Citations :
1) Un jardinier cultivé est un génie en herbe !
2) Un chef jardinier ordonne à son jeune prodige apprenti : " Prends-en de la graine " !
Jérôme de Mars
Vers où on va ?
En ces vers de vers les poèmes,
Y a-t-il un problème ?
Ou une solution ?
A nos questions
Intemporelles et fraîches,
Comme les saisons revêches
Du petit matin,
Qui en perd
Son latin
Au Quartier Latin,
A Paris pas de quartier,
Où l'on se demande
Vers où on va ?
Dans la vie
Et ses revers,
De ces va-et-vient
Qui n'en finissent au loin,
Et pour combien ?
On se pose en interrogation
De pourquoi est-on
Dépassés ?
Dans cette putain
De société mal-aimée,
Et sacrifiée sur le crime
De lèse-majesté,
Qui envenime
Les donneurs de leçons,
Et les receveurs hautains
Qui croient
Que le monde va bien,
Alors qu'on porte la croix
Et la bannière
En ne sachant
Vers où on va ?
A part sans doute
La banqueroute
Dans le trépas
Du destin,
Qui aura décidé
Et décrété ça
Au petit matin,
Comme les humains
Sont méchants,
Et véhéments
Dans la virulence
De vouloir toujours,
Avoir raison
Dans tous les tours
De la question,
Si elle trouve sans insolence
Sa réponse
Qu'elle ponce
Sans langue de bois,
A pleurer misère
Dans cette guerre
Au quotidien,
Où il n 'y a nulle part
Du respect
Pour qu'on soit
En paix,
Avant qu'il ne soit trop tard
Dans l'indifférence
Et la loi du silence,
Qui est sans arrêt
Le hors-la-loi
Du plus fort,
Avec aucune tendresse
Et aucune caresse
Dans les aléas
De ce monde de désillusions,
En ne sachant vers où on va ?
Car on en vient
De cette manière
A regretter notre époque d'antan
Et d'avant,
Génératrice de relations extraordinaires
Authentiques et meilleures,
Que maintenant dans notre monde de brutes
Sans amour, sans amitié
Et sans la clarté du soleil enjoliveur
Avec juste des liens sociaux sans chutes,
Car si de nouveau, on y croit
Sans en faire tout un dessin,
Mais en se fixant
Un dessein
De l'amour de son prochain,
On affirmera qu'on saura
Vers où on va
En fin.
Jérôme de Mars
L'amour ou la mort
Quand on vient au monde,
On a le choix
Entre deux choses,
Soit l'amour
Pour son prochain,
Avec une vie en rose
Un de ces bonjours,
Ou soit la mort
Pour demain,
Qui nous mord
De remords,
Avec nos torts
Retords
Dans notre profond désarroi,
Qui sondent
Notre âme de ce qu'elle veut,
Soit un vœu pieux
Ou soit un désaveu dans son pieu,
Quand un de ces bons jours,
On connaît l'amour,
Et qu'on écrit une vie en rose
Avec l'aide d'un troubadour,
Dans une ode qui arrose
Notre eau de vie,
Qui est à l'eau de rose,
Et qu'on irradie
D'une pétale de rose,
Avec le bonjour
Des gens en osmose,
Qui vaut le détour,
Comme si, on savait tout
D'eux
Et de leurs aïeux,
Alors qu'on naît dans les roses
Avec un principal atout,
Qui est celle d'une prose
Qui rime notre vie dans la cour
Des grands qui ont de l'amour
Pour toujours,
Et qui font l'amour
En faisant la cour,
Mais quand un de ces jours
On connaît la mort,
Elle nous mord
De remords
Avec nos torts
Retords,
Comme si un de séjour
Elle nous reprenait tout l'amour,
Pour nous rendre toute la mort
En étant la loi du plus fort,
Alors qu'on est au plus profond
Dans le fond
De notre désarroi,
Qui respire la mort,
Mais on veut de la joie
Qui à nouveau inspire de l'amour
Un de ces jours,
Et de ces bons jours
Au bourg
De notre compte à rebours,
Car dans la vie, on a le choix
Soit entre les parois de l'amour
Ou soit les pas rois de la mort,
Comme à l'amour,
Bonjour,
Et à la mort,
C'est encore toi,
La loi du plus fort !
Jérôme de Mars
On m'accable !
Au crépuscule
De mes angoisses,
La nuit
Je la vis
En majuscule,
Comme une image
De mauvais sages,
Telle qu'elle est dégueulasse
Dans de la vase
Des vases
Clos communicants,
Quand je pète un câble
Et qu'on m'accable
De messages insultants,
Comme mes tourments
Demeurent récurrents
Pile,
Quand je m'épile
Dans le poil à gratter,
Et à rouspéter
L'ennui qui me décrépit
Et face,
Quoique je défasse
Quand je pète un câble
Et qu'on m'accable
D'avoir un manque de tact,
Quand je n'ai aucun contact
Avec mon con tact,
Quand je pète un câble
Et qu'on m'accable
De dépressif chronique
Ex pensif chaotique
Et expansif critique
Pile,
Quand je m'empile
Dans la douleur
De mon nombril
Et face
Quoique je fasse,
Quand je défile
Dans la peur
De mes lendemains
Incertains
Et absolus,
Comme éperdus
Perdurent mes problèmes
Irrésolus,
Comme d'un requiem
Quand je pète un câble
Et qu'on m'accable
De jeune blanc bec,
Qu'on se débecte
En prises de becs
Secs
Qui s'en délectent
En me clouant le bec
De vieux merdeux,
Poussiéreux et paresseux
Aux jours malheureux,
Qui semblent fastidieux
Et amoureux
Des contre-jour rugueux,
De mon vide de lumière
Avide à des années-lumière
De l'ombre
A la lumière,
Et sombre
Depuis ma pénombre,
Quand je n'y vois clair
Clair-voyant
Et clair-obscur,
A vive allure
Dans ma vie d'hiver,
Qui sent le sapin vert
Dévoyant troublant,
Quand je pète un câble
Et qu'on m'accable,
Quand des voyants over
Sont dévoyant ouverts,
En cette fin de slam
Que je vous déclame,
En rotation
Avec toutes mes salutations.
Jérôme de Mars
Couleur d'automne
Coucher de soleil
D'un fond de teint oranger,
Nuance pareille,
Le temps devient sonotone,
Dès le crépuscule qui monte
Par paliers vers la solidarité,
De cette saison déchue
Qui se conspue
Dans la honte,
Quand le ciel convalescent
Se conjugue
Et se subjugue
A la couleur d'automne,
Tel un être ambivalent
Se demandant demain,
Quelle sera la couleur du temps
Et s'il sera empreint
De ses inquiétudes pâles
Comme la Côte d'Opale,
Ou s'il fuira les gens
Courant et ne sachant,
Où aller de l'avant
Hormis que c'est une couleur d'automne,
Dont il faut saisir le bon tome,
Qui se livre à la nature bienveillante
Et clémente avec de la poésie aimante,
Avec un panache de couleur d'automne
Pour souffler et insuffler des prières d'aumône,
En offrant le gîte et le couvert
Et en lisant du Charles Baudelaire,
Pour repeindre La Terre en liesse populaire
Et pour arracher le mauvais papier
Peint de son immense tristesse délétère,
Car rien de tel qu'une couleur d'automne
Pour ramasser les feuilles mortes de Prévert,
Et y écrire en érigeant un nouveau jardin de bonne matière,
Afin de désigner la saison héritière des fleurs d'anémones,
Qui sauront choisir une belle personne salutaire,
Comme elle défrichera la mauvaise Terre prospère,
Encline à disposer et à déposer une planète neuve,
Qui se régénère dans de l'amour débonnaire,
Afin qu'il pleuve et que s'émeuvent
De prochaines saisons qui prônent
En deux tonnes, une couleur d'automne.
Jérôme de Mars
Pire one man chaud ( pyromane show )
Feu,
Y a le feu
Au lac
Dans de la laque,
Laquée, opaque
Et aux Pâques,
D'une mise à feu
Avec une pierre à feu
Limite Pierrafeu,
Qui remonte au pyromane show
De mon pire one man chaud,
Où j'avais pris un réchaud
D'un péril en la demeure,
Car pile c'est là ! Que tu meurs
Sous les projecteurs,
Braqués par l'extincteur,
Comme y a le feu
Feu
Pyromane show
De mon pire one man chaud,
Comme il fait chaud
Dans la rétro,
Avec le magnéto
Du rétro projecteur
Lumière noire sans couleurs,
Car y a pierre à feu
Qui s'enroule dans du Pierrafeu
Qui remonte à l'âge de pierre,
Avec Pierre à feutre feutré
Dans une cylindrée,
Où l'on met le feu
Feu
Pyromane show
De mon pire one man chaud,
En se donnant en spectacle
Et en spectre tacle,
De l'obstacle
Du tamiseur,
Avec le broyeur
Rouleau-compresseur,
Où l'on décape
Cap pas cap,
Comme on remet le feu
Feu
Pyromane show
De mon pire one man chaud,
Car où est passé le réchaud ?
Pour faire du show macho,
Sado-maso oh qu'il est beau !
Celui qui aura le dernier mot,
Comme on n'y voit que du feu
Feu
Pyromane show
De mon pire one man chaud.
Jérôme de Mars
Les jours, les mois et les années passent
Bonjour en ce jour
Et bienvenue à l'heure,
Où l'on va tous passer
Un bon quart d'heure,
A se dépasser
Avec de l'amour,
A surpasser
La bonne entendeur ,
Et à se repasser
Des moments rieurs,
De poèmes d'amours
Ecrits par des troubadours,
Quand les jours passent
Chaque année,
A célébrer la chandeleur
Chaque année surannée,
Qu'on se dépasse
A aimer le bonheur
Chaque année sur année,
Qu'on se surpasse
A avoir de la candeur
Chaque fin d'année,
Et qu'on se repasse
Nos souvenirs les meilleurs
Chaque faim damnée,
Quand les mois passent
Se passent,
Se surpassent,
Et se repassent
Le même roulement de tambour
Des bourgs aux faubourgs,
Quand les années se passent,
Se dépassent,
Se surpassent,
Et se repassent
Pour faire impasse
Aux faux bourgs,
Comme l'amour
Vaut le détour,
Avec un retour
Par des tours
Surannés,
Comme un passe
Sur année
A Tours,
Avec un retour
Sur l'amour,
Comme un troubadour
Qui envoie mille roses,
A se lécher de baisers
Tout le tour
Des joues d'amour,
Quand l'amour
Voit la vie qui arrose
Les jours,
Avec bons jours
Qui passent
Les mois sur années,
Qui dépassent
Les années,
Qui se surpassent
Surannés,
Et se repassent
Impasse
Enfin damnés,
Avec un passe
A passer, à se dépasser,
A se surpasser,
Et à se repasser
Les jours,
Les mois,
Et les années
Surannées,
En impasse
Sur année,
Qui nous passent,
Nous dépassent,
Nous surpassent,
Et nous repassent
Un passe,
Quand les jours,
Les mois et les années,
Passent, se dépassent,
Se surpassent,
Et se repassent
Tout leur amour,
Comme à la fin damnée
Qui nous outrepasse,
La vie nous trépasse !
Jérôme de Mars
Ma Chine
Ancre de chine,
Je chine
Ma Chine,
Avec machine
En démarrant le bateau
Et en l'amarrant à bas taux,
Comme c'est ah ! marrant
De manger sa part du gâteau
En prenant le départ sur l'eau,
Pour aller à ma Chine
Avec machine,
D'où je chine
En jetant l'ancre de chine
Qui vide sa substance
De ma Chine,
En l'occurrence
De machine
Qui part à bon port,
En faisant marcher les vapeurs
Du bateau à voile et à vapeur
En un porc ex porc,
D'où avec mon ancre de chine
Je rejette le cancre de ma Chine,
Dès que je marche machine
Et que je chine,
Lorsque je machine
L'appareil qui rechigne
A avancer machine,
Pour me rendre à ma Chine
Et me nourrir de riz
Que je surenchéris
De chocolat sur en chéris,
Car je roule des mécaniques
En arithmétiques,
Pour retomber sur mes pattes
En mettant la main
A la pâte
Qui épate Pékin,
D'où je joue du tambourin
Pour parler en mandarin
De ce casse-tête chinois,
D'où je fais part de mon choix
En faire-part,
Qui provoque mon départ
De ma Chine,
Où je range machine
Au comptoir dont je chine,
Avec mon ancre de chine
Nulle part maligne,
Comme je rétablis ma ligne
Avec machine bénigne
De ma Chine.
Jérôme de Mars
Le triomphe des gais-pinsons
Exode karaoké chorale, la nostalgie veut des chansons
Qui se prennent à la légère comme le triomphe des gais-pinsons,
Pinçons-nous, on rêve d'amour sans illusions, désormais avec de la volupté
De bains douche et de bains de bouches, à s'embrasser avec naïveté,
Dans une réciprocité, avec une immense tendresse à vous siroter,
Votre salon de thé dans la panacée, d'un panaché sur la terrasse du Troquet
A vous émanciper près du lac boréal, à contempler la mélodie des complaintes,
Comme ces chers Français qui fredonnent, en roulant les R de leurs plaintes,
Dans l'exil fatal, comme on veut préserver nos souvenirs que nous gardons
Au fond de nos entrailles, pour évoquer en simultané le triomphe des gais-pinsons
En incarnant les ils Robinson Crusoë dans un instantané de survie près du lagon,
Où en forgerons de l'histoire, on fabrique l'usine de la pureté, au balcon
De la mer qui mange nos fantasmes, à roucouler des prières pour sortir,
La tête du naufrage et nous libérer du joug, à donner le meilleur, quand on respire
Le parfum du bel air, à réclamer qu'on nous rende nos âmes joviales de passion,
Comme on recueille les suggestions pour parfaire le triomphe des gais-pinsons
Dans l'exaltation, qui grise les griseries d'un semblant de compétition,
A nous satisfaire de nos brefs états-d'âmes en rab, qui tombent en rad de vision
A long terme si bien qu'on naît sages, comme des images dans le chant,
De révision à suppléer les pigeons voyageurs, qu'un ailleurs existe bel et tant
Que nous sanglotons à révoquer, ce dont nous sommes sujets apparents,
A nous révolter des gens biens pensants, qui se croient tout puissants
Dans le temps qui vide son sablier tout le temps, avec émotions et convictions
Qu'il faudrait qu'une machine à remonter le temps nous prenne en option,
A faire un bilan complet de notre santé, à aimer l'être et non le paraître de façon
A ce qu'on en tire une leçon, qu'il faut rester dans le triomphe des gais-pinsons,
A s'imaginer plus tard, dans une balançoire à nous révéler des vérités, comme si
Avec des scies on se coupe l'herbe sous le pied, en pied de nez d'un ver à pied,
Qu'une chanson a douze pieds, avec un ver à la main au pied du mur en gai pied
D'un contre-pied, à s'émerveiller qu'on s'éprenne de ravissantes femmes gentilles,
Et utiles, pour rétablir le courant de la pensée, que nous désirons en garçons
Manqués dans la fille d'attente, à s'endormir sur ses lauriers dans le cabanon,
D'un coin tranquille au secret bien gardé, comme le triomphe des gais-pinsons,
Nous le perdurerons en restant aux aguets, et en faisant le guet pinçons-
Nous, on rêve hallucinogènes à une époque moins anxiogène,
Mais en halogènes pourvu qu'on soit cent gènes,
En rallumant la maison d'illuminations et de provisions,
De la moisson des chansons,
Qui se livrent au portillon,
Car revoilà le triomphe des gais-pinsons !
Jérôme de Mars
Charles Aznavour, les images de ta vie
Aujourd'hui après l'amour,
Une triste nouvelle
Nous est parvenue,
Comme une ritournelle
Malvenue dans toute cette cohue
Que génère ton décès cher Charles,
Car que c'est triste Venise
Avec les images de ta vie
Qui nous régénèrent comme il faut savoir
Que tu fus un Arménien, le plus célèbre
Au monde à en mourir d'aimer L'Ave Maria
Et à fredonner avec les deux guitares,
Car et pourtant tu es resté, tu restes
Et tu resteras le plus grand artiste
For me formidable, car désormais pour l'éternité
Tu seras gravé dans nos cœurs,
Avec que du bonheur en écoutant tes chansons
Qui ne deviendront jamais des plaisirs démodés
Comme elles fleurent bon les saisons de l'amour,
Car pour toi L'Arménie fut ta mamma
A laquelle tu puisas toute sa bohème en aimant
Chantonner si fort l'amour de ton pays,
Car non, je n'ai rien oublié quand je t'ai vu,
Entonner tes chansons cinq fois en concert au palais
Des congrès qui ne fut le palais des chimères,
Car je t'adorais comme j'aime Paris au moi de Mai,
Mais où je me voyais déjà avec mes amis, mes amours,
Mes emmerdes et avec du muguet à en mourir d'aimer
D'un amour amer avec les images de ta vie,
Que l'on garde en souvenirs si vite
Que le crépuscule est tombé d'un coup d'embarras,
A l'annonce de ta mort avec beaucoup de regrets
Et de remords sur ma vie, comme il disent,
Les comédiens, à qui je demande emmenez-moi avec vous,
En prenant un taxi pour Tobrouk, car tu implorais
Ne tirez pas sur le pianiste, comme hier encore j'écoutai
Ta musique, tel un amour qui se conjugue avec les saisons,
Entre tristesse et fatalité de ta vie d'artiste fataliste
Et idéaliste, où tu projetais tes chansons
Avec ton rayon de soleil qui brille
De son firmament brillant,
Chaque été à Paris au mois d'août,
Car tu t'laisses aller en nous laissant tomber
Dans ce monde de brutes qui n'est net,
Mais où je te tire mon coup de chapeau
Et mon coup de cœur à toi, salut l'artiste
Car je le sais, nous nous reverrons un jour ou l'autre !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) A Jérusalem, sur quoi se plaint un Israélien qui en a marre de la guerre ?
- Sur le mur des lamentations.
2) Pourquoi Marine Le Pen risque-t-elle de remporter les élections européennes en 2019 ?
- Parce-que Marine Le Pen n'aura pas de frontières avec l'extrême droite si elle émigre en France et dans le reste de L'Europe.
Jérôme de Mars
Contre X
X fois contre X. contre X c'est de l'hard
je porte quand
ma film X
croix un
en portant dans
com plainte contre X
une X fois
Dans pour X raisons
Jette son rayon X si la raison X
Jérôme de Mars
Tu es tout le monde !
Humanité ravagée,
T'as le café frappé
Des gueules cassées
Et fracassées
Par le thé glacé
Car tu es tout le monde,
Comme tuer n'est pas jouer
Et qu'on te sonde
Dérangé pour t'interroger
De ce que tu penses
De l'humanité,
Et si elle compense
Ta vanité
Depuis ta natalité,
Car tu es tout le monde
Et ainsi tu propages
L'étau de ta forte mortalité,
Comme l'humanité
T'est étrangère
Et qu'elle ne t'est chère,
Comme elle t'invoque
Le diable,
Car tu provoques
L'humain exécrable,
Car tu es tout le monde
Et que t'abondes avant le dernier gong,
Si jamais tu sors de tes gonds
Et que le rebond ne soit bon,
Comme la vie t'est casse-bonbon
Et que comme il y a un avis de tempête
Tu souhaites qu'il y ait envie de tempête,
Comme tu rouspètes avec tes roupettes
En sifflant bonbon
Sur la trompette,
Car tu es tout le monde
Et que ça t'est égal face aux secondes
Qui te secondent dans ton entreprise
De démolition,
Car tu lâches prise
De désillusion,
Comme pour toi
Tu n'as foi
Dans l'humanité
Qui part en camouflets,
Comme les êtres humains
Te semblent cons
Et hautains,
Comme ils sont rubiconds
Devant la boisson,
A critiquer de jurons
Les politiques
Et à oublier amnésiques
Ceux qui leur ont rendu service,
Car ils ont la malice
De ne croire en Dieu
Comme leur désespoir est insidieux,
Car tu es tout le monde
Le jour où la fronde
Ne sera de ce monde,
Car le soleil grondera
D'un ailleurs où il fera
Beau devant La Joconde
En Faconde ainsi féconde,
Car tu es tout le monde
Pour tuer l'immonde.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi si ma mère était encore en vie aujourd'hui aurait-elle eu le 21 septembre 2018 70 ans ?
- Parce-que ce jour-là, ça serait son anniversaire comme elle a brûlé la vie par les deux bouts de la chandelle !
2) Pourquoi demain serai-je content que ce soit du vent en Ile-de-France et au Nord ?
- Parce-qu'il y aura envie de tempête !
Jérôme de Mars
Burn-août
Depuis la terre jusqu'au ciel,
Je t'adresse chère mère
Toute ma colère,
De ne plus t'avoir
A mes côtés pour boire
Le sel de la vie de tes paroles,
Même si pour faire plaisir aux marioles
Je fais le sinistre guignol
Sous une pseudo-farandole
De bar de comptoir,
A raconter tes souvenirs pour émouvoir
La galerie la faillite avec l'arrosoir
De tes cendres dissipés dans un abreuvoir
D'histoires de toi chère mère,
Dont c'est aujourd'hui ton anniversaire
De tes 70 ans depuis le ciel,
Après avoir brûlé sur Terre
Ta vie par les deux bouts de la chandelle
De Ménestrel à un rideau d'étincelles,
Comme un burn-out
Dont je suis out
Depuis fin août
Et mon anniversaire,
Lorsque j'ai eu quarante ans
En tant que crise de la quaranteigne,
Comme j'ai la haine
Si jamais j'étais une hyène,
Avec un manque d'hygiène
De ma vie qui est une poubelle,
Quand les merveilles
Foisonnent les châtaignes
En arbres, alors que moi on m'a foutu
Des châtaignes dans ma gueule bourrue
De vieux con réac,
Comme je suis fatigué de tout même si je passe à l'acte
Tout du moins en écriture,
Alors que ma nature ravagée par les déconfitures
Essaie tant bien que mâle de cacher ses fêlures
Sous d'apparentes vergetures,
Alors que j'ai le mâle de mère
Sur la terre austère
Que je trouve indigeste et pernicieuse,
Comme un geste de sale main de vicieuse,
Comme un burn-out
Depuis fin août,
Comme je suis out
Et capout
Dans ce merdier pas possible,
A en péter les fusibles
De ce monde méchant
Et mécréant
A se faire passer pour des innocents,
Comme je te regrette
Chère mère,
Malgré le mal de mère,
Dont tu m'as laissé en héritage
Dans ma rage en marécages,
Comme si je tombais déjà en squelette
De ma vie morte par avance
Qui me devance,
Pour que je te rejoigne chère mère
En quittant cette saloperie de planète Terre,
Où je serai un ver de terre
Qui écris avec vue sur la mère
De poète illuminé terre-à-terre,
Avec un burn-out
Comme fin août
Prochain deviendra un burn août.
Jérôme de Mars
Les quatre saisons pliées en quatre
Début damné,
Les mois sont surannées
Dès janvier à compter
De la période d'hiver,
Qui écrit ses maux divers
En dix vers
Avariés du fil linéaire,
Qui rejoint les quatre instantanés
De l'année composée,
Comme les quatre saisons
Pliées en quatre
Qui prennent le pli
De l'horloge dans son sacre
Embelli et joli,
Quand après un début d'année
Chaotique arrive le printemps
Au mois de mars, empreint tant
De délicatesse
Et de tendresse,
Avec les fleurs
Au goût d'un avenir meilleur
Avec une pincée de miel,
Quand les abeilles
Font l'amour
En bourdonnant de leurs ailes,
Qui bécotent complices
Et glissent
Avec les tourterelles
Dans un roulement de tambour,
Dès que c'est l'été
Au mois de juillet,
Avec le soleil qui revient
Après juin
Dans ces va-et-vient
Entre éclaircies
Et nuages gris,
Dans la chaleur
Des mots de bonheur,
Avant que la saison de l'été
Soit out
Fin août
Victime d'un burn-out,
Comme si c'été une rancœur
D'atteindre monotone
La saison de l'automne
A l'automne de sa vie,
Qui déshabille
A nouveau
Les trémolos
Des arbres,
En peignant des nus
Qui tombent des nues
En feuilles mortes
Dans un tapis de mille feuilles
Qui avortent
Le recueil
Des quatre saisons
Pliées en quatre
Jusqu'au sacre
De Vivaldi,
Fleuri par les quatre saisons,
Qui se marie
Avec Verdi,
Verni pour la vie.
Jérôme de Mars
Au vitriol !
Chers compatriotes ! Venez
Au rassemblement national
Du service civique,
En montant à l'affront national
Dont la marine peine
Le front républicain et anar,
Comme Les Français en ont marre
Des vilains petits canards,
De L'Elysée Elise et moi,
Sur un programme de la lettre
A Elisez-moi en ne tenant
Pas les promesses
De la kermesse des faux-culs,
Que je passe au vitriol
En prenant le gauche
Au centre mal à droit,
De l'extrême-droite à Vitrolles
Du Mégret de connard,
Feu l'amère du vaudeville
De 1997
De sept de table,
Avant Macaron et son handicap
De Macron et de Sa Maire Brigitte,
Qui pensent que la location
Sans travail vaut l'allocation
Dans le sérail des assistés
Et des feignants en 35 h,
Comme leurre de vérité
En saga cité
Que je passe au vitriol
De Vitrolles, avant les marionnettes
De Guignols en bouffons du roi,
Car avec Macron nous bouffons
Du désarroi qui dévale
Jusqu'au Val De Marne,
Où le social est encore un renfort
De lien social dû au communisme
Du partage et de la solidarité
Au centre de l'humain,
Alors que macaron a le handicap
Du social qui le dessert,
Auquel il sert un profond libéral,
Quand lui dans sa chasse à courre
Tire la chasse d'eau des toilettes
En faisant sa toilette dans la cour du désarroi,
Qui prend son dessert avec l'échasse
Qui chasse des cerfs en tirant
A bout portant, comme Les Français mal portant
Et se suicidant au travail, car leur souffrance
Vaut l'allégeance du capitalisme se comportant,
Comme le diable envers ses soumis
Alors que Mélenchon est un insoumis
Avec La France Insoumise,
Que je passe au vitriol
Sans Vitrolles mais à Vitry sur Scène,
Que j'assène du fruit du partage avec le communisme
De la banlieue rouge,
Alors qu'ailleurs Les Français voient rouge
En buvant du rouge sang rouge
Que je passe au peigne fin hirsute,
Quand ça percute en uppercut
En tapant du point sur la table
Dans l'étable de la rue Des Granges
Aux Amis du Râtelier qui bouffent notre santé,
Au profit de Macaron et de ses notables
A la tête d'épouvantail qui nous mette
Sur la paille pour qu'on tombe aux oubliettes
De cette fondation sans nom,
Dont il faut revoir la fondation
Pour choisir la bonne direction,
Avec du bien-être en allant
Vers du bon sens
Par décence
Et qu'on encense
Le calumet de la paix
En œuvrant au respect
Et à la solidarité,
Pour avoir une bonne manœuvre
Qui oeuvre pour la santé
Et la prospérité
En trouvant le bon équilibre
Et en ayant la fibre,
Pour que ça vibre
Aux Amis revenus
Unis vers celles d'activité
A votre santé,
Car ça y est, on a mis au point
La bonne alchimie
Entre le social
Et le libéral,
Avec vous les amis
Embonpoint final
De l'appoint crucial,
Que j'ai passé au vitriol
De Vitrolles
A Vitry,
Du code-barres
Au bar,
Comme je vous rembarre
Et que je me barre,
Point barre.
