Blagues :
1) Pourquoi joue-t-on tous un rôle dans la vie ?
- Parce-qu'on est acteur de sa vie !
2) Pourquoi faire du théâtre est-il un long fleuve tranquille ?
- Parce-qu'on est sur Seine
Jérôme de Mars
Casse-tête chinois !
Nouvel an chinois,
Quand on aime
On ne compte pas,
Même si on rit
Quand on naît,
Et qu'on est au bout
Du rouleau de printemps,
Comme le monde nous
Fait marcher à la baguette,
Quand on se fait des sushis
Dans ce casse-tête chinois
En anti-portrait chinois,
Quand sont dans leurs assiettes
Les bourgeois qui se mettent à des couverts,
Quand les serveurs leur servent des vers
A flûte de champagne,
Qui ne peuvent saquer
Leurs acolytes anonymes
Dont le saké
Et le kir
Offrent le menu
Des gens asiatiques très menus,
Dont leur cuisine est très diététique
Et rythmiques
Dans ce casse-tête chinois,
Qui se met à défiler
A chaque mois de février
Avec des lampions,
Dont les gens sont des lumières
En gens lumière
Dans une raisonnable fourchette
Des prix appris,
Sans être à couteaux tirés,
Car les Asiatiques sont des gens calmes
Qui apaisent le commun des mortels
Tranquilles, dont on peut saké
Leur casse-tête chinois
En un portrait chinois,
A chaque roi qui défile
Au mois de Février,
En tout et pour tout
Avec une baguette magique
A plus si affinités !
Et à volonté
Pour le meilleur !
Jérôme de Mars
Pourquoi ça rame ?
Slam sur les rails,
En train que aille
Et en libre usage,
Les usagers sages
Se demandent pourquoi ça rame ?
A Paris sur la rame,
Au train où vont les choses,
Qui formulent l'hypothèse
Et en thèse
De quelle est la cause ?
De cette grève qui a toujours
Un métro de retard
Dans le tintamarre,
Des voyageurs en station debout
Qui sont à bout,
Comme ils se posent en question
De quel est le pourquoi de l'inadéquation ?
De ce monde en bouchons
Cause toujours !
Tu m'intéresses en roulement de tambour
De pourquoi ça rame ?
Et de qu'est-ce-qui se trame ?
Dans la trame du trame ouais,
Où tout le monde en a marre
Du rejet des institutions,
Dont est la cause ce monde
En profonde division,
Dans l'aliénation
Et la cohue
De ce grand chahut,
Qui inonde
La libre circulation
Et qui déraille sur les rails
De La RATP en raï,
De pourquoi ça rame ?
Sur le métro
Et de qu'est-ce-qui se trame ?
Jusqu'au Trocadéro
A Paris en auto
Ou en moto,
Dans ce slam
Qui clame,
Qu'il faut se serrer
Les coudes accoudés,
Et serrés-soudés
Dans une poignée
Demain chaleureuse,
Avec respect et sincérité
Dans la clameur brumeuse,
Du Paris en rad
Pendant les grèves en ballades,
A quai entrain de dire au quai,
D'un air ok
Chorale et animale
Dans ce monde végétal,
Où l'humain
Devient mesquin
Et aigri,
Dans le gris de Paris
De pourquoi ça rame ?
Sur la rame
Du métro
Et de qu'est-ce-qui se trame ?
Jusqu'au Trocadéro
A Paris en auto
Ou en moto,
Où certainement, la grève
S'arrêtera à la bonne destination,
Si elle dégrève
La meilleure solution,
Où chacun y trouvera je l'espère
Son compte dans ce mouvement incendiaire,
Pour en finir
Dans le plaisir
D'une résolution
A ce conflit,
Déconfit et mal assorti,
A sorti de la reprise
Du travail en prise,
Car il est temps d'arrêter
Les frais au fret
Au train où vont les choses,
Car on ne formule qu'une chose
Que le métro boulot dodo
Reprenne aussitôt,
En tout état de cause
A destination triomphale
De La RATP,
Payée avec ce billet d'humour
Privatisé en billet de roule toujours,
A la bonne adresse
Cause toujours !
Si tu m'intéresses
Dans le domaine public
Et en un compte à rebours,
D'un temps fatidique
En appoint final.
Jérôme de Mars
Jérôme balance, Géronimo s'en balance !
Dialogue entre Jérôme, la lumière claire et Géronimo, l'ombre obscure !
Jérôme : - " Bonjour, comment vas-tu ? "
Géronimo : - " Je vais pas bien, j'en ai marre de tout, ça va, ça vient et je m'en fous de tout ! "
Jérôme : - " Je te comprends et je compatis, car la mare est pleine, et que tu n'y trouves pas ton intérêt dans ce putain de monde qui devient trop sombre à des années-lumière de la lumière. "
Géronimo : - " Je n'y trouve jamais mon intérêt, car j'ai largement eu mon compte à découvert comme au collège privé Epin, où l'on m'a fait beaucoup de mâle en étant victime de harcèlement scolaire. "
Jérôme : - " A cause d'Epin, ça te fait une épine dans le pied ! Comme on t'a causé que des pépins, qui sont le fruit de leur travail à tous ces putains d'élèves qui n'élèvent pas le niveau mais le caniveau zéro ! Comme les parents élèvent mâles leurs enfants, ce qui en fera pour certains des futurs délinquants ou bourreaux plus tard ! C'est sans doute pour ça, que tu prends pas ton pied avec ta pine, comme une épine dans le pied ! "
Géronimo : - " Toi, tu balances ! mais moi désormais, je m'en balance du poids de mon fardeau, comme je suis obèse et que oh ! je ne baise avec personne depuis toutes ces années de vaches maigres en gros ! "
Jérôme : - " En gros ben mince, si tu t'en balances, je peux le concevoir, et aux élections municipales de Mars 2020, vas-tu voter ? "
Géronimo : - " Tu sais, je m'en balance de la politique, tous les mêmes ! Les Français tous des girouettes dans le sens devant, jamais contents, ils votent à gauche, à droite et ils râlent, et moi de l'apolitique, j'y ai vite fait le tour, la preuve en 2017, au second tour de France de la présidentielle, j'ai voté Marine Le Pen, car la marine le peine ce monde de désillusion et comme le monde est noir, je vote blanc, et aux Municipales, je voterai pour l'amère, la mère de tous les vices ! "
Jérôme : Pourquoi es-tu aigri, sans filtre et que tu prônes la haine sur Facebook ? "
Géronimo : - " Car le monde est gris et que je m'en balance d'Internet et de tous les réseaux sociaux pas nets, et ainsi si je cultive la haine, c'est parce-que je taille les haies comme Guillaume dans son jardin secret. "
Jérôme : - " Pourquoi parles-tu de Guillaume ? Je ne vois pas le rapport ! "
Géronimo : - " Car lui au moins arrive à avoir des rapports avec les femmes, car moi, je n'y arrive pas et que j'ai des rapports avec l'infâme, et que c'est l'un des seuls rares amis à avoir été présent dans tous mes hauts et mes bas avec Adel, Alexandre, Michel et Christophe, et que c'est un très bon ami pour la vie ! "
Jérôme : - " Comme toi et Guillaume vous vous entraidez ! Il te renvoie l'ascenseur pour t'inviter chez lui. "
Géronimo : - " T'as tout compris ! Ben, dis donc, t'es pas si bête avec ton côté animal sauvage ! Si je me lâche autant sur Facebook, c'est que je m'infiltre sans filtre car j'en ai la barbe de Facebook, toujours dans l'ombre de ta lumière Jérôme ! "
Jérôme : - " Je te trouve bien remonté, t'es remonté contre qui ? "
Géronimo : - " Je suis remonté à cause de toutes les montagnes d'angoisses qui montent en pente et qui craquent ma cote ! Et ma famille ne me comprend pas et elle ne m'appelle jamais ! "
Jérôme : - " Pourquoi dis-tu ça ? "
Géronimo : - " Parce-que je joue désormais cartes sur table en faisant le jeu de cette famille ! "
Jérôme : - " Géronimo, tu te trompes, à mon humble avis, je pense que ta famille te comprend, sauf qu'elle ne sait pas comment te prendre, car ça les dépasse et les meurtrit ton état des lieux ! C'est pas que la famille ne veut pas t'appeler, ils ont sans doute peur que la communication ne passe pas ! "
Géronimo : - " Sûrement que j'ai perdu le fil tel est fun ! "
Jérôme : - " En tout cas pas celui de ta cousine Sabrina, qui t'apprécie beaucoup et avec qui t'as le plus d'atomes crochus en science infuse ! "
Géronimo : - " C'est bien la seule et l'unique ! "
Jérôme : - " Que peut-on te souhaiter pour l'avenir de la fin 2019 et pour 2020 ? "
Géronimo : - " Une bonne fin damnée 2019 et un bon début damné 2020 ainsi que la faim du monde et un bon suicide connectif sur Facebook, avec tous les déprimés comme moi ! Et à toi, que peut-on te souhaiter de plus harmonieux et de plus rassurant ? "
Jérôme : - " Comme tu vas moyen, je souhaite à toi ainsi qu'à moi, une bonne fin d'année 2019 et un bon début d'année 2020, sous le signe de la renaissance après l'antiquité bien à des années-lumière de ton ombre, de nouveau en plein dans la lumière, comme les gens lumière ! "
Géronimo : - " Dois-je comprendre que tu viens de dire que je suis une lumière et pas toi ? "
Jérôme : - " T'es bête ou quoi zigotto ! Comme d'habitude, t'as toujours la réponse qui tue dans mon ombre ! Comme la fin justifie les moyens ! "
Jérôme de Mars
Les bobos ont des bobos !
BO du film de leur vie,
Les bobos ont des bobos
Très beaux avec leur escabeau,
S'ils ont le pied bot
Et le pied beau
Qui a bobo,
Comme c'est un bobo
Dont l'ex cas beau
Part du bon pied bot,
Comme les bobos
Ont des bobos,
En singeant les bonobos
De la BO du fil qui dévie
Du droit chemin, comme ils ont bobo
Et que ce sont des robots pas beaux,
Mais avec le pied beau
Qui a des bobos,
Comme ce sont des bonobos
Avec le pied bot
A l'échelle de leur escabeau,
Où ils ont bobos très beaux
De la BO qui enfile en BO BO,
Comme ce sont des bobos
Bonobos qui ont bobo
Et qui sont beaux en bonobos,
Qui singent des bobos qui ont bobo,
Comme sont beaux en robots
Les bobos qui ont des bobos bonobos !
Jérôme de Mars
Le concert des hauts vers
Vers deux vers
Ou vers
On se met aux vers
Versant revers,
Qui passent aux vers,
Dès le concert
Des hauts vers,
Vers faux revers,
Quand on sert
Des vers
Et qu'on boit des vers,
En vers solidaires,
Loin s'en faut le ver solitaire,
Dès le concert
Des hauts vers,
En enlevant la boutonnière
Avec l'art et la manière
De déverser des vers
Et de parler en vers,
Vers en de primes vers
Qui envoient des fleurs au clair
De la lumière
Avec du vers,
Dès le concert
Des hauts vers,
O'vers
De cristaux pervers,
Pères vers
De la vilaine mère,
Qui écrit des vers
De paroles de misère,
Dont la mélodie des hauts de vers
Se termine et vers la frontière
De vers la fin du concert
Des hauts vers,
Monogame aux vers.
Jérôme de Mars
Faisons le point !
Faisons le point, car c'est un point essentiel, en y mettant un point d'honneur, à mettre les points sur les i, en mettant les choses au point, et en faisant l'appoint, avec embonpoint, en bon point, d'un coup de point, où il y aura un point partout, si nous faisons le point, point à la ligne, si nous n'avons point de choses à nous dire et si c'est un bon point, que nous soulignons en un point crucial, si nous marquons un point gagnant, quand nous faisons le point virgule avec humour; et en dormant à point fermé, point barre.
Jérôme de Mars
Le monde est petit !
Origine du monde,
On appelle les choses
Par leur nom,
D'un sur nom
Qui en dit long,
Avec une liberté de ton
Avec ton ton,
Comme tonton
Déclare que le monde est petit,
Et à qui on dit en on-dit
Bon appétit
Bien sûr !
En lâchant en pleine nature
Un monde qui cherche son à petit,
Avec appétit,
Qui rapetisse
Dans le tout lisse
Métisse,
Des origines du monde
Qui sondent la sonde,
Qui part comme une fusée
D'un thé infusé,
Comme le monde est petit
Avec une liberté appétit
Et une puberté à petit,
Avec ton ton,
Car tonton
Ricane à reculons,
En allant de l'avant
Et en se mettant paravent,
Dans une origine brute de décoffrage
Dans le coffrage
Des gens qui ont du panache,
Et qui arrachent
Un sourire forcé
Aux forçats forceps et efforcés,
Pour les convaincre
Que le monde est petit,
Afin de vaincre
Leur appétit,
Qui rapetisse
Dans le tout lisse
D'un des lisses délices,
Comme petit appétit
Le monde est petit !
Jérôme de Mars
Blague :
Comment pourrait-on renommer le match de l'équipe de France de football mardi soir si on s'emmerde devant la télé ?
- France-on dort !
Jérôme de Mars
Le beau temps arrive toujours après la pluie
Gouttes de pluie
C'est une goutte d'eau sur l'océan,
Quand le ciel pleure de graffitis
Avec des trémolos dévastateurs sur le continent,
Lorsque la pluie verse ses larmes de sel
Bien salées avec des grosses gouttes de crécelle,
Qui mènent sur les chemins de Compostelle
Dans un pèlerinage où les aïeux veulent la paix,
Comme le beau temps arrive toujours après la pluie
Car après un chagrin de dépit,
V'là les confettis ! en forme dans une confrérie,
Quand la pluie jette un vent
Et passe le temps en un passe-temps
Sur la rive d'une mer en rouleaux de vagues,
Qui parlent de façon vague dans une drague
D'une mer complexe d’œdipe,
Qui flippe à la vue dès qu'elle chipe sa fripe
Dans un orage sur la colline,
Qui pastiche l'eldorado avec ses copines malines
Que sont la pluie et la grêle été comme hiver
Monotones qui sent le sapin conifère,
Car le beau temps arrive toujours après la pluie
Entre un soleil jaune et de l'eau sur un ciel gris,
Limpide et aride avec la vieillesse amie et intime
De ses matins de satin, où se griment
Les blessures de la vie en une parodie
D'une pluie déprime qui se comprime
Au soleil triomphant dans une rime,
A quoi ça rime ? si le beau temps arrime
La pluie dans son élément fluorescent qui frime
Les grandes gueules sur le tarmac en mode avion
Dans les environs d'un hydravion,
Qui retrouve sa mer si complice
Dans le je de la glisse,
Avec des confettis en poésie,
Imagée et espérée par la singularité,
Car le beau temps arrive toujours après la pluie.
Jérôme de Mars
Burn out !
Epuisé
Avec mon épuisette,
J'ai tout puisé
Dans mes ressources,
Comme je suis en crises
De paniques et d'angoisses,
Souvent d'un pas las
Qui s'enlise
De mon mal-être,
Qui me donne envie
De me jeter par la fenêtre,
Comme je suis borderline
Et en burn out,
En étant capout,
Comme mon anniversaire
Du mois d'août,
Où je suis out
De par ma colère
Que j'écris en lettres incendiaires,
En prenant des courants d'air
Salutaires de par mon travail,
Qui me met sur la paille
D'un ennui profond,
Où je me morfonds
Au tréfonds,
Comme j'ai tout fait
Et que j'étouffais
A la cantine,
Qui butine
Mon fiel en tombant
Et en pleurant
Que je suis dépassé,
Quand j'ai outrepassé
Mes limites borderline
De mon burn out
En plein moi d'out,
Out, en août,
Où in fine
Je ressens de la fumette,
Comme je tombe aux oubliettes
De mes crises de panique,
Quand je m'étrique
Et trique d'un retour de bâtons
Rompus qui tape en donnant des marrons
De mon épuisement psychique
Et physique avec plus aucun courant électrique,
Vide de sens, où je ne ressens
Plus rien mais juste des mots indifférents,
Comme je m'en fous de tout
En un tout du tout pour le tout fourre-tout,
Avec mon burn out
De mon anniversaire
En plein moi d'août
Et en émissaire,
Comme je suis out
Et capout,
Non d'un prout,
Où j'en ai plus rien
A péter,
Epuisé et puisé
Avec mon épuisette,
Où je tombe de fatigue
Sans la digue,
Pour réguler
Mon état d'un échec
Sans provision,
Avec la garnison
De mon chèque
Sans prévision,
Consumé dans la fatalité
D'un désamour aux emplettes
Of course
Pour mon anniversaire
Du moi d'août,
Avec plus aucune colère
De mon burn out,
Comme j'en ai les burnes août
Plus borderline
In fine.
Jérôme de Mars
On a plein de copains mais peu de vrais amis !
En ouvrant le bal,
Je déballe
Qu'on rencontre plein de gens,
Dont certains
Sont à deux balles
Et d'autres des enfants
De la balle,
Dont beaucoup
Deviendront des bons copains,
Et dont quelques uns
Seront de vrais amis
Pour la vie,
Qu'il y ait des hauts et des bas !
Entre hip hip hourra et tracas,
Car c'est bien connu
Que dans la vie,
On a plein de copains
Dans la rue,
Mais peu de vrais amis
Dans l'avenue
Du paradis,
Car c'est quand qu'on a
Des bas
Qu'on voit
Ceux qui restent,
Alors que les autres s'en délestent
En prenant le large et le champ,
A contretemps des tourments
Et du boucan,
Car les copains
Préfèrent le printemps,
Alors que les vrais amis
Resteront pour la vie
Que ce soit l'hiver et les soucis,
Avec aussi un peu de poésie
Et de chants vivants,
Pour ne pas totalement
Les déprimer,
Que la vie est un boulet
Et qu'ils nous envoient
Bouler au fil du temps,
Mais tout de même
Ce qui est sûr !
C'est que dans la nature
Où traînent les gens,
Quand tout va bien
Sont là tous les copains !
Alors que même qu'on connaît
Le sempiternel refrain,
C'est dans le pétrin
Et les problèmes
Qu'on voit les vrais amis,
Ceux qui restent comme on a besoin
D'eux et de leur précieux soutien,
Alors que pour le reste les copains
Au moindre pépin,
S'en vont en laissant les pépins
Du fruit de leur travail
En un large éventail,
Qui nous fait prendre conscience
En grande influence et en petite affluence,
Que ce n'est pas la quantité
Qui compte, mais la qualité
En acompte, car comme on dit !
Dans la vie,
On a plein de copains
Mais peu de vrais amis !
Jérôme de Mars
Je m'en fous de tout !
D'un tout
En atout
Du tout
Pour le tout
Sans moindre coût,
Je m'en fous de tout
Dans tout ce fourre-tout,
Comme la vie m'est casse-couilles
Et part en couilles
Dans tout ce gigantesque fourre-tout,
Avec que des ripoux
Qui cherchent des poux
Parmi les grands manitous,
Qui mettent le pays sous les verrous
Comme je m'en fous de tout !
A en crever d'un coup
Dans tout ce fourre-tout,
Où je me demande ce que j'y fous
Avec que des fous
En garde-fous
Parmi les loups,
Qui louent
Et qui allouent
Le diable misanthropie
Et le roi du profit,
En posant en question
D'interrogation de trublion
Fou-allié
Et garde-fou à lier,
Qui en tire profit
De ce coup de folie,
Comme je m'en fous de tout !
Avec comme atout
Mon va-tout,
Qui s'en va à tout
Et à toutes effusions
Et fusion,
Comme la fusée Ariane
Qui est morte Ariane !
Infusée et diffusée
Par son cancer de louanges
Au pays des anges,
Qui louent
Les jeunes vautours et loups,
En jeunes relous et fous déviés
Du droit chemin,
A ne pas emprunter
Si je m'en fous de tout
Et de vous,
A qui je voue
Toute ma haine
En rengaine,
A cause d'un trop-plein
Qui manque décence
Et du passé mesquin,
Où je ne me dévoue
Pour personne,
Comme je m'en fous de tout !
Et que je dénoue
De vous
A nous,
Où je renoue
Avec le diable Lucifer
Dû à cet enfer
De vie,
Endolorie par les accidents
Et les incidents,
A cran
Campant et décampant
Sur ses pôles positions
Au mode d'emploi très fréquent,
Où je m'en fous de tout !
Avec tout ce fourre-tout
Dans l'inertie qui dévie
De mon ressentiment,
A double tranchant
En manque de sentiments
Sous serments,
A contretemps
Du temps,
Qui me trépasse vite
Et à l'arrachée hétéroclite
De tout ce fourre-tout,
Où je m'en fous de tout !
Faim de ma dent
Dure de jeune loup,
Appoint fermé.
Jérôme de Mars
Le temps est-il au beau fixe ?
Douche Ecossaise
C'est la douche froide,
Comme il y a un nuage
A l'horizon,
Depuis le balcon
Des retards à l'allumage,
Qu'on en déduit
Que la pluie
Prend le dessus,
Du soleil sens dessus
Et têtu,
Comme par préfixe
On se demande
Si avec les charentaises,
Le temps est-il au beau fixe ?
Fixe du regard,
Malgré les zones d'ombre
Du brouillard hagard
Qu'on compte en nombre,
Quand tout tombe à l'eau !
En trombe au fond du ruisseau,
Des souches qui baladent
Les caprices du temps,
Nonobstant autant
En déporte l'avant,
Comme il y a un avant
Et un après,
Au plus pré
Qu'on quémande,
Si le temps est-il au beau fixe ?
A l'égard fixe
Et voilé par les contrastes
Du temps nuageux,
Lunatique sans faste,
Et bleu, car tantôt radieux
Tantôt pluvieux,
Du soleil à la lune
Qui passe de la deux à la lune,
En unes
Fébriles et ambiguës,
Qu'on en démord
Que le mauvais temps est mort,
Au mors du remords,
Dont on chante en air de répit
Chantons sous l'accalmie !
Comme le temps est au beau fixe,
Fixe jusqu'à la rixe du suffixe,
Car ainsi, bon vent ambivalent !
Et pour long temps polyvalent.
Jérôme de Mars
Un vent terre
Inventaire
Avant taire
Un vent taire
Vend terre
Devant taire
Déviant terre
Event taire
Un vent terre
Inventaire
Avant terre
Vend taire
Devant terre
Déviant taire
Event terre
Un vent taire
Inventaire
Jérôme de Mars
L'iris voit les choses d'un bon œil
Pupilles de la nation,
Je vous envoie une fleur
De l'iris de mes yeux
Qui versent des larmes de vers,
Comme l'iris voit les choses
D'un bon œil,
De la prunelle de mes yeux
Véreux et fastidieux
Avec une puce qui me gratte,
Quand je mets la main à l'appâte,
Qui se rince l’œil en ecchymoses
Du fond du soleil rêveur,
Et enchanteur de ma mère
Au ciel,
Surplace de l'aliénation,
Où j'envoie une rose
A l'élue de mon cœur,
Comme l'iris vous fait une fleur
Et voit les choses d'un bon œil,
A Arcueil
Bon pied Bonneuil !
Avec mes larmes de vers
Qui découlent de dessous terre
Dans le terre-à-terre délétère,
Avec la fleur aidant et au fusil
Que je fusille du regard qui m'émoustille,
Et où je me recroqueville
Avec l'iris de mes yeux,
Des sourcils
Et des soucis qui gardent bien l’œil,
En tenant à la prunelle
De mes yeux
Avec des bleus nuageux,
Et cafés crème langoureux,
De l'iris de mes yeux
Qui vous envoie une fleur,
Comme l'iris voit les choses
D'un bon œil
Fleur éclose et porte close,
Mon œil,
Bon pied bon œil !
Jérôme de Mars
Mon sain Michel
De par cet hommage,
Je me fixe un but
Celui de la lutte
De ne pas t'oublier,
Dans l'adversité et la fatalité
Mon cher oncle,
Dont ton absence
Me cause l'offense
D'un puissant furoncle,
Avec une grande rage
De ne pas t'avoir à mes côtés
Dans l'amitié et la gaieté,
Mon sain Michel,
Où en ton Saint j'épelle
Les mois et les années
Parallèles qui me chancellent
Tout le bottin,
En ne trouvant plus ton nom
De ton décès qui me laisse paralysé
Sur place dans le chagrin,
Où malheureusement
Il faut bien se faire une raison,
Que je ne te reverrai
Plus pendant longtemps
Jusqu'au jour où je te rejoindrai
Au ciel
Dans l'au-delà,
Et que je serai content
De te revoir,
Fringant et en joie
En faisant la foire,
Comme avant
Tu t'en souviens,
Mon sain Michel,
Celui que j'appelle
A ne pas t'oublier
Dans la loyauté
Des journées passées,
A discuter
De la pluie
Et du beau temps,
Entre dépit
Et moments exaltants
A rire de plaisirs
Et à te voir sourire
A la vie,
Malgré les intempéries,
Mon sain Michel,
A me souvenir en ton Saint
Du Bescherelle,
Que tu me récitais
Avec ton vocabulaire
De secrets de polichinelle,
Comme tu étais très réservé
Et très humain,
Avec ton côté
Téméraire et cher,
De bon samaritain
Dans la modération
Et les bonnes résolutions
Lors de chaque nouvel an,
Où il est temps
Après ce long poème
Qui t'est dédié,
De te dire
Mon sain Michel,
Je t'aime
A en souffrir,
En nostalgie
Et requiem,
Sans l'oubli
Pour l'éternité,
Toujours fidèle
Mon sain Michel.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait un Asiatique qui boit du café soluble à Séoul ?
- Un ricoré
Jérôme de Mars
Texte de paternité
Ethylotexte,
Tout me soûle
En prenant de la bouteille,
De connaître qui est qui ?
Est l'auteur de ce texte
Et de savoir qui est
Mon ex qui
Qui est
Mon exquis,
Avec moi qui est
L'un père
De ce texte
Bon enfant,
Qui est
Un je d'enfant,
Où je dois faire
Un texte
De paternité
Avec mon encre décent,
Pour apprendre
Pour de bon,
Si je suis l'un père
Avec mon ex qui
Qui est mon exquis,
De prétendre
A qui
Est ce texte
De toute la semence
De mon écriture,
Qui jette l'encre décent
De par sa désinvolture
D'un je de rôle
D'imposture,
Si je suis à l'oeuvre
Et l'oeuvre
De ce texte
De paternité,
Et si j'en ai
La paternité
De ce texte
Génétique
Très technique
Et très mathématique,
Si je je ne calcule plus
Personne à l'origine
De ce texte
De paternité,
Qui reste bon enfant
Avec mon encre décent,
Dont je suis l'un père
De cette progéniture
Avec Dame nature.
Jérôme de Mars
Joyeux anniversaire !
D'un bon début damné
Avec les années,
Lorsque c'est ton anniversaire
On te souhaite un joyeux anniversaire !
En lançant une bouteille
A la mère,
La mère de tous les vices
Et sévices quand s'immisce
Toute ta colère
Qui sommeille en éveil
Et qui s'envoie en l'air
D'un air benêt
Et hébété,
Avec le regard hagard
Dans le brouillard du hasard
D'un bric à brac,
Qui casse la baraque
Dans le hangar d'un big bazar,
Comme celui de Michel Fugain
Qui lâche la grappe à l'oraison
De la colère mangée à toutes les saisons,
Parmi la clameur de la foule sur le ravin,
Qui en fait toute une montagne du fossé
Qui se creuse affaissé entre les personnes divisées
Et fâchées dans ce monde fauché,
D'un bel anniversaire en guise d'inventaire,
Pour passer devant la petite lucarne
Qui incarne le faussaire et le haut émissaire,
Qui brocarde une parodie d'anniversaire
En une colère de prendre une année supplémentaire,
Qui saborde de mille millions de mille sabords
Le bateau d'Haddock à tribord,
Comme il est tintin l'anniversaire
Qu'on pense dépositaire et imaginaire,
Du temps d'avant qui resurgira bénéficiaire,
Aux anciennes valeurs d'une fête guinguette dans La Marne,
Car après tant d'années damnées
On te souhaite en l'air,
Un joyeux anniversaire !
