Couleur soleil
D'un Havre de paix
Sur la jetée,
Pour me reposer
Sur mes lauriers;
Je suis l'Abbé;
Priant le ciel !
Je suis la baie
D'un arc en ciel !
Me contemplant
D'une chienne d'envie,
Si rantanplan
D'une chienne de vie;
Pourtant y a pas
De lézards ! Ainsi
Lézardant mes pas !
Ainsi la vie !
Couleur soleil;
Intemporelle !
Y a sans pareil
Que du Rimmel !
Pour cacher toutes mes
Fossettes pas nettes;
Et cocher toutes mes
Facettes saynètes;
D'une nuit d'étoiles !
Chariot filant
Mon sac en toile;
Me refilant
Tout le ciel;
En gribouillant
Une aquarelle
D'un chaud bouillant !
Flânant grand ciel !
Superficiel;
Artificiel;
Surnaturel;
Couleur soleil;
Intemporelle !
Y a sans pareil
Que du Rimmel !
En maquillage;
Fausses apparences !
D'rafistolage
En grande cadence !
Qui montre la vie
Sous un autre jour !
En embellie
Faisant la cour
A l'amour; en
Cultivant soie
Badinant !
Y a de la joie !
Pas rabat-joie !
Mais d'un éclat !
Voilà hourra !
Une nouvelle fois !
Couleur soleil;
Intemporelle !
Y a sans pareil
Que du Rimmel !
Jérôme de Mars
Madame Teillet ne s'en tamponne pas de l'ordonnance !
Entretien imaginaire mensuel du lundi 6 Février 2023 entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine et Monsieur Bedrossian Jérôme, patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Monsieur Bedrossian, quoi de neuf ? "
Monsieur Bedrossian Jérôme, patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Madame Teillet, il n'y a rien de neuf comme aujourd'hui, on n'est pas le neuf de ce mois-ci ! Il n'y a que du vieux en ce moment que je prends de l'âge à petit feu grâce à vous qui fumez votre cigarette électronique, dont j'attends vivement de fumer le calumet de la paix avant de casser ma pipe vu que ce monde part en sucettes au nom d'une pipe ! Et vous, Madame Teillet, est-ce-que vous vous en tamponnez de mon état psychiatrique ? "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Qu'est-ce-que vous me racontez-là Monsieur Bedrossian ? La preuve que je ne m'en tamponne pas de votre état névrotique, je ne mets plus le tampon sur vos ordonnances comme je tape vos ordonnances mensuelles sur ordinateur ! "
Monsieur Bedrossian Jérôme, patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Est-ce-que vous vous en lavez les mains de moi de Madame Teillet ? "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Monsieur Bedrossian, vous m'avez posé deux fois cette même question sous un angle différent, la réponse que je peux vous apporter, arrêtez d'entretenir vos malheurs si vous ne voulez pas les gens s'en lavent les mains de vous en passant le balai lors d'un remue-ménage de printemps ! Si vous voulez que les gens vous ménagent, ménagez-vous pour ne plus que ça déménage en vous passant un savon ! Monsieur Bedrossian, de toute manière Monsieur Bedrossian, vous n'avez plus besoin d'entretenir vos malheurs pour qu'on s'en lave les mains de vous, la preuve comme grâce à moi, vous avez maintenant une auxiliaire de vie départementale pour vous aider à faire le ménage dans votre vie ! Monsieur Bedrossian, il faut que vous balayez devant votre porte en voyant midi à votre porte ! Sans prendre votre auxiliaire de vie pour une éponge en plein essor ! "
Monsieur Bedrossian Jérôme, patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Madame Teillet, certes, je balaye devant ma porte pour voir midi à ma porte mais à cette heure-ci, il n'y a pas l'auxiliaire de vie chez moi, mon auxiliaire de vie vient chez moi chaque mardi de 13h30 à 15h ! Car moi à midi, je sors pour décompresser de tous les gens qui me prennent pour une éponge ! Et v'lan trépasse-moi l'éponge ! Madame Teillet pour me voir chaque mois à votre cabinet
Faites-vous des entretiens sur ordonnance ! "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Monsieur Bedrossian, je n'ai pas besoin de faire de prescriptions en entretiens sur ordonnances, car pour vous y a prescription maintenant depuis que vous avez quitté L'ESAT ! Monsieur Bedrossian, vous n'êtes plus maltraité mais bien traité de paix et personne il me semble ne vous sous-traite où grâce à moi, vous avez un bon traitement ! Or ! Vous le savez bien ! Je ne suis pas trop pour les médicaments Monsieur Bedrossian ! Comme vous êtes très aguerri Monsieur Bedrossian, je vous prescris un entretien sûre ordonnance de 3 mois avec renouvellement comme y a prescription Monsieur Bedrossian ! Du fait que vous faites le je de l'oie à force de vous faire passer pour un vilain petit canard marchant avec des canes !
Monsieur Bedrossian, patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Donc, j'en déduis Madame Teillet que pour vous, je ne suis pas si handicapé que cela; même que vous êtes ma béquille mensuelle pour m'aider à tenir debout ! Malgré que je suis très et trop à bout avec ma vie qui est une histoire à dormir debout au bout de ce règlement de compte, vous avez raison Madame Teillet, pas besoin de me faire passer pour un vilain petit canard, comme c'est vous qui faites le jeu de la loi des entretiens sur ordonnances; même que je fais le je de l'oie en marchant avec des canes, dont j'en fais tout un festival pour avoir le dernier mot ! Dont maux pour mots, je dirai qu'il est temps que j'ai une vie qui tienne en faim debout malgré mon handicap névrotique ! Mais pour cela pas besoin de faire du cinéma ! Comme je suis l'unique acteur de ma vie en jouant si bien pour de bon le rôle de ma vie ! "
Jérôme de Mars
Là ferme Clochette !
C'est watch Disney !
Mon capitaine;
A des crochets
Toute cette semaine
A la télé !
Ce Walt Disney;
A raccroché
Légèreté
Pour boursoufler
Ce Peter Pan
Si essoufflé;
Qu'il fait suspends
Tout ce dessin
Très animé !
Dont le dessein
Est mensonger !
Là ferme Clochette !
A des roupettes !
La fée Clochette;
Elle conte fleurette !
Comme un garçon
Manqué, elle n'mord
A l'hameçon !
Sans les remords;
Mon capitaine
A décroché
Mettant la graine;
Rien à péter !
Un rendez-vous
A Peter Pan;
Sans un garde-fou !
Pour l'mettre en sang
Dans un duel
Epais d'épée,
Pour l'mettre en rondelle
Ce flibustier;
Là ferme Clochette !
A des roupettes !
La fée Clochette;
Elle conte fleurette !
Qu'elle le pirate
Mon capitaine;
Lui ce pirate
A chaque semaine !
Luit Peter Pan !
Qui à-tire d'ailes !
Lui pétait pends !
Qui attire d'elle !
Comme un aimant
D'adolescent,
Bon élément
Fluorescent;
Mon capitaine
Tant des crochets !
Respire la haine
Qu'il raccrochait !
Là ferme Clochette !
A des roupettes !
La fée Clochette;
Elle conte fleurette !
Jérôme de Mars
Le señor des agneaux
Ne suivant le troupeau
D'ces moutons de Panurge;
Qui leur passera l'mot
Qu'il est l'heure de la purge ?
Tel un bouc-émissaire;
Qu'on accuse de tirer
Les cornes de la colère;
Il vaut mieux s'évader
Des brebis galeuses; qui
Rendent chèvres tous les moutons !
En jouant à qui est qui ?
Il sont tous des gloutons !
A en faire un fromage
De chèvre, dont les mamelles
D'La France sont un ramage
Qui entonne au pluriel !
Le señor des agneaux;
Est doux comme un agneau !
Jouant au torero
Du silence des agneaux;
Qui tire de mâle en pis !
Pas le mal, la femelle
Qui ajoute du dépit !
Ces chèvres si demoiselles;
Qui ont l'air d'être olé !
Rangeant leur bas de laine;
Buvant du petit lait !
Vaisselle de porcelaine
Au ras des pâquerettes;
Tondues à plat d'couture !
Tout l'monde fait ses emplettes
Avec désinvolture !
En concert de louanges;
Avec en champ d'action !
Des à corps qui arrangent
Le bétail chaque saison!
Le señor des agneaux;
Est doux comme un agneau !
Jouant au torero
Du silence des agneaux;
Où tous se font des films !
Etant acteurs d'leur vie
En super 8 de films !
Qui écime d'nostalgie
Leur vache si enragée;
Qui bouffe malbouffe leur peau !
Pot-pourri consacré
A eux à fleur de peau !
L'amour est dans le pré !
Qu'ils font une émission
Ensemble ! Pour fricoter,
En faire une gestation
Sans limites; sans barrière !
Avec tout leur bétail
Sans chevreaux prépubères;
Qui donne dans leur travail !
Le señor des agneaux;
Est doux comme un agneau !
Jouant au torero
Du silence des agneaux.
Jérôme de Mars
Le jour, côté lumière, la nuit, côté ombre !
Ombre et lumière, jours et nuits sont des éclairs !
Traits de caractères, caractères bipolaires !
Dans la vie, il n'y a plus rien de linéaire !
Changements d'humeur lunatiques lapidaires !
La vie est comme le vent, dès que le vent tourne !
Le temps change inflexible dans sa direction
Fantasque ! Dans les fluctuations qui détournent
En ristourne le temps qui part en éruption !
Constater l'étendue des dégâts ! Du temps
Qui passe et outrepasse ! Attendant l'autre jour
Pour effacer les vieux démons retentant
Les gens, afin qu'ils replongent en un retour !
Entre les deux par des faux ! Cherchant qui dit vrai !
Qui hait faux ! En un je d'un grand porte-à-faux !
Il y a tout et son contraire en franc-parler !
Pourparlers, pour parler avant l'échafaud !
Le jour, côté lumière, la nuit, côté ombre !
Entre ombre et lumière dormant dans la pénombre;
Regarder les ombres que la lumière dénombre;
Et assombrit dans leurs mauvais côtés sombres;
L'imaginaire des caractères bien trempés !
Trempant leurs mauvais caractères en prenant
Tout à la lettre ! En force de frappe; détrompée
La machine à décrire les gros caractères !
Faisant couler beaucoup d'encre en leur mal de mer !
La vie au grand air réserve de grandes surprises !
Ecoulant la clepsydre des temps durs précaires
Sous l'emprise d'une spirale, pour que tout s'enlise !
Et vise à faire la vertu du vice novice !
Mais qui préfère se donner du mal en bien !
Pour serrer la vis au vice à son service !
Afin de resserrer les liens o combien
Précieux par les temps qui courent ! Laissés-pour-compte
A rebours qui dévalent le détour ! Au tour
De qui de prendre son tour tout au bout du compte ?
Qui laisse passer et présager en ce jour !
Le jour, côté lumière, la nuit, côté ombre !
Entre ombre et lumière dormant dans la pénombre;
Regarder les ombres que la lumière dénombre;
Et assombrit dans leurs mauvais côtés sombres;
Le miroir qui fait réfléchir leur reflet !
Flux et reflux que renvoie l'effet miroir !
Qui fait réfléchir leurs bons; mauvais côtés !
Qui fait voir, revoir s'il est déjà trop tard !
Pour changer leurs caractères dans l'air du temps !
L'air de rien étant radieux ! Etang bougon !
Tantôt maussade; tantôt aussitôt charmant !
Effet ronchon; mêlez-vous de vos oignons !
Qui vous donnent envie de sangloter; pleurer
Sous de magnifiques; formidables saules pleureurs !
A regretter le bonheur de siroter
Un bon Monaco aguicheur et rieur !
Songeant enjoliveur en villégiature !
D'aller séjourner à Monaco; allant
Recueillir une nouvelle jeunesse dans le pur !
Plein d'allant; avenant; venant; revenant
Le jour, côté lumière, la nuit, côté ombre !
Entre ombre et lumière dormant dans la pénombre;
Regarder les ombres que la lumière dénombre;
Et assombrit dans leurs mauvais côtés sombres.
Jérôme de Mars
Scélérat
Je suis un
Drôle d'voyou !
Sans refrain
Du bayou !
Un gangster;
Un filou;
Un sniper;
Un relou
Qui en joue !
Et bien tire !
Qui sait tout !
Se retire !
J'me suis fait
Arrêté !
Prisonnier;
Décrété
Scélérat;
Comme un rat !
C'est les rats !
Morts aux rats !
J'suis au ras
Des Pâquerettes !
Os trépas !
J'fais trempette !
C'est l'égal !
Ca m'est égal !
C'est légal !
Ca m'est légal !
Que je suis
Hors-la-loi !
Qui et suie !
Désarroi!
Pour descendre
Enfumant !
Pour des cendres
En fumant !
Scélérat;
Comme un rat !
C'est les rats !
Morts aux rats !
En prison
Taule de fer !
Cachetons
Tôle d'enfer !
Je suis un
Toreador !
S'ensuit hein !
Mirador !
Mort-vivant
A p'tit feu !
Remords vivants
Sur mon pieu !
Implorant
Un adieu !
En pleurant
Si radieux !
Scélérat;
Comme un rat !
C'est les rats !
Morts aux rats !
Jérôme de Mars
Il prend des grands airs
Dans son élément;
La musique séduit
Tout comme un aimant !
Ravi; infini
Tiré par l'cheveu;
Hair jusqu'à l'orgie
D'un air hippie pieux;
Chéri, renchéri !
Entre ombre et lumière !
Qui erre d'ère en nerfs
Avec Julien Clerc,
Comme dans un éclair
D'génie ingénu !
Qui crie sa colère !
Débonnaire en mue;
Qui en décolle l'air !
Il prend des grands airs;
En roulant les airs !
Césaire à ces airs
Sévères mais ces vers !
Roulant mécanique;
Ca lui pompe l'système !
En airs harmoniques;
Synchroniques qui aiment
En écouter M;
Le chanteur qui songe
Pour que chacun sème
Une vie sans mensonges !
Entre la nuit, le jour !
Ecrivant chaque page
Des jours troubadours
Buvant les ramages
D'un air de musique !
En bouillon de culture;
Sifflant nostalgique
Nouvelle aventure !
Il prend des grands airs;
En roulant les airs !
Césaire à ces airs
Sévères mais ces vers !
Cherchant l'renouveau
En bonne compagnie !
Que des bibelots
Pour la galerie !
Comme là aux Antilles !
A l'un lentille vue
Tout ce qui s'faufile !
Lu bien entendu !
L'air à l'encre marine
A l'air délicieux !
Sublime qui serine
Clamant silencieux !
Que cet air a l'air
D'une ballade qui drague
Tout le monde a l'aire !
Nouvelle ère qui élague !
Il prend des grands airs;
En roulant les airs !
Césaire à ces airs
Sévères mais ces vers !
Jérôme de Mars
Le soleil a infusé !
Salon de thé ;
En effet !
Au temps
C'est sa tasse de thé !
Autant prendre son temps
Avec la météo effet météo;
Qui fait la météo
De la pluie et du bon temps;
Car voici une fusée
Mise en orbite;
Qui gravite
Le soleil a infusé !
Avec légèreté
Dans l'espace temps;
En plénitude
Malgré l'amplitude
Du temps ambivalent;
Qui ne rend linéaire l'imaginaire
Face au temps bipolaire
De la vie sur Terre,
Où les idées claires
Entre ombre et lumière;
Ont fusé
Le soleil a infusé !
Avec aucun nuage
A l'horizon !
Malgré le caractère abscons
Du ciel comme un éclair
Dans son changement d'humeur !
Pourquoi le soleil hait râleur
Et non rieur !
Alors que la lune n'a de la rancœur
Face à la colère du soleil !
De mauvaise humeur spirituelle !
Alors que la lune paraît fraternelle
De meilleure humeur virtuelle,
Alors que l'essentiel est de larguer
Non-essentiel; ce qui est superficiel
Et artificiel !
Pour voguer vers la bonté et la beauté
Naturelle; avec donc là essentiel !
Pour fuser les idées
Dans un salon de thé !
Où ce sera sa tasse de thé diffusée !
Avec effet !
Le soleil a infusé !
Jérôme de Mars
Pas de quartier !
Rue des voitures;
Qui court-circuitent !
Etres défigurent
Avec leur cuite;
Y a dans ma rue !
La loi et l'oie
De l'inconnu !
Qui effet foi
Son côté lune;
Lunatique et
Sans une rancune;
Névrotique fait
D'être bipolaire;
Tout fout le camp !
Non linéaire
Depuis ce temps;
Pas de quartier !
Dans mon quartier !
Jouant au quarté !
Golden Gate Quartet
Plus rien tourne rond !
Qui se détourne
En bande de cons !
Quand des cons tournent
Contournent, retournent
Désillusions !
Tous se contournent
Des illusions !
A l'avenue
Des cent soucis;
Car à la rue
Des sans soucis;
Tous veulent la vie
A en finir
Avec la nuit !
A en maudire !
Pas de quartier !
Dans mon quartier !
Jouant au quarté !
Golden Gate Quartet
Cousu d'fil blanc !
A plat d'couture !
Jeu d'dés sans blanc
En couverture;
Le monde est noir !
A en souffrir
Dans les couloirs;
Rue des plaisirs !
Tout noir tout blanc ? !
Malgré qu'le gris
N'est noir, n'est blanc !
Si d'une griserie !
En un porte-bonheur
Y a un gris-gris !
A la bonheur !
Plus rien aigri !
Pas de quartier !
Dans mon quartier !
Jouant au quarté !
Golden Gate Quartet
Jérôme de Mars
Tague ton poème !
Culture urbaine;
C'est du street art !
Oh ! Quelle aubaine !
C'est du strict art !
L'heure du rencard
N'importe quelle heure !
Taille des costards !
Pour mettre du beur
Dans les épinards!
Comme une belle fresque;
Buvant des pinards
En arabesques !
Si romanesques;
A en rapper
Ta zone en fresque !
Presque des rappées;
Tague ton poème !
Vis de bohème !
Pourvu qu'on t'aime
Avec ton thème !
Où tu pique-niques !
Fornique d'amour !
Lançant épique;
Toi troubadour !
Issu urbain
Dans ta grande ville;
Et si serein
Dans ta gueule vile,
Où tu sévis
Parmi les durs;
Tu sais ces vies !
Toi qui endures !
Tout dans la vie !
Que tu n'y crois
Ton graffiti !
Quand tu y croîs !
Tague ton bohème !
Vis de bohème !
Pourvu qu'on t'aime
Avec ton thème !
Si avec soin;
Tu prodiguais
Tout ton béguin !
Pour redonner
Que de l'amour
Dans leur destin !
Faisant la cour
En un festin !
Saga cité;
Car cécités !
Saga citée;
T'as récité !
A l'aveuglette
L'prétexte cité !
En tes roupettes
Pour déraper !
Tague ton poème !
Vis de bohème !
Pourvu qu'on t'aime
Avec ton thème !
Jérôme de Mars
Je surfe sur Internet !
D'un effet boule de neige !
Je fais du snowboard sur
Chaussures après-ski d'neige !
Planchant à toute allure !
Montrant ma bonne nature;
Ecoutant Avalanche
Années 80 en dur !
Prenant toute ma revanche;
Remontée mécanique;
Je reprends des grands airs !
Surmontés névrotiques;
J'en reprends débonnaire !
La vie en un grand air !
Démontrant l'oraison !
Embellie pulmonaire;
M'ramenant la raison !
Je surfe sur Internet !
En surfant sans fossettes;
En surfant mes facettes;
Je surfe sur à Terre nette !
En faisant des plans sûres
La comète, pourvu que
J'y mette du mien ! Si pur !
Songeant un jour si pieux !
Je monte sur un chasse-neige !
Enlevant mon fardeau
D'un effet boule de neige !
Cet hiver ! Mon héros !
Cela m'inspire des mots !
Surfant la reine des neiges;
Me causant des échos
D'hiver en privilège !
Nourrissant toute ma sève
En mon jardin d'hiver !
Avant qu'il y ait la trêve !
Surfant depuis la mère;
Je surfe sur Internet !
En surfant sans fossettes;
En surfant mes facettes;
Je surfe sur à Terre nette !
En ce 24 décembre;
Renaissance de ma mère !
Ca y est, elle se démembre !
Des membres trop délétères !
Ce n'est Noël; ma mère !
Sait-elle qui est innée;
Cette année austère ?
Qui hait immaculée !
Conception; contraction;
Qui immatriculait !
Vitro fécondation !
Contraception; c'était
J'y nais prématuré !
D'un mal couvant le mâle !
En une couveuse futée
D'un mâle couvrant le mal !
Je surfe sur Internet !
En surfant sans fossettes;
En surfant mes facettes;
Je surfe sur à Terre nette !
Jérôme de Mars
La machine à laver la planète
Au sujet de toute l'écologie !
Si au lieu de s'en laver les mains;
On en faisait l'école de la vie !
Au lieu de remettre tout à demain !
Ce qu'on peut faire aujourd'hui; non hier !
A savoir donner un coup de main !
Pour entretenir les grandes bruyères
Et les fougères; grâce aux petites mains !
Qui ont la main verte dans les jardins !
En ville de Hyères à Fougères; en Yerres
Avec en jardin secret; le clin
D'œil de jardiniers vrais solidaires !
Qui ne débinent leur jardin secret !
Et gardent leur belle personnalité !
Pour entretenir que l'amitié
Des gens à fleur de peau ! Allant vers
La machine à laver la planète,
Refaisant des plans sur la comète !
Se rappelant qu'elle était si chouette !
Sans ses fossettes mais en ses facettes
Au pluriel général singulier;
A en balayer devant sa porte !
Avec un balai pour nettoyer
Et laver les cloportes qui colportent
Le journal des grosses mauvaises nouvelles !
A en éclairer le monde entier !
De pourquoi il s'érige solennel !
Alors qu'il souhaite la fraternité !
Pour rassembler et se rassembler;
Pour s'assembler en une assemblée
De gens volontaires ! Pour parsemer
De petites graines en vue d'édifier
Un monde sans artifice mais en paix !
Où chacun mettrait en pierre rebelle !
Un monde meilleur d'édifice qui fait
L'amour au lieu de la haine ! Qui scelle
La machine à laver la planète,
Refaisant des plans sur la comète !
Se rappelant qu'elle était si chouette !
Sans ses fossettes mais en ses facettes
Qui produisent une terre qui tourne très rond !
Qui défrichent en une Terre riche, prospère !
Terre d'amour et d'amitié sans les cons !
Qui feraient des vestiges en jachère !
Alors que La Terre veut un climat
Social dans la propreté joviale !
Sans le sale d'une salle de pugilat !
Où tous espèrent un monde amical !
Davantage cordial sans s'en laver
Les mains égoïstes dans un monde triste !
S'imbibant libéral pour tremper
Dans des magouilles, où tous veulent altruistes !
De toute urgence ! L'immense résilience
D'un monde meilleur; pour ressusciter
La fraternité en renaissance
D'solidarité ! Pour susciter
La machine à laver la planète,
Refaisant des plans sur la comète !
Se rappelant qu'elle était si chouette !
Sans ses fossettes mais en ses facettes.
Jérôme de Mars
Je suis marteau !
Boîte à outils
En dents de si !
Je suis habile
Que j'suis assis !
Clé à molette;
A en serrer
Toute ma mallette;
A en capter
De l'attention !
Je tourne et vise !
Manque d'attention;
Je serre la vis !
Que c'est un vice
En une devise;
Coupe qui dévisse !
Monnaie devise;
Je suis marteau !
Un bricolo
Aux bons tuyaux !
En mon pinceau
D'la tronçonneuse !
Et que je pioche
En une souffleuse;
Que j'ai une pioche
En sécateur !
Coupant tenailles !
Dans mon secteur
En mon travail
D'débroussailleuse!
Génies en herbe !
De ma tondeuse
Génies désherbent !
Cherchant une clé
De grande musique;
Faisant une clé
En forme olympique !
Je suis marteau !
Un bricolo
Aux bons tuyaux !
En mon pinceau
Suis écolo
Dans le panneau !
Parlant déco
En mes échos !
Faisant une pelle !
Brosse à reluire
Roulant une pelle !
Brosse à enduire
L'appel de la
Forêt ! De l'or
En barre d'éclats !
Que je redore
En ma brouette;
Rue des travaux !
J'fais la brouette
Des matériaux !
Je suis marteau !
Un bricolo
Aux bons tuyaux !
En mon pinceau.
Jérôme de Mars
Maintenant, c'est moi qui mets en boîte L'ESAT La Fabrique !
Petite saynète sur L'ESAT La Fabrique écrite par Jérôme Bedrossian alias Jérôme de Mars, ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique qui interroge ses anciens collègues de L'ESAT La Fabrique pour voir ce qu'est devenu L'ESAT La Fabrique :
Jérôme Bedrossian qui appelle son ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : Charlotte Leprêtre qui est aujourd'hui à la retraite :
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Allo Charlotte, bonjour comment vas-tu ? Quoi de neuf ? "
Charlotte Leprêtre ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Mâle, mon petit Jérôme, si tu savais comme je suis malade que j'en déchante surtout qu'il y a Nicolas Dupont, notre ancien collègue à l'atelier conditionnement qui n'arrête pas de m'appeler pour me dire que L'ESAT La Fabrique est de pire en pire, remarque, tu vois Jérôme, ça ne me surprend guère comme à L'ESAT La Fabrique l'argent, est le nerf de la guerre surtout qu'à l'atelier conditionnement, tout le monde nous mettait en boîte toi et moi Jérôme, tu t'en souviens ? Surtout que maintenant Nicolas Dupond m'a dit qu'ils ne font plus Dugas, les bouteilles d'alcool à L'ESAT mais en allant tous les jours à Dugas où Eric Thébault, choisit chaque différents agents pour les emmener en détachement, bonjour les Dugas ! "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Ne m'en parle Charlotte, à force qu'on me dise que je suis malade et un taret en me répétant que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT, je me suis souvent demandé moi, sers-je lama ? Comme tout le monde me crachait à la figure que maintenant c'est moi qui mets tout le monde dans cette petite saynète afin que je la conserve car maintenant, c'est dans la boîte de conserve cette fabrique de merde que je me demande ce que j'ai pu y fabriquer pendant 16 ans et 4 mois, si tu savais Charlotte, j'ai autant que toi déchanté dans cet ESAT que quand j'en ai perdu le respect de la parole donnée, que j'ai du composer en décomposition tellement que je me suis désintégré à en perdre mon intégrité vu tout ce qu'on m'a fait dans cet ESAT de merde, où j'ai envie de tous leur dire allez ! Tous vous faire foutre ! Fuck L'ESAT La Fabrique, j'en ai plus rien à foutre !
Ensuite Jérôme Bedrossian appelle son autre ancien collègue Christophe Majek entre l'atelier livraison et l'atelier cuisine :
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Bonjour Christophe, comment vas-tu ? Pourquoi ne me réponds-tu plus à mes SMS ? "
Christophe Majek, ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :
- " Jérôme, je n'ai plus envie de te parler avec tes dérapages et tes provocations, j'en ai rien plus rien à péter de toi, que maintenant, je ne pense qu'à ma gueule en mon état bipolaire dans la bonne et la mauvaise humeur, chacun pour soi et Dieu pour tous, à un tel point que je suis livré à moi-même et si désœuvré que plus personne ne me cuisine à L'ESAT surtout qu'on doit aller vite pour faire le travail parce-qu'on livre que je n'ai plus le temps de me livrer à toi en buvant le café du commerce au Palace ! "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Ca ne m'étonne pas que t'en ai plus rien à péter de moi comme maintenant, tu te mets toi aussi à péter des plombs comme les autres à L'ESAT La Fabrique !
Tu peux dire ce que tu veux ! Ca m'est égal comme c'est légal ce que tu me dis ! "
Maintenant Jérôme Bedrossian appelle Christophe Pou, son ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Bonjour Christophe, comment vas-tu ? Quoi de neuf ? "
Christophe Pou, ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :
- " Désolé, Jérôme, je n'ai pas le temps de te parler car je dois me dépêcher à faire mon travail pour tourner la page du conditionnement et maintenant me consacrer aux livres pour que je me délivre et je me livre du conditionnement en en faisant un livre à charge de revanche ! Et en fait pourquoi me demandes quoi de neuf ? Il n'y a rien de neuf que du vieux surtout que je prends de l'âge à presque 73 ans ! Non, je me trompe 37 ans, j'ai inversé les chiffres pour que tu me déchiffres Jérôme ! Allez à plus ! "
Maintenant Jérôme appelle Nicolas Dupond, son ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Bonjour Nicolas, comment vas-tu ? Quelles sont les nouvelles ? "
Nicolas Dupond, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Bonjour ça va, et toi ? Oh ! Mon Dieu que tu as bien fait de partir de cet ESAT avec tous les revers solitaires que tu as eus dans cet ESAT ! Car tu vois à L'ESAT, il n'y a plus de vers solidaires mais que des vers solitaires qui s'asticotent tous surtout que maintenant, chaque jour quasiment, Eric Thebault m'envoie souvent avec d'autres agents pour faire Dugas, les bouteilles d'alcool en détachement que j'ai envie de te dire, ce travail me soûle à un tel point que tu ne peux pas imaginer Jérôme ! Bonjour les dégâts ! Avec Dugas faits par des gars car bonjour laids Dugas ! Si un jour, tu veux qu'on aille boire ensemble un café, appelle-moi ! Cela me ferait plaisir de te revoir ! Jérôme ! Tiens Jérôme, y a Jocelyne et Tony qui veulent te passer leur bonjour en série ! "
Jocelyne, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Jérôme, moi et Nicolas, on te passe notre bonjour comme je suis Jocelyne, l'ange gardien de Nicolas ! Oups ! Je me suis trompé, c'est Joséphine, ange gardien, ma langue a fourché à cause d'un verre de trop d'acolytes ! "
Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Bonjour mon pote, je te passe un chaleureux bonjour malgré qu'à L'ESAT, tout le monde était en froid avec toi à cause de tes coups de chauds et de réchauds que personne ne t'a compris à part moi pourquoi tu faisais des tours de chauffe au conditionnement pour t'échauffer les esprits ! A bientôt mon pote ! "
En conclusion de cette saynète, Jérôme Bedrossian déclare :
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :
- " Qu'est-ce-que je vous avais dit sur L'ESAT La Fabrique ! Je suis tellement détaché de cet ESAT que pour répondre à ta question Nicolas, j'envoie une bouteille à la mer pour m'enivrer, tel un bateau ivre à la Arthur Rimbaud, comme dans cet ESAT, tout le monde m'a mené en bateau ! Que je vous dis à tous à toutes dans cet ESAT La Fabrique ! A l'abordage ! "
Jérôme de Mars
Une note salée dans la mer
Comme la partie émergée
De l'iceberg; mangeant
Une glace pour imaginer
Une armoire à glace ! Scrutant
Un piano déperdition
Pour mettre onomatopée !
Une note des compositions;
Décomposition d'flopée !
Regardant les mots dauphins;
Marchant sur de hautes échasses
De baleines en arlequins;
En faisant une montagne cocasse !
Qui déballe des laze hélas !
Que la mer croit au Père Noël !
Même si la mer semble trop lasse
Du 24 Décembre ! Oh ! Ciel !
Une note salée dans la mer;
Qui entre cocasse dans la guerre
Des nerfs qui relancent ah ! Mer !
Solitaire ou solidaire ! ?
Qu'est-ce-qu'une vie épanouie ?
Est-ce de l'embellie inouïe ?
Ou une vie en accalmie
En répit après la nuit ?
En laissant de glace la glace;
Le reflet du juste miroir
Fait réfléchir les gens nazes;
Leur semblant un exutoire !
Ceux qui ont le dernier mot !
Croient que la vie est un long
Fleuve tranquille d'une vie bateau !
Capitaine de moussaillons;
Ecumant toute l'amertume
De celui qui tient la barre !
Portant le poids de l'enclume
Avant que tous se rembarrent !
Une note salée dans la mer;
Qui entre cocasse dans la guerre
Des nerfs qui relancent ah ! Mer !
Solitaire ou solidaire ! ?
Ecrivant la nuit les bleus
De la mer en son encre bleue !
Versant son chagrin brumeux,
Comme demain, ça ira mieux !
Avec le soleil radieux
Qui montrera sa frimousse !
Pour que tous se moussent joyeux !
Avant que la nuit émousse
Les courageux téméraires;
Qui osent décrire l'overdose
De leur mer patibulaire;
Salutaire, où est son osmose
Qui donne vie pour faire le bien ?
Bon samaritain gentil !
Qui dit vis pour faire le lien !
Tous solidaire joyeux drille !
Une note salée dans la mer;
Qui entre cocasse dans la guerre
Des nerfs qui relancent ah ! Mer !
Solitaire ou solidaire ! ?
Jérôme de Mars
Ca vanne vahiné !
En un arc en ciel
De cœurs de palmiers;
Il y a l'aquarelle
Des grands arbres fruitiers !
Qui font pousser et
Repousser des troncs;
Des troncs d'arbre aimés;
Essaimant au long
Un ciel Africain!
Prenant d'la hauteur !
Jouant Jamaïcain
En prises de fraîcheur !
En en secouant
Tout le cocotier !
Aguichant dansant
D'un pied à contre-pied !
Ca vanne vahiné !
Pour marcher; démarcher
Savane vahiné;
Il faut regarder
Fouler, refouler
La terre des aïeux !
Sans se faire marcher
Sur les pieds odieux !
Hauts dieux ! Pénitence !
C'est d'un safari !
Que la providence
Veut en embellie !
En des marabouts
Relançant consorts !
Ceux qui sont à bout !
Grâce au sort essor
Pour faire la tribu
De ces autochtones,
D'où leur attribut
En ces amazones !
Ca vanne vahiné !
Pour marcher; démarcher
Savane vahiné;
Il faut regarder
La mer océan;
Essentielle béat
Comme édulcorant !
Aux sages adéquats;
Filant à l'Anglaise
En un groupe Aqua;
Semeur de foutaises !
Déchantant à quoi
Bon la mer à boire ?
A part boire ses algues;
Qui sont dépotoirs
Au creux de la vague !
Et si sans noyer
Le poisson d'Afrique;
Tout le monde se met;
Parsemait cantique !
Ca vanne vahiné !
Pour marcher; démarcher
Savane vahiné;
Il faut regarder.
Jérôme de Mars
Semblant grisé par l'un justice !
En faux-semblant, je fais sans blanc d'être blanchi et gris par l'injustice ! En du gris; en écrivant noir sur blanc le gris de ma vie, si bien que tout le monde est pour moi noir aigri; et gris ! Où je ne suis ni tout blanc ni tout noir ! Donc pâle en une colère noire, où dans ma vie, il y a souvent des blancs vu que je suis tout noir et des noirs vu que je suis tout blanc, mâle dans ma peau, où avec du gris; je fais sans blanc en n'ayant des idées noires; vu que je fais semblant en ayant des idées noires avec des faux sans blanc, d'avoir à nouveau de la griserie en reprenant des couleurs sans noir et blanc grisés; n'écrivant noir sur blanc que j'en vois la couleur ! Avec pour faux semblant de la griserie qui écrit que je suis définitivement blanchi et grisé par la justice !
Jérôme de Mars
L'embellie pulmonaire incarnait Michel Simon
Inné, Michel Simon naquit le 9 Avril 1895 à Genève,
Lui qui incarnait en mots dits " La beauté du diable ",
Un film incarné par lui pas par Marcel Carné;
Genre un faux diable pas si clair même si c'est René Clair;
Qui réalisa le film même qu'il joua Boudu sauvé des eaux,
Sauvé des os par sa passion pour les guenons,
Lui que tout le monde put singer à sa voix rocailleuse;
En chantant avec Serge Gainsbourg " L'herbe Tendre ", la bande
Originale de sa vie sans attendre son génie d'artiste maudit mélancolique;
Qu'il fricota avec des prostituées et des travestis habitant parfois
Dans des maisons closes avec ses 100000 objets d'obsédé sensuel;
Mouliné de sexe; lui qui avait des complexes de vieux timoré !
Mais qui ne fut pas si complexe avec l'amour du sexe;
Que Marcel Carné le fit incarner des films plein d'entrain; luit
Qui fut au " Quai des brumes " avec Pierre Brasseur, Jean Gabin
Et Michèle Morgan, dont Marcel Carné le fit incarner un autre
Film réalisé également par lui; luit qui reluit de sa vie
Qui fut un drôle de drame; déporté par les pré-vers
De Sain Jacques de Compostelle; lui l'enchanteur;
Acteur de sa vie maudite mais resplendissant de son génie sulfureux,
Où il côtoya aussi bien Georges Pitoëff qui lui fit avoir
Du pain sur les planches en jouant dans 150 pièces
De théâtre, où il fit l'acteur au temps iconoclaste et anticonformiste
Dans 145 films; interprétant des rôles aussi divers que variés
Dans le genre comique, tragique, dramatique et burlesque,
L'acteur caméléon à la fois misanthrope et philanthrope;
Recela plusieurs facettes qu'on ne sut le définir, luit l'artiste
Tourmenté, désabusé et hédoniste qui pouvait tout jouer au cinéma,
Du bourru au grand cœur, de la victime, au policier; du criminel
Au clochard alcoolique, lui qui déchanta tant à déjouer les paumés de
La vie; tel un clown contrasté en rôles torturés à l'image de sa vie cabossée
Et chaotique, où il respira les grands airs du clown blanc et auguste, lui qui
Dégusta de tant d'excès qui le consumèrent qu'il tourna " Le vieil homme et
L'enfant " de Claude Berri et Fric-Frac avec Arletty et Fernandel,
Il avait une telle facilité et une aisance déconcertante pour se
Fondre dans tous ses rôles; qu'il s'imprégna de ses rôles
Quitte à sauver sa peau en entrant dans celle des autres,
Qu'il ne respira guère la joie de vivre pendant l'occupation,
Que pour en crever l'abcès; il fuma et enfuma
Toute la beauté du diable pour mourir à petit feu !
Après avoir tourné son dernier film : " L'ibis rouge " de Jean-Pierre
Mocky pour rejoindre au paradis des immortels les disparus de Saint-Agil,
D'où il mourut d'une embolie pulmonaire le 30 mai 1975 à Bry-sur-Marne
Pour mieux respirer dans l'au-delà son embellie pulmonaire; luit le vieux
Au bris maintenant parti en fromage...Luit qui incarnait l'embellie pulmonaire;
En ce vieux chair Michel Simon, artiste qui fut acteur de sa vie romanesque,
Marginale et si originale qu'il fut un comédien magistral; subjugué par sa
Gouaille et son timbre particulier en une voix open reconnaissable !
Qu'il trouva sa voie comme acteur et enchanteur spécifique scie cocasse;
Qu'on lui décerna tout un concert de louanges, luit dorénavant
Réparti vers les anges après une vie d'ange brisée
Qu'il déploya qu'il s'envola tel un oiseau aux ailes brisées.
Jérôme de Mars
Les faux-cons
Sifflotant
En faux-derche !
Déhanchant
Tous leurs derches;
Il y en a
D'drôles d'oiseaux !
Rabat-joie !
Des zozos ;
Qui en font
Tous des caisses;
Ainsi font
Des espèces
Menacées
Sans morale !
Dépecées
Par le mal !
Les faux-cons;
Qui en sont
Des faucons;
Qui en font
Vol de caisses;
Eux en pièces !
En espèces
Qu'ils dépiècent !
Qui en cause
Du mouron !
Car because
Nous mourons
A la vue
D'éléments !
En bévue
Sans aimant !
En rapaces
Du déni !
D'une besace
Que renient
Les faux-cons;
Qui en sont
Des faucons;
Qui en font
Qui font les
Cons ! Ainsi
Si Oh ! Laids !
Oui mais si
Imbus d'leur
Personne ! Qui
Fondent des leurres !
Après qui
En veulent-ils ?
A la Terre
Qui allie
Terre rentière ? !
Qui est le
Mâle heureux ? !
Qui hait le
Malheureux ? !
Les faux-cons;
Qui en sont
Des faucons;
Qui en font.
Jérôme de Mars
Les temps monotones
En ces mots divers
L'automne est passé;
En ces maux d'hiver
Qu'l'eau tonne trépassé !
En malentendus
En un sonotone,
Car mâles entendus
En un hexagone;
Où rien s'entend
En étant distant !
Qu'aucun s'entend
En étang détend !
Le temps est maussade
Qu'j'en fais une ballade !
Du temps hait Mossad
Que tous me baladent !
Les temps monotones;
Est passé l'automne !
Que j'en suis atone !
Que ça me rend stone !
De mélancolie;
Que je fais un blues
De misanthropie !
Qui fait que j'épouse
Le gris de ma vie
Qui veut évite dire !
Pourquoi je dévie
Ma vie à souffrir
Si désabusé;
M'habillant l'hiver !
Et si affublé
M'affligeant divers !
Que ma vie est un
Compte de fée d'hiver !
Que je manque d'entrain !
Conte refait divers !
Les temps monotones;
Est passé l'automne !
Que j'en suis atone !
Que ça me rend stone !
Que j'arrose déviant !
Toute ma sinistrose;
De ma rose de vent
Que j'ai une cirrhose !
En mon manque de foi !
Dans ma vie rature
De ma planque dès fois
Dans ma vie roture !
Que j'écris ma peine !
Cris de ma feuille morte !
Oh ! Ma peine ! Open !
J'en fais une âme forte !
Après la dérive
Aux berges Espagnoles !
Ca y est, j'en arrive
Auberge Espagnole !
Les temps monotones;
Est passé l'automne !
Que j'en suis atone !
Que ça me rend stone !
Jérôme de Mars
Rock'in cher
Dans le loir
Et si cher
D'un dortoir;
Une gloire chère !
L'en touche une
Sans bouger,
Sans rancune
Le doigté !
D'un beau geste !
L'reposant
En des restes;
En flânant
Sûr en ses
Lauriers ! Scie
Assis et
Indécis !
Rock'in cher;
Surenchère !
Rocking chair;
Sûre en chair !
Il faut jouer
D'la musique !
Pour enjoué
Pacifique !
Instruments
De musique;
Tournent le vent
Acoustique !
Se bougeant;
Révoltant !
Contre l'instant
Renversant !
L'élément
D'un aimant;
Si amant;
Si sciemment !
Rock'in cher;
Surenchère !
Rocking chair;
Sûre en chair !
Faux-semblants
Apparents !
Cent vin blanc
Un par an !
Si un roc
En de pierre;
Si un rock
En deux Pierre
D'édifice !
Origine
D'artifice
Des racines;
Très à chaise !
Fatigué
Sur sa chaise !
Terrassé !
Rock'in cher;
Surenchère !
Rocking chair;
Sûre en chair !
Jérôme de Mars
Harcèlement sensuel
Croisement de l'entre-jambe;
Il y a effet d'volupté !
Ca te fait une trop belle jambe !
De puberté et d'pureté !
Qu'on peut penser, dépenser
A obsédé sexuel !
Qu'on peut panser, compenser
Six excédés sexuels !
En légitime libido;
Qui te fait tant travailler !
Au sujet de ton tuyau
D'arrosage à ébranler
Toute ta sexualité !
A te caresser l'engin
Toute ta sensualité
Branlée ! Pour te faire du bien !
Harcèlement sensuel;
Tu as toute la gestuelle !
Harcèlement sexuel;
Tu as tout le manuel !
En faisant la queue quoique !
Avec ton sexe belliqueux !
Versant d'un piano à queue
Tout ton liquide si visqueux !
Que tu paierais en liquide !
Toi ;le pervers très vicieux !
Où tu jouirais si humide !
Toi; le Prévert très visqueux !
Ca fait du bien par où ça
Passe et où ça sort; essore !
Avec tes filles rabat-joie !
Filles de joie en plein essor !
Tu tires, étires et retires
Ta crampe en cure de jouvence !
Qui t'fait rôtir de plaisirs !
Toi au septième ciel d'jouissance !
Harcèlement sensuel;
Tu as toute la gestuelle !
Harcèlement sexuel;
Tu as tout le manuel !
Que tu rougis de baisers
A éclater son vagin !
Que tu rugis deux baisés
A t'éclater ton engin !
Que tu envoies, renvoies tout !
Ta grande crème fraîche qui allèche
Ton appétit; qui exulte fou !
Bandant mou; doux qui t'assèche
Ton bon liquide séminal !
Concentré pur jus pressé !
T'as compressé animal !
Ton concentré oh ! Pressé !
Que tu craches en gros morceaux !
Que tu mousses Line et purée !
