PASSE-TEMPS

 

                                                   Blague  :

 

 

Pourquoi mes problèmes psychiatriques à l'âge mineur n'étaient-ils pas si mineurs que ça  ?

 -  Parce-qu'ils se sont aggravés à l'âge majeur et à l'état majeur  !

 

                               

                                            Jérôme de Mars

 

 

                                                     Blague  :

 

 

Pourquoi y a-t-il eu un attentat à Manchester au Royaume-Uni au stade où ils en sont lors du concert qui a eu lieu dans l'enceinte sportive  ?

 -  Parce-que l'attentat s'est produit dans la file anglaise  !

 

                                             Jérôme de Mars

 

                                                  Blagues  : 

 

 

1)  Pourquoi FACEBOOK rend-il chèvre  ?

  -  Parce-que c'est un bon réseau asocial d'amis brebis galeuses  !

 

2)  Que dit un agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry qui fait le travail des CVP qu'il trouve ennuyeux  ?

 -  Il dit que ça le pompe  !

 

                      

                                           Jérôme de Mars

 

 

                                                   Blagues :

 

 

1) Que dit-on d'un ouvrier de production à l'atelier conditionnement de      L'ESAT de Vitry qui étant trop discret, se fait espionner par ses collègues ?
- C'est un agent secret !

 

 

2)  Pourquoi si même on se reparle moi et Christophe, ce n'est plus comme avant et que Christophe reste quelque peu distant avec moi   ?

-  Parce-que je suis à des kilomètres de lui, tellement, j'ai dépassé les bornes !

 

                                        Jérôme de Mars

Accidents mineurs à l'état majeur

 

A l'âge mineur 

Des mines déconfites,

Ma mine a manqué de charbon

Pour guérir de ses pulsions,

Qui m'irritent, me fritent et m'effritent

A l'état majeur,

Dont je me pose des questions

Quelles semblent les solutions,

A ces accidents mineurs 

A l'état majeur,

Quand les antécédents familiaux

Aux mauvais signaux,

D'enfant perturbé

Et malmené,

Remontent de ma mère rudoyée

A mon arrière-grand père

Et à mon grand-père

Maternels, figures de proue sans dentelle,

Aux racines de ma crise existentielle,

Qui se perpétue et se répète

A perpète,

Du suicide acide une balle dans la tête

De mon arrière-grand-père maternel,

Le jour de Noël du 24 décembre 1947, posthume et obsolète,

Et de mon grand-père maternel,

Le jour de La Saint-Valentin, le 14 février 1995 insurrectionnel,

Mon grand-père pour sa défense, voulait devenir avocat,

Mais à la suite de l'injustice d'avoir trouvé le corps de son père mort suicidé,

A cause de ce grave cas

Qui l'avait profondément affecté,

Il renonça à sa vocation

Avec cette remise en question,

Car désormais sa destinée était scellée et à découvert,

Après le décès de son père suite au repas à table avec les couverts,

En ce jour maudit et triste de Noël du 24 décembre 1947, des vieux travers

En casse-tête,

De son père,

Car mon arrière-grand-père maternel

Qui fut médecin,

Dut faire face à son destin,

Où il fut prisonnier par Les Allemands,

Pendant la seconde guerre mondiale

Et hexagonale,

Où pourtant, il fut bien traité car il soigna

Les Allemands avec dévouement,

Mais au sortir de la seconde guerre mondiale,

Il eut tellement mal,

Avec ses séquelles et ses traumatismes,

A la lisière du mutisme,

Où plus jamais, il ne fut comme avant et d'antan,

Dans le cataclysme

De ses tourments,

Comme je le disais précédemment,

Mon arrière-grand-père maternel se suicida

Le jour de Noël du 24 décembre 1947,

Comme un cinq à sept plus sec, jeu, set

Et match, et mon grand-père maternel qui l'a découvert,

En fut trop abîmé moralement pour le restant de ses jours,

A contre-jour,

D'une vie banale

Et normale,

Basculant et trébuchant d'un itinéraire en vers, au versant,

Des verres à sang,

Du coeur couvert à découvert,

En mille et des cent, 

D'une pierre manquant à l'édifice pour qu'il soit pair,

Où il n'eut qu'autre fixation, de finir comme son père

Dans la main tendue de l'enfer,

Ce jour-là, il se jeta à bras et à corps perdus dans les bras

De ma grand-mère, éplorée tout comme lui, où avec elle,

Sa future femme, il conçut par accident,

A l'âge de 20 ans,

Ma mère, non désirée à la naissance,

L'essence sans les cinq sens,

D'une providence à l'évidence dont l'événement imprévu ne fut réjouissant,

Ma mère téméraire, naquit dans ce monde immonde le 21 septembre 1948,

Comme un huit en fin d'année qui définit sa périlleuse et sa chaotique vie

A l'infini dont la neurasthénie,

De son père se reporta sur elle,

Son mal-être patibulaire,

Menaçant son équilibre,

Et dont le manque de fibre

De sa mère qui lui préféra son frère,

Leur second enfant pair et fils, tant désiré,

Que mes grands-parents eurent comme second enfant

Dans ces troubles-temps devenus source de rajeunissement,

Qui vit le jour, en 1965, 

En cadet de leurs soucis, qui lui, cette fois-ci, fut reçu cinq sur cinq,

Dont ma mère, l'aînée, en fit les frais avec leurs 17 ans d'écart entre elle

Et son frère,

Mais là, ses parents furent préparées à cette arrivée,

Du fruit tardif mais enfin de la maturité

De leurs 37 ans,

Mon grand-père maternel, fou, neurasthénique et malade chronique psychique,

Comme ce fut mathématique,

Il transmit cent gênes,

Ses gênes héréditaires et occasionnées à ma mère, extralucide sur son état aborigène,

La source de ses problèmes psychologiques et au degré de désarroi ineffable,

Où il n'y avait de la communication

Dans cette famille baroque 

A la voie rauque,

Avec en l'occurrence le substitut de la communion,

Et des réunions de famille lourdes de conséquences

Et de séquences,

En flash-back, qui me reviennent,

Comme l'effet boomerang torrentiel, aux pénuries et aux souffrances diluviennes,

Dont ma mère m'en fit l'écho en me prenant pour son psy,

Tel un confident fou allié et ami,

Quand mon grand-père eut avec ma grand-mère, ma mère à 20 ans,

Condamné aux gardes des seaux de la paternité,

Il abandonna à contrecoeur sa mission de fidélité et de loyauté,

De ses idéaux et de ses rêves de justice,

Ne pouvant être aux services

Des barreaux d'avocat,

Malgré cela, il devint représentant dans les vêtements pour Des Alsaciens,

Puritains et hautains,

Au teint livide de son suicide avorté à multiples reprises, mais différé

Pour mieux se dérouler plusieurs années après,

Remettant à plus tare et en retard,

L'inévitable et l'inéluctable,

Pas affable dans cette étrange fable irrémédiable,

Mon grand-père rattrapé par la dynastie

Des suicides en série,

Mena une existence en paralysie 

Fricotant en catimini avec des femmes faciles,

De par sa douleur amorale

Avec aucun moral,

Pour donner raison

A ses frasques, où grâce à l'oraison

Funèbre, plus tard, il fut repêché,

A la messe d'enterrement, qui le sauva

De ses péchés

Absolus et absous dont il eut tant de mal

Durant sa longue et pernicieuse chevauchée à éradiquer

Sa part animale et immorale

Qui sommeillait sa sombre personnalité,

Il fit de dommageables erreurs dans sa vie, comme d'avoir une relation sexuelle

Avec la meilleure amie de ma mère, Marguerite, mineure,

Dans cet accident pas mineur mais à l'état majeur,

Dont ces déviances à répétition,

Se multiplièrent en contusion et en contagion 

Dans son existence

Jusqu'à la mienne, pucelle et la parcelle, de ma mère de par sa violence,

En démence dans l'offense et la défiance,

Dont j'accuse maintenant, les coups et les remontrances,

De toutes ces insignifiances

Aux yeux des autres,

Qui ne me comprennent,

Et ne me soutiennent,

Comme des étrennes,

Sans Dieu et ses apôtres,

Qui ne demeurent miennes,

Lorsque mon grand-père maternel eut un problème cardiaque,

Son entreprise déguisa son licenciement caché,

Dissimulé par un changement insidieux et soudain d'enseigne,

Pour que mon grand-père en saigne

Dans les regrets et les difficultés,

Sulfureux et refoulés de son passé,

Qui remontèrent à la surface en marquant son renvoi par cette pseudo incapacité,

A retravailler mais ulcéré,  il attaqua la société aux prud'hommes,

Dont il perdit le procès en prude homme en somme,

Mon grand-père à la suite de ça,

Décrépit et s'étiola dans le trépas,

De l'encas  au cas social 

Dans la déchéance et à la tragédie inexorable,

D'où sa neurasthénie le dépérit et le perdit,

Du plus petit au plus grand sans répit,

Et de par le dépit, d'une vie

Nourrie de remords et de fautes commises d'avoir raté sa vie de famille,

Et d'homme, à la faucille

Et au marteau dans la folie irréconciliable 

Des âmes damnées, condamnées et cabossées,

Sans arrangement à l'amiable,

A bout de force, il tenta dans son premier essai

Infructueux d'attenter à sa vie, en entraînant avec lui sa femme, ma grand-mère,

Atteinte de la maladie D'Alzheimer,

En allumant le gaz pour faire exploser la chaudière

Et la pétaudière,

Donc au final,

Détonner au clairon

Leur chaumière

De relique de maison

A la réputation incendiaire,

Accolée à celles des voisins,

Et de ce fait, mon grand-père très scrupuleux ne voulant pas que son destin

Se répercute et implose ceux de ses voisins, pour ne point les mettre dans le pétrin,

Avec un coup de tonnerre

De sale colère,

Au sale festin,

Appela de son salut

Le SAMU,

Pour éviter un drame humain,

Et ainsi, il fut hospitalisé avec ma grand-mère,

Mais pour ne pas finir en psychiatrie,

Il feignit

Au médecin,

Une façade

En escalade,

De soudaine vitalité et vivacité ragaillardies,

Alors qu'il n'en fut rien,

Et sortie de l'hôpital,

Quelques temps après, il récidiva pour la seconde fois fatale

Et qui fut la bonne, car il réussit à se suicider

Sans se rater,

Le jour de La Saint-Valentin, le 14 février 1995,

Une balle dans la tête,

Comme son père découvert par lui,

Il fut trouvé mort par son fils,

Le crâne fracassé et tracassé

Par les rudiments d'une vie et de ses soucis,

Ainsi, le fil s'emmêla

Dans ces sinistres aléas,

Et le fil des liens se rompit à l'âge bête,

Des vivants et des morts-vivants,

Où ma mère mourut de son cancer,

Le 20 septembre 1998, à l'aube de ses 50 ans,

Jamais remis de ce décès 

A en crever l'abcès,

Comme si le présent été d'hiver,

Monotone et avarié, 

Comme mon oncle, le frère

De ma mère,

A tout jamais marqué

Et remarqué 

Par ces déconvenues et ces camouflets,

Où pour se préserver

Et se protéger,

De cette famille maternelle au sanctuaire naufragé,

Il décida de couper les ponts avec moi et ma soeur,

Et ma grand-mère disparut en janvier 1999,

De la maladie D'Alzheimer,

Dans un jour neuf,

Pendant que moi, je dis quoi de neuf

Docteur  ?

Où j'essaie de mal en pis,

De me reconstruire de toute cette malédiction,

Et de ces néfastes divinations

Morbides où je prends des rides,

Car il n'est que trop temps,

Que je lâche la bride,

Pour revenir au présent et imaginer un si possible bienveillant futur,

Dans une vie meilleure

Compatible avec le bonheur,

Dans la nature de la verdure et loin les ordures

Ennemies qui ont jeté ma famille et moi en pâture,

Pour resplendir dans une vie amie en de belles aventures

D'un chemin jalonné de confiture

Fraîche et délicieuse portée par une dynamique rabibochée

De merveilleuses et saines habitudes,

Où la foi deviendra coutume

En surpassant l'amertume,

Rhabillée par un joli costume

Du présent en présent d'un printemps,

Dans l'air du beau temps.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                 

                                                  Citations  :

 

 

 

1)  Celui qui vote Marine Le Pen aux élections, est de toute manière étranger à tout ça  !

 

2)  Même un génie de l'orthographe commet des fautes dans sa vie  !

 

3) Un gars imparfait conjugue son existence à contre-temps du présent !

 

4)  Un villageois qui se présente à une élection municipale fait campagne !

 

5)  Tous Les Français ne vivent pas en Amérique car La France est dans un état désuni  !

 

                                   

                                            Jérôme de Mars

 

Y a du cinéma  !

 

Avec la bande

En contrebande,

Y a du cinéma

Moteur action qui t'embobine,

Où tu filmes avec tes bobines,

La mise en scène de tes faux pas

Au cinéma,

Car y a du cinéma

Que tu déjoues appât

Dans la vie,

Mais que tu joues en un pas

Dans l'envie,

Devant l'objectif

Où tu n'es subjectif,

Car tu préfères la joue en repas

Derrière ton objectif,

Où tu es subjectif

Et suggestif

En rectificatif,

Car y a du cinéma

Face caméra

Et y a de la voix,

Face à la voie

Si ton karma

Affiche la foi,

Pour tourner la page

D'une nouvelle mise en images,

Car y a du cinéma

De la caméra à l'issue sans voie

De ta croix,

Si tu entrevois

Les étoiles défilantes

Et brillantes,

Du cinéma bien au-delà 

De la joie,

En l'état sur le mas

Provençal du cinéma 

De Pagnol,

A la farandole

Inoubliable de l'envol

Des rossignols

Qui scande coupez sous la coupe

Finale du groupe.

 

Jérôme de Mars

Mon ami Christophe

 

En amis limitrophes,

Je t'écris cette strophe,

Mon ami Christophe,

Même si notre amitié s'apostrophe

Parfois sans se comprendre

Toi et moi,

Car avec mes tracas,

Ca arrive que nos conflits 

Te font méprendre 

Sur ma sincérité

Et mon honnêteté

A ton égard,

Bien que notre amitié s'égare

Toutefois dans le brouillard

Des zones d'ombre de mon côté zonard

Et de ma réputation de renard,

Mais tu sais Christophe, je t'apprécie beaucoup

Depuis très longtemps par dessus-tout,

Tu es mon seul et unique ami

Au travail,

Qui vaille 

Le coup en atout

D'un va-tout,

D'une amitié unie avec des orties

Tant bien que mal car quelquefois,

Elle est ternie

A contrecoup,

En fonctionnant avec des si,

Et avec les aléas,

Surtout de moi,

Mais sache,

Que j'enterre la hache

De guerre,

Même si naguère, je n'ai pas mesuré

Toute la consistance de ta valeur

Et de ton honneur,

En t'ayant comme ami,

Avec des vannes et des défis,

Qu'on se lance 

Comme des lance-pierres

Et qu'on s'élance

A les relever, moi, le lâche

Et toi, le sage,

Même si on est de passage

Sur Terre,

Et que certaines fois,

On ne s'est pas toujours compris

Au prix appris,

De notre amitié aux failles

Qui causent son déclin sur la paille,

Mais tiens-le toi,

Pour dit,

Nous sommes de bons amis,

Malgré nos différences

Et nos références,

Tu fais partie 

De mes meilleurs amis,

Précieux bien plus que tu l'aies compris,

Tu en vaux la peine

Comme ami et allié,

Même si je te parais comme ami fou allié

Et schizophrène,

Tu es le rare ami dans le sérail

A me parler au travail,

Je trouve que tu es quelqu'un d'intéressant

Et d'intelligent avec un parfait dosage de discernement,

Et ouvert, 

Car toi et moi, on est complémentaires,

Elémentaire, 

Mon cher Christophe,

N'est-ce-pas  ? !

Où je referme la strophe,

Toi, mon pote

A la compote,

Vaille qui vaille

Aux entrailles,

De notre grande amitié,

Certes mais quelque peu compliquée,

Et très dévouée

Et vouée,

Je l'espère

Au bout de l'itinéraire

De l'éternité,

Au fil des années passées

Qui se seront succédées

A une arrivée de fraternité,

Dans le respect de la réciprocité

Et de la paix,

En véritables personnes solidaires

De notre amitié,

Dont je souhaite qu'elle se renoue

Entre nous,

D'antan et maintenant, car plus on est de fous,

Plus on rit,

Tellement que notre amitié

S'enrichira en ta compagnie,

A n'en plus finir

Et au-delà les plaisirs,

Christophe, mon cher ami.

 

Jérôme de Mars

Les yeux du ciel pleurent

 

Après le soleil,

Crépitent aux mille et une belles

Mélodies, tant pis et puis,

Une pluie au puits enfoui,

Enfui dans un lit désuni

Et réuni pour un deuil,

Où les yeux du ciel pleurent

Seuls au seuil

Des bleus à l'âme au coeur,

Quand le chagrin trébuche

Les larmes des orages dans le déluge,

Des nuages gris et grincheux

Et gravite la colère du plafond du ciel,

Loin d'être chaleureux

Au sommet du fiel,

Qui règne dans la ballade

Des anges démoniaques,

Qui ont la niaque aphrodisiaque 

Par leurs contrastes en dérobade,

Car après le soleil,

Vient la pluie fontaine qui s'amoncelle

Au grain de sel

Qui s'épelle,

Lorsque les yeux du ciel pleurent

Dans la peur

Et meurent aux lumières de liqueur,

Au coeur de l'honneur

Du gris et du bleu fureur,

Hauts les hauts-parleurs,

Lorsque les yeux du ciel pleurent

Aux larmes de grandeur,

Fétiches et chiche

Avant qu'arrive le soleil rieur,

Avec davantage de ferveur

Dans la chaleur 

De l'amour en coeur

Qui se défriche,

Lorsque les yeux du ciel songeurs

Effleurent les fleurs

D'un eldorado pacificateur,

En phase d'une pléiade de bonheur

Purificateur et évocateur,

D'un ciel bleu rêveur

Tendrement âme soeur

A bonne entendeur.

 

Jérôme de Mars

Saga-cité

 

Dans ma saga-cité,

J'habite la cité

De complexité,

Avec la smala excitée

De ma vocation suscitée,

Dans la cité

Que j'ai récitée,

Dans la saga-cité

De ma cité,

Dont j'ai fait la publicité

Avec véracité

Et voracité,

Dans la saga de la cité

Aux occasions en félicité,

Dont mon rap a récité

La cité ressuscitée,

Aux sons de ma mission suscitée

Dans la cité

De perplexité,

Que j'ai excitée 

Et incitée 

Avec les concerts de ma réciprocité,

Que j'ai clamée en atrocité

Et en saga-cité

Dans ma saga citée,

Avec ma réciprocité Incitée

De ma cité en félicité,

Félicitée dont j'ai fait la publicité,

En saga récitée

Sur la cité ressuscitée

De la saga-cité

En complicité.

 

Jérôme de Mars

 

Karaoké

 

Au quai,

Je te fais chanter

O karaoké,

OK

Et oko,

Car ça tombe à l'eau

Mais si t'as le hoquet

Sur glace, tu seras ok

Sur gazon du ko,

Au karaoké,

Avec ton pote

A la compote,

Où oko,

Tu seras ok

Et ko,

Pour le prochain karaoké

Ok et au koù,

Car plus on sera de fous,

Plus on rira avec ton pote

A la compote,

Au karaoké et oko,

SI jamais okoù.

 

Jérôme de Mars

 

En deux maux

 

Cher Serge, toi le seul,

A me comprendre

Sans te méprendre,

Même si les écueils

Je les cueille

De par ma cote,

Qui s'écorne 

Où les fausses notes 

Ornent  avec discorde

Mon farouche discrédit,

D'aller avec mes cris

Pour concevoir un recueil,

Et éventuellement  voir 

Si ça leur plaira de le lire sur leur fauteuil,

En espérant vivement que ces histoires

Recevront un bon accueil,

Pour recevoir en exutoire

Tout le fruit de mes poèmes,

Tel le reflet de mon miroir de bohème,

Où en deux maux,

J'ai dans la voix des trémolos

A te les raconter par défaut,

Car je me sens en porte-à-faux,

Pas loin de prendre la porte de mon travail

En me jetant sur la paille malgré mon éventail,

Comme une personne mi-enfant, mi-adulte,

Avec cet immense tumulte,

Je suis prêt à envoyer la catapulte

En deux maux,

Où avec mes problèmes en métaux,

Je perds mes amis et mes idéaux,

En me fourvoyant dans la médiocrité héréditaire

De  cause à effet en reproduisant la lettre testamentaire,

Du parfait fils de sa mère incendiaire

Qui en tant qu'indigne rejeton, recommence les erreurs,

Du passé avec tant d'ardeur dans l'aigreur que j'entretiens 

Mes malheurs propices avec sans doute aucune volonté  de bonheur

Comme si la colère allait de père avec le mal de mère dont j'use à l'usufruit,

Des ruptures amicales, familiales et fatales, les unes après les autres,

Comme si l'enfant de son hystérique belle maman naturelle

Avait pour séquelles les vestiges d'une vie en décomposition plurielle,

Où il faudrait que je sache si je veux m'en sortir ou périr dans l'enfer

Des buissons et des arbustes pleines de belles épines, à m'en cocufier mon triste itinéraire,

Où maintenant, je n'ai plus d'excuses même si je m'en sers avec ruse pour justifier mes écarts,

Où tout le monde en a marre de mes retards aux rencards, car pour certains je suis un renard 

Doublé d'un tocard, avec des cocards pleins les retournements de vestes à l'étoffe d'un vilain tricard,

Où en contagion à force de provoquer une allergie à mon égard, on a un mauvais regard

Sur moi, le vilain petit canard qui joue au pseudo-zonard qui n'a d'égal que la gale d'un régal

Dans l'indifférence des gens criants de sévérité et en vérité qui en déduisent que j'en deviens un gros frugal,

En baisse de régime, qui se laisse aller dans la facilité et qui en arrive au seuil du danger,

Où le jour, où tout le monde découvrira ma véritable nature, mes amis et ma famille déguerpiront en pied de nez,

A mes inepties et à mes intempéries dont la foule s'affranchit avec un affront en déraison du complexe d'Oedipe,

Dont je fus le disciple de ma défunte amère auquel de par son souvenir, je m'agrippe et je m'effrite,

En ne lâchant la bride de mes ecchymoses refoulés du passé oppressé de ma mère et reportée sur moi à un quitte

Ou double, je redouble ou je double mon passé pour passer au présent d'un meilleur présent vite 

Et bien pour que le besoin évolue en une quantité d'envie porteuse d'une dynamique d'espoir,

Avant qu'il fasse à nouveau noir, les jours de grands de brouillard, inspirateurs de textes sur papier buvard,

En priant Dieu et les cieux, pour que ces gênes héréditaires et occasionnées de ma mère, ne soient réfractaires

Sur les enfants moi l'enfant maltraité, persécuté et malmené par ma mère et que je ne cause de troubles soucis

A mes amis si un jour avec leurs enfants, ils sont amenés à être pères, avec l'ultime souhait que ce ne soit impair,

Et qu'à cause de mon passé pernicieux, aux travers enfouis, pervers et sadiques entre mère et fils, que ça ne se répercute 

Sur les enfants de  mes amis pour les garder et les sauvegarder et que ça ne percute les gens et provoque un vide d'amis enfui

Dans un dense gâchis pour que le tout se permute

Afin que le fil de mon histoire se démêle et défile dans l'espoir d'y croire à nouveau,

En bloc d'alliés et d'amis car l'union fait la force,

Si bien qu'elle désamorce l'écorce sensible de mes racines et qu'elle me redonne sans que ça ne se corse

En deux maux, la machine à produire des plaisirs sans médire

Mais pour exprimer mes dires, de mon salut

A vous tous et bienvenue sur la croisière de mon récit qui tombe à nu 

Sur le bateau imaginaire ardu  à la destination inachevée et irrésolue au fond dissolu.

 

Jérôme de Mars

Le soleil show

 

De par sa superbe,
Le ciel tire-au-flanc ne se coupe
Sous le pied l'herbe,
Verte et fertile  à la découpe
Papier mâché à bon marché,
Dans le catalogue démarché
Qu'on redoute au bleu marine,
Joueur de mandoline,
Le trésor témoin du froid au chaud,
Quand le soleil show
Passe du slow au tango
De la java rock avec le mambo
Rétro techno au Trocadéro,
Quand le soleil show
Devient la principale machine électro,
De la scène bleu, blanc, rouge
Aux couleurs de Montrouge,
Qui noient le poisson rouge,
Dès le firmament bel eldorado
Qui se trémousse et se bouge,
Quand le soleil show
Brûle de sa fièvre jaune en gros
Et au détail des montagnes rousses,
Lorsque la définition dico Larousse
S'écrie chez Boris, c'est soirée disco
Et chez Jérôme, c'est soirée déco,
Car le dico, le disco et la déco
Se lient et se liguent
Hein en artificiels soleils beaux de ligue
1, de foutre balle et en première digue
Qui brasse d'échos
Et s'embrasse du soleil slow en rétro,
Au soleil show, où il fait beau
Aux lumières électrogènes
Des fantasmes et des éclats hallucinogènes,
Grâce aux lampions et à leurs graines
De champions qui égrènent
Du soleil chaud extra
Au soleil show nec plus ultra.
 
Jérôme de Mars

 

                                               Blagues  :

 

 

1)  Pourquoi n'as-tu pas voté Macron au second tour des présidentielles   ?

  -   Parce-que pour toi, c'était une démarche  !

 

2)  Pourquoi ça tient toujours debout au plus grand festival annuel et mondial du cinéma en France  ?

 -   Parce-que c'est le festival de cannes  !

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

Le bruit et le calme

 

Au sommaire

Entre deux vents contraires

Et sommaires,

Responsables et extraordinaires,

Il y a deux variantes

Conciliantes et récalcitrantes,

D'abord le bruit qui arrondit

Les sangles et mobilise les sens interdits,

Et tantôt le calme monogame,

Qui obtient la palme de l'amalgame

De la pièce générale à l'ambiguïté statutaire,

Qui s'anoblit en confessions polygames,

Subversives et héréditaires,

D'ébats de gamme,

Lorsque les valses émotives

Captivent l'auditoire aux paroles intrusives,

En aimables parodies,

D'un ni-oui, ni-non très largement favori,

Où le bruit tombe en bris de glace

Qui fustigent la masse à la ramasse,

Tandis que le calme clame

Son innocence au péché des pieuses prières,

Dans l'alternance de la comédie au drame

De cette trame en deux volets,

A mi-clos et à huis-clos envolés

Ainsi et alors vers les ultimes fruits,

Du travail presque à l'usufruit

Défendu du bruit et du calme,

Qui méritent la palme

Du vice et de la vertu,

Parmi la clameur du silence absolu

Du bruit et du calme,

Avec leurs aventures en slam

Qui acclament,

Bienvenue aux individus

Sans bruit avec leurs palmes,

Les pieds dans l'eau

Brio bravo,

Et cocorico

Du festival du calme.

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blagues  :

 

 

1)  Pourquoi n'as-tu pas voté hier   ?

 -  Parce-que t'as trouvé que le vote était nul  !

 

2) Qu'est-ce-que ça fait une commémoration du 8 mai le lendemain d'une élection présidentielle   ?

 -  C'est mené tambour battant  !

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

 

                                   

 

                                                 Blagues :
1)  Pourquoi pour le deuxième tour des présidentielles, ni Macron, ni Le Pen   ?
  -   Car de toute façon, ce sera la banqueroute en France !
2)  Qu'est-ce-que ça fait si on s'en fout de la confrontation Macron /  Le Pen  ?
 -   On s'en débat  !
3)  Pourquoi en a-t-on plein le cul par avance du débat Macron  /  Le Pen   ?
 -   Parce-qu'il n'y a pas d'ébats sexuels  !
4)  Qu'est-ce-que que tu ferais Catherine si tu enseignais la peinture Aux Beaux-Arts et que tu voulais enlever une erreur et la corriger  ?
 -   Tu effacerais le tableau  !
                                           Jérôme de Mars

A la quête des voyages littéraires

 

A la croisade des époques baroques,

Le folk et le funk s'unissent

Et se conjuguent aux vertiges de la glisse,

Sur des horizons qui se recréent en stock

A la quête des voyages littéraires,

En conquête de Jacques Prévert,

Et en requête de Charles Baudelaire

En maniant leurs styles sévères,

Ces vers, aux revers de Guillaume Apollinaire

Tantôt linéaires mais plutôt transposés dans notre univers,

Actuel loin d'être linéaire, à la frontière

De La Fontaine qui jaillit avec ses sincères,

Amis verres qui trinquent au dépôt de bilan des frères

Lumière à des années-lumière, plus tôt à l'ombre du bleu clair,

Car ils étaient sombres et amers, l'ombre d'eux-mêmes austères

A la quête des voyages littéraires,

Pour se forger une carapace en terre

Qui navigue dans une croisière nécessaire,

Au rétablissement des frontières

Des poètes incendiaires, solaires et lunaires,

Car malgré tout, ils restent des lumières

Même s'ils ne demeurent frères,

En se hissant au niveau des mercenaires,

De l'écriture fraîche et bipolaire

Dont la marque de fabrique,

S'étend au regard critique

De la quête des voyages littéraires,

Sur La Terre imaginaire et populaire.

