Fin de la discussion

Point de bévue

 

Revu et corrigé

Sur la mer et ses rejets

D'ancre, dont l'objet

Du scandale tombe des nues,

A nue de la marine est dépourvue

Avec vue,

Des pour vus 

Point de bévue,

On noie le poisson

A l'abordage et à l'adage

De La France et de son naufrage,

Depuis les rois mages des inconnus

On l'on marmonne, on ne sut

Quoi broder, si on sue

En sans sus,

Qu'il n'y avait point de bévue

Que ce soit du vue et du revue

Dans la merlu et les merlans

Emmerdants et ambiants,

Dont tous Les Français s'en foutent

Alors qu'ils ne s'en footent du foot,

Comme le seul élément aimant, plaisant

Et liant des pseudos credo amis semblant

Sans blanc et soi-disant pour un bel environnement

A distance des gens déviants et devenant intéressants,

Car fascinants pour les psys

Et dont on s'en fou en ex-amis,

Point de bévue

Y a pas vu 

Sur la mère à boire la mer,

Car ces lignes de vers sentent le crépusculaire

Aux revenus modestes,

Des Jean revenus modestes qui lâchent du leste,

Par le revenu universel univers aux unis vers en restes

De reliques qui respirent et inspirent la crypte

Qui tombe d'enfer et qu'on décrypte,

Quand on laisse tomber les amis en ennemis critiques

A l'état critique dont leurs à vies critiques restent en tant que critiques,

Très critiques ah !  les tas de loques sur et cran panoramix dithyrambiques

Point de bévue 

Sur la vue pourvue et pour vu qui a des vues 

A la virgule et au point prêt sur facebook qui a des vues,

Parmi ces face de boucs qui rasent les poils du cul

Sur le cul des baises de régimes hippo et hippotames

Qui jouent du tam-tam dans des lames de couteaux tirées des dames,

Dont le saxophone joue du trombone en trompette 

Très classe et musique classique à faire trempette dans une amourette,

Car y a point de bévue

Sur la mère, mais des vues

D'horizons débouchés, si on pousse le bouchon de champagne trop loin 

Qui pétille des bulles dans leurs bulles, à siroter un pastiche aux coins

Chiche, qui triche aux pans pans des pans qui sortent leur petit oiseau de couleurs

A vade-rétro d'une époque meilleure que maintenant, où l'on joue les corps beaux

Dans des espèces menacées de corbeaux délateurs, où l'on quémande le bonheur

Dans l'offre et la demande à ne savoir,  si tout ça ne compte que pour du leurre,

Point de bévue 

Les parvenus,

Y a plus vue sur la mère,

Mais où l'on susurre que sont devenues

Nos plus belles années perdues

Dans le néant au dû,

Où point de vue

Sur la mère, si on tue

Les matchs de poules aux yeux d'argent,

Car qu'est-ce-qui est le plus important  ?

L'argent ou le soleil médisant des apparences trompeuses et désarmant

Les gens au paraître par être complaisant où plus personne n'est reconnaissant,

Mais s'enlaçant dans des choses les lessivant à laver leur linge sale en famille

Et entre amis dans un par fin déguisé en règlement de comptes qui lynchent

Leur oin-je, où puis-je te localiser en se laçant et en se lassant que je te rejoinje,

A ne savoir ce que l'on veut en voeux pieux au pieu d'une romance 

Pour jouer un rôle si les témoins de Jéhovah nous enrôlent en démence,

Alors que y a que nous qui pouvons amasser et ramasser les réponses

A ceux qui nous défoncent et nous enfoncent le moral en coups de ponce,

Où plus de bévue, j'y suis parvenu

A pondre des yeux par revenu

D'ailleurs et pas venu d'ails leurre,

Car nous n'avons plus de vue, revue

Corrigée et rectifiée comme ce fut à l'affût dévolue et irrésolue

A l'absolue et perdue.

 

Jérôme de Mars

Cher Serge de ta lumière

 

Bonjour mon cher Serge, éclaire-moi de ta lumière,

Dont j'ai besoin d'y voir clair avec ton rayon à des années 

De la voie toute tracée pour que j'y vois lactée et emballé

Dans du papier cadeau où de ta lanterne,

Tu éclaireras mon visage terne 

En frère lumière à des années lumière de mon passé bouc-émissaire,

Car aujourd'hui, c'est mon anniversaire entre l'obscur et le clair

Au clair de l'une cher Serge de ta lumière pour réparer avec des pierres

Toute la bâtisse pour mettre la pierre à l'édifice avec un sourire solaire,

Qui ravira toute la communauté planétaire pour que le terre-à-terre

Trouve la paix en un arc-en-ciel aux aurores d'une renaissance extraordinaire,

Après mes regrets d'avoir insulté Brigitte Yvelin et de me mettre dans l'enfer,

Du pétrin à me demander que faire le jour de mon anniversaire 

Pour me réconcilier avec Brigitte Yvelin au haut d'une amitié débonnaire,

Qui respire le grand air en prenant le large cher Serge de ta lumière

Car pourquoi j'ai une frontière en transition entre deux mondes contraires,

Où l'un respire le beau temps avec un soleil indéfectible et l'autre la misère

D'une pluie à la grisaille crépusculaire qui pleure l'absence de sa mère la planère Terre,

Très éteinte et pas étreinte sanglotant de ses larmes de verres

Tranchantes avec une vie délétère,

Où Cher Serge, j'ai ta besoin de ta lumière

De frère lumière à des années lumière

Du mal de mère pour respirer un parfum de musique au soleil des joies des libertés fières,

Où je jetterai les feuilles mortes dans le pré vert

Pour ramasser une quantité de feuilles à découvert

Dont j'extrairai le nectar au clair de fleurs printanières,

Où avec les pieds de travers

Je mettrai des coups vers,

Où cher Serge de ta lumière, j'aurai les matières premières

Pour concevoir un recueil de nouvelles de l'univers,

Avec mon jet et mon rejet d'encre imaginaires,

Où je perdrais des plumes frontalières

Avec ma tristesse très interstellaire,

D'où je rejoindrai les comètes près de ma mère,

Où grâce à toi Serge de par ta lumière

Je te remercierai en ta gentillesse légendaire,

Même si un jour ou l'autre nos chemins respectifs

Et écorchés brûlés vifs,

Se séparent à la frontière

De tes pas aux vers

Unis d'un monde que ta chorale t'offre en soupape de ton destin rempli de contrastes bipolaires,

Alors que le mien depuis trop bien long temps, je l'ai désempli

Dans mon repli

Sur moi avec le mal de mère, 

Me tendant en hypertension

Sans y faire attention,

A me rendre soumis à l'addiction d'une existence éphémère  

Et aux frustrations glacières,

Mais en attendant que la misère de mon itinéraire

Prenne le trajet de ma dernière chaumière

Au lit près de ma mère sous terre,

Je t'adresse cher Serge de ta lumière

Mon salut de frère lunaire,

Envers toi le frère solaire

Qui me donne de ta chaleur humaine à l'air pulmonaire,

D'une nouvelle ère qui s'ouvre à moi en route vers les galaxies,

Où je puiserai pour l'éternité toute leur dextérité

A l'infini

Et à leur adresse d'une dynastie à la légère

De ma mère qui seule pourra m'apporter la paix ensevelie sous la matière terre première,

Le jour de mon anniversaire protocolaire

Adieu misère et bonjour cette vie au-delà de la lumière

Que je nettoierai de sa poussière,

Pour rejoindre au trépas une meilleure destinée à rembourser au clair

De la lumière parmi mes frères lumière avec vous tous de la terre incendiaire,

Où je basculerai vers l'univers cent frontière

D'un bonheur à la délivrance subsidiaire en ces instances plénières.

 

Jérôme de Mars

 

Point de bévue

 

Revu et corrigé

Sur la mer et ses rejets

D'ancre, dont l'objet

Du scandale tombe des nues,

A nue de la marine est dépourvue

Avec vue,

Des pour vus 

Point de bévue,

On noie le poisson

A l'abordage et à l'adage

De La France et de son naufrage,

Depuis les rois mages des inconnus

On l'on marmonne, on ne sut

Quoi broder, si on sue

En sans sus,

Qu'il n'y avait point de bévue

Que ce soit du vue et du revue

Dans la merlu et les merlans

Emmerdants et ambiants,

Dont tous Les Français s'en foutent

Alors qu'ils ne s'en footent du foot,

Comme le seul élément aimant, plaisant

Et liant des pseudos credo amis semblant

Sans blanc et soi-disant pour un bel environnement

A distance des gens déviants et devenant intéressants,

Car fascinants pour les psys

Et dont on s'en fou en ex-amis,

Point de bévue

Y a pas vu 

Sur la mère à boire la mer,

Car ces lignes de vers sentent le crépusculaire

Aux revenus modestes,

Des Jean revenus modestes qui lâchent du leste,

Par le revenu universel univers aux unis vers en restes

De reliques qui respirent et inspirent la crypte

Qui tombe d'enfer et qu'on décrypte,

Quand on laisse tomber les amis en ennemis critiques

A l'état critique dont leurs à vies critiques restent en tant que critiques,

Très critiques ah !  les tas de loques sur et cran panoramix dithyrambiques

Point de bévue 

Sur la vue pourvue et pour vu qui a des vues 

A la virgule et au point prêt sur facebook qui a des vues,

Parmi ces face de boucs qui rasent les poils du cul

Sur le cul des baises de régimes hippo et hippotames

Qui jouent du tam-tam dans des lames de couteaux tirées des dames,

Dont le saxophone joue du trombone en trompette 

Très classe et musique classique à faire trempette dans une amourette,

Car y a point de bévue

Sur la mère, mais des vues

D'horizons débouchés, si on pousse le bouchon de champagne trop loin 

Qui pétille des bulles dans leurs bulles, à siroter un pastiche aux coins

Chiche, qui triche aux pans pans des pans qui sortent leur petit oiseau de couleurs

A vade-rétro d'une époque meilleure que maintenant, où l'on joue les corps beaux

Dans des espèces menacées de corbeaux délateurs, où l'on quémande le bonheur

Dans l'offre et la demande à ne savoir,  si tout ça ne compte que pour du leurre,

Point de bévue 

Les parvenus,

Y a plus vue sur la mère,

Mais où l'on susurre que sont devenues

Nos plus belles années perdues

Dans le néant au dû,

Où point de vue

Sur la mère, si on tue

Les matchs de poules aux yeux d'argent,

Car qu'est-ce-qui est le plus important  ?

L'argent ou le soleil médisant des apparences trompeuses et désarmant

Les gens au paraître par être complaisant où plus personne n'est reconnaissant,

Mais s'enlaçant dans des choses les lessivant à laver leur linge sale en famille

Et entre amis dans un par fin déguisé en règlement de comptes qui lynchent

Leur oin-je, où puis-je te localiser en se laçant et en se lassant que je te rejoinje,

A ne savoir ce que l'on veut en voeux pieux au pieu d'une romance 

Pour jouer un rôle si les témoins de Jéhovah nous enrôlent en démence,

Alors que y a que nous qui pouvons amasser et ramasser les réponses

A ceux qui nous défoncent et nous enfoncent le moral en coups de ponce,

Où plus de bévue, j'y suis parvenu

A pondre des yeux par revenu

D'ailleurs et pas venu d'ails leurre,

Car nous n'avons plus de vue, revue

Corrigée et rectifiée comme ce fut à l'affût dévolue et irrésolue

A l'absolue et perdue.

 

Jérôme de Mars

Positif négatif  

 

Objectif constructif,

Sois optimiste

Et avant-gardiste

D'une vie hédoniste,

Dont tu seras l'artiste

Rangé les négatifs

En rectificatif,

Car y a pas photo rétroactif

Mais reste actif parmi les positifs

Et mets de côté le passif des négatifs,

Car tu en as assez des pessimistes

Qui rendent ta mine triste,

Même si d'aller au charbon c'est égoïste

Et écorché brûlé vif

En soi pour gagner son objectif,

D'un chemin positif

Dans l'objectif

Qui est positif,

Car on a rangé les négatifs

Comme  y a pas photo dans l'objectif,

Où il faut perdurer positif

Pour afficher des élans communicatifs

Et devenir altruiste

En adjectif qualificatif,

Où l'on jette les canifs

Pour les boulots incisifs,

Comme cela, les canifs

Demeurent oisifs

Et évasifs

Dans un état inoffensif

Mais juste défensifs,

Si les gens semblent agressifs

Et incisifs,

Où il faudra guérir leur négatif

Pour les surenchérir en positif,

Car comme le virus séropositif

Ne se dope qu'au négatif

S'il se fait contrôler, il est positif,

Alors, contrôlons-nous et soyons positifs

Actifs et émotifs

Dans un climat humaniste,

Et loin le négatif du passif 

Au passé subjonctif égoïste.

 

Jérôme de Mars

 

 

Les pieds de travers

 

Périphrases,

En périples phrases,

Les pieds de travers

Se versent en douze pieds à l'air,

Mais dont les empreintes s'encrassent,

Car nulle trace

Que de remonter à la racine,

De Jean Racine que j'enracine

D'une épée de Damoclès,

En chef d'orchestre d'Octave

Qui touche car touches

D'encre de Dièse, 

Qui gît dans l'épave

Avec les pieds de travers

En douze pieds ovaires,

Qui déversent une note salée en clé de sole  

Et qui noient le poisson dans la mer et au sous-sol,

Où il semble tard et rare d'archiver les reliques du fard 

D'au far du signal du phare 

Complètement direct et à L'ouest,

Du Paris-Brest qui parie Brest

Au far Breton que nous encensons,

En chanson califourchon 

Des trésors tourne-disque,

En vers L'Obélisque

Du flegme de notre jeunesse,

Roulez hardiesse ! en lettres de noblesse

Dans les pieds de travers, 

En douze pieds périphrases à l'air

Des cantiques d'amour à l'effigie,

Du firmament des caprices d'Eugénie

Et génie en herbe dans la folie des grandes heures,

Où l'on vous marmonne les prédications de peur

Que la générale intuition érafle la rafle du vélib

Aux petits vélos oisifs qui flânent à l'air lib',

Quand les pieds de travers errent Prévert

En douze pieds similaires aux verres,

D'un courant d'air sous perfusion

Et infusions à la cadence ultra perfection,

Sinon Simenon reste le vilain Maigret de Canard

Au p'tit journal Montparnasse sur les quais du hangar,

Qui vend du papier journal sur les boulevards

Papier buvards à l'étendards de ces morceaux de standards

Les pieds de travers, en douze pieds phénomènes,

Oh que, l'ouïe s'entend à merveille

Et s' là ramène à la mène 

De la frontière des sentiments parallèles du soleil fusionnel,

Qui triomphe les pieds de travers, 

En douze pieds gamme o' vers de la liberté interstellaire,

Pas de miracle mais l'espérance contestataire 

Qui relie Paris Sur La Seine à l'estuaire,

En assurant ses arrières-pensées derrière

Les traits d'unions, point de barrière, on souffle ouverts,

Souffleurs de verts poèmes nature forts revers.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                                        Blague :

 

 

Que dit-on à quelqu'un qui a une chienne de vie à en mourir   ?

-  Assis pieds sous terre mon toutou  !

 

 

                                                 Jérôme de Mars

                                                      Citations :
1)  Un employé de La Poste qui distribue le courrier, exerce un métier à facteur de risques s'il se fait agresser par quelqu'un  !
2)  On dit à un riche pauvre homme s'il a l'infortune de tomber malade !
3)  Le propriétaire d'un toutou qui a une chienne de vie se prend des gamelles !
                                             
                                                Jérôme de Mars
                                      

Marine Le Pen le monde  !

 

En cette société décomposée

Et désagrégée aux regrets et reflets

Qui inondent l'immonde,

Marine Le Pen le monde

Fissuré et fracturé

Dans des fossés fragmentés,

Comme ils creusent tant d'inégalités 

Au sang figuré

D'une pénurie de fraternité,

Avec des déviances

Qui semblent dominance 

Dans l'indifférence en opulence

Qui rentre dans les normes,

Tandis que cela paraît conforme

Et pas difforme,

En dix formes

Des défaillantes ondes, 

Qui se fourrent dans les micro-ondes

Négatives qui sondent le monde,

Car Marine Le Pen le monde

Pour du beur

Et monte au front

De l'affront

De la fièvre nationale,

Dans cette France qui fait front

Au front de la bombe lacrymogène

Et anxiogène

Qui divise les gens dans le mal,

Dont il faut se procurer l'original

Et le dissoudre dans les annales

Avec les affaires qui tombent le piédestal

De La France en troubles circonstances

Dans la loi du silence,

Aux sans mêlés dans l'ignorance

Et l'agressivité aux effets contrefaits

Qui tombent La France dans le caniveau

Au niveau zéro

Tolérance zorro, car si le pays tombe à terre

Et à la mer,

En tout k, y a là Marine

Prête à prendre l'offensive en sourdine

Dans son influence

Qui rassemble tant d'affluence,

Dès lors que les gens soufflent au vent

Leur ras-le-bol, pas de bol,

Car Marine Le Pen le monde

Pour ramener les oiseaux immigrés

Au bercail et étrangers

A cette France déshumanisée 

Et désabusée qui corrompt le respect

Et le réduit en portions congrues

Dans des attitudes incongrues,

Comme le vice

Qui enlise la malice et le délice

Pour les changer en chagrins distendus

D'écarts de langages absolus,

Avec des malentendus qui hérissent

Les poils à gratter à gratter le fric,

Le fisc et les briques

Pour casser du flic,

Ce qui provoque un déclic

En déclinaisons

D'un clic d'horizon,

Pour honorer les bémols

Et restaurer les tournsesols

Et les parasols,

Sur La France et son sol

Pour brandir de nouveau

Un monde adroit du sol,

Comme Interpol

En pôle

Position du terrorisme,

Du à la déferlante 

Et véhémente

Extinction de l'intégrisme

Par qualité

Au détriment de l'humanité,

Car la vanité

Monte les enchères du fanatisme

Et de l'intégrisme

Par défaut qualité 

Et zéro scrupules

Ravagés par les crapules,

Pas de quartiers

En groupuscules

Qui sévissent en particules

Dans des zones de pellicules,

Car y a pas photo

En négatifs dans le ghetto

Du vrai du faux

Et du porte-à-faux

En romans-photos,

Comme Marine Le pen

Le monde et peine

Les lames sensibles

Enclines à péter

Les fusibles,

Si Marine Le Pen

Peine avec peine

A réconcilier le glaive

Et la balance,

Comme sans doute, elle s'en balance

Du modèle de la vertu et de l'enfance

Avec innocence,

Dans ces rêves qui s'achèvent

En indignités qui causent

De mauvais effets et faits

Dans des vilaines choses,

Qui sentent que La France

Coule d'invraisemblance

Dans les bras de morts fée,

Car semble défait

Et contrefait ce pays sans trophée,

Dont l'insignifiance a un goût de maux trop faits

Et dont on ne sait et ne connaît la bonne définition,

A ce dico qui sent la déco de sapins en écos

D'échos, car y a que ça qui allume les crocs

Voraces et tenaces dans la besace,

Sinon dire qu'il faut oeuvrer pour le système 

Des anti-Le Pen, afin qu'il tape l'emblème

D'une France conciliante, liante et coriace

Pour y semer de la graine de champions

Et qu'à l'horizon 2022, on n'est pas en morpion,

La Marine

Du mal de mère à voter pour révolter

Les oublis des politiques aux problèmes

Des Français, car ils n'aspirent qu'à la postérité

De leurs postérieurs supérieurs de leurs intérieurs,

Alors qu'il faut s'intéresser aux solutions en grandeurs

A mettre en vigueur,

Et ainsi à les déposer,

Et à les apporter

Au peuple à la criée pour que Marine aille voir ailleurs

Et qu'on soit au mieux vainqueurs d'une France revitalisée,

Sans amphétamines de sorte qu'elle contamine

Le bonheur pas pour du beurre et qu'elle se réanime

Parmi les leurs,

Sans leurres,

A un repos bien meilleur et salvateur

D'un palais gourmand, si Marine Le Pen l'immonde

Et s'envenime dans l'énigme de la Joconde féconde,

Si elle s'abonde en blonde tête brulée

Et éméchée,

Qui bonde La Joconde faconde

Dans la fronde, qu'elle succombe à la seconde,

Qu'elle seconde pas sauvée par le gong.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                                   Blague :

 

 

Que dit-on d'une femme qui décède en faisant une fellation à son mari  ?

 -  Elle casse sa pipe  !

 

 

                                          Jérôme de Mars 

    

Show macho

 

A l'entame de l'été qui roucoule,

Le show macho

Se met au show machaud

Du chaud macho,

Qui bat le fer à l'échaufaud

Tant qu'il est chaud et cool

Comme un baba cool

Qui coule

Un papa cool,

Qui en découle un baba

Et qui s'écoule 

En un papa à la cool,

D'où découle

Un bas pas qui cool

Le show machaud

En chaud macho,

Qui roucoule

D'un baba coule

En un papa cool,

A la cool

Qui s'écoule

D'un show match chaud,

Qui bat l'enfer tant qu'il est macho

A l'échafaud machaud du show,

Qui découle les babas,

Qui coule les papas

Et qui roucoule les babas et les papas

A la très coule

Du chaud ma show,

A l'échafaud macho

Du match chaud trop cool

Et trop show,

Ici, les bas bas coulent

Ah ! les chats faux  

Du show cool

Qui en découle

Le chaud macho,

Ah là ! des cools  

Qui roucoulent

A très bien chaud

Le show macho.

 

Jérôme de Mars

David guetta  !

 

Plus vite que la musique,

David Guetta philharmonique,

Ouvre le bal

Et l'acoustique des mots

En acouphènes,

A bonne entendeur 

Du phénomène

Du musicien baladeur

David Guetta,

Qui guetta de ses pas

L'appât,

Au gai pied à contre-pied

Du guêpier, comme il est à pied

Aux aguets

En faisant le guet 

D'oeuvre dans la manoeuvre,

Où il oeuvre pour de bonnes oeuvres

Placées sur écoute,

Dans un bruit de techno

En matière première,

De la contredance

En amende honorable de la dance

En rechargeant les batteries,

En percussions

Et en répercussions

Menées tambour battant,

Sur la cuivre des cymbales

Qui mènent le saint bal,

Dans le carnaval

De David qui guetta

David Guetta,

D'un retourné acrobatique

En son imminente tournée lunatique

Du soleil, dès qu'il somnole dans la lune,

Ou sous les sunlights des projecteurs,

Il dupe en trompe-l'oeil sans tambour

Ni trompette, les calembours lumières 

Générateurs et électrogènes tamisés sous le feu des projecteurs,

Aux spots du soleil trompeur dans la une décroissante de lune

En lune de miel du soleil artificiel d'une,

Lorsque David guetta

David Guetta,

En messes basses à basse

De la contrebasse à contre basse,

Qui sasse

Et ressasse

Un solo

Et un duo

De guitares

Dans le mitard

Des musiques prisonnières du ghetto

Entre deux volées de piano

En une note salée de bonne facture

Qui monte la portée musicale apportée

A la remportée dans des fractures

Déportées et reportées en pièces rapportées,

Dès que David guetta la techno très sophistiquée

De la technologie très contrastée,

En miroir d'alouettes qui plument

Les alouettes conquistadors en volées lyriques,

Du triste Roi Lear méli-mélo dramatique et mélancomique

A retombées incrédules de faux-semblants en coutumes,

Si bien que David Guetta

David qui guetta

Les musiques modernes en phase d'alfa

Dans le do ré mi fa sol d'un élan de kama sutra,

En timbale qui teint le bal et qui déballe

De balle en se renvoyant la bal

Du thermomètre maître et contremaître de référence,

En conférence qui signale la différence

De si grandes ignorances d'intervalles

Avec la reconnaissance et la révérence,

Dont David Guetta fait sa révérence

En vous saluant merci, bravo

Et à bientôt de votre brio à Rio de Janeiro,

Qui ferme le bal plus tôt le soir

Au plutôt bonsoir, il est tard.

 

Jérôme de Mars

 

                                                       Citation :

 

 

Quelqu'un qui perçoit L'AAH et qui réside dans un logement HLM touche l'allocation  (  La location  )   !

 

 

                                               Jérôme de Mars

Trame en slam

 

Oui ok,

Comme j'ai pas le hoquet,

Je viens sans mon hockey

Qui me laisse de glace,

Car sans me regarder dans la glace,

Je viens et je reviens, dans ces va-et-vient,

Où il faut que tout aille bien,

Du mal au bien,

En respectant le bien,

Du loquet,

De ton portable

Exportable,

Car quand on sera à table,

On jouera cartes sur table,

Où d'un cou de hoquet,

J'arriverai à trouver le bon quai,

Ok pour venir dans cette trame,

Grâce au métro et à sa rame,

Où je trame de mon tram,

Tout ce slam,

Qui tape du macadam

Avec les quidams,

Qui dament le pion

Sur les dames

Et leurs morpions,

Où l'on est tous des pions

Sur l'échiquier,

Du je de dames,

Au nom de sa majesté,

Dans tout ce ramdam,

Où du macadam,

On fait échec et mat,

En mat

D'un chèque en bois

Où je finis le mois

Dans le temps parti,

De cette partie

En répartie

De tant reparti

A l'inclinaison

De l'emploi du temps

Vers la terminaison

Du je au temps parfait.

 

Jérôme de Mars

 

                                                         Citation :

 

 

Si je me suicide en tranchée comme j'ai pas de veine, c'est que je suis à couteaux tirés avec tout le monde  !

 

                                               

                                                 Jérôme de Mars

 

                                                         Citation :

 

 

Quelqu'un qui perd ses amis car il n'est pas sérieux, leur dit :  "  -  Sérieux, c'était pour rire  "  !

 

                                                   Jérôme de Mars

   
                              
                                                         Citation :
 
Si on voit un arabe près de nous commettre un attentat, il faut partir en Coran  !
                                                  
 
                                                 Jérôme de Mars
  

 

                                                          Blague :

 

 

Qu'est-ce-qu'un attentat sans importance dont on s'en fout et pas naturel qui part en fumée à Barcelone  ?

   -  Des feux d'artifice  !

