PASSE-TEMPS
Blague :
Pourquoi mes problèmes psychiatriques à l'âge mineur n'étaient-ils pas si mineurs que ça ?
- Parce-qu'ils se sont aggravés à l'âge majeur et à l'état majeur !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi y a-t-il eu un attentat à Manchester au Royaume-Uni au stade où ils en sont lors du concert qui a eu lieu dans l'enceinte sportive ?
- Parce-que l'attentat s'est produit dans la file anglaise !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi FACEBOOK rend-il chèvre ?
- Parce-que c'est un bon réseau asocial d'amis brebis galeuses !
2) Que dit un agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry qui fait le travail des CVP qu'il trouve ennuyeux ?
- Il dit que ça le pompe !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'un ouvrier de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry qui étant trop discret, se fait espionner par ses collègues ?
- C'est un agent secret !
2) Pourquoi si même on se reparle moi et Christophe, ce n'est plus comme avant et que Christophe reste quelque peu distant avec moi ?
- Parce-que je suis à des kilomètres de lui, tellement, j'ai dépassé les bornes !
Jérôme de Mars
Accidents mineurs à l'état majeur
A l'âge mineur
Des mines déconfites,
Ma mine a manqué de charbon
Pour guérir de ses pulsions,
Qui m'irritent, me fritent et m'effritent
A l'état majeur,
Dont je me pose des questions
Quelles semblent les solutions,
A ces accidents mineurs
A l'état majeur,
Quand les antécédents familiaux
Aux mauvais signaux,
D'enfant perturbé
Et malmené,
Remontent de ma mère rudoyée
A mon arrière-grand père
Et à mon grand-père
Maternels, figures de proue sans dentelle,
Aux racines de ma crise existentielle,
Qui se perpétue et se répète
A perpète,
Du suicide acide une balle dans la tête
De mon arrière-grand-père maternel,
Le jour de Noël du 24 décembre 1947, posthume et obsolète,
Et de mon grand-père maternel,
Le jour de La Saint-Valentin, le 14 février 1995 insurrectionnel,
Mon grand-père pour sa défense, voulait devenir avocat,
Mais à la suite de l'injustice d'avoir trouvé le corps de son père mort suicidé,
A cause de ce grave cas
Qui l'avait profondément affecté,
Il renonça à sa vocation
Avec cette remise en question,
Car désormais sa destinée était scellée et à découvert,
Après le décès de son père suite au repas à table avec les couverts,
En ce jour maudit et triste de Noël du 24 décembre 1947, des vieux travers
En casse-tête,
De son père,
Car mon arrière-grand-père maternel
Qui fut médecin,
Dut faire face à son destin,
Où il fut prisonnier par Les Allemands,
Pendant la seconde guerre mondiale
Et hexagonale,
Où pourtant, il fut bien traité car il soigna
Les Allemands avec dévouement,
Mais au sortir de la seconde guerre mondiale,
Il eut tellement mal,
Avec ses séquelles et ses traumatismes,
A la lisière du mutisme,
Où plus jamais, il ne fut comme avant et d'antan,
Dans le cataclysme
De ses tourments,
Comme je le disais précédemment,
Mon arrière-grand-père maternel se suicida
Le jour de Noël du 24 décembre 1947,
Comme un cinq à sept plus sec, jeu, set
Et match, et mon grand-père maternel qui l'a découvert,
En fut trop abîmé moralement pour le restant de ses jours,
A contre-jour,
D'une vie banale
Et normale,
Basculant et trébuchant d'un itinéraire en vers, au versant,
Des verres à sang,
Du coeur couvert à découvert,
En mille et des cent,
D'une pierre manquant à l'édifice pour qu'il soit pair,
Où il n'eut qu'autre fixation, de finir comme son père
Dans la main tendue de l'enfer,
Ce jour-là, il se jeta à bras et à corps perdus dans les bras
De ma grand-mère, éplorée tout comme lui, où avec elle,
Sa future femme, il conçut par accident,
A l'âge de 20 ans,
Ma mère, non désirée à la naissance,
L'essence sans les cinq sens,
D'une providence à l'évidence dont l'événement imprévu ne fut réjouissant,
Ma mère téméraire, naquit dans ce monde immonde le 21 septembre 1948,
Comme un huit en fin d'année qui définit sa périlleuse et sa chaotique vie
A l'infini dont la neurasthénie,
De son père se reporta sur elle,
Son mal-être patibulaire,
Menaçant son équilibre,
Et dont le manque de fibre
De sa mère qui lui préféra son frère,
Leur second enfant pair et fils, tant désiré,
Que mes grands-parents eurent comme second enfant
Dans ces troubles-temps devenus source de rajeunissement,
Qui vit le jour, en 1965,
En cadet de leurs soucis, qui lui, cette fois-ci, fut reçu cinq sur cinq,
Dont ma mère, l'aînée, en fit les frais avec leurs 17 ans d'écart entre elle
Et son frère,
Mais là, ses parents furent préparées à cette arrivée,
Du fruit tardif mais enfin de la maturité
De leurs 37 ans,
Mon grand-père maternel, fou, neurasthénique et malade chronique psychique,
Comme ce fut mathématique,
Il transmit cent gênes,
Ses gênes héréditaires et occasionnées à ma mère, extralucide sur son état aborigène,
La source de ses problèmes psychologiques et au degré de désarroi ineffable,
Où il n'y avait de la communication
Dans cette famille baroque
A la voie rauque,
Avec en l'occurrence le substitut de la communion,
Et des réunions de famille lourdes de conséquences
Et de séquences,
En flash-back, qui me reviennent,
Comme l'effet boomerang torrentiel, aux pénuries et aux souffrances diluviennes,
Dont ma mère m'en fit l'écho en me prenant pour son psy,
Tel un confident fou allié et ami,
Quand mon grand-père eut avec ma grand-mère, ma mère à 20 ans,
Condamné aux gardes des seaux de la paternité,
Il abandonna à contrecoeur sa mission de fidélité et de loyauté,
De ses idéaux et de ses rêves de justice,
Ne pouvant être aux services
Des barreaux d'avocat,
Malgré cela, il devint représentant dans les vêtements pour Des Alsaciens,
Puritains et hautains,
Au teint livide de son suicide avorté à multiples reprises, mais différé
Pour mieux se dérouler plusieurs années après,
Remettant à plus tare et en retard,
L'inévitable et l'inéluctable,
Pas affable dans cette étrange fable irrémédiable,
Mon grand-père rattrapé par la dynastie
Des suicides en série,
Mena une existence en paralysie
Fricotant en catimini avec des femmes faciles,
De par sa douleur amorale
Avec aucun moral,
Pour donner raison
A ses frasques, où grâce à l'oraison
Funèbre, plus tard, il fut repêché,
A la messe d'enterrement, qui le sauva
De ses péchés
Absolus et absous dont il eut tant de mal
Durant sa longue et pernicieuse chevauchée à éradiquer
Sa part animale et immorale
Qui sommeillait sa sombre personnalité,
Il fit de dommageables erreurs dans sa vie, comme d'avoir une relation sexuelle
Avec la meilleure amie de ma mère, Marguerite, mineure,
Dans cet accident pas mineur mais à l'état majeur,
Dont ces déviances à répétition,
Se multiplièrent en contusion et en contagion
Dans son existence
Jusqu'à la mienne, pucelle et la parcelle, de ma mère de par sa violence,
En démence dans l'offense et la défiance,
Dont j'accuse maintenant, les coups et les remontrances,
De toutes ces insignifiances
Aux yeux des autres,
Qui ne me comprennent,
Et ne me soutiennent,
Comme des étrennes,
Sans Dieu et ses apôtres,
Qui ne demeurent miennes,
Lorsque mon grand-père maternel eut un problème cardiaque,
Son entreprise déguisa son licenciement caché,
Dissimulé par un changement insidieux et soudain d'enseigne,
Pour que mon grand-père en saigne
Dans les regrets et les difficultés,
Sulfureux et refoulés de son passé,
Qui remontèrent à la surface en marquant son renvoi par cette pseudo incapacité,
A retravailler mais ulcéré, il attaqua la société aux prud'hommes,
Dont il perdit le procès en prude homme en somme,
Mon grand-père à la suite de ça,
Décrépit et s'étiola dans le trépas,
De l'encas au cas social
Dans la déchéance et à la tragédie inexorable,
D'où sa neurasthénie le dépérit et le perdit,
Du plus petit au plus grand sans répit,
Et de par le dépit, d'une vie
Nourrie de remords et de fautes commises d'avoir raté sa vie de famille,
Et d'homme, à la faucille
Et au marteau dans la folie irréconciliable
Des âmes damnées, condamnées et cabossées,
Sans arrangement à l'amiable,
A bout de force, il tenta dans son premier essai
Infructueux d'attenter à sa vie, en entraînant avec lui sa femme, ma grand-mère,
Atteinte de la maladie D'Alzheimer,
En allumant le gaz pour faire exploser la chaudière
Et la pétaudière,
Donc au final,
Détonner au clairon
Leur chaumière
De relique de maison
A la réputation incendiaire,
Accolée à celles des voisins,
Et de ce fait, mon grand-père très scrupuleux ne voulant pas que son destin
Se répercute et implose ceux de ses voisins, pour ne point les mettre dans le pétrin,
Avec un coup de tonnerre
De sale colère,
Au sale festin,
Appela de son salut
Le SAMU,
Pour éviter un drame humain,
Et ainsi, il fut hospitalisé avec ma grand-mère,
Mais pour ne pas finir en psychiatrie,
Il feignit
Au médecin,
Une façade
En escalade,
De soudaine vitalité et vivacité ragaillardies,
Alors qu'il n'en fut rien,
Et sortie de l'hôpital,
Quelques temps après, il récidiva pour la seconde fois fatale
Et qui fut la bonne, car il réussit à se suicider
Sans se rater,
Le jour de La Saint-Valentin, le 14 février 1995,
Une balle dans la tête,
Comme son père découvert par lui,
Il fut trouvé mort par son fils,
Le crâne fracassé et tracassé
Par les rudiments d'une vie et de ses soucis,
Ainsi, le fil s'emmêla
Dans ces sinistres aléas,
Et le fil des liens se rompit à l'âge bête,
Des vivants et des morts-vivants,
Où ma mère mourut de son cancer,
Le 20 septembre 1998, à l'aube de ses 50 ans,
Jamais remis de ce décès
A en crever l'abcès,
Comme si le présent été d'hiver,
Monotone et avarié,
Comme mon oncle, le frère
De ma mère,
A tout jamais marqué
Et remarqué
Par ces déconvenues et ces camouflets,
Où pour se préserver
Et se protéger,
De cette famille maternelle au sanctuaire naufragé,
Il décida de couper les ponts avec moi et ma soeur,
Et ma grand-mère disparut en janvier 1999,
De la maladie D'Alzheimer,
Dans un jour neuf,
Pendant que moi, je dis quoi de neuf
Docteur ?
Où j'essaie de mal en pis,
De me reconstruire de toute cette malédiction,
Et de ces néfastes divinations
Morbides où je prends des rides,
Car il n'est que trop temps,
Que je lâche la bride,
Pour revenir au présent et imaginer un si possible bienveillant futur,
Dans une vie meilleure
Compatible avec le bonheur,
Dans la nature de la verdure et loin les ordures
Ennemies qui ont jeté ma famille et moi en pâture,
Pour resplendir dans une vie amie en de belles aventures
D'un chemin jalonné de confiture
Fraîche et délicieuse portée par une dynamique rabibochée
De merveilleuses et saines habitudes,
Où la foi deviendra coutume
En surpassant l'amertume,
Rhabillée par un joli costume
Du présent en présent d'un printemps,
Dans l'air du beau temps.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Celui qui vote Marine Le Pen aux élections, est de toute manière étranger à tout ça !
2) Même un génie de l'orthographe commet des fautes dans sa vie !
3) Un gars imparfait conjugue son existence à contre-temps du présent !
4) Un villageois qui se présente à une élection municipale fait campagne !
5) Tous Les Français ne vivent pas en Amérique car La France est dans un état désuni !
Jérôme de Mars
Y a du cinéma !
Avec la bande
En contrebande,
Y a du cinéma
Moteur action qui t'embobine,
Où tu filmes avec tes bobines,
La mise en scène de tes faux pas
Au cinéma,
Car y a du cinéma
Que tu déjoues appât
Dans la vie,
Mais que tu joues en un pas
Dans l'envie,
Devant l'objectif
Où tu n'es subjectif,
Car tu préfères la joue en repas
Derrière ton objectif,
Où tu es subjectif
Et suggestif
En rectificatif,
Car y a du cinéma
Face caméra
Et y a de la voix,
Face à la voie
Si ton karma
Affiche la foi,
Pour tourner la page
D'une nouvelle mise en images,
Car y a du cinéma
De la caméra à l'issue sans voie
De ta croix,
Si tu entrevois
Les étoiles défilantes
Et brillantes,
Du cinéma bien au-delà
De la joie,
En l'état sur le mas
Provençal du cinéma
De Pagnol,
A la farandole
Inoubliable de l'envol
Des rossignols
Qui scande coupez sous la coupe
Finale du groupe.
Jérôme de Mars
Mon ami Christophe
En amis limitrophes,
Je t'écris cette strophe,
Mon ami Christophe,
Même si notre amitié s'apostrophe
Parfois sans se comprendre
Toi et moi,
Car avec mes tracas,
Ca arrive que nos conflits
Te font méprendre
Sur ma sincérité
Et mon honnêteté
A ton égard,
Bien que notre amitié s'égare
Toutefois dans le brouillard
Des zones d'ombre de mon côté zonard
Et de ma réputation de renard,
Mais tu sais Christophe, je t'apprécie beaucoup
Depuis très longtemps par dessus-tout,
Tu es mon seul et unique ami
Au travail,
Qui vaille
Le coup en atout
D'un va-tout,
D'une amitié unie avec des orties
Tant bien que mal car quelquefois,
Elle est ternie
A contrecoup,
En fonctionnant avec des si,
Et avec les aléas,
Surtout de moi,
Mais sache,
Que j'enterre la hache
De guerre,
Même si naguère, je n'ai pas mesuré
Toute la consistance de ta valeur
Et de ton honneur,
En t'ayant comme ami,
Avec des vannes et des défis,
Qu'on se lance
Comme des lance-pierres
Et qu'on s'élance
A les relever, moi, le lâche
Et toi, le sage,
Même si on est de passage
Sur Terre,
Et que certaines fois,
On ne s'est pas toujours compris
Au prix appris,
De notre amitié aux failles
Qui causent son déclin sur la paille,
Mais tiens-le toi,
Pour dit,
Nous sommes de bons amis,
Malgré nos différences
Et nos références,
Tu fais partie
De mes meilleurs amis,
Précieux bien plus que tu l'aies compris,
Tu en vaux la peine
Comme ami et allié,
Même si je te parais comme ami fou allié
Et schizophrène,
Tu es le rare ami dans le sérail
A me parler au travail,
Je trouve que tu es quelqu'un d'intéressant
Et d'intelligent avec un parfait dosage de discernement,
Et ouvert,
Car toi et moi, on est complémentaires,
Elémentaire,
Mon cher Christophe,
N'est-ce-pas ? !
Où je referme la strophe,
Toi, mon pote
A la compote,
Vaille qui vaille
Aux entrailles,
De notre grande amitié,
Certes mais quelque peu compliquée,
Et très dévouée
Et vouée,
Je l'espère
Au bout de l'itinéraire
De l'éternité,
Au fil des années passées
Qui se seront succédées
A une arrivée de fraternité,
Dans le respect de la réciprocité
Et de la paix,
En véritables personnes solidaires
De notre amitié,
Dont je souhaite qu'elle se renoue
Entre nous,
D'antan et maintenant, car plus on est de fous,
Plus on rit,
Tellement que notre amitié
S'enrichira en ta compagnie,
A n'en plus finir
Et au-delà les plaisirs,
Christophe, mon cher ami.
Jérôme de Mars
Les yeux du ciel pleurent
Après le soleil,
Crépitent aux mille et une belles
Mélodies, tant pis et puis,
Une pluie au puits enfoui,
Enfui dans un lit désuni
Et réuni pour un deuil,
Où les yeux du ciel pleurent
Seuls au seuil
Des bleus à l'âme au coeur,
Quand le chagrin trébuche
Les larmes des orages dans le déluge,
Des nuages gris et grincheux
Et gravite la colère du plafond du ciel,
Loin d'être chaleureux
Au sommet du fiel,
Qui règne dans la ballade
Des anges démoniaques,
Qui ont la niaque aphrodisiaque
Par leurs contrastes en dérobade,
Car après le soleil,
Vient la pluie fontaine qui s'amoncelle
Au grain de sel
Qui s'épelle,
Lorsque les yeux du ciel pleurent
Dans la peur
Et meurent aux lumières de liqueur,
Au coeur de l'honneur
Du gris et du bleu fureur,
Hauts les hauts-parleurs,
Lorsque les yeux du ciel pleurent
Aux larmes de grandeur,
Fétiches et chiche
Avant qu'arrive le soleil rieur,
Avec davantage de ferveur
Dans la chaleur
De l'amour en coeur
Qui se défriche,
Lorsque les yeux du ciel songeurs
Effleurent les fleurs
D'un eldorado pacificateur,
En phase d'une pléiade de bonheur
Purificateur et évocateur,
D'un ciel bleu rêveur
Tendrement âme soeur
A bonne entendeur.
Jérôme de Mars
Saga-cité
Dans ma saga-cité,
J'habite la cité
De complexité,
Avec la smala excitée
De ma vocation suscitée,
Dans la cité
Que j'ai récitée,
Dans la saga-cité
De ma cité,
Dont j'ai fait la publicité
Avec véracité
Et voracité,
Dans la saga de la cité
Aux occasions en félicité,
Dont mon rap a récité
La cité ressuscitée,
Aux sons de ma mission suscitée
Dans la cité
De perplexité,
Que j'ai excitée
Et incitée
Avec les concerts de ma réciprocité,
Que j'ai clamée en atrocité
Et en saga-cité
Dans ma saga citée,
Avec ma réciprocité Incitée
De ma cité en félicité,
Félicitée dont j'ai fait la publicité,
En saga récitée
Sur la cité ressuscitée
De la saga-cité
En complicité.
Jérôme de Mars
Karaoké
Au quai,
Je te fais chanter
O karaoké,
OK
Et oko,
Car ça tombe à l'eau
Mais si t'as le hoquet
Sur glace, tu seras ok
Sur gazon du ko,
Au karaoké,
Avec ton pote
A la compote,
Où oko,
Tu seras ok
Et ko,
Pour le prochain karaoké
Ok et au koù,
Car plus on sera de fous,
Plus on rira avec ton pote
A la compote,
Au karaoké et oko,
SI jamais okoù.
Jérôme de Mars
En deux maux
Cher Serge, toi le seul,
A me comprendre
Sans te méprendre,
Même si les écueils
Je les cueille
De par ma cote,
Qui s'écorne
Où les fausses notes
Ornent avec discorde
Mon farouche discrédit,
D'aller avec mes cris
Pour concevoir un recueil,
Et éventuellement voir
Si ça leur plaira de le lire sur leur fauteuil,
En espérant vivement que ces histoires
Recevront un bon accueil,
Pour recevoir en exutoire
Tout le fruit de mes poèmes,
Tel le reflet de mon miroir de bohème,
Où en deux maux,
J'ai dans la voix des trémolos
A te les raconter par défaut,
Car je me sens en porte-à-faux,
Pas loin de prendre la porte de mon travail
En me jetant sur la paille malgré mon éventail,
Comme une personne mi-enfant, mi-adulte,
Avec cet immense tumulte,
Je suis prêt à envoyer la catapulte
En deux maux,
Où avec mes problèmes en métaux,
Je perds mes amis et mes idéaux,
En me fourvoyant dans la médiocrité héréditaire
De cause à effet en reproduisant la lettre testamentaire,
Du parfait fils de sa mère incendiaire
Qui en tant qu'indigne rejeton, recommence les erreurs,
Du passé avec tant d'ardeur dans l'aigreur que j'entretiens
Mes malheurs propices avec sans doute aucune volonté de bonheur
Comme si la colère allait de père avec le mal de mère dont j'use à l'usufruit,
Des ruptures amicales, familiales et fatales, les unes après les autres,
Comme si l'enfant de son hystérique belle maman naturelle
Avait pour séquelles les vestiges d'une vie en décomposition plurielle,
Où il faudrait que je sache si je veux m'en sortir ou périr dans l'enfer
Des buissons et des arbustes pleines de belles épines, à m'en cocufier mon triste itinéraire,
Où maintenant, je n'ai plus d'excuses même si je m'en sers avec ruse pour justifier mes écarts,
Où tout le monde en a marre de mes retards aux rencards, car pour certains je suis un renard
Doublé d'un tocard, avec des cocards pleins les retournements de vestes à l'étoffe d'un vilain tricard,
Où en contagion à force de provoquer une allergie à mon égard, on a un mauvais regard
Sur moi, le vilain petit canard qui joue au pseudo-zonard qui n'a d'égal que la gale d'un régal
Dans l'indifférence des gens criants de sévérité et en vérité qui en déduisent que j'en deviens un gros frugal,
En baisse de régime, qui se laisse aller dans la facilité et qui en arrive au seuil du danger,
Où le jour, où tout le monde découvrira ma véritable nature, mes amis et ma famille déguerpiront en pied de nez,
A mes inepties et à mes intempéries dont la foule s'affranchit avec un affront en déraison du complexe d'Oedipe,
Dont je fus le disciple de ma défunte amère auquel de par son souvenir, je m'agrippe et je m'effrite,
En ne lâchant la bride de mes ecchymoses refoulés du passé oppressé de ma mère et reportée sur moi à un quitte
Ou double, je redouble ou je double mon passé pour passer au présent d'un meilleur présent vite
Et bien pour que le besoin évolue en une quantité d'envie porteuse d'une dynamique d'espoir,
Avant qu'il fasse à nouveau noir, les jours de grands de brouillard, inspirateurs de textes sur papier buvard,
En priant Dieu et les cieux, pour que ces gênes héréditaires et occasionnées de ma mère, ne soient réfractaires
Sur les enfants moi l'enfant maltraité, persécuté et malmené par ma mère et que je ne cause de troubles soucis
A mes amis si un jour avec leurs enfants, ils sont amenés à être pères, avec l'ultime souhait que ce ne soit impair,
Et qu'à cause de mon passé pernicieux, aux travers enfouis, pervers et sadiques entre mère et fils, que ça ne se répercute
Sur les enfants de mes amis pour les garder et les sauvegarder et que ça ne percute les gens et provoque un vide d'amis enfui
Dans un dense gâchis pour que le tout se permute
Afin que le fil de mon histoire se démêle et défile dans l'espoir d'y croire à nouveau,
En bloc d'alliés et d'amis car l'union fait la force,
Si bien qu'elle désamorce l'écorce sensible de mes racines et qu'elle me redonne sans que ça ne se corse
En deux maux, la machine à produire des plaisirs sans médire
Mais pour exprimer mes dires, de mon salut
A vous tous et bienvenue sur la croisière de mon récit qui tombe à nu
Sur le bateau imaginaire ardu à la destination inachevée et irrésolue au fond dissolu.
Jérôme de Mars
Le soleil show
Blagues :
1) Pourquoi n'as-tu pas voté Macron au second tour des présidentielles ?
- Parce-que pour toi, c'était une démarche !
2) Pourquoi ça tient toujours debout au plus grand festival annuel et mondial du cinéma en France ?
- Parce-que c'est le festival de cannes !
Jérôme de Mars
Le bruit et le calme
Au sommaire
Entre deux vents contraires
Et sommaires,
Responsables et extraordinaires,
Il y a deux variantes
Conciliantes et récalcitrantes,
D'abord le bruit qui arrondit
Les sangles et mobilise les sens interdits,
Et tantôt le calme monogame,
Qui obtient la palme de l'amalgame
De la pièce générale à l'ambiguïté statutaire,
Qui s'anoblit en confessions polygames,
Subversives et héréditaires,
D'ébats de gamme,
Lorsque les valses émotives
Captivent l'auditoire aux paroles intrusives,
En aimables parodies,
D'un ni-oui, ni-non très largement favori,
Où le bruit tombe en bris de glace
Qui fustigent la masse à la ramasse,
Tandis que le calme clame
Son innocence au péché des pieuses prières,
Dans l'alternance de la comédie au drame
De cette trame en deux volets,
A mi-clos et à huis-clos envolés
Ainsi et alors vers les ultimes fruits,
Du travail presque à l'usufruit
Défendu du bruit et du calme,
Qui méritent la palme
Du vice et de la vertu,
Parmi la clameur du silence absolu
Du bruit et du calme,
Avec leurs aventures en slam
Qui acclament,
Bienvenue aux individus
Sans bruit avec leurs palmes,
Les pieds dans l'eau
Brio bravo,
Et cocorico
Du festival du calme.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi n'as-tu pas voté hier ?
- Parce-que t'as trouvé que le vote était nul !
2) Qu'est-ce-que ça fait une commémoration du 8 mai le lendemain d'une élection présidentielle ?
- C'est mené tambour battant !
Jérôme de Mars
A la quête des voyages littéraires
A la croisade des époques baroques,
Le folk et le funk s'unissent
Et se conjuguent aux vertiges de la glisse,
Sur des horizons qui se recréent en stock
A la quête des voyages littéraires,
En conquête de Jacques Prévert,
Et en requête de Charles Baudelaire
En maniant leurs styles sévères,
Ces vers, aux revers de Guillaume Apollinaire
Tantôt linéaires mais plutôt transposés dans notre univers,
Actuel loin d'être linéaire, à la frontière
De La Fontaine qui jaillit avec ses sincères,
Amis verres qui trinquent au dépôt de bilan des frères
Lumière à des années-lumière, plus tôt à l'ombre du bleu clair,
Car ils étaient sombres et amers, l'ombre d'eux-mêmes austères
A la quête des voyages littéraires,
Pour se forger une carapace en terre
Qui navigue dans une croisière nécessaire,
Au rétablissement des frontières
Des poètes incendiaires, solaires et lunaires,
Car malgré tout, ils restent des lumières
Même s'ils ne demeurent frères,
En se hissant au niveau des mercenaires,
De l'écriture fraîche et bipolaire
Dont la marque de fabrique,
S'étend au regard critique
De la quête des voyages littéraires,
Sur La Terre imaginaire et populaire.
Jérôme de Mars
Pourquoi le ciel est-il si triste ?
Que d'antan, la création de l'univers sans triste
Distance l'alchimie avant-gardiste,
Lotie et très assortie dans sa réserve centriste,
Dont les nuages gris se demandent en maudits artistes,
A quel endroit le soleil roule sur la piste
Et se mélange à la pluie dans la liste du hors-piste,
Et pourquoi le ciel est-il si triste ?
De l'arc puriste à l'art bouddhiste,
Dans cette floraison du contraste,
D'entre les saisons du faste et du chaste,
Et quand reviendront les journées hédonistes
A portée du christ,
A manier le rire pour remplir l'avenir
Des poches de nos futurs souvenirs à prédire,
Et pourquoi le ciel est-il si triste ?
