Vernissage
Après mille feuilles décrites,
Laissées pour mortes d'écrites,
Au passage,
Il serait sage
De faire un recueil
De mes feuilles d'écueils,
Car priorité à l'accueil
Sur le fauteuil
Avec un vernissage
Verni sage,
Où je vous compromets
Vers mes vers et revers ni sages
De yeux aux bleus verts
Révoltes verts
Ni sages,
Qui reflètent mes vers
Ni sages
Revolvers ovaires
Ni sages
De mes yeux bleus et clairs,
Où j'allume le livre ouvert
Ni sage,
Pour que je cueille
Et je recueille
Vos mille-feuilles
D'impression,
Aux reproches
Et anicroches
De Gavroche,
Où le jour qui hoche
La liberté d'expression,
S'effiloche
Comme les trois cloches,
Comme je cloche
Avec mon vernissage,
Aux passages
Découverts
Et recouverts
Ni sages,
Vers les couverts
Découverts
Ni sages,
Où hier mioche,
Ma faim des coups vers
Ni sages
Décoche
Vers la fin des Harry couverts
Ni sages,
Vers les revers
Ni sages
De mes vers
Ni sages,
En ce vernissage
Pas sage
Qui me saccage
Dans sa cage
Des marais cages,
Où j'embroche
Mes vers
Ni sages,
Vers la broche
De l'an broche
De mon vernissage,
Vers le revernissage,
Où je ne suis
Ni ouvert,
Ni over
Ni sage,
Mais aux vers
Ni sages,
Où désormais,
Je me mets
Au vernissage
Gamme ovaire
Et faux revers
Ni sages,
Car au passage,
Je suis ouvert
Ni sage.
Jérôme de Mars
Le meilleur rami
Père d'as,
Il est tant
Qu'on se tend
A jouer
Cartes sur table,
De l'affable
A l'ineffable,
A désigner
Par nos amis,
Quel est le meilleur ami
Du meilleur rami,
Où lui seul, nous détend,
Nous entend,
Nous comprend
Et nous surprend,
A prendre d'antan
A autant, tout son temps,
A l'écoute pour qu'il se voue,
Se dévoue
Et se dénoue
En nous
De ce qui est important,
Sans qu'il soit indécent
Avec mille et décent,
Cent pour cent
Le meilleur rami
Du meilleur ami,
Quand on tire dans la pioche,
Bonne pioche avec notre pioche,
La père d'as en roi
Jusqu'aux désarrois déjà rois,
Du meilleur ami
Au meilleur rami,
En rejouant
Cartes sur table,
Au je de cette famille,
Même si un ami
N'est pas cent pour cent
De la famille,
Mais un allié garde-fou
Avec son ami fou allié,
Qu'il a rallié
Dans la loyauté
Sans le rayer,
Le railler et le dérailler,
Car parmi les cartes de France,
Lui seul, sait nous reprendre
Pour nous défendre et nous dépendre
Dans la jurisprudence
Et la prudence,
Sans nous descendre
Et nous répandre en cendres,
En déjouant
Cartes sur table,
Du meilleur rami
Au meilleur ami
Estimable,
Sans qu'il ne déborde
Et n'aborde
Un certain Johan dans la discorde
Monocorde en dix cordes,
Où grâce au meilleur rami,
On a le meilleur ami
A distance
Et à proximité
D'une carte de France
Ensoleillée
Au pi débat,
Des nuages atténués
A cartes sur étables,
Du meilleur ami
Au meilleur rami.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Un professeur de philosophie qui fait une erreur en tant que citoyen, fait une faute de Français !
2) Quelqu'un qui reste toujours seul le jour de Noël, traverse chaque année une embûche !
Jérôme de Mars
Justice sociale
Prenons le parti de créer un parti, où l'on aura un parti pris de faire partie et de prendre le parti d'en rire dans la satire, car ça tirera un raz de marée, en un tant imparti de fonder un parti, dans lequel on se départit et on se répartit l'apolitique au centre droit et sans travers, en prenant le gauche avec une gauche recentrée, décentrée et concentrée en ordonnant une ligne modérée dans un parti droit, dont la fondation de ce micro-parti fera partie d'idées à buts non lucratifs et récréatifs, avec un programme humaniste et libéral, où aucun homme politique ne videra les malles de ce parti apolitique, qu'on appellera,
" Justice Sociale " en épelant à la lettre paranormale, Les SDF pour qu'ils deviennent, Le SDF de la Plaine-Saint-Denis, avec des liasses de billets d'humeur et de la maille, car " Justice Sociale " ne tolérera aucun repris d'injustice et aucun repris de politiques véreux, comme " Justice Sociale " se voudra un micro-parti moral au-dessus des partis de l'apolitique, avec un micro-trottoir qui aura le moral pour sonder Les Français, en les interrogeant s'ils voudraient que ce gouvernement crée le revenu universel, uni vers celle à destination de la population, de que demande de plus le peuple ?
A savoir plus de richesses humaines, avec moins de pauvres gens et des pauvres financiers parmi les gens riches et huppés déconnectés dans le virtuel, qui font la fortune des élites et les revers d'infortune pour les ouvriers, qui l'ouvrent avec l'ex gosier d'Arlette Laguiller à l'affront national de leur lutte ouvrière, où
" Justice Sociale " prendra le parti revenu universel, qu'il faut plus de place consacrée à l'humain, et moins de conflits d'intérêts au profit du bénéfice de l'argent comptant, car il faut privilégier un bon management d'équipe avec ci-possible la meilleure entente entre collègues et hiérarchies sans faire la sourde oreille pour de l'oseille malgré les divergences des uns et des autres, qui se répercute en une recrudescence de bien-être, de performances de production et d'assiduité, avec l'émergence et une dynamique de qualités humaines et professionnelles, sans attitudes abusées même si elles sont désabusées, avec davantage d'affections de longue durée et plus de respect au travail, et moins d'arrêts-maladies qui dégénèrent des infections de longue durée, même si on ne peut pas plaire à tout le monde, comme l'affirmait la mission de Marco Fogiel, et par prescription avant qu'il y ait prescription,
" Justice Sociale " préconise de décréter le lien social obligatoire et vital, pour le bien naître de diffuser et de communiquer une parole d'argent de valeurs et non de l'argent en paroles sans valeurs, pour rendre Internet, plus net et Facebook, une face de bouc qui ne rend plus chèvres, en faisant du net, au non de la loi, un alien facultatif, dont il vaut mieux s'en passer dans la mesure du plausible du net, pour être plus net et ne pas être interné avec Internet, à demander l'asile psychiatrique au Paul-Guiraud de Villefuif pliés en 54, pour ne point s'intégrer dans une camisole chimique, et finir en garde-fou dont tout le monde se fout et s'en fout des fous,
" Justice Sociale " veut dépasser les clivages, le chacun pour soi, les préjugés et le je m'en foutisme général en ralliant tous les citoyens, autour de l'oeuvre de Coluche dans un hymne qui rassemble les patriotes autour de l'emblème de La France selon Coluche : France : Liberté, Légalité, Fraternité et Egalité d'humanité, où en surplus Des restos Du Coeur qui existent pour les bouffes fonds désarrois, " Justice Sociale " érigera Les maisons Du Coeur, afin que tous les plus démunis soient logés à la même enseigne que leurs semblables avec un loyer abordable avoisinant les 10 Euros par mois, et pour que Les restos Du Coeur, fassent tourner la machine en ristournant les maillons forts et les maillons faibles au sain d'une même chaîne humaine sur la TNT dévolue à la cause de Coluche, une chaîne de télé du nom de Coluche TV , où en contrepartie du revenu universel, on fera travailler les gens modestes et nécessiteux dans une ambiance explosive très TNT, où tout le monde aura la sécurité sociale, professionnelle, morale, physique, familiale, amicale, financière et humaine, avec plus jamais de séjours en prison, qui font de la peine emprisonnée de détention, de tant de haine, où pour récolter la monnaie de sa pièce, on s'inscrira plus net sur le compte de " Justice Sociale ", où l'on bâtira à travers le lien social un véritable et fidèle réseau d'amis dans le réel très humain, à la parole d'argent content amie de la fraternité et de la solidarité, en respect du regretté Abbé Pierre, qui demeure la coqueluche de Soeur Emmanuelle, qui coupe la queue en souvenir et mue, de Coluche, comme on aura toujours faim de toi, Coluche, enfin de toit pour plus de justice sociale et de solidarité nationale, avec un surcroît de justices et de services publics, au profit et au bénéfice de la collectivité individuelle et non de l'individualisme collectif, en rectificatif, que l'union fait la force et amorce un chacun pour soie et dieu pour tous en coups de pouce, dans l'espérance de la reconquête de soie de l'humain, avec pour différence la révérence contraire à l'indifférence, pour plus de justice sociale !
Jérôme de Mars
Hip pop potame
En gros ben mince,
C'est la baisse
De régime,
Du régime
Hip pop potame
Dans le tam tam,
Du grossiste
Qui grossit
La vie d'artiste,
Comme c'est l'obèse
De régime,
Du régime hippopotame
Dans le tam tam
Qui rétame
Le hip pop potame,
En gros ben mince
De la baisse
De régime
De l'hippopotame,
Et de l'obèse
De régime,
Où en gros,
Le grosssiste
Grossit
La baisse
De régime,
De la vie d'artiste
Et la baisse
De régime
Du devis d'artisan,
En gros ben mince
Plus gros,
Avec l'obèse
De régime,
De l'hippopotame
Qui ben mince si,
Et abaisse
Obèse,
La baisse
De régime,
Qui rétame
L'hip pop potame,
Dans le tam tam
D'un grossiste,
Qui grossit
En gros
Ben mince,
Et qui abaisse
En gros,
Sur l'obèse
De régime,
Encore
Et en faim,
En gros
Bien mince.
Jérôme de Mars
Bon anniversaire Catherine
De ton hein vent terre,
Je te souhaite Catherine
Un bon anniversaire,
Qui peindra la chimère
De tes églantines,
Que tu sauras colorer
Et aborder
En vers,
Et varier
La lumière au clair
De tes 70 ans,
Que tu convertis de l'hiver
De ta vie au printemps,
De l'eau devis pour te plaire
Et prendre l'R,
Sans rouler l'air de Gris mots
Pour dérouler à Grimaud,
Tout ton pinceau
Qui peint la façade des tremollos,
Avec ton automate
Peint mate
En traits mots l'eau,
Pour susurrer que tu en es gré
A 70 ans de profiter de l'engrais,
Qui cultive l'essence de ton jardin secret
A la semence de ta jeunesse éternelle le coeur,
En brodant un air de famille d'ardeur
La main qui sécrète une once de bonté,
Sur la péninsule au Sud de l'azur
De tes yeux qui respirent la sinécure,
Dans ta maison de villégiature
Qui défriche ta belle nature
Avec ta vieillesse en majuscules,
Dont tu profites avec chaque particule
A la lettre prête à t'envoyer,
Ce bon anniversaire
Catherine, voici l'inventaire,
A l'appel de ton respect
Avec ton humanité à la personnalité
Très entière,
N'est-ce-pas élémentaire ?
Ma chère
Catherine,
Vivement qu'on se voit
Et qu'on s'assoit
Autour d'un café,
A la terrasse de l'an cher
Qui se termine en peignant
Et dépeignant tes capucines,
Où chère
Catherine, je t'embrasse à la lisière
De ton hiver qui te fait des éloges depuis hier
A maintenant pour toi, car vivement qu'on se revoit,
De ta peinture
A mon écriture,
D'au devis
A l'eau de vie,
Où je te dis au revoir
Et à bientôt pour manger et boire,
Tes paroles unies vers
Ton bon anniversaire.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Hallyday était-il un drôle d'oiseau ?
- Parce-que c'était un affreux jojo !
2) Pourquoi l'inspecteur Columbo pourchasse-t-il les durs à cuire ?
- Parce-que c'est un colombo de poulet !
Jérôme de Mars
Citation :
Johnny Hallyday, après avoir joué au Golf-Drouot, va jouer maintenant dans son trou à deux balles !
Jérôme de Mars
Carte à puce
Pic pus
Prépuce,
On joue cartes sur table ma puce
Au marché opus,
Démarché aux puces
Avec une carte à puce,
Qui dépuce
Celle,
Des pucelles
Aux prépuces,
Celles qui dépucellent
Les octopus,
Qui ne sont plus celles
Auxquels perdurent
Et endurent dans le dur,
Des prêts puces
Qui montent les près puces,
Démarchés opus
Au marché aux puces,
De plus celles
A pucelles,
Dont les puces
Les démangent
Avec la carte à puce,
Du téléphone qui mange
Leur prépuce,
Du marché démarché aux puces
Qui a remarché opus,
Si puissant qu'ils en dépucent
Celles qui les dépucellent,
De celles à leur prépuce
D'une carte à puce,
Au marché opus
Supermarché aux puces,
Tant que les octopus
Tapent le bon code plus celle
Qu'ils dépucellent puces celles,
Après avoir déjoué les cartes à puces
Démarchées aux puces,
Qui ont marché opus
De leurs prépuces à toi ma puce,
Puce celle dépucelle
Pour toi pucelle,
De ta carte prépuce
Celle et puis puce,
Celle encore auprès puce
Celle de ma carte à puce
Remarchée opus,
Et super démarchée aux puces
Celles octopus
Celles et plus pic pus.
Jérôme de Mars
Arc en ciel
Ce soir au pluriel,
Une pléthore
Gravit des rebords
Arc en ciel,
Avec plusieurs cordes
A leur arc dix cordes,
En discordes
Monocordes,
Que concèdent des reflets
Fluorescents du miroir réfléchi,
Qui réfléchit ainsi
A sursauter pour colorier,
D'une multitude hétérogène
De couleurs hallucinogènes,
Les latitudes de mille feuilles
Qui détrempent le seuil des écueils,
Qui ont les faveurs
Surdimensionnées à la hauteur,
Arc en ciel
Et entière qui roucoule
L'accueil,
Dans la tanière qui recueille
Le recueil des bonnes nouvelles,
A la belle et toile qui gèle
Et grêle
En mille arc en ciel,
Qui décochent
Les flèches de Cupidon,
Le Eros pour transpercer la cible
Indicible et inflexible,
Qui en découle
Du flexible,
De la douche froide
Et Ecossaise,
Qui morcelle la stèle
De la terre glaise,
En de la ouate
Douce comme du coton
Tige, qui envoie une fleur,
A sa Julie qui accorde
Les violons,
En déclarations d'humour
Dans un fameux billet d'amour,
Qui transcende les chaises
Musicales sur l'estrade,
De l'esplanade,
Avenue qui se rue, mais Seine,
D'un long fleuve tranquille qui hoche
Le mouche du coche,
Qui fait mouche attire de vinaigre
Et aigre allègre,
De mille arc en ciel
Qui arrivent en haut du ciel,
Parmi les tourterelles
Et les hirondelles,
A tire d'ailes
Et à l'unisson d'un mariage
De dentelle,
Qui remonte les bretelles
En adages par âges,
Des arcs arc en ciel qui tirent à l'arc
En plusieurs cordes
A leur arc qui tienne la corde
A l'arche de Daniel Darc
Au Sud Des Arcs,
Au sujet de l'amour exponentiel,
Dont le potentiel exceptionnel
S'arrange en arc en ciel,
Au fleuve tranquille du Carrousel
Qui l'ouvre amusé
Le Louvre les demoiselles,
Pourvu qu'on les adoube arc en ciel
En plusieurs cordes à leur arche de Noël,
Comme bientôt ce sera l'archange de Noë
O brave éteint celle,
De la flèche de Cupidon,
Amour de l'oraison
A la maison qui scelle
La guérison et la réconciliation,
En deux points en sors celles
Des passerelles aux pucelles,
Plus celles de L'arc en ciel
Qui scelle
L'archange de nos ailes,
Qui scellent
Le grain de Missel
A la selle mi sel,
Saisons de puberté
De liberté
Et plus si affinités,
Lorsque les flammes de l'amour
Epousent en noces de recours,
La simplicité qui s'annonce éternelle
Et charnelle,
Qui refoule les vanités
Pour consolider
L'arc en ciel,
De l'arche de Noë
A Noël.
Jérôme de Mars
Conservations secrètes
Conservations que secrètent ces conservations secrètes entre un fils déchu et sa mère déviante :
Jérôme : - " Maman, pourquoi m'as-tu rendu névrosé et déséquilibré dans un état si délabré, sado-maso et écorché vif ce qui fait que je n'ai pas la tête sur les épaules et que je suis tellement obscur côté ombre en étant maboule ? "
Patricia : - " Comme je t'ai déboulé en te montrant la vidéo de moi et papa dans nos ébats les plus intimes dans des positions suggestives, je regrette de te les avoir montrées, car ça t'a détraqué et que tu es en retard à cause de ta tare dans ta vie intime, où tu n'en as même pas car comme tu m'as tripoté les seins sans savoir à quel sein te vouer et que tu m'as touché les fesses qui t'affaissent, ne t'étonne pas si tu n'es pas net comme ton internet, où tu mérites d'être interné, car tu es un vieux pervers dégueulasse avec les enfants auxquels tu veux faire du mal et tu finiras en prison ou à l'asile, je m'en fous de toi Jérôme, va te faire foutre Jérôme, et comme tu perds la boule, tu me fous les boules maboules comme tu es malgré si je t'ai tué comme tu perds ma boule comme je t'ai foutu les boules et que ça t'a déboulé ! "
Jérôme : - " Maman tu es injuste avec moi, n'oublie pas aussi que si j'ai peur de faire du mâle aux enfants, c'est à cause de l'enfant en moi qui a été maltraité comme m'a dit Penot et que quand j'étais enfant, un homme est venu vers moi et m'a tenu des propos bizarres où il m'a affirmé qu'il dormait à côté d'enfants et qu'il a regardé mon sexe, cela s'était déroulé en vacances dans le sud à Cavalaire et, au collège privé EPIN, où l'on m'a fait du mal, malmené et maltraité en violences physiques et verbales et on ne m'a jamais respecté au collège et je me suis toujours fait dominer, et dans la rue, tout le monde me dit pousse-toi et me dit qu'on s'en fout de moi comme les élèves du collège privé EPIN, où tous les élèves m'ont pris pour un bouc-émissaire et m'ont martyrisé, et tu ne m'as pas aidé car tu m'as détruit, comme maintenant, ça se répercute dans mon travail et dans mes relations et que ça m'empêche d'avoir une vie normale et paisible, du fait qu'elle est atypique et très chaotique, et mon âme est noire et condamnée car le 24 décembre pour moi c'est le pire noël comme ton grand-père paternel s'est suicidé ce soir-là, et que le 14 février ton père s'est suicidé le jour de la Saint-Valentin, comme j'ai manqué d'amour et de considération avec ton sein mâle et mal sein avec le complexe D'Oedipe et que c'est la raison pour laquelle personne ne me respecte, m'accorde de l'intérêt, de l'attention et de la bienveillance comme j'ai un complexe de type ! "
Patricia : - " Jérôme, si tu fais du mâle aux enfants tu iras en prison et les détenus te violeront car ça sera ton coup de pouce, où tout l'immonde te fera un doigt majeur, ce qui sera bien fait pour ta gueule, sale connard de bon à rien ! Et Penaud a été trop gentil avec toi au CEREP, si Penot, c'était moi, je t'aurai foutu un coup de pied au derrière et je t'aurais mis dehors en prenant quelqu'un d'autre à ta place au CEREP qui veut s'en sortir, toi, tu ne fais aucun effort, t'es un fainéant et un ramier ! "
Jérôme : - " Tu es trop dur avec moi maman, tu ne me comprends pas et tu ne fais que me critiquer et me dénigrer sans bien me cerner, si je suis un ramier, c'est que je suis quidam le pion comme je suis un morpion, dont tu dames le pion comme je suis un mort pion sur l'échiquier ! "
Patricia : - " Si tu te suicides, tout le monde s'en foutera de toi et s'en réjouira, tu es maître de ton destin, et je suis ton contremaître de mon festin que ton destin soit à couteaux tirés avec tout l'immonde ! "
Jérôme : - " Mais dis donc ! T'es une garce de me parler comme ça sans égards avec ton mauvais regard sur moi, tu ne m'as jamais fait de compliments, que des reproches, même si je t'ai tapé dessus et insulter avec des noms d'oiseaux, ce n'était pas de la méchanceté, cela est du à notre relation fusionnelle comme je suis un drôle d'oiseau que j'ai reproduit sur certains de mes amis et pour ta gouverne si je suis à couteaux tirés avec tout l'immonde, cela est de ta faute d'autographe, où ta mère une fois t'a foutu un coup de poignard sur ta main, ce qui fait que t'as perdu la main avec moi, et en plus tu m'as soûlé en me prenant pour un psy alors que j'avais 9 ans en me lisant des lettres de suicide de ton père qui voulait se suicider, tu m'as contaminé, tellement contaminé que le 1 er janvier de chaque année, on me souhaite d'avance une bonne fin damnée, et en plus, tu n'as pas de conseils à m'adonner, car toi dans l'outrepassé, tu picolais du vin et de la bière en allant deux fois à la clinique, pour te soigner avec tes acolytes anonymes, et en plus, tu te bourrais et tu te schnouffais de médicaments, où je t'appelais le bombé et le glaude comme dans la soupe aux choux.
Patricia : - " Jérôme ce que tu me dis, c'est lourd et c'est le poids de ton fardeau, que je t'ai traduit en vain, et dont tu m'as mise en bière le 24 septembre 1998, où d'où je suis Jérôme à l'au-delà de ton âge bête, je te maudis dans un paradis d'enfer, après avoir été au purgatoire avec Papy, et maintenant Jérôme pour ta déroute, je te paye un revers de Monaco ! "
Jérôme de Mars
La pluie et le soleil
Alternances de pluie et de soleil,
Le monde se lève et se couche
Etanche et fragile quitte à tomber sur la touche,
Quand le chagrin se marie au vermeil
A la carte qui tangue entre la pluie et le soleil
Dans un contraste de joies et de de peines,
Que le jardin secret aux mystères cachés egrène
Que la vie en vaut la peine même si les merveilles,
Souvent sont remplacées en ordre de succession
Par les chrysanthèmes qui incantent le diapason
De la pluie qui en rit pour redorer le soleil et son blason,
Car après la pluie triste se réenchante le soleil altruiste
Et artiste d'une agréable journée à passer de la benne
A l'ébène qui offre un sourire qui réchauffe les coeurs émotifs,
Et motifs enrubannés dans un panier gourmand sirotant
L'étang infini qui chuchote des dimanches en faisant
Dix manches déballés dès que les lauriers dorment pensifs,
A l'apologie du pain de froment à la campagne idéaliste,
Pour que les oiseaux égoïstes rejoignent leurs ramages
De l'âge d'or de la pluie qui vide son puits d'images,
Lorsque le soleil remplit son service public entre constance
Et simulant la résistance à la bévue des circonstances,
D'un simulacre qui rosse son carrosse avec le soleil trompeur
Qui ment à la pluie en mensonges aux apparences,
Et à la semence qui véhiculent des évidences
Troublantes en permanence qui dupe le berger prophète
Dans une fête au village et qui chérit des nouvelles analphabètes,
Pour lire et conter au souffle amouraché de l'endroit cajoleur
La pluie qui pleure la larme de mélancolie endolorie,
Mais qu'heureusement, le soleil déclenche la larme qui en rit
Au triomphe salvateur de la pluie, dès que le soleil convertit
La douleur en douceur à l'effigie de la prairie et de la pluie,
Qui réconforte le soleil et qui prête âme forte car voici
La collection automne, hiver, printemps, été, fée d'hiver
En dix vers,
Et plus si affinités de Vivaldi merci.
Jérôme de Mars
En marge !
Let's go
Allez go à gogo,
On va créer un mouvement
De l'apolitique
Du non en marge,
Qui sera à gauche,
A droite et au centre
D'un manuel macaron,
Dont si on dit cap
Il ne sera paralysé
Ni par le handicap de L'APF
Ni par celui de La RATP
En grève de la fin,
Comme en marge
Sera le mouvement
De l'apolitique
De la location
A l'allocation,
D'un Manuel macaron
Aux APF
Devenus des APL
En baisse,
Comme le profit est obèse
Et baise le social
Au non d'un soi-disant
Socialisme-libéralisme démocratie,
Quand la méritocratie
Méprise les SDF,
Et s'éprise du SDF
Au stade de France,
Où La France en naît
Dans la démarche
Au mouvement d'en marge,
Comme La France reste à droite
Mais prend toujours le gauche,
Pour se recentrer dans les extrêmes
De sondages d'opinions,
Qui éprennent Les Français
Pour des cons, sans avoir une coqueluche,
Dont si on enlève la queue,
Ca fait Coluche sans sa perruche
De drôle d'oiseau, comme ses gros mots
Et ses prises de bec nous manquent,
N'est-ce-pas Coluche de ta planque ?
Au Mont rouge de ta colère, car La France
S'en fout de tout et se dissout pour dix sous,
Dans des sondages d'opinions à la con,
Aux pis bée à taux très bas et à piètre popularité,
Dont le reflet du miroir d'un Manuel Macaron
Est à l'image d'une nation mutée en alliée nation
Qui correspond à l'alliénation de rubiconds,
Quand La France ivre de colère ait toute rouge
En rancoeur à l'unisson d'un porte-drapeau en berne,
Comme Stéphane Berne son immonde en marge
D'un Manuel Macaron, dont on dit cap ouvert en marge
Et handicap de rester renfermé avec la gauche aux landes,
Et La droite Yves-Saint-Laurent Du Puy-En-Velay,
Dont on s'en fout, car ce qui compte,
C'est qu'on y trouve notre compte en marge
D'un Manuel Macaron ouvert envers notre handicap,
Et que notre handicap soit reconnu et mis au vers
Avec l'apolitique du social et la démarche libérale,
Et recentrée au centre d'un juste milieu pour être ouvert
Au progrès et à la reconquête de nos idéaux très hauts,
Pour que le conservatisme soit le handicap de la droite
Et de la gauche vieux jeux aux passages réacs,
Car le progrès d'en marge sera la démarche d'ouverture,
Par la fenêtre d'un passage à l'acte moderne de la location
A l'allocation du travail en marge vers l'apolitique d'un Manuel
Macaron, en démarche d'en marge.
Jérôme de Mars
Johnny naît plus
Ce matin, j'ai un problème,
Car noir c'est noir
Et Johnny naît plus,
Comme tu t'es tu, têtu
Derrière l'amour,
Quand revient la nuit
Du mirador,
Où le pénitencier du paradis
T'accueille au requiem pour un fou,
Car j'ai oublié de vivre
Avec ma gueule,
Comme je veux te graver dans ma vie
Avec Gabrielle,
Pour vivre pour le meilleur
Et qu'ainsi je me marie
Avec Marie,
Pour allumer le feu
De l'idole des jeunes
En souvenirs, souvenirs,
Car je serais là
Avec de l'amour
Seul,
Et avec toute la musique que j'aime
En gardant l'envie d'avoir envie,
Car je retiens la nuit,
Où t'es parti Johnny,
Mais jamais j'oublierai ton nom
Et Laura,
Car je te promets
Qu'il y a quelque chose de Tennessee,
Et sang pour sang
Avec ton fils David
Et tes tendres années avec Sylvie,
Comme une partie de cartes inachevée
Avec quelques cris,
Car ce que je sais pardon
C'est qu'on retient ta vie
Et qu'on retient la nuit,
Où t'es parti,
Et quand revient la nuit
Sans toi, pas cette chanson
Aujourd'hui comme tu ne joues plus
De rock'n'roll pour moi,
Car ma gueule, on ne t'oubliera pas
Et tu seras toujours là
Pour vivre pour le meilleur,
Car ça ne finira jamais
Dans la rock'n'roll attitude,
Où t'es libre dans ta tête,
Comme Diego,
Car tu clamais
Que je ne suis pas un héros,
Mais je te promets
Que tu resteras l'idole des jeunes
En souvenirs, souvenirs,
Car aujourd'hui noir, c'est noir
Comme ma gueule, ton envie toi seul,
Tu nous la rendras
Au sommet du panthéon de ta gloire,
Avec ta légende qui restera pour l'éternité
De ta postérité, car on retient ta vie
En allumant le feu,
Pour vivre pour le meileur
Avec toi Johnny,
Aux portes du paradis
Et on te dédie,
Que je t'aime Johnny.
Jérôme de Mars
Les sept dépêchés capitans
A l'église dépêchez-vous les sept péchés capitaux ordonnent la parole de Dieu en argent comme c'est le nef de la guerre et qu'en adonnant sa parole à Dieu la parole est d'argent et le silence est d'or en donnant l'hostie qui s'est dépêché de pêcher la colère qui est un péché d'avarice en argent dont l'avarice a pour argent comptant l'envie de péché d'orgueil qui s'est dépêché de pêcher la gourmandise qu'on se le dise dans la paresse qui est un péché et qui s'est dépêché de pêcher la luxure dans le péché de la luxure vice à vice de la gourmandise de l'envie d'orgueil quand l'avarice en paresse met en colère la varice, comme les sept péchés capitaux ont le silence d'or mais la parole d'argent car la parole est un péché d'argent qui s'est dépêché de pêcher les sept dépêchés capitans car la parole est un dépêché en argent qui tient parole lorsque le péché s'est dépêché de dorer l'argent dans un silence d'or qui a parole d'argent dépêché de ne plus être un péché en or car la parole est d'argent et le silence est d'or quand l'argent se dore en parole d'argent au silence des sept dépêchés capitans.
Jérôme de Mars
Les maux sans défense émaux d'enfance
Pour mémo, y a démo
Que je me rappelle
A la pelle,
Comme ce sont les maux
Sans défense,
Emaux d'enfance
De l'innocence,
Qui se reporte
Et m'emporte,
Avec outrance
Et transe dans l'offense,
Dès lors que l'adulescence
Ne sait chiffrer les dégâts d'importance,
Qui en découlent sur l'insignifiance
D'un code devis où je ne vis,
Car je ne l'ai pas reperé
Et cultivé assez pour le ramasser,
Et pour amasser la fumée
Du calumet de la paix,
Comme les maux sans défense
Dans la loi du silence
Te gloussent à toi,
Pousse-toi
Sont mémos sans défense,
Et émaux d'enfance
Qui m'offensent,
Par le défaut de mes tremollos
L'autre mémo,
Qui me va à vau-l'eau
C'est je m'en fous,
Comme t'es fou
Et qu'on se fout et contrefout
De tes os de vie,
Qui te dévient
Et qu'on se fout
De tes démons de vieux garde-fou,
Comme les maux sans défense
Coïncident au paris de la défense
Par démos et mémos,
Et maux d'enfance
Que tu prends tout,
Aux mots
De la résistance,
Sur l'insistance
Qu'il te faut,
Une assistance
Pour te comprendre homos,
Quand on te médit
Et te maudit,
Ca ne nous regarde pas
Que tu regardes en arrière
Avec des oeillères,
Car t'as vu les dégâts
Avec des gars,
Qui te regardent de travers
En omettant des barrières,
Comme dégâts
Deviennent des gars,
Avec les maux sans défense
Et émaux d'enfance,
Qui joignent
Et rejoignent la poigne,
De ton irrévérence
Absolue, où pour recoudre,
En découdre et résoudre
Tes différences,
Rien de mieux
Et de plus radieux,
Que de les convertir
Du pire à la satire
Et pour rire et pourrir
Avec plaisirs,
Que tu leur dédies
Tes maux en mots,
Qui désavouent leurs quiproquos
En leur avouant pour t'en foutre,
De ces ploucs pour qu'ils restent
Dans leur foutre de poutre,
Et que tu vénères
Ceux qui te louent
Leur amitié avec que du redoux,
Et que ceux qui te rendent vénères
Tu t'en fous et tu leur alloues
Qu'ils aillent se faire foutre,
Avec les fous qui les gardent fous
Et tu gardes à feu doux,
Tes amis qui te disent en fatrie
Vice et versa, on te donne un coup de pouce
A toi, pour que tous les cons,
Tu leurs médises en chansons
A la bande
En contrebande,
Pousse-toi de là
Avec tes vieux rabats-joies,
Dont je n'ai rien à foutre
Et va te faire foutre,
Avec ta contrebande
Qui débande,
Et moi, pendant ce temps-là,
Je termine en alleluia
Ca ne me regarde pas
Ce que toi et ta contrebande,
Tu débandes dans la débande que tu bandes
Ebats en tombant bien bas,
Car moi je regarde vers l'Aven
En prenant les devants,
D'autant en emporte l'avant
Des maux sans défense,
Qui mûrissent en mots
Sans offense,
Dans la révérence
Qui modifie,
Le code dévie
En code de vie,
Emaux d'enfance
En démos défense,
Assurance devis
Pour la suite en résilience,
Réassurance de vie
D'un codevi,
En assurance de vie.