 

 

                                                  Jérôme de Mars

  

                                                        Blague :

 

 

Pourquoi y a-t-il eu un attentat à Barcelone ?
    -  Parce-que là Grenade a explosé !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                        

 

                                          

                                           

                                                    Jérôme de Mars

Le collectif personnel

 

Quand on vient au monde,

On est seuls dans la clameur rubiconde

Au sang d'encre de cette vie féconde

Des quais à la destination que fronde

Les insoumis démis parmi la société démunie,

Car l'on doit faire des compromis

Malgré les cons promis qu'on rencontre

Et qui vont à l'encontre 

Que contre le collectif,

Qui dans son équipe rencontre l'admiratif

Collectif personnel pour faire équipe,

Car dans une équipe, on s'équipe 

En lisant le journal L'équipe

A l'union sacrée avec une sensibilité tropique

Pour se fondre dans le mouvement offensif

Du collectif personnel,

Mais où l'on prend pour modèle défensif

Le personnel émotionnel,

En rectificatif

Des joueurs complémentaires,

Qui tapent sur le ballon d'essai à terre,

Avec leur dossard

A l'étendard standard

De l'unisson,

Car l'union fait la force

Et amorce en bombant le torse

Des joueurs sans commettre d'entorse,

Au règlement conventionnel 

Et indispensable à la bonne tenue professionnelle,

Dans le collectif personnel

Qui génère un respect mutuel,

Où chaque membre

S'assemble et se rassemble

Du personnel au collectif,

D'un collectif personnel

A la surface de réparation

Des dégâts, où des gars

Qui se ressemblent se fixent des buts,

Qui butent et rebutent 

Le perso qui en a rien à foot 

Et débutent

Dans le collectif personnel du foot,

Qui se shoote drogui en vivier de talents

Au plus fort de leurs redoutables crampons compétents,

Où ils courent au match de leur vie,

Duquel ils se font l'ami

De la victoire,

En bout de trajectoire

Du collectif personnel,

Car les légendes éternelles

Jouent en un d'un quatre en un

Avec le score de quatre à un,

Pour triompher de l'adversité

Au nom de la fraternité,

Tous ensemble

Pourvu qu'on se rassemble

Et qui nous semble un bel en semble

Où l'on est très bien ensemble,

Car si quelquefois, on levait nos ailes

Dans le collectif personnel,

On franchirait la passerelle

Avec une ribambelle naturelle

D'hirondelles hauts vers le ciel universel,

Du collectif très personnel

Et intemporel,

A l'unisson de l'humanité parallèle.

 

Jérôme de Mars

Fous-moi la paix ! 

 

Depuis naguère

C'est la guerre,

Car ce n'est guère

La paix,

Pour moi d'un appel tout paix

Qui dit en tout paix,

Fous-moi la paix

Avec toupet,

Où ce n'est guère

La paix,

Car on m'enfume depuis naguère

Et ce n'est guère

La paix,

Car j'enfume le calumet de la paix

Que j'en fume en guerre de toupet,

Alors que tous veulent depuis naguère,

Que je leur foute la paix au calumet

Qui fume guère,

Et moi depuis naguère,

Je leur crie guère

En paix,

Car à la guerre

De naguère,

Je lui supplie de ma voie 

A l'issue sans voix

Fous-moi la paix,

Car la paix 

M'enfume le calumet

Que j'en fume en tout paix,

Avec toupet

Du calumet de la guerre

Que naguère

Je n'obtiens guère,

Où je fumerai le calumet

De la paix,

Que si on enfume la guerre

Depuis naguère,

Avec moi pour que la guerre

Ne soit guère

Et qu'en paix,

Je dise à la guerre

Depuis naguère,

Et guère 

En paix,

En tout paix

Avec toupet

Fous-moi la paix  !

 

Jérôme de Mars

A l'origine du mâle  !

 

Lorsqu' inné sous x,

Il naît inconnu

A l'origine du mâle

Dans sa langue natale

Sur l'il natal,

Qui remonte étranger

A son pays divers,

Qui sommeille

Et hiberne

En lui,

Depuis la veille

De son autobiographie,

Dès que son être terne

Allume la lanterne subalterne 

Pour ranimer les ethnies

Divisées en une assemblée soudée,

Quand les sangs-mêlés

S'en mêlaient 

D'un toucher de lumière

Dans cette pièce sombre,

A l'ombre

Des tristes chaumières

Car manquent les prières

D'un Ave en unis vers,

Parmi ces fougères

A qui il faut restaurer

Leur beauté

A la légère

A l'origine du mâle,

Où il faut réconcilier

Les nations

Dans l'alliance

Et la clémence

D'un état réparateur

En l'état des cieux,

Avec une nuance de bleu

Emerveillée au fard d'un soleil

De bonheur 

Et de grandeur

Eméché avec la fièvre bronzée,

Autant harmonieux

De son mieux 

Avec le feu

Sacré en vigueur,

Qui s'émeut

En un joyeux

Etat fabuleux,

Pour la ferveur

D'un état meilleur

Et radieux,

En l'état des lieux,

Il était une fois l'il natal

A l'origine du mâle.

 

Jérôme de Mars

 

A quoi Serge   ?

 

Bonsoir, mon pote

A la compote,

A quoi Serge  ?

Si je ne me sers-je

Pas le ver 

De l'amitié,

Pour me réconcilier

Avec la paix,

Et afrronter

Les revers

De l'adversité,

Avec immédiaté

 Si moi,

Je suis le  con qu'on poste

Au poste,

Et qu'on composte

A la poste,

Du roi des désarrois
Fainéants et misérables,

Car j'ai joué cartes 

Sur table

Avec Brigitte,

Dont la relation 

Se délite

En insultes

Et en tumulte

Marqués sur la pancarte

Dans le virage 

De la séparation,

Qui se cause

Et se profile

Comme ça tient

Qu'à un fil

Pour moi,

Dans le pétrin

De mes ecchymoses,

Où j'ai dépassé

La clause

De conscience

Et de révérence,

Car j'enrage

Dans le naufrage

Et me demande

A quoi Serge  ?

Si je quémande

Sans arrêt,

Pouvez-vous m'aider  ?

Alors qu'il y a que moi

Qui ai la réponse,

Au tourbillon

De mes questions

Qui me défoncent

Dans les tracas

Avec pertes et fracas,

Où je fais le vide

Livide et avide

De faux-semblants,

Où la noirceur

Et l'épaisseur

De mon âme,

Respirent la froideur

Infâme des lames

De la rancoeur,

A coups de contrecoups

Et de dégoûts du tout

Pour le tout,

Où je me dévoye

Dans la voie

Des je m'en fous,

Comme je suis fou

désallié à m'en péter

Le cou et le garde-fou,

Et où je me répète 

Dans mon va-tout,

A quoi Serge  ?

A part d'être

Un feu de paille,

Qu'on met sur la paille

D'un épouvantail

Dans la pagaille,

De savoir où va

Mon destin au dessein

Des va-et-vient

Et des manques de saints,

Au sein de ma plainte

Que je composte

En complainte,

Comme je prends tout

A la lettre qu'on poste

Avec accusé de réception,

Si les ondes sont embrouillés

Comme moi,

Dans le brouillon et l'insurrection

D'eux de ceux,

Avec qui je suis brouillé

Dans le sillon

Des amis désaveux

Des aveux,

Dont les oeufs

Embrouillés demeurent posés

Sur le même panier brouillé

Et où je me martèle,

A quoi Serge  ?

En me mettant martel

En tête

Dans ce casse-tête,

Où je ne sais pas

Si je vais 

Vers le bon chemin

Ou vers la stèle de ma dérive,

Comme j'y arrive

Doucement mais sûrement

Très loin de mes essaims,

Car au lieu 

Que je butine le miel,

Je turlupine dans le fiel

En relations d'équations ennemies

Au lieu de les sauvegarder

Et de les préserver

En adéquation amie

Pour la vie,

Car on a besoin

D'amis dans les aléas

Des hauts et des bas,

Aux parfums de bonheurs,

De malheurs

Et aux tourments 

De mon tempérament

Chaud bouillant,

Auquel tout fout

Le camp,

En ces instants

De misères

Et de moral précaires,

Et où de mon amour douteux

Et de mon humour dateux, 

Je réfléchis à ce que je veux

Et ce que je peux, 

Résoudre pour dissoudre

Le passé

Et m'absoudre 

De mes péchés,

A destination

D'un ailleurs,

Où bon m'emmènera

Le bonheur,

Pourvu que je reste 

Et que je me déleste

Dans la joie enfin paroi,

De mon intérieur

Redevenu roi

En décoration extérieure

Et où j'affirmerai réjouissant

Vive le présent

Et quand me Serge  ?

Un ver où je trinquerai

Avec toi Serge,

Au ver de la paix

Car la boucle sera bouclée.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                     Citation :

 

 

Edwin, comme tu n'es pas trop aidé, dès que ça capote dans tes relations, tu te préserves dans ton travail au musée pour t'amuser en t'exposant  !

 

 

                                              Jérôme de Mars

 

                                                      Blagues :

 

 

 

 

1)  Pourquoi dois-tu accepter la dure réalité qu'un long-métrage dans une salle se termine à la fin de la séance  ?

   -  Parce-que c'est plus du cinéma !

 

2)  Pourquoi Brigitte, hier soir tu m'as dit que tu me raconterais plus tard l'histoire du long-métrage  "  Choquette  "    ?

  -  Pour ne pas que je me fasse des films !

 

3)  Pourquoi Brigitte pour toi, ça peut être une bonne chose si tu saisis l'opportunité professionnelle qui t'est offerte grâce à ton ami Benoît pour travailler dans un magasin commercial avec à la clé un CDI  ?

 -  Parce-que c'est un bon travail à bon marché pour toi  !

 

 

                                                  Jérôme de Mars

 

Papa à Cavalaire !

 

Papa, tête en l'air,

Quand tu cavales l'air

De rien,

T'es à Cavalaire

A respirer l'air pulmonaire

De tes reins,

Pour un rien

Loin de mon calvaire

Qui cavale l'air

A Cavalaire,

Comme mes tantes

Que ça te tente

De voir à Cavalaire

Loin de mon calvaire,

Où tu cavales l'air

De rien

A Cavalaire,

A humer le teint

De ton air pulmonaire

A l'air

De rien

Dans un festin

A Cavalaire,

De l'air

De tes reins,

Où tu entrevois ton cousin,

Assis sur son coussin

A contempler Cavalaire

Et à réflechir serein

A l'air

De rien

De Cavalaire,

De comment siroter

une bonne gorgée

De bière,

Loin des oursins

Toi, papa, l'ours saint,

Où tu cavales l'air

Sur un air

De rien,

Pour rincer tes reins,

Avant ton retour

L'autre jour

Parmi les tiens,

Très loin derrière

L'air de Cavalaire,

Où tu cavales l'air

D'un air extraordinaire,

Quand tu reviens,

Ainsi, tu souffles de ton air,

Une bonne bouffée d'air

L'air de rien,

De comment protéger

Ton destin

Et très loin de mon calvaire

En intensité,

Pour te rappeler Cavalaire,

Où tu reviens

Demain en voisin

L'air de rien,

A Cavalaire,

Où tu ne manques plus jamais

D'airs pulmonaires

Pour de longues années.

 

Jérôme de Mars

Ni bas ni long  !

 

Il était une fois la chose

Que l'on fait 

Avec une femme,

Aux effets

Pour qu'elle prenne la sauce

En overdose,

Et en plein été

Même si on ne peut pas être

Et avoir été

Près de la fenêtre,

Un bel étalon

Oh eh talon !

Qui enlève le bas

Et tombe bien bas,

Eh bah !

Dis donc, toi qui fais

Débat

Avec luxure

Et qui susurre,

Mets-là

Bien à fond dans ta trachée

De haut en bas

D'ébats,

A en perdre ton bas

De laine

Et de contorsion

Avec ta vieille rengaine

De madeleine

De pénétration,

Où l'on te pose la question

Si la tienne

De long en large

Et au long cours,

Reste courte ou longue

A la longue

De l'érection

Oh !  mousaillons

Qui crache l'écume

Que ta femme fume

Et qui prend le large

Avec ses bas nylons ,

Pour y semer ta graine

De champion,

Dont ton sexe n'est ni bas

Ni long,

Mais à la bonne proportion

D'une profonde remise en question

Qui désengorge 

Les fonds de gorges

Du Ver dont,

Afin de savoir si ta femme

A mis en exécution,

Toute ton âme 

Qui jouit d'éjaculation

Précoce, avec ton sexe

Ni bas ni long,

Et plus dans l'annexe

De ses tétons,

Car t'es ton excitation

Qui te vaudra

D'être dans de sales draps,

Où tu mouilleras ta chemise

A ta chère promise,

Dans une volupté 

De bien-être sucré,

Pour connaître des hauts,

Oh et des bas

Très bah,

Car y a oh ! d'ébats !

Avec ta femme ,

Qui slame

Ses bas nylons,

Où tu espères,

Que ce sera ni bas 

Ni long,

Ta prochaine fois

Où ta femme

Te dépucellera  pubère et ouvert,

Car elle te la mangera

Hip pipe pipe hourra,

En ébats ni bas ni longs

Au long cours,

Quand tu la bourres

A la bourre,

Un de ces jours

Au nom de l'amour

Qui débourre

De Bourre La Reine

A choisis ton roi,

Pour que tu lui plantes ta graine

Avec joie

A lui perdre la laine,

Au plus oh bas

Pour mettre bas.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

                                               Citations : 

 

 

1) Une vanne mal interprétée s'écoule mal !

 

2)  La vie devient un présent autant quand le passé est largement d'antan !

 

          

                    Jérôme de Mars

 

                         Citation :

 

Ca tombe à l'eau si t'as pas piscine !

 

                  Jérôme de Mars

Jeux démo

 

Paon,

Affreux jojo

Qui en voit la couleur

En drôle d'oiseau,

Dès que c'est pas jojo

Qui est l'oie sceau,

Qui saute

Et sur saute

En saute-moutons,

Comme des moutons

De Panurge

Qu'on purge

Et qu'on expurge,

Quand ça urge

En jeux démo,

En je de maux,

En jeu de mots,

Enjeu des gros mots

Et en je de gros maux

Grosso mots do,

Lorsque coule le paquebot

Et qu'en découle le pack beau,

En ex cas beau

D'un escabeau,

Qui monte à grande échelle

A l'échelle

De son niveau,

D'un son qui nivelle haut

En faisant la courte échelle,

Pour esquiver et chef

Du cas niveau

Au caniveau zéro

Du top échelle

Et du flop et chef,

Car ces jeux démo

Sont trop ardus

En jeu de mots

Art du

Au dû de l'are,

Qui cultive le jardin secret

Au secret qui cultive le bien

Du jardin loin du mal

Du diable,

Qui habite oh !  que diable

A Denfer

-Rochereau

De Boris, soirée disco

D'enfer

Au paradis d'en faire

Des jeux démon,

En je des monts,

Anges ou démons

Des jeux démo,

En je de maux,

D'en jeu de mots,

En enjeu de gros mots

Et en jeu du dernier mot,

Où si les gros mots

Se disputent,

Ils jouent à dix de putes,

En prises de bec,

De noms d'oiseaux,

En oiseaux

Au non

Des gros mots,

Qui jouent en démo,

De je de mots

Et en jeu de corbeaux

Aux corps beaux,

Où ils font les bof

De beaufs mots,

D'ont ils se débectent

Epris en prises

De langues de flûte

Et flûte de pan, 

Car ils ont joué à dix de chutes

Dont c'est la chute

Et pan.

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blagues :

 

 

1)  Pourquoi ai-je voté Marine Le Pen aux présidentielles 2017   ?

-   Parce-que c'était écrit noir sur blanc  !

 

2)  Pourquoi s'en fout-on du 15 août  ?

-   Parce-que c'est out !

 

                                          

                                           Jérôme de Mars

Mes prises

 

Sur prise

C'est une prise

En prise

Et en emprise

Qui m'est prise

Et méprise

Mes prises

Dans une méprise

Et une mes prises

De mes prises

Qui méprisent

Dont m'est prise

Méprise

En mes prises

Dans une prise

Où c'est l'entre prise

En prise

Et en emprise

Qui m'est prise

Et méprise

Mes prises

Dans une méprise

Et une mes prises

Car c'est la reprise

Qui m'est reprise

En entreprise

Surprise.

 

Jérôme de Mars

 

    

                                               Blagues :

 

1) Pourquoi ne supportes-tu plus ce monde d'égoïstes de merde dans lequel on vit ?

- Parce-qu'après le verre solidaire, voici venu le temps des revers solitaires !

 

2) Que dit-on de toi si demain, t'es pas disponible et que tout tombe à l'eau  ?

- Que demain, tu peux pas car t'as piscine !

 

3) Pourquoi me répond-on toujours on verra quand je veux inviter quelqu'un à boire un café chez moi ?
- Parce-que c'est moi qui vois si tu vas te faire voir chez Les Grecs !

 

 

 

 

 

 

 

 

4) Pourquoi si je me fais hospitaliser à Paul Guiraud à Villejuif, les psychiatres n'en auront rien à cirer de mon état  ?

 

-  Parce-que c'est l'hôpital qui se fout de la charité !

 

              

                                         

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

 

                                            

Coca qu'au cas  !

 

Pas coca

Qu'au cas

Mais un encas

Au k

Par k

De la parka

Au cas

Par cas

En encas

Du coke ah

Coca

Du k

Par cas

Qu'au cas

De l'encas

Par k

Du coke ah

Qu'au cas

Par k

De la parka

En encas

Coca.

 

Jérôme de Mars

L'étang moderne

 

Sous une pluie interstellaire de brume,

Le ciel crêpu frappe de sa monotonie qui fume

Les parasols indécis d'un fond de teint terne,

Comme un écrin de satin propice de l'étang moderne

Qui brode une ode à l'eau de rose ambivalente et perfide,

D'un ricanement adjacent qui brasse un tomber de météores

De boules de feu pour allumer les lanternes en terre aride,

Qui mouille sa chemise limpide aux sorts jeteurs du précieux folklore

De l'étang moderne subalterne qui cherche le réconfort en amours de l'effluve,

Qui roucoule du fleuve et traîne sa tranquillité en un jaillissement du Vésuve

Bouillonnant d'un amour volcanique et tropique en des recoins désemplissant, 

Et regrettant ses erreurs du printemps infidèle à ses valeurs se lamentant

Dans l'étang moderne qui circule en déroute se demandant où habite le modèle

Prototype du parfait gentleman au charme de sensualité dégoulinant d'untel,

Où l'étang moderne se modifie au gré des saisons florissantes avec des cernes

Nostalgiques au puits considérable d'anecdotes fertiles vers les temps modernes.

 

Jérôme de Mars

Fréquenstable

 

Bonjour et bienvenue

A table indémodable

De cette fable aimable,

Où l'on met du sirop d'érable

Avec une dose d'agréable,

Quand nous accusons réception

De vous, les convives 

A la réputation

Fréquenstable,

Qui venaient en cons vifs

A table,

Avec vos canifs kif kif

Et à l'ambiance incisive,

Où vous répétez en rafale

J'email aux dents,

Qui vous met un vent de mistral

Avec la dent dure,

Dès que vous envoyez sans râtures

Un message

A l'adresse postale

En lettres de partage

Et capitales,

A l'effigie de Paris et de son équipage

Au recrutement fréquenstable

Et aux caractères 

Outrepassées de la frontière,

A table indémodable,

Aux vertes fables

Au préalable passables

Et admirables,

Qui restent vénérables

Dans le raisonnable

Et vulnérables

Dans les relations abordables,

A la personnalité fréquenstable

A table indémodable

Et négociable,

En pourparlers

Pour parler

Sociables,

Qui combinent

Nos futiles bobines,

Lorsqu'on montre nos visages 

Estimables de passage

Aux inconnus,

Avec une démarche maline,

En sourdine,

Et respectable

A la dignité fréquenstable,

Car on se fait des films 

Qui nous embobinent

Comme Jules et Jim,

Qui nous débinent

De nos jardins secrets

Comme Un Mausolée

Dans son sanctuaire pas écorché,

Où l'on boit la chicorée

Du café,

Dont le mare prédit devin,

Notre destin pour demain

Qu'on espère fréquenstable

A table indémodable

Et ouverte,

En vertes et pas mûres

A l'ombrage

Du coeur à l'ouvrage

Au film de de notre nature,

Avant la fermeture

En sépulture,

Sitôt l'horizon obscur

Et inébranlable

A la spirale 

Du terminus fatal

Et fréquenstable

A table indémodable

Pour votre salut.

 

Jérôme de Mars

 

Faim du monde

 

Par les sept péchés capitaux,

Inutile de se procurer les copies,

Logiquement, ce qui semblent primordiaux

Et cordiaux,

Ce sont les rapports moraux

Qui se lient

Avec les originaux,

Car ils ont le dernier mot,

Grosso modo dans le dico

De La Joconde

A La Faconde,

De ce monde

Qui s'inonde

De jet, de rejet

Et de déchets,

Par l'objet

Du scandale

Et ses projets,

Qui se jettent

Aux oubliettes,

Comme des chiens dans les arènes

Du diable qui assène

Sa queue dans le harem,

Au totem

Magistral

Dans les annales,

De cette faim

Du monde,

Que l'on sonde

En fin

De coupe-fin linéaire

Aux évocations aléatoires

Des différentes trajectoires,

Entre désillusions 

Et fanfarons 

Aux trompeuses apparences

Qui se diffusent en séquences

En troubles circonstances,

Du hasard et des coïncidences

Qu'on souhaite

En plans sur la comète,

En saynètes

De scènes nettes,

Pour oublier Internet

Et envisager 

De songer,

A la galaxie sociétaire

D'un brillant millénaire

Aux étoiles planétaires,

Sur la voie lactée

Au destin communautaire,

Qui atterrit sur La Terre

De Mars de nos ancêtres,

Aux spectres

Légendaires,

Où il faut avoir recours aux prières,

Car l'on a faim du monde,

Aux idéaux chouettes

Et sincères

Avec du grain à moudre

Que l'on sera dépêché d'absoudre

Et de dissoudre

D'un concentré superficiel

Et artificiel,

En une paix naturelle

De cette faim du monde

Qui n'aura plus fin féconde,

Mais voudra se rapprocher

Au constat spontané

Des matières premières,

Aux francs parlers solaires,

En incontournables préliminaires

De l'âge de pierre

A l'âge d'un terre

A tiers,

Vecteur de repères.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                     Citations :

 

 

1) Une Louise que t'as connu au CEREP, elle lâche des flatulences si t'en as rien à péter d'elle !

2) Si on prend du coke ah ! On se shoote aux paroles qu'on boit avec du pain à demi sur la planche sans connaître la déconfiture où l'on fait son beurre !

3) Si tu fais la queue, t'es long à la détente !

4) Quand les êtres ont des revers d'infortune, leurs paiement en espèces sont menacées !

5) Une mode qui traverse le temps est indémodable !

 

 

                                                     Jérôme de Mars

 

 Appel masqué 

 

En appuyant sur dièse

Sur mon trente et un,

Je retape dièse

Avec une touche balèze

D'une fougue enclin,

En un clin d'oeil à téléphoner

En appel masqué,

Maqué en chevalier masqué

De par le masque et la plume,

Où je perds des plumes

De ma plume

A l'encrier d'enclume,

Qui me plume

Dans mon costume

De l'appel masqué,

Où je me cache masqué

Et dissimulé

Derrière mes parures

Et mes voilures,

Dès que je perds le fil

Avec désinvolture

Dans une imposture

Que j'enfile

De par un réseau d'amis

Virtuels qui en devient un rituel,

Sous l'autel

De la loi de l'infini,

Tant que jadis, je brandis

L'appel masqué 

Au loquet,

Quand je dis

De mon hoquet

Qui me bloque au ko du ok,

Comme j'ai le hockey

Qui me laisse de glace

Et dont j'amasse

Le joli magot

A tire-larigot,

Comme bientôt,

Ce sera la faim du monde

Qui inonde

La faim des haricots,

Enfin si bientôt,

Je rebranche mon téléphone

Dans le tel est fun,

Pour recharger les batteries

Au fil sans fil,

Qu'ensuite, je débranche

Dans la branche

Des galeries de la vie

Avec un nouveau réseau d'amis

En relevant les défis,

Pour passer de l'appel masqué

Au présent d'un appel divulgué

Qui affiche mon numéro,

Pour rencontrer d'un pas de slow

Celle qui me fera  le grand numéro,

D'un avenir en eldorado

Pour très bientôt.

 

Jérôme de Mars 

On fait du neuf avec du vieux  

 

Quoi de neuf  ?

En ce jour pluvieux,

Où l'on fait du neuf

Avec du vieux,

Plus vieux

Qu'au très moyen âge

Du moyen parage

Par âge,

Où l'on fait de notre mieux

De la prunelle de nos yeux,

Qui semblent merveilleux

A deux,

Car ils demeurent crémeux 

D'un fond bleu

De caprice des deux,

Qui fondent radieux

Et joyeux

Dans le comité soyeux

Et mielleux,

D'un redoux qui flamboie neuf

Quoi de neuf ?

Dans la teuf,

Où l'on fait du neuf

Avec du vieux

Au temps pluvieux

De nos aïeux

Plus vieux,

De l'âge d'or du soleil

Qui se dore à l'oseille

Par âge

Et parages

D'il était flamboyant

Et allant,

Le brillant firmament

Rouge vermeil

Aux lèvres

Du soleil,

Mièvre

De la fièvre

Des années 80

A  quatre-vingt 

Printemps,

Qui bout à l'éternel refrain

Qui monte en drain

De folie au son empreint,

De l'avant et de l'après

A peu

Près,

Si on revenait

Tout frais

Et bouillant,

Comme un chaud volcan

Qui déborde impatient,

Où l'on refait du neuf

Avec du vieux,

Pas plus vieux

Et pas pluvieux,

Que la teuf

Qui s'achève

Aux cieux

De p'tit t'oeuf,

Quoi de neuf Titeuf  ?

Où l'on fait du neuf

Avec du pluvieux.

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blagues  :

 

 

1)  A quoi joue Jonathan  ?

   -  Aux jeux Nathan  !

 

2)  Qu'est-ce-que ça fera si Victor et un collègue Hugo écrivent un bouquin qu'on parcourt au fil des pages  ?

   -  On lira Victor Hugo  !

 

3)  Que dit-on du gars (  DUGAS ) qui se soûle au fil des années et qui chambre ses collègues  ?

  -   Il prend de la bouteille en mettant en boîte les autres !

 

4)  Que dit-on d'un savon qui s'en fout de tout  ?

  -   Il s'en lave les mains !

 

5)  Que dit un carton de bouteilles d'alcool emballé qui est bluffé  ?

 -   Je suis scotché !

 

6)  Que dit un fruit qui a des problèmes  ?

 -   Je n'ai que des pépins dans ma vie !

 

7)  Que dit-on de moi qui me ballade dans les couloirs pour faire La Tour Eiffel  ?

 -   Je suis le promeneur du Champ de Mars  !

 

 

                                              Jérôme de Mars

 

                                                          Citation :

 

 

Comme en France, on est retournés au Moyen-Age, nous sommes redevenus Des Français aux désarrois fainéants !

 

 

                                                  Jérôme de Mars

 

                                                  Blagues :

 

 

1)  Pourquoi à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, le climat est-il prêt à exploser entre collègues  ?

    -  Parce-qu'il y a un bâton de dynamique  !

 

2)  Pourquoi fait-on déplacer des hommes au dépôt pour ramener les cartons de bouteilles d'alcool DUGAS en palettes  ?

    -  Parce-qu'on fait descendre des gars !

 

3)  Pourquoi Christophe et moi qui n'avons pas d'amis à L'ESAT de Vitry, mène-t-on tout le monde en bateau  ?

   -   Parce-qu'on fait la course en solitaire Christophe et moi  !

 

4)  Que dit-on d'un rappeur qui est intelligent  ?