Que tu craches ton gros tuyau !
Que t'émousses Line épurée !
Harcèlement sensuel;
Tu as toute la gestuelle !
Harcèlement sexuel;
Tu as tout le manuel !
Jérôme de Mars
L'appel générale de 18 joints mille neufs sans quarante !
En générale avant, il y avait la gaule
En général de Gaulle,
Qui voulait la paix et La France libre
Lors de l'appel de 18 juin 1940 !
Pour que tout le monde vibre
A nouveau avant la fibre
Optique bien après l'an 40 !
Que j'ai envie de fumer
Comme calumet de la paix;
L'appel générale de 18 joints mille neufs sans quarante !
Pour enfumer l'appel général de 18 Juin 1940 !
Afin que tout le monde retrouve en générale
La France de la Gaule; n'est-ce-pas mon général
De Gaulle ?
Pourvu que quelqu'un ne me gaule !
A part s'il y a un goal de l'équipe de France de foot !
Vu que je n'en ai rien à foot ! A part si je me shoote
Pour partir en fumée et mourir à p'tit feu
Depuis mon pieux faute de croire à Dieu !
Au lieu de l'appel général de 18 juin 1940,
Je préfère l'appel générale de 18 joints mille neufs cents quarante !
Pas dans une salle de foot !
Mais pas à pas dans une salle de shoot !
A base de résine de cannabis, de shit, de marijuana,
De bédo, de haschich ! Oh ! Chiche ! Oh quel toupet !
Depuis naguère et paix en épée de Damoclès !
Oh ! Quelle daube ! Cette Marseillaise ! A qui j'ai
Envie de dire mes foutaises avec mes charentaises !
En passant un savon en jet, moi si dérangé !
Alèse ! Je me repose sur mes lauriers à l'aise !
D'où du général de Gaulle ! Le plus important est
D'avoir la gaule sans que personne ne me gaule !
Dans le pays de La Gaule ! En faire de tôle !
N'est-ce pas en générale votre gaule
A vous ! Mon général si vous avez encore la gaule ?
Pour redonner d'où vous êtes, la gaule
Au pays de La Gaule, sans que personne ne vous gaule !
Avec en générale votre Gaule !
De votre part Monsieur le Général de Gaulle !
Et si pour partir en fumée, enfumée, vous me donniez
Une cigarette de chanvre pour partir ici joint, en joint !
Rejoint par votre appel général de 18 juin 1940 !
Dont moi sans que ça date de l'an 40,
J'en ferai à coût sûr en juin ça sera bien !
L'appel générale de 18 joints mille neufs sans quarante !
N'est-ce-pas en générale la gaule dans le pays de La Gaule !
Mon cher Général de Gaulle ?
Jérôme de Mars
Robinet à vannes à la source
Petites vannes sur les adhérents du GEM de Vitry : " Le Grison "
1) Quand Dorothée vient au GEM de Vitry le mardi et le jeudi, elle retrouve son club Gerald et Sultana car tel est le Club Dorothée !
2) Mené tambour battant en répercussions, je ne participe pas à l'atelier musique de Gerald au GEM de Vitry comme je déchante dans la vie que j'écris à la place des chansons pour y laisser des plumes !
3) Concernant Guillaume en tant que jardinier à la Mairie de Gif sur Yvette, quand il vient au GEM de Vitry, il cultive très bien l'amitié avec Philippe Benguigui en buvant un poto rose car grâce à l'amitié, la vie est rose !
4) Depuis que Guillaume est jardinier et qu'il a son propre jardin secret, Guillaume voit la vie en rose !
5) Depuis que Bénédicte est au GEM de Vitry, en faim pour elle, c'est du gâteau surtout quand elle utilise le rouleau à pâtisserie pour ne plus être au bout du rouleau vu que Bénédicte est une crème !
6) Rafaël conte sur Jérôme pour lui raconter des histoires à dormir debout ! Comme au bout du conte, Jérôme conte sur Rafaël pour l'aider à régler ses comptes avec le GEM de Vitry chaque début de mois !
7) Au bout du compte, Rafaël est spécialiste de son compte en banque comme au bout du conte, Jérôme est spécialiste de son conte de saltimbanque !
8) Je verrais bien Ouahiba faire de la danse au GEM de Vitry en passant le ballet lors d'un remue-ménage de printemps !
9) Si je ne participe jamais le lundi à la sophrologie, c'est parce-que je suis long à la détente !
10) Le jour où j'écrirais un énième slam sur le Tour de France, c'est que je recyclerai mes vieux petits vélos psychiatriques !
11) Gerald doit mettre la pédale douce pour ne plus tomber de son vélo ! Voilà la chute de l'histoire !
12) Quand au GEM de Vitry, certains adhérents fument chaque jour des cigarettes, on n'y voit que du feu comme ils grillent toutes leurs cartouches !
13) On connaît la chanson pour en faire au GEM de Vitry, j'écris les paroles et Gerald doit composer avec tout ça en en faisant une musique à portée de main, comme luit a toujours le dernier mot !
14) Imaginons qu'un jour Philippe Lean vend ses origamis, il en fera de la vante à la découpe !
15) Même que c'est Gerald qui mène la baguette à l'atelier musique, il suffirait qu'Alain qui fait de la percussion ait la baguette magique lors de chaque roulement de tambour !
Jérôme de Mars
Si un manouche fumait des gitanes...
En fumant une taffe de cigarettes;
Enjoué en joue fumant des gauloises;
Le manouche au taf de ses emplettes !
Nous enchante en ses paroles grivoises
Sur d'la musique qui dépanne son cœur;
Son cœur qui bat la chamade gauloise !
Et qui cherche des chœurs sans une rancœur
Pour déchanter con plainte grande bourgeoise;
Et la réenchanter en ballade !
Qui donne, redonne, s'adonne en paroles !
Pour que la musique ne soit en rade !
Avec pour gros mots ses farandoles
D'ex ado parano et mégalo !
D'où il avait avec les tziganes;
Des bouffées d'oxygène en rétro !
Qui fanent à fleur de peau tous ses fans !
Si un manouche fumait des gitanes...
Voudrait-il partir fumée tziganes ?
Fumant, enfumant fumées d'gitanes !
Faisant du jazz manouche très tzigane !
Où il fumerait le calumet
D'la paix en bouffées à volonté !
Fumant des nuages de volupté !
A volonté et pour voyager
En y chambrant les gens du voyage
Aux danses abords de sa caravane !
Du grand jazz manouche musique sauvage !
Ce manouche en chantait car à Vannes !
Vile très louche ! Il fumait; enfumait
Tout le monde en des paroles hagardes !
En tant que trublion qui crevait
Les tympans chantant " Chansons paillardes "
La forme conforme qui difforme méformes;
Mes formes enfumant sa nouvelle taffe
De cigarettes ! Remettant les formes
De cigarettes et bien paf au taf !
Si un manouche fumait des gitanes...
Voudrait-il partir fumée tziganes ?
Fumant, enfumant fumées d'gitanes !
Faisant du jazz manouche très tzigane !
D'un écran de fumée qui dépanne;
Enfumée de tziganes mélomane !
Chic carré contrecarré qui fane
Les fans branchés barrés qui émanent !
Yes man en un look baroque loufoque;
Qui ressemblerait, rassemblerait
Une communauté de fans bas rock !
Pour unifier et tout réunifier
Mégalomanes et très mélomanes
En paroles grivoises fumant gauloises !
Fumant les Françaises gauloises qui fanent
Les gens à fleur d'peau, une fan bourgeoise !
Qui jouxterait et man pyromane !
Feu Yes man pour qu'émane en emplettes
Au taf ! Les tziganes et les gitanes !
Fumant une dernière taffe d'cigarettes !
Si un manouche fumait des gitanes...
Voudrait-il partir fumée tziganes ?
Fumant, enfumant fumées d'gitanes !
Faisant du jazz manouche très tzigane !
Jérôme de Mars
Poème ambigu
Comme un éclair;
Je ne suis clair
Dans ce poème ambigu;
Où je fais l'abscons
Tout rubicond !
Or ! Ce que ce que j'écris
Est biscornu
Et farfelu à l'envie !
De mon autoportrait
A mon auto abstrait;
Comme je vois flou
Avec du flouze !
En ce poème ambigu
De partouze !
Où je suis si fou !
Et bizarre
Parmi le plus blizzard !
Où je suis sombre !
En grand nombre
De ma pénombre
A l'ombre;
Entre ombre et lumière !
De moi qui ne suis clair !
Comme un éclair !
Obscur horizon;
Moi l'abscons !
Jusqu'à l'absolu
Et perdu
De ce poème plus qu'ambigu.
Jérôme de Mars
Seringue
Dingue sans garde-fous,
J'envoie et je lance des piques
Epiques sous les tropiques
Dans ce monde de fous,
Dont moi qui suis dingue !
Je me pique avec une seringue
En piqûre de rappel !
Comme une aquarelle;
Où dans un ballon d'essai;
Je shoote
En faisant un essai !
Que j'en ai rien à foot !
Moi qui me shoote
Aux médocs qui m'encroûtent
Sans seringue,
Car pas assez dingue !
Pour que je me flingue
Avec mon emporte-flingue;
Que je dézingue
Toutes mes fringues
Sans seringue;
Qui pique mon âme baltringue
Exotique en tics antiques
Du fait que je suis dingue;
Sourdingue et lourdingue
Avec en piqûre de rappel
Solennelle et informelle !
Que je suis dingue
Sans foot;
Mais avec shoot
Cent seringues.
Jérôme de Mars
Quand il fait beau, je ris !
En attendant l'été;
Je patiente sirotant
Un café à m'marrer !
Amarrer m'esclaffant
En janvier sans soleil
Disjoncté; regardant
Ce monde effet d'oseille;
Se fourvoyant; méchant
En des choses indécentes
De chiennes de vie gamelles;
Où tous dès la descente
D'un parti font la belle !
En des chiens de faïence;
Se repentant après
De leur loi du silence !
Et guitare renseignée !
Quand il fait beau, je ris !
Quand il pleut tant, je pleure !
Fait rieur, je souris !
En parasols pleureurs !
La vie et le temps sont
Des genres aux idéaux;
Remontant d'ultrasons
Portables mode avion hauts !
Direction La Côte d'Azur
A regarder la brise;
Qui vend, pourfend l'armure !
Pourquoi notre monde se brise
En voiture de pare-brise ?
Laissant sur le carreau !
Ce qui nous renoue brise
En éclats de sanglots !
Un coup ça va ! S'en va !
Ou tous sont mal lunés !
Car ça va pas appât !
Preuve que tous sont burnés !
Quand il fait beau, je ris !
Quand il pleut tant, je pleure !
Fait rieur, je souris !
En parasols pleureurs !
Pour en refaire du zèle;
Il faut être en grande une !
Soit face lune; face soleil
Sans rancune; sans lacunes !
Quand est-ce-que tout ira
Bien ? Demain très lointain ?
Pourquoi chacun s'en bat
De tout ! Enclin; déclin
D'œil à se rincer l'œil !
En ce monde bipolaire ?
S'fourrant en trompe-l'œil !
En ce monde qui manque d'air !
Car lapidaire; se fourrant
Le doigt dans l'œil d'orgueil !
Se réjouissant semblant !
Que tout fout l'camp d'écueils !
Quand il fait beau, je ris !
Quand il pleut tant, je pleure !
Fait rieur, je souris !
En parasols pleureurs !
Jérôme de Mars
Il pleut un soleil !
Reçu cinq sur cinq !
Dans le club des cinq;
Ce qui nous requinque;
C'est un monde sans feinte !
Mais vrai sans nuages
Et sans la pluie triste,
Avec des ramages
Qui nous rendent altruistes !
Panoplie d'artistes
Qui rendent le monde beau !
Sans les égoïstes;
Prenons l'escabeau !
Qui va vers le haut
Sans médiocrité !
On va vers le haut !
Sans oh ! Camouflets !
Il pleut un soleil !
En des étincelles;
Qui nous émerveillent
Sans l'oseille réveil !
Y a pas que l'argent !
Qui compte dans la vie !
Y a également
De garder l'envie !
D'être en vie malgré
La nuit qui sévit
En remords, regrets !
Qui font tôt si nuits !
Y a du bonheur
Dans la vie aussi !
Tartinant son labeur
En des confettis !
Qui nous rendent heureux;
Ravis éblouis
En être fabuleux !
Rendant notre monde joli !
Il pleut un soleil !
En des étincelles;
Qui nous émerveillent
Sans l'oseille réveil !
En gardant espoir;
On s'embellit tant
En de belles histoires;
Comme le bon vieux temps !
Qui nous fait revivre
Tous nous souvenirs;
Qui nous enivrent, livrent
Pour un avenir
Meilleur, à chaque heure;
L'heure de vérité
A sonné l'ardeur
D'la témérité !
De ceux émérites
Qui ne déméritent !
Mais qui ont l'mérite !
Si bien que gravite
Il pleut un soleil !
En des étincelles;
Qui nous émerveillent
Sans l'oseille réveil !
Jérôme de Mars
Graffiti 94
En vous faisant un beau dessin
En représentation d'une fresque,
Si c'était de la bombe dessein !
Qui ferait un tag pittoresque
Romanesque allant droit dans l'mur ?
Etant sa propre caricature !
Faisant d'un crayon pâle figure;
Droit de cité sa belle nature !
Recevant en tableau d'honneur !
Des personnages natures vivantes;
Qui feraient une grande haie d'honneur !
En ce monde cent couleurs aimantes !
Si la saga citée citait
La dictée de la bonne conduite !
Il suffirait d'en esquisser
Une aquarelle en des lits d'fuite !
Graffiti 94;
On peut voir en peinture 14
Personnes qui frôlent leur overdose !
Cette peinture a eu toute sa dose !
Qui voudrait sans sortir du cadre
Accrocher des tableaux au ciel ?
Décrochant la lune qui recadre
L'essentiel en un arc en ciel !
Qui verrait en verrait la couleur
De la peinture d'huile ! Allo ! sûre
Le feu pour reprendre des couleurs
Hautes en couleurs cette fois mâtures !
Qui aimerait revendre la mèche
D'une bombe de peinture allumant
C'est d'la bombe antisèche revêche
Qui crèverait tant les tympans ?
Tintant avec sagacité !
Que le chaud caillera d'éclats !
La racaille en un droit d'citer
L'oraison de tous ces et moi !
Graffiti 94;
On peut voir en peinture 14
Personnes qui frôlent leur overdose !
Cette peinture a eu toute sa dose !
Folle alliée en ces mauvaises graines;
Il y a encore l'eldorado !
Pour ne plus s'en faire de L'Eden;
Même que tout le monde a bobo !
Comme les bobos bourgeois bohèmes
Riches d'leur argent, pauvres en amour !
C'qui compte, est que tout le monde s'aime
Sème d'amour; bonjour en ces jours !
Qui valent en corps tout le détour !
De l'amour manichéen plein !
Ajoutant au tableau; l'amour
Qui rend ce monde épicurien !
Et faites l'amour en d'la peinture !
Pour que tout le monde se recadre !
Pour encore se voir en peinture !
Et pour que tout le monde s'encadre !
Graffiti 94;
On peut voir en peinture 14
Personnes qui frôlent de l'overdose !
Cette peinture a eu toute sa dose !
Jérôme de Mars
Edith Piaf
Ecoutant
D'impatiences;
Bécotant
En silence
Je piaffe tant
D'impatiences;
J'me détends
En fréquence;
Emporté
Par la foule;
Rapporté
J'me défoule !
Comme Milord
Padam padam;
Où dès lors;
J'fais un slam !
Edith Piaf
Edite piaf !
En plein paf;
Quand elle taffe
D'une fumée
De cigarette;
A enfumer
Ses fossettes
D'un hymne à l'amour;
Mon manège à moi
De ces jours;
Il était une fois
La vie en rose;
Non, j'ne regrette rien !
Malgré la sinistrose
Qui donne d'l'entrain !
Oh ! Mon Dieu !
Sous l'ciel de Paris !
C'fut feu
Edith ! A l'agonie !
Edith Piaf
Edite Piaf !
En plein paf;
Quand elle taffe
A son taf
Avec Théo;
Qui en piaffe
Son homme à la moto !
Qui la rejoint
Quelques temps après!
Si enjoint !
A peu prêt !
Elle si malheureuse!
Si mélancolique;
Qu'elle fut valeureuse
Si frénétique
Au Père Lachaise;
Elle en poussière !
Trop à chase
Au cimetière !
Edith Piaf
Edite Piaf !
En plein paf;
Quand elle taffe.
Jérôme de Mars
Soleil lunatique, lune ensoleillée
Miroir à deux faces;
A double faces
En surface,
Entre gravité
Et légèreté,
Des temps bipolaires
Qui composent la sphère;
Soleil lunatique, lune ensoleillée
De l'émerveillé
Au désabusé
En notre monde qui ne tourne rond,
Car rubicond en faisant le con;
Maniaco-dépressif
Jusqu'au toxico rétif
Sur le vif du sujet,
Dont le sujet est simulé
Comme dissimulé;
Soleil lunatique, lune ensoleillée
Entre ombre et lumière;
Qui n'est clair et clair
En plusieurs caractères,
Du délétère au salutaire
Clown auguste;
Qui déguste
Le clown blanc;
Vu ce que tout le clown sans blanc
Déguste
Dans ce monde qui naît qu'apparences
En faux-semblants qui font déliquescence;
Soleil lunatique, lune ensoleillée
De la gravité au léger;
La partie immergée de l'iceberg
En ne perdant pas le Nord de Bergues;
Voilà où l'amer mène
Et emmène
Entre ombre et lumière
Dans ce monde qui n'est clair !
Et qui manque de lumière ,
Où tout naît qu'éclair !
Immaculé immatriculé;
Soleil lunatique, lune ensoleillée.
Jérôme de Mars
Jaunisse alitée
Chanteur enchanteur;
Il est décédé !
Chanteur déchanteur;
Effet DCD !
Il repose en paix
Au grand panthéon
Des artistes respect !
Luit caméléon
En différents styles;
Divers et variés
En différends fils;
Il est avarié
Maintenant luit mort !
Il ne fut débile
A l'instinct remords;
Oui indélébile;
Jaunisse alitée;
Mort décomposé
Johnny Hallyday;
Il nous a quittés
Pour l'éternité;
Avec tous ses tubes
En postérité;
On lui fait d'la pub !
Lui qui chanté
L'amour et le blues;
Qui a déchanté
La mort qui épouse
Les flammes de sa vie;
Dont l'infâme jalouse
Chaque femme de ses nuits;
Dont il a le blues !
Concert de louanges
Parti en fumée;
Cancer de vidanges
Feu le calumet;
Jaunisse alitée;
Mort décomposé
Johnny Hallyday;
Il nous a quittés
Au creux de la vague
Qui l'a emporté
En sa mort qu'il drague !
Notes à sa portée;
Note salée amère
En son vague à l'âme,
Note sucrée ah ! Mer !
Qu'il élague en drame !
Repose-t-il en paix
Brûlant pour descendre ?
Implose-t-il d'effet
Fumant pour des cendres ?
Lui la Tour Eiffel;
Luit L'Arc de Triomphe;
D'l'oseille au soleil !
En sa mort qui plombe
Jaunisse alitée;
Mort décomposé
Johnny Hallyday;
Il nous a quittés.
Jérôme de Mars
Les ose-laids !
En osmose
D'un poème;
Mort de prose
D'un problème;
En remords
Du tombeau;
Je suis mort !
Tombe de haut !
Qui rime à
Mal de mer;
Arrima
Mâle de mère;
J'en ai la
Solution !
D'un trait pas
D'équation !
Les ose-laids !
Osselets !
Ose olé !
Un os laid !
Pour mûrir
Très en vie;
Pour mourir
Trop envie;
La vie passe
Encore vite !
Quelle impasse
En corps vite !
Avant d'en
Naître poussière;
Avent d'an
Etre poussière;
Profitons
De la vie !
Vivotons
Dès la nuit !
Les ose-laids !
Osselets !
Ose olé !
Un os laid !
Si enjoué
Au cercueil;
Si en jouet
Au recueil;
Laisse tomber
Tous les morts !
En retombées
De remords !
Bois des vers
En solidaires !
Crache revers
En solitaires !
Avant que
La faucheuse
T'fasse quoique !
Trop brumeuse !
Les ose-laids !
Osselets !
Ose olé !
Un os laid !
Jérôme de Mars
Les flamands roses
Si j'étais belge;
J'écouterais
Brel couleur beige;
Sans me friter
Et m'effriter
Sucré salé;
Sans rentrer vrai
Dans le moule et
Démoulé moi;
Le rebelle non
Chacun pour soi !
Pour mettre ton nom
Avec mon nom;
Chacun pour toi !
Tout ouï pas non !
Car toi patois !
Les flamands roses
Sans sinistrose;
Les flamants roses
Buvant six roses;
Et si d'un drame
En Stromaë;
J'en fais un slam
Prêt à parler
De mon vécu;
Qui l'eut trop cru ? !
Je l'ai vécu
Sans être vaincu;
Et si en grammes
De mon vécu;
Je clame, déclame
J'ai tout vaincu !
Parmi les Belges
En désarroi;
De couleur beige
En des parois;
Les flamands roses
Sans sinistrose;
Les flamants roses
Buvant six roses;
Que pourboire mets
Déboires à manger
A démanger;
J'ai dégusté
La mise en bière
De ma mère; qui
M'a soûlé hier !
Même si exquis
Je la regrette
Avec colère;
Comme je n'arrête
D'avoir ses airs
De ressemblances
Portrait craché;
En insolence
Autoportrait;
Les flamands roses
Sans sinistrose;
Les flamants roses
Buvant six roses.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi y a-t-il eu un assaillant qui a commis un attentat à la Gare du Nord ?
- Parce-qu'il n'a pas perdu le Nord comme La France est à couteaux tirés !
Jérôme de Mars
L'écorche terrestre
Plié en quatre;
C'est la forêt !
Elle est psychiatre
Pour imager
Ce qui se passe
Sur La grande Terre !
Où en surface,
Elle décolère
Alors qu'elle hait
Toutes les faces sombres
De la forêt;
Lumière et ombre
Comme un soleil
Emmuré; tant
Choses démentielles !
Qu'à cet instant;
L'écorche terrestre
Fait de l'équestre;
L'écorce terrestre
Gai-pied pédestre !
Quand un orage
Rend bleues les âmes
En bleus de rages;
Qui rendent infâme !
Ce monde sans âmes;
Qui ne désarme
Rasoir à l'âme;
Rasant la larme
De rubicond;
Pourquoi ce monde
Fait trop le con !
En guise d'immonde !
Et est-ce normal ?
Qu'on fasse tant croire
Paranormal;
Papier buvard !
L'écorche terrestre
Fait de l'équestre;
L'écorce terrestre
Gai-pied pédestre !
Et si d'une gomme
En des crayons;
On les dégomme
En des rayons
De belle couleur;
De peau tempo !
D'ardeur, ferveur;
Fureur joyaux !
Et si d'un arbre,
On en faisait
Laissant de marbre;
Un bel été
Haut comme trois pommes;
Effet pommier !
Tout pour sa pomme;
Et fait poirier !
L'écorche terrestre
Fait de l'équestre;
L'écorce terrestre
Gai-pied pédestre !
Jérôme de Mars
Haute ! Sa voix !
Un chemin
De ramage,
Qui devin,
Donne cépages
De vin chaud
En montagne;
En réchaud
De champagne;
Cherchant ses
Mots synchros;
Pour chanter
Au micro
Des paroles
De chansons;
Dès l'envol
Chauds marrons !
Haute ! Sa voix !
Haute Savoie !
J'aime Savoie !
C'est une voie !
Donnant la
Voix qui voit;
Qui vouvoie;
Qui tutoie;
Quand je vote
De ma voix;
Je pivote
En ma croix;
Que je porte;
Je rapporte;
Je colporte;
Que j'apporte
Ouvrant grand
Par la porte !
Le boucan
Qui déporte !
Haute ! Sa voix !
Haute Savoie !
J'aime Savoie !
C'est une voie !
Que je bois
L'amertume;
Qui me noie
Mon enclume;
Que je dois
Dire à quoi
D'mes dix doigts ? !
Car aqua
En chanter
Barbie Girl;
Enfanter
Une call-girl;
Déchantant
Ce ramage;
Enchantant
De mon plumage;
Haute ! Sa voix !
Haute Savoie !
J'aime Savoie !
C'est une voie !
Jérôme de Mars
Le temps qui passe dans la semaine !
Lundi, en début de semaine, il pleut grise mine !
Mardi, il neige effet boule dee neige !
Mercredi, il y a un avis de tempête qui vend du vent !
Jeudi, il grêle avec des flocons qui laissent tomber le chaud comme
Vendredi, il y a les sains de glace en froid avec un ciel bleu normal !
Samedi, il y a les giboulés de Mars rappelant
Dimanche, au bon vieux temps chaleureux où il fait beau avec la fièvre jaune !
Faisant couler et s'écouler le temps qui passe dans la semaine !
Jérôme de Mars
Quand mes maux me pèsent, je pèse mes mots !
En gros ben mince, gros, je m'en balance !
Car quand je me pèse, je suis obèse
Sur mon pèse-personne ! Moi en vacances
De mon fardeau au poids; nul à l'aise !
Que je ne redors sur mes lauriers;
Alèse que ma santé fout le camp !
Sans aller me soigner aux Noriets;
La clinique où semble si long le temps !
Que je m'en balance en un contrepoids !
En faisant à Noël le détour
Du pâté de maison; manque de foi !
Je n'ai plus foi en la vie qui court !
Au fur et à fur à mesure de ma baisse
De régime, dont je n'en ai cure; cure
D'austérité en vaches maigres obèses !
La vie me pèse; je n'ai de pèze pur !
Quand mes maux me pèsent, je pèse mes mots !
Je pèse mes maux quand mes mots me pèsent !
En gros obèse ! Si je suis sans pèzes !
En faisant du trapèze si obèse !
Et si ben mince ! Je suis gros ben mince !
Comment faire pour prendre à la légère !
Tout ce qui me pèse pourquoi je grince
A chase de vache enragée prospère ?
Et pourquoi la vie me pèse attend !
Demain sera mieux qu'aujourd'hui; oui !
Je suis long à la détente à temps !
Quand serai-je tout ouï dans l'accalmie ?
La vie faut-il trop s'en balancer ?
Comment vaincre toutes ses immenses angoisses ?
A part redémarrer, se lancer,
S'élancer envie non des gueux las !
Comment redonner de la richesse
A la vie même avec tous ces pauvres ?
Comment redonner de la liesse;
De l'allégresse pour demeurer sobre ?
Quand mes maux me pèsent, je pèse mes mots !
Je pèse mes maux quand mes mots me pèsent !
En gros obèse ! Si je suis sans pèzes !
En faisant du trapèze si obèse !
Malgré que la vie soûle éméchée !
Ceux qui sont fauchés par toutes ces nuits
Dans leur vie; grosse bouteille envoyée
A la mer, comme tant endolorie !
Leur vie qui sent l'écume des bobards !
Quand tous mettent lors de leur tournée
A la note salée d'ceux qu'on rembarre !
Que maintenant à leur tour inné !
Ils payent leurs revers; vers solitaires !
Qui préfère boire ensemble leurs déboires ?
Vers de contacts; vers très solidaires ?
Il y a à en manger et à boire !
Et qui reste pour finir tous les restes ?
Et qui reste pour prendre à la légère ?
Ce qui reste quitte à lâcher du leste !
Et si salutaire à la légère !
Quand mes maux me pèsent, je pèse mes mots !
Je pèse mes maux quand mes mots me pèsent !
En gros obèse ! Si je suis sans pèzes !
En faisant du trapèze si obèse !
Jérôme de Mars
La machine à écrire l'ordonnance
Entretien imaginaire entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine et son patient Monsieur Bedrossian Jérôme :
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? " A ce que je constate aujourd'hui, vous êtes si impatient de parler avec moi ? "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Madame Teillet, je vais bien, effet je suis si impatient de parler avec vous comme je suis un patient au CMP de Vitry-sur-Seine ! "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Vous voyez Monsieur Bedrossian, mon bureau est le bureau des plaintes avec les patients du CMP de Vitry-sur-Seine avec ceux qui déchantent dans la vie, mais vous, comme vous chantez, en chantez dans la vie, c'est le bureau des complaintes, qu'avez-vous écrit comme derniers slams pour que ça fasse couler beaucoup d'encre ? "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " En souvenir de tous ceux qui m'ont mené en bateau dans ma vie, je ne dirai pas que je cherche à faire couler beaucoup d'encre mais juste à jeter l'encre ! "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Monsieur Bedrossian, me considérez-vous comme une psychiatre qui actionne la machine à écrire l'ordonnance ou la machine à décrire l'ordonnance ? "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Madame Teillet, même que vous n'êtes pas mon médecin traitant généraliste mais comme psychiatre généralité, vous n'avez jamais été maltraitant avec moi, vous êtres ma psychiatre généraliste traitant bien ma pathologie, ce qui ne fut pas le cas de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique, comme tout le monde me sous-traitait et me maltraitait en étant conditionné au pire, même qu'au CMP, j'avais un bon traitement, je n'avais pas un bon traitement à L'ESAT La Fabrique ! "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " A votre avis Monsieur Bedrossian, est-ce-que je me tamponne de vous comme patient ? "
Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bien sûr que non Madame Teillet, je ne pense pas que vous en tamponnez pas de moi au patient, la preuve vous ne faites plus les ordonnances à la main en les tamponnant mais en les tapant sur ordinateur, la preuve que vous avez une bonne impression sans fausse impression malgré mon expression et toute la pression que j'avais avant quand j'étais à L'ESAT, et je vous suis bien gré d'avoir une machine à écrire l'ordonnance et non une machine à décrire l'ordonnance, surtout qu'avec vous, ce ne sont pas que des entretiens sur ordonnance dans le je de l'oie ! Même que je suis un drôle d'oiseau en prises de becs ! "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Monsieur Bedrossian pour vous clouer le bec, ici c'est moi qui fais le je de loi ! En vous disant que vous n'avez pas du tout une case en moins en vos maux croisés, mais avec une case néanmoins à vous cultiver l'esprit avec des mots croisés, Monsieur Bedrossian, écrivez encore et encore de beaux poèmes qui riment et arriment de votre mal de mer en envoyant une bouteille à la mer comme vous avez souvent du vague à l'âme, l'écriture c'est thérapeutique et ça vous va tellement bien que maintenant, vous n'aurez plus envie de faire un jeu d'écriture, mais un je d'écriture quitte à sortir un jour ou l'autre un livre avec au bout du conte, des mots sincères et touchants de vos maux qui nous prennent par les tripes que tout ce vous écrivez noir sur blanc, on le sent et on le pressent que ce n'est pas à prendre pour argent comptant, car si vous sortez un jour un livre, vous ne le ferez pas pour l'argent mais pour délivrer de tous ces maux qui vous paralysent, vous empoisonnent la vie et vous causent en ecchymoses toutes ces névroses obsessionnelles, Monsieur Bedrossian, je vous encourage à sortir un livre comme exutoire thérapeutique, car tout ce que vous avez vécu dans votre passé, maintenant y a prescription ! Que ma prescription pour que vous alliez mieux est que vous écriviez un livre ! Et ceci est mon dernier mot ! C'est votre dernier mot Monsieur Bedrossian ? "
Jérôme Bedrossian :
- " Mon dernier mot Madame Teillet, c'est comme ma vie a toujours été un à vies de tempête et un typhon, cela m'a donné pour idée, d'appeler mon livre : " L'ouragan du désespoir ", le jour où j'écrirai et je sortirai un livre en en faisant des impressions sur des feuilles mortes monotones, en espérant faire bonne impression sans fausse impression ancrée en surimpression de pré-vers comme sûre impression, voilà ! Au revoir Madame Teillet, je vous dis rendez-vous le mois prochain au CMP ! "
Jérôme de Mars
J'aime si hé !
C'est des tubes !
Ce CD;
En une pub
Qui cédait;
Succédait
En juke-box;
Précédait
Nouvelle box;
C'est Orange !
En village;
Qui arrange
Les par âges !
Dépits pôles
Bipolaires
En parole,
Prend des airs !
J'aime si hé !
Y.M.C.A,
Qui avait
Tout chanté !
A pleins tubes !
Qui repasse
En une pub,
Qui ressasse
Des CD,
En chansons
Décédées
En action
Sur la scène,
Qui la veut
En mécène,
Désaveu
Qui envie
Les facettes,
D'être en vie
Sans fossettes,
J'aime si hé !
Y.M.C.A,
Qui avait
Tout chanté !
Quand dans hymne
Je n'ai vie,
Capucine
D'un génie
Olympia,
Tout public
En éclats
Tous pudiques,
D'où j'en joue
D'influences;
En mes joues
D'affluences;
Qui s'en font
Au tour deux ;
Qui s'en vont
Autour de
J'aime si hé !
Y.M.C.A;
Qui avait
Tout chanté !
Jérôme de Mars
La fée domino qui chante face domino !
Effet domino en je de Dédé,
Qui veut jouer avec des dés ?
La fée domino qui chante face domino !
Cet eldorado est un je retour sur magnéto;
Course de chevaux avec une case en moins !
Avec néanmoins des moins que rien !
Tel l'effet domino qui joue avec Dédé !
Et fait domino en je des dés !
La fée domino qui chante domino !
En empruntant l'aidé de Fats Domino;
Des maux décroisés aux mots croisés
A la croisée des chemins du système D
D'aidé, des dés à Dédé rue du bistrot !
Tout le monde joue of course de chevaux !
Avec leurs voitures à 4 chevaux;
Pliés en quatre dominos !
De l'almanach Vermot
Qui chante, enchante et déchante !
De Faths Domino à face domino;
Quand la servante
Effet domino avec domino !
Décide qui joue aux Dominos !
Et fée domino !
C'est bien Dédé;
Qui rejoue avec des dés !
La fée Domino qui chante surface domino !
Jérôme de Mars
La nuit et le jour
Démons de minuit;
Il y a de l'oseille
En images de pluie;
Il y a le soleil !
Quand il se lève leste !
Aux aurores à l'aube;
Et s'élève à L'Est !
De haut en un lob !
La nuit est trop longue !
Le jour passe très court
D'un soleil en song !
Passant un concours
D'un grain de beauté
En une pure folie;
D'un grain de bonté
En une pure envie,
La nuit et le jour
Font, refont l'amour !
En mots troubadours;
Leur faisant la cour
De qui passe le plus
Vite; matin au soir
Et quel est l'intrus
Qui fait des histoires ?
Ne tenant debout !
Dont le tout conforme
Une belle nuit debout !
Quand avec des formes;
Chaque nuit en déforme
Le jour qui attend
Son tour d'être en forme !
Long qui se détend
A temps qui hébète !
Entre nuit et brouillard;
Avis de tempête !
C'est tout un bazar !
La nuit et le jour
Font, refont l'amour !
En mots troubadours;
Leur faisant la cour
Du temps bipolaire !
Changement d'humeur;
Voulant changer d'ère !
L'matin de bonne heure !
Avant que la nuit
En soit lunatique !
Le tout sans merci;
Eclipsant et pique
Le soleil en dune;
Coucher d'oseille !
Remontant la lune;
Coucher de soleil !
Dans la vie, rien naît
Figé comme tout change
En divinité
Diurne ! Quand se mélangent
La nuit et le jour
Font, refont l'amour !
En mots troubadours;
Leur faisant la cour.
Jérôme de Mars
La boussole me déboussole
Direction en ne sachant vers quelle direction
Où aller ! ? Quel chemin prendre
Pour ne pas s'y méprendre
En cours de route en pérégrinations ?
Même que je suis complètement à L'Ouest !
Pourquoi ma vie est un fard Ouest !
Sans bled même que je ne perds pas le Nord
Pas deux calés au Sud !
Car direction les gens prudes !
Et pourquoi le soleil se lève-t-il à L'EST, à leste !
En ayant le drapeau qui monte preste ?
D'où en paroles avec bémol !
La boussole me déboussole;
En ne sachant où me diriger avec la rose des vents !
A part si à contre-nature, je me dirige vers la rose déviant !
Mais mauvaise idée à la place, je prends les devants !
A voile et à vapeur vers la rose devant, de vent !
Dont au final, je suis plié en quatre points cardinaux !
Avec en dernier mot
De paroles sans bémol !
La boussole m'émeut des boussoles.
Jérôme de Mars
Le soleil rallume La Terre noire !
Même que la vie n'est du gâteau !
Il suffit d'être une crème totem
Pour rendre la vie eldorado;
Où tout le monde s'aime comme une crème
Dans la bienveillance et l'amour !
En redisant la vie est belle !
A en manger des pommes d'amour;
Qui fredonnent en belle ritournelle
Que la vie reste un paradis
D'enfer ! Artificielle qui scelle
Des on-dit; anoblis; hardis !
Pansant, repensant l'essentiel
Que la vie et le temps passent vite !
Il faut le répéter je t'aime !
Plus de temps à perdre qu'on s'évite !
Mais en profiter qui parsème
Le soleil rallume La Terre noire !
Guérie après son purgatoire;
La Terre raconte en son histoire !
La clinique de la forêt noire !
Qui rappelle que La Terre revient
De très loin d'années en arrière;
Qui a tant besoin d'un béguin
Pour y voir clair dans la lumière !
Car avant qu'il ne soit trop tard !
Il faut inviter ses amis,
Sa famille prendre l'temps de se voir !
Dont c'est là que vient l'embellie
Pulmonaire; en respirant d'air
Le courant du vent si intense !
Qui fait comprendre en inventaire
Qu'il faut se la faire en jouissance !
La vie belle ouvrant la fenêtre !
En regardant ce beau soleil
Qui ne fait regretter de naître !
Comme il transmet que des merveilles !
Le soleil rallume La Terre noire !
Guérie après son purgatoire;
La Terre raconte en son histoire !
La clinique de la forêt noire !
Puisqu'avec la délectation;
Il y a la symbiose en osmose !
D'avoir des illuminations
En picorant sur d'autres cosmos !
Une pincée de joie, de bonté
Conjuguée; étend mélangée !
Grain de folie, grain de beauté !
Tout le monde est fait pour s'aimer !
En plus ou moins d'affinités !
Ce qui compte, c'est toute la tendresse
Qui plante la réciprocité;
Redonnant aux gens l'allégresse
D'une vie où ce sera du gâteau !
Avec après la crème fouettée !
Le retour vers l'eldorado;
Qui parsème en crème réfutée !
Le soleil rallume La Terre noire !
Guérie après son purgatoire;
La Terre raconte en son histoire !
La clinique de la forêt noire !
Jérôme de Mars
Second degré
Une petite saynète pour sonder différentes personnes pour savoir ce qu'ils pensent actuellement du climat social en France :
Jérôme Bedrossian qui interroge son ami Serge Kurts, un ancien salarié du CEREP aujourd'hui à la retraite :
Jérôme Bedrossian
- " Bonjour Serge, bonne année 2023, comment vas-tu ? Et que penses-tu actuellement du climat social en France ? "
Serge Kurts, l'ami et l'ancien éducateur du CEREP :
- " Bonjour Jérôme, je vais bien, bonne santé 2023 surtout pour toi Jérôme, toi qui prends tout au 1er degré dès qu'on te dit quelque chose ! Je pense que le climat social actuel en France est très préoccupant, la preuve qu'il y a des nuages à l'horizon basse température comme un effet boule de neige où on est passés de la griserie pour trépasser dans le gris ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Tu m'as bien cerné Serge, la preuve que je prends tout au 1er degré comme j'étais malade la semaine dernière avec une rhino-pharyngite en plus du message dur que je t'avais envoyé par mail le vendredi 30 décembre pour mes désaveux 2023 ! "
Jérôme Bedrossian qui interroge son psychiatre le Docteur Penot très libéral avec Jérôme :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Docteur Penot, comment allez-vous ? Et que pensez-vous actuellement du climat social en France ? Et en fête, bonne année, bonne santé 2023, Docteur Penot ! "
Bernard Penot, le psychiatre impatient en libéral de Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour mon vieux, je vais bien, je pense que le climat social en France est très contrasté en ce moment, tu vois Jérôme, si tu prenais tout au second degré tout ce qu'on te disait, tu aurais moins de coups et tu serais moins en froid avec les gens, il serait temps que tu sois plus chaleureux avec tout le monde si tu veux que les gens sont plus conviviaux avec toi ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Merci Docteur Penot donc OTAN que je sois en paix avec tout le monde pour tout le temps comme il est temps au vivre au présent même que mon passé fut imparfait de façon à en faire un passé simple pour envisager un futur plus que parfait et plus au conditionnel ! "
Jérôme Bedrossian qui interroge Odile Leprette, la mère de son ami Guillaume :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Odile, comment allez-vous ? Que pensez-vous actuellement du climat social en France ? Bonne année et bonne santé 2023 à vous ! "
Odile Leprette, mère de Guillaume, un des amis de Jérôme Bedrossian :
- " Merci mon petit Jérôme ! Je vais très bien ! Je te souhaite surtout la santé pour 2023 et je trinque à ta santé après que tu aies tant trinqué de ta santé ! Je pense que le climat social actuel en France est très ténébreux en jetant un froid avec beaucoup d'O rages en France comme tout le monde est en rage ! Voilà Jérôme !
Et en fête, j'espère qu'on te verra bientôt à la maison un samedi ou un dimanche midi pour manger avec nous ! A bientôt Jérôme ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Merci ça me ferait plaisir de manger chez vous plié un de ces quatre avec Guillaume, Bénédicte et Adel vu tout ce que j'ai dégusté depuis que je suis né ! "
Et pour terminer, Jérôme Bedrossian qui interroge Jacques Strub, le père d'Alexandre, un des amis de Jérôme Bedrossian :
Jérôme Bedrossian :
- Bonjour Jacques, comment allez-vous ? Que pensez-vous du climat social actuel en France ? Et en des fêtes, bonne année, bonne santé 2023 ! "
Jacques Strub, père d'Alexandre Strub, un des amis de Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Jérôme, je te souhaite un bon début d'année après tous ces bons débuts damnés il y a quelques années, en te souhaitant une bonne santé 2023 pourvu que tu sortes encore plus de ta bulle toi si pétillant de blagues à en revendre pour que tu sois plus renfermer dans ta coquille Saint-Jacques, moi, le sain Jacques protestant contre les coups durs de la vie, je pense que le climat social actuel en France est proche d'un avis de tempête sinon à part ça, je vais aussi bien tant bien que mâle ! Voilà ! "
Jérôme de Mars :
- " En tout cas vu le climat social actuel en France, si un jour, je sors un livre, je l'appellerai : " L'ouragan du désespoir ! " en tout cas après les giboulées de Mars, dès le 2 Mars, j'essaierai hors-saison de redonner le Printemps en France étant donné que je m'appelle Jérôme de Mars, pour que les temps durs fassent place aux temps purs de l'existence comme au bon vieux temps ! Voilà le temps de la renaissance ! Au revoir et bon vent à tous ! Pourvu que vous preniez tout au second degré ! "
Jérôme de Mars
Mon arc monarque
Désarroi bourgeois,
J'en suis le roi courroie !
Avec plusieurs cordes
A mon arc monarque;
Qui concorde entre discorde
Quand rien ne s'accorde !
Et concorde
Quand tout s'accorde !
Au ciel aux Arcs !
Arcs en ciel Jeanne d'Arc
A l'Arc de Triomphe !
A l'arc qui décoche pour flèche;
Cupidon ! Car cupide donc revêche !
Avec plusieurs cordes à mon Arc;
Mon arc monarque,
Si je joue pour ma pomme,
Pourrai-je jouer à L'Arc dans la Somme
Plus haut que trois pommes ?
Pour passer du désarroi courroie
En parois de bourgeois,
Avec plusieurs cordes à mon arc;
Qui ne discorde mais concorde !
Pourvu que je m'accorde
Et que je me raccorde
Avant les catacombes;
En mon arc monarque.
Jérôme de Mars
Piqûre de rappel
1) Sérum de vérité,
2) M P 4)
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7) Dont Louis seul; me permet de trouver
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9) BCBG en piqûre d'ultime rappel.
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5) Apaiser ma rage, je me fais vacciner par
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3) En envoyant des
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Jérôme de Mars
Il vaut mieux voir le ver à moitié plein qu'à moitié vide !