Comme demain, ça sera du gâteau
Où tu auras le dernier mot !
Jérôme de Mars
Mâle heureux
En ces jours mi-pluvieux
Et mi-bleus,
Je suis un mâle heureux
Et un malheureux,
Avec des sentiments mitigés
Et un ressenti désabusé,
Qui font qu'on a abusé
De ma gentillesse
Et de ma bienveillance,
Même si ce n'est de la science
Infuse ce que j'affirme avec aisance,
Comme chacun détient sa part de vérité
Dans ce monde très funeste
Et indigeste avec les restes,
A se partager dans la liesse
Ou la détresse,
Comme je suis un mâle heureux
Et un malheureux,
Entre inconstances
Et consistance de circonstances,
Où je suis tellement dépassé
Que la société est outrepassée
Par ces calamités sinistrées
Dans ce monde sous anesthésie,
Consumée par sa folie en frénésie
En perpétuelle augmentation
Qu'il ne tient debout,
Comme il est à bout
Et en fragmentation
De ma colère de misère,
Où je ne crois plus aux prières
Comme je suis un mâle heureux
Et un malheureux,
De ne voir le soleil sourire
Et fait rire en satire
Ce peuple Français tracassé,
Et cassé par la politique simulée
Des gouvernants impuissants
Et indifférents
A la situation des plus démunis,
Qu'on en oublie dans le déni
Pour le compte de l'argent,
Roi du capitalisme qui prend les devants déviants
Du libéralisme sale et repoussant
Que ce monde ne tourne plus rond,
Car rubicond et ivre dans les bistrots de boisson
Avec une mise en bière
En chantant La Marseillaise à La Canebière,
Car à contre-jour je ne serai un malheureux
Le jour où je redeviendrai un mâle heureux !
Jérôme de Mars
A quoi fais-tu référence ?
Voici des petites pensées et des références férues en verve et truffées de jeux de mots :
1) Un fabricant de cornets qui n'aime pas son métier, ça le laisse de glace !
2) Un marchand de glaces dont l'image est entachée, a écorné sa réputation !
3) Un coureur du Tour de France cycliste qui est fou, a des petits vélos !
4) Un médecin qui travaille à la Clinique Pasteur et qui est fou furieux, on réussit à l'apaiser grâce au virus contre la rage !
5) Michel Drucker qui fume à la télévision, ça fait un écran de fumée !
6) Un réalisateur de films qui prend sa retraite, ce n'est pas du cinéma !
7) Un employé des pompes funèbres enterre sa vie de garçon quand il se marie !
8) Un pâtissier très âgé qui souffle sa bougie d'anniversaire, c'est plus du gâteau !
9) Un plombier regarde TF1, une chaîne à robinet à série !
10) Macgyver qui s'énerve se fâche pour des petites bricoles !
11) Un manchot qui subit une défaite perd la main !
12) Un jardinier futur père de famille a planté sa graine !
13) Qu'on habite en HLM ou qu'on ait L'AAH, de toute façon, on a la location !
l'allocation
14) Un nageur courageux mouille sa chemise en se jetant dans le grand bain !
15) Clémence, une femme gentille et compréhensive fait preuve de Clémence !
16) Un écrivain qui écrit un livre à bord d'un bateau jette l'encre !
17) Aladdin qui allume une lampe qui ne marche pas fait trois désaveux en criant au génie !
18) On remet un tableau d'honneur à un brillant peintre !
19) Johnny Hallyday est parti en fumée !
20) On doit bien s'amuser au Louvre quand il l'ouvre !
21) La lettre d'un corbeau ne vole pas très haut car c'est un oiseau de mauvais augure qui l'a rédigée !
22) Un cinéaste très influençable , on l'embobine facilement !
23) Un interprète musical qu'on kidnappe, on le fait chanter pour que ce soit la rançon de la gloire !
24) Un bûcheron qui refait le monde fonctionne avec des si !
25) Quand on regarde un match de poules, on le voit un œuf du mois !
Jérôme de Mars
En verve
Avec mon verbe,
Comme c'est l'immonde
A l'envers inopiné,
Je crache de mon stylo
Tous les bobos
De ce monde,
Que je souligne avec mon stabilo
Et qui me tire les vers du nez,
Comme c'est inné
De pratiquer la langue d'abois,
Où je noie mon chagrin
Dans le désarroi
D'un sommeil profond
Sur mon coussin
Moribond et furibond,
D'où je suis en verve
Avec mon verbe
Vulgaire et péjoratif
Que j'inonde de noms d'oiseaux,
Comme ça ne vole pas très haut !
Tout ce chaos à vau-l'eau
Subjectif et subversif
A l'écorché vif,
D'où je suis rouge vif
En verve,
Quand je sors de ma réserve
Pourvu que ça serve !
A enrichir la contestation
De ce monde en équation,
Qui joue son va-tout
Dans le quitte ou double,
Qui redouble
Du tout pour le tout,
En espérant qu'il y a un atout
Si jamais ça part en vrille
En plein dans le mille,
Et qu'il faut quelqu'un
Pour réguler les jaloux
Et les grands manitous,
Qui se mettent à incarner
Les assassins
De la finance,
Pour écouter leurs doléances
Qui font les victimes
Qu'on incrimine
De médisance,
En vermines
Qui enveniment
Le tous pour un,
Car chacun voit
Dans la loi,
Le chacun pour soi
D'un immonde très divisé
Et trop fragmenté
En verve,
D'où j'essore de ma réserve
De ce monde en décadence,
Qui dépasse l'irrévérence
Depuis longtemps
En encensant les révérends,
Pour leurs différends
D'immaculés congestion,
Avec leurs ingestions
D'un autre temps,
Qui sert à rien
Et dessert leur putain
De doctrines,
Qui me bassinent
Le popotin,
En verve
Et pour longtemps
De mon verbe
Corrosif et explosif,
Comme un volcan éruptif
Acerbe qui m'exacerbe,
Avec de la réserve,
Pourvu que ça serve !
En verve.
Jérôme de Mars
Je ne caresse pas dans le sens du poil !
Politiquement incorrect,
Je promets sec
Que je peux être infect
Sans affect,
Qui ne m'affecte
Quelque se soit le lieu,
Où l'on m'affecte
Pour fermer mon bec
Pernicieux et capricieux,
Comme je ne caresse
Pas dans le sens du poil,
Et que je suis à rebrousse-poil
Dans une poêle pile-poile
A frire à poêle,
Comme je l'ai dans la moelle
Epinière et dans la pépinière
D'une mise en boîte à idées
De mon âme charnière,
Qui promet d'être déracinée
Dès l'exil poil à gratter,
Où je suis réfugié
Dans un pays étranger,
Etranger à mon franc-parler
Par Les Français,
Comme je dresse
Contre moi tout le peuple
Qui meuble
Mon stress,
Qui n'a plus
De jus,
Qui presse
Ma paire de chaussettes
Toutes trouées,
Et jeu sec
Et match à raquettes,
Comme je ne caresse
Pas dans le sens du poil
Qui m'adresse une contre dense
Qui me hérisse les poils,
Et me hisse le poil à gratter
Pour envoyer promener
Les fermiers qui ouvrent
A la ferme ferme
Leur sale gueule bégueule,
Et qui veulent
Tout en restant fermes,
Qu'ils ne renferment
Leur perm' ,
Qui s'entrouvrent
Pour se gratter
L'épiderme
De leur manque de peau,
Car pour de vrai
Sans que cela sonne faux
Une fois
N'est pas coutume,
Je caresserai dans le sens
Du poil de ma plume,
Toute la bonne odeur
De l'encens que j'encense,
Ainsi soie ! qui s'assoit
Sur la bonne hauteur,
A qui j'adresse
Mon adresse
Pile-poil,
Poil à gratter !
Que je ne caresse
A rebrousse-poil
Dans le sens du poil !
Jérôme de Mars
Dialogues imaginaires entre amis
Voici des petites saynètes entre amis :
1 ère saynète :
Jean-Paul, un ami : - " Comment vas-tu Jéjé ? "
Jérôme, le lascar : - " Bien JP, c'est le combien, la prochaine fête chez Boris ? "
Jean-Paul : - " Je pourrais pas te dire le combien comme tu es un sacré numéro, Jéjé ! "
2 ème saynète :
Christophe, un autre ami très entier : - " Alors ça va lascar ? "
Jérôme, le lascar : - " Très bien Chris "
Christophe : - " Lascar, explique-moi, pourquoi t'as toujours la crise de rire ? "
Jérôme : - " C'est simple, parce-que tu as toujours là Chris de rire " .
3 ème saynète :
Serge, un ami artistique : - " Bonjour Jérôme, comment vas-tu ? "
Jérôme, lascar académie : - " Je vais pas très bien Serge "
Serge : - " Pourquoi Jérôme ? "
Jérôme : - " Parce-que je me demande à quoi sers-je ( Serge ) dans la vie ! ? "
4ème saynète :
Encore avec Serge, le musicien qui est mon pygmalion et dont je suis l'élève apprenti :
Serge toujours un ami artistique : - " Comment va le poète ? "
Jérôme toujours le lascar : - " Pas terrible, j'ai plus d'inspiration ! "
Serge : - " Te sers-je ( Serge ) un ver ? "
Jérôme : - " Ok Serge, après le ver solitaire, trinquons au ver solidaire ! Mais par contre je t'en prie, Serge, ne me tire pas les vers du nez ! "
5 ème saynète :
Boris, l'ami ovni : - " Bonjour Jérôme, viens-tu toujours à ma prochaine fête ? "
Jérôme, l'ami de Mars : - " Je viendrai avec plaisir à ta prochaine fête de l'amitié mais avant ça, juste une question Boris, à ta fête, y aura-t-il un spectacle de marionnettes ? "
Boris : - " Oui pourquoi ? "
Jérôme : - " Parce-que ce n'est pas moi qui tiendrai les ficelles comme je joue un rôle dans la vie devant tout le monde ! "
6 ème saynète :
Jérôme, le lascar qui en a rien à foot du foot : - " Bonjour lascar, as-tu réussi ton côté match ? "
Guillaume, un ami qui se cramponne au foot : - " Oui lascar, j'ai réussi mon Paris car plus besoin de refaire le match sur RTL en écoutant Eugène Saccomano, qui bat maintenant en retraite. "
7 ème saynète :
Jérôme, lascar académie : - " Catherine, pourquoi n'as-tu jamais peint mon portrait ? "
Catherine, qui ne caresse pas dans le sens du poil : - " Parce-que je ne peux pas te voir en peinture avec ta nature morte. "
8 ème saynète :
Jérôme, impatient : - " Pourquoi cher docteur, ne me passez vous pas de la pommade ? "
Docteur Bernard tout Penot : - " Parce-que tu n'es pas une crème ! "
Jérôme : - " Donc là, vous n'êtes pas tout Penot. Vous êtes le docteur Penot and Mister Pénard . "
9 ème saynète :
Alexandre, very blagues : - " Pourquoi sans arrêt, mon cher Jérôme, tu me charries ? "
Jérôme, son acolyte anonyme : - " Car qui aime bien, charrie-bien ! "
10 ème saynète :
Adel, fan de Jeanne et Serge : - " Bonsoir lascar, comment vas-tu ? "
Jérôme, en volley : - " Bien, as-tu volé ? "
Adel : - " Non, je n'ai pas volley aujourd'hui, car c'est demain vendredi que j'ai !
Jérôme : - " Donc demain, tu vas t'envoler ( t'en volley ) ! "
11 ème saynète :
Jérôme, très texto : - " Bonsoir, comment vas-tu Brigitte ? "
Brigitte, cache : - " Non, mais t'es pas net de m'envoyer un texto à 2h du matin ! "
Jérôme : - " Je pouvais pas savoir car saynète de te l'envoyer sur le net ! "
Jérôme de Mars
Aujourd'hui, un nouveau jour !
A tort
Aux aurores,
Voilà aujourd'hui !
Un nouveau jour
D'une ravissante embellie,
Qui montre tous les contours
D'une variété de concert
De ce qu'est un assortiment,
De plaisants compliments,
A partager sans modération
Sur la place première,
Grâce à l'horizon toujours fécond
Hâtif de nous abreuver de son soleil éméché,
Quand la pluie demeure joliment fauchée
Comme c'est aujourd'hui !
Un nouveau jour,
Entre l'hiver et le printemps,
Loin l'hiver qui se régénère exultant,
En une panoplie de couleurs chipies
Et la pose d'un compte à rebours,
Pour prédire la constellation
De la voix lactée en interaction,
Avec le paradis sur terre qui génère
Une pléiade de chimères pas imaginaires,
Là où le jardin d'hiver change en un balcon
De printemps, prêt à accueillir toutes les excentricités
De joyeux lurons,
Par avant bougons, et maintenant des larrons en foire !
Car ça sera plutôt ce soir !
Qu'on passera d'aujourd'hui, un nouveau jour,
A demain, en un renouveau séjour
De la diversité !
Jérôme de Mars
Doit-on être égoïste ou solidaire ?
Comme un soliste,
J'égrène la liste
Du thème de ce texte
Et de cette question
Universels dans cette équation,
Où l'on cherche vraiment la solution
Dans un pareil contexte,
Pou y voir clair
Et y dénicher la lumière,
En posant la question suivante
Et récurrente,
Doit-on être égoïste
En soliste
D'un ver solitaire,
Ou être solidaire
En frères de l'univers
D'un ver solidaire ?
Comme l'union fait la force
Et nous renforce,
Alors que l'égoïsme
Consolide l'individualisme
Dans un prisme
De l'héroïsme,
Solitaire et éphémère,
Car même
Si on affirme
Dans la firme,
Chacun pour soi
Et Dieu pour tous !
A un moment donné
Et adonné,
On a besoin d'un coup de pouce
Et des autres,
Comme de Dieu et de ses apôtres
Pour y récolter des repères
Dans notre âme en jachère,
Et y renflouer la foi
En des jours meilleurs
Et d'un soleil plus rieur,
En reprenant goût à la vie
Dans la galaxie des soucis
Et des sans-soucis,
En posant
Et en reposant
Cette question essentielle
Dans notre crise existentielle,
Doit-on être égoïste
Et nombriliste
En soliste
D'un plaisir solitaire,
Ou être solidaire
En frères de lumière
Et dualistes
De plaisirs solidaires ?
Car dans la vie
Il faut donner
Et recevoir
Dans la réciprocité
Et la loyauté,
D'une amitié
Bien entretenue
Et bienvenue
Dans le juste échange
De l'archange,
Comme d'aider
Les autres nous rend meilleurs
Avec bonheur et honneur,
Alors que seul
On est dans le deuil
D'une solitude refoulée,subie
Et enfouie,
Mais ce qui est sûr
C'est quand on va bien,
Et qu'on a une belle nature
Qu'on peut aider les copains
Et les gens dans l'altruisme,
Car tant qu'il y a de la vie !
Y a de l'espoir !
Dans ce monde si noir !
Où l'on vous souhaite
D'y croire
La tête dans les comètes !
En un bon appétit
De vie, chers amis !
Jérôme de Mars
Géronimo ou Jérôme ? !
File indienne,
J'endosse l'habit de Géronimo
Le dernier des Mohicans,
Dont chaque semaine
Avec lui tout fout le camp !
A cause de mes trémolos
Et de mes ecchymoses,
Qui me provoquent une cirrhose
De foi,
Comme je ne crois
Plus en rien,
Et n'en démords car c'est certain
Que ça risque de mal finir
Dans le dernier soupir
Du con damné,
Sauf que quand je rempile
En tenant la longue pile,
Du rôle de Jérôme
En jouant un rôle dans l'hippodrome,
Je suis très à cheval
Dans ma partir animale et générale,
A devoir porter tout ce fardeau,
Si je fais croire
Qu'il y a un sursaut
Et que j'ai trouvé les mots de mes maux,
Alors que je reste touché et fauché
Dans ma manière de parler,
Et d'évoquer ce qui me met
Et me démet à penser
Que je n'ai plus rien
A perdre, mais tout à gagner,
Si je maintiens
A incarner Jérôme
Dans l'arôme,
Et non Géronimo
Dans le chaos,
Qui fait sa révolution
A Place de La Bastille !
Pour changer
Avec vibrations
Ce putain
De monde,
Que j'inonde
D'insultes dans le tumulte
De la catapulte,
De ma langue de pute
Qui suppute
Qu'elle grésille,
A la moindre rature
De ma nature contre nature,
A ne plus croire en grand-chose
Et à espérer
Une possible fin
Du monde,
Que j'attends
Avec impatience
Et urgences,
Comme j'abonde
En ce sens
De la parfaite offense
Que Géronimo,
Tôt ou tard !
Bouffera Jérôme
Dans l'arôme
De la tare,
Jamais en retard
Du chaos de Géronimo,
Fin de ce lourd brûlot
Avec la suite au prochain
Numéro à contrario !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fera si la justice décide de confier davantage Méliné à son père Stéphane qu'à sa mère Jessica ?
- La justice baissera la garde de Jessica !
Jérôme de Mars
Tyran vers le O !
Parez-O, en naviquant en ces O troubles, j'écris un ver d'O dont je bois les paroles
.
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Jérôme de Mars
Bigoudis woman
Engourdis waouh man,
Chère madame
T'as le macadam
Qui te dame le pion !
Avec tes morpions
De bigoudis woman,
Dont tu fais un concert
En chantant avec des casseroles
Qui caracolent en tête de monopole,
Avec ton inspiration qui sent le délétère
De l'éther patibulaire,
Pour faire taire les mauvaises langues
De mes nattes qui griffent les chattes,
Et qui dégriffent mainates
De tes bigoudis woman,
A te faire des cheveux de tresses !
Qui incantent un élixir d'allégresse
Waouh man nymphomane,
Mythomane et pyromane !
Qui tanguent effet boomerang
Avec tes bigoudis woman
Qui mettent en couverture tes couettes,
Comme d'après Gainsbourg avec l'ami caouette
Qui mange des cacahuètes ,
Tel un poète esthète
Qui teste l'éthylotest !
Dont la musique l'enivre
Et lui laisse un reste à vivre
De tes bigoudis woman,
Quand tu te laisses aller
Et dévaler en des vallées,
Qui vendent ton charme mélomane
D'un mélodrame en vie de drame,
Lorsque c'est là dans le là
Que tu contrefais de tes bigoudis woman,
Un parvis de la décence dans les aléas
Allez ah ! pour de bon dégourdis toxicomane
De tes bigoudis woman !
Jérôme de Mars
Faisons l'amour, pas la guerre !
Roulement de tambour d'un rythme de troubadour,
Les temps sont fertiles et abondants dans la cour
Des grands, lorsque nous faisons l'amour,
Pas la guerre ! d'antan dans un séjour
De cure, à se vivifier et à se rincer la tête de la haine,
Pour y insuffler une quête de pèlerinage,
Avec l'objectif affiché de proliférer un don d'ubiquité,
Pour y souffler une cure de jouvence dans le monde entier,
Puisque c'est en aimant et en rassemblant la culture de l'amour sur scène,
Que nous maintiendrons, faisons l'amour, pas la guerre ! dans un mariage
Du cœur et de la raison, avec l'oraison pour calmer la colère,
Du peuple assouvi et vindicatif, comme seule sont prescrites la prière
Et une âme solaire, pour venir à bout de la misère et du mal,
Qui anéantit les êtres humains et les éloigne du droit chemin normal,
Donc faisons l'amour, pas la guerre ! en réunissant la communion
Et l'union de la communauté, qu'engendre l'harmonie en contagion,
Pour attiser l'amour et les saines passions, et éloignons la haine,
De sorte qu'elle se galvanise et qu'elle s'égrène dans de la gangrène,
Et qu'elle s'éradique au fin fond de l'immoralité, car ainsi faisons l'amour,
Pas la guerre ! pour le bien de l'humanité en guise de séjour, un de ces jours !
Jérôme de Mars
Prénom d'un rien !
Prénom d'un rien !
Adrien est un joyeux boute-en-train,
En train
De taquiner Dorothée,
Qui dort
Après avoir bu son thé,
Car dore
OT,
En compagnie
De l'ancien collègue et ami,
Damien qui pose des lapins
Dont Damien est leur par un
Prénom d'un rien !
Comme Charlotte
Qui fait une charlotte
Aux pommes
Pour sa pomme,
Avec Laurent
Qui parfume le temps,
Au nom D'Yves-Saint-Laurent
Prénom d'un rien !
Au teint hautain,
Comme Guy
Qui aime faire le gui,
Planté là comme un arbre
Qui le laisse de marbre,
Prénom d'un rien !
Comme il est malin
L'idéal moment
D'appeler Christian
Par son prénom,
Et de parler avec Christophe,
La personne la plus limitrophe
Sans strophes
Et sans signes d'apostrophes,
Prénom d'un rien !
Comme vient
L'instant trop pique
De demander à Eric,
S'il préfère manger
Avec sa dent dure,
Ou de croquer
La pomme D'Adam
Dans sa véritable nature,
Avec Adam
En pomme d'aidant
Pour sa pomme,
Et en maître du temps,
Qui pique-nique
Le midi avec Monique,
Prénom d'un rien !
Avec le refrain enfreint
Qui donne tort
A Victor,
Mais qui est retords
Avec Clara
Qui déclara,
Prénom d'un rien !
Qu'on veut voir Jérôme
Dans l'arôme
Et pas Le Géronimo
Du chaos,
Et dont en fin,
Je quémande à Serge,
A quoi sers-je ?
Point défunt.
Jérôme de Mars
Des brouillards débrouillards
Brume de fumée
Sur l'horizon parfumé,
Le ciel fripouille,
Barbouille et trifouille
Par fumée,
Une once de nuages
De chicorée,
En buvant le breuvage
De l'ivresse du ciel,
Puisqu'il ne semble hagard
Le soleil essentiel,
Si jamais c'était
Un drôle de gaillard
Dans la principauté,
Voilée par des brouillards
Débrouillards
Sur du papier buvard,
A relater les bris de couloirs
Qu'entretiennent les histoires
De comptoir,
A évoquer des choses noires,
Lorsque surviennent des brouillards
Débrouillards, rondouillards
Et bavards,
Comme des pies
Qui épient
Le moindre coup de Trafalgar,
Dès que quiconque l'invoque
Dans cette bizarre époque,
Où boursoufle
Le blizzard,
Quand s'essoufflent
Des brouillards
Débrouillards,
A l'égard
Du vent au mitard,
Si bien
Qu'on attend le pas du regain
Sanguin,
Aussitôt esclave
Sans gain,
Et slave
Sanguin,
Que brave
Sans gain,
L'inconnu en des brouillards
Débrouillards.
Jérôme de Mars
C'est la routine !
De l'ombre à la lumière,
D'un matin d'hiver
A un matin d'été,
La vie est un éternel recommencement
Entre deux tourments
De notre être damné ou en paix,
Car c'est la routine
Que dessine
La vie et qu'elle nous abreuve,
Comme la vie n'est un long fleuve
Tranquille ! puisque souvent
Chaotique et semée d'embûches,
Sur lesquels les humains bûchent
A chaque moment
De la journée,
Comme c'est la routine
Que nous contamine
La vie entre espoir
Et un monde très noir,
Dans lequel on vit
Avec perplexité
Et complexité,
En ne sachant
Si on en rit
Ou si on en dément
Qu'il est dément,
Entre larmes qui alarment
Et le vacarme,
Quand vacille notre résistance
Et qu'elle rentre en circonstances,
Où l'inconstance
Demeure la norme en inconsistance,
Comme c'est la routine
Entre deux blessures de la vie
D'hémoglobines,
Dont on se repasse en bobines
Tout le schéma en dramaturgie,
Car la vie souvent offre tout son hiver
Pour occulter l'été et sa lumière
Dans un sulfureux brouillard,
Qui jette un trouble vent rondouillard
Sur la place des grands boulevards,
Quand les voitures bouchonnent
Et sermonnent
Les automobilistes qu'en moyens de locomotion,
Elle ont trouvé la lotion
Pour rester des êtres débrouillards,
Quand des brouillards
Bavards causent des accidents dans un bazar,
Comme c'est la routine
Que butine
Le fiel des automobilistes
Immobilistes,
Entre insultes
Dans le tumulte
De la libre-circulation,
Où y a rien de tel qu'un melting-potes
Pour savourer entre potes à la compote
Un repas d'accalmie dans cette vie,
Qui ne trouvera le répit
Qu'en bonne compagnie
Entre amis,
Dont tout le monde se dira
Bon courage,
Et s'évertuera
A rappeler qu'à n'importe quel âge,
La vie
Ce n'est pas toujours ce qu'on s'imagine
Dans un monde épanoui,
Et que ce n'est le monde des bisounours
Mais plutôt des ours
Mal léchés,
Parce-qu'asséchés,
Comme la vie fait beaucoup de bris
Car c'est la routine !
Jérôme de Mars
L'homme est-il par fée ?
Compte de fait de par son paradoxe en instantané l'homme est-il par fée ?
S'il est né sous une bonne étoile, à peaufiner ses qualités pour zéro défaut,
Et qu'il désire invoquer le tout-puissant, pour confirmer sa volonté d'être parfait
Car l'homme est-il par fée ou par fait ? de rester dans le sacerdoce d'un finaud,
Ou d'un nigaud contraire à ses contradictions, de savoir si l'homme est-il parfait ?
Pour répondre au sondage précoce, si Dieu soit loué ou alloué dans la maison
Du Mausolée, immaculée conception d'un balcon sur la mer, horizon impulsion
Qui répond au soleil en inclinaison, sur la couche de la zone au caractère trempé,
En réfléchissant si l'homme est-il parfait ? et en infléchissant s'il est par fée,
Au conte de fait d'une philosophie, très spéciale et particulière pour désigner
Si l'homme a peur de son ombre ou du nombre de fois, où il se demande
Si l'homme est-il par fée ou par fait ? d'un homme parfait s'il fait honorable amende
De prier, pour L'Ave Maria à l'appel de la paix, sur La Terre et d'éradiquer la colère
Qui détruit l'humanité toute entière, afin d'offrir un bain de jouvence aux précaires
Et qu'ils oublient leur misère, de la rue et de la cohue, car le plus important
Est l'union qui fait la force, aux plus méritants en les récompensant élégamment,
Comme c'est là que l'homme est par fait dans un conte de fée par fée un parfait !
Jérôme de Mars
Blague :
Que répondrais-tu à la fondation Des Amis De L'atelier si elle veut que tu participes à un marathon ?
- Vous pouvez toujours courir !
Jérôme de Mars
Carte postale de vacances
Facteur de bonnes intentions en fraîcheur !
Voici une carte postale de vacances
Pour vous rappeler faites-vous plaisir !
Les vacances arrivent et vous enivrent
Dans une belle contagion d'agréable humeur,
Où vous allez bronzer au soleil adoré
Des plages romantiques avec de la crème solaire,
Comme le soleil va vous ensoleiller !
Avec aucun nuage à l'horizon en perdant le Nord
Pour aller se reposer dans le joli Sud d'un bleu Azur
Au bord de la mer bleue encre marine qui jette son ancre,
Et fait couler beaucoup d'encre comme un poisson dans l'eau !
Lorsque vous êtes en nage dans l'eau à transpirer l'eau
De vos pulsions et de vos pulsations cardiaques,
En faisant la planche qui brasse du vent et de l'air,
Avec des cœurs de palmiers en palmiers qui se palment
A vos pieds ! en sirotant une désaltérante menthe à l'eau qui calme votre soif,
Où le Sud a le lagon amoureux de la plage d'une calanque
Dans une baie, et où tout baigne pour vous dans vos vacances
Paradisiaques ! et que c'est plutôt bon signe du zodiaque !
