fabrique ! A part perdre ta santé à la prison de la santé où tu fus si renfermé avec aucune clé de la solution ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

-  "  Pour répondre à ta question Charlotte, moi ça va ! Ca ira mieux le jour où cet ESAT de merde fermera, où je pense que je trouverai la clé de la solution pour être ouvert et ne plus être Over renfermé ! Tu vois Charlotte, je pense que l'atelier conditionnement va couler quand Eric Thébault, le moniteur principal de l'atelier conditionnement va prendre sa retraite en Juillet 2025, surtout qu'à partir de ce moment-là, Eric pourra dire qu'il s'en bat en retraite de L'ESAT La Fabrique tout comme toi, alors que moi, je bats en retraite depuis ma démission de cet ESAT le 17 Février 2021 ! En plus il paraît qu'à L'ESAT La Fabrique, il n'y aura pas de fête de Noël en Décembre 2023 prochain, comme l'atelier cuisine a perdu un gros client, ce qui fera un manque d'argent pour cet ESAT ! "

 

Charlotte Prêtre, ancienne agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :

-  " Jérôme, c'est bien fait pour leur gueule à cet ESAT de merde ! Ils récoltent ce qu'ils ont semé ! En plus, tu vois Jérôme, toi et toi, on n'arrêtait pas de nous cuisiner à cause du manque d'hygiène quand nous passions les bouteilles en mettant tout à plat avec Dugas, dont les revers furent : " Bonjour ! Les Dugas ! " Mais la preuve Jérôme que toi et moi, on ne manquait pas d'hygiène malgré qu'on était conditionné au pire ! C'est bien l'atelier cuisine qui manquait d'hygiène avec une mauvaise hygiène de vie; à cause de quelques agents qui fumaient du shit ici joint; et rejoint pour joindre l'utile à l'agréable que la cuisine en perdit un gros contrat juteux en argent content, comme à L'ESAT La Fabrique, le silence est d'or, la parole est d'argent, surtout avec une direction qui prend tout pour argent content !  Et toi Jérôme de rester dans cet ESAT, ça ne t'a pas du tout aidé, comme tout le monde te flinguait avec des maux ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

- " Je ne te le fais pas dire Charlotte, comme à L'ESAT La Fabrique, on n'arrêtait pas de me flinguer en me disant que j'étais un assisté, même que personne ne m'aidait à part m'enfoncer, le mieux aurait été de m'aider à mieux m'enfoncer pour me flinguer dans un suicide assisté ! A ton avis Charlotte pourquoi je ne parle de la politique mais de l'apolitique ? "

 

Charlotte Prêtre, ancienne agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :

- " Je ne sais pas Jérôme ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

-  A force qu'on me pousse dans mes extrêmes et dans mes retranchements qui a fait que la politique de L'ESAT avant; me parlait bien de façon droite sans prendre le gauche et sans aller dans les extrêmes au centre des discussions de la politique, alors que les derniers temps, cet ESAT de merde me parlait mal à l'extrême de façon mal à droite en prenant le gauche largement au centre des discussions de l'apolitique ! Charlotte, j'ai une colle à te poser, à quoi on trinquera toi et moi le jour où L'ESAT La Fabrique fermera en mettant la clé sous la porte ? "

 

Charlotte Prêtre, ancienne agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :

-  " Au ver de l'amitié solidaire après tes revers solitaires ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

- " C'est pas vraiment ça Charlotte; en tant que poète maudit délétère qui rime avec amer et qui arrime avec ah ! Mer, le jour où cet ESAT de merde fermera, je te proposerai pour nous deux après avoir trinqué de notre santé de trinquer à notre santé retrouvée en arrosant la fermeture de L'ESAT La Fabrique avec du rosé arrosé à la sueur de mon affront ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Quel est ton mobile pour écrire ce slam ?

 

Immobile dans mes idées fixes portables;

Je cherche mon mobile avec pour mobile !

L'appel d'mon inspiration importable

Au beau fixe ! Pour être ci-joint immobile !

 

Appelant d'un mobile immobile fixe

En mes idées fixes mobiles; ne gardant

La raison ! Perdant l'oraison en rixe !

M'épelant par mon nom en l'écorchant !

 

Tel un écorché vif ! Piqué au vif !

Rentrant dans le vif du sujet; sujet

Apparent toujours si vif; subversif;

Transgressif; ce n'est jamais le sujet !

 

D'être sans arrêt l'objet de temps de soin !

J'peux être aussi un sujet principal !

Avec l'envie d'écrire ayant besoin

De me demander de façon frontale !

 

Quel est ton mobile pour écrire ce slam ?

Quand je suis en train d'écrire toute ma trame !

Dans l'trame du Paris Paname macadam;

Avec pour métro de retard mon drame !

 

De n'être hein compris ! Pour naître incompris

Dans un système marginal atypique !

Pour hêtre un compris en tant qu'un con pris !

Genre un rebelle soporifique antique !

 

J'ai le tic systématique sans éthique !

D'avoir pour tactique l'jeu d'écriture !

Jouant avec les mots qui hé moussent tics

Les moustiques; qui m'envoient des piques en durs !

 

Que j'endure avec personne qui m'appelle !

Ayant pour rappel l'appel d'la forêt !

Qui fait qu'personne ne répond à l'appel !

Que j'en deviens renfermé; emmuré !

 

Ne me répondant à mes SMS;

Moi qui manque de répondant; répandant

Que la haine avec tous mes SMS !

Ayant du cran que je suis trop à cran !

 

Quel est ton mobile pour écrire ce slam ?

Quand je suis en train d'écrire toute ma trame !

Dans l'trame du Paris Paname macadam;

Avec pour métro de retard mon drame !

 

Même s'il faut que j'me remette en questions !

Quel hait celui qui voudra me répondre ?

Ayant pour répondant toutes mes questions !

Quel est celui qui voudra me faire fondre ?

 

En sanglots en m'disant la vérité !

Les quatre vérités; repliées en quatre !

Que j'me plie en quatre de ces vérités !

Essuyant tous les plâtres de mon psychiatre !

 

Et malgré que je sois immodéré

Avec les gros excès de mes messages !

Si je redevenais très modéré;

Envoyant pour mais sage ! Un beau mets sage !

 

Faisant d'rage en orages; le présage

D'un retour à un mobile immobile !

Mobilisant en un premier pas sage;

L'message mobile fixe ayant pour mobile !

 

Quel est ton mobile pour écrire ce slam ?

Quand je suis en train d'écrire toute ma trame !

Dans l'trame du Paris Paname macadam;

Avec pour métro de retard mon drame !

 

Jérôme de Mars

 

L'hiver été empreint tant de monotone !

 

A chaque saison de l'année des quatre saisons

Du calendrier; survolant toute l'année !

Les saisons ne font qu'fredonnner des chansons !

En sirotant une bière aux frais d'un air frais !

 

Comme les quatre saisons de Vivaldi pliées

En quatre; se mettant en quatre des quatre saisons !

Repliées en cadre; émoussé qui essaie

De chanter jusqu'à l'horizon du bal con !

 

En lançant une perche à l'oiseau du perchoir;

Cet oiseau volatile; chantant; vola-t-il ?

Vers le haut ou le bas d'son instinct notoire ?

Déchantant; indocile; enchantant; docile !

 

Se faisant la belle ! Battant d'l'aile à-tire-d'aile !

Chantant une ritournelle en des mots d'hiver;

Qui dépucellent le signe de la vierge au ciel !

Déchantant une ritournelle en des maux d'hiver !

 

L'hiver été empreint tant de monotone !

Des maux d'hiver d'printemps étaient sonotones !

L'hiver; été; en printemps de mon automne !

Des mots d'hiver d'printemps n'étaient sonotones !

 

Cherchant des confettis pour faire une grande fête !

Avec des fruits des confits en danse d'cagnard !

N'cherchant des confettis pour faire une défaite !

Avec des fruits déconfits contre danse d'canard !

 

Dès l'été; la saison des amours flirtant

Corse air; piratant la saison désamour !

Grattant le ciel gratte ciel lors du firmament,

Comme un aimant collant; racolant le jour !

 

Ecrivant sur une feuille morte des mots d'amour !

Sans maux d'amour; parlant une mauvaise langue morte !

Boléro romantique au jour l'jour vos tours !

Il y a les flammes d'l'amour qui parlent la langue forte !

 

Avec l'amour de la bébête qui est bête !

Faisant des suçons; tirant l'coup du lapin !

Avec l'amour de la belle bête qui hébète !

Suçant des glaçons en posant des lapins !

 

L'hiver été empreint tant de monotone !

Des maux d'hiver d'printemps étaient sonotones !

L'hiver; été; en printemps de mon automne !

Des mots d'hiver d'printemps n'étaient sonotones !

 

Mangeant au réveillon d'Noël ! Une embûche

De travail qui bûche pâtissière en dessert !

C'est une lune de miel qui se prépare en ruche;

Qui dessert sans ombre que de la lumière claire !

 

Skiant l'hiver en surfant sur la terre nette !

Faisant touche touche sur une touche d'ordinateur !

Skiant divers en surfant sur Internet !

Faisant mouche sur une touche d'l'élu de son coeur !

 

Faisant bourdonner chaque été les bourdons !

N'boudez pas votre plaisir d'avoir le bourdon !

Filant l'bourdon et le cafard au cafard !

Pour avoir le moral; il faut le cagnard !

 

Dans un nid d'abeilles sans un déni de miel !

Avec pour dune de miel; rien que de l'amour !

Conjugué en des saisons intemporelles

Qu'il faut entretenir pour faire tant l'amour !

 

L'hiver été empreint tant de monotone !

Des maux d'hiver d'printemps étaient sonotones !

L'hiver; été; en printemps de mon automne !

Des mots d'hiver d'printemps n'étaient sonotones !

 

Jérôme de Mars

 

Nelson Mandala

 

Ce fut un grand homme !

En somme qui naquit

L'18 Juillet ! Comme

Un être si exquis !

 

Acquis à sa cause;

Oeuvrant pour la paix !

Que d'ses ecchymoses;

Il fit d'la bonté  !

 

Cap d'bonne espérance !

1918;

Naît son enfance !

Qu'il ne veut de fuite

 

En avant; allant

Pour changer les choses

D'Apartheid défiant !

Qu'il veut d'son osmose !

 

Aider les plus pauvres

Sans son embolie !

Respirant l'air sobre

En une embellie !

 

Voulant changer l'monde !

Pour que tout l'monde s'aime

Sans une fronde immonde !

Afin que parsème

 

Nelson Mandala;

Donnant de la joie !

Nelson Mandela;

Jamais rabat-joie !

 

Voulut des couleurs

Dans ce monde si noir !

Luit homme de couleurs;

Voulut l'histoire

 

D'son Afrique du Sud;

Il fut l'président !

Contre le peule blanc rude

Et prude; sans semblant !

 

94

-99;

Etant opiniâtre

Dans un pays neuf

 

En son ANC;

Tout son ADN !

Aidant les fauchés;

Victimes de la haine !

 

De tout L'Apartheid

En couleurs de peau;

Il voulut que tous s'aident !

Tous ayant du pot !

 

D'solidarité;

Tous pareils; égaux !

En fraternité;

Déclamant let's go !

 

Nelson Mandala;

Donnant de la joie !

Nelson Mandela;

Jamais rabat-joie !

 

Comme dans sa prison

A lui sans santé !

Qu'à l'horizon;

Il fut libéré !

 

Luttant sans violence

En paix contre l'racisme

Avec élégance !

Chassant l'égoïsme

 

Des blancs contre les noirs !

Minorité blanche

Dans un purgatoire

D'une nouvelle page blanche !

 

Que notre Madiba

Lutta contre L'Sida !

La cause de son coeur !

Et sans une rancoeur

 

En son embellie

Pulmonaire à mort;

Il mourut d'embolie

Pulmonaire retors;

 

Un triste 9 Juillet

2013; ce jour !

Luit idolâtré

A Johannesburg !

 

Nelson Mandala;

Donnant de la joie !

Nelson Mandela;

Jamais rabat-joie !

 

Jérôme de Mars

 

Le parloir des chansons

 

Comme mon grand corps malade

Dans la tête; j'fais du slam

Envoyant en ballade;

Je n'aime pas les quidams !

 

Qui me font tant de mal;

M'disant des choses méchantes !

J'ai la haine animale !

Telle une hyène mécréante !

 

Je m'en fous d'la planète !

J'ai envie d'me venger !

Faisant des choses pas nettes !

Genre en poil à gratter !

 

Grattant là en plantant

En tant qu'second couteaux !

M'exprimant; expliquant

Ma prison sans barreaux !

 

Le parloir des chansons

Depuis ma belle prison

Adorée; faisant front !

Car rien à l'horizon !

 

Comme je ne vois jamais

Le bout de mon tunnel !

Ecorché par l'bûcher

De ma vie sans Missel !

 

Je vends mon âme au diable !

Ce sacré diable d'enfer !

Dont je porte exécrable

Ma vie à bout d'l'enfer !

 

Je suis désabusé

Brûlant tous mes ancêtres !

Toujours pour déchanter

Mes nuits sans un maître !

 

Pour ne faire n'importe quoi !

Comme le temps d'la grenouille !

Que je croasse acoa

Bon ? Donc que j'agenouille !

 

Le parloir des chansons

Depuis ma belle prison

Adorée; faisant front  !

Car rien à l'horizon !

 

J'essuie la cheminée

De mes nuits qui essuient

Les suies; je traîne mon boulet !

Que s'ensuit c'que je suis !

 

Enfermé; renfermé

Dans ma prison dorée !

A devoir composer

Avec tout ça d'cramé !

 

Qu'je joue avec le feu !

En blasphémant odieux !

Mon Dieu si belliqueux !

J'n'ai jamais été pieux !

 

Attendant donc la mort !

Pour écrire si ces vers

A bouffer mes remords !

Et bouffé par les vers !

 

Le parloir des chansons

Depuis ma belle prison

Adorée; faisant front !

Car rien à l'horizon !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Clé à mimolette !

 

Si j'ouvrais d'une clé;

Une clé musicale

En karaoké !

Version la totale !

 

Si originale;

Avec que des mots !

Version phénoménale;

Chantant au micro !

 

Des slams; des chansons !

Ou peut-être du rap !

Ouvrant l'horizon

Au fromage qui rappe !

 

Qui dérape au front !

A l'affront d'la fièvre !

En une rébellion

Sans des chansons mièvres !

 

Clé à mimolette !

Fromage mimolette !

D'une clé à molette

Faisant chansonnette !

 

Faisant tout l'fromage !

Paroles et musique !

Version d'un ramage;

Chantant frénétique !

 

Un refrain plein d'entrain !

D'l'hiver au printemps !

Enclin; boute-en-train !

Chantant exaltant !

 

Exultant sur des bans;

L'mariage des ramages !

Exultant sur des bancs;

Oiseaux au plumage !

 

Y laissant des plumes !

Rien qu'sur des chansons !

Le mariage déplume !

Rien qu'à l'horizon !

 

Clé à mimolette !

Fromage mimolette !

D'une clé à molette

Faisant chansonnette !

 

Ecrivant d'une traite !

Des mots qui affrètent

Le droit qui s'apprête

En rien qui maltraite !

 

Fumant; enfumant

Tout le calumet

D'la paix ! En faisant

D'une fumée; l'pompier

 

De service novice !

En rendant service !

Rien qu'en enchantant

Chaque danse arrosant

 

De leurs bons tuyaux !

Rien que les bons mots

De la pompe à eau !

S'arrosant l'pinceau !

 

Clé à mimolette !

Fromage mimolette !

D'une clé à molette

Faisant chansonnette !

 

Jérôme de Mars

 

Ca fait jazzer le standard !

 

Standards de jazz effusion !

Y a le xylophone qui sonne !

Standards de jazz et fusion !

Y a le téléphone qui sonne !

 

Avec Sidney qui bêchait

Luit Ame strong; reluit Armstrong !

Connaissant l'jardin secret

De ces artistes qui diphtonguent !

 

Filant à L'Anglaise filante !

Je connais Charlie par coeur !

Que son étoile défilante !

J'reconnais Charlie Parker !

 

Que j'entrevois Fitzgerald !

Comme Fitzgerald; elle est là !

Qu'je vois Ella Fitzgerald !

Comme Fitzgerald; elle Ella !

 

Ca fait jazzer le standard !

Standard de jazz étendard !

Ca fait jaser le standard !

Standard de jase étendard !

 

Que je rencontre Count Basie

Avec sa musique magique !

Que je lui souffle Cool Basile !

En une musique pacifique !

 

Que j'ai en plein dans le mille !

Luit Mile Davis qui dévisse !

Que j'ai refrain d'l'an de mille !

Mille devises qui serrent la vis !

 

Sans tambour et ni trompette !

Avec en persécutions ;

Une musique de clarinette;

Tapant sur des percussions !

 

Une bourrée de ratatam !

En faisant que du tam-tam,

Un bourré de ratatam !

En jouant que du tam-tam,

 

Ca fait jazzer le standard !

Standard de jazz étendard !

Ca fait jaser le standard !

Standard de jase étendard !

 

Jouant d'la flûte traversière ! 

Disant flûte la Truite d'Schubert !

Harmonie d'harmonica !

Soufflant; siffant la bronca !

 

Rechargeant les batteries !

Tel est fun le saxophone !

Rechargeant la batterie !

Où sonnent; résonnent les consonnes !

 

Des cons qui sonnent du klaxon !

En musique anglo-saxonne !

Cette musique qui désarçonne

La fanfare phare des garçonnes !

 

Où avec des violoncelles;

D'contrebasses; nous accordons

Nos violons; nous violons celles

En messes basses de nos violons !

 

Ca fait jazzer le standard !

Standard de jazz étendard !

Ca fait jaser le standard !

Standard de jase étendard !

 

Jérôme de Mars

 

 

Dépôt de complainte

 

Empreinte d'une chanson !

Qui s'écrit en rose;

Là ! Y a les marrons

Chauds d'l'automne morose !

 

Emprunte de saison !

Qui chante des paroles

De joyeux lurons !

Lors d'une farandole;

 

Qui fait se bouger

Les micros chanteurs,

Comme pour faire chanter

Tous les enchanteurs,

 

Comme à la maison !

Des larrons en foire

Jusqu'à l'oraison

Des micros-trottoirs !

 

Dépôt de complainte

Au bureau des plaintes !

D'un dépôt de plainte !

Bureau des complaintes !

 

Pour réenchanter

Les désenchantés,

Pour les enchanter

Sans les déchanter,

 

Les faisant parler

Au bistrot du coin

D'un karaoké;

Chantant en refrain !

 

Tout l'monde est en train !

Chantant d'bonne humeur !

Tout l'monde est d'entrain !

Chantant le bonheur !

 

D'être bien tous ensemble !

Chantant d'la ferveur !

Qui se rassemble; s'assemble !

Chantant d'la candeur !

 

Dépôt de complainte

Au bureau des plaintes !

D'un dépôt de plainte !

Bureau des complaintes !

 

Tout l'monde est OK

Pour chanter; en chanter

Au Karaoké !

Au quai pour chanter

 

La vie et l'amour !

Pour rire et sourire

A n'importe quel jour !

Avec du plaisir

 

A OK chorale !

Sans aucun Ouest terne !

Non O.K. Corral !

Sang d'aucun western !

 

Sans tuer en fait

L'règlement de comptes !

Car tu es en fête

Tout au bout du conte !

 

Dépôt de complainte

Au bureau des plaintes !

D'un dépôt de plainte !

Bureau des complaintes !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

L'état des dégâts

 

 

Il était une fois

Le chiffre reçu !

Cinq sur cinq ! Parfois

Dès fois mal reçu !

 

En débris des bris

Du passage d'l'enfance

A l'adulte des bruits;

N'a guéri d'l'enfance !

 

Rien ne fut traité

Juste à la racine !

Un gars maltraité;

Qui courba l'échine !

 

Qu'on ne sait quoi faire !

A part s'enfoncer

Dans une vie d'enfer !

A part s'affaisser

 

L'état des dégâts !

D'avoir fait Dugas !

Bonjour, les dégâts !

En déboires du gars !

 

Revers d'la médaille !

Il n'y a rien qui vaille

Du fond des entrailles !

Qu'on veut que ça aille !

 

D'un monde à l'envers;

Qui ne se remet

En questions en vers

De ce qui démet !

 

Faute d'pouvoir émettre

Des ondes positives !

Faute d'avoir un maître

Sans ondes négatives !

 

Donc la vérité !

Et bien dans tout ça !

C'est de l'affirmer;

L'responsable de ça !

 

L'état des dégâts !

D'avoir fait Dugas !

Bonjour, les dégâts !

En déboires du gars !

 

Comme ceux qui conseillent

Sans être à la place

De ceux qui essayent

D'n'avoir du surplace !

 

Seuls peuvent vous comprendre

Rien que vos amis !

Qui ont à apprendre

D'vous en agonie !

 

Qu'il faut du courage

Pour rester en vie !

Malgré toute la rage !

Quand il fait bien nuit !

 

En remettant tout

A demain ! Tout seul !

Tout le monde s'en fout

Que le monde est veule !

 

L'état des dégâts !

D'avoir fait Dugas !

Bonjour, les dégâts !

En déboires du gars !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Brèves sur L'ESAT La Fabrique

 

1) Si un jour L'ESAT La Fabrique ferme, je redeviendrai ouvert comme

    avant en étant moins renfermé !

 

2)  Même si j'ai passé et obtenu le diplôme de reconnaissance des compétences :

     " Différent et Compétent ", cela me laisse indifférent comme j'ai manqué de

      reconnaissance à L'ESAT La Fabrique  ! 

 

3)  Même si j'y ai travaillé 16 ans et 4 moi à L'ESAT La Fabrique, je me demande 

     vraiment ce que j'y ai fabriqué dans cet ESAT !

 

4) Je me dis enfin du balai de ne plus travailler à l'atelier conditionnement de

    L'ESAT La Fabrique; étant donné que l'atelier conditionnement manque toujours 

    autant d'hygiène avec personne qui passe le balai !

 

5)  A l'atelier Conditionnement de L'ESAT La Fabrique, je fus tellement une éponge  sur laquelle tout le monde s'essore que tout le monde me dit sans coups de pouce en coups de pousse : " Et sors-là ! "

 

6) Quand Eric Thébault, le moniteur principal de l'atelier conditionnement de                 L'ESAT La Fabrique va partir à la retraite en Juillet 2025, il pourra dire :

   "  De tout, je m'en bats en retraite ! "

 

7)  Ca ne m'étonne pas du tout qu'il y ait de plus en plus d'arrêts-maladie à L'ESAT La Fabrique comme personne ne dit jamais stop ! Ca suffit comme ça à la direction ! 

 

8) La preuve que je n'aime plus du tout la politique de L'ESAT La Fabrique, au début, cet ESAT nous parlait bien sans prendre le gauche de façon à droite sans aller dans les extrêmes au centre des discussions, alors que maintenant cet ESAT parle mal aux gens de façon extrême en prenant le gauche de façon mal à droite largement au centre de l'apolitique !

