Couleur soleil

 

D'un Havre de paix

Sur la jetée,

Pour me reposer

Sur mes lauriers;

 

Je suis l'Abbé;

Priant le ciel !

Je suis la baie

D'un arc en ciel !

 

Me contemplant

D'une chienne d'envie,

Si rantanplan

D'une chienne de vie;

 

Pourtant y a pas

De lézards ! Ainsi

Lézardant mes pas !

Ainsi la vie !

 

Couleur soleil;

Intemporelle !

Y a sans pareil

Que du Rimmel !

 

Pour cacher toutes mes

Fossettes pas nettes;

Et cocher toutes mes

Facettes saynètes;

 

D'une nuit d'étoiles !

Chariot filant

Mon sac en toile;

Me refilant

 

Tout le ciel;

En gribouillant

Une aquarelle

D'un chaud bouillant !

 

Flânant grand ciel !

Superficiel;

Artificiel;

Surnaturel;

 

Couleur soleil;

Intemporelle !

Y a sans pareil

Que du Rimmel !

 

En maquillage;

Fausses apparences !

D'rafistolage

En grande cadence !

 

Qui montre la vie

Sous un autre jour !

En embellie

Faisant la cour

 

A l'amour; en

Cultivant soie

Badinant !

Y a de la joie !

 

Pas rabat-joie !

Mais d'un éclat !

Voilà hourra !

Une nouvelle fois !

 

Couleur soleil;

Intemporelle !

Y a sans pareil

Que du Rimmel !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Madame Teillet ne s'en tamponne pas de l'ordonnance !

 

Entretien imaginaire mensuel du lundi 6 Février 2023 entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine et Monsieur Bedrossian Jérôme, patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Bonjour Monsieur Bedrossian, quoi de neuf ?  "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Bonjour Madame Teillet, il n'y a rien de neuf comme aujourd'hui, on n'est pas le neuf de ce mois-ci ! Il n'y a que du vieux en ce moment que je prends de l'âge à petit feu grâce à vous qui fumez votre cigarette électronique, dont j'attends vivement de fumer le calumet de la paix avant de casser ma pipe vu que ce monde part en sucettes au nom d'une pipe ! Et vous, Madame Teillet, est-ce-que vous vous en tamponnez de mon état psychiatrique ?  "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Qu'est-ce-que vous me racontez-là Monsieur Bedrossian ? La preuve que je ne m'en tamponne pas de votre état névrotique, je ne mets plus le tampon sur vos ordonnances comme je tape vos ordonnances mensuelles sur ordinateur !  " 

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Est-ce-que vous vous en lavez les mains de moi de Madame Teillet ?  "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Monsieur Bedrossian, vous m'avez posé deux fois cette même question sous un angle différent, la réponse que je peux vous apporter, arrêtez d'entretenir vos malheurs si vous ne voulez pas les gens s'en lavent les mains de vous en passant le balai lors d'un remue-ménage de printemps ! Si vous voulez que les gens vous ménagent, ménagez-vous pour ne plus que ça déménage en vous passant un savon !  Monsieur Bedrossian, de toute manière Monsieur Bedrossian, vous n'avez plus besoin d'entretenir vos malheurs pour qu'on s'en lave les mains de vous, la preuve comme grâce à moi, vous avez maintenant une auxiliaire de vie départementale pour vous aider à faire le ménage dans votre vie ! Monsieur Bedrossian, il faut que vous balayez devant votre porte en voyant midi à votre porte ! Sans prendre votre auxiliaire de vie pour une éponge en plein essor ! "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Madame Teillet, certes, je balaye devant ma porte pour voir midi à ma porte mais à cette heure-ci, il n'y a pas l'auxiliaire de vie chez moi, mon auxiliaire de vie vient chez moi chaque mardi de 13h30 à 15h ! Car moi à midi, je sors pour décompresser de tous les gens qui me prennent pour une éponge ! Et v'lan trépasse-moi l'éponge ! Madame Teillet pour me voir chaque mois à votre cabinet 

Faites-vous des entretiens sur ordonnance ! "  

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Monsieur Bedrossian, je n'ai pas besoin de faire de prescriptions en entretiens sur ordonnances, car pour vous y a prescription maintenant depuis que vous avez quitté L'ESAT ! Monsieur Bedrossian, vous n'êtes plus maltraité mais bien traité de paix et personne il me semble ne vous sous-traite où grâce à moi, vous avez un bon traitement ! Or ! Vous le savez bien ! Je ne suis pas trop pour les médicaments Monsieur Bedrossian ! Comme vous êtes très aguerri Monsieur Bedrossian, je vous prescris un entretien sûre ordonnance de 3 mois avec renouvellement comme y a prescription Monsieur Bedrossian ! Du fait que vous faites le je de l'oie à force de vous faire passer pour un vilain petit canard marchant avec des canes ! 

 

Monsieur Bedrossian, patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Donc, j'en déduis Madame Teillet que pour vous, je ne suis pas si handicapé que cela; même que vous êtes ma béquille mensuelle pour m'aider à tenir debout ! Malgré que je suis très et trop à bout avec ma vie qui est une histoire à dormir debout au bout de ce règlement de compte, vous avez raison Madame Teillet, pas besoin de me faire passer pour un vilain petit canard, comme c'est vous qui faites le jeu de la loi des entretiens sur ordonnances; même que je fais le je de l'oie en marchant avec des canes, dont j'en fais tout un festival pour avoir le dernier mot ! Dont maux pour mots, je dirai qu'il est temps que j'ai une vie qui tienne en faim debout malgré mon handicap névrotique ! Mais pour cela pas besoin de faire du cinéma ! Comme je suis l'unique acteur de ma vie en jouant si bien pour de bon le rôle de ma vie ! " 

 

Jérôme de Mars

 

Là ferme Clochette !

 

C'est watch Disney !

Mon capitaine;

A des crochets

Toute cette semaine

 

A la télé !

Ce Walt Disney;

A raccroché

Légèreté

 

Pour boursoufler 

Ce Peter Pan

Si essoufflé;

Qu'il fait suspends

 

Tout ce dessin

Très animé !

Dont le dessein

Est mensonger !

 

Là ferme Clochette !

A des roupettes !

La fée Clochette;

Elle conte fleurette !

 

Comme un garçon

Manqué, elle n'mord

A l'hameçon !

Sans les remords;

 

Mon capitaine

A décroché

Mettant la graine;

Rien à péter !

 

Un rendez-vous

A Peter Pan;

Sans un garde-fou !

Pour l'mettre en sang

 

Dans un duel

Epais d'épée,

Pour l'mettre en rondelle

Ce flibustier;

 

Là ferme Clochette !

A des roupettes !

La fée Clochette;

Elle conte fleurette !

 

Qu'elle le pirate

Mon capitaine;

Lui ce pirate

A chaque semaine !

 

Luit Peter Pan !

Qui à-tire d'ailes !

Lui pétait pends !

Qui attire d'elle !

 

Comme un aimant

D'adolescent,

Bon élément

Fluorescent;

 

Mon capitaine

Tant des crochets !

Respire la haine

Qu'il raccrochait !

 

Là ferme Clochette !

A des roupettes !

La fée Clochette;

Elle conte fleurette !

 

Jérôme de Mars

Le señor des agneaux 

 

Ne suivant le troupeau

D'ces moutons de Panurge;

Qui leur passera l'mot 

Qu'il est l'heure de la purge ?

 

Tel un bouc-émissaire;

Qu'on accuse de tirer

Les cornes de la colère;

Il vaut mieux s'évader

 

Des brebis galeuses; qui

Rendent chèvres tous les moutons !

En jouant à qui est qui ?

Il sont tous des gloutons !

 

A en faire un fromage

De chèvre, dont les mamelles

D'La France sont un ramage

Qui entonne au pluriel !

 

Le señor des agneaux;

Est doux comme un agneau !

Jouant au torero

Du silence des agneaux;

 

Qui tire de mâle en pis !

Pas le mal, la femelle

Qui ajoute du dépit !

Ces chèvres si demoiselles;

 

Qui ont l'air d'être olé !

Rangeant leur bas de laine;

Buvant du petit lait !

Vaisselle de porcelaine

 

Au ras des pâquerettes;

Tondues à plat d'couture !

Tout l'monde fait ses emplettes

Avec désinvolture !

 

En concert de louanges;

Avec en champ d'action !

Des à corps qui arrangent

Le bétail chaque saison!

 

Le señor des agneaux;

Est doux comme un agneau !

Jouant au torero

 Du silence des agneaux;

 

Où tous se font des films !

Etant acteurs d'leur vie

En super 8 de films !

Qui écime d'nostalgie

 

Leur vache si enragée;

Qui bouffe malbouffe leur peau !

Pot-pourri consacré

A eux à fleur de peau !

 

L'amour est dans le pré !

Qu'ils font une émission

Ensemble ! Pour fricoter,

En faire une gestation

 

Sans limites; sans barrière !

Avec tout leur bétail

Sans chevreaux prépubères;

Qui donne dans leur travail !

 

Le señor des agneaux;

Est doux comme un agneau !

Jouant au torero

Du silence des agneaux.

 

Jérôme de Mars

Le jour, côté lumière, la nuit, côté ombre !

 

Ombre et lumière, jours et nuits sont des éclairs !

Traits de caractères, caractères bipolaires !

Dans la vie, il n'y a plus rien de linéaire !

Changements d'humeur lunatiques lapidaires !

 

La vie est comme le vent, dès que le vent tourne !

Le temps change inflexible dans sa direction

Fantasque ! Dans les fluctuations qui détournent

En ristourne le temps qui part en éruption !

 

Constater l'étendue des dégâts ! Du temps

Qui passe et outrepasse ! Attendant l'autre jour 

Pour effacer les vieux démons retentant  

Les gens, afin qu'ils replongent en un retour !

 

Entre les deux par des faux ! Cherchant qui dit vrai !

Qui hait faux ! En un je d'un grand porte-à-faux !

Il y a tout et son contraire en franc-parler !

Pourparlers, pour parler avant l'échafaud !

 

Le jour, côté lumière, la nuit, côté ombre !

Entre ombre et lumière dormant dans la pénombre;

Regarder les ombres que la lumière dénombre;

Et assombrit dans leurs mauvais côtés sombres;

 

L'imaginaire des caractères bien trempés !

Trempant leurs mauvais caractères en prenant

Tout à la lettre ! En force de frappe; détrompée

La machine à décrire les gros caractères !

 

Faisant couler beaucoup d'encre en leur mal de mer !

La vie au grand air réserve de grandes surprises !

Ecoulant la clepsydre des temps durs précaires

Sous l'emprise d'une spirale, pour que tout s'enlise !

 

Et vise à faire la vertu du vice novice !

Mais qui préfère se donner du mal en bien  !

Pour serrer la vis au vice à son service !

Afin de resserrer les liens o combien

 

Précieux par les temps qui courent ! Laissés-pour-compte 

A rebours qui dévalent le détour ! Au tour

De qui de prendre son tour tout au bout du compte ?

Qui laisse passer et présager en ce jour !

 

Le jour, côté lumière, la nuit, côté ombre !

Entre ombre et lumière dormant dans la pénombre;

Regarder les ombres que la lumière dénombre;

Et assombrit dans leurs mauvais côtés sombres;

 

Le miroir qui fait réfléchir leur reflet !

Flux et reflux que renvoie l'effet miroir !

Qui fait réfléchir leurs bons; mauvais côtés !

Qui fait voir, revoir s'il est déjà trop tard !

 

Pour changer leurs caractères dans l'air du temps !

L'air de rien étant radieux ! Etang bougon !

Tantôt maussade; tantôt aussitôt charmant !

Effet ronchon; mêlez-vous de vos oignons !

 

Qui vous donnent envie de sangloter; pleurer

Sous de magnifiques; formidables saules pleureurs !

A regretter le bonheur de siroter

Un bon Monaco aguicheur et rieur !

 

Songeant enjoliveur en villégiature !

D'aller séjourner à Monaco; allant

Recueillir une nouvelle jeunesse dans le pur !

Plein d'allant; avenant; venant; revenant

 

Le jour, côté lumière, la nuit, côté ombre !

Entre ombre et lumière dormant dans la pénombre;

Regarder les ombres que la lumière dénombre;

Et assombrit dans leurs mauvais côtés sombres.

 

Jérôme de Mars

 

Scélérat

 

Je suis un

Drôle d'voyou !

Sans refrain

Du bayou !

 

Un gangster;

Un filou;

Un sniper;

Un relou

 

Qui en joue !

Et bien tire !

Qui sait tout !

Se retire !

 

J'me suis fait

Arrêté !

Prisonnier;

Décrété

 

Scélérat;

Comme un rat !

C'est les rats !

Morts aux rats !

 

J'suis au ras

Des Pâquerettes !

Os trépas !

J'fais trempette !

 

C'est l'égal !

Ca m'est égal !

C'est légal !

Ca m'est légal !

 

Que je suis

Hors-la-loi !

Qui et suie !

Désarroi!

 

Pour descendre

Enfumant !

Pour des cendres

En fumant !

 

Scélérat;

Comme un rat !

C'est les rats !

Morts aux rats !

 

En prison

Taule de fer !

Cachetons

Tôle d'enfer !

 

Je suis un

Toreador !

S'ensuit hein !

Mirador !

 

Mort-vivant

A p'tit feu !

Remords vivants

Sur mon pieu !

 

Implorant

Un adieu !

En pleurant

Si radieux !

 

Scélérat;

Comme un rat !

C'est les rats !

Morts aux rats !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Il prend des grands airs

 

Dans son élément;

La musique séduit

Tout comme un aimant !

Ravi; infini

 

Tiré par l'cheveu;

Hair jusqu'à l'orgie

D'un air hippie pieux;

Chéri, renchéri  !

 

Entre ombre et lumière !

Qui erre d'ère en nerfs

Avec Julien Clerc,

Comme dans un éclair

 

D'génie ingénu !

Qui crie sa colère !

Débonnaire en mue;

Qui en décolle l'air !

 

Il prend des grands airs;

En roulant les airs !

Césaire à ces airs

Sévères mais ces vers !

 

Roulant mécanique;

Ca lui pompe l'système !

En airs harmoniques;

Synchroniques qui aiment

 

En écouter M;

Le chanteur qui songe

Pour que chacun sème

Une vie sans mensonges !

 

Entre la nuit, le jour !

Ecrivant chaque page

Des jours troubadours

Buvant les ramages

 

D'un air de musique !

En bouillon de culture;

Sifflant nostalgique

Nouvelle aventure !

 

Il prend des grands airs;

En roulant les airs !

Césaire à ces airs

Sévères mais ces vers !

 

Cherchant l'renouveau

En bonne compagnie !

Que des bibelots

Pour la galerie !

 

Comme là aux Antilles !

A l'un lentille vue

Tout ce qui s'faufile !

Lu bien entendu !

 

L'air à l'encre marine

A l'air délicieux !

Sublime qui serine

Clamant silencieux !

 

Que cet air a l'air

D'une ballade qui drague

Tout le monde a l'aire !

Nouvelle ère qui élague !

 

Il prend des grands airs;

En roulant les airs !

Césaire à ces airs

Sévères mais ces vers !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le soleil a infusé !

 

Salon de thé ;

En effet !

Au temps

C'est sa tasse de thé  !

Autant prendre son temps

Avec la météo effet météo;

Qui fait la météo

De la pluie et du bon temps;

Car voici une fusée

Mise en orbite;

Qui gravite

Le soleil a infusé !

Avec légèreté

Dans l'espace temps;

En plénitude

Malgré l'amplitude

Du temps ambivalent;

Qui ne rend linéaire l'imaginaire

Face au temps bipolaire

De la vie sur Terre,

Où les idées claires

Entre ombre et lumière;

Ont fusé

Le soleil a infusé !

Avec aucun nuage

A l'horizon !

Malgré le caractère abscons

Du ciel comme un éclair

Dans son changement d'humeur !

Pourquoi le soleil hait râleur

Et non rieur !

Alors que la lune n'a de la rancœur

Face à la colère du soleil !

De mauvaise humeur spirituelle !

Alors que la lune paraît fraternelle

De meilleure humeur virtuelle,

Alors que l'essentiel est de larguer

Non-essentiel; ce qui est superficiel

Et artificiel !

Pour voguer vers la bonté et la beauté

Naturelle; avec donc là essentiel !

Pour fuser les idées

Dans un salon de thé !

Où ce sera sa tasse de thé diffusée  !

Avec effet !

Le soleil a infusé !

 

Jérôme de Mars

Pas de quartier !

 

Rue des voitures;

Qui court-circuitent !

Etres défigurent

Avec leur cuite;

 

Y a dans ma rue !

La loi et l'oie

De l'inconnu !

Qui effet foi

 

Son côté lune;

Lunatique et

Sans une rancune;

Névrotique fait 

 

D'être bipolaire;

Tout fout le camp !

Non linéaire

Depuis ce temps;

 

Pas de quartier !

Dans mon quartier !

Jouant au quarté !

Golden Gate Quartet

 

Plus rien tourne rond !

Qui se détourne

En bande de cons !

Quand des cons tournent

 

Contournent, retournent

Désillusions !

Tous se contournent

Des illusions !

 

A l'avenue

Des cent soucis;

Car à la rue

Des sans soucis;

 

Tous veulent la vie

A en finir

Avec la nuit !

A en maudire !

 

Pas de quartier !

Dans mon quartier !

Jouant au quarté !

Golden Gate Quartet

 

Cousu d'fil blanc !

A plat d'couture !

Jeu d'dés sans blanc

En couverture;

 

Le monde est noir !

A en souffrir

Dans les couloirs;

Rue des plaisirs !

 

Tout noir tout blanc ? !

Malgré qu'le gris

N'est noir, n'est blanc !

Si d'une griserie !

 

En un porte-bonheur

Y a un gris-gris !

A la bonheur !

Plus rien aigri !

 

Pas de quartier !

Dans mon quartier !

Jouant au quarté !

Golden Gate Quartet

 

Jérôme de Mars

Tague ton poème !

 

Culture urbaine; 

C'est du street art !

Oh ! Quelle aubaine !

C'est du strict art !

 

L'heure du rencard

N'importe quelle heure !

Taille des costards !

Pour mettre du beur 

 

Dans les épinards!

Comme une belle fresque;

Buvant des pinards

En arabesques !

 

Si romanesques;

A en rapper

Ta zone en fresque !

Presque des rappées;

 

Tague ton poème !

Vis de bohème !

Pourvu qu'on t'aime

Avec ton thème !

 

Où tu pique-niques !

Fornique d'amour !

Lançant épique; 

Toi troubadour !

 

Issu urbain

Dans ta grande ville;

Et si serein

Dans ta gueule vile,

 

Où tu sévis

Parmi les durs;

Tu sais ces vies !

Toi qui endures !

 

Tout dans la vie !

Que tu n'y crois

Ton graffiti !

Quand tu y croîs !

 

Tague ton bohème !

Vis de bohème !

Pourvu qu'on t'aime

Avec ton thème !

 

Si avec soin;

Tu prodiguais

Tout ton béguin !

Pour redonner

 

Que de l'amour

Dans leur destin !

Faisant la cour

En un festin !

 

Saga cité;

Car cécités !

Saga citée;

T'as récité !

 

A l'aveuglette

L'prétexte cité !

En tes roupettes

Pour déraper ! 

 

Tague ton poème !

Vis de bohème !

Pourvu qu'on t'aime

Avec ton thème !

 

Jérôme de Mars

Je surfe sur Internet !

 

D'un effet boule de neige !

Je fais du snowboard sur

Chaussures après-ski d'neige !

Planchant à toute allure !

 

Montrant ma bonne nature;

Ecoutant Avalanche

Années 80 en dur !

Prenant toute ma revanche;

 

Remontée mécanique;

Je reprends des grands airs !

Surmontés névrotiques;

J'en reprends débonnaire !

 

La vie en un grand air !

Démontrant l'oraison !

Embellie pulmonaire;

M'ramenant la raison !

 

Je surfe sur Internet !

En surfant sans fossettes;

En surfant mes facettes;

Je surfe sur à Terre nette !

 

En faisant des plans sûres

La comète, pourvu que

J'y mette du mien ! Si pur !

Songeant un jour si pieux !

 

Je monte sur un chasse-neige !

Enlevant mon fardeau

D'un effet boule de neige !

Cet hiver ! Mon héros !

 

Cela m'inspire des mots !

Surfant la reine des neiges;

Me causant des échos

D'hiver en privilège !

 

Nourrissant toute ma sève 

En mon jardin d'hiver !

Avant qu'il y ait la trêve !

Surfant depuis la mère;

 

 

Je surfe sur Internet !

En surfant sans fossettes;

En surfant mes facettes;

Je surfe sur à Terre nette !

 

En ce 24 décembre;

Renaissance de ma mère !

Ca y est, elle se démembre !

Des membres trop délétères !

 

Ce n'est Noël; ma mère !

Sait-elle qui est innée;

Cette année austère ?

Qui hait immaculée !

 

Conception; contraction;

Qui immatriculait !

Vitro fécondation !

Contraception; c'était

 

J'y nais prématuré !

D'un mal couvant le mâle !

En une couveuse futée

D'un mâle couvrant le mal !

 

Je surfe sur Internet !

En surfant sans fossettes;

En surfant mes facettes;

Je surfe sur à Terre nette !

 

Jérôme de Mars

 

 

La machine à laver la planète 

 

Au sujet de toute l'écologie !

Si au lieu de s'en laver les mains;

On en faisait l'école de la vie !

Au lieu de remettre tout à demain !

 

Ce qu'on peut faire aujourd'hui; non hier !

A savoir donner un coup de main !

Pour entretenir les grandes bruyères

Et les fougères; grâce aux petites mains !

 

Qui ont la main verte dans les jardins !

En ville de Hyères à Fougères; en Yerres

Avec en jardin secret; le clin

D'œil de jardiniers vrais solidaires !

 

Qui ne débinent leur jardin secret !

Et gardent leur belle personnalité !

Pour entretenir que l'amitié

Des gens à fleur de peau ! Allant vers

 

La machine à laver la planète,

Refaisant des plans sur la comète !

Se rappelant qu'elle était si chouette !

Sans ses fossettes mais en ses facettes

 

Au pluriel général singulier;

A en balayer devant sa porte !

Avec un balai pour nettoyer

Et laver les cloportes qui colportent

 

Le journal des grosses mauvaises nouvelles !

A en éclairer le monde entier !

De pourquoi il s'érige solennel !

Alors qu'il souhaite la fraternité !

 

Pour rassembler et se rassembler;

Pour s'assembler en une assemblée 

De gens volontaires ! Pour parsemer

De petites graines en vue d'édifier 

 

Un monde sans artifice mais en paix !

Où chacun mettrait en pierre rebelle !

Un monde meilleur d'édifice qui fait

L'amour au lieu de la haine ! Qui scelle

 

La machine à laver la planète,

Refaisant des plans sur la comète !

Se rappelant qu'elle était si chouette !

Sans ses fossettes mais en ses facettes

 

Qui produisent une terre qui tourne très rond !

Qui défrichent en une Terre riche, prospère !

Terre d'amour et d'amitié sans les cons !

Qui feraient des vestiges en jachère !

 

Alors que La Terre veut un climat 

Social dans la propreté joviale !

Sans le sale d'une salle de pugilat !

Où tous espèrent un monde amical !

 

Davantage cordial sans s'en laver

Les mains égoïstes dans un monde triste !

S'imbibant libéral pour tremper

Dans des magouilles, où tous veulent altruistes !

 

De toute urgence ! L'immense résilience

D'un monde meilleur; pour ressusciter

La fraternité en renaissance

D'solidarité ! Pour susciter

 

La machine à laver la planète,

Refaisant des plans sur la comète !

Se rappelant qu'elle était si chouette !

Sans ses fossettes mais en ses facettes.

 

Jérôme de Mars

Je suis marteau !

 

Boîte à outils

En dents de si !

Je suis habile

Que j'suis assis !

 

Clé à molette;

A en serrer

Toute ma mallette;

A en capter

 

De l'attention !

Je tourne et vise !

Manque d'attention;

Je serre la vis !

 

Que c'est un vice

En une devise;

Coupe qui dévisse !

Monnaie devise;

 

Je suis marteau !

Un bricolo

Aux bons tuyaux !

En mon pinceau

 

D'la tronçonneuse !

Et que je pioche

En une souffleuse;

Que j'ai une pioche

 

En sécateur !

Coupant tenailles !

Dans mon secteur

En mon travail

 

D'débroussailleuse!

Génies en herbe !

De ma tondeuse

Génies désherbent !

 

Cherchant une clé

De grande musique;

Faisant une clé

En forme olympique !

 

Je suis marteau !

Un bricolo

Aux bons tuyaux !

En mon pinceau

 

Suis écolo

Dans le panneau !

Parlant déco

En mes échos !

 

Faisant une pelle !

Brosse à reluire

Roulant une pelle !

Brosse à enduire

 

L'appel de la

Forêt ! De l'or

En barre d'éclats !

Que je redore

 

En ma brouette;

Rue des travaux !

J'fais la brouette

Des matériaux !

 

Je suis marteau !

Un bricolo

Aux bons tuyaux !

En mon pinceau.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Maintenant, c'est moi qui mets en boîte L'ESAT La Fabrique !

 

Petite saynète sur L'ESAT La Fabrique écrite par Jérôme Bedrossian alias Jérôme de Mars, ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique qui interroge ses anciens collègues de L'ESAT La Fabrique pour voir ce qu'est devenu L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian qui appelle son ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : Charlotte Leprêtre qui est aujourd'hui à la retraite :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : 

-  "  Allo Charlotte, bonjour comment vas-tu ?  Quoi de neuf ?  "

 

Charlotte Leprêtre ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

- " Mâle, mon petit Jérôme, si tu savais comme je suis malade que j'en déchante surtout qu'il y a Nicolas Dupont, notre ancien collègue à l'atelier conditionnement qui n'arrête pas de m'appeler pour me dire que L'ESAT La Fabrique est de pire en pire, remarque, tu vois Jérôme, ça ne me surprend guère comme à L'ESAT La Fabrique l'argent, est le nerf de la guerre surtout qu'à l'atelier conditionnement, tout le monde nous mettait en boîte toi et moi Jérôme, tu t'en souviens ?  Surtout que maintenant Nicolas Dupond m'a dit qu'ils ne font plus Dugas, les bouteilles d'alcool à L'ESAT mais en allant tous les jours à Dugas où Eric Thébault, choisit chaque différents agents pour les emmener en détachement, bonjour les Dugas ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : 

- " Ne m'en parle Charlotte, à force qu'on me dise que je suis malade et un taret en me répétant que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT, je me suis souvent demandé moi, sers-je lama ? Comme tout le monde me crachait à la figure que maintenant c'est moi qui mets tout le monde dans cette petite saynète afin que je la conserve car maintenant, c'est dans la boîte de conserve cette fabrique de merde que je me demande ce que j'ai pu y fabriquer pendant 16 ans et 4 mois, si tu savais Charlotte, j'ai autant que toi déchanté dans cet ESAT que quand j'en ai perdu le respect de la parole donnée, que j'ai du composer en décomposition tellement que je me suis désintégré à en perdre mon intégrité vu tout ce qu'on m'a fait dans cet ESAT de merde, où j'ai envie de tous leur dire allez ! Tous vous faire foutre ! Fuck L'ESAT La Fabrique, j'en ai plus rien à foutre ! 

 

Ensuite Jérôme Bedrossian appelle son autre ancien collègue Christophe Majek entre l'atelier livraison et l'atelier cuisine :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : 

-  "  Bonjour Christophe, comment vas-tu ? Pourquoi ne me réponds-tu plus à mes SMS ? "

 

Christophe Majek, ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :

-  " Jérôme, je n'ai plus envie de te parler avec tes dérapages et tes provocations, j'en ai rien plus rien à péter de toi, que maintenant, je ne pense qu'à ma gueule en mon état bipolaire dans la bonne et la mauvaise humeur, chacun pour soi et Dieu pour tous, à un tel point que je suis livré à moi-même et si désœuvré que plus personne ne me cuisine à L'ESAT surtout qu'on doit aller vite pour faire le travail parce-qu'on livre que je n'ai plus le temps de me livrer à toi en buvant le café du commerce au Palace ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : 

-  " Ca ne m'étonne pas que t'en ai plus rien à péter de moi comme maintenant, tu te mets toi aussi à péter des plombs comme les autres à L'ESAT La Fabrique ! 

Tu peux dire ce que tu veux ! Ca m'est égal comme c'est légal ce que tu me dis ! "

 

Maintenant Jérôme Bedrossian appelle Christophe Pou, son ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : 

-  "  Bonjour Christophe, comment vas-tu ? Quoi de neuf ? "

 

Christophe Pou, ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Désolé, Jérôme, je n'ai pas le temps de te parler car je dois me dépêcher à faire mon travail pour tourner la page du conditionnement et maintenant me consacrer aux livres pour que je me délivre et je me livre du conditionnement en en faisant un livre à charge de revanche !  Et en fait pourquoi me demandes quoi de neuf ? Il n'y a rien de neuf que du vieux surtout que je prends de l'âge à presque 73 ans ! Non, je me trompe 37 ans, j'ai inversé les chiffres pour que tu me déchiffres Jérôme ! Allez à plus !  "

 

Maintenant Jérôme appelle Nicolas Dupond, son ancien collègue à L'ESAT La Fabrique : 

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : 

-  "  Bonjour Nicolas, comment vas-tu ? Quelles sont les nouvelles ?  "

 

Nicolas Dupond, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

-  "  Bonjour ça va, et toi ? Oh ! Mon Dieu que tu as bien fait de partir de cet ESAT avec tous les revers solitaires que tu as eus dans cet ESAT ! Car tu vois à L'ESAT, il n'y a plus de vers solidaires mais que des vers solitaires qui s'asticotent tous surtout que maintenant, chaque jour quasiment, Eric Thebault m'envoie souvent avec d'autres agents pour faire Dugas, les bouteilles d'alcool en détachement que j'ai envie de te dire, ce travail me soûle à un tel point que tu ne peux pas imaginer Jérôme ! Bonjour les dégâts ! Avec Dugas faits par des gars car bonjour laids Dugas ! Si un jour, tu veux qu'on aille boire ensemble un café, appelle-moi ! Cela me ferait plaisir de te revoir ! Jérôme ! Tiens Jérôme, y a Jocelyne et Tony qui veulent te passer leur bonjour en série ! "

 

Jocelyne, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

-  " Jérôme, moi et Nicolas, on te passe notre bonjour comme je suis Jocelyne, l'ange gardien de Nicolas !  Oups ! Je me suis trompé, c'est Joséphine, ange gardien, ma langue a fourché à cause d'un verre de trop d'acolytes ! "

 

Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

-  "  Bonjour mon pote, je te passe un chaleureux bonjour malgré qu'à L'ESAT, tout le monde était en froid avec toi à cause de tes coups de chauds et de réchauds que personne ne t'a compris à part moi pourquoi tu faisais des tours de chauffe au conditionnement pour t'échauffer les esprits ! A bientôt mon pote ! " 

 

En conclusion de cette saynète, Jérôme Bedrossian déclare :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : 

-  "  Qu'est-ce-que je vous avais dit sur L'ESAT La Fabrique ! Je suis tellement détaché de cet ESAT que pour répondre à ta question Nicolas, j'envoie une bouteille à la mer pour m'enivrer, tel un bateau ivre à la Arthur Rimbaud, comme dans cet ESAT, tout le monde m'a mené en bateau ! Que je vous dis à tous à toutes dans cet ESAT La Fabrique ! A l'abordage ! "

 

Jérôme de Mars

Une note salée dans la mer

 

Comme la partie émergée

De l'iceberg; mangeant

Une glace pour imaginer

Une armoire à glace ! Scrutant

 

Un piano déperdition

Pour mettre onomatopée !

Une note des compositions;

Décomposition d'flopée !

 

Regardant les mots dauphins;

Marchant sur de hautes échasses

De baleines en arlequins;

En faisant une montagne cocasse !

 

Qui déballe des laze hélas !

Que la mer croit au Père Noël !

Même si la mer semble trop lasse

Du 24 Décembre ! Oh ! Ciel !

 

Une note salée dans la mer;

Qui entre cocasse dans la guerre

Des nerfs qui relancent ah ! Mer !

Solitaire ou solidaire ! ?

 

Qu'est-ce-qu'une vie épanouie ?

Est-ce de l'embellie inouïe ?

Ou une vie en accalmie

En répit après la nuit ?

 

En laissant de glace la glace;

Le reflet du juste miroir

Fait réfléchir les gens nazes;

Leur semblant un exutoire !

 

Ceux qui ont le dernier mot !

Croient que la vie est un long

Fleuve tranquille d'une vie bateau !

Capitaine de moussaillons;

 

Ecumant toute l'amertume

De celui qui tient la barre !

Portant le poids de l'enclume

Avant que tous se rembarrent !

 

Une note salée dans la mer;

Qui entre cocasse dans la guerre

Des nerfs qui relancent ah ! Mer !

Solitaire ou solidaire ! ?

 

Ecrivant la nuit les bleus

De la mer en son encre bleue !

Versant son chagrin brumeux,

Comme demain, ça ira mieux !

 

Avec le soleil radieux

Qui montrera sa frimousse !

Pour que tous se moussent joyeux !

Avant que la nuit émousse

 

Les courageux téméraires;

Qui osent décrire l'overdose

De leur mer patibulaire;

Salutaire, où est son osmose

 

Qui donne vie pour faire le bien ?

Bon samaritain gentil !

Qui dit vis pour faire le lien !

Tous solidaire joyeux drille !

 

Une note salée dans la mer;

Qui entre cocasse dans la guerre

Des nerfs qui relancent ah ! Mer !

Solitaire ou solidaire ! ?

 

Jérôme de Mars

 

 

Ca vanne vahiné !

 

En un arc en ciel

De cœurs de palmiers;

Il y a l'aquarelle

Des grands arbres fruitiers !

 

Qui font pousser et

Repousser des troncs;

Des troncs d'arbre aimés;

Essaimant au long

 

Un ciel Africain!

Prenant d'la hauteur !

Jouant Jamaïcain

En prises de fraîcheur !

 

En en secouant 

Tout le cocotier  !

Aguichant dansant

D'un pied à contre-pied !

 

Ca vanne vahiné !

Pour marcher; démarcher

Savane vahiné;

Il faut regarder

 

Fouler, refouler

La terre des aïeux !

Sans se faire marcher

Sur les pieds odieux !

 

Hauts dieux ! Pénitence !

C'est d'un safari !

Que la providence

Veut en embellie !

 

En des marabouts

Relançant consorts !

Ceux qui sont à bout !

Grâce au sort essor

 

Pour faire la tribu

De ces autochtones,

D'où leur attribut

En ces amazones !

 

Ca vanne vahiné !

Pour marcher; démarcher

Savane vahiné;

Il faut regarder

 

La mer océan;

Essentielle béat

Comme édulcorant !

Aux sages adéquats;

 

Filant à l'Anglaise

En un groupe Aqua;

Semeur de foutaises !

Déchantant à quoi

 

Bon la mer à boire ?

A part boire ses algues;

Qui sont dépotoirs

Au creux de la vague !

 

Et si sans noyer

Le poisson d'Afrique;

Tout le monde se met;

Parsemait cantique !

 

Ca vanne vahiné !

Pour marcher; démarcher

Savane vahiné;

Il faut regarder.

 

Jérôme de Mars

Semblant grisé par l'un justice !

 

En faux-semblant, je fais sans blanc d'être blanchi et gris par l'injustice ! En du gris; en écrivant noir sur blanc le gris de ma vie, si bien que tout le monde est pour moi noir aigri; et gris ! Où je ne suis ni tout blanc ni tout noir ! Donc pâle en une colère noire, où dans ma vie, il y a souvent des blancs vu que je suis tout noir et des noirs vu que je suis tout blanc, mâle dans ma peau, où avec du gris; je fais sans blanc en n'ayant des idées noires; vu que je fais semblant en ayant des idées noires avec des faux sans blanc, d'avoir à nouveau de la griserie en reprenant des couleurs sans noir et blanc grisés; n'écrivant noir sur blanc que j'en vois la couleur ! Avec pour faux semblant de la griserie qui écrit que je suis définitivement blanchi et grisé par la justice !

 

Jérôme de Mars

L'embellie pulmonaire incarnait Michel Simon

 

Inné, Michel Simon naquit le 9 Avril 1895 à Genève,

Lui qui incarnait en mots dits " La beauté du diable ",

Un film incarné par lui pas par Marcel Carné;

Genre un faux diable pas si clair même si c'est René Clair;

Qui réalisa le film même qu'il joua Boudu sauvé des eaux,

Sauvé des os par sa passion pour les guenons,

Lui que tout le monde put singer à sa voix rocailleuse;

En chantant avec Serge Gainsbourg " L'herbe Tendre ", la bande 

Originale de sa vie sans attendre son génie d'artiste maudit mélancolique;

Qu'il fricota avec des prostituées et des travestis habitant parfois

Dans des maisons closes avec ses 100000 objets d'obsédé sensuel;

Mouliné de sexe; lui qui avait des complexes de vieux timoré !

Mais qui ne fut pas si complexe avec l'amour du sexe;

Que Marcel Carné le fit incarner des films plein d'entrain; luit

Qui fut au " Quai des brumes " avec Pierre Brasseur, Jean Gabin

Et Michèle Morgan, dont Marcel Carné le fit incarner un autre

Film réalisé également par lui; luit qui reluit de sa vie

Qui fut un drôle de drame; déporté par les pré-vers

De Sain Jacques de Compostelle; lui l'enchanteur;

Acteur de sa vie maudite mais resplendissant de son génie sulfureux,

Où il côtoya aussi bien Georges Pitoëff qui lui fit avoir

Du pain sur les planches en jouant dans 150 pièces

De théâtre, où il fit l'acteur au temps iconoclaste et anticonformiste

Dans 145 films; interprétant des rôles aussi divers que variés

Dans le genre comique, tragique, dramatique et burlesque,

L'acteur caméléon à la fois misanthrope et philanthrope; 

Recela plusieurs facettes qu'on ne sut le définir, luit l'artiste

Tourmenté, désabusé et hédoniste qui pouvait tout jouer au cinéma,

Du bourru au grand cœur, de la victime, au policier; du criminel 

Au clochard alcoolique, lui qui déchanta tant à déjouer les paumés de 

La vie; tel un clown contrasté en rôles torturés à l'image de sa vie cabossée

Et chaotique, où il respira les grands airs du clown blanc et auguste, lui qui

Dégusta de tant d'excès qui le consumèrent qu'il tourna " Le vieil homme et

L'enfant " de Claude Berri et Fric-Frac avec Arletty et Fernandel,

Il avait une telle facilité et une aisance déconcertante pour se

Fondre dans tous ses rôles; qu'il s'imprégna de ses rôles

Quitte à sauver sa peau en entrant dans celle des autres,

Qu'il ne respira guère la joie de vivre pendant l'occupation,

Que pour en crever l'abcès; il fuma et enfuma

Toute la beauté du diable pour mourir à petit feu !

Après avoir tourné son dernier film : " L'ibis rouge " de Jean-Pierre

Mocky pour rejoindre au paradis des immortels les disparus de Saint-Agil,

D'où il mourut d'une embolie pulmonaire le 30 mai 1975 à Bry-sur-Marne

Pour mieux respirer dans l'au-delà son embellie pulmonaire; luit le vieux

Au bris maintenant parti en fromage...Luit qui incarnait l'embellie pulmonaire;

En ce vieux chair Michel Simon, artiste qui fut acteur de sa vie romanesque,

Marginale et si originale qu'il fut un comédien magistral; subjugué par sa

Gouaille et son timbre particulier en une voix open reconnaissable !

Qu'il trouva sa voie comme acteur et enchanteur spécifique scie cocasse;

Qu'on lui décerna tout un concert de louanges, luit dorénavant

Réparti vers les anges après une vie d'ange brisée

Qu'il déploya qu'il s'envola tel un oiseau aux ailes brisées.

 

Jérôme de Mars

Les faux-cons

 

Sifflotant

En faux-derche !

Déhanchant

Tous leurs derches;

 

Il y en a

D'drôles d'oiseaux !

Rabat-joie !

Des zozos ;

 

Qui en font

Tous des caisses;

Ainsi font

Des espèces

 

Menacées 

Sans morale !

Dépecées

Par le mal !

 

Les faux-cons;

Qui en sont

Des faucons;

Qui en font

 

Vol de caisses;

Eux en pièces !

En espèces

Qu'ils dépiècent !

 

Qui en cause

Du mouron !

Car because

Nous mourons

 

A la vue

D'éléments !

En bévue

Sans aimant !

 

En rapaces

Du déni !

D'une besace

Que renient

 

Les faux-cons;

Qui en sont

Des faucons;

Qui en font

 

Qui font les

Cons ! Ainsi

Si Oh ! Laids !

Oui mais si

 

Imbus d'leur

Personne ! Qui

Fondent des leurres !

Après qui

 

En veulent-ils ?

A la Terre

Qui allie

Terre rentière ? !

 

Qui est le

Mâle heureux ? !

Qui hait le

Malheureux ? !

 

Les faux-cons;

Qui en sont

Des faucons;

Qui en font.

 

Jérôme de Mars

 

Les temps monotones

 

En ces mots divers

L'automne est passé;

En ces maux d'hiver

Qu'l'eau tonne trépassé !

 

En malentendus

En un sonotone,

Car mâles entendus

En un hexagone;

 

Où rien s'entend

En étant distant !

Qu'aucun s'entend

En étang détend !

 

Le temps est maussade

Qu'j'en fais une ballade !

Du temps hait Mossad

Que tous me baladent !

 

Les temps monotones;

Est passé l'automne !

Que j'en suis atone !

Que ça me rend stone !

 

De mélancolie;

Que je fais un blues

De misanthropie !

Qui fait que j'épouse

 

Le gris de ma vie

Qui veut évite dire !

Pourquoi je dévie

Ma vie à souffrir

 

Si désabusé;

M'habillant l'hiver !

Et si affublé

M'affligeant divers !

 

Que ma vie est un 

Compte de fée d'hiver !

Que je manque d'entrain !

Conte refait divers !

 

Les temps monotones;

Est passé l'automne !

Que j'en suis atone !

Que ça me rend stone !

 

Que j'arrose déviant !

Toute ma sinistrose;

De ma rose de vent

Que j'ai une cirrhose !

 

En mon manque de foi !

Dans ma vie rature

De ma planque dès fois

Dans ma vie roture !

 

Que j'écris ma peine !

Cris de ma feuille morte !

Oh ! Ma peine ! Open !

J'en fais une âme forte !

 

Après la dérive

Aux berges Espagnoles !

Ca y est, j'en arrive

Auberge Espagnole !

 

Les temps monotones;

Est passé l'automne !

Que j'en suis atone !

Que ça me rend stone !

 

Jérôme de Mars

Rock'in cher

 

Dans le loir

Et si cher

D'un dortoir;

Une gloire chère !

 

L'en touche une

Sans bouger,

Sans rancune

Le doigté !

 

D'un beau geste !

L'reposant

En des restes;

En flânant

 

Sûr en ses

Lauriers ! Scie

Assis et

Indécis !

 

Rock'in cher;

Surenchère !

Rocking chair;

Sûre en chair !

 

Il faut jouer

D'la musique !

Pour enjoué

Pacifique !

 

Instruments

De musique;

Tournent le vent

Acoustique !

 

Se bougeant;

Révoltant !

Contre l'instant

Renversant !

 

L'élément

D'un aimant;

Si amant;

Si sciemment !

 

Rock'in cher;

Surenchère !

Rocking chair;

Sûre en chair !

 

Faux-semblants

Apparents !

Cent vin blanc

Un par an !

 

Si un roc

En de pierre;

Si un rock

En deux Pierre

 

D'édifice !

Origine

D'artifice

Des racines;

 

Très à chaise !

Fatigué

Sur sa chaise !

Terrassé !

 

Rock'in cher;

Surenchère !

Rocking chair;

Sûre en chair !

 

Jérôme de Mars

Harcèlement sensuel

 

Croisement de l'entre-jambe;

Il y a effet d'volupté !

Ca te fait une trop belle jambe !

De puberté et d'pureté !

 

Qu'on peut penser, dépenser

A obsédé sexuel !

Qu'on peut panser, compenser

Six excédés sexuels !

 

En légitime libido;

Qui te fait tant travailler !

Au sujet de ton tuyau

D'arrosage à ébranler

 

Toute ta sexualité !

A te caresser l'engin

Toute ta sensualité

Branlée ! Pour te faire du bien !

 

Harcèlement sensuel;

Tu as toute la gestuelle !

Harcèlement sexuel;

Tu as tout le manuel !

 

En faisant la queue quoique !

Avec ton sexe belliqueux !

Versant d'un piano à queue

Tout ton liquide si visqueux !

 

Que tu paierais en liquide !

Toi ;le pervers très vicieux !

Où tu jouirais si humide !

Toi; le Prévert très visqueux !

 

Ca fait du bien par où ça

Passe et où ça sort; essore !

Avec tes filles rabat-joie !

Filles de joie en plein essor !

 

Tu tires, étires et retires

Ta crampe en cure de jouvence !

Qui t'fait rôtir de plaisirs !

Toi au septième ciel d'jouissance !

 

Harcèlement sensuel;

Tu as toute la gestuelle !

Harcèlement sexuel;

Tu as tout le manuel !

 

Que tu rougis de baisers

A éclater son vagin !

Que tu rugis deux baisés

A t'éclater ton engin !

 

Que tu envoies, renvoies tout !

Ta grande crème fraîche qui allèche

Ton appétit; qui exulte fou !

Bandant mou; doux qui t'assèche

 

Ton bon liquide séminal !

Concentré pur jus pressé !

T'as compressé animal !

Ton concentré oh ! Pressé !

 

Que tu craches en gros morceaux !

Que tu mousses Line et purée !

Que tu craches ton gros tuyau !

Que t'émousses Line épurée !

 

Harcèlement sensuel;

Tu as toute la gestuelle !

Harcèlement sexuel;

Tu as tout le manuel !

 

Jérôme de Mars

 

 

L'appel générale de 18 joints mille neufs sans quarante !

 

En générale avant, il y avait la gaule

En général de Gaulle,

Qui voulait la paix et La France libre

Lors de l'appel de 18 juin 1940 !

Pour que tout le monde vibre

A nouveau avant la fibre 

Optique bien après l'an 40 !