Jérôme de Mars
Comme un poisson dans l'eau !
Poisson d'avril,
L'aquarium des profondeurs
Sous-marines
A le cœur qui pétille
De bulles de douceur,
A l'encre de chine
Dans le bocal transparent,
Comme un poisson dans l'eau
A l'aquarium fluorescent
De mille et une couleurs
Qui câlinent
Les poissons rouges,
Qui voient rouge
Et qui aiment l'ire,
Pour lire
Leur duel en duo
Avec leurs ballets majestueux
D'un eldorado
A eux deux,
Comme un poisson dans l'eau
Qui danse le numéro
Des poissons rouges artistes,
Hédonistes et optimistes,
En invoquant
Leur appel à Dieu
Et en évoquant
Leurs regards ailleurs
Dans un petit matin sous le feu
Des projecteurs,
Pour rire radieux
Et somptueux
Dans l'aquarium
De ce grand barnum,
Magnifiquement beau
Comme un poisson dans l'eau.
Jérôme de Mars
J'écoute Véronique sans son
En mode
Wifi
Sur la commode
De la chaîne hi-fi,
J'allume la radio
Et j'écoute " Rien que de l'eau ",
Quand j'écoute Véronique Sans son
Avec sa chanson,
Où sont ultra-sont
Les mots ultra-sons,
Sonotones
Avec sa voix
Monotone
A Véronique Sanson,
Quand j'écoute Véronique sans son
Et que sa chanson
Tourne en boucle en émotions,
Comme nous avançons
Sans y aller à reculons
En coupant le son de Véronique,
Mais en écoutant Véronique Sanson
Et sa musique
Avec son son
De Sanson et Dalida,
Comme est lourde
Leur croix
De Lourdes à la palourde,
Si bien que j'enfreins
Le refrain
Sans frein,
Emprunt
De la chanson
" Rien que de l'eau ",
Quand je termine de l'écouter à la radio
Dans le patio Véronique Sanson
Sans son,
Mais ultra-sont,
Comme le son, les ultras chansons
De Sanson et Dalida,
Après Sanson et Dalila,
Nec plus ultras,
Comme sont extras
Les chansons
De Véronique Sanson.
Jérôme de Mars
Blague :
Quelle est la différence entre un Breton qui suit beaucoup les traditions et un Français qui est réticent ?
- Le Breton est Celtique et Le Français est sceptique !
Jérôme de Mars
Hauts de vers
Aux premiers abords,
A tribord
Et à bord
Du rebord,
Je navigue
Mes torts
Et j'endigue
Mes remords,
Avec ma maladie orpheline
De ma mère
En hauts de vers,
D'où son cancer
De louanges
Me démange
Depuis sa mort,
Qui butine
Mon fiel
Avec elle au ciel,
D'où je cherche le cap
Sans on-dit,
Comme je maudis
Son absence
Avec ma vie
En délire d'abstinence
En oh ! de vers,
D'où je lui dédie
Ces hauts de vers,
En eaux de revers
De mon chagrin
Qui a besoin
Qu'elle me donne un tract,
Pour que j'ai du tact
Et du contact,
Sans que je craque
Et que je casse la baraque
Si jamais je craque
Avec mon trac
Et que je passe à la trappe,
Si par bonheur, j'attrape
Celui qui est responsable
Et coupable
De toutes mes péripéties
Et de mes inepties
A contagion prépubère,
Qui ressemblent à s'y méprendre
A de la gangrène
Qui enrichit ma haine,
A surprendre
L'entier fruit de ma colère,
Révolutionnaire et incendiaire,
Mais le jour où je rallumerai
La lumière
Avec mes congénères,
Et où j'éteindrai la clarté
De mon mâle à mère,
Je boirai le sel
Des paroles
De la mer
En eaux de vers,
Vers mi sel
Vers l'envol
Du vermicelle
Faux revers
En hauts de vers.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on à un chien pour se venger du centre commercial AUCHAN ?
- Attaque !
Jérôme de Mars
Eux brouillés
Heureux certains jours, souvent les amoureux
Croient qu'ils sont mieux que leurs aïeux,
Mais comble de la préhistoire,
C'est d'ailleurs lors de la chute de l'histoire
Que les miséreux règlent au comptoir,
Toute leur tambouille dont ils barbouillent
Leurs bouilles qu'ils bafouillent
En eux brouillés, comme ils sont embrouillés
Par les aléas qui les ont gribouillé et trifouillé,
En rentrant bredouille de leur gargouille qui fouille
La foire, car on ne fait pas d'omelettes sans casser des œufs,
Alors qu'eux brouillés déroutent la ponte des généreux
Qui ne viennent avec leurs mères poules,
Pour enrayer l'alchimie de l'électricité dans l'air en ampoules
Qui grillent sur le grill, en eux brouillés et embrouillés,
Comme ils se sont mal débrouillés, car ils ont fouiné
Dans l’œil de la fouine qui dérape son slogan de rengaine,
Allons leur foutre sur la gueule, à ces semeurs de haine,
Eux brouillés, qui pondent des œufs bredouille,
Avec en plan B, les aventures de Ratatouille qui touillent
La vénale guerre, comme il n'y a pas de fumée sans feu, feu
L'existence humaine telle qu'elle existe, à en perdre ses eux fabuleux,
Comme quoi de neuf ? qu'un œuf fameux, pour réveiller l'appétit des mères poules,
Qui accoucheront d’œufs brouillés, pour ne plus jamais être
Par auxiliaires de vie, des auxiliaire d'êtres en avoirs qui refoulent
Le paraître, car ainsi l'auxiliaire d'avoir sera par être,
Pour renaître en ouvrant les fenêtres.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Philippe, es-tu parfois nerveux contre moi ?
- Parce-que tu aimes l'ire !
2) Qu'est-ce-que ça fait un assaillant de DAESCH qui est éliminé par la police ?
- Il passe ah ! la Trappe !
3) Que dit-on d'un homme qui aime se mettre en colère quand il dévore des bouquins ?
- Il aime l'ire !
Jérôme de Mars
Vers deux poèmes
Prenons un vers de poèmes Eprenons un vers de slam en totem,
Avec un vers à moitié plein, Avec un vers à soi qui est une crème
Dont on boit les paroles Floutée et enjouée qui tient paroles,
Avec un vers d'absinthe, Avec de vers de vin qui enivrent
Qui dessoûle l'ivresse La tristesse de la foule nuptiale à l'air
Des mots de notre imaginaire, Libre de notre détresse passagère,
Qui a plusieurs cordes Qui concordent, quand tombent des cordes
A son arc en ciel D'une pluie fine et raffinée par ciel,
Monocorde, qui tire Qui jouent au tir à la corde qui raccorde
Sur la corde de la discorde, Le ciel partiel à la lumière tamisée,
Tout un potentiel Qui coule singulier en étoiles plurielles
Du requiem en thèmes D'une musique médiévale, qui accorde
Eméchés de la langue bavarde, La langue des mots de Molière en file
Qui cause à nos deux oreilles A L'Anglaise de Shakespeare, qui retourne
En détournant cette fois sa langue dans sa langue de poche vers deux poèmes.
Jérôme de Mars
Par Les Français
En pourparlers
Pour parler
Français
Le franc-parler
Parle Français
Par Les Français
En pourparlers
Pour parler
Franc ces
Par Les Français
Au franc-parler
De ces francs ces
Qui parlent franc ces
Au franc-parler
Par Les francs ces
En pourparlers
Pour parler
Français
Par Les Français
Au franc-parler
Par Les Francs ces
Qui par Les Français
Parlent Français
Aux Français parlés
Du franc-parler Français
En pourparlers
Pour parler Français
Par Les Français.
Jérôme de Mars
Le silence parle
Chut adoré
Sans parachute doré,
Le silence parle
A Arles
Avec beaucoup de bruit
Pour rien,
Comme le silence parle
Dans le vide
En tenant parole muette,
Comme dans une bluette
Absurde et muette
D'un pot pourri qui
A du pot d'arroser la goutte d'eau
Qui fait déborder le vase allo
Dans un florilège,
Quand le silence parle
Du privilège sourd
Et balourd,
Comme le silence parle
A demi-mot,
Hébété à en perdre son latin
Et son patin d'hiver,
Avec toute sa grammaire
Aux horizons de satin,
Comme il vous est semblable
De murmurer à l'oreille des chevaux
Dans le rôle moteur d'une voiture
A quatre chevaux,
Qui dévoile sa vraie nature
En tirant la couverture
A soie au préalable,
Si bien
Qu'il vous conviendra
Et adviendra
Que le silence parle
Dans le bruit
En débris,
Au calme olympien
D'une drague au lac malin
Songeur d'une nuit de tendresse
A roucouler paresse,
Lorsque le silence vaut de l'or
Et que la parole prévaut d'argent,
Alors que de l'or
En argent
C'est indolore,
Et ça colore
Le silence qui tient parole,
Avec des mots muets
Et interprétés,
Dans le burlesque
Qui mime
Romanesque
Le ridicule,
Et rime
En majuscules
Tout ce monologue
Du ravin,
A en boire le vin
Sophrologue
Pour la santé,
A consommer
Avec modération,
Dès que le silence
Porte insistance
A l'assistance
De raisins
Comestibles et limpides,
Qui ont mûri
Dans l'inclinaison
A travers les âges,
Par âges dans les parages
Des pâturages,
A la cueillette des cépages
Qui ont fleuri
A la bonne franquette
Dans une amourette
Sur les champs de blé,
A manger de l'orge
En épi de maïs
Et en répit de délices,
Qui forgent
Le caractère
En lettres de noblesse,
De ce manuscrit
Retranscrit et ragaillardi
Par des belles promesses,
De bien meilleurs lendemains
A cueillir la sagesse
Du printemps qui mûrit,
Comme le raisin
A la récolte du bon vin
Par la liesse
Populaire, tant que le silence
Parle pour rien dans le bruit,
En résilience
De ton héritage,
Dans le partage
Ainsi usufruit,
De cet inventaire protocolaire
De colère d'hier
A aujourd'hui,
Mille et une mercis
D'avoir eu
L'élégance,
D'avoir eu
Le dernier mot en silence.
Jérôme de Mars
Sale ta banque !
Saltimbanque,
Tu le restes
A fortiori,
En jouant ta comédie
Et en lâchant
Du leste,
Quand tu essuies les plâtres
De ton jeu d'acteur opiniâtre
Et acariâtre,
Comme est sale ta banque
Et que tu risques la banqueroute,
En faisant une fausse route
Dans la déroute de ton théâtre,
Comme une mauvaise pièce
De papier boulevard
En incorrigible saltimbanque
Rangé au placard,
Dont la monnaie de ta pièce
En espèces
Est en voix de disparition
Et envoi d'extinction
Dans une planque,
Comme est sale ta banque
Si tu tangues à l'excès,
Du mauvais côté exsangue
Dans le big bang
Qui provoque un effet boomerang
De vieux jeu de saltimbanque
Qui invente de plates excuses,
Dont ton jeu d'acteur récuse
Ces rumeurs infondées
Et fécondées par de sales humeurs bondées,
Comme est sale ta banque
D'orgueilleux saltimbanque
En argent content mais content
Que tu ne récupères ta place de grand intrigant,
Qui écrit le scénario des nouvelles intrigues
Qui font les critiques de ton état critique,
Dont tu irrites tes collègues
A force que tu délègues
Tes mêmes rôles de brigand
Dans des postures de méchants et de mécréants,
Comme est sale ta banque
Qui fait banqueroute
Sur la route de ta déroute
De vieux saltimbanque,
Car lors de ta prochaine tournée
Tu seras ristourné, retourné
Et contourné
Par un détournement de droit à ton image
Retard à l'allumage,
D'un rôle moteur,
Qui prédira moteur,
Action, prêts interaction
Ca tourne inter action en connexion
Avec ta bande,
Qui marchera sur tes plates-bandes
De vieux saltimbanque,
Comme est sale ta banque.
Jérôme de Mars
On coupe les ponts !
Pont sans-gêne en Italie,
On coupe le Pont à Gênes,
Comme Mr du Pont anxiogène
A la découpe de la folie
Et de la tragédie humaine,
Avec de la dramaturgie Romaine
De La Comédia Del Arte,
Qui coupe le Pont des Arts
A Paris au Pont Neuf,
Même si c'est un Pont Vieux
Quoi de neuf Mr Du Pont très nerveux ?
Qui se marie veuf
Avec Le Pont Marie dans L'Angélisme,
Du Pont Mirabeau
Qui fait le beau,
Quand il coupe le Pont de la Concorde
Dans la discorde
Du Pont au Diable,
Qui coupe le Pont véritable
Du Pont d'Austerlitz,
Qui glisse
En vers de poèmes en faisant des ronds
Sur l'eau
Au Pont D'Avignon,
Comme on y condense tous en rond
En ayant un rond au Pont De Bercy,
Grâce au ruisseau de Rousseau
Qui coupe les Ponts avec Paris,
Pour se rapprocher de la frénésie
De Voltaire,
Comme il ne manque pas d'air
Cet inventaire qui coupe les Ponts
Avec Mr Du Pont,
Qui a découlé du Pont Marie
Et roucoulé à la liturgie
Du Pont Mirabeau,
Depuis que de l'eau
A coulé sous Les Ponts De Paris,
Comme la vie
N'est pas un long fleuve tranquille,
Quand on coupe Les Ponts de Paris
Mais qu'elle redevient une imagerie,
Lorsque Paris se fait en un jour ville docile
Qui réunifie tous Les Ponts de gène sans-gêne,
Avec Mr Du Pont d'Eugène
Héréditaire, comme on se réconcilie
De Paris à L'Italie,
Gênes intemporel,
De plus bel.
Jérôme de Mars
Blague :
Quel est le meilleur moyen de rompre avec la vie en Italie ?
- De couper les ponts sans gêne avec quelqu'un !
Jérôme de Mars
Porte-plume
De ma plume légère,
J'endosse un costume
Du duvet de ma plume,
Qui m'enrhume et dont je fume
Avec l'enclume
De mon porte-plume,
Tout ce que je porte de ma crinière
Qui fait couler beaucoup d'encre,
Avec l'aide de ma plume
De cancre,
Qui déporte tout le porte-plume
De ma chimère d'hiver
Et de mon blues
Depuis ma brousse,
Avec le chagrin mercenaire
Qui cherche un mécène,
Comme d'un mentor
Qui égrène
Un trésor en renfort
De vieux titans,
Et de colosses de mohicans
Dans un dernier calumet
De la paix,
Que j'enfume
Depuis ma tanière,
Avec l'art et la manière
De mes prières,
Qui font roucouler beaucoup d'ancre
Que j'amarre et arrime,
Quand ça ne rime
A rien dès que ma plume
Délaisse l'encre de mon porte-plume
Dans une façade de costume
Sur démesure,
Au fur et à mesure
Que mon travail trime
En disciple de dîme,
Lorsque je dîne
Et que je badine
De la citadine,
Si je dessine
Bécassine qui me bassine
Ses vieilles comptines,
D'où je me dandine
Et d'où je me trémousse,
Si je mousse la mousse
D'un bain-marie qui m'émousse
Dans mon écriture
De jeu d'orfèvre
Au quai des Orfèvres,
Dont je lis dans les lèvres
Que la fièvre
De ma nature
Morte vague à l'âme
De la mer morte infâme,
Avec mon bec de lièvre
Qui me sèvre
La sève de mes fioritures
En déposant des lapins
Et des coups de lapins,
Avec ma plume
Qui se laisse emporter
A sa portée
Par le porte-plume,
Si bien que j'enlève le costume
Une foi n'est pas coutume,
Dont moi et les élèves
On dérange notre fève
Des parois avec la sève
Par rêves L'ève-toi
Avec Eve, d'où l'on se relève
Adam et moi,
En route de soi
Vers de poèmes vers à soi.
Jérôme de Mars
Par ciel
Au bon petit matin,
Le soleil se lève
En trépassant son glaive
Des nuits furieuses,
Pour signer un traité
De paix et d'amour
Juste durant le jour,
Comme le temps est partiel
A cause des abeilles
Qui rangent le miel
Par ciel,
Pour le succomber
Par le fiel
Partiel et intemporel
Qui traverse la planète malheureuse,
Comme le ciel cherche du baume au cœur
Avec La Sainte-Baume qui chante par cœur
La quête du parfum par fin qui est emprunt
De l'amour qui embaume demain
La paume d'un je de paumes de nos mains
Par ciel,
Avant que le ciel
Passe son examen par ciel
Et que le résultat de son destin
Soit partiel
Dans un temps mitigé,
Où a disparu la saga cité
D'un ciel de bambins,
A laquelle succède une société
Du déclin
Enclin d'argent aigreur
Qui est soit-disant une vérité
Par ciel,
A proximité de la noirceur
Partielle,
Qui égrène l'avenir
Par ciel,
De nos souvenirs
Partiels,
Qui nous rappellent
La liste du Bescherelle,
De tout ce qu'on a vécu
Et perdu
De ces périodes par ciel
Ou de nos désillusions partielles,
Qui semblent dire
Que le ciel est de lumière
Par ciel,
Et qui ressemblent maudire
Que le ciel est de misère
Partiel,
Quand la vie est démentielle
Et que les gens sont déments ciel,
Tant que la gentillesse est par ciel
Et que la méchanceté est partielle,
Car personne n'est parfait
Par fait d'hiver
Au parfum de lumière,
Qui voudraient que les personnes
Soient plus entières
Dans l'univers,
Avec davantage de consonnes
Qui sonnent justes et vrais
Des psaumes de leurs prières,
Et du Missel revenu uni
Vers celle
Qui inspire la religion,
De nos doutes et interrogations
Partiels,
Du ciel
Par ciel.
Jérôme de Mars
Café frappé et thé glacé
Au café
Qui rembarre
Le chaud et le froid,
Parfois,
Au bar qui se barre,
Il y a quelquefois
Une barre
Avec des mots tapés et frappés
A la machine
Qui tape de l'encre de chine,
Pour noter
Que le café frappé
et le thé glacé
Glacent de sang
La chicorée,
Détournée, contournée
Et retournée
Au café qui jette un froid
Et au thé qui rejette un chaud bouillant
Au café du bar
D'en face
Qui ne fait face,
Comme une préface
Qui livre de la glace
Café frappé
Et thé glacé,
Qui refroidissent
Les coups de chaud,
Avec du réchaud
Qui plaque le givre
Qui reglisse
Dans le réglisse
Tout lisse,
Quand on boit
Un café frappé
Et qu'on a boit
Un thé glacé
Avec ma lisse,
Frappée malice
Et glacée oh quel délice
Sans artifice,
De l'orifice
En mettant Pierre
A l'édifice,
Et en omettant pierre
A l'office,
Du tapis qu'on déroule
Tapi et qui roule,
En tapant à l'ancre de l'échine
De ses dix doigts à la machine,
Et qui se voient offrir
Avec plaisir,
Un café frappé
Et un thé glacé,
Fracassés et cassés
Au bar qu'on rembarre,
Et qui se barre
A la barre,
Qu'a fait frappé
Et ôté glacé
Du code-barres.
Jérôme de Mars
D'après Marcel Pagnol
Tendre Provence,
Terre de sa providence
Et de son enfance,
Marcel Pagnol
La passe entre Brignole
Et Aubagne,
En jouant cartes sur table
Avec Marius, Fanny et César,
Et en faisant son cinéma
Avec accusé de réception
D'un César,
Pendant la réception
Que lui attribue l'académie de son art
Vivant et ardent,
Et que lui décerne le tintamarre
OK du vieux port,
Exultant et rugissant
De toute son excellence
Et de sa prévenance,
En import-export,
Géré par l'administration
Des Césars
Avec leurs beaux arts,
Qui montrent l'étendard
De leur véritable nature,
Sans sortir du cadre de la peinture
Au bagne
De nul ne guérit de son enfance
Et en dansant dans l'étable,
Où il y a boire
Et à démanger
L'entière farandole
De Brignole
D'après Marcel Pagnol,
Qui survole
Les lâchers de rossignols
De La Tour de Pise
Jusque sur les gondoles
De Venise,
Qui voguent
Sur la nouvelle vague
De Jean-Luc Godard,
Mais dont on préfère le cinéma
D'après Marcel Pagnol,
De l'exode rural
Aux peintures murales
Et du franc-parler oral
Au procédé verbal,
Rusé comme un renard,
D'après Marcel Pagnol
Qui clôt l'épilogue.
Jérôme de Mars
Cash / cash
Echec et match,
Ca fait belle lurette
Que je ne suis plus
A prendre avec des pincettes
Et que je suis un morpion
Sur l'échiquier,
Où ce n'est que du chiqué
Ce que je balance d'ignorance,
Comme je m'en balance
Et que je ne pèse mes mots,
Car je suis obèse à vau-l'eau
Et que je mets un patch
Qui m'enfume
Par écrits,
Comme je médis
Cash / cash
Ma brume
De vie que je décrie
D'ennuis et de soucis,
A m'emmerder
Avec cette existence
A la con,
Comme une pénitence
De rubicond,
Car je vois rouge
Avec tous ces salauds et ces saligauds
De badauds
Qui m'ont fait du mal,
En jouissant anal et fatal
A cash / cash
En tant que francs-macons
Hypocrites soit-disant cache / cache,
Car cela me gâche gâche
La vie en eau de vie,
Comme un match de catch,
Où tout le monde m'écrase
Avec des crasses
Et des crevasses,
A base de vase
Avec la goutte d'eau
Qui fait déborder le vase
Sur ma figure
De blaireau,
Vu que dame nature
Me configure
De vieux con réac
Qui risque de passer à l'acte,
Comme une petite amourette
De simulation
Et de frustration
D'ignoble individu,
Qui n'en a plus rien à foutre
De ne pouvoir tirer sa foutre
Avec dame nature,
Car ma nature
Contient des vergetures
Et des pourritures,
Comme j'ai la stature
D'allumer le pétard
Et d'exploser avec ma tare
De périmé tartare,
A la crème futée
Tard tard
A force
Que mon écorce
Demeure affûtée
Et réfutée
Par ces cons de malotrus,
Qui ne m'ont compris,
Car pour eux
Et leurs aïeux,
Je suis un con pris,
Futur repris
De justice
Avec des sévices,
Car ces vices sévissent
En moi
De mon plus profond désarroi
En tant que mort pion
Sur l'échiquier,
Comme c'est du chiqué
De m'affubler de noms d'oiseaux
Et de sobriquet
Qui brisent le briquet
En voulant crever avec mes allumettes
Pour qu'on me jette aux oubliettes,
Car Jérôme
Est mort
De remords et de tort
Dans son arôme
Par-dessus
Et Géronimo
A vaincu
Le pardessus
Des mots
Avec des maux trémolos ,
Comme Géronimo
A pris le dessus
De Jérôme,
Et que de jouer à cash / cash
Me semble fichu
Et que d'être
Peut-être
Fiché S de sale intrus,
Ca fait tache
De retrait de caractère
A terre
Et parterre,
Comme je joue
Et rejoue
A gâche / gâche
De mon cache
Cash / cash.
Jérôme de Mars
On joue tous un rôle !
Action ou confusion,
Dès le début de la conversation,
On brouille son image
Et on s'embrouille avec les sages
Décideurs de l'axe hexagonal,
Comme on s'entend
Mieux avec l'accent méridional
Des gens du Sud
Certes rudes,
Mais moins prudes
Que les gens du Nord,
Avec qui néanmoins,
On ressent
Le besoin
De tomber d'accord,
Comme on joue tous un rôle
De la pôle
Position au Pôle Nord,
Si bien qu'on est tous frères
En endossant le polaire
De l'hiver polaire
Puisque les gens sont bipolaires,
A souffler le chaud et le froid
Aux abois
Du temps qui pas de bol
Joue du bémol,
Comme la fausse religion
Nous enrôle
Avec Les Témoins De Jéhovah,
D'où l'on se distend à tant
De ce simulacre de crise de foi,
Comme on joue tous un rôle
Du beauf con au gentil joyeux,
Soyeux et fabuleux
Avec la musique d'André Rieu,
Que l'on écoute aux cieux
De nos sommeils paresseux,
A rêver d'amour heureux
Qui nous frôle
De façon très catholique
En version synchrone et acoustique
Dans la campagne bucolique
Avec du fromage rustique,
Comme on joue tous un rôle
Du bâton de berger à Michel Berger
Entre le clergé de la piété
Et le bûcher de la pitié,
Tandis que si on ne croit plus en rien
En franche mélancolie
Avec les gars vilains dans le pétrin,
Alors on oublie
D'éviter la tôle
De la prison
Et de la malédiction,
Et donc de ce fait pour rester libre
Jouons tous le rôle de la vie
Avec la fibre
Vis-à-vis du parvis
De la décence,
En toutes circonstances,
Fin de situation.
Jérôme de Mars
Mon cher oncle Michel
En ce 1er août
De ton anniversaire
Mon cher oncle Michel,
Ca fait tant d'années
Depuis naguère
Que t'es out
Dans l'immortalité,
En ayant rejoint le ciel
Qui commence en bas de l'échelle,
Et où je pense si fort à toi
Que je t'envoie
Ce poème, vecteur de merveilles,
Comme tu me manques
Et où pour te regretter,
Je cherche une planque
Pour sangloter en secret
Car ton absence me consume,
Si bien que je m'enrhume
De te savoir
Si loin
De moi,
Que j'en ai le rhume
Des foins,
Dont j'assume
D'avoir besoin
D'entendre tes pas
Mon cher oncle Michel,
Comme j'espère te revoir
Réincarné en tourterelle
Dans l'envol d'un ange-gardien
Avec L'Ange Gabriel
Qui chante en boute-en-train,
Et où en ménestrel,
On se rappellera
Des bons moments
Passés ensemble il y a
Longtemps chez toi
Dans ta maison du lac l'aimant,
A se raconter des anecdotes
Et à se guérir en antidotes,
De la vie qui parfois
Est une fête,
Mais qui hélas souvent,
Joue les trouble-fête
Avec un vide en noir et blanc
Du fait que t'es plus là
Pour soigner mes tracas,
Tandis que je ressens
Le devoir
De boire
Tes paroles,
Tel un maudit rossignol
En sauvegardant
Tes souvenirs essentiels
Et pluriels
Mon cher oncle Michel,
Mais t'inquiète, on se reverra
Un jour s'il y a,
Et si Dieu
Le veut
Près de toi,
Avec la foi Inchallah.