 

9) La preuve qu'à L'ESAT La Fabrique, on n'est que poussière vu le nombre d'agents et de moniteurs qui sont morts dans cet ESAT; en leur faisant mordre la poussière qu'ils sont morts en redevenant poussière !

 

10) La preuve qu'à L'ESAT La Fabrique, il n'y a plus d'agents d'entretien pour faire le ménage étant donné que la direction ne ménage personne dans un tel remue-ménage que ça déménage sans arrêt en un turn-over !

 

11)  La preuve qu'à L'ESAT La Fabrique, tout le monde s'en lavait les mains de moi que je n'ai entretenu l'amitié qu'avec très peu de personnes qui m'ont vraiment compris !

 

12) La preuve qu'à L'ESAT La Fabrique, le ménage n'est jamais fait, à tel point qu'on m'a déroulé en tapis rouge que je n'ai fait que me ramasser des pelles et des râteaux même si ce que je balance est mon jardin secret !

 

13) A L'ESAT La Fabrique, derrière mon dos, on a souvent dit que j'étais bête en pense-bête sans prendre soin de mon panse bête; déjà qu'on me faisait porter sans arrêt-maladie tous les sots avec souvent, tout qui tombait à l'eau tout le

temps !

 

14) La preuve qu'à L'ESAT La fabrique, rien n'était aux normes comme tout le monde était hors-normes !

 

15) Comme à L'ESAT La Fabrique, on n'arrêtait pas de me flinguer en me disant que j'étais un assisté, le mieux aurait été de m'aider à me flinguer dans un suicide assisté !

 

16) Ma seule issue de secours à L'ESAT La Fabrique fut de partir avant que je m'enflamme en alerte incendie avec tout ce que j'ai sue dans cet ESAT à la sueur de mon affront !

 

Jérôme de Mars

   

Mère acolyte

 

D'une vide bouteille

Dans tout l'amer !

Sans un soleil

D'un inventaire !

 

C'est donc une mère;

Qui en avait

De la colère;

Et des excès !

 

Qu'elle en prenait

De la bouteille !

Se méprenait

En étincelles !

 

Et dont sa cure,

Elle donc; elle n'en

Avait guère cure !

En retournant

 

Mère acolyte;

Elle périclite !

Comme elle délite

En son grand litre !

 

Mère alcoolique;

Elle fut en vraie

Si hystérique;

En sévérité !

 

Qu'elle fut en flux

Une alcoolique;

Et en afflux

Une frénétique;

 

Qu'elle se soûla

A la bouteille !

En femme sans joie

Sans un soleil !

 

Qu'elle but d'la bière !

Pour boire en vin

Sa mise en bière !

Et dont devin,

 

Mère acolyte;

Elle périclite !

Comme elle délite

En son grand litre !

 

Elle fut l'amie

De son soleil !

Fut l'ennemie

De son oseille !

 

Que son oseille;

Il lui brûla

Les mains vermeil !

Qu'elle se soûla

 

En envoyant

Une grande bouteille

A la mer ! Sans

Aucun soleil !

 

Que fut sa vie;

Démons d'Midi !

Que furent ses nuits;

Démons d'Minuit !

 

Mère acolyte;

Elle périclite !

Comme elle délite

En son grand litre !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

J'écris sur des feuilles qui tombent !

 

Saison de l'automne atone

Sur un tapis de fouillis,

Rempli de feuilles monotones;

Qui amusent la galerie !

 

J'achète l'ancre d'mon texte bateau !

Ecrivant sur une page blanche;

Quelques mots qui m'mènent en bateau !

Si bien qu'avant que je flanche,

 

Je fais alors un voyage

Avec les mots en pagaille !

Avant d'prendre dès lors naufrage;

Qui me laisse donc sur la paille !

 

Je m'inspire de Jacques Prévert !

Vers sa belle mélancolie,

Fataliste; et mes pré-vers !

Ecrivant d'une poésie;

 

J'écris sur des feuilles qui tombent !

Si bien que les bras m'en tombent !

Avec des mots qui m'incombent !

Ce n'est l'comble des catacombes !

 

Au tréfonds du désespoir

Que j'en pleure de mes sanglots !

Que la vie est dépotoir !

Si je tombe de mes sabots !

 

Sabotant mon écriture !

A en écrire détritus

De poème d'désinvolture !

A en souffrir l'absolu !

 

Même si je suis monotone;

Je ne suis pas à l'automne

De ma vie en sonotone !

J'en suis à l'été aphone !

 

Ayant trouvé là ma voix;

Même si je porte toute ma croix !

Qui l'eût cru; buffet tout cru !

Que j'y ai cru éperdu !

 

J'écris sur des feuilles qui tombent !

Si bien que les bras m'en tombent !

Avec des mots qui m'incombent !

Ce n'est l'comble des catacombes !

 

J'écris avec mon stylo

Sur des feuilles mortes; d'la tristesse !

A la limite d'mes bobos !

Manque plus que de l'allégresse !

 

Pour réécrire au stylo

Sur des feuilles mortes; d'politesse !

Soulignant au stabilo

Que des rimes fortes; d'poétesse !

 

L'humour est la politesse

Du désespoir dès la nuit !

L'amour est la poétesse

De l'espoir surtout en vie !

 

Pour n'mourir sur des feuilles mortes;

J'écris le jour sans la nuit !

Et pour mûrir sur des feuilles fortes;

J'écris déclamant tout ouï !

 

J'écris sur des feuilles qui tombent !

Si bien que les bras m'en tombent !

Avec des mots qui m'incombent !

Ce n'est l'comble des catacombes !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Regarde plutôt le soleil que la pluie !

 

Si tu faisais un concert de louanges

Aux aurores pendant que tout le monde dort !

Tu composerais une chanson que t'arranges !

Avec en renfort toutes tes métaphores !

 

Pour dire que la vie est belle; mirabelle !

Sans déconfiture; avec des merveilles !

Pour faire resplendir l'soleil arc en ciel,

Qui enchantera ta belle ritournelle !

 

Chantant en mâtinées; tes après-midis

A surfer sur la terre nette de la mer !

Berçant tes étés qui t'lèvent à Midi

Jusqu'à Minuit d'légende interstellaire !

 

Qui fait qu'tu es né sous la bonne étoile !

Et fredonnant ton sommeil qui t'héberge

Toutes tes nuits; dormant à la belle étoile

Sur les berges de ta vie en des auberges !

 

Regarde plutôt le soleil que la pluie !

Pour rire dans un puits sans fond infini !

Remplaçant ton dépit par une embellie !

Autant d'une accalmie que d'un répit !

 

Profite bien de la beauté des nuits fauves !

En souriant à l'écume de la mer

Dans les bars, où ta tournée sera sauve

Une réussite à ton image populaire !

 

Unissant les ramages et les mariages

Autour d'ton amour triomphant toujours !

Pour réenchanter tout ton métissage,

Avec des couleurs ranimant les jours

 

D'ton été plus jamais réactionnaire !

Mais en ton état; refaisant l'amour

De ton prochain à l'état stationnaire;

Actionnaire non de l'argent ! Oui d'l'amour !

 

Faisant changer tout ton ressentiment

En un nouveau serment d'un grand amour

Pour ta vie ! Eprouvant des sentiments !

Et comme ça vaut largement le détour !

 

Regarde plutôt le soleil que la pluie !

Pour rire dans un puits sans fond infini !

Remplaçant ton dépit par une embellie !

Autant d'une accalmie que d'un répit !

 

Envers le bleu radieux de l'océan !

Afin que ton amour, il baigne au frais

De la mer calme en paix; imaginant

Ton besoin d'affection de longue durée !

 

Chicanant superficiel virtuel;

Il te faut donc désormais du concret !

Pour venir; revenir dans le réel,

Embrassant ton partenaire en portrait !

 

Flirtant durant l'été de tes succès !

Et le tout sans excès; tu veux aimer

Celui qui te rallume ta cheminée !

Grâce aux flammes de ton amour désiré !

 

Et pour qu'il fasse toujours beau dans ta vie !

Fais-la briller de soleil sans orages !

Et pour qu'il fasse toujours beau dans tes nuits

En leur donnant de la joie sans ta rage !

 

Regarde plutôt le soleil que la pluie !

Pour rire dans un puits sans fond infini !

Remplaçant ton dépit par une embellie !

Autant d'une accalmie que d'un répit !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Un océan d'vide !

 

D'une mise en abîme;

J'vais dans les abysses !

Comme elles me déciment

Le terrain qui glisse

 

Dans un mal de mer !

Au creux de la vague

En un inventaire !

Mes remords me draguent !

 

Malgré que ça baigne

L'océan à mer !

Si bien que j'en saigne !

C'est l'anniversaire

 

D'la mort de ma mer;

Le 20 Septembre !

En c'monde délétère !

Noël de Décembre !

 

Un océan d'vide !

J'en deviens livide !

Un océan ah vide !

J'en reviens avide !

 

Comme la mer est plaine !

A remonter l'temps !

Que j'en perds haleine !

En allant et v'lan !

 

Vers la haine farouche !

Qui m'mène en bateau !

Que j'en deviens louche !

Ayant maux pour mots !

 

Une louche innée;

Je ne suis pas né

Avec une cuillère

En argent solaire !

 

En n'y allant pas

Avec le bon dos

D'la cuillère qui va

Me donner bobo !

 

Un océan d'vide !

J'en deviens livide !

Un océan ah vide !

J'en reviens avide !

 

J'ai le vague à l'âme

De mon mal de mer !

Ecrivant ce slam

Si crépusculaire

 

En mes côtés sombres;

Je suis renfermé

Quand je dors à l'ombre !

Je trinque d'ma santé !

 

Pour ne plus dévier

De mon droit chemin !

J'appuie sur l'levier !

Reprenant la main

 

Sans dériver d'bord !

Je reste bien à bord !

N'allant à l'abord

D'âge ! Et à tribord !

 

Un océan d'vide !

J'en deviens livide !

Un océan ah ! Vide !

J'en reviens avide !

 

Jérôme de Mars

 

 Blagues is black au noir !

 

Même que je vais le payer au noir en travaillant au noir, voici des blagues is black au noir !

 

1) Un arabe à qui on octroie la prime d'activité, ça lui met du labeur dans les épinards !

 

2) Un Asiatique ne pense tellement qu'à travailler dans la vie qu'il ne travaille pas au noir pour en voir la couleur de son argent déclaré !

 

3) Comme il y a tellement de Portugais qui trinquent de leur santé en étant maçons, je porte un toast à leurs déboires !

 

4) Je me verrais bien travailler avec un humoriste Africain pour faire davantage d'humour noir en reprenant des couleurs !

 

5) Il vaudrait mieux qu'un SDF pour devenir sobre qu'il utilise l'argent que lui donne les gens dans la rue pour acheter à manger en mettant du beurre dans les épinards sans acheter de pinards pour le boire en déboires de dur labeur !

 

6) Un commerçant Italien qui fait tout lui-même, met la main à la pâte !

 

7) Je n'ai jamais été un robinet d'eau tiède que je lance sans arrêt des vannes féroces pour que ça coule de source !

 

8) Le fonds de commerce d'un commerçant Juif, c'est juste de voir son intérêt au café du commerce en n'en ayant rien à faire du reste à part ses affaires de commerce !

 

9) Le jour où il y aura davantage d'Arabes qui deviendront maçons, au lieu de manger des briques à l'oeuf, ils poseront des briques à l’œil !

 

10) Cela ne me dérange pas qu'on embauche plus de cuisiniers Asiatiques au lieu de cuisiniers Français, ils veulent tellement bosser plus que les Français, 

qu'au bout du compte, quand on nem, on ne compte pas !

 

11) Le jour, où il y aura un Juif qui fera sa bar-mitsva pour s'envoyer en l'air avec sa femme dans un avion en plein vol au septième ciel, il fera son baptême du feu en pleine communion Juive !

 

12) Ca doit être un sacré casse-tête chinois qu'un Asiatique soit conseiller bancaire dans une grosse banque multinationale !

 

13) Un homo poète qui prend tout aux mots doit être souvent qu'au cul dans la vie !

 

14) Un handicapé qui n'a jamais de chance dans la vie, ça doit lui faire une belle jambe de perdre la main et de perdre pied en ne prenant jamais son pied !

 

15) Au bout du compte, je préfère faire de l'humour noir bénévolement sans méchanceté gratuite, comme j'ai déjà assez payé comme ça dans la vie avec mon enfance qui fut si noire !

 

Jérôme de Mars

 

L'Islam Charia la France !

 

Slam Islam slam is slam !

Il y a donc la Charia !

Qui provoque que des drames

Dans l'humour qui charria

 

Ceux qui partent en Coran !

Radicaux intégristes;

Sans rien d'édulcorant !

Pour devenir altruiste

 

Dans ce monde d'égoïstes !

Qui part trop en courant !

Il n'reste rien d'hédoniste !

Accourant; concourant

 

Pour que tout foute le camp !

Avec le Salafisme !

Prédisant en décans !

Pourquoi c'est l'cataclysme !

 

L'Islam charia la France !

Pays de l'indécence !

Où s'en va l'innocence

Dans la loi du silence !

 

Al-Quaïda charria

Ceux qui partent en courant !

Alors que la Charria

Veut nous mettre au Coran !

 

Sans être édulcorant

En des mots messagers !

Faisant couler le sang

En des maux mensongers !

 

L'amour part en courant !

Accourant; concourant

Pour nous mettre au Coran

Pour qu'on soit au courant !

 

De faire passer l'Coran

Dans l'courant de l'histoire !

Pour rétablir le courant

Entre tous sans purgatoire !

 

L'Islam charia la France !

Pays de l'indécence !

Où s'en va l'innocence

Dans la loi du silence !

 

Et pour tous nous guérir;

Il faut nous mettre l'Coran !

Sans partir en courant !

Donc pour nous aguerrir 

 

En partant au Coran !

Quitte à en rire nous tous !

N'courant édulcorant

Sans provoquer la frousse !

 

Riant de la Charia !

Pour mourir en martyr !

Quand le monde se charria !

Kamikaze de l'empire !

 

Avec le salafisme

En des gros coups de chauds !

Mourant d'un cataclysme;

Avec pour échafaud !

 

L'Islam charia la France !

Pays de l'indécence !

Où s'en va l'innocence

Dans la loi du silence !

 

Jérôme de Mars

 

Rap à fromage !

 

Si je dérape

Dans ma chanson !

J'écris un rap

A la maison !

 

Comme la raison

Hait du plus fort !

Comme l'oraison

En mes tas forts !

 

Je fais des rimes !

De sorte qu'elles ancrent

La mer d'l'arrime

En jetant l'encre !

 

En écrivant

Cet exutoire !

En exprimant

Mon purgatoire !

 

Rap à fromage !

J'fais un ramage !

Râpe à fromage !

J'fais un fromage !

 

En écimant

A l'entrecoupe !

En décimant

A la découpe !

 

Poil à gratter !

Brosse à enduire;

J'aime tant piquer

En dur à cuire !

 

Avec mes mots;

Qui font trop mal !

En quiproquo

Genre animal !

 

J'aime déraper

Sur un piano !

J'aime tant rapper

Sur mon micro !

 

Rap à fromage !

J'fais un ramage !

Râpe à fromage !

J'fais un fromage !

 

Fromage râpé !

Et dérapé !

Fromage rappé !

Et des rappées !

 

Je coupe le son

De ma Télé !

Mûrs ultrasons;

Transe genre; telle est

 

Ma façon d'écrire

Et de penser !

Quitte à en rire

Pour dépenser

 

Pour des pensées !

Et sans sourire;

Décompensé;

Et sang souffrir !

 

Rap à fromage !

J'fais un ramage !

Râpe à fromage !

J'fais un fromage !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Yves montant à Paris !

 

D'un artiste des faux bourgs;

Il naît le 13 Octobre

En Italie, son amour !

Toute son enfance fut sobre...

 

1921,

Son année de naissance

Remplit sa vie d'refrain !

En décence; un des sens

 

De musique; cinéma !

Chanteur; acteur d'Paris !

Qu'il remplit de chaque joie !

Luit l'gamin de Paris !

 

Enchantant à Paris

Avec son double secret !

Lui donnant frénésie,

Comme Simone s'ignorait !

 

Avec François, Paul et

Les autres, tout comme César

Et Rosalie aimés !

Yves Montand n'eut d'César !

 

Yves montant à Paris !

Sa bicyclette jolie !

Yves Montand à Paris !

Sa chansonnette jolie !

 

Comme c'est toujours si bon !

D'avoir pour coup d'folie

Des grandeurs ! Ses chansons

Avec pour compagnie

 

Dans son cercle rouge d'amis,

Son auberge rouge d'envie !

En milliardaire la nuit,

Courtisant sa chérie !

 

Sa Marilyn Monroe;

Lui glissant des mots doux !

Avec pour dernier mot;

Tout son côté si fou !

 

De tromper sa Simone

Qui hélas; s'ignorait !

Elle ne fut jamais lionne

Comme elle lui pardonnait

 

Toutes ses frasques au sauvage !

Qu'il lui fit comme aveu !

L'animal qui enrage,

Tel le diable par la queue !

 

Yves montant à Paris !

Sa bicyclette jolie !

Yves Montand à Paris !

Sa chansonnette jolie !

 

Avec pour grand salaire,

Son salaire de la peur !

Au début d'sa carrière,

Qu'il fit dans la ferveur

 

Avec pour idéaux;

Ses idées communistes !

Qu'il portait tout en haut

De ses idées altruistes !

 

Avant d'évoluer

Lui en grand libéral !

Qu'il voulait tout changer;

Roulette Russe si fatale !

 

Lui ancien communiste,

Qu'il chanta les feuilles mortes !

Luit plus jamais altruiste;

Son âme à p'tit feu morte !

 

Qu'il mourut l'9 Novembre

A quelques 70 ans !

A Senlis d'ses membres !

En 91 pan...

 

Yves montant à Paris !

Sa bicyclette jolie !

Yves Montand à Paris !

Sa chansonnette jolie !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Si on jardinait !

 

Printemps comme été...

Dans la vie privée;

Donc si on bêchait;

Et si on binait !

 

Si on débinait

Un jardin secret !

Pour toujours aimer

Son jardin secret !

 

Au contact d'la terre;

De la vie sur Terre !

Sans être terre-à-terre,

Mais juste être prospère !

 

Pour entretenir

Ainsi l'amitié !

Et de s'y tenir

Pour éparpiller

 

Si on jardinait !

Le jardin secret !

Si on jardinait !

Son jardin secret !

 

Embrassant la vie !

Pour tant défricher

Les démons d'la nuit !

Et les cultiver

 

En êtres cultivés !

Ramassant des feuilles

A l'effarouchée !

Ecrivant sur feuilles

 

Des mots monotones !

Labourant autour...

Signaux de l'automne !

Débourrant toujours;

 

Semant; parsemant;

Ramassant la pelle !

Tout en balayant

Les noms qu'on appelle !

 

Si on jardinait !

Un jardin secret !

Pour toujours aimer !

Son jardin secret !

 

Donc en élaguant...

L'amour du travail

Bien fait écimant...

Les plantes que l'on taille

 

Sans rien décimer

De l'amour sur Terre !

Au contraire d'aimer

L'jardin populaire !

 

Pour tout couper

Avec un ciseau,

Pour entrecouper

D'un effet ciseau

 

Les gens qu'on effleure...

Arrosant leurs plantes !

N'aimant que les fleurs !

Qui génèrent et plantent...

 

Si on jardinait !

Un jardin secret !

Pour toujours aimer !

Son jardin secret !

 

Jérôme de Mars

 

25 ans déjà !

 

D'une date, j'me souviens !

De la mort d'ma mère !

Qui me dit reviens

A la vie sur Terre !

 

Ma mère en est morte

Donc le 20 Septembre !

Mon âme en fut forte

Du bout de mes membres !

 

Ma mère; elle fut morte

En 98 !

Prenant la porte

Comme à la-vite !

 

D'un délit de fuite !

Fuyant tout l'immonde

D'cette France qui délite !

Bêtises qui abondent !

 

25 ans déjà !

En mon désarroi !

Autant rabat-joie

De tout, je m'en bats !

 

Ma mère; elle mourut

Un certain dimanche !

Peur de l'inconnu;

J'en perdis ma manche !

 

La Manche de ces gens

Du Nord aux abords !

D'leurs côtés charmants

Malgré le décor !

 

Ma mère; en avait

Du Nord; un grand cœur

D'chez les Ch'tis qui met

Que du baume au cœur !

 

A tout cet endroit

Même qu'il n'fait pas beau !

Donnant de la joie;

Remontant plus haut !

 

25 ans déjà !

En mon désarroi !

Autant rabat-joie

De tout, je m'en bats !

 

Elle fut mise poussière

Donc rien qu'à la veille

D'son anniversaire !

D'où qu'elle est; elle veille

 

A toujours m'redire

Que là; elle est morte !

Ca m'a fait souffrir

Malgré mon âme forte !

 

Son anniversaire

Fut le 21

Septembre d'colère !

Qu'je manquais d'entrain !

 

Et dire qu'elle allait

Avoir 50 ans !

Depuis j'fais aller

Profitant du temps !

 

25 ans déjà !

En mon désarroi !

Autant rabat-joie

De tout, je m'en bats !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Pays du Maroc

 

D'un souffle sur La Terre

Du Maroc; embrasant

Le séisme austère

Du baroque; embrassant

 

La belle Médina !

Horizon sur du sable;

Il y a immédiats

Tous ces gens aimables;

 

Si hospitaliers;

Le cœur sur la main !

Voulant parsemer

Pour tenir demain !

 

Grâce à leur culture !

Entretenant tant

L'amitié d'nature !

A les aimer temps !

 

Pays du Maroc;

Un pays baroque !

Ici tout l'monde troque

En faisant toc toc !

 

A la porte d'l'accueil !

Les gens ne sont seuls

D'quoi les inviter

A boire; à manger !

 

Pour leur faire passer

L'temps en un bon temps !

Pour encore aimer

Ce monde d'océan !

 

Avec un riad

Pour tout embarquer

En une sérénade,

Pour se balader

 

Vers la rive de ceux;

Qui bien y arrivent !

Et loin parmi ceux,

Eux à la dérive !

 

Pays du Maroc;

Un pays baroque !

Ici tout l'monde troque

En faisant toc toc !

 

Ici rien n'est cher !

A faire des affaires

Jusqu'à des enchères,

Payant là cash cher !

 

Même sans La Goulette

Volant sur l'tapis !

Pour faire des emplettes

Sur le tatamis !

 

D'leur lutte quotidienne;

Montant sur chameaux

Faisant chaque semaine

L'boulot sur le dos 

 

De ces dromadaires !

En crachant la vie

Parfois incendiaire !

D'Sahara la nuit !

 

Pays du Maroc;

Un pays baroque !

Ici tout l'monde troque

En faisant toc toc !

 

Jérôme de Mars

Un monde de pluie baignant dans du soleil

 

En ces temps bipolaires et contrastés,

Il fait naufrage sur La Terre incendiaire !

Réchauffant le temps semblant contracté

Du réchauffement climatique impair,

 

Où sont les repères d'ce manque de lumière ?

