Blagues :

 

 

 

1) Pourquoi joue-t-on tous un rôle dans la vie ?

     -  Parce-qu'on est acteur de sa vie !

 

2)  Pourquoi faire du théâtre est-il un long fleuve tranquille ?

    -  Parce-qu'on est sur Seine

 

                                        Jérôme de Mars

Casse-tête chinois  !

 

Nouvel an chinois,

Quand on aime

On ne compte pas,

Même si on rit

Quand on naît,

Et qu'on est au bout

Du rouleau de printemps,

Comme le monde nous

Fait marcher à la baguette,

Quand on se fait des sushis

Dans ce casse-tête chinois

En anti-portrait chinois,

Quand sont dans leurs assiettes

Les bourgeois qui se mettent à des couverts,

Quand les serveurs leur servent des vers 

A flûte de champagne,

Qui ne peuvent saquer

Leurs acolytes anonymes

Dont le saké 

Et le kir 

Offrent le menu 

Des gens asiatiques très menus,

Dont leur cuisine est très diététique

Et rythmiques

Dans ce casse-tête chinois,

Qui se met à défiler

A chaque mois de février

Avec des lampions,

Dont les gens sont des lumières

En gens lumière

Dans une raisonnable fourchette

Des prix appris,

Sans être à couteaux tirés,

Car les Asiatiques sont des gens calmes

Qui apaisent le commun des mortels

Tranquilles, dont on peut saké

Leur casse-tête chinois

En un portrait chinois,

A chaque roi qui défile

Au mois de Février,

En tout et pour tout

Avec une baguette magique

A plus si affinités  !

Et à volonté

Pour le meilleur !

 

Jérôme de Mars

Pourquoi ça rame ?

 

Slam sur les rails,

En train que aille

Et en libre usage,

Les usagers sages

Se demandent pourquoi ça rame ?

A Paris sur la rame,

Au train où vont les choses, 

Qui formulent l'hypothèse

Et en thèse

De quelle est la cause  ?

De cette grève qui a toujours

Un métro de retard

Dans le tintamarre,

Des voyageurs en station debout

Qui sont à bout,

Comme ils se posent en question

De quel est le pourquoi de l'inadéquation ?

De ce monde en bouchons

Cause toujours  !

Tu m'intéresses en roulement de tambour

De pourquoi ça rame ?

Et de qu'est-ce-qui se trame ?

Dans la trame du trame ouais,

Où tout le monde en a marre

Du rejet des institutions,

Dont est la cause ce monde

En profonde division,

Dans l'aliénation 

Et la cohue

De ce grand chahut,

Qui inonde

La libre circulation

Et qui déraille sur les rails

De La RATP en raï,

De pourquoi ça rame ?

Sur le métro

Et de qu'est-ce-qui se trame  ?

Jusqu'au Trocadéro

A Paris en auto

Ou en moto,

Dans ce slam

Qui clame,

Qu'il faut se serrer

Les coudes accoudés,

Et serrés-soudés

Dans une poignée

Demain chaleureuse,

Avec respect et sincérité

Dans la clameur brumeuse,

Du Paris en rad

Pendant les grèves en ballades,

A quai entrain de dire au quai, 

D'un air ok

Chorale et animale

Dans ce monde végétal,

Où l'humain

Devient mesquin

Et aigri,

Dans le gris de Paris

De pourquoi ça rame ?

Sur la rame

Du métro

Et de qu'est-ce-qui se trame  ?

Jusqu'au Trocadéro

A Paris en auto

Ou en moto,

Où certainement, la grève

S'arrêtera à la bonne destination,

Si elle dégrève

La meilleure solution,

Où chacun y trouvera je l'espère

Son compte dans ce mouvement incendiaire,

Pour en finir

Dans le plaisir

D'une résolution

A ce conflit, 

Déconfit et mal assorti,

A sorti de la reprise 

Du travail en prise,

Car il est temps d'arrêter

Les frais au fret

Au train où vont les choses,

Car on ne formule qu'une chose

Que le métro boulot dodo

Reprenne aussitôt,

En tout état de cause

A destination triomphale

De La RATP,

Payée avec ce billet d'humour

Privatisé en billet de roule toujours,

A la bonne adresse

Cause toujours  !

Si tu m'intéresses

Dans le domaine public 

Et en un compte à rebours,

D'un temps fatidique  

En appoint final.

 

Jérôme de Mars

Jérôme balance, Géronimo s'en balance !

 

Dialogue entre Jérôme, la lumière claire et Géronimo, l'ombre obscure !

 

Jérôme :  -  "  Bonjour, comment vas-tu ? "

Géronimo :  -  "  Je vais pas bien, j'en ai marre de tout, ça va, ça vient et je m'en fous de tout ! "

Jérôme :  -  "  Je te comprends et je compatis, car la mare est pleine, et que tu n'y trouves pas ton intérêt dans ce putain de monde qui devient trop sombre à des années-lumière de la lumière. "

Géronimo :  -  "  Je n'y trouve jamais mon intérêt, car j'ai largement eu mon compte à découvert comme au collège privé Epin, où l'on m'a fait beaucoup de mâle en étant victime de harcèlement scolaire. "

Jérôme :  - " A cause d'Epin, ça te fait une épine dans le pied ! Comme on t'a causé que des pépins, qui sont le fruit de leur travail à tous ces putains d'élèves qui n'élèvent pas le niveau mais le caniveau zéro !  Comme les parents élèvent mâles leurs enfants, ce qui en fera pour certains des futurs délinquants ou bourreaux plus tard !  C'est sans doute pour ça, que tu prends pas ton pied avec ta pine, comme une épine dans le pied !  "

Géronimo :  -  "  Toi, tu balances !  mais moi désormais, je m'en balance du poids de mon fardeau, comme je suis obèse et que oh ! je ne baise avec personne depuis toutes ces années de vaches maigres en gros !  "

Jérôme :  -  "  En gros ben mince, si tu t'en balances, je peux le concevoir, et aux élections municipales de Mars 2020, vas-tu voter ? "

Géronimo :  - " Tu sais, je m'en balance de la politique, tous les mêmes !  Les Français tous des girouettes dans le sens devant, jamais contents, ils votent à gauche, à droite et ils râlent, et moi de l'apolitique, j'y ai vite fait le tour, la preuve en 2017, au second tour de France de la présidentielle, j'ai voté Marine Le Pen, car la marine le peine ce monde de désillusion et comme le monde est noir, je vote blanc, et aux Municipales, je voterai pour l'amère, la mère de tous les vices ! "

Jérôme : Pourquoi es-tu aigri, sans filtre et que tu prônes la haine sur Facebook ?  "

Géronimo :   -  " Car le monde est gris et que je m'en balance d'Internet et de tous les réseaux sociaux pas nets, et ainsi si je cultive la haine, c'est parce-que je taille les haies comme Guillaume dans son jardin secret. "

Jérôme :  -  "  Pourquoi parles-tu de Guillaume ?  Je ne vois pas le rapport  !  "

Géronimo : -  "  Car lui au moins arrive à avoir des rapports avec les femmes, car moi, je n'y arrive pas et que j'ai des rapports avec l'infâme, et que c'est l'un des seuls rares amis à avoir été présent dans tous mes hauts et mes bas avec Adel, Alexandre, Michel et Christophe, et que c'est un très bon ami pour la vie !  "

Jérôme :  -  "  Comme toi et Guillaume vous vous entraidez  !  Il te renvoie l'ascenseur pour t'inviter chez lui.  "

Géronimo :  -  "  T'as tout compris !  Ben, dis donc, t'es pas si bête avec ton côté animal sauvage !  Si je me lâche autant sur Facebook, c'est que je m'infiltre sans filtre car j'en ai la barbe de Facebook, toujours dans l'ombre de ta lumière Jérôme !  "

Jérôme :  -  "  Je te trouve bien remonté, t'es remonté contre qui ?  "

Géronimo : -  "  Je suis remonté à cause de toutes les montagnes d'angoisses qui montent en pente et qui craquent ma cote !  Et ma famille ne me comprend pas et elle ne m'appelle jamais !  "

Jérôme :  -  "  Pourquoi dis-tu ça ?  "

Géronimo :  -  "  Parce-que je joue désormais cartes sur table en faisant le jeu de cette famille !  "

Jérôme :  - " Géronimo, tu te trompes, à mon humble avis, je pense que ta famille te comprend, sauf qu'elle ne sait pas comment te prendre, car ça les dépasse et les meurtrit ton état des lieux !  C'est pas que la famille ne veut pas t'appeler, ils ont sans doute peur que la communication ne passe pas ! "

Géronimo :  -  "  Sûrement que j'ai perdu le fil tel est fun !  "

Jérôme :   -  "  En tout cas pas celui de ta cousine Sabrina, qui t'apprécie beaucoup et avec qui t'as le plus d'atomes crochus en science infuse !  "

Géronimo : -  "  C'est bien la seule et l'unique !  "

Jérôme :  -  "  Que peut-on te souhaiter pour l'avenir de la fin 2019 et pour 2020  ?  "

Géronimo :  -  "  Une bonne fin damnée 2019 et un bon début damné 2020 ainsi que la faim du monde et un bon suicide connectif sur Facebook, avec tous les déprimés comme moi !  Et à toi, que peut-on te souhaiter de plus harmonieux et de plus rassurant ?  "

Jérôme :  -  " Comme tu vas moyen, je souhaite à toi ainsi qu'à moi, une bonne fin d'année 2019 et un bon début d'année 2020, sous le signe de la renaissance après l'antiquité bien à des années-lumière de ton ombre, de nouveau en plein dans la lumière, comme les gens lumière !  "

Géronimo :  -  "  Dois-je comprendre que tu viens de dire que je suis une lumière et pas toi  ?  "

Jérôme :  -  "  T'es bête ou quoi zigotto !  Comme d'habitude, t'as toujours la réponse qui tue dans mon ombre !  Comme la fin justifie les moyens !  "

 

Jérôme de Mars

Les bobos ont des bobos !

 

BO du film de leur vie,

Les bobos ont des bobos

Très beaux avec leur escabeau,

S'ils ont le pied bot

Et le pied beau

Qui a bobo,

Comme c'est un bobo

Dont l'ex cas beau

Part du bon pied bot,

Comme les bobos

Ont des bobos,

En singeant les bonobos

De la BO du fil qui dévie

Du droit chemin, comme ils ont bobo

Et que ce sont des robots pas beaux,

Mais avec le pied beau

Qui a des bobos,

Comme ce sont des bonobos

Avec le pied bot

A l'échelle de leur escabeau,

Où ils ont bobos très beaux

De la BO qui enfile en BO BO,

Comme ce sont des bobos

Bonobos qui ont bobo

Et qui sont beaux en bonobos,

Qui singent des bobos qui ont bobo,

Comme sont beaux en robots

Les bobos qui ont des bobos bonobos !

 

Jérôme de Mars

Le concert des hauts vers

 

Vers deux vers

Ou vers

On se met aux vers

Versant revers,

Qui passent aux vers,

Dès le concert

Des hauts vers,

Vers faux revers,

Quand on sert

Des vers

Et qu'on boit des vers,

En vers solidaires,

Loin s'en faut le ver solitaire,

Dès le concert

Des hauts vers,

En enlevant la boutonnière

Avec l'art et la manière

De déverser des vers

Et de parler en vers,

Vers en de primes vers

Qui envoient des fleurs au clair

De la lumière

Avec du vers,

Dès le concert

Des hauts vers,

O'vers

De cristaux pervers,

Pères vers

De la vilaine mère,

Qui écrit des vers

De paroles de misère,

Dont la mélodie des hauts de vers

Se termine et vers la frontière

De vers la fin du concert

Des hauts vers,

Monogame aux vers.

 

Jérôme de Mars

                                               Faisons le point !

 

Faisons le point, car c'est un point essentiel, en y mettant un point d'honneur, à mettre les points sur les i, en mettant les choses au point, et en faisant l'appoint, avec embonpoint, en bon point, d'un coup de point, où il y aura un point partout, si nous faisons le point, point à la ligne, si nous n'avons point de choses à nous dire et si c'est un bon point, que nous soulignons en un point crucial, si nous marquons un point gagnant, quand nous faisons le point virgule avec humour; et en dormant à point fermé, point barre.

 

                                                Jérôme de Mars

Le monde est petit  !

 

Origine du monde,

On appelle les choses

Par leur nom,

D'un sur nom

Qui en dit long,

Avec une liberté de ton

Avec ton ton,

Comme tonton

Déclare que le monde est petit,

Et à qui on dit en on-dit

Bon appétit

Bien sûr  !

En lâchant en pleine nature

Un monde qui cherche son à petit,

Avec appétit,

Qui rapetisse

Dans le tout lisse

Métisse, 

Des origines du monde

Qui sondent la sonde,

Qui part comme une fusée

D'un thé infusé,

Comme le monde est petit

Avec une liberté appétit

Et une puberté à petit,

Avec ton ton,

Car tonton 

Ricane à reculons,

En allant de l'avant

Et en se mettant paravent,

Dans une origine brute de décoffrage

Dans le coffrage

Des gens qui ont du panache,

Et qui arrachent

Un sourire forcé

Aux forçats forceps et efforcés,

Pour les convaincre

Que le monde est petit,

Afin de vaincre

Leur appétit,

Qui rapetisse

Dans le tout lisse 

D'un des lisses délices,

Comme petit appétit

Le monde est petit !

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blague :


Comment pourrait-on renommer le match de l'équipe de France de football mardi soir si on s'emmerde devant la télé ?
- France-on dort !

 

                                         Jérôme de Mars

Le beau temps arrive toujours après la pluie

 

Gouttes de pluie

C'est une goutte d'eau sur l'océan,

Quand le ciel pleure de graffitis

Avec des trémolos dévastateurs sur le continent,

Lorsque la pluie verse ses larmes de sel

Bien salées avec des grosses gouttes de crécelle,

Qui mènent sur les chemins de Compostelle

Dans un pèlerinage où les aïeux veulent la paix,

Comme le beau temps arrive toujours après la pluie

Car après un chagrin de dépit,

V'là les confettis ! en forme dans une confrérie,

Quand la pluie jette un vent

Et passe le temps en un passe-temps

Sur la rive d'une mer en rouleaux de vagues,

Qui parlent de façon vague dans une drague

D'une mer complexe d’œdipe,

Qui flippe à la vue dès qu'elle chipe sa fripe

Dans un orage sur la colline,

Qui pastiche l'eldorado avec ses copines malines

Que sont la pluie et la grêle été comme hiver

Monotones qui sent le sapin conifère,

Car le beau temps arrive toujours après la pluie

Entre un soleil jaune et de l'eau sur un ciel gris,

Limpide et aride avec la vieillesse amie et intime

De ses matins de satin, où se griment

Les blessures de la vie en une parodie

D'une pluie déprime qui se comprime

Au soleil triomphant dans une rime,

A quoi ça rime ? si le beau temps arrime

La pluie dans son élément fluorescent qui frime

Les grandes gueules sur le tarmac en mode avion

Dans les environs d'un hydravion,

Qui retrouve sa mer si complice

Dans le je de la glisse,

Avec des confettis en poésie,

Imagée et espérée par la singularité, 

Car le beau temps arrive toujours après la pluie.

 

Jérôme de Mars

Burn out  !

 

Epuisé

Avec mon épuisette,

J'ai tout puisé

Dans mes ressources,

Comme je suis en crises

De paniques et d'angoisses,

Souvent d'un pas las

Qui s'enlise

De mon mal-être,

Qui me donne envie

De me jeter par la fenêtre,

Comme je suis borderline 

Et en burn out,

En étant capout,

Comme mon anniversaire

Du mois d'août,

Où je suis out

De par ma colère

Que j'écris en lettres incendiaires,

En prenant des courants d'air

Salutaires de par mon travail,

Qui me met sur la paille

D'un ennui profond, 

Où je me morfonds

Au tréfonds,

Comme j'ai tout fait

Et que j'étouffais

A la cantine,

Qui butine

Mon fiel en tombant

Et en pleurant

Que je suis dépassé,

Quand j'ai outrepassé

Mes limites borderline

De mon burn out

En plein moi d'out,

Out, en août,

Où in fine

Je ressens de la fumette,

Comme je tombe aux oubliettes

De mes crises de panique,

Quand je m'étrique

Et trique d'un retour de bâtons

Rompus qui tape en donnant des marrons

De mon épuisement psychique

Et physique avec plus aucun courant électrique,

Vide de sens, où je ne ressens

Plus rien mais juste des mots indifférents,

Comme je m'en fous de tout

En un tout du tout pour le tout fourre-tout,

Avec mon burn out

De mon anniversaire

En plein moi d'août

Et en émissaire,

Comme je suis out

Et capout,

Non d'un prout,

Où j'en ai plus rien

A péter,

Epuisé et puisé

Avec mon épuisette,

Où je tombe de fatigue

Sans la digue,

Pour réguler

Mon état d'un échec

Sans provision,

Avec la garnison

De mon chèque

Sans prévision,

Consumé dans la fatalité

D'un désamour aux emplettes

Of course

Pour mon anniversaire

Du moi d'août,

Avec plus aucune colère

De mon burn out,

Comme j'en ai les burnes août

Plus borderline

In fine.

 

Jérôme de Mars

 

On a plein de copains mais peu de vrais amis  !

 

En ouvrant le bal,

Je déballe 

Qu'on rencontre plein de gens,

Dont certains

Sont à deux balles

Et d'autres des enfants

De la balle,

Dont beaucoup

Deviendront des bons copains,

Et dont quelques uns

Seront de vrais amis

Pour la vie,

Qu'il y ait des hauts et des bas  !

Entre hip hip hourra et tracas,

Car c'est bien connu

Que dans la vie,

On a plein de copains

Dans la rue,

Mais peu de vrais amis

Dans l'avenue

Du paradis,

Car c'est quand qu'on a

Des bas 

Qu'on voit

Ceux qui restent,

Alors que les autres s'en délestent

En prenant le large et le champ,

A contretemps des tourments

Et du boucan,

Car les copains

Préfèrent le printemps,

Alors que les vrais amis

Resteront pour la vie

Que ce soit l'hiver et les soucis,

Avec aussi un peu de poésie

Et de chants vivants,

Pour ne pas totalement

Les déprimer,

Que la vie est un boulet

Et qu'ils nous envoient

Bouler au fil du temps,

Mais tout de même

Ce qui est sûr  !

C'est que dans la nature

Où traînent les gens,

Quand tout va bien

Sont là tous les copains  !

Alors que même qu'on connaît

Le sempiternel refrain,

C'est dans le pétrin

Et les problèmes

Qu'on voit les vrais amis,

Ceux qui restent comme on a besoin

D'eux et de leur précieux soutien,

Alors que pour le reste les copains

Au moindre pépin,

S'en vont en laissant les pépins

Du fruit de leur travail

En un large éventail,

Qui nous fait prendre conscience

En grande influence et en petite affluence,

Que ce n'est pas la quantité

Qui compte, mais la qualité

En acompte, car comme on dit !

Dans la vie,

On a plein de copains

Mais peu de vrais amis !

 

Jérôme de Mars

Je m'en fous de tout !

 

D'un tout

En atout

Du tout

Pour le tout

Sans moindre coût,

Je m'en fous de tout

Dans tout ce fourre-tout,

Comme la vie m'est casse-couilles

Et part en couilles

Dans tout ce gigantesque fourre-tout,

Avec que des ripoux

Qui cherchent des poux

Parmi les grands manitous,

Qui mettent le pays sous les verrous

Comme je m'en fous de tout  !

A en crever d'un coup

Dans tout ce fourre-tout,

Où je me demande ce que j'y fous

Avec que des fous

En garde-fous

Parmi les loups,

Qui louent

Et qui allouent

Le diable misanthropie

Et le roi du profit,

En posant en question

D'interrogation de trublion

Fou-allié

Et garde-fou à lier,

Qui en tire profit

De ce coup de folie,

Comme je m'en fous de tout  !

Avec comme atout

Mon va-tout, 

Qui s'en va à tout

Et à toutes effusions

Et fusion,

Comme la fusée Ariane

Qui est morte Ariane  !

Infusée et diffusée

Par son cancer de louanges

Au pays des anges,

Qui louent

Les jeunes vautours et loups,

En jeunes relous et fous déviés

Du droit chemin,

A ne pas emprunter

Si je m'en fous de tout

Et de vous,

A qui je voue

Toute ma haine

En rengaine,

A cause d'un trop-plein

Qui manque décence

Et du passé mesquin,

Où je ne me dévoue

Pour personne,

Comme je m'en fous de tout  !

Et que je dénoue

De vous

A nous,

Où je renoue

Avec le diable Lucifer

Dû à cet enfer

De vie, 

Endolorie par les accidents

Et les incidents,

A cran 

Campant et décampant

Sur ses pôles positions

Au mode d'emploi très fréquent,

Où je m'en fous de tout  !

Avec tout ce fourre-tout

Dans l'inertie qui dévie

De mon ressentiment,

A double tranchant

En manque de sentiments

Sous serments,

A contretemps

Du temps,

Qui me trépasse vite

Et à l'arrachée hétéroclite

De tout ce fourre-tout,

Où je m'en fous de tout  !

Faim de ma dent 

Dure de jeune loup,

Appoint fermé.

 

Jérôme de Mars

 

Le temps est-il au beau fixe  ?

 

Douche Ecossaise

C'est la douche froide,

Comme il y a un nuage

A l'horizon,

Depuis le balcon

Des retards à l'allumage,

Qu'on en déduit

Que la pluie

Prend le dessus,

Du soleil sens dessus

Et têtu,

Comme par préfixe

On se demande

Si avec les charentaises,

Le temps est-il au beau fixe ?

Fixe du regard,

Malgré les zones d'ombre 

Du brouillard hagard

Qu'on compte en nombre,

Quand tout tombe à l'eau  !

En trombe au fond du ruisseau,

Des souches qui baladent

Les caprices du temps,

Nonobstant autant

En déporte l'avant,

Comme il y a un avant

Et un après,

Au plus pré

Qu'on quémande,

Si le temps est-il au beau fixe ?

A l'égard fixe

Et voilé par les contrastes 

Du temps nuageux, 

Lunatique sans faste,

Et bleu, car tantôt radieux

Tantôt pluvieux,

Du soleil à la lune

Qui passe de la deux à la lune,

En unes

Fébriles et ambiguës,

Qu'on en démord

Que le mauvais temps est mort,

Au mors du remords,

Dont on chante en air de répit

Chantons sous l'accalmie  !

Comme le temps est au beau fixe,

Fixe jusqu'à la rixe du suffixe,

Car ainsi, bon vent ambivalent  ! 

Et pour long temps polyvalent.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Un vent terre

 

Inventaire

Avant taire

Un vent taire

Vend terre

Devant taire

Déviant terre

Event taire

Un vent terre

Inventaire

Avant terre

Vend taire

Devant terre

Déviant taire

Event terre

Un vent taire

Inventaire

 

Jérôme de Mars

 

L'iris voit les choses d'un bon œil

 

Pupilles de la nation,

Je vous envoie une fleur

De l'iris de mes yeux

Qui versent des larmes de vers,

Comme l'iris voit les choses

D'un bon œil,

De la prunelle de mes yeux 

Véreux et fastidieux

Avec une puce qui me gratte, 

Quand je mets la main à l'appâte,

Qui se rince l’œil en ecchymoses

Du fond du soleil rêveur,

Et enchanteur de ma mère

Au ciel,

Surplace de l'aliénation,

Où j'envoie une rose

A l'élue de mon cœur,

Comme l'iris vous fait une fleur

Et voit les choses d'un bon œil,

A Arcueil

Bon pied Bonneuil  !

Avec mes larmes de vers

Qui découlent de dessous terre

Dans le terre-à-terre délétère,

Avec la fleur aidant et au fusil

Que je fusille du regard qui m'émoustille,

Et où je me recroqueville

Avec l'iris de mes yeux,

Des sourcils

Et des soucis qui gardent bien l’œil,

En tenant à la prunelle 

De mes yeux

Avec des bleus nuageux,

Et cafés crème langoureux,

De l'iris de mes yeux

Qui vous envoie une fleur,

Comme l'iris voit les choses

D'un bon œil

Fleur éclose et porte close,

Mon œil,

Bon pied bon œil  !

 

Jérôme de Mars

Mon sain Michel

 

De par cet hommage,

Je me fixe un but

Celui de la lutte

De ne pas t'oublier,

Dans l'adversité et la fatalité

Mon cher oncle,

Dont ton absence 

Me cause l'offense

D'un puissant furoncle,

Avec une grande rage

De ne pas t'avoir à mes côtés

Dans l'amitié et la gaieté,

Mon sain Michel,

Où en ton Saint j'épelle

Les mois et les années

Parallèles qui me chancellent

Tout le bottin,

En ne trouvant plus ton nom

De ton décès qui me laisse paralysé

Sur place dans le chagrin,

Où malheureusement

Il faut bien se faire une raison,

Que je ne te reverrai

Plus pendant longtemps

Jusqu'au jour où je te rejoindrai

Au ciel

Dans l'au-delà,

Et que je serai content

De te revoir,

Fringant et en joie

En faisant la foire,

Comme avant

Tu t'en souviens,

Mon sain Michel,

Celui que j'appelle

A ne pas t'oublier

Dans la loyauté

Des journées passées,

A discuter

De la pluie

Et du beau temps,

Entre dépit

Et moments exaltants

A rire de plaisirs

Et à te voir sourire

A la vie,

Malgré les intempéries,

Mon sain Michel,

A me souvenir en ton Saint

Du Bescherelle,

Que tu me récitais

Avec ton vocabulaire

De secrets de polichinelle,

Comme tu étais très réservé

Et très humain,

Avec ton côté

Téméraire et cher,

De bon samaritain

Dans la modération

Et les bonnes résolutions

Lors de chaque nouvel an,

Où il est temps 

Après ce long poème

Qui t'est dédié,

De te dire

Mon sain Michel,

Je t'aime

A en souffrir,

En nostalgie

Et requiem,

Sans l'oubli

Pour l'éternité,

Toujours fidèle

Mon sain Michel.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça fait un Asiatique qui boit du café soluble à Séoul  ?

  -  Un ricoré

 

                                        Jérôme de Mars

Texte de paternité

 

Ethylotexte,

Tout me soûle

En prenant de la bouteille,

De connaître qui est qui ?

Est l'auteur de ce texte

Et de savoir qui est

Mon ex qui

Qui est

Mon exquis,

Avec moi qui est

L'un père

De ce texte

Bon enfant,

Qui est 

Un je d'enfant,

Où je dois faire

Un texte

De paternité

Avec mon encre décent,

Pour apprendre

Pour de bon,

Si je suis l'un père

Avec mon ex qui

Qui est mon exquis,

De prétendre

A qui

Est ce texte

De toute la semence

De mon écriture,

Qui jette l'encre décent

De par sa désinvolture

D'un je de rôle

D'imposture,

Si je suis à l'oeuvre

Et l'oeuvre

De ce texte

De paternité,

Et si j'en ai

La paternité

De ce texte

Génétique

Très technique

Et très mathématique,

Si je je ne calcule plus

Personne à l'origine

De ce texte

De paternité,

Qui reste bon enfant

Avec mon encre décent,

Dont je suis l'un père

De cette progéniture

Avec Dame nature.

 

Jérôme de Mars

Joyeux anniversaire  !

 

D'un bon début damné

Avec les années,

Lorsque c'est ton anniversaire

On te souhaite un joyeux anniversaire  !

En lançant une bouteille

A la mère,

La mère de tous les vices

Et sévices quand s'immisce

Toute ta colère

Qui sommeille en éveil

Et qui s'envoie en l'air

D'un air benêt

Et hébété,

Avec le regard hagard

Dans le brouillard du hasard

D'un bric à brac,

Qui casse la baraque

Dans le hangar d'un big bazar,

Comme celui de Michel Fugain

Qui lâche la grappe à l'oraison

De la colère mangée à toutes les saisons,

Parmi la clameur de la foule sur le ravin,

Qui en fait toute une montagne du fossé

Qui se creuse affaissé entre les personnes divisées

Et fâchées dans ce monde fauché, 

D'un bel anniversaire en guise d'inventaire,

Pour passer devant la petite lucarne

Qui incarne le faussaire et le haut émissaire,

Qui brocarde une parodie d'anniversaire

En une colère de prendre une année supplémentaire,

Qui saborde de mille millions de mille sabords 

Le bateau d'Haddock à tribord, 

Comme il est tintin l'anniversaire 

Qu'on pense dépositaire et imaginaire,

Du temps d'avant qui resurgira bénéficiaire,

Aux anciennes valeurs d'une fête guinguette dans La Marne,

Car après tant d'années damnées

On te souhaite en l'air,

Un joyeux anniversaire  !

Comme demain, ça sera du gâteau

Où tu auras le dernier mot  !