De l'arc passéiste à l'art futuriste,
Où dès que la pomme D'Adam
Réveille de sa sève,
L'élève Eve, elle le lève et l'élève
En vivifiant sa flamme de Don Juan,
Duquel il répond présent en l'embrassant
Par la trêve d'amour de cette voix suave qui se soulève,
Et pourquoi le ciel est-il si triste ?
De l'arc féministe à l'art optimiste.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi es-tu distant avec moi ?
- Parce-que je suis à des années-lumière de toi !
Jérôme de Mars
T'es olé !
Thé citron pressé
Au lait,
T'es olé
Avec le ukulélé,
Avec ta tasse ôtée
Olé au lait,
Où tu provoques un tollé
Rameuté par ton mollet,
Qui te fait défaut
Pour de faux,
Où t'es olé
Olé au lait,
Avec ta tasse ôtée
Olé au lait,
Dont tu insuffles un arôme frais
Près de ton souffle siroté,
Prêt à avaler une gorgée,
Quand t'es olé
Olé au lait,
Avec ta tasse ôtée
Olé au lait,
Où tu déclares de ton palais
Parlé olé au lait,
Que de ton franc-parler,
Tu en joues avec le ukulélé
A huer olé
Dans un tollé,
Quand t'es citron pressé
De ta tasse ôtée
Olé au lait,
Empressée d'en rajouter
Otée olé au lait,
En provision au lait,
Où t'es ôté
Olé
Pour toujours au lait,
D'où t'es au thé,
Décompressé de le couler
Et de l'écouler,
Roté pour un tollé
Olé au lait,
Quand t'es citron au lait
Olé au thé olé
Compressé au lait.
Jérôme de Mars
Blague :
1) Pourquoi de Hollande, n'aimais-tu pas en faire tout un fromage ?
- Parce-qu'Hollande n'était pas ton fromage président !
Jérôme de Mars
1) Attention, plus personne ne fait attention à personne !
2) Le monde n'est plus clair car tout le monde s'embrouille !
3) Dans notre époque moderne, les êtres manquent d'intelligence car ils ne cultivent plus leur jardin secret !
4) L'égoïsme est à portée de soi !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Jonathan, hier m'as-tu dit que c'est moi qui vois et que je suis maître de mon destin ?
- Parce-que tu m'en a mis plein la vue toi hier Jonathan, le contremaître !
2) Pourquoi Jonathan, tu es énervé et tu t'en fous de tout ?
- Parce-que tu as des conflits d'intérêt !
Jérôme de Mars
Poème tintin
Au teint
Hautain
De ce même refrain,
Le poème a enfreint
Et semble devenu
Un poème tintin,
Où il n'y a plus rien
A rapporter
D'un statut
Reporter,
Sur la couche d'ozone globe-trotter
Et fourbue
De la planète Terre,
Où le ridicule tut
Les paroles d'un journal papier,
Statu quo et ex aequo
D'un héros qui vire au chaos,
Des critères qui tombent derrière
Les oeillères de vers,
Qui filtrent les ex messages,
Pas sages, passés en revue de presse
Qui presse et s'empresse
En causant du remue-ménage dans l'attelage,
De cette tâche
De travail qui tache
Le poème tintin,
Traité comme un chien
Mi-loup d'un rien
En vaurien,
Qui se tient
Par le bout de la main
De ce poème tintin,
Perdu dans son quatrain
Du quatre en un,
Sans entrain
Mais sans louper le train,
Qui passe direction Enghien,
Au gain du regain,
Où en Saint,
Il voue un culte au sein
Du buste de Marianne,
A l'article de l'amour du journal en panne
Qui vanne
Ce poème tintin,
Teint et déteint
D'un rien
Dans un autre registre en pétrin,
Où quand Tintin agit en maître de son destin,
Il atteint non en vain
La date du vingt,
De ce mois-ci vraiment bien
Qu'il met le frein,
En appât divin
Et devin de ce poème tintin,
Qui se remplit à l'instinct
Distinct
En super trop plein
Et en tremplin,
Au teint
Hautain
Peint et repeint,
Et renouvelé enfin
Au parfum
De cet esprit fin.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Catherine, esquisses-tu différentes sortes de peinture ?
- Parce-que tu joues sur tous les tableaux !
2) Que dira-t-on de toi papa, si tu obtiens le diplôme de plus grand patient de France ?
- Que t'auras réussi tes examens de santé !
Jérôme de Mars
Fais-moi signe ! ?
< < - " En ouvrant les guillemets, je mets les points sur les i en faisant le point avec toi, où avec mes points d'interrogations, je m'exclame à la virgule près sur tous ces points de suspension, dont je mets le tréma entre parenthèses, malgré l'accent grave que prennent les choses circonflexes, avec mes crises aiguës, ou en points d'exclamations, je te dis : - " Fais-moi signe ", que je ponctue en refermant les guillemets dans ce monologue, où j'ai tiré un trait définitif sur toi, point barre. " > > .............
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi suis-je à couteaux tirés avec Christophe ?
- Parce-que mon amitié avec lui se déchire avec une lame de couteau
2) Qu'est-ce-que ça fait Christophe, l'asiatique qui devient agressif et violent ?
- Un nunchaku
3) Pourquoi Christophe s'énerve t-il fréquemment et dit-il souvent je m'en fous ?
- Parce-qu'il y a un conflit d'intérêt !
Jérôme de Mars
Faisons le plein d'amour
En ces difficiles jours
Qui battent le tambour,
De la haine sur la plaine
Au point culminant d'une douleur vaine,
Pour ranimer les troubadours,
Faisons le plein d'amour,
Pour remettre le plein des sens
Et raviver la puissance et la jouissance
Du printemps moteur,
Comme au bon vieux temps du bonheur,
En ces relations brutales
Entre les passants
Qui préfèrent le mal
Au printemps,
Pour ranimer les troubadours,
Faisons le plein d'amour,
Pour remettre le plein des sens,
Et raviver la puissance et la jouissance
Du printemps moteur,
Pourvu que dans l'ensemble,
On s'assemble et on se rassemble
Dans la chaleur du bonheur mobilisateur,
En notre temps du chacun pour soi,
Qui nous envole vers un manque de foi,
Il faudrait recoudre le printemps en soie,
Et le distribuer dans la douceur d'un toit,
Où tout le monde se couvrirait en joie
Dans un lit d'amour,
Pour ranimer les troubadours,
Avec cela,
Faisons le plein d'amour,
Pour remettre le plein des sens
Et raviver la puissance et la jouissance
Du carburant du printemps moteur,
Aimant et diffuseur
D'amour dans son élément,
Dans l'alliance du bonheur
Avec un coeur en fleurs,
Au fil du courant passant.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-que j'ai du mal à te faire marcher Jonathan avec mes histoires qui ne tiennent pas debout ?
- Parce-que ça te fait une belle jambe Jonathan !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Lionel, ne réagis-tu pas à mes sms ?
- Parce-que mes questions restent sans réponse pour toi !
2) Pourquoi Brigitte, ne pouvais-tu pas aujourd'hui boire un café avec moi ?
- Parce-que ce n'est pas ta tasse de thé comme je ne te proposais pas de le boire dans un salon de thé !
3) Pourquoi Brigitte, ne vas-tu pas au théâtre avec moi ?
- Parce-que t'as peur d'y aller en pièce détachée avec moi !
4) Pourquoi papa, ne me fais-tu jamais manger avec ta copine le dimanche ?
- Parce-que tu vois ça d'un mauvais oeil !
5) Pourquoi Alexandre, ça fait longtemps que tu ne nous appelles plus ni moi, ni Adel,ni Guillaume et ni Christophe ?
- Parce-que tu as perdu le fil du contact comme tu nous appelles de ton portable !
Jérôme de Mars
Solitude dans la lune
En prélude à l'une,
La providence fragile franchit les dunes,
Dès les prémices lunatiques du soleil fluctuant
En bazardant la montagne de plénitude
Dans une traversée du désert qui affuble pendant l'interlude,
La solitude dans la lune, de l'une à l'urne des cendres
Bien évidemment, qui envoient se répandre,
Les débris de fumée sur grand écran
De la télévision au cinéma instantanés,
Et en simultanée lorsque le soleil gèle l'une
En une à l'humeur bipolaire de la lune,
Du chaud au froid polaire
Durant la solitude dans la lune au clair,
Du sud au nord en adoptant une bonne altitude
Aux origines très mobiles à la frontière,
Du terre-à-terre lunaire,
Quand la solitude dans la lune solaire dérive en études
Secondaires trop classe qui éludent,
La source des matières premières,
Tant et lors que le soleil se lève à l'une
Dune part à la une,
De la lune au soleil incendiaire,
Où l'une éclipse le soleil
Dans l'ombre du clair,
Qui sombre dans une profonde lumière
De la lune au soleil,
Dans un réparateur sommeil
De cette merveille fantastique,
A l'issue de l'éclipse solaire et lunatique.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi ne passe-t-on jamais de pommade avec moi ?
- Parce-que je ne suis pas une crème !
2) Pourquoi François Fillon a-t-il été battu aux présidentielles
?
- Car à force qu'on lui taille des costards sur ses affaires !
3) Que dit-on d'un ami séropositif qui se préserve de moi ?
- Que mon amitié avec lui capote comme je suis négatif !
Jérôme de Mars
- Parce-qu'il y aura l'intervention de l'armée avec la marine !
2) Pourquoi Le front national est-il à nouveau qualifié pour la finale en 2017 comme en 2002 ?
- Parce-que Marine Le Pen veut refaire un tour en France !
3) Que dit-on d'un électeur qui dit à son ami qu'il ne connaît pas les résultats du premier tour des présidentielles alors qu'il a voté Macron ?
- Il a fait marcher son ami car il a voté en marche !
Jérôme de Mars
Six pieds sous terre
En montée d'adrénaline
Avec le volume au débit,
Je mets en sourdine
Les on-dits,
Qu'on véhicule
A mon sujet du comble du ridicule,
Avec cette comptine noire,
En hymne dont je me sers
En vers d'exutoire,
Car j'écris ces vers, ces revers
Avant qu'on me tire les vers
Du nez et que je me retrouve
Comme une louve,
Que personne ne couve
Six pieds sous terre,
Quel pied élémentaire,
Où je serai aux aguets à taire
Comme une quille qu'on renverse sans béquille
Avec moi sur la quille à l'esprit tranquille,
Où je n'aurai plus de sbires pour me dire,
Me médire et me maudire
Toute la saga cité et les quatre vérités viles
Dans la ville,
Où je vacille
Avec la faucille facile,
Six pieds sous terre
A pourrir
Avec les vers
Du nez, qu'on me tire
Avec l'ire
De ma colère,
A lire et à relire
Lyre des revers qu'on me ressert
A longueur de journée,
Où je voudrais tant que ma vie
Se dévie,
Ajournée
Dans la réincarnation de l'eau bénite,
Où les non-dits mureraient en plaisirs
De choses inédites
Qui me donnent le devis,
Vis-à-vis d'une vie meilleure
Avec davantage de valeurs et de saveurs,
Où je mourrai six pieds sous terre,
Au rappel de ma mère
Pour la pérennité salutaire
De mon âme délétère,
Loin de la terre
Et assis pieds game over.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on de quelqu'un qui n'a pas de bol ?
- Il boit la tasse !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Le PSG a-t-il gagné en toute discrétion hier en ligue 1 ?
- Parce-qu'il a gagné en Metz basse !
2) Qu'est-ce-qu'un attentat terroriste sur la plus belle avenue du monde à Paris ?
- Les champs d'action
Jérôme de Mars
Boire des paroles sobres
Comme un moulin à paroles
Dix vins,
On soûle les guignols
Aux acolytes de bouteilles devins,
Quand les alcooliques malpropres
Ont la colique
Névrotique et frénétique,
Ivres dans l'oubli
Et le déni
De leur addiction,
Car demeure salée l'addition
Au comptoir des brèves histoires
De racontars et de bobards,
Où ça nous soûle
Qu'on s'enivre en prenant
De la bouteille,
Et qu'on se roule
Dans l'oseille
Des faux sans blanc,
A voir rouge en quelques verres,
Où l'on se ronge les sangs
Dans les revers
Des épreuves de la vie,
Où notre défi
Consistera
A arrêter
Les frais,
Mirobolants et consistants,
Pour revenir au frais
Et boire aux frais
Des paroles sobres,
En affrontant les aléas
Avec notre bon-vouloir,
Sans être les faire-valoir
De l'alcool à flot au comptoir,
Où comme ça,
On se débarrassera
De notre décadence
Et de notre dépendance
A la bouteille patronyme ,
Où l'on se met en abîme,
Pour simplement,
Redevenir un acolyte anonyme
Avec ses amis synonymes,
D'une pléiade d'espoir
Avec que des belles histoires
A trinquer
Et à boire des paroles sobres,
Au propre
Comme au figuré,
Figurées dans la modération
Des boissons
Et des mots
Divins
A l'eau.
Jérôme de Mars
C'est le bouquet !
En ce joli printemps
Du muguet du mois de mai,
Les fleurs par milliers
Se trémoussent
Et se moussent,
En écumant la tournée
Des banquets au complet,
Quand la rousse couleur définit le ruban
Bleu blanc rouge,
Car c'est le bouquet
Qui bouge
Et qui voit rouge,
Dans le nectar
De la crème futée
Au milieu de nulle part,
Quand les violettes
En accomplissant
La danse de Saint-Guy,
Bourdonnent la chansonnette,
En cherchant l'aiguille
De velours dans une meule de foin,
Si bien que les roses
Partent loin au bout du festin
A portée de main qui creuse,
De La Meuse
Aux paysages des marguerites
Qui déposent en osmose,
L'hymne intrépide des pétunias décrites
Sur le reflet des cailloux
A genoux dans le courroux,
Des tulipes dont la goutte
De trop déborde le vase
Avec la vase
Du marais qui dégoûte,
Les revers des mirages
Aux fragiles barrages
Comme c'est le bouquet
Au temps des jardins secrets et édulcorés,
Au pied de la montagne sacrée
Et désacralisée,
Où les animaux bestiaux
Semblent sauvages
Et en sevrage
Le bec dans l'eau,
En renards
Affûtés et zonards
Dans l'île portique
Et platonique
Des éléments minéraux
Et libéraux,
De la rivière d'argent
Découlant de sa pluie torrentielle,
Avec le grondement du courant ignorant
Et substantiel,
Dans l'hypocrisie du silence
Ambivalent pivotant avec l'insolence
Du vent éreinté,
A la magnitude simulée
En allégeance avec le larmoyant moyennant
Des larmes bon enfant,
Se rappelant en évoquant les souvenirs
Des dires
Des parents d'antan,
Aux cinquante balais d'avant
Et des précieux instants,
Car c'est le bouquet
Offert à la chaîne
Du canal il y a bien longtemps
Très ardemment,
Dans le jardin d'Eden.
Jérôme de Mars
Je nique !
Unique
A Pornic,
Symphonique
Et cynique,
Je nique
Philharmonique,
Je fornique
Pharaonique,
Et je panique
Platonique,
Car je nique
Ironique
Et satanique,
Où je pique-nique
Electronique
Et supersonique,
Comme Monique
Unique
A Pornic,
Symphonique
Et cynique,
Qui nique
Philharmonique,
Qui fornique
Pharaonique,
Et qui panique
Platonique,
Car elle nique
Ironique
Et satanique,
Où elle pique-nique
Electronique
Et supersonique,
Comme Dominique
Unique
A Pornic,
Symphonique
Et cynique,
Qui nique
philharmonique,
Qui fornique
Pharaonique,
Et qui panique
Platonique,
Car elle nique
Ironique
Et satanique,
Où elle pique-nique
Electronique
Et supersonique,
Où je nique
Et je fornique
Platonique
Avec Monique
Et Dominique,
A Pornic.
Jérôme de Mars
Clair / obscur
Au matin de lumière
Des bleus en cieux
Du soleil clair,
Le temps inouï
M'ensorcelle
Avec un zeste de zèle,
A l'arôme de citronnelle
Au rouge vermeil
Qui me tient en éveil
Depuis la veille,
De l'oseille
Du ciel,
Où je suis au clair
Sans éclairs
Côté lumière
Chère de ma chair,
Avant la pénombre
De la lune de nuit
Qui me nuit
D'un froid inuit,
Où je m'ennuie
Dans l'obscur
D'un bloc de mur,
Où la lune décroissante sombre
Au plus profond de mon ombre,
Où je suis l'ombre obscure
De moi-même côté nuit dans le dur
Des bleus anxieux,
Où côté clair,
Je reste dans la lumière
Du soleil
En éveil
Qui me réveille,
Et côté nuit,
Je nuis
Au sombre dur
D'un bloc de mur,
Dans la nuit
De la lune en éclairs,
Dans l'ombre et la lumière
De la lune obscure
En armure
Jusqu'au matin clair,
De la lumière
Qui m'éveille
Et me réveille,
Au soleil
Depuis la veille.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi un obsédé sexuel invite-t-il son amie à fêter son anniversaire chez lui en soufflant les bougies ?
- Parce-que comme le jeu en vaut la chandelle, il espère qu'elle va lui souffler sa chandelle !
2) Que dit-on d'un jour de pâques triste et noir ?
- C'est un jour opaque !
3) Qu'est-ce-que ça fait le dimanche 16 avril 2017 de cette année ?
- Ca fait un ( oeuf ) neuf jour !
4) - Veux-tu faire un resto avec moi pour bouffer ?
- Ok bouffon !
Jérôme de Mars
Brèves à en finir !
1) Christophe, l'asiatique, est au bout du rouleau de printemps dans ce monde qui le mène en baguette et qu'il nem car il se fait des sushis !
2) L'ESAT de Vitry privilégie le profit au détriment du social et de l'humain, ce qui fait que les agents de production en pâtissent, car L'ESAT de Vitry n'a pas choisi la bonne direction !
3) La politique, Les Français n'y croient plus, vu l'état de La France !
4) Les promesses des hommes politiques, Les Français n'y croient plus car il y a toujours des compromis !
5) En France, c'est chacun pour soi, et les gens s'en foutent de tout, car ils font l'indifférence avec tout !
6) Les Français ne savent plus quelle direction prendre, ils sont complètement déboussolés car ils sont tellement à L'Ouest !
7) Jonathan n'aime pas le thé et préfère le café car ce n'est pas sa tasse de thé !
8) Le monde est noir car plus personne n'est tout blanc !
9) La France est une poubelle, car tout le monde se fait jeter !
10) En France plus personne ne se parle, car le silence est d'or et la parole est d'argent !
11) Les gens n'ont plus d'argent et s'en foutent car il y a trop de conflits d'intérêt !
12) Tout le monde me met en boîte car je prends de la bouteillle !
13) Tout le monde s'en fout de moi et y trouve de l'intérêt !
14) Tout le monde m'agresse verbalement et m'envoie promener car je suis le mâle ( le mal ) !
15) Guillaume est cocu, car les femmes le trompent souvent !
16) L'ancien éducateur du CEREP qui est devenu un ami me demande :
- A quoi sers-je ( Serge ) dans la vie ?
17) Dès qu'on me dit quelque chose, je m'emballe car je ne suis pas un cadeau !
18) Steven fait un tabac au nom d'une pipe !
19) En préface, Laurent, le moniteur de l'atelier conditionnement ne speede pas les agents pour le travail, car il se livre !
20) A chaque fois qu'Eric, le moniteur principal de l'atelier conditionnement n'est pas là, c'est le bazar dans l'atelier car tout le monde se dit bon débarras !
21) La fondation : Les Amis De L'Atelier, devient lors du repas du midi :
Les Amis Du Ratelier.
22) La directrice de L'ESAT de Vitry, on l'appelle Dark Vador, comme à cause d'elle, l'ambiance à L'ESAT est noire, car c'est la menace fantôme !
23) Naguère avant c'était mieux, car maintenant, c'est la guerre !
24) En France, tout fout le camp car plus rien nous tente !
25) Dans la vie, on est obligé de se doper au négatif car si on se fait contrôler, on est positifs !
26) Le diplôme de L'ESAT de Vitry, on l'a dans une pochette surprise, car si on s'en fout, on passe indifférent ( un différent ) et compétent !
27) Ca nous soûle de faire Dugas car on prend de la bouteille !
28) L'atelier sous-traitance est conditionné au pire et c'est l'atelier maltraitance !
29) Aux bijoux, qu'il y ait du travail ou pas, les agents enfilent des perles !
30) A l'atelier conditionnement, il y a de l'huile sur le feu et personne ne s'entend car les agents se fritent !
31) A l'atelier conditionnement, personne ne me comprend car je m'embrouille avec les gens !
32) A L'ESAT de Vitry, le monte-charge est en panne et c'est chacun pour soi car il n'y a pas de renvois d'ascenseur !
33) Les agents fatigués de faire le travail des CVP, ont un coup de pompe !
34) Comme je suis quelqu'un qui a tardé d'arriver à l'heure tous les matins à L'ESAT, je suis attardé !
35) Quand je serai mort, on ne pourra plus me mettre en boîte !
36) Un gars qui ne met pas la capote lors des rapports sexuels, veut se préserver des amis négatifs !
37) On me critique tellement que je suis dans un état critique !
38) Si d'ici quelques temps, j'ai plus de ( deux ) ( dessous ) sous, je serai en dessous ( de sous ) ( deux sous ) !
39) Tout le monde me dit pousse-toi à cause des gênes ( gènes ) héréditaires et occasionnées !
40) La construction du bâtiment de L'ESAT de Vitry est une façade et n'est pas solide car la fondation n'est pas terrible !
41) Si on veut la mise à mort des hommes politiques, l'enveloppe de notre vote, on la brûle dans l'urne en cendres !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, est-ce-que c'est le bazar ?
- Parce-que tout le monde se dit bon débarras !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi à L'ESAT de Vitry, c'est chacun pour soi et pourquoi le
monte-charge est-il en panne ?
- Parce-qu'il n'y a pas de renvois d'ascenseur !
Jérôme de Mars
Laissez la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer !
Comme l'énonçait
Martin Luther King,
Le king
Dans ses quatre vérités,
Laissez la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer
A l'appel de la paix,
Entre les peuples autochtones
Et les communautés émigrées,
Car il suffit d'une volonté qui téléphone
Le bouche à oreille,
Pour ravir le soleil
Cosmopolite et hétéroclite
De la zone de droit petite,
Où l'on sera plus fort
Au renfort du Fort
De la tendresse
Et des caresses,
Favorables à la liesse
D'un avenir qui regorge de promesses,
Tant et si bien qu'on dressera les vertus de l'amour,
En fil réconciliateur
De l'union en plusieurs tours,
Car on stipule
Sans défier les émules,
Laissez la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer,
Dans le souhait avéré
Et concret,
Qu'elle soit lointaine
Cette haine hautaine
Qui a la teigne
D'un amour paisible,
Car elle le dépeigne
En une haine
A péter les fusibles
Aux vices plausibles,
Où avec la raison avisée,
On bâtira chacun son tour,
La maison de l'amour,
En mettant tous
La pierre à l'édifice
En coups de pouce
Sans artifices,
Car pour toujours,
L'amour triomphera dans le bon jour
Des faubourgs,
A qui on dira à elle et à ses troubadours,
Laissez la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer,
La beauté de la vie,
Car l'amour
Pour nous,
Se renforce et se renoue
Dans la bonté du paradis
En retour.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi tout le monde m'agresse-t-il verbalement et m'envoie promener ?
- Parce-que je suis le mâle ( le mal ) !
2) Pourquoi devra-t-on m'enfermer si je deviens dangereux pour moi et pour les autres même que je suis adulte ?
- Parce-que ce sera un cas de force majeure !
Jérôme de Mars
Montre-nous ta vraie nature !
Chère planète,
Les plans sur la comète
De ton environnement
Si puissant et florissant,
Dans le jardin massif
Des épiques massifs,
Montre-nous ta vraie nature
Que tu peux voir en peinture,
Sur le mur
Egréné d'arbustes,
sur le buste robuste
De l'art floral en ouverture
D'esprit des fleurs,
Faisant l'école buissonnière
Des fougères aux bruyères,
Qui engendrent la rondeur
Avec minutie et mimétisme,
Des bancs publics entremetteurs
Et évocateurs,
De rencontres de spécimens
Au domaine de la mène,
Qui jauge l'héroïsme
Moderne à la septième cantonade
De la douce ballade,
Mièvre et sirupeuse
Comme une frivolité flâneuse,
Où ensemble, de notre voix rocailleuse,
On hurle montre-nous ta vraie nature
Dans l'air pur
En zone de couverture,
Où tu cultives ton jardin secret,
Bien gardé et protégé
Au fur et à mesure,
Que roucoule ton espèce menacée
En pièces arrachées,
Dans la jachère
Pas chère,
D'un terrain abandonné
Et adossé à un laisser-tomber,
Dans les fleurs écloses
Avant de trouver porte close,
D'une rose
En devenir morose,
Où tu montres ta vraie nature
Pourvu que ça dure.
Jérôme de Mars
Tu ris, tout le monde est là, tu pleures, tout le monde s'en va !
Dans les va-et-vient,
Tu souris et tu ris, tout le monde est là,
Tu pleures dans ton coeur, tout le monde s'en va,
D'un hip hip hip hourra
A un oh là, où tout le monde met le hola,
Car le sourire et le rire
Respirent l'allégresse,
Et les pleurs de la tristesse
Soupirent au pire,
Quand ça va, voilà la nouba
Et tout le monde ici là,
Et quand ça ne va pas, voilà le trépas,
Ici bas,
De l'entrain d'un rien
Au pétrin d'un rien,
Car tu souris et tu ris, tout le monde est là,
Tu pleurs dans ton coeur, tout le monde s'en va
De la joie aux émois,
Osez-moi le dire avec fois,
Tu es gentil, tout le monde t'en remercie,
Tu es vil, tout le monde te médit et te le dit,
En partant d'un non-dit
Aux on-dit qu'on te dit,
Et te crie, du répit
Au dépit,
Comme quoi
Dans la vie,
C'est la joie
Qui donne envie,
Et les pourquoi des rabat-joie,
Qui donnent le devis
Qui dévie,
Du droit chemin
Aux vilains lendemains
Dont on se passe bien,
Quand ça ne va pas bien
D'un petit rien,
Et quand ça va bien
Dans les va-et-vient,
On en vient
Et on en revient,
De loin
D'un petit rien.
Jérôme de Mars
Il paraît !
A Paris,
Il paraît
Que le pari
Apparaît,
Dans le paraître
D'apparaître,
Dans l'appareil
Du maître
Contremaître,
Du pareil
Au même
Idem,
Quand le chanteur d'amour,
Il paraît
Sous son bon jour,
Et apparaît
Avec son bonjour
Comme un maître chanteur d'à mort,
De circonstances
En si constances,
Quant à un acteur de cinéma,
Il paraît
Faire du cinéma et embobine
Toute la troupe,
Et apparaît
Au cinéma avec les bobines
Acteur de son cinéma en groupe,
Et enfin,
Il paraît
Qu'on a faim,
Quand apparaît
La fin,
Quand elle justifie les moyens
Moyens,
Quand elle paraît
Innée,
Qu'elle apparaît
Née,
Pour mûrir
D'où elle disparaît
Pour mourir.