Et même si lunatique, il y a en clair

Encore quelques grandes lumières dans la chaumière !

Elles semblent d'loin linéiaires trop éphémères !

 

Comme tout tombe à l'eau aux travers des rages !

D'la fonte de la Banquise; restant de glace !

Faisant tomber dans le ciel des orages !

Et remonter sans blanc à la surface;

 

Le monde est noir bariolé de couleurs !

Entre les deux d'un monde clair; d'un monde éclair

Polaire; bipolaire, et si la ferveur

Attisait en une colère débonnaire;

 

Un monde de pluie baignant dans du soleil !

Trempant de merveilles; détrempant vermeil !

Le temps préfère le soleil ou l'oseille ?

Le soleil; la pluie restent intemporels !

 

Et si le temps faisait en étincelles;

Un monde meilleur dans la chaleur humaine !

Enchantant une pléiade de ritournelles

Pour faire briller la charité Chrétienne,

 

Loin de ce monde, où il fait vraiment froid !

Et où tous les humains sont tous en froid !

Egoïstes; individualistes; rois !

Rien que Dieu oh ! Dieu d'leur désarroi !

 

Pour remettre rien que de l'amour sans haine !

Il faudrait remplacer le bas de laine !

Par de la laine pour reprendre tous haleine !

En cultivant l'amitié chaque semaine !

 

Et si pour remettre tout ce temps en forme,

Le soleil donnait que des vitamines

Sans méforme ! Afin que tout soit conforme !

Et que le monde entier frais ait bonne mine  !

 

Un monde de pluie baignant dans du soleil,

Trempant de merveilles; détrempant vermeil !

Le temps préfère le soleil ou l'oseille ?

Le soleil; la pluie restent intemporels !

 

Et si le soleil faisait tout le temps

De la prévention dans la bonne humeur !

Empêchant autant conjugué au temps !

L'apparition de la mauvaise humeur !

 

Refroidissant la pluie, rien que la pluie !

Réchauffant le soleil dans la chaleur !

Eau dépit de la pluie, et puis le puits !

C'est un puits au tréfonds de la ferveur !

 

Et si sans réchauffer la pluie; la pluie !

Sans refroidir le soleil; le soleil !

S'il y avait des confettis d'embellie !

Avec en embellie une passerelle !

 

Pour tremper la pluie en un caractère

Bien trempé ! Détrempé sans une colère !

Pour tromper le soleil dans la lumière

Claire au clair ! Et d'un éclair linéaire !

 

Un monde de pluie baignant dans du soleil,

Trempant de merveilles; détrempant vermeil !

Le temps préfère le soleil ou l'oseille ?

Le soleil; la pluie restent intemporels !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Arc en ciel d'amour

 

Flèche vers Cupidon !

Cherchant la lumière

Claire, cupide dont !

Faisant des éclairs

 

Ephémères; songeant

De la cour des grands !

Déclarant charmants;

Des rêves fulgurants

 

En une variété

D'couleurs mélangées;

En diversité

Limite bariolées;

 

L'amour fait du bien

A ceux qui nous aiment !

L'amour fait le lien

Et du lien qui sème !

 

Arc en ciel d'amour;

En faisant la cour !

Faisant les beaux jours;

Déclamant bonjour !

 

A l'élu d'l'amour

En Saint Valentin !

Qui veut fait l'amour

En sain Valentin !

 

En un septième ciel;

Point imaginaire !

Non superficiel

En chose linéaire !

 

Refaisant la chose

A n'importe quelle heure !

Sans la sinistrose

D'partir avant l'heure

 

Très surréaliste !

De ceux qui attendent

Sur une trop longue liste !

Qu'leur cœur les détende !

 

Arc en ciel d'amour;

En faisant la cour !

Faisant les beaux jours;

Déclamant bonjour !

 

En déclaration

D'un si bel amour !

En réclamation

Volage pour toujours !

 

Volatile oiseau

De toutes les couleurs;

Il sort le tuyau

Qui sent le bonheur !

 

D'atterrir au ciel

En un joli cœur !

Volant ritournelle

Offrant tout son cœur !

 

En joli bouquet

D'un cœur d'artichaut !

Varié réchauffé

D'un chœur archi chaud !

 

Arc en ciel d'amour;

En faisant la cour !

Faisant les beaux jours;

Déclamant bonjour !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Fosse Celtique

 

Si on chante

La Bretagne !

Et qu'on entre

En campagne !

 

En grimpant

Des montagnes;

En buvant

Du champagne;

 

On peut être

Ce qu'on naît !

Par hêtre

De nos haies !

 

Sans nausées

En Bretagne,

Pour chanter

Quand on gagne !

 

Fosse Celtique;

Poétique

Fausse sceptique;

Polémique

 

La beauté

D'cette région !

En bonté

De légion !

 

En repaire

De Quimper,

Sans impair

De repères,

 

Plein d'entrain

A Lorient !

Dans le train

Loin d'L'orient !

 

Dans la reine

De la ville,

Sans l'arène

De la vile,

 

Fosse Celtique;

Poétique

Fausse sceptique;

Polémique

 

En lançant

Que des vannes !

En ouvrant

Que des vannes !

 

Ville de Vannes,

Comme à Brest !

Qui pavane

Très à L'Ouest !

 

Des paroles

Qui pressent leste !

Sans bémol

C'qui déleste !

 

En lâchant

Que du leste !

En riant

Toujours preste !

 

Fosse Celtique;

Poétique

Fausse sceptique;

Polémique.

 

Jérôme de Mars

 

Un ver pour ma pomme 

 

Pépins de santé;

La vie est cruelle !

Pour tant déguster

En choses solennelles

 

Dans une pomme d'api !

Il n'y a plus de blé

En une pomme d'épi !

Pour en faire du blé

 

Pour ma pomme dépit

En des épluchures !

Pour peler pourri

En de sales pelures !

 

Pour épeler fort

L'pépin de la pomme !

Ce n'est plus mon fort

D'avoir pour ma pomme !

 

Un ver pour ma pomme

Sans oh ! Comme trois pommes !

Un ver pour la pomme

Sans hauts ! Comme trois pommes !

 

Ecrivant en je !

Tout un jeu de paume

En moyen ah ! Je !

Un enjeu de pomme

 

D'un ver dans le fruit !

Qui s'enfuit en moi,

Je n'm'abonne à Free !

Qui s'enfouit dès mois

 

Et si j'écrivais

Des vers dans la pomme !

Et si je tapais

Des vers pour ma pomme !

 

En un pot pourri !

Pourrissant l'fruit !

En un pot-pourri !

N'm'abonnant à Free !

 

Un ver pour ma pomme

Sans oh ! Comme trois pommes !

Un ver pour la pomme

Sans hauts ! Comme trois pommes !

 

Et si je trinquais

Rien qu'à ma santé !

Et si je n'trinquais

Rien de ma santé !

 

Pour tant déguster

L'plaisir d'une bonne table !

Sans plus déguster

Les X fois des tables !

 

Qui me calculent temps

Dans toutes mes névroses !

Qui m'recalculent tant

Dans toutes mes nécroses

 

Intellectuelles

En seconds couteaux !

Toujours virtuels

Et d'effet ciseaux !

 

Un ver pour ma pomme

Sans oh ! Comme trois pommes !

Un ver pour la pomme

Sans hauts ! Comme trois pommes !

 

Jérôme de Mars

Les saisons de la vie

 

Inné en mode printemps,

Nul aguerri d'l'enfance !

Avec que du beau temps,

Nul ne guérit d'l'enfance !

 

Que le printemps balaie

En un remue-ménage...

Le printemps en ballets

Qui fait ça déménage !

 

En annuités de piges;

Ecrivant le journal

De la vie en des piges;

Décrivant le passage

 

Des ramages du printemps !

Balayant le printemps;

Empreint tant d'temps d'été !

Avant hier; c'était

 

Les saisons de la vie;

Dans la nuit embellie

Vers la vie de la nuit;

Un merci paradis

 

Surtout qu'arrive l'été !

M'en songeait passager;

Le temps d'une accalmie !

Rêvant de poésie

 

Pour convertir l'envie

Vers la vie animée,

Comme un oiseau de nuit

En des seins animés !

 

Pour flirter et aimer,

Entretenant l'amour

En des amours d'été;

Faisant le troubadour

 

Pour aimer que la mer,

Sirotant une bonne bière

D'l'été imaginaire 

Avant la vie d'hiver,

 

Les saisons de la vie;

Dans la nuit embellie

Vers la vie de la nuit;

Un merci paradis

 

Après la fin d'l'été !

C'est la saison d'automne !

Qui rappelait l'été

En des maux sonotones !

 

Qu'été l'année atone !

Ecrivant sur une feuille

Morte des mots monotones;

Effeuillant le fauteuil

 

Des amours mortes d'automne

Pouvant se réveiller

En amours fortes au tonne,

Dès la vie éveillée !

 

Suscitant que l'envie !

Décrire sur une feuille morte;

La vie comme toute la nuit !

Réveillant d'année forte !

 

Les saisons de la vie;

Dans la nuit embellie

Vers la vie de la nuit;

Un merci paradis

 

A l'hiver de la vie !

Surtout quand il fait nuit !

Que ça sent le sapin

D'hiver faisant l'sapin

 

En une grande panoplie,

Composée d'maux d'hiver !

En galante compagnie;

Réveillée d'mots d'hiver !

 

Réchauffant tous les coeurs !

Allumant des bougies !

N'faisant des oh ! Le coeur !

Racontant frénésie

 

Les fêtes de fin d'année  !

Y laissant que des plumes...

Davantage surannées,

Et très loin de l'enclume...

 

Les saisons de la vie;

Dans la nuit embellie

Vers la vie de la nuit;

Un merci paradis.

 

Jérôme de Mars

 

Ma neige

 

Effet;

Il tourne !

En fée;

Ristourne !

 

D'flocons

Qui tombent !

D'grêlons

Qui plombent !

 

L'moral

Des troupes !

Du mal

En groupe !

 

D'père noël

Impair !

D'mère noël

Repaire !

 

Ma neige,

Il neige !

Manège,

D'solfège !

 

D'chansons;

Qui chantent

Marrons;

Elles chantent

 

Le chaud;

Le froid !

Réchaud;

Crise d'foi !

 

Embûche !

Qui bûche

En bûche

De Tuche !

 

Arrête

La neige !

Arrête

L'manège !

 

Ma neige,

Il neige !

Manège,

D'solfège !

 

Effet

Boule d'neige !

Et fée

D'manège !

 

Il tourne

Au tour !

Ristourne

Détour !

 

D'ticket

De caisse,

Payé

D'espèces,

 

Ma neige,

On boit !

Manège

En bois !

 

Ma neige,

Il neige !

Manège

D'solfège !

 

Jérôme de Mars

Poésie lente

 

Cherchant des poux

Dans les cheveux !

Cherchant époux

Pour s'gratter mieux !

 

Y a pas photo

Dans les cheveux !

De tous les maux

Qui frisent à feu

 

Toute leur tête lente 

Cherchant des poux !

Avec des lentes

Cherchant époux !

 

Prenant le pouls

En se grattant

D'la tête aux poux !

En se frottant

 

Poésie lente,

Qu'leur tête est lente !

Comme en attente !

Elle a des lentes !

 

Sans pellicules,

Y a la photo

Des pellicules !

Qui grattent le dos !

 

Ces pellicules

Qui font des tresses !

Comme elles pullulent

En leur détresse !

 

Faisant des nattes

Très à cheval !

Que ça les gratte

Leur queue d'cheval !

 

En se mariant

Entre ces époux !

En se grattant

De tous ces poux !

 

Poésie lente,

Qu'leur tête est lente !

Comme en attente !

Elle a des lentes !

 

En se faisant

Que des cheveux !

En s'les séchant

D'un sèche-cheveux !

 

En s'les lavant

Face au soleil !

Des ils levant

A nu d'merveilles !

 

Si leur fureur

Les emmenait

Chez le coiffeur !

Pour s'démener

 

En se brossant;

En se coiffant;

Se dépeignant

Et s'décoiffant

 

Poésie lente,

Qu'leur tête est lente !

Comme en attente !

Elle a des lentes !

 

Jérôme de Mars

Un ciel à feu orange

 

Au coucher du soleil

Bercé; ouvrant le bal

D'un vol de tourterelles !

Il y a la vie verbale

 

Des ritournelles qui chantent

Le printemps et l'été !

Surtout le soir qui vante

Des paroles bricolées

 

Au comptoir qui dévale

Les déboires en une foire !

Buvant originale

La nuit du territoire !

 

Pénétrant les étoiles

Par la brise défilante !

Regardant conviviale

La lumière qui incante

 

Un ciel à feu orange,

Pourvu que tout s'arrange;

S'arrête au feu orange !

Chaque mélange de vie d'ange !

 

La nuit s'éteint le soir

Rallumant en lueurs 

D'espoirs ! Tous les trottoirs !

Fureurs de la sueur !

 

En prenant pour pigeon,

Le ciel à l'horizon

Du bal con au balcon !

En chantant rubicond

 

Tout le ciel qui voit rouge !

Le soir en allumant

Les braises du quartier louche,

Qui louche en implosant

 

Le ciel par des pétards !

Jouant avec le feu

En fumant des pétards !

Criant feu insidieux !

 

Un ciel à feu orange,

Pourvu que tout s'arrange;

S'arrête au feu orange !

Chaque mélange de vie d'ange !

 

Dans le mélange des genres

Vers aux mots sexuels !

Si se mélange transe genre !

Que des âmes sensuelles

 

En une recherche d'amour

Dans le ciel luit réel !

Ruisselant tous les jours !

Besoin de gestes charnels !

 

Juste avec Ken; Barbie,

Jouant aux poupées rousses !

N'étant haine; Klaus Barbie,

Jouant aux poupées Russes !

 

Et si pour faire merveilles !

L'ciel rassemblait les jeunes

Jusqu'à la carte vermeille !

Faisant ensemble le jeûne !

 

Un ciel à feu orange,

Pourvu que tout s'arrange;

S'arrête au feu orange !

D'un mélange de vie d'ange !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Charles et Stone !

 

Monotones

En chanson,

Ca détonne

En maison !

 

Dès la nuit

D'l'oraison !

Ils disent oui

D'la raison !

 

Comme une danse !

Qui bêchait

La contre danse

De Sidney !

 

Qui bêchait

Au jardin

Très secret;

Plein d'entrain !

 

Charles et Stone !

L'monde est stone !

D'charleston !

Appel d'Stone !

 

Sans la faune

D'être sans voix

Trop aphone !

Qu'ils n'y croient

 

Années folles

Si devins;

En paroles

D'années 20

 

D'Joséphine

La Baker !

Qui dessine

Ca par cœur !

 

Charles et Stone !

Pour qu'ils chantent

C'qu'ils fredonnent

D'âmes ferventes !

 

Charles et Stone !

L'monde est stone !

D'charleston !

Appel d'Stone !

 

D'entrejambe !

Ca leur fait

Une belle jambe !

D'faire jazzer !

 

En voyant

Tout en noir !

Donc pendant

Années noires !

 

Tenant l'rythme

De ces pas

D'algorithme !

Clamant là !

 

Que des chants

Génériques !

D'traitements

Génériques !

 

Charles et Stone !

L'monde est stone !

D'charleston !

Appel d'Stone

 

Jérôme de Mars

 

 

David guetta sa musique !

 

Musique d'ambiance à la house !

David Guetta joue d'la house !

S'reposant sur ses lauriers;

Ses taies d'oreillers

 

Couvertes d'une house d'oreiller

En des batailles d'oreillers !

En y laissant que des plumes !

Qu'il écrivit sans sa plume,

 

Des morceaux qui font échos !

En temps que DJ d'contre dense !

Mangeant sa musique sans mots;

Cela est encore la tendance !

 

Des nuits très gaies aux bains douches;

Paradis artificiels

Dans sa musique qui fait mouche !

Parodies artificielles !

 

David guetta sa musique !

Sans des paroles frénétiques,

Musique roule des mécaniques !

Electriques; électroniques !

 

David guetta dans sa house

En étant en trance intense !

Que sa musique; elle le mousse !

Composant en intendance !

 

Toutes les tendances du moment !

Et même s'il ne fait pas d'rock !

C'est un DJ assurant

Et rassurant comme Jean Roch !

 

David est un DJ d'platines !

Qui fait bouger les platines !

En remixant les platines,

Sans que sa musique patine

 

A l'instar de Bob Sinclar !

De leur musique qu'elle commette

Leurs étoiles de boulevard !

Qui déclarent stars des comètes !

 

David guetta sa musique !

Sans des paroles frénétiques,

Musique roule des mécaniques !

Electriques; électroniques !

 

D'Norvège sans Martin Solveig,

Tirant les vers d'Dj Snake !

Toute leur musique; ils la lèguent !

David Guetta qui délègue

 

 

David Guetta se refait

Les cheveux d'Laurent Garnier !

A cause d'avoir trop fait

Un trophée Shampoings Garnier !

 

Ayant à la fois l'venin

De DJ Snake d'serpent !

David Guetta a l'béguin

Aussi bien en un volcan!

 

Quand Bob Sinclar et Jean Roch,

Jouent avec Laurent Garnier,

Une musique sans effet d'rock !

Quitte ou double ! A déclaré

 

David guetta sa musique !

Sans des paroles frénétiques,

Musique roule des mécaniques !

Electriques; électroniques !

 

Jérôme de Mars

 

Elle habite une île, il vole de son aile !

 

Comme une presqu'île qui bat de l'elle en aile;

L'oiseau libre en son île; presqu'il habite Lille !

Pas dans L'île ! Mais à Lille en une presqu'île !

La presqu'île Loin de Giens, car à tire d'elle !

 

Il n'habite pas elle, mais aile habite l'île

En son il ! Dans la ville de Lille pas vile !

Elle habite son il, comme l'île habite aile !

Déployant elle; habitant la ville d'elle !

 

Si bien qu'il habite elle dans l'île de l'il !

Pas Lille ! Comme elle habite toute la presqu'île

De ville en villle, jamais vile ! D'aile en aile !

En battant de l'aile ! A tire d'aile pour elle !

 

Volant de sa propre aile ! La ville de Lille

Depuis son île en presqu'île de son elle

Brisée ! Qu'il faudrait soigner en son il

A la Clinique de L'Isle ! Rien que son aile !

 

Elle habite une île, il vole de son aile !

Attire d'elle ! A tire d'aile ! Volant d'son elle !

En battant de l'aile ! Déployant son aile !

En ouvrant et en refermant son elle ! 

 

L'île abrite son elle; l'aile habite son il !

De sa presqu'île; de Lille, de L'Isle en île !

Ils volaient à elles, s'envolaient en ailes !

Des ailes brisées aux ailes, battant de l'elle !

 

Et si d'île en elles, il y avait des ailes !

Pour ouvrir ailes, sans refermer leurs zèles !

Et si d'elle en il; il y avait un il !

Et une île ! Habitant de tout cet il !

 

Et si d'un presqu'il en une belle presqu'île !

Il y avait l'île de la ville de Lille; d'L'isle !

Soignant la presqu'île ! Rouvrant toutes les ailes !

En redéployant attire d'aile ! Les elles !

 

A tire d'elles ! Pour rabattre, pour abattre les ailes,

A tire d'ailes ! Pour envoler, en volant elle

De ses propres elles ! Pour habiter son il;

Son île de la presqu'île de L'isle; de Lille !

 

Elle habite une île, il vole de son aile !

Attire d'elle ! A tire d'aile ! Volant d'son elle !

En battant de l'aile ! Déployant son aile !

En ouvrant et en refermant son elle ! 

 

Ils et elles forment; conformes plusieurs presqu'îles!

S'envolant d'la vile de L'isle à la ville

De Lille, dont elle répare l'aile, battant d'l'elle

A ailes ! Pour revoler de toutes ses ailes,

 

Lille permet de voler de ses propres ailes

Jusqu'à la presqu'île de la ville de L'île !

Pour aider son il, à envoler elle !

De villes en villes jamais jamais viles !

 

Pour redéployer et rouvrir les ailes,

Il faut faire d'une presqu'île ! Une île à Lille

Sans la vile de L'isle ! Prenant son son elle !

L'île au Trésor en Ile de France dans l'île !

 

Et si pour s'envoler, il rouvrait l'aile !

A travers elle ! Pour redécouvrir L'Isle,

Quitte à la réapprendre sous toute son elle !

Partant d'l'île vile ! Arrivant à Lille ville !

 

Elle habite une île, il vole de son aile !

Attire d'elle ! A tire d'aile ! Volant d'son elle !

En battant de l'aile ! Déployant son aile !

En ouvrant et en refermant son elle ! 

 

Jérôme de Mars

 

 

Au nom d'une pipe !

 

 

          u nom

 7)  A        d'une                                                                                                                pipe !                                                                     6) E  n

1)   S                mait 2) L                                      pour  casser sa                fumant

4)E      i on fu                e                de  la  paix                                          pe

   n                                 c         et                                                            i

    j                                  alum            ea u de havane à la Havane3) P  

   o                                                  p                                              

   u                                              pi

     an                                       u

           t                           ant  d

             e                     m

               t                 u

                 e           F

                      n   5)

 

 

 

Jérôme de Mars

Vague à slam !

 

Rouleau d'vague

D'la mer morte !

Que j'élague

En mon âme forte !

 

J'en écris

Sous une drague

D'poésie;

Genre au rade !

 

Un stricte art

Dans la rue

D'mes rencards !

Bienvenue  !

 

Au concours,

D'où j'vous livre

Sans Goncourt

En un livre !

 

Vague à slam !

Pas de drame !

Vague à l'âme !

C'n'est un drame !

 

D'être un livre

Très ouvert;

Qui délivre

Que des vers

 

De poèmes !

Sans problèmes

De bohème;

Qui parsèment

 

Je m'enivre

Dans l'écume !

Monnaie d'livre !

Qui m'enfume

 

Dans l'brouillard

Au hangar !

D'où j'm'égare,

Je m'gare !

 

Vague à slam !

Pas de drame !

Vague à l'âme !

C'n'est un drame !

 

J'dis hello !

En bonjour

D'un allo !

Genre bon jour !

 

Qui passe vite;

Qui repasse

Qu'on s'évite !

Qui ressasse

 

J'en attends

Le soleil !

Qui m'détend

A merveilles !

 

Je ne perds

Le stylo !

En repaire

De mes eaux !

 

Vague à slam !

Pas de drame !

Vague à l'âme !

C'n'est un drame !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le lac paisible de la forêt

 

Au Bois de Boulogne Molitor,

Il y a des eaux calmes qui frétillent;

Qui fricotent avec pour mentor,

Des kiosques pour chanter toute la ville

 

De Paris; son jardin tranquille !

Champignons hallucinogènes

Dans un quartier moins que fébrile !

Loin des rues d'Paris anxiogènes;

 

Qui avancent à très vive allure !

Mais heureusement qu'il y a l'eau

Pour montrer aux gens leur nature !

Occultant tous les quiproquos

 

De la vie en son quotidien

Sans langue de bois jusqu'au charbon !

Au bois plutôt manichéen !

