Vernissage

 

Après mille feuilles décrites,

Laissées pour mortes d'écrites,

Au passage,

Il serait sage

De faire un recueil

De mes feuilles d'écueils,

Car priorité à l'accueil

Sur le fauteuil

Avec un vernissage

Verni sage,

Où je vous compromets

Vers mes vers et revers ni sages

De yeux aux bleus verts

Révoltes verts

Ni sages,

Qui reflètent mes vers

Ni sages

Revolvers ovaires

Ni sages

De mes yeux bleus et clairs,

Où j'allume le livre ouvert

Ni sage,

Pour que je cueille

Et je recueille

Vos mille-feuilles 

D'impression,

Aux reproches

Et anicroches

De Gavroche,

Où le jour qui hoche

La liberté d'expression,

S'effiloche 

Comme les trois cloches,

Comme je cloche

Avec mon vernissage,

Aux passages

Découverts

Et recouverts

Ni sages,

Vers les couverts

Découverts

Ni sages,

Où hier mioche,

Ma faim des coups vers

Ni sages

Décoche

Vers la fin des Harry couverts

Ni sages,

Vers les revers

Ni sages

De mes vers

Ni sages,

En ce vernissage

Pas sage

Qui me saccage

Dans sa cage

Des marais cages,

Où j'embroche

Mes vers

Ni sages,

Vers la broche

De l'an broche

De mon vernissage,

Vers le revernissage,

Où je ne suis

Ni ouvert,

Ni over

Ni sage,

Mais aux vers 

Ni sages,

Où désormais, 

Je me mets

Au vernissage

Gamme ovaire

Et faux revers

Ni sages,

Car au passage,

Je suis ouvert

Ni sage.

 

Jérôme de Mars

 

 

Le meilleur rami

 

Père d'as,

Il est tant

Qu'on se tend

A jouer

Cartes sur table,

De l'affable

A l'ineffable,

A désigner

Par nos amis,

Quel est le meilleur ami

Du meilleur rami,

Où lui seul, nous détend,

Nous entend,

Nous comprend

Et nous surprend,

A prendre d'antan

A autant, tout son temps,

A l'écoute pour qu'il se voue,

Se dévoue

Et se dénoue

En nous

De ce qui est important,

Sans qu'il soit indécent

Avec mille et décent,

Cent pour cent

Le meilleur rami

Du meilleur ami,

Quand on tire dans la pioche,

Bonne pioche avec notre pioche,

La père d'as en roi

Jusqu'aux désarrois déjà rois,

Du meilleur ami

Au meilleur rami,

En rejouant

Cartes sur table,

Au je de cette famille,

Même si un ami

N'est pas cent pour cent

De la famille,

Mais un allié garde-fou

Avec son ami fou allié,

Qu'il a rallié 

Dans la loyauté

Sans le rayer,

Le railler et le dérailler,

Car parmi les cartes de France,

Lui seul, sait nous reprendre

Pour nous défendre et nous dépendre

Dans la jurisprudence

Et la prudence,

Sans nous descendre

Et nous répandre en cendres,

En déjouant

Cartes sur table,

Du meilleur rami

Au meilleur ami

Estimable,

Sans qu'il ne déborde

Et n'aborde

Un certain Johan dans la discorde

Monocorde en dix cordes,

Où grâce au meilleur rami,

On a le meilleur ami

A distance 

Et à proximité

D'une carte de France

Ensoleillée

Au pi débat,

Des nuages atténués

A cartes sur étables,

Du meilleur ami

Au meilleur rami.

 

Jérôme de Mars

 

                                                      Citations  :

 

 

1)  Un professeur de philosophie qui fait une erreur en tant que citoyen, fait une faute de Français  !

 

2)  Quelqu'un qui reste toujours seul le jour de Noël, traverse chaque année une embûche  !

 

                                               Jérôme de Mars

 

Justice sociale

 

Prenons le parti de créer un parti, où l'on aura un parti pris de faire partie et de prendre le parti d'en rire dans la satire, car ça tirera un raz de marée, en un tant imparti de fonder un parti, dans lequel on se départit et on se répartit l'apolitique au centre droit et sans travers, en prenant le gauche avec une gauche recentrée, décentrée et concentrée en ordonnant une ligne modérée dans un parti droit, dont la fondation de ce micro-parti fera partie d'idées à buts non lucratifs et récréatifs, avec un programme humaniste et libéral, où aucun homme politique ne videra les malles de ce parti apolitique, qu'on appellera, 

" Justice Sociale " en épelant à la lettre paranormale, Les SDF pour qu'ils deviennent, Le SDF de la Plaine-Saint-Denis, avec des liasses de billets d'humeur et de la maille, car  " Justice Sociale " ne tolérera aucun repris d'injustice et aucun repris de politiques véreux, comme " Justice Sociale " se voudra un micro-parti moral au-dessus des partis de l'apolitique, avec un micro-trottoir qui aura le moral pour sonder Les Français, en les interrogeant s'ils voudraient que ce gouvernement crée le revenu universel, uni vers celle à destination de la population,  de que demande de plus le peuple  ?  

A savoir plus de richesses humaines, avec moins de pauvres gens et des pauvres financiers parmi les gens riches et huppés déconnectés dans le virtuel, qui font la fortune des élites et les revers d'infortune pour les ouvriers, qui l'ouvrent avec l'ex gosier d'Arlette Laguiller à l'affront national de leur lutte ouvrière,  où

" Justice Sociale " prendra le parti revenu universel, qu'il faut plus de place consacrée à l'humain, et moins de conflits d'intérêts au profit du bénéfice de l'argent comptant, car il faut privilégier un bon management d'équipe avec ci-possible la meilleure entente entre collègues et hiérarchies sans faire la sourde oreille pour de l'oseille malgré les divergences des uns et des autres, qui se répercute en une recrudescence de bien-être, de performances de production et d'assiduité, avec l'émergence et une dynamique de qualités humaines et professionnelles, sans attitudes abusées même si elles sont désabusées, avec davantage d'affections de longue durée et plus de respect au travail, et moins d'arrêts-maladies qui dégénèrent des infections de longue durée, même si on ne peut pas plaire à tout le monde, comme l'affirmait la mission de Marco Fogiel, et par prescription avant qu'il y ait prescription, 

 " Justice Sociale " préconise de décréter le lien social obligatoire et vital, pour le bien naître de diffuser et de communiquer une parole d'argent de valeurs et non de l'argent en paroles sans valeurs, pour rendre Internet, plus net et Facebook, une face de bouc qui ne rend plus chèvres, en faisant du net, au non de la loi, un alien facultatif, dont il vaut mieux s'en passer dans la mesure du plausible du net, pour être plus net et ne pas être interné avec Internet, à demander l'asile psychiatrique au Paul-Guiraud de Villefuif pliés en 54, pour ne point s'intégrer dans une camisole chimique, et finir en garde-fou dont tout le monde se fout et s'en fout des fous,

" Justice Sociale " veut dépasser les clivages, le chacun pour soi, les préjugés et le je m'en foutisme général en ralliant tous les citoyens, autour de l'oeuvre de Coluche dans un hymne qui rassemble les patriotes autour de l'emblème de La France selon Coluche :  France  :  Liberté, Légalité, Fraternité et Egalité d'humanité, où en surplus Des restos Du Coeur qui existent pour les bouffes fonds désarrois,  " Justice Sociale "  érigera Les maisons Du Coeur, afin que tous les plus démunis soient logés à la même enseigne que leurs semblables avec un loyer abordable avoisinant les 10 Euros par mois, et pour que Les restos Du Coeur,  fassent tourner la machine en ristournant les maillons forts et les maillons faibles au sain d'une même chaîne humaine sur la TNT dévolue à la cause de Coluche, une chaîne de télé du nom de Coluche TV , où en contrepartie du revenu universel, on fera travailler les gens modestes et nécessiteux dans une ambiance explosive très TNT, où tout le monde aura la sécurité sociale, professionnelle, morale, physique, familiale, amicale, financière et humaine, avec plus jamais de séjours en prison, qui font de la peine emprisonnée de détention, de tant de haine, où pour récolter la monnaie de sa pièce, on s'inscrira plus net sur le compte de  " Justice Sociale ", où l'on bâtira à travers le lien social un véritable et fidèle réseau d'amis dans le réel très humain, à la parole d'argent content amie de la fraternité et de la solidarité, en respect du regretté Abbé Pierre, qui demeure la coqueluche de Soeur Emmanuelle, qui coupe la queue en souvenir et mue, de Coluche, comme on aura toujours faim de toi, Coluche, enfin de toit pour plus de justice sociale et de solidarité nationale, avec un surcroît de justices et de services publics, au profit et au bénéfice de la collectivité individuelle et non de l'individualisme collectif, en rectificatif, que l'union fait la force et amorce un chacun pour soie et dieu pour tous en coups de pouce, dans l'espérance de la reconquête de soie de l'humain, avec pour différence la révérence contraire à l'indifférence, pour plus de justice sociale  !

 

Jérôme de Mars

Hip pop potame

 

En gros ben mince,

C'est la baisse

De régime,

Du régime

Hip pop potame

Dans le tam tam,

Du grossiste

Qui grossit

La vie d'artiste,

Comme c'est l'obèse

De régime,

Du régime hippopotame 

Dans le tam tam

Qui rétame

Le hip pop potame,

En gros ben mince

De la baisse 

De régime

De l'hippopotame,

Et de l'obèse

De régime,

Où en gros,

Le grosssiste

Grossit

La baisse

De régime,

De la vie d'artiste

Et la baisse

De régime

Du devis d'artisan,

En gros ben mince

Plus gros,

Avec l'obèse

De régime,

De l'hippopotame

Qui ben mince si,

Et abaisse

Obèse,

La baisse

De régime,

Qui rétame

L'hip pop potame,

Dans le tam tam

D'un grossiste,

Qui grossit

En gros

Ben mince,

Et qui abaisse

En gros,

Sur l'obèse

De régime,

Encore 

Et en faim, 

En gros

Bien mince.

 

Jérôme de Mars

Bon anniversaire Catherine

 

De ton hein vent terre,

Je te souhaite Catherine

Un bon anniversaire,

Qui peindra la chimère

De tes églantines,

Que tu sauras colorer

Et aborder

En vers,

Et varier

La lumière au clair

De tes 70 ans,

Que tu convertis de l'hiver

De ta vie au printemps,

De l'eau devis pour te plaire

Et prendre l'R,

Sans rouler l'air de Gris mots

Pour dérouler à Grimaud,

Tout ton pinceau

Qui peint la façade des tremollos,

Avec ton automate

Peint mate

En traits mots l'eau,

Pour susurrer que tu en es gré

A 70 ans de profiter de l'engrais,

Qui cultive l'essence de ton jardin secret

A la semence de ta jeunesse éternelle le coeur,

En brodant un air de famille d'ardeur

La main qui sécrète une once de bonté,

Sur la péninsule au Sud de l'azur

De tes yeux qui respirent la sinécure,

Dans ta maison de villégiature

Qui défriche ta belle nature

Avec ta vieillesse en majuscules,

Dont tu profites avec chaque particule

A la lettre prête à t'envoyer,

Ce bon anniversaire

Catherine, voici l'inventaire,

A l'appel de ton respect

Avec ton humanité à la personnalité

Très entière,

N'est-ce-pas élémentaire ?

Ma chère

Catherine,

Vivement qu'on se voit

Et qu'on s'assoit

Autour d'un café,

A la terrasse de l'an cher

Qui se termine en peignant

Et dépeignant tes capucines,

Où chère

Catherine, je t'embrasse à la lisière

De ton hiver qui te fait des éloges depuis hier

A maintenant pour toi, car vivement qu'on se revoit,

De ta peinture

A mon écriture,

D'au devis

A l'eau de vie,

Où je te dis au revoir

Et à bientôt pour manger et boire,

Tes paroles unies vers

Ton bon anniversaire.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                    Blagues  :

 

 

 

1) Pourquoi Hallyday était-il un drôle d'oiseau  ?

-  Parce-que c'était un affreux jojo  !

 

2)  Pourquoi l'inspecteur Columbo pourchasse-t-il les durs à cuire  ?

-   Parce-que c'est un colombo de poulet  !

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

 

 

                                                   Citation  :

 

 

Johnny Hallyday, après avoir joué au Golf-Drouot, va jouer maintenant dans son trou à deux balles  !

 

 

 

                                            Jérôme de Mars

Carte à puce

 

Pic pus

Prépuce,

On joue cartes sur table ma puce

Au marché opus,

Démarché aux puces

Avec une carte à puce, 

Qui dépuce

Celle,

Des pucelles

Aux prépuces,

Celles qui dépucellent

Les octopus, 

Qui ne sont plus celles

Auxquels perdurent

Et endurent dans le dur,

Des prêts puces

Qui montent les près puces,

Démarchés opus

Au marché aux puces,

De plus celles

A pucelles,

Dont les puces

Les démangent

Avec la carte à puce,

Du téléphone qui mange

Leur prépuce,

Du marché démarché aux puces

Qui a remarché opus,

Si puissant qu'ils en dépucent

Celles qui les dépucellent,

De celles à leur prépuce

D'une carte à puce,

Au marché opus

Supermarché aux puces,

Tant que les octopus

Tapent le bon code plus celle

Qu'ils dépucellent puces celles,

Après avoir déjoué les cartes à puces

Démarchées aux puces,

Qui ont marché opus

De leurs prépuces à toi ma puce,

Puce celle dépucelle 

Pour toi pucelle,

De ta carte prépuce

Celle et puis puce, 

Celle encore auprès puce

Celle de ma carte à puce

Remarchée opus,

Et super démarchée aux puces 

Celles octopus

Celles et plus pic pus.

 

Jérôme de Mars

 

Arc en ciel

 

Ce soir au pluriel, 

Une pléthore 

Gravit des rebords

Arc en ciel,

Avec plusieurs cordes

A leur arc dix cordes,

En discordes

Monocordes,

Que concèdent des reflets

Fluorescents du miroir réfléchi,

Qui réfléchit ainsi

A sursauter pour colorier,

D'une multitude hétérogène

De couleurs hallucinogènes,

Les latitudes de mille feuilles

Qui détrempent le seuil des écueils,

Qui ont les faveurs

Surdimensionnées à la hauteur,

Arc en ciel

Et entière qui roucoule 

L'accueil, 

Dans la tanière qui recueille

Le recueil des bonnes nouvelles,

A la belle et toile qui gèle

Et grêle

En mille arc en ciel,

Qui décochent 

Les flèches de Cupidon,

Le Eros pour transpercer la cible

Indicible et inflexible,

Qui en découle

Du flexible,

De la douche froide

Et Ecossaise,

Qui morcelle la stèle

De la terre glaise,

En de la ouate

Douce comme du coton

Tige, qui envoie une fleur,

A sa Julie qui accorde

Les violons,

En déclarations d'humour

Dans un fameux billet d'amour,

Qui transcende les chaises

Musicales sur l'estrade,

De l'esplanade,

Avenue qui se rue, mais Seine,

D'un long fleuve tranquille qui hoche

Le mouche du coche, 

Qui fait mouche attire de vinaigre

Et aigre allègre,

De mille arc en ciel

Qui arrivent en haut du ciel,

Parmi les tourterelles

Et les hirondelles,

A tire d'ailes

Et à l'unisson d'un mariage

De dentelle,

Qui remonte les bretelles

En adages par âges,

Des arcs arc en ciel qui tirent à l'arc

En plusieurs cordes

A leur arc qui tienne la corde

A l'arche de Daniel Darc

Au Sud Des Arcs, 

Au sujet de l'amour exponentiel,

Dont le potentiel exceptionnel

S'arrange en arc en ciel,

Au fleuve tranquille du Carrousel

Qui l'ouvre amusé

Le Louvre les demoiselles,

Pourvu qu'on les adoube arc en ciel

En plusieurs cordes à leur arche de Noël,

Comme bientôt ce sera l'archange de Noë

O brave éteint celle,

De la flèche de Cupidon,

Amour de l'oraison

A la maison qui scelle

La guérison et la réconciliation,

En deux points en sors celles

Des passerelles aux pucelles,

Plus celles de L'arc en ciel

Qui scelle

L'archange de nos ailes,

Qui scellent 

Le grain de Missel

A la selle mi sel,

Saisons de puberté

De liberté 

Et plus si affinités,

Lorsque les flammes de l'amour

Epousent en noces de recours,

La simplicité qui s'annonce éternelle

Et charnelle,

Qui refoule les vanités

Pour consolider 

L'arc en ciel,

De l'arche de Noë

A Noël.

 

Jérôme de Mars

 

Conservations secrètes

 

Conservations que secrètent ces conservations secrètes entre un fils déchu et sa mère déviante  :

 

 

Jérôme  :  -  "  Maman, pourquoi m'as-tu rendu névrosé et déséquilibré dans un état si délabré, sado-maso et écorché vif ce qui fait que je n'ai pas la tête sur les épaules et que je suis tellement obscur côté ombre en étant maboule  ?  "

 

Patricia  :  -  "  Comme je t'ai déboulé en te montrant la vidéo de moi et papa dans nos ébats les plus intimes dans des positions suggestives, je regrette de te les avoir montrées, car ça t'a détraqué et que tu es en retard à cause de ta tare dans ta vie intime, où tu n'en as même pas car comme tu m'as tripoté les seins sans savoir à quel sein te vouer et que tu m'as touché les fesses qui t'affaissent, ne t'étonne pas si tu n'es pas net comme ton internet, où tu mérites d'être interné, car tu es un vieux pervers dégueulasse avec les enfants auxquels tu veux faire du mal et tu finiras en prison ou à l'asile, je m'en fous de toi Jérôme, va te faire foutre Jérôme, et comme tu perds la boule, tu me fous les boules maboules comme tu es malgré si je t'ai tué comme tu perds ma boule comme je t'ai foutu les boules et que ça t'a déboulé  !  "

 

 

Jérôme  :   -  "  Maman tu es injuste avec moi, n'oublie pas aussi que si j'ai peur de faire du mâle aux enfants, c'est à cause de l'enfant en moi qui a été maltraité comme m'a dit Penot et que quand j'étais enfant, un homme est venu vers moi et m'a tenu des propos bizarres où il m'a affirmé qu'il dormait à côté d'enfants et qu'il a regardé mon sexe, cela s'était déroulé en vacances dans le sud à Cavalaire et, au collège privé EPIN, où l'on m'a fait du mal, malmené et maltraité en violences physiques et verbales et on ne m'a jamais respecté au collège et je me suis toujours fait dominer, et dans la rue, tout le monde me dit pousse-toi et me dit qu'on s'en fout de moi comme les élèves du collège privé EPIN, où tous les élèves m'ont pris pour un bouc-émissaire et m'ont martyrisé, et tu ne m'as pas aidé car tu m'as détruit, comme maintenant, ça se répercute dans mon travail et dans mes relations et que ça m'empêche d'avoir une vie normale et paisible, du fait qu'elle est atypique et très chaotique, et mon âme est noire et condamnée car le 24 décembre pour moi c'est le pire noël comme ton grand-père paternel s'est suicidé ce soir-là, et que le 14 février ton père s'est suicidé le jour de la Saint-Valentin, comme j'ai manqué d'amour et de considération avec ton sein mâle et mal sein avec le complexe D'Oedipe et que c'est la raison pour laquelle personne ne me respecte, m'accorde de l'intérêt, de l'attention et de la bienveillance comme j'ai un complexe de type  !  "

 

Patricia  :  -  " Jérôme, si tu fais du mâle aux enfants tu iras en prison et les détenus te violeront car ça sera ton coup de pouce, où tout l'immonde te fera un doigt majeur, ce qui sera bien fait pour ta gueule, sale connard de bon à rien  ! Et Penaud a été trop gentil avec toi au CEREP, si Penot, c'était moi, je t'aurai foutu un coup de pied au derrière et je t'aurais mis dehors en prenant quelqu'un d'autre à ta place au CEREP qui veut s'en sortir, toi, tu ne fais aucun effort, t'es un fainéant et un ramier  !  "

 

Jérôme  :  -  "  Tu es trop dur avec moi maman, tu ne me comprends pas et tu ne fais que me critiquer et me dénigrer sans bien me cerner,  si je suis un ramier, c'est que je suis quidam le pion comme je suis un morpion, dont tu dames le pion comme je suis un mort pion sur l'échiquier  !  "

 

Patricia  :  -  "  Si tu te suicides, tout le monde s'en foutera de toi et s'en réjouira, tu es maître de ton destin, et je suis ton contremaître de mon festin que ton destin soit à couteaux tirés avec tout l'immonde  !  "

 

Jérôme  :  -  "  Mais dis donc ! T'es une garce de me parler comme ça sans égards avec ton mauvais regard sur moi, tu ne m'as jamais fait de compliments, que des reproches, même si je t'ai tapé dessus et insulter avec des noms d'oiseaux, ce n'était pas de la méchanceté, cela est du à notre relation fusionnelle comme je suis un drôle d'oiseau que j'ai reproduit sur certains de mes amis et pour ta gouverne si je suis à couteaux tirés avec tout l'immonde, cela est de ta faute d'autographe, où ta mère une fois t'a foutu un coup de poignard sur ta main, ce qui fait que t'as perdu la main avec moi, et en plus tu m'as soûlé en me prenant pour un psy alors que j'avais 9 ans en me lisant des lettres de suicide de ton père qui voulait se suicider, tu m'as contaminé, tellement contaminé que le 1 er janvier de chaque année, on me souhaite d'avance une bonne fin damnée, et en plus, tu n'as pas de conseils à m'adonner, car toi dans l'outrepassé, tu picolais du vin et de la bière en allant deux fois à la clinique, pour te soigner avec tes acolytes anonymes, et en plus, tu te bourrais et tu te schnouffais de médicaments, où je t'appelais le bombé et le glaude comme dans la soupe aux choux.

 

Patricia  :  -  "  Jérôme ce que tu me dis, c'est lourd et c'est le poids de ton fardeau, que je t'ai traduit en vain, et dont tu m'as mise en bière le 24 septembre 1998, où d'où je suis Jérôme à l'au-delà de ton âge bête, je te maudis dans un paradis d'enfer, après avoir été au purgatoire avec Papy, et maintenant Jérôme pour ta déroute, je te paye un revers de Monaco  !  "

 

 

Jérôme de Mars

La pluie et le soleil

 

Alternances de pluie et de soleil,

Le monde se lève et se couche

Etanche et fragile quitte à tomber sur la touche,

Quand le chagrin se marie au vermeil

A la carte qui tangue entre la pluie et le soleil

Dans un contraste de joies et de de peines,

Que le jardin secret aux mystères cachés egrène

Que la vie en vaut la peine même si les merveilles,

Souvent sont remplacées en ordre de succession 

Par les chrysanthèmes qui incantent le diapason

De la pluie qui en rit pour redorer le soleil et son blason,

Car après la pluie triste se réenchante le soleil altruiste

Et artiste d'une agréable journée à passer de la benne

A l'ébène qui offre un sourire qui réchauffe les coeurs émotifs,

Et motifs enrubannés dans un panier gourmand sirotant

L'étang infini qui chuchote des dimanches en faisant

Dix manches déballés dès que les lauriers dorment pensifs,

A l'apologie du pain de froment à la campagne idéaliste,

Pour que les oiseaux égoïstes rejoignent leurs ramages 

De l'âge d'or de la pluie qui vide son puits d'images,

Lorsque le soleil remplit son service public entre constance

Et simulant la résistance à la bévue des circonstances,

D'un simulacre qui rosse son carrosse avec le soleil trompeur

Qui ment à la pluie en mensonges aux apparences, 

Et à la semence qui véhiculent des évidences

Troublantes en permanence qui dupe le berger prophète

Dans une fête au village et qui chérit des nouvelles analphabètes,

Pour lire et conter au souffle amouraché de l'endroit cajoleur

La pluie qui pleure la larme de mélancolie endolorie,

Mais qu'heureusement, le soleil déclenche la larme qui en rit

Au triomphe salvateur de la pluie, dès que le soleil convertit

La douleur en douceur à l'effigie de la prairie et de la pluie,

Qui réconforte le soleil et qui prête âme forte car voici 

La collection automne, hiver, printemps, été, fée d'hiver 

En dix vers,

Et plus si affinités de Vivaldi merci.

 

Jérôme de Mars

 

En marge  !

 

Let's go 

Allez go à gogo,

On va créer un mouvement

De l'apolitique

Du non en marge,

Qui sera à gauche,

A droite et au centre

D'un manuel macaron,

Dont si on dit cap 

Il ne sera paralysé 

Ni par le handicap de L'APF 

Ni par celui de La RATP

En grève de la fin,

Comme en marge

Sera le mouvement

De l'apolitique

De la location

A l'allocation,

D'un Manuel macaron

Aux APF

Devenus des APL

En baisse,

Comme le profit est obèse

Et baise le social

Au non d'un soi-disant

Socialisme-libéralisme démocratie,

Quand la méritocratie

Méprise les SDF,

Et s'éprise du SDF

Au stade de France,

Où La France en naît

Dans la démarche

Au mouvement d'en marge,

Comme La France reste à droite

Mais prend toujours le gauche,

Pour se recentrer dans les extrêmes

De sondages d'opinions,

Qui éprennent Les Français

Pour des cons, sans avoir une coqueluche,

Dont si on enlève la queue,

Ca fait Coluche sans sa perruche

De drôle d'oiseau, comme ses gros mots

Et ses prises de bec nous manquent, 

N'est-ce-pas Coluche de ta planque  ?

Au Mont rouge de ta colère, car La France

S'en fout de tout et se dissout pour dix sous,

Dans des sondages d'opinions à la con,

Aux pis bée à taux très bas et à piètre popularité,

Dont le reflet du miroir d'un Manuel Macaron

Est à l'image d'une nation mutée en alliée nation

Qui correspond à l'alliénation de rubiconds,

Quand La France ivre de colère ait toute rouge

En rancoeur à l'unisson d'un porte-drapeau en berne,

Comme Stéphane Berne son immonde en marge

D'un Manuel Macaron, dont on dit cap ouvert en marge

Et handicap de rester renfermé avec la gauche aux landes,

Et La droite Yves-Saint-Laurent Du Puy-En-Velay,

Dont on s'en fout, car ce qui compte,

C'est qu'on y trouve notre compte en marge

D'un Manuel Macaron ouvert envers notre handicap,

Et que notre handicap soit reconnu et mis au vers

Avec l'apolitique du social et la démarche libérale,

Et recentrée au centre d'un juste milieu pour être ouvert

Au progrès et à la reconquête de nos idéaux très hauts,

Pour que le conservatisme soit le handicap de la droite

Et de la gauche vieux jeux aux passages réacs, 

Car le progrès d'en marge sera la démarche d'ouverture,

Par la fenêtre d'un passage à l'acte moderne de la location

A l'allocation du travail en marge vers l'apolitique d'un Manuel

Macaron, en démarche d'en marge.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Johnny naît plus

 

Ce matin, j'ai un problème,

Car noir c'est noir

Et Johnny naît plus,

Comme tu t'es tu, têtu 

Derrière l'amour,

Quand revient la nuit

Du mirador,

Où le pénitencier du paradis

T'accueille au requiem pour un fou,

Car j'ai oublié de vivre

Avec ma gueule,

Comme je veux te graver dans ma vie

Avec Gabrielle,

Pour vivre pour le meilleur

Et qu'ainsi je me marie

Avec Marie,

Pour allumer le feu

De l'idole des jeunes

En souvenirs, souvenirs,

Car je serais là

Avec de l'amour

Seul, 

Et avec toute la musique que j'aime

En gardant l'envie d'avoir envie,

Car je retiens la nuit,

Où t'es parti Johnny,

Mais jamais j'oublierai ton nom

Et Laura,

Car je te promets

Qu'il y a quelque chose de Tennessee, 

Et sang pour sang

Avec ton fils David

Et tes tendres années avec Sylvie,

Comme une partie de cartes inachevée

Avec quelques cris,

Car ce que je sais pardon

C'est qu'on retient ta vie

Et qu'on retient la nuit,

Où t'es parti,

Et quand revient la nuit

Sans toi, pas cette chanson

Aujourd'hui comme tu ne joues plus

De rock'n'roll pour moi,

Car ma gueule, on ne t'oubliera pas

Et tu seras toujours là

Pour vivre pour le meilleur,

Car ça ne finira jamais

Dans la rock'n'roll attitude,

Où t'es libre dans ta tête,

Comme Diego,

Car tu clamais 

Que je ne suis pas un héros,

Mais je te promets 

Que tu resteras l'idole des jeunes

En souvenirs, souvenirs,

Car aujourd'hui noir, c'est noir

Comme ma gueule, ton envie toi seul,

Tu nous la rendras 

Au sommet du panthéon de ta gloire,

Avec ta légende qui restera pour l'éternité

De ta postérité, car on retient ta vie

En allumant le feu, 

Pour vivre pour le meileur

Avec toi Johnny,

Aux portes du paradis

Et on te dédie,

Que je t'aime Johnny.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Les sept dépêchés capitans

 

A l'église dépêchez-vous les sept péchés capitaux ordonnent la parole de Dieu en argent comme c'est le nef de la guerre et qu'en adonnant sa parole à Dieu la parole est d'argent et le silence est d'or en donnant l'hostie qui s'est dépêché de pêcher la colère qui est un péché d'avarice en argent dont l'avarice a pour argent comptant l'envie de péché d'orgueil qui s'est dépêché de pêcher la gourmandise qu'on se le dise dans la paresse qui est un péché et qui s'est dépêché de pêcher la luxure dans le péché de la luxure vice à vice de la gourmandise de l'envie d'orgueil quand l'avarice en paresse met en colère la varice, comme les sept péchés capitaux ont le silence d'or mais la parole d'argent car la parole est un péché d'argent qui s'est dépêché de pêcher les sept dépêchés capitans car la parole est un dépêché en argent qui tient parole lorsque le péché s'est dépêché de dorer l'argent dans un silence d'or qui a parole d'argent dépêché de ne plus être un péché en or car la parole est d'argent et le silence est d'or quand l'argent se dore en parole d'argent au silence des sept dépêchés capitans.

 

Jérôme de Mars

Les maux sans défense émaux d'enfance  

 

Pour mémo, y a démo

Que je me rappelle

A la pelle,

Comme ce sont les maux

Sans défense,

Emaux d'enfance

De l'innocence,

Qui se reporte

Et m'emporte,

Avec outrance 

Et transe dans l'offense,

Dès lors que l'adulescence 

Ne sait chiffrer les dégâts d'importance,

Qui en découlent sur l'insignifiance

D'un code devis où je ne vis,

Car je ne l'ai pas reperé

Et cultivé assez pour le ramasser,

Et pour amasser la fumée

Du calumet de la paix,

Comme les maux sans défense

Dans la loi du silence

Te gloussent à toi,

Pousse-toi

Sont mémos sans défense,

Et émaux d'enfance

Qui m'offensent, 

Par le défaut de mes tremollos

L'autre mémo,

Qui me va à vau-l'eau

C'est je m'en fous,

Comme t'es fou 

Et qu'on se fout et contrefout

De tes os de vie, 

Qui te dévient

Et qu'on se fout

De tes démons de vieux garde-fou,

Comme les maux sans défense

Coïncident au paris de la défense

Par démos et mémos,

Et maux d'enfance

Que tu prends tout,

Aux mots

De la résistance,

Sur l'insistance

Qu'il te faut,

Une assistance

Pour te comprendre homos,

Quand on te médit

Et te maudit,

Ca ne nous regarde pas

Que tu regardes en arrière

Avec des oeillères,

Car t'as vu les dégâts

Avec des gars,

Qui te regardent de travers

En omettant des barrières,

Comme dégâts

Deviennent des gars,

Avec les maux sans défense

Et émaux d'enfance,

Qui joignent 

Et rejoignent la poigne,

De ton irrévérence

Absolue, où pour recoudre,

En découdre et résoudre

Tes différences,

Rien de mieux

Et de plus radieux,

Que de les convertir

Du pire à la satire

Et pour rire et pourrir

Avec plaisirs,

Que tu leur dédies

Tes maux en mots,

Qui désavouent leurs quiproquos

En leur avouant pour t'en foutre,

De ces ploucs pour qu'ils restent

Dans leur foutre de poutre,

Et que tu vénères

Ceux qui te louent 

Leur amitié avec que du redoux,

Et que ceux qui te rendent vénères

Tu t'en fous et tu leur alloues

Qu'ils aillent se faire foutre,

Avec les fous qui les gardent fous

Et tu gardes à feu doux,

Tes amis qui te disent en fatrie

Vice et versa, on te donne un coup de pouce

A toi, pour que tous les cons,

Tu leurs médises en chansons

A la bande

En contrebande,

Pousse-toi de là

Avec tes vieux rabats-joies,

Dont je n'ai rien à foutre

Et va te faire foutre,

Avec ta contrebande 

Qui débande,

Et moi, pendant ce temps-là,

Je termine en alleluia

Ca ne me regarde pas

Ce que toi et ta contrebande,

Tu débandes dans la débande que tu bandes

Ebats en tombant bien bas,

Car moi je regarde vers l'Aven

En prenant les devants,

D'autant en emporte l'avant

Des maux sans défense,

Qui mûrissent en mots 

Sans offense,

Dans la révérence

Qui modifie,

Le code dévie 

En code de vie,

Emaux d'enfance

En démos défense, 

Assurance devis

Pour la suite en résilience,

Réassurance de vie

D'un codevi,

En assurance de vie.