Jérôme de Mars
Noël en paix !
Au calendrier de l'Aven,
Allons de l'avant
A l'approche de Noël,
Avec effet boule de neige
Qui agrège et abrège,
Si la fête sent le sapin
Alors qu'avec un bon sapin,
Ca sent le patin, où sourit
Et rit
Les vents qui jettent un froid,
Mais qu'on surpasse en joie
Et en se réchauffant avec du bois,
Comme on y tient aux prunelles
De nos yeux pour concocter
Un Noël en paix au coin de la cheminée
Agrémentée et aimantée d'un répit,
En éclaircie de toutes ces années,
Commises d'office dans la mélancolie
Endolorie mais qui se calme, dès Noël
Dans un court instant d'amour au Missel
Des cieux qui entourent
La tour aux paroles d'argent et aux contours,
D'un Noël en paix dans la fraternité
Et le respect de nos jeunesses avec quelques regrets,
De n'avoir mis de l'engrais qui auraient donné
De la fierté et de la beauté durant ces séjours
Trop courts dans des rayons de soleil naturels,
Quand personne ne s'enguirlande dans les sapins
De Noël et que le Père Noël a les boules,
Si les gens dénigrent leurs enfances avec railleries maboules,
Comme peaux de vaches qui rient et charrient les guirlandes
Qui s'emmêlent et s'emmêlent pêle mêle aux landes
Même si c'est pas Hollande qui met les pis bas, tandis
Que pour dénouer les fils emmêlés, il faut s'en mêler,
Pour les démêler dans l'amour de son prochain
Et qu'ainsi, les fils démêlés retrouvent le fil dérisoire,
Et perdent le fil du rasoir pour qu'il s'épanouit
Au fil arrosoir et abreuvoir de tendres histoires,
Le soir de Noël dans la lumière débonnaire
En paix, pour trépasser les marchés de Noë patibulaires,
Et les démarcher en innocents marchés de Noël des bon airs
D'un Noël en paix réconcilié avec la vie et ses contrepèteries,
De l'an vert du décor Au Vercors, pour que l'ombre ne soit
Que plus l'ombre de la lumière en frères lumières de l'unis vers.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi fait-on un cancer de louanges à Johnny depuis qu'il est malade ?
- Parce-que c'est Johnny Alité !
2) Qu'est-ce-qui est à la mode ?
- Un prêt rapporté !
3) Qui a posté la lettre ?
- Un con, car il compostait la lettre !
4) Pourquoi suis-je un mort-vivant qui fait déchanter les gens avec des cancers de louanges ?
- Parc-que c'est Jérôme !
5) Qu'est-ce-qu'un attentat décalé d'une heure pour mieux exploser à Grenade ?
- Une bombe à retardement !
Citation : Un matou remue la queue pour séduire une chatte !
Jérôme de Mars
Pèlerinage à la conquête de soie
Voyage avec son bâton de pèlerin,
On parcourt en amont notre dessein
Qui nous démontre la quête des ramages,
Des images aux rois mages
Qui nous transmettent le pèlerinage,
A la conquête de soie
Aven le naufrage
A la requête du chacun pour soi,
Où seule la foi
Nous sauve notre destin,
Avec le pèlerinage
A la conquête de soie,
En nous procurant le parchemin
De la dignité ainsi soit,
A suivre pour distribuer
Des hommages,
Dont on tend la main
Aux humains,
Pour leur insuffler
Les adages
De la vie en communauté
Dans la société,
A tout âge des nuages
Aux parages
Dans le marivaudage,
Au pèlerinage
A la conquête de soie,
Où l'on s'assoit
A repérer le chemin
De soi,
Avec son bâton de pèlerin
Pour nouer
Entre copains,
Une amitié
Dans le respect
Chrétien et puritain,
Où la foi
Du messager divin
Nous sauve du mauvais destin,
Pour nous réconforter demain
Dans l'amour de la paix
Et de la loyauté,
A la quête de notre appel intérieur
En route vers le meilleur,
Au pèlerinage
A la conquête de soie,
Du passage
Du dommage
Du chacun pour soi,
A l'hommage
De tout pour tous,
Un pour moi
Et un pour toi,
Bien au-delà
Et en joie,
D'un coup de pouce
Point d'ancrage,
A la conquête de soie.
Jérôme de Mars
Danse c'est cadencé
Danser c'est condenser qu'on dansait à redondance c'est
La danse c'est cadencé à contre danse c'est l'intendance ses
Abondances qui dansent ces redondance ses contre dansés
Q'on dansait cadencé à danser là qu'on danse sait
Les dents ses dans ces de cadencer les contre danse c'est
Contre dense ces redondance ces à bon danser
La chic des cas dansés c'est qu'a dansé la dance ces
Cadencez qu'on dansait maintenant dense c'est qu'a contre dansé
Là dansé cadencé qu'a dansé la zoubida à bon condensé
Là qu'on dance ses dès qu'à contre dansait la contre dansait la redondance sait
Que danser la contre dense sait qu'à redondance ces abondance hé et c'est dansé
La dansait OT dansant ces cadençait condensait ces contre danses c'est cadencé.
Jérôme de Mars
De long en large
Nous sommes vendredi la tête au carré au périmètre très carré et contrecarré par
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cercle des poètes dix parus de pis en pis et pis tant pis si le dépit souffle un eire
Jérôme de Mars
On ne choisit pas sa famille, on choisit ses amis !
Dans le ventre de sa mère embryon
Qui fabrique ses futures fonctions,
A l'unisson foetus
De l'état de prépuce,
A plus tard si son être devient une puce
Point à gratter mais formé et préparé
A la dure réalité de notre société,
Où l'on naît dans sa famille
Pas toujours facile et quelque peu faucille
Et ses amis dans le partage de la confrérie,
Comme le proverbe haut le martèle
D'untel à sa stèle,
On ne choisit pas sa famille,
On choisit ses amis,
La famille avec le dépit
Et les amis de vaches nourricières
De pis en pis,
Alors que dès le moindre problème
Les amis ne nous aiment,
Mais la famille nous sème du réconfort
En renfort de notre assurance-vie sans être le coffre-fort
De certains amis qui profitent de nos étrennes,
Alors que nos affaires personnels ne les concernent
Nous répètent-ils sans cesse avec stress
Sur les cheveux en détresse,
On a peu de vrais amis,
Comme un seul et unique suffit
Comme une grande crème,
A la place du surplace d'une fratrie
Soi-disant d'amis mais qui
Au final, nous causent des problèmes,
En anticipant notre innocence
Précoce et nous mettre devant le fête accompli,
Qu'il faut trop en avance couper le cordon ombilical
Et nous raccorder dans une cordée patriarcale,
Comme les amis foutent le camp, la plupart,
Dès qu'il y a une tare de retard qui retentit le tintamarre
Seuls les vrais restent un ou deux,
Au mieux dans les hauts et les bas des aléas impétueux
Vous avez remarqué depuis le temps autant
Les amis ne vous appellent,
Comme ils passent d'antan à maintenant
Sur Internet avec des amis virtuels pour remplacer,
L'être par le paraître d'hêtre fataliste à grossir les insatisfaits
De la vie pas net au net artificiel et contrefait,
Où on ramasse à la pelle davantage de râteaux de pelles
Au lieu d'un roulage de pelle pour conter fleurette
Dans les bluettes post-adolescents de petites amourettes
Les amis ne remplacent pas la famille,
Mais une famille désunie vaut moins qu'une bande d'amis
Réunie et qui réussit à rester souder,
Malgré les alarmes des larmes que la vie nous décale
En chagrins et désillusions qu'on est de passage à durée déterminée,
Et qu'il faut en tirer un bon usage de notre existence,
Avant la sentence de l'échéance et le dernier jugement soit affable
Ou coupable de n'avoir été raisonnable,
Avec souvent en coupe-vent le purgatoire ou la pénitence
De nos péchés qu'il faut se dépêcher à s'absoudre,
Pour recoudre de bon liens avec nos amis
Et la famille avec une rafale de joies et d'envies,
Aven d'en découdre en début damné avec le sacrilège
Ou le privilège de notre itinéraire qui sera dépeigné en comité
D'un dernier tour de manège,
Où l'on se rappellera les bons souvenirs comme du pire
De notre avenir qu'on expire,
Le jour de l'inventaire sur terre
De la mère à la fin élémentaire,
On ne choisit pas sa famille,
Pour être gentil
Mais on choisit ses amis,
Pour fourmiller de sympathie
Et véhiculer des valeurs positives,
Avec nos amis loin de l'éruptif pour être captif
Et avec la famille, on reste subjectif et évasif,
Pour éluder les sujets fâcheux
Et pour sembler joyeux et radieux,
Alors qu'avec les amis, on peut
Se montrer généreux et parfois orageux,
Car la famille certes est gentille,
Mais ne nous comprend pas toujours
Et souvent nous méprend au sérieux,
Tandis que les amis certes préfèrent les jours
Heureux mais avec eux
On peut se confesser avec confiance, mais en gardant une distance,
Comme avec la famille, où il faut jouer un rôle de tolérance et de patience
A s'en mettre au ventre des noeuds,
Se rappelant notre enfance
Et ses bleus au ciel contrasté et pernicieux,
Mais la famille quand elle est vieille,
Attend de nous les jeunes qu'on les appelle,
Comme ce sont aux jeunes de prendre des nouvelles
Malgré leur orgueil et avec les amis, pour avoir
Du plaisir, il faut entretenir le lien en donnant à boire,
Pour réhydrater les discussions,
Même si on tourne en rond
Pour cela, il vaut mieux ne pas avoir de ronds,
Et faire allo, en faisant des ronds à l'eau
Pour se faire désirer par les amis,
Appelez votre ami,
Désiré, pour créer un manque
Dans la planque des calanques,
En ne lui téléphonant pas volontaire
Pour s'apercevoir si à la longue, ce sera
Un ami sincère,
Qui se soucie de vous
Et vous apprécie beaucoup,
Pour ne pas tuer la relation,il faut savoir
Se faire rare,
Et que chacun son tour
Téléphone,
Comme tel est fun
Et pas que dans un seul sens,
Pour ne pas qu'il encense l'encens d'un non-sens
Souvent par expérience, avec les amis, il faut se préserver
Et se protéger d'éventuels secrets à dévoiler,
Pour ne pas les révéler au mauvais mais aux vrais
Amis qui le resteront et vous prouveront leur bonhomie
Avec un ami, pour cultiver le bien de votre intérêt d'amitié,
Il vaut mieux perdurer joyeux
Et ne pas l'encombrer avec des détails trop nuageux,
Pour que l'éclaircie rejaillit
Sur son sourire
Et son rire,
Et partagez d'accoutumance et le silence
Des moments de grandes virées dans l'insouciance,
Comme ça, il aura envie de vous voir
Et de vous appeler pour vous le rappeler,
Comme avec la famille, où il faut garder
Et sauvegarder un jardin secret,
Avec quelques mystères
Que vous révélerez lors de l'inventaire,
Pour taire la méfiance des gens
Et convertir vos tourments
En un mistral de beau temps,
Aussi bien avec la famille
Et les amis,
Qu'il faut prendre à contretemps
Dans le respect et les compliments,
Pour ne pas que le bonheur
Fasse place à la frayeur
De votre intérieur,
Etalé et épanché à l'extérieur,
Pour conserver Alex rieur,
Et vos amis à plusieurs
Dans des lendemains meilleurs,
Comme on ne choisit pas sa famille,
Mais dont on choisit leur sympathie
En synchronie avec les amis,
Qu'on choisit avec leur appétit gentil
De la vie par si par là,
Enfin voilà une abondance
De bons moments en recouvrance,
Dans la maison du bonheur
Rigolons tous en choeur !
Jérôme de Mars
Fais-moi une fleur !
Sidney Bechet, de ta petite fleur,
Fais-moi une fleur,
Qui respire le bonheur
En toile de fond avec ses rougeurs,
Comme des pétales de roses
Sur des feuilles de roses,
Dont la tige grandit avec la rose
Devant les bégonias,
Qui épousent les hortensias
Sur une musique des dahlias,
En slam d'alléluia
Sang que les orties,
Ne piquent le coeur d'amour des roses
Du trèfle à quatre feuilles aux doux mots d'amour roses,
Qui gênaient les patiences des pensées
De Lino Ventura dans l'association des Perce-Neige,
Qui arrosent les véronique et les genêts
Sur une musique de Jean Genet,
Parmi les gens gênés qui pissenlit
Dans leur lit
Avec Ulysse Aux Ulis,
Dont les violettes
Lui chuchotaient qu'est-ce-que tu plantes là ?
Et à sa place, Mimosa répondit qu'il contait fleurette,
Avec des lilas
Au champ des lys
Et moi avec Elise et moi,
Grâce à l'embellie pulmonaire
Sur des airs de primevères
Qui récitaient du Prévert,
Avec des tulipes dans le viseur
De l'iris des yeux aux bleus enjoliveurs,
Et rêveurs que Van Gogh leur vendait ses tournesols
Aux fleuristes qui envoient en mai
Sage le muguet désormais,
Préservé de l'amour du soleil par les parasols
Protecteurs entre le sol doré facile et les jacinthes,
Qui se perdent dans le labyrinthe de l'abcinthe
Qui soûle les géraniums,
Terrassés par l'opium en sérum
De vérité comme ces rum, c'est des rum
Et CD ROM dont les chemins mènent du rhum
A Rome,
Quand les marguerites font une fleur
Aux nénuphars comme c'est le bouquet,
De laisser tranquille
Les jonquilles sur la quille,
Et l'heure
De battre en retraite les oeillets,
Aux oeillères
De Baudelaire,
Où a assez soufflé la misère
Des pivoines
Avec Marc très à cheval sur l'avoine,
Où il serait tant que la fleur
Soient renouée avec l'orchidée,
Qui a renoué avec les idées
Claires pour le meilleur
Des fleurs, car fais-moi une fleur
Pour Les Noces de Figaro,
Aux mots méli-mélo
D'une variété qui effleure,
La partition des décibels,
Des si belles
Fleurs dispersées en ordre de grandeur.
Jérôme de Mars
La Société générale
Coucou, chers êtres francs,
C'est le lancer franc
De ces francs ces,
Aux barricades
Sur l'estrade,
Pour ces Français
Au vent du mistral
Des petites gens,
Pour qui
Et à qui, ça semble acquis,
Si on ouvre
Le bal
Dégénéré,
De cette société générale
Que l'on déballe
Dans le boucan,
Car elle ne nous emballe
A Ok Corral
Dans la chorale,
Que l'on dépasse au scanner,
Tant que la misère
Dépense la pensée
Unique et iconique,
Car c'est des laser
Ironiques et magnétiques,
Qui remplacent
La place par le surplace,
De l'artisanat au marketing
Sophistiqué ultra techno,
Technocratique et bureaucratique
Statiques révolutions synthétiques,
Aux ultras rayons X
Qui démarquent leurs coûts de crayon,
Et qui le marquent dans le rayon
De couleur remarqué crayon de l'oseille X,
Tel est films X,
Et X
Personnes à l'équation X
Y, où l'on se pose des questions
Que l'on dispose en interrogations,
En se remettant et en faisant
Le point d'interrogation,
Vis à vis
De la société générale,
Qui a remporté la coupe de vice
Qui nous morfle du mâle,
Et nous sniffe
En animal
De balises de tresses,
Qui nous vocalisent
En valises
Détresse, qui nous oppressent
Et nous pressent,
En tirant tout notre jus et en surpassant
Le vers
A l'orange, comme des citrons pressés
Et compressés,
D'avoir trop raison
Vice à vice
De la société générale,
Qui met Paris plus bas
A la banque populaire
Et pécuniaire,
De nos étrennes
Qui traînent,
En repassant au scanner
Complet de pourquoi
Et à quoi,
La société générale
S'est dessoudée,
Pour déboîter le levier
De sécurité,
Qui souffre le souffre
Au bord du gouffre,
Qui râle
De nos angoisses abyssales,
Dans cette société générale
Qui extrapole,
La culture du monopole
De la pôle position,
Au pôle nord
Qui perd
Le nord,
Au globe trader
De DSK,
Qui vide ses bourses
Au k par k
Au choix de la bourse
Ou la vie,
En courses
Qui met KO les faibles moins forts
Et émet OK ( au cas ) où en haut
De l'affiche,
Qui défriche
Les mécréants espiègles et plus forts
Qui gonflent le coffre-fort,
En faisant bloc
D'urgence en éminence,
De la finance
Déloyale et brutale,
Dans les annales
Qui dégonflent le bloc opératoire
En manque d'effectifs,
Comme il manque le kif en rectificatif
De l'intérêt
Reporté aux soins,
Pour sauver les malades,
Où l'on sauvegarde
Sans garde-malade,
La mascarade
Que l'on préserve
Sans réserve,
Au besoin
Des gains
Sans dérobade,
Comme la société générale
Nous ballade malades,
Afin que malin, l'abordage
Sacrifie le scalpel
Au naufrage,
Pour les avantages
Avec garantie,
Qu'on épelle
Le prix
Des conflits d'intérêt,
A l'intérêt du médecin libertin
Impatient que son argent,
Soit au détriment du serment
D'Hippocrate sois-disant
Anthropologue et pédagogue,
Dans son monologue
Enclin d'oeil
A se rincer l'oeil,
Aux frais du malade
En simple client,
Qui a servi
La finance,
Qui a asservi
La négligence sans importance,
Aux inconvénients
Des pauvres,
Et aux avantages des riches
Qui s'en fichent
De l'aumône et des apôtres,
Comme le diagnostic
De La France,
Affiche fatidique
Le reflet de notre époque moderne
Et très subalterne,
Avec des attitudes agnostiques
Et amnésiques,
Dans la loi de l'oubli véridique,
Que seul l'argent sale
Gouverne terne les gens médisants,
Riches qui défrichent
Et râlent
La morale,
Pour remplir les sales
Avec leur voix amorale
Qui déclinent
La société générale,
Bancale et vénale
Au programme fatal,
Que plus rien ne tient debout,
Comme les petites gens
En conflit de générations,
De la défiance
A l'indifférence
Ne se réconcilient
A croire
Encore en l'espoir,
De ceux qui en valent la peine
Et à déchoir au mouroir,
Ceux qui valent Le Pen
Avec les tourments
Qui croulent
Et s'écroulent
De bonne facture,
Sous un tas de papiers ignorants
Qui ne prouvent que La France
Préconise et harmonise
L'empathie avec la sympathie,
De ce pays
Qui réprouve la léthargie,
Pour qu'il y ait synchronie
Avec davantage,
De justice sociale
Engage
D'un service jovial,
Car on a fin de marivaudage
Dans un bel élevage
Qui marie non volages,
Le langage
Avec l'adage,
D'il y a pas d'âge
Dans le respect
Et la fraternité,
Car y a pas de mâle
A rester solidaires
Sur Terre,
Bien que la société générale
Naît plus une lumière,
Mais dont il faut
La perdurer,
Pour oeuvrer en paix
Dans une société générale
En général,
Et s'aimer en frères
De nos prières
Qui Ave L'Abbé Pierre,
A l'édifice de son sacrifice,
Pour ériger une société générale
Qui met sa pierre
A l'édifice,
Et émet un roc de pierre
Avec un sacré coeur place de l'église,
A l'office
De La Terre promise,
Sur laquelle on mise
Rallumez enfin le réverbère !
Comme on est sur Venise
A Naviguer au Paris des lumières,
Et à chantonner Noël
Tous les jours troubadours,
Lorsqu'on passe le Tours
Aux marabouts
De l'univers
De la société générale,
Comme il pleut un ciel
Qui pleure misère
De tendresse,
Au Carrousel
Qui l'ouvre,
Le trésor en rafale
Avec beaucoup
De caresses,
Car après avoir avalé
Des couleuvres
En hors-d'oeuvres,
Voici l'aval et
Des bonnes oeuvres,
A la manoeuvre de l'oeuvre
De la société générale,
En général
Mon cher général.
Jérôme de Mars
Paroles d'anciens présidents qui ne les ont pas retenues mais les ont tenues
Trois ex présidents discutent au-delà de l'imaginaire connectif :
François Mitterrand : - " Bonjour Mr Chirac et Mr Giscard, c'était bien mieux de mon temps La France car au moins, c'était la force tranquille , n'est-ce-pas ? "
Jacques Chirac : - " En effet écoutez,écouta, La France était mieux de notre temps autant en emporte l'aven du calendrier car avec moi c'était Noël tous les jours, lorsque j'étais premier ministre de Giscard, ce vieux sourd comme un pot morose, je l'ai convaincu de créer L'AAH pour les handicapés, car d'antan, La France avait un handicap et demeurait paralysée à L'APF par leur handicap de ne pas être ouvert à leur handicap, car notre handicap était de rester renfermé envers eux, et de les préjuger aux idées reçus, car avec moi L'AAH signifie, Action d'Accompagner L'Hospitalité, car aven, les gens semblaient chaleureux, polis, respectueux et solidaires car maintenant, de votre temps avec Macron, les gens sont agressifs et égoïstes et cyniques et méchants, s'en foutant de tout et en étant râleurs, et on ne pensait pas qu'à l'argent mais à l'humain, du temps de Mitterrand et de moi présidents, il n'y avait pas d'attentats de l'ampleur que vous, Les Français, vous connaissez à votre époque, en en faisant tout un dessin avec un cancer de louanges avec la mort de tous ces artistes qui déchantent les dessinateurs qui avaient mauvaise mine avec leur coups de crayon car avant La France n'était pas dans La Daesch et avait Coluche comme coqueluche,et ambassadeur, d'une France black, blanc et beurres dans les épinards qui se restauraient aux liens du coeur d'artichaut, et notre silence était d'or et se bronzait aux actes en argent qui tenaient parole et qui doraient le soleil qui restaurait La France qui se mettait en quatre en prenant le pli ! "
Valéry Giscard D'Estaing : " Certes, j'étais conservateur et réac, mais j'en prenais acte, en faisant signe d'ouverture où Mr Chirac avait toute sa raison de créer L'AAH pour faire preuve de signal d'ouverture sous mon égide, et plus tard Monsieur Raymond Barre premier ministre à cause du handicap de Chirac que j'ai évincé en le faisant devenir sans impair, le maire De Paris, et Raymond Barre sous mon joug avant qu'il se barre et que je le rembarre et qui m'avait prédit " c'est gonflé " , et qui avait crée Les APL, pour mettre la pierre à l'édifice des logements, et après les trente glorieuses, et mon départ en 1981 de L'Elysée, je fis les champs d'Action avec mon lys, de La lettre a Elise et moi, avant que La France se dégrade avec Mitterrand, pendant ses 14 années de désarrois et Une France qui s'est enlisée dans l'indifférence et l'individualisme chacun pour soit. "
François Mitterrand : " Monsieur Giscard, vous racontez des balivernes de douze travaux de l'être à Elise et moi, alors que moi si j'étais élu président c'est grâce aux Français qui m'ont élu après que je les ais suppliés de voter pour moi, en leur convaincant avec ma force tranquille dont je leur scandai : - " Elysez-moi pour que je fasse mes champs Des Lys et d'action ", et grâce à moi et à Michel Rocard, premier ministre, on a crée le RMI, Retenez mon invention, comme ça La France ne fut plus handicapée et paralysée par L'APF, mais ouvert aux fenêtres détends modernes, et vous vous trompez MR Giscard, de Montand La France était Yves de solidarité et de bienveillance sans soûler Les Français qui avaient foi en moi et c'est après du temps de Sarkoy et d'Hollande, que La France est devenue un pays bas avec Sarkozy qui créa Le RSA, le revenu sans activité, et maintenant, par tous les courants, partez en courant vers l'apolitique, de Macron au Macaron, des banques, qui y voient leurs conflits d'intérêt, sans intérêt pour Les Français, car avant La France avait La Gaulle, qui s'est fait gauler maintenant en général et qui vous mènera en bateau ici bientôt vers La Marine Le Pen qui le Pen le général de la Gaulle, à l'affront national ! "
Jérôme de Mars
Tiré par les cheveux !
Tiret ouvert
Sans filet,
J'ai enfilé
Une posture
De coiffure,
Où j'ai étiré mes vers
Tirés par les cheveux,
Chauves hein
De gredin,
Et chauvins
Avec Alexandre hein,
Lorsque je hausse
Ma liberté de ton,
Que je rosse
Ton ton
Très jojo,
Et que je brosse,
Dès que je tonds
Ton Jojo
Qui médit
C'est ton choix,
Et me dédie
En enfant roi,
Comme c'est tiré
Par les cheveux,
Et étiré
En jouant avec le feu
Des pierres à feu,
Feux et tirées aux vers
Des revers décoiffants
Aux cheveux ébouriffants,
Dont la touffe
Etouffe la touffe
De maman,
Faux revers,
Vers ici et maintenant
Et tirets over.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Johnny Hallyday peut-il souffler après être sorti de l'hôpital et être rentré chez lui ?
- Parce-qu'enfin, il peut respirer !
2) Pourquoi Johnny Hallyday est-il essoufflé avec ses problèmes respiratoires ?
- Parce-qu'il a fait un tabac après avoir enfumé sa bouffée d'oxygène !
3) Pourquoi tout le monde soutient-il Johnny Hallyday depuis qu'il est malade ?
- Parce-qu'on lui fait un cancer de louanges !
4) Qu'est-ce-que ça fera quand Johnny Hallyday va casser sa pipe ?
- Il partira en fumée !
Jérôme de Mars
Mille feuilles
Au tome d'un livre,
L'automne précède l'hiver
D'hier à Hyères,
Avec un déploiement de colombes
Qui vagabondent d'un lobe,
En octobre qui enivre
Le tapis de mille feuilles,
Tapi dans l'amas d'un fauteuil
Configuré aux sols qui dérobent,
Les tremblements de terre
Tous azimuth en joaillerie d'hécatombes,
Qui tombe du ciel grise mine
Avec des crayons mauvaise mine,
Qui dessinent une pléthore
De mille feuilles mortes qui claquent,
Les flaques d'eaux grâce au médiator
Qui gratte un solo de guitare et qui flaque
Les mics-macs à tire-larigot,
De la faim des haricots
Qu'égrène le triomphe saisissant
De mille feuilles conflictuelles disposées en rang,
Et qui givrent en froid des giboulées apparents
Sur les toits des maisons dans les bois,
Quand les flûtes désenchantées ramènent une bossa
Nova qui innove ah les mille feuilles mortes
De Prévert, sur la mer morte
Rouge de la mer pochtronne qui soûle ses humeurs linéaires,
Au souffle du froid d'hiver
Bipolaire vers les antipodes des tropiques
Qui sourient le soleil cataclysmique,
Entre deux mouvements contraires de chevreuil
Sur le sol jonché de mille feuilles,
Qui décantent les écureuils
Qui jalonnent leur simple gentillesse,
Avant la régénérescence de la saison du printemps,
Dès que l'hiver fout le camp
Et jette un vent au soleil plombant
Sur la stratosphère en liesse,
Prêtresse
Du strabisme
Et du snobisme
Des mille feuilles,
Qui retranscrivent les effets de seuil,
Sur le seuil de la porte
Des mille feuilles fortes,
Logées à la même enseigne des arbres aborigènes,
Unitaires et homogènes,
Pour taire vers sévères
Ces vers vers
L'inertie bouc-émissaire
Des émissaires pouvoirs publics,
Debout sur les bancs poétiques,
Dont les mille feuilles
Réécrivent avec leur oeil
De vert,
Un monde paisible,
Où en âmes sensibles,
Elles aimeraient vivre
Et habiter ivres
Un pays possible
Et comestible,
Qui en découlerait un village flexible,
Où les gens contents demeureraient
Des crèmes à fouetter
L'indifférence en fréquence
Et à choyer l'humanisme en abondance
De mille feuilles d'aisance,
Avec leur nuance
Couleur expresso café eldorado,
Car ça serait désormais du gâteau
A Chantilly mille feuilles,
Au seuil
Des effets de seuil,
Sur le fauteuil
D'hiver réfractaire,
A la révolte directe et volontaire
Qui aurait été
Et aurait élu l'été,
Pour que le printemps
Se rit d'antan,
Autant en emporte l'avant.
Jérôme de Mars
Le monde des bisounours
Au pays de La France,
La science exacte
C'est la finance
Sans tact,
Comme on prend acte
Que la société générale
Se mue paiement sans contact,
Tandis que d'antan,
On payait en nature
Les gens,
Pour vérifier s'ils étaient aimants
En toutes circonstances
Et sans parures,
Avant que La France
Sombre dans la loi
Du silence,
Du chacun pour soi
De l'ignorance,
Comme on n'est plus
Dans le monde des bisounours,
Mais dans la course
A la bourse
De la vie,
Qui devise et dévie
Dans une folle course,
Sans connaître la direction
Que méprend la société générale,
Qui se fructifie vénale, originale,
Bancale ou idéale
A se demander si on existe
Encore à l'étoile de la grande ourse,
En remontant à la source
D'égal à égal,
Ou si on ne résiste
A l'ostracisme
Et au racisme
Des couleurs de peau
Qui font la peau,
A la différence
Normale, pas normale
Et fatale
Des orientations sexuelles,
Politiques, physiques, sociales
Ou sociétales,
Que ça gêne héréditaire
Et anxiogène cent commentaires,
A tomber d'étincelles,
Si L'Aïd
Est caïd
Et la viande Halal
Est animale,
Comme si la religion
De L'Islam,
Is slam
Contagion,
De ce slam mélodrame
A la conclusion
Etirée, que c'est légion
Lésion et liaison dangereuse
D'incrimination douteuse,
Que cette religion
Est ressources
De points de contusion
A l'appoint de contamination,
Et que les gens n'ont plus
De morale,
Car il est incongru,
Amoral et amiral
Depuis le général
De gaulle,
Que La France n'a plus la gaule,
Distendue et dépourvue
Avec les malentendus ardus,
Comme La Gaule
S'est fait gauler par la crise asociale
Des valeurs
Et de l'honneur,
Où l'amour amorce
Et divorce
Avec des conflits sourds,
Les relations de longue durée
En affections de longue endurée,
A la sécu
Du cas social,
Et que le respect
A foutu
La paix
Au mépris,
Car il pressent
Et sent
Qu'il ait m'est pris
Et à prix,
Que seuls l'argent
Fait le bonheur
Et que les paroles restent du placebo
Sans saveur
Vers le haut,
Alors que les maux de la société générale
Sont un manque de contact
Humain entre copains
Et amis,
Car elle se délie
Dans le libéral commercial
Mesquin et aux dents de requins,
Car l'argent n'a pas d'odeur
Et demeure
Le nerf de la guerre
Depuis naguère,
Et soupire la noirceur
De notre monde
Qui s'inonde
Dans un océan d'insultes
Et dans le tumulte
Des sans-logis,
Où plus personne n'est à l'abri
D'êtres dans les débris,
Du bruit douloureux
Des jours pluvieux
Et superficiels,
Aux relations virtuelles,
Conflictuelles et factices,
Où l'on ne connaît la notice
Pour désamorcer ces crispations
Et ces tensions
De cette bombe à retardement
Qui plombe en durant
Des plombes
Avec des trombes
Sur notre monde courant
Qui fout le camp,
Dont on sonde
Les ondes
En émettant des micro-ondes,
Négatives
Ou captives,
Pour les interroger
De comment procéder
Objectif et actif,
Pour arriver à l'objectif
Que le monde se relève positif
Avec de l'amour réel,
Pour changer l'indifférence,
Dont La France
En singe l'irrévérence,
Afin de la convertir en bienveillance
Qui en découle une influence d'accoutumance,
Dont on a bien besoin
Avec la tribu de la solidarité,
Comme enfin se justifie au moyen
D'avoir quelqu'un,
Que l'on embrasse de bisous nounours,
Car bonjour
Et bienvenue,
Au monde des bisounours
Et de l'amour.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi les femmes sont-elles poils à gratter ?