Jérôme de Mars
Nuages de symbiose
Enfants et adultes bienveillants,
C'est le moment
D'émeraude et grandiose,
De partir dans une retraite
Au calme d'une dimension discrète
Dans les nuages de symbiose,
Pour y fumer l'once de vérité
Et le symbole de la sagesse
Des âmes guéries de leur largesse,
Qui ont érigé le fort de la liberté
Et le prix de l'amitié vraiment avoué
Dans les nuages de symbiose
Qui osent l'osmose des fleurs roses,
Comme si L'Eden n'avait jamais existé
Dans la cité de la planète des poètes
Qui défont les plans sur la comète,
Pourvu que les troubadours s'y démettent
L'épaule consolatrice de fragments
D'une vie déchirée en tourments
Sur les chapeaux de roues,
Qui rouent de coups la solitude
Des lendemains fatalistes en interlude,
Qui dénouent les atouts
Dans les nuages de symbiose,
Qui parfument la sinistrose
En une rose des vents en prose,
Qui ne riment à rien mais arriment en névroses
Du poète troubadour dans sa tour d'ivoire
Alors qu'il suffit d'un tour et de déranger les tiroirs,
Pour composer une saga épique et romanesque
Dans les fresques de Notre Dame pittoresque,
Si bien que la paix intérieure propose
Aux âmes esseulées un peu de compagnie,
Pour écrire à quatre mains la ritournelle des amis
Dans les nuages de symbiose
D'entière tranquillité qui prépose
Un jeu d'écriture de haute volée
A l'intitulé des jours miraculés,
Comme par ailleurs auparavant,
Le ciel de nuisances sonore
Véhicule des mots de transparence indolores
Dans un silence assourdissant,
Et décompensant le bruit des muets
Dans un film en noir et blanc déjanté
En nuages de symbiose
Qui respirent le firmament de la trêve du cosmos,
Dont la voix lactée est totalement déconnectée
D'un terre à terre net et que pour rebrancher
Le réel dans un espace configuré pour durer,
Il faut endurer en ces nuages de symbiose
Des provisions rationnelles, si fort que la prose
Pour une fois rimera à quelque chose,
Jusqu'à porte et close
Des fleurs écloses,
En ces nuages de symbiose.
Jérôme de Mars
Je n'ai plus rien à perdre !
A presque la quarantaine,
C'est souvent la crise de rire
Et la crise du sir
De la quarantaine
Qui monte hautaine
Et tient en haleine
Ma bedaine,
Pour le meilleur et pour le pire,
Où ma trentaine expire
Et où la quarantaine s'annonce en pire,
De mon état qui inspire
De l'inquiétude,
Qui empire
En des poèmes mortifères,
Et qui respire
Toute ma colère
Sans interlude
Depuis naguère,
Car je le pense
Et je le certifie
En mode wifi ça suffit
Que je n'ai plus rien à perdre,
Car j'ai perdu ma mère
Et que je suis perdu, pendu
Et suspendu
A son souvenir crépusculaire,
Où rien ne s'efface
Mais où je dois quand même
Garder la face
Avec des chrysanthèmes,
Pour sauver les meubles
De l'immeuble
Tel un château de cartes,
Car comme l'affirmait René Descartes,
Je pense donc je suis,
Tandis que moi, je panse donc j'essuie
Toujours la serpillière
De ma vie de misère,
Comme j'ai pas dix sous
Et que j'ai pas dissous
L'assemblée rationnelle,
Comme je n'ai plus rien à perdre
A pendre et à suspendre la crémaillère,
Avec tout ce que j'ai souffert
En tant qu'homme martyre,
Qui semble opérationnel
Devant le pire
Et la satire du rire
De l'humour noir,
Qui manque d'amour exutoire,
Comme l'amour rend aveugle
Et beugle
Avec des bévues
Qui en mettent plein la vue,
Où je martèle
Comme Charles Martel
En m'émettant Martel
En tête
Que je n'ai plus rien à perdre,
Sinon à perdre de la matière
Sous terre
De cette requête
A laquelle
J'enquête pour aller en quête,
D'un panse bête
Que je n'ai plus rien à perdre.
Jérôme de Mars
Une bouteille à la mère
En os troubles
Qui me vident les roubles,
Je navigue en eaux troubles
Depuis le 20 septembre 1998,
Comme un huit
A l'envers
Et à l'infini
De ce triste anniversaire
Car ça fera bientôt 20 ans,
Que je me dédouble
Et que ma mère
A rejoint l'eau très claire
Après une vie pas trop claire,
Où elle a pris de la bouteille
En coulant l'oseille
De la pareille mère,
Où ne scintille le soleil
Qui grésille par les graffitis
Qui ensorcellent son esprit
Et qui scellent sa voix de crécelle,
Qu'elle m'envoie de sa Sainte sentinelle
Comme moi aussi, j'ai pris de la bouteille
En découlant mon sang d'encre de vermeille
Sans merveilles,
Car idem,
J'ai également des problèmes,
Comme j'ai soûlé le monde
Qui abonde
Avec ma colère involontaire
A l'eau claire,
Où manquait certes la lumière
De ma mère
Comme je la détrompe dans le sanguinaire imaginaire,
Où je lui lance une bouteille à la mère
En espérant que ses vers
Vont me redonner le déclic d'écrire
Et d'entreprendre la machine à décrire
Mes sentiments
Et mon ressentiment
En prenant de la bouteille,
Mais en me soûlant au ver
Solitaire du poète maudit,
Qu'on salue terre,
Et où elle, ma mère se soûle aux verres ovaires et over,
Et moi aux vers pour me mettre au vers
De mon jardin secret cultivé
Avec mes yeux débridés
De ce casse-tête chinois,
Comme moi,
Je vouvoie ma mère
Avec une grande distance
Pour accoster au Port de Plaisance,
Comme maintenant, je tue toi le passé
Et je tutoie le présent et l'avenir
Avec le désir
De picorer les plaisirs
De l'existence, car désormais
Et à tout jamais
Pour vivre et revivre,
Je navigue en eau claire,
Où je me sers un ver sobre
Et solitaire
Au sens propre
Du soleil,
En trinquant une bouteille
A la mer,
D'où je m'enivre !
Jérôme de Mars
Le volcan crache sa colère
Entrée avec effraction,
Ca y est le volcan
Crache sa colère
Du ciel vers la terre,
Où le chaud bouillant
Fait éruption
Dans le hasard libre comme l'air,
Qui gonfle les poumons incendiaires
De la lave
Qui ne fait que des cendres
Et qui s'en lave
Comme d'un esclandre,
Lorsque le volcan crache sa colère
Et qu'il en a ras le bol,
Quand ça lui pompe l'air
De toutes ses guibolles molles,
Comme le bémol
De la pluie
Qui enrichit
La pôle position
Du soleil en inclinaison
Sur La Terre bipolaire,
Comme le volcan crache sa colère
Avec sa lave
Qui s'en lave
Le cratère
Au sillon du tourbillon
De ses traits de caractère
Qui ne sont des lumières,
Mais des courants d'air
Qui rafraîchissent l'atmosphère
De l'épopée extraordinaire
Avec beaucoup de changements nécessaires,
Où il suffit
Qu'il passe de l'hiver délétère
A l'été salutaire,
Pour que le volcan dorénavant
Ne crache sa colère,
Mais lâche une poésie populaire
En grisant le bleu soleil éclaircie
Qui sourit
De son bel univers,
Car voici l'accalmie
Et ainsi, soit-il !
Jérôme de Mars
Sans jeu de mots
Sans jeu de mots,
Voici un poème
Sans problèmes,
Même si c'est sot
Qu'il y ait un sursaut
Et un soubresaut,
Comme ça y ressemble
A un jeu démo,
Car qui se ressemble s'assemble
Dans l'ensemble qui semble
Sans jeu de mots
Ballot au sceau saut,
Qui évoque
Dans l'équivoque,
Une époque qui révoque
Baroque dans le bas rock
Sans jeu de mots,
Qui fait penser à un jeu démo
Tellement que le méli mélo
Trouble le jeu de maux
Sans gros mots d'animaux,
Comme il est plus facile
En vieux fossile de manipuler la faucille
Et le marteau si le jeu démo
Rend marteau les bricolos
De la dernière heure sans trémolos,
Comme il faut y aller mollo
Avec le jeu de mots
Pour qu'il n'y ait plus de jeu de maux,
Mais un jeu de mes mots
Qui élimine mes je de mémos,
Si bien que sans jeu de mes maux
Ce sera un jeu d'enfant,
Comme il y aura des faons, des éléphants
Et des fans ultra contents,
Avant l'avent de Noël
Que ce sera merveilleux d'y croire
Encore en l'espoir des grands soirs,
Afin d'y rompre les secrets de polichinelle
Pour y bâtir la passerelle sans souci
Des passants soupirants et s'entichant
De l'amour fleuri au coin des balcons séduisants,
A parler de rêves colorants et épanouis
Que même sans jeu démos
Constants et effervescents,
Voici malgré tout pour de bon,
Un bon jeu de mots casse-bonbon
Qui casse les bonbons
De Jacques Brel,
Et ainsi, grâce à la mirabelle
Du printemps qui est empreint tant,
V'là la pucelle
Et l'hirondelle,
Qui tournent autour de leurs rondelles
Qui referment la dentelle
Sans jeu démos,
De la lettre des corps beaux
En un beau jeu d'émaux
Pour les corbeaux
De la lettre finale à tchao !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-on contents que le mondial de football se termine ?
- Parce-que la coupe est pleine !
Jérôme de Mars
Passage à l'acte
Acte un :
La pièce de théâtre commence en pièce détachée car le paiement en espèces est menacé à fond la caisse et que les gens payent sans contact comme le contact ne se noue pas.
Entracte :
Pendant l'entracte, la pièce de théâtre balance à pile ou face une pièce de Monet pour dresser le tableau suivant :
Si c'est pile, on rétablira le contact du public avec les comédiens pendant la pièce de théâtre car tout le monde sera remonté comme une pile électrique,
et si c'est face, on ne pourra rétablir le contact du public avec les comédiens pendant la pièce de théâtre car personne ne pourra faire face, se voir la face, en face et de face comme tout le monde se voilera la face.
Acte deux :
Finalement, la pièce de théâtre fait face à un scandale avec aucun contact entre le public et les comédiens qui le payent cher sans contact durant la représentation, car ils ne peuvent faire face, se voir la face, en face et de face comme tout le monde se voile la face.
Acte final :
Et en surface, tout le monde passe à l'acte final pendant l'entre acte
car c'est la fin de l'entre acte comme on en prend acte.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi me dit-on toujours on verra ?
- Parce-que je ne vois pas les choses d'un bon œil !
Jérôme de Mars
Sous une accalmie, une bourrasque de vent
En prémices vespérales de l'apéritif dînatoire qui s'offre auparavant,
Au paravent, le ciel affligeant prend son exutoire dans un contretemps
Contre tant de vaines paroles qui jettent un vent contrevent,
Comme sous une accalmie, une bourrasque de vent vend
La mèche des antisèches en grattant une guitare sèche
Du temps qui se détend et entend peser de tout son poids revêche,
Qui pêche l'océan et gratte le ciel pour chercher l'espérance
D'une belle France dans un coucher de soleil en Normandie qui ose l'errance,
D'un paradis comme si c'était le midi qui arrosait de sa chaleur la ville
De Deauville, qui a besoin de réconfort avec la nostalgie des années qui brillent
Et qui fourmillent d'idées neuves pour braver le vent et attirer le bleu étincelant,
Comme sous une accalmie, une bourrasque de vent vient devant en allant
De l'avant pour dénicher la perle rare qui amarre le quai des rhumes du pollen
Des fleurs avec leur nectar de crème, qui rend allergiques les semeurs de graines,
Dans un élan fraternel comme la paix intérieure se mérite au suffrage élégant
Des oiseaux rebelles,
Qui prennent des gants d'argent avec un style chic et grand,
Comme sous une accalmie, une bourrasque de vent jette avant un regard troublant
En voulant savoir si ses connaissances des goélands permettent d'avoir un présent
Du savoir et des connaissances et si les oiseaux de mauvais augure
Portent malheur
Dans l'indifférence des sentiers battus au fur et à mesure
Que les animaux ont leur chaleur
Du démon de Midi et des monts du Midi, en puisant dans la réserve naturelle
De leur spontanéité réservée et étanche, mais qui penche comme La Tour de Pise
En Italie éprise de colombes, sur La Place Saint Marc qui s'en lave les mains,
Comme si cela demeurait vulgaire de vulgariser la science qui n'est infuse,
Car il est prévenant et avenant de populariser les solutions diffuses et incluses,
Pour rester dans le piédestal des précieux privilèges, qui disent et prédisent
Que l'avenir sera pendant l'ouverture des sésames qui ouvriront enclins,
Comme sous une accalmie, une bourrasque devant préviendra maintenant
Dans une éclaircie, en un clin d’œil déclin au par avant.
Jérôme de Mars
Raccourci
En course
Voici un raccourci
Court qui court
Le long cours
D'un concours
Qui réalise un court
Métrage en un recours
Du Goncourt
Concis et circoncis
Dont ce raccourci
Raccourcit le cours
Du temps qui recourt
Of course !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dira-t-on du sélectionneur de l'équipe de France de football s'il se fait virer par la fédération française de football si jamais l'équipe de France se fait éliminer de la coupe du monde ?
- Didier déchante !
2) Que dit-on d'un plongeur sous-marin qui mentit comme il respire à ses collègues ce qui fait qu'il les auras bien eus ?
- Il les entuba !
( en tuba )
Jérôme de Mars
Ma mer reviendra 20 ans après !
24 décembre 1998- 24 décembre 2018, 20 ans seront passés et à Noël ma mer reviendra en ange-gardien ce 24 décembre 2018, pour ses 70 ans de naissance en cadeau d'anniversaire, même si c'est dans l'imaginaire, qu'elle arrivera de la Mer du Nord, comme ma Mer Morte est une Mer Blanche qui voit la Mer Noire en moi, alors que moi je vois ma Mer Rouge en souvenir, quand elle voyait rouge et qu'elle était ivre de colère, en prenant de la bouteille d'acolytes et en soûlant tout le monde, mais je souhaite pour la tranquillité de son âme à ma mer, qu'elle se souvienne lorsque son père Charles traînait ma mer et moi en file indienne en nous tenant La Manche de L'Océan Indien, d'où l'amer fuma avec nous le calumet de la paix en regardant L'Océan Pacifique.
Jérôme de Mars
Une terrasse pour respirer l'été
Après ces fées d'hiver fraîches comme le bon vin,
Heureusement que l'été nous offre en dessert,
Une accalmie en grâce avec les plaisirs de la chère,
Qui changent la donne sur le rebord de la fenêtre des rupins,
Où que l'on soit riche ou pauvre, on a besoin d'une terrasse
Pour respirer l'été, et humer de l'excellent teint, avant qu'il nous terrasse
Dans le palace des misogynes, comme l'infâme est le soupir de l'homme,
Mais à notre soulagement, la femme reste le sourire de l'homme,
Car comme le disait Jean Ferrat, la femme est l'avenir de l'homme,
Comme d'une terrasse pour respirer l'été, car c'est pour sa pomme
Qu'Adam est aimant, et mange une pomme d'aidant en grand philanthrope,
Qui philosophe sur le pourquoi du comment, en fumant sa clope en interlope,
Comme Eve est son Eve et son élève, qui l'élèvent dans la sève du vent d'ange,
Qui l'engrange avec un bienfaisant mélange, d'étoiles et de vendanges,
Comme elle n'est pas loin la grappe de raisin, qui lui lâche enfin la grappe
Sur la nappe transparente, aux couleurs artificielles, qui captent
La fréquence qui tape
Du point sur la table, comme on respire avec tact,
Le parfum d'une terrasse
Pour respirer l'été suave, en osmose des fugaces ritournelles, jalonnées d'un sas
De décompression, en route vers le binôme des deux
Etres généreux,
Qui s'enlacent
Sur une terrasse pour respirer l'été, pendant longtemps, avant qu'on ressasse,
L'automne au milieu des faits d'hiver et à la ramasse sagace,
Par fin routinière, tant on s'agace, mais comme dorénavant on aura un passe,
On remontera à la surface,
De cette terrasse pour respirer la pérennité de l'été
Dans la durée.
Jérôme de Mars
Le caviar BEDROSSIAN
En famille, parlons politique,
Entre BEDROSSIAN
Qui n'aimons les donneurs de leçons,
Mais qui œuvrons pour une répartition
Qui sonne la juste partition dans ce pays
En perdition qui en perd son latin,
Comme en France, c'est l'anus horribilis
Au quartier latin, car y a pas de quartier, quand Le PIB
En faillite résonne en un pays bête
D'analphabètes à la sauce macron,
Où l'apolitique s'en fout de ces soi-disant
Prophètes qui retentiront lors d'une prochaine défaite,
Comme en fait, la famille BEDROSSIAN,
Vote à droite en prenant le gauche,
Car la famille BEDROSSIAN n'aime la gauche caviar,
Mais heureusement, que la famille BEDROSSIAN
Se recentre en préférant pivoter au centre,
Pour aller au restaurant des PETROSSIAN
Qui se trouve à la gauche de la rue dans lequel
On commande du caviar à gauche sur le comptoir,
Comme le tout donne en fait la gauche caviar
Qui n'a rien avoir avec la politique mais avec l'apolitique
De la gauche caviar de la famille PETROSSIAN,
Qui déteint sur la gauche caviar de la famille BEDROSSIAN
Qui prend le gauche du caviar en le recentrant
Au centre droit d'une famille droite dans ses bottes,
Dont ça leur trotte dans la tête manu militari
D'un jeu des préceptes familles, qu'il vaut mieux
Qu'on ne parle politique, mais de l'apolitique
De la théorie à la pratique très basique ou très prolifique,
Comme au café du comptoir, on règle ses comptes
Dans un conte de fées d'hiver en prédisant la chute
De l'histoire, sitôt le réquisitoire de l'interrogatoire
Rendu en justice notoire,
Car enfin, tout sera résolu en exutoire
Dans les couloirs de cette histoire,
Dont le Niagara dira la chute de l'histoire
Du caviar BEDROSSIAN dans un au revoir.
Jérôme de Mars
La fête de la musique !
Le 21 juin, retenez bien
Cette datte du fruit de son travail,
Dès qu'on juin
Le futile à l'agréable,
Avec du sirop d'érable
Qui enchante toutes ces p'tites trouvailles,
Où se côtoient la guitare
Qui recharge les batteries de Johnny Guitare,
Au phare Ouest mené tambour battant,
Lors de la fête de la musique
Qui chante sous les tropiques,
Le disque rayé de Gilbert Montagné,
On va s'aimer, alors que le professeur Luc Montagnier
A déclaré on va semer du grain à moudre,
Avec des soins à en découdre
Tous les péchés du Saint-Berger,
Comme Michel Berger sous la toile du berger
Et Gilbert Montagné sous une étoile et un oreiller,
Qui vous dédient à vous absoudre de votre responsabilité,
Lors de cette fête de la musique, comme vous faites du bruit
De vos pas qui déchantent le la, oh la la ! Avec des confettis
Cosy et une ambiance électrique, à en disjoncter une durite,
Qui s'agrippe à vous, où vous vous enflammez en une furie,
Qui siffle à l'harmonica une partition de musique très classique,
Où ça jazze entre bossa-nova et blues, avec le mérite du mythe
Qui orchestre le bal fleur bleue des flonflons, qui donnent du basique
Et atmosphérique, avec du reggae en roc qui trotte un'r frontalier,
En voisin trouble-fête, qui tape l'incruste autour d'une tasse de thé,
Qui arrose avec du sirop de rap, l'ensemble entier et terminal
De la table de mixage lors de l'âge d'or qui marche sur les plates-bandes
Enceintes de 9 mois de gestation, pour œuvrer à un album sans contrebande,
Où l'on remercie l'équipage, qui accorde bien les violons sur le navire amiral
Avec de l'ampli, qui attise la musique électronique, et qui arrose les jarres
De Jean-Michel, avec des trombes d'eaux
Et de métaux,
Qui raccordent le tintamarre,
De cette fête de la musique qui fait du boucan
Et se contrefait à s'en crever les tympans,
A en frapper son piano qui se tape une queue,
En ne sachant que
Dire, mais à en maudire les plaisirs
Pour sacrifier son intérêt à en jouir,
Dès cette fête de la musique
En fait de la musique qui révise ses vieux classiques,
Comme nous accordéons Yvette Horner et André Verchuren
Au panthéon des accordéonistes et à la fibre indélébile d'artistes en devenir,
Avec comme précieux sésame dans leur domaine,
Am stram gram en épiphénomène,
De l'éphémère en éphéméride, où la musique enfin
Aura finalement réussi à adoucir
Les mœurs une fois les projecteurs,
Eteints dans notre cœur
En messe basses,
A contrebasse, salut marée basse !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Katia et Laëtitia s'en foutent-elles de moi ?
- Parce-que Katia et Laëtitia ont une vie riche en argent alors que moi ma vie est pauvre en pièces détachées !
2) Qu'est-ce-que ça aurait si La France avait perdu contre Le Pérou en coupe du monde de football ?
- La France n'aurait pas été Le Pérou !
Jérôme de Mars
Lassie
Nom d'un chien,
Es-tu là si ?
Si oui, viens
Ici Lassie,
Si tu es la scie,
Où l'on te dit
Assis et rassis
Avec ton pain rassis,
Car si tu es Lassie,
Tu es là ici
Et si tu es la scie,
On te dit
Assis Lassie
Si tu es rassis
Là si
Avec ton gagne-pain rassis,
Comme tu es lasse si
Et que tu t'enlaces si
Si on te tend la scie,
Qu'on te tend Lassie
Et que tu détends là si
Si tu entends la scie
Assis et rassis
Avec ton pépin rassis,
Car tu es Lassie si besoin
Nom d'un chien.
Jérôme de Mars
Citation :
Une mère poule qui parle avec ses enfants de pleins choses qui n'ont aucun rapport passe souvent du coq à l'âne !
Jérôme de Mars
Let's go !
En ce Paris métro boulot dodo
De l'argot parigot,
Il faut aller au boulot de l'art go
Pari go
Pour récupérer
Avant la fin des haricots
Et de l'aligot
L'ergo
De l'air go
Et le joli magot
De Laly go
En se fixant des buts,
Let's go
A gogo
Qui ne rebutent
Tous azimuth
Le goal,
Le gardien du filet
De sécurité
Sans filet,
Comme un bourricot,
Let's go
A gogo,
Comme personne n'est gogole,
Nigaud,
Et ni go,
Mais demeure le goal
De sa vie
Qu'il consulte
En devis,
Vis-à-vis
De son eau de vie,
Dès qu'il visse
Son vice de conscience,
Let's go
A gogo,
Et qu'il ne fait plus dodo
En accoutumance,
Lorsqu'il est à son boulot,
Alors que s'il s'envole
Avec son dodo
En faisant dodo,
Ce sera un drôle d'oiseau
Qui aura des bobos,
Let's go
A gogo,
Tandis que s'il prend un antivol
Cela lui fera des biscottos
Et des pectoraux
A muscler tous ses maux,
Let's go
A gogo,
Où il enfumera sans mégots
Tout cet écran de fumée
Et cran de buffée
D'oxygène
Cent mais go,
Où après l'époque anxiogène
Surgira l'ère aborigène
D'un monde renfloué
Et à nouveau réputé hétérogène,
Sauvé par des lingots
D'or hallucinogènes
Car l'un go
Dore sans gènes
Sur L'île De Pago Pas go,
Let's go
A gogo,
Comme on y croît
Et on y va
A tire-larigot,
Avec un beau coquelicot
En cadeau
Et en cerise sur le gâteau
Attire Larry go,
Let's go
A gogo.
Jérôme de Mars
Poème en paix
Poème en paix,
Cette ode de l'été
Met du baume
Au coeur,
Qu'il embaume
De sa liqueur
D'amour et de paix,
Qui rôde de sa saga cité
Et nulle part ailleurs
Comme il part ailleurs
Pour s'adonner au meilleur
De la vénération
Et du respect,
Qu'il esquisse sur papier glacé
Enlacé dans une étreinte
Qu'il marque de son empreinte
Avec sa dulcinée
Qu'il dévisage et dont il se trémousse,
Quand son teint de parfum
Acidulé et doux
Avec embonpoint
S'émousse et mousse
Le cours du soleil fou,
A se demander
Si le romarin coquin
Lui jette un vent hissé à voiles et à vapeur,
Qu'il regorge de sentiments alléchants
A proprement parler à bon escient
De sa senteur
Mijotée avec l'odeur
De la romantique Provence,
Dont la quintessence
Siffle comme une évidence
Son éblouissement
A l'aube des saisons
Mornes et folichonnes
Qui s'échelonnent ,
Pour clôturer le pré vert
De ce poème en paix
Qui s'achève
Avec de la sève,
Pourvu que le ciel de misère
Se relève
En bleu légendaire,
Avec des rêves
Cap vers
Le Cap Vert
En un vent terre.
Jérôme de Mars
Lascar académie
Tare 90,
Je me présente Jérôme d'un seul clic
Qui fournit des indices atypiques
Et indicibles n° 1,
Comme indic
De chute,
Mais qu'elle est loin
La chute de l'histoire en uppercut,
Comme je me porte candidat
Et que je chahute
Ma posture à Lascar Académie,
Une académie des neuf
Mecs et meufs,
D'un geste sournois
Qui dédouble mes dix doigts,
Car je suis un lascar
Avec ma tare,
Comme on n'en fait plus
Des intrus
Comme moi,
Dans mon jeu d'acteur
Dont je suis l'ange-je
En jeu
De l'enjeu
De mon je d'acteur,
Comme je suis acteur
De ma vie
Et amateur
De bonnes chères,
Avec des plaisirs à part entières
De mon immense curiosité en frénésie
Qui m'exacerbe romanesque
Et me galvanise pittoresque,
Avec des désirs magnanimes
De ce millésime
Cuvée 2018,
Car 18
A l'infini
Ca suffit,
Depuis l'an 2000,
Où j'entre en compétition
A Lascar Académie,
Une cérémonie
De remise des prix
Très burlesque,
Nichée au Phare Ouest
Et complètement à L'Ouest,
Du soleil qui se lève à L'Est
Et de mon humour de sauvageon
Trop leste,
Des années 90
A l'an 2000,
Où lors du vote final
On me désigne
Avec l'insigne
Du Lascar Académie,
Mon vrai rôle
De bouffon déjà roi,
Car par roi, je regarde la paroi
Qui m'enrôle
Dans une drôle de tare
Durant la décennie
Du millésime bellissime
Et cultissime,
Dès la dernière ligne droite radicale,
Où je rentre original
Dans les annales
Pour y rester phénoménal
Du festival du scan
Qui canne
Le festival des cannes
Et Lascar Académie,
Car à coup sûr,
Cette nouvelle aventure
Sera l'événement cinéma
Qui fera son cinéma,
Face caméra
De l'intime à mère couvée 1978
A l'ultime maladie couvée à mer 1998.
Jérôme de Mars
Actif / passif
A notre actif,
On entre dans le monde actif
Avec des actifs passifs,
Lorsqu'on est réactifs
Avec notre passif actif
Qui change rétroactif
A notre actif,
Lorsqu'on termine hyperactif
Notre itinéraire actif
Dans le passif rétroactif,
Au passif réactif
A notre actif passif.
Jérôme de Mars
Citation :
Pour rester optimiste, un patient qui a le virus du sida doit demeurer positif !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi chaque semaine le jour suivant après le mercredi, Christophe, tu ne travailles pas à L'ESAT ?
- Parce-que je dis mi-temps !
jeudi
2) Que dira-t-on à Marion Maréchal pour qu'en France ça explose si elle est élue présidente de la république Française ?
- Marion Maréchal pète un coup !