Jérôme de Mars
1) Pourquoi y a t il eu un attentat en Suède ?
- Parce-que ça fait froid dans le dos !
2) Que dit-on d'une femme dans le pétrin à cause d'un homme qui la prend par derrière ?
- Elle l'a dans le cul !
3) Que fume une femme à son mec pour faire un tabac ?
- Elle fume une pipe !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'un homme tout nu qui nique une femme par derrière ?
- Il est à poil du cul de la femme !
2) Pourquoi Christophe fait-il une piqûre de rappel avec les dossiers de la clinique Pasteur ?
- Parce-qu'il vaccine les gens contre les erreurs en antidote !
3) Pourquoi Christophe fait-il une piqûre de rappel avec les dossiers de la clinique Pasteur ?
- Parce-qu'il a le virus de ce travail !
Jérôme de Mars
Pile poil
A l'an pile
De la pile,
On caresse dans le sens du poil
A poil,
Et à gratter au poêle
A frire pile poil,
Avec un poil
A la main à rebrousse-poil,
Pile poil,
Dès que le poil
S'épile pile poil,
A gratter le poil
Dérangeant et à arracher le poil
Du cul, le cul entre deux chaises pile poil,
Où à poil,
On arrive pile poil
Au rendez-vous à caresser à rebrousse-poil,
Avec un poêle
A la main pile poil,
Dont on gratte le poil
Pile poil,
A poil
Et à rebrousse-poil,
Au poil avec un poil
A la main de la pile,
D'où l'on s'épile
Et qu'on empile
Pile poil.
Jérôme de Mars
Désaveux
Désaveux
Et des aveux
En veux-tu
En voilà
En désaveux
Et des aveux
De tes voeux
En veux-tu
En voilà
Désaveux
Et des aveux
Que tu veux
En désaveux
Et des aveux
De tes voeux
En veux-tu
En voilà
De tes voeux
Par-ci, par-là
En désaveux
Et des aveux
De tes voeux
En veux-tu
En voilà
Que tu veux
En désaveux
Et des aveux
De tes voeux
Parmi là
Où tu veux
Des à voeux
Pour désaveux
Et des aveux
Que tu veux
En l'état
Désaveux
Et des aveux
Pour des à voeux.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi le rendez-vous politique de ce soir entre les candidats à l'élection présidentielle plonge-t-il vers le caniveau ?
- Parce-qu'il y a des bas ( débat ) !
2) Pourquoi en bruit de fond au téléphone, dit-on qu'il faut que j'assume les conséquences de mes bêtises comme je ne tiens pas compte des conseils qu'on me donne ?
- Parce-qu'au téléphone, on ne m'a pas mis sur écoute !
3) Que dit-on de quelqu'un d'inerte avec un ami ?
- Il le ballade avec un bon mobile !
4) Qu'est-ce-qu'un travail de bouteilles conditionné en cartons par un agent ?
- C'est le travail du gars ( DUGAS ) !
Jérôme de Mars
La jeunesse de l'esprit fougueuse
Aux années fugueuses
A vive allure,
Certains restent vieux dans leur tête
Malgré la jeunesse physique et fougueuse
Qui traîne comme une bête,
A l'âge des regrets inutiles
En projets futiles,
Alors que d'autres ont la vieillesse physique et fugueuse
Et la jeunesse de l'esprit fougueuse,
Pour tirer bénéfice
De ce qui leur reste à vivre,
En aventures
Et en précieux moments qui enivrent,
A leur service
Dont ils tirent profit,
Avec le bonheur
Auquel ils se fient,
Avec tant de candeur
D'un dieu qui les bénisse,
A la hauteur
D'une dynamique qui les hisse,
En première classe
Dont ils chassent
Tout le loisir,
Pour se faire plaisir
Et ne plus se prendre la tête,
Dans des allumettes
Depuis belle lurette,
Car malgré la vieillesse physique et fugueuse
Ils gardent la jeunesse de l'esprit heureuse et fougueuse,
En leur coeur jeune de l'esprit moralement
Et aux défaillances vieilles physiquement,
Pour s'imprégner
D'une amourette,
Aux emplettes
Savoureuses dans un élan d'harmonie,
Au paradis
D'une jeunesse fougueuse,
Car la vieillesse fugueuse raidit
Et enlaidit la vie,
Et rester jeune d'esprit
Embellit les envies fougueuses,
Aux délices
Qui se remplissent
En appétit.
Jérôme de Mars
Ce prélude sur le lac dense
En cette pénombre intense,
Les oiseaux de mauvais augure
Dans la nature
Nombriliste, regardent avant l'interlude
Ce prélude sur le lac dense,
Prude et rude en observant une minute de silence
Portée avec insistance,
Dans le calumet de la paix
En faisant des ronds sur l'eau spontanée,
Dispersée dans un jaillissement au sud
De la mare des canards et des oies,
Emportés dans la joie
De l'influence immense,
Croissante et saisissante
Dans leur dos-à-dos aux feux de la résurrection,
En pôle position
Du lac artificiel,
Qui s'enflamme du fiel
Au ciel d'une brasse,
De douceur qui ramasse
Ce prélude sur le lac dense,
Aux remarquables cygnes
Qui ne trompent dans l'urgence,
Et qui trépignent
D'impatience à l'insolence,
Des nuits amourachés
Par ricochets sur le jet solennel,
Des mots de coraux à l'encre entachée
En un jeu de tendresse,
Et de caresse
Dans l'eldorado pivot
Qui monte crescendo,
De la nuance d'un coeur d'artichaut
Qui bat la chamade,
A l'âme soeur de la chaleur
Aride qui mouille sa chemise,
Dans l'eau promise
A l'infatigable vigueur,
Chronique sur la crique
Qui s'autocritique,
Dans un rêve prémonitoire
Du Mont-Saint-Jean-Michel Jarre,
A l'effet miroir
Qui reconnaît le pot aux roses du jars,
Rare car il semble tard
En ce prélude sur le lac dense,
Avec la contenance
Et la consistance,
D'une espèce en voie d'extinction
Dès le coucher de crémation,
De la sérénade
En une ballade d'ardeur,
Aux honneurs
Grand public,
En ce prélude sur le lac dense
Au sommet de l'altitude en contredanse.
Jérôme de Mars
L'humour est la politesse du désespoir !
Les soirs de tristes soirs
On requiert l'humour noir,
Car l'humour est la politesse du désespoir
Qu'on inscrit au répertoire,
Des brèves histoires de comptoir
Au bar, où l'on règle au noir
La blague is blague en réquisitoire,
Des banales foutaises pour boire
En déboires pourboire
Son purgatoire,
Car l'humour est la politesse du désespoir,
Où l'on tient le rôle de la bonne poire
En larrons en foire,
Où tout foire rédhibitoire
En notoires histoires dérisoires,
A l'humour noir,
Les soirs de tristes soirs
Aux brèves histoires de comptoir,
Au répertoire,
Où l'on vide son réservoir
D'abreuvoir d'histoires,
Comme un arrosoir
Pleurant de ses larmes d'exutoire,
En total défouloir
Dans les couloirs,
Des roublards
De sales histoires
De renards,
Au hangar de la gare
Jusqu'à l'aérogare,
Où l'on se gare
Et s'égare,
Dans les remparts
Des nénuphars,
Au signal phare
Dans un semblant de fard
Du far
Breton, d'où l'on part
Tôt ou tard,
Dans la tare
Du lard
Ou du cochon d'art
Dare-dare,
Car l'humour est la politesse du désespoir
Les soirs de tristes soirs,
Du grand écart
Au départ du comptoir,
Des brèves histoires
A l'humour noir,
Pour recharger le réservoir
Plein le déversoir,
Sur l'are hectare
Histoire de se voir
Dans le reflet du miroir
De sa tour d'ivoire,
Car l'humour est la politesse du désespoir
Au répertoire,
Des brèves histoires de comptoir
Tard le soir.
Jérôme de Mars
Lorsque le printemps sourit !
De la bourrasque à la grêle
Des flocons effet boule de neige d'hiver,
La grève du soleil dégrève le jardin d'Eve
A la frontière de plusieurs limites émotives et frêles,
En oisives pluies qui soulèvent le glaive
A la sueur de leur front en trêve,
Lorsque le printemps sourit
Au Parc Montsouris,
Aimable et abordable sur les bancs des joyeux drilles
Qui chevillent de leurs corps à leurs yeux ébahis sur les cils,
Dès les prémices de drôlerie des suprêmes saisons entre ballades
Dans les sentiers fleuris d'arbustes, et ravis le vent en poupe expert,
Comme une sérénade d'incartades qui effleure la cavalcade
D'une passade d'amoureux qui conte fleurette,
Dans un bal musette avec leur amulette,
Lorsque le printemps sourit
Au Parc Montsouris,
Qui rit, drogui au ciel bleu qui suit et s'ensuit
Sous l'influence démente et clémente des fruits défendus de la passion,
D'un coup de sirocco, aux flammes intempestives de l'émotion
Singulière, plurielle, furibonde et impétueuse,
Dans un montage de rivages
En ravages de surmenage,
Lorsque le printemps sourit
Au Parc Montsouris,
Dans le lac des signes à l'hystérie orageuse
Qui secoue le cocotier dans l'arbre flibustier,
Dont la couleur marine le peine à L'Eden du domaine
De prédilection, quand les accords passagers emmènent,
Jusqu'au dolmen des vieux fossiles qui la ramènent
Dans une légitime répartition à la partition qui dégaine,
En participation volage et en trompe la mort,
Lorsque le printemps sourit
Au Parc Montsouris,
Entre rats et souris
A raison et à tort,
En mordant à l'hameçon des remords,
Lorsque le printemps sourit
Au Parc Montsouris,
Aimant et dans son élément,
Dès que les chicaneries s'accouplent assidûment
Et aveuglément
Dans les parages d'un printemps décomplexant.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi suis-je dans un piteux état psychologique dont je tiens de mes 2 parents du au fruit de mon enfance malheureuse ?
- Parce-que j'ai la colère amère qui prend pluie dans un manque d'imper !
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on d'un asiatique qui fit la gueule à sa famille ?
- Il bouddha
Jérôme de Mars
Citation :
J'ai un blocage avec les femmes à cause de tout ce que ma mère m'a fait subir car j'ai le complexe de type !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-que j'ai un blocage avec les femmes à cause de tout ce que ma mère m'a fait subir ?
- Parce-que j'ai le complexe de type !
Jérôme de Mars
Citation :
Un artiste qui peint sur ses tableaux des autoportraits d'êtres vivants n'aime pas les natures mortes !
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on d'un artiste qui peint sur ses tableaux des autoportraits d'êtres vivants ?
- Il n'aime pas les natures mortes !
Jérôme de Mars
Citation :
Un vacancier se baignant dans La Mer Méditerranée en hiver, a un caractère bien trempé !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi nique-t-on La France ?
- Parce-qu'on se fait baiser par le système !
2) Que dit-on d'un musulman intégriste qui égratigne L'Islam ?
- Il charia L'Islam !
3) Que dit-on des juifs qui massacrent Hitler ?
- Que tout fout le camp !
Jérôme de Mars
Bonjour cher Serge,
Bonjour cher Serge,
De ma prière aux cierges,
Où moi je veux te demander
Sans te quémander
Si pour toi, jeudi,
C'est toujours bon, je dis
Bien,
Qui arrive et qui vient
Pour le resto
Avec les potos,
Bonjour cher Serge,
Depuis mes mille-feuille,
Aux textes assis sur mon fauteuil
De l'écureuil
Au chevreuil,
Qui émergent
Quand c'est du gâteau
Où j'en fais tout un tableau,
Dès que j'immerge
Dans un bon scénario,
Où toi, tu serais l'imprésario
Pour placer mes gros mots démo,
En juste partition des mots en gros
Car j'ai besoin de conseils
D'amis et de lumières éblouies,
Pour que je renaisse
A la vie,
Partagé entre illusions et oublis
Du dépit à l'ennui,
Qui chavire et déchire
Mon coeur au pire,
Et aux dents des crocodiles
Mercantiles qui m'horripilent,
Avec la funeste envie
De mort,
Qui me tente avec le confort
D'y dormir en réconfort,
Sans plus jamais de remords
Dont je n'en démords
Point, car je mords le rock fort
Au fort du Fort de Vitry,
Où mon chagrin sempiternel
Se meurt dans les neiges éternelles,
De ma colère aux faux airs
De principal gars téméraire, ordinaire,
Et débonnaire, à l'essentiel clair
Bonjour Cher Serge,
Confirmes-tu pour jeudi
Aux faubourgs de Paris,
Pour un traditionnel repas
Dans la nouba,
Avec un petit répit
De quelques heures,
A la bonne heure
Dans le plaisir de déguster un buffet,
A volonté du vin à la picorée
D'une assiette pleine de gourmandises,
Qu'on se le dise
A la panachée de plats consommés,
Assommés et sermonnés avec ta philosophie
D'autodidacte qui nous instruit,
Et ton expérience qui nous asperge
De sagesse et d'allégresse au fruit de ton contact
Où de ton tact intact en guise d'entracte,
Tu nous enrichis nous, les candides et les novices
Car tu nous rends bien service nous aux prémices,
Des épreuves qui nous attendent et nous tendent
En lendemains, alors que nous, l'espace d'un soir,
Pourvu que tu nous détendes,
Avec tes anecdotes qui coulent comme un arrosoir,
De ton abreuvoir d'histoires,
Distributeur et faiseur de merveilles, où dis-nous si tu confirmes
Ou infirmes, pour jeudi-là en m'envoyant un mail à moi, l'infirme,
A la firme de la parole donnée,
Et adonnée à la randonnée pour une soirée
En nous confirmant pour jeudi-là
Par mail quand je m'emmêle si le coeur t'en dit,
Ce jeudi 30 mars afin de partager un bon repas
Avec nous bien au-delà de la joie.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi en France, tout le monde s'en fout-il de tout ?
- Parce-que tout le monde y trouve de l'intérêt !
2) Pourquoi en France, n'y a-t-il plus de valeurs ?
- Parce-que les gens sont toc-toc !
3) Pourquoi ça fuse dans ton esprit en faisant un tabac ?
- Parce-que ça fume !
4) Pourquoi tout le monde veut-il voter Marine Le Pen aux élections présidentielles ?
- Parce-que tout le monde veut voter blanc comme le monde est noir !
Jérôme de Mars
Le champ de mars
En l'an deux mille,
Nous sommes à L'Ouest
Les yeux rivés en orbite
De la planète Terre,
Sur le champ de mars,
Une planète de chant,
A l'intérieur d'un pied à terre
Bouillant chaud volcan,
Qui brille en plein dans le mille
Du haut de La Tour Eiffel,
Et gravite d'une buée d'ombrelle
Les bulles de savon
Qui scintillent en broutilles,
A la va-vite
Dans une forme d'escalier colimaçon,
Du ciel explorateur, artificiel
Et émetteur de belles choses naturelles,
Sur le champ de mars des extraterrestres
Dans une autre planète,
La tête emplie de comètes inter net,
Sur La TNT terrestre,
Du fard Ouest complètement à L'Ouest
De la lumière qui rallie Le Paris-Brest,
D'un pari lunaire
Au phare Breton,
Digne d'un vilain garçon
Manqué au soleil lunatique,
Amateur de gaieté empathique,
Où La Tour Eiffel assaille d'étoiles éphémères,
Le champ de mars, ovni et décalé à des années-lumière,
De la réalité de la vie sur Terre,
Ce coin paysager et étranger aux habitudes simples
Des gens humains et humbles,
Dans La France de l'élémentaire
Au monde primaire,
Où les moeurs semblent secondaires
De la théorie à la pratique,
D'une loi en série tragi-comique,
A travers les facettes
Des palettes de couleurs nettes,
Qu'on regorge d'une dimension stellaire
Au vif clair,
En jachère et aux enchères,
En parallèle d'une ribambelle,
De frontières ouvertes sur le champ de mars
Du 2 mars
Sur son 31,
Au refrain boute-en-train,
D'un train de vie
Nulle part ailleurs dans la galaxie,
Contée et relatée
Sur la voix lactée,
Des secrets à jamais gardés
Dans une planète au repaire mausolée.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on de quelqu'un de complètement déconnecté dans la vie ?
- Il est pas en terre nette ! ( Il est pas internet )
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi ce samedi à l'aéroport d'Orly, ce fut la panique générale avec des échanges de tirs entraînant la mort du forcené et l'évacuation de 3000 personnes ?
- Parce-que ça a fait long feu !
2) Quel est le comble pour la victime d'une attaque terroriste qui patiente que ça se termine ?
- Elle est dans l'attente à que ça se finisse !
3) Que dit un musulman à un passant dans la rue qui s'énerve ?
- Allah, que se passe-t-il ?
4) Que dira-t-on du PSG s'il perd ce soir contre Lyon ?
- Que ca sentira le fauve au PSG !
Jérôme de Mars
On passe les plats
Pour bouillir la marmite,
On met tout à plat
Et on passe les plats,
Afin de ne pas être viandés
Et de savoir à quelle sauce
On va être mangés,
Car on passe les plats
Du chaud au froid,
En y mettant la main à la pâte
Avec de l'huile sur le feu,
Pour pondre un oeuf
Vu le prétexte neuf,
Car on ne fait pas d'omelettes
Sans casser des oeufs
Sur le plat,
Où on met tout à plat
Et on passe les plats,
En racontant des salades,
Avec du pain sur la planche,
En terminant par le dessert
En fruit de son travail,
Où on met tout à plat
Et on passe les plats,
Au contexte d'un neuf
Repas, pas à pas,
En vue de pondre un texte neuf
En appât.
Jérôme de Mars
Le testament de ma bonne foi
En un nom de Dieu
Pieux,
Je vous livre le testament
Sous serment
De ma bonne foi,
Où j'ai fait de mon mieux,
Malgré les irrévérences
Des diverses turbulences,
Que les différents aléas
M'ont coûté les yeux
De la tête,
Où j'ai eu
Tant de mal à reprendre
Du poil de la bête,
Et à détendre
Mon âme de poète,
Spirituel sous l'autel
Du bon Dieu, le garant
De moi s'égarant,
Avec le missel, mi grain de sel
A la folie épicée et sèche
Aux antisèches,
Qui décrètent
En allégations irrévocables,
Que je demeure le diable
Et l'avocat coupable et responsable,
Aux versants irréversibles,
De mes grandes fautes que les fusibles
Ont plombé
Et surplombé
En rage,
Vis-à-vis de mon entourage
Dans un triste lynchage,
De mon coeur
Devenu l'âme soeur
De ma rancoeur,
Des viles nausées
Du matin arrosé,
Au rosé rossé imbibé
Et figuré,
Où j'ai tant soûlé les gens
Et enivré ce testament,
En preuve de ma bonne foi,
Dont je me protège d'avant
Cet aura du ciel, qui me remet
Le pied à l'étrier,
Du sacrilège au sortilège,
Qui m'allège et me soulève
Vers le jardin D'Eden,
Où je me prosterne,
Le visage terne,
Afin qu'il dissipe ma peine,
Dans une espérance sereine
Et pleine,
Que je scie à bon escient,
De sorte à m'absoudre
De tous mes péchés,
Et de me dépêcher,
De pêcher à la ligne,
Maligne et rectiligne,
Pour remettre tout ce boucan d'antan
Dans l'ordre maintenant et moralement,
Si bien que je marcherai d'un pas en avant
Pris aux devants,
D'un appât meilleur,
Où m'attendra l'innocence
D'un jardin de fleurs réconciliateur,
Après la pénitence
Des injonctions,
Dus à mes frasques
Brouillons,
Où l'ensemble fantasque
Prenait le bouillon,
Au sillon
Des bourrasques,
Car maintenant, il est temps
Que resurgisse le faste
Dans ma réflexion,
En vue d'exhumer
Le nouveau testament,
En appel
Du bon Dieu,
Pour y générer
Une profonde confession,
Aux belles nouvelles,
Où je récolterai à la pelle,
Un courant
D'air
Et de prière,
Générateur,
D'une mûre réflexion
En impulsion,
Où je jouerai un rôle acteur, majeur
Et militant,
En iconoclaste
Des choses déviantes,
Et chaste
Dans ma mission,
Du bon Dieu,
Où je répondrai allo les cieux,
Je vous rejoins
Non loin,
Dès lors que je resterai persuadé
Que mon âme claire,moralisante et revigorante
Acquittée,
A quitté sa face sombre et culpabilisante,
Si bien que je partirai en paix,
Au ballet d'une pléthore
D'un trésor,
Où mon sort
Sera scellé
Et sans doute je l'espère,
Réhabilité
Dans la lumière,
Seule habilitée
A le faire,
Avec habilité,
En redresseur
De torts,
Et en amateur
De la religion,
Où je m'en irai habité,
Blanchi au paradis
D'une autre vie,
En preuve de ce testament
De ma bonne foi,
Où je ne mens
Dans les tourments,
Car ma croix semble lourde
Et bas lourde
A Lourdes,
Là, où j'aurai consolidé ma foi,
Bien au-delà.
Jérôme de Mars
Métal fort
Le soleil brûle de sa fièvre jaune,
Qui se dore de son rayon x d'or
Sur la première marche du podium,
Où la lune monte en seconde place,
De sa demie-face d'argent
Et de sa pleine lune
A la parole d'argent,
Car le silence est d'or
Et la parole est d'argent
Dans ce métal fort, d'or et d'argent,
Où manque le bronze
Qui bronze au soleil d'or
Et à la lune d'argent
Dans du bronze,
Qui se dore à l'argent,
Comme ce métal fort
Qui évolue en une métaphore
D'or et d'argent,
Qui bronze
Et se dore
En argent de bronze.
Jérôme de Mars
Un ménage de printemps
En cette prophétie au sourire brillant,
Les paroles d'hirondelles ronronnent au pays lavant
Dans un ménage de printemps,
Qui remue-ménage décapant, solvant de rayons élégants
Qui lui vont comme un gant de velours, dans le balourd
Horizon dont la roue tourne
Et détourne car cela paraît folklorique dans la ristourne,
Des manèges décantés et dépoussiérés qui déménagent
Depuis naguère lourds,
Dans un ménage de printemps jovial
En nage et en surmenage,
Horizontal et vertical sur la dalle
De la surface de nettoyage, où il ne reste que dalle,
Sur le saule rieur et demandeur de bagages
A remplir le cerveau salvateur de connaissances en pâturage,
Dans cette fenêtre ouverte de vertes mûres
Et de pas mûres vertes , qui engrangent la toiture,
Comme à la maison, où c'est le grand ménage de printemps
Du plafond au sol en nettoyage d'un bleu clinquant,
En tirant à soi la couverture de parures et de dorures
Qui fourbit la garniture,
D'une saison saine et sûre au milieu de la nature,
Dans son propre environnement, en soyeuses postures,
Aux honnêtes ricochets jetés en durs
A cuire dans ce ménage de printemps,
Par un pur bouillant bain de foule
En levées de boucliers d'armure,
Pour protéger l'ardent nettoyage du bon temps
Réchauffant le pouls,
De la nostalgie d'avant en émules
Des têtes de mules qu'on adule,
Dans ce ménage de printemps
Avec un énorme coup de dix balais des ans,
Au pied du ballet du palais de La Tour D'Argent
En galante compagnie, en amusant la galerie du printemps,
Qui la redoute dès la galaxie D'Italie deux par deux,
Anxieux, sous les yeux
Poignants d'un printemps en cieux.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi un homme aime-t-il bien qu'une femme lui fume le cigare ?
- Parce-qu'au nom d'une pipe !
2) Que dit-on d'une artiste qui épate avec ses tableaux toute l'exposition de peinture à Shanghai ?
- Qu'elle amuse la galerie !
3) Pourquoi Marine Le Pen se qualifiera-t-elle pour la finale des élections présidentielles en 2017 comme son père en 2002 ?
- Parce-que comme son père, elle a très envie de refaire le tour de la question !
4) Quelle est la différence entre un père étant soigné car ayant un décollement de la rétine et son fils qui fait des fautes malgré qu'il soit soigné pour son handicap psychique ?
- Le père en met plein la vue à l'hôpital avec le décollement de sa rétine et son fils en met plein la bévue à l'hôpital qui se fout de la charité !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on de Catherine qui reçoit une récompense pour ses talents de peintre ?
- Qu'elle reçoit un tableau d'honneur !
2) Pourquoi le sélectionneur de l'équipe de France de football est-il incompétent ?
- Parce-que Didier au lieu de cultiver du beau jeu, cultive des champs !
Jérôme de Mars
Plus vite que la musique classique !
Loin de l'univers
Parmi ces unis vers,
Amis de la preuve
Et de son contraire,
Quoi de chose neuve
Dans l'itinéraire linéaire,
A qui l'on demande
Dan l'offre des landes,
A quoi ça rime
Tout ce rythme qui frime
Et arrime,
Plus vite que la musique
Classique,
Basique, fantastique
Et arithmétique,
Que les basses choses systématiques,
Mathématiques, féeriques
Et athlétiques,
Des prières frénétiques et mystiques,
De la compagne
De Prévert,
A la campagne,
Bucolique et rustique,
Plus vite que la musique
Classique,
A la vitesse son de la lumière,
Qui franchit les timbales
Du bal,
Physique et photogénique,
Des portraits tirés numériques,
Plus vite que la musique
Classique,
Version électronique,
Au piano et synthé électromagnétiques,
La musique dans la peau,
Au son rétro et moderne du tempo,
Nec plus ultra magnéto,
Et diapo objectif,
Que des négatifs à l'objectif négatif
Et possessif,
Car la musique olympique
Préfère plus vite que la musique
Classique,
Le rythme positif
Et suggestif,
Des récifs écorchés vifs,
Aux accents agressifs, subversifs
Et transgressifs,
Plus vite que la musique
Classique,
Au slow du tango,
Salto mambo,
Théorique et pratique,
Aux termes métaphysiques, aérodynamiques
Et automatiques,
Des vibrations acoustiques
Et synthétiques
D'une note de piano,
Plus vite que la musique
Classique,
En do, bon dos,
Des étoiles astronomiques
Et astrophysiques,
Aux légendes salutaires,
D'un monde parallèle à La Terre,
Plus vite que la musique
Classique,
Statique, ironique, sarcastique,
Caustique, cynique et panoramique,
Aux effets mirifiques,
A la tombée de l'univers,
Parmi ces unis vers,
Amis de la pierre
De l'édifice et de la preuve
Et de son contraire,
Qu'on pratique
En choses neuves,
Dans l'itinéraire linéaire,
De la trajectoire aléatoire,
De la terre,
Matière première
Et de son histoire,
Après les essais du laboratoire,
Dont l'on se demande
Et quémande
Bien à quoi ça rime,
Toute cette poésie en crime
Prolifique et bénéfique,
Qui arrime
La frime
En prime,
Version symphonique
Et pharaonique,
Plus vite que la musique
Classique et philharmonique
Jérôme de Mars
C'est secondaire !