Que j'ai envie de fumer 

Comme calumet de la paix;

L'appel générale de 18 joints mille neufs sans quarante !

Pour enfumer l'appel général de 18 Juin 1940 !

Afin que tout le monde retrouve en générale

La France de la Gaule; n'est-ce-pas mon général

De Gaulle ?

Pourvu que quelqu'un ne me gaule !

A part s'il y a un goal de l'équipe de France de foot !

Vu que je n'en ai rien à foot ! A part si je me shoote

Pour partir en fumée et mourir à p'tit feu 

Depuis mon pieux faute de croire à Dieu !

Au lieu de l'appel général de 18 juin 1940,

Je préfère l'appel générale de 18 joints mille neufs cents quarante !

Pas dans une salle de foot !

Mais pas à pas dans une salle de shoot !

A base de résine de cannabis, de shit, de marijuana,

De bédo, de haschich ! Oh ! Chiche ! Oh quel toupet !

Depuis naguère et paix en épée de Damoclès !

Oh ! Quelle daube ! Cette Marseillaise ! A qui j'ai

Envie de dire mes foutaises avec mes charentaises !

En passant un savon en jet, moi si dérangé !

Alèse ! Je me repose sur mes lauriers à l'aise !

D'où du général de Gaulle ! Le plus important est

D'avoir la gaule sans que personne ne me gaule !

Dans le pays de La Gaule !  En faire de tôle !

N'est-ce pas en générale votre gaule

A vous ! Mon général si vous avez encore la gaule ?

Pour redonner d'où vous êtes, la gaule

Au pays de La Gaule, sans que personne ne vous gaule !

Avec en générale votre Gaule !

De votre part Monsieur le Général de Gaulle !

Et si pour partir en fumée, enfumée, vous me donniez

Une cigarette de chanvre pour partir ici joint, en joint !

Rejoint par votre appel général de 18 juin 1940 !

Dont moi sans que ça date de l'an 40,

J'en ferai à coût sûr en juin ça sera bien !

L'appel générale de 18 joints mille neufs sans quarante !

N'est-ce-pas en générale la gaule dans le pays de La Gaule !

Mon cher Général de Gaulle ?

 

Jérôme de Mars

 

 

Robinet à vannes à la source

 

Petites vannes sur les adhérents du GEM de Vitry : " Le Grison "

 

1) Quand Dorothée vient au GEM de Vitry le mardi et le jeudi, elle retrouve son club Gerald et Sultana car tel est le Club Dorothée ! 

 

2) Mené tambour battant en répercussions, je ne participe pas à l'atelier musique de Gerald au GEM de Vitry comme je déchante dans la vie que j'écris à la place des chansons pour y laisser des plumes !

 

3) Concernant Guillaume en tant que jardinier à la Mairie de Gif sur Yvette, quand il vient au GEM de Vitry, il cultive très bien l'amitié avec Philippe Benguigui en buvant un poto rose car grâce à l'amitié, la vie est rose !

 

4) Depuis que Guillaume est jardinier et qu'il a son propre jardin secret, Guillaume voit la vie en rose !

 

5)  Depuis que Bénédicte est au GEM de Vitry, en faim pour elle, c'est du gâteau surtout quand elle utilise le rouleau à pâtisserie pour ne plus être au bout du rouleau vu que Bénédicte est une crème !

 

6) Rafaël conte sur Jérôme pour lui raconter des histoires à dormir debout ! Comme au bout du conte, Jérôme conte sur Rafaël pour l'aider à régler ses comptes avec le GEM de Vitry chaque début de mois !

 

7) Au bout du compte, Rafaël est spécialiste de son compte en banque comme au bout du conte, Jérôme est spécialiste de son conte de saltimbanque !

 

8) Je verrais bien Ouahiba faire de la danse au GEM de Vitry en passant le ballet lors d'un remue-ménage de printemps !

 

9)  Si je ne participe jamais le lundi à la sophrologie, c'est parce-que je suis long à la détente !

 

10)  Le jour où j'écrirais un énième slam sur le Tour de France, c'est que je recyclerai mes vieux petits vélos psychiatriques !

 

11) Gerald doit mettre la pédale douce pour ne plus tomber de son vélo ! Voilà la chute de l'histoire !

 

12) Quand au GEM de Vitry, certains adhérents fument chaque jour des cigarettes, on n'y voit que du feu comme ils grillent toutes leurs cartouches !

 

13) On connaît la chanson pour en faire au GEM de Vitry, j'écris les paroles et Gerald doit composer avec tout ça en en faisant une musique à portée de main, comme luit a toujours le dernier mot !

 

14) Imaginons qu'un jour Philippe Lean vend ses origamis, il en fera de la vante à la découpe !

 

15) Même que c'est Gerald qui mène la baguette à l'atelier musique, il suffirait qu'Alain qui fait de la percussion ait la baguette magique lors de chaque roulement de tambour !

 

Jérôme de Mars

 

 

Si un manouche fumait des gitanes...

 

En fumant une taffe de cigarettes;

Enjoué en joue fumant des gauloises;

Le manouche au taf de ses emplettes !

Nous enchante en ses paroles grivoises

 

Sur d'la musique qui dépanne son cœur;

Son cœur qui bat la chamade gauloise !

Et qui cherche des chœurs sans une rancœur

Pour déchanter con plainte grande bourgeoise;

 

Et la réenchanter en ballade !

Qui donne, redonne, s'adonne en paroles !

Pour que la musique ne soit en rade !

Avec pour gros mots ses farandoles

 

D'ex ado parano et mégalo !

D'où il avait avec les tziganes;

Des bouffées d'oxygène en rétro !

Qui fanent à fleur de peau tous ses fans !

 

Si un manouche fumait des gitanes...

Voudrait-il partir fumée tziganes ?

Fumant, enfumant fumées d'gitanes !

Faisant du jazz manouche très tzigane !

 

Où il fumerait le calumet

D'la paix en bouffées à volonté !

Fumant des nuages de volupté !

A volonté et pour voyager

 

En y chambrant les gens du voyage

Aux danses abords de sa caravane !

Du grand jazz manouche musique sauvage !

Ce manouche en chantait car à Vannes !

 

Vile très louche ! Il fumait; enfumait

Tout le monde en des paroles hagardes !

En tant que trublion qui crevait

Les tympans chantant  " Chansons paillardes "

 

La forme conforme qui difforme méformes;

Mes formes enfumant sa nouvelle taffe

De cigarettes ! Remettant les formes

De cigarettes et bien paf au taf !

 

Si un manouche fumait des gitanes...

Voudrait-il partir fumée tziganes ?

Fumant, enfumant fumées d'gitanes !

Faisant du jazz manouche très tzigane !

 

D'un écran de fumée qui dépanne;

Enfumée de tziganes mélomane !

Chic carré contrecarré qui fane

Les fans branchés barrés qui émanent !

 

Yes man en un look baroque loufoque;

Qui ressemblerait, rassemblerait

Une communauté de fans bas rock !

Pour unifier et tout réunifier

 

Mégalomanes et très mélomanes

En paroles grivoises fumant gauloises !

Fumant les Françaises gauloises qui fanent

Les gens à fleur d'peau, une fan bourgeoise !

 

Qui jouxterait et man pyromane !

Feu Yes man pour qu'émane en emplettes

Au taf ! Les tziganes et les gitanes !

Fumant une dernière taffe d'cigarettes !

 

Si un manouche fumait des gitanes...

Voudrait-il partir fumée tziganes ?

Fumant, enfumant fumées d'gitanes !

Faisant du jazz manouche très tzigane !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Poème ambigu

 

Comme un éclair;

Je ne suis clair

Dans ce poème ambigu;

Où je fais l'abscons

Tout rubicond !

Or ! Ce que ce que j'écris 

Est biscornu

Et farfelu à l'envie !

De mon autoportrait

A mon auto abstrait;

Comme je vois flou

Avec du flouze !

En ce poème ambigu

De partouze !

Où je suis si fou !

Et bizarre

Parmi le plus blizzard !

Où je suis sombre !

En grand nombre

De ma pénombre

A l'ombre;

Entre ombre et lumière !

De moi qui ne suis clair !

Comme un éclair !

Obscur horizon;

Moi l'abscons !

Jusqu'à l'absolu

Et perdu 

De ce poème plus qu'ambigu.

 

Jérôme de Mars

Seringue

 

Dingue sans garde-fous,

J'envoie et je lance des piques

Epiques sous les tropiques

Dans ce monde de fous,

Dont moi qui suis dingue !

Je me pique avec une seringue

En piqûre de rappel !

Comme une aquarelle;

Où dans un ballon d'essai;

Je shoote

En faisant un essai !

Que j'en ai rien à foot !

Moi qui me shoote

Aux médocs qui m'encroûtent

Sans seringue,

Car pas assez dingue !

Pour que je me flingue 

Avec mon emporte-flingue;

Que je dézingue

Toutes mes fringues

Sans seringue;

Qui pique mon âme baltringue

Exotique en tics antiques

Du fait que je suis dingue;

Sourdingue et lourdingue

Avec en piqûre de rappel

Solennelle et informelle !

Que je suis dingue

Sans foot;

Mais avec shoot

Cent seringues.

 

Jérôme de Mars

Quand il fait beau, je ris !

 

En attendant l'été;

Je patiente sirotant

Un café à m'marrer !

Amarrer m'esclaffant

 

En janvier sans soleil

Disjoncté; regardant

Ce monde effet d'oseille;

Se fourvoyant; méchant

 

En des choses indécentes

De chiennes de vie gamelles;

Où tous dès la descente

D'un parti font la belle !

 

En des chiens de faïence;

Se repentant après

De leur loi du silence !

Et guitare renseignée !

 

Quand il fait beau, je ris !

Quand il pleut tant, je pleure !

Fait rieur, je souris !

En parasols pleureurs !

 

La vie et le temps sont

Des genres aux idéaux;

Remontant d'ultrasons

Portables mode avion hauts !

 

Direction La Côte d'Azur

A regarder la brise;

Qui vend, pourfend l'armure !

Pourquoi notre monde se brise

 

En voiture de pare-brise ?

Laissant sur le carreau !

Ce qui nous renoue brise

En éclats de sanglots !

 

Un coup ça va ! S'en va !

Ou tous sont mal lunés !

Car ça va pas appât !

Preuve que tous sont burnés !

 

Quand il fait beau, je ris !

Quand il pleut tant, je pleure !

Fait rieur, je souris !

En parasols pleureurs !

 

Pour en refaire du zèle;

Il faut être en grande une !

Soit face lune; face soleil

Sans rancune; sans lacunes !

 

Quand est-ce-que tout ira

Bien ? Demain très lointain ?

Pourquoi chacun s'en bat

De tout ! Enclin; déclin

 

D'œil à se rincer l'œil !

En ce monde bipolaire ?

S'fourrant en trompe-l'œil !

En ce monde qui manque d'air !

 

Car lapidaire; se fourrant 

Le doigt dans l'œil d'orgueil !

Se réjouissant semblant !

Que tout fout l'camp d'écueils !

 

Quand il fait beau, je ris !

Quand il pleut tant, je pleure !

Fait rieur, je souris !

En parasols pleureurs !

 

Jérôme de Mars

 

 

Il pleut un soleil !

 

Reçu cinq sur cinq !

Dans le club des cinq;

Ce qui nous requinque;

C'est un monde sans feinte !

 

Mais vrai sans nuages 

Et sans la pluie triste,

Avec des ramages

Qui nous rendent altruistes !

 

Panoplie d'artistes

Qui rendent le monde beau !

Sans les égoïstes;

Prenons l'escabeau !

 

Qui va vers le haut

Sans médiocrité !

On va vers le haut !

Sans oh ! Camouflets !

 

Il pleut un soleil !

En des étincelles;

Qui nous émerveillent

Sans l'oseille réveil !

 

Y a pas que l'argent !

Qui compte dans la vie !

Y a également

De garder l'envie !

 

D'être en vie malgré

La nuit qui sévit 

En remords, regrets !

Qui font tôt si nuits !

 

Y a du bonheur 

Dans la vie aussi !

Tartinant son labeur

En des confettis !

 

Qui nous rendent heureux;

Ravis éblouis

En être fabuleux !

Rendant notre monde joli !

 

Il pleut un soleil !

En des étincelles;

Qui nous émerveillent

Sans l'oseille réveil !

 

En gardant espoir;

On s'embellit tant

En de belles histoires;

Comme le bon vieux temps !

 

Qui nous fait revivre

Tous nous souvenirs;

Qui nous enivrent, livrent

Pour un avenir

 

Meilleur, à chaque heure;

L'heure de vérité

A sonné l'ardeur

D'la témérité !

 

De ceux émérites

Qui ne déméritent !

Mais qui ont l'mérite !

Si bien que gravite 

 

Il pleut un soleil !

En des étincelles;

Qui nous émerveillent

Sans l'oseille réveil !

 

Jérôme de Mars

 

Graffiti 94

 

En vous faisant un beau dessin

En représentation d'une fresque,

Si c'était de la bombe dessein !

Qui ferait un tag pittoresque

 

Romanesque allant droit dans l'mur ?

Etant sa propre caricature !

Faisant d'un crayon pâle figure;

Droit de cité sa belle nature !

 

Recevant en tableau d'honneur !

Des personnages natures vivantes;

Qui feraient une grande haie d'honneur !

En ce monde cent couleurs aimantes !

 

Si la saga citée citait

La dictée de la bonne conduite !

Il suffirait d'en esquisser 

Une aquarelle en des lits d'fuite !

 

Graffiti 94;

On peut voir en peinture 14 

Personnes qui frôlent leur overdose !

Cette peinture a eu toute sa dose !

 

Qui voudrait sans sortir du cadre

Accrocher des tableaux au ciel ?

Décrochant la lune qui recadre

L'essentiel en un arc en ciel !

 

Qui verrait en verrait la couleur

De la peinture d'huile ! Allo ! sûre 

Le feu pour reprendre des couleurs

Hautes en couleurs cette fois mâtures !

 

Qui aimerait revendre la mèche

D'une bombe de peinture allumant

C'est d'la bombe antisèche revêche

Qui crèverait tant les tympans ?

 

Tintant avec sagacité !

Que le chaud caillera d'éclats !

La racaille en un droit d'citer

L'oraison de tous ces et moi !

 

Graffiti 94;

On peut voir en peinture 14 

Personnes qui frôlent leur overdose !

Cette peinture a eu toute sa dose !

 

Folle alliée en ces mauvaises graines;

Il y a encore l'eldorado !

Pour ne plus s'en faire de L'Eden;

Même que tout le monde a bobo !

 

Comme les bobos bourgeois bohèmes

Riches d'leur argent, pauvres en amour !

C'qui compte, est que tout le monde s'aime

Sème d'amour; bonjour en ces jours !

 

Qui valent en corps tout le détour !

De l'amour manichéen plein !

Ajoutant au tableau; l'amour

Qui rend ce monde épicurien !

 

Et faites l'amour en d'la peinture !

Pour que tout le monde se recadre !

Pour encore se voir en peinture !

Et pour que tout le monde s'encadre !

 

Graffiti 94;

On peut voir en peinture 14 

Personnes qui frôlent de l'overdose !

Cette peinture a eu toute sa dose !

 

Jérôme de Mars

 

Edith Piaf

 

Ecoutant

D'impatiences;

Bécotant

En silence

 

Je piaffe tant

D'impatiences;

J'me détends

En fréquence;

 

Emporté

Par la foule;

Rapporté

J'me défoule !

 

Comme Milord

Padam padam;

Où dès lors;

J'fais un slam !

 

Edith Piaf

Edite piaf !

En plein paf;

Quand elle taffe

 

D'une fumée

De cigarette;

A enfumer

Ses fossettes

 

D'un hymne à l'amour;

Mon manège à moi

De ces jours;

Il était une fois

 

La vie en rose;

Non, j'ne regrette rien !

Malgré la sinistrose

Qui donne d'l'entrain !

 

Oh ! Mon Dieu !

Sous l'ciel de Paris !

C'fut feu

Edith ! A l'agonie !

 

Edith Piaf

Edite Piaf !

En plein paf;

Quand elle taffe

 

A son taf

Avec Théo;

Qui en piaffe

Son homme à la moto !

 

Qui la rejoint

Quelques temps après!

Si enjoint !

A peu prêt !

 

Elle si malheureuse!

Si mélancolique;

Qu'elle fut valeureuse

Si frénétique

 

Au Père Lachaise;

Elle en poussière !

Trop à chase

Au cimetière !

 

Edith Piaf

Edite Piaf !

En plein paf;

Quand elle taffe.

 

Jérôme de Mars

 

Soleil lunatique, lune ensoleillée 

 

Miroir à deux faces;

A double faces

En surface,

Entre gravité

Et légèreté,

Des temps bipolaires

Qui composent la sphère;

Soleil lunatique, lune ensoleillée

De l'émerveillé

Au désabusé

En notre monde qui ne tourne rond,

Car rubicond en faisant le con;

Maniaco-dépressif

Jusqu'au toxico rétif

Sur le vif du sujet,

Dont le sujet est simulé

Comme dissimulé;

Soleil lunatique, lune ensoleillée

Entre ombre et lumière;

Qui n'est clair et clair

En plusieurs caractères,

Du délétère au salutaire

Clown auguste;

Qui déguste

Le clown blanc;

Vu ce que tout le clown sans blanc

Déguste

Dans ce monde qui naît qu'apparences

En faux-semblants qui font déliquescence;

Soleil lunatique, lune ensoleillée

De la gravité au léger;

La partie immergée de l'iceberg

En ne perdant pas le Nord de Bergues;

Voilà où l'amer mène

Et emmène

Entre ombre et lumière

Dans ce monde qui n'est clair !

Et qui manque de lumière ,

Où tout naît qu'éclair !

Immaculé immatriculé;

Soleil lunatique, lune ensoleillée.

 

Jérôme de Mars

Jaunisse alitée

 

Chanteur enchanteur;

Il est décédé !

Chanteur déchanteur;

Effet DCD !

 

Il repose en paix

Au grand panthéon

Des artistes respect !

Luit caméléon

 

En différents styles;

Divers et variés

En différends fils;

Il est avarié

 

Maintenant luit mort !

Il ne fut débile

A l'instinct remords;

Oui indélébile;

 

Jaunisse alitée;

Mort décomposé

Johnny Hallyday;

Il nous a quittés

 

Pour l'éternité;

Avec tous ses tubes

En postérité;

On lui fait d'la pub !

 

Lui qui chanté

L'amour et le blues;

Qui a déchanté

La mort qui épouse

 

Les flammes de sa vie;

Dont l'infâme jalouse

Chaque femme de ses nuits;

Dont il a le blues !

 

Concert de louanges

Parti en fumée;

Cancer de vidanges

Feu le calumet;

 

Jaunisse alitée;

Mort décomposé

Johnny Hallyday;

Il nous a quittés

 

Au creux de la vague

Qui l'a emporté

En sa mort qu'il drague !

Notes à sa portée;

 

Note salée amère

En son vague à l'âme,

Note sucrée ah ! Mer !

Qu'il élague en drame !

 

Repose-t-il en paix 

Brûlant pour descendre ?

Implose-t-il d'effet

Fumant pour des cendres ?

 

Lui la Tour Eiffel;

Luit L'Arc de Triomphe;

D'l'oseille au soleil !

En sa mort qui plombe

 

Jaunisse alitée;

Mort décomposé

Johnny Hallyday;

Il nous a quittés.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Les ose-laids !

 

En osmose

D'un poème;

Mort de prose

D'un problème;

 

En remords

Du tombeau;

Je suis mort !

Tombe de haut !

 

Qui rime à

Mal de mer;

Arrima

Mâle de mère;

 

J'en ai la

Solution !

D'un trait pas

D'équation !

 

Les ose-laids !

Osselets !

Ose olé !

Un os laid !

 

Pour mûrir

Très en vie;

Pour mourir

Trop envie;

 

La vie passe

Encore vite !

Quelle impasse

En corps vite !

 

Avant d'en

Naître poussière;

Avent d'an

Etre poussière;

 

Profitons

De la vie !

Vivotons

Dès la nuit !

 

Les ose-laids !

Osselets !

Ose olé !

Un os laid !

 

Si enjoué

Au cercueil;

Si en jouet

Au recueil;

 

Laisse tomber

Tous les morts !

En retombées

De remords !

 

Bois des vers

En solidaires !

Crache revers

En solitaires !

 

Avant que

La faucheuse

T'fasse quoique !

Trop brumeuse !

 

Les ose-laids !

Osselets !

Ose olé !

Un os laid !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Les flamands roses

 

Si j'étais belge;

J'écouterais

Brel couleur beige;

Sans me friter

 

Et m'effriter

Sucré salé;

Sans rentrer vrai

Dans le moule et

 

Démoulé moi;

Le rebelle non

Chacun pour soi !

Pour mettre ton nom

 

Avec mon nom;

Chacun pour toi !

Tout ouï pas non !

Car toi patois !

 

Les flamands roses

Sans sinistrose;

Les flamants roses

Buvant six roses;

 

Et si d'un drame

En Stromaë;

J'en fais un slam

Prêt à parler

 

De mon vécu;

Qui l'eut trop cru ? !

Je l'ai vécu

Sans être vaincu;

 

Et si en grammes

De mon vécu;

Je clame, déclame

J'ai tout vaincu !

 

Parmi les Belges

En désarroi;

De couleur beige

En des parois;

 

Les flamands roses

Sans sinistrose;

Les flamants roses

Buvant six roses;

 

Que pourboire mets

Déboires à manger

A démanger;

J'ai dégusté

 

La mise en bière

De ma mère; qui

M'a soûlé hier !

Même si exquis

 

Je la regrette

Avec colère;

Comme je n'arrête

D'avoir ses airs

 

De ressemblances

Portrait craché;

En insolence

Autoportrait;

 

Les flamands roses

Sans sinistrose;

Les flamants roses

Buvant six roses.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                               Blague :

 

 

Pourquoi y a-t-il eu un assaillant qui a commis un attentat à la Gare du Nord ?

 -  Parce-qu'il n'a pas perdu le Nord comme La France est à couteaux tirés !

 

 

                                       Jérôme de Mars

L'écorche terrestre

 

Plié en quatre;

C'est la forêt !

Elle est psychiatre

Pour imager

 

Ce qui se passe

Sur La grande Terre !

Où en surface,

Elle décolère

 

Alors qu'elle hait

Toutes les faces sombres

De la forêt;

Lumière et ombre

 

Comme un soleil

Emmuré; tant

Choses démentielles !

Qu'à cet instant;

 

L'écorche terrestre

Fait de l'équestre;

L'écorce terrestre

Gai-pied pédestre !

 

Quand un orage

Rend bleues les âmes

En bleus de rages;

Qui rendent infâme !

 

Ce monde sans âmes;

Qui ne désarme

Rasoir à l'âme;

Rasant la larme

 

De rubicond;

Pourquoi ce monde

Fait trop le con !

En guise d'immonde !

 

Et est-ce normal ?

Qu'on fasse tant croire

Paranormal;

Papier buvard !

 

L'écorche terrestre

Fait de l'équestre;

L'écorce terrestre

Gai-pied pédestre !

 

Et si d'une gomme

En des crayons;

On les dégomme

En des rayons

 

De belle couleur;

De peau tempo !

D'ardeur, ferveur;

Fureur joyaux !

 

Et si d'un arbre,

On en faisait

Laissant de marbre;

Un bel été

 

Haut comme trois pommes;

Effet pommier !

Tout pour sa pomme;

Et fait poirier !

 

L'écorche terrestre

Fait de l'équestre;

L'écorce terrestre

Gai-pied pédestre !

 

Jérôme de Mars

Haute ! Sa voix !

 

Un chemin

De ramage,

Qui devin,

Donne cépages

 

De vin chaud 

En montagne;

En réchaud

De champagne;

 

Cherchant ses

Mots synchros;

Pour chanter

Au micro

 

Des paroles

De chansons;

Dès l'envol

Chauds marrons !

 

Haute ! Sa voix !

Haute Savoie !

J'aime Savoie !

C'est une voie !

 

Donnant la

Voix qui voit;

Qui vouvoie;

Qui tutoie;

 

Quand je vote

De ma voix;

Je pivote

En ma croix;

 

Que je porte;

Je rapporte;

Je colporte;

Que j'apporte

 

Ouvrant grand

Par la porte !

Le boucan

Qui déporte !

 

Haute ! Sa voix !

Haute Savoie !

J'aime Savoie !

C'est une voie !

 

Que je bois

L'amertume;

Qui me noie

Mon enclume;

 

Que je dois

Dire à quoi 

D'mes dix doigts ? !

Car aqua

 

En chanter 

Barbie Girl;

Enfanter

Une call-girl;

 

Déchantant

Ce ramage;

Enchantant

De mon plumage;

 

Haute ! Sa voix !

Haute Savoie !

J'aime Savoie !

C'est une voie !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Le temps qui passe dans la semaine !

 

Lundi, en début de semaine, il pleut grise mine !

Mardi, il neige effet boule dee neige !

Mercredi, il y a un avis de tempête qui vend du vent !

Jeudi, il grêle avec des flocons qui laissent tomber le chaud comme

Vendredi, il y a les sains de glace en froid avec un ciel bleu normal !

Samedi, il y a les giboulés de Mars rappelant

Dimanche, au bon vieux temps chaleureux où il fait beau avec la fièvre jaune !

 

Faisant couler et s'écouler le temps qui passe dans la semaine !

 

Jérôme de Mars

 

 

Quand mes maux me pèsent, je pèse mes mots !

 

En gros ben mince, gros, je m'en balance !

Car quand je me pèse, je suis obèse

Sur mon pèse-personne ! Moi en vacances

De mon fardeau au poids; nul à l'aise !

 

Que je ne redors sur mes lauriers;

Alèse que ma santé fout le camp !

Sans aller me soigner aux Noriets;

La clinique où semble si long le temps !

 

Que je m'en balance en un contrepoids !

En faisant à Noël le détour 

Du pâté de maison; manque de foi !

Je n'ai plus foi en la vie qui court !

 

Au fur et à fur à mesure de ma baisse

De régime, dont je n'en ai cure; cure

D'austérité en vaches maigres obèses !

La vie me pèse; je n'ai de pèze pur !

 

Quand mes maux me pèsent, je pèse mes mots !

Je pèse mes maux quand mes mots me pèsent !

En gros obèse ! Si je suis sans pèzes !

En faisant du trapèze si obèse !

 

Et si ben mince ! Je suis gros ben mince !

Comment faire pour prendre à la légère !

Tout ce qui me pèse pourquoi je grince

A chase de vache enragée prospère ?

 

Et pourquoi la vie me pèse attend !

Demain sera mieux qu'aujourd'hui; oui !

Je suis long à la détente à temps !

Quand serai-je tout ouï dans l'accalmie ?

 

La vie faut-il trop s'en balancer ?

Comment vaincre toutes ses immenses angoisses ?

A part redémarrer, se lancer, 

S'élancer envie non des gueux las !

 

Comment redonner de la richesse

A la vie même avec tous ces pauvres ?

Comment redonner de la liesse;

De l'allégresse pour demeurer sobre ?

 

Quand mes maux me pèsent, je pèse mes mots !

Je pèse mes maux quand mes mots me pèsent !

En gros obèse ! Si je suis sans pèzes !

En faisant du trapèze si obèse !

 

Malgré que la vie soûle éméchée !

Ceux qui sont fauchés par toutes ces nuits

Dans leur vie; grosse bouteille envoyée 

A la mer, comme tant endolorie !

 

Leur vie qui sent l'écume des bobards !

Quand tous mettent lors de leur tournée

A la note salée d'ceux qu'on rembarre !

Que maintenant à leur tour inné !

 

Ils payent leurs revers; vers solitaires !

Qui préfère boire ensemble leurs déboires ?

Vers de contacts; vers très solidaires ?

Il y a à en manger et à boire !

 

Et qui reste pour finir tous les restes ?

Et qui reste pour prendre à la légère ?

Ce qui reste quitte à lâcher du leste !

Et si salutaire à la légère !

 

Quand mes maux me pèsent, je pèse mes mots !

Je pèse mes maux quand mes mots me pèsent !

En gros obèse ! Si je suis sans pèzes !

En faisant du trapèze si obèse !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

La machine à écrire l'ordonnance

 

 

Entretien imaginaire entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine et son patient Monsieur Bedrossian Jérôme :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? " A ce que je constate aujourd'hui, vous êtes si impatient de parler avec moi ?  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Bonjour Madame Teillet, je vais bien, effet je suis si impatient de parler avec vous comme je suis un patient au CMP de Vitry-sur-Seine ! "  

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Vous voyez Monsieur Bedrossian, mon bureau est le bureau des plaintes avec les patients du CMP de Vitry-sur-Seine avec ceux qui déchantent dans la vie, mais vous, comme vous chantez, en chantez dans la vie, c'est le bureau des complaintes, qu'avez-vous écrit comme derniers slams pour que ça fasse couler beaucoup d'encre ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " En souvenir de tous ceux qui m'ont mené en bateau dans ma vie, je ne dirai pas que je cherche à faire couler beaucoup d'encre mais juste à jeter l'encre ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Monsieur Bedrossian, me considérez-vous comme une psychiatre qui actionne la machine à écrire l'ordonnance ou la machine à décrire l'ordonnance ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Madame Teillet, même que vous n'êtes pas mon médecin traitant généraliste mais comme psychiatre généralité, vous n'avez jamais été maltraitant avec moi, vous êtres ma psychiatre généraliste traitant bien ma pathologie, ce qui ne fut pas le cas de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique, comme tout le monde me sous-traitait et me maltraitait en étant conditionné au pire, même qu'au CMP, j'avais un bon traitement, je n'avais pas un bon traitement à L'ESAT La Fabrique ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " A votre avis Monsieur Bedrossian, est-ce-que je me tamponne de vous comme patient ?  "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Bien sûr que non Madame Teillet, je ne pense pas que vous en tamponnez pas de moi au patient, la preuve vous ne faites plus les ordonnances à la main en les tamponnant mais en les tapant sur ordinateur, la preuve que vous avez une bonne impression sans fausse impression malgré mon expression et toute la pression que j'avais avant quand j'étais à L'ESAT, et je vous suis bien gré d'avoir une machine à écrire l'ordonnance et non une machine à décrire l'ordonnance, surtout qu'avec vous, ce ne sont pas que des entretiens sur ordonnance dans le je de l'oie ! Même que je suis un drôle d'oiseau en prises de becs ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Monsieur Bedrossian pour vous clouer le bec, ici c'est moi qui fais le je de loi ! En vous disant que vous n'avez pas du tout une case en moins en vos maux croisés, mais avec une case néanmoins à vous cultiver l'esprit avec des mots croisés, Monsieur Bedrossian, écrivez encore et encore de beaux poèmes qui riment et arriment de votre mal de mer en envoyant une bouteille à la mer comme vous avez souvent du vague à l'âme, l'écriture c'est thérapeutique et ça vous va tellement bien que maintenant, vous n'aurez plus envie de faire un jeu d'écriture, mais un je d'écriture quitte à sortir un jour ou l'autre un livre avec au bout du conte, des mots sincères et touchants de vos maux qui nous prennent par les tripes que tout ce vous écrivez noir sur blanc, on le sent et on le pressent que ce n'est pas à prendre pour argent comptant, car si vous sortez un jour un livre, vous ne le ferez pas pour l'argent mais pour délivrer de tous ces maux qui vous paralysent, vous empoisonnent la vie et vous causent en ecchymoses toutes ces névroses obsessionnelles, Monsieur Bedrossian, je vous encourage à sortir un livre comme exutoire thérapeutique, car tout ce que vous avez vécu dans votre passé, maintenant y a prescription ! Que ma prescription pour que vous alliez mieux est que vous écriviez un livre ! Et ceci est mon dernier mot ! C'est votre dernier mot Monsieur Bedrossian ? "

 

Jérôme Bedrossian :

- " Mon dernier mot Madame Teillet, c'est comme ma vie a toujours été un à vies de tempête et un typhon, cela m'a donné pour idée, d'appeler mon livre : " L'ouragan du désespoir ", le jour où j'écrirai et je sortirai un livre en en faisant des impressions sur des feuilles mortes monotones, en espérant faire bonne impression sans fausse impression ancrée en surimpression de pré-vers comme sûre impression, voilà ! Au revoir Madame Teillet, je vous dis rendez-vous le mois prochain au CMP ! "

 

Jérôme de Mars

J'aime si hé !

 

C'est des tubes !

Ce CD;

En une pub

Qui cédait;

 

Succédait

En juke-box;

Précédait

Nouvelle box;

 

C'est Orange !

En village;

Qui arrange

Les par âges !

 

Dépits pôles

Bipolaires

En parole,

Prend des airs !

 

J'aime si hé !

Y.M.C.A,

Qui avait

Tout chanté !

 

A pleins tubes !

Qui repasse

En une pub,

Qui ressasse

 

Des CD,

En chansons

Décédées

En action

 

Sur la scène,

Qui la veut

En mécène,

Désaveu

 

Qui envie

Les facettes,

D'être en vie

Sans fossettes,

 

J'aime si hé !

Y.M.C.A,

Qui avait

Tout chanté !

 

Quand dans hymne

Je n'ai vie,

Capucine

D'un génie

 

Olympia,

Tout public

En éclats

Tous pudiques,

 

D'où j'en joue

D'influences;

En mes joues

D'affluences;

 

Qui s'en font

Au tour deux ;

Qui s'en vont

Autour de

 

J'aime si hé !

Y.M.C.A;

Qui avait

Tout chanté !

 

Jérôme de Mars

La fée domino qui chante face domino !

 

Effet domino en je de Dédé,

Qui veut jouer avec des dés ?

La fée domino qui chante face domino !

Cet eldorado est un je retour sur magnéto;

Course de chevaux avec une case en moins !

Avec néanmoins des moins que rien !

Tel l'effet domino qui joue avec Dédé !

Et fait domino en je des dés !

La fée domino qui chante domino !

En empruntant l'aidé de Fats Domino;

Des maux décroisés aux mots croisés

A la croisée des chemins du système D

D'aidé, des dés à Dédé rue du bistrot !

Tout le monde joue of course de chevaux !

Avec leurs voitures à 4 chevaux;

Pliés en quatre dominos !

De l'almanach Vermot

Qui chante, enchante et déchante !

De Faths Domino à face domino;

Quand la servante

Effet domino avec domino !

Décide qui joue aux Dominos !

Et fée domino !

C'est bien Dédé;

Qui rejoue avec des dés !

La fée Domino qui chante surface domino !

 

Jérôme de Mars

 

La nuit et le jour

 

Démons de minuit;

Il y a de l'oseille

En images de pluie;

Il y a le soleil !

 

Quand il se lève leste !

Aux aurores à l'aube;

Et s'élève à L'Est !

De haut en un lob !

 

La nuit est trop longue !

Le jour passe très court

D'un soleil en song !

Passant un concours

 

D'un grain de beauté

En une pure folie;

D'un grain de bonté

En une pure envie,

 

La nuit et le jour

Font, refont l'amour !

En mots troubadours;

Leur faisant la cour

 

De qui passe le plus

Vite; matin au soir

Et quel est l'intrus

Qui fait des histoires ?

 

Ne tenant debout !

Dont le tout conforme

Une belle nuit debout !

Quand avec des formes;

 

Chaque nuit en déforme

Le jour qui attend

Son tour d'être en forme !

Long qui se détend

 

A temps qui hébète !

Entre nuit et brouillard;

Avis de tempête !

C'est tout un bazar !

 

La nuit et le jour

Font, refont l'amour !

En mots troubadours;

Leur faisant la cour

 

Du temps bipolaire !

Changement d'humeur;

Voulant changer d'ère !

L'matin de bonne heure !

 

Avant que la nuit

En soit lunatique !

Le tout sans merci;

Eclipsant et pique

 

Le soleil en dune;

Coucher d'oseille !

Remontant la lune;

Coucher de soleil !

 

Dans la vie, rien naît

Figé comme tout change

En divinité

Diurne ! Quand se mélangent

 

La nuit et le jour

Font, refont l'amour !

En mots troubadours;

Leur faisant la cour.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

La boussole me déboussole

 

Direction en ne sachant vers quelle direction

Où aller ! ? Quel chemin prendre

Pour ne pas s'y méprendre

En cours de route en pérégrinations ?

Même que je suis complètement à L'Ouest !

Pourquoi ma vie est un fard Ouest !

Sans bled même que je ne perds pas le Nord

Pas deux calés au Sud !

Car direction les gens prudes !

Et pourquoi le soleil se lève-t-il à L'EST, à leste !

En ayant le drapeau qui monte preste ?

D'où en paroles avec bémol !

La boussole me déboussole;

En ne sachant où me diriger avec la rose des vents !

A part si à contre-nature, je me dirige vers la rose déviant !

Mais mauvaise idée à la place, je prends les devants !

A voile et à vapeur vers la rose devant, de vent !

Dont au final, je suis plié en quatre points cardinaux !

Avec en dernier mot

De paroles sans bémol !

La boussole m'émeut des boussoles.

 

Jérôme de Mars

Le soleil rallume La Terre noire !

 

Même que la vie n'est du gâteau !

Il suffit d'être une crème totem

Pour rendre la vie eldorado;

Où tout le monde s'aime comme une crème 

 

Dans la bienveillance et l'amour !

En redisant la vie est belle !

A en manger des pommes d'amour;

Qui fredonnent en belle ritournelle

 

Que la vie reste un paradis

D'enfer ! Artificielle qui scelle

Des on-dit; anoblis; hardis !

Pansant, repensant l'essentiel

 

Que la vie et le temps passent vite !

Il faut le répéter je t'aime !

Plus de temps à perdre qu'on s'évite !

Mais en profiter qui parsème 

 

Le soleil rallume La Terre noire !

Guérie après son purgatoire;

La Terre raconte en son histoire !

La clinique de la forêt noire !

 

Qui rappelle que La Terre revient

De très loin d'années en arrière;

Qui a tant besoin d'un béguin

Pour y voir clair dans la lumière !

 

Car avant qu'il ne soit trop tard !

Il faut inviter ses amis,

Sa famille prendre l'temps de se voir !

Dont c'est là que vient l'embellie

 

Pulmonaire; en respirant d'air

Le courant du vent si intense !

Qui fait comprendre en inventaire

Qu'il faut se la faire en jouissance !

 

La vie belle ouvrant la fenêtre !

En regardant ce beau soleil

Qui ne fait regretter de naître !

Comme il transmet que des merveilles !

 

Le soleil rallume La Terre noire !

Guérie après son purgatoire;

La Terre raconte en son histoire !

La clinique de la forêt noire !

 

Puisqu'avec la délectation;

Il y a la symbiose en osmose !

D'avoir des illuminations 

En picorant sur d'autres cosmos !

 

Une pincée de joie, de bonté

Conjuguée; étend mélangée !

Grain de folie, grain de beauté !

Tout le monde est fait pour s'aimer !

 

En plus ou moins d'affinités !

Ce qui compte, c'est toute la tendresse

Qui plante la réciprocité;

Redonnant aux gens l'allégresse

 

D'une vie où ce sera du gâteau !

Avec après la crème fouettée !

Le retour vers l'eldorado;

Qui parsème en crème réfutée !

 

Le soleil rallume La Terre noire !

Guérie après son purgatoire;

La Terre raconte en son histoire !

La clinique de la forêt noire !

 

Jérôme de Mars

Second degré

 

Une petite saynète pour sonder différentes personnes pour savoir ce qu'ils pensent actuellement du climat social en France :

 

Jérôme Bedrossian qui interroge son ami Serge Kurts, un ancien salarié du CEREP aujourd'hui à la retraite :

 

Jérôme Bedrossian

-  "  Bonjour Serge, bonne année 2023, comment vas-tu ?  Et que penses-tu actuellement du climat social en France ? "

 

Serge Kurts, l'ami et l'ancien éducateur du CEREP :

-  " Bonjour Jérôme, je vais bien, bonne santé 2023 surtout pour toi Jérôme, toi qui prends tout au 1er degré dès qu'on te dit quelque chose ! Je pense que le climat social actuel en France est très préoccupant, la preuve qu'il y a des nuages à l'horizon basse température comme un effet boule de neige où on est passés de la griserie pour trépasser dans le gris !  "

 

Jérôme Bedrossian :

- "  Tu m'as bien cerné Serge, la preuve que je prends tout au 1er degré comme j'étais malade la semaine dernière avec une rhino-pharyngite en plus du message dur que je t'avais envoyé par mail le vendredi 30 décembre pour mes désaveux 2023 ! "

 

Jérôme Bedrossian qui interroge son psychiatre le Docteur Penot très libéral avec Jérôme :

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Bonjour Docteur Penot, comment allez-vous ? Et que pensez-vous actuellement du climat social en France ? Et en fête, bonne année, bonne santé 2023, Docteur Penot !  "

 

Bernard Penot, le psychiatre impatient en libéral de Jérôme Bedrossian :

- " Bonjour mon vieux, je vais bien, je pense que le climat social en France est très contrasté en ce moment, tu vois Jérôme, si tu prenais tout au second degré tout ce qu'on te disait, tu aurais moins de coups et tu serais moins en froid avec les gens, il serait temps que tu sois plus chaleureux avec tout le monde si tu veux que les gens sont plus conviviaux avec toi ! "

 

Jérôme Bedrossian :

- "  Merci Docteur Penot donc OTAN que je sois en paix avec tout le monde pour tout le temps comme il est temps au vivre au présent même que mon passé fut imparfait de façon à en faire un passé simple pour envisager un futur plus que parfait et plus au conditionnel ! "

 

Jérôme Bedrossian qui interroge Odile Leprette, la mère de son ami Guillaume :

 

Jérôme Bedrossian : 

-  " Bonjour Odile, comment allez-vous ?  Que pensez-vous actuellement du climat social en France ?  Bonne année et bonne santé 2023 à vous ! "

 

Odile Leprette, mère de Guillaume, un des amis de Jérôme Bedrossian :

-  " Merci mon petit Jérôme ! Je vais très bien ! Je te souhaite surtout la santé pour 2023 et je trinque à ta santé après que tu aies tant trinqué de ta santé ! Je pense que le climat social actuel en France est très ténébreux en jetant un froid avec beaucoup d'O rages en France comme tout le monde est en rage ! Voilà Jérôme !

Et en fête, j'espère qu'on te verra bientôt à la maison un samedi ou un dimanche midi pour manger avec nous ! A bientôt Jérôme ! "

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Merci ça me ferait plaisir de manger chez vous plié un de ces quatre avec Guillaume, Bénédicte et Adel vu tout ce que j'ai dégusté depuis que je suis né ! "

 

Et pour terminer, Jérôme Bedrossian qui interroge Jacques Strub, le père d'Alexandre, un des amis de Jérôme Bedrossian :

 

Jérôme Bedrossian :

-  Bonjour Jacques, comment allez-vous ? Que pensez-vous du climat social actuel en France ? Et en des fêtes, bonne année, bonne santé 2023 ! "

 

Jacques Strub, père d'Alexandre Strub, un des amis de Jérôme Bedrossian :

- " Bonjour Jérôme, je te souhaite un bon début d'année après tous ces bons débuts damnés il y a quelques années, en te souhaitant une bonne santé 2023 pourvu que tu sortes encore plus de ta bulle toi si pétillant de blagues à en revendre pour que tu sois plus renfermer dans ta coquille Saint-Jacques, moi, le sain Jacques protestant contre les coups durs de la vie, je pense que le climat social actuel en France est proche d'un avis de tempête sinon à part ça, je vais aussi bien tant bien que mâle ! Voilà ! "

 

Jérôme de Mars :

- " En tout cas vu le climat social actuel en France, si un jour, je sors un livre, je l'appellerai : " L'ouragan du désespoir ! " en tout cas après les giboulées de Mars, dès le 2 Mars, j'essaierai hors-saison de redonner le Printemps en France étant donné que je m'appelle Jérôme de Mars, pour que les temps durs fassent place aux temps purs de l'existence comme au bon vieux temps ! Voilà le temps de la renaissance ! Au revoir et bon vent à tous ! Pourvu que vous preniez tout au second degré ! "

 

Jérôme de Mars

Mon arc monarque

 

Désarroi bourgeois,

J'en suis le roi courroie !

Avec plusieurs cordes

A mon arc monarque;

Qui concorde entre discorde

Quand rien ne s'accorde !

Et concorde

Quand tout s'accorde !

Au ciel aux Arcs !

Arcs en ciel Jeanne d'Arc

A l'Arc de Triomphe !

A l'arc qui décoche pour flèche;

Cupidon ! Car cupide donc revêche !

Avec plusieurs cordes à mon Arc;

Mon arc monarque,

Si je joue pour ma pomme,

Pourrai-je jouer à L'Arc dans la Somme

Plus haut que trois pommes ?

Pour passer du désarroi courroie

En parois de bourgeois,

Avec plusieurs cordes à mon arc;

Qui ne discorde mais concorde !

Pourvu que je m'accorde

Et que je me raccorde

Avant les catacombes;

En mon arc monarque.

 

Jérôme de Mars

                                 Piqûre de rappel

 

 

                             1)  Sérum de vérité,

                             2)  M                      P  4) 

                                   a                       i

                                   j                        q

                                  e                        u

                                  u                        e

                                  r                         s

              7) Dont Louis seul; me permet de trouver

                                  e                        p

                                  t                         o

                                                            u

                                 v                         r

                                 a

                                 c                         n

                                 c                         e

                                 i

                                n                          p

                                é,                         l

                                                            u

                                j                           s

                               e

                                                            ê

                               m                          t

                               e                           r

                                                            e

                               s

                               h                          p

                               o                          r

                               o                          i

                               t                           s

                               e

                 9) BCBG en piqûre d'ultime rappel.                                             

                               a                          e

                               v                          n

                               e                          g

                               c                           r

                                                            i

                               u                          p

                               n                          p

                               e                          e

           5) Apaiser ma rage, je me fais vacciner par                                  

                               s  6) Un pasteur  e

                               e                          t

                               r

                               i                           p

                               n                          o

                               g                          u

                               u                          r

                           3)  En envoyant des

                                            L   8)

                                            '

                                            a

                                            n

                                            t

                                            i

                                           d

                                           o

                                           t

                                           e

 

                                           a

                                           m

                                           a

                                            r

                                            r

                                            a

                                            g

                                            e

 

 

                             Jérôme de Mars

 

 

Il vaut mieux voir le ver à moitié plein qu'à moitié vide !