 

Jérôme de Mars

 

Noël en paix  ! 

 

Au calendrier de l'Aven,

Allons de l'avant

A l'approche de Noël,

Avec effet boule de neige

Qui agrège et abrège,

Si la fête sent le sapin

Alors qu'avec un bon sapin,

Ca sent le patin, où sourit

Et rit

Les vents qui jettent un froid,

Mais qu'on surpasse  en joie

Et en se réchauffant avec du bois,

Comme on y tient aux prunelles

De nos yeux pour concocter

Un Noël en paix au coin de la cheminée

Agrémentée et aimantée d'un répit,

En éclaircie de toutes ces années, 

Commises d'office dans la mélancolie

Endolorie mais qui se calme, dès Noël

Dans un court instant d'amour au Missel

Des cieux qui entourent 

La tour aux paroles d'argent et aux contours,

D'un Noël en paix dans la fraternité

Et le respect de nos jeunesses avec quelques regrets,

De n'avoir mis de l'engrais qui auraient donné

De la fierté et de la beauté durant ces séjours

Trop courts dans des rayons de soleil naturels,

Quand personne ne s'enguirlande dans les sapins

De Noël et que le Père Noël a les boules, 

Si les gens dénigrent leurs enfances avec railleries maboules,

Comme peaux de vaches qui rient et charrient les guirlandes

Qui s'emmêlent et s'emmêlent pêle mêle aux landes

Même si c'est pas Hollande qui met les pis bas, tandis

Que pour dénouer les fils emmêlés, il faut s'en mêler,

Pour les démêler dans l'amour de son prochain

Et qu'ainsi, les fils démêlés retrouvent le fil dérisoire,

Et perdent le fil du rasoir pour qu'il s'épanouit

Au fil arrosoir et abreuvoir de tendres histoires,

Le soir de Noël dans la lumière débonnaire

En paix, pour trépasser les marchés de Noë patibulaires,

Et les démarcher en innocents marchés de Noël des bon airs

D'un Noël en paix réconcilié avec la vie et ses contrepèteries,

De l'an vert du décor Au Vercors, pour que l'ombre ne soit 

Que plus l'ombre de la lumière en frères lumières de l'unis vers.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                               Blagues  :

 

 

1)  Pourquoi fait-on un cancer de louanges à Johnny depuis qu'il est malade  ?

      -  Parce-que c'est Johnny Alité  !

 

2)  Qu'est-ce-qui est à la mode  ?

     -  Un prêt rapporté  !

 

3)  Qui a posté la lettre  ?

     -  Un con, car il compostait la lettre  !

 

4)  Pourquoi suis-je un mort-vivant qui fait déchanter les gens avec des cancers de louanges  ?

    -  Parc-que c'est Jérôme  !

 

5)  Qu'est-ce-qu'un attentat décalé d'une heure pour mieux exploser à Grenade  ?

   -  Une bombe à retardement  !

 

 

Citation :   Un matou remue la queue pour séduire une chatte  !

 

 

 

 

                                             Jérôme de Mars

Pèlerinage à la conquête de soie

 

Voyage avec son bâton de pèlerin,

On parcourt en amont notre dessein

Qui nous démontre la quête des ramages,

Des images aux rois mages

Qui nous transmettent le pèlerinage,

A la conquête de soie

Aven le naufrage 

A la requête du chacun pour soi,

Où seule la foi

Nous sauve notre destin,

Avec le pèlerinage

A la conquête de soie,

En nous procurant le parchemin

De la dignité ainsi soit,

A suivre pour distribuer

Des hommages, 

Dont on tend la main

Aux humains,

Pour leur insuffler 

Les adages

De la vie en communauté

Dans la société,

A tout âge des nuages

Aux parages 

Dans le marivaudage,

Au pèlerinage

A la conquête de soie,

Où l'on s'assoit 

A repérer le chemin

De soi,

Avec son bâton de pèlerin

Pour nouer 

Entre copains,

Une amitié 

Dans le respect

Chrétien et puritain,

Où la foi 

Du messager divin

Nous sauve du mauvais destin,

Pour nous réconforter demain

Dans l'amour de la paix

Et de la loyauté,

A la quête de notre appel intérieur

En route vers le meilleur,

Au pèlerinage 

A la conquête de soie,

Du passage 

Du dommage

Du chacun pour soi,

A l'hommage

De tout pour tous,

Un pour moi

Et un pour toi,

Bien au-delà

Et en joie,

D'un coup de pouce

Point d'ancrage,

A la conquête de soie.

 

Jérôme de Mars

Danse c'est cadencé

 

Danser c'est condenser                  qu'on dansait à redondance c'est

La danse c'est cadencé                  à contre danse c'est l'intendance ses

Abondances qui dansent ces          redondance ses contre dansés

Q'on dansait  cadencé                     à danser là qu'on danse sait

Les dents ses dans ces                   de cadencer les contre danse c'est

Contre dense ces                            redondance ces à bon danser

La chic des cas dansés                   c'est qu'a dansé la dance ces

Cadencez qu'on dansait                  maintenant dense c'est qu'a contre dansé

Là dansé cadencé                           qu'a dansé la zoubida à bon condensé

Là qu'on dance ses dès qu'à contre dansait la contre dansait la redondance sait

Que danser la contre dense sait qu'à redondance ces abondance hé et c'est dansé

La dansait OT dansant ces cadençait condensait ces contre danses c'est cadencé.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                             De long en large

 

 

 

Nous sommes vendredi la tête au carré au périmètre très carré et contrecarré par

                

 TERRE                                                                                                                  l

                                                                                                                               e

  LA

                                                                                                                             

                                                                                                                              p    SUR                                                                                                                       é

                                                                                                                              r      taire à taire                                                                                                            i        par inventaire taire                                                                                               m

vent                                                                                                                            è

 para                                                                                                                          t

avant  le                                                                                                                   r                                                                                                                                  e    

    e

   d                                                                                                                          d

   n                                                                                                                          e

   a                                                             

   l                                                                                                                          s

   r                                                                                                                          é

   I                                                                                                                          c

   '                                                                                                                          u

   D                                                                                                                          r

                                                                                                                             i

  d                                                                                                                           t

  i                                                                                                                           é

 o

  r                                                                                                                          s

  f                                                                                                                             o

                                                                                                                              c     n                                                                                                                              i

 u                                                                                                                           a

 '                                                                                                                             l

 d                                                                                                                            e     

O                                                                                                                            O

 

cercle des poètes dix parus de pis en pis et pis tant pis si le dépit souffle un eire                                                                                                                     

                

                                                                                                                             

 

                                                 Jérôme de Mars

On ne choisit pas sa famille, on choisit ses amis !

 

Dans le ventre de sa mère embryon
Qui fabrique ses futures fonctions,
A l'unisson foetus
De l'état de prépuce, 
A plus tard si son être devient une puce
Point à gratter mais formé et préparé
A la dure réalité de notre société,
Où l'on naît dans sa famille
Pas toujours facile et quelque peu faucille
Et ses amis dans le partage de la confrérie,
Comme le proverbe haut le martèle
D'untel à sa stèle,
On ne choisit pas sa famille,
On choisit ses amis,
La famille avec le dépit
Et les amis de vaches nourricières 
De pis en pis,
Alors que dès le moindre problème
Les amis ne nous aiment,
Mais la famille nous sème du réconfort
En renfort de notre assurance-vie sans être le coffre-fort
De certains amis qui profitent de nos étrennes,
Alors que nos affaires personnels ne les concernent
Nous répètent-ils sans cesse avec stress
Sur les cheveux en détresse,
On a peu de vrais amis,
Comme un seul et unique suffit
Comme une grande crème,
A la place du surplace d'une fratrie 
Soi-disant d'amis mais qui
Au final, nous causent des problèmes,
En anticipant notre innocence
Précoce et nous mettre devant le fête accompli,
Qu'il faut trop en avance couper le cordon ombilical
Et nous raccorder dans une cordée patriarcale,
Comme les amis foutent le camp, la plupart,
Dès qu'il y a une tare de retard qui retentit le tintamarre
Seuls les vrais restent un ou deux,
Au mieux dans les hauts et les bas des aléas impétueux
Vous avez remarqué depuis le temps autant
Les amis ne vous appellent,
Comme ils passent d'antan à maintenant 
Sur Internet avec des amis virtuels pour remplacer,
L'être par le paraître d'hêtre fataliste à grossir les insatisfaits
De la vie pas net au net artificiel et contrefait,
Où on ramasse à la pelle davantage de râteaux de pelles
Au lieu d'un roulage de pelle pour conter fleurette
Dans les bluettes post-adolescents de petites amourettes
Les amis ne remplacent pas la famille,
Mais une famille désunie vaut moins qu'une bande d'amis
Réunie et qui réussit à rester souder,
Malgré les alarmes des larmes que la vie nous décale
En chagrins et désillusions qu'on est de passage à durée déterminée,
Et qu'il faut en tirer un bon usage de notre existence,
Avant la sentence de l'échéance et le dernier jugement soit affable
Ou coupable de n'avoir été raisonnable,
Avec souvent en coupe-vent le purgatoire ou la pénitence
De nos péchés qu'il faut se dépêcher à s'absoudre,
Pour recoudre de bon liens avec nos amis
Et la famille avec une rafale de joies et d'envies,
Aven d'en découdre en début damné avec le sacrilège
Ou le privilège de notre itinéraire qui sera dépeigné en comité 
D'un dernier tour de manège,
Où l'on se rappellera les bons souvenirs comme du pire
De notre avenir qu'on expire,
Le jour de l'inventaire sur terre
De la mère à la fin élémentaire,
On ne choisit pas sa famille,
Pour être gentil
Mais on choisit ses amis,
Pour fourmiller de sympathie
Et véhiculer des valeurs positives,
Avec nos amis loin de l'éruptif pour être captif
Et avec la famille, on reste subjectif et évasif,
Pour éluder les sujets fâcheux 
Et pour sembler joyeux et radieux,
Alors qu'avec les amis, on peut
Se montrer généreux et parfois orageux,
Car la famille certes est gentille,
Mais ne nous comprend pas toujours
Et souvent nous méprend au sérieux,
Tandis que les amis certes préfèrent les jours
Heureux mais avec eux
On peut se confesser avec confiance, mais en gardant une distance,
Comme avec la famille, où il faut jouer un rôle de tolérance et de patience
A s'en mettre au ventre des noeuds,
Se rappelant notre enfance
Et ses bleus au ciel contrasté et pernicieux,
Mais la famille quand elle est vieille,
Attend de nous les jeunes qu'on les appelle,
Comme ce sont aux jeunes de prendre des nouvelles
Malgré leur orgueil et avec les amis, pour avoir
Du plaisir, il faut entretenir le lien en donnant à boire,
Pour réhydrater les discussions,
Même si on tourne en rond
Pour cela, il vaut mieux ne pas avoir de ronds,
Et faire allo, en faisant des ronds à l'eau
Pour se faire désirer par les amis,
Appelez votre ami,
Désiré, pour créer un manque 
Dans la planque des calanques,
En ne lui téléphonant pas volontaire
Pour s'apercevoir si à la longue, ce sera
Un ami sincère,
Qui se soucie de vous
Et vous apprécie beaucoup,
Pour ne pas tuer la relation,il faut savoir
Se faire rare,
Et que chacun son tour 
Téléphone,
Comme tel est fun
Et pas que dans un seul sens,
Pour ne pas qu'il encense l'encens d'un non-sens
Souvent par expérience, avec les amis, il faut se préserver
Et se protéger d'éventuels secrets à dévoiler,
Pour ne pas les révéler au mauvais mais aux vrais 
Amis qui le resteront et vous prouveront leur bonhomie
Avec un ami, pour cultiver le bien de votre intérêt d'amitié,
Il vaut mieux perdurer joyeux 
Et ne pas l'encombrer avec des détails trop nuageux,
Pour que l'éclaircie rejaillit 
Sur son sourire
Et son rire,
Et partagez d'accoutumance et le silence
Des moments de grandes virées dans l'insouciance,
Comme ça, il aura envie de vous voir
Et de vous appeler pour vous le rappeler,
Comme avec la famille, où il faut garder
Et sauvegarder un jardin secret,
Avec quelques mystères
Que vous révélerez lors de l'inventaire,
Pour taire la méfiance des gens
Et convertir vos tourments 
En un mistral de beau temps,
Aussi bien avec la famille
Et les amis, 
Qu'il faut prendre à contretemps
Dans le respect et les compliments,
Pour ne pas que le bonheur
Fasse place à la frayeur
De votre intérieur,
Etalé et épanché à l'extérieur,
Pour conserver Alex rieur, 
Et vos amis à plusieurs
Dans des lendemains meilleurs,
Comme on ne choisit pas sa famille,
Mais dont on choisit leur sympathie
En synchronie avec les amis,
Qu'on choisit avec leur appétit gentil
De la vie par si par là,
Enfin voilà une abondance
De bons moments en recouvrance, 
Dans la maison du bonheur
Rigolons tous en choeur !

  

 

Jérôme de Mars

Fais-moi une fleur  !

 

Sidney Bechet, de ta petite fleur,

Fais-moi une fleur,

Qui respire le bonheur

En toile de fond avec ses rougeurs,

Comme des pétales de roses

Sur des feuilles de roses,

Dont la tige grandit avec la rose

Devant les bégonias,

Qui épousent les hortensias

Sur une musique des dahlias,

En slam d'alléluia

Sang que les orties,

Ne piquent le coeur d'amour des roses

Du trèfle à quatre feuilles aux doux mots d'amour roses,

Qui gênaient les patiences des pensées

De Lino Ventura dans l'association des Perce-Neige,

Qui arrosent les véronique et les genêts

Sur une musique de Jean Genet, 

Parmi les gens gênés qui pissenlit

Dans leur lit 

Avec Ulysse Aux Ulis,

Dont les violettes 

Lui chuchotaient qu'est-ce-que tu plantes là  ?

Et à sa place, Mimosa répondit qu'il contait fleurette,

Avec des lilas

Au champ des lys 

Et moi avec Elise et moi,

Grâce à l'embellie pulmonaire

Sur des airs de primevères

Qui récitaient du Prévert,

Avec des tulipes dans le viseur

De l'iris des yeux aux bleus enjoliveurs,

Et rêveurs que Van Gogh leur vendait ses tournesols

Aux fleuristes qui envoient en mai 

Sage le muguet désormais,

Préservé de l'amour du soleil par les parasols

Protecteurs entre le sol doré facile et les jacinthes,

Qui se perdent dans le labyrinthe de l'abcinthe

Qui soûle les géraniums, 

Terrassés par l'opium en sérum

De vérité comme ces rum, c'est des rum

Et CD ROM dont les chemins mènent du rhum

A Rome,

Quand les marguerites font une fleur

Aux nénuphars comme c'est le bouquet,

De laisser tranquille

Les jonquilles sur la quille,

Et l'heure 

De battre en retraite les oeillets,

Aux oeillères 

De Baudelaire, 

Où a assez soufflé la misère

Des pivoines 

Avec Marc très à cheval sur l'avoine,

Où il serait tant que la fleur

Soient renouée avec l'orchidée,

Qui a renoué avec les idées

Claires pour le meilleur

Des fleurs, car fais-moi une fleur

Pour Les Noces de Figaro,

Aux mots méli-mélo

D'une variété qui effleure,

La partition des décibels, 

Des si belles

Fleurs dispersées en ordre de grandeur.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

La Société générale

 

Coucou, chers êtres francs,

C'est le lancer franc

De ces francs ces,

Aux barricades

Sur l'estrade,

Pour ces Français

Au vent du mistral

Des petites gens,

Pour qui

Et à qui, ça semble acquis,

Si on ouvre

Le bal

Dégénéré, 

De cette société générale

Que l'on déballe

Dans le boucan,

Car elle ne nous emballe

A Ok Corral 

Dans la chorale,

Que l'on dépasse au scanner,

Tant que la misère

Dépense la pensée

Unique et iconique, 

Car c'est des laser

Ironiques et magnétiques,

Qui remplacent

La place par le surplace,

De l'artisanat au marketing

Sophistiqué ultra techno,

Technocratique et bureaucratique

Statiques révolutions synthétiques,

Aux ultras rayons X

Qui démarquent leurs coûts de crayon,

Et qui le marquent dans le rayon

De couleur remarqué crayon de l'oseille X,

Tel est films X,

Et X

Personnes à l'équation X

Y, où l'on se pose des questions

Que l'on dispose en interrogations,

En se remettant et en faisant 

Le point d'interrogation,

Vis à vis

De la société générale,

Qui a remporté la coupe de vice

Qui nous morfle du mâle,

Et nous sniffe

En animal 

De balises de tresses,

Qui nous vocalisent 

En valises

Détresse, qui nous oppressent

Et nous pressent,

En tirant tout notre jus et en surpassant 

Le vers

A l'orange, comme des citrons pressés

Et compressés,

D'avoir trop raison

Vice à vice

De la société générale,

Qui met Paris plus bas

A la banque populaire

Et pécuniaire,

De nos étrennes

Qui traînent,

En repassant au scanner

Complet de pourquoi

Et à quoi,

La société générale

S'est dessoudée, 

Pour déboîter le levier

De sécurité,

Qui souffre le souffre

Au bord du gouffre,

Qui râle 

De nos angoisses abyssales,

Dans cette société générale

Qui extrapole, 

La culture du monopole

De la pôle position,

Au pôle nord

Qui perd

Le nord,

Au globe trader

De DSK,

Qui vide ses bourses

Au k par k

Au choix de la bourse

Ou la vie,

En courses

Qui met KO les faibles moins forts

Et émet OK ( au cas ) où en haut

De l'affiche,

Qui défriche

Les mécréants espiègles et plus forts

Qui gonflent le coffre-fort, 

En faisant bloc

D'urgence en éminence,

De la finance

Déloyale et brutale,

Dans les annales

Qui dégonflent le bloc opératoire

En manque d'effectifs,

Comme il manque le kif en rectificatif

De l'intérêt 

Reporté aux soins,

Pour sauver les malades,

Où l'on sauvegarde

Sans garde-malade,

La mascarade

Que l'on préserve

Sans réserve,

Au besoin

Des gains

Sans dérobade,

Comme la société générale

Nous ballade malades,

Afin que malin, l'abordage

Sacrifie le scalpel

Au naufrage,

Pour les avantages

Avec garantie, 

Qu'on épelle

Le prix

Des conflits d'intérêt,

A l'intérêt du médecin libertin

Impatient que son argent,

Soit au détriment du serment

D'Hippocrate sois-disant

Anthropologue et pédagogue,

Dans son monologue

Enclin d'oeil

A se rincer l'oeil,

Aux frais du malade

En simple client,

Qui a servi

La finance,

Qui a asservi 

La négligence sans importance,

Aux inconvénients 

Des pauvres,

Et aux avantages des riches

Qui s'en fichent 

De l'aumône et des apôtres,

Comme le diagnostic

De La France,

Affiche fatidique

Le reflet de notre époque moderne

Et très subalterne,

Avec des attitudes agnostiques

Et amnésiques,

Dans la loi de l'oubli véridique,

Que seul l'argent sale

Gouverne terne les gens médisants,

Riches qui défrichent 

Et râlent 

La morale,

Pour remplir les sales

Avec leur voix amorale

Qui déclinent

La société générale,

Bancale et vénale

Au programme fatal,

Que plus rien ne tient debout,

Comme les petites gens

En conflit de générations,

De la défiance

A l'indifférence

Ne se réconcilient

A croire

Encore en l'espoir,

De ceux qui en valent la peine

Et à déchoir au mouroir,

Ceux qui valent Le Pen

Avec les tourments

Qui croulent

Et s'écroulent

De bonne facture,

Sous un tas de papiers ignorants

Qui ne prouvent que La France

Préconise et harmonise

L'empathie avec la sympathie,

De ce pays 

Qui réprouve la léthargie,

Pour qu'il y ait synchronie

Avec davantage,

De justice sociale

Engage

D'un service jovial,

Car on a fin de marivaudage

Dans un bel élevage

Qui marie non volages,

Le langage 

Avec l'adage,

D'il y a pas d'âge

Dans le respect

Et la fraternité,

Car y a pas de mâle

A rester solidaires

Sur Terre,

Bien que la société générale

Naît plus une lumière,

Mais dont il faut

La perdurer,

Pour oeuvrer en paix

Dans une société générale

En général,

Et s'aimer en frères

De nos prières

Qui Ave L'Abbé Pierre,

A l'édifice de son sacrifice,

Pour ériger une société générale

Qui met sa pierre

A l'édifice, 

Et émet un roc de pierre

Avec un sacré coeur place de l'église,

A l'office

De La Terre promise,

Sur laquelle on mise

Rallumez enfin le réverbère !

Comme on est sur Venise

A Naviguer au Paris des lumières,

Et à chantonner Noël

Tous les jours troubadours,

Lorsqu'on passe le Tours

Aux marabouts

De l'univers

De la société générale,

Comme il pleut un ciel

Qui pleure misère

De tendresse,

Au Carrousel 

Qui l'ouvre,

Le trésor en rafale

Avec beaucoup

De caresses,

Car après avoir avalé 

Des couleuvres

En hors-d'oeuvres,

Voici l'aval et 

Des bonnes oeuvres,

A la manoeuvre de l'oeuvre

De la société générale,

En général

Mon cher général.

 

Jérôme de Mars

Paroles d'anciens présidents qui ne les ont pas retenues mais les ont tenues 

 

Trois ex présidents discutent au-delà de l'imaginaire connectif  :

 

François Mitterrand  :  -  " Bonjour Mr Chirac et Mr Giscard, c'était bien mieux de mon temps La France car au moins, c'était la force tranquille , n'est-ce-pas  ?  "

 

Jacques Chirac  :  -  "  En effet écoutez,écouta, La France était mieux de notre temps autant en emporte l'aven du calendrier car avec moi c'était Noël tous les jours, lorsque j'étais premier ministre de Giscard, ce vieux sourd comme un pot morose, je l'ai convaincu de créer L'AAH pour les handicapés, car d'antan, La France avait un handicap et demeurait paralysée à L'APF par leur handicap de ne pas être ouvert à leur handicap, car notre handicap était de rester renfermé envers eux, et de les préjuger aux idées reçus, car avec moi L'AAH signifie, Action d'Accompagner L'Hospitalité, car aven, les gens semblaient  chaleureux, polis, respectueux et solidaires car maintenant, de votre temps avec Macron, les gens sont agressifs et égoïstes et cyniques et méchants, s'en foutant de tout et en étant râleurs, et on ne pensait pas qu'à l'argent mais à l'humain, du temps de Mitterrand et de moi présidents, il n'y avait pas d'attentats de l'ampleur que vous, Les Français, vous connaissez à votre époque, en en faisant tout un dessin avec un cancer de louanges avec la mort de tous ces artistes qui déchantent les dessinateurs qui avaient mauvaise mine avec leur coups de crayon car avant La France n'était pas dans La Daesch et avait Coluche comme coqueluche,et ambassadeur, d'une France black, blanc et beurres dans les épinards qui se restauraient aux liens du coeur d'artichaut, et notre silence était d'or et se bronzait aux actes en argent qui tenaient parole et qui doraient le soleil qui restaurait La France qui se mettait en quatre en prenant le pli !  "

 

Valéry Giscard D'Estaing  :  "  Certes, j'étais conservateur et réac, mais j'en prenais acte, en faisant signe d'ouverture où Mr Chirac avait toute sa raison de créer L'AAH pour faire preuve de signal d'ouverture sous mon égide, et plus tard Monsieur Raymond Barre premier ministre à cause du handicap de Chirac que j'ai évincé en le faisant devenir sans impair, le maire De Paris, et Raymond Barre sous mon joug avant qu'il se barre et que je le rembarre et qui m'avait prédit " c'est gonflé " , et qui avait crée Les APL, pour mettre la pierre à l'édifice des logements, et après les trente glorieuses, et mon départ en 1981 de L'Elysée, je fis les champs d'Action avec mon lys, de La lettre a Elise et moi, avant que La France se dégrade avec Mitterrand, pendant ses 14 années de désarrois et Une France qui s'est enlisée dans l'indifférence et l'individualisme chacun pour soit.  "

 

 

François Mitterrand  :   " Monsieur Giscard, vous racontez des balivernes de douze travaux de l'être à Elise et moi, alors que moi si j'étais élu président c'est grâce aux Français qui m'ont élu après que je les ais suppliés de voter pour moi, en leur convaincant avec ma force tranquille dont je leur scandai :  -  "  Elysez-moi pour que je fasse mes champs Des Lys et d'action ", et grâce à moi et à Michel Rocard, premier ministre, on a crée le RMI, Retenez mon invention, comme ça La France ne fut plus handicapée et paralysée par L'APF, mais ouvert aux fenêtres détends modernes, et vous vous trompez MR Giscard, de Montand La France était Yves de solidarité et de bienveillance sans soûler Les Français qui avaient foi en moi et c'est après du temps de Sarkoy et d'Hollande, que La France est devenue un pays bas avec Sarkozy qui créa Le RSA, le revenu sans activité, et maintenant, par tous les courants, partez en courant vers l'apolitique, de Macron au Macaron, des banques, qui y voient leurs conflits d'intérêt, sans intérêt pour Les Français, car avant La France avait La Gaulle, qui s'est fait gauler maintenant en général et qui vous mènera en bateau ici bientôt vers La Marine Le Pen qui le Pen le général de la Gaulle, à l'affront national   !  "

 

 

                                                 Jérôme de Mars

 

 

Tiré par les cheveux  !

 

Tiret ouvert

Sans filet,

J'ai enfilé

Une posture

De coiffure,

Où j'ai étiré mes vers

Tirés par les cheveux,

Chauves hein

De gredin,

Et chauvins

Avec Alexandre hein,

Lorsque je hausse

Ma liberté de ton,

Que je rosse

Ton ton

Très jojo,

Et que je brosse,

Dès que je tonds

Ton Jojo

Qui médit

C'est ton choix,

Et me dédie

En enfant roi,

Comme c'est tiré

Par les cheveux,

Et étiré

En jouant avec le feu

Des pierres à feu,

Feux et tirées aux vers

Des revers décoiffants

Aux cheveux ébouriffants,

Dont la touffe

Etouffe la touffe

De maman,

Faux revers,

Vers ici et maintenant

Et tirets over.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                        Blagues  :

 

 

 

1)  Pourquoi Johnny Hallyday peut-il souffler après être sorti de l'hôpital et être rentré chez lui  ?

   -  Parce-qu'enfin, il peut respirer  !

 

2)  Pourquoi Johnny Hallyday est-il essoufflé avec ses problèmes respiratoires  ?

   -  Parce-qu'il a fait un tabac après avoir enfumé sa bouffée d'oxygène  !

 

3)  Pourquoi tout le monde soutient-il Johnny Hallyday depuis qu'il est malade  ?

   -  Parce-qu'on lui fait un cancer de louanges  !

 

4)  Qu'est-ce-que ça fera quand Johnny Hallyday va casser sa pipe  ?

  -  Il partira en fumée  !

 

 

 

                                                Jérôme de Mars

Mille feuilles

 

Au tome d'un livre,

L'automne précède l'hiver

D'hier à Hyères,

Avec un déploiement de colombes

Qui vagabondent d'un lobe,

En octobre qui enivre

Le tapis de mille feuilles,

Tapi dans l'amas d'un fauteuil

Configuré aux sols qui dérobent,

Les tremblements de terre

Tous azimuth en joaillerie d'hécatombes,

Qui tombe du ciel grise mine 

Avec des crayons mauvaise mine,

Qui dessinent une pléthore

De mille feuilles mortes qui claquent,

Les flaques d'eaux grâce au médiator 

Qui gratte un solo de guitare et qui flaque

Les mics-macs à tire-larigot,

De la faim des haricots

Qu'égrène le triomphe saisissant

De mille feuilles conflictuelles disposées en rang,

Et qui givrent en froid des giboulées apparents

Sur les toits des maisons dans les bois,

Quand les flûtes désenchantées ramènent une bossa

Nova qui innove ah les mille feuilles mortes

De Prévert, sur la mer morte

Rouge de la mer pochtronne qui soûle ses humeurs linéaires,

Au souffle du froid d'hiver 

Bipolaire vers les antipodes des tropiques

Qui sourient le soleil cataclysmique,

Entre deux mouvements contraires de chevreuil

Sur le sol jonché de mille feuilles,

Qui décantent les écureuils

Qui jalonnent leur simple gentillesse,

Avant la régénérescence de la saison du printemps,

Dès que l'hiver fout le camp

Et jette un vent au soleil plombant

Sur la stratosphère en liesse,

Prêtresse

Du strabisme

Et du snobisme

Des mille feuilles,

Qui retranscrivent les effets de seuil,

Sur le seuil de la porte

Des mille feuilles fortes,

Logées à la même enseigne des arbres aborigènes,

Unitaires et homogènes,

Pour taire vers sévères

Ces vers vers

L'inertie bouc-émissaire

Des émissaires pouvoirs publics,

Debout sur les bancs poétiques,

Dont les mille feuilles 

Réécrivent avec leur oeil

De vert, 

Un monde paisible,

Où en âmes sensibles,

Elles aimeraient vivre

Et habiter ivres

Un pays possible

Et comestible,

Qui en découlerait un village flexible,

Où les gens contents demeureraient 

Des crèmes à fouetter

L'indifférence en fréquence

Et à choyer l'humanisme en abondance

De mille feuilles d'aisance,

Avec leur nuance

Couleur expresso café eldorado,

Car ça serait désormais du gâteau

A Chantilly mille feuilles,

Au seuil 

Des effets de seuil,

Sur le fauteuil

D'hiver réfractaire,

A  la révolte directe et volontaire

Qui aurait été

Et aurait élu l'été,

Pour que le printemps

Se rit d'antan,

Autant en emporte l'avant.