- Parce-qu'elles aiment les poils au cul !
2) Qu'est-ce-qu'un gorille qui pète comme son frère ?
- Une singerie.
3) Quelle est la différence entre toi, Christophe et moi ?
- Toi, tu es entier et moi, je suis rentier.
4) Pourquoi aimerais-tu que ta copine soit une femme fontaine et ta plante ?
- Pour qu'elle arrose les fleurs avec son eau de vie.
Jérôme de Mars
L'autodérision d'un poète
A vos coups de crayon,
Le poète trublion
Connaît sa première autodérision,
Sur décision
De sa bonne action,
Qui lui donne l'autorisation
De tailler des costards,
A l'instar
De la guerre des toiles,
A poil
Couillu avec des vers
Et des pas mûrs,
Sur le mur
Des lamentations,
Où le poète
Medhi fouette
Sa verve
Sans réserve,
Comme une crème fouettée
A la moulinette,
Qui gesticule
Lustucru
Très cru,
Avec des scrupules
Qui en joue jouent aux guignols,
Têtes de gondoles
Avec la troupe des branquignols,
Dans cette poésie stationnaire
Et sans frontières,
Et qui quémande
A quoi ça rime
Dans la loi de l'offre et de la demande,
En jetant l'encre
Qui arrime,
Qu'encre
Tête de cancre,
Qui racle les fonds
De tiroirs
A la recherche de la nouvelle star,
Avec des plans sur la comète
Cosmique et comique
Sur le boulevard de l'univers pacifique,
Comme c'est pas net
Les saynètes du poète,
Si c'est net qu'il enterre la hâche
De naguère, qui se lâche
En commentaires,
Si on lui tire les vers
Innés de sa rage,
Qui épouse le courage
Brave sous scellé de sa bâche,
Qui cache
Sa mauvaise image,
Par une prose
De rétropédalage,
Ne sachant si elle rafle
La rafle
Des petits vélos d'hier,
Aux vers doses
De l'osmose
En overdose,
Si elle est carencée
Par la sinistrose
Edulcorée et colorée,
Dans du glucose
Pour injecter du rose,
Quand c'est le bouquet
Petites choses
Des lovers doses
Aux loosers surdoses,
Dans la geôle
De la rougeole
Turbulente dans le cyclone,
Si clone autochtone
Du poète affligé
Et esseulé,
Aux beuveries
D'absinthe,
Qui mettent la fille enceinte
En amplis,
Aux amplis
De Paris
En musique et en fête,
Quand les jacinthes
S'inspirent des idées
Au rire des orchidées,
Si bien qu'au clair
De la une du clergé,
Le poète prophète dessert
La ligne ouverte du destinataire,
Dans l'imaginaire qui se passe de l'abstrait
Et se surpasse dans le concret
D'imminentes parutions,
Dans les zones de pénétration
D'un frottis
Et d'une mammographie,
Dans la symphonie
En saillie,
Et mission air garantie
De Paris
Vers quel Sein,
Se dévouer
A évoquer,
Et se désavouer
A révoquer,
Pour convoquer
Le butin,
Et le provoquer
En bulletin,
De paroles
Drôles,
Envers les rossignols
Sur la place des grands pôles
Positions
Internes,
Comme le poète
N'est esthète,
Mais éthylotest
En-tête
Et en test,
Dès lors qu'il n'est plus
Hein terne,
Mais recroquevillé
Dans une plume ex terne,
Avec un chahut
Dans le bahut
Externe,
De l'autodérision
Du poète décomplexé,
Mission et scission
Garanties subalterne,
Dans sa taverne
Rue des cavernes,
Avec des lanternes
Cent balivernes.
Jérôme de Mars
Mini texte :
Quand l'un dit, que je dis, que ça me dit de passer dix manches à balais à déballer le remue-ménage du printemps !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on de quelqu'un qui en a marre de tenter d'écouter du hard rock ?
- Il en a ACDC
2) Que fait un nain pour aider à moitié son ami ?
- Il donne un mini coup de pousse !
Jérôme de Mars
Sois en paix !
A l'appel du pied,
Pars du bon pied
Sans contre pied,
Et sans te laisser
Tomber dans le guêpier,
A prendre ton gai pied,
Car il te faut le respect
Pour être en paix
Sans méchanceté,
A presque quarante balais
A déballer
Le remue-ménage
Du Printemps,
Comme il est tant
Que tu te ménages
Un peu
Sous un beau ciel bleu
Au frais du bon temps,
Et ainsi, profites-en
De chaque moment,
Si tu te détends
A reprendre content,
Ce que le présent
Peut t'offrir en souriant
Et en espérant clément,
Que l'instant te sera récompensant
Et compensant
Tes vieux antiques camouflets,
Dont tout le monde te les a affublé et préjugé
En une hypocrisie camouflée,
De va-nu-pieds
Et pieds nickelés
D'un sacré toupet,
Mais heureusement,
Qu'autant, de ceux dont tu es l'aimant,
Ils voudraient que tu mérites leur respect
Et que tu sois en paix trempée
Détrempées de toutes tes trempes trempées,
Quand on te répétait que tu n'arrives pas à la trempe,
Car le respect t'était détrempée
Dans ton caractère bien trempé,
Dans de l'acier léger
Que tu crampes sans lâcher ta crampe,
Mais détrompez-vous
Tu n'es pas au garde-à-vous,
Ni à genoux
Dans le collimateur d'un garde-fou,
Et pour cela, il te faut t'endurcir le cuir
En cuir,
Et envoyer aller vous faire cuire
Un oeuf
En faisant un boeuf,
De tous ces maudits,
Merdeux
Et morveux
Qui t'ont fait souffrir,
Pour le plaisir de t'accroupir
Et croupir,
Au silence
De la pénitence,
Mais tu dois t'en dépâtir
Pour repartir,
En prenant ton pied
Et en repartant du bon pied,
Dans le contre pied
De ceux que tu appelles les mafieux
Et les crapuleux,
A jeter au feu
Et à prier Dieu,
Pour qu'il te dédie
Mille et une mercis,
Où tu ne seras plus jamais
A la merci,
De n'importe qui
Dans la médiocrité,
De l'hystérie
Et de la mélancolie,
Car maintenant, tu en ris
Et tu t'en fous,
Que tout le monde s'en fout
Et s'en contrefout
De ce monde de fous,
Filou et ripou
A côtoyer différentes sortes de voyous
Aux trous,
Comme pour le coût,
Plus tu es fou
Et plus tu en ris,
Avec tes amis
Et ainsi, vis
Le respect,
S'il t'adoucit,
Et sois en paix
Pour la vie.
Jérôme de Mars
Le feu vers
Ouvert, je le suis
Serge, comme je te suis
Si tu me ressers-je
Un ver, auquel ma fidélité
Dans le vent de l'amitié
Et de la liberté,
Te sers-je à toi Serge,
Un appel d'R qui roule des mécaniques
En éprenant un bol d'aire synthétique,
D'où tu composes de ton synthé
Des rythmiques de troubadour de musicien
Désoeuvré dans une fosse manoeuvre
Au chef-d'oeuvre du bon Dieu épicurien et magicien,
Démo à toi à mémo
Qui illustrent que je te donne le feu vers,
Pour me mettre au ver de l'amitié
Entre copains
Et m'émettre à la poésie zouave du slam
Comme La Tour Eiffel, cette dame
De fer sur Le Paris Padam,
La ville, où les mots
N'en ont qu'over et couverts,
Car ils sont linéaires
Sur le tapis rouge de La Seine,
Où y a du beau monde
Et où en vers, je te donne le feu ouvert,
Comme la donne de ma maldonne a changé,
Et qu'elle s'est adonnée
Horizon dix vers
Dans cette gamme aux vers,
Où tu m'ordonnes
Et tu coordonnes
Le beau ver de l'amitié,
Où ver sur la société
Du change et de l'échange sur la rue rubiconde,
Rouge de soûler nos coeurs de pierre de chimère
De poètes contestataires
Dans l'ivresse d'un énième ver,
Avec vue et bévue sur nos yeux grands ouverts
Des pérennes mots d'hiver à vents couverts,
Le coeur à l'ouvrage, d'où Serge de ta maison
Imaginaire entre poètes maudits de moi à toi,
Tu me mettras en ver de contact en janvier prochain,
Si vendredi ou si samedi ça me dit et ça te dit
Avec ton ami Thibault dans la grogne du froid,
Pour réchauffer les relations over dans la gamme
Et ouvert sur le slam,
Pour qu'ainsi, ça rame
En chansons et en fanfarons
De larrons en foire dans le métro et ses rames,
Auquel je te donne le final feu vers
De mon oeillère de vers,
Comme à l'un barrière
Avec ton tact feu voyant est ouvert
Et sans barrières.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Johnny Hallyday a-t-il été hospitalisé pour détresse respiratoire ?
- Pour que ça lui fasse une bouffée d'oxygène !
2) Pourquoi l'hospitalisation de Johnny Hallyday pour détresse respiratoire fait-elle grand bruit ?
- Parce-que c'est à couper le souffle !
Jérôme de Mars
Une journée sur La Terre
Un matin aux aurores,
Aurore se lève auréolée
D'un parapluie de cher bourg,
Qu'elle déplie avec la notice
Une journée sur La Terre,
Qui grise la pluie dans une serre
Qu'irrigue le printemps extraordinaire,
Assis sur le piano mélodieux en une flopée
De balcons dans la cour
Des grands qui appellent le démon de Midi,
Aux prémices qui entérinent la terrine du pâté
De maison le long du Vercors
Dans l'an vert du décor dérobé
Une journée sur La Terre,
Dans la rizière qui rit
Vaches enragées sur le parterre,
Des caprices qui s'immiscent
Avec malice, dès l'armistice,
Qui retentit au moment promis
En entendant le public lui signifier merci,
Une journée sur La Terre
Fétiche de secondes qui respectent l'inventaire
Du fameux soir dînatoire,
A alimenter les discussions de comptoirs
Emplies d'histoires
Du bleu radieux au fatal noir,
Avant qu'une journée sur La Terre
S'achève à Minuit
Et que le sablier cherche un abri,
Où habiter et héberger
Son réservoir d'abreuvoir d'histoires
Pour savoir,
Sur quelle planète
De l'univers,
Aura lieu à la une
Une pléiade d'autres saynètes
De La Terre à la lune.
Jérôme de Mars
Les paresseux font dodo
Ados, ils volent haut
Les drôles d'oiseaux,
Oiseaux de mauvais augures
Qui survolent la belle nature,
Diseuse de bonne aventure
Entre désinvolture et ouverture,
D'aux septièmes cieux sirupeux,
Dès que les paresseux
Font dodo
Dans le métro boulot dodo,
Dos à dos
Et ados avec un métro
De retard,
Lorsque y a pas de lézard
Dans le brouillard,
Quand les perroquets rapportent des paroles
De l'envol à l'an vol
Des paresseux qui font dodo
Et volent les dodos,
Et survolent les paresseux,
Très paresseux
Dans leur dodo,
Car les dodos
Volent très haut
En remontant le niveau
Des cieux paresseux,
Qu'ils se mettent à dos,
Comme ados, ils mangent du tourne-dos
Qui tourne le dos
Aux dodos,
Dans leurs dodos
Qui dorment ados
Et s'envolent aux paroles
Des rossignols,
Très paresseux
Qui volent paresseux
Et survolent les dodos paresseux
Dans leurs dodos trop paresseux,
Comme les paresseux font dodo.
Jérôme de Mars
Patraque
Maniaque
Je n'ai ma niaque,
Comme on me matraque
Patraque
Et hypocondriaque,
A me foutre le trac
En traque,
Comme un tic tac
Qui fait tac tac
Et me rend patraque
Et paranoïaque,
Comme je n'ai ma niaque
Insomniaque
Et que je reste maniaque,
En une attaque
Qui me matraque
En médicaments de matraque,
Aussi forts que j'ai le trac
Patraque
Et hypocondriaque,
Comme ma traque
M'attaque
Dans un tic tac
Du tac au tac
Et fric frac
Qui craque
En faisant craque craque,
Comme je suis patraque
Et hypocondriaque,
Sans les aphrodisiaques
Paranoïaques,
Car ma niaque
Me rend maniaque
Dans le mauvais signe du zodiaque
Qui me mène en bateau sur le zodiaque,
Où c'est mauvais signe insomniaque
Que je n'ai ma niaque,
Car elle ait maniaque
Démoniaque
Dans une attaque
Paranoïaque
Avec la casaque
De ma traque
Patraque
Et hypocondriaque,
Qui me poursuit en un trac
Epouvantable dans un mic-mac
Maniaque,
Comme ait ma niaque
Démoniaque
Aux assauts insomniaques
De mes nuits blanches aphrodisiaques,
Qui me rendent paranoïaque
Et patraque,
Car pas traque
Patraque
Mais avec traque
Hypocondriaque,
A pas monomaniaques
Dans une attaque
Patraque
Et hypocondriaque
Avec ma traque
Pas trac,
Mais maniaque
Matraque,
Car pas ma niaque,
Tellement qu'elle est patraque
Et hypocondriaque,
Dans ma traque
Aphrodisiaque,
Sur le signe à l'an vers du zodiaque.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dit-on du mari de Dominique Bedrossian s'il fait quelque chose de pas élégant du tout ?
- C'est pas jojo !
2) Pourquoi un Arménien vaut-il trois juifs ?
- Parce-que c'est le tiers-état !
3) Qu'est-ce-que ça fait la pipe d'une femme à un homme qui tourne mal ?
- Un casse-pipe
4) Que dit une grenouille qui n'a pas entendu la question ?
- Quoi, quoi ? ( coa )
5) Que dit-on d'un serpent que l'on trouve magnifique ?
- Il est beau ah ! ( boa )
6) Que dit Milou à son maître qui l'a dans le baba ?
- T'es tintin !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Jacqueline, m'as-tu toujours dit de penser à moi comme le monde n'est pas doux ?
- Parce-que ce n'est pas chacun pour soie !
2) Pourquoi Jacqueline, m'as-tu toujours dit de compter sur moi et pas sur les autres et qu'il n'y a que moi qui peux me sauver ?
- Parce-que tu me l'as conté comme ça !
3) Que se passe-t-il pour un poulet qui commet une bavure ?
- Il est grillé !
4) Pourquoi la femme de Michel Berger ne regardera-t-elle pas ce soir le match de football international ?
- Parce-que c'est France-Galles !
5) Qu'est-ce-qu'un poète maudit qui est rongé de l'intérieur ?
- Un ver solitaire
Jérôme de Mars
Aux prêts noms de qui !
Pléthore, on donne des noms aux prêts noms de qui
Qui ne sont sans ultra sont point n'importe qui,
Comme certains prêts noms sont exquis,
Même que certains amis sont antiques et ex qui,
Comme lorsqu'on s'appelle Allowin
Et qu'on n'aime Halloween, dont Edwin
Préfère Aldwin, car il prête son non à Ambroise,
L'ami de Boris et aussi le fondateur de la sécurité sociale,
Comme grâce à Boris, Ambroise Croizat pléthore d'amis au réel,
Qui s'éloigne du virtuel de Facebook, lorsqu'il vole de ses propres ailes
Dans un groupe d'adeptes, qui cueillent au Bois De Vincennes des framboises,
Que lui remet Edwin, avec son prêt nom Amiel d'un nid d'abeilles, qui ne s'y frotte
Avec Arthaud que Athanase rencontre à Florence, en naviguant en eaux troubles
Entre rires et châtiments, car qui aime bien châtie bien et charrie bien en Amiral,
Général, générateur et génération d'une rencontre avec Aurel très hardi en vers qui
Il vend son premier prénom, prêt non qu'il porte exquis et ex qui qu'il attribue Géry,
Egérie de ses fantasmes, auxquels il ordonne un nom d'office comme il lui trotte
Dans la tête un euphémisme, qui choque le pare-chocs de sa voiture que conduit,
Balthazar, un illustre inconnu et roi d'images dont il s'enfuit avec le journal et lui,
Comme lorsqu'il rencontre Auxane, mais qui en vérité s'appelle Roxane payant,
En nature ses charmes à la volupté sensorielle et sensuelle, que ses roubles
Lui troublent dans ses troubles, quand son ami Bruce lie, allie et rallie des gens Edern fous alliés et alliés nature, sous l'Egide prêt nom qui arrête Elisée,
Auchan s-Elisée, comme elle y fait ses courses, en joignant l'utile et l'enjoué
Avec son ex ami Faust, dont la damnation lui attire ses foudres d'escampette,
Alors que si Edwin redevient l'ami de tous, il adonnera un coup de pouce bluette,
Avec Foucault et Jean-Pierre, en un recueil sur feuilles et mille-feuilles en paix
Et en communion, car rien ne sert d'enfer la guerre, mais vaut mieux se réconcilier,
Autour d'un ver de l'amitié, en trinquant d'un pot aux roses, en nom exquis
Et non trinquer d'office, avec d'ex amis prérequis, requis et acquis, mais à qui,
Dont l'on ne sait s'ils sont sincères ou faux-culs, comme leurs prêts non sont ex qui
Car maintenant, on a des vrais amis aux près noms de qui on saura dire merci.
Jérôme de Mars
Des versets déversés
A l'âge de Pierre,
C'est l'heure de la prière
De notre cher Abbé Pierre,
Qui Ave Pierre
A l'édifice,
Car tout n'est que matière
Dans les orifices,
Comme les voies du Seigneur
Sont impénétrables avec la foi
Des versets déversés,
Qui ont déversé
Ces vers,
Sévères sur la table vers
Ces vers solidaires
De l'Abbé Pierre
Qui avait vendu son âme salutaire,
Salut Terre, au revenu universel,
Du grain de sel dans le Missel
Mi-sel, comme les voix hauts-parleurs
Interprètent à bon entendeur des versets déversés
De mon seigneur au Don Camillo des versets
Unitaires et renversés,
Par les prières du diable d'enfer
Mais dépêché par l'ange débonnaire
Qui songe à libérer le ciel,
Grâce à L'Abbé Pierre
Qui s'adonne avec merveille
Et vermeil,
Et donne son feu vers
En vers versés,
Par des versets déversés
De ces vers, sévères
En l'aura imaginaire
Vers ces pierres à l'état de matière,
Car tout n'est que matière
De nos chers amis, nos frères
De chaumière
A la tanière
Dans la lumière,
Une foi ouverts, sévères,
Ces vers vers ces versets déversés
En ces vers au clerc du ciel
Missel et mi-sel au revenu universel,
Uni vers celles qui ont des versets
Et ont déversé le livre ouvert vers ces
Messages qui soulagent le coeur aux pensées,
Renversées et des vers ces vers vers ces vers
De l'amitié prospère à la richesse humaine
Du Jardin D'Eden,
Ouvert et au-delà versets
Que reversaient les versets
Qui ont déversé vers ces vers, sévères,
Où à la prochaine
Foi
Over,
Ces vers ordinaires
Se mettront aux vers
De l'éternité
De L'Abbé Pierre
Qui Ave oraison
Et avait prière,
En voie de guérison
Déversée vers ces versets
Des versets déversés
Par les messagers de la paix,
Au-delà la postérité
De ces vers à la durée,
Versée, Déversée, renversée
Et reversée vers ces
Prières du ciel lunaire,
Au fort caractère,
Pourvu que Dieu bénisse La Terre,
Salut Terre, salutaire !
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit-on d'un basketteur qui a enfilé ?
- Il a mis la main dans le panier.
Jérôme de Mars
Mais dors !
Bel à l'aboie dormant
Dès le soir tombant,
Médor avant que tu dores
Jusqu'aux aurores,
Calme ta soif
De ton ouaf ouaf,
Et après, mets en veille ton taf,
Car de ton pif paf,
Tu aboies ouah ouah
Comme c'est la joie
Dans le paf
Avec ta truffe truffée
De ton odeur de Sainteté,
Quand t'as du flair
A prendre un bon bol d'air,
Mais dors, Médor
A rêver de métaphores
Dans le folklore
D'un château fort,
Avec tes croquettes de chien
Régal canin
Pour dénicher
Dans ta nichée,
Une rafale d'emplettes
A compter fleurette
Médor, avec ta chienne de vie,
Alors que si tu rencontres l'amour de ta vie
On te dira
Mais dore
Avec ta chienne devis,
A oublier les roquettes ennemies
Pour savourer les croquettes amies,
Qui te soulèveront le trophée
De l'accalmie
Et en appétit,
Car t'auras réussi
A tracer le chemin
De l'embellie
Avec ta chérie,
Oh oui !
Où t'emmèneras
Ta dulcinée
Jusqu'à ta maison,
Pour interpréter
Avec elle, l'hymne à l'unisson,
Sitôt ta tranquillité réservée
Et préservée,
Médor,
Car on te soufflera
Encore
Au soleil à l'horizon,
Mais dore, Médor
Sans te jeter un sort,
Car ton essor te voudra
En inclinaison,
A la belle étoile qui te flamboie
Médor, qu'on adore
Sur le fleuve de ta vie réjouie
Au devis,
Cher trésor !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi écoutes-tu Sonotone de MC Solaar ?
- Parce-qu'il y a des malentendus avec toi.
2) Pourquoi Jacqueline, m'as-tu toujours dit de compter sur moi ?
- Parce-que c'est comme ça que tu me l'as conté !
3) Que me disais-tu Jacqueline lorsque j'étais enfant pour que je ne parle plus ?
- Jérôme, t'es toi !
4) Pourquoi un Asiatique en met-il plein la vue ?
- Parce-qu'il a les yeux débridés !
5) Pourquoi Katia et Laëtitia, sortez-vous toujours les griffes de mode en magasin ? - Parce-que vous refaites votre vitrine !
Jérôme de Mars
Vous prenez tout à la lettre !
Lettre
Ouverte,
Vous
Prenez
Tout
A
La
Lettre,
Car
CD
Lettres,
Dont
Vous
HT
Des
CD,
Comme
Les
Maîtres
Chanteurs
Vous
Chantent
Et
Déchantent,
DCD
DCD,
Au
K
Par
K
AT
Sans
Prier,
Lorsque
Vous
Buvez
La
Tasse
De
T,
OT,
Car
Vous
OT
La
Lettre,
Quand
Elle
Suit
Et
Dit,
JV,
Pour
Qu'on
Sonne
AC
D'L,
Comme
Vous
En
Avez
AC
Du
Mot
DC
D
Et
De
BC
La
Garde,
Dès
Que
Vous
Prenez
Tout
A
La
Lettre,
Sans
Qu'elle
Ne
Soit
En
P,
Pour é D
Et
Aimer
Son
Prochain
Mot
Orphelin,
De
La
Veuve
Et
Deux
Sons
Maris
DCD,
Que
Vous
Décidez
D'écouter
DCD,
Comme
La
Musique
Adoucit
Les
Meurs
Dans
Votre
Demeure,
Et
Qu'on
Ne
Fait
Pas
D'omelettes
Sans
Casser
Des
E,
Et
Qu'il
Ne
Faut
Pas
Mettre
Les
E
Dans
Le
Même
Panier,
Pané
Et
Dépanné,
A
Force
D'entendre
OK
Et
KO,
Tout
Tombe
A
L'o,
Eaux
Vertes
Et
Pas
Mûres,
Car
Vous
Vous
Eprenez
Va-tout
A
La
Lettre
Q
Deux
Dame
Nature,
En
Ecoutant
DCD
Pas
DCD,
Comme
En
Coeur,
Vous
Enchantez
Et
Réenchantez
D'une
Lettre
En
Une,
GT
Et
JV,
Si
Bien
Que
Vous
Entreprenez
Tout
A
La
Lettre
Ou Verte,
En
Jetant
L'ancre
Et
En
Rejettant
Qu'ancre,
D'une
Traite
En
Coeur,
Car
GT
A
Bord
De
Cette
Lettre
Virant
De
Bord,
Et
Qui
Trouve
Sa
Vitesse
Deux
Croisières,
En
Nous
Menant
En
bateau,
En
Etirant
Un
Trait,
Lettre
Où verte,
Que
Vous
Vous
Surprenez
A
La
Lettre
En
Plein
R,
Une
Bouteille
A
La
Mer.
Jérôme de Mars
Gilles Verlan(t)
Amicalement
Gilles verlant,
Je te salue
Franchement,
Avec ton parler franc
Et ton franc-parler,
Dus
A ton coût franc
Au zénith de ta popularité,
Toi qui as su,
Raconté et conté
Sur Gainsbourg,
Un jour au faubourg,
Et sur Gainsbarre,
Lorsqu'il se barre
Et que tu rembarres
En secrétaire,
De mots nénuphars
A renforts littéraires,
Où je parle à toi Saint-Gilles
Qui grésille
En verlan
Vers toi Verlant,
A l'envers
De ce monde à l'an vers,
Quand pleurent,
Les regrets protocolaires
Qui brûlent les forts rêveurs en liqueur,
Rangés sur le fil mortuaire
Post mortem,
Avec ce blême poème
Qui aime
Les hommages ardus,
En chrysanthèmes
De La Toussaint,
Tout Saint
Avec toi, Saint-Gilles,
Qui brille
De ton aura à l'art dû
Que t'offre ton talent héréditaire,
Parmi tes congénères
Qui fourmillent
D'églantines mercantiles,
Les fleurs bipolaires
Qui se font de la bile,
Ossuaire
En déjouant les billes
Dans la ville
Des lumières,
Au Paris
De la folie
Des grandeurs
Et déshonneurs,
Toi, Gilles Verlant
Qui parle à l'envers
Du verlan,
Car tu es Verlant
A l'an vers
Des frères lumière,
Qui te font de l'ombre
A la pénombre
Des fatalités involontaires,
Qui dénombrent
Ta durée
Sur La Terre,
Comme à longueur
De journée étalée,
Sur l'équateur
Du fil d'année,
Dont toi, t'es damné
D'où tu es,
Au-delà
De ton rôle majeur,
A relater les aventures
Et les déconfitures,
De Gainsbourg
Et de Gainsbarre,
Que tu rembourres
Au carrefour A Cabourg,
Et que tu rembarres
Avec des fleurs fanées au nectar
De ton purgatoire,
De ton paradis
Allié avec tes fidèles amis,
Où l'on te dit
Salut Gilles,
Au Port-Salut,
Inchallah
Vers l'inconnu,
Où tu resteras
En famille
Dans la joie,
En verlan
Toi, Gilles Verlant,
A l'envers
De ce monde à l'an vers,
Qui s'assombrit
En revers sans
Gilles Verlant,
Et en le reversant
En Saint-Gilles,
Du versant solitaire,
Au vert sang ascendant Sagittaire
Sur La Terre de tes confrères,
Déversant l'univers
Et des vers sans lumières,
Au vent
Vers sans
Honoraires,
Où l'on arrive au bout standard
De la trajectoire étendard
De ton itinéraire,
Avec toi, Gilles Verlant
Et merci l'ami,
D'avoir parlé franc
En verlan(t).
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi une de mes tantes m'a-t-elle demandé pourquoi je lui ai posé comme question si ça allait ?
- Pour défendre son bien personnel !
2) Pourquoi le monde va-t-il mâle ?
- Parce-qu'il poursuit son bonhomme de chemin !
3) Quelle personne de la famille BEDROSSIAN pouvait donner le mieux la définition du livre des souvenirs de mémoire du génocide ?
- Atlas !
Jérôme de Mars
Le monde à l'an vers
Dont le jazz A la triste mine d'artiste mineur, Louche Le blues du doigt majeur et mineur
Jase, Quand les mots majeurs épousent
Souche D'un contrat principal et essentiel aride,
Et louche, D'un texte à l'effigie qui a karaoké
En louche Qui assemble une mélodie à l'ensemble
De la couche, Un roquet qui a bu ses paroles au troquet,
Au coup de crayon Lorsque le monde à l'an vers semble
Qui répond Qui parle comme un perroquet au mas,
A la question, Qui erra à l'ara, d'un ara au karma
Qui effet mouche Le parfum de froment à la bastide
Frigide Desquelles avance doucement,
Et insipide, Et lumière à la conquête des vers lents
Dès que le monde Par le dos de l'écuyère qui verse sang,
A l'an vers abonde Aux lueurs de petits beurres de prière
Quai Voltaire, Le beurre à sourire de la crémière,
De l'ombre Dès la disette qui verse sans
A la lumière qui sombre Le monde à l'an vers, qui rime décrié,
Pénombre, Aux arlequins en pupilles qui pillent
A l'ombrelle Du bastion gauche qui sévit à Séville
De Polichinelle, Au coeur, quand les vers s'épanchent
Aux travers Dans la facilité au portillon, qui penche
De la jetée d'encre, L'encrier à la criée rejetée qui verse Sitôt le monde redevenu cancre. D'une journée d'hiver se renverse
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi Patrice Evra a-t-il eu un carton rouge après avoir donné un coup à un supporter ?
- Parce-qu'après avoir pris son pied, il a eu une mise à pied !
2) Que fait un matou pour drague une chatte ?
- Il remue la queue !
3) Pourquoi y a-t-il eu le mardi 31 octobre, une course de DAESCH sur la foule à Manhattan ?
- Parce-que c'était le marathon de New-York !
Jérôme de Mars
C'est label !
Un jour de plus bel,
C'est la belle
Qualité ribambelle
Et défaut rebelle,
Avec des mèches rebelles,
Car c'est label
A la Bébel,
Pour répartir en beauté
Et repartir avec loyauté,
D'une avalanche
En revanche
De tour de Babel,
Car la vengeance,
A la poubelle
Et de plus belle,
Les vendanges,
Car c'est label
Qualité mirabelle
Et zéro défaut corbeille,
Qui bêle
Chèvre une abeille,
Dans une ribambelle
Belle
Du label,
Maya, l'abeille,
Car c'est L'Abel
Bel
Du label bel,
Qui s'ailes au zèle de la mirabelle
Plus belle
Retour de Babel,
Alors que Bébel
Vide la corbeille
De Maya, l'abeille
A Corbeilles,
Poubelle
En ribambelle,
De belle abeille
D'une nuit de plus belle
Et mirabelle,
A la belle
Etoile en ribambelle,
Car c'est label,
La plus belle,
Mirabelle
Qui part de plus belle
Avec Maya, l'abeille
Qui bêlent
Du label
A la belle,
Une fois qu'elles s'en vont en ribambelle,
De plus belles,
Comme la déconfiture de mirabelle
Se rebelle
Poubelle
De Bébel,
Au label
Décibel
De la belle,
En détours de Babel
Décibels,
Comme c'est désormais label,
Des si belles
En ribambelle,
Plus belle
Et que ça reste la belle
De L'abel
Bel et bien label
Décibel,
Car des si belles,
C'est label.
Jérôme de Mars
C'est dans la boîte !
