Point de bévue
Revu et corrigé
Sur la mer et ses rejets
D'ancre, dont l'objet
Du scandale tombe des nues,
A nue de la marine est dépourvue
Avec vue,
Des pour vus
Point de bévue,
On noie le poisson
A l'abordage et à l'adage
De La France et de son naufrage,
Depuis les rois mages des inconnus
On l'on marmonne, on ne sut
Quoi broder, si on sue
En sans sus,
Qu'il n'y avait point de bévue
Que ce soit du vue et du revue
Dans la merlu et les merlans
Emmerdants et ambiants,
Dont tous Les Français s'en foutent
Alors qu'ils ne s'en footent du foot,
Comme le seul élément aimant, plaisant
Et liant des pseudos credo amis semblant
Sans blanc et soi-disant pour un bel environnement
A distance des gens déviants et devenant intéressants,
Car fascinants pour les psys
Et dont on s'en fou en ex-amis,
Point de bévue
Y a pas vu
Sur la mère à boire la mer,
Car ces lignes de vers sentent le crépusculaire
Aux revenus modestes,
Des Jean revenus modestes qui lâchent du leste,
Par le revenu universel univers aux unis vers en restes
De reliques qui respirent et inspirent la crypte
Qui tombe d'enfer et qu'on décrypte,
Quand on laisse tomber les amis en ennemis critiques
A l'état critique dont leurs à vies critiques restent en tant que critiques,
Très critiques ah ! les tas de loques sur et cran panoramix dithyrambiques
Point de bévue
Sur la vue pourvue et pour vu qui a des vues
A la virgule et au point prêt sur facebook qui a des vues,
Parmi ces face de boucs qui rasent les poils du cul
Sur le cul des baises de régimes hippo et hippotames
Qui jouent du tam-tam dans des lames de couteaux tirées des dames,
Dont le saxophone joue du trombone en trompette
Très classe et musique classique à faire trempette dans une amourette,
Car y a point de bévue
Sur la mère, mais des vues
D'horizons débouchés, si on pousse le bouchon de champagne trop loin
Qui pétille des bulles dans leurs bulles, à siroter un pastiche aux coins
Chiche, qui triche aux pans pans des pans qui sortent leur petit oiseau de couleurs
A vade-rétro d'une époque meilleure que maintenant, où l'on joue les corps beaux
Dans des espèces menacées de corbeaux délateurs, où l'on quémande le bonheur
Dans l'offre et la demande à ne savoir, si tout ça ne compte que pour du leurre,
Point de bévue
Les parvenus,
Y a plus vue sur la mère,
Mais où l'on susurre que sont devenues
Nos plus belles années perdues
Dans le néant au dû,
Où point de vue
Sur la mère, si on tue
Les matchs de poules aux yeux d'argent,
Car qu'est-ce-qui est le plus important ?
L'argent ou le soleil médisant des apparences trompeuses et désarmant
Les gens au paraître par être complaisant où plus personne n'est reconnaissant,
Mais s'enlaçant dans des choses les lessivant à laver leur linge sale en famille
Et entre amis dans un par fin déguisé en règlement de comptes qui lynchent
Leur oin-je, où puis-je te localiser en se laçant et en se lassant que je te rejoinje,
A ne savoir ce que l'on veut en voeux pieux au pieu d'une romance
Pour jouer un rôle si les témoins de Jéhovah nous enrôlent en démence,
Alors que y a que nous qui pouvons amasser et ramasser les réponses
A ceux qui nous défoncent et nous enfoncent le moral en coups de ponce,
Où plus de bévue, j'y suis parvenu
A pondre des yeux par revenu
D'ailleurs et pas venu d'ails leurre,
Car nous n'avons plus de vue, revue
Corrigée et rectifiée comme ce fut à l'affût dévolue et irrésolue
A l'absolue et perdue.
Jérôme de Mars
Point de bévue
Revu et corrigé
Sur la mer et ses rejets
D'ancre, dont l'objet
Du scandale tombe des nues,
A nue de la marine est dépourvue
Avec vue,
Des pour vus
Point de bévue,
On noie le poisson
A l'abordage et à l'adage
De La France et de son naufrage,
Depuis les rois mages des inconnus
On l'on marmonne, on ne sut
Quoi broder, si on sue
En sans sus,
Qu'il n'y avait point de bévue
Que ce soit du vue et du revue
Dans la merlu et les merlans
Emmerdants et ambiants,
Dont tous Les Français s'en foutent
Alors qu'ils ne s'en footent du foot,
Comme le seul élément aimant, plaisant
Et liant des pseudos credo amis semblant
Sans blanc et soi-disant pour un bel environnement
A distance des gens déviants et devenant intéressants,
Car fascinants pour les psys
Et dont on s'en fou en ex-amis,
Point de bévue
Y a pas vu
Sur la mère à boire la mer,
Car ces lignes de vers sentent le crépusculaire
Aux revenus modestes,
Des Jean revenus modestes qui lâchent du leste,
Par le revenu universel univers aux unis vers en restes
De reliques qui respirent et inspirent la crypte
Qui tombe d'enfer et qu'on décrypte,
Quand on laisse tomber les amis en ennemis critiques
A l'état critique dont leurs à vies critiques restent en tant que critiques,
Très critiques ah ! les tas de loques sur et cran panoramix dithyrambiques
Point de bévue
Sur la vue pourvue et pour vu qui a des vues
A la virgule et au point prêt sur facebook qui a des vues,
Parmi ces face de boucs qui rasent les poils du cul
Sur le cul des baises de régimes hippo et hippotames
Qui jouent du tam-tam dans des lames de couteaux tirées des dames,
Dont le saxophone joue du trombone en trompette
Très classe et musique classique à faire trempette dans une amourette,
Car y a point de bévue
Sur la mère, mais des vues
D'horizons débouchés, si on pousse le bouchon de champagne trop loin
Qui pétille des bulles dans leurs bulles, à siroter un pastiche aux coins
Chiche, qui triche aux pans pans des pans qui sortent leur petit oiseau de couleurs
A vade-rétro d'une époque meilleure que maintenant, où l'on joue les corps beaux
Dans des espèces menacées de corbeaux délateurs, où l'on quémande le bonheur
Dans l'offre et la demande à ne savoir, si tout ça ne compte que pour du leurre,
Point de bévue
Les parvenus,
Y a plus vue sur la mère,
Mais où l'on susurre que sont devenues
Nos plus belles années perdues
Dans le néant au dû,
Où point de vue
Sur la mère, si on tue
Les matchs de poules aux yeux d'argent,
Car qu'est-ce-qui est le plus important ?
L'argent ou le soleil médisant des apparences trompeuses et désarmant
Les gens au paraître par être complaisant où plus personne n'est reconnaissant,
Mais s'enlaçant dans des choses les lessivant à laver leur linge sale en famille
Et entre amis dans un par fin déguisé en règlement de comptes qui lynchent
Leur oin-je, où puis-je te localiser en se laçant et en se lassant que je te rejoinje,
A ne savoir ce que l'on veut en voeux pieux au pieu d'une romance
Pour jouer un rôle si les témoins de Jéhovah nous enrôlent en démence,
Alors que y a que nous qui pouvons amasser et ramasser les réponses
A ceux qui nous défoncent et nous enfoncent le moral en coups de ponce,
Où plus de bévue, j'y suis parvenu
A pondre des yeux par revenu
D'ailleurs et pas venu d'ails leurre,
Car nous n'avons plus de vue, revue
Corrigée et rectifiée comme ce fut à l'affût dévolue et irrésolue
A l'absolue et perdue.
Jérôme de Mars
Positif négatif
Objectif constructif,
Sois optimiste
Et avant-gardiste
D'une vie hédoniste,
Dont tu seras l'artiste
Rangé les négatifs
En rectificatif,
Car y a pas photo rétroactif
Mais reste actif parmi les positifs
Et mets de côté le passif des négatifs,
Car tu en as assez des pessimistes
Qui rendent ta mine triste,
Même si d'aller au charbon c'est égoïste
Et écorché brûlé vif
En soi pour gagner son objectif,
D'un chemin positif
Dans l'objectif
Qui est positif,
Car on a rangé les négatifs
Comme y a pas photo dans l'objectif,
Où il faut perdurer positif
Pour afficher des élans communicatifs
Et devenir altruiste
En adjectif qualificatif,
Où l'on jette les canifs
Pour les boulots incisifs,
Comme cela, les canifs
Demeurent oisifs
Et évasifs
Dans un état inoffensif
Mais juste défensifs,
Si les gens semblent agressifs
Et incisifs,
Où il faudra guérir leur négatif
Pour les surenchérir en positif,
Car comme le virus séropositif
Ne se dope qu'au négatif
S'il se fait contrôler, il est positif,
Alors, contrôlons-nous et soyons positifs
Actifs et émotifs
Dans un climat humaniste,
Et loin le négatif du passif
Au passé subjonctif égoïste.
Jérôme de Mars
Les pieds de travers
Périphrases,
En périples phrases,
Les pieds de travers
Se versent en douze pieds à l'air,
Mais dont les empreintes s'encrassent,
Car nulle trace
Que de remonter à la racine,
De Jean Racine que j'enracine
D'une épée de Damoclès,
En chef d'orchestre d'Octave
Qui touche car touches
D'encre de Dièse,
Qui gît dans l'épave
Avec les pieds de travers
En douze pieds ovaires,
Qui déversent une note salée en clé de sole
Et qui noient le poisson dans la mer et au sous-sol,
Où il semble tard et rare d'archiver les reliques du fard
D'au far du signal du phare
Complètement direct et à L'ouest,
Du Paris-Brest qui parie Brest
Au far Breton que nous encensons,
En chanson califourchon
Des trésors tourne-disque,
En vers L'Obélisque
Du flegme de notre jeunesse,
Roulez hardiesse ! en lettres de noblesse
Dans les pieds de travers,
En douze pieds périphrases à l'air
Des cantiques d'amour à l'effigie,
Du firmament des caprices d'Eugénie
Et génie en herbe dans la folie des grandes heures,
Où l'on vous marmonne les prédications de peur
Que la générale intuition érafle la rafle du vélib
Aux petits vélos oisifs qui flânent à l'air lib',
Quand les pieds de travers errent Prévert
En douze pieds similaires aux verres,
D'un courant d'air sous perfusion
Et infusions à la cadence ultra perfection,
Sinon Simenon reste le vilain Maigret de Canard
Au p'tit journal Montparnasse sur les quais du hangar,
Qui vend du papier journal sur les boulevards
Papier buvards à l'étendards de ces morceaux de standards
Les pieds de travers, en douze pieds phénomènes,
Oh que, l'ouïe s'entend à merveille
Et s' là ramène à la mène
De la frontière des sentiments parallèles du soleil fusionnel,
Qui triomphe les pieds de travers,
En douze pieds gamme o' vers de la liberté interstellaire,
Pas de miracle mais l'espérance contestataire
Qui relie Paris Sur La Seine à l'estuaire,
En assurant ses arrières-pensées derrière
Les traits d'unions, point de barrière, on souffle ouverts,
Souffleurs de verts poèmes nature forts revers.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on à quelqu'un qui a une chienne de vie à en mourir ?
- Assis pieds sous terre mon toutou !
Jérôme de Mars
Marine Le Pen le monde !
En cette société décomposée
Et désagrégée aux regrets et reflets
Qui inondent l'immonde,
Marine Le Pen le monde
Fissuré et fracturé
Dans des fossés fragmentés,
Comme ils creusent tant d'inégalités
Au sang figuré
D'une pénurie de fraternité,
Avec des déviances
Qui semblent dominance
Dans l'indifférence en opulence
Qui rentre dans les normes,
Tandis que cela paraît conforme
Et pas difforme,
En dix formes
Des défaillantes ondes,
Qui se fourrent dans les micro-ondes
Négatives qui sondent le monde,
Car Marine Le Pen le monde
Pour du beur
Et monte au front
De l'affront
De la fièvre nationale,
Dans cette France qui fait front
Au front de la bombe lacrymogène
Et anxiogène
Qui divise les gens dans le mal,
Dont il faut se procurer l'original
Et le dissoudre dans les annales
Avec les affaires qui tombent le piédestal
De La France en troubles circonstances
Dans la loi du silence,
Aux sans mêlés dans l'ignorance
Et l'agressivité aux effets contrefaits
Qui tombent La France dans le caniveau
Au niveau zéro
Tolérance zorro, car si le pays tombe à terre
Et à la mer,
En tout k, y a là Marine
Prête à prendre l'offensive en sourdine
Dans son influence
Qui rassemble tant d'affluence,
Dès lors que les gens soufflent au vent
Leur ras-le-bol, pas de bol,
Car Marine Le Pen le monde
Pour ramener les oiseaux immigrés
Au bercail et étrangers
A cette France déshumanisée
Et désabusée qui corrompt le respect
Et le réduit en portions congrues
Dans des attitudes incongrues,
Comme le vice
Qui enlise la malice et le délice
Pour les changer en chagrins distendus
D'écarts de langages absolus,
Avec des malentendus qui hérissent
Les poils à gratter à gratter le fric,
Le fisc et les briques
Pour casser du flic,
Ce qui provoque un déclic
En déclinaisons
D'un clic d'horizon,
Pour honorer les bémols
Et restaurer les tournsesols
Et les parasols,
Sur La France et son sol
Pour brandir de nouveau
Un monde adroit du sol,
Comme Interpol
En pôle
Position du terrorisme,
Du à la déferlante
Et véhémente
Extinction de l'intégrisme
Par qualité
Au détriment de l'humanité,
Car la vanité
Monte les enchères du fanatisme
Et de l'intégrisme
Par défaut qualité
Et zéro scrupules
Ravagés par les crapules,
Pas de quartiers
En groupuscules
Qui sévissent en particules
Dans des zones de pellicules,
Car y a pas photo
En négatifs dans le ghetto
Du vrai du faux
Et du porte-à-faux
En romans-photos,
Comme Marine Le pen
Le monde et peine
Les lames sensibles
Enclines à péter
Les fusibles,
Si Marine Le Pen
Peine avec peine
A réconcilier le glaive
Et la balance,
Comme sans doute, elle s'en balance
Du modèle de la vertu et de l'enfance
Avec innocence,
Dans ces rêves qui s'achèvent
En indignités qui causent
De mauvais effets et faits
Dans des vilaines choses,
Qui sentent que La France
Coule d'invraisemblance
Dans les bras de morts fée,
Car semble défait
Et contrefait ce pays sans trophée,
Dont l'insignifiance a un goût de maux trop faits
Et dont on ne sait et ne connaît la bonne définition,
A ce dico qui sent la déco de sapins en écos
D'échos, car y a que ça qui allume les crocs
Voraces et tenaces dans la besace,
Sinon dire qu'il faut oeuvrer pour le système
Des anti-Le Pen, afin qu'il tape l'emblème
D'une France conciliante, liante et coriace
Pour y semer de la graine de champions
Et qu'à l'horizon 2022, on n'est pas en morpion,
La Marine
Du mal de mère à voter pour révolter
Les oublis des politiques aux problèmes
Des Français, car ils n'aspirent qu'à la postérité
De leurs postérieurs supérieurs de leurs intérieurs,
Alors qu'il faut s'intéresser aux solutions en grandeurs
A mettre en vigueur,
Et ainsi à les déposer,
Et à les apporter
Au peuple à la criée pour que Marine aille voir ailleurs
Et qu'on soit au mieux vainqueurs d'une France revitalisée,
Sans amphétamines de sorte qu'elle contamine
Le bonheur pas pour du beurre et qu'elle se réanime
Parmi les leurs,
Sans leurres,
A un repos bien meilleur et salvateur
D'un palais gourmand, si Marine Le Pen l'immonde
Et s'envenime dans l'énigme de la Joconde féconde,
Si elle s'abonde en blonde tête brulée
Et éméchée,
Qui bonde La Joconde faconde
Dans la fronde, qu'elle succombe à la seconde,
Qu'elle seconde pas sauvée par le gong.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on d'une femme qui décède en faisant une fellation à son mari ?
- Elle casse sa pipe !
Jérôme de Mars
Show macho
A l'entame de l'été qui roucoule,
Le show macho
Se met au show machaud
Du chaud macho,
Qui bat le fer à l'échaufaud
Tant qu'il est chaud et cool
Comme un baba cool
Qui coule
Un papa cool,
Qui en découle un baba
Et qui s'écoule
En un papa à la cool,
D'où découle
Un bas pas qui cool
Le show machaud
En chaud macho,
Qui roucoule
D'un baba coule
En un papa cool,
A la cool
Qui s'écoule
D'un show match chaud,
Qui bat l'enfer tant qu'il est macho
A l'échafaud machaud du show,
Qui découle les babas,
Qui coule les papas
Et qui roucoule les babas et les papas
A la très coule
Du chaud ma show,
A l'échafaud macho
Du match chaud trop cool
Et trop show,
Ici, les bas bas coulent
Ah ! les chats faux
Du show cool
Qui en découle
Le chaud macho,
Ah là ! des cools
Qui roucoulent
A très bien chaud
Le show macho.
Jérôme de Mars
David guetta !
Plus vite que la musique,
David Guetta philharmonique,
Ouvre le bal
Et l'acoustique des mots
En acouphènes,
A bonne entendeur
Du phénomène
Du musicien baladeur
David Guetta,
Qui guetta de ses pas
L'appât,
Au gai pied à contre-pied
Du guêpier, comme il est à pied
Aux aguets
En faisant le guet
D'oeuvre dans la manoeuvre,
Où il oeuvre pour de bonnes oeuvres
Placées sur écoute,
Dans un bruit de techno
En matière première,
De la contredance
En amende honorable de la dance
En rechargeant les batteries,
En percussions
Et en répercussions
Menées tambour battant,
Sur la cuivre des cymbales
Qui mènent le saint bal,
Dans le carnaval
De David qui guetta
David Guetta,
D'un retourné acrobatique
En son imminente tournée lunatique
Du soleil, dès qu'il somnole dans la lune,
Ou sous les sunlights des projecteurs,
Il dupe en trompe-l'oeil sans tambour
Ni trompette, les calembours lumières
Générateurs et électrogènes tamisés sous le feu des projecteurs,
Aux spots du soleil trompeur dans la une décroissante de lune
En lune de miel du soleil artificiel d'une,
Lorsque David guetta
David Guetta,
En messes basses à basse
De la contrebasse à contre basse,
Qui sasse
Et ressasse
Un solo
Et un duo
De guitares
Dans le mitard
Des musiques prisonnières du ghetto
Entre deux volées de piano
En une note salée de bonne facture
Qui monte la portée musicale apportée
A la remportée dans des fractures
Déportées et reportées en pièces rapportées,
Dès que David guetta la techno très sophistiquée
De la technologie très contrastée,
En miroir d'alouettes qui plument
Les alouettes conquistadors en volées lyriques,
Du triste Roi Lear méli-mélo dramatique et mélancomique
A retombées incrédules de faux-semblants en coutumes,
Si bien que David Guetta
David qui guetta
Les musiques modernes en phase d'alfa
Dans le do ré mi fa sol d'un élan de kama sutra,
En timbale qui teint le bal et qui déballe
De balle en se renvoyant la bal
Du thermomètre maître et contremaître de référence,
En conférence qui signale la différence
De si grandes ignorances d'intervalles
Avec la reconnaissance et la révérence,
Dont David Guetta fait sa révérence
En vous saluant merci, bravo
Et à bientôt de votre brio à Rio de Janeiro,
Qui ferme le bal plus tôt le soir
Au plutôt bonsoir, il est tard.
Jérôme de Mars
Citation :
Quelqu'un qui perçoit L'AAH et qui réside dans un logement HLM touche l'allocation ( La location ) !
Jérôme de Mars
Trame en slam
Oui ok,
Comme j'ai pas le hoquet,
Je viens sans mon hockey
Qui me laisse de glace,
Car sans me regarder dans la glace,
Je viens et je reviens, dans ces va-et-vient,
Où il faut que tout aille bien,
Du mal au bien,
En respectant le bien,
Du loquet,
De ton portable
Exportable,
Car quand on sera à table,
On jouera cartes sur table,
Où d'un cou de hoquet,
J'arriverai à trouver le bon quai,
Ok pour venir dans cette trame,
Grâce au métro et à sa rame,
Où je trame de mon tram,
Tout ce slam,
Qui tape du macadam
Avec les quidams,
Qui dament le pion
Sur les dames
Et leurs morpions,
Où l'on est tous des pions
Sur l'échiquier,
Du je de dames,
Au nom de sa majesté,
Dans tout ce ramdam,
Où du macadam,
On fait échec et mat,
En mat
D'un chèque en bois
Où je finis le mois
Dans le temps parti,
De cette partie
En répartie
De tant reparti
A l'inclinaison
De l'emploi du temps
Vers la terminaison
Du je au temps parfait.
Jérôme de Mars
Citation :
Si je me suicide en tranchée comme j'ai pas de veine, c'est que je suis à couteaux tirés avec tout le monde !
Jérôme de Mars
Citation :
Quelqu'un qui perd ses amis car il n'est pas sérieux, leur dit : " - Sérieux, c'était pour rire " !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-qu'un attentat sans importance dont on s'en fout et pas naturel qui part en fumée à Barcelone ?
- Des feux d'artifice !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi y a-t-il eu un attentat à Barcelone ?
- Parce-que là Grenade a explosé !
Jérôme de Mars
Le collectif personnel
Quand on vient au monde,
On est seuls dans la clameur rubiconde
Au sang d'encre de cette vie féconde
Des quais à la destination que fronde
Les insoumis démis parmi la société démunie,
Car l'on doit faire des compromis
Malgré les cons promis qu'on rencontre
Et qui vont à l'encontre
Que contre le collectif,
Qui dans son équipe rencontre l'admiratif
Collectif personnel pour faire équipe,
Car dans une équipe, on s'équipe
En lisant le journal L'équipe
A l'union sacrée avec une sensibilité tropique
Pour se fondre dans le mouvement offensif
Du collectif personnel,
Mais où l'on prend pour modèle défensif
Le personnel émotionnel,
En rectificatif
Des joueurs complémentaires,
Qui tapent sur le ballon d'essai à terre,
Avec leur dossard
A l'étendard standard
De l'unisson,
Car l'union fait la force
Et amorce en bombant le torse
Des joueurs sans commettre d'entorse,
Au règlement conventionnel
Et indispensable à la bonne tenue professionnelle,
Dans le collectif personnel
Qui génère un respect mutuel,
Où chaque membre
S'assemble et se rassemble
Du personnel au collectif,
D'un collectif personnel
A la surface de réparation
Des dégâts, où des gars
Qui se ressemblent se fixent des buts,
Qui butent et rebutent
Le perso qui en a rien à foot
Et débutent
Dans le collectif personnel du foot,
Qui se shoote drogui en vivier de talents
Au plus fort de leurs redoutables crampons compétents,
Où ils courent au match de leur vie,
Duquel ils se font l'ami
De la victoire,
En bout de trajectoire
Du collectif personnel,
Car les légendes éternelles
Jouent en un d'un quatre en un
Avec le score de quatre à un,
Pour triompher de l'adversité
Au nom de la fraternité,
Tous ensemble
Pourvu qu'on se rassemble
Et qui nous semble un bel en semble
Où l'on est très bien ensemble,
Car si quelquefois, on levait nos ailes
Dans le collectif personnel,
On franchirait la passerelle
Avec une ribambelle naturelle
D'hirondelles hauts vers le ciel universel,
Du collectif très personnel
Et intemporel,
A l'unisson de l'humanité parallèle.
Jérôme de Mars
Fous-moi la paix !
Depuis naguère
C'est la guerre,
Car ce n'est guère
La paix,
Pour moi d'un appel tout paix
Qui dit en tout paix,
Fous-moi la paix
Avec toupet,
Où ce n'est guère
La paix,
Car on m'enfume depuis naguère
Et ce n'est guère
La paix,
Car j'enfume le calumet de la paix
Que j'en fume en guerre de toupet,
Alors que tous veulent depuis naguère,
Que je leur foute la paix au calumet
Qui fume guère,
Et moi depuis naguère,
Je leur crie guère
En paix,
Car à la guerre
De naguère,
Je lui supplie de ma voie
A l'issue sans voix
Fous-moi la paix,
Car la paix
M'enfume le calumet
Que j'en fume en tout paix,
Avec toupet
Du calumet de la guerre
Que naguère
Je n'obtiens guère,
Où je fumerai le calumet
De la paix,
Que si on enfume la guerre
Depuis naguère,
Avec moi pour que la guerre
Ne soit guère
Et qu'en paix,
Je dise à la guerre
Depuis naguère,
Et guère
En paix,
En tout paix
Avec toupet
Fous-moi la paix !
Jérôme de Mars
A l'origine du mâle !