 

Jérôme de Mars

Mâle heureux

 

En ces jours mi-pluvieux 

Et mi-bleus,

Je suis un mâle heureux

Et un malheureux,

Avec des sentiments mitigés

Et un ressenti désabusé,

Qui font qu'on a abusé

De ma gentillesse

Et de ma bienveillance,

Même si ce n'est de la science

Infuse ce que j'affirme avec aisance,

Comme chacun détient sa part de vérité

Dans ce monde très funeste

Et indigeste avec les restes,

A se partager dans la liesse

Ou la détresse,

Comme je suis un mâle heureux

Et un malheureux,

Entre inconstances

Et consistance de circonstances,

Où je suis tellement dépassé

Que la société est outrepassée

Par ces calamités sinistrées

Dans ce monde sous anesthésie,

Consumée par sa folie en frénésie

En perpétuelle augmentation

Qu'il ne tient debout,

Comme il est à bout

Et en fragmentation

De ma colère de misère,

Où je ne crois plus aux prières

Comme je suis un mâle heureux

Et un malheureux,

De ne voir le soleil sourire

Et fait rire en satire

Ce peuple Français tracassé,

Et cassé par la politique simulée

Des gouvernants impuissants

Et indifférents

A la situation des plus démunis,

Qu'on en oublie dans le déni

Pour le compte de l'argent,

Roi du capitalisme qui prend les devants déviants

Du libéralisme sale et repoussant

Que ce monde ne tourne plus rond,

Car rubicond et ivre dans les bistrots de boisson

Avec une mise en bière 

En chantant La Marseillaise à La Canebière,

Car à contre-jour je ne serai un malheureux

Le jour où je redeviendrai un mâle heureux !

 

Jérôme de Mars

 

 

A quoi fais-tu référence  ?

 

Voici des petites pensées et des références férues en verve et truffées de jeux de mots  :

 

1)  Un fabricant de cornets qui n'aime pas son métier, ça le laisse de glace  !

 

2)  Un marchand de glaces dont l'image est entachée, a écorné sa réputation  !

 

3)  Un coureur du Tour de France cycliste qui est fou, a des petits vélos  !

 

4)  Un médecin qui travaille à la Clinique Pasteur et qui est fou furieux, on réussit à  l'apaiser grâce au virus contre la rage  !

 

5) Michel Drucker qui fume à la télévision, ça fait un écran de fumée  !

 

6)  Un réalisateur de films qui prend sa retraite, ce n'est pas du cinéma  !

 

7)  Un employé des pompes funèbres enterre sa vie de garçon quand il se marie  !

 

8)  Un pâtissier très âgé qui souffle sa bougie d'anniversaire, c'est plus du gâteau !

 

9)  Un plombier regarde TF1, une chaîne à robinet à série !

 

10)  Macgyver qui s'énerve se fâche pour des petites bricoles  !

 

11)  Un manchot qui subit une défaite perd la main  !

 

12)  Un jardinier futur père de famille a planté sa graine  !

 

13)  Qu'on habite en HLM ou qu'on ait L'AAH, de toute façon, on a la location  !

                                                                                                         l'allocation  

 

14)  Un nageur courageux mouille sa chemise en se jetant dans le grand bain !

 

15)  Clémence, une femme gentille et compréhensive fait preuve de Clémence  !

 

16)  Un écrivain qui écrit un livre à bord d'un bateau jette l'encre  !

 

17)  Aladdin qui allume une lampe qui ne marche pas fait trois désaveux en criant au génie !

 

18)  On remet un tableau d'honneur à un brillant peintre  !

 

19)  Johnny Hallyday est parti en fumée  !

 

20)  On doit bien s'amuser au Louvre quand il l'ouvre  !

 

21)  La lettre d'un corbeau ne vole pas très haut car c'est un oiseau de mauvais augure qui l'a rédigée !

 

22)  Un cinéaste très influençable , on l'embobine facilement !

 

23)  Un interprète musical qu'on kidnappe, on le fait chanter pour que ce soit la rançon de la gloire  !

 

24) Un bûcheron qui refait le monde fonctionne avec des si  !

 

25)  Quand on regarde un match de poules, on le voit un œuf du mois  ! 

 

 

Jérôme de Mars

En verve

 

Avec mon verbe,

Comme c'est l'immonde 

A l'envers inopiné,

Je crache de mon stylo

Tous les bobos

De ce monde,

Que je souligne avec mon stabilo

Et qui me tire les vers du nez,

Comme c'est inné

De pratiquer la langue d'abois,

Où je noie mon chagrin 

Dans le désarroi

D'un sommeil profond 

Sur mon coussin

Moribond et furibond,

D'où je suis en verve

Avec mon verbe

Vulgaire et péjoratif

Que j'inonde de noms d'oiseaux,

Comme ça ne vole pas très haut  !

Tout ce chaos à vau-l'eau

Subjectif et subversif

A l'écorché vif,

D'où je suis rouge vif

En verve,

Quand je sors de ma réserve

Pourvu que ça serve !

A enrichir la contestation

De ce monde en équation,

Qui joue son va-tout 

Dans le quitte ou double,

Qui redouble

Du tout pour le tout,

En espérant qu'il y a un atout

Si jamais ça part en vrille

En plein dans le mille,

Et qu'il faut quelqu'un

Pour réguler les jaloux

Et les grands manitous,

Qui se mettent à incarner 

Les assassins 

De la finance,

Pour écouter leurs doléances

Qui font les victimes

Qu'on incrimine

De médisance,

En vermines

Qui enveniment

Le tous pour un,

Car chacun voit

Dans la loi,

Le chacun pour soi

D'un immonde très divisé

Et trop fragmenté

En verve,

D'où j'essore de ma réserve

De ce monde en décadence,

Qui dépasse l'irrévérence

Depuis longtemps

En encensant les révérends,

Pour leurs différends

D'immaculés congestion,

Avec leurs ingestions

D'un autre temps,

Qui sert à rien

Et dessert leur putain

De doctrines,

Qui me bassinent

Le popotin,

En verve

Et pour longtemps

De mon verbe

Corrosif et explosif,

Comme un volcan éruptif

Acerbe qui m'exacerbe,

Avec de la réserve,

Pourvu que ça serve  !

En verve.

 

Jérôme de Mars

 

Je ne caresse pas dans le sens du poil  !

 

Politiquement incorrect,

Je promets sec

Que je peux être infect

Sans affect,

Qui ne m'affecte

Quelque se soit le lieu,

Où l'on m'affecte

Pour fermer mon bec

Pernicieux et capricieux,

Comme je ne caresse

Pas dans le sens du poil,

Et que je suis à rebrousse-poil

Dans une poêle pile-poile

A frire à poêle, 

Comme je l'ai dans la moelle

Epinière et dans la pépinière

D'une mise en boîte à idées

De mon âme charnière,

Qui promet d'être déracinée

Dès l'exil poil à gratter,

Où je suis réfugié

Dans un pays étranger,

Etranger à mon franc-parler

Par Les Français,

Comme je dresse

Contre moi tout le peuple

Qui meuble

Mon stress,

Qui n'a plus 

De jus,

Qui presse

Ma paire de chaussettes

Toutes trouées,

Et jeu sec

Et match à raquettes,

Comme je ne caresse

Pas dans le sens du poil

Qui m'adresse une contre dense

Qui me hérisse les poils,

Et me hisse le poil à gratter

Pour envoyer promener

Les fermiers qui ouvrent

A la ferme ferme

Leur sale gueule bégueule,

Et qui veulent

Tout en restant fermes,

Qu'ils ne renferment

Leur perm' ,

Qui s'entrouvrent

Pour se gratter

L'épiderme 

De leur manque de peau,

Car pour de vrai

Sans que cela sonne faux

Une fois 

N'est pas coutume,

Je caresserai dans le sens

Du poil de ma plume,

Toute la bonne odeur

De l'encens que j'encense,

Ainsi soie ! qui s'assoit

Sur la bonne hauteur,

A qui j'adresse

Mon adresse

Pile-poil,

Poil à gratter  !

Que je ne caresse

A rebrousse-poil

Dans le sens du poil !

 

Jérôme de Mars

 

 

Dialogues imaginaires entre amis

 

Voici des petites saynètes entre amis  :  

 

1 ère saynète  :

 

Jean-Paul, un ami  :  -   "  Comment vas-tu Jéjé ?  "

 

Jérôme, le lascar :  -  "  Bien JP, c'est le combien, la prochaine fête chez Boris ?  "

 

Jean-Paul : -  " Je pourrais pas te dire le combien comme tu es un sacré numéro, Jéjé !   " 

 

2 ème saynète :

 

Christophe, un autre ami très entier  :  -  " Alors ça va lascar  ?  "

 

Jérôme, le lascar :  -  "  Très bien Chris "

 

Christophe :  -   "  Lascar, explique-moi, pourquoi t'as toujours la crise de rire ? "

 

Jérôme :  -   "  C'est simple, parce-que tu as toujours là Chris de rire " .

 

3 ème saynète  :

 

Serge, un ami artistique  :  -  "  Bonjour Jérôme, comment vas-tu  ?  "

 

Jérôme, lascar académie : -  " Je vais pas très bien Serge "

 

Serge : -  " Pourquoi Jérôme ?  "

 

Jérôme :  -  "  Parce-que je me demande à quoi sers-je (  Serge )  dans la vie ! ? " 

 

4ème saynète  :  

 

Encore avec Serge, le musicien qui est mon pygmalion et dont je suis l'élève apprenti :  

 

Serge toujours un ami artistique  :  -  " Comment va le poète ?  "

 

Jérôme toujours le lascar  :  -  "  Pas terrible, j'ai plus d'inspiration ! "

 

Serge  :  -  " Te sers-je ( Serge ) un ver ?  "

 

Jérôme :  -  "  Ok Serge, après le ver solitaire, trinquons au ver solidaire ! Mais par contre je t'en prie, Serge, ne me tire pas les vers du nez  ! "  

 

5 ème saynète  :

 

Boris, l'ami ovni :  -  "  Bonjour Jérôme, viens-tu toujours à ma prochaine fête  ?  "

 

Jérôme, l'ami de Mars :  -  " Je viendrai avec plaisir à ta prochaine fête de l'amitié mais avant ça, juste une question Boris, à ta fête, y aura-t-il un spectacle de marionnettes  ?  "

 

Boris :  -  " Oui pourquoi  ?  "

 

Jérôme :  -  " Parce-que ce n'est pas moi qui tiendrai les ficelles comme je joue un rôle dans la vie devant tout le monde  !   "

 

6 ème saynète :  

 

Jérôme, le lascar qui en a rien à foot du foot  :  -  "  Bonjour lascar, as-tu réussi ton côté match  ?  "

 

Guillaume, un ami qui se cramponne au foot  :  -  "  Oui lascar, j'ai réussi mon Paris car plus besoin de refaire le match sur RTL en écoutant Eugène Saccomano, qui bat maintenant en retraite.  " 

 

7 ème saynète  :

 

Jérôme, lascar académie :  -  " Catherine, pourquoi n'as-tu jamais peint mon portrait ?  "

 

Catherine, qui ne caresse pas dans le sens du poil  :  -  " Parce-que je ne peux pas te voir en peinture avec ta nature morte.  "

 

8 ème saynète :

 

Jérôme, impatient :  -  "  Pourquoi cher docteur, ne me passez vous pas de la pommade  ?  "

 

Docteur Bernard tout Penot :  -  " Parce-que tu n'es pas une crème  !  "

 

Jérôme  :  -  "  Donc là, vous n'êtes pas tout Penot.  Vous êtes le docteur Penot and Mister Pénard . "

 

9 ème saynète  :  

 

Alexandre, very blagues  :  - " Pourquoi sans arrêt, mon cher Jérôme, tu me charries ? "

 

Jérôme, son acolyte anonyme  :  -  "   Car qui aime bien, charrie-bien  !  "

 

10 ème saynète  :

 

Adel, fan de Jeanne et Serge :  -  "  Bonsoir lascar, comment vas-tu  ?  "

 

Jérôme, en volley  :  -  "  Bien, as-tu volé ?  "

 

Adel :  -  " Non, je n'ai pas volley aujourd'hui, car c'est demain vendredi que j'ai !

 

Jérôme :  -  "  Donc demain, tu vas t'envoler (  t'en volley  )  !  "

 

11 ème saynète  :  

 

Jérôme, très texto  :  -  " Bonsoir, comment vas-tu Brigitte  ?  "

 

Brigitte, cache : - " Non, mais t'es pas net de m'envoyer un texto à 2h du matin ! "

 

Jérôme :  -  "  Je pouvais pas savoir car saynète de te l'envoyer sur le net  !  "

 

Jérôme de Mars

 

Aujourd'hui, un nouveau jour  !

 

A tort

Aux aurores,

Voilà aujourd'hui   !  

Un nouveau jour

D'une ravissante embellie,

Qui montre tous les contours

D'une variété de concert

De ce qu'est un assortiment,

De plaisants compliments,

A partager sans modération

Sur la place première,

Grâce à l'horizon toujours fécond

Hâtif de nous abreuver de son soleil éméché,

Quand la pluie demeure joliment fauchée

Comme c'est aujourd'hui   !

Un nouveau jour,

Entre l'hiver et le printemps,

Loin l'hiver qui se régénère exultant,

En une panoplie de couleurs chipies

Et la pose d'un compte à rebours,

Pour prédire la constellation

De la voix lactée en interaction,

Avec le paradis sur terre qui génère

Une pléiade de chimères pas imaginaires,

Là où le jardin d'hiver change en un balcon

De printemps, prêt à accueillir toutes les excentricités

De joyeux lurons, 

Par avant bougons, et maintenant des larrons en foire  !

Car ça sera plutôt ce soir  !

Qu'on passera d'aujourd'hui, un nouveau jour,

A demain, en un renouveau séjour 

De la diversité !

 

Jérôme de Mars

Doit-on être égoïste ou solidaire  ?

 

Comme un soliste,

J'égrène la liste

Du thème de ce texte 

Et de cette question

Universels dans cette équation,

Où l'on cherche vraiment la solution

Dans un pareil contexte,

Pou y voir clair

Et y dénicher la lumière,

En posant la question suivante

Et récurrente,

Doit-on être égoïste

En soliste

D'un ver solitaire,

Ou être solidaire  

En frères de l'univers

D'un ver solidaire  ?

Comme l'union fait la force

Et nous renforce,

Alors que l'égoïsme

Consolide l'individualisme

Dans un prisme

De l'héroïsme,

Solitaire et éphémère,

Car même

Si on affirme

Dans la firme,

Chacun pour soi

Et Dieu pour tous  !

A un moment donné

Et adonné,

On a besoin d'un coup de pouce

Et des autres,

Comme de Dieu et de ses apôtres

Pour y récolter des repères

Dans notre âme en jachère,

Et y renflouer la foi

En des jours meilleurs

Et d'un soleil plus rieur,

En reprenant goût à la vie

Dans la galaxie des soucis

Et des sans-soucis,

En posant

Et en reposant

Cette question essentielle

Dans notre crise existentielle,

Doit-on être égoïste

Et nombriliste

En soliste 

D'un plaisir solitaire,

Ou être solidaire

En frères de lumière

Et dualistes

De plaisirs solidaires  ?

Car dans la vie

Il faut donner

Et recevoir

Dans la réciprocité

Et la loyauté,

D'une amitié

Bien entretenue

Et bienvenue

Dans le juste échange

De l'archange,

Comme d'aider

Les autres nous rend meilleurs

Avec bonheur et honneur,

Alors que seul 

On est dans le deuil

D'une solitude refoulée,subie

Et enfouie,

Mais ce qui est sûr

C'est quand on va bien,

Et qu'on a une belle nature

Qu'on peut aider les copains

Et les gens dans l'altruisme,

Car tant qu'il y a de la vie  !

Y a de l'espoir  !

Dans ce monde si noir  !

Où l'on vous souhaite

D'y croire

La tête dans les comètes  !

En un bon appétit 

De vie, chers amis !

 

Jérôme de Mars

Géronimo ou Jérôme ? !

 

File indienne,

J'endosse l'habit de Géronimo

Le dernier des Mohicans,

Dont chaque semaine

Avec lui tout fout le camp  !

A cause de mes trémolos

Et de mes ecchymoses,

Qui me provoquent une cirrhose 

De foi,

Comme je ne crois

Plus en rien,

Et n'en démords car c'est certain

Que ça risque de mal finir

Dans le dernier soupir

Du con damné, 

Sauf que quand je rempile

En tenant la longue pile,

Du rôle de Jérôme

En jouant un rôle dans l'hippodrome,

Je suis très à cheval

Dans ma partir animale et générale,

A devoir porter tout ce fardeau,

Si je fais croire

Qu'il y a un sursaut

Et que j'ai trouvé les mots de mes maux,

Alors que je reste touché et fauché

Dans ma manière de parler,

Et d'évoquer ce qui me met

Et me démet à penser

Que je n'ai plus rien

A perdre, mais tout à gagner,

Si je maintiens

A incarner Jérôme

Dans l'arôme,

Et non Géronimo

Dans le chaos,

Qui fait sa révolution

A Place de La Bastille  !

Pour changer

Avec vibrations

Ce putain

De monde, 

Que j'inonde

D'insultes dans le tumulte

De la catapulte,

De ma langue de pute

Qui suppute

Qu'elle grésille,

A la moindre rature

De ma nature contre nature,

A ne plus croire en grand-chose

Et à espérer

Une possible fin

Du monde,

Que j'attends

Avec impatience

Et urgences,

Comme j'abonde

En ce sens

De la parfaite offense

Que Géronimo,

Tôt ou tard  !

Bouffera Jérôme 

Dans l'arôme

De la tare,

Jamais en retard

Du chaos de Géronimo,

Fin de ce lourd brûlot

Avec la suite au prochain

Numéro à contrario !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                            Blague  :

 

 

Qu'est-ce-que ça fera si la justice décide de confier davantage Méliné à son père Stéphane qu'à sa mère Jessica  ?

 -  La justice baissera la garde de Jessica !

 

 

                                       Jérôme de Mars

Tyran vers le O !

 

 

 

Parez-O, en naviquant en ces O troubles, j'écris un ver d'O dont je bois les paroles

.

O                                                                                                                              h

                                                                                                                                i

e                                                                                                                              s

l                                                                                                                               s

                                                                                                                                é

                                                                                                                               e                                                                                                                                    s    s                                

r                                                                                                                              e

e                                                                                                                              t

v

                                                                                                                              h

                                                                                                                              é

n                                                                                                                             r

a                                                                                                                             i

r                                                                                                                             s

 y                                                                                                                           s

 t                                                                                                                           é

                                                                                                                             e                                                                                                                                  s      n

e                                                                                                                            e

                                                                                                                               n

                                                                                                                               

                                                                                                                                  t

O                                                                                                                               y

 '                                                                                                                               r

d                                                                                                                               a

                                                                                                                                n

t

n                                                                                                                               v

a                                                                                                                               e

f                                                                                                                               r

n                                                                                                                              s

e                                                                                                                               

'                                                                                                                               l

l                                                                                                                               e

                                                                                                                           

emmoc  O 'd O 'd  tiaf  iuq O 'd enruot nob un snad  O 'd  nob a  iuq emèop ec  O              

                                                                                                                 

                                                   

 

Jérôme de Mars                                                                  

 

Bigoudis woman

 

Engourdis waouh man,

Chère madame

T'as le macadam

Qui te dame le pion  !

Avec tes morpions

De bigoudis woman,

Dont tu fais un concert 

En chantant avec des casseroles

Qui caracolent en tête de monopole,

Avec ton inspiration qui sent le délétère

De l'éther patibulaire,

Pour faire taire les mauvaises langues

De mes nattes qui griffent les chattes,

Et qui dégriffent mainates

De tes bigoudis woman,

A te faire des cheveux de tresses !

Qui incantent un élixir d'allégresse

Waouh man nymphomane, 

Mythomane et pyromane   !

Qui tanguent effet boomerang

Avec tes bigoudis woman

Qui mettent en couverture tes couettes,

Comme d'après Gainsbourg avec l'ami caouette 

Qui mange des cacahuètes ,

Tel un poète esthète 

Qui teste l'éthylotest  !

Dont la musique l'enivre

Et lui laisse un reste à vivre

De tes bigoudis woman,

Quand tu te laisses aller

Et dévaler en des vallées,

Qui vendent ton charme mélomane

D'un mélodrame en vie de drame,

Lorsque c'est là dans le là

Que tu contrefais de tes bigoudis woman,

Un parvis de la décence dans les aléas

Allez ah  ! pour de bon dégourdis toxicomane 

De tes bigoudis woman !

 

Jérôme de Mars

Faisons l'amour, pas la guerre  !

 

Roulement de tambour d'un rythme de troubadour,

Les temps sont fertiles et abondants dans la cour

Des grands, lorsque nous faisons l'amour,

Pas la guerre  ! d'antan dans un séjour

De cure, à se vivifier et à se rincer la tête de la haine,

Pour y insuffler une quête de pèlerinage, 

Avec l'objectif affiché de proliférer un don d'ubiquité,

Pour y souffler une cure de jouvence dans le monde entier,

Puisque c'est en aimant et en rassemblant la culture de l'amour sur scène,

Que nous maintiendrons, faisons l'amour, pas la guerre ! dans un mariage

Du cœur et de la raison, avec l'oraison pour calmer la colère,

Du peuple assouvi et vindicatif, comme seule sont prescrites la prière 

Et une âme solaire, pour venir à bout de la misère et du mal, 

Qui anéantit les êtres humains et les éloigne du droit chemin normal,

Donc faisons l'amour, pas la guerre ! en réunissant la communion

Et l'union de la communauté, qu'engendre l'harmonie en contagion,

Pour attiser l'amour et les saines passions, et éloignons la haine,

De sorte qu'elle se galvanise et qu'elle s'égrène dans de la gangrène,

Et qu'elle s'éradique au fin fond de l'immoralité, car ainsi faisons l'amour,

Pas la guerre ! pour le bien de l'humanité en guise de séjour, un de ces jours !

 

Jérôme de Mars  

Prénom d'un rien  !

 

Prénom d'un rien !

Adrien est un joyeux boute-en-train,

En train

De taquiner Dorothée,

Qui dort

Après avoir bu son thé,

Car dore

OT,

En compagnie 

De l'ancien collègue et ami,

Damien qui pose des lapins

Dont Damien est leur par un

Prénom d'un rien !

Comme Charlotte

Qui fait une charlotte

Aux pommes

Pour sa pomme,

Avec Laurent

Qui parfume le temps,

Au nom D'Yves-Saint-Laurent

Prénom d'un rien  !

Au teint hautain,

Comme Guy

Qui aime faire le gui,

Planté là comme un arbre

Qui le laisse de marbre,

Prénom d'un rien !

Comme il est malin

L'idéal moment

D'appeler Christian

Par son prénom,

Et de parler avec Christophe,

La personne la plus limitrophe

Sans strophes

Et sans signes d'apostrophes,

Prénom d'un rien !

Comme vient

L'instant trop pique

De demander à Eric,

S'il préfère manger

Avec sa dent dure,

Ou de croquer

La pomme D'Adam

Dans sa véritable nature,

Avec Adam

En pomme d'aidant

Pour sa pomme,

Et en maître du temps,

Qui pique-nique

Le midi avec Monique,

Prénom d'un rien !

Avec le refrain enfreint

Qui donne tort

A Victor,

Mais qui est retords 

Avec Clara

Qui déclara,

Prénom d'un rien !

Qu'on veut voir Jérôme

Dans l'arôme

Et pas Le Géronimo

Du chaos,

Et dont en fin,

Je quémande à Serge,

A quoi sers-je  ?

Point défunt.

 

Jérôme de Mars

Des brouillards débrouillards

 

Brume de fumée

Sur l'horizon parfumé,

Le ciel fripouille,

Barbouille et trifouille

Par fumée,

Une once de nuages 

De chicorée,

En buvant le breuvage

De l'ivresse du ciel,

Puisqu'il ne semble hagard

Le soleil essentiel,

Si jamais c'était 

Un drôle de gaillard

Dans la principauté,

Voilée par des brouillards

Débrouillards

Sur du papier buvard,

A relater les bris de couloirs

Qu'entretiennent les histoires

De comptoir,

A évoquer des choses noires,

Lorsque surviennent des brouillards

Débrouillards, rondouillards

Et bavards,

Comme des pies

Qui épient

Le moindre coup de Trafalgar,

Dès que quiconque l'invoque

Dans cette bizarre époque,

Où boursoufle

Le blizzard,

Quand s'essoufflent 

Des brouillards

Débrouillards,

A l'égard

Du vent au mitard,

Si bien 

Qu'on attend le pas du regain

Sanguin,

Aussitôt esclave

Sans gain,

Et slave

Sanguin,

Que brave

Sans gain,

L'inconnu en des brouillards

Débrouillards.

 

Jérôme de Mars

C'est la routine  !

 

De l'ombre à la lumière,

D'un matin d'hiver

A un matin d'été,

La vie est un éternel recommencement

Entre deux tourments

De notre être damné ou en paix,

Car c'est la routine

Que dessine 

La vie et qu'elle nous abreuve,

Comme la vie n'est un long fleuve

Tranquille ! puisque souvent

Chaotique et semée d'embûches,

Sur lesquels les humains bûchent

A chaque moment

De la journée,

Comme c'est la routine

Que nous contamine

La vie entre espoir

Et un monde très noir,

Dans lequel on vit

Avec perplexité

Et complexité,

En ne sachant

Si on en rit

Ou si on en dément

Qu'il est dément,

Entre larmes qui alarment

Et le vacarme, 

Quand vacille notre résistance

Et qu'elle rentre en circonstances,

Où l'inconstance

Demeure la norme en inconsistance, 

Comme c'est la routine

Entre deux blessures de la vie

D'hémoglobines,

Dont on se repasse en bobines

Tout le schéma en dramaturgie,

Car la vie souvent offre tout son hiver

Pour occulter l'été et sa lumière

Dans un sulfureux brouillard,

Qui jette un trouble vent rondouillard

Sur la place des grands boulevards,

Quand les voitures bouchonnent 

Et sermonnent 

Les automobilistes qu'en moyens de locomotion,

Elle ont trouvé la lotion

Pour rester des êtres débrouillards,

Quand des brouillards

Bavards causent des accidents dans un bazar,

Comme c'est la routine

Que butine 

Le fiel des automobilistes

Immobilistes,

Entre insultes

Dans le tumulte

De la libre-circulation,

Où y a rien de tel qu'un melting-potes

Pour savourer entre potes à la compote

Un repas d'accalmie dans cette vie,

Qui ne trouvera le répit

Qu'en bonne compagnie

Entre amis,

Dont tout le monde se dira

Bon courage,

Et s'évertuera

A rappeler qu'à n'importe quel âge,

La vie 

Ce n'est pas toujours ce qu'on s'imagine

Dans un monde épanoui,

Et que ce n'est le monde des bisounours

Mais plutôt des ours

Mal léchés,

Parce-qu'asséchés,

Comme la vie fait beaucoup de bris

Car c'est la routine !

 

Jérôme de Mars

L'homme est-il par fée  ?

 

Compte de fait de par son paradoxe en instantané l'homme est-il par fée  ?

S'il est né sous une bonne étoile, à peaufiner ses qualités pour zéro défaut,

Et qu'il désire invoquer le tout-puissant, pour confirmer sa volonté d'être parfait

Car l'homme est-il par fée ou par fait  ? de rester dans le sacerdoce d'un finaud,

Ou d'un nigaud contraire à ses contradictions, de savoir si l'homme est-il parfait ?

Pour répondre au sondage précoce, si Dieu soit loué ou alloué dans la maison

Du Mausolée, immaculée conception d'un balcon sur la mer, horizon impulsion

Qui répond au soleil en inclinaison, sur la couche de la zone au caractère trempé,

En réfléchissant si l'homme est-il parfait  ? et en infléchissant s'il est par fée, 

Au conte de fait d'une philosophie, très spéciale et particulière pour désigner

Si l'homme a peur de son ombre ou du nombre de fois, où il se demande

Si l'homme est-il par fée ou par fait ? d'un homme parfait s'il fait honorable amende

De prier, pour L'Ave Maria à l'appel de la paix, sur La Terre et d'éradiquer la colère

Qui détruit l'humanité toute entière, afin d'offrir un bain de jouvence aux précaires

Et qu'ils oublient leur misère, de la rue et de la cohue, car le plus important 

Est l'union qui fait la force, aux plus méritants en les récompensant élégamment,

Comme c'est là que l'homme est par fait dans un conte de fée par fée un parfait !

 

Jérôme de Mars 

 

                                                   Blague :

 

Que répondrais-tu à la fondation Des Amis De L'atelier si elle veut que tu participes à un marathon ?
- Vous pouvez toujours courir ! 

 

                                         

 

 

                                            Jérôme de Mars

Carte postale de vacances

 

Facteur de bonnes intentions en fraîcheur  !

Voici une carte postale de vacances

Pour vous rappeler faites-vous plaisir !

Les vacances arrivent et vous enivrent

Dans une belle contagion d'agréable humeur,

Où vous allez bronzer au soleil adoré

Des plages romantiques avec de la crème solaire,

Comme le soleil va vous ensoleiller  !

Avec aucun nuage à l'horizon en perdant le Nord

Pour aller se reposer dans le joli Sud d'un bleu Azur

Au bord de la mer bleue encre marine qui jette son ancre,

Et fait couler beaucoup d'encre comme un poisson dans l'eau  !

Lorsque vous êtes en nage dans l'eau à transpirer l'eau

De vos pulsions et de vos pulsations cardiaques,

En faisant la planche qui brasse du vent et de l'air,

Avec des cœurs de palmiers en palmiers qui se palment

A vos pieds  ! en sirotant une désaltérante menthe à l'eau qui calme votre soif,

Où le Sud a le lagon amoureux de la plage d'une calanque

Dans une baie, et où tout baigne pour vous dans vos vacances  

Paradisiaques ! et que c'est plutôt bon signe du zodiaque  !

De consulter votre t'aime astral à suer et à respirer de soulagement

Comme quoi l'amour est au rendez-vous de votre flirt d'été  !