Et au bois; il y a de plus bon !

 

Le lac paisible de la forêt,

C'est du gâteau dans la forêt !

Que chantait Marie La forêt

Lors de l'appel de la forêt !

 

Au Bois d'Boulogne; Porte Molitor !

Pour jouer avec toutes ses boules

Sans avoir les boules du mentor 

En ce monde maboule qui déboule...

 

Il ne faut jamais perdre la boule

Sur des sables mouvants de pétanque !

Il vaut mieux rentrer dans le moule !

Cherchant le jeu de la bonne planque,

 

Il faut s'méfier de l'eau qui dort !

Sur les nénuphars eaux hagards

Du folklore de l'eau en renfort !

Qui joue du pipeau en fanfare !

 

Trompant les clapotis de l'eau

Dans un éternel vague à slam !

En en faisant des ronds sur l'eau !

Qui déclament; proclame pas de drame !

 

Le lac paisible de la forêt,

C'est du gâteau dans la forêt !

Que chantait Marie La forêt

Lors de l'appel de la forêt !

 

Il y a une foule qui se défoule

En une belle foule sentimentale !

Que le capitalisme refoule

En de vilaines choses trop banales !

 

Il faut se changer les idées !

En écoutant le calme de l'eau !

En se rinçant l'intégrité

Et les qualités, car hello !

 

Bonjour, le cher Bois de Boulogne !

Montrant de quel bois il se chauffe

En chaleur humaine de vergogne !

Tout le monde s'échauffe en tour d'chauffe !

 

Réchauffant le froid des Banquises

En ambiance cordiale; conviviale 

D'une solidarité marquise,

Exquise et en détente triviale !

 

Le lac paisible de la forêt,

C'est du gâteau dans la forêt !

Que chantait Marie La forêt

Lors de l'appel de la forêt !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Vers mi sel 

 

Pour manger,

Je parsème

A manger,

Dont je sème

 

Une bonne soupe

De légumes !

En soucoupe

Sans agrumes,

 

J'en écris

Des vertes mûres;

J'en décris

Vertes pas mûres !

 

En salade;

Verte ouverte

En ballade

Verte couverte;

 

Vers mi sel

Hormis celle,

Vermicelle

Envers celle,

 

C'est d'la soupe !

Populaire !

Soucoupe

Populaire !

 

En denrée,

Qui bombait

Le Glaude;

Ainsi glauque !

 

Qui donnait

Envie d'manger

De la soupe !

En soucoupe

 

D'un régime

Sans sel,

D'un régime

Sans celle,

 

Vers mi sel

Hormis celle,

Vermicelle

Envers celle,

 

Qui prépare

Une bonne soupe,

D'une fanfare

De soucoupe,

 

En buvant

Sa soupe,

En tapant

Sa soucoupe,

 

En comptant

L'ver mi sel !

En contant

L'vermicelle !

 

En histoire

De cette soupe,

Et pour boire

Sa soucoupe,

 

Vers mi sel

Hormis celle,

Vermicelle

Envers celle.

 

Jérôme de Mars

 

                                             Blague :

 

 

Pourquoi la femme, elle débite l'homme ?

- Pour que l'homme paye en liquide content la femme !

 

 

                                      Jérôme de Mars

Un nanti pauvre; un anti riche

 

Il était une fois que l'argent !

Qui faisait ce monde qui mine d'or...

La parole n'en est que d'argent !

Comme le silence dore et redore !

 

Prenant tout pour argent comptant !

Sans en vérifier sa valeur !

Et s'il rend indolore content;

L'argent contribue au bonheur !

 

Mais n'est rare entier de bonheur !

Comme c'est trop une tare d'être rentier 

Au bout du compte fait de l'honneur !

En avoir et tout posséder

 

Certes, met à l'abri pour toujours !

A part de s'ennuyer frivole !

L'argent; il en vaut le détour !

Et pour prendre son envol sans vol,

 

Un anti pauvre; un nanti riche

Est d'être anéanti en friche;

Un nanti pauvre; un anti riche

Est d'être un accompli des friches;

 

Il vaut mieux entreprendre des choses !

Pas que pour l'argent; pour l'amour

De son métier ayant d'l'osmose !

Pour dire que ça vaut le détour !

 

D'entreprendre des choses pour l'plaisir !

Autant que pour gagner sa vie !

Sans plus souffrir à l'avenir;

Quitte à surfer dans l'autarcie !

 

Pour ne plus dépendre de personne !

Juste pour collaborer pour l'fun !

Afin que tout sonne vrai sans klaxon,

Anglo-saxonne quand des cons sonnent !

 

On vous met tous à la grande porte !

Virés, rivés et dérivés,

Traités comme des malpropres en sorte !

De la sorte qui en fait songer !

 

Un anti pauvre; un nanti riche

Est d'être anéanti en friche;

Un nanti pauvre; un anti riche

Est d'être un accompli des friches;

 

Il faut faire quelque chose d'sa vie !

Entreprenant tout l'intérêt

Des choses qui donnent; redonnent envie

D'avoir d'la personnalité !

 

Pour s'intégrer en être intègre,

Trouvant en vitesse de croisière;

Tout l'amour du travail allègre

En un inventaire sans colère !

 

Avec pour contremarque de fabrique;

Le fait de bien gagner sa vie

Sans le luxe d'une marque de fabrique;

Qui fabrique pour la vie l'ennui !

 

Et si pour mieux gagner sa vie;

Il y avait en gain le besoin;

De déclarer son appétit 

En grande forme avec en regain !

 

Un anti pauvre; un nanti riche

Est d'être anéanti en friche;

Un nanti pauvre; un anti riche

Est d'être un accompli des friches.

 

Jérôme de Mars

 

Faites du sport !

 

D'un concours

D'circonstances,

Le temps court

En constance

 

D'badminton !

Qui rackette;

Qui détonne

Les raquettes !

 

Jeu d'tennis

En filet !

Coupe Davis

Sans filet !

 

Jeu d'ping-pong,

Ouvrant l'bal !

Qui diphtongue

Si verbal !

 

Jeu d'football

Dans les cages,

Le handball

Qui saccage

 

En hockey

Sur glace;

Son hoquet

Restant d'glace

 

Sur gazon !

S'coupant l'herbe !

Dont gageons

Qui désherbe ?

 

En faisant

Trop de ski !

Refaisant

Si exquis !

 

Vous semez

Que du grain !

Vous avez

Que du pain

 

Sur votre planche

De snowboard !

Comme il planche

Story board !

 

En jouant

Au billard,

Enjouant

Corbillard

 

De polo

En maillet,

D'où Paulo

Emaillait

 

Faites du sport !

Dans l'confort !

Vive le sport !

C'est votre fort !

 

D'natation

Dans la nage

De l'action !

Et en âge !

 

Jeu d'basket !

Lançant franc !

Vos baskets

D'lancer franc !

 

A cheval

C'est d'la bombe ! 

En aval

C'est une bombe !

 

Dans votre box

Elégant !

Dans votre boxe

Et les gants !

 

En pelote

Si basque,

Qui grelotte

Dans les basques !

 

Jeu d'rugby

A l'essai !

Qui vous dit

Tout se sait !

 

 En jouant 

Au golf,

En allant

Dans le Golfe

 

De l'arène

D'corrida !

Etant reine

Des férias !

 

Jeu d'fléchettes

Indicibles !

Visant d'tête

Toute votre cible !

 

Si maboule

D'la pétanque,

Qui déboule

Toute votre planque !

 

En faisant

De la gym !

En buvant

D'aquagym !

 

A cheval

Que d'arçon,

Qui cavale

Sans garçons !

 

Faites du sport !

Dans l'confort !

Vive le sport !

C'est votre fort !

 

D'athlétisme,

Course à fond

D'olympisme !

Course de fond

 

En une course

Solitaire !

Et of course

Solidaire,

 

Comme l'escrime,

Qui fleurait

Sans le crime

D'un fleuret !

 

Eflfleurant 

Votre bateau,

Ecorchant

D'vos gouttes d'eau,

 

Votre épée

D'Damoclès !

L'flibustier,

Comme il lèse !

 

A voile et

A vapeur !

Démarrez

Votre moteur !

  

Vos voitures

De rallye,

D'couverture

Qui rallie

 

Le cyclisme

D'vos vélos !

Cataclysme

P'tits vélos !

 

En filet

D'volley-ball !

Enfilé

Volé all !

 

Sous le vent

D'alters égos !

Soulevant

D'halters égaux !

 

En plongeant 

Assez splatch !

En faisant

Que du catch !

 

Sans base-ball

Dans votre lutte

De horse-ball !

Et sans butte,

 

Faites du sport !

Dans l'confort !

Vive le sport !

C'est votre fort !

 

Jérôme de Mars

Maux croisés

 

D'une balade;

J'en écris

Une ballade !

D'maladie

 

Schizophrène;

Bipolaire

Qui ne freine

Ma colère !

 

En humeur

Névrosée;

Je meurs

Nécrosé

 

En schizo

Affectif !

Non triso

En canif !

 

Maux croisés

Décroisés;

Mots croisés

Des croisées;

 

Ame d'artiste;

J'ai des mots !

Ame d'autiste;

J'ai des maux !

 

Ame altruiste

Solidaire;

Ame si triste

Solitaire;

 

J'pleure la nuit

Névrotique !

J'aime la vie

Bucolique !

 

Dépressif;

J'fais du rock !

Expressif;

J'fais le roc !

 

Maux croisés

Décroisés;

Mots croisés

Des croisées;

 

Déprimé 

Trop chronique;

Et primé

Euphorique;

 

Je n'comprends

Quand je vois !

Si j'entends

Que des voix !

 

Que je stresse

Oppressé

En des tresses

Et tirées !

 

D'mon cheveu

Sur la langue

Si odieux;

Que je tangue !

 

Maux croisés

Des croisées;

Mots croisés

Décroisés.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Interro musicale

 

D'une portée rapportée

Sur une note de piano;

Je ne fais qu'apporter

Une quantité de mots !

 

Ecrivant l'fleuve d'une vie !

Emportée en mélo;

Qui fait; kiffait ovni !

En ressortant mes lots

 

De l'écume de ma mer !

Jetant l'encre d'mon histoire !

Assurant mes arrières

Du fruit d'mon purgatoire !

 

Faisant d'une oeuvre hors d'oeuvre !

Quelpart gouttant la pluie

Du tourbillon qui oeuvre

Défaites de confettis !

 

Interro musicale

En un terreau génial;

J'préfère l'original

A la copie banale !

 

Tapant tape amicale

Des notes salées trempées

De mon encre animale !

Caractère bien trempé

 

De ma composition !

Chantant à la maison !

Rebelle état sauvage;

J'écris ma zone sauvage !

 

Tapage nocturne extrême !

Je crée d'un drôle d'adage

Des mots volages suprêmes;

Qui sortent du paysage

 

Ordinaire et terrien

Sur la terre immorale

D'mon système D païen !

Je veux me faire la malle !

 

Interro musicale

En un terreau génial;

J'préfère l'original

A la copie banale !

 

Qui veut m'interroger

Sur tout le contenu

De mes poèmes slamés

Pour parler dissolu

 

Et si irrésolu ?

En mettant une note

A chaque nuit ingénue !

Je m'y pique; je m'y frotte

 

En des orties qui m'piquent

Loin d'une vie jamais rose !

Qui suffoque très épique;

Toujours en sinistrose !

 

Pourvu qu'j'ose de mes mots !

L'envie de faire la fête

Dans un eldorado

Retrouvé sans défaites !

 

Interro musicale

En un terreau génial;

J'préfère l'original

A la copie banale !

 

Jérôme de Mars

 

49.3

 

Projet de loi

Et du plus fort !

D'un jeu de l'oie

En un renfort !

 

Qui est l'cador

Sur la commande ?

Qui dore; redore

Dans la demande !

 

Ceux qui ont tort

Ou oraison !

En des remords

De déraison !

 

D'un droit de vote

A gauche; à droite !

Et qui pivote ?

C'est dans la boîte !

 

49.3

En règle de trois;

Sentant l'étroit

Dans un détroit !

 

D'l'apolitique !

Tout l'monde s'en fout

D'la politique !

Dans c'monde ripou !

 

Je n'en suis dingue !

Celui qu'je flingue

En étant dinde,

Marron et dinde !

 

C'est le chaos

En société !

Qu'ça fait bobos !

BCBG !

 

Personne n'y croît !

Ordre de grandeur,

Personne n'y croit !

Ordre de frondeur,

 

49.3

En règle de trois;

Sentant l'étroit

Dans un détroit !

 

C'est n'importe quoi 

Cette météo !

Au sujet d'quoi ? !

C'méli-mélo !

 

Pluie et beau temps

De la grenouille,

A bout portant

De ces fripouilles !

 

Mauvais discours !

Pour qui ils roulent

Les prix d'concours !

Que ça déroule

 

Prix de Goncourt,

Que tous écrivent

Compte à rebours !

Scandant furtives

 

49.3

En règle de trois;

Sentant l'étroit 

Dans un détroit !

 

Jérôme de Mars

Volcanique

 

Un cratère;

Il crachait

Sa colère !

Pour crier

 

Eruption;

Y a la lave !

Irruption;

Qui en bave !

 

Sur des monts

Noirs et blancs !

En démons

Blancs troublant !

 

Que d'un mont;

Il jura

En amont

Du Jura !

 

Volcanique

En musique,

Acoustique

Pacifique,

 

Pyrénées

En taverne !

L'pire est né

Dans l'Auvergne !

 

Y a l'massif

Très central !

Si massif

Ancestral !

 

Loin des Alpes

En montagne;

Qui palpent

La campagne !

 

D'la Vendée

Qui disait;

Donc vendez !

Pour hurler

 

Volcanique

En musique,

Acoustique

Pacifique,

 

Pour en faire

Au Jura

Du cratère;

Il jura

 

En faisant

Une montagne !

Sous le vent

D'une montagne !

 

Gravissant

L'Everest !

En gravant

Elle, Eve reste !

 

Contamines

De Montjoie !

Contamine

Mon bourgeois !

 

Volcaniques

En musique,

Acoustique

Pacifique.

 

Jérôme de Mars

 

 

Petites brèves du GEM de Vitry !

 

Voici des petites brèves sur le GEM de Vitry :

 

1) Pour chaque adhérent du GEM de Vitry, le jour où c'est leur anniversaire, c'est du gâteau pour tout le monde !

 

2) Walid fait tellement bonne impression au GEM de Vitry que c'est lui qui change à chaque fois les cartouches d'encre de l'imprimante !

 

3) S'il y avait un atelier peinture au GEM de Vitry, tout le monde pourrait se voir davantage en peinture !

 

4) Chaque fin de mois, Jérôme fait les comptes du GEM de Vitry en saltimbanque !

 

5) Quand le GEM de Vitry a davantage d'argent dans les caisses, tout le monde est de bonne humeur que Jérôme fait un billet d'humour !

 

6) Gerald se débrouille si bien en poterie que tout ce qu'il dit concerne la vie sur Terre !

 

7) Rafaël est tellement doué dans le poste qu'il occupe aux impôts concernant l'argent qu'il n'est jamais économe dans l'art de prodiguer des bons conseils financiers !

 

8) La preuve que Jérôme n'a jamais travaillé dans une banque car à chaque fois qu'il parle de placements financiers; il raconte des blagues déplacées sans s'épargner !

 

9) Philippe Benguigui raconte si bien les blagues cochonnes qu'il pourrait bien manier le cochonnet en tirant ou en pointant à la pétanque !

 

10) Guillaume pourrait très bien entretenir le jardin du GEM de Vitry en cultivant l'amour du travail bien fait ainsi que l'amitié avec tous les adhérents du GEM de Vitry !

 

11) Dorothée connaît si bien la chanson à la FNAC que le mardi et le jeudi quand elle ne travaille pas, elle vient parfois au GEM de Vitry !

 

12) Le GEM de Vitry attend de voir les Œuvres Falret à l’œuvre comme le nouveau gestionnaire du GEM de Vitry !

 

Jérôme de Mars

L'opération totale !

 

Multiplié X fois !

Le monde est divisé

Par un grand manque de foi

En ce monde fracturé;

 

C'est l'addition salée !

Avec des moins que rien !

Pour sucrer des salées !

Ce monde qui manque d'entrain !

 

En inadéquation !

Déroute vers l'inconnu !

Quelle serait l'équation

Pour n'être un inconnu ?

 

Mais quelqu'un d'reconnu

Dans la rue, salut !

Arrondissant les angles,

Sans attacher les sangles !

 

L'opération totale !

C'est jamais amical

De s'affronter frontal !

Le monde devient fatal !

 

Avec aucun angle droit,

Le monde ne tourne plus rond !

D'plus en plus maladroit !

Avec des rubiconds

 

En un monde trop carré !

Nul ne peut s'encadrer !

Ne peut contrecarrer,

Sans se faire recadrer

 

En triangle isocèle

Du triangle des Bermudes !

Celui qui isole celle

D'sa mauvaise altitude

 

Trop perpendiculaire !

Sans histoires parallèles

Dans les bars parallèles !

Qui attirent au contraire,

 

L'opération totale !

C'est jamais amical

De s'affronter frontal !

Le monde devient fatal !

 

En une fraction d'secondes !

Les gens; ils veulent leur part

En effractions qui frondent

Leurs côtés sans rempart !

 

Le monde est morcelé

Et plus que fractionné

En mille et un morceaux !

Comme tout part en lambeaux !

 

Dont l'dénominateur

Commun; est d'réunir

Fait multiplicateur !

Tous pour se soutenir

 

Un égale un plus un !

Qui régale un plus un !

Un légal un plus un !

Qui l'égale un plus un !

 

L'opération totale !

C'est jamais amical

De s'affronter frontal !

Le monde devient fatal !

 

Jérôme de Mars

 

 

Ca décoiffe !

 

Me faisant

Des cheveux !

Malfaisant

Odieux !

 

Je me fais

Des cheveux !

En effet

Sans cheveux !

 

Et hirsutes

D'mes cheveux !

Y a la chute

D'mes cheveux !

 

Que je frise

L'ridicule !

Sur la frise; 

J'déambule !

 

Ca décoiffe !

Bien à poil !

Qu'ça ne coiffe !

Bien pile-poil !

 

Dépeigné

A l'arrêt !

Décoiffé 

A la raie !

 

Coupe-ciseau;

D'calvitie !

J'ai tout faux !

Qu'il fait gris !

 

Que je vends

Toute la mèche !

Dans le vent

Luit revêche !

 

Qui m'assèche;

Implosant

Dans la brèche;

Explosant

 

Ca décoiffe !

Bien à poil !

Qu'ça ne coiffe !

Bien pile-poil !

 

C'est rasoir

Dans ma tête !

Défouloir

En casse-tête !

 

Exutoire

De la tondeuse !

C'est rasoir

Et songeuse !

 

Qu'mot pour maux

Si rasoirs !

J'ai l'blaireau

Du rasoir !

 

Pour étaler,

M'épancher;

Mélangé;

Figuré !

 

Ca décoiffe !

Bien à poil !

Qu'ça ne coiffe !

Bien pile-poil !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Bienvenue au Parc Montsouris

 

Dans les allées pour dévaler,

Il y a des ronds sur l'eau dans l'lac !

Pour avaler et ravaler

Les gens qui remarchent sur des flaques !

 

Tous les badauds pique-niquent sur l'herbe !

Déjeuner de génies en herbe !

Le déjeuner sur l'herbe de Manet

Sans s'couper l'herbe qui émanait

 

Des passants mangeant que des glaces

A l'eau; se regardant dans la glace !

Eux forts, comme des armoires à glace !

Pour échauffer eux en froid d'glace !

 

Il suffit de se réchauffer

Face au soleil pour regarder

Les gros poissons dans leurs péchés !

Commettant la faute d'n'être pêchés !

 

Bienvenue au Parc Montsouris,

Pourvu que les gens, ils sourient

A la vie qui les épanouit !

Pourvu que les gens, ils en rient !

 

En joue, les promeneurs rejouent

A leur puissance pliée en quatre !

Si bien qu'ils baladent tous les fous !

Qui ont tant besoin d'un psychiatre !

 

Pour essuyer les plâtres d'leur mal

De vivre dans la fureur d'survivre !

Mais grâce à ce Parc en aval,

Il y a d'l'énergie qui enivre

 

Tous ceux qui en font leur footing !

Courant beaucoup plus vite qu'Paris !

Ici il y a un bon feeling,

Qui fait oublier les soucis

 

Jusqu'à la terrasse de café,

Avant qu'elle terrasse tout l'été !

Qu'arrive l'hiver en clapotis

Sur l'eau, dès qu'il y a la pluie !

 

Bienvenue au Parc Montsouris,

Pourvu que les gens, ils sourient

A la vie qui les épanouit !

Pourvu que les gens, ils en rient !

 

Malgré les aléas du temps

S'il fait beau pour monter le temps !

Il faut qu'il y ait un escabeau

Pour tout remonter vers le haut !

 

En mangeant près de la cabane

Toute en bois; des crêpes et des gaufres

En queue d'peloton qui pavane

Les gens, attendant qu'on leur offre

 

Des barbes à papa rabat-joie !

Si bien que tous les papas barbent

Leurs enfants pour connaître la joie

Acidulée de la rhubarbe !

 

Et même si contre vents et marées !

Il y a des humeurs bipolaires !

Il faut prendre le temps d'se marrer,

Et effaçant toutes les colères;

 

Bienvenue au Parc Montsouris,

Pourvu que les gens, ils sourient

A la vie qui les épanouit !

Pourvu que les gens, ils en rient !

 

Jérôme de Mars

 

 

La courte échelle

 

En hissant O !

De bas en haut !

Avec hauteur

Et d'la ferveur,

 

Si on s'aidait

Et s'entraidait !

Sans rien attendre

Pour se détendre !

 

Ca vaut l'détour !

De rendre service !

Chacun son tour !

Dans la justice !

 

Et d'impulsion

En une pulsion,

Si on voulait

Et on faisait

 

La courte échelle,

Montant le ciel !

Gravant l'réel

De l'essentiel !

 

Pour faire d'une vie,

Une embellie !

Quelque part aussi

En choses jolies !

 

Pour transformer

Rien que la nuit

Et la changer

En accalmie !

 

Le temps de fuir

Tous les ennuis

De la vie enfouie,

Rien qu'pour s'enfuir !

 

Durant le jour

Face au soleil;

Donnant d'l'amour !

Qui amoncelle

 

La courte échelle,

Montant le ciel !

Gravant l'réel

De l'essentiel !

 

Et en aimant

Rien que les gens,

Si on semait

Et parsemait

 

De l'énergie !

En clairsemant

Que des envies !

En diffusant

 

Que des bonnes ondes

Très positives !

Sans micro-ondes

Trop négatives !

 

On déchantait

Que là c'est cuit !

Chantant cuit cuit !

Si on faisait

 

La courte échelle,

Montant le ciel !

Gravant l'réel

De l'essentiel !

 

Jérôme de Mars

 

 

Névrose obsessionnelle

 

Question d'un handicap,

On fait face comme on peut !

Gardant toujours le cap !