 

 

 

     6) Un ver d'eau  frais  eaux  frais D 7)

     5) Des                                           e

          s                                               l

          e 8) Mère à boire les déboires '

          r                                              â

          vir                                           m

     4) Tempête de ver d'eau, il faut/ e

                2)   E             A   3)

                       t              v

                       o             i

                       h            d

                        à           e !

                       m  

                       o            D

                       i             a

                       t             n

                       i             s

                      é             une

  1) Quand le ver est à moitié plaint,

 

 

 

 

  13)  A 14) En vers de deux O poèmes,

          s                                                 O  15)

          s                                                 et  

          e                                                 à

          r 16) pleins qu'à moitié avides !  m

          v                                                  o 

          i                                                    i

          r                                                   t

         O                                                   i

   12) Vers de deux bohèmes pour tant é

                 10) I                 S 11)

                       l                  e                     

                       f                  r

                      a                  v

                      u                  i

                       t                  r

                       b                 

                       i                  l

                       e                 e

                      n                  s

9)  Et malgré les revers de l'eau de vie,

 

 

       Jérôme de Mars

 

Pour que ça tourne rond, il faut être très carré !

 

Contrecarré non-stop !

Pour que ça tourne, il faut être carré !

Si ça ne tourne plus rond,

C'est parce-que tout le monde est trop carré !

Contrecarré à contrecarrer

Les idées reçues qui semblent dissolues

En ce monde qui ne tourne décidément plus rond !

Des gens morts-vivants en remords vivants et survivants,

Eperdus dans ce monde qui voit rouge rubicond !

Qui ne manque pas de cons 

En cet immonde abscons;

Qui ne tourne rond, car contrecarré

Par un carré contrecarré;

Du fait que tout le monde est carré

Et rubicond !

Or si ça ne tourne plus du tout rond,

C'est parce-que tout le monde est ultra carré !

Et pour que ça tourne rond sans ristourne,

Il faut après tout être si carré !

Au maître carré !

 

Jérôme de Mars

 

 

Maghreb de cagnard

 

Chers pays de l'insouciance !

Que je vous aime !

Le Maroc, La Tunisie

Et l'Algérie

En un suave parfum de bohème !

A m'en aérer l'esprit

En légèreté !

Composée de souvenirs d'évasion

Et d'effusions

D'où la nostalgie de mon enfance,

Car même si

Je suis un vilain petit canard !

Je sème

Un Maghreb de cagnard,

Qui me réchauffe le cœur

Chaleureux loin du froid de rancœur

De La France,

Et si La France veut encore avoir le béguin;

La France aurait grandement besoin

D'un pacemaker pour lui donner

Et redonner du cœur !

Pour s'adonner à la solidarité

Sans perdre le Nord 

De L'Afrique du Nord !

Comme en France, tout le monde se mord

Dans la suffisance

Et l'arrogance

Du chacun pour soi !

Il était une fois la France !

En manque de foi

Avec que du foie gras !

L'Algérie, le Maroc

Et la Tunisie

Me donnent envie solidaire

D'épouser leur culture humanitaire;

Loin de la France distante et solitaire,

La France est si baroque !

Que tout le monde croque la vie à pleines dents

Dans la richesse de la pauvreté aidant !

Alors que La France est pauvre de sa richesse,

Ainsi si on veut offrir au peuple de la liesse

Et de l'allégresse;

Il n'y a pas que l'argent comptant

Dans la vie,

Il y a aussi parler

Et discuter autour d'un café !

Pour que les gens prennent pour argent contant

Avec que des vérités !

Qu'ils comptent pour nous

Et qu'on compte sur eux  !

Afin qu'on compte pour eux précieux !

Quand on leur affirme que la vie c'est aussi !

Prendre un bain de soleil si joli et chéri

Dans le redoux !

Soit en Algérie, au Maroc et en Tunisie,

Car même si je suis un vilain petit canard !

Je parsème en un totem

Un Maghreb de cagnard.

 

Jérôme de Mars  

La maison des étrangers

 

Emigrez en oiseaux libres !

Venez tous à la maison !

Etrangers pour vivre; revivre

Dont on connaît la chanson !

 

Etrange hé ! Toute destinée

Mérite l'soutien émérite !

De ceux voulant s'intégrer

Loin de La France qui délite !

 

Mélangez-vous avec nous !

Pour former un melting-pot !

Sans on-dit d'un monde de fous !

Dont l'union libre forme des potes !

 

Car qui se ressemble s'assemble

Sans que rien du tout ne flanche !

Comme dans l'ensemble, rien ne tremble !

Tous se retroussant les manches !

 

Comme à la maison est née !

La maison des étrangers;

Personne naît, n'est étrange hé !

Car tous sont ici innés !

 

Pour montrer leur bonne nature;

Pétrie de valeurs refuges !

Sans les jeter en pâture;

Prétextant comme subterfuges

 

La France que pour les Français 

Pour éviter tous les écueils !

Alors qu'en parlant Français;

La France est une terre d'accueil !

 

Où tous les étrangers font

La grande différence immense !

En reculant au tréfonds

Bien au fond l'irrévérence

 

Des Français eux; si étranges hé !

Envers tous les étrangers !

Souvent par sincérité;

Les étrangers sont plus vrais

 

Comme à la maison est née !

La maison des étrangers;

Personne naît, n'est étrange hé !

Car tous sont ici innés !

 

Et les étrangers sont plus solidaires;

Le contraire des Français si

Egoïstes; car solitaires

Fonctionnant avec des scies !

 

Les Français font tout le temps

La gueule dans ce monde casse-gueule 

Soi-disant ! Où maintenant;

Tout le monde fait le bégueule !

 

Sans doute qu'avant c'était mieux !

Et pieux; bourré d'idéaux !

Où tout semblait harmonieux !

Avec aucun mot de trop !

 

Les étrangers viennent en France

Pour guérir de leurs bobos;

Où pour eux, cette deuxième chance

Leur par est l'eldorado !

 

Comme à la maison est née !

La maison des étrangers;

Personne naît, n'est étrange hé !

Car tous sont ici innés !

 

Jérôme de Mars

 

Qu'est-ce-qui cloche art ?

 

Dans les rues d'Paris;

Ceux qui disent Ok !

Et qui sourient

Forcés sur l'quai !

 

Demandent une pièce;

Pièce détachée !

A l'emporte-pièce

Non attachée !

 

Pourquoi notre monde

En ces tristes jours;

Tolère l'immonde

En contre-jour !

 

Il n'y a plus rien

De très normal 

En moins que rien !

Paranormal !

 

Qu'est-ce-qui cloche art ?

Comme des clochards

Anicroche hard !

Cochon ou l'art !

 

Concert d'louanges !

Tel SDF

Au stade qui n'arrange

Ces SDF !

 

Tout m'dégoûte !

En ce bas monde !

Où tout s'encroûte !

Ce mal abonde

 

L'entendement

Qui naît humain !

Comme décadent

Samaritain !

 

Pourquoi rien n'va

Des temps modernes ?

Si ça s'en va

Toutes les tavernes !

 

Qu'est-ce-qui cloche art ?

Comme des clochards

Anicroche hard !

Cochon ou l'art !

 

Au lieu du foot

Qui n'me concerne,

Que je m'en foute

Avec des cernes !

 

Ce monde de fous

Ripou, filou !

Que de voyous;

Je ne file doux !

 

Voulant redoux

Que tous m'entourent 

En tours doudous !

Tous ces détours !

 

Peut-on encore

Y croire demain ?

Je suis raccord

En coups de mains !

 

Qu'est-ce-qui cloche art ?

Comme des clochards

Anicroches hard !

Cochon ou l'art !

 

Jérôme de Mars

Epelez Pelé !

 

Joueur d'un beau football;

Il tirait l'coup franc !

S'fixant des buts goals;

C'était un gars franc !

 

Qui n'mettait la main

Au panier lancé

Franc; d'un coup de main

En revers enjoué !

 

Sa carrière brillante;

Pas un bidonville !

Mais une vie brûlante

En son Brésil vil !

 

Comme le Brésil est

Une dense bidon ville !

Dont luit à jamais !

Son image frétille !

 

Epelez Pelé !

Je peux épeler

Son nom à Pelé !

Et peler, peler !

 

Voici un hommage

En concert d'louanges !

Luit sa bonne image;

Partie vers les anges !

 

Vu sa belle image

Comme son panini;

Qui a fait l'adage

D'sa légende fleurie !

 

Ce fut un grand Dieu

De sa bicyclette !

Effet ciseau pieux

Avec toute sa tête !

 

Tourné; retourné

Acrobatique; fan

Qui n'a pas fané

Sa belle fleur qui fane !

 

Epelez Pelé !

Je peux épeler

Son nom à Pelé !

Et peler, peler !

 

Qu'il trompa les goals

Partant du bon pied !

Magnifique football;

Lui qui à contre-pied

 

N'tomba en guêpier !

Toujours sans arrêt

Dans sa cage dorée;

Comme pour redorer

 

Son joli blason,

Dont la coupe est pleine !

En son mode d'action;

Remontant la plaine !

 

Vraiment aux aguets !

Luit sans blanc si gai

En noir et blanc; est

Qui c'est et qui sait !

 

Epelez Pelé !

Je peux épeler

Son nom à Pelé !

Et peler, peler !

 

Jérôme de Mars

 

La quête

 

Parlons

Argent !

Comptons

Content !

 

Fait-t-il

Vivre oui ?

Fait-il

Envie ?

 

Tout ouï ?

Sait-il

La vie ?

Oh ! Oui !?

 

Comptant;

Vit-on

Longtemps ?

Qu'd'argent ?

 

La quête;

En quête;

Enquête;

Requête;

 

L'amour;

La quête !

Ou jour

D'quéquette !

 

Heureux

Matin;

Péteux

Satin;

 

Riche d'quoi ?

Pauvre d'poids ?

Riche foi !

Pauvre soie !

 

Le plus

Envie !

Surplus

En vie !

 

La quête;

En quête;

Enquête;

Requête;

 

On court

Sur quoi ?

Concours

D'émois !

 

La vie

Passe vite !

L'envie

Grave vite !

 

Gravite

Futile !

Et vite

Utile !

 

Soit pieux

Content !

Qu'soyeux

Comptant !

 

La quête;

En quête;

Enquête;

Requête.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

La clé de l'énigme !

 

Ouvert, renfermé !

J'écris avec une

Clé à musique et

Une mesure et dune !

 

Il n'faut la fermer !

Mais l'ouvrir en grand

D'une solution hé !

En mots élégants !

 

En prenant des gants

De velours, y a-t-il 

Une solution ? V'lan !

J'ai trouvé une île

 

Déserte très ouverte!

Pour écrire des vers

En fenêtre ou verte

Car pas mûre d'hier !

 

La clé de l'énigme !

Ouvert d'esprit rime !

Sans je me décime !

Maintenant, j'écime !

 

Sans mise en abîme;

Car à première vue !

Il m'faut une dream team !

Sans faire de bévue

 

En vers de contact !

Pour revoir la vie;

Autrement intacte

En tact qui réjouit !

 

Donne envie d'avoir

En vie de m'avoir

Comme ami ! Pour boire

Le sel réservoir

 

Qui donne du goût à

La vie ! Pour encore

Briller d'quelques éclats

A ma vie décor !

 

La clé de l'énigme !

Ouvert d'esprit rime !

Sans je me décime !

Maintenant, j'écime !

 

Allant essentiel

Sans plus brefs délais !

Avant les sans ciel

Cent plus brèves télés !

 

Le temps passe, dépasse,

Outrepasse l'passé !

Sans être dès gueux las !

Moi tant écorché !

 

Trop assez ! Assez

Passée la clepsydre !

Pour me relancer

Cent déboires de cidre !

 

Dont autant décrire

Ce qui m'fait renfermer !

Pour écrire l'plaisir

Ouvert ! Cent fermer

 

La clé de l'énigme !

Ouvert d'esprit rime !

Sans je me décime !

Maintenant, j'écime !

 

Jérôme de Mars

Les cailloux ont un cœur de pierre !

 

Pierre qui roule ne ramasse pas mousse !

Mon capitaine qui régnait en

Prince sur le rocher qui s'émousse !

Quand il y a anguille sous roche sans

 

Les graviers qui rejettent la pierre !

Mettant la pierre à l'édifice !

Où l'on redemande à lui Pierre;

S'il est renfermé d'artifices !

 

Avec pour supplice un lance-pierre;

Une pierre minérale jetée qui

Lance, s'élance et relance à Pierre,

S'il est payé au lance-pierre ! Luit

 

Qui fait briller, scintiller et

Luire ses pierres précieuses; or de lui

Il en fait des parures pour donner

Ces bijoux, ces joyaux si oui !

 

Les cailloux ont un cœur de pierre !

En bijoux de famille, d'misère !

Et si l'amour n'est que jachère !

Allant d'enchère en surenchère !

 

Or ! Il faut donner pour recevoir !

Et recevoir pour s'adonner !

Et l'amour est un réservoir

De belles histoires à consoler !

 

Choisissant l'élu de l'écu;

Touchant les bijoux de famille !

Choisissant l'élu de leur cul;

S'touchant les bijoux d'infamie !

 

Pierre a des bijoux d'infamie !

Quand Pierre s'en ébranle de sa femme !

Pierre a des bijoux de famille !

Quand Pierre n'en branle rien ! Luit infâme

 

Pierre met la main à l'édifice !

Quand il lâche de jolies danses perles !

Pierre met sa main dans l'orifice !

Quand il lâche deux folies denses perles !

 

Les cailloux ont un cœur de pierre !

En bijoux de famille, d'misère !

Et si l'amour n'est que jachère !

Allant d'enchère en surenchère !

 

Des pierres où il y a anguilles sous roche !

D'histoires d'amour en pierres précieuses;

Etant à un tournant qui cloche

Les cloches du gravier en valseuses !

 

Les pierres, les graviers, les cailloux !

Où il y a tant anguille sous roche !

Faisant hiboux, cailloux, chouchous !

Renfermés cachous; quelque chose cloche !

 

Et l'amour, est-ce la liberté; 

La prison dorée; adorée ?

Et les bijoux de cette famille;

Est-ce des bijoux de sept familles ?

 

Et les bijoux lâchent-ils des perles;

Perles de diamants en cette infamie ?

Les bijoux se lâchent-ils en perles;

Bagues d'doigt d'honneur en sept familles ?

 

Les cailloux ont un cœur de pierre !

En bijoux de famille, d'misère !

Et si l'amour n'est que jachère !

Allant d'enchère en surenchère !

 

Jérôme de Mars

 

 

A bon entendeur !

 

Sitôt ce matin

D'un silence radio; 

J'écoute le refrain !

Chanson du tempo !

 

En effet larsen

Sur la même longueur

D'ondes; je me démène

Folie des grandeurs !

 

Pour y diffuser

Un peu de bonheur !

Le temps d'infuser

L'ardeur, la ferveur !

 

Pour que l'amour sème

De la belle musique !

Avec que des crèmes;

Paroles frénétiques !

 

A bon entendeur !

Je suis récepteur !

Et mets diffuseur !

Je suis amateur

 

De poésies qui

Ecrivent tant d'amour !

Si joli, ex qui !

Décrivent troubadour !

 

Des mots qui sonnent bien !

En musiques synchrones !

Quand les maux faits l'un !

Deviennent monotones !

 

Surtout en automne;

Quand j'écoute en CD

Les feuilles déjà mortes !

Montant DCD !

 

Où ma langue si morte !

Effet ressurgir

La peine de mon âme forte;

A en tant souffrir

 

A bon entendeur !

Je suis récepteur !

Et mets diffuseur !

Je suis l'amateur

 

De CD tant rayés !

A en crayonner

Tous mes disques rayés !

Pour faire rayonner

 

Ma part de lumière

Au clair de mon ombre;

Comme si d'un éclair,

Je roupille à l'ombre

 

En côtés obscurs !

Sortant le meilleur

D'une complexe nature !

Je d'entremetteur !

 

Je diffuse de bonnes

Ondes à l'antenne !

Je m'en époumone 

En fenêtres persiennes !

 

A bon entendeur !

Je suis récepteur !

Et mets diffuseur !

Je suis l'amateur.

 

Jérôme de Mars

Quand une méduse me méduse !

 

M'en lisant vogue sur la mer..

Comme un poisson dans l'eau bleue !

Je regarde nager dans l'air

Marin les turquoises si bleues,

 

Couler de l'encre bleue surtout

Quand les poissons sont dauphins

Des baleines voraces du tout

Pour le tout ! A vos races bain

 

Marie, la mer marie et

Unit les pieuvres et les poulpes

En leur cœur fêlé, givré !

Prenant en tensions leurs pouls;

 

Dansant ballerines avec

Les poissons qui fument bédo, 

Pour ainsi leur clouer l'bec !

Lorsque certains m'appellent frérot !

 

Quand une méduse me méduse !

Jouant de la cornemuse,

Qui m'amuse; faisant muse-muse !

Prenant ma musique pour muse !

 

Si la vie va à vau l'eau !

Coulant migrant L'Aquarius

En route vers L'Eldorado !

Dès l'aquarium en rictus;

 

Nageant sur Télé Bocal !

Où tout s'enchaîne d'un cador !

En chantant d'un air nasal;

L'oraison en tort retors

 

Point comme un poisson dans l'eau !

Avec des charentaises s'taisent

En Charente-Maritime Oh !

Que c'est trop beau une fournaise !

 

Faisant des coups de chaud au

Froid qui a ses grosses chaleurs !

Quand ça tourne tout rond sur l'eau !

En chantant à la bonne heure !

 

Quand une méduse me méduse !

Jouant de la cornemuse,

Qui m'amuse; faisant muse-muse !

Prenant ma musique pour muse !

 

Attendant la nouvelle vague !

Pour patauger sur des flaques

Opaques; le creux de la vague

Très à côté de la plaque !

 

Transcendant mon mal de mer !

Si saignant à point nommé

En renommée adultère !

Qu'on m'a sommé d'assommer

 

Le bateau ivre de Rimbaud;

Comme le grand Rimbaud warrior !

Qui veut guère l'eldorado !

Luit poète maudit en or !

 

Hormis or que je patiente

Achevé; je suis malade

Si névrotique ! Qui me hante

Réenchantant en ballade...

 

Quand une méduse me méduse !

Jouant de la cornemuse,

Qui m'amuse; faisant muse-muse !

Prenant ma musique pour muse !

 

Jérôme de Mars

 

Un adulte est un je d'enfant innocent, coupable à l'âge adulte !

 

Complexe cent complexe,

Un enfant est un adulte en bas âge !

Qui en âge, transpire par réflexe,

Et qui angoisse vers le passage

De l'âge adulte dans le tumulte

D'une vie chaotique mise à rude épreuve !

Et même si nul ne guérit de son enfance !

Surtout adulte aguerri de son offense !

Il passe et trépasse vers le tumulte qui exulte

Où l'adulte est un je d'enfant innocent, coupable à l'âge adulte !

Qui exulte enfant ! Bon enfant !

Et qui dans un tumulte tourment, à son tour ment !

Et un enfant innocent peut-il devenir coupable

De ne pas avoir été aimé par des parents responsables ?

Et ses parents sont-ils responsables d'avoir rendu

Sa vie responsable, coupable et dissolue

Une fois à l'âge adulte ? Et un enfant coupable

Est-il encore innocent à l'âge adulte à en demeurer affable

Et aimable, malgré qu'il soit tombé sur des parents pas toujours fiables

Et capables de l'aimer avec dignité pour le protéger

De ses excès quitte à en crever l'abcès en retombées ?

De sa vie mise en abîme qui outrepasse d'une enfance où il exulte

Au passage adulte d'une offense dans le tumulte,

Où un adulte est un je d'enfant innocent, coupable à l'âge adulte !

Et de l'enfance pas sage au pas sage à l'âge adulte, l'innocent

Ou le coupable est-il responsable de ses tourments qui font tout ce boucan ?

Et un adulte est-il un en je d'enfant innocent, coupable à l'âge adulte ?

Et si tout oui, exulte-t-il jusqu'au tumulte ?

Qui abreuve dans la ville !

Qu'une vie qu'elle soit gentille ou vile,

N'a jamais été jusqu'à preuve

Du contraire un long fleuve

Dans la mer tranquille !

 

Jérôme de Mars

 

 

Et fée boule de neige !

 

En ce jour de Noël,

Il pleut des étoiles

De rêve essentiel !

Ce jour amical

 

Qui fait tant rêver

Ce monde si obscur;

Il faut sublimer

Ce jour dans du pur !

 

Et songer au doux,

Pour que tous, on s'aime !

Sans dire on s'en fout

En des mauvaises graines !

 

Qui ne pensent qu'à soi

Réconcilions-nous !

Luttons avec foi !

Et réveillons-nous !

 

Et fée boule de neige !

Effet boule de neige !

Noël, c'est la trêve !

En avent la fève !

 

Il vaut mieux gerber

Son jardin secret

De fleurs que gerber

La galette salée

 

Des jours difficiles,

Alors qu'il y a quand

Même des jours dociles;

Où on rit chantant

 

Aujourd'hui en paix,

C'est fête de Noël !

Pour siroter et

Profiter réel

 

Qu'il faut aller de

l'Avent en avant !

Dont un plus un; deux !

Qui prennent les devants !

 

Et fée boule de neige !

Effet boule de neige !

Noël, c'est la trêve !

En avent la fève !

 

Pour ne pas qu'on ait

Les boules trop maboules,

Buvons en grande paix

Une bière qui nous soûle !

 

Pas qui nous soûle mes

Chants le jour de L'An !

Mais qui soûle assez

Méchants en verlan

 

Notre monde à l'envers !

Pour qu'il retombe adroit !

Et redonne matière

Là au bon endroit !

 

En notre jour de l'en !

Ce jour d'embellie,

Qu'il soit jour de l'An

En des confettis;

 

Et fée boule de neige !

Effet boule de neige !

Noël, c'est la trêve !

En avent la fève !

 

Jérôme de Mars

 

                                        Robinet à vannes

 

 

1) Un Juif Palestinien pour qui ça ne gaze plus en Palestine est responsable de ce qui se passe à Gaza comme il gaza La Palestine !

 

2) Un Juif Arménien qui habite à Erevan en Arménie doit se faire souvent chambrer surtout si pour lui, ça ne gaze plus à cause de ces deux génocides !

 

3)  Un Arménien et un juif qui brûlent ensemble dans un four-crématoire, on n'y voit que du feu !

 

4) Comme tout tombe à l'eau en France, j'ouvre les vannes et je lance les vannes du robinet à Erevan !

 

5) Celui qui veut descendre un juif et un Arménien et qui se trompe de cible se fourre le doigt dans l’œil d'Hitler !

 

6)  Un Arménien vaut 3 juifs car hein jamais deux sans trois !

 

7) Avec tout l'antisémitisme qu'il y a en France, la preuve que ça gaze en France !

 

8) Avec l'antisémitisme et le refus de la reconnaissance du génocide Arménien, la preuve qu'il y a de l'eau dans le gaz en France car en plus que tout tombe à l'eau, ça gaze de plus en plus en France !

 

9) Si je remonte à la source de la raison pour laquelle tout tombe à l'eau dans ma vie, c'est que j'ai mes sources en prenant ma source lorsque je laisse couler le robinet à vannes !

 

10)  Le jour où je chambrerai un juif et un Arménien dans une chambre à gaz, il faudra vraiment que ça gaze pour moi en mâle !

 

11) Si pour Jean-Marie Le Pen, la Shoah est un détail de l'histoire, c'est que ce fut un génocide How ! Lost cost ! Qui n'a pas coûté si cher aux Juifs !

 

12) A chaque fois que quelqu'un me parle du génocide des Juifs ! C'est que ce fut chaud ah ! Pour les juifs l'holocauste !

 

13) Si on voulait être collabo pour le journal Minute, il fallait rentrer dans les papiers de L'Extrême-droite !

 

 

                                           Jérôme de Mars

Un océan de vague à l'âme

 

Au bout du rouleau compresseur,

Je surfe dans la nouvelle grosse vague !

Sans aucun renvoi d'ascenseur !

Que je suis au creux de la vague !

 

A surfer, à déferler sur

La vague du désespoir ce soir !

Où je vais tout droit dans le mur !

Manque de tendresse rédhibitoire;

 

J'ai le mal de mer à crever

A petit feu la gueule ouverte !

Où j'attends un raz-de-marée !

A m'en amarrer en des vertes

 

Et des pas mûres ! A me marrer

Que je divague à jeter l'ancre !

Coulant mon sang d'encre la jetée !

Qui brise la digue rejetant l'encre !

 

Un océan de vague à l'âme,

Océan bleu à mer infame;

Ma vie est si rasoir à lame !

Attendant que la mer s'enflamme !

 

Comme ma vie n'est pas un long fleuve

Tranquille ! Car peur de la grande ville

Que de toutes mes histoires, j'abreuve

Un réservoir pour n'être civil !

 

Que je veux naître; renaître si vil !

En faisant couler beaucoup d'encre !

Gardant de mon offense puérile,

L'envie de reproduire qu'ancrent

 

Mes envies de vengeance en mon

Venin de vieux serpent de mer !

Où en amont de monts en monts,

J'écris ma colère de viscères

 

Du fruit de ma rancœur rancune,

J'apprends par cœur mon côté vieux

Loup solitaire en ces lacunes !

Et toute ma vie hait faute de mieux

 

Un océan de vague à l'âme,

Océan bleu à mer infame;

Ma vie est si rasoir à lame !

Attendant que la mer s'enflamme !

 

Et si pour jouer, en jouer un rôle,

Je faisais le loup solidaire !

Feint de liesse ! Où je m'enrôle !

Genre le slameur qui décolle l'air !

 

Qui cavale l'air de rien ! N'allant

Du tout; allant à Cavalaire !

Cette ville si vil non civil en

Raison de mon immense colère,

 

Où arrivé à si bon port

A Cavalaire, j'avais le mâle

De mer d'autrui aux frais de port !

Que j'ai rêvé de m'faire la malle !

 

Depuis longtemps sur un piano

En jouant l'air, le refrain de

Mon mal de mer méli-mélo

Sur une note salée, voilà feu !

 

Un océan de vague à l'âme,

Océan bleu à mer infame;

Ma vie est si rasoir à lame !

Attendant que la mer s'enflamme !

 

Jérôme de Mars

 

 

Il emmène la baguette !

 

Tout au bout du rouleau

A la pâtisserie;

Il cherche des matériaux

Allumant sa bougie,

 

Lui, ce grand boulanger

Qui a du pain sur la

Planche, car à Boulanger,

Il y travaille bourgeois !

 

Vraiment à fond la caisse !

Qu'il encaisse tous les mots

De ses clients en pièces,

Qui lui disent des gros mots !

 

Lui qui fait des éclairs

Au café, chocolat !

Et si en un éclair,

Il devient clair hourra !

 

Il emmène la baguette !

Comme il mène la baguette

Bagatelle; sa braguette

Fait monter la baguette !

 

Or ! Ainsi les clientes

La trouveront trop bonne !

La religieuse qui hante

Boulanger sa garçonne,

 

Dont lui le boulanger;

Ca le désarçonne qu'il

Perd le manche à balais !

Sans son manche qui frétille !

 

Quand il touche les pains au

Chocolat et les pains 

Au raisin d'un cuistot !

En du pain béni, un

 

C'est du gâteau pour lui !

Qu'il bat, rebat sa crème

Fraîche ! Dont tout ouï, il jouit

Sa crème fouettée qui sème !

 

Il emmène la baguette !

Comme il mène la baguette

Bagatelle; sa braguette

Fait monter la baguette !

 

Qu'il en tient la chandelle !

En soufflant sa bougie

Qu'il dépucelle demoiselle;

Essoufflant des orgies !

 

En cette pièce démontée,

Quand il monte la part du

Gâteau à l'ébranler

La bougie ! Qui imbue

 

D'elle-même n'a pas tout bu !

Faute d'aller branler tout !

Que la chandelle n'a pu

Monter le manitou

 

En un 69, d'un pain 

Demi à une heure

Et de mie en un pain !

A la bonne heure de leurre !

 

Il emmène la baguette !

Comme il mène la baguette

Bagatelle; sa braguette

Fait monter la baguette !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                                    Blague :

 

 

 

Qu'est-ce-que ça fait pour Christian Serres depuis que sa femme Asiatique l'a quitté ?

-  Ca lui fait un sacré casse-tête chinois ! 

 

 

                                             Jérôme de Mars

Chantez avec ces artistes au ciel pour ne plus jamais déchanter sur Terre

 

Par ignorance quand Simone s'ignorait, il y avait Yves montant aux Champs-Elysées pour chanter lors d'un concert de louanges au zénith du soleil durant le printemps, quand Charles traînait avec un drôle d'oiseau Edith Piaf, qui enchantait l'hymne à l'amour pour déchanter l'hymne à la mort, lorsqu'elle croisa Jacques Brel qui n'est brêle mais Brel et bien Jacques Brel; qui accepta l'invitation du non-mariage de Georges Brassens sur les bans publics avec les copains d'abord, si bien qu'il en chanta une supplique pour être enterré à la plage de Sète, car Barbara, cette artiste qui fit partie des 3B : Brel, Brassens et Barbara nous en chanta cette France déjà désenchantée pour chanter la vie, surtout que La France édita un piaf de toutes les couleurs pour chanter que Barbara ne nous barbera jamais qu'elle reçut un bécot de Gilbert Bécaud, effet papillon de la chenille au papillon, tous ces artistes immortels défunts qui renaquirent de leurs cendres dans la conscience collective des Français; méritent une couleur arc en ciel légendaire dans le ciel de L'Olympia de leur vie sans faire de plans sur la comète, étoiles défilantes à l'instar d'Hollywood pour leur repos éternel; et maintenant que Johnny Hallyday les a rejoint en 2017, ces 8 infinis sont tous ensemble des génies holidays, et pour leur rendre un hommage intemporel et pérenne outre-tombe, chantez avec ces artistes au ciel pour ne plus jamais déchanter sur Terre. 

 

         

                                               Jérôme de Mars 

 

Ben mince en gros !

 

Ah ! En arrière !

Je vais devant

Sans les barrières !

Jetant un vent;

 

Mettant avant

De façon lourde,

Ne regrettant

Mes choses balourdes,

 

Renfermé dans

Ma grande coquille

Saint-Jacques, n'aidant

Ma palourde vile !

 

Où avant je

Prenais tout

A la légère !

Comme je m'en fous !

 

Ben mince en gros !

Qu'on m'appelle gros !

Obèse gros mot !

Je ne suis beau !

 

En porte-drapeau;

Baisse de régime,

Minceur maigre lot !

Si je n'écime

 

Mon passé grince,

Où maintenant

Je grossis mince !

Dorénavant

 

Sans une victoire,

Me nourrissant

En tupperware;

Car lancinant

 

A en gerber

Ma crise de foi,

A en gerber

Ma prise de poids,

 

Ben mince en gros !

Qu'on m'appelle gros !

Obèse gros mot !

Je ne suis beau !

 

Je m'en balance;

Déshabillé

Sur la balance !

Pour m'habiller

 

Pour tout l'hiver,  

En mon jardin

Secret divers,

J'ai un gadin !

 

Que je ne sais

Plus vraiment bien !

Ce que ça fait

Quand ça revient

 

Du poids de mon

Fardeau si lourd !

Que ça pèse rond;

M'apaise balourd !

 

Ben mince en gros !

Qu'on m'appelle gros !

Obèse gros mot !

Je ne suis beau !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                       Bouteille deux vers

 

 

 

 

                                       9)  J'attends devin

                                        8) Où           V 7)

                                                m          i                

                                                 o         v             

                                                 n         r             

                                            5)  D        e;   6)       

                              4)   A la mère !       de Mâle                      

                            3)  B                                     J  2)

                                 o                                     ' e  

                                 u                                      n

                                  t                                      

                                  e                                      v

                                   i 10) Ma mise en bière;  o

                                   l                                       i

                                  l  11) Comme tout            s

                                  e 12) Tombe à l'eau !       u

                                d'eau                                  n

                             1)  Bouteille de vers,  j'envoie;

 

 

                               13) Dans la ville de Cognac,

                               14) C                                 S 16)

                                     o                                  o

                                     m                                 û

                                     m                              len

                                     e  Tous mes revers   me/ t

                                        15) 17) Q       E 18)

                                                     u       m

                                                     e       é

                                                      j        c   

                                                      e       h

                                                      m      é

                                                     'e        e

                                                      ni       n

                                                      vre;    une

                                       19) Bouteille deux vers.               

 

 

 

 

                                              Jérôme de Mars

 

Et dis tôt 2022 !

 

Bonsoir, voici l'édito de cette année presque feu 2022 ! Où tout s'embrase en partant en cendres, comme tout ne fait que descendre, tout va ici bas et que tout va vers le bas, avec plus personne qui ne s'embrasse depuis le Covid pour relever le niveau en allant vers le haut, remarquez que s'il n'y avait que du haut et plus d'ébats, il n'y aurait plus d'enfants qui naîtraient pour assurer le renouvellement des générations, ce qui ferait le bonheur de BB, actrice de sa vie qui revendique que notre monde devient de plus en plus animal dans la faune sauvage, comme il n'y a plus d'arbre qui cache la forêt à cause du réchauffement climatique, comme le gouvernement vu l'état des finances et de nos économies protège plus le CAC 40 au lieu de protéger les SDF dans les rues innombrables, et l'environnement vu le climat social ambiant si électrique qui électrocute en court-circuitant tout le monde, à moins qu'il y ait comme 1939-1945, les brûlures de l'histoire, tel Dieudonné qui chambre les Juifs comme pour lui ça gaze, car il a fait chaud ah au Qatar lors du Mondial de Foot sous une chaleur moindre qu'en été ! Sinon cela aurait fait le bûcher divinité, comme personne ne peut lire devin dans le marc de café, à part prédire que l'inflation va augmenter notamment dans le Val-de-Marne, où rien ne dévale comme tout augmente comme le dit Macron, qui a sans filet débarqué dans le vestiaire des bleus après leur défaite contre L'Argentine réconforter toute l'équipe de France, car comme on dit Les bleus n'ont jamais aussi bien porté leur sûr nom avec des bleus à l'arme, et si en piqûre de rappel pour que chaque Français soit majeur et vacciné, on les vaccinait tous contre le virus de la grippe et de la connerie, vu que tout le monde se prend en grippe, et si au lieu que tous attrapent la grippe de la connerie, si on diffusait de l'amour pour que chacun l'agrippe et s'agrippe, car avec la réforme des retraites qui s'annonce, on aura besoin Deschamps d'action en sélectionneur comme capitaine de notre navire qui prend l'eau pour réenchanter ce peuple Français désenchanté, où plus personne ne se dit hello ! Dont nous sommes tant désabusés par la crise et l'inflation, où chacun nous dit, ne comptez sur personne dans la vie, ne comptez juste que sur vous dans la vie, la preuve que plus personne ne se calcule dans cette société divisée, fractionnée en mille morceaux, où l'addition est salée surtout à Paris envers les moins que rien multipliés par X fois de la loi du plus fort car diviser pour mieux régner sans le prince Rainier, qui a eu sa mise en bière de Monaco en 2005 comme par hasard, quasiment le jour d'un Pâques de bière, où devin, on se rend compte au bout du conte, qu'il n'y a juste que l'argent dans cette société capitaliste qui compte pour l'humain, pour qui l'humain ne conte plus même pour du beur, comme l'argent n'a pas d'odeur, et que l'argent hait le nerf de la guerre depuis naguère, la preuve en épreuve que notre société Française est fracturée de partout de par sa pénurie de médecins et d'infirmières, qu'on préfère désintégrer au lieu de les réintégrer à l'hôpital qui se fout de la charité, on préfère leur dire que le travail, ce n'est plus la santé pour les enfermer, renfermées à la Prison de La Santé, comme on a un gouvernement de bras cassés sans béquilles comme Macron, dont sa femme influence pourtant fortement Macron sur l'apolitique du handicap, à part se demander si Macron fait juste son cinéma pour le festival de cannes qui est son principal handicap, c'est bien beau que Macron annonce sa réforme des retraites le 10 janvier prochain, à condition bien sûr de ne pas supprimer les régimes spéciaux de retraite de la RATP, SNCF et d'EDF, sinon ce serait une baisse de régimes encore plus spéciaux qui battraient en retraite déjà au train où vont les choses comme La France déraille, et a toujours un métro de retard, car vu ce qui se trame en station debout avec les Français qui manquent d'entrain dans cette France plus du tout boute-en-train, où on attend donc un bon président qui soit une locomotive moteur pour remettre le pays en marche de renaissance et sur les rails du train dans le but que chacun retrouve le fil sans perdre le fil pour rétablir le courant entre les Français, à cause de l'hypertension artérielle et des hautes tensions si électriques en France, afin que chacun y trouve son compte de saltimbanque, comme La France est dirigée par des clowns qui sont les bouffons du désarroi des Français, j'ai envie de dire au sujet de l'équipe de France qui éperdue en finale que la coupe est pleine, dont j'ai envie de dire que pour renflouer les finances de la France, autant vendre à la découpe la réplique de la coupe de l'immonde de foutre 1998 et 2018, et si on faisait en sorte qu'aucun Français n'ait plus d'ampoules au pied pour ne plus saturer les urgences, car il y a urgence de rétablir le fil et le courant entre tous Les Français pas pour parler d'argent comptant mais en prenant pour argent content les paroles des Français, comme le silence est d'or et la parole est d'argent ! En rallumant les lumières, comme cette pièce est si triste et si noire, dont pour reprendre des couleurs et en voir la couleur, il faut cette fois-ci allumer des ampoules basse-consommation en rétablissant le courant pour qu'il n'y ait plus de tensions entre les Français, malgré qu'on soit tous entre ombre et lumière, et avant d'aborder avec sérénité 2023, pour que ce soit du gâteau en ces fêtes de fin d'année, soyons des crèmes futées et affûtées pour passer de bonnes fêtes de fin d'année avec nos proches, en mangeant la bûche pâtissière après toutes ces embûches, et sans langue de bois, montrons de quel bois on se chauffe pour passer un bon Noël et un bon nouvel An, afin que ça ne sente plus du tout le sapin dans le but précis qu'on n'ait plus les boules dans ce monde maboule, et pour que personne ne s'enguirlande en cette fin d'année, préparons pour 2023, un monde plus chaleureux pour réchauffer cette France, où tout le monde est en froid effet boule de neige, et faisons un tour de chauffe pour ne plus que les esprits se chauffent et s'échauffent en redonnant de l'énergie positive aux Français, en espérant que La France soit davantage chaleureuse pour se réchauffer au coin du feu, feu 2022 en attendant 2023 en trinquant à notre santé après avoir trinqué de notre santé ! Pourvu qu'on retrouve tous notre santé si impatients ! 

 

Jérôme de Mars

Deux inséparables oiseaux

 

Il était des canaris qui voguaient

Vers d'autres horizons à vol d'oiseau

Aux Iles Canaris ! Qui répétaient

Comme des perroquets en Polynésie,

Hibou, caillou, chouchou que des mouettes

Prenaient pour des pigeons-voyageurs pendant

Que les aras chantaient, alouettes,

Je vous plumerai dans ce poème !

En jouant à l'épervier avec les alouettes,

D'autant que ces oiseaux d'enfer;

Mésanges et mainates me déstressaient

Mes tresses, maîtresses étirées

Par les cheveux, me souvenant d'Edith

Piaf qui donnait à manger aux moineaux,

En même temps qu'elle leur chantait

Lors d'un concert de louanges 

Avec deux inséparables recevant

La contre dense des canards, 

Avec pour mères poules, le chant du coq

Sportif qui dansait le lac des cygnes,

Racontant des blagues belges

Avec les flamands roses, avec une cigogne

Qui apportait son bébé, signé : " Initiales BB ",

Alors que le pélican voyageait

Dans la ville de double Menton,

Relatant aux perruches comme des 

Lionnes en cage, le déni des aigles

Qui prenaient leurs femelles 

Pour des vautours, telles des rapaces,

Qui regardaient leurs corps beaux

Avec des lettres d'amours en lettres

De corbeaux, qui faisaient des appels de

Corbeaux, en disant chauve qui peut !

Ces chauves souris qui ne sourient jamais

Au Part Montsouris, en ne sachant

Si les goëlands ne perdent pas

Le Nord, ou semblent déboussolés

En ne sachant quelle direction prendre

Dans la rose des vents ou la sinistrose

Devant dans leur vieux Sud conservateur

Et si réac, que tout le monde attend

Très impatient le bon vieux temps

Du printemps, la saison des amours

Entre autres des tourterelles, qui sautent

Les libellules, qui sursautent les hirondelles,

Qui prouvent qu'il faut être deux pour éprouver

De l'amour et prouver tout l'amour du 

Monde comme pour faire l'amour, il faut

Etre et naître en deux inséparables oiseaux.

 

Jérôme de Mars

Le grand huit !

 

Il était

Un manège !

Qui semblait

Sacrilège,

 

Qui fait chute

De l'histoire !

Qui dit chute

Dérisoire !

 

Qui en fait

Des montagnes

Russes; usées

Par l'champagne

 

Alcoolique

Anonyme,

Névrotique

Synonyme,

 

Le grand huit !

Qui va vite !

Te délite;

Que t'évites

 

Acolytes

Anonymes !

Ovocytes;

Que tu frimes

 

Ta routine !

Qui est à

L'origine

Sans une joie,

 

Tu déclines

Ta naissance;

Aux racines

D'ton silence !

 

Où tu fuis

L'amour et

La belle vie !

Que tu es

 

Le grand huit !

Qui va vite !

Te délite;

Que t'évites

 

Tes amis;

Ta famille !

Que t'en ris

Si fébrile !

 

Que ta planque

T'enlaidit !

Que ton manque

Te raidit !

 

Et malgré

Ta pénombre,

En effet

Si en nombre,

 

Tu venais

Revivant,

Revenais

Repoussant

 

Le grand huit !

Qui va vite !

Te délite;

Que t'évites.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Enfin, il y a du soleil avec aucun nuage à l'horizon !

 

Nuages gris qui font grise mine,

Malgré tout, il faut avoir bonne mine !

Mine de rien dans la griserie !

Comme c'est l'accalmie

Et l'embellie sur le balcon;

Avec du soleil

Pour rendre la vie plus belle,

Ayant pour effet boule de neige !

Pas de neige en privilège,

Comme en illuminations,

Enfin, il y a du soleil avec aucun nuage à l'horizon !

A part juste pour les cons

Depuis leur bal con !

Et même s'il grêle avec des grêlons,

Buvons à la santé du soleil en effusions !

Pour qu'en à vies de tempête !

Le vent chasse la pluie distant !

Et si grâce à l'effet météo !

Nous implorions, en pleurions le ciel

De rendre notre monde solidaire et fraternel !

En faisant en sorte qu'il soit si beau !

En montant sur un escabeau

Jusqu'à l'eldorado

D'un beau ciel bleu clément,

Où tout deviendrait insouciant et bienveillant

Pour rendre les gens moins cons et abscons,

En les changeant en joyeux larrons et lurons !

Où il y aurait en retour en grâce chaque soir

De drôles de moments d'exutoire !

Où ce serait tout le temps la foire !

Qu'on raconterait sans feint de belles histoires !

Donnant de l'amour et de l'amour !

Pour que durent pérennes ces beaux jours

Sur le balcon des réconciliations

De la réanimation à l'animation,

Comme en Mars

En plus des giboulées de Mars,

Enfin, il y aura du soleil avec plus jamais aucun nuage à l'horizon !

 

Jérôme de Mars

                                     En Avent, c'est Noël !

 

En ce mois de Décembre entamé à l'approche des fêtes de fin d'année, allons de l'avant avec le calendrier de L'Avent, en mettant en avant les 24 premiers jours qui feront datte avant Noël, pour que ça ne sente pas le sapin suranné cette année, et à faim que personne n'ait les boules et que personne ne s'enguirlande, faisons un sapin de Noël avec une boule à facettes place de L'Etoile, pour gagner le tout-Paris à l'instar d'un jour de Noël, qui réunit la famille et les amis pour déguster un repas succulent et exquis, tous ensemble avec des lisses convives après avoir tant dégusté cette année, alors en attendant, faisons en plus de la trêve des confiseurs la trêve de Noël, en mangeant du chocolat pour naître et être heureux, car tous en Avent, c'est Noël !

 

                                           Jérôme de Mars

                                        La coupe est pleine ! 

 

 

 

 

 

                    1) Trop fait des champions, la coupe est pleine !  2)

                    4) P                                                                        Q  

                        o                                                                        u

                        u                                                                         '

                        r                                                                         e

                        b                                                                         l

                        o                                                                         l

                        i re                                                                      e

                   3)  A besoin d'une mère poule en matchs de poules           

                                            5) U                            C  6)

                                                 n                            h

                                                 e                            a

                                                                               m

                                                 c                             p

                                                 o                             a

                                                 u                             g

                                                 p                             n

                                                 e                             e

 

                                                 d                             e

                                                 e                             n

                           7)  Vers avec pour coupe de fruits du travail 

                          8)   L                                                            D  9)

                                e                                                            u

                                                                                              c

                                c                                                            o

                                h                                                            q

                                a                                                            

                                n                                                            s

                                t                                                             p 

                                                                                               o

                       10) C                                                                 r

                          l                                                                          t

                   a                                                                                   i

               m                                                                                         f

             a                                                                                                   

           n                                                                                        11)   E

        t                                                                                                       n

 

12 ) Trop-plaint, la coupe est désormais plus que pleine, une grande plaine !

 

 

       

                                             Jérôme de Mars                                       

J'ai la musique dans la peau !

 

Vieux éléphant des sixties,

Je mets une pièce en appoint

De mon juke-box qui eighties,

Me joue en mettant les points

 

Sur les i ! De la musique

En ma chaîne, déchaîne hifi

En stéréo symphonique,

Jouant du xylophone wifi !

 

En ma vie rock'n roll qui

Va d'excès en camouflets,

Insuffler un soufflet si

J'en fais tout un fromage ! Et

 

Que je chante en un ramage,

Des paroles en me tirant

Les vers du nez chronophages,

Car en m'étirant tyran !

 

J'ai la musique dans la peau !

Dont je paye plein pot le pot

Aux roses de tous mes potos !

Chantant un pot-pourri haut !

 

Et mon micro, je l'ai donc

Rangé où ? Si dérangé,

J'ai de la matière de jonc !

Où tout peut donc s'arranger !

 

En musique d'un paradis

D'enfer ! Jouant du métal

Au nirvana spleen hardi !

Comme le fer est un métal !