A vous ricanez comme deux diablotins facétieux et espiègles,

Où lorsqu'il sera temps de prendre congé de vous, vos vacances

Auront été longues à la détente, avant la reprise du travail au mois

De septembre et en musique qui adoucira vos mœurs, comme on 

Connaît la chanson  ! en contre-dense qui danse du bal de l'été

Jusqu'à déballer ses cartons de l'été pour les cartons de la rentrée,

Comme on prend congé de vous maintenant  ! vu que ça déménage 

Dans tout ce remue-ménage, de nettoyage, d'empreint tant de tendresse,

Convertible en prenant du repos, dans un clic-clac qui clique en un clac,

Car après votre serviette de plage, v'là la rentrée avec votre serviette de travail  !

 

Jérôme de Mars

 

J'ai le cafard  !

 

Phare Ouest

Complètement à L'Ouest,

A moindre coût

J'ai des coups

De cafard

Sans fard,

Où chez moi

J'ai des cafards,

Quand j'ai le cafard

Signal Far West,

Comme le soleil se lève

A L'Est

Complètement à L'Est,

Si je lâche du leste

Leste

Dans tout ce capharnaüm,

Où je me crois

Dans un auditorium,

Avec des malentendus

Etendus,

Si je suis fichu

Et foutu,

Quand j'ai des cafards

Chez moi

Et que j'ai le cafard

En moi de mon désarroi,

En plein phare Ouest

Complètement à L'Ouest

Sauf que je suis complètement à L'Est,

Quand je lâche du leste

Leste,

Quand le soleil s'élève à L'Est

Et que je me débarrasse

Des cafards

Chez moi

Ex spray,

Puisque je n'ai plus le cafard

Avec mon spray

Et que c'est à partir de là,

Que j'embrasse

Le cagnard

Du soleil qui est à son zénith

Avec de l'eau bénite,

Comme je ne bénis

Le béni du oui-oui

Et que près du bazar

De chez moi,

Je crois

Au plus grand des hasards,

Dont je dédie

Des dits,

Que je dis

En non-dits,

Qu'en bruits de couloir

Je n'ai plus le cafard  !

 

Jérôme de Mars

 

Grain de poussière

 

Etoile polaire

De la grande ourse,

C'est l'heure de la course

En un grain de poussière,

Avec la poussière d'ange

Qui gravit le ciel avec mésanges,

Pour rallier la voie lactée

Dans le système stellaire,

En un grain de poussière

Du soleil velouté

Avec la lune envoûtée,

Par les comètes fidèles

Du ciel qui met son grain de sel,

En un grain de poussière

Dans Le Missel qui incante 

La galaxie qui évente

La face lumière des planètes, 

Qui surfent sur le net

Très net et qui déversent en clair

A des années-lumière,

Un grain de poussière

Terre grise de matière,

Pourvu que la lumière

L'emporte 

Et nous transporte

Dans un ailleurs, 

Au goût meilleur

Pluriel qui scintille

D'une flamme linéaire,

Qui brille 

Dans la pérennité,

Sans durée

En un grain de poussière.

 

Jérôme de Mars

 

 

Accepte-toi comme tu es  !

 

Dès le début de ta vie,

A l'horizon garni ou décrépi

De l'enfance

A l'adolescence

Et à l'âge adulte,

Toi enfant

Comme tes parents,

Doivent te dire

Accepte-toi comme tu es  !

Bien sûr dans les préceptes

De la légalité à l'égalité,

Même si tu connais

Le tumulte, 

Que tu interceptes

Dans ta vie d'homme,

Car en somme

Ta vie ne sera

Pas un long fleuve tranquille  !

Jusqu'à mourir 

Sur la quille

Pour te médire,

Te maudire,

Ou te comprendre

Que dans la vie

On n'a pas assez d'une vie,

Pour apprendre

Les rudiments

Et les fondements

Du devis de la vie,  

Et s'en souvenir

De ce que tu as appris

Par rapport à ce qu'on t'a dit  !

Car mets-toi martel en tête  !

Accepte-toi comme tu es   !

Comme ça, t'auras l'air moins bête  !

Car ce qui compte c'est ce que toi

Tu veux pour ta vie et ta joie,

Si tu as la foi

De ce qui te rend heureux,

Car ça ne regarde pas les autres mais doit

Les rendre pieux dans ta droiture

Du bon Dieu,

Si ta nature

Te fait faire le bien

En ne déviant

Pas du droit chemin,

Et que tu ne trahis

Ni ta famille ni tes amis

Et ni tes copains,

Comme ça on te respectera

Et on t'encouragera

Ainsi que tout ton entourage,

En te criant 

Accepte-toi comme tu es  !

Pour améliorer ton image

Depuis que t'es né,

Et passe du bon temps

Dans la tolérance

Et la patience

Que tu t'évertueras à démontrer,

Même si depuis ta prime enfance

On ne te l'aura pas montré,

Car souviens-toi  !

Il n'est pas trop tard  !

Pour changer le cours des choses

Et pour bien faire même

Si t'as des ecchymoses,

Dont le plus important

C'est qu'on t'aime et que tu aimes

La vie 

Et son embellie,

Car il y a aussi la source

Pour trouver tes propres ressources

A tes ennuis,

Et les convertir

En plaisirs,

Où tu seras épanoui

Dans ton ouverture d'esprit,

Car on ne te le répétera

Jamais assez accepte-toi comme tu es  !

Et tout ira bien

Pour le mieux,

Jusqu'à ta fin

Parmi l'humanité,

Ainsi soit loué  !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Ne restez pas seuls  !

 

Effets de seuil,

Par les temps ordinaires

Sur La Terre,

On est seuls

Depuis notre fauteuil,

A regarder Drucker

A la télé des célibataires,

Qui forgent notre caractère

Que le terre-à-terre n'est guère

Salutaire mais austère,

Dès que l'on est seuls

Au seuil de notre fauteuil,

Où l'on devient veule

Alors que notre aïeul

Cultivait ses amitiés, 

En buvant des tilleuls

Avec sa collectivité

D'amis,

D'une fratrie

D'écureuils

Et de chiens,

Pour ne pas être seul

Au seuil de notre mille-feuilles,

Tandis que c'est du gâteau

De trouver le bon jeu de mots,

Pour que ce soit pédago 

D'y écrire des poèmes

Avec mille feuilles,

Pour parler de la nature

Et du jeu d'écriture,

Que procurent

Les thèmes sur les animaux,

Comme les écureuils

Et les chiens,

Qui demeurent nos potos

Et les humains

Qui ne sont plus nos copains,

Ainsi ensuite, ne restez pas seuls  !

Et hein si de suite soyez avec votre épagneul   !

Qui a du flair

En tant que chien,

Pour repérer les vilains

Et les autres qui sont bien

Avec une belle atmosphère,

Et ne soyez plus seuls  !

Car priorité à l'accueil

D'une vie en compagnie

De vos amis,

Les chiens

Et les écureuils,

Car dans votre recueil,

Vous pourrez marquer

Que les humains

Sont veules

Mesquins,

Et cultivent le chaos

Et que pour demain

Rien de tel que les animaux,

Comme les chiens

Et les écureuils,

Pour cueillir le bien

Et ne plus rester seuls

Au seuil de notre fauteuil.

 

Jérôme de Mars

 

Charles sans Trenet

 

D'un ciel de traîne

En périodes d'étrennes,

Je vis Charles sans Trenet

Qui s'entraînait,

Comme Charles Traînait,

Sans Trenet et traînait

Avec Charles Trenet

Dans le jardin extraordinaire,

Où je chante avec Charles

Sans Trenet, l'âme des poètes  !

Comme Charles traînait et s'en traînait

Sans Trenet, où il fredonna

Bonjour les hirondelles y a d'la joie  !

Dans cette douce France 

Face à la mer,

Où le soleil frétille le soir

Dès qu'il voit la lune qui frémit

En lui susurrant : "  - Bonsoir jolie Madame  !

J'ai ta main avant notre mariage

De retour à Paris et la romance

A Paris où mon cœur fait boum du Sud

Jusqu'à Ménilmontant "

Comme Charles Trenet s'entraînait

Et s'en traînait sans Trenet,

Après ces quelques années d'union

D'éclipse lunatique entre deux variations

D'humeur entre le soleil et la lune,

Qui au moment de leur divorce

Se demandèrent que reste-t-il de nos amours  ?

Dans un débit de voix allo au dépit olé  !

Car après ça sans étrennes, Charles Sans Trenet,

S'en traînait et s'entraînait en attendant sa conquête

Prochaine, en quête de vérité  ! qui formula une requête

Et plus si affinités, à volonté si Charles Traînait !

 

Jérôme de Mars

Effervescences

 

Emporté par la fougue

Comme l'édite un piaf,

L'oiseau de toutes les couleurs

Affiche ses rondeurs

En effervescences,

Dans l'incandescence 

Des rêves d'enfants qui piaffent

D'impatience à aller sur le banc

De l'école avant d'afficher des bancs,

Pour leur mariage plus tard 

Dans un signal phare

Rapporté dans leur enthousiasme,

Dont le cœur a des spasmes

En effervescences,

Du haut de la fluorescence

Qui évade les nomades

Lors d'une promenade,

Entre oiseaux de mauvais augure

Dans une drôle de caricature

D'une parodie de mariage,

Qui unifie le plumage et le ramage

Comme maître corbeau 

Tient son fromage

Près des gens de la fontaine

Avec leur grande bedaine,

En proférant des gros mots

En effervescences,

Dans la plus complète indécence

Qu'est l'essence de la vie,

Alors qu'elle se dévie la nuit

Entre troubles et cauchemars

Dans le tintamarre du désespoir

Qui est emporté par la foule,

Quand Edith édite un piaf

Comme le pif d'Edith Piaf,

Par inadvertance

En tirant un trait en effervescences.

 

Jérôme de Mars

Ca fait cliché  !

 

Photogénique,

T'es l'archétype

Du parfait prototype,

Dont tout le monde 

Te sonde,

Si tu es le stéréotype

Ou l'idée reçue

De l'intrus malotru 

Dont ça fait cliché,

Y a pas photo  !

Sauf si tu es 

Avec un poto,

Sympathique 

Et paisible

Et que c'est le parfait type,

Dont tu t'en fais

Un bon ami,

L'un des rares comestibles

Qui ne te juge

Et t'adjuge

Le titre de grand allié,

Doublé de gentille mentalité,

Avec ton agréable force de vie

Qui amorce une quantité de défis

A relever, 

Sans qu'on dise 

Que ça fait cliché

Et qu'on médise

Ton ultra intégrité,

Car y a pas photo  !

Quand c'est un ami

Qui est un chic type,

Du parfait prototype

Qui est l'archétype,

Sans être un stéréotype

De gros costaud

Avec rien dans le ciboulot, 

Car ce qui compte

C'est ce qu'on naît

Au fond de soi,

Sans juger 

Sur les apparences

De ce quiconque pense

De toi  !

Car le plus important

C'est que tu sois

Un gars bien fidèle

De probité,

Avec untel

La famille,

Et les amis

Pour passer de riches instants,

Ce dont tu escomptes

Dans tes principes

Qui t'émancipent,

Sans que ça fasse cliché

Car là tu as assez donné,

Comme y a pas photo  !

Sauf quand tu es avec ton poto

Car là ca fait un parfait cliché,

De la rétro

A la nécro,

En un rendez-vous pour toute la vie

Et en folie  !

Comme c'est là que ça fait cliché

Avec ton poto,

Y a pas photo  !

 

Jérôme de Mars

 

Blagues d'ESAT :

 

1)  Pourquoi L'ESAT de Vitry privilégie-t-il le profit au détriment du social et de l'humain ce qui fait que les agents en pâtissent  ?

    -  Parce-que L'ESAT de Vitry n'a pas choisi la bonne direction  !

 

2)  Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT de Vitry c'est l'enfer, depuis que MR Gabriel Vappereau est directeur-adjoint  ?

   -  Parce-que ce n'est pas l'ange Gabriel  !

 

3)  Comment pourrait-on renommer la fondation comme elle est devenue rude et qu'elle bouffe toute notre santé pour l'argent  ?

  -  Les Amis Dur Atelier

  -  Les Amis Du Râtelier

 

4)  Pourquoi est-ce-que la directrice de L'ESAT de Vitry on l'appelle Dark Vador ?

 -  Parce-que c'est la menace fantôme

 

5)  Pourquoi est-ce-que la construction du bâtiment de L'ESAT de Vitry a l'air solide de façade alors qu'elle est bancale  ?

 -  Parce-que toute la fondation est à revoir  !

 

6)  Pourquoi l'atelier conditionnement est-il conditionné au pire  ?

 -  Parce-que comme on nous sous-traite, on nous maltraite  !

 

7)  Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier reliure, on speede les agents  ?

 -  Parce-qu'on livre  !

 

8)  Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier blanchisserie, les agents sont-ils agressifs entre eux  ?

 -  Parce-que tout le monde lave son linge sale en famille  !

 

9)  Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier cuisine, on met toujours les choses à plat  ?

 -  Parce-qu'on cuisine les agents  !

 

10)  Pourquoi est-ce-que l'atelier pompes marche moins bien qu'avant  ?

 -  Parce-qu'on fait moins de tubes qu'avant avec les pompes  !

 

11)  Pourquoi est-ce-que l'atelier cuisine de L'ESAT de Vitry traîne-t-il des casseroles ?

 -  Parce-qu'à force de passer les plats, ça fait longtemps que l'atelier cuisine est cuit  !

 

12)  Pourquoi met-on toujours une bande d'acolytes pour faire DUGAS  mais que ça soûle ? 

  -  Pour prendre de la bouteille en mettant en boîte les agents  !

 

13)  Pourquoi est-ce-que ça soûle les agents de faire DUGAS  ?

 -  Parce-qu'ils prennent de la bouteille  !

 

14)  Pourquoi est-ce-qu'avant quand on faisait les dossiers de la clinique Pasteur, ça apaisait les agents  ?

 -  Parce-qu'en piqûre de rappel, les agents étaient vaccinés contre le virus de la rage grâce à la clinique Pasteur  !

 

15)  Pourquoi quand on fait les parapluies, ça provoque des tensions  ?

 -  Parce-que parfois il y a la rage à l'horizon  !

 

16)  Pourquoi est-ce-qu'au nom de Dieu, c'est un plaisir de faire Breadshop  ?

 -  Parce-que c'est du pain béni  !

 

17)  Pourquoi quand on fait Riem Becker, faut-il aller vite à préparer et à remplir les box en prenant des coups verbaux sans prendre de gants avec les agents  ?

 -  Parce-que Riem Becker, c'est comme sur un ring de boxe, on boxe les agents en paroles pour qu'ils prennent des coups jusqu'au dernier round sans rendre les coups  !

 

18)  Pourquoi le diplôme de L'ESAT n'a-t-il aucune valeur et que tout le monde s'en fout  ?

 -  Parce-que tout le monde passe indifférent et compétent  !

                                                    (  un différent et compétent )

 

19)  Pourquoi quand on fait les parapluies, les agents ne sont-ils pas solidaires entre eux  ?

 -  Parce-que la machine n'a pas réussi à les souder entre eux  !

 

20)  Que signifie le PPI  ?

 -  Pipeau Professionnel Inintéressant  !

 

21)  Pourquoi l'atelier bijoux a-t-il fermé au sein du conditionnement  ?

 -  Parce-que les agents enfilaient des perles  !

 

22)  Pourquoi le petit groupe d'agents qui va à la voile un lundi sur deux le matin préfère-t-il être là-bas qu'à L'Esat  ?

 -  Parce-que L'Esat les mène en bateau  !

 

 

Jérôme de Mars

 

Je passe de la peau mate  !

 

Marque de fabrique,

Je suis naturel

Et rebelle,

En me refaisant

Le maillot

Grosso modo

Au demeurant

Poil à gratter

Avec mon style effronté,

D'où je dérange

Quand mes boutons 

Me démangent

Allergiques et somatiques

A en perdre ma raison,

Quand je passe de la peau mate

Foncée et défoncée astigmate,

Comme baisse ma vue

Et qu'elle devient floue

Et superflue

Dans ce monde de fous,

Avec une grosse fatigue insurrectionnelle

Délicatement personnelle, 

Aux conséquences professionnelles

Et mémorielles

De mes stigmates

Dont je passe de la pommade,

Quand je passe de la peau mate

En lui faisant la peau

Avec de la ouate,

Lissée en une passade

Dans le vent

D'une mode paravent,

Quand j'ai fini de passer de la peau mate

Echec et mate.

 

Jérôme de Mars

Kiffe la vie  !

 

A Paris de mon accent parigot

J'utilise l'argot

A tire-larigot   !

Comme bientôt

Ce sera la fin des haricots,

Si on ne redevient pas solidaires

Dans ce monde où domine la colère,

Mais dont il faut

Diffuser avec un mégaphone

Un message francophone

Kiffe la vie  !

Même si les hommes politiques

C'est kif kif des capitalistes technocratiques  !

Qui s'en foutent des petites gens 

Avec leurs différents tourments,

Mais dont il faut 

Inciter à aimer leur pays

D'un kiffe la vie  !

Même s'il y a des égoïstes,

Car c'est kiff kiff les gens fatalistes  !

Qui grossissent le monde exponentiel

Et substantiel de l'argent essentiel

Que veut pieux le monde hautain

Au lieu d'un système plus humain,

Mais dont il faut tout de même

Garder la main,

Même si la vie c'est beaucoup de problèmes

Avec des chrysanthèmes,

Où les gens ne s'aiment

Guère comme ils préfèrent le butin,

Car ils butent un de leurs plaisirs sains,

Mais dont il faut les convaincre avec parcimonie

D'un kiffe la vie  !

Même qu'elle n'est plus facile

Car ça fait longtemps qu'elle est indocile

Dans cette population de gens incivilisés,

Indifférents et mécréants

Qui n'ont plus d'intérêt

Pour la vie et les humains,

Comme ils se croient suprêmes

Du genre que c'est leur totem

A en tuer plus d'un, 

Mais moi avec mon accent parigot

Je leur gueule à tue-tête avec ma voie en échos  !

Qu'il faut s'aimer les uns et les autres,

Comme si c'étaient les vôtres

En chantonnant kiffe la vie  !

Pour la propager en majorité

Dans de l'amour revigoré

D'une société ressuscitée, 

Qui se surenchérit

A vous tous mes chéris  !

Comme chéris la vie  !

A volonté

Eblouie,

Où tout le monde sera ravi

Et gagnant,

Accordé à tous les temps,

Car pour la vie,

Kiffe la vie  !

 

Jérôme de Mars

 

Eugénie grondait  !

 

Génie de mauvaise herbe,

Avec le verbe

Gronder,

Comme un génie  !

Dont le portrait

D'Eugénie

Grondait

Relève du pur génie

D'Eugénie Grandet,

D'après le roman épique

D'Honoré De Balzac,

Du tac au tac en mic-mac

Attire larigot   !

Qui attend la faim des haricots

Avec ses piques atypiques,

Car euh génie grondait  !

L'Eugénie Grandet,

Qui grondait

Eugénie grondait,

Dont l'Eugénie 

Surpasse le génie

De la lampe,

Avec trois vœux

Que veut Eugénie

Grandet sans désaveu

Et des aveux,

Quand Eugénie grondait

Le génie

De l'Eugénie grondait,

Comme Eugénie Grandet

Avec un sample

De par sa folie 

Des grandeurs,

Car toi L'Eugénie Grandet  !

Quand le génie grondait

Eugénie grondait

D'Eugénie Grandet,

D'après Honoré de Balzac

Sur le tarmac

D'un portrait de génie,

Qui coupe l'herbe

Sous le pied,

Du Boulevard Malesherbes

A Paris, 

Car Eugénie grondait  !

 

Jérôme de Mars 

OTAN en emporte levant

 

Au paravent, 

Au temps

Dans le vent,

Le soleil veut la paix

OTAN en emporte levant  !

Comme autant, 

La lune dort sur ses lauriers

Qui lui jette un vent

Et a le vent

En poupe,

Qui sent le pouls

Du soleil levant,

Quand le vent au temps,

Autant en emporte le vent  !

D'un coup de Trafalgar

Qui met ses phares,

En signaux phares du far

Breton dans le vent,

OTAN en emporte le vent  !

Autant que longtemps,

Au temps le vent levant

Tape de ses rayons

De couleurs en crayons

X avec la lune,

Qui se met en une

Du soleil friand

De la lune et de son croissant,

De pure gourmandise

Qu'on se le dise   ! 

Autant en emporte le temps  !

D'OTAN en emporte levant  !

Quand le vent jette un vent

A la lune,

Qui ne fait qu'une

Avec le soleil en cinquième élément,

En aimant, aimant 

Le vent en poupe

Du soleil et de la lune,

Qui sentent le pouls

Du vent qui vend

OTAN en emporte levant  !

Le vent qui jette un vent,

Dès les prémices

De l'éclipse en armistice,

Car autant au temps,

OTAN en emporte le vent,

Levant vers les ils du Levant,

Auparavant.

 

Jérôme de Mars

Elles brisées

 

 

 

              E

              l

              l

             e 

             s

 

             b

             r

             i

            s

            e

            e

            s

 

            à

            -

            t

            i

            r

            e

            -

           d

            '

           a

           i

           l

          e

          s

 

          d

          '

          u

          n

          e

 

         b

         r

         i

         s

         e

 

         d

         e

         v

         a

         n

         t

 

        q

        u

        a

        n

        d

 

        l

       e

       s

 

       e

       l

       l

      e

       s,

 

      a

      i

     l

    e

    s

 

    s

    e

 

    b

    r

    i

   s

   e

   n

   t

 

   d

   a

   n

   s

 

  l

  e

 

  p

  a

  r

  e

  -

 b

 r

 i

 s

 e    qui  attire d'ailes à-tire-d'elles d'une brise devant qui brise les elles brisées.

 

 

 

Jérôme de Mars

On est seuls et on meurt seuls  !

 

Comme la vie,

On naquit

Dans un maquis,

Qu'est la vie

Sur un croquis,

Où dès la naissance

On est seuls dès l'enfance

Et on meurt seuls,

Quand on est vieux

Au seuil lorsqu'on naît

Un aïeul veule,

Dont c'est le tour

De laisser la place

A la surface,

Au nouveau bout de choux

Qui apprendra

A connaître les contours

De la vie,

Dont on a vite fait le tour

Dans le pourtour

Méditerranéen,

Dès la retraite que l'on passe

En sautant dans le grand bain

En vivant dans le sud,

Lorsqu'on perd le Nord rude

De Paris mouvementé

Et désarçonné,

Comme on naît seuls

Qu'on est seuls,

Et qu'on meurt seuls

Au seuil de sa vie,

Que l'on passe

Entre l'enfer et le paradis,

Et que l'on fasse 

Le bien eh ben !

Et le mal,

Mais de préférence

Faire le mâle,

Dans l'irrévérence

D'un garçon manqué,

Où l'on sort la grosse artillerie

A tous ceux

Qui nous ont moqué,

Avec indifférence

Et offense,

Comme ils veulent

Notre mal,

Puisque nous

Sommes des mâles

Veules que veulent

Les femmes,

Avec qui faire leur vie

S'il y a un brin de gentilles

Dames, dont nous sommes les chouchous

Avec nos bijoux de familles,

Quand l'estomac crie famille

On a besoin

De toi  !

Comme on est seuls

Et qu'on meurt seuls

Au seuil 

De notre existence,

Car après le trépas

Nous v'là dans l'au-delà,

A commencer nos vacances

Au paradis, 

D'où on lui dit merci  !

D'être enfin en paix

Pour l'éternité

D'un monde meilleur 

Nulle part ailleurs,

Comme vous serez des nôtres

Un jour ou l'autre,

D'où vous ne serez plus jamais seuls

Au seuil 

Des aïeux plus vieux,

Comme le temps ne sera pluvieux  !

Mais plus vieux heureux

Car ensemble, c'est mieux  !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                Blagues  :

 

 

1) Que dit un Juif qui crame le jour de la canicule ?

-  Il fait chaud ah  !   (  Il fait Shoah !  )

 

2) Pourquoi l'homme est-il une vache à lait pour la femme  ?

-  Parce-que la femme tête olé olé

 

 

                                        Jérôme de Mars

Majuscules

 

En prologue

De la péninsule,

L'été ample

Fait son monologue,

Qu'il contemple

Et qu'il exacerbe en majuscules,

Avec le carillon du soleil levant

Qui se brandit sur le toit des monuments,

De Paris à Pékin,

Comme un Mausolée en majuscules

Qui crépite en lamelles de lin,

Dans la matière douce du tintamarre

Autour de fresques murales dans la bascule

De gyrophares, des signaux phares,

Qui gravitent la gravité de marbre aux antipodes

De la nature

Et de ses codes,

Avec une stature

De La Statue De La Liberté 

A la faune et la flore

De la nature,

Eprise de volupté et de danger

Au fort de son fort,

Dont le fort

Est celui que s'offrent les braconniers,

De la chasse aux trésors

Dont c'est de leur ressort

De prouver qu'il y a l'essor,

D'un monde moderne en pleine mutation

Et en résurrection,

Qui fait des émules

En prenant tout à la lettre et en majuscules,

De ce poème qui parsème

Et finit son ver dans le carpe diem,

D'une France funambule

Qui se transcende conciliabule

En majuscules.

 

Jérôme de Mars

Etait

 

D'après les quatre saisons de Vivaldi,

Voici après l'hiver et le printemps

L'été comme il était attendri

Par ces romances à l'eau de torrent

Qui coule comme le sang, 

Dont l'été était coutumier et fluorescent

Comme une saison indémodable,

Avec du sirop d'orgeat sur la table affable

Dont est extrait cette saison qu'était l'été,

Avant l'automne et ses mois monotones

D'autant qu'il faut un sonotone,

Avec la mauvaise entente avant l'hiver

Et ses mois divers qu'était froide l'atmosphère,

Alors que du temps de l'été, c'était bienveillant

Autour d'un verre de vin blanc sans semblant,

Qu'était l'été de sa par sa remarquable connivence

Avant l'aven de l'hiver en croyant par intermittence

Au Père Noël d'antan, comme auparavant il n'y avait 

Nulle part ailleurs, où aller dans les allées du syndrome,

Chromosome X ou  Y comme les symptômes,

Tombent d'ailleurs dans un meilleur monde, à réinventer

Si possible, avec des gens au demeurant conciliants

Et attrayants, pour conjurer les mauvais cieux inélégants,

Dont l'hiver fut empreint tant du printemps qu'était

L'été dans ses maux d'automne,

Monotones, atones

Divers et avariés,

Car été comme hiver variés

De la collection printemps-était.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                 Blague  :

 

 

Que dit-on d'une belle Tunisienne, responsable d'un attentat à l'explosif à Tunis, revendiqué par Daesch  ?

-  C'est de la bombe  !

 

                                          Jérôme de Mars

Le conseil des prudes hommes

 

Amis salariés,

Votre travail 

A de la valeur

Quelque soit votre secteur,

Où l'on embauche 

Et débauche

Dans la débauche

D'un putain de boulot

A la noix,

Qui nous casse

Le dos

Et nous tracasse,

Comme des bécasses

Avec un ver d'eau

A la main,

Où à la moindre faille

Il faut pas hésiter

A saisir

Le conseil des prudes hommes

Rudes en sommes,

Pour obtenir

En gain,

Une coquette somme

Dans la jurisprudence

De vos droits 

Avec prudence,

Où la faillite

Est le domaine roi

Des gens qui déméritent,

Sans gloire et honneur

Dans un dur labeur

Qui n'est pas reconnu

Mais jeté comme des détritus,

Lorsque vous ne faîtes plus l'affaire

Alors que les patrons n'en ont à faire

De vous comme ils se caressent

Leurs bijoux de famille,

Avec prouesse

Genre que ça remplit

Les bourses de la vie,

Comme cependant, ça pétille

Dans des bulles de champagne

L'éjaculation précoce 

Des obsédés d'Espagne,

Comme ils aiment la bagatelle

Dont ils s'attellent dans la chapelle

Avec  le conseil des prudes hommes,

Comme en somme, c'est pour leur pomme

La juteuse somme qu'ils débitent

De leur société en faillite,

Quand leur sexe en bande avec leur sauce

Béarnaise à conduire les futurs amants

Devant monsieur le maire,

Comme la belle paire

Des prétendants,

Pour éconduire les gens chiants

Qui ne sont pas attirants,

Car désormais repoussants

Dans la société

Des prud'hommes, 

Dont leur conseil de prudes hommes

C'est de faire en somme

Ce que nous sommes

En tant que bourgeois gentil homme,

Comme le département de La Somme

Point com comme ça en somme !

 

Jérôme de Mars

Concerto sur un balcon

 

Arrivée de l'été,

La saison est grisée

Par la sérénade

D'un chanteur de charme,

Qui clame son amour à Parme

En Italie vis-à-vis des femmes,

Avec un concerto sur un balcon

Et du Porto pour s'enivrer

Et exulter ses impressions

De Conquistador et de Don Juan,

Qui courtisent les dames en slam

Avec un cœur d'artichaut,

Archi chaud avec les badauds

Oisifs en jouant du violon

De Casanova qui s'entiche

De l'amour qui se friche

Avec un concerto sur un balcon,

Entre deux élucubrations

Pour voir en émotions

Si le soleil se dore la pilule

Pendant que les femmes prennent la pilule,

Quand elles font l'amour à rentre-dedans,

Et pullulent

Avec profusion dans des harmonies,

Et en symbiose d'accalmie

Dans une ligne de descendance

Sans condescendance,

Mais avec un parfum ardent

D'un concerto sur un balcon,

Fervent et véhément

En donnant son numéro,

Pour joindre l'utile à l'agréable

Et de conclure à l'amiable

En roulement de tambour,

De ressentir des vibrations

De l'amour torride dans un salto,

Qui monte crescendo

Dans des gestes de saudade

Avec un concerto sur un balcon,

Car respect pour les deux tourtereaux

Dont on célèbre leur communion,

A leur apogée 

D'un trait d'union. 