 

Jérôme de Mars

Pourquoi le ciel est-il si triste   ?

 

Que d'antan, la création de l'univers sans triste

Distance l'alchimie avant-gardiste,

Lotie et très assortie dans sa réserve centriste,

Dont les nuages gris se demandent en maudits artistes,

A quel endroit le soleil roule sur la piste

Et se mélange à la pluie dans la liste du hors-piste,

Et pourquoi le ciel est-il si triste  ?

De l'arc puriste à l'art bouddhiste,

Dans cette floraison du contraste,

D'entre les saisons du faste et du chaste,

Et quand reviendront les journées hédonistes

A portée du christ,

A manier le rire pour remplir l'avenir

Des poches de nos futurs souvenirs à prédire,

Et pourquoi le ciel est-il si triste  ?

De l'arc passéiste à l'art futuriste,

Où dès que la pomme D'Adam

Réveille de sa sève,

L'élève Eve, elle le lève et l'élève

En vivifiant sa flamme de Don Juan,

Duquel il répond présent en l'embrassant

Par la trêve d'amour de cette voix suave qui se soulève,

Et pourquoi le ciel est-il si triste  ?

De l'arc féministe à l'art optimiste.

 

Jérôme de Mars

 

                                            Blague  :

 

 

 

   Pourquoi es-tu distant avec moi   ?

   -   Parce-que je suis à des années-lumière de toi  !

 

 

                                    Jérôme de Mars

T'es olé  !

 

Thé citron pressé

Au lait,

T'es olé 

Avec le ukulélé,

Avec ta tasse ôtée

Olé au lait,

Où tu provoques un tollé

Rameuté par ton mollet,

Qui te fait défaut

Pour de faux,

Où t'es olé

Olé au lait,

Avec ta tasse ôtée

Olé au lait,

Dont tu insuffles un arôme frais

Près de ton souffle siroté,

Prêt à avaler une gorgée,

Quand t'es olé

Olé au lait,

Avec ta tasse ôtée 

Olé au lait,

Où tu déclares de ton palais

Parlé olé au lait,

Que de ton franc-parler,

Tu en joues avec le ukulélé

A huer olé

Dans un tollé,

Quand t'es citron pressé

De ta tasse ôtée

Olé au lait,

Empressée d'en rajouter

Otée olé au lait,

En provision au lait,

Où t'es ôté

Olé

Pour toujours au lait,

D'où t'es au thé,

Décompressé de le couler

Et de l'écouler,

Roté pour un tollé

Olé au lait,

Quand t'es citron au lait

Olé au thé olé

Compressé au lait. 

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blague  :

 

 

 

1)  Pourquoi de Hollande, n'aimais-tu pas en faire tout un fromage  ?

 -   Parce-qu'Hollande n'était pas ton fromage président  !

 

                   

                                          Jérôme de Mars

                                                 Citations :

1) Attention, plus personne ne fait attention à personne !

 

2) Le monde n'est plus clair car tout le monde s'embrouille !

 

3) Dans notre époque moderne, les êtres manquent d'intelligence car ils ne cultivent plus leur jardin secret !

 

4) L'égoïsme est à portée de soi !

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

 

                                                 Blagues  :

 

 

1) Pourquoi Jonathan, hier m'as-tu dit que c'est moi qui vois et que je suis maître de mon destin ? 
- Parce-que tu m'en a mis plein la vue toi hier Jonathan, le contremaître !

 

2) Pourquoi Jonathan, tu es énervé et tu t'en fous de tout ?
- Parce-que tu as des conflits d'intérêt !

 

 

                                               Jérôme de Mars

Poème tintin

 

Au teint

Hautain

De ce même refrain,

Le poème a enfreint

Et semble devenu

Un poème tintin,

Où il n'y a plus rien

A rapporter

D'un statut

Reporter,

Sur la couche d'ozone globe-trotter

Et fourbue

De la planète Terre,

Où le ridicule tut

Les paroles d'un journal papier,

Statu quo et ex aequo

D'un héros qui vire au chaos,

Des critères qui tombent derrière

Les oeillères de vers,

Qui filtrent les ex messages,

Pas sages, passés en revue de presse

Qui presse et s'empresse

En causant du remue-ménage dans l'attelage,

De cette tâche 

De travail qui tache

Le poème tintin,

Traité comme un chien 

Mi-loup d'un rien

En vaurien,

Qui se tient 

Par le bout de la main

De ce poème tintin,

Perdu dans son quatrain

Du quatre en un,

Sans entrain

Mais sans louper le train,

Qui passe direction Enghien,

Au gain du regain,

Où en Saint,

Il voue un culte au sein

Du buste de Marianne,

A l'article de l'amour du journal en panne

Qui vanne

Ce poème tintin,

Teint et déteint

D'un rien

Dans un autre registre en pétrin,

Où quand Tintin agit en maître de son destin,

Il atteint non en vain

La date du vingt,

De ce mois-ci vraiment bien

Qu'il met le frein,

En appât divin

Et devin de ce poème tintin,

Qui se remplit à l'instinct

Distinct

En super trop plein

Et en tremplin,

Au teint

Hautain

Peint et repeint,

Et renouvelé enfin

Au parfum

De cet esprit fin.

 

Jérôme de Mars

 

                         

                                                Blagues  :

 

 

1)  Pourquoi Catherine, esquisses-tu différentes sortes de peinture   ?

  -   Parce-que tu joues sur tous les tableaux  !

 

2)  Que dira-t-on de toi papa, si tu obtiens le diplôme de plus grand patient de France  ?

  -  Que t'auras réussi tes examens de santé  !

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

 

                                         Fais-moi signe  ! ?

 

 

   < <   -  "  En ouvrant les guillemets, je mets les points sur les i en faisant le point avec toi, où avec mes points d'interrogations, je m'exclame à la virgule près sur tous ces points de suspension, dont je mets le tréma entre parenthèses, malgré l'accent grave que prennent les choses circonflexes, avec mes crises aiguës, ou en points d'exclamations, je te dis :  -  "  Fais-moi signe ", que je ponctue en refermant les guillemets dans ce monologue, où j'ai tiré un trait définitif sur toi, point barre.  " > >  .............

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

                                                   Blagues  :

 

 

1)  Pourquoi suis-je à couteaux tirés avec Christophe   ?

  -  Parce-que mon amitié avec lui se déchire avec une lame de couteau

 

2)  Qu'est-ce-que ça fait Christophe, l'asiatique qui devient agressif et violent  ?

  -   Un nunchaku

 

3)   Pourquoi Christophe s'énerve t-il fréquemment et dit-il souvent je m'en fous   ?

  -   Parce-qu'il y a un conflit d'intérêt  !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Faisons le plein d'amour 

 

En ces difficiles jours

Qui battent le tambour,

De la haine sur la plaine

Au point culminant d'une douleur vaine,

Pour ranimer les troubadours,

Faisons le plein d'amour,

Pour remettre le plein des sens

Et raviver la puissance et la jouissance

Du printemps moteur,

Comme au bon vieux temps du bonheur,

En ces relations brutales

Entre les passants

Qui préfèrent le mal

Au printemps,

Pour ranimer les troubadours,

Faisons le plein d'amour,

Pour remettre le plein des sens,

Et raviver la puissance et la jouissance

Du printemps moteur,

Pourvu que dans l'ensemble,

On s'assemble et on se rassemble 

Dans la chaleur du bonheur mobilisateur,

En notre temps du chacun pour soi,

Qui nous envole vers un manque de foi,

Il faudrait recoudre le printemps en soie,

Et le distribuer dans la douceur d'un toit,

Où tout le monde se couvrirait en joie

Dans un lit d'amour,

Pour ranimer les troubadours,

Avec cela,

Faisons le plein d'amour,

Pour remettre le plein des sens

Et raviver la puissance et la jouissance 

Du carburant du printemps moteur,

Aimant et diffuseur

D'amour dans son élément,

Dans l'alliance du bonheur 

Avec un coeur en fleurs,

Au fil du courant passant.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                              Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-que j'ai du mal à te faire marcher Jonathan avec mes histoires qui ne tiennent pas debout ?
- Parce-que ça te fait une belle jambe Jonathan !

 

 

 

                                      Jérôme de Mars

 

                                          Blagues :

 

1) Pourquoi Lionel, ne réagis-tu pas à mes sms ?
- Parce-que mes questions restent sans réponse pour toi !

 

2) Pourquoi Brigitte, ne pouvais-tu pas aujourd'hui boire un café avec moi ?
- Parce-que ce n'est pas ta tasse de thé comme je ne te proposais pas de le boire dans un salon de thé !

 

3) Pourquoi Brigitte, ne vas-tu pas au théâtre avec moi ?
- Parce-que t'as peur d'y aller en pièce détachée avec moi !

 

4) Pourquoi papa, ne me fais-tu jamais manger avec ta copine le dimanche ?
- Parce-que tu vois ça d'un mauvais oeil !

 

5) Pourquoi Alexandre, ça fait longtemps que tu ne nous appelles plus ni moi, ni Adel,ni Guillaume et ni Christophe ?
- Parce-que tu as perdu le fil du contact comme tu nous appelles de ton portable !

 

 

                                         Jérôme de Mars

Solitude dans la lune

 

En prélude à l'une,

La providence fragile franchit les dunes,

Dès les prémices lunatiques du soleil fluctuant

En bazardant la montagne de plénitude

Dans une traversée du désert qui affuble pendant l'interlude,

La solitude dans la lune, de l'une à l'urne des cendres

Bien évidemment, qui envoient se répandre,

Les débris de fumée sur grand écran

De la télévision au cinéma instantanés,

Et en simultanée lorsque le soleil gèle l'une

En une à l'humeur bipolaire de la lune,

Du chaud au froid polaire 

Durant la solitude dans la lune au clair,

Du sud au nord en adoptant une bonne altitude

Aux origines très mobiles à la frontière,

Du terre-à-terre lunaire, 

Quand la solitude dans la lune solaire dérive en études

Secondaires trop classe qui éludent,

La source des matières premières,

Tant et lors que le soleil se lève à l'une

Dune part à la une,

De la lune au soleil incendiaire,

Où l'une éclipse le soleil

Dans l'ombre du clair,

Qui sombre dans une profonde lumière

De la lune au soleil,

Dans un réparateur sommeil

De cette merveille fantastique,

A l'issue de l'éclipse solaire et lunatique.

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blagues :

 

 

1) Pourquoi ne passe-t-on jamais de pommade avec moi ?
- Parce-que je ne suis pas une crème !


2) Pourquoi François Fillon a-t-il été battu aux présidentielles 

- Car à force qu'on lui taille des costards sur ses affaires !

 

3) Que dit-on d'un ami séropositif qui se préserve de moi ?
- Que mon amitié avec lui capote comme je suis négatif !

 

 

                                     Jérôme de Mars

                                                 Blagues  :
1)  Pourquoi y aura-t-il une guerre civile en France si le front national arrive au pouvoir ?

- Parce-qu'il y aura l'intervention de l'armée avec la marine !

 

2)  Pourquoi Le front national est-il à nouveau qualifié pour la finale en 2017 comme en 2002 ?

- Parce-que Marine Le Pen veut refaire un tour en France !

 

3)  Que dit-on d'un électeur qui dit à son ami qu'il ne connaît pas les résultats du premier tour des présidentielles alors qu'il a voté Macron ?

- Il a fait marcher son ami car il a voté en marche !

 

                                   

                                       Jérôme de Mars

Six pieds sous terre

 

En montée d'adrénaline

Avec le volume au débit,

Je mets en sourdine

Les on-dits,

Qu'on véhicule

A mon sujet du comble du ridicule,

Avec cette comptine noire,

En hymne dont je me sers

En vers d'exutoire,

Car j'écris ces vers, ces revers

Avant qu'on me tire les vers

Du nez et que je me retrouve 

Comme une louve,

Que personne ne couve

Six pieds sous terre,

Quel pied élémentaire,

Où je serai aux aguets à taire

Comme une quille qu'on renverse sans béquille

Avec moi sur la quille à l'esprit tranquille,

Où je n'aurai plus de sbires pour me dire,

Me médire et me maudire

Toute la saga cité et les quatre vérités viles

Dans la ville, 

Où je vacille

Avec la faucille facile,

Six pieds sous terre

A pourrir 

Avec les vers

Du nez, qu'on me tire

Avec l'ire

De ma colère,

A lire et à relire

Lyre des revers qu'on me ressert

A longueur de journée,

Où je voudrais tant que ma vie

Se dévie,

Ajournée 

Dans la réincarnation de l'eau bénite,

Où les non-dits mureraient en plaisirs

De choses inédites

Qui me donnent le devis,

Vis-à-vis d'une vie meilleure

Avec davantage de valeurs et de saveurs,

Où je mourrai six pieds sous terre,

Au rappel de ma mère

Pour la pérennité salutaire

De mon âme délétère,

Loin de la terre

Et assis pieds game over.

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blague :

 

Que dit-on de quelqu'un qui n'a pas de bol ?
- Il boit la tasse !

 

                            Jérôme de Mars

 

                                                    Blagues  :

 

 

1) Pourquoi Le PSG a-t-il gagné en toute discrétion hier en ligue 1 ?

    - Parce-qu'il a gagné en Metz basse !

 

2) Qu'est-ce-qu'un attentat terroriste sur la plus belle avenue du monde à Paris  ?

   -  Les champs d'action

 

                         

                                         Jérôme de Mars

Boire des paroles sobres

 

Comme un moulin à paroles

Dix vins,

On soûle les guignols

Aux acolytes de bouteilles devins,

Quand les alcooliques malpropres

Ont la colique

Névrotique et frénétique,

Ivres dans l'oubli

Et le déni

De leur addiction,

Car demeure salée l'addition

Au comptoir des brèves histoires

De racontars et de bobards,

Où ça nous soûle

Qu'on s'enivre en prenant

De la bouteille,

Et qu'on se roule

Dans l'oseille

Des faux sans blanc,

A voir rouge en quelques verres,

Où l'on se ronge les sangs

Dans les revers

Des épreuves de la vie,

Où notre défi

Consistera

A arrêter

Les frais,

Mirobolants et consistants,

Pour revenir au frais

Et boire aux frais

Des paroles sobres,

En affrontant les aléas

Avec notre bon-vouloir,

Sans être les faire-valoir

De l'alcool à flot au comptoir,

Où comme ça,

On se débarrassera

De notre décadence

Et de notre dépendance

A la bouteille patronyme ,

Où l'on se met en abîme,

Pour simplement,

Redevenir un acolyte anonyme

Avec ses amis synonymes,

D'une pléiade d'espoir

Avec que des belles histoires

A trinquer

Et à boire des paroles sobres,

Au propre

Comme au figuré,

Figurées dans la modération

Des boissons

Et des mots

Divins

A l'eau.

 

Jérôme de Mars

C'est le bouquet  !

 

En ce joli printemps

Du muguet du mois de mai,

Les fleurs par milliers

Se trémoussent

Et se moussent,

En écumant la tournée

Des banquets au complet,

Quand la rousse couleur définit le ruban

Bleu blanc rouge,

Car c'est le bouquet

Qui bouge

Et qui voit rouge,

Dans le nectar

De la crème futée

Au milieu de nulle part,

Quand les violettes

En accomplissant

La danse de Saint-Guy,

Bourdonnent la chansonnette,

En cherchant l'aiguille

De velours dans une meule de foin,

Si bien que les roses

Partent loin au bout du festin

A portée de main qui creuse,

De La Meuse

Aux paysages des marguerites

Qui déposent en osmose,

L'hymne intrépide des pétunias décrites

Sur le reflet des cailloux

A genoux dans le courroux,

Des tulipes dont la goutte

De trop déborde le vase

Avec la vase 

Du marais qui dégoûte,

Les revers des mirages

Aux fragiles barrages

Comme c'est le bouquet

Au temps des jardins secrets et édulcorés,

Au pied de la montagne sacrée

Et désacralisée,

Où les animaux bestiaux

Semblent sauvages

Et en sevrage

Le bec dans l'eau,

En renards 

Affûtés et zonards

Dans l'île portique

Et platonique

Des éléments minéraux

Et libéraux,

De la rivière d'argent

Découlant de sa pluie torrentielle,

Avec le grondement du courant ignorant

Et substantiel,

Dans l'hypocrisie du silence 

Ambivalent pivotant avec l'insolence

Du vent éreinté,

A la magnitude simulée

En allégeance avec le larmoyant moyennant

Des larmes bon enfant,

Se rappelant en évoquant les souvenirs

Des dires

Des parents d'antan,

Aux cinquante balais d'avant

Et des précieux instants,

Car c'est le bouquet

Offert à la chaîne

Du canal il y a bien longtemps

Très ardemment,

Dans le jardin d'Eden.

 

Jérôme de Mars

Je nique  !

 

Unique

A Pornic,

Symphonique

Et cynique,

Je nique

Philharmonique,

Je fornique

Pharaonique,

Et je panique

Platonique,

Car je nique

Ironique

Et satanique,

Où je pique-nique

Electronique 

Et supersonique,

Comme Monique

Unique

A Pornic,

Symphonique

Et cynique,

Qui nique

Philharmonique,

Qui fornique

Pharaonique,

Et qui panique

Platonique,

Car elle nique

Ironique

Et satanique,

Où elle pique-nique

Electronique

Et supersonique,

Comme Dominique

Unique

A Pornic,

Symphonique

Et cynique,

Qui nique

philharmonique,

Qui fornique

Pharaonique,

Et qui panique

Platonique,

Car elle nique

Ironique

Et satanique,

Où elle pique-nique

Electronique

Et supersonique,

Où je nique

Et je fornique

Platonique

Avec Monique

Et Dominique,

A Pornic.

 

Jérôme de Mars

Clair  / obscur

 

Au matin de lumière

Des bleus en cieux

Du soleil clair,

Le temps inouï

M'ensorcelle

Avec un zeste de zèle,

A l'arôme de citronnelle

Au rouge vermeil

Qui me tient en éveil

Depuis la veille,

De l'oseille 

Du ciel,

Où je suis au clair

Sans éclairs

Côté lumière

Chère de ma chair,

Avant la pénombre

De la lune de nuit

Qui me nuit

D'un froid inuit,

Où je m'ennuie

Dans l'obscur

D'un bloc de mur,

Où la lune décroissante sombre

Au plus profond de mon ombre,

Où je suis l'ombre obscure

De moi-même côté nuit dans le dur

Des bleus anxieux,

Où côté clair,

Je reste dans la lumière

Du soleil

En éveil

Qui me réveille,

Et côté nuit,

Je nuis

Au sombre dur

D'un bloc de mur,

Dans la nuit 

De la lune en éclairs,

Dans l'ombre et la lumière

De la lune obscure

En armure

Jusqu'au matin clair,

De la lumière 

Qui m'éveille

Et me réveille,

Au soleil

Depuis la veille.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                               Blagues :

 

 

1) Pourquoi un obsédé sexuel invite-t-il son amie à fêter son anniversaire chez lui en soufflant les bougies ?
- Parce-que comme le jeu en vaut la chandelle, il espère qu'elle va lui souffler sa chandelle !

 

 

 

 

 

 

2)  Que dit-on d'un jour de pâques triste et noir  ?

 

 

 

 

-  C'est un jour opaque  !

 

 

3)  Qu'est-ce-que ça fait le dimanche 16 avril 2017 de cette année  ?

 -   Ca fait un ( oeuf ) neuf jour  !

 

4)   -  Veux-tu faire un resto avec moi pour bouffer  ?

      -   Ok bouffon  !

 

 

                                            Jérôme de Mars

    

 

                                           Brèves à en finir  !

 

 

1)  Christophe, l'asiatique, est au bout du rouleau de printemps dans ce monde qui le mène en baguette et qu'il nem car il se fait des sushis  !

 

2)  L'ESAT de Vitry privilégie le profit au détriment du social et de l'humain, ce qui fait que les agents de production en pâtissent, car L'ESAT de Vitry n'a pas choisi la bonne direction  !

 

3)  La politique, Les Français n'y croient plus, vu l'état de La France  !

 

4)  Les promesses des hommes politiques, Les Français n'y croient plus car il y a toujours des compromis  !

 

5) En France, c'est chacun pour soi, et les gens s'en foutent de tout, car ils font l'indifférence avec tout  !

 

6)  Les Français ne savent plus quelle direction prendre, ils sont complètement déboussolés car ils sont tellement à L'Ouest  !

 

7)  Jonathan n'aime pas le thé et préfère le café car ce n'est pas sa tasse de thé  !

 

8)  Le monde est noir car plus personne n'est tout blanc  !

 

9)  La France est une poubelle, car tout le monde se fait jeter  !

 

10)  En France plus personne ne se parle, car le silence est d'or et la parole est d'argent  !

 

11) Les gens n'ont plus d'argent et s'en foutent car il y a trop de conflits d'intérêt  !

 

12) Tout le monde me met en boîte car je prends de la bouteillle  !

 

13)  Tout le monde s'en fout de moi et y trouve de l'intérêt  !

 

14)  Tout le monde m'agresse verbalement et m'envoie promener car je suis le mâle  (  le mal  )  !

 

15)  Guillaume est cocu, car les femmes le trompent souvent  !

 

16)  L'ancien éducateur du CEREP qui est devenu un ami me demande  :

         -  A quoi sers-je  (  Serge  )   dans la vie  ?

 

17)  Dès qu'on me dit quelque chose, je m'emballe car je ne suis pas un cadeau  !

 

18)  Steven fait un tabac au nom d'une pipe  !

 

19)  En préface, Laurent, le moniteur de l'atelier conditionnement ne speede pas les agents pour le travail, car il se livre  !

 

20)  A chaque fois qu'Eric, le moniteur principal de l'atelier conditionnement n'est pas là, c'est le bazar dans l'atelier car tout le monde se dit bon débarras  !

 

21)  La fondation :  Les Amis De L'Atelier, devient lors du repas du midi  :

                               Les Amis Du Ratelier.

 

22)  La directrice de L'ESAT de Vitry, on l'appelle Dark Vador, comme à cause d'elle, l'ambiance à L'ESAT est noire, car c'est la menace fantôme  !

 

23)  Naguère avant c'était mieux, car maintenant, c'est la guerre  !

 

24)  En France, tout fout le camp car plus rien nous tente  !

 

25)  Dans la vie, on est obligé de se doper au négatif car si on se fait contrôler, on est positifs  !

 

26)  Le diplôme de L'ESAT de Vitry, on l'a dans une pochette surprise, car si on s'en fout, on passe indifférent  (  un différent  )  et compétent  !

 

27)  Ca nous soûle de faire Dugas car on prend de la bouteille  !

 

28)  L'atelier sous-traitance est conditionné au pire et c'est l'atelier maltraitance  !

 

29)  Aux bijoux, qu'il y ait du travail ou pas, les agents enfilent des perles  !

 

30)  A l'atelier conditionnement, il y a de l'huile sur le feu et personne ne s'entend car les agents se fritent  !

 

31)  A l'atelier conditionnement, personne ne me comprend car je m'embrouille avec les gens  !

 

32) A L'ESAT de Vitry, le monte-charge est en panne et c'est chacun pour soi car il n'y a pas de renvois d'ascenseur  !

 

33) Les agents fatigués de faire le travail des CVP, ont un coup de pompe  !

 

34)  Comme je suis quelqu'un qui a tardé d'arriver à l'heure tous les matins à L'ESAT, je suis attardé  !

 

35)  Quand je serai mort, on ne pourra plus me mettre en boîte !

 

36)  Un gars qui ne met pas la capote lors des rapports sexuels, veut se préserver des amis négatifs  !

 

37)  On me critique tellement que je suis dans un état critique !

 

38)  Si d'ici quelques temps, j'ai plus de  (  deux )  ( dessous ) sous, je serai en dessous  ( de sous )  (  deux sous  )    !

 

39)  Tout le monde me dit pousse-toi à cause des gênes ( gènes ) héréditaires et occasionnées  !

 

40)  La construction du bâtiment de L'ESAT de Vitry est une façade et n'est pas solide car la fondation n'est pas terrible  !

 

41)  Si on veut la mise à mort des hommes politiques, l'enveloppe de notre vote, on la brûle dans l'urne en cendres !

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

                                               Blague :

 

 

Pourquoi à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, est-ce-que c'est le bazar ?
- Parce-que tout le monde se dit bon débarras !

 

 

                                   

 

 

 

                                       Jérôme de Mars

 

                                            Blague :

 

 

Pourquoi à L'ESAT de Vitry, c'est chacun pour soi et pourquoi le

 

monte-charge est-il en panne ?
- Parce-qu'il n'y a pas de renvois d'ascenseur !

 

 

                               

 

 

 

                                     Jérôme de Mars

Laissez la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer  !

 

Comme l'énonçait

Martin Luther King,

Le king

Dans ses quatre vérités,

Laissez la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer

A l'appel de la paix,

Entre les peuples autochtones

Et les communautés émigrées,

Car il suffit d'une volonté qui téléphone

Le bouche à oreille,

Pour ravir le soleil

Cosmopolite et hétéroclite

De la zone de droit petite,

Où l'on sera plus fort 

Au renfort du Fort

De la tendresse

Et des caresses,

Favorables à la liesse

D'un avenir qui regorge de promesses,

Tant et si bien qu'on dressera les vertus de l'amour,

En fil réconciliateur

De l'union en plusieurs tours,

Car on stipule 

Sans défier les émules,

Laissez la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer,

Dans le souhait avéré

Et concret,

Qu'elle soit lointaine

Cette haine hautaine

Qui a la teigne

D'un amour paisible,

Car elle le dépeigne

En une haine 

A péter les fusibles

Aux vices plausibles,

Où avec la raison avisée,

On bâtira chacun son tour,

La maison de l'amour,

En mettant tous 

La pierre à l'édifice

En coups de pouce

Sans artifices,

Car pour toujours,

L'amour triomphera dans le bon jour

Des faubourgs,

A qui on dira à elle et à ses troubadours,

Laissez la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer,

La beauté de la vie,

Car l'amour

Pour nous,

Se renforce et se renoue

Dans la bonté du paradis

En retour.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                 Blagues  :

 

 

1)  Pourquoi tout le monde m'agresse-t-il verbalement et m'envoie promener  ?

     -  Parce-que je suis le mâle  (  le mal  )  !

 

2)  Pourquoi devra-t-on m'enfermer si je deviens dangereux pour moi et pour les autres même que je suis adulte  ?

   -   Parce-que ce sera un cas de force majeure  !

 

                                        Jérôme de Mars

Montre-nous ta vraie nature  !

 

Chère planète,

Les plans sur la comète

De ton environnement

Si puissant et florissant,

Dans le jardin massif

Des épiques massifs,

Montre-nous ta vraie nature

Que tu peux voir en peinture,

Sur le mur

Egréné d'arbustes,

sur le buste robuste

De l'art floral en ouverture

D'esprit des fleurs,

Faisant l'école buissonnière

Des fougères aux bruyères,

Qui engendrent la rondeur

Avec minutie et mimétisme,

Des bancs publics entremetteurs

Et évocateurs,

De rencontres de spécimens

Au domaine de la mène,

Qui jauge l'héroïsme

Moderne à la septième cantonade

De la douce ballade,

Mièvre et sirupeuse

Comme une frivolité flâneuse,

Où ensemble, de notre voix rocailleuse,

On hurle montre-nous ta vraie nature

Dans l'air pur

En zone de couverture,

Où tu cultives ton jardin secret,

Bien gardé et protégé

Au fur et à mesure,

Que roucoule ton espèce menacée

En pièces arrachées,

Dans la jachère

Pas chère,

D'un terrain abandonné

Et adossé à un laisser-tomber,

Dans les fleurs écloses

Avant de trouver porte close,

D'une rose

En devenir morose,

Où tu montres ta vraie nature

Pourvu que ça dure.

 

Jérôme de Mars 

Tu ris, tout le monde est là, tu pleures, tout le monde s'en va  !