Lorsqu' inné sous x,
Il naît inconnu
A l'origine du mâle
Dans sa langue natale
Sur l'il natal,
Qui remonte étranger
A son pays divers,
Qui sommeille
Et hiberne
En lui,
Depuis la veille
De son autobiographie,
Dès que son être terne
Allume la lanterne subalterne
Pour ranimer les ethnies
Divisées en une assemblée soudée,
Quand les sangs-mêlés
S'en mêlaient
D'un toucher de lumière
Dans cette pièce sombre,
A l'ombre
Des tristes chaumières
Car manquent les prières
D'un Ave en unis vers,
Parmi ces fougères
A qui il faut restaurer
Leur beauté
A la légère
A l'origine du mâle,
Où il faut réconcilier
Les nations
Dans l'alliance
Et la clémence
D'un état réparateur
En l'état des cieux,
Avec une nuance de bleu
Emerveillée au fard d'un soleil
De bonheur
Et de grandeur
Eméché avec la fièvre bronzée,
Autant harmonieux
De son mieux
Avec le feu
Sacré en vigueur,
Qui s'émeut
En un joyeux
Etat fabuleux,
Pour la ferveur
D'un état meilleur
Et radieux,
En l'état des lieux,
Il était une fois l'il natal
A l'origine du mâle.
Jérôme de Mars
A quoi Serge ?
Bonsoir, mon pote
A la compote,
A quoi Serge ?
Si je ne me sers-je
Pas le ver
De l'amitié,
Pour me réconcilier
Avec la paix,
Et afrronter
Les revers
De l'adversité,
Avec immédiaté
Si moi,
Je suis le con qu'on poste
Au poste,
Et qu'on composte
A la poste,
Du roi des désarrois
Fainéants et misérables,
Car j'ai joué cartes
Sur table
Avec Brigitte,
Dont la relation
Se délite
En insultes
Et en tumulte
Marqués sur la pancarte
Dans le virage
De la séparation,
Qui se cause
Et se profile
Comme ça tient
Qu'à un fil
Pour moi,
Dans le pétrin
De mes ecchymoses,
Où j'ai dépassé
La clause
De conscience
Et de révérence,
Car j'enrage
Dans le naufrage
Et me demande
A quoi Serge ?
Si je quémande
Sans arrêt,
Pouvez-vous m'aider ?
Alors qu'il y a que moi
Qui ai la réponse,
Au tourbillon
De mes questions
Qui me défoncent
Dans les tracas
Avec pertes et fracas,
Où je fais le vide
Livide et avide
De faux-semblants,
Où la noirceur
Et l'épaisseur
De mon âme,
Respirent la froideur
Infâme des lames
De la rancoeur,
A coups de contrecoups
Et de dégoûts du tout
Pour le tout,
Où je me dévoye
Dans la voie
Des je m'en fous,
Comme je suis fou
désallié à m'en péter
Le cou et le garde-fou,
Et où je me répète
Dans mon va-tout,
A quoi Serge ?
A part d'être
Un feu de paille,
Qu'on met sur la paille
D'un épouvantail
Dans la pagaille,
De savoir où va
Mon destin au dessein
Des va-et-vient
Et des manques de saints,
Au sein de ma plainte
Que je composte
En complainte,
Comme je prends tout
A la lettre qu'on poste
Avec accusé de réception,
Si les ondes sont embrouillés
Comme moi,
Dans le brouillon et l'insurrection
D'eux de ceux,
Avec qui je suis brouillé
Dans le sillon
Des amis désaveux
Des aveux,
Dont les oeufs
Embrouillés demeurent posés
Sur le même panier brouillé
Et où je me martèle,
A quoi Serge ?
En me mettant martel
En tête
Dans ce casse-tête,
Où je ne sais pas
Si je vais
Vers le bon chemin
Ou vers la stèle de ma dérive,
Comme j'y arrive
Doucement mais sûrement
Très loin de mes essaims,
Car au lieu
Que je butine le miel,
Je turlupine dans le fiel
En relations d'équations ennemies
Au lieu de les sauvegarder
Et de les préserver
En adéquation amie
Pour la vie,
Car on a besoin
D'amis dans les aléas
Des hauts et des bas,
Aux parfums de bonheurs,
De malheurs
Et aux tourments
De mon tempérament
Chaud bouillant,
Auquel tout fout
Le camp,
En ces instants
De misères
Et de moral précaires,
Et où de mon amour douteux
Et de mon humour dateux,
Je réfléchis à ce que je veux
Et ce que je peux,
Résoudre pour dissoudre
Le passé
Et m'absoudre
De mes péchés,
A destination
D'un ailleurs,
Où bon m'emmènera
Le bonheur,
Pourvu que je reste
Et que je me déleste
Dans la joie enfin paroi,
De mon intérieur
Redevenu roi
En décoration extérieure
Et où j'affirmerai réjouissant
Vive le présent
Et quand me Serge ?
Un ver où je trinquerai
Avec toi Serge,
Au ver de la paix
Car la boucle sera bouclée.
Jérôme de Mars
Citation :
Edwin, comme tu n'es pas trop aidé, dès que ça capote dans tes relations, tu te préserves dans ton travail au musée pour t'amuser en t'exposant !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi dois-tu accepter la dure réalité qu'un long-métrage dans une salle se termine à la fin de la séance ?
- Parce-que c'est plus du cinéma !
2) Pourquoi Brigitte, hier soir tu m'as dit que tu me raconterais plus tard l'histoire du long-métrage " Choquette " ?
- Pour ne pas que je me fasse des films !
3) Pourquoi Brigitte pour toi, ça peut être une bonne chose si tu saisis l'opportunité professionnelle qui t'est offerte grâce à ton ami Benoît pour travailler dans un magasin commercial avec à la clé un CDI ?
- Parce-que c'est un bon travail à bon marché pour toi !
Jérôme de Mars
Papa à Cavalaire !
Papa, tête en l'air,
Quand tu cavales l'air
De rien,
T'es à Cavalaire
A respirer l'air pulmonaire
De tes reins,
Pour un rien
Loin de mon calvaire
Qui cavale l'air
A Cavalaire,
Comme mes tantes
Que ça te tente
De voir à Cavalaire
Loin de mon calvaire,
Où tu cavales l'air
De rien
A Cavalaire,
A humer le teint
De ton air pulmonaire
A l'air
De rien
Dans un festin
A Cavalaire,
De l'air
De tes reins,
Où tu entrevois ton cousin,
Assis sur son coussin
A contempler Cavalaire
Et à réflechir serein
A l'air
De rien
De Cavalaire,
De comment siroter
une bonne gorgée
De bière,
Loin des oursins
Toi, papa, l'ours saint,
Où tu cavales l'air
Sur un air
De rien,
Pour rincer tes reins,
Avant ton retour
L'autre jour
Parmi les tiens,
Très loin derrière
L'air de Cavalaire,
Où tu cavales l'air
D'un air extraordinaire,
Quand tu reviens,
Ainsi, tu souffles de ton air,
Une bonne bouffée d'air
L'air de rien,
De comment protéger
Ton destin
Et très loin de mon calvaire
En intensité,
Pour te rappeler Cavalaire,
Où tu reviens
Demain en voisin
L'air de rien,
A Cavalaire,
Où tu ne manques plus jamais
D'airs pulmonaires
Pour de longues années.
Jérôme de Mars
Ni bas ni long !
Il était une fois la chose
Que l'on fait
Avec une femme,
Aux effets
Pour qu'elle prenne la sauce
En overdose,
Et en plein été
Même si on ne peut pas être
Et avoir été
Près de la fenêtre,
Un bel étalon
Oh eh talon !
Qui enlève le bas
Et tombe bien bas,
Eh bah !
Dis donc, toi qui fais
Débat
Avec luxure
Et qui susurre,
Mets-là
Bien à fond dans ta trachée
De haut en bas
D'ébats,
A en perdre ton bas
De laine
Et de contorsion
Avec ta vieille rengaine
De madeleine
De pénétration,
Où l'on te pose la question
Si la tienne
De long en large
Et au long cours,
Reste courte ou longue
A la longue
De l'érection
Oh ! mousaillons
Qui crache l'écume
Que ta femme fume
Et qui prend le large
Avec ses bas nylons ,
Pour y semer ta graine
De champion,
Dont ton sexe n'est ni bas
Ni long,
Mais à la bonne proportion
D'une profonde remise en question
Qui désengorge
Les fonds de gorges
Du Ver dont,
Afin de savoir si ta femme
A mis en exécution,
Toute ton âme
Qui jouit d'éjaculation
Précoce, avec ton sexe
Ni bas ni long,
Et plus dans l'annexe
De ses tétons,
Car t'es ton excitation
Qui te vaudra
D'être dans de sales draps,
Où tu mouilleras ta chemise
A ta chère promise,
Dans une volupté
De bien-être sucré,
Pour connaître des hauts,
Oh et des bas
Très bah,
Car y a oh ! d'ébats !
Avec ta femme ,
Qui slame
Ses bas nylons,
Où tu espères,
Que ce sera ni bas
Ni long,
Ta prochaine fois
Où ta femme
Te dépucellera pubère et ouvert,
Car elle te la mangera
Hip pipe pipe hourra,
En ébats ni bas ni longs
Au long cours,
Quand tu la bourres
A la bourre,
Un de ces jours
Au nom de l'amour
Qui débourre
De Bourre La Reine
A choisis ton roi,
Pour que tu lui plantes ta graine
Avec joie
A lui perdre la laine,
Au plus oh bas
Pour mettre bas.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Une vanne mal interprétée s'écoule mal !
2) La vie devient un présent autant quand le passé est largement d'antan !
Jérôme de Mars
Citation :
Ca tombe à l'eau si t'as pas piscine !
Jérôme de Mars
Jeux démo
Paon,
Affreux jojo
Qui en voit la couleur
En drôle d'oiseau,
Dès que c'est pas jojo
Qui est l'oie sceau,
Qui saute
Et sur saute
En saute-moutons,
Comme des moutons
De Panurge
Qu'on purge
Et qu'on expurge,
Quand ça urge
En jeux démo,
En je de maux,
En jeu de mots,
Enjeu des gros mots
Et en je de gros maux
Grosso mots do,
Lorsque coule le paquebot
Et qu'en découle le pack beau,
En ex cas beau
D'un escabeau,
Qui monte à grande échelle
A l'échelle
De son niveau,
D'un son qui nivelle haut
En faisant la courte échelle,
Pour esquiver et chef
Du cas niveau
Au caniveau zéro
Du top échelle
Et du flop et chef,
Car ces jeux démo
Sont trop ardus
En jeu de mots
Art du
Au dû de l'are,
Qui cultive le jardin secret
Au secret qui cultive le bien
Du jardin loin du mal
Du diable,
Qui habite oh ! que diable
A Denfer
-Rochereau
De Boris, soirée disco
D'enfer
Au paradis d'en faire
Des jeux démon,
En je des monts,
Anges ou démons
Des jeux démo,
En je de maux,
D'en jeu de mots,
En enjeu de gros mots
Et en jeu du dernier mot,
Où si les gros mots
Se disputent,
Ils jouent à dix de putes,
En prises de bec,
De noms d'oiseaux,
En oiseaux
Au non
Des gros mots,
Qui jouent en démo,
De je de mots
Et en jeu de corbeaux
Aux corps beaux,
Où ils font les bof
De beaufs mots,
D'ont ils se débectent
Epris en prises
De langues de flûte
Et flûte de pan,
Car ils ont joué à dix de chutes
Dont c'est la chute
Et pan.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi ai-je voté Marine Le Pen aux présidentielles 2017 ?
- Parce-que c'était écrit noir sur blanc !
2) Pourquoi s'en fout-on du 15 août ?
- Parce-que c'est out !
Jérôme de Mars
Mes prises
Sur prise
C'est une prise
En prise
Et en emprise
Qui m'est prise
Et méprise
Mes prises
Dans une méprise
Et une mes prises
De mes prises
Qui méprisent
Dont m'est prise
Méprise
En mes prises
Dans une prise
Où c'est l'entre prise
En prise
Et en emprise
Qui m'est prise
Et méprise
Mes prises
Dans une méprise
Et une mes prises
Car c'est la reprise
Qui m'est reprise
En entreprise
Surprise.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi ne supportes-tu plus ce monde d'égoïstes de merde dans lequel on vit ?
- Parce-qu'après le verre solidaire, voici venu le temps des revers solitaires !
2) Que dit-on de toi si demain, t'es pas disponible et que tout tombe à l'eau ?
- Que demain, tu peux pas car t'as piscine !
3) Pourquoi me répond-on toujours on verra quand je veux inviter quelqu'un à boire un café chez moi ?
- Parce-que c'est moi qui vois si tu vas te faire voir chez Les Grecs !
4) Pourquoi si je me fais hospitaliser à Paul Guiraud à Villejuif, les psychiatres n'en auront rien à cirer de mon état ?
- Parce-que c'est l'hôpital qui se fout de la charité !
Jérôme de Mars
Coca qu'au cas !
Pas coca
Qu'au cas
Mais un encas
Au k
Par k
De la parka
Au cas
Par cas
En encas
Du coke ah
Coca
Du k
Par cas
Qu'au cas
De l'encas
Par k
Du coke ah
Qu'au cas
Par k
De la parka
En encas
Coca.
Jérôme de Mars
L'étang moderne
Sous une pluie interstellaire de brume,
Le ciel crêpu frappe de sa monotonie qui fume
Les parasols indécis d'un fond de teint terne,
Comme un écrin de satin propice de l'étang moderne
Qui brode une ode à l'eau de rose ambivalente et perfide,
D'un ricanement adjacent qui brasse un tomber de météores
De boules de feu pour allumer les lanternes en terre aride,
Qui mouille sa chemise limpide aux sorts jeteurs du précieux folklore
De l'étang moderne subalterne qui cherche le réconfort en amours de l'effluve,
Qui roucoule du fleuve et traîne sa tranquillité en un jaillissement du Vésuve
Bouillonnant d'un amour volcanique et tropique en des recoins désemplissant,
Et regrettant ses erreurs du printemps infidèle à ses valeurs se lamentant
Dans l'étang moderne qui circule en déroute se demandant où habite le modèle
Prototype du parfait gentleman au charme de sensualité dégoulinant d'untel,
Où l'étang moderne se modifie au gré des saisons florissantes avec des cernes
Nostalgiques au puits considérable d'anecdotes fertiles vers les temps modernes.
Jérôme de Mars
Fréquenstable
Bonjour et bienvenue
A table indémodable
De cette fable aimable,
Où l'on met du sirop d'érable
Avec une dose d'agréable,
Quand nous accusons réception
De vous, les convives
A la réputation
Fréquenstable,
Qui venaient en cons vifs
A table,
Avec vos canifs kif kif
Et à l'ambiance incisive,
Où vous répétez en rafale
J'email aux dents,
Qui vous met un vent de mistral
Avec la dent dure,
Dès que vous envoyez sans râtures
Un message
A l'adresse postale
En lettres de partage
Et capitales,
A l'effigie de Paris et de son équipage
Au recrutement fréquenstable
Et aux caractères
Outrepassées de la frontière,
A table indémodable,
Aux vertes fables
Au préalable passables
Et admirables,
Qui restent vénérables
Dans le raisonnable
Et vulnérables
Dans les relations abordables,
A la personnalité fréquenstable
A table indémodable
Et négociable,
En pourparlers
Pour parler
Sociables,
Qui combinent
Nos futiles bobines,
Lorsqu'on montre nos visages
Estimables de passage
Aux inconnus,
Avec une démarche maline,
En sourdine,
Et respectable
A la dignité fréquenstable,
Car on se fait des films
Qui nous embobinent
Comme Jules et Jim,
Qui nous débinent
De nos jardins secrets
Comme Un Mausolée
Dans son sanctuaire pas écorché,
Où l'on boit la chicorée
Du café,
Dont le mare prédit devin,
Notre destin pour demain
Qu'on espère fréquenstable
A table indémodable
Et ouverte,
En vertes et pas mûres
A l'ombrage
Du coeur à l'ouvrage
Au film de de notre nature,
Avant la fermeture
En sépulture,
Sitôt l'horizon obscur
Et inébranlable
A la spirale
Du terminus fatal
Et fréquenstable
A table indémodable
Pour votre salut.
Jérôme de Mars
Faim du monde
Par les sept péchés capitaux,
Inutile de se procurer les copies,
Logiquement, ce qui semblent primordiaux
Et cordiaux,
Ce sont les rapports moraux
Qui se lient
Avec les originaux,
Car ils ont le dernier mot,
Grosso modo dans le dico
De La Joconde
A La Faconde,
De ce monde
Qui s'inonde
De jet, de rejet
Et de déchets,
Par l'objet
Du scandale
Et ses projets,
Qui se jettent
Aux oubliettes,
Comme des chiens dans les arènes
Du diable qui assène
Sa queue dans le harem,
Au totem
Magistral
Dans les annales,
De cette faim
Du monde,
Que l'on sonde
En fin
De coupe-fin linéaire
Aux évocations aléatoires
Des différentes trajectoires,
Entre désillusions
Et fanfarons
Aux trompeuses apparences
Qui se diffusent en séquences
En troubles circonstances,
Du hasard et des coïncidences
Qu'on souhaite
En plans sur la comète,
En saynètes
De scènes nettes,
Pour oublier Internet
Et envisager
De songer,
A la galaxie sociétaire
D'un brillant millénaire
Aux étoiles planétaires,
Sur la voie lactée
Au destin communautaire,
Qui atterrit sur La Terre
De Mars de nos ancêtres,
Aux spectres
Légendaires,
Où il faut avoir recours aux prières,
Car l'on a faim du monde,
Aux idéaux chouettes
Et sincères
Avec du grain à moudre
Que l'on sera dépêché d'absoudre
Et de dissoudre
D'un concentré superficiel
Et artificiel,
En une paix naturelle
De cette faim du monde
Qui n'aura plus fin féconde,
Mais voudra se rapprocher
Au constat spontané
Des matières premières,
Aux francs parlers solaires,
En incontournables préliminaires
De l'âge de pierre
A l'âge d'un terre
A tiers,
Vecteur de repères.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Une Louise que t'as connu au CEREP, elle lâche des flatulences si t'en as rien à péter d'elle !
2) Si on prend du coke ah ! On se shoote aux paroles qu'on boit avec du pain à demi sur la planche sans connaître la déconfiture où l'on fait son beurre !
3) Si tu fais la queue, t'es long à la détente !
4) Quand les êtres ont des revers d'infortune, leurs paiement en espèces sont menacées !
5) Une mode qui traverse le temps est indémodable !
Jérôme de Mars
Appel masqué
En appuyant sur dièse
Sur mon trente et un,
Je retape dièse
Avec une touche balèze
D'une fougue enclin,
En un clin d'oeil à téléphoner
En appel masqué,
Maqué en chevalier masqué
De par le masque et la plume,
Où je perds des plumes
De ma plume
A l'encrier d'enclume,
Qui me plume
Dans mon costume
De l'appel masqué,
Où je me cache masqué
Et dissimulé
Derrière mes parures
Et mes voilures,
Dès que je perds le fil
Avec désinvolture
Dans une imposture
Que j'enfile
De par un réseau d'amis
Virtuels qui en devient un rituel,
Sous l'autel
De la loi de l'infini,
Tant que jadis, je brandis
L'appel masqué
Au loquet,
Quand je dis
De mon hoquet
Qui me bloque au ko du ok,
Comme j'ai le hockey
Qui me laisse de glace
Et dont j'amasse
Le joli magot
A tire-larigot,
Comme bientôt,
Ce sera la faim du monde
Qui inonde
La faim des haricots,
Enfin si bientôt,
Je rebranche mon téléphone
Dans le tel est fun,
Pour recharger les batteries
Au fil sans fil,
Qu'ensuite, je débranche
Dans la branche
Des galeries de la vie
Avec un nouveau réseau d'amis
En relevant les défis,
Pour passer de l'appel masqué
Au présent d'un appel divulgué
Qui affiche mon numéro,
Pour rencontrer d'un pas de slow
Celle qui me fera le grand numéro,
D'un avenir en eldorado
Pour très bientôt.
Jérôme de Mars
On fait du neuf avec du vieux
Quoi de neuf ?
En ce jour pluvieux,
Où l'on fait du neuf
Avec du vieux,
Plus vieux
Qu'au très moyen âge
Du moyen parage
Par âge,
Où l'on fait de notre mieux
De la prunelle de nos yeux,
Qui semblent merveilleux
A deux,
Car ils demeurent crémeux
D'un fond bleu
De caprice des deux,
Qui fondent radieux
Et joyeux
Dans le comité soyeux
Et mielleux,
D'un redoux qui flamboie neuf
Quoi de neuf ?
Dans la teuf,
Où l'on fait du neuf
Avec du vieux
Au temps pluvieux
De nos aïeux
Plus vieux,
De l'âge d'or du soleil
Qui se dore à l'oseille
Par âge
Et parages
D'il était flamboyant
Et allant,
Le brillant firmament
Rouge vermeil
Aux lèvres
Du soleil,
Mièvre
De la fièvre
Des années 80
A quatre-vingt
Printemps,
Qui bout à l'éternel refrain
Qui monte en drain
De folie au son empreint,
De l'avant et de l'après
A peu
Près,
Si on revenait
Tout frais
Et bouillant,
Comme un chaud volcan
Qui déborde impatient,
Où l'on refait du neuf
Avec du vieux,
Pas plus vieux
Et pas pluvieux,
Que la teuf
Qui s'achève
Aux cieux
De p'tit t'oeuf,
Quoi de neuf Titeuf ?
Où l'on fait du neuf
Avec du pluvieux.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) A quoi joue Jonathan ?
- Aux jeux Nathan !
2) Qu'est-ce-que ça fera si Victor et un collègue Hugo écrivent un bouquin qu'on parcourt au fil des pages ?
- On lira Victor Hugo !
3) Que dit-on du gars ( DUGAS ) qui se soûle au fil des années et qui chambre ses collègues ?
- Il prend de la bouteille en mettant en boîte les autres !
4) Que dit-on d'un savon qui s'en fout de tout ?
- Il s'en lave les mains !
5) Que dit un carton de bouteilles d'alcool emballé qui est bluffé ?
- Je suis scotché !
6) Que dit un fruit qui a des problèmes ?
- Je n'ai que des pépins dans ma vie !
7) Que dit-on de moi qui me ballade dans les couloirs pour faire La Tour Eiffel ?
- Je suis le promeneur du Champ de Mars !
Jérôme de Mars
Citation :
Comme en France, on est retournés au Moyen-Age, nous sommes redevenus Des Français aux désarrois fainéants !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, le climat est-il prêt à exploser entre collègues ?
- Parce-qu'il y a un bâton de dynamique !
2) Pourquoi fait-on déplacer des hommes au dépôt pour ramener les cartons de bouteilles d'alcool DUGAS en palettes ?
- Parce-qu'on fait descendre des gars !
3) Pourquoi Christophe et moi qui n'avons pas d'amis à L'ESAT de Vitry, mène-t-on tout le monde en bateau ?
- Parce-qu'on fait la course en solitaire Christophe et moi !
4) Que dit-on d'un rappeur qui est intelligent ?
- Il est Passi bête !
( Pas si bête )
5) Que dit-on d'un cochon casanier qui reste chez lui ?
- Il reste à son porc d'attache !
6) Que dit-on d'un pouce et des autres doigts qui s'entraident ?
- Ils donnent un coup de main !
7) Que dit-on de plusieurs orteils qui secouent le cocotier en étant plus fourmis que cigales ?
- Ils donnent un grand coup de pied dans la fourmilière !
8) Qu'est-ce-que ça fait si je slame sur l'attentat terroriste survenu à Levallois-Perret ?
- Un slam is slam !