 

Jérôme de Mars

 

Le monde des bisounours

 

Au pays de La France,

La science exacte

C'est la finance

Sans tact,

Comme on prend acte

Que la société générale

Se mue paiement  sans contact,

Tandis que d'antan,

On payait en nature

Les gens,

Pour vérifier s'ils étaient aimants

En toutes circonstances

Et sans parures,

Avant que La France

Sombre dans la loi

Du silence,

Du chacun pour soi

De l'ignorance,

Comme on n'est plus

Dans le monde des bisounours,

Mais dans la course

A la bourse

De la vie,

Qui devise et dévie

Dans une folle course,

Sans connaître la direction

Que méprend la société générale,

Qui se fructifie vénale, originale,

Bancale ou idéale

A se demander si on existe

Encore à l'étoile de la grande ourse,

En remontant à la source

D'égal à égal,

Ou si on ne résiste

A l'ostracisme

Et au racisme

Des couleurs de peau

Qui font la peau,

A la différence

Normale, pas normale

Et fatale

Des orientations sexuelles,

Politiques, physiques, sociales

Ou sociétales,

Que ça gêne héréditaire

Et anxiogène cent commentaires,

A tomber d'étincelles,

Si L'Aïd 

Est caïd

Et la viande Halal

Est animale,

Comme si la religion

De L'Islam, 

Is slam

Contagion,

De ce slam mélodrame

A la conclusion

Etirée, que c'est légion

Lésion et liaison dangereuse

D'incrimination douteuse,

Que cette religion

Est ressources

De points de contusion

A l'appoint de contamination,

Et que les gens n'ont plus

De morale,

Car il est incongru,

Amoral et amiral

Depuis le général 

De gaulle, 

Que La France n'a plus la gaule,

Distendue et dépourvue

Avec les malentendus ardus,

Comme La Gaule

S'est fait gauler par la crise asociale

Des valeurs

Et de l'honneur,

Où l'amour amorce

Et divorce

Avec des conflits sourds,

Les relations de longue durée

En affections de longue endurée,

A la sécu 

Du cas social,

Et que le respect

A foutu

La paix

Au mépris,

Car il pressent

Et sent

Qu'il ait m'est pris

Et à prix,

Que seuls l'argent

Fait le bonheur

Et que les paroles restent du placebo

Sans saveur

Vers le haut,

Alors que les maux de la société générale

Sont un manque de contact

Humain  entre copains

Et amis,

Car elle se délie

Dans le libéral commercial

Mesquin et aux dents de requins,

Car l'argent n'a pas d'odeur

Et demeure

Le nerf de la guerre

Depuis naguère,

Et soupire la noirceur

De notre monde

Qui s'inonde

Dans un océan d'insultes

Et dans le tumulte

Des sans-logis,

Où plus personne n'est à l'abri

D'êtres dans les débris,

Du bruit douloureux

Des jours pluvieux

Et superficiels,

Aux relations virtuelles,

Conflictuelles et factices,

Où l'on ne connaît la notice

Pour désamorcer ces crispations

Et ces tensions

De cette bombe à retardement

Qui plombe en durant

Des plombes

Avec des trombes

Sur notre monde courant

Qui fout le camp,

Dont on sonde

Les ondes

En émettant des micro-ondes,

Négatives 

Ou captives,

Pour les interroger

De comment procéder

Objectif et actif,

Pour arriver à l'objectif

Que le monde se relève positif

Avec de l'amour réel,

Pour changer l'indifférence,

Dont La France

En singe l'irrévérence,

Afin de la convertir en bienveillance

Qui en découle une influence d'accoutumance,

Dont on a bien besoin

Avec la tribu de la solidarité,

Comme enfin se justifie au moyen

D'avoir quelqu'un,

Que l'on embrasse de bisous nounours,

Car bonjour 

Et bienvenue,

Au monde des bisounours

Et de l'amour.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                       Blagues  :

 

 

1)  Pourquoi les femmes sont-elles poils à gratter  ?

     -  Parce-qu'elles aiment les poils au cul  !

 

2)  Qu'est-ce-qu'un gorille qui pète comme son frère  ?

    -  Une singerie.

 

3)  Quelle est la différence entre toi, Christophe et moi  ?

   -  Toi, tu es entier et moi, je suis rentier.

 

4)  Pourquoi aimerais-tu que ta copine soit une femme fontaine et ta plante  ?

  -  Pour qu'elle arrose les fleurs avec son eau de vie.

 

 

                                                Jérôme de Mars

L'autodérision d'un poète

 

A vos coups de crayon,

Le poète trublion

Connaît sa première autodérision,

Sur décision

De sa bonne action,

Qui lui donne l'autorisation

De tailler des costards,

A l'instar

De la guerre des toiles,

A poil

Couillu avec des vers

Et des pas mûrs,

Sur le mur

Des lamentations,

Où le poète 

Medhi fouette

Sa verve

Sans réserve,

Comme une crème fouettée

A la moulinette,

Qui gesticule

Lustucru

Très cru,

Avec des scrupules

Qui en joue jouent aux guignols,

Têtes de gondoles

Avec la troupe des branquignols,

Dans cette poésie stationnaire

Et sans frontières,

Et qui quémande 

A quoi ça rime

Dans la loi de l'offre et de la demande,

En jetant l'encre

Qui arrime,

Qu'encre

Tête de cancre,

Qui racle les fonds

De tiroirs

A la recherche de la nouvelle star,

Avec des plans sur la comète

Cosmique et comique 

Sur le boulevard de l'univers pacifique,

Comme c'est pas net

Les saynètes du poète,

Si c'est net qu'il enterre la hâche

De naguère, qui se lâche

En commentaires, 

Si on lui tire les vers

Innés de sa rage,

Qui épouse le courage

Brave sous scellé de sa bâche,

Qui cache

Sa mauvaise image,

Par une prose

De rétropédalage, 

Ne sachant si elle rafle 

La rafle 

Des petits vélos d'hier,

Aux vers doses

De l'osmose

En overdose,

Si elle est carencée

Par la sinistrose

Edulcorée et colorée,

Dans du glucose

Pour injecter du rose,

Quand c'est le bouquet 

Petites choses

Des lovers doses 

Aux loosers surdoses,

Dans la geôle

De la rougeole

Turbulente dans le cyclone,

Si clone autochtone

Du poète affligé

Et esseulé,

Aux beuveries

D'absinthe, 

Qui mettent la fille enceinte

En amplis,

Aux amplis

De Paris

En musique et en fête,

Quand les jacinthes

S'inspirent des idées

Au rire des orchidées,

Si bien qu'au clair 

De la une du clergé,

Le poète prophète dessert

La ligne ouverte du destinataire,

Dans l'imaginaire qui se passe de l'abstrait

Et se surpasse dans le concret

D'imminentes parutions,

Dans les zones de pénétration

D'un frottis

Et d'une mammographie,

Dans la symphonie

En saillie,

Et mission air garantie

De Paris

Vers quel Sein,

Se dévouer

A évoquer,

Et se désavouer

A révoquer,

Pour convoquer

Le butin,

Et le provoquer

En bulletin,

De paroles

Drôles,

Envers les rossignols

Sur la place des grands pôles

Positions

Internes,

Comme le poète 

N'est esthète,

Mais éthylotest

En-tête

Et en test,

Dès lors qu'il n'est plus 

Hein terne,

Mais recroquevillé

Dans une plume ex terne,

Avec un chahut

Dans le bahut

Externe,

De l'autodérision 

Du poète décomplexé,

Mission et scission

Garanties subalterne,

Dans sa taverne

Rue des cavernes,

Avec des lanternes

Cent balivernes.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                   Mini texte  :

 

 

Quand l'un dit, que je dis, que ça me dit de passer dix manches à balais à déballer le remue-ménage du printemps  !

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

                                                 Blagues  :

 

 

1)  Que dit-on de quelqu'un qui en a marre de tenter d'écouter du hard rock  ?

     -  Il en a ACDC 

 

2)  Que fait un nain pour aider à moitié son ami  ?

     -  Il donne un mini coup de pousse  !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Sois en paix  !

 

A l'appel du pied,

Pars du bon pied

Sans contre pied,

Et sans te laisser 

Tomber dans le guêpier,

A prendre ton gai pied,

Car il te faut le respect

Pour être en paix

Sans méchanceté,

A presque quarante balais

A déballer 

Le remue-ménage

Du Printemps,

Comme il est tant

Que tu te ménages

Un peu

Sous un beau ciel bleu

Au frais du bon temps,

Et ainsi, profites-en

De chaque moment,

Si tu te détends

A reprendre content,

Ce que le présent

Peut t'offrir en souriant

Et en espérant clément,

Que l'instant te sera récompensant

Et compensant

Tes vieux antiques camouflets,

Dont tout le monde te les a affublé et préjugé

En une hypocrisie camouflée,

De va-nu-pieds 

Et pieds nickelés

D'un sacré toupet,

Mais heureusement,

Qu'autant, de ceux dont tu es l'aimant,

Ils voudraient que tu mérites leur respect

Et que tu sois en paix trempée

Détrempées de toutes tes trempes trempées,

Quand on te répétait que tu n'arrives pas à la trempe,

Car le respect t'était détrempée

Dans ton caractère bien trempé,

Dans de l'acier léger

Que tu crampes sans lâcher ta crampe,

Mais détrompez-vous

Tu n'es pas au garde-à-vous, 

Ni à genoux

Dans le collimateur d'un garde-fou,

Et pour cela, il te faut t'endurcir le cuir

En cuir,

Et envoyer aller vous faire cuire

Un oeuf

En faisant un boeuf,

De tous ces maudits,

Merdeux

Et morveux

Qui t'ont fait souffrir,

Pour le plaisir de t'accroupir

Et croupir,

Au silence

De la pénitence,

Mais tu dois t'en dépâtir

Pour repartir,

En prenant ton pied

Et en repartant du bon pied,

Dans le contre pied

De ceux que tu appelles les mafieux

Et les crapuleux, 

A jeter au feu

Et à prier Dieu,

Pour qu'il te dédie 

Mille et une mercis,

Où tu ne seras plus jamais

A la merci,

De n'importe qui

Dans la médiocrité,

De l'hystérie

Et de la mélancolie,

Car maintenant, tu en ris

Et tu t'en fous,

Que tout le monde s'en fout

Et s'en contrefout

De ce monde de fous,

Filou et ripou

A côtoyer différentes sortes de voyous

Aux trous,

Comme pour le coût,

Plus tu es fou

Et plus tu en ris,

Avec tes amis

Et ainsi, vis

Le respect,

S'il t'adoucit,

Et sois en paix

Pour la vie. 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le feu vers

 

Ouvert, je le suis

Serge, comme je te suis

Si tu me ressers-je 

Un ver, auquel ma fidélité

Dans le vent de l'amitié

Et de la liberté,

Te sers-je à toi Serge,

Un appel d'R qui roule des mécaniques

En éprenant un bol d'aire synthétique,

D'où tu composes de ton synthé

Des rythmiques de troubadour de musicien

Désoeuvré dans une fosse manoeuvre 

Au chef-d'oeuvre du bon Dieu épicurien et magicien,

Démo à toi à mémo

Qui illustrent que je te donne le feu vers,

Pour me mettre au ver de l'amitié

Entre copains

Et m'émettre à la poésie zouave du slam

Comme La Tour Eiffel, cette dame

De fer sur Le Paris Padam,

La ville, où les mots 

N'en ont qu'over et couverts,

Car ils sont linéaires

Sur le tapis rouge de La Seine,

Où y a du beau monde

Et où en vers, je te donne le feu ouvert,

Comme la donne de ma maldonne a changé,

Et qu'elle s'est adonnée 

Horizon dix vers

Dans cette gamme aux vers,

Où tu m'ordonnes

Et tu coordonnes

Le beau ver de l'amitié,

Où ver sur la société

Du change et de l'échange sur la rue rubiconde,

Rouge de soûler nos coeurs de pierre de chimère

De poètes contestataires

Dans l'ivresse d'un énième ver,

Avec vue et bévue sur nos yeux grands ouverts

Des pérennes mots d'hiver à vents couverts,

Le coeur à l'ouvrage, d'où Serge de ta maison 

Imaginaire entre poètes maudits de moi à toi,

Tu me mettras en ver de contact en janvier prochain,

Si vendredi ou si samedi ça me dit et ça te dit 

Avec ton ami Thibault dans la grogne du froid,

Pour réchauffer les relations over dans la gamme

Et ouvert sur le slam,

Pour qu'ainsi, ça rame

En chansons et en fanfarons

De larrons en foire dans le métro et ses rames,

Auquel je te donne le final feu vers

De mon oeillère de vers,

Comme à l'un barrière

Avec ton tact feu voyant est ouvert

Et sans barrières.

 

Jérôme de Mars

 

                                                       Blagues  :

 

 

 

 

1)   Pourquoi Johnny Hallyday a-t-il été hospitalisé pour détresse respiratoire  ?

      -  Pour que ça lui fasse une bouffée d'oxygène  !

 

2)  Pourquoi l'hospitalisation de Johnny Hallyday pour détresse respiratoire fait-elle grand bruit  ?

     -  Parce-que c'est à couper le souffle  !

 

 

 

                                                Jérôme de Mars 

Une journée sur La Terre

 

Un matin aux aurores,

Aurore se lève auréolée 

D'un parapluie de cher bourg,

Qu'elle déplie avec la notice

Une journée sur La Terre,

Qui grise la pluie dans une serre 

Qu'irrigue le printemps extraordinaire,

Assis sur le piano mélodieux en une flopée

De balcons dans la cour

Des grands qui appellent le démon de Midi,

Aux prémices qui entérinent la terrine du pâté

De maison le long du Vercors

Dans l'an vert du décor dérobé

Une journée sur La Terre,

Dans la rizière qui rit

Vaches enragées sur le parterre,

Des caprices qui s'immiscent 

Avec malice, dès l'armistice,

Qui retentit au moment promis

En entendant le public lui signifier merci,

Une journée sur La Terre

Fétiche de secondes qui respectent l'inventaire

Du fameux soir dînatoire,

A alimenter les discussions de comptoirs

Emplies d'histoires 

Du bleu radieux au fatal noir,

Avant qu'une journée sur La Terre

S'achève à Minuit

Et que le sablier cherche un abri,

Où habiter et héberger

Son réservoir d'abreuvoir d'histoires

Pour savoir,

Sur quelle planète

De l'univers,

Aura lieu à la une

Une pléiade d'autres saynètes

De La Terre à la lune.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Les paresseux font dodo 

 

Ados, ils volent haut

Les drôles d'oiseaux,

Oiseaux de mauvais augures

Qui survolent la belle nature,

Diseuse de bonne aventure

Entre désinvolture et ouverture,

D'aux septièmes cieux sirupeux,

Dès que les paresseux 

Font dodo

Dans le métro boulot dodo,

Dos à dos

Et ados avec un métro

De retard,

Lorsque y a pas de lézard

Dans le brouillard,

Quand les perroquets rapportent des paroles

De l'envol à l'an vol

Des paresseux qui font dodo

Et volent les dodos,

Et survolent les paresseux,

Très paresseux

Dans leur dodo,

Car les dodos 

Volent très haut

En remontant le niveau

Des cieux paresseux,

Qu'ils se mettent à dos,

Comme ados, ils mangent du tourne-dos

Qui tourne le dos

Aux dodos,

Dans leurs dodos

Qui dorment ados

Et s'envolent aux paroles

Des rossignols,

Très paresseux

Qui volent paresseux

Et survolent les dodos paresseux

Dans leurs dodos trop paresseux,

Comme les paresseux font dodo.

 

Jérôme de Mars

Patraque

 

Maniaque

Je n'ai ma niaque,

Comme on me matraque

Patraque

Et hypocondriaque,

A me foutre le trac

En traque,

Comme un tic tac

Qui fait tac tac

Et me rend patraque

Et paranoïaque,

Comme je n'ai ma niaque

Insomniaque

Et que je reste maniaque,

En une attaque

Qui me matraque

En médicaments de matraque,

Aussi forts que j'ai le trac

Patraque

Et hypocondriaque,

Comme ma traque

M'attaque

Dans un tic tac

Du tac au tac

Et fric frac

Qui craque

En faisant craque craque,

Comme je suis patraque

Et hypocondriaque,

Sans les aphrodisiaques

Paranoïaques,

Car ma niaque

Me rend maniaque

Dans le mauvais signe du zodiaque

Qui me mène en bateau sur le zodiaque,

Où c'est mauvais signe insomniaque

Que je n'ai ma niaque,

Car elle ait maniaque

Démoniaque

Dans une attaque

Paranoïaque

Avec la casaque

De ma traque

Patraque

Et hypocondriaque,

Qui me poursuit en un trac

Epouvantable dans un mic-mac

Maniaque,

Comme ait ma niaque

Démoniaque

Aux assauts insomniaques

De mes nuits blanches aphrodisiaques,

Qui me rendent paranoïaque

Et patraque,

Car pas traque

Patraque

Mais avec traque

Hypocondriaque,

A pas monomaniaques

Dans une attaque

Patraque

Et hypocondriaque

Avec ma traque

Pas trac,

Mais maniaque

Matraque,

Car pas ma niaque,

Tellement qu'elle est patraque

Et hypocondriaque,

Dans ma traque

Aphrodisiaque,

Sur le signe à l'an vers du zodiaque.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                   Blagues  :

 

 

1)  Que dit-on du mari de Dominique Bedrossian s'il fait quelque chose de pas élégant du tout  ?

  -  C'est pas jojo !

 

2)  Pourquoi un Arménien vaut-il trois juifs  ?

 -  Parce-que c'est le tiers-état  !

 

3)  Qu'est-ce-que ça fait la pipe d'une femme à un homme qui tourne mal  ?

 -  Un casse-pipe

 

4)  Que dit une grenouille qui n'a pas entendu la question  ?

 -  Quoi, quoi  ? (  coa )

 

5)  Que dit-on d'un serpent que l'on trouve magnifique  ?

 -  Il est beau ah  !  (  boa )

 

6)  Que dit Milou à son maître qui l'a dans le baba  ?

 -  T'es tintin  !

 

 

                                               Jérôme de Mars

 

                                                    Blagues  :

 

 

1)  Pourquoi Jacqueline, m'as-tu toujours dit de penser à moi comme le monde n'est pas doux  ?

  -  Parce-que ce n'est pas chacun pour soie  !

 

2)  Pourquoi Jacqueline, m'as-tu toujours dit de compter sur moi et pas sur les autres et qu'il n'y a que moi qui peux me sauver  ?

 -  Parce-que tu me l'as conté comme ça  !

 

3)  Que se passe-t-il pour un poulet qui commet une bavure  ?

 -  Il est grillé !

 

4)  Pourquoi la femme de Michel Berger ne regardera-t-elle pas ce soir le match de football international  ?

 -  Parce-que c'est France-Galles  !

 

5)  Qu'est-ce-qu'un poète maudit qui est rongé de l'intérieur  ?

 -  Un ver solitaire 

 

 

                                               Jérôme de Mars

Aux prêts noms de qui  !

 

Pléthore, on donne des noms aux prêts noms de qui

Qui ne sont sans ultra sont point n'importe qui, 

Comme certains prêts noms sont exquis,

Même que certains amis sont antiques et ex qui,

Comme lorsqu'on s'appelle Allowin

Et qu'on n'aime Halloween, dont Edwin

Préfère Aldwin, car il prête son non à Ambroise,

L'ami de Boris et aussi le fondateur de la sécurité sociale,

Comme grâce à Boris, Ambroise Croizat pléthore d'amis au réel,

Qui s'éloigne du virtuel de Facebook, lorsqu'il vole de ses propres ailes

Dans un groupe d'adeptes, qui cueillent au Bois De Vincennes des framboises,

Que lui remet Edwin, avec son prêt nom Amiel d'un nid d'abeilles, qui ne s'y frotte

Avec Arthaud que Athanase rencontre à Florence, en naviguant en eaux troubles

Entre rires et châtiments, car qui aime bien châtie bien et charrie bien en Amiral,

Général, générateur et génération d'une rencontre avec Aurel très hardi en vers qui

Il vend son premier prénom, prêt non qu'il porte exquis et ex qui qu'il attribue Géry,

Egérie de ses fantasmes, auxquels il ordonne un nom d'office comme il lui trotte

Dans la tête un euphémisme, qui choque le pare-chocs de sa voiture que conduit,

Balthazar, un illustre inconnu et roi d'images dont il s'enfuit avec le journal et lui,

Comme lorsqu'il rencontre Auxane, mais qui en vérité s'appelle Roxane payant,

En nature ses charmes à la volupté sensorielle et sensuelle, que ses roubles

Lui troublent dans ses troubles, quand son ami Bruce lie, allie et rallie des gens Edern fous alliés et alliés nature, sous l'Egide prêt nom qui arrête Elisée, 

Auchan s-Elisée, comme elle y fait ses courses, en joignant l'utile et l'enjoué

Avec son ex ami Faust, dont la damnation lui attire ses foudres d'escampette,

Alors que si Edwin redevient l'ami de tous, il adonnera un coup de pouce bluette,

Avec Foucault et Jean-Pierre, en un recueil sur feuilles et mille-feuilles en paix

Et en communion, car rien ne sert d'enfer la guerre, mais vaut mieux se réconcilier,

Autour d'un ver de l'amitié, en trinquant d'un pot aux roses, en nom exquis

Et non trinquer d'office, avec d'ex amis prérequis, requis et acquis, mais à qui,

Dont l'on ne sait s'ils sont sincères ou faux-culs, comme leurs prêts non sont ex qui

Car maintenant, on a des vrais amis aux près noms de qui on saura dire merci.

 

Jérôme de Mars

Des versets déversés

 

A l'âge de Pierre,

C'est l'heure de la prière

De notre cher Abbé Pierre,

Qui Ave Pierre

A l'édifice,

Car tout n'est que matière

Dans les orifices,

Comme les voies du Seigneur

Sont impénétrables avec la foi

Des versets déversés,

Qui ont déversé

Ces vers, 

Sévères sur la table vers

Ces vers solidaires 

De l'Abbé Pierre 

Qui avait vendu son âme salutaire,

Salut Terre, au revenu universel,

Du grain de sel dans le Missel

Mi-sel, comme les voix hauts-parleurs

Interprètent à bon entendeur des versets déversés

De mon seigneur au Don Camillo des versets

Unitaires et renversés,

Par les prières du diable d'enfer

Mais dépêché par l'ange débonnaire

Qui songe à libérer le ciel,

Grâce à L'Abbé Pierre

Qui s'adonne avec merveille

Et vermeil,

Et donne son feu vers

En vers versés,

Par des versets déversés

De ces vers, sévères

En l'aura imaginaire

Vers ces pierres à l'état de matière,

Car tout n'est que matière

De nos chers amis, nos frères

De chaumière

A la tanière

Dans la lumière,

Une foi ouverts, sévères,

Ces vers vers ces versets déversés

En ces vers au clerc du ciel

Missel et mi-sel au revenu universel,

Uni vers celles qui ont des versets

Et ont déversé le livre ouvert vers ces

Messages qui soulagent le coeur aux pensées,

Renversées et des vers ces vers vers ces vers 

De l'amitié prospère à la richesse humaine

Du Jardin D'Eden,

Ouvert et au-delà versets 

Que reversaient les versets

Qui ont déversé vers ces vers, sévères,

Où à la prochaine

Foi

Over,

Ces vers ordinaires

Se mettront aux vers

De l'éternité 

De L'Abbé Pierre

Qui Ave oraison

Et avait prière,

En voie de guérison

Déversée vers ces versets

Des versets déversés

Par les messagers de la paix,

Au-delà la postérité

De ces vers à la durée,

Versée, Déversée, renversée

Et reversée vers ces

Prières du ciel lunaire,

Au fort caractère,

Pourvu que Dieu bénisse La Terre,

Salut Terre, salutaire  !

 

Jérôme de Mars

 

                                                             Blague  :

 

 

 

Que dit-on d'un basketteur qui a enfilé  ?

-  Il a mis la main dans le panier.

 

 

                                                     Jérôme de Mars

Mais dors !

 

Bel à l'aboie dormant

Dès le soir tombant,

Médor avant que tu dores

Jusqu'aux aurores,

Calme ta soif

De ton ouaf ouaf,

Et après, mets en veille ton taf,

Car de ton pif paf,

Tu aboies ouah ouah

Comme c'est la joie

Dans le paf

Avec ta truffe truffée

De ton odeur de Sainteté,

Quand t'as du flair

A prendre un bon bol d'air,

Mais dors, Médor 

A rêver de métaphores

Dans le folklore 

D'un château fort,

Avec tes croquettes de chien

Régal canin

Pour dénicher

Dans ta nichée,

Une rafale d'emplettes

A compter fleurette

Médor, avec ta chienne de vie,

Alors que si tu rencontres l'amour de ta vie

On te dira

Mais dore

Avec ta chienne devis,

A oublier les roquettes ennemies

Pour savourer les croquettes amies,

Qui te soulèveront le trophée

De l'accalmie

Et en appétit,

Car t'auras réussi

A tracer le chemin

De l'embellie

Avec ta chérie,

Oh oui  !

Où t'emmèneras

Ta dulcinée

Jusqu'à ta maison,

Pour interpréter

Avec elle, l'hymne à l'unisson,

Sitôt ta tranquillité réservée

Et préservée,

Médor,

Car on te soufflera

Encore 

Au soleil à l'horizon,

Mais dore, Médor

Sans te jeter un sort,

Car ton essor te voudra

En inclinaison,

A la belle étoile qui te flamboie

Médor, qu'on adore

Sur le fleuve de ta vie réjouie

Au devis,

Cher trésor !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                         Blagues  :

 

 

 

1)  Pourquoi écoutes-tu Sonotone de MC Solaar  ?

    - Parce-qu'il y a des malentendus avec toi.

 

2)  Pourquoi Jacqueline, m'as-tu toujours dit de compter sur moi  ?

    -  Parce-que c'est comme ça que tu me l'as conté  !

 

3)  Que me disais-tu Jacqueline lorsque j'étais enfant pour que je ne parle plus ?

   -  Jérôme, t'es toi  !

 

4)  Pourquoi un Asiatique en met-il plein la vue  ?

   -  Parce-qu'il a les yeux débridés  !

 

5)  Pourquoi Katia et Laëtitia, sortez-vous toujours les griffes de mode en magasin ?   -  Parce-que vous refaites votre vitrine  !

 

 

 

                                                    Jérôme de Mars

Vous prenez tout à la lettre  !

 

Lettre 

Ouverte,

Vous

Prenez

Tout 

A

La 

Lettre,

Car

CD

Lettres,

Dont

Vous

HT

Des

CD,

Comme

Les

Maîtres

Chanteurs

Vous

Chantent

Et

Déchantent,

DCD

DCD,

Au

K

Par

K

AT

Sans

Prier,

Lorsque

Vous

Buvez

La

Tasse

De

T,

OT,

Car

Vous

OT

La

Lettre,

Quand

Elle

Suit

Et 

Dit,

JV,

Pour

Qu'on

Sonne

AC

D'L,

Comme

Vous

En

Avez

AC

Du

Mot

DC

D

Et

De

BC

La

Garde,

Dès

Que

Vous

Prenez

Tout

A

La

Lettre,

Sans

Qu'elle

Ne

Soit

En

P,

Pour é D

Et 

Aimer

Son

Prochain

Mot

Orphelin,

De

La

Veuve

Et

Deux

Sons

Maris

DCD,

Que

Vous

Décidez

D'écouter

DCD,

Comme

La

Musique

Adoucit

Les 

Meurs

Dans

Votre

Demeure, 

Et

Qu'on 

Ne

Fait

Pas

D'omelettes

Sans

Casser

Des

E,

Et

Qu'il

Ne

Faut

Pas

Mettre

Les

E

Dans

Le

Même

Panier,

Pané

Et

Dépanné,

A

Force

D'entendre

OK

Et

KO,

Tout

Tombe

A

L'o,

Eaux

Vertes

Et

Pas

Mûres,

Car

Vous

Vous

Eprenez

Va-tout

A

La

Lettre

Q

Deux

Dame

Nature,

En

Ecoutant

DCD

Pas

DCD,

Comme

En 

Coeur,

Vous

Enchantez

Et

Réenchantez

D'une

Lettre

En

Une,

GT

Et

JV,

Si

Bien

Que

Vous

Entreprenez

Tout

A

La

Lettre

Ou Verte,

En

Jetant

L'ancre

Et

En

Rejettant

Qu'ancre,

D'une

Traite

En

Coeur,

Car

GT

A

Bord

De

Cette

Lettre

Virant

De

Bord,

Et

Qui

Trouve

Sa

Vitesse

Deux

Croisières,

En 

Nous

Menant

En

bateau,

En

Etirant

Un

Trait,

Lettre

Où verte,

Que

Vous

Vous

Surprenez

A

La

Lettre

En 

Plein

R,

Une

Bouteille

A

La

Mer.

 

Jérôme de Mars

 

Gilles Verlan(t) 

 

Amicalement

Gilles verlant,

Je te salue 

Franchement,

Avec ton parler franc

Et ton franc-parler,

Dus

A ton coût franc

Au zénith de ta popularité,

Toi qui as su,

Raconté et conté

Sur Gainsbourg,

Un jour au faubourg,

Et sur Gainsbarre,

Lorsqu'il se barre

Et que tu rembarres

En secrétaire,

De mots nénuphars

A renforts littéraires,

Où je parle à toi Saint-Gilles

Qui grésille

En verlan

Vers toi Verlant,

A l'envers

De ce monde à l'an vers,

Quand pleurent,

Les regrets protocolaires

Qui brûlent les forts rêveurs en liqueur,

Rangés sur le fil mortuaire

Post mortem,

Avec ce blême poème

Qui aime 

Les hommages ardus,

En chrysanthèmes

De La Toussaint,

Tout Saint

Avec toi, Saint-Gilles,

Qui brille 

De ton aura à l'art dû

Que t'offre ton talent héréditaire,

Parmi tes congénères

Qui fourmillent

D'églantines mercantiles,

Les fleurs bipolaires 

Qui se font de la bile,

Ossuaire 

En déjouant les billes

Dans la ville

Des lumières,

Au Paris

De la folie

Des grandeurs

Et déshonneurs,

Toi, Gilles Verlant

Qui parle à l'envers

Du verlan,

Car tu es Verlant

A l'an vers

Des frères lumière,

Qui te font de l'ombre

A la pénombre

Des fatalités involontaires,

Qui dénombrent

Ta durée 

Sur La Terre,

Comme à longueur

De journée étalée,

Sur l'équateur

Du fil d'année,

Dont toi, t'es damné

D'où tu es,

Au-delà

De ton rôle majeur,

A relater les aventures 

Et les déconfitures,

De Gainsbourg

Et de Gainsbarre,

Que tu rembourres

Au carrefour A Cabourg,

Et que tu rembarres

Avec des fleurs fanées au nectar

De ton purgatoire,

De ton paradis 

Allié avec tes fidèles amis,

Où l'on te dit 

Salut Gilles,

Au Port-Salut,

Inchallah 

Vers l'inconnu,

Où tu resteras 

En famille

Dans la joie,

En verlan

Toi, Gilles Verlant,

A l'envers

De ce monde à l'an vers,

Qui s'assombrit

En revers sans

Gilles Verlant,

Et en le reversant

En Saint-Gilles,

Du versant solitaire,

Au vert sang ascendant Sagittaire

Sur La Terre de tes confrères,

Déversant l'univers

Et des vers sans lumières,

Au vent 

Vers sans

Honoraires,

Où l'on arrive au bout standard

De la trajectoire étendard

De ton itinéraire,

Avec toi, Gilles Verlant

Et merci l'ami,

D'avoir parlé franc

En verlan(t).

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                                       Blagues :

 

 

 

1) Pourquoi une de mes tantes m'a-t-elle demandé pourquoi je lui ai posé comme question si ça allait  ?

-  Pour défendre son bien personnel  !

 

2) Pourquoi le monde va-t-il mâle  ?

-  Parce-qu'il poursuit son bonhomme de chemin  !

 

3)  Quelle personne de la famille BEDROSSIAN pouvait donner le mieux la définition du livre des souvenirs de mémoire du génocide  ?

-  Atlas  !

