Le Cercle de Todd

 

Apres la mort tragique de Neil Perry , Todd  Knox Charlie  Richard  Steven Gérard et les autres éleves de la classe de Monsieur Keating renvoyé de l’académie de Welton decidèrent malgré tout de continuer leurs études sous la direction d ’un nouveau professeur de lettres choisi par le directeur Monsieur Nolan . Todd Anderson le protégé de Neil parviendra contre toute attente a hisser son niveau dans toute les matieres et deviendra ainsi le chouchou de la classe passant de cancre a 1er de la classe partout .Tous diplomés à la fin de leurs études et le Bac en poche , le fameux clan s’ en sortira assez bien malgré tout : A 25 ans environ ils tracerent leurs voix et eurent de beaux metiers . Charlie Dalton adorant la musique : le saxo dans la grotte , il devint musicien , son instrument sera le  saxophone . Knox T- Overstreet lui le romantique se lanca dans la peinture et en profitera pour épouser la ravissante Chris dont il était  éperdument amoureux , il devint artiste peintre . Richard Cameron tomba lui dans le monde du business , ainsi  il devint agent de footballeurs americains. Steven Meeks et Gerard Pitts : ont les voient confectionner une radio à l’academie , devinrent tout les deux ingenieurs . Quand à Todd Anderson émotif comme il était et tellement sensible il devint professeur oui professeur de………..  lettres . Il aura voulu faire la meme carriere que M. Keating . Il se  fera appeler M. Anderson par ses éléves lui dont la scolarité a failli le plonger dans la tourmente . Plus tard on apprendra qu ’il avait failli se suicider . Heureusement il se loupa. Il trouva un revolver dans un bois et pensant qu’ il y avait au moins une balle il appuya sur la gachette visant sa tempe. Le revolver fit soudainement clic . Ouf….. Todd était encore en vie . Un jour d’octobre 1970 ,  Todd Anderson se balada sur les bords du mississipi lorsque soudain il apercu un vieux monsieur casquette vissée sur la tete entrain de pécher. La démarche de Todd se voulu tellement douce que le vieux monsieur en question ne se rendit compte de sa présence qu’ a quelques metres de lui . Todd s 'exclama ainsi :

_ Ho ………..  capitaine mon capitaine .

Le vieux monsieur détourna légèrement son regard sur sa gauche et s ’ écria :

_ Todd  je suis tellement content de te revoir.

C était ce bon vieux monsieur Keating .

_  Moi aussi monsieur Keating , vous savez grace à vous j ai eu mon bac du 1er coup .   

 

_  Du premier coup ? bravo Todd . J étais sur au fond que tu deviendrais un grand bachelier.

_  Merci monsieur.

_  Alors dis moi Todd que devient tu ?

_  Et bien j’ ai 25 ans maintenant et je suis professeur de lettres comme vous à l époque .

_  Bravo Todd tu a suivi mon chemin et c’est un excellent choix .

_  Tu a des enfants ? tu es marié ?

_  Non monsieur Keating , pas encore .

_  Fiancée ?

_ Oui à une femme de mon àge qui est danseuse étoile .

_  Je suis tres fier de toi Todd , et alors  , que sont devenu les autres de la bande ?

Il lui raconta les carrieres des uns et des autres et qu il était resté en contact avec eux  .  Monsieur Keating et Todd bavardèrent durant des heures en se racontant leurs souvenirs d 'antan. Todd lui parla de ce fameux mot Carpediem : << Cueille  le jour présent sans te soucier du lendemain >> qui lui servit énormément . M.Keating lui raconta qu’ il avait completement changé de direction et  qu’ il s était lancé dans l’ artisanat . Oui il refusa d avoir une autre classe que celle qu il avait - eu à Welton . Il fabriquait des objets en bois , plus particulierement des bateaux . Il avait décidé d ’ en faire son metier . Il vendait ses objets mutiples sur la marché .  

La nuit tomba et Todd et M.Keating décidèrent de se revoir le lendemain. Et ils eurent cette incroyable idéé de reformer ce fameux cercle des poétes disparus . Todd décida d’ en parler aux autres en compagnie de M.Keating .

 

 

Abat-jour

 

Clair deux l'une !

A la lumière de la lune !

Vivement l'ébat d'amour !

En abat-jour;

Qui éclaire de ses lueurs

Les matins bonheur;

A espérer un brin de soleil

Au p'tit jour en trompe-l’œil !

A s'mettre le doigt dans l’œil !

En se rinçant l’œil

En abat-jour;

Qui ravive les bas d'amour !

En volant vers le haut des poignées d'amour;

Roulement de tambours

Vivement que les troubadours

Riment dans les faubourgs;

Des bourgs en bourgs

En étant à la bourre;

Et en tirant sur les poignées d'amour

En abat-jour;

Qui débat d'amour !

Et qui rabat de séjours;

Avec une carte de ces jours

A jour !

En abat-jour;

Qui ravit d'ébats d'amour !

Dans l'éternel vieux débat du contour

Vers le pourtour,

Dès le retour !

En des tours, détours

A contre-jour !

De la fin du jour;

Qui abat le jour

A l'ombre de l'une,

Dès clairs de lune

En rabat-jour.

 

Jérôme de Mars

La brume est un brouillard qui part en fumée

 

Etat des lieux de ce monde fastidieux;

Au temps haï qu'espéré en rendant hommage

Des aïeux aux miséricordieux;

A qui on reconnaît leur courage

Que la vie est un camouflet !

Entre déconvenue 

Et quelques moments bienvenus,

Dont la brume est un brouillard qui part en fumée;

Enfumée ok des brumes !

Qui enrhume d'amertume

Ce monde dissolu qui doit pour être en paix;

Fumer le calumet de la paix avec une bouffée

De joie; qui se réoxygène avec des rires

Et un élixir en rediffusant de l'amour; qui s'étire

Des petits jusqu'aux grands dans la proximité;

Et l'authenticité en y croyant encore en l'humanité,

Dont la brume est un brouillard qui part en fumée;

Surtout si le ciel fume le calumet de la paix !

Avec un beau ciel bleu avec de l'arôme

En émeraude, où tous les chemins mènent arôme !

Dans un pluriel d'atomes

Crochus, où en somme; tous les hommes

S'accordent sans discorde

Sur place de la concorde plus monocorde !

Et dont pour réconcilier le genre humain,

Otan boire de la chicorée de café entre copains !

Au bar d'à côté sans vanité mais avec simplicité !

En y voyant juste que l'aspect humain

Sans dédain mais avec seulement le côté bon Samaritain,

Dont une fois mort en fumant le calumet de la paix

Pour partir en paix dans un vent de liberté;

La brume est un brouillard qui part depuis jadis en fumée.

 

Jérôme de Mars

Un crabe qui en pince pour un concert de louanges

 

Pince-moi de maladie des nerfs !

Le nerf de la guerre, c'est la colère !

De l'argent content qui arrange

Un crabe qui en pince pour un concert de louanges;

A chanter la vie et le printemps 

En buvant un verre au bistrot;

A s'raconter les quatre cent coûts 

De la jeunesse des marmots;

A fumer en cachette du crack, 

Quand les adolescents rebelles craquent ric rac

A fredonner beaucoup

De ramages 

Au crabe qui en pince pour un concert de louanges,

Alors que les gens veulent mésanges !

Avec une vie d'ange qui engrange de la maturité

Nécessaire à la bonté secrète; qui sommeille au fond

De l'humanité

La plus précieuse que les gens ont !

Pince-moi de l'avarice de la misère !

Les gens n'y croient plus vraiment aux chimères !

Des mirages éphémères 

Qu'il y a dans les oasis d'une traversée du désert;

Qui s'mélange

Au crabe qui en pince pour un concert de louanges;

Le temps que dure l'inventaire en images,

Et de comment faire pour que le concert des louanges

Remplace le concert des langes

A la fin de la vie,

Dès la fatalité qui trouve son embellie !

Pince-moi le crabe qui pince le cancer des langes !

Pour un crabe qui en pince de mes anges !

Sans prendre de pincettes; tel un crabe qui en pince et qui dérange

Pour un concert au zénith des louanges.

 

Jérôme de Mars

Ca me parle !

 

Conversation imaginaire entre Jérôme B et son grand ami Adel A :

 

 

Jérôme B :  "  -  Bonjour Adel, comment vas-tu ?  "

 

Adel A :  "  -  Moi, ça va lascar et toi ça gaze dans ta vie ?  "

 

Jérôme B :  "  -  Oui, ça gaze qu'au cas où je vois la vie du bon côté  !  "

 

Adel A :   "  -  Quand il n'y aura plus le Covid, et que tout ira mieux de tous les côtés ! Je t'inviterai à manger le couscous chez moi avec ma mère mais à condition bien sûr que tu ne fasses pas le poids chiche et que tu aies un poids chiche dans ton cerveau ! Et que tu ne me carottes pas en me mettant la carotte sur le bâton à bâtons rompus ! "

 

Jérôme B :  "  -  J'avais une simple question à te poser mon cher Adel !  Pourquoi ne parles-tu que toi toujours dans tes conversations ?  Es-tu égocentrique ?  "

 

Adel A :  "  -  Parce-que ça me parle ! Et comme ça au moins, je ne manque pas à ma parole  !  Tu vois Jérôme, ma parole est en argent contant comme je travaille dans la comptabilité comme opérateur de saisie à L'APF de Choisy Le Roi, dont toi, tu choisis le désarroi en n'allant pas au GEM de Choisy !  "

 

Jérôme B :  "  -  Tu as choisi de travailler à L'APF de Choisy Le Roi ! Car si jamais il y a une nouvelle grève de La RATP, vu qu'il y a toujours un métro de retard avec tout ce qui trame ! Si jamais tout déraille ! Tu seras paralysé par la grève des transports pour pouvoir aller travailler à L'APF surtout avec ton handicap qui a du mal à capter ce qu'on te dit si jamais il y a un risque que tu pètes un câble en chaînes mon cher Adel ! Toi, j'ai remarqué, tu ne loupes jamais le train en marche ! au train où vont les choses depuis que tu as voté Macron au second tour des présidentielles de 2017 !  "

 

Adel A :  "  -  Pourquoi me chambres-tu à l'air libre lascar ?  "

 

Jérôme B :  "  -  Parce-que j'ai des petits vélos en refaisant sans arrêt le Tour de France dans ma tête !  " 

 

Adel A :  "  -  Pourquoi ne m'as pas tu faire découvrir encore Cavalaire sur Mer ? "

 

Jérôme B :  "  -  Mon cher Adel parce-que je cavale l'air sur mère !  "

 

Adel A :  "  -  Et toi, pourquoi ne m'appelles-tu jamais pour me parler en voulant prendre de mes nouvelles ?  "

 

Jérôme B :  "  -  Parce-que je ne veux pas te déranger comme moi, je suis déjà assez dérangé comme l'avait médit Olivier Amsidi et qu'en manquant à ma parole ! Ca me parle en réussissant à avoir pour une foi le dernier mot avec toi car enfin ça me parle tout le temps !  "

 

Jérôme de Mars

Le soir pendant la nuit

 

Prélude sous un coucher de soleil !

Il pleut dans le noir la déconfiture de groseilles !

Le soir pendant la nuit;

N'importe où ici !

Où le ciel assaisonne la lune,

Que fait-elle à part se prélasser dans sa rancune ?

A écouter toujours la même sérénade sur I-Tunes;

Avec plus aucune tune

Dans le jukebox pour éclairer la folie dans son agonie

Le soir pendant la nuit;

A écumer le sel de la mer

Etoile interstellaire de mer;

Couleur face lunaire; pile direction le cimetière

Dès le crépuscule en lettres minuscules,

Où le soleil avare de ses rayons X; frise le ridicule !

Direction son inexorable insomnie

Le soir pendant la nuit;

A s'imaginer que chacun et chacune

Veulent faire la peau de la lune

Dans une éclipse lunatique; qui éclipse

Le canal avec plus d'ellipse

Pour chercher un débouché,

Afin de disséminer le robinet à idées;

Qui crépite à la va-vite

Lorsque le ciel l'évite; lévite !

De sorte que l'histoire soit un compte à dormir

Debout avec des soupirs ! Qui respirent l'élixir

De l'amour face à l'ennui qui finit enseveli !

Le fameux grand soir pendant l'ultime nuit;

Qui clôture la dernière décennie.

 

Jérôme de Mars

Ubuesque 

 

Fresque

             burlesque

                            en

                       

                       a

                         r

                         a b

                             e s ques   

 

                                    ubuesques

 

                                                  Ins

                                                 olites

 

 

                  Cosmopolites

 

                    et 

 

                 Hétéroclites                           

 

                              Qui dé

                                       fraient

 

                      La  ma

                               la

                             d

                             ie 

 

Chro

nique

 

Bizarre

 

 

          Est

 

Anachronique

 

       Qui

 

Pronostique

 

  Farfelues

 

Des blagues

 

    Burles

ques

 

 

Et ubuesques

 

 

Complètement

 

Grotesques

 

De

 

Contrefaçon

 

Bi

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Toboggan

 

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                                                           De la fontaine

 

                                                                                                          Du bout de cette

 

Rengaine

 

Très

 

Etrange

 

                                                                         Qui fait

 

                                          Mouche louche

 

 

                      Et qui 

 

 

                                                                           lou

                                                                                c

                                                                                    h  e

 

                                          Telle une

 

                                                      Mouche 

 

                                                                    Du coche

 

UBUESQUE.

 

 

Jérôme de Mars                 

Consultation imaginaire

 

Consultation imaginaire entre un patient; Jérôme B et un psychiatre impatient; Madame Teillet au CMP de Vitry :

 

Madame Teillet, psychiatre impatient du CMP :

 

"  -  Bonjour monsieur Bedrossian, comment allez-vous depuis la dernière séance ?  "

 

Jérôme B, un patient du CMP :  "  -  Depuis la dernière séance, ça va très bien car je ne fais pas du cinéma avec vous, je joue le rôle de ma vie !  "

 

Madame Teillet :  "  -  Alors monsieur Bedrossian, j'espère que vous ne prenez plus en entier votre somnifère !  "

 

Jérôme B :  "  -  Rassurez-vous madame Teillet !  Pour me dorer la pilule; et pour bien faire passer la moitié de la pilule; je ne prends qu'un quart de somnifère !  "

 

Madame Teillet :  "  -  Que vous êtes drôle monsieur Bedrossian avec vos jeux de maux !  Vous devriez faire du théâtre et écrire des scénarios, comme vous vous faites toujours des scénarios !  "

 

Jérôme B :  "  -  Eh bien !  Ce que vous me dites Madame Teillet !  Ce n'est pas faux du tout !  Vous vous rappelez il y a quelques mois, vous m'aviez dit que j'avais un poil dans la main !  Vous auriez plutôt dire que j'étais poil à gratter et que c'était pour ça que je ne me mettais pas au poêle à frire !  Et vous avez raison ! C'est justement parce-que je suis acteur de ma vie que je me fais sans arrêt des films en marchant sur mes plates bandes et en me projetant tout le temps dans l'avenir !  "

 

Madame Teillet :  "  -  Vous avez toujours de la répartie monsieur Bedrossian ! Et que je puis-vous dire en piqûre de rappel sans vous lancer de piques ?  "

 

Jérôme B :  "  - Que je me suis fais vacciner ce matin contre le Covid ! Ce qui fait que mes prières se sont réalisées en trouvant un vaccin contre ma rage ! Tellement protestant depuis tout ce temps ! Que j'espère que maintenant avec l'aide d'un Pasteur que je serai enfin en paix !  "  

 

Madame Teillet :  "  -  Ca ne dépend que de vous monsieur Bedrossian !  Après avoir été maltraité depuis naguère dans votre enfance !  Autant que vous signez le traité de paix maintenant !  "

 

Jérôme B :  "  -  Ca y est, c'est signé maintenant ! Jérôme Bedrossian se traite bien; ainsi pour qu'on le traite bien et en paix !  "

 

Jérôme de Mars

 

Poème Africain

 

Tam tam !

Ce qui s'trame

Commence à bord

Du tram !

Afrique du Nord

Ne perd pas le Nord !

Des pays bienvenue à bord

De La Tunisie;

Qui accueille en roulement de tambour

Les habitants avec une carte de séjour;

En sirotant une désaltérante citronnade

Avec des accolades

En murmurant un chaleureux bonjour,

Comme un troubadour !

Dans son horizon qui prend le bateau

A Marseille !

Direction les pays du soleil !

Vers Le Maroc et L'Algérie;

Qui mettent les babouches

En mettant les bouchées doubles dans un bouche

A oreille;

En dégustant le couscous

Et en pédalant dans la semoule;

Avec des tajines qui se font mousser

Par les maçons; 

Qui construisent des maisons !

En remontant aux origines

Des briques à l'œuf;

Quoi de neuf ?

A l'orée de chaque saison,

Dont le café du commerce

S'exerce !

En buvant du thé à la menthe !

Qui aimante

La Grande Mosquée de Paris

Jusqu'à la nuit,

Dont le café, c'est sa tasse de thé !

Sirotée et ôtée

Dans une ambiance très olé olé,

Comme en ayant des défenses d'ivoire 

En Côte-D'Ivoire

Pour boire à la couleur 

Du bonheur

Avant sa traversée du désert;

En mangeant le dessert qui dessert

La Guinée

Et Le Mozambique;

Qui mènent en bateau

Le Sénégal

Et Le Tchad !

Direction l'eldorado !

Ou à dos de chameaux

Jusqu'au Gabon;

Qui a du bon

D'écouter Magic System

Dans un système solidaire,

Pourvu que tout le monde s'aime !

En ayant bon dos de dromadaires

En Mauritanie;

Avec les phares à on, 

Dont les pharaons

Regardent à musée les pyramides du Louvre,

Afin qu'en Egypte; ils l'ouvrent 

Le Bidonville du Caire

Avec Sœur Emmanuelle,

D'où qu'elle est pour leur lire

Et leur relire sans l'ire Le Bescherelle 

Sans querelles;

Avec en aquarelle

Une fresque de Nelson Mandela;

Du Togo au Ghana

Jusqu'à L'Afrique du Sud,

Où il est midi  !

Comme dans le Midi

De La France du Sud;

Très prude aux idées rudes

De midi à minuit !

En route vers la paix

Entre toutes les communautés,

Pourvu que tout le monde ait le Sacristain !

Et l'amour Chrétien pour son prochain copain !