Pour se relever mieux

 

Malgré la parano

Des mots qu'on n'aime entendre !

Quand parfois ça fait trop !

Pour vraiment se détendre

 

En conflits psychiatriques;

En luttant tout le temps

Contre ses pensées psychiques

Depuis naguère OTAN !

 

En faisant trop toc toc

De ce gros handicap !

Comme ce n'est pas du toque !

De vouloir garder l'cap !

 

Névrose obsessionnelle;

Question si solennelle

Pour garder l'essentiel

Sans s'en aller au ciel !

 

Luttant contre ses démons

A force de s'en faire trop !

Voulant braver les monts !

Façon incognito,

 

Contre tous ses vieux démons

D'un paradis d'enfer !

D'une psychose d'obsession

Sans parodie d'en faire !

 

Du cinéma qui n'en

N'est pas sans aucune joie !

Surtout au Nouvel An,

Question trop rabat-joie !

 

De se répéter trop !

Accro synchro pour

Tenter d'être sans rétro

Dans la haine sans amour !

 

Névrose obsessionnelle;

Question si solennelle

Pour garder l'essentiel

Sans s'en aller au ciel !

 

Tentant tant bien que mal

De rester dans la vie !

Sans côté chacal

De rester dans la nuit !

 

Entre l'ombre et la lumière;

Lunatique et lunaire !

Du côté de son ombre !

La nuit dans la pénombre !

 

Au nombre des côtés sombres;

Qui grandissent en un nombre

Record sans être raccord !

S'il n'y a jamais d'accord !

 

Pour rester en accord 

Avec soi ! Sans des cors

En procrastination !

On n'domine ses démons !

 

Névrose obsessionnelle;

Question si solennelle

Pour garder l'essentiel

Sans s'en aller au ciel !

 

Jérôme de Mars

 

Mixe les platines !

 

DJ Gégé !

Il met le disque !

Fréquence FG;

Prenant des risques

 

Dans la truande

De négatifs !

En contrebande

Deux négatifs !

 

Allez ! Musique !

Ca danse, contre danse !

Rythme dynamique !

Gare à contre dense !

 

En un PV,

Procès-verbal !

Sur du synthé,

Ouvrant le bal !

 

Mixe les platines !

D'adrénaline !

Remix d'platines !

A l'origine !

 

Musique branchée;

Fil électrique !

Pour débrancher

Rythme hystérique !

 

Montant des pièces

Su des platines,

Payant en pièces

Sûres des platines,

 

Quarante-cinq tours !

Ca vaut l'détour !

Et trente-trois tour !

A qui le tour ?

 

Pour tourner l'disque,

Manger le disque,

Pour détourner,

Et contourner

 

Mixe les platines !

D'adrénaline !

Remix d'platines !

A l'origine !

 

Y a pas photo

De positifs !

Y a la photo

De négatifs !

 

Pour reformer

L'duo d'enfer !

Pour retourner

A des concerts !

 

Et pour remonter

A ces racines;

Il faut monter !

Courbant l'échine !

 

Pour démonter

D'un roc de pierre !

Pour démontrer

D'un rock de Pierre !

 

Mixe les platines !

D'adrénaline !

Remix d'platines !

A l'origine !

 

Jérôme de Mars

Il y a des noms d'oiseaux !

 

Epie, la pie qui chante

Le corps beau en son corbeau !

Canaris, des îles lentes;

Clopant que du pipeau !

 

En vers tous les pigeons !

Prenant pour des pigeons

Les mouettes du bitume;

Alouettes de leur plume !

 

Hibou; caillou; chouchou,

Déposant sans vergogne

Que de jolies cigognes !

Chantant que des mots doux !

 

Paroles de perroquet !

Se faisant des cheveux !

Pour coiffer; décoiffer

En inséparables deux !

 

Il y a des noms d'oiseaux !

En passant des gros mots

Aux différents oiseaux 

Volants; faisant les beaux !

 

En faisant d'une vie d'ange

Que des tifs de mes nattes !

En s'appelant mésanges

Dans un kif de mainates !

 

En proie plus que vorace

A ces aigles de rapaces !

Renaissant en phénix 

Sans provoquer de rixe !

 

L'hirondelle fait l'printemps !

Qu'elle vole de ses propres ailes !

Attendant l'firmament

Avant d'aller au ciel !

 

Volant les tourterelles

Fanatiques des moineaux !

Flirtant comme demoiselles !

Avec pour dernier mot !

 

Il y a des noms d'oiseaux !

En passant des gros mots

Aux différents oiseaux

Volants; faisant les beaux !

 

Très à cheval d'ara !

Jamais dans leur ara !

Les aras, ces oiseaux !

Flânant dans leur aura,

 

Avec des pélicans,

Allumant cigarettes

Sur cigarettes; faisant

Des plans sur la comète !

 

Emprises de becs pète-secs !

Déclamant en mots secs

Qu'ils sont tous de mauviettes !

Pour leur conter fleurette !

 

Le temps d'une amourette

Sans tambour ni trompette !

Et s'il y avait des merles

Pour enfiler des perles !

 

Il y a des noms d'oiseaux !

En passant des gros mots

Aux différents oiseaux

Volants; faisant les beaux !

 

Jérôme de Mars

 

 

Verres de flûte !

 

Eau salée

De musique;

Démarrée

Poétique;

 

Une guitare

A deux mains

En fanfare;

Joue enclin !

 

D'un clin d'oeil

Une bluette;

Gardant l'oeil

D'amourette !

 

Pour un air !

En roulant

Tous les airs !

Déroulant

 

Verres de flûte;

Air de flûte;

Chantant flûte !

Et puis flûte !

 

En buvant

Chaque parole,

Dessoûlant

Chaque bémol,

 

Chaque matin

De rengaine

En refrain;

La semaine !

 

En cassant

Tous les vers,

Fracassant

Les revers

 

Mélodies

Sous silence,

Et hormis

Toute puissance !

 

Verres de flûte;

Air de flûte;

Chantant flûte !

Et puis flûte !

 

D'une complainte;

Enchantant 

Dépôt d'plainte;

Déchantant

 

Bonne ambiance;

Chef-d'orchestre

D'une séquence !

Tape pédestre !

 

Il en faut

Des malins;

Porte-à-faux ! 

Qui bénins;

 

En merlins

Enchanteurs,

Magiciens

En chanteurs,

 

Verres de flûte;

Air de flûte;

Chantant flûte !

Et puis flûte !

 

Jérôme de Mars

 

 

La machine à soûls 

 

Ivresse de la nuit

Dans l'écume des bars;

Tournée très bouffie !

Avant que l'chef rembarre

 

Les gens éméchés;

Allumant leur verre,

Comme des têtes brûlées !

Pour fuir leurs revers

 

En droit à l'oubli !

Le temps d'une soirée

En disant merci

A toute la tablée !

 

En vers ceux qui payent

Leur verre conciliant !

Pour qu'l'alcool les haït !

Faut réconciliant

 

La machine à soûls

En musique de soule;

Qui soûle et dessoûle,

Chantant de la soule !

 

Soûlant les poltrons

En peur d'la boisson !

Dessoûlant pochtrons

Sans envie d'boisson !

 

Mise en bouteille !

Comme tous les sous sous,

Prenant d'la bouteille !

Sens déçus deux sous !

 

Nous encaissons tout

Pour nous faire sauter

Le caisson à bout !

Pour tant sursauter

 

A l'aide du tesson

En des bris de verres !

Comme nous nous taisons

En des bruits d'hiver !

 

La machine à soûls

En musique de soule;

Qui soûle et dessoûle,

Chantant de la soule !

 

Lançant une bouteille

A toute la belle mer !

Cherchant le soleil

Sans un mal de mer !

 

Naufrage de la vie;

On en fait un blues,

Virage de la nuit !

Le blues nous émousse

 

En bande d'alcooliques,

Faisant d'une contrebande

Une bande d'acolytes,

Formant tous une bande

 

Coliques névrotiques;

Coliques néphrétiques;

D'une bande bucolique

En bande frénétique !

 

La machine à soûls

En musique de soule;

Qui soûle et dessoûle,

Chantant de la soule !

 

Jérôme de Mars

 

Le kiosque en ballade

 

Clamer des chansons

Sur la voie publique !

Effleure les saisons

En mots impudiques

 

Sur les bancs publics

Du jardin secret

De La République,

Comme un Mausolée !

 

Vendant des journaux

Pour tant déchanter

Tous les marmots,

Pour les faire pleurer

 

Avec leurs sanglots !

Et au lieu de ça !

Si très rigolos;

On leur chantait là !

 

Le kiosque en ballade

En guise d'sérénade,

Le kiosque en balade

Dans une promenade,

 

Il faut se méfier

De toute l'eau qui dort !

Sans vraiment bouger,

Alors qu'aux aurores,

 

Si jamais elle s'met

A crier des mots !

Elle pourra chanter

Ses bruits en échos !

 

Sans malentendus,

Avenue salut !

Bonjour de la rue !

Et bienvenue

 

Dans la rue des chants;

Qui rend attachants

Les enfants et grands,

Clamant; déclamant

 

Le kiosque en ballade

En guise d'sérénade,

Le kiosque en balade

Dans une promenade,

 

Faisant que des ronds

Sur l'eau ! Car allo !

Il y a des chansons

En des bons tuyaux

 

D'arrosage; hommage

Aux clapotis qui

Font des ramages

Jusqu'à l'embellie

 

Des rois mages; le jour

Et la nuit durant

La lumière séjour,

Durant; endurant

 

Un jardin public

Avec que des clowns

Amusant le public;

Chantant en cartoons !

 

Le kiosque en ballade

En guise d'sérénade,

Le kiosque en balade

Dans une promenade.

 

Jérôme de Mars

 

Calculs névrotiques

 

En arithmétique;

Et si je comptais

Personne frénétique;

Tout vous raconter !

 

Je fais des calculs

En tête d'un casse-tête;

Personne n'me calcule !

Je me casse la tête

 

A vouloir changer

Notre Terre si immonde !

Qu'je la sentirais

Très nauséabonde !

 

L'addition salée

En conflits psychiques;

Qui m'auraient sucré,

Comptant psychiatriques !

 

Calculs névrotiques;

Coliques néphrétiques;

Calculs néphrétiques;

Coliques névrotiques;

 

Du pareil au même,

Ca cause des problèmes !

D'savoir si on compte

Tous au bout du conte !

 

Comptant sur quelqu'un;

Règlant l'équation !

Contant sur quelqu'un

En adéquation !

 

Si on comptait tous !

Ainsi sur les gens,

Si on contait tousse !

Assis sur les gens

 

En une solution

Pour trouver la paix !

En résolution

Fumant l'calumet !

 

Calculs névrotiques;

Coliques néphrétiques;

Calculs néphrétiques;

Coliques névrotiques;

 

Si loin solitaires,

On pouvait compter

Entre nous solidaires !

On pouvait conter

 

Qu'il y a des gens bien !

Qui veulent tous notre bien !

Rien que pour notre bien !

Assez au con bien !

 

Dont le résultat

De toute l'addition;

Ferait qu'de la joie

Sans une division !

 

Ainsi rassemblés

En fraternité,

Jamais divisés !

Pour tous enseigner !

 

Calculs névrotiques;

Coliques néphrétiques;

Calculs néphrétiques;

Coliques névrotiques.

 

Jérôme de Mars

 

La concordance détend !

 

Aux temps indicatifs,

Le temps passe imparfait

En rectificatif !

Conté de fées; conte défait !

 

Il faut vivre au présent !

En attendant demain,

Vivant l'instant présent

En étant boute-en-train !

 

Le futur; c'est demain !

Le passé; c'est hier !

Le présent est entrain !

Contant demain hier !

 

Etant plus que parfait

D'un temps au passé simple !

Filant très vite par fait

En impératif humble !

 

La concordance détend !

Accordant; raccordant

La concordance des temps !

Convergeant, arrangeant

 

Remettant sur la ligne

Tous les temps qu'on subjugue !

Repêchant à la ligne

Tous les temps qu'on conjugue !

 

Raccommodant par fait

Le temps plus qu'imparfait !

Recommandant par fée

Le temps plus que parfait !

 

En un subjonctif

Du futur postérieur

Jusqu'à l'impératif

D'un futur antérieur !

 

Pour remettre d'un désordre;

Outre passé oppressant !

En remettant de l'ordre;

Impératif présent !

 

La concordance détend !

Accordant; raccordant

La concordance des temps !

Convergeant; arrangeant

 

Ces vieux temps divergents,

Passant ambivalents

Sans des temps discordants,

Qui en soient dérangeants !

 

En s'en accommodant,

Et tout en démordant !

S'il y avait l'temps clément !

Exaltant, conciliant

 

Le subjonctif présent;

L'subjonctif imparfait

En rendant à présent,

Un temps plus que parfait !

 

Qui conjugue l'imparfait

Au passé composé !

Qui conjugue plus que parfait,

L'présent simple composé !

 

La concordance détend !

Accordant; raccordant

La concordance des temps !

Convergeant, arrangeant.

 

Jérôme de Mars

 

Quand La Fontaine jaillit...

 

Voici à fable affable !

Un Jean de la Fontaine;

Qui clame en mots aimables;

Des poèmes chaque semaine

 

En paroles dépensières !

Beaucoup moins économes

Que ses fables populaires !

Reflétant les symptômes

 

D'la morale de l'histoire;

Cigale et la fourmi

Aux dépens du comptoir

Et d'ses économies,

 

Plus fourmis que cigales;

Cigales plus que fourmis;

Qui fourmillent de cigales

Aux cigales qui fourmillent !

 

Quand la Fontaine jaillit...

Toute sa belle poésie !

Quand la fontaine jaillit

Son redoux Boétie !

 

Etalant son corps beau

Malin jusqu'au cagnard,

Tel un oiseau corbeau;

Le corbeau, le renard

 

Rapide; tel comme un lièvre

Lente; telle comme une tortue

En prises de becs de lièvres;

Ingénus comme la mue !

 

Posant que des lapins

Aux lapins et aux lièvres;

Affables vers les lapins;

Rongeant les sangs des lièvres !

 

Louant plus que relous

Le loup et la cigogne;

Qui loue; alloue; reloue

Des mots en leur vergogne

 

Quand la Fontaine jaillit...

Toute sa belle poésie !

Quand la fontaine jaillit

Son redoux Boétie !

 

Buvant en petit lait !

La laitière, l'pot au lait;

P'tit lait si olé !

Genre très olé au lait !

 

Qui singe; sortant les griffes

D'tout le singe et le chat

En imprégnant leurs griffes !

Coups de grosses griffes d'achat !

 

Dont là ! Ce sont vos tours !

Vautours et les pigeons !

Prenant juste pour pigeons !

Vos tours vos races d'vautours !

 

J'mets la main à la patte !

En paroles de Socrate,

Dont tous mes mots dilatent

Que ses vers qui le flattent !

 

Quand la Fontaine jaillit...

Toute sa belle poésie !

Quand la fontaine jaillit

Son redoux Boétie !

 

Jérôme de Mars

 

 

On marche dans la république en marche pour sa renaissance !

 

Après avoir voté au plus pour le moins pire, voici élu Emmanuel Macron pour un deuxième mandat, comme une lettre à la poste, on marche dans la république en marche pour sa renaissance ! En mettant son parti pris au centre de l'apolitique; en prenant le gauche avec une politique à droite mal à droite avant les extrêmes, qui feront que Marine peine Les Français, car pas de bol !

Tout le monde en ras-le-bol de boire la tasse, surtout avec le Corona avant la mise en bière qui fera que tout le monde aura pris de la bouteille; envoyant une bouteille à la mer à marine; avec en piqûre de rappel le fait de rappeler aux Français à l'état majeur leur accident mineur que chacun est majeur et vacciné en voyant des piques assassines à la politique de l'apolitique, comme chacun pour soi et Dieu pour tousse ! Car un pour tousse et tous plus rien ! Le monde va mal car comme l'église, il n'y a plus rien de sacré et de consacré; à part mettre la pierre à son édifice; payée en bâtissant au lance-pierres avec plus rien de béni, comme c'est du pain béni que la faim justifie les moyens aux moyens des impôts ! Donc de l'argent du contribuable, comme les Français payent trop d'impôts et que La France est le deuxième pays bas le plus taxé au monde, franchement, vous ne croyez pas que c'est l'hôpital qui se fout de la charité ! Quand on dit qu'il manque une vocation de blouses blanches, écoutez, c'est bien normal, comme dans notre monde, il n'y a plus rien de normal avec un monde qui ne tourne plus rond; étant devenu trop carré, les gens ont tellement le blues et des problèmes de santé à répétition que les Français préfèrent prendre soin de leur santé sans la sécurité sociale des services publics, concernant leur maladie; c'est tellement personnel et confidentiel, secret défiance, que les Français préfèrent se soigner dans le privé avec un manque de public dans les hôpitaux privés, le gouvernement d'Emmanuel Macron, un coût, il est à gauche en prenant le gauche ah ! Droit au centre droit, un coup, il donne une droite en prenant le gauche en esquivant la droite des extrêmes au centre de la discussion pour 2027 ! Prenez-en votre parti de l'apolitique ! Comme

on marche dans la république en marche pour sa renaissance !

 

Jérôme de Mars

Rocking stone !

 

Rock'n'roll

Dans la peau !

Dans ta roll's,

Tu fais l'pot !

 

Pot-pourri

D'tes succès !

Et nourri

D'tes excès !

 

Dont tu fumes

Toute ta brume !

Que t'enfumes

Le bitume !

 

Que tu crèves

Trop l'abcès !

Pour qu's'achève

T'as assez !

 

Rocking stone !

L'monde est stone !

Rolling-Stones !

En sonotone !

 

Rock de pierre,

Tu en joues

Rock éclair !

Qu'tu rejoues

 

Ce morceau !

Quand ta vie

En lambeaux,

Te dévie

 

D'trajectoire,

La semaine

Sur l'trottoir !

Ta rengaine

 

T'fait chanter,

Ainsi stone !

Ta bonté,

Un si Stone !

 

Rock'ing stone !

L'monde est stone !

Rolling-Stones !

En sonotone !

 

Et de Stone

Et Charden !

Tu fredonnes

Ton Eden !

 

Et toi stone,

Tu entonnes

L'monde est stone !

Tu détonnes !

 

Le Berger,

Loin du rock,

L'loup berger

Près d'un roc 

 

De sa pierre !

L'loup berger

D'sa bergère !

T'laisse songer

 

Rocking stone !

L'monde est stone !

Rolling-Stones !

En sonotone !

 

Jérôme de Mars

Le diable dans la peau !

 

Roulant de secours

Un chariot d'étoiles !

J'vais porter secours !

L'enfer qui m'dévoile

 

En un diable d'enfer !

Me roulant dessus;

A force de m'en faire

Une vie dissolue

 

D'l'image qui m'écorne !

Je tire sur la corde

Animale d'la corne !

Pourvu qu'on m'accorde

 

Toutes les cornes du diable !

Mi-ange; mi-démon !

Qui raccordent louable

L'diable loué affront !

 

Le diable dans la peau !

Diable d'enfer rétro !

Très à fleur de peau !

C'est presque la nécro !

 

D'avoir survécu

A c'qui m'oppressait !

D'avoir vécu; vaincu,

D'avoir tant bûché,

 

D'avoir brûlé vif !

Brûlures de l'histoires !

En écorché vif

Dans le purgatoire !

 

Comme il n'y en a qu'urne !

Pour toujours des cendres,

Et comme c'est dans l'urne !

Pour finir en cendres

 

D'où j'pourrais voir rouge !

M'faisant du sans d'encre !

Brûlant les feux rouges,

Ecrivant d'sang d'encre !

 

Le diable dans la peau !

Diable d'enfer rétro !

Très à fleur de peau !

C'est presque la nécro !

 

La vie; c'est la mort

Surtout à chaque nuit !

Bourré de remords

Attendant la pluie !

 

Pour pleurer consort

A l'être qui manque,

Pleurant sur notre sort !

Notre mal-être, on s'planque

 

Derrière une calanque !

Pleurant l'mal de mer !

Ame de saltimbanque,

Une bouteille à l'amer !

 

Attendant l'abbé

Sur toute la baie molle,

J'prie avec la baie !

Avec en bémol,

 

Le diable dans la peau !

Diable d'enfer rétro !

Très à fleur de peau !

C'est presque la nécro !

 

Jérôme de Mars

Longue crise

 

Aimé

Johnny;

Emet

Long Cris;

 

Ils furent

Amis !

Dans l'dur

D'patrie !

 

Du rock

En dur !

En Rock

Dans l'pur !

 

Démons

D'Midi !

Démons

D'Minuit !

 

Longue crise

En Cris,

Long Chris

En crise,

 

Johnny

Fut star

De crise !

L'instar

 

De Cris;

Concert !

Une crise 

D'colère 

 

Entre eux !

Ils furent

Odieux !

Qu'ils durent

 

Aux dieux

Déviants !

Au pieu

Devant !

 

Longue crise

En Cris,

Long Chris

En crise,

 

Faisant

Quatre sang !

Aux coûts !

D'beaucoup 

 

D'excès !

D'beaux coups

D'assez

D'contrecoup !

 

Ils furent

Les dieux !

Impurs

Odieux !

 

D'la nuit

En bar !

Qu'Johhny

Rembarre !

 

Longue crise

En Cris,

Long Chris

En crise.

 

Jérôme de Mars

Cour de jouvence

 

Cour de l'amour

En séduction,

Il y a des jours

En déduction,

 

Cure de genèse,

Où il y en a 

Qui font jeunesse !

L'amour étroit;

 

Adroit à trois !

Faisant la cour

Aux filles de joie !

Faisant l'amour

 

A cour d'argent !

Portant secours

A cours d'argent !

Et à chaque jour,

 

Cour de jouvence

En abondance,

Cure de jouvence

En opulence,

 

L'amour est roi !

La cour d'l'arène !

L'amour paroi,

Font la cour reine

 

D'la petite reine !

Montant l'arène

Glissant comme mot

Ses p'tits vélos !

 

Pédalant dur

Dans la colline,

Crachant si dur;

Pure gélatine

 

De lune de miel !

Faisant l'amour

Ange du soleil,

Faisant la cour

 

Cour de jouvence

En abondance,

Cure de jouvence

En opulence,

 

Cure de jeunesse,

L'amour rend jeune !

Cour de genèse,

L'amour fait l'jeûne !

 

Cour de jeunesse,

C'est la liesse

Dans l'allégresse !

Fondant la graisse

 

Bouquet de fleurs,

L'amour est fleur !

Trouvant l'âme soeur,

L'amour effleure

 

En bande à part !

Qu'il est rempart

Dans la plupart !

Prenant grande part

 

Cour de jouvence,

En abondance

Cure de jouvence,

En opulence.

 

Jérôme de Mars

A côté de la plaque, je jette l'encre !

 

Au GEM de Vitry comme adhérent,

Je suis le poète très bénévole

A la fois l'aidant dur confident,

Où j'écris la dent dure des paroles !

 

En respestant ma parole donnée !