 

Dans les va-et-vient,

Tu souris et tu ris, tout le monde est là,

Tu pleures dans ton coeur, tout le monde s'en va,

D'un hip hip hip hourra

A un oh là, où tout le monde met le hola,

Car le sourire et le rire

Respirent l'allégresse,

Et les pleurs de la tristesse

Soupirent au pire,

Quand ça va, voilà la nouba

Et tout le monde ici là,

Et quand ça ne va pas, voilà le trépas,

Ici bas,

De l'entrain d'un rien

Au pétrin d'un rien,

Car tu souris et tu ris, tout le monde est là,

Tu pleurs dans ton coeur, tout le monde s'en va

De la joie aux émois,

Osez-moi le dire avec fois,

Tu es gentil, tout le monde t'en remercie,

Tu es vil, tout le monde te médit et te le dit,

En partant d'un non-dit

Aux on-dit qu'on te dit,

Et te crie, du répit

Au dépit,

Comme quoi

Dans la vie,

C'est la joie

Qui donne envie,

Et les pourquoi des rabat-joie,

Qui donnent le devis

Qui dévie,

Du droit chemin

Aux vilains lendemains

Dont on se passe bien,

Quand ça ne va pas bien

D'un petit rien,

Et quand ça va bien

Dans les va-et-vient,

On en vient 

Et on en revient,

De loin

D'un petit rien.

 

Jérôme de Mars

 

Il paraît  !

 

A Paris,

Il paraît

Que le pari

Apparaît,

Dans le paraître

D'apparaître,

Dans l'appareil

Du maître

Contremaître,

Du pareil

Au même

Idem,

Quand le chanteur d'amour,

Il paraît

Sous son bon jour,

Et apparaît

Avec son bonjour

Comme un maître chanteur d'à mort,

De circonstances

En si constances,

Quant à un acteur de cinéma,

Il paraît

Faire du cinéma et embobine

Toute la troupe,

Et apparaît

Au cinéma avec les bobines

Acteur de son cinéma en groupe,

Et enfin,

Il paraît

Qu'on a faim,

Quand apparaît

La fin,

Quand elle justifie les moyens

Moyens,

Quand elle paraît

Innée,

Qu'elle apparaît

Née,

Pour mûrir

D'où elle disparaît

Pour mourir.

 

Jérôme de Mars

                                     
                                              Blagues : 

 

1)  Pourquoi y a t il eu un attentat en Suède ?

     - Parce-que ça fait froid dans le dos !

 

2)  Que dit-on d'une femme dans le pétrin à cause d'un homme qui la prend par derrière   ?

    -  Elle l'a dans le cul  !

 

3)  Que fume une femme à son mec pour faire un tabac   ?

    -  Elle fume une pipe  !

 

                                    Jérôme de Mars

              

 

                             

                                              Blagues :

 

 

1) Que dit-on d'un homme tout nu qui nique une femme par derrière ?
- Il est à poil du cul de la femme !

2) Pourquoi Christophe fait-il une piqûre de rappel avec les dossiers de la clinique Pasteur ?
- Parce-qu'il vaccine les gens contre les erreurs en antidote !

3) Pourquoi Christophe fait-il une piqûre de rappel avec les dossiers de la clinique Pasteur ?
- Parce-qu'il a le virus de ce travail !

 

                                             Jérôme de Mars

Pile poil

 

A l'an pile

De la pile,

On caresse dans le sens du poil

A poil,

Et à gratter au poêle

A frire pile poil,

Avec un poil 

A la main à rebrousse-poil,

Pile poil,

Dès que le poil

S'épile pile poil,

A gratter le poil

Dérangeant et à arracher le poil

Du cul, le cul entre deux chaises pile poil,

Où à poil,

On arrive pile poil

Au rendez-vous à caresser à rebrousse-poil,

Avec un poêle

A la main pile poil,

Dont on gratte le poil

Pile poil,

A poil

Et à rebrousse-poil,

Au poil avec un poil

A la main de la pile,

D'où l'on s'épile

Et qu'on empile

Pile poil.

 

Jérôme de Mars 

Désaveux

 

Désaveux

Et des aveux

En veux-tu

En voilà

En désaveux

Et des aveux

De tes voeux

En veux-tu 

En voilà

Désaveux

Et des aveux

Que tu veux

En désaveux

Et des aveux

De tes voeux

En veux-tu

En voilà

De tes voeux

Par-ci, par-là

En désaveux

Et des aveux

De tes voeux

En veux-tu

En voilà

Que tu veux

En désaveux

Et des aveux

De tes voeux

Parmi là

Où tu veux

Des à voeux

Pour désaveux

Et des aveux

Que tu veux

En l'état

Désaveux

Et des aveux

Pour des à voeux.

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blagues :

 

1) Pourquoi le rendez-vous politique de ce soir entre les candidats à l'élection présidentielle plonge-t-il vers le caniveau ?

- Parce-qu'il y a des bas ( débat ) !

2) Pourquoi en bruit de fond au téléphone, dit-on qu'il faut que j'assume les conséquences de mes bêtises comme je ne tiens pas compte des conseils qu'on me donne ?
- Parce-qu'au téléphone, on ne m'a pas mis sur écoute !

3) Que dit-on de quelqu'un d'inerte avec un ami ?
- Il le ballade avec un bon mobile !

4) Qu'est-ce-qu'un travail de bouteilles conditionné en cartons par un agent ?
- C'est le travail du gars ( DUGAS ) !

 

                                             Jérôme de Mars

La jeunesse de l'esprit fougueuse

 

Aux années fugueuses

A vive allure,

Certains restent vieux dans leur tête

Malgré la jeunesse physique et fougueuse

Qui traîne comme une bête,

A l'âge  des regrets inutiles

En projets futiles,

Alors que d'autres ont la vieillesse physique et fugueuse

Et la jeunesse de l'esprit fougueuse,

Pour tirer bénéfice

De ce qui leur reste à vivre,

En aventures

Et en précieux moments qui enivrent,

A leur service

Dont ils tirent profit,

Avec le bonheur

Auquel ils se fient,

Avec tant de candeur

D'un dieu qui les bénisse,

A la hauteur

D'une dynamique qui les hisse,

En première classe

Dont ils chassent

Tout le loisir,

Pour se faire plaisir

Et ne plus se prendre la tête,

Dans des allumettes 

Depuis belle lurette,

Car malgré la vieillesse physique et fugueuse

Ils gardent la jeunesse de l'esprit heureuse et fougueuse,

En leur coeur jeune de l'esprit moralement

Et aux défaillances vieilles  physiquement,

Pour s'imprégner 

D'une amourette,

Aux emplettes

Savoureuses dans un élan d'harmonie,

Au paradis

D'une jeunesse fougueuse,

Car la vieillesse fugueuse raidit

Et enlaidit la vie,

Et rester jeune d'esprit

Embellit les envies fougueuses,

Aux délices

Qui se remplissent

En appétit.

 

Jérôme de Mars

 

Ce prélude sur le lac dense

 

En cette pénombre intense,

Les oiseaux de mauvais augure

Dans la nature

Nombriliste, regardent avant l'interlude

Ce prélude sur le lac dense,

Prude et rude en observant une minute de silence

Portée avec insistance,

Dans le calumet de la paix

En faisant des ronds sur l'eau spontanée,

Dispersée dans un jaillissement au sud

De la mare des canards et des oies,

Emportés dans la joie

De l'influence immense,

Croissante et saisissante

Dans leur dos-à-dos aux feux de la résurrection,

En pôle position

Du lac artificiel,

Qui s'enflamme du fiel

Au ciel d'une brasse,

De douceur qui ramasse

Ce prélude sur le lac dense,

Aux remarquables cygnes

Qui ne trompent dans l'urgence,

Et qui trépignent

D'impatience à l'insolence,

Des nuits amourachés 

Par ricochets sur le jet solennel,

Des mots de coraux à l'encre entachée

En un jeu de tendresse,

Et de caresse

Dans l'eldorado pivot

Qui monte crescendo,

De la nuance d'un coeur d'artichaut 

Qui bat la chamade,

A l'âme soeur de la chaleur

Aride qui mouille sa chemise,

Dans l'eau promise

A l'infatigable vigueur,

Chronique sur la crique

Qui s'autocritique,

Dans un rêve prémonitoire 

Du Mont-Saint-Jean-Michel Jarre,

A l'effet miroir

Qui reconnaît le pot aux roses du jars,

Rare car il semble tard

En ce prélude sur le lac dense,

Avec la contenance

Et la consistance,

D'une espèce en voie d'extinction

Dès le coucher de crémation,

De la sérénade

En une ballade d'ardeur,

Aux honneurs

Grand public,

En ce prélude sur le lac dense

Au sommet de l'altitude en contredanse.

 

Jérôme de Mars

 

L'humour est la politesse du désespoir  !

 

Les soirs de tristes soirs

On requiert l'humour noir,

Car l'humour est la politesse du désespoir

Qu'on inscrit au répertoire,

Des brèves histoires de comptoir

Au bar, où l'on règle au noir

La blague is blague en réquisitoire,

Des banales foutaises pour boire

En déboires pourboire

Son purgatoire,

Car l'humour est la politesse du désespoir,

Où l'on tient le rôle de la bonne poire

En larrons en foire, 

Où tout foire rédhibitoire

En notoires histoires dérisoires,

A l'humour noir,

Les soirs de tristes soirs

Aux brèves histoires de comptoir,

Au répertoire,

Où l'on vide son réservoir

D'abreuvoir d'histoires,

Comme un arrosoir

Pleurant de ses larmes d'exutoire,

En total défouloir

Dans les couloirs,

Des roublards

De sales histoires

De renards,

Au hangar de la gare

Jusqu'à l'aérogare,

Où l'on se gare

Et s'égare,

Dans les remparts

Des nénuphars,

Au signal phare

Dans un semblant de fard

Du far

Breton, d'où l'on part

Tôt ou tard,

Dans la tare

Du lard

Ou du cochon d'art

Dare-dare,

Car l'humour est la politesse du désespoir

Les soirs de tristes soirs,

Du grand écart

Au départ du comptoir,

Des brèves histoires

A l'humour noir,

Pour recharger le réservoir

Plein le déversoir,

Sur l'are hectare

Histoire de se voir

Dans le reflet du miroir

De sa tour d'ivoire,

Car l'humour est la politesse du désespoir

Au répertoire,

Des brèves histoires de comptoir

Tard le soir.

 

Jérôme de Mars

Lorsque le printemps sourit  !

 

De la bourrasque à la grêle

Des flocons effet boule de neige d'hiver,

La grève du soleil dégrève le jardin d'Eve

A la frontière de plusieurs limites émotives et frêles,

En oisives pluies qui soulèvent le glaive 

A la sueur de leur front en trêve,

Lorsque le printemps sourit

Au Parc Montsouris,

Aimable et abordable sur les bancs des joyeux drilles

Qui chevillent de leurs corps à leurs yeux ébahis sur les cils,

Dès les prémices de drôlerie des suprêmes saisons entre ballades

Dans les sentiers fleuris d'arbustes, et ravis le vent en poupe expert,

Comme une sérénade d'incartades qui effleure la cavalcade

D'une passade d'amoureux qui conte fleurette,

Dans un bal musette avec leur amulette,

Lorsque le printemps sourit

Au Parc Montsouris,

Qui rit, drogui au ciel bleu qui suit et s'ensuit

Sous l'influence démente et clémente des fruits défendus de la passion,

D'un coup de sirocco, aux flammes intempestives de l'émotion

Singulière, plurielle, furibonde et impétueuse,

Dans un montage de rivages

En ravages de surmenage,

Lorsque le printemps sourit

Au Parc Montsouris,

Dans le lac des signes à l'hystérie orageuse

Qui secoue le cocotier dans l'arbre flibustier,

Dont la couleur marine le peine à L'Eden du domaine

De prédilection, quand les accords passagers emmènent,

Jusqu'au dolmen des vieux fossiles qui la ramènent

Dans une légitime répartition à la partition qui dégaine,

En participation volage et en trompe la mort,

Lorsque le printemps sourit

Au Parc Montsouris,

Entre rats et souris

A raison et à tort,

En mordant à l'hameçon des remords,

Lorsque le printemps sourit

Au Parc Montsouris,

Aimant et dans son élément,

Dès que les chicaneries s'accouplent assidûment

Et aveuglément 

Dans les parages d'un printemps décomplexant.

 

Jérôme de Mars 

 

                                                       Blague  :

 

 

Pourquoi suis-je dans un piteux état psychologique dont je tiens de mes 2 parents du au fruit de mon enfance malheureuse  ?

  -  Parce-que j'ai la colère amère qui prend pluie dans un manque d'imper  !

 

 

                                                Jérôme de Mars

 

                                         Blague :

 

 

Que dit-on d'un asiatique qui fit la gueule à sa famille ?

- Il bouddha

 

 

                                  Jérôme de Mars

 

 

 

                                                  Citation  :  

 

 

 

J'ai un blocage avec les femmes à cause de tout ce que ma mère m'a fait subir car j'ai le complexe de type  !

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

                                                 Blague  :

 

 

Pourquoi est-ce-que j'ai un blocage avec les femmes à cause de tout ce que ma mère m'a fait subir  ?

-  Parce-que j'ai le complexe de type  !

 

                                       

                                         Jérôme de Mars

 

 

                                                       Citation  :

 

 

Un artiste qui peint sur ses tableaux des autoportraits d'êtres vivants n'aime pas les natures mortes  !

 

 

                                                Jérôme de Mars

 

                                           Blague  :

 

 

Que dit-on d'un artiste qui peint sur ses tableaux des autoportraits d'êtres vivants ?

-  Il n'aime pas les natures mortes  !

 

 

                                   Jérôme de Mars

 

                        Citation  :

 

 

Un vacancier se baignant dans La Mer Méditerranée en hiver, a un caractère bien trempé !

 

 

                            Jérôme de Mars

 

                                                Blagues :

 

1) Pourquoi nique-t-on La France ?
- Parce-qu'on se fait baiser par le système !

2) Que dit-on d'un musulman intégriste qui égratigne L'Islam ?

- Il charia L'Islam !

3) Que dit-on des juifs qui massacrent Hitler ?
- Que tout fout le camp !

 

                                              Jérôme de Mars

Bonjour cher Serge,  

 

Bonjour cher Serge,

De ma prière aux cierges,

Où moi je veux te demander

Sans te quémander

Si pour toi, jeudi,

C'est toujours bon, je dis

Bien,

Qui arrive et qui vient

Pour le resto

Avec les potos,

Bonjour cher Serge,

Depuis mes mille-feuille,

Aux textes assis sur mon fauteuil

De l'écureuil

Au chevreuil,

Qui émergent

Quand c'est du gâteau

Où j'en fais tout un tableau,

Dès que j'immerge

Dans un bon scénario,

Où toi, tu serais l'imprésario

Pour placer mes gros mots démo,

En juste partition des mots en gros

Car j'ai besoin de conseils

D'amis et de lumières éblouies,

Pour que je renaisse

A la vie,

Partagé entre illusions et oublis

Du dépit à l'ennui,

Qui chavire et déchire

Mon coeur au pire,

Et aux dents des crocodiles

Mercantiles qui m'horripilent,

Avec la funeste envie

De mort,

Qui me tente avec le confort

D'y dormir en réconfort, 

Sans plus jamais de remords

Dont je n'en démords

Point, car je mords le rock fort

Au fort du Fort de Vitry,

Où mon chagrin sempiternel

Se meurt dans les neiges éternelles,

De ma colère aux faux airs

De principal gars téméraire, ordinaire,

Et débonnaire, à l'essentiel clair

Bonjour Cher Serge,

Confirmes-tu pour jeudi

Aux faubourgs de Paris,

Pour un traditionnel repas

Dans la nouba,

Avec un petit répit

De quelques heures,

A la bonne heure

Dans le plaisir de déguster un buffet,

A volonté du vin à la picorée

D'une assiette pleine de gourmandises,

Qu'on se le dise

A la panachée de plats consommés,

Assommés et sermonnés avec ta philosophie

D'autodidacte qui nous instruit,

Et ton expérience qui nous asperge

De sagesse et d'allégresse au fruit de ton contact

Où de ton tact intact en guise d'entracte,

Tu nous enrichis nous, les candides et les novices

Car tu nous rends bien service nous aux prémices,

Des épreuves qui nous attendent et nous tendent

En lendemains, alors que nous, l'espace d'un soir,

Pourvu que tu nous détendes,

Avec tes anecdotes qui coulent comme un arrosoir,

De ton abreuvoir d'histoires,

Distributeur et faiseur de merveilles, où dis-nous si tu confirmes

Ou infirmes, pour jeudi-là en m'envoyant un mail à moi, l'infirme,

A la firme de la parole donnée,

Et adonnée à la randonnée pour une soirée

En nous confirmant pour jeudi-là

Par mail quand je m'emmêle si le coeur t'en dit,

Ce jeudi 30 mars afin de partager un bon repas

Avec nous bien au-delà de la joie.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                             Blagues :

 

1) Pourquoi en France, tout le monde s'en fout-il de tout ?
- Parce-que tout le monde y trouve de l'intérêt !

2) Pourquoi en France, n'y a-t-il plus de valeurs ?
- Parce-que les gens sont toc-toc !

3) Pourquoi ça fuse dans ton esprit en faisant un tabac ?
- Parce-que ça fume !

4) Pourquoi tout le monde veut-il voter Marine Le Pen aux élections présidentielles ?
- Parce-que tout le monde veut voter blanc comme le monde est noir !

 

                                           Jérôme de Mars

Le champ de mars

 

En l'an deux mille,

Nous sommes à L'Ouest

Les yeux rivés en orbite

De la planète Terre,

Sur le champ de mars,

Une planète de chant,

A l'intérieur d'un pied à terre

Bouillant chaud volcan,

Qui brille en plein dans le mille

Du haut de La Tour Eiffel,

Et gravite d'une buée d'ombrelle

Les bulles de savon

Qui scintillent en broutilles,

A la va-vite

Dans une forme d'escalier colimaçon,

Du ciel explorateur, artificiel

Et émetteur de belles choses naturelles,

Sur le champ de mars des extraterrestres

Dans une autre planète,

La tête emplie de comètes inter net,

Sur La TNT terrestre,

Du fard Ouest complètement à L'Ouest

De la lumière qui rallie Le Paris-Brest,

D'un pari lunaire

Au phare Breton,

Digne d'un vilain garçon

Manqué au soleil lunatique,

Amateur de gaieté empathique,

Où La Tour Eiffel assaille d'étoiles éphémères,

Le champ de mars, ovni et décalé à des années-lumière,

De la réalité de la vie sur Terre,

Ce coin paysager et étranger aux habitudes simples

Des gens humains et humbles,

Dans La France de l'élémentaire

Au monde primaire,

Où les moeurs semblent secondaires

De la théorie à la pratique,

D'une loi en série tragi-comique,

A travers les facettes 

Des palettes de couleurs nettes,

Qu'on regorge d'une dimension stellaire

Au vif clair,

En jachère et aux enchères,

En parallèle d'une ribambelle,

De frontières ouvertes sur le champ de mars

Du 2 mars

Sur son 31,

Au refrain boute-en-train,

D'un train de vie

Nulle part ailleurs dans la galaxie,

Contée et relatée

Sur la voix lactée,

Des secrets à jamais gardés

Dans une planète au repaire mausolée.

 

Jérôme de Mars 

 

 

                                                  Blague :

 

Que dit-on de quelqu'un de complètement déconnecté dans la vie ?

 

 - Il est pas en terre nette !   ( Il est pas internet )

 

 

 

                                     

 

 

           

 

                                          Jérôme de Mars

 

                                                  Blagues  :

 

 

 

1)  Pourquoi ce samedi à l'aéroport d'Orly, ce fut la panique générale avec des échanges de tirs entraînant la mort du forcené et l'évacuation de 3000 personnes  ?

  -  Parce-que ça a fait long feu  !

 

2) Quel est le comble pour la victime d'une attaque terroriste qui patiente que ça se termine   ?

 -  Elle est dans l'attente à que ça se finisse  !

 

3)  Que dit un musulman à un passant dans la rue qui s'énerve  ?

 -  Allah, que se passe-t-il   ?

 

4) Que dira-t-on du PSG s'il perd ce soir contre Lyon ?
   - Que ca sentira le fauve au PSG !

 

 

                                       Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                          

On passe les plats

 

Pour bouillir la marmite,

On met tout à plat

Et on passe les plats,

Afin de ne pas être viandés

Et de savoir à quelle sauce

On va être mangés,

Car on passe les plats

Du chaud au froid,

En y mettant la main à la pâte

Avec de l'huile sur le feu,

Pour pondre un oeuf

Vu le prétexte neuf,

Car on ne fait pas d'omelettes

Sans casser des oeufs

Sur le plat,

Où on met tout à plat

Et on passe les plats,

En racontant des salades,

Avec du pain sur la planche,

En terminant par le dessert

En fruit de son travail,

Où on met tout à plat

Et on passe les plats,

Au contexte d'un neuf

Repas, pas à pas,

En vue de pondre un texte neuf

En appât.

 

Jérôme de Mars

Le testament de ma bonne foi

 

En un nom de Dieu

Pieux,

Je vous livre le testament

Sous serment

De ma bonne foi,

Où j'ai fait de mon mieux,

Malgré les irrévérences

Des diverses turbulences,

Que les différents aléas

M'ont coûté les yeux

De la tête,

Où j'ai eu 

Tant de mal à reprendre

Du poil de la bête,

Et à détendre

Mon âme de poète,

Spirituel sous l'autel

Du bon Dieu, le garant

De moi s'égarant,

Avec le missel, mi grain de sel

A la folie épicée et sèche

Aux antisèches,

Qui  décrètent 

En allégations irrévocables,

Que je demeure le diable

Et l'avocat coupable et responsable,

Aux versants irréversibles,

De mes grandes fautes que les fusibles

Ont plombé 

Et surplombé

En rage,

Vis-à-vis de mon entourage

Dans un triste lynchage,

De mon coeur

Devenu l'âme soeur

De ma rancoeur,

Des viles nausées

Du matin arrosé,

Au rosé rossé imbibé

Et figuré,

Où j'ai tant soûlé les gens

Et enivré ce testament,

En preuve de ma bonne foi,

Dont je me protège d'avant

Cet aura du ciel, qui me remet

Le pied à l'étrier,

Du sacrilège au sortilège,

Qui m'allège et me soulève

Vers le jardin D'Eden,

Où je me prosterne,

Le visage terne,

Afin qu'il dissipe ma peine,

Dans une espérance sereine

Et pleine,

Que je scie à bon escient,

De sorte à m'absoudre

De tous mes péchés,

Et de me dépêcher,

De pêcher à la ligne,

Maligne et rectiligne,

Pour remettre  tout ce boucan d'antan

Dans l'ordre maintenant et moralement,

Si bien que je marcherai d'un pas en avant

Pris aux devants,

D'un appât meilleur,

Où m'attendra l'innocence

D'un jardin de fleurs réconciliateur,

Après la pénitence

Des injonctions,

Dus à mes frasques

Brouillons,

Où l'ensemble fantasque

Prenait le bouillon,

Au sillon

Des bourrasques,

Car maintenant, il est temps

Que resurgisse le faste

Dans ma réflexion,

En vue d'exhumer

Le nouveau testament,

En appel 

Du bon Dieu,

Pour y générer

Une profonde confession,

Aux belles nouvelles,

Où je récolterai à la pelle,

Un courant

D'air

Et de prière,

Générateur,

D'une mûre réflexion

En impulsion,

Où je jouerai un rôle acteur, majeur

Et militant,

En iconoclaste

Des choses déviantes,

Et chaste

Dans ma mission,

Du bon Dieu,

Où je répondrai allo les cieux,

Je vous rejoins

Non loin,

Dès lors que je resterai persuadé

Que mon âme claire,moralisante et revigorante

Acquittée,

A quitté sa face sombre et culpabilisante,

Si bien que je partirai en paix,

Au ballet d'une pléthore

D'un trésor,

Où mon sort 

Sera scellé

Et sans doute je l'espère,

Réhabilité

Dans la lumière,

Seule habilitée 

A le faire,

Avec habilité,

En redresseur

De torts,

Et en amateur

De la religion,

Où je m'en irai habité,

Blanchi au paradis

D'une autre vie,

En preuve de ce testament

De ma bonne foi,

Où je ne mens

Dans les tourments,

Car ma croix semble lourde

Et bas lourde

A Lourdes,

Là, où j'aurai consolidé ma foi,

Bien au-delà.

 

Jérôme de Mars

 

Métal fort

 

Le soleil brûle de sa fièvre jaune,

Qui se dore de son rayon x d'or

Sur la première marche du podium,

Où la lune monte en seconde place,

De sa demie-face d'argent

Et de sa pleine lune 

A la parole d'argent,

Car le silence est d'or

Et la parole est d'argent

Dans ce métal fort, d'or et d'argent,

Où manque le bronze

Qui bronze au soleil d'or

Et à la lune d'argent

Dans du bronze,

Qui se dore à l'argent,

Comme ce métal fort

Qui évolue en une métaphore

D'or et d'argent,

Qui bronze

Et se dore

En argent de bronze.

 

Jérôme de Mars 

Un ménage de printemps

 

En cette prophétie au sourire brillant,

Les paroles d'hirondelles ronronnent au pays lavant

Dans un ménage de printemps,

Qui remue-ménage décapant, solvant de rayons élégants

Qui lui vont comme un gant de velours, dans le balourd

Horizon dont la roue tourne

Et détourne car cela paraît folklorique dans la ristourne,

Des manèges décantés et dépoussiérés qui déménagent 

Depuis naguère lourds,

Dans un ménage de printemps jovial

En nage et en surmenage,

Horizontal et vertical sur la dalle

De la surface de nettoyage, où il ne reste que dalle,

Sur le saule rieur et demandeur de bagages

A remplir le cerveau salvateur de connaissances en pâturage,

Dans cette fenêtre ouverte de vertes mûres

Et de pas mûres vertes , qui engrangent la toiture,

Comme à la maison, où c'est le grand ménage de printemps

Du plafond au sol en nettoyage d'un bleu clinquant,

En tirant à soi la couverture de parures et de dorures

Qui fourbit la garniture,

D'une saison saine et sûre au milieu de la nature,

Dans son propre environnement, en soyeuses postures,

Aux honnêtes ricochets jetés en durs

A cuire dans ce ménage de printemps,

Par un pur bouillant bain de foule

En levées de boucliers d'armure, 

Pour protéger l'ardent nettoyage du bon temps 

Réchauffant le pouls,

De la nostalgie d'avant en émules

Des têtes de mules qu'on adule,

Dans ce ménage de printemps

Avec un énorme coup de dix balais des ans,

Au pied du ballet du palais de La Tour D'Argent

En galante compagnie, en amusant la galerie du printemps,

Qui la redoute dès la galaxie D'Italie deux par deux,

Anxieux, sous les yeux

Poignants d'un printemps en cieux.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                             Blagues :

 

 

1) Pourquoi un homme aime-t-il bien qu'une femme lui fume le cigare ?
- Parce-qu'au nom d'une pipe !

2) Que dit-on d'une artiste qui épate avec ses tableaux toute l'exposition de peinture à Shanghai ?
- Qu'elle amuse la galerie !

3) Pourquoi Marine Le Pen se qualifiera-t-elle pour la finale des élections présidentielles en 2017 comme son père en 2002 ?
- Parce-que comme son père, elle a très envie de refaire le tour de la question !

4) Quelle est la différence entre un père étant soigné car ayant un décollement de la rétine et son fils qui fait des fautes malgré qu'il soit soigné pour son handicap psychique ?
- Le père en met plein la vue à l'hôpital avec le décollement de sa rétine et son fils en met plein la bévue à l'hôpital qui se fout de la charité !

 

                                           Jérôme de Mars

 

 

                                               Blagues  :

 

 

1)  Que dit-on de Catherine qui reçoit une récompense pour ses talents de peintre  ? 

      -  Qu'elle reçoit un tableau d'honneur  !

 

2)  Pourquoi le sélectionneur de l'équipe de France de football est-il incompétent ?

- Parce-que Didier au lieu de cultiver du beau jeu, cultive des champs !

 

                                  

                                     Jérôme de Mars

Plus vite que la musique classique  !