 

En faisant table rase d'étal

Du passé qui s'étale bouche-bée !

Ayant débouché une salle,

Dont le débouché en fait

 

Une bouchée sur place publique

Lors d'un concert de louanges,

Chantant Brassens bancs publiques !

Et quand donc tout se mélange !

 

J'ai la musique dans la peau !

Dont je paye plein pot le pot

Aux roses de tous mes potos !

Chantant un pot-pourri haut !

 

J'écris tout ce qui m'arrange

En symbiose, en harmonie !

Quand j'engrange tout dans ma grange !

Que je range mon écurie

 

Depuis ma maison de disques,

Disques rayés gravés, c'est des

CD graves ! Et à mes risques

Et puérils ! Donc C CD

 

Sont DCD, D CD !

Qui ont CD leurs CD !

Ecoutant ACDC,

Qui ont eu AC DC !

 

Quand avec assez d'essais,

Je ne fais que des excès !

Tant des accès désaxés !

Que j'en ai crevé l'abcès !

 

J'ai la musique dans la peau !

Dont je paye plein pot le pot !

Aux roses de tous mes potos

Chantant un pot-pourri haut !


Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Il y a encore des oiseaux !

 

Après la pluie, le soleil

Pour faire rêver paysagée

Avec beauté ménestrel !

Pour ainsi enjoliver

 

Ce monde qui va à vau-l'eau !

Sans l'eldorado en brume !

Qui pour voler vers le haut 

Ramène que du chaud sans rhume !

 

Et si au lieu de la haine,

On distribuait l'amour !

Pour passer de bonnes semaines

En bohème de troubadour !

 

On aurait tant tous besoin

De retrouver plus d'une fois !

La foi du béguin humain 

Samaritain, car où qu'on soit !

 

Il y a encore des oiseaux !

Pour relever le niveau

Et s'envoler vers le haut !

Assez loin du caniveau

 

Sans lettre, appel de corbeaux,

Car même s'il y a du mal-être !

Regardons de beaux corps beaux

Et clairs si, lisant ma lettre

 

Si on prend de la hauteur !

Sans aucune désinvolture,

Sans rancœur d'apprendre par cœur !

Démontrant notre bonne nature !

 

Démontrant le bon exemple

Aux gens et aux grands enfants !

Pour que tous, on se contemple !

Allant au temple insouciant

 

Confesser tous nos péchés,

Repentant mea culpa !

Pour changer, se dépêcher,

Donnant de la joie hourra !

 

Il y a encore des oiseaux !

Pour relever le niveau

Et s'envoler vers le haut !

Assez loin du caniveau

 

En écrivant de beaux poèmes,

Dormant la nuit sur notre lit !

Avec une plume qui parsème

Sans enclume une embellie !

 

Changeant chaque nuit en bon jour !

Pour que tous se serrent la main !

En se disant tous bonjour !

Pensons ensemble à demain !

 

Pour bâtir un monde meilleur

Qui donne en eldorado

Le goût des fleurs du bonheur !

En se repassant le mot !

 

Car après ces maux pour maux,

Il faut beaucoup d'espoir !

Car maintenant mots pour mots,

Voici en de belles histoires !

 

Il y a encore des oiseaux !

Pour relever le niveau

Et s'envoler vers le haut !

Assez loin du caniveau.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

                                              Blague :

 

 

Pourquoi Christian Serres de L'ESAT La Fabrique a-t-il la grosse tête ?

-  Parce-que Christian Serres-tête !

 

 

                                       Jérôme de Mars

                                             Blague :

 

 

Que dit une femme qui est bouleversée lorsqu'elle lèche les couilles de son mari ?

-  Elle dit qu'elle a les boules !  

 

                                  

                                      Jérôme de Mars

 

Ce soir y a France baroque !

 

Ce soir à la télé !

Même qu'j'en ai rien à foutre !

Y a du foot étrange hé !

Car je n'aime pas le foot !

 

J'évite la coupe du monde !

Pourvu qu'elle passe très vite !

Car cette coupe est immonde !

Pourvu qu'elle passe lévite !

 

Car depuis des semaines

Que Tf1 émet

Les matchs de la coupe pleine,

T'es fin que je n'aimais !

 

Comme la coupe est pleine tant !

Et si bien rien à foutre !

Que je loupe tout le temps !

Moi qui m'en fous du foot !

 

Ce soir y a France baroque !

Cette nuit y a France-Maroc !

Que ça va être loufoque !

Comme l'équipe de France fuck !

 

Dont lors d'la grande mi-temps 

De ce soir ! Je ferai

Genre rien à foot ! Longtemps !

Que c'est long ! J'zapperai !

 

A m'en taper tout ce

Coquillard ! Cette télé

Lucarne ! Et temps de ceux

Qui préfère regarder

 

Nulle part ailleurs ! Loin de

Tout ce cirque médiatique !

Faisant défaites à nœud

Nœud sans moi frénétique !

 

Chantant le coq sportif

Sans mère poule en matchs poules !

Cocorico ! J'ne kiffe

Cette coupe que je refoule !

 

Ce soir y a France baroque !

Cette nuit y a France-Maroc !

Que ça va être loufoque !

Comme l'équipe de France fuck !

 

Ce soir après le match !

Ca va péter grave des

CD ! Faisant un slatch

Sans foot qui veut m'aider

 

A faire une guerre civile

En plein Paris ? Aux champs 

Elisez-moi docile !

Car pas besoin de chant

 

D'action ! Car si méchant

D'action ! Où je m'en fous 

Du foot d'action ! Mes champs

D'action ! Où sans garde-fous !

 

Je suis un loup relou !

Qui veut trop que ça pète !

Ripou et fort voyou

Que personne ne m'embête !

 

Ce soir y a France baroque !

Cette nuit y a France-Maroc !

Que ça va être loufoque !

Comme l'équipe de France fuck !

 

Jérôme de Mars

 

Hasch, elle aime !

 

Susciter

Une saga,

Réciter

Cette saga,

 

Ma cité,

Elle envoie

Droit d'cité !

Qu'elle en voit

 

Gens d'couleurs !

Qui marchent tous

En ferveur;

Coups de pouce !

 

Quelqu'un tousse

Dans la rue !

Avec frousse

Avenue;

 

Hasch, elle aime

HLM !

Cité qu'aime

La bohème !

 

Cécité,

A l'aveugle !

C'est cité,

Or ! Elle beugle !

 

Et quoi faire ?

Oh ! Que diable !

A s'en faire !

Roule le diable !

 

Ma saga

Citée; comme

Cette saga

Cité. com

 

Elle en rue

Les brancards !

La cohue;

Tous smicards !

 

Hasch, elle aime !

HLM !

Cité qu'aime

La bohème !

 

Direction

L'boulevard !

Désertion

L'bouclard !

 

Dans son coin

Au cagnard !

Son coin coin

Au canard !

 

Roulant joint;

Du haschisch

En six joints !

De Ah !  chiche !

 

Enfumant

Du shit ! Qui

Joints roulants,

Rejoints si !

 

Hasch, elle aime !

HLM !

Cité qu'aime

La bohème !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Et peace and love !

 

Entre joies et peines,

La vie ne manque

D'piquant qui mène

Aux saltimbanques !

 

Où l'amour se

Fait à deux ou

A plusieurs, ceux

Bite nique ! Et où

 

Pour fumer que

De la havane !

Enfumer deux

Qui se pavanent

 

A La Havane !

Hippie hourra !

Il y a des vannes

Dans une nouba !

 

Et peace and love !

Quelqu'un rénove

Ce monde cent love,

Qui le rénove ?

 

Avant que d'un

Simple béaba !

Il y ait quelqu'un

De tout béat !

 

Comme un baba

Qui coule, si cool !

Comme un papa

Cool qui découle !

 

Où tout le monde

Fait un 69 !

Loin d'être immonde !

Car quoi de neuf ?

 

Depuis Woodstock

A en aimer,

A être en cloque !

A en s'aimer

 

Et peace and love !

Quelqu'un rénove

Ce monde cent love,

Qui le rénove ?

 

Y a-t-il quelqu'un

Pour clairsemer

Sa sève ? Putain

D'effarouchée

 

A en casser

Sa pipe ! Qui pipe

Les dés aidés ! ?

Quand elle se fripe !

 

Parlant de sexe !

Tout fripé et

Frisé complexe,

Acidulé !

 

Ca fait du bien

Par où ça rentre !

Profond vagin

Par où de l'antre !

 

Et peace and love !

Quelqu'un rénove

Ce monde cent love,

Qui le rénove ?

 

Jérôme de Mars

 

Le bureau des complaintes

 

Voici une consultation imaginaire au CMP de Vitry-sur-Seine le mercredi 14 décembre 2022 à 11h50, jour du rendez-vous médical entre Jérôme Bedrossian, un patient du CMP de Vitry-sur-Seine et sa psychiatre Madame Teillet :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ?  Alors qu'aujourd'hui, quelles sont vos doléances dont vous allez me parler maintenant que vous êtes dans le bureau des plaintes ?  "

 

Jérôme Bedrossian, impatient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Bonjour Madame Teillet, je vais bien et je vais mâle, mais pour que vous ne m'envoyez pas m'envoyer balader dans votre bureau des plaintes, OTAN que je vous chante une ballade dans le bureau des complaintes pour vous évader en vous changeant les idées, déjà que tout le monde déchante au quotidien en ce moment en France ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Alors Monsieur Bedrossian, qu'avez-vous de prévu pour les fêtes de fin d'année ?  Et surtout ne me jouez la victime Calimero qui va trépasser en fait de fin damnée, ça ne marche plus avec moi votre scénario de fin du monde, ne soyez plus spectateur de votre vie mais soyez-en l'acteur en vous donnant enfin le beau rôle ! "

 

Jérôme Bedrossian, impatient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- "  Mais non Madame Teillet, rassurez-vous, je ne trépasse en fait de fin damnée, je vais passer de très bonnes faites de fin d'année en famille le 24 décembre, le 25 décembre et le 31 décembre avec mes amis, car en faim cette année, ma vie c'est du gâteau futé, affuté car je m'en rappelle les fêtes de fin damnée 2016, 2017 et 2018 furent très difficiles et éprouvantes pour moi que j'en avais mangé de la crème fouettée en faisant des galettes désarrois ! Que j'ai trinqué de ma santé au champomy alors que maintenant Madame Teillet, je trinque à ma santé au champomy pour ma pomme de terre en sachant que ce n'est plus la fin des haricots vers ma décadence mais vers ma grande cadence de troubadour, que ma vie ne sent plus le sapin actuellement, ce qui fait que je n'ai plus les boules et que je m'enguirlande plus avec personne ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Certes Monsieur Bedrossian, vous n'avez plus les boules mais vous êtes maboule, excusez-moi, j'ai fait une bourde, c'est moi qui ai perdu la boule, la preuve, vous avez ma boule, je plaisante Monsieur Bedrossian, je vous taquine envers vos vers de bohème ! "

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Rassurez-vous Madame Teillet, je sais que vous rigolez, la preuve qui ne prête à rire mais qui s'apprête à me faire sourire, vous voyez, ça fuse les idées lumineuses après toutes ce idées noires, j'ai tellement foi en la vie pour une fois que je vais manger du foie gras de cagnard, le soleil de ma vie à en faire le tour du pâté de maison qui s'encroûte à en manger du saumon enfumé ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Que vous êtes ubuesque Monsieur Bedrossian !  Comme vous allez plus que bien ! Et qu'il y a prescription à présent de tout votre passé outrepassé ! Je vais vous faire passer avec foi et loi une ordonnance pour que vous soyez assigné à résidence à vie au GEM de Vitry, sans que vous ayez un jour à retravailler en ESAT et sans que vous demandiez et redemandiez un jour l'asile psychiatrique pour aller boursoufler à l'hôpital Paul Guiraud qui se fout de la charité ! Car je sais que vous seriez capable d'aller dans cet hôpital pour y habiter à vie, enchantant :

" Je suis malade " en disant sers-je lama à cracher dans la soupe populaire de tout mon potentiel ? La preuve que le GEM vous fait tant de bien ! Point de vue lien social et bénévole, où vous y trouvez votre conte saltimbanque ! Vous voyez Monsieur Bedrossian, je ne veux pas que vous soyez assisté mais incité à faire du bénévolat, en faisant des choses que vous aimez Monsieur Bedrossian ! Sans oublier la preuve que j'ai bien fait Monsieur Bedrossian de vous prescrire une aide-ménagère départementale Monsieur Bedrossian, car enfin vous avez une auxiliaire de vie qui vous ménage après tout ce remue-ménage à L'ESAT surtout ces dernières années, ! En plus Monsieur Bedrossian ! Ce qui est bien, c'est que l'auxiliaire de vie vous apprend à bien entretenir votre logement, en vous aidant à balayer à chaque anniversaire vos 44 derniers balais ! Allez Monsieur Bedrossian ! Au revoir et au mois prochain, qu'en pensez-vous de ma prescription ?  "

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Madame Teillet, merci pour tout ce que vous faites pour moi, j'aime le GEM car en faim au GEM, je suis logé à la même enseigne que tout le monde ! Sans être patient à en être si impatient d'aller chaque jour qui passe au GEM de Vitry ! "

 

Jérôme de Mars

Une locomotive pour Noël

 

Elément moteur des fêtes de fin d'année,

Tout le monde espère qu'il y aura un train !

Même qu'il est à voile et à vapeur !

Peu importe ce qu'il est, le plus important

Est que tout roule exaltant

Et moteur avec une locomotive pour Noël,

Pour remettre sur les rails

Ce monde déboussolé en station debout !

Qui attend sans arrêt la destination à bout !

Vers laquelle acheminer ce long courrier

Que tout le monde veut adresser au Père Noël

Pour faire un cadeau à la vie, même que la vie

En ce moment est plus ombre que lumière !

Et si on en profitait de la trêve des confiseurs !

En ne mangeant aucun bonbon casse-bonbon !

Mais en ne mangeant que des bonbons qui sont bons !

A faim que notre monde ne sente pas le sapin

Cet hiver, mais sente le romarin boute en train

Autour d'un buffet à déguster tout ce que tout 

Le monde a travaillé après avoir tant dégusté

Cette année, à s'en être gelé les royales !

Qui se les gèle royales  !

A part qu'à Noël, tout le monde joue son va-tout !

Avec une locomotive pour Noël

Pour que tout roule comme sur des roulettes !

Après avoir fait ses emplettes

Pleines d'entrain,

Or ! Il faut allumer et rallumer la lumière

Dans les chaumières

A Noël, pour que tout le monde soit immortel,

Amical et cordial !

A Noël !

Même que ces fêtes de fin d'année

Peuvent paraître pour certains surannées !

Mais dont c'est le seul monde, où tout le monde se rassemble,

Et semble sur la même longueur d'ondes tous ensemble !

Le temps de déguster un repas !

Loin de ce que tout le monde déguste le reste de l'année 

En tracas avec pertes et fracas,

Tout le monde a besoin d'une locomotive moteur

A Noël très boute-en-train ! Destination sans aucune issue,

Pourvu que ce beau moment dure dans l'absolu

Avec candeur et ferveur,

Car si jamais à Noël, il y a une grève !

Pourvu qu'il y ait une trêve

A faim que la grève s'achève 

En tout bien tout honneur !

En faisant de cet instant, un agréable moment fraternel !

En buvant la sueur et la fureur de ce moment 

O combien au présent non oppressant !

Qui fait toujours depuis d'antan recette ! En riant

Et en souriant dans l'ardeur et le bonheur !

Qui a besoin moteur et fédérateur intemporel !

Surtout cette année

Plus que jamais !

Qu'il y ait définitivement une locomotive pour un super Noël.

 

Jérôme de Mars

Des beaux discours

 

Parler pour dire

Des choses utiles !

Et pour ne dire

Des choses futiles !

 

A en gagner

Du temps perdu !

A en perdre et

Tant éperdu !

 

Car ce qui compte,

Ce sont les actes !

Et pas qu'on conte

Paroles d'entracte !

 

Avec la langue,

On peut tout faire !

Car même exsangue,

On peut en faire

 

Des beaux discours,

Qui font concours

Quand on court, court

En un recours !

 

Tout ce qu'on loupe

Dans la vie, dont

Grâce à une loupe,

On peut au fond

 

Changer en bien

Les choses, en en

Faisant du lien

Social charmant !

 

Qui donne envie

En équilibre !

D'avoir une vie

Libre pour qu'on vibre

 

A la maison !

S'entendant bien

Comme une chanson,

Il y a d'entrain

 

Des beaux discours,

Qui font concours

Quand on court, court

En un recours !

 

Et qu'on se rend

Compte que ce qui

Compte si pressant,

C'est vivre exquis !

 

Des moments très

Romantiques qui

Donnent, redonnent traits

A nos vies !

 

Qui veulent en faire,

Refaire jolies

Malgré l'enfer

Des vies en gris !

 

Si on chantait

En un refrain !

Des chansons gaies

En étant loin 

 

Des beaux discours,

Qui font concours

Quand on court, court

En un recours !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Marchand de slam

 

Pour que la vie

Ne soit morose !

Et donne envie

D'une vie en rose !

 

Distribuons

Juste de l'amour !

Qui chante néons,

Rallume l'amour !

 

Car en marchant

Place République,

Je vends du vent !

Vent place publique,

 

J'attends des actes

Au lieu des mots

Et des gros tracts !

Car à demi-mots !

 

Marchand de slam,

Je clame, déclame

Vent de réclame !

Je vends du drame !

 

En du pipeau,

Que je préfère

Jouer du pipeau,

Vents de colères !

 

Je vends du rêve

Brisé par tant !

Qui nous achève

Il était temps !

 

De déchanter

Les farandoles,

Et de chanter

Ces quelques paroles,

 

Et qui a tort ?

Qui a raison ?

Et quel mentor

Fait l'oraison ?

 

Marchand de slam,

Je clame, déclame

Vent de réclame !

Je vends du drame !

 

E si je prends

Le tram en train !

Et que j'apprends

Qui trame d'entrain ?

 

Malgré l'humeur

Des gens qui trinque

Sans le bonheur !

Je me requinque

 

En pensant aux

Mots que je vais

Chanter sursaut !

Je flânerai

 

En chantant au

Téléphone, tout

Mon slam micro

Ou vers fourre-tout !

 

Marchand de slam,

Je clame, déclame

Vent de réclame !

Je vends du drame !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

Que ce fut brèves !

 

1) La preuve qu'Emmanuel Macron, il n'en a en rien à faire des personnes handicapées, comme il fait du cinéma de cannes en prenant les personnes handicapées pour ses béquilles, comme la politique d'Emmanuel Macron ne tient pas debout même si son parti apolitique est en marche de renaissance !

 

2) Pour éviter que la vie affective et sexuelle des handicapés soit à la vie, à la mort une petite mort pour eux ! Emmanuel Macron devrait songer à légaliser une assistance sexuelle pour les handicapés en recrutant des personnes qualifiées qui auraient pour compétences d'aider les handicapés  à prendre leur pied à défaut de marcher, car à la vie, à l'amour ! 

 

3) Elisabeth Borne dépasse vraiment les bornes qu'elle se borne à vouloir faire une réforme des retraites, où personne ne battra en retraite mais se battra pour sa retraite en tentant de la sauver, même s'il y a un risque que les parents envoient leurs enfants au charbon, car en ayant une mauvaise mine mine de rien, les  enfants de l'an 2000 futurs retraités, augmenteront leurs malchances d'avoir une fois à leur retraite une pension d'infamie !

 

4) Si Emmanuel Macron veut que la sécurité sociale résorbe son déficit, il n'a qu'à inciter les Français à prendre de l'assurance tous risques !

 

5) Si Emmanuel Macron veut que les Français perdent le fil si électrique des hautes tensions en France, et bien pour cela, il doit rétablir le courant entre les Français si égoïstes pour qu'ils s'éclairent de leurs lumières en consommant des ampoules basses tensions !

 

6) Heureusement qu'Emmanuel Macron n'est pas une lumière sinon chaque Français aurait des ampoules en perdant pied !

 

7) Si Les Français n'avaient pas voté en marche en 2017 ! Et bien en haute marche du podium, on aurait eu Marine Le Pen présidente !

 

8) La preuve qu'au second tour en 2022, ça a été la renaissance de Macron qui en a pris son nouveau parti !

 

9) Si en 2027, on autorise le vote par correspondance, il se peut que les Français ne votent plus en marche de la République mais votent dans un rassemblement national par correspondance !

 

10)  Si on veut que Les Français retrouvent de l'énergie, il ne faut pas augmenter leurs factures d'électricité au risque de pomper toute leur énergie !

 

11) Un facteur risque de prendre tout au pied de la lettre, surtout si le facteur a sonné 3 fois au domicile de quelqu'un pour lui remettre une lettre avec personne pour lui répondre en lui ouvrant la porte !

 

12) Avant les grèves de Janvier 2023 à cause de la réforme des retraites, pour que les fêtes de fin d'année soient en faim du gâteau, autant bûcher sa crème fouettée qui démange plutôt que de travailler jusqu'à la mort à Boulanger !

 

13) Heureusement qu'Emmanuel Macron va rendre gratuit la délivrance du préservatif dans les pharmacies pour les 18/25 ans, pourvu que si la droite refuse de vider ses bourses en prenant tout pour argent content, qu'elle ne compte pas capoter l'idée de Macron en la faisant payer aux jeunes de 18/25 ans !

 

14) La preuve qu'à l'hôpital le travail, ce n'est plus la santé comme il manque des médecins et des infirmières !

 

15) Emmanuel Macron n'arrête pas de clamer qu'il a une jambe gauche et une jambe droite ! Ce qu'il nous dit ça nous fait tous une belle jambe !

 

16) Par les temps qui courent, naître ou n'être médecin, c'est toubib or not toubib, fallait y panser !

 

Jérôme de Mars

 

Vil deux lumières

 

 

                                                                                        s.

                                                                                     e

                                                                                    r

                                                                                   è

                                                                                  i

                                                                               m

                                                                             u                               m ant

                                                                          l                               u

                                                                                                         l

                                              e                          x                              l

                                           r               e           u                              a

                                        è               r             e                              r

                                     i               b               d                     

                                  m            m                                              t

                                u           o                      l                   16)  E                                        l         e                          i                   t

1)  V         U  3)            r                          v                   n                      n

      i          n    E    t                                      i            a                       E

      l          5)         n                                   o         m                    14)              e

                g   4)   E                            17) M        u                                u,     h

     d         r                                                         l                               c       c

     e         a      d                                                l                          '  é        r

     u            n                                           15)  A                          L          o

     x          I                                               11) M                   13)   12)  T 

                 l                                                       e                    L  8)

     l           l                                                                             u

    u          u                                               10)  J                    m

    m         m                                                       e                    i

    i            i                                                                              è

   è           n                                            9)  6)  Q                   r

   r            é                                                         u                   e,

  e                                                                         e

  s,   Je suis                                                         Je ne suis une       

        2)                                                                 7)

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vas-y Franco !

 

Comme un Conte d'Espagne !

Pourvu que tu épargnes

Ta population maintenant !

D'où que tu hais ! Car au temps !

Que tu regrettes toute ta dictature

En Espagne  !

Que tu n'épargnes

Gna gna

Jamais toi ! qui y allas illico !

Et maintenant, vas-y Franco !

Tout le monde t'aurait livré au brûlot !

Et au culot de ta désinvolture !

Toi qui bâillonnas les opprimés !

Dont tu persécutas ces ouvriers malmenés

Par ta politique qui les jeta en pâture  !

Et que tu exploitas à tes fins martials !

Toi, le pervers narcissique brutal

Et frontal !

Tel un manipulateur

Et un imposteur !

Où tu te serais bien entendu

Avec Marine Le Pen !

Dont la Marine peine

A arriver à ta cheville

Mais par contre ! T'aurais souhaité la bienvenue

A Jean-Marie Le Pen !

En votre jardin d'Eden de la haine !

En jetant votre mauvaise graine

Qui égrène ce monde qui part en vrille !

Car vas-y Franco !

Et vas-y franco avec brio  !

Pour que tout l'immonde te dise banco !

Et rio Bravo avec feu Bolsonaro 

Tu te rends compte Franco ! 

Tu avais tout faux !

Car d'où que tu es !

Aies au moins le toupet

De foutre la paix  !

Aux rescapés 

Des traumatismes

De ton génocide

Acide ! Car tout le monde pieux

Veut vivre dans un monde chaleureux,

Placide et limpide !

Avec plus personne qui se décime

Dans le mutisme

Qui les brime !

Car d'où que tu es

Et tu hais !

Fous-nous la paix Franco !

Et dis-leur aux Le Pen

Qu'ils se donnent la peine 

De partir avec leur OPEN

Ecorcha ! Car O Pen

Pourvu que sans peine !

On ne voit plus les Le Pen !

Pour qu'on te voit à peine !

Franco ! Dont OTAN

Que tu foutes le camp !

Avant que tout foute le camp !

Avec brio 

Et rio Bravo !

Le tout sans Bolsonaro !

Et loin de notre eldorado !

Vas-y franco, Franco ! 

 

Jérôme de Mars 

Le jeu des chaises musicales !

 

Entre soi ma foi, c'est un

Jeu qui se joue ! On en joue !

Le même refrain qui enclin

En un clin d'œil rend presque fou !

 

Que tout le monde chante, danse et

Contre danse en tournant autour

Du pot aux roses qui bougeait,

Se trémoussait à ton tour !

 

De montrer de quoi tu es 

Cap ! Cap autour de la piste

De danse même que tu es très

A chaise grossissant la liste !

 

D'ton cul assis entre deux chaises !

Si bien que le DJ te 

Chante ! Faut te bouger alèse !

A l'aise ! Car voilà heureux !

 

Le jeu des chaises musicales !

Qui a l'oreille musicale !

Si c'est à chaise musicale !

Que t'es à chaise musicale !

 

A chanter, déchanter sans

Paroles ton gros ras-le-bol  !

Qui fait des mille et des sang !

Pas de bol ta parabole !

 

Tu n'arrives pas à capter

Les paroles et la danse aux

Chansons survoltées, effet

De ta stéréo micro

 

Ouvert, fermé, renfermé !

Quand quelqu'un te dit d'éteindre

La radio ! Pour te la fermer !

Pour tout déchanter et geindre

 

De tes vers en ton salon

De thé vert ! Dont c'est ta tasse

De thé en bulles de savons !

Où tu t'entasses et entasses !

 

Le jeu des chaises musicales !

Qui a l'oreille musicale !

Si c'est à chaise musicale !

Que t'es à chaise musicale !

 

Et si tu achètes Podium,

Tu pourras voir les coulisses

Du décor ! Sans prendre d'opium

Par la grande porte qui s'y glisse !

 

Pas besoin de réglisse comme

Tu es point comme interne net !

Et que c'est tout comme.com

Entre tes facettes et fossettes !

 

En faisant des plans sur la

Comète depuis ta fenêtre !

Et si tu chantais ta joie !

Pour qu'il y ait un grand bien naître

 

Mené tambour combattant !

Tu es un battant en haut !

Et en bas lâchant battant !

Car rebattant de plus Oh !

 

Le jeu des chaises musicales !

Qui a l'oreille musicale !

Si c'est à chaise musicale !

Que t'es à chaise musicale !

 

Jérôme de Mars

 

 

Un soleil effet boule de neige !

 

Bientôt, ce sera Noël !

Avec des guirlandes

Sur le sapin,

Qui sentira les landes

Du romarin

Sur La Terre intemporelle,

Où personne n'est à la mode !

Quand tout s'accommode 

Et se raccommode !

Toujours commode

Sans de mise au placard

Le soir de Noël

Lors du rencard,

Où tout le monde partage

Un magnifique moment à l'attelage, 

Qui rassemble immortels

Des gens avec autour d'un repas,

Un soleil effet boule neige !

Dont ce sera du gâteau eux à la neige

Avec pour privilège,

Des éclats de rire au-delà la crise de foie !

Car grâce à un soleil effet boule de neige !

Ce sera l'été à Noël 

Qui brandira la passerelle,

Pour que tout le monde se rassemble fraternel

Même que la vie est solennelle

Le reste du temps dehors, où il ne fait guère beau !

Alors qu'il suffit de prendre de la hauteur

En montant sur un escabeau !

En voyant que du bonheur !

Comme il est beau ! Avec le Père Noël qui ne sent le sapin !

Avec autour du romarin,

L'air romarin d'un repas divin qui sans sacrilège,

Regarde depuis son monde extérieur frileux

Jusqu'à la maison en son intérieur radieux et chaleureux !

Car même qu'il neige !

Il y a un soleil effet boule de neige !

 

Jérôme de Mars

Des temps modernes

 

Détends passé,

T'es obsolète

Et dépassé

Que rien n'est net !

 

Dont ton monde est

Conservateur !

Ton immonde hait

Trop protecteur !

 

Car sur année,

Ta vie cabossée

Est surannée !

T'as qu'à bosser !

 

Pour t'assurer

Une vie meilleure !

Te rassurer,

C'est la ferveur !

 

Des temps modernes

Et subalternes

En ce monde terne,

Rouge lanterne

 

Et arriéré,

Comme d'ordinaire,

T'es démodé,

Réactionnaire !

 

Toi, si vieux jeu

Et stationnaire,

Tu n'es ange

Point débonnaire !

 

Comme t'es quelqu'un

De si étrange !

Qui ne vaut rien

Et si tu changes

 

En bon Chrétien !

Y aura-t-il toi

Samaritain

Une nouvelle loi ?

 

Des temps modernes

Et subalternes

En ce monde terne,

Rouge lanterne

 

Dont tout ça range

Non des gueux las !

Dont tout s'arrange

Non dégueulasse !

 

En un joli

Monde, où tous veulent

Avoir une vie

Plus jamais veule

 

Et non démodée !

S'il y a par-là !

Raccommodée

Peut-être la joie !

 

Pour renaître si

Accommodés !

Tous très assis

Non démodés !

 

Des temps modernes

Et subalternes

En ce monde terne,

Rouge lanterne.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Roc alternatif

 

Dur à cuire en pierre,

Cette musique métal

Qui forge caractère !

En bloc de métal,

 

A un cœur de pierre !

Qu'elle met du cuir à 

En cuire sa misère !

Qu'elle va ici là

 

Enjouée perfecto

Sa musique ! Qui met

En son perfecto,

Le feu qui aimait

 

Avoir des problèmes !

En cassant des packs

De bière en totem !

En fumant du crack !

 

Roc alternatif,

C'est impératif !

De n'être émotif !

Et d'être un motif !

 

De danses dissensions,

Qui font que personne

N'a vraiment raison,

L'oraison qui cogne

 

A la porte ! Sortie

Sans issue sangsue !

Qui est assortie

De l'école des glus

 

Qui accolent bras droits !

Racolent bras dessus !

Bras déçus ! Ah droits !

Bras dessous fourbus !

 

Quand caracole oh !

Tope ! Multitop top

Là ! Le mot de trop !

Qui clope en cyclope ! 

 

Roc alternatif,

C'est impératif !

De n'être émotif !

Et d'être un motif !

 

De dissuasions !

Pour s'évader du

Quotidien d'action

En personne imbue,

 

Sa vie dissolue,

Qui semble désœuvrée

Sociale absolue,

Irrésolue mais

 

Perdue, éperdue !

Par tant, partant en

Excès distordus !

En un des sans, sans

 

Aucune solution

A ce gros problème,

En cette équation

Issue de ce poème,

 

Roc alternatif,

C'est impératif !

De n'être émotif !

Et d'être un motif !

 

Jérôme de Mars

 

 

Il plancha en étant sur le gril !

 

Dans la grande ville, vile en vile de belle ville

A Belleville, il faillit être viandé !

Si bien que ce dur à cuire ! Frétille

D'idées en cocotte-minute qui hait

 

Son cuir bien épais ! Qu'il a l'épée

De Damoclès ! Qu'il dit qu'il lui en

Cuira son canapé en cuir et paix !

Qu'il attend impatient de pas lents !

 

Qu'il soit foutu cuit, bien cuit ! Cuit-cuit !

Pour rentrer dans le circuit, sur le

Circuit court-circuit qui court-circuite !

En se grillant, en étant grillé  

 

Lors défaites de barbecue en coût

Très cher ! Quand la vie ne vaut pas chair !

Pourquoi toujours recevoir des coups ?

Car en faisant de la surenchère !

 

Il plancha en étant sur le gril !

D'une plancha qu'il alluma le gril

De sa cigarette qu'il grille en ville !

Comme sa plancha grille et part en vrille !

 

Luit, qui fourmille d'idées en minutes !

Se lézardant, y a trop de lézards !

Dans sa vie qui consent le tumulte

Trépassé à l'âge adulte ! Qui part

 

Sans rempart droit dur dans le grand mur !

Qu'il planche comment viander à petit 

Feu ! Pour en faim défunt ! Fendre l'armure

Reluit qui se grille, qui rapetisse

 

Son manque d'appétit en la vie ! Qu'il

Dévie de sa trajectoire ! Si

Bien qu'il mange sa presqu'île en son il !

Si bien qu'indécis, et un des si !

 

Il ne fait que déguster en sa

Vie périmée qui est péremption !

Il est une fois son problème de foie !

Car comme il attend sa rédemption,

 

Il plancha en étant sur le gril !

D'une plancha qu'il alluma le gril 

De sa cigarette qu'il grille en ville !

Comme sa plancha grille et part en vrille !

 

Il veut se racheter sa mauvaise

Conduite à cause des délits de fuite !

Qu'il l'a mauvaise presque en charentaises

Dans la fuite des temps durs qu'il délite !

 

En étant en froid avec l'immonde,

Il attend chaleureux, convivial !

Pour faire la paix avec tout le monde,

Tout son monde même qu'il est si trivial !

 

Car même s'il est paresseux, il se

Rend compte que s'il ne veut pas être cuit 

Par la vie, les gens non fabuleux !

Il doit aller de l'avant aussi

 

Pour rallumer sa foi plus tôt pieuse,

En se réconciliant avec tous !

Lors d'un feu de cheminée faiseuse

De bien, et avant un coup de pouce,

 

Il plancha en étant sur le gril !

D'une plancha qu'il alluma le gril

De sa cigarette qu'il grille en ville !

Comme sa plancha grille et part en vrille !

 

Jérôme de Mars  

 

 

 

 

 

Si on chantait au lieu de déchanter !

 

L'air de rien ! Faisant la farandole, 

Si on tenait paroles ! On pourrait

Entonner, détonner des paroles

En chantant, enchantant des choses gaies !

 

Gais-pinçons, pinçons-nous si légers !

La vie à s'en passer deux chansons !

Se passant et se repassant des

Mots qui font songer en illusions !

 

Surplace des maux mensongers, distraits,

Il faut évoluer dans la vie !

En volupté pour en dévoiler

Des secrets enfouis, enfuis la nuit !

 

Et si le temps d'une journée, on en

Oubliait les grandes vicissitudes   

De la vie ! Surtout au Nouvel An !

Et en passant du Bach en prélude,

 

Si on chantait au lieu de déchanter !

Pour chanter la vie lors d'une journée !

A en oublier la nuit pour rêver

L'insouciance d'un soleil adulé !

 

Certes, il ne faut pas fuir mais s'enfuir !

Pour en fuir la dure réalité 

De la vie qui chante, déchante à dire

Tout son contraire d'insalubrité !

 

Et si on chantonnait comme les abeilles !

On en publierait des bans publics 

En une lune de miel, en dune de fiel !

D'un mariage en ramages frénétique

 

Qui appellerait au standard sa

Chanson ! Comme un groupe de Téléphone !

En chantant par-ci, par-là la

Chute du Groupe Niagara pour le fun !

 

Dont l'objet de l'appel passerait

Le message pour composer avec

Tout ça, une chanson type nouveau-née

Sans mots secs, sans prises de becs pète-secs !

 

Si on chantait au lieu de déchanter !

Pour chanter la vie lors d'une journée !

A en oublier la nuit pour rêver

L'insouciance d'un soleil adulé !

 

Et si on imaginait mots pour mots 

Une chanson durant chaque jour serein !

Et si on remplaçait maux pour maux

L'amour libertin par l'amour Saint !

 

Où tout ce beau monde trouverait un

Antidote pour remplacer l'argent

Comptant en paroles d'argent d'entrain !

Comme la vie se chante dès maintenant !

 

Pour que tout le monde se passe le mot

De la fraternité et de l'amour !

Liquidant l'égoïsme en ses maux !

Embrassant, en brassant dans la cour

 

Des grands, qui interprètent la leçon

D'un monde gravissant l'eldorado

Sans Colorado ! Que nous gravons

En fredonnant en un dernier mot !

 

Si on chantait au lieu de déchanter !

Pour chanter la vie lors d'une journée !

A en oublier la nuit pour rêver

L'insouciance d'un soleil adulé !

 

Jérôme de Mars

 

 

Ici cognac j'ai !

 

Poète en ma peine,

La vie, je la hais !

En me taillant les veines !

Que je veux faire une haie

 

D'honneur du boucan !

Qui m'achève sitôt

Que je fous le camp !

Or ! Il n'est trop tôt !

 

A m'en crever les

Tympans ! Mon oreille

Musicale ! Oh ! Laid !

Que je n'ai de soleil 

 

Dans ma vie sous pluie !

Ma grande peine me soûle 

D'absinthe en dépit

De l'ivresse en foule !

 

Ici cognac j'ai !

Né BCBG !

Comme à la télé !

Ici Cognacq Jay !

 

Ma vie est bohème des

Ordres instantanés !

Dans la vanité

En transe essaimée, 

 

J'attends la fin des

Temps périmés, il

Naît inopiné

Un monde point gentil !

 

Clairsemé étrange,

Qui rime et arrime

En une immense frange,

Qui vraiment se grime

 

En des faux-semblants

De fausses apparences,

Personne naît noir, n'est blanc !

V'là la quintessence !

 

Ici cognac j'ai !

Né BCBG !

Comme à la télé !

Ici Cognacq Jay !

 

J'ai le blues, la frousse

D'avoir moins de punch!

Qui me semble, m'émousse

Démangeant en brunch

 

Ma désinvolture !

Je m'en fous de tout !

En une aventure,

Mon côté ripou !

 

J'aime bien faire couler

De l'encre en sang d'encre !

Qui a découlé

Mon sang froid qui ancre

 

Ame désabusée !

Faites gaffe envers moi !

Je suis cabossé

En mon désarroi !

 

Ici cognac j'ai !

Né BCBG !

Comme à la télé !

Ici Cognacq Jay !

 

Jérôme de Mars

Catherine le graciait le magasin grâce aux mots retrouvés !

 

Voici une petite saynète où Catherine Le Gratiet, une ancienne adhérente du GEM de Vitry croise à la librairie: " Aux Mots Retrouvés " à Vitry-sur-Seine deux adhérents du GEM de Vitry-sur-Seine, Jérôme Bedrossian et Philippe Benguigui, où chacun règle ses comptes en une foire d'empoignade :

 

Catherine Le Gratiet arrive à la librarie : " Aux Mots Retrouvés " et dit bonjour à la vendeuse :

 

Catherine le Gratiet :

-  "  Bonjour, comment allez-vous ? "

 

La vendeuse de la librairie : " Aux Mots Retrouvés " :

-  " Bien Catherine, comment allez-vous ? L'autre fois quand vous êtes venus au magasin, vous n'avez pas réussi à retrouver un mot pour finir le titre d'un livre que vous vouliez acheter à la boutique, avez-vous réussi à le retrouver le mot ?  "

 

Catherine Le Gratiet :

-  "  Pourquoi me demandez-vous ça ? Vous m'ennuyez, bien sûr que oui que j'ai retrouvé le mot de la fin du titre du livre que je voulais acheter chez vous, et pourquoi votre librairie s'appelle : " Aux Mot Retrouvés, " vous m'avez pris pour une homo ? "

 

La vendeuse de la librairie : " Aux Mots Retrouvés " :

- " Vous pouvez rester polie, s'il vous plaît ! Je ne vous manque pas de respect ! Vous devez vous sentir persécutée et parano pour croire que si je vous demande si vous avez retrouvé le mot de la fin du titre du livre que vous voulez acheter chez nous et pour croire que si notre librairie s'appelle : " Aux Mots Retrouvés " que j'ai fait un quelconque sous-entendu avec votre éventuelle homosexualité, mais vous délirez, ça n'a rien à voir ! Je ne vois pas le rapport en dehors de votre rapport sexuel !

 

Catherine Le Gratiet :

-  " Mais vous voyez, vous me provoquez avec vos sarcasmes ambigus, moi j'ai toujours gracié votre magasin, et grâce à moi vous avez une très belle exposition de mes ordures que vous pouvez voir en peinture ! Pourquoi n'arrêtez-vous pas de me médire ?  "

 

Au même moment, Jérôme Bedrossian et Philippe Benguigui arrivent à la librairie : " Aux Mots Retrouvés " et quand ils croisent Catherine Le Gratiet, s'ensuit un échange très tendu qui restera dans les annales : 

 

Philippe Benguigui :

- "  Jérôme, regarde qui on croise, on croise l'autre conne : Toi t'as pas intérêt à m'envoyer balader déjà que je ne peux pas te voir en peinture avec ton exposition de merde, car ta vie est poubelle la vie en série, et c'est mon avis ! Personne dans cette librairie n'aime ton exposition, c'est de la daube ! Comme au GEM de Vitry, où tu me parlais comme du poisson pourri ! Les responsables de la librairie n'osent pas te dire que tu t'exposes trop avec tes ordures, comme tu exposes trop ta vie privée en surexposition qui n'est guère intéressante ! C'est plutôt toi qui m'ennuie Catherine ! "

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Catherine, tu sors trop du cadre ! Comme tu ne peux encadrer personne ! Tel que nous, on est obligés de te recadrer nous aussi, comme on ne peut  t'encadrer ! Je voulais te dire aussi que si pour gagner ta vie, tu exposes tes peintures dans la rue, tu vas en tirer des ordures en argent content d'or dur, comme tu prends en argent croûtant toutes les paroles des gens que tu voles à l'attire, comme tu ne rembourses jamais personne quand les gens te prêtent de l'argent ! Avec toi, c'est satisfait ou déboursé ! Viens Philippe ! On va racheter le magasin des Mots Retrouvés ! En trouvant et en retrouvant comme bon mot retrouvé en magasin : " Les mots graciés " avec toi en magasin, à fond la caisse ! Pour encaisser l'argent contant de nos beaux livres, et moi racontant nos livres à la vente ! Pour gracier la rentabilité de notre librairie, comme le silence est d'or et la parole est d'argent à la vante, vu tout ce qu'on a encaissé toi et moi dans la vie Philippe ! " 

 

Philippe Benguigui :

- " T'as raison Jérôme ! Comme ça, on aura trouvé et retrouvé les mots retrouvés ! Avec en magasin, aucun des maux trouvés et retrouvés de Catherine Le Gratiet ! Dont on n'en a rien à péter gracieux de Catherine Le Gratiet ! Pour cela Madame la vendeuse, faut-il faire un recours gracieux pour racheter votre magasin ? "

 

La vendeuse :

- " Pas besoin, je saurai vous trouver du crédit en mettant à votre crédit le fait de racheter notre magasin ! "

 

Catherine Le Gratiet :

-  " Et pourquoi personne à part la vendeuse dans cette librairie, ne m'accorde du crédit mais que du discrédit ! Peut-être sans doute que je suis trop à maux découverts que je trouve et retrouve avec et pour tout le monde, comme je me mets trop à découvert pour et avec tout le monde ! Du fait que je n'ai plus de crédit avec et pour personne à leur crédit ! Pour jouer cartes sur tables de crédit à mon discrédit ! " 

 

Jérôme de Mars

 

 

Vénère celui qui est vénère !

 

Dans la rue en saga cité,

Il y a droit de cité dans la

Saga citée, le cartel dès

Que les jeunes se shootent trop fadas !

 

Au shit qui les rend schizophrène !

En quête de leur identité !

Vos papiers, s'il vous plaît ! Qui freinent

Enquête d'être régularisés !

 

Pourquoi en cité, il fait froid !

Avec un mauvais regard de

Travers ! ? En effet manque de foi,

Il était une foi ce slam que

 

J'écris en sortant de mes tripes !

Pourquoi dans la rue, on se tut !

Et avant que tous, on s'étripe !

Et avant que tous, on se tue !

 

Vénère celui qui est vénère !

S'il hait vénère, on le vénère !

Pour qu'il n'y ait plus de crises de nerfs !

Pourvu qu'on soit tous débonnaires !

 

Dans ce monde où tout fout le camp !

Dans un leurre de vérité, c'est l'heure !

Que plus personne ne sait c'est quand !

S'il y a encore tant de bonheur ! ?

 

En ce monde qui m'inspire l'immonde

Nauséabond qui pète les plombs !

Il faudrait que tous, on les sonde !

Et pourquoi personne naît plus bon ?

 

Y a-t-il encore des idéaux

En notre monde en déperdition ?

Qui trouvera le dernier mot

Pour qu'on s'entende en audition ?

 

Et pourquoi tout le monde s'en fout

De tout encore de tout le monde ?

Dans ce monde de fous, sans garde-fous !

La solution face à l'immonde !

 

Vénère celui qui est vénère !

S'il hait vénère, on le vénère !

Pour qu'il n'y ait plus de crises de nerfs !

Pourvu qu'on soit tous débonnaires !

 

Et fais le bien sans faire de mal !

Le lien social est si précieux

Que notre monde est si animal !

Qu'il ne croît en Dieu car odieux !

 

Notre monde qui se débranche petit

A petit feu sans une morale !

Et qui a encore dans cette vie

La foi pour qu'on ait de la joie ?

 

Plus rabat-joie, moins ripou mais

Filou, et qui file doux, refile doux,

Enfile doux dans le redoux ! Et

Si tout le monde pouvait en nous !

 

Nous rendre le meilleur sur cette Terre !

Pour que notre monde soit si rieur !

Comme avant et plus délétère !

Et pour sourire fédérateur,

 

Vénère celui qui est vénère !

S'il hait vénère, on le vénère !

Pour qu'il n'y ait plus de crises de nerfs

Pourvu qu'on soit tous débonnaires !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Je fais des histoires !

 

Histoires se contant,

Racontant notoires !

Je m'en vais content

En un exutoire !

 

Vous en dire des bonnes

A dormir debout !

Et si elles résonnent,

Quand je suis à bout !

 

C'est que décomptant

En un conte de fées,

J'en raconte comptant

En un compte d'effet !

 

Que ma vie naît un

Conte de fées au

Bout du conte d'un coin !

Qui me ronge les oh ?