En prélude
De mes études
Du cycle élémentaire,
J'ai les aptitudes
Au niveau primaire,
En interlude
De mon attitude
Téméraire
De sauvagerie primaire,
Que j'élude
Au second plan
Car c'est secondaire,
Du dernier rang
Au cycle secondaire,
Où j'envoie tout en l'air,
Car c'est secondaire,
Au cycle calendaire,
Avant de passer de l'élémentaire
Primaire
Au cycle tertiaire,
Dont je surpasse le secondaire,
Relayé au second plan,
Du dernier rang,
Car c'est secondaire,
En être primaire,
De repasser tout le film à l'envers,
Dès la terminale très classe,
Où je casse
La baraque,
Avec le sas
De décompression
Et de décontamination,
Si bien que je me repose sur mon hamac,
En être primaire,
Car c'est secondaire,
De reprendre les études
Elémentaires,
Du second au troisième degré,
De pair
Avec le cycle tertiaire,
Prospère et subsidiaire,
Aux regrets
Complémentaires,
D'un avenir rude,
Car c'est secondaire,
Point de vue élémentaire,
D'ordinaire,
D'un à prêt
Aux études
Secondaires,
Après
Primaires,
Retour vers le terre-à-terre
Des études
Tertiaires,
Car c'est secondaire,
Aux études secondaires,
Les diplômes complémentaires,
Exprès
Primaires,
Auprès
De l'élémentaire,
Car c'est secondaire !
Jérôme de Mars
Le jardin des rêves
Dans cet noble are,
Se cultivent les beaux-arts
Sur la terre fertile,
Aux chevaliers adoubés
Par la faucille à élaguer,
Tous ces terreaux fragiles
Et agiles dans leur jardin secret,
Assis sur un banc à pianoter
Le code secret du jardin des rêves,
Pour y accéder par le raccourci divulgué
De la petite graine
De folie qui féconde
Toute la rengaine,
De ce gentil monde
Aux vibrations abordables,
De la main adorable
Qui excelle du jardin des rêves,
Avec son Eve
En élève,
De la sève
De sa vie qui s'élève,
En hautes altitudes expéditives
Dans la recette offensive,
Du miracle
Conciliabule en spectacle,
De galanterie fantaisiste
Qui s'amalgame en clowns buralistes,
De brillante humeur
Avec une bonne bouffée d'oxygène,
Moitié sans-gêne, tantôt halogène
Par le règne rémunérateur,
Des éléments acteurs
De la pièce maîtresse,
A l'oraison traîtresse
Nom de Dieu fébrile,
Qui scintille
En petites brindilles,
Habiles du jardin des rêves
Qui déshabille la fève,
Du roi du message décrypté
Dans la crypte défrichée,
Aux aguets gais,
Du triomphe d'aplomb remis sur pied,
Dès que le jardin des rêves
Dépose son arbuste
Au buste,
Des remparts amateurs
Du jardin des rêves,
Qui se lève
tôt ou tard,
En médiateur
D'un noble art hectare,
De la terre subtile
En dépôt d'argile.
Jérôme de Mars
J'ai fait de mon mieux !
D'hier à aujourd'hui,
Qu'il fasse pluvieux
Ou heureux,
J'ai fait de mon mieux
Avec toutes ces péripéties
Limites épreuves du dernier cri,
Qui m'ont tantôt fragilisé
Tantôt assagi
Mais amoindri
Dans ces frasques
Déplumées où tombent les masques,
Après les apparences trompeuses
Et les idées pernicieuses,
A l'effet domino rétro et insidieux,
Dans ce château de cartes à l'effet miroir,
Qui me rappelle la nostalgie
De mon enfance sur la balançoire,
Où avec le temps, je prends le choix roi,
Faute de mieux,
De choir, de déchoir
Et de décevoir
Mon entourage,
Et moi, y compris,
Du dépit
Au désarroi,
A travers ce message
De colère, au prix
D'un réservoir bien rempli
En abreuvoir,
Que je déverse
En averses,
Sous une crécelle de pluie,
Sur mes ennemis qui ont consolidé
Ma vengeance
D'office tracée
Sur le puzzle retracé et composé,
Recomposé et acidulé,
A un zeste de clémence
En sentence,
Avec bombe à retardement,
En reculant,
Pour mieux sauter
Dans la jetée
De ma personne rejetée et décriée,
A la criée de mes emportées controversées
Où malgré tout, j'ai fait de mon mieux,
Afin de faire jurisprudence et de paraître joyeux,
En interprétant un rôle,
Sur mesure de faux semblant,
A blanc dans la geôle
D'un corps d'enfant,
Dans ce bordel de circonstances,
En inconstance
Fulgurante
Et cinglante,
Où je cherche malgré tout la paix
En moi pieux
Et de Dieu,
De sorte à me réconcilier
Avec d'éventuels anciens amis,
Ennemis actuels
Mais peut-être à nouveau de futurs bon amis
Dans un avenir réel,
De la pureté
Des merveilles
Non virtuelles,
Où j'ai fait de mon mieux
Du mielleux au furieux,
Dérivant par tous les bords
A tribord
Sur le rebord,
D'un et alors, lors
D'un je ne sais plus,
En intrus
De ce rébus,
Dont je ne trouve la vertu
Dans un juste milieu,
Même si j'ai fait de mon mieux,
Par-ci, par-là
Et en deça,
De mes incroyables espérances
Parmi les plus improbables expériences,
Dont j'ai l'accoutumance
Avec la semence
D'une graine de champion,
A germer dans un corps de lion
Si bien que quand je deviens un morpion,
Je finis mort pion
Sur l'échiquier,
Même si j'ai fait de mon mieux,
Avant que les cieux
M'aspirent en hauts lieux
A du mieux,
Un de ces jours dans l'aura
De l'au-delà,
Au-delà de cette vie
Qui se finira en brindille,
D'une accalmie
Quelque peu ternie,
En l'an trois-mille,
Que je fourmille
D'impatience et d'insolence,
Pour tirer ma révérence,
Affublé en ange-gardien d'un soleil rafraîchi,
De la grisaille à la griserie,
Où j'aurai fait de mon mieux.
Jérôme de Mars
Le Quartier Latin
En arrondissement
Les cinquième
Et les sixième
Angles,
A la sangle
De la rive gauche
De La Seine,
Le Paris studieux
Prend la gauche
Pas de quartier,
Au Quartier Latin
Qui en perd son latin,
Comme une tarte tatin
A l'envers
De la périphérie populaire,
A la frontière
De plusieurs mondes différents,
Eclectiques, hétéroclites
Et cosmopolites,
De par la diversité
Des éléments,
Où l'on élève les monuments
Du Panthéon, qui fait le mort,
Au Jardin du Luxembourg,
En faux bourg,
D'un jardin tranquille des plantes,
Où l'on tente
Avec renfort,
A l'école
Des dépités,
De leur apprendre les rudiments
En leur posant
Des colles,
Avant Le Palais Du Luxembourg,
Qui demeure le sénat des députés,
Où ils se bourrent
Et se dorent,
Au soleil trompeur
Et affabulateur,
Au faubourg
De la banlieue
Des lieux pernicieux,
Dans Le Quartier Latin,
Où j'enracine Andromaque au Café De Flore,
Dans le folklore,
En alexandrins philosophiques
Et misanthropiques,
Du cercle des poètes littéraires,
Où résonne,
A La Sorbonne,
Tout ce mouvement
De manifestants d'étudiants,
Qui déploient l'étendue
De la rue
Jusqu'aux barricades, arborant
Leurs talents
D'artistes dans la crue
De la scène,
Jouant du trombone
Ou accrochant les trombones
Sur leurs mille-feuilles
Gâteaux grâce à leurs matières premières,
Dans la posture
De leur fauteuil
De figures
De proue,
A l'étoffe d'une nuit sous les verrous,
Après avoir démontré
Leurs quêtes
De révolte, à la conquête
De la rue contestataire
Pour la liberté linéaire,
Aux quatre vérités réfractaires,
De ce fait, Le Quartier Latin
Remonte de la crue
De la rue
Fluviale,
A l'arsenal
De la nature
De la racine
Des gens
En Jean Racine
Qui courbe l'échine
Avec un semblant
De machine,
Mais se chine
A oeuvrer
Pour une liberté
Pourfendeuse
Et frondeuse
En fragments,
Dès la croisière
Du départ à terre,
A l'arrivée Au Boulevard-Saint-Michel,
Sur place,
Où les gens se déracinent
Et vivent comme des Romain Michel,
A la racine
Des gens,
De la passerelle
Tragique du quartier Latin,
Aux paladins
D'autres étincelles.
Jérôme de Mars
Qui dame !
Avec le macadam,
Un jeu de dames
Qui dame
Le pion quidam,
Sur l'échiquier ramdam
Padam padam,
D'un jeu de dames
Qui damne
L'échec et mat et condamne,
Le jeu de dames
Qui dame
Le pion quidam,
Avec le macadam
En ramdam
Padam padam,
D'un jeu de dames
Qui damne
Le morpion et condamne
Le scorpion en ramdam,
Dans un nouveau jeu de dames
Qui dame
Le pion sur l'échiquier quidam,
D'un jeu de dames
Macadam
En ramdam,
Qui dame
Le pion padam padam
Echec et dames,
Sur l'échiquier du macadam
Qui dame
Quidam.
Jérôme de Mars
Blague :
Que fera Johnny Hallyday, s'il guérit de son cancer ?
- Il fera un concert.
Jérôme de Mars
Affection de longue durée
Manque d'affection,
Tu es malade asocial,
Avec des problèmes d'affection
A la sécurité
Sociale,
Où tu souffres d'une affection
De longue durée
Douloureuse,
Que tu combles en infection
Et en imperfection,
De ta vie brûlée
Par les deux bouts de la chandelle,
Qui bat de l'aile
A tire-d'aile,
Embrasée et rétamée
Par l'incendie
Perpétuel
De ton manque de femmes
Embrassées
Et relayées
Dans des relations
Pseudo virtuelles
Par Internet,
Où t'es pas net,
Aux aventures d'ordi,
Toi, l'ovni
De Mars, en tant qu'ennemi
Des fontaines de l'amour
Et l'ami
Des madeleines de Proust vautours,
En arrière-retours,
Qui t'amoncellent
Dans un sel
Toxique qui consume ton coeur anorexique
Et critique,
Avec un manque flagrant d'amour
Et d'affection,
Où tu te poses trop de questions,
Sur le pourquoi du comment,
En intermittent d'un partiel printemps,
Mutant dans l'aliénation
Et l'illumination des divagations,
Dans le flou de ton cerveau,
Egréné en quiproquos,
Qui pensent chaos,
Au choc de l'altération
De ton discernement,
Et de ton raisonnement
Aboli
Par tes prises de position,
En affection
De longue durée,
Endurée
Par tes crises de situation,
Et écorchée
Dans les flammes
Qui ravagent
Ta rage,
Asociale
Malgré l'affection
De longue durée,
A la sécurité
Sociale,
Où tu es en insécurité
Amicale
Et amoureuse,
De par ta pénurie
Et ta folie,
En période de sûreté,
Où tu dois te convertir
En sein,
Pour découvrir
Enfin
Les plaisirs
Charnels,
D'une affection
De longue durée
A deux,
Pour la vie,
Dans un avenir
D'amoureux,
Où ton affection
Sera de longue durée,
Plus si affinités,
Dans la divinité
De la pureté
De ta foi,
En un virage
A 180 degrés,
Du reste de tes préoccupations,
Dès lors du passage
Sans second degré,
D'un meilleur radieux,
A deux,
En fusion
De ton aura,
Ainsi soie.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'une femme qui fait une fellation profonde au sexe d'un homme ?
- Elle arrive bien au bout.
2) Que dit-on Du PSG qui échoue une nouvelle fois en ligue des champions après avoir été éliminé par Le Barça ?
- Que les équipes de ligue des champions rebutent Le PSG !
3) Comment appellera-t-on Johnny Hallyday s'il meurt ?
- Johnny Holiday
4) Si on ne peut pas sortir dehors, que peut-on faire pour ne pas rester emprisonné à l'intérieur ?
- Sortir avec une femme !
5) Pourquoi papa, n'es-tu plus responsable de moi ?
- Car tu as longtemps été responsable de moi durant mon état mineur, alors que maintenant, je suis seul responsable de mon état majeur !
Jérôme de Mars
Blague :
Comment appelle-t-on la journée méchante des dames ?
- La journée infâme
Jérôme de Mars
Citations :
1) Dans la vie, on avance en prenant du recul !
2) Quand on porte le poids de son fardeau, on s'en balance de tout avec légèreté !
3) Au fil des années, quand on prend de la bouteille, on soûle les gens !
Jérôme de Mars
Blague :
1) Pourquoi papa, ne vends-tu pas ta maison en piteux état à Vitry Sur Seine ?
- Parce-que t'as pas fini de payer le prix du délabrement de ton taudis !
2) Pourquoi un chinois est-il le remède idéal pour redresser La France ?
- Parce-qu'il détient la baguette magique !
Jérôme de Mars
Blague :
Que peut manger un inspecteur habillé avec son imper ?
- Un colombo de poulet.
Jérôme de Mars
La tête et les jambes
Quelque soit le cap,
Il y a deux sortes
De handicap
Qui frappent,
A la porte
En casse,
Soit le handicap psychique,
Où l'on se casse
La tête
Mathématique,
Dans un casse-tête
Systématique,
Car l'on pense bête
Avec un pense-bête
Pour remettre la tête d'athlète
En ordre alphabétique,
Ou soit le handicap physique,
Où l'on se casse la jambe
Car ça nous fait une belle jambe,
A l'entrejambe
Qu'on enjambe
Avec un moral peu automatique,
Dans tous les cas
Qui étriquent
La pratique
En théorique,
Par conséquent,
Les êtres normaux
Ne tendent la main
Aux personnes handicapées,
Qu'ils considèrent
Avec indifférence
En grande fragilité,
N'ayant que des difficultés
Avec aucune volonté,
A en juger
Par les préjugés,
Qu'ils résonnent
Avec leurs mauvais mots
En coups de klaxon,
En sentence
Dans la loi du silence,
Alors que ce sont des humains
Comme n'importe qui
Avec leurs acquis,
Mais heureusement,
Qu'il y a
Tout de même,
Des gens intelligents
Avec discernement
Qui n'en ont cure de leurs problèmes,
Et qui les voient comme des individus lambda
A part entière,
Du commun
Des mortels,
Dans la pureté
Inconditionnelle
De leur âme,
Sans gens ordinaires
Qui ne les aiment
De leur âme infâme,
Avec leurs oeillères
De verres,
Sans égard
Au regard
De leur misère,
Les personnes handicapées,
Qu'elles aient ou pas
Le moral
Ont plus de morale,
Que la plupart
Des individus en retard,
Dans la tare
Des personnes handicapées,
Qui avancent à petits pas,
Et qui veulent de la dignité
Et pas de pitié,
En tour de bras,
Car il n'est pas trop tard
Pour changer
Le regard
Des personnes
Qui raisonnent
Mal sur elles,
Où il est temps
De sonner
Le glas,
Des barrières
Entres gens ordinaires
Et précaires
Dans le tintamarre,
Parce-qu'on est
Tous pareils,
Malgré qu'on se casse
La tête
Et les jambes,
Car tôt
Ou tard,
Nous tous, on se casse
Dans un véritable casse-tête,
Où ça nous fait une belle jambe,
Qui flambe
Et qu'on enjambe,
En états
D'êtres à part entière,
Avec les années passées
Sur La Terre,
A la lumière
Des différences,
Au courage
De la rage,
Et du dépassement
De soi
Dans l'adversité.
Jérôme de Mars
Les bouchées doubles
Dans les bouchons,
On tire bouchons
En bouchées troubles,
Quand on met les bouchées doubles
Débouchées
Aux débouchés
Roubles,
De boucher
Aux oreilles bouchées
L'eau à la bouche bouche-bée,
Dans un débouché
Bouché au débouché
Trouble,
Quand on met les bouchées doubles
En roubles,
De bouchées
De boucher
Aux oreilles débouchées,
Au débouché
Bouché
L'eau à la bouche bouche-bée,
Quand on met les bouchées doubles
En tire-bouchons,
Sur les bouchons
Bouchés,
Au débouché
De boucher,
De bouchée
Débouchée.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi à L'ESAT de Vitry, on doit dire vous et non tu ?
- Car dire vous nous tue d'enfer et dire tu nous voue au paradis d'enfer !
Jérôme de Mars
Pays bête
En êtres francs
D'argent,
On fait un billet
D'humeur
En billet,
Par le biais
D'honneur
Au rabais,
Dans les délais
De réduction,
Où y a prescription
Dès la cure de dextérité,
Du PIB,
Au pays bête
D'un pense-bête,
Où l'on pense bête
Dans un casse-tête,
Sur la crête prête,
Que l'on s'apprête
En se faisant des cheveux
Poivres et sel poil à gratter
Et honnêtes,
Avec sur le caillou
Des mèches rebelles qui jouent les ripoux,
Avec les poux
Sur la tête,
Qui s'arrêtent
En queue de poisson,
Les poils hérissés
Au pic de l'unisson,
Où la raison
Vaut l'union
De la force,
Pour qu'on fredonne
Et donne
En chansons,
L'écorce
Qui s'amorce
Terrestre,
Sur La TNT
Détonnant et équestre,
Très à cheval de bataille,
Dans une réception
De taille,
En résorption
D'antennes OVNI de Mars,
Sur une autre planète
Gaie et chouette,
Aux ondes de diffusion,
Où l'on passe du poste
PIB,
Au poste
Composte
Du pays bête,
En rendant la monnaie
Des States,
Aux esthètes,
Aux centimes prêts,
Bouche-bée,
Motus et bouche cousue
De fil blanc
Des cinq éléments,
Au ruban
D'argent
p/ib
RIB bête.
Jérôme de Mars
Le vieux Prévert visqueux
D'antan des comètes
Envahies dans leurs planètes,
Abstraites aux lueurs invétérées
Qui inspirent le respect,
La nostalgie rappelle
Vahiné
Au désert exotique,
Le vieux Prévert visqueux
Et obséquieux,
En termes élogieux
Dans les cieux
Tropiques,
Aux extraits de flegme
Cupides aux faux airs de bohème,
Qui semblent le fruit totem
Du bon dieu,
Dans le modèle
De l'emblème,
Qui martèle
Et se met martel
En tête le vieux Prévert visqueux,
Par salives de liqueur
Défendues et irrésolues
Avec des thèmes majeurs
Aux effets confus,
Quand les rimes complexes
D'anciens réflexes,
S'en rappellent
Du vieux Prévert visqueux,
Avec son appel solennel
Aux troubles anxieux et fastidieux,
Avec un parfum de zèle parcimonieux
De la thèse du bon dieu,
Dans un parfait langage français
Digne d'un réflexe,
En relique de bescherelle
Qu'on appelle
Et qu'on épelle
A la lettre en accents circonflexes,
En stoïques systèmes
Complexes de l'annexe,
D'un vieux Prévert visqueux,
Au clair
D'un ciel bleu
Presque prospère
En une paire
De manche lunaire
Et ensoleillé
A la lumière,
D'un vieux Prévert visqueux,
Dans les alternances
De somnolence
En creux mystérieux
Et au sommeil vigoureux,
De la lune crémaillère
Au soleil réparateur,
Des indémodables poèmes
Flatteurs
Au vieux Prévert visqueux.
Jérôme de Mars
Citation :
A la naissance, nul n'est gentil ou méchant, on le devient à l'état des preuves !
Jérôme de Mars
Citation :
Une vanne envoyée à un ami, coule de source !
Jérôme de Mars
Serge ( Sers-je ) à quelque chose ? !
Mon cher Serge,
Ma personne en questions
Te demande, sers-je à quelque chose
Sur Terre,
Avec mes interrogations
Précaires, austères et délétères,
Au destin terre-à-terre
Que mon oeuf de vie pas éclose
Ne révèle rien de neuf avec mes névroses,
Où j'en suis l'unique et la seule cause
De mes trémolos et de mes ecchymoses,
Toi, Serge a quelque chose,
Car tu oses sans cirrhose
Avec ton inspiration d'absinthe
Et sainte,
Nous abreuver de ta culture si raffinée
Et distinguée,
A la porte pas close,
Avec aucune sinistrose
Et nécrose,
Contrairement à moi, qui respire le morose
Et toi, les mots roses,
Que tu arroses
Avec doigté et subtilité
De ta saga citée,
Allant de Boby Lapointe
A la pointe de ton empreinte,
Que tu empruntes sans feinte,
Avec une dense excellence,
De formidable première classe,
Alors que moi, je me casse avec ma carcasse
Dans la rage de l'opulence,
En simulacre
D'un je de massacre,
Où j'excelle sans excel avec brillance
Et sans luisance,
Dans mes casseroles qui sentent le réchauffé
A l'effarouchée des échauffourées,
Serge, sers-je à quelque chose,
Dans cette sombre atmosphère
Patibulaire, rudimentaire, sédentaire,
Lapidaire et élémentaire,
Avec ma clause
De conscience,
Où je veux retrouver sous ton influence
Un reste d'osmose
Qui parcourt le cosmos,
Car toi, Serge a quelque chose
A nous enseigner sur la vérité
De la vie dans l'immédiateté
Et la dextérité,
En parfaite droiture
De ta légitime posture,
Avec ton moral banal
Et moi, la morale au mal animal,
Moi, sers-je à quelque chose
Si un jour proche, j'écris un livre
Et je me délivre,
Afin que je livre
Dans les délais, toutes les péripéties
De ma vie,
Dans la pudeur
De mon jeu des sept erreurs,
Avec la descente en grandeur
Du désintérêt d'écoeur
De ma famille
Et de mes amis,
En nausées
De coeurs,
Car avec une case en moins,
On me range coché stéréotypé,
Avec toujours le même refrain
Enfreint et sans frein,
Toi, Serge a quelque chose
A me procurer en partition,
De mon effritement en perdition,
Où avec tes belles paroles
Plus vite que la musique sans bémol,
J'aimerais que tu me composes
Une mélodie
Qui rime avec harmonie,
Au prétexte
De mon texte en l'état du contexte,
Moi qui suis con et qui l'atteste
Dans le test de l'éthylotest,
Où je soûle les gens
Dans un océan de boucan
Qui fout le camp
Itinérant jusqu'au dernier rang,
Mais si jamais tu me composes
Une complainte,
Je te répondrai que j'en dispose
Sans dépôt de plainte
En ménopause,
De la pose qui s'impose,
Toi et moi Serge, qui a quelque chose
A faire partager,
En mots perchés,
Percés et transpercés
A la percée de l'arrachée,
Où j'appuie sur le bouton pause
De mon mea culpa,
En appât
Mis pas à pas,
Dans de jolis draps
Roses
En proses.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) En quoi se reconvertissent un groupe d'amis ivrognes une fois sobres ?
- En acolytes anonymes
2) Pourquoi Marie-Laure est-elle moins souple avec les agents lors des séances de psychomotricité ?
- Parce-qu'elle est en mouvement !
3) Pourquoi à L'ESAT de Vitry, y a-t-il pas photo ?
- Parce-que tout est négatif !
4) Pourquoi à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, les agents se jugent-ils en procureurs ?
- Parce-que c'est le tribunal des prudes hommes
( le tribunal des prudhommes )
5) Que dit-on de ton portable qui ne marche plus et qui est recyclé dans un autre pays ?
- Il est exportable !
Jérôme de Mars
Les oiseaux volages
En trompe-l'oeil
Avec leur immense orgueil,
Les pigeons voyageurs
Ont un dur labeur,
Infidèles à leurs valeurs
En oiseaux volages,
Qui avec leur attelage
Trahissent leur entourage,
Dans le cortège perfide
De leur intérieur torride,
Où ils effritent
La lettre du corbeau,
Pour dénoncer leur alter-ego
Dans une infamie hypocrite,
Qu'ils échangent en noms d'oiseaux
De prises de bec là-haut,
En oiseaux volages,
Qui malgré leur vieil âge
Se déchirent en vol à la tire
Et en boucs-émissaires,
Qu'ils chargent en sbires
D'exécuter la lettre testamentaire,
Cocus avec leurs femelles dodues
Et férus d'histoires de cul
Avec d'autres partenaires,
A s'en lécher les babines
Et en repassant la bobine,
En oiseaux volages,
Où avec leurs bagages,
Ils partent avec leur nouvelle Eve
Aux rêves
Des romances rencontrées,
Aux endroits idolâtrés
Des contrées dupées,
A la croisée
Entrecroisée
Des oiseaux gais pinsons,
Que demeurent ultra-sont
Les oiseaux volages,
Dans les parages
De la traversée
Du son,
Des oiseaux sauvages
A la fronde démarchée
En tournée.
Jérôme de Mars
Vivre au crochet
Accrochée
Au coup de fil,
La pelote de laine
Est décrochée,
Pour vivre au crochet
Du crochet
Au fil
A en découdre,
Sur le fil
Du rasoir du dé à coudre,
Afin de soudre
Le fil
De pelote de laine,
En bas de laine
Pour vivre au crochet,
Du fil
A Absoudre
Et à dissoudre,
Des crochets
Décrochés
Et accrochés,
Au fil
De laine,
Pour vivre au crochet
Décroché
Et accroché
Au crochet,
Qui défile
En bas de laine
Qui tiennent l'haleine,
A résoudre
Le fil
Des crochets
Sur le fil.
Jérôme de Mars
Citation :
Si on a envie de sodomiser une prostituée, ça coûte la peau des fesses !
Jérôme de Mars
La graisse antique
A la balance antique
De notre poids, on s'en balance
Même qu'elle balance
Toute notre graisse en tics,
Et que ça pique
Du poids de notre fardeau
Dans un bordel de méli-mélo,
Où ce soir, on va manger
Et déguster
Un bon sandwich grec toxique
A La Grèce antique,
En pilier du Colisée
Dans L'Acropole,
Qui demeure la colonne du monopole
Sur le poteau
Du ghetto,
Pour marquer notre territoire
En interrogatoire,
Où nous devons suivre un régime draconien
En pourparlers avec occasionnellement
Un sandwich grec modéré,
Que l'on continuerait
Ponctuellement et partiellement
Dans un lieu empreint,
D'un sérieux de rigueur adjugé
Preneur avec une poignée
De frites accompagnées,
D'un sandwich grec dans La Grèce antique
Que l'on engraisserait en tics,
Au pic du très haut débit
Du volume à double menton proscrit,
Car à l'avenir, le médecin nous préconise prescrit
Par ordonnances, un régime draconien,
Rédigé par écrit
Noir sur blanc
Au crayon gris,
Astreint et restreint
Qu'on peint
De la graisse en tics,
Et qu'on repeint enfin
Dans La Grèce antique,
Nostalgique, d'une ligne élancée
Et lancée
Avec un visage émacié,
Pour demain
Avec la légèreté graciée.
Jérôme de Mars
Citation :
Lorsqu'on est renfermé, la clé de l'énigme, c'est de s'ouvrir aux autres !
Jérôme de Mars
Citation :
Lorsqu'on a un problème en équation avec la peur de l'inconnue , seule la réponse en solution nous rendra l'adéquation en clé de l'énigme !
Jérôme de Mars
Blague :
Comme faire trop de sport diminue la libido, quel sport faut-il faire pour que la libido reste intacte ?
