Si je faisais un graffiti dans le ciel !

 

Pirouette universelle,

Si je faisais un graffiti dans le ciel !

Il y aurait des tourterelles !

Qui s'envoleraient en ritournelles

Avec des anges dans l'archange,

Qui feraient que dans le ciel,

Tout s'arrange en un mélange

D'étoiles, à l'instar

D'Hollywood Sunset Boulevard

Dans un paradis romanesque,

Où les comètes 

Voleraient la vedette

Aux lumières pittoresques 

Dans le ciel de sa fresque !

Ebauchée en un tableau de street art,

Et si je faisais un graffiti dans le ciel !

Y aurait-il un ciel superficiel,

Artificiel, mi ciel ou mi sel 

Pour occulter les stars

Qui n'honorent leurs rencards 

Dans le ciel universel ? 

Si je faisais un graffiti dans le ciel !

Y aurait-il un ciel qui se colore

Ou un ciel indolore ?

Et si dans le ciel revêche,

J'y mets des couleurs arc en ciel,

Le ciel aurait-il des pannes sèches

A coups de nantis sèches antisèches ?

Et ainsi, tout le monde épique

Se parlerait-il de façon sèche 

En s'envoyant des piques ?

Et si je faisais un graffiti dans le ciel !

Peut-être que le ciel décocherait

Une flèche en vers sa Sainteté !

Avec son arc en ciel !

Direction une pluie d'étincelles,

Qui feraient que celle ou scelle

Une passerelle

En un grain de sel,

Issu d'un grain de ciel

Avec essentiel,

Un arc en ciel

Dans le ciel,

Si en un tag,

Je faisais dans le vague

Un graffiti dans le ciel !

 

Jérôme de Mars

A Fontainebleau !

 

Dans les allées, 

Si on allait

A Fontainebleau !

Montrer de quel bois on se chauffe !

Pour tenailler qu'on en pince sans rire !

Mais dans la satire !

Qu'à Fontainebleau, nous savons

Mettre les gens en boîte d'inouï !

Surtout qu'à la station Fontainebleau Avon,

Nous avons tout ouï

A Fontainebleau !

Un jardin très secret en un Mausolée,

Où depuis longtemps, de l'eau

A coulé ! Autant pour les beaufs

Que les bof à Fontainebleau !

Où là ! Il y a peut-être un ruisseau,

Qui fait sangloter l'humanité

Dans le chagrin des gens qui part à vau l'eau

A Fontainebleau !

Qui fait que les sanglots

Font pleurer salées,

Les larmes des gens

Larmoyées depuis le temps

Qu'à Fontainebleau !

Il n'y a d'inuits ! 

Surtout que le froid glace

Le sang des gens en sûre place

A Fontainebleau !

Qu'il y a la fontaine qui jaillit

Dans les jardins du château

A Fontainebleau !

Que je pense que la fontaine

Pourrait m'inspirer

De la peine pour la peine !

En me faisant respirer

Un poème, à en inhaler

De la pureté raréfiée et simplifiée

En ces êtres clairs et vrais !

Qu'absolument et irrationnellement,

Je n'en taris

Eperdument et factuellement  

D'éloges ! Dont me manquent les mots

A moi, dorénavant logé ici-là à Fontainebleau !

 

Jérôme de Mars

En vers qui ?

 

Puisqu'il y a un ver dans le fruit,

Je voudrais vous demander en vers qui ?

A part que c'est en vers moi-même !

Quoique je vis dans un monde à l'envers de bohème !

En vers qui ?

A part s'il y a un ver dans le fruit !

Qui cause dans ma vie en vers moi-même !

Une vie vide décence en mon fort intérieur qui sème

En vers moi le chaos, qui fait que j'écris des gros mots !

Grosso modo, où je retourne mon ennui en échos !

Avec des trémolos dans ma voix, où tout m'indiffère !

Et où je préfère que tout foute le camp en enfer !

En vers qui ?

A part en vers moi-même s'il y a un ver dans le fruit !

Qui fait qu'avant de croupir en poussière,

A partir de quand en vers moi-même ! ?

Je serai au cimetière, mangé par les vers !

En vers qui ?

A part parler en vers, pas appât qui sortiraient du système ! ?

En vers qui ? A part moi-même en vers moi-même !

S'il y a un ver dans le fruit !

Qui écrit en vers de bohème,

Ma vie qui dévie en litanie !

Avec un ver dans le fruit !

Sitôt dit ! ?

Que je suis un poète maudit ! ?

En vers exquis ! ?

 

Jérôme de Mars

Ce poème que j'écris est déplacé !

 

Sur place surplace sûre place, les places sont chères !

Dont je refère dans un paradis endiablé, que c'est l'enfer !

Comme ce poème que j'écris   est   d

                                                             épla   cé  !

Vu que je demande à mes vers de poèmes, si j e  peux en place  r 

 

Une ! A moins que j'écrive des gros mots dans ce poème, et

 

Que ça paraisse dép

                                   LACé !

Ce que j'écris ! Comme ce poème que j'écris est déplacé !

Et qu'il faut le repl  a cer

Dans le con texte,  pour le placer en argent content

Dans des coûts vers en arg ent !

 

 

 

 

A moins quE des gens vains sans  P

                                              L

                                             A

                                       C         é     S,

 

Considèrent que ce poème que j'écris est totalement plus que déPL

Acé !

 

Car plus que placé ! ET rePLa

   C   é  ! Car vraiment ce poème que j'écris est    à tout JAMAIS

 

Dé                             PL  A  

 

 

C  é

 

 

!

 

Jérôme de Mars

 

 

Vu et revue, ça presse !

 

Aujourd'hui lundi 23 mai 2022, voici un mois que Macron a été réélu par des faux le jour du second tour, dont nous revoilà parti pour un tour de 5 ans, reçu cinq sur cinq dans le club des cinq, où après le front national et l'affront national, voilà un rassemblement national, regonflé à bloc après leurs deux ballons d'essai en 2017 et 2022, dont en 2027 si Le Rassemblement National est élu, ça voudra dire que c'est plus que de la colère qui monte au front républicain, maintenant moins national mais plus local, La France brûle et crame, la preuve avec les brûlures de l'histoire, pas mal de Français aux deux tours de l'élection présidentielle, ont voté nul ou blanc, comme leur enveloppe s'est embrasée dans l'urne, vu que La France ne fait que des cendres, tellement que tout le monde en a marre de tout, et s'en fout de tout ! En devenant individualiste et égoïste, alors que Les Français n'en sont pas heureux de rester repliés sûrs eux-mêmes, dont après avoir tant été pliés en quatre pendant les Trente Glorieuses, qu'en ce moment, Les Français en redeviennent des gorilles dans la brume, si bien qu'actuellement, il y a la variole du singe puisque tous les Français singent dans la virus de la connerie, avec en piqûre de rappel qu'hier soir, Les Français en tout cas certains, n'ont pas eu besoin de faire leurs déclarations d'impôts vu qu'ils regardaient Dany Boon, comme ils n'avaient rien à déclarer, à part la déclaration de Damien Abad, qui paye les pots cassés des deux femmes qui l'accusent de viols, le pauvre, comment aurait-il pu faire pour commettre ce crime sexuel, il n'a pas le bras assez long ! Avec son manche oh ! Et enfin pour bien commencer la semaine, revoici l'éternelle grève de La RATP : Reviens à ton poste, payés assis à ne rien foutre dans un jeu de chaises musicales, ça ne m'étonne plus que La France ne soit point sur deux bons rails ! Et que La France déraille ! Où plus personne n'a plus la voix ferrée mais la voix fériée pour trouver les chemins de faire, avec encore et encore un énième métro de retard, dont le dernier métro trame qu'en station debout, il n'y a pas d'accessibilité dans les bus pour les personnes handicapées, vraiment tout fout le camp ! A part ceux qui touchent le RSA et qui ne travaillent pas, et dont le gouvernement de bras cassés de Macron avec comme bras droit cassé Damien Abad, demande aux allocataires du RSA : Rends-Moi Service ! De travailler gratuit en lisant Métro, le quotidien gratuit pour justifier de l'allocation et de la location dans leurs HLM, comme plus personne n'est logé à la même enseigne dans ce monde qui respire la méchanceté gratuite, et dont les Français feront payer en 2027 le gouvernement en voulant un rassemblement national, car il n'y a plus de liberté, ni de légalité et ni de fraternité, dont maintenant les mamelles de La France ont pour dépits de vache enragée, avec comme vache enragée dictature, illégalité et égoïsme, avec des brebis galeuses qui rendent Les Français chèvres sur face de bouc-émissaire, alors qu'il y a malgré tout quelques personnes qui demeurent douces comme des agneaux, dont le plus important, c'est de vous dire que même si l'argent contribue au bonheur ! Que l'argent n'achète pas la vie mais que pour réenchanter cette France désenchantée, chantez en étant tous OK sur la rame du métro, en attendant le dernier métro dans la chaleur humaine au train où vont les choses, en vous donnant tous rendez-vous à Ok chorale, car à au quai, tout le monde attend avec son ticket, or ! Il vaut mieux attendre avec entrain, en train de remettre La France sûre deux bons rails dans un trafic d'affluence, vu et revue que ça presse que tout le monde s'empresse de franchir le tour niqué des Présidentielles de 2022 pour 2027 !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                             Blagues :

 

 

1) Pourquoi hier-soir, n'avais-tu pas besoin de faire ta déclaration d'impôt ?

 -  Parce-qu'hier soir en regardant Dany Boon, tu n'avais rien à déclarer !

 

2) Pourquoi est-ce-que Damien Abad qui est accusé de viols par deux femmes n'a-t-il pas pu commettre ce crime sexuel ?

 -  Parce-qu'il n'a pas le bras assez long !

 

 

                                        Jérôme de Mars

Lino Ventura aura réussi à percer toute sa vie, effet boule de neige !

 

Inné instinctivement le 14 juillet 1919 à Parme en Italie,

Un homme du nom de Lino Ventura qui joua

Toute sa vie le rôle de sa vie, luit le dur à cuire

Au grand cœur, qui reluit tel un immigré Italien,

Qui passa sa vie à mettre la main à la pâte

Italienne avec ses amis du métier, tel Georges

Brassens, Jacques Brel, Jean Gabin, Raymond

Devos et Claude Sautet pour de grandes plâtrées

De pâtes l'Italienne, où ils refirent le monde

En l'assaisonnant à leur sauce, d'où à 8 ans,

Il quitta son Italie natale en 1927 en rejoignant

Son père à Paris, parti travailler comme

Représentant de commerce, et pour aider

Ses parents financièrement, il quitta l'école

A 9 ans pour effectuer différents petits boulots,

comme livreur, mécanicien ou employé de

Bureau etc..., et avant de percer comme acteur

Dans le milieu du cinéma, avec sa carrure,

Sa grande gueule et sa gouaille, il amorça

Son début de carrière d'abord comme lutteur,

Ensuite comme catcheur, dont son premier

Métier de lutteur, lui permit durant son

Extraordinaire vie, jalonnée d'autant de joies

Que de grandes peines, de lutter

Contre les injustices des personnes handicapées,

Par exemple en créant en visionnaire,

L'une des premières structures pour les

Personnes handicapées mentales face

A la pénurie de ces établissements dévolus

A la trisomie 21 étant donné qu'un de ses 4 enfants,

A savoir 3 filles et un garçon, dont l'une

De ses 3 filles du nom de Linda, fut porteuse

D'un handicap mental, et dévasté par les difficultés

De sa vie de par le trouble mental de sa fille,

Lino Ventura passa à la télévision

Sur L'ORTF en décembre 1965, en appelant

A la générosité des Français, pour recevoir des dons

Grâce aussi à l'appui de ses amis du métier, tel Georges

Brassens qui organisa un concert, dont les recettes

Furent reversées au profit de Perce-Neige,

En plus des dons massifs du public, sans oublier

L'appui du gouvernement de l'époque, qui lui permit

De bâtir des lieux médico-sociaux par le biais

De l'association Perce-Neige fondée en 1966,

Avant qu'elle ne devienne une fondation

Pour venir en aide avec altruisme et abnégation

Aux personnes handicapées mentales, dont

Grâce à la lutte indéfectible de Lino Ventura,

Une grande loi sur le handicap vit le jour !

De par l'émergence de droits nouveaux et acquis,

Allant d'un travail protégé en des structures adaptées

Pour les personnes handicapées, dans la loi

Avant-gardiste de 1975, qui allait changer

La vie de milliers et de millions de personnes

Handicapées, de façon progressive et

Exponentielle, comme L'Allocation Adultes

Handicapés, les ESAT, les Entreprises

Adaptées, les foyers d'hébergement

Ainsi que les SAMSAH/SAVS etc..., permettant

De faire évoluer le chantre et l'éventail

Des différents types de handicaps, comme

Le handicap physique et psychique en plus

Du handicap mental, il ne faut point oublier non plus

Que la carrière de Lino Ventura fut ensuite

Cinématographique après les prémices

Sportives et humanitaires,d'où il débuta son

Métier d'acteur en jouant le rôle de sa vie

Dans le film : “ Touchez pas au grisbi ”

En 1954 au côté d'une grosse pointure,

Jean Gabin, un acteur qui allait être un

Ami en devenir mais un vrai, avec qui il tourna

Environ 5 films tout au long de sa carrière,

Mais encore aux balbutiements

De sa carrière d'acteur au cinéma, il fut

Cantonné à des seconds rôles, mais

Tellement que le métier d'acteur le scia et le happa

Tellement et vraiment, qu'il n'eut besoin de prendre

Des cours de comédie, à tel point

Qu'il joua en autodidacte les rôles

De sa vie ! Qui lui allèrent comme un gant,

En jouant avec un naturel déconcertant et légendaire,

Qu'il accéda aux premiers rôles principaux

De par son envergure et son charisme,

Lui, l'acteur de la même trempe que Jean

Gabin et Alain Delon, exigeant sur la qualité et le niveau

Des scénarios et des films, de par son flair

instinctif, dont il privilégia surtout la qualité

A la quantité, ce qui fit que pendant sa carrière,

Il tourna quand même plus de 75 longs-métrages, dont dans la

Plupart de ses films, il incarna des rôles sombres

De truands, de voyous et de policiers, le tout dans un ensemble

De plus d'une dizaine de chefs-d’œuvre en films notables,

Dont il débuta l'âge d'or de son incroyable destinée,

En pleine force de son âge en son cinéma populaire et de qualité,

Avec pour premiers rôles principaux

A la fin des années 1950 et à l'aube des années

1960, avec à partir de 1958 le film : " Le Gorille

Vous salue bien " et le Fauve est lâché en 1959,

Et à l'apogée de sa carrière en son sommet pointu,

Il tourna comme comédies : " Ascenseur pour l'échafaud " en 1958,

Un taxi pour Tobrouk " en 1961,“ Les tontons flingueurs ”

En 1963; “ Les barbouzes ” en 1964, " Ne nous fâchons

Pas " en 1966, " L'aventure, c'est l'aventure " en 1972,

Dont il dira que ce fut un film étrange réalisé par

Son ami : “ Claude Lelouch ”, " L'emmerdeur " en 1973,

“ La gifle ” en 1974 avec Annie Girardot, et également

Isabelle Adjani aux aurores de sa carrière naissante,

Avec aussi en surcroît indéniable, des drames et des films

Policiers dans lesquels il se réalisa en acteur prodigieux

Comme : “ Les grandes gueules ” en 1966,

" Le deuxième souffle " en 1966, “ Le clan des Siciliens ”

En 1969, " l'Armée des ombres " en 1969 et sans oublier

Entre autres, " Garde à vue " en 1981, curieusement,

Il n'interpréta aucune pièce au théâtre, lui préférant

Incarner en différé au cinéma, des rôles de brutes

Mais au grand coeur, dissimulant son incommensurable

Sensibilité à fleur de peau aux travers ses rôles de dur à cuire,

D'où il se forgea une carapace sans rien laisser transparaître,

Car pour Lino Ventura, une personnalité extrêmement entière et pudique,

Jouer au théâtre en direct aurait été pour lui trop éprouvant !

Quitte à se torturer, lui l'écorché vif et à s'en déchirer le gosier,

Lui, qui ne voulait pas déguster dans la

Vie, mais qui préférait partager les plaisirs de la table;

En passant à table à la table de la gastronomie en fin gourmet,

Lui, dont lui furent si chair ses amis, Georges Brassens, Jacques Brel,

Raymond Devos, Jean Gabin et Claude Sautet, qui sautait toujours sur

L'occasion, comme le fauve est lâché et s'est lâché, où pour

Se faire plaisir, Lino Ventura joua avec quintessence

Dans sa tessiture, un Jean Valjean, criant de vérité

Dans le film : " Les Misérables " en 1982, la version revisitée

Par Robert Hossein, avec la même habilité et dextérité dans la même

Veine que Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo et Gérard Depardieu,

Et où depuis jadis, il fut marié avec Odette Ventura qui eut

Pour nom de jeune fille,

Odette Lecomte, avec qui il resta jusqu'à sa mort le 22

Octobre 1987, terrassé par un infarctus dans sa maison

De Montretout à Saint-Cloud, lui qui eut un grand cœur,

Mais que son cœur lâcha à la postérité !

A l'éternité de sa gloire, car lui, quoiqu'il lui arrive et lui arrivera,

Perdurera dans les clous que Lino Ventura aura réussi à percer

Toute sa dense vie, plus qu'un simple effet boule de neige !

 

Jérôme de Mars

 

Metis sage

 

Il était une fois à la naissance une nouveau-née, ayant pour prénom féminin Metis et pour nom de famille Sage, ce bébé s'appelle Metis Sage, qui est issue du métissage, comme c'est une Metis sage très sage, et une métisse sage trop sage comme une image de mes tissages.

 

Jérôme de Mars

Train de folie

 

A vitesse grand V, moi, qui déraille

En un train de folie,

Il faut que j'me remette sur les rails !

Quitte à faire le cheminot qui s'entaille,

A rester sur la paille,

A vouloir m'jeter sur la voix ferrée !

En un train de folie !

Qui allie mes yeux cernés et concernés

Dans ma folie à l'agonie,

Où je m'en fous de tout !

Comme si une part en moi restait ripou !

En un train de folie !

Boute-en-train, avec entrain  !

En train !

D'jouer au train électrique,

A m'en donner l'idée d'faire péter

Avec un bâton de dynamite

Mon dilemme névrotique,

Qui conditionne ma vie d'ermite !

Où j'm'enlise et j'délite ! 

A souhaiter une fin du monde qui décrépite

Ce monde politique, que j'exècre 

En mots d'insectes piètres,

Qui font mouche !

Envers moi, le gars louche !

En m'donnant envie de m'jeter par les rails

Du dernier métro, toujours avec un train

De retard, en train boute-en-train avec entrain

D'ma vie bout en train, qui déraille

En station debout sur le quai ! 

Où tout le monde me flingue du regard, comme à Ok

Chorale dans ce monde désenchanté et déshumanisé,

Que je déchante en un train de folie,

Qui parfois, m'donne en vie, pour que j'en dévie

Du droit chemin, happé par le train déroulant à vive allure !

Où j'en ai plus rien à foutre d'avoir ou non une monture !

Vu que ma nature m'défigure !

Comme si je fissure 

Ma vie, que tout le monde jette en pâture !

En un train de folie !

Dont je voudrais en un ultime grain de folie !

Un train pour partir mourir en Transylvanie,

Qui tramerait à un train d'enfer ! 

En train d'prendre le chemin redevenu poussière !

Pour croupir au cimetière bout en train,

En train d'être boute-en-train, entrain

D'un si grand train irrévocable de folie.

 

Jérôme de Mars

Les pieds, nique-les !

 

Voici Lionel qui aime chez une femme ses pieds ! Pour bien prendre son pied avec elle ! Il lui dit à cette femme, - " Prends mes pieds, les pieds, nique-les ! " Car c'est le pied pour Lionel, pour bien prendre son pied avec une femme, pour partir du bon pied à pied ! Avec en plus de ses pieds à la femme, un des sein animé que Lionel a envie de prendre en ce guêpier, pour tomber dans un gai pied, en plus de ses pieds pour mieux encore prendre son pied avec les pieds nickelés à cette femme ! Dont Lionel lui susurre vorace à cette femme :

- " Mes pieds ! Les pieds, nique-les ! Même s'ils sont casse-pieds ! Et fais-moi partir à pieds joints, à pied ! Même si tu me casses les pieds nickelés ! Car mes pieds ! Les pieds, nique-les ! " Et même si Lionel en plus de bander des cinés pour les pieds nickelés ! Dit à la femme qui lui joue du pipeau dans une note de plusieurs pieds : - " Les pieds, nique-les ! " Pas besoin de lui faire un des sein animé à Lionel, tandis que pour cela, il attend la belle femme parfaite qui saura très bien lui faire prendre son pied ainsi qu'à elle, pour partir et repartir du bon pied ! Où tout en tombant dans un gai pied, mais plus dans un guêpier, il saura faire en sorte que la femme lui pompe bien le dard avec ses pieds pour reprendre trop bien son pied, à pieds joints et rejoints ! En joignant l'utile à l'agréable ! Si joints en Juin enjoint, où certainement, cette belle femme attend Lionel de pied ferme ! A pied pour qu'avec ses pieds, cette femme mousse Lionel, pour qu'il reprenne plusieurs fois son pied, surtout qu'au moment de l'éjaculation faciale de volupté, Lionel lui dira sûrement de façon poétique en son pied  : - " Ca y est, c'est le pied, j'ai pris mon pied ! Bon pied, bon œil ! Comme maintenant, j'ai un pied-à-terre, mes pieds, de la bande des cinés, les pieds nickelés à un des sein animé de la bande des six nés ! Oh ! Mes pieds ! Les pieds, nique-les ! " 

Ce que fit Lionel avec cette belle femme, dont après avoir pris son énième pied, il posa les pieds sous la table, pour écrire ce texte en plusieurs pieds ! Les pieds, nique-les ! D'un pied ferme ! 

 

Jérôme de Mars

Quand le soleil a de l'oseille, la carte vermeil, c'est à la carte merveille !

 

A la fraîche revêche;

On ne vit d'amour et d'eau fraîche !

Partout où qu'on vive

Sur la Terre furtive ou captive !

Et même si en prenant 

Tout en argent content !

Le ciel se réveille 

Face au soleil !

Il reste intemporel !

Et riche d'étincelles,

Qui décrète essentiel !

Où quand le soleil a de l'oseille,

La carte vermeil, c'est à la carte merveille !

En voyant rouge 

Sur tout ce qui bouge !

Et même si le soleil est très âgé;

Il reste longuet, long gai !

Comme si un paratonnerre

Le protégeait de ses colères,

Qui font du tonnerre !

En provoquant dans une guerre des nerfs

Le tonnerre !

Où hardi au paradis ! Le soleil est heureux

Et radieux !

Surtout quand il a un bonheur sans nuages;

Histoire d'écouter Django Reinhardt sans Nuages !

Avec dans les parages, le pas sage

Paisible des gens; qui ont pour message

Que le métissage est un brassage 

Et un breuvage !

Du meilleur de chacun

En un tous pour un !

Où quand le soleil a de l'oseille,

La carte vermeil, c'est à la carte merveille !

Car même si tout le monde voit rouge !

Avec le métissage,

Dans nos veines; on a tous le même sang rouge !

Qui coule et qui bouge

Parmi les gens sages

Même du métissage, 

La preuve qu'il y a des métis sages de métissage;

Avec comme message !

Qu'il y a le même soleil pour tout le monde !

Dont il faudrait que tout le monde fasse une ronde !

Dans la fronde ! Pourvu que tout le monde s'aime !

En un précieux totem !

De telle manière qu'on transforme le système D

En un système aidé !

Avec un soleil surnaturel et immortel; 

Qui ne change jamais, sûr naturel !

Où sempiternel ! Quand le soleil aura pour la vie de l'oseille,

La carte vermeil, ça sera tout le temps à la carte des merveilles !

 

Jérôme de Mars

Quand le blues dans ma nuit devient le bleu dans ma vie !

 

Minuit de mes démons de mes nuits !

Dès midi, c'est mon démon de Midi !

Qui m'épouse

Et me jalouse;

Quand le blues dan ma nuit

Devient le bleu dans ma vie !

En flirtant avec un violon dingue,

Qui accorde ses violons qui me dézinguent !

Si bien que je cherche un flingue pour lyncher

Ce monde dénué d'humanité;

Car dans la vanité de celui qui en veut

Plus ! Et qui en veut

Toujours plus ! Avec pour désaveu !

Que la vie m'en veut et que j'en veux à la vie !

Qui me met au défi du ni ni en un déni,

Où j'ai le blues de l'ennui de ma vie !

Qui me scie mal et m'ensevelit !

Quand le blues dans ma nuit

Devient le bleu dans ma vie !

A moitié quand ânerie !

Et quand Anne rit !

A la vie désenchantée; qui dépareillée

Me sourit en un semblant ensoleillé !

Où j'attends la fin du monde !

Pour savoir qui sonde !

Pourquoi personne n'abonde !

En se tenant

Par la main ! Et en faisant

Une ronde,

Qui inonde James Dîne !

Car qui dort Dean !

Avec pour ancien et nouveau monde;

James bonde !

D'inepties

En péripéties,

Quand le blues dans ma nuit

Devient un bleu dans ma vie !

Sans doute par des faux;

Ou par l'échafaud d'un porte-à-faux,

Qui sonne faux !

Ou qui déchante faux !

Mais chante en faisant

Faux-bond furibonds

Dans un bond

En avant; comme j'aime Dean !

Et que j'aime bonde !

Qui bonde et abonde

Définitivement, quand le blues dans ma nuit à l'infini

Devient un bleu pour le restant de ma vie !

 

Jérôme de Mars

Après que dans mes nuits, j'ai eu des bleus brumeux, maintenant dans ma vie, j'ai des bleus radieux !

 

En mon stricte art;

J'ai décidé de faire du street art !

Après que dans mes nuits, j'ai eu des bleus brumeux,

Dont maintenant dans ma vie, j'ai des bleus radieux !

Pas spécialement pour croire à Dieu !

Mais peut-être pour réserver un rencard,

Qui ne me servira de mise au placard;

Car je veux du somptueux !

Afin de passer des moments inoubliables,

Avec juste ce qu'il faut d'affable

En quelque chose de chaleureux

Au coin du feu;

Après que dans mes nuits, j'ai eu des bleus brumeux,

Dont maintenant dans ma vie, j'ai des bleus radieux !

En espérant et en voulant aller mieux !

Pas spécialement pour croire à Dieu !

Mais croire à deux fois la vie en marchant

Vers la route qui mène au firmament exaltant;

Comme quoi la vie vaut la peine d'être vécue !

Malgré que les lendemains, c'est l'inconnue !

Dont il y a l'un connu et l'inconnue de l'absolu !

Après que dans mes nuits, j'ai des eu des bleus brumeux,

Dont maintenant dans ma vie, j'ai des bleus radieux !

Pas du tout pour croire à Dieu !

Mais pour croire à deux fois la vie en se revigorant;

Car après les montagnes russes aux aléas fluctuants,

Dont j'ai eu les bleus à lame de rancœur !

Voici à présent que j'ai les bleus à l'âme du cœur !

Après que dans toutes mes nuits, j'ai eu un excès de bleus brumeux;

Dont maintenant tout le temps dans ma vie, j'ai plus que des bleus radieux !

 

Jérôme de Mars

Sahara

 

Forges du désert;

Il y a la traversée du désert !

Qui cause une tempête de sable

Sur les dunes qui ensevelissent

Les châteaux de sable, 

Qui désanoblissent

Indomptables et implacables;

La solitude exécrable,

Qui sévit dans l'enfer

Du sable du Sahara;

Qui ne tarit de mirages rabat-joie !

Dans lequel le Sahara sert

D'oasis, en soûlant d'ivresse

Les reclus dénués de liesse

Dans l'enfer du sable; 

Où manque la mère de sable !

Qui fait couler le sablier ingérable

Pour tromper le temps qui passe,

Avant que La Terre trépasse

L'enfer du sable du Sahara;

Et pour que le désert soit

Hippie pie hourra, pourvu que de paire !

Il y ait pour repaire une terre 

De sable en paix salutaire; 

Avec en inventaire 

Et en avant-première,

Un dessert après cette traversée

Déversée du désert déshydraté;

Qui se boit !

Grâce à un oasis qui avance à grand pas,

Et qui donne avec éclats le Sahara.

 

Jérôme de Mars

 

Un ciel Africain

 

A l'effigie des Antilles;

Décollage en un ciel Africain, 

En survolant Saint-Jacques de Compostelle

Dans un voyage

Lors d'un pèlerinage;

Qui ravit les ritournelles

Entre des gens plutôt humains,

Qui fourmillent 

En un ciel Africain;

Qui vogue dans les Vahinés,

En foulant les safaris

Dans la savane;

Qui vagabonde en caravane

En un ciel Africain,

En chantant Créole

Dans une farandole;

Qui réunit tous les copains !

Que la bonne humeur éblouit !

Quand les nuits se pavanent

Dans la savane, 

En tapant sur un tambourin

Et sur des tam-tam;

Tout ce slam

En un ciel Africain,

Qui dort à la belle étoile !

Sur les dunes qui dévoilent

La nature dissimulée 

Des badauds;

Malgré qu'il fait trop chaud 

Sous les jours torrides !

Où quand il fait nuit !

Tout devient limpide !

Au plus fort

Du jour et de la vie,

Qui arbore en un folklore;

Que plus on est de fous,

Plus on rit !

Sans que les gars soient relou !

Entre bons samaritains;

Des paysages Byzantins

Jusqu'à l'atterrissage, 

Après ce long voyage

Dans un ciel plus qu'Africain.

 

Jérôme de Mars

Six mille airs

 

Envoyant en l'air

Des musiques frénétiques;

S'envoyant en l'air

En mots poétiques,

Il y a similaires;

Six mille airs

 

Qui pompent l'air,

En écrivant une ode

A la Charles Baudelaire

Avec des airs à la mode;

Car il y a similaires

Six mille airs

 

Or ! Débonnaires, dès bon air !

Se cherchent les paroles !

Qui roulent les airs !

Du moins sans bémol;

 

Car il y a similaires,

Six mille airs

 

Qui ont du caractère

En fins lettrées;

En jetant l'encre à terre

Erudite et raffinée,

 

Et il y a si similaires;

Ainsi six mille airs

 

En prenant l'air 

Dans une ballade, 

Qui reprend l'air

De rien ! Une balade !

Où Charles Baudelaire

Attend similaires;

 

D'autres poètes linéaires,

Qui cherchent leurs mots

Du fond d'leur imaginaire;

En espérant un escabeau

Pour respirer l'air 

D'en haut ! Six mille airs

 

Et dont l'embellie pulmonaire

Sera anachronique !

On l'espère ! Salutaire !

Car finies les maladies chroniques,

Et pour prendre un air populaire;

Il faut l'enchanter désenchanté,

Le reprendre prospère;

Et le réenchanter déchanté,

 

En rassemblant en grande première;

Toute La France diverse et variée,

Débonnaire; et dès bon air !

Avant que la France soit avariée;

En unissant sans frontières, 

La Terre entière si unie !

Le tout solidaire et plus solitaire !

En étant en très galante compagnie;

 

En sifflotant ainsi similaire,

Un si six mille airs.

 

Jérôme de Mars

 

Y a pas de lézard qui lézarde !

 

Face au soleil;

Le ciel surveille

Qui le regarde !

Et en restant sur ses gardes,

Les caméléons écoutent la voix du lézard !

On the radio avec égards !

Tactiles et reptiles;

Dont de leurs êtres agiles !

Y a de pas de lézard qui lézardent !

Dont ça les regarde !

Ces reptiles qui changent de peau

En caméléons, surtout s'ils sont mal dans leur peau !

Comme si c'était une peau de crocodile !

Sans larmes de crocodiles fragiles;

Et pour arrêter le chaos des trémolos,

Il suffit d'écouter la voix du lézard !

En portant un singulier regard !

Pour que ça ne reparte en queue de peloton !

Avec dans les virages des êtres caméléons;

Qui changent de couleurs !

A n'importe quel moment de leur humeur !

Or ! Y a pas de lézard qui lézarde !

Puisque ça les regarde !

S'ils ne veulent être mal dans leur peau ringarde !

Et quoique fassent ces reptiles tactiles 

Et habiles !

Il y en aura toujours qui les habillent

Pour l'hiver qui frétille !

En la voix du lézard !

On the radio très renard !

Et même si les reptiles caméléons et les lézards !

Restent avec égards !

Sur leurs gardes sans mégardes !

Et bien ça les regarde !

Puisque y a plus de lézard qui lézarde !

 

Jérôme de Mars

La tombola des mots 

 

1) Ligne de la main, 2) sacré numéro, 3) sortir du lot, 4) cadeau de la vie, 5) tirer son épingle du jeu, 6) grille, 7) loterie , 8) loto

 

Tirage de la tombola des mots :

 

En ayant les boules, je tire la boule 8, la boule 6, la boule 5, la boule 1, la boule 4, la boule 2, la boule 3 et la boule 7.

 

Grâce à ce loto dans un huit infini, je grille mes si cartouches; en tirant mes cinq épingles du jeu, en lisant une ligne de la main; en étant plié en quatre; en tant qu'un cadeau de la vie, dont je suis un phénomène de sacrés numéros; qui sort du lot étroit, dans cette loterie de la tombola des mots; dont je remporte la cagnotte.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

La mer médusée sur un océan pacifique

 

De par la muse des méduses;

Partout, quelques ruses fusent !

Avec pour poisson d'avril,

Un pêché à noyer sur le fil

D'épuisettes sans filet !

Qui lézardent affûtés;

La mer médusée sur un océan pacifique,

A se raconter que la vie, c'est magnifique !

A part les fois, où les méduses; 

Font que la mer provoque un véritable raz-de-marée !

Parmi les coraux de la mer sous-marine, qui édulcorent

Le fond sonore des profondeurs indolores;

Qui colorent la mer bariolée d'encre marine qui amuse

Les petits et les grands, de par leurs âmes poétiques

Et fluviales autour de la mer médusée sur un océan pacifique;

En se retrouvant la Manche sur l'océan Pacifique,

Assaillie de méduses et pieuvres avec des poulpes;

Qui prennent le pouls

De la mer médusée sur un océan pacifique,

En symbiose

Et en osmose;

Aux bords de la rive qui met comme musique,

De la musique en somme modique et symphonique;

Qui regarde et mouvants les sables puissants avec pour tessiture,

Un port de Plaisance en villégiature;

Qui annonce la nature authentique 

De la mer plus que médusée sur un océan pacifique.

 

Jérôme de Mars

La faune et la flore au milieu de l'eau

 

Eau qui coule de source en pléthore;

Même s'il faut se méfier de l'eau qui dort !

Par-delà le courant qui se jette d'en haut !

Il y a la faune et la flore au milieu de l'eau,

Qui regorge du lac des cygnes face au cagnard;

Quand dandine la danse des canards, 

Qui déguste des amandes honorables;

Dès que s'enorgueillissent des choses agréables !

Avec pour calmer les trémolos du lac, un eldorado;

Qui joue la fanfare du folklore qui jette des flaques d'eau !

En pataugeant vers le ruisseau qui va à vau l'eau ! 

Où il y a la faune et la flore au milieu de l'eau,

Qui joue du ukulélé; en même temps que du flamenco,

Qui danse avec les canards un dernier tango

A Paris; en fredonnant le dernier slow ! 

En en pinçant d'amour autour d'un xylophone accro

A la faune et la flore au milieu de l'eau,

Qui fait des ronds sur l'eau ! Embrassant; enlaçant 

Et s'entichant d'instruments à vent ! Susurrant

Un bon numéro, qu'il faut raccommoder !

Car accorder à portée en une note de portée;

Avec en apogée, l'effet domino qui raccorde en impro;

La faune et la flore au beau milieu de l'eau.

 

Jérôme de Mars

Le bien et le mal

 

En se donnant du mal;

C'est un mal pour un bien !

Dont le bien et le mal,

Quand le bien hait le mal !

Et que le bien est le mal !

En déclarant c'est bien !

C'est mâle !

Dont c'est un mâle pour un bien !

Quand le bien et le mal;

Est le bien est le mal !

Dont ce n'est pas mâle !

D'être bien et mal !

Et d'être pour le bien et le mal !

Quand le bien hait le mâle !

Et que c'est bien !

D'avoir pas mal de mâles,

Qui sont bien en nombre de biens;

Dont le bien et le mal,

Et ce qui hait bien !

Est mâle !

Quand ce qui est mal est bien !

Dont le bien est le mal !

En se donnnant du mâle;

Et dont bien c'est oh ! Bien !

Aux biens, O cons biens !

Un mal pour un bien !

Dont le mal du bien,

Et du bien du mâle;

Hait un mal pour un bien !

Dont le bien est le mâle !

En bien et en mal,

O con bien;

Le mal et le bien.

 

Jérôme de Mars

Le journal d'Anne Franche

 

En Région Parisienne plus précisément dans le Val de Marne dans la ville de Vitry sur Seine, une jeune fille de 12 ans du nom d'Anne Franche; qui est en classe de 5ème va au collège privé Epin sous contrat d'association avec L'Etat; c'est une élève studieuse, sérieuse et assidue mais elle est victime de rejet et de harcèlement scolaire par les autres élèves de sa classe; qui se moquent d'elle et l'appellent en des sobriquets injurieux, au seul motif qu'ils lui font des quolibets pour rigoler; et cela en raison aussi de ses origines sociales et ethniques, et de ses orientations sexuelles et politiques parce-qu'elle est différente des élèves de sa classe; qui la prennent pour une bouc-émissaire, mais sauf que pour Anne Franche, tout cela n'est pas drôle du tout, au contraire Anne Franche trouve tout cela triste, éprouvant et horrible; que ça la ridiculise au plus haut point que cette période de sa vie se déroule durant l'année scolaire 1992-1993; à l'heure où il n'y a pas encore l'avènement d'Internet ni des téléphones portables, c'est encore l'ère du Minitel, Anne Franche depuis naguère pour décompresser; note tout son ressenti de cette période cruelle qui l'a marquera à tout jamais dans un journal intime, tout en lisant chaque jour le journal Le Parisien lors de la pause récré à Epin, mais Anne Franche qui se fait harceler par des élèves; dont certains sont Allemands, collabore avec un surveillant d'Epin qui s'appelle Walid Boubelker; qui tout en surveillant les devoirs des élèves lors des devoirs faits à Epin qui a lieu chaque soir après les cours de 17h à 18h, la prend sous son aile après qu'Anne Franche eut été le voir pour lui confier ses déboires; Walid qui a le souci de la justice, décide de défendre Anne Franche en allant voir la Police; qui heureusement coopère avec Walid et surtout Anne Franche, la victime de tous ces élèves immatures qui en font voir de toutes les couleurs à Anne Franche, certes qui a la nationalité Française mais qui est d'origine Antillaise; et dont l'un de ses ancêtres du côté de sa mère était d'origine Juive, mais comme le dit souvent l'expression tout vient à point à qui sait attendre, mais dont essentiellement tout est bien qui finit bien une fois que la police arrêta les élèves responsables du harcèlement scolaire d'Anne Franche, sitôt qu'Anne Franche au moment de l'interpellation de tous ces élèves qui lui rendirent la vie impossible du fait de leur harcèlement scolaire; leur balança au nom de tout ce collectif d'élèves haineux et malfaisants : - " Enfin; j'ai ta peau à vous tous, vous ces personnes ignobles et immondes qui me pourrirent la vie à Epin; telle une épine dans le pied ! " Et le tout grâce à la collaboration de Walid Boubelker; qui fit une fois n'est point coutume ! Qu'Anne Franche ne fut un pion sur l'échiquier comme les autres du nom du journal d'Anne Franche, dont elle en tira un livre et un film de tout son vécu depuis naguère le journal d'Anne Franche.

 

Jérôme de Mars 

Robinet à poème

 

 

 

 

 

                                                            19)  C  20) Grand robinet 22) Fle     

                                                                   e                                          X 23)

                                                             15) B  eD16) 21) A poème,        i

                                                                   a     F 17)             24)Eaux  b

                                                                    i     o                  25) Bains  l

                                                                   n     u              26) Douche. e

                                                                   u     l

                                                                   n     e;

                                                           14)  D      D 18)

                                                                   a      a

                                                                   n      n

                                                                   s      s   

                                                            11) Et     L 12)

                                                            10) C      e

                                                                  h      

                                                                  a      F  13)

                              2) D  3) C'est  L  4)      u      r     7) Fond, tréfonds F 6)

                                  o                 a           d     o      8) Da                   o

                                  n             dou     9)  L       i          n s                   n 

                                  t              che          e      d, 5) Froide ! A siphon d;

   1) En remontant à la source; ça coule de source en débouchés inflexibles !

 

 

 

 

 

 

Jérôme de Mars

Fumez pour la paix le calumet de la paix !

 

Bouffée d'oxygène;

Vous êtes sans-gêne !

Mais sans gènes indigènes !

Et en file Indienne !

Vous êtes comme Géronimo !

En des prises de becs dans l'eau,

Et pour éviter que ça tourne

Dans un méli-mélo, faites-en une ristourne !

En fumant du shit; ici Juin !

Du bédo ! Loin enclin

Pour fumer et en fumer la paix !

Et pour l'occasion, fumez pour la paix

Le calumet de la paix !

Et même si depuis que vous êtes nés !

Vous en avez trop dégusté

Dans la vie ! Essayez de dénicher

Votre bouffée à volonté d'oxygène ! 

Avec quelque chose qui ne soit anxiogène !

Mais qui vous réoxygène;

En sirotant par exemple un Monaco,

Même que vous soyez

Dans la file Indienne

De Géronimo;

Pour fumer et en fumer avec sérénité,

Lorsque vous fumez pour la paix

Le calumet de la paix !

Et le tout dans la fraternité

Et la réciprocité !

A en bouffer de la jovialité

Et de la bonté avec beauté;

Le tout pour inhaler

Des bouffées de Havane

A La Havane, où se pavane

Tout le monde dans une marche 

Face à l'adversité ! Qui érige l'Arche

De Noë entre hippies;

Qui chantent youpi ! 

Dans un hymne à la paix,

Qui forme la communion pour vivre

L'union libre

Qui vibre !

A fumer et à en fumer branchés;

Qui vous enivre

Paisibles, vous; en paix et apaisés !

Afin que le tout soit 

Dans la joie, avec des filles de joie;

Et avec simplicité et humilité,

Venez inhaler en bouffées d'oxygène;

Des taffes de bouffées d'oxygène !

Le tout dans un buffet à volonté,

Sans gène et sans-gêne 

Dans un Havre de paix;

Indigène et aborigène

Avec Géronimo,

Qui viendra en file Indienne;

Fumer 

Et en fumer 

Avec vous le bédo

Au mois de Juin, ici joint !

Pour oublier ses peines diluviennes;

Loin et enclin

Au nirvana,

Tout en écoutant le groupe Oh ! Nirvana !

Et revenez spleen, avec blues et mélancolie;

Fumer et en fumer jusqu'au bout de la nuit,

Votre ultime bouffée de taffe;

Après que vous avez été bouffés par votre taf !

Avec en épitaphe,

Fumez pour la paix tout le calumet de la paix !

 

Jérôme de Mars

                                               Blague :

 

 

Que veut-dire PPDA depuis que des femmes l'accusent de viol ?

 -  Profonde Pénétration Délicieusement Agréable

 

 

                                        Jérôme de Mars

Dans la veine de ce que je fais !