 

 

                                                 Jérôme de Mars

Le monde à l'an vers

      

Dont le jazz                                                   A la triste mine d'artiste mineur,  Louche                                                          Le blues du doigt majeur et mineur

Jase,                                                             Quand les mots majeurs épousent

Souche                                                         D'un contrat principal et essentiel aride,

 Et louche,                                                       D'un texte à l'effigie qui a karaoké 

 En louche                                                 Qui assemble une mélodie à l'ensemble

 De la couche,                                       Un roquet qui a bu ses paroles au troquet,

Au coup de crayon                                       Lorsque le monde à l'an vers semble 

Qui répond                                                   Qui parle comme un perroquet au mas,

 A la question,                                               Qui erra à l'ara, d'un ara au karma

 Qui effet mouche                                             Le parfum de froment à la bastide

 Frigide                                                          Desquelles avance doucement, 

Et insipide,                                                     Et lumière à la conquête des vers lents

Dès que le monde                                        Par le dos de l'écuyère qui verse sang,

A l'an vers abonde                                           Aux lueurs de petits beurres de prière

Quai Voltaire,                                               Le beurre à sourire de la crémière,

 De l'ombre                                                   Dès la disette qui verse sans              

A la lumière qui sombre                               Le monde à l'an vers, qui rime décrié,

 Pénombre,                                                        Aux arlequins en pupilles qui pillent 

 A l'ombrelle                                                     Du bastion gauche qui sévit à Séville

De Polichinelle,                                         Au coeur, quand les vers s'épanchent      

 Aux travers                                                Dans la facilité au portillon, qui penche

 De la jetée d'encre,                                        L'encrier à la criée rejetée qui verse    Sitôt le monde redevenu cancre.                       D'une journée d'hiver se renverse

 

Jérôme de Mars

 

                                                     Blagues :

 

 

1)  Pourquoi Patrice Evra a-t-il eu un carton rouge après avoir donné un coup à un supporter  ?

    -  Parce-qu'après avoir pris son pied, il a eu une mise à pied  !

 

2)  Que fait un matou pour drague une chatte  ?

    -  Il remue la queue  !

 

3)  Pourquoi y a-t-il eu le mardi 31 octobre, une course de DAESCH sur la foule à Manhattan ?

  -   Parce-que c'était le marathon de New-York  !

 

 

                                               Jérôme de Mars

C'est label !

 

Un jour de plus bel,

C'est la belle

Qualité ribambelle

Et défaut rebelle,

Avec des mèches rebelles,

Car c'est label

A la Bébel,

Pour répartir en beauté

Et repartir avec loyauté,

D'une avalanche

En revanche

De tour de Babel,

Car la vengeance,

A la poubelle

Et de plus belle,

Les vendanges,

Car c'est label

Qualité mirabelle

Et zéro défaut corbeille,

Qui bêle 

Chèvre une abeille,

Dans une ribambelle

Belle 

Du label,

Maya, l'abeille,

Car c'est L'Abel

Bel

Du label bel,

Qui s'ailes au zèle de la mirabelle

Plus belle

Retour de Babel,

Alors que Bébel

Vide la corbeille

De Maya, l'abeille

A Corbeilles,

Poubelle

En ribambelle,

De belle abeille

D'une nuit de plus belle

Et mirabelle,

A la belle

Etoile en ribambelle,

Car c'est label,

La plus belle,

Mirabelle

Qui part de plus belle

Avec Maya, l'abeille

Qui bêlent 

Du label 

A la belle,

Une fois qu'elles s'en vont en ribambelle,

De plus belles,

Comme la déconfiture de mirabelle

Se rebelle

Poubelle

De Bébel,

Au label 

Décibel

De la belle,

En détours de Babel

Décibels,

Comme c'est désormais label,

Des si belles

En ribambelle,

Plus belle

Et que ça reste la belle

De L'abel

Bel et bien label

Décibel,

Car des si belles,

C'est label.

 

Jérôme de Mars

C'est dans la boîte  !

 

Bonjour, les dégâts, par votre entreprise, l'entreprise Les Amis De L'atelier a entrepris dans la société, un monde d'initiatives entreprises, entre prises de bec qui débectent l'entreprise dans le reflet de la société cache-misère, qui en tire un gros profit, au bénéfice du bouffon du roi malin, nous, qui en bouffons du désarroi, Des Amis Du Ratelier, qui bouffent notre santé, au ministère austère de la santé et des solidarités égoïstes, qui déboîte les personnes handicapées et paralysées, dans un mouvement asocial De L'APF à L'APL, de mouvements de grève qui tombent des grêles, avant la trêve des étrennes, quand c'est dans la boîte, qu'on emboîte le pas et qu'on met en boîte nos collègues, car ce sont eux, qui nous déboîtent et nous emboîtent, en nous mettant en boîte comme en boîte, où l'on boîte car on émet mettre en boîte Du Gars Des Gars, bonjour, les dégâts, lorsqu'on prenait de la bouteille, dès que c'est dans la boîte, Du Gars, qui met en boîte, DUGAS, par des dégâts, aux revers de contact, solitaires, alors qu'on est ver ni lorsque les contacts solidaires, emboîtent les revers de plastique, des vers solitaires, aux verts solidaires de cristal, comme ça ne fait mâle, d'être un homme et de prendre tout à la lettre, quand le mailing nous enveloppe avec adresse, à la bonne adresse, à qui sera destinée, une lettre de bonne facture, si on se met aux vers d'eaux, rangés de télé notre nature, si bien qu'on se met ouverts autour d'une table de laquelle, on enverra des vertes et des pas mûres, qu'on en verra en reprenant des couleurs après avoir avalé des couleuvres, à la fondation Des Amis De L'atelier, gamme ouvert aux personnes de tous handicaps, gamme over condi, qu'on dit à la condition, de bâtir des projets constructifs, car ce sont des petits bijoux à l'atelier de la fabrique, pour supposer, poser et reposer l'alliance des conciliations à l'aimable, reposées amiables, pour qu'à l'amiable, on passe polyvalents des pompes qui nous pompent, en faisant des pompes et des tubes, en vous donnant des tuyaux, du pot sinistrose, pour avoir du pot dans le pot aux roses avec les poteaux roses de nos potos roses, si on vous fait une fleur après que la goutte d'eau ait fait déborder la vase du vase clos communicants, car c'est le bouquet, qu'on arrose en prenant un pot qu'on boit de vos paroles, auxquelles on trinque des revers de la fatalité over, aux vers de l'amitié ouverts au dépôt, comme on ne dépose le dépôt de bilan, car c'est dans la boîte  !

 

Jérôme de Mars

Le monde caillera

 

Bonjour la vie,

S-y vas

Te voici,

Te voilà,

Où vas-tu  ?

Et pourquoi,

T'es toi

Et tais-toi,

Si tu crois

Que la société

Est fichue

Et malotrus,

Dans l'enfer des intrus,

Car le monde caillera,

Rira et ira

Des joies

Aux rabats joies,

Des abusés 

En désabusés,

De la vie

Et hip pip pop hourra

Avec tes melting-potes

Qui te complotent,

A glacer

Le froid

Et à en perdre le pôle

Nord au nord pôle

Position de Jésus,

Dont son angélus 

Est pris en crucifixion, 

Car l'équation

N'est résolu,

Mais éperdu 

Et perdu 

Dans l'absolu,

Comme le monde caillera

Avec les cailleras

Dans l'effroi

Des cailles ras,

Qui caillent ras

Aux racailles,

Vous, mes cailles

De vilains petits canards,

A la contre dense 

Et à la une condense

Du journal des canards,

Où le monde caillera,

Caillera

Et en a marre

D'avoir froid

Dans l'effroi,

Comme demeure pleine la mare

De Damart,

Vous, mes cailles ras

De la racaille,

Qui perdurent

A avoir la dent dure

Avec l'émail,

Où vous videz vos mailles,

Dans l'email internet

Comme de rien, hein, vous n'êtes pas net,

Qui caillent ras

Dans le bétail 

De la racaille,

A fumer un joint

Et à enfumer ci-joint,

Adjoint du oin-je à en fumer

Le CD DCD portables,

Dont ne sonne

Le téléphone

Portable,

Tel est fun,

L'ex portable 

Et exportable,

Au marché anglo-saxonne 

Du saxophone,

Des mauvaises consonnes

Qu'on sonne

Dans les mauvaises colonnes

Vertébrales, des pylônes

De racailles ras décérébrés,

Décervelés et écervelés,

Par le cervelet limité,

Hors-forfait illimité,

Qu'on enjoint

Six joints,

A parfumer

Le calumet de la paix,

Qu'allumait le camouflet

Camouflé des cons venus

Parvenus en déconvenues,

Par de sales mouflets,

Comme le monde est caillera

A la racaille caillera,

Vous, mes cailles,

Qui caillent

Ras au froid

De l'effroi,

En coups de chaud,

Brûlés sur la paille

De l'épouvantail,

Dans l'échafaud,

Où il n'est pas trop tôt

Que l'étau se soulève tôt

Avec les lève-tôt

Qui se relèvent avec les taux,

Ma foi, n'est pas trop tôt,

Si le monde caillera 

Reste caillera

Avec les racailles

Et avec les cailles ras,

Vous, mes ras cailles,

Racailles qui caillent ras

Au ras de l'écaille,

En attendant de rentrer 

Au bercail,

Avec froid

Et en froid de l'effroi,

Ma foi, 

Si le monde caillera,

Raille 

Et déraille,

Avec les racailles

Et avec les cailles ras,

Vous mes ras cailles,

Racailles qui caillent ras

Au bas de l'effroi

Qui jette un froid,

Où vous, mes cailles,

Caillent ras de la maille,

Des rats amarrés,

Quand l'email 

Rejette l'émail

De la dent dure,

Avec dame nature,

Et maille

Qui maille

Aux mailles,

Du filet

Filé, enfilé, et refilé

Au macadam de l'email reçu,

Avec l'émail préconçu

Et conçut,

Qu'on sut 

Parachevé et achevé,

Au chevet

Feint si le monde caillera,

Avec les racailles

Et avec les cailles ras,

Avec vous, mes ras cailles

Qui caillent ras 

Au ras

De les cailles

Qui referment l'écaille

Au chaud après l'effroi,

En froid avec le réchaud,

Si bien qu'avec le chauffe-eau, 

Il fait chaud avec les chats faux,

Au parfum d'écaille ras,

Que ça caille ras

Plus en froid

De l'effroi,

De la racaille,

En froid défunt,

Mes cailles ras

Au ras de les cailles ras,

Ras l'écaille ras,

Par fin, 

Afin que le monde caillera 

Caille ras

Les racailles,

En s'assouplissant du froid

Au chaud,

Avec vous, mes cailles 

Ras à l'eldorado,

Enfin, de retour au bercail.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

                                                   Citations  :

 

 

1)  Quand on parle de la mort de Françoise Sagan, on en fait tout un roman !

 

2)  La noblesse de La Catalogne, c'est quand on la décompte D'Espagne !

 

3)  Un pays qui ne reconnaît pas un génocide, dit à la nation concernée :

      "  La balle est dans votre camp  "   

 

4)  Une prostituée qui tombe dit putain, merde  !

 

5)  Une personne qui n'aime pas les écrits d'un poète, se fait du sang d'encre vu le contexte.

 

6)  Un gars qui s'en fout de la politique n'a pas de parti pris  !

 

7)  Quelqu'un de mature rase les murs  !

 

8)  Un homme politique accro à la nicotine, nous enfume  !

 

9)  Un génocide réussi, on en dit avec humour, qu'il fait Shoah  car tu vannes et revannes !

 

10)  L'indifférence, on y voit notre intérêt  !

 

11)  On dit à un médecin surmené, prenez soin de vous  !

 

12)  Un joueur de pétanque triste a les boules  !

 

13)  En France, y a plus de respect car tout m'est pris  !

 

14)  La bible du Coran t'aura en te convertissant de ton humour propre  !

 

15)  Un cycliste fou a des petits vélos  !

 

16)  Un fabricant de glace à la réputation sulfureuse peut se regarder dans la glace car son image écornée le laisse de glace  !

 

17)  Un écrivain qui fournit son travail, le livre  !

 

18)  Le 1 er janvier, on souhaite un bon début damné à quelqu'un de maudit  !

 

19)  On prie chaque 15 août en fêtant L'Ave Maria  !

 

20)  Quand un terroriste commit un attentat en Tunisie, on le charria  !

 

21)  Avec les gens égoïstes et doux, c'est chacun pour soie  !

 

22)  Un médecin fou, on lui dit, t'es malade  !

 

23)  Le 9 du mois, on dit au médecin en prenant de ses nouvelles, quoi de neuf docteur   ?

 

24)  L'homme est responsable du déclin de la planète car le monde va mâle  !

 

25)  Tout fout le camp en France après qu'on ait massacré des juifs  !

 

26)  Charlie Hebdo en fait tout un dessin de L'Islam au motif qu'il en devient sa propre caricature  !

 

27)  Manque de peau, un Français raciste arrête de voter Le Pen  !

                                         

 

                                            

                                             Jérôme de Mars

                                       

 

Nonobstant   

 

D'antan, on émet vivants,

D'avant, Aimé aimait vivant,

Par avant, Janique aimait vivant,

Paravent que le vent aimait vive vent,

Nonobstant, autant que le temps 

Accordait à toutes les saisons,

Et raccordait avec la moisson

Regardée devant d'après la chanson,

De François Valéry qui cependant

Entonnait aimons-nous vivants,

Avant que la mort nous trouve du talent,

Car l'ancien testament raccommodait les par êtres déviants

En êtres devant et vivants, aimants et amants du temps nonobstant,

Que l'on aimerait toucher charnel et soufflait le vent 

Amant en neiges éternelles et bravant le souffre perdant,

En un souffle poignant et touchant les cheveux dans le vent

En un temps réconciliant et réjouissant jouissant du temps présent,

Nonobstant pendant les moments plaisants aux agréments 

A tous les instants à temps qui attend le soleil rassurant,

Et réassurant le souffle devis réenchantant d'autant charmant

Comme l'on comprend que le temps passe et surpasse irrémédiablement, 

Indifférent, le présent exaltant qui se décline en un clignement des yeux

Car tôt ou tard, on se jettera dans l'océan sans blanc au rappel de Dieu aux cieux,

Dépendants, où pendant le peu de temps qu'on vit dans un laps de temps

Autant vivre pleinement, quand les gens sont vivants et dans le vent,

Qu'il faut aimer autant que cependant et nonobstant d'antan à maintenant

Et dès pendant du moment présent à conjuguer au ciel florissant,

Et prospérant, en fredonnant à jamais, sempiternellement que la vie

Est un sablier, dont chaque jour trépasse en secondes qui s'écoulent en préavis,

En ces temps tumultueux et nuageux et disons-nous voyons-nous avec des rubans

Brillants et étincelants pour que ce ciel brumeux fléchissant devienne réfléchissant,

Et luisant à la lumière qui scintille en un beau soleil bleu banni les bleus gris

De la vie, où fleuriront et resplendiront les roses en fleurs d'un coeur rejailli,

Et revenu des mauvais esprits, si on peut se voir et entrevoir le songe ébloui

D'un après-midi souriant autour d'un café crème de brèves de comptoir abreuvoir,

A nous conter nos sagas d'histoires, où on attend impatient assis votre réponse

En priant qu'elle soie oui rendez-vous samedi au café littéraire à Paris à la ronce

Devant cette ville téméraire et éphémère en sirotant une bonne bière au parterre,

D'un courant d'air sifflotant des parfums linéaires hauts des vents à sens contraires

A bientôt nonobstant, autant on espère simplement dans le vent, pas de blizzard  !

 

Jérôme de Mars

 

Le totem et le requiem de l'amour

 

Autant des marguerites

Fanées et régénérées,

La clé de l'amour

S'ouvre sans détour,

Dans la partition qui gravite

Le menhir et le granite, 

En priant avec l'eau bénite

Qui roule tambours et topinambours, 

Des calembours 

Aux rosiers qui s'épanouissent,

En fleurs d'ébénistes qui grisent

Le film Grease et La Lettre à Elise,

Pour qu'elle élise le totem

Et le requiem 

De l'amour,

A sens unique et à encens troubadour

Que la fontaine de Trévise

Vise 

Au manteau de vison,

Et révise

Aux portes-manteaux de la vision

De l'amour

Au théâtre Les Blancs-Manteaux,

Quand l'amour sans filtre ricane en vautours

Et divise le totem,

Et le requiem 

De l'amour, dont l'emblème blême

Se condense en un oedème 

Qui s'immisce et glisse

Dans les durs à cuire de l'amour,

Qui se gangrènent et parsèment

Ce monde peu propice

A miroiter qu'il n'ait bisounours,

Tandis que le jardin mausolée

De l'amour

Finit endeuillé,

Lorsqu'il rembourre 

Le souffle de Cabourg,

A bout de bravoure

Et comme alors le mare de café

Boit la tasse en laissant tomber

Son trophée

Sans regrets,

Comme le totem

Et le requiem

De l'amour,

Boursouflent d'un goût de bonjour

Les supplices

Qui se convertissent en délices,

Et qui se caressent  dans du velours,

Dès que le totem

Et le requiem

De l'amour,

Souffrent le souffre déchantant

Et propagent les soupirants 

Dans la cour,

Des grands

Sans faux sans blanc,

Car les images de l'union sacrée

Valent une communion désacralisée,

Et dévalent l'alliance de l'amour

Avec une médiation la cerise sur le gâteau

Qui valide les bons mots, 

Comme le parfait coup de sirocco

D'un mouvement aimable,

Deux pieds, deux mesures 

Avec dans sa nature

Une réconciliation probable à l'amiable,

Pendant que le totem 

Et le requiem 

De l'amour

Bavardent de beaux discours,

Avec le requiem de l'amour qui déterre

La hache de guerre avec l'enfer,

Et le totem de l'amour qui a le courage

De raccommoder l'élevage et le marivaudage

Dans le langage de la paix et de la modernité,

Comme ainsi, les êtres insatiables peuvent rester pénétrables

Du triomphe vénérable,

Au compte à rebours

Véritable et vulnérable,

Qui distille volontaire une pastille d'amour

Un de séjour,

De l'ours caché

A la toile de la grande ourse,

Qui course

Sitôt l'adéquation ressuscitée,

Et qui a suscité de profondes émotions,

Car la jachère

Se cultive d'un amour subsidiaire, 

A un clan indissociable

D'un dispensaire d'amour cher,

Où l'on vous claironne bravo, les amoureux

Du septième rang,

Durant le passage du courant fournisseur pour longtemps,

Que le totem de l'amour

Divorce du requiem de l'amour,

Qui s'égrènent, lorsque l'amour amorce

Le déclenchement d'une écorce,

D'un début de magistrale idylle,

Subjuguée et qui en vaut le détour

Parmi vous,

Auquel se voue

Le retour de l'amour,

Avec trompette et tambour,

Où vous fleurissez le fabuleux fleuron

A toutes les saisons,

Car voilà l'amour à l'horizon

Et au balcon de la cour 

Echasse à courre, 

Comme l'amour est un totem

Qui aime d'un velours

La bohème,

Et qui finit premier au concours

De l'amour carpe diem.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Loup phoque

 

Chien débattu,

Sors des abois

Et des sentiers battus,

Comme Pinocchio,

Tu es fée de bois

Et tu montres de quel bois

Tu te chauffes avec Paul Préboist,

Que tu loues 

En chien-loup phoque, 

Et loufoque que tu suffoques

De ta mère louve,

Qui te couve 

Chienne dévie, 

Avec le devis de ta panoplie

Loup phoque,

Par la loutre de ton froc

Qui se baisse 

Et se rabaisse comme Thérèse 

De ta fantaisie infâme fontaine,

Quand tu piques la cigale

Et la fourmi,

A Jean De La Fontaine

Qui a six gales frugales

Avec son repas oh quel régal,

Quand t'as des fourmis dans les jambes

Et que ça te fait une belle jambe

De réciter loufoque, 

Le loup phoque

Qui croque, 

Et t'escroque

Tes plates bandes,

Que tu empiètes et tu débandes

Avec ton sexe plat qui truande

La belle et la bébête qui monte et te demande,

Si la femme fontaine te procure jouissance

Dans la volupté et les réjouissances

Loufoques et coquines, 

Et si ta copine te dandine

A t'aguicher au guichet,

Eh hop dulcinée

Je te luxure et te raconte fleurette,

Car c'est ma nature de composer une bluette

Et chansonnette de roture loufoque,

Qui te loue et t'alloue un rock dans le colloque

D'une coloc entre gens bienveillants

Et déviants d'humilité dans l'humidité transparents,

Qui mouillent ta chemise hou là là, elle vient

La fontaine qui sort des orifices du corps humain,

Comme c'est visqueux de ta main, n'est-ce-pas petit diablotin ?

Où sont passées ta pureté et ta virginité dans le loufoque libertin,

Liberté, libertaire et contraire à ta souveraineté toute peuplée ?

Remets-toi de ta puberté dans la rue contemplée et surplombée

De Casanova à Don Juan où tu t'émancipes dans le jeu de la séduction,

Avec Zébulon et Eros Ramazotti au nom susurré de l'amour électron

Qui t'emporte en déchaînant tes passions avec Apollon dieu des plaisirs,

Qui emporte ton triste Sir en un cirage de pompes qui te pompe en satires

Toutes tes articulations penchées et déhanchées en haut et en bas loufoques,

Car cher loup, ça sent le phoque que tu fuck en positions sado-masos et machistes

Comme les machinistes de La SFP, à faire trac trac l'amour à la machine d'artiste,

Où après une overdose de zones de pénétrations, remets-toi de tes émotions

Loufoques, comme tu avances et devances les recalés, loup phoque,

Car après le phoque, ça sent le fuck,

 Pourvu qu'on te loue au suivant et exécution.

 

Jérôme de Mars

Tout est dit  ! 

 

Lundi, on dit que y a pas radis,

Dès que l'un dit qu'on naît au paradis,

Quand ça me dit qu'on dit 

Avec les on-dit que tu quittes un peu le condi,

Pour que tu en sois quittes et que tu étudies

Comment personne te répudie,

Hardi en Laurel et Hardy

A braver les interdits et les non-dits,

Comme tout est dit par à dit

Dans ce slam inédit, sans que le rad

En rab de bistrot de comptoir,

Te dénigre en exutoire jusqu'à ton purgatoire

Avec tous ces racontars de faiseurs d'histoire crade,

Car tout est dit qu'on te médit toi, le poète maudit

Tout comme si tu t'appelais Médhi,

Si on te dédie en on-dit qu'on te prédit

En profusion une rafale de on-dit qui te redit,

Qu'on ne te calcule plus en calculs névrotiques

Pour battre le pavé que dalle des cailloux néphrétiques,

Aux nappes de Sète à table des nappes néphrétiques,

Comme tout est dit, qu'on te maudit et qu'on te médit

Avec le condi lorsqu'on dit à toi et à Médhi, retournez à vos je interdits,

Du passé trouble qui vous soûlent le raisin mûr en lâchant la grappe 

Qui vous sapent le moral et vous sapent l'immoral dans une force de frappe,

Car tout est dit sans médhi, si on se met à ta place comme en surplace, et qu'on dit

Que tes non-dits t'ont possédé sens interdits dans le paradis, 

Où y a pas radis de combler le vide affirmatif qui te sonde Hardi

Ce que tu penses de Françoise Hardy, 

Et de sa mélancolie profonde que tu frondes les on-dits pour humer le paradis

Intemporel des lignes de principes en camomille qui t'infusent de l'aplomb prédit

A susciter l'encens interdit du virtuel en appréciant l'essence inédit,

Du réel qui t'apporte une bouffée de chaleur humaine, car tout est dit

Que le numérique n'est pas l'avis, mais une déviance qui t'époumone médit

Au mâle maudit alors qu'une embellie au paradis de Vanessa te rend chéri samedi,

Quand l'un dit que Lundi te renchérit, quand t'arrives au paradis et que ça me dit

Que samedi y a paradis et que lundi y a pas radis, car tu t'irradies malgré les on-dit

Et que tu t'en fous, comme tout est dit si on te cherche des noises,

Lorsque y a paradis au par à dit et que y a pas radis à l'ardoise

De tes dettes au condi, qu'on dit que tu médis les on-dit et qu'on te maudit lundi,

Quand l'un dit que tu dédies le condi hardi au paradis

Des insoumis et que c'est samedi que ça me dit de te voir pour entrevoir ravi, 

Les on-dit auxquels tu redis toute ta sympathie d'allier les amis avec les jolies folies

Que tu assènes endormi par l'eucharistie en synchronie qui concorde au Paris,

Des trente glorieuses et élogieuses d'une époque révolue à jamais d'ailleurs souris

Au parc mon sourire, où on t'attend samedi, quand lundi que ça me dit, que l'un dit

Tout est dit.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                                     Blagues  :

 

 

1)  Que dira-t-on de toi Catherine, si tu fais une peinture qui reflète le climat social de La France  ?

   -  Que tu dresseras un tableau autoportrait de La France.

 

2) Laëtitia, pourquoi les rares moments, où tu es en paix, c'est quand tu fais des travaux chez toi  ?

  -  Parce-que tu bâtis des choses constructives  !

 

3)  Que fait une femelle CARAMBAR pour que son mâle CARAMBAR ne soit plus casse-bonbon  ?

 -  Elle le suce  !

 

4) Katia, pourquoi m'as-tu bloqué ta messagerie sur Facebook  ?

-  Parce-que moi, je ne suis mais sage.

 

5)  Pourquoi ma nièce Méliné a-t-elle des difficultés d'éveil  ?

-  Parce-que c'est un casse-tête chinois !

 

 

                                                 Jérôme de Mars

 

Personne ne s'entend  ! 

 

Chers inconnus, bienvenue

Sur le port salut,

Où je vous salue

En vous prêtant l'oreille,

Et en m'apprêtant dans la vertu

A vous distribuer conseils

Dans ce monde d'égoïstes,

Où personne ne s'entend

Depuis cent ans, indifférents

A porter leurs tourments

Dans le néant triste,

Comme personne ne s'entend

Et ne se comprend,

Malgré le boucan et les tympans,

Comme tout fout le camp

Du quand au décan,

Car hélas règnent les malentendus

Désarmants et hypocrites,

Aux impeccables contradictions 

Desquelles se fritent

En frictions et en éviction,

Les individus imbus

D'eux-mêmes

Sans paroles qu'ils ont bues,

Repliés dans leurs problèmes,

Car La France s'enlise et s'effrite

L'huile sur le feu,

Comme personne ne s'entend

En ces instants troublants

Déjà qu'ici les mafieux

Ont corrompu 

Les hommes pieux,

Et les ont fichus

Bourrus et malotrus,

En n'y croyant plus fourbus

De s'en foutre comme d'un rébus,

Qui n'a pas résolu

Les mystères d'une vie dissolue,

De sorte qu'elle s'harmonise 

Et qu'elle se localise

Au clair de la fontaine,

A survoler le chêne

De l'amitié qui plante l'amour et la paix,

Quand les hêtres guéris de leurs bûchers

Et vanités

Laissés et déshumanisés,

Récoltent dans le jardin besogneux

Une quantité d'assortiments copieux,

Lorsque les malentendus semblent distendus

Et s'assimilent résolus et entendus,

Car personne ne s'entend

Depuis cent ans,

Mais avec le temps bienveillant

Qu'on attend,

Le soleil nous détend

Comme on se repent

Et qu'ainsi, on répand

L'amour équilatéral,

D'égal à égal en amiral,

Quand tout le monde s'entend

Et que plus personne n'est médisant

Et méchant,

En vogue sur l'océan,

Comme tout le monde répond présent

Pour une fois qu'on s'entend,

Pendant cent ans.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                        Blague  :

 

 

 

Que dira-t-on de moi si je suis handicapé et fixé sur mon fauteuil à voir défiler ma vie et mon passé dans une maison de retraite médicalisée  ?

  -  Je serai sur un fauteuil déroulant  !

 

 

 

                                                Jérôme de Mars

Gruyère dérapé

 

Ecuyère, c'est râpé,

Toi qui en fais 

Tout un fromage, 

Tu l'arroses art image

Aux ramages du gruyère,

Dérapé qui prend par le dos

Et cuillère bordel effet dodo,

Quand la trappe t'attrape 

Farces et à trappes qui rappe

En perçant des trous cannibales, 

A apprendre par le tourne-dos

Ecuyère dans ce bordel des maisons closes,

Dont les positions vous envoient des positions écloses

En tournant le dos contre dos des dodos d'oiseaux,

Qui volent le gruyère rappé par la souris qui a râpé

Le piège à sourire qui sourit la souris qui a raté, 

Le gruyère dérapé et cuillère écuyère qui mènent leur cirque

Dans le chapiteau de la piste aux toiles aux critiques, 

Quand le chat et la souris jouent au chat et à sourire

D'une mauvaise mine qui va au charbon à sous rire

Dans ce morne jeu d'équilibriste à cavaler en un sacré numéro,

Consacré roi de la rétro droit devant à se dandiner en un joyau

De petits bijoux de famille qui crient famine gruyère râpé,

Quand et cuillère rappée a dérapé écuyère on ne t'a pas raté

Affreux jojo d'un misérable corbeau qui rapporte les gros mots,

Avec ton plumeau pour passer un coup de ballet et dépoussiérer le piano

Qui a besoin d'un remue-ménage qui ne ménage les ménages au foyer,

Qui payent leurs potins d'impôts à n'y comprendre pas grand-chose de grogner,

Si c'est le sujet d'être assujetti à l'impôt de rogner cette chienne devis à renier

Ce gruyère dérapé qui en effet tout un fromage aux caprices insidieux à gratter,

Le poêle à chauffer le tour de réchaud que ça tente de décamper ainsi dieu a râpé

Ce cantique en religieuses de gâteaux avec ces farces et attrapes à trappe nigaud,

T'as relâché le ballon d'essai regonflé à bloc qui étonne des tonnes finauds

Au plus tôt plutôt avec les badauds,

Qui vous promènent dès que tout tombe à l'eau allo et à bientôt  !

 

Jérôme de Mars

Une goutte d'eau dans l'océan

 

De ton nom océane, je t'appelle,

Pour que tu contribues

De ta bulbe à mettre l'or à la pelle

Dans la mer polluée aux détritus obtus,

Si seulement tu l'insuffles d'une eau écarlate

En bleus turquoises papier buvard de cresson disparate,

Comme une goutte d'eau dans l'océan,

Océan de tes passions mais en Occident

De ta providence que tu regrettes de n'injecter,

Une jetée d'encre sur la jetée de la digue éjectée parfum d'Orient

Du crime de Lorient Express vitesse grand v sur la mêlée, 

Qui vise une goutte d'eau dans l'eau Océane sublime effluent

Influent de tes décisions sur l'excision fatale de l'exilé discal, 

Avec son hernie fiscale qui inspire une désolation abyssale

Comme une goutte d'eau dans l'océan, toi, L'Océane de la fronde,

Qui façonne la faconde à la seconde des leçons qui grondent

Les délivrances émancipatrices des accordéons ombilicales,

Dans la noblesse de l'ordre des choses à la dignité principale

Qui s'imprègne des visages pâles de la couleurs de la solitude hexagonale,

Quelquefois, quand le vagabondage flâne et côtoie l'orée de la forêt régionale,

Lorsque toi Océane, tu recherches ton totem au sésame qui ouvre les graines

De ton filtre d'amour sans filtre pour retomber sur tes pieds beaux que la mer,

T'ouvre en raz-de-marée avec une partition qui te distille les remèdes dans la serre

Qui t'envoie des fleurs et qui te freine un long chemin en te demandant,

Par-ci, par-là, Océane, comme une goutte d'eau dans l'océan

De t'écarter le mal de mer en te souhaitant en accidentée de la vie bonne semaine.