De consulter votre t'aime astral à suer et à respirer de soulagement
Comme quoi l'amour est au rendez-vous de votre flirt d'été !
A vous ricanez comme deux diablotins facétieux et espiègles,
Où lorsqu'il sera temps de prendre congé de vous, vos vacances
Auront été longues à la détente, avant la reprise du travail au mois
De septembre et en musique qui adoucira vos mœurs, comme on
Connaît la chanson ! en contre-dense qui danse du bal de l'été
Jusqu'à déballer ses cartons de l'été pour les cartons de la rentrée,
Comme on prend congé de vous maintenant ! vu que ça déménage
Dans tout ce remue-ménage, de nettoyage, d'empreint tant de tendresse,
Convertible en prenant du repos, dans un clic-clac qui clique en un clac,
Car après votre serviette de plage, v'là la rentrée avec votre serviette de travail !
Jérôme de Mars
J'ai le cafard !
Phare Ouest
Complètement à L'Ouest,
A moindre coût
J'ai des coups
De cafard
Sans fard,
Où chez moi
J'ai des cafards,
Quand j'ai le cafard
Signal Far West,
Comme le soleil se lève
A L'Est
Complètement à L'Est,
Si je lâche du leste
Leste
Dans tout ce capharnaüm,
Où je me crois
Dans un auditorium,
Avec des malentendus
Etendus,
Si je suis fichu
Et foutu,
Quand j'ai des cafards
Chez moi
Et que j'ai le cafard
En moi de mon désarroi,
En plein phare Ouest
Complètement à L'Ouest
Sauf que je suis complètement à L'Est,
Quand je lâche du leste
Leste,
Quand le soleil s'élève à L'Est
Et que je me débarrasse
Des cafards
Chez moi
Ex spray,
Puisque je n'ai plus le cafard
Avec mon spray
Et que c'est à partir de là,
Que j'embrasse
Le cagnard
Du soleil qui est à son zénith
Avec de l'eau bénite,
Comme je ne bénis
Le béni du oui-oui
Et que près du bazar
De chez moi,
Je crois
Au plus grand des hasards,
Dont je dédie
Des dits,
Que je dis
En non-dits,
Qu'en bruits de couloir
Je n'ai plus le cafard !
Jérôme de Mars
Grain de poussière
Etoile polaire
De la grande ourse,
C'est l'heure de la course
En un grain de poussière,
Avec la poussière d'ange
Qui gravit le ciel avec mésanges,
Pour rallier la voie lactée
Dans le système stellaire,
En un grain de poussière
Du soleil velouté
Avec la lune envoûtée,
Par les comètes fidèles
Du ciel qui met son grain de sel,
En un grain de poussière
Dans Le Missel qui incante
La galaxie qui évente
La face lumière des planètes,
Qui surfent sur le net
Très net et qui déversent en clair
A des années-lumière,
Un grain de poussière
Terre grise de matière,
Pourvu que la lumière
L'emporte
Et nous transporte
Dans un ailleurs,
Au goût meilleur
Pluriel qui scintille
D'une flamme linéaire,
Qui brille
Dans la pérennité,
Sans durée
En un grain de poussière.
Jérôme de Mars
Accepte-toi comme tu es !
Dès le début de ta vie,
A l'horizon garni ou décrépi
De l'enfance
A l'adolescence
Et à l'âge adulte,
Toi enfant
Comme tes parents,
Doivent te dire
Accepte-toi comme tu es !
Bien sûr dans les préceptes
De la légalité à l'égalité,
Même si tu connais
Le tumulte,
Que tu interceptes
Dans ta vie d'homme,
Car en somme
Ta vie ne sera
Pas un long fleuve tranquille !
Jusqu'à mourir
Sur la quille
Pour te médire,
Te maudire,
Ou te comprendre
Que dans la vie
On n'a pas assez d'une vie,
Pour apprendre
Les rudiments
Et les fondements
Du devis de la vie,
Et s'en souvenir
De ce que tu as appris
Par rapport à ce qu'on t'a dit !
Car mets-toi martel en tête !
Accepte-toi comme tu es !
Comme ça, t'auras l'air moins bête !
Car ce qui compte c'est ce que toi
Tu veux pour ta vie et ta joie,
Si tu as la foi
De ce qui te rend heureux,
Car ça ne regarde pas les autres mais doit
Les rendre pieux dans ta droiture
Du bon Dieu,
Si ta nature
Te fait faire le bien
En ne déviant
Pas du droit chemin,
Et que tu ne trahis
Ni ta famille ni tes amis
Et ni tes copains,
Comme ça on te respectera
Et on t'encouragera
Ainsi que tout ton entourage,
En te criant
Accepte-toi comme tu es !
Pour améliorer ton image
Depuis que t'es né,
Et passe du bon temps
Dans la tolérance
Et la patience
Que tu t'évertueras à démontrer,
Même si depuis ta prime enfance
On ne te l'aura pas montré,
Car souviens-toi !
Il n'est pas trop tard !
Pour changer le cours des choses
Et pour bien faire même
Si t'as des ecchymoses,
Dont le plus important
C'est qu'on t'aime et que tu aimes
La vie
Et son embellie,
Car il y a aussi la source
Pour trouver tes propres ressources
A tes ennuis,
Et les convertir
En plaisirs,
Où tu seras épanoui
Dans ton ouverture d'esprit,
Car on ne te le répétera
Jamais assez accepte-toi comme tu es !
Et tout ira bien
Pour le mieux,
Jusqu'à ta fin
Parmi l'humanité,
Ainsi soit loué !
Jérôme de Mars
Ne restez pas seuls !
Effets de seuil,
Par les temps ordinaires
Sur La Terre,
On est seuls
Depuis notre fauteuil,
A regarder Drucker
A la télé des célibataires,
Qui forgent notre caractère
Que le terre-à-terre n'est guère
Salutaire mais austère,
Dès que l'on est seuls
Au seuil de notre fauteuil,
Où l'on devient veule
Alors que notre aïeul
Cultivait ses amitiés,
En buvant des tilleuls
Avec sa collectivité
D'amis,
D'une fratrie
D'écureuils
Et de chiens,
Pour ne pas être seul
Au seuil de notre mille-feuilles,
Tandis que c'est du gâteau
De trouver le bon jeu de mots,
Pour que ce soit pédago
D'y écrire des poèmes
Avec mille feuilles,
Pour parler de la nature
Et du jeu d'écriture,
Que procurent
Les thèmes sur les animaux,
Comme les écureuils
Et les chiens,
Qui demeurent nos potos
Et les humains
Qui ne sont plus nos copains,
Ainsi ensuite, ne restez pas seuls !
Et hein si de suite soyez avec votre épagneul !
Qui a du flair
En tant que chien,
Pour repérer les vilains
Et les autres qui sont bien
Avec une belle atmosphère,
Et ne soyez plus seuls !
Car priorité à l'accueil
D'une vie en compagnie
De vos amis,
Les chiens
Et les écureuils,
Car dans votre recueil,
Vous pourrez marquer
Que les humains
Sont veules
Mesquins,
Et cultivent le chaos
Et que pour demain
Rien de tel que les animaux,
Comme les chiens
Et les écureuils,
Pour cueillir le bien
Et ne plus rester seuls
Au seuil de notre fauteuil.
Jérôme de Mars
Charles sans Trenet
D'un ciel de traîne
En périodes d'étrennes,
Je vis Charles sans Trenet
Qui s'entraînait,
Comme Charles Traînait,
Sans Trenet et traînait
Avec Charles Trenet
Dans le jardin extraordinaire,
Où je chante avec Charles
Sans Trenet, l'âme des poètes !
Comme Charles traînait et s'en traînait
Sans Trenet, où il fredonna
Bonjour les hirondelles y a d'la joie !
Dans cette douce France
Face à la mer,
Où le soleil frétille le soir
Dès qu'il voit la lune qui frémit
En lui susurrant : " - Bonsoir jolie Madame !
J'ai ta main avant notre mariage
De retour à Paris et la romance
A Paris où mon cœur fait boum du Sud
Jusqu'à Ménilmontant "
Comme Charles Trenet s'entraînait
Et s'en traînait sans Trenet,
Après ces quelques années d'union
D'éclipse lunatique entre deux variations
D'humeur entre le soleil et la lune,
Qui au moment de leur divorce
Se demandèrent que reste-t-il de nos amours ?
Dans un débit de voix allo au dépit olé !
Car après ça sans étrennes, Charles Sans Trenet,
S'en traînait et s'entraînait en attendant sa conquête
Prochaine, en quête de vérité ! qui formula une requête
Et plus si affinités, à volonté si Charles Traînait !
Jérôme de Mars
Effervescences
Emporté par la fougue
Comme l'édite un piaf,
L'oiseau de toutes les couleurs
Affiche ses rondeurs
En effervescences,
Dans l'incandescence
Des rêves d'enfants qui piaffent
D'impatience à aller sur le banc
De l'école avant d'afficher des bancs,
Pour leur mariage plus tard
Dans un signal phare
Rapporté dans leur enthousiasme,
Dont le cœur a des spasmes
En effervescences,
Du haut de la fluorescence
Qui évade les nomades
Lors d'une promenade,
Entre oiseaux de mauvais augure
Dans une drôle de caricature
D'une parodie de mariage,
Qui unifie le plumage et le ramage
Comme maître corbeau
Tient son fromage
Près des gens de la fontaine
Avec leur grande bedaine,
En proférant des gros mots
En effervescences,
Dans la plus complète indécence
Qu'est l'essence de la vie,
Alors qu'elle se dévie la nuit
Entre troubles et cauchemars
Dans le tintamarre du désespoir
Qui est emporté par la foule,
Quand Edith édite un piaf
Comme le pif d'Edith Piaf,
Par inadvertance
En tirant un trait en effervescences.
Jérôme de Mars
Ca fait cliché !
Photogénique,
T'es l'archétype
Du parfait prototype,
Dont tout le monde
Te sonde,
Si tu es le stéréotype
Ou l'idée reçue
De l'intrus malotru
Dont ça fait cliché,
Y a pas photo !
Sauf si tu es
Avec un poto,
Sympathique
Et paisible
Et que c'est le parfait type,
Dont tu t'en fais
Un bon ami,
L'un des rares comestibles
Qui ne te juge
Et t'adjuge
Le titre de grand allié,
Doublé de gentille mentalité,
Avec ton agréable force de vie
Qui amorce une quantité de défis
A relever,
Sans qu'on dise
Que ça fait cliché
Et qu'on médise
Ton ultra intégrité,
Car y a pas photo !
Quand c'est un ami
Qui est un chic type,
Du parfait prototype
Qui est l'archétype,
Sans être un stéréotype
De gros costaud
Avec rien dans le ciboulot,
Car ce qui compte
C'est ce qu'on naît
Au fond de soi,
Sans juger
Sur les apparences
De ce quiconque pense
De toi !
Car le plus important
C'est que tu sois
Un gars bien fidèle
De probité,
Avec untel
La famille,
Et les amis
Pour passer de riches instants,
Ce dont tu escomptes
Dans tes principes
Qui t'émancipent,
Sans que ça fasse cliché
Car là tu as assez donné,
Comme y a pas photo !
Sauf quand tu es avec ton poto
Car là ca fait un parfait cliché,
De la rétro
A la nécro,
En un rendez-vous pour toute la vie
Et en folie !
Comme c'est là que ça fait cliché
Avec ton poto,
Y a pas photo !
Jérôme de Mars
Blagues d'ESAT :
1) Pourquoi L'ESAT de Vitry privilégie-t-il le profit au détriment du social et de l'humain ce qui fait que les agents en pâtissent ?
- Parce-que L'ESAT de Vitry n'a pas choisi la bonne direction !
2) Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT de Vitry c'est l'enfer, depuis que MR Gabriel Vappereau est directeur-adjoint ?
- Parce-que ce n'est pas l'ange Gabriel !
3) Comment pourrait-on renommer la fondation comme elle est devenue rude et qu'elle bouffe toute notre santé pour l'argent ?
- Les Amis Dur Atelier
- Les Amis Du Râtelier
4) Pourquoi est-ce-que la directrice de L'ESAT de Vitry on l'appelle Dark Vador ?
- Parce-que c'est la menace fantôme
5) Pourquoi est-ce-que la construction du bâtiment de L'ESAT de Vitry a l'air solide de façade alors qu'elle est bancale ?
- Parce-que toute la fondation est à revoir !
6) Pourquoi l'atelier conditionnement est-il conditionné au pire ?
- Parce-que comme on nous sous-traite, on nous maltraite !
7) Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier reliure, on speede les agents ?
- Parce-qu'on livre !
8) Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier blanchisserie, les agents sont-ils agressifs entre eux ?
- Parce-que tout le monde lave son linge sale en famille !
9) Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier cuisine, on met toujours les choses à plat ?
- Parce-qu'on cuisine les agents !
10) Pourquoi est-ce-que l'atelier pompes marche moins bien qu'avant ?
- Parce-qu'on fait moins de tubes qu'avant avec les pompes !
11) Pourquoi est-ce-que l'atelier cuisine de L'ESAT de Vitry traîne-t-il des casseroles ?
- Parce-qu'à force de passer les plats, ça fait longtemps que l'atelier cuisine est cuit !
12) Pourquoi met-on toujours une bande d'acolytes pour faire DUGAS mais que ça soûle ?
- Pour prendre de la bouteille en mettant en boîte les agents !
13) Pourquoi est-ce-que ça soûle les agents de faire DUGAS ?
- Parce-qu'ils prennent de la bouteille !
14) Pourquoi est-ce-qu'avant quand on faisait les dossiers de la clinique Pasteur, ça apaisait les agents ?
- Parce-qu'en piqûre de rappel, les agents étaient vaccinés contre le virus de la rage grâce à la clinique Pasteur !
15) Pourquoi quand on fait les parapluies, ça provoque des tensions ?
- Parce-que parfois il y a la rage à l'horizon !
16) Pourquoi est-ce-qu'au nom de Dieu, c'est un plaisir de faire Breadshop ?
- Parce-que c'est du pain béni !
17) Pourquoi quand on fait Riem Becker, faut-il aller vite à préparer et à remplir les box en prenant des coups verbaux sans prendre de gants avec les agents ?
- Parce-que Riem Becker, c'est comme sur un ring de boxe, on boxe les agents en paroles pour qu'ils prennent des coups jusqu'au dernier round sans rendre les coups !
18) Pourquoi le diplôme de L'ESAT n'a-t-il aucune valeur et que tout le monde s'en fout ?
- Parce-que tout le monde passe indifférent et compétent !
( un différent et compétent )
19) Pourquoi quand on fait les parapluies, les agents ne sont-ils pas solidaires entre eux ?
- Parce-que la machine n'a pas réussi à les souder entre eux !
20) Que signifie le PPI ?
- Pipeau Professionnel Inintéressant !
21) Pourquoi l'atelier bijoux a-t-il fermé au sein du conditionnement ?
- Parce-que les agents enfilaient des perles !
22) Pourquoi le petit groupe d'agents qui va à la voile un lundi sur deux le matin préfère-t-il être là-bas qu'à L'Esat ?
- Parce-que L'Esat les mène en bateau !
Jérôme de Mars
Je passe de la peau mate !
Marque de fabrique,
Je suis naturel
Et rebelle,
En me refaisant
Le maillot
Grosso modo
Au demeurant
Poil à gratter
Avec mon style effronté,
D'où je dérange
Quand mes boutons
Me démangent
Allergiques et somatiques
A en perdre ma raison,
Quand je passe de la peau mate
Foncée et défoncée astigmate,
Comme baisse ma vue
Et qu'elle devient floue
Et superflue
Dans ce monde de fous,
Avec une grosse fatigue insurrectionnelle
Délicatement personnelle,
Aux conséquences professionnelles
Et mémorielles
De mes stigmates
Dont je passe de la pommade,
Quand je passe de la peau mate
En lui faisant la peau
Avec de la ouate,
Lissée en une passade
Dans le vent
D'une mode paravent,
Quand j'ai fini de passer de la peau mate
Echec et mate.
Jérôme de Mars
Kiffe la vie !
A Paris de mon accent parigot
J'utilise l'argot
A tire-larigot !
Comme bientôt
Ce sera la fin des haricots,
Si on ne redevient pas solidaires
Dans ce monde où domine la colère,
Mais dont il faut
Diffuser avec un mégaphone
Un message francophone
Kiffe la vie !
Même si les hommes politiques
C'est kif kif des capitalistes technocratiques !
Qui s'en foutent des petites gens
Avec leurs différents tourments,
Mais dont il faut
Inciter à aimer leur pays
D'un kiffe la vie !
Même s'il y a des égoïstes,
Car c'est kiff kiff les gens fatalistes !
Qui grossissent le monde exponentiel
Et substantiel de l'argent essentiel
Que veut pieux le monde hautain
Au lieu d'un système plus humain,
Mais dont il faut tout de même
Garder la main,
Même si la vie c'est beaucoup de problèmes
Avec des chrysanthèmes,
Où les gens ne s'aiment
Guère comme ils préfèrent le butin,
Car ils butent un de leurs plaisirs sains,
Mais dont il faut les convaincre avec parcimonie
D'un kiffe la vie !
Même qu'elle n'est plus facile
Car ça fait longtemps qu'elle est indocile
Dans cette population de gens incivilisés,
Indifférents et mécréants
Qui n'ont plus d'intérêt
Pour la vie et les humains,
Comme ils se croient suprêmes
Du genre que c'est leur totem
A en tuer plus d'un,
Mais moi avec mon accent parigot
Je leur gueule à tue-tête avec ma voie en échos !
Qu'il faut s'aimer les uns et les autres,
Comme si c'étaient les vôtres
En chantonnant kiffe la vie !
Pour la propager en majorité
Dans de l'amour revigoré
D'une société ressuscitée,
Qui se surenchérit
A vous tous mes chéris !
Comme chéris la vie !
A volonté
Eblouie,
Où tout le monde sera ravi
Et gagnant,
Accordé à tous les temps,
Car pour la vie,
Kiffe la vie !
Jérôme de Mars
Eugénie grondait !
Génie de mauvaise herbe,
Avec le verbe
Gronder,
Comme un génie !
Dont le portrait
D'Eugénie
Grondait
Relève du pur génie
D'Eugénie Grandet,
D'après le roman épique
D'Honoré De Balzac,
Du tac au tac en mic-mac
Attire larigot !
Qui attend la faim des haricots
Avec ses piques atypiques,
Car euh génie grondait !
L'Eugénie Grandet,
Qui grondait
Eugénie grondait,
Dont l'Eugénie
Surpasse le génie
De la lampe,
Avec trois vœux
Que veut Eugénie
Grandet sans désaveu
Et des aveux,
Quand Eugénie grondait
Le génie
De l'Eugénie grondait,
Comme Eugénie Grandet
Avec un sample
De par sa folie
Des grandeurs,
Car toi L'Eugénie Grandet !
Quand le génie grondait
Eugénie grondait
D'Eugénie Grandet,
D'après Honoré de Balzac
Sur le tarmac
D'un portrait de génie,
Qui coupe l'herbe
Sous le pied,
Du Boulevard Malesherbes
A Paris,
Car Eugénie grondait !
Jérôme de Mars
OTAN en emporte levant
Au paravent,
Au temps
Dans le vent,
Le soleil veut la paix
OTAN en emporte levant !
Comme autant,
La lune dort sur ses lauriers
Qui lui jette un vent
Et a le vent
En poupe,
Qui sent le pouls
Du soleil levant,
Quand le vent au temps,
Autant en emporte le vent !
D'un coup de Trafalgar
Qui met ses phares,
En signaux phares du far
Breton dans le vent,
OTAN en emporte le vent !
Autant que longtemps,
Au temps le vent levant
Tape de ses rayons
De couleurs en crayons
X avec la lune,
Qui se met en une
Du soleil friand
De la lune et de son croissant,
De pure gourmandise
Qu'on se le dise !
Autant en emporte le temps !
D'OTAN en emporte levant !
Quand le vent jette un vent
A la lune,
Qui ne fait qu'une
Avec le soleil en cinquième élément,
En aimant, aimant
Le vent en poupe
Du soleil et de la lune,
Qui sentent le pouls
Du vent qui vend
OTAN en emporte levant !
Le vent qui jette un vent,
Dès les prémices
De l'éclipse en armistice,
Car autant au temps,
OTAN en emporte le vent,
Levant vers les ils du Levant,
Auparavant.
Jérôme de Mars
Elles brisées
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a
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e
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b
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s
e qui attire d'ailes à-tire-d'elles d'une brise devant qui brise les elles brisées.
Jérôme de Mars
On est seuls et on meurt seuls !
Comme la vie,
On naquit
Dans un maquis,
Qu'est la vie
Sur un croquis,
Où dès la naissance
On est seuls dès l'enfance
Et on meurt seuls,
Quand on est vieux
Au seuil lorsqu'on naît
Un aïeul veule,
Dont c'est le tour
De laisser la place
A la surface,
Au nouveau bout de choux
Qui apprendra
A connaître les contours
De la vie,
Dont on a vite fait le tour
Dans le pourtour
Méditerranéen,
Dès la retraite que l'on passe
En sautant dans le grand bain
En vivant dans le sud,
Lorsqu'on perd le Nord rude
De Paris mouvementé
Et désarçonné,
Comme on naît seuls
Qu'on est seuls,
Et qu'on meurt seuls
Au seuil de sa vie,
Que l'on passe
Entre l'enfer et le paradis,
Et que l'on fasse
Le bien eh ben !
Et le mal,
Mais de préférence
Faire le mâle,
Dans l'irrévérence
D'un garçon manqué,
Où l'on sort la grosse artillerie
A tous ceux
Qui nous ont moqué,
Avec indifférence
Et offense,
Comme ils veulent
Notre mal,
Puisque nous
Sommes des mâles
Veules que veulent
Les femmes,
Avec qui faire leur vie
S'il y a un brin de gentilles
Dames, dont nous sommes les chouchous
Avec nos bijoux de familles,
Quand l'estomac crie famille
On a besoin
De toi !
Comme on est seuls
Et qu'on meurt seuls
Au seuil
De notre existence,
Car après le trépas
Nous v'là dans l'au-delà,
A commencer nos vacances
Au paradis,
D'où on lui dit merci !
D'être enfin en paix
Pour l'éternité
D'un monde meilleur
Nulle part ailleurs,
Comme vous serez des nôtres
Un jour ou l'autre,
D'où vous ne serez plus jamais seuls
Au seuil
Des aïeux plus vieux,
Comme le temps ne sera pluvieux !
Mais plus vieux heureux
Car ensemble, c'est mieux !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit un Juif qui crame le jour de la canicule ?
- Il fait chaud ah ! ( Il fait Shoah ! )
2) Pourquoi l'homme est-il une vache à lait pour la femme ?
- Parce-que la femme tête olé olé
Jérôme de Mars
Majuscules
En prologue
De la péninsule,
L'été ample
Fait son monologue,
Qu'il contemple
Et qu'il exacerbe en majuscules,
Avec le carillon du soleil levant
Qui se brandit sur le toit des monuments,
De Paris à Pékin,
Comme un Mausolée en majuscules
Qui crépite en lamelles de lin,
Dans la matière douce du tintamarre
Autour de fresques murales dans la bascule
De gyrophares, des signaux phares,
Qui gravitent la gravité de marbre aux antipodes
De la nature
Et de ses codes,
Avec une stature
De La Statue De La Liberté
A la faune et la flore
De la nature,
Eprise de volupté et de danger
Au fort de son fort,
Dont le fort
Est celui que s'offrent les braconniers,
De la chasse aux trésors
Dont c'est de leur ressort
De prouver qu'il y a l'essor,
D'un monde moderne en pleine mutation
Et en résurrection,
Qui fait des émules
En prenant tout à la lettre et en majuscules,
De ce poème qui parsème
Et finit son ver dans le carpe diem,
D'une France funambule
Qui se transcende conciliabule
En majuscules.
Jérôme de Mars
Etait
D'après les quatre saisons de Vivaldi,
Voici après l'hiver et le printemps
L'été comme il était attendri
Par ces romances à l'eau de torrent
Qui coule comme le sang,
Dont l'été était coutumier et fluorescent
Comme une saison indémodable,
Avec du sirop d'orgeat sur la table affable
Dont est extrait cette saison qu'était l'été,
Avant l'automne et ses mois monotones
D'autant qu'il faut un sonotone,
Avec la mauvaise entente avant l'hiver
Et ses mois divers qu'était froide l'atmosphère,
Alors que du temps de l'été, c'était bienveillant
Autour d'un verre de vin blanc sans semblant,
Qu'était l'été de sa par sa remarquable connivence
Avant l'aven de l'hiver en croyant par intermittence
Au Père Noël d'antan, comme auparavant il n'y avait
Nulle part ailleurs, où aller dans les allées du syndrome,
Chromosome X ou Y comme les symptômes,
Tombent d'ailleurs dans un meilleur monde, à réinventer
Si possible, avec des gens au demeurant conciliants
Et attrayants, pour conjurer les mauvais cieux inélégants,
Dont l'hiver fut empreint tant du printemps qu'était
L'été dans ses maux d'automne,
Monotones, atones
Divers et avariés,
Car été comme hiver variés
De la collection printemps-était.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on d'une belle Tunisienne, responsable d'un attentat à l'explosif à Tunis, revendiqué par Daesch ?
- C'est de la bombe !
Jérôme de Mars
Le conseil des prudes hommes
Amis salariés,
Votre travail
A de la valeur
Quelque soit votre secteur,
Où l'on embauche
Et débauche
Dans la débauche
D'un putain de boulot
A la noix,
Qui nous casse
Le dos
Et nous tracasse,
Comme des bécasses
Avec un ver d'eau
A la main,
Où à la moindre faille
Il faut pas hésiter
A saisir
Le conseil des prudes hommes
Rudes en sommes,
Pour obtenir
En gain,
Une coquette somme
Dans la jurisprudence
De vos droits
Avec prudence,
Où la faillite
Est le domaine roi
Des gens qui déméritent,
Sans gloire et honneur
Dans un dur labeur
Qui n'est pas reconnu
Mais jeté comme des détritus,
Lorsque vous ne faîtes plus l'affaire
Alors que les patrons n'en ont à faire
De vous comme ils se caressent
Leurs bijoux de famille,
Avec prouesse
Genre que ça remplit
Les bourses de la vie,
Comme cependant, ça pétille
Dans des bulles de champagne
L'éjaculation précoce
Des obsédés d'Espagne,
Comme ils aiment la bagatelle
Dont ils s'attellent dans la chapelle
Avec le conseil des prudes hommes,
Comme en somme, c'est pour leur pomme
La juteuse somme qu'ils débitent
De leur société en faillite,
Quand leur sexe en bande avec leur sauce
Béarnaise à conduire les futurs amants
Devant monsieur le maire,
Comme la belle paire
Des prétendants,
Pour éconduire les gens chiants
Qui ne sont pas attirants,
Car désormais repoussants
Dans la société
Des prud'hommes,
Dont leur conseil de prudes hommes
C'est de faire en somme
Ce que nous sommes
En tant que bourgeois gentil homme,
Comme le département de La Somme
Point com comme ça en somme !
Jérôme de Mars
Concerto sur un balcon
Arrivée de l'été,
La saison est grisée
Par la sérénade
D'un chanteur de charme,
Qui clame son amour à Parme
En Italie vis-à-vis des femmes,
Avec un concerto sur un balcon
Et du Porto pour s'enivrer
Et exulter ses impressions
De Conquistador et de Don Juan,
Qui courtisent les dames en slam
Avec un cœur d'artichaut,
Archi chaud avec les badauds
Oisifs en jouant du violon
De Casanova qui s'entiche
De l'amour qui se friche
Avec un concerto sur un balcon,
Entre deux élucubrations
Pour voir en émotions
Si le soleil se dore la pilule
Pendant que les femmes prennent la pilule,
Quand elles font l'amour à rentre-dedans,
Et pullulent
Avec profusion dans des harmonies,
Et en symbiose d'accalmie
Dans une ligne de descendance
Sans condescendance,
Mais avec un parfum ardent
D'un concerto sur un balcon,
Fervent et véhément
En donnant son numéro,
Pour joindre l'utile à l'agréable
Et de conclure à l'amiable
En roulement de tambour,
De ressentir des vibrations
De l'amour torride dans un salto,
Qui monte crescendo
Dans des gestes de saudade
Avec un concerto sur un balcon,
Car respect pour les deux tourtereaux
Dont on célèbre leur communion,
A leur apogée
D'un trait d'union.