 

Loin de l'univers

Parmi ces unis vers,

Amis de la preuve

Et de son contraire,

Quoi de chose neuve

Dans l'itinéraire linéaire,

A qui l'on demande

Dan l'offre des landes,

A quoi ça rime

Tout ce rythme qui frime

Et arrime,

Plus vite que la musique

Classique,

Basique, fantastique

Et arithmétique,

Que les basses choses systématiques,

Mathématiques, féeriques 

Et athlétiques,

Des prières frénétiques et mystiques,

De la compagne

De Prévert,

A la campagne,

Bucolique et rustique,

Plus vite que la musique

Classique,

A la vitesse son de la lumière,

Qui franchit les timbales

Du bal,

Physique et photogénique,

Des portraits tirés numériques,

Plus vite que la musique 

Classique,

Version électronique,

Au piano et synthé électromagnétiques,

La musique dans la peau,

Au son rétro et moderne du tempo,

Nec plus ultra magnéto,

Et diapo objectif,

Que des négatifs à l'objectif négatif

Et possessif,

Car la musique olympique

Préfère plus vite que la musique

Classique,

Le rythme positif

Et suggestif,

Des récifs écorchés vifs,

Aux accents agressifs, subversifs

Et transgressifs,

Plus vite que la musique

Classique,

Au slow du tango,

Salto mambo,

Théorique et pratique,

Aux termes métaphysiques, aérodynamiques

Et automatiques,

Des vibrations acoustiques

Et synthétiques

D'une note de piano,

Plus vite que la musique

Classique,

En do, bon dos,

Des étoiles astronomiques

Et astrophysiques,

Aux légendes salutaires,

D'un monde parallèle à La Terre,

Plus vite que la musique

Classique,

Statique, ironique, sarcastique,

Caustique, cynique et panoramique,

Aux effets mirifiques,

A la tombée de l'univers,

Parmi ces unis vers,

Amis de la pierre 

De l'édifice et de la preuve

Et de son contraire,

Qu'on pratique

En choses neuves,

Dans l'itinéraire linéaire,

De la trajectoire aléatoire,

De la terre,

Matière première

Et de son histoire,

Après les essais du laboratoire,

Dont l'on se demande

Et quémande

Bien à quoi ça rime,

Toute cette poésie en crime

Prolifique et bénéfique,

Qui arrime

La frime

En prime,

Version symphonique 

Et pharaonique,

Plus vite que la musique

Classique et philharmonique 

 

Jérôme de Mars 

C'est secondaire  !

 

En prélude

De mes études

Du cycle élémentaire,

J'ai les aptitudes

Au niveau primaire,

En interlude

De mon attitude

Téméraire

De sauvagerie primaire,

Que j'élude

Au second plan

Car c'est secondaire,

Du dernier rang

Au cycle secondaire,

Où j'envoie tout en l'air,

Car c'est secondaire,

Au cycle calendaire,

Avant de passer de l'élémentaire

Primaire

Au cycle tertiaire,

Dont je surpasse le secondaire,

Relayé au second plan,

Du dernier rang,

Car c'est secondaire,

En être primaire,

De repasser tout le film à l'envers,

Dès la terminale très classe,

Où je casse

La baraque,

Avec le sas

De décompression

Et de décontamination,

Si bien que je me repose sur mon hamac,

En être primaire,

Car c'est secondaire,

De reprendre les études

Elémentaires,

Du second au troisième degré,

De pair

Avec le cycle tertiaire,

Prospère et subsidiaire,

Aux regrets

Complémentaires,

D'un avenir rude,

Car c'est secondaire,

Point de vue élémentaire,

D'ordinaire,

D'un à prêt

Aux études

Secondaires,

Après

Primaires,

Retour vers le terre-à-terre

Des études

Tertiaires,

Car c'est secondaire,

Aux études secondaires,

Les diplômes complémentaires,

Exprès

Primaires,

Auprès

De l'élémentaire,

Car c'est secondaire  !

 

Jérôme de Mars 

Le jardin des rêves

 

Dans cet noble are,

Se cultivent les beaux-arts

Sur la terre fertile,

Aux chevaliers adoubés

Par la faucille à élaguer,

Tous ces terreaux fragiles

Et agiles dans leur jardin secret,

Assis sur un banc à pianoter

Le code secret du jardin des rêves,

Pour y accéder par le raccourci divulgué

De la petite graine

De folie qui féconde

Toute la rengaine,

De ce gentil monde

Aux vibrations abordables,

De la main adorable

Qui excelle du jardin des rêves,

Avec son Eve

En élève,

De la sève

De sa vie qui s'élève,

En hautes altitudes expéditives

Dans la recette offensive,

Du miracle 

Conciliabule en spectacle,

De galanterie fantaisiste

Qui s'amalgame en clowns buralistes,

De brillante humeur

Avec une bonne bouffée d'oxygène,

Moitié sans-gêne, tantôt halogène 

Par le règne rémunérateur,

Des éléments acteurs

De la pièce maîtresse,

A l'oraison traîtresse

Nom de Dieu fébrile,

Qui scintille

En petites brindilles,

Habiles du jardin des rêves

Qui déshabille la fève,

Du roi du message décrypté

Dans la crypte défrichée,

Aux aguets gais,

Du triomphe d'aplomb remis sur pied,

Dès que le jardin des rêves

Dépose son arbuste

Au buste,

Des remparts amateurs

Du jardin des rêves,

Qui se lève

tôt ou tard,

En médiateur

D'un noble art hectare,

De la terre subtile

En dépôt d'argile.

 

Jérôme de Mars

J'ai fait de mon mieux  !

 

D'hier à aujourd'hui,

Qu'il fasse pluvieux

Ou heureux,

J'ai fait de mon mieux

Avec toutes ces péripéties

Limites épreuves du dernier cri,

Qui m'ont tantôt fragilisé

Tantôt assagi 

Mais amoindri

Dans ces frasques

Déplumées où tombent les masques,

Après les apparences trompeuses

Et les idées pernicieuses,

A l'effet domino rétro et insidieux,

Dans ce château de cartes à l'effet miroir,

Qui me rappelle la nostalgie

De mon enfance sur la balançoire,

Où avec le temps, je prends le choix roi,

Faute de mieux,

De choir, de déchoir

Et de décevoir

Mon entourage,

Et moi, y compris,

Du dépit

Au désarroi,

A travers ce message

De colère, au prix

D'un réservoir bien rempli

En abreuvoir,

Que je déverse

En averses,

Sous une crécelle de pluie,

Sur mes ennemis qui ont consolidé

Ma vengeance

D'office tracée

Sur le puzzle retracé et composé,

Recomposé et acidulé,

A un zeste de clémence

En sentence,

Avec bombe à retardement,

En reculant,

Pour mieux sauter

Dans la jetée 

De ma personne rejetée et décriée,

A la criée de mes emportées controversées

Où malgré tout, j'ai fait de mon mieux,

Afin de faire jurisprudence et de paraître joyeux,

En interprétant un rôle,

Sur mesure de faux semblant,

A blanc dans la geôle

D'un corps d'enfant,

Dans ce bordel de circonstances,

En inconstance

Fulgurante

Et cinglante,

Où je cherche malgré tout la paix

En moi pieux

Et de Dieu,

De sorte à me réconcilier

Avec d'éventuels anciens amis,

Ennemis actuels

Mais peut-être à nouveau de futurs bon amis

Dans un avenir réel, 

De la pureté

Des merveilles

Non virtuelles,

Où j'ai fait de mon mieux

Du mielleux au furieux,

Dérivant par tous les bords

A tribord

Sur le rebord,

D'un et alors, lors

D'un je ne sais plus,

En intrus

De ce rébus,

Dont je ne trouve la vertu

Dans un juste milieu,

Même si j'ai fait de mon mieux,

Par-ci, par-là

Et en deça, 

De mes incroyables espérances

Parmi les plus improbables expériences,

Dont j'ai l'accoutumance

Avec  la semence

D'une graine de champion,

A germer dans un corps de lion

Si bien que quand je deviens un morpion,

Je finis mort pion

Sur l'échiquier,

Même si j'ai fait de mon mieux,

Avant que les cieux

M'aspirent en hauts lieux

A du mieux,

Un de ces jours dans l'aura

De l'au-delà,

Au-delà de cette vie

Qui se finira en brindille,

D'une accalmie 

Quelque peu ternie,

En l'an trois-mille,

Que je fourmille

D'impatience et d'insolence,

Pour tirer ma révérence,

Affublé en ange-gardien d'un soleil rafraîchi,

De la grisaille à la griserie,

Où j'aurai fait de mon mieux.

 

Jérôme de Mars

 

Le Quartier Latin

 

En arrondissement

Les cinquième

Et les sixième

Angles,

A la sangle

De la rive gauche

De La Seine,

Le Paris studieux

Prend la gauche

Pas de quartier,

Au Quartier Latin

Qui en perd son latin,

Comme une tarte tatin

A l'envers

De la périphérie populaire,

A la frontière

De plusieurs mondes différents,

Eclectiques, hétéroclites

Et cosmopolites,

De par la diversité

Des éléments,

Où l'on élève les monuments

Du Panthéon, qui fait le mort,

Au Jardin du Luxembourg,

En faux bourg,

D'un jardin tranquille des plantes,

Où l'on tente

Avec renfort,

A l'école

Des dépités,

De leur apprendre les rudiments

En leur posant

Des colles,

Avant Le Palais Du Luxembourg,

Qui demeure le sénat des députés,

Où ils se bourrent

Et se dorent,

Au soleil trompeur

Et affabulateur,

Au faubourg

De la banlieue

Des lieux pernicieux,

Dans Le Quartier Latin,

Où j'enracine Andromaque au Café De Flore,

Dans le folklore,

En alexandrins philosophiques

Et misanthropiques,

Du cercle des poètes littéraires,

Où résonne,

A La Sorbonne,

Tout ce mouvement

De manifestants d'étudiants,

Qui déploient l'étendue

De la rue

Jusqu'aux barricades, arborant

Leurs talents

D'artistes dans la crue

De la scène,

Jouant du trombone 

Ou accrochant les trombones

Sur leurs mille-feuilles 

Gâteaux grâce à leurs matières premières,

Dans la posture

De leur fauteuil

De figures

De proue,

A l'étoffe d'une nuit sous les verrous,

Après avoir démontré

Leurs quêtes

De révolte, à la conquête

De la rue contestataire

Pour la liberté linéaire,

Aux quatre vérités réfractaires,

De ce fait, Le Quartier Latin

Remonte de la crue

De la rue

Fluviale,

A l'arsenal

De la nature

De la racine

Des gens

En Jean Racine

Qui courbe l'échine

Avec un semblant

De machine,

Mais se chine

A oeuvrer

Pour une liberté 

Pourfendeuse

Et frondeuse

En fragments,

Dès la croisière

Du départ à terre,

A l'arrivée Au Boulevard-Saint-Michel,

Sur place,

Où les gens se déracinent 

Et vivent comme des Romain Michel,

A la racine

Des gens,

De la passerelle

Tragique du quartier Latin,

Aux paladins

D'autres étincelles.

 

Jérôme de Mars

 

 

Qui dame  !

 

Avec le macadam,

Un jeu de dames

Qui dame

Le pion quidam,

Sur l'échiquier ramdam

Padam padam, 

D'un jeu de dames

Qui damne

L'échec et mat et condamne,

Le jeu de dames

Qui dame

Le pion quidam,

Avec le macadam

En ramdam

Padam padam,

D'un jeu de dames

Qui damne

Le morpion et condamne

Le scorpion en ramdam,

Dans un nouveau jeu de dames

Qui dame

Le pion sur l'échiquier quidam,

D'un jeu de dames

Macadam

En ramdam,

Qui dame

Le pion padam padam

Echec et dames,

Sur l'échiquier du macadam

Qui dame

Quidam.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                 Blague  :

 

 

 

Que fera Johnny Hallyday, s'il guérit de son cancer   ?

-  Il fera un concert.

 

 

                                         Jérôme de Mars

Affection de longue durée

 

Manque d'affection,

Tu es malade asocial,

Avec des problèmes d'affection

A la sécurité

Sociale,

Où tu souffres d'une affection

De longue durée

Douloureuse,

Que tu combles en infection

Et en imperfection,

De ta vie brûlée

Par les deux bouts de la chandelle,

Qui bat de l'aile

A tire-d'aile,

Embrasée et rétamée

Par l'incendie

Perpétuel

De ton manque de femmes

Embrassées

Et relayées

Dans des relations 

Pseudo virtuelles

Par Internet,

Où t'es pas net,

Aux aventures d'ordi,

Toi, l'ovni

De Mars, en tant qu'ennemi

Des fontaines de l'amour

Et l'ami

Des madeleines de Proust vautours,

En arrière-retours, 

Qui t'amoncellent

Dans un sel 

Toxique qui consume ton coeur anorexique

Et critique,

Avec un manque flagrant d'amour

Et d'affection,

Où tu te poses trop de questions,

Sur le pourquoi du comment,

En intermittent d'un partiel printemps,

Mutant dans  l'aliénation

Et l'illumination des divagations,

Dans le flou de ton cerveau,

Egréné en quiproquos,

Qui pensent chaos,

Au choc de l'altération

De ton discernement,

Et de ton raisonnement

Aboli

Par tes prises de position,

En affection 

De longue durée,

Endurée

Par tes crises de situation,

Et écorchée

Dans les flammes

Qui ravagent

Ta rage,

Asociale

Malgré l'affection

De longue durée,

A la sécurité 

Sociale,

Où tu es en insécurité

Amicale

Et amoureuse,

De par ta pénurie

Et ta folie,

En période de sûreté,

Où tu dois te convertir

En sein,

Pour découvrir

Enfin

Les plaisirs

Charnels,

D'une affection

De longue durée

A deux,

Pour la vie,

Dans un avenir

D'amoureux,

Où ton affection

Sera de longue durée,

Plus si affinités,

Dans la divinité

De la pureté

De ta foi,

En un virage

A 180 degrés,

Du reste de tes préoccupations,

Dès lors du passage

Sans second degré,

D'un meilleur radieux,

A deux,

En fusion

De ton aura,

Ainsi soie.

 

Jérôme de Mars 

 

                                             Blagues :

 

1) Que dit-on d'une femme qui fait une fellation profonde au sexe d'un homme ? 
- Elle arrive bien au bout.

 

2) Que dit-on Du PSG qui échoue une nouvelle fois en ligue des champions après avoir été éliminé par Le Barça ?
- Que les équipes de ligue des champions rebutent Le PSG !

 

3) Comment appellera-t-on Johnny Hallyday s'il meurt ?
- Johnny Holiday

 

4) Si on ne peut pas sortir dehors, que peut-on faire pour ne pas rester emprisonné à l'intérieur ?

- Sortir avec une femme ! 

     

 5)  Pourquoi papa, n'es-tu plus responsable de moi   ?

     -  Car tu as longtemps été responsable de moi durant mon état mineur, alors que maintenant, je suis seul responsable de mon état majeur  !

 

 

                                         Jérôme de Mars

                  

 

                                                  Blague  :

 

 

 

Comment appelle-t-on la journée méchante des dames  ?

  -  La journée infâme

 

 

                                          Jérôme de Mars

 

                                                Citations  :

 

 

1)  Dans la vie, on avance en prenant du recul   !

 

2)  Quand on porte le poids de son fardeau, on s'en balance de tout avec légèreté !

 

3)  Au fil des années, quand on prend de la bouteille, on soûle les gens  !

 

   

                                           Jérôme de Mars

 

                                                  Blague :

 

 

1) Pourquoi papa, ne vends-tu pas ta maison en piteux état à Vitry Sur Seine ? 

 

    - Parce-que t'as pas fini de payer le prix du délabrement de ton taudis ! 

 

2) Pourquoi un chinois est-il le remède idéal pour redresser La France  ? 

 

   -  Parce-qu'il détient la baguette magique  !

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

                              Blague :

 

 

Que peut manger un inspecteur habillé avec son imper ?

  - Un colombo de poulet. 

 

 

                          Jérôme de Mars

 

La tête et les jambes

 

 

Quelque soit le cap,

Il y a deux sortes

De handicap

Qui frappent,

A la porte

En casse,

Soit le handicap psychique,

Où l'on se casse 

La tête

Mathématique,

Dans un casse-tête

Systématique,

Car l'on pense bête

Avec un pense-bête

Pour remettre la tête d'athlète

En ordre alphabétique,

Ou soit le handicap physique,

Où l'on se casse la jambe

Car ça nous fait une belle jambe,

A l'entrejambe

Qu'on enjambe

Avec un moral peu automatique,

Dans tous les cas

Qui étriquent

La pratique

En théorique,

Par conséquent,

Les êtres normaux

Ne tendent la main

Aux personnes handicapées,

Qu'ils considèrent

Avec indifférence

En grande fragilité,

N'ayant que des difficultés

Avec aucune volonté,

A en juger

Par les préjugés,

Qu'ils résonnent

Avec leurs mauvais mots

En coups de klaxon,

En sentence

Dans la loi du silence,

Alors que ce sont des humains

Comme n'importe qui

Avec leurs acquis,

Mais heureusement,

Qu'il y a  

Tout de même,

Des gens intelligents

Avec discernement

Qui n'en ont cure de leurs problèmes,

Et qui les voient comme des individus lambda

A part entière,

Du commun 

Des mortels,

Dans la pureté

Inconditionnelle

De leur âme,

Sans gens ordinaires

Qui ne les aiment

De leur âme infâme,

Avec leurs oeillères

De verres,

Sans égard

Au regard

De leur misère,

Les personnes handicapées,

Qu'elles aient ou pas

Le moral

Ont plus de morale,

Que la plupart

Des individus en retard,

Dans la tare

Des personnes handicapées,

Qui avancent à petits pas,

Et qui veulent de la dignité

Et pas de pitié,

En tour de bras,

Car il n'est pas trop tard

Pour changer

Le regard

Des personnes

Qui raisonnent

Mal sur elles,

Où il est temps

De sonner

Le glas,

Des barrières

Entres gens ordinaires

Et précaires

Dans le tintamarre,

Parce-qu'on est 

Tous pareils,

Malgré qu'on se casse

La tête

Et les jambes,

Car tôt

Ou tard,

Nous tous, on se casse

Dans un véritable casse-tête,

Où ça nous fait une belle jambe,

Qui flambe

Et qu'on enjambe,

En états 

D'êtres à part entière,

Avec les années passées

Sur La Terre,

A la lumière

Des différences,

Au courage

De la rage,

Et du dépassement

De soi

Dans l'adversité.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

Les bouchées doubles

 

 

 

Dans les bouchons,

On tire bouchons 

En bouchées troubles,

Quand on met les bouchées doubles

Débouchées 

Aux débouchés

Roubles,

De boucher

Aux oreilles bouchées

L'eau à la bouche bouche-bée,

Dans un débouché

Bouché au débouché

Trouble,

Quand on met les bouchées doubles

En roubles, 

De bouchées

De boucher

Aux oreilles débouchées,

Au débouché

Bouché

L'eau à la bouche bouche-bée,

Quand on met les bouchées doubles

En tire-bouchons,

Sur les bouchons

Bouchés,

Au débouché

De boucher,

De bouchée

Débouchée.

 

Jérôme de Mars

 

                                           Blague  :

 

 

Pourquoi à L'ESAT de Vitry, on doit dire vous et non tu ?
- Car dire vous nous tue d'enfer et dire tu nous voue au paradis d'enfer !

 

 

                                Jérôme de Mars

 

Pays bête

 

 

En êtres francs

D'argent,

On fait un billet

D'humeur

En billet,

Par le biais

D'honneur

Au rabais,

Dans les délais

De réduction,

Où y a prescription

Dès la cure de dextérité,

Du PIB,

Au pays bête

D'un pense-bête,

Où l'on pense bête

Dans un casse-tête,

Sur la crête prête,

Que l'on s'apprête

En se faisant des cheveux

Poivres et sel poil à gratter

Et honnêtes,

Avec sur le caillou

Des mèches rebelles qui jouent les ripoux,

Avec les poux

Sur la tête,

Qui s'arrêtent

En queue de poisson,

Les poils hérissés

Au pic de l'unisson,

Où la raison

Vaut l'union

De la force,

Pour qu'on fredonne 

Et donne

En chansons,

L'écorce

Qui s'amorce

Terrestre,

Sur La TNT

Détonnant et équestre,

Très à cheval de bataille,

Dans une réception

De taille,

En résorption

D'antennes OVNI de Mars,

Sur une autre planète

Gaie et chouette,

Aux ondes de diffusion,

Où l'on passe du poste

PIB,

Au poste

Composte

Du pays bête,

En rendant la monnaie

Des States,

Aux esthètes,

Aux centimes prêts,

Bouche-bée,

Motus et bouche cousue

De fil blanc

Des cinq éléments,

Au ruban 

D'argent

p/ib

RIB bête.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le vieux Prévert visqueux

 

 

D'antan des comètes

Envahies dans leurs planètes,

Abstraites aux lueurs invétérées

Qui inspirent le respect,

La nostalgie rappelle

Vahiné

Au désert exotique,

Le vieux Prévert visqueux

Et obséquieux,

En termes élogieux

Dans les cieux

Tropiques,

Aux extraits de flegme

Cupides aux faux airs de bohème,

Qui semblent le fruit totem

Du bon dieu,

Dans le modèle

De l'emblème,

Qui martèle

Et se met martel 

En tête le vieux Prévert visqueux,

Par salives de liqueur

Défendues et irrésolues

Avec des thèmes majeurs

Aux effets confus,

Quand les rimes complexes

D'anciens réflexes,

S'en rappellent

Du vieux Prévert visqueux,

Avec son appel solennel

Aux troubles anxieux et fastidieux,

Avec un parfum de zèle parcimonieux

De la thèse du bon dieu,

Dans un parfait langage français

Digne d'un réflexe,

En relique de bescherelle

Qu'on appelle

Et qu'on épelle

A la lettre en accents circonflexes,

En stoïques systèmes

Complexes de l'annexe,

D'un vieux Prévert visqueux,

Au clair

D'un ciel bleu

Presque prospère

En une paire

De manche lunaire

Et ensoleillé

A la lumière,

D'un vieux Prévert visqueux,

Dans les alternances

De somnolence

En creux mystérieux

Et au sommeil vigoureux,

De la lune crémaillère

Au soleil réparateur,

Des indémodables poèmes

Flatteurs 

Au vieux Prévert visqueux.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                           Citation  : 

 

 

 

A la naissance, nul n'est gentil ou méchant, on le devient à l'état des preuves  !

 

 

                                    Jérôme de Mars

 

                                                 Citation  : 

 

 

Une vanne envoyée à un ami, coule de source  !

 

 

 

                                          Jérôme de Mars

 

Serge  ( Sers-je )  à quelque chose  ?  !

 

 

 

Mon cher Serge,

Ma personne en questions

Te demande, sers-je à quelque chose

Sur Terre,

Avec mes interrogations

Précaires, austères et délétères,

Au destin terre-à-terre

Que mon oeuf de vie pas éclose

Ne révèle rien de neuf avec mes névroses,

Où j'en suis l'unique et la seule cause

De mes trémolos et de mes ecchymoses,

Toi, Serge a quelque chose,

Car tu oses sans cirrhose

Avec ton inspiration d'absinthe

Et sainte,

Nous abreuver de ta culture si raffinée

Et distinguée,

A la porte pas close,

Avec aucune sinistrose

Et nécrose,

Contrairement à moi, qui respire le morose

Et toi, les mots roses,

Que tu arroses

Avec doigté et subtilité

De ta saga citée,

Allant de Boby Lapointe 

A la pointe de ton empreinte,

Que tu empruntes sans feinte,

Avec une dense excellence,

De formidable première classe,

Alors que moi, je me casse avec ma carcasse

Dans la rage de l'opulence,

En simulacre

D'un je de massacre,

Où j'excelle sans excel avec brillance 

Et sans luisance,

Dans mes casseroles qui sentent le réchauffé

A l'effarouchée des échauffourées,

Serge, sers-je à quelque chose,

Dans cette sombre atmosphère

Patibulaire, rudimentaire, sédentaire,

Lapidaire et élémentaire,

Avec ma clause

De conscience,

Où je veux retrouver sous ton influence

Un reste d'osmose

Qui parcourt le cosmos,

Car toi, Serge a quelque chose

A nous enseigner sur la vérité

De la vie dans l'immédiateté

Et la dextérité,

En parfaite droiture

De ta légitime posture,

Avec ton moral banal

Et moi, la morale au mal animal,

Moi, sers-je à quelque chose

Si un jour proche, j'écris un livre

Et je me délivre,

Afin que je livre

Dans les délais, toutes les péripéties

De ma vie,

Dans la pudeur

De mon jeu des sept erreurs,

Avec la descente en grandeur

Du désintérêt d'écoeur 

De ma famille 

Et de mes amis,

En nausées

De coeurs,

Car avec une case en moins,

On me range coché stéréotypé,

Avec toujours le même refrain

Enfreint et sans frein,

Toi, Serge a quelque chose

A me procurer en partition,

De mon effritement en perdition,

Où avec tes belles paroles

Plus vite que la musique sans bémol,

J'aimerais que tu me composes

Une mélodie 

Qui rime avec harmonie,

Au prétexte

De mon texte en l'état du contexte,

Moi qui suis con et qui l'atteste

Dans le test de l'éthylotest,

Où je soûle les gens

Dans un océan de boucan

Qui fout le camp

Itinérant jusqu'au dernier rang,

Mais si jamais tu me composes

Une complainte,

Je te répondrai que j'en dispose

Sans dépôt de plainte

En ménopause,

De la pose qui s'impose,

Toi et moi Serge, qui a quelque chose

A faire partager,

En mots perchés,

Percés et transpercés

A la percée de l'arrachée,

Où j'appuie sur le bouton pause

De mon mea culpa,

En appât

Mis pas à pas,

Dans de jolis draps

Roses

En proses.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

                                              Blagues :

 

 

1) En quoi se reconvertissent un groupe d'amis ivrognes une fois sobres ?
- En acolytes anonymes

2) Pourquoi Marie-Laure est-elle moins souple avec les agents lors des séances de psychomotricité ?
- Parce-qu'elle est en mouvement !

3) Pourquoi à L'ESAT de Vitry, y a-t-il pas photo ?
- Parce-que tout est négatif !

4) Pourquoi à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, les agents se jugent-ils en procureurs ?
- Parce-que c'est le tribunal des prudes hommes 
( le tribunal des prudhommes )

5) Que dit-on de ton portable qui ne marche plus et qui est recyclé dans un autre pays ?
- Il est exportable !

 

                                          Jérôme de Mars

Les oiseaux volages

 

 

En trompe-l'oeil

Avec leur immense orgueil,

Les pigeons voyageurs

Ont un dur labeur,

Infidèles à leurs valeurs

En oiseaux volages,

Qui avec leur attelage

Trahissent leur entourage,

Dans le cortège perfide

De leur intérieur torride,

Où ils effritent

La lettre du corbeau,

Pour dénoncer leur alter-ego 

Dans une infamie hypocrite,

Qu'ils échangent en noms d'oiseaux

De prises de bec là-haut,

En oiseaux volages,

Qui malgré leur vieil âge

Se déchirent en vol à la tire 

Et en boucs-émissaires,

Qu'ils chargent en sbires

D'exécuter la lettre testamentaire,

Cocus avec leurs femelles dodues

Et férus d'histoires de cul

Avec d'autres partenaires,

A s'en lécher les babines

Et en repassant la bobine,

En oiseaux volages,

Où avec leurs bagages,

Ils partent avec leur nouvelle Eve

Aux rêves

Des romances rencontrées,

Aux endroits idolâtrés

Des contrées dupées,

A la croisée

Entrecroisée 

Des oiseaux gais pinsons,

Que demeurent ultra-sont 

Les oiseaux volages,

Dans les parages

De la traversée

Du son,

Des oiseaux sauvages

A la fronde démarchée

En tournée.

 

Jérôme de Mars

 

Vivre au crochet

 

Accrochée

Au coup de fil,

La pelote de laine

Est décrochée,

Pour vivre au crochet

Du crochet

Au fil

A en découdre,

Sur le fil

Du rasoir du dé à coudre,

Afin de soudre

Le fil

De pelote de laine,

En bas de laine

Pour vivre au crochet,

Du fil

A Absoudre

Et à dissoudre,

Des crochets

Décrochés

Et accrochés,

Au fil 

De laine,

Pour vivre au crochet

Décroché

Et accroché

Au crochet,

Qui défile

En bas de laine

Qui tiennent l'haleine,

A résoudre

Le fil

Des crochets

Sur le fil.

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Citation :

 

Si on a envie de sodomiser une prostituée, ça coûte la peau des fesses !

 

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

 

La graisse antique

 

 

 

A la balance antique

De notre poids, on s'en balance

Même qu'elle balance

Toute notre graisse en tics,

Et que ça pique

Du poids de notre fardeau

Dans un bordel de méli-mélo,

Où ce soir, on va manger

Et déguster

Un bon sandwich grec toxique

A La Grèce antique,

En pilier du Colisée

Dans L'Acropole,

Qui demeure la colonne du monopole

Sur le poteau

Du ghetto,

Pour marquer notre territoire

En interrogatoire,

Où nous devons suivre un régime draconien

En pourparlers avec occasionnellement

Un sandwich grec modéré,

Que l'on continuerait

Ponctuellement et partiellement

Dans un lieu empreint,

D'un sérieux de rigueur adjugé

Preneur avec une poignée

De frites accompagnées,

D'un sandwich grec dans La Grèce antique

Que l'on engraisserait en tics,

Au pic du très haut débit

Du volume à double menton proscrit,

Car à l'avenir, le médecin nous préconise prescrit

Par ordonnances, un régime draconien,

Rédigé par écrit

Noir sur blanc

Au crayon gris,

Astreint et restreint

Qu'on peint

De la graisse en tics,

Et qu'on repeint enfin

Dans La Grèce antique,

Nostalgique, d'une ligne élancée

Et lancée

Avec un visage émacié,

Pour demain

Avec la légèreté graciée. 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                                Citation :

 

 

Lorsqu'on est renfermé, la clé de l'énigme, c'est de s'ouvrir aux autres ! 