 

Jérôme de Mars

L’œil rivé sur la nostalgie

 

Des rivets,

Quand j'en faisais

Au CAT,

Dans le cadre

De Différent et compétent,

Un diplôme pour de faux

Qui avait bon dos

Et dont j'étais un différent et compétent,

Mais tout de même content

De l'avoir eu bec vantant

Qui m'encadre,

Mais où j'ai l’œil rivé

Sur la nostalgie

De voir

Sur le perchoir,

Qu'avec le temps

D'après Léo Ferré

Tout va,

Tout s'en va,

Que j'en pleure

Une liqueur de noirceur,

Avec mon âme mélancolique

Même si le clown triste

S'efface derrière une apparence,

De façade de joyeux

Et paresseux

Mélancomique,

Et altruiste,

Tantôt joyeux

Tantôt ténébreux,

Sous des nuages de fumées 

Avec un écran de fumée,

Quand Alexandre fume 

Sa cigarette qui signifie

Qu'il y a des brumes

Dans ma vie à l'ennui

Spleen, qui surfe sur la repentance

Et l'innocence,

Même si c'est trop facile

De jouer les victimes,

Dont mes accoutumances

Les enveniment,

Quand l’œil a dérivé

Sur la nostalgie,

Du temps où j'introduisais

Des rivets,

Sur les goulottes au travail

Avec mes failles,

Qui ont dérivé

Des rivets,

Dont mon œil a rivé

De la nostalgie,

Qui a dérivé

Vers un semblant,

De faire croire

Qu'il y a du beau temps,

Alors que depuis 

D'antan à maintenant,

Ma vie ne tient

Qu'à un fil,

Où tout défile

Depuis des lustres,

Quand bien même

Les souvenirs demeurent illustres,

Mais que persistent les problèmes

Qui me recadrent,

Méchants et irrévérencieux

Jusqu'aux cieux,

Depuis que l’œil a rivé

De la nostalgie,

Et a dérivé

Des rivets, 

Vers le désespoir

De la misanthropie,

Ainsi choir,

Du fin mot de l'histoire.

 

Jérôme de Mars

Et traîne  !

 

Marchands d'illusions,

La vie est un réveillon

Comme nous nous réveillons

Pendant une chanson,

Où Charles traînait

Dans une ascension

D'un jeudi de L'ascension

Comme je dis et traîne,

Quand Charles s'entraînait

A chanter étrenne 

De Noël qui sent le sapin,

Des fourberies d'escarpins

De Molière qui truffe

Le bouffon Tartuffe,

Avec des truffes 

Et traîne ton jardin d'Eden  !

Qui entraîne ton domaine

De prédilection,

Qui égrène de graines

De champions

Ton chemin jalonnné,

Qui susurre

Au coin du mur,

Etrenne de vieux souvenirs

Du passé d'ossature,

A venir et à revenir 

Vers une meilleure époque

Dans le baroque,

Quand Charles traînait

Etrennes

Et s'entraînait

Et traîne  !

Comme après Noël

C'est la passerelle,

Entre deux rives 

Qui dérivent

Et qui ne se privent

D'offrir au jeu de la chance,

Certaines aisances

Dans le change

Pourvu que ça s'arrange,

En t'offrant le cadeau

De la délivrance,

Et traîne

Avec ton joli lot  !

Etrenne

En errant

Et en flânant

Avec les badauds

Jusqu'au point de salut,

Comme je vous salue

Bien, car bienvenue

A la nouvelle

Vie en route vers l'inconnu.

 

Jérôme de Mars

 

La voile nous mène en bateau  !

 

Moussaillons

Et matelots,

Nous y allons

Sur le voilier,

Qui nous voile la face

Pendant le temps qui passe

Dans cette escapade

Sur le lac artificiel

Au ciel

De Choisy-Le-Roi,

Comme on navigue

Et qu'on irrigue

Sur la surface

De l'eau,

Très loin des trémolos

A-vau-l'eau ,

D'autant que la voile 

Nous mène en bateau

Dans une grande promenade

Et un somptueux ballet,

A faire danser les poissons

Qui mordent à l'hameçon

Et qui voguent sur l'eau

Et ses gros éclats

Qui s'attisent en vers de poèmes

Et en deux vers de bohème

Superficiels et personnels,

Où l'eau avec ses bulles de savons

Déambule à tatillons,

Comme elle a du vague à l'âme

Et que près des sillons,

Il y a le tourbillon

Du Paris-Paname,

Dès lors

Que nous hissons

Les voiles

Et dirigeons

Le gouvernail

Dehors

Dans l'éventail

D'une conduite amirale,

A tenir

Et à subvenir

Tout ce vaste arsenal,

En plaçant la barre très haut

Car ici Santiano

Le mâts

Qui bronze au soleil gras,

En point de signal

A Hugues au frais,

Où à la fin,

Le destin

Nous met bas

Ici là,

Quand nous approchons

Et accostons

Sur la terre ferme

Avec les poings fermes,

Où durant un laps de temps

Réconfortant et édifiant,

Tout le monde la ferme,

Pour se recueillir 

Dans un silence apaisant,

Afin de savourer 

Et siroter

Ce moment plaisant,

Sans le raffut 

A l'affût,

Dès l'eldorado

Dressé à nos pieds

Avec brio,

Où la voile

Nous a bien menés

En bateau,

Juste le temps

D'une séance

En tenant

A distance les doléances,

Car pourvu,

Qu'à la rentrée,

Ca reprenne d'aussitôt

Comme ça,

La voile 

Nous mènera

A nouveau

En bateau  !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Paroles en l'R

 

L'air de rien,

Instant d'écoute

Coûte que coûte

D'une chanson

Qui ne manque pas d'R,

Comme d'un courant d'R

En ultra-sont

De ces paroles en l'R,

Qui sont de toutes les saisons

En rimes en R

Mine de rien

A quoi ça rime ?

Si on se sent bien

Dans ces paroles en l'R,

Qui partent

Comme des courants d'R

L'air de rien

Dans ces vers en nain,

Qui méritent une bonne p'R

De tarte

En prime 

De ces paroles en l'R,

Qui signifient prendre l'R

L'air de rien

Comme un refrain

Qui revient

En rimes en R

Dans ces paroles en l'R,

Qui tiennent paroles en roulant

Des R,

Air à terre

Qui roulent des mécaniques

Bien huilées,

Comme c'est toujours la même musique

Acidulée et véhiculée

Du temps autant

Qui est déraciné, passé,

Dépassé et outre-passé,

A contre-courant

Sur la même longueur d'ondes

Sur France Inter,

Car ce n'est plus Air Inter

En mode avion

Loin de ce monde,

Comme se termine là

Et maintenant 

Cette chanson

Par-ci, par-là

En instantané

De ces paroles en l'R

 

Jérôme de Mars

 

La vie a-t-elle un sens  ?

 

A la naissance,

On vient au monde

Parmi le peuple qui abonde

Par des sens,

Pour savoir

Si la vie a-t-elle un sens  ?

Par décence

Si cela a un sens,

Qu'on encense

Les gens méchants

Et qu'on fustige

Les gens bienveillants,

Pour voir 

Si le fin mot de l'histoire

A une morale dans ce purgatoire

De vestiges

Qu'hait ce monde dérisoire,

Entre le noir crématoire

Et le bleu que recèle, 

Un plein de réservoir

Abreuvoir avec recel, 

T'as bu de liens sociaux

Et arrosoir divinatoire

Qu'on a besoin de liens amicaux

Autour d'un ver au bistrot,

Entre potos et frérots

Pour surseoir

Les mauvais moments,

Et prévoir

De profiter du moment présent,

Car c'est là 

Qu'à mon humble à vie,

Que la vie

A un sens

Par des sens,

Qu'on encense

Par décence

En toutes circonstances,

Car notre et sens

De notre essence

C'est la quintessence,

De tirer profit

Des instants

Joviaux et cordiaux,

Convertibles en joies

Pendant quelques mois,

Et inflexibles en des sens

Que nous donne le vie

Par décence,

Si la vie a-t-elle un sens ?

Par des sens

Qu'on encense,

En vers 

Ou en droit

Vers 

Le bon endroit.

 

Jérôme de Mars

 

 

Je vous vois !

 

A la première personne

Je tue toi

Car je vous vois

A la deuxième personne

Et que personne

Ne me répond

Quand vous vous voyez

A la deuxième personne

Que je vous vois

Et que je tue toi

A la première personne

Car personne

Ne vous voit

Que je tue toi

Quand vous vous voyez

Personne

Mais juste une personne

Que tu tues toi

Quand je vous vois

Que vous vous voyez

Que je tue toi

Comme personne !

 

Jérôme de Mars

De la suite dans les idées  !

 

Paroles en l'air,

Je dois composer

Avec ma colère

Une chanson écorchée

Qui dégorge toute ma rengaine,

Comme j'ai la haine

De ce monde,

De cette galaxie

Et de cette société,

Que je trouve nauséabondes

Avec véracité,

Si bien que j'ai de la suite

Dans les idées

Pour raconter avec saga-cité

La vie qui m'est toute ridée,

Mais où moins, je ne suis

A cours d'idées,

Grâce à mes vers

Qui me servent d’œillères

Face au courant d'air,

Où je déroule des R'

Comme je ne manque pas d'R,

Malgré les fuites

De mon cerveau,

A qui il manque 

Des bons tuyaux,

Pour piocher le juste mot

Et que ce soit la planque,

Si bien que j'ai de la suite

Dans les idées,

A conter les moutons,

Moutons de Panurge,

Quand je purge

Et j'expurge

Les donneurs de leçons,

Qui n'ont rien compris

A la vie,

Même si elle fonctionne

Avec des si,

Et que je la questionne

Et la sectionne

A l'aide de scies,

Fonctionnaires et réfractaires

Du fond de mon imaginaire,

Qui me joue des tours

Moi, le troubadour

Qui n'a jamais de chance,

Comme je panse

Et je suis

L'ermite sans fumer

De shit,

Mais à démanger

Le gîte

Et être à des coups vers

Avec le couvert,

Si bien que j'ai de la suite

Dans les idées,

A me marrer

Avec de drôles d'idées,

Qui m'inspirent

Pour mes poèmes

Du carpe-diem,

Quand l'ennui m'attire

Et que le meilleur me retire,

Pour écrire une suite insolite

A ces textes qui foutent le cafard

Terrible et nuisible,

Que je dribble en pétant les fusibles,

Comme chez moi j'ai des cafards

Et des coups de cafard sans fard

Même s'il est tard,

Où depuis jadis je n'ai fini

De chercher le parfait produit,

Car je produis dans un huit infini

Des rimes qui me redonnent parfois de l'espoir,

Même si ce que j'affirme est souvent noir,

Puisqu'au fond ce n'est qu'un exutoire

Pour ouvrir le robinet à vannes,

Comme j'aime les vannes

Qui tombent à l'eau,

Hello ! c'est mon dernier mot  !

Riche de débit à dextérité

Inconnue à cette adresse,

Car c'est à vous que je m'adresse

Malgré mon stress,

Car j'ai de la suite dans les idées  !

 

Jérôme de Mars

Bordel-line

 

Triste ciel  !

Depuis belle lurette

Dans ma tête,

Ca ne tourne plus rond   !

Comme j'ai le macaron

De mon esprit abîmé

Et encastré

Par ma mère 

Qui m'a en castré,

De façon téméraire

Et prépubère 

De par ses fausses impostures

Et infâmes impudeurs,

De me bafouer,

De me dénigrer

Et de me fustiger

En me jetant

En pâture

Dans la peur

Des non-dits

De sale enfant

Puant et dégoûtant,

Comme une hirondelle

Dont les ailes

Sont brisées,

Quand dans ma vie

J'en suis réduit

En un bordel-line,

Influencé

Par mon état borderline 

In fine,

De ma tête pensante,

Pesante

Et blessée,

Qui m'oppresse 

Et me fissure

Dans un état de stress

Post-traumatique

De mes angoisses névrotiques,

Dans un énigmatique 

Puzzle décrépi

Et anachronique,

Qui pressent un futur

Naufrage dans les parages,

En reculant

Pour mieux sauter

Dans le vide abyssal

Et sidéral,

D'une vie aux ravages

Et aux dérapages

Livides et acides

A l'eau dévie,

Dont je n'ai pas le devis

Pour apprendre les rudiments

De la vie,

Afin que mon existence

Sans insistance

Me soit intéressante,

Passionnante, enrichissante

Et qu'elle me procure

Des réjouissances

Sans opulence

Et insolence

Avec médisances,

Depuis que je suis

Un grand adulte,

Comme pas grand-monde

Ne me comprend

Et est bienveillant

Avec moi,

Dans le tumulte

De mes tourments

Qui tournent en obsessions

Fécondes et qui m'inondent

Dans un je de questions,

Dont ma tête

Borderline

Est un véritable casse-tête,

Car malheureusement

In fine,

Je suis bordel-line  !

 

Jérôme de Mars

 

 

Si clone

 

Stone

Je le suis,

Quand j'écoute

Coûte que coûte

Stone

Et Charden,

Interpréter 

Leur madeleine

De Proust,

Comme je suis

Gaspard Proust

Dont l'humour

Fait des ravages,

Lorsque l'amour

Rétrécit

Au lavage

Du linge sale délavé

En famille,

Qui frétille

Et frémit

Comme un cyclone

Pour des broutilles,

Si je suis

Ainsi clone

En autochtone

Un si clone,

Dont je me suis

A peine

Remis du cyclone

Survenu en 1999,

A la veille du passage

A l'an 2000

Neuf,

Dont je fourmille

De mille 

Et des cent

Incandescents

Et indécents

En plein dans l'an 2000,

Comme un cyclone

Si je suis

Ainsi clone

Même si je suis

Un si clone,

Comme l'on n'est 

Le clone

De personne,

Sauf d'être le cyclone

Des amazones

Dans leur forêt noire

Et vierge,

Avec toujours la même histoire

Des verges

Effarouchées,

Où l'on sonne

Notre téléphone,

Mais où personne

Ne nous répond

Avec son klaxon,

Quand j'écoute 

Coûte que coûte

Stone,

Stone

Et Charden

Avec ma vieille rengaine,

Jusqu'à être ainsi clone

D'un cyclone

Un si clone.

 

Jérôme de Mars

Le soleil console la pluie

 

Pénombre à l'aube,

Le sol taraude

La lumière qui tarde

A venir,

Quand l'ombre regarde

Vers l'avenir,

Alors qu'un simple plaisir

C'est lorsque le soleil

Console

La pluie

En je de consoles

Et puis,

Puisque la seule ritournelle

C'est lorsque le soleil

Chancelle

Et que la pluie

Guérit

En ombrelles

De pimprenelles,

Dès que la pénurie

De l'amour

Se fait sentir

Et assortir

D'une fille

Et d'un garçon,

A sortir

En compte à rebours,

Comme nous dansons

L'inertie

Du soleil

En amnistie

Et de la pluie

Qui ruisselle

De gouttes,

Au compte-gouttes

Sous la perfusion

Des saisons

Ternes

Et subalternes,

Lorsque le soleil

Console

La pluie

De sa tristesse infinie,

Et qu'il rassure

Sa demoiselle

En lui prenant une assurance-maladie

Tous risques

Qui réassure,

Couverte et fournie

Par la sécurité sociale

Qui lui garantit

Un minimum vital,

En lieu sûr

Dans la nature

D'un Pierre de menhirs,

Qui roule et travaille

Avantage Place de L'Obélisque

A Paris

Et s'enroule qui vaille

Davantage dans la capitale

Des soupirs,

Car ainsi, va la vie

Qui signifie ici frénésie

Et saison sur le balcon

De la maison

Fleurie,

Que cultive le soleil

Lorsqu'il console

La pluie,

En do ré mi console

Sans bémol,

De l'embellie

Qui réveille

Les radieux lendemains,

Avec le même refrain

En je de console

De graffitis,

Lorsque le soleil

Console

La pluie.

 

Jérôme de Mars

                                            Que ce fut brèves  !

 

 

1)  Un légume qui ne fait pas le poids a un pois chiche  !

 

2)  Un écrivain sulfureux qui a une bonne plume fait couler beaucoup d'encre !

 

3)  Emmanuel Macron s'il connaissait le mode d'emploi des chômeurs ne s'apprêterait pas à faire une réforme aussi dure que l'assurance-chômage  !

 

4) Un informaticien séropositif chevronné qui est très porté sur la bagatelle a le virus du sexe  !

 

5)  Le jour où lors du festival du cinéma, on parlera de films consacrés au handicap et aux vilains petits canards, on l'appellera le festival de cannes  !

 

6)  Si Emmanuel Macron fait une énième réforme des impôts, pour connaître la source de son info, on lui prélèvera un peu de ses neurones  !

 

7)  A force de regarder Laurent Ruquier tard le samedi soir, on n'est pas couchés  !

 

8)  Comme Michel Drucker est intouchable sur France 2, qu'il n'a pas été victime du nettoyage de printemps et qu'il va rempiler à la rentrée prochaine le dimanche, il pourrait renommer ses émissions vivement dix manches à balais et vivement dix manches à balais prochains  !

 

9)  Il manque du personnel dans les hôpitaux car c'est l'hôpital qui se fout de la charité  !

 

10)  Si Coluche était encore en vie, mon Dieu, il n'aimerait pas qu'on en parle  !

 

11)  Si Gainsbourg était encore en vie, il en fumerait tout le monde en les mettant tous sur le grill  !

 

12)  Gainsbourg qui parle d'argent en rigolant fait un billet d'humour  !

 

13)  Si Le PSG ne fait pas preuve de fair-play lors du mercato, Le Paris sera perdu  !

 

14)  Les vendeurs dans les cinémas qui nous vendent chers les places en nous disant que c'est pour la qualité des films nous embobinent !

 

15)  Georges Brassens a cassé sa pipe lorsqu'il est mort  !

 

16)  Un barbecue électrique qui ne marche pas, brûle en explosant et fait un four, échec et mats !

 

17)  Les Français sont égoïstes car ils y voient leur intérêt  !

 

18)  Y a de plus en plus de SDF en France comme L'Etat ne fait pas son travail en étant dans cet état  !

 

19)  Un vieux moderne qui fait le ramadan jeûne avec des adolescents  !

 

20)  Le pétrole se fait rare en France car en France notre essence, ce sont nos idées  !

 

21)  Johnny Hallyday, on connaît la chanson comme il allume le feu en enfer !

 

22)  Une mer très sereine est un océan Pacifique  !

 

23)  EDF et ENGIE nous mettent bien au courant de la hausse des prix  !

 

24)  Un patron qui oeuvre très bien dans son travail est un chef-d'oeuvre  !

 

25) Comme je prends maintenant mes vacances, je prends congé de vous  !

 

                 

                                                  Jérôme de Mars

Gomme les nuages !

 

Nectar d'arômes 

Survolent des drones

Dans le ciel amazone,

Mystères et bulles de gommes  

Car gomme les nuages  !

Pour que pleuvent les images 

Des bonbons

Casse-bonbons,

Qui flamboient l'état roi

Du ciel sauvage

Amiral de ses parois,

Qui abreuvent l'arc en ciel

De couleurs variées de dentelle,

Car gomme les nuages  !

Pour que le ciel s'évade en dérobade

Sur le qui-vive en ballade,

Avec les étincelles en essorage

Qui essuie cependant bien des tempêtes,

En rafale de vent qui râle à tue-tête

De savoir le pourquoi du comment,

Qui subit un affront de rébellion no comment

Dans le naufrage de l'effet papillon,

Comme on survole les saisons en chansons

Entre deux nuances et errances, 

A imaginer quelles sont les manigances

D'une gomme qui met toute la gomme,

Car gomme les nuages  !

Avec l'aide des crayons indolores 

Qui colorent en folklore, 

Tous les éléments hétéroclites en abreuvage 

Du fleuve tranquille de l'eau séminale 

Au liquide original,

Dans la chaleur des temps contraires

En variantes de soleil groseille et de pluie tonnerre,

Qui vocifère sa colère

A Lucifer mais souffle un nouvel air

D'hymne à la joie plénière,

Car en avant-première

Au moment du démarrage,

Gomme les nuages !

 

Jérôme de Mars

Et les gants  !

 

Gants

De velours,

C'est du lourd

Et les gants 

Epais

Avec une épée

De Damoclès

Au-dessus de la tête obèse,

Quand on prend

Des gants élégants,

Et qu'on méprend

Des gants

Et les gants,

Pulsés d'un toboggan

Qui descend élégants

Et les gants

En latex

Effrités avec leurs ex,

Qui viennent d'un gang

Effet boomerang,

Qui provient du dernier rang

D'orangs-outans

Dégoûtant d'Oran

Qui tanguent,

Avec lesquels

On prend

Des gants

Elégants,

Et desquels

On reprend

Des gants

Et les gants

En cuir

De durs à cuire,

Revenant 

Parmi les revenants

Du cinquième élément

Elégant,

Avec lesquels

On prend 

Des gants

Et les gants  !

 

Jérôme de Mars 

La colère est l'amère de tous Levi's

 

Ciel de colère nuage gris,

Jean's pantalons troués

Et marcher dans la boue

Démarche vers l'inconnu,

Qui relève les attributs

D'un homme doux qui cherche Le Pérou

Dans sa forêt vierge immaculée ébahie,

Comme la colère est l'amère de tous Levi's

Qui vise l'essentiel et révise La Tour de Pise

Comme Venise est le calme des eaux torrides,

Entre amour et romantisme à l'eau de prose limpide

D'un lâcher prise surprise de risque 

Jusqu'à L'Obélisque à Paris de son ménisque, 

A qui ça fait une belle jambe à l'entrejambe  ! qui campe

Sur ses positions des poissons des mers d'hippocampe, 

Comme la colère est l'amère de tous Levi's

A Paris qui dévisse la coupe pleine d'une brise

De vent en prenant le pouls jean's pantalons troués,

Avec la marque du maillot qui mouille le maillot

Et se refait le maillot à Porte Maillot, 

Floqué, choqué, entrechoqué et  bariolé

Par des caractères concis et munis

De lettres mortes fines lettrées en raccourcis,

Comme la colère est l'amère de tous Levi's

Qui vise la juste étincelle d'une épaule démise

Sur laquelle on s'épaule mise et remise substantielles

En fermant les prunelles,

Comme une hirondelle survole les tourterelles

Au pluriel essentiel, car fontaine de Trévise

On te dépucelle !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Vers d'o

 

Rendez-vous au café parigot

Du bar à-tire-larigot,

D'où l'on se barre aussitôt idiot

Après s'être fait servir des vers d'o

Qu'on paya réglos

Au comptoir des barjots,

Dans un méli-mélo imbroglio

Entre cigarillos et bédos,

Comme ce n'est pas beau

De regarder dans le rétro

Synchrone assis sur l'escabeau,

Où il vaut mieux boire des verres d'eau

Que l'on écrit en déboires de vers d'o,

Après les revers bobos

Qui nous amènent vers le chaos,

Quand on rédige ses mémos

Avec des mots de lettres corbeaux

Et de renards en corps beaux,

D'où l'on tire son credo

En allant vers le haut,

Car après le caniveau

Qui découle à-vau-l'eau

Vers les trémolos,

Nous voici de retour au niveau

Qui coule d'une poésie eldorado

Entre potos et frérots,

D'où roucoulent grosso modo

Les mots amicaux,

Que l'on grossit et vend en gros

Vers ces vers d'o

D'un service-après-vente,

D'où l'on est réglos

Aussi tôt  !

 

Jérôme de Mars

Dès potron-minet

 

Dès l'aube

Qui se dérobe,

Aux aurores

Avec Aurore,

De bon matin

On chante malin

Les vertus dès potron-minet,

A la lueur

Et en sueur

Des mâtinées qui déminaient

Les chats et les minets

Qui ne minaient,

Mais mine de rien

Fredonnaient dès potron-minet

Tout leur miaulement

Et leur ronronnement,

En clair près de la fontaine

Qui jaillit du bas-de-laine,

En tenant en haleine leur volupté

Au bon coin

Tranquille dès potron-minet,

Qui sort ses griffes avec les petits minets

Qui se réchauffent

En tour de chauffe,

Dans un feu agréable aux abords

De la cheminée qui a acheminé

De revirer de bord

Dès potron-minet,

Qui débordait d'idées boute-en-train

A faire détourner en bourriques

Les têtes d'ânes en buvant

Et en s'enivrant

De chauds vins,

Dans des barriques

De vieux Français chauvins

Dès potron-minet,

Qui soûla en musique

Le pochtron-minet 

Qui a déminé

Les paroles émises fokloriques

De bon matin,

Comme Tristan

Le chantait

Depuis les années 80,

Car mine de rien  !

On tient enfin le refrain 

Dès potron-minet  !

 

Jérôme de Mars

 

                                                                                L'an vers d'orage

 

 

                                                                       Passion de contemplation,

                                                                       Il n'y a point d'hallucinations !

                                                                       De projeter son vécu

                                                                       Dans l'alliénation du substitut

                                                                       De l'institut de bonté,

                                                                       Avec un grain de bonté

                                                                       Influencé par les conteurs de futilité,

                                                                       Rabotée par des gouttes de pluie

                                                                       Qui essuient les sanglots du dépit,

                                                                       Esseulé en substances

                                                                       Qui est le fruit de l'essence,

                                                                       D'un monde qui tourne

                                                                       Et contourne

                                                                       A l'an vers d'orage,

                                                                       Qui déverse son averse

                                                                       Et la reverse 

                                                                       En prières dans le sarcophage,

                                                                       Où reposent les vestiges du naufrage

                                                                       Dans l'art esthète de l'image,

                                                                       Qui jette le duvet de la plume

                                                                       D'écriture aux ordures que fume

                                                                       Le calumet de la paix en rimes

                                                                       Du crime alèse-majesté,

                                                                       Qui fonde la digue qui prime

                                                                       Les phrases qui lâchent la bride,

                                                                       Et les rides qui confondent le bide

                                                                       Retentissant d'une coulée d'encre,

                                                                       Sur le paquebot France qui entre

                                                                       Sur cette ligne rectiligne à l'an vers

                                                                       D'orage entre fureur et colère

                                                                       Sur la planète Terre et ses conifères,

                                                                       Qui sentent le sapin du terre-à-terre

                                                                       A l'an vers d'orage du rivage 

                                                                       Sur la terre ferme de l'accostage,

                                                                       Art et images, car v'là l'arrimage  !

                                                                       Sans rétropédalage en appoint sage                                                                           D'ancrage de l'an vers d'orage,

                                                                       Point qui s'exclame barrage !

 

 

                                                                                    Jérôme de Mars

                                                                         

                                                                       

                                                                        

                                      Responsable de mes actes  !

 

Prêt acte  :

 

Après les accidents mineurs qui font qu'à l'état majeur, je suis devenu majeur, responsable de mes actes à l'état mineur dans un sale état majeur puisque j'écris cette saynète comme passage à l'acte en acte un.

 

Acte un

 

Je passe à l'acte un comme je suis responsable de mes actes dans cette pièce détachée qui n'est du théâtre mais une pièce rapportée dont je rends la monnaie de sa pièce à Monet, comme je ne peux le voir en peinture car c'est ma nature morte de sortir du cadre en faisant mon portrait de travers, vers les revers de mes travers de cet acte un qui se termine en entre acte.

 

Entre acte :

 

Pendant l'entre acte, j'imagine l'acte deux de cette pièce manquante du puzzle pour reconstituer le film de ma vie à l'an droit après qu'elle ait été longtemps à l'an vers de rage en passant à l'acte deux devant un public critique avec mon état critique sous les feux de la critique.

 

Acte deux  :

 

Après l'entre acte, voici l'acte deux comme je suis très critique sur mon état majeur trop critique dû à mes accidents mineurs, d'où mon état mineur change en un état majeur une fois majeur dans un état majeur des lieux mineurs, qui fait que les dégâts après qu'ils furent mineurs, devinrent majeurs à mes 18 ans, cap vers Le Lac Majeur, comme tout tomba à l'eau  !  Du fait que la critique me trouva critique dans un et tas majeur à l'état trop critique mineur dû à mon âge majeur très critique.

 

Prendre acte :

 

Après mes accidents mineurs, je prends acte que je suis responsable de mes actes à l'âge critique majeur de mon état majeur.

 

 

                                               Jérôme de Mars

 

 

 

                                                         Blagues :

 

 

1) Pourquoi Les Français ne se parlent-ils plus et ne tiennent-ils plus leurs promesses ?
- Parce-que Les Français n'ont plus de parole !

 

 

 

2) Pourquoi Marine Le Pen réussit-elle à réunir autant de Français prêts à voter pour son parti lors des Européennes qui lui garantiraient la victoire durant ces élections ?

- Parce-que c'est le rassemblement national !

3) Pourquoi en fait-on tout un pataquès du ramadan chaque année ?
  - Parce-qu'on en fait tout un ramdam !

 

4)  Pourquoi est-je-que je préfère la religion chrétienne à la religion juive  ?

  -   Parce-que Dieudonné  ( Dieu donnait )

 

5)  Pourquoi entre Jessica et moi, maintenant, il y a 1 partout  ?