Jérôme de Mars
L’œil rivé sur la nostalgie
Des rivets,
Quand j'en faisais
Au CAT,
Dans le cadre
De Différent et compétent,
Un diplôme pour de faux
Qui avait bon dos
Et dont j'étais un différent et compétent,
Mais tout de même content
De l'avoir eu bec vantant
Qui m'encadre,
Mais où j'ai l’œil rivé
Sur la nostalgie
De voir
Sur le perchoir,
Qu'avec le temps
D'après Léo Ferré
Tout va,
Tout s'en va,
Que j'en pleure
Une liqueur de noirceur,
Avec mon âme mélancolique
Même si le clown triste
S'efface derrière une apparence,
De façade de joyeux
Et paresseux
Mélancomique,
Et altruiste,
Tantôt joyeux
Tantôt ténébreux,
Sous des nuages de fumées
Avec un écran de fumée,
Quand Alexandre fume
Sa cigarette qui signifie
Qu'il y a des brumes
Dans ma vie à l'ennui
Spleen, qui surfe sur la repentance
Et l'innocence,
Même si c'est trop facile
De jouer les victimes,
Dont mes accoutumances
Les enveniment,
Quand l’œil a dérivé
Sur la nostalgie,
Du temps où j'introduisais
Des rivets,
Sur les goulottes au travail
Avec mes failles,
Qui ont dérivé
Des rivets,
Dont mon œil a rivé
De la nostalgie,
Qui a dérivé
Vers un semblant,
De faire croire
Qu'il y a du beau temps,
Alors que depuis
D'antan à maintenant,
Ma vie ne tient
Qu'à un fil,
Où tout défile
Depuis des lustres,
Quand bien même
Les souvenirs demeurent illustres,
Mais que persistent les problèmes
Qui me recadrent,
Méchants et irrévérencieux
Jusqu'aux cieux,
Depuis que l’œil a rivé
De la nostalgie,
Et a dérivé
Des rivets,
Vers le désespoir
De la misanthropie,
Ainsi choir,
Du fin mot de l'histoire.
Jérôme de Mars
Et traîne !
Marchands d'illusions,
La vie est un réveillon
Comme nous nous réveillons
Pendant une chanson,
Où Charles traînait
Dans une ascension
D'un jeudi de L'ascension
Comme je dis et traîne,
Quand Charles s'entraînait
A chanter étrenne
De Noël qui sent le sapin,
Des fourberies d'escarpins
De Molière qui truffe
Le bouffon Tartuffe,
Avec des truffes
Et traîne ton jardin d'Eden !
Qui entraîne ton domaine
De prédilection,
Qui égrène de graines
De champions
Ton chemin jalonnné,
Qui susurre
Au coin du mur,
Etrenne de vieux souvenirs
Du passé d'ossature,
A venir et à revenir
Vers une meilleure époque
Dans le baroque,
Quand Charles traînait
Etrennes
Et s'entraînait
Et traîne !
Comme après Noël
C'est la passerelle,
Entre deux rives
Qui dérivent
Et qui ne se privent
D'offrir au jeu de la chance,
Certaines aisances
Dans le change
Pourvu que ça s'arrange,
En t'offrant le cadeau
De la délivrance,
Et traîne
Avec ton joli lot !
Etrenne
En errant
Et en flânant
Avec les badauds
Jusqu'au point de salut,
Comme je vous salue
Bien, car bienvenue
A la nouvelle
Vie en route vers l'inconnu.
Jérôme de Mars
La voile nous mène en bateau !
Moussaillons
Et matelots,
Nous y allons
Sur le voilier,
Qui nous voile la face
Pendant le temps qui passe
Dans cette escapade
Sur le lac artificiel
Au ciel
De Choisy-Le-Roi,
Comme on navigue
Et qu'on irrigue
Sur la surface
De l'eau,
Très loin des trémolos
A-vau-l'eau ,
D'autant que la voile
Nous mène en bateau
Dans une grande promenade
Et un somptueux ballet,
A faire danser les poissons
Qui mordent à l'hameçon
Et qui voguent sur l'eau
Et ses gros éclats
Qui s'attisent en vers de poèmes
Et en deux vers de bohème
Superficiels et personnels,
Où l'eau avec ses bulles de savons
Déambule à tatillons,
Comme elle a du vague à l'âme
Et que près des sillons,
Il y a le tourbillon
Du Paris-Paname,
Dès lors
Que nous hissons
Les voiles
Et dirigeons
Le gouvernail
Dehors
Dans l'éventail
D'une conduite amirale,
A tenir
Et à subvenir
Tout ce vaste arsenal,
En plaçant la barre très haut
Car ici Santiano
Le mâts
Qui bronze au soleil gras,
En point de signal
A Hugues au frais,
Où à la fin,
Le destin
Nous met bas
Ici là,
Quand nous approchons
Et accostons
Sur la terre ferme
Avec les poings fermes,
Où durant un laps de temps
Réconfortant et édifiant,
Tout le monde la ferme,
Pour se recueillir
Dans un silence apaisant,
Afin de savourer
Et siroter
Ce moment plaisant,
Sans le raffut
A l'affût,
Dès l'eldorado
Dressé à nos pieds
Avec brio,
Où la voile
Nous a bien menés
En bateau,
Juste le temps
D'une séance
En tenant
A distance les doléances,
Car pourvu,
Qu'à la rentrée,
Ca reprenne d'aussitôt
Comme ça,
La voile
Nous mènera
A nouveau
En bateau !
Jérôme de Mars
Paroles en l'R
L'air de rien,
Instant d'écoute
Coûte que coûte
D'une chanson
Qui ne manque pas d'R,
Comme d'un courant d'R
En ultra-sont
De ces paroles en l'R,
Qui sont de toutes les saisons
En rimes en R
Mine de rien
A quoi ça rime ?
Si on se sent bien
Dans ces paroles en l'R,
Qui partent
Comme des courants d'R
L'air de rien
Dans ces vers en nain,
Qui méritent une bonne p'R
De tarte
En prime
De ces paroles en l'R,
Qui signifient prendre l'R
L'air de rien
Comme un refrain
Qui revient
En rimes en R
Dans ces paroles en l'R,
Qui tiennent paroles en roulant
Des R,
Air à terre
Qui roulent des mécaniques
Bien huilées,
Comme c'est toujours la même musique
Acidulée et véhiculée
Du temps autant
Qui est déraciné, passé,
Dépassé et outre-passé,
A contre-courant
Sur la même longueur d'ondes
Sur France Inter,
Car ce n'est plus Air Inter
En mode avion
Loin de ce monde,
Comme se termine là
Et maintenant
Cette chanson
Par-ci, par-là
En instantané
De ces paroles en l'R
Jérôme de Mars
La vie a-t-elle un sens ?
A la naissance,
On vient au monde
Parmi le peuple qui abonde
Par des sens,
Pour savoir
Si la vie a-t-elle un sens ?
Par décence
Si cela a un sens,
Qu'on encense
Les gens méchants
Et qu'on fustige
Les gens bienveillants,
Pour voir
Si le fin mot de l'histoire
A une morale dans ce purgatoire
De vestiges
Qu'hait ce monde dérisoire,
Entre le noir crématoire
Et le bleu que recèle,
Un plein de réservoir
Abreuvoir avec recel,
T'as bu de liens sociaux
Et arrosoir divinatoire
Qu'on a besoin de liens amicaux
Autour d'un ver au bistrot,
Entre potos et frérots
Pour surseoir
Les mauvais moments,
Et prévoir
De profiter du moment présent,
Car c'est là
Qu'à mon humble à vie,
Que la vie
A un sens
Par des sens,
Qu'on encense
Par décence
En toutes circonstances,
Car notre et sens
De notre essence
C'est la quintessence,
De tirer profit
Des instants
Joviaux et cordiaux,
Convertibles en joies
Pendant quelques mois,
Et inflexibles en des sens
Que nous donne le vie
Par décence,
Si la vie a-t-elle un sens ?
Par des sens
Qu'on encense,
En vers
Ou en droit
Vers
Le bon endroit.
Jérôme de Mars
Je vous vois !
A la première personne
Je tue toi
Car je vous vois
A la deuxième personne
Et que personne
Ne me répond
Quand vous vous voyez
A la deuxième personne
Que je vous vois
Et que je tue toi
A la première personne
Car personne
Ne vous voit
Que je tue toi
Quand vous vous voyez
Personne
Mais juste une personne
Que tu tues toi
Quand je vous vois
Que vous vous voyez
Que je tue toi
Comme personne !
Jérôme de Mars
De la suite dans les idées !
Paroles en l'air,
Je dois composer
Avec ma colère
Une chanson écorchée
Qui dégorge toute ma rengaine,
Comme j'ai la haine
De ce monde,
De cette galaxie
Et de cette société,
Que je trouve nauséabondes
Avec véracité,
Si bien que j'ai de la suite
Dans les idées
Pour raconter avec saga-cité
La vie qui m'est toute ridée,
Mais où moins, je ne suis
A cours d'idées,
Grâce à mes vers
Qui me servent d’œillères
Face au courant d'air,
Où je déroule des R'
Comme je ne manque pas d'R,
Malgré les fuites
De mon cerveau,
A qui il manque
Des bons tuyaux,
Pour piocher le juste mot
Et que ce soit la planque,
Si bien que j'ai de la suite
Dans les idées,
A conter les moutons,
Moutons de Panurge,
Quand je purge
Et j'expurge
Les donneurs de leçons,
Qui n'ont rien compris
A la vie,
Même si elle fonctionne
Avec des si,
Et que je la questionne
Et la sectionne
A l'aide de scies,
Fonctionnaires et réfractaires
Du fond de mon imaginaire,
Qui me joue des tours
Moi, le troubadour
Qui n'a jamais de chance,
Comme je panse
Et je suis
L'ermite sans fumer
De shit,
Mais à démanger
Le gîte
Et être à des coups vers
Avec le couvert,
Si bien que j'ai de la suite
Dans les idées,
A me marrer
Avec de drôles d'idées,
Qui m'inspirent
Pour mes poèmes
Du carpe-diem,
Quand l'ennui m'attire
Et que le meilleur me retire,
Pour écrire une suite insolite
A ces textes qui foutent le cafard
Terrible et nuisible,
Que je dribble en pétant les fusibles,
Comme chez moi j'ai des cafards
Et des coups de cafard sans fard
Même s'il est tard,
Où depuis jadis je n'ai fini
De chercher le parfait produit,
Car je produis dans un huit infini
Des rimes qui me redonnent parfois de l'espoir,
Même si ce que j'affirme est souvent noir,
Puisqu'au fond ce n'est qu'un exutoire
Pour ouvrir le robinet à vannes,
Comme j'aime les vannes
Qui tombent à l'eau,
Hello ! c'est mon dernier mot !
Riche de débit à dextérité
Inconnue à cette adresse,
Car c'est à vous que je m'adresse
Malgré mon stress,
Car j'ai de la suite dans les idées !
Jérôme de Mars
Bordel-line
Triste ciel !
Depuis belle lurette
Dans ma tête,
Ca ne tourne plus rond !
Comme j'ai le macaron
De mon esprit abîmé
Et encastré
Par ma mère
Qui m'a en castré,
De façon téméraire
Et prépubère
De par ses fausses impostures
Et infâmes impudeurs,
De me bafouer,
De me dénigrer
Et de me fustiger
En me jetant
En pâture
Dans la peur
Des non-dits
De sale enfant
Puant et dégoûtant,
Comme une hirondelle
Dont les ailes
Sont brisées,
Quand dans ma vie
J'en suis réduit
En un bordel-line,
Influencé
Par mon état borderline
In fine,
De ma tête pensante,
Pesante
Et blessée,
Qui m'oppresse
Et me fissure
Dans un état de stress
Post-traumatique
De mes angoisses névrotiques,
Dans un énigmatique
Puzzle décrépi
Et anachronique,
Qui pressent un futur
Naufrage dans les parages,
En reculant
Pour mieux sauter
Dans le vide abyssal
Et sidéral,
D'une vie aux ravages
Et aux dérapages
Livides et acides
A l'eau dévie,
Dont je n'ai pas le devis
Pour apprendre les rudiments
De la vie,
Afin que mon existence
Sans insistance
Me soit intéressante,
Passionnante, enrichissante
Et qu'elle me procure
Des réjouissances
Sans opulence
Et insolence
Avec médisances,
Depuis que je suis
Un grand adulte,
Comme pas grand-monde
Ne me comprend
Et est bienveillant
Avec moi,
Dans le tumulte
De mes tourments
Qui tournent en obsessions
Fécondes et qui m'inondent
Dans un je de questions,
Dont ma tête
Borderline
Est un véritable casse-tête,
Car malheureusement
In fine,
Je suis bordel-line !
Jérôme de Mars
Si clone
Stone
Je le suis,
Quand j'écoute
Coûte que coûte
Stone
Et Charden,
Interpréter
Leur madeleine
De Proust,
Comme je suis
Gaspard Proust
Dont l'humour
Fait des ravages,
Lorsque l'amour
Rétrécit
Au lavage
Du linge sale délavé
En famille,
Qui frétille
Et frémit
Comme un cyclone
Pour des broutilles,
Si je suis
Ainsi clone
En autochtone
Un si clone,
Dont je me suis
A peine
Remis du cyclone
Survenu en 1999,
A la veille du passage
A l'an 2000
Neuf,
Dont je fourmille
De mille
Et des cent
Incandescents
Et indécents
En plein dans l'an 2000,
Comme un cyclone
Si je suis
Ainsi clone
Même si je suis
Un si clone,
Comme l'on n'est
Le clone
De personne,
Sauf d'être le cyclone
Des amazones
Dans leur forêt noire
Et vierge,
Avec toujours la même histoire
Des verges
Effarouchées,
Où l'on sonne
Notre téléphone,
Mais où personne
Ne nous répond
Avec son klaxon,
Quand j'écoute
Coûte que coûte
Stone,
Stone
Et Charden
Avec ma vieille rengaine,
Jusqu'à être ainsi clone
D'un cyclone
Un si clone.
Jérôme de Mars
Le soleil console la pluie
Pénombre à l'aube,
Le sol taraude
La lumière qui tarde
A venir,
Quand l'ombre regarde
Vers l'avenir,
Alors qu'un simple plaisir
C'est lorsque le soleil
Console
La pluie
En je de consoles
Et puis,
Puisque la seule ritournelle
C'est lorsque le soleil
Chancelle
Et que la pluie
Guérit
En ombrelles
De pimprenelles,
Dès que la pénurie
De l'amour
Se fait sentir
Et assortir
D'une fille
Et d'un garçon,
A sortir
En compte à rebours,
Comme nous dansons
L'inertie
Du soleil
En amnistie
Et de la pluie
Qui ruisselle
De gouttes,
Au compte-gouttes
Sous la perfusion
Des saisons
Ternes
Et subalternes,
Lorsque le soleil
Console
La pluie
De sa tristesse infinie,
Et qu'il rassure
Sa demoiselle
En lui prenant une assurance-maladie
Tous risques
Qui réassure,
Couverte et fournie
Par la sécurité sociale
Qui lui garantit
Un minimum vital,
En lieu sûr
Dans la nature
D'un Pierre de menhirs,
Qui roule et travaille
Avantage Place de L'Obélisque
A Paris
Et s'enroule qui vaille
Davantage dans la capitale
Des soupirs,
Car ainsi, va la vie
Qui signifie ici frénésie
Et saison sur le balcon
De la maison
Fleurie,
Que cultive le soleil
Lorsqu'il console
La pluie,
En do ré mi console
Sans bémol,
De l'embellie
Qui réveille
Les radieux lendemains,
Avec le même refrain
En je de console
De graffitis,
Lorsque le soleil
Console
La pluie.
Jérôme de Mars
Que ce fut brèves !
1) Un légume qui ne fait pas le poids a un pois chiche !
2) Un écrivain sulfureux qui a une bonne plume fait couler beaucoup d'encre !
3) Emmanuel Macron s'il connaissait le mode d'emploi des chômeurs ne s'apprêterait pas à faire une réforme aussi dure que l'assurance-chômage !
4) Un informaticien séropositif chevronné qui est très porté sur la bagatelle a le virus du sexe !
5) Le jour où lors du festival du cinéma, on parlera de films consacrés au handicap et aux vilains petits canards, on l'appellera le festival de cannes !
6) Si Emmanuel Macron fait une énième réforme des impôts, pour connaître la source de son info, on lui prélèvera un peu de ses neurones !
7) A force de regarder Laurent Ruquier tard le samedi soir, on n'est pas couchés !
8) Comme Michel Drucker est intouchable sur France 2, qu'il n'a pas été victime du nettoyage de printemps et qu'il va rempiler à la rentrée prochaine le dimanche, il pourrait renommer ses émissions vivement dix manches à balais et vivement dix manches à balais prochains !
9) Il manque du personnel dans les hôpitaux car c'est l'hôpital qui se fout de la charité !
10) Si Coluche était encore en vie, mon Dieu, il n'aimerait pas qu'on en parle !
11) Si Gainsbourg était encore en vie, il en fumerait tout le monde en les mettant tous sur le grill !
12) Gainsbourg qui parle d'argent en rigolant fait un billet d'humour !
13) Si Le PSG ne fait pas preuve de fair-play lors du mercato, Le Paris sera perdu !
14) Les vendeurs dans les cinémas qui nous vendent chers les places en nous disant que c'est pour la qualité des films nous embobinent !
15) Georges Brassens a cassé sa pipe lorsqu'il est mort !
16) Un barbecue électrique qui ne marche pas, brûle en explosant et fait un four, échec et mats !
17) Les Français sont égoïstes car ils y voient leur intérêt !
18) Y a de plus en plus de SDF en France comme L'Etat ne fait pas son travail en étant dans cet état !
19) Un vieux moderne qui fait le ramadan jeûne avec des adolescents !
20) Le pétrole se fait rare en France car en France notre essence, ce sont nos idées !
21) Johnny Hallyday, on connaît la chanson comme il allume le feu en enfer !
22) Une mer très sereine est un océan Pacifique !
23) EDF et ENGIE nous mettent bien au courant de la hausse des prix !
24) Un patron qui oeuvre très bien dans son travail est un chef-d'oeuvre !
25) Comme je prends maintenant mes vacances, je prends congé de vous !
Jérôme de Mars
Gomme les nuages !
Nectar d'arômes
Survolent des drones
Dans le ciel amazone,
Mystères et bulles de gommes
Car gomme les nuages !
Pour que pleuvent les images
Des bonbons
Casse-bonbons,
Qui flamboient l'état roi
Du ciel sauvage
Amiral de ses parois,
Qui abreuvent l'arc en ciel
De couleurs variées de dentelle,
Car gomme les nuages !
Pour que le ciel s'évade en dérobade
Sur le qui-vive en ballade,
Avec les étincelles en essorage
Qui essuie cependant bien des tempêtes,
En rafale de vent qui râle à tue-tête
De savoir le pourquoi du comment,
Qui subit un affront de rébellion no comment
Dans le naufrage de l'effet papillon,
Comme on survole les saisons en chansons
Entre deux nuances et errances,
A imaginer quelles sont les manigances
D'une gomme qui met toute la gomme,
Car gomme les nuages !
Avec l'aide des crayons indolores
Qui colorent en folklore,
Tous les éléments hétéroclites en abreuvage
Du fleuve tranquille de l'eau séminale
Au liquide original,
Dans la chaleur des temps contraires
En variantes de soleil groseille et de pluie tonnerre,
Qui vocifère sa colère
A Lucifer mais souffle un nouvel air
D'hymne à la joie plénière,
Car en avant-première
Au moment du démarrage,
Gomme les nuages !
Jérôme de Mars
Et les gants !
Gants
De velours,
C'est du lourd
Et les gants
Epais
Avec une épée
De Damoclès
Au-dessus de la tête obèse,
Quand on prend
Des gants élégants,
Et qu'on méprend
Des gants
Et les gants,
Pulsés d'un toboggan
Qui descend élégants
Et les gants
En latex
Effrités avec leurs ex,
Qui viennent d'un gang
Effet boomerang,
Qui provient du dernier rang
D'orangs-outans
Dégoûtant d'Oran
Qui tanguent,
Avec lesquels
On prend
Des gants
Elégants,
Et desquels
On reprend
Des gants
Et les gants
En cuir
De durs à cuire,
Revenant
Parmi les revenants
Du cinquième élément
Elégant,
Avec lesquels
On prend
Des gants
Et les gants !
Jérôme de Mars
La colère est l'amère de tous Levi's
Ciel de colère nuage gris,
Jean's pantalons troués
Et marcher dans la boue
Démarche vers l'inconnu,
Qui relève les attributs
D'un homme doux qui cherche Le Pérou
Dans sa forêt vierge immaculée ébahie,
Comme la colère est l'amère de tous Levi's
Qui vise l'essentiel et révise La Tour de Pise
Comme Venise est le calme des eaux torrides,
Entre amour et romantisme à l'eau de prose limpide
D'un lâcher prise surprise de risque
Jusqu'à L'Obélisque à Paris de son ménisque,
A qui ça fait une belle jambe à l'entrejambe ! qui campe
Sur ses positions des poissons des mers d'hippocampe,
Comme la colère est l'amère de tous Levi's
A Paris qui dévisse la coupe pleine d'une brise
De vent en prenant le pouls jean's pantalons troués,
Avec la marque du maillot qui mouille le maillot
Et se refait le maillot à Porte Maillot,
Floqué, choqué, entrechoqué et bariolé
Par des caractères concis et munis
De lettres mortes fines lettrées en raccourcis,
Comme la colère est l'amère de tous Levi's
Qui vise la juste étincelle d'une épaule démise
Sur laquelle on s'épaule mise et remise substantielles
En fermant les prunelles,
Comme une hirondelle survole les tourterelles
Au pluriel essentiel, car fontaine de Trévise
On te dépucelle !
Jérôme de Mars
Vers d'o
Rendez-vous au café parigot
Du bar à-tire-larigot,
D'où l'on se barre aussitôt idiot
Après s'être fait servir des vers d'o
Qu'on paya réglos
Au comptoir des barjots,
Dans un méli-mélo imbroglio
Entre cigarillos et bédos,
Comme ce n'est pas beau
De regarder dans le rétro
Synchrone assis sur l'escabeau,
Où il vaut mieux boire des verres d'eau
Que l'on écrit en déboires de vers d'o,
Après les revers bobos
Qui nous amènent vers le chaos,
Quand on rédige ses mémos
Avec des mots de lettres corbeaux
Et de renards en corps beaux,
D'où l'on tire son credo
En allant vers le haut,
Car après le caniveau
Qui découle à-vau-l'eau
Vers les trémolos,
Nous voici de retour au niveau
Qui coule d'une poésie eldorado
Entre potos et frérots,
D'où roucoulent grosso modo
Les mots amicaux,
Que l'on grossit et vend en gros
Vers ces vers d'o
D'un service-après-vente,
D'où l'on est réglos
Aussi tôt !
Jérôme de Mars
Dès potron-minet
Dès l'aube
Qui se dérobe,
Aux aurores
Avec Aurore,
De bon matin
On chante malin
Les vertus dès potron-minet,
A la lueur
Et en sueur
Des mâtinées qui déminaient
Les chats et les minets
Qui ne minaient,
Mais mine de rien
Fredonnaient dès potron-minet
Tout leur miaulement
Et leur ronronnement,
En clair près de la fontaine
Qui jaillit du bas-de-laine,
En tenant en haleine leur volupté
Au bon coin
Tranquille dès potron-minet,
Qui sort ses griffes avec les petits minets
Qui se réchauffent
En tour de chauffe,
Dans un feu agréable aux abords
De la cheminée qui a acheminé
De revirer de bord
Dès potron-minet,
Qui débordait d'idées boute-en-train
A faire détourner en bourriques
Les têtes d'ânes en buvant
Et en s'enivrant
De chauds vins,
Dans des barriques
De vieux Français chauvins
Dès potron-minet,
Qui soûla en musique
Le pochtron-minet
Qui a déminé
Les paroles émises fokloriques
De bon matin,
Comme Tristan
Le chantait
Depuis les années 80,
Car mine de rien !
On tient enfin le refrain
Dès potron-minet !
Jérôme de Mars
L'an vers d'orage
Passion de contemplation,
Il n'y a point d'hallucinations !
De projeter son vécu
Dans l'alliénation du substitut
De l'institut de bonté,
Avec un grain de bonté
Influencé par les conteurs de futilité,
Rabotée par des gouttes de pluie
Qui essuient les sanglots du dépit,
Esseulé en substances
Qui est le fruit de l'essence,
D'un monde qui tourne
Et contourne
A l'an vers d'orage,
Qui déverse son averse
Et la reverse
En prières dans le sarcophage,
Où reposent les vestiges du naufrage
Dans l'art esthète de l'image,
Qui jette le duvet de la plume
D'écriture aux ordures que fume
Le calumet de la paix en rimes
Du crime alèse-majesté,
Qui fonde la digue qui prime
Les phrases qui lâchent la bride,
Et les rides qui confondent le bide
Retentissant d'une coulée d'encre,
Sur le paquebot France qui entre
Sur cette ligne rectiligne à l'an vers
D'orage entre fureur et colère
Sur la planète Terre et ses conifères,
Qui sentent le sapin du terre-à-terre
A l'an vers d'orage du rivage
Sur la terre ferme de l'accostage,
Art et images, car v'là l'arrimage !
Sans rétropédalage en appoint sage D'ancrage de l'an vers d'orage,
Point qui s'exclame barrage !
Jérôme de Mars
Responsable de mes actes !
Prêt acte :
Après les accidents mineurs qui font qu'à l'état majeur, je suis devenu majeur, responsable de mes actes à l'état mineur dans un sale état majeur puisque j'écris cette saynète comme passage à l'acte en acte un.
Acte un :
Je passe à l'acte un comme je suis responsable de mes actes dans cette pièce détachée qui n'est du théâtre mais une pièce rapportée dont je rends la monnaie de sa pièce à Monet, comme je ne peux le voir en peinture car c'est ma nature morte de sortir du cadre en faisant mon portrait de travers, vers les revers de mes travers de cet acte un qui se termine en entre acte.
Entre acte :
Pendant l'entre acte, j'imagine l'acte deux de cette pièce manquante du puzzle pour reconstituer le film de ma vie à l'an droit après qu'elle ait été longtemps à l'an vers de rage en passant à l'acte deux devant un public critique avec mon état critique sous les feux de la critique.
Acte deux :
Après l'entre acte, voici l'acte deux comme je suis très critique sur mon état majeur trop critique dû à mes accidents mineurs, d'où mon état mineur change en un état majeur une fois majeur dans un état majeur des lieux mineurs, qui fait que les dégâts après qu'ils furent mineurs, devinrent majeurs à mes 18 ans, cap vers Le Lac Majeur, comme tout tomba à l'eau ! Du fait que la critique me trouva critique dans un et tas majeur à l'état trop critique mineur dû à mon âge majeur très critique.
Prendre acte :
Après mes accidents mineurs, je prends acte que je suis responsable de mes actes à l'âge critique majeur de mon état majeur.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Les Français ne se parlent-ils plus et ne tiennent-ils plus leurs promesses ?
- Parce-que Les Français n'ont plus de parole !