Bonjour, les dégâts, par votre entreprise, l'entreprise Les Amis De L'atelier a entrepris dans la société, un monde d'initiatives entreprises, entre prises de bec qui débectent l'entreprise dans le reflet de la société cache-misère, qui en tire un gros profit, au bénéfice du bouffon du roi malin, nous, qui en bouffons du désarroi, Des Amis Du Ratelier, qui bouffent notre santé, au ministère austère de la santé et des solidarités égoïstes, qui déboîte les personnes handicapées et paralysées, dans un mouvement asocial De L'APF à L'APL, de mouvements de grève qui tombent des grêles, avant la trêve des étrennes, quand c'est dans la boîte, qu'on emboîte le pas et qu'on met en boîte nos collègues, car ce sont eux, qui nous déboîtent et nous emboîtent, en nous mettant en boîte comme en boîte, où l'on boîte car on émet mettre en boîte Du Gars Des Gars, bonjour, les dégâts, lorsqu'on prenait de la bouteille, dès que c'est dans la boîte, Du Gars, qui met en boîte, DUGAS, par des dégâts, aux revers de contact, solitaires, alors qu'on est ver ni lorsque les contacts solidaires, emboîtent les revers de plastique, des vers solitaires, aux verts solidaires de cristal, comme ça ne fait mâle, d'être un homme et de prendre tout à la lettre, quand le mailing nous enveloppe avec adresse, à la bonne adresse, à qui sera destinée, une lettre de bonne facture, si on se met aux vers d'eaux, rangés de télé notre nature, si bien qu'on se met ouverts autour d'une table de laquelle, on enverra des vertes et des pas mûres, qu'on en verra en reprenant des couleurs après avoir avalé des couleuvres, à la fondation Des Amis De L'atelier, gamme ouvert aux personnes de tous handicaps, gamme over condi, qu'on dit à la condition, de bâtir des projets constructifs, car ce sont des petits bijoux à l'atelier de la fabrique, pour supposer, poser et reposer l'alliance des conciliations à l'aimable, reposées amiables, pour qu'à l'amiable, on passe polyvalents des pompes qui nous pompent, en faisant des pompes et des tubes, en vous donnant des tuyaux, du pot sinistrose, pour avoir du pot dans le pot aux roses avec les poteaux roses de nos potos roses, si on vous fait une fleur après que la goutte d'eau ait fait déborder la vase du vase clos communicants, car c'est le bouquet, qu'on arrose en prenant un pot qu'on boit de vos paroles, auxquelles on trinque des revers de la fatalité over, aux vers de l'amitié ouverts au dépôt, comme on ne dépose le dépôt de bilan, car c'est dans la boîte !
Jérôme de Mars
Le monde caillera
Bonjour la vie,
S-y vas
Te voici,
Te voilà,
Où vas-tu ?
Et pourquoi,
T'es toi
Et tais-toi,
Si tu crois
Que la société
Est fichue
Et malotrus,
Dans l'enfer des intrus,
Car le monde caillera,
Rira et ira
Des joies
Aux rabats joies,
Des abusés
En désabusés,
De la vie
Et hip pip pop hourra
Avec tes melting-potes
Qui te complotent,
A glacer
Le froid
Et à en perdre le pôle
Nord au nord pôle
Position de Jésus,
Dont son angélus
Est pris en crucifixion,
Car l'équation
N'est résolu,
Mais éperdu
Et perdu
Dans l'absolu,
Comme le monde caillera
Avec les cailleras
Dans l'effroi
Des cailles ras,
Qui caillent ras
Aux racailles,
Vous, mes cailles
De vilains petits canards,
A la contre dense
Et à la une condense
Du journal des canards,
Où le monde caillera,
Caillera
Et en a marre
D'avoir froid
Dans l'effroi,
Comme demeure pleine la mare
De Damart,
Vous, mes cailles ras
De la racaille,
Qui perdurent
A avoir la dent dure
Avec l'émail,
Où vous videz vos mailles,
Dans l'email internet
Comme de rien, hein, vous n'êtes pas net,
Qui caillent ras
Dans le bétail
De la racaille,
A fumer un joint
Et à enfumer ci-joint,
Adjoint du oin-je à en fumer
Le CD DCD portables,
Dont ne sonne
Le téléphone
Portable,
Tel est fun,
L'ex portable
Et exportable,
Au marché anglo-saxonne
Du saxophone,
Des mauvaises consonnes
Qu'on sonne
Dans les mauvaises colonnes
Vertébrales, des pylônes
De racailles ras décérébrés,
Décervelés et écervelés,
Par le cervelet limité,
Hors-forfait illimité,
Qu'on enjoint
Six joints,
A parfumer
Le calumet de la paix,
Qu'allumait le camouflet
Camouflé des cons venus
Parvenus en déconvenues,
Par de sales mouflets,
Comme le monde est caillera
A la racaille caillera,
Vous, mes cailles,
Qui caillent
Ras au froid
De l'effroi,
En coups de chaud,
Brûlés sur la paille
De l'épouvantail,
Dans l'échafaud,
Où il n'est pas trop tôt
Que l'étau se soulève tôt
Avec les lève-tôt
Qui se relèvent avec les taux,
Ma foi, n'est pas trop tôt,
Si le monde caillera
Reste caillera
Avec les racailles
Et avec les cailles ras,
Vous, mes ras cailles,
Racailles qui caillent ras
Au ras de l'écaille,
En attendant de rentrer
Au bercail,
Avec froid
Et en froid de l'effroi,
Ma foi,
Si le monde caillera,
Raille
Et déraille,
Avec les racailles
Et avec les cailles ras,
Vous mes ras cailles,
Racailles qui caillent ras
Au bas de l'effroi
Qui jette un froid,
Où vous, mes cailles,
Caillent ras de la maille,
Des rats amarrés,
Quand l'email
Rejette l'émail
De la dent dure,
Avec dame nature,
Et maille
Qui maille
Aux mailles,
Du filet
Filé, enfilé, et refilé
Au macadam de l'email reçu,
Avec l'émail préconçu
Et conçut,
Qu'on sut
Parachevé et achevé,
Au chevet
Feint si le monde caillera,
Avec les racailles
Et avec les cailles ras,
Avec vous, mes ras cailles
Qui caillent ras
Au ras
De les cailles
Qui referment l'écaille
Au chaud après l'effroi,
En froid avec le réchaud,
Si bien qu'avec le chauffe-eau,
Il fait chaud avec les chats faux,
Au parfum d'écaille ras,
Que ça caille ras
Plus en froid
De l'effroi,
De la racaille,
En froid défunt,
Mes cailles ras
Au ras de les cailles ras,
Ras l'écaille ras,
Par fin,
Afin que le monde caillera
Caille ras
Les racailles,
En s'assouplissant du froid
Au chaud,
Avec vous, mes cailles
Ras à l'eldorado,
Enfin, de retour au bercail.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Quand on parle de la mort de Françoise Sagan, on en fait tout un roman !
2) La noblesse de La Catalogne, c'est quand on la décompte D'Espagne !
3) Un pays qui ne reconnaît pas un génocide, dit à la nation concernée :
" La balle est dans votre camp "
4) Une prostituée qui tombe dit putain, merde !
5) Une personne qui n'aime pas les écrits d'un poète, se fait du sang d'encre vu le contexte.
6) Un gars qui s'en fout de la politique n'a pas de parti pris !
7) Quelqu'un de mature rase les murs !
8) Un homme politique accro à la nicotine, nous enfume !
9) Un génocide réussi, on en dit avec humour, qu'il fait Shoah car tu vannes et revannes !
10) L'indifférence, on y voit notre intérêt !
11) On dit à un médecin surmené, prenez soin de vous !
12) Un joueur de pétanque triste a les boules !
13) En France, y a plus de respect car tout m'est pris !
14) La bible du Coran t'aura en te convertissant de ton humour propre !
15) Un cycliste fou a des petits vélos !
16) Un fabricant de glace à la réputation sulfureuse peut se regarder dans la glace car son image écornée le laisse de glace !
17) Un écrivain qui fournit son travail, le livre !
18) Le 1 er janvier, on souhaite un bon début damné à quelqu'un de maudit !
19) On prie chaque 15 août en fêtant L'Ave Maria !
20) Quand un terroriste commit un attentat en Tunisie, on le charria !
21) Avec les gens égoïstes et doux, c'est chacun pour soie !
22) Un médecin fou, on lui dit, t'es malade !
23) Le 9 du mois, on dit au médecin en prenant de ses nouvelles, quoi de neuf docteur ?
24) L'homme est responsable du déclin de la planète car le monde va mâle !
25) Tout fout le camp en France après qu'on ait massacré des juifs !
26) Charlie Hebdo en fait tout un dessin de L'Islam au motif qu'il en devient sa propre caricature !
27) Manque de peau, un Français raciste arrête de voter Le Pen !
Jérôme de Mars
Nonobstant
D'antan, on émet vivants,
D'avant, Aimé aimait vivant,
Par avant, Janique aimait vivant,
Paravent que le vent aimait vive vent,
Nonobstant, autant que le temps
Accordait à toutes les saisons,
Et raccordait avec la moisson
Regardée devant d'après la chanson,
De François Valéry qui cependant
Entonnait aimons-nous vivants,
Avant que la mort nous trouve du talent,
Car l'ancien testament raccommodait les par êtres déviants
En êtres devant et vivants, aimants et amants du temps nonobstant,
Que l'on aimerait toucher charnel et soufflait le vent
Amant en neiges éternelles et bravant le souffre perdant,
En un souffle poignant et touchant les cheveux dans le vent
En un temps réconciliant et réjouissant jouissant du temps présent,
Nonobstant pendant les moments plaisants aux agréments
A tous les instants à temps qui attend le soleil rassurant,
Et réassurant le souffle devis réenchantant d'autant charmant
Comme l'on comprend que le temps passe et surpasse irrémédiablement,
Indifférent, le présent exaltant qui se décline en un clignement des yeux
Car tôt ou tard, on se jettera dans l'océan sans blanc au rappel de Dieu aux cieux,
Dépendants, où pendant le peu de temps qu'on vit dans un laps de temps
Autant vivre pleinement, quand les gens sont vivants et dans le vent,
Qu'il faut aimer autant que cependant et nonobstant d'antan à maintenant
Et dès pendant du moment présent à conjuguer au ciel florissant,
Et prospérant, en fredonnant à jamais, sempiternellement que la vie
Est un sablier, dont chaque jour trépasse en secondes qui s'écoulent en préavis,
En ces temps tumultueux et nuageux et disons-nous voyons-nous avec des rubans
Brillants et étincelants pour que ce ciel brumeux fléchissant devienne réfléchissant,
Et luisant à la lumière qui scintille en un beau soleil bleu banni les bleus gris
De la vie, où fleuriront et resplendiront les roses en fleurs d'un coeur rejailli,
Et revenu des mauvais esprits, si on peut se voir et entrevoir le songe ébloui
D'un après-midi souriant autour d'un café crème de brèves de comptoir abreuvoir,
A nous conter nos sagas d'histoires, où on attend impatient assis votre réponse
En priant qu'elle soie oui rendez-vous samedi au café littéraire à Paris à la ronce
Devant cette ville téméraire et éphémère en sirotant une bonne bière au parterre,
D'un courant d'air sifflotant des parfums linéaires hauts des vents à sens contraires
A bientôt nonobstant, autant on espère simplement dans le vent, pas de blizzard !
Jérôme de Mars
Le totem et le requiem de l'amour
Autant des marguerites
Fanées et régénérées,
La clé de l'amour
S'ouvre sans détour,
Dans la partition qui gravite
Le menhir et le granite,
En priant avec l'eau bénite
Qui roule tambours et topinambours,
Des calembours
Aux rosiers qui s'épanouissent,
En fleurs d'ébénistes qui grisent
Le film Grease et La Lettre à Elise,
Pour qu'elle élise le totem
Et le requiem
De l'amour,
A sens unique et à encens troubadour
Que la fontaine de Trévise
Vise
Au manteau de vison,
Et révise
Aux portes-manteaux de la vision
De l'amour
Au théâtre Les Blancs-Manteaux,
Quand l'amour sans filtre ricane en vautours
Et divise le totem,
Et le requiem
De l'amour, dont l'emblème blême
Se condense en un oedème
Qui s'immisce et glisse
Dans les durs à cuire de l'amour,
Qui se gangrènent et parsèment
Ce monde peu propice
A miroiter qu'il n'ait bisounours,
Tandis que le jardin mausolée
De l'amour
Finit endeuillé,
Lorsqu'il rembourre
Le souffle de Cabourg,
A bout de bravoure
Et comme alors le mare de café
Boit la tasse en laissant tomber
Son trophée
Sans regrets,
Comme le totem
Et le requiem
De l'amour,
Boursouflent d'un goût de bonjour
Les supplices
Qui se convertissent en délices,
Et qui se caressent dans du velours,
Dès que le totem
Et le requiem
De l'amour,
Souffrent le souffre déchantant
Et propagent les soupirants
Dans la cour,
Des grands
Sans faux sans blanc,
Car les images de l'union sacrée
Valent une communion désacralisée,
Et dévalent l'alliance de l'amour
Avec une médiation la cerise sur le gâteau
Qui valide les bons mots,
Comme le parfait coup de sirocco
D'un mouvement aimable,
Deux pieds, deux mesures
Avec dans sa nature
Une réconciliation probable à l'amiable,
Pendant que le totem
Et le requiem
De l'amour
Bavardent de beaux discours,
Avec le requiem de l'amour qui déterre
La hache de guerre avec l'enfer,
Et le totem de l'amour qui a le courage
De raccommoder l'élevage et le marivaudage
Dans le langage de la paix et de la modernité,
Comme ainsi, les êtres insatiables peuvent rester pénétrables
Du triomphe vénérable,
Au compte à rebours
Véritable et vulnérable,
Qui distille volontaire une pastille d'amour
Un de séjour,
De l'ours caché
A la toile de la grande ourse,
Qui course
Sitôt l'adéquation ressuscitée,
Et qui a suscité de profondes émotions,
Car la jachère
Se cultive d'un amour subsidiaire,
A un clan indissociable
D'un dispensaire d'amour cher,
Où l'on vous claironne bravo, les amoureux
Du septième rang,
Durant le passage du courant fournisseur pour longtemps,
Que le totem de l'amour
Divorce du requiem de l'amour,
Qui s'égrènent, lorsque l'amour amorce
Le déclenchement d'une écorce,
D'un début de magistrale idylle,
Subjuguée et qui en vaut le détour
Parmi vous,
Auquel se voue
Le retour de l'amour,
Avec trompette et tambour,
Où vous fleurissez le fabuleux fleuron
A toutes les saisons,
Car voilà l'amour à l'horizon
Et au balcon de la cour
Echasse à courre,
Comme l'amour est un totem
Qui aime d'un velours
La bohème,
Et qui finit premier au concours
De l'amour carpe diem.
Jérôme de Mars
Loup phoque
Chien débattu,
Sors des abois
Et des sentiers battus,
Comme Pinocchio,
Tu es fée de bois
Et tu montres de quel bois
Tu te chauffes avec Paul Préboist,
Que tu loues
En chien-loup phoque,
Et loufoque que tu suffoques
De ta mère louve,
Qui te couve
Chienne dévie,
Avec le devis de ta panoplie
Loup phoque,
Par la loutre de ton froc
Qui se baisse
Et se rabaisse comme Thérèse
De ta fantaisie infâme fontaine,
Quand tu piques la cigale
Et la fourmi,
A Jean De La Fontaine
Qui a six gales frugales
Avec son repas oh quel régal,
Quand t'as des fourmis dans les jambes
Et que ça te fait une belle jambe
De réciter loufoque,
Le loup phoque
Qui croque,
Et t'escroque
Tes plates bandes,
Que tu empiètes et tu débandes
Avec ton sexe plat qui truande
La belle et la bébête qui monte et te demande,
Si la femme fontaine te procure jouissance
Dans la volupté et les réjouissances
Loufoques et coquines,
Et si ta copine te dandine
A t'aguicher au guichet,
Eh hop dulcinée
Je te luxure et te raconte fleurette,
Car c'est ma nature de composer une bluette
Et chansonnette de roture loufoque,
Qui te loue et t'alloue un rock dans le colloque
D'une coloc entre gens bienveillants
Et déviants d'humilité dans l'humidité transparents,
Qui mouillent ta chemise hou là là, elle vient
La fontaine qui sort des orifices du corps humain,
Comme c'est visqueux de ta main, n'est-ce-pas petit diablotin ?
Où sont passées ta pureté et ta virginité dans le loufoque libertin,
Liberté, libertaire et contraire à ta souveraineté toute peuplée ?
Remets-toi de ta puberté dans la rue contemplée et surplombée
De Casanova à Don Juan où tu t'émancipes dans le jeu de la séduction,
Avec Zébulon et Eros Ramazotti au nom susurré de l'amour électron
Qui t'emporte en déchaînant tes passions avec Apollon dieu des plaisirs,
Qui emporte ton triste Sir en un cirage de pompes qui te pompe en satires
Toutes tes articulations penchées et déhanchées en haut et en bas loufoques,
Car cher loup, ça sent le phoque que tu fuck en positions sado-masos et machistes
Comme les machinistes de La SFP, à faire trac trac l'amour à la machine d'artiste,
Où après une overdose de zones de pénétrations, remets-toi de tes émotions
Loufoques, comme tu avances et devances les recalés, loup phoque,
Car après le phoque, ça sent le fuck,
Pourvu qu'on te loue au suivant et exécution.
Jérôme de Mars
Tout est dit !
Lundi, on dit que y a pas radis,
Dès que l'un dit qu'on naît au paradis,
Quand ça me dit qu'on dit
Avec les on-dit que tu quittes un peu le condi,
Pour que tu en sois quittes et que tu étudies
Comment personne te répudie,
Hardi en Laurel et Hardy
A braver les interdits et les non-dits,
Comme tout est dit par à dit
Dans ce slam inédit, sans que le rad
En rab de bistrot de comptoir,
Te dénigre en exutoire jusqu'à ton purgatoire
Avec tous ces racontars de faiseurs d'histoire crade,
Car tout est dit qu'on te médit toi, le poète maudit
Tout comme si tu t'appelais Médhi,
Si on te dédie en on-dit qu'on te prédit
En profusion une rafale de on-dit qui te redit,
Qu'on ne te calcule plus en calculs névrotiques
Pour battre le pavé que dalle des cailloux néphrétiques,
Aux nappes de Sète à table des nappes néphrétiques,
Comme tout est dit, qu'on te maudit et qu'on te médit
Avec le condi lorsqu'on dit à toi et à Médhi, retournez à vos je interdits,
Du passé trouble qui vous soûlent le raisin mûr en lâchant la grappe
Qui vous sapent le moral et vous sapent l'immoral dans une force de frappe,
Car tout est dit sans médhi, si on se met à ta place comme en surplace, et qu'on dit
Que tes non-dits t'ont possédé sens interdits dans le paradis,
Où y a pas radis de combler le vide affirmatif qui te sonde Hardi
Ce que tu penses de Françoise Hardy,
Et de sa mélancolie profonde que tu frondes les on-dits pour humer le paradis
Intemporel des lignes de principes en camomille qui t'infusent de l'aplomb prédit
A susciter l'encens interdit du virtuel en appréciant l'essence inédit,
Du réel qui t'apporte une bouffée de chaleur humaine, car tout est dit
Que le numérique n'est pas l'avis, mais une déviance qui t'époumone médit
Au mâle maudit alors qu'une embellie au paradis de Vanessa te rend chéri samedi,
Quand l'un dit que Lundi te renchérit, quand t'arrives au paradis et que ça me dit
Que samedi y a paradis et que lundi y a pas radis, car tu t'irradies malgré les on-dit
Et que tu t'en fous, comme tout est dit si on te cherche des noises,
Lorsque y a paradis au par à dit et que y a pas radis à l'ardoise
De tes dettes au condi, qu'on dit que tu médis les on-dit et qu'on te maudit lundi,
Quand l'un dit que tu dédies le condi hardi au paradis
Des insoumis et que c'est samedi que ça me dit de te voir pour entrevoir ravi,
Les on-dit auxquels tu redis toute ta sympathie d'allier les amis avec les jolies folies
Que tu assènes endormi par l'eucharistie en synchronie qui concorde au Paris,
Des trente glorieuses et élogieuses d'une époque révolue à jamais d'ailleurs souris
Au parc mon sourire, où on t'attend samedi, quand lundi que ça me dit, que l'un dit
Tout est dit.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dira-t-on de toi Catherine, si tu fais une peinture qui reflète le climat social de La France ?
- Que tu dresseras un tableau autoportrait de La France.
2) Laëtitia, pourquoi les rares moments, où tu es en paix, c'est quand tu fais des travaux chez toi ?
- Parce-que tu bâtis des choses constructives !
3) Que fait une femelle CARAMBAR pour que son mâle CARAMBAR ne soit plus casse-bonbon ?
- Elle le suce !
4) Katia, pourquoi m'as-tu bloqué ta messagerie sur Facebook ?
- Parce-que moi, je ne suis mais sage.
5) Pourquoi ma nièce Méliné a-t-elle des difficultés d'éveil ?
- Parce-que c'est un casse-tête chinois !
Jérôme de Mars
Personne ne s'entend !
Chers inconnus, bienvenue
Sur le port salut,
Où je vous salue
En vous prêtant l'oreille,
Et en m'apprêtant dans la vertu
A vous distribuer conseils
Dans ce monde d'égoïstes,
Où personne ne s'entend
Depuis cent ans, indifférents
A porter leurs tourments
Dans le néant triste,
Comme personne ne s'entend
Et ne se comprend,
Malgré le boucan et les tympans,
Comme tout fout le camp
Du quand au décan,
Car hélas règnent les malentendus
Désarmants et hypocrites,
Aux impeccables contradictions
Desquelles se fritent
En frictions et en éviction,
Les individus imbus
D'eux-mêmes
Sans paroles qu'ils ont bues,
Repliés dans leurs problèmes,
Car La France s'enlise et s'effrite
L'huile sur le feu,
Comme personne ne s'entend
En ces instants troublants
Déjà qu'ici les mafieux
Ont corrompu
Les hommes pieux,
Et les ont fichus
Bourrus et malotrus,
En n'y croyant plus fourbus
De s'en foutre comme d'un rébus,
Qui n'a pas résolu
Les mystères d'une vie dissolue,
De sorte qu'elle s'harmonise
Et qu'elle se localise
Au clair de la fontaine,
A survoler le chêne
De l'amitié qui plante l'amour et la paix,
Quand les hêtres guéris de leurs bûchers
Et vanités
Laissés et déshumanisés,
Récoltent dans le jardin besogneux
Une quantité d'assortiments copieux,
Lorsque les malentendus semblent distendus
Et s'assimilent résolus et entendus,
Car personne ne s'entend
Depuis cent ans,
Mais avec le temps bienveillant
Qu'on attend,
Le soleil nous détend
Comme on se repent
Et qu'ainsi, on répand
L'amour équilatéral,
D'égal à égal en amiral,
Quand tout le monde s'entend
Et que plus personne n'est médisant
Et méchant,
En vogue sur l'océan,
Comme tout le monde répond présent
Pour une fois qu'on s'entend,
Pendant cent ans.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dira-t-on de moi si je suis handicapé et fixé sur mon fauteuil à voir défiler ma vie et mon passé dans une maison de retraite médicalisée ?
- Je serai sur un fauteuil déroulant !
Jérôme de Mars
Gruyère dérapé
Ecuyère, c'est râpé,
Toi qui en fais
Tout un fromage,
Tu l'arroses art image
Aux ramages du gruyère,
Dérapé qui prend par le dos
Et cuillère bordel effet dodo,
Quand la trappe t'attrape
Farces et à trappes qui rappe
En perçant des trous cannibales,
A apprendre par le tourne-dos
Ecuyère dans ce bordel des maisons closes,
Dont les positions vous envoient des positions écloses
En tournant le dos contre dos des dodos d'oiseaux,
Qui volent le gruyère rappé par la souris qui a râpé
Le piège à sourire qui sourit la souris qui a raté,
Le gruyère dérapé et cuillère écuyère qui mènent leur cirque
Dans le chapiteau de la piste aux toiles aux critiques,
Quand le chat et la souris jouent au chat et à sourire
D'une mauvaise mine qui va au charbon à sous rire
Dans ce morne jeu d'équilibriste à cavaler en un sacré numéro,
Consacré roi de la rétro droit devant à se dandiner en un joyau
De petits bijoux de famille qui crient famine gruyère râpé,
Quand et cuillère rappée a dérapé écuyère on ne t'a pas raté
Affreux jojo d'un misérable corbeau qui rapporte les gros mots,
Avec ton plumeau pour passer un coup de ballet et dépoussiérer le piano
Qui a besoin d'un remue-ménage qui ne ménage les ménages au foyer,
Qui payent leurs potins d'impôts à n'y comprendre pas grand-chose de grogner,
Si c'est le sujet d'être assujetti à l'impôt de rogner cette chienne devis à renier
Ce gruyère dérapé qui en effet tout un fromage aux caprices insidieux à gratter,
Le poêle à chauffer le tour de réchaud que ça tente de décamper ainsi dieu a râpé
Ce cantique en religieuses de gâteaux avec ces farces et attrapes à trappe nigaud,
T'as relâché le ballon d'essai regonflé à bloc qui étonne des tonnes finauds
Au plus tôt plutôt avec les badauds,
Qui vous promènent dès que tout tombe à l'eau allo et à bientôt !
Jérôme de Mars
Une goutte d'eau dans l'océan
De ton nom océane, je t'appelle,
Pour que tu contribues
De ta bulbe à mettre l'or à la pelle
Dans la mer polluée aux détritus obtus,
Si seulement tu l'insuffles d'une eau écarlate
En bleus turquoises papier buvard de cresson disparate,
Comme une goutte d'eau dans l'océan,
Océan de tes passions mais en Occident
De ta providence que tu regrettes de n'injecter,
Une jetée d'encre sur la jetée de la digue éjectée parfum d'Orient
Du crime de Lorient Express vitesse grand v sur la mêlée,
Qui vise une goutte d'eau dans l'eau Océane sublime effluent
Influent de tes décisions sur l'excision fatale de l'exilé discal,
Avec son hernie fiscale qui inspire une désolation abyssale
Comme une goutte d'eau dans l'océan, toi, L'Océane de la fronde,
Qui façonne la faconde à la seconde des leçons qui grondent
Les délivrances émancipatrices des accordéons ombilicales,
Dans la noblesse de l'ordre des choses à la dignité principale
Qui s'imprègne des visages pâles de la couleurs de la solitude hexagonale,
Quelquefois, quand le vagabondage flâne et côtoie l'orée de la forêt régionale,
Lorsque toi Océane, tu recherches ton totem au sésame qui ouvre les graines
De ton filtre d'amour sans filtre pour retomber sur tes pieds beaux que la mer,
T'ouvre en raz-de-marée avec une partition qui te distille les remèdes dans la serre
Qui t'envoie des fleurs et qui te freine un long chemin en te demandant,
Par-ci, par-là, Océane, comme une goutte d'eau dans l'océan
De t'écarter le mal de mer en te souhaitant en accidentée de la vie bonne semaine.
Jérôme de Mars
On est seuls, on demeure seuls
Pères ils en la deux moeurs,
On effleure les fleurs du mâle
De l'homicide lacrymogène,
Qui braque la commode aux souvenirs
Qui se rangent dans le tiroir des nurses,
Affligeants de la douleurs anxiogène
Des dérives qui fleurent les peurs aux soupirs,
Quand les soupirants décampent cet arsenal
Des pères ils en la demeure,
Comme c'est là ici bas que le cristal se casse
Dans les maux d'impasse qui trépassent,
Comme on naît seuls et qu'on meurt seuls,
Mais cependant, la réalité qui rend les êtres veufs
C'est lorsque le neuf vieillit veul,
Comme on démarche sur l'oeuf
Gâteux et douteux péril en la demeure,
Si grandiose qu'on est seuls
Et qu'on demeure seuls dans le demeure,
Et qu'on en meurt rouge gorges dans la liqueur
D'une jeunesse gâchée par les raideurs et les laideurs
D'un péril en là que tu meurs,
Dès que là tu meurs, c'est là que tumeur
Avec les cendres qui fument, même si t'es non fumeur,
Et qu'on t'enfume d'un soi-disant gentil bonheur
Qui s'amenuise dans un discours de beaux parleurs,
Promettant de meilleurs honneurs même si la pudeur
T'a appris à ne rien attendre des hommes bonimenteurs
Pères ils en là demeures,
D'où la vérité inédite des non-dits tabous pleureurs et vecteurs
Au dénominateur comme un des interdits délateurs,
Quand y a péril en la demeure et que là demeures
La joie simple et l'humilité modeste qui en reste,
Pour apprécier les vertus qui te délestent céleste
A espérer atteindre le nirvana des songeurs à la fresque,
Des forts rêveurs pittoresques qui égrènent les arabesques
Aux traits de caractères bien trempés et trompés par l'irrévérence,
Des laissés pour acompte dès que le travail s'effectue en silence
Dans l'enjeu de l'oie d'une mise en boîte de Pandore passée sous somnolence,
Au je m'en foutiste fataliste qu'on n'y croît à la grandeur mais à la décadence
Pleureurs et tristes d'en arriver là tu meurs que y a désormais péril en la tumeur,
Comme à jamais s'écorne les pères ils en là demeures la que tu meurs
Dans ta dernière demeure aux écorchés vifs accidents dominateurs,
Comme on naît seuls et qu'on demeure seuls en la demeure,
Dès qu'on est seuls et qu'on meurt seuls en là demeures que deux meurent
En là que tu meurs,
En la que tumeur.
Jérôme de Mars
Ni gauche, ni droit
Partis mépris,
Je n'ai de partis pris,
Car je suis parti
Autant imparti,
Reparti dans l'un parti
De ce que j'ai repris,
En répartie hein parti,
Comme je suis gauche
Et que je ne vote ni gauche
Et comme je ne suis droit,
Je ne pivote ni droit,
Ni au centre
Que je recentre,
En une politique gauche
Et au centre maladroit,
Car j'ai droit
D'être au centre,
Ni gauche
Ni droit,
Comme je m'en fous
De tous ces fous,
Ripoux pour un sou
Et sans dessus, sang dessous,
Qui me cassent les couilles
Très casse-couille,
A la foire aux fouilles
Auxquelles je ne m'agenouille,
Vice à vice de ces grenouilles
D'os maudites,
Que j'emmerde avec mes paroles non-dites,
Car la politique,
Je la polis tique
En polis-tics,
Ni gauche
Ni droit,
Comme un coup,
Je virevolte gauche,
Et l'autre coût,
Je me révolte droit,
Alors que le bon con promis,
C'est le centre gauche
Et droit,
Pour un juste milieu
Au lieu,
Que les partis pris
Se radicalisent extrêmes,
Très gauches
Et très maladroits,
Aux impartis mépris,
Comme les solutions à tous nos problèmes
De Madame Le Pen,
Qui emmène
Un programme qui le peine
Notre pays,
Enseveli dans la crise
Qui enlise
Les bénis ni oui, ni non,
A l'affront
National de la connerie,
Monumentale et en démarche nuptiale
Avec un arsenal,
De manifs
Kif kif,
Ni gauche
Ni droit,
Comme il n'y a de kif,
Car le canif
Se substitue au calife,
Sans qualifs, qui veut
Prendre la surplace des sous-tifs,
Si bien qu'on se fait des sous tifs
En rectificatif,
Comme il faut rester objectif,
Ni gauche
Ni droit,
Mais au centre
Qu'on recentre
En un juste milieu,
Qui débute
Haut lieu de Dieu,
Ainsi, réveillons-nous fiers et orgueilleux,
D'être béni gauche
Béni droit,
A l'aile gauche
D'un mouvement droit,
Droit au butte.