( Un slam Islam )
Jérôme de Mars
Bien vivre ensemble
Bien vivre ensemble
En tout bien
Tout honneur,
S'assemble
Dans l'ensemble
De la grandeur
A la bonne humeur,
Car y a pas d'heure
Pour connaître le bonheur,
Même si on a besoin
De travailler pour faire son beurre,
Car qui se ressemble
S'assemble
Dans l'ensemble
Du bien vivre ensemble,
Dans ce monde en dyslexie
Et en anesthésie,
Qui se confond confus
Dans l'anarchie
Et l'hérésie
Qui en découlent de cette galaxie,
Où le respect a pété
Et sauté
Les plombs
Depuis trois plombes au tréfonds,
Et a dérapé dans les camouflets
Et les déconvenues
De la société fragmentée,
Parmi les cons venus
Et les hein compris
Des incompris
Fourvoyés dans la médiocrité,
La dureté et la cruauté
De cette société mal-estimée,
Sous-estimée
Et surestimée,
Dont les effets sont escomptées
Et les jours sont comptés,
A compter de ce jour
Et à compter à contre-jour,
Dans la communauté
Et l'inhumanité,
Où il ne fait pas bien vivre
Ensemble dans nos quartiers,
Aux adresses du peuple pas en paix
Et pris à témoin,
Que les lendemains incertains
Se dérouleront dans la référence
Qui galopera l'indifférence
Avec sa semence,
Auquel tout le monde prêtera allégeance
Dans la loi du silence
A l'hypocrisie érigée en vengeance,
Dans l'insolence
Et l'insignifiance de la violence
Qui s'accoutument
En ces instances,
Dans des faux semblants de costumes
D'irrévérence,
Qui masquent la plume
D'écriture
Du fait qu'ils perdent des plumes
Dans leur nature,
En une vaste enclume
Qui brume
Et enrhume
Les mécréants,
Qui n'y croient plus
En la vertu
Et l'innocence,
Des idéaux plaisants
D'êtres pieux et solidaires,
Car l'enfer
A rompu
Les joies planétaires
Du bien vivre ensemble,
Qui se rassemble
Et s'assemble
Dans le mal,
Où le crime des hommes
Fait le mâle
En somme,
Et ressemble
A l'ensemble
Qui s'assemble
Contre le bien à moindre mal,
Alors qu'il suffirait juste
D'une prise de conscience
Robuste
Chez l'opulence
Et les quartiers populaires,
Pour qu'on s'assemble
Tous ensemble,
Car qui se ressemble
S'assemble
Dans l'ensemble
Du bien vivre ensemble,
Réveillé
Et revigoré
Dans l'espérance
Et l'insouciance
Qui nous rassemblent
Résurgence
Car y a urgence !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi à L'ESAT de Vitry, s'en fout-on du monsieur de la mairie qui voulait prendre des clichés de nous ?
- Parce-que y a pas photo !
Jérôme de Mars
Citation :
Quand on connaît le mobile d'un appel téléphonique, tout reste au beau fixe !
Jérôme de Mars
Si ça vous chante !
Youpi, l'été commence
Et s'élance dans la plaisance,
Des jours menés tambour battant
Avec la musique au rythme abattant,
Si ça vous chante
Qu'il y ait de la bonne entente
En votre endroit exultant,
Quand le bal de l'orchestre
Fredonne les mouvements pédestres,
Des cigales qui fourmillent d'impatience
Dans les contredanses,
En amende honorable
Sur la table conviviale,
Si ça vous chante
Qu'on entonne
La ritournelle des fourmis
En tonnes,
Qui détonnent
L'accalmie en haut débit
Des paroles qui décantent,
Lorsqu'on les tente
Et leur intente
Sous la tente,
Auréolée de vieux succès
De vos âges premiers,
Si ça vous chante
Qu'on déchante
Et qu'on invente
Une bourrasque turbulente
A vos pieds,
Qui se trémoussent en va-nu-pieds
Et se lancent à contre-pied
Dans le guêpier
Du soleil amouraché,
Dès que la nuit étoilée
Se fournit des bleus incrédules
Au crépuscule,
De la vie en minuscule
Qui souligne en majuscules
Les scrupules
Qui vous changent en crapules,
Si ça vous chante
Qu'on les arpente
En inconditionnels
Du présent conditionnel
Imparfait, où vous trouveriez
La paix,
Si ça vous chante
Que l'amour tendresse
Se caresse
A deux et s'empresse
De vous déclarer sa flamme brûlante
Aux passions tonitruantes,
Si à tout jamais ça vous chante !
Jérôme de Mars
Si on fonctionne avec des si !
Voici
Des scies,
Si on fonctionne avec des si
Comme Le Messie
De Lionel Messi
Qui fait par-ci,
Par-là un triomphe de ceci
Avec des lanternes qui ne sont pas des vessies
De là et de si,
Qui à bon escient scient
Si on fonctionne avec des si
Du rap de Passi,
Au passif d'actif circoncis
Du parcours concis,
Avec des raccourcis
Qui vous scient
Le bras d'honneur en do ré mi fa sol la si
Do des soucis
Si on fonctionne avec des si
En sous si,
Et qu'on scie
Un ramassis,
Assis
Pieds joints à six
Sur l'arrêt des Malassis,
Station debout à Ivry en sursis
Du bus 183 qui roule vers Massy-
Palaiseau sur le réseau des si
Grands trajets d'une vie de chienne Lassie,
Dont le terminus se descend à Boissy-
Saint-Léger ci, ceci,
Ci-joint et si-rejoint, on mange notre pain blanc rassis
Assis et rassis
A six pieds sous terre de si et de là par-ci,
Par-là, où l'on vous dit assis Lucie
Si on fonctionne avec des si
Qui vous en coupent de la scie
A Lassie,
Là si,
Cette vie de chienne vous implore merci,
D'avoir réussi
A fonctionner avec des si !
Jérôme de Mars
Ouvert-over
Ouvert aux vers
Semblent les revers,
Des alarmes de vers
Qui chavirent en vers,
Des vers de primevères
Qui priment vers
D'orage de Prévert
Jusqu'au pré vers,
Qui sombre à l'envers
Du ver sans solitaire,
Où prendre un ver solidaire
Témoigne en ver lent du ver
De contact imaginaire,
Paiement sans contact salutaire,
De ce gamme ouvert
Et aux vers,
Vers les faux revers
Du vers dentaire,
Salut terre
Qui se renferme d'un game over.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Comment appelle-t-on un perroquet qu'on insulte ?
- Un nom d'oiseau !
2) Pourquoi à L'ESAT de Vitry, tout le monde se parle-t-il agressivement sans se comprendre ?
- Parce-que personne ne s'entend !
3) Que dit-on d'un homme qui vole le portable de sa petite amie ?
- Il trouve le bon mobile pour commettre ça !
4) Que dit un gars qui ne veut pas se mêler des problèmes de son ami qui s'est fait voler tous ses vêtements ?
- Ce ne sont pas mes affaires !
5) Qu'est-ce-que ça fait un drôle d'oiseau qui va plus vite que la musique ?
- Il se brûle les ailes sans tambour ni trompette !
Jérôme de Mars
Eclats de vers
En ces failles
Des vers et des pas mûrs,
La feuille amorphe reste dure
A souffler les vers,
Et carbure
Ephémère en trajectoire linéaire,
A tracer sa route dans l'extra pur
A entrevoir les fêlures,
Qu'on devine
Fraîches à conter la littérature
Sans ratures,
Dès que les fleurs fanées adoptent l'attitude féline
Dans ces éclats de vers,
De nulle part et d'outre-terre,
Où le mal à mère
Jonche les strophes visionnaires
Qui découlent en larmes de vers,
Quand on ne sait combien de mots sincères
Jalonnent une vie entière,
Parsemée de peines d'outre-mère
A s'imaginer le nombre d'années,
Où l'on résistera surannés
Dans ces façades mensongères
En ces éclats de vers,
Où qu'il faille
Ecorchées vives
Les idées émotives
Et séropositives,
Dans la jachère
Des poésies captives
Et contemplatives,
Lorsque le bateau
Tombe en rétrospective
Introspective et invective,
Aux teints des mots
Qui effleurent l'eau alcoolo,
De ces éclats de vers,
Ecorchés en larmes de vers
Suggestives et interrogatives,
Où au futur objectif
Dans un élan subjectif,
On se réclamera d'Arthur Rimbaud,
Comme beau parleur
Avec les sanglots enjoliveurs
Qui courbent en un tomber de rideau,
L'eldorado de ce festival aux jolies photos,
Où se terminent
Ici là en bohème voisine,
Ces pensées passagères,
Rangées et étalées sur l'étagère
De ces éclats de vers,
En vers le souvenir de la mère
A l'an vers incendiaire.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi quand la mairie distribue les colis pour les retraités, ca leur file un coup de vieux ?
- Parce-qu'ils prennent de la bouteille !
2) Pour quelle raison, une femme peut-elle refuser de faire une fellation à son mari ?
- Au non d'une pipe !
Jérôme de Mars
L'un dit que je dis que ça me dit !
Chaque jour que jeudi,
Je dis
Que lundi
L'un dit,
Que samedi
Ca me dit,
Que jeudi
Ca me dit,
Alors que samedi
Je dis,
Que l'un dit
Jeudi
Si ça me dit,
Que jeudi
Et que l'un dit,
De venir lundi,
Jeudi
Et samedi,
Car l'un dit
Que je dis
Que ça me dit,
De revenir balayer
Devant ma porte
En dix manches à balais,
Car l'un dit
Lundi,
Quand je dis
Jeudi
Et que ça me dit
Samedi
Aussi,
Jusqu'à dimanche
Ou samedi
De reprendre lundi,
Quand l'un dit
Et que je dis,
Ah ! Ca me dit !
Jérôme de Mars
Oh ! Dieu
Oh ! Dieu
De mon Dieu,
Que je suis odieux
Et impieux,
O Dieu
Dans un pieu
Pas orgueilleux
Et nerveux,
Où je fais un peu
De mon mieux,
Mais je ne demeure pas radieux
Et fiévreux,
Oh ! Dieu
De mon Dieu
Que je reste o Dieu
Et odieux,
Et que j'implore
Ta miséricorde
De mes torts et remords
Pour que tu me l'accordes,
Car je suis sur la raide corde
Dans la grande discorde,
Oh ! Dieu
De mon Dieu
Haut Dieu
Que je reste odieux,
Comme je n'y crois pas impieux
Ni un peu,
Car de mon aveu,
J'ai désaveu,
Comme c'est un non de Dieu
Pour moi,
Où je me scande cent foi,
- " Allez, fais un voeu pas odieux,
Et ça ira mieux ",
Oh ! Dieu,
Des aïeux,
A l'espoir peut-être radieux
Dans un pieu,
En un pieux de Dieu
Haut Dieu.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait si on se met en boîte entre agents jusqu'à l'explosion finale ?
- Ca fait un cocktail molotov !
2) Quelle est la blague du plombier ?
- De filer des bons tuyaux en coups de main !
3) Pourquoi fera-t-on demain deux chaînes de production pour les boîtes de cocktail ?
- Parce-que télé la commande !
4) Pourquoi est-ce-que ça fait du bien de se mettre en boîte ?
- Parce-que ça conserve !
5) Pourquoi est-ce-que ça atténue nos soucis en jouant aux jeux vidéos sur la PS2 ?
- Parce-que ça console !
6) Qu'est-ce-que ça fait si les salariés de Nestlé ont peur d'être au chômage ?
- Ils ont les chocottes !
7) Que dit-on d'un boucher qui s'en fout de tout ?
- Il s'en bat les steacks !
8) Pourquoi le travail des boîtes de cocktail est une tâche quotidienne actuellement en série qui se poursuivra jeudi ?
- Parce-que demain nous appartient !
Jérôme de Mars
La brise du coeur
Par la fraîcheur
De l'hiver,
Il y a le vent bipolaire
Qui brise
La brise
Du coeur,
Qui grise
La froideur
Qui frise
Et glisse,
Oh ! les coeurs
Tout ce grand tourbillon
Qui grise
Le sillon,
Et glisse
Sur l'horizon
Sa vilaine odeur
De noirceur,
Qui le brise
Oh ! les coeurs,
En bravant la couleur
Du pare-brise
De la brise
Du coeur,
Qui brise
L'honneur
Et le glisse
En malheurs,
Car c'est du vent
Regardé droit de vent
Dans les tourments volcans,
Qui grondent les enfants innocents
De la brise
Du coeur,
Qui lave leur senteur
A la nuance des couleurs
Qui brise
Leur insolence,
A l'indolence
De la somnolence
Du tant partiel,
Semi-artificiel
Et semi-naturel,
Qui s'écoule torrentiel
En une eau fluide
Et caractérielle,
Des effets du vent
Qui bourdonnent pénitents,
En attendant
Que la brise
Du coeur
Rebondisse en indice
Dans la ferveur
Du pare-brise
En bonheur,
Insubmersible au possible
D'un ciel bleu limpide
D'ardeur et de candeur,
Inflexibles et audibles,
Pour de nombreux moments.
Jérôme de Mars
Citation :
Quand y a des nuages à l'horizon, avec le temps, la grisaille devient éclaircie d'un ciel bleu !
Jérôme de Mars
Parties du corps imparties
Salut !
D'après l'appel d'air, j'ai toute ma tête, où j'ouvre les yeux grands, après avoir dormi sur mes deux oreilles, pendant la nuit la tête sur le guidon de mes petits vélos, qui déroulent en un pied de nez de mon flair qui dit nez à nez, "Motus et bouche cousue", pour m'avoir mis l'eau à la bouche dans cette nouvelle fournée sur la vie, avec du pain sur la planche en gardant la main courante et en faisant un doigt et un bras d'honneur à tout ce passé, dont je veux qu'il me passe sous le nez pour perdre pied, car ça me fait une belle jambe d'avoir la dent dure et que j'émail aux dents en faim du monde, alors qu'il suffit que je tende la main pour que je devienne le bras droit et que je sois épaulé pour se serrer les coudes, entres personnes qui avons de la poigne niais tout en n'ayant pas notre langue dans notre poche, au palais des fonds de gorges du sexe très accru et à cru de bêtes sans sentiments, car l'on ressent qu'on est bêtes d'amour pour des personnes sans sentiments, avec leur talon d'Achille Zavatta, le clown triste et mélancomique à double visage découvert, au sens figuré comme au sens propre, quand ça barbe les gens rasoirs et poil à gratter, lorsqu'ils voient des femmes à poil, à la forêt vierge et pucelle de sexe, chevilles au corps, qui chevillent à bras le corps, en prises de bec et en n'ayant rien dans le ventre, qui les affaisse vers l'ébat d'une pôle position d'un ménage à trois, car jamais deux sans trois, ça déménage au sein du cul en ne perdant pas la main et le ras, comme des manchots aux quatre cent cous, au front de leur nature qui a bon dos, dont c'est le pied de poser les pieds sur Terre, au coeur de la vie qui respire l'air de nos pleins poumons, dans la veine sang froid san chaud, d'où sont parties les membres de notre famille au corps hein parti, en appel du pied !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'un sexe d'homme qui vide son compte en liquide à découvert ?
- Il débite !
2) Pourquoi est-ce-que j'ai la dent dure ?
- Parce-que j'émail au dent !
3) Que dit-on de Jeanne Moreau qui est décédée ?
- C'est plus du cinéma !
4) Pourquoi dit-on oh la vache quand il t'arrive une bricole ?
- Parce-que c'est tant pis pour toi !
Jérôme de Mars
On s'en fout !
Dans ce monde de fous,
Qu'est-ce-qu'on fout
Si l'on s'en fout,
De ce que tu fous
Avec les fous
Et que tu t'en contrefous
Contre les fous,
Si l'on s'en fout
De ce monde de fous,
Où l'on se fout
De tout qui s'en fout
Des fous
Et l'on s'en contrefout
Contre les fous,
Si l'on s'en fout
Et l'on s'en contrefout
De ce monde de fous,
Qu'est-ce-qu'on fout,
Qu'est-ce-qu'on s'en fout
Et qu'est-ce-qu'on s'en contrefout
Des fous
Contre les fous !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Johnny a-t-il du repousser ses vacances comme l'hôpital se fout de la charité ?
- Parce-que c'est Johnny Holiday !
2) Pourquoi suis-je blizzard pour la famille, les amis et les collègues de L'ESAT ?
- Parce-que pour eux, je suis du vent !
3) Pourquoi la famille BEDROSSIAN pense-t-elle des mauvaises choses de moi et s'en fout de moi ?
- Parce-que je me dépense mâle !
Jérôme de Mars
Citations :
1) Si les gens ne me font plus confiance en ne m'accordant plus de crédit, c'est que je suis à découvert !
2) Tout le monde me dit :
- " Qu'attends-tu après nous ? "
- Je leur réponds :
- " Je suis un patient "
( impatient )
3) Si à L'ESAT de Vitry, je suis souvent en arrêt, c'est parce-que je fais du stop !
4) Jonathan Preto, si à Lisbonne je n'entends pas ce que tu dis, c'est parce-que j'ai les portugaises ensablées !
5) Je suis un enfoiré car je n'ai pas le coeur au resto !
6) Si je ne réponds pas à tes appels Adel,c'est parce-que c'est le téléphone arabe !
Jérôme de Mars
Pierre et Marie
Marie et son mari Pierre prennent un bain Marie de foule en revenant de leur travail, car Pierre qui roule n'amasse pas mousse avec leur voiture, ainsi, Pierre lance des pierres au lance-pierres, car il est payé au lance-pierres dans son travail, malgré que Pierre mette la pierre à l'édifice, où le soir, il est tellement cuit, qu'il prend un bain Marie avec Marie et qu'ils en rient !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'un homme sado-maso qui éjacule sur sa femme battue ?
- Il sort sa crème fouettée !
2) Que fait un poète pour remercier sa femme qui lui met l'eau à la bouche dans son cul ?
- Il lui offre une feuille de roses !
3) Pourquoi c'est du vent à Bormes-Les-Mimosas près de Cavalaire ?
- Parce-qu'il cavale l'air de rien !
4) Pourquoi les hommes politiques ne font-ils plus un tabac en France ?
- Parce-qu'ils nous enfument !
5) Que dit-on de deux pastèques qui sont prétentieuses ?
- Elles ont le melon !
6) Quel est le comble pour un agent des pompes funèbres ?
- C'est qu'il fasse une tête d'enterrement !
7) Quel est le comble pour un agent des pompes funèbres qui boit une Kronembourg ?
- C'est qu'il fasse une mise en bière sur la table en prenant de la bouteille !
Jérôme de Mars
Feuille de roses
Dans la sinistrose,
Y a tout de même des belles choses
Pour conjurer les ecchymoses
Dans la prose
Du morose,
Afin que l'homme propose
Et que la femme dispose,
Quand l'homme andropause
Prend le derrière de la femme ménopause,
Pendant la pause
Cunnilingus,
Si bien que la femme sent la rose
Avec un joli bouquet de roses,
Quand l'homme ose
Offrir une feuille de roses
A la femme qui affiche la pose,
Avec le rictus de son anus
De l'annus horribilis
Qui en perd son latin
Dans le Paris du quartier latin,
A jouir d'un destin
D'orgasme
Aux fantasmes
A cracher ses plaisirs,
Au sein
De son cul
Avec du papier cul,
Qu'il utilise en pécule,
Car il l'encule
Dans son cul,
Tant qu'il accumule
Les griffes de sa chatte,
Car elle miaule de son minou
Aux mots doux
De l'amour avec la main
A la pâte,
Quand il s'étrique
Avec la trique
De son gourdin,
Comme un bâton de berger
Qui a la trique
Débridée,
Où dans un instant critique,
La femme l'astique
Comme un élastique
De saucisson
De Justin Bridou,
Qui bande mou
Et qui le rend fou
Avec son latex
Sur le sexe,
Qu'il l'annexe complexe
En duplex
Depuis son trou de balle,
Où il tire cent bal
Au nom d'une pine
Comme une épine
Qui prend son pied
A perdre pied,
Dans le guêpier
De cette femme velue
Et à poil toute nue,
Avec sa chatte touffue,
Où de sa feuille de roses,
Il lui fait une fleur qu'il arrose
Avec sa semence du pot aux roses,
En apothéose
De sa feuille de roses.
Jérôme de Mars
Une pêche d'enfer
Avec le vers en corde,
On pèche une pêche
D'enfer
Sur le versant de la discorde
Dans la cave de l'envers du décor,
Qui tombe en maillon fort
A la une des dépêches,
Car l'on se dépêche
En mettant une pêche
D'enfer
Pour lâcher en flèche,
On pèche une pêche
D'enfer éméchée de vendre la mèche,
Tête bêche
A la fraîche
De l'eau sèche,
Emergée dans les antisèches
Qui empêchent
La reconversion
De L'Euro
En Franc fort,
D'un pas de rétro
A Francfort,
A la une des dépêches,
Qui noient le poisson
A la pêche
Qui pêche
L'horizon,
En nage de torrides impulsions
A coups de ceinturons,
Où malgré tout,
A contrecoup,
On pèche une pêche
D'enfer,
Que l'on pêche, dépêche,
Empêche et qu'on repêche
En une dépêche
A la pêche,
Pourvu qu'on pêche
Une pêche
D'enfer,
Des vers
Et dépêches,
Du vers solitaire
Qu'on en pêche
Pour boire des paroles salutaires,
Envers le vers solidaire,
Où l'on pêche
Une pêche
D'enfer !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'une femme toute nue avec la chatte velue ?
- Elle est à poil !
2) Que dit-on d'une femme qui t'enfume au nom d'une pipe ?
- Elle t'en fume une au nom d'une pipe !
3) Pourquoi en gros, suis-je un régime hippo ?
- Parce-que si je subis une baisse de régime, mon régime deviendra hippopotame !
4) Que dit-on de ton médicament que tu écrases ?
- C'est hein comprimé !
5) Que dit-on de ton médicament que tu dissimules derrière ton verre ?
- C'est hein cachet !
( caché )
Jérôme de Mars
Langue de vipère
Chère mère,
Des années impaires
Passées avec toi au repaire,
Où il n'y a plus de repères,
Tu fus une langue de vipère,
Où tu répandis ton venin
En grain d'alex sans drain
D'alextérieur, où je perds
Mon âme salutaire,
Dans la peur du déni que je déterre
Dans le terre-à-terre salut terre,
D'une langue maternelle
De vipère,
Qui s'amoncelle
Dans mon naître incendiaire,
Où je me cause du sang d'encre
De ma plume, où j'y laisse des plumes
Qui jettent l'ancre
A la tombe posthume
De ma mère,
Dont j'ai le mal de mère
Qui vogue et navigue austère
De ma zone lunaire
Et solaire,
Entre deux contrastes qui font volte-face d'enfer
Trop à taire
Dans tout ce paraître format terre,
Où ma si grande colère
Gronde les bourrasques élémentaires,
Des Hauts de Hurlevent en épisodes sommaires,
Où la langue maternelle
De ma mère
Balafre mon être à l'envie des plaisirs charnels,
Où y a belle lurette,
Que je n'ai jamais eu d'amourette
A désespérer la lumière
Et à espérer l'enfer de la terre,
Au temps de tant que la langue de vipère
Restera et vivra en moi de jachère.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-qu'une blague douteuse de Marine Le Pen extrémiste ?
- C'est qu'elle se fourre le doigt dans l'oeil !
Jérôme de Mars
Les fourberies d'escarpins
Cher Tartuffe,
Tu n'as trouvé chaussure
A ton pied
A l'appel des douze pieds
En pièces détachées,
A l'arrachée
De ta truffe,
Où tu te mures
Dans un silence perfide
Et aride
De tes fourberies d'escarpins,
Comme les facéties
Et les espiègleries
Des fourberies de Scapin
Dans la langue de poche de Molière,
Où c'est dans la poche, la paire
De cette pièce de théâtre rare
En voix de disparition dans le nectar
Des fleurs fanées et embaumées
Dans des écrins de satin,
Avec tes fourberies d'escarpins
De ta diablerie au parfait parfum
Des petites mains courantes du matin,
Où tu invoques les flagorneries
Pour qu'on te flatte en idolâtrie
De courbettes de ton Jules,
Qui est issu de ta muse en émule
Amourachée dans tes passages en actes potaches,
Où l'on se tut à la tache
Du porc d'attache,
Quand on convertit ta pièce entre acte
Pendant l'entracte
De ton siège acariâtre
Qui retentit l'impact
De tout le bruit,
Dans la fureur et les bris
D'éclats de vitres
En vases clos communicants
Evoquant et révoquant
Les derniers sacrements,
Où l'on referme le chapitre
De cette pièce de monnaie à la tour d'argent,
Où tu auras bien fée le pitre
A l'acte finale
Et fatale
De l'ultime razzia,
Qui charria
Inch Allah,
Quand on tourne cette fois
Sa langue de Molière
Avant de parler en travers exsangues
De clown blanc,
Où l'on voit rouge
Pour que ça bouge
Dans l'espace temps,
Pour mourir sur scène
Qu'on assène
D'un lâcher de bâton aux douze coups
De midi, qui se dénoue
En tomber de rideau,
A toi Tartuffe, le héros
De tes grands mots,
Pourvu que ça dure
Ta fiction pure
De toutes tes fourberies d'escarpins,
Où tu auras trouvé
Les douze pieds
De chaussures dans ta nature
En lieu sûr.
Jérôme de Mars
Mobile homme
De son mobile home,
Un mobile homme
Utilise comme mobile
Son automobile,
Pour transporter son mobile home
En tant que mobile homme,
Qui appuie sur l'habile on
Du bouton de son automobile
Mobile,
Pour rouler son mobile home
Comme mobile
Immobile,
De la bile homme
Qui s'habille en mobile homme,
Pressé d'arrêter son mobile on,
Dès l'arrivée avec son automobile home
En tant qu'immobile homme,
Au mobile mobile
Qui en devient immobile
Avec son automobile
Immobile
Home.