Pour soutenir tous les adhérents,

Même si parfois je peux m'emporter;

Alliant fervent et ralliant ardent

 

Mes bons et mauvais côtés !

Faisant bonne impression d'une feuille forte;

Ecrivant qu'il y a des à côtés

D'écrire et de décrire mon âme morte !

 

J'aime tant aller au GEM de Vitry !

Pour voir mes amis buvant leurs mots

Autour d'une tasse de café en vie !

De boire et de manger, ici oh !

 

A côté de la plaque, je jette l'encre !

Je suis à côté de la plaque cancre

A côté de la plaque, je jette l'ancre !

Qu'on m'emmène toujours en bateau qu'ancre

 

Qu'je me dévoile prenant à la lettre !

Récoltant que des pièces de Monnet 

En peinture; jetant par la fenêtre

Argent comptant, des pièces de monnaie !

 

En tant qu'trésorier-comptable du GEM;

Tout le monde peut tant compter sur moi

Au bout du compte toujours que l'on aime,

Dont j'aime autant bien conter sur moi

 

Dans le but de compter pour les gens !

Moi qui n'ai pas vraiment trop compter

Pour les gens; à part parler d'argent !

J'espère raconter qu'la vérité

 

A mon sujet apparent réel !

J'ai tant traîné dans le virtuel !

Que j'en ai oublié d'être si vrai !

Moins superficiel, comme à mes frais

 

A côté de la plaque, je jette l'encre !

Je suis à côté de la plaque cancre

A côté de la plaque, je jette l'ancre !

Qu'on m'emmène toujours en bateau qu'ancre

 

Que c'est maintenant qu'on me calcule !

Davantage avantage à mon âge,

Où tout l'monde me bouscule en bascule;

A la sueur de mon front en âge !

 

D'avoir trop de calculs névrotiques !

Que j'passe mon temps à faire des calculs !

Avec ma calculette euphorique

Et frénétique sans vie funambule,

 

D'où je déambule en bruits d'couloirs !

D'mon sujet apparent irréel;

Parfois je suis si prêt du mouroir !

A mourir sans aucune vie charnelle !

 

Que j'ai d'la peine; à peine d'exister

Pour naître qu'un être ayant la dent dure !

Pour me rejeter; donc subsister;

Jetant mes détritus aux ordures !

 

A côté de la plaque, je jette l'encre !

Je suis à côté de la plaque cancre

A côté de la plaque, je jette l'ancre !

Qu'on m'emmène toujours en bateau qu'ancre.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Du bleu aux vers

 

D'une poésie;

J'écris les bleus

De toute ma vie !

Ciel nuageux;

 

J'ai de la rage !

Qu'j'écris la pluie

De mon orage

Endolori

 

Aux aléas;

Du temps qu'il fait

En mes tracas !

D'mon être défait !

 

La vie me pèse;

Argent content !

La vie d'mon pèse;

Me pèse comptant !

 

Du bleu aux vers

En mes revers;

Du bleu over

En mes travers

 

Qui m'ont dissous;

Je cours deux sous !

N'ayant dix sous;

J'suis sans deux sous !

 

Payant comptant

Mon discrédit;

Payant content

Mes dix crédits

 

Propriétaires

D'ma poésie;

Cris libertaires

D'la Boétie !

 

Je fais gratuit

D'méchanceté !

Et si fortuit;

Je veux payer

 

Du bleu aux vers

En mes revers;

Du bleu over

En mes travers

 

Sur mon nuage

De cauchemars;

J'écris l'ramage !

Antique cafard;

 

Capharnaüm;

J'ai le cafard !

D'ultimatum

Sans aucun fard !

 

Pour n'être à L'Ouest,

Comme je n'déleste !

Pour naître à L'Ouest,

J'me lève à Leste !

 

Si leste; j'déleste

Anti cafard !

Sans le Far Ouest;

J'allume pleins phares !

 

Du bleu aux vers

Sans mes revers;

Du bleu over

Sans mes travers.

 

Jérôme de Mars

J'écris dérape !

 

Sous le cagnard

De ma cité;

Mc Solaar

Me fait citer

 

Tous mes écrits

D'saga-cité;

Je pousse des cris

Pour susciter

 

Une meilleure vie;

Loin de mon spleen !

Surtout la nuit;

Ecrivant green

 

Des vers d'poèmes !

M'bouffant tout crus

Dans ma bohème !

Et qui l'eût crû ?

 

J'écris dérape !

Ma vie en rap;

J'écris des raps !

Ma vie en rapt;

 

Fromage râpé;

J'vais déraper !

Ramage rapé,

Comme je m'en vais

 

Clamer ma vache

Si enragée !

Comme j'suis très vache

Pour faire la paix !

 

Et d'ma cravache;

Tel un Apache

En file Indienne !

Ah ! Mère Indienne !

 

J'ai du panache

Dans l'attelage !

J'ai trop de rage !

Qu'en jumelage;

 

J'écris dérape !

Ma vie en rap;

J'écris des raps !

Ma vie en rapt;

 

Geronimo

Côté rebelle;

Veut faire la peau

A son âme belle !

 

Pour s'révolter

En société,

Pour tant cracher

Son âme blessée

 

Dans l'chant de tir !

Comme ça l'inspire

L'meilleur du pire !

Pour retranscrire

 

L'humanité;

Autant altruiste

Qu'elle égoïste !

Insatisfait;

 

J'écris dérape !

Ma vie en rap;

J'écris des raps !

Ma vie en rapt.

 

Jérôme de Mars

Toute une histoire !

 

Comme il était

Foi bien portant !

Un conte de fées;

A bras portant !

 

Dormant debout !

Faisant l'histoire;

Mise bout à bout;

D'une brève d'comptoir !

 

Comme en faisant

Que des histoires !

En racontant

Les cris d'histoire !

 

D'celui acteur

De son histoire !

En orateur

Art exutoire !

 

Toute une histoire

En réservoir !

D'la chaîne histoire

En déversoir !

 

De cette histoire;

Qui n'tient debout !

Elle est bizarre

Qu'elle tient deux bouts !

 

D'une maigre chandelle;

Or, en bougeant;

Cette histoire chancelle !

Et en parlant

 

D'histoire de France;

Elle joue personne

A part l'enfance,

Comme elle résonne

 

En inventant

Que des histoires;

En répandant

De drôles d'histoires !

 

Toute une histoire

En réservoir !

D'la chaîne histoire

En déversoir !

 

De l'humour Belge

En histoires drôles;

S'faisant la belle !

Dans le hall

 

Pour pénétrer

Par la fenêtre

De toute l'entrée !

Envoyant paître

 

Les sales histoires

D'la vie sur Terre,

Contant l'histoire

Imaginaire !

 

Des brèves d'comptoir

Au bistrot d'en face;

Et au parloir;

Donc; on ressasse

 

Toute une histoire

En réservoir !

D'la chaîne histoire

En déversoir !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Deux bouts sans cannes !

 

Si on faisait

D'un handicap

Pour l'accepter !

Ah ! On dit cap !

 

Pour s'accepter

Psychologique,

Pour s'respecter

Physiologique,

 

Comme on est tous

Vraiment pareils !

Qu'on pousse; qu'on tousse !

Simple ah ! Pareils !

 

Qu'on soit valides;

Ou invalides;

Si on s'donnait

La main touchée !

 

Deux bouts sans cannes !

Pour qu'on se vanne,

Debout sans cannes !

Pour qu'on s'pavanne !

 

Ah ! Si ! Assis

En fonctionnant

Avec des si !

En se montrant;

 

En se chambrant;

Prenant la main !

En se serrant

Bien tous la main !

 

Et si on perd

Tous bien la main;

On aura l'repère

De notre destin !

 

Etant manchot

Vers le pôle Nord !

Marchant sans chaud

Vers les abords !

 

Deux bouts sans cannes !

Pour qu'on se vanne,

Debout sans cannes !

Pour qu'on s'pavanne !

 

Ca nous fera

Tous une belle jambe !

Elle qui montera

En notre entrejambe !

 

Si mutilée

Le cul-de-Jatte;

Si estropiée

Le cul de Jade;

 

Pourvu qu'on prenne

Tous bien notre pied !

Sans qu'on s'méprenne

D'nous éclopé !

 

Fauteuil roulant;

Roue de secours !

Et déroulant;

Issue d'secours !

 

Deux bouts sans cannes !

Pour qu'on se vanne,

Debout sans cannes !

Pour qu'on s'pavanne !

 

Jérôme de Mars

L'apolitique

 

Ni droite ni gauche;

Et je m'adapte

Prenant le gauche !

Ma prime s'adapte

 

Au centre de tout;

Très mal à droite

Au centre fourre-tout;

Façon adroite

 

De recentrer

Tout le débat,

Pour concentrer

Y a des éclats !

 

A gauche; à droite !

Et aux extrêmes !

C'est dans la boîte

D'un théorème;

 

L'apolitique;

J'vote satanique !

La politique;

J'vote ça te nique !

 

Je vote; pivote 

A gauche; à droite !

J'ai les chocottes

Trop maladroites !

 

Nul n'est content

De voter nul !

Nul naît comptant

D'pivoter nul !

 

Faisant semblant

D'aller voter;

Votant bien blanc

Pour pivoter

 

Tremblant; troublant

En noir et blanc !

Et tous pareils !

Même appareil !

 

L'apolitique;

J'vote satanique !

La politique;

J'vote ça te nique !

 

On nous prend tous

Donc pour des cons !

En coups de pousse

Sans macarons;

 

Je vote un coup

Vraiment à gauche !

Je vote un coût

Prenant le gauche !

 

Votant à droite

Pour recentrer,

Façon étroite

Pour excentrer

 

Dans un détroit;

Très bien à gauche

Au centre moins droit !

De façon gauche !

 

L'apolitique;

J'vote satanique !

La politique;

J'vote ça te nique !

 

Jérôme de Mars

 

 

Blues divers

 

Comme un jour;

C'est l'automne !

A contre-jour;

Sonotone !

 

L'hiver jette

Tout un froid !

Oubliettes;

Manque de foi !

 

A Noël !

Scie triste fête

Solennelle

En miettes;

 

Ecrivant

Sur une feuille

Morte; vivant

Toujours seul !

 

Blues divers;

Vent d'colère

Lapidaire;

Incendiaire;

 

On repense

Aux souvenirs

A contre dense !

A souffrir

 

En regrets

Eternels !

Morts-nés

Immortels !

 

D'ce qu'on loupe !

Envoyant

Sur la loupe;

Mort-vivant

 

Trais tirés;

Sans printemps

Détaché;

Temps présent !

 

Blues divers;

Vent d'colère

Lapidaire;

Incendiaire;

 

On ne sait

Etoffer !

Que l'on sait

Etouffer !

 

Regardant

Par derrière;

Lancinant

Sans œillères;

 

Maintenant;

Ca se passe !

Bien avant;

On trépasse !

 

Même l'été !

S'repassant;

Si c'était

Mieux avant !

 

Blues divers;

Vent d'colère

Lapidaire;

Incendiaire.

 

Jérôme de Mars

 

Un poulet-frites

 

Passant le plat !

Je suis l'passeur !

Mettant à plat !

En raconteur

 

De mes histoires,

Toute ma peau lisse !

En déversoir

Sans un des lisses !

 

J'appelle l'17 !

Parlant aux flics

De leurs préceptes !

Quand j'ai la trique !

 

Retour d'bâton !

Bâtons rompus !

Je manie l'bâton

En des battues !

 

Un poulet-frites,

Quand tout s'effrite !

Des poulets s'fritent,

Et tous s'effritent !

 

Cuisant au four,

Le doigt dans l’œil !

Tout le monde s'fourre

En un trompe-l’œil !

 

Faisant monter

La mayonnaise !

Pour remonter

Toutes leurs foutaises !

 

Et pour que là

Mayonnaise prenne !

Avancent d'leurs pas !

Des flics qui traînent

 

Toutes leurs étrennes !

Et ils s'grillent tous !

Qu'leur bouche s'éprenne !

S'tournant les pousses !

 

Un poulet-frites,

Quand tout s'effrite !

Des poulets s'fritent,

Et tous s'effritent !

 

Tout l'monde est cuit !

En drôles d'oiseaux,

Chantant cuit-cuit

Sous les barreaux !

 

Tous aux arrêts

Prenant leur poste !

Tout dans la raie !

Eux qui compostent

 

Leur matricule !

Y a réservé

L'immatricule !

Poste observé !

 

Tous en prison !

Y a sur le grill !

Que des matons !

Comme ils s'en grillent !

 

Un poulet-frites,

Quand tout s'effrite !

Des poulets s'fritent,

Et tous s'effritent !

 

Jérôme de Mars

 

Les mots par Arnaud

 

Reçu cinq sur cinq !

Et qu'est-ce-que j'entends ?

Sans que je m'requinque;

Je ne me détends

 

En malentendus

En ma sourde oreille;

Foutue et fourbue

En voix de crécelle !

 

On parle tant sur moi !

Pour dire que du mal,

A propos de moi !

D'un oeil animal !

 

En des mots sournois;

Moi qui fais l'sourd moi !

Faisant et semblant

De m'en foutre troublant !

 

Les mots par Arnaud

Sont-ils ses propres mots ?

Les mots paranos;

Ou sont-ils mes maux ?

 

Je n'vois que le mal

Partout répandu !

Tous m'renvoient la balle

D'ma vie éperdue !

 

Qui sent le passé;

Regard oppressé !

Je suis tant stressé

Par la vie pressée !

 

Pressé en citron

En électron libre;

Les arbres ont six troncs !

Citronniers qui vibrent

 

A mes jeux de mots,

Où tout le monde joue !

Moi; l'enjeu des maux !

Que tous mettent en joue !

 

Les mots par Arnaud

Sont-ils ses propres mots ?

Les mots paranos;

Ou sont-ils mes maux ?

 

Que j'entends le pire !

Long à la détente !

Que je vois en pire !

Que tout ça me tente

 

D'vraiment appuyer;

Fou sur la détente !

Pour me reposer

De ce qu'on m'intente

 

En procès-verbal !

Tout l'monde dans la rue

Me regarde très mal !

Limite hein connu !

 

M'regardant de travers !

Tel un gars trop bizarre !

Malgré mes travers,

Y at-il l'blizzard ?

 

Les mots par Arnaud

Sont-ils ses propres mots ? 

Les mots paranos;

Ou sont-ils mes maux ?

 

Jérôme de Mars

 

 

Du coq à Anne !

 

Il y a Anne très à cheval; mère poule qui rend chèvres ses petits quand elle leur prépare un coq au vin, un plat qui sent le bouc; doux comme un agneau suivant comme les brebis galeuses le troupeau des moutons de Panurge qui sont des têtes de mules, des têtes de bourricots qui rendent si olé olé les vaches qui prennent de façon vache; le taureau par les cornes en des pis des matchs de poules; organisant des courses de taureaux en des férias qui animent à Nîmes dans les arènes des courses de vachettes; guérissant le mal par le mâle en s'appelant mon coq, dont la mamelle de La France s'appelle entre femelles ma poule; sortant leurs griffes de chat concernant ceux qui ont une chienne de vie; n'arrêtant pas de prendre des gamelles en mangeant dans leurs gamelles; la marque d'l'avoine qui appelle son poulain et sa poule hein, mes mulets qui font des émules parmi la basse-cour; qui se fait la cour en chasse à cour; mangeant de la volaille en contre dansant la danse des canards; prenant le jeu de l'oie comme vilain petit canard qui pousse hein le déni des mères poules; mettant ici bas leurs petits en faisant fausse-route en déroute d'un effet de fausse-route; envoyant des piques aux hérissons ne faisant de mâle au truie; apportant en frais de porc du lard aux cochons; en faisant leurs têtes de cochons roses; pointant le cochon né en ayant les boules; buvant le lait olé de la laie et du sanglier; posant des lapins en becs de lièvres; faisant faux-bond en un faux-bond furibond à la caisse d'Epargne saltimbanque de L'Ecureuil; mangeant ses noisettes durant les nuits fauves; sentant le fauve de la cage du roi Lion, comme un lion dans sa cage dans L'Yonne; telle une mère louve qui couve ses petits du plus petit au plus grand; remettant de l'ordre en faisant voler du bas vers le haut les oiseaux malgré leurs prises de becs; se passant des mots messagers comme une lettre à la poste qui est un facteur à risques; livrant des beaux colis de tigresses; ayant besoin de leurs meutes pour faire des émeutes aux huskys et aux chiens loups; rusés comme des renards relous; mangeant dehors une dinde aux marrons le soir de Noël, où c'est la jungle dans la l'oie de la jungle; souriant au rat des pâquerettes; rongeant le frein des poissons rouges; chavirant à bord de l'aquarius; regardant la chaîne telle est bocal; ayant pour dauphins ce monde de requins, dont c'est vautours d'être la proie des rapaces, dont j'écris ces vers de poèmes pour nourrir les petits des oiseaux, comme une hirondelle fait le printemps ! Avant l'été et son effet papillon lors du départ en vacances aux Iles Canaries, pour faire répéter les maux au perroquet jamais renfermé dans sa coquille Saint-Jacques, dont le dindon de la farce est de mettre un pantalon panthère avec des hyènes; conduisant leur jaguar et leur coccinelle; perdant la main devenant manchots comme bras droits; faisant le temps de la grenouille jusqu'aux pingouins; en froid avec notre monde qui manque de chaleur humaine depuis la fonte de la Banquise; due au réchauffement climatique en ces temps lunatiques et bipolaires; ces temps rudes étant des ours mal léchés; en pinçant pour leurs oursins et leurs crabes; avec la maladie du crabe pour faire un cancer de louanges; péchant en faisant un blasphème à la crevette; à la langouste; au homard et au calamar; cherchant à noyer le poisson et l'écrevisse très pince sans rire; appelant âne, du coq à Anne !

 

Jérôme de Mars

 

 

Si nous attendons Achille !

 

Là ça nous fait une belle jambe !

D'avoir défauts d'ses qualités !

Et en défaut de l'entrejambe;

Tout est donc de qualité !

 

Malgré son vague à l'âme triste;

Achille Zavatta; clown triste !

Il figure sur la longue liste

Qui fait rire ce monde si triste !

 

A défaut de qualités;

Il veut rendre sans un vrai-faux !

Ce monde en son franc-parler;

Parlant Français sans défauts  !

 

Il veut parler donc en vrai

A ces gens mélancoliques,

Pour leur rendre la vérité

Comme des gens mélancomiques !

 

Si nous attendons Achille 

En son tendon très fragile !

Si nous étalons Achille

En son talon très fébrile !

 

Comme nous étendons Achille !

Et que le tendon d'Achille;

Nous l'attendons moins fragile,

Comme nous l'étendons puéril !

 

Voulant rendre gentil Achille !

Pour qu'il ait les qualités

Défauts du talon d'Achille !

Avec pour améliorer

 

Les facettes de son talent;

L'talent d'Achille Zavatta !

Pourvu qu'il soit insolent;

Impertinent de tous ses pas !

 

Pour enchanter la la la !

Achille Zavatta est là !

Pour vous faire sourire et rire,

Oubliant c'qui fait souffrir !

 

Si nous attendons Achille 

En son tendon très fragile !

Si nous étalons Achille

En son talon très fébrile !

 

On en fait donc tout un cirque !

Tenant sur un fil fragile

De saltimbanque folklorique;

On a tous une âme puérile !

 

Retraçant le vieux trapèze

De l'enfance géométrique !

Oh ! Que ça paraît balèze !

L'tragi-comique poétique !

 

Jonglant avec le temps des boules

En c'monde qui nous rend maboules !

Qui déboule; on a les boules  !

Perdant la boule qu'on refoule !

 

Funambule sans équilibre

Sur la quille; clown malheureux !

Il cherche à rester libre

En acrobate; mâle heureux !

 

Si nous attendons Achille 

En son tendon très fragile !

Si nous étalons Achille

En son talon très fébrile !

 

Jérôme de Mars

 

Le crabe pince-sans-rire

 

Ironie du destin;

Il y avait un crabe

Qui en pinçait d'main !

Qui avait comme d'hab;

 

Le signe du scorpion;

Envoyant des piques !

Lui qui fut champion !

Si épique tropique

 

Sous un ciel torride;

Cancer de louanges !

La vie n'est limpide !

Qu'elle n'est une vie d'ange !

 

Tel un scarabée,

Et qui s'épuisait

Tant à l'attraper;

Lui est sans filet !

 

Le crabe pince-sans-rire,

Pour ne plus souffrir

A part juste sourire;

Faute de ne plus rire !

 

Passant à la trappe !

Si quelqu'un l'attrape !

Faisant juste la queue;

Jouant de sa queue !

 

Un piano salé,

Quand y a la mer morte !

C'est elle qui soûlait

Toutes les sortes d'algues fortes !

 

Soûlant la morue !

Pour noyer l'poisson !

Maladie fichue;

Qui pique le scorpion

 

En héros et pique !

Qui pique d'une seringue;

L'immonde exotique !

Que tout le monde flingue

 

Le crabe pince-sans-rire,

Pour ne plus souffrir

A part juste sourire;

Faute de ne plus rire !

 

Maladie du crabe,

Pour vivre et survivre !

Il en pince comme d'hab !

L'amour qu'il enivre

 

D'sa chimiothérapie;

Qui écrit son encre

En art-thérapie;

Et aguerri qu'ancre

 

Le crabe; il en pince

De sa langoustine !

Qu'sa colère le grince !

O marre de rustine !

 

Dégustant en Août;

Calamars; langoustes,

Le crabe fait fausse-route !

Se foutant des roustes !

 

Le crabe pince-sans-rire,

Pour ne plus souffrir

A part juste sourire;

Faute de ne plus rire !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Monsieur Le Président !

 

Bonjour Monsieur Macron,

Je vous écris ce slam !

Vous par votre belle action

Pour tous les bons quidams !

 

Qui avait augmenté

Toute leur allocation;

Personnes handicapés !

De par la location

 

Des APL; logés

A la même grande enseigne !

Pour qu'ils soient tous logés !

Cap vers, on les imprègne !

 

Pour qu'ils soient comme nous tous !

Assez bien intégrés

En de jolis coups d'pouce,

Très bien réintégrés !

 

Pour reprendre à la source

Toute votre solidarité;

Recherchant des ressources

Sans une fragilité;

 

Remboursant toute notre dette

En une quête sans merci !

Relevant tous la tête,

Pour vous dire tous ravis !

 

Qu'on veut tous boire un pot

Avec vous de crédit !

Sans monter les impôts;

C'est à votre bon crédit !

 

Sans mettre toute cette belle France

En un gros découvert !

Envers toute leur enfance

A ces êtres prépubères !

 

Rendant de fiers services

A toutes les belles personnes;

Crédit en un service

D'impôt pour chaque personne !

 

Pour toute la garde d'enfants

En un grand complément

D'un joli mode de garde;

Donc, cela vous regarde !

 

Monsieur Le Président !

Qui êtes chic; influent !

Etant si bienveillant !

Vous êtes toujours vaillant !

 

De vouloir le  progrès

Pour tous Les bons Français !

Afin de s'assumer

Et de tous subsister

 

Du fruit de son travail !