  -   Il est Passi bête !

            (  Pas si bête )

 

5)  Que dit-on d'un cochon casanier qui reste chez lui  ?

 -   Il reste à son porc d'attache  !

 

6)  Que dit-on d'un pouce et des autres doigts qui s'entraident  ?

 -  Ils donnent un coup de main  !

 

7)  Que dit-on de plusieurs orteils qui secouent le cocotier en étant plus fourmis que cigales  ?

 -   Ils donnent un grand coup de pied dans la fourmilière  !

 

8)  Qu'est-ce-que ça fait si je slame sur l'attentat terroriste survenu à Levallois-Perret  ?

 -  Un slam is slam  !

    ( Un slam Islam )

 

 

                                   

                                            Jérôme de Mars

 

Bien vivre ensemble

 

Bien vivre ensemble

En tout bien

Tout honneur,

S'assemble

Dans l'ensemble

De la grandeur

A la bonne humeur,

Car y a pas d'heure

Pour connaître le bonheur,

Même si on a besoin

De travailler pour faire son beurre,

Car qui se ressemble

S'assemble

Dans l'ensemble

Du bien vivre ensemble,

Dans ce monde en dyslexie

Et en anesthésie,

Qui se confond confus

Dans l'anarchie

Et l'hérésie

Qui en découlent de cette galaxie,

Où le respect a pété

Et sauté

Les plombs

Depuis trois plombes au tréfonds, 

Et a dérapé dans les camouflets

Et les déconvenues

De la société fragmentée,

Parmi les cons venus

Et les hein compris

Des incompris

Fourvoyés dans la médiocrité,

La dureté et la cruauté

De cette société mal-estimée,

Sous-estimée

Et surestimée,

Dont les effets sont escomptées

Et les jours sont comptés,

A compter de ce jour

Et à compter à contre-jour,

Dans la communauté

Et l'inhumanité,

Où il ne fait pas bien vivre

Ensemble dans nos quartiers,

Aux adresses du peuple pas en paix

Et pris à témoin,

Que les lendemains incertains

Se dérouleront dans la référence

Qui galopera l'indifférence

Avec sa semence,

Auquel tout le monde prêtera allégeance

Dans la loi du silence

A l'hypocrisie érigée en vengeance,

Dans l'insolence

Et l'insignifiance de la violence

Qui s'accoutument

En ces instances,

Dans des faux semblants de costumes

D'irrévérence,

Qui masquent la plume

D'écriture

Du fait qu'ils perdent des plumes

Dans leur nature,

En une vaste enclume

Qui brume

Et enrhume

Les mécréants,

Qui n'y croient plus

En la vertu

Et l'innocence,

Des idéaux plaisants

D'êtres pieux et solidaires,

Car l'enfer

A rompu

Les joies planétaires

Du bien vivre ensemble,

Qui se rassemble

Et s'assemble

Dans le mal,

Où le crime des hommes

Fait le mâle

En somme,

Et ressemble

A l'ensemble

Qui s'assemble

Contre le bien à moindre mal,

Alors qu'il suffirait juste

D'une prise de conscience

Robuste

Chez l'opulence

Et les quartiers populaires,

Pour qu'on s'assemble

Tous ensemble,

Car qui se ressemble

S'assemble

Dans l'ensemble

Du bien vivre ensemble,

Réveillé

Et revigoré

Dans l'espérance

Et l'insouciance

Qui nous rassemblent

Résurgence

Car y a urgence !

 

Jérôme de Mars

Je n'attends  !
Bonjour, je m'appelle Jonathan
Et je n'attends
Jonathan,
Jeux Nathan
En sacré chenapan,
Car je Nathan
Rien si je me détends
Et me tends,
Si je suis long à la détente
Et que j'appuie sur la détente
De mon flingue,
Quand je flingue
Mes collègues
Qui me rendent dingue
Et frappa-dingue,
Dont je me fous
En fou qui s'en fout de tout,
Comme ce Christophe qui veut que Jérôme
L'oublie,
Pour qu'il tombe aux oubliettes
Et en miettes
D'ennui,
Avec la vie qui le dévie
De son drain de folie
Et qu'il en rit
A l'envie 
De s'en pisser de furie,
Et ce Jérôme
Que je préfère boire en arôme
Ou en rhum,
Qu'en Géronimo,
Car il respire le chaos
Et m'inspire le ballot pécho
De la nécro 
En rétro,
Alors que moi, je ris jaune
Et je n'attends 
Que l'aumône,
Car je suis Jonathan
Avec qui on joue
En jeux Nathan
En ajout
D'ami sur Facebook,
Avec ma face de bouc,
Car je n'attends
Jonathan,
Si bien que jeux Nathan
Jonathan
Que je n'attends
En je d'attente,
Enjeu Nathan
Que Jonathan.
Jérôme de Mars

 

                                                  Blague :

 

 

 

Pourquoi à L'ESAT de Vitry, s'en fout-on du monsieur de la mairie qui voulait prendre des clichés de nous ?
- Parce-que y a pas photo !

 

 

 

 

                                          Jérôme de Mars

 

                                                    Citation :

 

 

Quand on connaît le mobile d'un appel téléphonique, tout reste au beau fixe !

 

 

                                                  Jérôme de Mars 

 

Si ça vous chante !

 

Youpi, l'été commence

Et s'élance dans la plaisance,

Des jours menés tambour battant

Avec la musique au rythme abattant,

Si ça vous chante

Qu'il y ait de la bonne entente

En votre endroit exultant,

Quand le bal de l'orchestre

Fredonne les mouvements pédestres,

Des cigales qui fourmillent d'impatience

Dans les contredanses,

En amende honorable

Sur la table conviviale,

Si ça vous chante

Qu'on entonne

La ritournelle des fourmis

En tonnes,

Qui détonnent

L'accalmie en haut débit

Des paroles qui décantent,

Lorsqu'on les tente

Et leur intente

Sous la tente,

Auréolée de vieux succès

De vos âges premiers,

Si ça vous chante

Qu'on déchante

Et qu'on invente

Une bourrasque turbulente

A vos pieds,

Qui se trémoussent en va-nu-pieds

Et se lancent à contre-pied 

Dans le guêpier

Du soleil amouraché,

Dès que la nuit étoilée

Se fournit des bleus incrédules

Au crépuscule,

De la vie en minuscule

Qui souligne en majuscules

Les scrupules

Qui vous changent en crapules,

Si ça vous chante

Qu'on les arpente

En inconditionnels

Du présent conditionnel

Imparfait, où vous trouveriez

La paix,

Si ça vous chante

Que l'amour tendresse

Se caresse

A deux et s'empresse

De vous déclarer sa flamme brûlante

Aux passions tonitruantes,

Si à tout jamais ça vous chante !

 

Jérôme de Mars

Si on fonctionne avec des si  !

 

Voici

Des scies,

Si on fonctionne avec des si

Comme Le Messie

De Lionel Messi

Qui fait par-ci,

Par-là un triomphe de ceci

Avec des lanternes qui ne sont pas des vessies

De là et de si,

Qui à bon escient scient

Si on fonctionne avec des si

Du rap de Passi,

Au passif d'actif circoncis

Du parcours concis,

Avec des raccourcis

Qui vous scient

Le bras d'honneur en do ré mi fa sol la si 

Do des soucis

Si on fonctionne avec des si

En sous si,

Et qu'on scie

Un ramassis,

Assis

Pieds joints à six

Sur l'arrêt des Malassis,

Station debout à Ivry en sursis

Du bus 183 qui roule vers Massy-

Palaiseau sur le réseau des si

Grands trajets d'une vie de chienne Lassie,

Dont le terminus se descend à Boissy-

Saint-Léger ci, ceci,

Ci-joint et si-rejoint, on mange notre pain blanc rassis

Assis et rassis

A six pieds sous terre de si et de là par-ci,

Par-là, où l'on vous dit assis Lucie

Si on fonctionne avec des si

Qui vous en coupent de la scie

A Lassie,

Là si,

Cette vie de chienne vous implore merci,

D'avoir réussi

A fonctionner avec des si  !

 

Jérôme de Mars 

 

 

 

 

Ouvert-over

 

Ouvert aux vers

Semblent les revers,

Des alarmes de vers

Qui chavirent en vers,

Des vers de primevères

Qui priment vers

D'orage de Prévert

Jusqu'au pré vers,

Qui sombre à l'envers

Du ver sans solitaire,

Où prendre un ver solidaire

Témoigne en ver lent du ver

De contact imaginaire,

Paiement sans contact salutaire,

De ce gamme ouvert

Et aux vers,

Vers les faux revers

Du vers dentaire,

Salut terre

Qui se renferme d'un game over.

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blagues :

 

 

1)  Comment appelle-t-on un perroquet qu'on insulte  ?

      -   Un nom d'oiseau !

 

2)  Pourquoi à L'ESAT de Vitry, tout le monde se parle-t-il agressivement sans se comprendre  ?

     -    Parce-que personne ne s'entend  !

 

3)  Que dit-on d'un homme qui vole le portable de sa petite amie  ?

    -    Il trouve le bon mobile pour commettre ça  !

 

4)  Que dit un gars qui ne veut pas se mêler des problèmes de son ami qui s'est fait voler tous ses vêtements  ?

    -    Ce ne sont pas mes affaires !

 

5)  Qu'est-ce-que ça fait un drôle d'oiseau qui va plus vite que la musique  ?

    -  Il se brûle les ailes sans tambour ni trompette  !

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

Eclats de vers

 

En ces failles

Des vers et des pas mûrs,

La feuille amorphe reste dure

A souffler les vers,

Et carbure 

Ephémère en trajectoire linéaire,

A tracer sa route dans l'extra pur

A entrevoir les fêlures,

Qu'on devine

Fraîches à conter la littérature

Sans ratures,

Dès que les fleurs fanées adoptent l'attitude féline

Dans ces éclats de vers,

De nulle part et d'outre-terre,

Où le mal à mère

Jonche les strophes visionnaires

Qui découlent en larmes de vers,

Quand on ne sait combien de mots sincères

Jalonnent une vie entière,

Parsemée de peines d'outre-mère

A s'imaginer le nombre d'années,

Où l'on résistera surannés

Dans ces façades mensongères

En ces éclats de vers,

Où qu'il faille

Ecorchées vives

Les idées émotives 

Et séropositives,

Dans la jachère

Des poésies captives

Et contemplatives,

Lorsque le bateau

Tombe en rétrospective

Introspective et invective,

Aux teints des mots

Qui effleurent l'eau alcoolo,

De ces éclats de vers,

Ecorchés en larmes de vers

Suggestives et interrogatives,

Où au futur objectif

Dans un élan subjectif,

On se réclamera d'Arthur Rimbaud,

Comme beau parleur

Avec les sanglots enjoliveurs

Qui courbent en un tomber de rideau,

L'eldorado de ce festival aux jolies photos,

Où se terminent 

Ici là en bohème voisine,

Ces pensées passagères,

Rangées et étalées sur l'étagère

De ces éclats de vers,

En vers le souvenir de la mère

A l'an vers incendiaire.

 

Jérôme de Mars

 

                                                      Blagues :

 

 

 

1)  Pourquoi quand la mairie distribue les colis pour les retraités, ca leur file un coup de vieux  ?

    -  Parce-qu'ils prennent de la bouteille  !

 

2)  Pour quelle raison, une femme peut-elle refuser de faire une fellation à son mari  ?

   -    Au non d'une pipe  !

 

                                                Jérôme de Mars

L'un dit que je dis que ça me dit  !

 

Chaque jour que jeudi,

Je dis 

Que lundi

L'un dit,

Que samedi

Ca me dit,

Que jeudi

Ca me dit,

Alors que samedi

Je dis,

Que l'un dit

Jeudi

Si ça me dit,

Que jeudi

Et que l'un dit,

De venir lundi,

Jeudi

Et samedi,

Car l'un dit

Que je dis

Que ça me dit,

De revenir balayer

Devant ma porte

En dix manches à balais,

Car l'un dit

Lundi,

Quand je dis

Jeudi

Et que ça me dit

Samedi

Aussi,

Jusqu'à dimanche

Ou samedi

De reprendre lundi,

Quand l'un dit

Et que je dis,

Ah ! Ca me dit  !

 

Jérôme de Mars

 

 

Oh ! Dieu

 

Oh !  Dieu

De mon Dieu,

Que je suis odieux

Et impieux,

O Dieu

Dans un pieu

Pas orgueilleux

Et nerveux,

Où je fais un peu

De mon mieux,

Mais je ne demeure pas radieux

Et fiévreux,

Oh !  Dieu

De mon Dieu

Que je reste o Dieu

Et odieux,

Et que j'implore

Ta miséricorde

De mes torts et remords

Pour que tu me l'accordes,

Car je suis sur la raide corde

Dans la grande discorde,

Oh !  Dieu

De mon Dieu

Haut Dieu

Que je reste odieux,

Comme je n'y crois pas impieux

Ni un peu,

Car de mon aveu,

J'ai désaveu,

Comme c'est un non de Dieu

Pour moi,

Où je me scande cent foi,

-  "  Allez, fais un voeu pas odieux,

Et ça ira mieux ",

Oh ! Dieu,

Des aïeux,

A l'espoir peut-être radieux

Dans un pieu,

En un pieux de Dieu

Haut Dieu.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

                                                  Blagues :

 

 

1)  Qu'est-ce-que ça fait si on se met en boîte entre agents jusqu'à l'explosion finale ?

     -  Ca fait un cocktail molotov !

 

2)  Quelle est la blague du plombier  ?

     -  De filer des bons tuyaux en coups de main  !

 

3)  Pourquoi fera-t-on demain deux chaînes de production pour les boîtes de cocktail  ?

    -  Parce-que télé la commande  !

 

4)  Pourquoi est-ce-que ça fait du bien de se mettre en boîte  ?

   -  Parce-que ça conserve  !

 

5)  Pourquoi est-ce-que ça atténue nos soucis en jouant aux jeux vidéos sur la PS2      ?

  -  Parce-que ça console  !

 

6)  Qu'est-ce-que ça fait si les salariés de Nestlé ont peur d'être au chômage  ?

  -   Ils ont les chocottes !

 

7)  Que dit-on d'un boucher qui s'en fout de tout ?

  -   Il s'en bat les steacks  !

 

8)  Pourquoi le travail des boîtes de cocktail est une tâche quotidienne actuellement en série qui se poursuivra jeudi ?

 -  Parce-que demain nous appartient !

 

 

 

                                            Jérôme de Mars

 

                                                    

La brise du coeur

 

Par la fraîcheur

De l'hiver,

Il y a le vent bipolaire

Qui brise

La brise

Du coeur,

Qui grise

La froideur

Qui frise

Et glisse,

Oh !  les coeurs

Tout ce grand tourbillon

Qui grise

Le sillon,

Et glisse

Sur l'horizon

Sa vilaine odeur

De noirceur,

Qui le brise

Oh ! les coeurs,

En bravant la couleur

Du pare-brise

De la brise

Du coeur,

Qui brise

L'honneur

Et le glisse

En malheurs,

Car c'est du vent

Regardé droit de vent

Dans les tourments volcans,

Qui grondent les enfants innocents

De la brise

Du coeur,

Qui lave leur senteur

A la nuance des couleurs

Qui brise

Leur insolence,

A l'indolence

De la somnolence

Du tant partiel,

Semi-artificiel

Et semi-naturel,

Qui s'écoule torrentiel

En une eau fluide

Et caractérielle,

Des effets du vent

Qui bourdonnent pénitents,

En attendant

Que la brise

Du coeur

Rebondisse en indice

Dans la ferveur

Du pare-brise

En bonheur,

Insubmersible au possible

D'un ciel bleu limpide

D'ardeur et de candeur,

Inflexibles et audibles,

Pour de nombreux moments.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                         Citation :

 

 

 

Quand y a des nuages à l'horizon, avec le temps, la grisaille devient éclaircie d'un ciel bleu  !

 

 

                                                  Jérôme de Mars

 

 

                                       Parties du corps imparties

 

 

Salut !  

D'après l'appel d'air, j'ai toute ma tête, où j'ouvre les yeux grands, après avoir dormi sur mes deux oreilles, pendant la nuit la tête sur le guidon de mes petits vélos, qui déroulent en un pied de nez de mon flair qui dit nez à nez, "Motus et bouche cousue", pour m'avoir mis l'eau à la bouche dans cette nouvelle fournée sur la vie, avec du pain sur la planche en gardant la main courante et en faisant un doigt et un bras d'honneur à tout ce passé, dont je veux qu'il me passe sous le nez pour perdre pied, car ça me fait une belle jambe d'avoir la dent dure et que j'émail aux dents en faim du monde, alors qu'il suffit que je tende la main pour que je devienne le bras droit et que je sois épaulé pour se serrer les coudes, entres personnes qui avons de la poigne niais tout en n'ayant pas notre langue dans notre poche, au palais des fonds de gorges du sexe très accru et à cru de bêtes sans sentiments, car l'on ressent qu'on est bêtes d'amour pour des personnes sans sentiments, avec leur talon d'Achille Zavatta, le clown triste et mélancomique à double visage découvert, au sens figuré comme au sens propre, quand ça barbe les gens rasoirs et poil à gratter, lorsqu'ils voient des femmes à poil, à la forêt vierge et pucelle de sexe, chevilles au corps, qui chevillent à bras le corps, en prises de bec et en n'ayant rien dans le ventre, qui les affaisse vers l'ébat d'une pôle position d'un ménage à trois, car jamais deux sans trois, ça déménage au sein du cul en ne perdant pas la main et le ras, comme des manchots aux quatre cent cous, au front de leur nature qui a bon dos, dont c'est le pied de poser les pieds sur Terre, au coeur de la vie qui respire l'air de nos pleins poumons, dans la veine sang froid san chaud, d'où sont parties les membres de notre famille au corps hein parti, en appel du pied !

 

 

                                                Jérôme de Mars

 

                                                     Blagues :

 

 

 

1)  Que dit-on d'un sexe d'homme qui vide son compte en liquide à découvert  ?

      -  Il débite !

 

2)  Pourquoi est-ce-que j'ai la dent dure  ?

     -   Parce-que j'émail au dent  !

 

3)  Que dit-on de Jeanne Moreau qui est décédée  ?

    -  C'est plus du cinéma  !

 

4)  Pourquoi dit-on oh la vache quand il t'arrive une bricole  ?

    -  Parce-que c'est tant pis pour toi  !

 

 

 

                                              Jérôme de Mars

On s'en fout  !

 

Dans ce monde de fous,

Qu'est-ce-qu'on fout

Si l'on s'en fout,

De ce que tu fous

Avec les fous

Et que tu t'en contrefous

Contre les fous,

Si l'on s'en fout

De ce monde de fous,

Où l'on se fout

De tout qui s'en fout

Des fous

Et l'on s'en contrefout

Contre les fous,

Si l'on s'en fout

Et l'on s'en contrefout

De ce monde de fous,

Qu'est-ce-qu'on fout,

Qu'est-ce-qu'on s'en fout

Et qu'est-ce-qu'on s'en contrefout

Des fous

Contre les fous  !

 

Jérôme de Mars

 

                                                       Blagues :

 

 

1)  Pourquoi Johnny a-t-il du repousser ses vacances comme l'hôpital se fout de la charité  ?

   -  Parce-que c'est Johnny Holiday  !

 

2)  Pourquoi suis-je blizzard pour la famille, les amis et les collègues de L'ESAT ?

  -  Parce-que pour eux, je suis du vent  !

 

3)  Pourquoi la famille BEDROSSIAN pense-t-elle des mauvaises choses de moi et s'en fout de moi  ?

  -  Parce-que je me dépense mâle  !

 

 

                                                 Jérôme de Mars

 

                                                     Citations :

 

 

1)  Si les gens ne me font plus confiance en ne m'accordant plus de crédit, c'est que je suis à découvert  !

 

2)  Tout le monde me dit :

-  "  Qu'attends-tu après nous ? "

-     Je leur réponds  :

-  "  Je suis un patient  "

                (  impatient  )

 

3) Si à L'ESAT de Vitry, je suis souvent en arrêt, c'est parce-que je fais du stop !

 

4) Jonathan Preto, si à Lisbonne je n'entends pas ce que tu dis, c'est parce-que j'ai les portugaises ensablées !

 

5)  Je suis un enfoiré car je n'ai pas le coeur au resto  !

 

6) Si je ne réponds pas à tes appels Adel,c'est parce-que c'est le téléphone arabe !

 

                      

                                              Jérôme de Mars

 

                                                 Pierre et Marie

 

 

Marie et son mari Pierre prennent un bain Marie de foule en revenant de leur travail, car Pierre qui roule n'amasse pas mousse avec leur voiture, ainsi, Pierre lance des pierres au lance-pierres, car il est payé au lance-pierres dans son travail, malgré que Pierre mette la pierre à l'édifice, où le soir, il est tellement cuit, qu'il prend un bain Marie avec Marie et qu'ils en rient !

 

 

                                                Jérôme de Mars

 

                                                        Blagues :

 

 

 

1) Que dit-on d'un homme sado-maso qui éjacule sur sa femme battue  ?

     -  Il sort sa crème fouettée  !

 

2) Que fait un poète pour remercier sa femme qui lui met l'eau à la bouche dans son cul  ?

    -  Il lui offre une feuille de roses  !

 

3) Pourquoi c'est du vent à Bormes-Les-Mimosas près de Cavalaire  ?

    -  Parce-qu'il cavale l'air de rien  !

 

4) Pourquoi les hommes politiques ne font-ils plus un tabac en France  ?

   -  Parce-qu'ils nous enfument  !

 

5) Que dit-on de deux pastèques qui sont prétentieuses  ?

  -  Elles ont le melon !

 

6) Quel est le comble pour un agent des pompes funèbres  ?

  -  C'est qu'il fasse une tête d'enterrement !

 

7)  Quel est le comble pour un agent des pompes funèbres qui boit une Kronembourg  ?

   -   C'est qu'il fasse une mise en bière sur la table en prenant de la bouteille !

 

 

                                               Jérôme de Mars

 

 

                                           

                                                

 

 

                                        

 

 

Feuille de roses

 

Dans la sinistrose,

Y a tout de même des belles choses

Pour conjurer les ecchymoses

Dans la prose

Du morose,

Afin que l'homme propose

Et que la femme dispose,

Quand l'homme andropause

Prend le derrière de la femme ménopause,

Pendant la pause

Cunnilingus,

Si bien que la femme sent la rose

Avec un joli bouquet de roses,

Quand l'homme ose

Offrir une feuille de roses

A la femme qui affiche la pose,

Avec le rictus de son anus

De l'annus horribilis 

Qui en perd son latin

Dans le Paris du quartier latin,

A jouir d'un destin

D'orgasme

Aux fantasmes

A cracher ses plaisirs,

Au sein

De son cul

Avec du papier cul,

Qu'il utilise en pécule,

Car il l'encule

Dans son cul,

Tant qu'il accumule

Les griffes de sa chatte,

Car elle miaule de son minou

Aux mots doux

De l'amour avec la main

A la pâte,

Quand il s'étrique

Avec la trique

De son gourdin,

Comme un bâton de berger

Qui a la trique

Débridée,

Où dans un instant critique,

La femme l'astique

Comme un élastique

De saucisson

De Justin Bridou,

Qui bande mou

Et qui le rend fou

Avec son latex

Sur le sexe,

Qu'il l'annexe complexe

En duplex

Depuis son trou de balle,

Où il tire cent bal

Au nom d'une pine

Comme une épine

Qui prend son pied

A perdre pied,

Dans le guêpier 

De cette femme velue

Et à poil toute nue,

Avec sa chatte  touffue,

Où de sa feuille de roses,

Il lui fait une fleur qu'il arrose

Avec sa semence du pot aux roses,

En apothéose

De sa feuille de roses.

 

Jérôme de Mars

 

Une pêche d'enfer 

 

Avec le vers en corde,

On pèche une pêche

D'enfer

Sur le versant de la discorde

Dans la cave de l'envers du décor,

Qui tombe en maillon fort

A la une des dépêches,

Car l'on se dépêche

En mettant une pêche

D'enfer

Pour lâcher en flèche,

On pèche une pêche

D'enfer éméchée de vendre la mèche,

Tête bêche

A la fraîche

De l'eau sèche,

Emergée dans les antisèches

Qui empêchent 

La reconversion

De L'Euro

En Franc fort,

D'un pas de rétro

A Francfort,

A la une des dépêches,

Qui noient le poisson

A la pêche

Qui pêche

L'horizon,

En nage de torrides impulsions

A coups de ceinturons,

Où malgré tout,

A contrecoup,

On pèche une pêche

D'enfer,

Que l'on pêche, dépêche,

Empêche et qu'on repêche

En une dépêche

A la pêche,

Pourvu qu'on pêche

Une pêche

D'enfer,

Des vers

Et dépêches,

Du vers solitaire

Qu'on en pêche

Pour boire des paroles salutaires,

Envers le vers solidaire,

Où l'on pêche

Une pêche

D'enfer  !

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blagues :

 

 

1)  Que dit-on d'une femme toute nue avec la chatte velue  ?

     -  Elle est à poil  !

 

2)  Que dit-on d'une femme qui t'enfume au nom d'une pipe  ?

    -   Elle t'en fume une au nom d'une pipe !

 

3)  Pourquoi en gros, suis-je un régime hippo  ?

    -   Parce-que si je subis une baisse de régime, mon régime deviendra hippopotame  !

 

4)  Que dit-on de ton médicament que tu écrases  ?

   -   C'est hein comprimé  !

 

5)  Que dit-on de ton médicament que tu dissimules derrière ton verre  ?

  -   C'est hein cachet  !  

                     (  caché )

 

 

                                        Jérôme de Mars

 

                       

Langue de vipère

 

Chère mère,

Des années impaires

Passées avec toi au repaire,

Où il n'y a plus de repères,

Tu fus une langue de vipère,

Où tu répandis ton venin

En grain d'alex sans drain

D'alextérieur, où je perds

Mon âme salutaire,

Dans la peur du déni que je déterre

Dans le terre-à-terre salut terre,

D'une langue maternelle

De vipère,

Qui s'amoncelle

Dans mon naître incendiaire,

Où je me cause du sang d'encre

De ma plume, où j'y laisse des plumes

Qui jettent l'ancre

A la tombe posthume

De ma mère,

Dont j'ai le mal de mère

Qui vogue et navigue austère

De ma zone lunaire

Et solaire,

Entre deux contrastes qui font volte-face d'enfer

Trop à taire

Dans tout ce paraître format terre,

Où ma si grande colère

Gronde les bourrasques élémentaires,

Des Hauts de Hurlevent en épisodes sommaires,

Où la langue maternelle

De ma mère

Balafre mon être à l'envie des plaisirs charnels,

Où y a belle lurette,

Que je n'ai jamais eu d'amourette

A désespérer la lumière

Et à espérer l'enfer de la terre,

Au temps de tant que la langue de vipère

Restera et vivra en moi de jachère.