6) Un ver d'eau frais eaux frais D 7)
5) Des e
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4) Tempête de ver d'eau, il faut/ e
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1) Quand le ver est à moitié plaint,
13) A 14) En vers de deux O poèmes,
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12) Vers de deux bohèmes pour tant é
10) I S 11)
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9) Et malgré les revers de l'eau de vie,
Jérôme de Mars
Pour que ça tourne rond, il faut être très carré !
Contrecarré non-stop !
Pour que ça tourne, il faut être carré !
Si ça ne tourne plus rond,
C'est parce-que tout le monde est trop carré !
Contrecarré à contrecarrer
Les idées reçues qui semblent dissolues
En ce monde qui ne tourne décidément plus rond !
Des gens morts-vivants en remords vivants et survivants,
Eperdus dans ce monde qui voit rouge rubicond !
Qui ne manque pas de cons
En cet immonde abscons;
Qui ne tourne rond, car contrecarré
Par un carré contrecarré;
Du fait que tout le monde est carré
Et rubicond !
Or si ça ne tourne plus du tout rond,
C'est parce-que tout le monde est ultra carré !
Et pour que ça tourne rond sans ristourne,
Il faut après tout être si carré !
Au maître carré !
Jérôme de Mars
Maghreb de cagnard
Chers pays de l'insouciance !
Que je vous aime !
Le Maroc, La Tunisie
Et l'Algérie
En un suave parfum de bohème !
A m'en aérer l'esprit
En légèreté !
Composée de souvenirs d'évasion
Et d'effusions
D'où la nostalgie de mon enfance,
Car même si
Je suis un vilain petit canard !
Je sème
Un Maghreb de cagnard,
Qui me réchauffe le cœur
Chaleureux loin du froid de rancœur
De La France,
Et si La France veut encore avoir le béguin;
La France aurait grandement besoin
D'un pacemaker pour lui donner
Et redonner du cœur !
Pour s'adonner à la solidarité
Sans perdre le Nord
De L'Afrique du Nord !
Comme en France, tout le monde se mord
Dans la suffisance
Et l'arrogance
Du chacun pour soi !
Il était une fois la France !
En manque de foi
Avec que du foie gras !
L'Algérie, le Maroc
Et la Tunisie
Me donnent envie solidaire
D'épouser leur culture humanitaire;
Loin de la France distante et solitaire,
La France est si baroque !
Que tout le monde croque la vie à pleines dents
Dans la richesse de la pauvreté aidant !
Alors que La France est pauvre de sa richesse,
Ainsi si on veut offrir au peuple de la liesse
Et de l'allégresse;
Il n'y a pas que l'argent comptant
Dans la vie,
Il y a aussi parler
Et discuter autour d'un café !
Pour que les gens prennent pour argent contant
Avec que des vérités !
Qu'ils comptent pour nous
Et qu'on compte sur eux !
Afin qu'on compte pour eux précieux !
Quand on leur affirme que la vie c'est aussi !
Prendre un bain de soleil si joli et chéri
Dans le redoux !
Soit en Algérie, au Maroc et en Tunisie,
Car même si je suis un vilain petit canard !
Je parsème en un totem
Un Maghreb de cagnard.
Jérôme de Mars
La maison des étrangers
Emigrez en oiseaux libres !
Venez tous à la maison !
Etrangers pour vivre; revivre
Dont on connaît la chanson !
Etrange hé ! Toute destinée
Mérite l'soutien émérite !
De ceux voulant s'intégrer
Loin de La France qui délite !
Mélangez-vous avec nous !
Pour former un melting-pot !
Sans on-dit d'un monde de fous !
Dont l'union libre forme des potes !
Car qui se ressemble s'assemble
Sans que rien du tout ne flanche !
Comme dans l'ensemble, rien ne tremble !
Tous se retroussant les manches !
Comme à la maison est née !
La maison des étrangers;
Personne naît, n'est étrange hé !
Car tous sont ici innés !
Pour montrer leur bonne nature;
Pétrie de valeurs refuges !
Sans les jeter en pâture;
Prétextant comme subterfuges
La France que pour les Français
Pour éviter tous les écueils !
Alors qu'en parlant Français;
La France est une terre d'accueil !
Où tous les étrangers font
La grande différence immense !
En reculant au tréfonds
Bien au fond l'irrévérence
Des Français eux; si étranges hé !
Envers tous les étrangers !
Souvent par sincérité;
Les étrangers sont plus vrais
Comme à la maison est née !
La maison des étrangers;
Personne naît, n'est étrange hé !
Car tous sont ici innés !
Et les étrangers sont plus solidaires;
Le contraire des Français si
Egoïstes; car solitaires
Fonctionnant avec des scies !
Les Français font tout le temps
La gueule dans ce monde casse-gueule
Soi-disant ! Où maintenant;
Tout le monde fait le bégueule !
Sans doute qu'avant c'était mieux !
Et pieux; bourré d'idéaux !
Où tout semblait harmonieux !
Avec aucun mot de trop !
Les étrangers viennent en France
Pour guérir de leurs bobos;
Où pour eux, cette deuxième chance
Leur par est l'eldorado !
Comme à la maison est née !
La maison des étrangers;
Personne naît, n'est étrange hé !
Car tous sont ici innés !
Jérôme de Mars
Qu'est-ce-qui cloche art ?
Dans les rues d'Paris;
Ceux qui disent Ok !
Et qui sourient
Forcés sur l'quai !
Demandent une pièce;
Pièce détachée !
A l'emporte-pièce
Non attachée !
Pourquoi notre monde
En ces tristes jours;
Tolère l'immonde
En contre-jour !
Il n'y a plus rien
De très normal
En moins que rien !
Paranormal !
Qu'est-ce-qui cloche art ?
Comme des clochards
Anicroche hard !
Cochon ou l'art !
Concert d'louanges !
Tel SDF
Au stade qui n'arrange
Ces SDF !
Tout m'dégoûte !
En ce bas monde !
Où tout s'encroûte !
Ce mal abonde
L'entendement
Qui naît humain !
Comme décadent
Samaritain !
Pourquoi rien n'va
Des temps modernes ?
Si ça s'en va
Toutes les tavernes !
Qu'est-ce-qui cloche art ?
Comme des clochards
Anicroche hard !
Cochon ou l'art !
Au lieu du foot
Qui n'me concerne,
Que je m'en foute
Avec des cernes !
Ce monde de fous
Ripou, filou !
Que de voyous;
Je ne file doux !
Voulant redoux
Que tous m'entourent
En tours doudous !
Tous ces détours !
Peut-on encore
Y croire demain ?
Je suis raccord
En coups de mains !
Qu'est-ce-qui cloche art ?
Comme des clochards
Anicroches hard !
Cochon ou l'art !
Jérôme de Mars
Epelez Pelé !
Joueur d'un beau football;
Il tirait l'coup franc !
S'fixant des buts goals;
C'était un gars franc !
Qui n'mettait la main
Au panier lancé
Franc; d'un coup de main
En revers enjoué !
Sa carrière brillante;
Pas un bidonville !
Mais une vie brûlante
En son Brésil vil !
Comme le Brésil est
Une dense bidon ville !
Dont luit à jamais !
Son image frétille !
Epelez Pelé !
Je peux épeler
Son nom à Pelé !
Et peler, peler !
Voici un hommage
En concert d'louanges !
Luit sa bonne image;
Partie vers les anges !
Vu sa belle image
Comme son panini;
Qui a fait l'adage
D'sa légende fleurie !
Ce fut un grand Dieu
De sa bicyclette !
Effet ciseau pieux
Avec toute sa tête !
Tourné; retourné
Acrobatique; fan
Qui n'a pas fané
Sa belle fleur qui fane !
Epelez Pelé !
Je peux épeler
Son nom à Pelé !
Et peler, peler !
Qu'il trompa les goals
Partant du bon pied !
Magnifique football;
Lui qui à contre-pied
N'tomba en guêpier !
Toujours sans arrêt
Dans sa cage dorée;
Comme pour redorer
Son joli blason,
Dont la coupe est pleine !
En son mode d'action;
Remontant la plaine !
Vraiment aux aguets !
Luit sans blanc si gai
En noir et blanc; est
Qui c'est et qui sait !
Epelez Pelé !
Je peux épeler
Son nom à Pelé !
Et peler, peler !
Jérôme de Mars
La quête
Parlons
Argent !
Comptons
Content !
Fait-t-il
Vivre oui ?
Fait-il
Envie ?
Tout ouï ?
Sait-il
La vie ?
Oh ! Oui !?
Comptant;
Vit-on
Longtemps ?
Qu'd'argent ?
La quête;
En quête;
Enquête;
Requête;
L'amour;
La quête !
Ou jour
D'quéquette !
Heureux
Matin;
Péteux
Satin;
Riche d'quoi ?
Pauvre d'poids ?
Riche foi !
Pauvre soie !
Le plus
Envie !
Surplus
En vie !
La quête;
En quête;
Enquête;
Requête;
On court
Sur quoi ?
Concours
D'émois !
La vie
Passe vite !
L'envie
Grave vite !
Gravite
Futile !
Et vite
Utile !
Soit pieux
Content !
Qu'soyeux
Comptant !
La quête;
En quête;
Enquête;
Requête.
Jérôme de Mars
La clé de l'énigme !
Ouvert, renfermé !
J'écris avec une
Clé à musique et
Une mesure et dune !
Il n'faut la fermer !
Mais l'ouvrir en grand
D'une solution hé !
En mots élégants !
En prenant des gants
De velours, y a-t-il
Une solution ? V'lan !
J'ai trouvé une île
Déserte très ouverte!
Pour écrire des vers
En fenêtre ou verte
Car pas mûre d'hier !
La clé de l'énigme !
Ouvert d'esprit rime !
Sans je me décime !
Maintenant, j'écime !
Sans mise en abîme;
Car à première vue !
Il m'faut une dream team !
Sans faire de bévue
En vers de contact !
Pour revoir la vie;
Autrement intacte
En tact qui réjouit !
Donne envie d'avoir
En vie de m'avoir
Comme ami ! Pour boire
Le sel réservoir
Qui donne du goût à
La vie ! Pour encore
Briller d'quelques éclats
A ma vie décor !
La clé de l'énigme !
Ouvert d'esprit rime !
Sans je me décime !
Maintenant, j'écime !
Allant essentiel
Sans plus brefs délais !
Avant les sans ciel
Cent plus brèves télés !
Le temps passe, dépasse,
Outrepasse l'passé !
Sans être dès gueux las !
Moi tant écorché !
Trop assez ! Assez
Passée la clepsydre !
Pour me relancer
Cent déboires de cidre !
Dont autant décrire
Ce qui m'fait renfermer !
Pour écrire l'plaisir
Ouvert ! Cent fermer
La clé de l'énigme !
Ouvert d'esprit rime !
Sans je me décime !
Maintenant, j'écime !
Jérôme de Mars
Les cailloux ont un cœur de pierre !
Pierre qui roule ne ramasse pas mousse !
Mon capitaine qui régnait en
Prince sur le rocher qui s'émousse !
Quand il y a anguille sous roche sans
Les graviers qui rejettent la pierre !
Mettant la pierre à l'édifice !
Où l'on redemande à lui Pierre;
S'il est renfermé d'artifices !
Avec pour supplice un lance-pierre;
Une pierre minérale jetée qui
Lance, s'élance et relance à Pierre,
S'il est payé au lance-pierre ! Luit
Qui fait briller, scintiller et
Luire ses pierres précieuses; or de lui
Il en fait des parures pour donner
Ces bijoux, ces joyaux si oui !
Les cailloux ont un cœur de pierre !
En bijoux de famille, d'misère !
Et si l'amour n'est que jachère !
Allant d'enchère en surenchère !
Or ! Il faut donner pour recevoir !
Et recevoir pour s'adonner !
Et l'amour est un réservoir
De belles histoires à consoler !
Choisissant l'élu de l'écu;
Touchant les bijoux de famille !
Choisissant l'élu de leur cul;
S'touchant les bijoux d'infamie !
Pierre a des bijoux d'infamie !
Quand Pierre s'en ébranle de sa femme !
Pierre a des bijoux de famille !
Quand Pierre n'en branle rien ! Luit infâme
Pierre met la main à l'édifice !
Quand il lâche de jolies danses perles !
Pierre met sa main dans l'orifice !
Quand il lâche deux folies denses perles !
Les cailloux ont un cœur de pierre !
En bijoux de famille, d'misère !
Et si l'amour n'est que jachère !
Allant d'enchère en surenchère !
Des pierres où il y a anguilles sous roche !
D'histoires d'amour en pierres précieuses;
Etant à un tournant qui cloche
Les cloches du gravier en valseuses !
Les pierres, les graviers, les cailloux !
Où il y a tant anguille sous roche !
Faisant hiboux, cailloux, chouchous !
Renfermés cachous; quelque chose cloche !
Et l'amour, est-ce la liberté;
La prison dorée; adorée ?
Et les bijoux de cette famille;
Est-ce des bijoux de sept familles ?
Et les bijoux lâchent-ils des perles;
Perles de diamants en cette infamie ?
Les bijoux se lâchent-ils en perles;
Bagues d'doigt d'honneur en sept familles ?
Les cailloux ont un cœur de pierre !
En bijoux de famille, d'misère !
Et si l'amour n'est que jachère !
Allant d'enchère en surenchère !
Jérôme de Mars
A bon entendeur !
Sitôt ce matin
D'un silence radio;
J'écoute le refrain !
Chanson du tempo !
En effet larsen
Sur la même longueur
D'ondes; je me démène
Folie des grandeurs !
Pour y diffuser
Un peu de bonheur !
Le temps d'infuser
L'ardeur, la ferveur !
Pour que l'amour sème
De la belle musique !
Avec que des crèmes;
Paroles frénétiques !
A bon entendeur !
Je suis récepteur !
Et mets diffuseur !
Je suis amateur
De poésies qui
Ecrivent tant d'amour !
Si joli, ex qui !
Décrivent troubadour !
Des mots qui sonnent bien !
En musiques synchrones !
Quand les maux faits l'un !
Deviennent monotones !
Surtout en automne;
Quand j'écoute en CD
Les feuilles déjà mortes !
Montant DCD !
Où ma langue si morte !
Effet ressurgir
La peine de mon âme forte;
A en tant souffrir
A bon entendeur !
Je suis récepteur !
Et mets diffuseur !
Je suis l'amateur
De CD tant rayés !
A en crayonner
Tous mes disques rayés !
Pour faire rayonner
Ma part de lumière
Au clair de mon ombre;
Comme si d'un éclair,
Je roupille à l'ombre
En côtés obscurs !
Sortant le meilleur
D'une complexe nature !
Je d'entremetteur !
Je diffuse de bonnes
Ondes à l'antenne !
Je m'en époumone
En fenêtres persiennes !
A bon entendeur !
Je suis récepteur !
Et mets diffuseur !
Je suis l'amateur.
Jérôme de Mars
Quand une méduse me méduse !
M'en lisant vogue sur la mer..
Comme un poisson dans l'eau bleue !
Je regarde nager dans l'air
Marin les turquoises si bleues,
Couler de l'encre bleue surtout
Quand les poissons sont dauphins
Des baleines voraces du tout
Pour le tout ! A vos races bain
Marie, la mer marie et
Unit les pieuvres et les poulpes
En leur cœur fêlé, givré !
Prenant en tensions leurs pouls;
Dansant ballerines avec
Les poissons qui fument bédo,
Pour ainsi leur clouer l'bec !
Lorsque certains m'appellent frérot !
Quand une méduse me méduse !
Jouant de la cornemuse,
Qui m'amuse; faisant muse-muse !
Prenant ma musique pour muse !
Si la vie va à vau l'eau !
Coulant migrant L'Aquarius
En route vers L'Eldorado !
Dès l'aquarium en rictus;
Nageant sur Télé Bocal !
Où tout s'enchaîne d'un cador !
En chantant d'un air nasal;
L'oraison en tort retors
Point comme un poisson dans l'eau !
Avec des charentaises s'taisent
En Charente-Maritime Oh !
Que c'est trop beau une fournaise !
Faisant des coups de chaud au
Froid qui a ses grosses chaleurs !
Quand ça tourne tout rond sur l'eau !
En chantant à la bonne heure !
Quand une méduse me méduse !
Jouant de la cornemuse,
Qui m'amuse; faisant muse-muse !
Prenant ma musique pour muse !
Attendant la nouvelle vague !
Pour patauger sur des flaques
Opaques; le creux de la vague
Très à côté de la plaque !
Transcendant mon mal de mer !
Si saignant à point nommé
En renommée adultère !
Qu'on m'a sommé d'assommer
Le bateau ivre de Rimbaud;
Comme le grand Rimbaud warrior !
Qui veut guère l'eldorado !
Luit poète maudit en or !
Hormis or que je patiente
Achevé; je suis malade
Si névrotique ! Qui me hante
Réenchantant en ballade...
Quand une méduse me méduse !
Jouant de la cornemuse,
Qui m'amuse; faisant muse-muse !
Prenant ma musique pour muse !
Jérôme de Mars
Un adulte est un je d'enfant innocent, coupable à l'âge adulte !
Complexe cent complexe,
Un enfant est un adulte en bas âge !
Qui en âge, transpire par réflexe,
Et qui angoisse vers le passage
De l'âge adulte dans le tumulte
D'une vie chaotique mise à rude épreuve !
Et même si nul ne guérit de son enfance !
Surtout adulte aguerri de son offense !
Il passe et trépasse vers le tumulte qui exulte
Où l'adulte est un je d'enfant innocent, coupable à l'âge adulte !
Qui exulte enfant ! Bon enfant !
Et qui dans un tumulte tourment, à son tour ment !
Et un enfant innocent peut-il devenir coupable
De ne pas avoir été aimé par des parents responsables ?
Et ses parents sont-ils responsables d'avoir rendu
Sa vie responsable, coupable et dissolue
Une fois à l'âge adulte ? Et un enfant coupable
Est-il encore innocent à l'âge adulte à en demeurer affable
Et aimable, malgré qu'il soit tombé sur des parents pas toujours fiables
Et capables de l'aimer avec dignité pour le protéger
De ses excès quitte à en crever l'abcès en retombées ?
De sa vie mise en abîme qui outrepasse d'une enfance où il exulte
Au passage adulte d'une offense dans le tumulte,
Où un adulte est un je d'enfant innocent, coupable à l'âge adulte !
Et de l'enfance pas sage au pas sage à l'âge adulte, l'innocent
Ou le coupable est-il responsable de ses tourments qui font tout ce boucan ?
Et un adulte est-il un en je d'enfant innocent, coupable à l'âge adulte ?
Et si tout oui, exulte-t-il jusqu'au tumulte ?
Qui abreuve dans la ville !
Qu'une vie qu'elle soit gentille ou vile,
N'a jamais été jusqu'à preuve
Du contraire un long fleuve
Dans la mer tranquille !
Jérôme de Mars
Et fée boule de neige !
En ce jour de Noël,
Il pleut des étoiles
De rêve essentiel !
Ce jour amical
Qui fait tant rêver
Ce monde si obscur;
Il faut sublimer
Ce jour dans du pur !
Et songer au doux,
Pour que tous, on s'aime !
Sans dire on s'en fout
En des mauvaises graines !
Qui ne pensent qu'à soi
Réconcilions-nous !
Luttons avec foi !
Et réveillons-nous !
Et fée boule de neige !
Effet boule de neige !
Noël, c'est la trêve !
En avent la fève !
Il vaut mieux gerber
Son jardin secret
De fleurs que gerber
La galette salée
Des jours difficiles,
Alors qu'il y a quand
Même des jours dociles;
Où on rit chantant
Aujourd'hui en paix,
C'est fête de Noël !
Pour siroter et
Profiter réel
Qu'il faut aller de
l'Avent en avant !
Dont un plus un; deux !
Qui prennent les devants !
Et fée boule de neige !
Effet boule de neige !
Noël, c'est la trêve !
En avent la fève !
Pour ne pas qu'on ait
Les boules trop maboules,
Buvons en grande paix
Une bière qui nous soûle !
Pas qui nous soûle mes
Chants le jour de L'An !
Mais qui soûle assez
Méchants en verlan
Notre monde à l'envers !
Pour qu'il retombe adroit !
Et redonne matière
Là au bon endroit !
En notre jour de l'en !
Ce jour d'embellie,
Qu'il soit jour de l'An
En des confettis;
Et fée boule de neige !
Effet boule de neige !
Noël, c'est la trêve !
En avent la fève !
Jérôme de Mars
Robinet à vannes
1) Un Juif Palestinien pour qui ça ne gaze plus en Palestine est responsable de ce qui se passe à Gaza comme il gaza La Palestine !
2) Un Juif Arménien qui habite à Erevan en Arménie doit se faire souvent chambrer surtout si pour lui, ça ne gaze plus à cause de ces deux génocides !
3) Un Arménien et un juif qui brûlent ensemble dans un four-crématoire, on n'y voit que du feu !
4) Comme tout tombe à l'eau en France, j'ouvre les vannes et je lance les vannes du robinet à Erevan !
5) Celui qui veut descendre un juif et un Arménien et qui se trompe de cible se fourre le doigt dans l’œil d'Hitler !
6) Un Arménien vaut 3 juifs car hein jamais deux sans trois !
7) Avec tout l'antisémitisme qu'il y a en France, la preuve que ça gaze en France !
8) Avec l'antisémitisme et le refus de la reconnaissance du génocide Arménien, la preuve qu'il y a de l'eau dans le gaz en France car en plus que tout tombe à l'eau, ça gaze de plus en plus en France !
9) Si je remonte à la source de la raison pour laquelle tout tombe à l'eau dans ma vie, c'est que j'ai mes sources en prenant ma source lorsque je laisse couler le robinet à vannes !
10) Le jour où je chambrerai un juif et un Arménien dans une chambre à gaz, il faudra vraiment que ça gaze pour moi en mâle !
11) Si pour Jean-Marie Le Pen, la Shoah est un détail de l'histoire, c'est que ce fut un génocide How ! Lost cost ! Qui n'a pas coûté si cher aux Juifs !
12) A chaque fois que quelqu'un me parle du génocide des Juifs ! C'est que ce fut chaud ah ! Pour les juifs l'holocauste !
13) Si on voulait être collabo pour le journal Minute, il fallait rentrer dans les papiers de L'Extrême-droite !
Jérôme de Mars
Un océan de vague à l'âme
Au bout du rouleau compresseur,
Je surfe dans la nouvelle grosse vague !
Sans aucun renvoi d'ascenseur !
Que je suis au creux de la vague !
A surfer, à déferler sur
La vague du désespoir ce soir !
Où je vais tout droit dans le mur !
Manque de tendresse rédhibitoire;
J'ai le mal de mer à crever
A petit feu la gueule ouverte !
Où j'attends un raz-de-marée !
A m'en amarrer en des vertes
Et des pas mûres ! A me marrer
Que je divague à jeter l'ancre !
Coulant mon sang d'encre la jetée !
Qui brise la digue rejetant l'encre !
Un océan de vague à l'âme,
Océan bleu à mer infame;
Ma vie est si rasoir à lame !
Attendant que la mer s'enflamme !
Comme ma vie n'est pas un long fleuve
Tranquille ! Car peur de la grande ville
Que de toutes mes histoires, j'abreuve
Un réservoir pour n'être civil !
Que je veux naître; renaître si vil !
En faisant couler beaucoup d'encre !
Gardant de mon offense puérile,
L'envie de reproduire qu'ancrent
Mes envies de vengeance en mon
Venin de vieux serpent de mer !
Où en amont de monts en monts,
J'écris ma colère de viscères
Du fruit de ma rancœur rancune,
J'apprends par cœur mon côté vieux
Loup solitaire en ces lacunes !
Et toute ma vie hait faute de mieux
Un océan de vague à l'âme,
Océan bleu à mer infame;
Ma vie est si rasoir à lame !
Attendant que la mer s'enflamme !
Et si pour jouer, en jouer un rôle,
Je faisais le loup solidaire !
Feint de liesse ! Où je m'enrôle !
Genre le slameur qui décolle l'air !
Qui cavale l'air de rien ! N'allant
Du tout; allant à Cavalaire !
Cette ville si vil non civil en
Raison de mon immense colère,
Où arrivé à si bon port
A Cavalaire, j'avais le mâle
De mer d'autrui aux frais de port !
Que j'ai rêvé de m'faire la malle !
Depuis longtemps sur un piano
En jouant l'air, le refrain de
Mon mal de mer méli-mélo
Sur une note salée, voilà feu !
Un océan de vague à l'âme,
Océan bleu à mer infame;
Ma vie est si rasoir à lame !
Attendant que la mer s'enflamme !
Jérôme de Mars
Il emmène la baguette !
Tout au bout du rouleau
A la pâtisserie;
Il cherche des matériaux
Allumant sa bougie,
Lui, ce grand boulanger
Qui a du pain sur la
Planche, car à Boulanger,
Il y travaille bourgeois !
Vraiment à fond la caisse !
Qu'il encaisse tous les mots
De ses clients en pièces,
Qui lui disent des gros mots !
Lui qui fait des éclairs
Au café, chocolat !
Et si en un éclair,
Il devient clair hourra !
Il emmène la baguette !
Comme il mène la baguette
Bagatelle; sa braguette
Fait monter la baguette !
Or ! Ainsi les clientes
La trouveront trop bonne !
La religieuse qui hante
Boulanger sa garçonne,
Dont lui le boulanger;
Ca le désarçonne qu'il
Perd le manche à balais !
Sans son manche qui frétille !
Quand il touche les pains au
Chocolat et les pains
Au raisin d'un cuistot !
En du pain béni, un
C'est du gâteau pour lui !
Qu'il bat, rebat sa crème
Fraîche ! Dont tout ouï, il jouit
Sa crème fouettée qui sème !
Il emmène la baguette !
Comme il mène la baguette
Bagatelle; sa braguette
Fait monter la baguette !
Qu'il en tient la chandelle !
En soufflant sa bougie
Qu'il dépucelle demoiselle;
Essoufflant des orgies !
En cette pièce démontée,
Quand il monte la part du
Gâteau à l'ébranler
La bougie ! Qui imbue
D'elle-même n'a pas tout bu !
Faute d'aller branler tout !
Que la chandelle n'a pu
Monter le manitou
En un 69, d'un pain
Demi à une heure
Et de mie en un pain !
A la bonne heure de leurre !
Il emmène la baguette !
Comme il mène la baguette
Bagatelle; sa braguette
Fait monter la baguette !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait pour Christian Serres depuis que sa femme Asiatique l'a quitté ?
- Ca lui fait un sacré casse-tête chinois !
Jérôme de Mars
Chantez avec ces artistes au ciel pour ne plus jamais déchanter sur Terre
Par ignorance quand Simone s'ignorait, il y avait Yves montant aux Champs-Elysées pour chanter lors d'un concert de louanges au zénith du soleil durant le printemps, quand Charles traînait avec un drôle d'oiseau Edith Piaf, qui enchantait l'hymne à l'amour pour déchanter l'hymne à la mort, lorsqu'elle croisa Jacques Brel qui n'est brêle mais Brel et bien Jacques Brel; qui accepta l'invitation du non-mariage de Georges Brassens sur les bans publics avec les copains d'abord, si bien qu'il en chanta une supplique pour être enterré à la plage de Sète, car Barbara, cette artiste qui fit partie des 3B : Brel, Brassens et Barbara nous en chanta cette France déjà désenchantée pour chanter la vie, surtout que La France édita un piaf de toutes les couleurs pour chanter que Barbara ne nous barbera jamais qu'elle reçut un bécot de Gilbert Bécaud, effet papillon de la chenille au papillon, tous ces artistes immortels défunts qui renaquirent de leurs cendres dans la conscience collective des Français; méritent une couleur arc en ciel légendaire dans le ciel de L'Olympia de leur vie sans faire de plans sur la comète, étoiles défilantes à l'instar d'Hollywood pour leur repos éternel; et maintenant que Johnny Hallyday les a rejoint en 2017, ces 8 infinis sont tous ensemble des génies holidays, et pour leur rendre un hommage intemporel et pérenne outre-tombe, chantez avec ces artistes au ciel pour ne plus jamais déchanter sur Terre.
Jérôme de Mars
Ben mince en gros !
Ah ! En arrière !
Je vais devant
Sans les barrières !
Jetant un vent;
Mettant avant
De façon lourde,
Ne regrettant
Mes choses balourdes,
Renfermé dans
Ma grande coquille
Saint-Jacques, n'aidant
Ma palourde vile !
Où avant je
Prenais tout
A la légère !
Comme je m'en fous !
Ben mince en gros !
Qu'on m'appelle gros !
Obèse gros mot !
Je ne suis beau !
En porte-drapeau;
Baisse de régime,
Minceur maigre lot !
Si je n'écime
Mon passé grince,
Où maintenant
Je grossis mince !
Dorénavant
Sans une victoire,
Me nourrissant
En tupperware;
Car lancinant
A en gerber
Ma crise de foi,
A en gerber
Ma prise de poids,
Ben mince en gros !
Qu'on m'appelle gros !
Obèse gros mot !
Je ne suis beau !
Je m'en balance;
Déshabillé
Sur la balance !
Pour m'habiller
Pour tout l'hiver,
En mon jardin
Secret divers,
J'ai un gadin !
Que je ne sais
Plus vraiment bien !
Ce que ça fait
Quand ça revient
Du poids de mon
Fardeau si lourd !
Que ça pèse rond;
M'apaise balourd !
Ben mince en gros !
Qu'on m'appelle gros !
Obèse gros mot !
Je ne suis beau !
Jérôme de Mars
Bouteille deux vers
9) J'attends devin
8) Où V 7)
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5) D e; 6)
4) A la mère ! de Mâle
3) B J 2)
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i 10) Ma mise en bière; o
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l 11) Comme tout s
e 12) Tombe à l'eau ! u
d'eau n
1) Bouteille de vers, j'envoie;
13) Dans la ville de Cognac,
14) C S 16)
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e Tous mes revers me/ t
15) 17) Q E 18)
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19) Bouteille deux vers.
Jérôme de Mars
Et dis tôt 2022 !
Bonsoir, voici l'édito de cette année presque feu 2022 ! Où tout s'embrase en partant en cendres, comme tout ne fait que descendre, tout va ici bas et que tout va vers le bas, avec plus personne qui ne s'embrasse depuis le Covid pour relever le niveau en allant vers le haut, remarquez que s'il n'y avait que du haut et plus d'ébats, il n'y aurait plus d'enfants qui naîtraient pour assurer le renouvellement des générations, ce qui ferait le bonheur de BB, actrice de sa vie qui revendique que notre monde devient de plus en plus animal dans la faune sauvage, comme il n'y a plus d'arbre qui cache la forêt à cause du réchauffement climatique, comme le gouvernement vu l'état des finances et de nos économies protège plus le CAC 40 au lieu de protéger les SDF dans les rues innombrables, et l'environnement vu le climat social ambiant si électrique qui électrocute en court-circuitant tout le monde, à moins qu'il y ait comme 1939-1945, les brûlures de l'histoire, tel Dieudonné qui chambre les Juifs comme pour lui ça gaze, car il a fait chaud ah au Qatar lors du Mondial de Foot sous une chaleur moindre qu'en été ! Sinon cela aurait fait le bûcher divinité, comme personne ne peut lire devin dans le marc de café, à part prédire que l'inflation va augmenter notamment dans le Val-de-Marne, où rien ne dévale comme tout augmente comme le dit Macron, qui a sans filet débarqué dans le vestiaire des bleus après leur défaite contre L'Argentine réconforter toute l'équipe de France, car comme on dit Les bleus n'ont jamais aussi bien porté leur sûr nom avec des bleus à l'arme, et si en piqûre de rappel pour que chaque Français soit majeur et vacciné, on les vaccinait tous contre le virus de la grippe et de la connerie, vu que tout le monde se prend en grippe, et si au lieu que tous attrapent la grippe de la connerie, si on diffusait de l'amour pour que chacun l'agrippe et s'agrippe, car avec la réforme des retraites qui s'annonce, on aura besoin Deschamps d'action en sélectionneur comme capitaine de notre navire qui prend l'eau pour réenchanter ce peuple Français désenchanté, où plus personne ne se dit hello ! Dont nous sommes tant désabusés par la crise et l'inflation, où chacun nous dit, ne comptez sur personne dans la vie, ne comptez juste que sur vous dans la vie, la preuve que plus personne ne se calcule dans cette société divisée, fractionnée en mille morceaux, où l'addition est salée surtout à Paris envers les moins que rien multipliés par X fois de la loi du plus fort car diviser pour mieux régner sans le prince Rainier, qui a eu sa mise en bière de Monaco en 2005 comme par hasard, quasiment le jour d'un Pâques de bière, où devin, on se rend compte au bout du conte, qu'il n'y a juste que l'argent dans cette société capitaliste qui compte pour l'humain, pour qui l'humain ne conte plus même pour du beur, comme l'argent n'a pas d'odeur, et que l'argent hait le nerf de la guerre depuis naguère, la preuve en épreuve que notre société Française est fracturée de partout de par sa pénurie de médecins et d'infirmières, qu'on préfère désintégrer au lieu de les réintégrer à l'hôpital qui se fout de la charité, on préfère leur dire que le travail, ce n'est plus la santé pour les enfermer, renfermées à la Prison de La Santé, comme on a un gouvernement de bras cassés sans béquilles comme Macron, dont sa femme influence pourtant fortement Macron sur l'apolitique du handicap, à part se demander si Macron fait juste son cinéma pour le festival de cannes qui est son principal handicap, c'est bien beau que Macron annonce sa réforme des retraites le 10 janvier prochain, à condition bien sûr de ne pas supprimer les régimes spéciaux de retraite de la RATP, SNCF et d'EDF, sinon ce serait une baisse de régimes encore plus spéciaux qui battraient en retraite déjà au train où vont les choses comme La France déraille, et a toujours un métro de retard, car vu ce qui se trame en station debout avec les Français qui manquent d'entrain dans cette France plus du tout boute-en-train, où on attend donc un bon président qui soit une locomotive moteur pour remettre le pays en marche de renaissance et sur les rails du train dans le but que chacun retrouve le fil sans perdre le fil pour rétablir le courant entre les Français, à cause de l'hypertension artérielle et des hautes tensions si électriques en France, afin que chacun y trouve son compte de saltimbanque, comme La France est dirigée par des clowns qui sont les bouffons du désarroi des Français, j'ai envie de dire au sujet de l'équipe de France qui éperdue en finale que la coupe est pleine, dont j'ai envie de dire que pour renflouer les finances de la France, autant vendre à la découpe la réplique de la coupe de l'immonde de foutre 1998 et 2018, et si on faisait en sorte qu'aucun Français n'ait plus d'ampoules au pied pour ne plus saturer les urgences, car il y a urgence de rétablir le fil et le courant entre tous Les Français pas pour parler d'argent comptant mais en prenant pour argent content les paroles des Français, comme le silence est d'or et la parole est d'argent ! En rallumant les lumières, comme cette pièce est si triste et si noire, dont pour reprendre des couleurs et en voir la couleur, il faut cette fois-ci allumer des ampoules basse-consommation en rétablissant le courant pour qu'il n'y ait plus de tensions entre les Français, malgré qu'on soit tous entre ombre et lumière, et avant d'aborder avec sérénité 2023, pour que ce soit du gâteau en ces fêtes de fin d'année, soyons des crèmes futées et affûtées pour passer de bonnes fêtes de fin d'année avec nos proches, en mangeant la bûche pâtissière après toutes ces embûches, et sans langue de bois, montrons de quel bois on se chauffe pour passer un bon Noël et un bon nouvel An, afin que ça ne sente plus du tout le sapin dans le but précis qu'on n'ait plus les boules dans ce monde maboule, et pour que personne ne s'enguirlande en cette fin d'année, préparons pour 2023, un monde plus chaleureux pour réchauffer cette France, où tout le monde est en froid effet boule de neige, et faisons un tour de chauffe pour ne plus que les esprits se chauffent et s'échauffent en redonnant de l'énergie positive aux Français, en espérant que La France soit davantage chaleureuse pour se réchauffer au coin du feu, feu 2022 en attendant 2023 en trinquant à notre santé après avoir trinqué de notre santé ! Pourvu qu'on retrouve tous notre santé si impatients !
Jérôme de Mars
Deux inséparables oiseaux
Il était des canaris qui voguaient
Vers d'autres horizons à vol d'oiseau
Aux Iles Canaris ! Qui répétaient
Comme des perroquets en Polynésie,
Hibou, caillou, chouchou que des mouettes
Prenaient pour des pigeons-voyageurs pendant
Que les aras chantaient, alouettes,
Je vous plumerai dans ce poème !
En jouant à l'épervier avec les alouettes,
D'autant que ces oiseaux d'enfer;
Mésanges et mainates me déstressaient
Mes tresses, maîtresses étirées
Par les cheveux, me souvenant d'Edith
Piaf qui donnait à manger aux moineaux,
En même temps qu'elle leur chantait
Lors d'un concert de louanges
Avec deux inséparables recevant
La contre dense des canards,
Avec pour mères poules, le chant du coq
Sportif qui dansait le lac des cygnes,
Racontant des blagues belges
Avec les flamands roses, avec une cigogne
Qui apportait son bébé, signé : " Initiales BB ",
Alors que le pélican voyageait
Dans la ville de double Menton,
Relatant aux perruches comme des
Lionnes en cage, le déni des aigles
Qui prenaient leurs femelles
Pour des vautours, telles des rapaces,
Qui regardaient leurs corps beaux
Avec des lettres d'amours en lettres
De corbeaux, qui faisaient des appels de
Corbeaux, en disant chauve qui peut !
Ces chauves souris qui ne sourient jamais
Au Part Montsouris, en ne sachant
Si les goëlands ne perdent pas
Le Nord, ou semblent déboussolés
En ne sachant quelle direction prendre
Dans la rose des vents ou la sinistrose
Devant dans leur vieux Sud conservateur
Et si réac, que tout le monde attend
Très impatient le bon vieux temps
Du printemps, la saison des amours
Entre autres des tourterelles, qui sautent
Les libellules, qui sursautent les hirondelles,
Qui prouvent qu'il faut être deux pour éprouver
De l'amour et prouver tout l'amour du
Monde comme pour faire l'amour, il faut
Etre et naître en deux inséparables oiseaux.
Jérôme de Mars
Le grand huit !
Il était
Un manège !
Qui semblait
Sacrilège,
Qui fait chute
De l'histoire !
Qui dit chute
Dérisoire !
Qui en fait
Des montagnes
Russes; usées
Par l'champagne
Alcoolique
Anonyme,
Névrotique
Synonyme,
Le grand huit !
Qui va vite !
Te délite;
Que t'évites
Acolytes
Anonymes !
Ovocytes;
Que tu frimes
Ta routine !
Qui est à
L'origine
Sans une joie,
Tu déclines
Ta naissance;
Aux racines
D'ton silence !
Où tu fuis
L'amour et
La belle vie !
Que tu es
Le grand huit !
Qui va vite !
Te délite;
Que t'évites
Tes amis;
Ta famille !
Que t'en ris
Si fébrile !
Que ta planque
T'enlaidit !
Que ton manque
Te raidit !
Et malgré
Ta pénombre,
En effet
Si en nombre,
Tu venais
Revivant,
Revenais
Repoussant
Le grand huit !
Qui va vite !
Te délite;
Que t'évites.
Jérôme de Mars
Enfin, il y a du soleil avec aucun nuage à l'horizon !
Nuages gris qui font grise mine,
Malgré tout, il faut avoir bonne mine !
Mine de rien dans la griserie !
Comme c'est l'accalmie
Et l'embellie sur le balcon;
Avec du soleil
Pour rendre la vie plus belle,
Ayant pour effet boule de neige !
Pas de neige en privilège,
Comme en illuminations,
Enfin, il y a du soleil avec aucun nuage à l'horizon !
A part juste pour les cons
Depuis leur bal con !
Et même s'il grêle avec des grêlons,
Buvons à la santé du soleil en effusions !
Pour qu'en à vies de tempête !
Le vent chasse la pluie distant !
Et si grâce à l'effet météo !
Nous implorions, en pleurions le ciel
De rendre notre monde solidaire et fraternel !
En faisant en sorte qu'il soit si beau !
En montant sur un escabeau
Jusqu'à l'eldorado
D'un beau ciel bleu clément,
Où tout deviendrait insouciant et bienveillant
Pour rendre les gens moins cons et abscons,
En les changeant en joyeux larrons et lurons !
Où il y aurait en retour en grâce chaque soir
De drôles de moments d'exutoire !
Où ce serait tout le temps la foire !
Qu'on raconterait sans feint de belles histoires !
Donnant de l'amour et de l'amour !
Pour que durent pérennes ces beaux jours
Sur le balcon des réconciliations
De la réanimation à l'animation,
Comme en Mars
En plus des giboulées de Mars,
Enfin, il y aura du soleil avec plus jamais aucun nuage à l'horizon !
Jérôme de Mars
En Avent, c'est Noël !
En ce mois de Décembre entamé à l'approche des fêtes de fin d'année, allons de l'avant avec le calendrier de L'Avent, en mettant en avant les 24 premiers jours qui feront datte avant Noël, pour que ça ne sente pas le sapin suranné cette année, et à faim que personne n'ait les boules et que personne ne s'enguirlande, faisons un sapin de Noël avec une boule à facettes place de L'Etoile, pour gagner le tout-Paris à l'instar d'un jour de Noël, qui réunit la famille et les amis pour déguster un repas succulent et exquis, tous ensemble avec des lisses convives après avoir tant dégusté cette année, alors en attendant, faisons en plus de la trêve des confiseurs la trêve de Noël, en mangeant du chocolat pour naître et être heureux, car tous en Avent, c'est Noël !
Jérôme de Mars
La coupe est pleine !
1) Trop fait des champions, la coupe est pleine ! 2)
4) P Q
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3) A besoin d'une mère poule en matchs de poules
5) U C 6)
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7) Vers avec pour coupe de fruits du travail
8) L D 9)
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n 11) E
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12 ) Trop-plaint, la coupe est désormais plus que pleine, une grande plaine !
Jérôme de Mars
J'ai la musique dans la peau !
Vieux éléphant des sixties,
Je mets une pièce en appoint
De mon juke-box qui eighties,
Me joue en mettant les points
Sur les i ! De la musique
En ma chaîne, déchaîne hifi
En stéréo symphonique,
Jouant du xylophone wifi !
En ma vie rock'n roll qui
Va d'excès en camouflets,
Insuffler un soufflet si
J'en fais tout un fromage ! Et
Que je chante en un ramage,
Des paroles en me tirant
Les vers du nez chronophages,
Car en m'étirant tyran !
J'ai la musique dans la peau !
Dont je paye plein pot le pot
Aux roses de tous mes potos !
Chantant un pot-pourri haut !
Et mon micro, je l'ai donc
Rangé où ? Si dérangé,
J'ai de la matière de jonc !
Où tout peut donc s'arranger !
En musique d'un paradis
D'enfer ! Jouant du métal
Au nirvana spleen hardi !
Comme le fer est un métal !
En faisant table rase d'étal
Du passé qui s'étale bouche-bée !
Ayant débouché une salle,
Dont le débouché en fait
Une bouchée sur place publique
Lors d'un concert de louanges,
Chantant Brassens bancs publiques !
Et quand donc tout se mélange !
J'ai la musique dans la peau !
Dont je paye plein pot le pot
Aux roses de tous mes potos !
Chantant un pot-pourri haut !
J'écris tout ce qui m'arrange
En symbiose, en harmonie !
Quand j'engrange tout dans ma grange !
Que je range mon écurie
Depuis ma maison de disques,
Disques rayés gravés, c'est des
CD graves ! Et à mes risques
Et puérils ! Donc C CD
Sont DCD, D CD !
Qui ont CD leurs CD !
Ecoutant ACDC,
Qui ont eu AC DC !
Quand avec assez d'essais,
Je ne fais que des excès !
Tant des accès désaxés !
Que j'en ai crevé l'abcès !
J'ai la musique dans la peau !
Dont je paye plein pot le pot !
Aux roses de tous mes potos
Chantant un pot-pourri haut !
Jérôme de Mars
Il y a encore des oiseaux !
Après la pluie, le soleil
Pour faire rêver paysagée
Avec beauté ménestrel !
Pour ainsi enjoliver
Ce monde qui va à vau-l'eau !
Sans l'eldorado en brume !
Qui pour voler vers le haut
Ramène que du chaud sans rhume !
Et si au lieu de la haine,
On distribuait l'amour !
Pour passer de bonnes semaines
En bohème de troubadour !
On aurait tant tous besoin
De retrouver plus d'une fois !