Pour être vraiment quelqu'un;

Qui vaille de ses entrailles !

Comme tous ses bons copains !

 

Vous avez tant permis

De par votre belle action !

Jusqu'à une embellie

En une adaptation !

 

D'un monde bon et qui change

En des temps très modernes !

D'un monde qui libre-échange !

Vie d'ange libre subalterne !

 

Et comme à la maison !

Parlant que de bonnes choses;

Qui vous donnent votre raison !

Par toutes les ecchymoses

 

Qu'il y a en cette rude France !

Qui fut douce ! Et puis là !

Elle est toute la défiance

De par ses aléas !

 

Vous faites ce que vous dites !

Faisant des bonnes réformes

En lois juste inédites !

Vous y mettez les formes !

 

Le tout toujours en forme !

Le tout sans une méforme;

Vous donnez tant sa chance

A chacun en brillance !

 

Comme pour les retraités

En leur pouvoir d'achat,

Pour tous tant les aider,

Où chacun; il pourra

 

Tant et vous remercier !

D'avoir tant augmenté

Le Minimum vieillesse

En une douce allégresse;

 

Monsieur Le Président !

Qui êtes chic; influent !

Etant si bienveillant !

Vous êtes toujours vaillant !

 

En couverture santé,

Pour bien améliorer

Tous les droits des aidants !

Aucun aidant dur en

 

Faisant le reste à charge

De par votre énergie !

Pour se prendre tous en charge

En bon chèque énergie !

 

Sans aucun chèque en bois;

Sans mauvaise langue de bois;

Il y a le Pass Culture

De par votre belle nature !

 

En droits adroits à vie 

Pour leur juste AAH !

A ces endoloris

De la vie sans un cash;

 

Vous avez fait des choses !

Pour tant aider les gens,

Pourvu ainsi qu'ils osent !

Se parlant; travaillant !

 

Pour que toute votre belle prime

Au travail paye beaucoup

Plus sans aucune surprime !

Et le tout à moindre coût !

 

Sans aucune assistance

Pour bien vivre et revivre

Dans la pure quintessence,

Le tout juste sans survivre

 

A toute cette vie sur Terre !

Qui coûte ainsi trop chère,

Où il y a égoïstes

Des Français en longue liste !

 

J'espère donc bien qu'avant

Votre fin de Présidence !

Que vous rendrez liant

Chaque Français d'résilience !

 

En un contrat social,

Comme pour tous les bons jeunes !

Contrat de lien social;

Qu'La France reste belle et jeune !

 

Monsieur Le Président !

Qui êtes chic; influent !

Etant si bienveillant !

Vous êtes toujours vaillant !

 

Jérôme de Mars

 

Alternatif

 

Ecrit d'un bloc;

Comme une chanson !

J'écris un rock;

Fée sensation !

 

En solution;

Recette magique !

Résolution;

C'est féérique !

 

Qu'il y ait l'courant

Très électrique;

Avec les gens !

Courant mystique,

 

Où tous s'entendent !

Comme une belle bande !

Où tous s'détendent !

Mettant en bande !

 

Alternatif;

Je suis natif

Des mots captifs;

Qui font un kif !

 

Dans ma maison;

Jouant du rock

Dur en chanson;

Je suis un roc !

 

Un rebelle tendre !

Tout en douceur,

Pour se détendre

Sans une douleur,

 

Où tout est fait;

Effet maison

D'un compte de fées !

Y a en chanson

 

Mon âme rebelle !

Chantant la vie

En décibels,

Quand y a la nuit !

 

Alternatif;

Je suis natif

Des mots captifs;

Qui font un kif !

 

Faisant la fête;

Buvant des bières !

D'un coin d'ma tête

Imaginaire;

 

Me vient l'idée

Comme une machine

De mots croisés !

Qui m'tambourine

 

Et me machine

A la croisée

D'mes origines !

Pour décréter

 

J'fais un concert

De mes louanges !

Sans ma colère

Et tout s'arrange !

 

Alternatif;

Je suis natif

Des mots captifs;

Qui font un kif !

 

Jérôme de Mars

 

 

L'aidant dur

 

Tel l'email

Que j'envoie;

Où j'en vois

Tout l'émail

 

De mes dents !

La roue tourne

En pair-aidant !

Qu'je détourne

 

La roulette !

Assez Russe

Des boulettes;

Montagnes Russes

 

Chez l'dentiste !

Qu'je contourne

Ame d'artiste;

Je retourne 

 

L'aidant dur;

Ayant dur

La dent dure

Dans le dur !

 

Sans filet

De mes mailles

Enfilées !

Que j'ai mal

 

A mes dents !

Même qu'je suis

Pair-aidant !

Et qu's'ensuit

 

Ma rage d'dent !

La couronne;

Moi aidant

Qui m'détrône !

 

Et m'aidant

Sans sagesse

En mes dents

D'poétesses;

 

L'aidant dur;

Ayant dur

La dent dure

Dans le dur !

 

En couronne

Désarroi

Sur le trône;

Sans parois

 

D'ma colère

Aux orages

De molaires;

J'ai la rage

 

Chienne de vie !

Que j'en pleure

A chaque nuit

Une liqueur

 

D'mon aigreur;

Rage de dents !

Manque l'ardeur;

Rage d'aidant !

 

L'aidant dur;

Ayant dur

La dent dure

Dans le dur !

 

Jérôme de Mars

Docteur Jérôme, Mister Geronimo

 

Faits d'hivers et faits d'hivers avariés;

Je suis à la fois l'ombre et la lumière !

Pour tant dériver et pour tant river

De mes côtés sombres à mes côtés clairs !

 

Le jour; je suis le démon de Midi !

Voulant semer et cultiver l'amour;

Le soir; je suis le démon de Minuit !

Voulant parsemer; étaler la haine;

 

En m'épanchant de tout mon bas de laine

Dans ce monde de sourds que je trouve balourd !

Et lourd portant; déportant ma rengaine;

Je suis un loup solitaire manque d'amour !

 

J'perds mes idéaux sans être solidaire

En mes jours lunatiques en noir et blanc !

En repères des mots; je suis solidaire

En mes jours frénétiques troublants; tremblants !

 

Docteur Jérôme, Mister Geronimo,

Quand je suis Jérôme; je sens que l'arôme !

Docteur Jérôme, Mister Geronimo,

Quand j'suis Geronimo; je sens l'chaos !

 

Face éclaire cadence mi-ange, mi-démon;

J'ai à la fois des facettes; des fossettes !

Bravant tous les ponts; coupant tous les ponts !

Avec joie et peine; je fais des saynètes !

 

Faisant des plans cocus contant fleurette !

Voulant être égoïste paraître rebelle !

Faisant toujours des plans sur la comète !

Voulant être altruiste dans une vie plus belle !

 

Quand j'essuie toute ma face obscure trop sombre;

Je souhaite de rancoeur la fin du monde !

Quand je suis dans ma face loin de mon ombre;

Je souhaite par coeur la fin de l'immonde !

 

Quand je déchante trop; je peux être très méchant !

Désabusé qui n'tiens toujours paroles !

Quand je réenchante trop; je veux être mes chants !

Idéaliste qui tiens toujours paroles !

 

Docteur Jérôme, Mister Geronimo,

Quand je suis Jérôme; je sens que l'arôme !

Docteur Jérôme, Mister Geronimo,

Quand j'suis Geronimo; je sens l'chaos !

 

Je dis à la fois tout et son contraire !

Comme avant quand j'allais à Cavalaire !

Vivant et survivant à mon calvaire,

Alors que maintenant; je cavale l'air

 

De rien dans mon embellie pulmonaire !

Où je respire l'air chaleureux; heureux !

Plus rien de mon embolie pulmonaire !

Que j'expire l'air si frais sang malheureux !

 

Parfois la nuit tout seul; j'ai des colères !

Je repense décompensé au passé,

Parfois la nuit plus seul; je décolère !

Je repanse compensé sans le passé,

 

En pensant à un avenir joyeux

Pour le meilleur sans changement d'humeur !

Oubliant la crainte du pire ténébreux !

Et dans ma vie; il y a des bonheurs, des malheurs !

 

Docteur Jérôme, Mister Geronimo,

Quand je suis Jérôme; je sens que l'arôme !

Docteur Jérôme, Mister Geronimo,

Quand j'suis Geronimo; je sens l'chaos !

 

Jérôme de Mars

 

Plutôt riche d'amour que pauvre d'argent !

 

Quoi de neuf dans une vie sans amour ?

L'argent contribue certes au bonheur !

Mais il n'efface pas les peines de coeur !

Pour y croire que ça vaut le détour !

 

Il faut semer l'amour dans la cour !

Pour faire la cour dans la chasse à cour

Autour de l'amour; mené tambour

Battant; débattant à quoi l'amour

 

Mène à ne voir juste que par l'argent ?

Le plus souvent juste par des paroles

Qu'tout le monde prend pour argent content !

L'argent n'fait le bonheur ! Que rigole

 

Le seigneur, l'argent ! On ne l'emporte

Dans la tombe d'outre-tombe en catacombes !

Même si l'argent ça rapporte; âme forte !

Il vaut mieux l'amour qui tombe en trombes !

 

Plutôt riche d'amour que pauvre d'argent !

L'silence est d'or; la parole d'argent !

Racontant; contant et escomptant

L'crédit d'amour comptant sans argent !

 

Pas pour du beurre mais pour du labeur !

L'argent met l'beurre dans les épinards !

L'argent arrive juste à la bonne heure !

Pour pouvoir honorer les rencards,

 

L'amour est un métal d'or dur de fer !

Le plus souvent en métal d'argent;

Quitte à subir tout ce grand enfer

Qu'on fait trop payer à prix content !

 

Appris coûtant de la vie aux dettes

De l'amour, de la haine matériels;

L'argent n'fait pas le bonheur en quête

D'amour ultre réel et essentiel !

 

Pour fuir les choses trop superficielles,

L'amour est plus l'alliance de l'utile

A chaque jour jusqu'à la mort éternelle !

Loin des mauvaises choses frivoles; futiles

 

Plutôt riche d'amour que pauvre d'argent !

L'silence est d'or; la parole d'argent !

Racontant; contant et escomptant

L'crédit d'amour comptant sans argent !

 

Il vaut mieux vivre d'amour et d'eau fraîche !

Ayant juste l'argent oh nécessaire !

Parlant argent contant si revêche;

Vivant des choses extraordinaires !

 

L'argent ne nous rend pas éternels !

L'amour nous débarrasse en réel

De tout ce qui n'est point matériel !

Et virtuel; besoin de charnel !

 

Pour toucher la quête de l'existence

En regrettant d'avoir spéculé,

Pour connaître tous les secrets d'jouvence;

L'amour; il vaut mieux le fructifier

 

En paroles, contant l'argent content

En prenant juste pour argent comptant 

L'amour, dont le silence est en or !

La parole d'argent; l'argent dehors !

 

Plutôt riche d'amour que pauvre d'argent !

L'silence est d'or; la parole d'argent !

Racontant; contant et escomptant

L'crédit d'amour comptant sans argent !

 

Jérôme de Mars

 

Embouteillages

 

Sur la déroute;

Y a un bouchon !

Où tous en route;

Sont des bougons !

 

Hurlant d'colère !

Qu'ils en dégorgent

L'air pulmonaire !

Et qui les forge

 

Dans leur voiture,

Comme un refrain

D'désinvolture !

Ils n'rongent leur frein !

 

Loin boute-en-train;

C'est les vacances !

Enfreint à main 

Dans la violence !

 

Embouteillages

Dans les parages;

Il y a l'passage

Pour les virages 

 

D'une route sauvage

Sur l'autoroute;

Billet d'péage !

Qu'est-ce-qu'ça leur coûte ?

 

De trop pousser

L'bouchon trop loin !

Pour repousser

Comme c'est leur destin !

 

D'attendre leur tour

A reculons !

Avançant pour

Leurs gueules d'frictions !

 

Que tous s'insultent 

En s'envolant !

Dans un grand tumulte 

Au volant volant !

 

Embouteillages

Dans les parages;

Il y a l'passage

Pour les virages 

 

D'circulation !

Il y a des troubles

D'circulation !

Qui se dédoublent,

 

Si bien qu'ils doublent

Les conducteurs,

Comme ils redoublent

Face à la peur !

 

De la conduite

A tenir sans

Délit de fuite;

A coups de sang !

 

Qu'ils mettent leur phare !

Passant leur route

Sur la route phare !

Et sans des routes;

 

Embouteillages

Dans les parages;

Il y a l'passage

Pour les virages.

 

Jérôme de Mars

La musique dans la peau !

 

Musique de déchaînés;

Maillot fort de la chaîne !

Malgré l'chaos forgé

D'ton caractère d'ébène !

 

Tu tires la langue de bois !

Bois de chêne de bambou;

Que t'attends plusieurs mois

Pour tenir le bon bout !

 

Faisant d'un pot-pourri;

Une mélodie qui danse

Ta vie surtout la nuit !

Et cadence d'abondance;

 

Tu ouvres l'micro-trottoir !

Pour parler au parleur,

Qui t'fout le blues notoire !

Hurlant d'tes écouteurs !

 

La musique dans la peau !

Qu'elle t'fait payer plein pot !

Voulant te faire la peau !

Buvant tous tes sanglots;

 

Tes déboires de paroles !

Tu n'fais la farandole !

Que tu as des fossettes

Parmi toutes tes facettes !

 

Miroir aux alouettes;

Tu éteins la radio;

La radio alouette

En sono stéréo !

 

Parce-que tu parles trop fort

Qu'il faut baisser le son;

Mur-porteur du folklore !

T'parles en mur d'ultra-sons !

 

Et si tu écrivais

La vie au jour le jour !

Et si tu décrivais

A chaque jour à contre-jour !

 

La musique dans la peau !

Qu'elle t'fait payer plein pot !

Voulant te faire la peau !

Buvant tous tes sanglots !

 

Que t'as toujours l'cafard !

Même que t'as la console

D'musique mise au placard !

Pourvu qu'elle te console !

 

Bien sans aucun bémol

En baie molle d'Côte d'Azur;

T'faut paracétamol

En verdure d'villégiature !

 

Sans des vers durs d'ordure;

Et rien n'est à jeter

Dans ta très bonne nature !

Tout est à convoîter

 

En musique d'un soleil

Sous de gros projecteurs;

Faisant que des merveilles

D'un nouveau jour d'lueur !

 

La musique dans la peau !

Qu'elle t'fait payer plein pot !

Voulant te faire la peau !

Buvant tous tes sanglots !

 

Jérôme de Mars

 

Tchao Paulo !

 

Danse du Brésil

En mouvement;

Danse de Saint-Guy

Effervescent;

 

T'as la bougeotte

En une contre danse 

Dans ta roulotte !

Que ta cadence

 

En une samba

Te fait remuer

Bossa nova !

Pour t'dandiner;

 

Te déhancher

Samba d'Brésil !

Pour t'défouler !

Ca te frétille !

 

Tchao Paulo !

Mon cher Paulo;

Sao Paulo;

C'est ici haut !

 

Rio d'Janeiro

Et Brasilia,

Comme hissez haut !

Danse de la joie

 

En des sunlights

Sucrés salés;

Où tu danses light !

Olé olé

 

En danse du ventre;

Que t'as le rythme

D'la peau qui vante !

Tout c'que tu trimes

 

Dans toute ta musique !

Ton rythme synchro

T'rend frénétique !

Comme t'es accro !

 

Tchao Paulo !

Mon cher Paulo;

Sao Paulo;

C'est ici haut !

 

Melting-potes d'colos !

Même si l'Brésil

Ne fut la colo

D'ta France fébrile !

 

Et maintenant 

Au Brésil; y a 

Le bon vieux temps !

Qui donne le là

 

En écolo !

Sans dictateur

Bolsonaro;

Inquisiteur

 

D'musique sauvage;

Et d'un pas sage

Et d'un breuvage

En un brassage;

 

Tchao Paulo !

Mon cher Paulo;

Sao Paulo;

C'est ici haut !

 

Jérôme de Mars

 

 

Arc en ciel de couleurs

 

Monde multiculturel;

On est donc tous pareils !

Dans le simple appareil

Jeune à la carte vermeille !

 

Mon pote à la compote !

Et si d'un melting-potes;

On faisait un meeting

Pour qu'il y ait un feeling !

 

Malgré les différences !

Tout l'monde peut s'accoupler

Et faire dans le silence;

De magniques bébés !

 

Comme un ciel Africain

En bon Samaritain,

Célébrant l'union mixte

Et sans qu'il y ait une rixe;

 

Arc en ciel de couleurs;

On reprend des couleurs;

On en voit la couleur;

Couleurs d'un grand bonheur

 

D'être la diversité

Même que sans faire sans blanc;

J'n'ai dit dix vers cités 

Tremblant ! Mais en comblant

 

La vie en noir et blanc

Par du café au lait !

Chantant les gens sans blanc;

Qui boivent olé olé

 

Des paroles immigrantes !

Emigrant d'un voyage

En chansons inspirantes,

Dont leur unique bagage

 

Est d'arriver à l'heure !

Envol d'l'exode rural;

Destination l'ardeur

D'une bonne surprise rurale !

 

Arc en ciel de couleurs;

On reprend des couleurs;

On en voit la couleur;

Couleurs d'un grand bonheur

 

Dans la fraternité;

Au-delà de la langue

Variée dans l'amitié

De tous les langues exsangues !

 

Et s'il y a des gens pâles

En voyant des Créoles;

Toute leur surcote d'Haut pâle

Baissera en bémol !

 

Tous Les Français créoles

Et Français Africains;

Ont toujours des paroles

Qui nous rendent tous copains !

 

Car tous dans la Savane,

Tous la main dans la main !

On marche; on se pavane !

S'donnant des coups demain !

 

Arc en ciel de couleurs;

On reprend des couleurs;

On en voit la couleur;

Couleurs d'un grand bonheur.

 

Jérôme de Mars

Une douce sage femme

 

C'est un bébé;

Baba trop cool !

Qui rigolait,

Comme il roucoule !

 

Il va sortir

Le  p'tit oiseau !

Pour l'assortir

Le p'tit tuyau !

 

Sorti issu

Du ventre d'sa mère,

Comme elle a su

Le mettre sur Terre !

 

Même qu'elle; elle sue !

L'mettant au monde;

Elle si fourbue;

Et si féconde !

 

Une douce sage femme

Fut sa sage-femme;

Jamais infâme !

Qu'elle en fut fan !

 

De son bébé

En un massage !

Luit qui riait

D'être l'nouveau-né !

 

Lui dont on dit

Qu'il était né

Dans les choux; si

C'est trop inné !

 

Que cette sage femme

Lui fasse l'massage !

Comme ma sage-femme,

Elle qui est sage !

 

Elle l'fit une fleur !

Sans qu'elle le fane !

Rien qu'elle effleure

En mélomane !

 

Une douce sage femme

Fut sa sage-femme;

Jamais infâme !

Qu'elle en fut fan !

 

Dont elle l'appelle

Mon bout d'choux-fleur !

Nom qu'elle épelle

D'une fleur mon coeur !

 

Salle de travail;

En accouchant

D'idées d'détail;

Et en couchant

 

Toutes ses idées

A la minute !

Jamais ridées,

Dont elle exulte

 

En l'allaitant

Olé olé !

Juste son enfant

Au lait eau lait !

 

Une douce sage femme

Fut sa sage-femme;

Jamais infâme !

Qu'elle en fut fan

 

Jérôme de Mars !

 

 

 

 

Je casse des vers 

 

Sans un soleil

En un brouillard;

Moi; je chancelle

Etant hagard !

 

Comme dans la brume

De mes nuages;

Foutaise; je fume

En mon ramage !

 

Dans les ténèbres

De mes orages;

Sont les vertèbres

De ma grosse rage !

 

Envers la pluie

Du souffre du feu,

Dont mon dépit

Allume en feu !

 

Je casse des vers

Et de poèmes !

Je souffle des vers

Et de bohème !

 

Comme La Toussaint

M'remplit de larmes;

Donc elle tousse hein !

M'emplit; m'désarme !

 

En mise en bière

D'une carte vermeille !

Je bois en bière

Tout mon oseille !

 

Si bien qu'j'envoie

Toute une bouteille

En mer qui voit

Ma voix d'crécelle !

 

Qui respire mal

Le vide d'une vie,

Comme dans une malle

Livide la nuit !

 

Je casse des vers

Et de poèmes !

Je souffle des vers

Et de bohème !

 

J'ai le vide plaint !

Avide à vide !

J'ai livide plein !

A vide avide !

 

Qu'j'écris mon mal

De vivre; d'en survivre !

Cris d'animal;

Qui donc m'enivrent

 

Du vide d'ma mer !

A l'encre de brume

A vide sur Terre !

Son encre m'enrhume

 

Aléatoire;

Rien d'linéaire !

Rédhibitoire

D'imaginaire !

 

Je casse des vers

Et de poèmes !

Je souffle des vers

Et de bohème !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Etre dans les clous

 

Si on parle et

De bricolage !

Pour proposer

Tout un montage !

 

Oh ! Hein punaise !

On serre la vis !

Avec la chaise;

Qu'il n'y a plus d'vice !

 

Vice et versa !

Genre un novice;

Qui déversa

Pleins de sévices !

 

Etant marteaux;

Qui détournent l'vice !

Visant l'fourreau !

Car vis à vis,

 

Nous détenons

Les tenailles;

Nous entonnons

En nos cisailles

 

De sécateurs;

Tout notre secteur !

Pas de quartier !

Et dans l'quartier !

 

Etre dans les clous;

Enfonce le clou,

Comme un bijou !

Faisant joujou !

 

Donc en disant

A la bonne pioche !

Donc en dix ans

Pioche dans la pioche !

 

Pour des bricoles

L'as las des nazes !

Genre des frivoles;

De l'as des as !

 

La coupe est pleine !

Qu'elle visse; dévisse

La coupe est plaine !

Qu'elle serre le vice !

 

Vice et vertu !

On s'évertue

A préparer

Et bricoler

 

Des bibelots !

Fixant l'regard

En matériaux;

Fixant hagard

 

Dans la débrouille !

N'rentrant bredouille !

Et dont l'objet

A pour objet

 

Etre dans les clous;

Enfonce le clou,

Comme un bijou !

Faisant joujou !

 

En fonctionnant

Avec des si !

En réparant

Si indécis !

 

La tronçonneuse,

Pour bien poncer

La planche râpeuse !

Pour bien penser

 

La langue de bois;

La langue râpeuse

Et valeureuse

D'Robin des bois;

 

La vérité

Si sulfureuse;

Nous déboulons

En un boulon !

 

Que des écrous

En prison !

Faisant leurs trous

De rébellion

 

Que c'est en taule;

Qu'on est enfer !

Que c'est en tôle;

Qu'on naît enfer !

 

Etre dans les clous;

Enfonce le clou,

Comme un bijou !

Faisant joujou !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

J'aime Birkin !

 

D'son royaume;

Etat uni

En un psaume;

Elle Naquit

 

Jane Birkin

Un 14 !

D'la piscine

Qui amorce 

 

Qu'elle arrive

D'Angleterre !