 

Jérôme de Mars

On est seuls, on demeure seuls

 

Pères ils en la deux moeurs,

On effleure les fleurs du mâle

De l'homicide lacrymogène, 

Qui braque la commode aux souvenirs

Qui se rangent dans le tiroir des nurses,

Affligeants de la douleurs anxiogène

Des dérives qui fleurent les peurs aux soupirs,

Quand les soupirants décampent cet arsenal

Des pères ils en la demeure,

Comme c'est là ici bas que le cristal se casse 

Dans les maux d'impasse qui trépassent, 

Comme on naît seuls et qu'on meurt seuls,

Mais cependant, la réalité qui rend les êtres veufs

C'est lorsque le neuf vieillit veul,

Comme on démarche sur l'oeuf

Gâteux et douteux péril en la demeure,

Si grandiose qu'on est seuls

Et qu'on demeure seuls dans le demeure,

Et qu'on en meurt rouge gorges dans la liqueur

D'une jeunesse gâchée par les raideurs et les laideurs

D'un péril en là que tu meurs,

Dès que là tu meurs, c'est là que tumeur

Avec les cendres qui fument, même si t'es non fumeur,

Et qu'on t'enfume d'un soi-disant gentil bonheur

Qui s'amenuise dans un discours de beaux parleurs,

Promettant de meilleurs honneurs même si la pudeur

T'a appris à ne rien attendre des hommes bonimenteurs

Pères ils en là demeures,

D'où la vérité inédite des non-dits tabous pleureurs et vecteurs

Au dénominateur comme un des interdits délateurs,

Quand y a péril en la demeure et que là demeures

La joie simple et l'humilité modeste qui en reste,

Pour apprécier les vertus qui te délestent céleste 

A espérer atteindre le nirvana des songeurs à la fresque,

Des forts rêveurs pittoresques qui égrènent les arabesques

Aux traits de caractères bien trempés et trompés par l'irrévérence,

Des laissés pour acompte dès que le travail s'effectue en silence

Dans l'enjeu de l'oie d'une mise en boîte de Pandore passée sous somnolence,

Au je m'en foutiste fataliste qu'on n'y croît à la grandeur mais à la décadence

Pleureurs et tristes d'en arriver là tu meurs que y a désormais péril en la tumeur,

Comme à jamais s'écorne les pères ils en là demeures la que tu meurs 

Dans ta dernière demeure aux écorchés vifs accidents dominateurs, 

Comme on naît seuls et qu'on demeure seuls en la demeure,

Dès qu'on est seuls et qu'on meurt seuls en là demeures que deux meurent

En là que tu meurs,

En la que tumeur.

 

Jérôme de Mars  

 

Ni gauche, ni droit

 

Partis mépris,

Je n'ai de partis pris,

Car je suis parti

Autant imparti,

Reparti dans l'un parti

De ce que j'ai repris,

En répartie hein parti,

Comme je suis gauche

Et que je ne vote ni gauche

Et comme je ne suis droit,

Je ne pivote ni droit,

Ni au centre

Que je recentre,

En une politique gauche

Et au centre maladroit,

Car j'ai droit 

D'être au centre,

Ni gauche

Ni droit,

Comme je m'en fous

De tous ces fous, 

Ripoux pour un sou

Et sans dessus, sang dessous,

Qui me cassent les couilles

Très casse-couille,

A la foire aux fouilles

Auxquelles je ne m'agenouille,

Vice à vice de ces grenouilles

D'os maudites,

Que j'emmerde avec mes paroles non-dites,

Car la politique,

Je la polis tique 

En polis-tics,

Ni gauche

Ni droit,

Comme un coup,

Je virevolte gauche,

Et l'autre coût,

Je me révolte droit,

Alors que le bon con promis,

C'est le centre gauche

Et droit,

Pour un juste milieu

Au lieu,

Que les partis pris

Se radicalisent extrêmes,

Très gauches

Et très maladroits,

Aux impartis mépris,

Comme les solutions à tous nos problèmes

De Madame Le Pen,

Qui emmène 

Un programme qui le peine

Notre pays,

Enseveli dans la crise

Qui enlise

Les bénis ni oui, ni non,

A l'affront

National de la connerie,

Monumentale et en démarche nuptiale

Avec un arsenal,

De manifs 

Kif kif,

Ni gauche

Ni droit,

Comme il n'y a de kif,

Car le canif

Se substitue au calife,

Sans qualifs, qui veut

Prendre la surplace des sous-tifs,

Si bien qu'on se fait des sous tifs 

En rectificatif, 

Comme il faut rester objectif,

Ni gauche

Ni droit,

Mais au centre

Qu'on recentre

En un juste milieu,

Qui débute 

Haut lieu de Dieu,

Ainsi, réveillons-nous fiers et orgueilleux,

D'être béni gauche

Béni droit,

A l'aile gauche

D'un mouvement droit,

Droit au butte.

 

Jérôme de Mars

 

 

L'école de la vis

 

Bonjour, écoutez-nous,

Ouvrons la parole systématique

Et établissons un diagnostic,

De cette société agnostique,

Aux liens qui se dénouent

Dans l'inculte du tumulte,

Qui exulte et insulte

L'ordre public amnésique 

Et hérétique,

Dont les instants sont critiques

Aux émois anémiques,

Qui  fustige cette France pancréatique 

D'insalubrité en états d'odieux,

Aux vestiges qui restent des vertiges

Qui décrédibilisent les politiques,

Car on les proscrit 

Etres empathiques

Et altruistes,

Comme on les prescrit

Hêtres cyniques

Et égoïstes,

Dans l'école de la vis

Avec la coupe pleine qui dévisse,

La société qui s'enlise

Et qui se radicalise,

A laquelle on ne s'idéalise,

Comme on réalise

Que le monde est synonyme

De vice,

Et qu'en prime,

Tout se politise

Et se monétise,

Dans un pseudo credo

Qui sonne faux,

Que le pays se police

Dans un par être de culture

De sois-disant Claude Monet,

Alors que la police sévit ces vices

Avec sévices,

Et que la société enclenche l'avarice

D'apparente posture,

Où hélas, ici règne la désinvolture

De renaître,

Tandis que la réalité 

Laisse paraître,

Que La France et L'Europe

Sont en train de disparaître

Sur de bons rails avec en prises de becs,

Trop de tabac

Pète-sec,

Comme il envoie paître

Le bon sens

Qui encense

L'école du vice,

Si bien que par décence

Il vaudrait mieux,

Qu'on ait tendance

A remettre

En intendance,

L'école de la vis

Qui vise

A serrer la vis,

Avec l'aide du tournevis

En outil propre qui répare la coupe,

Comme elle se découpe

Dans l'ultime but qu'elle redevienne

Saine et sienne,

Pour river par petites bricoles

Et dériver les choses folles,

Afin que l'école de la vis

S'avise à renouer avec l'école de la vie,

En se rappelant notre enfance

Avec la colle de l'envie

En pure innocence,

Qui décolle

Un imminent déclic,

En clics

Au paradis de la communication expansive,

Si vive qui ravive les anciennes ex pensives

Autour d'une si présente

Insouciance omniprésente,

Et plus si ressemblance avec réjouissance

A bientôt en France  !

 

Jérôme de Mars

 

 

Tristesse de joie

 

Petite soeur

De ton coeur,

Pourquoi tu pleures

De joie,

Quand tu vas

Aux Contamines-Montjoie,

Et que la joie

Te contamine rabat-joie,

En larmes de tristesse,

Alors que tu ris d'allégresse

Dans la liesse

Et le désarroi,

De la galette

Désarroi,

Pourvu que tu fasses une trêve

Dans la sève, 

De la fête

Des parois,

Que tu rabats joie

Dans la défaite,

Et qu'en fait,

Tu débats dans la joie,

Quand tu rabats de joie

Une fête 

Déjà rois,

Dans la galette,

Où tu prends ton bon coeur

A en mûrir dans le bonheur

Et la ferveur,

Des fêtes

En vigueur

En fait,

De tristesse de joie

Que tu pousses un cri de joie,

Pour raviver ta foi

D'un poids léger d'ardeur,

Dans le goût roi

De la fève,

Qui arrive à la belle heure

De la candeur,

Qui réveille en douce soeur

Dans la douceur,

Qui rêve

D'un ailleurs meilleur,

Qui s'achève

En joie de liesse,

Parmi les gens rieurs

Qui drainent la prouesse

Tristesse de joie,

Enfin roi,

D'où perdurera

Ton allégresse

De bonheur,

Quand tu pleures allégresse 

Et que tu ris tristesse

De joie,

En ton coeur

Paroi,

Et honneur

Des pas rois,

Allégresse

Aux Contamine-Montjoie,

Qui te contaminent en liesse

Démons joie

Et famille de joie,

En douceur

Et oh rabat-joie

Douce soeur,

Que ton coeur

Batte sir tristesse

Et qu'il rabatte joie et allégresse,

A l'adresse

De la liesse,

Comtesse

Des rois,

Hauts pas rois,

De la joie

Aux parois

De la délicatesse,

En fête,

Déjà rois,

Désarrois

Pas rois,

Destination aux parois

Aux pas rois,

Déjà rois

Tristesse de joie.

 

Jérôme de Mars

 

Pas rassis

 

Pas rassis

Le Pen n'est raciste

Et le pain est rassis,

Quand le pain qui n'est rassis est raciste,

Lorsque Le Pen est raciste alors que s'il n'est rassis

Le pain est rassis et ras si assis

Que Le Pen est rassis sur le pain blanc assis,

Alors que si le pain noir est assis, Le Pen est raciste

Que le pain noir n'est rassis car le pain blanc est rassis,

Quand Le Pen est assis sur du pain rassis

Et que le pain noir est rassis lorsque Le Pen n'est rassis,

Car il n'est raciste et qu'il n'est assis ras si assis,

Que le pain noir et blanc se marient aussi assis car j'en marie

Le pain noir

Et le pain blanc,

Qui unissent noir sur blanc

Leurs couleurs et cris d'espoirs,

D'un triomphe porteur d'un ruban

Elan métisse qui mélange mésanges,

Et mes anges qui engrangent en grange

Vierges Maries assis et mixtes et ras si qu'on en oublie nos  pains perdus

 Et éperdus racistes,

Aux assises de tous les petits pains assis et rassis pacifistes,

Comme ils se vendent comme des petits pains altruistes,

Et qu'on mélange le pain noir et blanc assis et rassis

Pas racistes mais ras si que le pain divers assis est si rassis et pas rassis,

Ensemble assis et rassis.

 

Jérôme de Mars

 

Le ver glas  

 

Panne d'inspiration le ver est over, en attendant qu'on lui donne le feu vert

Pour démarrer hydrocarbure et qu'il carbure ouvert et en vers qui germent ovaires,

Des mamelles des femmes de pis en pis lorsque le ver glas glace de marbre

En verglas bigames et polygames d'un jeu de gammes qui plante des pins d'arbre,

En pépins pré-verts car le ver glas est haut vert et ouvert, car le gamme over,

Ca donne naissance ovaires en vers d'un verglas qui gèle l'oh vert quand le pré ver

Grandit d'un poème de Prévert en ver glas qui vernit le ver solitaire au ver ordinaire

Des ramassis d'un oedème en bohème qui gangrène les passes-plats sagaces,

Qui s'agacent des problèmes qui s'adonnent au vers glas qui donne du verglas

Et coordonne le glas vert ouvert dans un jeu de gammes pictogrammes en gras,

Lorsque le verglas laisse de glace le vers glas dans un terrain glissant en Carglass

Qui répare le ver en vers solidaires au pied des douze si là les verts et aux vers

Faux revers qui bedonnent ouverts en un vaste ver glas qui saxonne au verre,

Et se termine fenêtres over d'un ver ouvert en revers over qui résonnent car glaces

Anglos-saxons et raisonnent en se mettant aux vers glas qui sonnent le glas.

 

Jérôme de Mars 

 

                                                      Citation :

 

 

 

Si un jour je finis fou et seul à l'asile, enfermé et en étant attaché, c'est

que mon cas m'isole de force !

           (  camisole de force )  

 

 

 

                                               Jérôme de Mars

Les vents d'ange 

 

A l'accoutumée consommée,

L'heure de la récolte a sonné

Lors de l'été qui aime l'ire

Les raisins de la colère consumés,

Entre les vies d'ange aux parfaits mélanges

Et les vents d'ange de l'amour, 

Qui engrangent les vendanges

De la cueillette du vin dans les faubourgs,

Des troubadours qui bourrent les bourgs

Villageois avec une bière bien pressée

Accoquinée avec du vin mariés et empressés,

D'en découler un breuvage spiritueux 

Après la fermentation du raisin fructueux, 

Quand les vents d'ange lâchent la grappe

Des raisins qui maturent dans les cépages, 

Car ces pages tournent le fruit de leur travail aux images

D'un tendre hommage, lorsque les raisins sur la table

Se dégustent entre le vin affable et l'usufruit sur la nappe

Qu'on mange et démange en enlevant les pépins de santé,

Pour pardonner à Dieu toutes ses épreuves effrontées,

Aux quelles on est confrontés en devins et en deux vins viables,

Où l'on s'écrie bonjour de France que la récolte est belle

Si on ajoute en valeur plus ajoutée une confiture de mirabelle,

Avec de la prière, de l'amitié, de l'humanité et du fromage afin d'invoquer

La paix intérieure et le calme atténué que les sacrifices

Des journées aux périodes antérieures ne furent vains,

Car au fruit de l'exode mural, on se réclame que Dieu nous bénisse

Des vents d'anges aux vendanges, où l'on s'assoupira vierges effarouchées

Dans un sommeil profond et pérenne avec notre bâton de pèlerin pour la postérité.

 

Jérôme de Mars 

 

                                                    Blagues :

 

 

 

1) Pourquoi à Madrid, est-ce-que c'est plus facile de se masturber au sein des femmes  ?

 -  Parce-qu'il y a la branlette espagnole  !

 

2) Qu'est-ce-que c'est de se foutre en l'air par Facebook sur Internet  ?

 -  Un suicide connectif  !

 

 

                                             Jérôme de Mars

                                                    Citation :

 

 

Une personne majeure qui n'est pas vaccinée contre les accidents de la vie, on la prend en grippe !

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

 

Le printemps bat de l'aile  ! 

 

Oiseaux de mauvais augure,

Autant favoriser l'ouverture

Avec une aventure

Qui élargit le signal de couverture,

Avant que la rupture

Consomme la nature

Dans la démesure,

Des relations qui dénouent la couture

Aux fils emmêlés de vergetures,

Quand le printemps bat de l'aile

Et divorce à tire-d'aile

En mariages sans dentelle,

Qui consolident la bagatelle

Des unions infidèles,

Où l'autel rédige l'épitaphe

De son hôte tel

A l'hôtel mortel

En stèles autographes,

Lorsque le printemps bat de l'aile

Des libellules aux hirondelles

Qui reniflent la rondelle

Des vierges pucelles,

En pensant ritournelle

A raconter qu'untel

Malmène les saisons passionnelles,

D'un changement de partenaire essentiel,

Afin d'y inséminer une semence plurielle,

Si tendrement bon que la grâce vous reconnaît charnel

De sa volupté tourterelle

Disséminée au septième ciel,

Quand le printemps débat

Nous irons d'ailes

Attire d'ailes.

 

Jérôme de Mars

Le soleil réparateur

 

Après une nuit confinée,

A dormir à la belle étoile

Avec dans la main, un poêle

Pour réchauffer les amitiés gelées,

Le jour se rêve meilleur 

A l'aube, dès que le soleil réparateur

Accorde du répit

Dans une trêve de grand seigneur,

Qui recolle les éclats brisés

Avec les vertus et les vérités

Des paroles amies et unies,

Du réconfort aussitôt en essor,

Quand l'amour essore 

La haine

Pour l'étendre sèche

Et la mûrir en une pomme d'Eden

Qui bêche L'Eden et vend la mèche,

En cultivant sa couleur 

De lumière au bien

Qui rassemble les êtres humains,

Lorsque le soleil réparateur

Rallume le calumet

De la paix dans la réciprocité,

Du bonheur et de l'ardeur

En une poignée d'amour de bras soudés

En clameur,

Dont les gens bienveillants

Eclaircissent longtemps le ciel vaillant,

Au soleil réparateur

En porte-parole d'un avenir récupérateur,

Et porteur 

De témoin en passeur

De relais rapporteur,

Haut soleil réparateur.

 

Jérôme de Mars

L'argot parigot

 

Hello, en ce ghetto

Qui va à vau-l'eau, 

A l'argot parigot

D'ici Paris pas beau,

Lorsque partout, il pleut

Le chaos

Avec son imperméable 

Inconsolable et regrettable,

Du tourbillon ténébreux 

Dans ce Paris sous l'eau allo,

Comme tu es vénère

Et que tu vénères,

Kif kif

Avec ce kif,

Dont tu retranscris 

L'argot parigot

En synchronie 

De gros mots,

Du fond de ta caisse

A fond la caisse

Que tu encaisses,

En espèces

De bouffons du roi,

Car nous bouffons des à rois

Aux pas rois

Que tu soignes à l'hosto médication

En autodidacte de toubib,

Où il te manque le rib

Pour ramasser le gros magot,

De tout ton pipeau

La clope au bec de drôle d'oiseau,

Car y en a ras le bol

Que tu coupes à pas de bol,

Le bémol 

De ton fardeau,

Parmi les foncedés mongoles

De Venise à Venus,

Le cul sur la tamise à l'anus 

Horribilis, dont tu glisses

Sur le réglisse 

De l'argot parigot,

Où c'est ballot

Qu'on te mette le couteau

Sous la gorge,

Alors que tu regorges

D'un immense potentiel,

Car c'est chaud 

Que tu ne l'exploites pas furax

Pour que tu sois relax max

Dans un max

De volupté bagatelle

Dans l'axe sain taxe,

Si bon que tu n'as plus de crampe,

Comme tu l'as tiré ta crampe

En décampe, 

Quand tu campes

Dans une ribambelle

De différentes positions sexuelles,

Qu'à ras bord, tu rases les murs rasoirs 

Des blaireaux

En exutoire,

Dès que tu guéris de tes trémollos

Et que tu rétablis les à jours de carence

En jours de connivence,

Car tu n'emploies plus l'argot parigot

Comme en révérence, 

Tu parles à nouveau

La signifiance 

D'un Français au verbe haut,

Pour relever le niveau 

Chiche perfecto

Et classe maestro,

Car demain, il fera beau

A Paris, Place Beauvau,

Avec brio.

 

Jérôme de Mars

Bris de couloirs

 

Ah !  le temps qu'as-tu manigancé ? pour que je sombre dans le four crématoire 

En cendres haletants, comme des anchois en choix aux crépuscules sommatoires,

En bris de couloirs dont les débris retentissent en impacts du diable qui crache 

Son irrévérencieux venin dans les besoins qui se démènent en hystéries vaches,

Olé olé qui supportent un message oratoire auquel l'exutoire voudrait voir

Une durable embellie pulmonaire qui respire le doux bois d'un feu de cheminée,

Au coin tranquille du rosé qui incite l'appétit des journées de couleurs revigorées

Quand trépassent les bris de couloirs et qu'ils passent en bruits de couloirs

D'un exutoire pas dérisoire qui saisit l'opportunité de fuir les mondanités,

Et de se rapprocher de l'essentiel avec des paroles utiles qui oublient les vanités

Aux mots sans paroles futiles et sans grand intérêt comme des cabris de couloirs

Qui copient les troupeaux des moutons de Panurge auxiliaires du verbe émouvoir,

Car leurs histoires très noires touchent au plus profond de leurs hêtres invalides

A l'amour et à tout ce qui entoure les normes comme ils ont le handicap paralysé

Par cet immonde de vautours hors-normes pour être conforme à la dyslexie solide,

Comme s'il était hors-saison d'accorder l'auxiliaire être avec avoir du bien-être

De ces bris de couloirs qui nourrissent l'impureté de l'âme alors que des bruits

De couloirs poussent dans le ciel monotone duquel nous tend la main l'instantané,

De vivre le moment présent avec le fruit D'Eve et D'Adam en récolte péri maître 

Des partis prix qui estiment la valeur des choses précieuses aux parures polies, 

En arborant les symboles qui décolèrent le dépit et méritent des bruits de couloirs

Agréables à partager loin des bris aux débris de couloirs en abreuvoir d'un arrosoir

Qui sème la bonté de la vie en un devis d'un tour de vis au renfort à bon port,

Qui conjure le tour de vice afin que le folklore s'immisce dans le rang fort et ici mort

Le fort bagnard comme c'est là que ces bris de couloirs s'achèvent en débris

Qui mutent en bruits de couloirs jolis de par la renaissance rustique en apologie.

 

Jérôme de Mars

                                                            Eux

 

 

 

           E les mettre sans E des sur marche on comme B l'alpha de lettre ème 5 ,E

           Dans

           Le même 

           Panier

           D'oeufs 

           A eux

           Par père de deux

           Quand les E

           Prennent

           Tout à la lettre

           Bouche B 

         Alphabête en eux quand ils s'entêtent par d'oeufs à pondre deux E bien naître

          Par un père d'E

          Qui roule les oeufs

           En eux 

          Et en s'y émettant

          Deux à d'E

           Car E s'écrie

          En prenant tout à la lettre

          Alpha bêta 

          En noeud 

          Tête de noeuds

          Qui comptent par d'E

          Pour d'eux

          En démarchant 

          Sur Deux 

La marchandise en noeud lorsque jamais deux sans oeufs content par d'eux en E.

 

 

 

                                                 Jérôme de Mars

 

                                                     Blague :

 

 

Pourquoi y a-t-il eu un attentat à Londres près du métro  ?

- Parce-qu'il était en station debout.

 

 

                                            Jérôme de Mars

Ca ne tourne plus rond  !

 

Salut ! Que penses-tu  ?

De notre monde

Prétendu de vertu,

Alors que tu me réponds

Qu'il s'enlise 

Dans le vice

Et que ça ne tourne plus rond,

Comme t'as plus un rond

Et que tu tournes en rond,

Comme t'es rond

En faisant des rondes

Et des ronds,

Comme t'es carré

Et que t'as contrecarré

Le périmaître carré

A la ronde

Qu'au rond tue,

Que tu corromps

Au triangle permute 

Qui t'inonde,

Comme ça ne tourne plus rond

Mais que tu restes coron 

Si tu perds le nord qu'au rond,

Où tu te maintiens rond

En large et en long,

Corrompt 

Le délit,

Qui délite

Toute la dynamite, 

Qui s'assouplit

Au lisse

Et au réglisse,

Casse-bonbon

Qui glisse

Et reglisse

Sensuel,

Dans le populaire consensuel

Des belles demoiselles charnelles,

Qui biaisent

Les têtes brûlées au carré

Très carrées,

Où elles ne ristournent plus rond

Corons corrompt

L'allumeur de brèche 

Qui sèche les cours des allumettes sèches

Se complaisant

Au port de Plaisance plaisant,

Où quand t'auras un rond

En restant rond

Il n'y aura péril en la demeure,

Mais puéril en là que tumeur

En rivant vers le nord coron,

Et en arrivant qu'au rond

Ne corrompt,

Car tu courras les jupons

Au maître carré

Et au contremaître carré,

Que tu résisteras carré

Qu'au rond,

Où ça tournera à nouveau rond.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                                  Blagues :

 

 

1) Qu'est-ce-qu'un Arménien endeuillé  ?

    -  Le mur des lamentations.

 

2) Qu'est-ce-que ça fait pour Harouth casé dans une maison de retraite si on le chambre où il dort  ?

   -  Une parole déplacée.

 

3) Pourquoi ma nièce Méliné qui est asiatique, ne puis-je pas la voir ?
- Parce-que c'est une ombre chinoise !

 

 

                                           Jérôme de Mars

Saynètes, c'est pas net !

 

1) Le soir, Damien éteint son portable pour ne pas recevoir par sms les bêtises de Jérôme, car Damien n'est pas une lumière.

 

2) Christophe dort pour ne pas écouter les bêtises de Damien de retour du Pakistan, car Damien roupille.

 

3) Christophe dit non à Damien tout ouï qui lui adresse un nom d'office.

 

4)  Christophe carotte Damien, le lièvre qui lui pose des lapins.

 

5) Jocelyne et Christophe qui vont ensemble au restaurant asiatique mènent le monde à la baguette.

 

6) Le 30 Octobre, comme c'est l'anniversaire de Christophe, il va regarder en dvd le dernier James Bond avec Sean Connery, " Jamais plus jamais ", car jamais plus jamais, Christophe ne regardera ce dvd après.

 

7) Jérôme qui fait un régime hippo, aime bien aller avec Christophe au Grec, comme c'est la baisse de régime hippopotame en gros, mince alors.

 

8) Jérôme sur Internet, n'est pas net, comme saynètes.

 

9) Jérôme et Christophe se comprennent et s'entendent bien en étant sur la même longueur d'ondes, car il y a une bonne réception radio  !

 

10) Jérôme et Christophe sont sur la même longueur d'ondes, quand Jérôme émet des ondes positives et que Christophe écoute la radio.

 

11) Damien trouve du travail au supermarché, où il prononce dans la file anglaise of course !

 

12)  La différence entre Christophe qui préfère Les Etats-Unis et Jocelyne, La Bretagne, est que Christophe a le rêve américain et Jocelyne, le rêve armoricain et pluie tant pis !

 

13) Dès que Christophe et Jérôme, les acolytes travaillent ensemble sur Dugas, Jérôme prend de la bouteille et Christophe les met en boîte !

 

14) Jérôme et Serge écrivent à quatre mains un poème et Serge lui demande à quoi ça rime et Jérôme lui répond J'arrime et te sers-je un ver  ?

 

15) En inconnue, une équation est un problème x y et en solution, elle est en adéquation en résolution !

 

16) Jérôme et Christophe qui s'expliquent autour d'un repas après s'être disputés, balancent d'une voix forte : " On nem mettre tout à plat ! " .

 

Jérôme de Mars

Les anges du ciel

 

Petits souvenirs de votre ombrelle, 

Les hirondelles vous saluent parcelles,

De terres universelles qui enjambent

Les anges du ciel qui tremblent,

Dans l'offre de l'étoffe qui semble

Une petite pierre de misère qui flambe,

Un feu d'apparence qui selle les retrouvailles

D'épouvantails qui taillent des merveilles de trouvailles,

Quand les anges du ciel trempent d'aquarelles

Les portraits qu'encadrent les semeurs aux prunelles

De leurs yeux, lorsque les anges du ciel rejoignent mésanges 

De mes anges qui se mélangent dans l'archange,

Des passeurs d'autant que le temps demeure, pendant

Que cependant d'antan se révolue en nonobstant 

D'instant au temps d'antan autant que les anges du ciel

S'envolent parmi mésanges en mes anges figurants pareils,

Assez de déployer leurs ailes brisées dans la brise devant 

Les histoires parallèles et conformes à la rosée des vents,

Que le ruban d'étincelles se pare de bijoux formels adieu oiseaux

Demoiselles au ciel avec mes anges qui tournoient en mésanges,

D'un lâcher de tourterelles qui envisage de recouvrir les vendanges

Avec vous mésanges, mes anges au ciel qui donnent le dernier mot

Au concerto de l'eldorado rideau bravo.

 

Jérôme de Mars

 

Lésés tas unis

 

Dialogue via Facebook entre Jérôme en France et Christophe aux Etas-Unis, deux amis déconnectés du virtuel et recentrés sur le réel de l'essentiel  :

 

Christophe : " -  Bonjour lascar, comment vas-tu mâle "  ?

Jérôme : " -  Très bien et très mâle Christophe dans ces va-et-vient où ça va Pluto Dingo, mon pote. "

Christophe : " - Il faut que tu mentionnes mon pote à la compote et au fait, suis-tu ton régime hippopotame Jérôme  ? "

Jérôme : " - En gros mince, je le suis à la diète hippo de ma baisse de régime hippopotame et toi, ça se passe bien ton voyage aux Etats-Unis Christophe  ? "

Christophe : " -  Ca se trépasse trop bien mes vacances vers lésés tas unis, en prenant mes distances avec toi, Jérôme, à des années-lumière de toi, où tu n'es plus que l'ombre de toi-même Jérôme, et moi, je suis une très grande lumière. "

Jérôme : " - Bien sûr, tu es à quel endroit des Etats-Unis Christophe ?

Christophe : " - Je suis à Las Vegas mégalo en jouant aux machines à deux sous et demain, je serai en Californie et après-demain, j'irai à San Francisco comme tu te fais des films, pas de quartier. "

Jérôme : " - Donc, tu feras double je à Las Vegas parano où c'est plus du cinéma et tu diras moi, je à San Francisco, car tu couperas les ponts avec La France, moi, qui suis trop froid et toi, qui es trop chaud en ces temps bipolaires pas beaux.

Christophe : " - Détrompe-toi mon pote, pendant que tu as des coups de chaud, moi au moins, je souffle le froid lorsque je bats l'enfer temps qu'il est chaud. "

Jérôme : " - Sacré zigotto, t'es trop drôle. "

Christophe : " - Non, je ne suis pas drôle car ton humour est noir. Sérieux, c'est pas marrant, car blague is black. "

Jérôme : " - Pourquoi Christophe ? Je sais pourquoi tu n'as pas le sens de l'humour, car tu n'aimes pas rire de mes blagues mais sous rire, comme l'humour noir est la politesse du désespoir ! ".

Christophe : " - Ok Jérôme, mais dès que je reviendrai en France, j'aurai le sourire aux lèvres et toi, t'auras le sous pire aux lièvres avec Damien, qui te pose des lapins et qui te carotte. "

Jérôme : " - Pas grave Christophe comme tu me racontes des salades, où c'est du vent vers lésés tas unis, toi qui m'apostrophe avec la strophe Christophe. "

Christophe : " - Normal, Jéjé de Mars, c'est pour terminer ton poème de ta plume de poète maudit, que je te déplume l'apostrophe. "

 

Jérôme de Mars

Psychogrammes

 

Psychose, cette prose 

Naît rose

Mais sinistrose,

Car après le drame

Survient cette trame,

Qui a besoin d'un peu d'humour

Dans ce monde de brutes

A l'état pas net,

Comme Internet est net

En saynètes,

Si l'on pratique du psychodrame

Psychorigide

Que l'on commet d'office,

Avec le psychogragramme

En drame psycho frigide,

Quand ensuite, le drame 

De l'amour noir 

Surgit avant le gramme d'humour,

Avec des coups de folie

Bipolaires, en pleine ère

Et maniaco-dépressives,

De tasses d'expresso café

Eruptives du psychodrame,

Toc toc qui toque 

Les manies de la psychose

Gramme psychotique, 

Et tic tic, qui tique

Les changements d'humour

Avec un gramme d'amour

En cette trame de Nemours,

Oh ! défouloir 

De tendres histoires, 

De bistrot de comptoir

Bien garnies au réservoir,

D'abreuvoir de bris de couloirs

Schizophrènes de la même rengaine,

Qui dégaine le psychodrame

Aimé jacquet

En psychose grammes,

Du psychogramme psychopathe

Main à la patte et qui épate

Enfin de sets trames.

 

Jérôme de Mars

 

                                                      Blague :

 

 

Pourquoi y a-t-il eu un attentat à Las Vegas  ?

-  Parce-qu'il y a des machines à deux sous

                                                   ( dessous )

 

 

                                               Jérôme de Mars     

Texte préconçu   

 

Prétexte  :   

 

Je ne peux écrire mon texte car je me fais du sang d'encre, comme je me déplume avec ma plume d'enclume en prétexte dont je n'écris l'histoire en couleurs, car elle reste imprimée noir sur blanc, dans laquelle j'ai imprimé que mon histoire noire fait couler beaucoup d'encre, comme elle demeure exposée en grandes lignes ponctuées de points sur les i, pour mettre les choses au point recto verso avec ces feuilles mortes à l'automne de ma vie, telle une poésie mélancolique qui a la colique névrotique, et qui semble fanée, mais cependant si on me fait une fleur, je mettrai le passé entre parenthèses, pour redémarrer une nouvelle page, où je me livrerai en rimes intemporelles fenêtre ouverte vers un monde pacifique, que je vagabonderai utopiste dans un ailleurs bien meilleur.

 

Contexte  : 

 

En l'état du contexte préconçu, je sus que je jetterai l'ancre comme j'arrime le bord de mère à la quête d'une destination, si bien que j'en amarre de tout, du tout pour le tout avec mon va-tout, en atout ci là, où je ne larguerai les amarres, dont le présent est autant pendant que ma vie trouve sa vitesse de croisière au bord de mère sans vague à l'âme déferlante, d'aux bleus à mères, du sel de la vie en les tas du contexte, vagues à larmes dépêche maligne.

 

Jérôme de Mars

                                                   

                                                       Blagues :

 

 

 

1)  Pourquoi y a t il eu une attaque à Marseille  ?

    -  Pour leur passer un savon de Marseille !

 

2)  Que dit une frangine qui n'est pas une âme soeur avec toutes ses difficultés auxquelles elle est confrontée dans les différentes situations  ?

   -  J'ai six cas de figures !

   (  Jessica )

 

3) Pourquoi suis-je invisible pour toi  ?

   -  Parce-que je ne suis pas clair  !