 

Je fais des histoires !

En dormant le soir !

Car d'un réservoir

En un abreuvoir,

 

Je distribue un 

Livre d'histoires drôles qui,

D'un en un par un !

Décrète qui est qui ?

 

Et qui fait quoi ? Quand

Je me livre, délivre

Que tout fout le camp !

Et qui m'en fait vivre

 

De toutes les couleurs !

Un coût bariolé !

Et haut en couleurs !

Complètement niais

 

En une vie qui me

Refile le cafard !

Si d'un je en je !

Rangé au placard,

 

Je fais des histoires !

En dormant le soir !

Car d'un réservoir

En un abreuvoir,

 

Ma vie hait plaie black !

A en naître méchant

Gratuit ! Blague is blague !

Me payant croulant

 

Au black, roulant au

Crack dans la com point

Back, cela me vaut

Une vie en en bon point !

 

Et si je faisais

L'appoint ! En tout point

Tout honneur effet !

Je roule en des joints !

 

Ma vie qui rejoint 

Le nirvana hard !

Des péchés ci-joints !

Car comme je suis hard,

 

Je fais des histoires !

En dormant le soir !

Car d'un réservoir

En un abreuvoir.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

Le caïd de la saga cité

 

Téméraire en un vent de colère,

Je viens du ghetto eldorado !

Qui fait le yoyo sur l'étagère !

Et quel est grosso modo

 

Le tempo pour que je joue avec

Les mots du dico qui résonnent faux ?

En clamant des gros mots secs, pète-secs

Qui pètent plus haut que leur cul des maux !

 

Et si jamais, j'ai des prises de becs,

Pourrai-je l'ouvrir en déni, mangeant

Mes vers de drôle d'oiseau en maux secs ?

Renaissant poussière me démangeant

 

Dans ma ville vile à Vitry-sur-Seine,

Où je suis un facteur à risques au

Poste, pas de peau lisse sûre ! Qui m'assène

En perdant les os, je suis en mots !

 

Le caïd de la saga cité,

Habitant Aïd saga citée !

J'en fais une saga si récitée

En droit de cité très ex citée !

 

J'ai suscité ma vocation tel !

Un gars chelou qui filou relou !

Jouant au loup solitaire, car untel !

Suis un loup solidaire qui alloue !

 

Ce que je loue, reloue, moi le loup !

Qui en fait une saga de cécité !

Enjouant un aveugle super relou !

Qui y voit clair une foi ces cités !

 

J'ai retrouvé le trop droit chemin !

En chantant, déchantant de travers

Le dédain en un gâteau aux daims !

Suis-je hautain en regardant de travers 

 

Mon miroir à double fasse ? Qui efface

Mes diverses facettes en pures fossettes ! ?

Suis-je un imposteur ou en surface,

Un inspecteur ? Et suis-je un terne net ?

 

Le caïd de la saga cité,

Habitant Aïd saga citée !

J'en fais une saga si récitée

En droit de cité très ex citée !

 

J'ai cité quelqu'un qui vient de la

Cité et du ghetto, est-ce la zone

Interdite comme à la télé ah ?

Inné, j'ai tout zappé c'est la zone !

 

Que j'en taille la zone que je zone aphone !

En criant sur mon mégaphone tout

Ce que j'ai jamais osé dire atone !

Que maintenant, j'en suis stone si ripou !

 

A m'en foutre de tout dans ce fourre-tout !

Où ma vie n'en vaut plus le détour !

Que sans garde-fous, je suis vraiment fou !

Que je m'en fous de ma vie vautour !

 

Car à vos tours de voler de vos

Propres ailes, à-tire-d'ailes battant de l'aile !

Vous les Français qui êtes têtes de veaux !

Suis en un oiseau brisé aux ailes !

 

Le caïd de la saga cité,

Habitant Aïd saga citée !

J'en fais une saga si récitée

En droit de cité très ex citée !

 

Jérôme de Mars

 

Je vais oser le ton !

 

Liberté de parole

Démocratique, tous les

Mots qui ne tiennent paroles !

Rendent le monde gougnafier, 

 

Où on ne peut se fier !

Tentés par la défiance

Apolitique givrée

En une folie d'offense !

 

Qui fait l'indifférence !

Où tout le monde s'en fout

De tout ! Hein différence !

Où il n'y a de garde-fous !

 

En ce monde de ripous !

Qui cherche des poux anti

Qui filous refile doux !

Pour ou contre les nantis !

 

Je vais oser le ton !

Je vais hausser le ton !

Liberté de ton ton !

Tonton montant le ton !

 

Et si ton sur ton ton !

Il y a bouc-émissaire,

Menton qui monte le son

Du vent de sa colère !

 

Ville, vil sûre qui vacille,

Qui chancelle, manivelle

Dans cette ville qui fébrile,

Tient, retient la chandelle !

 

Que le je égoïste 

N'en vaut une fière chandelle 

Individualiste !

Où le pire s'amoncelle

 

Dans ce qu'il y a de plus

Inhumain, qui dépasse 

L'entendement intrus !

Car pour que tout se casse !

 

Je vais oser le ton !

Je vais hausser le ton !

Liberté de ton ton !

Tonton montant le ton !

 

Monte, remonte, démonte le

Son en ultrasons ! Quand

Ils s'affrontent tous entre eux !

Droit dans le mur du temps !

 

Quand tout fout le camp ! Entre

Les gens qui préfèrent la haine !

Que s'aimer dans leur antre

En leur jardin d'Eden !

 

Et si pour rétablir

De l'amour, il y avait

L'union libre en sourire

Qui vibre en un Ave !

 

Pour que tout le monde fasse

La paix ! Signant une trêve !

Remontant à la surface

La sève qui en relève !

 

Je vais oser le ton !

Je vais hausser le ton !

Liberté de ton ton !

Tonton montant le ton !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Test père, un père !

 

Maternité,

Tu te testes et

Paternité !

Tu retestes et

 

En un prétexte

Avalé, la

Pilule contexte !

Adoré la

 

Pilule pullule !

Que tu commets

Impairs d'ovules,

Repaires innés

 

Et périmés !

En un impair

Du périnée,

Qui dit repère !

 

Test, père, un père !

Quel est l'hein pair ?

Test en un pair !

Quelle est la paire ?

 

Qui fait la mère !

Tel pair, tel fils ! 

Qui fait le père !

Telle paire, telle fille !

 

As-tu ton père 

En éphémère ?

As-tu ta mère 

En effet mer ?

 

En note salée,

Ton amertume !

Qui dessalait

Toute ton enclume !

 

Qui laisse aller !

Et s'en aller !

Qui naît inné !

Qui n'est inné !

 

Test, père, un père !

Quel est l'hein pair ?

Test en un pair !

Quelle est la paire ?

 

Et en ta mère,

Tu fais la paire !

Et en ton père,

Tu fais l'un pair !

 

Ayant un père

En un impair,

Ayant une mère

En de l'amère,

 

D'un mâle de mère,

Qui fait très mal !

D'un mal deux pères

Qui fait très mâle !

 

D'un mal-aimé,

Qui aimait hein !

Ton mâle-aimé !

Qui émet un

 

Test, père, un père !

Quel est l'hein pair ?

Test en un pair !

Quelle est la paire ?

 

Jérôme de Mars

 

 

J'ai d'autres chats affûtés !

 

Si je sortais les griffes !

En ronronnant dépits,

Je l'aurai dans le pif !

Qui m'amenuise de puits !

 

Que je serai un jeune

Chat sauvage, bas étage !

Qui errait et déjeune !

Chantant les chats sauvages !

 

En ronronnant depuis

En me faisant des films !

En chantant sous la pluie !

Que du ciel, je me grime

 

En prenant des gamelles !

Qui ferait qu'en des pis !

J'aurai la vache mamelle,

Enragée donc et puis !

 

J'ai d'autres chats affûtés !

Car suis une crème fouettée !

En d'autres chats à futés

Entre autre chat à fouetter !

 

Genre un chat persan ou

Un chat très empoté,

Un chat transperçant ou

Un chat de super beauté,

 

Tel un grand frère siamois !

Regardant ces cités !

Genre émois après mois,

Aveugle de cécités !

 

A m'en allécher les

Babines ! Dont je dessine

Ma vache à lait olé !

Qui m'en lèche figurines !

 

Ceux ou celles que je n'ai !

Gêné stériles ! Où ma vie

Ne tient sans nouveaux nés !

Qu'au lieu du paradis !

 

J'ai d'autres chats affûtés !

Car suis une crème fouettée !

En d'autres chats à futés

Entre autre chat à fouetter !

 

Dont la femelle demeure

L'avenir du jeune mâle !

Avant que les deux meurent

En étant au plus mal !

 

Si je sortais les griffes !

Peut-être que la grossesse

Aurait un super kif,

Kif kif mise en bassesse !

 

Durée de gestation,

Cela va faire et mois,

En durée de gestion !

Car des mois en émois,

 

Petit à petit, le

Monde en devient croissant !

Né en 2022 !

Car si le monde croît sans !

 

J'ai d'autres chats affûtés !

Car suis une crème fouettée !

En d'autres chats à futés

Entre autre chat à fouetter !

 

Jérôme de Mars

Sur la même longueur d'ondes !

 

Bienvenue à l'antenne !

Pour parler et chanter

La vie et sa rengaine

En un karaoké,

 

Qui t'en lèche les bobines !

En stéréo radio !

Que t'en mixes les platines !

Effet de ta sono !

 

En cherchant ton réseau,

Recherchant ta fréquence

Pour capter ta radio,

Diffuser ton essence

 

Entre musique et débat

D'un immense tout info !

Même quand il y a d'ébats !

Dans la vie du disco

 

Sur la même longueur d'ondes !

Pour partager des ondes

Positives en ce monde

Qu'on sonde en faconde !

 

Ou avec fronde ! Pourquoi

Ce monde est inconscient,

Indifférent, à quoi

Hait-il tant décadent ?

 

Et si chacun avait

Un poste de radio pour

Ecouter la gaieté

Des belles chansons d'amour !

 

En restant optimiste 

Le temps d'une bonne journée

D'armistice pessimiste,

Ajourné, ton jour-né !

 

En croyant boute-en-train !

Musique de Nostalgie;

Les grandes années 80 !

Fleurant bon l'embellie

 

Sur la même longueur d'ondes !

Pour partager des ondes

Positives en ce monde

Qu'on sonde en faconde !

 

Pour capter l'antenne des

Gens qui aiment et s'aiment

En une fréquence dorée,

Adorée quand tous sèment

 

L'amour en bienveillance !

Ce qui compte, c'est d'aimer

Avec constance, vaillance

Car quand la radio émet !

 

Servons-nous en paroles

De ce qui est dit en

Radio ! Pour que ça vole

Vers le haut sans boucan !

 

Afin que tout le monde

S'écoute et coûte que coûte !

Pour déchanter l'immonde

En musique qui envoûte

 

Sur la même longueur d'ondes !

Pour partager des ondes

Positives en ce monde

Qu'on sonde en faconde !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Je bois eau bodega !

 

Dans le midi sonnant,

Prude dissonant du Sud,

J'habite trop trébuchant

En mon Sud hyper rude !

 

En soufflant dans mes vers de

Sarbacane, pour cracher 

Mes eaux du bayou pieux

En ma jeunesse rêvée

 

De par sa nostalgie,

Qui était d'un autre temps !

Eaux lagunes qui m'épient !

En remontant chaque instant

 

Dès l'heure danse à Midi

Dans mon bistrot coulant !

Défunt Mississippi  !

Car en me crevassant,

 

Je bois eau bodega !

Déboires aux beaux dégâts !

Mon eau de vie rabat-joie

Aux femmes fontaine de joie !

 

Du tournant de ma vie,

Et si je reste en ville,

J'espère une embellie

En un long fleuve tranquille !

 

En dormant sur le lit 

De ma rivière, car pour

Flirter ainsi ravi,

Je dois apprendre l'amour,

 

Dansant le calypso

A Belle Ile sur la mer,

Voguant le calypso

De mon presqu'il sur Terre !

 

L'Espagne me fait envie 

Pour boire un Monaco,

Prêt Monaco aussi,

Ici l'eldorado !

 

Je bois eau bodega !

Déboires aux beaux dégâts !

Mon eau de vie rabat-joie

Aux femmes fontaine de joie !

 

A l'instar La Louisiane,

Je dors dans un quatre étoiles !

Loin d'Hollywood je plane !

Que mon visage dévoile

 

Les souvenirs enfouis

De mon Amérique, eau

Sud tropique s'est enfui

Mon bateau à vau l'eau !

 

Et quand reviendrais-je

En mon sud à chaque midi

Mon il moyenâgeux ?

J'attends qu'il soit midi

 

Jusqu'à L'Espagne ! Sûr ma

Terre qui me chante berceuse !

Ma chère Madame Irma,

Qui m'épargne fabuleuse !

 

Je bois eau bodega !

Déboires aux beaux dégâts !

Mon eau de vie rabat-joie

Aux femmes fontaine de joie !

 

Jérôme de Mars

 

 

La baguette de pain magique

 

Vente de pain à Boulanger,

Il suffit de faire l'appoint

Une fois chez le boulanger !

Même qu'on a de l'embonpoint !

 

Comme là, c'est le même tarif

Partout à ce grand prix-là !

A la formule hein captive !

Qu'il y a des aléas ah !

 

Oh que si ! Quand y a du pain 

Sur la planche ! Où le monde planche

En du pain béni empreint !

Qui ne perd jamais la manche !

 

Quand le boulanger roule les

Gens dans la farine ! Donnant

Des pains aux clients aimés,

Regrettant sciemment déments !

 

La baguette de pain magique,

Qui mène la baguette épique !

Et tient la baguette rustique

Aux manettes du pain antique !

 

De notre chère France en reprise, 

Qui défile à fond la caisse !

En pièces détachées à lire

Des vols en espèce ! En pièces

 

Menacées argent content !

On a en magasin du

Pain ! Décomptant tout l'argent

De sa boutique si indue !

 

Et imbue de sa personne !

Qui récolte son dû !

Pour que l'argent résonne

Dissolu, irrésolu !

 

L'argent ne rend pas heureux !

Mais contribue conciliant

A vivre, à survivre tant mieux !

Aimant tant comme un aimant !

 

La baguette de pain magique,

Qui mène la baguette épique !

Et tient la baguette rustique

Aux manettes du pain antique !

 

Oui chef, nous sommes aux fourneaux !

En remettant tout à plat !

La cuisine des tourtereaux !

Qu'on franchit de pas à pas !

 

De grands progrès boulangers !

Très artisans à l'ancienne !

C'est du gâteau ménagé !

En ouvrant grand les persiennes !

 

Pas électro-ménager 

L'art culinaire débonnaire,

Soufflant soulagé si gai !

Ces vieilles recettes de grand-mère,

 

Et si pour trouver la paix,

On mangeait une religieuse

Bonne comme une bonne volupté !

Car il y a si pieuse, songeuse !

 

La baguette de pain magique,

Qui mène la baguette épique !

Et tient la baguette rustique

Aux manettes du pain antique !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Mets-moi une note sur mon piano !

 

Sur la touche retouche qui fait mouche !

J'ai envie émerveillé, de

Jouer du piano de façon louche !

En me servant des touches par deux !

 

Et si tu me faisais enjoué !

A en jouer du piano, comme une

Interro sur prises ! Pour rejouer

Le même morceau dans la même lune !

 

Et à partir de quand en un

Bémol, cela fait que je pleure

En adoré mi fa sol hein ?

Comme je ne joue point et songeur !

 

Un morceau de piano synchro

Raccord, tapant le même accord !

Et qui aurait un superbe mot ?

Car soufflé, essoufflé encore !

 

Mets-moi une note sur mon piano !

Dis-moi si j'en joue maestro,

Divinement bien master pro !

Je voudrais passer pro impro !

 

Quelle note me mettrais-tu si je joue

En interro sur prises, la prélude

De Bach en m'étirant en joue ?

Faudrait-il que j'aille en études

 

Pour bien en jouer, enjouer comme toi

Du piano ? Faudra-t-il que je

Repasse mon Bach avec éclats ?

Pour que je remette en enjeu

 

Ma vie d'ange, pour qu'elle repasse à

L'orange empressée qui voit rouge !

Avant qu'elle surpasse le ver ah !

Que tu enverras ce qui bouge !

 

Si tu me donnes une leçon de

Piano, faudra-t-il faire la queue

Du piano ? Ah ! Que ! J'en reveux

Que je veux mâle heureux, car heu !

 

Mets-moi une note sur mon piano !

Dis-moi si j'en joue maestro,

Divinement bien master pro !

Je voudrais passer pro impro !

 

Comme je dois composer avec

Tout ça ! Ma vie en morceaux ah !

Y a des prises de becs ! Des mots secs !

Trompe la joie, rabat-joie ! Hourra !

 

La musique, c'est ma vie à pleins

Tubes ! Empreints de refrains en tubes !

Qui m'entubent ! Quitte à faire le plaint !

Ca me fait une belle jambe titube !

 

La musique, ça pompe l'énergie !

Que j'en suis électrique Engie !

Surtout quand j'écoute NRJ !

En mettant les points sur les i !

 

Je termine en des grands sanglots !

Ce morceau si millimétré,

En l'achevant presque en lambeaux !

Et pour vraiment m'améliorer,

 

Mets-moi une note sur mon piano !

Dis-moi si j'en joue maestro,

Divinement bien master pro !

Je voudrais passer pro impro !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La santé emmental !

 

Si j'écris un ramage,

Tel un oiseau aux ailes

Brisées, serait dommage !

Car dommage à tire d'aile !

 

Si je bats de mes ailes !

En en faisant tout un

Fromage, sans l'essentiel

De vivre avec quelqu'un !

 

La vie passe vite qu'elle reste

Une énigme qui écime !

Or ! L'essentiel déleste

La mort qui me décime !

 

Que j'écris déplumé !

Prenant pour duvet mon

Jeu d'écriture ! Signé

J'ai démon en amont

 

La santé emmental !

Sans ma santé mentale,

Comme tout vient du mental !

Et prévient et mental !

 

Que tout revient si on

N'y prend garde par mégarde !

J'en parle car macaron !

Le handicap regarde !

 

Tout le monde ignorant !

Il faut se battre, abattre

La déprime, me rongeant

Rabat-joie pour rabattre

 

Je préfère écrire pour

M'aguerrir, sans guérir !

J'ai juste besoin d'amour

Pour me ravir éblouir,

 

Jouir de ce temps présent !

Déjà que j'ai peur de

L'inconnu oppressant !

Où vraiment, je ne veux

 

La santé emmental !

Sans ma santé mentale,

Comme tout vient du mental !

Et prévient et mental !

 

Que j'écris ce ramage

Distant ! Sans désarroi

Mage, sage comme une image !

D'où résilient bourgeois,

 

J'aspire à une vie riche

De bons sentiments, sans

Ressentiment en friche,

Or ! Je veux à présent !

 

Une vie belle en un slam !

Qui chante, rechante, enchante !

Loin des drames qui se trament !

Pourvu là que j'invente

 

Une vie à démontrer

Ma bonne nature ! Je figure

A présent dans la paix !

Qui rejette en pâture

 

La santé emmental !

Sans ma santé mentale,

Comme tout vient du mental !

Et prévient et mental !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Si je jetais l'encre !

 

Ici cognac, j'ai !

Je bois mon absinthe

Poétique en jet !

Ecoutant enceinte

 

Ma musique rustique,

Ici Cognacq Jay !

Je suis antique

Sans aucune télé,

 

Que je soûle ma peine

En m'enivrant de

Soleil qui m'emmène !

Pour que je regarde

 

Si la vie, c'est mieux 

Le jour ou la nuit !

Pour écrire radieux

Sans que ça me nuit !

 

Si je jetais l'encre !

De tout mon sang d'encre !

Qui ancre si je suis cancre !

Sauf si je jette l'ancre !

 

Moi le moussaillon,

Capitaine de mon stress,

Dont nous émoussons,

Mousson ma détresse,

 

Si on me moussait

Mon amertume, Oh !

Qui feu m'émoussait !

Quand tout tombe à l'eau !

 

Au creux de ma vague !

Si je fumais le

Bleu amer qui drague

Mes penchants en feu !

 

Avec la lune pour

Descendre en cendres, si

Je n'avais d'amour

Tant pour qu'on me scie !

 

Si je jetais l'encre !

De tout mon sang d'encre !

Qui ancre si je suis cancre !

Sauf si je jette l'ancre !

 

Buvant trémolos

Mon mal de survivre,

Que j'ai des sanglots !

Desquels je m'enivre !

 

Partant à la dérive !

En ne sachant où

Je vais, si j'arrive

Sur la rive garou  !

 

Je suis un vieux loup

Solitaire et si

Solidaire relou !

Fonctionnant en si !

 

Qu'on me mène en un

Bateau, direction 

Un grand deux en un !

Version, aversion !

 

Si je jetais l'encre !

De tout mon sang d'encre !

Qui ancre si je suis cancre !

Sauf si je jette l'ancre !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Lis-la ta fleur ce qu'elle veut te dire !

 

Fleurs fanées, le cœur fané t'effleure !

Que faire pour entretenir l'amour

Et l'amitié des fleurs ? Tant qui fleure

Bon ! Et qui effet sourire ! Chaque jour

 

Qui passe quand c'est le bouquet ! Couleur

Violette qui voit ton soleil ! En binant

Avec marguerite, pleine de candeur !

Ayant une vie en rose t'enlaçant !

 

En arrachant tes trèfles à quatre feuilles,

En devinant tes pensées, à quoi

Se rendre à l'évidence ! ? Qui effeuille

Les grenouilles, quand elles prédisent coa-coa !

 

Ton jardin secret de l'amour, qui

Tambourine ton âme paysagiste !

Car avec ton grand grain de folie !

En ta jolie poésie d'artiste !

 

Lis-la ta fleur ce qu'elle veut te dire !

Elle va te faire une fleur en ton rire !

Tu t'enverras des fleurs pour t'offrir

Du lilas pour te refaire sourire !

 

La vie peut être rose, sinistrose !

Ce qui conte, c'est que tu fasses fleurir

De l'amour, de l'amitié qui osent !

Te faire redécouvrir pour guérir

 

De tes malheurs qui te draguent du ciel !

Pour te faire oublier le bonheur

Simple; qui t'élague non guère essentiel !

Et en revenant à la bonne heure !

 

Si tu plantais une nouvelle graine ! Pour

Semer l'amour sur Terre en ton grain

De folie ! Qui ferait la belle cour

A l'amour qui te veut du béguin !

 

Si enclin d’œil, tu te rincerais

L’œil; en trompe-l’œil ! En te débinant

De tes sentiments, pour te grincer

La fleur aux dents, chantant déchantant

 

Lis-la ta fleur ce qu'elle veut te dire !

Elle va te faire une fleur en ton rire !

Tu t'enverras des fleurs pour t'offrir

Du lilas pour te refaire sourire !

 

Et si tout simplement, tu allais

Cueillir des fleurs, traînant entraînant

En ta belle bluette très endimanchée,

Posant par avances tes sentiments !

 

Toi le plus offrant et soupirant !

Et si ta fleuriste te pousse, repousse !

Tu n'auras qu'à aller soupirant !

En achetant, en plantant des pousses !

 

Pour rendre ton conte de fée si divers,

Transformant ta peine en amitié !

Désormais un sacré fait d'hiver !

Transformant ton hiver en été !

 

Où tu n'auras qu'à compter du bout

De tes grosses lèvres, tes trèfles à quatre feuilles !

Quitte à conter sur un marabout !

Qui t'enchantera sur ton fauteuil !

 

Lis-la ta fleur ce qu'elle veut te dire !

Elle va te faire une fleur en ton rire !

Tu t'enverras des fleurs pour t'offrir

Du lilas pour te refaire sourire !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Le moins qu'on puisse dire...

 

Il était une fois un moins que rien qui n'avait rien à dire, à part dire à plus ! En ayant toujours moins ! Et rien dans la vie ! Multipliée par tous les moins que rien, divisés sur la question, et le moins qu'on puisse dire est qu'à la vue du résultat, l'addition va être très salée ! Surtout si la totale sera de moins en moins au plus ! Pour au moins, casser du sucre sur le dos des moins que rien, dont le moins qu'on pourra dire en plus ! Est au moins ! A plus ! Rien du tout ! On n'a rien ! Plus rien...

 

Jérôme de Mars

C'est un Prévert narcissique...

 

Poète à ses heures perdues,

Il parait qu'il est fourbu,

Eperdu d'être si absolu,

Un poète avec une vie dissolue !

Avec une vie animale,

Où un trop-plaint lui a fait tant de mal

A son être innocent !

Où il s'en fait des sans

Névrotiques et lunatiques !

C'est un Prévert narcissique....

Où il naît heureux dans l'avis !

Où il n'est heureux dans la vie !

Y en a-t-il qui le comprennent ?

Dans cette vie 

Où il fait nuit  !

Qui n'est plus sienne !

Car lilliputienne  !

Où certes, petit à petit, le monde est petit !

Dont lui, on n'en fait qu'un gars endolori !

Qui ne rit mais sourit à peine !

Du poids de sa peine qui devient bedaine !

C'est un Prévert narcissique...

Avec ses vieux démons névrotiques et lunatiques !

Qui riment en mal de mer !

En pleurant de tous ses sanglots !

Qui arriment en mâle de mère !

Avec dans sa voix en éclats, des trémolos !

Qui vont à vau l'eau !

Comme luit au fond du ruisseau !

C'est un Prévert narcissique...

Antique, en tic pervers narcissique,

Qui traîne ses maux lunatiques 

En ses mots névrotiques,

Il hait où le poète allumé

Très barré et taré ? Mais 

Est-il compris ?

Ou un con pris ?

Par les gens

De l'usufruit de ses tourments !

Et si le poète allumait en brèche

Avec des allumettes sèches !

Son côté rebelle si revêche,

En faisant des plans sur la comète !

Pourvu qu'il commette

Affable l'ineffable !

En écrivant une poésie réparable

En son état instable,

Tel ce pervers narcissique

En ses maux lunatiques !

Qui devient en des mots névrotiques

Un Prévert plus que narcissique...

 

Jérôme de Mars 

La crise de la quarantaine

 

Si la vie nous contait en notre extérieur...

Nos conflits intérieurs !

On se rendrait compte que pour beaucoup

Qu'à 40 ans dépassés, c'est un sacré coup

Du coût de la vie qui nous remet en question !

En se demandant que faire pour être

En adéquation dans nos vie qui semblent

Une équation,

Qui ressemble

En notre mal-être,

En une ecchymose qui hait

La crise de la quarantaine

Au milieu de la vie !

Et de pourquoi on est déjà aigri !

Même si dans la vie, il y a souvent du gris !

Qu'on ne trouve pas vraiment joli

A 40 ans passés,

Même si la vie n'est en corps trépassés,

On ne voit guère les choses de la même façon,

Tentés par nos névroses

Démoniaques, qui rebondissent en flash-backs enfouies,

Refoulés de nulle part ensevelis

En notre inconscient qui fait désordre en rébellion,

Où l'on veut passer le restant de la moitié de notre vie

En une paix sereine, réconciliée même avec la société

Cabossée, égoïste et individualiste qui fait de tant de mal !

Et cause tant de dégâts

Dans notre société rabat-joie,

Soi-disant moderne !

Alors qu'elle naît juste qu'asservissement, terne et subalterne 

En quête permanente de profit

Qui cause la ménopause et l'andropause,

Amoindrissant les naissances du renouvellement des générations

Qui ne s'entendent pas innées en interactions,

La crise de la quarantaine

Fait ressortir accumulée,

Et acculée

Toute sa bedaine, entre haine

Et résilience

S'il y a urgence !

A ce que nos vies

Ne dévient en hérésie,

Alors qu'il faut encore essayer d'y croire

En un avenir peut-être meilleur !

Car même s'il est colporteur de désespoir,

Il faut renaître de ses cendres et envisager

De nouveau projets, porteurs et rapporteurs

A la recherche une embellie

Retrouvée et ressuscitée, 

Sans tout de suite penser que le monde naît enjoliveur ! 

Et si la crise de la quarantaine nous confirme

Même que nos certitudes ne sont parole d'évangile !

Du poids fragile de nos vies indociles, 

Il faut privilégier l'utile au futile !

Et si sans paraître infirmes, tous, on n'infirme

Que même si la vie demeure un boulet,

On peut débouler

A quarante ans passés, dépassés, outrepassés

Et trépassés revigorés et vivifiés !

Clamant que même si la routine recommence le lundi

Chaque semaine;

On peut en faire de la vie,

Une suite plus sereine 

Avec un droit à l'oubli 

Du passé ! En une renaissance à la quarantaine

Au lieu d'une crise de la quarantaine.

 

Jérôme de Mars

 

 

La coupe de l'immonde !

 

Tout va bien, ça y est !

La coupe cette semaine !

Qui va commencer

La coupe va être pleine !

 

J'en ai rien à foot !

Tous ces footballeurs,

Qui jouent tous au foot !

Tels tous des branleurs !

 

Qui gagnent trop d'argent !

Qui jouent comme des brêles,

Prenant pour argent

Content leur foutaise !

 

Si cette coupe ! On la

Coupe à la découpe !

En en faisant ah !

Une coupe qui coupe coupe !

 

La coupe de l'immonde !

Coupe la coupe du monde!

Coupe des coupes en fronde !

Je m'en fous en faconde !

 

Qui boycottera ? !

La coupe que tous sondent !

Et laminera

La France qui abonde !

 

Hip hip hip hourra !

Pourvu qu'elle perde réac !

Eliminée là !

Elle prendra une claque !

 

Et si la coupe au

Qatar ! J'en faisais

Un quatre-quart en haut !

La part du gâteau !

 

Je partagerai

Avec les grands pauvres !

 Riches que je prendrais !

Leur donnant non sobre 

 

La coupe de l'immonde !

Coupe la coupe du monde!

Coupe des coupes en fronde !

Je m'en fous en faconde !

 

Il faut que change le

Monde en des échanges !

Entre nous si nombreux,

Afin que s'arrange

 

Ce monde où c'est leurre !

Comme la coupe est plaine !

En remettant à l'heure

Que des choses plus saines !

 

La vie qui est un sport

En chaque quotidien !

Il faut de l'effort !

Assez manichéen !

 

Et en un grand lieu !

Si on chambrait le

Sport très odieux !

Sport de chambre ! Y a que... 

 

La coupe de l'immonde !

Coupe la coupe du monde!

Coupe des coupes en fronde !

Je m'en fous en faconde !

 

Jérôme de Mars

 

 

Crise de folie

 

Voici des petites saynètes de crises de folie qu'à Jérôme Bedrossian avec les différents membres de son entourage et voici leur réactions aux crises de folie de Jérôme :

 

Voici Catherine Bels Pautrat, la cousine de la mère de Jérôme qui appelle Jérôme Bedrossian sur son mobile après ses dérapages par mail et par sms :

 

Catherine Bels Pautrat :

-  " Bonjour Jérôme, ça va bien ta tête ?

 

Jérôme Bedrossian :

-  Bien Catherine ! Pourquoi me demandes-tu ça ?

 

Catherine Bels Pautrat :

-  Parce-que tu n'arrêtes pas de m'appeler Françoise Hardy, de dire je nique les égoïstes et vive Marine Le Pen, présidente de La France et vivement qu'en France ça pète et vivement qu'il y ait une guerre civile et que tout le monde s'entretue ! T'es complètement cinglé de dire ça, de toute façon, tu n'aimes personne comme tu ne prônes que la haine en France ! Pourquoi deviens-tu si fou en t'en foutant de tout et en étant si grave ?  

 

Jérôme de Mars :

-  Et bien c'est simple Catherine, c'est parce-que je n'ai pas de garde-fous comme tout le monde s'en fout de moi que j'en deviens si hardi en t'appelant Françoise Hardy comme ça fait 8 ans que tu ne peux plus me voir en peinture comme je sors trop souvent du cadre, ce qui fait que tu ne peux plus m'encadrer comme tu fais de la peinture, si je prône la haine en France c'est parce-que je taille les haies pour qu'on m'entaille laids hé ! Et si je suis grave, c'est parce-qu'au GEM de Vitry, on grave mes CD sur mes poèmes qu'un adhérent a mis en musique mené tambour battant avec son groupe musical du GEM de Vitry avant que je sois grave DCD ! Et si je prône la haine, c'est aussi parce-que je suis trop faible pour aimer d'après ce que disait Martin Luther King comme j'émets que des mauvaises ondes négatives !  "

 

Voici maintenant Stéphane Guillaume, un ancien collègue de L'ESAT où Jérôme Bedrossian travaillant avant qui est aussi son ami qui l'appelle après qu'il lui a envoyé par SMS qu'il voulait se flinguer :

 

Stéphane Guillaume :

-  " Bonjour allo, ça va ?  As-tu essayé de te suicider ?  Pourquoi m'as-tu envoyé par sms que tu voulais te flinguer ? 

 

Jérôme Bedrossian :

- Car c'est pour t'informer que si un jour comme moi, tu veux te flinguer, et bien je peux te dire que si jamais toi et moi, on grille toutes nos cartouches et bien pour se flinguer à coup sûr sans se rater, on aura qu'à se flinguer en se tirant à bout portant car à bout pourtant ! "

 

Farid Hamza, un ami à Jérôme Bedrossian appelle Jérôme pour lui se proposer de sauter avec lui par la fenêtre : 

 

Farid Hamza :

- " Bonsoir Jérôme, je t'appelle depuis ce matin, tu ne me réponds pas, je m'inquiète pour ta santé, comme toi et moi on est au bout du rouleau, si tu veux, je te propose que toi et moi, on se jette par la fenêtre, qu'en dis-tu ?

 

Jérôme Bedrossian :

-  Et bien mon cher Farid, ta proposition m'en chante ! Si tu veux avant que toi et moi, on se jette par la fenêtre, je préfère d'abord prendre pour argent comptant ce que tu me dis, comme le silence est d'or et la parole est d'argent en jetant d'abord l'argent par les fenêtres mais promis, toi et moi, on se sautera ensemble par la fenêtre !  "

 

Voici Rafaël Gomez Secher qui appelle son ami Jérôme Bedrossian après que Jérôme lui ai envoyé par mail qu'il voulait se flinguer :

 

Rafaël Gomez Secher :

-  " Bonsoir Jérôme, tu m'inquiètes avec ton mail que tu viens de m'envoyer où tu me parles de suicide, ton état est très alarmant Jérôme, je peux te dire le meilleur moyen de te suicider sans te rater, tu fermes ton verrou, tu jettes ta clé par la fenêtre et tu fais une grève de la faim en te laissant dépérir à petit feu durant un mois, qu'en penses-tu de mon idée Jérôme ?

 

Jérôme Bedrossian :

- Je trouve ton idée si délicieuse vu tout ce que je déguste depuis que je suis né !  Ca m'intéresse beaucoup ta suggestion ! Vu que je suis renfermé, OTAN jeter la clé de la solution comme la faim justifie les moyens !  "

 

Voici Walid Bachiri, animateur du GEM de Vitry après qu'un de ses adhérents Jérôme Bedrossian lui a envoyé par mail qu'il voulait se flinguer en avalant sa clé contact avec des cachets :

 

Walid Bachiri :

-  " Bonsoir Jérôme, ça va ?  Jérôme après ce que tu m'as envoyé, je vais être obligé de contacter le CMP, tu comprends ?

 

Jérôme Bedrossian :

- Pas besoin Walid de contacter le CMP de Vitry-sur-Seine, j'ai recraché ma clé contact qui me permettra de contacter le CMP de Vitry-sur-Seine mais sache que ça, je te l'avais caché !  "

 

Pour terminer, voici quelqu'un parmi l'entourage de Jérôme Bedrossian qui lui fait un appel surprise de l'au-delà avec le mobile de son suicide, cette personne qui l'appelle est son grand-père maternel Francis Demars qui s'est suicidé d'une balle dans la tête le 14 Février 1995 le jour de la Saint-Valentin :

 

Francis Demars :

-  "  Bonsoir Jérôme, c'est ton grand-père qui t'appelle de l'au-delà, tu te rappelles de ce que je t'avais dit que j'avais peur pour toi qu'un jour ou l'autre, tu finisses comme moi en enfer en te flinguant, toi qui ne fais que t'en faire dans ta vie enfer avec une santé qui n'est pas en fer, Jérôme, pour que ce soit la fin des haricots mets ton labeur dans les épinards, comme cela, tu seras en fer à repasser à l'acte en te suicidant pour de bon, à faim que ton paradis d'enfer soit de me rejoindre dans l(au-delà de mon nirvana, qu'en penses-tu Jérôme ?  

 

Jérôme Bedrossian :

-  Merci cher grand-père, avant de te rejoindre en enfer, laisse-moi écouter une dernière fois Vanessa Paradis pour que je grave DCD d'enfer ! "

 

Jérôme de Mars

Chantons pour les passants !

 

Pour faire passer le temps,

Si on insufflait et

Léger un beau printemps

Maintenant en bonté,

 

En mêlant de beauté

La vie universelle,

Qui ferait rencontrer

Les gens en un pluriel

 

D'êtres singuliers, à lier

D'amitié très liantes,

Qui unirait soudées

Des personnes fascinantes,

 

Afin que dans la rue,

Tout le monde se recause

Sans peur de l'inconnu !

Et sans ses ecchymoses,

 

Chantons pour les passants !

Défilant grand passant,

Où le monde se comprend,

S'entend et se détend !

 

Pour repasser du temps

Tous ensemble ! Pour parler

Du temps qui reste à liant,

A passer pour aimer

 

Le temps présent à dire

Aux gens qu'on les aime tant !

Sans médire, sans maudire

En allant de l'avant !

 

Ne perdons plus de temps

En jours superficiels !

Mais repassons du temps

En retours essentiels !

 

Croyant aux idéaux !

Car avant, c'était mieux

Sans un gros mot de trop !

Et ainsi faute de mieux !

 

Chantons pour les passants !

Défilant grand passant,

Où le monde se comprend,

S'entend et se détend !

 

Avant que la vie cesse !

Voyons-nous aujourd'hui

En liesse, allégresse !

Avant que soit fini

 

Le jour ensoleillé

Et que retombe la lune,

Et si émerveillés,

On restait dans la lune !

 

Rêvant d'un monde meilleur,

Regardant le soleil

Radieux enjoliveur,

Inconscient qui réveille

 

Les gens depuis leur banc,

Et avec des ramages

Sans faire semblant alliant

Démarrages en mariages,

 

Chantons pour les passants !

Défilant grand passant,

Où le monde se comprend,

S'entend et se détend !

 

Jérôme de Mars

 

 

Marginale

 

Système D

Original,

Suis aidé

Martingale,

 

Où il faut

Solidaire,

Naître pas beau

Solitaire !

 

 

Etre à deux

Entouré,

C'est être mieux

Qu'isolé,

 

Esseulé,

Assis seul,

Attristé

Sans son aïeul !

 

Marginale,

Fée fatale

Et banale,

La Totale !

 

Le temps passe

Vite évite !

Qu'il trépasse

Dans la fuite !

 

Ceux qui veules

Naître qu'argent !

Alors qu'ils veulent

N'être qu'argent !

 

Tuer le

Temps inné !

Tu es le

Trépas né !

 

Tout ne dure

Qu'un temps soit !

Qu'on endure

Et temps soie !

 

Marginale,

Fée fatale,

Et banale,

La Totale !

 

Qu'avant la

Fin des temps,

Et bien là !

Se détend

 

Un grand monde

Meilleur ! Qui

Prend l'immonde

Indécis !

 

Et pourquoi

Pas parler

Si ça va !

Discuter

 

De tout, et

De rien en

Somme ! Qui hait

La vie an !

 

Marginale,

Fée fatale,

Et banale,

La Totale !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Casser, concasser, tracasser

 

Vaisselle cassée, je ris pilé !

Horripilé qu'il y ait des gars !

Bonjour ! Les dégâts égarés

Que mon riz empilé sera

 

A ranger pour que je sois dans

Mon assiette, à m'en démanger

En ne machant mes mots aidant !

Et dent je ne fais que passer  !

 

Avant de trépasser en sans,

Broyé par le système et D,

Comme je n'ai de mille et décents,

J'attends juste le système aidé !

 

Que ma vie s'écrit en des vers

Brisés par le temps qui survit !

Aux aléas d'une vie austère !

Et si après souffrir, j'en ris !

 

Casser, concasser, tracasser,

Trop casser, fracasser, assez

De DC DCD KC !

Que je crève l'abcès ex CD !

 

Si bien que je dois composer

En un CD ma vie d'album,

Comme je n'avais rien oublié !

Moi qui nais inné post-partum !

 

Car y a pas photo mes potos !

Ont aussi déchanté leur vie,

Des bobos à l'eldorado !

En démontrant leur beau devis

 

Que je ris, j'en ris empilé !

A montrer que le bon exemple !

Malgré que mon riz soit pilé,

Broyé par le système exempte

 

Des choses sûres que je lui reproche !

Comme je n'ai trouvé chaussure à 

Mon pied ! Grand effet d'anicroches

En des aléas allez ah !

 

Jérôme, faut te bouger rangé !

Même que tu sois dérangé par

Les séquelles de ton outrepassé, 

Sublime cela et prends ta part  !

 

Casser, concasser, tracasser,

Trop casser, fracasser, assez

De DC DCD KC !

Que je crève l'abcès ex CD !

 

La vie vaut la peine d'être vécue!

Même qu'à chaque jour suffit sa peine !

Dont ma peine ! Je l'ai point vaincue !

Car je suis absolu open !

 

En voiture de ma mère OPEN

Corsa qu'elle écorcha souvent ! 

Dont ma mère n'eut que de la peine !

Jamais dans sa voiture avant !

 

Que de sa naissance à sa mort,

Fut un incident ou un grand

Accident, vivant ses remords !

Même que maintenant, je suis grand !

 

De mon enfance tous azimuts 

Au tumulte de ma vie adulte,

Hormis qui, qui me persécute !

Dont en ce répercute, j'exulte

 

Casser, concasser, tracasser

Trop casser, fracasser, assez

De DC DCD KC !

Que je crève l'abcès ex CD !

 

Jérôme de Mars

 

 

Entretien sur ordonnances

 

 

Entretien mensuel au CMP de Vitry-sur-Seine entre l'impatient Monsieur Bedrossian et sa psychiatre Madame Teillet :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? "

 

Jérôme Bedrossian, impatient du CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Bien Madame Teillet, et vous Madame Teillet ?  Comme je vous vois surtout pour l'ordonnance, est-ce-que vous vous en tamponnez de mon état ? "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Je vais bien Monsieur Bedrossia, Monsieur Bedrossian, si je m'en tamponnais de votre état ! Vous qui vous vous plaignez d'être toujours maltraité par tout le monde, pensez-vous que je ferai les ordonnances directement par informatique en prenant le temps d'écouter vos doléances, vous qui voulez des condoléances sans fins pour votre défunte mère ?  Car si vous saviez, je ne suis pas une psychiatre comme les autres car vous voyez ma haute hiérarchie me demande des entretiens sur ordonnances en m'en tamponnant des problèmes des patients, mais sachez Monsieur Bedrossian que je ne suis pas comme ça, rassurez-vous même si je ne mâche pas mes maux et que je suis cash, je traite bien mes patients, vous avez signé avec moi votre traité de paix après avoir été tant maltraité sans paix à L'ESAT La Fabrique, la preuve que je vous traite bien Monsieur Bedrossian, je ne vous donne pas un gros traitement ! Sachez Monsieur Bedrossian que même si d'après la loi, on me demande de prescrire des entretiens sur ordonnances et bien que moi, je m'affranchis des directives de l'état vu votre état Monsieur Bedrossian, la preuve que je ne respecte pas la loi Monsieur Bedrossian, vous qui avez eu largement votre dose avec toutes les épreuves que vous avez du endurées dans votre vie, ce qui fait qu'avec vous, je ne fais pas des entretiens sur ordonnances en vous faisant juste une petite ordonnances et puis basta rendez-vous au prochain rendez-vous ! "

 

Jérôme Bedrossian, impatient du CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Madame Teillet, pensez-vous que je sois dangereux pour moi et pour les autres ? "

 

Madame Teillet, psychiatre du CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Non Monsieur Bedrossian, vous n'êtes pas dangereux pour les autres, vous êtes juste dangereux pour vous-même, la preuve que vous aimeriez avoir un suicide assisté alors que vous n'avez juste qu'un suicide insisté, Monsieur Bedrossian si vous ne voulez pas vous rater, est bien le meilleur moyen de se flinguer à coup sûr quand on a grillé toutes ses cartouches est de se tirer à bout portant car à bout pourtant ! Mais Monsieur Bedrossian, vous n'avez pas besoin de vous suicider, vous êtes plutôt bien portant !  "

 

Jérôme Bedrossian, impatient du CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Surtout que je n'ai pas grillé toutes mes cartouches comme j'ai encore des cartouches sur mon imprimante pour que la vie me donne pour l'instant bonne impression, j'ai l'impression ! Surtout que si j'étais un con damné, je fumerai mes dernières cartouches de cigarettes pour mourir à petit feu telle la cigarette du dernier condamné qui n'aura fait que bûcher toute sa vie avant de finir sur le bûcher après toutes ces embûches ! Je dis des bêtises car je n'ai pas besoin de faire des bêtises car de toute manière, ça va être bientôt ma fin damnée ! La preuve que je n'ai pas la langue de bois avec vous Madame Teillet, comme je ne fonctionne jamais avec des si pour couper du bois en petites bûches et que je préfère manger des bûches pâtissières au lieu de bûches glacées à Noël, car si je mange des bûches glacées Madame Teillet, vous allez me souhaiter de bonnes fêtes de fin damnée et une bonne année de façon froide surannée alors que je préfère que quand vous êtes chaleureuse avec moi Madame Teillet ! "

 

Madame Teillet, psychiatre du CMP de Vitry-sur-Seine : 

-  " Monsieur Bedrossian, prenez le temps pour vous suicider à petit feu ! Y a pas le feu au lac ! De toute manière avec vous Monsieur Bedrossian, il faut se méfier des faux calmes comme vous car comme on dit il faut se méfier de l'eau qui dort comme vous ! Il ne faut pas se fier eaux apparences déjà que votre vie n'a jamais été un long fleuve tranquille ! Vous êtes un grand nerveux Monsieur Bedrossian ! Monsieur Bedrossian, un conseil à vous donner si vous voulez que les fêtes de fin d'année se passent bien et ne pas que les fêtes de fin damnée se trépassent bien ! Monsieur Bedrossian, sortez de votre bulle en étant pétillant comme le champagne ou le champomy en trinquant au champagne ou au champomy dès minuit à votre santé retrouvée !  Et ne poussez pas le bouchon trop loin ! Maintenant que vous avez quitté L'ESAT La Fabrique après avoir été durant 16 ans et 4 moins coincé dans votre bulle à trinquer de votre santé !  Monsieur Bedrossian comme vous allez très bien, je vais vous prescrire comme ordonnances avant notre prochain rendez-vous, allez de l'avent, ne pensez-plus au passé que ce soit le harcèlement scolaire du collège privé Epin ou le harcèlement professionnel de L'ESAT La Fabrique ! Y a prescription ! La preuve que vous n'êtes plus si maltraité par l'immonde Monsieur Bedrossian !  Allez au prochain rendez-vous !  "

 

Jérôme Bedrossian, impatient du CMP de Vitry-sur-Seine :

-  "  Au revoir merci de m'avoir bien étayé Madame Teillet !  "

 

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blague :

 

 

Quel est le meilleur moyen de se flinguer à coup sûr quand on a grillé toutes ses cartouches ?