La foi du béguin humain
Samaritain, car où qu'on soit !
Il y a encore des oiseaux !
Pour relever le niveau
Et s'envoler vers le haut !
Assez loin du caniveau
Sans lettre, appel de corbeaux,
Car même s'il y a du mal-être !
Regardons de beaux corps beaux
Et clairs si, lisant ma lettre
Si on prend de la hauteur !
Sans aucune désinvolture,
Sans rancœur d'apprendre par cœur !
Démontrant notre bonne nature !
Démontrant le bon exemple
Aux gens et aux grands enfants !
Pour que tous, on se contemple !
Allant au temple insouciant
Confesser tous nos péchés,
Repentant mea culpa !
Pour changer, se dépêcher,
Donnant de la joie hourra !
Il y a encore des oiseaux !
Pour relever le niveau
Et s'envoler vers le haut !
Assez loin du caniveau
En écrivant de beaux poèmes,
Dormant la nuit sur notre lit !
Avec une plume qui parsème
Sans enclume une embellie !
Changeant chaque nuit en bon jour !
Pour que tous se serrent la main !
En se disant tous bonjour !
Pensons ensemble à demain !
Pour bâtir un monde meilleur
Qui donne en eldorado
Le goût des fleurs du bonheur !
En se repassant le mot !
Car après ces maux pour maux,
Il faut beaucoup d'espoir !
Car maintenant mots pour mots,
Voici en de belles histoires !
Il y a encore des oiseaux !
Pour relever le niveau
Et s'envoler vers le haut !
Assez loin du caniveau.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Christian Serres de L'ESAT La Fabrique a-t-il la grosse tête ?
- Parce-que Christian Serres-tête !
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit une femme qui est bouleversée lorsqu'elle lèche les couilles de son mari ?
- Elle dit qu'elle a les boules !
Jérôme de Mars
Ce soir y a France baroque !
Ce soir à la télé !
Même qu'j'en ai rien à foutre !
Y a du foot étrange hé !
Car je n'aime pas le foot !
J'évite la coupe du monde !
Pourvu qu'elle passe très vite !
Car cette coupe est immonde !
Pourvu qu'elle passe lévite !
Car depuis des semaines
Que Tf1 émet
Les matchs de la coupe pleine,
T'es fin que je n'aimais !
Comme la coupe est pleine tant !
Et si bien rien à foutre !
Que je loupe tout le temps !
Moi qui m'en fous du foot !
Ce soir y a France baroque !
Cette nuit y a France-Maroc !
Que ça va être loufoque !
Comme l'équipe de France fuck !
Dont lors d'la grande mi-temps
De ce soir ! Je ferai
Genre rien à foot ! Longtemps !
Que c'est long ! J'zapperai !
A m'en taper tout ce
Coquillard ! Cette télé
Lucarne ! Et temps de ceux
Qui préfère regarder
Nulle part ailleurs ! Loin de
Tout ce cirque médiatique !
Faisant défaites à nœud
Nœud sans moi frénétique !
Chantant le coq sportif
Sans mère poule en matchs poules !
Cocorico ! J'ne kiffe
Cette coupe que je refoule !
Ce soir y a France baroque !
Cette nuit y a France-Maroc !
Que ça va être loufoque !
Comme l'équipe de France fuck !
Ce soir après le match !
Ca va péter grave des
CD ! Faisant un slatch
Sans foot qui veut m'aider
A faire une guerre civile
En plein Paris ? Aux champs
Elisez-moi docile !
Car pas besoin de chant
D'action ! Car si méchant
D'action ! Où je m'en fous
Du foot d'action ! Mes champs
D'action ! Où sans garde-fous !
Je suis un loup relou !
Qui veut trop que ça pète !
Ripou et fort voyou
Que personne ne m'embête !
Ce soir y a France baroque !
Cette nuit y a France-Maroc !
Que ça va être loufoque !
Comme l'équipe de France fuck !
Jérôme de Mars
Hasch, elle aime !
Susciter
Une saga,
Réciter
Cette saga,
Ma cité,
Elle envoie
Droit d'cité !
Qu'elle en voit
Gens d'couleurs !
Qui marchent tous
En ferveur;
Coups de pouce !
Quelqu'un tousse
Dans la rue !
Avec frousse
Avenue;
Hasch, elle aime
HLM !
Cité qu'aime
La bohème !
Cécité,
A l'aveugle !
C'est cité,
Or ! Elle beugle !
Et quoi faire ?
Oh ! Que diable !
A s'en faire !
Roule le diable !
Ma saga
Citée; comme
Cette saga
Cité. com
Elle en rue
Les brancards !
La cohue;
Tous smicards !
Hasch, elle aime !
HLM !
Cité qu'aime
La bohème !
Direction
L'boulevard !
Désertion
L'bouclard !
Dans son coin
Au cagnard !
Son coin coin
Au canard !
Roulant joint;
Du haschisch
En six joints !
De Ah ! chiche !
Enfumant
Du shit ! Qui
Joints roulants,
Rejoints si !
Hasch, elle aime !
HLM !
Cité qu'aime
La bohème !
Jérôme de Mars
Et peace and love !
Entre joies et peines,
La vie ne manque
D'piquant qui mène
Aux saltimbanques !
Où l'amour se
Fait à deux ou
A plusieurs, ceux
Bite nique ! Et où
Pour fumer que
De la havane !
Enfumer deux
Qui se pavanent
A La Havane !
Hippie hourra !
Il y a des vannes
Dans une nouba !
Et peace and love !
Quelqu'un rénove
Ce monde cent love,
Qui le rénove ?
Avant que d'un
Simple béaba !
Il y ait quelqu'un
De tout béat !
Comme un baba
Qui coule, si cool !
Comme un papa
Cool qui découle !
Où tout le monde
Fait un 69 !
Loin d'être immonde !
Car quoi de neuf ?
Depuis Woodstock
A en aimer,
A être en cloque !
A en s'aimer
Et peace and love !
Quelqu'un rénove
Ce monde cent love,
Qui le rénove ?
Y a-t-il quelqu'un
Pour clairsemer
Sa sève ? Putain
D'effarouchée
A en casser
Sa pipe ! Qui pipe
Les dés aidés ! ?
Quand elle se fripe !
Parlant de sexe !
Tout fripé et
Frisé complexe,
Acidulé !
Ca fait du bien
Par où ça rentre !
Profond vagin
Par où de l'antre !
Et peace and love !
Quelqu'un rénove
Ce monde cent love,
Qui le rénove ?
Jérôme de Mars
Le bureau des complaintes
Voici une consultation imaginaire au CMP de Vitry-sur-Seine le mercredi 14 décembre 2022 à 11h50, jour du rendez-vous médical entre Jérôme Bedrossian, un patient du CMP de Vitry-sur-Seine et sa psychiatre Madame Teillet :
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? Alors qu'aujourd'hui, quelles sont vos doléances dont vous allez me parler maintenant que vous êtes dans le bureau des plaintes ? "
Jérôme Bedrossian, impatient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Madame Teillet, je vais bien et je vais mâle, mais pour que vous ne m'envoyez pas m'envoyer balader dans votre bureau des plaintes, OTAN que je vous chante une ballade dans le bureau des complaintes pour vous évader en vous changeant les idées, déjà que tout le monde déchante au quotidien en ce moment en France ! "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Alors Monsieur Bedrossian, qu'avez-vous de prévu pour les fêtes de fin d'année ? Et surtout ne me jouez la victime Calimero qui va trépasser en fait de fin damnée, ça ne marche plus avec moi votre scénario de fin du monde, ne soyez plus spectateur de votre vie mais soyez-en l'acteur en vous donnant enfin le beau rôle ! "
Jérôme Bedrossian, impatient au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Mais non Madame Teillet, rassurez-vous, je ne trépasse en fait de fin damnée, je vais passer de très bonnes faites de fin d'année en famille le 24 décembre, le 25 décembre et le 31 décembre avec mes amis, car en faim cette année, ma vie c'est du gâteau futé, affuté car je m'en rappelle les fêtes de fin damnée 2016, 2017 et 2018 furent très difficiles et éprouvantes pour moi que j'en avais mangé de la crème fouettée en faisant des galettes désarrois ! Que j'ai trinqué de ma santé au champomy alors que maintenant Madame Teillet, je trinque à ma santé au champomy pour ma pomme de terre en sachant que ce n'est plus la fin des haricots vers ma décadence mais vers ma grande cadence de troubadour, que ma vie ne sent plus le sapin actuellement, ce qui fait que je n'ai plus les boules et que je m'enguirlande plus avec personne ! "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Certes Monsieur Bedrossian, vous n'avez plus les boules mais vous êtes maboule, excusez-moi, j'ai fait une bourde, c'est moi qui ai perdu la boule, la preuve, vous avez ma boule, je plaisante Monsieur Bedrossian, je vous taquine envers vos vers de bohème ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Rassurez-vous Madame Teillet, je sais que vous rigolez, la preuve qui ne prête à rire mais qui s'apprête à me faire sourire, vous voyez, ça fuse les idées lumineuses après toutes ce idées noires, j'ai tellement foi en la vie pour une fois que je vais manger du foie gras de cagnard, le soleil de ma vie à en faire le tour du pâté de maison qui s'encroûte à en manger du saumon enfumé ! "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Que vous êtes ubuesque Monsieur Bedrossian ! Comme vous allez plus que bien ! Et qu'il y a prescription à présent de tout votre passé outrepassé ! Je vais vous faire passer avec foi et loi une ordonnance pour que vous soyez assigné à résidence à vie au GEM de Vitry, sans que vous ayez un jour à retravailler en ESAT et sans que vous demandiez et redemandiez un jour l'asile psychiatrique pour aller boursoufler à l'hôpital Paul Guiraud qui se fout de la charité ! Car je sais que vous seriez capable d'aller dans cet hôpital pour y habiter à vie, enchantant :
" Je suis malade " en disant sers-je lama à cracher dans la soupe populaire de tout mon potentiel ? La preuve que le GEM vous fait tant de bien ! Point de vue lien social et bénévole, où vous y trouvez votre conte saltimbanque ! Vous voyez Monsieur Bedrossian, je ne veux pas que vous soyez assisté mais incité à faire du bénévolat, en faisant des choses que vous aimez Monsieur Bedrossian ! Sans oublier la preuve que j'ai bien fait Monsieur Bedrossian de vous prescrire une aide-ménagère départementale Monsieur Bedrossian, car enfin vous avez une auxiliaire de vie qui vous ménage après tout ce remue-ménage à L'ESAT surtout ces dernières années, ! En plus Monsieur Bedrossian ! Ce qui est bien, c'est que l'auxiliaire de vie vous apprend à bien entretenir votre logement, en vous aidant à balayer à chaque anniversaire vos 44 derniers balais ! Allez Monsieur Bedrossian ! Au revoir et au mois prochain, qu'en pensez-vous de ma prescription ? "
Jérôme Bedrossian :
- " Madame Teillet, merci pour tout ce que vous faites pour moi, j'aime le GEM car en faim au GEM, je suis logé à la même enseigne que tout le monde ! Sans être patient à en être si impatient d'aller chaque jour qui passe au GEM de Vitry ! "
Jérôme de Mars
Une locomotive pour Noël
Elément moteur des fêtes de fin d'année,
Tout le monde espère qu'il y aura un train !
Même qu'il est à voile et à vapeur !
Peu importe ce qu'il est, le plus important
Est que tout roule exaltant
Et moteur avec une locomotive pour Noël,
Pour remettre sur les rails
Ce monde déboussolé en station debout !
Qui attend sans arrêt la destination à bout !
Vers laquelle acheminer ce long courrier
Que tout le monde veut adresser au Père Noël
Pour faire un cadeau à la vie, même que la vie
En ce moment est plus ombre que lumière !
Et si on en profitait de la trêve des confiseurs !
En ne mangeant aucun bonbon casse-bonbon !
Mais en ne mangeant que des bonbons qui sont bons !
A faim que notre monde ne sente pas le sapin
Cet hiver, mais sente le romarin boute en train
Autour d'un buffet à déguster tout ce que tout
Le monde a travaillé après avoir tant dégusté
Cette année, à s'en être gelé les royales !
Qui se les gèle royales !
A part qu'à Noël, tout le monde joue son va-tout !
Avec une locomotive pour Noël
Pour que tout roule comme sur des roulettes !
Après avoir fait ses emplettes
Pleines d'entrain,
Or ! Il faut allumer et rallumer la lumière
Dans les chaumières
A Noël, pour que tout le monde soit immortel,
Amical et cordial !
A Noël !
Même que ces fêtes de fin d'année
Peuvent paraître pour certains surannées !
Mais dont c'est le seul monde, où tout le monde se rassemble,
Et semble sur la même longueur d'ondes tous ensemble !
Le temps de déguster un repas !
Loin de ce que tout le monde déguste le reste de l'année
En tracas avec pertes et fracas,
Tout le monde a besoin d'une locomotive moteur
A Noël très boute-en-train ! Destination sans aucune issue,
Pourvu que ce beau moment dure dans l'absolu
Avec candeur et ferveur,
Car si jamais à Noël, il y a une grève !
Pourvu qu'il y ait une trêve
A faim que la grève s'achève
En tout bien tout honneur !
En faisant de cet instant, un agréable moment fraternel !
En buvant la sueur et la fureur de ce moment
O combien au présent non oppressant !
Qui fait toujours depuis d'antan recette ! En riant
Et en souriant dans l'ardeur et le bonheur !
Qui a besoin moteur et fédérateur intemporel !
Surtout cette année
Plus que jamais !
Qu'il y ait définitivement une locomotive pour un super Noël.
Jérôme de Mars
Des beaux discours
Parler pour dire
Des choses utiles !
Et pour ne dire
Des choses futiles !
A en gagner
Du temps perdu !
A en perdre et
Tant éperdu !
Car ce qui compte,
Ce sont les actes !
Et pas qu'on conte
Paroles d'entracte !
Avec la langue,
On peut tout faire !
Car même exsangue,
On peut en faire
Des beaux discours,
Qui font concours
Quand on court, court
En un recours !
Tout ce qu'on loupe
Dans la vie, dont
Grâce à une loupe,
On peut au fond
Changer en bien
Les choses, en en
Faisant du lien
Social charmant !
Qui donne envie
En équilibre !
D'avoir une vie
Libre pour qu'on vibre
A la maison !
S'entendant bien
Comme une chanson,
Il y a d'entrain
Des beaux discours,
Qui font concours
Quand on court, court
En un recours !
Et qu'on se rend
Compte que ce qui
Compte si pressant,
C'est vivre exquis !
Des moments très
Romantiques qui
Donnent, redonnent traits
A nos vies !
Qui veulent en faire,
Refaire jolies
Malgré l'enfer
Des vies en gris !
Si on chantait
En un refrain !
Des chansons gaies
En étant loin
Des beaux discours,
Qui font concours
Quand on court, court
En un recours !
Jérôme de Mars
Marchand de slam
Pour que la vie
Ne soit morose !
Et donne envie
D'une vie en rose !
Distribuons
Juste de l'amour !
Qui chante néons,
Rallume l'amour !
Car en marchant
Place République,
Je vends du vent !
Vent place publique,
J'attends des actes
Au lieu des mots
Et des gros tracts !
Car à demi-mots !
Marchand de slam,
Je clame, déclame
Vent de réclame !
Je vends du drame !
En du pipeau,
Que je préfère
Jouer du pipeau,
Vents de colères !
Je vends du rêve
Brisé par tant !
Qui nous achève
Il était temps !
De déchanter
Les farandoles,
Et de chanter
Ces quelques paroles,
Et qui a tort ?
Qui a raison ?
Et quel mentor
Fait l'oraison ?
Marchand de slam,
Je clame, déclame
Vent de réclame !
Je vends du drame !
E si je prends
Le tram en train !
Et que j'apprends
Qui trame d'entrain ?
Malgré l'humeur
Des gens qui trinque
Sans le bonheur !
Je me requinque
En pensant aux
Mots que je vais
Chanter sursaut !
Je flânerai
En chantant au
Téléphone, tout
Mon slam micro
Ou vers fourre-tout !
Marchand de slam,
Je clame, déclame
Vent de réclame !
Je vends du drame !
Jérôme de Mars
Que ce fut brèves !
1) La preuve qu'Emmanuel Macron, il n'en a en rien à faire des personnes handicapées, comme il fait du cinéma de cannes en prenant les personnes handicapées pour ses béquilles, comme la politique d'Emmanuel Macron ne tient pas debout même si son parti apolitique est en marche de renaissance !
2) Pour éviter que la vie affective et sexuelle des handicapés soit à la vie, à la mort une petite mort pour eux ! Emmanuel Macron devrait songer à légaliser une assistance sexuelle pour les handicapés en recrutant des personnes qualifiées qui auraient pour compétences d'aider les handicapés à prendre leur pied à défaut de marcher, car à la vie, à l'amour !
3) Elisabeth Borne dépasse vraiment les bornes qu'elle se borne à vouloir faire une réforme des retraites, où personne ne battra en retraite mais se battra pour sa retraite en tentant de la sauver, même s'il y a un risque que les parents envoient leurs enfants au charbon, car en ayant une mauvaise mine mine de rien, les enfants de l'an 2000 futurs retraités, augmenteront leurs malchances d'avoir une fois à leur retraite une pension d'infamie !
4) Si Emmanuel Macron veut que la sécurité sociale résorbe son déficit, il n'a qu'à inciter les Français à prendre de l'assurance tous risques !
5) Si Emmanuel Macron veut que les Français perdent le fil si électrique des hautes tensions en France, et bien pour cela, il doit rétablir le courant entre les Français si égoïstes pour qu'ils s'éclairent de leurs lumières en consommant des ampoules basses tensions !
6) Heureusement qu'Emmanuel Macron n'est pas une lumière sinon chaque Français aurait des ampoules en perdant pied !
7) Si Les Français n'avaient pas voté en marche en 2017 ! Et bien en haute marche du podium, on aurait eu Marine Le Pen présidente !
8) La preuve qu'au second tour en 2022, ça a été la renaissance de Macron qui en a pris son nouveau parti !
9) Si en 2027, on autorise le vote par correspondance, il se peut que les Français ne votent plus en marche de la République mais votent dans un rassemblement national par correspondance !
10) Si on veut que Les Français retrouvent de l'énergie, il ne faut pas augmenter leurs factures d'électricité au risque de pomper toute leur énergie !
11) Un facteur risque de prendre tout au pied de la lettre, surtout si le facteur a sonné 3 fois au domicile de quelqu'un pour lui remettre une lettre avec personne pour lui répondre en lui ouvrant la porte !
12) Avant les grèves de Janvier 2023 à cause de la réforme des retraites, pour que les fêtes de fin d'année soient en faim du gâteau, autant bûcher sa crème fouettée qui démange plutôt que de travailler jusqu'à la mort à Boulanger !
13) Heureusement qu'Emmanuel Macron va rendre gratuit la délivrance du préservatif dans les pharmacies pour les 18/25 ans, pourvu que si la droite refuse de vider ses bourses en prenant tout pour argent content, qu'elle ne compte pas capoter l'idée de Macron en la faisant payer aux jeunes de 18/25 ans !
14) La preuve qu'à l'hôpital le travail, ce n'est plus la santé comme il manque des médecins et des infirmières !
15) Emmanuel Macron n'arrête pas de clamer qu'il a une jambe gauche et une jambe droite ! Ce qu'il nous dit ça nous fait tous une belle jambe !
16) Par les temps qui courent, naître ou n'être médecin, c'est toubib or not toubib, fallait y panser !
Jérôme de Mars
Vil deux lumières
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Jérôme de Mars
Vas-y Franco !
Comme un Conte d'Espagne !
Pourvu que tu épargnes
Ta population maintenant !
D'où que tu hais ! Car au temps !
Que tu regrettes toute ta dictature
En Espagne !
Que tu n'épargnes
Gna gna
Jamais toi ! qui y allas illico !
Et maintenant, vas-y Franco !
Tout le monde t'aurait livré au brûlot !
Et au culot de ta désinvolture !
Toi qui bâillonnas les opprimés !
Dont tu persécutas ces ouvriers malmenés
Par ta politique qui les jeta en pâture !
Et que tu exploitas à tes fins martials !
Toi, le pervers narcissique brutal
Et frontal !
Tel un manipulateur
Et un imposteur !
Où tu te serais bien entendu
Avec Marine Le Pen !
Dont la Marine peine
A arriver à ta cheville
Mais par contre ! T'aurais souhaité la bienvenue
A Jean-Marie Le Pen !
En votre jardin d'Eden de la haine !
En jetant votre mauvaise graine
Qui égrène ce monde qui part en vrille !
Car vas-y Franco !
Et vas-y franco avec brio !
Pour que tout l'immonde te dise banco !
Et rio Bravo avec feu Bolsonaro
Tu te rends compte Franco !
Tu avais tout faux !
Car d'où que tu es !
Aies au moins le toupet
De foutre la paix !
Aux rescapés
Des traumatismes
De ton génocide
Acide ! Car tout le monde pieux
Veut vivre dans un monde chaleureux,
Placide et limpide !
Avec plus personne qui se décime
Dans le mutisme
Qui les brime !
Car d'où que tu es
Et tu hais !
Fous-nous la paix Franco !
Et dis-leur aux Le Pen
Qu'ils se donnent la peine
De partir avec leur OPEN
Ecorcha ! Car O Pen
Pourvu que sans peine !
On ne voit plus les Le Pen !
Pour qu'on te voit à peine !
Franco ! Dont OTAN
Que tu foutes le camp !
Avant que tout foute le camp !
Avec brio
Et rio Bravo !
Le tout sans Bolsonaro !
Et loin de notre eldorado !
Vas-y franco, Franco !
Jérôme de Mars
Le jeu des chaises musicales !
Entre soi ma foi, c'est un
Jeu qui se joue ! On en joue !
Le même refrain qui enclin
En un clin d'œil rend presque fou !
Que tout le monde chante, danse et
Contre danse en tournant autour
Du pot aux roses qui bougeait,
Se trémoussait à ton tour !
De montrer de quoi tu es
Cap ! Cap autour de la piste
De danse même que tu es très
A chaise grossissant la liste !
D'ton cul assis entre deux chaises !
Si bien que le DJ te
Chante ! Faut te bouger alèse !
A l'aise ! Car voilà heureux !
Le jeu des chaises musicales !
Qui a l'oreille musicale !
Si c'est à chaise musicale !
Que t'es à chaise musicale !
A chanter, déchanter sans
Paroles ton gros ras-le-bol !
Qui fait des mille et des sang !
Pas de bol ta parabole !
Tu n'arrives pas à capter
Les paroles et la danse aux
Chansons survoltées, effet
De ta stéréo micro
Ouvert, fermé, renfermé !
Quand quelqu'un te dit d'éteindre
La radio ! Pour te la fermer !
Pour tout déchanter et geindre
De tes vers en ton salon
De thé vert ! Dont c'est ta tasse
De thé en bulles de savons !
Où tu t'entasses et entasses !
Le jeu des chaises musicales !
Qui a l'oreille musicale !
Si c'est à chaise musicale !
Que t'es à chaise musicale !
Et si tu achètes Podium,
Tu pourras voir les coulisses
Du décor ! Sans prendre d'opium
Par la grande porte qui s'y glisse !
Pas besoin de réglisse comme
Tu es point comme interne net !
Et que c'est tout comme.com
Entre tes facettes et fossettes !
En faisant des plans sur la
Comète depuis ta fenêtre !
Et si tu chantais ta joie !
Pour qu'il y ait un grand bien naître
Mené tambour combattant !
Tu es un battant en haut !
Et en bas lâchant battant !
Car rebattant de plus Oh !
Le jeu des chaises musicales !
Qui a l'oreille musicale !
Si c'est à chaise musicale !
Que t'es à chaise musicale !
Jérôme de Mars
Un soleil effet boule de neige !
Bientôt, ce sera Noël !
Avec des guirlandes
Sur le sapin,
Qui sentira les landes
Du romarin
Sur La Terre intemporelle,
Où personne n'est à la mode !
Quand tout s'accommode
Et se raccommode !
Toujours commode
Sans de mise au placard
Le soir de Noël
Lors du rencard,
Où tout le monde partage
Un magnifique moment à l'attelage,
Qui rassemble immortels
Des gens avec autour d'un repas,
Un soleil effet boule neige !
Dont ce sera du gâteau eux à la neige
Avec pour privilège,
Des éclats de rire au-delà la crise de foie !
Car grâce à un soleil effet boule de neige !
Ce sera l'été à Noël
Qui brandira la passerelle,
Pour que tout le monde se rassemble fraternel
Même que la vie est solennelle
Le reste du temps dehors, où il ne fait guère beau !
Alors qu'il suffit de prendre de la hauteur
En montant sur un escabeau !
En voyant que du bonheur !
Comme il est beau ! Avec le Père Noël qui ne sent le sapin !
Avec autour du romarin,
L'air romarin d'un repas divin qui sans sacrilège,
Regarde depuis son monde extérieur frileux
Jusqu'à la maison en son intérieur radieux et chaleureux !
Car même qu'il neige !
Il y a un soleil effet boule de neige !
Jérôme de Mars
Des temps modernes
Détends passé,
T'es obsolète
Et dépassé
Que rien n'est net !
Dont ton monde est
Conservateur !
Ton immonde hait
Trop protecteur !
Car sur année,
Ta vie cabossée
Est surannée !
T'as qu'à bosser !
Pour t'assurer
Une vie meilleure !
Te rassurer,
C'est la ferveur !
Des temps modernes
Et subalternes
En ce monde terne,
Rouge lanterne
Et arriéré,
Comme d'ordinaire,
T'es démodé,
Réactionnaire !
Toi, si vieux jeu
Et stationnaire,
Tu n'es ange
Point débonnaire !
Comme t'es quelqu'un
De si étrange !
Qui ne vaut rien
Et si tu changes
En bon Chrétien !
Y aura-t-il toi
Samaritain
Une nouvelle loi ?
Des temps modernes
Et subalternes
En ce monde terne,
Rouge lanterne
Dont tout ça range
Non des gueux las !
Dont tout s'arrange
Non dégueulasse !
En un joli
Monde, où tous veulent
Avoir une vie
Plus jamais veule
Et non démodée !
S'il y a par-là !
Raccommodée
Peut-être la joie !
Pour renaître si
Accommodés !
Tous très assis
Non démodés !
Des temps modernes
Et subalternes
En ce monde terne,
Rouge lanterne.
Jérôme de Mars
Roc alternatif
Dur à cuire en pierre,
Cette musique métal
Qui forge caractère !
En bloc de métal,
A un cœur de pierre !
Qu'elle met du cuir à
En cuire sa misère !
Qu'elle va ici là
Enjouée perfecto
Sa musique ! Qui met
En son perfecto,
Le feu qui aimait
Avoir des problèmes !
En cassant des packs
De bière en totem !
En fumant du crack !
Roc alternatif,
C'est impératif !
De n'être émotif !
Et d'être un motif !
De danses dissensions,
Qui font que personne
N'a vraiment raison,
L'oraison qui cogne
A la porte ! Sortie
Sans issue sangsue !
Qui est assortie
De l'école des glus
Qui accolent bras droits !
Racolent bras dessus !
Bras déçus ! Ah droits !
Bras dessous fourbus !
Quand caracole oh !
Tope ! Multitop top
Là ! Le mot de trop !
Qui clope en cyclope !
Roc alternatif,
C'est impératif !
De n'être émotif !
Et d'être un motif !
De dissuasions !
Pour s'évader du
Quotidien d'action
En personne imbue,
Sa vie dissolue,
Qui semble désœuvrée
Sociale absolue,
Irrésolue mais
Perdue, éperdue !
Par tant, partant en
Excès distordus !
En un des sans, sans
Aucune solution
A ce gros problème,
En cette équation
Issue de ce poème,
Roc alternatif,
C'est impératif !
De n'être émotif !
Et d'être un motif !
Jérôme de Mars
Il plancha en étant sur le gril !
Dans la grande ville, vile en vile de belle ville
A Belleville, il faillit être viandé !
Si bien que ce dur à cuire ! Frétille
D'idées en cocotte-minute qui hait
Son cuir bien épais ! Qu'il a l'épée
De Damoclès ! Qu'il dit qu'il lui en
Cuira son canapé en cuir et paix !
Qu'il attend impatient de pas lents !
Qu'il soit foutu cuit, bien cuit ! Cuit-cuit !
Pour rentrer dans le circuit, sur le
Circuit court-circuit qui court-circuite !
En se grillant, en étant grillé
Lors défaites de barbecue en coût
Très cher ! Quand la vie ne vaut pas chair !
Pourquoi toujours recevoir des coups ?
Car en faisant de la surenchère !
Il plancha en étant sur le gril !
D'une plancha qu'il alluma le gril
De sa cigarette qu'il grille en ville !
Comme sa plancha grille et part en vrille !
Luit, qui fourmille d'idées en minutes !
Se lézardant, y a trop de lézards !
Dans sa vie qui consent le tumulte
Trépassé à l'âge adulte ! Qui part
Sans rempart droit dur dans le grand mur !
Qu'il planche comment viander à petit
Feu ! Pour en faim défunt ! Fendre l'armure
Reluit qui se grille, qui rapetisse
Son manque d'appétit en la vie ! Qu'il
Dévie de sa trajectoire ! Si
Bien qu'il mange sa presqu'île en son il !
Si bien qu'indécis, et un des si !
Il ne fait que déguster en sa
Vie périmée qui est péremption !
Il est une fois son problème de foie !
Car comme il attend sa rédemption,
Il plancha en étant sur le gril !
D'une plancha qu'il alluma le gril
De sa cigarette qu'il grille en ville !
Comme sa plancha grille et part en vrille !
Il veut se racheter sa mauvaise
Conduite à cause des délits de fuite !
Qu'il l'a mauvaise presque en charentaises
Dans la fuite des temps durs qu'il délite !
En étant en froid avec l'immonde,
Il attend chaleureux, convivial !
Pour faire la paix avec tout le monde,
Tout son monde même qu'il est si trivial !
Car même s'il est paresseux, il se
Rend compte que s'il ne veut pas être cuit
Par la vie, les gens non fabuleux !
Il doit aller de l'avant aussi
Pour rallumer sa foi plus tôt pieuse,
En se réconciliant avec tous !
Lors d'un feu de cheminée faiseuse
De bien, et avant un coup de pouce,
Il plancha en étant sur le gril !
D'une plancha qu'il alluma le gril
De sa cigarette qu'il grille en ville !
Comme sa plancha grille et part en vrille !
Jérôme de Mars
Si on chantait au lieu de déchanter !
L'air de rien ! Faisant la farandole,
Si on tenait paroles ! On pourrait
Entonner, détonner des paroles
En chantant, enchantant des choses gaies !
Gais-pinçons, pinçons-nous si légers !
La vie à s'en passer deux chansons !
Se passant et se repassant des
Mots qui font songer en illusions !
Surplace des maux mensongers, distraits,
Il faut évoluer dans la vie !
En volupté pour en dévoiler
Des secrets enfouis, enfuis la nuit !
Et si le temps d'une journée, on en
Oubliait les grandes vicissitudes
De la vie ! Surtout au Nouvel An !
Et en passant du Bach en prélude,
Si on chantait au lieu de déchanter !
Pour chanter la vie lors d'une journée !
A en oublier la nuit pour rêver
L'insouciance d'un soleil adulé !
Certes, il ne faut pas fuir mais s'enfuir !
Pour en fuir la dure réalité
De la vie qui chante, déchante à dire
Tout son contraire d'insalubrité !
Et si on chantonnait comme les abeilles !
On en publierait des bans publics
En une lune de miel, en dune de fiel !
D'un mariage en ramages frénétique
Qui appellerait au standard sa
Chanson ! Comme un groupe de Téléphone !
En chantant par-ci, par-là la
Chute du Groupe Niagara pour le fun !
Dont l'objet de l'appel passerait
Le message pour composer avec
Tout ça, une chanson type nouveau-née
Sans mots secs, sans prises de becs pète-secs !
Si on chantait au lieu de déchanter !
Pour chanter la vie lors d'une journée !
A en oublier la nuit pour rêver
L'insouciance d'un soleil adulé !
Et si on imaginait mots pour mots
Une chanson durant chaque jour serein !
Et si on remplaçait maux pour maux
L'amour libertin par l'amour Saint !
Où tout ce beau monde trouverait un
Antidote pour remplacer l'argent
Comptant en paroles d'argent d'entrain !
Comme la vie se chante dès maintenant !
Pour que tout le monde se passe le mot
De la fraternité et de l'amour !
Liquidant l'égoïsme en ses maux !
Embrassant, en brassant dans la cour
Des grands, qui interprètent la leçon
D'un monde gravissant l'eldorado
Sans Colorado ! Que nous gravons
En fredonnant en un dernier mot !
Si on chantait au lieu de déchanter !
Pour chanter la vie lors d'une journée !
A en oublier la nuit pour rêver
L'insouciance d'un soleil adulé !
Jérôme de Mars
Ici cognac j'ai !
Poète en ma peine,
La vie, je la hais !
En me taillant les veines !
Que je veux faire une haie
D'honneur du boucan !
Qui m'achève sitôt
Que je fous le camp !
Or ! Il n'est trop tôt !
A m'en crever les
Tympans ! Mon oreille
Musicale ! Oh ! Laid !
Que je n'ai de soleil
Dans ma vie sous pluie !
Ma grande peine me soûle
D'absinthe en dépit
De l'ivresse en foule !
Ici cognac j'ai !
Né BCBG !
Comme à la télé !
Ici Cognacq Jay !
Ma vie est bohème des
Ordres instantanés !
Dans la vanité
En transe essaimée,
J'attends la fin des
Temps périmés, il
Naît inopiné
Un monde point gentil !
Clairsemé étrange,
Qui rime et arrime
En une immense frange,
Qui vraiment se grime
En des faux-semblants
De fausses apparences,
Personne naît noir, n'est blanc !
V'là la quintessence !
Ici cognac j'ai !
Né BCBG !
Comme à la télé !
Ici Cognacq Jay !
J'ai le blues, la frousse
D'avoir moins de punch!
Qui me semble, m'émousse
Démangeant en brunch
Ma désinvolture !
Je m'en fous de tout !
En une aventure,
Mon côté ripou !
J'aime bien faire couler
De l'encre en sang d'encre !
Qui a découlé
Mon sang froid qui ancre
Ame désabusée !
Faites gaffe envers moi !
Je suis cabossé
En mon désarroi !
Ici cognac j'ai !
Né BCBG !
Comme à la télé !
Ici Cognacq Jay !
Jérôme de Mars
Catherine le graciait le magasin grâce aux mots retrouvés !
Voici une petite saynète où Catherine Le Gratiet, une ancienne adhérente du GEM de Vitry croise à la librairie: " Aux Mots Retrouvés " à Vitry-sur-Seine deux adhérents du GEM de Vitry-sur-Seine, Jérôme Bedrossian et Philippe Benguigui, où chacun règle ses comptes en une foire d'empoignade :
Catherine Le Gratiet arrive à la librarie : " Aux Mots Retrouvés " et dit bonjour à la vendeuse :
Catherine le Gratiet :
- " Bonjour, comment allez-vous ? "
La vendeuse de la librairie : " Aux Mots Retrouvés " :
- " Bien Catherine, comment allez-vous ? L'autre fois quand vous êtes venus au magasin, vous n'avez pas réussi à retrouver un mot pour finir le titre d'un livre que vous vouliez acheter à la boutique, avez-vous réussi à le retrouver le mot ? "
Catherine Le Gratiet :
- " Pourquoi me demandez-vous ça ? Vous m'ennuyez, bien sûr que oui que j'ai retrouvé le mot de la fin du titre du livre que je voulais acheter chez vous, et pourquoi votre librairie s'appelle : " Aux Mot Retrouvés, " vous m'avez pris pour une homo ? "
La vendeuse de la librairie : " Aux Mots Retrouvés " :
- " Vous pouvez rester polie, s'il vous plaît ! Je ne vous manque pas de respect ! Vous devez vous sentir persécutée et parano pour croire que si je vous demande si vous avez retrouvé le mot de la fin du titre du livre que vous voulez acheter chez nous et pour croire que si notre librairie s'appelle : " Aux Mots Retrouvés " que j'ai fait un quelconque sous-entendu avec votre éventuelle homosexualité, mais vous délirez, ça n'a rien à voir ! Je ne vois pas le rapport en dehors de votre rapport sexuel !
Catherine Le Gratiet :
- " Mais vous voyez, vous me provoquez avec vos sarcasmes ambigus, moi j'ai toujours gracié votre magasin, et grâce à moi vous avez une très belle exposition de mes ordures que vous pouvez voir en peinture ! Pourquoi n'arrêtez-vous pas de me médire ? "
Au même moment, Jérôme Bedrossian et Philippe Benguigui arrivent à la librairie : " Aux Mots Retrouvés " et quand ils croisent Catherine Le Gratiet, s'ensuit un échange très tendu qui restera dans les annales :
Philippe Benguigui :
- " Jérôme, regarde qui on croise, on croise l'autre conne : Toi t'as pas intérêt à m'envoyer balader déjà que je ne peux pas te voir en peinture avec ton exposition de merde, car ta vie est poubelle la vie en série, et c'est mon avis ! Personne dans cette librairie n'aime ton exposition, c'est de la daube ! Comme au GEM de Vitry, où tu me parlais comme du poisson pourri ! Les responsables de la librairie n'osent pas te dire que tu t'exposes trop avec tes ordures, comme tu exposes trop ta vie privée en surexposition qui n'est guère intéressante ! C'est plutôt toi qui m'ennuie Catherine ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Catherine, tu sors trop du cadre ! Comme tu ne peux encadrer personne ! Tel que nous, on est obligés de te recadrer nous aussi, comme on ne peut t'encadrer ! Je voulais te dire aussi que si pour gagner ta vie, tu exposes tes peintures dans la rue, tu vas en tirer des ordures en argent content d'or dur, comme tu prends en argent croûtant toutes les paroles des gens que tu voles à l'attire, comme tu ne rembourses jamais personne quand les gens te prêtent de l'argent ! Avec toi, c'est satisfait ou déboursé ! Viens Philippe ! On va racheter le magasin des Mots Retrouvés ! En trouvant et en retrouvant comme bon mot retrouvé en magasin : " Les mots graciés " avec toi en magasin, à fond la caisse ! Pour encaisser l'argent contant de nos beaux livres, et moi racontant nos livres à la vente ! Pour gracier la rentabilité de notre librairie, comme le silence est d'or et la parole est d'argent à la vante, vu tout ce qu'on a encaissé toi et moi dans la vie Philippe ! "
Philippe Benguigui :
- " T'as raison Jérôme ! Comme ça, on aura trouvé et retrouvé les mots retrouvés ! Avec en magasin, aucun des maux trouvés et retrouvés de Catherine Le Gratiet ! Dont on n'en a rien à péter gracieux de Catherine Le Gratiet ! Pour cela Madame la vendeuse, faut-il faire un recours gracieux pour racheter votre magasin ? "
La vendeuse :
- " Pas besoin, je saurai vous trouver du crédit en mettant à votre crédit le fait de racheter notre magasin ! "
Catherine Le Gratiet :
- " Et pourquoi personne à part la vendeuse dans cette librairie, ne m'accorde du crédit mais que du discrédit ! Peut-être sans doute que je suis trop à maux découverts que je trouve et retrouve avec et pour tout le monde, comme je me mets trop à découvert pour et avec tout le monde ! Du fait que je n'ai plus de crédit avec et pour personne à leur crédit ! Pour jouer cartes sur tables de crédit à mon discrédit ! "
Jérôme de Mars
Vénère celui qui est vénère !
Dans la rue en saga cité,
Il y a droit de cité dans la
Saga citée, le cartel dès
Que les jeunes se shootent trop fadas !
Au shit qui les rend schizophrène !
En quête de leur identité !
Vos papiers, s'il vous plaît ! Qui freinent
Enquête d'être régularisés !
Pourquoi en cité, il fait froid !
Avec un mauvais regard de
Travers ! ? En effet manque de foi,
Il était une foi ce slam que
J'écris en sortant de mes tripes !
Pourquoi dans la rue, on se tut !
Et avant que tous, on s'étripe !
Et avant que tous, on se tue !
Vénère celui qui est vénère !
S'il hait vénère, on le vénère !
Pour qu'il n'y ait plus de crises de nerfs !
Pourvu qu'on soit tous débonnaires !
Dans ce monde où tout fout le camp !
Dans un leurre de vérité, c'est l'heure !
Que plus personne ne sait c'est quand !
S'il y a encore tant de bonheur ! ?
En ce monde qui m'inspire l'immonde
Nauséabond qui pète les plombs !
Il faudrait que tous, on les sonde !
Et pourquoi personne naît plus bon ?
Y a-t-il encore des idéaux
En notre monde en déperdition ?
Qui trouvera le dernier mot
Pour qu'on s'entende en audition ?
Et pourquoi tout le monde s'en fout
De tout encore de tout le monde ?
Dans ce monde de fous, sans garde-fous !
La solution face à l'immonde !
Vénère celui qui est vénère !
S'il hait vénère, on le vénère !
Pour qu'il n'y ait plus de crises de nerfs !
Pourvu qu'on soit tous débonnaires !
Et fais le bien sans faire de mal !
Le lien social est si précieux
Que notre monde est si animal !
Qu'il ne croît en Dieu car odieux !
Notre monde qui se débranche petit
A petit feu sans une morale !
Et qui a encore dans cette vie
La foi pour qu'on ait de la joie ?
Plus rabat-joie, moins ripou mais
Filou, et qui file doux, refile doux,
Enfile doux dans le redoux ! Et
Si tout le monde pouvait en nous !
Nous rendre le meilleur sur cette Terre !
Pour que notre monde soit si rieur !
Comme avant et plus délétère !
Et pour sourire fédérateur,
Vénère celui qui est vénère !
S'il hait vénère, on le vénère !
Pour qu'il n'y ait plus de crises de nerfs
Pourvu qu'on soit tous débonnaires !
Jérôme de Mars
Je fais des histoires !
Histoires se contant,
Racontant notoires !
Je m'en vais content
En un exutoire !
Vous en dire des bonnes
A dormir debout !
Et si elles résonnent,
Quand je suis à bout !
C'est que décomptant
En un conte de fées,
J'en raconte comptant
En un compte d'effet !
Que ma vie naît un
Conte de fées au
Bout du conte d'un coin !
Qui me ronge les oh ?
Je fais des histoires !
En dormant le soir !
Car d'un réservoir
En un abreuvoir,
Je distribue un
Livre d'histoires drôles qui,
D'un en un par un !
Décrète qui est qui ?
Et qui fait quoi ? Quand
Je me livre, délivre
Que tout fout le camp !
Et qui m'en fait vivre
De toutes les couleurs !
Un coût bariolé !
Et haut en couleurs !
Complètement niais
En une vie qui me
Refile le cafard !
Si d'un je en je !
Rangé au placard,
Je fais des histoires !
En dormant le soir !
Car d'un réservoir
En un abreuvoir,
Ma vie hait plaie black !
A en naître méchant
Gratuit ! Blague is blague !
Me payant croulant
Au black, roulant au
Crack dans la com point
Back, cela me vaut
Une vie en en bon point !
Et si je faisais
L'appoint ! En tout point
Tout honneur effet !
Je roule en des joints !
Ma vie qui rejoint
Le nirvana hard !
Des péchés ci-joints !
Car comme je suis hard,
Je fais des histoires !
En dormant le soir !
Car d'un réservoir
En un abreuvoir.
Jérôme de Mars
Le caïd de la saga cité
Téméraire en un vent de colère,
Je viens du ghetto eldorado !
Qui fait le yoyo sur l'étagère !
Et quel est grosso modo
Le tempo pour que je joue avec
Les mots du dico qui résonnent faux ?
En clamant des gros mots secs, pète-secs
Qui pètent plus haut que leur cul des maux !
Et si jamais, j'ai des prises de becs,
Pourrai-je l'ouvrir en déni, mangeant
Mes vers de drôle d'oiseau en maux secs ?
Renaissant poussière me démangeant
Dans ma ville vile à Vitry-sur-Seine,
Où je suis un facteur à risques au
Poste, pas de peau lisse sûre ! Qui m'assène
En perdant les os, je suis en mots !
Le caïd de la saga cité,
Habitant Aïd saga citée !
J'en fais une saga si récitée
En droit de cité très ex citée !
J'ai suscité ma vocation tel !
Un gars chelou qui filou relou !
Jouant au loup solitaire, car untel !