Pétain
Jérôme de Mars
Le cas m'isole !
En préambule de mes jours somnambules,
Je déambule dans le vide des couloirs
A raconter au café du comptoir,
Mes histoires à dormir debout en abreuvoir
De mon réservoir qui se déteint conciliabule,
A vouloir faire le point sur ma vie des sentiers combattus
Que tout me semble fichu et biscornu,
Comme les tournesols de Vincent Van Gogh
A s'arracher les oreilles portugaises ensablées
De mes névroses instantanées avec le temps bipolaire,
Où même si on ne peut plus me voir
En peinture, je crains de finir à l'hôpital
Qui se fout de la charité horizon frontal et fatal,
Avec une camisole de force, comme le cas m'isole
Des saules pleureurs à mes variations de caractères,
Où je jette l'encre de mes dix doigts cafés frappés
Même si parfois, je prends du déca avec des cas décaféinés,
Où en reclus, on me rejette comme d'un rejet de cancre
Qui amorce en objet du scandale mon destin qui s'étiole,
Si bientôt une camisole chimique m'isole car le cas m'isole,
Même si quelquefois je prends du déca au café des cas
Sociaux dont moi-même je suis issu et idem en bémol,
Comme d'un b mol dont la camisole chimique m'isole
Car le cas m'isole psychique dans un roulé-boulé de babioles
Avec que des petites bricoles qui raffolent frivoles de mon rejet,
Dont je fais l'objet en récurrence et en insolence avec des cas
Décas d'où je vous tire ma révérence en l'état de mes tas,
Comme me va si bien la peinture de Vincent Van Gogh
Avec des choses de petites et de grandes névroses,
Où si on me laisse tomber, je mettrai en nécrose
Une ribambelle de galères et de malheurs populaires
Depuis mon cimetière en poussières
Avec en fil rouge qui défile rouge un inventaire,
D'où je tirerai à double exemplaire l'oreille coupée
A la découpe de Vincent Van Gogh, sur ma pirogue
Rendez-vous au festival de Venise à Port-Grimaud,
Où je trouverai des jolis mots mélis-mélos,
Comme dorénavant, je prendrai du déca en calme plat,
Pour que mon cas ne soit camisole, mais un encas
Qui ne m'isole avenue de la farandole,
Comme grâce au rossignol, je prendrai mon envol
Direction le paradis des oiseaux jeunes blancs becs
Et qu'on s'en délecte au sec
Nec plus extras !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Quel est le comble pour un musulman obsédé sexuel ?
- C'est qu'il baise des femmes qui sont des cochonnes !
2) Pourquoi y a-t-il eu un terroriste qui a dépassé les bornes en commettant un attentat en Belgique ?
- Parce-qu'il a poussé les bouchons de Liège trop loin !
3) Qu'est-ce-que ça fera si je me suicide le 24 août, le jour de mon anniversaire où j'aurai 40 ans ?
- Mon anniversaire sera out !
4) Que dit-on d'un boucher qui achète du saucisson tout fait sans mouiller sa chemise ?
- Il achète du saucisson sec !
5) Quelle est la différence entre un musulman qui mange du saucisson et un chrétien qui mange du saucisson ?
- Le musulman mange du saucisson hallal et le chrétien mange du saucisson à l'ail !
6) Que dit-on d'un boucher qui n'est pas reconnaissant envers son employé qui lui montre comment fabriquer du saucisson ?
- Le boucher est ingrat de saucisson
un gras
7) Que dit un musulman qui se fait mal à la gorge après avoir avalé de travers son saucisson ?
- Halail ! Halail !
8) Que dit un Français qui se fait mal à la gorge après avoir avalé de travers son saucisson ?
- Ail ! Ail !
Jérôme de Mars
C'est dans la boîte !
Mise en boîte,
La boîte aux lettres
Champêtre
Reçoit le courrier,
Vol long courrier
Qui s'emboîte
Dans une boîte de nuit,
A contre dense
Des tendances
D'une boîte à chaussures,
Qui boîte la jambe
N'ayant trouvé chaussures
A son pied,
Comme c'est le pied
Que ce soit
Dans une boîte à musiques,
Fréquence France Musiques,
Emise en boîte à savons
Qui lui passe un savon
En large diffusion
Et remise en boîte à bouteilles,
Bonjour les DUGAS !
Car c'est une boîte à merveilles,
Comme le soleil
De la boîte à sel
Qui jette un grain de celle
Dans la boîte à souvenirs,
Où c'est désormais dedans
Qu'on lira l'avenir
Et ce qui est à venir,
Puisque demain ce sera
Dans la même boîte
Démise en boîte
De la boîte de Pandore.
Jérôme de Mars
Bonne fête des mères !
En ce dimanche
De réjouissances,
On se retrousse les manches
Pour offrir un festival d'embrassades
Avec de l'affection en accolades,
Où l'on régale la bienveillance
Des mères,
En leur chantant
Bonne fête des mères
Et qu'elles passent du bon temps,
En chérissant
Cette journée populaire
Et en oubliant
Leurs soucis
Austères, car l'on dit merci
Au gentil soleil
Qui choie
Les choix
Des mères,
En saluant
Leur courage extraordinaire
De façon sincère,
Comme c'est la fête
Des mères
Et que c'est un fait
De leur consacrer
Tout notre amour
En ce beau jour,
Et de se rappeler
Et d'aimer
Les gens
Lorsqu'ils sont vivants,
Car ils nous apportent tellement
De choses nécessaires
Qu'on souhaite incarner
A notre tour
Le témoin du passage du noir
A la lumière,
Comme d'un exutoire
En retour
Pour leur entonner
Bonne fête des mères
Et qu'on ne les renie
Jamais les mères,
Mais qu'on soit ravis
De leur donner
Pendant une journée solidaire
Une accalmie sur La Terre,
Et donc de ce fait,
Bonne fête des mères
Et à très bientôt dans l'univers !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi me met-on en boîte sur mes malheurs ?
- Parce-que je suis la boîte de Pandore
2) Pourquoi chaque semaine le jour après le mercredi , tu ne travailles pas au CAT Christophe ?
- Parce-que moi Christophe, je dis , c'est mon jour de repos ce jour-là et que
( jeudi )
ce jour-là, je ne travaille pas au CAT !
3) Pourquoi va-t-on nous vendre en une des quotidiens et des hebdos la mort de Pierre Bellemare ?
- Parce-que ça sera l'objet du magazine !
Jérôme de Mars
Jérôme de Mars
Les mots paranos
En prolos, des drôles d'oiseaux
Signent en prologue
Un long monologue
Dans les échos du dico,
Où après une grande période
De création féconde en odes d'exode
Avec des émaux mégalos,
V'là l'époque des mots paranos
Bercés au pied du tombeau
D'affreux jojos
Qui ne volent haut,
Comme frivoles, ils frôlent
Le sol bémol à vau-l'eau
De tant de souffrance d'un peuple
Qui se répand courant en vieux meubles,
Qui meublent l'avide décence
D'une vaste misère quand les paroles
Font que tout le monde se gondole,
De l'idole du jeûne
Aux tableaux pique à sots
Qui entretiennent la rétro
A vade rétro
Satanas, d'une queue de diable d'enfer
Oh que d'enfer Rochereau,
A ne savoir qu'en faire,
Avec les mots paranos
Qui veulent médire
Je m'en fous, pousse-toi, on verra
Et ça ne te regarde pas,
Alors que ton psy tout Penot
Attend qu'en vieillot prolo
Tu t'affranchisses du bel eldorado,
Lorsque les prolos
Consignent des gros mots,
Comme ce sont des mots paranos,
Paranormaux et pas normaux
Dans des incroyables discussions de comptoir,
Où il y a à manger et à déboires,
Mais dès que les prolos
Arrivent au septième ciel,
Ils se débarrassent des mauvaises nouvelles
De Machiavel,
Si bien que ressuscite le héros
De Marvel
Dans les sept Marvel
Du monde
Qui grondent
Les mots paranos,
Comme de ce fait, ils ne sont plus paranormaux,
Puisque les mots deviennent normaux
Sans paranos et mégalos,
Et en joyaux royaux,
Ils espèrent que leurs idéaux
De babioles
S'en rapprochent,
Sans anicroches
Et avec Gavroche
En-tête de mioche,
De mémos nouveaux
Et égaux, let's go
En épilogue.
Jérôme de Mars
Inquiétudes au sombre de lune
Lune de fiel,
Le soleil se masque
Dans des frasques
A fiel allure
Dans la zone obscure,
Qui débouche sur un rideau
De colère torrentielle
Qui part en lambeaux
Dans les abîmes
De ses différentes faces,
Qui riment
Côté lumière
Mais davantage côté noir
Avec des vieux démons réfractaires
Qui lui foutent le cafard
A la ramasse,
Dans des inquiétudes
Au sombre de lune
Sinistre loin de sa plénitude
En signes avant-coureurs
Qui le laissent désabusé
Et abusé
Par tous ses malheurs
Sur la rive du hasard,
Avec du blizzard
Dans le bazar
Dressé sur les hauteurs des dunes,
Dont l'existence insipide et blasée
Subit une traversée du désert
Vers le ciel mitigé et roquet
Qui ternit son itinéraire
De façon tributaire
Dans des inquiétudes
Au sombre de lune,
Quand le soleil fugue
Et subjugue
La face de latitude
De l'ombre accusée
D'être l'instigatrice dépositaire
De griefs volontaires
Vis-à-vis de la pénombre brune,
Qui sonnent le glas
De la vie
Et de ses sparadraps
En distribuant une poignée
De dentelle
Qui s'attelle,
A modérer
Ce monde dur de vermeille,
Où après les magnitudes
Sur l'échelle
De Richter,
Rendez-vous chacun et chacune
Dans la quiétude
Au clair de lune
De sa lune de miel,
Quand il n'y en a qu'une
En interlude
De sa plénitude.
Jérôme de Mars
Citation :
Un promeneur mécontent envoie balader tout le monde !
Jérôme de Mars
Le promeneur envoie balader
Dans la forêt fertile en randonnée,
Le promeneur envoie balader
Les insectes farouches
Qui font mouche
Dans la demi-heure
Charnière, quand la candeur
De l'effet papillon noie
Et broie
La clairière avec les larmes du lac
Opaque, comme la fête de Pâques
Met les oeufs dans le même panier
Des pondeuses mères poules
Qui jettent des graines à la foule
Du promeneur qui envoie balader
Les vaches à se faire paître,
Avec les arbres des hêtres sauvages
Loin du rivage
Mais près des parages
Qui sèment le trouble
Qui encense et adoube
Le promeneur qui envoie balader
La communauté et l'humanité,
Pour remettre en question leur sincérité
Et évaluer le fond de leurs vérités surréalistes
Ou simplistes,
A imaginer ce qu'adviendrait
Le monde sans eux,
Où les animaux seuls rescapés
Laisseraient échapper
Tout leur amour et leur amitié,
Bien meilleurs et fabuleux
Que les humains,
Où les animaux entre copains
Joueraient les entremetteurs
De bonnes ondes qu'ils diffuseraient,
A la rencontre du promeneur
Qui enverrait balader
Les bonimenteurs,
Pour préserver
L'intégrité et l'intégralité
Des animaux
Et des rares badauds,
Intelligents d'avoir compris
Que l'union fait la force
De l'entière compagnie
Jusqu'à l'écorce
Terrestre, où l'unique héros
Sera le promeneur
Qui enverra balader
Le profit
Au profit d'une embellie,
Entre les humains
Et les copains
Pour vous tous
Au jardin
Des coups de pouce
Verts, dès que le promeneur
Plantera la graine du bonheur
Pour y ramasser
La récolte d'un monde meilleur,
Revigoré et chéri
Au temps d'OTAN
De l'espérance de vie aguerrie,
Qu'a guéri
La liberté
Et la paix,
Ensemble et maintenant.
Jérôme de Mars
Des accès
Abcès
On en a assez
Des accès
Désaxés
Taxés
Surtaxés
Et sûrs taxés
Car malaxés
Et mal accès
Car on en a trop taxé
D'avoir assez
D'un crustacé
Qui tape incruste d'accès
D'avoir accès
A des abcès
Désaxés
Des accès
Taxés
Surtaxés
Et sûrs taxés
Car on a plus assez
Et accès
Des accès
Désaxés
Mal axés
Malaxés
Et resassés
En tapant un crustacé
Taxé
D'abcès
Désaxé
Des accès.
Jérôme de Mars
Blague :
1) Pourquoi les prophéties du Ramadan ne sont-elles pas toujours une science exacte ?
- Parce-qu'il y a à boire et à manger concernant les prophéties du Ramadan !
2) Pourquoi la famille BEDROSSIAN ne me comprend pas ?
- Parce-qu'on n'a pas les mêmes centres d'intérêt !
Jérôme de Mars
Ces heures seize
16h16,
C'est leurre
A pas d'Eure,
Dont le loir est cher
Dans un nombre pair,
Comme ces heures seize
Attirent les faveurs
Du beurre, de l'argent du beurre
Et du sourire de la crémière,
Qui est une crème de beurre
De gentillesse et de tendresse,
Quand il est 16h16
Et que ces heures seize
Provoquent la délicatesse,
D'emmener à la semaine
Une multitude innombrable de treize
Amateurs de blues dans une musique qui dégaine,
A pas d'leurre ces heures sèches
A la guitare antisèche,
Comme une rengaine
A l'unité de la centaine
De ces heures seize,
Où tout le monde est à leurre
16h16,
Rendez-vous au garde-fou
Des mous et des remous
A 16h16,
Où l'horizon poétique lâche ses névroses
Artistiques dans une surdose de nécrose
Spleen et mélancolique en coliques acolytes,
Qui décrypte le phénomène
Lisse dans un des lisses oh quel délices
Cette esthétique de styliste,
Dont l'effet de mode s'érode
Et rôde
Dans des stéréotypes
A 16h16,
Ici ces heures seize
Ristournent au trapèze,
A l'aise Blaise
Pascale, comme la défaite pascale
Du groupe SUPERBUS
Confirme le terminus,
Station à bout portant, on ferme le bal.
Jérôme de Mars
Gratte le ciel
Gratte-ciel
Qui gratte le ciel,
Avec plus d'une corde à son arche
Il prend de la hauteur,
Quand il voit L'arche
De long en large,
En marge
D'un gratte-ciel,
Qui gratte le ciel
De son papier buvard
Arc en ciel,
Et qui jette un gratte ciel
Mi sel, mi poivre et mi ciel
De son arc en ciel Missel,
Qui colore l'envers du décor
De l'espace ciel
Indolore en cador,
Qu'adore le ciel bleu nuageux
Avec des crayons de couleur grisonnants,
En un gratte-ciel qui gratte le bleu plus vieux
Quand le pic de l'immeuble ordonne
Un jeu mi poivre, mi sel qui coordonne
L'ange ténébreux des sept péchés capiteux,
De ce gratte-ciel grise mine qui se grise arc en ciel
En un gratte-ciel édifiant,
Fort, forteresse plutôt aux fruits du hasard
Genre le bazar du ciel,
Qui gratte le ciel singulier, pluriel
Avec une pléthore d'étincelles,
Avant que le ciel qui gratte le ciel
Nous tombe dans un casse-tête dément ciel
En ce gratte-ciel porte-bonheur.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi avec moi connaît-on la chanson quand je déchante les gens qui m'enchantent ?
- Parce-que c'est Jérôme !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi faut-il se montrer patient lorsqu'il y a un attentat ?
- Parce-qu'on est en attente ah !
2) En gros, que fait un Syrien obèse pour mettre fin à la dictature de son pays ?
- Il renverse le régime Syrien !
Jérôme de Mars
Le jour et la nuit
Bonjour, le jour s'est levé
Et relevé pour prendre le petit-déjeuner,
Avec vous la famille
Et les amis,
Car quand c'est le jour
Vous dites bonjour,
Et quand c'est la nuit
Vous dites bonne nuit
Les inuits dans cette froide ambiance
Alors qu'il n'y a pas de nuages à l'horizon,
Dès que le soleil chauffe à bonne séance
De températures qui prennent tout au second degré
Pour en rire sur le balcon en larrons
Car c'est le jour et la nuit,
Lorsque le soleil dort pendant que la lune mange son croissant
Recrudescent en mettant l'accent sur le démon du Midi
D'un ciel bleu qui s'assoupit dans son lit penchant,
Et dépendant de plans sur la comète pendant
Le jour et la nuit,
A contre-jour et d'un beau jour presqu'île de vierge Marie
Qui marient le jour et la nuit,
Seulement si le soleil tombe en escarcelle fière
De la lune en pleine une qui marche à découvert
Le jour de la nuit et la nuit du jour,
Avec vous la famille
Et les amis
En guise de séjour,
Ces jours-si dans la mer méditerranée
Trempée, détrempée-vous, on est à pied !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi y a t-il eu un attentat dans le quartier Opéra à Paris le samedi 12 mai à 21 h ?
- Parce-que tout le monde est à couteaux tirés !
Jérôme de Mars
En paix !
Hier, on se faisait
La guerre naguère,
Alors qu'aujourd'hui
On espère
Avec une forte envie,
Que le monde reste en paix
Et en respect
Avec ses différences assumées
De quiconque en paix,
Pour que demain on fasse un appel du pied
A la fraternité d'une assemblée d'humanité,
Rassemblée dans le seul intérêt
De la réciprocité et non des rivalités
Du profit et de sa vanité,
Certes hier, on n'était pas en paix
Mais aujourd'hui, on est absolument
En paix
Et demain inexorablement,
On le demeurera
En paix dans la joie
D'un reste en paix,
Avec le respect
Du temps présent
Et pour longtemps
En paix,
S'il vous plaît !
Jérôme de Mars
Blague :
Que fait un sexe d'homme qui profite de sa fortune ?
- Il jouit de son bien !
Jérôme de Mars
Le soleil console la pluie
Do ré mi fa sol
Qu'on sol
Le dise
En terre promise,
La pluie pleure
Tout ce qu'il pleut
Et crache sa peur
De ce qu'elle ne peut
Prendre pour vénération,
Comme d'un orage d'été
De désillusion
Et pour échapper
A l'échafaud,
Le soleil console la pluie
Avec des si,
Car ainsi,
Voilà un gros coup de chaud
Quand le soleil cajole la pluie
Qui morfond le gris de la pluie
Et le confond avec un ciel bleu joli
Et ravi parmi son royaume favori,
Comme le soleil console la pluie
Sur le sol groseille d'un terrain fleuri
De raisins mûrs
Avec une pincée de dame nature,
Qui a bon dos
Si le soleil et son fardeau
Ont des courbatures
A jeter en pâture
La pluie coupable d'un coup de folie
Alors que le soleil irresponsable réveille en flâneries
Le cousin du soleil et de la pluie,
D'où jaillit l'éclipse lunatique
Qui se charge de la théorie
A la pratique
De remettre en couple le soleil et la pluie,
Comme le soleil console la pluie
De son chagrin infini,
Car le con dansait
Le condensé
Qui dormait sur ses lauriers,
Là où le soleil
Dort l'oseille,
Qu'adore le soleil
Qui console la pluie
Sur le sol tapis,
Qui leur dédie
Merci pour la vie.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Christophe m'as-tu dit que tu verrais pour venir demain chez moi ?
- Parce-que tu n'as pas toujours la même vision des choses que moi !
2) Pourquoi Edwin, m'as-tu dit que tu verrais pour venir au restaurant avec Serge ?
- Parce-que tu m'as dit mon oeil, je viendrais pas !
3) Dans quoi je te range si je te vanne ?
- Je te mets en boîte !
4) Pourquoi le jeudi Christophe, prends-tu du recul avec L'ESAT de Vitry en n'étant pas là ?
- Parce-que je dis tu es détaché de L'ESAT de Vitry !
Jérôme de Mars
Le monde n'a plus de paroles !
Comme une chanson
A la maison,
Chacun s'ignore
Et dans la rue,
Personne ne prête attention
Aux individus
Sans remords malgré le tort
De provoquer la scission
Et la cession
De La France en récession,
Car le monde n'a plus de paroles
Pour écrire une chanson
A l'unisson
De la farandole,
Puisque c'est chacun pour soi
Et Dieu pour tous
Sans un coup de pouce
De Dieu et de sa foi,
Comme les gens toussent
Et s'émoussent
Dans la loi du plus fort
Sans donner du réconfort
Aux plus malheureux
Qui pleurent leurs aïeux
Disparus dans le chahut
D'une vie qui les éternue,
Car le monde n'a plus de paroles
Pour décrire la contagion
Du frivole,
Alors qu'il vaudrait mieux
Y mettre un peu
De bonne action,
Pour que le monde
S'envole avec les rossignols
En faisant une ronde,
Car ainsi si le monde
A de nouveau de la parole
Féconde en sondes,
Ca sera pour nous tous
Comme à la maison
En levant le pouce
Et comme une chanson,
A réenchanter le peuple sans bémol
Et en grande communauté
Si plus et affinités,
Comme ça le monde aura de la parole
Sur Venise et ses gondoles,
A l'unisson
D'une population en communion.
Jérôme de Mars
Sous un ciel de bienfaisance
Petit matin dans un lever
De soleil fier et pressé,
Pour siroter une bière rousse
Qui ne s'émousse,
L'univers allume sa lumière claire
Avec un bleu rayon réverbère
Sous un ciel de bienfaisance,
Qui lézarde les instants d'insouciance
Puisque c'est maintenant
Que vous savez si le temps est nonobstant
Ou bipolaire,
Avec de la colère
Adjacente et assez de remontrance
Qui pourtant se tempère
Sous un ciel de bienfaisance,
Généreux avec les miséreux
Et heureux avec les ingénieux,
Pour capter l'air du temps bienveillant
Et le convertir en aspirant soupirant
Voulant capturer un peu
D'élan dans cet espace pieux,
Car seul sous un ciel de bienfaisance
Le silence le réhabilitera
En joyeux aléas
De connivence
Et de prévenance
Dans l'innocence de l'enfance,
Encore assez présente
Et oppressante
Avec des plaies bien béantes
Et imprégnées d'une volonté farouche
Pour ne plus être dans le rouge,
Car il faut que ça bouge
En rendossant sa souche populaire
Et téméraire
Loin du chaud et du froid bipolaires,
Car sitôt d'antan
Se distancera de l'air du temps
Au présent,
Autant l'océan de magnificence
Sera probant et plaisant
Au Port de Plaisance,
Par ici et longtemps
Sous un ciel de bienfaisance.
Jérôme de Mars
En mets, fais ce qu'il te plaît !
Ouvrons les guillemets,
C'est bientôt le mois de Mai
Avec la fête du muguet mais
Qu'il faut célébrer en mets,
Comme en mets,
Fais ce qu'il te plaît vers mes
Fleurs qui font une fleur au muguet qui démet
Des mets et ouvrent le mois de Mai,
Pour goûter en mets ce qui vous met
Du baume au coeur avec une armée
De mets comme en mets,
Fais ce qu'il te plaît mais,
Comme il faut arroser le mois de Mai
Avec un arrosoir d'histoires a contempler mes
Vieux souvenirs, donc ouvrons les guillemets,
Car il faut boire les paroles d'un sage qui a trimé
Toute sa vie, sauf au moi de Mai,
Car en mets, fais ce qu'il te plaît parmi l'armée
De jours fériés, pour se reposer mais
Dont il faut déguster les mets
De l'entremets
Comme en mets,
Fais ce qu'il te plaît oui Mai,
C'est le printemps qui met
Des mets,
Et démet
De l'entremets
En Mai,
Car fais ce qu'il te plaît mais
Oui mets,
Fermons les guillemets.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait deux larves qui sympathisent en portant un toast ?
- Un ver de contact
2) Que dit-on d'un singe qui nettoie son long et gros derrière en prenant son pied ?
- Il s'astique la queue !
3) Que dit-on d'une actrice porno qui s'en fout de se nettoyer après un rapport sexuel ?
- Elle s'en lave les mains !
Jérôme de Mars
Fin de semaine endimanchée
Après la fin de semaine, vient enfin le week-end,
Quand ça me dit qu'on fasse un repas en happy end
Dès la fin de semaine endimanchée,
De samedi à dimanche en dix manches à balais
Dans le remue-ménage du printemps à 40 balais,
Qui ont déballé les objets de l'histoire décalée
Dans la force de l'âge et de l'action
Avec de la technologie sophistiquée en interaction,
Quand c'est bienvenue le week-end
Et la fin de semaine endimanchée et démangée,
Par les habitudes qui composent note vie quotidienne
A manger et à relâcher toute la pression accumulée,
Par le travail en semaine qui nous démène
Et nous emmène dans un besoin d'impression qui égrène
A imaginer une bouffée d'oxygène loin de notre époque anxiogène,
Où l'on voudrait s'évader en rêvant d'aimer des personnes saines
D'esprit et de corps, quand c'est la fin de semaine endimanchée
Et que ça me dit qu'on se voit dimanche dans un déjeuner arrosé
A la véranda de la place du peintre qui refait la façade dans des parpaings,
Dès que l'artiste esquisse la vie en rose d'Edith Piaf dans du papier peint
Qui reflète l'élégance et la beauté d'une fin de semaine endimanchée,
Et embaumée dans un samedi endimanché qu'on évoque mains et points liés
Et garde-fous alliés dans le département de L'Allier qui allie un dessin surréaliste,
Et opportuniste d'une vie d'artiste et arriviste dans le temple avant-gardiste
Qui retouche qu'après une semaine pleine,
Revient par fin le week-end défunt de semaine
Endimanchée car ça me dit qu'on soit dimanche happy end, the end.
Jérôme de Mars
Provocation
Evocation
C'est la révocation
Quand c'est de la provocation
Et vocation
Et qu'il y a convocation
Pour révocation
A la vacation
De la vocation
Quand c'est de la provocation
Et qu'il y a convocation
A la révocation
De l'évocation
Et vocation
De la vocation
Quand c'est de la provocation
La vacation
Evocation
Et qu'il y a révocation
De la convocation
Dans la vacation
Et vocation
Evocation
En révocation
De la convocation
Quand c'est de la provocation.
Jérôme de Mars
Ver de slam
Salut, bienvenue
Au bar des racontars,
Dont c'est le café du comptoir
De clamer impromptu
Un ver de slam
Dans le calme des états d'âme,
Lorsque y a pas dame
Au Paris Padam,
Où l'on vous dessert
Un ver
De slam,
Qui rame
Dans cette trame
D'Arnaud Beltrame,
Qui est un mélodrame
Dans un revers de slam,
Qui tombe en rad
Au rad
Qui trinque
Au drame,
Avec un ver
De slam,
Après avoir trinqué aux revers
Du mélodrame,
Qui se requinque
Dans la quintessence
De l'essence,
D'une graine de semence
Immense et dense,
Où l'on vous déclame
Que le ver de slam
Se dessert
Aux revers bigames
D'un enjeu de gammes
Aux vers
Pour toujours en forts revers,
Lorsque y a pas d'âme
Mais dame
Au Paris Padam
Qui sert un ver de slam
Avec du slave slam,
Qui tombe en rad
Dans votre rad,
Car merci de vos bons et loyaux services
Comme bientôt, on vous recommandera
Un ver de slam
Sous de meilleures auspices,
D'où l'on vous réclamera
A plus les quidams
Avec un ver de slam.
Jérôme de Mars
J'ai tout fait !