 

Jérôme de Mars

 

                     

                                                     Blague :

 

 

Qu'est-ce-qu'une blague douteuse de Marine Le Pen extrémiste ?

-  C'est qu'elle se fourre le doigt dans l'oeil  !

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

Les fourberies d'escarpins

 

Cher Tartuffe,

Tu n'as trouvé chaussure

A ton pied

A l'appel des douze pieds

En pièces détachées,

A l'arrachée 

De ta truffe,

Où tu te mures

Dans un silence perfide

Et aride

De tes fourberies d'escarpins,

Comme les facéties

Et les espiègleries 

Des fourberies de Scapin

Dans la langue de poche de Molière,

Où c'est dans la poche, la paire

De cette pièce de théâtre rare

En voix de disparition dans le nectar

Des fleurs fanées et embaumées

Dans des écrins de satin,

Avec tes fourberies d'escarpins

De ta diablerie au parfait parfum

Des petites mains courantes du matin,

Où tu invoques les flagorneries

Pour qu'on te flatte en idolâtrie

De courbettes de ton Jules,

Qui est issu de ta muse en émule

Amourachée dans tes passages en actes potaches,

Où l'on se tut à la tache

Du porc d'attache,

Quand on convertit ta pièce entre acte

Pendant l'entracte

De ton siège acariâtre

Qui retentit l'impact

De tout le bruit,

Dans la fureur et les bris

D'éclats de vitres

En vases clos communicants

Evoquant et révoquant 

Les derniers sacrements,

Où l'on referme le chapitre

De cette pièce de monnaie à la tour d'argent,

Où tu auras bien fée le pitre

A l'acte finale

Et fatale

De l'ultime razzia,

Qui charria

Inch Allah, 

Quand on tourne cette fois

Sa langue de Molière

Avant de parler en travers exsangues 

De clown blanc,

Où l'on voit rouge

Pour que ça bouge

Dans l'espace temps,

Pour mourir sur scène

Qu'on assène

D'un lâcher de bâton aux douze coups

De midi, qui se dénoue

En tomber de rideau,

A toi Tartuffe, le héros

De tes grands mots,

Pourvu que ça dure

Ta fiction pure

De toutes tes fourberies d'escarpins,

Où tu auras trouvé

Les douze pieds

De chaussures dans ta nature

En lieu sûr.

 

Jérôme de Mars

 

Mobile homme

 

De son mobile home,

Un mobile homme

Utilise comme mobile

Son automobile,

Pour transporter son mobile home

En tant que mobile homme,

Qui appuie sur l'habile on

Du bouton de son automobile

Mobile,

Pour rouler son mobile home

Comme mobile 

Immobile,

De la bile homme

Qui s'habille en mobile homme,

Pressé d'arrêter son mobile on,

Dès l'arrivée avec son automobile home

En tant qu'immobile homme,

Au mobile mobile

Qui en devient immobile

Avec son automobile 

Immobile

Home.

 

Jérôme de Mars

Gratte ciel

 

Par la main à la pâte

Arc en ciel

Qui épate

Le ciel,

Le fiel gratte le ciel

En gratte ciel

Du haut des immeubles,

Qui meuble

Le vertige au sommet

Des buildings,

Qui sonnent dring dring

Par la porte du soleil

Qui trempe le vermeil

De la mirabelle,

En déconfiture de ribambelle

Dans la dentelle

Qui fabrique une usine

De pucelles,

Dans la machine

Qui broie du noir de brêles,

Jusqu'au parking qui gèle

La vie comme une demoiselle

Dévolue et révolue,

Qui tombe des nus

Du gratte ciel

Qui gratte le ciel

Aux couleurs arc en ciel,

Qui vocifèrent avec le fiel

En gratte ciel

Avec la main qui épate,

Demain à la pâte

Du fiel qui gratte le ciel,

Autant que le temps leur marmonne

Et leur fredonne

Des merveilles

Au sommet du ciel,

Qui gratte le ciel

En gratte ciel

D'une pluie qui scelle,

En une Tour Eiffel

De manivelle

Qui nivelle

Vers la manie belle,

A tire-d'ailes

D'étincelles arc en ciel

Du ciel

Au sommet du gratte ciel.

 

Jérôme de Mars

 

Va-et-vient

 

Comment vas-tu ?

Vas-tu bien ?

Si tu vas

Bien

Et si tu viens

Dans ces va-et-vient,

Tu deviens 

Un va-t-ou,

Où on te demande

Où va-t-où  ?

De ton va-tout,

Et où va-t-on ?

Si tu reviens

Et si tu vas

Bien,

Dans ces va-et-vient,

Où tu vas

Bien,

Tu viens,

Tu reviens,

Tu deviens

Et tu redeviens

Un ça va, ça vient,

Où ça va 

Plutôt bien,

D'où tu t'en vas

Assez bien

Dans ces va-et-vient.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                     Blagues :

 

 

 

1)  Qu'est-ce-que ça fait si la blague du plombier est ratée  ?

  -  Elle tombe à l'eau  !

 

2)  Qu'est-ce-que ça fait si de l'eau d'EVIAN existe depuis de très nombreuses années  ?

  -  Elle prend de la bouteille !

 

 

                                               Jérôme de Mars

 

                                                       Blague : 

 

 

Qu'est-ce-que ça fait pour toi papa qui n'a pas de paroles pour les traduire en actes  ?

-  Tu n'as pas les mots pour les faire entendre en pratique !

 

 

                                               Jérôme de Mars

 

                                                     Blagues :

 

 

 

1)  Qu'est-ce-que ça fait pour la famille BEDROSSIAN si on retrace la généalogie dans un livre ?

   -   Ca fait un atlas !

 

2)  Pourquoi est-ce-que le week-end prochain, je ne pourrai pas venir chez toi Adel  ?

  -   Parce-que samedi pas  !

                  ( ça me dit )

 

3)  Catherine, pourquoi ton mari Daniel Pautrat est-il passé sur CNews ce matin  ?

 -   Pour y refaire un tour de France en mémoire de ses 50 ans de petits vélos !

 

4)  Pourquoi est-ce-que je fais des blagues douteuses  ?

 -   Parce-que je ne suis pas digne de confiance !

 

 

                                               Jérôme de Mars

                      

 

                                                    Blagues :

 

 

1)  Pourquoi Max Gallo qui vient de décéder, était-il très à cheval sur l'écriture  ?

     -  Parce-qu'il faisait un gallo d'essai  !

                                     (  galop )

 

2)  Pourquoi dit-on pauvre Claude Rich comme il est décédé  ?

    -  Parce-que Claude n'est plus Rich  !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Le ciel pleure

 

Par les temps de ces aléas

Qui courent ici là

Dans la quête

Du déshonneur,

On enquête

Pour savoir,

Où se situe le bonheur

A manger et à boire

Avec le coeur

Rempli d'ardeur

Pour colorier les couleurs,

De la tristesse

Et du manque d'allégresse,

Qui règnent dans la délicatesse

De ce monde en paresse,

Lorsque le ciel pleure

Ses cauchemars songeurs

Dans un climat

De mauvaise odeur,

Qui déborde ici bas

Dans la grise mine

Des nuages beaux parleurs,

Qui promettent

La ferveur

Et émettent

De la laideur,

Comme le toit du monde

S'écroule de son plafond,

Se fond et se morfond

Dans un vieux débat

Sans saveur,

Qui dessine

Ce monde qui gronde

De sa fureur féconde

En coups de tonnerre défaitistes,

Lorsque le ciel pleure

Et coule ses larmes 

Qui le désarment

Dans les malheurs,

Des contretemps fatalistes

Comme un artiste

Qui perd de son âme optimiste

Dans une hypocrisie de froideur,

Où le monde sent une mauvaise odeur

Dans la tiédeur

De ses rêves dépresseurs,

Où il faut prendre des crayons de couleur

Pour augmenter la chaleur,

Comme ça,

Le ciel chantera

A nouveau sa grandeur

Et ne pleurera

Plus ses misères car au-delà

On se réconciliera

Enfin dans la joie

Redevenue roi,

Dans ce monde qui revêtira

Ses enjoliveurs

Pour le meilleur.

 

Jérôme de Mars

 

 

Sens figuré

 

Figurez-vous,

Le monde ne tourne

Plus rond

Au sens figuré,

Où plus personne 

N'est carrée,

Car tous se font

Une tête au carré

A la racine carrée,

Du Triangle Des Bermudes

Au triangle équilatéral,

Isocèle et quelconque,

Où quelconque n'est droit

Pour arrondir les angles

Perpendiculaires 

Aux histoires parallèles

De la figure de l'hexagone,

Dans le cercle restreint

Des amis

Au périmètre de sécurité

Et à la surface

De ce globe,

Au rayon de soleil

De pis en pis,

Où La Terre n'est plus

Et ne tourne plus rond

A la ronde

De cette planète,

Au volume conséquent

Du soi-disant théorème

De Thalès et de Pythagore

A géométrie variable,

Du sens figuré

Sur un trapèze

D'acrobate qui lance

Les dés figurés

A 100 mètres,

Sans démonstration

Et en cent figures

A l'air libre

Du sens figuré,

Figurez-vous

Carrément  !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                     Citations :

 

 

 

1) Un homme assis sur un banc, adore faire-part à son ami des différentes invitations de fêtes auxquelles il est convié  !

 

2)  Un homme crie au secours dans un questionnaire à choix multiples, s'il coche la croix rouge comme mauvaise case  !

 

 

                                             

                                                Jérôme de Mars

 

 

 

                                                Citation :

 

Quelqu'un qui n'oublie pas d'être égoïste au lieu de penser aux autres doit penser à le noter sur son pense-bête ! 

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

 

                                              Blagues :

 

 

 

1) Pourquoi Alexandre n'est-il jamais disponible pour me voir comme il va souvent en boîte de nuit avec Jonathan Soulié ?
- Parce-que ça fait boom !

 

2) Pourquoi Alexandre va-t-il moyen ?
- Parce-que dans ses va-et-vient, Alexandre n'a pas trouvé le moyen d'aller bien !

 

3) Pourquoi Lionel est-il vautré sur le divan quand il va voir Monsieur Longet, son psychiatre ?
- Parce-qu'il est à Longet  !

                           ( allongé )

 

4) Pourquoi n'oublies-tu pas d'être égoïste au lieu de penser aux autres ?
- Parce-que tu penses bête !

 

 

5)  Pourquoi question sexe, n'as-tu jamais peur   ?

 -   Parce-que tu as paniqué de pas niquer  !

 

6)  Quel est le comble pour un pédicure qui fait l'amour avec sa femme  ?

 -   C'est qu'il perde pied après avoir pris son pied  !

 

7)  Quel est le comble pour une habitante de Madrid très cochonne ?

 -   C'est qu'elle s'en branle quand elle s'ébranle après qu'elle branle espagnole son mari  !

 

 

                                             

                                             Jérôme de Mars

 

                                        

Mon Saint-Michel

 

Michel viendra pas,

Car pas appât

Il pourra pas

De son Saint-Michel,

A la courte échelle

De mon Saint-Michel,

Car il viendra

Une autre fois,

Où il arrivera

Dans la joie

De toi à moi,

Tant et bien qu'il aurait

Bien aimé

Etre avec nous pour rigoler,

Mais il se marrera bientôt

Parmi nous et il ne sera

Pas trop tôt,

Avec Michel au pluriel

De nous tous dans la fontaine

De l'eau béate

En volées écarlates

D'ailes à tire-d'aile,

Où l'on sourira

Dès le commencement de L'Eden

Avec Michel 

Et les tourterelles,

Qui fredonneront la ritournelle

De la maison heureuse 

Et chaleureuse,

En tenant la chandelle

Au mon Saint-Michel

En sages adeptes

Des préceptes

De la dentelle,

Où l'on passera

Tous un formidable éternel

Moment avec notre ami Michel,

Pour son anniversaire

Le bec en l'air

Au mon Saint-Michel,

A l'apogée belle

De la fête intemporelle

Qui se poursuivra universelle

Avec un grain de miel,

En toutes merveilles

Du début au bout de l'extinction

Des étincelles

Qui auront tant brillé

A la lumière 

Des passions

Enrobées dans la beauté

Plus que de raison.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Laura, tu l'auras ton aura !

 

De par ton nom Laura,

C'est sûr, Laura, tu l'auras

Ton aura qui au raz

De marée aura,

Eté au ras

Des pâquerettes, Laura,

Car tu l'auras ton aura

Laura, comme un ara

A l'aura dont toi, Laura,

Tu l'auras ton aura

Qui erra au raz

Et au ras 

De la moquette, dont toi Laura,

Tu l'auras ton aura comme l'aura

Eté ton groupe Era qui erra

De ton aura en toi Laura,

Qui l'auras ton aura, en ara

Des mille et une couleurs de ton aura,

Dont toi, Laura, tu l'auras

Ton aura en ara de ton aura, 

Laura, toi qui l'auras

Ton prénom au ras

De l'aura de toi, Laura,

Qui erra au raz de ton aura

Pour toi Laura erra,

Comme on connaît ton groupe Era

De ton aura, Laura qui l'aura ara

Au ras de ton o raz pour toi Laura,

De ton aura qui erra en ara

De couleurs Laura, comme tu l'auras

Ton aura Laura  !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Gouttes de pluie 

 

Aux origines de la source et de la course

Dès les aurores en rafale

De la toile de la grande ourse,

Débute l'orage qui tombe

En gouttes de pluie de crécelle triomphales,

Qui s'égouttent et goûtent en trombe

D'eau, le goutte-à-goutte qui dégoûte le nirvana

Des chutes du Niagara qui floutent le puits sec plus ultra

Qui déboute et pluie ces gouttes diluviennes,

Quand elles déversent leur mélancolie d'outrage quoiqu'il advienne

Et d'où qu'elles viennent ces gouttes de pluie

Et puis coa des nénuphars de grenouilles,

Qui sautent comme des cabris d'un temps pis

De pis en pis au pays qui s'agenouille

Dans la grève du printemps qui dégrève

La grêle du ciel sensuel qui grêle,

L'aura imaginaire en gouttes de pluie qui bêlent 

Les nuages clairs-obscurs et mièvres qui s'élèvent

Et lèvent le soleil parapluie et mensonger,

A l'air du temps triste et naufragé

De la grenouillère 

Pendant l'ascension au zénith du concert

De louanges de la pluie qui se change en eau bénite,

Qui ne tarit en messes basses de la pluie interdite

Une fois franchie, la zone interstellaire

Du comité de la royauté linéaire,

Où la pluie épouse la muse du roi soleil

Qui lâche une pluie d'hirondelles

Et de tourterelles,

Qui ruissellent le soleil planétaire

De la terre dans l'univers,

Et pluie tant pis

Nous sommes à la nouvelle harmonie

Intermédiaire de ces gouttes de pluie,

Où détrempez-vous !  elles deviennent

Un jardin qui sourit

A la vie épicurienne,

Tantôt, il est temps de vous souffler

Du bout des lèvres

Engorgées et émerveillées,

D'un soleil tant fleuri

Mille et une mercis.

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blagues :

 

 

 

1)  Quel est le comble pour un ORL  ?

     -   Que le patient lui dise de vive voix :

     -  "  Ouvrez vos grandes oreilles.  "

 

2)  Qu'est-ce-que ça fait si Grand Corps Malade fait un slam sur les musulmans  ?

    -   slam is slam  (  slam islam  )

 

3)  Qu'est-ce-que ça fait Catherine, toi qui est peintre, si on fait ton portrait   ?

     -   On dresse ton tableau  !

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

Comme un 

 

En un

D'en nain,

Le monde est petit

D'un deux en nain

Deux en un,

Comme un

Du commun

Qui a la main,

Comme main

D'un quatre un

En quatrain,

Car jamais deux 

Sans trois,

Par la règle de trois

Deux par de,

Part de part de deux

D'un deux en un

A de en nain

Du commun,

Comme un

Egal à l'un

De l'intérieur

De l'intérêt rieur

De terre d'ailleurs,

A l'heure

Tout à leurre

Qui aillent leur

Terre-à-terre rieur,

D'en un

Deux en nain

D'en nain

Deux en un,

Comme un

Du commun

A l'une commune

De Terre à lune

Comme une,

D'un quatre un

En quatrain

De la marche aux forains

Foireux,

Où c'est la foire

Comme un

Du commun

D'en nain

A deux

D'en un,

Pour deux mains

A de

Nains

D'un quatre en un

En un quatre en nain,

Plié en quatre

Deux comme un

De commun,

Comme main

De demain

A deux mains,

Comme un

Du commun

Comme main,

D'un terre rieur

Ailleurs.

 

Jérôme de Mars

Vache olé 

 

Oh, la vache,

Je suis olé

Très tôt le matin,

D'où je suis lâche

Comme j'ai l'âge

De mes abordages

En surnage,

Car je nage sur le hors-jeu 

Des ravages

Moi je,

Où je ne bois du petit lait 

Sur le feu, feu olé,

Tant que je m'abîme en montagnes russes,

Excité comme une puce

Avec la puce 

De ma carte à puce,

Où je joue cartes sur table

Déraisonnable et instable,

Avec la puce de ma carte sim

Que je décime,

En en faisant tout un fromage

Au yoyo, en haut et en bas, où je ne sus

Ce que je veux,

Au final, de cette vie fatale,

Où j'en sue,

Qui un jour, me happera la peau foetale 

Dans les annales

D'une déroute

Et d'une banqueroute,

Où je fais fausse route

Dans la fosse

D'orchestre

Très à cheval pédestre,

En creusant le fossé du casse-croûte

Terrestre, moi, le marginal

Sur le côté en rage,

En dernière page,

Où l'original se vide en carnage

Oh, la vache olé,

Au petit lait de vache olé,

Où je ne bois du petit lait,

Car je suis laid en les olé

Oh, la vache à lait sacrée,

Comme je déterre la hache de guerre

Lâche et guère naguère,

Au lait olé,

Oh, la vache, allez  !

 

Jérôme de Mars

 

  

                                               Blague :

 

 

Pourquoi avec ma vie chaotique, ai-je du mal d'enfer un paradis ?
- Parce-que j'ai des vieux démons !

 

 

 

                                       

 

 

 

                                       Jérôme de Mars

 

A ma porte !   

 

Quand s'ouvre ma porte,

Je vous attends à ma porte

Comme de gentils cloportes,

Qui en pincent et m'apportent

A ma porte,

Qui m'emporte

Et me déporte

A ma porte,

Quand on m'apporte

De tristes nouvelles qu'on colporte

Et qu'on reporte

A ma porte,

Quand on m'apporte

Enfoncée ma porte

Et qu'on m'emporte,

Comme un cloporte

Qu'on déporte,

Tel un crabe-tambour qui me remporte

Avec le crabe qui m'en pince sans rire et qui m'emporte

En vilaine maladie qu'on colporte

A ma porte,

Qui m'apporte

A ma vase clos-porte,

Qui m'emporte

A tout jamais comme un cloporte,

Qui me reporte,

M'emporte

Et me remporte

Dans une mise en boîte qui me déporte

Pour l'éternité à ma porte,

Qui m'apporte

La tranquillité qui m'emporte

Et me remporte

A ma porte,

Fermée à la porte

Cloporte.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                Blague :

 

 

 

Pourquoi dit-on toujours de ne pas oublier d'être égoïstes au lieu de penser aux autres ?
- Parce-que c'est notre pense-bête !

 

 

 

                                      

 

 

 

 

                                        Jérôme de Mars

 

                                                    Blague :

 

 

Pourquoi La marine n'a-t-elle pas été élue présidente ?
- Parce-que La Marine est vague !

 

 

                                        Jérôme de Mars

 

                                                Blague :

 

 

 

Qu'est-ce-que ça fera Suzanne si tu rencontres ton petit-fils dans une ville à quelques kilomètres de Cavalaire en Côte-D'Azur, alors que c'est le jour de sa fête et de son anniversaire qu'il en a fait la devise de les célébrer   ?

- C'est La Sainte-Maxime !

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

Tout a décence  !

 

Au sens propre

Comme au sens malpropre

De l'envol sans ailes

Salies à l'an vol à deux,

Tout a décence

Dans l'innocence

Des cinq sens,

Qu'on encense

Dans l'encens à cinq,

Reçu cinq sur cinq

A contresens 

Et à sens unique,

Par tous les sens

Des virages

Dans les rivages

De bords de mer,

Quand la mer déborde

Sur le rebord à mer,

Car tout a des sens

Pour qu'on se débrouille

Des brouilles

Avec sens,

Mais si l'on rentre bredouille

On prête à 

A t'apprêter ton innocence,

Qu'on encense

In not sens,

A contresens

Dans la tare

Qu'on rate

En retard,

Dès qu'on est à rude épreuve

Que la preuve est dure à L'Est

Des qu'en dira-t-on,

Quand dira ton essence

Par et génie,

Eugénie

De ton prénom relatif,

Car tout est relatif

Dans ton nom près

De ton pronom relatif à qui ?

Tout a décence

En sens d'atout

D'un tout pour le tout,

Où va-t-où 

De ton va-tout,

Si tout va, où ça va,

Ca va, ça vient

Dans ces va-et-vient,

A l'emblème de problèmes

En pros blêmes 

De l'an blême

Des ruses 

Sûres,

Reçues cinq sur cinq

Au quartet

Du quarté

Ecarté du quartier,

Des mûres 

Du printemps,

Du à des rhumes

Tant empreints,

Qui empruntent

En an blême

De ton empreinte,

L'endroit,

Droit en l'an droit

Des blêmes pros,

En problèmes

Qui rencontrent

L'avis,

Et contrent

Le visa

Des amis,

Qui misa

Vis-à-vis

D'une vis

D'un vice 

A mi,

Du recours

Qui court

Au dû

A cuire,

Recuit

A la cymbale

Du bal saint,

Au bassin pourtour de France,

Pour ton tour de France

Reçu cinq sur cinq

En lieu sûr,

Sur le milieu

Dont tu en as cure

Dans ta cure,

Où tu rames

Et tu te marres

Dans la sinécure,

Car tout a décence

Et a des sens,

Au lieu du haut milieu

Oh lieux de l'encens,

Qu'on encense

A mille lieux  !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                           
                                                Citation  :
 
Adam voit un ami pour sa pomme d'Adam  !
                                         
                                       
                                         Jérôme de Mars

 

           

Brûler les chandelles par les deux bouts 

 

Tabou, comme un oiseau brisé t'a bout,

Je me crame les ailes

Sans elles, 

A contrecoup

Et à moindre coût,

Comme je brûle les chandelles

Par les deux bouts,

Car mesdemoiselles

Ne me donnent de leurs elles,

Pour que je franchisse la passerelle

Sans soucis, d'une vie debout

Parmi vous avec des ailes,

Redéployées et envie de s'envoler, 

Et de profiter des instants de félicite sans solennité,

Car pour leurre, je me tournoie

Et je me noie dans le roi désarroi,

De la paroi, où je jette un froid,

Que je propage ici là,

Que veux-je  ? Je ne le sais

En aveux de voeux pieux,

Où il faudrait qu'un peu,

J'essaie de tenter un essai 

Tant pis s'il est infructueux mais que j'accule,

En émule qui tant il accumule

Peu de scrupules

Comme c'est une crapule,

Qui s'accumule à cul

Comme un Hercule sans les tentacules,

Où je me crame avec mes ailes

Brisées, dans la brise qui me jette un vent des elles,

Quand je brûle la bourgeoisie policée

Du paraître, en un être décomplexé et désinvolte,

Qui récolte un brin de pacotille d'aisselles,

A poils velus qui ne remonte la pente, dans un monticule

D'assiettes sales, dans la salle pleine de vaisselle,

Qui traîne et déchaîne un sentiment, qui survolte

La police sans frontières, tant que je brûle

Les chandelles, par les deux bouts dans ma bulle

Confinée, où la déconfiture déambule hypocrite et funambule,

Dans ma poche, favorable à l'avis conciliabule des têtes de mules,

Qui adulent les puissants d'argent florissants, et me rejettent en émule

A la tête du silence d'or, et de la parole d'argent, où je crame macadam,

Drôle de dame, ma dame,

En quidam qui dame le pion, mort pion et morpion madame, dans ma came

Qui clame et rame dans le slam, d'une réclame sans ailes de femmes,

Oh quel drame, mélo drame,

Car je suis infâme à femmes, seulement tabou en elles, qui s'enflamment

Dans des braises, à allumer les brèches qui s'embrasent, 

Dans l'incendie de l'amour qui brasse du vent et que j'embrasse dans la vase,

Où je déclame oups, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase,

Car c'est une valse, que je valse et où je valse, lorsque je transvase,

Mes carences qui ne croquent, la vie à pleine dents, mais deux dents

Dans le dedans d'une infection, au déclin d'amour qui se décline

Et cligne des yeux précaires, qui le lisent à deux de par de mais se déracine,

Comme j'enracine les maux, qui se lient à mes mots, dans le lit à la ligne

Sans dent rectiligne,

Car c'est pour ma pomme d'Adam, sans mon Eve que je rêve au jardin d'ailes,

Où je ne vole sans elles, à L'Eden d'en faire que je brûle les chandelles

Du paradis d'enfer, par les deux bouts, où il suffirait que je chancelle,

Pour rallumer la bougie, en un tour de manivelle, pour que je nivelle

Les voiles, et que je me dévoile, vers le haut mes chères demoiselles,

En oiseau qui revole et décolle, en tourterelle et en hirondelle

Ici là, je vous attends dans le jardin de l'amour, où je tape l'incruste,

A vous sculpter un buste, dans les arts bustes des arbustes

De l'amour, où je vous dédie cette ode, à vous les femmes libérées

De l'emprise, du joug du mâle dominant, où comme un aimant, 

J'aimerai que le printemps, devienne un été éternel et exaltant

Au bout, et debout des saisons intemporelles, des rêves pour la postérité

Quel été !

 

Jérôme de Mars

 

                           

                                                     Citation :

 

 

 

Un migrant interné à l'hôpital psychiatrique avec une camisole de force a le droit d'asile  !

 

 

                                               Jérôme de Mars

 

                  

L'hôpital des je m'en fous  !