Suis un loup solidaire qui alloue !
Ce que je loue, reloue, moi le loup !
Qui en fait une saga de cécité !
Enjouant un aveugle super relou !
Qui y voit clair une foi ces cités !
J'ai retrouvé le trop droit chemin !
En chantant, déchantant de travers
Le dédain en un gâteau aux daims !
Suis-je hautain en regardant de travers
Mon miroir à double fasse ? Qui efface
Mes diverses facettes en pures fossettes ! ?
Suis-je un imposteur ou en surface,
Un inspecteur ? Et suis-je un terne net ?
Le caïd de la saga cité,
Habitant Aïd saga citée !
J'en fais une saga si récitée
En droit de cité très ex citée !
J'ai cité quelqu'un qui vient de la
Cité et du ghetto, est-ce la zone
Interdite comme à la télé ah ?
Inné, j'ai tout zappé c'est la zone !
Que j'en taille la zone que je zone aphone !
En criant sur mon mégaphone tout
Ce que j'ai jamais osé dire atone !
Que maintenant, j'en suis stone si ripou !
A m'en foutre de tout dans ce fourre-tout !
Où ma vie n'en vaut plus le détour !
Que sans garde-fous, je suis vraiment fou !
Que je m'en fous de ma vie vautour !
Car à vos tours de voler de vos
Propres ailes, à-tire-d'ailes battant de l'aile !
Vous les Français qui êtes têtes de veaux !
Suis en un oiseau brisé aux ailes !
Le caïd de la saga cité,
Habitant Aïd saga citée !
J'en fais une saga si récitée
En droit de cité très ex citée !
Jérôme de Mars
Je vais oser le ton !
Liberté de parole
Démocratique, tous les
Mots qui ne tiennent paroles !
Rendent le monde gougnafier,
Où on ne peut se fier !
Tentés par la défiance
Apolitique givrée
En une folie d'offense !
Qui fait l'indifférence !
Où tout le monde s'en fout
De tout ! Hein différence !
Où il n'y a de garde-fous !
En ce monde de ripous !
Qui cherche des poux anti
Qui filous refile doux !
Pour ou contre les nantis !
Je vais oser le ton !
Je vais hausser le ton !
Liberté de ton ton !
Tonton montant le ton !
Et si ton sur ton ton !
Il y a bouc-émissaire,
Menton qui monte le son
Du vent de sa colère !
Ville, vil sûre qui vacille,
Qui chancelle, manivelle
Dans cette ville qui fébrile,
Tient, retient la chandelle !
Que le je égoïste
N'en vaut une fière chandelle
Individualiste !
Où le pire s'amoncelle
Dans ce qu'il y a de plus
Inhumain, qui dépasse
L'entendement intrus !
Car pour que tout se casse !
Je vais oser le ton !
Je vais hausser le ton !
Liberté de ton ton !
Tonton montant le ton !
Monte, remonte, démonte le
Son en ultrasons ! Quand
Ils s'affrontent tous entre eux !
Droit dans le mur du temps !
Quand tout fout le camp ! Entre
Les gens qui préfèrent la haine !
Que s'aimer dans leur antre
En leur jardin d'Eden !
Et si pour rétablir
De l'amour, il y avait
L'union libre en sourire
Qui vibre en un Ave !
Pour que tout le monde fasse
La paix ! Signant une trêve !
Remontant à la surface
La sève qui en relève !
Je vais oser le ton !
Je vais hausser le ton !
Liberté de ton ton !
Tonton montant le ton !
Jérôme de Mars
Test père, un père !
Maternité,
Tu te testes et
Paternité !
Tu retestes et
En un prétexte
Avalé, la
Pilule contexte !
Adoré la
Pilule pullule !
Que tu commets
Impairs d'ovules,
Repaires innés
Et périmés !
En un impair
Du périnée,
Qui dit repère !
Test, père, un père !
Quel est l'hein pair ?
Test en un pair !
Quelle est la paire ?
Qui fait la mère !
Tel pair, tel fils !
Qui fait le père !
Telle paire, telle fille !
As-tu ton père
En éphémère ?
As-tu ta mère
En effet mer ?
En note salée,
Ton amertume !
Qui dessalait
Toute ton enclume !
Qui laisse aller !
Et s'en aller !
Qui naît inné !
Qui n'est inné !
Test, père, un père !
Quel est l'hein pair ?
Test en un pair !
Quelle est la paire ?
Et en ta mère,
Tu fais la paire !
Et en ton père,
Tu fais l'un pair !
Ayant un père
En un impair,
Ayant une mère
En de l'amère,
D'un mâle de mère,
Qui fait très mal !
D'un mal deux pères
Qui fait très mâle !
D'un mal-aimé,
Qui aimait hein !
Ton mâle-aimé !
Qui émet un
Test, père, un père !
Quel est l'hein pair ?
Test en un pair !
Quelle est la paire ?
Jérôme de Mars
J'ai d'autres chats affûtés !
Si je sortais les griffes !
En ronronnant dépits,
Je l'aurai dans le pif !
Qui m'amenuise de puits !
Que je serai un jeune
Chat sauvage, bas étage !
Qui errait et déjeune !
Chantant les chats sauvages !
En ronronnant depuis
En me faisant des films !
En chantant sous la pluie !
Que du ciel, je me grime
En prenant des gamelles !
Qui ferait qu'en des pis !
J'aurai la vache mamelle,
Enragée donc et puis !
J'ai d'autres chats affûtés !
Car suis une crème fouettée !
En d'autres chats à futés
Entre autre chat à fouetter !
Genre un chat persan ou
Un chat très empoté,
Un chat transperçant ou
Un chat de super beauté,
Tel un grand frère siamois !
Regardant ces cités !
Genre émois après mois,
Aveugle de cécités !
A m'en allécher les
Babines ! Dont je dessine
Ma vache à lait olé !
Qui m'en lèche figurines !
Ceux ou celles que je n'ai !
Gêné stériles ! Où ma vie
Ne tient sans nouveaux nés !
Qu'au lieu du paradis !
J'ai d'autres chats affûtés !
Car suis une crème fouettée !
En d'autres chats à futés
Entre autre chat à fouetter !
Dont la femelle demeure
L'avenir du jeune mâle !
Avant que les deux meurent
En étant au plus mal !
Si je sortais les griffes !
Peut-être que la grossesse
Aurait un super kif,
Kif kif mise en bassesse !
Durée de gestation,
Cela va faire et mois,
En durée de gestion !
Car des mois en émois,
Petit à petit, le
Monde en devient croissant !
Né en 2022 !
Car si le monde croît sans !
J'ai d'autres chats affûtés !
Car suis une crème fouettée !
En d'autres chats à futés
Entre autre chat à fouetter !
Jérôme de Mars
Sur la même longueur d'ondes !
Bienvenue à l'antenne !
Pour parler et chanter
La vie et sa rengaine
En un karaoké,
Qui t'en lèche les bobines !
En stéréo radio !
Que t'en mixes les platines !
Effet de ta sono !
En cherchant ton réseau,
Recherchant ta fréquence
Pour capter ta radio,
Diffuser ton essence
Entre musique et débat
D'un immense tout info !
Même quand il y a d'ébats !
Dans la vie du disco
Sur la même longueur d'ondes !
Pour partager des ondes
Positives en ce monde
Qu'on sonde en faconde !
Ou avec fronde ! Pourquoi
Ce monde est inconscient,
Indifférent, à quoi
Hait-il tant décadent ?
Et si chacun avait
Un poste de radio pour
Ecouter la gaieté
Des belles chansons d'amour !
En restant optimiste
Le temps d'une bonne journée
D'armistice pessimiste,
Ajourné, ton jour-né !
En croyant boute-en-train !
Musique de Nostalgie;
Les grandes années 80 !
Fleurant bon l'embellie
Sur la même longueur d'ondes !
Pour partager des ondes
Positives en ce monde
Qu'on sonde en faconde !
Pour capter l'antenne des
Gens qui aiment et s'aiment
En une fréquence dorée,
Adorée quand tous sèment
L'amour en bienveillance !
Ce qui compte, c'est d'aimer
Avec constance, vaillance
Car quand la radio émet !
Servons-nous en paroles
De ce qui est dit en
Radio ! Pour que ça vole
Vers le haut sans boucan !
Afin que tout le monde
S'écoute et coûte que coûte !
Pour déchanter l'immonde
En musique qui envoûte
Sur la même longueur d'ondes !
Pour partager des ondes
Positives en ce monde
Qu'on sonde en faconde !
Jérôme de Mars
Je bois eau bodega !
Dans le midi sonnant,
Prude dissonant du Sud,
J'habite trop trébuchant
En mon Sud hyper rude !
En soufflant dans mes vers de
Sarbacane, pour cracher
Mes eaux du bayou pieux
En ma jeunesse rêvée
De par sa nostalgie,
Qui était d'un autre temps !
Eaux lagunes qui m'épient !
En remontant chaque instant
Dès l'heure danse à Midi
Dans mon bistrot coulant !
Défunt Mississippi !
Car en me crevassant,
Je bois eau bodega !
Déboires aux beaux dégâts !
Mon eau de vie rabat-joie
Aux femmes fontaine de joie !
Du tournant de ma vie,
Et si je reste en ville,
J'espère une embellie
En un long fleuve tranquille !
En dormant sur le lit
De ma rivière, car pour
Flirter ainsi ravi,
Je dois apprendre l'amour,
Dansant le calypso
A Belle Ile sur la mer,
Voguant le calypso
De mon presqu'il sur Terre !
L'Espagne me fait envie
Pour boire un Monaco,
Prêt Monaco aussi,
Ici l'eldorado !
Je bois eau bodega !
Déboires aux beaux dégâts !
Mon eau de vie rabat-joie
Aux femmes fontaine de joie !
A l'instar La Louisiane,
Je dors dans un quatre étoiles !
Loin d'Hollywood je plane !
Que mon visage dévoile
Les souvenirs enfouis
De mon Amérique, eau
Sud tropique s'est enfui
Mon bateau à vau l'eau !
Et quand reviendrais-je
En mon sud à chaque midi
Mon il moyenâgeux ?
J'attends qu'il soit midi
Jusqu'à L'Espagne ! Sûr ma
Terre qui me chante berceuse !
Ma chère Madame Irma,
Qui m'épargne fabuleuse !
Je bois eau bodega !
Déboires aux beaux dégâts !
Mon eau de vie rabat-joie
Aux femmes fontaine de joie !
Jérôme de Mars
La baguette de pain magique
Vente de pain à Boulanger,
Il suffit de faire l'appoint
Une fois chez le boulanger !
Même qu'on a de l'embonpoint !
Comme là, c'est le même tarif
Partout à ce grand prix-là !
A la formule hein captive !
Qu'il y a des aléas ah !
Oh que si ! Quand y a du pain
Sur la planche ! Où le monde planche
En du pain béni empreint !
Qui ne perd jamais la manche !
Quand le boulanger roule les
Gens dans la farine ! Donnant
Des pains aux clients aimés,
Regrettant sciemment déments !
La baguette de pain magique,
Qui mène la baguette épique !
Et tient la baguette rustique
Aux manettes du pain antique !
De notre chère France en reprise,
Qui défile à fond la caisse !
En pièces détachées à lire
Des vols en espèce ! En pièces
Menacées argent content !
On a en magasin du
Pain ! Décomptant tout l'argent
De sa boutique si indue !
Et imbue de sa personne !
Qui récolte son dû !
Pour que l'argent résonne
Dissolu, irrésolu !
L'argent ne rend pas heureux !
Mais contribue conciliant
A vivre, à survivre tant mieux !
Aimant tant comme un aimant !
La baguette de pain magique,
Qui mène la baguette épique !
Et tient la baguette rustique
Aux manettes du pain antique !
Oui chef, nous sommes aux fourneaux !
En remettant tout à plat !
La cuisine des tourtereaux !
Qu'on franchit de pas à pas !
De grands progrès boulangers !
Très artisans à l'ancienne !
C'est du gâteau ménagé !
En ouvrant grand les persiennes !
Pas électro-ménager
L'art culinaire débonnaire,
Soufflant soulagé si gai !
Ces vieilles recettes de grand-mère,
Et si pour trouver la paix,
On mangeait une religieuse
Bonne comme une bonne volupté !
Car il y a si pieuse, songeuse !
La baguette de pain magique,
Qui mène la baguette épique !
Et tient la baguette rustique
Aux manettes du pain antique !
Jérôme de Mars
Mets-moi une note sur mon piano !
Sur la touche retouche qui fait mouche !
J'ai envie émerveillé, de
Jouer du piano de façon louche !
En me servant des touches par deux !
Et si tu me faisais enjoué !
A en jouer du piano, comme une
Interro sur prises ! Pour rejouer
Le même morceau dans la même lune !
Et à partir de quand en un
Bémol, cela fait que je pleure
En adoré mi fa sol hein ?
Comme je ne joue point et songeur !
Un morceau de piano synchro
Raccord, tapant le même accord !
Et qui aurait un superbe mot ?
Car soufflé, essoufflé encore !
Mets-moi une note sur mon piano !
Dis-moi si j'en joue maestro,
Divinement bien master pro !
Je voudrais passer pro impro !
Quelle note me mettrais-tu si je joue
En interro sur prises, la prélude
De Bach en m'étirant en joue ?
Faudrait-il que j'aille en études
Pour bien en jouer, enjouer comme toi
Du piano ? Faudra-t-il que je
Repasse mon Bach avec éclats ?
Pour que je remette en enjeu
Ma vie d'ange, pour qu'elle repasse à
L'orange empressée qui voit rouge !
Avant qu'elle surpasse le ver ah !
Que tu enverras ce qui bouge !
Si tu me donnes une leçon de
Piano, faudra-t-il faire la queue
Du piano ? Ah ! Que ! J'en reveux
Que je veux mâle heureux, car heu !
Mets-moi une note sur mon piano !
Dis-moi si j'en joue maestro,
Divinement bien master pro !
Je voudrais passer pro impro !
Comme je dois composer avec
Tout ça ! Ma vie en morceaux ah !
Y a des prises de becs ! Des mots secs !
Trompe la joie, rabat-joie ! Hourra !
La musique, c'est ma vie à pleins
Tubes ! Empreints de refrains en tubes !
Qui m'entubent ! Quitte à faire le plaint !
Ca me fait une belle jambe titube !
La musique, ça pompe l'énergie !
Que j'en suis électrique Engie !
Surtout quand j'écoute NRJ !
En mettant les points sur les i !
Je termine en des grands sanglots !
Ce morceau si millimétré,
En l'achevant presque en lambeaux !
Et pour vraiment m'améliorer,
Mets-moi une note sur mon piano !
Dis-moi si j'en joue maestro,
Divinement bien master pro !
Je voudrais passer pro impro !
Jérôme de Mars
La santé emmental !
Si j'écris un ramage,
Tel un oiseau aux ailes
Brisées, serait dommage !
Car dommage à tire d'aile !
Si je bats de mes ailes !
En en faisant tout un
Fromage, sans l'essentiel
De vivre avec quelqu'un !
La vie passe vite qu'elle reste
Une énigme qui écime !
Or ! L'essentiel déleste
La mort qui me décime !
Que j'écris déplumé !
Prenant pour duvet mon
Jeu d'écriture ! Signé
J'ai démon en amont
La santé emmental !
Sans ma santé mentale,
Comme tout vient du mental !
Et prévient et mental !
Que tout revient si on
N'y prend garde par mégarde !
J'en parle car macaron !
Le handicap regarde !
Tout le monde ignorant !
Il faut se battre, abattre
La déprime, me rongeant
Rabat-joie pour rabattre
Je préfère écrire pour
M'aguerrir, sans guérir !
J'ai juste besoin d'amour
Pour me ravir éblouir,
Jouir de ce temps présent !
Déjà que j'ai peur de
L'inconnu oppressant !
Où vraiment, je ne veux
La santé emmental !
Sans ma santé mentale,
Comme tout vient du mental !
Et prévient et mental !
Que j'écris ce ramage
Distant ! Sans désarroi
Mage, sage comme une image !
D'où résilient bourgeois,
J'aspire à une vie riche
De bons sentiments, sans
Ressentiment en friche,
Or ! Je veux à présent !
Une vie belle en un slam !
Qui chante, rechante, enchante !
Loin des drames qui se trament !
Pourvu là que j'invente
Une vie à démontrer
Ma bonne nature ! Je figure
A présent dans la paix !
Qui rejette en pâture
La santé emmental !
Sans ma santé mentale,
Comme tout vient du mental !
Et prévient et mental !
Jérôme de Mars
Si je jetais l'encre !
Ici cognac, j'ai !
Je bois mon absinthe
Poétique en jet !
Ecoutant enceinte
Ma musique rustique,
Ici Cognacq Jay !
Je suis antique
Sans aucune télé,
Que je soûle ma peine
En m'enivrant de
Soleil qui m'emmène !
Pour que je regarde
Si la vie, c'est mieux
Le jour ou la nuit !
Pour écrire radieux
Sans que ça me nuit !
Si je jetais l'encre !
De tout mon sang d'encre !
Qui ancre si je suis cancre !
Sauf si je jette l'ancre !
Moi le moussaillon,
Capitaine de mon stress,
Dont nous émoussons,
Mousson ma détresse,
Si on me moussait
Mon amertume, Oh !
Qui feu m'émoussait !
Quand tout tombe à l'eau !
Au creux de ma vague !
Si je fumais le
Bleu amer qui drague
Mes penchants en feu !
Avec la lune pour
Descendre en cendres, si
Je n'avais d'amour
Tant pour qu'on me scie !
Si je jetais l'encre !
De tout mon sang d'encre !
Qui ancre si je suis cancre !
Sauf si je jette l'ancre !
Buvant trémolos
Mon mal de survivre,
Que j'ai des sanglots !
Desquels je m'enivre !
Partant à la dérive !
En ne sachant où
Je vais, si j'arrive
Sur la rive garou !
Je suis un vieux loup
Solitaire et si
Solidaire relou !
Fonctionnant en si !
Qu'on me mène en un
Bateau, direction
Un grand deux en un !
Version, aversion !
Si je jetais l'encre !
De tout mon sang d'encre !
Qui ancre si je suis cancre !
Sauf si je jette l'ancre !
Jérôme de Mars
Lis-la ta fleur ce qu'elle veut te dire !
Fleurs fanées, le cœur fané t'effleure !
Que faire pour entretenir l'amour
Et l'amitié des fleurs ? Tant qui fleure
Bon ! Et qui effet sourire ! Chaque jour
Qui passe quand c'est le bouquet ! Couleur
Violette qui voit ton soleil ! En binant
Avec marguerite, pleine de candeur !
Ayant une vie en rose t'enlaçant !
En arrachant tes trèfles à quatre feuilles,
En devinant tes pensées, à quoi
Se rendre à l'évidence ! ? Qui effeuille
Les grenouilles, quand elles prédisent coa-coa !
Ton jardin secret de l'amour, qui
Tambourine ton âme paysagiste !
Car avec ton grand grain de folie !
En ta jolie poésie d'artiste !
Lis-la ta fleur ce qu'elle veut te dire !
Elle va te faire une fleur en ton rire !
Tu t'enverras des fleurs pour t'offrir
Du lilas pour te refaire sourire !
La vie peut être rose, sinistrose !
Ce qui conte, c'est que tu fasses fleurir
De l'amour, de l'amitié qui osent !
Te faire redécouvrir pour guérir
De tes malheurs qui te draguent du ciel !
Pour te faire oublier le bonheur
Simple; qui t'élague non guère essentiel !
Et en revenant à la bonne heure !
Si tu plantais une nouvelle graine ! Pour
Semer l'amour sur Terre en ton grain
De folie ! Qui ferait la belle cour
A l'amour qui te veut du béguin !
Si enclin d’œil, tu te rincerais
L’œil; en trompe-l’œil ! En te débinant
De tes sentiments, pour te grincer
La fleur aux dents, chantant déchantant
Lis-la ta fleur ce qu'elle veut te dire !
Elle va te faire une fleur en ton rire !
Tu t'enverras des fleurs pour t'offrir
Du lilas pour te refaire sourire !
Et si tout simplement, tu allais
Cueillir des fleurs, traînant entraînant
En ta belle bluette très endimanchée,
Posant par avances tes sentiments !
Toi le plus offrant et soupirant !
Et si ta fleuriste te pousse, repousse !
Tu n'auras qu'à aller soupirant !
En achetant, en plantant des pousses !
Pour rendre ton conte de fée si divers,
Transformant ta peine en amitié !
Désormais un sacré fait d'hiver !
Transformant ton hiver en été !
Où tu n'auras qu'à compter du bout
De tes grosses lèvres, tes trèfles à quatre feuilles !
Quitte à conter sur un marabout !
Qui t'enchantera sur ton fauteuil !
Lis-la ta fleur ce qu'elle veut te dire !
Elle va te faire une fleur en ton rire !
Tu t'enverras des fleurs pour t'offrir
Du lilas pour te refaire sourire !
Jérôme de Mars
Le moins qu'on puisse dire...
Il était une fois un moins que rien qui n'avait rien à dire, à part dire à plus ! En ayant toujours moins ! Et rien dans la vie ! Multipliée par tous les moins que rien, divisés sur la question, et le moins qu'on puisse dire est qu'à la vue du résultat, l'addition va être très salée ! Surtout si la totale sera de moins en moins au plus ! Pour au moins, casser du sucre sur le dos des moins que rien, dont le moins qu'on pourra dire en plus ! Est au moins ! A plus ! Rien du tout ! On n'a rien ! Plus rien...
Jérôme de Mars
C'est un Prévert narcissique...
Poète à ses heures perdues,
Il parait qu'il est fourbu,
Eperdu d'être si absolu,
Un poète avec une vie dissolue !
Avec une vie animale,
Où un trop-plaint lui a fait tant de mal
A son être innocent !
Où il s'en fait des sans
Névrotiques et lunatiques !
C'est un Prévert narcissique....
Où il naît heureux dans l'avis !
Où il n'est heureux dans la vie !
Y en a-t-il qui le comprennent ?
Dans cette vie
Où il fait nuit !
Qui n'est plus sienne !
Car lilliputienne !
Où certes, petit à petit, le monde est petit !
Dont lui, on n'en fait qu'un gars endolori !
Qui ne rit mais sourit à peine !
Du poids de sa peine qui devient bedaine !
C'est un Prévert narcissique...
Avec ses vieux démons névrotiques et lunatiques !
Qui riment en mal de mer !
En pleurant de tous ses sanglots !
Qui arriment en mâle de mère !
Avec dans sa voix en éclats, des trémolos !
Qui vont à vau l'eau !
Comme luit au fond du ruisseau !
C'est un Prévert narcissique...
Antique, en tic pervers narcissique,
Qui traîne ses maux lunatiques
En ses mots névrotiques,
Il hait où le poète allumé
Très barré et taré ? Mais
Est-il compris ?
Ou un con pris ?
Par les gens
De l'usufruit de ses tourments !
Et si le poète allumait en brèche
Avec des allumettes sèches !
Son côté rebelle si revêche,
En faisant des plans sur la comète !
Pourvu qu'il commette
Affable l'ineffable !
En écrivant une poésie réparable
En son état instable,
Tel ce pervers narcissique
En ses maux lunatiques !
Qui devient en des mots névrotiques
Un Prévert plus que narcissique...
Jérôme de Mars
La crise de la quarantaine
Si la vie nous contait en notre extérieur...
Nos conflits intérieurs !
On se rendrait compte que pour beaucoup
Qu'à 40 ans dépassés, c'est un sacré coup
Du coût de la vie qui nous remet en question !
En se demandant que faire pour être
En adéquation dans nos vie qui semblent
Une équation,
Qui ressemble
En notre mal-être,
En une ecchymose qui hait
La crise de la quarantaine
Au milieu de la vie !
Et de pourquoi on est déjà aigri !
Même si dans la vie, il y a souvent du gris !
Qu'on ne trouve pas vraiment joli
A 40 ans passés,
Même si la vie n'est en corps trépassés,
On ne voit guère les choses de la même façon,
Tentés par nos névroses
Démoniaques, qui rebondissent en flash-backs enfouies,
Refoulés de nulle part ensevelis
En notre inconscient qui fait désordre en rébellion,
Où l'on veut passer le restant de la moitié de notre vie
En une paix sereine, réconciliée même avec la société
Cabossée, égoïste et individualiste qui fait de tant de mal !
Et cause tant de dégâts
Dans notre société rabat-joie,
Soi-disant moderne !
Alors qu'elle naît juste qu'asservissement, terne et subalterne
En quête permanente de profit
Qui cause la ménopause et l'andropause,
Amoindrissant les naissances du renouvellement des générations
Qui ne s'entendent pas innées en interactions,
La crise de la quarantaine
Fait ressortir accumulée,
Et acculée
Toute sa bedaine, entre haine
Et résilience
S'il y a urgence !
A ce que nos vies
Ne dévient en hérésie,
Alors qu'il faut encore essayer d'y croire
En un avenir peut-être meilleur !
Car même s'il est colporteur de désespoir,
Il faut renaître de ses cendres et envisager
De nouveau projets, porteurs et rapporteurs
A la recherche une embellie
Retrouvée et ressuscitée,
Sans tout de suite penser que le monde naît enjoliveur !
Et si la crise de la quarantaine nous confirme
Même que nos certitudes ne sont parole d'évangile !
Du poids fragile de nos vies indociles,
Il faut privilégier l'utile au futile !
Et si sans paraître infirmes, tous, on n'infirme
Que même si la vie demeure un boulet,
On peut débouler
A quarante ans passés, dépassés, outrepassés
Et trépassés revigorés et vivifiés !
Clamant que même si la routine recommence le lundi
Chaque semaine;
On peut en faire de la vie,
Une suite plus sereine
Avec un droit à l'oubli
Du passé ! En une renaissance à la quarantaine
Au lieu d'une crise de la quarantaine.
Jérôme de Mars
La coupe de l'immonde !
Tout va bien, ça y est !
La coupe cette semaine !
Qui va commencer
La coupe va être pleine !
J'en ai rien à foot !
Tous ces footballeurs,
Qui jouent tous au foot !
Tels tous des branleurs !
Qui gagnent trop d'argent !
Qui jouent comme des brêles,
Prenant pour argent
Content leur foutaise !
Si cette coupe ! On la
Coupe à la découpe !
En en faisant ah !
Une coupe qui coupe coupe !
La coupe de l'immonde !
Coupe la coupe du monde!
Coupe des coupes en fronde !
Je m'en fous en faconde !
Qui boycottera ? !
La coupe que tous sondent !
Et laminera
La France qui abonde !
Hip hip hip hourra !
Pourvu qu'elle perde réac !
Eliminée là !
Elle prendra une claque !
Et si la coupe au
Qatar ! J'en faisais
Un quatre-quart en haut !
La part du gâteau !
Je partagerai
Avec les grands pauvres !
Riches que je prendrais !
Leur donnant non sobre
La coupe de l'immonde !
Coupe la coupe du monde!
Coupe des coupes en fronde !
Je m'en fous en faconde !
Il faut que change le
Monde en des échanges !
Entre nous si nombreux,
Afin que s'arrange
Ce monde où c'est leurre !
Comme la coupe est plaine !
En remettant à l'heure
Que des choses plus saines !
La vie qui est un sport
En chaque quotidien !
Il faut de l'effort !
Assez manichéen !
Et en un grand lieu !
Si on chambrait le
Sport très odieux !
Sport de chambre ! Y a que...
La coupe de l'immonde !
Coupe la coupe du monde!
Coupe des coupes en fronde !
Je m'en fous en faconde !
Jérôme de Mars
Crise de folie
Voici des petites saynètes de crises de folie qu'à Jérôme Bedrossian avec les différents membres de son entourage et voici leur réactions aux crises de folie de Jérôme :
Voici Catherine Bels Pautrat, la cousine de la mère de Jérôme qui appelle Jérôme Bedrossian sur son mobile après ses dérapages par mail et par sms :
Catherine Bels Pautrat :
- " Bonjour Jérôme, ça va bien ta tête ?
Jérôme Bedrossian :
- Bien Catherine ! Pourquoi me demandes-tu ça ?
Catherine Bels Pautrat :
- Parce-que tu n'arrêtes pas de m'appeler Françoise Hardy, de dire je nique les égoïstes et vive Marine Le Pen, présidente de La France et vivement qu'en France ça pète et vivement qu'il y ait une guerre civile et que tout le monde s'entretue ! T'es complètement cinglé de dire ça, de toute façon, tu n'aimes personne comme tu ne prônes que la haine en France ! Pourquoi deviens-tu si fou en t'en foutant de tout et en étant si grave ?
Jérôme de Mars :
- Et bien c'est simple Catherine, c'est parce-que je n'ai pas de garde-fous comme tout le monde s'en fout de moi que j'en deviens si hardi en t'appelant Françoise Hardy comme ça fait 8 ans que tu ne peux plus me voir en peinture comme je sors trop souvent du cadre, ce qui fait que tu ne peux plus m'encadrer comme tu fais de la peinture, si je prône la haine en France c'est parce-que je taille les haies pour qu'on m'entaille laids hé ! Et si je suis grave, c'est parce-qu'au GEM de Vitry, on grave mes CD sur mes poèmes qu'un adhérent a mis en musique mené tambour battant avec son groupe musical du GEM de Vitry avant que je sois grave DCD ! Et si je prône la haine, c'est aussi parce-que je suis trop faible pour aimer d'après ce que disait Martin Luther King comme j'émets que des mauvaises ondes négatives ! "
Voici maintenant Stéphane Guillaume, un ancien collègue de L'ESAT où Jérôme Bedrossian travaillant avant qui est aussi son ami qui l'appelle après qu'il lui a envoyé par SMS qu'il voulait se flinguer :
Stéphane Guillaume :
- " Bonjour allo, ça va ? As-tu essayé de te suicider ? Pourquoi m'as-tu envoyé par sms que tu voulais te flinguer ?
Jérôme Bedrossian :
- Car c'est pour t'informer que si un jour comme moi, tu veux te flinguer, et bien je peux te dire que si jamais toi et moi, on grille toutes nos cartouches et bien pour se flinguer à coup sûr sans se rater, on aura qu'à se flinguer en se tirant à bout portant car à bout pourtant ! "
Farid Hamza, un ami à Jérôme Bedrossian appelle Jérôme pour lui se proposer de sauter avec lui par la fenêtre :
Farid Hamza :
- " Bonsoir Jérôme, je t'appelle depuis ce matin, tu ne me réponds pas, je m'inquiète pour ta santé, comme toi et moi on est au bout du rouleau, si tu veux, je te propose que toi et moi, on se jette par la fenêtre, qu'en dis-tu ?
Jérôme Bedrossian :
- Et bien mon cher Farid, ta proposition m'en chante ! Si tu veux avant que toi et moi, on se jette par la fenêtre, je préfère d'abord prendre pour argent comptant ce que tu me dis, comme le silence est d'or et la parole est d'argent en jetant d'abord l'argent par les fenêtres mais promis, toi et moi, on se sautera ensemble par la fenêtre ! "
Voici Rafaël Gomez Secher qui appelle son ami Jérôme Bedrossian après que Jérôme lui ai envoyé par mail qu'il voulait se flinguer :
Rafaël Gomez Secher :
- " Bonsoir Jérôme, tu m'inquiètes avec ton mail que tu viens de m'envoyer où tu me parles de suicide, ton état est très alarmant Jérôme, je peux te dire le meilleur moyen de te suicider sans te rater, tu fermes ton verrou, tu jettes ta clé par la fenêtre et tu fais une grève de la faim en te laissant dépérir à petit feu durant un mois, qu'en penses-tu de mon idée Jérôme ?
Jérôme Bedrossian :
- Je trouve ton idée si délicieuse vu tout ce que je déguste depuis que je suis né ! Ca m'intéresse beaucoup ta suggestion ! Vu que je suis renfermé, OTAN jeter la clé de la solution comme la faim justifie les moyens ! "
Voici Walid Bachiri, animateur du GEM de Vitry après qu'un de ses adhérents Jérôme Bedrossian lui a envoyé par mail qu'il voulait se flinguer en avalant sa clé contact avec des cachets :
Walid Bachiri :
- " Bonsoir Jérôme, ça va ? Jérôme après ce que tu m'as envoyé, je vais être obligé de contacter le CMP, tu comprends ?
Jérôme Bedrossian :
- Pas besoin Walid de contacter le CMP de Vitry-sur-Seine, j'ai recraché ma clé contact qui me permettra de contacter le CMP de Vitry-sur-Seine mais sache que ça, je te l'avais caché ! "
Pour terminer, voici quelqu'un parmi l'entourage de Jérôme Bedrossian qui lui fait un appel surprise de l'au-delà avec le mobile de son suicide, cette personne qui l'appelle est son grand-père maternel Francis Demars qui s'est suicidé d'une balle dans la tête le 14 Février 1995 le jour de la Saint-Valentin :
Francis Demars :
- " Bonsoir Jérôme, c'est ton grand-père qui t'appelle de l'au-delà, tu te rappelles de ce que je t'avais dit que j'avais peur pour toi qu'un jour ou l'autre, tu finisses comme moi en enfer en te flinguant, toi qui ne fais que t'en faire dans ta vie enfer avec une santé qui n'est pas en fer, Jérôme, pour que ce soit la fin des haricots mets ton labeur dans les épinards, comme cela, tu seras en fer à repasser à l'acte en te suicidant pour de bon, à faim que ton paradis d'enfer soit de me rejoindre dans l(au-delà de mon nirvana, qu'en penses-tu Jérôme ?
Jérôme Bedrossian :
- Merci cher grand-père, avant de te rejoindre en enfer, laisse-moi écouter une dernière fois Vanessa Paradis pour que je grave DCD d'enfer ! "
Jérôme de Mars
Chantons pour les passants !
Pour faire passer le temps,
Si on insufflait et
Léger un beau printemps
Maintenant en bonté,
En mêlant de beauté
La vie universelle,
Qui ferait rencontrer
Les gens en un pluriel
D'êtres singuliers, à lier
D'amitié très liantes,
Qui unirait soudées
Des personnes fascinantes,
Afin que dans la rue,
Tout le monde se recause
Sans peur de l'inconnu !
Et sans ses ecchymoses,
Chantons pour les passants !
Défilant grand passant,
Où le monde se comprend,
S'entend et se détend !
Pour repasser du temps
Tous ensemble ! Pour parler
Du temps qui reste à liant,
A passer pour aimer
Le temps présent à dire
Aux gens qu'on les aime tant !
Sans médire, sans maudire
En allant de l'avant !
Ne perdons plus de temps
En jours superficiels !
Mais repassons du temps
En retours essentiels !
Croyant aux idéaux !
Car avant, c'était mieux
Sans un gros mot de trop !
Et ainsi faute de mieux !
Chantons pour les passants !
Défilant grand passant,
Où le monde se comprend,
S'entend et se détend !
Avant que la vie cesse !
Voyons-nous aujourd'hui
En liesse, allégresse !
Avant que soit fini
Le jour ensoleillé
Et que retombe la lune,
Et si émerveillés,
On restait dans la lune !
Rêvant d'un monde meilleur,
Regardant le soleil
Radieux enjoliveur,
Inconscient qui réveille
Les gens depuis leur banc,
Et avec des ramages
Sans faire semblant alliant
Démarrages en mariages,
Chantons pour les passants !
Défilant grand passant,
Où le monde se comprend,
S'entend et se détend !
Jérôme de Mars
Marginale
Système D
Original,
Suis aidé
Martingale,
Où il faut
Solidaire,
Naître pas beau
Solitaire !
Etre à deux
Entouré,
C'est être mieux
Qu'isolé,
Esseulé,
Assis seul,
Attristé
Sans son aïeul !
Marginale,
Fée fatale
Et banale,
La Totale !
Le temps passe
Vite évite !
Qu'il trépasse
Dans la fuite !
Ceux qui veules
Naître qu'argent !
Alors qu'ils veulent
N'être qu'argent !
Tuer le
Temps inné !
Tu es le
Trépas né !
Tout ne dure
Qu'un temps soit !
Qu'on endure
Et temps soie !
Marginale,
Fée fatale,
Et banale,
La Totale !
Qu'avant la
Fin des temps,
Et bien là !
Se détend
Un grand monde
Meilleur ! Qui
Prend l'immonde
Indécis !
Et pourquoi
Pas parler
Si ça va !
Discuter
De tout, et
De rien en
Somme ! Qui hait
La vie an !
Marginale,
Fée fatale,
Et banale,
La Totale !
Jérôme de Mars
Casser, concasser, tracasser
Vaisselle cassée, je ris pilé !
Horripilé qu'il y ait des gars !
Bonjour ! Les dégâts égarés
Que mon riz empilé sera
A ranger pour que je sois dans
Mon assiette, à m'en démanger
En ne machant mes mots aidant !
Et dent je ne fais que passer !
Avant de trépasser en sans,
Broyé par le système et D,
Comme je n'ai de mille et décents,
J'attends juste le système aidé !
Que ma vie s'écrit en des vers
Brisés par le temps qui survit !
Aux aléas d'une vie austère !
Et si après souffrir, j'en ris !
Casser, concasser, tracasser,
Trop casser, fracasser, assez
De DC DCD KC !
Que je crève l'abcès ex CD !
Si bien que je dois composer
En un CD ma vie d'album,
Comme je n'avais rien oublié !
Moi qui nais inné post-partum !
Car y a pas photo mes potos !
Ont aussi déchanté leur vie,
Des bobos à l'eldorado !
En démontrant leur beau devis
Que je ris, j'en ris empilé !
A montrer que le bon exemple !
Malgré que mon riz soit pilé,
Broyé par le système exempte
Des choses sûres que je lui reproche !
Comme je n'ai trouvé chaussure à
Mon pied ! Grand effet d'anicroches
En des aléas allez ah !
Jérôme, faut te bouger rangé !
Même que tu sois dérangé par
Les séquelles de ton outrepassé,
Sublime cela et prends ta part !
Casser, concasser, tracasser,
Trop casser, fracasser, assez
De DC DCD KC !
Que je crève l'abcès ex CD !
La vie vaut la peine d'être vécue!
Même qu'à chaque jour suffit sa peine !
Dont ma peine ! Je l'ai point vaincue !
Car je suis absolu open !
En voiture de ma mère OPEN
Corsa qu'elle écorcha souvent !
Dont ma mère n'eut que de la peine !
Jamais dans sa voiture avant !
Que de sa naissance à sa mort,
Fut un incident ou un grand
Accident, vivant ses remords !
Même que maintenant, je suis grand !
De mon enfance tous azimuts
Au tumulte de ma vie adulte,
Hormis qui, qui me persécute !
Dont en ce répercute, j'exulte
Casser, concasser, tracasser
Trop casser, fracasser, assez
De DC DCD KC !
Que je crève l'abcès ex CD !
Jérôme de Mars
Entretien sur ordonnances
Entretien mensuel au CMP de Vitry-sur-Seine entre l'impatient Monsieur Bedrossian et sa psychiatre Madame Teillet :
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? "
Jérôme Bedrossian, impatient du CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Bien Madame Teillet, et vous Madame Teillet ? Comme je vous vois surtout pour l'ordonnance, est-ce-que vous vous en tamponnez de mon état ? "
Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Je vais bien Monsieur Bedrossia, Monsieur Bedrossian, si je m'en tamponnais de votre état ! Vous qui vous vous plaignez d'être toujours maltraité par tout le monde, pensez-vous que je ferai les ordonnances directement par informatique en prenant le temps d'écouter vos doléances, vous qui voulez des condoléances sans fins pour votre défunte mère ? Car si vous saviez, je ne suis pas une psychiatre comme les autres car vous voyez ma haute hiérarchie me demande des entretiens sur ordonnances en m'en tamponnant des problèmes des patients, mais sachez Monsieur Bedrossian que je ne suis pas comme ça, rassurez-vous même si je ne mâche pas mes maux et que je suis cash, je traite bien mes patients, vous avez signé avec moi votre traité de paix après avoir été tant maltraité sans paix à L'ESAT La Fabrique, la preuve que je vous traite bien Monsieur Bedrossian, je ne vous donne pas un gros traitement ! Sachez Monsieur Bedrossian que même si d'après la loi, on me demande de prescrire des entretiens sur ordonnances et bien que moi, je m'affranchis des directives de l'état vu votre état Monsieur Bedrossian, la preuve que je ne respecte pas la loi Monsieur Bedrossian, vous qui avez eu largement votre dose avec toutes les épreuves que vous avez du endurées dans votre vie, ce qui fait qu'avec vous, je ne fais pas des entretiens sur ordonnances en vous faisant juste une petite ordonnances et puis basta rendez-vous au prochain rendez-vous ! "
Jérôme Bedrossian, impatient du CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Madame Teillet, pensez-vous que je sois dangereux pour moi et pour les autres ? "
Madame Teillet, psychiatre du CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Non Monsieur Bedrossian, vous n'êtes pas dangereux pour les autres, vous êtes juste dangereux pour vous-même, la preuve que vous aimeriez avoir un suicide assisté alors que vous n'avez juste qu'un suicide insisté, Monsieur Bedrossian si vous ne voulez pas vous rater, est bien le meilleur moyen de se flinguer à coup sûr quand on a grillé toutes ses cartouches est de se tirer à bout portant car à bout pourtant ! Mais Monsieur Bedrossian, vous n'avez pas besoin de vous suicider, vous êtes plutôt bien portant ! "
Jérôme Bedrossian, impatient du CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Surtout que je n'ai pas grillé toutes mes cartouches comme j'ai encore des cartouches sur mon imprimante pour que la vie me donne pour l'instant bonne impression, j'ai l'impression ! Surtout que si j'étais un con damné, je fumerai mes dernières cartouches de cigarettes pour mourir à petit feu telle la cigarette du dernier condamné qui n'aura fait que bûcher toute sa vie avant de finir sur le bûcher après toutes ces embûches ! Je dis des bêtises car je n'ai pas besoin de faire des bêtises car de toute manière, ça va être bientôt ma fin damnée ! La preuve que je n'ai pas la langue de bois avec vous Madame Teillet, comme je ne fonctionne jamais avec des si pour couper du bois en petites bûches et que je préfère manger des bûches pâtissières au lieu de bûches glacées à Noël, car si je mange des bûches glacées Madame Teillet, vous allez me souhaiter de bonnes fêtes de fin damnée et une bonne année de façon froide surannée alors que je préfère que quand vous êtes chaleureuse avec moi Madame Teillet ! "
Madame Teillet, psychiatre du CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Monsieur Bedrossian, prenez le temps pour vous suicider à petit feu ! Y a pas le feu au lac ! De toute manière avec vous Monsieur Bedrossian, il faut se méfier des faux calmes comme vous car comme on dit il faut se méfier de l'eau qui dort comme vous ! Il ne faut pas se fier eaux apparences déjà que votre vie n'a jamais été un long fleuve tranquille ! Vous êtes un grand nerveux Monsieur Bedrossian ! Monsieur Bedrossian, un conseil à vous donner si vous voulez que les fêtes de fin d'année se passent bien et ne pas que les fêtes de fin damnée se trépassent bien ! Monsieur Bedrossian, sortez de votre bulle en étant pétillant comme le champagne ou le champomy en trinquant au champagne ou au champomy dès minuit à votre santé retrouvée ! Et ne poussez pas le bouchon trop loin ! Maintenant que vous avez quitté L'ESAT La Fabrique après avoir été durant 16 ans et 4 moins coincé dans votre bulle à trinquer de votre santé ! Monsieur Bedrossian comme vous allez très bien, je vais vous prescrire comme ordonnances avant notre prochain rendez-vous, allez de l'avent, ne pensez-plus au passé que ce soit le harcèlement scolaire du collège privé Epin ou le harcèlement professionnel de L'ESAT La Fabrique ! Y a prescription ! La preuve que vous n'êtes plus si maltraité par l'immonde Monsieur Bedrossian ! Allez au prochain rendez-vous ! "
Jérôme Bedrossian, impatient du CMP de Vitry-sur-Seine :
- " Au revoir merci de m'avoir bien étayé Madame Teillet ! "
Jérôme de Mars
Blague :
Quel est le meilleur moyen de se flinguer à coup sûr quand on a grillé toutes ses cartouches ?
- C'est de se tirer à bout portant car à bout pourtant !
Jérôme de Mars
Art gothique, argotique !
Hard roc, je suis si rock !
En parlant le verlan
Que je gueule du art rock !
A tue-tête en vers lents
Que je troque la vie à
Pleines dents, en s'entraidant,
Parlant le chébran pas
A pas branchés aidant
Mon nirvana cent spleen !