Jérôme de Mars
L'école de la vis
Bonjour, écoutez-nous,
Ouvrons la parole systématique
Et établissons un diagnostic,
De cette société agnostique,
Aux liens qui se dénouent
Dans l'inculte du tumulte,
Qui exulte et insulte
L'ordre public amnésique
Et hérétique,
Dont les instants sont critiques
Aux émois anémiques,
Qui fustige cette France pancréatique
D'insalubrité en états d'odieux,
Aux vestiges qui restent des vertiges
Qui décrédibilisent les politiques,
Car on les proscrit
Etres empathiques
Et altruistes,
Comme on les prescrit
Hêtres cyniques
Et égoïstes,
Dans l'école de la vis
Avec la coupe pleine qui dévisse,
La société qui s'enlise
Et qui se radicalise,
A laquelle on ne s'idéalise,
Comme on réalise
Que le monde est synonyme
De vice,
Et qu'en prime,
Tout se politise
Et se monétise,
Dans un pseudo credo
Qui sonne faux,
Que le pays se police
Dans un par être de culture
De sois-disant Claude Monet,
Alors que la police sévit ces vices
Avec sévices,
Et que la société enclenche l'avarice
D'apparente posture,
Où hélas, ici règne la désinvolture
De renaître,
Tandis que la réalité
Laisse paraître,
Que La France et L'Europe
Sont en train de disparaître
Sur de bons rails avec en prises de becs,
Trop de tabac
Pète-sec,
Comme il envoie paître
Le bon sens
Qui encense
L'école du vice,
Si bien que par décence
Il vaudrait mieux,
Qu'on ait tendance
A remettre
En intendance,
L'école de la vis
Qui vise
A serrer la vis,
Avec l'aide du tournevis
En outil propre qui répare la coupe,
Comme elle se découpe
Dans l'ultime but qu'elle redevienne
Saine et sienne,
Pour river par petites bricoles
Et dériver les choses folles,
Afin que l'école de la vis
S'avise à renouer avec l'école de la vie,
En se rappelant notre enfance
Avec la colle de l'envie
En pure innocence,
Qui décolle
Un imminent déclic,
En clics
Au paradis de la communication expansive,
Si vive qui ravive les anciennes ex pensives
Autour d'une si présente
Insouciance omniprésente,
Et plus si ressemblance avec réjouissance
A bientôt en France !
Jérôme de Mars
Tristesse de joie
Petite soeur
De ton coeur,
Pourquoi tu pleures
De joie,
Quand tu vas
Aux Contamines-Montjoie,
Et que la joie
Te contamine rabat-joie,
En larmes de tristesse,
Alors que tu ris d'allégresse
Dans la liesse
Et le désarroi,
De la galette
Désarroi,
Pourvu que tu fasses une trêve
Dans la sève,
De la fête
Des parois,
Que tu rabats joie
Dans la défaite,
Et qu'en fait,
Tu débats dans la joie,
Quand tu rabats de joie
Une fête
Déjà rois,
Dans la galette,
Où tu prends ton bon coeur
A en mûrir dans le bonheur
Et la ferveur,
Des fêtes
En vigueur
En fait,
De tristesse de joie
Que tu pousses un cri de joie,
Pour raviver ta foi
D'un poids léger d'ardeur,
Dans le goût roi
De la fève,
Qui arrive à la belle heure
De la candeur,
Qui réveille en douce soeur
Dans la douceur,
Qui rêve
D'un ailleurs meilleur,
Qui s'achève
En joie de liesse,
Parmi les gens rieurs
Qui drainent la prouesse
Tristesse de joie,
Enfin roi,
D'où perdurera
Ton allégresse
De bonheur,
Quand tu pleures allégresse
Et que tu ris tristesse
De joie,
En ton coeur
Paroi,
Et honneur
Des pas rois,
Allégresse
Aux Contamine-Montjoie,
Qui te contaminent en liesse
Démons joie
Et famille de joie,
En douceur
Et oh rabat-joie
Douce soeur,
Que ton coeur
Batte sir tristesse
Et qu'il rabatte joie et allégresse,
A l'adresse
De la liesse,
Comtesse
Des rois,
Hauts pas rois,
De la joie
Aux parois
De la délicatesse,
En fête,
Déjà rois,
Désarrois
Pas rois,
Destination aux parois
Aux pas rois,
Déjà rois
Tristesse de joie.
Jérôme de Mars
Pas rassis
Pas rassis
Le Pen n'est raciste
Et le pain est rassis,
Quand le pain qui n'est rassis est raciste,
Lorsque Le Pen est raciste alors que s'il n'est rassis
Le pain est rassis et ras si assis
Que Le Pen est rassis sur le pain blanc assis,
Alors que si le pain noir est assis, Le Pen est raciste
Que le pain noir n'est rassis car le pain blanc est rassis,
Quand Le Pen est assis sur du pain rassis
Et que le pain noir est rassis lorsque Le Pen n'est rassis,
Car il n'est raciste et qu'il n'est assis ras si assis,
Que le pain noir et blanc se marient aussi assis car j'en marie
Le pain noir
Et le pain blanc,
Qui unissent noir sur blanc
Leurs couleurs et cris d'espoirs,
D'un triomphe porteur d'un ruban
Elan métisse qui mélange mésanges,
Et mes anges qui engrangent en grange
Vierges Maries assis et mixtes et ras si qu'on en oublie nos pains perdus
Et éperdus racistes,
Aux assises de tous les petits pains assis et rassis pacifistes,
Comme ils se vendent comme des petits pains altruistes,
Et qu'on mélange le pain noir et blanc assis et rassis
Pas racistes mais ras si que le pain divers assis est si rassis et pas rassis,
Ensemble assis et rassis.
Jérôme de Mars
Le ver glas
Panne d'inspiration le ver est over, en attendant qu'on lui donne le feu vert
Pour démarrer hydrocarbure et qu'il carbure ouvert et en vers qui germent ovaires,
Des mamelles des femmes de pis en pis lorsque le ver glas glace de marbre
En verglas bigames et polygames d'un jeu de gammes qui plante des pins d'arbre,
En pépins pré-verts car le ver glas est haut vert et ouvert, car le gamme over,
Ca donne naissance ovaires en vers d'un verglas qui gèle l'oh vert quand le pré ver
Grandit d'un poème de Prévert en ver glas qui vernit le ver solitaire au ver ordinaire
Des ramassis d'un oedème en bohème qui gangrène les passes-plats sagaces,
Qui s'agacent des problèmes qui s'adonnent au vers glas qui donne du verglas
Et coordonne le glas vert ouvert dans un jeu de gammes pictogrammes en gras,
Lorsque le verglas laisse de glace le vers glas dans un terrain glissant en Carglass
Qui répare le ver en vers solidaires au pied des douze si là les verts et aux vers
Faux revers qui bedonnent ouverts en un vaste ver glas qui saxonne au verre,
Et se termine fenêtres over d'un ver ouvert en revers over qui résonnent car glaces
Anglos-saxons et raisonnent en se mettant aux vers glas qui sonnent le glas.
Jérôme de Mars
Citation :
Si un jour je finis fou et seul à l'asile, enfermé et en étant attaché, c'est
que mon cas m'isole de force !
( camisole de force )
Jérôme de Mars
Les vents d'ange
A l'accoutumée consommée,
L'heure de la récolte a sonné
Lors de l'été qui aime l'ire
Les raisins de la colère consumés,
Entre les vies d'ange aux parfaits mélanges
Et les vents d'ange de l'amour,
Qui engrangent les vendanges
De la cueillette du vin dans les faubourgs,
Des troubadours qui bourrent les bourgs
Villageois avec une bière bien pressée
Accoquinée avec du vin mariés et empressés,
D'en découler un breuvage spiritueux
Après la fermentation du raisin fructueux,
Quand les vents d'ange lâchent la grappe
Des raisins qui maturent dans les cépages,
Car ces pages tournent le fruit de leur travail aux images
D'un tendre hommage, lorsque les raisins sur la table
Se dégustent entre le vin affable et l'usufruit sur la nappe
Qu'on mange et démange en enlevant les pépins de santé,
Pour pardonner à Dieu toutes ses épreuves effrontées,
Aux quelles on est confrontés en devins et en deux vins viables,
Où l'on s'écrie bonjour de France que la récolte est belle
Si on ajoute en valeur plus ajoutée une confiture de mirabelle,
Avec de la prière, de l'amitié, de l'humanité et du fromage afin d'invoquer
La paix intérieure et le calme atténué que les sacrifices
Des journées aux périodes antérieures ne furent vains,
Car au fruit de l'exode mural, on se réclame que Dieu nous bénisse
Des vents d'anges aux vendanges, où l'on s'assoupira vierges effarouchées
Dans un sommeil profond et pérenne avec notre bâton de pèlerin pour la postérité.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi à Madrid, est-ce-que c'est plus facile de se masturber au sein des femmes ?
- Parce-qu'il y a la branlette espagnole !
2) Qu'est-ce-que c'est de se foutre en l'air par Facebook sur Internet ?
- Un suicide connectif !
Jérôme de Mars
Citation :
Une personne majeure qui n'est pas vaccinée contre les accidents de la vie, on la prend en grippe !
Jérôme de Mars
Le printemps bat de l'aile !
Oiseaux de mauvais augure,
Autant favoriser l'ouverture
Avec une aventure
Qui élargit le signal de couverture,
Avant que la rupture
Consomme la nature
Dans la démesure,
Des relations qui dénouent la couture
Aux fils emmêlés de vergetures,
Quand le printemps bat de l'aile
Et divorce à tire-d'aile
En mariages sans dentelle,
Qui consolident la bagatelle
Des unions infidèles,
Où l'autel rédige l'épitaphe
De son hôte tel
A l'hôtel mortel
En stèles autographes,
Lorsque le printemps bat de l'aile
Des libellules aux hirondelles
Qui reniflent la rondelle
Des vierges pucelles,
En pensant ritournelle
A raconter qu'untel
Malmène les saisons passionnelles,
D'un changement de partenaire essentiel,
Afin d'y inséminer une semence plurielle,
Si tendrement bon que la grâce vous reconnaît charnel
De sa volupté tourterelle
Disséminée au septième ciel,
Quand le printemps débat
Nous irons d'ailes
Attire d'ailes.
Jérôme de Mars
Le soleil réparateur
Après une nuit confinée,
A dormir à la belle étoile
Avec dans la main, un poêle
Pour réchauffer les amitiés gelées,
Le jour se rêve meilleur
A l'aube, dès que le soleil réparateur
Accorde du répit
Dans une trêve de grand seigneur,
Qui recolle les éclats brisés
Avec les vertus et les vérités
Des paroles amies et unies,
Du réconfort aussitôt en essor,
Quand l'amour essore
La haine
Pour l'étendre sèche
Et la mûrir en une pomme d'Eden
Qui bêche L'Eden et vend la mèche,
En cultivant sa couleur
De lumière au bien
Qui rassemble les êtres humains,
Lorsque le soleil réparateur
Rallume le calumet
De la paix dans la réciprocité,
Du bonheur et de l'ardeur
En une poignée d'amour de bras soudés
En clameur,
Dont les gens bienveillants
Eclaircissent longtemps le ciel vaillant,
Au soleil réparateur
En porte-parole d'un avenir récupérateur,
Et porteur
De témoin en passeur
De relais rapporteur,
Haut soleil réparateur.
Jérôme de Mars
L'argot parigot
Hello, en ce ghetto
Qui va à vau-l'eau,
A l'argot parigot
D'ici Paris pas beau,
Lorsque partout, il pleut
Le chaos
Avec son imperméable
Inconsolable et regrettable,
Du tourbillon ténébreux
Dans ce Paris sous l'eau allo,
Comme tu es vénère
Et que tu vénères,
Kif kif
Avec ce kif,
Dont tu retranscris
L'argot parigot
En synchronie
De gros mots,
Du fond de ta caisse
A fond la caisse
Que tu encaisses,
En espèces
De bouffons du roi,
Car nous bouffons des à rois
Aux pas rois
Que tu soignes à l'hosto médication
En autodidacte de toubib,
Où il te manque le rib
Pour ramasser le gros magot,
De tout ton pipeau
La clope au bec de drôle d'oiseau,
Car y en a ras le bol
Que tu coupes à pas de bol,
Le bémol
De ton fardeau,
Parmi les foncedés mongoles
De Venise à Venus,
Le cul sur la tamise à l'anus
Horribilis, dont tu glisses
Sur le réglisse
De l'argot parigot,
Où c'est ballot
Qu'on te mette le couteau
Sous la gorge,
Alors que tu regorges
D'un immense potentiel,
Car c'est chaud
Que tu ne l'exploites pas furax
Pour que tu sois relax max
Dans un max
De volupté bagatelle
Dans l'axe sain taxe,
Si bon que tu n'as plus de crampe,
Comme tu l'as tiré ta crampe
En décampe,
Quand tu campes
Dans une ribambelle
De différentes positions sexuelles,
Qu'à ras bord, tu rases les murs rasoirs
Des blaireaux
En exutoire,
Dès que tu guéris de tes trémollos
Et que tu rétablis les à jours de carence
En jours de connivence,
Car tu n'emploies plus l'argot parigot
Comme en révérence,
Tu parles à nouveau
La signifiance
D'un Français au verbe haut,
Pour relever le niveau
Chiche perfecto
Et classe maestro,
Car demain, il fera beau
A Paris, Place Beauvau,
Avec brio.
Jérôme de Mars
Bris de couloirs
Ah ! le temps qu'as-tu manigancé ? pour que je sombre dans le four crématoire
En cendres haletants, comme des anchois en choix aux crépuscules sommatoires,
En bris de couloirs dont les débris retentissent en impacts du diable qui crache
Son irrévérencieux venin dans les besoins qui se démènent en hystéries vaches,
Olé olé qui supportent un message oratoire auquel l'exutoire voudrait voir
Une durable embellie pulmonaire qui respire le doux bois d'un feu de cheminée,
Au coin tranquille du rosé qui incite l'appétit des journées de couleurs revigorées
Quand trépassent les bris de couloirs et qu'ils passent en bruits de couloirs
D'un exutoire pas dérisoire qui saisit l'opportunité de fuir les mondanités,
Et de se rapprocher de l'essentiel avec des paroles utiles qui oublient les vanités
Aux mots sans paroles futiles et sans grand intérêt comme des cabris de couloirs
Qui copient les troupeaux des moutons de Panurge auxiliaires du verbe émouvoir,
Car leurs histoires très noires touchent au plus profond de leurs hêtres invalides
A l'amour et à tout ce qui entoure les normes comme ils ont le handicap paralysé
Par cet immonde de vautours hors-normes pour être conforme à la dyslexie solide,
Comme s'il était hors-saison d'accorder l'auxiliaire être avec avoir du bien-être
De ces bris de couloirs qui nourrissent l'impureté de l'âme alors que des bruits
De couloirs poussent dans le ciel monotone duquel nous tend la main l'instantané,
De vivre le moment présent avec le fruit D'Eve et D'Adam en récolte péri maître
Des partis prix qui estiment la valeur des choses précieuses aux parures polies,
En arborant les symboles qui décolèrent le dépit et méritent des bruits de couloirs
Agréables à partager loin des bris aux débris de couloirs en abreuvoir d'un arrosoir
Qui sème la bonté de la vie en un devis d'un tour de vis au renfort à bon port,
Qui conjure le tour de vice afin que le folklore s'immisce dans le rang fort et ici mort
Le fort bagnard comme c'est là que ces bris de couloirs s'achèvent en débris
Qui mutent en bruits de couloirs jolis de par la renaissance rustique en apologie.
Jérôme de Mars
Eux
E les mettre sans E des sur marche on comme B l'alpha de lettre ème 5 ,E
Dans
Le même
Panier
D'oeufs
A eux
Par père de deux
Quand les E
Prennent
Tout à la lettre
Bouche B
Alphabête en eux quand ils s'entêtent par d'oeufs à pondre deux E bien naître
Par un père d'E
Qui roule les oeufs
En eux
Et en s'y émettant
Deux à d'E
Car E s'écrie
En prenant tout à la lettre
Alpha bêta
En noeud
Tête de noeuds
Qui comptent par d'E
Pour d'eux
En démarchant
Sur Deux
La marchandise en noeud lorsque jamais deux sans oeufs content par d'eux en E.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi y a-t-il eu un attentat à Londres près du métro ?
- Parce-qu'il était en station debout.
Jérôme de Mars
Ca ne tourne plus rond !
Salut ! Que penses-tu ?
De notre monde
Prétendu de vertu,
Alors que tu me réponds
Qu'il s'enlise
Dans le vice
Et que ça ne tourne plus rond,
Comme t'as plus un rond
Et que tu tournes en rond,
Comme t'es rond
En faisant des rondes
Et des ronds,
Comme t'es carré
Et que t'as contrecarré
Le périmaître carré
A la ronde
Qu'au rond tue,
Que tu corromps
Au triangle permute
Qui t'inonde,
Comme ça ne tourne plus rond
Mais que tu restes coron
Si tu perds le nord qu'au rond,
Où tu te maintiens rond
En large et en long,
Corrompt
Le délit,
Qui délite
Toute la dynamite,
Qui s'assouplit
Au lisse
Et au réglisse,
Casse-bonbon
Qui glisse
Et reglisse
Sensuel,
Dans le populaire consensuel
Des belles demoiselles charnelles,
Qui biaisent
Les têtes brûlées au carré
Très carrées,
Où elles ne ristournent plus rond
Corons corrompt
L'allumeur de brèche
Qui sèche les cours des allumettes sèches
Se complaisant
Au port de Plaisance plaisant,
Où quand t'auras un rond
En restant rond
Il n'y aura péril en la demeure,
Mais puéril en là que tumeur
En rivant vers le nord coron,
Et en arrivant qu'au rond
Ne corrompt,
Car tu courras les jupons
Au maître carré
Et au contremaître carré,
Que tu résisteras carré
Qu'au rond,
Où ça tournera à nouveau rond.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-qu'un Arménien endeuillé ?
- Le mur des lamentations.
2) Qu'est-ce-que ça fait pour Harouth casé dans une maison de retraite si on le chambre où il dort ?
- Une parole déplacée.
3) Pourquoi ma nièce Méliné qui est asiatique, ne puis-je pas la voir ?
- Parce-que c'est une ombre chinoise !
Jérôme de Mars
Saynètes, c'est pas net !
1) Le soir, Damien éteint son portable pour ne pas recevoir par sms les bêtises de Jérôme, car Damien n'est pas une lumière.
2) Christophe dort pour ne pas écouter les bêtises de Damien de retour du Pakistan, car Damien roupille.
3) Christophe dit non à Damien tout ouï qui lui adresse un nom d'office.
4) Christophe carotte Damien, le lièvre qui lui pose des lapins.
5) Jocelyne et Christophe qui vont ensemble au restaurant asiatique mènent le monde à la baguette.
6) Le 30 Octobre, comme c'est l'anniversaire de Christophe, il va regarder en dvd le dernier James Bond avec Sean Connery, " Jamais plus jamais ", car jamais plus jamais, Christophe ne regardera ce dvd après.
7) Jérôme qui fait un régime hippo, aime bien aller avec Christophe au Grec, comme c'est la baisse de régime hippopotame en gros, mince alors.
8) Jérôme sur Internet, n'est pas net, comme saynètes.
9) Jérôme et Christophe se comprennent et s'entendent bien en étant sur la même longueur d'ondes, car il y a une bonne réception radio !
10) Jérôme et Christophe sont sur la même longueur d'ondes, quand Jérôme émet des ondes positives et que Christophe écoute la radio.
11) Damien trouve du travail au supermarché, où il prononce dans la file anglaise of course !
12) La différence entre Christophe qui préfère Les Etats-Unis et Jocelyne, La Bretagne, est que Christophe a le rêve américain et Jocelyne, le rêve armoricain et pluie tant pis !
13) Dès que Christophe et Jérôme, les acolytes travaillent ensemble sur Dugas, Jérôme prend de la bouteille et Christophe les met en boîte !
14) Jérôme et Serge écrivent à quatre mains un poème et Serge lui demande à quoi ça rime et Jérôme lui répond J'arrime et te sers-je un ver ?
15) En inconnue, une équation est un problème x y et en solution, elle est en adéquation en résolution !
16) Jérôme et Christophe qui s'expliquent autour d'un repas après s'être disputés, balancent d'une voix forte : " On nem mettre tout à plat ! " .
Jérôme de Mars
Les anges du ciel
Petits souvenirs de votre ombrelle,
Les hirondelles vous saluent parcelles,
De terres universelles qui enjambent
Les anges du ciel qui tremblent,
Dans l'offre de l'étoffe qui semble
Une petite pierre de misère qui flambe,
Un feu d'apparence qui selle les retrouvailles
D'épouvantails qui taillent des merveilles de trouvailles,
Quand les anges du ciel trempent d'aquarelles
Les portraits qu'encadrent les semeurs aux prunelles
De leurs yeux, lorsque les anges du ciel rejoignent mésanges
De mes anges qui se mélangent dans l'archange,
Des passeurs d'autant que le temps demeure, pendant
Que cependant d'antan se révolue en nonobstant
D'instant au temps d'antan autant que les anges du ciel
S'envolent parmi mésanges en mes anges figurants pareils,
Assez de déployer leurs ailes brisées dans la brise devant
Les histoires parallèles et conformes à la rosée des vents,
Que le ruban d'étincelles se pare de bijoux formels adieu oiseaux
Demoiselles au ciel avec mes anges qui tournoient en mésanges,
D'un lâcher de tourterelles qui envisage de recouvrir les vendanges
Avec vous mésanges, mes anges au ciel qui donnent le dernier mot
Au concerto de l'eldorado rideau bravo.
Jérôme de Mars
Lésés tas unis
Dialogue via Facebook entre Jérôme en France et Christophe aux Etas-Unis, deux amis déconnectés du virtuel et recentrés sur le réel de l'essentiel :
Christophe : " - Bonjour lascar, comment vas-tu mâle " ?
Jérôme : " - Très bien et très mâle Christophe dans ces va-et-vient où ça va Pluto Dingo, mon pote. "
Christophe : " - Il faut que tu mentionnes mon pote à la compote et au fait, suis-tu ton régime hippopotame Jérôme ? "
Jérôme : " - En gros mince, je le suis à la diète hippo de ma baisse de régime hippopotame et toi, ça se passe bien ton voyage aux Etats-Unis Christophe ? "
Christophe : " - Ca se trépasse trop bien mes vacances vers lésés tas unis, en prenant mes distances avec toi, Jérôme, à des années-lumière de toi, où tu n'es plus que l'ombre de toi-même Jérôme, et moi, je suis une très grande lumière. "
Jérôme : " - Bien sûr, tu es à quel endroit des Etats-Unis Christophe ?
Christophe : " - Je suis à Las Vegas mégalo en jouant aux machines à deux sous et demain, je serai en Californie et après-demain, j'irai à San Francisco comme tu te fais des films, pas de quartier. "
Jérôme : " - Donc, tu feras double je à Las Vegas parano où c'est plus du cinéma et tu diras moi, je à San Francisco, car tu couperas les ponts avec La France, moi, qui suis trop froid et toi, qui es trop chaud en ces temps bipolaires pas beaux.
Christophe : " - Détrompe-toi mon pote, pendant que tu as des coups de chaud, moi au moins, je souffle le froid lorsque je bats l'enfer temps qu'il est chaud. "
Jérôme : " - Sacré zigotto, t'es trop drôle. "
Christophe : " - Non, je ne suis pas drôle car ton humour est noir. Sérieux, c'est pas marrant, car blague is black. "
Jérôme : " - Pourquoi Christophe ? Je sais pourquoi tu n'as pas le sens de l'humour, car tu n'aimes pas rire de mes blagues mais sous rire, comme l'humour noir est la politesse du désespoir ! ".
Christophe : " - Ok Jérôme, mais dès que je reviendrai en France, j'aurai le sourire aux lèvres et toi, t'auras le sous pire aux lièvres avec Damien, qui te pose des lapins et qui te carotte. "
Jérôme : " - Pas grave Christophe comme tu me racontes des salades, où c'est du vent vers lésés tas unis, toi qui m'apostrophe avec la strophe Christophe. "
Christophe : " - Normal, Jéjé de Mars, c'est pour terminer ton poème de ta plume de poète maudit, que je te déplume l'apostrophe. "
Jérôme de Mars
Psychogrammes
Psychose, cette prose
Naît rose
Mais sinistrose,
Car après le drame
Survient cette trame,
Qui a besoin d'un peu d'humour
Dans ce monde de brutes
A l'état pas net,
Comme Internet est net
En saynètes,
Si l'on pratique du psychodrame
Psychorigide
Que l'on commet d'office,
Avec le psychogragramme
En drame psycho frigide,
Quand ensuite, le drame
De l'amour noir
Surgit avant le gramme d'humour,
Avec des coups de folie
Bipolaires, en pleine ère
Et maniaco-dépressives,
De tasses d'expresso café
Eruptives du psychodrame,
Toc toc qui toque
Les manies de la psychose
Gramme psychotique,
Et tic tic, qui tique
Les changements d'humour
Avec un gramme d'amour
En cette trame de Nemours,
Oh ! défouloir
De tendres histoires,
De bistrot de comptoir
Bien garnies au réservoir,
D'abreuvoir de bris de couloirs
Schizophrènes de la même rengaine,
Qui dégaine le psychodrame
Aimé jacquet
En psychose grammes,
Du psychogramme psychopathe
Main à la patte et qui épate
Enfin de sets trames.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi y a-t-il eu un attentat à Las Vegas ?
- Parce-qu'il y a des machines à deux sous
( dessous )
Jérôme de Mars
Texte préconçu
Prétexte :
Je ne peux écrire mon texte car je me fais du sang d'encre, comme je me déplume avec ma plume d'enclume en prétexte dont je n'écris l'histoire en couleurs, car elle reste imprimée noir sur blanc, dans laquelle j'ai imprimé que mon histoire noire fait couler beaucoup d'encre, comme elle demeure exposée en grandes lignes ponctuées de points sur les i, pour mettre les choses au point recto verso avec ces feuilles mortes à l'automne de ma vie, telle une poésie mélancolique qui a la colique névrotique, et qui semble fanée, mais cependant si on me fait une fleur, je mettrai le passé entre parenthèses, pour redémarrer une nouvelle page, où je me livrerai en rimes intemporelles fenêtre ouverte vers un monde pacifique, que je vagabonderai utopiste dans un ailleurs bien meilleur.
Contexte :
En l'état du contexte préconçu, je sus que je jetterai l'ancre comme j'arrime le bord de mère à la quête d'une destination, si bien que j'en amarre de tout, du tout pour le tout avec mon va-tout, en atout ci là, où je ne larguerai les amarres, dont le présent est autant pendant que ma vie trouve sa vitesse de croisière au bord de mère sans vague à l'âme déferlante, d'aux bleus à mères, du sel de la vie en les tas du contexte, vagues à larmes dépêche maligne.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi y a t il eu une attaque à Marseille ?
- Pour leur passer un savon de Marseille !
2) Que dit une frangine qui n'est pas une âme soeur avec toutes ses difficultés auxquelles elle est confrontée dans les différentes situations ?
- J'ai six cas de figures !
( Jessica )
3) Pourquoi suis-je invisible pour toi ?
- Parce-que je ne suis pas clair !
Jérôme de Mars
Une tempête dans un ver d'eau en moi
Hérisse et haut moussaillon,
Nous récoltons et ramassons
Une flopée d'effusions
Du vent haut devant folichon,
Au souffle boursouflé
D'un soufflet essoufflé de désespérer
Boire en hypothermie le froid et le chaud,
A basse température du thermos à degré zéro
Qui chine aux enchères les travers des esthètes
D'une tempête dans un ver d'eau en moi,
Qui bat l'enfer tant qu'il ait échafaud et en froid
D'aux devants incontinents des océans pacifiques
En coups de chaud d'aux tropiques de piques
De chaleur qui jouent cartes sur table à contretemps,
Des feuilles ricochets sur l'eau d'aux rebondissements
Jaillissant écorchés par les variantes de la vie qui sécrète
Des secrets de polichinelle aux parés hauts,
D'une tempête dans un ver d'eau en moi
De tourments qui embrassent les pieds devant,
Sitôt l'accalmie escomptée et juchée sur la courroie
Du désarroi des rois déjà rois dans le café du commerce
Devin, où il en a marre le café qui exerce
Au sommet du pique de bouffée de chaleur,
Oh ! qu'il été beau et escabeau tout ce bonheur
D'une tempête dans un ver d'eau en moi ici haut.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dira-t-on de toi si depuis ta retraite à Cavalaire, tu t'ennuies sans t'occuper en étant spectatrice et non actrice ?
- Simone s'ignorait !
( Simone Signoret )
Jérôme de Mars
Trouble blanc
Jeune blanc bec,
Tu nous habitues
Avec tes emprises de bec,
Que tu tus
Sans blanc
Semblant
Adopter une attitude,
Avec un prélude
De façade
Sans tourments,
Comme cependant
L'océan chaud volcan
Ravage larges cascades,
Sous les dépliants des rides
De la digue frigide,
Qui lèche l'affriolant ressortissant
D'assortiment trouble blanc
Et en troublant
Ces années de vaches folles,
Enragées dont tu raffoles
Dans ces ambivalents double cent
Encens, que tu becques
Et que tu débectes
A cracher ta lave de colère
Issue de ton immense cratère,
Où tu n'en as plus rien à foutre
En sang, comme tu pédales
Dans la choucroute
Et que tu rétropédales,
Quand tu t'encroûtes
Avec tes petits vélos
Ornés de l'assidu chaos
Dans la croûte
Pédestre, à laquelle
Tu vires de bord
Sur le rebord
Conflictuel et untel,
Trouble blanc
Et troublant
Sur le dehors,
Hors insignifiant
D'un je m'en foutisme
Qui soigne l'humanité médecine
Généraliste,
Car t'en as marre
Que la coupe soit pleine,
Tandis que t'amarres
Au tintamarre
De la petite reine,
Oh ! vilain petit canard
Qui condense le bison affûté
Et renard
Lors du sacrifice démérité
En incarnant tu meurs maligne,
Lorsque les moeurs s'écoeurent
Dès la liqueur,
Bénigne et longiligne
Que tu assassines
Bécassine qui bécasse signe,
Et bassine
Les ultimes jeteurs
Et fauteurs
De troubles blancs,
Et troublants
Du ciel et de la terre
Au club des cinq éléments,
En troubles instants
Aux troubles insistants
De ces troubles blancs,
Comme c'est troublant
Sans blanc,
Après à voir Morphée semblant
D'endosser le rôle du clown triste,
Si bon que jadis il est tendant
De partir en intendant
Troublant,
Après avoir contrefait
Tous ces blancs troubles blancs
Semblant sans blanc.
Jérôme de Mars
Action réaction
Interaction, de parler c'est bien beau,
Car avec la langue
On peut tout enfer exsangue
Alors que d'agir,
C'est gravir d'un ex cas beau
En escabeau pour aller plus haut,
En passant de la théorie
A la pratique,
Car c'est mathématique
De mettre en dynamique
Tout ce dont on a envie
Dans le bon sens
Qu'on encense,
De façon systématique,
Car aussitôt, action
Veut dire
Réaction en inter action,
Si on agit avec décence
Pour trouver sa voie
Car distendue lourde sa croix,
Si on y croit qu'internet
Ce n'est pas net,
Et qu'après trop de virtuel,
On doit se recentrer sur le réel
Et l'essentiel de l'action en inter action,
Comme il y a intéraction
Avec la réaction,
Où plutôt, on tirera un trait
Sur l'abstrait
Plus tôt, on s'érigera dans du concret,
Positif et constructif
Pour un avenir
Très loin du rétroactif avec du passif,
Car en route à notre actif
En rectificatif,
De l'action
En réaction.
Jérôme de Mars
Céline
Bonjour Céline,
Comment vas-tu ?
Pourquoi tu te tus ?
A converser maligne
Et à conserver bénigne,
Une relation ambiguë et cordiale
Avec tes collègues
Auxquels tu délègues
A courber l'échine,
De la machine
Qui devine
Tes aspirations profondes
De fuir ce monde
Animal et végétal,
Qui te cause tant de mal
Et t'empeste
Dont tu te délestes
A prier Céleste,
Car tu veux prendre ta retraite concrète
A distance d'intervalles de la monotonie routinière
Aux derrières ordinaires,
Que tu décrètes et que tu arrêtes
Dans une attitude,
Où tu te protèges
De la servitude
Rangée dans ton clan
Qui fout le décan
Dans un sortilège de sacrilèges
Avec tes collègues, dont tu t'allèges
En les ignorant
Dans le silence est d'or
Et la parole est d'argent,
Car tu te préserves
En y mettant de la réserve
Avec un effet boule de neige
En bouchant tes oreilles
Avec des cotons tiges
Et des boules qui est-ce ?