- Il faut faire du sport en chambre !
Jérôme de Mars
Le mobile de l'appel
Immobile, le portable
Reste mobile et importable,
Quand sonne le rappel exportable
Du mobile en appel,
Dont l'objet de l'appel
Semble un mobile fixe
Au téléphone fixe,
Sans fil
Qui perd le fil
Au numéro zéro,
Sur le meuble immobile
Aux ondes mobiles réduites,
A l'exécution d'un faux numéro
De la touche étoile,
A la note salée de bonne facture
Sur la touche dièse.
Jérôme de Mars
Blague :
Quel est le comble pour un agent d'entretien ? - C'est qu'il s'en lave les mains !
Jérôme de Mars
La gerbe
En se roulant dans l'herbe,
On cultive un jardin secret
Défriché en fraîche et innocente gerbe,
Mais qui fane face aux duretés d'âpreté
De la vie qui fout la gerbe,
Dont on gerbe sur l'herbe
Nos détritus obtus,
En héritage d'étrangers intrus
Dans cette humanité délaissée et mal-aimée,
Aux mauvais côtés effrontés et désenchantés
Au pays tant méconnu
Et aux vices
Dévisagés,
Qu'on désire chasser
Pour repêcher
Les vertus
Si reconnus,
Mais en attendant la crue,
Comme une gerbe de fleurs,
On entretient le malheur
Qui nous débecte
En prises de bec,
Toute sa rancoeur
Vile en nausées,
Qui révulsent nos envies cachées,
En s'empêtrant dans un crépuscule
Morbide au fond sans bulles,
En dépréciation sans saveurs
De la vie qui fout la gerbe,
En déroulant la mauvaise herbe,
Où l'on fume de l'herbe,
En gerbes
Qui gerbent
De vertes et de pas mûres,
Dans la déraison qui dénature
Le voile de l'avenir qui augure
Un triste et sombre coin obscur
En gerbe fanée et désincarnée,
Dans le ricochet amoché et écorché
Des cases en moins cochés stéréotypés
Aux parfaits clichés de pauvres tarés,
De gens aux pratiques douteuses
Et à la politique sulfureuse
Qui nous fout la gerbe,
Dont on gerbe sur la gerbe
De la fleur fanée sur l'herbe,
Très en avances sur les trouble-temps
Trépassés d'outrance, écrits d'avances
Avec insistance
Dans un scénario prémonitoire et trépidant,
Où y a de la bile fébrile,
Malhabile qui rhabille
La vie pour l'hiver
A l'enfer de travers,
Où il suffit juste que la gerbe brille
Pour qu'on désherbe le mauvais de la gerbe
Et qu'on roule sur l'herbe,
Génies en herbe,
Aux lumières vives qui scintillent,
En plein dans les années deux mille
En mille
Et une aventures
Superbes.
Jérôme de Mars
Si stations assises
Dans ce paris gagné
En station debout,
Les usagers dévalent les escaliers
Dépourvus de renvois d'ascenseurs,
Avec un billet d'honneur
En billet
Distributeur de pièces détachées
A la machine à café,
A côté d'ici, les machinistes
De La RATP encouragent les artistes
Ambulants qui font la manche,
A jouer avec leur accord la musique
De prodiges en herbe acteurs
Aux talents prometteurs,
Dans le métro de retard qui arrive ok
Et qui rame à la bonne marche au quai
De l'arrêt de chaussée,
Où une fois montés entrain,
Les usagers tout ouïs écoutent en spectateurs
Attentifs et réceptifs avec une poignée sans frein,
La mélodie en accordéons
Accaparée sur le qui-vive d'attention,
Si stations assises
Comme un procédé d'assises,
Quand le métro de retard démarre sur de bons rails,
En trajet aller-retour,
Ni contre, ni pour
Avec les voyageurs sur leur strapontin
En si stations assises,
Qui bouillent porte close
En fleurs immatures pas très écloses,
Dans ce paris gagné
Qui coupe les ponts
Loin D'Avignon,
En si stations assises
Avec une réduction
En remise
D'un ticket modérateur
A point d'heure,
Et à la lueur
Approchant de l'ultime destination,
Lorsque le métro est en train
D'entrevoir le bout du tunnel,
Après six stations assises
Avec une étincelle
Qui ne déraille entrain
Et parvient
Au bout d'un long voyage,
A l'arrêt de chaussée
Du terminus
A l'issue permise,
Où tout le monde descend en ballade
Sur le quai,
OK,
Du fil conducteur
En station debout
De l'élément moteur
De vous à nous,
Dans cette trame ouais
Qui se trame
En d'autres stations debout
En garde-fous,
De tout ce paris en train
D'avoir un métro de retard
Dans la trame ouais
Qui véhicule sur le tard
Les moyens de locomotions phares,
Car le temps s'arrête dans la durée
Qui rame
Et trame
Sur de bons rails
Aux moindres détails,
A l'arrêt de chaussée,
En station debout,
Qui voue
Une profonde fidélité
Avec bagages
Au bout de l'entrain
Du bus.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Ce qui attire les gens, c'est une personne de couleurs et pas quelqu'un de noir !
2) Tous les amis et la famille d'une personne prennent leur distance quand elle va trop loin !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Concernant Dugas, pourquoi connaît-on la chanson quand on ouvre les cartons, qu'on les met à plat et qu'on les jette à la poubelle
?
- Parce-qu'on les jette dans la benne de l'oncle soul ! ( Ben L'Oncle Soul )
2) Que dit-on de quelqu'un comme Alexandre Strub qui a souvent le cigare aux lèvres ?
- Qu'il y a pas de fumée sans feu !
3) Que dit-on d'une femme peintre discrète et froide ?
- Que c'est un mystère de glace !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Quel est le comble pour une personne dont ça lui fait une belle jambe de blesser quelqu'un ?
- Elle fait une entorse à sa conscience !
2) Pourquoi Alexandre Strub n'espère-t-il pas que la petite bande d'amis qui reste ne se fracture de nouveau avec le risque qu'il ne reste personne ?
- Parce-que sinon ça ferait une entorse au règlement des amitiés censés durables !
Jérôme de Mars
On se fait cuisiner !
Venez, on passe à table,
Où l'on mélange les torchons et les serviettes
Avec la nappe en décor,
Pour concocter
Et mijoter
Un succulent repas
Agréable et mémorable,
Où l'on met tout à plat
Et l'on se dore
En passe-plat,
Avec les convives qui semblent dans leur assiette,
Car avant qu'on se fasse cuisiner
A l'étoffée
D'un jambon à l'étouffée,
On traîne des casseroles,
Si bien que quelques minutes plus tôt,
On achète des emplettes
De grande surface en restant dans la fourchette
Des prix modérés,
Aux bricoles frivoles
A préparer
Et à déguster
Dans ce buffet
Peu éclairé
A basse consommation,
Où l'on demeure à couteaux tirés
Sans y aller
Par le dos de la cuillère
A la juste ration,
Avec les affaires
Qui ne paraissent à faire
A couvert
Et à découvert,
Avant le dessert
Qui dessert
Et clôt
Ce banquet,
Avec la cerise sur le gâteau
En bouquet
Final
De ce festival
De mots
Bien placés,
Parfois crus et déplacés,
Entre les gens qui bougent en insanités
Et avec une fervente vanité
Vanille de glace,
A la masse
Et à la ramasse,
Où finalement, les invités exquis
Sont badauds
Et sans acquis,
Sans savoir à qui,
Revient la palme de la personnalité
Qui est une crème,
A qui l'on décerne
Et cerne
Les choux gras qui pressent,
Dans l'éloge de la gentillesse
Et de la délicatesse,
Où l'on est si bien cuisinés
Par le cuistot
A notre service qu'on lui redit merci,
Pour cet inoubliable
Repas au sirop d'érable
Avec une teinte d'ironie
Et de saveurs d'appétit,
Sans grain de folie
Et de sable,
Où l'on perdure insatiable
Et instable,
Avec l'impatience
De connaître la prochaine fois,
Que l'on se remettra
A table
Avec vous affable,
En votre compagnie
De si présente élégance,
Car plus on est de fous, plus on rit
Au régal
Frugal !
Jérôme de Mars
Jazz big bang
Aux cymbales
Du bal du carnaval,
On tape sur les timbales
En tam-tam d'intervalles,
En verres de revers
Aux verts
De pâturage,
Sous l'herbe qui se coupe en douze pieds
En élagage,
Sur les chants de réaction
Du jazz big bang,
Dans le big bang
De la bande
Du big band,
En contrebande
Des gangs
Qui provoquent un tollé
Dans un olé,
D'un taureau qu'on prend par les cornes
Et qui dépasse les bornes
De l'art et de l'image
Du marque-page,
Qui tourne la page
En maître de l'adage
Dans l'amalgame
Des gammes
Over
Au Prévert
De La Saint-Jacques,
Renfermée dans sa coquille
Sur la quille,
Dès que ça jase
En jazz
Big bang,
Dans le big bang
De la contrebande
Des gangs,
En bande
Du big band,
Rétro qui danse
En contredanse,
Les valses qui viennent, endiablées
Au pied du taquet,
Sur la piste survoltée
Du jazz big bang,
En chef-d'orchestre
Très à cheval équestre,
Etoffé dans la loi de l'offre et de la demande,
Où le jazz big bang quémande
En offrandes
Friandes et gourmandes,
Des amendes
Qui mettent le paquet
Mené tambour-battant,
Dans les abattants
Et les battants
De leur eau de toilette,
Qui émiette
Le jazz big bang,
Avec des baguettes
Cafés frappés,
Aux manettes
Des sornettes
En sonnettes,
Qui semblent disette
Dans leurs contresens décapants
Et percutants
En hors-d'oeuvre,
A la manoeuvre
Des cinq éléments
En fragments
Avec des plans sur la comète,
Pourvu qu'on s'y mette
En saynètes
Du jazz big bang,
Rase moquette
Sur les maquettes,
Qui tanguent
Le jazz big bang exsangue
Populaire et salutaire,
A l'effet boomerang
Du big bang
De la planète Terre.
Jérôme de Mars
Personne ne te comprend !
Question de vie
Ou de mort,
Que t'es des remords
Avec des ennuis,
Personne ne te comprend,
T'ignore et te mord
A sang,
En te rejetant
En croque-mort,
Dans un silence indifférent
Et assourdissant,
Qui te méprend
Et te surprend
A tes dépens,
Où le temps se suspend
Dans l'horizon qui te prend
Et te reprend,
Car personne ne te comprend
Dans un boucan
D'un fout le camp,
Où tu descends
Et te tends
A cran,
Dans la ligne du néant,
Quand te vient en tourments,
L'idée que tu te pends
Dans le temps insignifiant,
Car personne ne te comprend
Dans l'océan insolent
De tes mots impertinents,
Où le temps se fait pénitent
Avec toi
Dans un climat
Glaçant et friand
D'un idéal récalcitrant,
Où finalement,
Tu te reprends avenant
En espérant
Qu'avec allant,
A tes instants pressants
Des prochains moments,
Tu reviendras présent
Au présent empressant,
Sans le passé oppressant,
Avec un large sourire prévenant
Rechargeant les batteries
De ta vie
Pour ton retour chez les vivants,
Et c'est là
Que tout le monde te comprendra,
En allant de l'avant
Et en prenant les devants,
Dans une ola
En hip hip hourra
De la nouba,
D'un voici voilà
Aux aléas,
Bien au courant
De la loi
Du temps,
Que personne ne te prendra
Distant
Dans le bon temps.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait une fellation sans effets ?
- Ca mène au casse-pipe !
Jérôme de Mars
Les objets d'occasion
A la fréquence arriviste,
Le hasard
Saisit opportuniste
Les occasions rares,
Qui se présentent
Et qui tentent
D'aller dans les objets d'occasion
Du bazar,
Ce pourquoi les clients épellent
L'objet de leur appel
Pour dénicher les objets d'occasion,
Au rappel
Des reliques de vieilles fonctions,
Dispersées au fond de la cervelle,
Car il arrive peu souvent
Que les acheteurs soient dans le vent
Des nouveaux articles d'application,
Tant que le numérique supplante les obsolètes façons
De s'exprimer, de marcher
Et de chercher
Les objets d'occasion
Avec la même direction,
Alors qu'existe encore la brocante
Des objets d'occasion,
Dont les chineurs font collection
Avec la délectation
D'une magie qui opère et qui incante
Les clients, avec un rappel d'usage
A la raison sage,
En prévisions,
De basculer
Et de modifier
La vision
Des choses,
Anciennes avec une clause
De conscience
Dans la science,
Infuse de l'époque moderne et contemporaine
Des objets d'occasion
En bedaine,
Afin de se mettre à jour
Pour toujours,
En phase avec les objets d'occasion
En provisions.
Jérôme de Mars
Accordéons les violons
Youpi, la fanfare démarre
Au son troubadour du tam-tam
Dans le slam de la trame,
En variations d'étoiles stars
Evasives et fantasques à l'instar,
Quand nous accordéons
Les violons,
Du violoncelle
A celle qui scelle,
Tôt ou tard
Le rideau qui se hisse,
Dans une transparente sève
Du jardin des rêves
Qui se hérisse,
Au naïf mélange mic-mac
Avec un clap de tic tac
Du tac au tac,
Avant l'entracte
Candide du tact au tact
Novice et diplomate,
De l'automate
Intact à la musique mate,
Quand nous accordéons
Les violons,
Entre divagations
Et diversions,
En tableau d'honneur
De nos multiples versions,
En adéquation avec la consécration
Qui met du beurre
Dans les épinards,
De la fanfare
Des sentiments aléatoires,
Oscillant de l'abordable dérisoire
Aux folles histoires,
Apportées musicales
En favorables escales,
Sur le macadam,
D'où l'on tape en percussions
Avec un retentissant ramdam,
En inéluctables répercussions,
Lorsqu'il dame
Le pion
Entre deux chansons,
A l'air pubère
Au fond linéaire,
Quand nous accordéons
Les violons,
Dès le passage
Dix vers et avarié,
En adage
D'un appréciable printemps
Du bon temps,
Indémodable en sifflotant
Avec la réciproque ritournelle,
La vertu du miel
Qui bourdonne en ribambelle
Les belles demoiselles,
D'un air débonnaire
Aux flairs
Grisants,
En un gris gris
Qui brandit le totem plaisant
Et charmant,
Du printemps
Féru et friand,
Renaissant de fleurs
A la liqueur d'ardeur,
Dans la ferveur
D'un idyllique bonheur,
Rabiboché à l'évocation ancrée,
Des souvenirs d'irrévérence singuliers,
Quand nous accordéons
Les violons,
En un don,
Dont nous accordons
En arrangements permanents
Les paroles du soleil doré sur le gazon,
Car gageons qu'il s'éveille de son âge vermeille,
En se roulant sur l'herbe pas mûre
Qui reflète notre honnête nature
En accordéons,
Quand nous accordons
Les violons,
De leurs joyaux loyaux
En cristaux,
En tenant la chandelle
Lors des amours charnels,
Au sempiternel
Couplet perpétuel,
D'untel fusionnel
Echec et mat.
Jérôme de Mars
Conditionnés au pire !
Allez, les gars !
Y a Du gars
Au dépôt,
Des pots
Aux roses
Que livre DUGAS,
Où en cirrhose
Du foie,
Il y aura des dégâts
Dans la sinistrose
D'un manque de foi,
Car les acolytes anonymes
Prennent de la bouteille
Et de l'oseille,
En trinquant au pot
Des authentiques blaireaux
Le nez sur le carreau
A contempler
Et à surplomber
Ce travail
Au détail,
Qui plombe sur la paille
Les victimes
De DUGAS qu'on envenime
Synonymes
D'abîme,
Dans la dîme
Des agents conditionnés
Au pire
Pour le meilleur et pour le rire,
Si bien qu'ils attendent les pains bénis
Des baguettes magiques,
Qu'ils épient
A l'épi
De blé
Rustique,
En pleine campagne, pour faire
Du blé
Au CAT,
Aux doigts d'Orphée
Des petits bijoux
Qui enfilent des perles,
Comme les merles,
Pêle-mêle, de ce trophée
En toc de pacotille,
Où tout part en vrille
Entre les collègues, au CAT,
En conflit de désintérêt,
La tête sur le guidon
Du cachou,
Où parmi les agents,
Certains sont en argent,
Tandis que d'autres demeurent régents,
En dix commandements
S'insurgeant pour un pseudo bon déroulement
Dans l'atelier conditionnement,
Conditionné au pire
En ligne de mire,
Du ridicule plausible
Au pétage de plombs
Des fusibles
Ennemis,
Où peu se lient
Comme de sincères amis
Dans ce vaste champ de bataille
Aux trouvailles
Qu'on entaille,
Et aux retrouvailles
En taille
De bonne impression
En mille-feuilles,
Quand c'est du gâteau
Dans l'îlot ballot
De cet environnement
Idiot,
L'atelier conditionnement
Conditionné au pire,
A vade rétro
Du diable dans la nécro
Rétro,
Dès qu'on se sert des agents
Pigeons
Qu'on vole en antivol,
Car lorsque ça vole
Bas à tous les étages,
Avec aucun renvoi d'ascenseur,
On hurle Messieurs les censeurs
De la soi-disante scrupuleuse direction
En aversion,
Qui nous pompe l'air montée sur ressort
Dont ce n'est guère de votre ressort
Notre sort,
Dès que monte la mayonnaise
En foutaises
Et que ça tourne au vinaigre aigre-doux,
D'un je m'en fous
En général,
De l'état-major amiral
Aux agents au garde à vous,
Mon général,
Dont le bateau amiral
Chavire à-vau-l'eau,
Dans un méli-mélo
Mené et emmêlé
Avec brio,
Dans cet immense fourre-tout,
Où tout fout le camp
Dans le décan
De concentration,
Dépourvu de jus concentrés,
Incités par leurs alter ego,
Déconcentrés et recentrés,
Des Amis De L'atelier
Aux Amis Du Ratelier,
Inégaux,
Dans ce bâtiment,
Où tout le monde ment,
Causant de graves tourments
Dans une hypocrisie,
Sans nom
Avec d'office un non
Et des noms
D'oiseaux,
Car l'atelier conditionnement,
Est devenu la prison
De la santé,
Surtout à la santé
De la direction,
Où se vident
Et se désemplissent
Le moral
Et la morale,
Dans tout
Ce bazar
De bric-à-brac,
Où y a trop de gens
Et d'agents
Qui craquent,
Car le silence est d'or,
La parole est d'argent,
Aux Amis Du Ratelier
Qui se dorent
La pilule en bouffant
Notre santé,
Pour le profit
Et la rentabilité,
Qui restent leur fond
De commerce prospère,
Où ils n'en ont
Que faire
La direction
Version 2017,
Et aversion 7 sur 7,
De la direction
Dans laquelle s'embarque,
Le CAT qui privilégie
Le business asocial
Au détriment
Du social
Et de l'humain,
Dont le CAT perd la main
Et plusieurs cordes
A son arc,
Dans la discorde
Qui cesse le coup de main,
Pour demain
Sans deux mains,
Car la construction
Du bâtiment
Des Amis Du Ratelier,
Semble une façade,
Qu'on en conclut que la fondation
N'est pas terrible,
Du dribble
A la ballade
Des phrases toutes faites,
Où tout le monde tombe aux oubliettes,
Une fois partis
Du CAT,
Dans le néant
De l'indifférence déméritée,
Comme des comètes
Dans ce monde inter pas net,
De l'internet,
Conditionné au pire
Dans la satire du rire,
A l'argent qui coule en bronze,
Et le bronze qui découle d'une main
De fer
Dans cet enfer
Récurrent,
Où un jour prochain,
On sera conditionnés
Dans la pureté
D'un nom de Dieu,
Avec une santé ravivée
Dans un autre monde ailleurs
Au paradis
Des bonnes ondes,
En ronde
Main dans la main,
Au-delà de l'humain,
En gentils anges
Qui s'arrangent
Pour le meilleur
Dans une amitié consolidée
Et renforcée
A votre santé !
Jérôme de Mars
Citations :
1) Un homme égoïste est un différent d'un être humaniste !
2) Les pauvres sont riches d'humanité !
3) Un homme n'est ni tout blanc, ni tout noir, il attend juste que sa vie reprenne des couleurs !
4) De Gaulle disait dans l'ensemble : " En général ! "
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Quelle est la version haineuse de La Saint Valentin ?
- Sein va-t-en tiens !
2) Quel est le comble d'un obsédé sexuel envers sa femme ?
- C'est qu'il pense cocu !
3) Quel est le comble pour un égoïste ? - C'est qu'il s'oublie très vite d'y penser !
4) Pourquoi en France c'est chacun pour soi et dieu pour tous ?
- Parce-que la religion d'état n'a foi en rien !
5) Que dit-on d'un cardiaque qui va à l'essentiel pour trouver un remède à sa pathologie ?
- Il va au coeur du problème !
6) Pourquoi connaît-on la chanson de ma mère qui a frappé ma grand-mère paternelle ?
- Parce-que c'était mamie bleu !
7) Pourquoi papa, ne m'appelles-tu jamais avec ton portable ?
- Parce-que tu perds le fil !
8) Pourquoi papa, ne veux-tu pas que je mange à la fois ( foi ) avec toi et ta compagne au restaurant ?
- Parce-que tu ne mélanges pas les torchons et les serviettes !
9) Pourquoi papa, ne me traites-tu pas comme les autres en faisant des différences avec moi ?
- Parce-que je suis indifférent aux normes et un différent hors-normes !
Jérôme de Mars
Moulin à paroles
Avec les éoliennes,
On brasse du vent
Par le courant renversant
Des persiennes
Qui propagent la lumière
A l'air de l'atmosphère,
Comme un moulin à paroles
En farandole,
A la rose devant
Du vent,
Quand le rideau se lève
Et que le soleil s'élève
A L'Est
De la sève,
Complètement à L'Ouest
Alouette
Pirouette
Cacahuètes,
Comme un moulin à paroles
Qui s'enrôle
Dans le vent
Des rossignols chouettes,
Les oiseaux bavards,
Hagards dans le bazar
De ce bric à brac,
Pris aux devants
Dès que l'entracte
Brasse et embrasse
La masse
Elémentaire des matières premières
Au teint clair
De la chaumière,
Qui manque de tact
Aux irrévocables actes,
Comme un moulin à paroles
Qui fredonne de bémol
En musique à portée
De vent
Devant
La croisée emportée
Qui brasse de l'electricité,
En vastes particules
Des spacieuses péllicules
D'un roman photo
Qui sort l'album recto-verso,
Comme un moulin à paroles
Sur le sol
En feuilles figées
Et crispées
A l'arrachée
De l'air du temps
En élan
De particularité,
Comme un moulin à paroles
Avec parasol
Si près du saule
Rieur de l'arbre planté,
Au-delà les siècles tracés
Et achevés
Au chevet
De la récolte supplantée,
Comme un moulin à paroles
Dans son envol
Paravent.
Jérôme de Mars
La ponte des oeufs
Effet boule de neige,
Il semble enclenché le déluge
Déclenché du terrain glissant dans la luge
Ici-là, le moment favorable de la fonte
Propice des oeufs en neige,
Par éclats volubiles dans leur manège
Enchanté de la ponte
Des oeufs,
Après les matchs de poules,
Oh que oui, cocorico, ma poule,
Car au moins, eux,
Ils naissent et voient le jour
Maboule qui déboule
Avec leurs cartes de séjour
Pour toujours,
Dans l'amour et ses retours,
En accomplissant leur tour,
Et en compte à rebours,
Avant d'être cuits
Comme la cocotte minute,
Où ils bizutent tous azimut
Avec leurs figures renfermées
Sans prendre l'air pour décompresser,
Et la fois d'après, ils viennent décompensés
Avec leur soupape mise à rude épreuve,
Quoi de neuf
Docteur ?
Qui de l'oeuf
Ou de la poule
Refoule
Sur le pont neuf ?
En choisissant la preuve
Par l'image,
Aux dommages des rois mages,
Qu'il vaut mieux têtes de noeuds
Que les oeufs
Rient jaune d'eux
Dans ce monde à faune,
Où eux,
Ils arrivent en parfaits petits poussins
Du pain béni
Et qui s'ensuit,
Dès lors qu'ils mettent la main
A la pâte, un oeuf
Quoi de neuf ?
Quand les oeufs
Grandissent d'oeufs à d'eux,
Par paire deux,
En fonte
Des oeufs
A la ponte
D'eux,
Du coq à l'âne ma poule,
Qui refoule !
Jérôme de Mars
Un pour tous, tous pour un !
En quatre un
Comme un quatrain,
La devise en hymne
D'un meilleur monde
Avec un bon rythme
Serait de rassembler
Tous Les Français,
Dans l'unité
Et la fraternité
De La France,
Avec l'opulence
De la solidarité
Et de se prendre tous
Par la main,
Avec entrain,
En faisant une ronde
En forme de coup de pouce,
Un pour tous,
Tous pour un,
Où l'on repousse
Les gens malfaisants
Et déteints
Dans cette sale atmosphère
Egoïste,
Aux paroles dans l'air
Du temps fumiste,
De cette Terre,
Délétère, terre-à-terre
Et plus bas que terre,
A proximité de l'enfer
De Lucifer,
Où la fin du monde
Se rapproche des mauvaises ondes
Actuelles à la détonation
Imminente
Si près de l'extinction
De l'humanité,
Où le diable nous tente
La guerre
Et l'ange nous intente
Un procès,
Car depuis naguère,
Il n'y a guère
D'appel à la paix
Pour vivre dans un meilleur monde
En ronde,
Qui tourne rond
Dans la sérénité,
Sans l'écoulement
Glauque du sang
Aux visages rubiconds
Des gens indifférents
A la liesse
Populaire
D'une ritournelle belle,
Afin de générer
En ribambelle,
Une union
Au ralliement
Des êtres à la renaissance prospère
De la population,
Où il serait temps
D'une profonde remise en question
Avec la volonté
De kermesse
En signal de détresse
Qui blesse
Et qui attend,
De sorte que l'on se presse
De passer
Aux tresses,
A l'unisson,
Un pour tous,
Tous pour un,
En généreux coup de pouce
Sans chrysanthèmes,
Dans l'emblème
Des rassurants lendemains,
Pour pleins
De t'aime
Réassurants,
Au long temps distant
Dans la durée
De demain.
Jérôme de Mars
Je nique le système !