Que je veux des chébrans !
Mes états unis green
Card, débranchés faisant
Semblant de parler mal !
Ecoutant en sauvage
Ma musique animale,
Bourrant ma gueule cépages !
Art gothique, argotique !
Cri des mots frénétiques,
Névrotiques, lunatiques
Qui veulent dire chaotiques !
Je sais de quoi je parle !
Moi, le gars trop barré !
Ne rimant en Ray Charles !
Que je suis rembarré
Au style azimuté,
Que mes oreilles sifflent, sniffent
Sens interdit stylé !
Que je kiffe super kiffe !
Kif kif, je suis un rock
De pierre ! Qui jette la pierre
A l'édifice d'un roc !
Et qui rocke, roc de Pierre !
Je parle le langage naze,
Qui gaze que la kaïra !
Saga citée d'un laze !
Racaille qui caillera
Art gothique, argotique !
Cri des mots frénétiques,
Névrotiques, lunatiques
Qui veulent dire chaotiques !
Mes maux qu'on sonne en moi
Que je gueule rébellion !
Dont je dégueule parfois,
Limite insurrection !
Que j'imite perfection
De mon haut perfecto !
L'imite rock connection,
Je suis hard électro !
Que ça ne veut rien dire
Tout ça dès maintenant !
A part me contredire,
Médire mes dires autant !
J'ai le hard à fleur de
Peau ! Que j'ai pas de pot !
Que je déchante entre deux !
En me faisant la peau !
Art gothique, argotique !
Crie des mots frénétiques,
Névrotiques, lunatiques
Qui veulent dire chaotiques !
Jérôme de Mars
Les oiseaux chantent dans les arbres
Dans un concert au zénith
De la providence, il y a
Un maître chanteur qui édite
Piaf, en chantant son aura !
En prenant tous les pigeons
Pour des pigeons-voyageurs !
Qui gravitent en denses chansons,
La danse des corps beaux songeurs
En rejouant à l'épervier,
Pendant que certains moineaux
Chantent alouette démasqués,
Comme les mouettes du dernier mot !
Parlant comme des perroquets,
Mettant la main à la patte
Sur leur perchoir en roquets !
Lorsque les oisillons se flattent,
Les oiseaux chantent dans les arbres,
Des oiseaux restant de marbre !
Si enchantant dans les arbres,
Les oiseaux en restent de marbre !
En laissant en retombées,
Les remords vivants des vers
Qui mangent les morts déplumés,
Oiseaux qui ont des travers
De manger des vers de poèmes
Dans leur nid en un déni !
Qui fait que personne ne s'aime !
Avec un droit à l'oubli
Des oiseaux dans les Iles Canaries,
Qui ne tarissent pas d'éloges
Que revivent les canaris !
Sans qu'aussi ils n'en dérogent
Défaites d'éloges qui poussent hein !
Des poussins vilains petits
Canards, punis dans leur coin !
Lisant leurs canards ! Merci,
Les oiseaux chantent dans les arbres,
Des oiseaux restant de marbre !
Si enchantant dans les arbres,
Les oiseaux en restent de marbre !
En jouant à l'enjeu de l'oie
Qui est la loi du plus fort !
En manque de trop de foie gras !
Avec en des métaphores,
Des oiseaux qui plument par ciel !
Les corbeaux qui portent malheur !
En leur humour noir qui scelle
Et épie solennel, leur
Pie bavarde qui jacasse sec !
En parlant sèchement en
D'implacables en prises de becs,
Bienvenue vers le versant
Déversant sans les consignes
Mésanges en une des vies d'ange !
Qui ne trompe jamais les cygnes !
Car dès qu'ils s'arrangent et changent !
Les oiseaux chantent dans les arbres,
Des oiseaux restant de marbre !
Si enchantant dans les arbres,
Les oiseaux en restent de marbre !
Jérôme de Mars
Alexandre hein, un pour tous, tous Alexandrins !
Mon cher Alexandre, que te dire en douze syllabes ?
Toi qui bois tes vers et tes revers de la vie !
Et toi qui aime bien parler de ta langue à rab
En choses qui revivent ainsi selon tes envies !
Toi qui as beaucoup d'humour malgré les grands drames
De ta vie en mélodrame, mais qui reste très drôle !
En toutes circonstances avec constance qui en slam,
Proclame ton besoin d'affection que tu enrôles
Avec parcimonie ou excès, quand tu en
As assez des camouflets toi à fleur de peau !
Notamment lors de tes derniers tristes nouvel ans,
Sauf quand tu fêtes la fin d'année entre les potos !
Qui t'aident à tenir le coup plus en fin damnée !
Mais en te souhaitant un prompt rétablissement !
On t'attend tous une fois remis d'aplomb ranimé
De ta soif de vivre épicurienne en avant !
Alexandre hein, un pour tous, tous alexandrins !
Alexandre un, un pour tous, tous Alexandre hein !
Alexandrin, hein pour tousse, tous Alexandre un !
Alexandrin, un pour tousse, tous Alex sans drains !
Quand vas-tu quitter cet hôpital qui se fout
De la charité bien désordonnée ? Toi qui
Nais pas fou, mais un joyeux luron sans garde-fous,
Où t'as tant besoin maintenant de jours exquis !
Et acquis à qui à part toi pour en profiter
De ta vie avec plus de lumière et moins d'ombre ?
Tu n'as qu'à savourer un bon Monaco et
Siroter une bonne bière en en buvant un nombre !
Avant dans très longtemps fumer au Nirvana
Ta vie, en en faisant un sacré inventaire !
Toi qui es si hard en écoutant Nirvana
Avec Boris sur Vénus ou moi trop sur Terre,
Alors que je suis de Mars, un type décalé
Ovni artiste qui dans son immense vraie bohème,
Aime bien tant te contaminer olé olé !
Si je suis une crème fouettée, affûtée que sème
Alexandre hein, un pour tous, tous alexandrins !
Alexandre un, un pour tous, tous Alexandre hein !
Alexandrin, hein pour tousse, tous Alexandre un !
Alexandrin, un pour tousse, tous Alex sans drains !
Ainsi mon cher Alexandre, pour que ta vie soit du
Gâteau, si nous, on faisait nos anniversaires
Après toutes tes hospitalisations indues,
Imbues, toi l'innocent et le bouc-émissaire !
Tu as raison de ne pas aller travailler !
Comme ça tu gardes ta santé si fragile, au moins
Pour manger, t'alimenter sans sel sur les plaies !
Tu n'es pas un moins que rien mais un boute en train !
On a hâte de te revoir tous en forme conforme !
Dont le tout forme un comique travaillant aux blagues
Ecrites et dites noires sur blanches, toi parfait aux normes
Alors que moi je te suis hors-normes quand je divague
Dans mon vague à l'âme, alors que ton humour drague
Les couleurs d'envie pour que la pièce ne soit noire !
Toi qui veux sur vivre l'essentiel, comme tu élagues
Une vie abreuvoir de toutes tes cocasses histoires !
Alexandre hein, un pour tous, tous alexandrins !
Alexandre un, un pour tous, tous Alexandre hein !
Alexandrin, hein pour tousse, tous Alexandre un !
Alexandrin, un pour tousse, tous Alex sans drains !
Jérôme de Mars
Hindou ! Un doux ! Hein doux !
Rangé en file Indienne,
Je sors le Geronimo !
Sur place de l'amère Indienne
Qui pousse à cran en échos !
Le cri rebelle révolté !
Allez ah ! Geronimo
En ta force qui survoltée,
Transforme le gros chaos
En un eldorado,
Où s'arrête de pleuvoir !
La pluie comme il fait beau
A présent sans mouroir !
Qui cherche la méridienne
Pour détendre l'atmosphère,
En voulant plus humaine
La vie ! Je décolère !
Hindou, un doux ! Hein doux !
Geronimo file doux !
Refile dans le redoux !
Du ripou au filou !
Fumant le calumet
De la paix, enfumant
Jérôme tel enivré !
Consignant exultant
Le traité de la paix
Qu'il en enfile Indienne !
Avec respect toupet,
Malgré la mère Indienne
Qui me refile Chrétienne
Ma foi d'envie paisible !
Avec pour suite sereine...
De manger comestible
En une vie vraiment Sainte,
En prenant en amplis
De la musique enceinte,
D'où je prendrai le pli !
Hindou, un doux ! Hein doux !
Geronimo file doux !
Refile dans le redoux !
Du ripou au filou !
Car même si d'ici là !
S'ensuit Geronimo !
Je suis Jérôme oh ! La !
Dès qu'a danse allégro
Si je chante Allez ! Gros !
De Jérôme pour sa pomme
A Geronimo
En gros qui somme, assomme !
De mes maux qui résonnent
Envers de la déco !
A mes mots qui raisonnent
A l'envers du dico !
Et si tous, on conciliait
L'amitié et l'amour !
Pour se réconcilier
En vers moi troubadour !
Hindou, un doux ! Hein doux !
Geronimo file doux !
Refile dans le redoux !
Du ripou au filou !
Jérôme de Mars
Faisons de la résistance !
Dépêchés depuis naguère,
Après la tempête, le calme !
Faisons cesser cette grande guerre !
Afin de remettre une palme
En signant un traité de
Paix dans la fraternité !
Car un plus un égale deux !
Tous face à l'adversité !
Démarquons-nous des moutons
De Panurge hein différents !
De ceux qui suivent l'inaction !
Mais soyons sans différends !
Direction l'insurrection !
Marchons Place de La Bastille !
Faisons la révolution !
Qui ordonne fragile, habile !
Faisons de la résistance !
En un tract de résistance !
Et sans guerre, la résistance !
Si on capte la résilience !
En renaissant de nos cendres,
En votant la liberté
Pour ne plus du tout descendre
En rue d'insalubrité,
Qui ne fait que pulluler
Dans la haine trop misérable
Des gueux las pour clairsemer
Une vie qui n'est agréable !
Et si pour qu'il n'y ait plus la guerre !
Si on remettait tout en
Questions en un inventaire !
Qui nous rendrait tous fringants !
En prenant de très grands gants
Elégants, endimanchés !
Demeurant vraiment galants,
Clamant en notre franc-parler !
Faisons de la résistance !
En un tract de résistance !
Et sans guerre, la résistance !
Si on capte la résilience !
En renaissant transcendés
Après toute cette hécatombe,
Pourvu que tous rassemblés,
Il n'y ait plus du tout de tombe !
Car ce qui nous incombe tant !
C'est de nous unir ensemble !
Et nous réunir conciliant !
Afin que tous, on s'assemble !
Car qui se ressemble s'assemble !
Dont le tout complémentaire
Forme l'union, afin que tremble
La guerre dans sa pure colère,
Pour qu'elle en devienne impure,
Pour que s'épure l'armistice
Dans la paix ! Qui inaugure
Tant sous les meilleurs auspices,
Faisons de la résistance !
En un tract de résistance !
Et sans guerre, la résistance !
Si on capte la résilience !
Jérôme de Mars
Pour faire un tabac
Grillant tes cartouches
En bonne impression !
Tu parais si louche !
Surexposition;
Que tu fumes des brunes;
Des blondes que t'infiltres !
Comptant pour des prunes !
Toi qui es sans filtre !
A tant te griller
En tes cigarettes,
Achetées, fumées,
Tu fais tes emplettes !
En faisant la paix,
En enfumée feu !
Quand le calumet
T'apaise un peu mieux !
Pour faire un tabac
Au bureau-tabac,
Si le feu t'abat !
Mangeant des abats,
Or ! Il n'y a pas de
Fumée sans feu ! Qui
Fait feu ! Pas de deux
Sobriquets requis !
T'allumes ton briquet !
Fumant ta gitane !
Dont ton sobriquet
Est de la Havane !
Genre chanson tzigane,
Qui rallume ta pipe !
Dont en mélomane,
Tu tracasses ta pipe !
Comme tu casses ta pipe !
En jouant aux échecs,
Des dés que tu pipes
En faisant un check !
Pour faire un tabac
Au bureau-tabac,
Si le feu t'abat !
Mangeant des abats,
Si tu casses ta pipe !
En lisant Maigret
De canards qui pipent
Tes dés de Dédé,
Qui voulaient t'aider,
Si en joint rejoint !
Tu fumes volupté
Tout le mois de Juin !
Faisant un succès
Au lieu d'un échec,
Où sans graves excès,
Tu feras un check !
Grâce aux antisèches,
Dont tu revendras
La mèche tant revêche !
Guitare sèche qui ira
Pour faire un tabac
Au bureau-tabac,
Si le feu t'abat !
Mangeant des abats.
Jérôme de Mars
Passe ton Bach d'abord !
Almanach programme
La musique classique !
En montant les gammes,
Ambiance pacifique !
Si tu chopes un tube
A Chopin; sa vie
Avant qu'il titube !
Buvant l'eau de vie
S'il dit flûte et flûte !
En trouvant tes vers
Première vue de flûte !
A l'envers en vers !
Qui résume Schubert,
En prenant une cuite
Des Beaux-Arts en vers,
Jouant de sa truite !
Passe ton Bach d'abord !
Le bac prime à bord !
Dérivant de bord
Mozart au rebord !
Avec pour vers dits !
De très grands frissons,
Vers de Vivaldi !
Jusqu'aux quatre saisons,
En cherchant les vers
De tes belles lunettes !
Première vue revers !
Ta jolie bluette
Qui vend au luthier
Tous tes instruments !
Raccordant rentier
Tes morceaux avant !
Et si symphonique,
Tu jouais ton la !
Art philanthropique !
Jouant de ta joie !
Passe ton Bach d'abord !
Le bac prime à bord !
Dérivant de bord
Mozart au rebord !
Comme si Beethoven
Enjoué, jouait l'an 2000
Moderne en ses veines,
En plein dans le mille !
Si ta musique ! C'est
Du vent que tu vends
Et revends essai !
Que soit comme à vent !
Ta musique antique !
Avec des bons airs
Pas tes tics, éthiques !
Qui soufflent pulmonaires
Les choses agréables
De ta vie prospère !
Qui en fin affable
Rejouent populaire,
Passe ton Bach d'abord !
Le bac prime à bord !
Dérivant de bord
Mozart au rebord !
Jérôme de Mars
Si on se baladait en chanson !
Nulle part ailleurs ! Si on rêvait d'un
Monde meilleur, se promenant joyeux
Dès l'or d'un fabuleux tous pour un !
Qui donnerait pour refrain heureux,
La fête des gens bronzés au soleil !
En y fredonnant des mélodies
En une dense complainte de ritournelles,
Qui jouerait dans une musique fleurie
Que les saisons sont belles en marchant !
Dans une ballade qui clame en un slam !
Que la vie est une bohème ! Allant
De ce qui trame sur le macadam !
Des si le ciel lui faisait la cour !
En jouant la fanfare près du mistral
A Marseille en série à contre-jour !
Serait plus belle la vie tant joviale !
Si on se baladait en chanson !
Qui ballade trop vite à chaque saison !
Qui chanterait la belle oraison
Pour que tout se fasse à l'horizon !
Et si tout le monde clamait l'amour !
Chantant en un concert de louanges
Que la vie demeure un troubadour !
Afin de vivre au pays des anges
Qui sifflerait la récréation !
Après tous ces moments très pénibles,
Une fois achevée l'insurrection
Pour revivre en des jours plus paisibles,
En flânant près du lac des canards
En toute quiétude qui élude futile,
Le journal qui amende le canard
Vexé qui lu, non-lu n'est utile !
Pour voir que la vie vaut la peine d'être
Vécue ! Malgré les joies et les peines
Qui font que tous semblent vraiment paraître
Dans la haine qui déchante en rengaine !
Si on se baladait en chanson !
Qui ballade trop vite à chaque saison !
Qui chanterait la belle oraison
Pour que tout se fasse à l'horizon !
Dans la paix et la fraternité
En une étreinte qui rallume la vie,
En perdurant dans la volupté !
Qui réconcilie les gens ravis
Et heureux d'arpenter la colline
Des pas sages radieux et sans-soucis !
Afin que la ballade se termine
Par de la poésie qui unit
En symbiose le ciel et le soleil,
Enchantant ce bel eldorado !
Qui rend ce nirvana de plus bel !
Comme endroit épique qui tourne le dos
A cette époque pleine d'indifférence !
Pourvu que tout le monde prenne la fuite !
Et que soit mise en place la naissance
D'une belle époque, enchantant en hits !
Si on se baladait en chanson !
Qui ballade trop vite à chaque saison !
Qui chanterait la belle oraison
Pour que tout se fasse à l'horizon !
Jérôme de Mars
Si on s'en balançait !
Si près d'une balançoire
En s'envoyant en l'air !
Il y a en exutoire,
Des sensations éclairs
Qui font que la vie va
Un petit coup en haut !
Et un grand coup en bas !
Quel serait le bon mot
A trouver si léger ?
Pour qu'il n'y ait de fardeau
Du poids si enrobé !
En un genre maigre lot !
En prenant du recul
Pour en faim redire mince !
Plus rien ne se bouscule,
Quoique la vie en pince !
Si on s'en balançait !
De tout pour s'élancer
Et si on se lançait !
Pour contrebalancer
La vie qui nous pèse tant !
A balancer en gros
Obèse, à quel moment
La vie est un cadeau ?
Non pas empoisonné,
Mais doux en du redoux
En des moments enjoués !
Avec aucun relou
En un grand loup pour l'homme !
Qui loue et alloue en gros,
Le trop gros poids en somme
Qui kiffait mes grelots !
Tirant à l'œil l'alarme !
En mangeant trop à l'œil
De tout ce vaste vacarme !
Et de ce tape-à-l'œil,
Si on s'en balançait !
De tout pour s'élancer
Et si on se lançait !
Pour contrebalancer
Les vraies fausses vérités
De la vie si balourde !
Qu'elle naît sévérités
Entre joies et peines trop lourdes !
Et comment ériger
Un lâcher-prise sur prises,
Parsemé édifié
En effet de reprises !
Et quel est le secret
Pour prendre à la légère
Tout de façon avisée ?
Prenant des courants d'air
Pour s'aérer la tête
Lors des baisses de régime
Pour sauver toute sa tête !
Et sans poids qui décime !
Si on s'en balançait !
De tout pour s'élancer
Et si on se lançait !
Pour contrebalancer.
Jérôme de Mars
L'affable cigale et la fable fourmi
Comme un poète maudit qui fourmille d'idées
A ses dépens sans regarder à la dépense,
Voici l'affable cigale et la fable fourmi qui sans
Réserve, voit l'affable cigale dépenser sans
Compter, en sortant de sa réserve à ses dépens !
Pendant que la fable fourmi fourmille d'idées !
Pour se constituer des réserves avec réserve,
Pourvu qu'untel en ayant de la réserve !
Réserve à la fable fourmi économe,
Toute sa considération sans en faire
L'économie, de toute manière il n'y a
Point besoin comme la fable fourmi
Est si réservée et si économe qu'elle dépense
En comptant l'histoire des bourses de la vie
De l'affable cigale qui frugale et dépensière,
Dépense sans compter et qui préfère la vie
A la bourse, en contant qu'elle ne débourse rien
L'affable cigale, dont elle apprend à ses
Dépens, comme toute histoire a une morale !
Dont la morale de l'histoire est que personne
Ne vit d'amour et d'eau fraîche, à part Jean
De La Fontaine, dont la fontaine jaillit
Et coule en remontant à la source,
A partir de laquelle même si l'affable
Cigale n'est économe à ses dépens !
Et fort heureusement que la fable fourmi
Fourmille d'idées en ayant des ressources,
En puisant dans ses propres ressources,
Et en s'épuisant dans ses uniques ressources,
Et si le comble de l'histoire, la fable fourmi
Pouvait chercher et dénicher des ressources
A l'affable cigale qui en n'ayant des ressources,
Clamerait que l'argent est le nerf de la guerre !
En ayant qu'une parole d'argent comptant !
Qui tiendrait juste paroles d'argent content
Comme le temps, c'est de l'argent !
A mettre à son crédit au discrédit de l'affable
Cigale, mais elle, l'affable cigale
S'en fout de l'argent ! Elle préfère en profiter
Au présent, quitte à être à découvert aux dépens
Des mots couverts innés avec une cuillère
En argent que fourmille la fable fourmi,
Car s'il y a bien une chose,
Qu'a bien compris en paroles d'argent contant
L'affable cigale, racontant que même
Qu'untel a de l'argent, personne naît
Point éternel dans la vie et l'argent ne rend
Quiconque immortel ! Et l'argent,
Personne ne l'emporte
Outre-tombe ! Et si pour réconcilier
L'affable cigale et la fable fourmi,
Tout le monde trouvait juste comme compromis
Qui ne fourmillent à quelconques dépens
D'aucuns, avec pour seul leitmotiv :
" Il faut dépenser sans conter
En en faisant l'économie ! "
Voilà le mais sage de l'affable cigale
Et le mets sage de la fable fourmi !
Jérôme de Mars
Heure dix vers !
Midi plus 1 !
Jamais 2
Sans 3 !
Pliés en 4 !
Reçus 5 sûr 5 !
En étant à 6
Sur 7 chaise
Dans le grand 8 !
Quoi de 9 à 10 de chute ?
En lisant 11 Mondial ! Minuit moins 5 ! Heure dix vers !
Jérôme de Mars
Cool Basile !
A la cool !
D'ici là
Si tu coules !
Ecoute-la !
S'il te plaît
Cette chanson !
Elle parle et
D'émotions !
Quand le jazz,
Il fait tant
Jazzer las !
Si plaisant
Ton super
Teppaz très
Plein d'ex paires,
Qui chantaient
Cool Basile !
Ecoute Basie !
Count Basie !
Pour la vie !
Gentleman
Si parfait
Mélomane,
Qui avait
La nuit, sa
Musique pour
Luit oh ! Là !
Dans l'amour
Que tu luis
Ta grande voix !
Que d'un oui,
Tu y croîs
A chaque nuit !
Toi clubber
Qui inouï,
Dit master
Cool Basile !
Ecoute Basie !
Count Basie !
Pour la vie !
Qui effet
Tout le temps !
Et jazzer
Nonobstant !
Tu nais Luit
Ame strong ! Quand
T'en déduis
Et pourtant !
Je reluis
Comme âme strong !
A chaque nuit,
Je diphtongue !
Que j'envie
Ce grand pro,
Que j'en vis
Master pro,
Cool Basile !
Ecoute Basie !
Count Basie !
Pour la vie !
Jérôme de Mars
Des bas laids
Il y avait
Dans la vie !
Des olé
Qui défient
Une oh ! Là !
Vache sacrée !
Oh ! Elle a !
L'enragée
Ah ! Cinquante
Déballées !
Rugissantes
Du balai !
Oh olé !
Qui en nage,
Oh ! elle est !
Dont surnage !
Des bas laids,
Du ballet
Déballé !
Du balai !
Elle enrage
Et s'en bat
De son âge !
Où le bât
Blesse débat !
Avec des hauts !
Et des bas !
Qui disent oh !
Elle a des
Eaux, des bas
Des O, dès
Mises en bas !
Oh ! La vache !
Elle olé !
Est si vache !
Qu'elle au lait !
Des bas laids,
Du ballet
Déballé !
Du balai !
Elle oh ! Là !
En vaches maigres !
Oh ! Elle l'a !
Son vinaigre !
Qui est laid !
Eu buvant
Son o lait !
Qu'elle en vend
Du grand lait !
O ! La vache !
Oh ! Il est !
Assez vache !
Et olé !
Qu'il en lâche !
Tout son lait !
Oh ! La vache !
Des bas laids,
Du ballet
Déballé !
Du balai !
Jérôme de Mars
En écrivant l'automne !
En repiquant un somme
Et vidant mon stylo,
J'use ma plume lourde en somme !
Dévidant mes bobos,
Où je ramasse ma feuille
Morte, tapie sur le sol
Ampli en de mille feuilles
Adorées mi fa sol !
Où je demeure un homme
Libre, quitte à faire pleurer
Les sols en mon bonhomme
De chemin écorché,
Et si pour remédier
A cela mélomane,
J'écoutais la forêt !
Quand l'appel émane
En écrivant l'automne !
Que j'écris monotone
Des gros mots qui raisonnent !
Trouvant ma voix aphone
Qui fait des échos en
Echos, écoutant mes
Oreilles qui répondent tant
Si mûrs en franc-parler !
Que j'en écris la vie !
La parfumant au teint !
Pour respirer ainsi
L'air bon Samaritain !
Qui chante en un refrain
Des mots si monocordes,
Où il faut de l'entrain !
Afin que tout s'accorde !
Malgré que la saison
Monotone de l'automne,
Parle tant de l'oraison
Des jour diurnes qui claironnent
En écrivant l'automne !
Que j'écris monotone
Des gros mots qui raisonnent !
Trouvant ma voix aphone
Dont l'automne me donne le
Blues, effet nuit sur place !
A la place du jour feu
Ma façade en prêt face !
Où je joue un grand rôle !
Qui est manichéen
En souffrances de ma geôle
Qui n'est pas mannequin !
Et si pour avoir l'air
Malin, j'appelais en
Ritournelle solidaire
Du beau monde en vers lents !
Qui viendrait au complet !
Chantonner cet automne
En un medley mêlé,
Monotone qui résonne
En écrivant l'automne !
Que j'écris monotone
Des gros mots qui raisonnent !
Trouvant ma voix aphone.
Jérôme de Mars
Tourne aux vers !
C'est un poète de la fatalité
Qui s'écrie sans regrets,
Dont à partir d'un turn-over,
Tourne aux vers !
En pensant à sa mère
Ovaires over !
Qu'il détourne aux vers
De sa mère !
Elle, qui naît que poussière
Au cimetière de sa vie passagère
Sur Terre,
Qu'il contourne aux revers
De sa vie sur Terre incendiaire !
Et si sa vie était éphémère
A ce poète sans scrupules !
Qui une foi que sa vie sera en bascule
Funambule le jour de sa mort
En conciliabule !
Fera aux prémices de ses remords
En préambule,
Quelque chose qui déambule
Vers sa poésie désabusée au crépuscule
De ce troubadour qui fort revers,
Tourne, détourne, contourne
Et retourne sans ristourne
Aux vers ovaires !
En pansant à sa mère
Définitivement sous l'éther.
Jérôme de Mars
Partir et terminer en bonté
Grain de bonté,
J'ai un grain de beauté
En mon grain de folie !
Qui me lie pour la vie !
Pour partir en bonté
Avec beauté
Dans cette vie de vanités,
De solennité et d'insalubrités
Avec aussi de mondanités !
Mais ce n'est point la vérité
Et la réalité du secret
Du bonheur !
Même en y semant des fleurs
Dans l'art de la beauté,
Pour continuer en bonté
A y mettre un peu de légèreté !
Pour le meilleur
Dans la vie pour y faire germer
Des paysages songeurs,
Qui font admirer
Et contempler
La beauté de la vie
Et la bonté du paradis
Au quotidien !
Pas toujours enclin
A faire aimer
Les gens,
Et à se faire aimer
Entre les passants
Dans la rue
En route vers l'inconnu
Et si de temps en temps !
Pour presque terminer en bonté,
Les jours de la vie avant de basculer,
Pouvaient fricoter
Dans la beauté et la fatalité,
Afin que tous boivent ensemble un café
Où pour tous, ce serait
Leur tasse de thé !
Afin d'y siroter
Dans un Havre de paix
Leur marc de café,
Pour humer en odeur de Sainteté !
La vie avant d'aller vers l'éternité
Aux cieux
Pieux des aïeux,
Et si faute de mieux !
Tout le monde était pour une foi !
Fameux et fabuleux !
Si possible plus rabat-joie !
Dans un monde en soie
A fortiori de joie !
Où pour mourir avec beauté,
Si tout le monde en profitait
De la vie avec saga cité
Et témérité,
Pour terminer en toute bonté.
Jérôme de Mars
La fête des remords tous sains !
Défaites du 1er Novembre !
Que je n'en tremble
De mes membres,
Comme je m'en fous de tout cet ensemble
Mal sain !
Comme ce jour pour moi,
Il était une foi
La fête des remords tous sains !
Où je ne sais plus à quel sain
Me vouer
Et me dévouer !
Où je suis un mort-vivant crevant
A petit feu, bourré en mes remords-vivants !
Souhaitant la fin du monde
Avec la faim de l'immonde,
Où la fête des morts,
Naît pour moi, source de remords,
Où je n'en démords !
Car je mords
Si méchant !
En me demandant si je suis tout sain !
Ou Toussaint !
C'est la fête des remords tous sains !
Moi qui suis mort de l'intérieur malsain,
Car je suis à la fois un mort-vivant !
Ravivant mon âme en mes remords vivants !
Voulant et désirant maintenant
La faim des temps
Défunts, car le bonheur est dès feint !
Et depuis jadis et belle lurette !
Y a-t-il de quelconques amourettes
Sur cette planète Terre austère
Et délétère en ce monde sanguinaire
Et patibulaire ?
En résumé, je m'en fous de la fête des morts
Soi-disant vivants,
Revivant le temps d'un jour en faisant semblant
Et rassemblant soi-disant
Tout le monde, si bien que sans faux-semblants,
Je croîs que ce n'est plus aussi liant
Et alliant qu'avant, comme un aimant ne conciliant
Et ne réconciliant tous ces pseudos gens,
Eux qui si distants,
Ne pensent qu'à l'argent !
Comme le temps, c'est de l'argent !
En paroles d'argent contant
Pour se distraire de leurs tourments,
Et c'est pour ça !
Qu'il était plus qu'une fois !
Tout le monde sans foi !
De la défaite des morts Toussaint !
A la fête des remords tous sains !
Jérôme de Mars
L'instrument qu'on accorde
Musiques de partition,
Et si même monocordes
Dans la répartition
Sur place de la concorde,
Il y avait la musique
Avec aucune discorde,
Qui chante en rhétorique,
Celui qui tient la corde !
Ou celle qui pleut des cordes !
Avec un luthier qui
En encorde en dix cordes !
Enjeu du qui est qui ?
En une déperdition,
Sans un malentendu
En une belle audition,
Car et bien entendu !
L'instrument qu'on accorde
Est le violon à cordes,
Le violoncelle raccorde,
Ou la guitare qu'on corde
En une des perditions,
Qui jouera le concert
Tôt en une édition
Lors d'un bal populaire,
Tirant trop sur la corde
Harmonique du tempo !
Faisant craquer la corde
En rejouant si synchros,
De la grande contrebasse,
Rythmant la voix d'éclat
En faisant des messes basses,
En portant toute leur croix !
Aux artistes barytons,
Mezzo-Sopranos si
Ténors, montant le ton
Fonctionnant indécis,
L'instrument qu'on accorde
Est le violon à cordes,
Le violoncelle raccorde,
Ou la guitare qu'on corde
Pourvu que tout concorde !
En symbiose si synchrone !
Enjouée d'une immense horde,
Qui ayant des atomes
Crochus, jouant si fair-play
Leur répertoire standard,
Accords d'affinités !
Raccords de la fanfare !
Où tous jouent pour le fun !
Trouvant ou pas leurs voix
Au microphone aphone,
En criant de leurs pas,
Pourvu que tous s'entendent
Dans ce si beau big band !
Pour que tous se détendent
En enchantant en bande !
L'instrument qu'on accorde
Est le violon à cordes,
Le violoncelle raccorde,
Ou la guitare qu'on corde.
Jérôme de Mars
Déroutant en voiture !
Si j'avais les moyens, j'utiliserai comme moyen de locomotion ! Un véhicule figurez-vous ! Dans lequel je véhiculerai déroutant en voiture ! Plus moyen de me faire du sang d'encre en libre-circulation du sans, même si je subissais une panne d'encens déroutant en voiture ! Où tout le monde me ferait du non-stop en me klaxonnant stop ! Car si j'utilisais un car à vannes dans ma caravane, déroutant en voiture ! Je m'abonnerai en chaîne à chaque péage sur l'autoroute de la déroute, où j'avancerai O pignon je me rue, droit devant ! Même si parfois, je regarde encore dans le rétro, en prenant du recul pour aller de l'avant, en enclenchant la marche à vent avec mon freint demain, même si je ronge mon frein déroutant en voiture ! En faisant des fausses routes et en faisant fausse route, en étant à côté de la plaque d'immatriculation qui par chocs, est déroutant en voiture ! Où j'ai une vie d'ange à travers ce périple, en faisant le détour du monde en roue libre ! Car même si je suis la cinquième roue du cabosse, je ne suis plus forcément la roue de secours, en n'ayant du pot d'échappement pour m'échapper des voitures qui poussent le bouchon trop loin déroutant en voiture ! Et tout en demeurant la pièce rapportée locomotive, je suis l'élément moteur surtout quand à vent, j'allais en voiture avant au charbon, car figurez-vous mine de rien ! J'entonne déroutant en voiture ! Sans frein, enfreint et en frein, le refrain de ma vie, où il faut toujours avancer et accélérer pour occulter et oublier le passé, si bien que grâce à la boîte de vitesses, la boîte de Pandore me tape du pied en me disant, roule plus vite pour que ça déroule à plein gaz ! Sans panne d'encens mais avec une panne des cens déroutant en voiture ! Afin que je poursuive ma route en déroute, en prenant ma vitesse de croisière à voile et à vapeur ! Tout en prenant de la distance lors de ce périple en ce voyage, destination en quête de sens de ma vie, car même si je suis handicapé, je reste en station debout ! Si déroutant en voiture sans arrêt !
Jérôme de Mars
Ca tire à outrance !
Brèves :
1) Depuis qu'à Charlie Hebdo Georges Wolinski et Cabu sont morts ! Ils sont leur propre caricature qu'il n'y a plus besoin de leur faire un dessein !
2) La France est tellement fracturée que le gouvernement a du mal à recruter des médecins et des infirmières pour soigner les bobos des Français !
3) La France est si fissurée qu'on a besoin de bouche-trous pour remplacer tous les Français tant égoïstes !
4) Si Macron veut qu'en France les gens travaillent et qu'il y ait moins de chômeurs ! Il n'a qu'à leur filer le mode d'emploi !
5) Si Macron hébergeait tous les sans-papiers dans chaque église de France ! Tous les Français en déduiraient qu'enfin pour une foi, tous les Français et les étrangers seraient tous logés à la même enseigne de l'autel !
6) Macron fait une politique très mal à droite !
7) Avec l'arrêt en série de Plus Belle La Vie ! Plus belle sera tellement la vie qu'il y aura désormais un si grand soleil !
8) Ca y est ! Macron me semble-t-il a définitivement trouvé la solution pour éradiquer le chômage ! Il distribue en faim en prime de partage de la valeur travail une prime d'activité comme mode d'emploi aux futurs anciens chômeurs !
9) Avec la suppression de L'APL Accession pour les personnes handicapées désirant acheter à crédit leur logement ! Tout cela est à coût sûr à mettre au discrédit du gouvernement qui obligera les personnes handicapées à rester à l'allocation ( La location ) !
10) En France, Les Français sont si secs entre eux que tout cela est à mettre au compte de la sécheresse de cet été !
11) Le climat social en France est si électrique que ça pompe toute leur énergie aux Français !
12) Ca y est ! Le gouvernement de Macron sort la lanterne rouge pour inciter Les Français à retourner à l'époque de la bougie au Moyen Age que les Français en déduisent que c'est le gouvernement qui tiendra la chandelle comme l'enjeu en vaudra si largement la chandelle !
13) Si en 2027, Marine Le Pen est élue Présidente de la République, ce sera grâce au rassemblement national de tous Les Français qui feront l'affront national aux égoïstes !
14) La preuve ! Que même que La France soit passée du Moyen-Age de la politique à la Renaissance de l'apolitique au centre de la République en Démarche, cela ne règle malheureusement en rien le problème vu que plus personne ne marche dans le même sens et que plus rien ne marche bien ! Comme tout le monde marche à côté de ses pompes, étant donné qu'il manque des assistantes sociales pour aider les gens dans leurs démarches !
15) Et pour terminer en bonté, Ne dites plus chacun pour soi et Dieu pour tous ! Mais hein pousse-toi ! Et tous plus rien !
Jérôme de Mars
Fête une biguine !
Amours dansés,
Tes pas ravivent
Contre dansés,
Tes joies furtives
Qui passent le temps !
Que dure la fête,
En écumant
Tes bleus défaites
Collées-serrées,
En fricotant
En tes baisers
Virevoltant,
Qui signifient
T'es enivrée
De nostalgie !
Si tu chantais !
Fête une biguine !
D'adrénaline
Sans une routine
En ta racine
Qui te trémousse,
Te dandinant
En ta frimousse,
Te pavanant
En il sucré
Ton mojito,
Vahiné olé
De sirocco,
Levant ta foi,
Te déferlant
Ile est une fois
Ton engouement !
Si hilarant
Et déluré !
Que t'es marrant !
A entonner
Fête une biguine
D'adrénaline !
Sans une routine
En ta racine
De Martinique,
En en faisant
De la musique
Et enchantant
La Guadeloupe
Son île voisine,
Que tu en loupes
Ton roc voisine !
Que tu finis
Ton verre entre deux
De Martini,
Comme si nous deux,
On condensait
Si essentiel !
Et fredonnait
En un par ciel,
Fête une biguine !
D'adrénaline
Sans une routine
En ta racine.
Jérôme de Mars
A vie de tempête !
De mes remords à mes regrets,
Ainsi ma vie est si décompensée !
Qu'elle naît que l'ouragan
Du désespoir qui fait tout ce boucan !
En à vie de tempête !
Intempérée qui m'hébète
La tête dans le brouillard !
Que de mes idéaux, je m'en égare !
Que j'en use d'artifices
Dans ma vie, où s'écroule tout mon édifice !
Qui fait office de charpente,
Où le tumulte en mes nuits me tente
En à vie de tempête !
Où ma vie se calque en l'ouragan
Du désespoir, où je m'en lave les mains
De tout ! Pour finir en poussière demain,
Comme dans ma vie, tout fout le camp !
En une mini tornade et typhon
Au sillon de mon tourbillon,
Qui me rend parano et mégalo !
Dans la vie en un porte-à-faux,
Où je survis plus que je ne vis !
Qu'à petit feu, je dépéris
La tête dans le brouillard et le potage !
A m'en retirer mon enfance est partage !
Où ma genèse ne fut qu'un naufrage
Sous un semblant de marivaudage
En à vie de tempête !
Comme dans la vie, tout m'embête !
Et m'hébète
La tête dans le brouillard et le coltard !
Que ma vie est si condensée en un sacré bazar
Bric à brac !
A tel point que je craque !
Si bien que tout le monde m'oublie !
Que ma vie en devient un tsunami !
En à vie de tempête !
Je ne suis pas net sur Internet !
En ayant diverses facettes
Avec pour séquelles, des fossettes
En mon visage marqué par les accidents de la vie,
Que j'en suis lésé d'ennui à me tracasser non merci !
Je ne suis plus dans le coup ! quitte à subir défaites
Sans filet let
Plusieurs à vies de si grande tempête !
Jérôme de Mars
A des couverts !
A découvert, je suis à couteaux tirés avec tout le monde ! Que je suis sous couverts d'anonymat à des couverts, en restant dans la fourchette ! Et prix que je suis épris en n'y allant pas par le dos de la cuillère ! Que ce que j'écris, c'est de la soupe ! Si bien que je suis dans le potage, comme un cheveu sur la soupe ! Qui louche avec ma louche si louche qui a découvert, a des couverts ! Avec comme seconds couteaux, une cuillère à café ! En y allant par le dos de la cuillère à soupe ! Qui a découvert, a des couverts recouverts !
Jérôme de Mars
Je ne perds pas le Nord !
Mine de rien !
Plein d'entrain,
En allant au charbon,
En train de mon wagon
Sans que je n'en démords !
Je ne perds pas le Nord !
En allant dans la vie
Du côté des ch'timis,
Avec pour repères
Le sanctuaire de ma mère,
Où aux abords !
Je revire de bord !
Que j'en taille des costards
Sans raconter de bobards
Avec en coup de crayon,
Mes ondes en vibrations !
Où loin du Sud,
Je ne suis ni prude ni rude !
Et sans que je n'en démords !
Je ne perds pas le Nord !
A part perdre la boussole
De ma vie où y a un bémol !
Dont j'écris cette poésie
A l'effigie de la nostalgie
Des gens du Nord !
Dont eux, ils ont mille ors
Avec le cœur en or,
Pas comme le Paris Mi lord !
Or pour rester boute-en-train,
Je suis en un Bon Samaritain !
Celui sur qui on peut compter
Sans calculs escomptés !
Et si pour ne pas me perdre à leste,
Je n'allais de l'Est au phare Ouest,
Car sans que je n'en démords,
Je ne perdrais Haut ! Jamais le Nord !
Jérôme de Mars
Je troque la vie à pleines dents !
Croque-monsieur,
Je suis un monsieur !
Croque-madame,
Je marche sur des œufs
De macadam !
Qui font que depuis peu,
Je troque la vie à pleines dents !
Pour manger en chair d'aidant
La vie !
Où dès la nuit !
Je ne croque la vie à pleines dents !
Que ma vie devient en cher, enchères !
Une mise en bouchée sûre en chair !
De buffet bouffée bouffée !
Vu tout ce que j'ai dégusté en mes dents
D'aidants !
A en bouffer tout mon buffet !
Ce qui fait que je troque la vie à pleines dents !
Entre montagnes Russes
Et roulette Russe !
Du fait que ma vie devient une surenchère !
Où je n'en ai que faire
De toute l'inhumanité de cette société !
Dans sa pire férocité en vanité !
Ce qui fait que je ne croque la vie à pleins dents !
Quitte à m'en démanger le gosier !
A en bouffer et déguster toute ma satiété !
Quitte à marcher et à remarcher sur des œufs
Deux par deux !
Pourvu que dépourvu ! Je ne croque la vie à pleines dents !
En chair !
Mais pourvu pourvu qu'en surenchère !
Avec du mordant ! Mordant m'aidant mes dents !
Je troque jusqu'à la fin des temps la vie à pleines dents !
Jérôme de Mars
Et revanne !