 

 

 

                                              Jérôme de Mars

 

                                           Citation :

 

 

Lorsqu'on a un problème en équation avec la peur de l'inconnue , seule la réponse en solution nous rendra l'adéquation en clé de l'énigme !

 

 

 

                                 Jérôme de Mars

 

                                                Blague  :

 

 

Comme faire trop de sport diminue la libido, quel sport faut-il faire pour que la libido reste intacte   ?

   -  Il faut faire du sport en chambre  !

 

                      

                                        Jérôme de Mars

 

Le mobile de l'appel

 

 

 

Immobile, le portable

Reste mobile et importable,

Quand sonne le rappel exportable

Du mobile en appel,

Dont l'objet de l'appel

Semble un mobile fixe

Au téléphone fixe,

Sans fil

Qui perd le fil

Au numéro zéro,

Sur le meuble immobile

Aux ondes mobiles réduites,

A l'exécution d'un faux numéro

De la touche étoile,

A la note salée de bonne facture

Sur la touche dièse. 

 

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blague :

 

 

 

Quel est le comble pour un agent d'entretien ? - C'est qu'il s'en lave les mains !

 

 

 

 

                                        Jérôme de Mars

 

                                   

 

La gerbe

 

 

En se roulant dans l'herbe,

On cultive un jardin secret

Défriché en fraîche et innocente gerbe,

Mais qui fane face aux duretés d'âpreté 

De la vie qui fout la gerbe,

Dont on gerbe sur l'herbe

Nos détritus obtus,

En héritage d'étrangers intrus

Dans cette humanité délaissée et mal-aimée,

Aux mauvais côtés effrontés et désenchantés

Au pays tant méconnu

Et aux vices

Dévisagés,

Qu'on désire chasser

Pour repêcher

Les vertus

Si reconnus,

Mais en attendant la crue,

Comme une gerbe de fleurs,

On entretient le malheur

Qui nous débecte

En prises de bec,

Toute sa rancoeur

Vile en nausées,

Qui révulsent nos envies cachées,

En s'empêtrant dans un crépuscule

Morbide au fond sans bulles,

En dépréciation sans saveurs

De la vie qui fout la gerbe,

En déroulant la mauvaise herbe,

Où l'on fume de l'herbe,

En gerbes

Qui gerbent

De vertes et de pas mûres,

Dans la déraison qui dénature

Le voile de l'avenir qui augure

Un triste et sombre coin obscur

En gerbe fanée et désincarnée,

Dans le ricochet amoché et écorché

Des cases en moins cochés stéréotypés

Aux parfaits clichés de pauvres tarés,

De gens aux pratiques douteuses

Et à la politique sulfureuse

Qui nous fout la gerbe,

Dont on gerbe sur la gerbe

De la fleur fanée sur l'herbe,

Très en avances sur les trouble-temps 

Trépassés d'outrance, écrits d'avances

Avec insistance

Dans un scénario prémonitoire et trépidant,

Où y a de la bile fébrile,

Malhabile qui rhabille

La vie pour l'hiver

A l'enfer de travers,

Où il suffit juste que la gerbe brille

Pour qu'on désherbe le mauvais de la gerbe

Et qu'on roule sur l'herbe,

Génies en herbe,

Aux lumières vives qui scintillent,

En plein dans les années deux mille

En mille

Et une aventures

Superbes.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Si stations assises

 

 

 

Dans ce paris gagné

En station debout,

Les usagers dévalent les escaliers

Dépourvus de renvois d'ascenseurs,

Avec un billet d'honneur

En billet

Distributeur de pièces détachées

A la machine à café,

A côté d'ici, les machinistes

De La RATP encouragent les artistes

Ambulants qui font la manche,

A jouer avec leur accord la musique

De prodiges en herbe acteurs

Aux talents prometteurs,

Dans le métro de retard qui arrive ok

Et qui rame à la bonne marche au quai

De l'arrêt de chaussée,

Où une fois montés entrain,

Les usagers tout ouïs écoutent en spectateurs

Attentifs et réceptifs avec une poignée sans frein,

La mélodie en accordéons

Accaparée sur le qui-vive d'attention,

Si stations assises

Comme un procédé d'assises,

Quand le métro de retard démarre sur de bons rails,

En trajet aller-retour,

Ni contre, ni pour

Avec les voyageurs sur leur strapontin

En si stations assises,

Qui bouillent porte close

En fleurs immatures pas très écloses,

Dans ce paris gagné

Qui coupe les ponts

Loin D'Avignon,

En si stations assises

Avec une réduction

En remise

D'un ticket modérateur

A point d'heure,

Et à la lueur

Approchant de l'ultime destination,

Lorsque le métro est en train

D'entrevoir le bout du tunnel,

Après six stations assises

Avec une étincelle

Qui ne déraille entrain

Et parvient

Au bout d'un long voyage,

A l'arrêt de chaussée

Du terminus

A l'issue permise,

Où tout le monde descend en ballade

Sur le quai,

OK,

Du fil conducteur

En station debout

De l'élément moteur

De vous à nous,

Dans cette trame ouais

Qui se trame

En d'autres stations debout

En garde-fous,

De tout ce paris en train

D'avoir un métro de retard 

Dans la trame ouais

Qui véhicule sur le tard

Les moyens de locomotions phares,

Car le temps s'arrête dans la durée

Qui rame 

Et trame

Sur de bons rails

Aux moindres détails,

A l'arrêt de chaussée,

En station debout,

Qui voue 

Une profonde fidélité

Avec bagages

Au bout de l'entrain

Du bus.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                              Citations :

 


1) Ce qui attire les gens, c'est une personne de couleurs et pas quelqu'un de noir !

 

2) Tous les amis et la famille d'une personne prennent leur distance quand elle va trop loin !

 

 

                                        Jérôme de Mars

 

 

                                                 Blagues :

 

 


1) Concernant Dugas, pourquoi connaît-on la chanson quand on ouvre les cartons, qu'on les met à plat et qu'on les jette à la poubelle ?
- Parce-qu'on les jette dans la benne de l'oncle soul ! ( Ben L'Oncle Soul )

 

2) Que dit-on de quelqu'un comme Alexandre Strub qui a souvent le cigare aux lèvres ?
- Qu'il y a pas de fumée sans feu !

 

3) Que dit-on d'une femme peintre discrète et froide ?
- Que c'est un mystère de glace !

 

 

                                      Jérôme de Mars

 

                                                  Blagues  :

 

 

 

1)   Quel est le comble pour une personne dont ça lui fait une belle jambe de blesser quelqu'un ?

- Elle fait une entorse à sa conscience !

 

 

2)  Pourquoi Alexandre Strub n'espère-t-il pas que la petite bande d'amis qui reste ne se fracture de nouveau avec le risque qu'il ne reste personne ?

- Parce-que sinon ça ferait une entorse au règlement des amitiés censés durables !

 

 

 

                                      Jérôme de Mars

On se fait cuisiner  !

 

 

 

 

Venez, on passe à table,

Où l'on mélange les torchons et les serviettes

Avec la nappe en décor,

Pour concocter 

Et mijoter

Un succulent repas

Agréable et mémorable,

Où l'on met tout à plat

Et l'on se dore

En passe-plat,

Avec les convives qui semblent dans leur assiette,

Car avant qu'on se fasse cuisiner

A l'étoffée 

D'un jambon à l'étouffée,

On traîne des casseroles,

Si bien que quelques minutes plus tôt,

On achète des emplettes

De grande surface en restant dans la fourchette

Des prix modérés,

Aux bricoles frivoles

A préparer

Et à déguster

Dans ce buffet

Peu éclairé

A basse consommation,

Où l'on demeure à couteaux tirés

Sans y aller

Par le dos de la cuillère

A la juste ration,

Avec les affaires

Qui ne paraissent à faire

A couvert

Et à découvert,

Avant le dessert

Qui dessert

Et clôt

Ce banquet,

Avec la cerise sur le gâteau

En bouquet

Final 

De ce festival

De mots

Bien placés,

Parfois crus et déplacés,

Entre les gens qui bougent en insanités 

Et avec une fervente vanité

Vanille de glace,

A la masse

Et à la ramasse,

Où finalement, les invités exquis

Sont badauds

Et sans acquis,

Sans savoir à qui,

Revient la palme de la personnalité

Qui est une crème,

A qui l'on décerne

Et cerne

Les choux gras qui pressent,

Dans l'éloge de la gentillesse

Et de la délicatesse,

Où l'on est si bien cuisinés

Par le cuistot

A notre service qu'on lui redit merci,

Pour cet inoubliable

Repas au sirop d'érable

Avec une teinte d'ironie

Et de saveurs d'appétit,

Sans grain de folie

Et de sable,

Où l'on perdure insatiable

Et instable,

Avec l'impatience

De connaître la prochaine fois,

Que l'on se remettra

A table

Avec vous affable,

En votre compagnie

De si présente élégance,

Car plus on est de fous, plus on rit  

Au régal 

Frugal    !

 

Jérôme de Mars

Jazz big bang

 

Aux cymbales 

Du bal du carnaval,

On tape sur les timbales

En tam-tam d'intervalles,

En verres de revers

Aux verts

De pâturage,

Sous l'herbe qui se coupe en douze pieds

En élagage,

Sur les chants de réaction

Du jazz big bang,

Dans le big bang

De la bande

Du big band,

En contrebande

Des gangs

Qui provoquent un tollé

Dans un olé,

D'un taureau qu'on prend par les cornes

Et qui dépasse les bornes

De l'art et de l'image

Du marque-page,

Qui tourne la page

En maître de l'adage

Dans l'amalgame

Des gammes

Over

Au Prévert

De La Saint-Jacques,

Renfermée dans sa coquille

Sur la quille,

Dès que ça jase 

En jazz

Big bang,

Dans le big bang

De la contrebande

Des gangs,

En bande

Du big band,

Rétro qui danse

En contredanse,

Les valses qui viennent, endiablées

Au pied du taquet,

Sur la piste survoltée

Du jazz big bang,

En chef-d'orchestre

Très à cheval équestre,

Etoffé dans la loi de l'offre et de la demande,

Où le jazz big bang quémande

En offrandes

Friandes et gourmandes,

Des amendes

Qui mettent le paquet

Mené tambour-battant,

Dans les abattants

Et les battants

De leur eau de toilette,

Qui émiette

Le jazz big bang,

Avec des baguettes

Cafés frappés,

Aux manettes

Des sornettes

En sonnettes,

Qui semblent disette

Dans leurs contresens décapants

Et percutants

En hors-d'oeuvre,

A la manoeuvre

Des cinq éléments

En fragments

Avec des plans sur la comète,

Pourvu qu'on s'y mette

En saynètes

Du jazz big bang,

Rase moquette 

Sur les maquettes,

Qui tanguent

Le jazz big bang exsangue 

Populaire et salutaire,

A l'effet boomerang

Du big bang

De la planète Terre.

 

Jérôme de Mars

Personne ne te comprend  !

 

 

 

Question de vie

Ou de mort,

Que t'es des remords

Avec des ennuis,

Personne ne te comprend,

T'ignore et te mord

A sang,

En te rejetant

En croque-mort,

Dans un silence indifférent

Et assourdissant,

Qui te méprend

Et te surprend

A tes dépens,

Où le temps se suspend

Dans l'horizon qui te prend

Et te reprend,

Car personne ne te comprend

Dans un boucan

D'un fout le camp,

Où tu descends

Et te tends

A cran,

Dans la ligne du néant,

Quand te vient en tourments,

L'idée que tu te pends

Dans le temps insignifiant,

Car personne ne te comprend

Dans l'océan insolent

De tes mots impertinents,

Où le temps se fait pénitent

Avec toi 

Dans un climat

Glaçant et friand

D'un idéal récalcitrant,

Où finalement,

Tu te reprends avenant

En espérant

Qu'avec allant,

A tes instants pressants

Des prochains moments,

Tu reviendras présent

Au présent empressant,

Sans le passé oppressant,

Avec un large sourire prévenant

Rechargeant les batteries

De ta vie

Pour ton retour chez les vivants,

Et c'est là

Que tout le monde te comprendra,

En allant de l'avant

Et en prenant les devants,

Dans une ola

En hip hip hourra 

De la nouba,

D'un voici voilà

Aux aléas,

Bien au courant

De la loi

Du temps,

Que personne ne te prendra

Distant 

Dans le bon temps.

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blague  :

 

 

 

Qu'est-ce-que ça fait une fellation sans effets   ?

     -   Ca mène au casse-pipe  !

 

 

                                       Jérôme de Mars

Les objets d'occasion

 

A la fréquence arriviste,

Le hasard

Saisit opportuniste

Les occasions rares,

Qui se présentent

Et qui tentent

D'aller dans les objets d'occasion

Du bazar,

Ce pourquoi les clients épellent

L'objet de leur appel

Pour dénicher les objets d'occasion,

Au rappel

Des reliques de vieilles fonctions,

Dispersées au fond de la cervelle,

Car il arrive peu souvent

Que les acheteurs soient dans le vent

Des nouveaux articles d'application,

Tant que le numérique supplante les obsolètes façons

De s'exprimer, de marcher

Et de chercher

Les objets d'occasion

Avec la même direction,

Alors qu'existe encore la brocante

Des objets d'occasion,

Dont les chineurs font collection

Avec la délectation

D'une magie qui opère et qui incante

Les clients, avec un rappel d'usage

A la raison sage,

En prévisions,

De basculer

Et de modifier

La vision

Des choses,

Anciennes avec une clause

De conscience

Dans la science,

Infuse de l'époque moderne et contemporaine

Des objets d'occasion

En bedaine,

Afin de se mettre à jour

Pour toujours,

En phase avec les objets d'occasion

En provisions.

 

Jérôme de Mars

Accordéons les violons

 

 

 

Youpi, la fanfare démarre

Au son troubadour du tam-tam

Dans le slam de la trame,

En variations d'étoiles stars

Evasives et fantasques à l'instar,

Quand nous accordéons

Les violons,

Du violoncelle

A celle qui scelle,

Tôt ou tard

Le rideau qui se hisse,

Dans une transparente sève

Du jardin des rêves

Qui se hérisse,

Au naïf mélange mic-mac

Avec un clap de tic tac

Du tac au tac,

Avant l'entracte 

Candide du tact au tact

Novice et diplomate,

De l'automate 

Intact à la musique mate,

Quand nous accordéons

Les violons,

Entre divagations

Et diversions,

En tableau d'honneur

De nos multiples versions,

En adéquation avec la consécration

Qui met du beurre

Dans les épinards,

De la fanfare

Des sentiments aléatoires,

Oscillant de l'abordable dérisoire

Aux folles histoires,

Apportées musicales

En favorables escales,

Sur le macadam,

D'où l'on tape en percussions

Avec un retentissant ramdam,

En inéluctables répercussions,

Lorsqu'il dame 

Le pion

Entre deux chansons,

A l'air pubère

Au fond linéaire,

Quand nous accordéons

Les violons,

Dès le passage

Dix vers et avarié,

En adage

D'un appréciable printemps

Du  bon temps,

Indémodable en sifflotant

Avec la réciproque ritournelle,

La vertu du miel

Qui bourdonne en ribambelle

Les belles demoiselles,

D'un air débonnaire 

Aux flairs

Grisants,

En un gris gris

Qui brandit le totem plaisant

Et charmant,

Du printemps

Féru et friand,

Renaissant de fleurs

A la liqueur d'ardeur,

Dans la ferveur

D'un idyllique bonheur,

Rabiboché à l'évocation ancrée,

Des souvenirs d'irrévérence singuliers,

Quand nous accordéons

Les violons,

En un don,

Dont nous accordons

En arrangements permanents

Les paroles du soleil doré sur le gazon,

Car gageons qu'il s'éveille de son âge vermeille,

En se roulant sur l'herbe pas mûre

Qui reflète notre honnête nature

En accordéons,

Quand nous accordons

Les violons,

De leurs joyaux loyaux

En cristaux,

En tenant la chandelle

Lors des amours charnels,

Au sempiternel 

Couplet perpétuel,

D'untel fusionnel

Echec et mat.

 

Jérôme de Mars 

 

Conditionnés au pire   !

 

 

Allez, les gars  !

Y a Du gars

Au dépôt,

Des pots

Aux roses

Que livre DUGAS,

Où en cirrhose

Du foie,

Il y aura des dégâts

Dans la sinistrose

D'un manque de foi,

Car les acolytes anonymes

Prennent de la bouteille

Et de l'oseille,

En trinquant au pot

Des authentiques blaireaux

Le nez sur le carreau

A contempler

Et à surplomber

Ce travail

Au détail,

Qui plombe sur la paille

Les victimes

De DUGAS qu'on envenime

Synonymes

D'abîme,

Dans la dîme

Des agents conditionnés

Au pire

Pour le meilleur et pour le rire,

Si bien qu'ils attendent les pains bénis

Des baguettes magiques,

Qu'ils épient

A l'épi

De blé 

Rustique,

En pleine campagne, pour faire 

Du blé

Au CAT,

Aux doigts d'Orphée

Des petits bijoux

Qui enfilent des perles,

Comme les merles,

Pêle-mêle, de ce trophée

En toc de pacotille,

Où tout part en vrille

Entre les collègues, au CAT,

En conflit de désintérêt,

La tête sur le guidon

Du cachou,

Où parmi les agents,

Certains sont en argent,

Tandis que d'autres demeurent régents,

En dix commandements

S'insurgeant pour un pseudo bon déroulement

Dans l'atelier conditionnement,

Conditionné au pire

En ligne de mire,

Du ridicule plausible

Au pétage de plombs

Des fusibles

Ennemis,

Où peu se lient 

Comme de sincères amis

Dans ce vaste champ de bataille

Aux trouvailles

Qu'on entaille,

Et aux retrouvailles

En taille

De bonne impression

En mille-feuilles,

Quand c'est du gâteau

Dans l'îlot ballot 

De cet environnement

Idiot,

L'atelier conditionnement

Conditionné au pire,

A vade rétro

Du diable dans la nécro

Rétro,

Dès qu'on se sert des agents

Pigeons

Qu'on vole en antivol,

Car lorsque ça vole

Bas à tous les étages,

Avec aucun renvoi d'ascenseur,

On hurle Messieurs les censeurs

De la soi-disante scrupuleuse direction

En aversion,

Qui nous pompe l'air montée sur ressort

Dont ce n'est guère de votre ressort

Notre sort,

Dès que monte la mayonnaise

En foutaises

Et que ça tourne au vinaigre aigre-doux,

D'un je m'en fous

En général,

De l'état-major amiral

Aux agents au garde à vous,

Mon général,

Dont le bateau amiral

Chavire à-vau-l'eau,

Dans un méli-mélo

Mené et emmêlé

Avec brio,

Dans cet immense fourre-tout,

Où tout fout le camp

Dans le décan

De concentration,

Dépourvu de jus concentrés,

Incités par leurs alter ego,

Déconcentrés et recentrés,

Des Amis De L'atelier

Aux Amis Du Ratelier,

Inégaux,

Dans ce bâtiment,

Où tout le monde ment,

Causant de graves tourments

Dans une hypocrisie,

Sans nom

Avec d'office un non

Et des noms

D'oiseaux,

Car l'atelier conditionnement,

Est devenu la prison

De la santé,

Surtout à la santé

De la direction,

Où se vident

Et se désemplissent

Le moral

Et la morale,

Dans tout

Ce bazar

De bric-à-brac,

Où y a trop de gens

Et d'agents

Qui craquent,

Car le silence est d'or,

La parole est d'argent,

Aux Amis Du Ratelier

Qui se dorent

La pilule en bouffant

Notre santé,

Pour le profit

Et la rentabilité,

Qui restent leur fond

De commerce prospère,

Où ils n'en ont

Que faire

La direction

Version 2017,

Et aversion 7 sur 7,

De la direction

Dans laquelle s'embarque,

Le CAT qui privilégie

Le business asocial 

Au détriment

Du social

Et de l'humain,

Dont le CAT perd la main

Et plusieurs cordes

A son arc,

Dans la discorde

Qui cesse le coup de main,

Pour demain

Sans deux mains,

Car la construction

Du bâtiment

Des Amis Du Ratelier,

Semble une façade,

Qu'on en conclut que la fondation

N'est pas terrible,

Du dribble

A la ballade

Des phrases toutes faites,

Où tout le monde tombe aux oubliettes,

Une fois partis

Du CAT,

Dans le néant

De l'indifférence déméritée,

Comme des comètes

Dans ce monde inter pas net,

De l'internet,

Conditionné au pire

Dans la satire du rire,

A l'argent qui coule en bronze,

Et le bronze qui découle d'une main

De fer

Dans cet enfer

Récurrent,

Où un jour prochain,

On sera conditionnés 

Dans la pureté

D'un nom de Dieu,

Avec une santé ravivée

Dans un autre monde ailleurs

Au paradis

Des bonnes ondes,

En ronde

Main dans la main,

Au-delà de l'humain,

En gentils anges

Qui s'arrangent

Pour le meilleur

Dans une amitié consolidée

Et renforcée

A votre santé  !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

                                           Citations :

 

 

1) Un homme égoïste est un différent d'un être humaniste !

2) Les pauvres sont riches d'humanité !

3) Un homme n'est ni tout blanc, ni tout noir, il attend juste que sa vie reprenne des couleurs !

4) De Gaulle disait dans l'ensemble : " En général ! "

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

                                            Blagues   :

 

 

1)  Quelle est la version haineuse de La Saint Valentin ?

- Sein va-t-en tiens !

 

2)  Quel est le comble d'un obsédé sexuel envers sa femme ?

- C'est qu'il pense cocu !

 

3)  Quel est le comble pour un égoïste ? - C'est qu'il s'oublie très vite d'y penser !

 

4)  Pourquoi en France c'est chacun pour soi et dieu pour tous ?

- Parce-que la religion d'état n'a foi en rien !

 

5)   Que dit-on d'un cardiaque qui va à l'essentiel pour trouver un remède à sa pathologie ?

- Il va au coeur du problème !

 

6)  Pourquoi connaît-on la chanson de ma mère qui a frappé ma grand-mère paternelle   ?

    -  Parce-que c'était mamie bleu  !

 

7)  Pourquoi papa, ne m'appelles-tu jamais avec ton portable  ?

      -  Parce-que tu perds le fil  !

 

8)  Pourquoi papa, ne veux-tu pas que je mange à la fois (  foi  )  avec toi et ta compagne au restaurant   ?

     -  Parce-que tu ne mélanges pas les torchons et les serviettes  !

 

9)  Pourquoi papa, ne me traites-tu pas comme les autres en faisant  des différences avec moi   ?

    -  Parce-que je suis indifférent aux normes et un différent hors-normes  !

 

 

 

                                    Jérôme de Mars

 

 

 Moulin à paroles  

 

 

 

 

Avec les éoliennes,

On brasse du vent

Par le courant renversant

Des persiennes 

Qui propagent la lumière

A l'air de l'atmosphère,

Comme un moulin à paroles

En farandole,

A la rose devant

Du vent,

Quand le rideau se lève

Et que le soleil s'élève

A L'Est

De la sève,

Complètement à L'Ouest

Alouette 

Pirouette

Cacahuètes,

Comme un moulin à paroles

Qui s'enrôle

Dans le vent

Des rossignols chouettes,

Les oiseaux bavards,

Hagards dans le bazar

De ce bric à brac,

Pris aux devants

Dès que l'entracte

Brasse et embrasse

La masse

Elémentaire des matières premières

Au teint clair

De la chaumière,

Qui manque de tact

Aux irrévocables actes,

Comme un moulin à paroles

Qui fredonne de bémol

En musique à portée

De vent

Devant

La croisée emportée

Qui brasse de l'electricité,

En vastes particules

Des spacieuses péllicules

D'un roman photo

Qui sort l'album recto-verso,

Comme un moulin à paroles

Sur le sol

En feuilles figées

Et crispées

A l'arrachée

De l'air du temps

En élan

De particularité,

Comme un moulin à paroles

Avec parasol

Si près du saule

Rieur de l'arbre planté,

Au-delà les siècles tracés

Et achevés

Au chevet

De la récolte supplantée,

Comme un moulin à paroles

Dans son envol

Paravent.

 

 

Jérôme de Mars

 La ponte des oeufs

 

 

 

Effet boule de neige,

Il semble enclenché le déluge

Déclenché du terrain glissant dans la luge

Ici-là, le moment favorable de la fonte

Propice des oeufs en neige,

Par éclats volubiles dans leur manège

Enchanté de la ponte

Des oeufs,

Après les matchs de poules,

Oh que oui, cocorico, ma poule,

Car au moins, eux,

Ils naissent et voient le jour

Maboule qui déboule

Avec leurs cartes de séjour

Pour toujours,

Dans l'amour et ses retours,

En accomplissant leur tour,

Et en compte à rebours,

Avant d'être cuits

Comme la cocotte minute,

Où ils bizutent tous azimut 

Avec leurs figures renfermées

Sans prendre l'air pour décompresser,

Et la fois d'après, ils viennent décompensés

Avec leur soupape mise à rude épreuve,

Quoi de neuf

Docteur  ?

Qui de l'oeuf

Ou de la poule

Refoule

Sur le pont neuf   ?

En choisissant la preuve

Par l'image,

Aux dommages des rois mages,

Qu'il vaut mieux têtes de noeuds

Que les oeufs 

Rient jaune d'eux

Dans ce monde à faune,

Où eux,

Ils arrivent en parfaits petits poussins

Du pain béni

Et qui s'ensuit,

Dès lors qu'ils mettent la main

A la pâte, un oeuf

Quoi de neuf  ?

Quand les oeufs

Grandissent d'oeufs à d'eux,

Par paire deux,

En fonte 

Des oeufs

A la ponte

D'eux,

Du coq à l'âne ma poule,

Qui refoule   !

 

Jérôme de Mars

Un pour tous, tous pour un  !

 

 

 

En quatre un

Comme un quatrain,

La devise en hymne

D'un meilleur monde

Avec un bon rythme

Serait de rassembler

Tous Les Français,

Dans l'unité

Et la fraternité

De La France,

Avec l'opulence

De la solidarité

Et de se prendre tous

Par la main,

Avec entrain,

En faisant une ronde

En forme de coup de pouce,

Un pour tous,

Tous pour un,

Où l'on repousse

Les gens malfaisants

Et déteints

Dans cette sale atmosphère

Egoïste,

Aux paroles dans l'air

Du temps fumiste,

De cette Terre,

Délétère, terre-à-terre

Et plus bas que terre,

A proximité de l'enfer

De Lucifer,

Où la fin du monde

Se rapproche des mauvaises ondes

Actuelles à la détonation

Imminente

Si près de l'extinction

De l'humanité,

Où le diable nous tente

La guerre

Et l'ange nous intente

Un procès,

Car depuis naguère,

Il n'y a guère

D'appel à la paix

Pour vivre dans un meilleur monde

En ronde,

Qui tourne rond

Dans la sérénité,

Sans l'écoulement 

Glauque du sang

Aux visages rubiconds

Des gens indifférents

A la liesse

Populaire

D'une ritournelle belle,

Afin de générer

En ribambelle,

Une union

Au ralliement

Des êtres à la renaissance prospère

De la population,

Où il serait temps

D'une profonde remise en question

Avec la volonté

De kermesse

En signal de détresse

Qui blesse

Et qui attend,

De sorte que l'on se presse

De passer

Aux tresses,

A l'unisson,

Un pour tous,

Tous pour un,

En généreux coup de pouce

Sans chrysanthèmes,

Dans l'emblème 

Des rassurants lendemains,

Pour pleins

De t'aime

Réassurants,

Au long temps distant

Dans la durée

De demain.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Je nique le système   !

 

 

 

En requiem

Satanique,

Je nique

Le système

Tant qu'il me tape

Sur les nerfs

Dans la guerre

Du rap

Qui dérape

En bas de thème,

Où je proclame

Je nique le système

En ébats,

D'un bas

D'un je t'aime,

Où il n'y a que des problèmes

Blêmes 

Qui traînent  dans le zonzon

Obscur

De l'horizon

D'un bloc de mur,

Où tout me soûle 

Dans la foule

Car faut rentrer dans le moule

Pour que ça roule

Bien et que ça reste conforme

Dans la forme

Du système,

Que je nique

Et fornique

D'un je m'en foutre

Plein de foutre

A Pornic,

Car je pique

Et je nique

Dans la panique

De la rhétorique

Des chrysanthèmes

Automatiques

De ma politique

Critique

Que je nique

Dans le système

Des roublards,

Vilains petits  renards,

Qui dégainent

Les dindons de la farce

En farces et attrapes 

Pour dégoupiller le tic-tac

Et que ça pète dans la gueule

Que je dégueule

Bégueule en amuse-gueule

Parmi les attaques

Qui craquent

Dans un sas 

De compression,

Où je ressasse

Les mêmes questions

En panique

D'un je nique

Le système

Dans la planète de Mars,

Où je freine ma racaille

Ecrite

Car je m'effrite

Sur la paille,

D'un j'en ai marre

Du système

En sauvageon

De la rébellion

Avec ma rafale de fumigènes

Sans-gêne,

Tandis qu'une fois jeté au mitard,

En sanction

De mon infraction,

Je me fais sauter le caisson

A cran de subir des encaissons

A contusion,

Où je nique

Le système

Et je laisse tomber le flegme

Pour le blasphème,

Vraiment avec l'idée

De me disloquer

Dans ma pierre tombale,

Où je vide mes malles

De mon mal frontal et fatal

A l'ultime 

Fin brutale

Qui m'anime unanime,

Dès lors que les cieux me laissent songeur

Et rêveur d'un autre monde meilleur

Que Sur Terre,

A la lumière

D'un ailleurs

Nulle part ailleurs,

Où je nique

Le système

A la condition

Mécanique

Que le  thème porteur

Bifurque en un je t'aime

Au sujet 

Achevé

Et expéditeur

Vers la paix intérieure.