A l'issue connue

En Bon Samaritain

Dans la rue malgré l'inconnu !

Et la peur de l'inconnue !

Aux accents Caribéens 

Et Antillais

Dans la savane vahiné olé olé !

Du Kenya 

Jusqu'aux Comores; 

Qui frétillent dépaysés

En secouant le cocotier !

Pour se réhydrater,

Avant de parcourir la route vers les morts

Du bout de ce poème Africain.

 

Jérôme de Mars

 

Un couple pour la vie

 

Bagatelle d'untel à un tel !

Nicolas et Estelle;

C'est un couple pour la vie

Pendant une multitude de belles nuits;

A la vie, à l'amour !

Et ce n'importe quel jour !

A profiter du carpe diem

Pour se prouver qu'ils s'aiment

De tout l'amour de leur vie !

Avant de voler au ciel du paradis,

Où Nicolas et Estelle;

C'est un couple pour la vie;

Qu'il fasse gris !

Ou qu'en surface; il y ait de la griserie !

Avec tantôt la bagatelle;

Ou sitôt se parler d'untel à un tel !

Or, il faut profiter de la vie !

Avant que les pleurs se recueillent

Sur leur stèle,

Comme de mortes feuilles !

A s'ramasser dans un recueil

De poèmes

Pour dire que Nicolas et Estelle

S'aiment avec pour amour leur totem

Au coin des hirondelles, 

Dont leur amour vole de ses propres ailes !

Et dont l'amour en si bonne compagnie

Souhaite à Nicolas et Estelle,

Que leur profond amour se renforce

Avec de la bagatelle

D'untel à un tel !

Afin que s'amorce entre eux !

Et dans les cieux !

Un amour durable entre Nicolas et Estelle

Jusqu'à leur stèle,

Quand ils seront mortels,

Dont pour une multitude de belles nuits !

C'est un couple vraiment pour la vie.

 

Jérôme de Mars

Fais-les !  

 

Bris de vers de poèmes !

Qu'une vie désordonnée

Et déboussolée

Fait perdre haleine !

Avec pour problèmes

Fais-les !

Si t'es fêlé !

A en perdre la raison,

Si jamais tu gagnes la résurrection !

D'une vie avec davantage de lueurs; 

Après tant de sueurs 

Dans trop de labeurs !

Et à partir de quand ?

Tu panses que t'auras droit au bonheur;

En parlant du printemps et en courant

Dans un joli feu de camp !

Et si tu trouves des solutions

A tes problèmes !

Fais-les

Devenir réalité !

Afin que tu trouves la bonne équation

A ta vie de fêlé !

Complètement allumé

Et barré

Dans un tonnerre de bordel,

Si déjanté et déluré

En cherchant à l'autel;

De la sollicitude paternelle

Et maternelle,

Dont liberté, égalité, fraternité !

Sont les mamelles 

De La France avec pour divin soleil;

Une lumière au bout du tunnel !

Car si tu picores un peu de miel

Après tout ce fiel !

Fais en sorte que de ta vie de fêlé !

Qu'il en découle des choses positives

Et constructives !

Dont fais-les !

Très bien

En bon samaritain !

 

Jérôme de Mars 

Le berceau de la nuit

 

Répit qu'offre la nuit durant une courte embellie;

Il y a le berceau de la nuit

En se berçant dans des rêves;

Qui sont de fausses illusions en une trêve

Avec en point d'orgue des orgues de Barbarie;

Qui inspirent la vie et ses châtiments dans une orgie

A bas la morale en des hauts et d'ébats !

Qui montent les filles de joie !

En philharmonie et en si agréable compagnie

Dans une harmonie symphonique en symbiose de fratrie,

Dès le berceau de la nuit

Pour se bercer l'instant présent dans l'oubli de l'agonie,

Où reposent le désespoir moribond face à une stèle;

Qui regarde untel si un tel avait de la compassion fraternelle

Dans une position délicate groggy par des pilules qui pullulent,

Dès le berceau de la nuit

A écouter réciter ses prières d'insomnie;

Avec des frasques qui ébranlent le vestibule

Entrée qui perd de sa superbe des artistes !

Surplace de la rue des égoïstes; 

Qui ont droit de vie ou de mort

En des regrets enfouis de mots retors;

En sortant leur frustration de leur mutisme conscient,

Comme si le temps avait changé aisément !

Dès le berceau de la nuit;

A se souvenir de ce que susurrait la vierge Marie;

En vierge effarouchée qui s'rappelait qu'on la vénérait

Au cimetière passager des innocents controversés;

Avec pour propos édulcorés

Des paroles démesurées à modérer;

Tel un confident pour passer le temps qui lui paraissait insoumis,

Dès le funeste berceau au tomber de la nuit.

 

Jérôme de Mars

Bris de couloirs à L'ESAT La Fabrique

 

Une petite saynète pour y décrire l'ambiance au sein de L'ESAT La Fabrique

 

Eric T un moniteur :  "  -  Allez les loulous  !  Tout le monde vient ici car on se réunit tous ensemble au conditionnement pour faire la réunion mensuelle de l'atelier avec la direction, les moniteurs et les agents du conditionnement !  Qui veut commencer à prendre la parole ?  "

 

Sandrine R, une agent :  "  - Moi; je voudrais demander pourquoi jusqu'à présent à L'ESAT La Fabrique; tout tombait à l'eau ?  "

 

Valérie Perrier, la directrice :  "  -  Eric, vous me permettez de prendre la parole ? "

 

Eric T, un moniteur :  "  - Oui, je vous en prie, faites du moment que votre parole soit d'or et pas d'argent !  "

 

Valérie Perrier, la directrice : "  -  Je pense que depuis je suis votre directrice à L'ESAT La Fabrique, qu'à mon humble avis; tout ne tombe plus à l'eau comme avant mais que ça gaze grâce à moi, Valérie Perrier !  "

 

Sandrine R, une agent :  "  -  Oui en effet, je comprends pourquoi maintenant à L'ESAT, plus rien ne tombe à l'eau ! C'est qu'à vrai dire; ça gaze ! Donc, j'en déduis que c'est encore pire qu'avant à L'ESAT La Fabrique, et je voudrais bien savoir ce que j'y fabrique dans cet ESAT !  "

 

Charlotte P, une ancienne agent qui bat en retraite qui parler avec L'ESAT La Fabrique en visioconférence depuis chez elle :  "  -  Coucou, les relous ! Je voulais témoigner pour vous dire que je suis bien contente d'être à la retraite ! Car avec Madame Manoiline, tout tombait à l'eau ! Comme les chiottes qui étaient sales, car tout le monde s'en lavait les mains à part juste passer des savons à tout le monde ! Je pense qu'avec Madame Valérie Perrier ça ne pourra pas être pire que ça ne l'a été avec Madame Manoiline, mais en tout cas Madame Perrier va vous refiler les bons tuyaux pour que ça gaze encore plus à siphon fond fond dans cet ESAT ! Comme L'ESAT La Fabrique va toucher encore plus le fond !  Et qu'on sera obligés de ramasser les rats dégoûts dans cet ESAT avec par exemple l'atelier conditionnement qui est au rat des pâquerettes, car maintenant pour moi et pour Jérôme du balai de cet ESAT ! Avec l'épelle de la forêt comme vous avez tous critiqué et débiné derrière son dos Jérôme ! En lui taillant des haies pour qu'il cultive de la haine envers vous et en lui salissant son jardin secret à Jérôme, ça vous a arrangé que vous preniez Jérôme pour l'arbre qui cache la forêt noire ! Bande d'hypocrites ! Où l'on se demande ce que moi et Jérôme; on y a fabriqué pendant toutes ces années dans cet ESAT de tarets !  "

 

Eric T, un moniteur :  "  -  Madame Perrier, voulez-vous qu'on appelle la psychologue Madame Benoîte Barreteau ?  "

 

Madame Perrier :  "  - Pas la peine car Benoîte Barreteau est partie faire une commission dans son cabinet toilettes, comme c'est une fausse sceptique !  "

 

Christophe B, un moniteur :  "  -  Pour voir ceux qui sont satisfaits de L'ESAT La Fabrique depuis l'arrivée de Madame Perrier comme directrice de cet ESAT, on va faire un sondage avec un vote pour désigner la côte de popularité de Madame Perrier, parmi ceux qui sont satisfaits lèvent la main et qui ne pas satisfaits font un petit doigt d'honneur !  "

 

Le sondage eut lieu avec le fameux vote, voici les résultats : 

 

Christophe B, un moniteur :  "  -  Résultats des courses, y a autant de gens qui ont levé la main comme parmi ceux qui ont fait doigt d'honneur, résultat, pour votre honneur, L'ESAT ainsi que Madame Perrier sont déclarés nuls de par votre vote, car pour ceux qui jugent L'ESAT La Fabrique ! Rendez-vous dans une nouvelle république en marche, vu que comme déjà tout tombe à l'eau et que maintenant en plus, ça gaze avec du Perrier !  "

 

Jérôme de Mars

 

Garçons manqués

 

Coupe à la garçonne !

Aucune femme n'a les boules !

Car ce sont toutes des garçons manqués !

Qui ont manqué les boules des garçons;

Qui déboulent

Une tonne en en faisant des tonnes !

Qui déroule le tapis tapi de masturbations !

Très mauvais genres garçons manqués; 

Qui ont manqué les femmes garçons manqués !

Avec aucune femme qui n'a les boules !

Car ce sont toutes des garçons manqués !

Qui ont manqué les boules des garçons;

A part le p'tit bout qui bande mou en sortant du moule !

Qui cartonne

Et qui désarçonne 

La découpe à la garçonne;

Genre fausse Bretonne,

Coincée du faux derche

En faisant celui qui la pécho ou la perche

Dans un sot d'asperges;

Transgenre garçons manqués,

Dont les garçons manqués

Ont manqué aucune femme qui n'a les boules !

Car ce sont toutes des garçons manqués !

Qui ont manqué les boules des garçons !

Et qui déboulent maboule en sortant du moule

Les mauvais garçons ébranlés !

Avec parmi les garçons moqués;

Les garçons manqués.

 

Jérôme de Mars

 

                                             Blague :

 

 

Connais-tu une femme qui a les boules ?

-  Non aucune car ce sont toutes des garçons manqués !

 

 

                                     Jérôme de Mars

Par tous les temps !

 

Effet boule de neige !

Par tous les temps !

En ce moment qu'il grêle

Dans un sacrilège !

Il neige comme il vente !

Comme si le temps fluctuant invente

Et s'vante

Qu'en plus du parapente qui évente !

Il y a quelque chose qui change itinérant

Tout le temps !

Comme les giboulées de Mars;

Ou les grêlons qui tombent

Par tous les temps !

Chaque année qui incombe !

Dès l'instant

De l'hiver, comme peu de temps !

Avant le printemps avec les sains 

De glace; qui laisse de glace les seins !

Par tous les temps fluctuants !

Au temps du soleil et de la pluie;

Qui varient en fonction de leur changement

D'humeur à pas d'heures certains matins fluctuants !

En alternance de leur privilège,

Quand le beau temps s'fait d'hiver en décembre !

Et qu'il devient un membre !

Par tous les temps !

Afin que le soleil allège

Les feuilles mortes reposant au cimetière

De leurs corps de poussière,

Dès l'éclipse lunatique;

Qui pousse la tempête

Hébète à devenir un typhon !

A fond la caisse au tréfonds

Du mauvais temps, 

Où tout le monde rouspète !

Par tous les temps !

Lors de l'ouragan du désespoir, 

Où avant de choir et de déchoir

Sur le perchoir !

Il reste comme ultime espoir !

Après la tête dans le brouillard !

D'avoir un peu de nénuphars 

La tête dans les nuages !

En enchantant les ramages 

Avec des crayons de couleurs

Pour rendre le paysage !

Plus jovial et plus radieux

Avec un beau ciel bleu,

Car après le séisme

Et le cataclysme !

V'là le bon vieux temps exotique !

Par tous les temps !

 

Jérôme de Mars

Lascar décidé

 

Xanax dans un ver de problèmes ingurgités !

Avec le métal fort qui s'fait entendre imbibé !

En écoutant les doléances des gens

Du printemps qui fait tout un boucan !

Je suis un lascar décidé;

Tel un lascar académie des cités;

Qui ne fait que réciter ce qu'il a suscité

Dans sa saga citée 

En faisant des répercussions,

Avec ma musique de fantôme;

Qui est l'ultimatum; l'ultime ma tome

Des rumeurs à mon encontre; 

Qui rencontrent

Des oppositions

Pour taper sur du métal fort;

En jouant du métal dans le folklore

De Francfort,

Si Les Francs forts sont archi forts !

Tel le lascar des cités;

Qui a fait que le lascar décidé;

A décidé de décimer

Toute l'entière humanité

Dans sa saga cité;

En prenant ses médocs

Tout oui mais doc !

Lui qui lui a dit de les prendre contre ses tocs !

Lui très toc toc sans baisser son froc !

Et quelle est la raison de l'oraison ?

Qui fait que le lascar décidé;

Veut que le lascar des cités

Puisse se suicider en buvant du poison;

Soit du cyanure ou de l'arsenic;

En écoutant le groupe qui dérape Arsenik !

Dont je nique 

Tout ce qui étrique

Ce bas monde de miséricorde !

Auquel on m'accorde monocorde

Avec le diable en prenant du Temesta

Et du Xanax pour m'défoncer le ciboulot ;

Si jamais j'ai six boulots

A prescrire !

Pour proscrire

La défonce du ciboulot !

De quelqu'un largement au bout du rouleau !

Tel le lascar décidé;

Qui a décimé le lascar des cités;

A coups de barres de métal fort

Avec en métaphores; le phosphore

Récité; suscité et ressuscité

Dans sa saga citée,

De la saga cité

Du lascar des cités; qui a tagué 

Le mystère de la cité d'or;

Avec dans la cité en renfort;

Le lascar bien décidé.

 

Jérôme de Mars

 

Blague :
Pourquoi est-ce stupéfiant qu'un jeune dealer ait tué un flic à Avignon ?
- Parce-que le jeune a coupé les ponts avec la police car sur le pont d'Avignon; le policier y contre dense dans ce monde qui ne tourne plus rond !
Jérôme de Mars

La passerelle des rêves extraordinaires à une réalité angélique

 

Pléthore de mille et un désirs !

Que quiconque aimerait transformer en plaisirs !

Et qui reste possible grâce aux prières mystiques;

Qui franchissent la passerelle des rêves extraordinaires

A une réalité angélique;

En fuyant le fanatique

Et en se rapprochant des choses populaires;

Qui font que chacun aspire au bonheur !

Et à une existence qui respire la simplicité !

Avec de joyeux moments à revisiter

Dans la sérénité et nulle part ailleurs !

Comme en regardant des oisillons 

Voler de leurs propres ailes avec persuasion ! 

Que la divinité leur accorderait l'immaculé conception !

De la passerelle des rêves extraordinaires

A une réalité angélique;

Qui s'fait des films marquise des anges !

Pour que tout s'arrange

A cultiver de l'amour sur des instants précis les plus emblématiques,

Où la rhétorique n'est plus que théorique !

Et passe aussi à la pratique !

En s'bécotant sur les bancs publics;

Avec l'influence de Georges Brassens en microsillon 

Jusqu'au sillon du tourbillon des âmes éperdues

Dans le hasard hagard de la rue,

Où pour que les demoiselles restent magnifiques

Sur le plan esthétique !

Restez comme vous êtes débonnaires !

Afin que de façon nécessaire,

Le tout perdure salutaire

Et sympathique !

De la passerelle des rêves très extraordinaires

A une réalité désormais si angélique.

 

Jérôme de Mars

 

 

Les hirondelles elles !

 

Tournoyer d'un trésor de merveilles !

Dès l'embardée d'une once d'étincelles;

Les hirondelles elles !

Déploient leurs Ménestrel !

En écrivant de leurs ailes

La poésie du printemps universel;

Avec des crayons de couleurs

En barbouillant le soleil

De sa douce ferveur; 

Qui avec ses ardeurs

A les faveurs du ciel,

Lorsque les hirondelles elles !

Regardent les aquarelles

Des troubadours qui scellent

Celui ou celle; qui penche en faveur

Du soleil qui ruisselle, 

Dès que le soleil a ses chaleurs !

En pleine période de l'été,

D'où a puisé le ciel bleu épuré,

Si bien que les hirondelles elles !

Avec leurs ailes tournent dans un carrousel;

Qui l'ouvre la panoplie des arc en ciel !

Et de la raison pour laquelle,

Le soleil a une influence sur le Missel;

Qui loge à la même enseigne les fidèles

De l'hôtel à l'autel d'untel à untel,

Et dont par conséquent; l'arc en ciel 

Et le ciel ferment leurs prunelles !

Le soir au coucher du soleil !

Pendant que les hirondelles elles;

Ferment leurs ailes en faisant du zèle !

 

Jérôme de Mars

A quoi ça rime une prose ?

 

Vers de vies en rose !

A quoi ça rime une prose ?

Si la poésie se situe entre les deux !

Entre d'un côté la rime et la prose!

Qui rime avec rien juste pour ce ver:

Alors qu'en buvant des vers sobres;

La prose est à la mode dans le ver mot !

Et puis à quoi ça rime une prose ?

Si pour une fois ce ver rime en osmose;

Face à ce poème que je compose,

En trinquant au ver solidaire harmonieux;

Pourvu les vers que je dessers !

Puissent s'à couplet en quatre uns !

Et que le tout puisse sonnet

Et résonner, sans que ça rime

Avec quelque chose si s'arrime !

Avec le venin du serpent qui danse !

Et dont en contre dense,

A quoi ça rime une prose ?

A part faire couler beaucoup d'encre !

 

Jérôme de Mars

Seule, la musique aide à trouver la clé de sole de l'énigme !

 

Ambiguïté sur une note de musique sur un piano !

Des vierges effarouchées apparaissent en lubies; 

En jouant du violon et en accordant les violons

En faisant des baisers furtifs sur un balcon !

Dans une mélodie tapée sur un piano qui met le tempo;

En écrivant les revers de la vie en méformes de hobbies,

Parce-que seule, la musique aide à trouver la clé de sole de l'énigme !

Entre soit se repérer à l'aide d'une boussole;

Ou soit se perdre par le remède d'un bémol

Entre soi le dogmatisme ou le repli sur soi en un cataclysme, 

Où pour apporter des notes à portées deux mains;

Autant en faire une gestation de bons mots dans son coin !