En requiem
Satanique,
Je nique
Le système
Tant qu'il me tape
Sur les nerfs
Dans la guerre
Du rap
Qui dérape
En bas de thème,
Où je proclame
Je nique le système
En ébats,
D'un bas
D'un je t'aime,
Où il n'y a que des problèmes
Blêmes
Qui traînent dans le zonzon
Obscur
De l'horizon
D'un bloc de mur,
Où tout me soûle
Dans la foule
Car faut rentrer dans le moule
Pour que ça roule
Bien et que ça reste conforme
Dans la forme
Du système,
Que je nique
Et fornique
D'un je m'en foutre
Plein de foutre
A Pornic,
Car je pique
Et je nique
Dans la panique
De la rhétorique
Des chrysanthèmes
Automatiques
De ma politique
Critique
Que je nique
Dans le système
Des roublards,
Vilains petits renards,
Qui dégainent
Les dindons de la farce
En farces et attrapes
Pour dégoupiller le tic-tac
Et que ça pète dans la gueule
Que je dégueule
Bégueule en amuse-gueule
Parmi les attaques
Qui craquent
Dans un sas
De compression,
Où je ressasse
Les mêmes questions
En panique
D'un je nique
Le système
Dans la planète de Mars,
Où je freine ma racaille
Ecrite
Car je m'effrite
Sur la paille,
D'un j'en ai marre
Du système
En sauvageon
De la rébellion
Avec ma rafale de fumigènes
Sans-gêne,
Tandis qu'une fois jeté au mitard,
En sanction
De mon infraction,
Je me fais sauter le caisson
A cran de subir des encaissons
A contusion,
Où je nique
Le système
Et je laisse tomber le flegme
Pour le blasphème,
Vraiment avec l'idée
De me disloquer
Dans ma pierre tombale,
Où je vide mes malles
De mon mal frontal et fatal
A l'ultime
Fin brutale
Qui m'anime unanime,
Dès lors que les cieux me laissent songeur
Et rêveur d'un autre monde meilleur
Que Sur Terre,
A la lumière
D'un ailleurs
Nulle part ailleurs,
Où je nique
Le système
A la condition
Mécanique
Que le thème porteur
Bifurque en un je t'aime
Au sujet
Achevé
Et expéditeur
Vers la paix intérieure.
Jérôme de Mars
On travaille !
En cheval de bataille,
On travaille
Dans le sérail
De la volaille,
Maille que maille
Pour gagner notre paille
Qui caille
Vaille que vaille
A la sueur de notre front qui vaille,
Et qu'on assaille
Aux mailles
De nos entrailles,
A la taille
De nos tenailles,
Où l'on va avec notre émail
Au travail,
De sorte de ne pas devenir un sans-dent aux failles
Qui baillent
Aux corneilles de l'éventail,
Où l'on passe le moindre détail
Dans la pagaille,
Où l'on travaille
Dans la volaille
Vaille que vaille,
Aux mailles
Qui vaillent
Maille que maille,
Si bien que dans un aïe
On sent l'ail,
Où que l'on aille
Dès la juste trouvaille
Vaille que vaille,
Où l'on travaille
Tant bien que maille
Avec âme qui vaille
En cheval de bataille,
Sur le rail
D'un renouvellement de bail
Pour un bail
En good bye.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi personne ne vient chez moi ?
- Parce-que je subis des déconvenues !
2) Pourquoi personne ne m'appelle avec son portable ?
- Parce-que tout le monde perd le fil !
3) Pourquoi à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, l'ambiance est-elle suicidaire ?
- Parce-que tout le monde est à couteaux tirés !
4) Pourquoi ai-je fait du vide parmi ma famille et mes amis ?
- Parce-que je ne contiens pas ma colère et ma haine !
5) Pourquoi faut-il que ce soit Marine Le Pen qui soit élue présidente de La France cette année car La France est une poubelle ?
- Parce-que La France a la fièvre au front et que Marine Le Pen monte au front parmi les ordures !
6) Pourquoi Les Français s'en foutent-ils de tout et de tout le monde ?
- Parce-qu'ils font l'indifférence avec les autres !
Jérôme de Mars
Oui-clos
Dans le déni
Des non-dits,
Choses tabous
D'où l'on est à bout,
Nous demeurons à oui-clos
Des vases clos
Communicants
Avec une rafale massive
De boucan
Qui crève les tympans,
En lettre missive
Vers notre direction
Dans le ni-oui
Ni-non,
Des coeurs écoeurés
En aversion
Avec rancune et infortune
A la une
En version
Des péchés
Sanglants
A blanc,
Où l'on ne sait
Si l'on fait semblant
Dans l'océan alarmant
Au vide néant,
Récalcitrant de la rancoeur
Haut les coeurs
En nausée
A cran
D'abcès,
Qui saigne
Comme une teigne
Décompensée,
Sans un peigne
Pour nous recoiffer
Avec l'élégance
Des dimanches endimanchés
A l'essence
D'une existence
En dynamique revigorée,
Qui sent bon
La naphtaline de maintenant,
Car ça fait trop longtemps
Que traîne
En simulacre de sentence
Cette chienne de vie
Qui déchaîne
A sang,
Les oublis
Et les absences,
Dont nous sommes les victimes
Et les incompris
Dans une hypocrisie
Enfouie
Qui s'envenime
Au puits
De notre inconscient,
Où ça ne semble
Une science exacte
Dans l'ensemble
Ric rac
Avant l'entracte,
Afin que l'on exulte
A bon escient
Sans tumulte
En dépassant l'impact
Qui percute
Le oui-clos,
Si bien que ça se répercute
A huis-clos,
Mais pour éviter
Un accroc
En uppercut,
Il vaut mieux en inversion
Que ça permute
Dans un eldorado,
Où il ne paraîtra trop tôt
Que ce fardeau
Fasse dodo,
Car ainsi, renaîtront les idéaux
Que l'on brandira sur le dos
Avec comme gros lot,
Un imprévisible cadeau,
Ravivé et galvanisé
Grâce aux paris gagnés,
Sur le troc à D'Eros
D'une vie en rose
Avec brio.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Un chef gastronomique, coupable d'un délit, se fait cuisiner par la justice !
2) Un homme déboussolé ne sait quelle direction prendre !
3) Un peintre montre toute la palette de ses différentes facettes !
4) Un dessinateur a un motif valable d'exprimer son art !
Jérôme de Mars
Putain d'injustice
Que Dieu nous bénisse
Ou nous sévisse,
La vie et ses vices
Semblent sévices
Perpétuelles qui n'en finissent
De pleuvoir en abreuvoir,
En pleurant avec nos mouchoirs
De poche comme un mouroir
Dans ce défouloir qui en fait voir
De toutes les couleurs à en choir
Et à en déchoir
Dans une sinistre histoire
En putain d'injustice,
Où l'on attend l'armistice
Pour chasser la milice
Et se rapprocher avec malice
D'un essentiel délice
Edulcoré par la légitime politique,
Aux idéaux
Des cantiques sémantiques
Tellement qu'on a besoin de rêves romantiques
A l'apogée dithyrambique,
Afin que cette putain d'injustice
Particulière tombe aux arrêts de la police
Tant et si bien, que cette putain d'injustice
Se conforme en parfaite injonction réparatrice
Amatrice d'une réhabilitation fédératrice
A l'achèvement lisse.
Jérôme de Mars
Le renard futé
Dans ce vieux canard,
L'article affûté
Recèle la main de maître
D'un renard
Futé et réfuté
Par son expérience de traître,
Qui rend chèvres les boucs
Des campagnes étroites et ploucs
Comme un jeu ludique
En rase campagne politique
De la ville sur le terrain,
En façade utopique
Qui marche au crottin
De chavignol
En fêtes de villages farandoles
Avec des fortes et des grosses têtes
En solides athlètes sveltes,
Aux pointus cerveaux
Elevés à la hauteur d'un très inaccessible
Niveau largement au-dessus de zéro
D'altitude dans leurs grades
De renard futés,
Affûtés et réfutés
En rad
Montés si loin sur l'escabeau invisible
Percutant le point flexible
De la randonnée impossible,
Quand les fusibles
Sautent avec la corde raide et sensible,
Elimée par l'élastique frénétique,
Tiré à l'usure chronique
Et sotte qui craque
Patraque en tic-tac,
Comme un renard futé,
Affûté et réfuté
Aux refus débutés,
Butés et rebutés
Sur le fil à l'arrachée
Réputé consommé
Et consumé
A l'excès député.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Un gars qui se dope au négatif, s'il se fait contrôler, il sera positif !
2) Les épreuves de la vie nous mettent enjeu !
Jérôme de Mars
Pardon, cher Christophe !
D'hier à aujourd'hui,
Parfois,
Je t'apostrophe
Cher Christophe,
Alors, j'ouvre les strophes
Cher Christophe,
Pour te dire
Sans médire,
Que je t'apprécie
Beaucoup car tu demeures
Avec fervente valeur,
Un brillant ami,
Avec de la vie,
Et quelquefois
Des ennuis
Et des tensions
Dans notre amitié contrariée,
Où j'essaie tout de même
Malgré mes problèmes
De faire attention
A notre relation
Amicale,
Même si ça m'arrive
Avec ma maladresse
Vive
De te souffler
Des maux qui te blessent
Dérivant en catastrophes,
Où je te demande
En offrande
Pardon, cher Christophe,
A mon affront
Dont je t'ai fait front
Hier à la lisière
Du dépassement de la frontière,
Où je te demande
En offrande
Pardon, cher Christophe,
Afin que notre amitié
Ne vole en guerre
Des âmes damnées,
Usées et consumées
Par les déconvenues et les camouflets,
Où je te demande
En offrande
Pardon, cher Christophe,
De sorte d'oeuvrer
En une réconciliation
Durable
Au sirop d'érable
A table affable
De cette fable aimable,
Où je m'adresse
Cette fois
A toi
Avec adresse,
Même si toi,
Tu connais mon adresse,
Où tu restes un excellent ami,
Bien au-delà
Des rics-racs
Et des aléas
Quand je craque
En inepties,
Sache que je serai toujours là
Pour toi,
Mon ami
A l'infini de la vie,
Sans hypocrisie
Sur le chemin des péripéties
Aux imprévus de la vie,
Cher Christophe,
Mon cher meilleur ami,
De toute notre amitié limitrophe.
Jérôme de Mars
Bonjour, chère Céline
Bonjour,
Chère Céline,
Dans le superbe jour
Que fleurissent les églantines
Il fait beau
Pour toujours
Aujourd'hui,
Avec de l'accalmie
Sans gros mots
Dans ce monde,
Que j'espère
A l'atmosphère
Plus ronde
Et féconde,
Pour respirer du bon air
Sur La Terre,
Avant que nous bouffent les vers
Poétiques à taire,
Je t'embrasse
Céline, et je brasse
Du vent
Sur le temps distant,
Cap vers l'allant
De l'avant.
Jérôme de Mars
Les vers du poète
Comme un poète,
On me tire les vers du nez
Rimés à l'art obsolète
Du sujet abordé avec la délicatesse
De la douce poésie en puissante tendresse,
Dont l'objet semble appointé
Et pointé du doigt
Comme il se doit dans la joie,
Quand les idées me tirent
Les vers du nez avortés
Dans la ligne de mire
De sa réciprocité,
Lorsque la proximité
S'opère dans la mixité
Des fioritures de l'envers du décor
En un accord
Au quai du ok,
Dès que le puits à provisions
Vide son robinet
En coulant d'opérations
En réparations
Dans un vivier
De haut tiède,
Si bien que par conséquent,
Le talent fréquent
Et raide
Distribue des phrases recto-verso
Au verseau des mots vers sots
A trémolos à voguer sur l'eau
Téméraire aux extraits linéaires,
A tanguer intrépides sur le bateau imaginaire,
Aux sentiers de l'apologie
A la gloire embellie
D'un do ré mi
En mie adorée
Avec du pain béni
Et perdu
En sucré salé
Aux justes attributs,
Des vers du nez
Qu'on me tire
Dans la ligne de mire
Des jeux de mots
Méli-mélo,
En stand-bye
Qui baille
Truffé et ponctué
En vide d'encre sur la jetée.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Les membres du personnel du CMP de Vitry Sur Seine sont-ils agressifs avec leurs patients ?
- Parce-qu'ils nous font subir un mauvais traitement !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Quel est le comble pour un batteur ?
- Que la musique ait des répercussions dans sa vie !
2) Que dit-on d'une femme venant des îles qui est un véritable garçon manqué sulfureux ayant des enfants ?
- C'est une outre-mère !
3) Qu'est-ce-que ça fera pour toi si un juif et un chrétien te donnent un livre de religions à toi, Le Musulman ?
- Torah la bible du Coran !
4) Pourquoi suis-je renfermé avec tout le monde ?
- Parce-que je ne trouve pas la clé de l'énigme pour être ouvert !
5) Qu'est-ce-que ça fait pour un pédophile de toucher à un gosse ?
- C'est un jeu d'enfant !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Alexandre et Guillaume ont-ils du mal à croire en Dieu ?
- Parce-qu'ils ne sont pas témoins de Jéhovah !
2) Pourquoi à L'Esat de Vitry, les collègues ne me parlent-ils jamais ou mal car je ne suis pas assez vivant et pourquoi ne peuvent-ils pas me voir en peinture et s'en foutent de moi car ils me trouvent bizarre ?
- Parce-que je suis une nature morte !
3) Pourquoi Catherine ne veut-elle pas peindre mon autoportrait comme je ne suis pas assez vivant ?
- Parce-que je suis une nature morte !
Jérôme de Mars
Aux couleurs d'une communion optimiste
A l'avènement de l'élan,
L'arc en ciel diffus
Se propage à l'affût
Et se mue en printemps
En errant
Dans le hasard des faux-fuyants
Hauts dans le vent
Dans la symbiose d'un événement,
Qui engendre un ralliement dépaysant
Aux couleurs d'une communion optimiste,
Ministre du soleil altruiste
Avec la nature art bouddhiste
De l'union sacrée arc bouddhiste
En dressant la liste,
De l'état de la planète surréaliste
De l'arc en ciel
A l'arche de Noë
Des animaux de La Mer Egée,
En un tour de manivelle
En bas de l'échelle
Qui embaume
De fraîcheur
Le baume
Au coeur
Aux couleurs d'une communion optimiste,
Dès le songe des passants
De la rue en mouvement
Aux conséquences pacifistes
Dans un arrangement conciliant
Et pèlerin
Pour fort longtemps,
A la croisée des mains courantes
En croisade d'un bain de foule
A la folie des grandeurs
Liantes et ardentes
D'une quantité d'âmes soeurs,
A l'environnement
Qui roule
Aux couleurs d'une communion optimiste
De l'apothéose très idéaliste
Après-demain.
Jérôme de Mars
Trouver une date
Cher Serge, c'est Jérôme
Avec l'arôme
Qui t'envoie ce message
En mets sage
Car moi et mes amis
Nous aimerions trouver
Une date
Pour faire un restaurant
Avec toi
Dans un climat bien portant
Avec un régal des rois
De sorte à récolter la datte
Du fruit
De ta fidélité
Envers nous
Avec gourmandise
Qu'on se le dise
A l'appétit en vie
Car plus on est de fous,
Plus on rit
Avec moi,
Adel, Alexandre et Guillaume
Sans oublier
Brigitte,
Même si mon amitié
Avec Brigitte s'effrite
Car elle m'oublie
Sans m'envoyer
De sms
Pour prendre de mes nouvelles
Aux plurielles
Balèzes
Et ne me sollicite
Pour la voir,
Et pour boire
Un coup
A moindre coût
Même s'il y a des déboires
En pourboire,
En attendant que tu cueilles,
Et tu recueilles
Ce poème
En emblème
De mon profond malaise
Mal à l'aise
Dans cet écueil
Sur ce mille-feuilles
Que je t'envoie
De ma feuille
Morte et monotone
En autochtone
Qui n'est
Du gâteau
Dans ce très haut niveau
A vau-l'eau
Que prend forme
Cet allure de recueil,
Je reste conforme
A une soirée
Endiablée
Entre amis
Pour oublier
Juste un soir
Les ennuis
De la vie
Où si on arrive
A se réunir
Tous
D'un simple coup de pouce
Vivement que ce plaisir
A venir et en devenir
Aillle sur la rive
Pour prendre l'air
De la mer
Comme dans un aérodrome
Dans le dôme
D'un gentil pot aux roses
D'une vie en rose
Qu'on arrose
En trinquant du pot
De nos verres
Comme ça, il fera beau
Dès que toi Serge, tu nous diras
Malgré les aléas,
Tes moments disponibles,
Avec la date, le jour
Et l'heure en retour
De futures retrouvailles
En trouvant le point sensible
D'un lieu
Favorable
Pour se retrouver
A table
Au milieu des bleus
De l'âme
De cette vie infâme
Où au plus profond
De nos entrailles
On murmurera
Vivement qu'on se revoit
Avec la voix
Avant que pètent les fusibles
D'un au revoir
Extensible.
Jérôme de Mars
Citation :
Un cordonnier qui rencontre l'amour avec une femme, trouve chaussure à son pied !
Jérôme de Mars
Rien à foutre !
La vie est un vieux loup solitaire,
Où quiconque ne reste solidaire
Sous prétexte
Que demeure le chacun pour soi
En l'état du contexte,
Alors que personne ne paraît heureux
Même s'ils semblent quelque peu pieux
Faute de mieux
Depuis les aïeux,
Où j'en ai rien à foutre
Des pseudos histoires
De piliers de comptoirs
Au café du commerce
Dans lequel ils s'exercent
Les culs emplis de foutre
Sur la poutre,
Où j'en ai rien à foutre
Que tout aille se faire foutre
De l'espace public
A sens unique,
Car je nique
Le système
A bas de t'aime,
Où respirent les chrysanthèmes
Au thème post-mortem
Comme j'en ai rien à foutre
En sombre loutre
Assez patibulaire
Aux effets lapidaires
Du fond sous terre,
Où je préfère me taire
De mon paradis d'enfer,
Car j'en ai rien à foutre
Des vautours d'un je m'en foutiste
En sinistre clown triste
Qui n'a plus rien à perdre et à foutre
De tout,
En atout d'un tout
A contre coût
De cet itinéraire
Aux quatre cent coups
Aléatoires,
Où j'en ai rien à foutre
D'en découdre
Avec le diable
Qui se mêle au grain de sable
Poil à gratter
A s'encroûter
Dans un méli-mélo,
Qui coule dans l'eau
Aride en pourboire
Mais humide en déboires,
Où j'en ai plus rien à foutre
De foutre
Linéaire
En zone protocolaire,
Dès lors que je m'enrôle
Dans la geôle
Bipolaire
Du froid polaire
En route vers la frontière
Irrationnelle de la logique
Dans toute sa clique,
Que je nique
En panique satanique
Sur le clic
Du déclic
D'un je m'en foutre
En pilier de la poutre
Sur le fil du rasoir
Au dénouement prémonitoire,
Où tout s'achève dans un climat noir
Et téméraire
Du dernier souffle oratoire
A l'au-delà divinatoire.
Jérôme de Mars
Comme à la maison
Le matin, le midi et le soir
C'est la routine,
Où chaque jour reste une histoire
Que l'on vit et baratine
Comme à la maison
Le beurre sur les tartines
Etalées avec déraison,
Pour braver le froid
Et le chaud
Sans être faux
En porte-à-faux
Avec l'épine
Du fardeau
De notre poids
Que l'on porte
A bout de bras
Dans un chemin de croix
Comme à la maison,
Car l'on joint l'utile
Et l'on rejoint le futile
En respirant à pleins poumons
Nos événements et nos aléas
De notre vie étapes par étapes
Comme à la maison,
Où avec nos amis et notre famille
On fait des tapes
Amicales sur le dos
Pour démontrer notre affection
Qu'on leur porte
Leur emporte
Avec vibrations
Et qu'on leur déborde
En horde
En mouvements d'impulsion
Dus à nos troubles d'affection
Avec la réflexion
En inflexion
Comme à la maison,
Où l'on sourit
Et l'on rit
A s'attacher,
A nouer,
Et à se lier
Avec nos amis
Et notre famille,
Où l'on a besoin de relations
Afin de combler nos questions
En résolution
De la solution
A nos moments de solitude
Comme à la maison,
Où l'on change d'attitude
Par rapport au travail
De sorte de ne pas se retrouver
Sur la paille
Du sérail
Au fond de nos entrailles,
Où l'on veut
De nos voeux pieux
De la béatitude
A la dureté
De la société
Qui monte haut en altitude,
Où l'on désire
Avec des dires agir
Afin de récolter
Et de ramasser
Beaucoup de moissons d'exaltation
Comme à la maison
Au bon coin d'une cheminée
D'un chemin né
Au jour prochain,
Où l'on s'éteint
Dans le teint
De nos vieux souvenirs
A s'évanouir
Dès l'éternité
De la postérité
A en finir
Comme à la maison,
Où l'on referme la porte
En conclusion.
Jérôme de Mars
Bas de gamme
Sur une note apportée
De piano à portée
Musicale en clé de sole,
La mélodie en complainte
Fredonne sur le sol
Sa digne révérence en empreinte,
Enceinte et bas de gamme
De sa frénésie qui s'enflamme
Dans les fameuses rhétoriques,
De la théorie à la pratique
En anicroches
De ritournelles
Qui clochent
Entre parenthèses charnelles,
Qui donnent des frissons
En chansons
Sur le do ré mi fa sol
Qui déboussole
Le bas de gamme
Du tram à la trame
Où au bout de ses dix doigts d'orfèvre,
La dynamique trouble sa rythmique
Avec l'or en fièvre
Qui frappent en dix tours de clique,
Aux clics et aux déclics
De son bras
Long en talent de moussaillons
Qui fixe le cap à suivre
En capitaine qui essuie les cuivres
Et les plâtres
Avec les mains acariâtres,
Dans sa folie créatrice
A l'égérie inspiratrice
Où du bas de gamme
En petits grammes,
La musique folklorique
Se dit
Si si inspiratrice,
Quand elle valdingue
Frappa-dingue
En refermant ses cicatrices,
Dès l'édifice
En partitions
Et sans artifices
En perdition,
Où le piano bas de gamme
Avec ses hologrammes
Se hisse
En note salée
Dans sa tasse de thé
Au salon
Des paroles sucrées
Aux si grandes voies suaves
D'un très haut accent slave
Emparé
Et paré
Sur un autre ton,
Juste et vrai
Sans fausse note
Avec doigté
D'un bas de gamme
Au mélodrame
En cote
Mélancomique.
Jérôme de Mars
L'arbre qui cache la forêt
Sous la couche d'ozone
Au milieu de la zone,
Les oiseaux scient
Leurs branches
Assis en fonctionnant
Avec des si
Par le battement
De leurs ailes
Plurielles à tire-d'aile,
Qui débranche
Et flanche
Leurs moineaux
Dans le ghetto
A contrario,
Juchés sur l'arbre
Qui cache la forêt
En ras de marais
D'un élevage volage
En rodage
De cette forêt
A la nature sauvage,
Où elle demeure incertaine
Et inhumaine
Dans cette faune décriée
Et cette flore pas sage
Avec le roi lion
Dans la loi du talion,
A reculons
Et en crispations
De cette forêt controversée
En paraître
Des bêtes à paître
Dans les sentiers
Et les allées
Des buissons,
Où le monde animal
Des mâles
Aux femelles
Ebruite des ragots
Avec les demoiselles
A tire-larigot,
Jacasse et bécasse
Dans un casse
Sur la forêt asociale
En vagabondages,
Car elle flâne
Dans les parages
De l'arbre
Qui cache la forêt
Et qui fane,
Dès le brame
Du cerf au bois
De l'état sauvage
Sur la rame
Du drame
En veuvage
Des parois
Du roi,
Aux frontières
Du centre terre
A la lisière
D'une meilleure atmosphère
A la liberté extraordinaire.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on d'un matou qui a d'autres priorités que sa petite personne ?
- Il a d'autres chats à fouetter !
Jérôme de Mars
Pour les amis et la famille
Je voudrais bien venir
Avec plaisir
Et descendre
Pour me rendre
A vos rendez-vous
Les amis
Et la famille
Pour rire
Et sourire
Dans la folie
Comme des insouciants
Qui savourent ce moment
Où l'on joue dans le doux
D'un gentil fourre-tout
A s'amuser de tout
Afin de retrouver à pas d'heure
Le bonheur et l'honneur
Des jours d'avant
De sorte que tout ce bordel
Se dénoue
Dans une radieuse ribambelle
Et que la vie, on se la refasse
Tous belle
En grande surface
De l'hiver au printemps
Après tous ces tourments
Précaires pour passer à un soleil
Puissant et éblouissant
Prospère sur La Terre
Avec les amis
Et la famille
Pour la vie
Dans la nouba
De la joie.
Jérôme de Mars
On récolte ce que l'on s'aime !
Dans le vent de la révolte
Crispée par les sobriquets désinvoltes,
On allume les briquets en volt
Car tôt ou tard, à l'heure du jugement dernier,
On récolte ce que l'on sème
En requiem de nos blasphèmes,
Marqués par des destins à problèmes
Dérangés du vide-grenier
Jusqu'à nos deniers,
En fatales troubles-temps,
Où l'on est blêmes
Dans un torrent de tourments
En une colère froide de l'emblème
Qui nous fourvoie dans le déluge
Du grabuge, où l'on gruge
Le printemps pour l'hiver
Avec des choses à l'envers
Des principes de bon sens,
Tant et si bien que l'on atterrit dans le subterfuge
Des manières de travers
Que l'on encense
En y trouvant refuge
A tirs de revolver,
Excessifs, à la moindre mesure
Que notre aversion
Prend dans la mouture remaniée la version
Définitive d'un excellent scénario
A contrario de si grand brio,
Que l'on joue les acteurs de Caliméro
En sauvageons de gros mots,
Où avec mimétisme, on parodie
Dans un numéro inédit,
Les invétérés durs à cuire
De cire et de cuir,
Où un jour ou l'autre, on récolte
Ce que l'on s'aime
Si on bécote
Le privilège
En lieu et place du sacrilège,
Aux abords d'une meilleure vie
Sans sortilèges,
Avec un été qui allège
Notre fin de bonne facture
Classique pour terminer la peinture
De notre nature en haut d'une inabordable villégiature
Aux conséquences d'aventures en envergure.
Jérôme de Mars
La copie ne vaut pas l'original !
Dans les annales
A l'écrit verbal,
La copie
Ne vaut pas l'original
Par dépit
De la pie
Qui bécasse
Et qui casse
L'épi
De blé,
Qui épie
En grand nombre le pi
De pis en pis
Les années passées
De vaches maigres
Qui tournent au vinaigre
Aigre-doux
Dans le flou,
Amadoué
Du verbe
Acerbe
Qu'on exacerbe
De la verve
Douée
Qu'on se réserve,
De puiser
Et d'épuiser
D'un tant pis
Car la copie
Ne vaut pas l'original
En répit
D'un que dalle
Sur la dalle.
Jérôme de Mars
A voir
Dans cette histoire,
Il y a à manger et à boire
Pour boire
En pourboire
Malgré les déboires,
Où c'est à voir
Et à revoir
D'avoir
En purgatoire
Tout ce répertoire
Du terroir,
Où pour y voir
Plus clair, c'est secret d'y voir
Sur la côte en période noire,
Où il faut déchoir
Et choir
Son irrationalité du soir
Pour colorer la tonalité d'abattoir
En une belle échappatoire
A voir
Dans un réservoir
D'avoir.
Jérôme de Mars
En rogne !