A l'étouffée
Je vouvoie
Comme j'ai tout fait
Et que je vous vois
A l'étoffée
Quand j'étouffais
Et que je pouffais
La vie
Dont j'en ris
A en bouffer
L'étouffée
Comme j'ai tout fait
De l'étoffée
Que je vous vois
Voire que j'étouffais
Quand je vouvoie
Une bouffée
D'oxygène emmitouflée
Dans du cellophané
Et siphonné
A l'étoffée téléphonée
Comme j'ai tout fait
A l'étouffée
Touffue que je vouvoie
Un pourvoi
Pour voir
Que j'étouffais
Que je vous vois
Et que je tue toi
Si je tutoie
Comme j'ai tout fait
Et que j'étouffais
A l'étoffée
De l'étouffée
Voire pour voir
Un convoi
Qu'on voit
Que je vous vois
Et que je tutoie
Si je vouvoie
Que je tue toi
A l'étouffée
Que j'étouffais
Comme j'ai tout fait.
Jérôme de Mars
Le soleil est dans la lune
Trois, deux et d'une,
C'est la nuit
Sous un ciel de dune
Qui surgit,
Lorsque dans un coucher
De baisers volés,
Le soleil est dans la lune
A rugir
Et à rougir,
Car lunatique et capricieux,
Le soleil s'endort paresseux
Aux justes cieux
Dans un sommeil fabuleux,
Lorsque le soleil et la lune
Ne font qu'une,
Car c'est l'éclipse d'une
Aux dunes diurnes
D'une et une
Part en urne
De cendres de lune,
Lorsque le soleil est dans la lune
A en perdre la tête de sa une,
Comme il n'y en a qu'une,
C'est la lune !
Jérôme de Mars
Extra-lucide
Dans un feuilleté de mise aux vers
J'ouvre la page extra-lucide,
Comme je n'y vois clair
Dans ce monde qui bloque au feu vers
Dont les voyants sont aux vers
Et qui voit rouge au feu lorsqu'il passe over
Et saigne de son feu rouge,
Car je suis extra-lucide
Que mon coeur amer
Respire l'acide humide,
Du dissolvant qui n'est limpide
Avec un feu en bloc de fer rouge qui ne bouge,
Comme y a le feu au lac de mon état extra-lucide,
Où j'élucide mon âme qui n'arrive à être placide
Dans le souffle du coeur qui souffre de mes névroses
Et qui mouchent le coche de ma nécrose,
Au programme de l'amalgame que me porte
Les mauvaises langues de vipère qui déportent,
Que je suis louche, quand ça jase manouche
Dans mes égarements de gars,
Bonjour les dégâts ! Cupides et avides
De mon état livide et rigide,
Qui se liquéfie dans du liquide
En argent liquide qui me trucide,
Très extra-lucide dans le souffre ouvert
Ou vers de circonstances d'un jardin de Jacques Prévert
Dans lequel je m'interroge si j'ai le droit de trouver le bon endroit,
Pour me ressourcer au vers qui met bien le doigt
Dans l'oeil, car mon oeil tourne la page du mille-feuille
Qui affranchit toutes les feuilles que compose ce recueil,
Où je me recueille parmi les souvenirs et l'avenir
Que j'espère importé par le plaisir
Et exporté l'extra-lucide de ma clause de conscience
Pour renouer des contacts limpides dans une osmose de pleine réjouissance,
Comme la vie se maintient aux vers
Du bonheur haie
Dans le pré et que la page ferme se referme clôturée,
Cap je suis over.
Jérôme de Mars
A mon grand-père
Bonsoir grand-père,
Je pense fort à toi
Et je t'envoie
Ce poème, car j'ai toujours eu foi
En toi même que t'es plus là,
Mais je me rappelle tellement fier
De toi et de nos bons moments
Passés ensemble à chaque instant
De ma vie qui n'a plus de sens,
Sans toi comme ton absence
Me pleure sans ta lumière,
Car il fait noir dans la pièce
Depuis que dans le ciel, il ne fait clair,
Mais une grisaille de pluie qui ne cesse
A toi mon cher grand-père,
D'où je te dédie ce poème avec ma peine incendiaire
Car je te dis je t'aime
Parmi mes souvenirs en requiem,
Un jour au paradis du ciel
Avec nos ailes
D'anges-gardiens,
Au-delà Le Missel
Et des prières,
Pourvu que ce ne soit pas trop loin
Pour qu'on se revoit,
Cher grand-père
A bientôt je l'espère !
Jérôme de Mars
Les âmes fauchées
En prélude du soleil couché
Dans la lune, la nuit ne tarit pas d'éloges
Sur le temps qui ne passe au beau fixe,
Eméchée par la rixe
De sa couleur crépusculaire qui déroge
A la règle de la pluie desséchée,
Comme les hommes pleurent
Du haut de leur demeure
Que les âmes fauchées
Ont été fauchées et débauchées,
Par l'orage en pleine gloire
D'une guerre déloyale embaumée
Au grand soir,
Dont l'effet de satin
Pressent le temps décoloré
Qui consent qu'il sent le sapin
Enrobé et dérobé
Dans un parfum de naphtaline
Consumé et désuet,
Qui décline et butine
La couleur du miel périmé,
Quand les âmes fauchées
Dépassent l'entendement humain
Et trépassent en lâchant du leste hautain,
Au teint
Des nuances contrastées
Et relatives en micro-ondes
Qui se fourrent
Le doigt dans l'oeil,
Bon pied, Bonneuil
A Bonneuil
Qui déclenche les effets de seuil,
Quand les âmes fauchées sont pauvres d'amour
Et riches de troubadours,
Assis sur leur fauteuil
A demander un de ces jours,
Quand est-ce-que les âmes fauchées
Seront exonérées
De malheurs
Et de misère dans leurs faubourgs,
Et renfloués ailleurs
Vers un avenir meilleur.
Jérôme de Mars
Médocs
Pare-chocs,
Tantôt on tient le choc,
Tantôt on s'entrechoque
A prendre des médocs,
Comme on est toc toc
Et qu'on consulte
Un psy
Dans le tumulte
D'une vie en dents de scie,
Même qu'on a des séances
De créances
Avec le docteur Penot
Point penaud
D'être peinard,
Et de prendre les choses
A la légère
De nos ecchymoses
Passagères
Avec son caractère goguenard,
Comme un renard
Qui voit Renaud
Et dont tout tombe à l'eau
Après avoir lu les trémolos
De Renaud
Qui finissent dans le ricard
De Renard
Et qui lui rappellent les gros mots
De Géronimo,
Alors que je lui dis : Mais doc !
Je suis sous médocs
Et je redeviens Jérôme
Qui sent un bel arôme
D'une tasse de café,
Dont c'est la tasse de thé
De faire les bouteilles de rhum
Dans son travail,
Comme c'est pour sa pomme
D'être sous médocs
Et d'attendre de voir
Le docteur Penot,
Pour lui confier tous ses déboires
De la mère alcoolique
A l'amère acolytes
Tout penaud
De voir chez Penot,
Un renard
De comptoir
Qui attend que Géronimo
Se rembarre,
Pour écouter les doléances
Et les condoléances
De Jérôme qui prend ses médocs
Sur ordonnances,
En lui énumérant :
Mais doc !
Pourquoi ne suis-je qu'un numéro ?
Quand je suis Géronimo,
Et que je ne sais faire que du rhum
Qui soûle les gens
Avec ses tourments,
Lorsque je respire l'arôme
Moi ici présent,
Jérôme,
Comme j'attends
De réécouter l'ancien album
De Renaud,
Avec la chanson, docteur Renaud,
Mister Renard,
Car y a pas photo,
Renaud, c'est mon poto,
Au bar des racontards
Qui me rembarre
En canular
De Renard,
Qui déteint sur moi
Dans le froid
D'une journée d'hiver
A écrire des poèmes
Qui gonflent l'oedème
De leurs vers austères,
A relater ma vie de fou,
Dont tout l'immonde se fout
Sans garde-fou,
Où en suppliques anachroniques,
J'implore le docteur Penot
Tout penaud
Qu'il enlève les gros mots
Et les trémolos de Géronimo,
Malade chronique
Et qu'il redonne en insufflant
A Jérôme,
Une dynamique d'arôme,
En l'éloignant de son côté renard
Et du docteur Peinard,
Très franchouillard,
Pour le rapprocher avec les bons mots
De si grand brio
De la thérapie du docteur Penot
Qui le guérira
De tous ses maux
Sous médocs
Et le remettra
Dans sa facette de gaillard,
D'où je lui répondrai reconnaissant,
Merci mais doc,
Docteur Penot,
Mister Peinard.
Jérôme de Mars
Chaque jour suffit sa peine !
Au jour le jour,
On se lève
Et on prend la relève
Avec peine,
Dont on se remet à peine
Du jour d'avant éprouvant,
Et prouvant
Que chaque jour
Suffit sa peine,
Dont on peine
A dire
Bonjour
Et à médire
Les bonjours,
S'il y en a
Encore
Pour garder l'haleine
Et rester en soi
Fort,
Comme chaque jour
Suffit sa peine
Et que les journées sont pleines
Et demeurent après l'effort
Le réconfort,
Dont on est le bras droit
A bras
Le corps,
Comme chaque jour
Suffit sa peine
Avec un compte à rebours
Pour y faire un tour
Et un retour
Par un détour
Des tours,
Dont on peine
A garder la tête pleine
Si fort
Et en renfort
Qu'on mène
La mène
Qu'on ramène
A peine,
Et dont on se démène
Avec peine,
Comme chaque jour
Suffit sa peine.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi prend-on les choses avec du recul lorsqu'il fait beau et chaud ?
- Parce-qu'on ne les prend pas au 1 er degré !
Jérôme de Mars
Le printemps passe du bon temps
Beau jour, le ciel,
Y a le soleil
Qui se lève à L'Est,
Mais très à L'Ouest
De L'Everest
Qui reste leste,
Comme un Eden de villégiature
Dans un jeu d'écriture
Au mois de Mars, lorsque l'océan
Dans un cri exaltant prie le printemps,
D'apporter du bon temps
Avec des moineaux juchés
Sur les arbres enchantés,
Pour que le printemps passe du bon temps
En souriant et en riant reconnaissant
Vis-à-vis du soleil bienveillant,
Et bien veillant sur la faune et la flore
Dans la forêt des animaux variés sans temps mort,
Entre deux baisers échangés avec des oiseaux migrateurs
Qui flirtent en tourtereaux le long du lit élévateur
Dans la saison qui tape l'incruste en insinuant
Que le printemps passe du bon temps,
En séduisant le roi lion et en chansons
D'une belle mélodie qui protège la loi du talion,
En y allant dans une ballade en une passade
D'un défilé amoureux sur fond de décor qui persuade
Le printemps qu'il passe du bon temps,
En amadouant le soleil dans un pseudo credo qu'il y a longtemps
Le printemps demeurait triste comme un clown triste,
Alors que maintenant, le printemps surpasse les pessimistes
En déclarant son amour d'artiste afin qu'il soit empreint tant,
Temps qu'il y aura des fleurs et les rougeurs du bonheur pourtant
Bien nécessaire pour jouer les intermédiaires, tant que le printemps
Passera du bon temps avec le soleil et le ciel bleu en aimant sciemment, autant
Qu'en emporte l'au temps d'antan.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait des milliers de bouteilles qui poussent le bouchon trop loin sur le périphérique ?
- Un embouteillage
2) Pourquoi faut-il protéger les belles plantes et leur environnement ?
- Pour préserver leur jardin secret
Jérôme de Mars
D'alcooliques à acolytes
En cette époque mélancolique,
La France a la colique
Avec Paris amnésique,
Comme ici loin le paradis bucolique,
Où c'est chacun pour soi
Dans le chaud et le froid
Avec des calculs néphrétiques
Et des conflits névrotiques
Dans cette France ivre de bouteille,
Qui soule le soleil
Qui s'éloigne
Avec empoigne,
Dont la marque d'intérêt
Est la solidarité
Affiliée
A la fraternité,
Et pas comme ce Paris
Isolé dans l'individualisme
Sans merci et répit
De La France de l'égoïsme
Avec du grand n'importe quoi
Et du je m'en foutisme,
Ce qui prévaut l'incivisme
Et vaut le prisme
Que notre société
Ne fonctionne qu' en argent comptant,
Avec une parole qui demeure d'argent content
Dans le dynamisme mais contant
De cette France d'alcooliques,
Qui a l'âme mélancolique
Et le souffre avec la colique
Avec des conflits intérieurs névrotiques
Dont les maux d'enfant ne sont comiques,
Comme maintenant, c'est chacun pour soi
Et Dieu pour tous,
Avec des gens qui hurlent pousse
Sans coups de pouce,
Alors que si on achète un Dieu pour tous
Et de la soie,
Ca sera chacun pour soie
Et Dieu pour tous,
Avec une France d'alcooliques
Qui se sèvrera en une France d'acolytes
Ivre de soleil
Et sobre une bouteille
A la mère
De notre existence héréditaire,
Comme de passer d'alcooliques
A acolytes,
Car il suffit d'un déclic
Hétéroclite et cosmopolite,
Pour tendre la main
Et attendre que demain
Ne soit les SDF de France
Mais des gens sans difficultés financières
En France
Dans la bienveillance salutaire,
Du passé de La France d'alcooliques
Au présent bucolique,
Avec vous mes chers amis,
De La France d'acolytes
Qui sourit,
Comme il suffit seulement
Et simplement
D'un mot et d'une attention sympathique
Et humaniste,
En tenant à distance les cyniques
Et les égoïstes,
Pour redécouvrir
Avec plaisir
Une France o' voilà émérite
D'alcooliques
A acolytes,
Due à son seul mérite.
Jérôme de Mars
Alpha oméga
Alphabet
T'es bouche B
Si de ton pense-bête
T'es alpha bête
Ou analphabète
De l'alpha bêta
Si t'es oméga
Avec hauts mes gars
Et si t'es oméga drive
Ou oh mes gars live
De l'alpha oméga
En alphabet
Bouche B
A l'alpha bête
En analphabète
Où oh mes gars
Bonjour les dégâts
Si tu tombes bien
D'oméga
Et que tu tombes bien
Bas
A l'alpha
Hauts mes gars
Si de l'alpha
T'es alphabet
Et bouche B
Et que d'oméga
Tu tombes bien
Oh mes gars
A l'alpha
Qui tombe bien
Bas
Le pense-bête
Et le dépense bête
Alpha bête
Et analphabète
Comme t'hébètes
De l'alpha bêta
A l'oméga.
Jérôme de Mars
Je bois des vers !
Accoudé au bar
Du comptoir,
Se recharge mon réservoir
D'abreuvoir et arrosoir
D'histoires pas dérisoires,
Dont je me sers
En vers
De paroles,
Comme d'un réquisitoire
D'exutoire notoire,
Quand passent les chansons
De farandoles
En moisson,
Et que ça me dessert
Bien, comme je me sers
Des paroles
Et que je bois des vers,
Comme un maudit rossignol
Libre comme l'air,
Dont je ne sais si mon revers
Dessert les vers
De bémol
Ou s'ils m'inspirent les paroles
En illuminé rossignol,
Que je suis ressoudé au bar
Que je rembarre
Et dont je me sers
En paroles,
Comme je bois des vers
Et dont je dessers
La ligne imaginaire,
Avec mes frères
Qui se mettent aux vers,
Après tout, je bois des vers
De l'amitié parmi mes congénères,
Quand je me sers
Des paroles
Et que je dessers
Des vers
En vieux rossignol,
Au terminus de la ligne passagère,
Point linéaire.
Jérôme de Mars
Vogue sur l'eau
Fenêtres ouvertes,
Sortez la tête couverte
Avec l'exode des oiseaux
Sur le radeau
Qui vogue sur l'eau,
Et qui emmène ses badauds
Sur un îlot,
Grâce au radeau
Qui vogue sur l'eau
Et qui tape du pied,
De par les poissons survoltés
Qui nagent dans la danse
En impatience,
Des coraux au fond de l'eau
Qui cachent de jolis lots,
Des vestiges de bateaux
Qui gisent dans un toréro
Et un boléro
De poissons métallos
Marteaux ou ciseaux,
Comme des métaux brutaux
Avec la rame du radeau
Qui vogue sur l'eau,
A boire le sel de la vie
Mais qui ne donne pas envie
D'ingurgiter la mer imbibée
De sels sur les plaies,
Avec la colère de la terre
A en extraire
Toute la paix populaire,
Ainsi puisque les congénères
Ne s'entendent guère,
Allons enclencher un hymne salutaire
En haut de l'eau,
Pour que les poissons
Vous saluent en frères
Dans la mousson,
Et que depuis le radeau
Qui vogue sur l'eau,
On arrive en héros
En prenant un nouveau départ,
Car il n'est jamais trop tard,
Comme ici la mer
Pose pied à terre
En inventaire,
D'un monde solitaire,
Que maintenant, on espère solidaire
Ravitaillé et revigoré,
A volonté
Pour des millénaires.
Jérôme de Mars
Les bourgeons voient la vie en rose
Pétales de fleurs chers dulcinées écloses,
Vous trouverez dès votre retour au bercail
Le parfum au travail qui vous emmènera au sérail
Des jardiniers de l'amour quand les bourgeons voient la vie en rose,
Et que la porte aux frontières de l'extase se transporte en osmose
Avec des toutes petites choses de trouvailles qui confondent les névroses,
En des roses affables dans l'eldorado de L'Eden qui embrasse sur la bouche
Toute la ribambelle des confiseurs qui vous mettent l'eau à la bouche,
Et qui débouchent sur un défilé de fleurs qui s'enrhument avec le nectar
De leur pollen dont c'est toujours la même rengaine de déclencher le tintamarre,
D'un bouquet de fleurs qui trouve porte close en comptant d'un trèfle à quatre Feuilles leurs bons sentiments qui divulguent leur intimité en essuyant les plâtres,
Quand les bourgeons voient la vie en rose
Avec un piaf qui arrose et irrigue les métaphores d'une prose,
Dès que la vie semble vergeture mais qu'il faut en déceler la vraie nature
Pour humer le printemps et jeter l'hiver en pâture,
Et s'imaginer sur une balançoire à réciter la poésie des belles choses
Qui ose vous déclarer sa flamme dans des dithyrambes loin les nécroses,
Comme les flammes de l'amour hasardeux vous rapprochent d'un joli sillon
Du sillon des yeux de Venise qui se gondolent avec ses gondoles aux environs,
Du magnifique endroit des tropiques exotiques, lorsque les papillons en anicroches
Reportent le printemps en hiver en cas de galère,
Et que tout et son contraire
Vous évoquent Voltaire sur le Paris inventaire de Gavroche,
Alors que les colombes insultent tous azimuths ces drôles d'oiseaux de corbeaux
A faire de l'excès de zèle en faisant les beaux sur Le Carrousel de ces corniauds
Mais puisque les bourgeons voient la vie en rose,
Autant prendre un piaf et se le réciter en chansons de pause
Sur la vie du jour et de la nuit agités,
Et ainsi les bourgeons vous fredonneront bonjour et à plus si affinités.
Jérôme de Mars
Amalgame
Monogame ou polygame,
Voici un gamme ouvert
Par les fenêtres de derrière,
Avec le programme
En électrocardiogramme,
Qui bat la chamade
De cette ballade,
En pictogramme
D'un amalgame
Avec toi Serge en gamme o'vert,
Où je te demande
Dans la loi de l'offre et de la demande,
Si je te sers-je un ver
De l'amitié entre confrères ?
D'un amalgame
Qui met un gramme
Dans un mélo-drame,
Dont c'est un drame
Si l'amalgame
N'est plus ta came,
Puisque c'est une réclame
De ton programme
En amalgame,
Qui joue des gammes ovaires
D'un mal de mère prépubère,
Quand ton amalgame
Rejoue la partition d'une fée d'hiver,
Alors qu'arrive le printemps
Réenchantant la saison,
Des bourgeons
Dans un calme plaisant
De ton amalgame,
Où l'on te rappelle avec ton programme
De tes gammes qui jettent le macadam,
Dès que ton amalgame
Dame le pion des dames,
Et que rame ton slam
Qui déclame et clame,
Revoilà ton amalgame
Pour plus longtemps,
Dans le temps
De ton amalgame
Sur Le Paris Paname,
Car y a plus de programme
Comme ton amalgame
Finit en gamme o'vers,
Fort revers, où l'on boit un ver
Avec toi cher Serge,
Dont je te quémande ressers-je
Moi un ver ?
En des revers
Diabolo menthe,
Qui décantent, qui démentent
Et qui incantent un breuvage
Le coeur à l'ouvrage
Bientôt sans grammes,
Mais de retour avec un programme
Qui damera sur le macadam,
Tout un ramdam
Avec ton amalgame
Gamme over.
Jérôme de Mars
La vie est un combat !
Ils étaient des fois
Des aléas qui vous vouvoient,
Que la vie est un combat
Qu'on débat et qu'on s'ébat
Dans la joie et aussi parfois
Dans la courroie du désarroi,
Qui vous tutoie
Que la vie est un combat
Et qu'elle vous abat dans les abats
De boucherie avec pertes, fracas,
Et tracas qu'on bat dans une voie
Sans issue et avec des acras de morue
Dans un silence pesant de sangsues,
Comme on le sait déjà
Que la vie est un combat,
Et qu'il faut mettre bas
La résilience de son moi,
Comme y a des hauts et des bas
Dans la vie et qu'il faut renaître de ses pas
En assurant son devenir,
Et qu'il faut mettre bas
Pour l'ire l'avenir,
Comme on a des projets ici là
Et que la vie c'est aussi du plaisir
Avec mes dires sans médire,
Mais éblouir sa vie d'un repas
Qui nourrit l'existence en aléas,
Comme la vie est un combat
Et qu'il faut qu'il y ait un débat,
Pour faire une musique en la
Et qu'on écoute la beauté du ciel en éclats
De lumières qui brillent au-delà d'êtres béats,
Et d'admirer la simple plaisance d'être soie
Dans un monde qu'on espère bienveillant et droit,
Comme la vie est un combat
Et qu'on bat l'espoir d'être encore là,
D'ici là avec nos amis et notre famille à boire
La vie comme de distribuer un pourboire,
Pour remercier le royaume céleste de nous aimer extras
Avec beaucoup de carats
Et qui ornent la parure de notre bonheur ainsi roi,
Avec les parois qui lâchent la courroie
Et qui résonnent le glas
D'un tremplin enfin léger dans un canevas,
Accroché dans l'envers du décor d'un bateau qui louvoie
En prenant la direction qui porte la croix
Des vieux loups de mers, comme la vie n'est plus un combat,
Mais déjà un sempiternel débat
En route vers la joie avec un toit,
Pour toi et moi,
Chacun pour soie.
Jérôme de Mars
Ces vers
D'un brin de poème qui brode l'ode de ces vers
Ces vers sont sévères vers ces vers
Des vers ces rimes qui traînent vers ces vers
Sévères verser ses vers qui ont des versets sévères
A l'encre de machine par le poème troubadour
Qui roule et déroule trompettes et tambours
Avec le crabe-tambour qui en pince ces vers
Vers ces vers qui ont dès vers sévères
En éjectant ces vers versés vers aux vers
Déversés vers cette poésie sans frontières mise o'vers
Cap verset vers des versets déversés sévères et faux revers.
Jérôme de Mars
Les oiseaux voleront le ciel
Petits moineaux pluriels,
Demain, vous serez les corbeaux
Qui auront le dernier mot
De vos prunelles,
Et qui jetteront les moineaux
Vers la passerelle
Des corps beaux
Dans un tunnel
De mainates,
Avec mes nattes
De stress
Et mésanges,
Avec mes anges
De tresses,
Là où de la grange
Brûlera le soleil,
Lorsque les oiseaux voleront le ciel
A coups d'étincelles
Dans la providence
Des tourterelles
Et des hirondelles,
Qui feront du zèle
Sur la stèle
Des vieux oiseaux,
Qui reposeront en ribambelle
Avec leurs numéros
De drôles d'oiseaux
Qui ricaneront avec leurs becs,
Lorsque les oiseaux voleront le ciel
Avec leur fiel
De prises de becs secs
En vilains oiseaux,
Qui tourneront le dos
Au tango des gentils oiseaux,
Dès la saison du printemps
A roucouler d'amour clément,
Lorsque les oiseaux voleront le ciel
Des Iles de l'eldorado,
Comme nous leur distribuerons notre credo
A tous les créneaux des fuseaux horaires
Sans frontières,
Car plus loin resteront les trémolos
Du ciel,
Plus près demeureront ci-haut
Les merveilles
Qui dîneront aux chandelles
Avec les oiseaux vétérans,
En fiers princes charmants,
Lorsque les oiseaux voleront le ciel
Eternel, puceau avec la grêle
Et charnel avec le soleil.
Jérôme de Mars
Au carrefour de la rue
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Les piétons marchent dans la rue Et se ravitaillent
Surplace et font leurs courses of course Pour avoir en magasin
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Jérôme de Mars
Des jours avec et des jours sans
Vous, les copains,
Entre prises de becs
Et régime aux raisins secs,
Le bec des oiseaux ouvre le bal triomphant
Du soleil brillant,
Quand y a des jours avec
Et qu'on mange des raisins secs,
Mais lorsqu'on entend
Des gens pète-secs
Avec leurs mots secs
De prises de becs,
On descend l'esprit plombant
Dans des mille et des cent,
Quand y a des jours sans
Pas tendres
A attendre
L'orage pète-sec
Aux nuages secs,
Qui provoque des prises de becs
Et qui évoque que le monde quelquefois
Peut être orageux, houleux
Mais aussi heureux et bleu
Dans la joie,
A se remémorer qu'on sirotait
Une bonne tasse de thé
Dans l'amour et la fraternité,
Quand y a des jours avec
A déguster des raisins secs,
Et à souffler
Et à boursoufler
La colère du vent,
Décompensant et dépréciant
Une infusion
Qui évolue en une effusion
Dans des mille et des cent,
Quand y a des jours sans
A écouter des gens pète-secs
Avec leurs mots secs
De prises de becs,
Et à se demander
Si le monde est inter net ?
Depuis l'apparition d'Internet
Avec des plans sur la comète,
Ou s'il tombe aux oubliettes
A ne plus conter fleurette
Sans amourettes
Depuis belle lurette,
Dès que le monde est aveugle
Et beugle,
Alors que si on met des lunettes,
On voit nec
Plus ultra net
Avec que des saynètes
Et des raisins secs,
Quand y a des jours avec
Et plus de gens pète-secs
Avec leurs mots secs
De prises de becs
Dans des mille et des cent,
Quand y a plus de jours sans
Et qu'il n'y a que des jours avec
Plus secs du tout, mais nec
Plus ultra,
A diffuser
Dans la joie
De vous à moi
Et en extra,
Comment ça va
Plutôt bien avec vous, les copains.