 

Ecriture de mes camouflets;

Tout en me faisant du sang d'encre !

J'me ronge les sangs qu'ancrent

Mes veines, que je veux tailler

Et entailler

Dans la veine de ce que je fais !

Alors qu'il suffirait que je sirote

Une tasse de thé pour que j'note

Acidulée; que c'est ma tasse de thé !

En buvant de la verveine,

Ou en buvant des vers de paroles vaines; 

Ou bien sereines et saines

Dans la veine de que je fais !

Alors qu'il suffirait juste

Que j'me taille

Et que j'm'entaille

Les veines robustes !

Qui coulent vaines

Et souveraines 

En mon sang périmé !

Dans la veine de ce que je fais !

En ce je d'écriture de mes camouflets,

Puisque par conséquent, je m'fais

Du sang d'encre !

En m'rongeant les sangs qu'ancrent

Mes vieux côtés d'ancien cancre;

Ou en jetant l'ancre

Dans la veine de ce que je fais !

Je surfais et je refais !

Sans compte de fais,

Des poèmes pas contrefaits !

Mais défaits de par ma mine décomposée

Dans la veine de ce que je fais !

Et dont pour que mon sang coule;

De façon cool à la baba cool !

OTAN que je n'me taille 

Et n'm'entaille

Les veines vaines !

Mais que je sirote une verveine !

Sans que j'me fasse du sang d'encre !

En me rongeant les sangs qu'ancre

Mon je d'écriture qui jette l'encre !

Telle est l'écriture de mes camouflets,

Malgré que j'ai des veines vaines

Et souveraines;

Largement dans la veine de ce que j'ai trop fait !

 

Jérôme de Mars

Dialogues croisés de tous ceux qui portent leur croix !

 

 

Jérôme B a du vague à l'âme, il essaie d'appeler âme qui vaille, qui veuille bien l'écouter mais il ne trouve personne au portillon !

 

 

1) Jérôme B essaie d'appeler Philippe Bourget à 06h30 du matin  :

 

          Le téléphone sonne : 

 

Jérôme B : " - Bonsoir, allo Philippe ? Comment vas-tu ? "

 

Philippe Bourget :  "  - Pourquoi m'appelles à 06h30 du matin, je dors aux aurores, je préfère que tu m'appelles le soir car là, je dors dans mon salon du Bourget et maintenant, je vais mettre mon portable en mode avion pour ne plus être dérangé !  "

 

 

2) Jérôme B essaie d'appeler Brigitte Yvelin à 9h du matin :

 

       Le téléphone sonne :

 

Jérôme B : "  -  Bonjour, Brigitte, comment vas-tu ? "

 

Brigitte Yvelin : " - Bonjour pourquoi m'appelles-tu ? Quoi de neuf encore ?

 

Jérôme B : "  -  Tu viens de le dire Brigitte, rien de neuf, il est neuf heures !  "

 

 

 

3) Jérôme B essaie d'appeler Alexandre Strub à 10h du matin :

 

     Le téléphone sonne :

 

Jérôme B : "  - Bonjour Alexandre, comment vas-tu ? "

 

Alexandre Strub : "  -  Désolé Jérôme, je n'ai pas le temps de te parler car comme il est 10 heures du matin, j'écoute ma musique depuis mon ordinateur depuis Deezer !  "

  

 

4) Jérôme B essaie d'appeler Catherine Bels-Pautrat à 12h :

 

       Le téléphone sonne :

 

Jérôme B : " - Bonjour Catherine, comment vas-tu ?  "

 

Catherine Bels Pautrat : " -  Jérôme, quel est le mobile de ton appel depuis tout ce temps ?  " 

 

Jérôme B : " - Le seul mobile, c'est que si je ne t'ai pas appelé depuis 2014, c'est parce-que tu es tellement mobile, et que tu n'as jamais le temps pour me parler !  Tellement que tu es exportable dans le monde entier !  "

 

5) Jérôme B essaie d'appeler Edwin Joseph à 13h :

 

        Le téléphone sonne :

 

Jérôme B : " - Bonjour Edwin, comment vas-tu ? "

 

Edwin Joseph : " - Je ne veux plus que tu m'appelles, t'es trop négatif !  "

 

Jérôme B : " - Edwin ! Y a plus photo de ce que tu me dis ! Or ! Y a plus de négatif car comme j'ai eu le Covid en novembre 2020, ça m'a rendu positif !  "

 

6)  Jérôme B essaie d'appeler le docteur Penot à 14h :

 

        Le téléphone sonne :

 

Jérôme B : " -  Bonjour docteur Penot, comment allez-vous ?  Je ne peux pas vous laisser de message comme vous ne m'avez pas répondu car je suis tout penaud quand je vous appelle !  "

 

7) Jérôme B essaie d'appeler Guillaume Leprette à 15h :

 

        Le téléphone sonne :

 

Jérôme B : " -  Bonjour lascar, comment vas-tu ?  "

 

Guillaume : " -  Même que t'es à fleur de pot ! Pas de pot, je suis occupé ! "

 

 

8) Jérôme B essaie d'appeler Adel Azah à 16h :

 

      Le téléphone sonne :

 

Jérôme B : " -  Bonjour Adel, comment vas-tu ?

 

Adel Azak : " -  Je suis occupé Jérôme, je fais L'Aïd-El-Kébir, la fête du Mouton et du sacrifice, à tel point que tu as fait le sacrifice de m'appeler Jérôme ! Tu te fais prier pour qu'on t'appelle ou pour nous appeler !  "

 

Jérôme B : " -  Je n'osais plus de t'appeler de peur de te rendre chèvre avec ta fête de L'Aïd-El-Kébir !  "

 

9) Jérôme B essaie d'appeler Jacqueline Bedrossian, sa belle-tante à 18h : 

 

       Le téléphone sonne :

 

Jérôme B : " -  Bonsoir Jacqueline, comment vas-tu ?  "

 

Jacqueline Bedrossian : "  -  Je ne veux plus te parler, tu te démerdes !  Compte sur toi, ne compte pas sur les autres !  "

 

Jérôme B : " -  Tout compte fait Jacquoshi,si tu n'arrêtes pas de me dire de compter sur moi, c'est qu'au bout du compte, tu ne m'as jamais calculé !  "

 

10) Jérôme B appelle Michel Tonnneau à 19h :

 

      Le téléphone sonne : 

 

Jérôme B :  " -  Bonsoir Michel, comment vas-tu ?  "

 

Michel Tonneau :  " - Désolé, je n'ai pas le temps de te parler car Saïda m'appelle pour aller manger, et tu vois Jérôme avec tout ce que j'ai dégusté depuis que je suis né, j'ai intérêt d'arriver à l'heure à table pour manger et j'ai intérêt d'être dans mon assiette !  " 

 

 

11) Jérôme B appelle son père Michel Bedrossian à 20h :

 

      Le téléphone sonne :

 

Jérôme B :  "  -  Bonsoir papa, comment vas-tu ?  "

 

Michel Bedrossian : " - Jérôme comme je t'ai dit en piqûre de rappel, je ne peux pas te parler, j'ai le Covid, je dois me reposer !  "

 

 

12) Jérôme B appelle Serge Kurts à 21h :

 

      Le téléphone sonne :

 

Jérôme B : " -  Bonsoir Serge, comme tu n'as pas décroché, je te laisse le message suivant, j'ai tellement le mal de mère que je navigue en eaux troubles comme tout le monde me mène en bateau déjà que ma vie n'a jamais été un long fleuve tranquille ! La vie me soûle trop ! "

 

Serge Kurts, touché par le message bouleversant de Jérôme lui répond :

 

Serge Kurts : " -  Mon cher moussaillon sans que je te mousse, écris les revers de ta mère en envoyant une bouteille à ta mère en jetant l'encre, mon capitaine ! "

 

Jérôme B : " -  Merci mon p'tit Serge de tes précieux conseils qui riment à quelque

chose pour tenter de remédier à mon mal de vivre, ivre de poète maudit, cabossé par la vie qui m'arrime au cordon ombilical de ma mère ! "

 

 

13) Jérôme a trouvé l'ultime ami en appelant Farid Hamza à 22h, qui répond toujours présent à ses appels de détresse, comme Jérôme B a également toujours été présent aux appels de détresse de Farid Hamza :

 

   Le téléphone n'a pas besoin de sonner comme Farid Hamza est souvent les yeux rivés sur son téléphone portable attendant que Jérôme B l'appelle :

 

Jérôme B : " -  Bonsoir Farid, j'espère que je ne te dérange pas en t'appelant ? "

 

Farid Hamza : " -  Mais non, ça m'arrange que tu m'appelles, car tu vois, j'arrête pas de jeter mon argent par les fenêtres ! "

 

Jérôme B :  "  Comble de l'ironie, veux-tu qu'on se jette tous les deux par la fenêtre ?  "

 

Soudainement une visite impromptue d'un ami Rafaël Gomez qui arrive chez Jérôme B :

 

Rafaël Gomez : " - Non Jérôme, ne te suicide pas avec Farid en te jetant par la fenêtre avec  lui, faites le plutôt chacun tout seul chez vous car un suicide, c'est un acte personnel !  "

 

Voici la chute de l'histoire :

 

Jérôme B : " - Non Farid, toi et moi, ne nous jetons plus par la fenêtre, comptons plutôt l'un sur l'autre en nous tenant dorénavant à carreaux par la fenêtre sans nous y jeter moi et toi, Farid ! "

 

Rafaël Gomez : " - Ca me touche vraiment vos paroles à tous les deux que je vais nettoyer les carreaux de mes lunettes pour ne pas pleurer ! "

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                                        L'envers

 

 

                                   Lettre d'une poésie de ce monde à l'envers en vers; vers

                                   '                                             

                                   Elégamment et désespérément vers l'envers, envers de

 

                                   Nouveaux vers lents; en verlan à l'envers d'un poète rebelle

 

 

                                  Vers sa poésie désabusée en un stricte art qui taraude l'ode

                                

 

                                  Erudite avec quelques vers en redites dans l'envers du décor,

 

                             

                                  Rigoureux et précieux; de l'an droit à l'an vers, vers l'envers

 

                             

                                  Sourcilleux d'encrer vers la saga citée; à l'envers de l'envers.

 

 

                                                 Jérôme de Mars

                                 

Si on coloriait la vie pour qu'elle reprenne des couleurs !

 

Hauts ! Les cœurs ! Oh ! Les cœurs !

Si on coloriait la vie pour qu'elle reprenne des couleurs !

Afin qu'elle envoie la couleur, qu'elle en voit la couleur !

En barbouillant le ciel de tourterelles;

Où une fois qu'il ferait sa vidange !

Il y aurait un mélange d'une ribambelle d'anges,

Avec des aquarelles et des ritournelles

Dans le ciel; en plus d'un arc en ciel !

Qui permettrait au ciel d'avoir plusieurs cordes

A son arc, pour que le tout concorde !

En revenant à l'essentiel de la vie universelle !

Et pour en voir la couleur

Du ciel essentiel !

Si on coloriait la vie pour qu'elle reprenne des couleurs !

Avec des feutres feutrés et de la ferveur;

Auréolés du soleil à son zénith qui édite !

Hein piaf, qui lévite et gravite

Autour des tourterelles dans un concert de louanges !

Qui arrange les désaccords; en faisant l'archange

Du ciel qui procure du bonheur !

A tous les oiseaux qui résistent en vigueur !

Dans un pluriel singulier,

Voire plus et affinités !

Si on coloriait la vie pour qu'elle reprenne des couleurs !

Et qu'elle envoie la couleur, qu'elle en voit la couleur !

Avec et paon ! L'oiseau de toutes les couleurs;

Qui impulserait une embellie libertaire !

En un mouvement fédérateur,

Réanimateur, réconciliateur et enjoliveur;

Avec un ciel songeur et pacificateur !

Qui susurrerait en élément moteur,

Et si on coloriait la vie sans frontières

Pour qu'elle reprenne de très vives couleurs !

 

Jérôme de Mars

 

Une abeille femelle qui pompe le dard de son mâle !

 

Dare-dare motus !

Motus et bouche-cousue !

Voici une abeille femelle qui pompe le dard de son mâle !

Dont le mal est fée que le mâle pénètre dans la fente

Du vagin; pour y faire couler son vinaigre, en faisant

Trempette pour y faire monter la mayonnaise !

Afin que la mayonnaise prenne

En une purée qui tente les extrêmes !

A une abeille femelle qui pompe le dard de son mâle !

De sorte qu'elle s'en branle de son mal qu'elle branle !

Dont luit, son mâle; ça l'ébranle ! A moins qu'elle adhère

Au DARD de Patrick Sébastien, dans un plan à trois

En une triple pénétration vaginale

Ou anale dans les voix poilues

Et velues; de manière à rentrer et à rester dans les anales,

Afin que l'abeille mâle ait du cul avec l'abeille femelle

Dans le but qu'une abeille femelle pompe le dard de son mâle !

Car même si la femelle est le miel de son mal, son mâle 

Attend que sa femelle lui fasse passer une lune de miel;

Pour que le mâle la prenne par devant et par derrière,

Car même si ce couple part en sucettes; et bien pourvu

Qu'au nom d'une pipe ! Même si les dés sont pipés !

Que l'abeille femelle fasse une pipe au calumet de la paix

De son mâle, pour que ce couple puisse enfin lors de leur

Lune de miel; écouter la musique sur 

Les enceintes de l'abeille femelle !

Autour d'une chanson de Patrick Sébastien : " Une p'tite pipe

Hourra ! " Tout le monde peut cracher sa purée car

Après une pipe !

Tout le monde au lit ! Après que l'abeille femelle eut arrêté

De prendre la pilule pour bien se dorer la pilule ! Après

Que le mâle lui a bien fait avaler la pilule, pour qu'elle ovule

Aux enceintes avant de perdre les eaux; et d'accoucher

Après avoir couché avec son abeille mâle, avec en gestation

Un texte écrit lors d'un orgasme de volupté; pour jouir de plaisir

En un nouveau-né, dans un vol au-dessus d'un déni 

De coucous; coucou, j'ai pondu un œuf; et cet œuf, c'est 

L'abeille femelle qui l'a pondu; après qu'il y ait eu 

L'abeille femelle qui pompa le dard de son mâle, dont le

Mal fut d'adhérer au DARD de Patrick Sébastien; dare-dare

Motus ! J'en peux plus de me retenir,

Car ce n'est pas un viol en réunion !

Mais un vol en réunion pour voler plus haut; afin de voler

Vers le haut, malgré qu'il y ait des ébats; grâce à une abeille

Femelle qui pompa plus que de raison et avec excès,

Le dard de son mâle !

 

Jérôme de Mars

 

J'ai perdu l'oraison !

 

Etat des lieux !

De mon état odieux !

Bonjour, les dégâts !

De mon état de trépas !

Dont c'est une raison

D'état, des tas !

Qui fait mon gars !

Que j'ai perdu l'oraison !

Et la raison ! 

A force que je n'ai la raison !

Et que je nais la raison !

Même si c'est l'oraison !

Qui fait que je n'ai l'oraison !

Et que je nais l'oraison !

Même s'il y a une raison !

Pourquoi j'ai perdu l'oraison !

Et la raison !

Surtout raison de plus !

Et oraison de plus !

Que j'ai perdu l'oraison !

Et que j'ai perdu la raison !

Avant que je sois mort d'oraison funèbre;

Bourré de remords de raisons,

Des raisons; déraisons des ténèbres,

Qui est la raison 

Et l'oraison !

Pour laquelle depuis l'âge d'oraison;

Me semble-t-il ! J'ai éperdu plus que de raison !

Comme depuis l'âge de raison !

J'ai perdu l'oraison !

Bien plus que de raison et d'oraison !

 

Jérôme de Mars

Jérôme caillera, Géronimo kaïra !

 

De mes symptômes;

Comme le disait Jérôme !

Quand je suis Jérôme,

Je sens l'arôme !

Et quand je suis Géronimo,

Je suis dans le chaos !

Avec le syndrome 

Qui va vers le caniveau;

Parce-que Jérôme caillera,

Géronimo kaïra !

De l'entaille

A la racaille;

De la chaleur du froid 

Au désarroi,

Qui fait que j'ai le génome

Humain et hautain

Aux atomes crochus;

Entre une vie farfelue

Et une vie dissolue,

Parce-que Jérôme caillera;

Géronimo kaïra !

Côté clair-obscur !

Mûr ou qui va droit

Dans le mur !

Où parfois je suis net 

Sur à Terre nette !

Et où parfois,

Je suis pas net sur internet 

Dans ma tête !

Du fruit mûre de mes provocations;

Qui appellent à l'aliénation,

A l'insurrection;

Et à la haine

En une fin du monde qui gangrène !

Parce-que Jérôme caillera,

Géronimo kaïra !

En fumant le calumet de la paix;

Et enfumant avec toupet !

Le prix de la paix pour griller 

Sa vie, cigarettes sûres cigarettes

Epris de saynètes pas toujours chouettes !

Telle une chouette en un oiseau aux ailes brisées;

Par la brise du vent ébranlé et effondré

Aux ecchymoses de mes camouflets endurés

Par des cons et des connards !

Que j'emmerde en mon côté renard !

Parce-que Jérôme caillera,

Géronimo kaïra !

Où tout fout le camp !

Quand tout le monde prend la clé des champs !

Et en déclin pourvu qu'en France; ce soit la fin du monde !

Que j'abonde et que j'inonde à la sonde !

Comme Philippe Bourget le matin !

Qui me dit qu'il préfère que je l'appelle le soir  !

Où il est enclin !

A recevoir mes paroles de bruits de couloir,

Comme Philippe Bourget chaque matin; met 

Son portable immobile en mode avion

Dans son salon du Bourget,

Et dont résultat de la file indienne !

Après tant d'années ah ! Mères Indiennes diluviennes !

Où frontale;

C'est la totale !

De la chaleur du froid

Au désarroi !

Parce-que vachement; Jérôme caillera,

Géronimo kaïra !

 

Jérôme de Mars

Reçu cinq sur cinq

 

Au temps des matins;

Quand j'regardais

Récré à deux hein !

J'allumais en jouet,

Enjoué d'l'entrain !

 

Le club des cinq;

Reçu cinq sur cinq !

Qui m'requinque !

 

A minuit moins sain,

Dès que j'trinque !

Faisant un dessin

A mes nuits moins cinq;

Qui font un dessein !

 

Le club des cinq,

Reçu cinq sur cinq !

Qui m'requinque !

 

Inouï moins que rien !

Je zappais récré

A deux; boute-en-train !

Très sucré salé !

Après le matin,

 

Le club des cinq;

Reçu cinq sur cinq !

Qui m'requinque !

 

Ecrivant avec

La craie de récré

A deux, des mots secs

Qui appuient après

Sur replay en becs !

 

Le club des cinq,

Reçu cinq sur cinq !

Qui m'requinque !

 

Décrivant avant;

Quand j'me planquais !

Ainsi va le temps !

Où je contemplais,

Nostalgie d'antan !

 

Le club des cinq;

Reçu cinq sur cinq !

Qui m'requinque !

 

Pendant le temps tant !

Que j'me souviens

Que le temps détend !

Malgré ce qui vient

A l'instant des temps,

 

Le club des cinq;

Reçu cinq sur cinq !

Qui m'requinque !

 

Quand s'en va et vient !

Le besoin, l'envie

En des va-et-vient !

Car aussi la vie !

Après le besoin;

 

Le club des cinq,

Reçu cinq sur cinq !

Qui m'requinque !

 

Quand revient devins;

Les jours aussitôt !

Meilleurs et enclins

A s'lever tôt !

Zappant l'béguin !

 

Le club des cinq,

Reçus cinq sûr cinq !

Qui m'requinquent !

 

Jérôme de Mars

 

 

La machine à enchanter les paroles

 

Groupe de musique, c'est la farandole !

Car à Ok, il faut chanter et enchanter

Ce monde désenchanté dans un karaoké;

Avec la machine à démonter les temps !

Et à remonter en pièce montée au firmament

De la machine à enchanter les paroles,

Et à déchanter les paroles sans bémol !

Que de plus en plus de gens diffusent

Comme dans ce monde, y a plus rien qui amuse !

Malgré qu'il y a la cornemuse avec des muses;

Qui amusent la galerie dans un thé dansant !

Où ça lui semble sa tasse de thé infuse !

A la machine à enchanter les paroles !

Car à Ok, il y a le karaoké dès la farandole;

Qui a pour franc-parler des paroles sans bémol,

Avec en pièce rapportée; une emportée de note

Mineure sur des musiques majeures, qui trottent

L'air de rien ! Dans la tête des gens allongés

Sur leur sol; do ré mi fa sol, dont c'est du labeur allégé

De la machine à enchanter les paroles !

Pour déchanter ceux qui ne tiennent paroles !

Avec en bémol, une tête en l'air de rien ! Qui déboussole !

Car à OK, il y a Ok chorale qui fait chanter,

Et en chanter le karaoké enjoué et endiablé;

Avec noté vingt sûr vingt en une note de divin !

Car à Ok, il n'y a jamais de vain sur vain avec aucun devin !

Pour déchanter le karaoké sans bémol

De la machine à réenchanter les paroles.

 

Jérôme de Mars

Guillaume à peau linéaire

 

Comme un roman-fleuve;

Qui abreuve

D'une poésie désabusée,

Tel Guillaume Apollinaire;

Luit Guillaume à peau linéaire !

N'est à fleur de peau bipolaire !

Mais semble untel qui n'a abusé

D'excès; lui qui cultive son jardin secret

Dans un Mausolée secret bien gardé,

Arrosé et irrigué 

En buvant un rosée à rosée;

Contrairement à Guillaume Apollinaire

Qui buvait de l'absinthe,

Alors que Guillaume à peau linéaire;

Parle l'eldorado

En écoutant les mots

De ses enceintes,

Lui Guillaume à peau linéaire;

Qui luit Guillaume Apollinaire

De ses travers,

En ayant de travers

Son regard de travers;

En travers de la gorge du ver dont,

Comme au bout de leur itinéraire;

Guillaume Apollinaire fut un poète maudit,

Alors que Guillaume à peau linéaire;

Est un pote fleuri,

Qui naît débonnaire et n'est bipolaire !

Mais qui a beaucoup d'éthique;

Qui font tic qui astiquent

En un ménage de printemps,

Assorti de l'amour des temps;

Tandis que Guillaume Apollinaire,

Fut différent !

Alors que Guillaume à peau linéaire;

Hait indifférent !

Détend, d'étang;

Même si pour Guillaume Apollinaire,

La vie ne fut un long fleuve tranquille !

Qui emporté par le courant,

Fait que Guillaume à peau linéaire;

A une vie de jonquilles,

Qui est en portée concourant

D'un tumulte tous azimuts 

Jusqu'à l'âge adulte qui mute;

Qui naît désabusé !

Guillaume Apollinaire

A qui n'est désabusé !

Guillaume à peau linéaire.

 

Jérôme de Mars

 

Aile, une tourterelle qui prend son envol, malgré qu'elle a une chienne de vie; qui sort les griffes !

 

Y a le printemps, saison des amours !

Qui vole de ses propres ailes

Durant chaque jour;

Avec comme une hirondelle,

Aile; une tourterelle

Qui prend son envol;

Malgré qu'elle a une chienne de vie,

Qui sort les griffes chaque nuit

Lors des douze coups de Minuit !

Et qui aux aboies, chante les paroles

De la vie et ses contrastes ni oui ni non !

Dont de la vie; on connaît si bien la chanson !

Lorsqu'arrive le grand soir

Entre larrons en foire et profond désespoir,

Comme si le printemps jouait une pièce de théâtre !

D'une chatte sur un toit brûlant

Avec grandiloquence; en essuyant les plâtres !

Quand dans le brasier

De l'appel de la forêt !

S'embrasent des feux de camp !

Empêchant l'hirondelle,

De parler loquace et bavarde;

Comme une pie hagarde qui lézarde

Aile, une tourterelle qui prend son envol;

Malgré qu'elle a une chienne de vie,

Qui sort les griffes; qui dévient

De ses paroles en bémol !

Et dont in fine, l'hirondelle et la tourterelle;

Font du zèle et des ailes !

Avec la libellule qui pullule

Celle, qui se dore la pilule !

En lui faisant bien avaler la pilule

De ses ovules

Au crépuscule qui la dore, l'adore

Jusqu'aux aurores;

Qui redorent son blason qui regorge,

Rengorge et dégorge ses gorges

Du Verdon; et dont ces oiseaux aux ailes brisées !

Brisées de par la brise de la vie en sa royauté

De sa majesté !

Projettent de refléter dans leur miroir !

Toute leur liesse,

Symptomatique de leurs des tresses;

En leur vie très tirée par les cheveux !

De par leurs cheveux ténébreux, nébuleux et brumeux !

Et dont pompeux; le fin mot de l'histoire !

C'est un abreuvoir de tendresse,

Et le tout sans bémol; rien que pour elles !

Envers aile, une tourterelle qui prend feu

En son ultime envol;

Malgré qu'elle a une chienne de vie

Aux aboies, qui sort ses dernières griffes avant la nuit !

Tentée par ses démons de Minuit !

 

Jérôme de Mars

 

                                              Blague :

 

 

Que fais-tu Maurice s'il y a un chat qui se faufile dans ton magasin ?

 - Tu sors les griffes de mode !

 

 

                                       Jérôme de Mars

Le calendrier d'un poète maudit

 

Surannée, sur année à chaque nouvelle année après que tout le monde souhaite une bonne année à Jérôme de Mars; voici le calendrier d'un poète maudit qui trinque à la santé de tout le monde sitôt que tout le monde lui a fait trinquer de sa santé, en sentant le sapin d'une bonne fin damnée; et dont pour commencer, voilà un bon début damné vers l'an calendrier d'un poète maudit en janvier, qui fête la défaite de son désarroi en sévères de flûte; en buvant du champagne qui lui fait sortir de sa bulle en pétillant, et en prenant de la bouteille vers février en ces maux d'hiver; qui l'emmènent vers le moi de Mars, tel Jérôme de Mars envers le calendrier d'un poète maudit qui pèche en un poison d'avril; or ! En avril, ne te découvre d'un fil ! En perdant le fil; en offrant du muguet au moi de Mai, mais Jérôme; fais ce qu'il te plaît ! En fumant un joint ! Ci-joint au mois de juin ! Pour fumer le calumet de la paix vers juillet, en envoyant une bouteille à la mère avec du vague à l'âme; dont c'est du gâteau ! Lors de chaque mois d'août, même que Jérôme de Mars a un burn août dès son anniversaire le 24 août; avant de rentrer vers septembre, écrire ses poèmes sur des feuilles d'automne; en regardant à la télé : " A la poursuite d'octobre Rouge ", dont le calendrier de ce poète maudit; ce n'est plus du cinéma avant novembre ! Dont en armistice à cause des chrysanthèmes de toute sa famille du côté de sa mère, où d'aucuns ne furent tous sains ! Et Jérôme de Mars après avoir été tant maltraité dans son passé; en n'ayant jamais eu la paix intérieure, signe en faim un traité de paix naguère vers le mois de décembre pour passer une bonne fin d'année; et pour débuter ensuite une nouvelle bonne année, le tout en paix au bout du calendrier d'un poète maudit.

 

Jérôme de Mars

Plus de temps perdu !

 

A la seconde;

Les minutes vont

Passer qu'on sonde

Vite qui font font !

 

Plus de temps perdu !

 

A la minute 

Que même idem !

Le temps bizute

En rien n's'aime !

 

Plus de temps perdu !

 

A la bonne heure !

Le temps surpasse,

Quand y a du bonheur !

Que tout trépasse !

 

Plus de temps perdu !

 

Pourvu qu'en haut du ciel 

Avant l'absolu !

Qu'il y ait l'essentiel

Du temps suspendu;

 

Plus de temps perdu !

 

On n'a plus d'temps

A perdre sitôt !

Dont y a ainsi tant !

Longtemps aussitôt !

 

Plus de temps perdu !

 

Pourvu qu'on s'aime

En vie résolue !

Pourvu qu'on sème

Une paix éperdue !

 

Plus de temps perdu !

 

Erigeant ainsi,

Le temps répandu !

Dans l'amour ébloui

D'état absolu !

 

Plus de temps perdu !

 

En gagnant du temps;

Pour que l'utile

Progressivement,

N'soit futile !

 

Plus de temps perdu !

 

Cap vers l'essentiel

D'une jolie vie !

Le tout au pluriel;

Amis, famille !

 

Plus de temps perdu !

 

Au temps d'une journée !

Sans remords vivants,

Autant d'un jour né !

Et des morts-vivants;

 

Plus de temps perdu !

 

Durant chaque mois,

Que passe le temps !

Car tous mes émois;

Repassent longtemps !

 

Plus de temps perdu !

 

Sûr année, il n'est !

Perdu éperdu !

Surannée; il naît !

Presque absolu !

 

Plus de temps perdu !

 

Jérôme de Mars

Embellie pulmonaire

 

En roulant des airs;

Je respire la vie 

Dans un grand bol air, 

Avant la nuit inouïe...

 

Embellie pulmonaire

 

Dont j'm'époumone

En respirant l'air;

L'air que je chantonne

Gonflant débonnaire,

 

Embellie pulmonaire

 

Qui arrive fortuit;

Dont j'cavale l'air !

Avant qu'arrive minuit

Que j'respire en mer,

 

Embellie pulmonaire

 

Quand le mélo dit !

Je m'envoie en l'air

Dans une mélodie;

Qui reprend des airs !

 

Embellie pulmonaire

 

J'fume la vie

Dans ma colère,

Que j'en ris aussi

En un inventaire;

 

Embellie pulmonaire

 

Je souris ainsi

Dans une nouvelle ère,

De façon réussie

Que j'm'aère sur Terre !

 

Embellie pulmonaire

 

En riant entre amis;

Façon incendiaire

Que c'est d'famille !

Entre congénères

 

Embellie pulmonaire

 

Que ca fait du bien !

D'en être volontaire,

Que j'en crée du lien

Sur Terre salutaire;

 

Embellie pulmonaire

 

J'crée en humain

D'l'humanitaire !

Que j'ai des copains

Sans imaginaire,

 

Embellie pulmonaire

 

J'attends le moment

Volontaire sur Terre !

De l'instant présent

En un inventaire;

 

Embellie pulmonaire

 

Dont j'espère merci !

La vie volontaire,

Avec ainsi jolie

Une vie linéaire;

 

Embellie pulmonaire

 

J'respire fini 

La paix similaire !

Dans d'l'infini

Ainsi six mille airs.

 

Embellie pulmonaire

 

Jérôme de Mars

 

 

En mode avion

 

En vol livre comme un oiseau aux ailes brisées, je mets mon téléphone portable en mode avion; comme si je prenais l'avion avec elles, les ailes qui mettent la brise et au vent; si bien que je tourne le pilote d'une émission inédite avec mon téléphone portable dans une nouvelle aire, puisque je m'apprête en chemin à me rendre au Salon du Bourget retrouver mon ami Philippe Bourget; qui met son mobile en mode avion, quand il se rend au Maroc retrouver Saïd pour ses vacances; car même si mon portable n'est pas à la mode avion, je le mets souvent en mode avion lorsque je vais voir au cinéma le film : " Maman; j'ai raté l'avion ! " A moins que pour ne plus rater l'avion; je sois hébergé dans un avion par une hôtesse de l'air avec qui je m'envoie en l'air libre dans l'avion, sans oublier de mettre mon portable en mode avion; dont c'est la mode avion ! Et sitôt que je prends l'avion, je m'envole; je survole et je vole en mode avion, tout en m'assurant d'avoir des bagages dans la vie; pour ne pas me brûler les ailes attire d'ailes, afin que je n'envoie point une valise de détresse en battant de l'aile en mode avion; pour ne pas que quelqu'un me prenne sous sons aile, de sorte que je continue à prendre l'air; avec par conséquent la suite de la mode avion, si jamais j'adopte comme mode de vie dans l'avion; un téléphone portable en mode avion, de manière que je puisse voler de mes propres ailes et à tire d'aile vers de nouveaux horizons en prenant mon envol; destination un atterrissage jusqu'au bout de mes rêves, d'où je planerai pour des vacances à l'année lors d'escales en avion; aussitôt que l'avion se posera à l'infini en mode avion.

 

Jérôme de Mars

Le musée des poètes

 

Au Caveau d'la république,

Comme un chansonnier !

Je m'en bats en rappel avant de reposer

Au caveau public

Vers le musée des poètes

D'Arthur Rimbaud ;qui m'mène

En bateau ivre, d'où je m'enivre

En lisant Alphonse de Lamartine,

Où quand un seul être vous manque;

Tout est dépeuplé ! Tel un poète maudit

Comme Guillaume Appolinaire,

Qui fait de sa vie chaotique,

Un calligrammes poétique

Et névrotique à en démêler marginal

Le vrai du faux; qui arrime

En jetant l'encre vers le musée

Des poètes maudits, de Paul

Verlaine qui n'rime avec Charles

Baudelaire dans leur mal de vivre

Respectif; dès leur vie cabossée

Et rebelle dans un vent libertaire,

A moins que Jacques Prévert;

En bon poète nature change

La nature de ces poètes maudits

Pour en faire des poètes ragaillardis,

En révélant leur bonne nature;

Effet dame nature, en laissant 

Roucouler la fontaine et les gens de la

Fontaine; lorsque jaillit l'eau

De la fontaine vers le musée

Des poètes, raccordé par les paroles

Du poète maudit Serge Gainsbourg

Et d'Boris Vian; sans que ce soit

Déviant mais empreint de vers

Solidaires, après tous ces revers

Solitaires; dont Serge, te sers-un ver ?

En vers et envers le musée des poètes

Dans un Mausolée définitivement;

Agrée Jérôme de Mars !

Et point Jérôme Bedrossian.

 

Jérôme de Mars

 

J'ai un p'tit vélo !

 

 

 25 Q

         u i                                          

 26      Ro                                      18

             u l e  !        fort maillon  en D' où          e   16 Mon   V  17

                19  D   J'   21                          u      L 14          é

                   e        a                              o         i           o  l

                l            i  22  U    23            r            b

              a                   4   n  P             n               r

     p'tit un j'ai France De    '    13      E       6   Pour que ça roule 

 5  V     20                     t   t i t      e                l       e                       E  7

     é       Ch                   o  24       l                  a    15     S u            n

     lo         aîne              u V  12  L               9  D                    r           p

1   D 11 Pour me remettre  én se                     a   10  Semoule        é

     a                             L 3   l                            n                                d

     n                             e        o                          s                                a

     s  Ma tête en faisant                                   pédaler sans Dure lant

         2                                                                                  8    

 

 

Jérôme de Mars

 

Un bouquet de fleurs

 

Si tu as une vie rose

Qui t'envoie des fleurs !

C'est qu'tu as une vie en rose

Qui t'fait une fleur !

 

Avec d'romantiques mots roses;

Où tu n'es dans les choux-fleurs !

Qui t'arrosent aux vers dosent !

Toi, l'p'tit bout d'choux-fleurs !

 

A fleur d'pot !

Qui fleure et t'effleure

En t'payant plein pot !

Un bouquet de fleurs

 

Qu'tu offres en chaîne

Dans la ville d'Honfleur,

En semant au jardin d'Eden !

Un bouquet de fleurs

 

Qu'tu offres à Michel Bouquet;

Dont c'est un bouquet qui effleure !

Ce qu'tu offres à Carole Bouquet,

Dont c'est le bouquet qui fleure !

 

En sentant bon à chaque saison;

Qui t'conte fleurette sur les comètes !

En flirtant avec toi dès l'oraison

Pour une amourette ultra chouette !

 

Avec en magasin, les fleuristes

Qui t'font germer du bonheur !

Avec dans leurs âmes altruistes;

Un bouquet de fleurs

 

Qui t'bourdonne jusqu'aux bourdons,

En lézardant dans d'la chaleur

Humaine avec à chaque chanson;

Un bouquet de fleurs

 

Qui t'donne l'bon mode d'emploi !

Que tu utilises emplois du temps

Au fur et à mesure des mois,

En bronzant dans l'air du temps !

 

Qui fait que tous tes voyants

N'sont rouges mais tous aux vers !

Conciliants avec l'beau temps !

Et qui aux vers; t'reste ouvert !

 

Dans un ciel arc en ciel,

Dont tu songes en douceur !

Avec pour gratte-ciel;

Un bouquet de fleurs

 

Dans les bras d'Morphée,

Qui t'effleure toi; très à fleur

D'pot ! Dont c'est l'bouquet !

En un si grand bouquet de fleurs.

 

Jérôme de Mars

Poème caméléon

 

Poète caméléon, j'vais vous en faire voir de toutes les couleurs !

Et paon, l'oiseau d'toutes les couleurs pour reprendre

Des couleurs dans ce poème caméléon; où je joue un quatre en

En un, en un quatrain; plié en quatre vers vers les revers en vers

 

D'flûtes de ce poème caméléon, qui pèche à la ligne en

Allant à la ligne; en recherchant sa propre identité

Multipliée par diverses différentes identités pour savoir

 

Qui est qui ? En marchant dans l'je de ce poème caméléon, tel un

Electron libre; qui joue avec le Golgen Gate Quartet

Sur le Golden Gate de San Francisco, en un concert d'louanges qui mélange

 

Les torchons et les serviettes; emportant la serviette de

Travail, en composant un numéro bis; de tercet et de

Quartet dans un dyptique tryptique de ce poème caméléon,

 

Qui part d'un tercet en un quatre un jusqu'à un quatrain

D'un deux en un et d'un en deux; en ayant dégusté dans la vie

 

         Et   toute     la                                                                                             vie !

 

Un gâteau daim, quand la vie c'est du gâteau sur le Pont

Mirabeau ! Qui décline comme un coq en pâte ! En montrant pattes blanches !

Comme

Identité que si j'm'appelle Voltaire et que si j'tombe

 

Par terre ! C'est d'la faute à Rousseau !

Si j'ai l'nez dans l'ruisseau ! Et que je suis un oiseau aux ailes brisées !

Et bien ! C'est d'la faute à Rousseau  !

Du fait que Voltaire naît notaire dans ce poème caméléon,

 

Tel un électron libre qui vibre en tant que cas libre !

Dont il s'enivre en y laissant des plumes;

 

Qui enfument au nom d'une pipe ! En cassant sa pipe ! Qu'allumait d'la paix extérieure ! Même si

 

Ce poète caméléon naît un poète en paix intérieure !

Dont pour que ça tourne rond dans sa tête ! Heureusement qu'il est un peu rond

Et

 

Qu'il tourne en rond ! Dont pour qu'il y n'y ait pas d'quartier !

Il faut que je réussisse mon Paris ! En trouvant mon quartier au Golden Gate

Quartet, sans couper les ponts sur le pont du Golden Gate à San Francisco; afin Que je sois plié en quatre ! En ce quatre un dans ce quatrain, vers l'en

Ma poésie désabusée; revigorée, et ragaillardie qui m'emmène vers ce poème

 

Caméléon; où j'espère que j'n'aurai plus de lézard ! Et qu'il n'y aura plus d'lézards !

 

Dans ma vie envers moi, l'poète parnassien du Quartier Montparnasse en vers

 

Mon

 

Quartier d'Vitry sur Seine; comme y a plus d'quartier ! Dans ma vie qui naît un

Long fleuve tranquille sur scène !

D'un deux en un, en un an de ! Car jamais deux

Sans trois ! Même si j'suis plié en quatre ! Dans un quatre en un en un quatrain;

 

En faisant une bis, d'un tercet à un quartet; en jouant avec le Golden Gate Quartet Sur le pont du Golden Gate à San Francisco envers toutes les couleurs d'ce Poème très caméléon.

 

Jérôme de Mars

Tout le monde t'envoie promener...

 

Sur un air d'balade,

Si on chantait !

Comme une ballade;

La vie à enchanter

 

Et déchanter qui,

En joue; fuse et fusée

Dans un qui est qui ?

Amusé et médusé,

 

Et si dans cette sérénade;

Surmenée, amenée et

Emmenée en une dérobade,

Tout le monde t'envoie promener...

 

Dans la bande originale d'ta vie !

Et t'emmène enjouée; en jouet !

Et si pour compromis promis,

Tout le monde t'envoie promener...

 

Est-ce-que ce serait pour admirer

Les coulisses d'ta vie dans un monde

A l'envers que tu n'fais que réprouver ?

Même qu'on t'promettrait une fronde !

 

En faisant une ronde à la longue;

Avec pour camouflet une déconvenue !

Qui désenchantée comme une song,

Ferait sonner ding dong à ta vie dissolue !

 

Et si dans l'absolu, tu donnais à ton élan;

Un élan retrouvé dans la fraternité !

Chanterais-tu vlan ? Pendant

Que tout le monde t'envoie promener...

 

En cherchant pour mots apaisants;

Une réciprocité dans tes affinités,

Où quiconque t'dirait réconfortant !

Que tout le monde t'envoie promener...

 

Certes; pas dans une balade !

Mais dans une ballade qui fredonne

Tes paroles que tu clames en tirade !

Durant le temps que tu bourdonnes

 

Dans ta route à portée d'l'inconnu(e) !

Qui ferait qu'en vie, tu ferais refléter

Le meilleur d'chacun avec en aperçu;

Leurs bons ou leurs mauvais côtés,

 

En regardant la vieille série du miel

Et les abeilles; toi, qui est abonné

Aux chaînes du câble; où toi frêle,

Tout le monde t'envoie promener...

 

Et dont tu clames comme un slam !

Pourvu qu'on m'chante alloué !

Une trame sans drame; qui n'trame

Tout le monde t'envoie juste promener...

 

Jérôme de Mars

 

Dans la vie, il y a le soleil et la pluie !

 

Dans un bonheur sans nuages;

Ou à la bonne heure, en écoutant nuages

D'Django Reinhardt !

Dans la vie, il y a le soleil et la pluie !

Entre une bordée d'confettis,

Ou soit en ayant avec l'café  !

D'la fatalité à en regorger d'indignité !

Avec peut-être en humilité; un arc

En ciel pour décocher ses flèches 

Revêches, et quand il y a des paroles sèches !

On préfère utiliser un tir à l'arche 

De Noé; en allant en marche

Vers les illusions et les désillusions d'la vie,

Comme dans la vie, il y a le soleil et la pluie !

Et dès que l'ciel rit du soleil ! Il tarit d'la pluie !

Même que la pluie remplit d'mélancolie;

Les jardins fleuris, puisque dans la vie; 

C'est la vie ! D'récolter des roses à l'apogée d'une vie

Bien remplie et épanouie !

Et les épines, c'est comme une épine dans l'pied !

Car ça dévie et ça pique avec des orties bien assorties;

Avec dans la vie, à la foi d'l'amour et d'la haine !

Et dont pour relativiser toute cette même rengaine

Aux semaines similaires;

Rappelez-vous fortuits et inouïs !

Que dans la vie, il y a l'soleil et la pluie !

Entre embellie et tempêtes;

Qui remuent chez les femmes, leurs couettes !

Avec pour brin d'ce poème maudit !

Une nuance d'joli répit; axé sur les bancs publics !

Qui vous diffuse ici là ! La voix en harmonie

De Georges Brassens, qui vous fait ici

Trouver votre voix intérieure dans l'générique d'votre vie !

Si bien assouvie, éblouie et ravie;

Que dans la vie, il y a le soleil qui rit et la pluie qui tarit !

 

Jérôme de Mars 

Les K sociaux

 

En en K

Du K par K,

Il y a les K sociaux

Pas trop libéraux;

Qui ont mot pour mot !