Parce-que seule, la musique aide à trouver la clé de sole de l'énigme !

Surtout quand les adeptes de la musique se renferment dans leur mutisme !

Et dont avant que la note ne leur soit salée à mère sur un piano,

Il vaut mieux en parler avec des mots pour remonter les quiproquos !

A bonne entendeur de l'oreille musicale en enterrant la hache de guerre,

Lorsque les artistes tumultueux sont complètement marteaux; 

A s'taper la tête dans le rétro

Tout leur passé patibulaire, où pour qu'il soit lapidaire

En l'évoquant à demi-mot;

Il faut regarder droit devant en allant de l'avant en atteignant le paroxysme !

Loin de l'égoïsme;

En s'intéressant à l'humanisme

Des artistes ainsi qu'à leur altruisme !

Dans une belle ritournelle d'ouverture d'esprit

Avec une embellie au milieu des péripéties,

Dont pour enfoncer des portes ouvertes

Dans une portée à portée deux mains sur un piano !

Il faut attendre l'inspiration des mots du dico !

Et dont l'unique solution sans langue de bois ouverte

Dès l'apogée de la boisée verte !

Ce sont des vertes

Et des pas mûres ouvertes !

Et dont pour leur faire franchir le mur immature;

Il faut mettre les artistes au pied du mur !

Afin que leur belle nature augure

Et inaugure sans euphémisme

D'une immense ouverture d'esprit grâce à leur héroïsme, 

Dont seule, la musique aide à trouver sans bémol la clé de sole de l'énigme !

 

Jérôme de Mars

Le temps va sourire sur La Terre

 

Inventaire de notre monde nécessaire

D'ici peu prospère; on l'espère !

Où le temps va sourire sur La Terre

Avec le soleil; qui fera de vous son frère lumière

Dans une Terre de lumière en clair;

A des années-lumière

De son ombre crépusculaire,

Dont maintenant; il va falloir désormais faire

Des selfies avec la vie extraordinaire !

En un itinéraire retrouvé dans un élan !

Et vlan tout le monde va être comme avant !

Exaltant et grisant de par le plaisir populaire

D'allumer la lumière tous ensemble sur La Terre,

Dont le ciel bleu dira salutaire !

Le temps va sourire sur La Terre

Et rire aux éclats avec les nuages lunaires

Sur un fond de discussion imaginaire;

Entre le soleil; la lune; le ciel et La Terre,

Afin que tous ses congénères

Se parlent volontaires;

En dialogues linéaires

Et moins éphémères,

Dont tout le monde unanime; composera une prélude

A l'étude, sans qu'il élude

Que le ciel prédise visionnaire;

Que le temps va sourire à présent pour la vie sur La Terre.

 

Jérôme de Mars

Il y a les beaux jours qui arrivent !

 

Avant-goût d'un parfum d'été !

En un printemps fricassé ! 

De part et d'autre sur la rive !

Et bien figurez-vous !

Pour rassurer les abat-jour en joue,

Il y a les beaux jours qui arrivent !

Avec bien sûr le soleil sur le qui-vive,

Afin que le ciel doux ravive

La fierté et la ferveur;

Gagnées à pas d'heures dans la candeur,

Dont sur les rives;

Il y a les beaux jours qui arrivent !

Si bien que la population va pourvoir revivre

Sous le teint embaumé d'un splendide ciel

Bleu; qui enivre

En cette accalmie; qui arrive sur les ponts de mai,

Car il y a un pont entre deux tempêtes ! Dont désormais

La candeur est une plus-value ajoutée; 

Avec après la tempête, le calme tropique

Et aquatique en des bons airs, 

Où le temps n'est lunatique !

Puisqu'olympique

Et placide

Sur la rive 

Qui obtempère,

Et dont il y a les beaux jours qui arrivent !

Entre début mai et jusqu'à fin septembre et octobre,

Desquels les beaux jours sont sobres !

En s'enivrant dans la folie; qui délivre

Un laissez-passer dans un été tranquille;

Qui vibre en un folklore qui pétille,

Comme le champagne qui joue avec des cuivres,

Dès lors que la musique frénétique coule sur la rive !

Où il y a pour le plaisir les beaux jours qui arrivent !

 

Jérôme de Mars

Y a pas photo de pellicules tirées par les cheveux !

 

Shampoing étirés par les cheveux !

Y a pas photo de pellicules tirées par les cheveux !

En s'faisant des cheveux; cheveux dans le vent !

Comme un cheveu dans la soupe en n'y allant

Par le dos de la cuillère d'argent !

En réalisant son objectif négatif,

Alors que par les temps qui courent !

Il ne faut être positif

Au long cours,

Et dont pour ne plus avoir de pellicules sur ses cheveux;

Y a pas photo de pellicules tirées par les cheveux !

Comme un cheveu dans la langue et tiré par les cheveux !

En s'faisant des cheveux avec des bandes magnétos !

Dont le tout est de les passer en diapos,

Dont y a photo de pellicules à s'laver les cheveux !

Avec du shampoing antipelliculaire poils à gratter nerveux

Dans défaites à neuneu pour les plus morveux des paresseux; 

Avec pour objectif positif de ne plus être positif, 

Mais tout le temps négatif objectif !

Car en s'lavant les cheveux avec un objectif soigneux !

Y a plus photo de pellicules tirées par les cheveux !

 

Jérôme de Mars

Faut-il rouvrir les maisons closes ?

 

Même que de par les temps modernes !

Actuellement en légion; les maisons sont écloses;

Faut-il rouvrir les maisons closes ?

Car les hommes qui ne peuvent prétendre

A trouver l'élue de leur cœur avec qui s'entendre !

Que ce soit des hommes ordinaires

Ou des personnes handicapées;

Chacun même qu'il ne peut trouver d'amoureux;

A le droit d'avoir une vie privée !

Même que c'est le coup d'une nuit !

Et que ce n'est pas forcément pour le coup d'une vie !

Car pour un homme célibataire

Et jeune pubère;

Il ne faut pas qu'il trouve porte close !

Et pour cela, faut-il rouvrir les maisons closes ?

Avec de jolies filles et femmes distinguées

Soignées et raffinées 

Dans le domaine de la luxure;

Et faut-il rouvrir les maisons closes ?

Comme du temps de Madame Claude; 

Qui avait fondé un commerce de prostitution subalterne

Dans le luxe sûr; 

Et face au risque que certains parmi les hommes;

Il y en a en somme;

Quelques-uns qui sont détraqués

Avec de gros problèmes;

Tellement qu'ils ne peuvent avoir de femmes

Qui leur disent je t'aime !

Sur le bout des lèvres qui les enflamme !

Ainsi pour éviter qu'ils ne commettent un viol

Au vitriol !

Faut-il rouvrir les maisons closes ?

Avec des maisons écloses

Où il n'y aura plus porte close;

Qui taraude

Les désirs des hommes en manque;

Qu'ils commettent des crimes sexuels dans leur planque,

De sorte que ce soit moins le bordel

Depuis qu'un gouvernement socialiste

Qui vient d'Hollande;

Fit tout pour que les hommes débandent

En pénalisant les clients des prostituées;

Qui mit tout le pays de La France en PI ébats,

Et pour que ce soit moins le bordel 

De L'Autel à l'hôtel;

Faut-il rouvrir maintenant les maisons closes

Pour en faire des maisons écloses

Avec plus jamais de porte close ?

 

Jérôme de Mars

Le bonheur est-il durable ou éphémère ?

 

Effets de mode à la bonne heure !

Ou de ce qui est commode au bonheur !

Le bonheur est-il durable ou éphémère ?

Soit qu'il dure toute la vie;

Qu'il dure le temps d'un court répit

Ou d'une nuit; 

Ou soit qu'il endure un semblant de bonheur

Avec pour vérité et réalité un sang blanc de leurre

Pour en faire son beurre,

Car souvent; les gens croient que le bonheur !

C'est le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière !

Alors que souvent dans la vie; tout est éphémère !

Certes parfois; l'amour peut-être un bonheur durable !

Tandis que quelquefois il peut être à la bonne heure instable !

En durant juste une nuit comme un coût d'une nuit,

Si bien que si l'amour insupportable endure toute la vie;

Il risque d'être fortuit et de se terminer dans une aberrante ineptie !

Pouvant trépasser dans une mauvaise péripétie !

Qui tend à nous faire comprendre qu'il faut se mettre au défi

Ou relever le défi;

De si le bonheur est-il durable ou éphémère ?

Entre soit passer un après-midi avec un ami 

Après avoir été au restaurant; 

Ou soit habiter avec un ami en colocation

Et de constater si tout se déroule bien 

Entre copains !

Avec une parfaite communication

Et de sincères affinités !

Qui peut démontrer que l'amitié peut aussi fonctionner

Au quotidien;

Entre deux copains qui se voient du matin

Au soir; ou soit habiter avec son amoureux 

Ou son amoureuse au coin d'un feu,

Car que ce soit avec un (e( ami(e)

Ou un amoureux ou une amoureuse;

Entre se voir un après-midi; un week-end

Ou un happy-end

Et partir ensemble en vacances !

Ce qui paraît une logique évidence

L'instant d'un moment !

L'est-il quand deux personnes vivent ensemble

Au quotidien ? Et est-ce-que la routine

Ne risque-t-il pas de tuer le quotidien

Et le plaisir à la base épicurien;

D'être tout le temps ensemble ?

Malgré qui se ressemble s'assemble !

Et en remontant à l'origine;

Entre voir quelqu'un de façon éphémère

Et vivre avec quelqu'un de façon linéaire;

Est-ce pareil et salutaire ?

Avec pour éternelle question

Pour y trouver la bonne adéquation;

Le bonheur est-il durable ou éphémère ?

Et est-ce-que le bonheur est-il durable à la bonheur 

En faisant la même chose pendant longtemps ?

Ou est-ce-que le bonheur est-il éphémère à la bonne heure

Par exemple en fêtant un anniversaire

Avec ses amis et sa famille ?

Ou soit en se faisant plaisir en s'achetant

Ou en achetant pour sa petite amie;

Un cadeau en un présent très présent ?

A chacun sa façon de voir les choses !

Car en toute et toute chose;

Même si la vie peut-être rose;

Elle ne l'est pas toujours rose ? !

Mais même si toutefois; il y a également du morose

Dans la vie;

Le fait d'avoir des amis; un(e) petit(e) ami(e) et de la famille

Très aimants;

Demeure extrêmement important

Et primordial !

Pour promouvoir le lien social

Et demeurer cordial !

Afin de passer des moments très exaltants;

Et avec cette phrase qui fait débat :

Etes-vous d'accord avec la phrase de Pascal Sevran;

Qui déclarait dans un de ses livres; tous les bonheurs sont provisoires !

Et pour vous; tous les bonheurs sont-ils provisoires ?

Car le fin mot de l'histoire avant le purgatoire

En traînant ses pas dans les bruits de couloirs;

Que ce soit pendant la vie et après la mort !

Et si après la mort; il y a une autre vie ? !

Pour vous le bonheur est-il durable dans l'éternel

Ou éphémère dans l'éternel ?

 

Jérôme de Mars

Etoiles de mères

 

Etoiles défilantes en dormant à la belle étoile !

Parmi les étoiles de mères;

Y en a-t-il des étoiles qui sont des stars ?

Sans que les flashbacks leur taillent des costards !

Et si la mère est agitée; faut-il qu'elle dévoile

Sa face contraire interstellaire ?

En ces étoiles de mères; 

Qui tissent leurs toiles libertaires

En s'intégrant à leurs congénères;

Avant leur come-back en des années pubères

De la guerre des nerfs à une crise de nerfs,

En ces étoiles de mères; 

Qui parlent de vague à l'âme, 

Lorsque leurs regrets les rendent infâmes !

De femmes à femmes aux tempéraments bipolaires

Sur la place pas linéaire 

En ces étoiles de mères;

Qui incarnent la mère sur une note salée 

En un pessimisme ambiant en prenant la température

Au premier degré 

Avec pour tessiture;

Une moindre posture ou imposture

En ces étoiles de mères;

Qui incarnent la libre aventure

Position lapidaire;

En dormant à la belle étoile, 

Dont le vague à l'âme ferme ses frontières; 

Etoiles filantes de mères.

 

Jérôme de Mars

 

 

Lune de miel sur un nid d'abeilles

 

Rendez-vous pour faire la cour !

Dans la cour des grands de l'amour

Entre un mâle et une femelle 

D'abeilles; qui tournoient leurs ailes

Avant une lune de miel sur un nid d'abeilles,

Dont pour que leur couple ne batte de l'aile !

Il faut qu'ils regardent en direction du soleil !

Afin que la femelle pompe le dard 

De son mâle en jouant avec la fanfare;

Sans lancer de piques de coups de Trafalgar; 

En roucoulant d'amour dans une ribambelle

Et en faisant bien l'amour comme une aquarelle,

Aux prémices d'une mémorable lune de miel

Sur un nid d'abeilles;

En faisant oublier la déconfiture de l'oseille

Pour tartiner des confitures de groseilles;

Face au soleil qui lézarde ses étincelles

Dans une cour assidue destination les abeilles;

Femelles demoiselles

Attire d'ailes en faisant du miel à toutes celles;

Qui volent de leurs propres ailes ! Et dont les abeilles 

Déploient les ultimes vers

De ce poème en vers d'autres drôles d'oiseaux;

Que sont les tourterelles et les corbeaux,

En envoyant des vers depuis le ciel

Aux tourterelles et aux corbeaux qui avec l'art et la manière;

Remercient toutes les abeilles en leur fredonnant une ritournelle, 

Et dont pour remplacer leur lune de fiel

Aux corbeaux et aux tourterelles;

Et bien; les tourterelles, les corbeaux et les abeilles;

Partent tous ensemble en ribambelle

Dans une interminable lune de miel sur un nid d'abeilles.

 

Jérôme de Mars

Pamphlet d'un poète désabusé en route vers l'insurrection

 

D'après une idée de Jean de La Fontaine !

Je ne dirai jamais Fontaine !

Je ne boirai pas ton eau !

De mes larmes de cristaux,

D'où je me ronge dans un sang d'encre de mes sanglots !

Où je porte tout ce fardeau,

Comme Gavroche; un titi parisien,

Où moi comme je vis à Vitry sur scène; j'ai perdu le Nord

Moi; le ch'timi 

A tribord !

Où le destin n'a fait que me mener en bateau

Dans le chaos !

Du radeau de l'amuse !

Qu'est ma poésie désabusée en route vers l'insurrection !

En faisant la liaison sulfureuse

De mes lésions dangereuses;

Avec en cornemuse

Moi en fil rouge, d'où je défile à L'Anglaise !

En déroute dans une esquive à la dérobade,

Dont je me sers de cette ballade, 

Où tout le monde ne me dessert et me balade en rade

Au bar des mauvais racontars !

D'où tout le monde me rembarre !

Car y a comme un mauvais genre de Gavroche

En moi ! Dont y a toujours quelque chose qui cloche 

Dans l'église en moi ! Le petit misérable

A fable  !

Avec cette rengaine

De La Fontaine !

Où tout prend l'eau !

Et où tout tombe à l'eau à vau l'eau

Au fond du ruisseau !

Si bien que si je ne suis pas notaire;

C'est la faute à Voltaire  !

Et si je suis petit oiseau

Aux ailes brisées;

C'est de la faute à Rousseau !

D'où je suis indéfiniment dans le caniveau

En route vers la rébellion !

Moi; le poète des temps modernes,

Dont je suis terne sur la forme,

Mais dont sur le fond, je demeure surtout un poète anti conforme

En mes formes d'indépendance d'esprit subalterne

A ma poésie qui sort la lanterne

Rouge, car un terne; interne et ex terne; externe

A la bêtise des gens;

Moi; le gars tourmenté

Et indécent; en m'entaillant un des sangs,

Dont je tire le signal d'alarme qui écorche

En mon Gavroche; débrouillard et roublard,

Comme un renard qui donne rencard

Aux méchants pour les détrousser

Et retrousser les pauvres dans la bonté,

Où Jérôme passe de l'arôme en surplace

En faisant sûre place

A Géronimo, d'où je trépasse dans le chaos;

Qui veut faire et fait bobo

A ceux qui sont responsables de mon enfer loin de l'eldorado

Car on a voulu tout le temps me faire la peau 

A moi; qui a été impérissablement mâle dans ma peau,

Où je ne suis pas si doux que ça comme un agneau !

Je peux être aussi le saigneur des agneaux !

En ayant maintenant le dernier mot !

Comme Gavroche en un simple ricochet qui m'écorche

A fleur de peau !

De mon être cabossé que j'effiloche 

En cochant des maux croisées !

Dont ça me fait une belle jambe entrecroisée !

Dont j'ai une case en moins !

Où on me case néanmoins que rien !

Dont je finirai fusillé mais désarmé !

De mes mots armés et maux des armées !

Avec pour ultimes maux ciselés,

Dont comme Gavroche; je mourrai

Sur le chant de l'honneur 

En me tirant à bout pourtant !

Car à bout portant 

Avec mon vieux fusil !

D'au fil dérisoire

Jusqu'au sur le fil du rasoir !

Oh ! Quel bonheur !

De rejoindre la mer agitée

Dans L'Océan Pacifique !

Après ces derniers Je Olympiques

A Paris en 2024 dans la rue !

Et dans la peur de l'inconnue !

Rue des martyrs !

D'où je m'étire et je me tire !

Mort avec des remords !

Et aucun regret !

Car il vaut mieux avoir des remords

Que des regrets !

Dont l'objet du scandale

Et l'objet de mon appel;

Appellent à l'aide;

Avec pour dernier remède

Un rappel

De l'arbre qui cache la forêt;

Et qui épelle 

Pour rentrer dans les annales,

Or ! Il s'avère qu''il vaut mieux l'original

Que la copie conforme,

Dont je mets en forme

La fin de ce poème;

Moi, le poète désabusé

Avec que des problèmes

Dans ma vie de bohème;

Qui sème 

Une déroute de banqueroute

En route vers l'insurrection,

Dont de ces quelques vers solidaires

Après mes revers solitaires

Furent : " Je suis tombé par terre;

C'est la faute à Voltaire !

Le nez dans le ruisseau; 

C'est la faute à Rousseau !  "

Totalement au bout du rouleau,

Dont je vogue à vau l'eau

Au fond du ruisseau avec Rousseau !

N'est-ce-point élémentaire;

Mon cher Voltaire ? 