A suspendre le bruit rebelle,
Où tu dors
Dans ton subconscient
Pour oublier alèse
Les vertiges des vestiges
De ces gens inintéressants,
Où toi Céline,
Tu dessines
Une farouche envie
De voir
Des personnes
Qui comme toi résonnent
Et sonnent
Avec la même longueur d'ondes
Au téléphone
Qui te sonde du beau monde,
Car toi Céline,
Tu aimes les clémentines
Et les églantines
Au fruit de ta gentillesse
Qui te procurent de la liesse
Et de l'empathie grâce à ton travail
Vaille qui vaille,
Toi Céline,
Où les capucines
Te chantent un hymne
Qui te jardine
Céline en vitamine,
Et qui se termine
En comptine,
Pour toi Céline.
Jérôme de Mars
Plutôt le soir
Au berceau du loir
Aussitôt, Les Saints de glace
Laissent de glace
Les raconteurs d'histoires
Plutôt le soir,
Car s'interposent les nuages plexiglas
Plus tôt le soir,
Aux tristement nuits tombées
Mises devant la fête accomplie et régentée
Plutôt le soir,
Pour entrevoir
Les plans sur la comète
A asseoir
La plénitude et sa face noire,
Des variantes au trépied
Du tombeau aux retombées
Des giboulées qui ont défoulé
Plus tôt le soir,
Au coin du feu de bois
A moindres déboires
Dans l'antre rabat-joie,
Où on brûle vif
Le subversif et le transgressif
Des remises sur le bûcher
Ecorché vif et dépité
Comme par pitié,
Où l'on vagabonde en candides déboussolés
Qui lâchent les gondoles
A Denise pour de captives paroles
Au reflet réfléchi du miroir
A l'effet domino des joyaux
De la couronne
Qui détrônent
Les coraux de métaux
Qui ristournent le dos,
Au très mollo recto verso
Plutôt le soir,
Justement bonsoir,
Car tôt ou tard,
On vous suppliera
De tout notre poids,
Plus tôt le soir,
Avec aucun racontars
A l'instar
L'un star
De l'univers accroché
Au pied du mur bouche-bée
Plutôt le soir,
En un fard
Continu de l'étendard
Plus tôt le soir.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi me ferait-on des compliments si j'avais une leucémie ?
- Parce-qu'on me ferait un cancer de louanges !
Jérôme de Mars
Marche ou brève
1) Emmanuel Macron est tombé en marche de l'escalier car il a raté son mouvement !
2) Les routiers font grève en bloquant les raffineries pour protester contre la loi travail parce-qu'ils tombent en panne décence essence unique !
3) Les opérateurs de téléphonie mobile SFR, ORANGE, BOUYGUES TELECOM et FREE tuent la qualité de leurs téléphones portables écran tactile en les vendant à bas prix car ils ont trouvé le mobile du crime !
4) Si un jour, l'extrême-droite remporte les présidentielles au Mexique, ça fera un séisme !
5) Les ouragans José, Maria et Irma qui ont sévi aux Antilles Françaises, ont eu le vent en poupe !
6) Si jamais l'ouragan José arrive et s'abat en France, il lui jettera un vent !
7) Si l'ouragan José s'abat en France et est largement moins puissant qu'aux Antilles Françaises, ça sera du vent pour La France !
8) Le climat social en France est bipolaire car y a des changements d'humour au temps de son environnement !
9) En France, c'est chacun pour soi et Dieu pour tous, car de croire en soie est odieux !
10) Un horticulteur a le droit de cultiver le bien de son potager !
11) Si un jour l'extrême-droite arrive au pouvoir en France, on dira de notre pays Marine le peine !
12) Une personne handicapée qui travaille à L'APF ne peut pas s'y rendre s'il y a la grève des transports car elle est paralysée !
13) Une personne ayant une entorse qui inaugure une nouveauté, essuie les plâtres !
14) Une personne qui foule la cheville de quelqu'un en ne respectant pas le règlement, fait une entorse !
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fera pour Le Mexique si un jour lors des élections présidentielles est élu président un candidat d'extrême-droite ?
- Ca fera un séisme au Mexique !
Jérôme de Mars
Suicide connectif
A l'acide
Aura lieu mon suicide
D'ici peu
Au pieux de Dieu
Car je me replie
Décadent
Et prends le pli
De ma dent
Dure au creux indifférent
De tout et déviant
De mon comportement
Outre passé subversif
Et aux travers transgressifs
Où ce sera l'offensif
Après avoir temps morflé
Dans la loi du silence assourdissant
Et indécent des gens
Ignorants de mon boucan
Tonitruant et truand
Où je fous le camp
Absent dans l'au-delà des tourments
Car à petit feu, je crève odieux
Si bien que je me désintègre
Comme je ne suis pas intègre
Et exempt de dignité
Avec tous ces camouflets
Dans l'adversité
Aux excès consumés
Et éprouvés
Que je panse au suicide connectif
En trépassant au subjonctif
Le pensif
Après m'être fait réprouver
Mes regrets et ma sincérité
Comme je me suis fait des tifs
Dans le pif
En rectificatif
Duquel j'ai appuyé sur le kif
Car tout l'immonde kif kif
Semblait évasif
En expressif expansif
Du vide sidérant de mon écorche vif
Où enfin, je serais mort prescriptif
Et contraceptif
En cendres brûlés vifs
Pour descendre ex pensif
Et conjugué au passif
Car je ne serai plus actif
Et aussitôt, je ne demeurerai répressif
Car je redeviendrai réceptif
Et permissif
Avec de joyeux récifs
Au bord de mère rétroactif
Après le suicide connectif
Déconnecté du réel
Mais recentré sur l'essentiel
Au royaume des cieux
Au mieux
Démontés acides
Comme après le suicide
Connectif,
Je construirai en poncif
Avec que du positif
Et au diable le négatif
Pour me fixer un objectif
Défensif.
Jérôme de Mars
Soleil d'automne
Déclic, la saison précaire et encline cligne sur un battement de torpeur
Maligne à l'ascendance bénigne qui déploie sa dynastie sous ses phalanges
De ses doigts d'honneur qui mélange les mésanges et les anges inquisiteurs,
Du soleil d'automne aux tonnes du tome auteur des maladresses qui engrangent
La voie des lecteurs avant le soleil d'hiver qui passe le relais au soleil du printemps
Alléchée en vitrine et ficelée en coups de ciseaux ciselés quand le soleil été friand,
D'un bain de foule amouraché du soleil d'automne et atone qui grêle de giboulées
La saison pauvre comme le soleil d'automne déraciné en renfort qui a déboulé
Le soleil d'été qui était capricieux du soleil d'hiver en paix du soleil du printemps,
Qui remue ciel et terre en se concertant avec les nuages gris de colère à cran
Qui semblent au zénith du canal plus spacieux dans les effets d'optique écrans
Statiques sur la rosière de la lisière de la forêt espiègle sous calmants béants,
Qui regorge le soleil d'automne d'une brindille de soleil d'hiver qui a varié courant
Du soleil du printemps qui éclaircit le soleil d'été qui était au mieux auparavant,
D'aux paravents pour contrer le vent adjacent et dépeuplant les tropiques o' lueur
D'espoir apporte ta petite lumière qui grandit de l'ombre aux couleurs de sueur,
Du soleil d'automne en faune et flore du soleil d'hiver et dans le folklore du soleil
D'été qui décante le soleil du printemps en soufflant les poussières au sel pareil
Universel comme le ver mi sel qui démange la soupe vermicelle qui dope le climat,
En froid avec le chaud après qu'il ait réprimandé en offre et à la demande le débat
Vieux comme l'an 14 d'autant des périodes qui jettent un vent parmi le soleil d'été,
Qui était réchauffé par le soleil du printemps après qu'il ait refroidi ses rotations
Et ses relations avec le soleil d'automne mort comme le soleil d'hiver et varié,
Auquel se prosternent les quatre saisons protestantes dans leurs convictions
Qui gravitent les marches des intermittences du soleil, qu'il était avarié et ravitaillé,
Du soleil du printemps qui était monotone et d'hiver à n'en plus douter en états
De séances plénières qui lézardent l'horizon inouï aussitôt le soleil remis à plat.
Jérôme de Mars
On casse les codes
Qu'on castre à Castres Etc, nous voici, nous voilà.
A la mène qu'on emmène En décode au casse de la case
Secrets de notre jardin D'ADN qui nous démène
Concasse les codes Qu'on casse les codes
De notre pomme d'Api A notre pomme D'Adam
L'entre jeu de paumes Haut comme trois pommes
D'où en psaume On paume de nos mains paumées
Qu'on attire au retrait Du secret décode en émeraude
Paroles D'Evangile Concasse les codes ceux traits
Mégalos hirsutes Lorsqu'on rase les mûres
Dans le Paris nostalgique Et névrotique des paranos
Des robes des femmes Du sacré choeur
Dans la maraude Qu'on dérobe
De cette ode qu'on rôde Et qu'on taraude
D'un casse qu'on commet Quand on se casse
Que tu castres en barre Comme on te rembarre
En mille bornes Et en codes-barres négatifs
Comme on case les codes Et que tu outrepasses les bornes Sur le magnéto t'en ressers-je Un ver t'es-tu borné Positives lorsqu'on salve En diapo, y a photo
Aux séquences palourdes Qu'on salse en négatives
Qu'on case de sa croix Lourde de conséquences
Sur le marché comprimé Car on casse les codes
On compose le code cachet Et qu'on met démarché
Qu'on ressasse de décompression Dès qu'en impression
Encode on commet un casse Qu'on case dans un code en sas
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi ne suis-je pas très entouré par ma famille ?
- Parce-qu'on m'a bien cernés !
2) Pourquoi joue-t-on cartes sur table avec moi ?
- Parce-que je suis le meilleur rami de personne !
Jérôme de Mars
Une tête au carré
Contrecarré avec le carré très droit carré Qui poursuit le mètre contrecarré contre carré Au mètre carrément carré avec une mauvaise tête contrecarrée
Tracée par un carré contre carré et carrément Et recadrée dans le cadre d'une tête au carré car et décarré
Qui trace un carré très carré et carrément Par un pense tête très carré au cercle des poètes maîtres carrés
Et recadrée par un cadre très mètre décarré Et contrecarrés par un plan à Troyes qui définit carrément
Qui chiffre l'ambiance contrecarrée Une idylle de providence exotique et évanescente avec un carré Avec une grosse tête au mettre carré D'une tablette de chocolat contrecarrée par les maîtres carrés
Modulé par le thermomètre carrément Carrément dans la lagune qui bat la chamade au mettre carré
De chocolat paramètre car et Du jus de citron acide et acidulé Au Cid du cidre d'un piquant au carré
Contrecarrée par un carré D'une tête contrecarrée au carré de l'omerta décarré très carré
D'une forte tête très carrée Au blues étrange étranger en transe avec où transe pour mettre carrément
Pour lui faire une tête au carré Un rentre-dedans cash qui fâche les plus ignorants et les plus carrés
Du volume très carré Contre carrés d'une mentalité en une ligne droite qui ne dévie très carrée
Carrément au périmètre carré Car on ne peut enfer n'un porte quoi aux démettre carrés pour émettre un contrecarré
Un esthète contrecarré Des carrés moroses qui défoncent une tête au carré carrément décarré et contrecarré
On veut au carré Contre carré et recadré dans le cadre d'une remise à plat au maître carré car et
Venu L'Otan d'autant en déporte l'avant paravent sur le parvis de l'autel de vie carré
En un tête-à-tête car et O' le bon vieux où es-tu dépassé du changement de psychomotricité au remède contrecarré
Une tête au carré carrément Du carré rose à la rose déviant le haut paréo carrément vibrant et innombrable o' décarré
En accomplissant au maître carré Aux têtes en l'air ultra têtes brûlées et écorchées vives les incendies feu le mètre carré
Qu'on doit contrecarrer D'un tour de coup dévisse qui met le vice avec un tour de vis dans le viseur contrecarré
En-tête, s'érige un casse-tête carré De ce démettre carré au comportement carré carrément une tête en l'air et un casse-tête en enfer une tête au carré.
Jérôme de Mars
Petit à petit, l'oiseau fait son nid !
Coucou, le drôle d'oiseau
Se dévergonde finaud
Dans l'envol d'un nid
De coucous qui nient
Des ni or ni,
Dans un florilège d'étalage
Sous l'effet de seuil qui punit
Ses plumes à l'effigie
De ses rétropédalages
Et de ses ramages
Au teint hâlé,
Allez, déballé
Le sacré numéro
Et survole la zone distendue
Du fruit détendu,
Quand petit à petit,
L'oiseau fait son nid
D'un nid de guêpes
Qui met un bémol aux steppes,
Lorsqu'en appétit,
Il joue avec des si
De ses paroles frivoles qui gèlent
Ses flashbacks de drôle d'oiseau
Qui pèle
Et épelle ses propos
Avec sa confrérie en flagorneries,
Qui l'adule avec des courbettes
Comme son panse bête
Que petit à petit, Paris
Se défait en un jour
Par amour et velours
D'un pot pourri,
Auquel trinquent l'oiseau
Qui trinque de son par et haut,
En un vase clos
Communicant, dont petit à petit,
L'oiseau fait déni
Au nid désuni,
Car or ni, il te renie.
Jérôme de Mars
Le meilleur rami
Nous sommes au sud de notre vie,
Dès qu'on perd le nord de Paris
A se demander
Qui est le meilleur ami
De l'homme, en somme
Que nous sommes,
A la valeur plus ajoutée,
Après avoir joué
Cartes sur table
De l'affable
A l'ineffable,
De l'ami
A l'à mi
D'un entre je
Au jeu de l'enjeu,
Auquel se dénoue le meilleur rami
Au meilleur ami,
De l'ami complet
A l'à mi con plaie à peu près,
Si c'est un vrai ami
En toutes circonstances
Avec constance
Ou si c'est un vrai à mi
En très peu de circonstances
Atténuantes qui joignent l'inconstance,
Issues d'un quart d'heure de vérité,
Et quant au final, il vous laisse tomber
Avec ces vérités
En laisse-béton
De sévérité,
Car il vous plante d'un revers
De bâtons rompus,
Lorsqu'on lui donne le bâton
Pour se faire à battre à l'envers
De la vertu,
Comme jouer cartes sur table
Entre amis
Au je du meilleur rami
Permet d'être fréquenstable,
Même si l'instable
Met un grain de sable
Dans le sirop d'érable,
Où de l'enjeu
En guise de je,
On saura si votre ami
Reste votre ami
Au long court,
Ou s'il demeurera votre à mi
Parcours qui vous prend de court
Dans ce con cours
Qui vous classe or concours,
Du meilleur rami
A c'était votre meilleur ami.
Jérôme de Mars
Place de la concorde
Depuis les vicissitudes
Et les turpitudes
De ce tout-Paris,
Paris est ému
Et fourbu
D'être convaincu,
Que le capital
Du pari perdu
A liquidé Paris
Et sa capitale,
Car ce qui est capital
Et vital,
C'est que Paris
Reste un pari
Gagnant et aimant
Dans son élément,
Pour qu'on regagne
La place de la concorde
Et qu'on s'accorde
Dans la gagne
D'un pari charmant,
Car actuellement
Paris a perdu
Son pari
Dans la hargne
D'un grand Paris
Monocorde de la discorde,
Où il pleut des cordes
Qui pleurent l'envers du décor
Avec raison et torts
Que Paris
Se ronge de remords
Comme s'il était mort,
Alors que pour qu'on concorde
Sur place
Il ne faut du surplace,
Mais que Paris
Refasse surface
Dans un Paris plaisant
En un pari gagnant,
Car bientôt, le pari
Sera un tout Paris
Gagnant en un grand pari,
Que l'on espère grisant
Et réenchantant
Une possible harmonie,
Avec moins de pluie
Qui grisent mine les cordes
Et qui tombent en discorde
Dans ce pari sous la pluie
Qui pleure la mélancolie,
Loin du printemps
Et proche de l'hiver monocorde,
Afin qu'il pleuve un Paris exaltant
Raccord avec l'accord du soleil pressant,
Où enfin, Le Grande Paris gagnant
Sera un empressant Pari réconciliant
La dame de fer du capital,
A la capitale
Du tout Paris réuni,
Aux jolis fruits
Place De La Concorde,
Pour qu'on s'accorde
En un pari, car c'est capital
Et vital
De s'entendre grisant,
Dans le gris du tout Paris
Prospérant et florissant
D'amours grandissants,
Où l'on s'accorde
Place de la concorde.
Jérôme de Mars
Ca ne vole pas très haut !
Et l'eau à tire-d'ailes
Avec les hirondelles,
A vol d'oiseau
Ca ne vole pas très haut,
Quand c'est chouette
De répéter comme un perroquet
Les mots en pirouette,
Comme un roquet
En drôle d'oiseau,
De mauvaise augure
Dans cette trépidante aventure,
Qui condense le périple aux ils canaris
Qui ne tarissent d'éloges à leur femme,
Qui joint le corbeau par hypocrisie
Infâme dans une trame au drame
Des passions des pigeons voyageurs,
Qui volent racoleurs pas très en hauteur,
Car ça ne vole pas très haut
Hello pris de haut en usurpateur,
Dont on n'est pas le menteur imposteur
Avec des cigognes qui jettent leur besogne
Aux pélicans ivrognes d'êtres ignobles,
En drôles d'oiseaux d'irrévérence
Qui clament la sentence dans l'ignorance,
Des prises de bec qui débectent
La bassesse de leurs caractères qui becquent
Leur parole à leur tourner cette fois la langue
Bien pendue et répandue de vipère exsangue qui tangue
Du bateau amiral des bécasses bêtes comme les mainates,
Qui caressent la chatte sur un toi brûlant, dont la date
Est arrivée à expiration aux rossignols milanais
Des goélands qui ne volent pas très hauts en oiseaux passagers
Dans le vol d'avion avec leurs camarades les mouettes,
Qui leur déchantent alouette, nous vous plumerons en cachette
Des albatros qui mènent en bateau les oiseaux brisés
Dans le pare-brise du vent qui est la risée de la paix à l'appel du pied
De plaisance car ça ne vole pas très haut dans ce décor de mâts,
Qui dévoile le cadenas de son fardeau en révélations d'émois
Qui chagrinent les papillons et réjouissent les prémices du printemps
Des amours ordinaires à l'épouvantail des effets apparents et rassurants,
En ces troublants instants qui dépassent l'entendement humain
Aux mains ouvrières du patronat de l'arsenal des petites gens très au teint
Des vanités en trompe-l'oeil des soi-disant faiseurs de bien, alors que le mâle
Est courant chez les êtres empreints de l'instinct sauvage au mirage fatal,
Car ça ne vole plus très haut depuis que l'oiseau fait dodo
Mais heureusement, l'envolée reprendra bientôt de la hauteur,
A condition que le repos des ailes de l'oiseau brisé soit vainqueur à l'équateur
De L'Equateur, où ça volera très haut sous les projecteurs de l'oiseau facteur,
Dès les bonnes nouvelles du facteur distributeur au long courrier mobilisateur.
Jérôme de Mars
La cigale fourmille à ses dépens
Argent content
Ou argent comptant,
Les gens de la fontaine
Choisissent d'être à la traîne
Ou d'êtres d'étrennes
Et s'entraînent,
Comme une cigale
Qui fourmille d'idées,
Mais qui a des fourmis
Dans les jambes,
Car ça lui fait une belle jambe
De posséder de l'argent pour demain
Préférant à ses dépens
En manquer
Et n'avoir rien,
Comme si l'argent allait lui tomber
Du ciel pour ses propres intérêts,
Alors qu'elle ne s'épargne
Qu'un débit de son acabit
A haut débit,
En mettant de l'argent
A côté de la plaque
De sa hargne,
Car elle a couvert
Son silence qui dore
Et qu'elle a découvert
Sa parole qui est d'argent,
Se confrontant
A une situation à découvert
D'argent et insouciant
A ses dépens,
Tandis que la fourmi
A six gales,
Se faisant du souci
Pour son escarcelle
D'argent frugal
Et qu'elle épargne
Ses propres intérêts,
En plaçant de côté
La monnaie de sa pièce
Aux dépens
De la cigale,
Une espèce en voie de disparition
Qui paye l'addition
De sa note salée,
Alors que la fourmi prévoyante
Fourmille de fourmis
Dans les jambes,
Car ça ne lui fait une belle jambe
D'être et d'avoir de l'argent,
De côté pour demain
Et ainsi à voir de quoi
Retomber sur ses pattes,
Dont elle s'épate
D'avoir mis de l'argent
De côté pour les à côtés
En cas de grosses difficultés,
Où pour elle, ce ne sera mal placé
De panser que l'argent fée
Sa bonne heure,
Car pour elle, l'argent dore
Et la parole dort d'argent
Aux dépens
De la cigale.
Jérôme de Mars
Un débat à tomber de o'
Vers l'ébat.
A tomber de o'
Des bas à un débat
A un très haut niveau
En remontant à vive allure
Quand je ne mets bas
D'un ni vos grandeur nature
D'ébat qui tombe de haut
Du caniveau zéro en oh
Où j'espère relever le niveau
Toucher le fond du tréfonds
En appétit après à voir
O' débat petit à petit
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait un attentat raté à Londres ce matin ?
- Une bombe à retardement pour désamorcer les tensions
Jérôme de Mars
Les alizés dévalisés
D'Alésia, allez-y
Les vents soufflés
Au fromage d'Hollande,
Quand volatilisés,
Les alizés dévalisés
Restent devant dévalisés
Et agitent les cerisiers,
Car le bazar
Fait bien les choses
Sur le boulevard du hasard
Intimidé qui balise la valise des rencards,
Hébétés et embêtés que des zonards
Malfamés demeurent hagards
Au rendez-vous du hangar à gare,
Lorsque les alizés couvrent le feu
Dès le silence hypocrite du mainate anxieux
Aux îles Canaries des canaris boîteux
En souffle du coeur bancal et épineux,
Dès que le souffle paravent demande une amande
Honorable aux paroles du perroquet cloué
Au taquet taquiné par des mots répétitifs de vilain
Oiseau qui souffle un vent cornélien et manichéen
Au roulement de tambour des jours capricieux,
Houspillant du coin de table ébène qui traîne son soufflet
Boursouflé qui traîne son fusil de chasse ensorcelé,
Quand les alizés dévalent lysés à L' Elysée solennel
Du charme d'envergure qui augure un vent officiel
Des officiers officieux dévalisés par les alizés,
Allez-y au courroux du coucou au culot fantôme
Qui rédige les tomes de ses mémoires au manoir du chrome
Hanté de la maison tentée par le diable des alizés qui chinent,
Les vieilles reliques à l'antique souvenir comme une machine
Artificielle sans saveurs naturelles lorsque les alizés dévalisés,
Fournissent le mobile de la stabilité immobile décrété en sûreté.
Jérôme de Mars
Allez ha par celle !
Aléas par selle
D'allées ha parcelles
Allez-y à Alésia ha partielles au grain de celle
Des alizés et des alinéas feu naître persiennes par celle
Qui va des allers ah en une fleur païenne avec son grain de sel
D'alléluia en fenêtre par sienne du béguin par sel
Allez ha parcelle
D'aller ah perse sienne o'casse-grain en selle
Allez ha par celle
D'allées martiennes parcelles
D'allers aux fleurs parisiennes par celles
D'alizés au feu n'être par sel
D'alinéas en feu naître partiel
Qui laissent aller les fenêtres persiennes par selle
Des alizés alléluaia ah par tel des parts qui scellent
Les aléas aux remparts ciel feu nulle part fiel
Jérôme de Mars
Citation :
Un Français décoiffant et patriote qui va chez le coiffeur se faire la boule à zéro, est chauve hein !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi ne suis-je pas trop entouré par ma famille ?
- Parce-qu'on m'a bien cernés !
2) Pourquoi est-ce-que ce serait du vent pour La France si l'ouragan passe ?
- Parce-que dans le traité de l'Atlantique, l'ouragan dirait : " José, c'est du vent ! "
Jérôme de Mars
Rivage à 180 degrés
Demain tenant,
Il y a du changement
Arrivage au second degré,
Fixé vers le rivage à 180 degrés
Sans regrets du virage,
Quand le cap fait barrage
Dans un abordage en embuscade,
Aux fosses d'eux de coque
Qui se défaussent en bicoque,
De leur apparence de façade
En mode verrouillage,
Qui capte avantage davantage
Un virage à 180 degrés
Qui vire rage en virage au second degré,
Car le bateau sombre en naufrage
Au premier degré,
Duquel il renverse à voile et à vapeur
Tout le carburant moteur de sa fureur
Qui cale en travaux d'échafaudage
Dans un factice marivaudage
Qui tient un blizzard langage,
Alors que l'élagage en nage
Coïncide avec les dérapages
En raccourcis cap dans un rivage,
A 180 degrés en un virage
Au premier et au second degrés
Sans regrets à la croisée
De la destinée embarquée,
Demain tenant
A deux mâts venant
Voiles cap à l'horizon,
Moussaillons, assaillons
Le gouvernail à la barre
Qui se rembarre, comme.barre.
Jérôme de Mars
J'écris l'ombre, je décris la lumière
Avec mon cri de colère,
J'aime l'ire les raisins de la colère
Ivre d'absinthe la tête en l'air
En élevant les barrières
Des vers des oeillères,
Ainsi, j'écris l'ombre
Sombre à la pénombre
De la lumière
D'un sombrero au lasso
Chapeau eldorado,
Alors que je décris la lumière
Avec les idées claires
En surenchère chères
Aux années paires,
Quand je remplace le terre-à-terre
Solitaire par un inventaire solidaire
Qui jette du sel ouvert
Dans le coeur de pierre,
Pour qu'il arrose le jardin récipiendaire
Et s'ouvre aux congénères dispensaires
En fleurs de repères
Qui relancent la compète universitaire
Avec un savant mélange de quête
A la conquête,
De la paix salutaire
Pour éteindre les disputes incendiaires,
Car j'écris l'ombre
En restant à l'ombre,
Alors que je décris la lumière,
Afin de marier ces lignes unis vers,
Où les revers me métissent en des vers
De circonstances atténuantes en repaire
D'un souffle de vers
En quittant l'over
Et en me rapprochant de la vérité stationnaire
En orbite j'espère dans la fusée solaire
Qui me propulse à destination charnière,
Complice d'un état en années-lumières,
Car j'écris l'ombre
De ma pénombre sombre,
A l'ombre de mes frères lumières,
Alors que je décris la lumière
Des surannées de jachère
En sur années prospères,
Si bien que j'écris l'ombre
Qui se dénombre
A des années lumière,
Mais que je décris la lumière
Ouf de retour parmi vous mes chers
Frères lumières.
Jérôme de Mars
D'êtracteur
En bande
Sans contrebande,
Le projectionniste
Embobine le film
De notre vie d'artiste,
Où l'on se fait des films
En faisant du cinéma,
D'être acteur partisan
De démêler le fil parti sans
La mise en scène d'être spectateur,
Mais tout de même d'être acteur
De son intrigue qui se trame
Avec des tracteurs dans le scénario,
Si bien écrit imbroglio
Avec beaucoup de quiproquos détracteurs,
Car après avoir jouer longtemps
Le spectateur, on supplie le réalisateur
De nous rendre acteurs avec le micro-films
De notre vie riche en rebondissements intermittents
Du spectacle qui nous embobine détracteur
D'être acteur que spectateur, pour changer la pellicule
Du film y a pas photo, au suspense ah ! le temps palpitant,
Au moteur de l'action d'être acteur partisan du parti
Sans rien d'écrit, car l'on décrit en dialogues de soi
Un monologue très narcissique
Et au nombril égocentrique,
Où l'on lâche la contrebande négative
Du film pour se projeter une bande positive
Et rétroactive
Loin des histoires noires maniaco-dépressives,
Car demain, c'est maintenant
Dans le cadran sommaire
Sous les projecteurs de la lumière,
D'une histoire en couleurs,
Qui fleure bon le travail d'artisan,
Haut ! qu'il nous rend merveilleux
Avec cet amoncellement
De bonheur précieux,
Après tous ces bleus malheureux,
Où en faim, on ne joue un rôle d'acteur
Ni de spectateur,
Car l'on se réincarne en amateur
De notre je d'auteur,
En endossant le véritable rôle
De notre vie,
A l'eau D'Eros,
Coupez !
On vous fait une fleur.
Jérôme de Mars
Tout l'égout sont dans la nature !
Ragoût, on mange du ragoût,
Quand on a tous les goûts
Dans la nature spontanée
Qui expire la douceur incarnée
De nos friands bons petits plats,
Dès qu'on a mis à plat nos tracas,
Car tous les goûts
Sont dans notre nature,
Où l'on aime les fortes aventures
Au ragoût du passe-plat du ragoût
Qui passe les plats,
Lorsque il y a dégoûts
Qui nous poussent à bout
Et qu'il y a d'égouts dans la nature
Entre deux fosses postures,
Car y a trop dégoûts
Qui sont dans la nature,
Dès qu'apparaissent les vergetures
Et qu'elles meurent des goûts
Et qu'elles demeurent d'égouts
Et qu'elles pleurent dégoûts
Dans la nature,
Qui lui refile toute sa démesure
Dans un fiel allure,
Qui remplace le bleu azur
Pour le muter en encablures,
D'une longueur de filatures
D'un autre tant qui sème les fêlures,
D'une nature morte en ratures
Avec de l'hydrocarbure,
Alors que pour se rabibocher
Avec notre nature fâchée,
Il suffirait de combiner
Le pur et la nature,
Asssociés à la verdure
De la peinture
De notre belle nature,
Qui ainsi renaîtrait
Tous les goûts dans la nature,
Et conjurerait
Tout l'égout
Et dégoûts
Dans le dur,
Pour qu'on carbure
Au futur et sans voilures,
Car tous les goûts
Sont dans la nature,
Qui se dénouent
Et se dévouent,
Auxquels on renoue
Et on se voue,
De nous à vous.
Jérôme de Mars
Faites vos jeux !
Ca y est, Paris
Gagné après divers paris,
Paris a les jeux
Fiers et heureux,
Car après des je divers
Voici des jeux d'été,
Car ça a toujours été
Mieux que les jeux
Se déroulent en été,
Après l'hiver, l'été
Sera fabuleux
Vraiment un pari gagné
Sur ce Paris rêvé
Comme maintenant,
Faites vos jeux
Les jeux sont faits,
Comme si le temps
Restait clément
En je contrefaits,
Alors que ce sont des fées
Divers comme c'été uniquement l'été
Qu'avaient lieu, qu'ont lieu et qu'auront lieu
Les prochains jeux d'été à l'accoutumée
Des habitudes qui donneront une fête d'un bleu chaleureux,
Quand pour une fois, les dés ne seront pipés
Mais empilés dans la pile des souvenirs adorés,
Avec du sport qui chambre du football,
Au handball, au tennis, au tennis de table à deux balles
Et au canoë-kayak qui mène en bateau
La voile à voile et à vapeur, avec de l'escrime en crime de lèse-majesté,
Si sa sainteté incrimine une épée de Damoclès
Balèze et à vos alèses très à l'aise,
Au nom d'un gamme bon, au nom de sa majesté
Qui effleure le fleuret la main au panier du lancer franc,
Du basket très bien dans ses baskets qui trouve chaussure à son pied
Avec le ballon d'essai qui vole en baudruche de conte de faits divers, car c'été
Radieux lorsque les euros gagnants semblaient francs
Gaulois et avec leurs gauloises qui enfument
Les anciens médaillés olympiques qui fument
Le revers de la médaille après avoir fait un tabac,
Et grillé en prises de bec à tabac les journalistes sur le terrain
En fredonnant La Marseillaise qui leur passe un savon boute-en-train,
En prises y a pas photo de judo, d'aïkido et de karaté dans leur lutte
Gréco-Romaine qui laisse de glace l'hiver car c'était la lutte finale en butte
D'emprises sans méprises mais avec les reprises de l'internationale
En mettant à l'oeuvre les ouvriers dans la manoeuvre des infrastructures,
Où les jeux d'été 2024 plieront en quatre Les Français dans une cure
De jovialité en course avec le marathon au sprint de l'athlétisme
Dans une belle variété de différents sports en dépassement de soi en esthétisme
Très à cheval sur l'équitation avant la régate en régal qui semble ok sur gazons,
Car gageons que le succès soit au rendez-vous rendez-vous à Paris sur les quais
De La Seine à la scène qui assène un message positif et descriptif de l'état esprit,
Qui règne en ces futurs jeux olympiques et tropiques au dessein du destin en folie
Qui dérivera en furie ici partout à l'enjeu de l'an jeu qui fera bateau-mouche
Au libre-arbitre sur la touche ou sur la souche de véritables patriotes à la louche,
Car les jeux sont faits en été et défaits d'hiver car c'été mieux si les jeux
Pouvaient demeurer en fête sans défaite, car voilà faites vos jeux les jeux sont faits
En chansons, car bougeons dans ce pari et avançons en Paris d'occasion.