Les personnes en dit K P

Et les personnes A G,

Qui ont besoin d'AC

D'autonomie et de soutien;

En leur donnant 

Des coups d'main !

Dans un donnant-donnant

Envers les K sociaux,

Qui payent la CSG

Pas pour être assistés

Mais pour être aidés !

Dont pour n'point demeurer

Des éternels même numéros !

Les personnes A G

Et en dit K P; 

Doivent mot pour maux !

Trouver les mots,

Et avoir l'dernier mot !

Pas dans le ghetto;

Ou dans un loto 

Mais en tant qu'alter-égaux,

Avec les autres !

Quelques soient les préjugés;

Qui font pourquoi elles 

S'vautrent

Avec les valides, car elles,

Elles ont l'droit aussi

De prendre leur envol !

Et d'voler d'leurs propres L !

Attire d'L

Pour une vie réussie

Et épanouie;

Dont ce sont L

Les K sociaux,

Ni peu ni trop libéraux !

Mais pour avoir une vie 

Dans un droit à l'oubli

D'leurs handicaps;

En un droit au répit

Avec en embellie,

Le droit d'être ami

Avec elles;

Et pas qu'entre L !

Quelque soit le cap,

Qu'elles prennent en leur fardeau !

Que ce soit vers l'eldorado !

Ou vers le chaos !

Car les K sociaux;

En ont A C !

Qu'on les montre du doigt !

Dans une langue de bois

Pour qu'elles prennent tout

Au pied d'la lettre,

Alors que les ripoux;

Ce sont pas elles,

Mais les personnes politiques;

Qui font d'leur être, un mal-être

En leur plus profond !

Au pays des élucubrations,

Tout en leur coupant les L;

Ou leurs ailes, elles !

Aux zèles

D'la gauche ou d'la droite démagogiques !

Comme celles parmi ,L

Qui sont des poétesses maudites;

En tant qu'oiseaux aux ailes brisées,

Alors qu'il suffirait un peu d's'intéresser

A elles ;

Pas en tant que K sociaux,

Mais en tant que personnes à part entière;

Comme d'un tel à untel !

Sans commentaires,

Comme les contraires

S'attirent et ensemble cogitent;

Pas en étant considérés

Comme des numéro ordinaires,

Mais comme des personnes extraordinaires

Et solidaires;

Qui n'veulent plus d'une vie solitaire

En solitaire,

Mais qui veulent subsister, exister

Et habiter ensemble ;

Dont leur semble

Le mieux adaptée, une maison communautaire

Dans la lumière des grands frères;

Plus comme des K très sociaux KO !

Mais en tant que K ultra sociaux !

Qui ont pour dernier mot, tous égaux !

 

Jérôme de Mars

Un crayon d'couleur qui a bonne mine grâce au soleil

 

Sous un ciel bleu d'un arc en ciel;

S'dessine un gratte-ciel !

Couleurs pastelles intemporel

En un crayon d'couleur qui a bonne mine grâce au soleil,

Feutré de feutres placides qui font des merveilles;

En haut du ciel ! En mettant une statue qui surveille

La conscience du ciel, qui égrène en un bouquet de violettes;

Qui s'en va conter fleurette par sessions de diverses saynètes,

Qui colorent et barbouillent l'ciel en une variété singulière

D'un bonheur sans nuages; vers ce qu'il y a d'plus extraordinaire

En un crayon d'couleur qui a bonne mine grâce au soleil,

Même qu'il n'va pas au charbon; mais qu'il fait dans la dentelle,

Papier buvard qui calque en raccommodant les chimères;

Afin qu'aujourd'hui et demain s'harmonisent et remplacent hier,

Comme des lierres en s'promenant dans la rue qui pareille;

S'réveille en un crayon d'couleur qui a vachement bonne mine grâce au soleil.

 

Jérôme de Mars

Vais-je faire un pas sage à l'acte ou un passage à l'acte ?

 

Dans les parages, à votre avis vais-je faire un pas sage à l'acte

Ou un passage à l'acte ?

A votre avis, en entracte

Ou en entre acte ?

A votre avis, suis-je mes champs d'axion

Ou méchant d'action ?

A votre avis, tout le monde me donnne-t-il un coup de pouce

Ou un coup de pousse ?

A votre avis, suis-je un mâle heureux

Ou un malheureux ?

A votre avis, ma vie est-elle de pas sage sur taire

Ou de passage sur Terre ?

A votre avis, faut-il que je me lâche

Ou que je sois lâche ?

A votre avis, suis-je un père vers le mâle

Ou un pervers le mal ?

A votre avis, tout le monde s'en fout-il de moi

Ou tout l'immonde sans fous t-il de mois ?

A votre avis, est-ce-que tout fout le décan

Ou est-ce-que tout fout le camp ?

A votre avis, est-ce-que j'ai envie de me dire tuer un meurtrier en toi Jérôme

Ou est-ce-que j'ai envie de médire tu es un meurtrier en toi Jérôme ?

Et si jamais à votre avis je passe à l'acte, est-ce-que ce sera un pas sage à l'acte

Ou un passage à l'acte ?

Et à votre avis, ce pas sage à l'acte sera-t-il un entre acte

Ou un pas sage qui sera un entracte ?

Et à votre avis, ce passage à l'acte sera-t-il un entre acte

Ou un passage qui sera un entracte ?

Et à votre avis si je passe à l'acte, irai-je à la prison de la santé

Ou à la santé de ma prison ?

Et si je franchis le pas, est-ce-que ce sera un pas sage à l'acte en entracte

Ou un passage à l'acte en entre acte ?

 

Jérôme de Mars

Robinet à idées

 

En mettant les bouchées doubles

Qui font couler des débouchés;

J'redouble et je m'dédouble !

De bouchées en des bouchées,

 

Qui font que d'l'eau a coulé

Sous les ponts ! Naviguant

En eaux paisibles roucoulées;

Qui font jaillir en courant

 

Que prendre une douche

Froide inflexible, fait plomber

L'flexible qui accouche

Un robinet à idées;

 

Qui fait vider l'bidet à ventouse

Pour boucher des débouchés,

Avec un blues qui épouse

Un robinet à idées;

 

Duquel j'laisse couler l'eau 

D'ce robinet à eau tiède !

Qui fait sangloter mes trémolos;

Loin du bonheur dans mon bled !

 

Et rien qu'pour mon pommeau

D'douche, j'mets l'eau froide 

Ou chaude ! En ouvrant l'lavabo,

Qui vanne les vannes en rad

 

D'mon ballon d'eau chaude;

Qui fait que j'shoote pour débiter

Des paroles qui taraudent 

Un robinet à idées,

 

Qui fait couler des déboires;

Avec un réservoir d'insalubrité

Pour boire en mon désespoir,

Un robinet à idées

 

A force d'débiter avec succès

Débouchés dans les sanitaires;

Qui font boucher mon évier,

L'plus élémentaire et ordinaire;

 

Comme si faire couler un robinet,

Ca coulait d'source dans l'lavabo !

Même si ça fait mal aux poignets !

Et que tout risque d'tomber à l'eau !

 

Dont en découle un baba

Coule, qui m'fait tergiverser;

Et qui fait que j'l'ai dans l'baba !

Un robinet à idées,

 

Et dont pour qu'je m'rince l'œil !

Rince ta baignoire ! A t'en laver

Les mains ! Avec en trompe-l'œil !

De quoi débiter un robinet à idées.

 

Jérôme de Mars

 

Tout le monde qui me parlait comme à un chien à L'ESAT La Fabrique !

 

Une p'tite saynète concernant L'ESAT La Fabrique à propos de tous ceux qui parlaient à Jérôme B comme à un chien !

 

Jérôme B, un ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique; assis sur un banc en bas de chez lui au 11, rue Roger Derry regarde les gens passer dans la rue et aperçoit passer devant lui tous les anciens et actuels agents de production de L'ESAT La Fabrique qui lui parlaient comme à un chien au conditionnement à L'ESAT La Fabrique du temps où Jérôme B était à L'ESAT La Fabrique, maintenant que Jérôme B n'est plus à L'ESAT, il leur demande la raison pour laquelle tous ces agents de production lui parlaient comme à un chien quand lui, Jérôme B était à L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

 

-  " Tiens depuis mon banc, j'aperçois Sandrine Ribé, Célia Dumont, Jonathan Preto, Christine Foy, Katia Lefebvre, Coralie Ortega, Odette Allou, Illamady, Jocelyne H, Christian Serres, Virginie D, tous ces agents de production au conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui m'ont dit dans cet ESAT que tout le monde s'en foutait de moi et que c'était l'argent l'argent, le plus important ! Tiens, je vais commencer à parler à Sandrine Ribé !  Bonjour Sandrine, pourquoi m'avais-tu dit qu'à L'ESAT La Fabrique, tout le monde s'en foutait de moi ?  "

 

Sandrine Ribé, une agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Bonjour mon grand, si je t'ai dit que tout le monde s'en foutait de toi à L'ESAT La Fabrique c'est parce-que personne ne s'intéressait à toi à cause de tes conflits d'intérêt car L'ESAT La Fabrique, la seule chose qui intéresse les gens, ce sont les sous !  En plus à cause de toi Jérôme, l'atelier sous-traitance était conditionné au pire !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :  

 

-  "  Et tu vois Sandrine R, c'est la principale raison qui fait qu'au conditionnement, j'étais si maltraité que ça verbalement comme j'étais sous-traité à L'ESAT La Fabrique !  Tiens, j'aperçois Célia Dumont, bonjour Célia, pourquoi m'as-tu dit qu'à L'ESAT La Fabrique, tout le monde s'en foutait de moi ?  "

 

Célia Dumont, une agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  " Je ne t'ai pas envie de te parler Jérôme, tu as rendu chèvre Sandrine avec tout ce que tu écrivais sur Facebook, toi qui fais toujours le bouc-émissaire, j'ai envie de te dire à la niche fiscale mon chien, comme tu n'es fait que pour te prendre des gamelles ! "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  " C'est pour ça Célia que tu me prenais pour ton os à ronger comme il te fallait tout le temps un os à ronger ! Tiens, j'aperçois Jonathan Preto, bonjour Jonathan, pourquoi toi aussi, m'as-tu dit aussi que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT La Fabrique ?  "

 

Jonathan Preto, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Parce-que tu jouais à la baballe, en me revoyant la balle d'où je te renvoie ta balle à deux balles !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Tiens j'aperçois Christine Foy, bonjour Christian, pourquoi ma foi, m'as-tu dit également que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT La Fabrique ?  "

 

Christine Foy, une agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  " Parce-que ma foi, tu es quelqu'un de bête avec ton côté animal comme un chien qui l'a dans le pif ! "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Ma Foy Christine, ça me surprend que tu me dises ça comme tu manges à la gamelle à la cantine de L'ESAT !  Tiens j'aperçois Katia Lefebvre, bonjour Katia, pourquoi toi comme les autres, m'as-tu dit que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT ?  "

 

Katia Lefebvre, une ancienne agent de production à L'ESAT La Fabrique : 

 

-  "  Parce-que tu n'as fait que du cinéma dans cet ESAT Jérôme, alors que tu n'aimes personne dans la vie comme tu es acteur de ta vie où tu jouais un rôle avec tout le monde à L'ESAT La Fabrique, tu faisais tellement bien la comédie en jouant un rôle avec tout le monde dans cet ESAT que tu me faisais penser à un gens Lefebvre !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Tiens j'aperçois Coralie Ortega, bonjour Coralie, pourquoi m'as-tu de même que les autres que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT La Fabrique ?  "

 

Coralie Ortega, une ancienne agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Parce-que je te le dis bec et ongles en ne te défendant point rubis sur ongles même si ça ronge ton abcès !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Tiens Odette Allou, pourquoi toi en plus des autres, m'as-tu dit qu'à L'ESAT La Fabrique, tout le monde s'en foutait de moi ?  "

 

Odette Allou, une ancienne agent de production à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :  

 

-  "  Parce-que tu étais un con dans cet ESAT où tu ne foutais rien à part te tourner les pouces, ce qui est la raison pour laquelle personne ne te donnait un coup de pouce et aussi la raison pour laquelle tout le monde te disait en coups de pousse, pousse-toi !  Sans que ersonne ne lève le moindre petit doigt pour te défendre ! Espèce de con !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  " Tiens il y a Illamady, bonjour Illamady, pourquoi tout le monde s'en foutait-il de moi à L'ESAT La Fabrique ?  "

 

Illamady, une agent de production à L'ESAT La fabrique :

 

-  "  Parce-qu'à L'ESAT, tu te disais tout le temps à toi-même Jérôme, roupilles, et que tu roupillais et parce-qu'il y a une fois, où tu m'as fait une blague douteuse où tu m'as dit parce-que tu roupilles Illamady en faisant référence à mes origines Indiennes, où la monnaie de mon pays est le roupie, ce qui fait qu'à L'ESAT, tu n'as fait que récolter que la monnaie de ta pièce, toi la pièce détachée et la pièce rapportée du conditionnement !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Tiens j'aperçois Jocelyne H, bonjour Jocelyne, comment vas-tu ?  Pourquoi au conditionnement de L'ESAT La Fabrique, me parlais-tu agressivement ?  "

 

Jocelyne H, une agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Pour que tu sois au bout du rouleau de printemps avec moi pour rouleau-compresseur !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Tiens j'aperçois Christian Serres, je ne lui parle pas à ce con, comme il m'a dit tout le temps pousse-toi ! Ce con ! Je lui dis à ce déchet humain : " Christian Serres, espèce de con, je lève mon pouce pour que tu te pousses, espèce d'ordure !  Tiens j'aperçois Virginie Duquenne, je vais lui demander pourquoi à son avis, tout le monde m'avait dit que tout le monde s'en foutait de moi dans cet ESAT !  Bonjour Virginie, comment vas-tu ?  A ton avis, pourquoi à L'ESAT La Fabrique, tout le monde m'a dit que tout le monde s'en foutait de moi ?  "

 

Virginie Duquenne, une agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Parce-que Jérôme à L'ESAT La Fabrique, tu cherchais toujours une roue de secours alors que quand on avait besoin de toi, tu disais que tu ne n'étais pas une roue de secours comme tu étais tout le temps la cinquième roue du carrosse, surtout que moi, je suis en fauteuil roulant et que tu ne m'as jamais aidé à pousser mon fauteuil !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  " Virginie si j'ai dit cela, c'est parce-que la roue a tourné pour moi depuis que je suis en roue libre en ayant quitté cet ESAT, car au moins maintenant, plus personne ne peut me rouer de coups verbaux, en me disant tout le monde s'en fout de toi dans cet ESAT en conflits d'intérêts Jérôme !  "

 

Jérôme de Mars

 

                                              Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique au conditionnement, tout le monde me parlait-il comme à un chien ?

-  Pour que je me prenne des gamelles dans ma niche fiscale !

 

 

                                        Jérôme de Mars

Et mon rock prend l'amplis !

 

Chanteur d'blues ou d'rock,

Pour aller à Memphis;

J'y vais groggy toc toc

Sous l'emprise d'prises

 

D'excès, qui m'font brancher

Ma voix élevée vers l'haut !

Qui prouve que j'suis consumé

En paradis artificiels d'l'eldorado

 

Vers L'Colorado d'ma sono 

Stéréo, en prenant l'pli nanti;

Où d'ma voix rock, j'suis électro !

Et mon rock prend l'amplis !

 

Que j'veux vivre vite, évite !

Comme ma guitare qui vit

A travers moi que j'la dynamite !

Et mon rock prend l'amplis !

 

Que j'déchante l'blues !

Et que j'chante le rock !

Que ma femme en est jalouse;

En tant qu'interprète fuck !

 

Que j'en résume ma vie !

Qu'elle en dévie ma trajectoire !

Que j'ai plus d'radis au paradis !

Que j'en écoute blues Trottoir !

 

Pour refléter mon désespoir,

Que ma vie est un blues infini !

Que j'vais au comptoir déversoir !

Et mon rock prend l'amplis !

 

Que j'raconte toutes mes salades;

Qui font que j'y mets des radis !

En composant qu'des ballades,

Et mon rock prend l'amplis !

 

Que j'passe tout à plat sur du plat !

Que mes travers en sont dissolus

Dans ma vie de passe-plat  !

Que j'suis irrésolu et éperdu !

 

A dénicher le bon répertoire

A ma vie qui s'chante en rock !

Malgré que j'ai l'cafard blafard !

Que j'troque et j'suffoque;

 

Comme un phoque bizarre,

Que j'me régale d'confiserie;

Tel un casse bonbon du blizzard,

Et mon rock prend l'amplis !

 

Que j'ai envie d'écouter la musique 

Que j'aime que déchante Johnny

Hallyday; en acoustique que j'trique !

Et mon rock prend tout l'amplis !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                    Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça fera le jour du 24 avril 2022 si Marine Le Pen remporte au second tour l'élection présidentielle ?

-  Ca fera pour Les Arméniens de France un nouveau génocide en plus du jour de l'anniversaire de commémoration du génocide Arménien du 24 avril 1915 !

 

 

                                             Jérôme de Mars

Comme j'retourne ma veste en cuir !

 

Blues perfecto dans l'mélo;

J'suis accro et à cran !

Dans les aléas du chaos,

Qui font que tout fout l'camp !

 

J'mets un blouson d'rebelle;

Où j'ai envie d'recommencer

Ma vie pour qu'elle soit belle !

A m'en redonner envie d'volupté,

 

En profitant d'ma vie chaque jour;

Où j'remets une veste d'dur à cuire !

Pour que ma vie soit sur Terre, amour;

Comme j'retourne ma veste en cuir !

 

De dur en béton; laisse-béton !

En passant tout à plat à m'en cuire !

Tel Renaud qui fredonne sa chanson,

Comme j'retourne ma veste en cuir !

 

Grave d'chez grave; à m'en graver

D'la hauteur dans ma vie, que j'gravis !

Pour léviter et l'éviter; donc pour graviter

D'nouveaux horizons jusqu'à la nuit !

 

Minuit, il y a les douze coups d'maudits !

Que j'en fais une virée à moto

A plein gaz ! Pour qu'ça gaze du joli !

Auto-moto, sans regarder dans l'rétro !

 

Dont la vie à pleins tubes; m'titube !

Les guiboles d'vieux dur à cuire !

Car la vie à pleins tubes, j'l'entube !

Comme j'retourne ma veste en cuir !

 

En faisant l'caïd dans la bande;

Promotion canapé d'dur à cuire,

Qu'je croise des gitanes en contrebande;

Comme j'retourne ma veste en cuir !

 

En faisant d'la musique d'sauvageons

Synchros, en pleurant dans mes mouchoirs;

Que la vie c'est laid ! Dans la rébellion,

A en émouvoir les gens et leurs histoires !

 

Qui configurent que j'suis une racaille !

Qui caillera mon côté Kaïra ! D'mon aura

Et d'mon karma; dont j'm'entaille

Les poignets, si bien que mon état

 

Est dans un état des lieux alarmants;

Dont il n'me restera qu'à m'en cuire !

En déambulant, ambulant et affriolant;

Comme j'retourne ma veste en cuir !

 

Donc Jérôme, lâche-toi ! Si j'ai encore l'âge !

D'perdurer en un intemporel dur à cuire !

Avec mon pelage, pour que j'tourne la page !

Comme j'retourne si bien ma veste en cuir !

 

Jérôme de Mars

Comme un poète maudit

 

Jérôme de Mars, j'm'appelle !

En faisant l'appel d'la forêt;

Où j'épelle en rappel

Tous mes mots rassasiés,

 

En n'changeant point d'ligne !

Même que mes rimes arriment

Ma poésie digne ou maligne;

Selon que j'écime ou j'décime

 

En comparant mon état bipolaire,

A chaque moindre mot dit !

Dont j'en tire un sacré caractère;

Comme un poète maudit

 

A chaque jour suffit ma peine !

Qu'j'en fais à chaque mot dit

Un poème à la Verlaine,

Comme un poète maudit

 

En une vie qui m'file l'bourdon !

En croyant qu'tout est immonde

Sur la planète Terre à reculons;

Où il vaut mieux qu'on sonde

 

Les vers d'mes poèmes 

Pour voir si mes vers sont solidaires !

Ou s'ils n'rentrent dans le système !

Aux travers d'mes vers solitaires !

 

Certes, la vie d'poète est un combat !

Mais au moindre mot dit en mélodie,

Il faut élever la voix malgré sa croix;

Comme un poète maudit

 

Qui vit dans sa vie, le chaos prolo

Aux travers d'chaque mot dit !

Que j'me réfugie en lisant Rimbaud,

Comme un poète maudit

 

Qui fait d'sa vie un scénario 

En cherchant raccord l'thème;

D'ma vie qui ne soit quiproquos !

Malgré ma vie d'bohème qui sème

 

Une trame qui rétame à la ramasse,

Ma vie à l'agonie; à chaque frénésie

D'mes billets d'humour en liasse

Ancienne, où j'veux un droit à l'oubli !

 

Pourvu qu' ma poésie attise d'l'amour

Ou les vautours à chaque mot dit !

Dont la vie vaut le détour en retour;

Comme un poète maudit

 

Qui est à la foi liesse et détresse,

Entre mélancolie et euphorie;

En voulant avoir l'harmonie prêtresse,

Comme désormais un poète si maudit.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                  Blague :

 

 

Que fait une vendeuse de cigarettes à ses clients pour faire un tabac ?

-  Elle taille des pipes à ses clients

 

 

                                           Jérôme de Mars

J'suis un roc d'pierre !

 

Pierre, je m'appelle pierre !

J'fais un rock endiablé;

Avec un cœur d'pierre !

Survolté et très agité !

 

J'suis payé au lance-pierre,

Où j'joue un rock dissipé !

Où j'paye allez ! Lance-pierre !

En l'payant d'mes excentricités;

 

D'où j'paye mon franc-parler

Gratuit ! Oh et lance Pierre !

Pierre qui scande déterminé,

J'suis un roc d'pierre !

 

Qui clame insubordonné; alléché,

J'paye ! Oh ! Elance pierre ! Pierre;

Qui veut m'payer un verre siroté,

J'suis un roc d'pierre !

 

N'est-ce-pas Pierre, d'ma misère ?

Où j'mets la pierre à l'édifice !

Ave ma guerre des nerfs qui génère;

Une vie d'artifices emplie d'malice,

 

D'où j'ai une vie débordée d'excès;

Qui roule d'sa pierre pour Pierre !

En échauffourée et à l'effarouchée !

Où j'mets là Pierre ! Envers solitaires !

 

Et en mon repaire, où j'suis clair-obscur !

Comme j'ai pour chimère, d'la jachère !

Où certes; j'vais droit dans le mur !

J'suis un roc d'pierre !

 

Qui pleure en solitaire dans sa vie, 

Qui attend l'instant linéaire et insulaire;

Telle une star fauchée à l'agonie,

J'suis un roc d'pierre !

 

Qui roule dans les paradis artificiels;

A croire que la vie fait l'apologie

D'vides superficiels et virtuels !

Qu'il y a dans la vie à priori jolie,

 

Et dont le roc en moi m'traîne

Dans mes vieux démons fébriles;

Où tant bien que mal, j'me démène !

Dans ma vie indocile et volatile !

 

Où j'tente de rester en paix  !

Comme j'suis solitaire et solidaire !

En fumant l'calumet d'la paix,

J'suis un roc d'pierre !

 

Que j'achève dans ma vie en musique;

En jouant d'la basse guitare solaire,

Qui ranime ma vie en acoustique;

D'où j'suis un très grand roc d'pierre !

 

Jérôme de Mars 

 

Casse la baraque !

 

Roc d'pierre à l'étagère !

J'lis les Inrocks endure

D'dur à cuire avec Pierre;

En fendant l'armure pure,

 

Et en m'plombant d'littérature

Dans un semblant d'blues;

Qui jette en pâture la nature

Des gens qui épousent

 

En douce leur planque,

Où ma maison, je la plaque !

J'me planque en manque;

Casse la baraque !

 

Et où j'y vais manger

Ma déconfiture qui traque

Mes abcès à en crever,

Casse la baraque !

 

La vie est une traque

Pendant que le rock

Matraque et me traque;

D'où en pierre, j'troque !

 

Et où j'suffoque ma rage !

Dès que pleuvent gris

Les nuages, qui aigris;

Font que j'tourne la page !

 

Et j'retourne la page !

En prenant mes clacs,

Et mes clics d'images;

Casse la baraque !

 

Comme la vie s'rêve !

En prenant des claques,

Avec pour trêve

Casse la baraque !

 

Comme à la maison !

Où j'passe le transistor

D'mes chansons;

En pléthore d'trésor !

 

Et où la vie continue !

A chaque jour suffit

Sa peine, avenue

La rue des ennuis;

 

Et où en roc d'pierre,

J'repasse mon trac;

Qui fait que j'galère !

Casse la baraque !

 

Et où en lisant les Inrocks,

J'parle du tac au tac !

Sans être toc toc;

Casse trop la baraque !

 

Jérôme de Mars

 

Pendant que les cons sonnent, les lettres voient elles !

 

Alphabet bêta 

De l'alpha oméga;

Les mots prennent tout au pied d'la lettre !

Quand les lettres font part d'leur mal lettre,

Car pendant que les cons sonnent,

Les lettres voient elles !

Parmi les voyelles !

Qui résonnent;

En jetant l'argent des lettres

Par les fenêtres !

Aussi bien fin lettrées

Qu'illettrées,

Dont pour n'être

Analphabètes;

Personne naît bête !

Car pendant que les cons sonnent,

Au moins elles; les lettres voient elles !

Parmi les voyelles !

Qui klaxonnent à l'anglo-saxonne !

En filant à l'Anglaise,

Avec ces fameuses lettres Françaises,

Car pendant que les cons sonnent;

Au moins elles, les lettres voient elles !

Toujours elles, parmi les fins lettrées

De voyelles;

Qui elles, sont celles qu'on sonne !

Si bien que raisonne;

L'alphabet bêta 

De l'alpha oméga.

 

Jérôme de Mars

Car j'connais Charlie par cœur !

 

Séance complète d'jam;

C'est une session qui jazze

En début d'ce slam !

Qui dans les murs, rase

 

Gratis guère d'ces sessions !

Qui rechargent les batteries;

Avant qu'il y ait la récession

Des compositeurs d'mélodies,

 

Qui jazzent du Duke Ellington !

Tout autant qu'du Charlie Parker !

Que j'écoute dans L'Essonne;

Car j'connais Charlie par cœur !

 

Et qu'ça jazze quand j'marmonne !

Puisqu'à fortiori, j'écoute Parker !

Or ! Ses musiques; je les sonne !

Car j'connais Charlie par cœur !

 

Et que sa musique résonne

En moi, qui comme un juke-box;

M'désarçonne et m'façonne !

Or ! J'la compose dans mon box !

 

Avant que ces cons sonnent 

A ma porte ! Que j'en reporte

Mon concert à L'Anglo-saxonne,

Qui fait que j'fais du porte-à-porte !

 

Dont j'apporte une onomatopée;

Qui fait boîter mon pacemaker !

En clopant des cigarettes en fumée,

Car j'connais Charlie par cœur !

 

Que j'en improvise des bœufs

Avec Ellington et Parker !

Dont j'sue veuf comme un bœuf !

Car j'connais Charlie par cœur !

 

Que j'écoute de mon Teppaz !

Tout autant que Django Reinhart;

Qui fait que j'aime le jazz,

Tout comme l'street art !

 

Catégorie lutte des classes;

Dont c'est classe master !

Tous ces génies qui cassent

La baraque, or y a d'la matière !

 

A ce que j'en fasse une complainte;

Tout en écoutant Charlie Parker !

Avant qu'il y ait dépôt d'plainte !

Car j'connais Charlie par cœur !

 

Et tant qu'il y aura d'la musique !

Et bien j'écouterai Charlie Parker !

En entendant sa musique pacifique,

Car j'connais si bien Charlie par cœur !

 

Jérôme de Mars

Une sérénade qui fait jazzer sa déclaration d'amour !

 

Joueur d'banjo;

Qui joue du pipeau !

Dont tout ce qu'il dit,

C'est du pipeau

En mélodie !

Avec cet homme qui fait la courte échelle

A elle;

A qui il clame une sérénade qui fait jazzer sa déclaration d'amour !

Dont pour lui, c'est du lourd dans un gant d'velours !

L'amour qui triomphe dans la passion; en jouant dans tous les sens,

Des mots en un jovial méli-mélo !

Qui encense au-delà la prestance !

Une sérénade qui fait jazzer sa déclaration d'amour !

A elle; dont celle

Qui lui est dévolue, s'il y met son baiser d'grain de sel !

En ayant avec elle; le dernier mot en coup d'chapeau !

Vas-y ! Il lui joue du violon !

Tel un apollon ! Qui lui témoigne son indécrottable affection,

Et effusions qui produisent en infusions;

L'amour coup d'foudre en interaction !

Dont c'est sa tasse de thé !

A lui, comme le jeu en vaut la chandelle !

Puisqu'il la courtise elle, en lui faisant la courte échelle !

Telle une ritournelle; qui amoncelle

Une sérénade qui fait jazzer sa déclaration d'amour !

En un beau séjour,

Qui arrime vers d'la poésie d'troubadour !

Et qui réconcilie les épris d'amour de toujours;

Avec les repris d'amour, amours d'un jour;

De telle sorte que les amours d'jeunesse,

Se métamorphosent en amours de genèse ;

Avec en conclusion qui vaille le détour !

Une sempiternelle sérénade qui fait jazzer sa si grande déclaration d'amour !

 

Jérôme de Mars

 

 

Clémentine, qu'on presse comme un citron, n'a plus d'jus pour presser une orange pur jus !

 

Clémentine qui a une existence ah ! Mère ! Vient d'perdre sa mère ! Elle est haut pressée et oppressée ! Et s'empresse qu'on la presse comme un citron, de sorte qu'elle n'ait plus d'jus pour presser une orange pur jus ah ! Mère ! Si bien qu'elle finit par s'abonner à l'opérateur Orange pressé ah ! Mère ! Tout en écoutant en même temps la chanson de Serge Gainsbourg : " Lemon Incest ", inceste de citron ah ! Mère ! Qu'on en déduit d'ses déboires à Clémentine, qu'elle n'a plus rien à boire ! A part boire son orange sanguine ah ! Mère ! Pur jus, afin qu'elle ait du jus pour qu'on la mette au courant à elle Clémentine, qu'on presse comme un citron et qui n'a plus du tout d'jus pour presser une orange pur jus, de telle manière que Clémentine; on la compresse ah ! Mère ! Et que pressée comme un citron, elle finit par partir en courant pour ne point qu'on la presse sans jus, tellement qu'elle s'est pressée d'avoir pressé une orange ah ! Mère pur jus ! 

 

Jérôme de Mars

Les bijoux d'famille

 

Bague au doigt !

En enfilant des perles;

Il y a l'alliance d'tes dix doigts  !

Qui donnent l'là !

Avec les bijoux d'famille,

Qui ont envie d'fonder une famille !

Tels les pupilles

D'la nation; aux mains

Des orphelins,

Avec les bijoux d'famille

Qui crient famine !

J'ai besoin d'vitamines !

Pour avoir bonne mine !

Avec les bijoux d'famille;

Qui passent la bague au doigt !

En ouvrant un magasin de bijoux,

D'bijoux de famille pour faire joujou !

A moins que la bague

Dans l'vague ou la vague;

Tombe dans la bouteille d'bas doigt !

Et est-ce-que tu la bois

Ou est-ce-que tu cherches à noyer

Le poisson d'Avril ?

Alors que tu comptes t'marier sur l'fil !

Avec les bijoux d'famille !

Pour fonder une famille qui s'éparpille,

En emportant avec elle; leurs bijoux

Et leurs joujoux,

Qui franchissent d'grands pas !

Pour toute l'humanité

Et leur pure divinité;

Avec pour passer la bague au doigt,

Cette fameuse alliance que tu lui dois !

Avec du bout d'tes dix doigts !

Une sacrée famille qui grappille

Et s'éparpille;

En c'est p'tits bijoux

Jusqu'aux joujoux,

D'laids p'tits bijoux d'famille.

 

Jérôme de Mars

En patientant...

 

Une p'tite saynète sur le CMP de Vitry sur Seine avec Jérôme Bedrossian, patientant dans la salle d'attente en attendant son RDV avec son infirmier Jean-Yves L

 

Divers professionnels de santé se déplacent dans la salle d'attente du CMP et disent bonjour à Monsieur Bedrossian Jérôme

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-Sur-Seine :

 

-  " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ?  On a rendez-vous ?  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient du CMP :

 

-  " Bonjour Madame Teillet, je vais bien, non, je n'ai pas rendez-vous avec vous, j'attends Jean-Yves, et tant que patiente, je patiente en attendant Jean-Yves !  "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

 

-  " Qu'attendez-vous après Jean-Yves pour le voir aussi souvent dans votre suivi ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient du CMP :

 

-  "  Madame Teillet, j'attends Jean-Yves en patientant en tant que patient !  "

 

Monsieur Olivier Commaret, vient dire au revoir à Jérôme Bedrossian comme il prend sa retraite après avori fêté son pot de départ : 

 

Olivier Commaret, ancien secrétaire au service social du CMP qui part en retraite :

 

-  "  Bonjour Jérôme, je voulais vous passer un p'tit coucou et vous dire en cette occasion bonne chance pour la suite car je prends aujourd'hui ma retraite après avoir trinqué à mon pot de départ, vous voyez, j'ai toujours la santé monsieur Bedrossian !  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient du CMP :

 

-  " Je suis content pour vous Monsieur Commaret, bonne retraite à vous en gardant toute votre santé, alors que je bats en retraite vu que je n'ai plus la santé pour travailler, comme le disait fort bien Henri Salvador, le travail c'est la santé, ne rien faire c'est la conserver, Monsieur Commaret, vous avez encore la santé car vous aimiez votre travail, alors que moi, mon travail, j'ai trinqué de ma santé en conservant point ma santé, je trinque à votre pot de départ et je trinque à votre santé Monsieur Commaret !  "

 

Olivier Commaret, ancien secrétaire au service social du CMP qui part en retraite :

 

-  "  Merci Monsieur Bedrossian, vous et moi, on a donc du pot, on peut même dire un pot aux roses !  "

 

Gurvan Q, un infirmier du CMP :

 

-  "  Bonjour Jérôme, vous attendez qui ?  j'espère que vous n'êtes pas aujourd'hui dans votre ombre !  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient du CMP :

 

-  " J'attends Jean-Yves en patientant tranquillement en tant qu'un patient, non rassurez-vous Gurvan ! Je suis entre ombre et lumière, car si jamais, je suis dans mes côtés sombres et que je passe à l'acte, je dormirai à l'ombre et c'est grâce à vous et à Jean-Yves, mes deux infirmiers phares Bretons que je ne suis pas à l'ombre mais vers la lumière de vos phares Bretons ! Après que ma vie ne fut jamais du gâteau, maintenant qu'il y a Jean-Yves et vous qui me suivez au CMP, ca y fait actuellement, si ma vie c'est du fard Breton sans fard en étant dans la lumière ! "

 

Carole Balthazar, une infirmière du CMP :

 

-  "  Bonjour Jérôme, vous attendez qui ?  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient du CMP :

 

-  " Pour la énième fois pour vous répondre, j'attends Jean-Yves en patientant en tant qu'un patient, et pour patienter, je regarde en replay sur mon smartphone sur TF1.fr, la série Balthazar qui passe le jeudi soir sur TF1, et j'ai cru que c'était vous !  "

 

Aurélia K, une psychomotricienne au CMP :

 

-  Bonjour Jérôme, que faites-vous aujourd'hui là au CMP, on n'a pas RDV ?

 

-  "  J'attends Jean-Yves en patientant en tant qu'un patient !  Depuis le temps que j'attends Jean-Yves en étant impatient, finalement je ne sais plus ce que j'attends après Jean-Yves et ce qu'il attend de moi !  "

 

Jean-Yves, un infirmier du CMP :

 

-  "  Bonjour Jérôme, j'ai écouté votre discussion avec Aurélia, j'attends tout simplement que vous soyez patient très patient quand vous m'attendez au CMP et vous, qu'attendez-vous après moi ?  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient du CMP :

 

-  " J'attends que vous soyez très patient avec moi même si parfois moi qui suis patient, je peux me montrer un patient voire très impatient !  "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Et allume cette pièce noire !

 

 

Ombre et lumière;

Etendard d'ton désespoir !

Souris à La Terre !

Et allume cette pièce noire !

 

La vie vaut la peine 

D'être vécue en histoires !

Ris chaque semaine !

Et allume cette pièce noire !

 

En y mettant des couleurs

Dans la magie des merveilles,

D'la vie et d'ses ardeurs;

Qui reflètent l'arc en ciel

 

Que la vie est lumière,

Et fraternelle en rituel;

En allumant l'réverbère

Des aléas qui réveillent

 

La vie entre soleil et pluie !

Mais dont il faut un réservoir

Pour aller au paradis envie,

Et allume cette pièce noire !

 

En y peignant l'bonheur;

En donnant envie d'y croire !

Qu'il y a encore du cœur !

Et allume cette pièce noire !

 

En y faisant respirer l'amour,

Dès qu'il y a une accalmie !

En enjolivant les jours;

Avec parfois une embellie

 

Qu'il y a dans la vie sitôt 

Après la nuit qui éblouit, 

L'jour qui s'relève tantôt !

En sublimant d'un oui ravi

 

Que la vie est ainsi épique !

Et peut être aussi lunaire !

A chaque minute frénétique

Que passe l'temps bipolaire !

 

Les jours semblent fluctuants !

Avec tout ce temps dérisoire;

Et aléatoire qui te dit conciliant !

Et allume cette pièce noire !

 

En remplaçant les ampoules

Sur les mains, par d'la gaieté

D'abat-jour qui ravive la foule !

Et reste enjoué d'ton œil amusé !

 

En vue d'y ranimer la vie envie

Malgré que tu aies l'cafard !

Et passe une vie jolie et réussie !

Et rallume vive cette pièce noire !

 

 

Jérôme de Mars

Y a du gris et d'la griserie !

 

Gris-gris du quotidien

La vie, c'est des hauts !

Et des bas pleins !

D'l'enfer à l'eldorado;

 

Or la vie c'est grise mine !

Quand y a des orages !

Ou la vie a bonne mine !

Quand y a des paysages !

 

Avec l'ciel en gratte-ciel

En une accalmie jolie,

Du ciel qui aigri chancelle;

Y a du gris et d'la griserie !

 

En mille et une étincelles,

Endolories et adoucies;

Quand l'soleil scelle !

Y a du gris et d'la griserie !

 

Où l'ciel témoin a besoin

D'y voir plus clair prospère !

En côtoyant l'soleil médecin,

Afin d'respirer l'air débonnaire !

 

D'la vie ombre et lumière;

Naturelle ou superficielle,

Ainsi que salutaire paire

Qui fait des merveilles !

 

D'où la vie c'est du soleil !

Avec aussi d'la pluie !

Quand dans l'essentiel;

Y a du gris et d'la griserie !

 

Entre la pluie qui grêle !

Quand le soleil sourit !

Dès que l'ciel bêle !

Y a du gris et d'la griserie !

 

Comme le temps bipolaire,

Qui change d'humeur !

Tantôt aléatoire et linéaire

Au matin du p'tit bonheur !

 

A tous les temps ordinaires;

Qui ne s'entendent stressants !

Ou à tous l'étang extraordinaire,

Où tous s'entendent charmants !

 

Dans la vie en alternance;

Autant fleurie et embellie !

D'la vie qui dit en essence !

Y a du gris et d'la griserie !

 

A n'importe quel temps !

Avec pour gris-gris,

D'la vie qui s'détend !

Y a du gris et d'la griserie !

 

Jérôme de Mars

 

 

La vie c'est comme un livre !

 

Première page d'ce livre

En préface, que j'repasse

Libre; où j'm'enivre

En remontant à la surface

 

En deuxième page d'ce livre,

Pourvu que j'passe

A un autre chapitre qui vibre

Et qui fasse que j'dépasse

 

Les pages d'ce livre; 

Qui s'referment fermes,

La vie c'est comme un livre !

Comme si j'avais une perm'

 

A laquelle j'me livre d'mes vivres

En faisant tourner les pages,

La vie c'est comme un livre !

Où j'm'enivre cépages

 

Avec à chaque nouvelle page

Le démarrage d'un chapitre;

Qui écrit comme un ramage

Le livre d'son libre-arbitre,

 

Qui défile les histoires à-la-vite;

Si bien que j'arrive près d'la sortie !

Qui gravite la hauteur qui lévite,

Les défis d'la vie si joliment dits

 

En écrivant d'sa fibre

Le récit d'sa vie si impossible;

La vie c'est comme un livre !

A cette vie qui naît si paisible !

 

En décrivant ce dont j'me délivre

Aux travers écrits noirs sur blanc,

La vie c'est comme un livre !

Que j'retourne d'mes tourments;

 

Passant d'mots passants

A travers les lignes d'mes péchés,

En faisant le gui d'Maupassant

Sous réserve que j'sois très réservé

 

A l'idée d'me livrer et d'me délivrer;

D'cette vie qui me givre en un froid

Avec les excès d'mes pamphlets,

Qui mettent des mois en m'émois

 

A écrire mes derniers mots qui vibrent

Rédigés dans l'avant-dernier chapitre;

La vie c'est comme un livre !

En récitant ma vie derrière un pupitre,

 

Dont j'arrive à la dernière page 

D'tout ce que j'livre et délivre !

En tournant l'ultime cépage

Or la vie c'est comme des livres !

 

Jérôme de Mars

 

Rue des poèmes

 

Pas d'quartier !

J'habite à Vitry sur Seine

Dans mon quartier !

En allant sur scène;

 

Voguer dans la ville

Que ma vie n'a jamais été

Un long fleuve tranquille !

Qui passe et repasse,

 

Parlant du rapport humain !

A rue des poèmes;

Du street art urbain contemporain,

Amenant à m'donner d'la veine

 

A chaque jour suffit sa peine !

A rue des poèmes !

Comme la même rengaine;

Qui m'inspire une vie d'bohème

 

En ayant dans la vie d'la joie !

Du printemps qui aime

Les gens chaque mois,

En rentrant dans l'système

 

Et en marchant à p'tits pas !

En défilant vers le temps

Qui passe avec éclats;

M'amenant à retrouver l'élan

 

Dans la vie et ses aléas !

Qui égrènent pour totem,

Le chemin vers la joie

A rue des poèmes

 

Dont c'est à la foi chaque semaine !

Des problèmes et d'la bohème;

Qui m'emmènent du jardin d'Eden

A rue des poèmes

 

Jérôme de Mars Arrangements : Leg Guitar

 

Ca n'me barbera jamais d'écouter Barbara !