Jérôme de Mars
Claude François, les belles années
1962, cette année-là,
Cloclo, tu débutes tes années tubes,
Avec comme d'habitude
Une chanson populaire,
Le lundi au soleil
Que tu chantes en compagnie
De Belinda,
Toi qui te considérais le mal-aimé,
Alors que tu fus comblé
Avec toutes ces femmes,
Belles ! belles ! belles
Comme le jour,
Car ce fut toujours la même chanson
Toi le chanteur malheureux
Que tu sois avec Donna,
Une pauvre petite fille riche,
Alors que si j'avais un marteau
Je te dirais stop au nom de l'amour,
Pour que tu cultives des magnolias for ever
Toi qui naquis à Alexandrie,
Mais quand le matin se lève
Tu me chantes à la radio
" J'attendrai " comme une chanson française,
Toi et moi contre le monde entier
Et que j'y pense et puis j'oublie,
Alors que tu n'étais pas un sale bonhomme,
Même si tu revenais d'où tu es,
Car tu sais le téléphone pleure
Depuis ta tragique disparition
Il y a 40 ans, et ça fait 17 ans
Que je viens dîner ce soir,
En t'écoutant comme un jouet
Extraordinaire et en t'emmenant
Avec moi, quand je vais à Rio
Et que là-bas, il fait beau, il fait bon,
Et que grâce à toi et le soleil,
Je te fredonne Sha la la,
Car hier est prêt de moi,
D'où je te dédie mon cher Cloclo
Pour les 40 ans de ta mort
Depuis ce 11 mars 1978,
Comme soudain, il ne reste qu'une chanson
D'Alexandrie à Alexandra,
Car y a le printemps qui chante.
Jérôme de Mars
Chère tante Gisèle
Chère tante Gisèle
Depuis la ligne parallèle,
Je t'envoie ce message d'amour
Qui traduit à l'autre bout du fil
Tous nos souvenirs qui défilent,
Comme tu me manques sans retour
Et dont je prie le ciel,
Pour que mon oncle Michel
Te tienne la main
Et t'insuffle un doux parfum,
Qui caresse mon besoin
D'espérer te revoir
Un beau jour,
Pour que toi
Et moi,
On aille boire
Ensemble un verre
Avec Coluche,notre coqueluche
Au paradis des coqueluches,
Car après les revers,
Voici le verre de l'amitié
Chère tante Gisèle,
D'où je te salue
Avec tout mon respect fidèle
Et mon affection de longue durée,
Et sache que depuis tu t'es tu,
Je te transmets
Mon amour
Pour l'éternité.
Jérôme de Mars
Embouteillages
Dépareillage,
Le monde est sauvage
Et règne sans partage
Dans l'aérophagie des pétages
De plombs,
Comme tout le monde
S'en fout
Et vagabonde,
Pendant que le peuple devient con
Et rubicond
Défendant bec et ongles
Avec rubis sur ongles
Des mauvaises ondes,
D'un monde aphone
Qui en devient fou
Au garde-à-vous
Dont ça ne regarde vous,
Dans ce putain de monde
Sans garde-fous
Qui souffre le chaud et le froid,
Lorsque tout le monde
Aboie
Dans ce monde
En embouteillages
Et en siphonnage,
Comme ne répond le téléphone
Et qu'on ne vote au porte-voix
Du mégaphone
Dans le chemin sans croix,
Avec que des partis pris
Et des repris
De justice qui sévissent
En coupes des vices,
Où le monde
N'a plus le moral
De la morale,
Comme ça en devient banal
De faire du mal
Et que tout le monde
S'en fout,
Que l'immonde abonde
De gens à bout,
Comme le monde
Est en embouteillage
Sans partage,
Et animal
Avec Hannibal,
Comme le je m'en foutisme
Devient un incontournable refrain d'artiste
En conservatisme
Et que la violence
Démarche en déviances,
Dans la loi du plus fort
Et du monde
De l'ignorance,
Comme c'est la loi du silence
Et du monde
Des crapules
Qui véhiculent
Des idées nauséabondes,
Et qui dévergondent
La France pudibonde,
Qui inonde d'insultes
Le folklore
Et le phosphore
En ce monde
De métal fort,
Qui sonde
Le tumulte
De ce monde en fronde
Qui gronde,
Lorsque la différence
Et l'indifférence
Marchent ensemble
En embouteillages
Et assemblent
Un monde
De dépareillage,
Avec la rage
au ventre,
Qui évente
L'appareillage
D'un paradis d'enfer,
Lorsque Lucifer
Fait l'apologie de la violence
Comme d'un hymne au respect
Et à l'intelligence,
Qui coule avec du sang de véhémence
Dans les veines
Farouches qui voient rouges
Et qui rendent louches,
Les jeteurs
Et les fauteurs
De métaphores,
Avec du clore
Et du fol pour clore
Ce pamphlet
Contre la connerie humaine
Et hautaine,
Pour en faire
Un appel à l'amour à la semaine
Avec clarté
Et en aparté,
De ce monde
Qui ne sera en embouteillages,
Mais dans le partage
De la libre circulation
Et de la communication
Sans y aller à reculons,
Comme nous vivons,
Nous marchons
Et nous avançons,
Car allons-y vers le pardon
Et la communion
Pour de bon.
Jérôme de Mars
Une nouvelle page
Au clair du printemps,
Bienvenue bientôt sera le bon temps
De tourner une page,
Pour démarrer une nouvelle page
Aux râpages
Page par page
Sans dérapages,
Mais être à la page
Pour passer le péage
D'une saison,
Au tronc
D'un arbre
Usufruitier, à tremper
Le marbre
Dans du mare de café,
Et à désigner
Une nouvelle page
Qui sera le râpage
D'un printemps en immersion,
Avec la douce France
De Charles Trenet
Qui chantera la communion
De la belle espérance,
En images,
La tête dans les nuages,
Pour démarrer moteur une nouvelle page
Avec des crayons de coloriage
Qui donneront des couleurs aux laitages,
En l'étage de l'attelage
Par âge dans les parages,
Où il suffira d'être sage
Comme une image,
Pour enfin rejoindre les rois mages,
Car lorsque une ancienne page
Se ferme
En cépages
De ces pages
En des râpages,
Voilà qu'on redémarre ferme
Une nouvelle page
A la ferme.
Jérôme de Mars
Blague :
Pour quel match, le PSG peut-il se faire des cheveux blancs ?
- PSG-L'Oréal
Jérôme de Mars
Jérôme de Mars
Vers l'an accordé.
Et requiem
Post-mortem
Du diadème
Dans le totem
Et vous dire je t'aime
En chrysanthèmes
Pour mourir ce poème
Douze pieds
Car ainsi, vous avez encore
Avec des cors au pied,
Dans l'envers du décor
Le Vercors
Comme on vous l'a à cordée
Premier de cordée
Dans le verlan en cordée
Est raccordé
Que l'envers du décor
D'un rien fou à lier
Qui s'en foutent de nier
En désaveux
Morts voeux
Des morveux
Sur l'échiquier politique
Qui avance le mort pion
Du morpion
Dans la rue vaine
Qui se pavane
De la savane naïve
Dans la brousse
De leurs dix manches
Et rebroussent chemin
De leurs deux mains
Leurs manches
Ceux qui retroussent
Qui détroussent
Des trousses
Et s'élance
Aux trousses
Qui se lance
L'avis
Et avisa
Qui visa
Du visa
Par l'an vers
Raccordé
Au verlan en cordée
De l'envers du décor
Le miel
Et éliment
Qui liment
Fous déliés
Soirs des rois
Qui font les beaux
Bredouillés
Par les mots
Et débrouillé
Embrouillé
De ce méli-mélo
Le cadenas verrouillé
Qui a rouillé
Dérouillé
Le tintamarre
Qui se marre et amarre
Qui prend le virage
Du rivage
A la rive
Qui arrive
Au verlan en cordée
Et dérive
A l'envers du décor
Qui vire
Sur la rame
Du piano rame
Que la queue
Bouleversants
Des revers sans
Et renversant
Des versants
Versant cent vers
Envers Anvers
Du décor en cordée
Tombe dans l'envers
Raccordé, le verlan
Le verlan en cordée
La montagne gravit les échelons
Vent de tramontane à La Plagne,
La colline dissipée dépose ses reliefs
Avec des elfes grandiloquents,
Lors d'un éboulement bref
En quatre temps
Qui suggère d'escalader une montagne,
Comme la montagne gravit les échelons
En latitude de bataillons
Avec un effet d'optique,
Que la température cyclothymique
Monte de grade et rétrograde
En marchant dans la bousculade
Des chutes de neige éternelles,
Qui prennent de la hauteur
Dans un lâcher de dentelle,
Comme la montagne gravit les échelons
A se persuader de bonne raison
Que le yéti n'existe,
Car la légende résiste
A ces diseuses de bonne aventure
Et que le ciel affiche sa voilure
En dormant au bercail des chalets chaleureux,
Autour de la cheminée au coin du feu
Qui grésille en enflammant
L'hiver irascible sans les flamants
Roses hibernant à l'endroit de l'éruption
De l'été,
Comme la montagne gravit les échelons
Piqués au sommet du piquet.
Jérôme de Mars
La joie est une époque moderne
Appel à témoins,
La planète revient de loin,
Dès le réveil du transistor
Qui recherche le trésor
Des souvenirs épanouis,
Dont on n'oublie
Ni le meilleur,
Ni la splendeur
Des candidats beaux parleurs
Et bon joueurs,
Comme la joie est une époque moderne
Qui ne met le drapeau en berne,
Dont on sourit
Et on rit,
Avec que du bonheur
Pour rallier l'amour porte-bonheur,
Car il vaut mieux aimer
Qu'aimer détester,
Et ainsi se réconcilier
Pour être en paix,
Et se pardonner
Et pardonner
Aux autres,
Sur lesquels on se vautre,
Comme la joie est une époque moderne
Qui n'émet les yeux avec des cernes,
Rendez-vous, vous êtes cernés
Et concernés
Par la brochure du type prototype
Qui n'aimait les stéréotypes,
Comme la joie est une époque moderne
Et que c'est merveilleux
De lire Jules Verne,
L'écrivain fabuleux
Pour lequel, on voyage au centre de la terre,
20000 fois mieux pour se taire,
On éteint la lumière.
Jérôme de Mars
Dévale de Marne
Sur La Seine,
Je vogue sur ma péniche
En eaux troubles, je slame
Sans macadam de Nogent Sur Marne,
Où je rame sans métro comme je prends l'eau
Et je dévale de Marne dans Le Val de Marne
Que j'avale dès l'aval de Marne à Alfortville,
A Villeneuve-Saint-Georges, à Choisy Le Roi,
A Créteil, à Thiais et à Champigny sur Marne,
Où je chante et je dévale de Marne en péniche,
Comme la vie n'est pas un long fleuve tranquille
Dans Le Val de Marne en passant sur Seine à Vitry,
Et à Ivry avant de faire une halte à Villejuif sans Laval
Du Val de Marne que j'avale au Kremlin-Bicêtre, Et que je dévalle de Marne à Marne-La-Vallée
Après être sorti de Seine, et de reposer en paix
Avec mon âme purifiée à Arcueil, tout Gentilly,
Comme je dévale dans l'aval de Marne et dans
Le Val de Grâce, ici où je tire ma révérence,
En aval de grâce et dix grâces que je dévale De Marne vers des vals de Marne en aval.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-qu'en France c'est chacun pour soi et Dieu pour tous ?
- Parce-que le monde est insidieux ( ainsi Dieu ) !
Jérôme de Mars
Promenade salutaire
Un matin logé près de la rivière muse de l'estuaire,
M'inspire une alchimie créative avec de la pluie
De Grande-Bretagne qui enjolive La Bretagne au bercail,
Qui raille de quolibets l'inventivité de la relativité dans le corail
Vingt mille mieux sous la mère à espérer merveilles en nature pubère
Dans une promenade salutaire sur une barque dans un lac ébahi,
Qui mène sa barque et m'embarque dans un rabais du ciel assailli
Par des lucioles en rêves imaginaires qui contemplent l'atmosphère
Dans cette promenade salutaire à refaire un monde solidaire,
Existe-il encore ? J'essaie de me convaincre qu'il sera inouï
Dans cette ballade de complainte à raccorder télé mélodie
Sur la télé, une chaîne de souvenirs qui me rappelle nostalgie,
La radio du fond des années depuis belle lurette qui resurgit en bluette
D'une journée d'hiver au bois à courir le marathon avec des lunettes
Pour visionner le monde aveugle d'une autre façon pour voir ses saynètes
Et quand même entrevoir qu'il n'est pas si malhonnête,
Même si la vue n'est pas nette et que la bévue est nette
Dans cette promenade salutaire dans un binôme en fête,
Avec d'un côté le Caliméro de services et d'un autre un zigotto,
Avec des pectoraux, des gros maux immoraux
Et rien dans la tête, mais pour le reste, faites-lui confiance, il ramènera la quête
A la quiétude d'une promenade salutaire pour effectuer une requête
Et ramener le trésor et le retour du transistor pour toi et moi,
Où l'on évoquera 36 chandelles qui tiendra la chandelle de la quarantaine
Dans le prochain anniversaire, avec accusé de réception pour un peu de folie
Dans une ambiance pas cheftaine mais en latitude très humaine,
Pour vous les amis et la famille au 24 août de cette année, venez si ça vous dit
Et formons une chaîne intergénérationnelle et rationnelle si le coeur vous en prie,
Dans ce cas, je vous souhaite une belle soirée depuis cette promenade salutaire
Pour refaire un monde que j'espère d'ici là sur La Terre volontaire et solidaire,
Et à bientôt dans l'univers des bons airs débonnaires,
Avec accusé de réception sur La Terre extraordinaire.
Jérôme de Mars
Les alizés ont le vent en poupe
Brise de vent auparavant,
Le tourbillon regarde droit devant
Si les alizés ont le vent en poupe
Et si le ciel vend
Ses nuages à la découpe,
Qui soufflent le sillon adéquat
En titillant le sot des grenouilles et quoi
Donc, si les alizés ont le vent en poupe
Et qu'ils vont au Iles Du Levant,
A servir la soupe
A la grimace D'eaux Iles Canaries,
Qui relèvent le niveau
En levant les ils canaris
Et en envolant ces drôles d'oiseaux,
Cils sont en prises de bec dans l'eau
Et s'ils froncent les sourcils
Les yeux dans les yeux
Couleurs vairon par deux,
Qui leur tournent par déraison
Et si les alizés ont le vent en poupe,
Autant leur servir de la soupe
De par avant
A maintenant
Dans ce monde en marche,
Avec le paravent
Qui démarche
Les Champs Alizés,
Sitôt L'Arche de Triomphe par alizés.
Jérôme de Mars
Tout va bien !
Aujourd'hui est demain
En boute-en-train
Et avec entrain,
On sait bien
Qu'avec les va-et-vient,
On se doit o'combien
D'affirmer tout va bien,
Même si les jour prochains sont incertains
Et qu'il faut bien se soucier de son prochain,
Comme dans notre écurie on a le nouveau poulain
Qui a besoin qu'on lu accorde un entretien
Pour son maintien dans notre confrérie,
Avec un tour de manège de forain o'combien
Et d'affirmer tout va bien,
Même si les jours prochains sont enclins
En un clin d'oeil, à qui va la chasse perd sa place
A bout portant du fusil des daims sans dédain,
Avec le viseur sur le chevreuil ou l'écureuil
O'combien
D'affirmer en bien
Que tout va bien,
Même si les jours prochains sont distincts
Au teint et à l'instinct,
Et que ça dépeint en de jolis pins sans pépins
Atteints comme la fin
Justifie les moyens,
Et qu'enfin, o'combien
Tout va très bien.
Jérôme de Mars
D'échéances
Première séance,
Démarre l'outrance
D'un homme aux abonnés
Absents
Et benêt
Simple d'esprit,
Démontrant en remontrances
Que s'impose le silence
D'échéances
En déchéances,
Signifiant que l'être est insignifiant
Et indifférent,
A tout ce qui l'entoure
Et constant aux alentours,
Qu'avec les circonstances
Atténuantes,
Ca n'ira que d'échéances
En déchéances
D'éminence
Grise mine
Qui termine
Ses condoléances flagrantes
Qui dérivent
En doléances fulgurantes,
D'échéances
En déchéances
Qui leur tombent bien bas
Et hécatombes qui font débats,
Dans cette dimension retentissante
Qui se brouille en dissension déferlante
Et déchue qui plante
Des implants capillaires,
Qui incantent
Une potion révolutionnaire,
D'échéances
En déchéances,
Plus vite qu'on ne le pense
Qui se dépensent
En revenues qu'on dispense
A leurs dépens,
Endoloris de par leurs dépits
Très irrévocables
Qui accablent
Déchéances
Le cas échéant
En d'échéances,
Finies les déviances
Qui se devancent
Et s'avancent
A la prochaine échéance,
Car au revoir la déchéance.
Jérôme de Mars
Poème bohème
En marge
De long en large,
L'harem de l'amour
S'ouvre en roulement
De tambours,
Mené tambour battant
Dans un poème bohème
No problème
Qui parsème
Une histoire linéaire,
Dans un fil d'équilibriste
Qui ronge son fil nombriliste
Avec un arrosoir qui fleurit
Le tapis enseveli,
Sous un parterre forfaitaire
Dans ce poème bohème
Qui soigne l'oedème
Par un totem
Aux alliances statutaires,
Où s'unir est exemplaire
Par les temps rouleaux compresseurs,
Quand les ouvriers
Dans leurs jardins secrets,
Taillent des bouleaux aguicheurs
Qui triment de durs labeurs
Qui leur mettent du beurre
Dans les épinards couleurs
Natures de l'environnement
Dans ce poème bohème,
Où fout le camp
Le temps post mortem,
Comme un requiem
Qui se meurt
De cette période charnière
Pour voir venir au monde,
Un arc en ciel en fronde
Qui transforme cette ombre
En lumière tamisée dans l'univers,
Si bien qu'il ne fera plus vraiment sombre,
Mais un grand jour qui fleure
Bon ce poème bohème
Qui finit en choux-fleurs,
D'où tout ce monde naquit
Sur Terre
En prospérant bonne chance
Pour la suite
Sans fuites,
Avec que du bonheur
En cadence et en opulence
Dans ce poème bohème
Qui mue en un carpe-diem,
Et vous dédie
Loin de la bohème
De ce poète médit
Et d'esthète maudit,
Qui vous gracie
Le carême,
Car merci Voltaire
De donner matière
A La Terre.
Jérôme de Mars
Tasse de thé !
car
c'est
Bonjour bienvenue dans ma salle ôtée, voulez-vous une bonne tasse de thé,
tasse
de thé,
ôtée
et rotée
au T,
où c'est
ma tasse
de thé,
de parler
dans un salon
de T,
car ce n'est
ma tasse
de café, mais ôtée
cela, car ma tasse
de T
reste au thé o' thé
moi de là,
car ma tasse à thé
boit la tasse de T,
et demeure ma tasse ôtée
rotée au thé,
de ce salon de thé athé
à thé dansant au T
rôté, de ce salon à thé
qui finira en buvant
la tasse athée,
ôté moi de là athé.
Jérôme de Mars
Un artiste a-t-il le droit d'être heureux ?
Moyenâgeux ou valeureux,
Un artiste
Qu'il soit avant-gardiste
Ou triste
A-t-il le droit d'être heureux ?
Dans ce monde poussiéreux,
Comme un artiste naît poussière
Et meurt poussière en montant
Au ciel de misère,
Avec un bon remontant au montant
De Ménilmontant au Paris de la glacière,
A rester pas de quartier le long des feuilles mortes
D'un automne atone avec le brassage des algues fortes
Que la mer furieuse rejette,
Quand tombent les eaux corsaires
Qui piratent un bateau oisif vide de sens,
Qui encense avec de l'encens
Dans un lâcher d'ailes alouettes,
Que vous êtes chouettes les mouettes
Dont je vous plumerai de mon encre simplette,
Où la terre qui ne tourne plus rond interroge
Le juge magistrat devant son manuscrit dans sa toge
Si un artiste a le droit d'être heureux,
Ou d'être peureux et plus vieux que le ciel pluvieux
Qui pleure toutes les larmes de son corps,
Faute de dénicher un bon accord
Entre le soleil et la pluie qui ronronnent
A se mitonner un joli coup de klaxon anglo-saxonne,
Mais puisque il en est ainsi,
Autant chercher un répit d'accalmie
Dans ce temps égaré atteint de diabète,
Où il ne faut plus casser du sucre sur le dos du ciel,
Mais arriver à récolter le meilleur miel
Qui saura acheter la piqûre de rappel en antidote,
Qu'un artiste a le droit d'être heureux
Et amoureux le long du carrousel à deux,
Qui l'ouvre le remède juste parfait
En tapant sur le piano la fameuse note,
Qui prouve qu'un artiste a le droit d'être heureux
Et réprouve qu'un artiste soit mélancolique et tourmenté
Avec ses coliques névrotiques,
Car même si un artiste est atypique,
Un artiste engagé demeure sympathique,
Sitôt qu'il libère son âme aux affres de l'amour
Et exorcise son mal-être en roucoulant radieux,
Avant que le ciel vindicatif lui tombe sur la tête,
Comme un amour tient la chandelle
Plusieurs fois dans la cour
Des grands et voilà un artiste généreux,
Distributeur d'amour dans du satin de velours
Et fabuleux car faites l'amour,
Ne faites pas la guerre.
Jérôme de Mars
Bonne espérance
Ce matin, t'es pas cap,
Comme tu vagabondes
D'errance en errance,
Et que tu ne captes
Le monde que tu sondes,
A te demander s'il y a
Un e bonne espérance,
Cap de la bonne espérance,
Où tu noies ton blues
Dans un coup de sirocco qui émousse
Tes oeufs que tu mets
Dans le même panier
De Pâques,
Comme ton silence
Replié sur toi-même
Le nez dans tes chrysanthèmes
Qui te sont érigées,
En double impact,
Où tu cherches le cap
De la bonne espérance
Si concluante
Sera ton expérience,
A côtoyer
Si t'es cap,
A garder
Et à regarder
Dans ta direction,
Si ça marche ton expédition
A attendre tes compagnons de route
Pour triompher coûte que coûte,
Alors qu'arrivera ta délivrance,
Où enfin, tu imposeras
Ton essence
Qui ira vers le bon sens,
Cap de la bonne espérance.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi le chef d'atelier n'est-il pas bienveillant et religieux comme notre père ?
- Parce-que ce n'est pas l'ange Gabriel !
Jérôme de Mars
Cons versions vers conversions
Verset
Conversait
Et conservait
Vers ces cons
De cons sévères,
Qu'on versait,
Qu'on servait
Et versait qu'on
De cons sévères
Verset con.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça aurait fait si la famille s'était appelée PETROSSIAN ?
- Elle aurait été de la gauche caviar !
Jérôme de Mars
Citations :
1) Une clémentine pressée passe à l'orange !
2) Un chrétien qui ne respecte pas sa religion, fait quelque chose de pas très catholique !
3) Un chrétien est traité comme un roi, car c'est la voix du seigneur !
Jérôme de Mars
Vers sots
Consignes sur le zodiac,
Ces bons signes du zodiaque
Donnent la niaque,
Aphrodisiaque et maniaque
Dans un lac des signes
De la voiture Bélier,
Qui signe le Bélier
Au ver sot du taureau,
Qui monte sur ses grands chevaux
Et qui tapent se lettres de caractères,
Vers sceau Des gémeaux
Vers Sceaux qui battent le torrero
Et le matador qu'on adore,
Sauf s'il tombe malade
Et que c'est mauvais signe,
D'avoir le cancer
Comme il vaut,
Mieux adresser un cancer
De louanges,
A ceux qui mangent du lion
A Lyon,
Et qui s'accouplent
Avec des vierges effarouchées
Qui connaissent leur verge,
Mais pas leur ascendant vierge
Qui fait l'amour en vierges,
Quand c'est un lac des signes
Intérieurs de richesse,
Qui s'en balancent
Qu'on signe la balance,
Pour équilibrer la balance
De leurs piques,
A cause de la piqûre
Du scorpion,
Qui en pince
Le vers sot,
Sagittaire qui signe
De son insigne,
Aux capricornes
Qui écornent,
Les mauvais signes
Du zodiaque,
Mais qui ne tombent
A l'eau
Vers sot,
Et vers sceaux
Du signe verseau,
Qui pêche
Fautes de poissons,
Mais qu'on signe
De l'insigne consigne,
Vers sots ces bons signes.
Jérôme de Mars
Sois en paix !
Naguère, tu as supporté
Toutes ces méchancetés,
Mais de quel toupet
On t'a manqué de respect,
A t'inonder d'insultes et d'insanités
Dans le mépris et la vanité
En bouc-émissaire,
Où tu ne sais plus te situer
Dans cette planète Terre délétère,
Mais malgré tout, ne bascule pas
Dans la médiocrité
Et la violence organisée,
Sois en paix
Et garde le respect
De la loyauté et de la probité
Dans tes amitiés
Quelque fois contrariées,
Mais aussi consolidées
Dans la réciprocité
Et l'affection de longue durée,
Où l'amitié demeure la seule sécurité
Sociale à s'assurer contre les camouflets
Et les aléas de la vie souvent endeuillée,
Par la fumée
Et les écrans de fumée,
En buffet d'oxygène
Dans ce monde sans-gêne,
Mais malgré tout, ne véhicule pas
La négativité
Et la rancune consumée,
Sois en paix
Et garde le respect
De ton jardin secet
Dans l'amour, la liberté
Et la fraternité,
Avec des relations claires
Qui te mettent dans la lumière,
Et oeuvre à accorder
Le pardon
Et les effusions,
Car si tu reproches des fautes
A ta famille
Et à tes amis,
Eux t'ont pardonné
Tes fautes
En remontant ta cote,
Et en restant tes potes,
Où il faut te remettre en question
Et trouver toi-même des solutions,
Afin que tes questions
Obtiennent des réponses avec satisfaction,
Car la haine et la colère
Ne résolvent rien
Et te foutent en l'air
Dans le pétrin et le dédain,
Tu le sais, on ne vit qu'une fois,
Mais comme le disait François Valéry
Aimons-nous vivants
Avant que la mort nous trouve du talent,
Alors fais-moi plaisir,
Arrête de médire
Et de maudire la vie,
Et réconcilie-toi
Avec ta famille,
Et tes amis
Et ainsi soie,
Définitivement pour la guérison
Et en conclusion,
Sois en paix pour l'éternité
Et garde le respect
De ton intégrité,
Et oublie le passé
Et réalise tes projets
Avec ton humanité,
Où tu diras
A bientôt dans la collectivité.
Jérôme de Mars
Le ciel est un livre ouvert
O' ciel de misère, remercie
Tes fougères et tes bruyères,
De brouter l'herbe sous le pied
De la nature éblouie de nuit,
Comme de jour avec les étoiles filantes
Tissant une fresque déconcertante et clairvoyante,
Tandis que le ciel est un livre ouvert
De la terre à l'air
Libre avec la partie émergée
De l'iceberg qui reste de glace enneigée,
Sous un coulis qui frotte la banquise
Et le glacier menacé de disparition,
Si l'humain continue son extinction
Aux vues des conditions de l'ours polaire
Et de l'étoile bergère de la grande ourse bipolaire,
Dans l'atmosphère qui couche
En apportant sa propre touche dans une couche
D'ozone qui crache sa lave conquise
Dans une fonte des glaces qui glisse,
De la terre lisse
Qui s'affaisse dans un cratère volcanique
Entre les braises du chaud et la fadeur du froid
Qui brassent une eau tiède et cyclothymique,
Pour ensoleiller ce climat ingrat qui ne sait pas
Si le chaud a besoin d'un réchaud
Et si le froid a besoin de l'effroi,
Comme le ciel est un livre ouvert
Et que cela nécessite la présence du roi
Tout-puissant en médiateur tant invoqué,
Qui saura trancher
Entre le passé de l'humanité essoufflée
Et son avenir en pleine vanité développée et dépréciée,
Pour qu'il souffle sa grammaire
Et son vocabulaire
Dans une imminente impulsion volontaire,
Qui aura pour inflexion salutaire une action charnière,
Qui signifiera que le ciel est devenu un livre couvert,
Et recouvert par un ralliement planétaire
Soucieux de l'intérêt solidaire,
Que ce livre émis au vert
Suscitera pour réveiller la belle nature des êtres ouverts et débonnaires,
De l'envers du décor
Vers en Le Vercors,
Du ciel qui est un livre qui se referme sur La Terre
Quand voilà arrivé la fin de l'univers.