Jérôme de Mars
Amis parcours
Bonjour Serge, à quoi sers-je ? Si Johan ne m'aborde de la façon si je déborde de dérapages, où je perds des plumes même si ma plume vole en oiseau brisé par certains ex-amis qui ont rompu tout foule contact avec moi, après avoir trop appuyé sur clé contact. Ces anciens amis ont pour non définitif, Edwin, Boris, Jean-Paul et Lionel, pas beaucoup d'amis parcours m'appellent, à part Alexandre qui m'appelle et m'épelle à phone et à fun, en appel démasqué, après qu'Edwin et certains ex-amis me démasquent en lâchant un appel, et en me laissant tomber en chute des histoires, car j'ai laissé béton mes relations qui endurent le cuir, en dur à cuire de ses échecs et à se couper l'herbe sous le pied sauf Guillaume qui cultive son jardin secret, qui ne m'appelle souvent trop préoccupé à occuper sa quête amoureuse avec sa conquête coquette. Y a que Christophe qui me comprend à L'ESAT et qui demeure un ami fidèle, alors que les autres collègues à L'ESAT s'en foutent de moi, car ils préfèrent davantage par intérêt le foot, comme Damien Lelièvre qui me pose des lapins car je me carotte tout seul à raconter des salades, comme Adel qui bûche de préjugés à mon encontre sans rencontre, sans comprendre mes embûches, mais à me consacrer con car pour lui, je suis sacré con à con prendre ma mise sur le boucher, au bûcher qu'Adel encense car il le revendique, Adel, il me critique mais quand il a besoin de moi, je suis toujours là, alors que lui, il n'est pas au temps présent, trop obnubilé par son futur en présent d'une copine ci-possible réelle pour soulager sa pine, alors que quand je lui parle à Adel, il ne m'écoute pas, car pour lui, je n'ai de paroles et en plus, il me coupe sans arrêt la parole, alors que lui quand il parle, il ne faut surtout lui couper ses mots car on connaît la chanson avec Adel, comme récemment, lui et moi, on s'est balancé au sens figuré, des gros mots en noms d'oiseaux, car ça ne vole haut, alors que Jonathan me comprend un peu mais pas tant que ça car il est pas assez prêt tôt pour me comprendre en clair, vu qu'en bévue, j'ai des malentendus distendus avec tout le monde et qu'on s'embrouille dans la crypte si bien barbouillée et débrouillée. Y a que Michel mon ami qui me comprend en restant solidaire et bienveillant avec moi, en me parlant gentiment alors que comme les autres me rendent solitaire en faisant l'indifférence avec moi, alors que tout le monde à L'ESAT et partout m'ignore et s'en fout de moi en ne m'accordant du crédit comme je me suis mis amplement à découvert. A L'ESAT et ailleurs, tout le monde me parle agressivement, m'envoie promener au Bois De Boulogne à deux balles, et me méprise en mes prises de position, de l'emprise en prise avec le ridicule car tout le monde me juge mal sans me comprendre, personne ne m'apprécie pour s'y méprendre avec moi, car je sais surprendre en faisant l'avide et peur aux gens et en les faisant fuir, mais pour terminer, quelles sont les personnes qui sont tout ouï avec moi mais ne me donnent leur non, alors que seuls Jonathan, Johan, Michel, Alexandre et Christophe sont tout oui avec moi en me donnant leur nom, avec également dans une moindre mesure, Brigitte amis parcours sur qui je peux conter le concours pour décompter l'encours du temps, au temps qu'amis parcours d'antan autant du temps.
Jérôme de Mars
Quaranteigne
A né à nez,
T'approches de la quarantaine
A moins d'une année
Et à quelques semaines
Que t'espères sereine,
Où il vaudrait mieux
Pour ta gouverne
Que tu ranges tes souvenirs
De caverne
A l'an devenir
Subalterne
De Verlaine,
Dans le dessein qui rallume
Sans rhume
Ta lanterne
Dans la veine
Jaillissante de gens de la fontaine
Lointaine de ta rengaine,
Car sinon, tu franchiras le cap
Très cap
De la quaranteigne
En teigne,
Que tu dépeignes
Et que tu dédaignes
Que ça baigne
Bienvenue Montaigne,
Car tu réfrènes
Sur le fil du poteau
A fuir et à faire fuir tes potos,
Comme tu baignes
Dans le rétro
Et que ça fait trop
Pour eux
De supporter les cieux
De ta nécro,
Qui grossit ta bedaine
Et éclate ta tête pleine
De vilaine rengaine,
Qui sombre de tes frères lumières
Et t'assombrit à des années-lumières
Du clair
Qui te plombe
Dans la pénombre
Des non-dits linéaires,
Où plus tu flancheras,
Plus durs demeureront les aléas
A affronter dans le calme roi,
Car pour reprendre le cap
D'une plaine saine,
Il faudra démontrer de quoi t'es cap
Et tu ne devras résister à la joie de vivre
Qui t'enivre,
Pour ne pleurer alléluia misère,
Bonjour tristesse, d'hauts cercles vides cieux,
Comme tu regretteras ta chaumière
A cran d'y rester dans ta taverne
Et ta tanière,
En vieux
Loup perdant solitaire,
Car tu le sais
Depuis que t'inné,
On a besoin d'avoir de fidèles amitiés
A braver dans la fraternité
En ressources qui régénèrent
Ta routine que tu serines
De phrases que tu dessines,
Du regard taciturne
De ta mélancolie nocturne,
Mais heureusement, ta volonté de vivre
T'écume en un livre ouvert qui te livre
Les remèdes miracles pour garder les yeux
Malgré tes bleus
Qui perdurent diurnes,
Car il vaut mieux
Aborder la quarantaine
De projets Amen
Qui amènent,
Promènent et emménent
Ton jardin d'Eden
Dans le triomphe semeur de graines
Fenêtres ouvertes vers la mène,
Alors que si pour toi, c'est la quaranteigne,
Tu daignes
Que tu saignes
Dans ta bedaine
Contractée par l'épidémie
Du virus de ta rengaine,
Qui fournit tes coups de folie
Qui t'imprègnent
Que ça ne baigne
Bienvenue Montaigne,
Dans le règne
De la teigne
Qui dépeigne
Ta tête pleine
Qui se fait des cheveux
Furieux et sulfureux,
Qui peignent
Ta gangrène
Qui saigne
Ta personnalité qui enseigne
Ta peine,
Comme une peine
De prison avec sursis
Qui raccourcit ta vie,
Sauf si tu daignes
Accepter le fruit
Des châtaignes
Sauf si on te met une châtaigne
En usufruit
De ta teigne,
Que tu peignes
A mesurer la peine,
Que t'imprègne
Bientôt le cap
De la quarantaine,
Sauf si tu t'affranchis
A t'absoudre de toute la bedaine
De ta peine,
Afin que les couleurs joyeuses déteignent
Ta dégaine
Et qu'elle dégaine
Et freine
A Fresnes,
Ta mise en quaranteigne
Si tu en es cap,
De sorte que tu daignes
Franchir sans teigne,
Le passage de la quarantaine,
La tête haute et pleine
Qui ôte la plaine,
Et te réfrène
En une crise de rire de la quarantaine
Si tu tiens le cap,
Afin que tu l'atteignes
A Athènes,
Sans la teigne hautaine
Et haute Athènes
Dans ta dégaine
Qui ne veut
Que tu l'atteignes,
Dans le règne
Sans la teigne
Qui t'enseigne,
Une nouvelle vie meilleure
Ci-possible qui n'en saigne
Si pleine,
Que la madeleine
Te tient en à laine
Loin de ta mise en quarantaine,
Mais émise en ta quarantaine
De ton bas de laine
Qui te tient en haleine.
Jérôme de Mars
L'il au danger
Etranger sur cet il,
Je suis en danger du presqu'il,
Car mon il est flottante
Et décadente,
En alerte dégâts des os
A l'eau niveau caniveau zéro
Au du de l'impact à mère
De mon passé trouble-défaite
Et que je ne suis fier
Qu'il émette,
Un serpent de mère
Qui reproduit tous les imparfait impairs,
Comme quand je harcèle un ex de mes amis
Edwin, et qui menace de déposer plainte
Contre moi comme une complainte
Qui déverse son vice ami et sa vertu ennemie,
De l'il en danger
Dont je ne suis que le presqu'il étranger,
A ce qui m'envahit
En ondes négatives,
De l'usufruit de mon lit anémie
Qui se trépassent en flashbacks et regrets rétro-projectifs
De mes déviances dégressives,
Avec mes travers rétroactifs
En coups de disgrâces transgressives,
Où je ne sais de quoi demain sera fait
Tandis qu'à moins de mes deux mains,
Tout ne sera que des fées d'hiver
Car après la colère peut-être que surgira une lumière
Pour transformer le passé oppressant
En un présent au présent plaisant,
Car il est temps qu'à mon âge,
Je sache ce que je veuille,
Ou si je désire finir seul
Et seul
De mon moyen-âge
Assis sur mon fauteuil,
Où s'il y a encore un brin d'espoir
Dans cet amas d'écrin noir,
Qu'un miracle o'miracle se produise
Et induise
Un parfum bienveillant
Et bienfaisant,
Afin que je picore en écureuil
Les plaisirs d'une vie simple
Conjuguée avec de l'harmonie,
De l'humanité
Et de la sérénité,
Sans que l'ignorance
Et le silence
Des uns me trinquent,
Mais que je me requinque
Dans un abreuvoir de belles histoires
En réservoir d'arrosoir,
Qui me transpose de l'il
Au danger d'un presqu'il
En l'il étranger Aux Olympes,
De la mère dissipée
Qui émigre en un amour de volupté
Avec une femme en puberté
Qui m'amène aux progrès
Du sommet ragaillardi d'envie
Et hardi d'appétit,
Pour une vie
Sans ennuis.
Jérôme de Mars
La traversée du dessert
Après la mise à plat par les tempêtes
Des îles flottantes dune et nulle part,
Le climat reste lunatique et bipolaire
Dans une zone rouge très alerte
Entre coups de chauds et l'effroi polaire
Du pôle nord au pôle air,
Quand c'est la traversée du dessert
Qui dessert le cataclysme du temps
Et de ses contretemps de mauvaises humeurs,
Qui règnent sur La Terre qui tremble à taire
Et dans une ambiance délétère, car c'est du vent
Dans l'oeil du cyclone malfamé à température ambiante
Dans le feu de l'action interaction lorsque la traversée
Du dessert dessert le désert d'une et la tête dans l'une,
Car l'ouragan du désespoir tire sur l'ambulance
De la charité très tienne, lorsque charité bien désordonnée
Commence par toit même de la traversée du désert immaculée
Conception de la traversée du dessert typhon au niveau,
Du cas niveau alerte largement au dessous de zéro,
De l'échelle sismique qui brasse du vent à l'air libre
Au passage devant des catastrophes en dégâts des eaux,
Comme des gars des os qui s'assemblent en ils flottantes
Sur l'eau à vau-l'eau qui tombe à l'eau allo La Terre,
On a juste besoin de gens humains pour nous réconcilier
Avec eux et aux cieux pour demain afin de remplir le monde
De cause à effet avec une embellie d'espérance soit-elle,
Dès que la planète ne sera plus pour soi mais pour soie
D'un avenir résurgent avec du bien naître sans le séisme
D'un vote Le Pen qui ne résoudra le mystère de la terre,
Mais la fustigera au tréfonds très terre-à-terre en terre d'argile
Alors que si on prend l'air, les êtres resteront agiles dans l'air du temps,
Car avec cet air entraînant, après la traversée du désert,
Vive la traversée du dessert avec des îles à flot turquoises par être
De glace mystère, car pouvoir se regarder dans la glace nous réchauffera
Avec de la fraîcheur plein les idées et l'eau nettes en clair.
Jérôme de Mars
Etre ou ne pas n'être
Par être, c'est être
En toute lettres
Sans paraître
De n'être
Qu'un paraître
Par être
De naître
Qu'on envoie paître
Dans la nature des hêtres
Car être ou pas n'être
Telle est l'équation de homme lettre
Si on prend tout à la l'être
Pour paraître un être en lettre
Libre par être sans paraître
Quelqu'un de naître qu'un paraître
Alors, que pour être il faut n'être
En par être, sans être traitre
Mais en restant le parfait maître
De son être en par être de n'être
Et ne plus paraître paraître de naître
Car être ou ne pas n'être
Telle est l'adéquation d'être
De n'être par être.
Jérôme de Mars
Vers lents
De ces quelques vers lents dont se conçoit cet ouvrage en verlan solitaire,
Ce manuscrit retranscrit les revers à l'envers de l'auteur Gilles Verlant solidaire
Qui vire à la dérive et rive du versant sans vers aux vers sots du verso sagittaire,
S'il s'agit terre à déposer ces vers lents au verlan du Français dépositaire et pair
Dans un recueillement étranger qui émigre en un port d'attache en verlan à l'envers
Des branchés verlans chébran en vers lents solitaires aux instruments bassistes,
Des poètes contemporains avec leur inspiration moderne qui coule avant-gardiste
D'un français franc-parler au parler Français de ces francs laids par la monnaie
Rendue de leurs pièces aux vieux Francs d'antan Claude Monet au respect vénéré
Qui n'a plus rien à prouver sauf approuver sa mort pour le reste de l'humanité,
Tel l'artiste immortel qui pleure les larmes veuves des demoiselles éplorées avec
Assez de larmes pour rédiger des vers lents délétères en verlan de l'envers sec,
Quand les lecteurs s'interrogent qui est l'imposteur et l'authentique écrivain cultivé
Qui cultive son bien pour le jardiner au mâle de la culture pour tous en vers lents,
De circonstances à l'essence même de sa brillante plume qui ricane dans l'étang
Calme, où les vers lents évoluent en verlan dès que l'envers ordonne cap vers l'an
Solidaire d'un pied-à-terre.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Si à chaque fois LA RATP et LA SNCF se mettent en grève, c'est parce-qu'ils ont un métro de retard !
2) Si Les Iles Saint-Barthélémy et Saint-Martin sont à la mode, c'est parce-qu'elles sont dans le vent !
Jérôme de Mars
Bon do do
Dodo, tu as bon dos avec ton lolo, quand tu fais en solo un duo
En longs vers de tes lombaires avec un lumbago rigolo bon do do
Do ré mi fa sol la si do recto verso vers solitaires qui assouplissent
La soupline qui s'assoupit quand l'émission est accomplie et lisse,
Car tu fais du bon dodo en do do à bon dos abondé par des caprices
D'odieux qui glissent l'amnistie internationale en une pérenne armistice,
Anémie d'une disette de vitamines qui contaminent le credo bon dodo
Au rebond do do et tourne-dos d'un do à do ado où l'on se frotte au dos-à-dos,
De la rétro à la nécro qui flanchent les quand les bras droits sont des manches
A quatre-vingt balais à des années-lumière d'intervalles des années quatre-vingt,
Car pour les différentes générations c'est si lointain ces ballets anciens
Comme on aimerait si bien y retourner dans la machine à rameuter longtemps,
Dans un silence qui a bon do do dans un dodo qui rappelle nos souvenirs édifiants
Qui roupillent et torpillent le roupie projectile en projection d'un lance-requête,
A l'ultra-perfection nec plus extraordinaire pour respirer débonnaire à la quête
D'un bon dodo où l'on se réveille à bon do do en sifflant de sa joie communicative
Après le sommeil récupérateur car on s'affranchit des limites qui ravivent l'oh vive.
Jérôme de Mars
L'affable de la fontaine
En à fable,
Gens de la fontaine
Comme Damien, le lièvre
Et moi, la tortue
Donnent l'affable
De la fontaine,
Quand le lièvre carotte
La tortue du lièvre
Qui pose des lapins
A la tortue qui lui fait bond,
En l'esquivant de ses faux pas,
A la fontaine qu'il boit finalement
Avec Damien qui le rejoint
Par la pointe des pieds,
Où le lièvre et la tortue
En gens à fable composent
L'affable de la fontaine,
Dans laquelle ils se désaltèrent
Les mots de paroles
A fable de la fontaine,
En j'en affable l'ineffable,
Dès que ne jaillit la fontaine
Qui tombe à l'eau
Ici crescendo.
Jérôme de Mars
Mâle faisant
A l'aube dissipé des broussailles,
Le boucan des feux décan assaille
La nature pubère qui marie la forêt
Et le malfaisant,
Faisant le bien mâle faisant
D'un faisan faisant
Le ménage
Des poussières enrobées,
Bienfaisant la liste du mâle faisan
Faisant mal le remue-ménage
Du printemps,
Quand le temps empreint
Se teint
Hautain d'une tête de sanglier
D'emprunt,
Entre le mâle faisan
Et le malfaisant
Faisant bien mal et bien le mâle faisan,
Fauteur de troubles
Qui redouble
D'un chargé d'histoire
Avec tous ses tiroirs
Ouverts, pour se mettre au vert
De la nature,
Et pour omettre
Les revers
Des ratures,
Car l'unique bien faisan
Oublie le malfaisant
Révolu
Qui évolue
En mâle faisan,
Faisant le faisan
Aimant dans son élément,
Car fais-en bon usage,
Sage comme une image.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Un stylo qui n'écrit plus jette l'ancre !
2) Un homme ivre mort voit rouge !
3) Un scotch qui arrive au bout du rouleau, ça nous soûle !
4) Au cirque, un lanceur de couteau fait un numéro à couper le souffle !
5) Un lanceur de couteaux en froid avec ses amis, est à couteaux tirés !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-que ça fait Saint-Barth et Saint-Martin ravagées par la tempête ?
- Des presqu'îles
2) Pourquoi la tempête se propage-t-elle de Saint-Martin à La Floride ?
- Parce-qu'il y a des rafales de vent !
Jérôme de Mars
O'mages aux mères du printemps
D'un brin romantique d'éclosion de fleurs,
Les joviales saisons trépassent de l'hiver à mère
Et passent au printemps des images,
O'mages aux mères du printemps,
Quand le soleil fronce les sourcils
D'ils prequ'ils crayons de couleur gentils
Et garçons manqués et loin l'hiver
Fané et austère car aussitôt, un zeste de lumière,
Dans l'horizon sans nuages vaporeux dès que la chaleur
Conviviale très fleur bleue de la clameur,
Du royaume réenchantant livre une pincée des clés du bonheur,
Qui irradie les maisons grises en un folklore joyeux et d'un ciel bleu fabuleux
Pour donner la parole et tenir les mots farandole aux mères ramages
Du rayon dans son diapason
De mère à boire et de mère déboire
Qui retentissent un sourire d'espoir
Malgré de raconter de drôles d'histoires de comptoir,
Au ciel passant et quelque peu flamboyant de ses années fugaces sur Terre
Avant de rejoindre le haut du cursus de l'univers mystère,
Lorsqu'il y a des étoiles peintes effet mère
Qui se rebellent à des éclats éphémères et inventaire
O'mages aux mères du printemps,
D'hier, d'avant et de maintenant.
Jérôme de Mars
Non de nom
Non de nom
Tout oui
Dis-moi ton non
Ni ouïe
Ni non
Si ouïe
Dis-moi ton nom
Car si oui
Redis-moi ton non
Avec le pronom
De ton prénon
Et avec le pronon
De ton prénom
Tout oui
Qui dit non
Car si ouïe
Redis-moi ton nom
En oui
Tout ouïe
Sinon
Ce sera oui
Si nom
Ouïe
Si non
Oui
Tout ouïe
Ni oui
Ni non
Sinon
Tout oui
Nom de non.
Jérôme de Mars
Drain de folie
Voici une pièce de théâtre qui se déroule à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, où la direction sonde les moniteurs et les agents pour savoir ce qu'ils pensent
De cet établissement.
- Madame Manoiline-Proïa, la directrice : " Bonjour Eric, comment se fait-il que les agents n'en branlent pas une ?
- Eric, le moniteur : Madame la directrice avec tout le respect que je vous dois, les agents s'ébranlent de votre abus d'autorité, où vous semez la terreur car vous donnez et ordonnez une mauvaise direction à cet ESAT qui chavire en direction Des Amis Du Ratelier, car pour le fric, vous bouffez la santé des agents.
- Madame Manoiline-Proïa, la directrice : Vous êtes un roquet Eric avec votre impertinence car ça vous fait démanger votre impatience à me montrer votre insolence !
Donc pas la peine que je vous demande de ce que vous pensez de cet ESAT, vous m'avez bien fourni une réponse très détaillée.
Eric, le moniteur : Et pour terminer madame la directrice, je suis un perroquet car je tiens parole moi alors que vous, comme ça vous tente, vous scandez :
" Paroles, paroles, paroles, paroles, paroles et encore des paroles que tu sèmes au vent
Voilà mon destin te parler,
te parler comme la première fois.
Encore des mots toujours des mots
les mêmes mots
Comme j'aimerais que tu me comprennes
Rien que des mots
Que tu m'écoutes au moins une fois
Des mots magiques, des mots tactiques qui sonnent faux. "
- Madame Manoiline-Proïa, la directrice : Pour passer à autre chose, je vais interroger Christophe,
Bonjour Christophe, que pensez-vous de cet ESAT ?
- Christophe, un agent : Moi, je m'en fous, je n'en pense rien de cet ESAT, je suis juste là pour travailler, car j'y vois mon intérêt pour toucher mon salaire et gonfler mes intérêts à la banque.
- Madame Manoiline-Proïa, la directrice : Ok Christophe, je prends pour argent comptant, ce que vous m'avez dit sans vous rendre la monnaie de votre pièce détachée, car je vous accorde encore du crédit même si vous vous êtes mis légèrement à découvert, maintenant, je vais interroger Damien.
Cher Damien, que pensez-vous de cet ESAT ?
- Damien, un agent : Moi, je m'en fous, moi, je suis là pour dormir et manger comme je carotte mes collègues et que je suis Damien le lièvre comme je pose des lapins.
- Madame Manoilie-Proïa, la directrice : Ok Damien, vous êtes le lièvre et Jérôme Bedrossian, c'est la tortue.
- Jérôme, un agent : Pourquoi madame la directrice, vous dites que je suis la tortue avec le lièvre et la tortue.
- Madame Manoiline-Proïa, la directrice : Car vous Damien et Jérôme, en plus d'être le lièvre et la tortue, vous êtes l'affable de la fontaine, où vous y allez tout le temps pour boire de l'eau sans travailler pendant que les autres bossent, vous n'avez pas honte ?
- Jérôme, un agent : Normal, je roule ma bosse comme L'ESAT de Vitry tombe allo quand on leur parle sans qu'ils nous répondent !
- Madame Manoiline-Proïa, la directrice : Bonjour Jonathan, que pensez-vous de cet ESAT ?
- Jonathan, un agent : Moi, je m'en fous car vous embobinez les agents avec tout votre cinéma où dans un festival de cannes, vous profitez des agents comme personnes handicapées pour vous faire une montagne d'argent car l'agent n'a pas d'odeur !
- Madame Manoiline-Proöia, la directrice : Ok Jonathan, merci de votre franchise médicale car y a plus de sécurité sociale à L'ESAT , c'est pour cela qu'il y a beaucoup d'arrêts-maladies.
Bonjour Johan, que pensez-vous de L'ESAT ?
- Johan, un agent : Madame la directrice avec tout le reste paix que je vous dois d'honneur, je trouve que L'ESAT n'aborde plus ses véritables problèmes.
- Madame Manoiline-Proïa, la directrice : Rien de plus normal Johan, je déborde tellement d'inattention envers vous, que j'ai trouvé les solutions avant d'avoir rencontré les problèmes avec vous les inconnus au cas x y.
Bonjour Saïda, que pensez-vous de cet ESAT ?
- Saïda, une monitrice : Je panse que vous n'y connaissez rien au handicap, c'est vous qui devriez vous faire soigner car vous avez un plus gros handicap du coeur, que les agents de L'ESAT !
Et pour terminer cette saynète, les moniteurs et les agents reprennent en choeur et en chanson une critique acerbe contre la directrice :
- Nous en choeur, agents et moniteurs, on dit de nous, on dit cap et vous sans choeur, on vous dit handicap vers le coeur de La Mongolie, de votre état de coeur de pierre à l'édifice où il sera marqué Atelier conditionné au pire Des Amis Du Ratelier
car ici le silence est d'or et la parole est d'argent avec Madame Manoiline-Proïa en directrice de cet ESAT alors que L'ESAT de Vitry sans Madame Manoiline-Proïa comme directrice, s'appellera désormais ESAT de Vitry :
Les Amis De L'atelier en argent content. "
Jérôme de Mars
Les quatre vérités
Point d'interrogation,
Il est leurre
En affirmation
Et en exclamation
D'énoncer les quatre vérités,
Pliées en quatre sévérités,
De la manière
De les raconter,
Comme si c'était
Des comtés
De se clamer
A l'effarouchée
De l'écorchée
De la dure réalité,
A accepter
Et à valider
Dans l'instantané
Ces quatre vérités,
Pliées en quatre ces vérités
En sévérités,
De transfuges
Sanguines,
Que l'on devine
En subterfuge
De la manipulation,
Avec préméditation
De ne pas avoir sa langue
Dans sa poche,
Dont on empoche
Avec le mouche du coche,
Ces quatre vérités,
Qu'on clame
En slam,
Pliées en quatre sévérités,
Ces vérités
A quatre sous
Sens dessus sans dessous,
Dont on s'en fout
Que le monde se fout
Du franc-parler
Pour parler Le Français,
Des quatre vérités,
Que l'on discute et incruste
Sur le buste
Des visages à la douche froide
Et Ecossaise,
Pour plier en quatre, ces vérités
Avec sévérité
A la sauce Béarnaise
Pourparlers
Sans mener la langue
De bois morte et moite,
A bon entendeur
Du coton ouate
Ces quatre vérités,
Pliées en quatre qui se modifient
En harmonie
Avec ces vérités,
Ainsi soient-elles
De soie
En soi
Pour soit.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que me dit mon père qui me demande de l'écouter en arrêtant les dérapages sur FACEBOOK ?
- Mets-le en application ce que je t'ai dit Jérôme !
2) Pourquoi Damien n'a-t-il pas envie de venir chez Jérôme ?
- Car il n'y a pas de pâté de maison à bouffer !
3) Pourquoi Jocelyne, est-ce-que ça te chante quand je te dis oui ?
- Parce-que tu dis kara ok ( karaoké )
4) Pourquoi n'es-tu pas content de voir le verre pas à moitié rempli ?
- Parce-que tu vois le verre à moitié plaint !
Jérôme de Mars
Jérôme de Mars
Citation :
Un lion qui venge la mort de sa progéniture, pratique la loi du talion.
Jérôme de Mars
Enfin
La faim
En coupe-faim
En fin
Gargouille à fin
Afin
Et enfin
D'arriver en faim
A la fin
Qui tombe parfum
Par fin
Et fin
Enfin
Coupe-fin
En fin
Défunt
Très fin.
Jérôme de Mars
Le ver à moitié plaint
Con plaint dans le vide,
Il vaut mieux voir
Plein le ver à moitié
Plaint qu'à moitié avide
Et limpide,
Quand les idées sont claires
Et pas claires
De lumière,
Car l'une n'est claire,
Lorsque les théories
Semblent confuses
Et diffusent avec ruse
Leurs propres effigies
Aux odes jolies,
Dont il vaut mieux
Voir le ver à moitié plein
Qu'à moitié à vide,
Tenté par les rides
De l'aride
Du ver à moitié plaint
Et con plaint
Dans des délicatesses non-dites,
Qui gravitent l'eau bénite,
Dont elle ramasse
A la ramasse toute la besace,
De l'itinéraire
En bûche
Qui bûche d'embûches
Et qui fait l'autruche
Du ver de contact,
Qu'on tâte
Au ver à moitié plein
Qu'à moitié avide,
Car le ver
Est plaint
Et con plaint,
En demeurant d'avide
De rien
Mais rempli
D'Alex sans grains
De folie
En alexandrins
De génie
Grondait clap défunt.
Jérôme de Mars
Pas de quartier !
Autochtones,
On est les atomes
Du tome hématome
Qui transmet le syndrome
De nous autonomes
Et à faune,
Pas de quartier
Qu'on habite à Vitry
Ou à Ivry
Dans la saga récitée,
Car les rues paraissent moches
Comme des têtes blotties
Les mains dans les poches,
Dès qu'on décoche
Et cocher qui loche
Son visage poupin de mioche,
De Gavroche
Qui cloche
Et s'effiloche
Dans cette drôle d'époque
Qui empeste le phoque
Et toque
En toc toc,
Pas de quartier
Si on habite à l'avenue
En paix
En point de salut
Et en dehors de Vitry
Ou d'Ivry,
Quand les habitants
Avec leurs sangs indécents
En chagrinant leurs neurones
Ont des coups de folie
Qui depuis naguère
Dévoient en guerre
Dans le quartier
A l'avenue en paix,
Car on légifère
Pour que les territoires
Infâmes en drame
Des ghettos à chaud,
Arrêtent leurs sales histoires
Et rangent leurs lames
De couteaux tirés des camouflets
Aux coeurs de pierre,
Afin d'allumer le calumet
De l'avenue
En paix
Loin des déconvenues,
Car bienvenue
Au repos du guerrier
Que l'on dessert
En alléchant dessert
A des années de Vitry
Ou d'Ivry,
A vos quartiers
Plus de quartier.
Jérôme de Mars
Citation :
Un horticulteur cultive son jardin secret
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que dira-t-on de toi Lionel si tu écoutes Sonotone, la nouvelle chanson de MC Solaar ?
- On dira que t'as des vieux malentendus contre moi !
2) Pourquoi Edwin, ne me soutiens-tu jamais comme ami ?
- Parce-que je suis pas trop aidé par toi !
3) Pourquoi Alexandre, traînes-tu toujours avec ton ami Jonathan ?
- Parce-que t'as trouvé Soulié à ton pied !
4) Pourquoi Adel, n'arrêtes-tu pas de te répéter ?
- Pour ne pas qu'on manque à ta parole !
5) Pourquoi Guillaume, ne m'appelles-tu jamais en semaine ?
- Parce-que tu es trop occupé à mettre des beurres dans les épinards avec tes petites amies qui nourrissent tes penchants cocus !
6) Pourquoi mes voisins n'arrêtent-ils pas de claquer la porte ?
- Parce-qu'on navigue en os troubles avec des ils qui sont pas voisins !
7) Pourquoi papa, ne t'occupes-tu pas beaucoup de moi ?
- Parce-que tu as l'esprit occupé par mes tares et ta tare et
qu'il est trop tare !
8) Que dit-on de Boris qui fait une fête chez lui samedi prochain comme il y a l'anniversaire de Séverine ?
- Samedi prochain chez Boris, c'est soirée des cons !
9) Pourquoi Lionel, vas-tu mieux depuis que tu connais Fabrice ?