 

A la vie qui m'déchante ! Ca n'me barbera jamais d'écouter Barbara on the Radio ! Qui enchante ma vie surtout quand il y a la pluie ! Cette Barbara; qui innée le 9 juin 1930 pour enjoliver et bercer la chanson Française, où j'ai en vie d'lui dire à Barbara, du bout des lèvres, " Dis-moi quand reviendras-tu ? Dont d'ton vivant, ta vie fut hantée par tes vieux démons de ton père, L'Aigle noir en des amours incestueuses; comme si tu écoutais pour la énième foi Gainsbarre chanter ta vie désenchantée : " Love on the beat ", dont lors d'tes concerts d'louanges malgré la solitude d'ta solitude, tu déclarais en amour à ton public," Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous "; avec l'mal de vivre d'ton mal de vivre, comme un oiseau foudroyé aux ailes brisées du à à ton enfance, dont tu dis à propos : " D'mon enfance ; attendez que ma joie revienne ! Si la photo est bonne " Toi, la dame brune, et si tu avais fumé des brunes, peut-être que tu aurais réussi à fumer l'calumet d'la paix ! Pour reposer pour l'éternité en paix; après que tu mourus à p'tit feu, à mourir pour mourir ! Parce-que je t'aime Barbara, toi qui réussis de ton au-delà; à enchanter ma vie que j'ai envie d'déchanter, comme j'ne vais jamais au Bois de Saint-Armand; écouter le blues de tes hivers en maux d'hiver, dont sache-le Barbara ! Ca n'me barbera jamais d't'écouter Barbara ! Car Pierre qui roule; n'amasse pas mousse ! Dont tout ton public inconditionnel; t'mousse malgré que mon cœur d'pierre m'émousse, car quand ceux qui vont t'pleurer du fond d'leur chagrin inhumain; n'oublient tout c'que tu as enduré dans ta vie, même si tu auras réussi à durer depuis l'Ile aux Mimosas; d'où ton public d'amour, t'fait une fleur et t'envoie des fleurs en Septembre depuis Nantes jusqu'à Paris; malgré que tu avais du désarroi en ta vie si malheureuse et mélancolique, et même si ton espoir était sans bagages; tu auras envoyé d'ton désespoir des appels à l'aide d'valises de détresse, d'où tu auras reçu en bagages; un soutien immense pour que tu renaisses en ta résilience dans ta musique, dont on connaît la chanson et ta chanson; comme tu chantas ta pluie et ta tristesse, en en faisant un soleil et une liesse populaire; dont tu clamas Joyeux Noël, et à qui toi ma chère Barbara, j'te chante ici là jusqu'à toi dans l'au-delà ! " Chapeau bas à toi Barbara "; qui naît plus d'ce monde depuis le 24 novembre 1997, et sache que ça n'me barbera jamais d't'écouter ma très chère Barbara à la vie; à la mort  !

 

Jérôme de Mars

Je calcule tout le monde !

 

Un par un ! Dans un deux en un ! Je calcule tout le monde ! Deux par deux ! En faisant la règle de trois, jamais deux dans trois ! Plié en quatre ! Parce-que reçu cinq sur cinq; je calcule tout le monde ! Sans jamais dire que quiconque est un moins que rien ! Multiplié par une France divisée, dont l'addition est salée ! Quand je calcule tout le monde ! A six sur une chaise; en jouant au jeu de sept familles dans un huit infini, car quoi de neuf ? Si je calcule tout le monde ! Dont la chute de l'histoire; est un dix de chute de tension ! Notamment lorsque j'en ai rien à foot en lisant le magazine Onze Mondial avant les douze coups de Minuit, dont ça y est; c'est la totale ! Comme je finis juste à l'heure de calculer tout le monde !

 

Jérôme de Mars

Pas si facile à chanter !

 

Fais-çi, fais ça !

En chantant à deux pas d'là !

En effet, pour un fossile,

C'est pas si facile à chanter !

Avec la faucille

Et l'marteau !

Carrément marteau !

De n'avoir l'dernier mot !

En passant pas facile !

Du fossile 

A la faucille;

Genre une fausse scie,

Pas si facile à chanter !

Voire fa si la chanter !

En je d'karaoké !

Fais-ci, fais ça !

En déchantant déjà

A deux pas d'là !

La faucille

Et l'marteau !

Carrément marteau !

D'fossile !

En faux-cils !

Avec une fausse scie !

Or y a pas photo !

D'avoir un magasin Foci !

Pas si facile à chanter !

D'fossile !

En fausse scie !

Avec en faux-cils !

La faucille

Et l'marteau !

Carrément marteau !

Dont personne n'a l'dernier mot !

A part l'bricolo !

Du magnéto

Pas si facile à chanter c'karaoké !

A part regarder 

Fa si la chanter 

En je d'karaoké pour déchanter !

La fausse île !

Presqu'il !

Pas si facile à chanter !

A part s'en laver les mains 

D'ce refrain !

A chanter et à déchanter

D'la fausse île

A la fausse scie; 

Avec en faux-cils !

Plus d'magasin Foci

En magasin fossile !

Dont la photo naît plus facile !

Pas si facile à chanter !

A part regarder fa si la chanter !

En karaoké !

Pour déchanter

Avec la faucille 

Et l'marteau !

Carrément marteau !

Avec en dernier mot !

Pas si facile à déchanter !

Qu'on chante en cœur !

Et qu'on déchante en rancœur ! 

Pas du tout si facile à chanter !

Car plus du tout si facile à chanter !

 

Jérôme de Mars

 

Punaise ! J'joue du trombone !

 

Dans un parfait parfum monotone

Sur une feuille d'automne;

Punaise ! J'joue du trombone !

Au début d'ce paragraphe,

Agrafes, dont j'signe des autographes !

En fautes d'autographes !

Quand j'dépasse les bornes !

Enjeu d'mille-bornes 

Dans ma vie morne;

Qui jazze dans la rue,

Lorsqu'ai j'ai en excès l'blues !

Avec la peur d'l'inconnue,

Dès que la musique épouse

Ma musique cataclysmique !

Dont d'ma rythmique névrotique;

J'en fais des overdoses !

En tombant de oh ! Surdoses !

Oh ! Punaise ! J'joue du trombone !

Tout en jouant au je du mille-bornes,

Si bien que j'me borne !

A m'moquer de mon image;

Dont mes enfumages

M'cornent et m'encornent !

Oh ! Punaise ! J'joue du trombone !

En accrochant avec un trombone

Ma feuille d'automne !

Dans un parfait parfum monotone,

Agrafes que j'agrafe

Au début d'ce paragraphe;

Où tout en signant des autographes,

Et bien ! J'fais des fautes d'autographes;

Epi taf ! J'tafe 

Une taffe

D'cigarette !

En faisant mes emplettes

Au taf !

Dont avant que j'finisse en poussière !

Au cimetière

Des innocents ! D'mes mains en sang

En reposant d'mes tourments,

Pourvu que ma vie d'misère;

J'en fasse un air populaire !

Où même si ma vie est morne !

En dépassant les bornes !

N'oubliez pas que j'joue au mille-bornes !

Où j'me borne

A accrocher un trombone

Sur ma feuille d'automne

Dans un parfait parfum monotone,

Sur laquelle ! Oh ! Punaise ! J'joue du trombone !

Agrafes que j'agrafe;

Juste ci-dessus en cette fin d'paragraphe,

Dont j'signe et consigne un dernier autographe

Malgré mes grandes fautes d'autographe;

Si bien qu'après que j'ai fumé et enfumé

La dernière cigarette du condamné

En regardant le PAF !

Qu'aussitôt dans un big bang ! J'piaffe 

D'impatience en écoutant Edith Piaf !

D'par laquelle, j'édite mon ultime taf d'cigarettes !

Dans une taffe,

Que j'tafe au taf !

En terminant mes emplettes

Au je d'la roulette !

Dont punaise ! j'accroche un trombone !

Sur ma feuille d'automne 

Dans un éternel parfum monotone !

Dont j'trépasse les bornes !

En je de mille-bornes;

Dont j'agrafe d'mon agrafe,

Enfin un autographe !

Sans fautes d'autographe; 

Dont j'paraphe !

En épitaphe !

Avec un trombone !

Punaise ! J'joue trop du trombone !

 

Jérôme de Mars

Un navigateur qui s'gondole sur l'eau à Venise !

 

Voguer sur l'eau comme un moussaillon;

Equivaut à faire sur l'eau des ronds !

Pourvu que les feux d'artifice reluisent

Un navigateur qui s'gondole sur l'eau à Venise !

En tirant au sort à-tire-larigot !

Avant la fin des haricots !

Purée ! Une purée d'aligot !

Qu'il nous semble que neige fondue sur l'eau,

Engendre en privilège;

Le fardeau des fins mots d'hiver !

Comme dans une musique de chambre !

Qui s'cambre

En apprenant le solfège,

Et en remplaçant l'hiver par des choses légères !

Partout en Italie; notamment avant que s'enlise

Un navigateur qui s'gondole sur l'eau à Venise !

En récitant en vers de flûte des airs de flûte

De pan, qui affûtent en un uppercut !

Que la vie percute et persécute les âmes sensibles;

En touchant leur point sensible de façon plausible,

Impossible n'est pas Français ! Surtout qu'il y a

La fontaine de Trévise et La Tour de Pise;

Qui misent sur les grenouilles et leurs acoas

Vis-à-vis d'un navigateur qui s'gondole sur l'eau à Venise !

Dans les gondoles qui naviguent en eaux troubles !

Pendant que les bateaux rament et redoublent

De vigilance, de prévoyance

Et de prévenance !

Par accoutumances avec sous leur emprise;

Un navigateur qui s'gondole sur l'eau à Venise !

En attendant que les gondoles à Venise s'éternisent !

Avec après l'effet boule de neige ! Les oiseaux volages,

Qui perdent leurs plumages;

En faisant l'amour au sillon

Du tourbillon des âmes égarées dans le brouillon,

Avec en épilogue

Une pirogue

En exergue; puisque somatise !

Un navigateur chevronné qui s'gondole

Sans parabole

Sur l'eau si joliment mise en Seine à Venise !

 

Jérôme de Mars

Jérôme de Mars pirate la Mer Morte au bout du compte !

 

Piratage de compte de sa face de bouc-émissaire;

Jérôme de Mars pirate la Mer Morte au bout du compte !

Où il compte son mal de Mer qui raconte l'air marin !

Que Jérôme de Mars, le corsaire et flibustier n'conte

Pour personne; dont c'est le pire ratage dû à sa colère !

Dont pour lui ! Sa vie n'fut jamais un long fleuve tranquille !

Dans sa vie qu'il raconte en un roman-feuilleton qui sourcille

A l'emporte-pièce, en balançant à-tue-tête que le monde

Est mesquin et radin en eaux de boudins !

Si bien que Jérôme de Mars pirate la Mer Morte au bout du compte !

Pourvu qu'il conte

Sur quelqu'un; pour qu'il entende son ras-le-bol !

Puisque personne avec lui n'tient paroles !

D'un piratage du bout du compte

Au pire ratage très à bout du conte !

Dont Jérôme pirate en corsaire et flibustier;

Les contes de fais dix vers qui piratent à l'échauffourée

Et à l'effarouchée, Jérôme de Mars en son acompte !

Quand Jérôme de Mars pirate la Mer Morte au bout du compte !

Comme maintenant, il n'pirate son compte de face de bouc-émissaire !

En ayant supprimé son conte des revers d'sa colère !

Dont après tout ! Il n'manquerait plus qu'ça que Jérôme de Mars;

Mange un Mars sur la planète de Mars le même moi de Mars,

Où tout l'monde avec Jérôme de Mars; s'attend à tout avec lui !

Quitte à ce qu'il pirate inouï

La bande Eiffel on the Radio; en envoyant des ondes positives

A ce monde aux micro-ondes négatives,

Et dont à bon entendeur; pourvu que tout l'monde soit sûr de bonnes ondes

Et sur la même longueur d'ondes !

Avant la fronde qui gronde en ce monde !

Quant en acompte

Au bout du compte !

Jérôme de Mars pirate la Mer morte

En une mère forte,

Très à bout du compte !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

J'ai une chienne de vie !

 

Nom d'un chien !

Tout l'monde m'parle comme à un chien !

A moi, le moins que rien;

Dans ma vie qui dévie

Or ! J'ai une chienne de vie !

Parce-que j'n'arrête pas d'me prendre des gamelles

Dans ma niche fiscale !

Or ! Ma mère d'ses mamelles,

J'ne m'en démêle 

D'tout ce pêle-mêle !

Or ! J'ai une chienne de vie !

Parce-que j'n'arrête pas d'me prendre des gamelles

Dans ma niche fiscale !

Que j'déniche frontal

Sans ma mère et ses mamelles

En moi; le moins que rien !

Qui n'pense qu'à avoir l'air marin !

D'son mal d'mère qui lui fait

Avoir du vague à l'âme à boire

Ses déboires à pourvoir !

En effet ! Ma vie dévie à la folie !

Or ! J'ai une chienne de vie !

Parce-que j'n'arrête pas d'me prendre des gamelles

Dans ma niche fiscale !

En cherchant si ma mère avait une adresse e-mail,

Dont vers la fin, je fus l'aidant de ma mère en son email !

Puisque maintenant d'ma mère; il n'en reste que son ossature !

Et dont moi, j'fus contraint

D'être mûr en armure !

Nom d'un chien  !

Puisque tout l'monde me parle comme à un chien !

A moi, le moins que rien !

Dans ma vie qui dévie raidie !

Or j'ai une putain chienne de vie !

Parce-que j'n'arrête pas d'me prendre des gamelles

Dans ma niche fiscale !

En cherchant les mamelles

D'ma mère dont j'ne démêle puisque je m'y emmêle !

Et résultat d'l'addition totale !

En demeurant dans ma déniche fatale

D'ma mère qui est défunte; il ne reste de s'dents que son email !

Duquel j'n'ai jamais trouvé son e-mail !

Puisque nom d'un chien !

Tout l'monde parle comme à un chien !

A moi, le grand moins que rien !

Dans ma vie qui dévie vers l'hérésie !

Or ! J'ai une putain de chienne de vie qui m'ennuie !

Parce-que j'n'arrête pas d'me prendre des gamelles

Dans ma niche fiscale !

Sans ma mère et ses mamelles;

Desquelles j'ne me démêle de tout ce pêle-mêle !

Et résultat de l'addition ! C'est la totale fœtale !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                 Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-que j'ai une chienne de vie ?

-  Parce-que je n'arrête pas de me prendre des gamelles dans ma niche fiscale !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Pour ma pomme !

 

Pour ma pomme ! Oh ! Comme trois pommes ! Tout est pour ma pomme ! Comme le monde est appétit ! Où je garde toujours une poire pour la soif; en m'asseyant sur ma poire, moi qui suis une poire pour tout le monde; tout ça pour ma pomme ! Surtout quand j'ai la banane ! Et que je prends le melon, avec un chapeau melon botte de dur à cuire; tout ça pour ma pomme ! Quand j'ai notamment une pêche d'enfer ! 

En étant sans défense d'avocat ! Tout ça pour ma pomme d'aidant ! En trouvant la bonne datte, tout ça pour ma pomme dépit ! Pressé comme citron; qui n'a plus de jus ! Pressé par mon opérateur Orange ! Lorsqu'il n'y a plus de jus dans ma box Orange, tout ça pour ma pomme d'Adam ! Dès que Clémentine récolte le fruit de son travail comme dans la vie; elle naît mûre ! Puisqu'elle reste souvent dans son coing ! Tout ça pour ma pomme ! Si bien que j'ramène ma fraise en recevant en amande honorable, une pomme d'aidant dure qui n'compte pas pour des prunes ! Et dont la cerise sur le gâteau ! C'est que tout ça soit pour ma pomme dépit ! Le tout dans une déconfiture d'mirabelle ! Et dont les fruits d'mon travail; issus du fruit de mes amours que j'récolte, sont les fruits d'la passion ! Le tout Oh ! Comme trois pommes; tout ça pour ma grosse pomme !

 

Jérôme de Mars

Si j'mangeais des vers d'poèmes !

 

Théorème d'ma vie d'bohème !

Si j'mangeais des vers d'poèmes !

Serais-je un poète maudit,

Ou un poète médit ?

Selon la vie où j'en suis !

Ou selon c'que j'suis dans la vie !

Entre agonie

Et hérésie !

Désabusé ou abusé;

Quand mes excès n'ont fait

Que m'consumer écorché !

Et m'user dans une vie élimée !

Dans ma vie d'bohème !

Si j'mangeais des vers d'poèmes !

Serai-je le même

Dans le carpe-diem,

Ou le requiem ?

Dans ma vie à problèmes !

Si j'mangeais des vers d'poèmes !

Ces vers donneraient-il

A mes vers

Des vitamines;

Ou à mes revers

Des choses qui m'minent

Ou m'enveniment ?

Or ! Ma vie est-elle une mise en abîme

Ou une vie qui rime

Dans l'confort d'une clim ?

Si jamais je parsème

Le bien

Dans mon destin manichéen,

Serais-je un poète qui a le blues;

Ou un esthète qui trouve des débouchés

Dans sa vie sans ventouse

En un robinet à idées ?

Dans ma vie d'bohème !

Si j'mange des vers d'poèmes !

A m'en démanger le système !

Trouverai-je un théorème ?

Pour que la vie, je l'aime

Et qu'elle m'aime

Dans le carpe diem !?

Et au point d'ma vie où j'en suis.

Si je trouve un stratagème

Que la vie

Vaut vraiment la peine d'être vécue !

Pourrai-je avoir une vie résolue

D'tous mes problèmes ?

Si j'mangeais des vers d'poèmes ! ?

En réussissant à résoudre le théorème;

D'mon avenir et d'son inconnue !

Et si dans ma vie, j'n'étais plus perdu !

Mais ravi et ébloui !

A nouveau par la vie !

Malgré ce qu'j'essuie !

Comme déconvenue,

J'me demande si j'serais parvenu !

A disposer d'un totem !

Avec pour emblème;

Que machinalement, j'rentrerais

Dans le système !

Et si à tout jamais, je sème

Un parfum qui puisse revigorer !

Et réinsuffler ma vie d'bohème !

Quitte à m'en démanger

Mes excès !

Si je n'arrivais jamais 

A crever l'abcès !

Serai-je encore plus solitaire;

Ou solidaire

Dans ma vie d'bohème ?

Si à cause d'mon œdème

Et d'mon emphysème !

J'mangeais des revers d'poèmes !

 

Jérôme de Mars

Si on faisait un beatnik en fumant d'la havane !

 

Havre de paix à la Havane;

Si on faisait un beatnik en fumant d'la havane !

On ferait un pique-nique dans la savane !

Avec les babas cools à la cool qui s'pavanent !

Où on sifflerait hippie pie hourra !

En voyant les étoiles de notre snif en éclats !

Car si on faisait un beatnik en fumant d'la havane !

On flirterait peace and love à la Havane !

Rejoints par nos camarades bourgeois et prolos !

A fumer le bédo en communion entre affreux jojos,

En regardant voler les oiseaux dans la savane;

Dans l'union libre des babas

Cools, tout béats

A la cool qui s'pavanent !

Et dans un Havre de paix à la Havane,

Si on faisait un beatnik en fumant d'la havane !

On roulerait avec des joints les caravanes !

Dans la brousse;

En ayant la frousse !

Où on ferait un pique-nique dans la savane !

A chanter l'amour, la paix et la liberté !

Peace and love ! Hippie pie hourra !

Où on pousserait des cris de joie !

Avec des filles de joie,

En étant les rois

Le temps d'une journée;

Dans la fraternité,

La bonté et la beauté

D'la vie !

Même si c'n'est pas toujours si joli !

L'paradis naturel !

D'où si on faisait un beatnik en fumant d'la havane !

Dans notre Havre de paix à la Havane !

On volerait point haut !

Dans les paradis artificiels !

Qui paraissent quoique superficiels !

Dans une vie bien matérielle;

Puisqu'un jour ou l'autre, il faudra

Pareils; quitter cette Terre en flânant dans l'au-delà !

Le temps qu'on hait sur Terre ! Or ! Il faut la siroter !

En en profitant avec volupté,

Et dans la légèreté

La plus réelle;

Malgré les sorts d'notre monde individuel

Et virtuel,

Dont avant d'partir en fumée !

Quitter notre destinée !

En mourant à p'tit feu !

Et si en attendant de rejoindre Dieu !

Si on en profitait depuis notre Havre de paix !

A fumer, en fumer; enfumer et en fumée

Le bédo

Et la havane

A La Havane !

Dont on en ferait notre credo !

En faisant dodo vers l'eldorado;

Et si on faisait un beatnik en fumant d'la havane !

Avec les babas cools à la cool qui s'pavanent !

On irait siffloter et siffler hippie pie hourra !

Où l'on serait en éclats d'cris de joies !

En voyant les étoiles de notre snif en éclats !

Tout en prenant notre pied avec des filles de joie !

Dont on serait les rois pour le restant de l'humanité,

Et si en toute quiétude;

Il y avait à l'étude

Un amour en union libre par tous, qui ferait

Que tout l'monde fornique

Comme en 69 !

Où l'on ferait tous ensemble un 69 !

En faisant un pique-nique dans la savane ! 

Sous d'torrides tropiques !

Ainsi, on flirterait pour tous !

Par tous

Dans l'égalité !

Tous pareils !

Avant d'aller au ciel !

Dans un peace and love intemporel;

Où maintenant ! Ca y est ! On pourrait

Partir en paix ! Sans regrets vers l'immensité

D'l'infini ! Après avoir fumé le calumet d'la paix !

A La Havane !

Si jamais on faisait radieux

Tous ensemble un beatnik enfumant d'la havane !

 

Jérôme de Mars

Les comètes commettent les toiles qui dorment à la belle étoile

 

D'après la chanson étoile des neiges;

Il y a un effet boule d'neige en un privilège

Avec une étoile de mer qui dévoile

Des étoiles !

Sur Hollywood Boulevard,

Quartier du trottoir micro notoire

Sur lequel les comètes commettent les toiles

Qui dorment à la belle étoile;

Etoile du berger,

Hébergé et berger

Par les étoiles qui suivent le troupeau

Des moutons d'Panurge; 

Qui purgent et expurgent

Le bas d'laine de leur manteau,

Dans lequel les comètes commettent les toiles

Qui dorment à la belle étoile;

Telle une étoile filante

Et défilante

Dans le ciel bercé de rêves,

Si bien que les étoiles attendent une trêve !

En espérant dénicher en magasin la galaxie

Des étoiles luisantes

Et reluisantes;

Qui pavanent et arpentent la voie actée

Et tractée 

D'ce magasin qui redoute la galaxie

Des étoiles et leur frénésie !

En quête d'un système solidaire

Vers la lumière !

A travers laquelle les comètes commettent les toiles

Qui dorment à la belle étoile,

Aux berges 

De jeunesse à presque quarante quatre berges; auberges

De genèse de ces étoiles éphémères,

Qui rappellent que les étoiles sont de passage sur Terre !

En sonnant le glas d'ces étoiles en toile;

Si bien que quand la nuit, le ciel s'voile !

Les comètes commettent un ciel quatre étoiles vers les toiles

En dormant à la belle étoile.

 

Jérôme de Mars

 

Jim gueule !

 

Bégueule,

Jim gueule !

Et chante

D'par sa belle gueule !

Son jingle

Dans un jingle bel !

Qu'il vante !

Dans son single

Dans un Jingle Bells !

Où Jim gueule !

D'par sa belle gueule !

Lui, le bégueule,

Où Jim gueule !

Et chante 

Dans son jingle;

Son single

Qu'il invente !

D'un jingle bel

A un Jingle Bells !

D' par sa belle gueule !

Lui, le bégueule;

Où Jim gueule !

Son jingle

Jingle bel !

Dont il chante 

Et vente

Dans son single

Jingle Bells !

Dont lui, Jim gueule !

D'par sa belle gueule,

Son côté bégueule

Et son côté grande gueule;

Dont il engueule

Son jingle

Jingle bel !

Qu'il dégueule

Dans son single

Jingle Bells !

Qu'il invente !

Lui; Jim gueule !

Qui chante,

Vante;

Vente,

Invente;

Evente,

Et vante

D'par sa belle gueule !

Son mauvais côté bégueule !

Qu'il gueule

Lui; Jim gueule !

Qu'il engueule

Dans son jingle

D'un jingle bel !

Et qu'il dégueule

Dans son single

D'un Jingle Bells

Dont Jim gueule !

Son côté bégueule !

D'par sa grande gueule !

Qu'il engueule

Dans son jingle

D'un jingle bel !

Dont il dégueule

Son single 

Dans un Jingle Bells !

Qu'il chante;

Déchante,

Invente;

Vente,

Vante;

Evente

Et vante

Dans son jingle

D'un jingle bel

A son single

Jusqu'à un Jingle Bells

Car Jim gueule !

Très fort pléthore

Dans le transistor !

 

Jérôme de Mars

Crasse et paillettes !

 

A l'instar des étoiles;

L'strass et paillettes

Est la star des étoiles !

Crasse et paillettes !

Qui fait des emplettes

Au coin d'la couette !

En faisant des couettes;

Très tirées par les cheveux !

Limite légers et soyeux !

Dans la salle

Des non propres

Sobres, 

Qui valent

L'strass et paillettes;

Qui feuillette

La crasse et paillettes !

Qui égale 

A l'instar des étoiles,

La star des étoiles !

Naguère des étoiles;

Qui permet d'aller à la guinguette

D'un bal-musette,

Sans strass ni paillettes

Mais dans la salle;

Où la crasse et paillette !

Met du Monsieur Propre !

Pour s'en laver les mains

De ce même refrain !

A la recherche des gens sobres,

Dont c'est du propre !

De laver dans la salle

La crasse et paillettes !

Dans l'strass et paillettes

A l'instar des étoiles;

Qui égrènent la star des étoiles !

Qui trace et paillettes

Dans l'strass et paillettes,

La crasse et paillettes !

On trace sa route !

Dont on strasse sa banqueroute !

Dont on crasse la déroute !

Sans aucun doute !

Et sans strass et paillettes !

Dont on trace la planète !

A l'instar des étoiles;

Qui font la star des étoiles

Et qui commettent

Vers les comètes,

La guerre des étoiles 

Dans la très grande salle;

Grandement crasse et paillettes !

 

Jérôme de Mars

Les roubles bipolaires

 

Appel d'air

En Ukraine;

C'est la roulette Russe

Sous casaques Russes,

A chaque jour suffit sa peine !

A travers les roubles bipolaires;

Qui un coup jettent la pierre

Aux Ukrainiens,

Et qui l'autre coup rejettent la pierre

Aux Russes;

Pourvu qu'ils sussent

Que les roubles bipolaires !

Sont un appel d'air

En changeant d'air !

Tantôt en étant en froid incendiaire,

Ou tantôt en ayant sa chaleur polaire !

A faire peur aux puritains

Les plus Russes;

Ou les moins Russes

Aux travers des Ukrainiens,

Qui sussent que quiconque n'a tort

Ou raison !

Juste un peu d'oraison

Des plus retors;

Avec dans cet appel d'air

Les roubles bipolaires,

Qui appellent à l'aide aux volontaires

Sur La Terre de leurs ancêtres

De tout leur mal-être

Aux travers des troubles bipolaires,

Un coup tout le monde s'entend !

Et tantôt plus personne ne se comprend !

Entre beau temps 

Et orage grisonnant; 

Comme la vie n'est un long fleuve tranquille !

Dans la ville

De Kiev,

Ou qui rêve

D'un monde meilleur;

Pacificateur et enjoliveur,

Où tout le monde serait en roue libre !

Afin que tout le monde ne vibre

Dans la peur !

Mais soit dans la ferveur;

Juste avec des femmes belles

Et sans aucune sentinelle,

Et dont lors d'un imminent prochain

Appel d'air !

Il serait bienvenu d'invoquer que L'Ukraine

Et La Russie soient des frères de lumière !

A travers la lumière;

Plus à l'ombre !

Mais au nombre

D'aucun jour qui suffit sa peine !

De manière à débuter de réjouissantes semaines

Plus sous je joug de la roulette Russe,

Mais en rentrant dans les Papyrus

Entre Ukrainiens et papys Russes;

Qui sussent

Qu'il faudrait qu'il n'y ait plus jamais de froid polaire,

Mais une chaleur incendiaire

Pas en allumant le feu;

De sorte à rallumer radieux

Et joyeux

Un nouvel appel d'air !

A travers les roubles bipolaires

Devenus les troubles bipolaires.

 

Jérôme de Mars

J'bois un ver aux acolytes anonymes !

 

Après avoir trinqué d'ma santé à La Fabrique;

Je trinque à ma santé que j'refabrique !

En prenant un ver avant que ça s'envenime en acronyme,

Et que ça décime !

Mon patronyme;

Dont j'bois un ver aux acolytes anonymes !

Après que ma mère ait bu un verre aux alcooliques anonymes !

Ce qui écime

La vie d'ma mère qui m'a rendu névrotique,

Loin d'la ville frénétique !

D'mes grands-parents maternels qui n'perdaient point Le Nord !

Aux rebords d'ma vie à tribord !

Où j'bois un ver aux acolytes anonymes !

Pour dessoûler ma vie que ma mère a soûlé

Et enivré dans les abcès d'ses excès;

Dont malgré que j'ai pris d'la bouteille sédentaire !

J'envoie d'mon mâle de mère une bouteille à la mère !

En quête d'sens !

Et décence !

Dans un nouvel itinéraire

De mon fin fond imaginaire

En une belle vie pour m'remettre aux vers des acolytes anonymes !

Et plus aux verres des alcooliques anonymes,

Qui abîment mon patronyme; synonyme

D'une vie durablement éméchée en acronyme,

A laquelle j'bois un ver aux acolytes anonymes !

Plus dans une mise en abîme !

Mais pour que ça rime

Avec une vie qui n'me soûle

Parmi la foule !

Même que ma mère s'est jadis soûlé avec des verres de bière;

Dont moi, j'attends mes derniers vers de mise en bière !

En prenant d'la bouteille à partir d'mon ivresse dans la liesse;

Pour oublier cette vie maudite et ses rudesses en hardiesses !

A ma mère ! Dont ses verres furent sa richesse intérieure !

Alors que pour moi, mes vers sont une richesse

Pour prendre des largesses

Avec mes conflits intérieurs !

Pour en faire quelque chose d'réparateur !

Dont j'prends un dernier ver à la santé

De ceux qui ont contribué à trinquer d'ma santé !

A La Fabrique bureaucratique

Et technocratique !

Dont pour que les verres d'ma mère ne me soûlent

Aux alcooliques anonymes !

Servez-moi un ultime ver avant que les vers me bouffent

En esbroufe;

Symptomatique et névrotique !

Afin que pacifique,

Et sans aucune mise en abîme

Parmi la foule;

J'boive un ultime ver aux acolytes décidément très anonymes !

 

Jérôme de Mars

 

En vers la lumière

 

D'l'ombre à la lumière !

Entre ombre et lumière !

Quiconque a des côtés sombres !

Et des côtés clairs !

Qui sont au nombre;

Dont il faut mettre en vers la lumière,

Pour river d'la colère

Vers la lumière salutaire

Et prospère !

Déjà que la vie sur Terre !

Est hélas trop souvent délétère

Et mortifère !

Mais dont il faut mettre en vers la lumière;

Quitte à montrer

Et à démontrer

Le ver à moitié plein !

Qu'à moitié plaint !

Quitte dans une chimère

Démise en jachère !

Pour prouver que la vie 

Est ce qu'il y a d'plus chère sur Terre !

Malgré qu'il y ait des nuits d'agonie,

Qui rendent la vie ennemie

Le temps d'une nuit !

Or ! Il vaut mieux mettre en vers la lumière;

Vers la lumière

Et vers sur la lumière !

En vers et vers ce qu'il y a de plus prospère !

Pour rendre le monde d'avantage populaire !

En prouvant qu'il y a malgré tout des choses bien sur Terre !

Entre certes ! Boire un coup ses déboires au comptoir du bar !

Et l'autre coup boire à l'espoir aléatoire,

Abreuvoir d'belles histoires en quête de ses idéaux linéaires !

Qui n'sauraient être du fond de notre imaginaire !

Dont il vaut mieux démettre sa colère,

Et la mettre en vers la lumière

Au clair de la une;

Qui n'comptera pour des prunes !

Pour passer des moments réels

Et plus dans le virtuel d'un monde sans pareil,

Où manque l'soleil !

Car il y a trop d'oseille !

Or ! Nul n'remplace le soleil au clair !

Dont il vaut mieux mettre en vers la lumière;

Dans la lumière, vers la lumière;

Vers sur la lumière et en vers sur la lumière,

En allumant le lampadaire ou le réverbère

A la place d'ouvrir le frigidaire;

Qui est le reflet criant 

Et flagrant

D'la misère dans la vie,

Alors qu'il vaut mieux une chimère dans la nuit !

Pour la rendre éblouie

Et épanouie

En vers la lumière;

D'l'ombre à la lumière,

A l'ombre d'la lumière;

A l'ombre d'sa lumière,

Entre ombre et lumière

Pour faire rêver en frères d'lumière;

Comme les frères lumière 

A des années-lumière d'la misère !

D'la vie qui surgit on l'espère éphémère !

Avec de préférence volontaire une chimère,

Entre frères d'la lumière !

Où il vaut mieux allumer la lumière

Dans cette pièce sinistre noire !

Pour transformer l'désespoir

En un étendard;

Horizon vers un monde extraordinaire !

Dont il est devenu juste nécessaire

De mettre en vers la lumière,

Vers la lumière; sûre la lumière,

En mettant dans la lumière

Un monde extraordinaire

Sans frontières;

Où tout l'monde se côtoie similaire,

Et salutaire sur la Terre

Populaire en mettant la lumière;

D'l'ombre à la lumière,

A l'ombre d'la lumière;

A l'ombre d'sa lumière,

Entre ombre et lumière;

Dont il faut toujours veiller 

Et surveiller

A mettre d'la lumière,

Vers la lumière, 

Vers sûre la lumière;

Sur d'la lumière !

En remplaçant la colère

Par un clair d'lumière,

En vers la lumière.

 

Jérôme de Mars

J'paye cher les vers d'mes poèmes !

 

Tout compte fait !

En tenant compte que j'ai déclaré forfait !

J'paye cher les vers d'mes poèmes !

A boire un ver solitaire

En péchant d'mes revers solitaires;

La défaite en vers laquelle j'paye ma méchanceté gratuite,

Qui n'est d'acompte aux conséquences fortuites !

Comme j'n'ai plus de fiches de paye; même

Que j'vis dans l'carpe diem !

Du fait que j'paye cher les vers d'mes poèmes !

Même qu'à chaque fin de mois, j'fais ce que j'aime !

En y faisant les comptes au GEM !

Alors que je préférerais boire un ver solidaire !

Que ce soit au GEM;

Ou bien en regardant la série Clem,

En y discutant de la vie; d'ses tenants

Et d'ses aboutissants,

En refaisant la Terre !

Puisque je compte adhérer au Modem !

Pas forcément le Modem

De l'opérateur Orange; qui m'presse !

Et m'stresse !

Dont j'paye cher les vers d'mes poèmes !

D'par l'addition salée,

Tapée sur la note salée acidulée

D'un piano;

Sur lequel je compose ma parano

Et ma mégalo,

Puisque je j'aime

Le GEM !

En préférant un coup y boire un ver solitaire

En composant mes poèmes;

Et tantôt boire un ver solidaire

En occultant mes revers solitaires

Autour d'un ver de bohème,

En respirant le vin prospère

Et en m'enivrant de pain, de terre et de mer

Malgré les bourrasques d'ma colère;

Et les frasques d'ma vie en solitaire,

Dont malgré tout ! J'aime le j'aime

Au GEM !

En y buvant des vers solidaires !

En discutant de poèmes

Et de bohème;

En oubliant

Un instant

Mes revers solitaires,

Dont prenez en compte ma vie d'vieux célibataire !

En pêchant cette fois-ci mes vers salutaires;

Et en m'tirant les vers du nez incendiaire

En voyageant autour d'la Terre !

Comme un avant-goût d'inventaire !

Dont même si ma méchanceté naît gratuite !

Elles, les conséquences d'mon état délétère;

Perdurent dans une mélancolie fortuite qui m'délite !

Avec pour vie d'bohème !

D'l'emphysème et d’l'œdème

En une vie pas loin des chrysanthèmes,

Dont depuis mes nuits dans mon ombre

Entre ombre et lumière;

Fait que régénère

Mes vieux côtés sombres,

D'où ma pénombre s'enlise comme les cons génèrent

Mes congénères !

Dont j'paye depuis toujours très cher

Et trop cher

En inventaire !

Duquel je pêche

L'vers de mes poèmes.

 

Jérôme de Mars

J'en tambourinais la machine à lover !

 

Lascar académie;

Avant je regardais la star Académie  !

A haut débit !

En m'en lavant les mains !

Quitte à oublier le refrain

D'la machine à laver,

Qui fait que j'en avais pété un câble !

Qui m'accable !

Que j'en ai déroulé

Un tapis rouge;

Qui bouge

En fumant des roulés,

Que j'en tambourinais la machine à lover !

La machine à aimer l'amour et à faire l'amour !

Quitte à en rajouter toujours;

Tel un parolier manouche,

Qui paraît louche !

En prenant par l'dos d'la cuillère !

Les travers de sa colère;

Dont il faut lover

Sa rancœur !

En ayant bon chœur !

Et en chantant tous en chœur !

Le refrain de l'amour,

En ayant une parole de troubadour;

Dont même en mettant en marche la machine à laver,

J'en tambourinais la machine à lover !

Si bien que je roulais les joints en pétant un câble;

Qui m'accable

De la machine à laver quitte à aimer !

La machine à lover !

Quand j'en tambourinais la machine à lover !

Rénover en tapant sur le tambour d'la machine,

Qui m'machine en écoutant le groupe Indochine !

En y lavant son ressentiment avec d'l'assentiment;

Afin que ça devienne des sentiments conciliants !

Pour laver son linge sale;

Plus en infâmie !

Mais en famille !

Qui rassemble les personnes fondamentales,

Dont d'cette machine à laver;

J'en fais une machine à lover !

A rouler, à enrouler

Et à dérouler des roulées

En pétant un câble,

Qui m'accable;

Si bien que j'en tambourinais la machine à lover !

A lover et à aimer

Les gens, 

Avec sentiments et assentiment;

Dont l'plus important !

Fut que tout cela soit réciproque

Sans équivoque baroque,

Mais en jouant du bas rock !

Pour délaver

La machine à lover !

Et laver

Les gens malfaisants

En en faisant des gens bienveillants !

Puisque je m'en lave les mains

Du moindre refrain !

Quitte à m'en rendre déplaisant !

D'avoir été si complaisant !

Avec les gens !

Dont prochainement;

Si à nouveau je pète un câble !

Qui m'accable,

Je saurais qu'il faudra que je fasse marcher

Et ne plus faire disjoncter

La machine à laver !

Même que j'en tambourinais la machine à lover !

A aimer et à lover !

Ici joints; les joints enjoints et rejoints !

En fumant des joints !

Qui jazzent manouche

D'mes paroles farouches !

En roulant, enroulant

Et déroulant

Le tapis rouge;

Qui bouge

La machine à laver !

Si bien que pour aimer et lover

Cette machine à sentiments, assentiment !

Mené tambour battant !

Que pour la rénover;

J'en tambourinais accords et accords la machine à lover !

 

Jérôme de Mars

 

Quand les araignées dorment à la belle toile !

 

Et toile de la grande ourse !

Brodant du tissu social;

Il y a des araignées qui peignent leurs toiles !

Lorsque les araignées ont leurs ours !

Quand les araignées dorment à la belle toile !

Et toiles filantes fauchées et déchues,

Pour la gloire de leur vie dissolue;

En sortant leurs griffes d'ours,

Lorsque les araignées ont leurs ours !

Et qu'elles peignent leurs toiles !

Quand les araignées dorment à la belle toile !

Et toiles de neiges !

Avec pour effet boule de neige;

Le privilège du sacrilège,

Si bien que c'est la course

Aux étoiles;

Qui dévoilent

Ceux ou celles qui ont des ressources,

En prenant à la source

Et en trouvant à la source

La source de leurs ressources;

En brodant du tissu social,

Et toile de la grande ourse !

Du lieu où les araignées font leurs courses !

Aux et toiles !

Lorsque les araignées ont leurs ours !

Et quand les araignées dorment à la belle toile !

Elles suivent la toile du berger !

Et berger, héberger

Par la constellation des étoiles !

Pour penser en arrière-pensée

A leurs idées d'un autre temps préconçu;

Survenu et toiles filantes, fauchées et déchues

Pour la gloire brisée de leur vie irrésolue,

En ressortant leurs griffes d'ours;

Lorsque les araignées ont leurs ours !

A l'étoile de la grande ourse !

Où elles font leurs courses

Aux étoiles,

Qui dévoilent

Les toiles;

Dont les araignées peignent leurs toiles !

Qu'elles dépeignent aux et toiles !

Quand les araignées dorment à la belle toile !

Dans un ciel quatre étoiles,

En décrochant dans le guide Michelin l'ultime et toile;

Tissant du lien social

Avec en tout et pour tout des et toiles filantes,

Et défilantes

En prenant à la source !

Et en trouvant à la source

Leurs ressources !

Dans une course

A l'étoile de la grande ourse !

Lorsque les araignées ont leurs ours !

En signant de leurs griffes d'ours;

Et toiles des neiges !

Y a un lien de cause à effet boule de neige !

Dont c'est un grand privilège

D'accéder à la gloire des et toiles,

Fauchées par la faucheuse de la gloire; étoiles

De la grande ourse,

Qui fait une dernière course

Aux étoiles;

Lorsque les araignées achèvent de peindre leurs toiles !

Dans un ciel très quatre et toiles !

Quand lors de leur dernière nuit les araignées dorment à la belle et toile !

 

Jérôme de Mars

Reggae !

 

Indolent;

Insolent,

Somnolant;

Et déambulant !

Y a du reggae !

Dans un havre de paix,

En fumant le calumet de la paix !

Et en sirotant une bière !

Avant d'faire la guerre !

Et dont tant qu'il y a du reggae !

Le monde est gai !

Avec des gens gays;

Qui égaient

Ceux qui font le guet !

Aux aguets

Avec pour volupté,

Le joli de moi de mai !

En offrant du muguet

Au travers d'un havre de paix !

Peace and love;

Qui rénove

Ce monde aux aguets !

En faisant le guet

Pour rendre les gens plus gais,

Qui égaient

Les gens gays

Dans un élan retrouvé

De fraternité !

Envers le reggae

D'un havre de paix !

S'dandinant d'légèreté;

A travers ce monde de guerre

En colère !

Aux travers d'ce monde décimé

Qui bégaie,

Ecimé et élimé à valdinguer

A cause du système déséquilibré;

Dont pour canaliser

En paix !

Ce monde dans la volupté !

Et la fraternité !

Face à l'adversité !

Mettons du reggae !

En rendant les gens gays,

Plus gais !

En faisant le guet !

Et en contribuant

A vivre dans un monde avec d'avantages

De tolérance !

Afin qu'il soit aux aguets

D'la résilience !

Et plus à l'abordage !

Or ! Y a urgence !

Qu'il y ait un havre de paix !

Avec du muguet !

Lors d'un joli mois de mai;

Et dont pour que ce monde rame

Dans ce slam !

Il faut s'y mettre à ramer avec une pagaie,

Pas gaie ! 

En rendant les gens plus gais

Et gays

Dans d'l'amour

D'velours !

Aux aguets

Et en faisant le guet !

Pour la énième fois dans d'lavolupté 

D'un havre de paix;

Puisque pour partir dans une bouffée

De fumée en paix !

OTAN fumer en écoutant désormais

Du reggae !

 

Jérôme de Mars

Conflits d'intérêt !