 

Jérôme de Mars 

On travaille  !

 

 

 

En cheval de bataille,

On travaille

Dans le sérail

De la volaille,

Maille que maille 

Pour gagner notre paille

Qui caille

Vaille que vaille

A la sueur de notre front qui vaille,

Et qu'on assaille

Aux mailles

De nos entrailles,

A la taille

De nos tenailles,

Où l'on va avec notre émail

Au travail,

De sorte de ne pas devenir un sans-dent aux failles

Qui baillent

Aux corneilles de l'éventail,

Où l'on passe le moindre détail

Dans la pagaille,

Où l'on travaille

Dans la volaille

Vaille que vaille,

Aux mailles

Qui vaillent

Maille que maille,

Si bien que dans un aïe

On sent l'ail,

Où que l'on aille

Dès la juste trouvaille

Vaille que vaille,

Où l'on travaille

Tant bien que maille

Avec âme qui vaille

En cheval de bataille,

Sur le rail

D'un renouvellement de bail

Pour un bail

En good bye.

 

 

Jérôme de Mars

 

                                         Blagues  :

 

 

 

1)  Pourquoi personne ne vient chez moi ?

- Parce-que je subis des déconvenues !

 

 

2)  Pourquoi personne ne m'appelle avec son portable ?

- Parce-que tout le monde perd le fil !

 

 

3)  Pourquoi à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, l'ambiance est-elle suicidaire ?

- Parce-que tout le monde est à couteaux tirés !

 

 

4)  Pourquoi ai-je fait du vide parmi ma famille et mes amis ?

- Parce-que je ne contiens pas ma colère et ma haine !

 

5) Pourquoi faut-il que ce soit Marine Le Pen qui soit élue présidente de La France cette année car La France est une poubelle ?
- Parce-que La France a la fièvre au front et que Marine Le Pen monte au front parmi les ordures !

 

6) Pourquoi Les Français s'en foutent-ils de tout et de tout le monde ?
- Parce-qu'ils font l'indifférence avec les autres !

 

 

                                  Jérôme de Mars

Oui-clos

 

 

Dans le déni

Des non-dits,

Choses tabous

D'où l'on est à bout,

Nous demeurons à oui-clos

Des vases clos

Communicants

Avec une rafale massive

De boucan

Qui crève les tympans,

En lettre missive

Vers notre direction

Dans le ni-oui

Ni-non,

Des coeurs écoeurés

En aversion

Avec rancune et infortune

A la une

En version

Des péchés 

Sanglants

A blanc,

Où l'on ne sait

Si l'on fait semblant

Dans l'océan alarmant

Au vide néant,

Récalcitrant de la rancoeur

Haut les coeurs

En nausée

A cran

D'abcès,

Qui saigne

Comme une teigne

Décompensée,

Sans un peigne

Pour nous recoiffer

Avec l'élégance

Des dimanches endimanchés

A l'essence

D'une existence

En dynamique revigorée,

Qui sent bon 

La naphtaline de maintenant,

Car ça fait trop longtemps

Que traîne

En simulacre de sentence

Cette chienne de vie

Qui déchaîne

A sang,

Les oublis

Et les absences,

Dont nous sommes les victimes

Et les incompris

Dans une hypocrisie

Enfouie

Qui s'envenime

Au puits

De notre inconscient,

Où ça ne semble

Une science exacte

Dans l'ensemble

Ric rac

Avant l'entracte,

Afin que l'on exulte

A bon escient 

Sans tumulte

En dépassant l'impact

Qui percute

Le oui-clos,

Si bien que ça se répercute

A huis-clos,

Mais pour éviter

Un accroc

En uppercut,

Il vaut mieux en inversion

Que ça permute

Dans un eldorado,

Où il ne paraîtra trop tôt

Que ce fardeau

Fasse dodo,

Car ainsi, renaîtront les idéaux

Que l'on brandira sur le dos

Avec comme gros lot,

Un imprévisible cadeau,

Ravivé et galvanisé

Grâce aux paris gagnés,

Sur le troc à D'Eros

D'une vie en rose

Avec brio.

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

                                          Citations :

 

 

1) Un chef gastronomique, coupable d'un délit, se fait cuisiner par la justice !

2) Un homme déboussolé ne sait quelle direction prendre !

3) Un peintre montre toute la palette de ses différentes facettes !

4) Un dessinateur a un motif valable d'exprimer son art !

 

 

                                        Jérôme de Mars

 

Putain d'injustice

 

 

 

 

Que Dieu nous bénisse

Ou nous sévisse,

La vie et ses vices

Semblent sévices

Perpétuelles qui n'en finissent

De pleuvoir en abreuvoir,

En pleurant avec nos mouchoirs

De poche comme un mouroir

Dans ce défouloir qui en fait voir

De toutes les couleurs à en choir

Et à en déchoir

Dans une sinistre histoire

En putain d'injustice,

Où l'on attend l'armistice

Pour chasser la milice

Et se rapprocher avec malice

D'un essentiel délice

Edulcoré par la légitime politique,

Aux idéaux

Des cantiques sémantiques

Tellement qu'on a besoin  de rêves romantiques

A l'apogée dithyrambique,

Afin que cette putain d'injustice

Particulière tombe aux arrêts de la police

Tant et si bien, que cette putain d'injustice

Se conforme en parfaite injonction réparatrice

Amatrice d'une réhabilitation fédératrice

A l'achèvement lisse.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Le renard futé

 

 

 

Dans ce vieux canard,

L'article affûté

Recèle la main de maître

D'un renard 

Futé et réfuté

Par son expérience de traître,

Qui rend chèvres les boucs

Des campagnes étroites et ploucs

Comme un jeu ludique

En rase campagne politique

De la ville sur le terrain,

En façade utopique

Qui marche au crottin

De chavignol

En fêtes de villages farandoles

Avec des fortes et des grosses têtes

En solides athlètes sveltes,

Aux pointus cerveaux

Elevés à la hauteur d'un très inaccessible

Niveau largement au-dessus de zéro

D'altitude dans leurs grades 

De renard futés,

Affûtés et réfutés

En rad

Montés si loin sur l'escabeau invisible

Percutant le point flexible

De la randonnée impossible,

Quand les fusibles 

Sautent avec la corde raide et sensible,

Elimée par l'élastique frénétique,

Tiré à l'usure chronique

Et sotte qui craque

Patraque  en tic-tac,

Comme un renard futé, 

Affûté et réfuté

Aux refus débutés,

Butés et rebutés

Sur le fil à l'arrachée 

Réputé consommé

Et consumé

A l'excès député.

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

                                              

                                              Citations   :  

 

 

 

1)  Un gars qui se dope au négatif, s'il se fait contrôler, il sera positif !

 

2)  Les épreuves de la vie nous mettent enjeu   !

 

 

 

                                         Jérôme de Mars

 Pardon, cher Christophe   !

 

 

 

D'hier à aujourd'hui,

Parfois,

Je t'apostrophe

Cher Christophe,

Alors, j'ouvre les strophes

Cher Christophe,

Pour te dire

Sans médire,

Que je t'apprécie

Beaucoup car tu demeures

Avec fervente valeur,

Un brillant ami,

Avec de la vie,

Et quelquefois

Des ennuis

Et des tensions

Dans notre amitié contrariée,

Où j'essaie tout de même

Malgré mes problèmes

De faire attention

A notre relation

Amicale,

Même si ça m'arrive 

Avec ma maladresse

Vive

De te souffler

Des maux qui te blessent

Dérivant en catastrophes,

Où je te demande

En offrande

Pardon, cher Christophe,

A mon affront

Dont je t'ai fait front

Hier à la lisière

Du dépassement de la frontière,

Où je te demande

En offrande

Pardon, cher Christophe,

Afin que notre amitié

Ne vole en guerre

Des âmes damnées,

Usées et consumées

Par les déconvenues et les camouflets,

Où je te demande

En offrande

Pardon, cher Christophe,

De sorte d'oeuvrer 

En une réconciliation

Durable

Au sirop d'érable

A table affable

De cette fable aimable,

Où je m'adresse

Cette fois

A toi

Avec adresse,

Même si toi,

Tu connais mon adresse,

Où tu restes un excellent ami,

Bien au-delà

Des rics-racs

Et des aléas

Quand je craque

En inepties,

Sache que je serai toujours là

Pour toi,

Mon ami

A l'infini de la vie,

Sans hypocrisie

Sur le chemin des péripéties

Aux imprévus de la vie,

Cher Christophe,

Mon cher meilleur ami,

De toute notre amitié limitrophe.

 

 

 

Jérôme de Mars

 Bonjour, chère Céline

 

 

 

Bonjour,

Chère Céline,

Dans le superbe jour

Que fleurissent les églantines

Il fait beau

Pour toujours

Aujourd'hui,

Avec de l'accalmie

Sans gros mots

Dans ce monde,

Que j'espère 

A l'atmosphère

Plus ronde

Et féconde,

Pour respirer du bon air

Sur La Terre,

Avant que nous bouffent les vers

Poétiques à taire,

Je t'embrasse 

Céline, et je brasse

Du vent

Sur le temps distant,

Cap vers l'allant

De l'avant.

 

 

Jérôme de Mars

 

Les vers du poète

 

 

 

Comme un poète,

On me tire les vers du nez

Rimés à l'art obsolète

Du sujet abordé avec la délicatesse

De la douce poésie en puissante tendresse,

Dont l'objet semble appointé

Et pointé du doigt 

Comme il se doit dans la joie,

Quand les idées me tirent 

Les vers du nez avortés

Dans la ligne de mire

De sa réciprocité,

Lorsque la proximité 

S'opère dans la mixité

Des fioritures de l'envers du décor

En un accord

Au quai du ok,

Dès que le puits à provisions

Vide son robinet 

En coulant d'opérations

En réparations

Dans un vivier

De haut tiède,

Si bien que par conséquent,

Le talent fréquent

Et raide 

Distribue des phrases recto-verso

Au verseau des mots vers sots

A trémolos à voguer sur l'eau

Téméraire aux extraits linéaires,

A tanguer intrépides sur le bateau imaginaire,

Aux sentiers de l'apologie

A la gloire embellie

D'un do ré mi

En mie adorée

Avec du pain béni

Et perdu

En sucré salé

Aux justes attributs,

Des vers du nez

Qu'on me tire

Dans la ligne de mire

Des jeux de mots

Méli-mélo,

En stand-bye 

Qui baille

Truffé et ponctué

En vide d'encre sur la jetée.

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

                                           Blague :

 

 

 

Pourquoi Les membres du personnel du CMP de Vitry Sur Seine sont-ils agressifs avec leurs patients ?
- Parce-qu'ils nous font subir un mauvais traitement !

 

 

 

                                   

 

 

 

                             

 

                                    Jérôme de Mars

 

 

                                         Blagues   :

 

 

1)  Quel est le comble pour un batteur   ?

     -  Que la musique ait des répercussions dans sa vie  !

 

2)  Que dit-on d'une femme venant des îles qui est un véritable garçon manqué sulfureux ayant des enfants   ?

    -   C'est une outre-mère  !

 

3)  Qu'est-ce-que ça fera pour toi si un juif et un chrétien te donnent un livre de religions à toi, Le Musulman   ?

   -   Torah la bible du Coran  !

 

4)  Pourquoi suis-je renfermé avec tout le monde   ?

  -  Parce-que je ne trouve pas la clé de l'énigme pour être ouvert   !

 

 5)  Qu'est-ce-que ça fait pour un pédophile de toucher à un gosse   ?

  -   C'est un jeu d'enfant  !

 

 

    

                                 Jérôme de Mars

 

 

                                                   Blagues  :

 

 

1) Pourquoi Alexandre et Guillaume ont-ils du mal à croire en Dieu   ?

    -  Parce-qu'ils ne sont pas témoins de Jéhovah   !

 

2)  Pourquoi à L'Esat de Vitry, les collègues ne me parlent-ils jamais ou mal car je ne suis pas assez vivant et pourquoi ne peuvent-ils pas me voir en peinture et s'en foutent de moi car ils me trouvent bizarre   ?  

    -  Parce-que je suis une nature morte  !

 

3)  Pourquoi Catherine ne veut-elle pas peindre mon autoportrait comme je ne suis pas assez vivant  ?

   -  Parce-que je suis une nature morte   !

 

                                           

                                       

                                          Jérôme de Mars  

Aux couleurs d'une communion optimiste

 

 

 

A l'avènement de l'élan,

L'arc en ciel diffus

Se propage à l'affût

Et se mue en printemps

En errant

Dans le hasard des faux-fuyants

Hauts dans le vent

Dans la symbiose d'un événement,

Qui engendre un ralliement dépaysant

Aux couleurs d'une communion optimiste,

Ministre du soleil altruiste

Avec la nature art bouddhiste

De l'union sacrée arc bouddhiste 

En dressant la liste,

De l'état de la planète surréaliste

De l'arc en ciel 

A l'arche de Noë

Des animaux de La Mer Egée,

En un tour de manivelle

En bas de l'échelle

Qui embaume

De fraîcheur

Le baume

Au coeur

Aux couleurs d'une communion optimiste,

Dès le songe des passants

De la rue en mouvement

Aux conséquences pacifistes

Dans un arrangement conciliant

Et pèlerin 

Pour fort longtemps,

A la croisée des mains courantes

En croisade d'un bain de foule

A la folie des grandeurs

Liantes et ardentes

D'une quantité d'âmes soeurs,

A l'environnement

Qui roule

Aux couleurs d'une communion optimiste

De l'apothéose très idéaliste

Après-demain.

 

Jérôme de Mars

Trouver une date

 

 

 

Cher Serge, c'est Jérôme

Avec l'arôme

Qui t'envoie ce message

En mets sage

Car moi et mes amis

Nous aimerions trouver

Une date

Pour faire un restaurant

Avec toi

Dans un climat bien portant

Avec un régal des rois

De sorte à récolter la datte

Du fruit

De ta fidélité

Envers nous

Avec gourmandise

Qu'on se le dise

A l'appétit en vie

Car plus on est de fous,

Plus on rit 

Avec moi,

Adel, Alexandre et Guillaume

Sans oublier

Brigitte,

Même si mon amitié

Avec Brigitte s'effrite

Car elle m'oublie

Sans m'envoyer

De sms

Pour prendre de mes nouvelles

Aux plurielles

Balèzes

Et ne me sollicite

Pour la voir,

Et pour boire

Un coup

A moindre coût

Même s'il y a des déboires

En pourboire,

En attendant que tu cueilles,

Et tu recueilles

Ce poème

En emblème

De mon profond malaise

Mal à l'aise

Dans cet écueil

Sur ce mille-feuilles

Que je t'envoie

De ma feuille

Morte et monotone

En autochtone

Qui n'est

Du gâteau

Dans ce très haut niveau

A vau-l'eau

Que prend forme

Cet allure de recueil,

Je reste conforme

A une soirée

Endiablée

Entre amis

Pour oublier

Juste un soir

Les ennuis

De la vie

Où si on arrive

A se réunir

Tous

D'un simple  coup de pouce

Vivement que ce plaisir

A venir et en devenir

Aillle sur la rive

Pour prendre l'air

De la mer 

Comme dans un aérodrome

Dans le dôme

D'un gentil pot aux roses

D'une vie en rose

Qu'on arrose

En trinquant du pot

De nos verres

Comme ça, il fera beau

Dès que toi Serge, tu nous diras

Malgré les aléas,

Tes moments disponibles,

Avec la date, le jour

Et l'heure en retour

De futures retrouvailles

En trouvant le point sensible

D'un lieu

Favorable

Pour se retrouver

A table

Au milieu des bleus

De l'âme

De cette vie infâme

Où au plus profond 

De nos entrailles

On murmurera

Vivement qu'on se revoit

Avec la voix

Avant que pètent les fusibles

D'un au revoir

Extensible.

 

 

Jérôme de Mars

 

                                              Citation  :

 

 

 

 

Un cordonnier qui rencontre l'amour avec une femme, trouve chaussure à son pied !

 

 

        

                                        Jérôme de Mars

 Rien à foutre  !

 

 

 

La vie est un vieux loup solitaire,

Où quiconque ne reste solidaire

Sous prétexte

Que demeure le chacun pour soi

En l'état du contexte,

Alors que personne ne paraît heureux

Même s'ils semblent quelque peu pieux

Faute de mieux

Depuis les aïeux,

Où j'en ai rien à foutre

Des pseudos histoires

De piliers de comptoirs

Au café du commerce

Dans lequel ils s'exercent

Les culs emplis de foutre

Sur la poutre,

Où j'en ai rien à foutre

Que tout aille se faire foutre

De l'espace public

A sens unique,

Car je nique 

Le système

A bas de t'aime,

Où respirent les chrysanthèmes

Au thème post-mortem

Comme j'en ai rien à foutre

En sombre loutre

Assez patibulaire

Aux effets lapidaires

Du fond sous terre,

Où je préfère me taire

De mon paradis d'enfer,

Car j'en ai rien à foutre

Des vautours d'un je m'en foutiste

En sinistre clown triste

Qui n'a plus rien à perdre et à foutre

De tout,

En atout d'un tout

A contre coût

De cet itinéraire

Aux quatre cent coups

Aléatoires,

Où j'en ai rien à foutre

D'en découdre

Avec le diable

Qui se mêle au grain de sable

Poil à gratter

A s'encroûter

Dans un méli-mélo,

Qui coule dans l'eau 

Aride en pourboire

Mais humide en déboires,

Où j'en ai plus rien à foutre

De foutre

Linéaire

En zone protocolaire,

Dès lors que je m'enrôle

Dans la geôle

Bipolaire

Du froid polaire

En route vers la frontière

Irrationnelle de la logique

Dans toute sa clique,

Que je nique

En panique satanique

Sur le clic

Du déclic

D'un je m'en foutre

En pilier de la poutre

Sur le fil du rasoir

Au dénouement prémonitoire,

Où tout s'achève dans un climat noir

Et téméraire

Du dernier souffle oratoire

A l'au-delà divinatoire.

 

 

 

Jérôme de Mars

 

Comme à la maison

 

 

 

Le matin, le midi et le soir

C'est la routine,

Où chaque jour reste une histoire

Que l'on vit et baratine 

Comme à la maison

Le beurre sur les tartines

Etalées avec déraison,

Pour braver le froid

Et le chaud

Sans être faux

En porte-à-faux

Avec l'épine

Du fardeau

De notre poids

Que l'on porte

A bout de bras

Dans un chemin de croix

Comme à la maison,

Car l'on joint l'utile

Et l'on rejoint le futile

En respirant à pleins poumons

Nos événements et nos aléas

De notre vie étapes par étapes

Comme à la maison,

Où avec nos amis et notre famille

On fait des tapes

Amicales sur le dos

Pour démontrer notre affection

Qu'on leur porte

Leur emporte

Avec vibrations

Et qu'on leur déborde 

En horde

En mouvements d'impulsion

Dus à nos troubles d'affection

Avec la réflexion

En inflexion

Comme à la maison,

Où l'on sourit

Et l'on rit 

A s'attacher,

A nouer,

Et à se lier

Avec nos amis

Et notre famille,

Où l'on a besoin de relations

Afin de combler nos questions

En résolution

De la solution

A nos moments de solitude

Comme à la maison,

Où l'on change d'attitude

Par rapport au travail

De sorte de ne pas se retrouver

Sur la paille

Du sérail

Au fond de nos entrailles,

Où l'on veut

De nos voeux pieux

De la béatitude

A la dureté

De la société

Qui monte haut en altitude,

Où l'on désire

Avec des dires agir

Afin de récolter

Et de ramasser

Beaucoup de moissons d'exaltation

Comme à la maison

Au bon coin d'une cheminée

D'un chemin né

Au jour prochain,

Où l'on s'éteint

Dans le teint

De nos vieux souvenirs

A s'évanouir

Dès l'éternité

De la postérité

A en finir

Comme à la maison,

Où l'on referme la porte

En conclusion.

 

 

Jérôme de Mars

Citations :
1) Une personne handicapée à l'arrêt d'un bus est en station assise !
 
2) Une personne handicapée qui chute à un moment donné de sa vie a besoin d'une béquille pour se remettre debout !
 
3) Un chien qui se casse la figure, se mange une gamelle !
 
4) Une personne qui est une crème, passe de la pommade !
 
5) Un vieil alcoolique prend de la bouteille au fil des années !
 
6) Une personne part en sucettes au nom d'une pipe !
 
7) Une personne qui ne récolte pas le fruit de son travail n'a pas la banane !
 
8) Un homme impuissant ne pouvant faire un enfant à sa femme en fruit de son amour n'a pas la banane !
 
9) Une personne qui récolte le fruit de son travail, c'est pour sa pomme !
10) Une personne qui perd la raison, retrouve l'oraison !
 
 
Jérôme de Mars

 

Bas de gamme

 

 

 

Sur une note apportée

De piano  à portée

Musicale en clé de sole,

La mélodie en complainte

Fredonne sur le sol

Sa digne révérence en empreinte,

Enceinte et bas de gamme

De sa frénésie qui s'enflamme

Dans les fameuses rhétoriques,

De la théorie à la pratique

En anicroches

De ritournelles

Qui clochent

Entre parenthèses charnelles,

Qui donnent des frissons

En chansons

Sur le do ré mi fa sol

Qui déboussole

Le bas de gamme

Du tram à la trame

Où au bout de ses dix doigts d'orfèvre,

La dynamique trouble sa rythmique

Avec l'or en fièvre 

Qui frappent en dix tours de clique,

Aux clics et aux déclics

De son bras

Long en talent de moussaillons

Qui fixe le cap à suivre

En capitaine qui essuie les cuivres

Et les plâtres

Avec les mains acariâtres,

Dans sa folie créatrice

A l'égérie inspiratrice

Où du bas de gamme

En petits grammes,

La musique folklorique

Se dit

Si si inspiratrice,

Quand elle valdingue 

Frappa-dingue

En refermant ses cicatrices,

Dès l'édifice

En partitions

Et sans artifices

En perdition,

Où le piano bas de gamme

Avec ses hologrammes

Se hisse

En note salée

Dans sa tasse de thé

Au salon

Des paroles sucrées

Aux si grandes voies suaves 

D'un très haut accent slave

Emparé

Et paré

Sur un autre ton,

Juste et vrai

Sans fausse note

Avec doigté

D'un bas de gamme

Au mélodrame

En cote

Mélancomique.

 

 

Jérôme de Mars

 L'arbre qui cache la forêt

 

 

 

 

Sous la couche d'ozone

Au milieu de la zone,

Les oiseaux scient

Leurs branches

Assis en fonctionnant 

Avec des si

Par le battement

De leurs ailes

Plurielles à tire-d'aile,

Qui débranche

Et flanche

Leurs moineaux

Dans le ghetto

A contrario,

Juchés sur l'arbre

Qui cache la forêt

En ras de marais

D'un élevage volage

En rodage

De cette forêt

A la nature sauvage,

Où elle demeure incertaine

Et inhumaine

Dans cette faune décriée

Et cette flore pas sage

Avec le roi lion

Dans la loi du talion,

A reculons

Et en crispations

De cette forêt controversée

En paraître

Des bêtes à paître

Dans les sentiers

Et les allées

Des buissons,

Où le monde animal

Des mâles

Aux femelles

Ebruite des ragots

Avec les demoiselles

A tire-larigot,

Jacasse et bécasse

Dans un casse

Sur la forêt asociale

En vagabondages,

Car elle flâne

Dans les parages

De l'arbre

Qui cache la forêt

Et qui fane,

Dès le brame

Du cerf au bois

De l'état sauvage

Sur la rame 

Du drame

En veuvage

Des parois

Du roi,

Aux frontières

Du centre terre

A la lisière

D'une meilleure atmosphère

A la liberté extraordinaire.

 

 

Jérôme de Mars

 

                                             Blague  :

 

 

Que dit-on d'un matou qui a d'autres priorités que sa petite personne  ?

  -  Il a d'autres chats à fouetter  !

 

 

                                     Jérôme de Mars

Pour les amis et la famille

 

Je voudrais bien venir

Avec plaisir

Et descendre

Pour me rendre

A vos rendez-vous

Les amis

Et la famille

Pour rire

Et sourire

Dans la folie

Comme des insouciants

Qui savourent ce moment

Où l'on joue dans le doux

D'un gentil fourre-tout

A s'amuser de tout

Afin de retrouver à pas d'heure

Le bonheur et l'honneur

Des jours d'avant

De sorte que tout ce bordel

Se dénoue

Dans une radieuse ribambelle

Et que la vie, on se la refasse 

Tous belle

En grande surface

De l'hiver au printemps

Après tous ces tourments

Précaires pour passer à un soleil

Puissant et éblouissant

Prospère sur La Terre

Avec les amis

Et la famille

Pour la vie

Dans la nouba

De la joie.

 

 

Jérôme de Mars

 

On récolte ce que l'on s'aime   !

 

 

 

Dans le vent de la révolte

Crispée par les sobriquets désinvoltes,

On allume les briquets en volt

Car tôt ou tard, à l'heure du jugement dernier,

On récolte ce que l'on sème

En requiem de nos blasphèmes, 

Marqués par des destins à problèmes

Dérangés du vide-grenier

Jusqu'à nos deniers,

En fatales troubles-temps, 

Où l'on est blêmes

Dans un torrent de tourments

En une colère froide de l'emblème

Qui nous fourvoie dans le déluge

Du grabuge, où l'on gruge

Le printemps pour l'hiver

Avec des choses à l'envers

Des principes de bon sens,

Tant et si bien que l'on atterrit dans le subterfuge

Des manières de travers

Que l'on encense

En y trouvant refuge

A tirs de revolver, 

Excessifs, à la moindre mesure

Que notre aversion

Prend dans la mouture remaniée la version

Définitive d'un excellent scénario

A contrario de si grand brio,

Que l'on joue les acteurs de Caliméro

En sauvageons de gros mots,

Où avec mimétisme, on parodie 

Dans un numéro inédit,

Les invétérés durs à cuire

De cire et de cuir,

Où un jour ou l'autre, on récolte 

Ce que l'on s'aime

Si on bécote

Le privilège

En lieu et place du sacrilège,

Aux abords d'une meilleure vie

Sans sortilèges,

Avec un été qui allège

Notre fin de bonne facture

Classique pour terminer la peinture

De notre nature en haut d'une inabordable villégiature

Aux conséquences d'aventures en envergure.

 

 

 

Jérôme de Mars

 La copie ne vaut pas l'original   !

 

 

 

Dans les annales

A l'écrit verbal,

La copie

Ne vaut pas l'original

Par dépit

De la pie

Qui bécasse 

Et qui casse

L'épi 

De blé,

Qui épie

En grand nombre le pi

De pis en pis

Les années passées

De vaches maigres

Qui tournent au vinaigre

Aigre-doux

Dans le flou,

Amadoué

Du verbe

Acerbe

Qu'on exacerbe

De la verve

Douée

Qu'on se réserve,

De puiser

Et d'épuiser

D'un tant pis

Car la copie

Ne vaut pas l'original

En répit

D'un que dalle

Sur la dalle.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

A voir 

 

 

Dans cette histoire,

Il y a à manger et à boire

Pour boire

En pourboire

Malgré les déboires,

Où c'est à voir

Et à revoir

D'avoir

En purgatoire

Tout ce répertoire

Du terroir,

Où pour y voir

Plus clair, c'est secret d'y voir

Sur la côte en période noire,

Où il faut déchoir

Et choir

Son irrationalité du soir

Pour colorer la tonalité d'abattoir

En une belle échappatoire

A voir

Dans un réservoir

D'avoir.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

En rogne !