Défunt de mon avant terre.

 

Jérôme de Mars 

Si tu Lima poésie; c'est pas Le Pérou !

 

Pays d'Amérique du Sud;

Au cas où tes parents font la paire où !

N'oublie pas que ton repaire !

C'est ton sanctuaire !

Même qu'il est rude et prude !

Si tu Lima poésie; et que c'est pas Le Pérou !

A part aller nulle part ailleurs dans ton repère ou !

En ne perdant pas le Nord pour te diriger

En Amérique du Sud, où c'est Le Pérou

Même si c'est pas Le Pérou !

Car à quoi ça rime ?

Si tu t'abîmes

Dans un mal de mer; qui t'arrime 

Et t'élime !

Si tu Lima poésie; et que c'est pas Le Pérou !

Et que ton père et ta mère font tous les deux la paire où !

En riant ou en pleurant dans ta chaumière si tu perds où !

A lire Voltaire ou Rousseau;

Avant que tout prenne allo !

Et que tout tombe à l'eau à vau l'eau !

En touchant le fond du ruisseau; 

Avant que jaillisse l'eau 

De La Fontaine ! Au cas où tu perds où !

Et que tes parents font la paire où !

Depuis ton repaire !

Avec plus aucun manque de repères;

Si tu Lima poésie; et que c'est plus le Pérou !

 

Jérôme de Mars

Le dépit désabusé me va si bien !

 

Coup de trop;

Chassez mon naturel, il revient au galop !

Galop d'essai si je ne le sais !

Et si j'avais la réponse à tout, je serai plus posé !

Mais malgré cela, j'ai la vache enragée

De ma vie qui sent le purain de moins que rien !

Si bien que le dépit désabusé me va si bien !

A imaginer je n'le sais ce que sera fait demain !

Et si j'aurai toujours en la vie le béguin !

Où si je voudrais reposer aux Iles Marquises

Avec Paul Gauguin;

Une île tranquille sous les tropiques qui m'a conquise

De par l'entremise, où j'ai déterré ma vie de mauvais garçon;

Très à cheval d'arçon de mille et une façons,

Tellement que je ressens du dédain !

Pour quiconque et pour mon prochain,

Si bien que de ma vache enragée;

J'ai le dépit désabusé qui me va si bien !

Au cimetière des vieux fossiles,

Dont ma détresse se fait faucille

Avec le marteau; moi qui suis marteau;

Electro magnéto sans cesse dans le rétro,

Et dont parmi mes copains, certains sont bougrement sains;

Et d'autres ont un grain 

Rusé ! Comme des renards affûtés,

Si bien que le dépit désabusé me va si bien !

Avec entre mes mains;

La clé du bonheur

Ou le chemin de la rancœur;

A réanimer ou à anémier les âmes de chimères

Dans leur panoplie de misère;

A ne savoir quoi faire à part médire

Ou maudire

Le désarroi des gens !

Avec leurs joies de faux-semblants

En rabat-joie de trompe-la-joie !

Ou à faire semblant de parler si vrai

Aux filles de joie ou sur le fil bourgeois

Des sans joie

Et des sans-voix;

Sur le boulevard

Du blues des trottoirs

Sous forme de micro trottoirs;

A jeter son dépotoir

En bris de couloirs;

De par ma vache enragée,

Où je fus parfois assez vache olé olé !

Dont je ne sais ce que demain 

Sera fait en mon destin !

Si bien que le dépit désabusé me va vraiment si bien !

 

Jérôme de Mars

Si King Con singe en pastiche !

 

Numéro de haute voltige;

Quels sont les vertiges 

Qui restent de ces vestiges ?

Si King Con singe en pastiche !

Avec pour objet fétiche

Son peignoir de star;

A arroser ses histoires

De chœur; enfants de chœur !

Dont rien; jamais rien; ne semble pareil

A en avoir les oreilles !

Qui sifflent avec un harmonica

Dans le souci d'apaiser les relations ! 

Qui posent question en hallucinations;

De quelles sont les raisons de tous ces dégâts ?

Si King Con singe en pastiche !

Les primates, les chimpanzés; 

Les gorilles paresseux dans la brume;

Et les orang-outang 

Ragoûtant et bécotant

Leur amour; un puissant de ceux 

Qui furent teintés d'amertume !

Quand Diane faussait par ricochets

Des numéros de haute voltige

En passionnés; férus de musicalité

De bande originale de musiques de films,

Si King Con singe en pastiche

Ce pseudo-film au rythme

Prolifique de rôle de composition,

Dont ce rôle enrôle en surexposition

A n'importe quelle condition !

Les fanatiques et les inconditionnelles;

Qui admirent en secrets de polichinelles

Les singes malfamés; 

Affamés et rétamés

Dans un large éventail !

De tout ce que ça représente comme travail

D'épouvantail pour rentrer dans le sérail;

En défiant quiconque d'arriver au bout de la nuit !  

Complètement ivre et fortuit,

Si de par les coïncidences de la vie; il s'entiche

De quelques histoires de singes avec ou cent potiches,

Si jamais King Con singe et en postiche ce pastiche et chiche !

 

Jérôme de Mars

Le soleil n'a pas les pieds sur Terre !

 

Parmi la galaxie des planètes

Qui tournent autour de la Terre;

Il y en a certaines qui ont des théories élémentaires !

Et qui manquent de pratique interstellaire !

Si bien que le soleil n'a pas les pieds sur Terre !

Mais est sur une autre planète sans doute plus chouette;

Et nette avec plusieurs facettes 

Et moins de fossettes;

Que le ciel en déduit que le soleil est dans la lune !

A écouter ses sérénades dans une ballade sur ITunes,

Dont par conséquent, le ciel intemporel

Dévoile la face de la lune !

En grandissant croissant dans une pleine lune;

Face mer et face contre Terre;

Et dont le système solaire veut savoir si le soleil

Qui n'a pas les pieds sur Terre !

Rêve de Mars ou de Vénus !

De la Vénus de Milo mi lot; mes lolos comme L'Angélus; 

Qui cache son prépuce en fleurissant d'étincelles,

Et dont son ombrelle 

Dissimule sa moindre part de lumière

Au clair 

De la fontaine, quand jaillit des pimprenelles, des chanterelles

Et des mirabelles

Pour déchanter la déconfiture de la vie;

Qui n'a plus la suprématie

De rendre bel et de plus bel !

La vie qui normalement doit être belle !

Dont pour conjurer le réel !

Il faut penser surnaturel et irréel

Avant de quitter La Terre

Jusqu'à puiser au fond de l'imaginaire;

Qu'après la mort, il y a une vie linéaire

Dans un monde meilleur au bout de l'itinéraire !

Dont pour garder les pieds salutaires

A contrepied sur La Terre austère et délétère !

Il faut siffloter salut Terre !  

Le soleil n'a plus les pieds sur Terre !

 

Jérôme de Mars

Equinoxe

 

Solstice d'été et d'hiver;

Voilà l'équinoxe !

Qui fait un inventaire

De par la cuisse de Jupiter;

Jalonné en un paradoxe;

Diurne à contempler en une nuit

La belle étoile épanouie !

De par la grâce d'une planète;

La tête dans les comètes

De l'équinoxe;

Pas très orthodoxe,

A picorer des éclairs de génie

Avec pour manger son croissant

De lune; aimant comme un aimant,

Le fil du temps fluctuant l'éphémère

De l'atmosphère,

Dès l'apogée romanesque de la vie;

Qui est un long fleuve tranquille 

En ne parlant que d'astronomie,

Dont le reflet systématique

En abordant l'arithmétique;

C'est de prendre l'équinoxe !

A la durée égale 

D'une fringale à déguster frugale !

Lorsque le paradoxe;

C'est de rester volatile !

Comme un oiseau libre

De voler de ses propres L 

Brisées ! En regardant droit vers le ciel

A tire d'aile !

La pénombre

Diurne; de la déroute de la lune 

Et du soleil;

Avec en une !

Tous leurs côtés ombre

Et lumière;

Qui dénombrent

Que le ciel, dès son crépuscule !

N'a plus de scrupules !

Pour que le soleil et la lune

Copulent en regardant le télescope

De Copernic !

Quand le ciel vierge fornique

Les astres et prédit leur horoscope !

Ou soit si l'univers qui va tomber en syncope;

Ou soit qui va figurer en une;

Qui publiera en paradoxe

Pas très orthodoxe;

La fameuse équinoxe.

 

Jérôme de Mars

A toi mon cher oncle Claude !

 

De par nos souvenirs à toi et à moi diffus !

Ton absence me rend confus,

Où je suis perdu depuis que tu n'es plus là !

En priant pour que tu sois heureux en haut

Au ciel maintenant ici là-bas !

Dans un monde meilleur, où il n'y a plus de quiproquos,

Et où tout le monde s'entend comme larrons en foire,

Comme tu te rappelles lors des fêtes en famille le grand soir;

A boire l'apéro en s'racontant de belles histoires;

A rire et à s'esclaffer de nos bobards, 

A toi mon cher oncle Claude !

Dont ton absence me provoque une émotion soudaine !

Comme un immense vide sur une haute plaine

A chaque fois que recommence la semaine !

Où en manque de toi, je taraude 

De mille et une questions !

De comment se fait-il que tu es parti comme une prémonition ?

Que tu m'avais glissé à l'oreille,

Et dont en te sachant là-haut au ciel ! Eh bien ce n'est plus pareil !

Je m'ennuie de toi sans tes conseils,

Comme si la pluie avait remplacé le soleil

En pleurant de mes larmes de crocodiles;

Déjà que sur Terre, la vie n'est pas facile !

A toi mon cher oncle Claude !

Comme ma reine Claude; 

Qui m'a toujours dit de compter sur ma pomme,

Comme l'oncle Tom qui veille au grain de son tome,

Où pour me rappeler de toi, je prie à ton repos éternel !

Là-haut au ciel !

D'avoir retrouvé papy et mamie, ces personnes de la famille !

Que je considérais autant que toi parmi les plus gentils,

Comme de précieuses émeraudes,

Dont je taraude le ciel !

Afin que vous soyez maintenant en paix à votre repos éternel !

A toi dont ta disparition à petit feu m'érode !

Et à toi pour la vie mon cher et inoubliable oncle Claude. 

 

Jérôme de Mars

Vers mimes

 

Comme le chat empoté que conte Grimm, 

Les revers de la vie me minent !

Comme de la vermine,

Dont les vers me minent !

Et dont je me grime

En poète des temps modernes !

A la rime

Terne ou avec la lanterne

Rouge, où que je bouge mine

De rien ! En allant au charbon de la mine

Avec des vermines,

Dont les vers me minent

En vers mimes !

Dont je fais semblant, quand je mime

Le conte du chat empoté de Grimm !

En sortant les griffes

De l'escogriffe

Pas commode,

Comme en magasin; griffes de mode,

Dont j'utilise les revers de la vie qui me minent !

En faisant des vers mimes,

Dont la vermine

Mes vers qui me minent

D'Estragon sur le balcon

Jusqu'au théâtre de verdure

En plein air de Partigon; 

Avec des vers durs et des ordures,

Où tout le monde me jette en pâture !

En me considérant comme de la vermine,

Dont je mime des vers qui me minent !

En faisant semblant de faire la vermine qui mime

Mes revers de la vie qui me minent !

D'où je me grime !

Pour régler mes contes de Grimm;

Mime de rien en vers mimes.

 

Jérôme de Mars

Manuel Solaire

 

En prenant la poudre d'escampette;

Voici l'amour coup de foudre en contant fleurette !

A s'défouler dans un jeu solitaire !

Ou à s'refouler dans un jeu à plusieurs enjeux solidaires !

En feuilletant un manuel solaire,

Dont les affaires ne sont pas forcément

Les affaires d'un manuel scolaire; friand

De fantasmes coquins et espiègles !

Dont pour les arlequins, c'est du pain béni de seigle !

Avec pour galvaniser sa libido;

Quelques choses à bien mémoriser question pratique,

Et dont après la théorie voici la pratique ! Dont ça astique

D'y mettre un élastique à faim que ça parle de sexe !

Sans complexe avec du latex !

Pour que l'élastique; elle l'astique !

Grâce au manuel solaire,

Comme en regardant un film d'Emmanuelle scolaire;

Cela aide à réaliser ses pulsions inassouvies; 

Et abolies par ses plaisirs les plus favoris !

A s'imaginer tirer illico et franco !

Avec pour manuel solaire

Un film d'Emmanuelle en plaisir solitaire;

Ou à prendre son pied en plaisirs solidaires,

Dont au clair des femmes fontaines

Et au clair de la fontaine ! V'là en bas de la même rengaine;

Après le film d'Emmanuelle scolaire !

Un agréable manuel solaire.

 

Jérôme de Mars

 

Les ébats du soleil

 

Tape tape le soleil !

Et rentre dedans  

Dans la lune !

En amants volants,

Sitôt levée !

A faim qu'elle ne compte pas 

Pour des prunes,

Dès les ébats du soleil

Dans l'éternel débat;

De qui de la lune ou du soleil

Va mettre bas !

Sinon juste lors de l'éclipse lunatique;

Du soleil et de la lune question systématique !

Si c'est le soleil ou la lune qui sera lunatique

Malgré les côtés bipolaires du soleil,

A en prendre plein la figure corporelle

Et charnelle, 

Dès les ébats du soleil

A vouloir chiper sa demoiselle,

La lune en la prenant de face;

Ou par derrière en interface !

Dont la lune s'est relevée avec fierté !

Dès les ébats du soleil

Entre l'accouplement du soleil et de la lune,

Dont les deux ne font qu'une sans lacune !

Avec pour moindre rancune,

Si le soleil trahit la lune

En dune !

Ce qui ne serait le cas en écoutant d'une

I Tunes, 

Dont pour que le soleil et la lune fassent des merveilles,

Laissons-les dans leur amour tant qu'il y a une étincelle !

Qui brûle entre eux 

Vies à vies des cieux,

Pourvu que leur idylle dure pluriannuels, 

Comme dans un manuel solaire;

En passant du pas commode solitaire

En mode solidaire,

Dès les ébats sempiternels du soleil.

 

Jérôme de Mars

Cinq sur cinq

 

 

Cinq sur cinq

Mâles reçus cinq sur cinq

Tel le club des cinq

Qui se déchaîne en cinq

Avant que La Cinq mal reçue trinque           

                                                       Au mois d'avril 1992 avant qu'elle se requinque

                                                En 1994 avec La Cinquième qui devient France Cinq

                                                    D'où France Cinq clinque 

                                                    Cinq sur cinq

                                                    Reçue cinq sur cinq

                   Dès le club des cinq

                   Qui tinte

                  Avec une quinte

                  De tout qui trinque

                  Cinq sur cinq

                                                 Qui s'enchaîne en cinq qui déclinque

                                                Avant que l'ancienne Cinq esquinte et vainque 

                                                Le chiffre cinq

                                                Qui se requinque 

                                                Grâce à la chaîne France Cinq

                 Qui convainque 

                 Le club des cinq

                 Qui clinque 

                  Cinq sur cinq

                 Très bien reçu cinq sur cinq.    

 

Jérôme de Mars

                                 

Les grenouilles qui disent coa !

 

Quoi de neuf docteur ?

S'interrogent les grenouilles;

Qui s'agenouillent 

En demandant coa ?

Voulez-vous un encas ?

Ou que dans n'importe quel cas !

Les grenouilles qui disent coa !

Vous donnent écarquilleurs 

Des résultats prometteurs ?

Avec sur les nénuphars

Un signal phare,

Dont les grenouilles qui disent coa !

Vous soufflent et puis quoi !

Dans ta vie ! ? Sinon pourquoi ?

Les grenouilles qui disent coa !

Ne savent vous répondre à quoi ?

Quoique il y en a qui cultivent !

L'art d'envoyer promener

Les âmes captives !

Quand parfois;

Les grenouilles sont fautives !

Et que les grenouilles qui disent coa !

Chantent avec un ara sur l'Ile de Bora Bora

En faisant le perroquet;

Avec en roquet un karaoké pour rocker 

A ok chorale de l'oral verbal ! Car avec de l'aqua

Et puis quoi encore ? !

Nom d'un Vercors;

Les grenouilles qui disent à quoi coa !

 

Jérôme de Mars

Les arbres appellent la forêt

 

Forêt vierge désargentée;

Les arbres appellent la forêt 

Noire avec des pins

Sur le sol, comme des pépins

De santé,

Dont c'est une promenade de santé !

De tapir le sol jonché de feuilles;

Qui s'assoient sur le fauteuil

Inerte, dès l'appel de la forêt !

Aux arbustes qui haïssent 

Les haies à franchir par le lys;

Qui élit Elise et les fleurs d'oranger !

Dont les arbres appellent la forêt

En son nom solennel,

Duquel l'instant est formel !

Pour consoler le chagrin des saules pleureurs;

En leur faisant des caresses avec des yeux enjôleurs 

De quoi peut-être un nouveau monde meilleur est possible;

A condition qu'il soit placide et plausible,

Dont les arbres appellent la forêt

Avec l'espoir secret d'engager des peupliers,

Afin de peupler la population désarmée,

Car il faut aimer sans violence mais avec considération

Pour faire comprendre que seule; compte l'affection

En ces temps difficiles !

Donc soyez dociles !

Pour la préservation de la forêt

Avec l'objectif de lui déclarer votre amour,

Dont les arbres appellent la forêt,

De sorte que les troubadours 

Affichent de l'optimisme !

Même s'il y a trop d'idéalisme !

Car il faut mieux faire rêver !

Avec des bonnes nouvelles

Imaginaires que de songer

A des cauchemars réels,

Dont le plus simple à ce qu'il y ait

Des vertes

Et des pas mûres

Dans la nature ! 

C'est qu'elle reste ouverte

En y prêtant votre vive oreille !

Qui remonte à la racine des troncs déracinés !

Dont les arbres appellent de vive voix la forêt enchantée. 

 

Jérôme de Mars

Mme Poulain est très à cheval avec Mr Cheval

 

Nom d'un cheval; Mme Poulain très à cheval; qui porte la culotte de cheval; retrouve son cheval Mr Cheval, dont sa jument a mis un monde quelques jours auparavant un poulain; qui a pris le nom de famille de sa mère très cheval, où le poulain va avoir comme meilleur ami; un poney dans une grande chevauchée très à cheval avec Mme Poulain; qui fait l'amour sur un poney en se faisant tirer très à cheval par Mr Cheval, car chassez le naturel, il revient au galop ! Où Mme Poulain tire au moment de l'orgasme la crinière du poney; en se faisant fouetter avec une cravache de cheval par Mr Cheval; qui est très à cheval avec Mme Poulain; qui est la jument de Mr Cheval; qui vient de mettre au monde un poulain, dont la jument Mme Poulain a toujours été très à cheval avec Mr Cheval; en tirant sans arrêt un coup de trot !