-  C'est de se tirer à bout portant car à bout pourtant !

 

                                       

                                         Jérôme de Mars

Art gothique, argotique !

 

Hard roc, je suis si rock !

En parlant le verlan

Que je gueule du art rock !

A tue-tête en vers lents

 

Que je troque la vie à 

Pleines dents, en s'entraidant,

Parlant le chébran pas

A pas branchés aidant

 

Mon nirvana cent spleen !

Que je veux des chébrans !

Mes états unis green

Card, débranchés faisant

 

Semblant de parler mal !

Ecoutant en sauvage

Ma musique animale,

Bourrant ma gueule cépages !

 

Art gothique, argotique !

Cri des mots frénétiques,

Névrotiques, lunatiques

Qui veulent dire chaotiques !

 

Je sais de quoi je parle !

Moi, le gars trop barré !

Ne rimant en Ray Charles !

Que je suis rembarré

 

Au style azimuté,

Que mes oreilles sifflent, sniffent

Sens interdit stylé !

Que je kiffe super kiffe !

 

Kif kif, je suis un rock 

De pierre ! Qui jette la pierre

A l'édifice d'un roc !

Et qui rocke, roc de Pierre ! 

 

Je parle le langage naze,

Qui gaze que la kaïra !

Saga citée d'un laze !

Racaille qui caillera

 

Art gothique, argotique !

Cri des mots frénétiques,

Névrotiques, lunatiques

Qui veulent dire chaotiques !

 

Mes maux qu'on sonne en moi

Que je gueule rébellion !

Dont je dégueule parfois,

Limite insurrection !

 

Que j'imite perfection

De mon haut perfecto !

L'imite rock connection,

Je suis hard électro !

 

Que ça ne veut rien dire

Tout ça dès maintenant !

A part me contredire,

Médire mes dires autant !

 

J'ai le hard à fleur de

Peau ! Que j'ai pas de pot !

Que je déchante entre deux !

En me faisant la peau !

 

Art gothique, argotique !

Crie des mots frénétiques,

Névrotiques, lunatiques

Qui veulent dire chaotiques !

 

Jérôme de Mars

Les oiseaux chantent dans les arbres

 

Dans un concert au zénith

De la providence, il y a

Un maître chanteur qui édite

Piaf, en chantant son aura !

 

En prenant tous les pigeons

Pour des pigeons-voyageurs !

Qui gravitent en denses chansons,

La danse des corps beaux songeurs

 

En rejouant à l'épervier,

Pendant que certains moineaux

Chantent alouette démasqués,

Comme les mouettes du dernier mot !

 

Parlant comme des perroquets,

Mettant la main à la patte

Sur leur perchoir en roquets !

Lorsque les oisillons se flattent,

 

Les oiseaux chantent dans les arbres,

Des oiseaux restant de marbre !

Si enchantant dans les arbres,

Les oiseaux en restent de marbre !

 

En laissant en retombées,

Les remords vivants des vers

Qui mangent les morts déplumés,

Oiseaux qui ont des travers 

 

De manger des vers de poèmes

Dans leur nid en un déni !

Qui fait que personne ne s'aime !

Avec un droit à l'oubli 

 

Des oiseaux dans les Iles Canaries,

Qui ne tarissent pas d'éloges

Que revivent les canaris !

Sans qu'aussi ils n'en dérogent

 

Défaites d'éloges qui poussent hein !

Des poussins vilains petits

Canards, punis dans leur coin !

Lisant leurs canards ! Merci,

 

Les oiseaux chantent dans les arbres,

Des oiseaux restant de marbre !

Si enchantant dans les arbres,

Les oiseaux en restent de marbre !

 

En jouant à l'enjeu de l'oie

Qui est la loi du plus fort !

En manque de trop de foie gras !

Avec en des métaphores,

 

Des oiseaux qui plument par ciel !

Les corbeaux qui portent malheur !

En leur humour noir qui scelle

Et épie solennel, leur

 

Pie bavarde qui jacasse sec !

En parlant sèchement en

D'implacables en prises de becs,

Bienvenue vers le versant 

 

Déversant sans les consignes

Mésanges en une des vies d'ange !

Qui ne trompe jamais les cygnes !

Car dès qu'ils s'arrangent et changent !

 

Les oiseaux chantent dans les arbres,

Des oiseaux restant de marbre !

Si enchantant dans les arbres,

Les oiseaux en restent de marbre !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Alexandre hein, un pour tous, tous Alexandrins !

 

Mon cher Alexandre, que te dire en douze syllabes ?

Toi qui bois tes vers et tes revers de la vie !

Et toi qui aime bien parler de ta langue à rab 

En choses qui revivent ainsi selon tes envies !

 

Toi qui as beaucoup d'humour malgré les grands drames

De ta vie en mélodrame, mais qui reste très drôle !

En toutes circonstances avec constance qui en slam,

Proclame ton besoin d'affection que tu enrôles

 

Avec parcimonie ou excès, quand tu en

As assez des camouflets toi à fleur de peau !

Notamment lors de tes derniers tristes nouvel ans,

Sauf quand tu fêtes la fin d'année entre les potos !

 

Qui t'aident à tenir le coup plus en fin damnée ! 

Mais en te souhaitant un prompt rétablissement !

On t'attend tous une fois remis d'aplomb ranimé

De ta soif de vivre épicurienne en avant !

 

Alexandre hein, un pour tous, tous alexandrins !

Alexandre un, un pour tous, tous Alexandre hein !

Alexandrin, hein pour tousse, tous Alexandre un !

Alexandrin, un pour tousse, tous Alex sans drains !

 

Quand vas-tu quitter cet hôpital qui se fout

De la charité bien désordonnée ? Toi qui

Nais pas fou, mais un joyeux luron sans garde-fous,

Où t'as tant besoin maintenant de jours exquis !

 

Et acquis à qui à part toi pour en profiter

De ta vie avec plus de lumière et moins d'ombre ? 

Tu n'as qu'à savourer un bon Monaco et

Siroter une bonne bière en en buvant un nombre !

 

Avant dans très longtemps fumer au Nirvana

Ta vie, en en faisant un sacré inventaire !

Toi qui es si hard en écoutant Nirvana

Avec Boris sur Vénus ou moi trop sur Terre,

 

Alors que je suis de Mars, un type décalé

Ovni artiste qui dans son immense vraie bohème,

Aime bien tant te contaminer olé olé !

Si je suis une crème fouettée, affûtée que sème

 

Alexandre hein, un pour tous, tous alexandrins !

Alexandre un, un pour tous, tous Alexandre hein !

Alexandrin, hein pour tousse, tous Alexandre un !

Alexandrin,  un pour tousse, tous Alex sans drains !

 

Ainsi mon cher Alexandre, pour que ta vie soit du

Gâteau, si nous, on faisait nos anniversaires 

Après toutes tes hospitalisations indues,

Imbues, toi l'innocent et le bouc-émissaire !

 

Tu as raison de ne pas aller travailler ! 

Comme ça tu gardes ta santé si fragile, au moins

Pour manger, t'alimenter sans sel sur les plaies !

Tu n'es pas un moins que rien mais un boute en train !

 

On a hâte de te revoir tous en forme conforme !

Dont le tout forme un comique travaillant aux blagues

Ecrites et dites noires sur blanches, toi parfait aux normes

Alors que moi je te suis hors-normes quand je divague

 

Dans mon vague à l'âme, alors que ton humour drague

Les couleurs d'envie pour que la pièce ne soit noire !

Toi qui veux sur vivre l'essentiel, comme tu élagues

Une vie abreuvoir de toutes tes cocasses histoires !

 

Alexandre hein, un pour tous, tous alexandrins !

Alexandre un, un pour tous, tous Alexandre hein !

Alexandrin, hein pour tousse, tous Alexandre un !

Alexandrin, un pour tousse, tous Alex sans drains !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Hindou ! Un doux ! Hein doux !

 

Rangé en file Indienne,

Je sors le Geronimo !

Sur place de l'amère Indienne

Qui pousse à cran en échos !

 

Le cri rebelle révolté !

Allez ah ! Geronimo 

En ta force qui survoltée,

Transforme le gros chaos 

 

En un eldorado,

Où s'arrête de pleuvoir !

La pluie comme il fait beau 

A présent sans mouroir !

 

Qui cherche la méridienne

Pour détendre l'atmosphère,

En voulant plus humaine

La vie ! Je décolère !

 

Hindou, un doux ! Hein doux !

Geronimo file doux !

Refile dans le redoux !

Du ripou au filou !

 

Fumant le calumet 

De la paix, enfumant

Jérôme tel enivré !

Consignant exultant

 

Le traité de la paix 

Qu'il en enfile Indienne !

Avec respect toupet,

Malgré la mère Indienne

 

Qui me refile Chrétienne

Ma foi d'envie paisible !

Avec pour suite sereine...

De manger comestible

 

En une vie vraiment Sainte,

En prenant en amplis

De la musique enceinte,

D'où je prendrai le pli !

 

Hindou, un doux ! Hein doux !

Geronimo file doux !

Refile dans le redoux !

Du ripou au filou !

 

Car même si d'ici là !

S'ensuit Geronimo !

Je suis Jérôme oh ! La !

Dès qu'a danse allégro

 

Si je chante Allez ! Gros !

De Jérôme pour sa pomme

A Geronimo

En gros qui somme, assomme !

 

De mes maux qui résonnent

Envers de la déco !

A mes mots qui raisonnent

A l'envers du dico !

 

Et si tous, on conciliait

L'amitié et l'amour !

Pour se réconcilier

En vers moi troubadour !

 

Hindou, un doux ! Hein doux !

Geronimo file doux !

Refile dans le redoux !

Du ripou au filou !

 

Jérôme de Mars

 

Faisons de la résistance !

 

Dépêchés depuis naguère,

Après la tempête, le calme !

Faisons cesser cette grande guerre !

Afin de remettre une palme

 

En signant un traité de 

Paix dans la fraternité !

Car un plus un égale deux !

Tous face à l'adversité !

 

Démarquons-nous des moutons

De Panurge hein différents !

De ceux qui suivent l'inaction !

Mais soyons sans différends !

 

Direction l'insurrection !

Marchons Place de La Bastille !

Faisons la révolution !

Qui ordonne fragile, habile !

 

Faisons de la résistance !

En un tract de résistance !

Et sans guerre, la résistance !

Si on capte la résilience !

 

En renaissant de nos cendres,

En votant la liberté 

Pour ne plus du tout descendre

En rue d'insalubrité,

 

Qui ne fait que pulluler

Dans la haine trop misérable

Des gueux las pour clairsemer

Une vie qui n'est agréable !

 

Et si pour qu'il n'y ait plus la guerre !

Si on remettait tout en

Questions en un inventaire !

Qui nous rendrait tous fringants !

 

En prenant de très grands gants

Elégants, endimanchés !

Demeurant vraiment galants,

Clamant en notre franc-parler !

 

Faisons de la résistance !

En un tract de résistance !

Et sans guerre, la résistance !

Si on capte la résilience !

 

En renaissant transcendés

Après toute cette hécatombe,

Pourvu que tous rassemblés,

Il n'y ait plus du tout de tombe !

 

Car ce qui nous incombe tant !

C'est de nous unir ensemble !

Et nous réunir conciliant !

Afin que tous, on s'assemble !

 

Car qui se ressemble s'assemble !

Dont le tout complémentaire

Forme l'union, afin que tremble

La guerre dans sa pure colère,

 

Pour qu'elle en devienne impure,

Pour que s'épure l'armistice

Dans la paix ! Qui inaugure

Tant sous les meilleurs auspices,

 

Faisons de la résistance !

En un tract de résistance !

Et sans guerre, la résistance !

Si on capte la résilience !

 

Jérôme de Mars

 

 

Pour faire un tabac

 

Grillant tes cartouches

En bonne impression !

Tu parais si louche !

Surexposition;

 

Que tu fumes des brunes;

Des blondes que t'infiltres !

Comptant pour des prunes !

Toi qui es sans filtre !

 

A tant te griller

En tes cigarettes,

Achetées, fumées,

Tu fais tes emplettes !

 

En faisant la paix,

En enfumée feu !

Quand le calumet

T'apaise un peu mieux !

 

Pour faire un tabac

Au bureau-tabac,

Si le feu t'abat !

Mangeant des abats,

 

Or ! Il n'y a pas de

Fumée sans feu ! Qui

Fait feu ! Pas de deux

Sobriquets requis !

 

T'allumes ton briquet !

Fumant ta gitane !

Dont ton sobriquet

Est de la Havane !

 

Genre chanson tzigane,

Qui rallume ta pipe !

Dont en mélomane,

Tu tracasses ta pipe !

 

Comme tu casses ta pipe !

En jouant aux échecs,

Des dés que tu pipes

En faisant un check !

 

Pour faire un tabac

Au bureau-tabac,

Si le feu t'abat !

Mangeant des abats,

 

Si tu casses ta pipe !

En lisant Maigret

De canards qui pipent

Tes dés de Dédé,

 

Qui voulaient t'aider,

Si en joint rejoint !

Tu fumes volupté

Tout le mois de Juin !

 

Faisant un succès

Au lieu d'un échec,

Où sans graves excès,

Tu feras un check !

 

Grâce aux antisèches,

Dont tu revendras

La mèche tant revêche !

Guitare sèche qui ira

 

Pour faire un tabac

Au bureau-tabac,

Si le feu t'abat !

Mangeant des abats.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Passe ton Bach d'abord !

 

Almanach programme 

La musique classique !

En montant les gammes,

Ambiance pacifique !

 

Si tu chopes un tube

A Chopin; sa vie

Avant qu'il titube !

Buvant l'eau de vie

 

S'il dit flûte et flûte !

En trouvant tes vers

Première vue de flûte !

A l'envers en vers !

 

Qui résume Schubert,

En prenant une cuite

Des Beaux-Arts en vers,

Jouant de sa truite !

 

Passe ton Bach d'abord !

Le bac prime à bord !

Dérivant de bord

Mozart au rebord !

 

Avec pour vers dits !

De très grands frissons,

Vers de Vivaldi !

Jusqu'aux quatre saisons,

 

En cherchant les vers

De tes belles lunettes !

Première vue revers !

Ta jolie bluette

 

Qui vend au luthier

Tous tes instruments !

Raccordant rentier

Tes morceaux avant !

 

Et si symphonique,

Tu jouais ton la !

Art philanthropique !

Jouant de ta joie !

 

Passe ton Bach d'abord !

Le bac prime à bord !

Dérivant de bord

Mozart au rebord !

 

Comme si Beethoven

Enjoué, jouait l'an 2000

Moderne en ses veines,

En plein dans le mille !

 

Si ta musique ! C'est 

Du vent que tu vends

Et revends essai !

Que soit comme à vent !

 

Ta musique antique !

Avec des bons airs

Pas tes tics, éthiques !

Qui soufflent pulmonaires

 

Les choses agréables

De ta vie prospère !

Qui en fin affable

Rejouent populaire,

 

Passe ton Bach d'abord !

Le bac prime à bord !

Dérivant de bord

Mozart au rebord !

 

Jérôme de Mars

 

Si on se baladait en chanson !

 

Nulle part ailleurs ! Si on rêvait d'un

Monde meilleur, se promenant joyeux

Dès l'or d'un fabuleux tous pour un !

Qui donnerait pour refrain heureux,

 

La fête des gens bronzés au soleil !

En y fredonnant des mélodies

En une dense complainte de ritournelles,

Qui jouerait dans une musique fleurie

 

Que les saisons sont belles en marchant !

Dans une ballade qui clame en un slam !

Que la vie est une bohème ! Allant

De ce qui trame sur le macadam !

 

Des si le ciel lui faisait la cour !

En jouant la fanfare près du mistral

A Marseille en série à contre-jour !

Serait plus belle la vie tant joviale !

 

Si on se baladait en chanson !

Qui ballade trop vite à chaque saison !

Qui chanterait la belle oraison

Pour que tout se fasse à l'horizon !

 

Et si tout le monde clamait l'amour !

Chantant en un concert de louanges

Que la vie demeure un troubadour !

Afin de vivre au pays des anges

 

Qui sifflerait la récréation !

Après tous ces moments très pénibles,

Une fois achevée l'insurrection

Pour revivre en des jours plus paisibles,

 

En flânant près du lac des canards

En toute quiétude qui élude futile,

Le journal qui amende le canard

Vexé qui lu, non-lu n'est utile !

 

Pour voir que la vie vaut la peine d'être

Vécue ! Malgré les joies et les peines

Qui font que tous semblent vraiment paraître

Dans la haine qui déchante en rengaine !

 

Si on se baladait en chanson !

Qui ballade trop vite à chaque saison !

Qui chanterait la belle oraison

Pour que tout se fasse à l'horizon !

 

Dans la paix et la fraternité

En une étreinte qui rallume la vie,

En perdurant dans la volupté !

Qui réconcilie les gens ravis

 

Et heureux d'arpenter la colline

Des pas sages radieux et sans-soucis !

Afin que la ballade se termine

Par de la poésie qui unit

 

En symbiose le ciel et le soleil,

Enchantant ce bel eldorado !

Qui rend ce nirvana de plus bel !

Comme endroit épique qui tourne le dos

 

A cette époque pleine d'indifférence !

Pourvu que tout le monde prenne la fuite !

Et que soit mise en place la naissance

D'une belle époque, enchantant en hits !

 

Si on se baladait en chanson !

Qui ballade trop vite à chaque saison !

Qui chanterait la belle oraison

Pour que tout se fasse à l'horizon !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Si on s'en balançait !

 

Si près d'une balançoire

En s'envoyant en l'air !

Il y a en exutoire,

Des sensations éclairs

 

Qui font que la vie va

Un petit coup en haut !

Et un grand coup en bas !

Quel serait le bon mot 

 

A trouver si léger ?

Pour qu'il n'y ait de fardeau

Du poids si enrobé !

En un genre maigre lot !

 

En prenant du recul

Pour en faim redire mince !

Plus rien ne se bouscule,

Quoique la vie en pince !

 

Si on s'en balançait !

De tout pour s'élancer

Et si on se lançait !

Pour contrebalancer 

 

La vie qui nous pèse tant !

A balancer en gros

Obèse, à quel moment 

La vie est un cadeau ?

 

Non pas empoisonné,

Mais doux en du redoux

En des moments enjoués !

Avec aucun relou 

 

En un grand loup pour l'homme !

Qui loue et alloue en gros,

Le trop gros poids en somme 

Qui kiffait mes grelots !

 

Tirant à l'œil l'alarme !

En mangeant trop à l'œil  

De tout ce vaste vacarme !

Et de ce tape-à-l'œil,

 

Si on s'en balançait !

De tout pour s'élancer

Et si on se lançait !

Pour contrebalancer 

 

Les vraies fausses vérités

De la vie si balourde !

Qu'elle naît sévérités

Entre joies et peines trop lourdes !

 

Et comment ériger

Un lâcher-prise sur prises,

Parsemé édifié

En effet de reprises !

 

Et quel est le secret

Pour prendre à la légère

Tout de façon avisée ?

Prenant des courants d'air

 

Pour s'aérer la tête

Lors des baisses de régime

Pour sauver toute sa tête !

Et sans poids qui décime !

 

Si on s'en balançait !

De tout pour s'élancer

Et si on se lançait !

Pour contrebalancer.

 

Jérôme de Mars

 

 

L'affable cigale et la fable fourmi

 

Comme un poète maudit qui fourmille d'idées

A ses dépens sans regarder à la dépense,

Voici l'affable cigale et la fable fourmi qui sans

Réserve, voit l'affable cigale dépenser sans

Compter, en sortant de sa réserve à ses dépens !

Pendant que la fable fourmi fourmille d'idées !

Pour se constituer des réserves avec réserve,

Pourvu qu'untel en ayant de la réserve !

Réserve à la fable fourmi économe,

Toute sa considération sans en faire

L'économie, de toute manière il n'y a

Point besoin comme la fable fourmi

Est si réservée et si économe qu'elle dépense

En comptant l'histoire des bourses de la vie

De l'affable cigale qui frugale et dépensière,

Dépense sans compter et qui préfère la vie

A la bourse, en contant qu'elle ne débourse rien

L'affable cigale, dont elle apprend à ses

Dépens, comme toute histoire a une morale !

Dont la morale de l'histoire est que personne

Ne vit d'amour et d'eau fraîche, à part Jean

De La Fontaine, dont la fontaine jaillit

Et coule en remontant à la source,

A partir de laquelle même si l'affable

Cigale n'est économe à ses dépens !

Et fort heureusement que la fable fourmi

Fourmille d'idées en ayant des ressources,

En puisant dans ses propres ressources,

Et en s'épuisant dans ses uniques ressources,

Et si le comble de l'histoire, la fable fourmi

Pouvait chercher et dénicher des ressources

A l'affable cigale qui en n'ayant des ressources,

Clamerait que l'argent est le nerf de la guerre !

En ayant qu'une parole d'argent comptant !

Qui tiendrait juste paroles d'argent content

Comme le temps, c'est de l'argent !

A mettre à son crédit au discrédit de l'affable

Cigale, mais elle, l'affable cigale

S'en fout de l'argent ! Elle préfère en profiter

Au présent, quitte à être à découvert aux dépens

Des mots couverts innés avec une cuillère

En argent que fourmille la fable fourmi,

Car s'il y a bien une chose,

Qu'a bien compris en paroles d'argent contant

L'affable cigale, racontant que même

Qu'untel a de l'argent, personne naît

Point éternel dans la vie et l'argent ne rend

Quiconque immortel ! Et l'argent, 

Personne ne l'emporte

Outre-tombe ! Et si pour réconcilier

L'affable cigale et la fable fourmi,

Tout le monde trouvait juste comme compromis

Qui ne fourmillent à quelconques dépens

D'aucuns, avec pour seul leitmotiv :

" Il faut dépenser sans conter

En en faisant l'économie ! "

Voilà le mais sage de l'affable cigale

Et le mets sage de la fable fourmi !

 

Jérôme de Mars

Heure dix vers !

 

Midi plus 1 !

Jamais 2

Sans 3 !

Pliés en 4 !

Reçus 5 sûr 5 !

En étant à 6

Sur 7 chaise 

Dans le grand 8 !

Quoi de 9 à 10 de chute ?

En lisant 11 Mondial ! Minuit moins 5 ! Heure dix vers !

 

Jérôme de Mars

 

Cool Basile !

 

A la cool !

D'ici là 

Si tu coules !

Ecoute-la !

 

S'il te plaît 

Cette chanson !

Elle parle et

D'émotions !

 

Quand le jazz,

Il fait tant

Jazzer las !

Si plaisant 

 

Ton super

Teppaz très

Plein d'ex paires,

Qui chantaient

 

Cool Basile !

Ecoute Basie !

Count Basie !

Pour la vie !

 

Gentleman

Si parfait

Mélomane,

Qui avait

 

La nuit, sa

Musique pour

Luit oh ! Là !

Dans l'amour

 

Que tu luis

Ta grande voix !

Que d'un oui,

Tu y croîs

 

A chaque nuit !

Toi clubber

Qui inouï,

Dit master

 

Cool Basile !

Ecoute Basie !

Count Basie !

Pour la vie !

 

Qui effet

Tout le temps !

Et jazzer 

Nonobstant !

 

Tu nais Luit

Ame strong ! Quand

T'en déduis

Et pourtant !

 

Je reluis

Comme âme strong !

A chaque nuit,

Je diphtongue !

 

Que j'envie

Ce grand pro, 

Que j'en vis

Master pro,

 

Cool Basile !

Ecoute Basie !

Count Basie !

Pour la vie ! 

 

Jérôme de Mars

Des bas laids

 

Il y avait

Dans la vie !

Des olé

Qui défient

 

Une oh ! Là !

Vache sacrée !

Oh ! Elle a !

L'enragée

 

Ah ! Cinquante

Déballées !

Rugissantes

Du balai !

 

Oh olé !

Qui en nage,

Oh ! elle est !

Dont surnage !

 

Des bas laids,

Du ballet

Déballé !

Du balai !

 

 

Elle enrage

Et s'en bat

De son âge !

Où le bât

 

Blesse débat !

Avec des hauts !

Et des bas !

Qui disent oh !

 

Elle a des

Eaux, des bas

Des O, dès

Mises en bas !

 

Oh ! La vache !

Elle olé !

Est si vache !

Qu'elle au lait !

 

Des bas laids,

Du ballet

Déballé !

Du balai !

 

Elle oh ! Là !

En vaches maigres !

Oh ! Elle l'a !

Son vinaigre !

 

Qui est laid !

Eu buvant

Son o lait !

Qu'elle en vend

 

Du grand lait !

O ! La vache !

Oh ! Il est !

Assez vache !

 

Et olé !

Qu'il en lâche !

Tout son lait !

Oh ! La vache !

 

Des bas laids,

Du ballet

Déballé !

Du balai !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

En écrivant l'automne !

 

En repiquant un somme

Et vidant mon stylo,

J'use ma plume lourde en somme !

Dévidant mes bobos,

 

Où je ramasse ma feuille

Morte, tapie sur le sol

Ampli en de mille feuilles 

Adorées mi fa sol !

 

Où je demeure un homme

Libre, quitte à faire pleurer

Les sols en mon bonhomme

De chemin écorché,

 

Et si pour remédier

A cela mélomane,

J'écoutais la forêt !

Quand l'appel émane

 

En écrivant l'automne !

Que j'écris monotone

Des gros mots qui raisonnent !

Trouvant ma voix aphone

 

Qui fait des échos en 

Echos, écoutant mes

Oreilles qui répondent tant

Si mûrs en franc-parler !

 

Que j'en écris la vie !

La parfumant au teint !

Pour respirer ainsi

L'air bon Samaritain !

 

Qui chante en un refrain

Des mots si monocordes,

Où il faut de l'entrain !

Afin que tout s'accorde !

 

Malgré que la saison 

Monotone de l'automne,

Parle tant de l'oraison

Des jour diurnes qui claironnent

 

En écrivant l'automne !

Que j'écris monotone

Des gros mots qui raisonnent !

Trouvant ma voix aphone

 

Dont l'automne me donne le

Blues, effet nuit sur place !

A la place du jour feu

Ma façade en prêt face !

 

Où je joue un grand rôle  !

Qui est manichéen

En souffrances de ma geôle

Qui n'est pas mannequin !

 

Et si pour avoir l'air

Malin, j'appelais en

Ritournelle solidaire

Du beau monde en vers lents !

 

Qui viendrait au complet !

Chantonner cet automne

En un medley mêlé,

Monotone qui résonne

 

En écrivant l'automne !

Que j'écris monotone

Des gros mots qui raisonnent !

Trouvant ma voix aphone.

 

Jérôme de Mars

 

Tourne aux vers !

 

C'est un poète de la fatalité

Qui s'écrie sans regrets,

Dont à partir d'un turn-over,

Tourne aux vers !

En pensant à sa mère

Ovaires over !

Qu'il détourne aux vers

De sa mère !

Elle, qui naît que poussière

Au cimetière de sa vie passagère

Sur Terre,

Qu'il contourne aux revers

De sa vie sur Terre incendiaire !

Et si sa vie était éphémère

A ce poète sans scrupules !

Qui une foi que sa vie sera en bascule

Funambule le jour de sa mort

En conciliabule !

Fera aux prémices de ses remords

En préambule,

Quelque chose qui déambule

Vers sa poésie désabusée au crépuscule

De ce troubadour qui fort revers,

Tourne, détourne, contourne

Et retourne sans ristourne

Aux vers ovaires !

En pansant à sa mère

Définitivement sous l'éther.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Partir et terminer en bonté

 

Grain de bonté,

J'ai un grain de beauté

En mon grain de folie !

Qui me lie pour la vie !

Pour partir en bonté

Avec beauté

Dans cette vie de vanités,

De solennité et d'insalubrités

Avec aussi de mondanités  !

Mais ce n'est point la vérité

Et la réalité du secret

Du bonheur !

Même en y semant des fleurs

Dans l'art de la beauté,

Pour continuer en bonté

A y mettre un peu de légèreté !

Pour le meilleur

Dans la vie pour y faire germer

Des paysages songeurs,

Qui font admirer 

Et contempler

La beauté de la vie

Et la bonté du paradis

Au quotidien !

Pas toujours enclin

A faire aimer 

Les gens,

Et à se faire aimer

Entre les passants

Dans la rue

En route vers l'inconnu

Et si de temps en temps !

Pour presque terminer en bonté,

Les jours de la vie avant de basculer,

Pouvaient fricoter

Dans la beauté et la fatalité,

Afin que tous boivent ensemble un café

Où pour tous, ce serait 

Leur tasse de thé !

Afin d'y siroter

Dans un Havre de paix

Leur marc de café,

Pour humer en odeur de Sainteté !

La vie avant d'aller vers l'éternité

Aux cieux

Pieux des aïeux,

Et si faute de mieux !

Tout le monde était pour une foi !

Fameux et fabuleux !

Si possible plus rabat-joie !

Dans un monde en soie

A fortiori de joie !

Où pour mourir avec beauté,

Si tout le monde en profitait

De la vie avec saga cité

Et témérité,

Pour terminer en toute bonté.

 

Jérôme de Mars

La fête des remords tous sains !

 

Défaites du 1er Novembre !

Que je n'en tremble

De mes membres,

Comme je m'en fous de tout cet ensemble

Mal sain !

Comme ce jour pour moi,

Il était une foi

La fête des remords tous sains !

Où je ne sais plus à quel sain

Me vouer

Et me dévouer !

Où je suis un mort-vivant crevant

A petit feu, bourré en mes remords-vivants ! 

Souhaitant la fin du monde

Avec la faim de l'immonde,

Où la fête des morts,

Naît pour moi, source de remords,

Où je n'en démords !

Car je mords

Si méchant !

En me demandant si je suis tout sain !

Ou Toussaint !

C'est la fête des remords tous sains !

Moi qui suis mort de l'intérieur malsain,

Car je suis à la fois un mort-vivant !

Ravivant mon âme en mes remords vivants !

Voulant et désirant maintenant

La faim des temps

Défunts, car le bonheur est dès feint !

Et depuis jadis et belle lurette !

Y a-t-il de quelconques amourettes

Sur cette planète Terre austère 

Et délétère en ce monde sanguinaire

Et patibulaire ?

En résumé, je m'en fous de la fête des morts 

Soi-disant vivants,

Revivant le temps d'un jour en faisant semblant

Et rassemblant soi-disant

Tout le monde, si bien que sans faux-semblants,

Je croîs que ce n'est plus aussi liant

Et alliant qu'avant, comme un aimant ne conciliant

Et ne réconciliant tous ces pseudos gens, 

Eux qui si distants,

Ne pensent qu'à l'argent !

Comme le temps, c'est de l'argent !

En paroles d'argent contant

Pour se distraire de leurs tourments, 

Et c'est pour ça !

Qu'il était plus qu'une fois !

Tout le monde sans foi !

De la défaite des morts Toussaint !

A la fête des remords tous sains !

 

Jérôme de Mars

L'instrument qu'on accorde

 

Musiques de partition,

Et si même monocordes

Dans la répartition

Sur place de la concorde,

 

Il y avait la musique

Avec aucune discorde,

Qui chante en rhétorique,

Celui qui tient la corde !

 

Ou celle qui pleut des cordes !

Avec un luthier qui

En encorde en dix cordes !

Enjeu du qui est qui ?

 

En une déperdition,

Sans un malentendu

En une belle audition,

Car et bien entendu !

 

L'instrument qu'on accorde

Est le violon à cordes,

Le violoncelle raccorde,

Ou la guitare qu'on corde

 

En une des perditions,

Qui jouera le concert

Tôt en une édition

Lors d'un bal populaire,

 

Tirant trop sur la corde

Harmonique du tempo !

Faisant craquer la corde

En rejouant si synchros,

 

De la grande contrebasse,

Rythmant la voix d'éclat

En faisant des messes basses,

En portant toute leur croix !

 

Aux artistes barytons,

Mezzo-Sopranos si

Ténors, montant le ton

Fonctionnant indécis,

 

L'instrument qu'on accorde

Est le violon à cordes,

Le violoncelle raccorde,

Ou la guitare qu'on corde 

 

Pourvu que tout concorde !

En symbiose si synchrone !

Enjouée d'une immense horde,

Qui ayant des atomes

 

Crochus, jouant si fair-play 

Leur répertoire standard,

Accords d'affinités !

Raccords de la fanfare !

 

Où tous jouent pour le fun !

Trouvant ou pas leurs voix

Au microphone aphone,

En criant de leurs pas,

 

Pourvu que tous s'entendent

Dans ce si beau big band !

Pour que tous se détendent

En enchantant en bande !

 

L'instrument qu'on accorde

Est le violon à cordes,

Le violoncelle raccorde,

Ou la guitare qu'on corde.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Déroutant en voiture !

 

Si j'avais les moyens, j'utiliserai comme moyen de locomotion ! Un véhicule figurez-vous ! Dans lequel je véhiculerai déroutant en voiture ! Plus moyen de me faire du sang d'encre en libre-circulation du sans, même si je subissais une panne d'encens déroutant en voiture ! Où tout le monde me ferait du non-stop en me klaxonnant stop ! Car si j'utilisais un car à vannes dans ma caravane, déroutant en voiture ! Je m'abonnerai en chaîne à chaque péage sur l'autoroute de la déroute, où j'avancerai O pignon je me rue, droit devant ! Même si parfois, je regarde encore dans le rétro, en prenant du recul pour aller de l'avant, en enclenchant la marche à vent avec mon freint demain, même si je ronge mon frein déroutant en voiture ! En faisant des fausses routes et en faisant fausse route, en étant à côté de la plaque d'immatriculation qui par chocs, est déroutant en voiture ! Où j'ai une vie d'ange à travers ce périple, en faisant le détour du monde en roue libre ! Car même si je suis la cinquième roue du cabosse, je ne suis plus forcément la roue de secours, en n'ayant du pot d'échappement pour m'échapper des voitures qui poussent le bouchon trop loin déroutant en voiture ! Et tout en demeurant la pièce rapportée locomotive, je suis l'élément moteur surtout quand à vent, j'allais en voiture avant au charbon, car figurez-vous mine de rien ! J'entonne déroutant en voiture ! Sans frein, enfreint et en frein, le refrain de ma vie, où il faut toujours avancer et accélérer pour occulter et oublier le passé, si bien que grâce à la boîte de vitesses, la boîte de Pandore me tape du pied en me disant, roule plus vite pour que ça déroule à plein gaz ! Sans panne d'encens mais avec une panne des cens  déroutant en voiture ! Afin que je poursuive ma route en déroute, en prenant ma vitesse de croisière à voile et à vapeur ! Tout en prenant de la distance lors de ce périple en ce voyage, destination en quête de sens de ma vie, car même si je suis handicapé, je reste en station debout ! Si déroutant en voiture sans arrêt !

 

Jérôme de Mars

Ca tire à outrance !

 

Brèves :

 

1) Depuis qu'à Charlie Hebdo Georges Wolinski et Cabu sont morts ! Ils sont leur propre caricature qu'il n'y a plus besoin de leur faire un dessein !

 

2)  La France est tellement fracturée que le gouvernement a du mal à recruter des médecins et des infirmières pour soigner les bobos des Français !

 

3) La France est si fissurée qu'on a besoin de bouche-trous pour remplacer tous les Français tant égoïstes !

 

4)  Si Macron veut qu'en France les gens travaillent et qu'il y ait moins de chômeurs ! Il n'a qu'à leur filer le mode d'emploi !

 

5)  Si Macron hébergeait tous les sans-papiers dans chaque église de France ! Tous les Français en déduiraient qu'enfin pour une foi, tous les Français et les étrangers seraient tous logés à la même enseigne de l'autel !

 

6)  Macron fait une politique très mal à droite !

 

7)  Avec l'arrêt en série de Plus Belle La Vie ! Plus belle sera tellement la vie qu'il y aura désormais un si grand soleil !

 

8)  Ca y est ! Macron me semble-t-il a définitivement trouvé la solution pour éradiquer le chômage ! Il distribue en faim en prime de partage de la valeur travail une prime d'activité comme mode d'emploi aux futurs anciens chômeurs !

 

9)  Avec la suppression de L'APL Accession pour les personnes handicapées désirant acheter à crédit leur logement ! Tout cela est à coût sûr à mettre au discrédit du gouvernement qui obligera les personnes handicapées à rester à l'allocation ( La location ) !

 

10)  En France, Les Français sont si secs entre eux que tout cela est à mettre au compte de la sécheresse de cet été !

 

11)  Le climat social en France est si électrique que ça pompe toute leur énergie aux Français !

 

12) Ca y est ! Le gouvernement de Macron sort la lanterne rouge pour inciter Les Français à retourner à l'époque de la bougie au Moyen Age que les Français en déduisent que c'est le gouvernement qui tiendra la chandelle comme l'enjeu en vaudra si largement la chandelle !

 

13) Si en 2027, Marine Le Pen est élue Présidente de la République, ce sera grâce au rassemblement national de tous Les Français qui feront l'affront national aux égoïstes  !

 

14) La preuve ! Que même que La France soit passée du Moyen-Age de la politique à la Renaissance de l'apolitique au centre de la République en Démarche, cela ne règle malheureusement en rien le problème vu que plus personne ne marche dans le même sens et que plus rien ne marche bien ! Comme tout le monde marche à côté de ses pompes, étant donné qu'il manque des assistantes sociales pour aider les gens dans leurs démarches !

 

15) Et pour terminer en bonté, Ne dites plus chacun pour soi et Dieu pour tous ! Mais hein pousse-toi ! Et tous plus rien !

 

Jérôme de Mars

Fête une biguine !

 

Amours dansés,

Tes pas ravivent

Contre dansés,

Tes joies furtives

 

Qui passent le temps !

Que dure la fête,

En écumant

Tes bleus défaites

 

Collées-serrées,

En fricotant

En tes baisers

Virevoltant,

 

Qui signifient

T'es enivrée

De nostalgie !

Si tu chantais !

 

Fête une biguine !

D'adrénaline

Sans une routine

En ta racine

 

Qui te trémousse,

Te dandinant

En ta frimousse,

Te pavanant

 

En il sucré

Ton mojito,

Vahiné olé

De sirocco,

 

Levant ta foi,

Te déferlant

Ile est une fois

Ton engouement !

 

Si hilarant

Et déluré !

Que t'es marrant !

A entonner

 

Fête une biguine

D'adrénaline !

Sans une routine

En ta racine

 

De Martinique,

En en faisant 

De la musique

Et enchantant

 

La Guadeloupe 

Son île voisine,

Que tu en loupes

Ton roc voisine !

 

Que tu finis

Ton verre entre deux

De Martini,

Comme si nous deux,

 

On condensait

Si essentiel !

Et fredonnait

En un par ciel,

 

Fête une biguine !

D'adrénaline

Sans une routine

En ta racine.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

A vie de tempête !

 

De mes remords à mes regrets,

Ainsi ma vie est si décompensée !

Qu'elle naît que l'ouragan

Du désespoir qui fait tout ce boucan !

En à vie de tempête !

Intempérée qui m'hébète

La tête dans le brouillard !

Que de mes idéaux, je m'en égare !

Que j'en use d'artifices

Dans ma vie, où s'écroule tout mon édifice !

Qui fait office de charpente,

Où le tumulte en mes nuits me tente

En à vie de tempête !

Où ma vie se calque en l'ouragan

Du désespoir, où je m'en lave les mains

De tout ! Pour finir en poussière demain,

Comme dans ma vie, tout fout le camp !

En une mini tornade et typhon

Au sillon de mon tourbillon,

Qui me rend parano et mégalo !

Dans la vie en un porte-à-faux,

Où je survis plus que je ne vis !

Qu'à petit feu, je dépéris 

La tête dans le brouillard et le potage !

A m'en retirer mon enfance est partage !

Où ma genèse ne fut qu'un naufrage

Sous un semblant de marivaudage

En à vie de tempête !

Comme dans la vie, tout m'embête !

Et m'hébète

La tête dans le brouillard et le coltard !

Que ma vie est si condensée en un sacré bazar

Bric à brac !

A tel point que je craque !

Si bien que tout le monde m'oublie !

Que ma vie en devient un tsunami !

En à vie de tempête !

Je ne suis pas net sur Internet !

En ayant diverses facettes

Avec pour séquelles, des fossettes

En mon visage marqué par les accidents de la vie,

Que j'en suis lésé d'ennui à me tracasser non merci !

Je ne suis plus dans le coup ! quitte à subir défaites

Sans filet let

Plusieurs à vies de si grande tempête !

 

Jérôme de Mars

A des couverts !

 

A découvert, je suis à couteaux tirés avec tout le monde ! Que je suis sous couverts d'anonymat à des couverts, en restant dans la fourchette ! Et prix que je suis épris en n'y allant pas par le dos de la cuillère ! Que ce que j'écris, c'est de la soupe ! Si bien que je suis dans le potage, comme un cheveu sur la soupe ! Qui louche avec ma louche si louche qui a découvert, a des couverts ! Avec comme seconds couteaux, une cuillère à café ! En y allant par le dos de la cuillère à soupe ! Qui a découvert, a des couverts recouverts !

 

Jérôme de Mars

Je ne perds pas le Nord !

 

Mine de rien !

Plein d'entrain,

 

En allant au charbon,

En train de mon wagon

 

Sans que je n'en démords !

Je ne perds pas le Nord !

 

En allant dans la vie

Du côté des ch'timis,

 

Avec pour repères

Le sanctuaire de ma mère,

 

Où aux abords !

Je revire de bord !

 

Que j'en taille des costards

Sans raconter de bobards

 

Avec en coup de crayon,

Mes ondes en vibrations !

 

Où loin du Sud,

Je ne suis ni prude ni rude !

 

Et sans que je n'en démords !

Je ne perds pas le Nord !

 

A part perdre la boussole

De ma vie où y a un bémol !

 

Dont j'écris cette poésie

A l'effigie de la nostalgie

 

Des gens du Nord !

Dont eux, ils ont mille ors

 

Avec le cœur en or,

Pas comme le Paris Mi lord !

 

Or pour rester boute-en-train,

Je suis en un Bon Samaritain !

 

Celui sur qui on peut compter

Sans calculs escomptés !

 

Et si pour ne pas me perdre à leste,

Je n'allais de l'Est au phare Ouest,

 

Car sans que je n'en démords,

Je ne perdrais Haut ! Jamais le Nord !

 

Jérôme de Mars

Je troque la vie à pleines dents !

 

Croque-monsieur,

Je suis un monsieur !

Croque-madame,

 

Je marche sur des œufs

De macadam !

Qui font que depuis peu,

 

Je troque la vie à pleines dents !

Pour manger en chair d'aidant 

La vie !

Où dès la nuit !

 

Je ne croque la vie à pleines dents !

Que ma vie devient en cher, enchères !

Une mise en bouchée sûre en chair !

De buffet bouffée bouffée !

 

Vu tout ce que j'ai dégusté en mes dents

D'aidants !

A en bouffer tout mon buffet !

 

Ce qui fait que je troque la vie à pleines dents !

Entre montagnes Russes

Et roulette Russe !

 

Du fait que ma vie devient une surenchère !

Où je n'en ai que faire

De toute l'inhumanité de cette société !

 

Dans sa pire férocité en vanité !

Ce qui fait que je ne croque la vie à pleins dents !

Quitte à m'en démanger le gosier !

A en bouffer et déguster toute ma satiété !

 

Quitte à marcher et à remarcher sur des œufs

Deux par deux !

Pourvu que dépourvu ! Je ne croque la vie à pleines dents !

En chair !

 

Mais pourvu pourvu qu'en surenchère !

Avec du mordant ! Mordant m'aidant mes dents !

Je troque jusqu'à la fin des temps la vie à pleines dents ! 

 

Jérôme de Mars

Et revanne !