 -   Parce-que comme moi il y a longtemps, Jessica vient de recevoir récemment un coup de point par son ex Stéphane 

 

 

                                                   Jérôme de Mars

 

                                               

 

                                             

Pas de quartier  !

 

Soleil et nuages

De par les images

Sur un fond silencieux,

Les paysages

Et les gens de tout âge

Habitent Paris, la banlieue

Ou la province,

Car pas de quartier  !

Qui évince

Les fauteurs de troubles

Qui roupillent avec leurs roubles,

De la roulette Russe

Aux mendiants Roumains

Qui jouent les putains de puritains

Depuis leurs embarcadères Prusses,

Comme le soleil se lève à L'Est

Et que leurs oseilles s'élèvent à lestes

Des pays de L'Est à louer,

Où en France, leur porte-feuille est alloué

De L'AAH au RSA,

Car pas de quartier  !

Vue et bévue leurs états

De leurs êtres étrangers,

Etrangers à tout ce qui se passe

Ou se trépasse

En France,

Ce cher pays absorbé

Par l'innocence

Et snobé

Par la délinquance

Parmi ces gens-là

Aux horizons tous azimutés,

Car pas de quartier  !

S'ils se font embarquer

Au 36, quai des Orfèvres,

Où ce quartier n'est d'orfèvre,

Mais qui leur parle du bout des lèvres

Dans la fureur et la fièvre,

Alors que l'unique quartier

De leur hétérogène communauté,

C'est Belleville,

Comme une belle ville

En miniature

Dans le noir et blanc

Brute nature,

Qui ne prend de gants

Aussi bien complaisants

Que compatissants,

Car pas de quartier  !

Dont certains

Sont de pauvres et simples soupirants,

Aimants ou amants

De leurs homologues Français

Libertins ou coquins,

Dans cette liste d'étrangers enracinés

Ou déracinés

Et de Français bien intégrés,

Car pas de quartier  !

Du Quartier Latin

Qui en perd son latin

Au Golden Gate Quartet 

Qui a joué 

Et parié

Sur le bon quartet,

Car plus de quartier  !

 

Jérôme de Mars

 

 

Luc sans filtre

 

Philtre d'amour 

Et litre qui a 

Bon cœur

En ne faisant

Qu'un tour,

Il y a

Luc sans filtre

Qui aime

Avec douceur

Des formidables caresses

Qu'il parsème

Avec délicatesse

De par sa longueur 

Et sa rigueur,

Enjolivées par la prouesse

Sans filtre

D'une cigarette

Qu'il fume,

Avec les honneurs

De son cœur

En roulement

De tambour,

Qui filtre

Le filtre

A cigarettes

Qui le consume,

Quand le tabac parfume

Sa vie qu'il arbitre

De son libre-arbitre,

Comme Luc sans filtre

Filtre l'appel

De la mort

Qui le chancelle

Au dernier carrefour

De sa vie

Qui tombe 

En nuit,

Quand Luc sans filtre

Se filtre

Au philtre

Posthume

Et post-mortem

D'outre-tombe

Dans une minute de silence

Qui filtre

Avec résonance 

Sa fin de vie,

Avec la dernière cigarette

Du condamné à mort

Damné con en remords

Qui n'en démord retors

Enfin tout ouï,

De découvrir le paradis

Hardi mi-ciel 

Sans clopinettes,

Loin puritain de son paradis

Artificiel

Au ciel

Par ciel

En trompette,

Car à mort

Les problèmes

A perpète,

Et v'là 

La bonne distance

D'une prise de conscience

En clarinette,

Comme une foi,

Il est coutume

De porter

A la place de l'enclume

Et de l'amertume,

Une légère plume

D'encre en pièce rapportée,

Des portées

Luc cent philtre d'amour,

Car c'est reparti

Pour un des tours

De la question

En point de conclusion.

 

Jérôme de Mars  

 

 

Nanti(e)  !

 

Revers de fortune,

Ici dans ce texte,

Il est question

De vers de tune,

En prenant

Comme prétexte,

Qu'il y a une adéquation

Entre les revers de fortune

Et les vers de tune,

En faisant couler 

Beaucoup d'encre

Et découler beaux coups d'ancre,

Avec l'encre d'un stylo bile,

A bile, pas de bile  !

Tel un nanti

Ici anéanti,

D'avoir côtoyé 

Isabelle Nanty, nantie

Et riche aisée de paroles,

Et niche fiscale de têtes de gondoles,

Qui mènent en bateau

L'eldorado et le joli magot

Nantis

Comme anéantis

Par Isabelle Nanty, nantie

Avec une richesse humaine

Et une opulence hautaine

Convertibles en largesses diluviennes,

Comme ici, la parole est d'argent,

En argent contant,

Et que le silence dore,

Avec l'argent qui dort

A la banque

Sale ta banque,

Comme la parole est d'argent,

En argent

Massif de coups de canifs

Car ici c'est kif kif,

Comme le silence est d'or

En argent liquide

Et en métal d'argent qui liquide

Isabelle Nanty, nantie

Et ici très anéantie

D'avoir été nantie,

Toute sa vie Nanty  !

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blagues  :

 

 

1)  Pourquoi tout le monde déchante t-il avec moi  ?

     -  Parce-que c'est Jérôme  !

 

2)  Que se disent deux testicules qui se disputent  ?

     -  Oh !  Que t'es casse-couille  !

 

3)  Comment appelle-t-on une personne qui a une baisse de régime avec son menu hippo au cours d'un repas  ?

     -   Un hippopotame

 

 

                                             Jérôme de Mars

C'est Jérôme  !

 

Au Nord de Paris,

Naquit dans les choux

Jérôme,

Ce p'tit bout de choux

Pour la vie,

De la Drôme

De son oncle

Qui prend son envol

A l'aérodrome

En mode avion,

S'il a un furoncle

Poil à gratter,

Excité comme une puce

Et exécuté

En une carte à puce,

Quand il déchante

Car c'est Jérôme

Et qu'il chante

Très à cheval à l'hippodrome,

Car c'est Jérôme

Avec son ami

Guillaume,

Quand il incante

Le coup de fil

A couper l'heure

Qu'il invente

Entre deux angoisses

Sur place,

Quand il déchante

Car c'est Jérôme

Et qu'il réenchante

Les oiseaux,

Avec ses gros mots

En paroles,

Quand il évente 

Car c'est Jérôme,

Qui vante

Les coups de cafards

Qu'il a dans son appartement,

Avec des tourments

Pleins les bruits

De couloir

Sans accoudoirs,

Pour se serrer les coudes

Avec ses amis

Au coude à coude,

Qu'il vante

En produits

De comestibles,

Quand Jérôme

Pète les fusibles

Et un câble

Qu'il accable

De sa LIVEBOX ORANGE

Avec son jus d'orange,

Quand il en chante

Car c'est Jérôme

Et qu'il chante

Avec Guillaume,

Son grand ami

La saison

Du jardin fleuri,

Cher à Guillaume,

De par son métier

Et son jardin secret

Qu'il déchante

Au Vélodrome,

Avec ses p'tits vélos

Et bobos,

Car c'est Jérôme

Quand il enchante

Le bal de la vie

Jusqu'au bout

De la nuit

De ce p'tit bout de choux,

Car c'est Jérôme

Dans les choux  !

 

Jérôme de Mars

 

 

Des voilées sa véritable nature

 

Voilez hissez haut

Et fixez le cap ici beau  !

Dans une course de voiles,

Qui dévoile

Des bateaux très bateaux,

Lors d'une régate

Qui gâte

Des bateaux qui ont des voilées

Sa véritable nature,

Jetée en armature

Avec des frégates,

Qui ont contrefait la guerre

Sur la mer

Agitée et survoltée,

Avec les marins qui peinent

Marine Le Pen,

Qui arrive à peine

A des voilées sa véritable nature,

Mais a dévoilé sa véritable nature

Avec la mer salée

Et à la note salée qui s'est sucrée

De par ses idées obsolètes dans la devanture,

Avec de drôles aventures 

Qu'elle nous a fait vivre

En 2017,

De cinq à set

Et jeu, sept

Et match  !

Dont on préfère

La marine originale

Sur La Mer Egée,

Phénoménale et spéciale

Que La Marine Le Pen dégénérée

Et bancale,

Qui nous avale des couleuvres

Avec sa fausse manœuvre,

Garantie à vos risques et périls  !

Périls en là tumeurs fébriles

Qui ont des voilées sa véritable nature,

En route pour l'aventure  !

Qui a dévoilé sa véritable nature

Pour 2022

V'là nous deux, 

Avec au moins

Un jeu d'écriture

Pour masquer Madame Nature,

Dont la véritable nature

A des voilées cap à bord

Jusqu'au Cap Horn à tribord,

Qui revire de bord

Aux abords à bras-le-corps,

Qui ont dévoilé sa véritable nature

En une de couverture,

Signal d'ouverture d'esprit,

Avant la fermeture 

De la traversée infinie

D'un splash en splatch,

Car là touché, roucoulé, c'est fini  !

 

Jérôme de Mars

Le ciel éméché

 

Par une pluie

Grise mine,

Le temps d'aujourd'hui

Dessine un champ de ruines

D'un monde qui saborde

Et qui déborde

De fascicules

Sans scrupules,

Qu'il y ait des désinvoltures

Ou des impostures

Dans ce ciel éméché,

Qui oublie

Le temps d'une ivresse

La détresse

Des âmes fauchées

Et paumées,

Car embaumées

Dans la solitude

Des êtres dépourvus 

De plénitude

Dans la cohue

De ce ciel éméché,

Qui envoie une bouteille

A la mère

Pour chercher une oreille

Attentive qui entendra 

Sa tristesse

Et sa colère

A ce ciel éméché

Empli de fracas,

Qui triomphe enthousiasmé

Parmi les âmes fauchées

Qui n'y croient guère

A une accalmie

Dans un horizon extraordinaire,

Sinon qu'il y ait conciliabule

Pour vider son sac funambule

Avec des maux exacerbés

De ce ciel éméché,

Qui sent l'hiver

Au froid délétère 

Qui fait prendre conscience

Qu'il y a urgence,

A faire un inventaire

De cette vie sur Terre

Qui en a marre du gris

De ce ciel éméché

Et éploré

Dans des poésies

En vers égoïstes 

Et tristes,

Alors que s'il y a 

Un soleil altruiste,

Il voudrait bien

Que notre chagrin,

On le transforme

Bouche-bée et béats,

En un entrain

Bien loti

D'un joli paradis

Logé dans la bonté

De l'humilité et de l'authenticité,

Qui forment

Un peuple aux abords

De la liesse ressuscitée

Avec aucun remord,

Car loin

Le monde des morts

D'où l'on ressort,

Et en avant

En allant 

Dans le monde des vivants,

Si bien

Que le ciel éméché

Renaîtra avec foi

Et joie,

En un soleil généreux

Dans la postérité

D'un pied-à-terre fabuleux

Et bleu des cieux,

Comme des éclats

Par-ci, par-là

En extras

Car et puis voilà  !

 

Jérôme de Mars

 

                                                      Blague  :

 

 

Qu'est-ce-que ça fera pour l'ex de Jessica, Stéphane qui sera convoqué au tribunal lors d'une audience pour s'expliquer et répondre de ses coups et blessures sur Jessica  ?

 -  Ca fera un procès-verbal pour Stéphane !

 

 

                                               Jérôme de Mars

 

                                                 Blagues :

 

 

1)  Que fait un joueur de pétanque qui bande en voyant une belle femme triste toute nue  ?

     -   Il a les boules car il la pointe et la tire  !

 

2)  Que fait Mickey quand il éjacule  ?

     -  Mickey mousse  !

 

3)  Qu'est-ce-qu'un poil au cul qui démange et qui dérange  ?

     -  Un poil à gratter  !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Refoulé

 

Depuis le début de ma vie,

Le puits 

De mon enfance

S'amenuise dans la déviance,

Où avec les on-dit,

Je dis et ben tant pis,

Quand je suis refoulé

De ce que j'ai nié

D'enfoui,

Quand je m'enfuis

De ma vie

Que je fuis à l'ennui,

Comme elle me consume

Et que je fume

Le calumet

De l'après,

A me souvenir

Refoulé

Du pire

Défoulé

Et à l'avenir

Foulé,

Quand je me foule,

Je me défoule

Et je me refoule

Dans la foule,

Où le mal ouvre

Le mâle en moi qui couvre,

Où je suis enfoui,

Quand je m'enfuis

Refoulé,

Du mal défoulé

Qui m'a foulé

Et refoulé

La cheville encore,

Qui me cheville à bras-le-corps,

Où je médis

Ma vie d'inepties

Et de péripéties,

Qui me dévie

Et m'ennuie

A l'eau-de-vie

D'un haut devis,

Où je suis refoulé

Dans ce que j'enfouis

De défoulé,

Quand je m'enfuis

Foulé

Et refoulé

Dans la foule

Qui me défoule,

Quand je me foule

Et que je me refoule

Pour rentrer dans le moule,

Où je finis

Refoulé.

 

Jérôme de Mars

Le far Breton

 

Phare Ouest,

Le soleil se lève

A L'Est,

Dans la sève

Du journal 

Ouest-France,

Qui est une chance

D'avoir une population 

Originale et normale,

En traditions et en chansons

De La Bretagne,

Et de son far Breton

Qui met en lumière

La campagne

Du Finistère

Au Morbihan,

Quand La Bretagne

Tient les rênes

De la ville de Rennes,

A contre-champ 

De campagne,

En racontant des vannes

A Vannes,

Qui est un crime de Lorient

Express à L'Orient, 

Qui presse en mangeant

Un Paris-Brest,

Dans un train Paris-Brest

En mettant en lumière,

A Travers

Le far Breton,

La ville de Fougères

Dans l'univers, 

Comme on a Quimper

Et la mer

A qui rendre hommage

Aux mages

Désarrois du mirage

Du phare Breton,

Comme c'est du gâteau

A Saint-Malo en faisant du pédalo

Jusqu'à Lanester,

En se pavanant

Dans les marées contrebasses

De Roscoff,

Pour vandaliser le coffre

De la voix de velours,

Comme c'est du lourd

Sans être bas lourd,

De dormir à la belle étoile

De l'auberge Espagnole

De Saint-Brieuc,

En mettant du bleu crémeux

Sur les cieux nuageux

Dans les toiles

De La Bretagne,

Où l'on fait la météo

De la pluie et du beau temps

Autant en emporte l'avant

Jusqu'en Grande Bretagne,

Où les traditions Celtes

Chantonnent sous la pluie

Avec une pléiade de confettis

En hymnes Célestes

Qui lâchent du leste,

Car voilà pour le reste

La lumière du phare Breton

Jusqu'au far Breton

De Lannion,

Dans la communion

Complètement

A L'Ouest

Du phare Ouest,

Comme vivement

A chaque instant,

Les traditions

Et les dictons

Du far Breton,

En érudition

Du plein far Ouest.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                            Blagues :

 

 

1)  Pourquoi Dick Rivers est-il mort après avoir eu une dure carrière ?

    -  Parce-qu'il était en rock de pierre

 

2)  Pourquoi ne se fait-on pas de films face à la mort de l'acteur Jean-Pierre Marielle  ?

   -  Parce-que là ce n'est plus du cinéma

 

 

                                        Jérôme de Mars

La chicorée des matins orangers

 

Verger de campagne,

Le petit déjeuner lâche sa grappe

De raisin sur la nappe

De la table ornée en argent d'épargne,

Qui sent le bon café chaud 

Avec du chocolat cacao

De la chicorée des matins orangers,

Qui volent l'orange du marchand étranger

Dans l'archange du petit jardin Mausolée,

Comme une peinture du buffet rissolé

De la chicorée café soluble

Des matins orangers salubres, 

Avec du vin blanc autour du repas

Succulent avec des extras,

D'un meilleur service garanti

En galante compagnie complice sertie,

De couleurs bleues turquoises

Et de roses écarlates sur la note de l'ardoise

De la chicorée des matins orangers,

Avec du vers immodéré de poètes cafés olé

Qui sent le thé camomille qui fourmille

D'idées fertiles en secondes qui frétillent

D'un soleil au loin libertin, 

Qui fricote avec la lune d'un 'r coquin

Sur la lavande d'une offrande qui quémande

A la demande à volonté avec des amandes

Honorables à ranger ordonnées, dès la chicorée

Des matins orangers en pointillé.......

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blagues :

 

 

1)  Que dit-on d'une femme qui branle son mari jusqu'à l'éjaculation  ?

      - Elle tient le bon bout

 

2)  Où une femme qui suce mal son mari l'envoie-t-elle  ?

      - Au casse-pipe 

 

3)   Pourquoi Jessica a-t-elle largué son amoureux Asiatique après qu'il lui ait tapé dessus  ?

      - Parce-que Stéphane, son amoureux Asiatique est un casse-tête chinois !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Un Navet Maria

 

Prière d'autrefois,

Hier à Notre-Dame,

Elle n'Ave Maria

Suite au psychodrame

Des brûlures de l'histoire,

Comme c'est dérisoire

Et noir

Ce navet Maria   !

En prière

De la colère

Du Bon Dieu,

Face aux SDF

Innombrables qui crament

Les cieux insidieux,

Nébuleux et brumeux,

Comme ce SDF

A Saint-Denis friqué

Et étriqué

Dans son cerveau ramollo,

A parler de football crescendo

Alors que du foot,

On en a rien à foutre,

Comme il n'Avait Maria

Mais Ave mamamia,

Qui en avait plein La Tourista,

Comme d'un navet Maria

Qui n'Ave Maria

A Notre-Dame,

Qui dame 

Le pion de l'échiquier,

Echet et maths

Qui ne vous calcule,

Comme vous devez

Compter sur vous

A genoux  !

Devant le groupuscule

De la secte qui s'en fout

De tout,

D'un odieux pieux,

Du Bon Dieu,

Comme de son pieu des aïeux,

A rêver athée

D'un meilleur monde à thé,

Dans son salon de thé

A vous servir une tasse,

Et à vous asservir que ce n'est pas

Sa tasse

De thé,

Ce café de capsule

Sans filtre

Qui s'infiltre,

Et infiltre

Sans scrupules,

Les crapules

Du bon Dieu

Pernicieux,

A Notre-Dame

Qui déclame

En un Ave Maria,

Qu'il n'en avait Maria

D'un navet Maria,

Pleine de disgrâce

Grâce

A vous  !

Petits filous,

Oh ! mon Dieu  

Et quelle hérésie  !

Ce navet Maria  

En religion d'état  

Pas très catholique !

 

Jérôme de Mars 

 

 

 

 

 

 

                                                 Blagues  :

 

 

1)  Qu'est-ce-que ça fera si lors du 24 avril, journée de la commémoration du génocide Arménien, on la met en musique  ?

         -  Ca fera la journée déportée musicale  !

 

2)  Qu'est-ce-que ça fait un chant religieux qui fait un flop lors d'une messe à Notre-Dame de Paris  ?

        -  Ca fait un navet Maria  !

 

 

 

                                             Jérôme de Mars

A Paris

 

Par une nuit d'hirondelle,

Paris se fait

En un jour d'été,

En tenant la chandelle

De Notre-Dame De Paris,

Avec les prières de la liturgie

Que constitue les trois cloches,

Qui sonnent les matines 

Dans ces cantiques

Qui effilochent

Les histoires d'églantines,

Qui font une fleur

Sur la grande place

Du Sacré cœur

Qui édite du cresson,

Car Edith Cresson

Jadis à Matignon,

Avec le piaf

Qui s'envole en chansons

Et qui édite la musique

D'Edith Piaf

D'un Paris en tournée

Dans un banquet,

Qui dessert en épitaphes

Tout Piaf

A tout jamais

A Paris sur La Seine

Du monde entier,

A restituer le renvoi d'ascenseur

De La Tour Eiffel

Dans la volupté

Et la ferveur,

De La Butte Montmartre

Qui dégraisse le tartre

De La Butte Aux Cailles,

Avec vous, mes chères cailles

Qui luttent

Et butent 

Pour bien vous entendre

Avec vos acouphènes, 

En Ménestrel 

Pour apprendre

Les tenants

Et les aboutissants

En vigueur

Du temps

Qui passe

A Paris, et

Qui fout

Le camp

A l'autre bout

Des Champs-Elysées,

Dans l'alizé

Du vent

Qui est dans le vent

Au Paris des autochtones,

A utiliser leurs sonotones,

Car ils s'entendent aphones

Au téléphone

Qui sonne occupé

Et qui résonne sans accès

A Paris dans les champs alizés,

Qui cultivent le jardin secret

Des pissenlits

Sur le lit des oliviers,

Qui mettent de l'huile sur le feu

Des pieux

Convertis en ultra excès

A Paris,

Qui allume le feu

De La Place De La Concorde,

Où enfin, tout concorde

Sur La Place du Trocadéro

Accueillie en eldorado,

Comme maintenant,

Les policiers

Et les passants

Contre dansent de Ménilmontant

A l'autre bout des champs

D'antan Yves Montand

Pour fort longtemps,

D'au Paris qui s'est fait

En un jour

D'été,

Et qui s'élève désormais

Par amour,

Dans la communion

Et l'union sacrée

D'un mariage d'oraison

A toutes les saisons

Des Français aimés,

En grande majuscule

Au crépuscule

D'au Paris

De la destinée achevée.

 

Jérôme de Mars

Crayon de soleil

 

Effeuillages de nuages

Il fait beau !

Comme des coquelicots

Sur le ciel

Volage et sauvage en ramages,

Tel un crayon de soleil

De maquillage

Dans son mascara

Avenue des nuages,

Embaumés d'un fond de teint

Qui parfume les horizons lointains

D'un rayon de soleil,

Au goût de miel

Qui esquisse d'un iota,

Le Delta de L'Alpha

De L'Oméga,

Qui grise d'un éclat

Ce rideau d'étincelles,

Qui surgit

De ce crayon de soleil

Dans son pelage

A la folie,

Qui irradie

De sa bonne mine

Le ciel bleu vermeil,

Enfoui dans sa routine

Et qui butine

En un rayon de soleil

Qui ruisselle

De métaphores

Brûlant de fièvre,

Comme un bec de lièvre

D'un folklore ,

Animal et végétal

De la faune et la flore,

Qui flânent idéales

A la couleur

Des rougeurs

D'un crayon de soleil,

Epris d'un rayon de soleil

Pour colorier pâle

Les tracas du ciel,

Partagé entre le sel

Sur les plaies et l'appel

A la sérénité dans la chapelle

D'un rayon de soleil,

A attendre que le crayon de soleil

Distribue son remède qui scelle

L'harmonie avec son aquarelle,

D'un rayon de soleil

Avenue des merveilles

Au-delà du ciel !

 

Jérôme de Mars

 

Du hasch  !

 

 

 

                       Comme le h                                            Qui se la coulent douce

                       On fume                                                  Dans cette vie sur scène

                       Du hasch                                                Qui n'est pas un long fleuve

                       Enfumé                                                   Tranquille très shooté au h

                       Six joints                                                 Qui shoote sur le ballon

                       Ci-joint                                                    D'essai pour voir si le h

                       Par le bédo / de hasch en eaux troubles.  / Se dope au hasch haché

                       Avalé et imbibé                                       Amphétamine C qui soûle

                       Par un whisky                                         L'éthylotest ivre en prenant

                       Coca cannabis                                       De la bouteille d'absinthe 

                       De la marijuana                                      Qui est l'héroïne du coke

                       Ecstasy défoncé                                     Cocaïne d'un rail de shit

                       Par les drogues douces                         Mené à un train d'enfer trop

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Trombone jazz blues

 

Du très fond de la mélancolie,

Quand ça jase des pouvoirs publics

De l'inertie et de la bureaucratie,

Jouons la partition atypique

De la musique pragmatique

Et catégorique

En entonnant du trombone,

Quand on s'en tamponne

Des autos-tamponneuses 

Qui sont frileuses,

Quand ça jazze blues

Du trombone frousse

De l'appellation,

Qui s'en tamponne

Des élucubrations,

Qui sonnent

Du saxophone,

Qui sermonne 

Le trombone,

Qui agrafe 

En signature officielle

Et solennelle,

L'épitaphe qui taffe

Le trombone jazz blues,

Quand ça jase blues 

Et que s'émousse

Le trombone,

Qui s'en tamponne

Des autos-tamponneuses

Sirupeuses et sulfureuses,

Quand ça jazze à Orléans

Sur la Nouvelle-Orléans,

Là consonne

En toutes lettres,

Qu'on sonne

Envoyer paître,

Comme c'est là que le jazz

Jase en faisant un bœuf

Dans la case,

Où il ne faut mettre

Un œuf,

Dans le même panier

Panier neuf,

Comme c'est

La teuf 

Titeuf   !

Du trombone jazz blues

Qui s'en tamponne,

Quand ça jase frimousse  !

 

Jérôme de Mars

 

En toutes lettres

 

A La FNAC,

JV

HT

DCD

CD

En K

De prix

BC

De

Chanteurs

DCD

Avec leurs CD,

Car après

Je vais prendre L'R

En me rendant au salon de T

Pour boire un T,

Comme C ma tasse

De T

OT

D'avoir mon BB

De PC,

Pour regarder mes mails

Avant de rejoindre RV

Pour mon RDV

A mon QG,

Et de PT

Ma boîte aux lettres,

Comme je reçois 

En toutes lettres

Et que j'en ai AC

Dans ma boite à mails,

D'où ensuite, je vais

Trop PD

Le Q de mon voisin

A HT

Son PQ

A Franprix

Pour CVC,

Car c'est en allant

DC

En essais,

Qu'on écrit un texte

En toutes lettres 

AT !

 

Jérôme de Mars

AIME

 

 

                                         e  la  N  en

                                         v

e     maman                       i              t

m                                       t             a

m              q                       l             i

o               u                       u            l

c                i                       c             l

                                                       a

e               M  le chanteur M           n

m                                                    t

 i

A                                                    l

                                                      e

                                                      s

 

                                                      h

                                                      a

                                                      i

                                                     e

                                                     s

                                                     .

 

 

Jérôme de Mars

Le vent a besoin de souffler

 

Flux du parlement,

Les oiseaux migrateurs

Fournissent collaborateurs

La panoplie du beau temps

Boursouflé et essoufflé,

Comme le vent 

A besoin de souffler

Par moments d'égarement,

Qu'un petit répit

Lui redonne de l'appétit,

Pour les jolies choses

De ce poème

Totem loin des chrysanthèmes

Boursouflées et essoufflées,

Car à l'eau de rose,

Comme le vent

A besoin de souffler

Qu'il doit prendre une pause,

Avant de repartir gai

Vers le terminus qui défend

Une juste cause,

Quand causent les pies bavardes

Ne sachant quoi évoquer,

Ou bien révoquer

Les corbeaux noirs qui cauchemardent

La famille aux cent soucis,

Qui congédie 

Les oiseaux de mauvaise augure,

Comme le vent 

A besoin de souffler

Sa posture,

Avec son ricanement

Boursouflé et essoufflé,

Aux sons de la cornemuse

Avec sa muse,

Qui le console

Do ré mi fa sol,

D'une portée musicale

Portée en saisons magistrales,

Comme le vent

Boursouflé et essoufflé

A besoin de souffler

Qu'il chasse la pluie

Avec des confettis,

Pour chanter pour la paix

Car maintenant,

Allons-y   !

Dans une accalmie

Et plus si affinités  !

 

Jérôme de Mars

 

 

Adam, L'Eve-toi  !

 

Depuis longtemps

Dans la nuit

Des temps,

Adam 

Ici

Présent

Rêve D'Eve,

Qui lui dit  :

" - Adam, L'Eve-toi  !  "

Comme ton parfum D'Eve

T'attend

Pour réaliser ton rêve,

De récolter

La sève

Du soleil qui se lève

A L'Est

Leste,

Car il est ton élève

De toi, donneur de leçons,

Quand tu élèves 

Ton écusson,

Pour l'étinceler

A l'unisson,

De quand tu lui dédies

Ta chanson

Du vieil amant

Folichon,

Quand Eve

De son parfum D'Eve

Te dit 

En élève  :

" - Adam, L'Eve-toi  !  

- Et croque la pomme de la vie  !  "

Pour que toi et moi,

Ma foi,

On se marie

Pour ta pomme d'Api

Jusqu'à l'infini.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                     Blagues :

 

 

1)  Qu'est-ce-que ça fait un croque-monsieur et un croque-madame grillés dans un four  ?

     -  Des croque-mort  

 

2)  Que restera-t-il de mes poèmes quand je serai mort  ?

     -  Des vers qu'on m'aura tirés du nez 

 

 

                                               Jérôme de Mars

Tang, ça tangue  !

 

Bateau moteur

A voile et à vapeur

Dans le bateau céleste 

Qui s'en déleste,

Ma chine Tang,

Ca tangue  !

Avec ta langue

Dans ta poche exsangue

Qui rêve d'esclandre,

Pour comprendre 

Tout ce qui fait descendre

Les gens de la rue

Dans ce chahut,

Où il n'y a plus rien à prendre

A part se méprendre

Et entreprendre

Des machines à serrer le vice,

Avec la police

Au derrière

Qui jette les œillères,

Quand ma chine Tang,

Ca tangue !

Avec ta langue

De poche exsangue, 

Qui mène le bateau

Sur le quai 

A tribord de scène,

Très loin du Monténégro 

Qui monte crescendo,

Quand y a de la fièvre

Du bout des lèvres

D'un mécène

Qui a quarante balais,

Pour nettoyer le printemps

Et le revigorer en été

Dans la sérénité

D'un éclat

Permanent et brillant,

Quand ma chine Tang,

Ca ne tangue  !