Jérôme de Mars
Jardine ton rêve !
Bonne nuit, c'est la vie,
La nuit porte conseil
Qu'on se le dise au pluriel,
Car tu songeras à t'évader
Dans un joli rêve bariolé
A t'habiller pour l'été,
Sans prendre de râteaux,
Mais en y semant un grain de folie
Qui germera en un bouquet de coquelicots,
Qui cultivera le jardin du bien
Et qui l'entretiendra ce terrain,
Alors que si tu veux qu'il devienne réalité
Ton rêve,
Plantes-y une graine
Dans ton jardin secret qui portera ses fruits
Et qui t'ordonnera : " Jardine ton rêve ",
Comme ce sera le bouquet
Et qu'il te fera une fleur
En forme de choux-fleurs,
Qui arroseront l'iris de tes yeux,
Et le planteront sur ton front fiévreux,
Car jardine ton rêve
Pour ne pas qu'il se fane et s'achève,
Et peut-être que tu rencontreras ton Eve,
Sans faner ton trèfle à quatre feuilles
Dans tout ce porte-feuilles en aïeul
De ton coeur d'artichaut en paix,
Et en cultivant tes pensées
Et en défrichant les quatre volontés
De ta bien-aimée,
Comme de passer le reste de sa vie
Avec toi et de composer la symphonie florale
Sur le bateau fluvial,
D'où découleront des banderoles chefs-lieux
De ton amour fleuri
Sur le balcon
De toutes les saisons,
De retour dans le fleuron
De ton giron,
Ainsi, jardine ton rêve
Pour arroser ce jour rose
Pas fané mais compatible avec les roses,
Feuilles de roses de l'amour dont tu es l'élève,
Et qui t'élève vers la sève
Du nirvana,
Dans les chutes du Niagara,
Car ainsi va l'amour troubadour
Qui roule tout séjour.
Jérôme de Mars
Ver mi sel
Ver de contact,
Ca marche du tact
Au tact intact,
Grâce à la poésie universelle,
Unie vers celle
Du ver mi sel,
Qui met la main à la patte
Unie vers sel
Des pâtes
Au vermicelle,
Puisque les vers Missel
Redonnent la foi
Au pancréas passe-plat,
Que la cuisine mijote
Vermicelle
Avec une dose de jugeote,
Ver mi celle
Et universelle
Du ver mi sel,
Qui sert le verre mi sel
Avec du grain ver Missel,
Revenu universel,
De la piété,
Qui leur est revenue universelle,
Unies vers celles,
Des croyances ver Missel
Qui jettent du ver mi sel
Au sel de la vie vers mi celle,
Autour de laquelle
Résonnent les douze coups de minuit,
Du ver à soi
Ainsi soit,
Ouate et moite,
La vie vers soie.
Jérôme de Mars
Pas sa langue dans sa poche !
Hier naguère,
Il y avait la langue
De Molière,
Exsangue qui tangue
A la manière,
De tenir la chandelle
Qui veille à la prunelle
De ses yeux d'iris,
Qui lui font une fleur
Avec une langue de poche,
Pour éclairer sa carrière
Et son repaire,
Avec de fraîches couleurs
Qui rutilent
Et émoustillent
Les bleus criants
Et ardents,
S'attirant les faveurs
Qui finissent
Avec malice
Dans la langue de Molière,
Qui n'a pas sa langue dans sa poche
Bonne poche mais qui empoche
Et qui amoche,
Le mouche du coche
Qui hoche
La tête patibulaire
A Verdun-Hoche
D'au Paris du malade imaginaire,
Qui rallume nocturne les lanternes
Rouges subalternes
De l'école des femmes
Avec leur rhum d'absinthe,
Qui propagent les flammes
Aux enceintes
De l'enceinte
D'un médecin malgré lui,
Qui garde la main
Aux petits soins
Pour les patients,
Quand une fois guéris,
Ils lui disent merci
En lui reparlant la langue
De Molière
A travers des pérégrinations populaires,
Puisque lors de l'ultime fois, Molière
A la langue
Dans sa poche,
Comme fatalement, il n'a plus la langue
Dans sa poche,
Mais une langue
De chevet achevé
Au chevet achevé
De Molière
Depuis son lit de remords,
D'où il s'écrie : " A bientôt
Dans la boîte de Pandore " .
Jérôme de Mars
Diffuseur de lumière
Enjoliveur au matin du petit clair,
Leur vecteur de lien fraternel
Semble entremetteur et metteur en scène d'hirondelles,
Diffuseur de lumière émise en terre et
Valeur superficielle d'une infirme parcelle, qui
S'assemble et tremble de ses membres inférieurs en membres supérieurs,
Des nymphes du lac aborigène au sommet de la famille de
L'Olympe, moi je qui infuse une
Effusion ôté olé, dès qu'un vendeur décaféiné
Lit dans le mare de café, que la
Fusion au thé au lait, se mélange chicorée dans une
Pluie d'eau d'écume qui reluit en un appétit,
Entremetteur d'étincelles,
Metteur en scène de grain de sel et
Diffuseur de lumière qui agglutine le ciel,
Quand les faiseurs de promesses ne tiennent paroles,
Autant qu'elles n'engagent leurs langues de poches muettes et perfides,
Comme la musique poussiéreuse et démodée, avec toujours le même disque rayé
Qui joue ça
Com le CD DCD, et diffuseur de lumière, en stéréo chaîne
Hifi et en wifi,
A chant' l'heure, pourvu qu'il s'arrête définitivement,
Là ( s) ! Comme le temps tombé aux oubliettes à jamais.
Jérôme de Mars
Seul l'avenir le dira !
Extra cette journée commencera
Sous les meilleurs auspices,
Puis tu verras
Que tu prédiras,
Que seul l'avenir le dira,
Si tu t'en sortiras
Avec les prémices
De ta réussite,
Au zénith
De ta vie
Que tu gravites,
Où il te faudra
Une dynamique,
Pour que tes chromosomes
Démarchent tes atomes
Crochus avec une mécanique
Bien huilée
Et régulée,
Où seul l'avenir le dira
Si tu te maintiendras
Et tu tiendras
Le bout de tes bras,
Grâce à ta joie
Qui t'attendra
Dans un joyeux allelhuia,
Où seul l'avenir le dira
Si tu te feras
Une pléiade d'amis
Voici voilà,
Où déjà,
Avec ton existence très entamée,
Tu taperas par SMS tes amabilités
Et tu transmettras
Tes amitiés,
Certes quelques peu essoufflées,
Comme tu en feras des soufflets
Au fromage,
Dont tu dresseras l'étalage
Avec des laitages sur les étages,
Où seul l'avenir le dira
Si tu vaincras
Tes vieux démons
Et si tu vivras
Bientôt
Une guérison
Tant souhaitée,
Comme il ne sera pas trop tôt,
De quitter le ghetto
Pour l'eldorado.
Jérôme de Mars
Pour mon oncle Michel
De la terre au ciel
Il n'y a pas un jour,
Où je ne pense à toi
Mon cher oncle Michel,
Car depuis que t'es plus là
Il fait froid
Dans le doute et le fracas,
Où j'ai hâte d'entrevoir ta lumière
D'ange-gardien,
Pour veiller sur moi
Et sur mes prochains
Comme il y a peu Johnny t'a rejoint,
Où j'espère que lui et toi
Vous dégustez un festin
Dans la cour du faubourg,
Où pour toi,
Mon cher oncle Michel,
Je prierai pour toi
En gardant la foi,
Pour l'ange Gabriel
De Johnny à toi et moi.
Jérôme de Mars
Citation :
Un vendeur de glace ne peut plus se regarder dans le miroir quand la glace est écornée !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi La Seine est-elle sur le point de déborder ?
- Parce-que la vie n'est pas un long fleuve tranquille !
2) Pourquoi suis-je souvent en crise ?
- Parce-que c'est la crise de la quarantaine !
Jérôme de Mars
La Seine déborde !
En ce Paris désuni,
Le Nil découle de son lit
Qu'à Paris, La Seine
Ne concorde
Dans ce Paris en bruit
Et en dyslexie,
Comme elle aborde
Et elle saborde
Ce Paris de La Seine,
Qui déborde
Et borde
Ce lit enfoui
Et dépéri,
Avec de l'eau décrépie
Comme la sourde haine
A une mauvaise haleine,
Et ne freine
La Seine,
Qui déborde
Son lit drogui,
Et qui aborde
Cette redondante rengaine,
Qui signifie
Que la vie
N'est pas un long fleuve tranquille,
Car elle houspille
La scène
De la ville
De Paris,
Et qui torpille
Des balles et des lances-roquette
A Rue De La Roquette
Au racket de Paris,
Qui s'inonde
Avec de sales ondes
Inondées d'insultes,
Et inondées par l'eau crasseuse
Et affreuse
Au dégoût du tumulte,
Que traverse la ville de Paris
Dans un océan d'intempéries
Qui inonde ce Paris
En furie
Inondé par l'eau devis,
Qui serre le vice
En ces vices, sévices,
Comme La Seine De Paris
N'est pas un long fleuve tranquille,
Mais un long fleuve qui vacille
De son lit désuni,
A la sortie
De l'estuaire,
Cap vers la nature festivalière,
Que La Seine borde
Et que la scène aborde,
Loin du monocorde
Et au plus près de la miséricorde,
De ce Paris qui ne déborde
Duquel jadis, il tombait des cordes,
Comme La Seine aborde
Les inondations,
Et les borde
En réconciliations,
Qui concordent sans discorde
Au Paris de la concorde.
Jérôme de Mars
Sous le ruisseau
Au tréfonds de cet arbrisseau qui tombe des aurores, se colorent crescendo
Des poissons marteaux qui dansent manu militari dans ces flaques d'eaux,
Sous le ruisseau qui rejette Rousseau, et le commet d'office en teneur de sort
Et jeteur d'essor, comme le jeu en vaut la chandelle dans cette longue liste encore,
Qui grappille les pupilles dans la révision des choses, qui décide sous le ruisseau
De qui portera le trésor cadet des Frères Saint-Jacques De Compostelle en gros,
Dans un effet papillon de la chenille au papillon, qui exporte aux et talons noirs
Tout les déchets toxiques, sous le ruisseau tenace, de par la besace à choir,
Le mouroir et le dépotoir de Rousseau, dans ce canevas exposé et contrefait
A s'en méfier, comme de la peste de Camus, et qui s'en déleste à rire bouche bée,
Sous le ruisseau à évader l'eldorado jusqu'au Colorado, et à se tenir à carreau
Avec les trémolos, qui gisent écorchés et hémophiles en s'habillant en paré haut,
Pour conjuguer le beau et le brio, sous le ruisseau sens dessus dessous en échos,
De Rousseau qui supplie, qu'on lui rétablit le bruit et le calme en cristaux accros,
A exploiter l'élégant et le raffiné qui se distingue des poissons vantards et roublards
Et cerner, s'ils ont des atomes crochus avec les ions, sans offenser les renards,
Parmi ces poissons zonards, s'il y en a qui racontent des bêtises, sous le ruisseau
A parsemer l'oxygène, de dioxyde de carbone qui pollue les ragots du terreau,
Sous le ruisseau, si bien que cependant Rousseau conciliant arrangera les oiseaux
Beaux parleurs en corbeaux joueurs, qui glaneront une distille de messages allegro
A se souhaiter une bonne année sempiternelle, qui ne s'arrêtera jamais, mais
Se prolongerait longtemps, sans arrêt et discontinuer, sous le ruisseau désormais,
A se demander si les oiseaux sots et ballots qui prêchent le vrai du faux,
Seront volages ou volatiles, comme ils ricanent exacts pendant l'entracte,
Avant de pouvoir profiter de l'instant présent,dès qu'il y aura un tract intact,
A consigner Martingale et frugale, qu'on se régale de ce spectacle à demi-intello,
Sous le ruisseau en morceaux et en lambeaux, qui regrette ses râteaux penauds,
Comme rien ne vaut l'eau à vau l'eau, comme sous le ruisseau il y a de l'eau.
Jérôme de Mars
Notes de musiques salées
Aux prémices
Du solfège,
Octave,
Y a un bémol
A doré qui a doré,
Do ré mi fa sol la si do
Sur le sol famille
Adoré la pilule
A mère monogame,
Polygame et bigame
Dans la gamme,
De la baie molle
Avec les guimolles,
De ces notes
De musiques salées
Et renseignées,
Expions et agents
De services secrets,
Dès le prélude
D'un jardin de Prévert
Qui facture
Ces notes,
De musiques salées
De bonne facture,
Au grain de sel qui a doré
Mi alpha sol la si do,
A si bon dos
Effet dodo,
De ces notes
De musiques salées,
Qui ont déjanté
Et régenté
Ces octaves,
Sur des notes
De piano,
Qui se frottent
De l'épave
Qui les pave,
De ces notes
De musiques,
Trempées
Dans de l'acier,
Détrempez-vous
Au garde à vous,
Qui dorait mi fa
Sol la si do,
A bon dos
D'anarchiste,
En un doigt d'honneur
D'artiste,
A l'âge majeur
Et à l'art mineur,
De ces notes
De musiques,
Qui trottent
Dans l'R,
Qui se déroulent
Routinières,
Dans la lumière
Au grand jour
De la chaumière,
Toujours avec de l'amour
De lune de miel,
Qui s'immisce
Dans une confiture de ciel
L'esprit ouvert,
Comme y a plus de bémol
Mais une note,
Avec un accord
De principe,
Qui caracole sur le col
Du terminus,
Tout le monde décent.
Jérôme de Mars
Les douze coups de minuit dans le midi
Dans le midi
Qui sonnera les 12 coups de minuit Une fille
Et en lisant le journal onze mondial de bonne famille
Enchantant à Deezer du soir Arrive de Troyes
Où tous disent quoi de neuf ? Pliée en 4 avec ses amis
De l'amitié de 7 à 8 Qui forme le club des cinq
A six sur le banc
Jérôme de Mars
Le monde nous regarde !
Coucou, La Terre a un scoop à vous divulguer,
Que la planète ne tourne plus rond
Et que ça commence à voir rubicond,
Comme le monde nous regarde
Et que ça nous concerne en prenant bien garde,
A bien cerner si de révéler l'état du monde est un pamphlet
Ou s'il est si préférable de ne pratiquer la politique de l'autruche,
Mais comme le monde nous regarde,
Nous ne sommes pas des cruches,
Comme on n'y va pas par mégarde
Et que le monde nous regarde,
Et qu'on doit y prêter attention
Pour ne pas céder à reculons,
Par rapport au système qui jette la rambarde
Des critiques à contusion qui bardent,
Comme le monde nous regarde
Et nous observe si on vous révèle un canular,
Quand c'est du cochon ou du lard
Dans des affiches campagnardes,
Que le monde nous regarde
Dans cette voie lactée hagarde,
Où il faut y apprêter attention
Comme le monde est en danger,
Donc faisons-y attention
En tout point et en préservant la paix,
Comme le monde nous regarde
Dans sa vision des choses pas ringarde.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Une bouteille à la mère qu'on trouve à Fontainebleau, on a envie de la secouer, fontaine, je ne boirai plus de ton eau !
2) Les paranos ne s'adressent plus la parole car ils se font des films muets !
3) Quelqu'un qui se rend compte en prenant de l'âge qu'il n'est pas fait pour l'amour malgré ses carences, va mûrir d'amour !
4) Jean D'Ormesson a passé toute sa vie à la romancer !
5) Dans la rue, Les Français ne se parlent plus, car ils ne tiennent plus parole entre eux !
6) Pétain s'il était encore en vie et qu'on le traduisait en justice, il en avalerait son bâton de maréchal !
7) Une pensée écrite qui prône la haine est une incitation !
8) Le foot, c'est un sport de chambre jusqu'au café du comptoir, à destination d'un peuple ouvrier et populaire qui manque de buts dans sa vie !
9) La politique comme plus personne n'y croit, si en 2022, je vote Marine Le Pen, ça sera parce-que La Marine s'en va-t-en guère !
10) Les hommes politiques qu'ils soient de gauche et de droite, devraient recentrer l'argent vers l'humain !
11) Le je m'en foutiste général des Français fait l'indifférence avec une minorité de belles personnes altruistes !
12) Facile de dire qu'il faut être positifs dans l'avis, car pour ne pas attraper le virus du sida, on est bien obligé d'être négatifs !
13) Heureusement que je soûle plus les gens comme avant, car sinon moi et eux, on prendrait tous de la bouteille !
14) Je n'envoie plus de bouteille à la mère sinon, je vais soûler les gens !
15) Le SDF à Saint-Denis ne sera plus le stade de France de la pauvreté du football Français, le jour où on aura compris qu'il faut aider le sans domicile fixe pour qu'il n'y ait plus de SDF en France et qu'on sache à quel stade, ils en sont !
16) Un canapé de mauvaise qualité à Conforama qu'on vous fait à moitié prix, c'est forcément une promotion canapé, car vous vous faites baiser par la jolie vendeuse !
17) On fait du cinéma quand on n'est pas acteurs de sa vie !
18) Dans sa vie, Roger Federer n'a plus rien à perdre car il a déjà tout gagné !
19) Un employé complètement fou qui travaille à La Poste, on le composte comme garde-fou du courrier !
20) Si je me présente aux présidentielles en 2022, je ferai de l'apolitique !
21) Si un jour en France, on redevient solidaires entre nous et qu'il n'y a plus de SDF, c'est parce-qu'on sera revenu de l'ombre à la lumière grâce aux frères Lumière et à leur invention !
22) Les individus qui pètent plus haut que leur cul sont des faux culs !
23) Un lièvre qui ne se rend pas à un rendez-vous pose un lapin !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Adel, n'y vois-tu que du feu qu'il y a eu un immense incendie à ton travail à L'APF ?
- Parce-que tu as choisy le désarroi !
2) Quelle position un réalisateur de films pornos demande-t-il à un acteur
d'adopter pour exécuter son travail ?
- La position du missionnaire !
3) Pourquoi est-ce-que la mort de France Gall n'a-t-elle pas suscité un hommage aussi chaleureux que pour Johnny ?
- Parce-que ça jette un froid au funérarium du Mont-Valérien !
Jérôme de Mars
A l'ombre de ta lumière !
A l'ombre de ton ombre,
Tué à des années-lumière
De ta lumière,
Comme tu n'es une lumière,
Mais tué une lumière sombre
A la pénombre
Et à l'ombre
De ta lumière,
Où pour sortir de l'ombre,
Rallume ta lumière
A l'ombre de ton ombre,
Comme ça,
Tu seras
A nouveau une lumière
Dans la lumière,
A l'ombre
Eteinte de ta lumière
Sombre,
Dont la pénombre
Rallume ta lumière
Pour des années-lumière.
Jérôme de Mars
Les bleus du ciel
Blues bleu du ciel
Ca ne tombe pas du ciel,
Mais à ciel o' vers
Du blues qui fait
Des bleus au ciel,
Quand le blues
Met du bleu
Clair ciel azur,
En villégiature
Dans ce bleu ciel
Aux bleus abruptes,
De ce monde de brutes
Qui quitte à la frontière
L'ombre pour la lumière,
A des années-lumière
De l'ombre,
Où il sera resté à l'ombre
Durant des années délétères
Du blues au bleu
Du ciel
Qui tombe du ciel,
Avant qu'un beau ciel
Bleu ouvert
Nous tombe sur la tête
Dans la lumière.
Jérôme de Mars
Facettes d'un clown
Un clown naît triste,
Quand il déguste blanc
Le clown qui fait semblant,
Sans blanc de déguster
L'auguste rouge
Qui voit rouge,
Dès que le clown
Sans blanc
Fait semblant
De voir rouge,
Car il finit rouge
En auguste
Qui n'est triste,
Lorsqu'il déguste semblant.
Jérôme de Mars
La fresque
La fresque vous envoie
Des fleurs
Qu'arrose
Leur jardin secret
Et qui cultive
Leur grain de folie,
Car les fleurs sèment
Comme c'est le bouquet !
Jérôme de Mars
On vous fait un dessein !
Conte de fées,
On décompte Morphée,
Comme l'on vous fait
Un dessin
Des seins
En des Saints,
Où l'on vous fait
Un dessein
Avec un coup de crayon
De couleurs,
Pour réaliser votre dessein.
Jérôme de Mars
Aimé d'amour
Vibrato d'une voix aimée, Aimé émet à Aimé Césaire
Et met à portée de voix une sécurité très sociale qui blaire,
De l'amour, de l'amitié et de l'affection de longue durée
Dans un parterre de liberté comme à Marcel Aymé,
Qui aurait pu aimer Aimé Jacquet le bien-aimé
Qui aimait d'une longue voix de velours et qui émet,
Des ondes positives sur la même longueur d'ondes et qui
Et met de diffuser et d'infuser une recette de grand-mère
De camomille dont c'est la tasse de thé de rire en singulière,
Et atypique attitudes sous les tropiques des îles qui aimaient
D'Aimé d'amour et d'attendre son tour que les sentiments aimés
Soient réciproques et l'affirmation d'amour validé qui aimait,
Et met des vocalises qui trouvent leurs voix sans porte-voix
Mais qu'ils emportent dans une voix avec issue comme c'est un doigt
Majeur qui lève la main et perd la main courante quand Aimé d'amour,
Joue tout son tam tam qui rétame un ardent défilé et de preuves que la cour
Entre dans la courre des grands qui partent à la chasse mais perdent leur place,
D'aimer d'amour car l'horloge biologique remet les pendules à l'heure de l'interface
Qui regarde de face si le profil correspond bien à de l'amour certain qui émet,
Et met Aimé conjugué à l'infinitif aimer car sinon l'accent é roule des R
Alors qu'en temps que les élèves de l'amour et de la lumière,
Autant siroter une bonne bière à l'air libre du cas libre qu'Aimé d'amour
Se mérite à chacun son tour comme des troubadours qui jettent en vautours,
Des oiseaux de mauvais augure dans la nature sauvage à vos tours
Qu'un jour ou l'autre ce sera le moment propice pour passer des caprices d'odieux,
En caprices des dieux, pour y croire un peu et allumer le feu sulfureux que le mieux
C'est l'amour à vos tours et à vautours de Tours à incarner l'Eros de la passion ivre,
Qui mène le bateau l'ivre à la conquête des flammes qui se ravivent et s'enivrent
En deux ou trois racontars comme des stars au septième ciel qui aimait,
Sans réserve une réserve D'Aimé d'amour qui et met des conditions de chérir
Son Jules et de le retrouver à bord de la mer Aimée pour adonner en plaisirs,
Son consentement et son sacerdoce à se réaliser individuellement en être aimé
Qui a besoin d'amour comme seul l'amour sauve les âmes damnées pour les Solutionner dans le démarrage de l'amour, amarrages on largue les mal-aimés,
Et on ancre l'amour dans un jet d'ancre pour toujours célébrer le verbe aimé
Sans infinitif qu'on roule en R, dehors à aimer Aimé qui émet et met de la bonté.
Jérôme de Mars
L'égout de vivre
Sous la pluie goutte à goutte
Au compte-gouttes,
Je me livre
Dans la givre que j'égoutte,
De toute cette fureur de vivre,
Qui m'enivre
Et me dégoûte
A m'en couper les vivres,
Dont je m'enivre
A perdre le goût de vivre,
Et à reprendre l'égout de vivre
Misanthrope et égoïste,
Avec une mine triste et fataliste
Que seul un exil en Europe de L'Est
Me ferait déguster un bon Paris-Brest,
Comme c'est pas du gâteau
La vie de mille vies autel d'un torero
Boléro qui reprend l'égout de vivre,
Car vivre pour lui n'a pas de goût,
Comme il perd la salive
Et que s'ensuive
De perde le goût de vivre,
Et d'attendre le livre
De l'extrême onction,
Pour sanctuariser la bénéfication
Que je n'ai pas été un si mauvais fiston,
Car seul me manquaient une bonne relation
D'amour et d'affection,
Dans l'hôtel des bonnes actions,
Car j'en ai une bonne à me curer
Comme un pied de nez,
A Dieu et à ses alloués
Que même si c'est noble,
Et louable, je préfère rester discret
Et demeurer distrait,
A m'en confesser au prêtre sobre
Que mes excentricités ne me font pas pavaner,
Du mauvais côté à m'en vanner en vanités
Et insanités que je suis une pleureuse sur le sol
Et le vol plané,
A force que j'enrôle le ciel delta-plané
Que j'en reperds le goût de vivre,
Pour revivre et regagner
L'égout de vivre qui m'enivre,
Dans la givre
Du Paris sous la pluie,
Comme Un Américain à Paris
En claquettes et anti lance-roquettes,
A Rue De La Roquette
Qui font les emplettes
D'un docteur très snob et BCBG,
Mais très atypique qu'on croirait Monseigneur Lustiger
Fusionné avec Coluche affublé d'un bon Jean-Marie Perrier,
Comme un bon Perrier ne fait pas pousser le bouchon
Trop loin, et quoi de neuf Docteur Penaud ? et dans son côté renard,
Mister peinard et jadis trop pénard qu'il s'en grille des cigares,
Mais qu'à l'approche de la quarantaine
La tête pleine et sereine,
Il vécut une crise de rire de la quarantaine
En se demandant si son patient et un patient et bouillonnant,
Jérôme Bedrossian se donnera les moyens de se réaliser triomphant
En laissant sa mère Rouge et la bière Russe
Et la roulette russe
Dans une mise en bière prusse,
Pour perdre l'égout de vivre,
Mais retrouver et regagner le goût de vivre
Pendant tout ce temps que le soleil souriant
Saura se montrer clément et charmant,
Avec de l'amour qui l'enivre
En lui rendant les vivres,
Au-delà le livre
Auquel il se livre l'ivre,
Merci de l'avoir laissé vivre.