 

Jérôme de Mars

Au septième ciel

 

Saint-Jacques De Compostelle,

Si on faisait un voyage au ciel !

Avec des arcs en ciel

Face au soleil;

Qui vogue au septième ciel;

En nage dans un voyage 

Au ciel; avec dans les parages

Des maisons closes, 

Comme dans un bordel

Pour éclore une vie en rose

Avec des fleurs écloses,

Dès le passage 

Des douze coups de minuit;

Avec le vieux démon du midi

Dans un voyage au ciel;

En surmenage au septième ciel

En s'accouplant dans un sûr ménage;

Tel un ménage de printemps 

En composant une ritournelle;

Genre en érigeant un roman s'élançant

Dans des sentiments débordant

De bonnes intentions;

En passant à l'action 

Corporelle dans un voyage

Au ciel;

Direction les rivages

Au septième ciel;

En offrant un langage galant

Et universel;

En prenant des gants

En lisant Le Missel

A sa belle demoiselle;

En route vers un voyage 

Au ciel 

Avec en aquarelle;

Un nid d'amour couché

Sur un lit en osier;

Qui baille aux corneilles,

Lorsqu'il s'étaie de réserver

Des taies d'oreiller; en osant

Parler de bagatelle

Dans un voyage au ciel;

Avec pour arc en ciel

Un nid douillet d'amour

Au septième ciel,

Dès les beaux jours

Du soleil qui franchit le passage

Dans la cour des grands;

En colorant essentielles

Les couleurs de l'amour;

Qui en valent le détour

Dans un voyage au ciel;

Direction les rivages

Dans un dépucelage

Au septième ciel.

 

Jérôme de Mars

Qu'est-ce-qui cloche à l'église du village ?

 

Village de faubourg en rase campagne;

Pas loin il paraît qu'une clairière a dévalé

Près de la montagne;

Qui a cavalé vers la chevauchée

En route du tour de France dans le sillage;

De qu'est-ce-qui cloche à l'église du village ?

En sortant les sentiers battus,

Lors d'une battue qui a convaincu,

Dès l'appel de la forêt mensongère;

En ces songes étrangères

Pour le simple commun des mortels;

A manipuler son scalpel

En vue de retentir le clocher de l'église sage,

Comme de paisibles images;

De qu'est-ce-qui cloche à l'église du village ?

Soit volage;

Ou soit à réparer les états d'âmes dans les parages

D'une voix de garage; avec pour adage

Aimer son prochain,

Comme si le cœur des paroissiens perdurait orphelin !

A philosopher le pourquoi du comment;

Quitte à en devenir dément 

Près de la vallée qui a monté et surmonté

Tant de destinées en vers de Sainteté,

Et de pourquoi le village est en rodage;

Et de qu'est-ce-qui cloche à l'église du village ?

Sitôt que c'est du pain béni surtout grâce aux messages

De la Divinité; qui paraissent une évidence

Que la providence est immense et dense;

Et de qu'est-ce-qu'il faut comme emblème ?

Pour diffuser de l'amour en totem,

Afin que les habitants s'aiment !

Malgré que la vie a ses problèmes !

Et dont pour que tout le monde soit logé

A la même enseigne ! Priez à l'autel !

Pour que tout le monde et untel

Soient heureux de partager un instant de bonté

Dans la vie ! Avant que sois mis sous cloche 

Une pierre d'édifice qui ricoche 

Un genre de Gavroche en plein Paris, 

Car quoiqu'en dise la vie !

Elle est toujours entre embellie et agonie;

Et il faut y puiser le sillage des nuages,

Si bien que la vie sera un ramage,

Et dont on ne dira plus; qu'est-ce-qui cloche 

A l'église du village ?

Mais à partir de quel décan ? Il y aura pour adage

Un mage de marivaudage,

Afin que résonne le passage 

De la cloche qui sonne aux douze coups de minuit

En un cantique, parce-que maintenant ! Il est l'heure d'être sage !

Puisque plus rien à partir de cette nuit

Ne cloche à l'église du village.

 

Jérôme de Mars

Aversion gène

 

Diversion anxiogène,

C'est aversion gène

Version gêne;

Réversion aborigène

Perversion indigène;

Inversion sans-gêne,

Dont diversion indigène,

C'est aversion gêne

Version sans-gêne;

Réversion gène;

Perversion anxiogène

Inversion aborigène

Dont diversion sans-gêne,

C'est aversion anxiogène

Version indigène;

Réversion gêne

Perversion aborigène;

Inversion gêne

Dont diversion aborigène,

C'est aversion sans-gêne;

Version gène

Réversion anxiogène;

Perversion gène

Inversion indigène,

Dont diversion gène;

C'est aversion indigène;

Version anxiogène

Réversion sans-gêne;

Perversion gêne

Inversion oxygène,

Dont dix versions gênes;

C'est à version aborigène

Version Jane;

Réversion in dix gènes,

Perversion cent gènes

Hein version oxygènes, 

Le tout à version à Gênes.

 

Jérôme de Mars

 

La palme dort des interviews posthumes, imaginaires et surréalistes

 

Interviews posthumes, imaginaires et surréalistes :

 

Marilyn Monroe :

 

Jérôme B :  " -  Bonjour Marilyn, pourquoi étiez-vous en station debout à Hollywood au-dessus de la rame de métro dans le film : "  7 ans de réflexion ?  "

 

Marilyn Monroe :  "  -  Car j'embrassais de ma bouche d'aération le dessus de la rame de métro dans le film : " 7 ans de réflexion ", comme dans toutes mes relations sentimentales, ce furent mes amoureux qui portèrent la culotte, ce dont pourquoi on ne voit guère ma culotte quand ma robe se soulève !  "

 

Jérôme B  :  "  -  Pourquoi auriez-vous bien aimé épouser Yves Montand ?  "

 

Marilyn Monroe :  "  -  Parce-que lui joua le rôle d'un riche homme dans le film : 

"  Le Milliardaire ", étant donné que je rêvai de me marier avec un bourgeois gentilhomme milliardaire tel qu'Yves Montant; qui fit la liaison en mode avion entre La France et les Etats-Unis pour jouer avec moi : " Le Milliardaire " 

 

Jérôme B :  " -  Pourquoi votre vie fut-elle désenchantée ?  "

 

Marilyn Monroe :  "  -  Parce-que ma vie privée fut souvent sans musique, où personne parmi les hommes ne respecta sa parole, que je puisse chanter en musique, le rôle de ma vie !  " Et cela va peut-être vous paraître bizarre, mais la chanson qui me rendait enchantée quand je l'interprétai, c'était Pompidou, comme votre fameux président Georges Pompidou, le premier ministre de La France, quand La France avait la gaule durant les trente glorieuses de 1945 à 1975, lorsque tout alla bien en France malgré que je ne connus pas Georges Pompidou de mon vivant !  "

 

 

Bourvil :

 

Jérôme B :  "  -  Pourquoi Mr Bourvil, quand on croit vous connaître, connaît-on si bien que ça la chanson ?  "  

 

Bourvil :  "  Parce-qu'à dada sur mon bidet, j'enchante la tactique du gendarme en racontant des salades de fruits et en ouvrant le petit bal perdu dans une ballade irlandaise, comme tout le monde me balade en me prenant pour un gentil ahuri ! Alors que je suis loin d'être bête, même si j'ai fait le bête dans beaucoup de mes films ! Et durant la majeure partie de ma carrière; je prouvai de mon vivant tout mon talent; en démontrant l'entière panoplie de mon jeu d'acteur; en jouant aussi bien dans des films comiques que dans des films dramatiques !  "

 

Jérôme B :  "  Quel fut votre plus beau Noël en tant qu'acteur ?  "

 

Bourvil : " -  Celui de jouer un clown triste dans " L'Arbre de Noël " ! Lorsqu'on me mit au pied du " Mur de L'Atlantique " en rejoignant Le Cercle Rouge des artistes trop tôt disparus !  "

 

 

Jean Gabin :  

 

Jérôme B  :   "  -  Pourquoi Mr Jean Gabin, vous et moi, on peut en déduire qu'on naît comme deux hommes dans la vile ? "

 

Jean Gabin :  "  -  Eh ben ! Mon p'tit gars !  Je m'en vais te raconter une anecdote !  Déjà que moi, je suis connu et reconnu, alors que toi l'inconnu, tu veux être reconnu sans être connu ! Voilà la différence mon p'tit gars !  Et si moi Jean Gabin et Alain Delon, on fut deux hommes dans la ville !  C'est parce-que je fis partie du clan des Siciliens avec Jean-Paul Belmondo, mon ami qui fut un jeune singe en hiver; à qui ce n'est pas un vieux singe à qui on apprend à faire la grimace; même que les acteurs de votre nouvelle génération; osent la comparaison avec moi, alors que ces jeunots me singent ! n'est-ce pas ! ?  Et en plus mon p'tit gars, la fameuse anecdote que je voulais te conter, c'est Alain Delon, un jeune premier en devenir de la star renommée si charismatique; avec une brillante carrière aidé; certes par un physique plus qu'avantageux !  Et ben ! Mon p'tti gars ! Figure-toi ! Que moi et Delon, comme deux hommes dans la ville, je jouai le rôle d'un éducateur pour le remettre sur le droit chemin lui et son passé d'ancien caïd ! Mais dont malgré sa rédemption à sa sortie de prison !  Avec pour résilience vertueuse, le décrochage d'un emploi pour redevenir un homme intègre et honnête ! Mais dont malgré cela et surtout à cause du harcèlement de l'ancien policier qui est à l'origine de son séjour en prison et donc de son arrestation !  Malgré que Delon purgea sa peine et qu'il fut libéré pour bonne conduite ! Ce maudit commissaire pas convaincu par le fait qu'il avait changé pour devenir quelqu'un de bien, n'arrêta point de l'épier ! Et dont à cause de cela, Delon dans le film; étrangla le commissaire de police à cause de son harcèlement ! Et ce qui aurait du être traduit en circonstances atténuantes, fût qu'il condamna à mort Delon  à la guillotine ! Alors que s'il fallait couper des têtes, on aurait du couper celle de ce machiavélique commissaire, car malgré tout ! Tout le monde a le droit à une seconde chance !  "

 

Jérôme B :  " - Auriez-vous aimé couper la tête d'Emmanuel Macron, si vous l'aviez connu comme président de votre vivant ?  "

 

Jean Gabin :  "  -  Pas besoin mon p'tit gars, car bien avant ce jeune perdreau, je fus le président dans un film du même nom, et ce n'était pas du cinéma ce que je viens de dire !  "

 

Jérôme B :  "  -  Pourquoi sortiez-vous les griffes lorsque vous vous mettiez en colère ?  "

 

Jean Gabin :  "  -  Car je fus un chat dans un film en jouant le rôle de ma vie, un gars à l'ancienne, fort en gueule et bourru avec un caractère bien trempé, pour dissimuler ma véritable sensibilité sous une apparence de façade de vieux dur en cuire avec le cuir bien épais et tanné !  Tu vois, mon p'tit gars, ce fut tout à fait normal ! Moi, je suis un gars de la terre attaché à mes racines de Normandie, c'est pour ça qu'à la fin de ma vie, tout le monde me dit ferme-là ta grande gueule dans ta ferme très terre-à-terre !  "

 

Jérôme B :  "  - Comme vous fûtes un artiste très reconnu aussi bien en France qu'à l'international, vous aura-t-on remis un César dans votre vie ?  "

 

Jean Gabin :  "  -  Eh bien ! Mon p'tit gars ! je vais te répondre franchement même si c'est du terre-à-terre ma réponse !  Eh bien mon pt'tit gars ! Malgré que ma vie fut au quai des brumes lors de la seconde guerre mondiale, et dont en bon p'tit soldat, je scandai à Michèle Morgan dans " Quai des brumes "  :  " -  T'as de beaux yeux, tu sais ?  ", ce que je lui dis, ce ne fut pas du cinéma, mais malgré que je n'eus pas de César de mon vivant, je présidai la première et unique cérémonie des Césars de mon vivant en 1976, et dont je dis tellement fort Ave César ! Qu'on me remit un César d'honneur à titre posthume en 1987 au crépuscule du berceau de ma tombe, car mon p'tit gars ! Comme tu dois le savoir et ben ! Dans la vie ! Je connais tellement bien la chanson que maintenant !  Dans la vie, je sais qu'on ne sait jamais rien !  "

 

 

Serge Gainsbourg :   

 

 

Jérôme B :  "  -  Bonsoir Serge Gainsbourg, pourquoi avez-vous disparu si vite le 2 mars 1991 à même pas 63 balais ?  "

 

Serge Gainsbourg :  "  -  Car du balai pour ne pas fumer le calumet de la paix, et ainsi; je rejoignis à la hâte; Dieu, fumeur de Havane dans un Havre de paix, sinon à quoi sers-je ? Moi, le poète maudit et désabusé, qui fumai 3 à 4 paquets de cigarettes par jour pour me griller auprès de tout le monde ! Et dont enfin à l'agonie de ma vie moribonde, je partis en fumée le 2 mars 1991 en faisant un vrai tabac !  C'est marrant le 2 mars 1991, ça me rappelle quelqu'un ! Peut-être vous, qui sait, qui c'est ?  "

 

Jérôme B :  "  - Etrange coïncidence sans doute, mais le big bazar fait bien les choses !  Comme vous, qui êtes une vieille canaille, je m'appelle de mon nom d'artiste incompris, Jérôme de Mars, et dont Demars fut le véritable nom de famille de jeune fille de ma mère !  Ca ne s'invente pas mon côté ovni très décalé olé olé !  Vous Mr Gainsbourg, vous fûtes Gainsbourg, quand Gainsbourg se barre et Gainsbarre, quand Gainsbarre se bourre, c'est pour ça que vous étiez à la bourre ?  "

 

Serge Gainsbourg :  "  -  Très drôle p'tite canaille que vous êtes !  Et vous, vous êtes Jérôme /  Géronimo, Jérôme quand vous êtes apaisé, comme l'arôme et Géronimo, quand vous êtes dans le chaos et en mâle à fleur de peau, n'est-ce pas ? !

 

Jérôme B :  "  -  Vous êtes un génie avec votre flair Mr Gainsbourg ! Pourquoi avez-vous brûlé le fameux billet de 500 Francs sur le plateau de 7/7 le 11 mars 1984 ? "

 

Serge Gainsbourg :  "  -  Pour boire impôt en faisant un billet d'humeur et d'humour en billet déplacé d'amour, comme quand j'ai dit à Whitney Houston le  5 avril 1986 sur le plateau de Champs-Elysées de mon cher rami Drucker à qui pour jouer cartes sur tables, je dis de façon suave à Whitney Houston, i want to fuck you, pour brûler ma vie dissolue par les deux bouts de la chandelle consumée ! Moi, le poète maudit, dont ma vie me soûle par l'ivresse de ma connerie !  "

 

Jérôme B :  "  -  Pourquoi Mr Gainsbourg, ne vous êtes-vous jamais autorisé à être un homme heureux ?  "

 

Serge Gainsbourg :   "  -  Car tout le monde connaissant la chanson; sait que ce fut pour fuir le bonheur avant qu'il ne se sauve, tel un mâle heureux !  "  

 

 

Jérôme B :  "  -  Pourquoi étiez-vous très addict au sexe comme en ayant une liaison avec une fan de 16 ans, inconditionnelle de vous à partir de 1986, qui sonna à votre porte, et dont la liaison se poursuivit sur ce jusqu'à votre mort le 2 mars 1991 ?  "

 

Serge Gainsbourg : " -  Mon coco à la noix de coco, je vais te dire une chose, car le sexe me mit l'eau à la bouche en passant des lésions dangereuses aux liaisons sulfureuses !  "

 

Jérôme B :  "  -  Etiez-vous vraiment à la fois Gainsbourg et Gainsbarre, ou jouiez-vous le double rôle de votre vie ?  "

 

Serge Gainsbourg :   "  -  Mon p'tit coco, joker, comme le joker mi-ange, mi-démon !  "

 

Jérôme B :  "  -  Auriez-vous aimé avoir votre étoile sur Hollywood Walk of Fame ?  "  

 

Serge Gainsbourg :  "  -  Non, j'aurais préféré aimer avoir l'étoile jaune sur Hollywood Walk of Fame ! Comme cela, j'aurais pu encore davantage consumé et brûlé ma vie par les deux bouts de la chandelle ! Et ainsi, j'aurais été sûr de mourir encore plus vite à p'tit feu et pas en vin mais dans une amour défunte version Jane ! Moi, la vieille canaille ! Qui but la tasse couleur café olé olé ! Des Je t'aime moi non plus ! Lemon Incest à Love on the Beat; en chantant La Javanaise et La Chanson de Prévert en station debout avec Le Poinçonneur des Lilas; en prenant la porte de l'enfer des Lilas, moi, l'homme à la tête de chou ! Dont je suis venu vous dire que je m'en vais pour de bon après la célébration des trente glorieuses de ma mort ! Dont ici bas et là ! Je repose en paix pour l'éternité et la postérité ! Car et maintenant ! Avec mon bécot ! S'il vous plaît; foutez-moi la paix dans mon amour de la mort est en paix !  " 

 

Jérôme de Mars

Vers brisés

 

Entre nous cher poète maudit !

Buvons des vers fêlés; dont fais-les !

Des morceaux de ta vie;

Qui part en lambeaux de vers brisés !

Causés par des revers brises hé !

Vers la brise du vent qui brise l'élan

Des vers solitaires;

Retrouvés en vers solidaires,

Si bien que la machine à écrire

Les émotions; est une machine à décrire

Des vers brisés;

Cassés par des vers brise-les !

Et fais-les condamner tes vers fêlés !

Causés par des vers brisés

De ce poème maudit

Aux ailes brisées par les mots dits

Entre mélancolie, harmonie et euphorie

Des derniers revers des brisés

Pare-brisés, dès la brise hé

Eaux de vent de ce poète maudit;

Qui fait des mélodies mégalo-manie

Et mélo-manie; avec pour mes lots manie

Des vers brisés.