- Parce-que grâce à Fabrice, tu as retrouvé l'élan !
10) Que dit-on de Boris qui fait une fête samedi prochain comme il y a l'anniversaire de Séverine ?
- Que samedi prochain chez Boris, c'est soirée des cons !
Jérôme de Mars
Citation :
Un roi fou a comme garde-fou, le fou du roi !
Jérôme de Mars
Pièce maîtresse
En jeu sur un damier,
Habitent les quidams
Dans la pièce maîtresse
Avec un homme ramier,
Pingre et rancunier
Qui joue avec sa maîtresse
Dans un jeu de dames,
En pièces détachées
Sur le macadam en ramdam
Qui dame le pion,
Des pions sur l'échiquier
Dans la pièce maîtresse
D'à côté, dont la maîtresse
S'appelle Madame Maîtresse,
Qui est l'amante religieuse
Au moindre mâle de son mâle
Qu'elle couve de sa religion,
Comme la mante religieuse
Avec du pain béni
En âme soeur religieuse
Confectionnée par les expertes
Du pain Boulanger-pâtissier,
Quand la pièce maîtresse
Joue cartes sur tables
En tirant une paire de reine
Qui joue la folle sur le roi,
Car le fou est roi de sa pièce maîtresse
De théâtre au parfait simulacre
En feinte d'un tour de passe passe,
Lorsqu'après la passe,
Le roi arithmétique devient fou
Avec son garde-fou, le fou
Du roi du nom de Mat,
Où après l'échec du mariage
Du roi et de la reine
Sur leur échiquier
Enjeu de damier,
Le roi dame le pion
De la reine
Et fait échec,
Auprès de la reine
Sur la pièce maîtresse
Du puzzle décomposé
Et figuré au sens défiguré,
Car la reine est l'unique
Pièce maîtresse de l'amante
Religieuse, comme l'amante
Religieuse en pièce maîtresse
Qui demande à sa maîtresse,
Où est passée ma pièce maîtresse
De théâtre ce soir
Quel parfait simulacre ce je,
Sans en jeu en guise d'enjeu
D'un jeu de dames qui dame les pions,
Ces quidams, lorsque cesse le ramdam,
Des morpions sur l'échiquier
Echec et mat.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Qu'est-ce-qu'un attentat terroriste réussi et qui remet les pendules à l'heure ?
- Big Ben Laden !
2) Quel est le comble pour un diabétique ?
- De se rendre malade en cassant du sucre sur le dos des gens !
3) Pourquoi Mémé n'a-t-elle pas appelé un de ses fils Manuel ?
- Car sinon ça aurait été le manuel de l'atlas !
Jérôme de Mars
Si le monde tenait ses paroles !
Du pardon à l'oubli,
Le monde se dénie
Dans la facilité
Du délit à ne respecter
Ses promesses prospectées,
Qu'il s'inspecte en suspect
A les édulcorer sans chanson,
Avec des mots-clés
Pour les décrypter avec insensibilité,
Car il fleure bon le code verrouillé
Alors que si le monde tenait ses paroles,
On pourrait composer une chanson
En l'état du contexte
Et du prétexte,
Afin de retranscrire
Un texte pertinent que la sécu saurait prescrire,
Pour mieux accorder les gens à l'unisson
Et en communion sacrée et que les cons
Sauraient consacrer avec une rafale de gros mots
Comme des guignols dans le cortège de la farandole,
Où ils franchiraient un semblant de sérieux
Mi-bleu et mi-ténébreux entre zones de relégation
Avec un inventaire mitigé qu'il faudrait songer
A moderniser en phase avec notre époque de bémol,
Où si les gens changeaient leur mentalité
On saurait trouver les mots heureux,
Comme si le monde tenait ses paroles
Et les convertissait en actes très beaux,
Pour rassembler la communauté dans un joyeux terroir
Dans lequel chacun porterait l'étendard de l'espoir
A la concordance d'un vivier de talents avec le réservoir
D'une pléiade de fanfares au projet concret
De réconcilier l'humanité avec de l'amour bien enraciné,
Tant et si bien que chacun donnerait le meilleur de son histoire,
Car si le monde tenait ses paroles,
On composerait l'hymne pacifique en éloges de la fraternité
Et de l'amitié revigorées avec un message à haute portée
Qui récolterait une avalanche de mots rossignols,
Avant l'envolée lyrique ou y aurait plus de haine
Mais l'emblème d'une grande affection mutuelle
Qui planterait et germerait une ribambelle
De moissons fertiles avec des oiseaux en graines,
Où l'humanité reine demeurerait universelle
Avec l'unanimité d'êtres amis
Le long du fleuve tranquille de la vie,
Car si le monde tenait ses paroles
L'immonde deviendrait frivole,
Où un jour, on aurait la portée
De modifier la note salée
En une note allégée et sucrée,
D'un code secret qui serait déverrouillé,
Et dans lequel
On aurait renoué avec la solidarité
D'un peuple allié et dans le respect
De l'amitié aux convergences naturelles,
Où il ferait bon vivre d'étincelles
Qui nous enivrent pluriel,
Si le monde tenait ses paroles,
Car on serait auréoles
Sans bémol et direction,
Une magnifique chanson
En conclusion.
Jérôme de Mars
Les corses extraterrestres
Depuis l'avènement de la TNT,
La voie lactée subit de plein fouet
Les antennes-relais
Des maisons relais
En témoins de relais,
Où le système se corse
Et s'amorce,
Quand les corses extraterrestres
Prennent l'antenne d'assaut
Avec du matériel explosif TNT,
Dès que je dis l'événement du jeudi
Au Jedi la tête dans les étoiles d'araignée
En constellation les yeux rivés,
Vers une autre planète
Comme c'est net internet,
Lorsque saynètes dans les comètes
Les corses extraterrestres
Qui éprouvent l'écorce terrestre
Et réprouvent les ovnis aux yeux ébahis,
Quand les corses extraterrestres
Semblent dans la lune
Et se demandent, où habite le soleil,
D'une zone rouge en faisceau spatial
De Boris qui arrive de Vénus, la planète
De l'amour pour chercher l'angélus pas net,
Qui d'une dort aux aurores sur la dune
D'une montagne de sable qui bêle
Les moutons de Panurge qui rendent chèvres
Les femmes fatales du bout de leurs lèvres,
Toutes gercées en t'aime astral
D'une étoile de tableau à représenter
L'alliance des Vénus de milo, à plonger
Une tête pédestre à cheval et à l'envers,
En saute-moutons de la trésorière
De la guerre des toiles quand l'écorce terrestre
Adoube les corses extraterrestres à l'équidé équestre,
En sautant les haies que l'an pirattaque au sabre laser
En écoute de musique d'un cd laser au teaser
D'une symphonie de Bach qui passe le bac à vaisselle,
En passant le diplôme du bac en bac à table qui crécelle
En accordant le violoncelle sur les hirondelles en oiseaux de feu
Feu des goûts très classiques de Beethoven qui allument les Pierrafeu
Dans leur caverne d'Ali Baba très Baba cool, dès que le bateau coule
Les papas cool qui découlent lorsque le sable d'Event s'écoule
D'une prélude de Chopin qui se livre de son livret très ouvert,
Quand les corses extraterrestres allument leur poste de télé
A leur poste très confiné avec un Mcdo et un café pour se prélasser
Du sucré au salé en se sucrant sur des notes salées à mère,
Dont c'est leur tasse de thé dansant sur les soucoupes pour chanter Prévert
Avec l'écorce terrestre de l'arbre basané au teint mat qui fredonne la chanson
Des merveilleuses saisons dès que les corses extraterrestres tournent embobinés
Sur la terre en l'écorce terrestre qui zappe n'est pas jouer
Le faisceau en vaisseau aux aguets,
Où il est tant de siffloter retour dans vos appartements en joyeux bordels
Attroupés devant le groupe les marrons chauds qui laissent valser les accordéons,
Car nous accordons les violons d'une capsule de café à une tasse de thé
Dont les corses extraterrestres se corsent à l'écorce terrestre D'othello poireauté,
Oté il est l'heure de danser le zouké au déhanché débranché sur le fil dérangé
D'au revoir Zebulon, nous changeons de destination en retombant les pieds sur Terre du terre à taire, en lieu sûr, fermez l'antenne et finis les aventures.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Une manucure défend bec et ongles sa collègue agressée verbalement par une cliente !
2) Benjamin, le dernier d'une famille de 3 enfants est le cadet !
3) Un client qui fait ses courses à Carrefour croise des gens !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi la bite paie-t-elle en nature ?
- Parce-qu'elle paie en liquide !
Jérôme de Mars
Sérieux, c'est pour rire ! ?
Jeux d'encre, la machine
Qui se met à écrire,
Se machine
A décrire
Le rire du pire,
Car sérieux,
C'est pour rire
Et le pire,
C'est pas sérieux
D'être ennuyeux,
Quand ça va mieux
D'être heureux,
Alors que quand ça va creux
C'est d'un par être fiévreux,
Où l'on sourit
Bouche bée
Et où l'on rit
L'eau à la bouche
D'un conte de fée,
Car tout de même,
Sérieux, c'est pour rire
Et idem,
C'est graveleux,
Quand c'est au pire
Du soupir,
Qu'on veut s'assoupir
Au clan des amis unis
Pour la vie réunie,
Sans déni,
Car on se lie à Denis
La malice
Ou le caprice,
Des deux côtés fleur bleue
A la couleur ferveur
Et sombre fureur
Aux à côtés bleus,
Entre le pis
Et le dépit,
Où l'on reste curieux
Du rire
Avec sérieux,
Et où l'on perdure fastidieux
Au pire
De l'ennui
Dont la suie
Essuie tout,
Notre va-tout
Pour tenter le tout
Pour l'atout,
Car dans la vie,
On est tout seuls
Et à plusieurs,
En confrérie,
A trouver notre Voie Lesueur
A Vitry et à ses feuilles,
Qui mettent de l'huile Lesieur
A brûler sur le feu,
Où l'on rêve amoureux
De poser sérieux,
Le calumet fabuleux
Pour éteindre le contentieux,
Et allumer le soleil radieux,
Sérieux, c'est pour rire
Et c'est au pire,
D'un sérieux parcimonieux,
Qu' il faut s'adresser crescendo à Dieu,
Pour le mieux
De nos aïeux
Aux hauts cieux
Qui font long feu.
Jérôme de Mars
Bientôt la quarantaine !
Après des mille et des sang
Dans un an,
Bientôt la quarantaine
Avec comme dilemne
La mise en quarantaine,
Ou et mise en crise de rire
De la quarantaine
Et bien loin du pire,
Pour que resplendisse la mire
D'une volupté en plaisirs
Et à très grande distance de l'émir
Qui lave son linge sale avec mire
Express comme un expresso café,
Qui lit des lignes de la main son destin
Qu'il espère dans la mare de café édulcoré
Avec une touche de douceur en dauphin
Sans le mal de mère qui persiste en crin,
Car bientôt la quarantaine
Et que désertent les problèmes,
Pour que le jardin cultive le bien
Et qu'il aime en totem l'emblème,
Comme bientôt la quarantaine
En prémices d'une crise de rire de la quarantaine
Pour virer de bord la mise en quarantaine,
Car il est opportun de déclencher le seuil du bonheur
Avec de la fraîcheur et de l'amour qui poussent en rondeur
Dans des états de grâce de sourire,
A admirer la sève des récoltes amassées en remplir
Son coffre-fort d'un joli magot avec e trésor
La réconciliation avec les humains et leurs prochains
Dans l'ultime voeu que la mélancolie cède le pas
Aux joies plénières d'une vie apaisée qui attire la foi,
Comme bientôt la quarantaine
D'une crise du rire de la quarantaine,
Pour neutraliser la mise en qurantaine
Et regorger de projets avec la tête pleine
De résolutions en remettant en questions,
Ses interrogations afin de traduire les actes en actions
Mais des passages aux actes en avancées positives,
Comme une pièce de théâtre qui s'affranchit de son entracte passive,
Lorsqu'elle aborde à l'âge limite un état des lieux et qu'elle franchit
La période de la maturité accomplie et où son coeur gravit
Les marches de l'ascension en totale reconstruction,
Et où ses aspirations et ses attentes demeurent soucis de réparation
Après tout ce carnage de l'abordage au naufrage en prenant de l'âge,
Car plus on avance, plus on déploie la langue de marivaudage,
Car bientôt la quarantaine
Et immobiliser la mise en quarantaine,
Pour hisser la crise de rire en quarantaine
Et clamer en liberté de ton cap vers les fenêtre ouvertes et persiennes,
Quand jadis, la joie se contamine aux ils marquis la tête plaine
Car bientôt la quarantaine !
Jérôme de Mars
L'agent n'a pas d'odeurs
Bonjour chers internautes
Et facebookiens,
De mon écran à cran
Qui a du cran et cran,
Je vais être très direct
Et en direct
De par cette vidéo
Monte-Vidéo
Sur mon facebook,
Car à L'ESAT de Vitry,
L'agent n'a pas d'odeurs,
Car y a des bris de couloirs
Comme à L'ESAT de Vitry,
Le silence est d'or
Comme il se dore au soleil,
De l'oseille car la parole est d'argent
Et y a plus de temps à L'ESAT de Vitry
Pour avoir des paroles et les respecter,
Car à L'ESAT de Vitry, on fait l'indifférence
Avec tout le monde, on s'en fout de moi
Et on me méprise en m'agressant vers bal
Entre les moniteurs et les agents,
Car l'agent n'a pas d'odeurs
Mais il répand de sales rumeurs,
Dans les débris de couloirs
A ne faire que des histoires
A l'humour noir,
Car faites l'humour pas naguère,
Avec tout ce foutoir
Si jamais Damien me pose des lapins,
Comme c'est Damien Lelièvre
Le lièvre et moi la tortue,
Merci ces Jean De La Fontaine
Pas très affables, car ils ne connaissent
Pas l'affable mais la fable de la fontaine
Qui a depuis ce temps-là coulé de l'eau
Sous les ponts comme du pont et Dupont,
Après qu'Hollande ait fait des dégâts
Par Dugas de La France et de la finance qu'il a mis
En pays bas comme nous prenons de la bouteille
D'acolytes, en un pot très cher payé
Sans rendre la monnaie de sa pièce,
Où cette mini-saynète est en pièce détachée
Comme ma gueule cassée en espèce de disparition,
Où à L'ESAT de Vitry, on me con prend pas,
Car on me reprend et on s'y méprend mal
Avec moi, car l'agent n'a pas d'odeurs
Mais l'argent a l'odeur de L'ESAT de Vitry
Qui voir rouge et devin chaque vin du mois,
Où tout le monde me met en boîte,
Car je soûle les alcooliques du gars
Oh Dugas, tu prends de la bouteille,
Comme moi, où je prends content
La porte en faisant du porte-à-porte,
Car je n'ai plus de crédit
Vu que je me livre parmi vous à des couverts,
Dans un humour à la fourchette des partis pris
Sans y aller par le dos de la cuillère et à couteaux tirés,
Où je prends congés de vous, pour battre en retraite.
Jérôme de Mars
A bout de souffre !
Tel est pris qui croyait pendre
Le mépris on me l'a appris,
A le tendre et à le détendre
D'un faire-valoir,
Dont on veut choir et déchoir
Dans la douleur
D'un sempiternel souffre-douleur,
A bout de souffre
Que j'en souffre,
Que j'en boursoufle
Et dont je m'essoufle
Avec le souffle
Du coeur,
Comme une fanée fleur
A bout de souffre,
Qui voit partir sa vieille enfance
Dans la violence et la distance
Incompressible et implacable,
Où les êtres aimables changent désagréables,
Car moi qui nais,n'aie rien
Alors que ma vie n'est le virgule point,
Où je fais du théâtre paraître
Pour incarner l'indifférent par être,
A bout de souffre
Dans le gouffre qui m'engouffre
Avec le feu, le combustible
Et les brèches que j'allume antisèches,
En sautant les fusibles, car impossible
N'est pas Français dans le franc-parler,
Où je parle l'ancien franc au lieu des euros de monnaie
Comme Jean-Luc Godard qui se fait des films à bout de souffle,
Qui s'essouffle avec un sourire de façade qui souffle
La brise devant du mépris qui m'ait pris et m'est pris,
Par la douceur du beau temps qui se fie et se lie
En selfie y a pas photo dans la rétro car point de parti pris
D'à bout de souffre,
Pourvu qu'un arc-en-ciel me souffle un ouf de soulagement
Au clair du beau temps
Ainsi, je revigorerai en clair loin du gouffre,
Grâce au passe du temps
Pour profiter de l'instant présent en un passe-temps.
Jérôme de Mars
Blague :
Que dit ta queue à ton bras pour l'aider à se branler ?
- Donne-moi un coup de main !
Jérôme de Mars
Docteur Penaud
Bonjour docteur Penot,
Quoi de neuf ?
A me dire docteur Penaud
Moi qui refuse de sortir
De l'oeuf,
Comme je m'ennuie
Et que je m'enlaidis,
A perdurer dans une vie
De veuf
Sans meuf pour la teuf,
Car je reste couvé
Aux souvenirs d'un oeuf
Pas très neuf
Couvé à sa mère
Loin derrière mais incendiaire,
Docteur Penaud
Vous qui avez toujours le dernier mot
M'avait toujours déclaré
Avec un pot de verre d'eau,
Pourquoi je m'interdis
De m'ouvrir à la vie
En mettant en arrière mon passé endolori
C'est sûr, docteur Penot,
Vous avez pleinement raison
De vous à moi qui perd
La raison qui se confond en oraison
Des témoins de Jéhovah,
Alors qu'une rencontre charnière
Me sauverait
Du trépas en avançant pas à pas
Face à vos réflexions, cher Docteur Penaud,
Vous me mettez dans l'embarras,
Mais comme moi,
Je suis moi-même mon meilleur médecin
Devin à m'adresser et à me préconiser,
Le brillant remède pour panser ma frustration
Du dépit à l'anorexie d'un manque d'amour essoufflé,
Comme je me décris, je suis le mauvais docteur
Pour soigner les dames des coeurs
Préférant demeurer le vilain docteur Penaud,
Pas beau et affreux jojo qui vole très oh lé !
Alors qu'il faudrait, que je passe de l'embarras
Au débarras de tous ces sales choses d'avant,
Pour me prédire enfin et enclin d'aller à demain
En me sermonnant sans Témoins de Jéhovah,
Hip hip hip hourra retour à la joie et oh quel débarras !
Où cher Docteur Penot, je vous paierai la note salée
Que je vous dois depuis le temps que vous me supportez
Avec mes hauts et mes bas, tandis qu'il faudrait que je saute le pas
Avec une femme pour passer du haut à d'ébats, où je vous remercierai
De ne pas avoir perdu votre temps avec moi car dès fois,
Je me demande qu'est-ce-que je veux dans mon existence,
Si je veux une semence de clémence ou l'offense de mon enfance ?
Merci Docteur Penot et à bientôt
Sur le haut Paris gagné où je ne demeurerai le docteur Penaud.
Jérôme de Mars
Cocasse
Caucase
Concasse
Cocasse
Qu'on casse
Qu'au case
Loquace
Caucase
Cocasse
Qu'on case
Qu'on casse
Concasse
Con casse
Casse-cou
Cocasse
Caucase
Qu'on casse
Loquace
Qu'occase
Con case
Qu'on casse
Cocasse
Casse-cou
Qu'on case
Con casse
Caucase
Qu'occase
Concasse
Qu'au case
Loquace
Caucase
Qu'au casse
Cocasse
Caucasse
Concasse
Caucase
Qu'au case
Cocasse
Loquace
Qu'on casse
Qu'on case
Concasse
Casse-cou
Qu'au casse
Qu'au case
Qu'occase
Caucase.
Jérôme de Mars
La goutte d'eau qui fait déborder le vase !
Des bordées à l'embardée la vase
Laisse tomber la goutte d'eau
Qui fait déborder le vase,
Quand les vases
Clos communicants transvasent
Les effets de seuil dans un mouchoir,
De poche qui décoche une fontaine de moineaux
Comme sur une branche qui les largue penauds,
Courbés dans la palme recroquevillée d'un entonnoir,
Qui chante les dégâts des eaux enrobés dans des histoires
Qui nourrissent le jardin secret de l'arrosoir très divinatoire,
Quand la vase rembarrée du septième ciel transvase
La goutte d'eau qui fait déborder le vase
Qui dévase tout sur le mirador des rossignols
Déchus de leur forteresse en coupe de gondoles,
Dès que la vie semble un fleuve paisible,
Où la liberté est privilégiée en thèmes comestibles
Dans l'amitié et l'humanité
Entre amour et virginité au soulagement suggéré
Qui troublent les villages des branquignols
Dans la ferme des animaux qui se la ferme en farandole,
Lorsque le vase aborde la vase
Et déborde la vase qui transvase
La goutte d'eau qui fait déborder le vase
D'un coup de baguette magique qui dévase
Les sortilèges d'un sorcier qui chasse
Les balais volants qui décrassent
L'eau qui fait des crasses,
Tandis que l'eau dégoûte le vase
Qui s'égoutte avec la vase
Des gars des os ignobles qui transvasent
La vase qui fait déborder le vase,
Qui se transvase et dévase
La goutte de trop qui s'enlace
Avec les égouts qui égouttent la goutte d'eau
Qui borde la vase, aborde le vase,
Et déborde tout le transvase qui dévase
D'un toucher d'eau rétro, où les gouttes
De trop tropicaux dégoûtent
La goutte d'eau qui fait déborder le vase,
Qui se transvase en une dévase des vases
En des vases d'eau qui dévasent tout leur crachat,
Où la goutte d'eau qui fait déborder le vase s'inonde ici bas.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi es-tu égoïste ?
- parce-que tuer quelqu'un !
( tu es )
Jérôme de Mars
Citation :
Tu n'es pas heureux dans ce monde d'égoïstes car tu voudrais que ce soit chacun pour soie !
Jérôme de Mars
Plagiat !
Bonjour, copie conforme
Difforme qu'on forme
Dans le fond et la forme,
En méforme
Dix formes,
Car y a plagiat
Qu'hélas, la copie
Vaille l'original,
Inscrit dans les annales,
Installées sur la plage y a
Du plagiat,
Tandis que les plagistes
Mixent les platines dj
Et bcbg,
Où y a plagiat,
Quand s'égare
Le gorille
De Georges Brassens,
Aux enceintes
Des maillons forts
De la chaîne
Des ouistitis
Qui se déchaînent
Et singent
Les pastiches
Des singes gorilles
De Dian Fossey
Dans le fossé,
Où y a plagiat,
Lorsqu'ils lui volent
Son antivol
Du copyright,
Dans des parodies
De tragédie-comédie
Del arte
Sur la chaîne ARTE,
En wifi clos,
Où le d'ébat est clos
Dans l'enclos
De la grande muraille
De l'échine,
Où y a plagiat
Dans l'eau
Sur la plage y a,
Où l'on surnage
En nage
Dans une eau héros
Tique
Des quatre fantastiques
Pliés en quatre
Et aromatiques
Des mimiques
Du singe gorille,
Qui s'égare
Dans la brume
Et s'enrhume,
Lorsqu'il singe
Avec ses narines
Les autres gorilles
Dans la brume
De Dian Fossey
Dans son fosse hé,
Dès qu'il supplie
Eliane
Avec sa liane,
De ressusciter
Dian Fossey
Au fausse eh,
Des parodies
Qui copient
Georges Brassens
D'un ok des brumes
Du gorille qui s'égare
A Gare Au Théâtre
A Vitry,
Où y aura plus plagiat
En nom conforme
De la copie qu'on forme,
Car l'on sera à la plage y a
Originale,
Dans mes formes
Des parodies
En oustitis clos
D'un oui-clos,
Au grand huit clos
Tout ouïe,
Car une fois clos,
Il ne sera trop tôt
D'être en clos
Plage y a
D'enclos
Plagiat !
Jérôme de Mars
Les feux sont voyants !
Au feu les pompiers,
Tous les voyants
Sont au rouge over,
Car le feu vert
Mal allumé est dans le rouge,
Aux voyants d'un feu rouge
En bon état,
Qui est au vert,
Quand l'agent de police
Pin-pon donne
Aux automobilistes
L'autorisation de circuler
En voiture au pied
Du voyant qui n'y voit que du feu,
Alors que le feu pleins feux
N'est plus au rouge
Et qu'il donne son feu vert,
Au feu qui est over,
Car il voit rouge,
Quand le feu rouge
Qu'on répare
Se met au vert,
Après avoir passé
Et avoir été pressé,
Du vers à l'orange au rouge,
Qu'on boit
Et qui se met ouvert
Du passage au vert,
Qui ne voit plus rouge
D'un feu de paille.
Jérôme de Mars
Enclin, des clins, en clin, déclins, en des clins
Enclin
D'oeufs
Des clins
D'eux
En clin
De yeux
Déclins
Deux
Enclin
D'oeufs
Des clins
D'eux
En clin
De yeux
Déclins
Deux
Enclin
D'oeufs
Des clins
D'eux
En clin
De yeux
Déclins
Deux
En des clins
D'oeufs
D'eux
De yeux
A deux.
Jérôme de Mars
Citations :
1) Un schizophrène avec sa double identité fait double je !
2) Un homme mûr récolte le fruit de son travail !
Jérôme de Mars
Façon de parler
Salut ! le djeune,
Pendant ta journée
De dur labeur,
Tu fricotes avec ta petite amie
La beurre,
D'un appétit
Supérieur à sa sueur,
Façon de parler
Le Français
Avec ton franc-parler,
En verlan
Et en chébran,
Pour parler
En pourparlers
Durant ton jeûne,
Au ramadan de ta religion
D'état sur l'appât
De tes pas,
Où ça reste légion
Que tu ignores les tas
De la communion,
Car La France n'est plus en communion
Façon de parler
Le Français
Avec son franc-parler,
En pourparlers
Pour parler
En odeur de Sainteté,
Dans la décence
Et l'encens,
Pour qu'on encense
Les étrangers
A s'évertuer
Et à collaborer
Avec Les Français,
Dans le respect
De la fraternité
Et de la solidarité,
Entre personnes aux mêmes affinités
Et de leur grande amitié
Qui en découle tant d'enthousiasme
Sans spasmes,
Sur l'internet mais avec des spasmes
Au coeur rougeur de pierre
Ebranlé et défiguré
Par la vie et sa pénurie de réciprocité,
Où tu manques de repères
Par tes tentations
De rejoindre Sein Lucifer,
Loin du malsain Père
Qui remplit ta bedaine
De haine,
Pour admirer
Et côtoyer
En frères lumières,
Le clair de la lumière
Au regard extra lucide
Et acide
De la voyance des choses précaires
Dans un rôle protocolaire,
Façon de parler
Le Français
Dans son franc-parler
En pourparlers
Pour parler
Et énoncer
Les quatre vérités,
Du Français
Dans la saga-cité
Récitée et qui a suscité
Ton itinéraire
En emphysème,
Où t'aimes
Le requiem
De la bohème,
Alors que quand tu récupères
Ton esprit Saint,
Tu parles Le bon Français
Avec ton franc-parler
De ton amour pair
Et de ton prochain,
Façon de parler
Le Français
De la vérité,
Espèce en disparition
De djeune
Qui te scande salut
Avec ta langue de la rue
Parmi tes semblables résolus,
Façon de parler
La vérité
Avec ton franc-parler
En pourparlers
Pour parler
Aux inconnus
De ton point de salut,
Car ici là, tout le monde te souhaite
La bienvenue
Chouette,
Comme les mauvais temps
Qui génèrent du chaud bouillant
Et qui semblent révolus,
Si bien que tu seras prévenu
Qu'il y aura des imprévus
En route vers l'inconnu,
Façon de parler
En Français
De l'avenir de la société
Avec son franc-parler,
En pourparlers
Pour parler
L'instantané à la clé
De ce qui va arriver,
Bientôt façon de parler
Le franc-parler.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Que peut-on dire aux victimes de l'attentat de Bruxelles pour leur manifester toute notre sympathie ?
- Comme Bruxelles s'effrite, pauvres petits choux de Bruxelles !
2) Pourquoi Saint-Etienne est-il furieux d'avoir perdu 3-0 contre Le PSG ?
- Parce-que Saint-Etienne est vert de rage contre Le PSG !
3) Pourquoi est-ce-que je te titille souvent pour que tu me chambres comme t'es Arménien ?
- Parce-que je te lance et revannes !
( Erevan )
4) Pourquoi y a-t-il une malédiction à Londres avec encore un attentat perpétré contre des militaires par un homme avec son sabre ?
- Parce-qu'il y a comme une épée de damoclés sur Londres !
5) Que dit-on d'un arabe honnête qui passe d'un Islam modéré à un Islam radical où il devient fanatique ?
- Il se désintègre en intégriste !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi Le Front National n'est-il pas étranger à la montée du racisme et de l'antisémitisme ?
- Parce-qu'il l'a écrit noir sur blanc !
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi y en a t ils hier sur facebook qui ne m'ont pas souhaité mon anniversaire ?
- Parce-que pour eux c'été pas du gâteau !
- Parce-que c'été out !
Jérôme de Mars
Conjuguer sa vie à tous les temps
Autant du passé
On conjugue son passé composé
Recomposé d'un passé simple
Qu'on conjugue au présent
De l'impératif présent
En présent indicatif
D'un futur simple
Auquel on participe présent
Au temps radical
Qu'on conjugue de l'imparfait du passé
En un parfait présent
Loin du temps imparfait
Le temps bipolaire
D'ailleurs et aux environs,
Le ciel a ses changements d'humeur
Du soleil rieur
A l'orage pleureur,
Qui renverse son bol d'air
En buvant la tasse de l'eau torrentielle,
Quand y a des nuages à l'horizon
Qui souffle des vents de caractère
En criant au tonnerre,
Comme le temps bipolaire
Qui assure ses arrières
De la joie soleil à la pluie crécelle,
Qui claironnent leurs malheurs
D'il à vent c'était le triomphe meilleur,
Car le temps bipolaire
Qui ne manque pas d'air
Ne pouvait pas être
Et avoir été
Dans la saison du par être,
Entre deux variations à contretemps
D'île est tant l'il aux enfants
Que tout le monde a été
De l'hiver à l'été,
Comme si le temps bipolaire
Revenait du froid polaire
A la recherche du pôle ère
Aux nouvelles frontières
De la terre à l'univers,
En trapontane qui déplace des montagnes
Des vents contraires,
Aux normales saisonnières
Qui lèvent l'île du haut levant
En vol de deltaplane,
Comme si le temps bipolaire
Planait avec des manières diluviennes
Qui surviennent et reviennent
Avec des temps impétueux,
Fastidieux et parcimonieux,
Où dès fois, le temps clément
Juge de sa clémence son pardon passionnel
D'êtres aux ordres des temps intemporels
Et intempestifs au récif écorché vif,
Qui a le mal de mer et crache ses poissons
De l'eau tempérée et sommaire à la rive élémentaire
Qui ôte ses inconstances printanières au libre air,
Comme si le temps bipolaire
Respirait ses souvenirs de jeunesse synchrones
Avec des alternances du chaud au froid polaires
Et aux changement d'humeur aux caractères maniaco-dépressifs
A l'expresso de café subjectif qui déverse ses averses, où la colère
En symbiose avec le frontal cyclone
Déclenche une accalmie de poussière d'air,
Comme si le temps bipolaire avait un flashback d'hiver
Pour se téléporter du temps bipolaire autant polaire
Qu'ils reposaient sur des lauriers nécessitant une frontière
Des temps parallèles aux instants d'un clair de lumière
Au lever d'encore la vie est un éternel recommencement,
En un clignement des yeux harmonieux au comment
Du printemps à la légère
Du temps bipolaire à l'hiver,
Qui est en froid d'antan polaire et en pull-over polaire
D'un coup de chaud où le temps se définit protocolaire,
A l'air du courant d'air bipolaire on ferme les frontières.
Jérôme de Mars