Sans vergogne
Telle une cigogne,
Je cogne
En rogne,
Où faut que j'honore
Dès les aurores
Ma sale besogne,
Où je cogne
En rogne
Sans vergogne
Tous mes envols
De rossignols,
Où je fais le mariole
En pastiche d'un guignol,
Où en rogne
Je cogne
Les cigognes
En oiseaux de mauvaises augures
Qui dénaturent
Mes vers de rage
Impurs dans leurs vilaines aventures
Dont je n'ai cure,
Quand je dépasse les bornes
Borné comme du carbone
14 dans l'histoire antique
Des pyramides D'Egypte,
Où je décrypte
En pharaon
Les images
d'hiéroglyphes
De cette écriture
Que je déchiffre
Comme marque de griffe
A cette gifle
D'intemporel vide-ordures,
Que je cogne
En rogne,
Où en cure,
Je finis fanfaron
Dans une crypte
En tic
Tac
De foule contact
Au contact
D'impact
En villégiature.
Jérôme de Mars
La planète de Mars
La tête dans les comètes
Sur la planète
De Mars
Au mois de Mars,
L'ovni Jérôme de Mars
Mange un Mars
Et ça repart
Au tintamarre
D'il y en a marre
Dans la galaxie
En furie,
Qui fuse
En fusées
De départs
Diffusés
En des parts
Amusés et survoltés
Dans la galerie
En ruse,
Déjouée avec habileté
A la bonne adresse
Qui se laisse
Porter par la rime de l'aise majesté
Sur la planète de Mars
Quand Jérôme
De Mars respire l'arôme
Et que ça repart
Pour une imminente traversée
Sur la voie lactée,
Tous à L'Ouest
A distance de L'Everest
De loin à soulever des montagnes
De La Plagne
Les pieds sur Terre
Au voyage itinéraire
A destination
Et en rotation
De la planète Mars,
Sur la planète
De Jérôme de Mars
Plate et pas nette
Comme l'internet
De la tête dans les comètes,
De l'ovni extraterrestre
Jérôme de Mars
Sur Mars
En un oui équestre
Très à cheval
Sur Le Val De Mars,
En clé contact
Sur le pacte compacte.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi avec les prostituées, n'y a-t-il pas de service après-vente ?
- Parce-qu'il y a service trois pièces !
J
érôme de Mars
Le maître d'oeuvre
Au coeur de l'ouvrage
A l'attelage d'un vaste chantier
D'un immense vécu à différents virages,
Les expériences se picorent par petites gorgées
Des progrès
Aux épreuves qui grandissent l'homme
Et s'ajoutent en somme pour sa pomme
A l'élever en disciple comme le maître d'oeuvre,
Dont il est le chef-d'oeuvre
De son chemin nourri par les hors-d'oeuvre,
S'il oeuvre à avaler des couleuvres
En peau de chagrin ravalées par les pieuvres
De son mal de mer réciproque quand ses larmes pleuvent,
Torrentielles et diluviennes qu'elles viennent et reviennent
De La Vienne de manière à ce qu'à la prochaine,
Il reste le maître d'oeuvre
De l'écriture pieuse de son chef-d'oeuvre
Mystique avec les hors-d'oeuvre
En amuse-gueule
Pour amuser les gueules bégueules
Qui dégueulent
Tout leur ravalement de couleuvres,
Dont ils demeurent les garants avec l'aval des pieuvres
Qui vont de paire bien ensemble, du maître d'oeuvre
Aux hors-d'oeuvre,
En parfait résumé de chef-d'oeuvre de main de maître,
Où les uns et les autres se prennent en traîtres
Dans cette traite
Qui bat en retraite,
Où l'homme suprême
Garde son totem
En précieux sésame
Pour déchiffrer le message secret
En résolution d'une bonne année
A passer en réclame
De porte-parole distributeur de farandole
Comme à Venise, où les gondoles
Se gondolent avec les éclats enrobés de lucioles,
En maîtres-d'oeuvre
De chefs-d'oeuvre
Sempiternels attribués
Avec les hors-d'oeuvre
A la buée de la postérité renversée
Des Dieux versets
De la manoeuvre.
Jérôme de Mars
Pas de nuages à l'horizon !
Comme une balance,
On pèse le pour et le contre
En décisives rencontres
Dans les modernes tendances,
Où y a pas de nuages à l'horizon,
Même en vibrations,
Qu'on se raconte de fausses excuses
En servant d'alibi qu'on récuse
Sur la pointe des pieds
Dans une marche en dextérité
Aux piques des hypocrites en sourdine
Qui cachent leurs bobines,
Si bien qu'ils embobinent
Avec les gènes de leurs hémoglobines,
Où ils binent
Et débinent
Avec leur satire critique
L'ensemble de leurs aînés
Peu cultivés dans un tas de quolibets,
Dans une perfide technique
Genre y a pas de nuages à l'horizon,
Comme on s'en balance,
Qu'on se balance
Et qu'on s'élance
Dans un concours d'improvisation
A refaire le monde
Sur des élucubrations,
En vaines hypothèses qu'on fronde
Au front des insanités
Et des vanités balancés à volonté
Qui bouffent avec crudité
Les modestes personnes lambda,
Dans une lambada
En contredanse, où le temps
De maintenant
Persiste cynique
Et rustique,
En paradoxes, car y a pas de nuages à l'horizon
Dès la floraison
Des semaines hautaines
De la nature humaine
A toutes les saisons
En rébellion.
Jérôme de Mars
Le soleil laisse tomber la nuit
O' soleil
Par la parcelle
De ta lueur d'espoir,
Ton rayon d'ombrelle
Roule à la vitesse échappatoire
Qui gravit l'échelle
Du soleil vermeil,
Vieillissant et riant jaune
Dans le ciel aphone
Dépourvu d'oseille
Qui fuit les rêves,
Dès que le soleil
S'achève de sa sève
Et laisse tomber
La nuit
D'un oui inouï
En une nuit
Au visage de relique,
Ensevelie dans un crépuscule cyclique
Du lever de soleil
Au coucher d'un laisser-tomber
Au secret absolu,
Où le soleil
Laisse tomber la nuit
A la nue
Des nuages éperdus,
Perdus dans la tribu
D'une nuit fourbue
A la rue
Par la faute de la nuit
Qui ruisselle
D'un tonnerre de crécelle
Le soleil,
Où la vaisselle
De porcelaine
Casse sa bedaine
Et ses bouts de ficelle
D'un non en oui
De la nuit
Qui se rabiboche avec le soleil,
Quand la nuit
Se tombe en soleil
Du coucher au lever
En un jour enjoué
De merveilles
Parmi les ritournelles intemporelles.
Jérôme de Mars
Prendre du recul en allant de l'avant !
En arrière
Et en avant,
Il faut toujours prendre
Et surprendre
Les devants
En allant avec recul
Sans calcul
Et sans recul
Même si on reste derrière,
Car malgré les oeillères
Il y a des émules,
Où il faut franchir les barrières
Pour enlever les ornières
Et garder un allant d'avant,
Où il faut prendre
Et répandre
Du recul
En allant de l'avant
Minuscule
Et en assurant ses arrières
Qui adulent
En prenant désormais les devants
Funambules
Avec peu de recul
Somnambule
En arrière
Et derrière
Pour rester devant
Conciliabule
Avec un allant d'avant,
Où il faut dorénavant
Prendre
Et détendre
Du recul
En allant de l'avant
Jusqu'au crépuscule
De L'Avent
Paravent.
Jérôme de Mars
Citation :
Ca fait très longtemps que Georges Brassens est parti en fumée en cassant sa pipe !
Jérôme de Mars
Le temps s'arrête dans la durée !
Dès le temps imparti en marche,
Le sablier écoule ses secondes
Endurées dans une juste démarche
De mouvements à la minute
Pour protéger la cocotte minute,
Afin qu'elle seconde
A la ronde
Le temps en partie responsable
D'être coupable
D'innocence en encens
Qui encense
Les ententes cordiales viables,
Sourdes aux miracles instables
Des secondes à la minute
Qui coulent en large éventail
Au moindre détail
De l'air du temps
Moderne et populaire qui permute
Les aiguilles de l'horloge
En remettant de l'éloge
A la loge les pendules
A l'heure du matin au crépuscule,
Quand le temps parti semble à un tournant
Au virage du carambolage
Des embouteillages à l'abordage
Qui poussent le bouchon
Trop loin sur le sillon
De la circulation en rongeant le frein
Des routes vers l'avant
Pour assurer leurs arrières,
Lorsque le sablier donne du grain
A moudre dans le sable du vent
Des quatre points cardinaux
A l'espace temps des horizons originaux
Aux signaux qui insufflent le souffle de l'élan
Des destinations en éruditions,
Où le temps s'arrête dans la durée
En stop
Du temps non-stop
A la croisée
Du temps départi
Au sablier désempli
En provisions écoulées,
V'lan la direction
D'un cap fixé
A l'étape programmée.
Jérôme de Mars
Joueurs de pipeau
En tout bien, tout honneur
Voilà quel bonheur,
D'entonner à mi-mots
Du fond de l'eau
Qui va à vau-l'eau,
Tout notre pipeau
Au nom d'une pipe
Enfumée
Avec les mots
Après que Georges Brassens
Ait cassé sa pipe
Et soit parti en fumée
A l'essaim
Des contre-saints
En gros titres,
Où on lui dit
De notre ton tout oui
Chapeau bas l'artiste,
Du début à la fin
Du chapitre,
Où en pitre émérite,
Du à son unique mérite,
Il fit de nous
Des joueurs de pipeau
Qu'on dénoue
En libre-arbitre,
Sans arriver
Et relever
Son niveau,
Avec plus d'un litre
De mots en roc
Sans filtre,
Où l'on s'infiltre
En tailleurs de pierre,
De l'artifice
A l'édifice
Des bâtisseurs de repères,
En joueurs de pipeau
Qui suggèrent fiers
Des noms d'oiseaux
En riens de chimère,
Bien et moins bien
Que le bien de nos biens
En assez bien,
Qui part du rien
D'un pare-chocs
Qui s'entrechoque
Au choc
Du toc,
En joueurs de pipeau,
Où manque de peau
On démêle le vrai du faux
En joueurs de pipeau,
Où nous suivons notre mentor
Georges Brassens, au nom d'une pipe
Enfumée
Avec raison et tort,
Où l'on s'étripe
Entre types
Baraqués en gros titres
En joueurs de pipeau
Au nom des faux
Derche
Que l'on ne cherche
A flirter avec le hors-piste
Car la liste
Du rétro
Sur la piste
Sonne faux
Et demeure de trop
Dans la nécro,
Pour voguer
Dans le top
Sans flop
D'une flopée
D'un trop plein de super
A rendre de sa superbe
Sans se couper l'herbe
Sous les douze pieds,
Au pied d'essence
Avec qualité
Par défaut
En joueurs de pipeau,
Pour un rien de bravos
En y mettant le paquet
De tabac
Sur le quai
Du taquet.
Jérôme de Mars
Citation :
J'ai le virus des gens qui me prennent en grippe !
Jérôme de Mars
Citations :
1) Dans la vie, on encaisse car la parole est d'argent !
2) Si notre monde tourne à la méchanceté, c'est parce-qu'il est agité par défaut ( des faux ) !
3) Le temps s'arrête dans la durée !
4) Nos blessures endurés au cours de notre vie se guérissent avec le temps prescripteur qui prend soin de nous !
5) L'indifférence est un conflit d'intérêt qui ne nous enrichit guère humainement car tôt ou tard, on récolte la monnaie de sa pièce !
6) Moi,Jérôme, je perds des amis car je suis fou allié !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi L'Esat de Vitry devient-il rasoir ?
- Parce-que tout le monde est de mauvais poil !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Quel est le comble pour un rasoir ?
- C'est qu'il soit de mauvais poil !
2) Pourquoi en a t on plein le cul de L'Esat de Vitry ?
- Parce-qu'il commence à rentrer dans les annales !
3) Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier conditionnement de L'Esat de Vitry, c'est le bazar ?
- Parce-que tout le monde dit bon débarras sur ceux qui quittent l'atelier conditionnement de L'Esat de Vitry !
4) Quel est le comble pour une femme qui se rase le vagin ?
- C'est qu'elle soit à poil !
5) Pourquoi votre ami ovni Jérôme de Mars vous taquine-t-il souvent ? - Parce-que qui aime bien charrie bien !
Jérôme de Mars
En questions
Je sais fort bien que tu n'es pas psy
Mais je te parle en tant qu'ami
A cause de mon comportement
Et de mes déviances
Je perds mes amis
Les uns après les autres
En adieu des apôtres
Où ma négativité et mon outrance
Rendent compromettants
Mes rapports avec mes amis
Où je sais plus
Dans le rébus
S'ils sont à mi ou à demi
Rien car je n'ai que dalle
Dans la dalle de la malle
Qui est lourde
A porter sans ristourne
Où ça ne tourne
Rond dans ma tête
En véritable casse-tête
Où j'ai coupé les ponts
Aujourd'hui avec Adel et Guillaume
De l'arôme
En affront
Au front
De mes conneries
Où tout se délite
Dans mes relations amicales
De l'aspect local
Au navire amiral
Je perds mes amis
A cause de mes ennuis
De santé
Où je ne suis
Pour personne
En odeur de Sainteté
Car résonne
Une noirceur négative
En ne sachant
Quelles idées objectives
De ce que je veux
En mises en perspective
Pour savoir quoi ce que je veux
Comme objectif
Car là je touche le fond
Au tréfonds du plus profond
Du caniveau
Au niveau
Largement en-dessous de zéro
Où je me fais passer
Sans arrêt pour le caliméro
De service
Des sévices
De ma jeunesse
Alors qu'a fini
De sonner
La kermesse
Et que je ferai mieux
De raisonner en promesse
Pour me sortir de ce cercle vicieux
Nuageux et poussiéreux
Le long de mon chagrin miséricordieux
Pareil
A l'appareil
J'ai coupé aussi les ponts
Avec Edwin en camouflet
De mes déconvenues
Car je me sens et suis malvenu
A cause de ma complaisance
En port de plaisance
Dans ce fichu chahut
Où les problèmes
De mon requiem
Traînent en lambeaux
Sans que je trouve les mots
Pour décrire ce méli mélo
Dont je n'arrive pas à trouver
Le cadenas
Pour mettre à la place
Un canevas
Pour passer de la rétro
De mon mélo
A un nouveau bon lot
Positif et constructif
Qui me donnerait envie
De trouver
Et d'atteindre mon objectif
Car je ne sais ce que je veux
Soit être un sbire
Pour sévir
En bourreau
Ou soit écrire les mots
Pour qu'ils ne soient plus maux
Avec les plaisirs
D'une vie simple
A en rire
Jusqu'aux Olympes
Edwin comme tant d'autres amis
Prennent leur distance
Avec moi pour se protéger
De ma noirceur contagieuse
A l'allergie pleurnicheuse
Et Edwin m'a dit aujourd'hui
Qu'à force de me comporter
Comme cela je risque de faire fuir
Et de perdre tous mes amis
Qui navigueront
Et vogueront
Ailleurs
Pour des lendemains meilleurs
Sans moi avec mon aigreur
Qui frôle l'overdose des horreurs
Où je répète sans cesse les mêmes
Erreurs du matin au soir
En étant tout le temps noir
Dans ce purgatoire
Que demeure ma terrible histoire
Où j'en meurs d'ennui
Dans un vide enfoui
Au fond de mon tiroir
A provision
Où mon avenir
Manque de prévisions
Sur le long terme
Edwin persiste
Qu'il faudrait que je change
De psy car Penot, il est pas neutre
Et qu'il m'en faudrait un qu'il le soit
Neutre sans feutre
A pointer de son doigt
Ce que je dois
Pour que je retrouve l'archange
Et que je me range
Dans une vie sage
Et raisonnable
Comme Monsieur lambda
Dans la lambada
Du rationnel
Avec un brin d'agréable
Edwin me dit aussi
Qu'il faudrait que je me fasse
Hospitaliser
Même si en surface
J'ai l'air d'aller bien
Mais qu'en vérité,
C'est une ballade
En complainte
De façade
Dans l'étalage
De mes plaintes
Non feintes,
Car manque le teint
Dans ma vie qui respire
Le pire
Qui m'atteint
En déteint
Où je me rebiffe insurrectionnel
A l'influence pulsionnelle
De ma mère
A mes amis fusionnels
Mais avant que ce soit la banqueroute
Totale
Dans la déroute,
Il serait temps
D'emprunter la bonne route
Et de dissiper mes doutes
Afin que je me mette
Personne à dos
Dans un porte-à-faux
Et que je tombe
Dans leur indifférence
Aux oubliettes
Dans les comètes
Et que je m'y mette
Et m'y remette
A retomber les pieds
Sur Terre
Sans parcelle délétère
Mais en redevenant
Le Jérôme
D'autrefois
Plat et net
Qu'on aime
Sans problèmes
En emblème
Sans bohème
D'un je t'aime
Sans haine
Sur la pleine
En accalmie
Après tout ce haut débit
Où faut que je résiste
Et subsiste
De sorte que j'existe
En longue liste
De résolution
En solution
De toute cette équation
Démêlée je l'espère
Dans une croisade
En matière première
D'une promenade
Pure en renaissance
Sur l'allée des primevères
Fleuries à l'aube d'une belle saison
Sans questions
Avec parcimonie
Dans le répit
En évolution.
Jérôme de Mars
La fontaine affable
Par ce climat fluctuant
A bon escient
Du soleil le vent,
L'ambigu testament
A la vague sur l'océan
Des gens
De la fontaine affable
A la fable aimable
Du vent gravitant
A l'eau crépitant
Sur les éléments
Du fleuve troublant,
Coulant
A l'origine de sa source
D'où les différents courants
Passent en ricochets sur la course
Dans le chahut bourru
De l'eau criarde en flux
Dans sa croisade
En tirade,
Où le corbeau met le pied
A l'escabeau sans tomber
Dans un guêpier à contre-pied
A l'effarouchée
Des effusions en retombées
Plénières au niveau
Du franchissement de la ligne en haut
Dans cet étalage de plumage,
Où l'oiseau en rétropédalage
S'envole avec son fromage
Au hasard
De l'âge
Des nénuphars hagards
Sur un arbre perché
Pour donner au chant des cigales
Un grand coup de pied
Dans les fourmis
En plein
Dans l'an deux mille,
Où cette fable à table
Se met sur son 31
Affable
De la fontaine
A L'Eden
Du parfait domaine.
Jérôme de Mars
Egoïstes !
Dans ce putain de monde
Qui tourne dans une sale ronde
Le peuple quitte les plaisirs hédonistes
Collectifs et significatifs
Pour trouver refuge
Dans le subterfuge
Rétif et craintif
D'une société d'égoïstes
Et capitaliste
Où les gens individualistes
Se mettent en liste
D'attente qui les tente
Longue à la détente
Pour quitter la vertu
Qui les mue
Et les tue
Si bien qu'ils s'évertuent
A s'empêtrer dans le vice
D'une société d'artifice
Aux liens dénoués
Avec les effets
D'êtres alliénés
Et illuminés
Du bout de leur orifice
Agenouillés devant tant de démêlés
Où plus personne ne s'entend
Et où tout fout le camp
Depuis la nuit des temps
D'égoïstes du puits au plus profond triste
Où de leurs crayons d'égoïstes
D'artistes et de clowns tristes
Ils semblent paraître de distance
Alors qu'en fait dans la défaite
C'est un signal que tout va mal
D'un mauvais goût si banal
Où l'on pleure dans une fête
A l'évidence d'apparence
D'égoïstes et fumiste
Dans ce putain de monde
Qui s'effondre et se fonde
Dans un silence d'obscurité moribonde
Où l'on trouve tout normal
Ce qui en toute logique
Semble cynique et machiavélique
Dans ce vide si abyssal
Où tout tombe en rad
Dans la panade
D'égoïstes de ce monde en panne
Qui coule en vannes
D'égoïstes où tout s'indiffère
Sans respect
Et solidarité
Dans l'enfer
Des jours amers
A l'avenir
Et à n'en plus finir !
Jérôme de Mars
Plein le cul !
Question sexe
Sans complexe
Qu'il est complexe
D'avoir le réflexe
Au nom d'une pipe
D'en avoir rien à branler
Au Sussex
Dont on suce le sexe
Des êtres à la libido
Qui flippent
A prendre aux mots
Lorsque tous, ils en ont plein le cul
Du porno
Sans l'écu
Où ils préfèrent passer de la rétro
En une relation
De trop
Accro
De l'équation
A l'adéquation
Au non
D'une remise en question
Du sexe
En annexe
Du quartier
Des langues de pute
En rut
Où ils chassent le vagin sur celles
Qui débitent
Les actes en argent
Des hommes
A la parole d'argent
En somme
Qui assomment
Le département
De La Somme
Comme un doigt rentre dedans
Pluriel
Sur les femmes
Aux flammes
De leur annus horribilis
De voile et à vapeur
Au matin de petit beurre
Sans syphilis
Au bout de la queue
De peloton
Où l'on est mieux
Au pieu
A Pornic
Car on nique
Et fornique
Comme des porcs
A bon port
D'où l'on tire sa semence
Jusqu'à remettre l'essence
Dans le carburant
Du sexe moteur
A pas d'heure
De l'échange spectateur
Et acteur
Des rites
En habitudes écrites
Plein le cul
Et de foutre
En ayant rien à foutre
Sans l'écu !
Jérôme de Mars
Le travail, ça se paye !
Le travail, c'est la santé, certes mais on nous paye pour tailler du bon boulot avec une grosse production et une grande cadence à fournir avec assiduité, car on se doit d'être consciencieux et méticuleux, et de demeurer en harmonie avec ses collègues, même si avec certains, il y a des tensions, où il ne faut pas arriver en retard, pour rester ponctuel et pointilleux, aux tâches professionnelles qui nous incombent, mais heureusement, on a la pause café et les congés pour souffler, et grâce à notre ancienneté et à notre salaire, on prépare notre future retraite, qu'on espère atteindre avec les années qui passent avec rapidité, car souvent dans le travail, c'est le chacun pour soi, même s'il y en a au moins un parmi les collègues, qui est compréhensif avec des actes de solidarité et qui perdure polyvalent, en respectant la hiérarchie et ses collègues, sans excès de langage et d'insultes, car c'est le chef qui donne la direction à suivre en patron directeur responsable du travail sans taches.
Jérôme de Mars
Le fruit de son travail
Dehors, il fait nuit,
Dès que la planète
Revêt avec ses tenailles
L'usufruit des comètes
Dans les étoiles de la taille,
Du bruit de fond tapi
Par le fruit de son travail
Pour la pomme du sérail,
Assis sur la poire du détail
Qui chérit les entrailles
Et surenchérit le fruit de son travail,
Qui assaille
Les arbres fruitiers
Qui ont la banane avec la pêche
De la faune et la flore
Qui ont le melon,
Au long des chansons
Du folklore
Arrivé à bon port
Revêche en dépêches,
Où le fruit de son travail
Est pressé
Et empressé
D'avoir du jus
Au pépin que fut
L'homme sur la paille,
Où ça fait longtemps
Qu'on aurait dû récolter
Le fruit de son travail
En passant à l'orange de la papaye
La cerise sur le gâteau,
De l'eau qui part en courant
Dans le ghetto des fourneaux
Pour ramener sa fraise
A l'appétit de l'assiette à l'aise,
Où rien ne dessert
La pagaille
Du désert
Car on se sert
Mieux soi-même
Le dessert
En résolution de ses problèmes,
Quand on sème l'emblème
Du carpe-diem
Du fruit de son travail.
Jérôme de Mars
Le soleil bien luné
Du coucher au lever,
Le soleil bien luné
Rince sa sève
Dont il devient l'élève
A l'aube des aurores
Du sol au ciel,
Par petites métaphores
Des météores clairs
Qui volent à la dérobée
Le soleil bien luné,
Disposé à transcender
Ses rayons de lumière
Loin de la lune
Mais près des frères lunaires
De la lagune,
Lorsque le soleil bien luné
Organise une élégante veillée
En somptueuse ribambelle
D'hirondelles qui sommeillent
Au fond du lit
Mais qui se délient
Mirifiques au zèle
Des nuages bipolaires,
A l'horizon en gesticulons,
Où les oiseaux immigrants
Prennent la passerelle
Du printemps en dentelle
Dans sa terre d'asile
Pour y dormir à la belle
Etoile des montagnes éternelles
Avec le désir charnel
D'y héberger
Toute sa voie lactée
En Galilée
Au programme sommaire
En hospitalité,
Dès les prémices
A proximité
D'une île
Au soleil bien luné
Au front dégarni.
Jérôme de Mars
Vers de flûte
En préambule
Dans La Champagne-Ardenne,
Le champagne coule à flot
En pétillant au bon taux
D'un excellent niveau,
Où l'on tient les rênes
En desservant le champagne
En vers de flûte
De la flûte des vers en gagne
Des champs dans une game over
Aux vers de flûte,
Dès que la poésie dit flûte
A la flûte de vent
Des rimes d'allant
En allant à l'avant
De Guillaume Apollinaire,
En s'imprégnant
De son art à la manière
Des poètes divers
En vers de flûte
Qui coulent à la plume
Aux coutumes
Qui demeurent des costumes
Pour faire semblant
A blanc
Aux éphémères lumières,
Qui rallument
Cette Terre
Dans l'environnement
Vert laine
De Paul Verlaine
En bas de laine
Qui relèvent la laine
De l'haleine
En verveine,
Lorsque les vers de flûte
Dans leur tasse de thé
Se ramassent
A la masse
Et se bizutent
Tous azimuts
En un flot de dextérité
Soufflant dès la caresse
Du vent
En lettres de noblesse
Par écriture majeure
Et choyant la tendresse
De l'inspiration en fleurs
Lors de l'extase en candeur
De la valeur
En folie des grandeurs
Qui cligne des paupières
A l'apogée de l'élémentaire,
En vers de flûte
Qui disent flûte
De vent enchanté
Sur les images à l'arrêt
Des bulles.
Jérôme de Mars
Parler dans le vide !
Face à l'afflux de conseils
Que l'on essaye
De tenir pour se remettre en selle,
Il est avide
Qu'on scelle
A notre escarcelle
Du violoncelle
Pour gravir les échelons
Au seuil des petites graines
Qu'on germe en paroles dans le vide
Destiné au mur dur de béton
Cupide où on laisse passer Cupidon
Malgré les dons de la vie quelquefois,
Dès qu'on a des opportunités à l'emporte-pièce
Car en deça,
On reste porte close dans la pièce
Démontée et détachée de tout
Dans cet immense gâchis en fourre-tout,
Où plus rien ne compte
Comme un acompte,
Où l'on ne rembourse le reste
Car l'on se déleste
Du conte
Contrefait et malfait
A des années-lumière de la distance Céleste
Dans les bras de Morphée,
Pour oublier ces paradis artificiels
Des neiges éternelles
Qui nous plongent dans la glace,
Quand on retourne sa veste
Et qu'on reste
De glace
Et qu'on se lasse
De ce vinaigre aigre-doux,
Où l'on déverse sa haine
En madeleine
De Proust
Comme le cynisme de Gaspard Proust,
Où l'on prend des roustes
En coups de trafalgar,
Lorsqu'on s'égare
Du droit chemin
En détour comme Boris Dévian
Déviant du devant,
De la part de cet ancien copain
Qui m'a mis dans le pétrin,
Dont on connaît la chanson
En travers de petit cochon
Pervers envers
Et contre tout,
Vers les vers de Jacques Prévert
En père l'impudeur,
Alors qu'on manque de repères
Avec vigueur,
Ainsi, parler dans le vide
Donne des rides
A vide
Jusqu'au passage avide
D'un vide
Vite oubliée,
En s'emmenant houspiller
Du grenier
Afin de contempler
Les oliviers
Et les cerisiers,
De l'huile d'olive
Pour récolter
Le fruit de son métier,
Sans mettre de l'huile sur le feu
Pour humer les rives
Sur les cieux
D'un royaume joyeux.