Avec ta langue

Qui n'est en bois,

Comme elle préfère émettre 

En boîte

Une nouvelle langue d'acier

Qui ne dégorge exsangue,

Mais qui tangue 

Avec toi Tang,

Tant qu'elle boîte

D'aplomb souvent à en démettre

Le point G,

Avec ta langue

A en promettre

Tang,

Qu'elle te tangue !

 

Jérôme de Mars

Faut que ça aille  !

 

Au travail

Du fond de nos entrailles,

Faut que ça aille

Malgré nos failles

Qui nous tenaillent,

Car heureusement, l'éventail

Au sens large du détail,

Nous taille

Une bouffée d'air frais,

Et nous décharge un bien fou

Qui nous rend très doux

Et nous réjouit au complet,

Quand la famille

Et les amis

Se réunissent conviviaux,

Autour d'un buffet

Très chaud,

Car faut que ça aille

Pour manœuvrer

Le gouvernail

Dans la bonne direction,

En hyper connexion

Et en pleine action,

De sa toute puissance

Dans l'itinérance, 

Qui fleure bon

Le coin tranquille,

Dans une ville qui cheville

A bras le corps

Retords aux abords,

Quand faut que ça aille

Même si on est sur la paille

Dans un restaurant courte-paille,

Comme on sait

Vaille qui vaille,

Que les épreuves nous entaillent

Dans un arsenal d'épouvantail,

Qui ravitaille

Les donneurs de leçons,

Qui mordent à l'hameçon

Et en démordent en conclusion,

Qu'il faut que ça aille.

 

Jérôme de Mars

 

Hommage à Tante Gisèle

 

O' grand soir de mon aura,

Je t'adresse toutes mes éloges

Chère Tante Gisèle,

Où je te rends hommage

Car quel dommage

Que tu ne sois plus là,

Pour que je te récite une ode

A ton effigie chère Tante Gisèle

Depuis ta loge,

Car tu brodes

Au paradis des anges fabuleux,

Justes aux cieux à rêver mieux

Avec ta photo belle, 

Comme une aquarelle

Qui me rappelle, 

Et me ramène à tes souvenirs à la pelle

Chère Tante Gisèle,

Comme de l'or sort de tes prunelles

Avec ton si doux visage,

Qui insuffle un mirage

A réconcilier les nuages,

Avec les images

Du ciel,

Qui inspire le respect

Et la tendresse de la paix,

Où je m'incline avec mon chagrin

De ne plus pouvoir prendre ta main,

Où dorénavant, j'allumerai une cierge

Quand j'irai prier 

A l'église de l'eau bénite près de La Sainte-Vierge,

A invoquer le bon Dieu sacré

De mille et une façon sensorielles, 

A te pleurer de mes larmes torrentielles

Jusqu'à la résurrection exceptionnelle

Du jour, où l'on se reverra Cher Tante Gisèle,

Juste au ciel pour la vie éternelle.

 

Jérôme de Mars

En marche dévale de Marne

 

 

En démarche

            

                    c

                    a    marche

                                      

                                     e

                                     n marche

                                   

                                                   q

                                                   u

                                                   a

                                                   n

                                                   d  en marche

                                      

                                                                      d

                                                                      e

                                                                      v

                                                                      a

                                                                      l

                                                                     e   de Marne

                                                  

                                                                                        j

                                                                                       u

                                                                                       s

                                                                                       q

                                                                                       u

                                                                                        '

                                                                                       a

                                                                                       u   Val de Marne

                                                                                                                

                                                                                                               e

                                                                                                               n  marche.

 

 

 

 

Jérôme de Mars

                                                                        

La folie des rondeurs

 

D'un temps de candeur

Avec la chandeleur,

En gros,

On achète au grossiste

De sa pâte d'artiste

Des bibelots grosso modo

Qu'il vend en gros,

Et qui tournent en rond

Et rubicond,

De la folie des rondeurs

A la folie des grandeurs,

Décadence nature

Que tousse la roture 

De la devanture 

D'un magasin,

Même si ce machin

On ne l'a pas en magasin,

Et que quand c'est l'ouverture

Il fait son petit boudin,

Dans la folie des rondeurs

De ces gros boudins,

A manger

Et à démanger

Dans la frénésie des grandeurs,

Ces produits menus tailleurs 

En gros,

Dans ces gros grossistes

Qui font sans blanc d'être humanistes,

Alors qu'ils sont égoïstes

Mais quand même altruistes

Loin du soleil triste,

Comme bien sûr

Il y a des plaisirs hédonistes,

A conter des histoires originales

Avec du fond banal

Et une forme loyale,

Comme Ségolène Royale

Dont c'est royal,

D'avoir été la femme atypique

De François Hollande en gros

Dans le monde de l'apolitique,

De cette folie des rondeurs

Qui tourne en rond

Et rubicond

Cette frénésie des grandeurs,

Taillée sur mesure

Avec la fermeture

Et claire grosso modo,

Dans la démo

Des joueurs de pipeau

Ayant le dernier mot,

Dès la fermeture

En magasin

De cette fin journée d'entrain,

Enfin de cette folie des rondeurs

En détournant en rond ces cabotins,

De la frénésie des grandeurs

Grandeur nature

A la poésie d'honneur

Comme hélas, on ferme le magasin

En gros,

Grosso modo  !

 

Jérôme de Mars

F                   

a   

i

r

e

 

f

a

c

e

 

D

e

 

p

r

o

f

i

l

 

!

 

 

 

 

D                         O                         Q                           Q                        F               D

e                         n                         u                             u                        a                 a

                                                      i                             o                         c                  n

p                       f                                                         i                           e                  s

r                        a                          s                           q

o                       i                            e                         u                           d                  u

f                       t                                                       '                             e                  n

i                                                    p                        o                             

l                      f                             r                       n                              p                  f

                      a                            o                                                      r                   a

                     c                             f                      f                               o                   c

e                   e                            i                       a                              f                    e

t                                                 l                       s                               i   

                                                 e                      s                                l                  à

d                 e                                                   e

e                 n                         e                                                          q                 f

                                             n                       a                                  u                a

f                  i                                                                                      i                 c

a                n                        s                                                                              e

c                 t                       u                        f                                   s

e                e                       r                        a                                  e                 e

                  r                       f                        i                                                       n

                  f                     a                        r                                   p

                  a                   c                       e                                     r                  f

                 c                   e                                                              o                  a

                 e                                                                                   f                   c

                                                                                                     i                    e

                                                                                                     l                    .

                                                                                                    e

 

 

 

Jérôme de Mars

                                                                                                    

Les oiseaux volent le ciel

 

Jardin de parcelle

Muni d'un grain de sel,

Les hirondelles

Bavardes épient

Les pies,

Bécasses qui dépucellent

Les oiseaux qui volent le ciel,

Survolent le soleil

Et envolent l'arc en ciel

Des oiseaux immigrés,

Qui ont émigré au gré

De leur exode rural

Sur fond d'emprise murale,

Qui lézarde

Et regarde

Sur terre les lézards,

Face au cagnard

A implorer le Missel,

Pour que les oiseaux volent le ciel

Aux voleurs universels,

Dès la dérobade

En ballade

Qui évade 

La promenade

De leurs secrets de polichinelle,

Que gardent les hirondelles

Qui volent le ciel

Aux oiseaux de mauvais augure,

Vilains et affreux jojos

Sur leur terre de pâture

A contre-nature,

Car ainsi, survolent à tire-d'aile

Qui envolent leurs ailes,

Quand les oiseaux volent le ciel  !

 

Jérôme de Mars

Chacun porte sa croix  !

                                                           C

                                                           a

 

                                                           r

 

                                                           C

                                                           '

                                                           e

                                                           s

Alerte SOS, on appelle à l'aide  en    téléphonant à la Croix-Rouge qui voit rouge 

 

                                                          L

                                                          a

                                                          

                                                          C

                                                          r

                                                         o

                                                         i

                                                        x

 

                                                        E

                                                        t

 

                                                       L

                                                       a

 

                                                       B

                                                       a

                                                       n

                                                       n

                                                       i

                                                      è

                                                      r

                                                      e

        

                                                      D

                                                      '

                                                      A

                                                      v

                                                     o

                                                     i

                                                     r

 

                                                    U

                                                    n

                                        

                                                    R

                                                    e

                                                    g

                                                    a

                                                    r

                                                   d

 

                                                   E

                                                   n

 

                                                   C

                                                   r

                                                   o

                                                   i

                                                   x

 

                                                   C

                                                   h

                                                   r

                                                   é

                                                   t

                                                   i

                                                  e

                                                  n

 

                                                  Q

                                                  u

                                                  a

                                                  n

                                                 d

 

                                                 O

                                                 n

 

                                                F

                                                a

                                                i

                                                t

 

                                               U

                                               n

                                               e

 

                                              C

                                              r

                                             o

                                             i

                                            x

 

                                            S

                                            u

                                            r

 

                                         Q

                                        u

                                        e

                                       l

                                      q

                                     u

                                     '

                                   u

                                   n

 

                                   C

                                   a

                                   r

 

                                  C

                                  h

                                  a

                                 c

                                 u

                                n

 

                                P

                                o

                                r

                               t

                              e

 

                              S

                             a

 

                             C

                             r

                            o

                            i

                           x

 

                          !

 

 

 

 

 

 

Jérôme de Mars

Bonjour le soleil et au revoir la pluie  !

 

En ces jours bipolaires

Sur la planète Terre,

Rêvons un peu

Sur les cieux,

Du soleil

Qui réveille

Fraternel et charnel

Nos jours,

Et à qui

L'on dit

Bonjour

Le soleil,

Qui émerveille

La vie sur Terre,

Quand la planète 

Est la sœur de son frère

Le soleil brillant,

Qui parle déprimant

De son amie

La pluie,

Qu'il faut éviter

De sa voix de crécelle

En lui disant

A cause de son mauvais temps

Au revoir la pluie,

Car elle file à la voie lactée

De la fraîche mélancolie,

A qui l'on médit

D'exister sans répit,

Mais dont on a bien besoin

Pour arroser les jardins

Mais sur ceux,

Pour les cieux,

On leur dit

Au soleil 

Et à la pluie,

Bonjour le soleil

Et au revoir la pluie !

 

Jérôme de Mars

 

 

Conjuguons notre temps sur l'il  !

 

Jeu, la vie est un jeu,

Qui noue, tue

Se voue

Et se dévoue,

Quand les ailes

Se dénouent

A tire-d'ailes

Sur l'il presqu'il, 

Où nous conjuguons

Notre temps à toutes les saisons

Sur L'il de notre fort intérieur,

Pour vivre au présent imparfait

Avec le passé trépassé très loin

Derrière nous, où on noue

Pour le futur, quelque chose,

Où l'on se voue 

De nous à vous,

Comme se dénoue l'impératif présent

Avec un beau présent,

A vous offrir en guise d'avenir d'un futur

Plus que parfait en terminaison.

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blague :

 

 

 

Pourquoi est-ce-qu'à cause d'un célèbre humoriste controversé, je préfère la religion chrétienne à la religion juive  ?

 -  Parce-que Dieudonné

                (    Dieu donnait  )

 

 

                                            Jérôme de Mars

Papier buvard

 

Boulevard du dessin sur les rues de Paris,

Du cresson avec Edith édite la panoplie

D'un papier buvard, qui crédite de crayons de couleurs,

Toute la série des oiseaux volages qui volent la chaleur

Du soleil, pour s'emmitoufler dans du velours, 

Avec les rockeurs de Rocamadour, dans le bourg

D'un petit village de campagne, qui réfléchit la lumière

Du papier buvard, en haut vers le ciel au reflet du miroir inventaire,

Qui émet sa puissance de tessiture et de quintessence, 

Et qui esquisse les gestes et les mimiques de Dame excellence,

Qui fait du swing go avec sa Twingo, roulez jeunesse !

Comme on vous apprend sur du papier buvard, le contour d'un océan de tendresse

En s'enivrant d'aventures, au bord d'un lac qui s'étend d'une largesse,

Qui vogue moussaillon sur un courant pacifique, de l'époque des princesses,

Au conte de fées sur du papier buvard, en grattant le ciel avec l'allergie

De l'addiction d'un poète troubadour, qui se soûle à l'absinthe de frénésie,

Qui lui inspire le dessin émotif, sur du papier buvard de l'étendard 

A la fanfare, qui joue du tambour et de l'accordéon, en joyeux larrons en foire

En colorant les nuages blêmes, de couleurs arc en ciel pour leur rendre leur gaieté

De l'été, en sirotant une bonne bière, au coin bucolique rue de la paix,

D'un papier buvard qui gratte sa guitare près d'un gratte ciel,

Qui gratte le ciel au pluriel d'hirondelles, comme c'est la saison des ritournelles

Papier buvard, d'où l'on ferme la passerelle, comme ça fait des berges,

Sur scène et que j'ai quarante berges aux berges

Espagnoles, depuis le chant des rossignols,

Qui termine ses paroles, car au revoir la farandole !

 

Jérôme de Mars

                                               Blagues  :

 

1)  Qu'est-ce-qu'un groupe de juifs déportés et brûlés vifs en Palestine ?

     -  Une bande que l'on gaza  !

 

2)  Que ne voit pas une femme qui se fait prendre par derrière par son mari  ?

     -  Le bout du tunnel  !

 

                                         Jérôme de Mars

Vers ces vers

 

En vers

Voici ces vers

Vers

Ces vérités

En vers

Sévérités

Vers

Sévères

Versets

Qui ont déversé

Ces vers

Versés

Vers

Ces vérités

Ces vers

En vers

Sévérités

Sévères

Vers

Ces versets

Qui ont des versets

Quatre ces vérités

Pliées en quatre sévérités

Vers

Ces vers

Sévères

En ces vers

Ses

Des versets

Vers.

 

Jérôme de Mars

 

D'un côté, il faut en dire, d'un autre côté, il faut pas trop en dire, où est la frontière ?

 

Avec les à côtés, on ouvre la frontière

Pour souffler notre colère,

En vers qui déversent

Les averses qui traversent

Les mots imbroglio

Dans le chaos rétro,

Comme d'un côté, il faut en dire

Et que d'un autre côté, il faut pas trop en dire

Entre mes dires

Et médire pour souffrir,

Car on se demande où est la frontière ?

Malgré qu'on a de la colère à cracher ses vers

Sur terre même qu'on s'interroge si on dépasse les limites,

Pourvu que l'ermite, on ne l'imite

A se renfermer dans sa sévère personnalité

Entre couacs, cacophonie avec une mauvaise tonalité

Intemporelle et fugace éternelle de cette vie de tendre cruauté,

Avec ces vers de férocité qui traduisent l'atrocité

Avec de la saga cité

Ou dans la saga de ma cité,

Comme d'un côté, il faut en dire

Et que d'un autre côté, il faut pas trop en dire,

Entre mes dires la vérité

Et médire d'insanités

Tout ce que l'on se confie,

Puisque qu'en ce moment, on ne se fie

Et ne suffit

A personne,

Comme une discussion téléphonée qui résonne

Avec un mauvais réseau d'amis

Alors qu'une bonne note au piano, c'est quand on se réconcilie,

Car après la fâcherie

Voici revenus les amis unis

Et soudés

Ressoudés en ayant le bras long rabiboché,

Comme d'un côté, il faut en dire

Et que d'un autre côté, il faut pas trop en dire,

Entre mes dires de sincérité

Et médire de vérité,

Car pour les préserver

Il faut réserver

De la simplicité,

Pour marquer la frontière

Des limites

Sans qu'on l'imite

Les travers de la colère,

Car voici pourquoi on crache ces vers,

Sévères point linéaire.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

En rab

 

Aujourd'hui, je vais au rade

Mais il est en rad,

Comme il y a du rap

Qui dérape

En rab,

Où je fais des raccourcis

Avec des scies,

Qui scient ma branche

Et qui débranchent

Mes accoutumances,

De la semence

De mon écriture,

En rab

Sans être contre-nature,

Mais avec des majuscules

Qui basculent,

Lorsque je retournerai au rade

Qui ne sera plus en rad,

Où en rab

Je regarderai les baobabs,

En ballade 

Raconter des salades,

Composées et ramassées

Avec de la sauce figurée et configurée

En rab,

Où je n'écouterai plus Le Marquis de Sade

Dans la chanson : " Je vais t'aimer " de Michel Sardou

Raconter ses salades

Nature, 

Avec beaucoup

De désinvolture

Et de souillure, 

Où en rab

J'irai en voiture, 

Boire un coup

Au rade

Qui ne sera plus en rad,

Pour vivre de nouvelles aventures

Dans la devanture

De la zone d'ouverture

En rab,

Car comme d'hab

J'en pincerai pour elle

La demoiselle,

Comme un crabe

Singulier d'une tourterelle

Au pluriel d'hirondelles,

D'un jardin pacifique

Admiratif de son art plastique,

En une de couverture

Jusqu'à la fermeture

En rab.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Périmètre de sécurité

 

 

La tête au carré, on prend l'aire de la surface dans un périmètre de sécurité, en

en marge.                                                                                                      ayant

très carré,                                                                                                  des bons

du mouvement                                                                                        côtés,

et à droite                                                                                                justes

à gauche                                                                                                 et

mesure,                                                                                                   pas

demi                                                                                                     toujours

la de entier et droit centre au rectangulaire dimension cinquième la dans égaux,

 

 

Jérôme de Mars

Cigale ou fourmi  ?

 

Au printemps, saison des amours,

Le troubadour

Fourmille avec des fourmis

Dans les jambes

D'idées de l'entre-jambe,

Quand chantent les six gales

Cigales 

Aux dépens de la fontaine,

Fontaine, je boirai

Ton eau,

A m'en rincer le cerveau

Pour être fourmi

Qui fourmille d'économies

Aux dépens des six gales,

Qui déchantent les cigales

Après être et avoir été,

Comme s'il n'y avait que le printemps

Pour réparer les amours déçus,

Alors que le mois de Mars a su

Décelé la belle saison des amours affriolants,

Dont la fourmi fourmille d'idées

Après un appel du pied

Aux dépens de la cigale qui a six gales,

Car cigale ou fourmi ?

On fourmille de fourmis

Qui chantent les six gales 

A priori égales, 

Comme et gale

La fourmi qui fourmille

De cigales !

 

Jérôme de Mars

Tout le temps

 

A l'ombre de la lumière,

Le soleil se couche

Et est sur la touche,

Pour laisser la lune

Dans la lune

Et être au clair de sa lumière,

Tout le temps

Du temps météo

A l'instant météore, 

Que met en musique

Le folklore 

Dynamique et rythmique,

Quand y a des nuages à l'horizon

Qui sont bougons,

Lorsque le vent chasse la pluie

Et chantonne tout le temps,

Dès que le temps universel

Verse son grain de sel

De grêlons, 

Avec ses giboulées 

Des eux en neige,

Qui glissent sur la luge

Des neiges éternelles

Dans un vent, 

Qui jette le vent

En tremblement de Terre

Sur l'échelle de Richter 

Tout le temps,

Quand d'au temps

Autant en porte le vent

D'un cataclysme

En raz-de-marée

A vie de tempête,

Qui saccade

Le typhon

Et la tornade,

Qu'il brade

En vent de tramontane

En en faisant toute une montagne

Tout le temps,

Qu'il détend

En soulevant des montagnes

D'un soleil azur,

Avec un joli ciel bleu

Qui crayonne l'arc en ciel

D'une multitude de couleurs,

Au fard d'un fond de teint

Pluriculturel et multiculturel ,

Qui embrasse les nuages tout blancs

Et récalcitrants

De l'oiseau de toutes les couleurs

Qui influe l'arc en ciel,

Avec la parade et le charme amoureux

Qui broient du noir pendant la nuit,

Tout le temps

Durant fort longtemps

Avec beaucoup de fureur,

Sauf que si le soleil sourit,

Le bonheur d'ailleurs

Resurgit groggy 

Et aimant d'une pléiade d'ardeur,

Dont les rayons x

Projettent l'éclipse en un

Du soleil et de la lune,

A l'un

Et à l'une,

Tout le temps

Pour fort longtemps,

D'OTAN

En emporte la paix.

 

Jérôme de Mars

 

Statut de la liberté

 

Au café de L'Amérique dans tous ses états,

La culture se vit dans l'écriture ancienne

Et moderne du statut de la liberté pérenne,

Qui enseigne l'art d'esthète dans le tas

Et a le bras long pour avancer dans l'excellence

De la conquête qui regarde avec curiosité la mouvance, 

Du statut de la liberté chèrement acquise 

Dans l'esquisse, où l'on en fait tout un dessin

Aux thèmes fédérateurs dans le dessein,

De la compagnie exquise qui épuise

Les renards rusés et malins confinés

Dans leur statut de la liberté agrée, 

Où l'on a le choix entre le thé du Maghreb et le café

D'Amérique de L'oncle Sam et de L'Oncle Tom

Au statut de la liberté qui se raconte dans un livre en deux tomes,

Où l'on a rien sans rien mais qu'en buvant des paroles de saga cité

On est mieux armés pour rebondir avec répartie 

Dans des jeux de mots en totale péripétie,

Comme l'on se porte davantage en adultes responsables

Lorsqu'on se comporte dans une attitude irréprochable,

Du statut de la liberté

A La Statue De La Liberté

Place de la république encensée,

Car grâce aux services publics sacrés

Nous revoilà avec nos idéaux

Pour bientôt de sitôt !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Peux-tu me ramener un ver Serge ?

 

Serge, je t'écris

Cette poésie,

Où je te demande

Et je te quémande

Dans la loi de l'offre

Et de la demande,

Si en offrande

De ton coffre,

Tu peux me ramener

Un ver de l'amitié

Et de la liberté,

A trinquer

En toute simplicité

Au vieux bistrot

Des bons potos,

Pour y exprimer 

Mon entière colère

Mais également l'itinéraire,

D'où j'en tire de la matière

En m'enivrant

Dans le boucan

De cette vie réfractaire

Et délétère,

Où Serge, je t'implore

De me ramener

Un ver fort

Et un ver cor

Du Vercors,

Même si j'ai tort

D'avoir une pléthore retords,

Au nom de la vérité

Qui explique mes regrets

Et mes remords,

Où j'ai besoin

D'un ver

Deux poèmes,

Pour y retracer

Mon portrait craché

De bohème,

Comme il faut

Toujours voir

Dans le miroir

Le ver d'eau 

A moitié plein,

Que ce soit

Un ver à soi

Ou un ver de contact,

Avec un pacte

A honorer

Et à respecter

Avant l'entre acte

Du passage à l'acte

De mes traits mollos,

Avec des cernes

Sur mes yeux ternes

Et subalternes 

En déclenchant la lanterne

Rouge où Serge, je t'en supplie

De me ramener 

Un ver gratuit,

Ecolo et réglo

Comme pour un apéro,

Où après avoir tant payé l'addition

Du je de cette erreur,

Je n'aurai plus peur

De profiter de l'opportunité

De prouver

Ma réhabilitation,

Après une citation 

A l'aime racaille,

Où le jour où Serge, je n'exigerai

Plus jamais 

Un ver

De ta part,

C'est que j'aurai vraiment retrouvé

La lumière

Et déniché

Des réponses à mes questions,

A boire

Au bar du rempart,

Où pour te remercier

Cher Serge, je t'apporterai

Le ver de l'inspiration

A consommer

Sans modération,

Au nom du ver

De la fin littéraire

Qui justifie les moyens linéaires

De l'inauguration,

D'où je te tirerai

Tout mon chapeau

Et te dédierai

Avec mon drapeau,

Mon vénérable salut,

Cher moussaillon,

Depuis mon bateau imaginaire

Jusqu'au Port Salut  !

 

Jérôme de Mars

 

Petit clair de lune qui emmène le soleil

 

Complètement à L'Ouest,

Soleil, lève-toi à L'Est  ! 

Et ne sois pas dans la lune  

Leste  !

Du lever 

Au coucher,

Sauf quand tu dors

Avec la lune qui te dore

O' Soleil et qui te jette ses rayons x,

Quand l'une est dans la lune

Du soleil lunatique,

Qui projette ses rayons 

Au petit clair de lune,

Qui emmène le soleil

Qui éclipse à L'Est

La lune romantique leste

Complètement à L'Ouest,

O' toi soleil du phare Ouest  !

Qui te couche avec la lune

Au Far West

Et dore 

Dans une éclipse qui dort,

Petit clair de lune 

Qui emmène le soleil

De L'Ouest à Leste.

 

Jérôme de Mars

 

 

Poème d'un troubadour trouble-fête  !

 

A l'âge mur de raison soit-disant la quarantaine,

Mon âme est comme un assortiment au bord

De la dérive qui change souvent de bord au rebord

De ce poème d'un troubadour trouble-fête,

Qui n'a qu'en tête 

La fin de séjour sur cette planète bien trop lointaine,

A mes yeux implacables qui pleurent ma défunte mère

En ne sachant à qui jeter une bouteille à la mère 

Pleine dans l'ivresse de son absence épurée,

Car je le répète et le martèle en tête,

Comme Charles Martel qui tête

La fête de tous les seins, car je crie et purée

D'un poète troubadour trouble-fête

Dont ce n'est pas tous les jours la fête,

Mais en fait des remords et des regrets quotidiens

De ne pas avoir garder ma mère auprès de moi

Sans se vouer à son sein,

D'où mon manque de foi comme il fait froid

Dehors à me casser par terre la figure

Qu'on figure à Jérôme sa forme miniature,

En étant sur l'étang à passer du contretemps

En attendant dans un instant que je tends

Le fusil à bout portant en me tirant dessus,

Comme un homme brisé par la destinée fourbue

De la protection étouffante et protectrice d'une mère

Qui pensait bien faire mais qu'en fait, m'a trop couvé,

Depuis qu'un neuf jour le jour de sa disparition

Elle m'a semé le trouble d'où mon insurrection

A reproduire le mâle certes pas nécessaire,

Mais dont elle m'a pourtant et bien longtemps décompensé

Mon intégrité en intégralité,

Donc ainsi pour oublier cette dure réalité,

Faisons la fête entre troubadours,

N'est-ce-pas Serge , pour que je te serve le ver 

De l'amitié et de la fraternité avec une bonne bouteille

De vain blanc, mais assez rempli de bulles qui pétillent,

En prenant de l'âge avec de la bouteille qui réveille

Le noir qui s'éclaire par la couleur de l'amour,

Et des vrais amis,

Ainsi que la famille

Pour terminer en poète troubadour 

Da la fête,

Qui finit en guinguettes

De vers bien arrosés et corsaires

Chers troubadours,

D'où je vous salue

Sur La Terre absolue

Qui brille 

De mille vertus,

En vertu de mon salut

Et en route pour l'inconnue  !

 

Jérôme de Mars

Pas de nuages à l'horizon  !

 

Aux aurores

Après que le crépuscule

Dort, il jette un brillant sort

Au soleil,

Bleu ciel délicieux

Couleur groseille,

Pour qu'il se hisse

Et gravite

Le zénith, 

Qui bouscule

Les idées reçues,

Qui s'immiscent

Dans la rue,

En chantant pour les cigales

Un récital de fringales

De concerts de louanges,

Qui s'arrangent

Vers le balcon,

Où il n'y a pas de nuages

A l'horizon,

Version ramages

Des oiseaux qui nourrissent

Leurs petits de vers,

De poèmes sur la terre entière

Qui frémit de mille feux,

Comme aucune histoire

N'est contée dans le hangar,

Empli de vieux souvenirs

Et d'anciennes légendes,

Qui rendent

Hommage aux désirs

Du ciel amant du soleil,

Qui scintille

Volage dans des voyages,

En trompe-l’œil qui se faufile

En se prémunissant sage,

Aux rayons puissants qui fourmillent

Les pupilles des prunelles,

De vers de lentilles

De contact, où il n'y a pas de nuages

A l'horizon,

Parmi toutes les saisons

Désopilantes qui illustrent en images,

Ce que vaut un bleu clair

Dans le ciel communautaire,

Dont on a besoin en bouffée d'oxygène

Dans ce monde anxiogène,

A différents lieux

De son environnement précieux,

Où désormais il n'y aura 

Plus de nuages

A l'horizon,

Comme il faut savoir garder raison

Au sillon de l'étage,

De l'humanité

Et de la sérénité

Pas appât

D'un poème sans histoires,

Car rendez-vous bientôt au comptoir

Abreuvoir de belles histoires !

 

Jérôme de Mars

 

 

Je prends ma prose  !

 

En mode pause,

Je prends ma prose

En tout état de causes,

Pour raconter des choses

Qui ne riment à rien,

Mais triment en eaux

De boudin,

Avec de vilains

Trémolos très molos

Qui balancent des gros mots,

Comme je prends ma prose

Pour passer de la sinistrose

A la métamorphose, 

De jeux de calembours très malins

Qui restent défunts

Par des fins de vie à mères au plus loin,

Comme je prends ma prose

Et que je dépose 

Des roses

Au destin qui tangue en zone de turbulences,

Avec les intempéries qu bousculent les circonstances

Atténuantes qui choquent les âmes sensibles,

Pour s'abstenir de cracher de ses mots de gorge

Toute la lassitude de la solitude horribles, 

Qui regorgent et forgent

Les lettres aux grands caractères

Qui demeurent de fétiches partenaires,

Comme je prends ma prose

Et que j'en dispose, 

Comme je vous je le jure

Et que j'en conjure,

Qu'on jure

En injure,

Que c'est bien

Ici con jure,

Que je prends ma prose

Jusqu'à ce qu'on me propose,

De passer le flambeau de la prose

A celui ou à celle qui sera en osmose

Avec moi, en mode andropause

Depuis le cosmos.