 

 

                                                Jérôme de Mars

 

 

Une tempête dans un ver d'eau en moi

 

Hérisse et haut moussaillon,

Nous récoltons et ramassons

Une flopée d'effusions

Du vent haut devant folichon,

Au souffle boursouflé

D'un soufflet essoufflé de désespérer

Boire en hypothermie le froid et le chaud,

A basse température du thermos à degré zéro

Qui chine aux enchères les travers des esthètes

D'une tempête dans un ver d'eau en moi,

Qui bat l'enfer tant qu'il ait échafaud et en froid

D'aux devants incontinents des océans pacifiques

En coups de chaud d'aux tropiques de piques

De chaleur qui jouent cartes sur table à contretemps,

Des feuilles ricochets sur l'eau d'aux rebondissements

Jaillissant écorchés par les variantes de la vie qui sécrète

Des secrets de polichinelle aux parés hauts,

D'une tempête dans un ver d'eau en moi

De tourments qui embrassent les pieds devant,

Sitôt l'accalmie escomptée et juchée sur la courroie

Du désarroi des rois déjà rois dans le café du commerce

Devin, où il en a marre le café qui exerce

Au sommet du pique de bouffée de chaleur,

Oh !  qu'il été beau et escabeau tout ce bonheur

D'une tempête dans un ver d'eau en moi ici haut.

 

Jérôme de Mars

 

                                                    Blague :

 

 

 

Que dira-t-on de toi si depuis ta retraite à Cavalaire, tu t'ennuies sans t'occuper en étant spectatrice et non actrice  ?

-  Simone s'ignorait  !

 ( Simone Signoret )  

 

 

                                            Jérôme de Mars

Trouble blanc

 

Jeune blanc bec,

Tu nous habitues

Avec tes emprises de bec,

Que tu tus

Sans blanc

Semblant

Adopter une attitude, 

Avec un prélude

De façade

Sans tourments,

Comme cependant 

L'océan chaud volcan

Ravage larges cascades,

Sous les dépliants des rides

De la digue frigide,

Qui lèche l'affriolant ressortissant

D'assortiment trouble blanc

Et en troublant

Ces années de vaches folles,

Enragées dont tu raffoles

Dans ces ambivalents double cent

Encens, que tu becques 

Et que tu débectes

A cracher ta lave de colère

Issue de ton immense cratère,

Où tu n'en as plus rien à foutre

En sang, comme tu pédales

Dans la choucroute

Et que tu rétropédales,

Quand tu t'encroûtes 

Avec tes petits vélos

Ornés de l'assidu chaos

Dans la croûte 

Pédestre, à laquelle 

Tu vires de bord

Sur le rebord

Conflictuel et untel,

Trouble blanc

Et troublant

Sur le dehors, 

Hors insignifiant

D'un je m'en foutisme

Qui soigne l'humanité médecine

Généraliste, 

Car t'en as marre

Que la coupe soit pleine,

Tandis que t'amarres

Au tintamarre

De la petite reine,

Oh ! vilain petit canard

Qui condense le bison affûté

Et renard

Lors du sacrifice démérité

En incarnant tu meurs maligne,

Lorsque les moeurs s'écoeurent

Dès la liqueur, 

Bénigne et longiligne

Que tu assassines 

Bécassine qui bécasse signe,

Et bassine 

Les ultimes jeteurs

Et fauteurs

De troubles blancs,

Et troublants

Du ciel et de la terre

Au club des cinq éléments,

En troubles instants

Aux troubles insistants

De ces troubles blancs,

Comme c'est troublant

Sans blanc,

Après à voir Morphée semblant

D'endosser le rôle du clown triste,

Si bon que jadis il est tendant 

De partir en intendant

Troublant,

Après avoir contrefait

Tous ces blancs troubles blancs

Semblant sans blanc.

 

Jérôme de Mars

Action réaction

 

Interaction, de parler c'est bien beau,

Car avec la langue

On peut tout enfer exsangue 

Alors que d'agir,

C'est gravir d'un ex cas beau

En escabeau pour aller plus haut,

En passant de la théorie

A la pratique,

Car c'est mathématique

De mettre en dynamique

Tout ce dont on a envie

Dans le bon sens

Qu'on encense,

De façon systématique,

Car aussitôt, action

Veut dire

Réaction en inter action,

Si on agit avec décence

Pour trouver sa voie

Car distendue lourde sa croix,

Si on y croit qu'internet

Ce n'est pas net,

Et qu'après trop de virtuel,

On doit se recentrer sur le réel

Et l'essentiel de l'action en inter action,

Comme il y a intéraction

Avec la réaction,

Où plutôt, on tirera un trait

Sur l'abstrait

Plus tôt, on s'érigera dans du concret,

Positif et constructif

Pour un avenir

Très loin du rétroactif avec du passif,

Car en route à notre actif

En rectificatif,

De l'action

En réaction.

 

Jérôme de Mars

 

Céline  

 

Bonjour Céline,

Comment vas-tu ?

Pourquoi tu te tus  ?

A converser maligne 

Et à conserver bénigne,

Une relation ambiguë et cordiale

Avec tes collègues

Auxquels tu délègues

A courber l'échine,

De la machine

Qui devine

Tes aspirations profondes

De fuir ce monde

Animal et végétal,

Qui te cause tant de mal

Et t'empeste

Dont tu te délestes

A prier Céleste,

Car tu veux prendre ta retraite concrète

A distance d'intervalles de la monotonie routinière

Aux derrières ordinaires,

Que tu décrètes et que tu arrêtes

Dans une attitude,

Où tu te protèges

De la servitude 

Rangée dans ton clan

Qui fout le décan

Dans un sortilège de sacrilèges

Avec tes collègues, dont tu t'allèges

En les ignorant

Dans le silence est d'or

Et la parole est d'argent,

Car tu te préserves

En y mettant de la réserve

Avec un effet boule de neige

En bouchant tes oreilles 

Avec des cotons tiges

Et des boules qui est-ce ?

A suspendre le bruit rebelle,

Où tu dors 

Dans ton subconscient 

Pour oublier alèse 

Les vertiges des vestiges

De ces gens inintéressants,

Où toi Céline,

Tu dessines

Une farouche envie

De voir

Des personnes

Qui comme toi résonnent

Et sonnent 

Avec la même longueur d'ondes

Au téléphone

Qui te sonde du beau monde,

Car toi Céline,

Tu aimes les clémentines

Et les églantines

Au fruit de ta gentillesse

Qui te procurent de la liesse

Et de l'empathie grâce à ton travail

Vaille qui vaille,

Toi Céline,

Où les capucines

Te chantent un hymne 

Qui te jardine

Céline en vitamine,

Et qui se termine

En comptine,

Pour toi Céline.

 

Jérôme de Mars

 

Plutôt le soir

 

Au berceau du loir

Aussitôt, Les Saints de glace

Laissent de glace 

Les raconteurs d'histoires

Plutôt le soir,

Car s'interposent les nuages plexiglas 

Plus tôt le soir,

Aux tristement nuits tombées

Mises devant la fête accomplie et régentée

Plutôt le soir,

Pour entrevoir 

Les plans sur la comète

A asseoir

La plénitude et sa face noire,

Des variantes au trépied 

Du tombeau aux retombées

Des giboulées qui ont défoulé

Plus tôt le soir,

Au coin du feu de bois

A moindres déboires

Dans l'antre rabat-joie,

Où on brûle vif

Le subversif et le transgressif

Des remises sur le bûcher

Ecorché vif et dépité

Comme par pitié,

Où l'on vagabonde en candides déboussolés

Qui lâchent les gondoles

A Denise pour de captives paroles

Au reflet réfléchi du miroir

A l'effet domino des joyaux

De la couronne

Qui détrônent

Les coraux de métaux

Qui ristournent le dos,

Au très mollo recto verso

Plutôt le soir,

Justement bonsoir,

Car tôt ou tard,

On vous suppliera

De tout notre poids,

Plus tôt le soir,

Avec aucun racontars

A l'instar

L'un star

De l'univers accroché

Au pied du mur bouche-bée

Plutôt le soir,

En un fard

Continu de l'étendard

Plus tôt le soir.

 

Jérôme de Mars 

 

 

                                                        Blague :

 

 

Pourquoi me ferait-on des compliments si j'avais une leucémie  ?

-  Parce-qu'on me ferait un cancer de louanges  !

 

 

                                                Jérôme de Mars

Marche ou brève

 

1)  Emmanuel Macron est tombé en marche de l'escalier car il a raté son mouvement  !

 

2)  Les routiers font grève en bloquant les raffineries pour protester contre la loi travail parce-qu'ils tombent en panne décence essence unique  !

 

3)  Les opérateurs de téléphonie mobile SFR, ORANGE, BOUYGUES TELECOM et FREE tuent la qualité de leurs téléphones portables écran tactile en les vendant à bas prix car ils ont trouvé le mobile du crime  !

 

4)  Si un jour, l'extrême-droite remporte les présidentielles au Mexique, ça fera un séisme  !

 

5)  Les ouragans José, Maria et Irma qui ont sévi aux Antilles Françaises, ont eu le vent en poupe  !

 

6) Si jamais l'ouragan José arrive et s'abat en France, il lui jettera un vent  !

 

7)  Si l'ouragan José s'abat en France et est largement moins puissant qu'aux Antilles Françaises, ça sera du vent pour La France  !

 

8)  Le climat social en France est bipolaire car y a des changements d'humour au temps de son environnement  !

 

9)  En France, c'est chacun pour soi et Dieu pour tous, car de croire en soie est odieux  !

 

10)  Un horticulteur a le droit de cultiver le bien de son potager  !

 

11)  Si un jour l'extrême-droite arrive au pouvoir en France, on dira de notre pays Marine le peine  !

 

12)  Une personne handicapée qui travaille à L'APF ne peut pas s'y rendre s'il y a la grève des transports car elle est paralysée  !

 

13)  Une personne ayant une entorse qui inaugure une nouveauté, essuie les plâtres !

 

14) Une personne qui foule la cheville de quelqu'un en ne respectant pas le règlement, fait une entorse  !

 

Jérôme de Mars

 

                                                          Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça fera pour Le Mexique si un jour lors des élections présidentielles est élu président un candidat d'extrême-droite  ?

-  Ca fera un séisme au Mexique  !

 

 

                                                  Jérôme de Mars

Suicide connectif

 

A l'acide

Aura lieu mon suicide

D'ici peu

Au pieux de Dieu

Car je me replie

Décadent

Et prends le pli

De ma dent 

Dure au creux indifférent

De tout et déviant

De mon comportement

Outre passé subversif

Et aux travers transgressifs

Où ce sera l'offensif

Après avoir temps morflé

Dans la loi du silence assourdissant

Et indécent des gens

Ignorants de mon boucan 

Tonitruant et truand 

Où je fous le camp

Absent dans l'au-delà des tourments

Car à petit feu, je crève odieux

Si bien que je me désintègre

Comme je ne suis pas intègre

Et exempt de dignité

Avec tous ces camouflets

Dans l'adversité

Aux excès consumés

Et éprouvés

Que je panse au suicide connectif

En trépassant au subjonctif

Le pensif

Après m'être fait réprouver 

Mes regrets et ma sincérité

Comme je me suis fait des tifs

Dans le pif

En rectificatif

Duquel j'ai appuyé sur le kif

Car tout l'immonde kif kif

Semblait évasif

En expressif expansif

Du vide sidérant de mon écorche vif

Où enfin, je serais mort prescriptif

Et contraceptif

En cendres brûlés vifs

Pour descendre ex pensif

Et conjugué au passif

Car je ne serai plus actif

Et aussitôt, je ne demeurerai répressif

Car je redeviendrai réceptif

Et permissif

Avec de joyeux récifs

Au bord de mère rétroactif

Après le suicide connectif

Déconnecté du réel 

Mais recentré sur l'essentiel

Au royaume des cieux

Au mieux 

Démontés acides

Comme après le suicide

Connectif,

Je construirai en poncif

Avec que du positif

Et au diable le négatif

Pour me fixer un objectif

Défensif.

 

Jérôme de Mars

Soleil d'automne

 

Déclic, la saison précaire et encline cligne sur un battement de torpeur 

Maligne à l'ascendance bénigne qui déploie sa dynastie sous ses phalanges

De ses doigts d'honneur qui mélange les mésanges et les anges inquisiteurs,

Du soleil d'automne aux tonnes du tome auteur des maladresses qui engrangent

La voie des lecteurs avant le soleil d'hiver qui passe le relais au soleil du printemps

Alléchée en vitrine et ficelée en coups de ciseaux ciselés quand le soleil été friand,

D'un bain de foule amouraché du soleil d'automne et atone qui grêle de giboulées

La saison pauvre comme le soleil d'automne déraciné en renfort qui a déboulé

Le soleil d'été qui était capricieux du soleil d'hiver en paix du soleil du printemps,

Qui remue ciel et terre en se concertant avec les nuages gris de colère à cran

Qui semblent au zénith du canal plus spacieux dans les effets d'optique écrans

Statiques sur la rosière de la lisière de la forêt espiègle sous calmants béants, 

Qui regorge le soleil d'automne d'une brindille de soleil d'hiver qui a varié courant

Du soleil du printemps qui éclaircit le soleil d'été qui était au mieux auparavant,

D'aux paravents pour contrer le vent adjacent et dépeuplant les tropiques o' lueur

D'espoir apporte ta petite lumière qui grandit de l'ombre aux couleurs de sueur,

Du soleil d'automne en faune et flore du soleil d'hiver et dans le folklore du soleil

D'été qui décante le soleil du printemps en soufflant les poussières au sel pareil

Universel comme le ver mi sel qui démange la soupe vermicelle qui dope le climat,

En froid avec le chaud après qu'il ait réprimandé en offre et à la demande le débat

Vieux comme l'an 14 d'autant des périodes qui jettent un vent parmi le soleil d'été,

Qui était réchauffé par le soleil du printemps après qu'il ait refroidi ses rotations

Et ses relations avec le soleil d'automne mort comme le soleil d'hiver et varié,

Auquel se prosternent les quatre saisons protestantes dans leurs convictions

Qui gravitent les marches des intermittences du soleil, qu'il était avarié et ravitaillé,

Du soleil du printemps qui était monotone et d'hiver à n'en plus douter en états

De séances plénières qui lézardent l'horizon inouï aussitôt le soleil remis à plat.

 

Jérôme de Mars 

On casse les codes

 

Qu'on castre à Castres                                       Etc, nous voici, nous voilà.

A la mène qu'on emmène                                   En décode au casse de la case

Secrets de notre jardin                                        D'ADN qui nous démène

Concasse les codes                                            Qu'on casse les codes

De notre pomme d'Api                                         A notre pomme D'Adam

L'entre jeu de paumes                                         Haut comme trois pommes

D'où en psaume                                                  On paume de nos mains paumées

Qu'on attire au retrait                                           Du secret décode en émeraude

Paroles D'Evangile                                              Concasse les codes ceux traits

Mégalos hirsutes                                                  Lorsqu'on rase les mûres

Dans le Paris nostalgique                                    Et névrotique des paranos

Des robes des femmes                                       Du sacré choeur  

Dans la maraude                                                 Qu'on dérobe

De cette ode qu'on rôde                                      Et qu'on taraude

D'un casse qu'on commet                                   Quand on se casse

Que tu castres en barre                                      Comme on te rembarre

En mille bornes                                                   Et en codes-barres négatifs

Comme on case les codes                                 Et que tu outrepasses les bornes Sur le magnéto t'en ressers-je                            Un ver t'es-tu borné                       Positives lorsqu'on salve                                    En diapo, y a photo

Aux séquences palourdes                                  Qu'on salse en négatives

Qu'on case de sa croix                                       Lourde de conséquences

Sur le marché comprimé                                    Car on casse les codes

On compose le code cachet                              Et qu'on met démarché

Qu'on ressasse de décompression                   Dès qu'en impression

Encode on commet un casse                           Qu'on case dans un code en sas

 

Jérôme de Mars

 

                                                        Blagues :

 

 

 

1)  Pourquoi ne suis-je pas très entouré par ma famille  ?

     -  Parce-qu'on m'a bien cernés  !

 

 

2)  Pourquoi joue-t-on cartes sur table avec moi  ?

    -  Parce-que je suis le meilleur rami de personne  !

 

 

                                        

                                                 Jérôme de Mars

Une tête au carré

 

Contrecarré avec le carré très droit carré             Qui poursuit le mètre contrecarré contre carré   Au mètre carrément carré avec une mauvaise tête contrecarrée

Tracée par un carré contre carré et carrément                                                                                          Et recadrée dans le cadre d'une tête au carré car et décarré 

Qui trace un carré très carré et carrément                                                                                                 Par un pense tête très carré au cercle des poètes maîtres carrés

Et recadrée par un cadre très mètre décarré                                                                                             Et contrecarrés par un plan à Troyes qui définit carrément 

Qui chiffre l'ambiance contrecarrée                                                                                                            Une idylle de providence exotique et évanescente avec un carré                                                                                              Avec une grosse tête au mettre carré   D'une tablette de chocolat contrecarrée par les maîtres carrés

Modulé par le thermomètre carrément                                                                                                 Carrément dans la lagune qui bat la chamade au mettre carré                                                                   

De chocolat paramètre car et                                                                                                           Du jus de citron acide et acidulé Au Cid du cidre d'un piquant au carré 

Contrecarrée par un carré                                                                                                                 D'une tête contrecarrée au carré de l'omerta décarré très carré

D'une forte tête très carrée                                                                                                      Au blues étrange étranger en transe avec où transe pour mettre carrément

Pour lui faire une tête au carré                                                                                                Un rentre-dedans cash qui fâche les plus ignorants et les plus carrés

Du volume très carré                                                                                                                Contre carrés d'une mentalité en une ligne droite qui ne dévie très carrée

Carrément au périmètre carré                                                                         Car on ne peut enfer n'un porte quoi aux démettre carrés pour émettre un contrecarré

Un esthète contrecarré                                                                                      Des carrés moroses qui défoncent une tête au carré carrément décarré et contrecarré

On veut au carré                                                                                                     Contre carré et recadré dans le cadre d'une remise à plat au maître carré car et 

                                                                                                                                    Venu L'Otan d'autant en déporte l'avant paravent sur le parvis de l'autel de vie carré

En un tête-à-tête car et                                                                              O' le bon vieux où es-tu dépassé du changement de psychomotricité au remède contrecarré

Une tête au carré carrément                                                                     Du carré rose à la rose déviant le haut paréo carrément vibrant et innombrable o' décarré 

                                                         

En accomplissant au maître carré                                                         Aux têtes en l'air ultra têtes brûlées et écorchées vives les incendies feu le mètre carré 

 

Qu'on doit contrecarrer                                                                       D'un tour de coup dévisse qui met le vice avec un tour de vis dans le viseur contrecarré

En-tête, s'érige un casse-tête carré      De ce démettre carré au comportement carré carrément une tête en l'air et un casse-tête en enfer une tête au carré. 

            

Jérôme de Mars                             

Petit à petit, l'oiseau fait son nid  !

 

Coucou, le drôle d'oiseau

Se dévergonde finaud

Dans l'envol d'un nid

De coucous qui nient

Des ni or ni,

Dans un florilège d'étalage

Sous l'effet de seuil qui punit

Ses plumes à l'effigie

De ses rétropédalages 

Et de ses ramages

Au teint hâlé, 

Allez, déballé

Le sacré numéro

Et survole la zone distendue

Du fruit détendu,

Quand petit à petit,

L'oiseau fait son nid

D'un nid de guêpes

Qui met un bémol aux steppes,

Lorsqu'en appétit, 

Il joue avec des si

De ses paroles frivoles qui gèlent

Ses flashbacks de drôle d'oiseau

Qui pèle

Et épelle ses propos

Avec sa confrérie en flagorneries,

Qui l'adule avec des courbettes

Comme son panse bête 

Que petit à petit, Paris

Se défait en un jour 

Par amour et velours

D'un pot pourri,

Auquel trinquent l'oiseau

Qui trinque de son par et haut,

En un vase clos

Communicant, dont petit à petit,

L'oiseau fait déni

Au nid désuni,

Car or ni, il te renie.

 

Jérôme de Mars

Le meilleur rami

 

Nous sommes au sud de notre vie,

Dès qu'on perd le nord de Paris

A se demander 

Qui est le meilleur ami

De l'homme, en somme

Que nous sommes,

A la valeur plus ajoutée,

Après avoir joué

Cartes sur table

De l'affable

A l'ineffable,

De l'ami

A l'à mi

D'un entre je

Au jeu de l'enjeu,

Auquel se dénoue le meilleur rami

Au meilleur ami,

De l'ami complet

A l'à mi con plaie à peu près,

Si c'est un vrai ami

En toutes circonstances

Avec constance

Ou si c'est un vrai à mi 

En très peu de circonstances

Atténuantes qui joignent l'inconstance,

Issues d'un quart d'heure de vérité,

Et quant au final, il vous laisse tomber

Avec ces vérités

En laisse-béton

De sévérité,

Car il vous plante d'un revers

De bâtons rompus,

Lorsqu'on lui donne le bâton

Pour se faire à battre à l'envers

De la vertu,

Comme jouer cartes sur table

Entre amis

Au je du meilleur rami

Permet d'être fréquenstable,

Même si l'instable 

Met un grain de sable

Dans le sirop d'érable,

Où de l'enjeu

En guise de je,

On saura si votre ami

Reste votre ami 

Au long court,

Ou s'il demeurera votre à mi

Parcours qui vous prend de court

Dans ce con cours

Qui vous classe or concours,

Du meilleur rami

A c'était votre meilleur ami.

 

Jérôme de Mars

Place de la concorde

 

Depuis les vicissitudes

Et les turpitudes

De ce tout-Paris,

Paris est ému

Et fourbu

D'être convaincu,

Que le capital

Du pari perdu

A liquidé Paris

Et sa capitale,

Car ce qui est capital

Et vital,

C'est que Paris

Reste un pari

Gagnant et aimant

Dans son élément,

Pour qu'on regagne

La place de la concorde

Et qu'on s'accorde

Dans la gagne

D'un pari charmant,

Car actuellement

Paris a perdu

Son pari

Dans la hargne

D'un grand Paris

Monocorde de la discorde,

Où il pleut des cordes

Qui pleurent l'envers du décor

Avec raison et torts

Que Paris

Se ronge de remords

Comme s'il était mort,

Alors que pour qu'on concorde

Sur place

Il ne faut du surplace,

Mais que Paris

Refasse surface

Dans un Paris plaisant

En un pari gagnant,

Car bientôt, le pari

Sera un tout Paris

Gagnant en un grand pari,

Que l'on espère grisant

Et réenchantant 

Une possible harmonie,

Avec moins de pluie

Qui grisent mine les cordes

Et qui tombent en discorde

Dans ce pari sous la pluie

Qui pleure la mélancolie,

Loin du printemps

Et proche de l'hiver monocorde,

Afin qu'il pleuve un Paris exaltant

Raccord avec l'accord du soleil pressant,

Où enfin, Le Grande Paris gagnant

Sera un empressant Pari réconciliant

La dame de fer du capital,

A la capitale

Du tout Paris réuni,

Aux jolis fruits 

Place De La Concorde,

Pour qu'on s'accorde

En un pari, car c'est capital

Et vital 

De s'entendre grisant,

Dans le gris du tout Paris

Prospérant et florissant

D'amours grandissants,

Où l'on s'accorde

Place de la concorde.

 

Jérôme de Mars

 

 

Ca ne vole pas très haut  !

 

Et l'eau à tire-d'ailes

Avec les hirondelles,

A vol d'oiseau

Ca ne vole pas très haut,

Quand c'est chouette

De répéter comme un perroquet

Les mots en pirouette,

Comme un roquet 

En drôle d'oiseau,

De mauvaise augure

Dans cette trépidante aventure,

Qui condense le périple aux ils canaris

Qui ne tarissent d'éloges à leur femme,

Qui joint le corbeau par hypocrisie

Infâme dans une trame au drame

Des passions des pigeons voyageurs,

Qui volent racoleurs pas très en hauteur,

Car ça ne vole pas très haut 

Hello pris de haut en usurpateur,

Dont on n'est pas le menteur imposteur

Avec des cigognes qui jettent leur besogne

Aux pélicans ivrognes d'êtres ignobles,

En drôles d'oiseaux d'irrévérence 

Qui clament la sentence dans l'ignorance,

Des prises de bec qui débectent 

La bassesse de leurs caractères qui becquent

Leur parole à leur tourner cette fois la langue

Bien pendue et répandue de vipère exsangue qui tangue

Du bateau amiral des bécasses bêtes comme les mainates,

Qui caressent la chatte sur un toi brûlant, dont la date

Est arrivée à expiration aux rossignols milanais

Des goélands qui ne volent pas très hauts en oiseaux passagers

Dans le vol d'avion avec leurs camarades les mouettes, 

Qui leur déchantent alouette, nous vous plumerons en cachette

Des albatros qui mènent en bateau les oiseaux brisés

Dans le pare-brise du vent qui est la risée de la paix à l'appel du pied

De plaisance car ça ne vole pas très haut dans ce décor de mâts,

Qui dévoile le cadenas de son fardeau en révélations d'émois

Qui chagrinent les papillons et réjouissent les prémices du printemps

Des amours ordinaires à l'épouvantail des effets apparents et rassurants,

En ces troublants instants qui dépassent l'entendement humain

Aux mains ouvrières du patronat de l'arsenal des petites gens très au teint

Des vanités en trompe-l'oeil des soi-disant faiseurs de bien, alors que le mâle

Est courant chez les êtres empreints de l'instinct sauvage au mirage fatal,

Car ça ne vole plus très haut depuis que l'oiseau fait dodo

Mais heureusement, l'envolée reprendra bientôt de la hauteur,

A condition que le repos des ailes de l'oiseau brisé soit vainqueur à l'équateur

De L'Equateur, où ça volera très haut sous les projecteurs de l'oiseau facteur,

Dès les bonnes nouvelles du facteur distributeur au long courrier mobilisateur.

 

Jérôme de Mars 

 

 

 

La cigale fourmille à ses dépens

 

Argent content

Ou argent comptant,

Les gens de la fontaine

Choisissent d'être à la traîne

Ou d'êtres d'étrennes

Et s'entraînent,

Comme une cigale 

Qui fourmille d'idées,

Mais qui a des fourmis

Dans les jambes,

Car ça lui fait une belle jambe

De posséder de l'argent pour demain

Préférant à ses dépens

En manquer 

Et n'avoir rien,

Comme si l'argent allait lui tomber

Du ciel pour ses propres intérêts,

Alors qu'elle ne s'épargne

Qu'un débit de son acabit

A haut débit,

En mettant de l'argent

A côté de la plaque

De sa hargne,

Car elle a couvert

Son silence qui dore

Et qu'elle a découvert

Sa parole qui est d'argent,

Se confrontant 

A une situation à découvert

D'argent et insouciant

A ses dépens,

Tandis que la fourmi

A six gales,

Se faisant du souci

Pour son escarcelle

D'argent frugal

Et qu'elle épargne

Ses propres intérêts,

En plaçant de côté

La monnaie de sa pièce

Aux dépens

De la cigale,

Une espèce en voie de disparition

Qui paye l'addition

De sa note salée,

Alors que la fourmi prévoyante

Fourmille de fourmis

Dans les jambes,

Car ça ne lui fait une belle jambe

D'être et d'avoir de l'argent,

De côté pour demain

Et ainsi à voir de quoi

Retomber sur ses pattes,

Dont elle s'épate

D'avoir mis de l'argent

De côté pour les à côtés

En cas de grosses difficultés,

Où pour elle, ce ne sera mal placé

De panser que l'argent fée

Sa bonne heure,

Car pour elle, l'argent dore

Et la parole dort d'argent

Aux dépens 

De la cigale.

 

Jérôme de Mars

Un débat à tomber de o' 

 

Vers l'ébat.

A tomber de o'

Des bas à un débat

A un très haut niveau

En remontant à vive allure

Quand je ne mets bas

D'un ni vos grandeur nature

D'ébat qui tombe de haut

Du caniveau zéro en oh

Où j'espère relever le niveau

Toucher le fond du tréfonds

En appétit après à voir

O' débat petit à petit

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

                                                       Blague  :

 

 

Qu'est-ce-que ça fait un attentat raté à Londres ce matin   ?

-  Une bombe à retardement pour désamorcer les tensions  

 

 

                                               Jérôme de Mars

Les alizés dévalisés

 

D'Alésia, allez-y

Les vents soufflés

Au fromage d'Hollande,

Quand volatilisés,

Les alizés dévalisés

Restent devant dévalisés

Et agitent les cerisiers,

Car le bazar

Fait bien les choses

Sur le boulevard du hasard

Intimidé qui balise la valise des rencards,

Hébétés et embêtés que des zonards

Malfamés demeurent hagards

Au rendez-vous du hangar à gare,

Lorsque les alizés couvrent le feu

Dès le silence hypocrite du mainate anxieux

Aux îles Canaries des canaris boîteux

En souffle du coeur bancal et épineux,

Dès que le souffle paravent demande une amande

Honorable aux paroles du perroquet cloué

Au taquet taquiné par des mots répétitifs de vilain

Oiseau qui souffle un vent cornélien et manichéen

Au roulement de tambour des jours capricieux,

Houspillant du coin de table ébène qui traîne son soufflet

Boursouflé qui traîne son fusil de chasse ensorcelé,

Quand les alizés dévalent lysés à L' Elysée solennel

Du charme d'envergure qui augure un vent officiel

Des officiers officieux dévalisés par les alizés, 

Allez-y au courroux du coucou au culot fantôme

Qui rédige les tomes de ses mémoires au manoir du chrome

Hanté de la maison tentée par le diable des alizés qui chinent,

Les vieilles reliques à l'antique souvenir comme une machine

Artificielle sans saveurs naturelles lorsque les alizés dévalisés,

Fournissent le mobile de la stabilité immobile décrété en sûreté.

 

Jérôme de Mars

 

Allez ha par celle  !

 

 

Aléas                                            par                                        selle

D'allées                                     ha                                            parcelles

Allez-y à Alésia                        ha partielles                           au grain de celle

Des alizés et des alinéas                feu naître persiennes              par celle 

Qui va des allers ah                 en une fleur païenne           avec son grain de sel

D'alléluia                                    en fenêtre par sienne           du béguin par sel

Allez                                               ha                                      parcelle

D'aller                                          ah perse sienne                    o'casse-grain en selle

Allez                                              ha                                        par celle

D'allées                                       martiennes                           parcelles

D'allers                                       aux fleurs parisiennes          par celles

D'alizés                                        au feu n'être                         par sel

D'alinéas                                     en feu naître                       partiel

Qui laissent aller                           les fenêtres persiennes       par selle

Des alizés alléluaia                         ah par tel                           des parts qui scellent

Les aléas                                       aux remparts ciel               feu nulle part fiel

 

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Citation  :

 

 

Un Français décoiffant et patriote qui va chez le coiffeur se faire la boule à zéro, est chauve hein  !

 

 

                                           Jérôme de Mars

                                                      Blagues :

 

 

1)  Pourquoi ne suis-je pas trop entouré par ma famille  ?

     -  Parce-qu'on m'a bien cernés  !

 

2)  Pourquoi est-ce-que ce serait du vent pour La France si l'ouragan passe  ?

 - Parce-que dans le traité de l'Atlantique, l'ouragan dirait : " José, c'est du vent ! "

 

 

                                               Jérôme de Mars

Rivage à 180 degrés 

 

Demain tenant,

Il y a du changement

Arrivage au second degré,

Fixé vers le rivage à 180 degrés

Sans regrets du virage,

Quand le cap fait barrage

Dans un abordage en embuscade,

Aux fosses d'eux de coque

Qui se défaussent en bicoque,

De leur apparence de façade

En mode verrouillage,

Qui capte avantage davantage

Un virage à 180 degrés

Qui vire rage en virage au second degré,

Car le bateau sombre en naufrage

Au premier degré,

Duquel il renverse à voile et à vapeur

Tout le carburant moteur de sa fureur

Qui cale en travaux d'échafaudage

Dans un factice marivaudage

Qui tient un blizzard langage,

Alors que l'élagage en nage

Coïncide avec les dérapages

En raccourcis cap dans un rivage,

A 180 degrés en un virage

Au premier et au second degrés

Sans regrets à la croisée 

De la destinée embarquée,

Demain tenant 

A deux mâts venant

Voiles cap à l'horizon,

Moussaillons, assaillons

Le gouvernail à la barre

Qui se rembarre, comme.barre.