 

Voici une saynète sur la famille Bedrossian où Jérôme Bedrossian appelle chaque personne de la famille à tour de rôle :

 

Jérôme Bedrossian appelle sa famille à tour de rôle pour parler du génocide Arménien :

 

Jérôme Bedrossian appelle son père Michel Bedrossian :

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Bonjour papa, ça gaze ?  "

 

Michel Bedrossian :

-  "  Pourquoi tu me demandes ça ?  Tu me provoques, surtout que ce matin, tu m'as envoyé ta blague qu'est-ce-que ça a fait si je chambre à nouveau la capitale de L'Arménie pour que L'Azerbaïdjan gaze davantage L'Arménie ? Avec pour réponse à ta blague, ça fait et revanne sur Erevan !  Que c'est drôle ta blague de Carambar !  "

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Papa, je t'ai envoyé cette blague comme je suis un casse-bonbon qui chambre l'air de rien avec ses petits vélos dans la tête, papa, je vais te laisser, je vais appeler ma cousine Sabrina, à plus papa !  "

 

Jérôme Bedrossian appelle sa cousine Sabrina Fornezzi :

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Bonjour Sabrina, ça va ?  As-tu reçu ma blague de ce latin ?  "

 

Sabrina Fornezzi : 

-  "  Tu devrais que ça gaze car ta blague m'a amusé que je l'ai trouvé très Caucase toi qui fais une montagne Caucase de tout où t'as besoin de montrer qui est le Boss Fort après qu'on t'ait tant dominé dans le passé !  "

 

Jérôme Bedrossian : 

-  "  Merci Sabrina, au moins toi, tu es l'un des rares de la famille Bedrossian à ne pas m'avoir jamais pris pour une tête de Turc ! Il faut que je te laisse, je dois appeler ma tante Marie, à plus Sabrina !  "

 

Jérôme Bedrossian appelle sa tante Marie Cavanna :

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Bonjour Marie, comment vas-tu ?  "

 

Marie Cavanna :

-  "  Jérôme, ça fait longtemps que tu m'avais pas appelé, j'ai reçu ta blague, je l'ai trouvé très lugubre, tu fais une caricature de nous que tu es devenu ta propre caricature Jérôme ! "

 

Jérôme Bedrossian :

-  " C'est tout à fait normal Marie, car comme tu portes le nom de famille homonyme de François Cavanna et que ton oncle par alliance s'appelait François Cavanna, je t'ai envoyé cette blague pour en faire tout un dessin surtout que la famille Bedrossian aime tellement Charles Aznavour chaque semaine que je suis devenu ma propre caricature à Charlie Hebdo ! Je dois te laisser Marie, je vais appeler mon oncle Georges que j'appelle Michel Sardou, à plus Marie !  "

 

 

Jérôme Bedrossian appelle son oncle Georges Bedrossian :

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Bonjour Georges, comment vas-tu ?  Quoi de neuf ?  "

 

Georges Bedrossian :

 - " A cause de ma blague, ça ne gaze pas comme cela L'Azerbaïdjan ne gazera pas L'Arménie ?  En fait pourquoi m'appelles-tu sans arrêt Michel Sardou par sms ? "

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Parce-que tu es né la même année que Michel Sardou et aussi parce-que tu es aussi assez réac avec des idées politiques très adroites car c'est bien connu que la famille Bedrossian n'aime pas la gauche caviar ! Je dois te laisser, je vais appeler mon cousin Sébastien !  A plus Georges ! "

 

Jérôme Bedrossian appelle son cousin Sébastien Bedrossian :

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Bonjour Sébastien, ça gaze ?  "

 

Sébastien Bedrossian :

- " Bonjour mon Jéjé ! Si tu savais dans ma vie, ça gaze comme Le Perrier comme tout tombe à l'eau dans ma vie !  Que ma vie est en chantier et que c'est pour ça que j'ai monté mon entreprise Alryus, société spécialisée dans l'aménagement de bureaux en décoration d'intérieure !  "

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Courage Sébastien ! J'espère que ton fonds de commerce sera de trouver enfin comme ton père chaussure définitive à ton pied ! Je dois te laisser Sébastien ! Je dois appeler Dominique Pruvot ! A plus Sébastien ! "

 

 

Jérôme Bedrossian appelle sa cousine Dominique Pruvot :

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Bonjour Dominique, comment vas-tu ? Qu'est-ce-que tu me racontes de beau ? "

 

Dominique Pruvot :

-  " Bien Jérôme ! Je voulais te dire que comme Alain est maintenant à la retraite que dorénavant lui et moi, on peut profiter de la vie en prenant  tout notre temps ! Et toi Jérôme, ça va ?  "

 

Jérôme Bedrossian :

- " Ca va très bien ! Surtout que tu en as bien le droit d'en profiter toi qui fus y a très longtemps juriste notamment à Audience et Création, où grâce à toi j'ai appris que dans la vie, il ne fallait jamais juger les gens et jurer de rien ! Je pense que de déclarer cela, c'est mon droit ! Je vais appeler tout de suite Maurice !  A bientôt Dominique ! "

 

Jérôme Bedrossian appelle son oncle Maurice Bedrossian :

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Bonjour Maurice ça va ?  Qu'as-tu en magasin à me raconter ?  "

 

Maurice Bedrossian :

-  "  Bonjour Jérôme, pourquoi m'appelles-tu ? A cause de toi ça gaze pas ! Tu n'arrêtes pas de m'envoyer des vannes pour me provoquer, sache Jérôme que je n'habite pas à Vannes même que tu aimes bien ouvrir les vannes et m'en envoyer à débiter que je vote très adroite comme Les Bretons ! Je voudrais que tu ne m'appelles plus après tout ce que tu as fait à Katia, à Laëtitia et à moi avec tes messages de haine !  "

 

Jérôme Bedrossian :

-  " J'en déduis Maurice que tu n'as rien en magasin à me raconter, remarque de fabrique de ta part, plus rien ne me surprend comme tu es un robinet à compter ses sous où tu aimes qu'on prenne pour argent comptant tes paroles, ce qui fait que c'est surtout toi qui comptes sur les autres alors qu'on ne peut que très rarement compter sur toi ! A part conter sur toi ma blague que je t'ai envoyé ce matin ! Pour terminer, je vais appeler ma tante Suzanne ! A plus ou à moins Maurice !  "

 

Jérôme Bedrossian appelle sa tante Suzanne Rosatti :

 

Jérôme Bedrossian :

- " Bonsoir Suzanne, comment vas-tu à peu prêt bien ?  "

 

Suzanne Rosatti :

- "  C'est qui qui m'apppelle ? Ah oui ! C'est toi Jérôme ? !  Ah oui je m'en souviens, tu m'as envoyé une blague ce matin ?  "

 

Jérôme Bedrossian :

-  Non tu te trompes Suzanne, je ne t'ai pas envoyé pas de blague ! Je pense que tu perds la mémoire alors que j'ai de la mémoire en me rappelant de tout ce que j'ai supporté ce qui fait que pour moi, ça ne gaze pas toujours à part que si je chambre à nouveau la capitale de L'Arménie pour que L'Azerbaïdjan gaze davantage L'Arménie où là comme par hasard, Suzanne, tu as toute ta mémoire au sujet du génocide Arménien que tu pourrais écrire tes mémoires afin d'y décrire ta mémoire ! Je dois te laisser Suzanne, je dois appeler Simone et Simon ! A plus Suzanne ! "

 

Jérôme Bedrossian appelle à la fois sa cousine Simone Moll et son oncle Simon Bedrossian comme Simone est invitée à boire le café chez son père Simon :

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Bonjour Simone et Simon, comment allez-vous tous les deux ?  "

 

Simone Moll :

- " Avec tut ce que tu m'as dit comme horreur par sms, pourquoi m'appelles-tu ?

    Avec tout ce que tu m'as fait, tu m'as rendu molle !  Adieu ! "

 

Simon Bedrossian :

-  " Bonjour Jérôme, ça fait des lustres depuis 2018 que je ne t'avais pas eu au téléphone qu'est-ce-qui me vaut ton coup de fil ? "

 

Jérôme Bedrossian :

- "  Juste pour vous dire qu'il y a un bémol, non je rigole pour moi il n'y a plus de bémol comme je ne vais plus à Cavalaire notamment à sa baie molle que Simone en est devenue si molle à cause de moi, maintenant que je cavale l'air de rien à Vitry-sur-Seine ! En ressentant le besoin de ne plus jamais vouloir aller à Cavalaire ! Adieu Simone et Simon, désormais au revoir !  "

 

Pour terminer cette saynète, Jérôme Bedrossian dit à toute la famille Bedrossian :

 

Jérôme Bedrossian :

- " Merci à vous tous la famille Bedrossian, d'avoir ouvert et lancé les vannes avec moi dont je ferme et referme ces vannes sans avoir besoin d'habiter à Vannes, car où je suis, je vous dis et revanne sans être à Erevan !  "

 

Jérôme Bedrossian

 

 

 

 

 

                                                 Blague :

 

Qu'est-ce-que ça fait si je chambre à nouveau la capitale de L'Arménie pour que L'Azerbaïdjan gaze davantage L'Arménie ?

-  Ca fait et revanne !

 

                                          Jérôme de Mars

Allez David ! Sonne !

 

Sur ma belle Harley,

Je roule en moto !

Où je frime olé,

A-tire-larigot !

 

Il y a ma bécane,

Qui roulez moteur !

Quand Jerry ricane !

En retard moteur

 

En son jerrican,

Y a le feu au lac !

En ouvrant les vannes

Que j'en suis opaque !

 

Dans une grave déroute !

Que tout ça me gave !

En passant ma route,

Car grave de chez grave !

 

Allez David ! Sonne !

Harley davidson !

Ta moto résonne

Avec ton klaxon !

 

Que tu files, refiles

A La Vieille Anglaise,

Que tu en défiles

Tes vieilles Portugaises

 

Ensablées sur Terre !

Que tu marches tout droit !

Sur la route austère

En restant adroit !

 

Comme Jerry aussi,

Dont j'ai ri comme vous

Depuis toute cette vie,

Or ! Je vous l'avoue !

 

Jamais deux sans trois

En cette Amérique,

La ville de Détroit

Qui m'inspire poétique,

 

Allez David ! Sonne !

Harley davidson !

Ta moto résonne

Avec ton klaxon !

 

Que j'en frissonne trop !

Qui nous désarçonne,

Voyant la rétro

De nos vieilles garçonnes,

 

David, moi j'ai ri !

Quand Jerry a vu

Mon grain de folie !

Genre en m'as-tu vu ?

 

La vie passe chaque jour

Que j'en ai le blues !

Notoire à contre-jour !

Que sitôt j'épouse

 

Notre grand désespoir

A nous trois étroits

Sur l'immense trottoir,

Clamant à Détroit,

 

Allez David ! Sonne !

Harley davidson !

Ta moto résonne

Avec ton klaxon !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Le rebelle si un soumis !

 

Confiture de mirabelle,

Est-ce une déconfiture

A présent ainsi moins belle

De la vie en pleine figure 

 

Qui est jetée en pâture ?

Ou qui hait défigurée ?

Qui salit la belle nature

Des gens sitôt résignés !

 

Qu'ils montent votant, pivotant,

Revotant Front national  !

Ces gens qui font du boucan !

Faisant l'affront national !

 

Ou soit qui votent Mélenchon !

Parlant en prenant tout pour

Argent content en Hamon !

Ce que dit en désamour !

 

Le rebelle si un soumis !

Qui se la fait belle ! Promis 

S'il bêle ! Il sera soumis

Le rebelle très insoumis !

 

Qui s'en fout des conventions !

Sortant des sentiers battus !

Jetant les contraventions,

Tant des sentiers débattus

 

Qu'il préfère manger surtout

Des amandes si honorables !

Qu'il profère manger sur tout

Des amendes six honorables !

 

Qu'il vote un coup à gauche, et

A droite au centre politiques !

Qu'il pivote un coût gauche hait

Droite au centre apolitiques !

 

Où il n'y croit appareil !

Car tous les mêmes qui parsèment !

Où il y croît ah ! Pareil !

Car lui dit qu'il reste le même !

 

Le rebelle si un soumis !

Qui se la fait belle ! Promis

S'il bêle ! Il sera soumis

Le rebelle très insoumis !

 

Faisant de la politique,

Embrasant sans regrets l'urne !

Faisant de l'apolitique,

Embrassant cent degrés l'urne !

 

Qui le rend aussitôt chèvre !

Luit le grand bouc-émissaire 

Doux comme un agneau pas mièvre !

Qu'il en garde de la colère !

 

Lui qui ne fait pas semblant 

D'avoir marre des injustices !

Et qui agit en tremblant

En étant à votre service !

 

Des gens qui valent le détour !

En assumant ses décisions

En un point de non-retour !

Et qui vote en conclusion !

 

Le rebelle insoumis si un soumis

Qui se la fait belle ! Promis

S'il bêle ! Il sera soumis

Le rebelle très insoumis !

 

Jérôme de Mars

 

 

Soucoupe violente

 

Moi Jérôme de Mars,

Je n'ai jamais les pieds

Sur Terre mais

Le contre-pied

De Mars,

Que j'écris

En Ovni

Des textes en une,

Où je suis dans la lune !

Du fond de ma soucoupe violente,

Qui trépasse

Pendant que passent

Des soucoupes volantes

Avec chaque année au 2 Mars,

Jérôme de Mars

Qui voit trépasser du fin tréfonds

Sa soucoupe violente !

Et qui voit passer des soucoupes volantes

Pendant que Jérôme de Mars

Qui est sur une autre planète salutaire

Sur la planète de Mars,

Dit à la planète Terre salut Terre !

Lors du mois de Mars,

Qui attend la fin du monde sur Terre

En mangeant deux Mars,

Quand passent les soucoupes volantes,

Afin que Jérôme de Mars

Renaisse sur la planète de Mars

Jusqu'au 2 mars,

D'où il trépasse du fin fond de l'univers

Dans sa soucoupe violente.

 

Jérôme de Mars

Il bossa sa bossa 

 

Musique tropique torride

Sous l'effet des lagons,

Les mots éclairs limpides

Se murmurent au balcon !

 

En sifflant une bluette

Aux abords d'une complainte,

Qui clame une amourette

Tant qu'elle dure non défunte !

 

L'amour se vit à deux ! 

Ou à plusieurs ensemble !

Soit d'un si grand entre deux,

Ou soit qui se rassemble !

 

A griller leurs cartouches

De cigarettes en un

Plan à trois à touche-touche !

Ou se grillant d'entrain !

 

Il bossa sa bossa

Qu'il cabossa, bosse ah !

Qu'il rénova, lova 

Et qu'il aima, thème ah !

 

En se roulant sous la 

Mer de baisers sucrés,

Tendrement dans la joie !

Même que la note sale hé !

 

Est salée dans le vague !

Que cet air est marin,

Sain trempé en ma drague !

En ayant le béguin,

 

En faisant une biguine

Collée-serrée en danse,

Que cette mouvance dessine

Les amoureux en transe

 

Sur la plage s'aguichant

En la terre hein de l'île !

Tendrement s'enlaçant,

Quand l'amour est fragile !

 

Il bossa sa bossa

Qu'il cabossa, bosse ah !

Qu'il rénova, lova 

Et qu'il aima, thème ah !

 

En un trèfle à quatre feuilles,

Auquel il s'abonna 

En un bouquet qui cueille

Les chênes pas rabat-joie !

 

Il parla sans sa langue

De bois au coin du feu !

Qu'en ses pas, il ne tangue !

Récitant pieux les cieux,

 

Où il est si heureux !

Fredonnant des cantiques

Au pays si fabuleux

Des gens très authentiques,

 

Qui en verres solidaires,

S'entraident en buvant leurs

Paroles loin des revers,

Car dès l'or du bonheur !

 

Il bossa sa bossa

Qu'il cabossa, bosse ah !

Qu'il rénova, lova 

Et qu'il aima, thème ah !

 

Jérôme de Mars

 

Il bossa sa bossa 

 

Musique tropique torride

Sous l'effet des lagons,

Les mots éclairs limpides

Se murmurent au balcon !

 

En sifflant une bluette

Aux abords d'une complainte,

Qui clame une amourette

Tant qu'elle dure non défunte !

 

L'amour se vit à deux ! 

Ou à plusieurs ensemble !

Soit d'un si grand entre deux,

Ou soit qui se rassemble !

 

A griller leurs cartouches

D'amourettes en une

Danse à touche-touche !

Ou se bougeant d'entrain !

 

Il bossa sa bossa

Qu'il cabossa, bosse ah !

Qu'il rénova, lova 

Qu'il aimait sa bossa !

 

En se roulant sous la 

Mer de baisers sucrés,

Tendrement dans la joie !

Que la note laisse aller !

 

Est salée dans le vague !

Que cet air est marin,

Sain trempé en ma drague !

En ayant le béguin,

 

En faisant un bon signe

Collé-serré en danse,

Que cette mouvance dessine

Les amoureux en transe

 

Sur la plage s'aguichant

La terre sacrée de l'île !

Tendrement s'enlaçant,

Quand l'amour est fragile !

 

Il bossa sa bossa

Qu'il cabossa, bosse ah !

Qu'il rénova, lova 

Qu'il aimait sa bossa !

 

En trèfle à quatre feuilles,

Auquel il s'abonna 

En un bouquet qui cueille

Les chênes pas rabat-joie !

 

Il parla sans sa langue

De bois au coin du feu !

Qu'en ses pas, il ne tangue !

Récitant pieux les cieux,

 

Où il est si heureux !

Fredonnant les cantiques

Au pays fabuleux

Des gens très authentiques,

 

Qui en verres solidaires,

S'entraidant  buvant leurs

Paroles loin des revers,

Car dès l'or du bonheur !

 

Il bossa sa bossa

Qu'il cabossa, bosse ah !

Qu'il rénova, lova 

Qu'il aimait sa bossa !

 

Paroles : Jérôme de Mars

 

Arrangement et musique : Leg Guitar

 

 

 

 

 

 

 

                                Tarzan tire trop sur la corde !

 

Dehors dans la forêt de la jungle où c'est la loi de la jungle ! Il était une fois Tarzan qui tirait trop sur la corde en discorde avec sa femme Eliane, qu'il s'étira si fort en sautant sur la liane avec Cheeta dans ses bras qu'à bras-le-corps, Tarzan en roi lion qui sentait le fauve, fit l'appel de la forêt en trouvant sa voix à cris d'échos avec excès que Tarzan tira trop fort sur la corde qui concorde en discorde monocorde, où Tarzan s'accorde à accorder qu'il n'accorde aucune importance aux animaux qui le singent dans la jungle comme dehors, c'est la jungle et la loi de la jungle ! Où même si Tarzan a un côté animal, il est aussi très humain avec ses congénères notamment avec Eliane, dont tout le monde s'accorde à dire que même monocorde, Tarzan tire si fort sur la corde qu'il tire trop fort sur la corde sans discorde mais qui concorde avec Eliane, dont la corde finit par craquer quand pour la énième fois, Tarzan tire trop fort Eliane en s'étirant de la discorde de la corde qui concorde avec et liane, une fois que Tarzan craqua vraiment en tirant trop sur la corde !

 

                                             Jérôme de Mars

En accordant votre guitare

 

Rendez-vous dès la lueur 

De la nuit en plein Paris !

Pour parler avec fureur

Des douceurs de mélodies,

 

En allumant les lanternes

Sur vos pieds superposés,

Où vous éteignez si terne

Les chansons désabusées !

 

En utilisant à vent

Des instruments de musique,

Même si c'est du vent avant !

Et si vous jouiez nostalgique

 

Des accords de partition,

En étant sur le quai, ok !

Pour en faire une chanson

Harmonisée, apaisée

 

En accordant votre guitare,

Raccordant votre répertoire,

Concordant toutes vos histoires

Et convergeant étendard

 

En répondant au standard

En chansons, avec l'accord

De vos mots en exutoire,

Et si vous tombiez raccord !

 

Dans le livre des grands records, 

En vous adressant des louanges,

Disant encore et encore...

Vous fredonnez comme un ange

 

De sages paroles en messages,

Pour qu'on vous redonne une note 

Vous promettant en présage

Un parcours encours sans faute,

 

Où vous aurez du public

Sa reconnaissance décence

Sur Place de La République,

Qui vous donnera l'essence

 

En accordant votre guitare,

Raccordant votre répertoire,

Concordant toutes vos histoires

Et convergeant étendard

 

De vos tubes qui à essais,

Feront une vie à pleins tubes !

Qui vous iront en légèreté

Sans que la vie vous titube !

 

En gardant les pieds sur Terre

Pour écrire des vers de pieds

Salutaires et débonnaires

De chansons qui vous égaient,

 

Comme si vous jouiez du reggae...

Alors que vous jouez si juste

Des chansons dansant sur pieds...

Qui font que vos mots ajustent

 

Votre juste sérénité couplée

A l'amour en symphonie,

Qui fait l'art de votre métier

En décibels harmonie,

 

En accordant votre guitare,

Raccordant votre répertoire,

Concordant toutes vos histoires

Et convergeant et standard.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

C'est la totale !

 

Pompe à un d'essence !

Résultats des actions !

Les patrons des multinationales,

Notamment ceux de Total !

Réalisent de supers profits

A leur bénéfice !

Au détriment des salariés

Et de leurs sacrifices !

Dont pour les patrons, c'est tout bénéf

Depuis l'an du CAC 40 !

Car of course !

Ils remplissent leurs bourses !

En s'en mettant pleins les fouilles !

Qu'ils trifouillent

De dividende,

En faisant de mauvaises actions,

En mangeant des amandes honorables,

Et en faisant payer en amendes exécrables

Les salariés employés par Total !

Dont c'est la totale !

De pomper en leur indécence,

L'essence et l'énergie de leurs pauvres ouvriers

Qu'ils n'encensent !

A en fumer l'encens des actionnaires

Du CAC 40 à coûts de propriétés

En courses solitaires,

Où pour ces milliardaires !

L'addition est sucrée

Et où pour les salariés !

L'addition hait salée !

En mettant du sel sur les plaies

Et en démettant de dessaler

Leurs excès à en crever l'abcès !

Dont les actionnaires

Considèrent leurs ouvriers,

Comme des moins que rien !

Dont c'est la totale !

Chez Total Energies

De Total !

A en multiplier

Les salariés divisés

Par l'appât du gain,

Et leurs consciences

Qui rendent vilains

Leurs bonnes actions ôtées

Par les patrons de Total !

Qui les soustraient en tirant un trait

Avec le pistolet à pompe des sens !

Que ça pompe toute leur énergie

Et leur vie !

Dont ce n'est pas la tasse de thé !

Du gouvernement qu'on a pour taxer

Les super profits de Total !

Dont c'est la totale rectale !

Chez Totale Energies

De Total !

Que ce soit toujours les employés

Qui soient cocus,

En l'ayant tout le temps dans le cul !

Donc pour cela, le gouvernement ferait mieux de taxer

Les cigares que fument les patrons de Total !

Dont c'est la totale !

En plus de ne pas taxer

Leurs super profits en faisant des plans

Sur la comète plans plans !

Tellement que Total enfume ses employés !

A en fumer la probité et l'intégrité

De leurs salariés, dont ils tirent grand profit

A coûts de super profits

De millions

Et de milliards,

Où ils se servent

De leurs employés

Qu'ils desservent !

Comme des maillons faibles !

Malgré qu'il y en a des maillons

Forts et pour que ce soit la totale !

Après que Total ait tant fait payer ses salariés !

Si à leur tour, les employés faisaient payer

Total pour que ce soit vraiment là Total !

 

Jérôme de Mars

Comme il y a le soleil à l'unisson !

 

Comme une grande embellie de soleil,

Aux aurores, le ciel est si crémeux

Qu'il est assailli, saillie d'oseille !

En mangeant la vie en si grands bleus

 

Des caprices des dieux qui font songer

A un arc en ciel qui gratte le ciel !

A flécher la beauté envoûtée

En une fresque d'orfèvre qui ensorcelle

 

Les bleus de la vie en accalmie,

Qui en en faisant tout un fromage !

Profitent du moindre interlude ah ! Si !

Assis ! En fredonnant les ramages

 

Des images de la vie qui ruissellent,

En coloriant feutrés des dessins,

Emplis de vastes rayons de soleil

En en faisant sain tout un dessein !

 

Comme il y a le soleil à l'unisson !

Avec aucun nuage à l'horizon !

Si bien que nous, nous les unissons 

Essentiel en ce ciel si luron,

 

Fumant des bouffées de nirvana,

Dont ce beau ciel bleu pour croire radieux,

Ecoute tant en chanson Nirvana !

Qui porte ainsi à en croire adieu

 

Que la belle vie est une Mélody,

Un oiseau qui édite piaf qui piaffe

D'impatiences chantant une mélodie

Dans un concert, où Mélody taffe

 

En fumant une taffe de cigarettes !

Interprétant le rôle du Messie

En rappel pour claironner cette bluette,

Ornée d'un arc en ciel Oh ! Mais si !

 

Il faut une chanson pour ce grand ciel !

Car aussitôt comme à la maison  !

Il y a universel le Missel

Qui chante à chaque saison l'oraison !

 

Comme il y a le soleil à l'unisson !

Avec aucun nuage à l'horizon !

Si bien que nous, nous les unissons 

Essentiel en ce ciel si luron,

 

Au plus tôt ce soir chantant la vie !

Plutôt sans brouillard avec espoir !

En arrangeant en chansons aussi

La vie pour qu'elle ne file le cafard !

 

Donnant pacifique une harmonie

Sensuelle et gestuelle qui scie bien !

En mariant de beau temps la poésie,

En fonctionnant avec des si pleins,

 

En repartant de plus belle, ainsi

La vie qui est belle en des si belles

Garanties en parfaite compagnie,

Dont le paradis a pour la belle,

 

La vie en en prenant son parti,

Réparti d'un paradis d'enfer !

Quitte à s'en départir si inouï !

Pour ne plus du tout vraiment s'en faire

 

Comme il y a le soleil à l'unisson !

Avec aucun nuage à l'horizon !

Si bien que nous, nous les unissons 

Essentiel en ce ciel si luron.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Car voilà la différence !

 

Concours de circonstances,

Personne naît ah ! Pareil !

Or ! il y a pour urgence

Qu'ils rentrent là pareille !

 

A l'unisson ensemble !

En un grand un pour tous !

Qui se ressemble s'assemble !

Qu'il y ait des coups de pouce,

 

Qu'il y ait des coups de pousse,

Or ! L'union fait la force !

Qui pousse untel qui mousse !

Ne s'émousse mais amorce

 

Divers variés complets

A un melting potes hot !

Dans l'unité fair-play

Non avarié qui ôte

 

Car voilà la différence !

Qui fait la différence !

Défait l'indifférence !

En prise de grande distance

 

Que les gens soit si maigres,

En gros dormant alèse !

Après les vaches maigres !

S'ils sont vraiment à l'aise,

 

C'est qu'ils s'acceptent d'untel

A untel tolérants !

Tout le monde est pareil 

Tous ne sont bien-pensants !

 

Aimant garçons et filles,

Car aux mots sexuels

Différents se faufilent,

Car homosexuels !

 

Tout le monde est pareil

A juger, préjuger

Dans le simple appareil !

Sans jurer dénudés,

 

Car voilà la différence !

Qui fait la différence !

Défait l'indifférence !

En prise de grande distance

 

Que tous soit riches ou pauvres !

Parlant crédit comptant,

Autant qu'ils restent sobres

Parlant argent content,

 

En faisant un audit,

Etant à découvert !

En mettant au crédit

De l'argent découvert !

 

Si petit à petit !

Du petit au plus grand !

Tous trouvaient l'appétit !

Petit appétit grand !

 

Chacun est important !

Avec de la puissance,

Emportant exportant

Aucune loi du silence,

 

Car voilà la différence !

Qui fait la différence !

Défait l'indifférence !

En prise de grande distance.

 

Jérôme de Mars

 

Indigo !

 

En un teint brumé

D'un bleu qui dévie,

Il l'a embaumé

Le tempo jazzy !

 

Qui fait jazzer

Au milieu d'la nuit,

Qui fait virevolter

Hier et aujourd'hui !

 

En s'enivrant furtif

De whisky à gogo !

En donnant captif,

Un coup de chapeau

 

A ce sacré maestro !

Avec en vibrations,

Son sacré numéro !

Ayant pour ovations,

 

Couleur indigo !

En terre Indigo !

Couleur indigo !

En Terre Indigo

 

Dus aux bleus osmoses

Des bleus de la nuit !

Qui causent because

Tous ces bleus inouïs,

 

A s'en émouvoir les yeux

Sexuel asexuel aux cieux !

A en mouvoir l'essentiel

Sexe asexuel et sensuel !

 

Autour de la quête en tête

D'identité à tue-tête !

En parlant d'une requête

Qui fait jazzer la planète

 

Au Théâtre Déjazet

En airs d'flûte déjà faits

Font désaxer, des axes

D'une flûte et des axes !

 

Couleur indigo !

En terre Indigo !

Couleur indigo !

En Terre Indigo !

 

A en chanter la forêt

Des airs de gens imparfaits

A déchanter et rêver !

Un vieux jazz qui fait jaser

 

Déjantés, désopilants

Et délurés qui font semblant

Ainsi font-ils si cinglants !

Pleins de tréfonds si sanglants

 

Qui se balancent pas à pas

A pas guindés dans les bois !

En faisant là et par là !

Style raffiné au-delà

 

Un concert de louanges

Louanges qui les dérange

Un et un qui égales à deux !

Qui changent échanges à deux !

 

Couleur indigo !

En terre Indigo !

Couleur indigo !

En terre Indigo !

 

Paroles : Jérôme de Mars

 

Arrangements et musique : Leg Guitar

 

Dans la vie, il faut luthier !

 

Air de guitare au son du banjo,

Il n'y a qu'la musique qui tape

Du pied, en chantonnant rétro !

Et en faisant tinter en un clap !

 

Des vers de flûte tous azimuts,

Qui jouent en roulement qui mute

En tambours, qui répercutent

En instrument avant la lutte !

 

Qui sans tambour ni trompette !

Claironnent en jouant du saxo,

Des airs d'guinguette qui guettent

La musique, qui fait un écho

 

Dans la vie, il faut luthier !

Avec un luthier pour lutter

 

Une guitare à Johnny Guitar

En fait tout un film tout un art

Qui enjolive en une mélodie !

Ce que Johnny mime en rime

 

En chantant les désillusions

D'sa vie qui mouille la chemise !

En faisant sensation en action

Parmi ses chansons promises

 

A lui, en jouant d'la guitare

A la prison d'la santé ! Ou si

Au mitard, ça lui fout l'cafard !

A lui Johnny ! Qui dit ainsi

 

Dans la vie, il faut luthier !

Avec un luthier pour lutter

 

Contre ses vieux démons

Dans la vie qui s'accumulent !

En grimpant le temps à monts !

D'tout ce que la vérité dissimule !

 

Tout ce que la musique simule,

Mystérieuse et anecdotique

En bulles de gommes synthétiques,

En jouant du synthé notes qui pullulent!

 

Qui synchro, ouvrent le micro !

Avec les jolis mots du vocabulaire,

En même temps que c'est l'argot,

Qui amène d'la matière sur Terre !

 


Dans la vie, il faut toujours luthier !

Avec un luthier pour toujours lutter !

 

Paroles : Jérôme de Mars

 

Arrangements et musique : Leg Guitar

 

Dans la vie, il faut luthier !

 

Air de guitare au son du banjo,

Il n'y a qu'la musique qui tape

Du pied, en chantonnant rétro !

Et en faisant tinter en un clap !

 

Des vers de flûte tous azimuts,

Qui jouent en roulement d'

Tambours, ce qu'ils répercutent

En instrument avant l'an 2022 !

 

Qui sans tambour ni trompette !

Claironnent en jouant texto du saxo,

Des airs d'guinguette qui guettent

La musique, qui fait qu'en électro

 

Dans la vie, il faut luthier !

Avec un luthier pour lutter

 

Envers une guitare à qui Johnny

Guitare, en fait tout un film,

Qui enjolive en une jolie vie !

Tout ce que Johnny n'mime

 

En chantant les désillusions

D'sa vie qui mouille la chemise !

En faisant sensation en action

Parmi ses chansons promises

 

A lui, en jouant d'la guitare

A la prison d'la santé ! Ou si

Au mitard, ça lui fout l'cafard !

A lui Johnny ! Qui dit ainsi

 

Dans la vie, il faut luthier !

Avec un luthier pour lutter

 

Contre ses vieux démons

Dans la vie, qui s'accumule !

En grimpant le temps à monts !

D'tout ce que la vérité dissimule !

 

Et d'tout ce que la musique

Simule anecdotique, mystères

Et bulles de gommes synthétiques,

En jouant du synthé populaire,

 

Qui synchro, ouvre le micro !

Avec les jolis mots du vocabulaire,

En même temps que c'est l'argot,

Qui amène d'la matière sur Terre !

 

Et qui d'accord et raccord ! Quelque

Peu ! Donne sur un piano à queue ! Que

 

Dans la vie, il faut toujours luthier !

Avec un luthier pour toujours lutter !

 

Jérôme de Mars

 

 

Comme une chanson !

 

A midi inouï,

Enchanté, en chanté,

Il faut chanter la vie !

Même déchanté

 

Par les épreuves

D'la vie ainsi,

Qui abreuve

Qu'il faut aussi

 

Rester jovial

Et charmant !

D'façon l'égale

Avec les gens !

 

En tenant paroles !

Et en fredonnant

Lors des farandoles

Des mots amusants,

 

Comme une chanson !

Que chantent gais-pinsons

Les joyeux lurons

Vers l'horizon du balcon,

 

Où il faut entonner

Des mots d'émeraude,

Qui font rêver et songer

En faisant des maraudes,

 

Le temps d'la nuit !

Entonnant ses amours

Avant l'embellie

Du jour à rebours,

 

Où il faut aimer

La musique tendance,

Qui fait chavirer

Sur un slow de danse,

 

Même si la vie,

C'est d'la redondance !

Et qu'il faut avoir envie

Pour avoir de l'abondance,

 

Comme une chanson !

Que chantent gais-pinsons

Les joyeux lurons

Vers l'horizon du balcon,

 

Et dès l'hiver d'lavie !

Il faut panser au

Printemps qui revit

En des mots sur l'eau !

 

Et dès l'printemps,

Il faut des mots divers

Et variés grisants

En un nouvel air

 

Dans une musique d'été,

Qui rappelle la

Nostalgie liberté

Des années nouba,

 

Et dans sa vie d'automne

Atone sur une feuille,

S'écrivent monotones

Des mots en un recueil,

 

Comme une chanson !

Que chantent gais-pinsons

Les joyeux lurons

Vers l'horizon du balcon.

 

Jérôme de Mars

 

Aime à la place de la haine !

 

Amours désamours,

Les sentiments s'emmêlent !

Quand ils font, n'font l'amour,

Ils s'en mêlent !

 

Soit en s'frottant

Avec leurs pinceaux !

Ou soit en ne se frottant

Avec leurs pinceaux !

 

Or ! Comme le disait 

Martin Luther King !

Il sermonnait

En son désarroi King,

 

Laisse la haine

A ceux qui sont trop faibles

Pour aimer les âmes humaines !

Et j'leur dis à ces aigles !

 

Aime à la place d'la haine !

Chaque semaine !

Qui fait ta rengaine

En un M en surplace du N !

 

Où il leur faut un ADN !

Qui clairsème

D' l'amour en âmes humaines !

Pourvu que mon poème

 

Réveille les consciences

Et la mentalité des gens !

Sans que ça soit qu'indifférence !

Dont la vie a besoin d'amants !

 

S'aimant dans leurs éléments,

Loin des donneurs de leçons !

Qui n'font que du mal ! Véhiculant

Qu'il vaut mieux dans sa maison !

 

Rester seul à armer ses nuits !

Face au ressenti d'la guerre,

A s'en désarmer d'accalmie !

Qui claironne depuis naguère !

 

Aime à la place de la haine !

Chaque semaine !

Qui fait ta rengaine

En un M en surplace du N !

 

Et si les gens désabusés,

Ouvraient leurs cœurs

Pour renfermer blasée

Leur vilaine rancœur,

 

Qui ne fait qu'alimenter

Leurs frustrations en frictions,

Et si pour réparer et rénover

Leurs désillusions en affections,

 

Il y avait sur leur Teppaz,

Une mélodie pour les réenchanter,

En leur faisant écouter du jazz !

En leur entonnant avec affinités,

 

Des chansons qui parsèment

En jolis mots psychologues

Cette ode envie d'bohème !

Détonnant en épilogue !

 

Aime à la place de la haine !

Chaque semaine !

Qui fait ta rengaine

En un M en surplace du N !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

La machine à lancer les rêves !

 

Elancée en gros après ces périodes de vaches maigres,

Voici la machine à lancer les rêves !

Qui a lancé la trêve 

A ce monde qui tourne au vinaigre !

 

Où l'intelligence artificielle espère relancer la machine à lancer les rêves brisés !

Et si de cause à effet pour briser la véracité des divinités !

S'il y avait pour une foi une machine à lancer les rêves !

Avec pour trêve

 

Du temps pour s'allonger, se reposer !

Et rallonger le temps qui ne fait que passer dans la durée réservée !

A passer du bon temps avant de trépasser pour très longtemps !

 

Et pour retourner le vent encense contraire,

Si la colère partait vers ses congénères,

Quand ses cons génèrent et bien souvent...

 

La machine à élancer les rêves brisés et mensongers !

A m'en songer que la vie est tant un cauchemar éveillé  !

Avec des gens à la fois intimidés et désinhibés 

Face à la nuit des temps durant l'espace d'un instant !

 

A relancer par lettres interposés les vanités orgueilleuses !

En voulant passer dès maintenant à une autre journée si fabuleuse ! ?

Engendrant passion et compassion avec en apnée un plongeon

Dans les temps modernes et de quelle hait la raison de ce monde bougon ?

 

Qui ne s'entend pas pareil avec les gens, entre tourments et boucan,

Avec ce monde qui veut surfer sur le succès d'il était une fois des méchants

Et des gentils ! Qui voulaient lancer et relancer sur leur lancée,

La machine à lancer élancée en gros, des rêves inaccessibles sur fond d'impureté,

Entre le virtuel et le réel, du surréaliste au concret, et s'il suffisait de maudire

 

La malveillance des gens et du système pour redonner du rêve Armoricain

Avec la Bretagne sang la Grande-Bretagne d'un rêve brisé Américain,

En s'élançant, en se lançant et en relançant après la machine à lancer

Les rêves brisés et virtuels car tout simplement idéalistes et utopiques,

 

La machine à lancer à en relancer les rêves

Sans trêve qui s'achève !

 Et si pour Noël, tout le monde refaisait sa liste !

 

Avec aucun compte de fée mais un simple conte de fées !

En lançant, en relançant, en s'élançant et en se lançant déterminés !

Dont l'objet de l'appel serait de relancer sur sa lancée élancée

 

Après cette période de vaches maigres avec en gros requinquée,

La machine à lancer de nouveaux rêves imaginés !

 

Jérôme de Mars

 

Car tu es le temps !

 

Au début du commencement,

Par l'temps qui passe !

Le temps dure longtemps

Avant que le monde y passe !

 

Et même si l'temps est long

A la détente ! Il faut seconder

Le temps pour passer du bon

Temps ! A occuper ses journées

 

Pendant que le sablier s'écoule,

Et profiter du temps présent

En joyeux babas-cools !

En vivant l'jour présent

 

Et le moment instantanés !

Comme la vie passe si vite !

Et dont il faut aimer l'humanité,

Afin qu'plus personne ne s'évite !

 

Car tu es le temps !

Pourvu qu'il dure cependant

Longtemps ! Car tuer l'temps !

Est d'autant au temps plaisant !

 

Et fascinant ! Qu'il faut gommer

Les erreurs de la vie en une jolie

Leçon de vie pour dégommer

Les mauvaises choses infinies

 

Et rendre le temps éternel

Et indémodable, en rêvant

De quel jour il serait intemporel

A tous les temps conciliants !

 

Réconciliant en un message

De paix universel, le futile

Et l'essentiel dans les passages

De la vie qui sont aussi utiles,

 

Et même si les temps sont durs !

Aux travers des temps modernes,

Il faut découvrir la vraie nature

Des gens qui sont subalternes !

 

Car tu es le temps !

Pourvu qu'il dure cependant

Longtemps ! Car tuer l'temps !

Est d'autant au temps plaisant !

 

Que seul est déplaisant la paresse !

Dont autant en faire quelque chose

De la vie pour qu'elle soit liesse

En surplace des ecchymoses,

 

Sous l'osmose de la bravoure

Et de la témérité, à n'en démériter

L'intrépidité des jours au cours

D'la vie face à l'adversité !

 

Et si pour passer et repasser

Du bon temps ! S'il y avait du soleil,

Il soufflerait si léger d'la divinité ! 

Afin que sommeillent les merveilles

 

De la vie en chaque être 

Sans paraître, mais pour

Apparaître et renaître

Dans l'étang moderne d'l'amour,

 

Car tu es le temps !

Pourvu qu'il dure cependant

Longtemps ! Car tuer l'temps !

Est d'autant au temps complaisant !

 

Jérôme de Mars

Bruce lit 

 

D'où qu'il repose

En ce poème,

Qui n'est une prose !

Avec pour requiem

Bruce Lee,

Bruce lit

Le fil de sa vie

Retracée qui revit

Inachevée, tel

Un big boss

Avec sa fureur

De vaincre,

Luit qui a roulé 

Sa bosse

Pingre, 

Comme Bruce lit

Ses propres valeurs

En sa fureur 

Du dragon,

Luit qui était

Toujours dans l'action,

Sans faire de cinéma

Mais pour la joie

De ses fans 

Mégalomanes,

Comme Brule lit

Son art martial,

Pour défendre 

Et répandre

Impartial

Son art de défense,

Maintenant qu'il 

Repose presqu'il 

Dans le je de la mort !

Sans remords retors,

Dont Bruce lit

N'en démord !

Luit le frelon vers

Les revers de sa colère,

Que furent sa vie

Sans soleil,

Mais avec l'oseille

Qui chancelle

Sa vie solennelle,

Où sans remords,

Il faut enterrer les remords !

Lui qui dorénavant

Est tout le temps mort,

Dont v'là la totale !

De l'opération dragon,

Luit qui fut en interaction

Depuis sa disparition

Et en adéquation,

De Bruce qui lit et relit

Bruce Lee.

 

Jérôme de Mars

 

Comme ça gaze dans mes fourneaux !

 

En étant au courant

D'passer tout à plat !

Il faut du courant !

Pour passer les plats

 

Et cuisiner avec amour,

Des plats bien faits

Tous les jours

Préparés avec secrets,

 

Car la vie est chère !

Que tout le monde 

S'cuisine en surenchère !

Pourvu que tous ne s'sondent !

 

Si la cuisine est en jachère !

Ou si elle prépare encore

Des p'tits plats en chair !

Enchère en accords,

 

Comme ça gaze dans mes fourneaux !

Que ça en devient la rancœur au resto !

Avec à ce tarif-là ! La grève du cuisto

Qui n'veut plus cuisiner de bigorneaux !

 

Que le monde de la cuisine 

S'renferme dans sa coquille

Sain Jacques ! Que tous se cuisinent !

Pourvu que leurs yeux s'écarquillent !

 

Pour voir la réalité en face,

En retombant les pieds sur Terre !

Et d'écrire en prêt face,

Que notre monde est incendiaire !

 

En ayant comme esprit d'déduction !

Qu'il faudrait mettre électriques

Des plaques en inductions,

Qui marchent systématiques,

 

Pourvu que l'courant passe

Et repasse entre les gens !

Sans qu'il n'y ait d'impasse !

Et pourvu que ça fasse du boucan !

 

Comme ça gaze dans mes fourneaux !

Que ça en devient la rancœur au resto !

Avec à ce tarif-là ! La grève du cuisto

Qui n'veut plus cuisiner de bigorneaux !

 

Pourvu que tout le monde cuisine

Des poireaux vinaigrettes,

Sans rancœurs d'palmiers

Qui cuisinent leurs emplettes,

 

Et pour dorer et adorer la sole,

Il faudrait que plus personne

N'ait d'casseroles !

Qui raisonnent et résonnent

 

En jouant un do ré mi fa sol !

Même que la cuisine tient

Paroles avec pour bémol

En va et vient ! 

 

Que plus personne naît 

Dans son assiette !

Et n'saurait montrer

D'nouvelles facettes !

 

Comme ça gaze dans mes fourneaux !

Que ça en devient la rancœur au resto !

Avec à ce tarif-là ! La grève du cuisto

Qui n'veut plus cuisiner de bigorneaux !

 

Jérôme de Mars

Quelque chose qui m'trottine !

 

Si j'pouvais m'échapper

Libre en roue libre !

J'aimerais en réchapper

Par idées qui vibrent !

 

En pédalant dans l'vide !

En oubliant la vie aussi

Qui n'est placide !

Donc livide, si ainsi

 

J'ai dans la tête

Des p'tits vélos !

Comme casse-tête

En un méli-mélo,

 

Où j'chambre l'air

De rien en déroute

Que je n'en décolère !

Avec sur la route

 

Quelque chose qui m'trottine !

En me procurant en adrénaline

De la vitesse à l'origine

De mon blues qui prend racine !

 

En remontant à cran

A la racine, où j'ai les idées

Qui avancent tout l'temps !

En trottinettes sur pied

 

Qu'elles dépassent le peloton

D'ceux qui sont par deux !

En mangeant leur gueuleton,

Qu'ils disent au sujet de !

 

Si celui-ci y va bien

Etapes par étapes !

O combien manichéen !

Et s'il reçoit amicale une tape

 

Pour le motiver à aller

Jusqu'au bout ! A destination

D'ses envies de voyager !

Avec en quête de son évasion !

 

Quelque chose qui m'trottine !

En me procurant en adrénaline

De la vitesse à l'origine

De mon blues qui prend racine !

 

Si je ne réussis à dépasser

Ma routine en allant ici bas !

A véhiculer et à reculer

Que j'serai dans de beaux draps !

 

Repassant ma course

En solitaire, seul sur Terre !

Alors qu'il vaut mieux of course !

Etre solidaire entre frères !

 

Pour montrer aux coureurs

Le bon chemin d'la vie !

En montrant en enjoliveurs

La route si jolie !

 

Qui est de parcourir

Les territoires d'la vie,

A desservir et à servir !

Car il y a si c'est réussi

 

Quelque chose qui m'trottine !

En me procurant en adrénaline

De la vitesse à l'origine

De mon blues qui ne prend racine !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Je recharge mes batteries !

 

Comme une pile électrique

Qui fait du rock à Billy,

J'empile magnétique

En faisant du rockabilly,

 

Qui machine synthétique

En faisant du tam-tam,

En jouant en acoustique

Du bourré bourré ratatam,

 

En regardant Johnny Guitar,

Qui mène tambour battant !

En grattant sa guitare !

En s'débattant des battants !

 

En chantant et flûte

Enchantée ! En vers

Désenchantés d'flûte !

En chantant envers

 

Je recharge mes batteries !

Que je décharge la batterie

D'mon portable sans batterie !

Qu'il tape sur ma batterie

 

Des musiques d'ambiance,

Qui m'tapent sur le système

En démos de quintessence,

Des mots qui clairsèment

 

Un peu partout sur La

Planète Terre qui déchire !

En chantant taratata !

Y a l'la qui transpire !

 

Ma musique à la sueur

D'mon front ! Qui monte

A l'affront de ma chaleur !

Qui se démonte et remonte

 

En un rythme symphonique

Et synchronique du tempo

Que je joue frénétique,

Qui m'décolle à la peau !

 

Je recharge mes batteries !

Que je décharge la batterie

D'mon portable sans batterie !

Qu'il tape sur ma batterie

 

En jouant en un medley,

Ma vie dans un pot-pourri !

A en mélanger mes succès

En morceaux d'mélodies !

 

Qu'elles font jazzer en

Un méli-mélo incarné,

Que j'en fais un bœuf à sang !

Becs et ongles désincarnés !