 

D'office, t'es interné à l'hôpital psychiatrique

Avec le migrant qui a le droit d'asile

Comme toi à l'asile de ton il,

Tes problèmes sont complexes

A cerner dans l'annexe

De ton genre qui en tient une couche,

Et qui se couche dans ta souche

De vieux Français réac,

Qui est passé à l'acte

Sur une personne à l'intégrité physique,

Car tu es fou et tu t'en fous

Dans l'hôpital des je m'en fous,

Où tu demandes ce que t'y fous

Car charité chrétienne

Bien ordonné

Te paraît désordonné

Dans ton état ordonné désordonné,

Où t'en fais des tiennes

Dans tes puritaines et hautaines

Difficultés malsaines,

Car c'est l'hôpital qui se fout

De la charité, tant tu fais pitié,

Car tu n'as pas eu de pitié

Avec tes gestes déplacés,

Où maintenant, t'es placé

D'office à l'hôpital psychiatrique,

Avec tes ecchymoses qui sentent 

Les lettres sans réponses et absentes

De ta santé qui te fait défaut,

Par pitié et par des faux

En porte-à-faux,

Où comme t'es malade

En racontant des salades,

Faut te faire soigner

Avec des remèdes tout trouvés,

Car t'es écartelé,

Dans un puzzle décompensé,

Où tu t'es trop dépensé

A penser que ta plaie

Etait guérie, alors qu'elle sombre

Dans l'oubli du déni

De ta maladie,

A la pénombre

Des nuits enfouies,

Où tes cicatrices sont encore béantes

Et influentes,

Dans des plaies pas pansées,

Mais compensées à te refaire soigner

A l'hôpital des je m'en fous,

Où tu t'en fous que t'es fou

Et tu ne te demandes plus ce qui t'y fous,

Tellement, que t'es tabou

Et au bout du rouleau où tu te contrefous

Du qu'en-dira-t-on sur ton dos,

Car t'as bon dos que tout le monde te tourne le dos

A force de te faire viander par le tourne-dos,

Je te souhaite en faisant des plans sur la comète,

Que tu t'en sortes,

Par la grande porte

Et que tu te remettes

D'aplomb sans péter les plombs,

Pour ne plus toucher le fond,

Car dans la forme, tu n'es conforme

Mais dans le fond, tu as un bon fond,

Qu'on forme à l'unisson

A désirer ta guérison,

Où les réponses ne seront plus questions,

Car il ne sera plus question

De ton hospitalisation

Mais de ta guérison,

A long terme,

Où tu seras en bons termes

Avec ta famille

Et tes amis,

Et on te dit

Prompt rétablissement,

En espérant qu'on te donne 

Le bon médicament,

Et que tu t'adonnes

A enclencher le carburant

De ton moteur,

En accélérateur fédérateur

Pour du bonheur,

Car il est l'heure

De ton retour résilient, résurgent

Et urgent car y a  prescription,

 Rémission et mission

Accomplies, il était une foi 

L'issue de la joie parmi toi.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

                                                 Blagues :

 

 

1) Que dit-on d'un migrant interné avec une camisole de force en hôpital psychiatrique ?

- Il a le droit d'asile !

2) Pourquoi papa, n'es-tu pas clair, pas net et ne mets-tu pas les choses à plat avec moi ?
- Parce-que tu t'embrouilles avec moi !

3) Pourquoi papa, es-tu dépassé et résigné ?

- Parce-que t'affranchis déjà la frontière de La France vers ce qui t'es étranger ! 

 

 

 

                                                Jérôme de Mars

 

                                                 Blague  :

 

 

Pourquoi suis-je un mauvais perdant   ?

-  Parce-que je n'ai rien à perdre, j'ai tout à gagner  !

 

 

                                         Jérôme de Mars

Une vie irrésolue

 

A l'an vol sans ailes,

Brisées et coincées

Dans sa coquille Saint-Jacques De Compostelle,

Comme cet inventaire que ma mère

Composte-t-elle timbrée de l'être incendiaire,

Comme quand Ludovic chancelle 

En brûlant

La chandelle de la vie par les deux bouts,

D'une vie dissolue et irrésolue

Comme la mienne, où je me tus 

Dans le silence absolu,

Des non-dits tabous tellement que je suis t'a bout 

De ne trouver les réponses à mes questions 

Qui me tuent,

D'où ma différence et l'indifférence

Des gens m'offense avec véhémence,

Dont je témoigne avec la poigne

De la foire d'empoigne

Avec mon père et ma soeur,

Dans le surplace d'une vie guère en surface,

Dont j'ai tant de mal à me dégoter une place,

D'où mon blocage dans ma cage

Quand je me saccage dans les marécages,

De mes déviances qui coulent avec aisance

Et qui m'empêchent de rencontre l'âme soeur,

De toute évidence à cause de cette violence

Des mots et des maux verbaux et moraux,

Qui sont la source de mes quiproquos et de mes propos,

A ce propos de ma vie qui tombe à vau-l'eau,

Où je touche le fond

Au tréfonds très fond des fissures du plafond

Refoulées dans ma besace mise en abîme,

Où je décime et écime les cimes

De mes tourments ankylosés et névrosés,

A la valeur plus ajoutée

Dans un amas qui s'amoncelle 

Dans un vulgaire paquet,

D'une vie irrésolue et absolue,

Dont mes péchés dissolus ne semblent absous

Si bien que je m'en fous de tout

Dans tout ce fourre-tout, 

Où je me demande bien où va-tout,

Et où semble passé mon va-tout,

Comme atout du tout pour le tout,

De  cette descente aux enfers, où je fais allégeance

Et où je vends mon âme infâme, damnée et cabossée

Au diable de la vengeance, témoin des autres et de leur ignorance,

A mon égard, sans égard

Avec leur pernicieux et insidieux regard avec le dard de ma tare,

D'un grain de sel qui cherche le drain de celle,

Qui pourrait me changer en Missel,

D'un dieu ressuscité à la paix intérieure réactivée en moi,

Pour que  cette existence arrête l'indécence

Dans le froid et l'effroi,

Coutumiers du libertinage, de débauche,

Et de perdition,

Où personne n'embauche

Ma dépravation, 

Car seul la quête de sens résoudra mon équation

Complexe avec la solution

Appropriée à mes problèmes énigmatiques, pour être en adéquation

D'une vie aux réponses à mes questions,

Car à l'heure actuelle,

Le bonheur a foutu le camp m'interdisant et m'empêchant

D'être heureux dans les cieux miséricordieux, de croire en Dieu,

Au pieu d'un être serein et pieux,

Car les dégâts des eaux

Troubles de mon passé tumultueux,

Avec l'étendue des gars, me poussent à petits feux,

Au suicide tant redouté mais réchappé aux dégâts des os,

Avec la colère d'un courant d'air

Qui n'est plus dans le coup avec les indélébiles ornières

Des barrières solides et implacables, où je recule derrière,

Et n'avance naguère, immergé dans une guerre

Intellectuelle et insurrectionnelle,

Au péril de ma demeure,

Où je meurs d'ennui et de soucis aux lueurs du déshonneur

Déchu, comme un con pris et incompris

Par sa famille et ses amis,

Avec les préjugés qui m'ont jugé

D'avances sans me connaître dans le paraître

Au lieu d'être,

Qui me mettent sur le bûcher, même si j'ai bûché

D'ardeur et de ferveur, dans un joyeux,

Furieux et valeureux

Paradis d'enfer,

Où je n'en ai que faire

De ma vie irrésolue, dissolue et dangereuse

Due à mes blessures embrasées et dévastées,

Dans cette vaste prison de muraille

Qui me tenaille, m'assaille,

Et où je déraille avec mes vieux démons névrotiques

Et à la santé psychique

Ravageuse, orageuse, ténébreuse

Et frénétique,

De par mes vices qui me délitent et m'enlisent

Sur la terre non promise,

De l'absence d'une mère qui m'a castré et me suicide

A feux doux,

Dans l'acide placide,

Pour arriver dans l'au-delà d'un monde meilleur,

Où je respirerai un bien-être salvateur

Que sur La Terre, la source de mes malheurs,

Irréconciliable avec une vie de terreur et de rejet,

Dans le dépit et l'oubli de mes congénères,

Comme moi, le con génère la peur

Qui refoule la mémoire de mes aïeux

Et des gens défiants et désarmant mon être insouciant,

Par la voix des mots crapuleux et peu scrupuleux,

Où que diable, un jour ou l'autre, je rejoindrai ma Sainte-Mère

Au sein du complexe  D'Oedipe,

Tellement, que j'ai mal avec mes tripes,

Et que je m'étripe

Dans le désamour et la haine,

De Proust de ma madeleine

A mon manque d'affection,

En infection de longue durée

D'où personne ne fait attention,

Où sur l'échiquier comme un pion, 

Tôt ou tare, je mettrai faim à mes jours

Car après la rémission, viendra la mission

Du ces jours,

D'être à jour dans le séjour

Qui attend mon sommeil éternel

Car après les neiges éternelles,

Du paraître

Surgira l'ivresse d'une vie en paix

D'être 

A jamais 

Résolue,

Où je me serai tue.

 

Jérôme de Mars

 

Recyclage

 

A l'âge d'attelage

D'un imminent cycle,

Que je recycle

En un éminent montage

De bricolage,

Je cultive le recyclage

En ballottage,

D'un cycle tricycle

Avec des petits vélos

De recyclage

Et d'emballage,

En adage

D'une chaîne de matériaux

Que je recycle

Au cycle

De la bicyclette,

De la mobylette

Et de la trottinette,

A déambuler les emplettes

Sur un drôle de rétropédalage

En rodage,

D'une zone traversable 

Au préalable abordable

Sur la route des vacances

En Sainte-Provence,

Comme roue de secours

Si jamais il y a recours,

Dans ce recyclage

De petits vélos,

Motos et autos,

Automatique et autonome

Dans le sud qui embaume

Le circuit passable,

De la rue fertile romans-photos,

D'un recyclage bricolo

Que je recycle

Métallo,

Du tricycle

A la bicyclette,

D'un cycle

Avec des allumettes

Suédoises sur l'éclairage

Des signaux d'allumage,

En pétages

De plombs,

Dès que je monte le son

Au ton ultra-son,

Que sont 

Mes ultra-extra,

Nec plus ultra,

Au démontage

Et au recyclage,

Où je recycle

Les petits vélos,

Motos et autos,

En un cycle

Immédiat d'hauts taux

De mémos,

Que je range au garage

Auto-immobile, à l'arrêt freinage

Fermeture auto-réglage.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                               Blagues :

 

 

1) Que dira-t-on de Johnny Hallyday s'il donne un spectacle à Saint-Denis en région parisienne malgré sa maladie ?
- Il donnera un cancer au stade de France où il en est !

2) Pourquoi ne puis-je plus me regarder dans le miroir ?
- Parce-que tout le monde est de glace avec moi !

3) Que dira-t-on de toi Catherine, si la peinture te ruine financièrement ?
- Ca sera un des pots de bilan !

4) Pourquoi le monde ne tient-il plus debout ?
- Parce-qu'il y a des histoires à dormir debout !

 

 

                                              Jérôme de Mars

La poésie du blaireau
En ces mots,
La poésie du blaireau
Clame son chaos,
Dans le ko à vau-l'eau
Au fond du ruisseau,
Que tout le monde trouve rasoir
Avec son histoire qui respire le noir,
En étendard de cette préhistoire
A l'âme flétrie par cet exutoire rédhibitoire,
Qui se change en purgatoire,
Tel le poète Rimbaud
Qui fait le beau
Avec son ex cas beau,
En escabeau d'un oiseau
Aux ailes brisées et en porte-à-faux,
Qui fait sans blanc d'incarner le gentil héros,
Alors que la poésie du blaireau
S'époumone dans la haine de son fardeau,
En jouant au Caliméro rétro
Du vrai du faux,
Avec défauts et des faux
En pseudo credo 
D'un vierge puceau Eros dans l'eldorado
Artificiel au ciel de la poésie du blaireau,
Qui tombe le masque découvert en gros
Au singulier comme au pluriel du saut
Périlleux des gens qui lui tournent le dos,
Car se resserre l'étau
Au près à taux zéro,
Où la poésie du blaireau
Vous brasse du vent qui tourne allegro 
Et vous embrasse du fond de son cas chaud,
D'un été show
Avec le ver solitaire au fond du cachot,
Ainsi, la poésie du blaireau
Rejoint au paradis immortel Rimbaud
Avec son stylo à contrario accro
Et en méli mélo du mauvais lot,
Et Rousseau, dans son tombeau
Dans un mélo au scénario,
Tumultueux, délicat et vade nécro
En cadeau de Rousseau,
Jusqu'au repos guerrier au fond du ruisseau
De la poésie du blaireau
En ses maux.
Jérôme de Mars

 

                                                Blagues :

 

1) Pourquoi Odette a-t-elle tous les droits de me parler méchamment au CAT et qu'on la laisse faire ?
- Parce-qu'Odette alloue le laxisme des 
moniteurs !

2) Pourquoi Jonathan voit-il un ami pour sa pomme ?
- Parce-que Jonathan voit la pomme d'Adam !

3) Que dit-on de quelqu'un qui n'a pas de coeur dans un resto ?

- C'est un enfoiré !

 

                                         Jérôme de Mars

 

                                                    Blague  :

 

 

Pourquoi es-tu à la mode Brigitte  ?

-  Parce-que t'es avec MLLE Agnès  !

 

 

                                            Jérôme de Mars

 

Entre ombre et lumière

 

Entre ombre

Il fait sombre,

Entre lumière

Il fait clair,

A la pénombre

Des années lumière,

Entre ombre

On dénombre,

La lune sombre

A la pénombre,

Entre lumière

Du soleil clair

A des années lumière

Des frères lumière,

Entre ombre

Et lumière,

A l'ombre sombre

De la pénombre

De la lumière,

Au soleil clair

Qui allume la lumière

Et l'éteint à l'ombre,

Sombre de la pénombre

Qui dénombre

Au clair de la lumière,

Le soleil de l'univers

Dans ces contrastes unis vers,

Frères du temps bipolaire

Entre ombre

Et lumière,

De constellations croisière

En nombre

Pair

D'étoiles éphémères,

A l'univers de jachère

Egréné d'un ciel pubère,

Au clair de lune lumière

A l'apogée de l'être incendiaire,

Frère de la terre et de l'univers

Parmi ces constantes avancées du millénaire,

Entre ombre

Et lumière,

Aux divinations sombres

Et austères,

A la pénombre

Extraordinaire

D'un jardin de mer

A boire linéaire,

A l'itinéraire du clair

De lumière,

Réfractaire et subsidiaire

Comme les frères lumière

A des années lumière,

Entre ombre

Et lumière,

A la pénombre

D'un clair de lune complémentaire

Sur la terre élémentaire,

Entre ombre

Et lumière 

Locataires,

Des années sombres

Et planétaires,

A la trajectoire propriétaire

En clin d'oeil salutaire.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                   Blagues :

 

 

1)  Que dit-on d'un gars toujours le nez fourré sur son ordinateur qui se fait hospitaliser d'office en hôpital psychiatrique à Paul Guiraud pour addiction au web ?
- Il se fait interné net !

 

 

2)  Qu'est-ce-que ça fait quelqu'un de cinglé sur son ordinateur   ?

-  Ca fait quelqu'un de pas net  !

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

                                                     Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça fait pour le collège et lycée privés EPIN à Vitry Sur Seine quand on se fait emmerder et agresser par 
d' autres connards d'élèves qui se moquent de nous ? 
- Ca fait un pépin de santé comme une épine dans le pied !

 

 

 

                                          Jérôme de Mars

 

                              

                                                   Blague :

 

 

Pourquoi met-on des jours de carences dans les arrêts-maladies   ?

 -   Pour qu'on soit en manque d'affection  !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Je m'en foutiste !

La France avant-gardiste
Est devenue autiste
Et égoïste
De sa vie d'artiste,
Hédoniste
Et fumiste,
Genre je m'en foutiste
Telle qu'elle est triste,
frontiste
Et atlantiste,
Où elle dérive de la piste
Au hors-piste,
Genre je m'en foutiste
Et passéiste,
Arc bouddhiste
Jusqu'au boutiste,
Où les gens boulistes
Idéalistes,
Ont les boules fatalistes
Sur la longue liste,
Genre je m'en foutiste
De cette France égoïste
Aux allures fatalistes,
Où elle n'est idéaliste
Car elle est alarmiste
Et ébéniste,
De son oeuvre égoïste
Et passéiste,
Aux séquelles autistes
De sa vie d'artiste,
Genre je m'en foutiste
A cette France triste
Et fumiste,
Qui ne contient l'arc bouddhiste
Sensiblement que ce pays est fumiste
Et pessimiste
Sans un sourire optimiste,
Genre je m'en foutiste
De cette France égoïste
Et simpliste,
A la vie d'artiste
Et triste,
Au bord du précipice frontiste
Et alarmiste,
Dans La France Lepéniste
Et fataliste,
Au diagnostic pessimiste
Sur l'état de La France passéiste,
Genre je m'en foutiste
Que le pays soit égoïste,
Extrémiste
Et fataliste
Aux idées pessimistes
Et au regard triste,
Alors qu'il suffit d'une lumière optimiste
Pour qu'on passe hédoniste,
D'une France genre je m'en foutiste
Et égoïste
A des idéaux humanistes,
Réconciliateurs d'un pays dans la liste
Idéaliste
Sur la piste

Jérôme de Mars

 

 

Blague is black

 

Serge, je t'envoie cette blague

Is black

A l'humour noir

Où tu comprendras

Qu'elle transparaît mon état

D'être qui ne trouve sa place

Dans ce monde perpétuel,

Hanté par ses vieux démons

Entre l'ombre et la lumière

Mais à dominance obscure

Où je ne sais ce que je veux

Comme la personne que je vais

Te citer dans ma blague douteuse,

Où je doute en ce monde, aux autres

Et en moi-même, où je perds de mes idéaux

Comme Le Renaud,

Le Renard,

Gainsbourg,

Et Gainsbarre,

A m'étioler le bec dans l'eau à vau-l'eau

Comme ce putain de monde immonde,

En méli-mélo où ma mémo

Me souffle ses mots

Et me souffre ses maux,

Ballots à me jeter dans la nécro,

De la nostalgie

En mélodie,

Du mélo qui me met allo,

Tant j'ai besoin de te confier toute ma peine

De Proust en madeleine,

Où pourtant, j'ai tellement bûché avec Penot

Mais malgré ces regrets

Et mes excès en déchets, j'en ai assez

Et je traîne sur le bûcher ,

Où tôt ou tare,

je finirai dans une mare de vilain petit canard,

Aux nénuphares d'un monde meilleur et d'ailleurs,

Où j'espère que l'enfer des malheurs

Deviendra le bonheur loin de la terre,

Où je porterai l'étendard, d'un standard

Ravivé avec un goût de valeur et de saveur

Ressourcé dans les rêves songeurs,

D'une quête enquête de plaisirs salvateurs

Pour l'avenir que je souhaite dans l'au-delà

Réconciliateur dans l'univers

Rémunérateur d'un soleil détrompeur

Au royaume enjoliveur.

 

Jérôme de Mars

 

 

                             

 

                                              Blagues :

 

 

1) Que demande-t-on au pape pour savoir s'il rentre chez lui ?

- Tivacan au Vatican !

2) Que dit-on d'un curé pas favorable à du pain sur son autel 
?
- Il est hostile aux hosties !

3) Quel est le comble pour une peintre amatrice démocrate ?
- De garantir la liberté d'expression artistique !

4) Pourquoi mets-tu les voiles dans le sud du Midi ?
- Parce-que tu cavales l'air de rien !

5) Pourquoi Boris est-il tellement soutenu  ?

-  Parce-qu'il est trop aidé  (  TROP PD  )

 

                                   

                                          Jérôme de Mars

C'est des rhum  !

 

Dis papa,

Que fais-tu là  ?

A Rome,

Où tu bois mes paroles

Rossignols

De rhum,

En prenant de la bouteille

Avec de l'oseille

De poisson,

Où à l'unisson

De tes poils porcs-épics hérissons,

Tu te fais sauter le caisson

Avec les caissons

Des chansons d'encaissons

L'oseille qui tend l'oreille,

Aux orteils,

De tes doigts de fée

A l'endroit morflé de Morphée,

Où tu rêves des souris

Qui sourient et rient

En images diffusées

Sur DVD PRO CD,

Car CD roms

Avec les Roms,

De Roumains

Et leurs cousins Saints-germains

De Paris voisins,

Des bohémiens

Qui chancellent

En coups de mains,

En tenant la chandelle

Qui ruisselle

En y mettant son grain 

De sel,

A l'escarcelle

De leurs roupies

Car CD Roms

Qui roupillent, pillent

Et torpillent

A l'an pile,

Qui s'empile

Pile ou face

A contre-face,

Car CD rhum

Et c'est Des Roms,

Au sourire des roms

Qui vont à Rome, 

Boire leur rhum

En attendant le procès des

CD rhum

En péplum,

De rhum

A Rome.

 

Jérôme de Mars

 

                                             Blagues :

 

1) Que dit-on à un chien pour qu'il roupille ?
- Mais dors ( Médor ) !

2) Que fait un musicien qui a faim ?
- Il joue un morceau qu'il mange.

3) Que fait un jardinier qui n'aime pas ce monde actuel où c'est chacun pour soi, où personne ne se parle et où il y a de la haine ?
- Il cultive un monde meilleur en taillant les haies pour que tout le monde vive dans le jardin d'Eden !

4)  Pourquoi une femme sort-elle les griffes pour baiser   ?

-  Pour faire plaisir à sa chatte  !

5)  Pourquoi un homme rêve-t-il qu'Anne-Sophie Lapix lui fasse une pipe   ?

-  Pour que la blonde lui en fume une  !

 

                                            Jérôme de Mars

 

                                              Blague  :

 

 

Pourquoi suis-je invisible pour tout le monde  ?

-  Parce-que je joue la transparence  !

 

                                  

                                      Jérôme de Mars 

 

Condescendance

 

Comble de l'ironie d'un rien,

De l'ascendance

A la descendance,

On danse

Avec condescendance

En contredanse

D'une contredanse,

Qui ne vaut rien

Parmi les vauriens

De la cadence,

Car c'est là qu'on danse

En redondance

Et en abondance,

De l'ascendance

A la descendance,

Avec condescendance

De l'intendance

Dense tendance,

Qui danse

En valses

Qui deviennent

Des valses

Dingues qui transvasent

Dans le pot aux roses du vase

Endiablé et pluies diluviennes

Sur la vase

De là, pas de danse

De l'ascendance

A la descendance,

Avec condescendance

Cadence

La bourrée

Auvergnate labourrée

Et débourrée,

Sur le hors-piste

Contredanse

En abondance

De redondance,

Qui danse

Avec l'air des reins

Au drain

De folie dans la ressemblance,

En possible concordance

Sur la danse

De La Place De La Concorde,

Sans discorde

De l'ascendance

A la descendance,

Avec condescendance,

Car c'est là, que tout concorde

Sur la corde

Raide dingue , où la danse

Cadence

Est là, pour qu'on danse

Redondance

Sur la piste

Tendance

De l'un tendance

A l'intendance

Danse en contredanse,

Si jamais demain

Il y a concordance

Avec les mains

Plus loin

Si besoin.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                                    Blague  : 

 

 

Qu'est-ce-qu'un verre solitaire   ?

-  Un poète lunaire

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

Infiltre d'amour

 

Bonjour, c'est le bon jour

De rouler à Rocamadour,

Au pays des troubadours

De l'amour en calembours,

D'un filtre d'amour

Que j'infiltre d'amour,

Dans un lit de doux séjour

En titre de concours,

Où je cours d'amour

Sans filtre tant que c'est lourd,

Car j'exfiltre désamour

En pitre de recours,

D'un filtre court

A la chasse en litre à courre,

Où j'infiltre pour toujours

Dans le suivant chapitre, le code de l'amour,

Que je livre aux vitres des tendres retours

D'un filtre aller-retour,

Que j'infiltre en refaisant le tour

Et que j'exfiltre en détour,

Du mot de passe chapitre pour entrer au faubourg

De l'amour que je bourre,

Que je labourre

Et que je débourre

D'un filtre d'amour,

Au bourg

Du séjour,

Que j'infiltre pour toujours

Et que j'exfiltre en gants de velours,

En un bon jour

Au cours de l'amour

D'un litre

De filtre,

Que j'infiltre

Et que j'exfiltre

En ex filtre

D'amour,

Du tour

En détour

Du compte à rebours

A l'amour aller-retour.

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blagues  :  

 

 

1)  Comment renommera-t-on la deuxième ville d'Algérie s'il y a des singes  ?

      -  Orang-outan   (  Oran )

 

2)   Pourquoi y a-t-il des vilains petits canards en Algérie, Maroc et Tunisie  ?

     -   Parce-qu'il y a le Maghreb de canards  !

 

3)  Pourquoi Catherine, ne forces-tu pas les traits avec ta peinture  ?

    -   Parce-que tu es ta propre caricature  !

 

4)  Que dit-on d'un homme qui se démène pour meubler sans arrêt des temps morts lors de l'entrée dans les lieux d'un nouveau logement  ?

   -    Ca déménage pour lui  !

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

Y a pas de problèmes, y a que des solutions  !

 

Lors d'un problème,

On n'y voit clair

Car cela nous paraît

Une équation sans 

Solution pour le

Résoudre et en

Découdre, 

On a peur de 

L'inconnue pour 

X problèmes,

Qu'il faut développer

Pour trouver le 

Facteur de résolution,

En une fraction de

Secondes pour ne pas

Payer le prix de 

L'addition trop lourde,

Multipliée en plusieurs

Fois, ce qui nous

Divise avec le haut débit,

Car on ne nous accorde

Du crédit comme on est

A découvert,

Quand personne ne nous

Calcule et qu'on doit

Compter sur soi moins

A partager la méthode,

Car seul compte le résultat

Pour résoudre ce problème,

Carré du triangle Des Bermudes

Avec le théorème de Pythagore

Et de Thalès, à géométrie variable

Et en histoires parallèles,

Lorsqu'on déchiffre les hiéroglyphes

Dans le périmètre de sécurité

Du cercle restreint à la surface

Du globe, du volume qui tourne

En rond, et qui semble losange

Du dénominateur commun 

Et perpendiculaire à la ligne

En règle,

Qui dégomme avec un coup

De crayon, La France hexagonale

A l'horizon vertical et

En diagonales,

Où enfin, on dénombre

A la juste proportion

Et dans la bonne dimension,

Dès qu'on règle à trois

Ce problème en ayant la réponse

Valable en solution,

De cette équation,

Qui nous met en adéquation

Et en résolution

De ce problème,

Car y a pas de problèmes,

Y a que des solutions  !

 

Jérôme de Mars

 

A la légère

 

En gros

Grosso modo,

Le poids s'en balance

De la lourdeur,

Car il veut de la légèreté

En petits poids

Bas lourds,

Mais dont le fardeau

Les pèse trop lourds

Et balourds,

Où il faut prendre à la légère

Tout ce qui nous gonfle,

En effectuant une cure d'austérité

Sans baisse de régime

Pendant ces années

De grosses vaches maigres,

Où il faut alléger

De tout son poids

Ce qui nous pèse,

Et qu'on s'en balance

A la légère,

En retrouvant la ligne

Haut mince,

Point à la ligne

Rectiligne

De l'équilibre.

 

Jérôme de Mars

 

Pense-bête

 

Dès qu'on pense bête,

On ne pense bête

Avec le pense-bête,

Qu'on pense en bête

Décompense bête,

Et qu'on panse et bête

Qu'on embête, hébète,

Et compense pense-bête,

Où l'on pense bête

Et dépense bête,

Hébète, qu'on embête

Et bête,

Dès qu'on dépense bête,

Des pense-bête

Et qu'on panse bête,

Avec le pense-bête

Qu'on dépense hébète,

Et bête

En bête,

Qu'on embête

Pas bête,

Hébète, qu'on pense en bête

Et dépense bête,

Qu'on embête

Et qu'on hébète,

Qu'on pense bête

Et compense bête,

Dès qu'on panse bête

Qu'on est bête,

Hébète,

Qu'on embête

En bête,

Dès qu'on ne pense bête.