2) Pourquoi Marine Le Pen réussit-elle à réunir autant de Français prêts à voter pour son parti lors des Européennes qui lui garantiraient la victoire durant ces élections ?
- Parce-que c'est le rassemblement national !
3) Pourquoi en fait-on tout un pataquès du ramadan chaque année ?
- Parce-qu'on en fait tout un ramdam !
4) Pourquoi est-je-que je préfère la religion chrétienne à la religion juive ?
- Parce-que Dieudonné ( Dieu donnait )
5) Pourquoi entre Jessica et moi, maintenant, il y a 1 partout ?
- Parce-que comme moi il y a longtemps, Jessica vient de recevoir récemment un coup de point par son ex Stéphane
Jérôme de Mars
Pas de quartier !
Soleil et nuages
De par les images
Sur un fond silencieux,
Les paysages
Et les gens de tout âge
Habitent Paris, la banlieue
Ou la province,
Car pas de quartier !
Qui évince
Les fauteurs de troubles
Qui roupillent avec leurs roubles,
De la roulette Russe
Aux mendiants Roumains
Qui jouent les putains de puritains
Depuis leurs embarcadères Prusses,
Comme le soleil se lève à L'Est
Et que leurs oseilles s'élèvent à lestes
Des pays de L'Est à louer,
Où en France, leur porte-feuille est alloué
De L'AAH au RSA,
Car pas de quartier !
Vue et bévue leurs états
De leurs êtres étrangers,
Etrangers à tout ce qui se passe
Ou se trépasse
En France,
Ce cher pays absorbé
Par l'innocence
Et snobé
Par la délinquance
Parmi ces gens-là
Aux horizons tous azimutés,
Car pas de quartier !
S'ils se font embarquer
Au 36, quai des Orfèvres,
Où ce quartier n'est d'orfèvre,
Mais qui leur parle du bout des lèvres
Dans la fureur et la fièvre,
Alors que l'unique quartier
De leur hétérogène communauté,
C'est Belleville,
Comme une belle ville
En miniature
Dans le noir et blanc
Brute nature,
Qui ne prend de gants
Aussi bien complaisants
Que compatissants,
Car pas de quartier !
Dont certains
Sont de pauvres et simples soupirants,
Aimants ou amants
De leurs homologues Français
Libertins ou coquins,
Dans cette liste d'étrangers enracinés
Ou déracinés
Et de Français bien intégrés,
Car pas de quartier !
Du Quartier Latin
Qui en perd son latin
Au Golden Gate Quartet
Qui a joué
Et parié
Sur le bon quartet,
Car plus de quartier !
Jérôme de Mars
Luc sans filtre
Philtre d'amour
Et litre qui a
Bon cœur
En ne faisant
Qu'un tour,
Il y a
Luc sans filtre
Qui aime
Avec douceur
Des formidables caresses
Qu'il parsème
Avec délicatesse
De par sa longueur
Et sa rigueur,
Enjolivées par la prouesse
Sans filtre
D'une cigarette
Qu'il fume,
Avec les honneurs
De son cœur
En roulement
De tambour,
Qui filtre
Le filtre
A cigarettes
Qui le consume,
Quand le tabac parfume
Sa vie qu'il arbitre
De son libre-arbitre,
Comme Luc sans filtre
Filtre l'appel
De la mort
Qui le chancelle
Au dernier carrefour
De sa vie
Qui tombe
En nuit,
Quand Luc sans filtre
Se filtre
Au philtre
Posthume
Et post-mortem
D'outre-tombe
Dans une minute de silence
Qui filtre
Avec résonance
Sa fin de vie,
Avec la dernière cigarette
Du condamné à mort
Damné con en remords
Qui n'en démord retors
Enfin tout ouï,
De découvrir le paradis
Hardi mi-ciel
Sans clopinettes,
Loin puritain de son paradis
Artificiel
Au ciel
Par ciel
En trompette,
Car à mort
Les problèmes
A perpète,
Et v'là
La bonne distance
D'une prise de conscience
En clarinette,
Comme une foi,
Il est coutume
De porter
A la place de l'enclume
Et de l'amertume,
Une légère plume
D'encre en pièce rapportée,
Des portées
Luc cent philtre d'amour,
Car c'est reparti
Pour un des tours
De la question
En point de conclusion.
Jérôme de Mars
Nanti(e) !
Revers de fortune,
Ici dans ce texte,
Il est question
De vers de tune,
En prenant
Comme prétexte,
Qu'il y a une adéquation
Entre les revers de fortune
Et les vers de tune,
En faisant couler
Beaucoup d'encre
Et découler beaux coups d'ancre,
Avec l'encre d'un stylo bile,
A bile, pas de bile !
Tel un nanti
Ici anéanti,
D'avoir côtoyé
Isabelle Nanty, nantie
Et riche aisée de paroles,
Et niche fiscale de têtes de gondoles,
Qui mènent en bateau
L'eldorado et le joli magot
Nantis
Comme anéantis
Par Isabelle Nanty, nantie
Avec une richesse humaine
Et une opulence hautaine
Convertibles en largesses diluviennes,
Comme ici, la parole est d'argent,
En argent contant,
Et que le silence dore,
Avec l'argent qui dort
A la banque
Sale ta banque,
Comme la parole est d'argent,
En argent
Massif de coups de canifs
Car ici c'est kif kif,
Comme le silence est d'or
En argent liquide
Et en métal d'argent qui liquide
Isabelle Nanty, nantie
Et ici très anéantie
D'avoir été nantie,
Toute sa vie Nanty !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi tout le monde déchante t-il avec moi ?
- Parce-que c'est Jérôme !
2) Que se disent deux testicules qui se disputent ?
- Oh ! Que t'es casse-couille !
3) Comment appelle-t-on une personne qui a une baisse de régime avec son menu hippo au cours d'un repas ?
- Un hippopotame
Jérôme de Mars
C'est Jérôme !
Au Nord de Paris,
Naquit dans les choux
Jérôme,
Ce p'tit bout de choux
Pour la vie,
De la Drôme
De son oncle
Qui prend son envol
A l'aérodrome
En mode avion,
S'il a un furoncle
Poil à gratter,
Excité comme une puce
Et exécuté
En une carte à puce,
Quand il déchante
Car c'est Jérôme
Et qu'il chante
Très à cheval à l'hippodrome,
Car c'est Jérôme
Avec son ami
Guillaume,
Quand il incante
Le coup de fil
A couper l'heure
Qu'il invente
Entre deux angoisses
Sur place,
Quand il déchante
Car c'est Jérôme
Et qu'il réenchante
Les oiseaux,
Avec ses gros mots
En paroles,
Quand il évente
Car c'est Jérôme,
Qui vante
Les coups de cafards
Qu'il a dans son appartement,
Avec des tourments
Pleins les bruits
De couloir
Sans accoudoirs,
Pour se serrer les coudes
Avec ses amis
Au coude à coude,
Qu'il vante
En produits
De comestibles,
Quand Jérôme
Pète les fusibles
Et un câble
Qu'il accable
De sa LIVEBOX ORANGE
Avec son jus d'orange,
Quand il en chante
Car c'est Jérôme
Et qu'il chante
Avec Guillaume,
Son grand ami
La saison
Du jardin fleuri,
Cher à Guillaume,
De par son métier
Et son jardin secret
Qu'il déchante
Au Vélodrome,
Avec ses p'tits vélos
Et bobos,
Car c'est Jérôme
Quand il enchante
Le bal de la vie
Jusqu'au bout
De la nuit
De ce p'tit bout de choux,
Car c'est Jérôme
Dans les choux !
Jérôme de Mars
Des voilées sa véritable nature
Voilez hissez haut
Et fixez le cap ici beau !
Dans une course de voiles,
Qui dévoile
Des bateaux très bateaux,
Lors d'une régate
Qui gâte
Des bateaux qui ont des voilées
Sa véritable nature,
Jetée en armature
Avec des frégates,
Qui ont contrefait la guerre
Sur la mer
Agitée et survoltée,
Avec les marins qui peinent
Marine Le Pen,
Qui arrive à peine
A des voilées sa véritable nature,
Mais a dévoilé sa véritable nature
Avec la mer salée
Et à la note salée qui s'est sucrée
De par ses idées obsolètes dans la devanture,
Avec de drôles aventures
Qu'elle nous a fait vivre
En 2017,
De cinq à set
Et jeu, sept
Et match !
Dont on préfère
La marine originale
Sur La Mer Egée,
Phénoménale et spéciale
Que La Marine Le Pen dégénérée
Et bancale,
Qui nous avale des couleuvres
Avec sa fausse manœuvre,
Garantie à vos risques et périls !
Périls en là tumeurs fébriles
Qui ont des voilées sa véritable nature,
En route pour l'aventure !
Qui a dévoilé sa véritable nature
Pour 2022
V'là nous deux,
Avec au moins
Un jeu d'écriture
Pour masquer Madame Nature,
Dont la véritable nature
A des voilées cap à bord
Jusqu'au Cap Horn à tribord,
Qui revire de bord
Aux abords à bras-le-corps,
Qui ont dévoilé sa véritable nature
En une de couverture,
Signal d'ouverture d'esprit,
Avant la fermeture
De la traversée infinie
D'un splash en splatch,
Car là touché, roucoulé, c'est fini !
Jérôme de Mars
Le ciel éméché
Par une pluie
Grise mine,
Le temps d'aujourd'hui
Dessine un champ de ruines
D'un monde qui saborde
Et qui déborde
De fascicules
Sans scrupules,
Qu'il y ait des désinvoltures
Ou des impostures
Dans ce ciel éméché,
Qui oublie
Le temps d'une ivresse
La détresse
Des âmes fauchées
Et paumées,
Car embaumées
Dans la solitude
Des êtres dépourvus
De plénitude
Dans la cohue
De ce ciel éméché,
Qui envoie une bouteille
A la mère
Pour chercher une oreille
Attentive qui entendra
Sa tristesse
Et sa colère
A ce ciel éméché
Empli de fracas,
Qui triomphe enthousiasmé
Parmi les âmes fauchées
Qui n'y croient guère
A une accalmie
Dans un horizon extraordinaire,
Sinon qu'il y ait conciliabule
Pour vider son sac funambule
Avec des maux exacerbés
De ce ciel éméché,
Qui sent l'hiver
Au froid délétère
Qui fait prendre conscience
Qu'il y a urgence,
A faire un inventaire
De cette vie sur Terre
Qui en a marre du gris
De ce ciel éméché
Et éploré
Dans des poésies
En vers égoïstes
Et tristes,
Alors que s'il y a
Un soleil altruiste,
Il voudrait bien
Que notre chagrin,
On le transforme
Bouche-bée et béats,
En un entrain
Bien loti
D'un joli paradis
Logé dans la bonté
De l'humilité et de l'authenticité,
Qui forment
Un peuple aux abords
De la liesse ressuscitée
Avec aucun remord,
Car loin
Le monde des morts
D'où l'on ressort,
Et en avant
En allant
Dans le monde des vivants,
Si bien
Que le ciel éméché
Renaîtra avec foi
Et joie,
En un soleil généreux
Dans la postérité
D'un pied-à-terre fabuleux
Et bleu des cieux,
Comme des éclats
Par-ci, par-là
En extras
Car et puis voilà !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fera pour l'ex de Jessica, Stéphane qui sera convoqué au tribunal lors d'une audience pour s'expliquer et répondre de ses coups et blessures sur Jessica ?
- Ca fera un procès-verbal pour Stéphane !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que fait un joueur de pétanque qui bande en voyant une belle femme triste toute nue ?
- Il a les boules car il la pointe et la tire !
2) Que fait Mickey quand il éjacule ?
- Mickey mousse !
3) Qu'est-ce-qu'un poil au cul qui démange et qui dérange ?
- Un poil à gratter !
Jérôme de Mars
Refoulé
Depuis le début de ma vie,
Le puits
De mon enfance
S'amenuise dans la déviance,
Où avec les on-dit,
Je dis et ben tant pis,
Quand je suis refoulé
De ce que j'ai nié
D'enfoui,
Quand je m'enfuis
De ma vie
Que je fuis à l'ennui,
Comme elle me consume
Et que je fume
Le calumet
De l'après,
A me souvenir
Refoulé
Du pire
Défoulé
Et à l'avenir
Foulé,
Quand je me foule,
Je me défoule
Et je me refoule
Dans la foule,
Où le mal ouvre
Le mâle en moi qui couvre,
Où je suis enfoui,
Quand je m'enfuis
Refoulé,
Du mal défoulé
Qui m'a foulé
Et refoulé
La cheville encore,
Qui me cheville à bras-le-corps,
Où je médis
Ma vie d'inepties
Et de péripéties,
Qui me dévie
Et m'ennuie
A l'eau-de-vie
D'un haut devis,
Où je suis refoulé
Dans ce que j'enfouis
De défoulé,
Quand je m'enfuis
Foulé
Et refoulé
Dans la foule
Qui me défoule,
Quand je me foule
Et que je me refoule
Pour rentrer dans le moule,
Où je finis
Refoulé.
Jérôme de Mars
Le far Breton
Phare Ouest,
Le soleil se lève
A L'Est,
Dans la sève
Du journal
Ouest-France,
Qui est une chance
D'avoir une population
Originale et normale,
En traditions et en chansons
De La Bretagne,
Et de son far Breton
Qui met en lumière
La campagne
Du Finistère
Au Morbihan,
Quand La Bretagne
Tient les rênes
De la ville de Rennes,
A contre-champ
De campagne,
En racontant des vannes
A Vannes,
Qui est un crime de Lorient
Express à L'Orient,
Qui presse en mangeant
Un Paris-Brest,
Dans un train Paris-Brest
En mettant en lumière,
A Travers
Le far Breton,
La ville de Fougères
Dans l'univers,
Comme on a Quimper
Et la mer
A qui rendre hommage
Aux mages
Désarrois du mirage
Du phare Breton,
Comme c'est du gâteau
A Saint-Malo en faisant du pédalo
Jusqu'à Lanester,
En se pavanant
Dans les marées contrebasses
De Roscoff,
Pour vandaliser le coffre
De la voix de velours,
Comme c'est du lourd
Sans être bas lourd,
De dormir à la belle étoile
De l'auberge Espagnole
De Saint-Brieuc,
En mettant du bleu crémeux
Sur les cieux nuageux
Dans les toiles
De La Bretagne,
Où l'on fait la météo
De la pluie et du beau temps
Autant en emporte l'avant
Jusqu'en Grande Bretagne,
Où les traditions Celtes
Chantonnent sous la pluie
Avec une pléiade de confettis
En hymnes Célestes
Qui lâchent du leste,
Car voilà pour le reste
La lumière du phare Breton
Jusqu'au far Breton
De Lannion,
Dans la communion
Complètement
A L'Ouest
Du phare Ouest,
Comme vivement
A chaque instant,
Les traditions
Et les dictons
Du far Breton,
En érudition
Du plein far Ouest.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Dick Rivers est-il mort après avoir eu une dure carrière ?
- Parce-qu'il était en rock de pierre
2) Pourquoi ne se fait-on pas de films face à la mort de l'acteur Jean-Pierre Marielle ?
- Parce-que là ce n'est plus du cinéma
Jérôme de Mars
La chicorée des matins orangers
Verger de campagne,
Le petit déjeuner lâche sa grappe
De raisin sur la nappe
De la table ornée en argent d'épargne,
Qui sent le bon café chaud
Avec du chocolat cacao
De la chicorée des matins orangers,
Qui volent l'orange du marchand étranger
Dans l'archange du petit jardin Mausolée,
Comme une peinture du buffet rissolé
De la chicorée café soluble
Des matins orangers salubres,
Avec du vin blanc autour du repas
Succulent avec des extras,
D'un meilleur service garanti
En galante compagnie complice sertie,
De couleurs bleues turquoises
Et de roses écarlates sur la note de l'ardoise
De la chicorée des matins orangers,
Avec du vers immodéré de poètes cafés olé
Qui sent le thé camomille qui fourmille
D'idées fertiles en secondes qui frétillent
D'un soleil au loin libertin,
Qui fricote avec la lune d'un 'r coquin
Sur la lavande d'une offrande qui quémande
A la demande à volonté avec des amandes
Honorables à ranger ordonnées, dès la chicorée
Des matins orangers en pointillé.......
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'une femme qui branle son mari jusqu'à l'éjaculation ?
- Elle tient le bon bout
2) Où une femme qui suce mal son mari l'envoie-t-elle ?
- Au casse-pipe
3) Pourquoi Jessica a-t-elle largué son amoureux Asiatique après qu'il lui ait tapé dessus ?
- Parce-que Stéphane, son amoureux Asiatique est un casse-tête chinois !
Jérôme de Mars
Un Navet Maria
Prière d'autrefois,
Hier à Notre-Dame,
Elle n'Ave Maria
Suite au psychodrame
Des brûlures de l'histoire,
Comme c'est dérisoire
Et noir
Ce navet Maria !
En prière
De la colère
Du Bon Dieu,
Face aux SDF
Innombrables qui crament
Les cieux insidieux,
Nébuleux et brumeux,
Comme ce SDF
A Saint-Denis friqué
Et étriqué
Dans son cerveau ramollo,
A parler de football crescendo
Alors que du foot,
On en a rien à foutre,
Comme il n'Avait Maria
Mais Ave mamamia,
Qui en avait plein La Tourista,
Comme d'un navet Maria
Qui n'Ave Maria
A Notre-Dame,
Qui dame
Le pion de l'échiquier,
Echet et maths
Qui ne vous calcule,
Comme vous devez
Compter sur vous
A genoux !
Devant le groupuscule
De la secte qui s'en fout
De tout,
D'un odieux pieux,
Du Bon Dieu,
Comme de son pieu des aïeux,
A rêver athée
D'un meilleur monde à thé,
Dans son salon de thé
A vous servir une tasse,
Et à vous asservir que ce n'est pas
Sa tasse
De thé,
Ce café de capsule
Sans filtre
Qui s'infiltre,
Et infiltre
Sans scrupules,
Les crapules
Du bon Dieu
Pernicieux,
A Notre-Dame
Qui déclame
En un Ave Maria,
Qu'il n'en avait Maria
D'un navet Maria,
Pleine de disgrâce
Grâce
A vous !
Petits filous,
Oh ! mon Dieu
Et quelle hérésie !
Ce navet Maria
En religion d'état
Pas très catholique !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fera si lors du 24 avril, journée de la commémoration du génocide Arménien, on la met en musique ?
- Ca fera la journée déportée musicale !
2) Qu'est-ce-que ça fait un chant religieux qui fait un flop lors d'une messe à Notre-Dame de Paris ?
- Ca fait un navet Maria !
Jérôme de Mars
A Paris
Par une nuit d'hirondelle,
Paris se fait
En un jour d'été,
En tenant la chandelle
De Notre-Dame De Paris,
Avec les prières de la liturgie
Que constitue les trois cloches,
Qui sonnent les matines
Dans ces cantiques
Qui effilochent
Les histoires d'églantines,
Qui font une fleur
Sur la grande place
Du Sacré cœur
Qui édite du cresson,
Car Edith Cresson
Jadis à Matignon,
Avec le piaf
Qui s'envole en chansons
Et qui édite la musique
D'Edith Piaf
D'un Paris en tournée
Dans un banquet,
Qui dessert en épitaphes
Tout Piaf
A tout jamais
A Paris sur La Seine
Du monde entier,
A restituer le renvoi d'ascenseur
De La Tour Eiffel
Dans la volupté
Et la ferveur,
De La Butte Montmartre
Qui dégraisse le tartre
De La Butte Aux Cailles,
Avec vous, mes chères cailles
Qui luttent
Et butent
Pour bien vous entendre
Avec vos acouphènes,
En Ménestrel
Pour apprendre
Les tenants
Et les aboutissants
En vigueur
Du temps
Qui passe
A Paris, et
Qui fout
Le camp
A l'autre bout
Des Champs-Elysées,
Dans l'alizé
Du vent
Qui est dans le vent
Au Paris des autochtones,
A utiliser leurs sonotones,
Car ils s'entendent aphones
Au téléphone
Qui sonne occupé
Et qui résonne sans accès
A Paris dans les champs alizés,
Qui cultivent le jardin secret
Des pissenlits
Sur le lit des oliviers,
Qui mettent de l'huile sur le feu
Des pieux
Convertis en ultra excès
A Paris,
Qui allume le feu
De La Place De La Concorde,
Où enfin, tout concorde
Sur La Place du Trocadéro
Accueillie en eldorado,
Comme maintenant,
Les policiers
Et les passants
Contre dansent de Ménilmontant
A l'autre bout des champs
D'antan Yves Montand
Pour fort longtemps,
D'au Paris qui s'est fait
En un jour
D'été,
Et qui s'élève désormais
Par amour,
Dans la communion
Et l'union sacrée
D'un mariage d'oraison
A toutes les saisons
Des Français aimés,
En grande majuscule
Au crépuscule
D'au Paris
De la destinée achevée.
Jérôme de Mars
Crayon de soleil
Effeuillages de nuages
Il fait beau !
Comme des coquelicots
Sur le ciel
Volage et sauvage en ramages,
Tel un crayon de soleil
De maquillage
Dans son mascara
Avenue des nuages,
Embaumés d'un fond de teint
Qui parfume les horizons lointains
D'un rayon de soleil,
Au goût de miel
Qui esquisse d'un iota,
Le Delta de L'Alpha
De L'Oméga,
Qui grise d'un éclat
Ce rideau d'étincelles,
Qui surgit
De ce crayon de soleil
Dans son pelage
A la folie,
Qui irradie
De sa bonne mine
Le ciel bleu vermeil,
Enfoui dans sa routine
Et qui butine
En un rayon de soleil
Qui ruisselle
De métaphores
Brûlant de fièvre,
Comme un bec de lièvre
D'un folklore ,
Animal et végétal
De la faune et la flore,
Qui flânent idéales
A la couleur
Des rougeurs
D'un crayon de soleil,
Epris d'un rayon de soleil
Pour colorier pâle
Les tracas du ciel,
Partagé entre le sel
Sur les plaies et l'appel
A la sérénité dans la chapelle
D'un rayon de soleil,
A attendre que le crayon de soleil
Distribue son remède qui scelle
L'harmonie avec son aquarelle,
D'un rayon de soleil
Avenue des merveilles
Au-delà du ciel !
Jérôme de Mars
Du hasch !
Comme le h Qui se la coulent douce
On fume Dans cette vie sur scène
Du hasch Qui n'est pas un long fleuve
Enfumé Tranquille très shooté au h
Six joints Qui shoote sur le ballon
Ci-joint D'essai pour voir si le h
Par le bédo / de hasch en eaux troubles. / Se dope au hasch haché
Avalé et imbibé Amphétamine C qui soûle
Par un whisky L'éthylotest ivre en prenant
Coca cannabis De la bouteille d'absinthe
De la marijuana Qui est l'héroïne du coke
Ecstasy défoncé Cocaïne d'un rail de shit
Par les drogues douces Mené à un train d'enfer trop
Jérôme de Mars
Trombone jazz blues
Du très fond de la mélancolie,
Quand ça jase des pouvoirs publics
De l'inertie et de la bureaucratie,
Jouons la partition atypique
De la musique pragmatique
Et catégorique
En entonnant du trombone,
Quand on s'en tamponne
Des autos-tamponneuses
Qui sont frileuses,
Quand ça jazze blues
Du trombone frousse
De l'appellation,
Qui s'en tamponne
Des élucubrations,
Qui sonnent
Du saxophone,
Qui sermonne
Le trombone,
Qui agrafe
En signature officielle
Et solennelle,
L'épitaphe qui taffe
Le trombone jazz blues,
Quand ça jase blues
Et que s'émousse
Le trombone,
Qui s'en tamponne
Des autos-tamponneuses
Sirupeuses et sulfureuses,
Quand ça jazze à Orléans
Sur la Nouvelle-Orléans,
Là consonne
En toutes lettres,
Qu'on sonne
Envoyer paître,
Comme c'est là que le jazz
Jase en faisant un bœuf
Dans la case,
Où il ne faut mettre
Un œuf,
Dans le même panier
Panier neuf,
Comme c'est
La teuf
Titeuf !
Du trombone jazz blues
Qui s'en tamponne,
Quand ça jase frimousse !
Jérôme de Mars
En toutes lettres
A La FNAC,
JV
HT
DCD
CD
En K
De prix
BC
De
Chanteurs
DCD
Avec leurs CD,
Car après
Je vais prendre L'R
En me rendant au salon de T
Pour boire un T,
Comme C ma tasse
De T
OT
D'avoir mon BB
De PC,
Pour regarder mes mails
Avant de rejoindre RV
Pour mon RDV
A mon QG,
Et de PT
Ma boîte aux lettres,
Comme je reçois
En toutes lettres
Et que j'en ai AC
Dans ma boite à mails,
D'où ensuite, je vais
Trop PD
Le Q de mon voisin
A HT
Son PQ
A Franprix
Pour CVC,
Car c'est en allant
DC
En essais,
Qu'on écrit un texte
En toutes lettres
AT !
Jérôme de Mars
AIME
e la N en
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m t
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A l
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a
i
e
s
.
Jérôme de Mars
Le vent a besoin de souffler
Flux du parlement,
Les oiseaux migrateurs
Fournissent collaborateurs
La panoplie du beau temps
Boursouflé et essoufflé,
Comme le vent
A besoin de souffler
Par moments d'égarement,
Qu'un petit répit
Lui redonne de l'appétit,
Pour les jolies choses
De ce poème
Totem loin des chrysanthèmes
Boursouflées et essoufflées,
Car à l'eau de rose,
Comme le vent
A besoin de souffler
Qu'il doit prendre une pause,
Avant de repartir gai
Vers le terminus qui défend
Une juste cause,
Quand causent les pies bavardes
Ne sachant quoi évoquer,
Ou bien révoquer
Les corbeaux noirs qui cauchemardent
La famille aux cent soucis,
Qui congédie
Les oiseaux de mauvaise augure,
Comme le vent
A besoin de souffler
Sa posture,
Avec son ricanement
Boursouflé et essoufflé,
Aux sons de la cornemuse
Avec sa muse,
Qui le console
Do ré mi fa sol,
D'une portée musicale
Portée en saisons magistrales,
Comme le vent
Boursouflé et essoufflé
A besoin de souffler
Qu'il chasse la pluie
Avec des confettis,
Pour chanter pour la paix
Car maintenant,
Allons-y !
Dans une accalmie
Et plus si affinités !
Jérôme de Mars
Adam, L'Eve-toi !
Depuis longtemps
Dans la nuit
Des temps,
Adam
Ici
Présent
Rêve D'Eve,
Qui lui dit :
" - Adam, L'Eve-toi ! "
Comme ton parfum D'Eve
T'attend
Pour réaliser ton rêve,
De récolter
La sève
Du soleil qui se lève
A L'Est
Leste,
Car il est ton élève
De toi, donneur de leçons,
Quand tu élèves
Ton écusson,
Pour l'étinceler
A l'unisson,
De quand tu lui dédies
Ta chanson
Du vieil amant
Folichon,
Quand Eve
De son parfum D'Eve
Te dit
En élève :
" - Adam, L'Eve-toi !
- Et croque la pomme de la vie ! "
Pour que toi et moi,
Ma foi,
On se marie
Pour ta pomme d'Api
Jusqu'à l'infini.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait un croque-monsieur et un croque-madame grillés dans un four ?
- Des croque-mort
2) Que restera-t-il de mes poèmes quand je serai mort ?
- Des vers qu'on m'aura tirés du nez
Jérôme de Mars
Tang, ça tangue !
Bateau moteur
A voile et à vapeur
Dans le bateau céleste
Qui s'en déleste,
Ma chine Tang,
Ca tangue !
Avec ta langue
Dans ta poche exsangue
Qui rêve d'esclandre,
Pour comprendre
Tout ce qui fait descendre
Les gens de la rue
Dans ce chahut,
Où il n'y a plus rien à prendre
A part se méprendre
Et entreprendre
Des machines à serrer le vice,
Avec la police
Au derrière
Qui jette les œillères,
Quand ma chine Tang,
Ca tangue !