Voici une saynète sur la famille Bedrossian où Jérôme Bedrossian appelle chaque personne de la famille à tour de rôle :
Jérôme Bedrossian appelle sa famille à tour de rôle pour parler du génocide Arménien :
Jérôme Bedrossian appelle son père Michel Bedrossian :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour papa, ça gaze ? "
Michel Bedrossian :
- " Pourquoi tu me demandes ça ? Tu me provoques, surtout que ce matin, tu m'as envoyé ta blague qu'est-ce-que ça a fait si je chambre à nouveau la capitale de L'Arménie pour que L'Azerbaïdjan gaze davantage L'Arménie ? Avec pour réponse à ta blague, ça fait et revanne sur Erevan ! Que c'est drôle ta blague de Carambar ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Papa, je t'ai envoyé cette blague comme je suis un casse-bonbon qui chambre l'air de rien avec ses petits vélos dans la tête, papa, je vais te laisser, je vais appeler ma cousine Sabrina, à plus papa ! "
Jérôme Bedrossian appelle sa cousine Sabrina Fornezzi :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Sabrina, ça va ? As-tu reçu ma blague de ce latin ? "
Sabrina Fornezzi :
- " Tu devrais que ça gaze car ta blague m'a amusé que je l'ai trouvé très Caucase toi qui fais une montagne Caucase de tout où t'as besoin de montrer qui est le Boss Fort après qu'on t'ait tant dominé dans le passé ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Merci Sabrina, au moins toi, tu es l'un des rares de la famille Bedrossian à ne pas m'avoir jamais pris pour une tête de Turc ! Il faut que je te laisse, je dois appeler ma tante Marie, à plus Sabrina ! "
Jérôme Bedrossian appelle sa tante Marie Cavanna :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Marie, comment vas-tu ? "
Marie Cavanna :
- " Jérôme, ça fait longtemps que tu m'avais pas appelé, j'ai reçu ta blague, je l'ai trouvé très lugubre, tu fais une caricature de nous que tu es devenu ta propre caricature Jérôme ! "
Jérôme Bedrossian :
- " C'est tout à fait normal Marie, car comme tu portes le nom de famille homonyme de François Cavanna et que ton oncle par alliance s'appelait François Cavanna, je t'ai envoyé cette blague pour en faire tout un dessin surtout que la famille Bedrossian aime tellement Charles Aznavour chaque semaine que je suis devenu ma propre caricature à Charlie Hebdo ! Je dois te laisser Marie, je vais appeler mon oncle Georges que j'appelle Michel Sardou, à plus Marie ! "
Jérôme Bedrossian appelle son oncle Georges Bedrossian :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Georges, comment vas-tu ? Quoi de neuf ? "
Georges Bedrossian :
- " A cause de ma blague, ça ne gaze pas comme cela L'Azerbaïdjan ne gazera pas L'Arménie ? En fait pourquoi m'appelles-tu sans arrêt Michel Sardou par sms ? "
Jérôme Bedrossian :
- " Parce-que tu es né la même année que Michel Sardou et aussi parce-que tu es aussi assez réac avec des idées politiques très adroites car c'est bien connu que la famille Bedrossian n'aime pas la gauche caviar ! Je dois te laisser, je vais appeler mon cousin Sébastien ! A plus Georges ! "
Jérôme Bedrossian appelle son cousin Sébastien Bedrossian :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Sébastien, ça gaze ? "
Sébastien Bedrossian :
- " Bonjour mon Jéjé ! Si tu savais dans ma vie, ça gaze comme Le Perrier comme tout tombe à l'eau dans ma vie ! Que ma vie est en chantier et que c'est pour ça que j'ai monté mon entreprise Alryus, société spécialisée dans l'aménagement de bureaux en décoration d'intérieure ! "
Jérôme Bedrossian :
- " Courage Sébastien ! J'espère que ton fonds de commerce sera de trouver enfin comme ton père chaussure définitive à ton pied ! Je dois te laisser Sébastien ! Je dois appeler Dominique Pruvot ! A plus Sébastien ! "
Jérôme Bedrossian appelle sa cousine Dominique Pruvot :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Dominique, comment vas-tu ? Qu'est-ce-que tu me racontes de beau ? "
Dominique Pruvot :
- " Bien Jérôme ! Je voulais te dire que comme Alain est maintenant à la retraite que dorénavant lui et moi, on peut profiter de la vie en prenant tout notre temps ! Et toi Jérôme, ça va ? "
Jérôme Bedrossian :
- " Ca va très bien ! Surtout que tu en as bien le droit d'en profiter toi qui fus y a très longtemps juriste notamment à Audience et Création, où grâce à toi j'ai appris que dans la vie, il ne fallait jamais juger les gens et jurer de rien ! Je pense que de déclarer cela, c'est mon droit ! Je vais appeler tout de suite Maurice ! A bientôt Dominique ! "
Jérôme Bedrossian appelle son oncle Maurice Bedrossian :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Maurice ça va ? Qu'as-tu en magasin à me raconter ? "
Maurice Bedrossian :
- " Bonjour Jérôme, pourquoi m'appelles-tu ? A cause de toi ça gaze pas ! Tu n'arrêtes pas de m'envoyer des vannes pour me provoquer, sache Jérôme que je n'habite pas à Vannes même que tu aimes bien ouvrir les vannes et m'en envoyer à débiter que je vote très adroite comme Les Bretons ! Je voudrais que tu ne m'appelles plus après tout ce que tu as fait à Katia, à Laëtitia et à moi avec tes messages de haine ! "
Jérôme Bedrossian :
- " J'en déduis Maurice que tu n'as rien en magasin à me raconter, remarque de fabrique de ta part, plus rien ne me surprend comme tu es un robinet à compter ses sous où tu aimes qu'on prenne pour argent comptant tes paroles, ce qui fait que c'est surtout toi qui comptes sur les autres alors qu'on ne peut que très rarement compter sur toi ! A part conter sur toi ma blague que je t'ai envoyé ce matin ! Pour terminer, je vais appeler ma tante Suzanne ! A plus ou à moins Maurice ! "
Jérôme Bedrossian appelle sa tante Suzanne Rosatti :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonsoir Suzanne, comment vas-tu à peu prêt bien ? "
Suzanne Rosatti :
- " C'est qui qui m'apppelle ? Ah oui ! C'est toi Jérôme ? ! Ah oui je m'en souviens, tu m'as envoyé une blague ce matin ? "
Jérôme Bedrossian :
- Non tu te trompes Suzanne, je ne t'ai pas envoyé pas de blague ! Je pense que tu perds la mémoire alors que j'ai de la mémoire en me rappelant de tout ce que j'ai supporté ce qui fait que pour moi, ça ne gaze pas toujours à part que si je chambre à nouveau la capitale de L'Arménie pour que L'Azerbaïdjan gaze davantage L'Arménie où là comme par hasard, Suzanne, tu as toute ta mémoire au sujet du génocide Arménien que tu pourrais écrire tes mémoires afin d'y décrire ta mémoire ! Je dois te laisser Suzanne, je dois appeler Simone et Simon ! A plus Suzanne ! "
Jérôme Bedrossian appelle à la fois sa cousine Simone Moll et son oncle Simon Bedrossian comme Simone est invitée à boire le café chez son père Simon :
Jérôme Bedrossian :
- " Bonjour Simone et Simon, comment allez-vous tous les deux ? "
Simone Moll :
- " Avec tut ce que tu m'as dit comme horreur par sms, pourquoi m'appelles-tu ?
Avec tout ce que tu m'as fait, tu m'as rendu molle ! Adieu ! "
Simon Bedrossian :
- " Bonjour Jérôme, ça fait des lustres depuis 2018 que je ne t'avais pas eu au téléphone qu'est-ce-qui me vaut ton coup de fil ? "
Jérôme Bedrossian :
- " Juste pour vous dire qu'il y a un bémol, non je rigole pour moi il n'y a plus de bémol comme je ne vais plus à Cavalaire notamment à sa baie molle que Simone en est devenue si molle à cause de moi, maintenant que je cavale l'air de rien à Vitry-sur-Seine ! En ressentant le besoin de ne plus jamais vouloir aller à Cavalaire ! Adieu Simone et Simon, désormais au revoir ! "
Pour terminer cette saynète, Jérôme Bedrossian dit à toute la famille Bedrossian :
Jérôme Bedrossian :
- " Merci à vous tous la famille Bedrossian, d'avoir ouvert et lancé les vannes avec moi dont je ferme et referme ces vannes sans avoir besoin d'habiter à Vannes, car où je suis, je vous dis et revanne sans être à Erevan ! "
Jérôme Bedrossian
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait si je chambre à nouveau la capitale de L'Arménie pour que L'Azerbaïdjan gaze davantage L'Arménie ?
- Ca fait et revanne !
Jérôme de Mars
Allez David ! Sonne !
Sur ma belle Harley,
Je roule en moto !
Où je frime olé,
A-tire-larigot !
Il y a ma bécane,
Qui roulez moteur !
Quand Jerry ricane !
En retard moteur
En son jerrican,
Y a le feu au lac !
En ouvrant les vannes
Que j'en suis opaque !
Dans une grave déroute !
Que tout ça me gave !
En passant ma route,
Car grave de chez grave !
Allez David ! Sonne !
Harley davidson !
Ta moto résonne
Avec ton klaxon !
Que tu files, refiles
A La Vieille Anglaise,
Que tu en défiles
Tes vieilles Portugaises
Ensablées sur Terre !
Que tu marches tout droit !
Sur la route austère
En restant adroit !
Comme Jerry aussi,
Dont j'ai ri comme vous
Depuis toute cette vie,
Or ! Je vous l'avoue !
Jamais deux sans trois
En cette Amérique,
La ville de Détroit
Qui m'inspire poétique,
Allez David ! Sonne !
Harley davidson !
Ta moto résonne
Avec ton klaxon !
Que j'en frissonne trop !
Qui nous désarçonne,
Voyant la rétro
De nos vieilles garçonnes,
David, moi j'ai ri !
Quand Jerry a vu
Mon grain de folie !
Genre en m'as-tu vu ?
La vie passe chaque jour
Que j'en ai le blues !
Notoire à contre-jour !
Que sitôt j'épouse
Notre grand désespoir
A nous trois étroits
Sur l'immense trottoir,
Clamant à Détroit,
Allez David ! Sonne !
Harley davidson !
Ta moto résonne
Avec ton klaxon !
Jérôme de Mars
Le rebelle si un soumis !
Confiture de mirabelle,
Est-ce une déconfiture
A présent ainsi moins belle
De la vie en pleine figure
Qui est jetée en pâture ?
Ou qui hait défigurée ?
Qui salit la belle nature
Des gens sitôt résignés !
Qu'ils montent votant, pivotant,
Revotant Front national !
Ces gens qui font du boucan !
Faisant l'affront national !
Ou soit qui votent Mélenchon !
Parlant en prenant tout pour
Argent content en Hamon !
Ce que dit en désamour !
Le rebelle si un soumis !
Qui se la fait belle ! Promis
S'il bêle ! Il sera soumis
Le rebelle très insoumis !
Qui s'en fout des conventions !
Sortant des sentiers battus !
Jetant les contraventions,
Tant des sentiers débattus
Qu'il préfère manger surtout
Des amandes si honorables !
Qu'il profère manger sur tout
Des amendes six honorables !
Qu'il vote un coup à gauche, et
A droite au centre politiques !
Qu'il pivote un coût gauche hait
Droite au centre apolitiques !
Où il n'y croit appareil !
Car tous les mêmes qui parsèment !
Où il y croît ah ! Pareil !
Car lui dit qu'il reste le même !
Le rebelle si un soumis !
Qui se la fait belle ! Promis
S'il bêle ! Il sera soumis
Le rebelle très insoumis !
Faisant de la politique,
Embrasant sans regrets l'urne !
Faisant de l'apolitique,
Embrassant cent degrés l'urne !
Qui le rend aussitôt chèvre !
Luit le grand bouc-émissaire
Doux comme un agneau pas mièvre !
Qu'il en garde de la colère !
Lui qui ne fait pas semblant
D'avoir marre des injustices !
Et qui agit en tremblant
En étant à votre service !
Des gens qui valent le détour !
En assumant ses décisions
En un point de non-retour !
Et qui vote en conclusion !
Le rebelle insoumis si un soumis
Qui se la fait belle ! Promis
S'il bêle ! Il sera soumis
Le rebelle très insoumis !
Jérôme de Mars
Soucoupe violente
Moi Jérôme de Mars,
Je n'ai jamais les pieds
Sur Terre mais
Le contre-pied
De Mars,
Que j'écris
En Ovni
Des textes en une,
Où je suis dans la lune !
Du fond de ma soucoupe violente,
Qui trépasse
Pendant que passent
Des soucoupes volantes
Avec chaque année au 2 Mars,
Jérôme de Mars
Qui voit trépasser du fin tréfonds
Sa soucoupe violente !
Et qui voit passer des soucoupes volantes
Pendant que Jérôme de Mars
Qui est sur une autre planète salutaire
Sur la planète de Mars,
Dit à la planète Terre salut Terre !
Lors du mois de Mars,
Qui attend la fin du monde sur Terre
En mangeant deux Mars,
Quand passent les soucoupes volantes,
Afin que Jérôme de Mars
Renaisse sur la planète de Mars
Jusqu'au 2 mars,
D'où il trépasse du fin fond de l'univers
Dans sa soucoupe violente.
Jérôme de Mars
Il bossa sa bossa
Musique tropique torride
Sous l'effet des lagons,
Les mots éclairs limpides
Se murmurent au balcon !
En sifflant une bluette
Aux abords d'une complainte,
Qui clame une amourette
Tant qu'elle dure non défunte !
L'amour se vit à deux !
Ou à plusieurs ensemble !
Soit d'un si grand entre deux,
Ou soit qui se rassemble !
A griller leurs cartouches
De cigarettes en un
Plan à trois à touche-touche !
Ou se grillant d'entrain !
Il bossa sa bossa
Qu'il cabossa, bosse ah !
Qu'il rénova, lova
Et qu'il aima, thème ah !
En se roulant sous la
Mer de baisers sucrés,
Tendrement dans la joie !
Même que la note sale hé !
Est salée dans le vague !
Que cet air est marin,
Sain trempé en ma drague !
En ayant le béguin,
En faisant une biguine
Collée-serrée en danse,
Que cette mouvance dessine
Les amoureux en transe
Sur la plage s'aguichant
En la terre hein de l'île !
Tendrement s'enlaçant,
Quand l'amour est fragile !
Il bossa sa bossa
Qu'il cabossa, bosse ah !
Qu'il rénova, lova
Et qu'il aima, thème ah !
En un trèfle à quatre feuilles,
Auquel il s'abonna
En un bouquet qui cueille
Les chênes pas rabat-joie !
Il parla sans sa langue
De bois au coin du feu !
Qu'en ses pas, il ne tangue !
Récitant pieux les cieux,
Où il est si heureux !
Fredonnant des cantiques
Au pays si fabuleux
Des gens très authentiques,
Qui en verres solidaires,
S'entraident en buvant leurs
Paroles loin des revers,
Car dès l'or du bonheur !
Il bossa sa bossa
Qu'il cabossa, bosse ah !
Qu'il rénova, lova
Et qu'il aima, thème ah !
Jérôme de Mars
Il bossa sa bossa
Musique tropique torride
Sous l'effet des lagons,
Les mots éclairs limpides
Se murmurent au balcon !
En sifflant une bluette
Aux abords d'une complainte,
Qui clame une amourette
Tant qu'elle dure non défunte !
L'amour se vit à deux !
Ou à plusieurs ensemble !
Soit d'un si grand entre deux,
Ou soit qui se rassemble !
A griller leurs cartouches
D'amourettes en une
Danse à touche-touche !
Ou se bougeant d'entrain !
Il bossa sa bossa
Qu'il cabossa, bosse ah !
Qu'il rénova, lova
Qu'il aimait sa bossa !
En se roulant sous la
Mer de baisers sucrés,
Tendrement dans la joie !
Que la note laisse aller !
Est salée dans le vague !
Que cet air est marin,
Sain trempé en ma drague !
En ayant le béguin,
En faisant un bon signe
Collé-serré en danse,
Que cette mouvance dessine
Les amoureux en transe
Sur la plage s'aguichant
La terre sacrée de l'île !
Tendrement s'enlaçant,
Quand l'amour est fragile !
Il bossa sa bossa
Qu'il cabossa, bosse ah !
Qu'il rénova, lova
Qu'il aimait sa bossa !
En trèfle à quatre feuilles,
Auquel il s'abonna
En un bouquet qui cueille
Les chênes pas rabat-joie !
Il parla sans sa langue
De bois au coin du feu !
Qu'en ses pas, il ne tangue !
Récitant pieux les cieux,
Où il est si heureux !
Fredonnant les cantiques
Au pays fabuleux
Des gens très authentiques,
Qui en verres solidaires,
S'entraidant buvant leurs
Paroles loin des revers,
Car dès l'or du bonheur !
Il bossa sa bossa
Qu'il cabossa, bosse ah !
Qu'il rénova, lova
Qu'il aimait sa bossa !
Paroles : Jérôme de Mars
Arrangement et musique : Leg Guitar
Tarzan tire trop sur la corde !
Dehors dans la forêt de la jungle où c'est la loi de la jungle ! Il était une fois Tarzan qui tirait trop sur la corde en discorde avec sa femme Eliane, qu'il s'étira si fort en sautant sur la liane avec Cheeta dans ses bras qu'à bras-le-corps, Tarzan en roi lion qui sentait le fauve, fit l'appel de la forêt en trouvant sa voix à cris d'échos avec excès que Tarzan tira trop fort sur la corde qui concorde en discorde monocorde, où Tarzan s'accorde à accorder qu'il n'accorde aucune importance aux animaux qui le singent dans la jungle comme dehors, c'est la jungle et la loi de la jungle ! Où même si Tarzan a un côté animal, il est aussi très humain avec ses congénères notamment avec Eliane, dont tout le monde s'accorde à dire que même monocorde, Tarzan tire si fort sur la corde qu'il tire trop fort sur la corde sans discorde mais qui concorde avec Eliane, dont la corde finit par craquer quand pour la énième fois, Tarzan tire trop fort Eliane en s'étirant de la discorde de la corde qui concorde avec et liane, une fois que Tarzan craqua vraiment en tirant trop sur la corde !
Jérôme de Mars
En accordant votre guitare
Rendez-vous dès la lueur
De la nuit en plein Paris !
Pour parler avec fureur
Des douceurs de mélodies,
En allumant les lanternes
Sur vos pieds superposés,
Où vous éteignez si terne
Les chansons désabusées !
En utilisant à vent
Des instruments de musique,
Même si c'est du vent avant !
Et si vous jouiez nostalgique
Des accords de partition,
En étant sur le quai, ok !
Pour en faire une chanson
Harmonisée, apaisée
En accordant votre guitare,
Raccordant votre répertoire,
Concordant toutes vos histoires
Et convergeant étendard
En répondant au standard
En chansons, avec l'accord
De vos mots en exutoire,
Et si vous tombiez raccord !
Dans le livre des grands records,
En vous adressant des louanges,
Disant encore et encore...
Vous fredonnez comme un ange
De sages paroles en messages,
Pour qu'on vous redonne une note
Vous promettant en présage
Un parcours encours sans faute,
Où vous aurez du public
Sa reconnaissance décence
Sur Place de La République,
Qui vous donnera l'essence
En accordant votre guitare,
Raccordant votre répertoire,
Concordant toutes vos histoires
Et convergeant étendard
De vos tubes qui à essais,
Feront une vie à pleins tubes !
Qui vous iront en légèreté
Sans que la vie vous titube !
En gardant les pieds sur Terre
Pour écrire des vers de pieds
Salutaires et débonnaires
De chansons qui vous égaient,
Comme si vous jouiez du reggae...
Alors que vous jouez si juste
Des chansons dansant sur pieds...
Qui font que vos mots ajustent
Votre juste sérénité couplée
A l'amour en symphonie,
Qui fait l'art de votre métier
En décibels harmonie,
En accordant votre guitare,
Raccordant votre répertoire,
Concordant toutes vos histoires
Et convergeant et standard.
Jérôme de Mars
C'est la totale !
Pompe à un d'essence !
Résultats des actions !
Les patrons des multinationales,
Notamment ceux de Total !
Réalisent de supers profits
A leur bénéfice !
Au détriment des salariés
Et de leurs sacrifices !
Dont pour les patrons, c'est tout bénéf
Depuis l'an du CAC 40 !
Car of course !
Ils remplissent leurs bourses !
En s'en mettant pleins les fouilles !
Qu'ils trifouillent
De dividende,
En faisant de mauvaises actions,
En mangeant des amandes honorables,
Et en faisant payer en amendes exécrables
Les salariés employés par Total !
Dont c'est la totale !
De pomper en leur indécence,
L'essence et l'énergie de leurs pauvres ouvriers
Qu'ils n'encensent !
A en fumer l'encens des actionnaires
Du CAC 40 à coûts de propriétés
En courses solitaires,
Où pour ces milliardaires !
L'addition est sucrée
Et où pour les salariés !
L'addition hait salée !
En mettant du sel sur les plaies
Et en démettant de dessaler
Leurs excès à en crever l'abcès !
Dont les actionnaires
Considèrent leurs ouvriers,
Comme des moins que rien !
Dont c'est la totale !
Chez Total Energies
De Total !
A en multiplier
Les salariés divisés
Par l'appât du gain,
Et leurs consciences
Qui rendent vilains
Leurs bonnes actions ôtées
Par les patrons de Total !
Qui les soustraient en tirant un trait
Avec le pistolet à pompe des sens !
Que ça pompe toute leur énergie
Et leur vie !
Dont ce n'est pas la tasse de thé !
Du gouvernement qu'on a pour taxer
Les super profits de Total !
Dont c'est la totale rectale !
Chez Totale Energies
De Total !
Que ce soit toujours les employés
Qui soient cocus,
En l'ayant tout le temps dans le cul !
Donc pour cela, le gouvernement ferait mieux de taxer
Les cigares que fument les patrons de Total !
Dont c'est la totale !
En plus de ne pas taxer
Leurs super profits en faisant des plans
Sur la comète plans plans !
Tellement que Total enfume ses employés !
A en fumer la probité et l'intégrité
De leurs salariés, dont ils tirent grand profit
A coûts de super profits
De millions
Et de milliards,
Où ils se servent
De leurs employés
Qu'ils desservent !
Comme des maillons faibles !
Malgré qu'il y en a des maillons
Forts et pour que ce soit la totale !
Après que Total ait tant fait payer ses salariés !
Si à leur tour, les employés faisaient payer
Total pour que ce soit vraiment là Total !
Jérôme de Mars
Comme il y a le soleil à l'unisson !
Comme une grande embellie de soleil,
Aux aurores, le ciel est si crémeux
Qu'il est assailli, saillie d'oseille !
En mangeant la vie en si grands bleus
Des caprices des dieux qui font songer
A un arc en ciel qui gratte le ciel !
A flécher la beauté envoûtée
En une fresque d'orfèvre qui ensorcelle
Les bleus de la vie en accalmie,
Qui en en faisant tout un fromage !
Profitent du moindre interlude ah ! Si !
Assis ! En fredonnant les ramages
Des images de la vie qui ruissellent,
En coloriant feutrés des dessins,
Emplis de vastes rayons de soleil
En en faisant sain tout un dessein !
Comme il y a le soleil à l'unisson !
Avec aucun nuage à l'horizon !
Si bien que nous, nous les unissons
Essentiel en ce ciel si luron,
Fumant des bouffées de nirvana,
Dont ce beau ciel bleu pour croire radieux,
Ecoute tant en chanson Nirvana !
Qui porte ainsi à en croire adieu
Que la belle vie est une Mélody,
Un oiseau qui édite piaf qui piaffe
D'impatiences chantant une mélodie
Dans un concert, où Mélody taffe
En fumant une taffe de cigarettes !
Interprétant le rôle du Messie
En rappel pour claironner cette bluette,
Ornée d'un arc en ciel Oh ! Mais si !
Il faut une chanson pour ce grand ciel !
Car aussitôt comme à la maison !
Il y a universel le Missel
Qui chante à chaque saison l'oraison !
Comme il y a le soleil à l'unisson !
Avec aucun nuage à l'horizon !
Si bien que nous, nous les unissons
Essentiel en ce ciel si luron,
Au plus tôt ce soir chantant la vie !
Plutôt sans brouillard avec espoir !
En arrangeant en chansons aussi
La vie pour qu'elle ne file le cafard !
Donnant pacifique une harmonie
Sensuelle et gestuelle qui scie bien !
En mariant de beau temps la poésie,
En fonctionnant avec des si pleins,
En repartant de plus belle, ainsi
La vie qui est belle en des si belles
Garanties en parfaite compagnie,
Dont le paradis a pour la belle,
La vie en en prenant son parti,
Réparti d'un paradis d'enfer !
Quitte à s'en départir si inouï !
Pour ne plus du tout vraiment s'en faire
Comme il y a le soleil à l'unisson !
Avec aucun nuage à l'horizon !
Si bien que nous, nous les unissons
Essentiel en ce ciel si luron.
Jérôme de Mars
Car voilà la différence !
Concours de circonstances,
Personne naît ah ! Pareil !
Or ! il y a pour urgence
Qu'ils rentrent là pareille !
A l'unisson ensemble !
En un grand un pour tous !
Qui se ressemble s'assemble !
Qu'il y ait des coups de pouce,
Qu'il y ait des coups de pousse,
Or ! L'union fait la force !
Qui pousse untel qui mousse !
Ne s'émousse mais amorce
Divers variés complets
A un melting potes hot !
Dans l'unité fair-play
Non avarié qui ôte
Car voilà la différence !
Qui fait la différence !
Défait l'indifférence !
En prise de grande distance
Que les gens soit si maigres,
En gros dormant alèse !
Après les vaches maigres !
S'ils sont vraiment à l'aise,
C'est qu'ils s'acceptent d'untel
A untel tolérants !
Tout le monde est pareil
Tous ne sont bien-pensants !
Aimant garçons et filles,
Car aux mots sexuels
Différents se faufilent,
Car homosexuels !
Tout le monde est pareil
A juger, préjuger
Dans le simple appareil !
Sans jurer dénudés,
Car voilà la différence !
Qui fait la différence !
Défait l'indifférence !
En prise de grande distance
Que tous soit riches ou pauvres !
Parlant crédit comptant,
Autant qu'ils restent sobres
Parlant argent content,
En faisant un audit,
Etant à découvert !
En mettant au crédit
De l'argent découvert !
Si petit à petit !
Du petit au plus grand !
Tous trouvaient l'appétit !
Petit appétit grand !
Chacun est important !
Avec de la puissance,
Emportant exportant
Aucune loi du silence,
Car voilà la différence !
Qui fait la différence !
Défait l'indifférence !
En prise de grande distance.
Jérôme de Mars
Indigo !
En un teint brumé
D'un bleu qui dévie,
Il l'a embaumé
Le tempo jazzy !
Qui fait jazzer
Au milieu d'la nuit,
Qui fait virevolter
Hier et aujourd'hui !
En s'enivrant furtif
De whisky à gogo !
En donnant captif,
Un coup de chapeau
A ce sacré maestro !
Avec en vibrations,
Son sacré numéro !
Ayant pour ovations,
Couleur indigo !
En terre Indigo !
Couleur indigo !
En Terre Indigo
Dus aux bleus osmoses
Des bleus de la nuit !
Qui causent because
Tous ces bleus inouïs,
A s'en émouvoir les yeux
Sexuel asexuel aux cieux !
A en mouvoir l'essentiel
Sexe asexuel et sensuel !
Autour de la quête en tête
D'identité à tue-tête !
En parlant d'une requête
Qui fait jazzer la planète
Au Théâtre Déjazet
En airs d'flûte déjà faits
Font désaxer, des axes
D'une flûte et des axes !
Couleur indigo !
En terre Indigo !
Couleur indigo !
En Terre Indigo !
A en chanter la forêt
Des airs de gens imparfaits
A déchanter et rêver !
Un vieux jazz qui fait jaser
Déjantés, désopilants
Et délurés qui font semblant
Ainsi font-ils si cinglants !
Pleins de tréfonds si sanglants
Qui se balancent pas à pas
A pas guindés dans les bois !
En faisant là et par là !
Style raffiné au-delà
Un concert de louanges
Louanges qui les dérange
Un et un qui égales à deux !
Qui changent échanges à deux !
Couleur indigo !
En terre Indigo !
Couleur indigo !
En terre Indigo !
Paroles : Jérôme de Mars
Arrangements et musique : Leg Guitar
Dans la vie, il faut luthier !
Air de guitare au son du banjo,
Il n'y a qu'la musique qui tape
Du pied, en chantonnant rétro !
Et en faisant tinter en un clap !
Des vers de flûte tous azimuts,
Qui jouent en roulement qui mute
En tambours, qui répercutent
En instrument avant la lutte !
Qui sans tambour ni trompette !
Claironnent en jouant du saxo,
Des airs d'guinguette qui guettent
La musique, qui fait un écho
Dans la vie, il faut luthier !
Avec un luthier pour lutter
Une guitare à Johnny Guitar
En fait tout un film tout un art
Qui enjolive en une mélodie !
Ce que Johnny mime en rime
En chantant les désillusions
D'sa vie qui mouille la chemise !
En faisant sensation en action
Parmi ses chansons promises
A lui, en jouant d'la guitare
A la prison d'la santé ! Ou si
Au mitard, ça lui fout l'cafard !
A lui Johnny ! Qui dit ainsi
Dans la vie, il faut luthier !
Avec un luthier pour lutter
Contre ses vieux démons
Dans la vie qui s'accumulent !
En grimpant le temps à monts !
D'tout ce que la vérité dissimule !
Tout ce que la musique simule,
Mystérieuse et anecdotique
En bulles de gommes synthétiques,
En jouant du synthé notes qui pullulent!
Qui synchro, ouvrent le micro !
Avec les jolis mots du vocabulaire,
En même temps que c'est l'argot,
Qui amène d'la matière sur Terre !
Dans la vie, il faut toujours luthier !
Avec un luthier pour toujours lutter !
Paroles : Jérôme de Mars
Arrangements et musique : Leg Guitar
Dans la vie, il faut luthier !
Air de guitare au son du banjo,
Il n'y a qu'la musique qui tape
Du pied, en chantonnant rétro !
Et en faisant tinter en un clap !
Des vers de flûte tous azimuts,
Qui jouent en roulement d'
Tambours, ce qu'ils répercutent
En instrument avant l'an 2022 !
Qui sans tambour ni trompette !
Claironnent en jouant texto du saxo,
Des airs d'guinguette qui guettent
La musique, qui fait qu'en électro
Dans la vie, il faut luthier !
Avec un luthier pour lutter
Envers une guitare à qui Johnny
Guitare, en fait tout un film,
Qui enjolive en une jolie vie !
Tout ce que Johnny n'mime
En chantant les désillusions
D'sa vie qui mouille la chemise !
En faisant sensation en action
Parmi ses chansons promises
A lui, en jouant d'la guitare
A la prison d'la santé ! Ou si
Au mitard, ça lui fout l'cafard !
A lui Johnny ! Qui dit ainsi
Dans la vie, il faut luthier !
Avec un luthier pour lutter
Contre ses vieux démons
Dans la vie, qui s'accumule !
En grimpant le temps à monts !
D'tout ce que la vérité dissimule !
Et d'tout ce que la musique
Simule anecdotique, mystères
Et bulles de gommes synthétiques,
En jouant du synthé populaire,
Qui synchro, ouvre le micro !
Avec les jolis mots du vocabulaire,
En même temps que c'est l'argot,
Qui amène d'la matière sur Terre !
Et qui d'accord et raccord ! Quelque
Peu ! Donne sur un piano à queue ! Que
Dans la vie, il faut toujours luthier !
Avec un luthier pour toujours lutter !
Jérôme de Mars
Comme une chanson !
A midi inouï,
Enchanté, en chanté,
Il faut chanter la vie !
Même déchanté
Par les épreuves
D'la vie ainsi,
Qui abreuve
Qu'il faut aussi
Rester jovial
Et charmant !
D'façon l'égale
Avec les gens !
En tenant paroles !
Et en fredonnant
Lors des farandoles
Des mots amusants,
Comme une chanson !
Que chantent gais-pinsons
Les joyeux lurons
Vers l'horizon du balcon,
Où il faut entonner
Des mots d'émeraude,
Qui font rêver et songer
En faisant des maraudes,
Le temps d'la nuit !
Entonnant ses amours
Avant l'embellie
Du jour à rebours,
Où il faut aimer
La musique tendance,
Qui fait chavirer
Sur un slow de danse,
Même si la vie,
C'est d'la redondance !
Et qu'il faut avoir envie
Pour avoir de l'abondance,
Comme une chanson !
Que chantent gais-pinsons
Les joyeux lurons
Vers l'horizon du balcon,
Et dès l'hiver d'lavie !
Il faut panser au
Printemps qui revit
En des mots sur l'eau !
Et dès l'printemps,
Il faut des mots divers
Et variés grisants
En un nouvel air
Dans une musique d'été,
Qui rappelle la
Nostalgie liberté
Des années nouba,
Et dans sa vie d'automne
Atone sur une feuille,
S'écrivent monotones
Des mots en un recueil,
Comme une chanson !
Que chantent gais-pinsons
Les joyeux lurons
Vers l'horizon du balcon.
Jérôme de Mars
Aime à la place de la haine !
Amours désamours,
Les sentiments s'emmêlent !
Quand ils font, n'font l'amour,
Ils s'en mêlent !
Soit en s'frottant
Avec leurs pinceaux !
Ou soit en ne se frottant
Avec leurs pinceaux !
Or ! Comme le disait
Martin Luther King !
Il sermonnait
En son désarroi King,
Laisse la haine
A ceux qui sont trop faibles
Pour aimer les âmes humaines !
Et j'leur dis à ces aigles !
Aime à la place d'la haine !
Chaque semaine !
Qui fait ta rengaine
En un M en surplace du N !
Où il leur faut un ADN !
Qui clairsème
D' l'amour en âmes humaines !
Pourvu que mon poème
Réveille les consciences
Et la mentalité des gens !
Sans que ça soit qu'indifférence !
Dont la vie a besoin d'amants !
S'aimant dans leurs éléments,
Loin des donneurs de leçons !
Qui n'font que du mal ! Véhiculant
Qu'il vaut mieux dans sa maison !
Rester seul à armer ses nuits !
Face au ressenti d'la guerre,
A s'en désarmer d'accalmie !
Qui claironne depuis naguère !
Aime à la place de la haine !
Chaque semaine !
Qui fait ta rengaine
En un M en surplace du N !
Et si les gens désabusés,
Ouvraient leurs cœurs
Pour renfermer blasée
Leur vilaine rancœur,
Qui ne fait qu'alimenter
Leurs frustrations en frictions,
Et si pour réparer et rénover
Leurs désillusions en affections,
Il y avait sur leur Teppaz,
Une mélodie pour les réenchanter,
En leur faisant écouter du jazz !
En leur entonnant avec affinités,
Des chansons qui parsèment
En jolis mots psychologues
Cette ode envie d'bohème !
Détonnant en épilogue !
Aime à la place de la haine !
Chaque semaine !
Qui fait ta rengaine
En un M en surplace du N !
Jérôme de Mars
La machine à lancer les rêves !
Elancée en gros après ces périodes de vaches maigres,
Voici la machine à lancer les rêves !
Qui a lancé la trêve
A ce monde qui tourne au vinaigre !
Où l'intelligence artificielle espère relancer la machine à lancer les rêves brisés !
Et si de cause à effet pour briser la véracité des divinités !
S'il y avait pour une foi une machine à lancer les rêves !
Avec pour trêve
Du temps pour s'allonger, se reposer !
Et rallonger le temps qui ne fait que passer dans la durée réservée !
A passer du bon temps avant de trépasser pour très longtemps !
Et pour retourner le vent encense contraire,
Si la colère partait vers ses congénères,
Quand ses cons génèrent et bien souvent...
La machine à élancer les rêves brisés et mensongers !
A m'en songer que la vie est tant un cauchemar éveillé !
Avec des gens à la fois intimidés et désinhibés
Face à la nuit des temps durant l'espace d'un instant !
A relancer par lettres interposés les vanités orgueilleuses !
En voulant passer dès maintenant à une autre journée si fabuleuse ! ?
Engendrant passion et compassion avec en apnée un plongeon
Dans les temps modernes et de quelle hait la raison de ce monde bougon ?
Qui ne s'entend pas pareil avec les gens, entre tourments et boucan,
Avec ce monde qui veut surfer sur le succès d'il était une fois des méchants
Et des gentils ! Qui voulaient lancer et relancer sur leur lancée,
La machine à lancer élancée en gros, des rêves inaccessibles sur fond d'impureté,
Entre le virtuel et le réel, du surréaliste au concret, et s'il suffisait de maudire
La malveillance des gens et du système pour redonner du rêve Armoricain
Avec la Bretagne sang la Grande-Bretagne d'un rêve brisé Américain,
En s'élançant, en se lançant et en relançant après la machine à lancer
Les rêves brisés et virtuels car tout simplement idéalistes et utopiques,
La machine à lancer à en relancer les rêves
Sans trêve qui s'achève !
Et si pour Noël, tout le monde refaisait sa liste !
Avec aucun compte de fée mais un simple conte de fées !
En lançant, en relançant, en s'élançant et en se lançant déterminés !
Dont l'objet de l'appel serait de relancer sur sa lancée élancée
Après cette période de vaches maigres avec en gros requinquée,
La machine à lancer de nouveaux rêves imaginés !
Jérôme de Mars
Car tu es le temps !
Au début du commencement,
Par l'temps qui passe !
Le temps dure longtemps
Avant que le monde y passe !
Et même si l'temps est long
A la détente ! Il faut seconder
Le temps pour passer du bon
Temps ! A occuper ses journées
Pendant que le sablier s'écoule,
Et profiter du temps présent
En joyeux babas-cools !
En vivant l'jour présent
Et le moment instantanés !
Comme la vie passe si vite !
Et dont il faut aimer l'humanité,
Afin qu'plus personne ne s'évite !
Car tu es le temps !
Pourvu qu'il dure cependant
Longtemps ! Car tuer l'temps !
Est d'autant au temps plaisant !
Et fascinant ! Qu'il faut gommer
Les erreurs de la vie en une jolie
Leçon de vie pour dégommer
Les mauvaises choses infinies
Et rendre le temps éternel
Et indémodable, en rêvant
De quel jour il serait intemporel
A tous les temps conciliants !
Réconciliant en un message
De paix universel, le futile
Et l'essentiel dans les passages
De la vie qui sont aussi utiles,
Et même si les temps sont durs !
Aux travers des temps modernes,
Il faut découvrir la vraie nature
Des gens qui sont subalternes !
Car tu es le temps !
Pourvu qu'il dure cependant
Longtemps ! Car tuer l'temps !
Est d'autant au temps plaisant !
Que seul est déplaisant la paresse !
Dont autant en faire quelque chose
De la vie pour qu'elle soit liesse
En surplace des ecchymoses,
Sous l'osmose de la bravoure
Et de la témérité, à n'en démériter
L'intrépidité des jours au cours
D'la vie face à l'adversité !
Et si pour passer et repasser
Du bon temps ! S'il y avait du soleil,
Il soufflerait si léger d'la divinité !
Afin que sommeillent les merveilles
De la vie en chaque être
Sans paraître, mais pour
Apparaître et renaître
Dans l'étang moderne d'l'amour,
Car tu es le temps !
Pourvu qu'il dure cependant
Longtemps ! Car tuer l'temps !
Est d'autant au temps complaisant !
Jérôme de Mars
Bruce lit
D'où qu'il repose
En ce poème,
Qui n'est une prose !
Avec pour requiem
Bruce Lee,
Bruce lit
Le fil de sa vie
Retracée qui revit
Inachevée, tel
Un big boss
Avec sa fureur
De vaincre,
Luit qui a roulé
Sa bosse
Pingre,
Comme Bruce lit
Ses propres valeurs
En sa fureur
Du dragon,
Luit qui était
Toujours dans l'action,
Sans faire de cinéma
Mais pour la joie
De ses fans
Mégalomanes,
Comme Brule lit
Son art martial,
Pour défendre
Et répandre
Impartial
Son art de défense,
Maintenant qu'il
Repose presqu'il
Dans le je de la mort !
Sans remords retors,
Dont Bruce lit
N'en démord !
Luit le frelon vers
Les revers de sa colère,
Que furent sa vie
Sans soleil,
Mais avec l'oseille
Qui chancelle
Sa vie solennelle,
Où sans remords,
Il faut enterrer les remords !
Lui qui dorénavant
Est tout le temps mort,
Dont v'là la totale !
De l'opération dragon,
Luit qui fut en interaction
Depuis sa disparition
Et en adéquation,
De Bruce qui lit et relit
Bruce Lee.
Jérôme de Mars
Comme ça gaze dans mes fourneaux !
En étant au courant
D'passer tout à plat !
Il faut du courant !
Pour passer les plats
Et cuisiner avec amour,
Des plats bien faits
Tous les jours
Préparés avec secrets,
Car la vie est chère !
Que tout le monde
S'cuisine en surenchère !
Pourvu que tous ne s'sondent !
Si la cuisine est en jachère !
Ou si elle prépare encore
Des p'tits plats en chair !
Enchère en accords,
Comme ça gaze dans mes fourneaux !
Que ça en devient la rancœur au resto !
Avec à ce tarif-là ! La grève du cuisto
Qui n'veut plus cuisiner de bigorneaux !
Que le monde de la cuisine
S'renferme dans sa coquille
Sain Jacques ! Que tous se cuisinent !
Pourvu que leurs yeux s'écarquillent !
Pour voir la réalité en face,
En retombant les pieds sur Terre !
Et d'écrire en prêt face,
Que notre monde est incendiaire !
En ayant comme esprit d'déduction !
Qu'il faudrait mettre électriques
Des plaques en inductions,
Qui marchent systématiques,
Pourvu que l'courant passe
Et repasse entre les gens !
Sans qu'il n'y ait d'impasse !
Et pourvu que ça fasse du boucan !
Comme ça gaze dans mes fourneaux !
Que ça en devient la rancœur au resto !
Avec à ce tarif-là ! La grève du cuisto
Qui n'veut plus cuisiner de bigorneaux !
Pourvu que tout le monde cuisine
Des poireaux vinaigrettes,
Sans rancœurs d'palmiers
Qui cuisinent leurs emplettes,
Et pour dorer et adorer la sole,
Il faudrait que plus personne
N'ait d'casseroles !
Qui raisonnent et résonnent
En jouant un do ré mi fa sol !
Même que la cuisine tient
Paroles avec pour bémol
En va et vient !
Que plus personne naît
Dans son assiette !
Et n'saurait montrer
D'nouvelles facettes !
Comme ça gaze dans mes fourneaux !
Que ça en devient la rancœur au resto !
Avec à ce tarif-là ! La grève du cuisto
Qui n'veut plus cuisiner de bigorneaux !
Jérôme de Mars
Quelque chose qui m'trottine !
Si j'pouvais m'échapper
Libre en roue libre !
J'aimerais en réchapper
Par idées qui vibrent !
En pédalant dans l'vide !
En oubliant la vie aussi
Qui n'est placide !
Donc livide, si ainsi
J'ai dans la tête
Des p'tits vélos !
Comme casse-tête
En un méli-mélo,
Où j'chambre l'air
De rien en déroute
Que je n'en décolère !
Avec sur la route
Quelque chose qui m'trottine !
En me procurant en adrénaline
De la vitesse à l'origine
De mon blues qui prend racine !
En remontant à cran
A la racine, où j'ai les idées
Qui avancent tout l'temps !
En trottinettes sur pied
Qu'elles dépassent le peloton
D'ceux qui sont par deux !
En mangeant leur gueuleton,
Qu'ils disent au sujet de !
Si celui-ci y va bien
Etapes par étapes !
O combien manichéen !
Et s'il reçoit amicale une tape
Pour le motiver à aller
Jusqu'au bout ! A destination
D'ses envies de voyager !
Avec en quête de son évasion !
Quelque chose qui m'trottine !
En me procurant en adrénaline
De la vitesse à l'origine
De mon blues qui prend racine !
Si je ne réussis à dépasser
Ma routine en allant ici bas !
A véhiculer et à reculer
Que j'serai dans de beaux draps !
Repassant ma course
En solitaire, seul sur Terre !
Alors qu'il vaut mieux of course !
Etre solidaire entre frères !
Pour montrer aux coureurs
Le bon chemin d'la vie !
En montrant en enjoliveurs
La route si jolie !
Qui est de parcourir
Les territoires d'la vie,
A desservir et à servir !
Car il y a si c'est réussi
Quelque chose qui m'trottine !
En me procurant en adrénaline
De la vitesse à l'origine
De mon blues qui ne prend racine !
Jérôme de Mars
Je recharge mes batteries !
Comme une pile électrique
Qui fait du rock à Billy,
J'empile magnétique
En faisant du rockabilly,
Qui machine synthétique
En faisant du tam-tam,
En jouant en acoustique
Du bourré bourré ratatam,
En regardant Johnny Guitar,
Qui mène tambour battant !
En grattant sa guitare !
En s'débattant des battants !
En chantant et flûte
Enchantée ! En vers
Désenchantés d'flûte !
En chantant envers
Je recharge mes batteries !
Que je décharge la batterie
D'mon portable sans batterie !
Qu'il tape sur ma batterie
Des musiques d'ambiance,
Qui m'tapent sur le système
En démos de quintessence,
Des mots qui clairsèment
Un peu partout sur La
Planète Terre qui déchire !
En chantant taratata !
Y a l'la qui transpire !
Ma musique à la sueur
D'mon front ! Qui monte
A l'affront de ma chaleur !
Qui se démonte et remonte
En un rythme symphonique
Et synchronique du tempo
Que je joue frénétique,
Qui m'décolle à la peau !
Je recharge mes batteries !
Que je décharge la batterie
D'mon portable sans batterie !
Qu'il tape sur ma batterie
En jouant en un medley,
Ma vie dans un pot-pourri !
A en mélanger mes succès
En morceaux d'mélodies !
Qu'elles font jazzer en
Un méli-mélo incarné,
Que j'en fais un bœuf à sang !
Becs et ongles désincarnés !
Que j'joue du mélo
En menant la baguette !
En regardant dans le rétro
Mon pain béni de baguette !
Que j'fais mes emplettes
A travers ce concert
De louanges, que j'empiète
Sur ma vie qui dessert !
Je recharge mes batteries !
Que je décharge la batterie
D'mon portable sans batterie !
Qu'il tape sur ma batterie.
Jérôme de Mars
Tout le monde lave son linge sale en infamie à L'ESAT La Fabrique !