 

Jérôme de Mars

 

                                            Blagues :

 

 

1) Pourquoi Brigitte, n'es-tu jamais disponible ?

- Parce-que t'es tout le temps hein partie ( imparti )  !

2) Pourquoi Brigitte, ne m'adresses-tu plus la parole avec moins de considération à mon égard ?
- Parce-que je n'ai pas tenu ma parole envers toi !

3) Pourquoi tout le monde m'a-t-il toujours pris de court ?
- Parce-qu'on a toujours fait des raccourcis sur moi !

4) Pourquoi tout le monde m'a-t-il toujours choqué avec des mots fléchés ?
- Parce-que j'ai une case en moi !

5) Pourquoi Christophe, regrettes-tu d'être redevenu ami avec moi ?
- Parce-qu'on s'est mal débrouillés !

6) Pourquoi toi Catherine, le peintre, ne me réponds-tu plus à mes messages ?
- Parce-que comme je joue sur tous les tableaux, tu ne peux plus me voir en peinture

7)  Pourquoi Yapo, m'as-tu laissé tomber   ?

-  Parce-que j'étais trop bon enfant  !

8)  Pourquoi à L'ESAT de Vitry, tous mes collègues me détestent-ils,s'en foutent-ils de moi et me trouvent-il bizarre ?

- Parce-que comme je n'ai pas de parole, je ne m'entends avec personne !

9) Pourquoi tout le monde est-il désinvolte avec moi ?
- Car à force des volte-face de tout le monde à mon égard, je survolte !

                                           

                               

                                            Jérôme de Mars

 

 

La générale de gaule

 

Ex cités dans leur quartier

Militaire tout retourné,

Les hommes mercenaires

Ont la générale de gaule,

Avec la gaule,

Pour jouir sur le sol

Avec leur calibre

Qui vibre,

Qui tire et qui pointe

A la pointe

De leur sexe qui débite

Les belles femmes

Qui leur donnent de gaule générale,

Où avec leur engin amiral,

Ils pointent et ils tirent

Avec leurs boules

Maboules,

Sur tout ce qui les attire

Ces cochons-nés,

Où ils se font gauler,

Lorsqu'ils ont la gaule

Allumée,

Et s'ils miaulent

Les chattes qui les débandent

En bandes

Organisées,

Ils se font accrocher

Leur sexe visqueux

Avec leur queue,

Collante 

Et tournante,

Pour régler

Et payer

En nature

Et en liquide,

Toute leur crème limpide

Qui dégouline,

Comme de la purée

Mousseline,

Sur les chattes des femmes

Qui sortent les griffes,

Aux escogriffes

Des hommes aux âmes 

A femmes,

Dont leur bite

S'enflamme

Infâme,

A placer

Et à entrer

Dans le bon trou

A poil des femmes,

Qu'ils pénètrent en ouverture

De ce festival de cames

Obsédées et abonnées,

Au sexe complexe

De la générale de gaule,

Pas de quartier

Annexe,

Où les soldats désarmés

Terminent leurs aventures

Et où après, ils partent 

Au pays de la générale de gaule,

Molle

Avec leur crème à la tarte,

D'un bémol

Pas de bol,

Pour la générale

De gaule,

Sans excitation

Et sans irritation,

En érections 

Désamorcées,

En réunion

De cette débandade,

A la dérobade

De la générale de gaule,

Amicale

Mais en embuscade,

Dans la ballade

Des femmes,

Qui envoient débouler

Ces hommes, sentinelles

Dans l'appareil,

Comme des boulets

Aux mauvaises pénétrations

De la gaule,

Sans raison

Avec la générale de gaule

Qui la pointe finale

Et fatale

Dans les annales

De la fermeture.

 

Jérôme de Mars

 

                                               Blague  :

 

 

 

Pourquoi n'ai-je pas trouvé la clé à mes problèmes  ?

-  Car comme je suis renfermé, je n'ai pas trouvé l'ouverture d'esprit !

 

 

                                   Jérôme de Mars

 

                                           Blagues :

 

 

1) Pourquoi Brigitte, ne m'envoies-tu plus beaucoup de sms et ne me parles-tu quasiment plus ?
- Parce-que tu as eu le dernier mot !

2) Pourquoi ma soeur a-t-elle quitté la région parisienne, s'est-elle iinstallée dans le sud et est-elle toujours fâchée avec 
moi ?
- Parce-qu'elle a perdu le nord avec moi !

3) Pourquoi ma famille va-t-elle souvent à Cavalaire ?
- Parce-qu'elle cavale l'air de rien !

4) Que fait un cycliste qui a des petits vélos ?
- Il se recycle en faisant un tour !

5) Pourquoi Catherine, ne réponds-tu plus à mes messages ?
- Parce-que tu ne peux plus me voir en peinture comme je joue sur tous les tableaux !

 

 

                                            Jérôme de Mars

 

Ainsi Dieu  !

 

Ainsi Dieu

Ave un pieux

Insidieux,

Dont le diable Satan

S'attend radieux,

D'un non de Dieu

Insidieux,

Ainsi Dieu de son pieu

Qui dort un pieux

Et Ave au paradis,

Une bible d'un nom de Dieu

Miséricordieux attend le diable

D'enfer,

Au paradis

Radieux,

Dont Dieu s'attend 

A ce que Satan

Prenne le lit pieux radieux,

Pour le rendre insidieux

Ainsi Dieu s'attend

A un paradis d'enfer,

Insidieux

Satan ainsi Dieu,

Qui Ave pieux

Dans son pieu.

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blagues  :

 

 

 

1)  Que dit-on d'un coureur cycliste du Tout de France qui est fou   ?

     -  Il a des petits vélos  !

 

2)  Pourquoi un coureur cycliste du Tour de France se dope-t-il au négatif   ?

    -  Parce-que s'il se fait contrôler, il est positif  !

 

 

 

                                          Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

                                               Blague :

 

 

Pourquoi Alexandre, te presses-tu pour aller aux toilettes ?
- Parce-que t'as une envie courante !

 

 

 

                                        Jérôme de Mars

 

                                               Blagues  :

 

 

 

1)  Qu'est-ce-que ça fait un homme obsédé sexuel qui baise une pléiade de femmes par derrière  ?

 -  Il fait les quatre cent culs  !

 

2)  Pourquoi la parole de Louis 14 était-elle d'argent comme il aimait le sexe  ?

 -  Parce-qu'il aimait l'écu  (  les culs )  !

 

3)  Qu'est-ce-que ça aurait fait  pour Simone Veil, si elle avait renoncé à son projet de loi de L'IVG  ?

-  Elle l'aurait avorté  !

 

4)  Qu'est-ce-que ça fait si Simone ne fait plus attention à notre santé  ?

-   Simone n'y  veil   (  veille  )  plus   !

 

5)  Pourquoi Madame Manoiline, la directrice de L'ESAT de Vitry, n'a-t-elle toujours pas signé le diplôme différent et compétent  ?

-   Parce-qu'elle s'en tamponne  !

 

6)  Pourquoi faire Les CVP, ça nous gonfle  ?

-  Parce-que ça nous pompe  !

 

7)  Pourquoi faire Les CVP, c'est chiant  ?

-  Parce-que ça nous pompe l'air  !

 

8)  Pourquoi depuis qu'il y a les travaux de rénovation à l'intérieur de L'ESAT de Vitry, personne ne peut se blairer  ?

-  Parce-que plus personne ne peut se voir en peinture  !

 

 

                                       Jérôme de Mars

 

 

Jacquochi dance

 

Chère tante

Jacqueline,

Ca me tente

Avec des églantines,

De bâtir une tente

En danse

De contredanse,

Transgenre et trance dance,

Dans la dance

Jacquochi dance,

Qui est la danse

Très ultra dense,

Où je singe

Les singes

De Cheetah

Dans la jungle d'Eliane de là,

Car Jacquochi dance

S'élance et danse

Dans la mouvance 

Avec clairvoyance et cadence,

Qui contredanse 

La voyance,

En clair débrouillé,

Quand les pistes de danse

Ne sont claires et embrouillées,

En un toupet olé olé

Pas en paix,

Dans les allées et les vallées

Dévallées du valet,

Dance et ultra dance,

En transe

Trance,

De la dance

Cadence et redondance

Dans l'insolence 

De Jacquochi dance

A Cavalaire,

Qui cavale l'air

De rien,

A l'entrain d'un quatrain

En un quatre en un,

Toi, Jacquochi dance

En contredance,

Toi, Simon en amont,

Toi, Luis et lui,

Et toi, Simone,

La femme amazone

Et anémone,

Où tu fais une fleur à Jacquochi dance

Qui démonte la tente,

Car ça te tente

Que tu arpentes

La pente

En parapente,

Où tu intentes

Un PRO CD

Dance, 

A Jacquochi dance,

Car CD dance

Ultra transe dance,

Trance,

Danse, dense, à contredanse

Et à redondance,

Toi, Jacquochi dance

A la cadence,

Qu'à danse qu'on danse

En nec plus ultra dance

En trance genre,

De transe danse

En dance.

 

Jérôme de Mars

 

Ramages

 

Au bel âge

Du mari volage

En marivaudage,

Les oiseaux en vagabondages

Battent de l'aile dans leur couple,

Lors des ramages

A tire-d'aile

Frontal et fatal,

De la marche inaugurale,

Quand ils font le grand écart souple

Dans la danse des oiseaux,

Avec la lettre du corbeau

De la chorale des ramages,

Passéistes du bon vieux temps des nuages

Blancs et crémeux,

Qui mangent du ciel fromage

Bleu, dépaysant et studieux,

Au firmament du silence radieux

Qui engendre des ramages,

Jalonnés d'une embellie pulmonaire

D'un coup de baguette magique et solaire,

Dans le clair de la lumière,

Lorsque les ramages

Récoltent des sondages,

Salutaires et volontaires

Sur La Terre,

La messagère

Des ramages

D'oiseaux à leur courte durée passagère,

En inventaire.

 

Jérôme de Mars

 

Blues mélancomie

 

Dans ces mirages de brousse,

J'ai la frénésie du déni d'oubli

Blues mélancomie,

Où j'ai la frousse en verts poèmes

Qui me suivent à mes trousses,

Que j'en glousse spleen à l'oedème

Blues mélancomie,

Que j'en gerbe à l'herbe droguie

Où j'articule l'ennui

En majuscules de nuits enfouies

Blues mélancomie,

Car tantôt, j'en ris

Tantôt je dépéris

Que j'en déduis

Qu'il est temps tôt,

Que je m'en aille d'un pas de trop

Blues mélancomie,

Où je chavire avec mon navire,

Comme un sbire qui vire

A la dérive et chavire,

Ses eaux usées en nausées de soupirs,

Blues mélancomie,

Du chagrin témoin à l'euphorie qui revit

Un monde de bulles colorées et décolorées conciliabules

Chewin-gum et bulles de gomme d'où je déambule

Quand on m'appelle l'ambulance qui se fout de la charité

Et de l'hôpital en fond de chrétienté apparenté fraternité,

Blues mélancomie

D'où je pleure avec mes saules pleureurs

Et où j'en ris et je m'embellis avec mes enjoliveurs,

Des larmes au rire, du pire au soupir du rire d'une joie

Qui dure quelques mois et parfois, pendant plusieurs écrins de sueurs

Aux lueurs de mon poids qui en devient soie à la galette des rois,

Blues mélancomie

Où je gémis de douleurs en suie,

Et où enfin, je finis et j'essuie

Avec philanthropie, du blues mélancomie,

Au blue bonhomie

De la nuit au soleil et puits.

 

Jérôme de Mars 

 

Provoc choc

 

A cette époque baroque

Et très rock'n roll,

Dans cette ambiance folle

Le blues troque 

Les événements en bémol,

Qui crispent la clé molle de sole

Dans l'énigme qui évoque

La provoc choc,

En équivoque, dès qu'on révoque

En toc et dans la coque,

Un oeuf à la coq,

Provoc choc

Qui pousse des poussins

Dans le dessein,

Des mousses à la rescousse hein

En doigt d'honneur

D'un art mineur

Provoc choc,

Qui est le propre décence propre en croque

Monsieur et croque madame, sur les quidams en cote

D'émail à la dent dure provoc choc

Qui trotte dans un fuck en funk,

D'injures jurons de rien, lorsqu'on dérape et qu'on rétropédale

Aux dalles que dalle infernales du mémorial,

Provoc choc,

Où la question, on la réévoque,

En juge et répartie, du sablier imparti

Politique et satirique pour en prendre le parti

Départi d'en rire au pire des inepties en furie,

Provoc choc,

Dès qu'on entrechoque le pare-chocs

Tandis que les limites semblent franchies

Et affranchies, de ces frenchies qui en charrient

Et ne tarient d'éloges à la salle du récital en éventail,

Provoc choc

Et bourrasques de vent qui survoltent au moindre détail

L'emprise aux prises surprises prises sur la fête comme une loque,

Où cette vilaine et malfaisante absurdité érige sur la cote en pente

Provoc choc autel surdité et intensité,

Quand on arpente

Le parapente qui nous intente

Un procédé digital et métal très hard que ça nous tente

De dériver de la provoc choc,

Aux ondes de choc, par chocs.

 

Jérôme de Mars

 

 

Vas-y encore  ! 

 

Au plus fort,

Tu as le corps 

Tout chaud,

Dans l'action accro,

Où de ton corps

Vas-y encore,

Tu la sens,

Tu l'attends,

Tu la tends

Ou tu la détends,

Avec le sexe qui bande

En contrebande,

De ton érection couillue

Et poilue jusqu'au cul,

Où de ses nichons

Tu t'en branles,

Mais quand c'est cochon

Tu les branles,

Dans une branlette espagnole

Qui t'ébranle,

Où tu te les branles,

Car après elle te turlute 

Avec sa langue de pute en rut,

Car je lui dis vas-y encore,

De ta gaie chatte

En geisha,

Ainsi, ça rentre et ça sort,

Bien monté sur ressorts,

Comme la main à la pâte

De sa poitrine si extra,

Qui excite ta queue,

Quand elle file à l'attente pour faire la queue,

Où tu débites

Ce qui te frite et t'excite,

Vas-y encore

Cochonne et coquine,

Tu es trop libertine

Pour que je résiste à ton corps,

En branle-bas-de-combat

Qui t'ébat et m'ébat,

Car y a d'ébat,

Où tu tombes le bas

Dans le sexe sans complexe

Et unisexe,

Où tu niques

Et tu forniques,

Car tu as paniqué

Mais tu as niqué,

Sans pas niquer

Au tourniquet,

De la tour niquée,

Car ça t'a niqué

Avec ta queue et ta chatte

Au diable d'enfer,

Où pour terminer à t'astiquer la patte

Tu la joues, tu la jouis, tu éjacules

Et tu la sors,

Ta crème fraîche

Tête bêche,

Où t'as du cul

A lui pénétrer son derrière,

Dans sa chaumière,

Vas-y encore

Et frappe très fort

Avec renfort,

Car après l'effort

Vient le réconfort.

 

Jérôme de Mars

 

                                             Blagues  :

 

 

1)  Qu'est-ce-que ça fait un Arménien contre un juif   ?

      -   Le pot de taire contre le pot d'en faire   (  d'enfer  )

 

2)  Pourquoi suis-je planté comme un poteau là-bas   ?

     -   Parce-que je suis poto avec toi   !

 

 

                                      Jérôme de Mars

 

                                              Blague :

 


Pourquoi Lionel, t'es-tu endurci grâce à tes vacances dans l'Ile De Beauté d'où tu rentres aujourd'hui à Paris ?
- Parce-que tu es blindé avec l'écorce terrestre !

 

 

                                      Jérôme de Mars

 

                                                Blagues :

 

 

1) Pourquoi est-ce-que tout le monde me malmène et ne me considère ?
- Parce-que pour les autres, mon respect m'est pris !

2) Pourquoi ne suis-je pas quelqu'un de léger sur Terre ?
- Parce-qu'avec tout mon fardeau accumulé sur Terre, je suis devenu un poids lourd du centre de gravité !

3) Que dit-on d'un vendeur qui travaille dans un magasin commercial de grande surface à Belle Epine et qui dépose le bilan ?
- Il a travaillé aux galeries la faillite !

4) Qu'est-ce-que ça fera pour toi Catherine, si tu exposes tes tableaux dans une galerie d'art qui dépose le bilan ?
- Ca fera pour toi les galeries la faillite !

5) Pourquoi Jonathan es-tu toujours négatif ?
- Parce-que y a pas photo !

6) Pourquoi Jonathan, t'en fous-tu de tout ?
- Parce-que c'est ton unique centre d'intérêt !

7) Pourquoi papa, n'as-tu jamais su t'y prendre avec moi ?
- Parce-que mon comportement marginal n'a fait que te surprendre !

8) Pourquoi la rafle du Vel D'hiv fut-elle démente avec des coups de folie ?
- Parce-que Les Allemands avaient des petits vélos !

9) Pourquoi le régime de Vichy sous Pétain fut-il éradiqué ?
- Parce-qu'il tomba à l'eau !

 

                                            Jérôme de Mars

Des faux et des qualités

 

Pour de vrai ou pour de faux,

On a tous des qualités sans défauts

Ou des qualités par des faux,

Zéro défaut, ah !  les chats faux

Qu'on passe à l'échafaud

Qu'on choisit par défaut,

Avec la qualité en porte-à-des faux,

Car on privilégie la qualité sans défaut

A la quantité par des faux,

Où on a tous des faux

Et des qualités par défaut

Ou défauts par qualité

Avec des faux,

Pour de faux par qualité

Ou avec des faux par qualité

Des défauts de qualité

Ou de qualités par des faux,

Où l'on décide pour de faux

Ou par qualité,

En porte-à-des faux

Ou par défaut,

De faux troubles

En défaut rouble

Ou par qualité,

Avec zéro des faux

Ou par qualité,

Ah !  les chats faux

Ou par défaut,

A l'échafaud

Et par qualité pour de faux

Sans défaut,

Mais par des faux et des qualités

Pour de faux défauts et pour de vraies qualités,

Sans des faux

De qualité pour défaut.

 

Jérôme de Mars

 

Comme une chanson

 

A l'horizon garni,

L'oiseau fait son nid,

Où nous marmonnons avançons

En avant et non à reculons

Comme une chanson

Qu'on ballade en mélodie,

Dans le genre des on-dit

Aux énumérations en questions,

Où deux phrases au complet

Forment un couplet qui s'accouplait

Au balcon fleuri,

De l'appel d'un corbeau à sa chérie,

Où avec la fièvre au front

De la folie, nous montons en affront

Comme une chanson,

Où y a plus de saison

Avec le même refrain en courtoisie,

Qui sourit et rit à l'endroit favori

Aux roucoulades d'idolâtries, 

Que les fleurs bleues romantiques épient

Avec leur pierre polie dans des hallucinations,

Evidentes et abordables en suggestions

Comme une chanson

A l'écoute berçante d'émotions,

Quand la communion allie

L'utile et l'agréable qui prient,

A nos souvenirs consommés et assommés,

Où l'on est sommés dans ce couplet

De rebondir au sommet de nos paroles ragaillardies

Et hardies avec les défis inédits,

Qui nous attendent au tournant des transitions,

Où nous devons saisir les occasions

Comme une chanson,

Entre deux variations,

Où après la nuit

Vient le jour rempli d'envie,

Qui ferme ce couplet

Car nous sommes au complet,

Comme une chanson

Dans sa terminaison.

 

Jérôme de Mars

 

Le sourire aux lièvres

 

Bec de lièvre,

C'est la fièvre

Du bout des lèvres,

Avec le sourire aux lièvres

Des sauts de chauds lapins,

Comme le lièvre et le tordu entre lopins

De terriers et le coup du lapin,

Quand on pose des lapins en pépin

Du fruit de nos larcins, avec dédain,

Car leurs museaux hautains carottent

Tous ces raconteurs de salades qui trottent

A la tête des lièvres

Avec le sourire aux lièvres,

A la botte

Des bâtons de carottes,

De ces lapins de Garenne

Qui tiennent les reines,

Avec le soupir aux lèvres

Et avec le sourire aux lièvres,

De la fièvre d'orfèvre

Pas mièvre et qui ne sèvre

Les impatients chauds lapins de Sèvres,

Où une fois à la portée de tous,

Ils donnent un coup de pousse

En levant le pouce,

Avec le sourire aux lièvres

Et avec la fièvre 

Du bout des lèvres,

En posant des lapins

Afin d'avoir un destin

Enfin.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                  Blagues  :

 

 

 

1)  Pourquoi à L'ESAT de Vitry, c'est chaud en ce moment   ?

     -  Parce-que tout tombe à l'eau  !

 

2)  Pourquoi à L'ESAT de Vitry, pendant les travaux de rénovation de la façade intérieure, personne ne se supporte    ?

    -   Parce-que personne ne peut se voir en peinture  !

 

3)  Pourquoi à L'ESAT de Vitry, tout le monde se flingue-t-il tous les jours en tirant avec des paroles sur ceux qui sont complètement à L'Ouest  ?

   -    Parce-qu'à L'ESAT de Vitry, on est tous les jours au Far West  !

 

 

 

                                            Jérôme de Mars

Info intoc

 

Tac-o-tact,

C'est le contact

Qu'on t-acte,

Dacodac

Acte un,

Qu'on matraque

En trac hein

D'en tract,

Du tic tac

Ric rac,

Qui craque

En traque

Tac tac

Dans ce micmac

Tact tact,

Info intox

Par défaut desintox,

Dans la boxe

Des paradoxes

De l'équinoxe,

Info intoc

Par défaut toc,

En roc

Toc toc,

Du troc

En vrac,

Qui croque

Pendant l'entracte

Qui signe un pacte

En impact,

Info intoc

Par défaut toc,

Du tac-au-tac

En tact-au-tact,

Toc toc

En un tact

Intact,

Du tac-o-tac

En tac-on-tact,

Info intox

Par défaut desintox,

En clic-clac

Du déclic en claque,

Qui du clap coupe-fin 

Frappe le clap défunt,

Qui rappe

Moteur et dérape

Du moyen acte,

Acte enfin

Qui justifie les moyens

Moyens

En clap de fin.

 

Jérôme de Mars

 

 

Les oiseaux immigrés

 

Dès les balbutiements de l'été rural,

Après le décollage

Au ciel, voici l'atterrissage

Au sillon du droit du sol,

Où les oiseaux immigrés

Flânent avec leur parasol

Au coin d'un paisible village,

De la lumière à l'ombrage

De leur périple,

Dont ils se galvanisent en volatiles disciples,

A séjourner dans ce territoire hostile

A l'adresse des nouveaux venus

Des grandes villes,

D'où les quelque rares âmes les observent avec méfiance

Dans la volupté de chiens de faïence,

Comme si la différence

Avait une si grosse importance,

Aux yeux de vipère

De ces habitants dans leur insignifiance

De ce voyage exotique 

Et tropique

Pour ces oiseaux immigrés au soleil épique,

Alors que pour les villageois, ça semble un voyage toxique

En prises de bec misanthropiques,

Où la réalité 

Rejoint la fiction

En frissons de frictions

Dans ce défilé 

De noms d'oiseaux en saga cité,

Car ces oiseaux immigrés

Ne rentrent dans leurs papiers

Du peuple de ce petit bourg,

Qui les invite en conte à rebours,

Selon leurs souhaits

Pour enfin atteindre l'objectif escompté

De leurs critères,

Afin de revenir

A la frontière

Et de la franchir,

Mais ces oiseaux immigrés déterminés,

De par leur farouche refus d'allégeance

Et par vengeance

Et pour leur clouer le bec,

Qui les débectent

N'écoutent guère

Ces conseils d'à mi insensés

Au guêpier annoncé et avorté

D'expatriés et d'exilés,

Car si les villageois sont ex prêts

A les accueillir,

Eux, les oiseaux immigrés

Vont exprès s'intégrer

Et s'épanouir

Avec leurs cartes de ces jours,

Et avec plus jamais

De détour

Et de retour,

Où à force d'impatience

Et d'insolence,

On leur accorde la nationalité

Française

De sang-mêlé

Avec aucun démêlé

A la bonne heure

Qui demeure

Tout à leur honneur,

Où très vite, ils trouvent leur place

A la surface

Et à la hauteur

De la distance,

Qu'ils prennent avec leur ancienne commune,

Où désormais, ces oiseaux intègres

Et naturalisés,

S'intègrent allègres,

A la communauté

Commune

De ce minuscule patelin, 

Où on leur déclare devins

Bienvenue

A la maison et à votre aise.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                        Blague  :

 

 

 

Que demande-t-on à un rescapé sorti indemne de l'attentat survenu le lundi 18 juin 2017 Aux Champs-Elysées après qu'un véhicule ait percuté une camionnette de gendarmerie   ?

 -   Ca gaze  ?

 

 

                                                 Jérôme de Mars

C'est de saison !

 

A l'ère des feuilles mortes

De l'automne en tome stone,

Les arbres dévêtus et atones

L'emportent aux amours fortes,

Où c'est de saison

De composer en illuminations,

Les fées d'hiver

Qui sentent la naphtaline du sapin d'hier,

Entre les contes de faits de Noël 

Et la nouvelle année

Qui prend le relais,

A sa santé jusqu'au bout du tunnel

Du froid et de la grisaille

Au fond des entrailles,

Du royaume de la pluie

Qui vide son puits

Et qui ruisselle,

Vers la passerelle 

De l'escarcelle

De la fève

Des mois rois

Et du désarroi,

A la sève

Du printemps 

Qui vient balbutiant

Et triomphant,

A la gloire du bon temps

Du soleil transpirant

En fusion

Et en effusion,

Avec le bleu azur

Qui jette madame nature

Dans la pâture

Des herbes en décor d'ouverture

Avant l'été,

Où c'est de saison

Qu'on se le dise en émotions

Que le printemps été divers et monotone,

Aux regrets de la nostalgie

Qui tenait la chandelle

Des souvenirs d'occasion,

Où c'est de saison

Aphone que sonne et résonne

Du temps des cieux,

Quand c'été mieux

Cette jolie mélodie qui dédie

La ballade du froid rétro

Au chaud d'un slow

D'été,

Où c'est de saison

Qu'on clôt le bal des exaltations

Au balcon de l'horizon

Des quatre saisons.

 

Jérôme de Mars

 

Des pieds et des mains

 

A deux mains,

On fait des pieds

Et des mains

Pour mettre le pied

A l'étrier,

En donnant un coup de main

Et en mettant la main

A la patte du gai pied

A contre-pied d'un coup de pied,

Car les doigts d'or d'une main

Débouchent en une main tendue

Et s'ensuivent en une main courante

Des pieds et des mains entendus,

Où l'on fait un doigt et un bras d'honneur

De manchot pour taper 

Le code donneur du bras droit,

Où l'on fait des pieds

Et des mains

Pour partir du bon pied

Et se reprendre en main

A deux mains.