 

Jérôme de Mars

La solitude des temps modernes

 

Comme un soliste seul sur sa guitare !

Mieux vaut tard

Que jamais ! Pour prendre des nouvelles

De ses proches; face au blues désabusé

Du soleil; qui s'irrite d'étincelles

Face à la solitude des temps modernes,

Où chacun dans sa taverne se résigne subalterne ! 

En se cloîtrant terne dans sa lanterne rouge;

A composer des morceaux de chansons désenchantées

Pour interpréter le ras-le-bol des gens infortunés,

Quand rien ne bouge !

Et que chacun boit son rouge !

En contemplant son poisson rouge pour voir rouge !

Face à la solitude des temps modernes;

Avec les yeux rivés sur son portable smartphone;

A crier aux sourds-malentendants dans un mégaphone

Et pour le fun, toute sa solitude des temps modernes

Dans ce monde morne et morose, alors qu'une simple rose

Permettrait grâce à Edith Piaf de voir la vie en rose;

Loin de la sinistrose

Pour qu'un beau ciel bleu arrose

La solitude des temps modernes;

Parmi les gens qui en sont victimes et subalternes,

Afin qu'ils allument la lanterne

De leur maison du bonheur; 

A pas d'heure ! Dans le soleil gravé

Dans le cœur des gens pas dans un ordi,

Mais dans le paradis hardi 

De la réalité de la vie qui se vit en poésie !

En écoutant Françoise Hardy

Pour ne pas parler seul dans la rue;

Mais faire face à l'inconnu

De la vie; en abordant avec simplicité

Tout l'amour de la vie en réciprocité;

Et en sincères amitiés si affinités !

Louées et allouées aux personnes alliées à la fraternité

Et à la solidarité !

Dont il est indiqué en prescription externe,

Brisez en interne !

Votre isolement en voyant du monde qui vous concerne !

En rompant subalterne la solitude des temps modernes.

 

Jérôme de Mars

Il faut que je lave mon honneur !

 

Bain de cure de jouvence;

J'en ai cure de mon existence !

Dont comme tout le monde s'en lave les mains 

De moi ! C'est du au fait que j'entretiens les malheurs !

Et dont il faut que je lave mon honneur !

Pour que tout le monde ait confiance en moi demain,

Car même si ma vie est noire !

Soit je fais semblant en faux-semblants;

Soit je fais sans blanc en faux-semblants,

Dont pour que ma vie ne respire le noir !

Ce serait bien que j'aille au purgatoire

Dans les entrailles des bruits de couloir;

Avant d'aller dans le mouroir 

D'une vie à déchoir nonobstant ! 

Car ben ! J'en ai cure de jouvence !

Dont la cure de mon existence

Serait pour ne plus que personne ne s'en lave les mains

De moi ! Et ben ! Il faudrait que j'entretienne le bonheur !

Pour demain et en bien ! Assez bien ! En faisant le bien !

Et dont il faut avant l'échafaud que je lave très bien mon honneur !

 

Jérôme de Mars

Le miroir aux alouettes

 

Reflet du miroir réfléchi par de la lumière chouette !

C'est le miroir des alouettes;

Qui volent pour des cacahuètes,

En déployant leurs ailes pour une amourette

D'antan jadis passés par-là ,

Lorsque chicanent la chicorée des matins frais en voyant cela,

Dont voilà la compagnie agréable des lutins qui regarde par la fenêtre !

Resplendir ces oiseaux qui picorent à leurs becs ces bouchées à envoyer paître

Leurs sacrées vaches enragées sous l'influence d'une bluette,

Dont c'est le miroir aux alouettes;

De s'imaginer que les chouettes sont chouettes;

Et que les alouettes réfléchissent en reflétant le miroir aux alouettes

En regardant devant son miroir le reflet de leur être;

Défait par la morosité trépanée,

Car très pas nées à rêver de cette lubie naufragée, 

Dès le miroir aux alouettes,

Dont la glace laisse de glace 

Ces armoires à glace,

Si bien que dans le reflet du miroir;

Se laissent très bien regarder des alouettes très chouettes;

Et des chouettes devant le miroir aux alouettes,

A s'laisser couler peu à peu dans le mouroir 

D'une vie qui est un véritable foutoir;

Et un époustouflant dépotoir en bris de couloirs

Dans le miroir aux alouettes;

Qui est chouette en regardant les alouettes devenir chouettes !

Avec les hiboux qui leur font coucou

Dans un vol au-dessus d'un nid de coucous ! Car coucou, les p'tits loulous fous !

Et n'oubliez pas qu'il y a encore des gens bien !

Préoccupés même s'ils sont rares par vos lendemains !

Malgré le miroir aux alouettes,

Où les oiseaux aux ailes brisées;

Croient voir des alouettes chouettes,

Alors qu'en vérité, le vrai reflet du miroir aux alouettes !

N'est point si chouettes qui survolent comme des alouettes !

Mais tout simplement des alouettes chouettes;

Qui eux; en voulant aller vers le haut; volent très haut !

Voir les corbeaux

D'un miroir aux chouettes alouettes;

A qui les hiboux font coucou !

Dans un antivol au-dessus dénis de coucous !

Coucou ! Ce miroir aux alouettes !

Fait véritablement coucou en prenant son envol chouette

Dans le miroir aux chouettes alouettes !

Chouette ! Le miroir a bien réfléchi esthète !

Pour refléter le véritable miroir aux alouettes très chouettes !

 

Jérôme de Mars

L'exil des poètes maudits qui s'font du sang d'encre !

 

Embargo vers l'eldorado

Des bobos qui prennent un cargo !

Let's go vers l'Ile de Pago Pago !

Ou l'Ile de Bora bora !

Avec un ara;

Qui fait le perroquet en portant la voix sans paroles des cancres; qu'ancre

L'exil des poètes maudits qui s'font du sang d'encre !

A s'émouvoir de leur enfance malheureuse ou à vouloir de la pureté

Et de la légèreté dans une existence qui ne fut enchantée ! Mais régentée

Par l'immorale de tout ce que le mal leur fit de cause à effet !

Où l'exil des poètes maudits qui s'font du sang d'encre !

S'demande pourquoi il n'y eut de conte de fées !

Dans leur enfance difficile qui s'raconte en sanglots; qu'ancre

L'encre de l'émotion; à pareille insurrection ! Dont manque l'amour

Avec pour mots poétiques des gestes démonstratifs de troubadours !

Qui tournent rond malgré que le monde ne tourne rond ! Mais dans le camouflet 

Carré d'une pénurie de repères; qui a désenchanté ce monde écorché et estropié

De cul-de-jatte; à qui ça fait une belle jambe qu'on leur jette l'ancre !

De l'exil des poètes maudits qui s'font du sang d'encre !

En vidant les cendriers des calumets de la paix ;

Avec la fumée des mégots de cigarettes effarouchées par l'âpreté 

De la vie indigeste nulle part ailleurs !

En occultant les bouffées d'oxygène qui donnent un goût meilleur

A la vie avant qu'elle bifurque à la dérive !

Que personne n'esquive !

En rejetant l'ancre; qu'ancre

L'exil des poètes désormais maudits qui s'font rongés par la vie en sang d'encre !

 

Jérôme de Mars

 

Patois pour ne pas perdre le Nord

 

En allant au charbon,

Les Corons

Avaient souvent bonne mine;

Mine de rien, de sorte qu'ils acheminent

Le Patois pour ne pas perdre le Nord,

Dont pas toi pour que tu sois d'humeur bipolaire !

A braver le chaud après le froid au pôle Nord,

Pourvu que les gens du Nord en l'occurrence les ch'timis

Soient autant fourmis que cigale; qu'auront les gens du Nord;

Le cœur sur la main qui est un prodigieux et un prolifique trésor;

En allant au charbon la suie

Dans la mine, que Lens les gens solidaires préférant des vers solidaires

Aux revers solitaires, car s'il y a sur Lille au trésor un quelconque réconfort;

Il doit venir de Patois pour ne pas perdre le Nord.

 

Jérôme de Mars

La mer écume les étoiles

 

Côté cour; côté jardin

Avec vue sur la mer !

La mer écume les étoiles;

Anguille sous roche des ours sains;

Qui moussent la station balnéaire

De la mer qui regorge de bateaux !

Qui s'voilent

La face marquée en haut sur l'écriteau !

Dont la mer écume les étoiles;

Avec des lucioles qui sûrs volent dans les airs;

Et qui égrènent l'eau en marée contrebasse inerte;

Qui bouge alerte

Dès le signal phare de la rivière estuaire à la mer;

Qui invente des chimères

En se berçant de fausses illusions par une toile

Inachevée lors de la route du rhum,

Dont la mer écume les étoiles

En faisant un forum,

Avec mille et une vertus

De questions très pointues,

De pourquoi la mer est-elle agitée ?

En ces temps qui ont dissipé

La mer poivre et sel; 

Qui jette son dévolu sur un régime Missel,

Dont la mer écume les étoiles;

Etoiles polaires, ou et toiles bipolaires

De la mer réfractaire;

Qui hait dans son élément,

A part fuir les tourments 

Du sillon

Dans le tourbillon,

Où la mer écume les étoiles,

Quand les bateaux en rade

Ont un bar au réservoir,

Dont le comptoir à voile et à vapeur;

Compte la tirade

De ceux ou celles qui se dévoilent !

En démarrant l'élément moteur

Des racontars de belles histoires

Ah marrant ! La croisière sur la mer jalonnée d'obstacles;

Et dont à l'issue du spectacle;

V'là du haddock  !

En coque en stock !

Dont la mer capitaine a écumé les étoiles de mère.

 

Jérôme de Mars

A l'endroit de l'envers

 

De par ces vers, je persévère quand je perds ces vers à l'endroit de l'envers en

de l'endroit à Césaire aimait qui airs ces prend qui vers ces lent ver le Parlant

L'envers qui dit en verlan; dit qui vers l'an droit de l'envers pas en vers mais envers

Guillaume suie j'en que ou Rimbaud Arthur suis je si suis je que maudit poète Le

Apollinaire; avec l'art et la manière de ma poésie singulière; à l'endroit de l'envers

  poèmes ceux compose je dont proses de rien à riment qui rimes en bavardant En

A l'envers de l'endroit vers l'an droit de l'an vers qui élague le vague à l'âme en une

    à César Ave qui retard de métro dernier le toujours avec rame qui vague Ame

L'an droit de l'an vers l'endroit de l'envers qui mène d'en vers à l'endroit de l'envers.

 

Jérôme de Mars

Multinationales

 

Droit de suite !

Que ce soit du trivial poursuite

A une course-poursuite;

La vie est un je !

Dont il faut réaliser son enjeu !

Pas à n'importe quel prix,

Mais appris du dépit au répit

Du cours de la bourse,

Où chacun débourse

Un max de ronds !

Même que les acolytes

Sont rubiconds !

Dans ce monde qui se délite !

Et qui ne tourne plus rond !

Malgré les macarons

Pour dire qu'on fait gaffe

Aux personnes handicapées,

Malgré qu'on gaffe 

En leur donnant des baffes

Au taf;

Aussi bien dans une entreprise totale

De Total;

De milieu ordinaire dans un total lâcher-prise

Que dans une entreprise de total milieu protégé,

Quitte à contredire l'étoile de la grande ourse;

En privilégiant l'argent grâce au prélèvement 

A la source

De quoi découlent ces évènements !

Dont pourtant il faut préserver les personnes fragiles;

Qui sont fébriles

A cause des multinationales,

Qui font front de la FNAC 

Ou de Vivendi Universal, avec de l'argent sale

Au détriment de la santé normale

Des salariés; en proie à la peur du lendemain,

Si bien que d'après la chanson, chacun sa route,

Chacun son chemin !

Malgré le déclin de ce monde de requins;

Voraces même dans la banqueroute

Des magnats de la finance;

Qui font allégeance

Avec le CAC 40 en parlant du tac au tac

Dans un mic mac à tire larigot,

Malgré la fin des haricots,

Où tout se banalise

Et se volatilise

En pactisant avec le diable !

Comme maintenant, tout est normal !

De faire le mal, de se faire du mal et de parler mâle

Aux gens dans cette société en décadence; 

Qui dansent en contre dense

En signant une alliance avec le front national,

Pour le meilleur et pour le pire de la fatalité

De ceux; qui veulent la peau des petits commerces,

Pour qu'ils exercent

Des stock-options

Au profit des multinationales;

Qui sont la cause animale

De ce monde qui devient en toc;

Toc toc croque-madame !

Je suffoque avec ceux des multinationales;

Qui font subir une pression

De ouf !

Dans le halouf 

Avec ces patrons du CAC 40; qui sont des porcs

Et des gougnafiers;

En exploitant à mort des opprimés et des immigrés

A frais de port étrangers pour prêter renfort

A celui ou celle; qui dame le pion du macadam

En faisant du troc 

Pour enrichir les multinationales;

Et appauvrir les nationales;

Eprouvées par la mondialisation,

Dont pour sauver la société;

Il faudrait acheter Français !

Dans la loi du talion qui rugit comme un lion

Dans sa cage !

Qu'on saccage

A effets de serre

Dans la guerre des nerfs,

Dont l'argent est le nerf de la guerre 

Depuis naguère d'avant-guerre,

Dont l'action des actionnaires est réactionnaire !

Et ne vaut guère mieux que les sociétaires !

Dont au moins eux, les sociétaires s'organisent 

Davantage dans la gestion de leur propre banque partenaire

De tous ses clients;

Pas qu'au profit des stock-options,

Mais d'une plus juste répartition pour une meilleure redistribution

Et pas qu'aux multinationales

Mais aussi aux nationales;

Qui dessert le front national !

Mais qui sert désormais le rassemblement national

Dans une triviale poursuite !

A la course-poursuite des bobos ou des riches bourgeois espiègles,

Pour qu'un peu, ils contribuent à aider les miséreux faibles,

Malgré qu'il y a des pourfendeurs,

Mais aussi des partisans en défenseurs

De la veuve et de l'orphelin,

Malgré que l'immonde crache son venin

Sur ceux; qui ont un grain 

De folie

Et de génie

Pour relever le niveau, comme dans un château de sable !

Dans ce monde bourré de quiproquos 

Avec en échos;

Ce qu'on entend dans les médias immédiats 

Et les monde du multimédia;

Que ce soit à la télé, à la radio et sur internet

Dans ce monde plus net,

Où chacun fait des plans sur la comète !

Pour démontrer qu'il y a encore des esthètes

Qui prennent soin des éthylotest ;

Face aux gens ivres; d'entendre causer

Que de Covid avide et livide

Dans ce monde rigide à l'état frigide,

A cause des multinationales;

Qui bouffent les nationales

Avec de la malbouffe d'esbrouffe; qui cause tout ce mal

Et fait prospérer le rassemblement national

Au profit du diable; maître capitalisme;

Qui écroule l'humanisme

Des gens modestes,

Pour lâcher du leste

A l'individualisme des gens bienpensants; 

Aisés de certitudes,

Alors que l'immonde entreprend d'amplitude

Et prend de l'altitude

Dans ce monde en décrépitude;

Avec en interlude

De fin et en prélude

Défunt; pourvu que TF1

Ait un peu de compassion

A ceux ou celles rongés par la résignation,

Pour leur dire ne faites plus de mal aux nationales !

Mais faites un rassemblement national

En vous donnant du mal contre les multinationales !

Fin mot hexagonal qui rentre dans les annales.

 

Jérôme de Mars

Une case en moins

 

Maux croisés

J'ai une case en moins,

Où ma folie me case néanmoins

Moins que rien

Dans des soustraits

De caractères;

Avec une case en moins,

Où ma folie me recase néanmoins

Dans le Caucase

Qu'on case cocasse;

Plus bas que terre,

Où j'ai des maux croisés

A la croisée entrecroisée 

Et décroisée

D'une case en moins,

Comme je case néanmoins

Moins que rien

En soustraits

De caractères;

En crachant de mon cratère

Toute ma lave

De mon état d'épave;

Avec la cataracte terre,

Où je perds de vue l'essentiel

En n'y voyant plus clair

Dans ma vie de crécelle,

Où je me case téméraire

A la recherche de mon identité 

Et de mon itinéraire;

Pour parler utilité première,

Comme tout naît que matière !

Où avec mes maux croisés;

Je recherche la beauté

De la vie,

Malgré que parfois je convie

Ceux qui me casent moins que rien;

Avant que je les recase en un tous pour un !

Lorsque ma folie me recase néanmoins

Avec des maux croisés;

A la croisée entrecroisée et décroisée

En employant des manières raffinées,

Malgré que néanmoins,

J'ai encore une case en moins.

 

Jérôme de Mars

Vaut-il mieux dire un mensonge qui rassure ou médire une vérité qui fait mal ?

 

Entre rendre service en étant complaisant !

Et rendre ces vices en étant franc !

Qu'y-a-t-il de mieux au final ?

Entre soit affronter les épreuves en se voilant la face frontale

Ou soit les affronter de face fatale ?

Dont vaut-il mieux dire un mensonge qui rassure

Ou médire une vérité qui fait mal ?

Avec le choix que soit ça fasse du bien social égal ? !

Ou que soit ça se fasse au détriment du lien familial ou amical 

Et que ça soit et gale ? !

Quel est le bon compromis entre ces deux options ?

Car en dire ou ne pas trop en dire ? !

Quelle est la bonne frontière ?

Entre dire des choses imaginaires

Pour se dorer la pilule ?

Ou médire des choses linéaires

Pour bien faire avaler la pilule ?

Avant que de cause à effet;

Ca fasse effet dans un compte de fée ? !

Ou que ça fasse l'effet inverse dans un compte des faits ? !

Où la relation

Peut soit se détendre ? !

Ou soit se distendre ? !

Entre tendre la main ? !

Et reprendre la main ? !

Car certes, demain est un autre jour ? !

Mais entre dire des mots de troubadour

Et médire des maux dans un compte à rebours ? !

Pas facile de trouver le juste milieu ? !

Entre être odieux  ? ! Dont la famille

Ou l'ami

Peut faire de notre être son Dieu ? !

Et être aux dieux ? ! Dont la famille

Ou l'ami

Peut faire de notre être son adieu ? !

Certes, quelque fois ! Il faut mentir

Pour se protéger

Et protéger

Les autres ? !

Mais pendant combien de temps;

Peut-on se mentir à soi ?

Se mentir et mentir aux autres ?

Sans foi ni loi ?