 

 

Voici une p'tite saynète sur L'ESAT La Fabrique à Vitry sur Seine où Jérôme B, un ancien agent de production de l'atelier conditionnement a eu beaucoup de crises de folie avec certains de ses collègues quand il était à L'ESAT La Fabrique à Vitry sur Seine :

 

Jérôme B donne rendez-vous à Vitry sur Seine au café Le Palace en fasse de chez lui avec ses anciens collègues de L'ESAT La Fabrique à Vitry sur Seine :

 

Jérôme B, un ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique :

-  " Bonjour mes anciens collègues de L'ESAT La Fabrique, en souvenir du mauvais temps trépassé dans cet ESAT, je vous paye à tous un café frappé, frappé des revers de ma plume qui a fait couler beaucoup d'encre où j'y ai laissé des plumes dans cet ESAT de merde dans lequel certains d'entre vous m'ont dit que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT La Fabrique puisque le silence était d'or car la parole était d'argent dans cet ESAT pourri, dont je vais vous en faire un pot pourri, en payant un pot à chacun d'entre vous après avoir payé plein pot à L'ESAT tout ce que j'ai pris dans la gueule avec vous; dont avec certains, je croyais que c'étaient des potos roses alors qu'en fait, j'étais tombé dans un guêpier de pot aux roses, la preuve, que je ne vous en tiens pas trop rigueur; comme les derniers temps à L'ESAT, il n'y avait plus d'endroit où se reposer au cas où un agent ferait une crise; je vous paye à tous en plus d'un café frappé, un café allongé, la preuve que je ne suis plus en froid avec vous et que je ne fais pas de la méchanceté gratuite même si je l'ai payé assez cher tout cela, j'aurai pu vous le faire payer tout ça avec tout ce que vous m'avez fait, et autant que vous le sachiez, le café, c'est ma tasse de thé alors que pour d'autres, le café, ce n'est pas leur tasse de thé même si c'est pour faire salon de thé !  Sandrine R, pourquoi m'as-tu dit plusieurs fois qu'à L'ESAT, tout le monde s'en foutait de moi ?  "

 

Sandrine R, une ancienne collègue à L'ESAT La Fabrique :

-  " Jérôme si je t'ai dit cela, c'est parce-que tout ce qu'on te dit, tu le prends pour argent comptant étant donné que de côté, t'as de l'argent content !  "

 

Jérôme B, un ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Pourquoi Christian S, quand à chaque fois qu'on a été ensemble à la décharge de Vitry avec le chauffeur-livreur, m'as-tu toujours dit pousse-toi ?  "

 

Christian S, un ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :

-  " Parce-qu'avec les autres collègues du conditionnement, tu faisais toujours de moi, un portrait à charge, et en plus; je ne t'appréciais pas, si tu savais ce que je m'en fous de toi, voilà la raison pour laquelle, je te faisais tout le temps des coups de pousse, en te martelant :  " Pousse-toi !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Voici comme preuve par laquelle; tu ne m'as jamais donné de coups de pouce ! Katia L, pourquoi une fois au SAMSAH/SAVS de Vitry, m'as-tu dit que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT La Fabrique ?  Alors que toi à L'ESAT, tu faisais sans arrêt des crises de nerfs !  "

 

Katia L, une ancienne collègue à L'ESAT La Fabrique :

-  " Si je t'ai dit cela Jérôme, c'est parce-que la guerre en l'occurrence ma guerre des nerfs dans cet ESAT était du fruit que j'avais du mal à y arriver financièrement notamment quand à L'ESAT La Fabrique; je suis passé à mi-temps, car comme on dit, l'argent est le nerf de la guerre tellement que moi, je me demandais ce que tu fabriquais dans cet ESAT à part fabriquer des mises en boîte de moi sur Facebook ! "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  " Pourquoi ma foi Christine Foy, m'as-tu dit aussi que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT La Fabrique ? " 

 

Christine Foy, une ancienne collègue à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Ma foi Jérôme si je t'ai dit cela; c'est parce-que tu n'avais plus foi en rien car il était une fois; où ce n'était pas la première foi, quelquefois, toutefois, d'autrefois à parfois et en plus, tu sais Jérôme, personne ne s'en rappelle t'avoir dit que tout le monde s'en foutait de moi à LESAT à part l'avoir dit une fois, car l'agent n'a pas d'odeurs !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Coralie O, pourquoi quand à l'atelier conditionnement quand je me rongeais les ongles, m'as-tu dit aussi que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT La Fabrique ?  "

 

Coralie O, une ancienne collègue à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Parce-que je n'avais pas à te défendre bec et ongles contre tout le monde même que t'avais rubis sur ongle par rapport à ce qui te rongeait !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Pourquoi Steven I, quand je te propose de boire un verre avec toi au café au Palace en face de chez moi, me réponds-tu toujours on verra ?  Alors que là, tu es venu au café boire un pot avec moi et tous mes anciens collègues ! "

 

Steven I, un ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :

-  " Tout simplement Jéjé, pour qu'on trinque à notre santé après que tu aies tant trinqué de ta santé à L'ESAT, la preuve que tes déboires, tu ne nous les fais pas payer ! Car même si ta méchanceté n'est pas gratuite, c'est une fois plus, toi qui vas payer pour tout le monde l'addition salée !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Avec tout ce que vous m'avez dit chers anciens collègues de L'ESAT La Fabrique, on est au café à boire au comptoir tous mes déboires avec en pourboire des conflits d'intérêts pour que je paye une fois de plus pour tout le monde déjà que j'ai déjà assez payé cher comme ça tous ces conflits d'intérêt ! Or maintenant il est leurre de régler la totale de l'addition salée !  "

 

 

Jérôme de Mars

C'est la mer à boire le vague à l'âme !

 

D'ma parano,

J'ai les mots mégalos !

Où j'y mets des mots

Sur mes maux;

Dont c'est la mer à boire le vague à l'âme !

En fond musical d'ma vie qui est un slam,

Qui clame

Ce bordel d'mélodrame perpétuel;

Qui est un drame !

Où j'suis au bout du rouleau compresseur !

Et où je tiens le coup à couts de surdose

D'antidépresseurs, en renvoyant l'ascenseur

Envers les gens qui sont comme moi

Dans mes névroses;

Où m'manque la foi !

Dans laquelle l'absence d'ma mère

Me manque et me planque

Dans ma planque !

Comme OTAN d'la calanque !

Dans laquelle j'cavale l'air !

A Cavalaire !

Parce-qu'ici-là ! Ma mère s'planque !

Où depuis son absence,

C'est la mer à boire le vague à l'âme !

Imbibée de déboires cap vers l'urgence !

De mes côtés paranos;

Puisque nul n'me comprend synchro

Dans mes névroses,

Qui frôlent le burn out dans ma vie !

Qui naît rose !

A chaque tréfonds de la nuit !

Et où depuis qu'ma mère

N'est plus là ! Car au cimetière !

J'ai le blues dans ce slam !

Qui réclame une bourrée d'ratatam  !

En tapant c'slam sur du tam-tam !

Et où c'est la mer à boire le vague à l'âme !

En guises d'déboires dans ce slam;

Quand j'suis au creux d'la vague !

Qui drague et élague

Mon mal de vivre intemporel,

En allant à la pêche de l'essentiel

D'une vie qui cherche le calme tranquille !

Et pas la came qui fourmille

D'impatiences; afin que rame

La méchanceté pour qu'elle vacille,

De sorte que la paix intérieure arrive

Sûre le quai; Ok de quelque chose qui n'dérive !

Si bien que d'ma mère qui est dans l'au-delà !

Et qui naît plus là !

OTAN en faire quelque chose

De positif de mes névroses !

Grâce à ma poésie qui clame et déclame

En ce slam !

Qu'du blues où j'en suis, s'ensuit !

Malgré que j'suis au bout du rouleau-compresseur !

Que j'peux en faire un meilleur traitement de ma vie

Dans ma vie !

En prenant au sens figuré des antidépresseurs,

Dont ma mère qu'elle soit là !

Ou dans l'au-delà !

Qu'il y a vraiment urgence !

Que j'accède à la résilience

De par ce slam !

Malgré que ca a toujours été la mer à boire cet ineffable vague à l'âme !

 

Jérôme de Mars

Le printemps la redoute la galaxie !

 

D'Italie de

A Italie II !

Entre eux

En magasin;

Le printemps la redoute la galaxie !

Entre banqueroute et frénésie,

Quand il y a des nems dans les magasins !

Et quand les nems ont les magasins !

Avec du beurre dans les épinards !

En mettant en boîte les conserves;

Pourvu qu'on serve

L'argent aux clients qui veulent le beurre,

L'argent du beurre et le sourire de la crémière !

Dont le printemps la redoute la galaxie !

D'Italie de

A Italie II;

Avec pour rencards, 

L'argent qui roule ici joint 

Avec des pétards !

Que s'allument les clients 

Aux allées du magasin comptant leur argent;

Entre fumer des joints

Et jouer du tambourin,

En écoutant d'la musique à La FNAC !

Lorsque les artistes font leur concert

Au pays des anges;

Pendant que les vendeurs de La FNAC,

Rangent du tac au tac

Les CD; avec en même temps les musiciens

Qui arrangent !

Les clients d'un magasin

De chaussures avec en magasin,

Ceux qui ont trouvé 

Chaussures à leur pied;

Dont le printemps la redoute la galaxie !

D'Italie de

A Italie II,

En habillant pour l'hiver

Les vendeurs; ainsi que les clients

De ces magasins de vêtements,

Afin qu'ils soient conciliants ou véhéments

Avec pour alimenter les discussions;

Le magasin d'alimentation

Carrefour Market pas au carrefour

De la rue, mais où tout le monde s'fourre

D'Italie de

A Italie II,

Car de la frénésie à la mélancolie !

Le printemps la redoute plus que jamais 

La galaxie !

Jusqu'à provoquer la banqueroute

Sans aucun doute.

 

Jérôme de Mars

Tout l'monde chante le printemps !

 

A la maison;

Comme à la maison !

Y a un refrain, empreint tant

De printemps !

A chaque saison

De métaphores;

Qui font du folklore !

En chantant les refrains

Du temps,

Enfreint et empreint !

Quand tout l'monde chante le printemps !

A rouler les R' !

En tapant du tam-tam;

De toute cette vie qui est une trame,

Mené; emmené et ramené tambour battant !

En claquant

Des mains !

Au moindre p'tit refrain !

Applaudissant et reluisant

Le temps où y a du beau temps !

En pianotant le clignotant

Des voyants qui sont aux verts !

Ouverts, en offrant un bouquet

De primevères;

Quand tout l'monde chante le printemps !

En écoutant l'une des quatre saisons

De Vivaldi empreint tant !

Dès l'illumination !

Du printemps en résurrection,

Jalonnée de lueurs;

Avec que du bonheur !

Du bout des mots !

A pianoter et à taper

Sur le piano

Mégalo avec en mégas lots,

La vie dans un eldorado;

Loin du Colorado,

Quand tout l'monde chante le printemps !

En harmonie avec le temps

Synchro; amoureux du magnéto

En enregistrant la mélodie du temps,

Qui court au cours de la saison

Du printemps des amours !

En roulement de troubadour !

En offrant au Troquet la rose

De Pierre de Ronsard; dont dispose

Au bout de l'horizon,

La saison

A venir du temps;

Quand tout l'monde chante le printemps !

Empreint tant

De tant de tendresse,

Avec la foule en liesse;

Et pour que l'orchestre

Soit le Ménestrel 

D'la ritournelle !

En faisant s'envoler les tourterelles !

Pourvu que l'printemps soit pédestre !

Dans un appel d'air !

En partant du bon pied !

Avec au bout de l'horizon,

Cette belle et magnifique saison

En cette chanson;

Comme à la maison !

Du temps empreint tant !

Et en un hip hip hip hourra !

V'là la chute du groupe Niagara !

Empreint tant

De tant d'amour !

Signé l'implacable troubadour,

Quand tout l'monde chante si bien

En refrain enfreint;

Le joli printemps !

 

Jérôme de Mars

 

La danse des cagnards

 

Contre danse des canards !

C'est la danse des cagnards;

Qui regarde le soleil

Du bout de ses orteils,

En faisant couler son mascara

Et son Rimmel;

Face aux éclats du soleil,

A la carte merveille !

Qui bat d'immenses éclats;

Projetés réfléchis dans un rayon X !

Comme du temps X !

Que tout le monde observait,

Captivé par tant de créativité;

En contre danse des canards !

Dont ce fut la danse des cagnards,

Avec le soleil qui tourne autour

De La Terre qui vaut le détour !

Qu'éclipse lunatique;

L'éclipse frénétique

En mettant le soleil !

Dans la lune d'étincelles,

Dont en roulement de tambours;

V'là désormais un de ces jours !

En contre danse des canards !

La grande danse des cagnards.

 

Jérôme de Mars

Le lac des cygnes qui regardent les ballerines danser !

 

Danse du cagnard

Avec la danse des canards;

Il y a le lac des cygnes qui regardent les ballerines danser !

Or ! Il n'y a pas le feu au lac avec des consignes pour condenser

De par la grâce de leur apothéose,

Surtout quand l'eau remue leur vague à l'âme de façon éclose !

En donnant naissance

Et résilience

A toute la quintessence des cygnes qui aiment se dandiner

Et pavaner leur derrière dans une danse des canards;

Face à la danse du cagnard

De par leur souplesse avec agilité,

Qui aime se balancer

De tout ce qui se passe en résumé !

En recevant des consignes pour condenser

Le lac des cygnes qui regardent les ballerines danser !

Sur l'eau de fil en aiguille; qui leur vibre libre

Et funambule, en tentant de garder leur équilibre;

Tels en souriant aux rats de L'Opéra de Paris !

Qui leur va sciemment avec aisance qui éblouit

Le lac des cygnes qui regardent les ballerines danser !

Or ! Il faut se méfier de l'eau qui dort !

Surtout en des métaphores comme dans un vieux transistor !

Recevant pour consignes qu'il faut condenser

La danse des canards en leur faisant cygnes,

Or ! La danse du cagnard leur donne pour consigne !

Qu'il faut l'insigne !

Dont l'un signe !

En ayant pour consignes qu'il faut à n'importe quel prix condenser

Le lac des cygnes qui regardent à la folie les ballerines danser !

 

Jérôme de Mars

Le cœur distant !

 

Lâche bête !

Lâche-toi !

Si t'es lâche toi !

En ayant lâche bête !

Au Kurdistan;

T'as le cœur distant !

Et la rancœur dix temps !

Et pour avoir le cœur pur !

Il n'faut garder de la rancœur épure !

Dont au Kurdistan,

Tu as le cœur distant !

En n'ayant d'la rancœur dix temps !

Dont toi même si t'as lâche bête !

Si tu enterres l'hache bête de guerre !

Et bien tu n'aies lâche bête depuis naguère !

Et surtout lâche-toi !

Si tu n'es plus lâche toi !

Après que tu aies enterré l'hache de guerre en tête !

Et de ce fait lâche depuis naguère que tu n't'entêtes !

Au Kurdistan;

Dont malgré que tu aies quelques rancœurs dix temps !

Aies au Kurdistan des temps !

Un grand cœur non distant mais détends !

 

Jérôme de Mars

Robinet à vannes

 

Voilà un robinet à vannes sur le GEM de Vitry :

 

1)  Malgré que je sois une personne handicapée; je n'ai pas une calculette à la place du cœur; la preuve au GEM de Vitry, je suis le comptable solidaire du GEM de Vitry sur qui on peut compter !

 

2) Avec Walid, je parle souvent de ses maraudes avec les sans-abris; histoire d'alimenter la discussion !

 

3) Quand l'atelier poterie reprendra au GEM de Vitry, je boirai un pot avec Raphaël !

 

4) Si un jour; j'ai pour toc de faire couler beaucoup le robinet à eau au GEM de Vitry et qu'on me vanne sur ça, c'est que j'aurai fait couler le robinet à vannes !

 

5) Si un jour au GEM de Vitry, on me propose de faire un dessin; vu que je suis nul en dessin, je ne pourrai pas dessiner et je trouverai comme motif que je ne sais pas dessiner !

 

 

6) Même que j'écris une pléiade de poèmes au GEM de Vitry, je n'ai jamais fait couler beaucoup d'encre à tel point que je jette souvent l'encre !

 

7) Y a pas longtemps pour l'anniversaire de Philippe B, je lui ai offert un jeu de cartes pour jouer cartes sur table avec lui sans que ce soit la bataille avec ce cher ami !

 

8) Quand tous les adhérents au GEM de Vitry parlent de politique; moi, comme je m'en fous de la politique; je parle de l'apolitique !

 

9) Malgré que Philippe B a eu pour consigne à l'issue du CVS du GEM de Vitry de vérifier les deux extincteurs, y a pas vraiment le feu à la maison avec une sortie sans issue !

 

10) Si un samedi midi au GEM de Vitry après le repas; tout le monde se met à jouer à plusieurs jeux de société en même temps, on finira par se demander à quoi tout le monde joue !

 

11) Si un jour, Walid et tous les adhérents du GEM de Vitry vont au Palais des Sports Maurice Thorez à Vitry sur Seine pour faire un ping-pong; si jamais moi, je suis absent pour cette activité sportive; et bien moi pour rattraper le coup, je ferai un ping-pong verbal avec Walid par des échanges de répartie pour bien renvoyer la balle !

 

12) Au moins au GEM de Vitry, tout le monde peut se voir en peinture car personne ne sort jamais du cadre comme Walid nous encadre si bien au GEM de Vitry !

 

13) Si jamais un jour au GEM de Vitry; il y a un adhérent en grandes difficultés psychiques qui n'est ni gentil ni méchant, c'est-à-dire entre les deux à cause de sa vie qui n'a jamais été du gâteau ! Et bien de ce fait pour qu'il devienne une crème encore meilleure; on l'aidera à passer d'une crème fouettée à une crème futée !

 

14) Pas besoin que j'aie un téléphone portable écran tactile pour être heureux; la preuve j'ai un téléphone portable ultra simple comme au GEM de Vitry, j'ai pour unique mobile le lien social !

 

15) Si à chaque fois que Walid passe un film avec le rétroprojecteur dans la salle cinéma du GEM de Vitry au 1er étage et qu'en même temps, il met Eddy Mitchell en fond musical pour qu'il y ait une bonne ambiance; on pourra dire que Walid n'attend jamais la dernière séance pour faire tout cela à la fois !

 

Jérôme de Mars 

 

 

Les hirondelles prennent le printemps sous leurs ailes

 

Amoureuses folles des paroles de ces ritournelles;

Les hirondelles prennent le printemps sous leurs ailes,

Même qu'une hirondelle ne fait pas le printemps !

Mais favorise propice à ce qu'il y ait du beau temps !

Dans les jardins secrets de l'humanité;

En resplendissant de volupté,

Le plaisir absolu !

Qu'ont les gens à asseoir leurs mariages

Sur les bancs publics parmi les inconnus

En des ramages;

Qui fleurent bon la belle saison !

Du printemps comme dans une chanson !

Qui perd son plumage,

Quand les hirondelles chantent en binôme

Avec les tourterelles; dont il y a le syndrome 

De leurs atomes crochus

En une amitié ambiguë,

Entre amour et amitié !

Face au regard indifférent

Des gens passant

Autour de l'allée !

Dans un quartier de Paris

Sur l'avenue en très galante compagnie;

Où tout le monde met les charentaises !

Et prend ses aises !

En regardant voler les oiseaux qui ruissellent;

Or d'antan à maintenant !

Les hirondelles prennent le printemps sous leurs ailes

En même temps temps que les tourterelles,

Qui appellent à la divinité du ciel

En recherchant la vaste passerelle; 

Qui emmène spirituelle

Vers un monde meilleur en un printemps à tire d'ailes,

Songeant à la saison universelle au pluriel

A partir de laquelle comme les tourterelles,

Les hirondelles prennent définitivement

Le printemps

Sous leurs ailes.

 

Jérôme de Mars

Passeur d'musique dans l'dernier métro

 

Evadé rétro satané !

Comme un dernier tango

A Paris !

Il y avait l'ange fabuleux;

Qui incarnait le rôle somptueux

D'un passeur d'musique dans l'dernier métro,

En faisant un OK chorale de la tête;

Luit l'instar esthète !

Qui entonnait des chansons,

En jouant au son d'l'accordéon !

La valse à mi-temps !

Puisque Brel est bien !

D'par son refrain d'entrain;

Qui retentit sur la rame

Du dernier métro,

En marchant

Et en foulant

Le Paris Paname !

En applaudissant de ses mains

De par un grand bravo !

Chassez le naturel !

Il revient au galop !

Esquissant à pas d'rétro !

En dansant deux pas d'mambo;

Un slow langoureux

Sûr des ritournelles

D'un passeur d'musique dans l'dernier métro,

En patientant ardemment

Et en jouant passionnément

Avec superstition !

Les partitions

D'l'orgue de Barbarie

Près de Notre Dame de Paris,

En happant captivants

Les mots;

Qui défilent sur la rive droite

Et la rive gauche à Paris !

Dans les couloirs du métro,

En cherchant d'la ouate !

A travers ce slam

D'un passeur d'musique dans l'dernier métro;

En attendant le tram

Sur la rame

De cette trame,

En fredonnant des airs hardis

D'un paradis;

Comme de Françoise Hardy

A Vanessa Paradis

En un rappel

De sa sacrée radio nostalgie !

En jouant du pipeau

Et du banjo !

Qui ordonneraient au chaos

De parvenir à un eldorado !

Qui abreuve

La vie qui est un long fleuve

Tranquille ! En des mots honnêtes !

Aux net

Plus ultra !

Disposant de prodigieux instruments extras !

Lors du mariage de la carpe et du lapin,

Sans poser d'lapins !

Et sans en perdre son latin

Au quartier latin;

Pas d'quartier latin !

Et en simultané !

Rendez-vous en instantané !

En tirant votre coup de chapeau

Au passeur d'musique dans l'dernier métro.

 

Jérôme de Mars

 

Si ce groupe de musique accordait ses violons...

 

Violons d'Ingres !

En Indre

Et gloire;

Si ce groupe de musique accordait ses violons...

Il jouerait du violoncelle !

Sans casser d'la vaisselle

A l'orée des quatre saisons,

Puissance et loir !

En n'se reposant sur ses lauriers !

Et en attendant un jour un trophée !

Avant que la machine à laver démarre son tambour;

Mené tambour 

Battant, en jouant d'la guitare

Dans la fanfare et le tintamarre

Des je de troubadours,

En jouant de la contrebasse !

Sans faire de messes-basses;

En faisant des percussions 

Et en disant flûte !

A tout ce monde qui aurait des revers de flûte !

Si ce groupe accordait ses violons...

Car accordait, raccordait ses violoncelles

Sans faux orchestre de fosse d'orchestre,

Dont le chef d'orchestre

Mène ce groupe à la baguette magique

A basse de paroles frénétiques;

En faisant du tam tam...

Et en ayant une baisse de régime hippopotame,

Bourrée et rembourrée ratatam...

Avec en faisant des répercussions;

Des joueurs de pipeau

Et de banjo,

En sifflant à l'harmonica

Toutes les chansons !

Que ce groupe insuffle à p'tits pas...

Et si ce groupe accordait ses violons...

Sans doute qu'il réussirait

A recharger ses batteries !

En jouant d'la batterie !

Et en rejouant d'la batterie !

En faisant tomber des confettis;

Pendant qu'en Indre et Loire

Pour la gloire !

Ce groupe jouerait son violon d'Ingres !

Avec du violoncelle

En contrebasse,

Sans faire de messes basses

En roulement de tambour;

Sans tambour ni trompette...

Si bien que les mots

De ce groupe feraient jazzer

De la clarté à l'obscurité !

Surtout que le groupe aurait le blues !

Afin que tout le monde s'mousse !

Avent que ce groupe s'émousse

A la house...

Et si ce groupe accordait ses violons...

Sans doute qu'en cordée,

Il serait premier de cordée;

Accordé; car accordé, raccordé

Dans une piochée; dont c'ne serait

La panacée de chercher 

De midi à cette heure de la journée !

Dont en appelant les bœufs-carotte,

Improvisons en faisant un bœuf à la marotte !

En suant comme des bœufs; dont leur fricote

Un air sur la tête qui leur trotte !

Et dont en performances 

Sans substances,

Pourvu que tout le monde puisse s'accorder !

Car accorder, raccorder à l'accordéon

Dans la joie à l'unisson !

Si tout ce groupe de musique accordait

Et raccordait jusqu'à l'effusion tous ses violons...

 

Jérôme de Mars

Interro sur prises, le piano note mes notes salées jouées au piano !

 

Arbre planté-là ! Qui cache la forêt !

En faisant un p'tit boulot

Sur un bouleau;

Je me demande répartie !

Si en autarcie !

Et en reprises;

Marie Laforêt

A fait des reprises !

En interro sur prises,

Et si en pièce à portée

Et rapportée;

Le piano note mes notes salées

Jouées au piano !

Quitte à surjouer, surjouées

Ces notes salées

Dans un raz-de-marée salé !

Sûr joué dans la mélodie

En sous-sol !

Sans bémol

Du dernier métro

Dans un joyeux bordel;

De méli-mélo

En cette ritournelle,

Qui chanterait elle

Avec une chanterelle;

Etirée jusqu'à la corde usée

Dans la discorde décorée,

Et ornée;

Emprises

En interro sur prises,

Et si le piano note mes notes salées

Jouées au piano !

Accordé car accordé et raccordé

Aux mots de l'envers du dico;

En restant maître de son destin !

Et en ayant toutes les cartes en main

Dans un regain de popularité

En indu de notoriété !

Sans méprises,

Mais avec mes prises

En reprises;

Et si en interro sur prises,

Le piano note mes notes salées

Jouées au piano !

Avec l'arbre qui cache la forêt

Dans une forêt noire !

A moins que ce n'soit du gateau

Pour Marie Laforêt !

Si elle joue en répertoire;

Ce standard très standard,

Très millimétré et calibré;

Façon de parler et d'interpréter

Ce standard en étendard !

Avec en prises et reprises,

Une interro très sur prises;

Dont le piano nota,

Nota bene,

Mes notes salées;

Jouées, surjouées; sûres jouées;

Enjouées et en jouées

Club, manu militari

En synchronie

Dans un raz-de-marée

Au piano.

 

Jérôme de Mars

 

 

Fais dix vers !

 

Divers et variés;

Fais dix vers !

Monotones et d'hiver

En un sonotone divers,

Dix vers et revers !

En un refais dix revers;

Et fais dix vers !

En défaits d'hiver,

Divers et avariés;

Dont tu as fait dix vers !

 

Jérôme de Mars

Les grenouilles chantent coa la nuit ?

 

Nuit tombée aux retombées éblouies !

Les grenouilles chantent coa la nuit ?

A part interpréter et réinterpréter

Ce qu'elles savent en jouer, enjouées

Des aurores jusqu'au soir !

A fredonner les chansons 

De leur répertoire;

En dégustant dès la nuit tombée

Un buffet à volonté !

En écoutant les grenouilles 

Sur le balcon,

Comme à la foire fouille !

Voir ce qu'en chansons; elles trifouillent

Pendant la nuit où les convives s'débarbouillent !

Lorsque le jour, le soleil barbouille le ciel

De ses crayons de couleur ravis !

De dessiner et de redessiner la vie;

Epanouie, et lors d'un soir ragaillardi ;

Les grenouilles chantent coa la nuit ?

A part écouter et réécouter le groupe aqua

Au sujet de quoi ?

Bien évidemment !

Dont imminemment 

La nuit, les sunlights dansent accomplis

Avec la boule à facettes;

Après tout ce qu'ils ont enduré ! 

En ayant les boules à fossettes !

Et pendant que du mirador

A dehors,

Tout le monde dort jusqu'aux aurores !

Dès la nuit hardie; 

Les grenouillent chantent coa la nuit ?

Peut-être qu'elles entonnent Françoise Hardy !

En attendant qu'il fasse jour dans la vie !

Dont le soir est souvent endolori,

Et le jour fleuri;

Quand le cador 

Chante aux aurores !

Après que tout le monde, il dore et redore !

Et au fait; y a-t-il des métaphores

Au paradis ?

Lorsque les grenouilles chantent la nuit !

Et sinon à quoi 

S'attendre en écoutant le groupe Aqua ?

Quelquefois, toutefois  !

D'autrefois à d'autres fois, 

Si arrive la nuit aguerrie !

Et que la nuit; les gens en sortent guéris !

Et au fait, pour que les gens sourient 

A la vie;

Les grenouilles chantent vraiment coa toute la nuit ?

 

Jérôme de Mars

 

Le matin, j'allume le soleil et le soir, j'éteins le soleil !

 

Nectar de lumière au p'tit matin !

Dès que se lève le jour Byzantin !

Halte sur le temps libertin;

Empreint très boute en train !

Où au moindre refrain,

Le matin, j'allume le soleil

Et le soir, j'éteins le soleil !

En entonnant mes ritournelles;

Et en faisant des ronds et des clapotis

Sur l'eau, afin que la pluie se taise !

Et fasse rester le soleil

Sur la terre glaise !

En abordant bien l'accalmie,

Où le matin, j'allume le soleil

Et le soir; j'éteins le soleil !

En espérant revoir le soleil,

En bagatelle

Dans la lune

Qui elle;

Ne compte pour des prunes

Pour le soleil !

Malgré que tard

Sans fard !

Coule son Rimmel,

Lorsque surgit la nuit !

Qui l'ensevelit parmi

Les oubliés de la vie;

Ainsi que va et vient !

Les aléas du temps qui prévient

Que le matin, j'allume le soleil

Et que le soir, j'éteins le soleil !

A l'arrivée de la nuit,

Où je m'élève à leste !

Avant un nouveau lendemain;

Où le soleil se lève à L'Est !

Avec moi de l'oseille de ma jeunesse

A la carte vermeille de ma vieillesse,

Dont la genèse conte que le matin;

J'allume le soleil en un jeu d'or

Et que le soir, j'éteins le soleil en hein, je dors !

 

Jérôme de Mars

 

 

Faisons la cour, pas la guerre !

 

En faisant l'amour par devant !

En prenant les devants !

Ou en faisant l'amour par derrière

En assurant ses arrières !

Il faut aller de l'avant !

Sans regarder en arrière ! 

Et pour faire passer le temps

Faisons la cour, pas la guerre !

Et pour avancer droit devant !

Faisons l'amour à pas de naguère !

Où l'amour est un océan;

Qui surfe dans la nouvelle vague,

Qui élague 

En allant à la drague ! 

De l'essentiel cheveux dans le vent !

Avec le cœur volcan;

Pour rallumer les feux de camp

A temps loin derrière !

Et avec l'art et la manière,

Faisons la cour, pas la guerre !

Même si il faut à la foi mettre des barrières !

Et démettre les barrières !

Faisons l'amour à pas de naguère !

Où les cheveux voguent sur l'âme !

En peine dans la mer des larmes qui slament;

En coulant toute la peine d'un pareil mélodrame,

Qui vogue 

Dans un long monologue

Sur la pirogue

De l'exode rural ! 

Dans ce slam écrit original !

Et pour assurer ses arrières

Sans regarder en arrière !

Faisons la cour, pas la guerre !

Et avec l'art et la manière

Dans ce monde à l'envers !

Faisons l'amour à pas de naguère !

Qui came 

Ce slam

En excès tout-puissant !

De la croyance des innocents impuissants;

Et dont pour réclame

Dans la cour des grands !

Faisons l'amour devant, à pas de naguère !

Et pas derrière avec des garçonnières !

Et dont pour assurer ses arrières;

Sans regarder en arrière par derrière !

Faisons en grand la cour et plus la guerre !

 

Jérôme de Mars

Si un manouche fumait des gitanes...

 

En fumant une taffe de cigarettes

A son taf aux emplettes;

Si un manouche fumait des gitanes...

Il jouerait avec les gauloises

En chantant des paroles grivoises,

Sur d'la musique qui dépanne

Son cœur qui bat la chamade !

A force que le manouche y fredonne

Ses ballades;

En complaintes qui donnent !

Auxquelles s'adonnent ses paroles

D'ancien ado,

Avec pour gros mots

Ses vieilles farandoles;

D'où il avait avec les tziganes

Des bouffées d'oxygène !

Qui lui disaient fumée ! Cela n'me gène !

Et si un manouche fumait des gitanes...

Il aurait pour bouffée à volonté des tziganes

Pour y fumer le calumet de la paix !

En racontant ses voyages de volupté,

Où il prenait son pied dans sa caravane

En y chambrant les gens du voyage !

Car à Vannes;

Ce manouche très louche faisait 

D'la musique sauvage !

En tant que trublion qui pétait

La forme conforme,

Anti-conforme; 

En y chantant des chansons paillardes

Sur des paroles légères hagardes, 

Et dont enfumant son avant-dernière taffe

De cigarettes; et bien et paf !

Si un manouche fumait des gitanes...

Il enfumerait les tziganes

Dans un écran de fumée qui dépanne

Ses fans les plus mélomanes;

Dont lui est mégalomane

Dans un style dépareillé,

Et bariolé 

Complètent barré;

Genre chic contrecarré

En un look loufoque !

Dont il en faisait du baroque

A cela ! Qui semblerait une génération de fans

De tziganes !

Surtout si un manouche fumait des gitanes...

Avec les mélomanes et les mégalomanes,

Qui ferait qu'émanent

Yes et man !

Des paroles grivoises;

Enfumant, en fumant des gauloises !

Entre Françaises et tziganes

Sur d'la musique de fans !

Qui jouxterait et man !

Yes man !

Qui ferait qu'émane !

Une dernière taffe de cigarettes

A son taf aux si innombrables emplettes,

Dont le tout rassemblerait un arsenal de fans;

Mélomanes et mégalomanes,

Dont lui aussi mégalomane;

D'autrefois avec les tziganes !

Si toutefois un manouche 

Fumait encore farouche

De si gauloises enfumées de gitanes...

 

Jérôme de Mars

Chantons en faisant s'envoler les L !

 

Oiseaux aux ailes brisées qui battent de L;

La musique fait battre L

A elles toutes ces femmes entre L,

En dessinant sur des trombes d'eaux à L !

Des aquarelles chantées en ritournelles;

En déployant les L !

Chantons en faisant s'envoler les L !

En faisant du zèle

Et des L,

En lisant le magazine L !

Et en prenant sous nos L !

Les L;

Attire D'L !

En un envol à la tire D'L !

Avec les hirondelles

Et les tourterelles

Avec des chanterelles,

Chantons en faisant tourner les L !

En un bourdonnement D'L

Dans une ribambelle

Repartie de plus bel;

En rendant chèvre la bêle,

En s'faisant belle;

En s'faisant la belle

Et en s'refaisant la rebelle !

Dans une vie si rebelle

Et pour rouler les L !

Chantons en faisant s'envoler les L !

Sans déconfiture de mirabelle,

Avec des fleurs de pimprenelle

En écoutant la musique décibels !

Qui est celle

En son escarcelle;

Pour remettre en selle

Dans un grain de sel,

Qui scelle

Les L;

Qui nous mettent du plomb dans L !

Et dont pour réconcilier les femmes, L

Et les oiseaux et leurs L

Sans oublier le L;

Chantons en faisant voler,

S'envoler

Et survoler de si bel les L !

 

Jérôme de Mars

Les abeilles butinent le ciel !

 

Nid oui; 

Nid non,

Dans le déni

Des ni !

En nous filant le bourdon;

Les abeilles butinent le ciel !

Et le miel !

Lors de leur lune de miel

En un essaim d'abeilles,

Qui déploie leurs ailes

Et qui donne un grand coup de pied

Dans la fourmilière;

En défoulant leur colère

Après qu'elles aient quitté

Le nid de leur mère,

Dans le déni potion amère

De leur fiel !

Où les abeilles butinent le ciel !

Et le miel !

Lors de leur lune de miel

En un essaim d'abeilles;

Qui tournoie leurs ailes

En faisant du zèle,

Et en regardant en série le miel

Et les abeilles

Au ciel de leur fiel;

Et à faim que les abeilles

Quittent à jamais leur nid,

Elles doivent pour cela être 

Dans le déni !

En envoyant paître

Leur fiel !

Attire d'ailes !

Et sans leur faire 

Un dessin d'abeilles;

Il suffit qu'elles 

Soient en un essaim d'abeilles !

En n'sachant à quel sein se vouer 

Entre elles !

Nid oui,

Nid non;

Pour qu'elles soient dans le déni

Des ni !

En nous refilant le bourdon !

D'un bourdonnement de leurs ailes

Vers le bourdonnement de nos oreilles,

Et puis ! En regardant en série le miel 

Et les abeilles 

Lors de leur ultime lune de miel !

Les abeilles tout en battant de l'aile;

Butinent le ciel !

De leur fiel

Jusque dans leur miel.

 

Jérôme de Mars

Bienvenue à la saison !

 

Nulle part revenu à la raison !

Comme à la maison !

Bienvenue à la saison !

Où la vertu est le reflet de la floraison;

Demeurant le fleuron !

Dont nous effleurons

Il faut savoir raison garder !

A son avantage sauvegardé !

Et préservé revitalisé,

Venu vers la maison du bonheur !

Surtout bienvenue à la saison des fleurs

Dans une ambiance ambiante;

Et environnante

En retrouvant la raison !

A tort et à raison !

Dont la raison est l'oraison !

Du plus fort, n'est-ce-point d'élucubration !

En cherchant à faire diversion !

Car bienvenue à la saison !

Comme à la maison !

Qui repart pour une moisson de médailles,

Telle est le revers de la médaille qui assaille !

Ames sensibles qui vaillent !

Et qui ravitaillent l'amour du travail

Bien fait surfait !

Puisque bienvenue à la saison !

Comme à la maison !

Qui crée avec volupté !

La ferveur de la raison;

Qui fait pression !

Et fait bonne expression !

Si bien que c'est comme à la maison !

Dont la raison est l'oraison de la raison !

Parce-que depuis toujours sans des pressions,

Bienvenue à la belle saison !

 

Jérôme de Mars

Le temps par ciel

 

Il y a une aquarelle dans un arc en ciel

Avec le temps par ciel !

Avant sa mise en examen partielle;

Duquel le temps bipolaire

Se substitue en une alternance

De caractères,

Par intermittence !

Où le temps par ciel;

Aspire superficiel

A un régulateur d'humeur artificiel,

A leurre aléatoire !

Mais dont le temps partiel;

Attend divinatoire

Une mise en examen partielle,

Qui décidera conjoncturelle

Et structurelle;

S'il y a lieu de songer essentiel !

Qu'il y ait le temps partiel

Surplace, pour que le temps par ciel;

Change de plus bel !

D'impatiences

En des résiliences 

Fulgurantes, qui montent dans un gratte ciel

En haut de l'échelle !

Sur l'échelle de riche Terre;

Dont chaque humeur bipolaire

Après un tremblement délétère,

Donne sur le long terme un bonheur linéaire

Du fin fond communautaire;

Après avoir passé son examen par ciel

Lors de sa mise en examen partielle,

Ce qui donne pour résultat de temps partiel;

Le temps très par ciel.

 

Jérôme de Mars

Mamie rénova

 

En écoutant Radio Nova;

Et en chantant en yaourt 

Les chansons de Chantal Goya,

Mamie rénova

Mamie Nova;

En mangeant des yaourts,

Et en chantant en yaourt

Les chansons de Chantal Goya

A son Casanova !

Dont Mamie rénova

Mamie Nova;

En écoutant Radio Nova

En écoutant chanter Chantal Goya;

Et en faisant des tubes à essais

Terra Nova,

Dont seule; Mamie rénova a crée

Les chansons de Chantal Goya

En yaourt !

Qu'elle mange en yaourt

En écoutant les chansons de Chantal Goya,

Dont Mamie rénova

Mamie Nova;

En réécoutant Radio Nova,

En réécoutant les chansons de Chantal Goya,

En regardant en série Terra Nova,

Et en essayant Terra Nova;

Tout en préparant des yaourts

A son cher Casanova,

Qui aime écouter Radio Nova;

En écoutant les chansons en yaourt

De Chantal Goya,

Dont son cher Casanova

Aime manger des yaourts

Et chanter en yaourt

Les chansons de Chantal Goya

Avec Mamie rénova;

Qui rénova Mamie Nova

Sur Radio Nova 

Après qu'elle eut réessayé de regarder à nouveau Terra Nova.

 

Jérôme de Mars

Quand Jacques Prévert ramassait les feuilles mortes à la pelle...

 

En ramassant l'or à la pelle

Lors de chaque appel

De la forêt !

La saison monotone se souvenait

Quand Jacques Prévert ramassait les feuilles mortes à la pelle...

En roulant des pelles

Et en se ramassant des râteaux

Avec l'arbre qui épelle

Le Bescherelle !

En défrichant cette terre en lambeaux

Afin d'en faire un eldorado;

Illuminé par la clarté

Après toute l'obscurité

De ce monde qui part en lambeaux,

Assombri par les sanglots !

Lorsque tout tombait à l'eau !

En se souvenant que le printemps s'appelle

Reviens ! Qui rappelle et se rappelle

Au bout de la pelle du bout de l'appel !

Quand Jacques Prévert ramassait les feuilles mortes à la pelle...

Avec un rappel;

Destiné aux feuilles mortes pour écrire

L'avenir à ne pas désemplir

Le soleil qui lézarde le ciel !

Afin de les mettre en éveil !

Malgré que les tourterelles

Attendent que le printemps les émerveille !

Pour qu'elles y chantent les ritournelles

Par ciel !

Loin de quelque autre monde virtuel !

Dans lequel manque le soleil !

Dont avant l'énième appel de la forêt,

Pourvu que le jardin secret

De Jacques Prévert songe intemporel

Et universel !

A ramasser l'or à la pelle !

Après avoir roulé des pelles

Et s'être ramassé des râteaux !

Dont grâce à l'indéfinissable Bescherelle;

Qui épelle

Et pèle

L'appel de la forêt

En un rappel fraternel,

Avec le soleil;

Qui lance un appel

Au ciel messager,

En défrichant le jardin de l'adversité

Et en l'érigeant en un jardin secret de la fraternité;

De sorte qu'il en dégorge, imprégné

De paix et de liberté;

Si bien que le ciel,

Attend le sommeil solennel

De l'automne à nouveau;

Et le réveil

Du printemps substantiel,

De sorte que le soleil exponentiel

Se réveille officiel

En un printemps universel;

Auquel le ciel sera essentiel

Après avoir tant ramassé l'or à la pelle

Lors de chaque appel de la forêt !

Quand vers l'an millésime, Jacques Prévert venait

De ramasser à l'arrachée les dernières feuilles mortes à la pelle...

En un ultime

Appel magnanime.

 

Jérôme de Mars

L'instinct fraternel

 

Sacrée de vache enragée de mamelles;

J'ai dépits d'instinct maternel !

En n'ayant plus ma mère qui est au ciel !

Et dont en essentiel; j'ai l'instinct fraternel

Aux égards du peuple Français universel,

Plus uni vers celle de l'instinct maternel !

Mais uni vers celle de l'instinct fraternel;

Puisque j'suis une grosse vache corporelle !

En ayant comme vaches maigres ! A la prunelle

De mes yeux, des regrets éternels;

Dont ma peine coule en ritournelles

Avec l'instinct fraternel,

Mais sans l'instinct maternel;

Dont ma mère n'est plus celle,

Dont je dépucelle

Ses souvenirs qui m'amoncellent  

En me conditionnant en des aquarelles;

D'où mes larmes qui ruissellent,

Ne sont des larmes de crocodiles !

Mais des larmes qui scellent

La note salée de ma personnalité;

Aux insanités

Puériles et fébriles,

Avec à la place de l'instinct maternel;

Forcément l'instinct fraternel

Dans un régime mi ciel, mi sel !

En une baisse de régime Missel;

Dont pour que ma mère puisse spirituelle

Voler dans le ciel universel !

De ses propres ailes

Au pays des anges ménestrels,

OTAN des fins de son instinct maternel !