 

Jérôme de Mars

 

J'écris l'ombre, je décris la lumière

 

Avec mon cri de colère,

J'aime l'ire les raisins de la colère

Ivre d'absinthe la tête en l'air

En élevant les barrières

Des vers des oeillères,

Ainsi, j'écris l'ombre

Sombre à la pénombre

De la lumière

D'un sombrero au lasso

Chapeau eldorado,

Alors que je décris la lumière

Avec les idées claires

En surenchère chères 

Aux années paires,

Quand je remplace le terre-à-terre

Solitaire par un inventaire solidaire

Qui jette du sel ouvert

Dans le coeur de pierre,

Pour qu'il arrose le jardin récipiendaire

Et s'ouvre aux congénères dispensaires

En fleurs de repères

Qui relancent la compète universitaire

Avec un savant mélange de quête

A la conquête,

De la paix salutaire

Pour éteindre les disputes incendiaires,

Car j'écris l'ombre

En restant à l'ombre,

Alors que je décris la lumière,

Afin de marier ces lignes unis vers,

Où les revers me métissent en des vers

De circonstances atténuantes en repaire

D'un souffle de vers

En quittant l'over

Et en me rapprochant de la vérité stationnaire

En orbite j'espère dans la fusée solaire

Qui me propulse à destination charnière,

Complice d'un état en années-lumières,

Car j'écris l'ombre

De ma pénombre sombre,

A l'ombre de mes frères lumières,

Alors que je décris la lumière

Des surannées de jachère

En sur années prospères,

Si bien que j'écris l'ombre

Qui se dénombre

A des années lumière,

Mais que je décris la lumière

Ouf de retour parmi vous mes chers

Frères lumières.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

D'êtracteur

 

En bande

Sans contrebande,

Le projectionniste

Embobine le film

De notre vie d'artiste,

Où l'on se fait des films

En faisant du cinéma,

D'être acteur partisan

De démêler le fil parti sans

La mise en scène d'être spectateur,

Mais tout de même d'être acteur

De son intrigue qui se trame

Avec des tracteurs dans le scénario,

Si bien écrit imbroglio

Avec beaucoup de quiproquos détracteurs,

Car après avoir jouer longtemps

Le spectateur, on supplie le réalisateur

De nous rendre acteurs avec le micro-films

De notre vie riche en rebondissements intermittents

Du spectacle qui nous embobine détracteur

D'être acteur que spectateur, pour changer la pellicule

Du film y a pas photo, au suspense ah ! le temps palpitant,

Au moteur de l'action d'être acteur partisan du parti 

Sans rien d'écrit, car l'on décrit en dialogues de soi

Un monologue très narcissique

Et au nombril égocentrique,

Où l'on lâche la contrebande négative

Du film pour se projeter une bande positive

Et rétroactive

Loin des histoires noires maniaco-dépressives,

Car demain, c'est maintenant

Dans le cadran sommaire

Sous les projecteurs de la lumière,

D'une histoire en couleurs,

Qui fleure bon le travail d'artisan,

Haut ! qu'il nous rend merveilleux

Avec cet amoncellement

De bonheur précieux,

Après tous ces bleus malheureux,

Où en faim, on ne joue un rôle d'acteur

Ni de spectateur,

Car l'on se réincarne en amateur

De notre je d'auteur,

En endossant le véritable rôle 

De notre vie,

A l'eau D'Eros,

Coupez  !  

On vous fait une fleur.

 

Jérôme de Mars

 

Tout l'égout sont dans la nature  !

 

Ragoût, on mange du ragoût,

Quand on a tous les goûts

Dans la nature spontanée

Qui expire la douceur incarnée

De nos friands bons petits plats,

Dès qu'on a mis à plat nos tracas,

Car tous les goûts 

Sont dans notre nature,

Où l'on aime les fortes aventures

Au ragoût du passe-plat du ragoût

Qui passe les plats, 

Lorsque il y a dégoûts

Qui nous poussent à bout

Et qu'il y a d'égouts dans la nature

Entre deux fosses postures,

Car y a trop dégoûts 

Qui sont dans la nature,

Dès qu'apparaissent les vergetures

Et qu'elles meurent des goûts

Et qu'elles demeurent d'égouts

Et qu'elles pleurent dégoûts

Dans la nature, 

Qui lui refile toute sa démesure

Dans un fiel allure,

Qui remplace le bleu azur

Pour le muter en encablures,

D'une longueur de filatures

D'un autre tant qui sème les fêlures,

D'une nature morte en ratures

Avec de l'hydrocarbure,

Alors que pour se rabibocher

Avec notre nature fâchée,

Il suffirait de combiner

Le pur et la nature,

Asssociés à la verdure

De la peinture

De notre belle nature,

Qui ainsi renaîtrait 

Tous les goûts dans la nature,

Et conjurerait

Tout l'égout 

Et dégoûts 

Dans le dur,

Pour qu'on carbure

Au futur et sans voilures,

Car tous les goûts

Sont dans la nature,

Qui se dénouent

Et se dévouent,

Auxquels on renoue

Et on se voue,

De nous à vous.

 

Jérôme de Mars

Faites vos jeux  !

 

Ca y est, Paris

Gagné après divers paris,

Paris a les jeux

Fiers et heureux,

Car après des je divers

Voici des jeux d'été,

Car ça a toujours été 

Mieux que les jeux 

Se déroulent en été,

Après l'hiver, l'été

Sera fabuleux

Vraiment un pari gagné

Sur ce Paris rêvé

Comme maintenant,

Faites vos jeux

Les jeux sont faits,

Comme si le temps 

Restait clément 

En je contrefaits,

Alors que ce sont des fées

Divers comme c'été uniquement l'été

Qu'avaient lieu, qu'ont lieu et qu'auront lieu

Les prochains jeux d'été à l'accoutumée

Des habitudes qui donneront une fête d'un bleu chaleureux,

Quand pour une fois, les dés ne seront pipés

Mais empilés dans la pile des souvenirs adorés,

Avec du sport qui chambre du football,

Au handball, au tennis, au tennis de table à deux balles

Et au canoë-kayak qui mène en bateau 

La voile à voile et à vapeur, avec de l'escrime en crime de lèse-majesté,

Si sa sainteté incrimine une épée de Damoclès

Balèze et à vos alèses très à l'aise,

Au nom d'un gamme bon, au nom de sa majesté

Qui effleure le fleuret la main au panier du lancer franc,

Du basket très bien dans ses baskets qui trouve chaussure à son pied

Avec le ballon d'essai qui vole en baudruche de conte de faits divers, car c'été

Radieux lorsque les euros gagnants semblaient francs

Gaulois et avec leurs gauloises qui enfument 

Les anciens médaillés olympiques qui fument

Le revers de la médaille après avoir fait un tabac,

Et grillé en prises de bec à tabac les journalistes sur le terrain

En fredonnant La Marseillaise qui leur passe un savon boute-en-train,

En prises y a pas photo de judo, d'aïkido et de karaté dans leur lutte

Gréco-Romaine qui laisse de glace l'hiver car c'était la lutte finale en butte

D'emprises sans méprises mais avec les reprises de l'internationale

En mettant à l'oeuvre les ouvriers dans la manoeuvre des infrastructures,

Où les jeux d'été 2024 plieront en quatre Les Français dans une cure

De jovialité en course avec le marathon au sprint de l'athlétisme

Dans une belle variété de différents sports en dépassement de soi en esthétisme

Très à cheval sur l'équitation avant la régate en régal qui semble ok sur gazons,

Car gageons que le succès soit au rendez-vous rendez-vous à Paris sur les quais

De La Seine à la scène qui assène un message positif et descriptif de l'état esprit,

Qui règne en ces futurs jeux olympiques et tropiques au dessein du destin en folie

Qui dérivera en furie ici partout à l'enjeu de l'an jeu qui fera bateau-mouche 

Au libre-arbitre sur la touche ou sur la souche de véritables patriotes à la louche,

Car les jeux sont faits en été et défaits d'hiver car c'été mieux si les jeux

Pouvaient demeurer en fête sans défaite, car voilà faites vos jeux les jeux sont faits

En chansons, car bougeons dans ce pari et avançons en Paris d'occasion.

 

Jérôme de Mars

 

 

Amis parcours

 

Bonjour Serge, à quoi sers-je  ?  Si Johan ne m'aborde de la façon si je déborde de dérapages, où je perds des plumes même si ma plume vole en oiseau brisé par certains ex-amis qui ont rompu tout foule contact avec moi, après avoir trop appuyé sur clé contact.  Ces anciens amis ont pour non définitif, Edwin, Boris, Jean-Paul et Lionel, pas beaucoup d'amis parcours m'appellent, à part Alexandre qui m'appelle et m'épelle à phone et à fun, en appel démasqué, après qu'Edwin et certains ex-amis me démasquent en lâchant un appel, et en me laissant tomber en chute des histoires, car j'ai laissé béton mes relations qui endurent le cuir, en dur à cuire de ses échecs et à se couper l'herbe sous le pied sauf Guillaume qui cultive son jardin secret, qui ne m'appelle souvent trop préoccupé à occuper sa quête amoureuse avec sa conquête coquette.  Y a que Christophe qui me comprend à L'ESAT et qui demeure un ami fidèle, alors que les autres collègues à L'ESAT s'en foutent de moi, car ils préfèrent davantage par intérêt le foot, comme Damien Lelièvre qui me pose des lapins car je me carotte tout seul à raconter des salades, comme Adel qui bûche de préjugés à mon encontre sans rencontre, sans comprendre mes embûches, mais à me consacrer con car pour lui, je suis sacré con à con prendre ma mise sur le boucher, au bûcher qu'Adel encense car il le revendique, Adel, il me critique mais quand il a besoin de moi, je suis toujours là, alors que lui, il n'est pas au temps présent, trop obnubilé par son futur en présent d'une copine ci-possible réelle pour soulager sa pine, alors que quand je lui parle à Adel, il ne m'écoute pas, car pour lui, je n'ai de paroles et en plus, il me coupe sans arrêt la parole, alors que lui quand il parle, il ne faut surtout lui couper ses mots car on connaît la chanson avec Adel, comme récemment, lui et moi, on s'est balancé au sens figuré, des gros mots en noms d'oiseaux, car ça ne vole haut, alors que Jonathan me comprend un peu mais pas tant que ça car il est pas assez prêt tôt pour me comprendre en clair, vu qu'en bévue, j'ai des malentendus distendus avec tout le monde et qu'on s'embrouille dans la crypte si bien barbouillée et débrouillée. Y a que Michel mon ami qui me comprend en restant solidaire et bienveillant avec moi, en me parlant gentiment alors que comme les autres me rendent solitaire en faisant l'indifférence avec moi, alors que tout le monde à L'ESAT et partout m'ignore et s'en fout de moi en ne m'accordant du crédit comme je me suis mis amplement à découvert. A L'ESAT et ailleurs, tout le monde me parle agressivement, m'envoie promener au Bois De Boulogne à deux balles, et me méprise en mes prises de position, de l'emprise en prise avec le ridicule car tout le monde me juge mal sans me comprendre, personne ne m'apprécie pour s'y méprendre avec moi, car je sais surprendre en faisant l'avide et peur aux gens et en les faisant fuir, mais pour terminer, quelles sont les personnes qui sont tout ouï avec moi mais ne me donnent leur non, alors que seuls Jonathan, Johan, Michel, Alexandre et Christophe sont tout oui avec moi en me donnant leur nom, avec également dans une moindre mesure, Brigitte amis parcours sur qui je peux conter le concours pour décompter l'encours du temps, au temps qu'amis parcours d'antan autant du temps.

 

Jérôme de Mars

Quaranteigne

 

A né à nez,

T'approches de la quarantaine

A moins d'une année

Et à quelques semaines

Que t'espères sereine,

Où il vaudrait mieux

Pour ta gouverne

Que tu ranges tes souvenirs

De caverne

A l'an devenir

Subalterne

De Verlaine,

Dans le dessein qui rallume

Sans rhume

Ta lanterne 

Dans la veine

Jaillissante de gens de la fontaine

Lointaine de ta rengaine,

Car sinon, tu franchiras le cap

Très cap

De la quaranteigne

En teigne,

Que tu dépeignes

Et que tu dédaignes

Que ça baigne

Bienvenue Montaigne,

Car tu réfrènes

Sur le fil du poteau

A fuir et à faire fuir tes potos,

Comme tu baignes

Dans le rétro

Et que ça fait trop

Pour eux 

De supporter les cieux

De ta nécro,

Qui grossit ta bedaine

Et éclate ta tête pleine

De vilaine rengaine,

Qui sombre de tes frères lumières

Et t'assombrit à des années-lumières

Du clair

Qui te plombe

Dans la pénombre

Des non-dits linéaires,

Où plus tu flancheras,

Plus durs demeureront les aléas

A affronter dans le calme roi,

Car pour reprendre le cap

D'une plaine saine,

Il faudra démontrer de quoi t'es cap

Et tu ne devras résister à la joie de vivre

Qui t'enivre,

Pour ne pleurer alléluia misère, 

Bonjour tristesse, d'hauts cercles vides cieux,

Comme tu regretteras ta chaumière

A cran d'y rester dans ta taverne

Et ta tanière,

En vieux

Loup perdant solitaire,

Car tu le sais

Depuis que t'inné,

On a besoin d'avoir de fidèles amitiés

A braver dans la fraternité

En ressources qui régénèrent 

Ta routine que tu serines

De phrases que tu dessines,

Du regard taciturne

De ta mélancolie nocturne,

Mais heureusement, ta volonté de vivre

T'écume en un livre ouvert qui te livre

Les remèdes miracles pour garder les yeux

Malgré tes bleus

Qui perdurent diurnes,

Car il vaut mieux 

Aborder la quarantaine

De projets Amen 

Qui amènent,

Promènent et emménent

Ton jardin d'Eden 

Dans le triomphe semeur de graines

Fenêtres ouvertes vers la mène,

Alors que si pour toi, c'est la quaranteigne,

Tu daignes 

Que tu saignes

Dans ta bedaine

Contractée par l'épidémie

Du virus de ta rengaine,

Qui fournit tes coups de folie

Qui t'imprègnent

Que ça ne baigne

Bienvenue Montaigne,

Dans le règne

De la teigne 

Qui dépeigne

Ta tête pleine

Qui se fait des cheveux

Furieux et sulfureux,

Qui peignent

Ta gangrène

Qui saigne

Ta personnalité qui enseigne

Ta peine,

Comme une peine

De prison avec sursis

Qui raccourcit ta vie,

Sauf si tu daignes

Accepter le fruit

Des châtaignes 

Sauf si on te met une châtaigne

En usufruit

De ta teigne,

Que tu peignes

A mesurer la peine,

Que t'imprègne

Bientôt le cap

De la quarantaine,

Sauf si tu t'affranchis

A t'absoudre de toute la bedaine

De ta peine,

Afin que les couleurs joyeuses déteignent

Ta dégaine

Et qu'elle dégaine

Et freine

A Fresnes,

Ta mise en quaranteigne

Si tu en es cap,

De sorte que tu daignes

Franchir sans teigne,

Le passage de la quarantaine,

La tête haute et pleine

Qui ôte la plaine,

Et te réfrène 

En une crise de rire de la quarantaine

Si tu tiens le cap,

Afin que tu l'atteignes

A Athènes,

Sans la teigne hautaine

Et haute Athènes

Dans ta dégaine

Qui ne veut

Que tu l'atteignes,

Dans le règne

Sans la teigne

Qui t'enseigne,

Une nouvelle vie meilleure

Ci-possible qui n'en saigne

Si pleine,

Que la madeleine

Te tient en à laine

Loin de ta mise en quarantaine,

Mais émise en ta quarantaine

De ton bas de laine

Qui te tient en haleine.

 

Jérôme de Mars

L'il au danger

 

Etranger sur cet il,

Je suis en danger du presqu'il,

Car mon il est flottante

Et décadente,

En alerte dégâts des os

A l'eau niveau caniveau zéro

Au du de l'impact à mère

De mon passé trouble-défaite 

Et que je ne suis fier

Qu'il émette,

Un serpent de mère

Qui reproduit tous les imparfait impairs,

Comme quand je harcèle un ex de mes amis

Edwin, et qui menace de déposer plainte

Contre moi comme une complainte

Qui déverse son vice ami et sa vertu ennemie,

De l'il en danger

Dont je ne suis que le presqu'il étranger,

A ce qui m'envahit

En ondes négatives,

De l'usufruit de mon lit anémie

Qui se trépassent en flashbacks et regrets rétro-projectifs 

De mes déviances dégressives,

Avec mes travers rétroactifs

En coups de disgrâces transgressives,

Où je ne sais de quoi demain sera fait

Tandis qu'à moins de mes deux mains,

Tout ne sera que des fées d'hiver

Car après la colère peut-être que surgira une lumière

Pour transformer le passé oppressant

En un présent au présent plaisant,

Car il est temps qu'à mon âge,

Je sache ce que je veuille,

Ou si je désire finir seul 

Et seul

De mon moyen-âge

Assis sur mon fauteuil,

Où s'il y a encore un brin d'espoir

Dans cet amas d'écrin noir,

Qu'un miracle o'miracle se produise

Et induise

Un parfum bienveillant 

Et bienfaisant,

Afin que je picore en écureuil

Les plaisirs d'une vie simple

Conjuguée avec de l'harmonie,

De l'humanité

Et de la sérénité,

Sans que l'ignorance

Et le silence

Des uns me trinquent,

Mais que je me requinque

Dans un abreuvoir de belles histoires

En réservoir d'arrosoir,

Qui me transpose de l'il

Au danger d'un presqu'il

En l'il étranger Aux Olympes,

De la mère dissipée

Qui émigre en un amour de volupté

Avec une femme en puberté 

Qui m'amène aux progrès

Du sommet ragaillardi d'envie

Et hardi d'appétit,

Pour une vie

Sans ennuis.

 

Jérôme de Mars

 

La traversée du dessert

 

Après la mise à plat par les tempêtes

Des îles flottantes dune et nulle part,

Le climat reste lunatique et bipolaire

Dans une zone rouge très alerte

Entre coups de chauds et l'effroi polaire

Du pôle nord au pôle air,

Quand c'est la traversée du dessert

Qui dessert le cataclysme du temps

Et de ses contretemps de mauvaises humeurs,

Qui règnent sur La Terre qui tremble à taire

Et dans une ambiance délétère, car c'est du vent

Dans l'oeil du cyclone malfamé à température ambiante

Dans le feu de l'action interaction lorsque la traversée

Du dessert dessert le désert d'une et la tête dans l'une,

Car l'ouragan du désespoir tire sur l'ambulance

De la charité très tienne, lorsque charité bien désordonnée

Commence par toit même de la traversée du désert immaculée

Conception de la traversée du dessert typhon au niveau,

Du cas niveau alerte largement au dessous de zéro,

De l'échelle sismique qui brasse du vent à l'air libre

Au passage devant des catastrophes en dégâts des eaux,

Comme des gars des os qui s'assemblent en ils flottantes

Sur l'eau à vau-l'eau qui tombe à l'eau allo La Terre,

On a juste besoin de gens humains pour nous réconcilier

Avec eux et aux cieux pour demain afin de remplir le monde

De cause à effet avec une embellie d'espérance soit-elle,

Dès que la planète ne sera plus pour soi mais pour soie

D'un avenir résurgent avec du bien naître sans le séisme

D'un vote Le Pen qui ne résoudra le mystère de la terre,

Mais la fustigera au tréfonds très terre-à-terre en terre d'argile

Alors que si on prend l'air, les êtres resteront agiles dans l'air du temps,

Car avec cet air entraînant, après la traversée du désert,

Vive la traversée du dessert avec des îles à flot turquoises par être 

De glace mystère, car pouvoir se regarder dans la glace nous réchauffera

Avec de la fraîcheur plein les idées et l'eau nettes en clair.

 

Jérôme de Mars

 

Etre ou ne pas n'être

 

Par être, c'est être 

En toute lettres

Sans paraître

De n'être

Qu'un paraître

Par être

De naître

Qu'on envoie paître

Dans la nature des hêtres

Car être ou pas n'être

Telle est l'équation de homme lettre

Si on prend tout à la l'être

Pour paraître un être en lettre

Libre par être sans paraître

Quelqu'un de naître qu'un paraître

Alors, que pour être il faut n'être

En par être, sans être traitre

Mais en restant le parfait maître

De son être en par être de n'être

Et ne plus paraître paraître de naître

Car être ou ne pas n'être

Telle est l'adéquation d'être

De n'être par être.

 

Jérôme de Mars 

 

Vers lents

 

De ces quelques vers lents dont se conçoit cet ouvrage en verlan solitaire,

Ce manuscrit retranscrit les revers à l'envers de l'auteur Gilles Verlant solidaire

Qui vire à la dérive et rive du versant sans vers aux vers sots du verso sagittaire,

S'il s'agit terre à déposer ces vers lents au verlan du Français dépositaire et pair

Dans un recueillement étranger qui émigre en un port d'attache en verlan à l'envers

Des branchés verlans chébran en vers lents solitaires aux instruments bassistes,

Des poètes contemporains avec leur inspiration moderne qui coule avant-gardiste

D'un français franc-parler au parler Français de ces francs laids par la monnaie

Rendue de leurs pièces aux vieux Francs d'antan Claude Monet au respect vénéré

Qui n'a plus rien à prouver sauf approuver sa mort pour le reste de l'humanité,

Tel l'artiste immortel qui pleure les larmes veuves des demoiselles éplorées avec 

Assez de larmes pour rédiger des vers lents délétères en verlan de l'envers sec,

Quand les lecteurs s'interrogent qui est l'imposteur et l'authentique écrivain cultivé

Qui cultive son bien pour le jardiner au mâle de la culture pour tous en vers lents,

De circonstances à l'essence même de sa brillante plume qui ricane dans l'étang

Calme, où les vers lents évoluent en verlan dès que l'envers ordonne cap vers l'an

Solidaire d'un pied-à-terre.

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Citations :

 

 

1) Si à chaque fois LA RATP et LA SNCF se mettent en grève, c'est parce-qu'ils ont un métro de retard !

 

 

2)  Si Les Iles Saint-Barthélémy et Saint-Martin sont à la mode, c'est parce-qu'elles sont dans le vent  !

 

 

 

                                             

 

 

                                             Jérôme de Mars

 

 

 

             

Bon do do 

 

Dodo, tu as bon dos avec ton lolo, quand tu fais en solo un duo

En longs vers de tes lombaires avec un lumbago rigolo bon do do

Do ré mi fa sol la si do recto verso vers solitaires qui assouplissent

La soupline qui s'assoupit quand l'émission est accomplie et lisse,

Car tu fais du bon dodo en do do à bon dos abondé par des caprices 

D'odieux qui glissent l'amnistie internationale en une pérenne armistice,

Anémie d'une disette de vitamines qui contaminent le credo bon dodo

Au rebond do do et tourne-dos d'un do à do ado où l'on se frotte au dos-à-dos,

De la rétro à la nécro qui flanchent les quand les bras droits sont des manches

A quatre-vingt balais à des années-lumière d'intervalles des années quatre-vingt,

Car pour les différentes générations c'est si lointain ces ballets anciens

Comme on aimerait si bien y retourner dans la machine à rameuter longtemps,

Dans un silence qui a bon do do dans un dodo qui rappelle nos souvenirs édifiants

Qui roupillent et torpillent le roupie projectile en projection d'un lance-requête,

A l'ultra-perfection nec plus extraordinaire pour respirer débonnaire à la quête

D'un bon dodo où l'on se réveille à bon do do en sifflant de sa joie communicative

Après le sommeil récupérateur car on s'affranchit des limites qui ravivent l'oh vive.

 

Jérôme de Mars

L'affable de la fontaine

 

En à fable,

Gens de la fontaine

Comme Damien, le lièvre 

Et moi, la tortue

Donnent l'affable 

De la fontaine,

Quand le lièvre carotte

La tortue du lièvre 

Qui pose des lapins

A la tortue qui lui fait bond,

En l'esquivant de ses faux pas,

A la fontaine qu'il boit finalement

Avec Damien qui le rejoint

Par la pointe des pieds,

Où le lièvre et la tortue

En gens à fable composent

L'affable de la fontaine,

Dans laquelle ils se désaltèrent

Les mots de paroles 

A fable de la fontaine,

En j'en affable l'ineffable,

Dès que ne jaillit la fontaine

Qui tombe à l'eau

Ici crescendo.

 

Jérôme de Mars

Mâle faisant

 

A l'aube dissipé des broussailles,

Le boucan des feux décan assaille

La nature pubère qui marie la forêt

Et le malfaisant,

Faisant le bien mâle faisant

D'un faisan faisant

Le ménage

Des poussières enrobées,

Bienfaisant la liste du mâle faisan

Faisant mal le remue-ménage

Du printemps,

Quand le temps empreint

Se teint

Hautain d'une tête de sanglier

D'emprunt,

Entre le mâle faisan

Et le malfaisant 

Faisant bien mal et bien le mâle faisan,

Fauteur de troubles

Qui redouble

D'un chargé d'histoire

Avec tous ses tiroirs 

Ouverts, pour se mettre au vert

De la nature,

Et pour omettre 

Les revers

Des ratures,

Car l'unique bien faisan

Oublie le malfaisant

Révolu

Qui évolue

En mâle faisan,

Faisant le faisan

Aimant dans son élément,

Car fais-en bon usage,

Sage comme une image.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                        Citations :

 

 

1)  Un stylo qui n'écrit plus jette l'ancre !

 

2)  Un homme ivre mort voit rouge  !

 

3)  Un scotch qui arrive au bout du rouleau, ça nous soûle  !

 

4)  Au cirque, un lanceur de couteau fait un numéro à couper le souffle  !

 

5)  Un lanceur de couteaux en froid avec ses amis, est à couteaux tirés  !

 

 

                                                   Jérôme de Mars

 

                                                          Blagues  :

 

 

 

1) Qu'est-ce-que ça fait Saint-Barth et Saint-Martin ravagées par la tempête  ?

-  Des presqu'îles

 

2)  Pourquoi la tempête se propage-t-elle de Saint-Martin à La Floride  ?

-  Parce-qu'il y a des rafales de vent  !

 

 

                                           

                                                   Jérôme de Mars

 

O'mages aux mères du printemps

 

D'un brin romantique d'éclosion de fleurs,

Les joviales saisons trépassent de l'hiver à mère

Et passent au printemps des images,

O'mages aux mères du printemps,

Quand le soleil fronce les sourcils

D'ils prequ'ils crayons de couleur gentils

Et garçons manqués et loin l'hiver

Fané et austère car aussitôt, un zeste de lumière,

Dans l'horizon sans nuages vaporeux dès que la chaleur

Conviviale très fleur bleue de la clameur,

Du royaume réenchantant livre une pincée des clés du bonheur,

Qui irradie les maisons grises en un folklore joyeux et d'un ciel bleu fabuleux

Pour donner la parole et tenir les mots farandole aux mères ramages

Du rayon dans son diapason

De mère à boire et de mère déboire

Qui retentissent un sourire d'espoir 

Malgré de raconter de drôles d'histoires de comptoir,

Au ciel passant et quelque peu flamboyant de ses années fugaces sur Terre

Avant de rejoindre le haut du cursus de l'univers mystère,

Lorsqu'il y a des étoiles peintes effet mère

Qui se rebellent à des éclats éphémères et inventaire

O'mages aux mères du printemps,

D'hier, d'avant et de maintenant.

 

Jérôme de Mars

Non de nom

 

Non de nom

Tout oui

Dis-moi ton non

Ni ouïe

Ni non

Si ouïe

Dis-moi ton nom

Car si oui

Redis-moi ton non

Avec le pronom

De ton prénon

Et avec le pronon

De ton prénom

Tout oui

Qui dit non

Car si ouïe

Redis-moi ton nom

En oui

Tout ouïe

Sinon

Ce sera oui

Si nom

Ouïe

Si non

Oui

Tout ouïe

Ni oui

Ni non

Sinon

Tout oui

Nom de non.

 

Jérôme de Mars

 

Drain de folie

 

Voici une pièce de théâtre qui se déroule à l'atelier conditionnement de L'ESAT de Vitry, où la direction sonde les moniteurs et les agents pour savoir ce qu'ils pensent

De cet établissement.

 

- Madame Manoiline-Proïa, la directrice  : " Bonjour Eric, comment se fait-il que les agents n'en branlent pas une  ? 

-  Eric, le moniteur  :   Madame la directrice avec tout le respect que je vous dois, les agents s'ébranlent de votre abus d'autorité, où vous semez la terreur car vous donnez et ordonnez une mauvaise direction à cet ESAT qui chavire en direction Des Amis Du Ratelier, car pour le fric, vous bouffez la santé des agents.

- Madame Manoiline-Proïa, la directrice  :  Vous êtes un roquet Eric avec votre impertinence car ça vous fait démanger votre impatience à me montrer votre insolence  !

Donc pas la peine que je vous demande de ce que vous pensez de cet ESAT, vous m'avez bien fourni une réponse très détaillée.

Eric, le moniteur  :   Et pour terminer madame la directrice, je suis un perroquet car je tiens parole moi alors que vous, comme ça vous tente, vous scandez  :

 "  Paroles, paroles, paroles, paroles, paroles et encore des paroles que tu sèmes au vent

Voilà mon destin te parler,
te parler comme la première fois.
Encore des mots toujours des mots
les mêmes mots
Comme j'aimerais que tu me comprennes
Rien que des mots
Que tu m'écoutes au moins une fois
Des mots magiques, des mots tactiques qui sonnent faux.  "

- Madame Manoiline-Proïa, la directrice  :  Pour passer à autre chose, je vais interroger Christophe,

Bonjour Christophe, que pensez-vous de cet ESAT  ?

-  Christophe, un agent  :  Moi, je m'en fous, je n'en pense rien de cet ESAT, je suis juste là pour travailler, car j'y vois mon intérêt pour toucher mon salaire et gonfler mes intérêts à la banque.

-  Madame Manoiline-Proïa, la directrice  :   Ok Christophe, je prends pour argent comptant, ce que vous m'avez dit sans vous rendre la monnaie de votre pièce détachée, car je vous accorde encore du crédit même si vous vous êtes mis légèrement à découvert, maintenant, je vais interroger Damien.

Cher Damien, que pensez-vous de cet ESAT  ?

-  Damien, un agent  :   Moi, je m'en fous, moi, je suis là pour dormir et manger comme je carotte mes collègues et que je suis Damien le lièvre comme je pose des lapins.

-  Madame Manoilie-Proïa, la directrice :  Ok Damien, vous êtes le lièvre et Jérôme Bedrossian, c'est la tortue.

-  Jérôme, un agent  :   Pourquoi madame la directrice, vous dites que je suis la tortue avec le lièvre et la tortue.

- Madame Manoiline-Proïa, la directrice :  Car vous Damien et Jérôme,  en plus d'être le lièvre et la tortue,  vous êtes l'affable de la fontaine, où vous y allez tout le temps pour boire de l'eau sans travailler pendant que les autres bossent, vous n'avez pas honte  ?

-  Jérôme, un agent :  Normal, je roule ma bosse comme L'ESAT de Vitry tombe allo quand on leur parle sans qu'ils nous répondent  !

-  Madame Manoiline-Proïa, la directrice :  Bonjour Jonathan, que pensez-vous de cet ESAT  ?

-  Jonathan, un agent :  Moi, je m'en fous car vous embobinez les agents avec tout votre cinéma où dans un festival de cannes, vous profitez des agents comme personnes handicapées pour vous faire une montagne d'argent car l'agent n'a pas d'odeur  !

-  Madame Manoiline-Proöia, la directrice :  Ok Jonathan, merci de votre franchise médicale car y a plus de sécurité sociale à L'ESAT , c'est pour cela qu'il y a beaucoup d'arrêts-maladies.