 

Que j'joue du mélo

En menant la baguette !

En regardant dans le rétro

Mon pain béni de baguette !

 

Que j'fais mes emplettes

A travers ce concert

De louanges, que j'empiète

Sur ma vie qui dessert !

 

Je recharge mes batteries !

Que je décharge la batterie

D'mon portable sans batterie !

Qu'il tape sur ma batterie.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

Tout le monde lave son linge sale en infamie à L'ESAT La Fabrique !

 

 

Une p'tite saynète sur l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique où Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique appelle Tony Angaman, son ami et ancien collègue de L'ESAT La Fabrique qui boit son café à la cafétéria lors de la pause de 10h45 :  

 

Voici Jérôme Bedrossian qui appelle Tony Angaman :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

 

-  "  Bonjour Tony, comment vas-tu ? Quoi de neuf ?  "  

 

Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique : 

-  " Bonjour mon pote, ça va bien ! Mon Dieu que tu as bien fait de quitter cet ESAT de merde !  L'atelier sous-traitance est de plus en plus conditionné au pire que personne ne sous-traite son travail comme tout le monde maltraite son travail bien fait pour eux !  Si tu savais Jéjé, tout ça me soûle grave ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  " Pourquoi Tony, tout ça te soûle ?  "

 

Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Parce-qu'on a perdu Dugas et qu'on prend tous de la bouteille à plier du linge que nous ramène tous les jours l'atelier blanchisserie qu'il y a des conflits d'intérêt où les agents se chamaillent tous ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  J'en déduis donc que l'atelier conditionnement lave son linge sale en infamie ! Je veux pas te déprimer Tony mais je pense que l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique surtout que comme vous avez perdu votre client principal Dugas tout ça parce-que du gars a fait de beaux dégâts par des gars, ce qui a fait que vers ma dernière année de travail à L'ESAT, j'étais tout le temps en arrêt-maladie grâce au docteur Vilain qui malgré son nom de famille est quelqu'un de très gentil qui m'a fait des arrêts-maladie qui m'ont bien soigné, dont je peux confirmer que le Docteur Vilain est bien mon médecin traitant et pas du tout mon médecin maltraitant, surtout qu'à L'ESAT, je n'étais pas entre de bonnes mains comme mon handicap ne s'est pas du tout soigné avec le temps même en travaillant à L'ESAT, étant donné qu'on m'a trop maltraité dans cet ESAT !  "

 

Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique : 

-  "  Et ben dis donc Jéjé ! T'as du mangé du lion pour être si remonté contre L'ESAT !  "  

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Tony, je n'ai jamais eu besoin de manger du lion comme à L'ESAT, tout le monde me disait que je sentais le fauve que je suis devenu un fauve avec le temps en m'en lavant les mains de tout !  Qu'à L'ESAT, personne ne m'a jamais filé un coup de main alors qu'à L'ESAT, j'ai refilé des coûts de main !  "

 

Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique : 

-  "  Veux-tu que je te passe Sandrine Ribé, elle voudrait te parler ?  "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Pas la peine parce-qu'à chaque fois que je l'appelle, elle ne décroche jamais !  "

 

Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Alors Jérôme, dis-moi quel était l'objet de ton appel ?  "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  " Tony, l'objet de mon appel envers toi était quel fut le mobile de tout L'ESAT pour  dire que tout le monde s'en foutait de moi dans cet ESAT ?  Je pense que si tout le monde fut immobile pour me défendre à L'ESAT quand tout le monde me critiquait, c'était parce-que je fus si immobile au conditionnement surtout la dernière année que je n'avais plus de mobile afin qu'on me défende pour le phone, ce qui a fait que l'objet de mon appel envers toi n'avait aucun mobile comme vers la fin à L'ESAT, je n'avais plus de portable écran tactile mais juste un portable simple durant ma dernière année à La Fabrique, tellement que j'étais si à cran tactile que tout le monde s'en lavait les mains de moi au moment de mon départ, si bien que tout le monde lava sur moi son linge sale en infamie ! "

 

 

                                       Jérôme de Mars

Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-que maintenant l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique à la place d'avoir Dugas n'a que du linge à plier ?

-  Pour que tout le monde lave son linge sale en infâmie comme maintenant l'atelier conditionnement ne sous-traite mais maltraite son travail bien fait pour eux !  

 

                            

                                            Jérôme de Mars

Une histoire parallèle !

 

Tournant en rond,

Si on s'retrouvait

En rubicond

Au café

 

Discuter que ce 

Monde n'tourne

Plus rond ! Sur ce

Qui détourne

 

Ce monde d'cons

Qui soûle les gens,

Or grâce aux Corons,

Ils font en réenchantant

 

Un monde meilleur,

Plus carré et vrai

Au p'tit bonheur !

Chaque jour qui est

 

Une histoire parallèle !

Avec en parallèle,

Un triangle non isocèle

Qui n'isole celle essentiel !

 

Qui va dans les bars

Clamer ses histoires !

Or in fine certains l'rembarrent !

Perpendiculaires notoires

 

En rembarres parallèles,

Qui font et défont l'lien

Du cœur universel,

Uni vers celle du déclin,

 

Que plus personne n'aime

Dans cet immonde égoïste !

Qui clame d'la haine blême

Que quiconque hait altruiste !

 

Avec plus rien qui n'tourne

Rond ! Avec des marrons

Qui détournent et retournent

La rue qui fait des macarons,

 

Une histoire parallèle !

Avec en parallèle,

Un triangle isocèle

Qui isole celle essentiel !

 

Et si pour revenir à la 

Raison du plus juste,

Si on faisait d'un pas

D'géant qui ajuste

 

Des bars parallèles,

Qui rassemblent 

Tout l'monde fraternel

Dans l'ensemble !

 

Au grand ensemble 

Dans l'affection en réunion,

Car qui s'ressemble,

S'assemble en contusion !

 

Comme l'union fait la force !

Malgré les différences,

Et s'il y avait une force

Qui claquait en l'indifférence 

 

Une histoire parallèle !

Avec en parallèle,

Un triangle non isocèle

Qui n'isole celle et sans ciel !

 

Jérôme de Mars

 

Sans eau d'pluie !

 

En levant le jour aux aurores

Qui déferle sans soleil,

Et qui n'écoute le transistor

En ses chansons d'crécelle,

 

Il y a quelques fois des jours

Sans confettis, donc flétries

En ce monde d'vautours,

Qui font que nul n'est aguerri !

 

En ce monde sans éclaircie,

Qui hé crie en sévère d'orage !

Signe des temps que tout dévie

En consignes d'dérapages !

 

Alors que seuls les ramages

Permettent d'apaiser les tensions,

Afin d'éviter sur Terre l'naufrage,

Pourvu qu'il y ait plus d'attention !

 

Sans eau d'pluie !

Mais avec Ode depuis

Et puis tant pis !

Si l'amour n'a de puits !

 

Car pour raconter d'belles 

Histoires, il faut un abreuvoir !

Avec en une ribambelle,

Un réservoir déversoir

 

D'bonnes nouvelles à ciel

Ouvert ! Qui mettent des vases

De fleurs qui rendent naturel

Chaque bel été sans la vase,

 

Qui dévase l'eau et qui redore

Tranquille, dont on dit qu'il faut

Se méfier d'l'eau qui dort, dore !

En vrai du faux d'un porte-à-faux !

 

Et même si l'eau fait des clapotis

Sur l'eau, les apparences sont

Trompeuses en masquant l'agonie !

Car ainsi ! Elles font font sensation !

 

Sans eau d'pluie !

Mais avec Ode depuis

Et puis tant pis !

Si l'amour n'a de puits !

 

Et que l'amour fait semblant

D'faire croire au grand amour

Qui vaut le détour flagrant !

Si ce n'est qu'il faut toujours

 

Songer à diffuser d'l'amour !

Que de le faire charnel et réel !

Dont seul le troubadour

Fait la courte échelle !

 

Pour aller flâner vers le haut !

Et s'emparer d'sentiments

Nobles et bourgeois sans oh !

Deux cœurs, sans ressentiment

 

Avec l'assentiment tout-puissant 

Qu'il faut triompher d'la haine !

Avec en pressentiment élégant

Que seul l'amour hait rengaine !

 

Sans eau d'pluie !

Mais avec Ode depuis

Et puis tant pis !

Si l'amour n'a de puits !

 

Jérôme de Mars

 

 

Les parodies artificielles

 

Paradis d'enfer !

A en perdre son latin !

Si en dame d'fer,

Il y avait le Paradis Latin,

 

Il y aurait d'quoi

Gagner son Paris !

Avec en éclats,

La frénésie et la folie

 

D’Paris qui

Rouleraient des patins !

Pour trouver qui est qui !

Au Quartier Latin,

 

En étant naturels !

Pour parler en vrai

D'façon réelle,

Avec en un franc-parler,

 

Les parodies artificielles,

Tels les paradis artificiels,

En allant à l'essentiel

D'ce qui naît virtuel !

 

Car même si la vie

Est un imaginaire

Téméraire inouï !

Il faut débonnaire,

 

Imaginer qu'après

La nuit, il y a l'embellie !

Où l'amour est auprès

Des choses jolies

 

De la vie, comme un

Tour de carrousel

En un tous pour un !

Qui s'fait la vie belle !

 

En un paradis Denfert-

Rochereau ver l'eldorado,

Qui n'veut plus s'en faire !

Menant vers les oiseaux,

 

Les parodies artificielles,

Tels les paradis artificiels,  

En allant à l'essentiel

D'ce qui naît virtuel !

 

Et si la vie a l'air

Superficielle et éternelle !

Elle n'est qu'lapidaire

En passant intemporelle

 

Si vite qu'aujourd'hui,

C'est déjà demain !

Avec pour on dit !

Des coups d'main !

 

Que l'paradis donne

A son Jardin d'Éden !

En changeant la donne,

Pour que tous égrènent

 

Un monde meilleur,

Pacifique et placide

Sans pastiches songeurs,

Envolant d'un ciel torride

 

Les parodies artificielles,

Tels les paradis artificiels,

En allant à l'essentiel

D'ce qui naît virtuel !

 

Jérôme de Mars

Simone veille sur la santé des Français depuis l'au-delà !

 

Simone Veil innée Jacob le 13 juillet 1927 à Nice,

Fut une femme singulière avec un parcours atypique

En devenant l'une des premières ministres,

En tant que femme politique de même

Qu'une magistrate, avec aucun préjugé

Pour la cause féministe,

Dont elle fut une ardente défenseur démocratique

Du droit et du combat des femmes en

Se faisant leur porte-parole à l'origine

De grandes avancées en termes d'évolutions

Sociétales et sociales, ce fut une personne

Qui faisait du droit son domaine de prédilection,

La mère de ses chevaux de bataille

Comme d'un mantra, si bien que ce fut une femme

Positionnée au centre-droit sur l'échiquier politique,

Libérale conservatrice de droite économiquement

Et femme ouverte de gauche sur les questions

De société, Simone Veil ayant des origines juives

De Lorraine fut rescapée de la Shoah en revenant

Vivante d'Auschwitz, d'où elle perdit ses parents

Ainsi que son unique frère, victimes des

Persécutions nazies perpétrées par les Allemands

Sous Adolf Hitler, ne gardant comme seules proches

Ses sœurs, dont tout au long de sa vie,

Simone Veil fit de la prévention en animant

Des conférences auprès des jeunes générations

Pour que ne se reproduise plus jamais et haut jamais !

Les génocides quels qu'ils soient à travers

La Fondation de la Mémoire pour la Shoah

Qu'elle présida de 2001 à 2007, en tant que femme

Avant-gardiste des droits et des combats des femmes,

En étant leur icône, en luttant contre les discriminations

Que subissent les femmes et en devenant leur emblème,

Elle fut nommée du 28 mai 1974 au 4 juillet 1979

D'abord Ministre de la Santé dans le gouvernement

De Jacques Chirac, Premier Ministre

Et ensuite de Raymond Barre, deuxième Premier Ministre

Avec Valéry Giscard-D 'Estaing,

Président de la République Française de 1974 à 1981,

Et chargée par ce dernier de faire voter une loi

Autorisant l'avortement à travers la loi de L'IVG

Nommée la loi Veil, votée à l'assemblée nationale

Le 29 novembre 1974, et qui entra en vigueur

Le 17 janvier 1975, et dont grâce à Simone Veil,

Cette loi constitua un vaste progrès

En tant qu'acquis social de longue haleine

Pour l'émancipation des femmes,

Qui sortit des sentiers battus après le refus hostile

Durant de longues années de la dépénalisation

De L'IVG par les conservateurs de l'extrême-droite

Et d'une partie de la droite parlementaire,

Et quelques années avant sa mort en 2017,

Simone Veil se démena et se battit de toutes

Les dernières forces de son corps

Pour que perdurent la tolérance ethnique,

L'ouverture d'esprit et le progressisme

Pour éradiquer le racisme, l'antisémitisme et

Le conservatisme, afin que ne revienne jamais

Le fascisme, alors qu'en 2022, la dictature

Monte exponentiellement avec effet boule de neige

Au sein des pays d'Europe, Simone Veil en visionnaire

Fut aussi à l'origine des lois de progrès social

Considérable, en mettant en place des aides financières

A l'adresse des mères d'enfants en bas âge,

Et une des premières femmes politiques précurseurs

A l'origine de l'avènement des lois sur le handicap,

A travers la première loi d'orientation

En faveur des personnes handicapées en vue

De leur intégration, inclusion et émancipation,

Simone Veil fut nommée du 30 mars 1993

Au 11 mai 1995 une dernière fois Ministre de la Santé 

Lors de la période de deuxième cohabitation 

Dans le gouvernement d'Edouard Balladur, Premier Ministre

Avec François Mitterrand, Président de la République Française,

En 1976 en tant que fumeuse, elle fit adopter la première loi

Française de lutte contre le tabagisme, en interdisant

Aux fumeurs de fumer dans les hôpitaux

Et dans les locaux recevant des mineurs,

Et en faisant également marquer sur les paquets de cigarettes

Les risques encourus et accrus par les effets du tabagisme,

Elle fut une femme libre, démocratique et féministe

Aux convictions iconoclastes et anticonformistes

Qui porta le combat de la parité pour l'égalité hommes-femmes

En 1996 en signant une pétition dans le journal L'Express,

Lorsqu'elle fut Ministre de la Santé de Valéry Giscard-d' Estaing,

Elle fut une fervente défenseur des minorités ethniques

En empêchant avec d'autres personnes de

Ce même gouvernement de reconduire 100000 Algériens par an

A la frontière avec aides financières incitatives à l'appui,

Une mesure qui fut décidée par Valéry Giscard d' Estaing,

Qui fort heureusement ne vit jamais le jour et

Donc ne fut point appliquée, elle soutiendra Edouard Balladur

En 1995 et Nicolas Sarkozy en 2007 lors

Des élections présidentielles, elle adhéra à l'UDF en 1995

Qu'elle quitta deux ans plus tard en 1997

A la suite de la nomination de François Bayrou, président de L'UDF

Qu'elle n'appréciait guère, elle adhéra ensuite à L'UDI,

Le parti fondé par Jean-Louis Borloo en étant à ses côtés

Lors du congrès inaugurant l'UDI en Octobre 2012,

Elle fut Présidente du Parlement Européen

Du 17 juillet 1979 au 18 janvier 1982,

Simone Veil fut nommée membre du Conseil Constitutionnel

Par René Monory, le président du Sénat le 3 mars 1998,

Où elle le resta jusqu'au 3 mars 2007,

Le 31 Octobre 2007 sortit son livre qui évoqua

Son récit autobiographique sobrement intitulé : " Une vie ",

Un an après, elle déposa le 9 Octobre 2008 sa candidature

Pour être membre de l'Académie Française,

Où elle fut intronisée le 20 novembre 2008,

Membre de L'Académie Française,

En prenant sa revanche de par son destin mal commencé

Concernant cette fin-lettrée érudite et cultivée

Qui n'avait peur de rien, à la hauteur de sa pudeur

Et de sa dignité non déméritées mais émérites,

Si bien que dès l'hiver de sa vie à partir de 2013

Après avoir perdu successivement son mari et sa sœur,

Elle passa les dernières années de sa vie recluse chez elle

A son domicile, se rappelant des souvenirs tantôt douloureux

Et sanglants, elle qui fit de la résistance à la haine ethnique,

Tantôt heureusement lumineux qui jalonnèrent son existence

Tumultueuse, mais respectueuse à l'égard de son dévouement

Loyal et effréné en ses luttes non conventionnelles

Et acharnées pour quelqu'un de sa trempe

Avec son caractère bien trempé, qu'elle supportait

En son cœur qui déportait sa croix des épreuves

Qui ne la ménagèrent guère durant sa vie

Qu'elle ne baissa jamais les bras,

Portant les tatouages de son numéro d'immatriculation

De déportée à Auschwitz, et ce qui s'ensuivit

In fine fut qu'elle s'éteignit à petit feu,

Où elle rendit l'âme à Paris le 30 juin 2017

Quelques jours avant ses 90 ans,

Où son dernier mot sans remords fut merci avant sa mort,

Et ainsi grâce à l'encensement unanime porté

Par l'ensemble des hommes politiques de tous bords

Et par l'ensemble des Français qui réclamèrent en signant

Une pétition qu'elle entre au Panthéon

Des immortels en grande défenseur des causes perdues

De par son implication, sa dévotion et sa persévérance, et à force

De persévérance, elle y entra pour de bon le 1er juillet 2018

Au Panthéon, dont la phrase fétiche qu'on a tous envie

De dire maintenant unanimement à Simone Veil

En lui rendant hommage est  : " Merci à vous Simone

Qui veille sur la santé des Français depuis l'au-delà ! "

 

Jérôme de Mars

J'dois composer avec tout ça !

 

En ouvrant la boîte d'Pandore

De mon état grave DCD,

J'appelle en renfort

Ma poésie qui grave des CD !

 

Pour écrire mes vertiges

Du fond de ma réminiscence,

Qui reflète les vestiges

D'mon passé avec puissance,

 

Où comme une chanson !

Pour me transcender,

J'écris des chansons

Pour sublimer avec beauté

 

L'art, même que je n'ai 

Pas étudié aux Beaux-Arts !

Où j'suis inné pour graviter

En chantant en fanfare !

 

J'dois composer avec tout ça !

Et recomposer tout cela !

Pour décomposer la la

Une chanson ! Afin que ça s'en va

 

Les fêlures d'mon passé de ouf !

En trouvant les bons mots

De ma résilience dans le barouf !

Et en renaissant de mes maux,

 

Car y a pas photo ! 

J'veux en faire un album,

Afin que tous mes potos

Connaissent mon album

 

D'chansons, en chantant

La vie, l'amour, l'amitié

Et l'espoir, réenchantant

La vie, la solidarité 

 

Et la bonté qui vont de pair !

Alliées et à lier fous-alliées

En un monde d'repères,

Où depuis mon repaire azimuté,

 

J'dois composer avec tout ça !

Et recomposer tout cela !

Pour décomposer la la

Une chanson ! Afin que ça s'en va !

 

La rage de mon amertume

En mon agrume qui m'irrite !

Pour qu'avec candeur, je fume

Le calumet d'la paix vite

 

Fait et bien fait ! Afin que je lévite

En une vie saine qui tienne debout !

Afin que mon passé, je l'évite !

Pour ne plus être si à bout !

 

Et dont pour respirer en odeur

D'Sainteté, il faut que j'écrive

Des paroles qui portent bonheur !

Pour que ma résilience décrive

 

La résurgence et la renaissance,

En interprétant une chanson

Malgré mes réminiscences,

Enchantant dès la nouvelle saison

 

J'dois composer avec tout ça !

Et recomposer tout cela !

Pour décomposer la la

Une chanson ! Afin que tout s'en va !

 

Jérôme de Mars

 

C'est une maison que je ne pouvais plus voir en peinture !

 

Il était une fois une ancienne maison

Que je ne pouvais plus voir en peinture !

Que même avec un ravalement,

Cette apparence de bien naître 

Etait une façade !

Avec toujours en rade,

Le développement sain de mon être

Que les murs du papier peint et plaint étaient déchirés

Et décrépis dans un état délabré

Et laminé de cette maison, où tout s'effritait !

Que tout le monde dans cette maison se fritait

Au 57, Rue Meissonnier à Vitry-sur-Seine,

A tel point que j'en saigne

A jamais de mon cœur que j'ai un pacemaker

Virtuel pour faire battre mon cœur par chœur !

Et abattre ma rancœur !

Qui est piquée en une liqueur

En ces turpitudes

De mon ancienne vie

Antique et en tics qui sentait la solitude,

Comme c'est une maison

Que je ne pouvais plus voir en peinture !

Que je sortais souvent du cadre !

Pour que l'immonde

Me recadre hors-cadre !

Si bien que personne dans cette maison

Ne pouvait m'encadrer !

Que j'ai attendu d'avoir mon appartement pour en cadrer

Mon diplôme de Différent et Compétent !

Que pendant longtemps,

Certains furent indifférents et incompétents

Sans égards à mon égard aux travers d'uns différends

Sans avoir de reconnaissance envers moi !

Dont il fallut

Que j'attende d'obtenir mon diplôme de reconnaissances

Et compétences de mes acquis

A qui ? !

Pour qu'on ait

De la reconnaissance envers mois !

Et même si tout le monde me médit que je me plains

Des murs immatures de parpaings mal bâtis dans la maison

Sans repères 

De mon père impair,

Et bien immobilier sur le fond de cette maison en bâti,

Je n'avais pas si tort que ça que je ne fus pas si bien loti

En terrain connu

Que ça que je bâtis

Ce texte de mon ancienne vie de bohème,

Pour prouver éprouver qu'à ce moment-là,

Personne ne m'aime !

Et dont aux travers de ce poème, je bâtis mon avenir

En ayant mon propre appartement alloué

A louer, celui-ci le vrai pour renaître à Vitry-sur-Seine

En prenant ma revanche sur scène, 

Afin que je sois logé à la même enseigne

Que tout le monde,

Car durant tout ce temps,

Où je dus rester au 57, Rue Meissonnier,

Effet pavillon des camouflets de ma jeunesse

Et comme ces voyages formèrent ma genèse,

Je profitai du temps condamné,

Où je fus con damné hébergé

Dans cette maison du malheur,

En dormant du fond de mon imaginaire

Des tréfonds de ma colère 

A la belle étoile du berger et berger !

Que je fus inné sous une bonne étoile que je finis hébergé

Dans mon T2 entre deux du fond

De cette faim de mon deux-pièces,

Car même si je suis en pièce détachée et que mon espèce

Est menacée, je répète que durant tout ce temps, où je vécus

Au 57, Rue Meissonnier que j'allais tout droit

Dans le mur du dur immature !

Dont je vaincus

Le 57, Rue Meissonnier que je déménageai pour me ménager

De cette maison, où ça fait

Quelques années que j'ai déménagé

De cette maison qui sentait le cœur de pierre endurci et aigri,

Que j'ai emménagé dans mon appartement

Du 11, Allée de L'Abbé Roger Derry,

En menant une nouvelle vie à prier à l'autel qui m'héberge

A présent à presque 45 berges vers l'auberge

Du sacré Cœur, que la rancœur du 57, Rue Meissonnier 

Fut terrassée par l'effet pavillon en allant tout droit, adroit

Dans le mur, que le plafond de la salle de bains,

Où on me cuisina

Là-haut depuis l'au-delà s'écroula en ses murs de parpaings

Que j'en fais une complainte en ce slam 

De tout le drame de ma vie qui trame

Que si j'ai une étrange nature,

Torturée et azimutée sans fioritures !

Ca vient du fait que sans façade,

Mon apparente belle et bonne nature

A la foi mature et immature,

Survient du fait que j'adopte en permanence une façade,

Pour faire croire que ma vie est une promenade

De santé à trinquer sans déboires pour boire devin

Votre eau de vie, dont j'espère oublier ma vie défaussée, 

Tombée dans le fossé de ce ravin,

En écrivant ce poème

De par cet exutoire, dont ma défunte ancienne vie de bohème

Proclame la raison pour laquelle sans armature,

Ce fut une maison

Que je pouvais plus du tout voir et entrevoir en peinture !

 

Jérôme de Mars

 

 

Bourgeois-poème !

 

A plein gaz !

En ma vie à pleins tubes !

Y a d'l'eau dans le gaz !

Que ça gaze et j'en titube !

 

Si bien que j'ai des bobos

Dans mon paradis d'enfer !

Que j'écris en mon eldorado,

Des poèmes qui génèrent

 

Ma colère et ma rébellion

Incendiaire que j'suis snob !

En étant un sauvageon !

A écouter tonton Bob !

 

Genre Bob Marley,

En fumant d'la havane

Sur ma Harley,

Où j'me pavane !

 

Bourgeois-poème !

Tel un bourgeois-bohème,

Qui sème un requiem,

Adoptant le carpe-diem

 

En un totem qui rime,

En n'ayant l'porte-feuille

A droite ! Qui arrime

Que sur mon fauteuil,

 

Je suis assis à gauche !

En allant manger

Bio tel un Gavroche,

Qui s'rue poil à gratter

 

Vers son épicerie !

En plein centre-ville,

Que j'amuse la galerie !

Que mes idées fourmillent

 

De poèmes à la minute !

Que personne n'me calcule !

Où telle une cocotte minute,

J'explose funambule !

 

Bourgeois-poème !

Tel un bourgeois-bohème,

Qui sème un requiem,

Adoptant le carpe-diem

 

Où je prends ma revanche !

En faisant briller le soleil,

Me retroussant les manches,

En refaisant répartie d'rebelle !

 

Mon ode de l'apolitique,

En étant neutre,

Et en écrivant poétique,

La vie en couleurs d'feutres !

 

Dont j'suis riche en mots !

Que j'en suis pauvre !

Mine de rien en maux !

Qu'une fois sobre,

 

J'écrirai pour toute la vie !

Des vers éternels

Vers la postérité sans oubli !

Que j'resterai un intemporel

 

Bourgeois-poème !

Tel un bourgeois-bohème,

Qui sème un requiem,

Adoptant le carpe-diem.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si j'avais une feuille, j'écrirais l'automne !

 

Eau d'pluie,

Il pleuvrait misère !

Sans confettis,

Austère sur Terre !

 

Et si la vie

Avait une belle nature !

Elle rêverait à l'envie

D'un jeu d'écriture !

 

Qui ramasserait

Dès l'appel

D'la forêt !

Un ciel qui ruisselle

 

En un arc en ciel,

En voulant rugissant

Planter un amour fraternel

A l'autel en clamant !

 

Si j'avais une feuille, j'écrirais l'automne !

Malgré mes remords vivants monotones,

Où j'serais aux regrets atones

D'avoir trouvé ma voie aphone !

 

En appelant au téléphone

D'l'au-delà Jacques Prévert

Pour le fun !

Avec en prêt ver, 

 

Ode pluie,

Qui tarauderait en moi

Depuis et puis !

En mon intérieur froid,

 

Où j'aurais besoin d'chaleur

Humaine pour la semaine,

Afin d'y semer du bonheur,

Avec amour et sans haine !

 

Où seul l'amour ferait

Naître d'saines passions

Dans ce monde désabusé !

Et où en des illusions,

 

Si j'avais une feuille, j'écrirais l'automne !

Malgré mes remords vivants monotones,

Où je serais aux regrets atones

D'avoir trouvé ma voie aphone !

 

Et où pour boire mes déboires,

J'chercherais un acolyte !

A qui donner un pourboire

Pour boire mon âme déconfite,

 

En cherchant mutuel

Un soutien lors d'une promenade

D'santé sans mutuelle,

Donc juste en une ballade,

 

D'où j'écrirais mortifère cette saison,

Qui décrirait mon être mort-vivant !

Attendant impatiemment l'oraison,

Où j'aurais perdu la raison transperçant

 

Mon innocence à m'faire du sang

D'encre à m'en tailler les veines !

En mon état si décadent !

Où seul en buvant une verveine ! 

 

Si j'avais une feuille, j'écrirais l'automne !

Malgré mes remords vivants monotones,

Où je serais aux regrets atones

D'avoir trouvé ma voie aphone !

 

Jérôme de Mars

Mûrir de chagrin !

 

Vivre ou mourir 

Dans la vie,

On a le choix !

Entre soit mûrir 

Qui choie !

Ou soit mourir

Qui choit 

Dans la nuit,

Car dans la vie,

Malgré la peine

Qui sévit

En ces vies,

Il faut rester ouvert d'esprit !

Dont open !

Soit on vit

A en mûrir de chagrin !

Ou soit oh ! Peine !

On dévie

A en mourir de chagrin !

En des vies !

Qui ont pour éternelle rengaine

De ne point avoir de Bon Samaritain !

Condamnés au déclin

De la vie, 

Qui se rapproche à proximité de la nuit !

Et même si c'est inouïe la vie !

Il vaut mieux être à jour 

Du côté du paradis !

Dans son jardin secret d'Eden !

Qui égrène !

Que la vie se vit la nuit

Dans ce monde de vautours !

Car maintenant voici

Vos tours !

Entre soit choisir l'embellie

Ou soit l'agonie !

Et si vous deviez choisir

Entre la vie et la nuit !

Décideriez-vous que dans la nuit,

Il faut mourir de chagrin ? !

Ou que dans la vie,

En parfait bon Chrétien humain,

il faut mûrir de chagrin ? !

Et plus que de chagrin ? !

En ayant pour toute la vie ? !

Un si grand béguin ? !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                   Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-que maintenant l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique à la place d'avoir Dugas n'a que du linge à plier ?

-  Pour que tout le monde lave son linge sale en infâmie comme maintenant l'atelier conditionnement ne sous-traite mais maltraite son travail bien fait pour eux !  

 

                            

                                            Jérôme de Mars

Un dit go !

 

En un teint brumé

D'un bleu qui dévie,

Il y a embaumé

L'tempo jazzy !

 

Qui fait jazzer

Au milieu d'la nuit,

Qui fait virevolter

Hier et aujourd'hui !

 

En s'enivrant furtif

De whisky à gogo !

En donnant captif,

Un coup d'chapeau

 

A c'sacré maestro !

Avec en vibrations,

Son sacré numéro !

Ayant pour ovations,

 

Un dit go !

Terre Indigo !

Pour taire un dit go !

Et Terre Indigo

 

Dus aux ecchymoses

Des bleus d'la nuit !

Qui causent because

Tous ces bleus inouïs,

 

A s'en émouvoir débit

Sexuel asexuel !

A en mouvoir des bis

Sexuels transsexuels !

 

Autour d'la quête

D'identité à échanger !

En parlant d'l'enquête,

Qui fait jazzer

 

Au Théâtre Déjazet

En airs d'flûte,

Qui font désaxer,

Des axés et flûte !

 

Un dit go !

Terre Indigo !

Pour taire un dit go !

Et Terre Indigo !

 

A en chanter la flûte

Enchantée, à en

Déchanter et flûte !

Cet air des gens,

 

Déjantés, désopilants

Et délurés qui font

Ainsi font cinglants !

D'sanglants tréfonds

 

Qui s'balancent pas 

A pas guindés !

En faisant là là !

Dans un style raffiné

 

En un concert d'

Louanges qui arrange

Un et un qui font deux !

Qui changent échanges !

 

Un dit go !

Terre Indigo !

Pour taire un dit go !

Enterre Indigo !

 

Jérôme de Mars

Telle est ma chanson !

 

Si en déposant plainte !

J'écrivais une mélodie !

C'serait une complainte !

En regardant Télé Melody,

 

Qui m'enchaîne en chaîne !

En pétant un câble !

Qui m'déchaîne à la chaîne !

Pour qu'on m'accable

 

Que je n'suis pas net !

En amusant la galerie,

Que j'en écrirais cette bluette !

En cherchant de la compagnie !

 

Et même si j'pète souvent

Des câbles qui m'accablent !

J'ai la fibre sociale vocalement

Que je chante affable à l'amiable !

 

Telle est ma chanson !

En regardant Télé ma chanson !

Sur Télé Melody à l'unisson !

Que j'en ai des frissons !

 

A enchanter et à en chanter

Ma vie à pleins tubes !

Qui n'fait que programmer

Mon prochain slam au SUB,

 

Une MJC à Vitry pour slamer

Mes chansons qui reflètent ! 

Ma vie en une poésie à clamer

Que j'fais des plans sur la comète !

 

Enchantant à Vitry sur scène,

La pluie et l'soleil qu'il y a

Dans ma vie qui assène 

La part d'inconnue qu'il y a en moi !

 

Pourvu que le printemps se fasse

En pressant, empressant !

Car il est temps que j'me prélasse !

Me réenchantant ici bien portant !

 

Telle est ma chanson !

En regardant Télé ma chanson !

Sur Télé Melody à l'unisson !

Que j'en ai des frissons !

 

A déclamer en un si grand slam,

Ma vie qui a longtemps déchanté,

Que j'préfère en faire une trame

Sans mélodrame ! Pour songer

 

A renaître en ma résilience,

Dont il y a urgence à rétablir

Du lien social en effervescence !

Dont la vie n'a fait que m'aguerrir !

 

Où il faut que j'ai une fibre sociale !

Pour ne plus péter d'câble,

Afin que tout le monde soit cordial

Avec moi sans qu'on m'accable !

 

Et avant d'terminer ma poésie

En ce slam à Vitry-sur-Seine,

J'ai le dernier mot en une accalmie,

Qui assène en air de mécène ! 

 

Telle est ma chanson !

En regardant Télé ma chanson !

Sur Télé Melody à l'unisson !

Que j'en ai des frissons !

 

Jérôme de Mars

 

Nos p'tits vélos !

 

Dis donc avec la tête 

Dans le guidon !

Si on faisait d'la bicyclette !

Afin que nous guidions

 

Le cycle de notre vie,

En remettant en selle

Notre grain d'folie !

Avec en escarcelle,

 

Le fait d'être l'maillon

Fort de la chaîne enchaîne,

Pourvu que nous émaillons 

La vie qui nous déchaîne !

 

En mettant la pédale douce

Du Tour défiance d'France

En vie ! Qui nous émousse 

Que ça devient en une offense !

 

Nos p'tits vélos !

Qu'on recycle en petits vélos !

En tant que Français parigots !

Attire larigot de notre argot !

 

Qu'on s'en fout d'tout !

En ayant un grain qui sème

En nous sans garde-fous !

Nos côtés fous qui aiment

 

A en trinquer d'notre santé !

En allant boire un Monaco,

En trinquant à la santé

De ceux qui roulent à moto !

 

Alors qu'il suffit de recycler

Nos idées d'l'an quarante

En roue libre ! Pour pédaler

Et s'échapper libre dilettante,

 

En prenant notre tour au

Détour défiance d'France !

Avec pour effet météo de trot !

Qui trottine en une itinérance !

 

Nos p'tits vélos !

Qu'on recycle en petits vélos !

En tant que Français parigots !

Attire larigot de notre argot !

 

D'itinérances en errances !

Qu'il y a aussi le maillon

Faible d'la chaîne en urgence !

Pourvu que nous émaillons

 

Nos vies terre-à-terre  !

Qu'on passe notre tour !

D'frustrations qui enterrent

Notre avenir avec en contour,

 

Le détour défiance à notre

Tour qui vaut bien en retour !

Ce qui n'en vaut un autre

Tour d'France, au tour

 

Autour du peloton des 

Epreuves de la vie qui 

Emplies, s'déroulent dès

Fois remplis avec amplis !

 

Nos p'tits vélos !

Qu'on recycle en petits vélos !

En tant que Français parigots !

Attire larigot de notre argot !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                       Vers de poèmes

 

 

Pas appât, voici un ver de poème avec un asticot qui m'asticote en vers ma poésie surtout qu'à l'époque, où j'étais une larve, j'avais des vers de poèmes qui m'asticotaient davantage, tel un asticot qui péchait vers les vers de ma pèche aux maux ! Moi l'handicapé qui ne fait que pécher avec ma cane à pèche ! Tel un vilain petit canard sauvage qui fait mouche avec une mouche à merde ! Telle une larve qui m'asticotait et m'asticote les vers, en me tirant les vers du nez que sont les vers de mes vers de cristal en bris de vers, envers l'envers de mes vers de bohème !

Tel en tombant des nus, nu comme un ver de terre qui hé crie ses vers de rage sévère ! En déroute et en route vers de nouveaux revers de poèmes qui pèchent d'enfer ! Qui arriment en jetant l'encre ! En claironnant : " Lis, masse ! Longs à la détente ! "

 

             

                                        Jérôme de Mars 

Aux vers dosent !

 

Gramme d'shoot !

J'ai eu largement ma dose !

Que j'en ai rien à foutre

D'avoir des surdoses !

 

Même si ce poème

Naît pas une prose !

Mais d’l’œdème

Qui gonfle ma si rose !

 

En mon manque de foi

En la vie qui m'enlaidit !

Que j'suis en froid

Avec le paradis !

 

Qu'il m'endolorît !

Me déçoit et me déchoit !

Que j'décrépis !

C'est mon choix !

 

Aux vers dosent !

Ca frôle l'overdose !

Que j'ai en sûre dose

Mammaire mais nos pauses !

 

En prenant la pose

Y a pas photo !

Que j'ai son osmose !

Dans l'chaos !

 

Aux vers bordent !

Que j'en ai des p'tits vélos !

Dans la tête qui m'débordent

Que j'aborde par des mots !

 

Tout ce qui m'trotte

Dans la tête !

Que j'en décrotte

Ce casse-tête !

 

Dont gamme aux vers !

C'est du bas d'gamme !

En me mettant aux vers !

Avec au programme !

 

Aux vers dosent !

Ca frôle l'overdose !

Que j'ai en sûre dose

Mammaire mais nos pauses !

 

Que j'passe, repasse

Et trépasse fort revers !

Dans une impasse

Avec un ver deux revers  !

 

A repasser tout mon

Passé, à en braver

De monts en amont,

Mes démons à en baver

 

Mes vieux démons,

Qui n'font que passer !

Oppressés sur le pont

A camoufler mes

 

Camouflets cachetés

En cachets d'mes de sains !

Que j'ose cachés

Sans raccord de médecins !

 

Aux vers dosent !

Ca frôle l'overdose !

Que j'ai en surdose

Ma mère ménopause !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

La boîte à musique !

 

Mise en boîte !

Moi, le clubber,

J'boîte et j'emboîte

A chaque heure

 

D'la nuit en ma

Boule à facettes !

Qui fait d'éclats

En éclats de fossettes !

 

Que d'un tourne-disque,

J'lance des hits !

Depuis l'Obélisque

Qui va tout le temps vite !

 

A la vitesse d'une platine,

Qui tourne et détourne !

En remontant à l'origine

D'ce qui retourne 

 

La boîte à musique !

Frénétique et rythmique,

A basse synthétique

En mélodie harmonique

 

Que j'fais de la contrebande !

En repassant le même

Disque rayé en bande 

Organisé ! Que tous aiment !

 

En dansant sur la piste

D'la boîte de nuit !

Qui en abondance, twiste

A l'ancienne dès minuit !

 

Comme un slow endiablé,

Qui rappelle les années 50

Et 60 à un rythme effréné,

Afin qu'tous se fréquentent !

 

En se prenant par l'épaule,

Qui leur emmène

L'amour qui flirte en son rôle !

Afin qu'il y ait dans l'arène !

 

La boîte à musique !

Frénétique et rythmique,

A basse synthétique

En mélodie harmonique

 

Pour faire danser l'amour

Des sentiments en effusions,

En leur faisant la cour 

Aux tourtereaux dès l'émotion !

 

Du temps qui passe en transe !

En allant pas à pas au contact

Des gens qui font insistance !

Pour qu'il y ait du tact !

 

En s'parlant en boîte de nuit !

Qui inouïe, est comme un 

Huit infini ! Où il fait minuit !

En broyant du noir clope hein !

 

Ma cigarette à en fumer 

Les fumées d'gitanes  !

A m'enfumer la volupté 

Et la légèreté qui vannent

 

La boîte à musique !

Frénétique et rythmique,

A basse synthétique

En mélodie harmonique.

 

Jérôme de Mars

Il faut surfer sur la nouvelle vague !

 

En surfant sur Internet,

Avec du vague à l'âme !

Il faut être à terre nette !

Malgré les drames

 

D'la vie qui compose

Ce slam, qui trame

En prenant la pose,

Tout ce qui trame

 

L'océan d'la vie !

En son mal de mer,

Qui dévie à l'envie !

Face à l'écume amère,

 

Comme le cinéma

D'Jean-Luc Godard !

Ou l'entrain qui s'en va

De Richard Anthony, car

 

Il faut surfer sur la nouvelle vague !

Des années yéyé qui élaguent !

Au creux d'la vague

Le cinéma qui reste vague !

 

Et pour ne pas louper

L'dernier train !

Il faut regarder

A la loupe avec entrain !

 

S'il vaut mieux être au 

Bout du rouleau vague,

Ou être dans le vague d'eaux 

D'vagues, ah ! Là ma drague !

 

Depuis l'Saint-Tropez 

Qui dit vagues, divague ! 

En caractères bien trempés,

Détrempés dix vagues !

 

Dont malgré le rouleau 

D'vagues compresseurs,

Il faut surfer ! Car des maux

En des mots enjoliveurs,

 

Il faut surfer sur la nouvelle vague !

Des années yéyé qui élaguent

Au creux d'la vague 

Le cinéma qui reste vague !

 

En surfant en chanson 

Sur Internet très net !

Dont on connaît la chanson !

Des surfs à terre nette !

 

Scandale dans la famille !

Qui surfe sur la vague du succès,

Des années yéyé qui frétillent

En faisant bouger avec excès,

 

Ceux et celles qui 

En avaient marre des réacs

Conservateurs, et qui exquis !

Voulaient lors d'l'entracte,

 

Le progrès et rien que 

L'progrès ! Avec pour succès

Sur un piano à la queuleuleu ! 

Un océan pacifique à y chanter !

 

Il faut surfer sur la nouvelle vague !

Des années yéyé qui élaguent

Au creux d'la vague 

Le cinéma qui reste si vague !

 

Jérôme de Mars

J'tiens paroles !

 

Comme un oiseau aux ailes

Brisées, je prends la plume !

Volant d'mes propres ailes !

D'où j'y laisse des plumes !

 

A tire d'ailes de tourterelles !

Où j'écris mes maux !

En battant d'l'aile !

Que ce sont mes mots

 

Pour ne plus déchanter

La vie qui m'asphyxie,

Alors pour enchanter,

J'écris d'la poésie !

 

Pour apporter du rêve,

Comme une chanson !

D'où j'coule ma sève

Et où à chaque saison !

 

J'tiens paroles !

Sans bémol !

En faisant la farandole,

Comme un rossignol !

 

Et où je fredonne

Avec vue sur l'balcon !

Comme je bourdonne

Le miel des frelons,

 

En passant une lune

De miel face au soleil,

D'où j'mets en une

A la carte de vermeille !

 

Mes écrits de poèmes,

Qui sèment la belle vie

Où j'dis je t'aime !

Avec aussi les nuits,

 

Qui m'font de l'œdème,

Où je respire l'agonie !

Et en un nouveau thème,

Dès que j'écris l'harmonie,

 

J'tiens paroles !

Sans bémol !

En faisant la farandole

Comme un rossignol !

 

Et si j'ai un grain d'folie !

J'égrène mon jardin secret !

Avec une quantité fleurie

En mon Mausolée enraciné,

 

D'où j'lui fais une fleur

A Sidney Bechet !

En m'envoyant des fleurs,

Qui effleurent bêchée, binée

 

Mon amertume carabinée

En mes maux d'rancœur

Débinés et fricotés,

D'où en ayant bon cœur !

 

J'y mets d'l'adage !

Tel un ouvrier en chanson,

Ayant le cœur à l'ouvrage !

D'où en ayant l'oraison,

 

J'tiens paroles !

Sans bémol !

En faisant la farandole

Comme un rossignol !

 

Jérôme de Mars

 

 

Pour qu'on en fasse toute une montagne du Caucase !

 

Arbre gêné à logique !

C'est une histoire de famille

Cette hein famille, infamie !

Avec tous ces génocides acides

Alors que dans mon environnement écocide,

Cette histoire de la guerre a l'air si cocasse !

Pour qu'on en fasse toute une montagne du Caucase !

Génération illusions perdues

En désillusions éperdues !

Aux travers de cette arbre généalogique

Depuis naguère qu'il y a la guerre !

Entre L'Azerbaïdjan et L'Arménie,

Territoires ennemis à demi

Réglés sont déréglés ces Arméniens,

Ces têtes de Turcs

En faisant leurs toilettes à la Turque !

Que ce peuple opprimé est persécuté

Depuis des lustres illustres,

Dont j'ai les gènes, gênes sans-gêne,

Cent gènes héréditaires !

Car en mes mots d'hiver, j'ai besoin

De respirer une embellie pulmonaire

En travers de la gorge,

Dont mes travers rengorgent

De ce que je désengorge

En mon caractère que je forge !

Dans les forges du désert

En mirages anxiogènes,

Car l'histoire a des airs de déjà-vus

Comme le génocide du 24 Avril 1915,

Comme si j'appelais le 15 !

Car mon histoire, ça mue  !

En frais de port du Salut !

Pour qu'on en fasse toute une montagne du Caucase !

D'où je compose avec tout ça un poème cocasse !

Qui est le fruit de pourquoi ma vie m'entaille !

Et de pourquoi je tiens si fort mes tenailles !

Moi le gai-pinson, pince-sans-rire !

Dont mon humour à outrance satire, ça tire !

Si bien que ma mère en est morte du crabe !

Elle qui ne perdit jamais le Nord !

Aux abords et à tribord !

Pince-moi je rêve !

Depuis sa mort à p'tit feu m'achève !

Comme si j'avais un glaive !

Pour juger et rejuger mon passé dépassé

Et outrepassé comme moi, on m'a mis sur le bûcher que j'ai bûché

Très dur ce texte malgré les préjugés qu'on a sur moi en camouflets,

Et dont je m'en fous de tout !

Vu que je n'ai quasiment plus de garde-fous !

Dont tout ça me dessert !

Où l'histoire de la guerre se répète depuis naguère avec après

La Turquie, L'Azerbaïdjan déviant

L'Arménie à mauvais escient, dont OTAN

Cessez le feu et cessez la paix !

Entre deux avec toupet !

Dont en mourant à p'tit feu !

Enfumant de faire semblant de croire radieux !

J'achève ce texte si cocasse !

Pour qu'on en fasse toute une si grande montagne du Caucase !

 

Jérôme de Mars