Avec ta langue
De poche exsangue,
Qui mène le bateau
Sur le quai
A tribord de scène,
Très loin du Monténégro
Qui monte crescendo,
Quand y a de la fièvre
Du bout des lèvres
D'un mécène
Qui a quarante balais,
Pour nettoyer le printemps
Et le revigorer en été
Dans la sérénité
D'un éclat
Permanent et brillant,
Quand ma chine Tang,
Ca ne tangue !
Avec ta langue
Qui n'est en bois,
Comme elle préfère émettre
En boîte
Une nouvelle langue d'acier
Qui ne dégorge exsangue,
Mais qui tangue
Avec toi Tang,
Tant qu'elle boîte
D'aplomb souvent à en démettre
Le point G,
Avec ta langue
A en promettre
Tang,
Qu'elle te tangue !
Jérôme de Mars
Faut que ça aille !
Au travail
Du fond de nos entrailles,
Faut que ça aille
Malgré nos failles
Qui nous tenaillent,
Car heureusement, l'éventail
Au sens large du détail,
Nous taille
Une bouffée d'air frais,
Et nous décharge un bien fou
Qui nous rend très doux
Et nous réjouit au complet,
Quand la famille
Et les amis
Se réunissent conviviaux,
Autour d'un buffet
Très chaud,
Car faut que ça aille
Pour manœuvrer
Le gouvernail
Dans la bonne direction,
En hyper connexion
Et en pleine action,
De sa toute puissance
Dans l'itinérance,
Qui fleure bon
Le coin tranquille,
Dans une ville qui cheville
A bras le corps
Retords aux abords,
Quand faut que ça aille
Même si on est sur la paille
Dans un restaurant courte-paille,
Comme on sait
Vaille qui vaille,
Que les épreuves nous entaillent
Dans un arsenal d'épouvantail,
Qui ravitaille
Les donneurs de leçons,
Qui mordent à l'hameçon
Et en démordent en conclusion,
Qu'il faut que ça aille.
Jérôme de Mars
Hommage à Tante Gisèle
O' grand soir de mon aura,
Je t'adresse toutes mes éloges
Chère Tante Gisèle,
Où je te rends hommage
Car quel dommage
Que tu ne sois plus là,
Pour que je te récite une ode
A ton effigie chère Tante Gisèle
Depuis ta loge,
Car tu brodes
Au paradis des anges fabuleux,
Justes aux cieux à rêver mieux
Avec ta photo belle,
Comme une aquarelle
Qui me rappelle,
Et me ramène à tes souvenirs à la pelle
Chère Tante Gisèle,
Comme de l'or sort de tes prunelles
Avec ton si doux visage,
Qui insuffle un mirage
A réconcilier les nuages,
Avec les images
Du ciel,
Qui inspire le respect
Et la tendresse de la paix,
Où je m'incline avec mon chagrin
De ne plus pouvoir prendre ta main,
Où dorénavant, j'allumerai une cierge
Quand j'irai prier
A l'église de l'eau bénite près de La Sainte-Vierge,
A invoquer le bon Dieu sacré
De mille et une façon sensorielles,
A te pleurer de mes larmes torrentielles
Jusqu'à la résurrection exceptionnelle
Du jour, où l'on se reverra Cher Tante Gisèle,
Juste au ciel pour la vie éternelle.
Jérôme de Mars
En marche dévale de Marne
En démarche
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n marche.
Jérôme de Mars
La folie des rondeurs
D'un temps de candeur
Avec la chandeleur,
En gros,
On achète au grossiste
De sa pâte d'artiste
Des bibelots grosso modo
Qu'il vend en gros,
Et qui tournent en rond
Et rubicond,
De la folie des rondeurs
A la folie des grandeurs,
Décadence nature
Que tousse la roture
De la devanture
D'un magasin,
Même si ce machin
On ne l'a pas en magasin,
Et que quand c'est l'ouverture
Il fait son petit boudin,
Dans la folie des rondeurs
De ces gros boudins,
A manger
Et à démanger
Dans la frénésie des grandeurs,
Ces produits menus tailleurs
En gros,
Dans ces gros grossistes
Qui font sans blanc d'être humanistes,
Alors qu'ils sont égoïstes
Mais quand même altruistes
Loin du soleil triste,
Comme bien sûr
Il y a des plaisirs hédonistes,
A conter des histoires originales
Avec du fond banal
Et une forme loyale,
Comme Ségolène Royale
Dont c'est royal,
D'avoir été la femme atypique
De François Hollande en gros
Dans le monde de l'apolitique,
De cette folie des rondeurs
Qui tourne en rond
Et rubicond
Cette frénésie des grandeurs,
Taillée sur mesure
Avec la fermeture
Et claire grosso modo,
Dans la démo
Des joueurs de pipeau
Ayant le dernier mot,
Dès la fermeture
En magasin
De cette fin journée d'entrain,
Enfin de cette folie des rondeurs
En détournant en rond ces cabotins,
De la frénésie des grandeurs
Grandeur nature
A la poésie d'honneur
Comme hélas, on ferme le magasin
En gros,
Grosso modo !
Jérôme de Mars
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Jérôme de Mars
Les oiseaux volent le ciel
Jardin de parcelle
Muni d'un grain de sel,
Les hirondelles
Bavardes épient
Les pies,
Bécasses qui dépucellent
Les oiseaux qui volent le ciel,
Survolent le soleil
Et envolent l'arc en ciel
Des oiseaux immigrés,
Qui ont émigré au gré
De leur exode rural
Sur fond d'emprise murale,
Qui lézarde
Et regarde
Sur terre les lézards,
Face au cagnard
A implorer le Missel,
Pour que les oiseaux volent le ciel
Aux voleurs universels,
Dès la dérobade
En ballade
Qui évade
La promenade
De leurs secrets de polichinelle,
Que gardent les hirondelles
Qui volent le ciel
Aux oiseaux de mauvais augure,
Vilains et affreux jojos
Sur leur terre de pâture
A contre-nature,
Car ainsi, survolent à tire-d'aile
Qui envolent leurs ailes,
Quand les oiseaux volent le ciel !
Jérôme de Mars
Chacun porte sa croix !
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Alerte SOS, on appelle à l'aide en téléphonant à la Croix-Rouge qui voit rouge
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Jérôme de Mars
Bonjour le soleil et au revoir la pluie !
En ces jours bipolaires
Sur la planète Terre,
Rêvons un peu
Sur les cieux,
Du soleil
Qui réveille
Fraternel et charnel
Nos jours,
Et à qui
L'on dit
Bonjour
Le soleil,
Qui émerveille
La vie sur Terre,
Quand la planète
Est la sœur de son frère
Le soleil brillant,
Qui parle déprimant
De son amie
La pluie,
Qu'il faut éviter
De sa voix de crécelle
En lui disant
A cause de son mauvais temps
Au revoir la pluie,
Car elle file à la voie lactée
De la fraîche mélancolie,
A qui l'on médit
D'exister sans répit,
Mais dont on a bien besoin
Pour arroser les jardins
Mais sur ceux,
Pour les cieux,
On leur dit
Au soleil
Et à la pluie,
Bonjour le soleil
Et au revoir la pluie !
Jérôme de Mars
Conjuguons notre temps sur l'il !
Jeu, la vie est un jeu,
Qui noue, tue
Se voue
Et se dévoue,
Quand les ailes
Se dénouent
A tire-d'ailes
Sur l'il presqu'il,
Où nous conjuguons
Notre temps à toutes les saisons
Sur L'il de notre fort intérieur,
Pour vivre au présent imparfait
Avec le passé trépassé très loin
Derrière nous, où on noue
Pour le futur, quelque chose,
Où l'on se voue
De nous à vous,
Comme se dénoue l'impératif présent
Avec un beau présent,
A vous offrir en guise d'avenir d'un futur
Plus que parfait en terminaison.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-qu'à cause d'un célèbre humoriste controversé, je préfère la religion chrétienne à la religion juive ?
- Parce-que Dieudonné
( Dieu donnait )
Jérôme de Mars
Papier buvard
Boulevard du dessin sur les rues de Paris,
Du cresson avec Edith édite la panoplie
D'un papier buvard, qui crédite de crayons de couleurs,
Toute la série des oiseaux volages qui volent la chaleur
Du soleil, pour s'emmitoufler dans du velours,
Avec les rockeurs de Rocamadour, dans le bourg
D'un petit village de campagne, qui réfléchit la lumière
Du papier buvard, en haut vers le ciel au reflet du miroir inventaire,
Qui émet sa puissance de tessiture et de quintessence,
Et qui esquisse les gestes et les mimiques de Dame excellence,
Qui fait du swing go avec sa Twingo, roulez jeunesse !
Comme on vous apprend sur du papier buvard, le contour d'un océan de tendresse
En s'enivrant d'aventures, au bord d'un lac qui s'étend d'une largesse,
Qui vogue moussaillon sur un courant pacifique, de l'époque des princesses,
Au conte de fées sur du papier buvard, en grattant le ciel avec l'allergie
De l'addiction d'un poète troubadour, qui se soûle à l'absinthe de frénésie,
Qui lui inspire le dessin émotif, sur du papier buvard de l'étendard
A la fanfare, qui joue du tambour et de l'accordéon, en joyeux larrons en foire
En colorant les nuages blêmes, de couleurs arc en ciel pour leur rendre leur gaieté
De l'été, en sirotant une bonne bière, au coin bucolique rue de la paix,
D'un papier buvard qui gratte sa guitare près d'un gratte ciel,
Qui gratte le ciel au pluriel d'hirondelles, comme c'est la saison des ritournelles
Papier buvard, d'où l'on ferme la passerelle, comme ça fait des berges,
Sur scène et que j'ai quarante berges aux berges
Espagnoles, depuis le chant des rossignols,
Qui termine ses paroles, car au revoir la farandole !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-qu'un groupe de juifs déportés et brûlés vifs en Palestine ?
- Une bande que l'on gaza !
2) Que ne voit pas une femme qui se fait prendre par derrière par son mari ?
- Le bout du tunnel !
Jérôme de Mars
Vers ces vers
En vers
Voici ces vers
Vers
Ces vérités
En vers
Sévérités
Vers
Sévères
Versets
Qui ont déversé
Ces vers
Versés
Vers
Ces vérités
Ces vers
En vers
Sévérités
Sévères
Vers
Ces versets
Qui ont des versets
Quatre ces vérités
Pliées en quatre sévérités
Vers
Ces vers
Sévères
En ces vers
Ses
Des versets
Vers.
Jérôme de Mars
D'un côté, il faut en dire, d'un autre côté, il faut pas trop en dire, où est la frontière ?
Avec les à côtés, on ouvre la frontière
Pour souffler notre colère,
En vers qui déversent
Les averses qui traversent
Les mots imbroglio
Dans le chaos rétro,
Comme d'un côté, il faut en dire
Et que d'un autre côté, il faut pas trop en dire
Entre mes dires
Et médire pour souffrir,
Car on se demande où est la frontière ?
Malgré qu'on a de la colère à cracher ses vers
Sur terre même qu'on s'interroge si on dépasse les limites,
Pourvu que l'ermite, on ne l'imite
A se renfermer dans sa sévère personnalité
Entre couacs, cacophonie avec une mauvaise tonalité
Intemporelle et fugace éternelle de cette vie de tendre cruauté,
Avec ces vers de férocité qui traduisent l'atrocité
Avec de la saga cité
Ou dans la saga de ma cité,
Comme d'un côté, il faut en dire
Et que d'un autre côté, il faut pas trop en dire,
Entre mes dires la vérité
Et médire d'insanités
Tout ce que l'on se confie,
Puisque qu'en ce moment, on ne se fie
Et ne suffit
A personne,
Comme une discussion téléphonée qui résonne
Avec un mauvais réseau d'amis
Alors qu'une bonne note au piano, c'est quand on se réconcilie,
Car après la fâcherie
Voici revenus les amis unis
Et soudés
Ressoudés en ayant le bras long rabiboché,
Comme d'un côté, il faut en dire
Et que d'un autre côté, il faut pas trop en dire,
Entre mes dires de sincérité
Et médire de vérité,
Car pour les préserver
Il faut réserver
De la simplicité,
Pour marquer la frontière
Des limites
Sans qu'on l'imite
Les travers de la colère,
Car voici pourquoi on crache ces vers,
Sévères point linéaire.
Jérôme de Mars
En rab
Aujourd'hui, je vais au rade
Mais il est en rad,
Comme il y a du rap
Qui dérape
En rab,
Où je fais des raccourcis
Avec des scies,
Qui scient ma branche
Et qui débranchent
Mes accoutumances,
De la semence
De mon écriture,
En rab
Sans être contre-nature,
Mais avec des majuscules
Qui basculent,
Lorsque je retournerai au rade
Qui ne sera plus en rad,
Où en rab
Je regarderai les baobabs,
En ballade
Raconter des salades,
Composées et ramassées
Avec de la sauce figurée et configurée
En rab,
Où je n'écouterai plus Le Marquis de Sade
Dans la chanson : " Je vais t'aimer " de Michel Sardou
Raconter ses salades
Nature,
Avec beaucoup
De désinvolture
Et de souillure,
Où en rab
J'irai en voiture,
Boire un coup
Au rade
Qui ne sera plus en rad,
Pour vivre de nouvelles aventures
Dans la devanture
De la zone d'ouverture
En rab,
Car comme d'hab
J'en pincerai pour elle
La demoiselle,
Comme un crabe
Singulier d'une tourterelle
Au pluriel d'hirondelles,
D'un jardin pacifique
Admiratif de son art plastique,
En une de couverture
Jusqu'à la fermeture
En rab.
Jérôme de Mars
Périmètre de sécurité
La tête au carré, on prend l'aire de la surface dans un périmètre de sécurité, en
en marge. ayant
très carré, des bons
du mouvement côtés,
et à droite justes
à gauche et
mesure, pas
demi toujours
la de entier et droit centre au rectangulaire dimension cinquième la dans égaux,
Jérôme de Mars
Cigale ou fourmi ?
Au printemps, saison des amours,
Le troubadour
Fourmille avec des fourmis
Dans les jambes
D'idées de l'entre-jambe,
Quand chantent les six gales
Cigales
Aux dépens de la fontaine,
Fontaine, je boirai
Ton eau,
A m'en rincer le cerveau
Pour être fourmi
Qui fourmille d'économies
Aux dépens des six gales,
Qui déchantent les cigales
Après être et avoir été,
Comme s'il n'y avait que le printemps
Pour réparer les amours déçus,
Alors que le mois de Mars a su
Décelé la belle saison des amours affriolants,
Dont la fourmi fourmille d'idées
Après un appel du pied
Aux dépens de la cigale qui a six gales,
Car cigale ou fourmi ?
On fourmille de fourmis
Qui chantent les six gales
A priori égales,
Comme et gale
La fourmi qui fourmille
De cigales !
Jérôme de Mars
Tout le temps
A l'ombre de la lumière,
Le soleil se couche
Et est sur la touche,
Pour laisser la lune
Dans la lune
Et être au clair de sa lumière,
Tout le temps
Du temps météo
A l'instant météore,
Que met en musique
Le folklore
Dynamique et rythmique,
Quand y a des nuages à l'horizon
Qui sont bougons,
Lorsque le vent chasse la pluie
Et chantonne tout le temps,
Dès que le temps universel
Verse son grain de sel
De grêlons,
Avec ses giboulées
Des eux en neige,
Qui glissent sur la luge
Des neiges éternelles
Dans un vent,
Qui jette le vent
En tremblement de Terre
Sur l'échelle de Richter
Tout le temps,
Quand d'au temps
Autant en porte le vent
D'un cataclysme
En raz-de-marée
A vie de tempête,
Qui saccade
Le typhon
Et la tornade,
Qu'il brade
En vent de tramontane
En en faisant toute une montagne
Tout le temps,
Qu'il détend
En soulevant des montagnes
D'un soleil azur,
Avec un joli ciel bleu
Qui crayonne l'arc en ciel
D'une multitude de couleurs,
Au fard d'un fond de teint
Pluriculturel et multiculturel ,
Qui embrasse les nuages tout blancs
Et récalcitrants
De l'oiseau de toutes les couleurs
Qui influe l'arc en ciel,
Avec la parade et le charme amoureux
Qui broient du noir pendant la nuit,
Tout le temps
Durant fort longtemps
Avec beaucoup de fureur,
Sauf que si le soleil sourit,
Le bonheur d'ailleurs
Resurgit groggy
Et aimant d'une pléiade d'ardeur,
Dont les rayons x
Projettent l'éclipse en un
Du soleil et de la lune,
A l'un
Et à l'une,
Tout le temps
Pour fort longtemps,
D'OTAN
En emporte la paix.
Jérôme de Mars
Statut de la liberté
Au café de L'Amérique dans tous ses états,
La culture se vit dans l'écriture ancienne
Et moderne du statut de la liberté pérenne,
Qui enseigne l'art d'esthète dans le tas
Et a le bras long pour avancer dans l'excellence
De la conquête qui regarde avec curiosité la mouvance,
Du statut de la liberté chèrement acquise
Dans l'esquisse, où l'on en fait tout un dessin
Aux thèmes fédérateurs dans le dessein,
De la compagnie exquise qui épuise
Les renards rusés et malins confinés
Dans leur statut de la liberté agrée,
Où l'on a le choix entre le thé du Maghreb et le café
D'Amérique de L'oncle Sam et de L'Oncle Tom
Au statut de la liberté qui se raconte dans un livre en deux tomes,
Où l'on a rien sans rien mais qu'en buvant des paroles de saga cité
On est mieux armés pour rebondir avec répartie
Dans des jeux de mots en totale péripétie,
Comme l'on se porte davantage en adultes responsables
Lorsqu'on se comporte dans une attitude irréprochable,
Du statut de la liberté
A La Statue De La Liberté
Place de la république encensée,
Car grâce aux services publics sacrés
Nous revoilà avec nos idéaux
Pour bientôt de sitôt !
Jérôme de Mars
Peux-tu me ramener un ver Serge ?
Serge, je t'écris
Cette poésie,
Où je te demande
Et je te quémande
Dans la loi de l'offre
Et de la demande,
Si en offrande
De ton coffre,
Tu peux me ramener
Un ver de l'amitié
Et de la liberté,
A trinquer
En toute simplicité
Au vieux bistrot
Des bons potos,
Pour y exprimer
Mon entière colère
Mais également l'itinéraire,
D'où j'en tire de la matière
En m'enivrant
Dans le boucan
De cette vie réfractaire
Et délétère,
Où Serge, je t'implore
De me ramener
Un ver fort
Et un ver cor
Du Vercors,
Même si j'ai tort
D'avoir une pléthore retords,
Au nom de la vérité
Qui explique mes regrets
Et mes remords,
Où j'ai besoin
D'un ver
Deux poèmes,
Pour y retracer
Mon portrait craché
De bohème,
Comme il faut
Toujours voir
Dans le miroir
Le ver d'eau
A moitié plein,
Que ce soit
Un ver à soi
Ou un ver de contact,
Avec un pacte
A honorer
Et à respecter
Avant l'entre acte
Du passage à l'acte
De mes traits mollos,
Avec des cernes
Sur mes yeux ternes
Et subalternes
En déclenchant la lanterne
Rouge où Serge, je t'en supplie
De me ramener
Un ver gratuit,
Ecolo et réglo
Comme pour un apéro,
Où après avoir tant payé l'addition
Du je de cette erreur,
Je n'aurai plus peur
De profiter de l'opportunité
De prouver
Ma réhabilitation,
Après une citation
A l'aime racaille,
Où le jour où Serge, je n'exigerai
Plus jamais
Un ver
De ta part,
C'est que j'aurai vraiment retrouvé
La lumière
Et déniché
Des réponses à mes questions,
A boire
Au bar du rempart,
Où pour te remercier
Cher Serge, je t'apporterai
Le ver de l'inspiration
A consommer
Sans modération,
Au nom du ver
De la fin littéraire
Qui justifie les moyens linéaires
De l'inauguration,
D'où je te tirerai
Tout mon chapeau
Et te dédierai
Avec mon drapeau,
Mon vénérable salut,
Cher moussaillon,
Depuis mon bateau imaginaire
Jusqu'au Port Salut !
Jérôme de Mars
Petit clair de lune qui emmène le soleil
Complètement à L'Ouest,
Soleil, lève-toi à L'Est !
Et ne sois pas dans la lune
Leste !
Du lever
Au coucher,
Sauf quand tu dors
Avec la lune qui te dore
O' Soleil et qui te jette ses rayons x,
Quand l'une est dans la lune
Du soleil lunatique,
Qui projette ses rayons
Au petit clair de lune,
Qui emmène le soleil
Qui éclipse à L'Est
La lune romantique leste
Complètement à L'Ouest,
O' toi soleil du phare Ouest !
Qui te couche avec la lune
Au Far West
Et dore
Dans une éclipse qui dort,
Petit clair de lune
Qui emmène le soleil
De L'Ouest à Leste.
Jérôme de Mars
Poème d'un troubadour trouble-fête !
A l'âge mur de raison soit-disant la quarantaine,
Mon âme est comme un assortiment au bord
De la dérive qui change souvent de bord au rebord
De ce poème d'un troubadour trouble-fête,
Qui n'a qu'en tête
La fin de séjour sur cette planète bien trop lointaine,
A mes yeux implacables qui pleurent ma défunte mère
En ne sachant à qui jeter une bouteille à la mère
Pleine dans l'ivresse de son absence épurée,
Car je le répète et le martèle en tête,
Comme Charles Martel qui tête
La fête de tous les seins, car je crie et purée
D'un poète troubadour trouble-fête
Dont ce n'est pas tous les jours la fête,
Mais en fait des remords et des regrets quotidiens
De ne pas avoir garder ma mère auprès de moi
Sans se vouer à son sein,
D'où mon manque de foi comme il fait froid
Dehors à me casser par terre la figure
Qu'on figure à Jérôme sa forme miniature,
En étant sur l'étang à passer du contretemps
En attendant dans un instant que je tends
Le fusil à bout portant en me tirant dessus,
Comme un homme brisé par la destinée fourbue
De la protection étouffante et protectrice d'une mère
Qui pensait bien faire mais qu'en fait, m'a trop couvé,
Depuis qu'un neuf jour le jour de sa disparition
Elle m'a semé le trouble d'où mon insurrection
A reproduire le mâle certes pas nécessaire,
Mais dont elle m'a pourtant et bien longtemps décompensé
Mon intégrité en intégralité,
Donc ainsi pour oublier cette dure réalité,
Faisons la fête entre troubadours,
N'est-ce-pas Serge , pour que je te serve le ver
De l'amitié et de la fraternité avec une bonne bouteille
De vain blanc, mais assez rempli de bulles qui pétillent,
En prenant de l'âge avec de la bouteille qui réveille
Le noir qui s'éclaire par la couleur de l'amour,
Et des vrais amis,
Ainsi que la famille
Pour terminer en poète troubadour
Da la fête,
Qui finit en guinguettes
De vers bien arrosés et corsaires
Chers troubadours,
D'où je vous salue
Sur La Terre absolue
Qui brille
De mille vertus,
En vertu de mon salut
Et en route pour l'inconnue !
Jérôme de Mars
Pas de nuages à l'horizon !
Aux aurores
Après que le crépuscule
Dort, il jette un brillant sort
Au soleil,
Bleu ciel délicieux
Couleur groseille,
Pour qu'il se hisse
Et gravite
Le zénith,
Qui bouscule
Les idées reçues,
Qui s'immiscent
Dans la rue,
En chantant pour les cigales
Un récital de fringales
De concerts de louanges,
Qui s'arrangent
Vers le balcon,
Où il n'y a pas de nuages
A l'horizon,
Version ramages
Des oiseaux qui nourrissent
Leurs petits de vers,
De poèmes sur la terre entière
Qui frémit de mille feux,
Comme aucune histoire
N'est contée dans le hangar,
Empli de vieux souvenirs
Et d'anciennes légendes,
Qui rendent
Hommage aux désirs
Du ciel amant du soleil,
Qui scintille
Volage dans des voyages,
En trompe-l’œil qui se faufile
En se prémunissant sage,
Aux rayons puissants qui fourmillent
Les pupilles des prunelles,
De vers de lentilles
De contact, où il n'y a pas de nuages
A l'horizon,
Parmi toutes les saisons
Désopilantes qui illustrent en images,
Ce que vaut un bleu clair
Dans le ciel communautaire,
Dont on a besoin en bouffée d'oxygène
Dans ce monde anxiogène,
A différents lieux
De son environnement précieux,
Où désormais il n'y aura
Plus de nuages
A l'horizon,
Comme il faut savoir garder raison
Au sillon de l'étage,
De l'humanité
Et de la sérénité
Pas appât
D'un poème sans histoires,
Car rendez-vous bientôt au comptoir
Abreuvoir de belles histoires !
Jérôme de Mars
Je prends ma prose !
En mode pause,
Je prends ma prose
En tout état de causes,
Pour raconter des choses
Qui ne riment à rien,
Mais triment en eaux
De boudin,
Avec de vilains
Trémolos très molos
Qui balancent des gros mots,
Comme je prends ma prose
Pour passer de la sinistrose
A la métamorphose,
De jeux de calembours très malins
Qui restent défunts
Par des fins de vie à mères au plus loin,
Comme je prends ma prose
Et que je dépose
Des roses
Au destin qui tangue en zone de turbulences,
Avec les intempéries qu bousculent les circonstances
Atténuantes qui choquent les âmes sensibles,
Pour s'abstenir de cracher de ses mots de gorge
Toute la lassitude de la solitude horribles,
Qui regorgent et forgent
Les lettres aux grands caractères
Qui demeurent de fétiches partenaires,
Comme je prends ma prose
Et que j'en dispose,
Comme je vous je le jure
Et que j'en conjure,
Qu'on jure
En injure,
Que c'est bien
Ici con jure,
Que je prends ma prose
Jusqu'à ce qu'on me propose,
De passer le flambeau de la prose
A celui ou à celle qui sera en osmose
Avec moi, en mode andropause
Depuis le cosmos.
Jérôme de Mars
La pluie qui tombe sur le jardin
Dans un matin d'hiver
De froid polaire,
Le chagrin ample
Coule des larmes qui contemplent
La pluie qui tombe sur le jardin,
A attendre son soleil lointain
Friand de glaciers,
Qui gèlent les rosiers
Et qui jalonnent
Avec les anémones,
La pluie qui tombe sur le jardin
Avec une lettre d'amour
En quête d'un aller-retour,
De mots cultivateurs
De bien,
A apaiser
Les trémolos,
Avec des sanglots
Dans la voix
Usée et consumée,
Par les choix
D'une vie avec son chemin
De croix,
Quand il y a la pluie qui tombe sur le jardin
A vouloir
Et à s'émouvoir,
Qu'un copain
L'aide à calmer
Son chagrin
Semé par le train
Train quotidien,
Mais en tout bien
Tout honneur,
Gardons notre chaleur
Avec la main
Sur le cœur,
Pour bâtir l'ouvrage
Du courage
Avec la pluie qui tombe sur le jardin
Pour finir en alex sans grains.
Jérôme de Mars
Quand ça jase manouche !
Vase éclos,
On ouvre tôt
La musique louche
De la pure souche,
Quand ça jase manouche
Avec les métiers de bouche,
Bouche-bée
D'un conte de fées
Décousu semblant,
A l'ourlet hurlé
Cousu de fil blanc,
Quand ça jase manouche
Entre cuillères à louches
Qui débouchent
Sur de la musique ,
Qui retentit métaphysique
Avec des rythmes Américains
Et du tempo Africain,
Teintés de cymbales
Et de timbales
Menées tambour battant,
Quand ça jase manouche
Haletant et palpitant
Entre les gars louches
Et les cuillères louches
En argent,
Comme l'argent
N'a pas d'odeurs,
Mais contribue
Au bonheur
De la souche,
Quand les saintes-nitouches
Restent sur la touche
Et que plus
Rien ne bouche,
De la souche louche
A la louche louche,
Quand ça jase manouche !