Une p'tite saynète sur l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique où Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique appelle Tony Angaman, son ami et ancien collègue de L'ESAT La Fabrique qui boit son café à la cafétéria lors de la pause de 10h45 :
Voici Jérôme Bedrossian qui appelle Tony Angaman :
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " Bonjour Tony, comment vas-tu ? Quoi de neuf ? "
Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " Bonjour mon pote, ça va bien ! Mon Dieu que tu as bien fait de quitter cet ESAT de merde ! L'atelier sous-traitance est de plus en plus conditionné au pire que personne ne sous-traite son travail comme tout le monde maltraite son travail bien fait pour eux ! Si tu savais Jéjé, tout ça me soûle grave ! "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " Pourquoi Tony, tout ça te soûle ? "
Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " Parce-qu'on a perdu Dugas et qu'on prend tous de la bouteille à plier du linge que nous ramène tous les jours l'atelier blanchisserie qu'il y a des conflits d'intérêt où les agents se chamaillent tous ! "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " J'en déduis donc que l'atelier conditionnement lave son linge sale en infamie ! Je veux pas te déprimer Tony mais je pense que l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique surtout que comme vous avez perdu votre client principal Dugas tout ça parce-que du gars a fait de beaux dégâts par des gars, ce qui a fait que vers ma dernière année de travail à L'ESAT, j'étais tout le temps en arrêt-maladie grâce au docteur Vilain qui malgré son nom de famille est quelqu'un de très gentil qui m'a fait des arrêts-maladie qui m'ont bien soigné, dont je peux confirmer que le Docteur Vilain est bien mon médecin traitant et pas du tout mon médecin maltraitant, surtout qu'à L'ESAT, je n'étais pas entre de bonnes mains comme mon handicap ne s'est pas du tout soigné avec le temps même en travaillant à L'ESAT, étant donné qu'on m'a trop maltraité dans cet ESAT ! "
Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " Et ben dis donc Jéjé ! T'as du mangé du lion pour être si remonté contre L'ESAT ! "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " Tony, je n'ai jamais eu besoin de manger du lion comme à L'ESAT, tout le monde me disait que je sentais le fauve que je suis devenu un fauve avec le temps en m'en lavant les mains de tout ! Qu'à L'ESAT, personne ne m'a jamais filé un coup de main alors qu'à L'ESAT, j'ai refilé des coûts de main ! "
Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " Veux-tu que je te passe Sandrine Ribé, elle voudrait te parler ? "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " Pas la peine parce-qu'à chaque fois que je l'appelle, elle ne décroche jamais ! "
Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " Alors Jérôme, dis-moi quel était l'objet de ton appel ? "
Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :
- " Tony, l'objet de mon appel envers toi était quel fut le mobile de tout L'ESAT pour dire que tout le monde s'en foutait de moi dans cet ESAT ? Je pense que si tout le monde fut immobile pour me défendre à L'ESAT quand tout le monde me critiquait, c'était parce-que je fus si immobile au conditionnement surtout la dernière année que je n'avais plus de mobile afin qu'on me défende pour le phone, ce qui a fait que l'objet de mon appel envers toi n'avait aucun mobile comme vers la fin à L'ESAT, je n'avais plus de portable écran tactile mais juste un portable simple durant ma dernière année à La Fabrique, tellement que j'étais si à cran tactile que tout le monde s'en lavait les mains de moi au moment de mon départ, si bien que tout le monde lava sur moi son linge sale en infamie ! "
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-que maintenant l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique à la place d'avoir Dugas n'a que du linge à plier ?
- Pour que tout le monde lave son linge sale en infâmie comme maintenant l'atelier conditionnement ne sous-traite mais maltraite son travail bien fait pour eux !
Jérôme de Mars
Une histoire parallèle !
Tournant en rond,
Si on s'retrouvait
En rubicond
Au café
Discuter que ce
Monde n'tourne
Plus rond ! Sur ce
Qui détourne
Ce monde d'cons
Qui soûle les gens,
Or grâce aux Corons,
Ils font en réenchantant
Un monde meilleur,
Plus carré et vrai
Au p'tit bonheur !
Chaque jour qui est
Une histoire parallèle !
Avec en parallèle,
Un triangle non isocèle
Qui n'isole celle essentiel !
Qui va dans les bars
Clamer ses histoires !
Or in fine certains l'rembarrent !
Perpendiculaires notoires
En rembarres parallèles,
Qui font et défont l'lien
Du cœur universel,
Uni vers celle du déclin,
Que plus personne n'aime
Dans cet immonde égoïste !
Qui clame d'la haine blême
Que quiconque hait altruiste !
Avec plus rien qui n'tourne
Rond ! Avec des marrons
Qui détournent et retournent
La rue qui fait des macarons,
Une histoire parallèle !
Avec en parallèle,
Un triangle isocèle
Qui isole celle essentiel !
Et si pour revenir à la
Raison du plus juste,
Si on faisait d'un pas
D'géant qui ajuste
Des bars parallèles,
Qui rassemblent
Tout l'monde fraternel
Dans l'ensemble !
Au grand ensemble
Dans l'affection en réunion,
Car qui s'ressemble,
S'assemble en contusion !
Comme l'union fait la force !
Malgré les différences,
Et s'il y avait une force
Qui claquait en l'indifférence
Une histoire parallèle !
Avec en parallèle,
Un triangle non isocèle
Qui n'isole celle et sans ciel !
Jérôme de Mars
Sans eau d'pluie !
En levant le jour aux aurores
Qui déferle sans soleil,
Et qui n'écoute le transistor
En ses chansons d'crécelle,
Il y a quelques fois des jours
Sans confettis, donc flétries
En ce monde d'vautours,
Qui font que nul n'est aguerri !
En ce monde sans éclaircie,
Qui hé crie en sévère d'orage !
Signe des temps que tout dévie
En consignes d'dérapages !
Alors que seuls les ramages
Permettent d'apaiser les tensions,
Afin d'éviter sur Terre l'naufrage,
Pourvu qu'il y ait plus d'attention !
Sans eau d'pluie !
Mais avec Ode depuis
Et puis tant pis !
Si l'amour n'a de puits !
Car pour raconter d'belles
Histoires, il faut un abreuvoir !
Avec en une ribambelle,
Un réservoir déversoir
D'bonnes nouvelles à ciel
Ouvert ! Qui mettent des vases
De fleurs qui rendent naturel
Chaque bel été sans la vase,
Qui dévase l'eau et qui redore
Tranquille, dont on dit qu'il faut
Se méfier d'l'eau qui dort, dore !
En vrai du faux d'un porte-à-faux !
Et même si l'eau fait des clapotis
Sur l'eau, les apparences sont
Trompeuses en masquant l'agonie !
Car ainsi ! Elles font font sensation !
Sans eau d'pluie !
Mais avec Ode depuis
Et puis tant pis !
Si l'amour n'a de puits !
Et que l'amour fait semblant
D'faire croire au grand amour
Qui vaut le détour flagrant !
Si ce n'est qu'il faut toujours
Songer à diffuser d'l'amour !
Que de le faire charnel et réel !
Dont seul le troubadour
Fait la courte échelle !
Pour aller flâner vers le haut !
Et s'emparer d'sentiments
Nobles et bourgeois sans oh !
Deux cœurs, sans ressentiment
Avec l'assentiment tout-puissant
Qu'il faut triompher d'la haine !
Avec en pressentiment élégant
Que seul l'amour hait rengaine !
Sans eau d'pluie !
Mais avec Ode depuis
Et puis tant pis !
Si l'amour n'a de puits !
Jérôme de Mars
Les parodies artificielles
Paradis d'enfer !
A en perdre son latin !
Si en dame d'fer,
Il y avait le Paradis Latin,
Il y aurait d'quoi
Gagner son Paris !
Avec en éclats,
La frénésie et la folie
D’Paris qui
Rouleraient des patins !
Pour trouver qui est qui !
Au Quartier Latin,
En étant naturels !
Pour parler en vrai
D'façon réelle,
Avec en un franc-parler,
Les parodies artificielles,
Tels les paradis artificiels,
En allant à l'essentiel
D'ce qui naît virtuel !
Car même si la vie
Est un imaginaire
Téméraire inouï !
Il faut débonnaire,
Imaginer qu'après
La nuit, il y a l'embellie !
Où l'amour est auprès
Des choses jolies
De la vie, comme un
Tour de carrousel
En un tous pour un !
Qui s'fait la vie belle !
En un paradis Denfert-
Rochereau ver l'eldorado,
Qui n'veut plus s'en faire !
Menant vers les oiseaux,
Les parodies artificielles,
Tels les paradis artificiels,
En allant à l'essentiel
D'ce qui naît virtuel !
Et si la vie a l'air
Superficielle et éternelle !
Elle n'est qu'lapidaire
En passant intemporelle
Si vite qu'aujourd'hui,
C'est déjà demain !
Avec pour on dit !
Des coups d'main !
Que l'paradis donne
A son Jardin d'Éden !
En changeant la donne,
Pour que tous égrènent
Un monde meilleur,
Pacifique et placide
Sans pastiches songeurs,
Envolant d'un ciel torride
Les parodies artificielles,
Tels les paradis artificiels,
En allant à l'essentiel
D'ce qui naît virtuel !
Jérôme de Mars
Simone veille sur la santé des Français depuis l'au-delà !
Simone Veil innée Jacob le 13 juillet 1927 à Nice,
Fut une femme singulière avec un parcours atypique
En devenant l'une des premières ministres,
En tant que femme politique de même
Qu'une magistrate, avec aucun préjugé
Pour la cause féministe,
Dont elle fut une ardente défenseur démocratique
Du droit et du combat des femmes en
Se faisant leur porte-parole à l'origine
De grandes avancées en termes d'évolutions
Sociétales et sociales, ce fut une personne
Qui faisait du droit son domaine de prédilection,
La mère de ses chevaux de bataille
Comme d'un mantra, si bien que ce fut une femme
Positionnée au centre-droit sur l'échiquier politique,
Libérale conservatrice de droite économiquement
Et femme ouverte de gauche sur les questions
De société, Simone Veil ayant des origines juives
De Lorraine fut rescapée de la Shoah en revenant
Vivante d'Auschwitz, d'où elle perdit ses parents
Ainsi que son unique frère, victimes des
Persécutions nazies perpétrées par les Allemands
Sous Adolf Hitler, ne gardant comme seules proches
Ses sœurs, dont tout au long de sa vie,
Simone Veil fit de la prévention en animant
Des conférences auprès des jeunes générations
Pour que ne se reproduise plus jamais et haut jamais !
Les génocides quels qu'ils soient à travers
La Fondation de la Mémoire pour la Shoah
Qu'elle présida de 2001 à 2007, en tant que femme
Avant-gardiste des droits et des combats des femmes,
En étant leur icône, en luttant contre les discriminations
Que subissent les femmes et en devenant leur emblème,
Elle fut nommée du 28 mai 1974 au 4 juillet 1979
D'abord Ministre de la Santé dans le gouvernement
De Jacques Chirac, Premier Ministre
Et ensuite de Raymond Barre, deuxième Premier Ministre
Avec Valéry Giscard-D 'Estaing,
Président de la République Française de 1974 à 1981,
Et chargée par ce dernier de faire voter une loi
Autorisant l'avortement à travers la loi de L'IVG
Nommée la loi Veil, votée à l'assemblée nationale
Le 29 novembre 1974, et qui entra en vigueur
Le 17 janvier 1975, et dont grâce à Simone Veil,
Cette loi constitua un vaste progrès
En tant qu'acquis social de longue haleine
Pour l'émancipation des femmes,
Qui sortit des sentiers battus après le refus hostile
Durant de longues années de la dépénalisation
De L'IVG par les conservateurs de l'extrême-droite
Et d'une partie de la droite parlementaire,
Et quelques années avant sa mort en 2017,
Simone Veil se démena et se battit de toutes
Les dernières forces de son corps
Pour que perdurent la tolérance ethnique,
L'ouverture d'esprit et le progressisme
Pour éradiquer le racisme, l'antisémitisme et
Le conservatisme, afin que ne revienne jamais
Le fascisme, alors qu'en 2022, la dictature
Monte exponentiellement avec effet boule de neige
Au sein des pays d'Europe, Simone Veil en visionnaire
Fut aussi à l'origine des lois de progrès social
Considérable, en mettant en place des aides financières
A l'adresse des mères d'enfants en bas âge,
Et une des premières femmes politiques précurseurs
A l'origine de l'avènement des lois sur le handicap,
A travers la première loi d'orientation
En faveur des personnes handicapées en vue
De leur intégration, inclusion et émancipation,
Simone Veil fut nommée du 30 mars 1993
Au 11 mai 1995 une dernière fois Ministre de la Santé
Lors de la période de deuxième cohabitation
Dans le gouvernement d'Edouard Balladur, Premier Ministre
Avec François Mitterrand, Président de la République Française,
En 1976 en tant que fumeuse, elle fit adopter la première loi
Française de lutte contre le tabagisme, en interdisant
Aux fumeurs de fumer dans les hôpitaux
Et dans les locaux recevant des mineurs,
Et en faisant également marquer sur les paquets de cigarettes
Les risques encourus et accrus par les effets du tabagisme,
Elle fut une femme libre, démocratique et féministe
Aux convictions iconoclastes et anticonformistes
Qui porta le combat de la parité pour l'égalité hommes-femmes
En 1996 en signant une pétition dans le journal L'Express,
Lorsqu'elle fut Ministre de la Santé de Valéry Giscard-d' Estaing,
Elle fut une fervente défenseur des minorités ethniques
En empêchant avec d'autres personnes de
Ce même gouvernement de reconduire 100000 Algériens par an
A la frontière avec aides financières incitatives à l'appui,
Une mesure qui fut décidée par Valéry Giscard d' Estaing,
Qui fort heureusement ne vit jamais le jour et
Donc ne fut point appliquée, elle soutiendra Edouard Balladur
En 1995 et Nicolas Sarkozy en 2007 lors
Des élections présidentielles, elle adhéra à l'UDF en 1995
Qu'elle quitta deux ans plus tard en 1997
A la suite de la nomination de François Bayrou, président de L'UDF
Qu'elle n'appréciait guère, elle adhéra ensuite à L'UDI,
Le parti fondé par Jean-Louis Borloo en étant à ses côtés
Lors du congrès inaugurant l'UDI en Octobre 2012,
Elle fut Présidente du Parlement Européen
Du 17 juillet 1979 au 18 janvier 1982,
Simone Veil fut nommée membre du Conseil Constitutionnel
Par René Monory, le président du Sénat le 3 mars 1998,
Où elle le resta jusqu'au 3 mars 2007,
Le 31 Octobre 2007 sortit son livre qui évoqua
Son récit autobiographique sobrement intitulé : " Une vie ",
Un an après, elle déposa le 9 Octobre 2008 sa candidature
Pour être membre de l'Académie Française,
Où elle fut intronisée le 20 novembre 2008,
Membre de L'Académie Française,
En prenant sa revanche de par son destin mal commencé
Concernant cette fin-lettrée érudite et cultivée
Qui n'avait peur de rien, à la hauteur de sa pudeur
Et de sa dignité non déméritées mais émérites,
Si bien que dès l'hiver de sa vie à partir de 2013
Après avoir perdu successivement son mari et sa sœur,
Elle passa les dernières années de sa vie recluse chez elle
A son domicile, se rappelant des souvenirs tantôt douloureux
Et sanglants, elle qui fit de la résistance à la haine ethnique,
Tantôt heureusement lumineux qui jalonnèrent son existence
Tumultueuse, mais respectueuse à l'égard de son dévouement
Loyal et effréné en ses luttes non conventionnelles
Et acharnées pour quelqu'un de sa trempe
Avec son caractère bien trempé, qu'elle supportait
En son cœur qui déportait sa croix des épreuves
Qui ne la ménagèrent guère durant sa vie
Qu'elle ne baissa jamais les bras,
Portant les tatouages de son numéro d'immatriculation
De déportée à Auschwitz, et ce qui s'ensuivit
In fine fut qu'elle s'éteignit à petit feu,
Où elle rendit l'âme à Paris le 30 juin 2017
Quelques jours avant ses 90 ans,
Où son dernier mot sans remords fut merci avant sa mort,
Et ainsi grâce à l'encensement unanime porté
Par l'ensemble des hommes politiques de tous bords
Et par l'ensemble des Français qui réclamèrent en signant
Une pétition qu'elle entre au Panthéon
Des immortels en grande défenseur des causes perdues
De par son implication, sa dévotion et sa persévérance, et à force
De persévérance, elle y entra pour de bon le 1er juillet 2018
Au Panthéon, dont la phrase fétiche qu'on a tous envie
De dire maintenant unanimement à Simone Veil
En lui rendant hommage est : " Merci à vous Simone
Qui veille sur la santé des Français depuis l'au-delà ! "
Jérôme de Mars
J'dois composer avec tout ça !
En ouvrant la boîte d'Pandore
De mon état grave DCD,
J'appelle en renfort
Ma poésie qui grave des CD !
Pour écrire mes vertiges
Du fond de ma réminiscence,
Qui reflète les vestiges
D'mon passé avec puissance,
Où comme une chanson !
Pour me transcender,
J'écris des chansons
Pour sublimer avec beauté
L'art, même que je n'ai
Pas étudié aux Beaux-Arts !
Où j'suis inné pour graviter
En chantant en fanfare !
J'dois composer avec tout ça !
Et recomposer tout cela !
Pour décomposer la la
Une chanson ! Afin que ça s'en va
Les fêlures d'mon passé de ouf !
En trouvant les bons mots
De ma résilience dans le barouf !
Et en renaissant de mes maux,
Car y a pas photo !
J'veux en faire un album,
Afin que tous mes potos
Connaissent mon album
D'chansons, en chantant
La vie, l'amour, l'amitié
Et l'espoir, réenchantant
La vie, la solidarité
Et la bonté qui vont de pair !
Alliées et à lier fous-alliées
En un monde d'repères,
Où depuis mon repaire azimuté,
J'dois composer avec tout ça !
Et recomposer tout cela !
Pour décomposer la la
Une chanson ! Afin que ça s'en va !
La rage de mon amertume
En mon agrume qui m'irrite !
Pour qu'avec candeur, je fume
Le calumet d'la paix vite
Fait et bien fait ! Afin que je lévite
En une vie saine qui tienne debout !
Afin que mon passé, je l'évite !
Pour ne plus être si à bout !
Et dont pour respirer en odeur
D'Sainteté, il faut que j'écrive
Des paroles qui portent bonheur !
Pour que ma résilience décrive
La résurgence et la renaissance,
En interprétant une chanson
Malgré mes réminiscences,
Enchantant dès la nouvelle saison
J'dois composer avec tout ça !
Et recomposer tout cela !
Pour décomposer la la
Une chanson ! Afin que tout s'en va !
Jérôme de Mars
C'est une maison que je ne pouvais plus voir en peinture !
Il était une fois une ancienne maison
Que je ne pouvais plus voir en peinture !
Que même avec un ravalement,
Cette apparence de bien naître
Etait une façade !
Avec toujours en rade,
Le développement sain de mon être
Que les murs du papier peint et plaint étaient déchirés
Et décrépis dans un état délabré
Et laminé de cette maison, où tout s'effritait !
Que tout le monde dans cette maison se fritait
Au 57, Rue Meissonnier à Vitry-sur-Seine,
A tel point que j'en saigne
A jamais de mon cœur que j'ai un pacemaker
Virtuel pour faire battre mon cœur par chœur !
Et abattre ma rancœur !
Qui est piquée en une liqueur
En ces turpitudes
De mon ancienne vie
Antique et en tics qui sentait la solitude,
Comme c'est une maison
Que je ne pouvais plus voir en peinture !
Que je sortais souvent du cadre !
Pour que l'immonde
Me recadre hors-cadre !
Si bien que personne dans cette maison
Ne pouvait m'encadrer !
Que j'ai attendu d'avoir mon appartement pour en cadrer
Mon diplôme de Différent et Compétent !
Que pendant longtemps,
Certains furent indifférents et incompétents
Sans égards à mon égard aux travers d'uns différends
Sans avoir de reconnaissance envers moi !
Dont il fallut
Que j'attende d'obtenir mon diplôme de reconnaissances
Et compétences de mes acquis
A qui ? !
Pour qu'on ait
De la reconnaissance envers mois !
Et même si tout le monde me médit que je me plains
Des murs immatures de parpaings mal bâtis dans la maison
Sans repères
De mon père impair,
Et bien immobilier sur le fond de cette maison en bâti,
Je n'avais pas si tort que ça que je ne fus pas si bien loti
En terrain connu
Que ça que je bâtis
Ce texte de mon ancienne vie de bohème,
Pour prouver éprouver qu'à ce moment-là,
Personne ne m'aime !
Et dont aux travers de ce poème, je bâtis mon avenir
En ayant mon propre appartement alloué
A louer, celui-ci le vrai pour renaître à Vitry-sur-Seine
En prenant ma revanche sur scène,
Afin que je sois logé à la même enseigne
Que tout le monde,
Car durant tout ce temps,
Où je dus rester au 57, Rue Meissonnier,
Effet pavillon des camouflets de ma jeunesse
Et comme ces voyages formèrent ma genèse,
Je profitai du temps condamné,
Où je fus con damné hébergé
Dans cette maison du malheur,
En dormant du fond de mon imaginaire
Des tréfonds de ma colère
A la belle étoile du berger et berger !
Que je fus inné sous une bonne étoile que je finis hébergé
Dans mon T2 entre deux du fond
De cette faim de mon deux-pièces,
Car même si je suis en pièce détachée et que mon espèce
Est menacée, je répète que durant tout ce temps, où je vécus
Au 57, Rue Meissonnier que j'allais tout droit
Dans le mur du dur immature !
Dont je vaincus
Le 57, Rue Meissonnier que je déménageai pour me ménager
De cette maison, où ça fait
Quelques années que j'ai déménagé
De cette maison qui sentait le cœur de pierre endurci et aigri,
Que j'ai emménagé dans mon appartement
Du 11, Allée de L'Abbé Roger Derry,
En menant une nouvelle vie à prier à l'autel qui m'héberge
A présent à presque 45 berges vers l'auberge
Du sacré Cœur, que la rancœur du 57, Rue Meissonnier
Fut terrassée par l'effet pavillon en allant tout droit, adroit
Dans le mur, que le plafond de la salle de bains,
Où on me cuisina
Là-haut depuis l'au-delà s'écroula en ses murs de parpaings
Que j'en fais une complainte en ce slam
De tout le drame de ma vie qui trame
Que si j'ai une étrange nature,
Torturée et azimutée sans fioritures !
Ca vient du fait que sans façade,
Mon apparente belle et bonne nature
A la foi mature et immature,
Survient du fait que j'adopte en permanence une façade,
Pour faire croire que ma vie est une promenade
De santé à trinquer sans déboires pour boire devin
Votre eau de vie, dont j'espère oublier ma vie défaussée,
Tombée dans le fossé de ce ravin,
En écrivant ce poème
De par cet exutoire, dont ma défunte ancienne vie de bohème
Proclame la raison pour laquelle sans armature,
Ce fut une maison
Que je pouvais plus du tout voir et entrevoir en peinture !
Jérôme de Mars
Bourgeois-poème !
A plein gaz !
En ma vie à pleins tubes !
Y a d'l'eau dans le gaz !
Que ça gaze et j'en titube !
Si bien que j'ai des bobos
Dans mon paradis d'enfer !
Que j'écris en mon eldorado,
Des poèmes qui génèrent
Ma colère et ma rébellion
Incendiaire que j'suis snob !
En étant un sauvageon !
A écouter tonton Bob !
Genre Bob Marley,
En fumant d'la havane
Sur ma Harley,
Où j'me pavane !
Bourgeois-poème !
Tel un bourgeois-bohème,
Qui sème un requiem,
Adoptant le carpe-diem
En un totem qui rime,
En n'ayant l'porte-feuille
A droite ! Qui arrime
Que sur mon fauteuil,
Je suis assis à gauche !
En allant manger
Bio tel un Gavroche,
Qui s'rue poil à gratter
Vers son épicerie !
En plein centre-ville,
Que j'amuse la galerie !
Que mes idées fourmillent
De poèmes à la minute !
Que personne n'me calcule !
Où telle une cocotte minute,
J'explose funambule !
Bourgeois-poème !
Tel un bourgeois-bohème,
Qui sème un requiem,
Adoptant le carpe-diem
Où je prends ma revanche !
En faisant briller le soleil,
Me retroussant les manches,
En refaisant répartie d'rebelle !
Mon ode de l'apolitique,
En étant neutre,
Et en écrivant poétique,
La vie en couleurs d'feutres !
Dont j'suis riche en mots !
Que j'en suis pauvre !
Mine de rien en maux !
Qu'une fois sobre,
J'écrirai pour toute la vie !
Des vers éternels
Vers la postérité sans oubli !
Que j'resterai un intemporel
Bourgeois-poème !
Tel un bourgeois-bohème,
Qui sème un requiem,
Adoptant le carpe-diem.
Jérôme de Mars
Si j'avais une feuille, j'écrirais l'automne !
Eau d'pluie,
Il pleuvrait misère !
Sans confettis,
Austère sur Terre !
Et si la vie
Avait une belle nature !
Elle rêverait à l'envie
D'un jeu d'écriture !
Qui ramasserait
Dès l'appel
D'la forêt !
Un ciel qui ruisselle
En un arc en ciel,
En voulant rugissant
Planter un amour fraternel
A l'autel en clamant !
Si j'avais une feuille, j'écrirais l'automne !
Malgré mes remords vivants monotones,
Où j'serais aux regrets atones
D'avoir trouvé ma voie aphone !
En appelant au téléphone
D'l'au-delà Jacques Prévert
Pour le fun !
Avec en prêt ver,
Ode pluie,
Qui tarauderait en moi
Depuis et puis !
En mon intérieur froid,
Où j'aurais besoin d'chaleur
Humaine pour la semaine,
Afin d'y semer du bonheur,
Avec amour et sans haine !
Où seul l'amour ferait
Naître d'saines passions
Dans ce monde désabusé !
Et où en des illusions,
Si j'avais une feuille, j'écrirais l'automne !
Malgré mes remords vivants monotones,
Où je serais aux regrets atones
D'avoir trouvé ma voie aphone !
Et où pour boire mes déboires,
J'chercherais un acolyte !
A qui donner un pourboire
Pour boire mon âme déconfite,
En cherchant mutuel
Un soutien lors d'une promenade
D'santé sans mutuelle,
Donc juste en une ballade,
D'où j'écrirais mortifère cette saison,
Qui décrirait mon être mort-vivant !
Attendant impatiemment l'oraison,
Où j'aurais perdu la raison transperçant
Mon innocence à m'faire du sang
D'encre à m'en tailler les veines !
En mon état si décadent !
Où seul en buvant une verveine !
Si j'avais une feuille, j'écrirais l'automne !
Malgré mes remords vivants monotones,
Où je serais aux regrets atones
D'avoir trouvé ma voie aphone !
Jérôme de Mars
Mûrir de chagrin !
Vivre ou mourir
Dans la vie,
On a le choix !
Entre soit mûrir
Qui choie !
Ou soit mourir
Qui choit
Dans la nuit,
Car dans la vie,
Malgré la peine
Qui sévit
En ces vies,
Il faut rester ouvert d'esprit !
Dont open !
Soit on vit
A en mûrir de chagrin !
Ou soit oh ! Peine !
On dévie
A en mourir de chagrin !
En des vies !
Qui ont pour éternelle rengaine
De ne point avoir de Bon Samaritain !
Condamnés au déclin
De la vie,
Qui se rapproche à proximité de la nuit !
Et même si c'est inouïe la vie !
Il vaut mieux être à jour
Du côté du paradis !
Dans son jardin secret d'Eden !
Qui égrène !
Que la vie se vit la nuit
Dans ce monde de vautours !
Car maintenant voici
Vos tours !
Entre soit choisir l'embellie
Ou soit l'agonie !
Et si vous deviez choisir
Entre la vie et la nuit !
Décideriez-vous que dans la nuit,
Il faut mourir de chagrin ? !
Ou que dans la vie,
En parfait bon Chrétien humain,
il faut mûrir de chagrin ? !
Et plus que de chagrin ? !
En ayant pour toute la vie ? !
Un si grand béguin ? !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-que maintenant l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique à la place d'avoir Dugas n'a que du linge à plier ?
- Pour que tout le monde lave son linge sale en infâmie comme maintenant l'atelier conditionnement ne sous-traite mais maltraite son travail bien fait pour eux !
Jérôme de Mars
Un dit go !
En un teint brumé
D'un bleu qui dévie,
Il y a embaumé
L'tempo jazzy !
Qui fait jazzer
Au milieu d'la nuit,
Qui fait virevolter
Hier et aujourd'hui !
En s'enivrant furtif
De whisky à gogo !
En donnant captif,
Un coup d'chapeau
A c'sacré maestro !
Avec en vibrations,
Son sacré numéro !
Ayant pour ovations,
Un dit go !
Terre Indigo !
Pour taire un dit go !
Et Terre Indigo
Dus aux ecchymoses
Des bleus d'la nuit !
Qui causent because
Tous ces bleus inouïs,
A s'en émouvoir débit
Sexuel asexuel !
A en mouvoir des bis
Sexuels transsexuels !
Autour d'la quête
D'identité à échanger !
En parlant d'l'enquête,
Qui fait jazzer
Au Théâtre Déjazet
En airs d'flûte,
Qui font désaxer,
Des axés et flûte !
Un dit go !
Terre Indigo !
Pour taire un dit go !
Et Terre Indigo !
A en chanter la flûte
Enchantée, à en
Déchanter et flûte !
Cet air des gens,
Déjantés, désopilants
Et délurés qui font
Ainsi font cinglants !
D'sanglants tréfonds
Qui s'balancent pas
A pas guindés !
En faisant là là !
Dans un style raffiné
En un concert d'
Louanges qui arrange
Un et un qui font deux !
Qui changent échanges !
Un dit go !
Terre Indigo !
Pour taire un dit go !
Enterre Indigo !
Jérôme de Mars
Telle est ma chanson !
Si en déposant plainte !
J'écrivais une mélodie !
C'serait une complainte !
En regardant Télé Melody,
Qui m'enchaîne en chaîne !
En pétant un câble !
Qui m'déchaîne à la chaîne !
Pour qu'on m'accable
Que je n'suis pas net !
En amusant la galerie,
Que j'en écrirais cette bluette !
En cherchant de la compagnie !
Et même si j'pète souvent
Des câbles qui m'accablent !
J'ai la fibre sociale vocalement
Que je chante affable à l'amiable !
Telle est ma chanson !
En regardant Télé ma chanson !
Sur Télé Melody à l'unisson !
Que j'en ai des frissons !
A enchanter et à en chanter
Ma vie à pleins tubes !
Qui n'fait que programmer
Mon prochain slam au SUB,
Une MJC à Vitry pour slamer
Mes chansons qui reflètent !
Ma vie en une poésie à clamer
Que j'fais des plans sur la comète !
Enchantant à Vitry sur scène,
La pluie et l'soleil qu'il y a
Dans ma vie qui assène
La part d'inconnue qu'il y a en moi !
Pourvu que le printemps se fasse
En pressant, empressant !
Car il est temps que j'me prélasse !
Me réenchantant ici bien portant !
Telle est ma chanson !
En regardant Télé ma chanson !
Sur Télé Melody à l'unisson !
Que j'en ai des frissons !
A déclamer en un si grand slam,
Ma vie qui a longtemps déchanté,
Que j'préfère en faire une trame
Sans mélodrame ! Pour songer
A renaître en ma résilience,
Dont il y a urgence à rétablir
Du lien social en effervescence !
Dont la vie n'a fait que m'aguerrir !
Où il faut que j'ai une fibre sociale !
Pour ne plus péter d'câble,
Afin que tout le monde soit cordial
Avec moi sans qu'on m'accable !
Et avant d'terminer ma poésie
En ce slam à Vitry-sur-Seine,
J'ai le dernier mot en une accalmie,
Qui assène en air de mécène !
Telle est ma chanson !
En regardant Télé ma chanson !
Sur Télé Melody à l'unisson !
Que j'en ai des frissons !
Jérôme de Mars
Nos p'tits vélos !
Dis donc avec la tête
Dans le guidon !
Si on faisait d'la bicyclette !
Afin que nous guidions
Le cycle de notre vie,
En remettant en selle
Notre grain d'folie !
Avec en escarcelle,
Le fait d'être l'maillon
Fort de la chaîne enchaîne,
Pourvu que nous émaillons
La vie qui nous déchaîne !
En mettant la pédale douce
Du Tour défiance d'France
En vie ! Qui nous émousse
Que ça devient en une offense !
Nos p'tits vélos !
Qu'on recycle en petits vélos !
En tant que Français parigots !
Attire larigot de notre argot !
Qu'on s'en fout d'tout !
En ayant un grain qui sème
En nous sans garde-fous !
Nos côtés fous qui aiment
A en trinquer d'notre santé !
En allant boire un Monaco,
En trinquant à la santé
De ceux qui roulent à moto !
Alors qu'il suffit de recycler
Nos idées d'l'an quarante
En roue libre ! Pour pédaler
Et s'échapper libre dilettante,
En prenant notre tour au
Détour défiance d'France !
Avec pour effet météo de trot !
Qui trottine en une itinérance !
Nos p'tits vélos !
Qu'on recycle en petits vélos !
En tant que Français parigots !
Attire larigot de notre argot !
D'itinérances en errances !
Qu'il y a aussi le maillon
Faible d'la chaîne en urgence !
Pourvu que nous émaillons
Nos vies terre-à-terre !
Qu'on passe notre tour !
D'frustrations qui enterrent
Notre avenir avec en contour,
Le détour défiance à notre
Tour qui vaut bien en retour !
Ce qui n'en vaut un autre
Tour d'France, au tour
Autour du peloton des
Epreuves de la vie qui
Emplies, s'déroulent dès
Fois remplis avec amplis !
Nos p'tits vélos !
Qu'on recycle en petits vélos !
En tant que Français parigots !
Attire larigot de notre argot !
Jérôme de Mars
Vers de poèmes
Pas appât, voici un ver de poème avec un asticot qui m'asticote en vers ma poésie surtout qu'à l'époque, où j'étais une larve, j'avais des vers de poèmes qui m'asticotaient davantage, tel un asticot qui péchait vers les vers de ma pèche aux maux ! Moi l'handicapé qui ne fait que pécher avec ma cane à pèche ! Tel un vilain petit canard sauvage qui fait mouche avec une mouche à merde ! Telle une larve qui m'asticotait et m'asticote les vers, en me tirant les vers du nez que sont les vers de mes vers de cristal en bris de vers, envers l'envers de mes vers de bohème !
Tel en tombant des nus, nu comme un ver de terre qui hé crie ses vers de rage sévère ! En déroute et en route vers de nouveaux revers de poèmes qui pèchent d'enfer ! Qui arriment en jetant l'encre ! En claironnant : " Lis, masse ! Longs à la détente ! "
Jérôme de Mars
Aux vers dosent !
Gramme d'shoot !
J'ai eu largement ma dose !
Que j'en ai rien à foutre
D'avoir des surdoses !
Même si ce poème
Naît pas une prose !
Mais d’l’œdème
Qui gonfle ma si rose !
En mon manque de foi
En la vie qui m'enlaidit !
Que j'suis en froid
Avec le paradis !
Qu'il m'endolorît !
Me déçoit et me déchoit !
Que j'décrépis !
C'est mon choix !
Aux vers dosent !
Ca frôle l'overdose !
Que j'ai en sûre dose
Mammaire mais nos pauses !
En prenant la pose
Y a pas photo !
Que j'ai son osmose !
Dans l'chaos !
Aux vers bordent !
Que j'en ai des p'tits vélos !
Dans la tête qui m'débordent
Que j'aborde par des mots !
Tout ce qui m'trotte
Dans la tête !
Que j'en décrotte
Ce casse-tête !
Dont gamme aux vers !
C'est du bas d'gamme !
En me mettant aux vers !
Avec au programme !
Aux vers dosent !
Ca frôle l'overdose !
Que j'ai en sûre dose
Mammaire mais nos pauses !
Que j'passe, repasse
Et trépasse fort revers !
Dans une impasse
Avec un ver deux revers !
A repasser tout mon
Passé, à en braver
De monts en amont,
Mes démons à en baver
Mes vieux démons,
Qui n'font que passer !
Oppressés sur le pont
A camoufler mes
Camouflets cachetés
En cachets d'mes de sains !
Que j'ose cachés
Sans raccord de médecins !
Aux vers dosent !
Ca frôle l'overdose !
Que j'ai en surdose
Ma mère ménopause !
Jérôme de Mars
La boîte à musique !
Mise en boîte !
Moi, le clubber,
J'boîte et j'emboîte
A chaque heure
D'la nuit en ma
Boule à facettes !
Qui fait d'éclats
En éclats de fossettes !
Que d'un tourne-disque,
J'lance des hits !
Depuis l'Obélisque
Qui va tout le temps vite !
A la vitesse d'une platine,
Qui tourne et détourne !
En remontant à l'origine
D'ce qui retourne
La boîte à musique !
Frénétique et rythmique,
A basse synthétique
En mélodie harmonique
Que j'fais de la contrebande !
En repassant le même
Disque rayé en bande
Organisé ! Que tous aiment !
En dansant sur la piste
D'la boîte de nuit !
Qui en abondance, twiste
A l'ancienne dès minuit !
Comme un slow endiablé,
Qui rappelle les années 50
Et 60 à un rythme effréné,
Afin qu'tous se fréquentent !
En se prenant par l'épaule,
Qui leur emmène
L'amour qui flirte en son rôle !
Afin qu'il y ait dans l'arène !
La boîte à musique !
Frénétique et rythmique,
A basse synthétique
En mélodie harmonique
Pour faire danser l'amour
Des sentiments en effusions,
En leur faisant la cour
Aux tourtereaux dès l'émotion !
Du temps qui passe en transe !
En allant pas à pas au contact
Des gens qui font insistance !
Pour qu'il y ait du tact !
En s'parlant en boîte de nuit !
Qui inouïe, est comme un
Huit infini ! Où il fait minuit !
En broyant du noir clope hein !
Ma cigarette à en fumer
Les fumées d'gitanes !
A m'enfumer la volupté
Et la légèreté qui vannent
La boîte à musique !
Frénétique et rythmique,
A basse synthétique
En mélodie harmonique.
Jérôme de Mars
Il faut surfer sur la nouvelle vague !
En surfant sur Internet,
Avec du vague à l'âme !
Il faut être à terre nette !
Malgré les drames
D'la vie qui compose
Ce slam, qui trame
En prenant la pose,
Tout ce qui trame
L'océan d'la vie !
En son mal de mer,
Qui dévie à l'envie !
Face à l'écume amère,
Comme le cinéma
D'Jean-Luc Godard !
Ou l'entrain qui s'en va
De Richard Anthony, car
Il faut surfer sur la nouvelle vague !
Des années yéyé qui élaguent !
Au creux d'la vague
Le cinéma qui reste vague !
Et pour ne pas louper
L'dernier train !
Il faut regarder
A la loupe avec entrain !
S'il vaut mieux être au
Bout du rouleau vague,
Ou être dans le vague d'eaux
D'vagues, ah ! Là ma drague !
Depuis l'Saint-Tropez
Qui dit vagues, divague !
En caractères bien trempés,
Détrempés dix vagues !
Dont malgré le rouleau
D'vagues compresseurs,
Il faut surfer ! Car des maux
En des mots enjoliveurs,
Il faut surfer sur la nouvelle vague !
Des années yéyé qui élaguent
Au creux d'la vague
Le cinéma qui reste vague !
En surfant en chanson
Sur Internet très net !
Dont on connaît la chanson !
Des surfs à terre nette !
Scandale dans la famille !
Qui surfe sur la vague du succès,
Des années yéyé qui frétillent
En faisant bouger avec excès,
Ceux et celles qui
En avaient marre des réacs
Conservateurs, et qui exquis !
Voulaient lors d'l'entracte,
Le progrès et rien que
L'progrès ! Avec pour succès
Sur un piano à la queuleuleu !
Un océan pacifique à y chanter !
Il faut surfer sur la nouvelle vague !
Des années yéyé qui élaguent
Au creux d'la vague
Le cinéma qui reste si vague !
Jérôme de Mars
J'tiens paroles !
Comme un oiseau aux ailes
Brisées, je prends la plume !
Volant d'mes propres ailes !
D'où j'y laisse des plumes !
A tire d'ailes de tourterelles !
Où j'écris mes maux !
En battant d'l'aile !
Que ce sont mes mots
Pour ne plus déchanter
La vie qui m'asphyxie,
Alors pour enchanter,
J'écris d'la poésie !
Pour apporter du rêve,
Comme une chanson !
D'où j'coule ma sève
Et où à chaque saison !
J'tiens paroles !
Sans bémol !
En faisant la farandole,
Comme un rossignol !
Et où je fredonne
Avec vue sur l'balcon !
Comme je bourdonne
Le miel des frelons,
En passant une lune
De miel face au soleil,
D'où j'mets en une
A la carte de vermeille !
Mes écrits de poèmes,
Qui sèment la belle vie
Où j'dis je t'aime !
Avec aussi les nuits,
Qui m'font de l'œdème,
Où je respire l'agonie !
Et en un nouveau thème,
Dès que j'écris l'harmonie,
J'tiens paroles !
Sans bémol !
En faisant la farandole
Comme un rossignol !
Et si j'ai un grain d'folie !
J'égrène mon jardin secret !
Avec une quantité fleurie
En mon Mausolée enraciné,
D'où j'lui fais une fleur
A Sidney Bechet !
En m'envoyant des fleurs,
Qui effleurent bêchée, binée
Mon amertume carabinée
En mes maux d'rancœur
Débinés et fricotés,
D'où en ayant bon cœur !
J'y mets d'l'adage !
Tel un ouvrier en chanson,
Ayant le cœur à l'ouvrage !
D'où en ayant l'oraison,
J'tiens paroles !
Sans bémol !
En faisant la farandole
Comme un rossignol !
Jérôme de Mars
Pour qu'on en fasse toute une montagne du Caucase !
Arbre gêné à logique !
C'est une histoire de famille
Cette hein famille, infamie !
Avec tous ces génocides acides
Alors que dans mon environnement écocide,
Cette histoire de la guerre a l'air si cocasse !
Pour qu'on en fasse toute une montagne du Caucase !
Génération illusions perdues
En désillusions éperdues !
Aux travers de cette arbre généalogique
Depuis naguère qu'il y a la guerre !
Entre L'Azerbaïdjan et L'Arménie,
Territoires ennemis à demi
Réglés sont déréglés ces Arméniens,
Ces têtes de Turcs
En faisant leurs toilettes à la Turque !
Que ce peuple opprimé est persécuté
Depuis des lustres illustres,
Dont j'ai les gènes, gênes sans-gêne,
Cent gènes héréditaires !
Car en mes mots d'hiver, j'ai besoin
De respirer une embellie pulmonaire
En travers de la gorge,
Dont mes travers rengorgent
De ce que je désengorge
En mon caractère que je forge !
Dans les forges du désert
En mirages anxiogènes,
Car l'histoire a des airs de déjà-vus
Comme le génocide du 24 Avril 1915,
Comme si j'appelais le 15 !
Car mon histoire, ça mue !
En frais de port du Salut !
Pour qu'on en fasse toute une montagne du Caucase !
D'où je compose avec tout ça un poème cocasse !
Qui est le fruit de pourquoi ma vie m'entaille !
Et de pourquoi je tiens si fort mes tenailles !
Moi le gai-pinson, pince-sans-rire !
Dont mon humour à outrance satire, ça tire !
Si bien que ma mère en est morte du crabe !
Elle qui ne perdit jamais le Nord !
Aux abords et à tribord !
Pince-moi je rêve !
Depuis sa mort à p'tit feu m'achève !
Comme si j'avais un glaive !
Pour juger et rejuger mon passé dépassé
Et outrepassé comme moi, on m'a mis sur le bûcher que j'ai bûché
Très dur ce texte malgré les préjugés qu'on a sur moi en camouflets,
Et dont je m'en fous de tout !
Vu que je n'ai quasiment plus de garde-fous !
Dont tout ça me dessert !
Où l'histoire de la guerre se répète depuis naguère avec après
La Turquie, L'Azerbaïdjan déviant
L'Arménie à mauvais escient, dont OTAN
Cessez le feu et cessez la paix !
Entre deux avec toupet !
Dont en mourant à p'tit feu !
Enfumant de faire semblant de croire radieux !
J'achève ce texte si cocasse !
Pour qu'on en fasse toute une si grande montagne du Caucase !
Jérôme de Mars