 

Jérôme de Mars

La pluie qui tombe sur le jardin

 

Dans un matin d'hiver

De froid polaire,

Le chagrin ample

Coule des larmes qui contemplent

La pluie qui tombe sur le jardin,

A attendre son soleil lointain

Friand de glaciers,

Qui gèlent les rosiers

Et qui jalonnent 

Avec les anémones,

La pluie qui tombe sur le jardin

Avec une lettre d'amour 

En quête d'un aller-retour,

De mots cultivateurs

De bien,

A apaiser 

Les trémolos,

Avec des sanglots

Dans la voix

Usée et consumée,

Par les choix

D'une vie avec son chemin

De croix,

Quand il y a la pluie qui tombe sur le jardin

A vouloir

Et à s'émouvoir, 

Qu'un copain

L'aide à calmer

Son chagrin

Semé par le train

Train quotidien,

Mais en tout bien

Tout honneur,

Gardons notre chaleur 

Avec la main

Sur le cœur,

Pour bâtir l'ouvrage

Du courage

Avec la pluie qui tombe sur le jardin

Pour finir en alex sans grains.

 

Jérôme de Mars

 

Quand ça jase manouche  !

 

Vase éclos,

On ouvre tôt

La musique louche

De la pure souche,

Quand ça jase manouche

Avec les métiers de bouche,

Bouche-bée 

D'un conte de fées

Décousu semblant,

A l'ourlet hurlé

Cousu de fil blanc,

Quand ça jase manouche

Entre cuillères à louches

Qui débouchent

Sur de la musique ,

Qui retentit métaphysique

Avec des rythmes Américains

Et du tempo Africain,

Teintés de cymbales

Et de timbales

Menées tambour battant,

Quand ça jase manouche

Haletant et palpitant

Entre les gars louches

Et les cuillères louches

En argent,

Comme l'argent

N'a pas d'odeurs,

Mais contribue

Au bonheur

De la souche,

Quand les saintes-nitouches

Restent sur la touche

Et que plus

Rien ne bouche,

De la souche louche

A la louche louche,

Quand ça jase manouche !

 

Jérôme de Mars

Croquer la vie à pleines dents

 

Pomme d'Adam

Pendant ce temps,

Il faut croquer

La vie à pleines dents

Tout croc en crochets,

Décrochés autant

En emporte l'avent

Lors de la trêve de Noël,

Avec les étrennes 

Qui offrent des fenêtres

Ouvertes persiennes

Dans l'être et le par être,

Comme il faut croquer

La vie à pleines dents

Pour sa pomme d'aidant,

Qu'on parcelle

De lamelles 

Dans la fête d'être un modèle,

Quand on croque la pomme d'api

Pour sa pomme de vie 

Et qu'on mange en plat rassasié,

Comme il faut croquer 

La vie à pleines dents,

D'avant et maintenant

En prenant la vie

Du bon côté,

Avec un joli appétit

D'hier, d'aujourd'hui

Et demain,

Où pour ne plus s'en faire

Il faut croire boute en train,

A un idéal d'existence dans le festin

D'une charmante chaumière,

Qui respire prospère

Des lendemains

Extraordinaires et clairs,

Où il faut croquer

La vie à pleines dents

En prenant l'air,

D'un air décidé et déterminé

A pas d'r,

D'un roulement

Et d'un claquement

De phalanges,

En vents d'ange

D'auparavant,

Car en ce moment,

Il faut croquer

La vie à pleines dents

Jusqu'à la pomme D'Adam,

Pour sa pomme d'aidant.

 

Jérôme de Mars

 

Pour 2019

 

Ca y est 2018

Se termine,

Car bientôt

Il y aura le réveillon,

Jusqu'aux oreillons

Dans la terrine,

Pour oublier cette année

Maudite et surannée,

Dans les messes basses

A contrebasse

Non-dite,

Où l'on veut pour 2019

Une année de paix

Et de fraternité,

Dans un monde neuf

Et moins veuf,

Où ce sera la teuf

Et l'amour à la reconquête

Dont La France est en quête,

Pour que la joie miniature

Devienne un grand espace

De villégiature,

Sur la surface

De La Terre

Des êtres humains dans l'univers,

Et qu'enfin 2018 

On l'oublie vite,

Comme en 2019

Ce sera je l'espère,

Dans le ciel et l'hémisphère

Un monde refait à neuf,

Car il ne sera pas trop tôt

De crier que c'est la teuf

Pour 2019.

 

Jérôme de Mars

Mots homonymes d'un anonyme

 

Bonjour, ça va moins bien

Dans les va et vient,

Quand l'échafaud 

Me griffe,

Et que les chats faux

Me dégriffent

Dans les procédures,

Qui finissent en procès durs

D'un alcoolique anonyme

Qui a la colique homonyme,

Et qui est un crack

En prenant du crack qui craque

En prenant de l'héroïne,

Et en s'éprenant de l'héroïne

De ces mots homonymes,

Et d'émaux anonymes

Qui vous voient,

Vouvoient,

Qui tuent toi

Et tutoient,

En marchant

De mille et une pattes,

Et en démarchant

Mille et une qui appâtent,

L'hameçon 

Qui retient ma leçon,

Quand un con plaisant

Est complaisant,

De faire semblant

Sans blanc de fer,

Jeune blanc bec

Qui jeûne bec blanc,

Et qui m'amuse bégueule

Avec mon amuse-gueule,

Un porc ex porc

De mon import-export,

Et qui par mégarde fou

Me regarde par mes gardes-fous

De la gare ,

Où il se demande où se gare

Ma voiture au garde-à-vous,

Car gare-à-vous

De mon auto-mobile

Aux taux mobiles,

Pour savoir si on peut boire

Avec mes pourboires de déboires,

Avant qu'il ne soit trop tard

Avec ma tare trop soi

De ces mots qui ne prennent des gants,

Et les gants s'ils sont élégants

A fable 

De la fontaine qui découle affable

Des gens de la fontaine,

Qui dégustent 

Le clown auguste

Et le clown blanc,

Qui voit rouge

Et qui boit son blanc,

Quand tout ce bazar

Appelle le big bazar

De Michel Fugain,

Pour foutre le bazar

Du bric à brac de Michel Audiard

En tout et pour rien,

Par le plus pur des hasards

Avec Thierry Hazard

Qui chante hagard, 

De ses mots homonymes

De la part d'un anonyme,

Par Jérôme De Mars

De la planète 2 mars.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Une nouvelle année

 

Fin d'année,

Pour passer 

De bonnes fêtes,

On oublie les échecs

Et les défaites,

Pour aller

En quête

D'un nec

Plus ultra,

En passant 

Un réveillon chouette

Là et maintenant,

Car un réveillon réussi

C'est un réveillon qui ne sent

Pas le sapin,

Et qui n'a pas les boules

De ne pas s'enguirlander

Maboule,

En pleurant

Et en regrettant

De n'avoir été 

Qu'un pantin,

Alors que les fêtes

De fin d'année

Ce n'est pas de passer,

De bonnes fêtes 

De fin damnée

Et un bon début damné,

Mais de passer

Dans la frénésie,

La réciprocité,

La sérénité et l'amitié

De bonnes fêtes fin d'année

Pour un bon début d'année,

Dans la paix et la fraternité

D'une nouvelle année.

 

Jérôme de Mars

Fait maison

 

Artisanal et original,

Mon art effet maison

Avec toute ma raison

De ces paysages,

Qui reflètent ma page

Avec du panache,

Qui file Indienne

Avec Les Appaches

Qui rentrent de l'attelage,

En se tuant à la tâche

Avec mon art qui effet maison,

Et qui avance comme une chanson,

Entre rimes, proses et phrases musicales

Qui tanguent et chavirent,

Comme le navire

Qui vire frontal,

Hirsute qui dérive

Sur les côtes furtives

Et captives,

De mon art qui effet maison

Et qui pose en question,

De quel effet alpha oméga

Sur la même longueur d'ondes,

On sonde

Ce petit bijou en carats

Etc etc,

Qui est fait maison

Et effet inclinaison,

De pourquoi Le Stade Vélodrome

Est à ce stade comme Jérôme,

Au stade très critique 

Et assez avancé sarcastique

De mon d'art effet maison,

Qui est dard est fait maison

Rural et principal,

Sur lequel je fais la conclusion

Enclin d’œil, 

De cette feuille

De roses où je tire ma révérence,

Car voilà la différence

De ce poème effet maison

Qui est fait maison,

Mais sur du brouillon

Point final.

 

Jérôme de Mars

 

L'amour ouvre son cœur 

 

Le matin de bonheur

Enjoué de splendeur,

Le soleil

Distribue avec chaleur,

Des rayons aguicheurs

D'une ribambelle

De belles demoiselles,

Qui tournent

La tête

De la planète,

Qui ne tourne

Plus rond

Sous l'ivresse

Et la liesse

Du ciel rubicond,

Dès que l'amour

Ouvre son cœur

Avec les hauts parleurs

En roulement de tambour,

Qui chantent

Des grandes paroles

Et les incantent

En longues banderoles,

Pour que le musée du Louvre,

L'ouvre

En pesant ses mots

Avec douceur,

Et en donnant des tableaux

D'honneur,

Dès que l'amour

Ouvre son cœur

En faisant la cour,

Et l'embrasse avec fraîcheur

Dans l'ardeur

Des flammes

Qui brûlent de romantisme,

Et pénètrent intimes l'égoïsme

Des hommes et des femmes,

Qui font l'amour

Depuis naguère,

Comme ils ont une sacrée

Pêche d'enfer,

D'en faire

A l'excès

Tout un compte à rebours,

Dès que l'amour

Ouvre son cœur

Et l'apprend dans le four

Par cœur,

D'un cœur de pierre

A l'édifice

Sans artifice

De misère,

Dont l'espace suspend

Le versement

Du temps

Dans le sablier s'amenuisant,

Qui déverse son miel

Autour des abeilles,

Qui tournent

Avec pudeur,

Les sacrements,

Les sentiments

Et les leçons

De l'amour

Plusieurs fois par jour

Avec fusion,

Dès que l'amour

Ouvre son cœur

Et réchauffe la tiédeur,

Qui la retourne

En rêve songeur,

En grimant le troubadour

D'il était une fois le bonheur

Sans détour,

Dès que l'amour 

Ouvre son cœur.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Les paysages montrent leur véritable nature

 

Fenêtres ouvertes vers les images,

Le vent envoie son signal en adage

Des différents éléments qui vivent l'aventure,

Lorsque les paysages montrent leur véritable nature

Décomplexée mais sincère en s'éprenant de la misère

De l'hiver pour le modifier en une saison populaire,

Qui attise le soleil découvreur de jeunes talents

Dont l'arc en ciel décoche sa flèche de jeune prince charmant,

Pour avoir du répondant vis à vis du ciel souverain

Qui marche en croisade avec son bâton de pèlerin

Qui saura lui confesser son passé de pluie diluvienne,

Mais que le tout-puissant saura ordonner en éclaircie de la sienne

Quand la rose des vents commande un inventaire,

En zone de couverture

Quand tout est matière,

Lorsque les paysages montrent leur véritable nature,

Nature forte qui triomphe des intempéries tumultueuses

Qui voudraient que la terre des jardins soit la naufrageuse, 

D'un lendemain de déluge alors que l'hiver fait de la luge

Sur les montagnes enneigées que le chasse-neige

Débraie en dénichant la perle rare de l'endroit refuge,

Dès que le mistral jette un vent qui efface les traces du glaive 

Sur la neige effet boule de neige,

Epée de Damoclès qui épie le Yéti d'après les légendes imaginaires

Sur la planète Terre qui ronge son frein en souvenirs pubères,

De comment étaient les femmes d'autrefois sur la Sainte vierge 

Effarouchée qui cherchaient à se loger à l'auberge d'aux berges

Espagnoles pour avoir une chance d'obtenir une ouverture,

Qui signifiait avec les hommes un début d'aventure 

Dans de l'amour pur et en cure,

Lorsque les paysages montrent leur véritable nature

Dans la culture 

De l'amour,

Car à qui le prochain tour ? !

 

Jérôme de Mars

 

Un Noël qui ne sent pas le sapin

 

A la candeur,

Les fêtes approchent

Dans la ferveur,

Quand sonnent les cloches

A Minuit chrétien,

Lorsque que c'est un Noël

Qui ne sent pas le sapin,

Et qui fredonne la grand-messe

De Minuit avec des boules qui est-ce ?

Sans qu'elles enguirlandent 

Les promesses de se réconcilier,

En liesse et en kermesse

De Noël qui sort les ritournelles,

Même que le soleil 

A les boules et qu'il fait place

Aux neiges éternelles,

Qui remontent à la surface

D'un Noël qui ne sent pas le sapin,

Car il reçoit ses copains

Autour de vers de contacts, 

Mis du côté de la lumière 

Et en clair dans la chaumière,

A s'embrasser avec tact

Pour oublier les rancœurs

Et insuffler la poésie des saveurs,

De l'entremets 

Qui met

Tout à plat,

Dans ce succulent repas

D'un Noël qui ne sent pas le sapin,

Mais qui consent à être d'hiver

Tout en restant au teint

D'un soleil qui souffle son vent solidaire

En chantant l'air de Noël, 

Lorsque les chanterelles 

S'accordent en messagers du Missel,

Tant que la magie opère universel

D'un Noël qui ne sent pas le sapin,

Car désormais il pressent à demeurer un

Pour tous et tous pour un,

Dans ce festin

D'offrandes dans les landes

De ces conifères,

Comme on vous souhaite

Un joyeux Noël

Débonnaire et salutaire,

Depuis les comètes

Au pluriel d'étincelles.

 

Jérôme de Mars

Je fais couler beaucoup d'encre  !

 

Oiseau aux plumes de duvet,

Je suis un drôle d'oiseau

Qui a couvé sa plume,

Et qui fume

Des étranges mots

Du fond de son bitume,

Qui nage en propos 

Gonflés très déplacés,

Car je fais couler

Beaucoup d'encre

Moi, l'encre d'échine,

Qui fait tourner

La machine,

Avec des cartouches d'ancre

Qui jettent la pierre,

A la pierre de l'édifice

N'est-ce-pas Pierre  ?

Dans le fond de l'orifice

A faire son trou, à percer

Et à transpercer

Tout ce jet d'encre,

Qui jette l'ancre

Arrivé à bon port

Un port ex port,

Comme je fais couler

Beaucoup d'encre

Découlé de ma réputation,

Sulfureuse en jurons

Et roucoulé en positions,

Qui ont foulé le parterre

De la Terre,

En errant de pérégrinations

A la pôle position de l'emploi

Du temps qui jette un froid,

Comme je fais couler

Beaucoup d'encre express,

Qui a découlé du paquebot 

Qui jette l'ancre presse qui presse

Du stress 

Avec finesse,

Au plus pressé

De l'oppressé

Micmac à tire larigot,

Car c'est la fin des haricots

Comme cependant la fin

Justifie les moyens,

Comme je fais couler 

Beaucoup d'encre

De ma plume déplumée,

Confessions sur l'oreiller

Qui jette l'ancre

A terre,

Pour me taire

Plutôt purgatoire,

Car fini, je ne largue les amarres,

Mais je largue le tintamarre

Au plus tôt ce soir  !

Faim de l'histoire.

 

Jérôme de Mars

 

Sois-toi même  !

 

Gagnant ou perdant,

Il faut aller de l'avant

Et qu'on soit un battant,

Pour triompher ardemment

Du temps et de ses inconvénients,

A contre-temps coïncidant

Avec la nature,

Qui nous est ainsi faite

Entre notre imposture

Et notre personnalité nette,

Après déduction brute

De la chute,

Où l'on supplie

Entre non-dits

Et oublis

Les gens,

A qui l'on dit

Du regard

Sois-toi même,

Et qu'on prie

A bien des égards,

Malgré les problèmes

De la vie

Qui reste bohème,

Mais qu'il faut que tu aimes

Pour lui répondre merci

Qu'on nem,

Sans distinction de race

Toutes les gentilles ethnies

Sans leur faire de crasse,

Car sois-toi même

Pour qu'on t'aime

Et que tu sois l'emblème

D'un totem,

Qui sème

Un diadème,

De toi à autres

Idem,

En apôtres

Post-mortem,

Où l'on te sacre en requiem

Merci d'avoir été toi-même !

 

Jérôme de Mars

Quand le chat est parti, les souris dansent  !

 

Achat imparti,

Le sourire

Condense

La dépendance,

Quand le chat

Est parti

Et que les souris

Dansent,

A redondance

Et abondance,

De la tendance

Et de l'intendance

Qui sourient,

A contredanse 

De l'achat

Reparti,

Quand le chat

Se départit

Du sourire

Des souris

Qui sourient,

A la cadence

Du chat,

Quand le chat

Est parti

Et que les souris

Dansent

La dépendance

Qu'on danse,

Quand la danse

Condense

La contredanse

Du chat,

Qui a un parti pris

Imparti,

Et qui sourit

Aux souris

Qui sourient

La cadence,

Quand le chat

Est parti

Et que les souris

Dansent

La tendance,

Et l'intendance

De la danse

A redondance,

Qu'on danse

Abondance

Et dépendance,

De l'achat 

Imparti

Condense

Qui sourit

Aux souris

A contredanse

De la cadence,

Quand le chat

Est parti

Et que les souris

Dansent  !

 

Jérôme de Mars

Luxe en bourgeois

 

Au pays du luxe,

Il y a la luxe

Sûre

De la luxure,

D'un luxe en bourgeois

Luxembourgeois,

Qui mange

Depuis son velux

Un chocolat Liégeois,

Vers les faubourgs joies

De Strass bourgeois

A Strasbourg joies

Avec un café Viennois,

D'un luxe en bourgeois

Luxembourgeois 

Qui démange 

Avec son épaule luxé

Un Bavarois,

Et qui le finit en faux bourg joies

De surcroît

Faux bourgeois,

Luxe en bourgeois

Luxembourgeois. 

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça fait un gilet qui dépasse les bornes  ?

 -  Un gilet qui franchit la ligne jaune

 

 

                                         Jérôme de Mars

Mobile homme

 

Terre d'argile,

Ce sont les vacances mobiles

Avec des congés mobiles,

Dont le mobile

C'est d'être au repos immobile,

Quand sonne le mobile

Mais qu'on répond depuis 

Son mobile home,

Que c'est le répit

D'un mobile homme,

Car et puis

Tant pis

En dépit

De boire la vache à lait,

Très olé olé

En des pis

De vaches maigres

Aigres-doux, 

Et vaches enragées

Dérangées,

Par du redoux

Allègre,

D'un mobile home

En vacances mobile homme,

Dont c'est le mobile

Avec les congés mobiles

De rester immobile,

Et de répondre au mobile

Que c'est l'heure de décrocher

Le casse du siècle,

Et de décocher

La case espiègle,

Que le mobile soit immobile

Et automobile

Sans se faire de bile,

Mais qu'il soit mobile home

Comme le mobile homme,

Dont le mobile

C'est de demeurer mobile

Et immobile, 

Quand y a plus de mobile

Ainsi mobile home,

Comme y a du mobile homme

A la maison congés mobiles,

Et qu'on prend congé de vous immobiles

Pas de bile dans l'automobile,

Car ça perdure au taux mobile

Mobile d'un mobile immobile,

Dont c'est le mobile home

Congés mobiles hommes.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Rendons là Monet de sa pièce à Claude  !

 

Peinture impressionniste

Chapeau bas l'artiste  !

Qui peint ses tableaux

Telle une prouesse

Et une délicatesse,

Pour composer avec brio

L'âme des vies configurées,

Car figurez-vous Claude 

Mange des reines Claude,

En rendant là Monet

De sa pièce détachée,

Comme son génie crache

Son portrait craché de Dame nature

Dans de la peinture de gouache,

Qui fait tâche

D'huile dans le meilleur

De son œuvre, qui colorie

Les femmes et les maris dans la prairie,

Qui unit l'amour et fuit l'ennui

De sa pastelle qui barbouille

Un songe de grandeur ,

Et de démesure

Dans de la peinture,

En sortant du cadre qui fouille

L'esprit en repos de Claude,

Car lui rendons-lui là Monet

De sa pièce entachée, 

Par les reines Claude 

Qui mangent le fruit

De son travail à Monet,

Comme c'est lui qui a l'usufruit

De sa table de chevet,

En peignant la juste coiffure

Des impressionnistes

Qu'il déteint de son âme d'artiste,

Configurez-vous au sens propre  !

Comme au sens figuré  

Pour les malpropres au nom propre,

Car il peint pour sa pomme

D'Adam pour le tome

De ses mémoires,

Et donc rendez-vous Claude

Pour rendre là Monet

De ta pièce aux Reines Claude

A l'apogée de ton art,

Si bien qu'on veille au grain

De folie de par ta frénésie cher Claude  !

A qui on rend ta Monet comme la fin

Justifie les moyens parfum

De Reines Claude  !

Mais désormais,

Jadis, il est l'heure de te reposer 

En paix dans la sagesse et la sérénité,

Cher Claude Monet  !

A l'étendard de ta gloire  !

D'une pluie d'hommages

A ton sillage,

Car au revoir

Jusqu'au prochain soir.

 

Jérôme de Mars

 

En remontant à la racine

 

Cœur de vie,

Je dépose le devis

De la raison,

Qui fait que je l'ai perdu

Dans le chahut

De la trahison

De certains amis,

Et de l'incompréhension

De quelques membres

De ma famille,

Qui démembrent

Le jeu de cette famille

Qui fait qu'on la subit

Alors qu'on choisit ses amis,

Car comme Jean Racine,

J'enracine

Le carpe-diem,

En remontant à la racine

De mes problèmes,

Pour savoir

Quel en est l'origine

Et la cause

De toutes ces ecchymoses

Qui font que du haut de mon perchoir,

Je suis un immense mouroir

De beaucoup de choses

Face au reflet de mon miroir,

Comme Jean Racine,

Car j'enracine

Mon histoire

En remontant à la racine

Du long couloir,

De pourquoi mes hémoglobines

Débinent

Mon jardin secret

Et vandalisent mon Mausolée,

Qui sont l'objet du scandale

De pourquoi je souffre

De ce vaste mal

Dans le gouffre

De mon monde animal,

Qui emballe

Tout ce poids

Fatal

Et fœtal,

Mais si un jour,

Je le déballe

A la bonne personne

En l'occurrence

Mon inexorable psy,

Au prix

Défiant 

Toute concurrence,

En remontant à la racine

De mon épine,

Enfin, je saurai l'origine

De mon mal-être 

De vautour,

En prenant

Tout à la lettre

Consonne,

Car ça sera là qu'on sonne

De partout la résilience,

Comme Jean Racine,

Où j'enracine

La machine

A écrire

Un avenir

Meilleur

Et réparateur,

A la racine

Contrecarrée,

Pour le plaisir

De relire,

Jean Racine.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Et clore

 

Encore 

Ce soir on s'endort

Aux aurores

D'un œuf jour pour éclore

La fleur qui va et clore

L'odeur des records

Pour et chlore

L'eau de la piscine inodore

Qu'on colore

Indolore

Comme on l'adore

Quand on la dore

Au condor

Qu'on dore

D'argent et d'or

Pour éclore

Dehors

Médor 

A qui on dit mais dors

Et clore 

Ton corps

Avec du chlore

Pour et chlore

Ce folklore.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Les gilets jaunes

 

Dans la faune

Et la flore,

C'est la loi du plus fort

Avec les gilets jaunes,

Qui rient jaunes

Et aphones,

Sans voix

Et porte-voix

Avec Emmanuel Macron

Depuis son élection,

Qui sent le chiffon

Et la désillusion,

Dans la déroute

Et le doute

Des gilets jaunes,

Qui sourient jaunes

Dans la faune

Et la flore,

De ce folklore

Aphone,

Qui sent le chlore

Et qui consent à clore

Un débat avorté,

Dans ces manifestations

A branle-bas- de combat,

Dont on ne sait jusqu'où ça ira

Et de comment ça finira,

Sinon dans la violence

Et la défiance

Consolidée des politiques

Hors-la-loi,

Comme il n'y aura plus foi

En rien et dans la confusion

Des gilets jaunes,

Dont on pressent 

En mille et des cent

Que ça finira mal,

Dans un vide abyssal

De la faune

Et de la flore,

Où ça sera un fort de France

Sans téléphone,

Dans l'indifférence

Et l'ignorance

De ces gilets jaunes

Qui charrieront jaunes,

Ironisera bien Macron

Qui rira de rien à reculons

En votant votre démission Monsieur Macron,

Comme cela sera votre mission

Action d'émission.

 

Jérôme de Mars

 

 

Les cieux anxieux

 

Partiel pluvieux,

Aujourd'hui le temps fait grise mine

Comme il hallucine

En cieux anxieux,

D'un mariage plus vieux

Entre le soleil 

Et la pluie,

Qui égrène les conflits

Au pluriel irrationnel,

Quand les cieux anxieux

Pleurent en cieux fastidieux

Dans leurs bleus douloureux,

Et qu'ils attendent à Jussieu

D'avoir des moments délicieux,

Pour ouvrir le par ciel amoureux

De belles rencontres à deux

Dans l'union à l'unisson

Du soleil et de la pluie,

Car c'est un mariage de passion,

Où tombe l'escarcelle

De la passerelle

Du sourire et du paradis,

Qui gambadent

Avec les coquelicots,

Dans leur ballade

En un cocorico,

Où les cieux anxieux

Deviennent des cieux

En cieux heureux

De confettis,

Pour la vie

Bénie, ainsi

Soit-elle.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                  Blague  :

 

 

Qu'est-ce-qu'une femelle très féline toute nue dans une forêt noire  ?

 -  Une chatte à poil  

 

 

                                           Jérôme de Mars

Concert de louanges au zénith du soleil 

 

Ce soir

A la une,

Il y a

Au répertoire,

Un concert de louanges

Au zénith

Du soleil,

Qui gravite

Dans la lune,

Une pléiade de ritournelles

Qui fait chanter

Par les aléas,

Des alizés

Qui survolent

En paroles,

Les hirondelles

Qui font 

Le printemps en chansons,

Et le chant des cigales

Durant l'été frugal,

Au régal

D'un concert de louanges,

Au zénith

Du soleil,

Qui lévite

Un monde irrationnel

Au zénith de Paris,

Ou dans les villes

De ce pays

Qui bécote les becs

Des oiseaux,

Avec des mots

Secs

De mésanges

En mes anges,

A l'apogée de leur gloire

Qui abreuve

Ce concert de louanges,

Au zénith du soleil

Au sein d'un grand couloir,

Qui lui dédie

Que la vie

N'est pas un long fleuve

Tranquille,

Mais que demeurer

Au zénith de Paris,

Ca en vaut le détour

Pour assister 

A un concert de louanges

Au zénith du soleil,

Bordé d'étincelles

Depuis son fauteuil de séjour,

Fenêtres

Ouvertes

Dans un parfait mélange,

Qui affiche complet

Lors de ce concert de louanges

Béatitude

Ouverte,

Qui monte crescendo

La plénitude

Au zénith du soleil,

Qui fait le tour

De la lune

Dans la lune,

Et à la une

Du zénith

De Paris,

Où l'on écoute les chanterelles

Bercer nos oreilles,

A qui l'on dit

Bonsoir

Et merci,

Mes chères demoiselles.

 

Jérôme de Mars

 

La fontaine bluette

 

L'eau à la source

Coule de ressources

Dans une parade,

De femmes fontaine

Qui clament la tirade

Des gens de la fontaine,

Comme fontaine, je ne boirai

Ton eau, mais tes éléments désaltérés

Et réhydratés comme un poisson

Dans l'eau d'une fontaine bluette,

Qui fredonne des bluettes désuètes

Et obsolètes qui dansent en guinguettes,

En accordant les mots gargantuesques 

Dans une fresque pittoresque,

Qui remonte à la source à écorcher vifs

Les sentiments qui piquent au vif subversif,

La fontaine bluette qui nage en nage

Dans une cage

Aux poissons captifs,

Et réceptifs à la moindre occasion

De roucouler avec des paroles qui affrètent

La fontaine bluette dans une petite amourette,

A conter fleurette romantique en faisant la causette

Avec Cosette qui aime les choses chouettes,

A jouer avec le feu des allumettes

Qui proclament ainsi saynètes,

Comme c'est nette

Et simplette

Cette fontaine bluette,

Depuis belle lurette

Dans les comètes.

 

Jérôme de Mars

Malheur  /  bonheur

 

Au réveil chaque jour

A pas d'heure,

On traverse tous sans détour

Du malheur

Et du bonheur,

A cultiver entre la noirceur

Et la chaleur,

Que nous procure l'orage passeur

Et le soleil réparateur

Dans cette alternance d'un gris

Qui assombrit

Le bonheur

Et d'un bleu radieux

Qui réchauffe les cœurs fastidieux

Du malheur,

A naviguer en eaux troubles nature

Et en eaux paisibles azur,

Qui nous interrogent

De pourquoi on déroge

A la règle du bonheur

Et de quoi on fait l'éloge

Du malheur,

Comme si la mélancolie 

Nous rendait jolis

Et en vie,

Alors qu'une simple harmonie

D'être pieux

Ainsi dieu,

Vaut bien mieux

Qu'un esprit 

Cupide et pernicieux

Qui se prétend de croire insidieux,

Dans un duel

Entre le malheur

Et le bonheur,

Bien meilleur

Au soleil 

Fédérateur,

A la bonheur.