Que j'en fasse quel chose d'universel !

Uni vers sel de l'instinct fraternel.

 

Jérôme de Mars

Etendue

 

Vague à l'âme tendu des tendus,

C'est une vague étendue !

Dont c'est la mer à boire et tendue !

Répandue et étendue,

Mâle entendu malentendu !

Bien entendu;

Dont tout le monde éperdu,

Est perdu !

Avec pour étendue d'étendue

Des personnes et tendues

En malentendus étendus,

Répandus par leurs langues bien pendues

Dans le temps suspendu;

Où quiconque veut en sangsue !

Que tout le monde soit descendu,

Malvenu et dissolu !

En vers un monde irrésolu

Dans l'absolu

Au bout du rouleau de vague étendu !

Dont l'étendue est tendue; étendue !

Bien entendu malentendu !

Qui a bien entendu 

Un mâle entendu !

Avec quelque chose de très répandu,

Pendu par le temps suspendu !

Dont tout ce qui est tendu; étendu

Et tendu en étendue des tendue !

Est bien détendu après l'étendue.

 

Jérôme de Mars

La clé de l'énigme 

 

Voici une p'tite saynète sur le GEM de Vitry au sujet des protagonistes de cette structure de comment résoudre la clé de l'énigme en sachant où est la clé et qui a la clé du GEM de Vitry parmi les adhérents pour fermer le GEM de Vitry le soir à la fin de la journée :

 

Walid B, le responsable du GEM de Vitry :

 

 -  " Les adhérents, je voulais vous dire avant de partir, ce soir c'est Jérôme qui a les clés pour fermer le GEM ! Et toi Jérôme, ça va ?  J'ai remarqué Jérôme que t'es moins renfermé qu'avant !  "

 

Jérôme B, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  "  Merci du compliment Walid, grâce à toi; je suis moins renfermé et plus ouvert avec les autres adhérents depuis que tu m'as confié les clés du GEM, ce qui fait qu'apparemment j'ai trouvé la clé de l'énigme !  Le seul bémol qu'il y a c'est que je ne connais pas la clé de sole pour écrire des musiques sur mes slams !  "

 

Gérald A, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  "  Jérôme, tu ne peux pas trouver la clé de l'énigme sur tout Jérôme, déjà que tu as la clé contact pour démarrer à plein gaz dans ta vie pour être au contact des adhérents du GEM de Vitry; quelque part, tu as trouvé la clé à mollette pour réparer tes p'tits vélos que t'as dans la tête qui te provoquent des tourments; ce qui fait que souvent dans ta vie, il n'y a presque rien qui roule !  "

 

Jérôme B, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  "  Surtout que si tout roulait dans ma vie, je pédalerai dans le vide en étant encore la roue de secours comme la cinquième roue du carrosse !  "

 

Rafaël G, un adhérent du GEM de Vitry :  

 

-  "  Jérôme, tu as moi comme ami sur qui compter, car moi je t'ai bien calculé au bout du compte !  Si tu veux Jérôme devenir exponentiellement plus ouvert avec les autres; ouvre une clé postale à La Poste comme cela il y aura moins de facteurs à risques que tu sois plus renfermé dans cette clé de l'énigme, et tu vois Jérôme si tu ouvres une clé postale à La Poste; tu ne prendras plus tout à la lettre de ce que tout le monde te dit, et comme ça au moins; tu pourras avoir un correspondant ou une correspondante avec qui communiquer sans attendre la dernière correspondance avec toujours un métro de retard en station debout du fait de ton handicap; comme t'as le handicap du moindre mot qu'on te dit, ou sinon tu peux avoir aussi une clé Internet pour correspondre avec ton correspondant par mail au lieu du courrier postal en papier ! Quelque part Jérôme; je pense que t'as trouvé la clé de l'énigme pour être moins renfermé et être plus ouvert ! "

 

Jérôme B, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  "  Je pense que tu as raison Rafaël car je verrouille moins mes relations avec mes amis maintenant dans ma vie !  Au fait, il va bientôt être l'heure que je ferme le GEM car comme Gérald est parti à l'improviste sans nous avertir; je suis le seul qui a la clé pour fermer le GEM ! C'est dans la poche, ma clé !  "

 

Jérôme B cherche dans ses poches sa clé du GEM; il ne retrouve pas la clé du GEM; débute alors un suspense palpitant au sein du GEM de Vitry pour savoir qui a la clé du GEM de Vitry :

 

Jérôme B, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  "  Mince zut ! Je ne retrouve pas ma clé pour fermer le GEM; j'ai bien peur qu'à cause de ça ! De redevenir renfermé et d'être beaucoup moins ouvert avec les autres au GEM; moi qui croyais avoir trouvé la clé de l'énigme de ce qui verrouille ma vie alors que je ferai mieux de verrouiller Facebook; ce que j'ai commencé à faire me semble-t-il ! Rafaël, Dorothée, Philippe B et Bénédicte; auriez-vous vu ma clé du GEM ? "

 

Rafaël G, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  " Je ne sais pas où est la clé du GEM; Jérôme, malheureusement;  je n'ai pas la clé de sole et c'est le seul bémol comme ça fait longtemps que je n'ai pas joué de la guitare en composant une perdition à ta déperdition !  "  

 

Dorothée L R, une adhérente du GEM de Vitry :

 

-  "  Malheureusement Jérôme; j'ai beaucoup cherché partout; je n'ai trouvé aucune clé au GEM pour trouver la clé de l'énigme !  "

 

Philippe B, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  "  J'ai le regret Jérôme de te dire que malgré que j'ai la clé contact avec l'ensemble des adhérents du GEM de Vitry, ce qui fait que dans ma vie tout roule ! Et bien; je n'ai pas réussi à résoudre la clé de l'énigme !  "

 

Bénédicte C, une adhérente du GEM de Vitry :  

 

-  " Jérôme, je pense que j'ai réussi à trouver la clé de ton énigme; j'ai pu in extremis sur la clé de sole du synthétiseur du GEM de Vitry composer sans bémol une musique de partition sur l'un de tes poèmes que tu avais écrit chez moi il me semble sur la musique classique ! Grâce à toi Jérôme, j'ai retrouvé mes gammes très hauts de gammes ! Jérôme, c'est moi qui aie ta clé de l'énigme; j'ai ramassé ta clé au sol, ta clé était tombée de ta poche; je me suis servi de ta clé de sol qui m'a inspiré une clé de sole pour composer une musique sur de tes poèmes que tu m'avais donné; comme cela au moins Jérôme, j'ai trouvé la clé de l'énigme et comme cela; tu seras beaucoup plus ouvert avec tout le monde; où tu auras à la foi une clé à mollette pour réparer tes p'tits vélos dans ta tête pour qu'enfin tout roule dans ta vie; une clé contact afin que tu te fasses encore pleins d'amis de par ton talent de poète maudit, une clé de sole d'où je t'ai composé une musique en répartition des droits d'auteur entre toi; les paroles et moi, la musique; et grâce à moi, tu auras je pense enfin maintenant de la reconnaissance de pas mal de gens; et aussi tu auras une clé postale ou une clé Internet pour que tu puisses poster, soit par courrier postal ou par mail tes poèmes pour que ça arrive avec accusé de réception à bonne réception en réception de tes amis et de ta famille qui aiment tes poèmes qu'ils lisent lorsqu'il y a des réceptions chez leurs familles ou leurs amis; afin qu'il y ait moins de facteurs à risques que tu aies des problèmes avec la justice à cause de ce que tu publiais et postais sur Facebook; mais comme tu as supprimé tes deux comptes Facebook, je suis rassurée Jérôme car au bout du compte; nous sommes à nous tous tes vrais amis, ton seul authentique réseau social d'amis réels; comme résolution à la clé de ton énigme Jérôme afin que tu sois plus ouvert et moins renfermé avec tout le monde ! Voilà Jérôme, je te rends la clé pour que tu puisses fermer le GEM !  "

 

Jérôme B, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  "  Merci Bénédicte et merci à vous tous, car grâce à vous tous; j'ai trouvé la clé de l'énigme pour être plus ouvert et moins renfermé avec tout le monde en déverrouillant l'essentiel de ma vie dans ma vie, maintenant que je peux ouvrir avec les clés le paradis !  "

 

Jérôme de Mars

Jérôme point net dans la vie

 

La tête dans les étoiles de Mars; Jérôme de Mars est .net@.com, en n'ayant les pieds sur Terre, mais en ayant les pieds sur à terre nette comme Jérôme de mars, dont c'est Jérôme qui s'croît sur Mars ! Com point net dans la vie ! Car point com surtout sa face de bouc-émissaire; qui le rend chèvre ! Dont il a arrêté Facebook avec adresse parce-que Jérôme point net dans la vie; c'est tout .com sa com, dont Jérôme point com; surtout quand il fut internet à Paul Guiraud, l'hôpital qui s'fout de la charité Chrétienne orientale ! Avec pour camisole névrotique point d'internet, puisque Jérôme hait point net dans la vie; à part taper ses nets, saynètes sur Jérôme.net@.com; dont pour que Jérôme reste net sur le net Internet, autant taper et retaper sûr à terre nette; pas Jérôme point net dans la vie point com mais pour la com : Jérôme de Mars.net@.com.

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blague :

 

 

Pourquoi depuis 2 ans Georges Bedrossian, Dominique Bedrossian, Dominique Pruvot, Sébastien Bedrossian, Sabrina Bedrossian et Michel Bedrossian me disent-ils on verra pour fêter mon anniversaire ?

 

 

-  Tout simplement parce-que ma vie n'a jamais été du gâteau ! Ce qui fait que maintenant, je passe la crème fouettée !

 

 

                                        Jérôme de Mars

Le jardin secret d'un jardinier qui cultive l'amour et l'amitié

 

Germes de mauvaises graines !

Pour qu'elles accèdent au jardin d'Eden;

Il faudrait planter la graine !

Parmi de d'innombrables graines,

Afin qu'égrène et parsème !

Le jardin secret d'un jardinier qui cultive l'amour et l'amitié;

De sorte que cela s'dissémine

Et s'achemine

Vers la bonté et la fraternité

Des génies en herbe,

Afin que personne n'se coupe l'herbe

Sous le pied ! Mais trouve le bon verbe;

Qui récolte le jardin secret d'un jardinier qui cultive l'amour et l'amitié

En paix, pour entretenir l'amour et l'amitié; 

Afin qu'elle n'cultive que de fertiles beautés ! 

En plantant le jardin secret d'un jardinier qui cultive l'amour et l'amitié

Pour réconcilier les gens différents !

Et les gens indifférents !

Afin de clairsemer et de disperser,

Par-ci; par-là le prix de la liberté en défrichant

Les malheureux !

De sorte qu'en leur faisant cultiver l'amour et l'amitié,

La fraternité et la solidarité;

Ils deviennent les mâles heureux !

En enterrant la hache de guerre en paix

Et en entretenant le jardin d'Eden,

Qui amène Amen !

Vers le mausolée

D'un jardin secret d'un jardinier qui cultive l'amour et l'amitié.

 

Jérôme de Mars

 

Y a pas de fumée sans feu !

 

Feu Ramon !

Il y a feu ! Un homme qui ramone 

La cheminée !

Feu la cheminée !

Où y a le feu au lac !

Et où y a le feu à la maison opaque !

Puisque y a pas de fumée sans feu !

Quand feu ! On allume le feu !

Et dont en jouant avec le feu !

Ca allume les allumettes !

Avec des femmes qui rallument les mecs !

En mots secs, actifs-passifs secs !

Or y a pas de fumée sans feu !

A part jouer le feu sans raison !

Mais dans la déraison !

Avec en voie d'extinction !

Les feux de forêts; 

Dès l'appel de la forêt !

Or ! Y a pas de fumée sans feu !

A part enfumer mes cieux !

Avec des femmes qui allument le feu !

Et qui rallument faute de mieux !

Le feu à la maison ! Oh ! Laque !

Décoiffant quand y a le feu opaque !

Feu ! Lorsqu'il y a le feu au lac !

Et dont feu à la maison !

Il faut laisser feu !

Allumer les feux de l'amour !

Avec des mots qui sonnent sulfureux !

Enflammant les feux de la passion !

En rallumant feu !

Cette ode de troubadour,

Or ! Y a plus de fumée sans feu !

 

Jérôme de Mars

Après des bleus dans le gris, le ciel sera bleu dans la griserie !

 

Dans le gris du quotidien

Pour faire joli-joli Azuréen !

Il manque plus que la nuit

Ait un gris-gris !

Aux antipodes de la pluie aigrie;

En attendant que passe la nuit !

Et que se lève le jour et gris !

Où après des bleus dans le gris,

Le ciel sera bleu dans la griserie !

Avec un gris-gris

A la place du gris gris de la pluie

Et des nuages aigris;

Tantôt que se dissipera et gris !

Le ciel bleu gris-gris,

Floqué en gris gris !

Avec à présent un gris-gris,

Bleu dans la vie !

Après tous ces bleus aigris

Dans la nuit !

Car après des bleus dans le gris,

Le ciel sera bleu tout le temps

Dans la griserie !

 

Jérôme de Mars

Enfumé, j'aimerais partir en fumée !

 

 

 

 

 

                             1) Enfumé, j'aimerais partir en fumée !

                                  oxygène                                        E 2)

                           d  '                                                        n

                               5 ) Après toutes      9) J'aimerais              

                            e        e                  C 6)    mant  C10)   f

                            é        t                   e          u        a       a

                            f        d                   s          f          s        i

                            f        '                                           s       s

                            u      a                    b          n         e       a

                            o 8) N                    o    12) E         r        n

                            b     goisses ffées U 7)      pipe mA  11) t

                                                         13)    Le

                           e                        16)  De   C  14)           u

                           n                             lumet A  15)           n

                    4)   U 17)  La paix dans une havane de              

                             dans cigarette une fumant en Tabac 3)

                             18)

                          P    

                        a

                      i

                    x

 

     19) Dont enfumé, j'aimerais

                                          20) Partir

                                                    21) dans le broui

                                                                        22)  Llard en

                                                                                      23) Une buée  d

                                                                                                               E 24)

                                                                                                             s

                                                                                                           a

                                                                                                   25) Uvetage

                                                                                                                    26) En

                                                                                                                          F 27)

                                                                                                                       u

                                                                                                                         mée !

 

 

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                            

                           

                                      

                                                        

                                                                                 

 

                                                                                                  

 

                                                                                                                 

 

Quand au printemps, les feuilles rhabillent les arbres !

 

Dévêtus en tombant des nus !

Lors de chaque automne

Au temps suspendu !

Il n'y a plus après l'année monotone

Du dernier automne;

Des oiseaux qui stressent !

Lorsqu'arrive la jolie saison qui laisse

Personne de marbre !

Quand au printemps, les feuilles rhabillent les arbres !

Empreints tant de tendresse

Et de liesse,

En scandant avec le mégaphone; 

Toute leur fougue qu'elles aiment de tout leur amour

Du ciel, orné d'un arc en ciel !

Duquel les oiseaux ménestrels chantent en ritournelles !

Que la vie, c'est planter de belles graines !

Pour qu'égrène dans le jardin d'Eden;

Des madeleines de Proust, afin que pullulent

L'amour des hirondelles; si bien que les femelles ovulent

Après leur avoir bien fait avaler la pilule de l'amour,

De sorte à donner le jour à des nouveaux troubadours;

Où l'amour des hirondelles n'reste de marbre !

Quand au printemps, les feuilles rhabillent les arbres !

En étant expressément et simultanément,

Habiles autant qu'elles habillent et rhabillent

Pour le prochain l'hiver ! Les mots qui parlent l'air de rien !

En attendant le futur printemps

Des boute en train avec entrain !

Qui augurent du mariage à l'unisson des ramages !

Et du temps; malgré qu'il semble irrémédiablement volage 

Jusqu'au temps que les oiseaux perdent leur plumage,

En contant fleurette par adage !

Si bien que les p'tits nouveaux nés lors du printemps;

Seront empreints

Tant d'allégresse, en plantant-là des graines,

Qui parsèment la plus belle semaine

De leur vie; qui n'les laissera jamais de marbre,

Dont ce sera à partir décan ?

Que les feuilles rhabilleront les arbres 

En tombant des nues !

 

Jérôme de Mars

 

 

Omerta mère a raison !

 

Fruit de la passion de son travail !

Afin que personne n's'entaille

Sur la paille !

Il faut briser l'omerta de la raison !

Parce-qu'omerta mère a raison !

Quand grâce à l'oraison !

Omer, ta mère a raison !

D'avoir d'la rébellion

Et de faire la révolution !

Face à la loi du silence !

Qui est l'essence même de l'accoutumance;

Quand tout le monde trouve que c'est normal !

Que les gens manichéens s'fassent du mal !

Dont Omer, ta mère a raison !

De vouloir l'extinction

D'omerta mère a raison !

Du fond son oraison !

Où il faut dire les choses !

Même qu'on ose et qu'on frôle l'overdose !

Parce-qu'il faut œuvrer

Pour le sens de la justice !

En rendant services

Aux pauvres dans leur supplice !

En mettant à leur disposition !

Une office et la police !

En retrouvant l'oraison

Du chemin de la raison !

Dont omerta mère a raison !

De vouloir la fin de l'omerta

Avec éclats !

Parce-qu'Omer, ta mère a raison !

Du fond de son oraison !

Avec après l'action, des réactions !

Mieux que l'inaction en interaction !

Et dont pour passer de la révolution

A une évolution !

OTAN qu'OMER, ta mère donne raison !

Grâce à la voix de l'oraison !

Dont plus que de raison !

Omerta mère a raison !

 

Jérôme de Mars 

 

Agathe, elle gâte tout le monde !

 

Fronde à travers l'immonde,

Agathe, elle gâte tout le monde !

En luttant avec sonde !

Face à ce bas monde !

Qui gronde !

Les nuages gris

Et les mauvais gens en conflit;

Avec la griserie des p'tites gens !

Et dont en allant en fronde !

Agathe, elle gâte tout le monde !

Face à l'immonde qui abonde,

Bonde et inonde

Ce bas monde !

En mettant ici bas une sonde !

Qui vote en fronde,

Afin qu'il y ait un meilleur monde !

En surplace de l'immonde !

Puisqu'ainsi pour faire d'ébat !

Il faut un meilleur monde

En sûre place car y a pas débat !

Face à l'immonde !

Dont dans le but de rassurer 

Tout le monde !

Dans une clarté assurée et réassurée !

Heureusement qu'il reste Agathe qui gronde !

Puisqu'Agathe,

Au moins elle, elle gâte

Tout ce grand monde !

 

Jérôme de Mars

Un bout laid

 

Un déboulé 

Qui a des boulets;

A un bout laid

En un boulet,

Qui a déboulé

En buvant un bout d'lait !

Qui bout olé olé !

Embout au lait au lait

En un bout laid;

Qui est un boulet

En un bout laid,

Qui a un boulet

En un bout lait;

Qui a déboulé

En un boulet,

Qui est un bout laid

En rebuvant un bout d'lait;

Qui rebout olé olé !

Très embout au lait au lait !

En un bout lait,

Qui bout lait

En un boulet;

Qui a vachement des boulets,

Déboulé

D'un bout d'lait  !

Qui est trop à bout olé olé !

De bout à bout au lait au lait !

Qui a des boulets

En un bout O laid.

 

Jérôme de Mars

Un fan de fleurs fane deux fleurs

 

A fleur de peau !

En payant plein peau !

Un fan de fleurs

Fane deux fleurs,

En naissant dans les choux fleurs

Et en mangeant du chou fleur;

Tel un p'tit bout de chou fleur

En habitant Honfleur,

Qui effleure

A fleur de peau !

En payant plein peau !

Manque de peau !

Le pot aux roses

Aux roses qui lui arrosent

Son jardin secret de fleurs;

Lorsqu'un fan de fleurs

Fane deux fleurs,

A fleur de peau !

Qui effleure

Depuis Honfleur

Ses fleurs manque de peau !

Qui sont mal dans leur peau,

En repayant plein peau

Les choux fleurs;

Qui naissent dans les choux fleurs,

Tels des p'tits bouts de choux fleurs !

Manque de peau;

Qui mangent des choux fleurs

En remontant à la racine au cœur

Des choux fleurs,

Qui effleurent un pot

A fleur de peau !

Tels des potos roses;

Qui font des fleurs

Et envoient des fleurs

Dans un pot aux roses !

A un grand fan de fleurs

Qui fane plus que deux fleurs.

 

Jérôme de Mars 

J'ai le mâle de mère depuis qu'elle s'est retirée !

 

Vague à l'âme;

J'ai le vague à larme !

Quand ma vague à l'arme

Rame en slam,

D'où je clame

Parmi les quidams !

Que j'ai le mâle de mère

Depuis qu'elle s'est retirée !

Etirée avec mammaires

Otées; dont c'est ma tasse de thé !

Quand à Noël ! Ma mère !

Aurait pu perdre ses eaux,

Dont finalement ! Elle a éperdu ses os 

Le 20 septembre 1998

Dans un grand huit;

Infini telles les montagnes Russes

De ma vie qui s'écrie sur du papyrus 

A petit feu ! Surtout que j'ai le mâle de mère

Depuis qu'elle s'est retirée !

Et tirée après qu'elle a tiré son ultime coup

Avec le relou,

Dont après que son père

Fit un do ré mi fa sol mineur;

En la jouant mineure

Avec une des amies à mammaire,

Cela provoqua en note salée pour ma mère

Des accidents à l'état majeur !

Surtout des mineurs démineurs du Nord;

Qui n'perdent jamais le nord à tribord !

Afin que les ch'tis aient toujours bonne mine !

Sans que cela les mine,

S'achemine et se termine

Sur la digue des balcons de mammaires !

En n'sachant à quel sain me vouer !

Et me dévouer; dont faute avouée

Est à moitié pardonnée !

Que j'en déduis que j'ai le vague à l'âme

Dans un rouleau de vague compresseur,

D'où je prends des antidépresseurs

Pour rester de bonne humeur !  

Dont avec mon vague à larmes;

Je reste dans le creux de la vague à l'armes !

Dont pour achever ce slam sans mélodrames,

Mais avec mes lolos drames;

Je déclame en réclame !

Qu'à chaque Noël ! Ma mère !

Qui fut préconçue, conçue

Et sue !

Que je sais de qui tenir mammaires !

Si bien qu'après que ma mère fut tirée, étirée

Et tirée ! 

Dans le calvaire de son repaire !

Que ses nuits enfuies

Me rendirent endolori;

D'où je n'fais plus mes nuits !

Depuis que je n'vois plus le jour dans la clarté

De ma vie achevée par avance décompensée,

Dont j'ai le plus grand mâle de mère

Implacable depuis qu'elle s'est vraiment retirée !

Dans un raz-de-marée à tout jamais !

 

Jérôme de Mars

Pair aidant

 

L'aidant de la mère;

Qui s'fait des films !

S'repasse

Pair aidant !

Les dents de la mère,

Si lui est l'aidant 

De la mère !

Avec un père aidant

Lui; le pair aidant !

Qu'il écime

Pour ne pas qu'il décime

Les dents de la mère;

Un père aidant

L'aidant de la mère,

Lui; le pair aidant

La jeune fille

Au paire aidant !

En père aidant

Le fil démêlé

Dans le fils emmêlé,

Dont lui; le pair aidant !

Fait la père aidant

L'aidant de la mère

Dans un impair ah ! Mère !

Aidant un père aidant 

Les dents de la mère !

Dont le jeune fils

Au pair aidant,

A une fille au pair aidant !

Qui ont pour père aidant

Leur grand-père ! 

Le père aidant;

Qui fait décidément

Le repaire aidant.

 

Jérôme de Mars

Quand s'allume plus belle la vie, il y a un si grand soleil !

 

A chaque saison !

Comme dans un roman-feuilleton !

Il y a dans la loi des séries,

Des amis qui s'lient !

Et des ennemis;

Dont les langues

S'délient !

Entre le soleil

Et la pluie,

Qui récolte avec le soleil !

En fruits

De la passion

De son travail !

Des mangues

Et des papayes !

Et qui tantôt avec la pluie !

Tangue exsangue

En un orage qui tarit

Et puits !

Lorsqu'il y a un soleil

Dans la brume !

Lors de chaque floraison

Qui regorge chaque belle saison !

Si bien que quand s'allume

Plus belle la vie,

Il y a un si grand soleil !

Qui remplace l'amertume !

De chaque carte vermeille

Par l'oseille du soleil !

Que recèle la vie !

Au moindre recel lors de la nuit !

Qui écrit et réécrit de sa plume !

Chaque enclume

Qu'il y a dans chaque roman-feuilleton !

De ces deux séries

D'après la loi des séries en série !

Afin que la poésie s'marie

Simultanément en embellie ou endolorie !

Tantôt à l'état d'harmonie; d'euphorie

Et de mélancolie !

Si bien qu'en ces jours prochains !

A partir de demain, de lendemains,

De surlendemains et de sûrs lendemains !

Il y aura soudain au p'tit matin !

L'arrêt officiel de plus belle la vie !

Dans un si grand soleil

Avec des étincelles !

Et dont pour alléger toute amertume !

Il restera en accalmie !

Quelques merveilles d'un si grand soleil !

Si bien que quand s'éteindra plus belle la vie !

S'allumera et se rallumera un si grand soleil !

 

Jérôme de Mars

Un clown triste vous fait-il rire ou pleurer ?

 

Mélancomique, un artiste libre l'est dans ces deux registres;

A la fois un clown et quelqu'un de triste !

En une facette d'un clown auguste !

Et en une fossette d'un clown blanc qui en déguste en vain blanc !

En tant qu'altruiste et égoïste à la foi !

Et dans ce qui fait d'ébat et débat !

Un clown triste vous fait-il rire ou pleurer ?

Où en surface, vous préférez rire à en pleurer !

Ou en sûre face; vous préférez pleurer à en rire !

En ces vers ou sévère !

Un artiste doit savoir amuser et émouvoir !

Genre un électron libre qui se doit d'être polyvalent et éclectique !

En se diversifiant dans le comique tragique !

Et dans le tragique comique !

Tel le roi Lear car comme on dit ! 

Il vaut mieux en rire qu'en pleurer !

Où avec l'éternité intemporelle,

On aura assez de temps pour pleurer 

De nos profonds sanglots ! Quand nos êtres aimés

Seront défunts comme la fin justifie les moyens !

Surtout qu'Alphonse Lamartine affirmait solennel !

Que quand un seul être vous manque, tout est dépeuplé !

Où un artiste libre et rebelle; tel un clown triste

Se doit pour faire oublier la triste réalité de la vie quotidienne,

Qui est une tragédie routinière; jouer le rôle de sa vie

En un clown triste puisqu'on tient pour adage ! 

Que l'humour noire est la politesse du désespoir !

Et vous; un clown triste vous fait-il rire ou pleurer ?

Et dans la vie; êtes-vous comique, mélancolique

Ou mélancomique ?

C'est à dire entre les deux, comme le en même temps

D'un manuel solaire dans la vie; pour rire et pleurer

En même temps, tels les contrastes du paradoxe

De la vie dans le temps bipolaire; où un jour ! 

Tout le monde vous sourit et le lendemain ! Tout 

Le monde est gris ( aigri )  avec vous !  Entre le soleil

Et la pluie ! En passant de la griserie tout en 

Trépassant dans le gris ! La vie a des

Humeurs aléatoires et fluctuantes en fonction

De l'air du temps ! Et vous, êtes-vous clown

Ou triste ? Car même si dans la vie;

Il vaut mieux en rire que d'en pleurer ! 

Nul n'est insensé ne pas savoir qu'on peut rire

A en pleurer et qu'on peut pleurer à en rire !

Et vous; riez-vous de tout ? Ou pleurez-vous de tout ?

Et en nous, a-t-on tous une part de clair-obscur ancré

Dans notre personnalité entre lumière et ombre ?

Selon vous dans la vie; peut-on rire ou pleurer

De tout avec n'importe qui ? Et selon vous pour conclure

Cette ouverture d'esprit, un clown triste est-il mélancomique ?

Et un clown triste vous fait-il vraiment rire ou pleurer ?

 

Jérôme de Mars

L'atlas qui raconte la classe de jeunesse avec classe de l'Atlas

 

Genèse du génocide de 1915 en Arménie;

Année sur année à partir de laquelle, 

La Famille Bedrossian;

Avec en tête de Turc l'atlas !

Raconte la classe

De jeunesse avec classe de l'Atlas,

Qui malgré que ça la tracasse !

Quitta son pays d'Arménie !

Avec son mari Hovsep; 

Où le coupe exilé émigra à Paris !

En déportant ses valises des tresses !

Ravi et ébloui

Que La France les accueille !

Tant et si bien qu'il fut épanoui !

De migrer et d'émigrer

Vers l'exode rural de La France,

Terre d'accueil pour ne laisser

Personne seul dans sa détresse !

Sur le perron du qu'en-dira-t-on !

Où l'Atlas de la famille;

Conçut leur premier enfant 

Simon, qui naquit en décembre 1927

En France; avant Harouth

Environ vers 1930,

Avec après Suzanne en 1933;

Ainsi que Marie qui suivit en 1934,

Dont s'ensuivit Maurice en août 1939;

Avec en avant-dernier mon père 

Michel qui vint au monde le 31 mai 1944,

Puis le cadet de la famille;

Dont lui Georges,

Fut le cadet Rousselle de ses soucis;

Qui inné, y naît le 

19 Avril 1947, lui le plus chouchouté

Du je de sept famille;

Comme un jeu de cette famille,

Qui tira la bonne carte en pioche;

A tel point que La Famille Bedrossian,

Ne voulut être assistée dans la vie mais 

Plutôt être incitée à la location;

En travaillant à la sueur 

De leur front en vigueur,

Très compatible avec leurs valeurs

D'un autre temps; tel l'atlas qui conte

La classe de jeunesse avec classe

De L'Atlas qui raconte qu'à leur 

Epoque, ils travaillèrent dès l'âge

De 14 ans; après avoir appris

Les règles de la vie, quand leur instit

Leur tapa avec la règle sur les doigts;

Afin que la famille Bedrossian qui !

S'doit d'être exemplaire, soit pour

L'amour du travail bien fait !

Eux, cette famille de la vieille école;

Si bien qu'il n'y eut que mon père

Michel; et mon oncle Georges,

Qui purent aller presque au bout

Ou au bout de leurs études;

En arrachant le certificat d'études,

Tel l'équivalent d'un manuel scolaire;

Qui leur paraissait l'équivalent

D'un manuel solaire, 

Telle une ouverture vers le monde

Extérieur; où la famille Bedrossian

En autodidacte, s'fit coutumier

Du chantre des valeurs Républicaines

De La France, eux qui firent de leur

Voyage en France qui s'éternise;

Un adage très intègre tellement

Bien intégré, que l'atlas qui raconte

La classe de jeunesse avec 

Classe de l'Atlas; fit que La Famille

Bedrossian qui en jouant cartes

Sur table, n'vota jamais pour la 

Gauche caviar mais de façon 

Très droite; où la famille Bedrossian,

N'voulut jamais que l'hôpital

S'foute de la charité Chrétienne

Orientale; et dont en terminale,

La Famille Bedrossian s'logea

A la même enseigne occidentale;

Tout en gardant leur spécificité

Chrétienne orientale,

Dont rien ne stresse  !

Plus rien ne presse et n'oppresse !

En vivant tous aux abris; après

La genèse du génocide de 1915

En Arménie, tel le crime de L'Orient

Express non reconnu par la Turquie;

Tellement d'années après

Sur années que les cicatrices

Sont à peine refermées ! 

Qu'il en reste des vestiges !

Tels des champs de ruines

De ces maisons en Arménie,

Délogées en débris et en gravats;

Avec pour les décombres,

Des encombrants !

Où de par ce poème;

Qui remonte à l'ADN des racines

De leurs origines, qu'à force

De sacrifices; on reconnut

Que La Famille Bedrossian

Etait, est, sera une famille

Loyale et honnête !

Donc concrètement intègre avec

Leur seule force du courage;

D'où elles ont lutté farouchement

Face à l'adversité, telles des oranges

Pressées pur jus !

Offertes à l'époque à Noël

En cette jeunesse

Acide et tourmentée; comme 

Au sortir de la guerre de 1939-1945,

Où tout fut à reconstruire;

Comme pour la famille Bedrossian,

Qui dut se reconstruire en France;

Dans laquelle elle s'intégra si bien,

Tel est le ciment des relations

Amoureuses de la famille Bedrossian;

Où tous ces couples, c'est du béton !

A la vie ! A l'amour ! Pour la vie !

Comme avant dans leurs cabanes

A l'école de la vie !

Avec par exemple Bouygues

De par ces couples,

Bâtis pour vivre ensemble toute la vie !

Et rester ensemble malgré les épreuves !

Pour le meilleur et pour le pire

Jusqu'à la mort; comme celle

De ma grand-mère,

Atlas qui s'désintégra le 20 décembre 1991;

Bien des années après

Celle de mon grand-père,

Hovsep en 1960 ou 1961; du bout de

Ce puits insatiable, abreuvoir et

Réservoir d'histoires; dont voilà ce que

je vous ai conté et raconté ! De la genèse

De l'atlas qui conta et raconta la classe 

De jeunesse; avec une si grande classe

De l'Atlas, ainsi dix parus.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Ca fait un an pile que je m'éclipse lunatique de L'ESAT La Fabrique avec tout ce qu'on m'a fait !

 

Une nouvelle saynète où Jérôme B exprime une nouvelle fois avec Charlotte P son ressentiment vis-à-vis de L'ESAT La Fabrique, cette structure qu'il a quitté il y a un an pile !

 

Jérôme B appelle au téléphone Charlotte P, son ancienne collègue et désormais amie de L'ESAT La Fabrique en discutant sans bâtons rompus :

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite :

 

-  "  Allo La Terre ! Bonsoir Charlotte, comment vas-tu ?  Tu vois ça un an pile que j'ai quitte L'ESAT La Fabrique, un an pile pour me recharger les batteries après tout ce que moi, Jérôme endura celle comme détresse en 16 ans et quatre mois à L'ESAT La Fabrique, tu vois Charlotte, ça fait un an pile que je m'éclipse lunatique de L'ESAT La Fabrique ! Tu vois Charlotte, ce n'est pas pour rien, que j'ai pris pour pseudo Jérôme de Mars, Demars qui fut le nom de jeune fille de ma mère en ne perdant pas le Nord !  "

 

Charlotte P, une ancienne collègue et agent de production qui bat en retraite :

 

-  "  Bonsoir mon p'tit Jérôme, moi ça va, pour répondre à ta question à nous toi et moi, les ch'tis, en effet, je te trouve revigoré depuis que t'as quitté cet ESAT de tarets où il est vrai que tout le monde à L'ESAT était lunatique surtout avec toi Jérôme, toi qui viens de Mars, et qui demeure un ovni très décalé toujours dans une autre planète sur Mars tout en ayant les pieds sur Terre, je peux te rassurer Jérôme, si tout le monde à L'ESAT était lunatique surtout avec toi, c'est que la plupart n'avait pas les pieds sur Terre et était dans la lune, comme toi, tu n'étais jamais rarement dans la lune, tu n'as quasiment pas été lunatique avec les autres alors que ces tarets à L'ESAT ne se gênaient pas d'être comme ça avec toi ! Jérôme, tu as bien fait de quitter cet ESAT de merde à la dérive ! La preuve que toi qui vis à Vitry sur Seine fait que ta vie vogue et navigue en de meilleures eaux du fait que ta vie est maintenant un long fleuve plus tranquille sur Seine malgré que tu n'aies plus ta mer ! La mer du tout les vise !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite :

 

-  "  La preuve que tu as raison Charlotte par rapport à ce que tu me dis, c'est que moi, le jeune vieux ch'ti, je ne perds plus le nord comme je reste moins déboussolé, en ayant quitté L'ESAT à cause d'une direction où l'on ne savait vers quelle direction on irait et où l'on ne savait quelle direction L'ESAT allait prendre, je n'ai aucun regrets Charlotte et ni aucun remords d'avoir quitté L'ESAT si tu savais Charlotte d'autant plus qu'à L'ESAT, tout le monde persistait à être très à cheval avec moi comme je mordais à l'hameçon en faisant le mors, si bien qu'à L'ESAT pour tout le monde, j'étais mort et inexistant, la preuve que tout le monde m'avait considéré mort et enterré, en déterrant la hache de guerre, dont moi j'en démordais à L'ESAT, que tous au complet s'en foutaient de moi à L'ESAT, en étant lunatiques avec moi !  "

 

 Charlotte P, une ancienne collègue et agent de production qui bat en retraite :

 

-  " Jérôme, je ne vais pas te le redire cinquante fois, comme à L'ESAT, personne ne te comprenait, ne te parlait et ne s'intéressait à toi, c'est que les gens à L'ESAT avaient trop de conflits d'intérêts avec toi en plus de tes conflits intérieurs, donc, de quitter L'ESAT, tu y as trouvé ton intérêt par intérêt, voilà là le principal intérêt ! Et moi n'oublie pas que je t'accorde de l'intérêt de par mon amitié Jérôme !  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite :  

 

-  " Merci pour tes paroles ensoleillées qui me vont droit au cœur Charlotte, le principal intérêt de l'amitié que tu me portes Charlotte, c'est que maintenant grâce à tes conseils, et bien pour mon propre intérêt, j'y ai vu mon intérêt en agissant par intérêt; en quittant ces gens lunatiques et néfastes avec moi de L'ESAT La Fabrique, enfin comme à L'ESAT La Fabrique tout le monde au final m'éclipse lunatique, et bien en profitant que tout le monde était dans la lune, j'ai quitté L'ESAT La Fabrique avant que tout le monde soit à nouveau lunatique avec moi, d'où je m'éclipse lunatique de L'ESAT La Fabrique pour l'éternité jusqu'à la fin des temps dans l'univers, en me dirigeant vers le soleil; direction la planète de Mars où ça fuse hé les idées dans mon cerveau, d'où je serai sur une autre planète en n'ayant plus les pieds sur Terre dans le terre-à-terre, et avant de m'envoler vers d'autres horizons Charlotte; je te dis à bientôt dans d'autres cieux, au revoir ! 

 

Jérôme B raccroche le téléphone. 

 

FIN 

 

Jérôme de Mars

Couleurs des teintes

 

Quinte de toux;

Esquinte de tout !

Le bonheur lave l'atteinte

Que porte son étreinte !

En reprenant des couleurs

Des teintes,

Qui font honneur

En en voyant la couleur

Déteinte;

En faisant une teinte

A teinte,

Atteinte des déteintes;

Des teintes,

Quand le bonheur

Lave son déshonneur !

En faisant une machine

Avec des couleurs !

A l'encre de ma chine;

Caméléon laveur

De carreaux, 

En s'tenant à carreaux !

Malgré que les tourtereaux

Et les bourreaux;

S'balancent des gros mots !

En peignant des couleurs

Des teintes,

Important d'à teinte !

En portant atteinte !

Et en ornant de couleurs

Déteintes;

La machine qui ancre

Ma chine ! En s'faisant 

Tout un sang d'encre !

En balançant et en lançant

Une machine à s'en laver 

Les mains ! En élançant

Son linge sale,

En faisant des couleurs

Déteintes;

Et en faisant pâle

Figure dans une étreinte !

A portée d'à teinte,

Rapportée d'atteinte;

Reportée déteinte

Et déportée de teinte,

En nettoyant 

Lors d'un ménage pourtant

De printemps

Ses sentiments;

En les lavant

Dans un ballet empreint tant !

A presque

Quarante quatre ballets

Ubuesques,

En astiquant

Les couleurs des teintes.

 

Jérôme de Mars

Ce que deviendrait le soleil si le ciel lui tombait sur la tête

 

Casse-tête dans les comètes;

La tête dans les étoiles !

Il y a diverses facettes

Qui contempleraient le soleil

Dans un duel au soleil, 

Furibond en tournant la tête

A la Terre qui jouerait une saynète !

Avec des étincelles qui scellent

L'arc en ciel autour de la passerelle;

Qui lui ferait la courte échelle !

En le mettant dans la lumière frontale

Des serre-tête virtuels,

En s'demandant l'essentiel !

De ce que deviendrait le soleil

Si le ciel lui tombait sur la tête;

Dans un robuste casse-tête,

Esthète qui soûlerait son éthylotest;

A partir duquel il s'enivrerait dans l'écume

De la brume,

En allant, en étant

Et en restant

Dans la lune;

En une et à la une de sa rancune

En grimpant les dunes,

Qui graviraient l'hôtel

Des constellations intemporelles

Et officielles;

En invoquant fractal !

Ce que deviendrait le soleil

Si le ciel lui tombait sur la tête,

A part serrer sa tête dans un serre-tête

A sa guise qui s'déguiserait en un casse-tête;

Esthète qui peindrait une toile,

Qui en mettant les voiles !

Dévoilerait l'hôtel du temps qui dormirait 

A la belle étoile !

Dans une tonalité propice à endimancher

Une saynète; la tête dans les étoiles

Et les comètes,

En faisant des plans sur la comète

Qui prédirait solennelle;

Ce que deviendrait en réincarnation

Le soleil

Si le ciel lui tombait en rébellion

Sur la tête.

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blague :

 

 

A quoi joue La Russie à provoquer la guerre avec L'Ukraine ?

-  La Russie joue à la roulette Russe avec L'Ukraine pour que L'Ukraine ait la dent dure envers La Russie !

 

 

                                            Jérôme de Mars

La roulette Russe

 

Chars nomenclature;

Telle une guerre Kommandantur  

Depuis jadis, où le monde

Va droit dans le mur !

Bien sûr

Dès la fronde !

Telle L'Ukraine

Cette semaine ! 

Oh ! Quelle semaine !

A chaque jour suffit sa peine !

Dans la roulette Russe;

Qui en ligne de conduite,

Offre à la-va-vite

Une guerre que personne n'évite !

Mais l'évite, lévite !

Quand la roulette ruse !

Et s'use !

En ayant la dent dure

Contre L'Ukraine;

Qui rappelle la chute du mur,

Immature du mur 

De Berlin; droit dans le mur,

Comme une nature morte;

Où les âmes en façade, 

Semblaient fortes !

Avant de s'écrouler

Dans une cascade;

A chaque jour suffit sa peine !

Chaque semaine !

Depuis cette semaine !

Que la guerre a éclaté

En Ukraine,

Où l'Ukraine 

Pour limiter sa peine;

Devrait demander à L'Egypte

Des papyrus !

Pour écrire leur peine 

Et dire à leurs papys Russes !

Qu'ils les aiment !

Depuis tout le temps

De la nuit détend !

Qu'endure la clepsydre 

Du temps de la gangrène !

Que personne ne réfrène !

En en voyant acheter,

Et en envoyant acheter

Des chrysanthèmes;

En pleurant à l'avance

De toutes ces déviances,

Qui forment l'immonde moderne;

Mais subalterne

Des intérêts Russes

Que défendent les autorités Russes,

Quand Vladimir Poutine, le papy Russe !

En tant

Que papy; ruse !

Afin que personne ne pusse !

Mettre la puce

A l'oreille des renseignements généraux,

En écoutant les espions;

Jouer aux et Tchèques en étant 

Des pions, morts pions

Sur l'échiquier du sang

Coulé; découlé de la peine

De L'Ukraine,

Face à la guerre que leur mène

Sans points Cardinaux;

La Russie qui les démène !

A travers la roulette Russe,

En ayant la dent dure

Des deux côtés de la mer noire;

Alors que de ces travers,

Il vaudrait mieux en faire

Deux pays ouverts sans frontières;

En vue d'y réconcilier La Terre entière,

Et dont leur seul point de salut

A tous ces illustres inconnus;

Serait de leur souhaiter la bienvenue  !