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blagues  :

 

 

 

1)  Pourquoi Les Etrangers sont-ils plus optimistes que Les Français   ?

     -  Parce-qu'ils voient la vie en couleurs

 

2)  Que dit-on d'un cul de jatte qui s'en fout de tout  ?

    -   Ca lui fait une belle jambe  !

 

3)  Pourquoi doit-on toujours être en marche dans ce monde  ?

    -   Pour être dans le mouvement  

 

 

 

                                          Jérôme de Mars

Poly tics

 

Toc toc,

C'est le facteur à risques

Qui cloque en toc

Avec ses manies et ses tics

Poly tics,

Où il tique et clique

Sur l'apolitique,

Car il nique la politique

En troc

Et très roc,

Avec la trique du fric

Qui flique toujours la même musique,

Des promesses poly tics,

Non tenues, allergiques,

Synthétiques et anachroniques

Dans la chronique de l'apolitique,

Qui nique la politique

Amnésique

En folk, en funk, en fun

Et à l'aphone du téléphone,

Car notre voix est plus artistique

Que politique,

Avec tous ces corrompus sataniques,

Aux tics politiques,

Qui niquent et forniquent

Ces pauvres apolitiques,

Qui cliquent l'apolitique,

En politique

Pas frénétique,

Car c'est trop folklorique

Leur politique

A la mécanique

Bien huilée mais automatique,

Qui pique 

Et nique

En un pique-nique

Electronique,

Qui nique

Tous ces apolitiques

Aux multiples tics,

Qui n'y croient plus en la politique

Arithmétique

Et technique,

Mais en l'apolitique

Du simple clic

En poly tics.

 

Jérôme de Mars

 

                                              Blagues  :

 

 

 

1)  Qu'est-ce-qu'un suicide réussi  ?

     -   Quand on ne change pas de fusil d'épaule  !

 

2)  Pourquoi Brigitte, ne me contactes-tu plus par sms  ?

    -    Parce-que tu n'as pas saisi le message  !

 

3)  Pourquoi Christophe, ne réponds-tu plus à mes sms  ?

   -    Parce-que tu n'as pas saisi le message  !

 

 

                                          Jérôme de Mars

 

Machine à décrire

 

En portraits de caractères,

L'encre jette son écriture

En fioritures

D'arabesques,

Dès l'élaboration d'une fresque

Presque à contre-nature,

D'une machine à décrire

De drôles d'aventures

Littéraires

A transcrire,

En ne boudant son plaisir

A ravir

Les férus d'ac stylo,

De leurs secrétaires

Dactylo avec leur stabilo,

Qui rédigent et tapent

En forces de frappe,

Sur la machine à décrire

Les histoires à dormir

Debout et à écrire

De leurs caractères

Bien trempés,

Des mots très radicaux

Et cruciaux en bloc de matériaux,

Qui expriment leur toupet

Olé olé

Dans des lapsus révélateurs

De leurs statuts d'amateur

En stock d'occasions,

Où ne manquent les questions

Sans réponses qui poncent,

Enfoncent et défoncent

La machine à décrire,

Le sujet principal

Qui reste sujet dans les annales,

Des noms d'oiseaux avec le stylo

Qui glisse des gros mots,

Comme le dico qui fait déco,

Où après la machine à décrire

Le parlé,

On attend désormais la machine à écrire

Le phrasé,

Au franc-parler

En pourparlers,

Pour parler

Le Français bien figuré

Des fins lettrés.

 

Jérôme de Mars

L'ami idéal

 

Pour ouvrir le bal

A tout âge,

On rêve d'avoir

Dans nos bagages,

L'ami idéal

En avoir,

Qui nous comprenne,

Nous soutienne

Et ne nous laisse tomber,

Au moindre problème

Avec des quatre vérités,

Qui rendent l'amitié blême

Et où plus jamais, elle ne s'aime,

Car alors la relation parsème

Une affection de gale,

Où plus personne n'est d'égal à égal

Avec l'ami idéal,

A cause du mal

Qui râle 

Notre amitié avec sévérité

Et ces vérités

Qui ne sont bonnes à dire,

Car elles ne font que médire

L'ami idéal

Dont son estime dévale

A notre égard,

Avec le mauvais regard

Qu'il porte en nous,

Et pour que le malentendu se dénoue,

Rien de mieux que de nous

A vous,

On renoue

Avec l'ami idéal,

Auquel on lui voue

Tout notre redoux,

Car plus on rit, plus on est de fous

D'égal à égal.

 

Jérôme de Mars

 

                                                    Blague :

 

 

Que dit-on d'un Français qui patiente avant qu'une nouvelle attaque terroriste de DAESCH se produise de nouveau en France  ?

 -  Il est dans l'attente à ce qu'une nouvelle attaque terroriste de DAESCH se produise de nouveau en France  !

 

 

                                            Jérôme de Mars

  

 

Dérape show  !

 

A Vitry Sur Scène, berceau du rap,

Tout le monde se tape

Et se frappe,

Comme s'il manquait le cap

A Vitry, d'une ville plus fraternelle,

Avec davantage de respect mutuel

A la paix et à l'âme intellectuelles,

Car à l'heure actuelle à Vitry

Cohabitent la folie des gros mots

En insultes et gros,

De la part des ados qui prennent les habitants

Pour des rigolos

Entre amusement et déchaînement,

A Vitry, les gens sont froids

Mais pèsent de tout leur poids,

Pour être des haltères égaux

Spécialistes et experts dérape show,

Car à Vitry, il fait chaud

De cailleras,

Lorsque les racailles

Dans ce froid chaud caillent

Par les tenailles et la mise sur la paille,

Dérape show, où se resserre l'étau

De ce méli-mélo, entre le gros lot

Et les gros lolos de ces nigauds

Et de ces finauds,

A l'allure désenchanteresse

De la forteresse

Des maux qui caillent ras,

A Vitry, la ville fantôme

Qui conjugue épouvante et hématomes,

D'où ils paraissent en composant le tome

D'un livre à ciel ouvert avec ses atomes,

Qui alourdissent les ions, ces libres électrons

De Vitriots qui rugissent comme des lions

En cage

Et qui saccagent

Avec leurs grands frères,

Aux mauvaises prières

De leur entière rage,

Les poubelles

La vie

De Vitry,

Plus belles

La vie,

Dans la misère

Et la mélancolie des non-dits,

De leur vilaine rébellion

Dérape show,

Au chaud

De la loi du talion,

Où le passage

Se fait dès l'orage

En vers ni sages,

Du vernissage

Que je fais passer en ce message,

Dérape show

Qui râpe en fromage

Dans l'eau

Et en allo,

Le monde, que se passe-t-il  

Et pourquoi trépasse-t-il  ?

D'en ils

Aux presqu'ils,

Depuis cet ancien mai sage

Plus sage.

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blagues  :

 

 

 

1) Pourquoi Hitler était-il froid ?

    -  Parce-qu'il faisait Shoah  (  chaud ah  )    !

 

2)  Comment appelle-t-on nom de dieu un matou de Téhéran   ?

   -  Un chat d'Iran  !

 

3)  Pourquoi vas-tu souvent aux toilettes  ?

  -   Parce-que tu t'en laves les mains  !

 

4)  Comment dit bonjour un juif à Hitler   ?

  -   Il lui fait salut nazi  !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Annie Chic

 

Avec son briquet,

Annie est chic

De son nom,

Mais avec son sobriquet

Annie n'est chic

De son non

Même si elle s'appelle

Annie Chic,

Car elle ne pense qu'au fric

Et flique

Le pauvre Michel,

Le grand Saint-Michel,

Qui n'a pas la méchanceté pour un sou

Mais la simplicité et l'affection d'un être doux,

Qui ne ferait de mal à une mouche,

Car Michel est une crème et de la bonne souche

Des généreux et honnêtes Français,

Pas comme Annie chic, dont c'est du chiquet

Tout ce qu'elle dit,

Médit et maudit

Sur les non-dits et les interdits

De ses côtés inédits,

De famille d'accueil,

Car elle accueille 

Michel,

Comme une feuille morte

Chez elle,

Mais Michel renaît en feuille forte

Une fois chez son ami, Jérôme

Qui lui fournit l'arôme,

D'un mille-feuilles

Qu'il cueille sans écueils

Mais avec l'accueil

D'un recueil

De dégustation sur son fauteuil,

Ainsi, Annie ensevelit

Michel au fond de son lit,

Et Michel va au Mont-Saint-Michel

Des sables mouvants,

D'où il s'effondre et qui l'emportent

Avec ses tourments,

De la sorte morte,

Alors que si jamais, Michel 

Quitte Annie,

Il retrouvera la liberté et l'envie,

Et ira frapper en Saint-Michel,

A la porte

De son ami Jérôme, qui lui fera l'immense échelle

A l'échelle

De sa gentillesse

Et de sa tendresse

A mon adresse,

D'où je lui adresserai le mot bienvenue

Et lui dresserai mon salut

A Michel,

Où comme ça, Annie sera chic

Pour le fric

Avec son briquet,

Dont elle enfume

Son sobriquet

Pour du chiquet,

Et aussi, elle ne sera plus le flic

De Michel,

Car Michel restera un Saint-Michel

En route vers la passerelle

D'une foi qui demeurera coutume.

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blagues  :

 

 

 

1)  Qu'est-ce-qu'un arabe qui vole  ?

      -   Un oiseau migrateur

 

2)  Qu'est-ce-qu'un métisse très irrespectueux  ?

     -    Un café olé

 

 

                                          Jérôme de Mars

Lionel

 

D'amis en liens unis

Aux détachements qui se délient,

Il s'en est passé

Des choses

Dans notre amitié contrariée,

Dont je suis la cause,

Car on se cause

A petite dose,

Juste par téléphone

Dont toi tel est fun,

En message

Depuis le mai sage,

Où plus rien ne sera comme avant

Car tu as tes propres priorités,

A combler,

Où en ce moment,

Tu fais l'inventaire et le bilan

De ta destinée pour savoir

Où tu en es,

Avec toutes ces histoires

De remises en questions,

Où l'on n'aura plus l'occasion

Pour en parler

De nos déboires,

Autour d'un buffet

A déguster et à boire,

Lionel, avant on était amis

Tandis que maintenant,

On est dans le déni

De cette relation très brouillon,

Qui prend le bouillon

Dans le déferlement

D'un océan turbulent,

Où l'on ne sait

Pourquoi toi et moi,

On en est arrivés là

Apparemment, tu préfères le tact

Et le contact

De Fabrice et de Boris,

Alors que de moi

Avec mes caprices,

Tu t'es éloigné doucement

Mais sûrement et distant

De ma paroi car ça 

Faisait trop là,

Où toi, l'adulte roi,

Tu m'as mis hors de toi,

Et au-delà de ce tas

Et de cet amas

De tracas et de fracas,

Où tu ne penses

Qu'à toi

Et tu t'en balances

De moi,

Avec l'offense

Et l'indifférence

De blablas

Qui restent ici là

Et bas,

Trop référence

A la loi des différences

Et à la loi du silence

En irrévérence,

Où toi et moi,

On n'est plus là,

Ni pour toi ni pour moi,

Car tu avances

A grands pas

De géants,

Dans la résilience

Et la résurgence,

Car tu te dis en toi

Y a urgence

A ta renaissance,

Pour sentir en toi,

La foi de la joie

Renouée sans fausses apparences,

Où maintenant, après ces années de tourments

Tu vas de l'avant sans prendre de gants

Avec moi,

Où ce sont tes aléas et mon état,

Qui ont foutu le camp

Dans notre amitié

A la criée et décriée,

Dans ton ignorance

Et ton insignifiance

Vis-à-vis de moi,

Où pour une fois,

Tu ne penses qu'à toi

Pour aller vers l'aura

D'un hip hip hip hourra,

Car oh là,

Tu as mis le ola, avec moi,

Lionel, pour saisir la passerelle

D'une existence avec celle,

Qui te fera voler de tes propres ailes

Dans une aquarelle

En ribambelle.

 

Jérôme de Mars

 

Le soleil lunatique

 

Aux aurores d'hier,

L'aube très matinale balaie d'un jet de pierre

Les bruyères et les fougères sous la jachère

Des landes qui moussent la confrérie bergère,

Lorsque le garde champêtre chuchote le soleil lunatique

Avec sa grande ourse à la dimension aromatique,

Et qu'il débraye d'un rejet l'univers et le cosmos

Qui régissent et qui osent la prose tangible de l'osmose,

Du soleil lunatique et de la lune ensoleillée

Qui se convertissent en un accident domestique 

Et en une veillée dépareillée,

Entre chrysanthèmes et roses

Qui boivent le rosé bien arrosé

Et préconisé en remède miraculé,

Quand le soleil lunatique met l'essence

Du diesel pour carburer du carrousel,

A la fréquence des ondes persiennes dans l'influence

De la lune ensoleillée qui déploie une quantité de merveilles,

Dans une quiétude d'encens qui roule en secrets de polichinelle,

Où les messieurs et les demoiselles sont conviés

A l'éclipse du soleil et de la lune,

Qui se transposent en une ellipse lunatique et ensoleillée,

D'un au revoir, chers invités de la voie lactée

Ressuscitée dans le silence de Béthune en l'une.

 

Jérôme de Mars

 

Le pont neuf

 

Faisons un Paris

Au bout des folies,

En édifiant dans ce quartier veuf

Un pont neuf,

Qui dansera en coureur de jupons

Avec les autres ponts,

Sans couper les ponts

En amont démon,

De monts en monts,

Du pont vieux

Au Pont Neuf,

D'ordinaire très radieux

En plein air, comme Le Pont D'AVignon,

Où l'on y danse tous en rond,

Car Paris ne s'est fait en un jour

De La Tour Eiffel à l'amour,

D'un Paris gagné dans un long fleuve,

Où pour toujours,

Le Pont Neuf

Restera neuf

Dans la poule aux yeux d'argent,

Régente et aimant

Cette nostalgie veule,

Aux portées neuves

De cet oeuf

Apporté veuf,

Du Pont Des Arts

Au rencard

Du Pont Neuf,

Où plus jamais

Pas de quartier,

Paris ne coupera Le Pont Neuf

Avec Le Pont D'Avignon,

En chansons d'accordéons,

Où nous accorderons

Paris en un boeuf 

De musique neuve,

Sous la direction d'un Paris plus veuf

Du long fleuve

Du Pont Neuf,

Pour qu'il pleuve

Un Paris en illuminations,

Qui émeuvent 

Toutes ces émotions,

D'un Paris à l'histoire plus veuve

Du Pont Neuf.

 

Jérôme de Mars 

 

 

                                                    Blague  :

 

 

 

Pourquoi Johnny Hallyday malgré sa maladie continue-t-il de donner des récitals  ?

 -  Parce-qu'il a le virus du concert  !

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

                                                    Blagues  :

 

 

 

1)  Pourquoi ai-je les boules lorsque je joue au bowling   ?

 -  Parce-que je joue maboule et que je suis sur la quille  !

 

2)  Que dit un gars à son ancien ami qui l'accuse de ne plus être fréquentable  ?

 -  Sérieux ? ! Je ne suis plus fréquentable  ? !

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

 

Plume d'oiseau déplumé

 

Au café qui n'est ma tasse de thé,

Je m'en vais à côté

Siroter au salon de thé un bon café,

Avec mon stylo qui fait couler beaucoup d'encre

En jetant l'ancre de cancre,

De ma plume d'oiseau déplumé

Aux coutumes de troubadour raté,

Râpé et dérapé

Dans un costume au visage voilé,

Où j'écume en tournée

Les cafés et les salons de thé,

De ma plume d'oiseau déplumé

A l'identité masquée et figurée,

Tant que j'ai déboulé

En giboulées

De Mars,

Sur la planète de Mars

Avec de grandes bourrasques,

Quand tombent les masques

Aux frasques sans casques,

De ma plume d'oiseau déplumé

A l'envol dérobé,

De ma plume enrobée

A l'enclume de solitude,

Embaumée et enrubannée

Question de mauvaises habitudes,

Où j'entonne avec la compagnie de mes amis

Un hymne entre les six gales et les fourmis,

Qui fonctionne avec des cils

S'ils

Ouvrent bien les yeux,

Avec des larmes de vers,

Ouverts et aux vers

D'un gamme aux verres,

D'il y a longtemps au creux

De mon mieux,

Où de ma plume d'oiseau déplumé,

J'offre le calumet de la paix

Dans un vent de liberté,

Au nom de l'amour et de l'amitié

D'un drôle d'oiseau de mauvais augure

Au niveau de zéro,

Où dans les révélations de ma généreuse nature,

J'espère et je carbure 

Au niveau des héros,

Où je finirai de ma plume d'oiseau déplu mais

A jamais ressourcé

En aventures,

Pour de meilleures villégiatures

En devantures.

 

Jérôme de Mars

Dans l'écu

 

Aux mots, on s'oriente

A ce qui nous tente,

Question sexe

A ce qui est complexe

Aux abords du réflexe,

Où l'on reste perplexe

Question sexe,

Quand on l'a dans l'écu

Moyennant l'argent

De notre corps à la parole 

Et aux actes d'argent,

Quand on l'a dans l'écu

De ces problèmes de cul

Et qu'on n'est pas trop aider,

A accepter 

Notre identité sexuelle bien sujette

Aux clichés de contre-nature d'amourette,

Alors qu'on conte fleurette

Dans le transe

Genre des bals-musette 

A contre-dense

Simplette

Depuis belle lurette,

Quand on l'a dans l'écu

De ces problèmes de cul

A rendre normal

Et banal,

Sans qu'on y voit du mal

Comme le rut animal

De ces mâles 

Et de ces femelles,

Pucelles

De l'hétéro

Mais plurielles

De l'homo

Habituel en un rituel,

Sans que ce soit un problème

Deux personnes du même sexe

Qui s'aiment

Complexes tellement que c'est complexe,

Pour les êtres lambda

Aux esprits de vieux réflexes,

Comme s'il fallait une tombola

Pour accepter l'ineffable

Et ce qui leur semble intolérable,

Car la différence

Est ce qu'il y a de plus respectable

Avec une digne révérence,

Car l'amour de même sexe

N'est pas un pécule,

Quand on l'a dans l'écu

Mais bien une histoire de moeurs abordable,

Honorable et affable

Des gens concernés par cette orientation

Sexuelle qui n'a lieu d'une profonde remise en question,

Car il n'y a d'interrogation

A traiter mais la solution

De s'accepter

Tel que l'on est,

Aux dépens des préjugés de cul

Que les intolérants ne comprennent

Et ne soutiennent,

Car cela les réfrène,

A eux amoureux

Comme les autre rejetés 

De par leurs péchés

soit-disant honteux,

On a envie de leur dire,

De les médire et de les maudire,

Qu'ils se mêlent de leur dégaine,

Ces ignorants de la loi du silence,

Car les gens ouverts

D'esprit préfèrent

Une société moderne,

Que de vieux aigris au regard terne

Et conservateur,

Ainsi pourvu qu'on reste évocateurs 

De l'avoir en plein dans l'écu,

De la parole d'argent

Et du silence qui dort

Des aurores,

Aux histoires de cul

De notre temps.

 

Jérôme de Mars

 

                                                     Blagues  :

 

 

 

1)  Pourquoi Christophe, te trompes-tu quand tu dis que depuis notre accrochage, notre amitié est au niveau de zéro   ?

  -   Car quand notre amitié a été positive, elle a été au niveau des héros  !

 

 

2)  Pourquoi peu de temps après l'attentat à Manchester, y en a-t-il eu un autre à Londres  ?

 -   Parce-que ça défile à L'Anglaise  !

 

 

                                             

                                              Jérôme de Mars

La nature spontanée 

 

Artificielle ou instantanée,

La nature spontanée

Semble cultiver le chant du bien,

A l'appel de la basse en contrebasse

Qui ronronne la musique acoustique et familière

Et qui chantonne la même mélodie temporaire,

Comme la fourmilière qui répand sa superficielle atmosphère

A la base de la place qui remonte à la surface,

Qu'occupe ambiant dans son environnement, l'identique chemin

Cousin du similaire petit air de réchauffé,

Où alerte ou endiguée,

La nature spontanée

Semble privilégier le champ du bien,

A la pelle des râteaux

Qui se prennent des râteaux

Et qui piochent bonne pioche le même courant vanné du ruisseau,

Comme la rivière vide de sens qui propage la sécheresse des mots

A la base d'une presqu'île d'îlot qui remonte à la rétro nécro,

Que vaque ambulant dans son ambulance, l'identique manque d'ambiance boute-en-train

Voisin d'une similaire petite aire d'échauffourée,

Où troublante ou inhibée,

La nature spontanée 

Semble récolter le chant à contre-champ de son refrain assez bien,

A l'épelle des mots 

Qui restent en mémo de profusion

Et qui voguent en démo avec les mêmes émaux à la maison,

Comme la cordillère des landes qui sème sa moisson

A la base de la basse en contrebasse qui remonte la saison des chansons,

Que diffusent les ondes micro-ondes aux identiques fours et aux moulins

Limitrophes de la similaire strophe qui contient une petite ère de déjà vu dans le refrain imaginé,

Où comme la fin justifie les moyens moyens ou très bien,

La nature spontanée 

Referme la parenthèse d'un trop plein,

En ayant fait le point d'humeur extraordinaire

Des journées au soleil émoussé,

Aux prémices d'une nuit au sommeil effronté

Et nuancé par la nature spontanée,

Et immatriculée entière 

Pendant la durée inaltérée,

Du coucher au lever.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                     Blague  :

 

 

Pourquoi les étrangers sont-ils plus gentils que Les Français ?
- Parce-que Les Français sont à l'origine d'être étrangers à la gentillesse !

 

 

 

                                          Jérôme de Mars

La croix et la bannière

 

 

Par les virages sinueux,

Qu'il paraît difficile d'accès

L'arrêt au mausolée remparé,

Paré et accaparé en rituel de sanctuaire

Dans un habitat de chaumière

A l'état de travers

Du lieu favorable

Qui réfléchit la lumière,

Quand le repaire fabuleux et nécessiteux

Franchit les barrières

Et les graviers d'onomatopée,

Qui ont tapé une flopée

De mots-clés,

Tant que c'est la croix et la bannière

Qui jonchent les tanières,

Qui fleurissent les arbres fruitiers

Et les primevères,

Qui plantent des graines de matières premières,

Tant que c'est la croix et la bannière

Au-delà de la table

Des seigneurs dans la clairière,

Qui jalonne la forêt dépêchée,

Pour récolter dans les mailles de ses filets

Un trésor précieux et silencieux,

En frontière avec les frères au clair,

Tant que c'est la croix et la bannière

De gravir le sommet de la paix,

En deçà de l'hymne élogieux et rembarré,

Comme le monde semble barré

Après avoir une factice amende honorable

De s'être péché sur la table aux aux-semblants agréable,

Tant que c'est la croix et la bannière

Avec l'art et la manière

De colorer l'humanité ,

En demi-teinte d'un fond gris de teint de luminosité

En intensité de réciprocité,

A proximité des à côtés

D'un jardin corsaire planétaire

Et de prières,

Tant que c'est la croix et la bannière

De conjurer l'élémentaire

Et de jurer Ave Pierre,

A la frontière solaire et lunaire,

De la lumière en nous frères de l'univers.

 

Jérôme de Mars

 

 

En cadre

 

Pour trait

Dans la nature morte,

Gisent en cadre

Des portraits qui circulent en auto

Et qui peuvent se voir en peinture,

Avec leur pastelle de couleur

Dont des crochets les encadrent

Et peuvent les encadrer

En cadre,

Dans le cadre

Des thèmes mineurs

Alors que la peinture est un art majeur,

En ares qui jouent sur différents tableaux

En cadre

Et que les artistes encadrent

Avec l'amour de leurs pinceaux,

Dans l'art et la manière

De la gestuelle et de la grâce,

Qui illustrent les pays sages

De ceux qui en font tout un dessin,

En ayant un tableau d'honneur

En récompense de leur grand talent,

De génies en herbe

Comme les tournesols de Vincent Van Gogh,

Et de ceux qui déjeunent sur l'herbe

Avec les reines Claude sur la nappe,

De Claude Monet, qui rend la monnaie

De sa pièce, en pièces attachées,

Impressionnistes et hédonistes,

Où tout le monde joint l'utile à l'agréable

A géométrie variable et au sens figuré,

De la nature de Picasso,

Qui voit les femmes de la chance avec brio

En je de dés pipés en cadre

Des musées amusés,

Qui encadrent en amusant la galerie

Des anges gardiens,

Qui l'ouvrent au musée en cadre

Et qui encadrent les bonheurs

Et les malheurs,

Hasardeux de cet immense bazar

En bric à brac,

Dans le cadre

Des beaux arts

De ce troisième art

Qu'est la peinture

Jamais deux sans trois.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                          Tête-à-tête 

 

 

Un dialogue imaginaire entre Serge, le musicien des mélodies et Jérôme, le mélo qui dit les maux en mots de musique  !

 

 

Jérôme  :    -    Bonjour Serge, comment vas-tu bien  ?

 

Serge   :      -     Cher Jérôme avec ces va-et-vient, je vais plutôt bien et je veux ton bien quoique tu penses du mal de mon bien, dont je souhaite ton bien, à savoir mettre en Seine tes poèmes  !

 

Jérôme   :   -    Ce n'est possible Serge, tu ne peux les mettre en musique mes poèmes, car tu as dépassé l'âge de la pierre à l'édifice, et tu ne l'ignores, je ne suis un poète maudit mais un poète médit  !

 

Serge    :       -    Te sers-je un vers de circonstances atténuantes  Jérôme   ?

 

Jérôme   :     -   Ce n'est le sujet et tu es hors propos Serge, car je suis vers de rage tant que je n'ai que des revers d'infortune  !

 

Serge  :     -   Te considères-tu comme un poète en lumière ou un poète illuminé   ?

 

Jérôme  :    -   Comme je suis à des années-lumière de toi Serge, je ne suis une lumière car je demeure dans l'ombre de mes vieux démons et de tout le monde ! Je me considère comme un poète illuminé et fou allié avec mes vieux amis aux si nombreux points communs.  Comme aux vers de l'amitié, je suis  à l'envers de tout Serge  !

 

Serge  :     -     Penses-tu Jérôme que l'eau a coupé les ponts depuis toutes ces années, où tu mets en lecture tes poèmes électriques et éclectiques, gardes-tu le fil  ?  Alors que quand tu rappuies sur le bouton de démangeaison rebobinage en arrière, tu vois ta vie défilée avec ses joies et ses  peines et là, perds-tu le fil  ?

 

Jérôme   :     -    C'est simple Serge,  pour l'occasion, te sers-je un verre de l'amitié en vers  ?  Ou plus sérieusement Serge, je me demande à quoi sers-je dans la vie  ?   Quand j'écris des poèmes, je suis un poète médit dont l'eau coupe les ponts de La Seine sans la scène au Pont D'Avignon, où l'on y danse tous en rond et où pour moi, ça tourne plus ou moins rond comme la terre lunatique, où j'ai les pieds sur La Terre lunaire, alors que quand, je n'écris, je suis en crises de vers d'acolytes car je coupe les ponts Dupond avec mes amis du soleil à la lune jusqu'au crépuscule obscur de mes nuits où je me soûle alcoolique et frénétique de mes revers, où j'essuie des larmes de vers,  à l'instar des étoiles éphémères en météores de comètes, où je ne suis net dans ma planète d'internet, interné dans ma cage de verre, inter pas net et pas chouette, en vol d'oiseau politique.