Jérôme de Mars
Gratte ciel
Par la main à la pâte
Arc en ciel
Qui épate
Le ciel,
Le fiel gratte le ciel
En gratte ciel
Du haut des immeubles,
Qui meuble
Le vertige au sommet
Des buildings,
Qui sonnent dring dring
Par la porte du soleil
Qui trempe le vermeil
De la mirabelle,
En déconfiture de ribambelle
Dans la dentelle
Qui fabrique une usine
De pucelles,
Dans la machine
Qui broie du noir de brêles,
Jusqu'au parking qui gèle
La vie comme une demoiselle
Dévolue et révolue,
Qui tombe des nus
Du gratte ciel
Qui gratte le ciel
Aux couleurs arc en ciel,
Qui vocifèrent avec le fiel
En gratte ciel
Avec la main qui épate,
Demain à la pâte
Du fiel qui gratte le ciel,
Autant que le temps leur marmonne
Et leur fredonne
Des merveilles
Au sommet du ciel,
Qui gratte le ciel
En gratte ciel
D'une pluie qui scelle,
En une Tour Eiffel
De manivelle
Qui nivelle
Vers la manie belle,
A tire-d'ailes
D'étincelles arc en ciel
Du ciel
Au sommet du gratte ciel.
Jérôme de Mars
Va-et-vient
Comment vas-tu ?
Vas-tu bien ?
Si tu vas
Bien
Et si tu viens
Dans ces va-et-vient,
Tu deviens
Un va-t-ou,
Où on te demande
Où va-t-où ?
De ton va-tout,
Et où va-t-on ?
Si tu reviens
Et si tu vas
Bien,
Dans ces va-et-vient,
Où tu vas
Bien,
Tu viens,
Tu reviens,
Tu deviens
Et tu redeviens
Un ça va, ça vient,
Où ça va
Plutôt bien,
D'où tu t'en vas
Assez bien
Dans ces va-et-vient.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait si la blague du plombier est ratée ?
- Elle tombe à l'eau !
2) Qu'est-ce-que ça fait si de l'eau d'EVIAN existe depuis de très nombreuses années ?
- Elle prend de la bouteille !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait pour toi papa qui n'a pas de paroles pour les traduire en actes ?
- Tu n'as pas les mots pour les faire entendre en pratique !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait pour la famille BEDROSSIAN si on retrace la généalogie dans un livre ?
- Ca fait un atlas !
2) Pourquoi est-ce-que le week-end prochain, je ne pourrai pas venir chez toi Adel ?
- Parce-que samedi pas !
( ça me dit )
3) Catherine, pourquoi ton mari Daniel Pautrat est-il passé sur CNews ce matin ?
- Pour y refaire un tour de France en mémoire de ses 50 ans de petits vélos !
4) Pourquoi est-ce-que je fais des blagues douteuses ?
- Parce-que je ne suis pas digne de confiance !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Max Gallo qui vient de décéder, était-il très à cheval sur l'écriture ?
- Parce-qu'il faisait un gallo d'essai !
( galop )
2) Pourquoi dit-on pauvre Claude Rich comme il est décédé ?
- Parce-que Claude n'est plus Rich !
Jérôme de Mars
Le ciel pleure
Par les temps de ces aléas
Qui courent ici là
Dans la quête
Du déshonneur,
On enquête
Pour savoir,
Où se situe le bonheur
A manger et à boire
Avec le coeur
Rempli d'ardeur
Pour colorier les couleurs,
De la tristesse
Et du manque d'allégresse,
Qui règnent dans la délicatesse
De ce monde en paresse,
Lorsque le ciel pleure
Ses cauchemars songeurs
Dans un climat
De mauvaise odeur,
Qui déborde ici bas
Dans la grise mine
Des nuages beaux parleurs,
Qui promettent
La ferveur
Et émettent
De la laideur,
Comme le toit du monde
S'écroule de son plafond,
Se fond et se morfond
Dans un vieux débat
Sans saveur,
Qui dessine
Ce monde qui gronde
De sa fureur féconde
En coups de tonnerre défaitistes,
Lorsque le ciel pleure
Et coule ses larmes
Qui le désarment
Dans les malheurs,
Des contretemps fatalistes
Comme un artiste
Qui perd de son âme optimiste
Dans une hypocrisie de froideur,
Où le monde sent une mauvaise odeur
Dans la tiédeur
De ses rêves dépresseurs,
Où il faut prendre des crayons de couleur
Pour augmenter la chaleur,
Comme ça,
Le ciel chantera
A nouveau sa grandeur
Et ne pleurera
Plus ses misères car au-delà
On se réconciliera
Enfin dans la joie
Redevenue roi,
Dans ce monde qui revêtira
Ses enjoliveurs
Pour le meilleur.
Jérôme de Mars
Sens figuré
Figurez-vous,
Le monde ne tourne
Plus rond
Au sens figuré,
Où plus personne
N'est carrée,
Car tous se font
Une tête au carré
A la racine carrée,
Du Triangle Des Bermudes
Au triangle équilatéral,
Isocèle et quelconque,
Où quelconque n'est droit
Pour arrondir les angles
Perpendiculaires
Aux histoires parallèles
De la figure de l'hexagone,
Dans le cercle restreint
Des amis
Au périmètre de sécurité
Et à la surface
De ce globe,
Au rayon de soleil
De pis en pis,
Où La Terre n'est plus
Et ne tourne plus rond
A la ronde
De cette planète,
Au volume conséquent
Du soi-disant théorème
De Thalès et de Pythagore
A géométrie variable,
Du sens figuré
Sur un trapèze
D'acrobate qui lance
Les dés figurés
A 100 mètres,
Sans démonstration
Et en cent figures
A l'air libre
Du sens figuré,
Figurez-vous
Carrément !
Jérôme de Mars
Citations :
1) Un homme assis sur un banc, adore faire-part à son ami des différentes invitations de fêtes auxquelles il est convié !
2) Un homme crie au secours dans un questionnaire à choix multiples, s'il coche la croix rouge comme mauvaise case !
Jérôme de Mars
Citation :
Quelqu'un qui n'oublie pas d'être égoïste au lieu de penser aux autres doit penser à le noter sur son pense-bête !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Alexandre n'est-il jamais disponible pour me voir comme il va souvent en boîte de nuit avec Jonathan Soulié ?
- Parce-que ça fait boom !
2) Pourquoi Alexandre va-t-il moyen ?
- Parce-que dans ses va-et-vient, Alexandre n'a pas trouvé le moyen d'aller bien !
3) Pourquoi Lionel est-il vautré sur le divan quand il va voir Monsieur Longet, son psychiatre ?
- Parce-qu'il est à Longet !
( allongé )
4) Pourquoi n'oublies-tu pas d'être égoïste au lieu de penser aux autres ?
- Parce-que tu penses bête !
5) Pourquoi question sexe, n'as-tu jamais peur ?
- Parce-que tu as paniqué de pas niquer !
6) Quel est le comble pour un pédicure qui fait l'amour avec sa femme ?
- C'est qu'il perde pied après avoir pris son pied !
7) Quel est le comble pour une habitante de Madrid très cochonne ?
- C'est qu'elle s'en branle quand elle s'ébranle après qu'elle branle espagnole son mari !
Jérôme de Mars
Mon Saint-Michel
Michel viendra pas,
Car pas appât
Il pourra pas
De son Saint-Michel,
A la courte échelle
De mon Saint-Michel,
Car il viendra
Une autre fois,
Où il arrivera
Dans la joie
De toi à moi,
Tant et bien qu'il aurait
Bien aimé
Etre avec nous pour rigoler,
Mais il se marrera bientôt
Parmi nous et il ne sera
Pas trop tôt,
Avec Michel au pluriel
De nous tous dans la fontaine
De l'eau béate
En volées écarlates
D'ailes à tire-d'aile,
Où l'on sourira
Dès le commencement de L'Eden
Avec Michel
Et les tourterelles,
Qui fredonneront la ritournelle
De la maison heureuse
Et chaleureuse,
En tenant la chandelle
Au mon Saint-Michel
En sages adeptes
Des préceptes
De la dentelle,
Où l'on passera
Tous un formidable éternel
Moment avec notre ami Michel,
Pour son anniversaire
Le bec en l'air
Au mon Saint-Michel,
A l'apogée belle
De la fête intemporelle
Qui se poursuivra universelle
Avec un grain de miel,
En toutes merveilles
Du début au bout de l'extinction
Des étincelles
Qui auront tant brillé
A la lumière
Des passions
Enrobées dans la beauté
Plus que de raison.
Jérôme de Mars
Laura, tu l'auras ton aura !
De par ton nom Laura,
C'est sûr, Laura, tu l'auras
Ton aura qui au raz
De marée aura,
Eté au ras
Des pâquerettes, Laura,
Car tu l'auras ton aura
Laura, comme un ara
A l'aura dont toi, Laura,
Tu l'auras ton aura
Qui erra au raz
Et au ras
De la moquette, dont toi Laura,
Tu l'auras ton aura comme l'aura
Eté ton groupe Era qui erra
De ton aura en toi Laura,
Qui l'auras ton aura, en ara
Des mille et une couleurs de ton aura,
Dont toi, Laura, tu l'auras
Ton aura en ara de ton aura,
Laura, toi qui l'auras
Ton prénom au ras
De l'aura de toi, Laura,
Qui erra au raz de ton aura
Pour toi Laura erra,
Comme on connaît ton groupe Era
De ton aura, Laura qui l'aura ara
Au ras de ton o raz pour toi Laura,
De ton aura qui erra en ara
De couleurs Laura, comme tu l'auras
Ton aura Laura !
Jérôme de Mars
Gouttes de pluie
Aux origines de la source et de la course
Dès les aurores en rafale
De la toile de la grande ourse,
Débute l'orage qui tombe
En gouttes de pluie de crécelle triomphales,
Qui s'égouttent et goûtent en trombe
D'eau, le goutte-à-goutte qui dégoûte le nirvana
Des chutes du Niagara qui floutent le puits sec plus ultra
Qui déboute et pluie ces gouttes diluviennes,
Quand elles déversent leur mélancolie d'outrage quoiqu'il advienne
Et d'où qu'elles viennent ces gouttes de pluie
Et puis coa des nénuphars de grenouilles,
Qui sautent comme des cabris d'un temps pis
De pis en pis au pays qui s'agenouille
Dans la grève du printemps qui dégrève
La grêle du ciel sensuel qui grêle,
L'aura imaginaire en gouttes de pluie qui bêlent
Les nuages clairs-obscurs et mièvres qui s'élèvent
Et lèvent le soleil parapluie et mensonger,
A l'air du temps triste et naufragé
De la grenouillère
Pendant l'ascension au zénith du concert
De louanges de la pluie qui se change en eau bénite,
Qui ne tarit en messes basses de la pluie interdite
Une fois franchie, la zone interstellaire
Du comité de la royauté linéaire,
Où la pluie épouse la muse du roi soleil
Qui lâche une pluie d'hirondelles
Et de tourterelles,
Qui ruissellent le soleil planétaire
De la terre dans l'univers,
Et pluie tant pis
Nous sommes à la nouvelle harmonie
Intermédiaire de ces gouttes de pluie,
Où détrempez-vous ! elles deviennent
Un jardin qui sourit
A la vie épicurienne,
Tantôt, il est temps de vous souffler
Du bout des lèvres
Engorgées et émerveillées,
D'un soleil tant fleuri
Mille et une mercis.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Quel est le comble pour un ORL ?
- Que le patient lui dise de vive voix :
- " Ouvrez vos grandes oreilles. "
2) Qu'est-ce-que ça fait si Grand Corps Malade fait un slam sur les musulmans ?
- slam is slam ( slam islam )
3) Qu'est-ce-que ça fait Catherine, toi qui est peintre, si on fait ton portrait ?
- On dresse ton tableau !
Jérôme de Mars
Comme un
En un
D'en nain,
Le monde est petit
D'un deux en nain
Deux en un,
Comme un
Du commun
Qui a la main,
Comme main
D'un quatre un
En quatrain,
Car jamais deux
Sans trois,
Par la règle de trois
Deux par de,
Part de part de deux
D'un deux en un
A de en nain
Du commun,
Comme un
Egal à l'un
De l'intérieur
De l'intérêt rieur
De terre d'ailleurs,
A l'heure
Tout à leurre
Qui aillent leur
Terre-à-terre rieur,
D'en un
Deux en nain
D'en nain
Deux en un,
Comme un
Du commun
A l'une commune
De Terre à lune
Comme une,
D'un quatre un
En quatrain
De la marche aux forains
Foireux,
Où c'est la foire
Comme un
Du commun
D'en nain
A deux
D'en un,
Pour deux mains
A de
Nains
D'un quatre en un
En un quatre en nain,
Plié en quatre
Deux comme un
De commun,
Comme main
De demain
A deux mains,
Comme un
Du commun
Comme main,
D'un terre rieur
Ailleurs.
Jérôme de Mars
Vache olé
Oh, la vache,
Je suis olé
Très tôt le matin,
D'où je suis lâche
Comme j'ai l'âge
De mes abordages
En surnage,
Car je nage sur le hors-jeu
Des ravages
Moi je,
Où je ne bois du petit lait
Sur le feu, feu olé,
Tant que je m'abîme en montagnes russes,
Excité comme une puce
Avec la puce
De ma carte à puce,
Où je joue cartes sur table
Déraisonnable et instable,
Avec la puce de ma carte sim
Que je décime,
En en faisant tout un fromage
Au yoyo, en haut et en bas, où je ne sus
Ce que je veux,
Au final, de cette vie fatale,
Où j'en sue,
Qui un jour, me happera la peau foetale
Dans les annales
D'une déroute
Et d'une banqueroute,
Où je fais fausse route
Dans la fosse
D'orchestre
Très à cheval pédestre,
En creusant le fossé du casse-croûte
Terrestre, moi, le marginal
Sur le côté en rage,
En dernière page,
Où l'original se vide en carnage
Oh, la vache olé,
Au petit lait de vache olé,
Où je ne bois du petit lait,
Car je suis laid en les olé
Oh, la vache à lait sacrée,
Comme je déterre la hache de guerre
Lâche et guère naguère,
Au lait olé,
Oh, la vache, allez !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi avec ma vie chaotique, ai-je du mal d'enfer un paradis ?
- Parce-que j'ai des vieux démons !
Jérôme de Mars
A ma porte !
Quand s'ouvre ma porte,
Je vous attends à ma porte
Comme de gentils cloportes,
Qui en pincent et m'apportent
A ma porte,
Qui m'emporte
Et me déporte
A ma porte,
Quand on m'apporte
De tristes nouvelles qu'on colporte
Et qu'on reporte
A ma porte,
Quand on m'apporte
Enfoncée ma porte
Et qu'on m'emporte,
Comme un cloporte
Qu'on déporte,
Tel un crabe-tambour qui me remporte
Avec le crabe qui m'en pince sans rire et qui m'emporte
En vilaine maladie qu'on colporte
A ma porte,
Qui m'apporte
A ma vase clos-porte,
Qui m'emporte
A tout jamais comme un cloporte,
Qui me reporte,
M'emporte
Et me remporte
Dans une mise en boîte qui me déporte
Pour l'éternité à ma porte,
Qui m'apporte
La tranquillité qui m'emporte
Et me remporte
A ma porte,
Fermée à la porte
Cloporte.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi dit-on toujours de ne pas oublier d'être égoïstes au lieu de penser aux autres ?
- Parce-que c'est notre pense-bête !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi La marine n'a-t-elle pas été élue présidente ?
- Parce-que La Marine est vague !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fera Suzanne si tu rencontres ton petit-fils dans une ville à quelques kilomètres de Cavalaire en Côte-D'Azur, alors que c'est le jour de sa fête et de son anniversaire qu'il en a fait la devise de les célébrer ?
- C'est La Sainte-Maxime !
Jérôme de Mars
Tout a décence !
Au sens propre
Comme au sens malpropre
De l'envol sans ailes
Salies à l'an vol à deux,
Tout a décence
Dans l'innocence
Des cinq sens,
Qu'on encense
Dans l'encens à cinq,
Reçu cinq sur cinq
A contresens
Et à sens unique,
Par tous les sens
Des virages
Dans les rivages
De bords de mer,
Quand la mer déborde
Sur le rebord à mer,
Car tout a des sens
Pour qu'on se débrouille
Des brouilles
Avec sens,
Mais si l'on rentre bredouille
On prête à
A t'apprêter ton innocence,
Qu'on encense
In not sens,
A contresens
Dans la tare
Qu'on rate
En retard,
Dès qu'on est à rude épreuve
Que la preuve est dure à L'Est
Des qu'en dira-t-on,
Quand dira ton essence
Par et génie,
Eugénie
De ton prénom relatif,
Car tout est relatif
Dans ton nom près
De ton pronom relatif à qui ?
Tout a décence
En sens d'atout
D'un tout pour le tout,
Où va-t-où
De ton va-tout,
Si tout va, où ça va,
Ca va, ça vient
Dans ces va-et-vient,
A l'emblème de problèmes
En pros blêmes
De l'an blême
Des ruses
Sûres,
Reçues cinq sur cinq
Au quartet
Du quarté
Ecarté du quartier,
Des mûres
Du printemps,
Du à des rhumes
Tant empreints,
Qui empruntent
En an blême
De ton empreinte,
L'endroit,
Droit en l'an droit
Des blêmes pros,
En problèmes
Qui rencontrent
L'avis,
Et contrent
Le visa
Des amis,
Qui misa
Vis-à-vis
D'une vis
D'un vice
A mi,
Du recours
Qui court
Au dû
A cuire,
Recuit
A la cymbale
Du bal saint,
Au bassin pourtour de France,
Pour ton tour de France
Reçu cinq sur cinq
En lieu sûr,
Sur le milieu
Dont tu en as cure
Dans ta cure,
Où tu rames
Et tu te marres
Dans la sinécure,
Car tout a décence
Et a des sens,
Au lieu du haut milieu
Oh lieux de l'encens,
Qu'on encense
A mille lieux !
Jérôme de Mars
Brûler les chandelles par les deux bouts
Tabou, comme un oiseau brisé t'a bout,
Je me crame les ailes
Sans elles,
A contrecoup
Et à moindre coût,
Comme je brûle les chandelles
Par les deux bouts,
Car mesdemoiselles
Ne me donnent de leurs elles,
Pour que je franchisse la passerelle
Sans soucis, d'une vie debout
Parmi vous avec des ailes,
Redéployées et envie de s'envoler,
Et de profiter des instants de félicite sans solennité,
Car pour leurre, je me tournoie
Et je me noie dans le roi désarroi,
De la paroi, où je jette un froid,
Que je propage ici là,
Que veux-je ? Je ne le sais
En aveux de voeux pieux,
Où il faudrait qu'un peu,
J'essaie de tenter un essai
Tant pis s'il est infructueux mais que j'accule,
En émule qui tant il accumule
Peu de scrupules
Comme c'est une crapule,
Qui s'accumule à cul
Comme un Hercule sans les tentacules,
Où je me crame avec mes ailes
Brisées, dans la brise qui me jette un vent des elles,
Quand je brûle la bourgeoisie policée
Du paraître, en un être décomplexé et désinvolte,
Qui récolte un brin de pacotille d'aisselles,
A poils velus qui ne remonte la pente, dans un monticule
D'assiettes sales, dans la salle pleine de vaisselle,
Qui traîne et déchaîne un sentiment, qui survolte
La police sans frontières, tant que je brûle
Les chandelles, par les deux bouts dans ma bulle
Confinée, où la déconfiture déambule hypocrite et funambule,
Dans ma poche, favorable à l'avis conciliabule des têtes de mules,
Qui adulent les puissants d'argent florissants, et me rejettent en émule
A la tête du silence d'or, et de la parole d'argent, où je crame macadam,
Drôle de dame, ma dame,
En quidam qui dame le pion, mort pion et morpion madame, dans ma came
Qui clame et rame dans le slam, d'une réclame sans ailes de femmes,
Oh quel drame, mélo drame,
Car je suis infâme à femmes, seulement tabou en elles, qui s'enflamment
Dans des braises, à allumer les brèches qui s'embrasent,
Dans l'incendie de l'amour qui brasse du vent et que j'embrasse dans la vase,
Où je déclame oups, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase,
Car c'est une valse, que je valse et où je valse, lorsque je transvase,
Mes carences qui ne croquent, la vie à pleine dents, mais deux dents
Dans le dedans d'une infection, au déclin d'amour qui se décline
Et cligne des yeux précaires, qui le lisent à deux de par de mais se déracine,
Comme j'enracine les maux, qui se lient à mes mots, dans le lit à la ligne
Sans dent rectiligne,
Car c'est pour ma pomme d'Adam, sans mon Eve que je rêve au jardin d'ailes,
Où je ne vole sans elles, à L'Eden d'en faire que je brûle les chandelles
Du paradis d'enfer, par les deux bouts, où il suffirait que je chancelle,
Pour rallumer la bougie, en un tour de manivelle, pour que je nivelle
Les voiles, et que je me dévoile, vers le haut mes chères demoiselles,
En oiseau qui revole et décolle, en tourterelle et en hirondelle
Ici là, je vous attends dans le jardin de l'amour, où je tape l'incruste,
A vous sculpter un buste, dans les arts bustes des arbustes
De l'amour, où je vous dédie cette ode, à vous les femmes libérées
De l'emprise, du joug du mâle dominant, où comme un aimant,
J'aimerai que le printemps, devienne un été éternel et exaltant
Au bout, et debout des saisons intemporelles, des rêves pour la postérité
Quel été !
Jérôme de Mars
Citation :
Un migrant interné à l'hôpital psychiatrique avec une camisole de force a le droit d'asile !
Jérôme de Mars
L'hôpital des je m'en fous !
D'office, t'es interné à l'hôpital psychiatrique
Avec le migrant qui a le droit d'asile
Comme toi à l'asile de ton il,
Tes problèmes sont complexes
A cerner dans l'annexe
De ton genre qui en tient une couche,
Et qui se couche dans ta souche
De vieux Français réac,
Qui est passé à l'acte
Sur une personne à l'intégrité physique,
Car tu es fou et tu t'en fous
Dans l'hôpital des je m'en fous,
Où tu demandes ce que t'y fous
Car charité chrétienne
Bien ordonné
Te paraît désordonné
Dans ton état ordonné désordonné,
Où t'en fais des tiennes
Dans tes puritaines et hautaines
Difficultés malsaines,
Car c'est l'hôpital qui se fout
De la charité, tant tu fais pitié,
Car tu n'as pas eu de pitié
Avec tes gestes déplacés,
Où maintenant, t'es placé
D'office à l'hôpital psychiatrique,
Avec tes ecchymoses qui sentent
Les lettres sans réponses et absentes
De ta santé qui te fait défaut,
Par pitié et par des faux
En porte-à-faux,
Où comme t'es malade
En racontant des salades,
Faut te faire soigner
Avec des remèdes tout trouvés,
Car t'es écartelé,
Dans un puzzle décompensé,
Où tu t'es trop dépensé
A penser que ta plaie
Etait guérie, alors qu'elle sombre
Dans l'oubli du déni
De ta maladie,
A la pénombre
Des nuits enfouies,
Où tes cicatrices sont encore béantes
Et influentes,
Dans des plaies pas pansées,
Mais compensées à te refaire soigner
A l'hôpital des je m'en fous,
Où tu t'en fous que t'es fou
Et tu ne te demandes plus ce qui t'y fous,
Tellement, que t'es tabou
Et au bout du rouleau où tu te contrefous
Du qu'en-dira-t-on sur ton dos,
Car t'as bon dos que tout le monde te tourne le dos
A force de te faire viander par le tourne-dos,
Je te souhaite en faisant des plans sur la comète,
Que tu t'en sortes,
Par la grande porte
Et que tu te remettes
D'aplomb sans péter les plombs,
Pour ne plus toucher le fond,
Car dans la forme, tu n'es conforme
Mais dans le fond, tu as un bon fond,
Qu'on forme à l'unisson
A désirer ta guérison,
Où les réponses ne seront plus questions,
Car il ne sera plus question
De ton hospitalisation
Mais de ta guérison,
A long terme,
Où tu seras en bons termes
Avec ta famille
Et tes amis,
Et on te dit
Prompt rétablissement,
En espérant qu'on te donne
Le bon médicament,
Et que tu t'adonnes
A enclencher le carburant
De ton moteur,
En accélérateur fédérateur
Pour du bonheur,
Car il est l'heure
De ton retour résilient, résurgent
Et urgent car y a prescription,
Rémission et mission
Accomplies, il était une foi
L'issue de la joie parmi toi.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'un migrant interné avec une camisole de force en hôpital psychiatrique ?
- Il a le droit d'asile !
2) Pourquoi papa, n'es-tu pas clair, pas net et ne mets-tu pas les choses à plat avec moi ?
- Parce-que tu t'embrouilles avec moi !