Et mentir à Dieu et à ses Apôtres ?

Pour taire et faire taire les tourments des gens passants ? !

Passant et trépassant

Le long du fil fluctuant;

Entre les états bipolaires

Des gens;

Ou l'état des gars; dégâts stationnaires

De bonjour, les gars en cette Terre délétère

Et austère ? !

Dont soit vaut-il mieux préserver et protéger le lien ?

Au détriment de la morale ?

Ou soit vaut-il mieux privilégier la vérité au profit du bien ?

Et au détriment de notre moral ?

Et du moral de la personne à qui je je de cette vérité fait très mal ?

Dont au final ! Qu'y-a-t-il de mieux ?

Entre soit faire un bon compromis en trouvant un juste milieu au morale ?

Ou soit en étant sincère quitte à faire mal au moral ?

Car vaut-il toujours mieux dire un mensonge qui rassure

Mais qui défigure ?

Ou médire une vérité qui fait mal

Mais qui configure ?

Car toute vérité est bonne à dire ? !

 

Jérôme de Mars 

Sous un lever de soleil oranger

 

Après la pénombre se profile à promiscuité !

Sous un lever de soleil oranger

Une belle journée sans discontinuer,

Dès lors que le jour lacté 

Barde les étoiles dans un rock n roll !

Qui trolle dans un piano bémol

Les notes salées de la mer à boire;

Qui s'demande bien, 

Où retrouver l'entrain

D'un ciel ouvert; 

Qui recommande avant la date butoir

De dénicher un endroit extraordinaire

Dans une mise à l'abri du système solaire,

La tête dans une autre planète;

N'ayant les pieds sur Terre mais sur Internet !

Sous un lever de soleil oranger

De comment déranger 

Le ciel en érigeant ses mémoires,

Pour o' ranger avec un arrosoir

De quelques gouttes de pluie; 

Ce monde d'ennui qu'il faut reconvertir

Et verdir de confettis;

A s'épanouir dans des sourires

Sous un lever de soleil oranger,

Dont le ciel veut protéger sa communauté

Et moderniser en prières d'espoir

Dans un monde novateur;

Et prometteur pour le meilleur

En regardant avec un télescope 

Les astres du ciel; de quelle est la raison ?

Qui fait qu'il a une syncope

Le ciel, alors que s'il avait un magnétoscope

Sous un lever de soleil oranger;

Le ciel s'en rappellerait pour o' ranger

L'univers dérangé par ce grand désastre;

Qu'il y a dans l'univers et de toute cette colère

Qui gronde de misères cette drôle d'atmosphère,

Si bien que le ciel afin qu'il soit o' rangé, 

A besoin dans sa voix d'une tessiture;

Stimulée par une bonne nature;

Qui prenne soin de lui,

Quand le ciel lui, luit inouï 

Grâce aux illuminations

Sous un lever de soleil oranger.

 

Jérôme de Mars

Quelque part, le soleil brille fort moins loin !

 

Appel d'air du ciel après que le ciel ait eu des bleus à l'âme !

Il est temps après le vague à l'âme d'appeler les dames !

Pour qu'elles apportent de source sûre leurs béguins

Au soleil friand dans un nouveau tour de Carrousel;

A danser et contrebalancer ce slam en mots et gestes sensationnels

Et sensuels,

Où quelque part, le soleil brille fort moins loin !

En faisant coin coin dans un coin tranquille de la danse des canards,

Quand en une de ces canards;

Ces journaux boiteux filent le cafard au cagnard !

En espérant de par la grâce du ciel et de sa superbe;

Qu'il y aura quelques génies en herbe ayant le verbe acerbe !

Sans se couper l'herbe

Sous le pied en un mirage d'oasis, qui s'embrase défunt

Dans la terre du désert, terre embrasée qui subit une traversée du désert  !

Où quelque part, le soleil brille fort moins loin !

Après que le ciel sente le sapin conifère à détester ses congénères !

Pendant que le bien et le mal battent en retraite au profit du lien 

Social et amical, à respecter ses aïeux; qui lézardent manichéens 

Le ciel mannequin à la recherche de son soleil azuréen et Coréen,

Où quelque part, le soleil brille fort moins loin !

Dans la fureur et la sueur en brûlant de fièvre l'après-midi !

Que ce soit le Démon de Midi ou les douze coups de Minuit !

En scintillant aux orfèvres et en dénichant le bel eldorado prochain

Pour l'amour de son prochain diluvien, 

A cajoler et à démontrer en gestes affectueux 

Vies à vies de ceux pour qu'il y a d'autres cieux encore plus généreux; 

Avec d'un côté un soleil qui brille fort manichéen,  

Et de l'autre un; qui luit est très humain,

Dont le ciel a juste besoin

Quelque part, d'un soleil qui brille fort mais moins loin !

 

Jérôme de Mars

 

Anne rit de ses âneries !

 

En passant du coq à l'âne !

Lorsque ils voient Anne;

Anne rit de ses âneries !

Avec des flatteries chéries;

Aussi bien pour ses amis

Que pour sa famille; 

Avec qui elle est en bonne compagnie,

Quand Anne rit de ses âneries !

Et dont ses âneries sourient 

A Anne qui rit  !

Avec la vache qui rit

Après toute la vache enragée, 

Qu'Anne subit depuis le début de sa vie

Avec pour dénoncer s'il vous plaît !

Toutes les âneries d'Anne  qui rit

Dont Anne rit de ses âneries !

Desquelles elle se sert pour œuvrer

En toute liberté !

Aussi bien dans sa liberté de ton !

Que dans le registre de son champ d'action !

Et dont avec rébellion;

Elle file le bourdon !

En trépassant du coq à l'âne,

Lorsqu'ils foudroient de leur regard Anne,

Si bien que c'en est fini !

Qu'Anne rit de ses âneries !

 

Jérôme de Mars

 

Le dilemme des sans solutions

 

Insalubre ton problème !

Tellement qu'il a l'air insoluble ton dilemme !

A travers le dilemme des sans solutions;

Avec pour solution à ton problème

La résolution de ton théorème;

Qui paraît une équation en inadéquation

Dans le dilemme des sans solutions;

Sans résolution en terre inconnue

Dans la rue en terrain connu et absolu,

Dont quelle est ta solution dissolue ?

A travers la ballade éperdue 

Du bal des pendus suspendus;

Qui donnent du fil à retordre répandu

Dans le dilemme des sans solutions,

Alors que la réponse à ton problème

Est dans la question de ton théorème;

Qui sème la confusion

Des genres masculins et féminins,

Dont l'un égale un qui régale tous sains !

Dans le dilemme des sans solutions;

Avec cent solutions en inadéquation

Pour résoudre l'inconnue de cette équation;

De quelle est la question à ton problème ?

Pour trouver une réponse à ton théorème;

En surfant sur la mer qui a tous les vices,

Et dont la mer de tous les vis; ce sont novices !

Avec en notice la résolution

De ton théorème;

Et en guise de solution

A ton problème; 

Le dilemme des cent solutions.

 

Jérôme de Mars

Ma chère grand-mère Marcelle

 

De par ce poème à ton effigie;

Coucou !

Ma chère grand-mère Marcelle !

Je te rends hommage en poésie;

Toi qui fus ma béquille !

Et du fait que sur Seine pendant le temps de ta présence;

Ma vie fut un long fleuve tranquille !

Où tu fus pour moi le Bescherelle à ton échelle,

Pour m'apprendre les rudiments de la vie;

Pour qu'une fois adulte; j'exulte !

Malgré que dans la vie il y a le tumulte !

Car tu voulais que j'en sorte grandi

Par la grande porte mûrie !

Où ma chère grand-mère, tu me manques !

D'où ton absence me planque

Dans mon repli !

Et dont je voudrais bien te revoir

L'espace d'un soir;

Même sur une appli,

Où ma chère grand-mère Marcelle;

Ton absence me cause un manque de repères; de repaire;

Même si j'ai encore mes parents et mes frères !

Mais dont pour moi, tu fus mon guide 

Dans ma vie; que maintenant, je téléguide 

En me souvenant de tes précieux conseils limpides,

D'où de tes rides;

Ton absence me rend aride !

Triste et tellement loin de toi,

Si bien que dès fois; je pense à nos nombreux moments de joie

Durant tous ces mois;

A me rappeler de papy et de toi mamie, comme c'était si bon autrefois !

Quand papy et toi, vous étiez là !

Dont ma chère grand-mère Marcelle;

Je pense à toi de façon exceptionnelle !

En me souvenant de tes plats culinaires

Et de tes gâteaux extraordinaires;

Que tu faisais avec la main sur le cœur fraternel

Et dont sans toi ma vie est lancinante 

Et impatiente; que j'en pleure des nuits traumatisantes !

Avec un manque de repères en conséquences

Avec pour fréquences, comme si je voulais refaire la séquence

Du spectateur

Et de moi acteur;

Pour que tu regardes ce que je suis devenu,

Et dont j'espère

Que tu en es fier

Que je sois avec Estelle,

D'où tu nous vois là-haut au ciel !

Où s'il te plaît envoie-nous un beau soleil !

Car sur Terre, les gens s'étripent insurrectionnels !

Et envoie-moi de jolis mots doux !

Malgré que j'ai peur de l'inconnue dans la rue,

Mais souviens-toi pour la vie ! Ma chère grand-mère Marcelle !

Que je t'aime au-delà de l'éternel !

Ton petit fils Nicolas qui t'envoie ses mille bisous universels,

Dont depuis ton départ; de l'eau a coulé sous les ponts de Paris en étincelles !

A toi ma chère regrettée grand-mère Marcelle que j'aime au pluriel.

 

Jérôme de Mars

Dès la ballade dans la saudade

 

Aller-retour crescendo en faisant une accolade, 

Dès la ballade dans la saudade

Avec dans le regard du cagnard;

Le soleil qui frise le ridicule dans le collimateur

Du ciel bavard; qui adresse hagard

Ses félicitations en un sourire enjoliveur et approbateur;

Malgré les souvenirs conservateurs 

En gardant tout de même l'espoir d'un avenir meilleur,

Dès la ballade dans la saudade

Entre nostalgie, mélancolie et espérance teintées de dérobade

Pour fuir le temps d'avant et vagabonder vers les temps modernes,

Où les gens ne seraient subalternes !

Mais seulement des justes qui les concernent !

Avec aucune cerne aux yeux, dont ils allumeraient la lanterne

Dans une vie en rose, et dont il n'y aurait plus de lanternes rouges ternes,

Dès la ballade dans la saudade

A vouloir pour sérénades; 

Une balade vers la taverne

Des temps modernes, 

Et dont le salut amical du cagnard;

Se ferait au grand jour sous un ciel bleu et un soleil phares

Dans le fard d'une zone de confort;

Avec pour métaphore un magnifique folklore à Belfort 

Et à Francfort, en songeant à une balade de la parade,

Dès la ballade en vers de tirade dans la saudade.

 

Jérôme de Mars

Hélène honore Eléonore !

 

Levée aux aurores;

Et levée avec Aurore;

Elevée Hélène honore

Eléonore qui essore !

Avec pour ressort !

Ce qu'elle ressort !

Quand elle et sort !

Ce que lui réserve le sort !

Avec pour joli sort consort;

Hélène honore

Eléonore qu'on sort !

Qui a du ressort; 

Et a pour ressort;

Tout ce qu'elle ressort !

Et qu'elle essore encore !

Vu tout ce qu'elle et sort !

Quand Hélène Honore

Eléonore consort !

Qu'on sort, 

Levée aux aurores;

Et levée avec Aurore;

Elevée avec pour ressort !

Le ressort !

Qu'Hélène Honore

Eléonore consort !

 

Jérôme de Mars

 

J'habite dans ce poème

 

 

                              d  11 Ce  poème  goûte

                                a                               b

                                n                               a

                                 s                              i

                                                                 l

                          10  J                               .                                            3

        des   maison  la  dans  feu  petit à mijoter  à  poème  ce  feu  le  Sur   a

                                          '                                                                             v

   4  P                                         h                                                                    e

 

      o     8 Dans  la maison  du    a        9  Qui  m'héberge  locataire               c

      è        e                                     b

      t         n                             b          i                                            a              c

      e        s                             o             t                                         v              h

      s        e                             n               e                                      e              e

                i                              h                                                       c             m

     à         g                             e                o                                                     i   

                n  e                         u                ù                                    u               n

     j         même  la  à  logée   r                 aime elle hache  loyer  n               é

    e                                                                                                                  e

    t

    e                                                                                                                  l

    r                                                                                                                  a

 

    l                                                                                                                   d

   a                                                                                                                   e

                                                                                                                        

   p                             f    où   j'habite   dans   ce  poème                                 p

   a                             e                                                                                      r

   r                             n                                          6      Q                                  è

  o                             ê                                                  u                                   s

   l                             t                                                   i                              

  e                             r                                                                                        n 

                                 e                                                r                                       i

  d'                                s                                             i                                      c

  a                              l                                   7  Bohèmes                                  h

  r                               e                                               e                                      é

 g                               s                                                                                      

e                                                                                 d                                  m e

n                                 r                                               e                               è

t                                  a                                              u                             o

                             5    P                                              x                     2    P

1 Logé à la même enseigne dans la maison des poètes, j'habite dans ce

 

 

Jérôme de Mars

 

Cette véranda qui ressemblait à une œuvre dans un tableau

 

Véranda dans le jardin de Claude Monet;

Cela aurait pu faire penser

Au déjeuner sur l'herbe d'Edouard Manet;

Entre songer à ce moment instantané

Et fertile de complicité et d'authenticité; 

Au beau milieu d'un jardin ouvert

Dans l'espace impressionniste;

D'une vie d'artiste à contempler

Son œuvre humaniste et altruiste;

A partager cette véranda qui ressemblait

A une œuvre dans un tableau;

A brouiller les pistes dans un quiproquo; 

Qui inspire le plus maudit des artistes, 

Grandeur nature comme Auguste Renoir; 

En illuminant avec quelques couleurs une vie si noire;

Qui paraissait bizarre malgré la lumière 

D'un contraste bipolaire, comme cette véranda

Qui ressemblait à une œuvre dans un tableau;

A duper les rabat-joie dans une façade d'éclats de joie,

Où pour écrire et choisir le bon scénario;

La meilleure idée qui soit la plus adultère

Pour tromper l'imaginaire des chers congénères;

C'est de rallumer avec une bougie d'intensité !

Cette véranda claire obscure qui ressemblait

A un chef-d'œuvre dans un tableau.

 

Jérôme de Mars

Bris de couloirs 

 

 

1)  Comment pourrait-on renommer la fondation de L'ESAT La Fabrique vu qu'elle bouffe toute la santé des travailleurs handicapés pour gagner de l'argent en leur parlant comme à des chiens et en les laissant s'écrouler dans leur gamelle ?

-  La Fondation Des Amis du râtelier !  (  Dur atelier )

 

2)  Pourquoi est-ce-qu'au conditionnement, tout le monde se parle-t-il mal ?

-  Parce-que tout le monde se sous-traite et se maltraite !

 

3)  Pourquoi est-ce-que l'atelier sous-traitance ne fait-il que se dégrader depuis le départ de Laurent, le moniteur ?

-  Parce-que l'atelier sous-traitance est conditionné au pire !

 

4)  Pourquoi est-ce-que tout le monde à L'ESAT La Fabrique à Vitry sur Seine s'en fout-il du diplôme de cet ESAT ?

  -  Parce-que c'est indifférent et compétent !  

 

5)  Pourquoi est-ce-que le travail des pompes est-il un travail qui marche toujours aussi bien à l'atelier conditionnement ? 

-  Parce-que ce travail fait toujours autant de tubes qu'avant !

 

6)  Pourquoi est-ce-que le travail des pompes est-il ennuyeux ?

    -  Parce-que c'est pompant et que ça pompe toute l'énergie des agents de production !

 

7)  Pourquoi est-ce-que c'est l'enfer à L'ESAT La Fabrique depuis que Mr Vappereau est directeur adjoint de cet ESAT ?

  -  Parce-que ce n'est pas l'ange Gabriel !

 

8)  Pourquoi est-ce-que L'ESAT La Fabrique est moins noir depuis que ça a changé de direction ?

   -  Parce-que Madame Manoiline qui était toujours habillée en noir; n'est plus la menace fantôme depuis qu'elle a quitté la direction de cet ESAT !

 

9)  Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique, tout le monde me disait-il pousse-toi ?   -  Parce-que personne ne me donnait un coup de pouce !

 

10)  Pourquoi grâce à la nouvelle directrice de L'ESAT La Fabrique, plus rien ne peut tomber à l'eau dans cet ESAT ?

   -  Parce-qu'il y a Madame Valérie Perrier comme nouvelle directrice de L'ESAT La Fabrique pour ne plus pousser le bouchon trop loin à L'ESAT La Fabrique !

 

11)  Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier blanchisserie, tout le monde s'envoie-t-il promener ?

   -  Parce-que tout le monde lave son linge sale en famille !

 

12)  Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique, tout le monde s'en lavait-il les mains de moi ? 

 -  Parce-que j'entretenais les malheurs !

 

13)  Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier cuisine, c'est le bordel ?

 -  Parce-que tout le monde met tout à plat à force de cuisiner tout le monde !

 

14)  Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier reliure, les moniteurs pressent-ils les agents de production de se dépêcher pour que le travail soit vite fait ?

 -  Parce-qu'on livre !

 

15)  Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier conditionnement, tout le monde en a-t-il marre de faire Dugas ?

    -  Parce-que ce travail soûle tout le monde !

 

16)  Pourquoi est-ce-que Dugas est-il vendu en gros ?

    -  Parce-que tout le monde prend de la bouteille !

 

17)  Pourquoi est-ce-que tout le monde se chambre-t-il lorsqu'il y a Dugas comme travail ?

   -  Parce-que tout le monde se met en boîte !

 

18)  Pourquoi est-ce-que la construction de la façade du bâtiment de L'ESAT La Fabrique est-elle bancale comme Les Amis de L'Atelier ?

      -  Parce-que toute la fondation est à revoir !

 

19)  Que souhaitait chaque 1er janvier Madame Manoiline aux agents de production de L'ESAT La Fabrique ? 

-  Une très bonne année et un très bon travail en trinquant de votre santé à notre santé !

 

 

20)  A quel moment de chaque année ça sent le sapin à L'ESAT La Fabrique ?