Jérôme de Mars
Croquer la vie à pleines dents
Pomme d'Adam
Pendant ce temps,
Il faut croquer
La vie à pleines dents
Tout croc en crochets,
Décrochés autant
En emporte l'avent
Lors de la trêve de Noël,
Avec les étrennes
Qui offrent des fenêtres
Ouvertes persiennes
Dans l'être et le par être,
Comme il faut croquer
La vie à pleines dents
Pour sa pomme d'aidant,
Qu'on parcelle
De lamelles
Dans la fête d'être un modèle,
Quand on croque la pomme d'api
Pour sa pomme de vie
Et qu'on mange en plat rassasié,
Comme il faut croquer
La vie à pleines dents,
D'avant et maintenant
En prenant la vie
Du bon côté,
Avec un joli appétit
D'hier, d'aujourd'hui
Et demain,
Où pour ne plus s'en faire
Il faut croire boute en train,
A un idéal d'existence dans le festin
D'une charmante chaumière,
Qui respire prospère
Des lendemains
Extraordinaires et clairs,
Où il faut croquer
La vie à pleines dents
En prenant l'air,
D'un air décidé et déterminé
A pas d'r,
D'un roulement
Et d'un claquement
De phalanges,
En vents d'ange
D'auparavant,
Car en ce moment,
Il faut croquer
La vie à pleines dents
Jusqu'à la pomme D'Adam,
Pour sa pomme d'aidant.
Jérôme de Mars
Pour 2019
Ca y est 2018
Se termine,
Car bientôt
Il y aura le réveillon,
Jusqu'aux oreillons
Dans la terrine,
Pour oublier cette année
Maudite et surannée,
Dans les messes basses
A contrebasse
Non-dite,
Où l'on veut pour 2019
Une année de paix
Et de fraternité,
Dans un monde neuf
Et moins veuf,
Où ce sera la teuf
Et l'amour à la reconquête
Dont La France est en quête,
Pour que la joie miniature
Devienne un grand espace
De villégiature,
Sur la surface
De La Terre
Des êtres humains dans l'univers,
Et qu'enfin 2018
On l'oublie vite,
Comme en 2019
Ce sera je l'espère,
Dans le ciel et l'hémisphère
Un monde refait à neuf,
Car il ne sera pas trop tôt
De crier que c'est la teuf
Pour 2019.
Jérôme de Mars
Mots homonymes d'un anonyme
Bonjour, ça va moins bien
Dans les va et vient,
Quand l'échafaud
Me griffe,
Et que les chats faux
Me dégriffent
Dans les procédures,
Qui finissent en procès durs
D'un alcoolique anonyme
Qui a la colique homonyme,
Et qui est un crack
En prenant du crack qui craque
En prenant de l'héroïne,
Et en s'éprenant de l'héroïne
De ces mots homonymes,
Et d'émaux anonymes
Qui vous voient,
Vouvoient,
Qui tuent toi
Et tutoient,
En marchant
De mille et une pattes,
Et en démarchant
Mille et une qui appâtent,
L'hameçon
Qui retient ma leçon,
Quand un con plaisant
Est complaisant,
De faire semblant
Sans blanc de fer,
Jeune blanc bec
Qui jeûne bec blanc,
Et qui m'amuse bégueule
Avec mon amuse-gueule,
Un porc ex porc
De mon import-export,
Et qui par mégarde fou
Me regarde par mes gardes-fous
De la gare ,
Où il se demande où se gare
Ma voiture au garde-à-vous,
Car gare-à-vous
De mon auto-mobile
Aux taux mobiles,
Pour savoir si on peut boire
Avec mes pourboires de déboires,
Avant qu'il ne soit trop tard
Avec ma tare trop soi
De ces mots qui ne prennent des gants,
Et les gants s'ils sont élégants
A fable
De la fontaine qui découle affable
Des gens de la fontaine,
Qui dégustent
Le clown auguste
Et le clown blanc,
Qui voit rouge
Et qui boit son blanc,
Quand tout ce bazar
Appelle le big bazar
De Michel Fugain,
Pour foutre le bazar
Du bric à brac de Michel Audiard
En tout et pour rien,
Par le plus pur des hasards
Avec Thierry Hazard
Qui chante hagard,
De ses mots homonymes
De la part d'un anonyme,
Par Jérôme De Mars
De la planète 2 mars.
Jérôme de Mars
Une nouvelle année
Fin d'année,
Pour passer
De bonnes fêtes,
On oublie les échecs
Et les défaites,
Pour aller
En quête
D'un nec
Plus ultra,
En passant
Un réveillon chouette
Là et maintenant,
Car un réveillon réussi
C'est un réveillon qui ne sent
Pas le sapin,
Et qui n'a pas les boules
De ne pas s'enguirlander
Maboule,
En pleurant
Et en regrettant
De n'avoir été
Qu'un pantin,
Alors que les fêtes
De fin d'année
Ce n'est pas de passer,
De bonnes fêtes
De fin damnée
Et un bon début damné,
Mais de passer
Dans la frénésie,
La réciprocité,
La sérénité et l'amitié
De bonnes fêtes fin d'année
Pour un bon début d'année,
Dans la paix et la fraternité
D'une nouvelle année.
Jérôme de Mars
Fait maison
Artisanal et original,
Mon art effet maison
Avec toute ma raison
De ces paysages,
Qui reflètent ma page
Avec du panache,
Qui file Indienne
Avec Les Appaches
Qui rentrent de l'attelage,
En se tuant à la tâche
Avec mon art qui effet maison,
Et qui avance comme une chanson,
Entre rimes, proses et phrases musicales
Qui tanguent et chavirent,
Comme le navire
Qui vire frontal,
Hirsute qui dérive
Sur les côtes furtives
Et captives,
De mon art qui effet maison
Et qui pose en question,
De quel effet alpha oméga
Sur la même longueur d'ondes,
On sonde
Ce petit bijou en carats
Etc etc,
Qui est fait maison
Et effet inclinaison,
De pourquoi Le Stade Vélodrome
Est à ce stade comme Jérôme,
Au stade très critique
Et assez avancé sarcastique
De mon d'art effet maison,
Qui est dard est fait maison
Rural et principal,
Sur lequel je fais la conclusion
Enclin d’œil,
De cette feuille
De roses où je tire ma révérence,
Car voilà la différence
De ce poème effet maison
Qui est fait maison,
Mais sur du brouillon
Point final.
Jérôme de Mars
L'amour ouvre son cœur
Le matin de bonheur
Enjoué de splendeur,
Le soleil
Distribue avec chaleur,
Des rayons aguicheurs
D'une ribambelle
De belles demoiselles,
Qui tournent
La tête
De la planète,
Qui ne tourne
Plus rond
Sous l'ivresse
Et la liesse
Du ciel rubicond,
Dès que l'amour
Ouvre son cœur
Avec les hauts parleurs
En roulement de tambour,
Qui chantent
Des grandes paroles
Et les incantent
En longues banderoles,
Pour que le musée du Louvre,
L'ouvre
En pesant ses mots
Avec douceur,
Et en donnant des tableaux
D'honneur,
Dès que l'amour
Ouvre son cœur
En faisant la cour,
Et l'embrasse avec fraîcheur
Dans l'ardeur
Des flammes
Qui brûlent de romantisme,
Et pénètrent intimes l'égoïsme
Des hommes et des femmes,
Qui font l'amour
Depuis naguère,
Comme ils ont une sacrée
Pêche d'enfer,
D'en faire
A l'excès
Tout un compte à rebours,
Dès que l'amour
Ouvre son cœur
Et l'apprend dans le four
Par cœur,
D'un cœur de pierre
A l'édifice
Sans artifice
De misère,
Dont l'espace suspend
Le versement
Du temps
Dans le sablier s'amenuisant,
Qui déverse son miel
Autour des abeilles,
Qui tournent
Avec pudeur,
Les sacrements,
Les sentiments
Et les leçons
De l'amour
Plusieurs fois par jour
Avec fusion,
Dès que l'amour
Ouvre son cœur
Et réchauffe la tiédeur,
Qui la retourne
En rêve songeur,
En grimant le troubadour
D'il était une fois le bonheur
Sans détour,
Dès que l'amour
Ouvre son cœur.
Jérôme de Mars
Les paysages montrent leur véritable nature
Fenêtres ouvertes vers les images,
Le vent envoie son signal en adage
Des différents éléments qui vivent l'aventure,
Lorsque les paysages montrent leur véritable nature
Décomplexée mais sincère en s'éprenant de la misère
De l'hiver pour le modifier en une saison populaire,
Qui attise le soleil découvreur de jeunes talents
Dont l'arc en ciel décoche sa flèche de jeune prince charmant,
Pour avoir du répondant vis à vis du ciel souverain
Qui marche en croisade avec son bâton de pèlerin
Qui saura lui confesser son passé de pluie diluvienne,
Mais que le tout-puissant saura ordonner en éclaircie de la sienne
Quand la rose des vents commande un inventaire,
En zone de couverture
Quand tout est matière,
Lorsque les paysages montrent leur véritable nature,
Nature forte qui triomphe des intempéries tumultueuses
Qui voudraient que la terre des jardins soit la naufrageuse,
D'un lendemain de déluge alors que l'hiver fait de la luge
Sur les montagnes enneigées que le chasse-neige
Débraie en dénichant la perle rare de l'endroit refuge,
Dès que le mistral jette un vent qui efface les traces du glaive
Sur la neige effet boule de neige,
Epée de Damoclès qui épie le Yéti d'après les légendes imaginaires
Sur la planète Terre qui ronge son frein en souvenirs pubères,
De comment étaient les femmes d'autrefois sur la Sainte vierge
Effarouchée qui cherchaient à se loger à l'auberge d'aux berges
Espagnoles pour avoir une chance d'obtenir une ouverture,
Qui signifiait avec les hommes un début d'aventure
Dans de l'amour pur et en cure,
Lorsque les paysages montrent leur véritable nature
Dans la culture
De l'amour,
Car à qui le prochain tour ? !
Jérôme de Mars
Un Noël qui ne sent pas le sapin
A la candeur,
Les fêtes approchent
Dans la ferveur,
Quand sonnent les cloches
A Minuit chrétien,
Lorsque que c'est un Noël
Qui ne sent pas le sapin,
Et qui fredonne la grand-messe
De Minuit avec des boules qui est-ce ?
Sans qu'elles enguirlandent
Les promesses de se réconcilier,
En liesse et en kermesse
De Noël qui sort les ritournelles,
Même que le soleil
A les boules et qu'il fait place
Aux neiges éternelles,
Qui remontent à la surface
D'un Noël qui ne sent pas le sapin,
Car il reçoit ses copains
Autour de vers de contacts,
Mis du côté de la lumière
Et en clair dans la chaumière,
A s'embrasser avec tact
Pour oublier les rancœurs
Et insuffler la poésie des saveurs,
De l'entremets
Qui met
Tout à plat,
Dans ce succulent repas
D'un Noël qui ne sent pas le sapin,
Mais qui consent à être d'hiver
Tout en restant au teint
D'un soleil qui souffle son vent solidaire
En chantant l'air de Noël,
Lorsque les chanterelles
S'accordent en messagers du Missel,
Tant que la magie opère universel
D'un Noël qui ne sent pas le sapin,
Car désormais il pressent à demeurer un
Pour tous et tous pour un,
Dans ce festin
D'offrandes dans les landes
De ces conifères,
Comme on vous souhaite
Un joyeux Noël
Débonnaire et salutaire,
Depuis les comètes
Au pluriel d'étincelles.
Jérôme de Mars
Je fais couler beaucoup d'encre !
Oiseau aux plumes de duvet,
Je suis un drôle d'oiseau
Qui a couvé sa plume,
Et qui fume
Des étranges mots
Du fond de son bitume,
Qui nage en propos
Gonflés très déplacés,
Car je fais couler
Beaucoup d'encre
Moi, l'encre d'échine,
Qui fait tourner
La machine,
Avec des cartouches d'ancre
Qui jettent la pierre,
A la pierre de l'édifice
N'est-ce-pas Pierre ?
Dans le fond de l'orifice
A faire son trou, à percer
Et à transpercer
Tout ce jet d'encre,
Qui jette l'ancre
Arrivé à bon port
Un port ex port,
Comme je fais couler
Beaucoup d'encre
Découlé de ma réputation,
Sulfureuse en jurons
Et roucoulé en positions,
Qui ont foulé le parterre
De la Terre,
En errant de pérégrinations
A la pôle position de l'emploi
Du temps qui jette un froid,
Comme je fais couler
Beaucoup d'encre express,
Qui a découlé du paquebot
Qui jette l'ancre presse qui presse
Du stress
Avec finesse,
Au plus pressé
De l'oppressé
Micmac à tire larigot,
Car c'est la fin des haricots
Comme cependant la fin
Justifie les moyens,
Comme je fais couler
Beaucoup d'encre
De ma plume déplumée,
Confessions sur l'oreiller
Qui jette l'ancre
A terre,
Pour me taire
Plutôt purgatoire,
Car fini, je ne largue les amarres,
Mais je largue le tintamarre
Au plus tôt ce soir !
Faim de l'histoire.
Jérôme de Mars
Sois-toi même !
Gagnant ou perdant,
Il faut aller de l'avant
Et qu'on soit un battant,
Pour triompher ardemment
Du temps et de ses inconvénients,
A contre-temps coïncidant
Avec la nature,
Qui nous est ainsi faite
Entre notre imposture
Et notre personnalité nette,
Après déduction brute
De la chute,
Où l'on supplie
Entre non-dits
Et oublis
Les gens,
A qui l'on dit
Du regard
Sois-toi même,
Et qu'on prie
A bien des égards,
Malgré les problèmes
De la vie
Qui reste bohème,
Mais qu'il faut que tu aimes
Pour lui répondre merci
Qu'on nem,
Sans distinction de race
Toutes les gentilles ethnies
Sans leur faire de crasse,
Car sois-toi même
Pour qu'on t'aime
Et que tu sois l'emblème
D'un totem,
Qui sème
Un diadème,
De toi à autres
Idem,
En apôtres
Post-mortem,
Où l'on te sacre en requiem
Merci d'avoir été toi-même !
Jérôme de Mars
Quand le chat est parti, les souris dansent !
Achat imparti,
Le sourire
Condense
La dépendance,
Quand le chat
Est parti
Et que les souris
Dansent,
A redondance
Et abondance,
De la tendance
Et de l'intendance
Qui sourient,
A contredanse
De l'achat
Reparti,
Quand le chat
Se départit
Du sourire
Des souris
Qui sourient,
A la cadence
Du chat,
Quand le chat
Est parti
Et que les souris
Dansent
La dépendance
Qu'on danse,
Quand la danse
Condense
La contredanse
Du chat,
Qui a un parti pris
Imparti,
Et qui sourit
Aux souris
Qui sourient
La cadence,
Quand le chat
Est parti
Et que les souris
Dansent
La tendance,
Et l'intendance
De la danse
A redondance,
Qu'on danse
Abondance
Et dépendance,
De l'achat
Imparti
Condense
Qui sourit
Aux souris
A contredanse
De la cadence,
Quand le chat
Est parti
Et que les souris
Dansent !
Jérôme de Mars
Luxe en bourgeois
Au pays du luxe,
Il y a la luxe
Sûre
De la luxure,
D'un luxe en bourgeois
Luxembourgeois,
Qui mange
Depuis son velux
Un chocolat Liégeois,
Vers les faubourgs joies
De Strass bourgeois
A Strasbourg joies
Avec un café Viennois,
D'un luxe en bourgeois
Luxembourgeois
Qui démange
Avec son épaule luxé
Un Bavarois,
Et qui le finit en faux bourg joies
De surcroît
Faux bourgeois,
Luxe en bourgeois
Luxembourgeois.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait un gilet qui dépasse les bornes ?
- Un gilet qui franchit la ligne jaune
Jérôme de Mars
Mobile homme
Terre d'argile,
Ce sont les vacances mobiles
Avec des congés mobiles,
Dont le mobile
C'est d'être au repos immobile,
Quand sonne le mobile
Mais qu'on répond depuis
Son mobile home,
Que c'est le répit
D'un mobile homme,
Car et puis
Tant pis
En dépit
De boire la vache à lait,
Très olé olé
En des pis
De vaches maigres
Aigres-doux,
Et vaches enragées
Dérangées,
Par du redoux
Allègre,
D'un mobile home
En vacances mobile homme,
Dont c'est le mobile
Avec les congés mobiles
De rester immobile,
Et de répondre au mobile
Que c'est l'heure de décrocher
Le casse du siècle,
Et de décocher
La case espiègle,
Que le mobile soit immobile
Et automobile
Sans se faire de bile,
Mais qu'il soit mobile home
Comme le mobile homme,
Dont le mobile
C'est de demeurer mobile
Et immobile,
Quand y a plus de mobile
Ainsi mobile home,
Comme y a du mobile homme
A la maison congés mobiles,
Et qu'on prend congé de vous immobiles
Pas de bile dans l'automobile,
Car ça perdure au taux mobile
Mobile d'un mobile immobile,
Dont c'est le mobile home
Congés mobiles hommes.
Jérôme de Mars
Rendons là Monet de sa pièce à Claude !
Peinture impressionniste
Chapeau bas l'artiste !
Qui peint ses tableaux
Telle une prouesse
Et une délicatesse,
Pour composer avec brio
L'âme des vies configurées,
Car figurez-vous Claude
Mange des reines Claude,
En rendant là Monet
De sa pièce détachée,
Comme son génie crache
Son portrait craché de Dame nature
Dans de la peinture de gouache,
Qui fait tâche
D'huile dans le meilleur
De son œuvre, qui colorie
Les femmes et les maris dans la prairie,
Qui unit l'amour et fuit l'ennui
De sa pastelle qui barbouille
Un songe de grandeur ,
Et de démesure
Dans de la peinture,
En sortant du cadre qui fouille
L'esprit en repos de Claude,
Car lui rendons-lui là Monet
De sa pièce entachée,
Par les reines Claude
Qui mangent le fruit
De son travail à Monet,
Comme c'est lui qui a l'usufruit
De sa table de chevet,
En peignant la juste coiffure
Des impressionnistes
Qu'il déteint de son âme d'artiste,
Configurez-vous au sens propre !
Comme au sens figuré
Pour les malpropres au nom propre,
Car il peint pour sa pomme
D'Adam pour le tome
De ses mémoires,
Et donc rendez-vous Claude
Pour rendre là Monet
De ta pièce aux Reines Claude
A l'apogée de ton art,
Si bien qu'on veille au grain
De folie de par ta frénésie cher Claude !
A qui on rend ta Monet comme la fin
Justifie les moyens parfum
De Reines Claude !
Mais désormais,
Jadis, il est l'heure de te reposer
En paix dans la sagesse et la sérénité,
Cher Claude Monet !
A l'étendard de ta gloire !
D'une pluie d'hommages
A ton sillage,
Car au revoir
Jusqu'au prochain soir.
Jérôme de Mars
En remontant à la racine
Cœur de vie,
Je dépose le devis
De la raison,
Qui fait que je l'ai perdu
Dans le chahut
De la trahison
De certains amis,
Et de l'incompréhension
De quelques membres
De ma famille,
Qui démembrent
Le jeu de cette famille
Qui fait qu'on la subit
Alors qu'on choisit ses amis,
Car comme Jean Racine,
J'enracine
Le carpe-diem,
En remontant à la racine
De mes problèmes,
Pour savoir
Quel en est l'origine
Et la cause
De toutes ces ecchymoses
Qui font que du haut de mon perchoir,
Je suis un immense mouroir
De beaucoup de choses
Face au reflet de mon miroir,
Comme Jean Racine,
Car j'enracine
Mon histoire
En remontant à la racine
Du long couloir,
De pourquoi mes hémoglobines
Débinent
Mon jardin secret
Et vandalisent mon Mausolée,
Qui sont l'objet du scandale
De pourquoi je souffre
De ce vaste mal
Dans le gouffre
De mon monde animal,
Qui emballe
Tout ce poids
Fatal
Et fœtal,
Mais si un jour,
Je le déballe
A la bonne personne
En l'occurrence
Mon inexorable psy,
Au prix
Défiant
Toute concurrence,
En remontant à la racine
De mon épine,
Enfin, je saurai l'origine
De mon mal-être
De vautour,
En prenant
Tout à la lettre
Consonne,
Car ça sera là qu'on sonne
De partout la résilience,
Comme Jean Racine,
Où j'enracine
La machine
A écrire
Un avenir
Meilleur
Et réparateur,
A la racine
Contrecarrée,
Pour le plaisir
De relire,
Jean Racine.
Jérôme de Mars
Et clore
Encore
Ce soir on s'endort
Aux aurores
D'un œuf jour pour éclore
La fleur qui va et clore
L'odeur des records
Pour et chlore
L'eau de la piscine inodore
Qu'on colore
Indolore
Comme on l'adore
Quand on la dore
Au condor
Qu'on dore
D'argent et d'or
Pour éclore
Dehors
Médor
A qui on dit mais dors
Et clore
Ton corps
Avec du chlore
Pour et chlore
Ce folklore.
Jérôme de Mars
Les gilets jaunes
Dans la faune
Et la flore,
C'est la loi du plus fort
Avec les gilets jaunes,
Qui rient jaunes
Et aphones,
Sans voix
Et porte-voix
Avec Emmanuel Macron
Depuis son élection,
Qui sent le chiffon
Et la désillusion,
Dans la déroute
Et le doute
Des gilets jaunes,
Qui sourient jaunes
Dans la faune
Et la flore,
De ce folklore
Aphone,
Qui sent le chlore
Et qui consent à clore
Un débat avorté,
Dans ces manifestations
A branle-bas- de combat,
Dont on ne sait jusqu'où ça ira
Et de comment ça finira,
Sinon dans la violence
Et la défiance
Consolidée des politiques
Hors-la-loi,
Comme il n'y aura plus foi
En rien et dans la confusion
Des gilets jaunes,
Dont on pressent
En mille et des cent
Que ça finira mal,
Dans un vide abyssal
De la faune
Et de la flore,
Où ça sera un fort de France
Sans téléphone,
Dans l'indifférence
Et l'ignorance
De ces gilets jaunes
Qui charrieront jaunes,
Ironisera bien Macron
Qui rira de rien à reculons
En votant votre démission Monsieur Macron,
Comme cela sera votre mission
Action d'émission.
Jérôme de Mars
Les cieux anxieux
Partiel pluvieux,
Aujourd'hui le temps fait grise mine
Comme il hallucine
En cieux anxieux,
D'un mariage plus vieux
Entre le soleil
Et la pluie,
Qui égrène les conflits
Au pluriel irrationnel,
Quand les cieux anxieux
Pleurent en cieux fastidieux
Dans leurs bleus douloureux,
Et qu'ils attendent à Jussieu
D'avoir des moments délicieux,
Pour ouvrir le par ciel amoureux
De belles rencontres à deux
Dans l'union à l'unisson
Du soleil et de la pluie,
Car c'est un mariage de passion,
Où tombe l'escarcelle
De la passerelle
Du sourire et du paradis,
Qui gambadent
Avec les coquelicots,
Dans leur ballade
En un cocorico,
Où les cieux anxieux
Deviennent des cieux
En cieux heureux
De confettis,
Pour la vie
Bénie, ainsi
Soit-elle.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-qu'une femelle très féline toute nue dans une forêt noire ?
- Une chatte à poil
Jérôme de Mars
Concert de louanges au zénith du soleil
Ce soir
A la une,
Il y a
Au répertoire,
Un concert de louanges
Au zénith
Du soleil,
Qui gravite
Dans la lune,
Une pléiade de ritournelles
Qui fait chanter
Par les aléas,
Des alizés
Qui survolent
En paroles,
Les hirondelles
Qui font
Le printemps en chansons,
Et le chant des cigales
Durant l'été frugal,
Au régal
D'un concert de louanges,
Au zénith
Du soleil,
Qui lévite
Un monde irrationnel
Au zénith de Paris,
Ou dans les villes
De ce pays
Qui bécote les becs
Des oiseaux,
Avec des mots
Secs
De mésanges
En mes anges,
A l'apogée de leur gloire
Qui abreuve
Ce concert de louanges,
Au zénith du soleil
Au sein d'un grand couloir,
Qui lui dédie
Que la vie
N'est pas un long fleuve
Tranquille,
Mais que demeurer
Au zénith de Paris,
Ca en vaut le détour
Pour assister
A un concert de louanges
Au zénith du soleil,
Bordé d'étincelles
Depuis son fauteuil de séjour,
Fenêtres
Ouvertes
Dans un parfait mélange,
Qui affiche complet
Lors de ce concert de louanges
Béatitude
Ouverte,
Qui monte crescendo
La plénitude
Au zénith du soleil,
Qui fait le tour
De la lune
Dans la lune,
Et à la une
Du zénith
De Paris,
Où l'on écoute les chanterelles
Bercer nos oreilles,
A qui l'on dit
Bonsoir
Et merci,
Mes chères demoiselles.
Jérôme de Mars
La fontaine bluette
L'eau à la source
Coule de ressources
Dans une parade,
De femmes fontaine
Qui clament la tirade
Des gens de la fontaine,
Comme fontaine, je ne boirai
Ton eau, mais tes éléments désaltérés
Et réhydratés comme un poisson
Dans l'eau d'une fontaine bluette,
Qui fredonne des bluettes désuètes
Et obsolètes qui dansent en guinguettes,
En accordant les mots gargantuesques
Dans une fresque pittoresque,
Qui remonte à la source à écorcher vifs
Les sentiments qui piquent au vif subversif,
La fontaine bluette qui nage en nage
Dans une cage
Aux poissons captifs,
Et réceptifs à la moindre occasion
De roucouler avec des paroles qui affrètent
La fontaine bluette dans une petite amourette,
A conter fleurette romantique en faisant la causette
Avec Cosette qui aime les choses chouettes,
A jouer avec le feu des allumettes
Qui proclament ainsi saynètes,
Comme c'est nette
Et simplette
Cette fontaine bluette,
Depuis belle lurette
Dans les comètes.
Jérôme de Mars
Malheur / bonheur
Au réveil chaque jour
A pas d'heure,
On traverse tous sans détour
Du malheur
Et du bonheur,
A cultiver entre la noirceur
Et la chaleur,
Que nous procure l'orage passeur
Et le soleil réparateur
Dans cette alternance d'un gris
Qui assombrit
Le bonheur
Et d'un bleu radieux
Qui réchauffe les cœurs fastidieux
Du malheur,
A naviguer en eaux troubles nature
Et en eaux paisibles azur,
Qui nous interrogent
De pourquoi on déroge
A la règle du bonheur
Et de quoi on fait l'éloge
Du malheur,
Comme si la mélancolie
Nous rendait jolis
Et en vie,
Alors qu'une simple harmonie
D'être pieux
Ainsi dieu,
Vaut bien mieux
Qu'un esprit
Cupide et pernicieux
Qui se prétend de croire insidieux,
Dans un duel
Entre le malheur
Et le bonheur,
Bien meilleur
Au soleil
Fédérateur,
A la bonheur.