3) Pourquoi papa, es-tu dépassé et résigné ?
- Parce-que t'affranchis déjà la frontière de La France vers ce qui t'es étranger !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi suis-je un mauvais perdant ?
- Parce-que je n'ai rien à perdre, j'ai tout à gagner !
Jérôme de Mars
Une vie irrésolue
A l'an vol sans ailes,
Brisées et coincées
Dans sa coquille Saint-Jacques De Compostelle,
Comme cet inventaire que ma mère
Composte-t-elle timbrée de l'être incendiaire,
Comme quand Ludovic chancelle
En brûlant
La chandelle de la vie par les deux bouts,
D'une vie dissolue et irrésolue
Comme la mienne, où je me tus
Dans le silence absolu,
Des non-dits tabous tellement que je suis t'a bout
De ne trouver les réponses à mes questions
Qui me tuent,
D'où ma différence et l'indifférence
Des gens m'offense avec véhémence,
Dont je témoigne avec la poigne
De la foire d'empoigne
Avec mon père et ma soeur,
Dans le surplace d'une vie guère en surface,
Dont j'ai tant de mal à me dégoter une place,
D'où mon blocage dans ma cage
Quand je me saccage dans les marécages,
De mes déviances qui coulent avec aisance
Et qui m'empêchent de rencontre l'âme soeur,
De toute évidence à cause de cette violence
Des mots et des maux verbaux et moraux,
Qui sont la source de mes quiproquos et de mes propos,
A ce propos de ma vie qui tombe à vau-l'eau,
Où je touche le fond
Au tréfonds très fond des fissures du plafond
Refoulées dans ma besace mise en abîme,
Où je décime et écime les cimes
De mes tourments ankylosés et névrosés,
A la valeur plus ajoutée
Dans un amas qui s'amoncelle
Dans un vulgaire paquet,
D'une vie irrésolue et absolue,
Dont mes péchés dissolus ne semblent absous
Si bien que je m'en fous de tout
Dans tout ce fourre-tout,
Où je me demande bien où va-tout,
Et où semble passé mon va-tout,
Comme atout du tout pour le tout,
De cette descente aux enfers, où je fais allégeance
Et où je vends mon âme infâme, damnée et cabossée
Au diable de la vengeance, témoin des autres et de leur ignorance,
A mon égard, sans égard
Avec leur pernicieux et insidieux regard avec le dard de ma tare,
D'un grain de sel qui cherche le drain de celle,
Qui pourrait me changer en Missel,
D'un dieu ressuscité à la paix intérieure réactivée en moi,
Pour que cette existence arrête l'indécence
Dans le froid et l'effroi,
Coutumiers du libertinage, de débauche,
Et de perdition,
Où personne n'embauche
Ma dépravation,
Car seul la quête de sens résoudra mon équation
Complexe avec la solution
Appropriée à mes problèmes énigmatiques, pour être en adéquation
D'une vie aux réponses à mes questions,
Car à l'heure actuelle,
Le bonheur a foutu le camp m'interdisant et m'empêchant
D'être heureux dans les cieux miséricordieux, de croire en Dieu,
Au pieu d'un être serein et pieux,
Car les dégâts des eaux
Troubles de mon passé tumultueux,
Avec l'étendue des gars, me poussent à petits feux,
Au suicide tant redouté mais réchappé aux dégâts des os,
Avec la colère d'un courant d'air
Qui n'est plus dans le coup avec les indélébiles ornières
Des barrières solides et implacables, où je recule derrière,
Et n'avance naguère, immergé dans une guerre
Intellectuelle et insurrectionnelle,
Au péril de ma demeure,
Où je meurs d'ennui et de soucis aux lueurs du déshonneur
Déchu, comme un con pris et incompris
Par sa famille et ses amis,
Avec les préjugés qui m'ont jugé
D'avances sans me connaître dans le paraître
Au lieu d'être,
Qui me mettent sur le bûcher, même si j'ai bûché
D'ardeur et de ferveur, dans un joyeux,
Furieux et valeureux
Paradis d'enfer,
Où je n'en ai que faire
De ma vie irrésolue, dissolue et dangereuse
Due à mes blessures embrasées et dévastées,
Dans cette vaste prison de muraille
Qui me tenaille, m'assaille,
Et où je déraille avec mes vieux démons névrotiques
Et à la santé psychique
Ravageuse, orageuse, ténébreuse
Et frénétique,
De par mes vices qui me délitent et m'enlisent
Sur la terre non promise,
De l'absence d'une mère qui m'a castré et me suicide
A feux doux,
Dans l'acide placide,
Pour arriver dans l'au-delà d'un monde meilleur,
Où je respirerai un bien-être salvateur
Que sur La Terre, la source de mes malheurs,
Irréconciliable avec une vie de terreur et de rejet,
Dans le dépit et l'oubli de mes congénères,
Comme moi, le con génère la peur
Qui refoule la mémoire de mes aïeux
Et des gens défiants et désarmant mon être insouciant,
Par la voix des mots crapuleux et peu scrupuleux,
Où que diable, un jour ou l'autre, je rejoindrai ma Sainte-Mère
Au sein du complexe D'Oedipe,
Tellement, que j'ai mal avec mes tripes,
Et que je m'étripe
Dans le désamour et la haine,
De Proust de ma madeleine
A mon manque d'affection,
En infection de longue durée
D'où personne ne fait attention,
Où sur l'échiquier comme un pion,
Tôt ou tare, je mettrai faim à mes jours
Car après la rémission, viendra la mission
Du ces jours,
D'être à jour dans le séjour
Qui attend mon sommeil éternel
Car après les neiges éternelles,
Du paraître
Surgira l'ivresse d'une vie en paix
D'être
A jamais
Résolue,
Où je me serai tue.
Jérôme de Mars
Recyclage
A l'âge d'attelage
D'un imminent cycle,
Que je recycle
En un éminent montage
De bricolage,
Je cultive le recyclage
En ballottage,
D'un cycle tricycle
Avec des petits vélos
De recyclage
Et d'emballage,
En adage
D'une chaîne de matériaux
Que je recycle
Au cycle
De la bicyclette,
De la mobylette
Et de la trottinette,
A déambuler les emplettes
Sur un drôle de rétropédalage
En rodage,
D'une zone traversable
Au préalable abordable
Sur la route des vacances
En Sainte-Provence,
Comme roue de secours
Si jamais il y a recours,
Dans ce recyclage
De petits vélos,
Motos et autos,
Automatique et autonome
Dans le sud qui embaume
Le circuit passable,
De la rue fertile romans-photos,
D'un recyclage bricolo
Que je recycle
Métallo,
Du tricycle
A la bicyclette,
D'un cycle
Avec des allumettes
Suédoises sur l'éclairage
Des signaux d'allumage,
En pétages
De plombs,
Dès que je monte le son
Au ton ultra-son,
Que sont
Mes ultra-extra,
Nec plus ultra,
Au démontage
Et au recyclage,
Où je recycle
Les petits vélos,
Motos et autos,
En un cycle
Immédiat d'hauts taux
De mémos,
Que je range au garage
Auto-immobile, à l'arrêt freinage
Fermeture auto-réglage.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dira-t-on de Johnny Hallyday s'il donne un spectacle à Saint-Denis en région parisienne malgré sa maladie ?
- Il donnera un cancer au stade de France où il en est !
2) Pourquoi ne puis-je plus me regarder dans le miroir ?
- Parce-que tout le monde est de glace avec moi !
3) Que dira-t-on de toi Catherine, si la peinture te ruine financièrement ?
- Ca sera un des pots de bilan !
4) Pourquoi le monde ne tient-il plus debout ?
- Parce-qu'il y a des histoires à dormir debout !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Odette a-t-elle tous les droits de me parler méchamment au CAT et qu'on la laisse faire ?
- Parce-qu'Odette alloue le laxisme des
moniteurs !
2) Pourquoi Jonathan voit-il un ami pour sa pomme ?
- Parce-que Jonathan voit la pomme d'Adam !
3) Que dit-on de quelqu'un qui n'a pas de coeur dans un resto ?
- C'est un enfoiré !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi es-tu à la mode Brigitte ?
- Parce-que t'es avec MLLE Agnès !
Jérôme de Mars
Entre ombre et lumière
Entre ombre
Il fait sombre,
Entre lumière
Il fait clair,
A la pénombre
Des années lumière,
Entre ombre
On dénombre,
La lune sombre
A la pénombre,
Entre lumière
Du soleil clair
A des années lumière
Des frères lumière,
Entre ombre
Et lumière,
A l'ombre sombre
De la pénombre
De la lumière,
Au soleil clair
Qui allume la lumière
Et l'éteint à l'ombre,
Sombre de la pénombre
Qui dénombre
Au clair de la lumière,
Le soleil de l'univers
Dans ces contrastes unis vers,
Frères du temps bipolaire
Entre ombre
Et lumière,
De constellations croisière
En nombre
Pair
D'étoiles éphémères,
A l'univers de jachère
Egréné d'un ciel pubère,
Au clair de lune lumière
A l'apogée de l'être incendiaire,
Frère de la terre et de l'univers
Parmi ces constantes avancées du millénaire,
Entre ombre
Et lumière,
Aux divinations sombres
Et austères,
A la pénombre
Extraordinaire
D'un jardin de mer
A boire linéaire,
A l'itinéraire du clair
De lumière,
Réfractaire et subsidiaire
Comme les frères lumière
A des années lumière,
Entre ombre
Et lumière,
A la pénombre
D'un clair de lune complémentaire
Sur la terre élémentaire,
Entre ombre
Et lumière
Locataires,
Des années sombres
Et planétaires,
A la trajectoire propriétaire
En clin d'oeil salutaire.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'un gars toujours le nez fourré sur son ordinateur qui se fait hospitaliser d'office en hôpital psychiatrique à Paul Guiraud pour addiction au web ?
- Il se fait interné net !
2) Qu'est-ce-que ça fait quelqu'un de cinglé sur son ordinateur ?
- Ca fait quelqu'un de pas net !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait pour le collège et lycée privés EPIN à Vitry Sur Seine quand on se fait emmerder et agresser par
d' autres connards d'élèves qui se moquent de nous ?
- Ca fait un pépin de santé comme une épine dans le pied !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi met-on des jours de carences dans les arrêts-maladies ?
- Pour qu'on soit en manque d'affection !
Jérôme de Mars
Je m'en foutiste !
La France avant-gardiste
Est devenue autiste
Et égoïste
De sa vie d'artiste,
Hédoniste
Et fumiste,
Genre je m'en foutiste
Telle qu'elle est triste,
frontiste
Et atlantiste,
Où elle dérive de la piste
Au hors-piste,
Genre je m'en foutiste
Et passéiste,
Arc bouddhiste
Jusqu'au boutiste,
Où les gens boulistes
Idéalistes,
Ont les boules fatalistes
Sur la longue liste,
Genre je m'en foutiste
De cette France égoïste
Aux allures fatalistes,
Où elle n'est idéaliste
Car elle est alarmiste
Et ébéniste,
De son oeuvre égoïste
Et passéiste,
Aux séquelles autistes
De sa vie d'artiste,
Genre je m'en foutiste
A cette France triste
Et fumiste,
Qui ne contient l'arc bouddhiste
Sensiblement que ce pays est fumiste
Et pessimiste
Sans un sourire optimiste,
Genre je m'en foutiste
De cette France égoïste
Et simpliste,
A la vie d'artiste
Et triste,
Au bord du précipice frontiste
Et alarmiste,
Dans La France Lepéniste
Et fataliste,
Au diagnostic pessimiste
Sur l'état de La France passéiste,
Genre je m'en foutiste
Que le pays soit égoïste,
Extrémiste
Et fataliste
Aux idées pessimistes
Et au regard triste,
Alors qu'il suffit d'une lumière optimiste
Pour qu'on passe hédoniste,
D'une France genre je m'en foutiste
Et égoïste
A des idéaux humanistes,
Réconciliateurs d'un pays dans la liste
Idéaliste
Sur la piste
Jérôme de Mars
Blague is black
Serge, je t'envoie cette blague
Is black
A l'humour noir
Où tu comprendras
Qu'elle transparaît mon état
D'être qui ne trouve sa place
Dans ce monde perpétuel,
Hanté par ses vieux démons
Entre l'ombre et la lumière
Mais à dominance obscure
Où je ne sais ce que je veux
Comme la personne que je vais
Te citer dans ma blague douteuse,
Où je doute en ce monde, aux autres
Et en moi-même, où je perds de mes idéaux
Comme Le Renaud,
Le Renard,
Gainsbourg,
Et Gainsbarre,
A m'étioler le bec dans l'eau à vau-l'eau
Comme ce putain de monde immonde,
En méli-mélo où ma mémo
Me souffle ses mots
Et me souffre ses maux,
Ballots à me jeter dans la nécro,
De la nostalgie
En mélodie,
Du mélo qui me met allo,
Tant j'ai besoin de te confier toute ma peine
De Proust en madeleine,
Où pourtant, j'ai tellement bûché avec Penot
Mais malgré ces regrets
Et mes excès en déchets, j'en ai assez
Et je traîne sur le bûcher ,
Où tôt ou tare,
je finirai dans une mare de vilain petit canard,
Aux nénuphares d'un monde meilleur et d'ailleurs,
Où j'espère que l'enfer des malheurs
Deviendra le bonheur loin de la terre,
Où je porterai l'étendard, d'un standard
Ravivé avec un goût de valeur et de saveur
Ressourcé dans les rêves songeurs,
D'une quête enquête de plaisirs salvateurs
Pour l'avenir que je souhaite dans l'au-delà
Réconciliateur dans l'univers
Rémunérateur d'un soleil détrompeur
Au royaume enjoliveur.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que demande-t-on au pape pour savoir s'il rentre chez lui ?
- Tivacan au Vatican !
2) Que dit-on d'un curé pas favorable à du pain sur son autel
?
- Il est hostile aux hosties !
3) Quel est le comble pour une peintre amatrice démocrate ?
- De garantir la liberté d'expression artistique !
4) Pourquoi mets-tu les voiles dans le sud du Midi ?
- Parce-que tu cavales l'air de rien !
5) Pourquoi Boris est-il tellement soutenu ?
- Parce-qu'il est trop aidé ( TROP PD )
Jérôme de Mars
C'est des rhum !
Dis papa,
Que fais-tu là ?
A Rome,
Où tu bois mes paroles
Rossignols
De rhum,
En prenant de la bouteille
Avec de l'oseille
De poisson,
Où à l'unisson
De tes poils porcs-épics hérissons,
Tu te fais sauter le caisson
Avec les caissons
Des chansons d'encaissons
L'oseille qui tend l'oreille,
Aux orteils,
De tes doigts de fée
A l'endroit morflé de Morphée,
Où tu rêves des souris
Qui sourient et rient
En images diffusées
Sur DVD PRO CD,
Car CD roms
Avec les Roms,
De Roumains
Et leurs cousins Saints-germains
De Paris voisins,
Des bohémiens
Qui chancellent
En coups de mains,
En tenant la chandelle
Qui ruisselle
En y mettant son grain
De sel,
A l'escarcelle
De leurs roupies
Car CD Roms
Qui roupillent, pillent
Et torpillent
A l'an pile,
Qui s'empile
Pile ou face
A contre-face,
Car CD rhum
Et c'est Des Roms,
Au sourire des roms
Qui vont à Rome,
Boire leur rhum
En attendant le procès des
CD rhum
En péplum,
De rhum
A Rome.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on à un chien pour qu'il roupille ?
- Mais dors ( Médor ) !
2) Que fait un musicien qui a faim ?
- Il joue un morceau qu'il mange.
3) Que fait un jardinier qui n'aime pas ce monde actuel où c'est chacun pour soi, où personne ne se parle et où il y a de la haine ?
- Il cultive un monde meilleur en taillant les haies pour que tout le monde vive dans le jardin d'Eden !
4) Pourquoi une femme sort-elle les griffes pour baiser ?
- Pour faire plaisir à sa chatte !
5) Pourquoi un homme rêve-t-il qu'Anne-Sophie Lapix lui fasse une pipe ?
- Pour que la blonde lui en fume une !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi suis-je invisible pour tout le monde ?
- Parce-que je joue la transparence !
Jérôme de Mars
Condescendance
Comble de l'ironie d'un rien,
De l'ascendance
A la descendance,
On danse
Avec condescendance
En contredanse
D'une contredanse,
Qui ne vaut rien
Parmi les vauriens
De la cadence,
Car c'est là qu'on danse
En redondance
Et en abondance,
De l'ascendance
A la descendance,
Avec condescendance
De l'intendance
Dense tendance,
Qui danse
En valses
Qui deviennent
Des valses
Dingues qui transvasent
Dans le pot aux roses du vase
Endiablé et pluies diluviennes
Sur la vase
De là, pas de danse
De l'ascendance
A la descendance,
Avec condescendance
Cadence
La bourrée
Auvergnate labourrée
Et débourrée,
Sur le hors-piste
Contredanse
En abondance
De redondance,
Qui danse
Avec l'air des reins
Au drain
De folie dans la ressemblance,
En possible concordance
Sur la danse
De La Place De La Concorde,
Sans discorde
De l'ascendance
A la descendance,
Avec condescendance,
Car c'est là, que tout concorde
Sur la corde
Raide dingue , où la danse
Cadence
Est là, pour qu'on danse
Redondance
Sur la piste
Tendance
De l'un tendance
A l'intendance
Danse en contredanse,
Si jamais demain
Il y a concordance
Avec les mains
Plus loin
Si besoin.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-qu'un verre solitaire ?
- Un poète lunaire
Jérôme de Mars
Infiltre d'amour
Bonjour, c'est le bon jour
De rouler à Rocamadour,
Au pays des troubadours
De l'amour en calembours,
D'un filtre d'amour
Que j'infiltre d'amour,
Dans un lit de doux séjour
En titre de concours,
Où je cours d'amour
Sans filtre tant que c'est lourd,
Car j'exfiltre désamour
En pitre de recours,
D'un filtre court
A la chasse en litre à courre,
Où j'infiltre pour toujours
Dans le suivant chapitre, le code de l'amour,
Que je livre aux vitres des tendres retours
D'un filtre aller-retour,
Que j'infiltre en refaisant le tour
Et que j'exfiltre en détour,
Du mot de passe chapitre pour entrer au faubourg
De l'amour que je bourre,
Que je labourre
Et que je débourre
D'un filtre d'amour,
Au bourg
Du séjour,
Que j'infiltre pour toujours
Et que j'exfiltre en gants de velours,
En un bon jour
Au cours de l'amour
D'un litre
De filtre,
Que j'infiltre
Et que j'exfiltre
En ex filtre
D'amour,
Du tour
En détour
Du compte à rebours
A l'amour aller-retour.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Comment renommera-t-on la deuxième ville d'Algérie s'il y a des singes ?
- Orang-outan ( Oran )
2) Pourquoi y a-t-il des vilains petits canards en Algérie, Maroc et Tunisie ?
- Parce-qu'il y a le Maghreb de canards !
3) Pourquoi Catherine, ne forces-tu pas les traits avec ta peinture ?
- Parce-que tu es ta propre caricature !
4) Que dit-on d'un homme qui se démène pour meubler sans arrêt des temps morts lors de l'entrée dans les lieux d'un nouveau logement ?
- Ca déménage pour lui !
Jérôme de Mars
Y a pas de problèmes, y a que des solutions !
Lors d'un problème,
On n'y voit clair
Car cela nous paraît
Une équation sans
Solution pour le
Résoudre et en
Découdre,
On a peur de
L'inconnue pour
X problèmes,
Qu'il faut développer
Pour trouver le
Facteur de résolution,
En une fraction de
Secondes pour ne pas
Payer le prix de
L'addition trop lourde,
Multipliée en plusieurs
Fois, ce qui nous
Divise avec le haut débit,
Car on ne nous accorde
Du crédit comme on est
A découvert,
Quand personne ne nous
Calcule et qu'on doit
Compter sur soi moins
A partager la méthode,
Car seul compte le résultat
Pour résoudre ce problème,
Carré du triangle Des Bermudes
Avec le théorème de Pythagore
Et de Thalès, à géométrie variable
Et en histoires parallèles,
Lorsqu'on déchiffre les hiéroglyphes
Dans le périmètre de sécurité
Du cercle restreint à la surface
Du globe, du volume qui tourne
En rond, et qui semble losange
Du dénominateur commun
Et perpendiculaire à la ligne
En règle,
Qui dégomme avec un coup
De crayon, La France hexagonale
A l'horizon vertical et
En diagonales,
Où enfin, on dénombre
A la juste proportion
Et dans la bonne dimension,
Dès qu'on règle à trois
Ce problème en ayant la réponse
Valable en solution,
De cette équation,
Qui nous met en adéquation
Et en résolution
De ce problème,
Car y a pas de problèmes,
Y a que des solutions !
Jérôme de Mars
A la légère
En gros
Grosso modo,
Le poids s'en balance
De la lourdeur,
Car il veut de la légèreté
En petits poids
Bas lourds,
Mais dont le fardeau
Les pèse trop lourds
Et balourds,
Où il faut prendre à la légère
Tout ce qui nous gonfle,
En effectuant une cure d'austérité
Sans baisse de régime
Pendant ces années
De grosses vaches maigres,
Où il faut alléger
De tout son poids
Ce qui nous pèse,
Et qu'on s'en balance
A la légère,
En retrouvant la ligne
Haut mince,
Point à la ligne
Rectiligne
De l'équilibre.
Jérôme de Mars
Pense-bête
Dès qu'on pense bête,
On ne pense bête
Avec le pense-bête,
Qu'on pense en bête
Décompense bête,
Et qu'on panse et bête
Qu'on embête, hébète,
Et compense pense-bête,
Où l'on pense bête
Et dépense bête,
Hébète, qu'on embête
Et bête,
Dès qu'on dépense bête,
Des pense-bête
Et qu'on panse bête,
Avec le pense-bête
Qu'on dépense hébète,
Et bête
En bête,
Qu'on embête
Pas bête,
Hébète, qu'on pense en bête
Et dépense bête,
Qu'on embête
Et qu'on hébète,
Qu'on pense bête
Et compense bête,
Dès qu'on panse bête
Qu'on est bête,
Hébète,
Qu'on embête
En bête,
Dès qu'on ne pense bête.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Brigitte, n'es-tu jamais disponible ?
- Parce-que t'es tout le temps hein partie ( imparti ) !
2) Pourquoi Brigitte, ne m'adresses-tu plus la parole avec moins de considération à mon égard ?
- Parce-que je n'ai pas tenu ma parole envers toi !
3) Pourquoi tout le monde m'a-t-il toujours pris de court ?
- Parce-qu'on a toujours fait des raccourcis sur moi !
4) Pourquoi tout le monde m'a-t-il toujours choqué avec des mots fléchés ?
- Parce-que j'ai une case en moi !
5) Pourquoi Christophe, regrettes-tu d'être redevenu ami avec moi ?
- Parce-qu'on s'est mal débrouillés !
6) Pourquoi toi Catherine, le peintre, ne me réponds-tu plus à mes messages ?
- Parce-que comme je joue sur tous les tableaux, tu ne peux plus me voir en peinture
7) Pourquoi Yapo, m'as-tu laissé tomber ?
- Parce-que j'étais trop bon enfant !
8) Pourquoi à L'ESAT de Vitry, tous mes collègues me détestent-ils,s'en foutent-ils de moi et me trouvent-il bizarre ?
- Parce-que comme je n'ai pas de parole, je ne m'entends avec personne !
9) Pourquoi tout le monde est-il désinvolte avec moi ?
- Car à force des volte-face de tout le monde à mon égard, je survolte !
Jérôme de Mars
La générale de gaule
Ex cités dans leur quartier
Militaire tout retourné,
Les hommes mercenaires
Ont la générale de gaule,
Avec la gaule,
Pour jouir sur le sol
Avec leur calibre
Qui vibre,
Qui tire et qui pointe
A la pointe
De leur sexe qui débite
Les belles femmes
Qui leur donnent de gaule générale,
Où avec leur engin amiral,
Ils pointent et ils tirent
Avec leurs boules
Maboules,
Sur tout ce qui les attire
Ces cochons-nés,
Où ils se font gauler,
Lorsqu'ils ont la gaule
Allumée,
Et s'ils miaulent
Les chattes qui les débandent
En bandes
Organisées,
Ils se font accrocher
Leur sexe visqueux
Avec leur queue,
Collante
Et tournante,
Pour régler
Et payer
En nature
Et en liquide,
Toute leur crème limpide
Qui dégouline,
Comme de la purée
Mousseline,
Sur les chattes des femmes
Qui sortent les griffes,
Aux escogriffes
Des hommes aux âmes
A femmes,
Dont leur bite
S'enflamme
Infâme,
A placer
Et à entrer
Dans le bon trou
A poil des femmes,
Qu'ils pénètrent en ouverture
De ce festival de cames
Obsédées et abonnées,
Au sexe complexe
De la générale de gaule,
Pas de quartier
Annexe,
Où les soldats désarmés
Terminent leurs aventures
Et où après, ils partent
Au pays de la générale de gaule,
Molle
Avec leur crème à la tarte,
D'un bémol
Pas de bol,
Pour la générale
De gaule,
Sans excitation
Et sans irritation,
En érections
Désamorcées,
En réunion
De cette débandade,
A la dérobade
De la générale de gaule,
Amicale
Mais en embuscade,
Dans la ballade
Des femmes,
Qui envoient débouler
Ces hommes, sentinelles
Dans l'appareil,
Comme des boulets
Aux mauvaises pénétrations
De la gaule,
Sans raison
Avec la générale de gaule
Qui la pointe finale
Et fatale
Dans les annales
De la fermeture.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi n'ai-je pas trouvé la clé à mes problèmes ?