  -  A L'ESAT La Fabrique, ça sent le sapin chaque année à Noël parce-que tout le monde a les boules en étant maboule !

 

21)  Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier conditionnement; n'y a-t-il plus le travail des dossiers de la clinique Pasteur ?

   -  Parce-que personne n'a encore trouvé le vaccin contre la rage des agents de production au conditionnement en piqûre de rappel !

 

22)  Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique, n'y a-t-il plus le 1% patronal pour les personnes handicapées ?

-  Parce-que personne n'est logée à la même enseigne !

 

23)  Pourquoi est-ce-que du temps que Madame Manoiline était directrice de L'ESAT La Fabrique; et bien L'ESAT La Fabrique a-t-il commencé à s'orienter vers une politique libérale au détriment du social, ce qui a fait que les agents de production en ont pâti ?

  -  Parce-que L'ESAT La Fabrique n'a pas choisi la bonne direction !

 

24)  Pourquoi est-ce-que Cécile Rouillé a-t-elle quitté son poste de directrice adjointe de L'ESAT La Fabrique en février 2018 ?

  -   Parce-que Cécile avait assez dérouillé comme ça avec Madame Manoiline !

 

25)  Pourquoi quand Marie-Laure Mollet a quitté L'ESAT La Fabrique et bien l'activité voile s'est-elle arrêtée ?

  -  Parce-que L'ESAT La Fabrique a mené en bateau les agents de production qui faisaient cette activité, comme à L'ESAT La Fabrique, la vie n'est jamais un long fleuve tranquille !

 

26)  Pourquoi est-ce-que Marie-Laure Mollet qui est arrivée à L'ESAT La Fabrique en 2007 et qui en est partie en 2019; a-t-elle mis 12 ans pour se rendre compte que L'ESAT ne l'épanouissait plus ?

 -  Parce-qu'elle a été longue à la détente !

 

27)  Pourquoi est-ce-que la psychologue de L'ESAT La Fabrique Benoîte Barreteau a-t-elle son cabinet juste à côté des toilettes ?

  -  Parce-que c'est une fausse sceptique !

 

28)  Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique; la seule chose qui les intéresse c'est qu'on discute avec eux uniquement que de profit ?

  -  Car le silence est d'or !  La parole est d'argent  !

 

29)  Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique ça gaze depuis que ça a changé de direction ?

-  Parce-que comme maintenant c'est Madame Perrier, la directrice de L'ESAT La Fabrique et bien, tout tombe à l'eau à L'ESAT La Fabrique !

 

30)  Pourquoi est-ce-que chaque matin tout le monde va à L'ESAT La Fabrique en protestant ?

-  Parce-que L'ESAT La Fabrique appartient à la Fondation Protestante Des Amis de L'Atelier ! 

 

31) Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique; les agents n'arrêtent-ils pas de manger des gamelles; de manger dans leurs gamelles et de se prendre des gamelles en travaillant dans des conditions difficiles ?
- Parce-que la Fondation Des amis du râtelier ( dur atelier ) bouffe toute la santé des agents pour l'argent en leur parlant comme à des chiens !
32) Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique; tout tombe à l'eau ?
- Parce-qu'avec Madame Perrier; ça gaze !
33) Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique; y a-t-il beaucoup d'arrêts-maladie ?
- Parce-qu'à L'ESAT La Fabrique; il n'y a plus de sécurité sociale entre les agents et les encadrants !
34) Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique; ça gaze de plus en plus ?
- Parce-que personne n'en a plus rien à péter de cet ESAT !
35) Que répond un agent de production de L'ESAT La Fabrique à la directrice si elle lui demande ce qu'il fait dans cet ESAT ?
- L'agent de production de L'ESAT La fabrique répond à la directrice qu'il ne sait pas ce qu'il fabrique ici !
36) Que répondent un moniteur et un agent de production de L'ESAT La Fabrique à la direction de cet ESAT qui leur demande de participer au marathon de la Fondation des Amis de L'Atelier étant donné que le moniteur et l'agent refusent d'y participer ?

-  Le moniteur et l'agent de production répondent à la direction de L'ESAT La Fabrique :  "  Vous pouvez toujours courir !  "

 

 

37)  Pourquoi est-ce-qu'à L'ESAT La Fabrique; personne n'a eu de la reconnaissance pour mes compétences ?

-  Parce-que tout le monde était indifférent et incompétent avec moi !

 

 

38) Pourquoi est-ce-que j'étais le vilain petit canard quand j'étais à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique ?
- Parce-que j'étais tout le temps dans mon coin coin; en faisant tout le temps coin coin; en restant tout le temps dans mon coin coin et en allant tout le temps au petit coin coin !
39) Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier livres de L'ESAT La Fabrique; les agents de production sont-ils les misérables ?

- Si les agents de production à l'atelier livres de L'ESAT La Fabrique sont les misérables; c'est parce-qu'ils ont le nez dans le ruisseau; comme c'est la faute à Chantal Rousseau ! 

 

 

40) Pourquoi est-ce-que je n'ai pas arrêté d'avoir des piqûres de rappel du temps que j'étais à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique ?

- Car j'ai largement eu ma dose à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique !

                                             

Jérôme de Mars

Pour aimer les autres, il faut s'aimer soi-même et pour se sentir bien avec les autres, il faut se sentir bien soi-même !

 

D'après Martin Luther King

Qui presse les fans du King;

Laisse la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer !

Dont pour aimer les autres, il faut s'aimer soi-même !

Et pour se sentir bien avec les autres, il faut se sentir bien soi-même !

Même qu'idem dans la vie; chacun a sa vie et ses ses problèmes !

Mais dont dans le théorème, afin que chacun s'aime dans un harem !

Il faut que le jardin d'Eden parsème en un totem !

D'une vie qui resplendisse 

Et qui embellisse 

Le meilleur de chacun d'entre nous !

Pour que tout le monde renoue de nous à vous !

Dont avouez-le !  

C'est mieux de s'aimer vivants avant d'aller en haut des cieux !

Dont pour aimer les autres, il faut s'aimer soi-même !

Et pour se sentir bien avec les autres, il faut se sentir bien soi-même !

Avant la fin de sa vie, dont il y a ensuite le requiem

Lors de la marche funèbre dans un hommage somptueux;

Avant de retrouver ses aïeux 

Au-delà les cieux de l'autre monde; plus merveilleux et généreux !

Que le monde sur Terre qui est ténébreux, brumeux et nébuleux, 

Avec des gens furieux et sulfureux;

Qui laissent présager bientôt qu'il y aura peut-être une apocalypse,

Ce dont pourquoi; certains éclipsent

Dieu et ses Apôtres !

Alors que la clepsydre s'écoule vite, 

Comme des chrysanthèmes !

De pourquoi il n'y a plus de je t'aime 

Dans la rue, où la plupart s'évite et lévite !

Alors qu'on ne dispose que d'une vie !

Avant d'aller au paradis

A la fin de sa vie; si on a accompli le bien;

A travers sa famille et ses amis en privilégiant le lien

Social, amical, familial

Et cordial, dont le lien social est primordial

Par les temps qui courent !

Dans ce compte à rebours,

Où chaque jour qui passe !

Nous rapproche du dernier jour qui nous trépasse !

Dont ne perdons pas de temps !

Pour trouver la paix intérieure grâce à L'Otan,

Car comme le disait François Valéry dans sa chanson !

Aimons-nous vivants avant que la mort nous trouve du talent ! Dès l'oraison

A la mémoire du défunt,

Car même si toutes les bonnes choses ont une fin !

Il faut s'aimer tant qu'on naît vivants !

Avant d'aimer les morts dans le néant,

Dont on t'implore Martin Luther King !

Fais en sorte que les gens

Laissent la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer !

Et presse les gens, afin que Dieu, le King

Leur fasse comprendre

Et apprendre

Que pour aimer les autres, il faut s'aimer soi-même !

Et que pour se sentir bien avec les autres, il faut se sentir bien soi-même !

Idem avant le post-mortem !

 

Jérôme de Mars

Un arbre écrit sur une feuille

 

Feuilles mortes tapies sur le sol qui se débranchent de leur arbre;

L'arbre n'était pas au courant d'avoir perdu le fil conducteur qui laisse de marbre, 

Le cimetière des feuilles mortes dans leur tombeau chronophage,

Où pour consoler sa peine diluvienne; un arbre écrit sur une feuille

Tout son désarroi d'avoir rompu le fil conducteur, esseulé dans son fauteuil;

Miné par sa vie insipide avec ses feuilles inertes; gisant dans leur sarcophage,

Où pour juguler sa vie désabusée; il en fait une poésie en effets de seuil,

Pour prendre à la légère son fardeau, lorsque un arbre écrit sur une feuille;

Son ressenti, où il se ronge les sangs en faisant couler beaucoup de sang d'encre;

Qui ancre d'encre marine sa pure mélancolie; calquée sur son esclandre

Durant son enfance d'arbre trompé; rongé et tombé en esclavage,

Dont pour tromper la mort en trompe-l'œil; il faut qu'il parte à l'abordage !

Avant que le sort vacille en naufrage dans un vague à l'âme; ne faisant le deuil

D'un arbre déraciné et calciné; en remontant à la racine de son tronc

D'arbre, dont pour faire front en communion

Parmi toutes les souches et les couches de la population;

Un arbre écrit en haut sur les murs après les feuilles mortes;

V'là les amours fortes !

Qu'écrit un arbre enraciné sur une feuille. 

 

Jérôme de Mars

Des jardins qui ont des grains de folie

 

Images nectars de confiture de fleurs,

D'où si tu passes mon cœur !

Tu auras pour pacemaker une nature fleurie

Des jardins qui ont des grains de folie;

De la folie des rondeurs

A la folie des grandeurs,

Quand et génie grandeur nature;

Nous démontre le centre de gravité

En prenant à la légère la réalité;

Qui jette de la verdure dans les vergetures,

Avec pour paradis au bout de la vie

Des jardins qui ont des grains de folie;

Qui s'la racontent avec leur pacemaker,

D'où si tu passes mon cœur !

A chaque jour son p'tit bonheur !

En y mettant à la place du noir et du blanc;

De grandes couleurs

Pour ravitailler avec du vin blanc les rudiments

De la vie; de pourquoi il y a aussi

Des jardins qui ont des grains de folie;

A vouloir plus avec boulimie,

Même qu'il s'peut que seule l'art-thérapie

Permet de se guérir et de s'aguerrir  !

Comme il faut bien s'affranchir

Du passé pour l'avenir !

Afin que le jardin secret soit friand de plaisirs!

Qui feront qu'à l'infini de la vie !

Entre alternances d'euphorie, de mélancolie 

Et d'harmonie;

Il y aura à semer toute la vie

Des jardins qui ont des grains de folie.

 

Jérôme de Mars

J'ai dix nés clandestins !

 

Après un dîner aux chandelles clandestin,

Duquel j'ai brûlé la vie par les deux bouts de la chandelle libertins;

J'ai mis et bas puritain !

Duquel j'ai dix nés clandestins !

En vice de damné Sacristain, 

Où je suis né pas bon Chrétien !

Où mon côté humain

Se fourvoie dans des à côtés mesquins,

Où j'ai dîné clandestin !

Dans un dîner aux chandelles libertin,

Duquel j'ai brûlé la vie par les deux bouts de la chandelle clandestins,

Dont j'ai dix nés clandestins !

Avec Brigitte Badot, dont ces BB

BCBG; ultra déconnectés de la réalité,

Dont j'ai mangé mon pain blanc !

Après que le pain noir béni m'a démangé en faux-semblants, 

Dont j'ai dîné clandestin !

Avec des gens très libertins

Sans leur côté Chrétien,

Parce-que fourvoyés du Sacristain;

Dans leurs visages hautains,

Du sacré par cœur à fleur

De peau jusqu'au sacré Cœur, 

Parmi ce qu'il y a de plus puritain

En mauvais Chrétien;

Que je suis tout blême !

Malgré le Carême, 

Et dont du Sacristain;

Je me fourvoie mesquin

En m'entaillant la paume de ma main,

Dont après que j'ai dîné aux chandelles clandestin !

J'ai continué de brûler la vie par les deux bouts de la chandelle libertins !

Dont en mauvais Chrétien

Du Sacristain le plus puritain;

J'ai maintenant dix nés clandestins !

 

Jérôme de Mars

 

 

L'Abbé bête

 

Dès l'âge bête,

La bébête qui hébète;

A L'Abbé bête;

Qui monte en pense-bête,

Duquel elle pense bête !

Avec sa quéquette;  

En quête de faire une enquête

De L'Abbé bête;

Qui a la bébête; 

Qui hébète,

Dès l'âge bête;

Qui embête

La bébête;

Qui a L'Abbé bête

Dans la tête;

Qui s'entête

Dès l'âge bête,

Pour qu'elle tête

La quéquette 

De L'Abbé bête;

Qui a la bébête;

Qui est bête

Dès l'âge bête;

Qui hébète

Dans un sacré casse-tête;

L'Abbé bête.

 

Jérôme de Mars

Quand un oiseau se fait pigeonner 

 

Rue pas de quartiers !

Dans la rue; il y a des pigeons 

Qui s'envoient en l'air dans la cohue !

Et il y a des gens qui se ruent 

Sur ceux qui ont O pignon

Sur rue !

Quand un oiseau se fait pigeonner

Avec des pigeons voyageurs !

Pour colporter des lettres

A des milliers de kilomètres

En jouant les voyeurs;

Ou les racoleurs d'insalubrités

Sur la voie publique;

Avec des mots marmonnés 

De façon symbolique,

Quand un oiseau se fait pigeonner

Par des pigeons voyageurs,

Comme des vagabonds qui se font pigeonner

Par des gens sans scrupules qui opinion sur rue;

Et qui se ruent

Sur l'innocence de ces malotrus;

Qui jouent les intrus avec une grande amabilité

Qu'on y voit que du feu dans La Chrétienté ! 

Quand un oiseau se fait pigeonner

Par les pigeons voyageurs, 

Et dont les pigeons voyageurs

Prennent ceux qui jouent les corbeaux

Pour des pigeons,

Pour qu'ils fassent les pigeons

Avec ces drôles d'oiseaux;

Que sont ces êtres déplumés

Par le bec de ces oiseaux qui ont plumé

Un certain oiseau qui fait le zozo;

Avec ces pigeons voyeurs qui ont pécho

La tourterelle attire d'aile, 

Quand un oiseau femelle

Se fait par amour pigeonner.

 

Jérôme de Mars

 

 

Un nid d'oiseaux enchantant

 

 

De par ces vers de cette chanson bourdonnant le printemps,

Il s'en chercher des candidats pour représenter la parole exultant,

Un nid d'oiseaux enchantant

Dans un concert de louanges tous leurs heureux événements, 

Tels que la naissance de chanteurs en herbe;

Avec le haut verbe 

Pour interpréter l'hymne à l'amour qu'édite le piaf fanfaronnant;

Dans un air de grand folklore en ressuscitant le bon vieux temps;

A travers le printemps qui brille au firmament 

De leur apogée qu'était l'épopée mémorable, quand le soleil exaltant

Regardait le ciel en lézardant

Un nid d'oiseaux enchantant

La parole de la forêt enracinée dans son élément,

Où entonner l'amour de la vie;

Convoite le bonheur partagé d'être en si bonne compagnie;

Avec sa fratrie 

Parmi sa famille et ses amis;

A vouloir le meilleur pour tous

Dans un joli coup de pouce,

Dès que chanter la vie en sirotant

Un bon ver pétillant;

Redonne foi en la vie sur la place des arbres écoutant

Un nid d'oiseaux enchantant;

De par leurs becs ouverts

A déblatérer aux vers

Les animaux entendant vos mots;

Qui en disent long sur le magnéto

Pour être dans de beaux draps couverts;

Par la parole des oiseaux qu'édite le piaf découvert

Par un pivert nom d'un ver;

Fredonnant ce dernier vers comme si c'était Prévert !

Clamant son amour des oiseaux se bécotant 

A ciel ouvert !

Avec des corps beaux en chantant

D'un nid d'oiseaux réenchantant.

 

 

Jérôme de Mars 

 

 

Antivol

 

 

 

 

Antivol d'oiseau; ça ne vole                                 D   en battant de L' L en antivol.

                                                                             '

                                         p                                 L                                 

                                         a                                                            

                                         s                                   t                       

                                                                             i                            

                                         h                                  r                        

                                         a                                  e           

                                         u                                  -                        

                                         t                                   à   

 

                                        c                                   c

                                        o                                   i

                                       m                                   e

                                       m                                   l   

                                       e                                    

                                                                             l

                                       l                                     e        

                                      e

                                                                             v

                                      v                                     o 

                                      o                                     l

                                      l                                      e

                                      

                                    de cet oiseau aux L brisées;

 

 

 

 

Jérôme de Mars

                                      

 

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cap et des paix !

 

Film de cape et d'épée de Damoclès; 

Sur une note salée de piano fadaise, 

On franchit le cap et des paix alèse !

En commettant un crime de lèse majesté;

Sa majesté prout ma chère son éminence;

Se fait un film de cape et d'épée !

Alors que franchir le cap et des paix !

Semblerait sain d'esprit en votre révérence;

La meilleure qui soit avec tout votre respect !

Que l'on vous doit d'honneur à l'aise;

Dans ce film de cape et d'épée de Damoclès !

Sur une note des marées salées; foutaises !

On franchit le cap et des paix alèse majesté !

 

Jérôme de Mars

Les poissons font du bouche-à-bouche !

 

Comme des poissons dans l'eau !

Lors de la fécondation in vitraux; 

Les poissons font du bouche-à-bouche !

En prenant leurs douches

Dans l'eau du bocal

Avec des positions orales,

Où les poissons font du playback !

Avant leur comeback, 

Dès que les poissons font du bouche-à-bouche !

Et qu'ils se trémoussent lorsqu'ils se touchent

En purs poissons de souche,

Où l'amour dans ces conditions fait mouche !

Dans l'eau du bocal,

Car quand ils font leurs affaires; ça reste

Dans les annales !

Après avoir lâché du leste,

Dès que les poissons font du bouche-à-bouche !

Après qu'ils parlent avec leur bouche;

Qui semble être louche, 

En n'y allant pas le dos de la petite cuillère !

De louche sur un fil d'équilibriste d'écuyère, 

Où avant que ça débouche 

Sur quelque chose de louche !

Ils restent sur la touche;

Le temps que les poissons fassent du bouche-à-bouche !

 

Jérôme de Mars