 

 

Sans vergogne

Telle une cigogne,

Je cogne

En rogne,

Où faut que j'honore

Dès les aurores

Ma sale besogne,

Où je cogne

En rogne

Sans vergogne 

Tous mes envols 

De rossignols,

Où je fais le mariole

En pastiche d'un guignol,

Où en rogne

Je cogne

Les cigognes

En oiseaux de mauvaises augures

Qui dénaturent

Mes vers de rage

Impurs dans leurs vilaines aventures

Dont je n'ai cure,

Quand je dépasse les bornes

Borné comme du carbone

14 dans l'histoire antique

Des pyramides D'Egypte,

Où je décrypte

En pharaon

Les images

d'hiéroglyphes 

De cette écriture

Que je déchiffre

Comme marque de griffe

A cette gifle

D'intemporel vide-ordures,

Que je cogne

En rogne,

Où en cure,

Je finis fanfaron

Dans une crypte

En tic

Tac 

De foule contact 

Au contact

D'impact

En villégiature.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

La planète de Mars

 

 

La tête dans les comètes

Sur la planète

De Mars

Au mois de Mars,

L'ovni Jérôme de Mars

Mange un Mars

Et ça repart

Au tintamarre

D'il y en a marre

Dans la galaxie

En furie,

Qui fuse

En fusées

De départs

Diffusés

En des parts

Amusés et survoltés

Dans la galerie

En ruse,

Déjouée avec habileté

A la bonne adresse

Qui se laisse

Porter par la rime de l'aise majesté

Sur la planète de Mars

Quand Jérôme 

De Mars respire l'arôme

Et que ça repart

Pour une imminente traversée

Sur la voie lactée,

Tous à L'Ouest

A distance de L'Everest

De loin à soulever des montagnes

De La Plagne

Les pieds sur Terre

Au voyage itinéraire

A destination 

Et en rotation

De la planète Mars,

Sur la planète 

De Jérôme de Mars

Plate et pas nette

Comme l'internet

De la tête dans les comètes,

De l'ovni extraterrestre

Jérôme de Mars

Sur Mars

En un oui équestre

Très à cheval

Sur Le Val De Mars,

En clé contact

Sur le pacte compacte.

 

 

Jérôme de Mars

                                              Blague :

 

 

 

Pourquoi avec les prostituées, n'y a-t-il pas de service après-vente ? 
- Parce-qu'il y a service trois pièces !

 

 

                                 

 

 

 

                                 

 

                                   

 

 

 

                                   

 

 

                                                                           

 

                                      J

érôme de Mars

 Le maître d'oeuvre

 

 

 

Au coeur de l'ouvrage

A l'attelage d'un vaste chantier

D'un immense vécu à différents virages,

Les expériences se picorent par petites gorgées

Des progrès

Aux épreuves qui grandissent l'homme

Et s'ajoutent en somme pour sa pomme

A l'élever en disciple comme le maître d'oeuvre,

Dont il est le chef-d'oeuvre

De son chemin nourri par les hors-d'oeuvre,

S'il oeuvre à avaler des couleuvres

En peau de chagrin ravalées par les pieuvres

De son mal de mer réciproque quand ses larmes pleuvent,

Torrentielles et diluviennes qu'elles viennent et reviennent

De La Vienne de manière à ce qu'à la prochaine,

Il reste le maître d'oeuvre

De l'écriture pieuse de son chef-d'oeuvre

Mystique avec les hors-d'oeuvre

En amuse-gueule

Pour amuser les gueules bégueules

Qui dégueulent

Tout leur ravalement de couleuvres,

Dont ils demeurent les garants avec l'aval des pieuvres

Qui vont de paire bien ensemble, du maître d'oeuvre

Aux hors-d'oeuvre,

En parfait résumé de chef-d'oeuvre de main de maître,

Où les uns et les autres se prennent en traîtres

Dans cette traite

Qui bat en retraite,

Où l'homme suprême

Garde son totem

En précieux sésame

Pour déchiffrer le message secret

En résolution d'une bonne année

A passer en réclame

De porte-parole distributeur de farandole

Comme à Venise, où les gondoles

Se gondolent avec les éclats enrobés de lucioles,

En maîtres-d'oeuvre

De chefs-d'oeuvre

Sempiternels attribués

Avec les hors-d'oeuvre

A la buée de la postérité renversée

Des Dieux versets

De la manoeuvre.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Pas de nuages à l'horizon  !

 

 

Comme une balance,

On pèse le pour et le contre

En décisives rencontres

Dans les modernes tendances,

Où y a pas de nuages à l'horizon,

Même en vibrations,

Qu'on se raconte de fausses excuses

En servant d'alibi qu'on récuse

Sur la pointe des pieds

Dans une marche en dextérité

Aux piques des hypocrites en sourdine

Qui cachent leurs bobines,

Si bien qu'ils embobinent

Avec les gènes de leurs hémoglobines,

Où ils binent

Et débinent

Avec leur satire critique

L'ensemble de leurs aînés

Peu cultivés dans un tas de quolibets,

Dans une perfide technique

Genre y a pas de nuages à l'horizon,

Comme on s'en balance,

Qu'on se balance

Et qu'on s'élance

Dans un concours d'improvisation

A refaire le monde

Sur des élucubrations,

En vaines hypothèses qu'on fronde

Au front des insanités 

Et des vanités balancés à volonté

Qui bouffent avec crudité

Les modestes personnes lambda,

Dans une lambada

En contredanse, où le temps

De maintenant

Persiste cynique

Et rustique,

En paradoxes, car y a pas de nuages à l'horizon

Dès la floraison

Des semaines hautaines

De la nature humaine

A toutes les saisons

En rébellion.

 

 

Jérôme de Mars

 Le soleil laisse tomber la nuit

 

 

 

O' soleil

Par la parcelle

De ta lueur d'espoir,

Ton rayon d'ombrelle

Roule à la vitesse échappatoire

Qui gravit l'échelle

Du soleil vermeil,

Vieillissant et riant jaune

Dans le ciel aphone

Dépourvu d'oseille

Qui fuit les rêves,

Dès que le soleil

S'achève de sa sève

Et laisse tomber

La nuit

D'un oui inouï

En une nuit

Au visage de relique,

Ensevelie dans un crépuscule cyclique

Du lever de soleil 

Au coucher d'un laisser-tomber

Au secret absolu,

Où le soleil 

Laisse tomber la nuit

A la nue

Des nuages éperdus,

Perdus dans la tribu

D'une nuit fourbue

A la rue

Par la faute de la nuit

Qui ruisselle 

D'un tonnerre de crécelle

Le soleil,

Où la vaisselle

De porcelaine

Casse sa bedaine

Et ses bouts de ficelle

D'un non en oui

De la nuit

Qui se rabiboche avec le soleil,

Quand la nuit

Se tombe en soleil

Du coucher au lever

En un jour enjoué

De merveilles

Parmi les ritournelles intemporelles.

 

 

 

Jérôme de Mars

 

Prendre du recul en allant de l'avant   !

 

 

 

En arrière

Et en avant,

Il faut toujours prendre

Et surprendre

Les devants

En allant avec recul

Sans calcul

Et sans recul

Même si on reste derrière,

Car malgré les oeillères

Il y a des émules,

Où il faut franchir les barrières

Pour enlever les ornières

Et garder un allant d'avant,

Où il faut prendre 

Et répandre

Du recul

En allant de l'avant

Minuscule

Et en assurant ses arrières

Qui adulent

En prenant désormais les devants

Funambules

Avec peu de recul

Somnambule

En arrière

Et derrière

Pour rester devant

Conciliabule

Avec un allant d'avant,

Où il faut dorénavant 

Prendre

Et détendre

Du recul

En allant de l'avant

Jusqu'au crépuscule

De L'Avent

Paravent.

 

 

Jérôme de Mars

 

                                         Citation   :

 

 

Ca fait très longtemps que Georges Brassens est parti en fumée en cassant sa pipe  !

 

 

                                   Jérôme de Mars

Le temps s'arrête dans la durée  !

 

 

 

Dès le temps imparti en marche,

Le sablier écoule ses secondes

Endurées dans une juste démarche

De mouvements à la minute

Pour protéger la cocotte minute,

Afin qu'elle seconde

A la ronde

Le temps en partie responsable

D'être coupable 

D'innocence en encens

Qui encense

Les ententes cordiales viables,

Sourdes aux miracles instables

Des secondes à la minute

Qui coulent en large éventail

Au moindre détail

De l'air du temps

Moderne et populaire qui permute

Les aiguilles de l'horloge

En remettant de l'éloge

A la loge les pendules

A l'heure du matin au crépuscule,

Quand le temps parti semble à un tournant

Au virage du carambolage

Des embouteillages à l'abordage

Qui poussent le bouchon

Trop loin sur le sillon

De la circulation en rongeant le frein

Des routes vers l'avant

Pour assurer leurs arrières,

Lorsque le sablier donne du grain

A moudre dans le sable du vent

Des quatre points cardinaux

A l'espace temps des horizons originaux

Aux signaux qui insufflent le souffle de l'élan

Des destinations en éruditions,

Où le temps s'arrête dans la durée

En stop

Du temps non-stop

A la croisée 

Du temps départi 

Au sablier désempli

En provisions écoulées,

V'lan la direction

D'un cap fixé

A l'étape programmée.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Joueurs de pipeau

 

 

 

En tout bien, tout honneur

Voilà quel bonheur,

D'entonner à mi-mots

Du fond de l'eau

Qui va à vau-l'eau,

Tout notre pipeau

Au nom d'une pipe

Enfumée

Avec les mots

Après que Georges Brassens

Ait cassé sa pipe

Et soit parti en fumée

A l'essaim

Des contre-saints

En gros titres,

Où on lui dit

De notre ton tout oui

Chapeau bas l'artiste,

Du début à la fin

Du chapitre,

Où en pitre émérite,

Du à son unique mérite,

Il fit de nous 

Des joueurs de pipeau

Qu'on dénoue

En libre-arbitre,

Sans arriver

Et relever

Son niveau,

Avec plus d'un litre

De mots en roc

Sans filtre,

Où l'on s'infiltre

En tailleurs de pierre,

De l'artifice

A l'édifice

Des bâtisseurs de repères,

En joueurs de pipeau

Qui suggèrent fiers

Des noms d'oiseaux

En riens de chimère,

Bien et moins bien

Que le bien de nos biens

En assez bien,

Qui part du rien

D'un pare-chocs

Qui s'entrechoque

Au choc

Du toc,

En joueurs de pipeau,

Où manque de peau

On démêle le vrai du faux

En joueurs de pipeau,

Où nous suivons notre mentor

Georges Brassens, au nom d'une pipe

Enfumée

Avec raison et tort,

Où l'on s'étripe

Entre types

Baraqués en gros titres

En joueurs de pipeau

Au nom des faux

Derche

Que l'on ne cherche

A flirter avec le hors-piste

Car la liste

Du rétro

Sur la piste 

Sonne faux

Et demeure de trop

Dans la nécro,

Pour voguer 

Dans le top

Sans flop

D'une flopée

D'un trop plein de super

A rendre de sa superbe

Sans se couper l'herbe

Sous les douze pieds,

Au pied d'essence

Avec qualité

Par défaut

En joueurs de pipeau,

Pour un rien de bravos

En y mettant le paquet

De tabac

Sur le quai

Du taquet.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                      Citation :

 

 

 

J'ai le virus des gens qui me prennent en grippe !

 

 

 

                Jérôme de Mars

 

 

                                            Citations :

 

 

1) Dans la vie, on encaisse car la parole est d'argent !

2) Si notre monde tourne à la méchanceté, c'est parce-qu'il est agité par défaut ( des faux ) !

3) Le temps s'arrête dans la durée !

4) Nos blessures endurés au cours de notre vie se guérissent avec le temps prescripteur qui prend soin de nous !

5) L'indifférence est un conflit d'intérêt qui ne nous enrichit guère humainement car tôt ou tard, on récolte la monnaie de sa pièce !

6) Moi,Jérôme, je perds des amis car je suis fou allié !

 

 

                                          Jérôme de Mars

 

 

                                                 Blague  :

 

 

 

Pourquoi L'Esat de Vitry devient-il rasoir   ?

 -  Parce-que tout le monde est de mauvais poil  !

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

                                           Blagues :

 

 

1) Quel est le comble pour un rasoir ?
- C'est qu'il soit de mauvais poil !

2) Pourquoi en a t on plein le cul de L'Esat de Vitry ?
- Parce-qu'il commence à rentrer dans les annales !

3) Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier conditionnement de L'Esat de Vitry, c'est le bazar ?
- Parce-que tout le monde dit bon débarras sur ceux qui quittent l'atelier conditionnement de L'Esat de Vitry !

4) Quel est le comble pour une femme qui se rase le vagin ?
- C'est qu'elle soit à poil !

5) Pourquoi votre ami ovni Jérôme de Mars vous taquine-t-il souvent ? - Parce-que qui aime bien charrie bien !

 

 

                                       Jérôme de Mars

 

 

En questions

 

 

 

Je sais fort bien que tu n'es pas psy

Mais je te parle en tant qu'ami

A cause de mon comportement

Et de mes déviances

Je perds mes amis

Les uns après les autres

En adieu des apôtres

Où ma négativité et mon outrance

Rendent compromettants

Mes rapports avec mes amis

Où je sais plus

Dans le rébus

S'ils sont à mi ou à demi

Rien car je n'ai que dalle

Dans la dalle de la malle

Qui est lourde

A porter sans ristourne

Où ça ne tourne

Rond dans ma tête

En véritable casse-tête

Où j'ai coupé les ponts

Aujourd'hui avec Adel et Guillaume

De l'arôme

En affront

Au front

De mes conneries

Où tout se délite

Dans mes relations amicales

De l'aspect local 

Au navire amiral

Je perds mes amis

A cause de mes ennuis

De santé

Où je ne suis

Pour personne

En odeur de Sainteté

Car résonne

Une noirceur négative

En ne sachant

Quelles idées objectives

De ce que je veux

En mises en perspective

Pour savoir quoi ce que je veux

Comme objectif

Car là je touche le fond

Au tréfonds du plus profond

Du caniveau

Au niveau

Largement en-dessous de zéro

Où je me fais passer

Sans arrêt pour le caliméro

De service

Des sévices

De ma jeunesse

Alors qu'a fini

De sonner

La kermesse

Et que je ferai mieux

De raisonner en promesse

Pour me sortir de ce cercle vicieux

Nuageux et poussiéreux

Le long de mon chagrin miséricordieux

Pareil

A l'appareil

J'ai coupé aussi les ponts

Avec Edwin en camouflet

De mes déconvenues

Car je me sens et suis malvenu

A cause de ma complaisance

En port de plaisance

Dans ce fichu chahut

Où les problèmes

De mon requiem

Traînent en lambeaux

Sans que je trouve les mots

Pour décrire ce méli mélo

Dont je n'arrive pas à trouver

Le cadenas

Pour mettre à la place

Un canevas

Pour passer de la rétro

De mon mélo

A un nouveau bon lot

Positif et constructif

Qui me donnerait envie

De trouver

Et d'atteindre mon objectif

Car je ne sais ce que je veux

Soit être un sbire

Pour sévir

En bourreau

Ou soit écrire les mots

Pour qu'ils ne soient plus maux

Avec les plaisirs

D'une vie simple

A en rire

Jusqu'aux Olympes

Edwin comme tant d'autres amis

Prennent leur distance

Avec moi pour se protéger

De ma noirceur contagieuse

A l'allergie pleurnicheuse

Et Edwin m'a dit aujourd'hui

Qu'à force de me comporter

Comme cela je risque de faire fuir

Et de perdre tous mes amis

Qui navigueront 

Et vogueront

Ailleurs 

Pour des lendemains meilleurs

Sans moi avec mon aigreur

Qui frôle l'overdose des horreurs

Où je répète sans cesse les mêmes

Erreurs  du matin au soir

En étant tout le temps noir

Dans ce purgatoire

Que demeure ma terrible histoire

Où j'en meurs d'ennui

Dans un vide enfoui

Au fond de mon tiroir

A provision
Où mon avenir

Manque de prévisions

Sur le long terme

Edwin persiste

Qu'il faudrait que je change

De psy car Penot, il est pas neutre

Et qu'il m'en faudrait un qu'il le soit

Neutre sans feutre

A pointer de son doigt

Ce que je dois

Pour que je retrouve l'archange

Et que je me range

Dans une vie sage

Et raisonnable

Comme Monsieur lambda

Dans la lambada

Du rationnel 

Avec un brin d'agréable

Edwin me dit aussi

Qu'il faudrait que je me fasse

Hospitaliser

Même si en surface

J'ai l'air d'aller bien

Mais qu'en vérité,

C'est une ballade

En complainte

De façade

Dans l'étalage

De mes plaintes

Non feintes,

Car manque le teint

Dans ma vie qui respire

Le pire

Qui m'atteint

En déteint

Où je me rebiffe insurrectionnel

A l'influence pulsionnelle  

De ma mère

A mes amis fusionnels

Mais avant que ce soit la banqueroute

Totale

Dans la déroute,

Il serait temps

D'emprunter la bonne route

Et de dissiper mes doutes

Afin que je me mette 

Personne à dos

Dans un porte-à-faux

Et que je tombe

Dans leur indifférence

Aux oubliettes

Dans les comètes

Et que je m'y mette

Et m'y remette

A retomber les pieds

Sur Terre

Sans parcelle délétère

Mais en redevenant

Le Jérôme

D'autrefois

Plat et net

Qu'on aime

Sans problèmes

En emblème

Sans bohème

D'un je t'aime

Sans haine

Sur la pleine

En accalmie

Après tout ce haut débit

Où faut que je résiste

Et subsiste

De sorte que j'existe

En longue liste

De résolution

En solution

De toute cette équation

Démêlée je l'espère

Dans une croisade

En matière première

D'une promenade

Pure en renaissance

Sur l'allée des primevères

Fleuries à l'aube d'une belle saison

Sans questions

Avec parcimonie

Dans le répit

En évolution.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 La fontaine affable

 

 

 

Par ce climat fluctuant

A bon escient

Du soleil le vent,

L'ambigu testament

A la vague sur l'océan

Des gens

De la fontaine affable

A la fable aimable

Du vent gravitant

A l'eau crépitant

Sur les éléments

Du fleuve troublant,

Coulant 

A l'origine de sa source

D'où les différents courants

Passent en ricochets sur la course

Dans le chahut bourru

De l'eau criarde en flux

Dans sa croisade

En tirade,

Où le corbeau met le pied

A l'escabeau sans tomber

Dans un guêpier à contre-pied

A l'effarouchée

Des effusions en retombées

Plénières au niveau

Du franchissement de la ligne en haut

Dans cet étalage de plumage,

Où l'oiseau en rétropédalage 

S'envole avec son fromage

Au hasard

De l'âge

Des nénuphars hagards

Sur un arbre perché

Pour donner au chant des cigales

Un grand coup de pied 

Dans les fourmis

En plein

Dans l'an deux mille,

Où cette fable à table

Se met sur son 31

Affable

De la fontaine

A L'Eden

Du parfait domaine.

 

 

Jérôme de Mars

Egoïstes !

 

Dans ce putain de monde
Qui tourne dans une sale ronde
Le peuple quitte les plaisirs hédonistes
Collectifs et significatifs
Pour trouver refuge
Dans le subterfuge
Rétif et craintif
D'une société d'égoïstes
Et capitaliste
Où les gens individualistes
Se mettent en liste
D'attente qui les tente
Longue à la détente
Pour quitter la vertu
Qui les mue
Et les tue
Si bien qu'ils s'évertuent
A s'empêtrer dans le vice
D'une société d'artifice
Aux liens dénoués
Avec les effets
D'êtres alliénés
Et illuminés
Du bout de leur orifice
Agenouillés devant tant de démêlés
Où plus personne ne s'entend
Et où tout fout le camp
Depuis la nuit des temps
D'égoïstes du puits au plus profond triste
Où de leurs crayons d'égoïstes
D'artistes et de clowns tristes
Ils semblent paraître de distance
Alors qu'en fait dans la défaite
C'est un signal que tout va mal
D'un mauvais goût si banal
Où l'on pleure dans une fête
A l'évidence d'apparence
D'égoïstes et fumiste
Dans ce putain de monde
Qui s'effondre et se fonde
Dans un silence d'obscurité moribonde
Où l'on trouve tout normal
Ce qui en toute logique
Semble cynique et machiavélique
Dans ce vide si abyssal
Où tout tombe en rad
Dans la panade
D'égoïstes de ce monde en panne
Qui coule en vannes
D'égoïstes où tout s'indiffère
Sans respect
Et solidarité
Dans l'enfer
Des jours amers
A l'avenir
Et à n'en plus finir !

 

Jérôme de Mars

 

                                 Plein le cul   !

 

 

Question sexe

Sans complexe

Qu'il est complexe

D'avoir le réflexe

Au nom d'une pipe

D'en avoir rien à branler

Au Sussex

Dont on suce le sexe

Des êtres à la libido

Qui flippent

A prendre aux mots

Lorsque tous, ils en ont plein le cul

Du porno

Sans l'écu

Où ils préfèrent passer de la rétro

En une relation

De trop

Accro

De l'équation

A l'adéquation

Au non

D'une remise en question

Du sexe

En annexe

Du quartier

Des langues de pute

En rut

Où ils chassent le vagin sur celles

Qui débitent

Les actes en argent

Des hommes

A la parole d'argent

En somme

Qui assomment

Le département

De La Somme

Comme un doigt rentre dedans

Pluriel

Sur les femmes

Aux flammes 

De leur annus horribilis 

De voile et à vapeur

Au matin de petit beurre

Sans syphilis

Au bout de la queue

De peloton

Où l'on est mieux

Au pieu

A Pornic

Car on nique

Et fornique

Comme des porcs

A bon port

D'où l'on tire sa semence

Jusqu'à remettre l'essence

Dans le carburant

Du sexe moteur

A pas d'heure

De l'échange spectateur

Et acteur

Des rites

En habitudes écrites

Plein le cul

Et de foutre

En ayant rien à foutre

Sans l'écu  !

 

 

Jérôme de Mars

 

                                   Le travail, ça se paye  !

 

 

 

Le travail, c'est la santé, certes mais on nous paye pour tailler du bon boulot avec une grosse production et une grande cadence à fournir avec assiduité, car on se doit d'être consciencieux et méticuleux, et de demeurer en harmonie avec ses collègues, même si avec certains, il y a des tensions, où il ne faut pas arriver en retard, pour rester ponctuel et pointilleux, aux tâches professionnelles qui nous incombent, mais heureusement, on a la pause café et les congés pour souffler, et grâce à notre ancienneté et à notre salaire, on prépare notre future retraite, qu'on espère atteindre avec les années qui passent avec rapidité, car souvent dans le travail, c'est le chacun pour soi, même s'il y en a au moins un parmi les collègues, qui est compréhensif avec des actes de solidarité et qui perdure polyvalent, en respectant la hiérarchie et ses collègues, sans excès de langage et d'insultes, car c'est le chef qui donne la direction à suivre en patron directeur responsable du travail sans taches.

 

 

                                    Jérôme de Mars

 

 

                    Le fruit de son travail

 

 

Dehors, il fait nuit,

Dès que la planète

Revêt avec ses tenailles

L'usufruit des comètes

Dans les étoiles de la taille,

Du bruit de fond tapi

Par le fruit de son travail

Pour la pomme du sérail,

Assis sur la poire du détail

Qui chérit les entrailles

Et surenchérit le fruit de son travail,

Qui assaille

Les arbres fruitiers

Qui ont la banane avec la pêche

De la faune et la flore

Qui ont le melon,

Au long des chansons

Du folklore

Arrivé à bon port

Revêche en dépêches,

Où le fruit de son travail

Est pressé

Et empressé

D'avoir du jus

Au pépin que fut

L'homme sur la paille,

Où ça fait longtemps

Qu'on aurait dû récolter

Le fruit de son travail

En passant à l'orange de la papaye

La cerise sur le gâteau,

De l'eau qui part en courant

Dans le ghetto des fourneaux

Pour ramener sa fraise

A l'appétit de l'assiette à l'aise,

Où rien ne dessert

La pagaille

Du désert

Car on se sert 

Mieux soi-même

Le dessert

En résolution de ses problèmes,

Quand on sème l'emblème

Du carpe-diem

Du fruit de son travail.

 

 

Jérôme de Mars

Le soleil bien luné

 

 

 

 

Du coucher au lever,

Le soleil bien luné

Rince sa sève

Dont il devient l'élève

A l'aube des aurores

Du sol au ciel,

Par petites métaphores

Des météores clairs

Qui volent à la dérobée

Le soleil bien luné,

Disposé à transcender

Ses rayons de lumière

Loin de la lune

Mais près des frères lunaires

De la lagune,

Lorsque le soleil bien luné

Organise une élégante veillée

En somptueuse ribambelle

D'hirondelles qui sommeillent

Au fond du lit

Mais qui se délient

Mirifiques au zèle

Des nuages bipolaires,

A l'horizon en gesticulons,

Où les oiseaux immigrants

Prennent la passerelle

Du printemps en dentelle

Dans sa terre d'asile

Pour y dormir à la belle

Etoile des montagnes éternelles

Avec le désir charnel

D'y héberger

Toute sa voie lactée

En Galilée

Au programme sommaire

En hospitalité,

Dès les prémices

A proximité

D'une île

Au soleil bien luné

Au front dégarni.

 

 

Jérôme de Mars

Vers de flûte

 

 

 

En préambule

Dans La Champagne-Ardenne,

Le champagne coule à flot

En pétillant au bon taux

D'un excellent niveau,

Où l'on tient les rênes 

En desservant le champagne

En vers de flûte

De la flûte des vers en gagne

Des champs dans une game over

Aux vers de flûte,

Dès que la poésie dit flûte

A la flûte de vent

Des rimes d'allant

En allant à l'avant

De Guillaume Apollinaire,

En s'imprégnant 

De son art à la manière

Des poètes divers

En vers de flûte

Qui coulent à la plume

Aux coutumes

Qui demeurent des costumes

Pour faire semblant

A blanc

Aux éphémères lumières,

Qui rallument

Cette Terre

Dans l'environnement

Vert laine

De Paul Verlaine

En bas de laine

Qui relèvent la laine

De l'haleine

En verveine,

Lorsque les vers de flûte

Dans leur tasse de thé

Se ramassent

A la masse

Et se bizutent

Tous azimuts

En un flot de dextérité

Soufflant dès la caresse

Du vent 

En lettres de noblesse

Par écriture majeure

Et choyant la tendresse

De l'inspiration en fleurs

Lors de l'extase en candeur

De la valeur

En folie des grandeurs

Qui cligne des paupières

A l'apogée de l'élémentaire,

En vers de flûte 

Qui disent flûte

De vent enchanté

Sur les images à l'arrêt

Des bulles.

 

 

Jérôme de Mars

  Parler dans le vide  !

 

 

 

Face à l'afflux de conseils

Que l'on essaye 

De tenir pour se remettre en selle,

Il est avide

Qu'on scelle

A notre escarcelle

Du violoncelle

Pour gravir les échelons

Au seuil des petites graines

Qu'on germe en paroles dans le vide

Destiné au mur dur de béton

Cupide où on laisse passer Cupidon

Malgré les dons de la vie quelquefois,

Dès qu'on a des opportunités à l'emporte-pièce

Car en deça,

On reste porte close dans la pièce

Démontée et détachée de tout

Dans cet immense gâchis en fourre-tout,

Où plus rien ne compte

Comme un acompte,

Où l'on ne rembourse le reste

Car l'on se déleste

Du conte 

Contrefait et malfait

A des années-lumière de la distance Céleste

Dans les bras de Morphée,

Pour oublier ces paradis artificiels

Des neiges éternelles

Qui nous plongent dans la glace,

Quand on retourne sa veste

Et qu'on reste

De glace

Et qu'on se lasse

De ce vinaigre aigre-doux,

Où l'on déverse sa haine

En madeleine

De Proust

Comme le cynisme de Gaspard Proust,

Où l'on prend des roustes

En coups de trafalgar,

Lorsqu'on s'égare

Du droit chemin

En détour comme Boris Dévian

Déviant du devant,

De la part de cet ancien copain

Qui m'a mis dans le pétrin,

Dont on connaît la chanson

En travers de petit cochon

Pervers envers

Et contre tout,

Vers les vers de Jacques Prévert

En père l'impudeur,

Alors qu'on manque de repères

Avec vigueur,

Ainsi, parler dans le vide

Donne des rides

A vide

Jusqu'au passage avide

D'un vide

Vite oubliée,

En s'emmenant houspiller

Du grenier

Afin de contempler

Les oliviers

Et les cerisiers,

De l'huile d'olive

Pour récolter 

Le fruit de son métier,

Sans mettre de l'huile sur le feu

Pour humer les rives

Sur les cieux

D'un royaume joyeux.

 

 

Jérôme de Mars

 Aux secousses, les pompiers   !