- Car comme je suis renfermé, je n'ai pas trouvé l'ouverture d'esprit !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Brigitte, ne m'envoies-tu plus beaucoup de sms et ne me parles-tu quasiment plus ?
- Parce-que tu as eu le dernier mot !
2) Pourquoi ma soeur a-t-elle quitté la région parisienne, s'est-elle iinstallée dans le sud et est-elle toujours fâchée avec
moi ?
- Parce-qu'elle a perdu le nord avec moi !
3) Pourquoi ma famille va-t-elle souvent à Cavalaire ?
- Parce-qu'elle cavale l'air de rien !
4) Que fait un cycliste qui a des petits vélos ?
- Il se recycle en faisant un tour !
5) Pourquoi Catherine, ne réponds-tu plus à mes messages ?
- Parce-que tu ne peux plus me voir en peinture comme je joue sur tous les tableaux !
Jérôme de Mars
Ainsi Dieu !
Ainsi Dieu
Ave un pieux
Insidieux,
Dont le diable Satan
S'attend radieux,
D'un non de Dieu
Insidieux,
Ainsi Dieu de son pieu
Qui dort un pieux
Et Ave au paradis,
Une bible d'un nom de Dieu
Miséricordieux attend le diable
D'enfer,
Au paradis
Radieux,
Dont Dieu s'attend
A ce que Satan
Prenne le lit pieux radieux,
Pour le rendre insidieux
Ainsi Dieu s'attend
A un paradis d'enfer,
Insidieux
Satan ainsi Dieu,
Qui Ave pieux
Dans son pieu.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on d'un coureur cycliste du Tout de France qui est fou ?
- Il a des petits vélos !
2) Pourquoi un coureur cycliste du Tour de France se dope-t-il au négatif ?
- Parce-que s'il se fait contrôler, il est positif !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Alexandre, te presses-tu pour aller aux toilettes ?
- Parce-que t'as une envie courante !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait un homme obsédé sexuel qui baise une pléiade de femmes par derrière ?
- Il fait les quatre cent culs !
2) Pourquoi la parole de Louis 14 était-elle d'argent comme il aimait le sexe ?
- Parce-qu'il aimait l'écu ( les culs ) !
3) Qu'est-ce-que ça aurait fait pour Simone Veil, si elle avait renoncé à son projet de loi de L'IVG ?
- Elle l'aurait avorté !
4) Qu'est-ce-que ça fait si Simone ne fait plus attention à notre santé ?
- Simone n'y veil ( veille ) plus !
5) Pourquoi Madame Manoiline, la directrice de L'ESAT de Vitry, n'a-t-elle toujours pas signé le diplôme différent et compétent ?
- Parce-qu'elle s'en tamponne !
6) Pourquoi faire Les CVP, ça nous gonfle ?
- Parce-que ça nous pompe !
7) Pourquoi faire Les CVP, c'est chiant ?
- Parce-que ça nous pompe l'air !
8) Pourquoi depuis qu'il y a les travaux de rénovation à l'intérieur de L'ESAT de Vitry, personne ne peut se blairer ?
- Parce-que plus personne ne peut se voir en peinture !
Jérôme de Mars
Jacquochi dance
Chère tante
Jacqueline,
Ca me tente
Avec des églantines,
De bâtir une tente
En danse
De contredanse,
Transgenre et trance dance,
Dans la dance
Jacquochi dance,
Qui est la danse
Très ultra dense,
Où je singe
Les singes
De Cheetah
Dans la jungle d'Eliane de là,
Car Jacquochi dance
S'élance et danse
Dans la mouvance
Avec clairvoyance et cadence,
Qui contredanse
La voyance,
En clair débrouillé,
Quand les pistes de danse
Ne sont claires et embrouillées,
En un toupet olé olé
Pas en paix,
Dans les allées et les vallées
Dévallées du valet,
Dance et ultra dance,
En transe
Trance,
De la dance
Cadence et redondance
Dans l'insolence
De Jacquochi dance
A Cavalaire,
Qui cavale l'air
De rien,
A l'entrain d'un quatrain
En un quatre en un,
Toi, Jacquochi dance
En contredance,
Toi, Simon en amont,
Toi, Luis et lui,
Et toi, Simone,
La femme amazone
Et anémone,
Où tu fais une fleur à Jacquochi dance
Qui démonte la tente,
Car ça te tente
Que tu arpentes
La pente
En parapente,
Où tu intentes
Un PRO CD
Dance,
A Jacquochi dance,
Car CD dance
Ultra transe dance,
Trance,
Danse, dense, à contredanse
Et à redondance,
Toi, Jacquochi dance
A la cadence,
Qu'à danse qu'on danse
En nec plus ultra dance
En trance genre,
De transe danse
En dance.
Jérôme de Mars
Ramages
Au bel âge
Du mari volage
En marivaudage,
Les oiseaux en vagabondages
Battent de l'aile dans leur couple,
Lors des ramages
A tire-d'aile
Frontal et fatal,
De la marche inaugurale,
Quand ils font le grand écart souple
Dans la danse des oiseaux,
Avec la lettre du corbeau
De la chorale des ramages,
Passéistes du bon vieux temps des nuages
Blancs et crémeux,
Qui mangent du ciel fromage
Bleu, dépaysant et studieux,
Au firmament du silence radieux
Qui engendre des ramages,
Jalonnés d'une embellie pulmonaire
D'un coup de baguette magique et solaire,
Dans le clair de la lumière,
Lorsque les ramages
Récoltent des sondages,
Salutaires et volontaires
Sur La Terre,
La messagère
Des ramages
D'oiseaux à leur courte durée passagère,
En inventaire.
Jérôme de Mars
Blues mélancomie
Dans ces mirages de brousse,
J'ai la frénésie du déni d'oubli
Blues mélancomie,
Où j'ai la frousse en verts poèmes
Qui me suivent à mes trousses,
Que j'en glousse spleen à l'oedème
Blues mélancomie,
Que j'en gerbe à l'herbe droguie
Où j'articule l'ennui
En majuscules de nuits enfouies
Blues mélancomie,
Car tantôt, j'en ris
Tantôt je dépéris
Que j'en déduis
Qu'il est temps tôt,
Que je m'en aille d'un pas de trop
Blues mélancomie,
Où je chavire avec mon navire,
Comme un sbire qui vire
A la dérive et chavire,
Ses eaux usées en nausées de soupirs,
Blues mélancomie,
Du chagrin témoin à l'euphorie qui revit
Un monde de bulles colorées et décolorées conciliabules
Chewin-gum et bulles de gomme d'où je déambule
Quand on m'appelle l'ambulance qui se fout de la charité
Et de l'hôpital en fond de chrétienté apparenté fraternité,
Blues mélancomie
D'où je pleure avec mes saules pleureurs
Et où j'en ris et je m'embellis avec mes enjoliveurs,
Des larmes au rire, du pire au soupir du rire d'une joie
Qui dure quelques mois et parfois, pendant plusieurs écrins de sueurs
Aux lueurs de mon poids qui en devient soie à la galette des rois,
Blues mélancomie
Où je gémis de douleurs en suie,
Et où enfin, je finis et j'essuie
Avec philanthropie, du blues mélancomie,
Au blue bonhomie
De la nuit au soleil et puits.
Jérôme de Mars
Provoc choc
A cette époque baroque
Et très rock'n roll,
Dans cette ambiance folle
Le blues troque
Les événements en bémol,
Qui crispent la clé molle de sole
Dans l'énigme qui évoque
La provoc choc,
En équivoque, dès qu'on révoque
En toc et dans la coque,
Un oeuf à la coq,
Provoc choc
Qui pousse des poussins
Dans le dessein,
Des mousses à la rescousse hein
En doigt d'honneur
D'un art mineur
Provoc choc,
Qui est le propre décence propre en croque
Monsieur et croque madame, sur les quidams en cote
D'émail à la dent dure provoc choc
Qui trotte dans un fuck en funk,
D'injures jurons de rien, lorsqu'on dérape et qu'on rétropédale
Aux dalles que dalle infernales du mémorial,
Provoc choc,
Où la question, on la réévoque,
En juge et répartie, du sablier imparti
Politique et satirique pour en prendre le parti
Départi d'en rire au pire des inepties en furie,
Provoc choc,
Dès qu'on entrechoque le pare-chocs
Tandis que les limites semblent franchies
Et affranchies, de ces frenchies qui en charrient
Et ne tarient d'éloges à la salle du récital en éventail,
Provoc choc
Et bourrasques de vent qui survoltent au moindre détail
L'emprise aux prises surprises prises sur la fête comme une loque,
Où cette vilaine et malfaisante absurdité érige sur la cote en pente
Provoc choc autel surdité et intensité,
Quand on arpente
Le parapente qui nous intente
Un procédé digital et métal très hard que ça nous tente
De dériver de la provoc choc,
Aux ondes de choc, par chocs.
Jérôme de Mars
Vas-y encore !
Au plus fort,
Tu as le corps
Tout chaud,
Dans l'action accro,
Où de ton corps
Vas-y encore,
Tu la sens,
Tu l'attends,
Tu la tends
Ou tu la détends,
Avec le sexe qui bande
En contrebande,
De ton érection couillue
Et poilue jusqu'au cul,
Où de ses nichons
Tu t'en branles,
Mais quand c'est cochon
Tu les branles,
Dans une branlette espagnole
Qui t'ébranle,
Où tu te les branles,
Car après elle te turlute
Avec sa langue de pute en rut,
Car je lui dis vas-y encore,
De ta gaie chatte
En geisha,
Ainsi, ça rentre et ça sort,
Bien monté sur ressorts,
Comme la main à la pâte
De sa poitrine si extra,
Qui excite ta queue,
Quand elle file à l'attente pour faire la queue,
Où tu débites
Ce qui te frite et t'excite,
Vas-y encore
Cochonne et coquine,
Tu es trop libertine
Pour que je résiste à ton corps,
En branle-bas-de-combat
Qui t'ébat et m'ébat,
Car y a d'ébat,
Où tu tombes le bas
Dans le sexe sans complexe
Et unisexe,
Où tu niques
Et tu forniques,
Car tu as paniqué
Mais tu as niqué,
Sans pas niquer
Au tourniquet,
De la tour niquée,
Car ça t'a niqué
Avec ta queue et ta chatte
Au diable d'enfer,
Où pour terminer à t'astiquer la patte
Tu la joues, tu la jouis, tu éjacules
Et tu la sors,
Ta crème fraîche
Tête bêche,
Où t'as du cul
A lui pénétrer son derrière,
Dans sa chaumière,
Vas-y encore
Et frappe très fort
Avec renfort,
Car après l'effort
Vient le réconfort.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait un Arménien contre un juif ?
- Le pot de taire contre le pot d'en faire ( d'enfer )
2) Pourquoi suis-je planté comme un poteau là-bas ?
- Parce-que je suis poto avec toi !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Lionel, t'es-tu endurci grâce à tes vacances dans l'Ile De Beauté d'où tu rentres aujourd'hui à Paris ?
- Parce-que tu es blindé avec l'écorce terrestre !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi est-ce-que tout le monde me malmène et ne me considère ?
- Parce-que pour les autres, mon respect m'est pris !
2) Pourquoi ne suis-je pas quelqu'un de léger sur Terre ?
- Parce-qu'avec tout mon fardeau accumulé sur Terre, je suis devenu un poids lourd du centre de gravité !
3) Que dit-on d'un vendeur qui travaille dans un magasin commercial de grande surface à Belle Epine et qui dépose le bilan ?
- Il a travaillé aux galeries la faillite !
4) Qu'est-ce-que ça fera pour toi Catherine, si tu exposes tes tableaux dans une galerie d'art qui dépose le bilan ?
- Ca fera pour toi les galeries la faillite !
5) Pourquoi Jonathan es-tu toujours négatif ?
- Parce-que y a pas photo !
6) Pourquoi Jonathan, t'en fous-tu de tout ?
- Parce-que c'est ton unique centre d'intérêt !
7) Pourquoi papa, n'as-tu jamais su t'y prendre avec moi ?
- Parce-que mon comportement marginal n'a fait que te surprendre !
8) Pourquoi la rafle du Vel D'hiv fut-elle démente avec des coups de folie ?
- Parce-que Les Allemands avaient des petits vélos !
9) Pourquoi le régime de Vichy sous Pétain fut-il éradiqué ?
- Parce-qu'il tomba à l'eau !
Jérôme de Mars
Des faux et des qualités
Pour de vrai ou pour de faux,
On a tous des qualités sans défauts
Ou des qualités par des faux,
Zéro défaut, ah ! les chats faux
Qu'on passe à l'échafaud
Qu'on choisit par défaut,
Avec la qualité en porte-à-des faux,
Car on privilégie la qualité sans défaut
A la quantité par des faux,
Où on a tous des faux
Et des qualités par défaut
Ou défauts par qualité
Avec des faux,
Pour de faux par qualité
Ou avec des faux par qualité
Des défauts de qualité
Ou de qualités par des faux,
Où l'on décide pour de faux
Ou par qualité,
En porte-à-des faux
Ou par défaut,
De faux troubles
En défaut rouble
Ou par qualité,
Avec zéro des faux
Ou par qualité,
Ah ! les chats faux
Ou par défaut,
A l'échafaud
Et par qualité pour de faux
Sans défaut,
Mais par des faux et des qualités
Pour de faux défauts et pour de vraies qualités,
Sans des faux
De qualité pour défaut.
Jérôme de Mars
Comme une chanson
A l'horizon garni,
L'oiseau fait son nid,
Où nous marmonnons avançons
En avant et non à reculons
Comme une chanson
Qu'on ballade en mélodie,
Dans le genre des on-dit
Aux énumérations en questions,
Où deux phrases au complet
Forment un couplet qui s'accouplait
Au balcon fleuri,
De l'appel d'un corbeau à sa chérie,
Où avec la fièvre au front
De la folie, nous montons en affront
Comme une chanson,
Où y a plus de saison
Avec le même refrain en courtoisie,
Qui sourit et rit à l'endroit favori
Aux roucoulades d'idolâtries,
Que les fleurs bleues romantiques épient
Avec leur pierre polie dans des hallucinations,
Evidentes et abordables en suggestions
Comme une chanson
A l'écoute berçante d'émotions,
Quand la communion allie
L'utile et l'agréable qui prient,
A nos souvenirs consommés et assommés,
Où l'on est sommés dans ce couplet
De rebondir au sommet de nos paroles ragaillardies
Et hardies avec les défis inédits,
Qui nous attendent au tournant des transitions,
Où nous devons saisir les occasions
Comme une chanson,
Entre deux variations,
Où après la nuit
Vient le jour rempli d'envie,
Qui ferme ce couplet
Car nous sommes au complet,
Comme une chanson
Dans sa terminaison.
Jérôme de Mars
Le sourire aux lièvres
Bec de lièvre,
C'est la fièvre
Du bout des lèvres,
Avec le sourire aux lièvres
Des sauts de chauds lapins,
Comme le lièvre et le tordu entre lopins
De terriers et le coup du lapin,
Quand on pose des lapins en pépin
Du fruit de nos larcins, avec dédain,
Car leurs museaux hautains carottent
Tous ces raconteurs de salades qui trottent
A la tête des lièvres
Avec le sourire aux lièvres,
A la botte
Des bâtons de carottes,
De ces lapins de Garenne
Qui tiennent les reines,
Avec le soupir aux lèvres
Et avec le sourire aux lièvres,
De la fièvre d'orfèvre
Pas mièvre et qui ne sèvre
Les impatients chauds lapins de Sèvres,
Où une fois à la portée de tous,
Ils donnent un coup de pousse
En levant le pouce,
Avec le sourire aux lièvres
Et avec la fièvre
Du bout des lèvres,
En posant des lapins
Afin d'avoir un destin
Enfin.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi à L'ESAT de Vitry, c'est chaud en ce moment ?
- Parce-que tout tombe à l'eau !
2) Pourquoi à L'ESAT de Vitry, pendant les travaux de rénovation de la façade intérieure, personne ne se supporte ?
- Parce-que personne ne peut se voir en peinture !
3) Pourquoi à L'ESAT de Vitry, tout le monde se flingue-t-il tous les jours en tirant avec des paroles sur ceux qui sont complètement à L'Ouest ?
- Parce-qu'à L'ESAT de Vitry, on est tous les jours au Far West !
Jérôme de Mars
Info intoc
Tac-o-tact,
C'est le contact
Qu'on t-acte,
Dacodac
Acte un,
Qu'on matraque
En trac hein
D'en tract,
Du tic tac
Ric rac,
Qui craque
En traque
Tac tac
Dans ce micmac
Tact tact,
Info intox
Par défaut desintox,
Dans la boxe
Des paradoxes
De l'équinoxe,
Info intoc
Par défaut toc,
En roc
Toc toc,
Du troc
En vrac,
Qui croque
Pendant l'entracte
Qui signe un pacte
En impact,
Info intoc
Par défaut toc,
Du tac-au-tac
En tact-au-tact,
Toc toc
En un tact
Intact,
Du tac-o-tac
En tac-on-tact,
Info intox
Par défaut desintox,
En clic-clac
Du déclic en claque,
Qui du clap coupe-fin
Frappe le clap défunt,
Qui rappe
Moteur et dérape
Du moyen acte,
Acte enfin
Qui justifie les moyens
Moyens
En clap de fin.
Jérôme de Mars
Les oiseaux immigrés
Dès les balbutiements de l'été rural,
Après le décollage
Au ciel, voici l'atterrissage
Au sillon du droit du sol,
Où les oiseaux immigrés
Flânent avec leur parasol
Au coin d'un paisible village,
De la lumière à l'ombrage
De leur périple,
Dont ils se galvanisent en volatiles disciples,
A séjourner dans ce territoire hostile
A l'adresse des nouveaux venus
Des grandes villes,
D'où les quelque rares âmes les observent avec méfiance
Dans la volupté de chiens de faïence,
Comme si la différence
Avait une si grosse importance,
Aux yeux de vipère
De ces habitants dans leur insignifiance
De ce voyage exotique
Et tropique
Pour ces oiseaux immigrés au soleil épique,
Alors que pour les villageois, ça semble un voyage toxique
En prises de bec misanthropiques,
Où la réalité
Rejoint la fiction
En frissons de frictions
Dans ce défilé
De noms d'oiseaux en saga cité,
Car ces oiseaux immigrés
Ne rentrent dans leurs papiers
Du peuple de ce petit bourg,
Qui les invite en conte à rebours,
Selon leurs souhaits
Pour enfin atteindre l'objectif escompté
De leurs critères,
Afin de revenir
A la frontière
Et de la franchir,
Mais ces oiseaux immigrés déterminés,
De par leur farouche refus d'allégeance
Et par vengeance
Et pour leur clouer le bec,
Qui les débectent
N'écoutent guère
Ces conseils d'à mi insensés
Au guêpier annoncé et avorté
D'expatriés et d'exilés,
Car si les villageois sont ex prêts
A les accueillir,
Eux, les oiseaux immigrés
Vont exprès s'intégrer
Et s'épanouir
Avec leurs cartes de ces jours,
Et avec plus jamais
De détour
Et de retour,
Où à force d'impatience
Et d'insolence,
On leur accorde la nationalité
Française
De sang-mêlé
Avec aucun démêlé
A la bonne heure
Qui demeure
Tout à leur honneur,
Où très vite, ils trouvent leur place
A la surface
Et à la hauteur
De la distance,
Qu'ils prennent avec leur ancienne commune,
Où désormais, ces oiseaux intègres
Et naturalisés,
S'intègrent allègres,
A la communauté
Commune
De ce minuscule patelin,
Où on leur déclare devins
Bienvenue
A la maison et à votre aise.
Jérôme de Mars
Blague :
Que demande-t-on à un rescapé sorti indemne de l'attentat survenu le lundi 18 juin 2017 Aux Champs-Elysées après qu'un véhicule ait percuté une camionnette de gendarmerie ?
- Ca gaze ?
Jérôme de Mars
C'est de saison !
A l'ère des feuilles mortes
De l'automne en tome stone,
Les arbres dévêtus et atones
L'emportent aux amours fortes,
Où c'est de saison
De composer en illuminations,
Les fées d'hiver
Qui sentent la naphtaline du sapin d'hier,
Entre les contes de faits de Noël
Et la nouvelle année
Qui prend le relais,
A sa santé jusqu'au bout du tunnel
Du froid et de la grisaille
Au fond des entrailles,
Du royaume de la pluie
Qui vide son puits
Et qui ruisselle,
Vers la passerelle
De l'escarcelle
De la fève
Des mois rois
Et du désarroi,
A la sève
Du printemps
Qui vient balbutiant
Et triomphant,
A la gloire du bon temps
Du soleil transpirant
En fusion
Et en effusion,
Avec le bleu azur
Qui jette madame nature
Dans la pâture
Des herbes en décor d'ouverture
Avant l'été,
Où c'est de saison
Qu'on se le dise en émotions
Que le printemps été divers et monotone,
Aux regrets de la nostalgie
Qui tenait la chandelle
Des souvenirs d'occasion,
Où c'est de saison
Aphone que sonne et résonne
Du temps des cieux,
Quand c'été mieux
Cette jolie mélodie qui dédie
La ballade du froid rétro
Au chaud d'un slow
D'été,
Où c'est de saison
Qu'on clôt le bal des exaltations
Au balcon de l'horizon
Des quatre saisons.
Jérôme de Mars
Des pieds et des mains
A deux mains,
On fait des pieds
Et des mains
Pour mettre le pied
A l'étrier,
En donnant un coup de main
Et en mettant la main
A la patte du gai pied
A contre-pied d'un coup de pied,
Car les doigts d'or d'une main
Débouchent en une main tendue
Et s'ensuivent en une main courante
Des pieds et des mains entendus,
Où l'on fait un doigt et un bras d'honneur
De manchot pour taper
Le code donneur du bras droit,
Où l'on fait des pieds
Et des mains
Pour partir du bon pied
Et se reprendre en main
A deux mains.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Les Etrangers sont-ils plus optimistes que Les Français ?
- Parce-qu'ils voient la vie en couleurs
2) Que dit-on d'un cul de jatte qui s'en fout de tout ?
- Ca lui fait une belle jambe !
3) Pourquoi doit-on toujours être en marche dans ce monde ?
- Pour être dans le mouvement
Jérôme de Mars
Poly tics
Toc toc,
C'est le facteur à risques
Qui cloque en toc
Avec ses manies et ses tics
Poly tics,
Où il tique et clique
Sur l'apolitique,
Car il nique la politique
En troc
Et très roc,
Avec la trique du fric
Qui flique toujours la même musique,
Des promesses poly tics,
Non tenues, allergiques,
Synthétiques et anachroniques
Dans la chronique de l'apolitique,
Qui nique la politique
Amnésique
En folk, en funk, en fun
Et à l'aphone du téléphone,
Car notre voix est plus artistique
Que politique,
Avec tous ces corrompus sataniques,
Aux tics politiques,
Qui niquent et forniquent
Ces pauvres apolitiques,
Qui cliquent l'apolitique,
En politique
Pas frénétique,
Car c'est trop folklorique
Leur politique
A la mécanique
Bien huilée mais automatique,
Qui pique
Et nique
En un pique-nique
Electronique,
Qui nique
Tous ces apolitiques
Aux multiples tics,
Qui n'y croient plus en la politique
Arithmétique
Et technique,
Mais en l'apolitique
Du simple clic
En poly tics.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-qu'un suicide réussi ?
- Quand on ne change pas de fusil d'épaule !
2) Pourquoi Brigitte, ne me contactes-tu plus par sms ?
- Parce-que tu n'as pas saisi le message !
3) Pourquoi Christophe, ne réponds-tu plus à mes sms ?
- Parce-que tu n'as pas saisi le message !