 

 

Serge   :     -   Au non du vers de l'amitié, je te souhaite de réparer les ponts entre La Seine et Avignon pour te mettre en scène et clamer tes slams de poésie de soleil lunaire et clair-obscur, et au nom du verre de l'amitié, je te dis tout oui, il ne faut que tu coupes les ponts avec tes amis mais les garder service public réciproquement, où je trinque à ta santé Jérôme, pour que tu bois des paroles dans un décor vert nature assorti de vers d'amour  !

 

Jérôme  :     -   Merci Serge, grâce à toi, je ne me poserai la question  :   Sers-je à quelque chose dans la vie  ? Car Serge a quelque chose dans la vie à configurer avec nous les amis surtout avec sa main entendue et sous-entendue pour dissoudre les malentendus en buvant ses belles et bonnes paroles adorées, en trinquant avec nous aux vers de l'amitié chaleureuse et conviviale dans une ambiance détendue, figurez-vous les amis et au pas sage, vous ressers-je tous un verre  ?

 

                                        Jérôme de Mars

                         

Quelle vie choisir  ?

 

A la prime

De la naissance

Avec l'innocence,

On l'imprime

Et on l'exprime

Avec le répit de l'enfance,

Avant que le passage à l'âge adulte

Nous plonge dans le tumulte

Des gens avec puissance,

Qui oppriment

Les plus faibles dans le crime

Qui envenime

L'indifférence et la loi du silence,

Avec indécence et insignifiance

Dans la défiance des apparences,

Car on se demande quelle vie choisir

Pour répondre aux critères de l'avenir

Et rejoindre  afin de se fondre dans le courant

Du code des normes très flagrants,

Et pour ne se faire rejeter par la pensée unique

Dont on nous affuble de préjugés qui nous étriquent,

Dans les clichés habituels aux rituels presque en bouts de ficelle

Qu'on nous retourne en un long tour de manivelle,

Car on réfléchit à quelle vie choisir

Pour nous restituer les éternels plaisirs sans nous médire,

Avec la soi-disant vérité qui pointe le bout de son nez

Lorsque jadis, elle ne semble légitime et fondée,

Avec tout ce bas niveau qui prend davantage le caniveau

Et va à vau-l'eau au ras d'eau du radeau

Qui navigue dans les rumeurs de l'ignorance,

En l'absence solide de preuves qui demeurent loyales avec du sens

En consistance et en contenance,

Car si on savait quelle vie choisir et finir,

On récolterait le fruit en ligne de mire,

Où sur le coup, on se murmurerait posés et résignés

Qu'après avoir plutôt bien existé, subsisté et était,

Avant que mort s'ensuive

Et se suive,

On irait hiberner

Sur les rives

De la liberté,

Où là au moins, on saura quelle vie choisir,

Pour éblouir et ravir

La destinée qui nous arrive,

A pieds tombés des immédiates années réceptives

Après cette existence captive et furtive

Et écorchée à l'eau vive,

Qu'on enfouit d'inondations pour le restant de l'humanité.

 

Jérôme de Mars 

Direction le bonheur

 

De l'équateur à la chandeleur

Y a pas d'heure

Avec un sommeil réparateur,

Direction le bonheur

Aux jolis jardins de candeur,

Quand le soleil en ferveur

Produit distributeur de la chaleur,

Direction le bonheur

Aux avantages réconciliateurs,

Qui ne se leurrent trompeurs

Pour du beurre

Direction le bonheur,

Dès que le bleu azur en vigueur

Donne de la rigueur

Aux credos frondeurs

Direction le bonheur,

Lorsque les faiseurs songeurs

Laissent penseurs et rêveurs

Les doutes sans peur,

Direction le bonheur

Egal à l'ardeur

Des pieds baladeurs 

Qui s'endorment la main sur le coeur,

Direction le bonheur

De l'amour amateur,

Vers un monde meilleur

A l'endroit acteur

Direction le bonheur fédérateur.

 

Jérôme de Mars

 

                                                    Blagues  :

 

 

 

1)  Pourquoi de la fête des mères, je m'en fous  ?

  -  Parce-que comme j'ai plus ma mère, elle est à mère  (  amère )  la fête  !

 

2) Pourquoi la fête des pères a-t-elle un sens quand on a encore son père  ?   

 -  Parce-que comme ça la fête est paire après l'impair d'avoir perdu sa mère  !

 

 

                                             

                                             Jérôme de Mars

Coin coin

 

A la mare des canards

Qui est pleine avec la goutte

De trop qui fait déborder le vase,

La fanfare frappe dans le fard

Des ronds sur le lac mineur

Et des ricochets en choeur,

Qui noient les poissons dans l'ire

De leur colère qui floute

Les étranges rires,

Du coin coin

Des canards

Dans leur tranquille coin,

Où ils fredonnent le même refrain

complices et choristes des génies en herbe de poussins,

Qui écrasent la nature

Et rasent les mûres,

Au fruit de leur peinture

Fraîche et revêche en valses de leur vase,

Aux marais qui roulent sous un tonnerre de boue

Et s'enroulent à genoux,

En micmac de leur coin coin

De ces sauvages canards

Dans leur tranquille coin,

Où ils composent un hilarant quatuor

De chef d'orchestre les canards, les poissons,

Les poussins et maintenant les poules

Qui roucoulent en matchs de poules,

Comme les pigeons

Entre deux chansons,

De la raison

A celui qui a le plus tort,

Qui foulent la mécanique très famille,

De ces joyeux drilles 

Et trublions,

Avec les neg marrons chauds,

Electros et à l'eau

De ces quantité de promesses,

Qui sont parvenues et tenues à la grand-messe

De la kermesse,

Où les canards reçoivent la contre-dense,

Là où les poissons noient leur ire d'accordéons,

Dans un genre accordons les violons,

Avec les poules

Dans la musique soûle 

Des poussins,

En coin coin

Dans leur tranquille coin

Et en quatrain,

D'un quatre en un,

Les uns après les zinzins 

Coin coin,

Des canards 

Dans leur tranquille coin,

Du tintamarre

Qui ne redémarre

Dans le coin coin

Des canards,

Dans leur tranquille coin,

Au territoire

Entrain

D'entonner si besoin

Le refrain assez bien,

Au frein

De leur tranquille coin,

Coin coin,

Les canards,

Il est tard.

 

Jérôme de Mars

Une souris verte

 

Une souris verte

Qui courait dans l'herbe,

Guillaume l'attrape par la queue

Et Guillaume la montre à ces vicieuses,

Ces vicieuses la sucent

D'un trempez-là avec son fil,

Dans l'eau avec une hétéro

Toute chaude,

Où elle lui met dans son chapeau,

Lui dit qu'elle la trouve chaude

Et lui sort son préservatif

De son tiroir,

Où elle lui dit qu'il est trop noir

Son préservatif,

Qu'elle met dans sa culotte

D'où elle jouit jusqu'à sa glotte.

 

Jérôme de Mars

 

                                                     Blagues  :

 

 

 

1)  Pourquoi est-on de très bon amis en contact avec un passé psychiatrique au Cerep   ?

  -  Parce-qu'on est fous alliés  !

 

2)  Que dit-on de Rodin qui fixe avec tout son amour du regard Camille Claudel  ?

  -  Il la sculpte du regard  !

 

3)  Qu'est-ce-que ça fait une jolie femme qui n'en peut plus de faire une fellation sur ton gros sexe  ?

 -  Elle arrive au bout  !

 

 

                                               Jérôme de Mars

 

                                               Citation :

 

 

 

Le propre de Monsieur Propre c'est de jeter les malpropres dans la salle sale au sens propre  !

 

 

                                        Jérôme de Mars

Le vers de l'amitié

 

Ca ne sert à rien

De se fâcher 

Avec son entourage,

Dans la rage

Des lendemains

A savoir avec sa famille

Et ses amis,

Lorsqu'il y a une embrouille

Avec les proches

Qu'on connaît comme sa poche,

Il faut qu'on se débrouille

Pour se rabibocher

Et arranger les quiproquos,

Et de recoller

Les morceaux,

Autour du verre de l'amitié

Et de fraternité,

Pour se dire les choses

Et de qui en est la cause

Franchement, et de se réconcilier

Comme au bon vieux temps,

D'avant les tourments

Et les éclats en fragments,

Afin de n'essuyer

De profonds et irrévocables regrets,

Pouvant dévier notre entrain

Et basculer notre destin,

En n'y croyant plus aux être humains

Et à leurs bons côtés samaritains,

Ainsi, si, on redevient amis

Avec farouche envie,

On repartira sur de nouvelles bases

Pour que la relation refasse surface,

Car on ne vit qu'une fois

Et il faut en profiter

Et aimer

Les gens,

Tant qu'ils sont là

Et vivants,

Et pas quand ils sont morts,

Sinon, on sera rongés

Et gonflés

Par les remords,

Car on connaît enfin 

La chanson,

Sans nous prendre pour des cons,

Aimons-nous vivants

Autour du verre de l'amitié

Sincère et débonnaire,

En prenant un bon bol d'air

Avec toute notre si grande fraternité,

Comme l'exprimait

Très fin,

François Valéry,

Amis pour la vie.

 

Jérôme de Mars

Slam is slam   ( slam islam )

 

Religion d'état,

Creusons le tas

En un état des lieux,

De L'Orient à L'Occident

Pour espérer un heureux événement,

Qui en découle

Dans le moule et pas dans la semoule

D'un accident, où personne n'a du blé

Et des épis de maïs qui se bécotent,

Qu'on en riz dans la mélancolie 

De la pénurie

Au soleil,

Dès que la sécheresse se désintéresse

De l'allégresse et de la liesse, pour attrister la récolte,

Et l'ivresse des kermesses de victoires grands-messe, 

Avec la révolte à crescendo

De richesse,

Que monte le tempo chaud dans l'eldorado 

Qui se met à dos,

Le dessert de sable au milieu des grains arides et poussiéreux

Dans le vent qui souffle son ras-le-bol aux cordes de ce slam,

Monocorde qui essuie un blâme islam infâme,

Dans ce slam is slam

Qui calme la fournaise,

Du volcan qui bat la chamade avec les charentaises foutaises

Qui clament en réclame,

Un jeu catégorique et ludique

Des rythmes offensifs et tropiques à inventer,

A éventer et à vanter

Dans la tornade des mots égaux

En émaux de métaux,

Rigolos et matériaux en prévention d'un cessez-le-feu

Extincteur et revendicateur qui embrasse Le Dieu du royaume à la queue

Du diable qui s'empêtre V'lan dans le dernier oubli et répit bigames,

Au firmament de cette merveille

Dans ce slam is slam,

Islam qui rame polygame,

Des bleus anxieux aux bleus en cieux,

Avec la palme à la croisée des chemins studieux et paresseux,

Qui avancent et s'élancent

Dans la relance des accoutumances,

Du thé sachez-le savoureux

Qui rend heureux,

Les touristes amoureux

De ces pays et de ces paysages,

En adage de principes et en joyeux hommages

A nos émotions, nos sensations et nos idéaux d'avant,

Du vent de maintenant qui tourne et passe devant

Les manières et les choses plaisantes

Et élégantes,

En voulant nous faire croire

En fausses impressions, que les histoires

Meilleures d'il y a longtemps ne semblent transposables,

A l'heure intemporelle et universelle au sel revenu de nulle part ailleurs

Tellement que ça avait un goût de bonne teneur et de rigueur, en vigueur

De l'haleine agréable qui égrène ce slam is slam,

Islam, d'un ingénieux mélange romanesque de sirop d'érable

A table des grands soirs affables,

Qu'on se raconte aimables

Nos espoirs tant souhaitables et réalisables,

D'un allant sans penchant redoutable

Mais préférable avec un bonsoir,

De nos chers amis formidables 

A la volonté invariable,

De ce slam is slam

Islam

De France,

Qu'on encense d'innocence.

 

Jérôme de Mars

Islam

 

En ma foi

Sept fois,

Je fais un slam

Sur L'Islam,

La religion

De la morale,

Soutenant le bien

Et luttant contre le mal,

Où ce territoire d'intelligence

N'enfreint Le Saint en son sein,

Et n'offense

Les gens faiseurs de bonheur,

Au meilleur et à l'ouvrage de leur dur labeur,

Pour faire leur beurre

Et apporter leur contribution,

Dans ce monde en mutation,

A l'état de transfusion

Mais qui garde sa grandeur

Et sa candeur,

De pureté d'âme,

Envers ces dames

Qui ne se voilent la face

Figurée et configurée

A l'expression dissimulée,

Contre face et en surface,

Dans la loi de l'ignorance

Et du silence,

Parmi ces  musulmans,

Qui jeûnent pendant la période

Du Ramadan

Et de l'exode

Des jeunes gens,

Se souvenant du printemps

Troublant du jasmin alarmant,

Défiant et méfiant,

Dont certains pris de cours,

A l'encours

Du Coran,

En firent tout un ramdam,

Dans les lames

A contre-courant,

Qui me motivent à écrire ce slam

Sur L'Islam,

Pour l'oeuvre de la tolérance

Vis-à-vis des dames,

Et loin de la pénitence

Des péchés,

Afin que soit repêché

L'esprit Saint 

Et divin,

Dès l'entracte intacte

Avec tact,

Au toucher de la clé contact,

Où sera distribué le tract

Des valeurs 

De la pertinence,

En résonance

Avec ce slam

Sur L'Islam,

Qui sera en symbiose

Du symbole,

D'un monde en paix,

En osmose

Avec les communautés,

Au-delà les frontières

D'une humanité haute avec le coeur,

Et en odeur

De Sainteté,

Sur la vénérable

Et honorable

Planète Terre 

A l'arôme d'excellence

Et de transparence,

Avec des saveurs

De providence,

Qui couleront d'ardeur,

En donnant matière

A une civilisation première,

De toute son essence

Et de son affluence,

A l'influence qui dame ce slam

Et dame L'islam,

Du Ramadan au ramdam,

Pour les dames,

A l'emblème d'une société juste,

Au buste et à l'arbuste,

D'un nom de Dieu,

A l'appel des cieux

Pour toujours,

Et au nom de l'amour

Entre les troubadours

Un de ces jours.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                               Citations :

 

 

1)  Un homme en sain aime la poitrine des femmes au sein de leur sein  !

 

2)  Un musulman pris de court pendant la période du jeûne en fait tout un ramdam !

 

3)  Quand on offre la parole à un fanatique de football au stade où il en est, on lui offre une tribune  !

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

                                           Citations  :

 

 

1)  Un terroriste qui pète, lâche une bombe  !

 

2)  Une grosse dame qui se marre, est une vache qui rit  !

 

 

                                      Jérôme de Mars

 

                                                 Citations  :

 

 

1) Un homme qui aime le foot, prend son pied  !

 

2) Un pâtissier qui a fait un mauvais gâteau, on a envie de le gifler car on le trouve tarte  !

 

3)  Un homme qui reçoit un paquet recommandé apporté par une jolie factrice, a ramassé un beau colis  !

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

                                                 Blagues  :

 

 

1)  Comment appelle-t-on l'acteur SIR ancien 007 James Bond qui vient de décéder   ?

  -  Roger More 

 

2) Pourquoi Edwin, me fermes-tu la porte  ?

  -  Parce-que tu es ferme et renfermé  !

 

3)  Qu'est-ce-qu'un attentat commis par un non-musulman   ?

 -   Quelqu'un d'intègre  !

 

4) Pourquoi ne penses-tu qu'à toi Lionel, avec tes priorités et que tu t'en fous des autres  ?

 -  Parce-que tu es ton propre centre d'intérêt  !

 

 

                                           Jérôme de Mars

 

                                             Citation  :

 

 

Manque de peau, je ne suis pas raciste !

 

 

                                      Jérôme de Mars

Demeuré demeurait idiot 

 

En sobriquet

Quand il allumait son briquet,

Avec nos quolibets

Et nos invectives, on s'évertuait

A le nommer Demeuré

Demeurait idiot du village,

Quand en garde des sots,

Il déclenchait les soubresauts

Stupides, ignares et ahuris

Des moqueries en série et en jalousie,

Des gens et des marginaux

Cons sacrés idéaux et originaux

Par défaut et par envie, de la rafale

De sacrilèges et de blasphèmes en mistral

Du vent qui tourne en poupe à l'endroit des nuages,

En images papier buvard assortis en rois mages

Car Demeuré demeurait idiot,

Et ballot, comme Bali Balo dans son berceau, qu'on jure

Et qu'on injure, dans le parjure et qu'on con jure

Dans la conjoncture, conjure,

En bal des canailles, qu'on tient par les tenailles,

De la taille d'un lâcher de cotillons en éventail,

Dont le moindre détail intrigue Demeuré, qui demeurait

Idiot et simplet d'esprit de nain, petit d'épouvantail

Mais grand de vieux canasson sur le train remis en rail,

D'un Demeuré qui demeurait idiot, bête et animal,

Et qui voyait l'émail partout avec sa dent dure très à cheval,

D'abruti et étourdi très écervelé et bien membré,

Mais désintégré dans son esprit étroit décervelé,

D'invertébré et poil à gratter, carnivore et sauvage,

Car Demeuré demeurait idiot, tel un Zorro 

Sans son lasso comme eldorado en thalassa-thérapie,

Friand de verdure et criant de vérité en saga cité,

Dans la dextérité et la pugnacité, d'un challenge outrancier,

Dans la panoplie du parfait héros dans un roman-photo,

Aux gros mots érudits et édulcorés, dans la chicorée du petit déjeuner,

Jeune et vif quand Demeuré rentrait soul dans sa demeure

Et en demeurait idiot de par jadis, qu'il en meurt,

Aux âmes chevronnées et tristes, qui pleurent,

Du cinéma de Tartuffe, la truffe au bec en prises,

Qui frisent le ridicule ignare, ignorant et inculte,

Dans le tumulte d'un doigt tendu d'honneur en insultes,

Auquel nous jurons toute notre dévotion,

En jurons d'élucubrations renvoyés spéciaux de moussaillons,

De chenapans avec la main mise,

De ta chère promise en mainmise

De Demeuré s'il était encore vivant,

N'aurait été idiot à t'en surprendre la main courante,

De la vague déferlante et itinérante,

Du dépôt de plaintes d'enfants de salauds revenus du monde des néants,

Dans l'édifiant  paysage ressuscité et excellent en élégant paravent

D'un benjamin Franklin, comme le plus précoce génie amusant Et étonnant,

Détonnant en Demeuré ne demeurait nigaud,

Mais finaud d'un bourricot en abricot dans l'éclosion d'un papillon En imprésario,

Au scénario très davantage méli-mélo, d'un Demeuré de maestro

Avec brio

Contact accro au réseau d'amis dans le village réputé intello

Avant le dernier Mot.

 

Jérôme de Mars 

J'ai voté Le Pen  !

 

Ce fameux jour

Qui ne fut comme les autres,

Où je refis un tour

Aux présidentielles,

Le torrent de mes idées exponentielles

Qui progressèrent au-delà les vôtres,

Où au front national

Du front de ma colère abyssale,

J'ai voté Le Pen,

Toute la rengaine qui m'effrène,

Où je fis front

Avec front et rébellion,

A tous ces sauvageons

Qui m'ont pris pour un con

Et un pigeon

Avec l'ineffable déraison,

D'où monta la fièvre jaune

Sur le front de la faune,

Où j'ai voté Le Pen,

Car j'en ai marre qu'on me fasse

De la peine

Dans ma madeleine

De Proust, et qu'on s'en foute

De mon état des lieux,

Comme dans un shoot

De ballon acharné par un footeux,

D'où brûle le soleil fiévreux et nerveux

Qui monte au front de l'affront national,

Dans cette France hexagonale,

Où je tombe en disgrâce

Et je m'efface,

Avec l'effet boomerang

Dont la couleur marine le peine

Chez les immoraux

Gangs,

De l'âme en pleurs d'obsessions

De mille et une questions

De vengeance, qui s'en affichent 

Et s'en fichent,

De ses maux et trémolos,

Où j'y vais plus mollo,

Dans la rétro à vau-l'eau 

Qui friche la triche

De l'abandon qui borde et aborde l'horizon,

D'un gros nid d'espions,

Car mon oeil de vers

Chavire en un game ouvert,

Car j'ai voté Le Pen

Plus rien à foutre de l'arène,

En vaste chantier qui jette le ciel

A fiel allure de mon essaim qui butine la crécelle,

Quand la fièvre monte au front national

Dans La France hexagonale,

Déchirée, fissurée et fragmentée par la bonne ritournelle

En un tour de manivelle,

Car le jeu en vaut la chandelle,

Que je chancelle dans ma coquille Saint-Jacques-De-Compostelle 

Lourde de ma croix, où je ne fais front

Pour La France, mais pour l'offense

De la défiance et de l'irrévérence,

Qui scelle ma différence

Avec toutes ces insignifiances

Qui m'horripilent et me vexent,

Perplexes et complexes

De mon être multiplex et en duplex,

Avec l'annexe de l'accent grave circonflexe,

Où finalement, je fais l'affront national

Des annales bancales

A l'unité solitaire,

Où je fais la guerre

Naguère en France avec l'intervention

De la marine armée pour péter les caissons,

Et provoquer des dommages collatéraux

En faute à certains votes électoraux,

Dont j'en suis l'une des causes

De ces ecchymoses,

Car j'ai voté Le Pen,

Enjeu et en joue d'une mort certaine

Ami du diable et ennemi de Dieu,

Où je dors dans mon pieux,

Au débouché d'une bouteille de champagne, au loin des cieux,

Parmi mes aïeux, endormi dans un sommeil pieux,

Au mieux dans un juste milieu.

 

Jérôme de Mars

La famille BEDROSSIAN

 

Atlas, l'atlas de la famille

Qui regorge de souvenirs,

En fourmillent

A en dire et à en redire,

Depuis le génocide

Arménien acide,

Où Simon, le frère aîné

Veut maintenant la paix,

Dans la famille avec l'âge de ses artères

Où lui regarde les haltères

Que derrière et en arrière,

Harouth, le second reste à son siège social,

Sur son fauteuil roulant bancal

En priant qu'il ne finisse seul

Sur son fauteuil,

Suzanne, la veuve joyeuse qui profite

Des années plus ou moins heureuses qui s'effritent,

Marie qui prend toujours son bain marie

Demeure fidèle à son unique mari,

Du lance-pierres 

A ce qui va advenir au-delà les barrières,

Maurice pour éviter la banqueroute,

File encore sur la route qui déroute

A l'endroit et à l'envers,

Que ce soit droit ou de travers,

Michel après une vie éprouvante en bas de l'échelle

Espère poursuivre une fin d'existence plus harmonieuse 

Et très fabuleuse,

Avec son ève

Qui lui fait lever la liberté et le glaive,

Et lui susurre de de sa voix suave en intimité Mon Saint Michel

Et enfin Georges, met des couleurs dans cette destinée terne 

A user les cernes,

En fredonnant une jolie chanson comme un rouge-gorge,

Qui rabat de sa gorge

Les moments gais qui forgent,

Le caractère entier de cette famille

Aux valeurs et aux principes,

Dont elle se fait des vertus en délice

Ne supportant plus la pitié et les supplices,

Car elle préfère que tout le monde s'unisse

A perpétuer les traditions,

D'une famille normale ainsi que leurs pupilles,

Malgré l'addition salée d'un Jérôme 

Qui quand il est frais, respire l'arôme,

Mais dès qu'il se bloque dans les maux,

C'est la rébellion ancrée en Géronimo

Qui symbolise le chaos,

En tout et atout

D'un tout pour le tout,

Où à moindre coût, vive la famille BEDROSSIAN

A tous les temps  !

 

Jérôme de Mars

 

                                 Les quatre vérités en humour  :

 

 

 

1)  Lionel  (  ancien ami, actuel ami ou ex futur ami ou futur ami, j'en perds mon latin )  :  

    -   Qu'est-ce-que ça fait Lionel quand t'éteins ton téléphone mobile  ?

    -   Il est exportable ton téléphone  !

 

2)  Laëtitia, Katia  (  cousines distantes )  :

   -   Pourquoi ne s'appelle-t-on jamais  ?

   -   Parce-qu'on a une discussion à bâtons rompus !

 

3)  Sabrina  (  seule cousine proche et coopérante  )  :

  -    Pourquoi Sabrina, es-tu l'une des rares personnes de la famille avec qui y a pas de silence radio   ?

 -    Parce-qu'on est sur la même longueur d'ondes  !

 

4)  Catherine  (  Petite cousine de très très très très loin et trop distante )  :

 -   qu'est-ce-que ça fait Catherine quand on parle de peinture en mangeant avec toi à table  ?

-   On parle du buffet   (  Bernard Buffet  )

 

5)  Simone (  Cousine distante par les kilomètres mais proche plus ou moins par la technologie virtuelle )  :

 -   Pourquoi Simone, toi et moi, on n'arrive jamais à se joindre au téléphone  ?

 -  Parce-qu'il y a un bémol  !   (  baie Moll(e) )

 

6)  Sébastien  (  cousin perdu de vue  )  :

-   Sébastien, pourquoi est-ce-que je te vanne sur ton métier d'entrepreneur  ?

-   Parce-que je te mets en boîte  !

 

7)  Michel   (  père aux abonnés absents )  :

-   Papa, pourquoi es-tu dépassé   ?

-    Parce-qu'à cause de moi, t'affranchis les limites  :

 

8)  Edwin  (  copain ou ami ou connaissance en girouette )  :

-   Pourquoi es-tu un solitaire  ?

-  Parce-que t'es unique en ton genre !

 

9)  Brigitte Kasparian  (  ami ou copine ou connaissance n'appartenant pas à la même communauté )  :

 -  Pourquoi y a-t-il une équation dans notre relation amicale ?

 -   Parce-qu'on n'est pas toujours en adéquation pour se parler !

 

10)  Simon et Jacqueline (  Oncle et tante qui battent en retraite à Cavalaire ) :

 -  Pourquoi ne s'appelle-t-on jamais au téléphone  ?

 -  Parce-qu'on a une discussion à bâtons rompus ! 

 

11)  Paule et Harouth  (  Oncle et tante vieux aigris )  :

 -  Pourquoi malgré le fait que vous avez été commerçants en chaussures,  on ne se voit plus, on ne s'appelle plus et on ne se comprend plus  ?

 -  Parce-qu'on n'aime pas cirer les pompes !

 

12)  Christophe ( ancien ami mais toujours collègue au cat pour le pire )  :

 -  Pourquoi est-on fâchés ?

 -  Parce-qu'on n'a pu l'ire la colère réciproque sur nos visages !

 

 

 

                                           Jérôme de Mars