Sur La Terre

De la rive;

 

D'Grande-Bretagne

A La France 

D'grande Bretagne !

C'est une chance !

 

J'aime Birkin !

Sur l'Rocking

Chair living;

I'm Loving

 

Ses chansons;

Dis doux da

Sa maison;

Chantant là !

 

Et je t'aime

Mon non plus !

D'un poème

Dans l'absolu

 

Dessous chics

Soixante neufs !

C'est la clique !

Quoi de neuf ?

 

C'est l'amour

69  !

L'anamour

69 !

 

J'aime Birkin !

Sur l'Rocking

Chair living;

I'm Loving

 

Son année

Erotique;

Sûre année

Bucolique;

 

Un slogan

Fait des films !

Embrassant

Comme un film !

 

En ex femme

Des Sixtines;

Clame en flamme

Morte l'sixteen !

 

Dont elle boxe

L'amour défunte  !

Et juke-box

La mort des feintes !

 

J'aime Birkin !

Sur l'Rocking

Chair living;

I'm Loving.

 

Jérôme de Mars

 

 

Des beaux liens de parenté

 

Vague à l'âme de mal de mère,

Il y a la mère; la belle mère

Pour resserrer tous les liens,

En faisant que des câlins

 

A sa belle famille aimée,

Comme à sa belle soeur; âme soeur !

Que tous prennent pour leur consoeur !

Et leur beau frère qui émet

 

Des vibrations; gestes d'amour !

Qui s'aiment tant depuis toujours !

Comme le gendre tant idéal;

Qui respecte tout si légal !

 

Comme ça lui est trop égal !

D'avoir un beau-père et une

Belle-mère qui ont la fringale !

D'avoir l'âme originale 

 

Des beaux liens de parenté

En tout bon lien d'amitié;

Et dans la fraternité

Ayant un grain de bonté !

 

A la place de la beauté;

Qui n'est que de la matière !

Comme la vieillesse pour les frais !

Sans laits frais de toute la terre !

 

Avec en pièce rapportée;

Tout ce qui est surnaturel !

Superficiel; passager !

Messager sans naturel

 

Au je de toute cette famille !

Jouant toujours cartes sur table

Au jeu de cette infâmie !

En étant vache de l'étable !

 

Au jeu du meilleur rami !

En jouant que cartes sur table !

Au je du meilleur ami !

Déjouant toutes cartes sur table !

 

Des beaux liens de parenté

En tout bon lien d'amitié;

Et dans la fraternité

Ayant un grain de bonté !

 

Et si la belle-mère si jeune;

Se réconciliait toute calme

Avec sa mère pour le fun !

Afin que le père acclame

 

Son beau-père en un bon père !

Qui cherche l'âme soeur pour consoeur,

Alors que son beau-frère serre

Dans ses bras sa soeur; belle-soeur !

 

A demi-soeur dans son coeur;

A demi-frère comme un frère

A sa demi-soeur censeur,

Comme l'âme soeur cherche tout un frère !

 

Pour que tous soient une famille !

Forment une famille; belle famille !

Une bonne famille hein famille !

Sans infâmie; hein famille !

 

Des beaux liens de parenté

En tout bon lien d'amitié;

Et dans la fraternité

Ayant un grain de bonté !

 

Jérôme de Mars

Débranche l'emprise !

 

Mis sur écoute !

Tu branches l'ampli,

Dont coûte que coûte;

Tu prends le pli

 

D'musique branchée !

Musique en Sainte;

Toi; le branché !

Musique enceinte;

 

Chansons d'enfants;

C'est une comptine

Très bon enfant !

Genre Bécassine

 

Pour débrancher

Tous les branchés,

Musique pour jeunes;

Tu fais le jeûne !

 

Débranche l'emprise !

Prises en reprises,

Dont tu lâches prises !

Surprises sur prises !

 

Musique chébran;

Tu es branché !

Parlant six francs;

T'es débranché !

 

Perdant le fil;

Fil conducteur !

Ta vie défile;

Fil salvateur !

 

Tu gardes contact

Vers le contact !

Toi; t'as du tact !

Tu foules contact !

 

Le fil d'Ariane

Interrupteur;

Fil mélomane

Perturbateur;

 

Débranche l'emprise !

Prises en reprises,

Dont tu lâches prises !

Surprises sur prises !

 

T'électrocutent;

Te persécutent;

Te catapultent

Dans le tumulte !

 

Que tu pars en

Courant sur l'fil

Du rasoir lent !

Que tu refiles

 

Si électrique;

Tout ton courant

Très frénétique !

Ici courant

 

D'avoir en fait

Tant rétabli

L'courant en fête !

Et aguerri !

 

Débranche l'emprise !

Prises en reprises,

Dont tu lâches prises !

Surprises sur prises !

 

Jérôme de Mars

Blues de roc

 

Rythme and blues

Dans la peau;

Qui donne l'blues;

Manque de peau !

 

La musique

Rock'n'roll

Hystérique;

Tient paroles

 

En tes coudes !

Pour t'souder

Pour t'découdre

T'accouder

 

D'un effet

Domino !

Fats Domino,

Et d'un fait;

 

Blues de roc;

Qui a l'rock !

Peau en cloque;

Qu'tu suffoques !

 

Nom d'un phoque

Jamais trop

Aidé d'fuck !

Donne pour mot !

 

Mot pour mot

Déhanché;

T'as le mot

Débranché !

 

Du dico

Pour décrire

Tes échos,

Pour écrire

 

Ton sans d'encre,

Comme tu t'fais

Un sang d'ancre !

Et d'un fait;

 

Blues de roc;

Qui a l'rock !

Peau en cloque;

Qu'tu suffoques !

 

Dans ta peau;

Tu es mal

Manque de peau !

Tu es l'mâle

 

Croco en peau !

T'fait la peau

A fleur d'peau !

Fait rétro

 

D'ta nécro !

Qu't'en peux plus;

C'en est trop

Tout c'chahut !

 

Dans ta vie;

Et qui dévie

De ta route;

T'fait fausse-route !

 

Blues de roc;

Qui a l'rock !

Peau en cloque;

Qu'tu suffoques !

 

Jérôme de Mars

 

 

Un sacré numéro 

 

Jouant grille sur l'grille !

Quand tu joues au loto;

Tu joues comme en famille;

Un sacré numéro !

 

Dont tu es un sacré

Numéro ! En sortant

Du lot sacralisé;

Tout écrit noir sur blanc !

 

Te rangeant dans des cases !

Qu'tu coches d'un morpion;

Grattant usine à gaz !

Jouant de tous tes pions;

 

Celui qui sort du lot !

A qui on dit tombe haut

Là ! Ca y est; c'est bingo !

Quand tu joues au loto !

 

Un sacré numéro,

Comme le bon numéro !

Qu'tu topes là au loto !

Top ! T'as gagné ! Bingo !

 

Remportant le joli

Magot; malle du trésor !

Ca fait joli joli

Tont argent en renfort !

 

Grillant toutes tes cartouches

De cigarettes ! Fumant

Tes cigares de manouche;

T'as d'la chance enfumant

 

Ton argent pour t'caser

La roue de la fortune !

Il te faut tant garder

Les pieds sur Terre sans lune !

 

Or ! Il te faut trouver

La bonne grille du loto !

Pour gagner; remporter

En bel eldorado !

 

Un sacré numéro,

Comme le bon numéro !

Qu' tu topes là au loto !

Top ! T'as gagné ! Bingo !

 

Paroles d'argent content !

N'prenant pas pour paroles

D'argent comptant ton argent !

Qu't'as gagné rossignol !

 

Pour voler vers le haut

D'par ta grille du loto

En sacré numéro !

T'as remporté l'gros lot !

 

Toi en essor du lot,

Dont tu grattes et bingo !

C'est le jackpot; mon pote !

Mon pote à la compote !

 

Or ! A présent ! tu es

A l'abri du besoin !

Que tu peux te gratter !

T'griller ! Tu es en faim !

 

Un sacré numéro,

Comme le bon numéro !

Qu' tu topes là au loto !

Top ! T'as gagné ! Bingo !

 

Jérôme de Mars

 

La machine à notes !

 

Portée rapportée;

Il y a d'quoi jouer

Des airs déportés !

Qu'il faut en jouer

 

Portée sur piano;

Déjouant assis

Larsen bricolos !

Fonctionnant indécis;

 

Jouant partition

Une mise en retraite

De répartition;

Faisant toute une quête !

 

Pour toute la musique;

Qui fait que des sons

En métaphysique;

Ainsi font font font !

 

La machine à notes !

Interro J'grelotte !

Mettant que des notes !

Impro ! Ca me trotte !

 

Moi; contre le piano !

Jouant note salée

La mer d'mes sanglots;

Ecumant cuvé

 

La meilleure cuvée

De ma note soûlée

Au bistrot couvé;

Que j'ai retrouvé

 

Jouant au piano;

La note du bistrot !

M'faisant regretter

D'avoir du toupet !

 

Robinet d'eau tiède;

Je sais réchauffer

La note; rien qu'au bled !

Chauffée réchauffée

 

La machine à notes !

Interro J'grelotte !

Mettant que des notes !

Impro ! Ca me trotte !

 

Jeu déperdition;

Je joue déchanté

L'jeu en perdition !

Partition fêlée;

 

Je cherche un instit;

Qui joue du piano !

M'apprenant d'un tilt;

Les notes du piano !

 

Me mettant des notes;

Interro sur prises !

En ayant la cote

D'surprises en surprises !

 

Jouant comme un pro;

Mélodie d'un artiste !

Composant rétro;

Avec sur la liste !

 

La machine à notes !

Interro J'grelotte !

Mettant que des notes !

Impro ! Ca me trotte !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Message long à la détente !

 

Dialogue entre Jérôme B et Edwin J; un (ex) ami !

 

Jérôme B :

 

- " Bonjour Edwin, comment vas-tu ? "

 

Edwin J :

- " Bonjour Jérôme; pourquoi me contactes-tu ? "

 

Jérôme B :

- " Pour avoir de tes nouvelles; même s'il y a rien de neuf pour toi ! 

    A première vue; je t'envoie des vers de contact à travers ce dialogue

    comme un salé aux lentilles ! "

 

Edwin J :

- " Jérôme, je ne veux plus te voir à cause de toutes tes erreurs et de ton 

    mauvais comportement ! Souviens-toi du texte que tu m'avais envoyé :

   " Accidents mineurs à l'état majeur ", même si tu as supporté 

    de gros problèmes majeurs dans ta vie de mineure; ta vie pour moi

   est si mineure que tu récoltes tout maintenant à l'état majeur !

  Et aussi que souvent; tu fais des doigts d'honneur dans la rue que

  tu dois majeur de faire des doigts majeurs ! Jérôme; tu n'es pas net

 comme gars !  Je ne comprends pas pourquoi tu as dévie du droit

 chemin avec toute ta colère et toute ta haine que tu as contre la société ! 

 Qu'as-tu à me répondre à mon mets sage où j'appuie sur la détente

 pour vivre tranquille et penser juste à moi rien qu'à moi ? "

 

Jérôme B :

- " Pour toi c'est un jeu d'enfant de me répondre cela alors que ce que tu m'envoies; ce n'est pas un mets sage pour appuyer sur la détente mais un message long à la détente !  Même si je n'ai pas toujours pas été bon enfant;

Ma vie n'a pas toujours été un jeu d'enfant à l'état mineur car maintenant à 

l'état majeur où j'en suis; ma vie est enjeu d'enfant à l'état majeur du à mon enfance mineure avec tous ces problèmes majeurs ! " 

 

Edwin J :

- " Jérôme; tu crois que tu me fais rire avec tes jeux de maux à deux balles; avec toi; c'est tout ou rien; soit tu fais des mots croisés ou des maux croisés à la croisée

de ton humour à deux balles où tu déballes tout; c'est de la balle ! Jérôme pour terminer ce dialogue à bâtons rompus entre toi et moi, que proposes-tu pour qu'on enterre la hache de guerre sans retour de bâtons ? "

 

Jérôme B :

- " Et bien mon cher Edwin, comme tu cherches à m'attirer en mettant le bâton et la carotte et comme les carottes sont cuites; je propose qu'on enterre la hache de guerre et qu'on fume du hasch naguère moi et toi qui n'est plus long à la détente ! A travers ce mets sage, où je conclus ce message en appuyant sur la détente longue à la détente avec plus jamais de stress !  Si tu cherches un mobile pour m'appeler; appelles-moi au numéro suivant importable; exportable : 

Jérôme B Port : 0617135443 ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

C'est du gâteau !

 

Durant la vie !

Suivant ce que

L'on a subi !

Hormis quoique,

 

On est soit une

Crème ah ! Futée !

On naît soit une

Crème affûtée !

 

Suivant qu'on aime

La vie au jour !

Suivant qu'on sème

La nuit contre-jour !

 

C'est la cerise

Sur le gâteau !

Est là Cerise

Sur le gâteau !

 

C'est du gâteau !

Que c'est cadeau !

Mangeant l'gâteau !

L'plus beau cadeau !

 

Que chacun mange

Sa part; par(t) du

Gâteau des anges !

Qu'tout leur est dû !

 

Qu'ils n'sont imbus

De par eux-même !

Qu'ce n'est indu !

Tout l'monde les aime

 

En crèmes fûtées;

Qui font le bien !

Crèmes affûtées;

Qui font et bien !

 

C'est de la tarte !

Qu'il y ait des crèmes !

Donc qui s'entartent !

Bien comme ils s'aiment !

 

C'est du gâteau !

Que c'est cadeau !

Mangeant l'gâteau !

L'plus beau cadeau !

 

Roulant dans la

Farine la pâte !

Ca donne d'la joie !

Que ça épate

 

De mettre la main

A la bonne pâte !

Mettant l'béguin !

Que ça appâte

 

En un rouleau

D'pâtisserie !

Au bout d'rouleau

L'besoin d'amis !

 

En compagnie

D'être une pure-crème

D'boulangerie !

Pourvu que sème !

 

C'est du gâteau !

Que c'est cadeau !

Mangeant l'gâteau !

L'plus beau cadeau !

 

Jérôme de Mars

 

Et fait minés !

 

Un homme à femmes;

Qui est à voile;

A vapeur flamme !

Comme se dévoile

 

Un homme infâme;

Qui plaît aux dames !

Infâme à femmes;

Qui dame quidam !

 

Dans les deux sexes

Bisexuels;

C'est unisexe !

Très sexuel !

 

Tendance en transe

En intendance;

Tendande en trans

Et abondance;

 

Et faits minés !

La chatte minée !

Et fait minet !

Efféminée !

 

Pénétration;

Il y a un trou

En érection !

Bouchant les trous

 

De par des mots

Sensuels; sexuels !

Or ! Homos

Sensuels; sexuels !

 

Qui aiment les deux !

D'une chatte qui griffe

Une foutre d'ses deux

Couilles dans le pif !

 

Ca fait du bien !

Par où ça passe !

C'est du venin !

Où ça repasse !

 

Et faits minés !

La chatte minée !

Et fait minet !

Efféminée !

 

Musique en trance;

Une chatte mouillée

Rentre redondance;

Qu'elle a mouillé

 

Toute sa culotte;

Perdant les eaux;

Ses seins grelottent

Faisant pipeau !

 

Faisant bouche-à-bouche

Au sexe d'son ami !

Genre un touche-touche

En gâterie !

 

Qu'elle s'en branle tant

De faire la queue !

Qu'elle branle rien c'temps !

Tirant la queue !

 

Et faits minés !

La chatte minée !

Et fait minet !

Efféminée !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Aux berges de genèse !

 

Hier de mon enfance;

Je me rappelle tant

De toute mon offense !

Qu'je ne me détends

 

Comme une balle logée

En plein de rancoeur !

Gilet par balles, mais

Plaint de mon aigreur,

 

La noirceur d'mon coeur !

Cavalaire sur Mer;

C'est de la liqueur !

J'cavale l'air sur mère !

 

Sang regrets d'avant;

Je fus délaissé !

Sans remords distants;

Je fus affaissé !

 

Aux berges de genèse !

J'héberge la jeunesse !

Auberge de jeunesse !

J'héberge la genèse !

 

De mes souvenirs

M'enfuyant hagard !

J'ai connu le pire !

Fuyant du regard

 

L'bazar de ma vie !

Tout ce bric à brac !

Hasard de la nuit;

C'est tout un mic mac

 

De ne point savoir

Tout ce que je veux

Dans ma préhistoire !

Que je fais comme voeux

 

De ne plus aller

A Cavalaire Plage !

Même dans les allées

De tout ce ravage !

 

Aux berges de genèse !

J'héberge la jeunesse !

Auberge de jeunesse !

J'héberge la genèse  !

 

Cavalaire l'rivage

Dont je cavale l'air !

Cavalaire l'virage

Dont je décolle l'air ! 

 

De la mer salée

Jouant sur piano !

Une note de portée;

Déportée sanglots

 

Dans l'écume des bars

De ma mère soûlée;

Que tous la rembarrent

Toute cette mer salée;

 

Qu'elle moussa sa bière

Comme sa mise en bière !

Et même si j'suis logée

Même enseigne; je sais !

 

Aux berges de genèse !

J'héberge la jeunesse !

Auberge de jeunesse !

J'héberge la genèse !

 

Jérôme de Mars

 

 

Joséphine Baker

 

Comme une artiste noire;

Naquit le 3 Juin

Une femme ! Dont l'histoire

Changea le destin

 

De la cause des noirs;

Née dans L'Missouri;

Son histoire fut noire !

Luit comme à Saint Louis !

 

Qu'elle fut victime d'racisme

Aux Etats-Unis;

Pays sans angélisme;

Qui ne la chérit !

 

Elle quitta l'Pays

Des Etats-Unis !

Avec un bateau

Pour trouver ses mots !

 

Joséphine Baker;

J'la connais par coeur !

Comme Charlie Parker !

Qu'elle avait bon coeur !

 

Aidant son prochain

Luttant contre l'racisme;

Son côté humain

N'aima l'égoïsme !

 

Qu'elle lutta; femme libre

Pour la cause des noirs

Jusqu'en France, qu'elle vibre

Résultat d'lhistoire !

 

Elle agit pour toute

L'émancipation !

Agissant contre toute

Ségrégation;

 

Elle fit d'un spectacle;

Toute une revue nègre !

Années folles d'obstacles

En revue allègre !

 

Joséphine Baker;

J'la connais par coeur !

Comme Charlie Parker !

Qu'elle avait bon coeur !

 

Elle a la banane;

Ayant deux amours !

Qu'elle se pavane;

Paris, mes amours !

 

En folie du jour

D'une grande dépression !

Elle dessine l'contour

D'une bonne impression !

 

Parlez-moi d'amour

Au Moulin-Rouge !

J'attendrai l'amour;

Si j'étais noire rouge !

 

En amère Indienne

Qu'elle meurt l'12 Avril !

Et en file Indienne !

D'son panthéon défile;

 

Joséphine Baker;

J'la connais par coeur !

Comme Charlie Parker !

Qu'elle avait bon coeur !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le bureau des complaintes

 

Si on chante au travail !

Quand l'un dit que je dis

Mes doigts en éventail;

Quand je dis; ça me dit !

 

D'manger au restaurant;

Parlant de doléances !

Bouffant tous mes tourments

En mes condoléances;

 

Me refaisant des films

De la dernière séance !

En scénarios de films;

Et quelle est la fréquence ?

 

Pour revoir chaque séquence

D'ma vie en super huit !

Ca me rappelle l'enfance,

Où rien ne passa vite !

 

Le bureau des complaintes;

Ecoutant mon enceinte,

Comme du bureau des plaintes !

Ecoutant ma complainte,

 

Comme tout le monde déchante !

On connaît la chanson !

Qui tous nous désenchante;

Et comme à la maison !

 

On cherche que des paroles !

Pourvu qu'elles réenchantent

Chacun d'nous en gondoles;

Qu'elles nous gondolent charmantes !

 

Etant dans leurs papiers;

Papiers d'un grand journal

Super millimétré !

Qu'on décide qu'on ouvre l'bal !

 

Bal masqué; démasqué;

On met la cape et cap !

Vers la fête au troquet !

J'en déduis qu'on est cap !

 

Le bureau des complaintes;

Ecoutant mon enceinte,

Comme du bureau des plaintes !

Ecoutant ma complainte !

 

En évasion d'escale;

Je m'évade animal

En un spectacle floral;

Qui emballe et déballe

 

Avant qu'on me remballe

En mon blues du trottoir !

Pas gai ! J'pagaie si mal !

Où je rame dépotoir

 

En un grand défouloir !

Et bien quand ça me chante !

Chantant en exutoire

En mon âme nonchalante;

 

Pourquoi j'ai que du blues !

Tristesse d'un clair de lune,

Et pourquoi je m'émousse

Terne éclair de plaine lune !

 

Le bureau des complaintes;

Ecoutant mon enceinte,

Comme du bureau des plaintes !

Ecoutant ma complainte.

 

Jérôme de Mars

 

Comédien déambulant

 

Artiste jonglant dans la rue;

Je suis un clown très auguste !

Qui déguste blanc ingénu;

Que je dévisage mon buste !

 

Avec un masque et des plumes !

Si bien que j'y laisse des plumes

Du fond tréfonds de mes frasques !

Que je suis à vent d'bourrasques !

 

En jonglant avec les mots;

Tel un saltimbanque qui s'planque

Derrière son costume penaud !

D'où je planque dessous en banque !

 

En dessinant un trapèze

Dans la rue; c'est tout un cirque !

Que les artistes sont balèzes !

Et si costauds pacifiques !

 

Comédien déambulant;

Peut-être suis-je amusant ? !

En comédien ambulant;

Jouant à l'acteur plaisant !

 

Que je cherche mon équilibre

Funambule; ne perdant le fil

De mon être rebelle et libre !

Qui ne veut pas lâcher l'fil !

 

Le fil conducteur d'sa vie !

Pour rétablir le courant

Entre les gens surtout la nuit !

Pour se tenir au courant

 

De jongler en jeux de quilles !

Avant d'partir en retraite !

C'est l'heure de fêter la quille

En quête de faire une requête !

 

Pour que tout ce monde maboule

N'ait les boules ! Perdant la boule !

Il vaut mieux raison garder !

Garder juste que l'oraison !

 

Comédien déambulant;

Peut-être suis-je amusant ? !

En comédien ambulant;

Jouant à l'acteur plaisant !

 

Me complaisant en clown triste;

Un transe genre mélancolique !

Me préférant genre altruiste;

Un transgenre mélancomique !

 

Je joue un rôle si joyeux

Que j'en oublie tout mon rôle

D'être paraître si fastidieux !

Que je renie toute ma taule !

 

Enfer d'ma prison dorée !

Acrobatie haute voltige !

De ma prison à dorer !

J'n'ai qu'à avoir des vertiges !

 

Contorsionniste retourné;

J'me suis détourné du droit

Chemin à tout contourner;

Qu'en claquant de mes dix doigts !

 

Comédien déambulant;

Peut-être suis-je amusant ? !

En comédien ambulant;

Jouant à l'acteur plaisant !

 

Jérôme de Mars