 

Jérôme de Mars

Tapis de feuilles

 

A l'automne de la vie,

Le sol jonché

Est orné d'un tapis

De feuilles qui a bronché

Lors de l'effervescence,

Des arbres nus tapis

Dans leur somnolence,

Crépie par la galerie

Marchande qui dresse des éloges

Flatteurs dans ce paysage qui déroge,

Ce tapis de feuilles qui épanouit

La lumière maussade du soleil

Grinçant, qui aime gribouiller le ciel

De ses couleurs initiales,

Comme si la marche nuptiale

Résoudrait l'équation de la terre ronde,

Alors qu'un tapis de feuilles d'automne 

Convie toutes les saisons

De la floraison,

A un salon avec vue sur l'extérieur qui bonde

La galaxie des arbres dévêtus cherchant le vent,

Pour qu'il les courtise cheveux conquérants,

Comme un livre qui s'écrit en plusieurs suites atones

D'un tapis de feuilles mortes qui ricanent jaune

Dans la faune et la flore des amours défuntes d'un aumône,

Qui récolte un fauteuil abandonné pour le décerner

Au poète Gilbert Bécaud de quand il mord le poète,

A l'approche de la consécration amplement méritée,

Pour ce tapis de feuilles d'automne à méditer à livre ouvert

D'un soleil d'hiver aux travers lunaires et ivres dix vers,

De ce livre recouvert en phrases fluettes et désuètes

De ces paroles pré vers au tapis de feuilles mortes,

A La Jacques Prévert langue morte qui tangue âme forte 

D'une paix au ciel avec une ribambelle 

De fontaines qui pleuvent de larmes de crécelle,

Avec ce tapis de feuilles qui se recueille

Au seuil d'un long fauteuil itinérant Porte D'Auteuil.

 

Jérôme de Mars

 

Le swing des mots

 

Eureka, c'est l'heure méli-mélo

Du swing des mots,

Car c'est pas bibi,

Mais la bibine

De l'alibi,

Qui embobine

Les bobines

Des bibelots,

Qui sortent du lot

Du swing des mots,

Comme Claude Nougaro

Qui va à vau-l'eau 

Au fond du ruisseau,

Pour arroser Rousseau

Quai Voltaire,

Sur le cratère

Terre de colère

Du swing des mots,

Qui sort du ring à bobos

Avec les bonobos,

Qui singent l'hémoglobine

A se ronger les sangs comme Bécassine,

Une sorte de Bécasse qui signe

Le swing des mots,

En gros mots aux mots

Homos et hétéros,

Comme le toréro

Du Boléro

De Ravel,

Qui nivelle

Vers le bas,

Quand le bât 

Blesse et oppresse

Le citron acide, qui presse

L'insigne de l'un signe

Du swing des mots,

Qui rackette les valises

De détresse,

Et banalise

Les balises

De tresses,

Complètement attirés

Par les cheveux ébouriffés,

Qui roulent ci-joint du bédo

Enjoint par le bon dos,

Du swing des mots

Qui jouent la rétro

Des émotions malignes,

Qui surfent

Sur le turf

Des sensations imbroglio,

Emmenées avec brio

Par l'accalmie en sourdine,

Qui se termine

En swing des mots

Trémolos, allez-y mollo  !

 

Jérôme de Mars

 

                                                    Citation  :

 

 

On met tout à plat dès qu'on cuisine un gastronome  !

 

 

                                              Jérôme de Mars

 

 

                                                    Citation  :

 

 

Un cuisinier qui fait des erreurs traîne des casseroles  !

 

                                               

                                             Jérôme de Mars

 

 

                                                  Citation  :

 

 

Pierre de Ronsard a offert à sa dulcinée un bouquet de fleurs du mâle  !

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

                                               Citation  :

 

 

Une citation qui influence un grand nombre de gens est une incitation  !

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

                                                    Citation  :

 

 

Les habitants en HLM sont tous logés à la même enseigne  !

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

 

 

                                                    Citation  :

 

 

Un jeune de cité vif d'esprit a de la saga cité  !

 

              

                                              Jérôme de Mars

 

                                                  Citation  :

 

 

Un écrivain qui rédige des livres sulfureux fait couler beaucoup d'encre  !

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

                                                      Citation :

 

 

 

Un oiseau de mauvais augure a des prises de becs avec ses semblables  !

 

 

 

                                               Jérôme de Mars

Pierre à l'édifice

 

Et si on bâtissait dans le futur,

Un avenir pour la paix avec démesure,

Diffuseur de bonnes ondes dans un monde,

Où l'on marcherait en faisant une ronde

Dans la fraternité et l'amitié de la réciprocité,

En mettant la pierre à l'édifice 

D'un monde meilleur sans précipice,

Où l'on consoliderait à volonté la loyauté,

Avec de jolies valeurs, vecteurs de liens sociaux,

Qui se transmettent avec solidarité entre gens normaux,

En construisant le respect et la bonté comme piliers

D'un monde idéal où l'on respirerait bien mieux La Sainteté,

En mettant la pierre à l'édifice de la maison du bonheur,

Où l'on serait tous sur la même longueur d'ondes, défenseurs

De la démocratie pour partager la diversité et la pluralité

Des idées à dénicher, pour améliorer la vie en communauté,

En mettant la pierre à l'édifice d'une société sans artifice,

Mais d'une assemblée en se serrant les coudes,

Pour affronter les épreuves de l'existence avec malice,

Qui saurait définir ce que veut dire un monde meilleur, qui soude

Tous les milieux hétéroclites et cosmopolites en un ensemble,

Car qui se ressemble s'assemble 

En mettant la pierre à l'édifice de la maison

De l'humanité urbaine et rurale vers le bel horizon en action.

 

Jérôme de Mars

Compte de Noël  

 

Bientôt, nous irons de L'Avent au mois de décembre,

Durant vingt trois jours avant que le Père Noël

Distribue le calendrier de l'amour avec des étrennes,

Pour nous faire oublier un de nos pires Noël truffé

De truffes de chocolat truffées dans la truffe d'un chien-loup,

Quand c'était un mois divers,

Où ce fut le père Noël qui tint les rênes de son traîneau

En nous distribuant de mauvais cadeaux empoisonnés,

Mais heureusement dans ce compte de Noël, 

Tout se termina bien grâce à un acompte 

Qui sentit le sapin d'hiver du nouvel an,

Où pour occulter les tourments d'un vœu de bonne année,

On souhaita à nos ennemis, bon début damné 

Durant les fêtes de fin damnée,

Et à nos amis et à la famille durant les fêtes de fin d'année,

On leur souhaita bonne année année sur année surannée.

 

Jérôme de Mars

Un parrain

 

Un par un

D'un par un

Ca fait un parrain

D'un par un

Comme un parrain 

Se met un par un

D'un parrain

Egal un par un

Quand le par un

Devient le parrain

D'un par hein

Où aller un par un

Jusqu'au parrain.

 

Jérôme de Mars

On est de passage  !

 

Bouton allumé sur démarrage

On naît sur Terre,

Mais on est de passage

Sur Terre à rédiger notre itinéraire,

Pour composer notre manuscrit

Ecrit noir sur blanc avec l'énergie,

Des hauts et des bas

Que connaît la vie 

Ici là avec les aléas,

Mais on est de passage

Sur Terre de la mise en page

Jusqu'au naufrage, 

En art et images

De l'arrimage, 

Que nous envoie le silence

Du ciel dans la misère,

Et l'opulence 

Qui nous provoque

Des chimères,

Dès que la mer

Se fait l'offrande 

De l'absence,

Et quémande

En amende honorable

De pourquoi au préalable,

On est de passage sur Terre

A vivre et à réciter la prière

De notre Père,

Pendant que dans la souffrance

Le Tout-Puissant décime dans l'ignorance

De pauvres gens sourds à la résilience,

Car résignés à la dominance 

Comme si il n'y avait ailleurs,

Un goût de meilleur

A partager dans la douceur

D'un ensemble de ferveur,

Recommandé par l'innocence

Des enfants rieurs, 

Dès l'insouciance

De la puberté,

Comme on est de passage

Dans la pureté

Tant et si bien,

Que tout est éphémère

Même avec les liens

Du sang

A se ronger les sans,

Comme la vie est provisoire

Du début à la fin

De notre histoire,

De l'entrain au déclin

Que nous enseigne 

Notre prof de latin,

A en perdre son latin

Dans les pays latins,

Qui nous dédient enclins

Tout ce que nous

Et l'espèce humaine

En tout, on se dévoue

De combien,

Un par un

Avec notre parrain,

De cœur auquel s'essouffle

Dans le règne 

Ce dont sur lequel,

On tire sa révérence

Sur Terre loin de sa lumière,

Dès que les hirondelles

Jouent et s'accordent, 

Monocordes de comment

On  se raccorde 

En violoncelles,

Dans la bonne humeur

Et le bon temps,

Comme on est de passage

Sur Terre avant l'austère,

En refermant la page

De son inventaire.

 

Jérôme de Mars

 

 

Un monde idéal  

Je rêve d ' un monde idéal

Dans lequel on serait tous d ' égal à égal,

Mais existe - il ? les gens  ont - ils envie d ' un monde qui change

Dans lequel on privilégierait les échanges,

Car le monde de maintenant ne me plaît pas

Trop accaparé par son individualisme qui avance à grands pas,

Comme je n ' aime pas l'indifférence

Qu ' elle soit justifiée ou pas car elle me porte offense,

Je préférais les années 80

Qui me donnaient davantage de dynamisme et d'entrain,

Je n ' aime pas cette société où l'on met en avant le profit

A la place des valeurs humaines qui nous permettraient tout aussi

De faire marcher le pays mais avec davantage de respect et de solidarité,

Dont nous sentons le manque aujourd'hui face à la profusion

Des nouvelles technologies nous enlevant peu à peu notre humanité,

Il manque en France un élan d'amour et de fraternité

Qui se conjuguent avec un pays en perte de repères , de valeurs et de bonté

Les personnes deviennent de plus en plus égoïstes,

Alors que nous vivons dans une société cosmopolite et hétéroclite

Avec la crise qui est venue s ' ajouter à tout ceci,

De plus en plus d ' entreprises ferment en licenciant beaucoup de salariés se retrouvant avec pleins de soucis,

Alors que pendant ce temps - là , il y a pleins de patrons qui partent avec des millions

Se foutant complètement du sort de leurs employés qui grossissent l ' échantillon

Des laissés - pour - compte tout autant que les SDF , qui se retrouvent à la rue,

Les gens passent devant eux sans s ' en préoccuper en ne leur passant même pas un salut,

Où va notre monde qui tolère la misère et la banalise

Sans voir que tout si cela s ' enlise,

Un jour ou l ' autre il y aura une révolution,

Où chacun se réveillera comme un volcan en éruption

Dans la vie , ce qui est important,

C ' est la famille , la femme , les enfants et les amis pour passer du bon temps

Il serait temps que ce monde retrouve une certaine morale,

Pour nous réconcilier avec la vie en ces temps de déchéance pas si banale

J ' ai l ' impression qu ' il n ' y a plus d ' idéaux , ni  rien de sacré,

Je trouve que le monde est sourd aux cris , aux combats pour améliorer notre société

je ne crois plus en la politique des gouvernements,

Qu ' ils soient de gauche et de droite , trop enfermés dans leurs querelles d ' un autre temps

Je trouve que la télévision devient de plus en plus stupide

Avec toutes ces émissions de télé - réalité que je trouve insipides,

Ce qui pourrait nous permettre de nous en sortir dans ce monde ?

C ' est rétablir la solidarité et nous entraider les uns et les autres et de propager toutes ces bonnes ondes

Dans le reste du monde,

Comme on dit , l ' union fait la force et nous renforce

On ne peut pas rester seuls face à l ' adversité

Il faut être épaulé,

Dans les hôpitaux, embauchons aussi davantage de soignants

Pour faire face à la foule grandissante de patients

Face à eux, soyons à l’écoute, chaleureuse et pas indifférente,

Car malheureusement ce fléau s’étend à tous les instants

Surtout, ne nous isolons pas,

Mais rapprochons- nous pour parler et sympathiser

Pour partager des bons repas

Et faire la causette autour d’un bon café,

Il faudrait aussi un monde plus juste où ce ne soit pas toujours les puissants qui s’en sortent et les faibles qui trinquent,

Malheureusement, il manque des personnes comme Coluche, Daniel Balavoine, Sœur Emmanuelle et L ' Abbé pierre

Qui nous réconciliaient avec l ' existence,

Car eux, ils disaient qu’ ' il ne fallait pas être égoïstes et indifférents mais aider les autres

Ce à quoi j’adhère totalement

 Jérôme B 

 

                                                  Citation  :

 

 

Benjamin qui est le dernier de la fratrie, c'est le cadet de ses soucis  !

 

 

                                          Jérôme de Mars

 

                                                   Blague  :

 

 

Pourquoi L'ESAT de Vitry récemment a t il été brûlé partiellement sur une petite partie du mur  ?  

  -  Parce-que L'ESAT de Vitry a essuyé les plâtres  !

 

 

                                          Jérôme de Mars

 

                                  

Le cadet de ses soucis

 

Benjamin

Qui est le dernier

De la fratrie,

C'est le cadet

De ses soucis,

D'être le benjamin

De la famille

Et de chanter

Cadet Rousselle,

Qui dépucelle

Le benjamin

De la famille,

Dont Benjamin

Est le cadet

De ses soucis,

D'être le dernier 

De la fratrie.

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blagues  :

 

 

1)  Que doit dire Emmanuel Macron sur le Maréchal Pétain qu'il célèbre pour que ce soit drôle ?

    -  Maréchal pète un coup !

 

2) Pourquoi est ce que ça tombe sous le sens qu'Emmanuel Macron augmente l'essence ?

    - Car par indécence ( un des sens ) ! ca tombe sous l'essence et que La France perd les sens de tout de ce que fait Macron !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Montagne d'angoisses

 

Trop pics

Au pic

Des sur prises,

On escalade

Avec mes prises

Une montagne d'angoisses

En ballade

Qui se ramasse,

Dès le sas

En haute altitude,

Quand la solitude

Ne nous mène

Au palace,

Mais nous promène

Au pas las

De nos vives inquiétudes,

Comme une montagne d'angoisses

Pelée,

Et pelée

En une montagne à la masse

Qui jura

Le Jura,

Cap le quartier Des Vosges

Dans la frénésie

De Paris,

Qui nous envoie des pics

Au pic

De l'emprise,

Quand tarde la reprise

En prises

Et aux prises

Des Pyrénées,

Quand le pire est né

De grimper 

Une montagne d'angoisses,

Qui nous file le cafard

Dans une impasse

Au fard

Ouest

De L'Everest,

Qui monte Cap Le Mont-Blanc

Avec des faux sans blancs

Fugaces des rapaces,

Qui nous dépassent

En remontant à la surface

De notre montagne d'angoisses,

Qui scalpe

Les Alpes,

Avec l'effet boule de neige

De l'homme des neiges,

En phase 

De rechercher 

D'un pas las,

De l'espace

Sur la place

D'un lâcher prise

Sur prises,

Jusqu'au sommet

Assommé

D'un palace,

Où l'on en fait

Toute une montagne d'angoisses.

 

Jérôme de Mars

Des pas rayés

 

Maux croisés,

Bras et jambes des croisées,

Le talon franchit

Un pas, de l'appât

Du gain en regain

A Enghien-Les-Bains

Dans un bain de foule,

Dont les pieds défoulent

Le sol aride qui gravit

Des pas rayés

Dépareillés,

De l'appât raillé

Qui ralliait

La démarche

En marge

A contre pied 

D'un pied de nez,

Car bienvenue

A l'avenue des alliés

Ralliés

Dans un tonnerre

De guerre,

Qui a déjoué

Les plans enjoués,

En joue des pas rayés

Dépareillés

De l'appât raillé,

Qui ralliait 

La venue des rescapés,

Au pays du soleil lavande

En perdant Le Nord pour Le Sud,

Comme on vous offre 

A vous cher dur allié,

Rallié et raillé

Tout le coffre qu'offre

De rudes

Offrandes

Dépareillées,

Car rompez le pas

De l'appât

Des pas rayés.

 

Jérôme de Mars

 

Un jardinier cultivé est un génie en herbe  !

 

Jardin secret

Sans se couper

L'herbe sous le pied,

Un jardinier cultivé

Est un génie en herbe

Qui ordonne à son jeune

Prodige d'apprenti,

D'en prendre de la graine,

Pour planter l'amour 

D'une nouvelle récolte,

Comme quand l'homme

Plante la graine à sa femme,

Pour cultiver le fruit 

De leur amour qui défriche,

L'extase qui leur fait 

Une fleur du bonheur,

Quand un jardinier 

Cultivé est un génie 

En herbe qui cultive

L'amour des fleurs,

Et qui en prend de la graine,

Pour envoyer des fleurs

A sa femme tel un souffleur

De vers, qui cultive

Son jardin secret, 

En apothéose des

Fleurs du mâle.

 

Jérôme de Mars

Couleurs arc en ciel

 

Durant sa splendeur,

Le ciel rougit

Et crépite de lucioles,

Comme des objets de babioles

Qui remercient l'inertie 

Du soleil trompe-l’œil, 

Qui irrigue de sa vigueur

Les couleurs arc en ciel,

Qui tombent du ciel

Bleu saphir jusqu'à Bonneuil

Sur Marne bon pied bon œil, 

Et qui écrient sur les feuilles

Mortes bonne récolte les écureuils  !

Dans un recueil de bonnes nouvelles

Qu'on a tant besoin depuis bel

Lurette dans une atmosphère charnelle

Turquoise avec le bleu et le vert,

Pour s'unir aux couleurs arc en ciel

Rubis et écarlate qui grattent le ciel,

Pour qu'il crache ses poumons crépusculaires

Et qu'il arrose l'univers de sa complainte,

Salutaire de figure de proue de fleurs de jacinthe

Enceintes avec le bourgeon des fleurs

Amoureuses des lendemains d'hiver,

Quand resurgit le printemps conspirateur 

Et amateur de couleurs de lumières

Aux frais derrière le frigidaire,

En attendant que l'été réchauffe ses congénères

Dans une période charnière en une ode,

Qui rôde parmi les couleurs arc en ciel

Dans une ligne passagère et imaginaire,

Dont les fruits de l'amour dépucellent

Les poussières qui sanglotent bipolaires,

En ne sachant quoi faire de ses pupilles

Qui frétillent et qui s'émoustillent ,

En couleurs arc en ciel rayon de sel

Qui pimentent les horizons parallèles,

Quand jalonne le syndrome d'escarcelle

Qui taraude d'émeraude

Ces couleurs arc en ciel,

Rouge vermeil au soleil.

 

Jérôme de Mars

Virgules malignes

 

( Entre parenthèses

Voici ce court texte

Ponctué de virgules malignes,

A maligne,

Qui cherchent à faire le point,

D'exclamation,

En y mettant l'accent grave,

Et en tapant du point d'interrogation,

A ma ligne maligne,

Sur la table bénigne à maligne,

Dans une crise à l'accent aigu,

Où les virgules malignes,

Me remettent à maligne maligne,

Dû à mon cancer des mots,

A la majuscule bénigne,

Et à ma ligne point virgule;

A maligne, comme on suspend,

Le traitement de texte,

Trois points de suspension,

A malignes,

..., Comme le cancer de louanges,

Malignes est arrivé à ma ligne,

Bénigne, rémission arrivée,

A point nommé,

On ferme la parenthèse. )

 

Jérôme de Mars

 

Justice sociale

 

Et si je créais un parti de l'apolitique en marge au centre gauche qui s'appellerait :

 " Justice Sociale ", un parti d'Henri et non un parti d'en rire, mais un parti pris où chacun y trouverait son compte car ce parti serait le parti de l'humain et non de celui du profit, il y en aurait pour tous et à tous à les goûts, ce parti aurait un programme ancré davantage sur le social que sur le libéral, avec un manuel macaron pour placer le handicap, la précarité, le logement, la vieillesse et la santé en tête des priorités de " Justice sociale ", voici le programme que je proposerai pour que tout le monde y trouve son compte car le but de ce parti serait que chacun ait un toit sur la tête et mange à sa faim  : 

 

Handicap :  Une allocation AAH qui serait à 1000 Euros par mois à taux plein, qui passerait de 900 Euros à 1000 Euros, soit une augmentation de 100 Euros, favoriser plus de constructions D'ESAT où ce serait moins le profit et plus pour l'humain pour protéger et ménager les personnes handicapées, et ceux qui ne veulent pas travailler en ESAT, on leur proposerait d'intégrer un hôpital de jour pour adultes avec des soins, des études et des activités pour trouver un emploi, une formation, ou soit souffler durant un laps de temps en vue de rebondir ou soit d'intégrer un  CAS : un centre d'activités sociales pour favoriser la vie sociale, la solidarité, ou pour inciter à faire du bénévolat,  avec des activités thérapeutiques, ou de socialisation. Et être aux normes avec des infrastructures et des rues adaptées pour les personnes handicapées à mobilité réduite.

 

Santé Rembourser tous types de soins médicaux à 100 %, développer des  CMS, centres médicaux de santé dans les petites villes rurales alternatives aux hôpitaux pour les désengorger et recruter davantage de médecins généralistes avec l'abrogation du numérus clausus comme dans la campagne, il y a une pénurie de médecins et dans les grandes villes proposer également l'extension de CMS, centres médicaux de santé, comme des dispensaires pour favoriser la prise en charge immédiate des patients et de leurs pathologies, pour libérer les places des hôpitaux pour les cas d'extrême urgence. Développer le tiers-payant généralisable avec les médecins adéquats pour les patients à faibles ressources, et garantir une mutuelle pas chère pour les personnes modestes. Développer l'ouverture de structures adaptées pour tous types d'handicaps pour les personnes handicapées.

 

Logement  :  Faire un inventaire du nombre de SDF en France, et réquisitionner les places vacantes dans les logements pour loger tous les SDF en été comme en hiver, et construire davantage de logements sociaux spécifiques, de résidences sociales ou de maisons-relais pour ces types de population fragiles qui s'appelleraient :

  " Les maisons du cœur ", avec un loyer faible et une APL en fonction des revenus, et mettre les gens plus aisés dans des logements privés, et ouvrir davantage de centres sociaux pour les gens en difficulté de jour comme de nuit avec toutes sortes de problématiques.

 

Services :  Créer des centres de services avec des travailleurs sociaux et des juristes pour apporter du service à toutes les problématiques que peuvent rencontrer Les Français pour apporter des solutions à leurs problèmes, les renseigner sur leurs droits et les aider dans leurs démarches administratives.

 

Social  :  Créer un revenu universel de 800 Euros pour tous sans conditions de ressources qui fusionnerait la plupart des prestations sociales sauf L'AAH et L'APL quelques soient les ressources de la personne, avec un minimum vital pour tous garanti, et faire en sorte que malgré tout, le travail paie plus que le revenu universel. Interdiction que quiconque se retrouve à la rue avec obligation pour autrui à la rue de le reloger ailleurs. En collaboration avec le Secours-Populaire, Le Secours-Catholique, La Croix-Rouge et les restos Du Cœur, créer une plate-forme nationale de denrées alimentaires pour que chacun mange à sa faim quelques soient les accidents de la vie.

 

Emploi : Encourager les gens qui ne peuvent pas travailler à faire du bénévolat dans les associations caritatives pour aider autrui et favoriser le lien social ou soit faire une activité thérapeutique, sociale ou de loisirs, ludique ou pédagogique, et considérer davantage l'humain et moins le profit parmi les salariés dans le monde du travail et favoriser le bien-être au travail pour inciter à un meilleur rendement et signaler à la médecine du travail parmi les salariés, ceux qui sont en burn out, en faiblesse psychologique ou physique, pour leur permettre d'accéder à un poste aménagé.

 

Justice : Pour les délits mineurs, favoriser les travaux d'intérêt général au lieu d'une incarcération pour désemplir les prisons en favorisant l'insertion ou la réinsertion sociale ou professionnelle, et pour les crimes les plus graves, généraliser la perpétuité, et construire plus de 40000 places de prisons et recruter une importante quantité de gardiens de prisons.

 

Immigration : Régulariser le nombre d'immigrés correspondant au nombre de besoin de main-d'oeuvre pour divers métiers et ceux qui n'ont pas vocation à rester en France, les renvoyer dans leur pays avec humanité mais les aider dans leur pays à trouver le moyen de développer leurs cultures et leurs végétations afin de récolter de l'eau et des fruits et des légumes, pour qu'ils puissent gagner leur vie.

 

Economie : Favoriser le paiement de l'impôt du revenu à tous les Français mais modulé pour chacun en fonction des revenus pour que chacun apporte sa contribution au redressement de La France et sa participation à l'activité sociale-économique. Développer les services à la personne et généraliser le remboursement à 50 % par le fisc des frais engagés dans les services à la personne. Ne pas supprimer la taxe d'habitation mais la moduler en fonction des revenus pour permettre le financement des collectivités locales et des infrastructures.

 

Retraites Augmenter le minimum vieillesse de 100 Euros pour le porter de 903,20  Euros à 1003,20 Euros et favoriser le maintien à domicile pour les personnes alitées ou dépendantes parmi les personnes âgées avec le développement et le recrutement d'infirmiers ou d'infirmières médicales et de femmes de ménage d'aide aux services à la personne à domicile pour éviter le placement en maisons de retraite.

Et pour le président de la république créer un mandat unique de 7 ans comme cela, il y aura moins de déçus parmi les citoyens.

Légaliser l'euthanasie pour les cas les plus graves et les plus désespérés.

 

 

Jérôme de Mars

Celle qui casse du sucre sur le dos des gens  !

 

Vers Missel

Par celle

Dans une parcelle

Il y a celle

Qui casse du sucre

Sur le dos gens

Et qui jette du sel

Verre mi celle

Dans les plaies

En morceaux

En prenant

La poudre d'escampette

Vers mi celle

Qui jette un froid

Sur le vermicelle

Chaud bouillant

Et chaud devant

Qui scelle

Le sel 

Remis en selle

Grâce à celle

Qui casse du sucre

En morceaux

Sur le dos des gens

Et qui finit

En poudre d'escampette

Quand les gens saupoudrent

Le sucre avec celle

Par celle

Qui scelle 

Le vers mi sel

Avec du vermicelle

Vers mi celle

Par celle

Qui saupoudre

Le sucre

Parcelle

De sel

Avec celle

Qui casse en morceaux

Du sucre sur le dos

Des gens avec du sel

Mi-sel

Parcelle

Qui scelle

La poudre d'escampette

Par celle

Vers mi sel.

 

Jérôme de Mars

 

                                                      Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-que je m'en fous de l'écologie et que la planète soit en danger  ?

-  Parce-que ce n'est pas mon environnement  !

 

 

                                              Jérôme de Mars

En P

 

Que je reste intact en fumant une bouffée d'oxygène en P, avec respect

 

Avec beaucoup de tact                                                                           

De contact                                                                                                e

En écrivant à mes vers                                                                             n

Qui ne manquent pas d'R

Mais avec des rimes                                                                                 t

Avec moins de travers                                                                              o

 

Quelqu'un de meilleur                                                                              u

Pour l'éternité                                                                                           t

Et demeurer

Y rester en P                                                                                           p

Et que je veux                                                                                         a

En paix et                                                                                                i

Tout à la lettre                                                                                         x

Comme je prends

En P

.P en reste je naguère après car toupet avec erreur cette de je le refaire Sans                 

A vendre et à revendre

Comme j'ai du respect

Mais avec tout paix

Sans toupet

Je veux être en P

Comme maintenant

A la lettre

A prendre tout

 

La P

Et en fumer

La guerre

Pour enfumer

De La P

Le calumet

Mais je fumai

Je fus en guère

Naguère

 

Jérôme de Mars

A ce soir  !

 

Bonjour,

Le jour

Se lève

A L'Eve

D'un bon jour,

Qui débute aux aurores

Et qui dore,

Dès que le soleil

S'accroche à la lucarne

Du ciel

Qui incarne

Le Missel,

Où l'on scande à la lune

Qui est dans la lune

A ce soir

Dans un amour

Accessoire

Qui respire le coucher du purgatoire,

Comme la nuit porte conseil

Et brade le soleil

Qui éclipse les hirondelles,

Avec de la vaisselle 

De crécelle,

Alors que le soleil

Vit le jour

Dans de l'amour

De porcelaine

Et de bas de laine,

Qui ravit les tourterelles

Dans un arrosoir

Abreuvoir,

De vielles histoires

De comptoir

Au réservoir

Des bonnes nouvelles

Jubilatoires,

Comme le soleil

Met l'une

En lune

De miel

Et creuse une parcelle

De lune 

De fiel

Qui scelle

Le soleil groseille,

Et ainsi, au coucher

De la lune

Et au lever

Du soleil,

Le soleil

Endort la lune

Qui est dans la lune,

En d'une

A la une dune,

Comme le soleil exutoire

Scande à la lune accessoire

A ce soir  !

 

Jérôme de Mars

Elise et moi

 

Comme une lettre à la poste

Lettre à Elise et moi

Qu'on composte

A et Lise et moi

Elysée moi

Aux champs Elysées

Jusqu'au contre chant

Alizés moi

Quand Elise et moi

On écrit une lettre

A et lise et moi

D'un élisez-moi

De la lettre à Elise et moi

Aux chants Elysées moi

En des contre champs

Et Lise et moi

Des champs alizés moi

Elisez-moi

Comme une lettre

A Elise et moi

A la poste

Qu'on composte

A et lise et moi.

 

Jérôme de Mars