Jérôme de Mars
Machine à décrire
En portraits de caractères,
L'encre jette son écriture
En fioritures
D'arabesques,
Dès l'élaboration d'une fresque
Presque à contre-nature,
D'une machine à décrire
De drôles d'aventures
Littéraires
A transcrire,
En ne boudant son plaisir
A ravir
Les férus d'ac stylo,
De leurs secrétaires
Dactylo avec leur stabilo,
Qui rédigent et tapent
En forces de frappe,
Sur la machine à décrire
Les histoires à dormir
Debout et à écrire
De leurs caractères
Bien trempés,
Des mots très radicaux
Et cruciaux en bloc de matériaux,
Qui expriment leur toupet
Olé olé
Dans des lapsus révélateurs
De leurs statuts d'amateur
En stock d'occasions,
Où ne manquent les questions
Sans réponses qui poncent,
Enfoncent et défoncent
La machine à décrire,
Le sujet principal
Qui reste sujet dans les annales,
Des noms d'oiseaux avec le stylo
Qui glisse des gros mots,
Comme le dico qui fait déco,
Où après la machine à décrire
Le parlé,
On attend désormais la machine à écrire
Le phrasé,
Au franc-parler
En pourparlers,
Pour parler
Le Français bien figuré
Des fins lettrés.
Jérôme de Mars
L'ami idéal
Pour ouvrir le bal
A tout âge,
On rêve d'avoir
Dans nos bagages,
L'ami idéal
En avoir,
Qui nous comprenne,
Nous soutienne
Et ne nous laisse tomber,
Au moindre problème
Avec des quatre vérités,
Qui rendent l'amitié blême
Et où plus jamais, elle ne s'aime,
Car alors la relation parsème
Une affection de gale,
Où plus personne n'est d'égal à égal
Avec l'ami idéal,
A cause du mal
Qui râle
Notre amitié avec sévérité
Et ces vérités
Qui ne sont bonnes à dire,
Car elles ne font que médire
L'ami idéal
Dont son estime dévale
A notre égard,
Avec le mauvais regard
Qu'il porte en nous,
Et pour que le malentendu se dénoue,
Rien de mieux que de nous
A vous,
On renoue
Avec l'ami idéal,
Auquel on lui voue
Tout notre redoux,
Car plus on rit, plus on est de fous
D'égal à égal.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on d'un Français qui patiente avant qu'une nouvelle attaque terroriste de DAESCH se produise de nouveau en France ?
- Il est dans l'attente à ce qu'une nouvelle attaque terroriste de DAESCH se produise de nouveau en France !
Jérôme de Mars
Dérape show !
A Vitry Sur Scène, berceau du rap,
Tout le monde se tape
Et se frappe,
Comme s'il manquait le cap
A Vitry, d'une ville plus fraternelle,
Avec davantage de respect mutuel
A la paix et à l'âme intellectuelles,
Car à l'heure actuelle à Vitry
Cohabitent la folie des gros mots
En insultes et gros,
De la part des ados qui prennent les habitants
Pour des rigolos
Entre amusement et déchaînement,
A Vitry, les gens sont froids
Mais pèsent de tout leur poids,
Pour être des haltères égaux
Spécialistes et experts dérape show,
Car à Vitry, il fait chaud
De cailleras,
Lorsque les racailles
Dans ce froid chaud caillent
Par les tenailles et la mise sur la paille,
Dérape show, où se resserre l'étau
De ce méli-mélo, entre le gros lot
Et les gros lolos de ces nigauds
Et de ces finauds,
A l'allure désenchanteresse
De la forteresse
Des maux qui caillent ras,
A Vitry, la ville fantôme
Qui conjugue épouvante et hématomes,
D'où ils paraissent en composant le tome
D'un livre à ciel ouvert avec ses atomes,
Qui alourdissent les ions, ces libres électrons
De Vitriots qui rugissent comme des lions
En cage
Et qui saccagent
Avec leurs grands frères,
Aux mauvaises prières
De leur entière rage,
Les poubelles
La vie
De Vitry,
Plus belles
La vie,
Dans la misère
Et la mélancolie des non-dits,
De leur vilaine rébellion
Dérape show,
Au chaud
De la loi du talion,
Où le passage
Se fait dès l'orage
En vers ni sages,
Du vernissage
Que je fais passer en ce message,
Dérape show
Qui râpe en fromage
Dans l'eau
Et en allo,
Le monde, que se passe-t-il
Et pourquoi trépasse-t-il ?
D'en ils
Aux presqu'ils,
Depuis cet ancien mai sage
Plus sage.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Hitler était-il froid ?
- Parce-qu'il faisait Shoah ( chaud ah ) !
2) Comment appelle-t-on nom de dieu un matou de Téhéran ?
- Un chat d'Iran !
3) Pourquoi vas-tu souvent aux toilettes ?
- Parce-que tu t'en laves les mains !
4) Comment dit bonjour un juif à Hitler ?
- Il lui fait salut nazi !
Jérôme de Mars
Annie Chic
Avec son briquet,
Annie est chic
De son nom,
Mais avec son sobriquet
Annie n'est chic
De son non
Même si elle s'appelle
Annie Chic,
Car elle ne pense qu'au fric
Et flique
Le pauvre Michel,
Le grand Saint-Michel,
Qui n'a pas la méchanceté pour un sou
Mais la simplicité et l'affection d'un être doux,
Qui ne ferait de mal à une mouche,
Car Michel est une crème et de la bonne souche
Des généreux et honnêtes Français,
Pas comme Annie chic, dont c'est du chiquet
Tout ce qu'elle dit,
Médit et maudit
Sur les non-dits et les interdits
De ses côtés inédits,
De famille d'accueil,
Car elle accueille
Michel,
Comme une feuille morte
Chez elle,
Mais Michel renaît en feuille forte
Une fois chez son ami, Jérôme
Qui lui fournit l'arôme,
D'un mille-feuilles
Qu'il cueille sans écueils
Mais avec l'accueil
D'un recueil
De dégustation sur son fauteuil,
Ainsi, Annie ensevelit
Michel au fond de son lit,
Et Michel va au Mont-Saint-Michel
Des sables mouvants,
D'où il s'effondre et qui l'emportent
Avec ses tourments,
De la sorte morte,
Alors que si jamais, Michel
Quitte Annie,
Il retrouvera la liberté et l'envie,
Et ira frapper en Saint-Michel,
A la porte
De son ami Jérôme, qui lui fera l'immense échelle
A l'échelle
De sa gentillesse
Et de sa tendresse
A mon adresse,
D'où je lui adresserai le mot bienvenue
Et lui dresserai mon salut
A Michel,
Où comme ça, Annie sera chic
Pour le fric
Avec son briquet,
Dont elle enfume
Son sobriquet
Pour du chiquet,
Et aussi, elle ne sera plus le flic
De Michel,
Car Michel restera un Saint-Michel
En route vers la passerelle
D'une foi qui demeurera coutume.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-qu'un arabe qui vole ?
- Un oiseau migrateur
2) Qu'est-ce-qu'un métisse très irrespectueux ?
- Un café olé
Jérôme de Mars
Lionel
D'amis en liens unis
Aux détachements qui se délient,
Il s'en est passé
Des choses
Dans notre amitié contrariée,
Dont je suis la cause,
Car on se cause
A petite dose,
Juste par téléphone
Dont toi tel est fun,
En message
Depuis le mai sage,
Où plus rien ne sera comme avant
Car tu as tes propres priorités,
A combler,
Où en ce moment,
Tu fais l'inventaire et le bilan
De ta destinée pour savoir
Où tu en es,
Avec toutes ces histoires
De remises en questions,
Où l'on n'aura plus l'occasion
Pour en parler
De nos déboires,
Autour d'un buffet
A déguster et à boire,
Lionel, avant on était amis
Tandis que maintenant,
On est dans le déni
De cette relation très brouillon,
Qui prend le bouillon
Dans le déferlement
D'un océan turbulent,
Où l'on ne sait
Pourquoi toi et moi,
On en est arrivés là
Apparemment, tu préfères le tact
Et le contact
De Fabrice et de Boris,
Alors que de moi
Avec mes caprices,
Tu t'es éloigné doucement
Mais sûrement et distant
De ma paroi car ça
Faisait trop là,
Où toi, l'adulte roi,
Tu m'as mis hors de toi,
Et au-delà de ce tas
Et de cet amas
De tracas et de fracas,
Où tu ne penses
Qu'à toi
Et tu t'en balances
De moi,
Avec l'offense
Et l'indifférence
De blablas
Qui restent ici là
Et bas,
Trop référence
A la loi des différences
Et à la loi du silence
En irrévérence,
Où toi et moi,
On n'est plus là,
Ni pour toi ni pour moi,
Car tu avances
A grands pas
De géants,
Dans la résilience
Et la résurgence,
Car tu te dis en toi
Y a urgence
A ta renaissance,
Pour sentir en toi,
La foi de la joie
Renouée sans fausses apparences,
Où maintenant, après ces années de tourments
Tu vas de l'avant sans prendre de gants
Avec moi,
Où ce sont tes aléas et mon état,
Qui ont foutu le camp
Dans notre amitié
A la criée et décriée,
Dans ton ignorance
Et ton insignifiance
Vis-à-vis de moi,
Où pour une fois,
Tu ne penses qu'à toi
Pour aller vers l'aura
D'un hip hip hip hourra,
Car oh là,
Tu as mis le ola, avec moi,
Lionel, pour saisir la passerelle
D'une existence avec celle,
Qui te fera voler de tes propres ailes
Dans une aquarelle
En ribambelle.
Jérôme de Mars
Le soleil lunatique
Aux aurores d'hier,
L'aube très matinale balaie d'un jet de pierre
Les bruyères et les fougères sous la jachère
Des landes qui moussent la confrérie bergère,
Lorsque le garde champêtre chuchote le soleil lunatique
Avec sa grande ourse à la dimension aromatique,
Et qu'il débraye d'un rejet l'univers et le cosmos
Qui régissent et qui osent la prose tangible de l'osmose,
Du soleil lunatique et de la lune ensoleillée
Qui se convertissent en un accident domestique
Et en une veillée dépareillée,
Entre chrysanthèmes et roses
Qui boivent le rosé bien arrosé
Et préconisé en remède miraculé,
Quand le soleil lunatique met l'essence
Du diesel pour carburer du carrousel,
A la fréquence des ondes persiennes dans l'influence
De la lune ensoleillée qui déploie une quantité de merveilles,
Dans une quiétude d'encens qui roule en secrets de polichinelle,
Où les messieurs et les demoiselles sont conviés
A l'éclipse du soleil et de la lune,
Qui se transposent en une ellipse lunatique et ensoleillée,
D'un au revoir, chers invités de la voie lactée
Ressuscitée dans le silence de Béthune en l'une.
Jérôme de Mars
Le pont neuf
Faisons un Paris
Au bout des folies,
En édifiant dans ce quartier veuf
Un pont neuf,
Qui dansera en coureur de jupons
Avec les autres ponts,
Sans couper les ponts
En amont démon,
De monts en monts,
Du pont vieux
Au Pont Neuf,
D'ordinaire très radieux
En plein air, comme Le Pont D'AVignon,
Où l'on y danse tous en rond,
Car Paris ne s'est fait en un jour
De La Tour Eiffel à l'amour,
D'un Paris gagné dans un long fleuve,
Où pour toujours,
Le Pont Neuf
Restera neuf
Dans la poule aux yeux d'argent,
Régente et aimant
Cette nostalgie veule,
Aux portées neuves
De cet oeuf
Apporté veuf,
Du Pont Des Arts
Au rencard
Du Pont Neuf,
Où plus jamais
Pas de quartier,
Paris ne coupera Le Pont Neuf
Avec Le Pont D'Avignon,
En chansons d'accordéons,
Où nous accorderons
Paris en un boeuf
De musique neuve,
Sous la direction d'un Paris plus veuf
Du long fleuve
Du Pont Neuf,
Pour qu'il pleuve
Un Paris en illuminations,
Qui émeuvent
Toutes ces émotions,
D'un Paris à l'histoire plus veuve
Du Pont Neuf.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Johnny Hallyday malgré sa maladie continue-t-il de donner des récitals ?
- Parce-qu'il a le virus du concert !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi ai-je les boules lorsque je joue au bowling ?
- Parce-que je joue maboule et que je suis sur la quille !
2) Que dit un gars à son ancien ami qui l'accuse de ne plus être fréquentable ?
- Sérieux ? ! Je ne suis plus fréquentable ? !
Jérôme de Mars
Plume d'oiseau déplumé
Au café qui n'est ma tasse de thé,
Je m'en vais à côté
Siroter au salon de thé un bon café,
Avec mon stylo qui fait couler beaucoup d'encre
En jetant l'ancre de cancre,
De ma plume d'oiseau déplumé
Aux coutumes de troubadour raté,
Râpé et dérapé
Dans un costume au visage voilé,
Où j'écume en tournée
Les cafés et les salons de thé,
De ma plume d'oiseau déplumé
A l'identité masquée et figurée,
Tant que j'ai déboulé
En giboulées
De Mars,
Sur la planète de Mars
Avec de grandes bourrasques,
Quand tombent les masques
Aux frasques sans casques,
De ma plume d'oiseau déplumé
A l'envol dérobé,
De ma plume enrobée
A l'enclume de solitude,
Embaumée et enrubannée
Question de mauvaises habitudes,
Où j'entonne avec la compagnie de mes amis
Un hymne entre les six gales et les fourmis,
Qui fonctionne avec des cils
S'ils
Ouvrent bien les yeux,
Avec des larmes de vers,
Ouverts et aux vers
D'un gamme aux verres,
D'il y a longtemps au creux
De mon mieux,
Où de ma plume d'oiseau déplumé,
J'offre le calumet de la paix
Dans un vent de liberté,
Au nom de l'amour et de l'amitié
D'un drôle d'oiseau de mauvais augure
Au niveau de zéro,
Où dans les révélations de ma généreuse nature,
J'espère et je carbure
Au niveau des héros,
Où je finirai de ma plume d'oiseau déplu mais
A jamais ressourcé
En aventures,
Pour de meilleures villégiatures
En devantures.
Jérôme de Mars
Dans l'écu
Aux mots, on s'oriente
A ce qui nous tente,
Question sexe
A ce qui est complexe
Aux abords du réflexe,
Où l'on reste perplexe
Question sexe,
Quand on l'a dans l'écu
Moyennant l'argent
De notre corps à la parole
Et aux actes d'argent,
Quand on l'a dans l'écu
De ces problèmes de cul
Et qu'on n'est pas trop aider,
A accepter
Notre identité sexuelle bien sujette
Aux clichés de contre-nature d'amourette,
Alors qu'on conte fleurette
Dans le transe
Genre des bals-musette
A contre-dense
Simplette
Depuis belle lurette,
Quand on l'a dans l'écu
De ces problèmes de cul
A rendre normal
Et banal,
Sans qu'on y voit du mal
Comme le rut animal
De ces mâles
Et de ces femelles,
Pucelles
De l'hétéro
Mais plurielles
De l'homo
Habituel en un rituel,
Sans que ce soit un problème
Deux personnes du même sexe
Qui s'aiment
Complexes tellement que c'est complexe,
Pour les êtres lambda
Aux esprits de vieux réflexes,
Comme s'il fallait une tombola
Pour accepter l'ineffable
Et ce qui leur semble intolérable,
Car la différence
Est ce qu'il y a de plus respectable
Avec une digne révérence,
Car l'amour de même sexe
N'est pas un pécule,
Quand on l'a dans l'écu
Mais bien une histoire de moeurs abordable,
Honorable et affable
Des gens concernés par cette orientation
Sexuelle qui n'a lieu d'une profonde remise en question,
Car il n'y a d'interrogation
A traiter mais la solution
De s'accepter
Tel que l'on est,
Aux dépens des préjugés de cul
Que les intolérants ne comprennent
Et ne soutiennent,
Car cela les réfrène,
A eux amoureux
Comme les autre rejetés
De par leurs péchés
soit-disant honteux,
On a envie de leur dire,
De les médire et de les maudire,
Qu'ils se mêlent de leur dégaine,
Ces ignorants de la loi du silence,
Car les gens ouverts
D'esprit préfèrent
Une société moderne,
Que de vieux aigris au regard terne
Et conservateur,
Ainsi pourvu qu'on reste évocateurs
De l'avoir en plein dans l'écu,
De la parole d'argent
Et du silence qui dort
Des aurores,
Aux histoires de cul
De notre temps.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Christophe, te trompes-tu quand tu dis que depuis notre accrochage, notre amitié est au niveau de zéro ?
- Car quand notre amitié a été positive, elle a été au niveau des héros !
2) Pourquoi peu de temps après l'attentat à Manchester, y en a-t-il eu un autre à Londres ?
- Parce-que ça défile à L'Anglaise !
Jérôme de Mars
La nature spontanée
Artificielle ou instantanée,
La nature spontanée
Semble cultiver le chant du bien,
A l'appel de la basse en contrebasse
Qui ronronne la musique acoustique et familière
Et qui chantonne la même mélodie temporaire,
Comme la fourmilière qui répand sa superficielle atmosphère
A la base de la place qui remonte à la surface,
Qu'occupe ambiant dans son environnement, l'identique chemin
Cousin du similaire petit air de réchauffé,
Où alerte ou endiguée,
La nature spontanée
Semble privilégier le champ du bien,
A la pelle des râteaux
Qui se prennent des râteaux
Et qui piochent bonne pioche le même courant vanné du ruisseau,
Comme la rivière vide de sens qui propage la sécheresse des mots
A la base d'une presqu'île d'îlot qui remonte à la rétro nécro,
Que vaque ambulant dans son ambulance, l'identique manque d'ambiance boute-en-train
Voisin d'une similaire petite aire d'échauffourée,
Où troublante ou inhibée,
La nature spontanée
Semble récolter le chant à contre-champ de son refrain assez bien,
A l'épelle des mots
Qui restent en mémo de profusion
Et qui voguent en démo avec les mêmes émaux à la maison,
Comme la cordillère des landes qui sème sa moisson
A la base de la basse en contrebasse qui remonte la saison des chansons,
Que diffusent les ondes micro-ondes aux identiques fours et aux moulins
Limitrophes de la similaire strophe qui contient une petite ère de déjà vu dans le refrain imaginé,
Où comme la fin justifie les moyens moyens ou très bien,
La nature spontanée
Referme la parenthèse d'un trop plein,
En ayant fait le point d'humeur extraordinaire
Des journées au soleil émoussé,
Aux prémices d'une nuit au sommeil effronté
Et nuancé par la nature spontanée,
Et immatriculée entière
Pendant la durée inaltérée,
Du coucher au lever.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi les étrangers sont-ils plus gentils que Les Français ?
- Parce-que Les Français sont à l'origine d'être étrangers à la gentillesse !
Jérôme de Mars
La croix et la bannière
Par les virages sinueux,
Qu'il paraît difficile d'accès
L'arrêt au mausolée remparé,
Paré et accaparé en rituel de sanctuaire
Dans un habitat de chaumière
A l'état de travers
Du lieu favorable
Qui réfléchit la lumière,
Quand le repaire fabuleux et nécessiteux
Franchit les barrières
Et les graviers d'onomatopée,
Qui ont tapé une flopée
De mots-clés,
Tant que c'est la croix et la bannière
Qui jonchent les tanières,
Qui fleurissent les arbres fruitiers
Et les primevères,
Qui plantent des graines de matières premières,
Tant que c'est la croix et la bannière
Au-delà de la table
Des seigneurs dans la clairière,
Qui jalonne la forêt dépêchée,
Pour récolter dans les mailles de ses filets
Un trésor précieux et silencieux,
En frontière avec les frères au clair,
Tant que c'est la croix et la bannière
De gravir le sommet de la paix,
En deçà de l'hymne élogieux et rembarré,
Comme le monde semble barré
Après avoir une factice amende honorable
De s'être péché sur la table aux aux-semblants agréable,
Tant que c'est la croix et la bannière
Avec l'art et la manière
De colorer l'humanité ,
En demi-teinte d'un fond gris de teint de luminosité
En intensité de réciprocité,
A proximité des à côtés
D'un jardin corsaire planétaire
Et de prières,
Tant que c'est la croix et la bannière
De conjurer l'élémentaire
Et de jurer Ave Pierre,
A la frontière solaire et lunaire,
De la lumière en nous frères de l'univers.
Jérôme de Mars
En cadre
Pour trait
Dans la nature morte,
Gisent en cadre
Des portraits qui circulent en auto
Et qui peuvent se voir en peinture,
Avec leur pastelle de couleur
Dont des crochets les encadrent
Et peuvent les encadrer
En cadre,
Dans le cadre
Des thèmes mineurs
Alors que la peinture est un art majeur,
En ares qui jouent sur différents tableaux
En cadre
Et que les artistes encadrent
Avec l'amour de leurs pinceaux,
Dans l'art et la manière
De la gestuelle et de la grâce,
Qui illustrent les pays sages
De ceux qui en font tout un dessin,
En ayant un tableau d'honneur
En récompense de leur grand talent,
De génies en herbe
Comme les tournesols de Vincent Van Gogh,
Et de ceux qui déjeunent sur l'herbe
Avec les reines Claude sur la nappe,
De Claude Monet, qui rend la monnaie
De sa pièce, en pièces attachées,
Impressionnistes et hédonistes,
Où tout le monde joint l'utile à l'agréable
A géométrie variable et au sens figuré,
De la nature de Picasso,
Qui voit les femmes de la chance avec brio
En je de dés pipés en cadre
Des musées amusés,
Qui encadrent en amusant la galerie
Des anges gardiens,
Qui l'ouvrent au musée en cadre
Et qui encadrent les bonheurs
Et les malheurs,
Hasardeux de cet immense bazar
En bric à brac,
Dans le cadre
Des beaux arts
De ce troisième art
Qu'est la peinture
Jamais deux sans trois.
Jérôme de Mars
Tête-à-tête
Un dialogue imaginaire entre Serge, le musicien des mélodies et Jérôme, le mélo qui dit les maux en mots de musique !
Jérôme : - Bonjour Serge, comment vas-tu bien ?
Serge : - Cher Jérôme avec ces va-et-vient, je vais plutôt bien et je veux ton bien quoique tu penses du mal de mon bien, dont je souhaite ton bien, à savoir mettre en Seine tes poèmes !
Jérôme : - Ce n'est possible Serge, tu ne peux les mettre en musique mes poèmes, car tu as dépassé l'âge de la pierre à l'édifice, et tu ne l'ignores, je ne suis un poète maudit mais un poète médit !
Serge : - Te sers-je un vers de circonstances atténuantes Jérôme ?
Jérôme : - Ce n'est le sujet et tu es hors propos Serge, car je suis vers de rage tant que je n'ai que des revers d'infortune !
Serge : - Te considères-tu comme un poète en lumière ou un poète illuminé ?
Jérôme : - Comme je suis à des années-lumière de toi Serge, je ne suis une lumière car je demeure dans l'ombre de mes vieux démons et de tout le monde ! Je me considère comme un poète illuminé et fou allié avec mes vieux amis aux si nombreux points communs. Comme aux vers de l'amitié, je suis à l'envers de tout Serge !
Serge : - Penses-tu Jérôme que l'eau a coupé les ponts depuis toutes ces années, où tu mets en lecture tes poèmes électriques et éclectiques, gardes-tu le fil ? Alors que quand tu rappuies sur le bouton de démangeaison rebobinage en arrière, tu vois ta vie défilée avec ses joies et ses peines et là, perds-tu le fil ?
Jérôme : - C'est simple Serge, pour l'occasion, te sers-je un verre de l'amitié en vers ? Ou plus sérieusement Serge, je me demande à quoi sers-je dans la vie ? Quand j'écris des poèmes, je suis un poète médit dont l'eau coupe les ponts de La Seine sans la scène au Pont D'Avignon, où l'on y danse tous en rond et où pour moi, ça tourne plus ou moins rond comme la terre lunatique, où j'ai les pieds sur La Terre lunaire, alors que quand, je n'écris, je suis en crises de vers d'acolytes car je coupe les ponts Dupond avec mes amis du soleil à la lune jusqu'au crépuscule obscur de mes nuits où je me soûle alcoolique et frénétique de mes revers, où j'essuie des larmes de vers, à l'instar des étoiles éphémères en météores de comètes, où je ne suis net dans ma planète d'internet, interné dans ma cage de verre, inter pas net et pas chouette, en vol d'oiseau politique.
Serge : - Au non du vers de l'amitié, je te souhaite de réparer les ponts entre La Seine et Avignon pour te mettre en scène et clamer tes slams de poésie de soleil lunaire et clair-obscur, et au nom du verre de l'amitié, je te dis tout oui, il ne faut que tu coupes les ponts avec tes amis mais les garder service public réciproquement, où je trinque à ta santé Jérôme, pour que tu bois des paroles dans un décor vert nature assorti de vers d'amour !