Jérôme de Mars
Tapis de feuilles
A l'automne de la vie,
Le sol jonché
Est orné d'un tapis
De feuilles qui a bronché
Lors de l'effervescence,
Des arbres nus tapis
Dans leur somnolence,
Crépie par la galerie
Marchande qui dresse des éloges
Flatteurs dans ce paysage qui déroge,
Ce tapis de feuilles qui épanouit
La lumière maussade du soleil
Grinçant, qui aime gribouiller le ciel
De ses couleurs initiales,
Comme si la marche nuptiale
Résoudrait l'équation de la terre ronde,
Alors qu'un tapis de feuilles d'automne
Convie toutes les saisons
De la floraison,
A un salon avec vue sur l'extérieur qui bonde
La galaxie des arbres dévêtus cherchant le vent,
Pour qu'il les courtise cheveux conquérants,
Comme un livre qui s'écrit en plusieurs suites atones
D'un tapis de feuilles mortes qui ricanent jaune
Dans la faune et la flore des amours défuntes d'un aumône,
Qui récolte un fauteuil abandonné pour le décerner
Au poète Gilbert Bécaud de quand il mord le poète,
A l'approche de la consécration amplement méritée,
Pour ce tapis de feuilles d'automne à méditer à livre ouvert
D'un soleil d'hiver aux travers lunaires et ivres dix vers,
De ce livre recouvert en phrases fluettes et désuètes
De ces paroles pré vers au tapis de feuilles mortes,
A La Jacques Prévert langue morte qui tangue âme forte
D'une paix au ciel avec une ribambelle
De fontaines qui pleuvent de larmes de crécelle,
Avec ce tapis de feuilles qui se recueille
Au seuil d'un long fauteuil itinérant Porte D'Auteuil.
Jérôme de Mars
Le swing des mots
Eureka, c'est l'heure méli-mélo
Du swing des mots,
Car c'est pas bibi,
Mais la bibine
De l'alibi,
Qui embobine
Les bobines
Des bibelots,
Qui sortent du lot
Du swing des mots,
Comme Claude Nougaro
Qui va à vau-l'eau
Au fond du ruisseau,
Pour arroser Rousseau
Quai Voltaire,
Sur le cratère
Terre de colère
Du swing des mots,
Qui sort du ring à bobos
Avec les bonobos,
Qui singent l'hémoglobine
A se ronger les sangs comme Bécassine,
Une sorte de Bécasse qui signe
Le swing des mots,
En gros mots aux mots
Homos et hétéros,
Comme le toréro
Du Boléro
De Ravel,
Qui nivelle
Vers le bas,
Quand le bât
Blesse et oppresse
Le citron acide, qui presse
L'insigne de l'un signe
Du swing des mots,
Qui rackette les valises
De détresse,
Et banalise
Les balises
De tresses,
Complètement attirés
Par les cheveux ébouriffés,
Qui roulent ci-joint du bédo
Enjoint par le bon dos,
Du swing des mots
Qui jouent la rétro
Des émotions malignes,
Qui surfent
Sur le turf
Des sensations imbroglio,
Emmenées avec brio
Par l'accalmie en sourdine,
Qui se termine
En swing des mots
Trémolos, allez-y mollo !
Jérôme de Mars
Citation :
On met tout à plat dès qu'on cuisine un gastronome !
Jérôme de Mars
Citation :
Un cuisinier qui fait des erreurs traîne des casseroles !
Jérôme de Mars
Citation :
Pierre de Ronsard a offert à sa dulcinée un bouquet de fleurs du mâle !
Jérôme de Mars
Citation :
Une citation qui influence un grand nombre de gens est une incitation !
Jérôme de Mars
Citation :
Les habitants en HLM sont tous logés à la même enseigne !
Jérôme de Mars
Citation :
Un jeune de cité vif d'esprit a de la saga cité !
Jérôme de Mars
Citation :
Un écrivain qui rédige des livres sulfureux fait couler beaucoup d'encre !
Jérôme de Mars
Citation :
Un oiseau de mauvais augure a des prises de becs avec ses semblables !
Jérôme de Mars
Pierre à l'édifice
Et si on bâtissait dans le futur,
Un avenir pour la paix avec démesure,
Diffuseur de bonnes ondes dans un monde,
Où l'on marcherait en faisant une ronde
Dans la fraternité et l'amitié de la réciprocité,
En mettant la pierre à l'édifice
D'un monde meilleur sans précipice,
Où l'on consoliderait à volonté la loyauté,
Avec de jolies valeurs, vecteurs de liens sociaux,
Qui se transmettent avec solidarité entre gens normaux,
En construisant le respect et la bonté comme piliers
D'un monde idéal où l'on respirerait bien mieux La Sainteté,
En mettant la pierre à l'édifice de la maison du bonheur,
Où l'on serait tous sur la même longueur d'ondes, défenseurs
De la démocratie pour partager la diversité et la pluralité
Des idées à dénicher, pour améliorer la vie en communauté,
En mettant la pierre à l'édifice d'une société sans artifice,
Mais d'une assemblée en se serrant les coudes,
Pour affronter les épreuves de l'existence avec malice,
Qui saurait définir ce que veut dire un monde meilleur, qui soude
Tous les milieux hétéroclites et cosmopolites en un ensemble,
Car qui se ressemble s'assemble
En mettant la pierre à l'édifice de la maison
De l'humanité urbaine et rurale vers le bel horizon en action.
Jérôme de Mars
Compte de Noël
Bientôt, nous irons de L'Avent au mois de décembre,
Durant vingt trois jours avant que le Père Noël
Distribue le calendrier de l'amour avec des étrennes,
Pour nous faire oublier un de nos pires Noël truffé
De truffes de chocolat truffées dans la truffe d'un chien-loup,
Quand c'était un mois divers,
Où ce fut le père Noël qui tint les rênes de son traîneau
En nous distribuant de mauvais cadeaux empoisonnés,
Mais heureusement dans ce compte de Noël,
Tout se termina bien grâce à un acompte
Qui sentit le sapin d'hiver du nouvel an,
Où pour occulter les tourments d'un vœu de bonne année,
On souhaita à nos ennemis, bon début damné
Durant les fêtes de fin damnée,
Et à nos amis et à la famille durant les fêtes de fin d'année,
On leur souhaita bonne année année sur année surannée.
Jérôme de Mars
Un parrain
Un par un
D'un par un
Ca fait un parrain
D'un par un
Comme un parrain
Se met un par un
D'un parrain
Egal un par un
Quand le par un
Devient le parrain
D'un par hein
Où aller un par un
Jusqu'au parrain.
Jérôme de Mars
On est de passage !
Bouton allumé sur démarrage
On naît sur Terre,
Mais on est de passage
Sur Terre à rédiger notre itinéraire,
Pour composer notre manuscrit
Ecrit noir sur blanc avec l'énergie,
Des hauts et des bas
Que connaît la vie
Ici là avec les aléas,
Mais on est de passage
Sur Terre de la mise en page
Jusqu'au naufrage,
En art et images
De l'arrimage,
Que nous envoie le silence
Du ciel dans la misère,
Et l'opulence
Qui nous provoque
Des chimères,
Dès que la mer
Se fait l'offrande
De l'absence,
Et quémande
En amende honorable
De pourquoi au préalable,
On est de passage sur Terre
A vivre et à réciter la prière
De notre Père,
Pendant que dans la souffrance
Le Tout-Puissant décime dans l'ignorance
De pauvres gens sourds à la résilience,
Car résignés à la dominance
Comme si il n'y avait ailleurs,
Un goût de meilleur
A partager dans la douceur
D'un ensemble de ferveur,
Recommandé par l'innocence
Des enfants rieurs,
Dès l'insouciance
De la puberté,
Comme on est de passage
Dans la pureté
Tant et si bien,
Que tout est éphémère
Même avec les liens
Du sang
A se ronger les sans,
Comme la vie est provisoire
Du début à la fin
De notre histoire,
De l'entrain au déclin
Que nous enseigne
Notre prof de latin,
A en perdre son latin
Dans les pays latins,
Qui nous dédient enclins
Tout ce que nous
Et l'espèce humaine
En tout, on se dévoue
De combien,
Un par un
Avec notre parrain,
De cœur auquel s'essouffle
Dans le règne
Ce dont sur lequel,
On tire sa révérence
Sur Terre loin de sa lumière,
Dès que les hirondelles
Jouent et s'accordent,
Monocordes de comment
On se raccorde
En violoncelles,
Dans la bonne humeur
Et le bon temps,
Comme on est de passage
Sur Terre avant l'austère,
En refermant la page
De son inventaire.
Jérôme de Mars
Un monde idéal
Je rêve d ' un monde idéal
Dans lequel on serait tous d ' égal à égal,
Mais existe - il ? les gens ont - ils envie d ' un monde qui change
Dans lequel on privilégierait les échanges,
Car le monde de maintenant ne me plaît pas
Trop accaparé par son individualisme qui avance à grands pas,
Comme je n ' aime pas l'indifférence
Qu ' elle soit justifiée ou pas car elle me porte offense,
Je préférais les années 80
Qui me donnaient davantage de dynamisme et d'entrain,
Je n ' aime pas cette société où l'on met en avant le profit
A la place des valeurs humaines qui nous permettraient tout aussi
De faire marcher le pays mais avec davantage de respect et de solidarité,
Dont nous sentons le manque aujourd'hui face à la profusion
Des nouvelles technologies nous enlevant peu à peu notre humanité,
Il manque en France un élan d'amour et de fraternité
Qui se conjuguent avec un pays en perte de repères , de valeurs et de bonté
Les personnes deviennent de plus en plus égoïstes,
Alors que nous vivons dans une société cosmopolite et hétéroclite
Avec la crise qui est venue s ' ajouter à tout ceci,
De plus en plus d ' entreprises ferment en licenciant beaucoup de salariés se retrouvant avec pleins de soucis,
Alors que pendant ce temps - là , il y a pleins de patrons qui partent avec des millions
Se foutant complètement du sort de leurs employés qui grossissent l ' échantillon
Des laissés - pour - compte tout autant que les SDF , qui se retrouvent à la rue,
Les gens passent devant eux sans s ' en préoccuper en ne leur passant même pas un salut,
Où va notre monde qui tolère la misère et la banalise
Sans voir que tout si cela s ' enlise,
Un jour ou l ' autre il y aura une révolution,
Où chacun se réveillera comme un volcan en éruption
Dans la vie , ce qui est important,
C ' est la famille , la femme , les enfants et les amis pour passer du bon temps
Il serait temps que ce monde retrouve une certaine morale,
Pour nous réconcilier avec la vie en ces temps de déchéance pas si banale
J ' ai l ' impression qu ' il n ' y a plus d ' idéaux , ni rien de sacré,
Je trouve que le monde est sourd aux cris , aux combats pour améliorer notre société
je ne crois plus en la politique des gouvernements,
Qu ' ils soient de gauche et de droite , trop enfermés dans leurs querelles d ' un autre temps
Je trouve que la télévision devient de plus en plus stupide
Avec toutes ces émissions de télé - réalité que je trouve insipides,
Ce qui pourrait nous permettre de nous en sortir dans ce monde ?
C ' est rétablir la solidarité et nous entraider les uns et les autres et de propager toutes ces bonnes ondes
Dans le reste du monde,
Comme on dit , l ' union fait la force et nous renforce
On ne peut pas rester seuls face à l ' adversité
Il faut être épaulé,
Dans les hôpitaux, embauchons aussi davantage de soignants
Pour faire face à la foule grandissante de patients
Face à eux, soyons à l’écoute, chaleureuse et pas indifférente,
Car malheureusement ce fléau s’étend à tous les instants
Surtout, ne nous isolons pas,
Mais rapprochons- nous pour parler et sympathiser
Pour partager des bons repas
Et faire la causette autour d’un bon café,
Il faudrait aussi un monde plus juste où ce ne soit pas toujours les puissants qui s’en sortent et les faibles qui trinquent,
Malheureusement, il manque des personnes comme Coluche, Daniel Balavoine, Sœur Emmanuelle et L ' Abbé pierre
Qui nous réconciliaient avec l ' existence,
Car eux, ils disaient qu’ ' il ne fallait pas être égoïstes et indifférents mais aider les autres
Ce à quoi j’adhère totalement
Jérôme B
Citation :
Benjamin qui est le dernier de la fratrie, c'est le cadet de ses soucis !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi L'ESAT de Vitry récemment a t il été brûlé partiellement sur une petite partie du mur ?
- Parce-que L'ESAT de Vitry a essuyé les plâtres !
Jérôme de Mars
Le cadet de ses soucis
Benjamin
Qui est le dernier
De la fratrie,
C'est le cadet
De ses soucis,
D'être le benjamin
De la famille
Et de chanter
Cadet Rousselle,
Qui dépucelle
Le benjamin
De la famille,
Dont Benjamin
Est le cadet
De ses soucis,
D'être le dernier
De la fratrie.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que doit dire Emmanuel Macron sur le Maréchal Pétain qu'il célèbre pour que ce soit drôle ?
- Maréchal pète un coup !
2) Pourquoi est ce que ça tombe sous le sens qu'Emmanuel Macron augmente l'essence ?
- Car par indécence ( un des sens ) ! ca tombe sous l'essence et que La France perd les sens de tout de ce que fait Macron !
Jérôme de Mars
Montagne d'angoisses
Trop pics
Au pic
Des sur prises,
On escalade
Avec mes prises
Une montagne d'angoisses
En ballade
Qui se ramasse,
Dès le sas
En haute altitude,
Quand la solitude
Ne nous mène
Au palace,
Mais nous promène
Au pas las
De nos vives inquiétudes,
Comme une montagne d'angoisses
Pelée,
Et pelée
En une montagne à la masse
Qui jura
Le Jura,
Cap le quartier Des Vosges
Dans la frénésie
De Paris,
Qui nous envoie des pics
Au pic
De l'emprise,
Quand tarde la reprise
En prises
Et aux prises
Des Pyrénées,
Quand le pire est né
De grimper
Une montagne d'angoisses,
Qui nous file le cafard
Dans une impasse
Au fard
Ouest
De L'Everest,
Qui monte Cap Le Mont-Blanc
Avec des faux sans blancs
Fugaces des rapaces,
Qui nous dépassent
En remontant à la surface
De notre montagne d'angoisses,
Qui scalpe
Les Alpes,
Avec l'effet boule de neige
De l'homme des neiges,
En phase
De rechercher
D'un pas las,
De l'espace
Sur la place
D'un lâcher prise
Sur prises,
Jusqu'au sommet
Assommé
D'un palace,
Où l'on en fait
Toute une montagne d'angoisses.
Jérôme de Mars
Des pas rayés
Maux croisés,
Bras et jambes des croisées,
Le talon franchit
Un pas, de l'appât
Du gain en regain
A Enghien-Les-Bains
Dans un bain de foule,
Dont les pieds défoulent
Le sol aride qui gravit
Des pas rayés
Dépareillés,
De l'appât raillé
Qui ralliait
La démarche
En marge
A contre pied
D'un pied de nez,
Car bienvenue
A l'avenue des alliés
Ralliés
Dans un tonnerre
De guerre,
Qui a déjoué
Les plans enjoués,
En joue des pas rayés
Dépareillés
De l'appât raillé,
Qui ralliait
La venue des rescapés,
Au pays du soleil lavande
En perdant Le Nord pour Le Sud,
Comme on vous offre
A vous cher dur allié,
Rallié et raillé
Tout le coffre qu'offre
De rudes
Offrandes
Dépareillées,
Car rompez le pas
De l'appât
Des pas rayés.
Jérôme de Mars
Un jardinier cultivé est un génie en herbe !
Jardin secret
Sans se couper
L'herbe sous le pied,
Un jardinier cultivé
Est un génie en herbe
Qui ordonne à son jeune
Prodige d'apprenti,
D'en prendre de la graine,
Pour planter l'amour
D'une nouvelle récolte,
Comme quand l'homme
Plante la graine à sa femme,
Pour cultiver le fruit
De leur amour qui défriche,
L'extase qui leur fait
Une fleur du bonheur,
Quand un jardinier
Cultivé est un génie
En herbe qui cultive
L'amour des fleurs,
Et qui en prend de la graine,
Pour envoyer des fleurs
A sa femme tel un souffleur
De vers, qui cultive
Son jardin secret,
En apothéose des
Fleurs du mâle.
Jérôme de Mars
Couleurs arc en ciel
Durant sa splendeur,
Le ciel rougit
Et crépite de lucioles,
Comme des objets de babioles
Qui remercient l'inertie
Du soleil trompe-l’œil,
Qui irrigue de sa vigueur
Les couleurs arc en ciel,
Qui tombent du ciel
Bleu saphir jusqu'à Bonneuil
Sur Marne bon pied bon œil,
Et qui écrient sur les feuilles
Mortes bonne récolte les écureuils !
Dans un recueil de bonnes nouvelles
Qu'on a tant besoin depuis bel
Lurette dans une atmosphère charnelle
Turquoise avec le bleu et le vert,
Pour s'unir aux couleurs arc en ciel
Rubis et écarlate qui grattent le ciel,
Pour qu'il crache ses poumons crépusculaires
Et qu'il arrose l'univers de sa complainte,
Salutaire de figure de proue de fleurs de jacinthe
Enceintes avec le bourgeon des fleurs
Amoureuses des lendemains d'hiver,
Quand resurgit le printemps conspirateur
Et amateur de couleurs de lumières
Aux frais derrière le frigidaire,
En attendant que l'été réchauffe ses congénères
Dans une période charnière en une ode,
Qui rôde parmi les couleurs arc en ciel
Dans une ligne passagère et imaginaire,
Dont les fruits de l'amour dépucellent
Les poussières qui sanglotent bipolaires,
En ne sachant quoi faire de ses pupilles
Qui frétillent et qui s'émoustillent ,
En couleurs arc en ciel rayon de sel
Qui pimentent les horizons parallèles,
Quand jalonne le syndrome d'escarcelle
Qui taraude d'émeraude
Ces couleurs arc en ciel,
Rouge vermeil au soleil.
Jérôme de Mars
Virgules malignes
( Entre parenthèses
Voici ce court texte
Ponctué de virgules malignes,
A maligne,
Qui cherchent à faire le point,
D'exclamation,
En y mettant l'accent grave,
Et en tapant du point d'interrogation,
A ma ligne maligne,
Sur la table bénigne à maligne,
Dans une crise à l'accent aigu,
Où les virgules malignes,
Me remettent à maligne maligne,
Dû à mon cancer des mots,
A la majuscule bénigne,
Et à ma ligne point virgule;
A maligne, comme on suspend,
Le traitement de texte,
Trois points de suspension,
A malignes,
..., Comme le cancer de louanges,
Malignes est arrivé à ma ligne,
Bénigne, rémission arrivée,
A point nommé,
On ferme la parenthèse. )
Jérôme de Mars
Justice sociale
Et si je créais un parti de l'apolitique en marge au centre gauche qui s'appellerait :
" Justice Sociale ", un parti d'Henri et non un parti d'en rire, mais un parti pris où chacun y trouverait son compte car ce parti serait le parti de l'humain et non de celui du profit, il y en aurait pour tous et à tous à les goûts, ce parti aurait un programme ancré davantage sur le social que sur le libéral, avec un manuel macaron pour placer le handicap, la précarité, le logement, la vieillesse et la santé en tête des priorités de " Justice sociale ", voici le programme que je proposerai pour que tout le monde y trouve son compte car le but de ce parti serait que chacun ait un toit sur la tête et mange à sa faim :
Handicap : Une allocation AAH qui serait à 1000 Euros par mois à taux plein, qui passerait de 900 Euros à 1000 Euros, soit une augmentation de 100 Euros, favoriser plus de constructions D'ESAT où ce serait moins le profit et plus pour l'humain pour protéger et ménager les personnes handicapées, et ceux qui ne veulent pas travailler en ESAT, on leur proposerait d'intégrer un hôpital de jour pour adultes avec des soins, des études et des activités pour trouver un emploi, une formation, ou soit souffler durant un laps de temps en vue de rebondir ou soit d'intégrer un CAS : un centre d'activités sociales pour favoriser la vie sociale, la solidarité, ou pour inciter à faire du bénévolat, avec des activités thérapeutiques, ou de socialisation. Et être aux normes avec des infrastructures et des rues adaptées pour les personnes handicapées à mobilité réduite.
Santé : Rembourser tous types de soins médicaux à 100 %, développer des CMS, centres médicaux de santé dans les petites villes rurales alternatives aux hôpitaux pour les désengorger et recruter davantage de médecins généralistes avec l'abrogation du numérus clausus comme dans la campagne, il y a une pénurie de médecins et dans les grandes villes proposer également l'extension de CMS, centres médicaux de santé, comme des dispensaires pour favoriser la prise en charge immédiate des patients et de leurs pathologies, pour libérer les places des hôpitaux pour les cas d'extrême urgence. Développer le tiers-payant généralisable avec les médecins adéquats pour les patients à faibles ressources, et garantir une mutuelle pas chère pour les personnes modestes. Développer l'ouverture de structures adaptées pour tous types d'handicaps pour les personnes handicapées.
Logement : Faire un inventaire du nombre de SDF en France, et réquisitionner les places vacantes dans les logements pour loger tous les SDF en été comme en hiver, et construire davantage de logements sociaux spécifiques, de résidences sociales ou de maisons-relais pour ces types de population fragiles qui s'appelleraient :
" Les maisons du cœur ", avec un loyer faible et une APL en fonction des revenus, et mettre les gens plus aisés dans des logements privés, et ouvrir davantage de centres sociaux pour les gens en difficulté de jour comme de nuit avec toutes sortes de problématiques.
Services : Créer des centres de services avec des travailleurs sociaux et des juristes pour apporter du service à toutes les problématiques que peuvent rencontrer Les Français pour apporter des solutions à leurs problèmes, les renseigner sur leurs droits et les aider dans leurs démarches administratives.
Social : Créer un revenu universel de 800 Euros pour tous sans conditions de ressources qui fusionnerait la plupart des prestations sociales sauf L'AAH et L'APL quelques soient les ressources de la personne, avec un minimum vital pour tous garanti, et faire en sorte que malgré tout, le travail paie plus que le revenu universel. Interdiction que quiconque se retrouve à la rue avec obligation pour autrui à la rue de le reloger ailleurs. En collaboration avec le Secours-Populaire, Le Secours-Catholique, La Croix-Rouge et les restos Du Cœur, créer une plate-forme nationale de denrées alimentaires pour que chacun mange à sa faim quelques soient les accidents de la vie.
Emploi : Encourager les gens qui ne peuvent pas travailler à faire du bénévolat dans les associations caritatives pour aider autrui et favoriser le lien social ou soit faire une activité thérapeutique, sociale ou de loisirs, ludique ou pédagogique, et considérer davantage l'humain et moins le profit parmi les salariés dans le monde du travail et favoriser le bien-être au travail pour inciter à un meilleur rendement et signaler à la médecine du travail parmi les salariés, ceux qui sont en burn out, en faiblesse psychologique ou physique, pour leur permettre d'accéder à un poste aménagé.
Justice : Pour les délits mineurs, favoriser les travaux d'intérêt général au lieu d'une incarcération pour désemplir les prisons en favorisant l'insertion ou la réinsertion sociale ou professionnelle, et pour les crimes les plus graves, généraliser la perpétuité, et construire plus de 40000 places de prisons et recruter une importante quantité de gardiens de prisons.
Immigration : Régulariser le nombre d'immigrés correspondant au nombre de besoin de main-d'oeuvre pour divers métiers et ceux qui n'ont pas vocation à rester en France, les renvoyer dans leur pays avec humanité mais les aider dans leur pays à trouver le moyen de développer leurs cultures et leurs végétations afin de récolter de l'eau et des fruits et des légumes, pour qu'ils puissent gagner leur vie.
Economie : Favoriser le paiement de l'impôt du revenu à tous les Français mais modulé pour chacun en fonction des revenus pour que chacun apporte sa contribution au redressement de La France et sa participation à l'activité sociale-économique. Développer les services à la personne et généraliser le remboursement à 50 % par le fisc des frais engagés dans les services à la personne. Ne pas supprimer la taxe d'habitation mais la moduler en fonction des revenus pour permettre le financement des collectivités locales et des infrastructures.
Retraites : Augmenter le minimum vieillesse de 100 Euros pour le porter de 903,20 Euros à 1003,20 Euros et favoriser le maintien à domicile pour les personnes alitées ou dépendantes parmi les personnes âgées avec le développement et le recrutement d'infirmiers ou d'infirmières médicales et de femmes de ménage d'aide aux services à la personne à domicile pour éviter le placement en maisons de retraite.
Et pour le président de la république créer un mandat unique de 7 ans comme cela, il y aura moins de déçus parmi les citoyens.
Légaliser l'euthanasie pour les cas les plus graves et les plus désespérés.
Jérôme de Mars
Celle qui casse du sucre sur le dos des gens !
Vers Missel
Par celle
Dans une parcelle
Il y a celle
Qui casse du sucre
Sur le dos gens
Et qui jette du sel
Verre mi celle
Dans les plaies
En morceaux
En prenant
La poudre d'escampette
Vers mi celle
Qui jette un froid
Sur le vermicelle
Chaud bouillant
Et chaud devant
Qui scelle
Le sel
Remis en selle
Grâce à celle
Qui casse du sucre
En morceaux
Sur le dos des gens
Et qui finit
En poudre d'escampette
Quand les gens saupoudrent
Le sucre avec celle
Par celle
Qui scelle
Le vers mi sel
Avec du vermicelle
Vers mi celle
Par celle
Qui saupoudre
Le sucre
Parcelle
De sel
Avec celle
Qui casse en morceaux
Du sucre sur le dos
Des gens avec du sel
Mi-sel
Parcelle
Qui scelle
La poudre d'escampette
Par celle
Vers mi sel.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-que je m'en fous de l'écologie et que la planète soit en danger ?
- Parce-que ce n'est pas mon environnement !
Jérôme de Mars
En P
Que je reste intact en fumant une bouffée d'oxygène en P, avec respect
Avec beaucoup de tact
De contact e
En écrivant à mes vers n
Qui ne manquent pas d'R
Mais avec des rimes t
Avec moins de travers o
Quelqu'un de meilleur u
Pour l'éternité t
Et demeurer
Y rester en P p
Et que je veux a
En paix et i
Tout à la lettre x
Comme je prends
En P
.P en reste je naguère après car toupet avec erreur cette de je le refaire Sans
A vendre et à revendre
Comme j'ai du respect
Mais avec tout paix
Sans toupet
Je veux être en P
Comme maintenant
A la lettre
A prendre tout
La P
Et en fumer
La guerre
Pour enfumer
De La P
Le calumet
Mais je fumai
Je fus en guère
Naguère
Jérôme de Mars
A ce soir !
Bonjour,
Le jour
Se lève
A L'Eve
D'un bon jour,
Qui débute aux aurores
Et qui dore,
Dès que le soleil
S'accroche à la lucarne
Du ciel
Qui incarne
Le Missel,
Où l'on scande à la lune
Qui est dans la lune
A ce soir
Dans un amour
Accessoire
Qui respire le coucher du purgatoire,
Comme la nuit porte conseil
Et brade le soleil
Qui éclipse les hirondelles,
Avec de la vaisselle
De crécelle,
Alors que le soleil
Vit le jour
Dans de l'amour
De porcelaine
Et de bas de laine,
Qui ravit les tourterelles
Dans un arrosoir
Abreuvoir,
De vielles histoires
De comptoir
Au réservoir
Des bonnes nouvelles
Jubilatoires,
Comme le soleil
Met l'une
En lune
De miel
Et creuse une parcelle
De lune
De fiel
Qui scelle
Le soleil groseille,
Et ainsi, au coucher
De la lune
Et au lever
Du soleil,
Le soleil
Endort la lune
Qui est dans la lune,
En d'une
A la une dune,
Comme le soleil exutoire
Scande à la lune accessoire
A ce soir !
Jérôme de Mars
Elise et moi
Comme une lettre à la poste
Lettre à Elise et moi
Qu'on composte
A et Lise et moi
Elysée moi
Aux champs Elysées
Jusqu'au contre chant
Alizés moi
Quand Elise et moi
On écrit une lettre
A et lise et moi
D'un élisez-moi
De la lettre à Elise et moi
Aux chants Elysées moi
En des contre champs
Et Lise et moi
Des champs alizés moi
Elisez-moi
Comme une lettre
A Elise et moi
A la poste
Qu'on composte
A et lise et moi.
Jérôme de Mars