Jérôme de Mars
Tout pour France Gall
En prélude sur son piano,
France Gall est partie
Car elle a besoin d'amour,
Pour retrouver l'étoile du berger
De son mari Michel Berger hébergé,
Par Babar dont la déclaration d'amour
Lui inspire la chanson d'Azima,
Car il jouait du piano debout
Et lui chuchotait à demi-mots,
A France Gall, viens je t'emmène
Tout pour la musique,
Même si tu dis à ma mère
Si maman si j'ai besoin de vous
Comme vous m'aimiez si bien,
Lorsque j'étais un bébé requin
Et qu'en poupée de cire et de son,
Vous montiez le son bien évidemment
Quand Cézanne peint, pour m'affirmer,
Résiste aux vicissitudes de la vie
Et fais-toi un bon ami,
Comme Daniel Balavoine
Qui te donnera de l'avoine,
Pour nourrir ta révision des choses
Car Ella, elle l'a cette Ella,
Qui t'incitera à laisser tomber les filles,
Afin que tu fréquentes Ella Fitzgerald,
Une femme d'influence mélomane
Qui te présentera un sacré Charlemagne,
Comme cela, tu apprendras l'école de la vie
Et les sucettes des casse-bonbons,
Jusqu'à ce triste jour d'aujourd'hui, où on te débranche
La vie, car nous t'adressons un concert de louanges,
Au zénith de ta plénitude et au sein de ton embellie pulmonaire
Ainsi, soit ta lumière au royaume des immortels,
Tout pour ta musique, chère France Gall.
Jérôme de Mars
Au bout du rouleau
Depuis Gavroche
Et Rousseau,
Mon coeur s'effiloche
Dans les névroses,
D'un trousseau
Emmêlé dans la nécrose
D'un poteau rose,
Au bout du rouleau
Compresseur et d'un esquimau,
Au bout du rouleau
Dans la sinistrose et la cirrhose,
De mots d'estomac en surdose
A trouver les bons mots,
Sur le radeau de la muse
Au bout du rouleau,
Qui décroche
L'anicroche qui décoche
Un coeur essoufflé de la rétro,
A la nécro qui part l'eldorado
En lambeaux et en morceaux,
Sur un morceau de Rousseau
Avec la complicité de Gavroche
Qui ajoute une roche avec sa pioche,
Car bonne pioche
Dont c'est la cerise sur le gâteau,
Au bout du rouleau compresseur
Et malfaiteur où est dépassé le bonheur,
S'il marche sur les traces du chaos
Entre deux duos dans un duel à veau l'eau,
Au bout du rouleau à chercher le final du brio
De cet imbroglio qui démet méli-mélo,
Une parfaite alchimie à rejouer une impro
Et à jouer un rôle avec le blouson perfecto,
Que tout roule comme un scénario
Ecrit et joué d'avances dans une roulette biélorusse qui s'use,
Au bout du rouleau si le coeur pur d'un homme moche
Tombe de chagrin et de désarroi avec sa tête de mioche,
Comme il se rappelle et s'épelle le nom de sa mère en maux
Et gros mots qui lui succombent à son désespoir de porter un paré haut,
Avec une colombe de l'amour qui lui hoche
La tête vers le haut à invoquer la romanesque épopée de Rousseau
Et de Gavroche, au bout du rouleau détaché, comme le trousseau
A trouvé la clé de l'énigme en un heureux événement d'un paréo,
Plus jamais au bout du rouleau mais avec un coeur d'hardi chaud
Dans un réchaud pour aimer son héros au bout du rouleau
De vagues sur une plage à l'eau de rose,
Qui ose dans une photogénique pose et qui vous dispose
A vous enchanter faites l'amour pour composer le bon numéro,
Qui vous dédie bravo à Rio, dans un avenir à Rio Bravo
Au début d'un rouleau de bonheur en mode dispo.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Une citation qui prône la haine est une incitation.
2) Depuis la mort de Johnny Hallyday, Amazon nous incite à acheter ses chansons sur Internet.
3) Les gens perdront le fil avec leur téléphone lorsqu'il sera ex portable pour importer une discussion réelle en face à face sans fesses de boucs.
Jérôme de Mars
Légitime démence
Crise de démence, depuis l'enfance,
Ca laisse des traces de circonstances
Aggravantes et ternies par la loi du silence,
Où tous me manifestent de l'indifférence
Etant défaits mes mauvais signes d'insignifiance,
Découlé dans le moule du peuple qui ne s'émeut
De ma différence de vache olé avec des meuh
De ma légitime démence,
Comme si c'été vraiment dément
Tous ces tourments avec ce boucan,
Que je ne démens même si je mens
A m'empiffrer de rillettes Du Mans,
Où j'espère vite réparer mes cicatrices
En n'y omettant les points de suture,
Qui saturent ma famille
Et mes amis,
Dans la déconfiture d'amère nature
De ses supplices,
Comme avec elle, ce fut dément
Et pour ça qu'elle m'a rendu dément
Dans ma légitime démence,
Qui augmente en opulence
Et je voudrais tant qu'elle soit vivante
En apparences,
Pour lui dire le fond de mes pensées
Que ça me fera du bien d'exorciser
Toutes ces plaies que je ne démens,
Comme c'est dément
Mais que je mens
De ma légitime démence
De l'amère dépendance,
Que pour guérir cette sentence
Je me repens,
Comme l'amère est rouge
Et que personne ne bouge,
Que mon grand-père
Et mon arrière-grand-père
Firent tous les deux bien l'impair,
En se tirant à bout portant
Une rafle de balles que je me repends,
A reproduire la même chose
Tôt ou tard en retard et en décalé,
Pour essayer même en vain
De consolider le peu de ma vie morose
Et de sa dignité qui m'en restent,
Comme j'en dévie
Du droit chemin
Avec mes blagues sur Lévy,
Où je récolte la culture
De mon pétrin,
Comme ma vie sent le sapin
Et le purin,
Et que Lady Gaga
A fait de moi, un par être gaga,
Au fût de l'amère très gaga
Que fut ma lady très gaga,
De mère indigne
Et maligne,
Avec son cancer de louanges
Qui me lavèrent ma vidange,
Où et très loin mon innocence
Comme par indécence, j'encense,
L'indifférence des gens avec mon apparence
Que je ne démens mais que je mens dépendant,
Car à bientôt quarante ans, ça restera dément
Méchant et indifférent ainsi qu'encore je me repends,
Sauf si un médiateur de la paix conciliant fait alliance
Qu'avec l'urgence je dois avoir dans les temps
Impartis une résilience et une résurgence de pleine puissance,
Pour qu'enfin, ça change triomphant même si je suis différent
Mais que je me repens compétent car véritablement
Ca sera dément, si je fais de ma légitime démence,
Un moyen de légitime défense.
Jérôme de Mars
Point d'interrogation ?
Bonsoir, soyez les bienvenus au point virgule,
Un lieu acteur qui fait du théâtre à la virgule
Près, ponctué de jeux de rôles qui s'exclament
En faisant le point comme nous faisons du slam,
En un point d'interrogation qui se remet en question
Avec des sketchs qui envoient des fleurs
Dans un jardin de création aux droits d'auteurs,
Qui demandent où est la chute de l'insurrection
Et si les chutes d'eaux tombent de haut en réclamations
Avec des sentiments qui ouvrent en parenthèses,
Les charentaises de souffleurs de vers qui en synthèse
Trouvent chaussures à leurs pieds de verre qui fascinent
Les bottines et les lèche-bottes qui trottent globe-trotter,
Et referment la parenthèse en santiags de vainqueurs qui dessinent
Le point d'interrogation qui pose question en exigeant la récrimination,
De voyageurs et baroudeurs en un baroud d'honneur sur le vent
De la colline qui entendent avec des voix dans leur tête que c'est maintenant
Qu'ils devront tirer un trait en attrait de caractères en mois calendaires,
Qu'une année égale 365 jours et quelques années-lumière de la lune à la terre,
Point d'interrogation si le point virgule contacte le point virgule pour tirer
La révérence et sonner le glas de la chaumière, comme si c'été hier
Le passé d'artiste aux voix d'autistes alors que pour peaufiner,
Et rénover les guillemets, rien de tel que de lancer des travaux en prophète
De cette vie de chantier qui reprend des couleurs dans sa vitesse de croisière,
Quand la lumière fusionne avec l'ombre et accouche d'une voie lactée
Qui récite le courant de la libre religion d'état, en les tas d'un pro fête qui est net,
Et saynète, comme c'est net que les étoiles fassent des plans sur la comète,
Pourvu que les durs du cuir avec leur blouson perfecto s'y émettent
Sur la même longueur d'ondes et que les ondes positives mettent
Le point d'interrogation en résolution de l'équation en adéquation,
Car le point d'interrogation s'est remis en question et a trouvé pour réponse
Un catalogue de bons plans sur les comètes point virgule à la virgule exprès,
Comme ça y est, on se défonce à montrer au point virgule de quel bois on ponce,
En un point barre de résolutions.
Jérôme de Mars
Maux croisés
Je porte ma croix lourde et balourde à Lourdes avec ces maux croisés à la croisée
rétamée t a e a '
e a l s n â
s u à a g
q x y x d e
q u i névroses '
décroisés e o i
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m e t q
mes quarante
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paranos déballés
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r bipolaires è c
n
e
s
Jérôme de Mars
Jazz à la porte d'Orléans
Une nouvelle va-et-vient en retombées,
Comme le jazz à la nouvelle Orléans est mort-né,
Car il a ouvert sa gestation
En musique de répercussions,
A Orléans qui enfume la Marie-Jeanne
Plusieurs cordes à son arc D'Ivanhoë,
Au jazz à la porte d'Orléans
Bien longtemps évent, car toutes les chansons
Ont une histoire,
De racontars en anecdotes de standard
Au ba du comptoir,
A recharger les battteries de son réservoir
Du déversoir arroseur d'illuminations,
Au grand soir au coin du feu
D'une cheminée feu Jeanne D'Arc à Orléans,
Qui jase en jetant des vents en jazz
A la Nouvelle-Orléans,
Qui émane sur de nouvelles bases
Qui jase à la porte D'orléans,
Aux états unis à Orléans
Qui bûche avec des embûches,
En démangeant une bûche
Qui a bûché
Le bûcher de Jeanne D'arc déplumée,
Dans le calumet du feu à se réchauffer
Les chansons qui tiennent paroles survoltées,
A déclamer les flammes
Du slam qui crame
Les brûlures de l'histoire,
Dont c'est la came,
Que le réquisitoire
Came l'interogatoie
Au purgatoire de l'exutoire,
Qui jazze à la Nouvelle-Orléans
Et jase à la Porte-D'Orléans,
Dans un océan de boucan
A Orléans, en plein écran,
Du tam-tam
Qui rétame et entame
Tout un slam monogame,
Et monte polygame et bigame
Dans une gamme o'vert,
Qui démontre que c'est l'endroit propice
A préposer A Saint-Sulpice,
Et à proposer en hospice
De notre coeur de supplices
Qui vieillit essoufflé,
Avec un jazz à la Nouvelle-Orléans boursouflé
Avec un soufflet de ramages à Orléans,
Porte de La Marie-Jeanne qui fume des gauloises
Après avoir frappé à la bonne porte gauloise,
Ici Orléans, que ça jase de La Nouvelle-Porte
Et que le jazz nouvel Orléans emporte
Jeanne D'arc en Marie-Jeanne plusieurs cordes
A son arc qui concorde au Paris quartier La Concorde,
Dans une horde d'évènements
Au jazz qui jase à la Porte-D'Orléans.
Jérôme de Mars
SULFURIEUX
Stone et monotone comme les stones, aphone, je cherche ma voie sans malentendus avec le sonotone
Usé, par tous ces quiproquos qui restent dure de l'oreille oh que oui, du méga fun au mégaphone mégalo, démago et parano drogui par
L'effet miroir aux alouettes, alouette, dont je te plume le con texte mélancomique, en alu si no gène et anxiogène sulfureux, furibond par un bond
Furax, au max la menace tenace, qui casse la baraque dans la planque de ton poste que tu compostes sulfurieux, ténébreux et ainsi Dieu,
Utilisé par le foi gras insidieux et pernicieux, du vice et versa avec le vice qui versa, l'intégralité de ton venin de serpent de mère, o' ver de contact
Revers, qu'on tâte eau ver d'o de lentilles de contact, au k atypique du cas typique, comme un épiphénomène schizophrène sulfureux, effet
Instantané et spontané du phénomène diplomate, qui mate et qui épate demain à la pâte, en émettant les lendemains à la patte en mettant o main, qui
Epate la poésie sans frontières linéaire, dans la rivière qui fait une fleur pissenlit, avec le récépissé en lit qui dort sur ses deux oreilles, o' feu' vers vers l'an vert
Ustensile, qui ne contient pas de casseroles pour tout mettre à plat, comme ça ne tourne rond, mais ristourne Coron, du pôle nord position épris avec le
Xanax sulfurieux, qui calme mes penchants tendancieux et audacieux, aux judas cieux, dès que le 1 er janvier me suicide, en un bon début damné spleen.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi tout le monde me dit-il pousse-toi ?
- Parce-que personne ne me donne un coup de pouce !
2) Qu'est-ce-que ça fera si je me suicide le 1 er janvier ?
- Je passerai un bon début damné !
Jérôme de Mars
Citations :
1) Celui qui vote à gauche n'est pas forcément un pauvre gars mais sans doute quelqu'un doté d'une grande richesse humaine !
2) Celui qui vote à droite n'est pas forcément quelqu'un de riche en argent mais dont les revers d'infortune ont enrichi sa parole qui vaut désormais de l'or !
Jérôme de Mars
Bonne année et bonne santé !
En cette fin damnée qui se termine,
On se demande vers quoi la nouvelle année
Nous affine et nous peaufine
En espérant qu'après l'avent,
On ira de l'avant en un bon début d'année
Au mois de janvier à se régaler,
Autour d'une galette des rois à se ragoûter
Et non à retirer la fève à gerber une galette désarrois à dégoûter,
Le sapin de Noël qui aurait les boules à la débecter
Et à enguirlander le père Noël qui sentirait le sapin
Dans tout ce pétrin à rejeter les arlequins
Et à adouber le reliquat des restes d'hier pour demain,
Mais malgré la santé en déclin,
On rira en un clin enclin
Des clins d'oeil à souhaiter à minuit
Une bonne année et une bonne santé,
Avec le champagne qui sort de notre bulle,
Pour qu'on déambule
Et que ça pétille en chansons
De larrons en foire avec des marrons
Et des dindes, dont on sera dingues
A déguster frappa-dingue,
Avec les dingues aux marrons
A prier et à donner
Au bon Dieu pour s'adonner
A la mousse allons du champagne,
Qui viendra de la campagne
De l'avant par avent,
En prenant les devants
Que nous moussons la mousson,
Pour que nous émoussons
Cette fin damnée,
Afin qu'à fin, nous passons
Un bon début d'année ,
Dans la paix
Et dans la réciprocité,
En toute amitié
Des doigts d'une seule main,
A imaginer que demain
Sera en bonne santé
Avec la famille et les copains,
Où l'on prie
Et l'on s'éprit
Avec du pain
Béni et épanoui,
Avec aussi les amis
Et les citoyens,
A vous souhaiter
Bonne année et bonne santé,
Abonnées à rester sur années
Et sûres de la bonne santé,
Que vous apportez à l'humanité
De maintenant à l'amour de notre prochain,
Bonne année et bonne santé.
Jérôme de Mars
La joie est un soleil, la peine est un nuage gris !
Open, j'ouvre ma peine,
Comme un nuage gris
Sans mon gris gris
Qui grise ma joie
Qui est un soleil,
En pleuvant un nuage
Gris rabat-joie
Dans le gris de Paris,
Comme mon océan de peine
Est open sur l'open
De Bercy,
Dès que la joie
Mue rabat-joie
Et se rabat sans joie,
Dès que la joie
Qui est un soleil
Se change en une peine
Qui est un nuage gris
Avec le gris gris de Paris,
Qui grise le Paris de Bercy
Et qui clôt l'open
De ma peine
Qui est un nuage gris,
Dès que la joie m'embellit
En un soleil au gris gris
De Paris,
Qui a du beau temps disponible
A accorder et à raccorder
Ce pays prêt à disjoncter
Ses fusibles,
Dès que ma tête dans les nuages
Bleus réduit le passage
D'une joie qui est un soleil,
En une peine rabat-joie
Qui grise le gris gris
De Paris,
En un gris et gris
De Paris
Qui est gris et aigri
Dans une peine
Qui est un nuage gris,
Dès que le temps rabat-joie
Redevient une joie
Au Paris luxe en pour joie,
De l'open rabat-joie
Qui se dissipe en une joie
Qui reste un soleil
Sempiternel du lien fraternel,
Car clos l'o peine de Paris,
Comme été loin le gris
Du nuage gris de Paris,
Car open pour le gris gris
De Paris.
Jérôme de Mars
Comment ça va ?
Bonjour,
Oh quel bon jour
De séjours
En ces jours,
Voici voilà,
Où l'on te demande
Comment ça va ?
Malgré les aléas,
Allez ah !
Que l'on a
Chacun en soi
De toit,
Ainsi soit,
Comme il vaut mieux
D'être heureux
Ainsi soie,
Que ce soit
La ouate
Pour toi,
En supportant
Le chacun pour soi
Et en portant
Sur demain moite,
Que ce qui compte
C'est toi,
Sans laisser pour compte
Avec un toit
Pour soi,
Où l'on te quémande
Comment ça va ?
Dans l'offre
Et la demande
De l'étoffe de ton coffre,
Si ça va
Plutôt bien
Pour toi
Et pour soi,
Avec les va-et-vient
Et que si tout va
Assez bien
Pour toi
Et pour soi,
Pourvu qu'avec les va-
Et-vient,
Ca ne s'en va
Et que ça vient,
Revient, devient
Et que pour toi
Et de soi,
Ca te convient
Ainsi soie
Pour toi,
Où si ça va
Bien,
A demain
Pour soi
Avec toi,
Comment ça va
Très bien ?
Jérôme de Mars
Brèves du CMP de Vitry Sur Seine :
1) Le CMP de Vitry Sur Seine parle agressivement impatient aux patients du CMP pour leur faire subir un mauvais traitement !
2) La psychomotricienne dit à un patient du CMP énervé et angoissé : « Relax, monsieur »
3) Il y a un an, la secrétaire du service social du CMP, Marie-France m'a parlé agressivement car son bureau comme mon état étaient en chantier
4) Je demande l'asile psychiatrique au CMP
5) Au CMP, la thérapie est acide comme du citron car tout le monde est pressé et haut pressé !
6) Le CMP s'en foutera si je me suicide le 1 er janvier pour que je passe un bon début damné !
7) Au CMP, on m'envoie des camouflets comme je suis camouflé, comprimé et caché avec mes cachets et mes comprimés
8) Au CMP, ils s'en balancent de mon état dégradé car ils ne pèsent pas leur mot !
9) On devrait me réserver une chambre d'office à Paul-Guiraud Villejuif, si je pète les plombs en perdant le fil à force de chambrer le fil du rasoir !
10) Jean-Yves est la lumière de mon ombre quand il m'éclaire de son phare Breton !
11) Si le CMP de Vitry Sur Seine laissait le sapin de Noël en décoration toute l'année, ça sentirait le sapin !
12) Le CMP de Vitry Sur Seine comme il privilégie les médicaments à la parole, il ne prend pas soin de leur patient !
13) Si souvent quand on appelle le CMP, il ne décroche pas à l'autre bout du fil, c'est qu'il met le répondeur à la place du personnel pour nous apporter des réponses à nos questions !
14) Si les psychiatres du CMP ne mettent pas souvent en arrêt-maladie leurs patients, c'est pour ne pas qu'ils soient en insécurité sociale.
15) Si au CMP, la détresse des gens, c'est leur fond de commerce, c'est parce-que le silence est d'or et la parole est d'argent !
Jérôme de Mars
Lenny, ben il en a marre !
Nenni,
Lenny Benamar
Ben, Lenny,
Ben, il en a marre
Qu'on l'appelle,
Qu'on lui envoie des sms,
Comme il s'en rappelle
De son malaise
De parmi ceux à L'ESAT,
Qui l'ont fait chier
Et qui lui ont manqué
De respect,
A ne lui parler
Que de foot,
Car nenni,
Lenny
En a rien à foutre
Du foot,
Seul se faire des films
Et faire son cinéma
Devant la caméra,
L'intéresse et l'empresse,
Alors que lui,
Nous presse et nous stresse
A nous critiquer,
A nous insulter
Et à s'énerver,
Comme un taret
Qui n'a pas eu son café,
Et est surexcité
A nous enfumer,
Avec la bouffée de fumée
De sa cigarette
En nous moussant sa causette,
Et à nous emmerder
Les pommettes
Et les stigmates,
Car nenni,
Lenny,
Ben, il en a marre
Et ben, tellement marre,
Qu'il se marre
D'avoir quitté L'ESAT
Et de s'en foutre
De nous,
Alors que tout se dénoue
Pour lui,
Nenni, Lenny,
Depuis qu'il n'est plus là,
Car dis donc, celui-là,
Il lui faut un bon coup de dispute,
Pour qu'on en ait plus rien à foutre
De lui
Et de son foot,
Depuis belle lurette,
Qu'il nous envoie promener
Aux Beaumettes,
Comme il est temps qu'on s'y mette
A lui vociférer toute notre haine
A sa dégaine,
Pour médire Lenny
Nenni,
Que tout comme lui,
Qui en a plus rien à foutre de nous,
Et ben nous les fous,
Selon ses maux, on lui dit,
Qu'on en a plus rien à foutre
De ta sale gueule,
Comme de ton foot
Que tu gueules
Casse-gueule,
Dont tu fais un semblant de bégueule,
Alors qu'à L'ESAT,
Tu nous a jamais respecté,
Car t'as grave changé,
Comme quand tu t'emportais
Contre nous avec agressivité,
Car ton seul but,
Fut que tu butes
Et tu rebutes,
Tout le monde
Dans ton immonde,
Que tu débutes
Et que tu butes
Avec tes paroles assassines,
Dont tu nous bassines
Avec ton sifflet camouflet,
De ton libre-arbitre
Où heureusement, nenni,
Lenny,
Tu t'es cassé,
Et comme tu n'es plus à L'ESAT
Quel soulagement,
Que tu ne nous fasses plus chier
Avec tes préjugés
A la con,
De vieux boucher
Qui met sur le bûcher
Tous ses macarons,
Et comme t'es parti,
On a enfin
Hâte,
De ne plus t'entendre
Evoquer
Ta tendre
Existence,
Alors que tu t'en prends
A nous avec violence,
Car moi et certains,
On en a plus rien
A foutre,
De ta sale gueule
De vieux con rubicond,
Méchant et indifférent
Avec tes jurons,
Où jurons
De rien,
On te dit
Et te médit,
Va te faire foutre
Avec ton foot
De taret,
Car oui,
Lenny,
Nenni, ben il en a marre
Et il se marre
De notre tare,
Comme un vieux cochon
De briscard,
Car pour Lui,
Lenny,
Il n'est jamais trop tare
Pour se faire foutre
Et puis,
Comme on l'a révoqué
De son intégrité,
On lui dédie
Après tant de non-dits,
Va te faire foutre
Lenny avec ton foot,
Dont on en a plus rien à foutre
De toi Lenny,
Car ben Lenny,
On se marre,
Car v'là bien le tintamarre.
Jérôme de Mars
Réveillons Noël !
Jour de l'avent Noël est arrivé,
Et paravent, nous sommes décidés
A passer un bon réveillon de Noël,
Comme nous réveillons Noël
Et que nous nous éveillons à chanter
Noël et à contempler les champs alizés,
Qui brassent le contre champ alizé
Si les alizés essoufflent au vent
Qu'ici et là et maintenant,
Nous nous réveillerons le jour de Noël
A enchanter ce pays triste en une joie émotionnelle,
Car nous réveillons Noël dans ce monde égoïste
Pour qu'au moins, ce jour-là, il soit altruiste,
De l'oseille au soleil mais avec une richesse humaine
Qui reste le domaine du père Noël que ses étrennes,
Vous entraînent et traînent en un répit
Et de jour de paix sur la terre pour que le dépit,
On en fasse un bon pis de vache à lait
Pour nourrir les âmes esseulées,
Qui ne diront plus temps pis
Mais rêveront d'une imagerie d'embellie,
Au fond du puits des songes car réveillons Noël
Sur la Terre, avent qu'auparavent on pleure nos souvenirs intemporels
Sur La Terre et que le 1 er janvier, on trépasse un bon début damné,
A se demander s'il subsiste encore des gens fraternels
Et pour cela, réveillons Noël,
Et enchantons le monde pluriel
Avent que nous nous réveillons
Et nous nous éveillons
Avec nos âmes de mortels,
Au-delà de notre stèle
Avec le Missel, témoin de la passerelle
Vers l'éternel au-delà de la ribambelle,
Car nous regarderons ainsi Noël
De notre cheptel
Bon réveillon à vous tous, les immortels !
Jérôme de Mars
Des râpages
Première page,
C'est de notre âge
De râper par âge,
Et de déraper parages
En râpages,
Et d'aller en repère âge
Et d'allier en repérage,
Des râpages
Et dérapages,
Qui inondent les rapaces
De vautours en rap âge,
Qui dérapent page
A l'âge d'apaiser,
Le calumet
Des Apaches,
Avec le panache
De l'attelage,
Qui importent des râpages
Et exportent dérapages,
Dans ce rap âge
Qui revient du moyen âge
Au moyen par âge
Dans les parages,
De ce dérape âge
Qui frappe à chaque âge,
En détournant la page
D'un crêpage,
De chignons en cépages
De ces pages,
Dans les râpages
D'un nocturne tapage,
Qui tape âge
Et retape âge,
Qui tape ta page
Dans ces dérapages,
Page par page
Dans les par âges,
Aux parages
Qui tracent
le sillage,
D'un pillage
De la plage
Au village,
D'une ville âge
Age parage,
Qui reste aux râpages
Décents dérapages,
Où l'on ristourne
La page
De ces râpages,
Avec ce rap âge
D'un autre âge
Par âge,
En ces pages
Des râpages,
Qui repassent
En images
Et en ramages
Des rois mages,
Où l'on rend aux mages
De ces ramages
En hommage,
Dommages
Et en dos mages,
Dérapages,
En des râpages
Râpages,
Vous avez passé l'âge
Aux par âge
Des parages,
D'un breuvage
Qui abreuve âge,
De ces râpages
En cd râpages,
Qui s'amourachent
A l'arrache
Des râpages,
Qui tâchent
Un port d'attache,
Où l'on contourne l'avant-dernière page
En cépages
De ces pages,
Hommages
Aux images
Et hauts mages,
Dérapages
Des râpages
Oh dommage,
Car ici le marginal
Comme la copie
Ne vaut pas l'original,
Mais une série
De dépannage,
En âge
En nage
Et en surmenage,
Car vivement le ménage
De printemps jusqu'au remue-ménage,
Qui ménage l'infâme de ménage
Et qui tourne la dernière page,
De ces pages
En cépages,
Dérapages
Des râpages
De sac de couchage,
Où l'on consigne la décharge
Et l'on signe à charge,
Et en surcharge
La recharge
Sans dérapages,
Avec au passage
Des râpages.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Quand on ordonne à un chien de roupiller, on lui dit : " Mais dors " !
2) Dès qu'un homme malchanceux dans sa vie sentimentale fait l'amour en musique avec son enceinte, il se protège en se préservant de son environnement !
3) Sébastien, toute l'entreprise de ton travail, tu l'as mise en chantier !
4) Maurice, un commerçant Arménien qui s'en fout, n'en a rien affaire !
5) Un arabe prétentieux a toujours le melon !
6) Quelqu'un qui reste toujours tout seul le jour de Noël, traverse chaque année une embûche !
Jérôme de Mars