 

 

 

 

Dans la course

Contre la montre

A l'étoile de la grande ourse,

Le sale état de la nation

A ses sources

Dont il faut renflouer la bourse

Sous le joug de la divination

Car dès qu'on a la frousse,

On vocifère aux secousses,

Les pompiers

Qui fument comme des pompiers

Aux bons tuyaux,

Où ils se remettent à l'eau

Avec leurs trousses                                   

De secours,

Lorsque les malfrats avec leurs gants de velours

Nous détroussent

En étrangers

De la bonté,

Où l'on tremble en secousses

Qui poussent dans un joli coup de pouce

Etrange de la frange

De nos cheveux décoiffants

Qui engrangent

Tout ce fout le camp

Aux secousses,

Les pompiers,

Où les dés sont pipés

Au nom d'une pipe

Quelle pépite

Tant et si bien,

Qu'on a pompé

Nos biens en presque rien,

A l'appel de des tresses,

Qui s'affaissent sur nos fesses,

Crédules en balivernes,

Tandis que pour des vertes et des pas mûres,

Les lieux sûrs se fissurent

Dans un constat terne

Aux cernes 

De nos yeux subalternes

De la taverne

Au tréfonds de la nature,

Aux secousses,

Les pompistes,

Car grâce à leurs côtés

Je m'en foutiste,

On passe de la figure

Du clown triste

A la posture

De la quintessence d'artiste

En longue liste

Sur la piste

En tessiture.

 

 

Jérôme de Mars

 De l'eau dans le gaz  !

 

 

 

A table rase,

Ca jazze

Parmi le jazz,

Quand le vase

A de l'eau dans le gaz

Et que Zaz

Jazze

Avec la musique qui rase

Les friands nazes,

De ce que ça dégage

En gage

Des paroles en l'air qui nous engagent

Sur l'honneur

Pour donner le meilleur

D'un air de jazz

Débordant et las,

Du sas

De décompression qui jazze

Lorsqu'il y a de l'eau dans le gaz

Qui rase

Les murs

Du silence d'armure,

Où les maquettes

Sur la moquette

Restent des durs

A cuire

En cuir 

Sur la chansonnette

Qui trépigne en sornettes,

Où l'on tire la sonnette

En deux trois mouvement de claquettes

Aux avantages

Du chantage,

Dès qu'il y a de l'eau dans le gaz

En vannes qui jazzent

A table basse

De la base

De la basse

En contrebasse.

 

 

Jérôme de Mars

 Parfum de colonne

 

 

 

Jetée                                       Où le crémage

Dans le bain,                         Nimbera

L'année                                  Du brouillard fuyant

A venir                                    Les éphémères interludes

Je l'espère,                            Du parfum

Respirera                               De colonne,     

Le parfum                              Qui ronronne

De colonne                            Du klaxon

De la lune                              A la file anglaise

A la une                                 Anglo-saxonne

Enfin,                                     De Londres à Paris,

Dans un velours                   Dès lors que les chicaneurs

De volupté                            De babioles

Entre deux grappes             Demeureront les assaillants

De raisin                                D'un déferlement

Qui soûleront                       De braises

L'esprit divin                         En jouant du saxophone,

Des Saints                             Sur ce parfum de colonne

De Dieu,                                A l'eau de Cologne.

 

 

 

              Jérôme de Mars

 

                                    Blagues :

 

 

1) Pourquoi en a-t-on marre des fêtes de fin d'année qui existent depuis très longtemps où l'on est nostalgique du temps d'avant car c'était mieux ?
- Parce-que ça commence à sentir le sapin !

2) Pourquoi en France, les gens s'en foutent et c'est chacun pour soi ?
- Parce-que les gens font l'indifférence avec les autres !

3) Que dit-on de deux testicules qui sont chiantes ?
- Elles sont casse-couilles !

4) Que dit-on d'un chômeur qui ne trouve pas de travail ?
- C'est qu'il ne trouve pas le bon mode d'emploi !

5) Pourquoi quand on boit du champagne, ça pétille ?
- Parce-qu'on sort de notre bulle !

6) Pourquoi un homme a-t-il besoin à tout prix de trouver l'amour ?
- Parce-qu'il a besoin d'affection à son affection de longue durée !

7) Pourquoi le chanteur George Michaël est-il mort ?
- Parce-qu'il a roulé dans l'herbe !

8) Quel est le complexe d'un Arménien, victime du génocide de 1915 ?

- C'est qu'il soit victime d'un pied de nez Des Turcs !

9)  Pourquoi lorsqu'on fait une réunion à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, y a-t-il des coups de chauds exotiques et tropiques  ?

-   Parce-qu'îles étaient là  !

 

 

                                           Jérôme de Mars

Quand le masque tombe  !

 

 

 

Lorsqu'on se voile la face

A faire croire qu'en surface

Tout va bien,

On se roule des patins

Le nez engourdi dans la glace

Pour des petits riens

Dans une ballade de façade

Comme une sérénade en salades,

Où l'on murmure

Aux personnes amicales

Dans un bloc de mur

Que tout s'arrange dans un futur

Qui augure

Toute notre bonne nature,

Alors qu'en vérité, ça fait des plombes

Qu'on surplombe

Le mensonge, qu'on pète les plombs

Et que ça nous plombe

En traînant tout ça en marchant sans plomb,

Où à un moment donné,

Il faut bien se l'avouer,

On est rattrapés

Par son passé,

Quand le masque tombe

De la cata d'outre-tombe

Qui tombe

Des catacombes

Qui nous incombent

Et où tombent

En trombes

D'eaux,

Tous nos maux

Auxquels on succombe

Car l'on ne se trompe

Sur notre visage obscur

Qui laisse dur

Tout ce mirage de verdure

Qui ressemble à l'ordure

De cette vie en déconfiture

Qu'on jette en pâture,

Par écrits de désinvolture

A travers cet inventaire immature,

Où il nous faut

Des perspectives d'aventure

Qui inaugurent

Un avenir en peinture

Avec du plomb

Dans la tête

Sans ratés en casse-tête

A ras la casquette

Sur la casquette

De notre fausse posture,

Où l'on se doit de gommer

Les ratures 

De nos échecs

Pour avancer

De la tête

Au bec

En fonçant vers une espérance ressuscitée,

Suscitée et incitée

A mettre du coeur à l'ouvrage,

Lorsque le masque ne tombe

Et qu'on se remet

De la défaite, d'attaque pour aller chercher

Une joie et la ramasser,

Dès que notre trajectoire redevient un carnaval

Du val

De grâce

Endimanché

Au dimanche en aval

Argenté.

 

 

Jérôme de Mars

STEP !  (  s'il te plaît ! )  Père Noël  !

 

 

 

STEP !  Père Noël  !

Si tu pouvais offrir en cadeau

Un parfum de soleil

Qui irait crescendo

Vers l'édification

D'un nouvel eldorado,

Où nous serions 

Tous les héros

Protagonistes et hédonistes

Loin de notre monde actuel

Triste et égoïste,

Aux effets pudibonds

Et furibonds,

Où en ce moment

On fait un bond

De dix ans

En arrière

En n'y allant 

Par le dos

De la cuillère

Avec les bruyères

En colère

Qui soufflent sur le vent,

Car il ne fait plus bon

De vivre dans cette galaxie

En dyslexie, 

Tellement, c'est le monde à l'envers

Qui ne semble à l'endroit

De l'angle droit,

Même s'il faut 

Arrondir les angles

Afin de débrider la sangle

Pour que notre monde change

Et qu'on redevienne des anges,

De telle sorte que tout se range

Sans qu'on dérange

Le ciel

En notre âme et conscience

En route vers la science

Exacte

Dont on prend acte

En rebond,

STEP !  Père Noël  !

Mets cette liste 

Réaliste

Dans une parcelle

Des steppes

En vaste prairie,

Où enfin, la vie

Ne demeurera fataliste

Car l'on se dira idéaliste

En landes,

D'un beau Disneyland

En féerie,

D'après ta magie

A toi Père Noël,

Du rêve à la passerelle

Des pluies de l'escarcelle

D'artiste.

 

 

 

Jérôme de Mars

Cinglé  !

 

 

 

Cinglant,

Je suis cinglé,

Où les cintres

De la folie

Tintent

Pour restreindre

Mes penchants

Ensevelis

Qui m'esquintent

Dans le délie

De cette vaste pagaille

D'amis

Et de famille,

Où tout déraille

En ennemis,

Car franchement,

Je suis atteint

Dans ma folie

Pas finie

Au teint

Infini

De mes ennuis

Qui me donnent des fourmis

Dans les jambes,

Comme ça me fait une belle jambe,

Si bien que je fourmille

D'idées fixes

En cinglé

De cette vie

Au suffixe

Cinglant,

Où ça suffit

D'avoir du temps

A contretemps 

A tous les instants

Cinglants

De ma croisière 

De cinglé

De fer,

Où je me barre,

Barré

Et rembarré

Au premier

Et au second degré

Au gré

De mon gré

Bon gré

Mal gré

Malgré

Ma tare,

Où il est trop tard

Pour m'en sortir

Au soupir

Du pire

Qui m'attend

Taré

De cette existence

En déviance

Attardée,

Retardée

Et cinglée,

Où à l'épilogue cinglant,

Je me barre  !

 

 

Jérôme de Mars

Trance genre

 

 

 

A la sueur du front,

Le rythme se déchaîne

A la fièvre de l'affront

De la madeleine

De Proust dès l'ode

De la période

Transe genre

Genre transe

Dans la danse

Efféminée trance genre,

Où en répercussions,

La musique menée tambour battant

Joue des percussions

En mélodies

D'occasion

Sur le qui-vive redondant

De la musique rentre-dedans

Trance genre

En transe dans le genre

Ebouriffant par les bouffées

De chaleur à volonté,

Louche

Dans la souche

De la pure variété

Trance genre

Dans un accord femmes-hommes

Transgenre,

Comme la somme

Récoltée

D'avance en avances

De l'ère avant-gardiste

D'une âme d'artiste

En devenir

A l'avenir

Du présent

En présent

Oppressant

Des déferlants

Plaisirs

En raz-de-marée,

A l'engouement

Suggéré

D'un conseil d'ami

Au parcours

Sur concours

Des champs de réaction,

Où l'effet

Trance genre

Reste en transgenre

Tôt sur le tard

Du tintamarre

En retentissement

Du gong final

De ce retour triomphal

A l'arrêt

Des valses

Au signal,

Par salves

Originales

Dans les annales

De la boîte

A musique

Technique à la mécanique

Ouate

Assortie

Sur copies

En sortie.

 

 

Jérôme de Mars 

 

 

 

Du blues à la bluette

 

 

Depuis l'écume des bleus

Qui gèlent sur la mer en feu,

J'ai le blues

Qui se trémousse

De la mousse

Rivée de ses yeux

Envolés vers les cieux

Au mirage brumeux,

Où j'ai ma blouse

Qui émousse

Les gens qui me moussent

Des termes élogieux

En mots cruels désaveux,

Où j'ai la frousse

De cette vie en chantier

Evacuée et transbahutée 

Dans la brousse

De la savane Africaine,

Où mes bas de laine

Qui sentent la naphtaline de la laine

Comme Paul Verlaine,

S'évadent dans une chimère puritaine

De longue haleine,

Où je perds de ma veine

Vaine dans la veine

Acariâtre en teigne

Du blues

De la housse

De l'oreiller

En folie passagère,

Où manque le peigne

Du blues

Recoiffant 

Et croissant,

Qui vire à la bluette

Trempette 

Pour conter fleurette

En amourette

Dans une idylle simplette,

Où je fais muse muse 

Et je m'amuse

Avec ma trompette

Et mon amulette,

Où de ma bluette

En piédestal, je laisse tomber 

Les allumettes

Du blues

Qui me mettent

En miettes

Avec des sornettes,

Pour laisser place à la bluette

Des sentiments en amourette

Un tantinet

Saynètes

La tête dans les comètes

De la planète.

 

 

Jérôme de Mars

 Les acolytes anonymes

 

 

Dans ma galère patronyme,

Je prends de la bouteille

Comme un soleil

A la mer,

Où j'entretiens mon coeur de pierre

Dans un pseudonyme

Aux abîmes

De l'enfer,

Ainsi, dès que tout me soûle

Dans la foule,

J'envoie une bouteille

A la mer

Et sur terre,

Où surgit,

Mon ami

Christophe entre deux strophes,

Alors que les autres m'apostrophent

Aux frontières limitrophes,

Où moi et Christophe,

Avec l'étoffe,

Nous sommes les acolytes anonymes

Synonymes

D'un soleil

Entre deux misères

Sur La Terre,

Qui malgré tout, resplendit 

De merveilles

Entre deux étincelles

Des sentinelles

De la guerre

Au miel

D'un lundi

Bleu clair

Dans la lumière,

Où moi et Christophe,

Avec l'étoffe,

Nous sommes les acolytes anonymes

De la bouteille de la terre

Qui nous soûle 

Et qu'on refoule

 A la mer,

Afin que la bouteille

Se vide de son fiel

En consistance

Et qu'elle se remplisse 

D'un brin lisse

De mirabelle,

Sans déconfiture en substance,

Où la dépendance

A la malchance

Se sèvre

De sorte que je renaisse

De mes cendres

En espèce

Avec le sourire aux lèvres

Sans descendre,

Où moi et Christophe,

Avec l'étoffe,

Nous sommes les acolytes anonymes

Ivres de notre patronyme,

Où grâce à l'unisson

De nos personnalités synonymes,

On connaît la chanson

Car nous sommes les guérisseurs

D'une ardeur

Revenue de bien de malheurs

A bon entendeur

Pile rechargée à l'heure.

 

Jérôme de Mars

De l'eau coule sous les ponts

 

 

 

En amont

Pour braver les monts,

Les joies et les peines,

De l'eau coule sous les ponts

En semant des graines

Du Pont D'Avignon

Au Pont Neuf,

D'où découle

Du vieux avec du neuf

Qui coule 

De source

Dans ses propres ressources,

Où l'eau en trémolos

Va à vau-l'eau

Au fond du ruisseau

Sot aux abîmes 

Des métaux 

Qui déciment

Les cymes

Et laissent de marbre

Les arbres

Qui éciment

Et éliment

La rivière débordante

Et exubérante

Qui arpente

Le courant du torrent,

Entre rixes

Des éléments

De l'eau fixe

Aux revirements à cran

De l'océan volcan

Sur la pente

Des chutes d'eaux

En maux,

Où depuis de l'eau

A coulé sous les ponts,

Si bien que La Seine

A coupé les ponts

Avec les amants du Pont Neuf

Vieux et veuf

De la vie qui n'est pas un long fleuve

Tranquille

Aux broutilles

De l'eau

Qui coule sous les ponts

Sur La Courneuve.

 

 

Jérôme de Mars

 La Terre est ronde  !

 

 

 

Dans le monde,

Les êtres semblent paraître

De leur hêtre

Dans la ronde

Rubiconde

En fronde,

Car La Terre est ronde

Et féconde

De La Joconde

Aux vaches qu'on envoie paître

Pour naître

Et renaître

En êtres

Pacifiques

Dans un océan Pacifique,

Où le monde abonde

Et bonde

Dans une ronde

Rustique et domestique

Comme les animaux domestiques

A l'appel de la paix

Sur La Terre réconciliée,

Lorsque La Terre est ronde

A bien de l'espoir qui se fonde

Afin que la violence ne gronde

Et qu'elle ne fonde

Dans un océan d'amour Pacifique

Sur La Terre pacifique

Des êtres aux animaux domestiques

Dans la ronde

Du monde

Sans fronde.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

                                              Blague  :

 

 

Pourquoi tout fout le camp en France   ?

-  Parce-qu'on ne sait plus sur quelles positions camper.

 

 

                                      Jérôme de Mars

De l'eau dans le vin

 

 

Allo, hello,

Ca tombe à l'eau

Car on est le vingt

De ce mois

Devin du vin,

Où l'on flanche

Au bord du ravin,

Où c'est une autre paire

De manche,

Quand il faut se retrousser les manches

En repères,

Pour mettre de l'eau

Dans le vin

En vain

Mais dans le bon lot

Divin,

Où l'on sort la tête de l'eau

A La Rue Vavin

Par un pari à l'eau

Sans partir à vau-l'eau

Devin et divin

La prochaine fois

Qu'on sera le vingt

Le mois 

Prochain

En vin devin

Et en vain,

Où l'on aura mis définitivement de l'eau

Dans le vin

Sans être au pied du ravin

Mais à La Rue Vavin

En vin

A l'eau,

Et où l'on raccrochera divin.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Quitte ou double

 

 

Depuis que j'ouïe 

Dans ma vie,

Je ne suis ni béni,

Ni déni,

Que ce soit en oui

Ou en non-dits,

Car je jouis

Avec ma famille

Et mes amis

Dans le cri

De mes délits

En série,

Où j'en ris

Et j'en pleurs

A ce que j'en meurs

D'ennui,

Comme souvent, c'est quitte

Ou double,

Dès que je te quitte

Et je redouble,

Où je me dédouble

Sans limites,

En troubles

Ou roubles,

Où je déroule

Le tapis rouge

Où je m'enroule

Et je bouge

Dans un sang

D'encre en mille

Et des cents,

Où je descends

En dernier rang,

Comme souvent, c'est quitte

Ou double,

Où c'est la faillite

En banqueroute

Dans ma route

En déroute,

Où je double

Et je redouble

Les troubles

Qui me renient

De ma famille

Et de mes amis

Dans le déni

Ni oui

Ni non,

Où je me fais 

Passer

Pour un con

Comme hélas, la chanson

Du fanfaron

Aux extrêmes limites,

Où souvent, c'est quitte

Ou double,

Où je te redouble

Et je te dédouble

Entre troubles

Et roubles,

Où je m'effrite

Sur le grill

Et je me fritte

En mille

Et des cents,

Où ainsi, je me grille

Avec ma famille

Et mes amis,

Comme un cul béni

Avec folie qui brille,

Où je scintille

Dans le mille

De l'an deux mille

Que je fourmille

Dans un ultime fatal dernier 

Bruit

En coup de pied

Sur les fourmilles

Que je fournis

En rang

Réduit

Et déduit

En rancoeur,

Où souvent, c'est quitte

Ou double

Dans le leurre,

Jusqu'à ce que je sois quitte

De mes troubles

A la limite

Des roubles

Arts

De l'are hectare.

 

 

Jérôme de Mars

Uppercut

 

 

Dans ce remue-ménage

Tous azimuts

Qui nous bizute

En surmenage,

La destinée ne nous ménage

Nous en nage,

Où l'on surnage

Dans la rage

D'un uppercut

Dont la vie nous percute,

Nous permute

Et nous persécute

Dans le tumulte

En catapulte,

Où elle s'exécute

Grâce 

Au rut

Apre de la grâce 

Des chasseurs bruts

Sauvages à l'abordage

Qui nous la mènent dure,

Où l'on carbure

A l'hydrocarbure

Durs comme du béton 

Et droits dans le mur

Des cons

Qui nous pulsent

Et nous impulsent,

Dès que la liqueur

En rancoeur 

Met du brut

Haut sur le coeur

Avec vigueur

Dans la rigueur

Des maux en uppercut

Qui nous abruptent

Et nous éructent 

Dans le tumulte 

En catapulte,

Lorsqu'ils nous révulsent

Et nous répulsent 

En uppercut

Qui nous percutent,

Nous permutent

Et nous persécutent

Dans le tumulte

En catapulte

En surface

Sans pouvoir y faire face

Face à la glace,

Où elle nous glace

Le sang à se ronger

Les sangs rangés

Et dérangés

Aux excès consumés,

Quand les uppercuts

De l'existence

Nous permutent

Et nous mutent

Dans le tumulte

En catapulte

La tête amochée

Et rétamée

Dans une inédite expérience

Qui débute

Et nous bute

Au but

Qui nous rebute

A la butte

De la lutte.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

                                             Blagues  :

 

 

1)  Que dit-on d'un fabricant de CD qui est mort  ?

      -  Il est DCD.

 

2)  Qu'est-ce-qu'un suicide réussi   ?

     -   Un appel d'a dieu  !

 

 

                                      Jérôme de Mars

Chacun son chemin   !

 

 

 

Dans la vie

Du début à la fin,

C'est chacun son chemin

Pour relever les défis

D'aujourd'hui

A demain,

Le long de l'existence

Où l'on trace chacun

Son itinéraire

Avec pénitence ou puissance

Etapes par étapes,

Où l'on sillonne en train

Notre chemin

De la tanière

A la croisière

Avec les tapes

Amicales et cordiales

De l'art et la manière

Des villes locales

Jusqu'au savoir-faire

De la mémoire ancestrale

De nos ascendants

Ainsi que de nos arrières-grands-parents,

Qui filent en courant

Vers le temps d'avant

Avec les souvenirs

A en rire

Des éléments,

Dont on a tant besoin

De prendre en aimant

Pour rentrer dans le rang,

Où c'est chacun son chemin

Dans notre destin

Pourvu qu'on ait le béguin

Pareil

Pour remporter le gain

De l'essaim

Et butiner le miel

De l'amour en lune de miel,

De sorte que le fiel

Se dissipe dans le ciel

Pour laisser place dans l'appareil

Aux étincelles

Des merveilles

D'un meilleur monde en réveil,

Où même si c'est chacun son chemin

Pourvu qu'on garde la main,

Afin qu'on arrive boute en train 

A l'insouciance

De la réjouissance

Au bout du chemin

Dès la renaissance

Au bon coin

De l'innocence.

 

 

Jérôme de Mars

L'amour conte fleurette

 

 

 

Sous les mystères impénétrables

Autour de la table,

La romance valse

Le roulement de tambour

Par salves de transvase 

A bien des séjours

Chouettes en girouettes

En plumes de cacahuètes,

Dès que l'amour

Conte fleurette

Et crépite de l'amourette

A la chute des reins

De telle est notre destin,

Si fin que les jours

Rient et sourient

De la crête de leurs cheveux

Lors de leurs bonjours

Langoureux et sulfureux

Sur les abords de la vaste prairie

Ornée de son collier de fleurs,

Qui brille d'un brin de lueurs

Entre caprices et délices

Sur le terrain qui glisse

Du soleil hardi,

Qui irradie

Les jeunes mariés

Avec cotillons et grains de riz

A l'accoutumée galvanisée,

Sur la piste jalonnée

Et transcendée

En eau bénite

Des cieux 

Du bon Dieu

Qui gravitent 

Le salut en cours

D'un simple aller-retour,

Quand l'amour 

Conte fleurette

D'un ton de troubadour

Net sur la planète

En faisant 

Des plans

Sur la comète.

 

 

Jérôme de Mars

 

                                           Blague  :

 

 

Pourquoi Michel Polnareff respire-t-il bien sur scène  ?

 -  Parce-que c'est sa bouffée d'oxygène  !

 

 

                                    Jérôme de Mars

Y a du pot  !

 

 

Lorsqu'on est bien

Dans sa peau

En diapo

Et qu'on boit un pot

De vin

On paye plein pot,

Car y a du pot

De verre

Entre pot

A l'entrepôt

Au dépôt,

Où l'on dépose

Le pot

Aux roses

Pour voir

La vie en rose,

Afin que le morose

Devienne le mot rose

De la rose

Des vents

Les cheveux dans le vent,

Car y a du pot

Des parts

Entre pot

A l'entrepôt

Au dépôt,

Où l'on joue du pipeau

En paroles

De bémol

Qui desservent le pipeau,

Car y a du pot

De départ

Entre pot

A l'entrepôt

Au dépôt,

Où il est rare

Que l'on arrose

Le pot

De fleurs,

Car y a du pot

De terre

Entre pot

A l'entrepôt

Au dépôt,

Avec la candeur

De nos pots

Verts

Entre pot

Que l'on dépose

A l'entrepôt

Au dépôt,

Car y a du pot

De fer

Entre pot

A l'entrepôt

Au dépôt,

Un soir

Sans paroles

Que l'on enrôle

Pour être bien

Dans sa peau

Entre pot

A l'entrepôt

Au dépôt,

Sans peau

De chagrin

Au refrain

Dispo

De l'entrain.

 

 

Jérôme de Mars

 

                           

                                             Blagues :

 

 

 

1) Que dit-on d'un particulier qui a reçu un courrier avec le montant à payer pas cher de son forfait mobile ?
- C'est une lettre de bonne facture  !

 

 

2) Que fais-tu quand tu ne peux plus faire semblant avec les apparences ?
- Tu refais la façade  !

 

 

                                      Jérôme de Mars

Constance en constance

 

 

 

En cette instance

De l'existence,

Constance

Semble en constance

En toutes circonstances

Lors de l'importance

De l'import-export,

Avec frais de port

Jusqu'à l'arrivée à bon port,

Où Constance

Demeure en constance

En pareilles circonstances,

Dès l'instance

De l'existence

En vénérables révérences

Que les contenances

Muent dans la croissance

Des consistances

De la vie à forte cadence,

Avec l'opulence

En contredanse

De la contre danse

A l'encontre de Constance

Grâce à son insistance,

En ample constance,

En pures circonstances

A la rencontre de l'importance

En troublantes coïncidences

De l'existence,

Quand en instances,

Les immenses fréquences

Revigorent l'évidence

En insistance

De sa substance

A Constance,

En constance

De circonstances.

 

 

Jérôme de Mars

La ligne jaune

 

Dans ce monde aphone,

Où c'est la faune

Et la flore,

Je m'affranchis

Avec fun

De tout

Au téléphone,

Je joue mon vatout

Et je franchis

La ligne jaune

En atout

Qui sonne

Dans tout

Ce fourre-tout,

Où je m'en fous

De tout

Et où je ris jaune

Dans ce folklore

De gros mots,

Où je fais le fort

Intello

Du haut

De mon fort

Extérieur

Mais faible à l'intérieur

De la peine de mon coeur,

Où je trébuche du pied

De tout mon fardeau

En guêpier,

Où c'est ma marque

De fabrique

Remarque

Mon psychiatre qui me critique

A l'égard de mon état critique,

Où j'étrique

En bassesses qui m'effritent

Et me fritent

Avec toute la politique

Et La France en panique

Que je nique,

De façon unique

Et cynique

Avec mes piques

Tropiques,

J'affranchis les limites,

Où je les imite

A la limite

Du légal

Que j'imite 

Sans égal,

Avec les humoristes sarcastiques

Qui ont le nez qui tique

Comme le tic-tac

En moi,

Qui craque

A tout va,

Comme je m'émancipe

Et j'étripe

Mes principes

Et que je m'agrippe

A la grippe,

Ambiante du climat social

En France,

Où je franchis

Les déviances

Mises en évidence

Avec aisance

Du Port De Plaisance

A La Plaisance

De mes plaisanteries,

Où j'en rajoute

En joutes

Verbales

Comme dans une gâterie

Jubilatoire avec forte résonnance,

De La Provence

Qui influence

La providence,

Où je transgresse, je dépasse

Et j'outrepasse

Les limites de la ligne jaune,

Où je ris jaune

En un casse-tête chinois

Sans barrières,

Sans frontières

Et sans assurer mes arrières,

Dans tout cet anti-portrait chinois 

En haut là,

Où mon coeur mal sein

Respire le malsain

De l'ornière

Due à la traversée de derrière,

Où j'ai du mal

A aller de l'avant

Devant,

Sans avoir la dent dure et obscure

Contre ce mur de béton,

Où je laisse béton

Le passé immature

Pour aller vers l'horizon du futur

Avec le bon mot de passe

Sans que je fracasse

Ma carcasse.

 

Jérôme de Mars

 

                                        Blague  :

 

 

 

Pourquoi ma famille n'aime-t-elle pas la gauche caviar    ?

            -  Parce-qu'on n'est pas Des PETROSSIAN  !

 

 

                                 Jérôme de Mars

Au début, au milieu et à la fin

 
Au début,
On naît dans la tribu
Avec nos attributs,
Dans notre bulle
En préambule,
De ce qui nous attend
Durant notre long moment
Sur Terre dans notre élément,
Au début, au milieu et à la fin,
Où à la fin de notre destin,
On aura bien bu
Tout notre vécu
Du lieu à mi lieux jusqu' aux cieux,
Au milieu,
A mi lieux,
On devient quelqu'un et on a faim
Où l'on veut en priant Dieu
Rencontrer quelqu'un pour demain
Comme notre aimant conciliabule
Qui sera notre festin aimant
Et armant notre élément attirant,
Au début, au milieu et à la fin,
Où à la fin de notre destin,
On aura bien bu
Tout notre vécu
Du lieu à mi lieux jusqu'aux cieux,
A la fin,
On n'a plus faim et on a bien bu notre vécu
Où l'on prie Dieu et l'on dit adieu
Du début, à mi lieux pour rejoindre à la fin
De notre destin
Les cieux de notre élément
Où l'on se tut
En hauts lieux somnambules,
Au début, au milieu et à la fin,
Où à la fin de notre destin,
On aura bien bu tout notre vécu
Du lieu à mi lieux jusqu'aux cieux
A Dieu du festin et en adieux du destin.
   
Jérôme de Mars