OTAN aux Russes

Qu'aux Ukrainiens

Dans un monde extraordinaire !

Sur une Terre repeuplée populaire

Et prospère !

Où tout le monde pourrait s'entendre

Et se détendre !

Malgré leurs humeurs bipolaires !

Dans le but d'y restaurer,

A bon entendeur !

D'la bonne humeur et du bonheur !

Si à tout jamais;

Les Ukrainiens et les Russes

Voulaient rédiger à la roulette Russe

Dans un océan pacifique !

Un traité de paix  

Sur du papyrus;

Pour que tout le monde s'aime !

Quand bien même !

Post mortem !

Les papys Russes jouaient  !

Malgré les problèmes !

A la roulette Russe,

Si bien que les papys rusent !

Dès que la roulette ruse !

 

Jérôme de Mars

 

Il est leur !

 

A l'approche de la 24ème heure

En remettant les pendules à leurre;

C'est l'heure de vérité !

De triompher face à l'adversité,

Dont il est leur !

Que sonne leur heure !

Dans un leurre de sévérités;

Avant que de fêter les crêpes 

De la chandeleur !

Dès que chante leur

Heure ! Dans un leurre

De ces vérités !

Dont il est leur  !

Qu'un des l'heures !

Foule les steppes

En s'défoulant STEP !

Il est bientôt l'heure !

D'arriver à leurre

De la 24ème heure,

En étant très à leur !

Dont ça y est c'est leurre !

De leur dernière heure !

Dans un des leur de vérités !

Quand arrive leur;

Leurre heure instantanée,

Qui sonne sans heurts !

Que c'est maintenant leur heure !

Et qu'elle est leur ?

Lorsque c'est l'heure !

Sans leurre !

Dont c'est l'heure !

Parmi les leurre !

Heures ou sans heures !

Heurts ou sang heurts !

Heure ! Il est désormais leur !

 

Jérôme de Mars

Il était un foie un agneau qui rendait chèvre !

 

Il y avait la désobéissance civile

Dans la ville indocile !

Avec des brebis galeuses;

Qui avaient le bouc,

En faisant monter la fièvre

Allumeuse et aguicheuse 

En foutant le souk;

Quand il était un foi un agneau

Qui rendait chèvre !

De par ses mots

Mièvres, malgré qu'il était 

Doux comme un agneau; 

En ne suivant le troupeau

Comme un mouton de Panurge,

Dans la purge qui expurge

Les chevreaux très gentils !

Dans la vie pas facile; 

Où avec ses excès,

Il était un foi un agneau qui rendait 

Chèvre ! Les moutons de Panurge;

Qui purgent et expurgent

Toute leur peine en suivant le troupeau

Des brebis galeuses,

Songeuses et brumeuses

En ayant le bouc des boucs

En leur foutant le souk;

Doux comme un agneau

Mais en même temps brebis galeuse

Comme les brebis gaffeuses,

Qui rendaient chevreaux

Les boucs des boucs;

En leur foutant une dernière fois

Le souk

Aux boucs;

Qui rendaient chèvres

Leurs bijoux de famille

D'orfèvre, en refaisant monter

La fièvre 

En ouvrant bien les lèvres;

Car malgré qu'elles étaient brebis galeuses,

Elles étaient douces !

En s'la coulant douce dans la house !

Et dont étant sulfureuses et valeureuses;

Elles suivaient le troupeau

Des moutons de Panurges,

En filant tout doux comme des agneaux

Et des chevreaux;

Qui purgent et expurgent

Une fois, quelquefois et toutefois !

Avec parfois autrefois !

Où une fois !

Il était un foie un agneau qui rendait

Plus que chèvre !

 

Jérôme de Mars

La vache enragée prenait le taureau par les cornes !

 

Souvenirs de périodes de vaches maigres,

Où ça tournait

Au vinaigre !

Aigre-doux, doux amer;

Détourné et contourné

Par de la vache enragée,

Quand la vache enragée prenait

Le taureau par les cornes !

Pour encorner

Et avoir les cornes;

Qui poussent dans un diable d'enfer !

Dont la réputation sulfureuse,

Ecornait ces diables de personnes;

Crapuleuses et pernicieuses,

Quand résonnait morne;

Une sacrée vache enragée !

Malgré tout son amour dans le pré,

Surtout quand la vache enragée

Prenait le taureau par les cornes !

Et s'méprenait à chaque erreur qui écorne

Le toréador, le matador ou le toréro;

Dont quelques soient leurs maux,

C'était une incontournable vache enragée

Et dérangée; quand la vache enragée

Prenait le taureau par les cornes !

Malmenée par l'arène qui encorne

Cette indomptable

Et implacable;

Très insubmersible vache enragée

Surtout malmenée,

Quand sans compter

De façon si vache;

La vache enragée 

S'éprenait le taureau entre les cornes !

Dès l'attelage à l'abordage.

 

Jérôme de Mars

Une famille en orne massif

 

Voici une p'tite saynète sur les secrets de famille et l'envers du décor de la famille

Bedrossian :

 

Jérôme appelle chaque membre de la famille Bedrossian au téléphone, voici ce que ce que chacun des membres de la famille Bedrossian lui réponde à Jérôme :

 

Jérôme B, qui appelle son père Michel B :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo papa ! Comment vas-tu ? ”

 

Michel B :

 

“ - Tout doux, on fait aller et toi ? ”

 

Jérôme B :

 

“ - Quand pourrait-on manger ensemble au resto ? ”

 

Michel B :

 

“ - On verra Jérôme ! ”

 

Jérôme B :

 

“ - Tu me dis ça sans doute à cause de tout ce que je t'ai fait déguster dans ta vie car dans ma vie, il y a à déboires et à manger ! ”

 

Jérôme B, qui appelle sa cousine Dominique P :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo Dominique ! comment vas-tu ? ”

 

Dominique P :

 

“ - Ecoute Jéjé, t'es bien gentil mais je suis occupé ! ”

 

Jérôme B :

 

" - Tu me réponds ça car t'es occupé à jouer au rami avec ta mère et Jacqueline, alors que moi je cherche juste à jouer cartes sur table avec toi en jouant au cher ami du je de cette famille ! "

 

Jérôme B, qui appelle son oncle Georges B, le mari de Dominique B et père de Sabrina et Sébastien :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo Jojo ! Comment vas-tu ? ”

 

Georges B :

 

" - Jéjé, tu me déranges, je bats en retraite en discutant avec mes copains au café du commerce, moi, l'ancien commerçant avec une modeste retraite de 1000 Euros et quelques en magasin ! "

 

Jérôme B, qui appelle sa cousine Sabrina F, la personne la plus proche de

Jérôme B :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo Sabrina ! Comment vas-tu ? ”

 

Sabrina F :

 

“ - Très bien mon p'tit Jéjé et toi ? ”

 

Jérôme B :

 

“ - Très bien Nanou, tu sais pour qui tu vas voter aux Présidentielles ? ”

 

Sabrina F :

 

“ - En tout cas ce qui est sûr, c'est que je ne voterais pas pour la gauche car la gauche caviar Bedrossian non merci ! ”

 

Jérôme B, qui appelle sa cousine Simone M :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo Simone ! Comment vas-tu ? ”

 

Simone M :

 

“ - Fous-moi la paix Jérôme ! Après tout ce que tu m'as balancé par SMS ! ”

 

Jérôme B :

 

" - Moi ce que tu me dis, je m'en balance car pendant que tu cavales l'air de rien, tu ne m'appelles jamais alors que tu as un téléphone portable étant donné que tu trouves tout le temps un mobile pour ne pas m'appeler ! "

 

Jérôme B qui appelle son cousin Sébastien B, le frère de Sabrina F :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo Sébastien ! Comment vas-tu ? ”

 

Sébastien B :

 

" - Pourquoi m'appelles-tu ? Tu ne vois pas que je travaille car pendant ce temps-là, y en a qui bossent alors que toi, tu cabosses ! "

 

Jérôme B :

 

" - Cela ne m'étonne pas que tu me répondes ça Sébastien, comme tu travailles dans les bureaux, où tu as certainement un plan B d'architecture vu que ta vie est dans un chantier ! "

 

Jérôme B qui appelle sa belle tante Dominique B, la femme de Georges B et mère de Sabrina et Sébastien :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo Dominique ! Comment vas-tu ? ”

 

Dominique B :

 

" - Pourquoi m'appelles-tu ? Et pourquoi appelles-tu mon mari Michel Sardou et moi Marie-Ange Nardi à chaque fois que tu m'envoies un SMS ? "

 

Jérôme B :

 

" - Car toi et Jojo, vous chantez la vie à pleins tubes enchanteurs alors que moi, je déchante la vie qui m'entube au moindre mètre chanteur en tant que maître-chanteur ! "

 

 

Jérôme B qui appelle sa cousine Laëtitia B avec qui il est brouillé :

 

Jérôme B :

 

“ Bonjour allo Laëtitia ! Comment vas-tu ? ”

 

Laëtitia B :

 

" Jéjé, putain il manquait plus que toi espèce de connard ! Pourquoi m'appelles-tu après tout ce que tu as proféré comme insultes à moi et à Laëtitia, à ton avis Jéjé, comme moi, j'aime bien m'occuper de tout ce qui est décoration d'intérieur dans ma maison, qu'est-ce-que je risque de te faire si tu continues de m'emmerder ? "

 

Jérôme B :

 

“ - Tu risques de m'envoyer dans le décor extérieur ! ”

 

Jérôme qui appelle son autre cousine, Katia B, la sœur de Laëtitia B :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo Katia ! Comment vas-tu ? ”

 

Katia B :

 

" - Pourquoi m'appelles-tu Jérôme ? Tu vois pas que je travaille au magasin ! Car tu vois comme t'a dit Laëtitia, si tu m'importunes de trop, et bien moi, je sortirai les griffes de mode en t'envoyant dans l'envers du décor extérieur en mon fort intérieur ! "

 

Jérôme B qui appelle son oncle Maurice B, père de Laëtitia B et Katia B :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo Maurice ! Comment vas-tu ? ”

 

Maurice B :

 

" - Bonjour Jérôme, je suis occupé, je m'occupe plus de toi ! Car moi je déguste en ce moment en payant aux poulets aux amandes, une amende honorable puisque par conséquent; j'ai oublié de déclarer aux impôts mon fond de commerce, de par duquel; j'ai été occupé à refaire la déco de mon magasin, comme ma boutique va droit dans le mur qui s'effrite à m'en déchirer avec toi Jérôme ! "

 

Jérôme B qui appelle sa tante Suzanne R :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo Suzanne ! Comment vas-tu ? ”

 

Suzanne R :

 

" - Chute comme je suis tombée Jérôme, ne parle pas trop fort ! Y a une infirmière qui est en train de me parler ! Pourquoi m'appelles-tu juste que quand je suis à l'hosto et pas quand je suis chez moi ? Jérôme, c'est l'hôpital qui se fout de la charité Chrétienne Orientale ! "

 

Jérôme B qui appelle son autre tante Marie C, la sœur de Suzanne R :

 

Jérôme B :

 

“ - Bonjour allo Marie comment vas-tu  ? ”

 

Marie C :

 

" - Oyez Jérôme ! Je n'ai pas le temps de te parler car là ! Je prends un bain Marie avec Pierre après avoir été faire les courses dans un bain de foule ! "

 

Jérôme B qui appelle en dernière personne sa belle-tante Jacqueline B :

 

Jérôme B :

 

" - Bonjour allo Jacqueline, comment vas-tu ? 

 

Jacqueline B :

 

" - Je ne veux pas te parler, tu ne m'intéresses plus ! Et à l'avenir, ne compte plus sur moi mais compte sur toi !

 

Jérôme B :

 

" - De toute façon Jacquoshi, tu ne m'apprends rien, ça fait depuis Mathusalem que tu me dis de compter sur personne et de ne compter que sur moi-même, de toute façon; tu n'as jamais arrêté de me répéter cette phrase comme tu ne m'as jamais calculé ! "

 

Toute la famille Bedrossian se ligue ensemble au téléphone pour dire de vive voix à Jérôme B, tous en cœur :

 

La famille Bedrossian :

 

" - Allo Jérôme ! Si tu veux qu'on arrête de t'envoyer tous dans le décor en te considérant comme un décor qui fait décor ! Arrête de parler de nous tous dans l'envers du décor car t'as de la chance de nous avoir dans une famille en orne massif !  "

 

Jérôme de Mars

En faisant rire dans les chaumières

 

Entre ombre et lumière;

Si le soleil prenait 

Ses quartiers d'été

Sur La Terre,

En faisant rire dans les chaumières

Au lieu de les faire pleurer

Dans leurs misères;

Il pleuvrait 

De cette saga cité !

Une panacée

De dextérité !

Pour envoyer à la bonne adresse

Des couleurs effervescentes,

Qui dressent

Des lauriers saisissantes;

En vue d'y siroter une désaltérante bière,

En faisant rire dans les chaumières

Au lieu de les faire pleurer 

Dans leurs misères;

Morflées par l'absence 

D'une mère,

Comme d'une pénitence

A sangloter tous leurs ragots !

Du fait qu'ils ou elles sont mal

Dans leurs peaux;

A base de carences végétales,

Et dont pour qu'il y ait de l'amour

Dans un joli tourbillon en ces jours;

Ce serait mieux de sillonner les maisons

En gardant l'oraison !

En faisant rire dans les chaumières

Pour éradiquer le blues de l'hiver

Au lieu de les faire pleurer

Dans leurs misères,

A sangloter des regrets

Que nul ne pourra jamais rattraper !

Même en remonter le temps stérile;

Alors que ce qui semblerait intéressant, 

Fascinant et entraînant !

Serait que fédérateur; l'avenir soit

A l'avenant fertile !

En joies,

Avec retour au bercail

Des valeurs de la ferme riche sur la paille

De la matière terre;

Mais pauvre pour

Que quiconque ne s'entaille

Dans une grande muraille

D'échine ! Puisque donc ce qui vaudrait 

Le détour !

A ces mots qui s'font la cour !

Demeurerait qu'avec vergogne,

Que chacun en tire de hautes besognes !

En faisant rire à volonté dans les chaumières;

En aucun lieu de les faire pleurer

Dans leurs sinistres misères.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                    Blague :

 

 

 

Pourquoi la famille Bedrossian ne m'appelle-t-elle jamais même qu'elle a un portable ?

-  Parce-que la famille Bedrossian trouve toujours un mobile pour ne pas m'appeler !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Un dément ciel

 

Soyeux et merveilleux !

Un dément ciel

Paraît bercé et auréolé

D'une suave passerelle;

En route démentielle,

Afin que le soleil;

Passe son examen par ciel

Au contact des ritournelles

D'un dément ciel !

Pourvu qu'il ne dément !

Qu'il est dément ciel

Ce démentiel !

A moins qu'il y ait un arc en ciel !

Clément et bienveillant,

Qui gratte le ciel

Grâce à un gratte ciel;

Qui surplombe les anges timorés,

Presque apeurés 

Et intimidés;

De que le dément ciel

Va dire après les partiels,

Une fois qu'il aura trépassé

Cet examen par ciel !

Et si partiel !

Le ciel reste avant tout universel;

Grâce au Missel

Démentiel mais pas artificiel

Et superficiel !

De l'ombrelle d'untel

De par sa grâce spirituelle,

En logeant chez l'habitant fraternel

A l'autel !

Tout en faisant l'amour charnel

Et corporel

D'un point de bévue spirituel;

Et si ce démentiel n'est point partiel !

Est-ce l'essentiel par ciel

D'un dément ciel ?

 

Jérôme de Mars

Des nouvelles en brèves

 

P'tites brèves sur le GEM de Vitry :

 

1) Moi Jérôme B depuis que j'ai quitté L'ESAT La Fabrique il y a un an, j'ai retrouvé l'élan au GEM de Vitry en y allant un parrain !

 

2) Comme Walid s'investit tant au GEM de Vitry, heureusement qu'il a en prime de son activité une prime d'activité !

 

3) Les adhérents pour ne pas qu'ils lui fassent un dessin à Walid en ayant mauvaise mine, ils font plutôt des coloriages en allant au charbon qui ne leur mine pas le moral !

 

4) Quand Gerald prendra sa retraite tout en continuant l'atelier musique au GEM de Vitry, il prendra une retraite par répartition !

 

5) La preuve qu'au GEM de Vitry, personne n'est radin ! Il n'y a pas de grippe-sous malgré le Covid !

 

6) Si Dorothée devait présenter une émission au GEM de Vitry, elle présenterait le Club Dorothée car grâce au GEM de Vitry; elle a retrouvé une seconde jeunesse dans l'unité jeunesse !

 

7) Chaque que je fais des brèves sur le GEM de Vitry, c'est que je fais des brèves de comptoir en tant que trésorier !

 

8) Le jour où Philippe B achètera une bande dessinée érotique, c'est qu'il aura vu des seins animés !

 

9) Quand Bénédicte fait l'atelier pâtisserie au GEM de Vitry; elle fait les gâteaux avec une crème fouettée tout en étant une crème futée !

 

10) Guillaume se cramponne au GEM de Vitry en venant au repas un samedi midi sur deux pour parler de foot avec Philippe B

 

11) Chaque fois qu'on fête l'anniversaire de quelqu'un au GEM de Vitry, à ce que je sache; personne ne tient la chandelle !

 

12) Si un jour; Raphaël fait un redressement fiscal à Matt Pokora tout en jouant aux échecs de la négociation, c'est qu'il aura fait échecs est Matt !

 

13) Si pour trouver encore une plus grande harmonie au GEM de Vitry; Jérôme écrit ses slams que Gerald met en musique pendant que Raphaël les joue en guitare, avec Gerald qui en joue à la basse; tout en donnant de la voix avec Philippe B, qui joue en répercussions; le tout mené tambour battant, ce qui fera que chacun de l'atelier musique sans fausse d'orchestre; jouera par répartition de musique !

 

Jérôme de Mars

C'est Jérôme !

 

Moi qui fus un baby boy

A partir de quand la mère se retire !

Je fus un bad boy;

Car c'est Jérôme !

Dont on connaît la chanson !

It's sot longue !

Après avoir donné un dernier baiser

A ma mère sur son lit de mort,

Bourré de remords

Avant que je fasse de gros efforts;

En dérivant les bords de L'Atlantique,

En chantonnant : " Oui Jérôme; c'est moi ! "

Je n'ai pas changé !

Lorsque c'est Jérôme !

Chante et déchante

Ses slams,

Déchantée par sa vie ballonnée

De si denses mélodrames;

Bien que son grand-père !

Offre en présent son étoffe,

De défunt; 

Qui justifie les moyens !

Envers Charles Demars qui vit OTAN;

Autant, au temps ! A présent !

Reposer en paix éternelle

Dans son océan pacifique;

Dont moi; j'hérite Jérôme de Mars !

Car c'est Jérôme !

Dans une vie à pleins tubes !

Depuis que la vie m'entube !

De par mes souvenirs 78,

Comme ma mère; la petite fille 73,

Où je suis l'orphelin de ma mère

Depuis que le petit chaperon rouge est mort,

Relou plus de 16 ans déjà !

En l'occurrence presque 24 ans en en faisant 

Toute une montagne de l'Himalaya !

Car c'est Jérôme !

Qui chante en ritournelle;

Les lilas qui lit là !

Les partitions de musique

Sur un p'tit d'air accordéon !

Hop là dites moi !

Si les filles du samedi soir,

Demandent à l'une d'entre elles;

Et tu danses avec lui !

C'est à dire ce Jérôme de Mars,

L'ovni qui chaque 2 mars !

Fredonne c'est Jérôme !

Qui déchante les chrysanthèmes !

Et chante Je t'aime !

Tel le charme Français;

Dont c'est Jérôme !

Qui entonne

A tous, on connaît si bien la chanson !

De toute cette musique nostalgique;

Autobiographique et pacifique,

Comme cette gentille animatrice

Du GEM de Vitry Manon;

Telles sont les Manons de la nuit,

Et qui avant de vous quitter

A l'orée de la nuit;

Vous disent Kiss me !

C'est Jérôme ! Qui les larmes aux yeux,

Vous glisse du fond de son oreille musical;

Bay-Bay, c'était Jérôme

Après les bleus lendemains !

 

Jérôme de Mars

Omerta

 

Catastrophe de l'indifférence

A cause de la loi du silence !

Pourquoi ça n'fait débat ?

S'il y a une omerta;

Qui fait que tout le monde est tabou !

En s'en foutant de tout sans garde-fous

Dans ce monde de fous

Et relou,

Alors que l'union fait la force !

Quand ça s'corse !

Et que dans le meilleur des cas !

S'amorce avec éclats;

Un meilleur avenir pour l'ensemble,

Lorsque tout le monde s'rassemble

En paix

Et dans la fraternité !

Pour s'reconstruire et construire;

Sans s'faire souffrir et faire souffrir !

Afin que le tout se loue, loue,

S'alloue et alloue

De grandes avancées à pas de rois;

De sorte à briser l'omerta,

Qui fait que tout s'tend !

Dès que plus personne ne s'entend !

Et ne se comprend !

Si bien que tout fout le camp !

A s'en crever les tympans

De tout ce boucan !

En guise de malentendus;

Lorsque les mauvais souvenirs absolus,

Reviennent comme un effet boomerang !

Comme s'il y n'y avait rien à part les gangs !

Qui pouvaient faire que tangue

L'omerta; en les faisant passer pour des rabat-joie !

Alors qu'eux ne veulent que rendre service !

Face aux injustices,

Qui frappent ce bas

Monde dans cette maudite loi du silence;

Qui fait qu'il n'y a que de l'indifférence !

A cause des différences d'opinions,

Alors que c'est vouloir avant tout avoir pignon

Sur rue !

Malgré la peur de l'inconnue

Dans ce monde qui n'tourne décidément plus rond !

Malgré les macarons;

Qui eux, veulent aller vers le haut !

Quelque soient leurs maux !

Dans le but de semer un horizon bien entendu,

Entre personnes faisant

Preuve de bonne volonté ardue;

Afin que tout le monde s'entende

Et répande

De la tolérance ! Quelque soient les différences !

Et où pour cela,

Il faut briser l'indifférence

De la loi du silence;

En cassant les vers de l'omerta !

Malgré que ce soit tracassant pour les rabat-joie !

Afin que tout le monde retrouve la joie !

En repartant sur de nouvelles bases, en avançant

Tous ensemble à grands pas,

Dont pour cela;

OTAN, autant

Briser sans complaisance;

Et avec éclats cette grande omerta.

 

Jérôme de Mars

Un ciel cinq étoiles

 

Voile la face cachée du monde !

Surtout la nuit qui abonde

Au crépuscule; en dormant à la belle étoile !

Où il y a un ciel cinq étoiles,

A l'hôtel du temps;

Qui orne au firmament

De la lune en plénitude,

Qui regarde pleinement l'interlude

De chaque face ! Qui s'dévoile

Sous une belle nuit d'étoiles !

Dans un ciel cinq étoiles;

Logé à l'hôtel du temps,

Qui patient; est éperdument 

Amoureux des variations,

Fluctuant du temps de ses élucubrations;

A dater de n'importe quelle époque,

Ultra baroque qui paraît loufoque;

Tandis que le ciel achève

Son cinq étoiles en toile,

Grâce à la sève;

Qui loge à l'hôtel du temps

Dans un ciel cinq étoiles,

Où le ciel fait un retrait original

D'illuminations d'étoiles

Dans sa provision de toiles

En un dément ciel;

Duquel le ciel dort à la belle étoile

Dans un ciel très cinq étoiles.

 

Jérôme de Mars

David guetta Hugues au frais pendant qu'Hélène s'égara !

 

Musique électronique

A basse acoustique;

Osez-en pacifique !

De musique symphonique,

Harmonique et synthétique

En un tempo philharmonique;

Il y a a des divinités,

Qui prennent l'amplis 

En plis

De loyauté et de royauté;

Quand David guetta Hugues

Au frais pendant qu'Hélène s'égara !

Dans le nirvana du groupe Nirvana,

En balançant des paroles trop hard

Sur d'la musique hard;

Rock de pierre, pendant Pierre paierait

Aux aguets David qui n'est gay !

Mais qui fait le gai pinson sans rire !

En partant du bon pied, 

En prenant son pied

Et en faisant un pied de niez

A sa musique; d'où il tombe

Dans un guêpier au lieu

De retombées dans un gai pied,

Quand David guetta Hugues au frais

Pendant qu'Hélène s'égara !

En faisant une chute du Niagara !

En groupe Niagara 

Dans le groupe Niagara;

Aux frais de sa majesté

Dans un crime-de lèse-majesté,

Alèse de sa majesté; 

En tapant des mots électroniques

Sur l'ordinateur informatique,

Et numérique dans un procédé

Electro-magnétique et synchronique

De maladies anachroniques;

Très chroniques, en tenant 

Une chronique nécrologique; 

Dont voici pour le numéro final !

Un bon accueil

Reçu dans ce recueil,

Qui augure d'un avenir triomphal;

Tellement à cran que Pierre paierait

Tout le monde en groupe !

Vu que s'forme la troupe,

Quand David guetta Hugues aux frais

Et à ses frais pendant qu'Hélène s'égara !

Dans le nirvana du groupe Nirvana;

En tombant dans les chutes du Niagara !

Dont tout le monde en groupe Niagara

Du groupe Niagara,

Trouva sa chute du Niagara !

Juste avant que le rideau tombe !

Une fois que Pierre paierait

Pour tout le monde ! D'la musique

Electronique à contrebasse acoustique;

Osez-en pacifique !

De musique symphonique,

Harmonique et synthétique

En un tempo philharmonique;

De ce méli-mélo névrotique

Jusqu'à ce que David guetta Hugues au frais

Pendant qu'Hélène s'égara pour de bon !

 

Jérôme de Mars

 

 

Et l'aimant !

 

Aimer est un art universel;

Qui se sublime au pluriel,

Avec des amants intemporels;

Inconditionnels désarmant,

Comme un aimant amant !

Et l'aimant élément !

Qui est dans son élément;

Comme un aimant !

Qui et ment

Le cinquième élément,

Essentiel dans le réel

Au firmament et l'aimant;

Elément armant,

Désarmant amant

Et l'aimant aimant !

Qui est dans son élément !

Comme un aimant aimant !

Un amant charnel,

Désarmant des amants;

Corporels si aimant !

Elément, l'élément et l'aimant !

Est dans son élément !

Comme un aimant !

Qui est dans son élément !

Comme le grand et l'aimant !

 

Jérôme de Mars

Derrière la pluie, il vaut mieux voir le soleil !

 

Hormis les contrastes

Du temps faste;

Il y a la caste qui égrène la ritournelle

Des matins qui prennent sous leurs ailes,

L'avènement du ciel intemporel;

Où derrière la pluie, il vaut mieux voir le soleil !

A la place des nuages de crécelle,

Qui cassent leur vaisselle de porcelaine;

Avec dans leur imaginaire un bas de laine,

Comme si monotone Paul Verlaine !

Venait leur dire avec sa rengaine;

Je suis venu vous dire que je m'en vais

Aux vents mauvais !

A chaque jour suffit sa peine,

Où derrière la pluie, il vaut mieux voir le soleil !

Dans la splendeur de sa jeunesse

Enjouée; en jouée dans une kermesse !

Avant le naufrage de la vieillesse

Qui gît dans un soleil âgé de vermeille;

Où derrière la pluie, il vaut mieux voir le soleil !

Et entrevoir une embellie pendant les lunes de miel

A cause des va-et-vient !

Dont l'unique refrain est enfreint

De saisons parallèles !

Dont chaque différence de saisons,

Est singulière au pluriel !

Dès la récolte de la moisson

Lors de chaque saison à l'unisson;

Où derrière la pluie, il vaut mieux apercevoir le soleil !

Et laisser-passer dans un laisser-passer,

Les rêves bien éveillés;

Réveillés; surveillés et revitalisés

Malgré que le temps soit éphémère et bipolaire

Dans un fond de brume lapidaire,

Où derrière la pluie, il vaut mieux voir sempiternel

En temps réel le si grand soleil !

 

Jérôme de Mars

 

Blagues :
1) Pourquoi toi, Philippe Bourget quand tu vas souvent au restaurant, tu ne suces pas que des glaçons ?
- Parce-que tu te les gèles en nanti gel en jetant un froid, froid comme un glaçon !
2) Pourquoi Edwin Joseph, es-tu un égoïste solitaire qui ne pense qu'à ta gueule ?
- Parce-que tu n'es pas comme les hommes égaux car c'est tout pour ton égo !
Jérôme de Mars

C'est une ballade qui envoie balader tout le monde...

 

Promenade dans les rues de Paris;

Bordées d'étendues de champ fleuri

A l'aide d'une sonde,

Dont c'est une ballade qui envoie balader tout le monde...

Entre questions; solutions et irrésolutions

Dans ce monde sous aliénation,

Où tout l'monde s'envoie promener !

Du champ de Mars

A Jérôme de Mars;

Quitte à s'partager après la paternité du projet,

En formant tous une ronde !

Pour réconcilier tout le monde;

Qui voudrait qu'à la suite d'une sonde,

Que tous s'fassent une accolade !

En montant en fronde;

Au lieu de propager la haine dans une sérénade

Du haut d'un balcon,

En invitant tous les cons avec leur baluchon,

Ainsi pour qu'il y ait une fronde !

Il faudrait que tout le monde envoie tout valdinguer

Et tout valser

Dans une balade;

En guise de promenade,

Dont ce serait une ballade qui enverrait balader tout l'immonde...

Afin qu'il y ait une ronde;

Qui gronde

Les gens qui ne s'sentent concernés !

Pour faire une fronde

Dans la ballade des gens errants,

Flânant avec leurs idéaux d'un autre temps;

Et dont le meilleur contre pied

A tout ce bourbier,

Serait de rétablir la fraternité

Face à l'adversité;

Telle une juste vérité

Contre ce guêpier,

Et dont à l'unanimité;

Faites que tout le monde

S'fasse une immense accolade !

Comme antidote face à la dérobade,

Dont le meilleur moyen de s'rassembler

Au complet

Malgré les différences;

Serait de faire une alliance

En signant un traité de paix !

Pour ne plus que personne

Ne soit maltraité,

Telles des consonnes;

Qui prennent tout à la lettre !

Et dont pour éviter

Qu'untel se jette par la fenêtre,

En prenant

Tout pour argent comptant !

Si tout simplement en faisant une sonde

Et en allant à la fronde;

Si plus personne ne s'envoyait promener

Et balader !

En faisant à la place une accolade,

Telle une promenade;

Dont en sérénade

Qu'on sonne !

Ce serait une ballade qui n'enverrait balader plus personne...

 

Jérôme de Mars

 

Te sers-je un ver Serge si je pèche ?

 

Mordu à l'hameçon;

J'en tire des leçons !

Que j'ai la pèche

D'enfer ! Si j'vends

La mèche,

Quand je mens

De mes tourments

Revêches;

Où je m'assèche,

Quand j'fous des pèches !

Ou quand j'reçois des pèches !

Et si j'suis en pèche;

Te sers-je un ver Serge si je pèche ?

A force de trop m'en faire,

Où j'ne sais trouver des solutions

A ces innombrables équations;

A demeurer un asticot

Et une larve, dus aux revers

De ma vie en bris de vers;

Et si tout le monde m'envoie promener,

Pourrais-je envoyer balader

Tout le monde dans une ballade

En guise de sérénade ?

Où il vaudrait mieux faire

Une accolade !

Que d'se coller une pèche;

En passant de la pommade,

De laquelle je préfère avoir la pèche !

Que d'donner ou d'recevoir

Des pèches !

Dans une des pèches

D'enfer; dans le déversoir

A pèches en pèches,

S jamais j'ai une pèche

D'enfer revêche;

A force de m'en faire revêche

Avec des paroles sèches,

Jouées à la guitare sèche;

Archi sèche de l'archi du sèche,

Avec des antisèches;

Mon cher Serge,

Et te sers-je un revers Serge si je pèche

Encore en pèche ?

Et afin qu'en pèche;

Tout le monde m'en pèche

D'avoir en des pèches,

Des pèches d'enfer;

Il vaudrait mieux qu'une fois sèche,

Que pour achever mon itinéraire

En paix solidaire;

Que j'allume une cigarette sèche

Que j'assèche

En fumant le calumet de la paix

Et en revendant la mèche sèche,

Revêche pour que je bêche

Le jardin secret de la fraternité;

Face à l'adversité,

Et dont en vers toi Serge;

Te ressers-je un dernier ver

En vers de revers Serge

Si je repèche en pèche ?

 

Jérôme de Mars

En trinquant à la santé de celui qui devient pétillant en sortant de sa bulle !

 

Une grande saynète pour trinquer à la santé de Jérôme B; dont aujourd'hui le 16 février 2022, ça fait un an pile qu'il a démissionné de L'ESAT La Fabrique le 16 février 2021 dernier :

 

Charlotte P et Jérôme B qui se parlent au téléphone pour célébrer les 1 an de la démission de Jérôme B de L'ESAT La Fabrique :

 

Charlotte P, une ancienne agent de production qui bat en retraite :

 

"  -  Allo Jérôme, bon anniversaire ! "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite :

 

"  -  Bonjour Charlotte, ce n'est pas mon anniversaire aujourd'hui; car c'est la preuve que ma vie, ça n'a jamais été du gâteau alors que je suis une crème ! C'est juste l'anniversaire aujourd'hui le 16 février 2022 des 1 an de ma démission à L'ESAT La Fabrique le 16 février 2021 dernier car ça n'a pas été de la tarte de démissionner de cet ESAT ! Charlotte, ça se fête, on trinque à ma santé après que j'ai tant trinqué de ma santé à leur santé à L'ESAT La Fabrique !  "

 

Charlotte P, une ancienne agent de production qui bat en retraite :

 

"  -  Bien entendu mon p'tit Jérôme, on a qu'à trinquer au ver de l'amitié qui arrime ton ver de poèmes; du à ton mal de mère comme à L'ESAT La Fabrique, tout le monde te menait en bateau ! Surtout que tout le monde te voilait sa face; étant donné que tu as eu toujours un très grand vague à l'âme, en existant à voile et à vapeur ! Mais tu vois Jérôme depuis que tu as quitté L'ESAT; je trouve que tu es de plus en plus pétillant depuis que tu es sorti de ta bulle ! "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite :

 

"  -  Merci Charlotte, ça me touche ce que tu me dis ! Maintenant je mets les voiles; direction un avenir meilleur :  Touché, roucoulé pour voguer sur de meilleurs eaux après avoir trop navigué en eaux troubles; quand ma vie ne fut un long fleuve tranquille à Vitry Sur Seine !  "  

 

Charlotte P, une ancienne agent de production qui bat en retraite :

 

"  -  Maintenant Jérôme, tu n'as plus d'excuse comme tu as quitté L'ESAT La Fabrique; dorénavant, ta vie devra être normalement du gâteau pour que tu redeviennes une crème; afin que tu ne sois plus au bout du rouleau à pâtisserie, car à présent comme tu n'as plus de pain sur la planche; j'en déduis donc pour toi qu'à tout jamais, c'est du pain béni ! Et en fait sur quoi planches-tu pour l'avenir ?  "

 

Jérôme B, un ancien agent de production qui s'en bat de la retraite :  

 

"  -  Avant de raccrocher; je voulais te dire qu'après avoir trop mangé mon pain noir sur la planche odieux, que pour trouver la paix intérieure avec moi et les autres, j'ai du pain sur la planche oh ! Dieu ! En distribuant mes poèmes à la vante comme des petits pains. "

 

Jérôme de Mars

 

 

Il faut s'méfier de l'eau qui dort surtout quand il y a des oiseaux qui font cygnes !

 

A l'instar des étoiles dans l'ciel qui veillent sur les bêtes;

En faisant insigne !

Il faut s'méfier de l'eau qui dort surtout quand il y a des oiseaux qui font cygnes !

Esthètes, pour que veillent sur les bêtes hébètes; les comètes !

Quand les cygnes en dansant dans le lac des cygnes, font des ronds sur l'eau !

Dans l'étang qui s'détend et s'étend étant 

Un magnéto qui enregistre dans une rétro;

Les souvenirs balbutiants du bon vieux temps,

Si bien que dans un numéro de boléro;

Il y a des cygnes qui n'trompent pas, en contre dansant un slow sur l'eau !

Pendant que les poissons pèchent, en commettant des fautes à cause de l'appât

Du gain; en marchant pas à pas en vers les vers du trépas;

En mordant à l'hameçon, en l'faisant voler vers le haut !

Et notez-le sur l'eau !

L'un cygne qui a pour insigne;

Des clapotis sur l'eau à cause de son vague à l'âme où,

Il faut s'méfier de l'eau qui dort surtout quand il y a des oiseaux qui font cygnes ! 

Si bien que malgré les apparences d'un lac qui a l'air paisible mais qui en a mare;

Il faut s'poser la question de c'qui rend l'eau bruyante comme une fanfare,

Surtout qu'il y a des cygnes qui n'trompent pas  !

Mais qui les détrompent dans un brouhaha !

Au fur et à mesure que s'profile un lac qui a l'air reposant sans garde-fous;

Et pour que ça tourne enfin rond sur l'eau ! Il faudrait faire en insigne, un signe

Aux oiseaux; afin qu'ils s'immiscent !

De par les prémices 

De l'envers du décor,

Dont en ayant aux pieds des cors !

Il faudra s'méfier de l'eau qui dort surtout quand il y a des oiseaux qui font cygnes !

 

Jérôme de Mars

Menaces de remords

 

Vider son sac et sa besace;

Permet à celui qui en démord

De faire le mors,

En faisant des menaces de remords;

Happé par la faucheuse de la mort,

Tel un rapace mangé par les limaces;

Qui en est retors

De faire des menaces de remords,

De celui ou celle qui a tort

Et de pourquoi encore;

Il veut pourtant finir mort

En faisant le mors

Dans une pléthore,

En faisant, refaisant

Et malfaisant

Des menaces de remords;

Qui font pourquoi il en démord

Et il mord

A la vie ! Depuis qu'il lèche la mort,

Bourré de menaces de mort;

Dont quiconque en fait encore raccord

Des menaces de remords,

Quitte à médire sans accords !

La vie en faisant décor

Dans l'envers du décor !

Hormis qu'il fasse une pléthore

De menaces de remords;

Quitte à mordre le mors

En faisant le mort

Dans un simulacre retors,

Qui montre qu'il aurait très tort

D'avoir un manque de confort

En réconfort;

Dont après l'effort,

Le réconfort !

Car voilà arrivé l'instinct de mort !

En vidant sa besace

Avant d'être mangé par les limaces,

Après avoir fait tant

Constamment et ardemment;

Des menaces de remords.

 

Jérôme de Mars

 

Paris et ses amours

 

Ca y est on naît le neuf

Du mois, mais qu'y a-t-il de neuf ?

En prenant des gants

De velours

Lors des jours élégants !

Où il y a Paris et ses amours;

En roulement de tambours

Les faubourgs, 

Où les amoureux romantiques

Du fond de leurs cantiques;

S'rendent au Trocadéro !

Avant d'aller à la Place de la Concorde,

De sorte qu'après leur discorde;

Leur amour concorde

Au Pont Neuf,

En leur soupirant

A eux; des spécimens d'antiques soupirants

En renonçant à couper les ponts veufs;

Si bien que les amoureux 

Ecoutent Edith Piaf qui leur chante l'hymne

A l'amour, telle une comptine

Abreuvoir de belles histoires;

Qui finissent bien au comptoir

De Paris et ses amours,

Dès que leur troubadour 

Edite un piaf au haut perchoir

Pour y chanter l'ivresse de la vie;

En buvant ses paroles jolies

A l'amoureux transi,

Qui déclare la flamme de son amour

A sa chérie;

Sa future femme qu'il enlace 

En lui faisant la cour

Des grands, avec grâce

A Paris et ses amours;

Dont l'amoureuse n'arrête le manège

De son tourtereau au Carrousel

Du Louvre,

Afin que Paris et ses amours;

Leur ouvrent

Les partitions d'une musique inachevée,

Par répartition de solfège désagrégé;

Avant que Paris et ses amours

S'terminent en perdition,

Et déperdition avec en finition

D'l'amour, une simple définition !

Qui est d'aimer et de s'aimer au grand jour

Jusqu'à la fin du séjour

A La Tour Eiffel;

De Paris et ses grands amours.

 

Jérôme de Mars

 

 

Un mobile homme dans sa car à vannes

 

Comme un clown triste qui en fait tout un cirque;

Il doit sacripant dans un simulacre  !

Jouer le rôle du sacré numéro dans sa roulotte,

Lui qui la bougeotte;

Tel un mobile homme dans sa car à vannes,

Qui vanne depuis son van;

Les imposteurs dans un sacre

De tailleurs de costards,

Avec son télescope qui s'fait l'écho stars 

En remuant le cocotier;

Et en donnant un gros coup de pied

Dans la fourmilière !

Sans ses œillères à vannes,

Lui qui a l'œil en prouesses

Affûtées au festival de vannes

Dans un je d'équilibriste;

De haute voltige en jongleur de mots

Et de bibelots en s'écrivant des scénarios,

Lui qui n'y va pas toujours par le dos 

D'la cuillère;

Mais a cependant bon dos de l'écuyère !

Très à cheval dans son van,

Tel un mobile homme dans sa car à vannes;

En cherchant un chapiteau

En vue d'y trouver l'eldorado !

Certes pas au Colorado !

Mais dans la France d'en bas

Qui fait d'ébats !

En dormant à la belle étoile,

Quitte à décrocher la timbale !

En dessinant un trapèze;

Dont il sera balèze 

En tant que trapéziste, 

Tel un funambule équilibriste;

Qui cherche l'équilibre

Dans sa vie d'artiste libre,

Avec au calibre dans son van

Lors du jeûne;

Un éternel jeune

Mobile homme dans sa car à vannes.

 

Jérôme de Mars

Excédé sexuel

 

Délinquant sensuel;

J'suis un excédé sexuel,

Pas un obsédé sexuel

Mais un ex cédé asexuel;

Qui a cédé sensuel

Et précédé consensuel,

De ce qui paraît naturel

A l'air surnaturel;

Dont en délinquant sensuel,

J'ne suis qu'un excédé sexuel;

Refoulé consensuel

Et défoulé sensuel

Dans une vie en éveil bisexuel

Du je de cette merveille,

Où j'ai accédé asexuel

En des accès naturels;

Désaxés sûrs naturels,

Solennels et surnaturels;

D'où j'suis un excédé sexuel,

En plus d'être un délinquant 

Sensuel;

Clinquant 

Consensuel,

Et trinquant en des penchants 

Charnels;

D'où en des charmants,

J'me dépucelle

En délinquant sensuel;

Genre un excédé sexuel,

Qui a ex cédé;

A cédé

Et précédé

Des clinquants consensuels,

Nulle part 

Dans le plus simple appareil;

Dont après avoir été recalé,

Décalé

Et révoqué

En parlant du même sujet phare;

L'objet de mon sujet en rut,

Fut évoqué et convoqué

Dans une turlute;

Dont en plus d'jouer d'la fanfare,

J'suis un délinquant sensuel;

Clinquant consensuel,

Et trans genre en un obsédé asexuel;

Mais plus un obsédé sexuel,

D'où succédé jusqu'à l'excès;

J'suis un grand excédé sexuel.

 

Jérôme de Mars

Je me présente aux présidentielles 2022 pour représenter les vers !