Jérôme de Mars
Aux secousses, les pompiers !
Dans la course
Contre la montre
A l'étoile de la grande ourse,
Le sale état de la nation
A ses sources
Dont il faut renflouer la bourse
Sous le joug de la divination
Car dès qu'on a la frousse,
On vocifère aux secousses,
Les pompiers
Qui fument comme des pompiers
Aux bons tuyaux,
Où ils se remettent à l'eau
Avec leurs trousses
De secours,
Lorsque les malfrats avec leurs gants de velours
Nous détroussent
En étrangers
De la bonté,
Où l'on tremble en secousses
Qui poussent dans un joli coup de pouce
Etrange de la frange
De nos cheveux décoiffants
Qui engrangent
Tout ce fout le camp
Aux secousses,
Les pompiers,
Où les dés sont pipés
Au nom d'une pipe
Quelle pépite
Tant et si bien,
Qu'on a pompé
Nos biens en presque rien,
A l'appel de des tresses,
Qui s'affaissent sur nos fesses,
Crédules en balivernes,
Tandis que pour des vertes et des pas mûres,
Les lieux sûrs se fissurent
Dans un constat terne
Aux cernes
De nos yeux subalternes
De la taverne
Au tréfonds de la nature,
Aux secousses,
Les pompistes,
Car grâce à leurs côtés
Je m'en foutiste,
On passe de la figure
Du clown triste
A la posture
De la quintessence d'artiste
En longue liste
Sur la piste
En tessiture.
Jérôme de Mars
De l'eau dans le gaz !
A table rase,
Ca jazze
Parmi le jazz,
Quand le vase
A de l'eau dans le gaz
Et que Zaz
Jazze
Avec la musique qui rase
Les friands nazes,
De ce que ça dégage
En gage
Des paroles en l'air qui nous engagent
Sur l'honneur
Pour donner le meilleur
D'un air de jazz
Débordant et las,
Du sas
De décompression qui jazze
Lorsqu'il y a de l'eau dans le gaz
Qui rase
Les murs
Du silence d'armure,
Où les maquettes
Sur la moquette
Restent des durs
A cuire
En cuir
Sur la chansonnette
Qui trépigne en sornettes,
Où l'on tire la sonnette
En deux trois mouvement de claquettes
Aux avantages
Du chantage,
Dès qu'il y a de l'eau dans le gaz
En vannes qui jazzent
A table basse
De la base
De la basse
En contrebasse.
Jérôme de Mars
Parfum de colonne
Jetée Où le crémage
Dans le bain, Nimbera
L'année Du brouillard fuyant
A venir Les éphémères interludes
Je l'espère, Du parfum
Respirera De colonne,
Le parfum Qui ronronne
De colonne Du klaxon
De la lune A la file anglaise
A la une Anglo-saxonne
Enfin, De Londres à Paris,
Dans un velours Dès lors que les chicaneurs
De volupté De babioles
Entre deux grappes Demeureront les assaillants
De raisin D'un déferlement
Qui soûleront De braises
L'esprit divin En jouant du saxophone,
Des Saints Sur ce parfum de colonne
De Dieu, A l'eau de Cologne.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi en a-t-on marre des fêtes de fin d'année qui existent depuis très longtemps où l'on est nostalgique du temps d'avant car c'était mieux ?
- Parce-que ça commence à sentir le sapin !
2) Pourquoi en France, les gens s'en foutent et c'est chacun pour soi ?
- Parce-que les gens font l'indifférence avec les autres !
3) Que dit-on de deux testicules qui sont chiantes ?
- Elles sont casse-couilles !
4) Que dit-on d'un chômeur qui ne trouve pas de travail ?
- C'est qu'il ne trouve pas le bon mode d'emploi !
5) Pourquoi quand on boit du champagne, ça pétille ?
- Parce-qu'on sort de notre bulle !
6) Pourquoi un homme a-t-il besoin à tout prix de trouver l'amour ?
- Parce-qu'il a besoin d'affection à son affection de longue durée !
7) Pourquoi le chanteur George Michaël est-il mort ?
- Parce-qu'il a roulé dans l'herbe !
8) Quel est le complexe d'un Arménien, victime du génocide de 1915 ?
- C'est qu'il soit victime d'un pied de nez Des Turcs !
9) Pourquoi lorsqu'on fait une réunion à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, y a-t-il des coups de chauds exotiques et tropiques ?
- Parce-qu'îles étaient là !
Jérôme de Mars
Quand le masque tombe !
Lorsqu'on se voile la face
A faire croire qu'en surface
Tout va bien,
On se roule des patins
Le nez engourdi dans la glace
Pour des petits riens
Dans une ballade de façade
Comme une sérénade en salades,
Où l'on murmure
Aux personnes amicales
Dans un bloc de mur
Que tout s'arrange dans un futur
Qui augure
Toute notre bonne nature,
Alors qu'en vérité, ça fait des plombes
Qu'on surplombe
Le mensonge, qu'on pète les plombs
Et que ça nous plombe
En traînant tout ça en marchant sans plomb,
Où à un moment donné,
Il faut bien se l'avouer,
On est rattrapés
Par son passé,
Quand le masque tombe
De la cata d'outre-tombe
Qui tombe
Des catacombes
Qui nous incombent
Et où tombent
En trombes
D'eaux,
Tous nos maux
Auxquels on succombe
Car l'on ne se trompe
Sur notre visage obscur
Qui laisse dur
Tout ce mirage de verdure
Qui ressemble à l'ordure
De cette vie en déconfiture
Qu'on jette en pâture,
Par écrits de désinvolture
A travers cet inventaire immature,
Où il nous faut
Des perspectives d'aventure
Qui inaugurent
Un avenir en peinture
Avec du plomb
Dans la tête
Sans ratés en casse-tête
A ras la casquette
Sur la casquette
De notre fausse posture,
Où l'on se doit de gommer
Les ratures
De nos échecs
Pour avancer
De la tête
Au bec
En fonçant vers une espérance ressuscitée,
Suscitée et incitée
A mettre du coeur à l'ouvrage,
Lorsque le masque ne tombe
Et qu'on se remet
De la défaite, d'attaque pour aller chercher
Une joie et la ramasser,
Dès que notre trajectoire redevient un carnaval
Du val
De grâce
Endimanché
Au dimanche en aval
Argenté.
Jérôme de Mars
STEP ! ( s'il te plaît ! ) Père Noël !
STEP ! Père Noël !
Si tu pouvais offrir en cadeau
Un parfum de soleil
Qui irait crescendo
Vers l'édification
D'un nouvel eldorado,
Où nous serions
Tous les héros
Protagonistes et hédonistes
Loin de notre monde actuel
Triste et égoïste,
Aux effets pudibonds
Et furibonds,
Où en ce moment
On fait un bond
De dix ans
En arrière
En n'y allant
Par le dos
De la cuillère
Avec les bruyères
En colère
Qui soufflent sur le vent,
Car il ne fait plus bon
De vivre dans cette galaxie
En dyslexie,
Tellement, c'est le monde à l'envers
Qui ne semble à l'endroit
De l'angle droit,
Même s'il faut
Arrondir les angles
Afin de débrider la sangle
Pour que notre monde change
Et qu'on redevienne des anges,
De telle sorte que tout se range
Sans qu'on dérange
Le ciel
En notre âme et conscience
En route vers la science
Exacte
Dont on prend acte
En rebond,
STEP ! Père Noël !
Mets cette liste
Réaliste
Dans une parcelle
Des steppes
En vaste prairie,
Où enfin, la vie
Ne demeurera fataliste
Car l'on se dira idéaliste
En landes,
D'un beau Disneyland
En féerie,
D'après ta magie
A toi Père Noël,
Du rêve à la passerelle
Des pluies de l'escarcelle
D'artiste.
Jérôme de Mars
Cinglé !
Cinglant,
Je suis cinglé,
Où les cintres
De la folie
Tintent
Pour restreindre
Mes penchants
Ensevelis
Qui m'esquintent
Dans le délie
De cette vaste pagaille
D'amis
Et de famille,
Où tout déraille
En ennemis,
Car franchement,
Je suis atteint
Dans ma folie
Pas finie
Au teint
Infini
De mes ennuis
Qui me donnent des fourmis
Dans les jambes,
Comme ça me fait une belle jambe,
Si bien que je fourmille
D'idées fixes
En cinglé
De cette vie
Au suffixe
Cinglant,
Où ça suffit
D'avoir du temps
A contretemps
A tous les instants
Cinglants
De ma croisière
De cinglé
De fer,
Où je me barre,
Barré
Et rembarré
Au premier
Et au second degré
Au gré
De mon gré
Bon gré
Mal gré
Malgré
Ma tare,
Où il est trop tard
Pour m'en sortir
Au soupir
Du pire
Qui m'attend
Taré
De cette existence
En déviance
Attardée,
Retardée
Et cinglée,
Où à l'épilogue cinglant,
Je me barre !
Jérôme de Mars
Trance genre
A la sueur du front,
Le rythme se déchaîne
A la fièvre de l'affront
De la madeleine
De Proust dès l'ode
De la période
Transe genre
Genre transe
Dans la danse
Efféminée trance genre,
Où en répercussions,
La musique menée tambour battant
Joue des percussions
En mélodies
D'occasion
Sur le qui-vive redondant
De la musique rentre-dedans
Trance genre
En transe dans le genre
Ebouriffant par les bouffées
De chaleur à volonté,
Louche
Dans la souche
De la pure variété
Trance genre
Dans un accord femmes-hommes
Transgenre,
Comme la somme
Récoltée
D'avance en avances
De l'ère avant-gardiste
D'une âme d'artiste
En devenir
A l'avenir
Du présent
En présent
Oppressant
Des déferlants
Plaisirs
En raz-de-marée,
A l'engouement
Suggéré
D'un conseil d'ami
Au parcours
Sur concours
Des champs de réaction,
Où l'effet
Trance genre
Reste en transgenre
Tôt sur le tard
Du tintamarre
En retentissement
Du gong final
De ce retour triomphal
A l'arrêt
Des valses
Au signal,
Par salves
Originales
Dans les annales
De la boîte
A musique
Technique à la mécanique
Ouate
Assortie
Sur copies
En sortie.
Jérôme de Mars
Du blues à la bluette
Depuis l'écume des bleus
Qui gèlent sur la mer en feu,
J'ai le blues
Qui se trémousse
De la mousse
Rivée de ses yeux
Envolés vers les cieux
Au mirage brumeux,
Où j'ai ma blouse
Qui émousse
Les gens qui me moussent
Des termes élogieux
En mots cruels désaveux,
Où j'ai la frousse
De cette vie en chantier
Evacuée et transbahutée
Dans la brousse
De la savane Africaine,
Où mes bas de laine
Qui sentent la naphtaline de la laine
Comme Paul Verlaine,
S'évadent dans une chimère puritaine
De longue haleine,
Où je perds de ma veine
Vaine dans la veine
Acariâtre en teigne
Du blues
De la housse
De l'oreiller
En folie passagère,
Où manque le peigne
Du blues
Recoiffant
Et croissant,
Qui vire à la bluette
Trempette
Pour conter fleurette
En amourette
Dans une idylle simplette,
Où je fais muse muse
Et je m'amuse
Avec ma trompette
Et mon amulette,
Où de ma bluette
En piédestal, je laisse tomber
Les allumettes
Du blues
Qui me mettent
En miettes
Avec des sornettes,
Pour laisser place à la bluette
Des sentiments en amourette
Un tantinet
Saynètes
La tête dans les comètes
De la planète.
Jérôme de Mars
Les acolytes anonymes
Dans ma galère patronyme,
Je prends de la bouteille
Comme un soleil
A la mer,
Où j'entretiens mon coeur de pierre
Dans un pseudonyme
Aux abîmes
De l'enfer,
Ainsi, dès que tout me soûle
Dans la foule,
J'envoie une bouteille
A la mer
Et sur terre,
Où surgit,
Mon ami
Christophe entre deux strophes,
Alors que les autres m'apostrophent
Aux frontières limitrophes,
Où moi et Christophe,
Avec l'étoffe,
Nous sommes les acolytes anonymes
Synonymes
D'un soleil
Entre deux misères
Sur La Terre,
Qui malgré tout, resplendit
De merveilles
Entre deux étincelles
Des sentinelles
De la guerre
Au miel
D'un lundi
Bleu clair
Dans la lumière,
Où moi et Christophe,
Avec l'étoffe,
Nous sommes les acolytes anonymes
De la bouteille de la terre
Qui nous soûle
Et qu'on refoule
A la mer,
Afin que la bouteille
Se vide de son fiel
En consistance
Et qu'elle se remplisse
D'un brin lisse
De mirabelle,
Sans déconfiture en substance,
Où la dépendance
A la malchance
Se sèvre
De sorte que je renaisse
De mes cendres
En espèce
Avec le sourire aux lèvres
Sans descendre,
Où moi et Christophe,
Avec l'étoffe,
Nous sommes les acolytes anonymes
Ivres de notre patronyme,
Où grâce à l'unisson
De nos personnalités synonymes,
On connaît la chanson
Car nous sommes les guérisseurs
D'une ardeur
Revenue de bien de malheurs
A bon entendeur
Pile rechargée à l'heure.
Jérôme de Mars
De l'eau coule sous les ponts
En amont
Pour braver les monts,
Les joies et les peines,
De l'eau coule sous les ponts
En semant des graines
Du Pont D'Avignon
Au Pont Neuf,
D'où découle
Du vieux avec du neuf
Qui coule
De source
Dans ses propres ressources,
Où l'eau en trémolos
Va à vau-l'eau
Au fond du ruisseau
Sot aux abîmes
Des métaux
Qui déciment
Les cymes
Et laissent de marbre
Les arbres
Qui éciment
Et éliment
La rivière débordante
Et exubérante
Qui arpente
Le courant du torrent,
Entre rixes
Des éléments
De l'eau fixe
Aux revirements à cran
De l'océan volcan
Sur la pente
Des chutes d'eaux
En maux,
Où depuis de l'eau
A coulé sous les ponts,
Si bien que La Seine
A coupé les ponts
Avec les amants du Pont Neuf
Vieux et veuf
De la vie qui n'est pas un long fleuve
Tranquille
Aux broutilles
De l'eau
Qui coule sous les ponts
Sur La Courneuve.
Jérôme de Mars
La Terre est ronde !
Dans le monde,
Les êtres semblent paraître
De leur hêtre
Dans la ronde
Rubiconde
En fronde,
Car La Terre est ronde
Et féconde
De La Joconde
Aux vaches qu'on envoie paître
Pour naître
Et renaître
En êtres
Pacifiques
Dans un océan Pacifique,
Où le monde abonde
Et bonde
Dans une ronde
Rustique et domestique
Comme les animaux domestiques
A l'appel de la paix
Sur La Terre réconciliée,
Lorsque La Terre est ronde
A bien de l'espoir qui se fonde
Afin que la violence ne gronde
Et qu'elle ne fonde
Dans un océan d'amour Pacifique
Sur La Terre pacifique
Des êtres aux animaux domestiques
Dans la ronde
Du monde
Sans fronde.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi tout fout le camp en France ?
- Parce-qu'on ne sait plus sur quelles positions camper.
Jérôme de Mars
De l'eau dans le vin
Allo, hello,
Ca tombe à l'eau
Car on est le vingt
De ce mois
Devin du vin,
Où l'on flanche
Au bord du ravin,
Où c'est une autre paire
De manche,
Quand il faut se retrousser les manches
En repères,
Pour mettre de l'eau
Dans le vin
En vain
Mais dans le bon lot
Divin,
Où l'on sort la tête de l'eau
A La Rue Vavin
Par un pari à l'eau
Sans partir à vau-l'eau
Devin et divin
La prochaine fois
Qu'on sera le vingt
Le mois
Prochain
En vin devin
Et en vain,
Où l'on aura mis définitivement de l'eau
Dans le vin
Sans être au pied du ravin
Mais à La Rue Vavin
En vin
A l'eau,
Et où l'on raccrochera divin.
Jérôme de Mars
Quitte ou double
Depuis que j'ouïe
Dans ma vie,
Je ne suis ni béni,
Ni déni,
Que ce soit en oui
Ou en non-dits,
Car je jouis
Avec ma famille
Et mes amis
Dans le cri
De mes délits
En série,
Où j'en ris
Et j'en pleurs
A ce que j'en meurs
D'ennui,
Comme souvent, c'est quitte
Ou double,
Dès que je te quitte
Et je redouble,
Où je me dédouble
Sans limites,
En troubles
Ou roubles,
Où je déroule
Le tapis rouge
Où je m'enroule
Et je bouge
Dans un sang
D'encre en mille
Et des cents,
Où je descends
En dernier rang,
Comme souvent, c'est quitte
Ou double,
Où c'est la faillite
En banqueroute
Dans ma route
En déroute,
Où je double
Et je redouble
Les troubles
Qui me renient
De ma famille
Et de mes amis
Dans le déni
Ni oui
Ni non,
Où je me fais
Passer
Pour un con
Comme hélas, la chanson
Du fanfaron
Aux extrêmes limites,
Où souvent, c'est quitte
Ou double,
Où je te redouble
Et je te dédouble
Entre troubles
Et roubles,
Où je m'effrite
Sur le grill
Et je me fritte
En mille
Et des cents,
Où ainsi, je me grille
Avec ma famille
Et mes amis,
Comme un cul béni
Avec folie qui brille,
Où je scintille
Dans le mille
De l'an deux mille
Que je fourmille
Dans un ultime fatal dernier
Bruit
En coup de pied
Sur les fourmilles
Que je fournis
En rang
Réduit
Et déduit
En rancoeur,
Où souvent, c'est quitte
Ou double
Dans le leurre,
Jusqu'à ce que je sois quitte
De mes troubles
A la limite
Des roubles
Arts
De l'are hectare.
Jérôme de Mars
Uppercut
Dans ce remue-ménage
Tous azimuts
Qui nous bizute
En surmenage,
La destinée ne nous ménage
Nous en nage,
Où l'on surnage
Dans la rage
D'un uppercut
Dont la vie nous percute,
Nous permute
Et nous persécute
Dans le tumulte
En catapulte,
Où elle s'exécute
Grâce
Au rut
Apre de la grâce
Des chasseurs bruts
Sauvages à l'abordage
Qui nous la mènent dure,
Où l'on carbure
A l'hydrocarbure
Durs comme du béton
Et droits dans le mur
Des cons
Qui nous pulsent
Et nous impulsent,
Dès que la liqueur
En rancoeur
Met du brut
Haut sur le coeur
Avec vigueur
Dans la rigueur
Des maux en uppercut
Qui nous abruptent
Et nous éructent
Dans le tumulte
En catapulte,
Lorsqu'ils nous révulsent
Et nous répulsent
En uppercut
Qui nous percutent,
Nous permutent
Et nous persécutent
Dans le tumulte
En catapulte
En surface
Sans pouvoir y faire face
Face à la glace,
Où elle nous glace
Le sang à se ronger
Les sangs rangés
Et dérangés
Aux excès consumés,
Quand les uppercuts
De l'existence
Nous permutent
Et nous mutent
Dans le tumulte
En catapulte
La tête amochée
Et rétamée
Dans une inédite expérience
Qui débute
Et nous bute
Au but
Qui nous rebute
A la butte
De la lutte.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'un fabricant de CD qui est mort ?
- Il est DCD.
2) Qu'est-ce-qu'un suicide réussi ?
- Un appel d'a dieu !
Jérôme de Mars
Chacun son chemin !
Dans la vie
Du début à la fin,
C'est chacun son chemin
Pour relever les défis
D'aujourd'hui
A demain,
Le long de l'existence
Où l'on trace chacun
Son itinéraire
Avec pénitence ou puissance
Etapes par étapes,
Où l'on sillonne en train
Notre chemin
De la tanière
A la croisière
Avec les tapes
Amicales et cordiales
De l'art et la manière
Des villes locales
Jusqu'au savoir-faire
De la mémoire ancestrale
De nos ascendants
Ainsi que de nos arrières-grands-parents,
Qui filent en courant
Vers le temps d'avant
Avec les souvenirs
A en rire
Des éléments,
Dont on a tant besoin
De prendre en aimant
Pour rentrer dans le rang,
Où c'est chacun son chemin
Dans notre destin
Pourvu qu'on ait le béguin
Pareil
Pour remporter le gain
De l'essaim
Et butiner le miel
De l'amour en lune de miel,
De sorte que le fiel
Se dissipe dans le ciel
Pour laisser place dans l'appareil
Aux étincelles
Des merveilles
D'un meilleur monde en réveil,
Où même si c'est chacun son chemin
Pourvu qu'on garde la main,
Afin qu'on arrive boute en train
A l'insouciance
De la réjouissance
Au bout du chemin
Dès la renaissance
Au bon coin
De l'innocence.
Jérôme de Mars
L'amour conte fleurette
Sous les mystères impénétrables
Autour de la table,
La romance valse
Le roulement de tambour
Par salves de transvase
A bien des séjours
Chouettes en girouettes
En plumes de cacahuètes,
Dès que l'amour
Conte fleurette
Et crépite de l'amourette
A la chute des reins
De telle est notre destin,
Si fin que les jours
Rient et sourient
De la crête de leurs cheveux
Lors de leurs bonjours
Langoureux et sulfureux
Sur les abords de la vaste prairie
Ornée de son collier de fleurs,
Qui brille d'un brin de lueurs
Entre caprices et délices
Sur le terrain qui glisse
Du soleil hardi,
Qui irradie
Les jeunes mariés
Avec cotillons et grains de riz
A l'accoutumée galvanisée,
Sur la piste jalonnée
Et transcendée
En eau bénite
Des cieux
Du bon Dieu
Qui gravitent
Le salut en cours
D'un simple aller-retour,
Quand l'amour
Conte fleurette
D'un ton de troubadour
Net sur la planète
En faisant
Des plans
Sur la comète.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Michel Polnareff respire-t-il bien sur scène ?
- Parce-que c'est sa bouffée d'oxygène !
Jérôme de Mars
Y a du pot !
Lorsqu'on est bien
Dans sa peau
En diapo
Et qu'on boit un pot
De vin
On paye plein pot,
Car y a du pot
De verre
Entre pot
A l'entrepôt
Au dépôt,
Où l'on dépose
Le pot
Aux roses
Pour voir
La vie en rose,
Afin que le morose
Devienne le mot rose
De la rose
Des vents
Les cheveux dans le vent,
Car y a du pot
Des parts
Entre pot
A l'entrepôt
Au dépôt,
Où l'on joue du pipeau
En paroles
De bémol
Qui desservent le pipeau,
Car y a du pot
De départ
Entre pot
A l'entrepôt
Au dépôt,
Où il est rare
Que l'on arrose
Le pot
De fleurs,
Car y a du pot
De terre
Entre pot
A l'entrepôt
Au dépôt,
Avec la candeur
De nos pots
Verts
Entre pot
Que l'on dépose
A l'entrepôt
Au dépôt,
Car y a du pot
De fer
Entre pot
A l'entrepôt
Au dépôt,
Un soir
Sans paroles
Que l'on enrôle
Pour être bien
Dans sa peau
Entre pot
A l'entrepôt
Au dépôt,
Sans peau
De chagrin
Au refrain
Dispo
De l'entrain.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'un particulier qui a reçu un courrier avec le montant à payer pas cher de son forfait mobile ?
- C'est une lettre de bonne facture !
2) Que fais-tu quand tu ne peux plus faire semblant avec les apparences ?
- Tu refais la façade !
Jérôme de Mars
Constance en constance
En cette instance
De l'existence,
Constance
Semble en constance
En toutes circonstances
Lors de l'importance
De l'import-export,
Avec frais de port
Jusqu'à l'arrivée à bon port,
Où Constance
Demeure en constance
En pareilles circonstances,
Dès l'instance
De l'existence
En vénérables révérences
Que les contenances
Muent dans la croissance
Des consistances
De la vie à forte cadence,
Avec l'opulence
En contredanse
De la contre danse
A l'encontre de Constance
Grâce à son insistance,
En ample constance,
En pures circonstances
A la rencontre de l'importance
En troublantes coïncidences
De l'existence,
Quand en instances,
Les immenses fréquences
Revigorent l'évidence
En insistance
De sa substance
A Constance,
En constance
De circonstances.
Jérôme de Mars
La ligne jaune
Dans ce monde aphone,
Où c'est la faune
Et la flore,
Je m'affranchis
Avec fun
De tout
Au téléphone,
Je joue mon vatout
Et je franchis
La ligne jaune
En atout
Qui sonne
Dans tout
Ce fourre-tout,
Où je m'en fous
De tout
Et où je ris jaune
Dans ce folklore
De gros mots,
Où je fais le fort
Intello
Du haut
De mon fort
Extérieur
Mais faible à l'intérieur
De la peine de mon coeur,
Où je trébuche du pied
De tout mon fardeau
En guêpier,
Où c'est ma marque
De fabrique
Remarque
Mon psychiatre qui me critique
A l'égard de mon état critique,
Où j'étrique
En bassesses qui m'effritent
Et me fritent
Avec toute la politique
Et La France en panique
Que je nique,
De façon unique
Et cynique
Avec mes piques
Tropiques,
J'affranchis les limites,
Où je les imite
A la limite
Du légal
Que j'imite
Sans égal,
Avec les humoristes sarcastiques
Qui ont le nez qui tique
Comme le tic-tac
En moi,
Qui craque
A tout va,
Comme je m'émancipe
Et j'étripe
Mes principes
Et que je m'agrippe
A la grippe,
Ambiante du climat social
En France,
Où je franchis
Les déviances
Mises en évidence
Avec aisance
Du Port De Plaisance
A La Plaisance
De mes plaisanteries,
Où j'en rajoute
En joutes
Verbales
Comme dans une gâterie
Jubilatoire avec forte résonnance,
De La Provence
Qui influence
La providence,
Où je transgresse, je dépasse
Et j'outrepasse
Les limites de la ligne jaune,
Où je ris jaune
En un casse-tête chinois
Sans barrières,
Sans frontières
Et sans assurer mes arrières,
Dans tout cet anti-portrait chinois
En haut là,
Où mon coeur mal sein
Respire le malsain
De l'ornière
Due à la traversée de derrière,
Où j'ai du mal
A aller de l'avant
Devant,
Sans avoir la dent dure et obscure
Contre ce mur de béton,
Où je laisse béton
Le passé immature
Pour aller vers l'horizon du futur
Avec le bon mot de passe
Sans que je fracasse
Ma carcasse.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi ma famille n'aime-t-elle pas la gauche caviar ?
- Parce-qu'on n'est pas Des PETROSSIAN !
Jérôme de Mars
Au début, au milieu et à la fin