Jérôme : - Merci Serge, grâce à toi, je ne me poserai la question : Sers-je à quelque chose dans la vie ? Car Serge a quelque chose dans la vie à configurer avec nous les amis surtout avec sa main entendue et sous-entendue pour dissoudre les malentendus en buvant ses belles et bonnes paroles adorées, en trinquant avec nous aux vers de l'amitié chaleureuse et conviviale dans une ambiance détendue, figurez-vous les amis et au pas sage, vous ressers-je tous un verre ?
Jérôme de Mars
Quelle vie choisir ?
A la prime
De la naissance
Avec l'innocence,
On l'imprime
Et on l'exprime
Avec le répit de l'enfance,
Avant que le passage à l'âge adulte
Nous plonge dans le tumulte
Des gens avec puissance,
Qui oppriment
Les plus faibles dans le crime
Qui envenime
L'indifférence et la loi du silence,
Avec indécence et insignifiance
Dans la défiance des apparences,
Car on se demande quelle vie choisir
Pour répondre aux critères de l'avenir
Et rejoindre afin de se fondre dans le courant
Du code des normes très flagrants,
Et pour ne se faire rejeter par la pensée unique
Dont on nous affuble de préjugés qui nous étriquent,
Dans les clichés habituels aux rituels presque en bouts de ficelle
Qu'on nous retourne en un long tour de manivelle,
Car on réfléchit à quelle vie choisir
Pour nous restituer les éternels plaisirs sans nous médire,
Avec la soi-disant vérité qui pointe le bout de son nez
Lorsque jadis, elle ne semble légitime et fondée,
Avec tout ce bas niveau qui prend davantage le caniveau
Et va à vau-l'eau au ras d'eau du radeau
Qui navigue dans les rumeurs de l'ignorance,
En l'absence solide de preuves qui demeurent loyales avec du sens
En consistance et en contenance,
Car si on savait quelle vie choisir et finir,
On récolterait le fruit en ligne de mire,
Où sur le coup, on se murmurerait posés et résignés
Qu'après avoir plutôt bien existé, subsisté et était,
Avant que mort s'ensuive
Et se suive,
On irait hiberner
Sur les rives
De la liberté,
Où là au moins, on saura quelle vie choisir,
Pour éblouir et ravir
La destinée qui nous arrive,
A pieds tombés des immédiates années réceptives
Après cette existence captive et furtive
Et écorchée à l'eau vive,
Qu'on enfouit d'inondations pour le restant de l'humanité.
Jérôme de Mars
Direction le bonheur
De l'équateur à la chandeleur
Y a pas d'heure
Avec un sommeil réparateur,
Direction le bonheur
Aux jolis jardins de candeur,
Quand le soleil en ferveur
Produit distributeur de la chaleur,
Direction le bonheur
Aux avantages réconciliateurs,
Qui ne se leurrent trompeurs
Pour du beurre
Direction le bonheur,
Dès que le bleu azur en vigueur
Donne de la rigueur
Aux credos frondeurs
Direction le bonheur,
Lorsque les faiseurs songeurs
Laissent penseurs et rêveurs
Les doutes sans peur,
Direction le bonheur
Egal à l'ardeur
Des pieds baladeurs
Qui s'endorment la main sur le coeur,
Direction le bonheur
De l'amour amateur,
Vers un monde meilleur
A l'endroit acteur
Direction le bonheur fédérateur.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi de la fête des mères, je m'en fous ?
- Parce-que comme j'ai plus ma mère, elle est à mère ( amère ) la fête !
2) Pourquoi la fête des pères a-t-elle un sens quand on a encore son père ?
- Parce-que comme ça la fête est paire après l'impair d'avoir perdu sa mère !
Jérôme de Mars
Coin coin
A la mare des canards
Qui est pleine avec la goutte
De trop qui fait déborder le vase,
La fanfare frappe dans le fard
Des ronds sur le lac mineur
Et des ricochets en choeur,
Qui noient les poissons dans l'ire
De leur colère qui floute
Les étranges rires,
Du coin coin
Des canards
Dans leur tranquille coin,
Où ils fredonnent le même refrain
complices et choristes des génies en herbe de poussins,
Qui écrasent la nature
Et rasent les mûres,
Au fruit de leur peinture
Fraîche et revêche en valses de leur vase,
Aux marais qui roulent sous un tonnerre de boue
Et s'enroulent à genoux,
En micmac de leur coin coin
De ces sauvages canards
Dans leur tranquille coin,
Où ils composent un hilarant quatuor
De chef d'orchestre les canards, les poissons,
Les poussins et maintenant les poules
Qui roucoulent en matchs de poules,
Comme les pigeons
Entre deux chansons,
De la raison
A celui qui a le plus tort,
Qui foulent la mécanique très famille,
De ces joyeux drilles
Et trublions,
Avec les neg marrons chauds,
Electros et à l'eau
De ces quantité de promesses,
Qui sont parvenues et tenues à la grand-messe
De la kermesse,
Où les canards reçoivent la contre-dense,
Là où les poissons noient leur ire d'accordéons,
Dans un genre accordons les violons,
Avec les poules
Dans la musique soûle
Des poussins,
En coin coin
Dans leur tranquille coin
Et en quatrain,
D'un quatre en un,
Les uns après les zinzins
Coin coin,
Des canards
Dans leur tranquille coin,
Du tintamarre
Qui ne redémarre
Dans le coin coin
Des canards,
Dans leur tranquille coin,
Au territoire
Entrain
D'entonner si besoin
Le refrain assez bien,
Au frein
De leur tranquille coin,
Coin coin,
Les canards,
Il est tard.
Jérôme de Mars
Une souris verte
Une souris verte
Qui courait dans l'herbe,
Guillaume l'attrape par la queue
Et Guillaume la montre à ces vicieuses,
Ces vicieuses la sucent
D'un trempez-là avec son fil,
Dans l'eau avec une hétéro
Toute chaude,
Où elle lui met dans son chapeau,
Lui dit qu'elle la trouve chaude
Et lui sort son préservatif
De son tiroir,
Où elle lui dit qu'il est trop noir
Son préservatif,
Qu'elle met dans sa culotte
D'où elle jouit jusqu'à sa glotte.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi est-on de très bon amis en contact avec un passé psychiatrique au Cerep ?
- Parce-qu'on est fous alliés !
2) Que dit-on de Rodin qui fixe avec tout son amour du regard Camille Claudel ?
- Il la sculpte du regard !
3) Qu'est-ce-que ça fait une jolie femme qui n'en peut plus de faire une fellation sur ton gros sexe ?
- Elle arrive au bout !
Jérôme de Mars
Citation :
Le propre de Monsieur Propre c'est de jeter les malpropres dans la salle sale au sens propre !
Jérôme de Mars
Le vers de l'amitié
Ca ne sert à rien
De se fâcher
Avec son entourage,
Dans la rage
Des lendemains
A savoir avec sa famille
Et ses amis,
Lorsqu'il y a une embrouille
Avec les proches
Qu'on connaît comme sa poche,
Il faut qu'on se débrouille
Pour se rabibocher
Et arranger les quiproquos,
Et de recoller
Les morceaux,
Autour du verre de l'amitié
Et de fraternité,
Pour se dire les choses
Et de qui en est la cause
Franchement, et de se réconcilier
Comme au bon vieux temps,
D'avant les tourments
Et les éclats en fragments,
Afin de n'essuyer
De profonds et irrévocables regrets,
Pouvant dévier notre entrain
Et basculer notre destin,
En n'y croyant plus aux être humains
Et à leurs bons côtés samaritains,
Ainsi, si, on redevient amis
Avec farouche envie,
On repartira sur de nouvelles bases
Pour que la relation refasse surface,
Car on ne vit qu'une fois
Et il faut en profiter
Et aimer
Les gens,
Tant qu'ils sont là
Et vivants,
Et pas quand ils sont morts,
Sinon, on sera rongés
Et gonflés
Par les remords,
Car on connaît enfin
La chanson,
Sans nous prendre pour des cons,
Aimons-nous vivants
Autour du verre de l'amitié
Sincère et débonnaire,
En prenant un bon bol d'air
Avec toute notre si grande fraternité,
Comme l'exprimait
Très fin,
François Valéry,
Amis pour la vie.
Jérôme de Mars
Slam is slam ( slam islam )
Religion d'état,
Creusons le tas
En un état des lieux,
De L'Orient à L'Occident
Pour espérer un heureux événement,
Qui en découle
Dans le moule et pas dans la semoule
D'un accident, où personne n'a du blé
Et des épis de maïs qui se bécotent,
Qu'on en riz dans la mélancolie
De la pénurie
Au soleil,
Dès que la sécheresse se désintéresse
De l'allégresse et de la liesse, pour attrister la récolte,
Et l'ivresse des kermesses de victoires grands-messe,
Avec la révolte à crescendo
De richesse,
Que monte le tempo chaud dans l'eldorado
Qui se met à dos,
Le dessert de sable au milieu des grains arides et poussiéreux
Dans le vent qui souffle son ras-le-bol aux cordes de ce slam,
Monocorde qui essuie un blâme islam infâme,
Dans ce slam is slam
Qui calme la fournaise,
Du volcan qui bat la chamade avec les charentaises foutaises
Qui clament en réclame,
Un jeu catégorique et ludique
Des rythmes offensifs et tropiques à inventer,
A éventer et à vanter
Dans la tornade des mots égaux
En émaux de métaux,
Rigolos et matériaux en prévention d'un cessez-le-feu
Extincteur et revendicateur qui embrasse Le Dieu du royaume à la queue
Du diable qui s'empêtre V'lan dans le dernier oubli et répit bigames,
Au firmament de cette merveille
Dans ce slam is slam,
Islam qui rame polygame,
Des bleus anxieux aux bleus en cieux,
Avec la palme à la croisée des chemins studieux et paresseux,
Qui avancent et s'élancent
Dans la relance des accoutumances,
Du thé sachez-le savoureux
Qui rend heureux,
Les touristes amoureux
De ces pays et de ces paysages,
En adage de principes et en joyeux hommages
A nos émotions, nos sensations et nos idéaux d'avant,
Du vent de maintenant qui tourne et passe devant
Les manières et les choses plaisantes
Et élégantes,
En voulant nous faire croire
En fausses impressions, que les histoires
Meilleures d'il y a longtemps ne semblent transposables,
A l'heure intemporelle et universelle au sel revenu de nulle part ailleurs
Tellement que ça avait un goût de bonne teneur et de rigueur, en vigueur
De l'haleine agréable qui égrène ce slam is slam,
Islam, d'un ingénieux mélange romanesque de sirop d'érable
A table des grands soirs affables,
Qu'on se raconte aimables
Nos espoirs tant souhaitables et réalisables,
D'un allant sans penchant redoutable
Mais préférable avec un bonsoir,
De nos chers amis formidables
A la volonté invariable,
De ce slam is slam
Islam
De France,
Qu'on encense d'innocence.
Jérôme de Mars
Islam
En ma foi
Sept fois,
Je fais un slam
Sur L'Islam,
La religion
De la morale,
Soutenant le bien
Et luttant contre le mal,
Où ce territoire d'intelligence
N'enfreint Le Saint en son sein,
Et n'offense
Les gens faiseurs de bonheur,
Au meilleur et à l'ouvrage de leur dur labeur,
Pour faire leur beurre
Et apporter leur contribution,
Dans ce monde en mutation,
A l'état de transfusion
Mais qui garde sa grandeur
Et sa candeur,
De pureté d'âme,
Envers ces dames
Qui ne se voilent la face
Figurée et configurée
A l'expression dissimulée,
Contre face et en surface,
Dans la loi de l'ignorance
Et du silence,
Parmi ces musulmans,
Qui jeûnent pendant la période
Du Ramadan
Et de l'exode
Des jeunes gens,
Se souvenant du printemps
Troublant du jasmin alarmant,
Défiant et méfiant,
Dont certains pris de cours,
A l'encours
Du Coran,
En firent tout un ramdam,
Dans les lames
A contre-courant,
Qui me motivent à écrire ce slam
Sur L'Islam,
Pour l'oeuvre de la tolérance
Vis-à-vis des dames,
Et loin de la pénitence
Des péchés,
Afin que soit repêché
L'esprit Saint
Et divin,
Dès l'entracte intacte
Avec tact,
Au toucher de la clé contact,
Où sera distribué le tract
Des valeurs
De la pertinence,
En résonance
Avec ce slam
Sur L'Islam,
Qui sera en symbiose
Du symbole,
D'un monde en paix,
En osmose
Avec les communautés,
Au-delà les frontières
D'une humanité haute avec le coeur,
Et en odeur
De Sainteté,
Sur la vénérable
Et honorable
Planète Terre
A l'arôme d'excellence
Et de transparence,
Avec des saveurs
De providence,
Qui couleront d'ardeur,
En donnant matière
A une civilisation première,
De toute son essence
Et de son affluence,
A l'influence qui dame ce slam
Et dame L'islam,
Du Ramadan au ramdam,
Pour les dames,
A l'emblème d'une société juste,
Au buste et à l'arbuste,
D'un nom de Dieu,
A l'appel des cieux
Pour toujours,
Et au nom de l'amour
Entre les troubadours
Un de ces jours.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Un homme en sain aime la poitrine des femmes au sein de leur sein !
2) Un musulman pris de court pendant la période du jeûne en fait tout un ramdam !
3) Quand on offre la parole à un fanatique de football au stade où il en est, on lui offre une tribune !
Jérôme de Mars
Citations :
1) Un terroriste qui pète, lâche une bombe !
2) Une grosse dame qui se marre, est une vache qui rit !
Jérôme de Mars
Citations :
1) Un homme qui aime le foot, prend son pied !
2) Un pâtissier qui a fait un mauvais gâteau, on a envie de le gifler car on le trouve tarte !
3) Un homme qui reçoit un paquet recommandé apporté par une jolie factrice, a ramassé un beau colis !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Comment appelle-t-on l'acteur SIR ancien 007 James Bond qui vient de décéder ?
- Roger More
2) Pourquoi Edwin, me fermes-tu la porte ?
- Parce-que tu es ferme et renfermé !
3) Qu'est-ce-qu'un attentat commis par un non-musulman ?
- Quelqu'un d'intègre !
4) Pourquoi ne penses-tu qu'à toi Lionel, avec tes priorités et que tu t'en fous des autres ?
- Parce-que tu es ton propre centre d'intérêt !
Jérôme de Mars
Citation :
Manque de peau, je ne suis pas raciste !
Jérôme de Mars
Demeuré demeurait idiot
En sobriquet
Quand il allumait son briquet,
Avec nos quolibets
Et nos invectives, on s'évertuait
A le nommer Demeuré
Demeurait idiot du village,
Quand en garde des sots,
Il déclenchait les soubresauts
Stupides, ignares et ahuris
Des moqueries en série et en jalousie,
Des gens et des marginaux
Cons sacrés idéaux et originaux
Par défaut et par envie, de la rafale
De sacrilèges et de blasphèmes en mistral
Du vent qui tourne en poupe à l'endroit des nuages,
En images papier buvard assortis en rois mages
Car Demeuré demeurait idiot,
Et ballot, comme Bali Balo dans son berceau, qu'on jure
Et qu'on injure, dans le parjure et qu'on con jure
Dans la conjoncture, conjure,
En bal des canailles, qu'on tient par les tenailles,
De la taille d'un lâcher de cotillons en éventail,
Dont le moindre détail intrigue Demeuré, qui demeurait
Idiot et simplet d'esprit de nain, petit d'épouvantail
Mais grand de vieux canasson sur le train remis en rail,
D'un Demeuré qui demeurait idiot, bête et animal,
Et qui voyait l'émail partout avec sa dent dure très à cheval,
D'abruti et étourdi très écervelé et bien membré,
Mais désintégré dans son esprit étroit décervelé,
D'invertébré et poil à gratter, carnivore et sauvage,
Car Demeuré demeurait idiot, tel un Zorro
Sans son lasso comme eldorado en thalassa-thérapie,
Friand de verdure et criant de vérité en saga cité,
Dans la dextérité et la pugnacité, d'un challenge outrancier,
Dans la panoplie du parfait héros dans un roman-photo,
Aux gros mots érudits et édulcorés, dans la chicorée du petit déjeuner,
Jeune et vif quand Demeuré rentrait soul dans sa demeure
Et en demeurait idiot de par jadis, qu'il en meurt,
Aux âmes chevronnées et tristes, qui pleurent,
Du cinéma de Tartuffe, la truffe au bec en prises,
Qui frisent le ridicule ignare, ignorant et inculte,
Dans le tumulte d'un doigt tendu d'honneur en insultes,
Auquel nous jurons toute notre dévotion,
En jurons d'élucubrations renvoyés spéciaux de moussaillons,
De chenapans avec la main mise,
De ta chère promise en mainmise
De Demeuré s'il était encore vivant,
N'aurait été idiot à t'en surprendre la main courante,
De la vague déferlante et itinérante,
Du dépôt de plaintes d'enfants de salauds revenus du monde des néants,
Dans l'édifiant paysage ressuscité et excellent en élégant paravent
D'un benjamin Franklin, comme le plus précoce génie amusant Et étonnant,
Détonnant en Demeuré ne demeurait nigaud,
Mais finaud d'un bourricot en abricot dans l'éclosion d'un papillon En imprésario,
Au scénario très davantage méli-mélo, d'un Demeuré de maestro
Avec brio
Contact accro au réseau d'amis dans le village réputé intello
Avant le dernier Mot.
Jérôme de Mars
J'ai voté Le Pen !
Ce fameux jour
Qui ne fut comme les autres,
Où je refis un tour
Aux présidentielles,
Le torrent de mes idées exponentielles
Qui progressèrent au-delà les vôtres,
Où au front national
Du front de ma colère abyssale,
J'ai voté Le Pen,
Toute la rengaine qui m'effrène,
Où je fis front
Avec front et rébellion,
A tous ces sauvageons
Qui m'ont pris pour un con
Et un pigeon
Avec l'ineffable déraison,
D'où monta la fièvre jaune
Sur le front de la faune,
Où j'ai voté Le Pen,
Car j'en ai marre qu'on me fasse
De la peine
Dans ma madeleine
De Proust, et qu'on s'en foute
De mon état des lieux,
Comme dans un shoot
De ballon acharné par un footeux,
D'où brûle le soleil fiévreux et nerveux
Qui monte au front de l'affront national,
Dans cette France hexagonale,
Où je tombe en disgrâce
Et je m'efface,
Avec l'effet boomerang
Dont la couleur marine le peine
Chez les immoraux
Gangs,
De l'âme en pleurs d'obsessions
De mille et une questions
De vengeance, qui s'en affichent
Et s'en fichent,
De ses maux et trémolos,
Où j'y vais plus mollo,
Dans la rétro à vau-l'eau
Qui friche la triche
De l'abandon qui borde et aborde l'horizon,
D'un gros nid d'espions,
Car mon oeil de vers
Chavire en un game ouvert,
Car j'ai voté Le Pen
Plus rien à foutre de l'arène,
En vaste chantier qui jette le ciel
A fiel allure de mon essaim qui butine la crécelle,
Quand la fièvre monte au front national
Dans La France hexagonale,
Déchirée, fissurée et fragmentée par la bonne ritournelle
En un tour de manivelle,
Car le jeu en vaut la chandelle,
Que je chancelle dans ma coquille Saint-Jacques-De-Compostelle
Lourde de ma croix, où je ne fais front
Pour La France, mais pour l'offense
De la défiance et de l'irrévérence,
Qui scelle ma différence
Avec toutes ces insignifiances
Qui m'horripilent et me vexent,
Perplexes et complexes
De mon être multiplex et en duplex,
Avec l'annexe de l'accent grave circonflexe,
Où finalement, je fais l'affront national
Des annales bancales
A l'unité solitaire,
Où je fais la guerre
Naguère en France avec l'intervention
De la marine armée pour péter les caissons,
Et provoquer des dommages collatéraux
En faute à certains votes électoraux,
Dont j'en suis l'une des causes
De ces ecchymoses,
Car j'ai voté Le Pen,
Enjeu et en joue d'une mort certaine
Ami du diable et ennemi de Dieu,
Où je dors dans mon pieux,
Au débouché d'une bouteille de champagne, au loin des cieux,
Parmi mes aïeux, endormi dans un sommeil pieux,
Au mieux dans un juste milieu.
Jérôme de Mars
La famille BEDROSSIAN
Atlas, l'atlas de la famille
Qui regorge de souvenirs,
En fourmillent
A en dire et à en redire,
Depuis le génocide
Arménien acide,
Où Simon, le frère aîné
Veut maintenant la paix,
Dans la famille avec l'âge de ses artères
Où lui regarde les haltères
Que derrière et en arrière,
Harouth, le second reste à son siège social,
Sur son fauteuil roulant bancal
En priant qu'il ne finisse seul
Sur son fauteuil,
Suzanne, la veuve joyeuse qui profite
Des années plus ou moins heureuses qui s'effritent,
Marie qui prend toujours son bain marie
Demeure fidèle à son unique mari,
Du lance-pierres
A ce qui va advenir au-delà les barrières,
Maurice pour éviter la banqueroute,
File encore sur la route qui déroute
A l'endroit et à l'envers,
Que ce soit droit ou de travers,
Michel après une vie éprouvante en bas de l'échelle
Espère poursuivre une fin d'existence plus harmonieuse
Et très fabuleuse,
Avec son ève
Qui lui fait lever la liberté et le glaive,
Et lui susurre de de sa voix suave en intimité Mon Saint Michel
Et enfin Georges, met des couleurs dans cette destinée terne
A user les cernes,
En fredonnant une jolie chanson comme un rouge-gorge,
Qui rabat de sa gorge
Les moments gais qui forgent,
Le caractère entier de cette famille
Aux valeurs et aux principes,
Dont elle se fait des vertus en délice
Ne supportant plus la pitié et les supplices,
Car elle préfère que tout le monde s'unisse
A perpétuer les traditions,
D'une famille normale ainsi que leurs pupilles,
Malgré l'addition salée d'un Jérôme
Qui quand il est frais, respire l'arôme,
Mais dès qu'il se bloque dans les maux,
C'est la rébellion ancrée en Géronimo
Qui symbolise le chaos,
En tout et atout
D'un tout pour le tout,
Où à moindre coût, vive la famille BEDROSSIAN
A tous les temps !
Jérôme de Mars
Les quatre vérités en humour :
1) Lionel ( ancien ami, actuel ami ou ex futur ami ou futur ami, j'en perds mon latin ) :
- Qu'est-ce-que ça fait Lionel quand t'éteins ton téléphone mobile ?
- Il est exportable ton téléphone !
2) Laëtitia, Katia ( cousines distantes ) :
- Pourquoi ne s'appelle-t-on jamais ?
- Parce-qu'on a une discussion à bâtons rompus !
3) Sabrina ( seule cousine proche et coopérante ) :
- Pourquoi Sabrina, es-tu l'une des rares personnes de la famille avec qui y a pas de silence radio ?
- Parce-qu'on est sur la même longueur d'ondes !
4) Catherine ( Petite cousine de très très très très loin et trop distante ) :
- qu'est-ce-que ça fait Catherine quand on parle de peinture en mangeant avec toi à table ?
- On parle du buffet ( Bernard Buffet )
5) Simone ( Cousine distante par les kilomètres mais proche plus ou moins par la technologie virtuelle ) :
- Pourquoi Simone, toi et moi, on n'arrive jamais à se joindre au téléphone ?
- Parce-qu'il y a un bémol ! ( baie Moll(e) )
6) Sébastien ( cousin perdu de vue ) :
- Sébastien, pourquoi est-ce-que je te vanne sur ton métier d'entrepreneur ?
- Parce-que je te mets en boîte !
7) Michel ( père aux abonnés absents ) :
- Papa, pourquoi es-tu dépassé ?
- Parce-qu'à cause de moi, t'affranchis les limites :
8) Edwin ( copain ou ami ou connaissance en girouette ) :
- Pourquoi es-tu un solitaire ?
- Parce-que t'es unique en ton genre !
9) Brigitte Kasparian ( ami ou copine ou connaissance n'appartenant pas à la même communauté ) :
- Pourquoi y a-t-il une équation dans notre relation amicale ?
- Parce-qu'on n'est pas toujours en adéquation pour se parler !
10) Simon et Jacqueline ( Oncle et tante qui battent en retraite à Cavalaire ) :
- Pourquoi ne s'appelle-t-on jamais au téléphone ?
- Parce-qu'on a une discussion à bâtons rompus !
11) Paule et Harouth ( Oncle et tante vieux aigris ) :
- Pourquoi malgré le fait que vous avez été commerçants en chaussures, on ne se voit plus, on ne s'appelle plus et on ne se comprend plus ?
- Parce-qu'on n'aime pas cirer les pompes !
12) Christophe ( ancien ami mais toujours collègue au cat pour le pire ) :
- Pourquoi est-on fâchés ?
- Parce-qu'on n'a pu l'ire la colère réciproque sur nos visages !
Jérôme de Mars