 

Ayant recueilli les 500 parrainages ;

Avec 500 par un âge de mes 43 ans,

Je me présente aux présidentielles 2022

Pour représenter les vers !

En vers ma colère; en tant que poète maudit

De chaque mot dit !

Où je me présente pour mettre en application

Un programme plus social

Que libéral de sécurité sociale, afin d'y apaiser

Le climat social dans son environnement

En France; en érigeant les maisons

Du Cœur en réquisitionnant les logements

Vides destinés aux sans-abris,

De sorte que tout le monde soit mis

A l'abri et mange à sa faim; qui est

Le minimum vital;

Avec la création d'un chèque alimentaire

Précaire de 200 Euros par mois,

A destination des pauvres et des

Plus démunis; dont les SDF

Avec aussi la fusion

De toutes les allocations en un revenu

Universel, uni vers celles des allocations

Telles que L'ASS, Le RSA; La Prime d'Activité

Et le Chèque Energie; Les Allocations

Familiales, à part l'APL; L'AAH

Et L'ASPA; l'ancien nom du minimum

Vieillesse qui resteraient comme tels,

Le montant de ce revenu universel

Qui serait versé dès la naissance

Jusqu'à la mort;

Serait estimé à 700 Euros par mois,

Sans obligation de contrepartie

Pour les personnes fragiles et handicapées

Mais avec une incitation à faire 

Du bénévolat,

Mais si les gens travaillent en étant salariés

Ou à leur compte;

Je propose que les 700 Euros

De leur Revenu Universel soient ajoutés

A leurs salaires, ce qui pourrait donner

Pour ceux qui travaillent; des revenus

Mensuels avec un minimum de 1200 Euros,

Et un maximum entre 2500 Euros et 3700 Euros;

En augmentant leur pouvoir d'achat,

Le plafond de revenus pour être éligible

A ce revenu universel; serait de percevoir

Un salaire ou un revenu inférieur à 3000 Euros par mois,

En me présentant aux Présidentielles 2022

Et en représentant les vers parmi les revers

De rage; je propose qu'au lieu d'augmenter

Les impôts, et bien pour résorber la dette contractée

Par le Covid; que pour financer la protection

Sociale, que chacun débourse une somme

D'argent mensuelle en fonction de ses moyens;

Avec un minimum de 15 Euros mensuels

Pour les non-imposables et un maximum

De 250 Euros mensuels pour les hauts revenus,

Dont leurs contributions mensuelles

Serviraient à financer la protection sociale;

Et à rembourser quelque peu la dette Covid,

Dont leurs contributions mensuelles

Seraient remboursés de moitié le même mois

Par les impôts avec un crédit d'impôt contemporain;

Afin que chacun y trouve son compte au bout du compte,

En tant que candidat des vers; je proposerai

Aussi que les soins de pédicure-podologie,

Soient remboursés à 50 %; 25% par

La sécurité sociale et les autres 25%

Par la mutuelle, et je propose aussi

Que pour faire couler beaucoup d'encre;

Qu'on encourage davantage les artistes

Troubadours à publier des poèmes

Et des livres sur Internet, et que la moitié

De leurs droits d'auteur; soient versés

D'office à des associations caritatives,

A part évidemment les artistes

Précaires bien entendu;

Pour le chômage; je propose que les gens

Qui peuvent travailler, qu'on les oblige à travailler

Mais pas à n'importe quelle condition;

A condition que leur travail soit intéressant,

Et même si leur salaire est modeste au début;

Je propose que concernant les salaires

Des employés en même temps que

Leurs carrières professionnelles, qu'il y ait

Des marges de progression proportionnellement;

Aussi bien du côté des salaires que du grade,

En montant du bas de l'échelle

Et en gravissant les échelons; quitte à atteindre

Au dernier stade et en ultime recours,

Un poste de direction et pour les fins de

Carrière difficiles à cause des métiers pénibles;

Je propose que les anciens salariés pour passer

Le relais progressivement, fassent la transmission

De leurs expériences aux nouveaux arrivants

En poste; pour que les novices exécutent

Les tâches professionnelles pénibles;

Je propose que dans les écoles pour

Qu'il n'y ait plus de harcèlement scolaire, qu'il

Y ait des éducateurs dans les écoles

Que ce soit de la maternelle à l'université

Pour réguler les comportements inappropriés

Entre les élèves déviants; concernant la

Justice, je propose que pour les crimes

Les plus graves; que les coupables

Soient condamnés à la perpétuité;

Et pour les délits les plus légers

Pour dégraisser la surpopulation

Carcérale, je propose qu'il y ait

Des travaux d'intérêt général

Qui soient imposés aux délinquants

Pour les remettre sur le droit chemin,

Concernant le cannabis; je propose

Qu'on le légalise, juste à des fins

Thérapeutiques pour soulager

Les douleurs des patients concernant

Leurs pathologies entre autres incurables

Par le biais du cannabis thérapeutique;

Je propose également qu'il y ait un septennat 

Non-renouvelable en un mandat présidentiel

Unique, afin que le président puisse mettre 

En œuvre son programme; en ayant le temps,

Concernant l'immigration pour limiter les délits

Et les crimes; je propose que les

Immigrés par rapport à leur demande

D'asile et d'intégration en France,

Qu'afin d'obtenir la nationalité Française

Au bout de 10 ans de présence en France;

Qu'il y ait soit l'assimilation d'office,

Ou soit une période

D'essai d'office qui serait renouvelable

Tous les 20 ans; même s'ils obtiennent

La nationalité Française quant au maintien

De leur présence en France pour

Etre sûrs que les étrangers;

Candidats à la nationalité Française,

Soient intègres et se plient aux règles

De La France; tout en respectant

Leurs convictions religieuses qui

Doivent se pratiquer dans l'intimité,

Je propose que par souci

De l'harmonie du climat social

En France et pour que l'environnement

Ambiant soit agréable et bienveillant;

Qu'il y ait 3 jours solidaires

Obligatoires en France chaque

Année, répartis soit la même semaine

Ou soit fractionnés en plusieurs jours

Dans l'année; je propose aussi

Que dans l'année, également

Afin de favoriser l'affection

Et la fraternité; qu'il y ait

5 jours d'affection longue durée,

Afin que tout le monde

Se fasse une accolade 5 jours

Par an; dans les mêmes modalités

Que les 3 jours solidaires, et enfin

En avant-dernier point; je propose

Que pour les retraites que les

Gens qui veulent continuer à travailler,

Après l'âge légal de départ à la retraite

Qu'ils puissent y avoir pour eux;

Un compte retraite en plus de leurs salaires,

Mais dont tant qu'ils sont en activité

Professionnelle, seule leur salaire

Serait versée; tandis que leur compte retraite

Cumulerait toutes leurs pensions de retraite

Mensuellement à partir du moment

Où ces salariés auraient du arrêter normalement

De travailler à l'âge légal de départ

A la retraite, et dont lorsqu'ils arrêteront complètement

De travailler, ces personnes toucheront en plus

De leur pension de retraite; un rappel amassé

De leur compte retraite qui aurait du leur être versé

S'ils avaient pris leur retraite à l'âge légal de départ

A la retraite, et ces employés

Qui travaillent largement après l'âge

Légal de départ à la retraite; pourront

S'ils le souhaitent commencer

A réduire progressivement

Leurs activités professionnelles

A partir de 68 ans, et cesser

Complètement leur carrière

Professionnelle à l'âge maximal de

80 ans; et en dernier point, je propose

Que pour la santé des Français à travers

La sécurité sociale que son financement,

Soit géré dans les mêmes modalités

De conditions que pour

Le reste de la protection sociale Française;

Concernant la pérennité du modèle social

Français, voilà ! Et pour que tout le

Monde soit logé à la même enseigne;

Je propose qu'il y ait un droit au logement

Obligatoire, avec un relogement obligatoire

Envers Les Français qui sont expulsés

De leur logement social ou privé

Sous peine d'amende pour les collectivités locales

Et l'état; je propose aussi pour les Français

Modestes, qui veulent acheter et être propriétaires

De leur appartement; qu'ils puissent soit bénéficier

Du bail réel solidaire avec une concession sur un bail

De 99 ans renouvelable une fois en achetant à bas pris

Les murs de leur logement, dont ils seraient les

Propriétaires des murs; le bâti, et dont ils seraient les

Locataires du terrain; le foncier appartenant

A l'organisme foncier solidaire qui en

Serait le propriétaire,

Auquel les propriétaires des murs du logement

En bail réel solidaire; paieraient une redevance

Pour occuper le terrain,

Ou soit que soit mis en place

Une prime accession

Pérenne de 20000 Euros; qui serait financée

Par une cagnotte solidaire grâce à la récolte

De l'impôt sur la fortune immobilière,

Auxquels les Français aisés sont assujettis;

Et cette prime accession serai versée

Aux Français modestes,

Qui veulent acheter et être propriétaires de leur

Logement et qui ne veulent pas

Passer par le bail réel solidaire;

A condition que les Français soient des salariés

Dans le secteur privé, public ou agricole,

Et qu'ils ne puissent pas bénéficier du 1%

Patronal dans leurs entreprises;

Et je propose pour ceux

Qui ne peuvent pas travailler, qu'on

Encourage ceux qui le veulent, à faire

Du bénévolat moyennant des tickets-restaurant

Ou chèques-cadeaux pour les inciter; les motiver

Et les récompenser de leur bénévolat,

Car si en tant que bénévoles; ils reçoivent

Un peu d'argent, ça risque d'impacter

Leurs allocations; voilà mon programme

A moi le poète maudit qui me présente

Aux présidentielles 2022 avec mes vers de rage

Pour représenter les vers à cause des

Revers de la crise, dont pour limiter les effets

De la crise; Il vaut mieux avoir,

Ou faire une crise de rire;

Car c'est pour rire sérieux ? !

Et sérieux, c'est pour rire ! ? 

 

Jérôme de Mars

 

 

Docteur Farid, Mister Farouk

 

No comment out !

Farid a les idées limpides;

Quand c'est l'anniversaire

De son ami Jérôme au mois d'Août

Le 24 août,

Alors que son meilleur ami Jérôme;

Est burn août quand il fait un burn août !

Quand Farid qui aime les chiens dans sa vie,

Devient Farouk dans sa chienne de vie;

Qui dérive à l'agonie,

Docteur Farid, Mister Farouk;

Qui a les idées limpides,

Quand il est Farid;

Et pour qui c'est le souk,

Quand revient Farouk 

Sa part sombre;

Quand il est mis plus bas que terre,

Dans la pénombre;

Complètement à terre, enterre, en terre

Cuite;

Comme s'il avait pris une cuite

Dans une course contre la vie en fuite,

Si bien que Farid quand il est Farouk;

Est complètement capout,

Out à l'ombre

De la lumière;

Quand il veut rejoindre dans les cieux,

Sa mère;

A cause de la brume

Embuée et teintée de son amertume,

Dus aux bleus

De sa vie; où il sanglote du fond de ses yeux

Humides,

Cette vie dans un blues mélancolique;

Alors que son ami Jérôme est névrotique,

Et quand l'ami de Jérôme;

A les idées limpides, c'est Farid;

Qui aime les chiens dans sa vie,

Alors que quand il a sa chienne de vie

Surtout la nuit;

C'est Farouk qui fout le souk,

Docteur Farid; Mister Farouk,

Qui mise terre Farid;

Alors que Farouk n'a plus les idées claires;

Mais des idées noires, dès que gronde le tonnerre,

Nom d'un tonnerre dans une guerre des nerfs;

Avec en cause sa colère,

Qui refait surface en escalade;

Alors que Farid en être triste, 

Fait semblant de rire pour paraître optimiste;

Alors que c'est une façade 

En prenant des grands airs de ballade,

Quand certains le baladent;

Si bien que quand son ami soupire le chaos,

C'est Géronimo;

Des mots aux maux,

Et une fois que Jérôme

Revient en paix dans l'arôme

De sa face claire

En trouvant les mots;

Et bien ! Farid a comme son ami les idées limpides,

Dont il aime les chiens dans sa vie;

Alors que quand c'est Farouk; il a sa chienne de vie

Qui revient la nuit

Et qui fout le souk,

Aussi bien Farid que Jérôme;

Les deux meilleurs amis,

Fous alliés et ralliés par leurs côtés

Autant lumineux

Que ténébreux;

Dont il était plus d'une fois !

Docteur Jérôme, Mister Géronimo

Qui soignait Docteur Farid, Mister Farouk.

 

Jérôme de Mars

 

L'aidant de la mère

 

Ah ! Mère !

Ma mère

Me manque

Que je m'planque

A la calanque

De la mère !

A sang dent !

De ma mère ah ! Sans dent !

Qui a pris la sans dent !

Sur moi dont j'suis le descendant

De ma mère !

Dont sans dents ! 

J'suis condescendant des cent dents

De ma mère à cent dents !

Dont j'fus l'aidant de la mère;

Vorace,

Car à vos races !

Ma chère grand-mère sang dent !

D'ah ! Sans dents !

A des cent dents !

Je suis l'un des sang dents

De ma mère qui a cent dents !

Dont j'suis l'aidant de la mère;

De la mère de ma grand-mère

Jusqu'à ma mère,

Dont ah ! Cents dents !

A ! Des sang dents ! 

J'suis le con des sans dents;

Ah ! Mère !

Qui fait que ma vie naît plus un long fleuve

Tranquille !

Que j'abreuve !

Depuis que j'pars en vrille !

Dans la vil de la ville !

Ah ! Sans dents !

A sang dents !

Et ah ! Cent dents !

De ma mère qui a la sans dent !

Sûre moi, dont j'suis le des sang dent !

De ma mère ascendant !

A cent dents !

Descendant

Sur moi qui suis le descend dents !

Con des sans dents !

En étant comme un aimant;

Très aimant dans son élément !

Dont de ma mère !

J'fus l'aidant de la mère !

 

Jérôme de Mars

Délinquant sensuel

 

Excédé sexuel,

Face au soleil;

Il y a un délinquant sensuel,

Qui connaît l'adultère

Et commet téméraire;

Tous les secrets de sa vie

En voulant savoir l'oraison,

De pourquoi sa vie dévie

En des bleus d'une vie infâme;

Après qu'il ait eu une bleue vie 

Hein femmes,

Qui vacille

Pas facile;

Complètement marteau

Et faucille,

Tel un vieux fossile

Face aux fossettes 

De la colère de sa vie;

A première vue 

A cause de ses bévues;

Sans doute dues

Aux stigmates 

De sa vie à première vue

Astigmate,

Lui l'excédé sexuel;

Dont c'est un délinquant sensuel

Qui part à la dérive

De sa vie qui le prive

D'être à Dieu,

Malgré qu'il croît radieux

Que sa vie en est à son crépuscule

Tous azimuts !

Car lui pas sage depuis l'âge adulte;

Face au tumulte 

De sa vie qui le rebute,

Est l'excédé sexuel

En série;

Entre orgies

Et folie

Des frondeurs,

Qui est accusé de mauvaise réception

De ses lettres de vieux corbeau;

Avec pour dernier mot,

Ses maux 

Qui font peur;

Puisque lui l'excédé sexuel,

En tant qu'ancien délinquant sexuel

En accordant c'est violons !

Devient avec le temps !

Fort heureusement !

En raccordant ses violons

Un délinquant sensuel

En odeur de sainteté; 

Immaculé et immatriculé

Sensoriel.

 

Jérôme de Mars

Si on s'en lavait les mains de la machine à laver !

 

Quand le masque tombe !

Bas les masques !

De nos frasques !

Ca retombe !

Sur nous à tel point !

Qu'on en ressort lessivé 

De laver son linge sale en famille !

Que ca en devient puéril et fébrile !

Et même si ça nous incombe !

Pour éviter que ça nous plombe !

Si on s'en lavait les mains

De la machine à laver !

A part délaver 

Et laver!

Ce qui nous habit 

En utopie !

Même si l'habit ne fait pas le moine !

Mais qu'il fait partie de notre patrimoine !

En étant vêtus de fausses apparences;

Alors qu'en évidence,

On cache les misères de nos vies

Sous de fausses illusions;

Qui paraissent surtout 

Un paradis de parodie !

Sous l'emblème de surjouer les fanfarons,

Tandis qu'on naît bien

Des clowns tristes !

Dans ce monde d'égoïstes;

Qui manque d'atouts,

Car beaucoup trop dans le fourre-tout !

Et si pour paraître moins lessivés;

Si tout en s'rinçant l'œil !

Assis depuis notre fauteuil,

Si on s'en lavait les mains

De la machine à laver !

Juste pour laver

Nos vies dans le pétrin !

En ayant seulement besoin

D'avoir de beaux lendemains !

Pour passer des couleurs

Dans le ciel !

En en faisant une ribambelle

De ferveur et d'ardeur;

En faisant sourire les demoiselles

Sous le soleil,

En étant naturels

A l'air naturel !

En puisant l'essentiel !

Dans le meilleur

De chacun;

Car tous pour un !

Et si pour s'protéger

Des choses superficielles

De la vie et de ses mannequins,

Si on s'en lavait les mains

De la machine à laver !

Juste en en n'ayant rien 

A cirer !

Des crétins

Et des gens mesquins !

Avec juste pour laver malin !

Le ballet du bonheur !

En le passant dans le jardin

Au p'tit matin !

Pour nettoyer essentielle

La vie avant d'aller au ciel

De façon surnaturelle,

Et si pour rêver

De meilleurs lendemains;

Si tout en s'en lavant les mains 

Des choses superficielles !

Si on s'lavait les mains essentielles

Avec une machine à laver intemporelle !

 

Jérôme de Mars

 

 

Cap orne

 

Valise de détresse !

Qui stresse;

En route vers le cap orne !

De l'envers du décor,

Avec des cors

Au pied du Cap Horn;

Qui raccord

Et morne,

Fait une cape orne;

Cap vers le Cap Horn !

Dont le cap orne

Le Cap Horn

Dans l'envers du décor,

Or ne qui encorne

Le cap orne;

En faisant les bagages,

Cap vers l'amarrage !

En images

Au cap du Cap Horn !

Dans un voyage;

Destination le Cap Horn !

Raccord, a encore

Battu un record;

Dont le point d'ancrage

De l'envers du décor

Est le cap orne.

 

Jérôme de Mars

Pour le meilleur et pour le pire

 

Pour le meilleur

Et pour le pire;

Si le meilleur du pire

Est le pire du meilleur !

Qui empire pour le meilleur !

Alors au pire du meilleur,

Le pire est le meilleur;

Qui s'améliore dans le pire,

Du pire et le meilleur;

Dont c'est le pire !

Pour le meilleur

Et pour le pire,

Dont le meilleur empire

Au meilleur du pire;

Qui s'améliore pour le pire

Dans le meilleur du pire,

Avec au pire le meilleur;

Si au pire ,il y a le meilleur !

Pour le meilleur et pour le pire

Qui empirent en pire !

Pour le meilleur s'il s'améliore

Au pire pour le meilleur

Du pire en meilleur,

Dont le meilleur est au pire;

Le pire qui pour le meilleur,

S'améliore pour le meilleur

Du pire dans le meilleur;

Qui empire au pire !

Pour le meilleur et pour le pire.

 

Jérôme de Mars

Voilà la différence !

 

Comme vous le savez tous !

Il faut de tout pour faire un monde !

Et si dans la fronde !

Les gens qu'on sonde !

Veulent que le monde !

Change !

Que faudrait-il faire à votre avis ?

Et bien !

Il faudrait des échanges !

Malgré les différences

De la loi du silence;

Qui fait l'indifférence !

Voilà la différence !

Et pour vivre dans un monde meilleur !

A bon entendeur !

Cessons de faire des clans !

Qui font que tout le monde est à cran !

Et que tout fout le camp !

Car pour rassembler les différences !

Dans la résilience !

Il faut faire preuve de tolérance !

Car chaque différence est une richesse !

Dans la liesse et l'allégresse !

Voilà la différence !

Qui défait l'indifférence !

En unissant dans l'alchimie !

Les étrangers, étrangers aux Français,

Qui ont émigré en France

En vers la culture de la richesse

De La France;

Terre d'accueil et d'urgence !

A cause de la misère dans sa véhémence,

Dans les pays précaires en souffrance;

Et si Les Français sont étrangers aux Etrangers!

A cause des différences

Du chacun pour soi !

Réunissons-les dans la foi !

De la communion 

Et de l'union !

Pour les faire parler entre eux !

Car la parole

Est une arme verbale !

Pour déclamer dans un grand oral

Le réveil des consciences,

Et pour cela !

Rendez-vous avec le monde dans l'affluence !

Et faisons de la loi du silence !

Un hymne à la repentance

De chacun !

Dans le tous pour un !

Où le un pour tous !

Dans un coup de pouce;

Puisse repartir dans un élan entre copains !

A faire la farandole,

En voguant sur La Seine !

En affrontant l'adversité

Tous ensemble !

Et en s'aimant dans la fraternité;

Qui rassemble

La solidarité et le respect !

Et le tout en paix !

Voilà la différence !

Qui tue 

A petit feu !

L'indifférence !

Grâce au progrès,

Car tout le monde a en soi !

Au fond

Le même Dieu !

Qu'il soit gentil ou odieux !

Voilà la différence !

En se rassemblant

Dans un pluriel de différences !

En acceptant à la foi, les hétéros

Les homos ! Les marginaux

Et les personnes handicapées;

En les prenant tous aux mots !

Qu'on est tous pareils !

D'untel à untel !

Ainsi va la vie !

Si on s'aime tous malgré les aléas !

Des joies et des rabat-joie !

Et dont il faut s'aimer 

Dans la réciprocité,

Et la vérité;

Le tout dans la paix 

Et la liberté !

Car pour trépasser

De la loi du silence,

Et passer 

Dans la loi de la résurgence;

Voilà l'essence 

D'une si grande différence !

 

Jérôme de Mars

 

D'la jolie poésie !

 

Après un état à l'agonie;

Voici d'la jolie poésie !

Où fontaine ! Je bois ton eau !

Quand jaillit la poésie de La Fontaine !

Qui va vers l'aine

D'après Paul Verlaine, 

Qui déchante une chanson d'automne

Dans sa langue monotone;

Au vent mauvais de sa relation

Sulfureuse avec Arthur Rimbaud,

Qui pour vivre et survivre ;

Se soûle à l'ivresse de l'absinthe 

Dans sa mélodie

De poète maudit,

En écoutant la musique des enceintes

De sa colère douce-amère;

En envoyant une bouteille à la mer

Depuis le bateau ivre

De son mal de vivre,

Avec d'la jolie poésie !

Qui mène à la poésie de Jacques Prévert !

Avec en pré-vers;

A nouveau !

Le chaos

Des feuilles mortes,

Qui font que l'automne

Est une période; où la langue est morne !

Et la langue est morte !

Dans une langue morte,

En balayant hors-saison;

La chanson

Des feuilles mortes,

Avec des maux divers

Vers le cap orne 

De l'envers du décor;

Qui passe le mot 

D'la jolie poésie !

A Guillaume Apollinaire,

Qui en fait tout un dessin

En calligrammes de certains

De ses poèmes;

Qui pèsent de tout leur fardeau !

En prenant tout à la légère

Nos étoiles dans une ode

En vers Charles Baudelaire,

Dont c'est le bouquet !

Des fleurs du mal

Qui fait une fleur !

Et envoie des fleurs !

A mon âme mélancolique;

Bucolique et névrotique

En d'la si jolie poésie !

Au complet !

 

Jérôme de Mars

Y a aux lignes parallèles des lignes perpendiculaires qui font l'angle droit !

 

 

Bar parallèle à la ligne qui fait l'angle au street hard dans un graffiti de poèmes,

Dont y aux lignes parallèles des lignes perpendiculaires qui font l'angle droit !

                                 

                                        A                                 D

                                        u                                  e

                                                                            s

                                        b

                                        i                                   p

                                        s                                  a

                                        t                                   r

                                        o                                 o

                                        t                                   l

                                        ;                                   e

                                       d                                   s

                                       o

                                       n                                  e

                                       t                                   a

                                                                           u

                                       j                                    x

                                      e

                                                                           b

                                     b                                    r

                                     o                                    è

                                     i                                     v

                                     s                                    e

                                                                           s

                                     e

                                     n                                    d

                                                                           e

                                     p

                                     a                                    c

                                     r                                     o

                                     a                                    m

                                     l                                      p

                                     l                                      t

                                    è                                      o

                                    l                                       i

                                    e                                      r

                                                                           

                                                                            !

A ma ligne en sirotant et en voyant un ver à moitié plaint et un ver à moitié à vide !

A fond la caisse !  Tout ce que j'encaisse en faisant un parallèle à cette rue !

 

           A

           u

 

          c

          a

          f

          é

 

          d

          u

 

         c

         o

        m

        m

        e

        r

        c

        e

 

        ,

 

        d

        o

        n

        t

 

        l

        e

 

        f

       o

       n

       d

 

       d

       e

 

       c

       o

       m

       m

       e

       r

       c

       e

 

      v

      a

 

      f

     o

     n

     c

     i

     è

     r

     e

     m

     e

     n

     t

 

    d

    r

    o

    i

    t

 

    d

    a

    n

    s

 

    l

   e

 

   m

   u

   r 

 

   !

 

  O

  ù

 

  d

  a

  n

  s

 

  l

  e

 

  s

  t

  r

  e

  e

  t

 

  h

  a

  r

  d  ;  Y a aux lignes parallèles des lignes perpendiculaires qui font l'angle droit !

 

 

                                     EN PARALLELE PERPENDICULAIRE.

 

 

 

Jérôme de Mars

A leur encontre

 

Pour ou contre !

A leur encontre;

On en contre

A leur rencontre,

Des rencontres !

Qu'on contre

A leur encontre;

Pour ou contre !

Si bien qu'à contre temps,

On fait des rencontres

A temps

A leur encontre;

De nos rencontres

A leur rencontre,

Pour ou contre !

Dont on contre

A contre courant !

Quand passe le temps !

A leur rencontre;

Dont on rencontre

Pour ou contre !

Des rencontres

A leur encontre,

Pour que tout le monde

S'détende

Et attende 

La sonde

Au bon moment;

Dès l'instant présent !

A leur rencontre,

De nos rencontres

Que l'on contre

Pour ou contre !

A leur encontre;

Qu'on en raconte

Que les laissés

Pour contes,

On les rencontre

A leur rencontre;

Pour ou contre !

Dont on conte

Toutes nos rencontres

Qu'on contre,

Fatalement et ardemment;

Si bien qu'en supplément,

On les a côtoyés

A leur encontre.

 

Jérôme de Mars

Dans les temps

 

Effet météo

Dans un eldorado;

Il fait beau !

Avec aucun nuage à l'horizon,

Quand le soleil arrive dans les temps !

Et détend dans le temps; à tous les temps

L'atmosphère linéaire,

Dès l'instant présent sur La Terre !

Et dès que les nuages gris

Sanglotent dans une pluie de mélancolie !

Il y a un beau ciel bleu !

Qui arrive dans les temps

Monotones et aphones

Dans un ciel radieux,

En paix sur la rive de l'océan

Pacifique; bercé de suaves mélodies,

Qui nuancent le vent de tramontane;

Quand le ciel plane mélomane !

Dès que bourdonne l'ouragan

Du désespoir qui fout le camp !

Dans les temps !

A tous les temps du temps !

Pendant que durent les variantes

Du temps; fluctuant dans le temps !

Dès que tombe la nuit !

En dormant à la belle étoile fulgurante,

Avec un météore éclair qui déguerpit

La nuit ! Lorsque le jour se lève

Dans le jardin d'Eden D'Eve

Et Adam qui naissent dans les temps !

Dans le temps; à tous les temps !

De la posture du présent,

Qui est dans la lune

De la lagune sans rancune;

Malgré ses lacunes, dès que le temps

S'assombrit dans le gris

De la pluie !

Avec de la mélancolie;

Qui jette un vent !

Et lui met un vent au temps !

Dans le temps, à tous les temps !

Lorsque les quatre saisons,

Ont le vent en poupe; autant

Que le soleil, quand il annonce

En prophétie;

La semonce

D'une embellie !

Avec pour le restant

De la vie, une accalmie

En plein ciel; dans le ciel

D'un arc en ciel,

Qui décoche

Sans accroches;

Un beau ciel bleu,

Radieux et majestueux

Dans un soleil d'aplomb,

Coulant de sa fièvre jaune;

Et lorsque survient l'appel

Du mégaphone !

Arrive à son zénith universel,

Un aura

Dans un hymne à la joie !

Durant une profusion

De mois;

Et tout cela

Pour le fun !

Tout le temps du temps,

Qui détend triomphant !

A tous les temps intemporels;

Un effet à contre temps itinérant !

Désormais dans les temps.

 

Jérôme de Mars

                                       Blague :

 

Pourquoi toi, Philippe Bourget quand tu vas souvent au restaurant, tu ne suces pas que des glaçons ?

- Parce-que tu te les gèles en nanti gel en jetant un froid, froid comme un glaçon !

 

                                Jérôme de Mars

Tu t'les gèles !

 

En nanti gel !

Tu t'les gèles !

En antigel !

En faisant du zèle;

En jetant un froid à la maison,

Froid comme un glaçon;

Où tu n'suces pas que des glaçons !

Où tu t'les gèles !

Toi en gel !

Et elle Angèle !

Toi en gel douche,

Et elle Angèle douche; 

Dont c'est la douche froide Ecossaise !

Quand tu laisses

Ton gel louche !

Car tu t'les gèles !

Dont toi, tu es en gel; 

En nanti gel,

Et elle; elle est Angèle,

En antigel; 

En refaisant du zèle !

En rejetant un froid à la maison !

En froid comme un glaçon !

Où toi, tu es en gel !

Tu t'les gèles !

Tu t'les regèles  !

Et tu t'les congèles !

En gel !

Et elle; elle est Angèle !

Dont toi, tu es en nanti gel !

Et elle; elle est en antigel !

Dont toi, tu es en gel !

Angèle !

Et elle; elle est Angèle !

En gel !

En des gels;

Dégels !

Dont tu t'les gèles !

 

Jérôme de Mars

J'ai le vague à l'âme depuis que la mer n'est plus là !

 

Telle la mer de sable !

Comme dans une fable;

Ma vie est affable

Dans ce slam,

Qui clame

Un immense drame;

Où ma vie n'est agréable

Depuis 1998 !

Comme dans un grand huit !

D'un monde à l'envers !

En un huit

Infini de pareils revers,

Avec ma vie

Qui est à l'agonie !

En allant dans le va-vite !

Dont j'gravite

Le monde !

Dont j'l'évite

Dans la fronde !

Que j'lévite !

A fortiori que je gravite

Ce slam;

En montant en gammes,

Dont et puis !

En dépit dépits !

J'ai le vague à l'âme

Depuis que la mer n'est plus là !

A cause des aléas et bah !

Enseveli dans un rouleau de vagues;

Très au bout du rouleau surtout vague,

Dont j'élague

Mon mal de vivre !

En allant à l'essentiel

A là ma drague !

De la mer au ciel;

Dont j'ai le vague à l'âme

Depuis que la mer n'est largement plus là !

Où à cause des aléas y a pas débat !

Très enseveli dans un rouleau compresseur

De vagues,

Dont à l'extrême; j'élague

Mon gros mal de vivre !

A là là ma drague !

De la mer très au ciel,

Dont j'ai le vague à l'âme

Depuis que la mer n'est plus du tout là !

Où à cause de trop de mauvaises causes d'aléas !

Y a plus du tout débat mais trop de bas !

Trop enseveli dans un rouleau dépresseur

De vagues très vagues;

Dont j'élague

Les maux

En des mots,

Qui m'enivrent

A travers ce slam;

Où ce ne sera plus du tout un drame !

A partir du moment où j'serai

A nouveau compensé et requinqué !

En ayant retrouvé mon âme

Grâce au slam antidépresseur,

Avec comme le préconise la clinique Pasteur

Et mon pasteur;

Il y aura comme remède !

A la solution de mes maux,

Des mots

Qui m'aident;

Réconciliateurs et réanimateurs

A là là la ma drague !

Même que la mer est trop au ciel,

Dont il serait plaisant que j'trouve une femme

Mère comme ma mère !

Pour retrouver l'essentiel

De la vie

Dans l'embellie d'une harmonie;

Où grâce à cela,

J'supporterai mieux les aléas !

Avec la femme

De ma vie où y aura d'ébats !

Dans le hip hip hip hourra !

De filles de joie !

Où j'n'aurai plus de vague à l'âme;

Car malgré que la mer n'sera plus jamais là !

Après qu'elle ait perdu les os !

Y aura d'ébats !

De raz-de-marée avec la femme de ce slam,

Une fois qu'elle aura perdu; éperdue les eaux !

 

Jérôme de Mars

En prenant le large d'une revue d' o presse des stress !

 

Bonjour; bienvenue dans cette revue d' o presse des stress ! Dont je prends le large dans la république en démarche du système ! Où plus rien ne marche même en station debout ! En allant un coût à gauche, et l'autre coup en contre coût à droite; dont il faut qu'on recentre le tout sans devenir le centre du monde, mais en redevenant un centre modéré; même qu'on est des pions sur l'échiquier politique ! Comme au travail, en trimant à Lesieur de son front; comme tout tourne au vinaigre ! A force d'avoir fait tant monter la mayonnaise puisque à présent, la mayonnaise prend dans la loi du silence ! Puisque le silence est d'or ! Et la parole est d'argent, ! La preuve que c'est véridique ! Car même si c'est privé de le dire, il y a de la maltraitance dans l'air dans les EHPAD du groupe Orpea ! Où même si les personnes âgées battent en retraite; on les bat en les maltraitant, où est-elle la dignité humaine dans tout ça ? A part la logique comptable de ce monde de merde de financiers corrompus hein dignes ! Tellement que ce monde est en pièces détachées depuis qu'il y a un manque d'écus ( des culs ) ! A tel point que plus personne ne peut compter sur personne ! A part compter sûr soi-même dans sa tare; comme en France, plus personne ne se calcule ! A part juste déchiffrer son porte-monnaie; avec une calculette à la place du cœur, comme ce gouvernement de bras cassés n'a des manuels macarons qui ne veut même pas déconjugaliser L'AAH pour les bénéficiaires de L'AAH vivant en couple; dont on connaît la chanson qu'à couplets ! C'est chacun pour sa parole d'argent comptant ! Avec un manque de paroles entre les gens qui ne respectent plus leur parole donnée ! Dont leur mobile, c'est de rester les yeux rivés sur leur mobile ! Dont les personnes bénéficiaires de L'AAH vivant en couple; doivent compter sur leur conjoint et leur salaire de la peur pour être acteurs de leur budget à eux ! Comme le groupe Orpea, qui au nom de la course à la rentabilité; compte sur sa parole de gestionnaire et de comptable, avec une calculette à la place du cœur; comme ce gouvernement, dont son bras droit est plus que cassé ! Car tracassé par le refus de déconjugaliser L'AAH au nom de la bourse ou de la vie ! Comme Orpea qui préfère faire amende honorable ! En payant des amendes dans leur parole d'argent comptant pendant que le silence dort ! Dont en France; tout le monde s'en fout de tout ! A part bien sûr avoir des conflits d'intérêt ! De par la bourse spéculative des banques de Macron, lui l'ancien financier; plus que des banques alimentaires qui affluent en raison de la crise sanitaire et sociale, pendant que les jeunes étudient leur manière de survivre parce-que la faim justifie les moyens ! Si bien que le gouvernement de Macron en prime d'activité; étudie les revenus des jeunes dans un contrat d'engagement jeunes, avec au bout de 25 ans le RSA, un revenu sans activité; dont espérons-le que si Macron est réélu en 2022 ! Qu'à travers son revenu universel d'activité, que tout le monde y trouvera son compte courant; et concourant de la maison de l'autonomie des jeunes à l'autonomie des personnes handicapées que du maintien à domicile des personnes âgées, et pourvu qu'en général de gaule; les Français lambdas puissent se remettre au travail de la solidarité, avec moins de chacun pour soi ! car Dieu, ça y est, son compte est bon ! Et dont au bout du compte ! Redressons les comptes de la sécurité asociale pour une sécurité sociale plus familiale; afin que plus personne n'en pâtisse ! Si jamais La France ne choisit pas la bonne direction, de manière à ce qu'elle soit en sécurité sociale au bout du compte ! Car le travail; c'est la santé ! Mais pas au détriment de l'humain ! Dont le véritable travail à vraiment réaliser; c'est de faire en sorte que chacun retrouve, recouvre la santé et ait la santé pour pouvoir travailler; même à titre bénévole ! Car le bénévolat qui a le vent en poupe; est à titre personnel par choix, du travail qui donne de la santé et du bonheur; avec au bout du compte ! Pas de chèques en bois de langues de bois ! Mais une véritable reconnaissance, pas du handicap mais une reconnaissance; avec en récompense des tickets-restaurants et des chèques-cadeaux, qui confortent la santé d'un travail partagé qu'on aime ! En en tirant profit et en en faisant tirer profit le collectif ! Pas que dans son intérêt personnel ! Et le tout sans la course au profit général ! Où ça y est au bout du compte ! On peut enfin prendre toutes ces belles paroles en argent content pendant que le silence se dore la pilule ! En faisant bien avaler la pilule du lendemain, avec en gestation une possible réélection d'Emmanuel Macron en 2022 pour faire front national contre le Rassemblement National ! Dont pour que ce monde soit en paix ! Et renoue avec la fraternité, la solidarité et le respect ! Pourvu qu'au bout du compte ! Tout le monde y trouve désormais son compte personnel, familial, amical et professionnel de formation à la vie; avec foncièrement des pauvres et des riches qui soient OTAN riches humainement que financièrement au bout de ce compte-rendu, dont j'arrive à destination ! Après que je me sois tant épris en large du système; dont maintenant en étant à court jus, je suis pur jus sans jus; dans cette revue de presse-citron haut pressé comme un citron qui déstresse !

 

Jérôme de Mars

Kamikaze

 

Si un jour d'un pas las;

J'me suicide en kamikaze !

En parlant en Coran

Sur la pointe des pieds;

Ce sera une bombe à retardement !

Dont j'bombe le torse !

Dans une alerte à la bombe d'l'entorse !

Où en kamikaze,

J'franchirai la zone rouge !

En coulant d'mon sang rouge;

Qui bouge

En étant plus que limite !

Dont j'serai hors l'imite,

Tel un ermite !

Avec des termites;

En reposant une fois mort

 Au cimetière qui n'ressasse

De compression !

Après la dépression,

Un sas

De décompression;

Sans être bourré

De remords !

Mais rembourré

Retords  !

Tel un kamikaze !

Qui part en Coran

Sur la pointe des pieds,

Après avoir déjoué

Ce guêpier 

En un gai pied;

Dans une alerte à la bombe !

Dont ce sera une bombe

A retardement tôt ou tard !

Dans le tintamarre

Face au cagnard,

Dont j'bombe le torse !

Avec une alerte à la bombe

A l'entorse !

Qui m'incombe !

Et dont tout m'retombe !

Quand plus rien n'me plombe !

Car j'm'en foutrais d'croupir

Sous les catacombes

Du soupir !

Et dont avant d'me faire sauter

Le caisson !

De tout ce que j'ai encaissé

En prenant des marrons !

OTAN que j'en fasse

Une foire aux larrons !

Pour qu'avec le temps !

Mon alerte à la bombe

De dur

Kamikaze !

N'devienne une bombe 

A retardement ! Mais des trombes

D'eaux en remplaçant 

Les bombes,

Dont avant de partir

En Coran

Sur la pointe des pieds

De ce guêpier;

V'là un appel du gai pied

A venir !

Pour que j'parvienne 

A faire d'une alerte à la bombe

De l'entorse diluvienne,

Une bombe du torse païenne

Et Hawaïenne;

Tel un suicide qu'endure

Moi, ce grand kamikaze.

 

Jérôme de Mars

 

                                              Blague :

 

Qu'est-ce-que ça fera si un jour sur le tard, je me suicide en kamikaze en partant en Coran sur la pointe des pieds ?

-  Ca sera une bombe à retardement dans une alerte à la bombe !

 

                                       Jérôme de Mars 

Effet miné !

 

Comme un homme ! 

J'suis efféminé !

Ou j'fais effet miné !

Pour ma pomme;

A voile et à vapeur !

Tel est mon effet moteur,

Où j'n'ai plus peur !

Même si j'fais effet miné !

Et que j'suis efféminé !

Effet minet !

Avec des effets déminés,

Des effets des minets;

Tel un chat miné,

Un chat minet;

Une chatte minet,

Ou une chatte déminée;

Effet déminé,

Où avant que j'tombe

Dans les bras de Morphée !

J'suis tellement tombé !

Comme un bras cassé !

Aux retombées 

Du bras de morflé !

Dont en surhomme;

J'suis très efféminé !

Où j'fais très effet miné !

Très à voile et à vapeur !

Tel est mon très grand effet moteur,

Où j'n'ai désormais

Plus peur !

Même si j'fais très efféminé !

Et que j'suis très effet miné !

Avec beaucoup d'effets déminés;

Des effets très en fait des minets,

Tel un chat très miné;

Un chat très minet,

Une chatte trop minet;

Une chatte très déminée,

Et fait très effet déminé;

Où avant que j'tombe

Beaucoup dans les bras de Morphée !

J'suis tellement très tombé !

Comme un bras très cassé !

Aux très grandes retombées

Du bras de très morflé !

Dont en sûr homme,

J'suis trop efféminé !

Où j'fais trop effet miné !

Trop à voile et à vapeur !

Tel est mon trop grand effet moteur;

Où j'n'ai carrément

Même plus du tout peur !

Même si j'fais trop efféminé !

Et que j'suis trop effet miné !

Avec trop d'effets déminés,

Des effets trop en fait des minets;

Tel un chat trop miné,

Un chat trop minet;

Une chatte trop minet,

Une chatte trop déminée;

Et fait trop effet déminé,

Où avant que j'tombe

Beaucoup trop dans les bras de Morphée !

J'suis tellement trop tombé !

Comme un bras trop cassé !

Aux trop grandes retombées

Du bras de trop morflé !

Effet spéciaux !

Et faits très spéciaux !

En fait effets trop spéciaux !

En effet terminé !

Effet terminé !

 

Jérôme de Mars

Cher Rami !

 

Nom d'un cher Rami !

Et ben cher ami !

De ta vie !

Si avec ta famille;

Tu joues cartes sur table !

Au cher rami,

Cher Rami !

En étant affable;

As-tu encore envie

De jouer à cher rami !

Cher ami !

Durant le reste de ta vie ?

Et si tu écoutes ta chanteuse préférée,

Ta Cher amie !

Que tu n'arrêtes pas d'aduler,

Sera-t-elle indéfiniment ta chère amie ?

A toi cher Rami !

Pour le reste de ta vie !

Dont tu es pour moi un cher ami !

Même quand avec ta famille;

Tu joues cartes sur table !

Au cher rami !

De façon toujours affable,

Cordiale

Et amicale;

Toi mon cher Rami !

De cher ami !

Distingué et raffiné,

Même si tu es particulier !

Toi, ce cher Rami très particulier !

Parmi les très grands particuliers;

Dont il est particulier de noter !

Que tu joues,

Surjoues et sûr joues !

Avec ta famille

Cartes sur tables !

Au cher rami !

Vraiment très convivial !

Et que tu écoutes ta chanteuse préférée;

Ta Cher amie !

Où dorénavant pour la vie !

Tu restes un très cher ami !

De très cher rami

De ta très Cher amie !

Comme très très chère amie !

Nom d'un trop cher Rami !

 

Jérôme de Mars