Bonjour Johan, que pensez-vous de L'ESAT  ?

-  Johan, un agent :  Madame la directrice avec tout le reste paix que je vous dois d'honneur, je trouve que L'ESAT n'aborde plus ses véritables problèmes.

-  Madame Manoiline-Proïa, la directrice :  Rien de plus normal Johan, je déborde tellement d'inattention envers vous, que j'ai trouvé les solutions avant d'avoir rencontré les problèmes avec vous les inconnus au cas x y.

Bonjour Saïda, que pensez-vous de cet ESAT  ?

-  Saïda, une monitrice :   Je panse que vous n'y connaissez rien au handicap, c'est vous qui devriez vous faire soigner car vous avez un plus gros handicap du coeur, que les agents de L'ESAT  !

Et pour terminer cette saynète, les moniteurs et les agents reprennent en choeur  et en chanson une critique acerbe contre la directrice :

-  Nous en choeur, agents et moniteurs, on dit de nous, on dit cap et vous sans choeur, on vous dit handicap vers le coeur de La Mongolie, de votre état de coeur de pierre à l'édifice où il sera marqué Atelier conditionné au pire Des Amis Du Ratelier

car ici le silence est d'or et la parole est d'argent  avec Madame Manoiline-Proïa en directrice de cet ESAT alors que L'ESAT de Vitry sans Madame Manoiline-Proïa comme directrice, s'appellera désormais ESAT de Vitry :  

Les Amis De L'atelier en argent content. "

 

Jérôme de Mars

 

Les quatre vérités

 

Point d'interrogation,

Il est leurre

En affirmation

Et en exclamation

D'énoncer les quatre vérités,

Pliées en quatre sévérités,

De la manière

De les raconter,

Comme si c'était 

Des comtés

De se clamer

A l'effarouchée

De l'écorchée

De la dure réalité,

A accepter

Et à valider

Dans l'instantané

Ces quatre vérités,

Pliées en quatre ces vérités

En sévérités,

De transfuges 

Sanguines,

Que l'on devine

En subterfuge

De la manipulation,

Avec préméditation

De ne pas avoir sa langue

Dans sa poche,

Dont on empoche

Avec le mouche du coche,

Ces quatre vérités,

Qu'on clame

En slam,

Pliées en quatre sévérités,

Ces vérités 

A quatre sous

Sens dessus sans dessous,

Dont on s'en fout

Que le monde se fout

Du franc-parler

Pour parler Le Français,

Des quatre vérités,

Que l'on discute et incruste

Sur le buste

Des visages à la douche froide

Et Ecossaise,

Pour plier en quatre, ces vérités

Avec sévérité

A la sauce Béarnaise

Pourparlers

Sans mener la langue

De bois morte et moite,

A bon entendeur

Du coton ouate

Ces quatre vérités,

Pliées en quatre qui se modifient 

En harmonie

Avec ces vérités,

Ainsi soient-elles

De soie 

En soi

Pour soit.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                          Blagues :

 

 

1)  Que me dit mon père qui me demande de l'écouter en arrêtant les dérapages sur FACEBOOK  ?

   -   Mets-le en application ce que je t'ai dit Jérôme  !

 

2)  Pourquoi Damien n'a-t-il pas envie de venir chez Jérôme  ?

  -   Car il n'y a pas de pâté de maison à bouffer  !

 

3)  Pourquoi Jocelyne, est-ce-que ça te chante quand je te dis oui  ?

 -   Parce-que tu dis kara ok  (  karaoké  )

 

4)  Pourquoi n'es-tu pas content de voir le verre pas à moitié rempli   ?

 -   Parce-que tu vois le verre à moitié plaint  !

 

                                         

                                                   Jérôme de Mars

 

                                                     Jérôme de Mars

 

                                                      Citation  :

 

 

Un lion qui venge la mort de sa progéniture, pratique la loi du talion.

 

 

                                               Jérôme de Mars 

Enfin

 

La faim

En coupe-faim

En fin

Gargouille à fin

Afin

Et enfin

D'arriver en faim

A la fin

Qui tombe parfum

Par fin

Et fin

Enfin

Coupe-fin

En fin

Défunt

Très fin.

 

Jérôme de Mars

Le ver à moitié plaint

 

Con plaint dans le vide,

Il vaut mieux voir

Plein le ver à moitié

Plaint qu'à moitié avide

Et limpide,

Quand les idées sont claires

Et pas claires

De lumière,

Car l'une n'est claire,

Lorsque les théories

Semblent confuses

Et diffusent avec ruse

Leurs propres effigies

Aux odes jolies,

Dont il vaut mieux

Voir le ver à moitié plein

Qu'à moitié à vide,

Tenté par les rides

De l'aride

Du ver à moitié plaint

Et con plaint

Dans des délicatesses non-dites,

Qui gravitent l'eau bénite,

Dont elle ramasse

A la ramasse toute la besace,

De l'itinéraire

En bûche 

Qui bûche d'embûches

Et qui fait l'autruche

Du ver de contact,

Qu'on tâte

Au ver à moitié plein

Qu'à moitié avide,

Car le ver

Est plaint

Et con plaint,

En demeurant d'avide

De rien

Mais rempli

D'Alex sans grains

De folie

En alexandrins

De génie

Grondait clap défunt.

 

Jérôme de Mars

Pas de quartier  !

 

Autochtones,

On est les atomes

Du tome hématome

Qui transmet le syndrome

De nous autonomes

Et à faune,

Pas de quartier

Qu'on habite à Vitry

Ou à Ivry

Dans la saga récitée,

Car les rues paraissent moches

Comme des têtes blotties

Les mains dans les poches,

Dès qu'on décoche

Et cocher qui loche

Son visage poupin de mioche,

De Gavroche

Qui cloche

Et s'effiloche

Dans cette drôle d'époque

Qui empeste le phoque

Et toque

En toc toc,

Pas de quartier

Si on habite à l'avenue

En paix

En point de salut

Et en dehors de Vitry

Ou d'Ivry,

Quand les habitants

Avec leurs sangs indécents

En chagrinant leurs neurones

Ont des coups de folie

Qui depuis naguère

Dévoient en guerre

Dans le quartier

A l'avenue en paix,

Car on légifère

Pour que les territoires

Infâmes en drame

Des ghettos à chaud,

Arrêtent leurs sales histoires

Et rangent leurs lames

De couteaux tirés des camouflets

Aux coeurs de pierre,

Afin d'allumer le calumet

De l'avenue 

En paix

Loin des déconvenues,

Car bienvenue

Au repos du guerrier

Que l'on dessert

En alléchant dessert

A des années de Vitry

Ou d'Ivry,

A vos quartiers

Plus de quartier.

 

Jérôme de Mars

                                                     Citation  :

 

 

 

Un horticulteur cultive son jardin secret  

 

 

 

                                              Jérôme de Mars

 

                                                    Blagues  :

 

 

 

1)  Que dira-t-on de toi Lionel si tu écoutes Sonotone, la nouvelle chanson de MC         Solaar   ?

    -  On dira que t'as des vieux malentendus contre moi  !

 

2)  Pourquoi Edwin, ne me soutiens-tu jamais comme ami   ?

   -   Parce-que je suis pas trop aidé par toi  !

 

3)  Pourquoi Alexandre, traînes-tu toujours avec ton ami Jonathan   ?

  -  Parce-que t'as trouvé Soulié à ton pied  !

 

 

4)  Pourquoi Adel, n'arrêtes-tu pas de te répéter  ?

  -  Pour ne pas qu'on manque à ta parole  !

 

5)  Pourquoi Guillaume, ne m'appelles-tu jamais en semaine  ?

  -   Parce-que tu es trop occupé à mettre des beurres dans les épinards avec tes       petites amies  qui nourrissent tes penchants cocus !

 

6)  Pourquoi mes voisins n'arrêtent-ils pas de claquer la porte  ?

 -   Parce-qu'on navigue en os troubles avec des ils qui sont pas voisins  !

 

 

7)  Pourquoi papa, ne t'occupes-tu pas beaucoup de moi   ?

 -   Parce-que tu as l'esprit occupé par mes tares et ta tare et 

      qu'il est trop tare  !

 

8)  Que dit-on de Boris qui fait une fête chez lui samedi prochain comme il y a l'anniversaire de Séverine   ?

     -   Samedi prochain chez Boris, c'est soirée des cons  !

 

9)  Pourquoi Lionel, vas-tu mieux depuis que tu connais Fabrice  ?

    -   Parce-que grâce à Fabrice, tu as retrouvé l'élan !

 

10)  Que dit-on de Boris qui fait une fête samedi prochain comme il y a l'anniversaire de Séverine  ?

   -   Que samedi prochain chez Boris, c'est soirée des cons  !

 

 

                                               Jérôme de Mars

                                

 

                                                        Citation  :

 

 

 

Un roi fou a comme garde-fou, le fou du roi  !

 

 

                                                 Jérôme de Mars

Pièce maîtresse

 

En jeu sur un damier,

Habitent les quidams

Dans la pièce maîtresse

Avec un homme ramier,

Pingre et rancunier 

Qui joue avec sa maîtresse

Dans un jeu de dames,

En pièces détachées

Sur le macadam en ramdam

Qui dame le pion,

Des pions sur l'échiquier

Dans la pièce maîtresse

D'à côté, dont la maîtresse

S'appelle Madame Maîtresse,

Qui est l'amante religieuse

Au moindre mâle de son mâle

Qu'elle couve de sa religion,

Comme la mante religieuse

Avec du pain béni

En âme soeur religieuse

Confectionnée par les expertes

Du pain Boulanger-pâtissier,

Quand la pièce maîtresse

Joue cartes sur tables

En tirant une paire de reine

Qui joue la folle sur le roi,

Car le fou est roi de sa pièce maîtresse

De théâtre au parfait simulacre

En feinte d'un tour de passe passe,

Lorsqu'après la passe,

Le roi arithmétique devient fou

Avec son garde-fou, le fou

Du roi du nom de Mat,

Où après l'échec du mariage

Du roi et de la reine

Sur leur échiquier

Enjeu de damier,

Le roi dame le pion

De la reine

Et fait échec, 

Auprès de la reine

Sur la pièce maîtresse

Du puzzle décomposé

Et figuré au sens défiguré,

Car la reine est l'unique 

Pièce maîtresse de l'amante

Religieuse, comme l'amante

Religieuse en pièce maîtresse

Qui demande à sa maîtresse,

Où est passée ma pièce maîtresse

De théâtre ce soir

Quel parfait simulacre ce je,

Sans en jeu en guise d'enjeu

D'un jeu de dames qui dame les pions,

Ces quidams, lorsque cesse le ramdam,

Des morpions sur l'échiquier

Echec et mat.

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blagues  :

 

 

1)  Qu'est-ce-qu'un attentat terroriste réussi et qui remet les pendules à l'heure ?

     -  Big Ben Laden  !

 

2)  Quel est le comble pour un diabétique  ?

     -   De se rendre malade en cassant du sucre sur le dos des gens  !

 

3)  Pourquoi Mémé n'a-t-elle pas appelé un de ses fils Manuel  ?

    -   Car sinon ça aurait été le manuel de l'atlas  !

 

 

                                          Jérôme de Mars

                                        

Si le monde tenait ses paroles  !

 

Du pardon à l'oubli,

Le monde se dénie

Dans la facilité

Du délit à ne respecter

Ses promesses prospectées,

Qu'il s'inspecte en suspect

A les édulcorer sans chanson,

Avec des mots-clés

Pour les décrypter avec insensibilité,

Car il fleure bon le code verrouillé

Alors que si le monde tenait ses paroles,

On pourrait composer une chanson

En l'état du contexte

Et du prétexte,

Afin de retranscrire

Un texte pertinent que la sécu saurait prescrire,

Pour mieux accorder les gens à l'unisson

Et en communion sacrée et que les cons

Sauraient consacrer avec une rafale de gros mots

Comme des guignols dans le cortège de la farandole,

Où ils franchiraient un semblant de sérieux 

Mi-bleu et mi-ténébreux entre zones de relégation

Avec un inventaire mitigé qu'il faudrait songer 

A moderniser en phase avec notre époque de bémol,

Où si les gens changeaient leur mentalité

On saurait trouver les mots heureux,

Comme si le monde tenait ses paroles

Et les convertissait en actes très beaux,

Pour rassembler la communauté dans un joyeux terroir

Dans lequel chacun porterait l'étendard de l'espoir

A la concordance d'un vivier de talents avec le réservoir

D'une pléiade de fanfares au projet concret 

De réconcilier l'humanité avec de l'amour bien enraciné,

Tant et si bien que chacun donnerait le meilleur de son histoire,

Car si le monde tenait ses paroles,

On composerait l'hymne pacifique en éloges de la fraternité

Et de l'amitié revigorées avec un message à haute portée

Qui récolterait une avalanche de mots rossignols,

Avant l'envolée lyrique ou y aurait plus de haine

Mais l'emblème d'une grande affection mutuelle 

Qui planterait et germerait une ribambelle

De moissons fertiles avec des oiseaux en graines,

Où l'humanité reine demeurerait universelle

Avec l'unanimité d'êtres amis 

Le long du fleuve tranquille de la vie,

Car si le monde tenait ses paroles

L'immonde deviendrait frivole,

Où un jour, on aurait la portée

De modifier la note salée

En une note allégée et sucrée,

D'un code secret qui serait déverrouillé,

Et dans lequel

On aurait renoué avec la solidarité

D'un peuple allié et dans le respect 

De l'amitié aux convergences naturelles,

Où il ferait bon vivre d'étincelles

Qui nous enivrent pluriel,

Si le monde tenait ses paroles,

Car on serait auréoles

Sans bémol et direction,

Une magnifique chanson

En conclusion.

 

Jérôme de Mars

 

Les corses extraterrestres

 

Depuis l'avènement de la TNT,

La voie lactée subit de plein fouet

Les antennes-relais

Des maisons relais 

En témoins de relais,

Où le système se corse

Et s'amorce,

Quand les corses extraterrestres

Prennent l'antenne d'assaut

Avec du matériel explosif TNT,

Dès que je dis l'événement du jeudi

Au Jedi la tête dans les étoiles d'araignée

En constellation les yeux rivés,

Vers une autre planète

Comme c'est net internet,

Lorsque saynètes dans les comètes

Les corses extraterrestres

Qui éprouvent l'écorce terrestre

Et réprouvent les ovnis aux yeux ébahis,

Quand les corses extraterrestres

Semblent dans la lune

Et se demandent, où habite le soleil,

D'une zone rouge en faisceau spatial

De Boris qui arrive de Vénus, la planète

De l'amour pour chercher l'angélus pas net,

Qui d'une dort aux aurores sur la dune

D'une montagne de sable qui bêle 

Les moutons de Panurge qui rendent chèvres

Les femmes fatales du bout de leurs lèvres,

Toutes gercées en t'aime astral

D'une étoile de tableau à représenter 

L'alliance des Vénus de milo, à plonger

Une tête pédestre à cheval et à l'envers,

En saute-moutons de la trésorière

De la guerre des toiles quand l'écorce terrestre

Adoube les corses extraterrestres à l'équidé équestre,

En sautant les haies que l'an pirattaque au sabre laser

En écoute de musique d'un cd laser au teaser

D'une symphonie de Bach qui passe le bac à vaisselle,

En passant le diplôme du bac en bac à table qui crécelle

En accordant le violoncelle sur les hirondelles en oiseaux de feu

Feu des goûts très classiques de Beethoven qui allument les Pierrafeu

Dans leur caverne d'Ali Baba très Baba cool, dès que le bateau coule

Les papas cool qui découlent lorsque le sable d'Event s'écoule

D'une prélude de Chopin qui se livre de son livret très ouvert, 

Quand les corses extraterrestres allument leur poste de télé

A leur poste très confiné avec un Mcdo et un café pour se prélasser

Du sucré au salé en se sucrant sur des notes salées à mère,

Dont c'est leur tasse de thé dansant sur les soucoupes pour chanter Prévert

Avec l'écorce terrestre de l'arbre basané au teint mat qui fredonne la chanson

Des merveilleuses saisons dès que les corses extraterrestres tournent embobinés

Sur la terre en l'écorce terrestre qui zappe n'est pas jouer

Le faisceau en vaisseau aux aguets, 

Où il est tant de siffloter retour dans vos appartements en joyeux bordels

Attroupés devant le groupe les marrons chauds qui laissent valser les accordéons,

Car nous accordons les violons d'une capsule de café à une tasse de thé

Dont les corses extraterrestres se corsent à l'écorce terrestre D'othello poireauté,

Oté il est l'heure de danser le zouké au déhanché débranché sur le fil dérangé

D'au revoir Zebulon, nous changeons de destination en retombant les pieds sur Terre du terre à taire, en lieu sûr, fermez l'antenne et finis les aventures.

 

Jérôme de Mars

 

                                                      Citations :

 

 

1)  Une manucure défend bec et ongles sa collègue agressée verbalement par une       cliente  !

 

2)  Benjamin, le dernier d'une famille de 3 enfants est le cadet  !

 

 

3)  Un client qui fait ses courses à Carrefour croise des gens  !

 

 

 

                                                Jérôme de Mars

 

                                                  Blague :

 

 

Pourquoi la bite paie-t-elle en nature  ?

-  Parce-qu'elle paie en liquide  !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Sérieux, c'est pour rire  ! ?

 

Jeux d'encre, la machine

Qui se met à écrire,

Se machine

A décrire

Le rire du pire,

Car sérieux, 

C'est pour rire

Et le pire,

C'est pas sérieux

D'être ennuyeux,

Quand ça va mieux

D'être heureux,

Alors que quand ça va creux

C'est d'un par être fiévreux,

Où l'on sourit

Bouche bée

Et où l'on rit

L'eau à la bouche

D'un conte de fée,

Car tout de même,

Sérieux, c'est pour rire

Et idem,

C'est graveleux,

Quand c'est au pire

Du soupir,

Qu'on veut s'assoupir

Au clan des amis unis

Pour la vie réunie,

Sans déni,

Car on se lie à Denis

La malice

Ou le caprice,

Des deux côtés fleur bleue

A la couleur ferveur

Et sombre fureur

Aux à côtés bleus,

Entre le pis

Et le dépit,

Où l'on reste curieux

Du rire 

Avec sérieux,

Et où l'on perdure fastidieux

Au pire

De l'ennui

Dont la suie

Essuie tout,

Notre va-tout 

Pour tenter le tout

Pour l'atout,

Car dans la vie, 

On est tout seuls

Et à plusieurs,

En confrérie,

A trouver notre Voie Lesueur

A Vitry et à ses feuilles,

Qui mettent de l'huile Lesieur

A brûler sur le feu,

Où l'on rêve amoureux

De poser sérieux,

Le calumet fabuleux

Pour éteindre le contentieux,

Et allumer le soleil radieux,

Sérieux, c'est pour rire

Et c'est au pire,

D'un sérieux parcimonieux,

Qu' il faut s'adresser crescendo à Dieu,

Pour le mieux

De nos aïeux

Aux hauts cieux 

Qui font long feu.

 

Jérôme de Mars

 

Bientôt la quarantaine  !

 

Après des mille et des sang

Dans un an,

Bientôt la quarantaine

Avec comme dilemne

La mise en quarantaine,

Ou et mise en crise de rire

De la quarantaine

Et bien loin du pire,

Pour que resplendisse la mire

D'une volupté en plaisirs

Et à très grande distance de l'émir

Qui lave son linge sale avec mire

Express comme un expresso café,

Qui lit des lignes de la main son destin

Qu'il espère dans la mare de café édulcoré

Avec une touche de douceur en dauphin

Sans le mal de mère qui persiste en crin, 

Car bientôt la quarantaine

Et que désertent les problèmes,

Pour que le jardin cultive le bien

Et qu'il aime en totem l'emblème,

Comme bientôt la quarantaine

En prémices d'une crise de rire de la quarantaine

Pour virer de bord la mise en quarantaine,

Car il est opportun de déclencher le seuil du bonheur

Avec de la fraîcheur et de l'amour qui poussent en rondeur

Dans des états de grâce de sourire, 

A admirer la sève des récoltes amassées en remplir

Son coffre-fort d'un joli magot avec e trésor

La réconciliation avec les humains et leurs prochains

Dans l'ultime voeu que la mélancolie cède le pas

Aux joies plénières d'une vie apaisée qui attire la foi,

Comme bientôt la quarantaine

D'une crise du rire de la quarantaine,

Pour neutraliser la mise en qurantaine

Et regorger de projets avec la tête pleine

De résolutions en remettant en questions,

Ses interrogations afin de traduire les actes en actions

Mais des passages aux actes en avancées positives,

Comme une pièce de théâtre qui s'affranchit de son entracte passive,

Lorsqu'elle aborde à l'âge limite un état des lieux et qu'elle franchit

La période de la maturité accomplie et où son coeur gravit

Les marches de l'ascension en totale reconstruction,

Et où ses aspirations et ses attentes demeurent soucis de réparation

Après tout ce carnage de l'abordage au naufrage en prenant de l'âge,

Car plus on avance, plus on déploie la langue de marivaudage,

Car bientôt la quarantaine

Et immobiliser la mise en quarantaine,

Pour hisser la crise de rire en quarantaine

Et clamer en liberté de ton cap vers les fenêtre ouvertes et persiennes,

Quand jadis, la joie se contamine aux ils marquis la tête plaine

Car bientôt la quarantaine !

 

Jérôme de Mars

L'agent n'a pas d'odeurs

 

Bonjour chers internautes

Et facebookiens,

De mon écran à cran

Qui a du cran et cran,

Je vais être très direct

Et en direct

De par cette vidéo

Monte-Vidéo

Sur mon facebook, 

Car à L'ESAT de Vitry,

L'agent n'a pas d'odeurs,

Car y a des bris de couloirs

Comme à L'ESAT de Vitry,

Le silence est d'or

Comme il se dore au soleil,

De l'oseille car la parole est d'argent

Et y a plus de temps à L'ESAT de Vitry

Pour avoir des paroles et les respecter,

Car à L'ESAT de Vitry, on fait l'indifférence

Avec tout le monde, on s'en fout de moi

Et on me méprise en m'agressant vers bal

Entre les moniteurs et les agents,

Car l'agent n'a pas d'odeurs

Mais il répand de sales rumeurs,

Dans les débris de couloirs

A ne faire que des histoires

A l'humour noir,

Car faites l'humour pas naguère,

Avec tout ce foutoir

Si jamais Damien me pose des lapins,

Comme c'est Damien Lelièvre

Le lièvre et moi la tortue,

Merci ces Jean De La Fontaine

Pas très affables, car ils ne connaissent

Pas l'affable mais la fable de la fontaine

Qui a depuis ce temps-là coulé de l'eau

Sous les ponts comme du pont et Dupont,

Après qu'Hollande ait fait des dégâts

Par Dugas de La France et de la finance qu'il a mis

En pays bas comme nous prenons de la bouteille

D'acolytes, en un pot très cher payé 

Sans rendre la monnaie de sa pièce,

Où cette mini-saynète est en pièce détachée

Comme ma gueule cassée en espèce de disparition,

Où à L'ESAT de Vitry, on me con prend pas,

Car on me reprend et on s'y méprend mal

Avec moi, car l'agent n'a pas d'odeurs

Mais l'argent a l'odeur de L'ESAT de Vitry

Qui voir rouge et devin chaque vin du mois,

Où tout le monde me met en boîte,

Car je soûle les alcooliques du gars

Oh Dugas, tu prends de la bouteille,

Comme moi, où je prends content

La porte en faisant du porte-à-porte,

Car je n'ai plus de crédit

Vu que je me livre parmi vous à des couverts,

Dans un humour à la fourchette des partis pris

Sans y aller par le dos de la cuillère et à couteaux tirés,

Où je prends congés de vous, pour battre en retraite.

 

Jérôme de Mars

A bout de souffre  !

 

Tel est pris qui croyait pendre

Le mépris on me l'a appris,

A le tendre et à le détendre

D'un faire-valoir,

Dont on veut choir et déchoir

Dans la douleur

D'un sempiternel souffre-douleur,

A bout de souffre

Que j'en souffre,

Que j'en boursoufle

Et dont je m'essoufle

Avec le souffle 

Du coeur,

Comme une fanée fleur

A bout de souffre,

Qui voit partir sa vieille enfance

Dans la violence et la distance

Incompressible et implacable,

Où les êtres aimables changent désagréables,

Car moi qui nais,n'aie rien

Alors que ma vie n'est le virgule point,

Où je fais du théâtre paraître

Pour incarner l'indifférent par être,

A bout de souffre

Dans le gouffre qui m'engouffre

Avec le feu, le combustible

Et les brèches que j'allume antisèches,

En sautant les fusibles, car impossible

N'est pas Français dans le franc-parler,

Où je parle l'ancien franc au lieu des euros de monnaie

Comme Jean-Luc Godard qui se fait des films à bout de souffle,

Qui s'essouffle avec un sourire de façade qui souffle

La brise devant du mépris qui m'ait pris et m'est pris,

Par la douceur du beau temps qui se fie et se lie

En selfie y a pas photo dans la rétro car point de parti pris 

D'à bout de souffre,

Pourvu qu'un arc-en-ciel me souffle un ouf de soulagement

Au clair du beau temps

Ainsi, je revigorerai en clair loin du gouffre,

Grâce au passe du temps 

Pour profiter de l'instant présent en un passe-temps.

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                    Blague :

 

 

Que dit ta queue à ton bras pour l'aider à se branler  ?

 -  Donne-moi un coup de main  !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Docteur Penaud

 

Bonjour docteur Penot,

Quoi de neuf  ?

A me dire docteur Penaud

Moi qui refuse de sortir

De l'oeuf,

Comme je m'ennuie

Et que je m'enlaidis,

A perdurer dans une vie

De veuf

Sans meuf pour la teuf,

Car je reste couvé

Aux souvenirs d'un oeuf 

Pas très neuf

Couvé à sa mère

Loin derrière mais incendiaire,

Docteur Penaud

Vous qui avez toujours le dernier mot

M'avait toujours déclaré

Avec un pot de verre d'eau,

Pourquoi je m'interdis

De m'ouvrir à la vie

En mettant en arrière mon passé endolori

C'est sûr, docteur Penot,

Vous avez pleinement raison

De vous à moi qui perd

La raison qui se confond en oraison

Des témoins de Jéhovah,

Alors qu'une rencontre charnière

Me sauverait

Du trépas en avançant pas à pas

Face à vos réflexions, cher Docteur Penaud,

Vous me mettez dans l'embarras,

Mais comme moi,

Je suis moi-même mon meilleur médecin

Devin à m'adresser et à me préconiser,

Le brillant remède pour panser ma frustration

Du dépit à l'anorexie d'un manque d'amour essoufflé, 

Comme je me décris, je suis le mauvais docteur

Pour soigner les dames des coeurs

Préférant demeurer le vilain docteur Penaud,

Pas beau et affreux jojo qui vole très oh lé !

Alors qu'il faudrait, que je passe de l'embarras

Au débarras de tous ces sales choses d'avant,

Pour me prédire enfin et enclin d'aller à demain

En me sermonnant sans Témoins de Jéhovah,

Hip hip hip hourra retour à la joie et oh quel débarras !

Où cher Docteur Penot, je vous paierai la note salée

Que je vous dois depuis le temps que vous me supportez

Avec mes hauts et mes bas, tandis qu'il faudrait que je saute le pas

Avec une femme pour passer du haut à d'ébats, où je vous remercierai

De ne pas avoir perdu votre temps avec moi car dès fois, 

Je me demande qu'est-ce-que je veux dans mon existence,

Si je veux une semence de clémence ou l'offense de mon enfance  ?

Merci Docteur Penot et à bientôt

Sur le haut Paris gagné où je ne demeurerai le docteur Penaud.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Cocasse

 

Caucase

Concasse

Cocasse

Qu'on casse

Qu'au case

Loquace

Caucase

Cocasse

Qu'on case

Qu'on casse

Concasse

Con casse

Casse-cou

Cocasse

Caucase

Qu'on casse

Loquace

Qu'occase

Con case

Qu'on casse

Cocasse

Casse-cou

Qu'on case

Con casse

Caucase

Qu'occase

Concasse

Qu'au case

Loquace

Caucase

Qu'au casse

Cocasse

Caucasse

Concasse 

Caucase

Qu'au case

Cocasse

Loquace

Qu'on casse

Qu'on case

Concasse

Casse-cou

Qu'au casse

Qu'au case 

Qu'occase

Caucase.

 

Jérôme de Mars

 

 

La goutte d'eau qui fait déborder le vase !

 

Des bordées à l'embardée la vase

Laisse tomber la goutte d'eau

Qui fait déborder le vase,

Quand les vases

Clos communicants transvasent

Les effets de seuil dans un mouchoir,

De poche qui décoche une fontaine de moineaux

Comme sur une branche qui les largue penauds,

Courbés dans la palme recroquevillée d'un entonnoir,

Qui chante les dégâts des eaux enrobés dans des histoires

Qui nourrissent le jardin secret de l'arrosoir très divinatoire,

Quand la vase rembarrée du septième ciel transvase

La goutte d'eau qui fait déborder le vase

Qui dévase tout sur le mirador des rossignols

Déchus de leur forteresse en coupe de gondoles,

Dès que la vie semble un fleuve paisible, 

Où la liberté est privilégiée en thèmes comestibles

Dans l'amitié et l'humanité

Entre amour et virginité au soulagement suggéré

Qui troublent les villages des branquignols

Dans la ferme des animaux qui se la ferme en farandole,

Lorsque le vase aborde la vase 

Et déborde la vase qui transvase

La goutte d'eau qui fait déborder le vase

D'un coup de baguette magique qui dévase

Les sortilèges d'un sorcier qui chasse

Les balais volants qui décrassent 

L'eau qui fait des crasses,

Tandis que l'eau dégoûte le vase

Qui s'égoutte avec la vase

Des gars des os ignobles qui transvasent

La vase qui fait déborder le vase,

Qui se transvase et dévase

La goutte de trop qui s'enlace

Avec les égouts qui égouttent la goutte d'eau

Qui borde la vase, aborde le vase, 

Et déborde tout le transvase qui dévase

D'un toucher d'eau rétro, où les gouttes

De trop tropicaux dégoûtent 

La goutte d'eau qui fait déborder le vase,

Qui se transvase en une dévase des vases

En des vases d'eau qui dévasent tout leur crachat,

Où la goutte d'eau qui fait déborder le vase s'inonde ici bas.

 

Jérôme de Mars

 

                                                    Blague :

 

 

Pourquoi es-tu égoïste  ?

-  parce-que tuer       quelqu'un  !

                 (  tu es )

 

 

                                            Jérôme de Mars

 

                                                Citation  :

 

 

  Tu n'es pas heureux dans ce monde d'égoïstes car tu voudrais que ce soit chacun pour soie  !

 

 

                                         Jérôme de Mars

Plagiat  !

 

Bonjour, copie conforme

Difforme qu'on forme

Dans le fond et la forme,

En méforme

Dix formes,

Car y a plagiat

Qu'hélas, la copie

Vaille l'original,

Inscrit dans les annales,

Installées sur la plage y a

Du plagiat,

Tandis que les plagistes

Mixent les platines dj

Et bcbg,

Où y a plagiat,

Quand s'égare 

Le gorille

De Georges Brassens,

Aux enceintes

Des maillons forts

De la chaîne

Des ouistitis

Qui se déchaînent

Et singent

Les pastiches

Des singes gorilles

De Dian Fossey 

Dans le fossé,

Où y a plagiat,

Lorsqu'ils lui volent

Son antivol

Du copyright,

Dans des parodies

De tragédie-comédie 

Del arte

Sur la chaîne ARTE,

En wifi clos,

Où le d'ébat est clos

Dans l'enclos

De la grande muraille

De l'échine,

Où y a plagiat

Dans l'eau

Sur la plage y a,

Où l'on surnage

En nage

Dans une eau héros

Tique

Des quatre fantastiques

Pliés en quatre

Et aromatiques

Des mimiques

Du singe gorille,

Qui s'égare

Dans la brume

Et s'enrhume,

Lorsqu'il singe

Avec ses narines

Les autres gorilles

Dans la brume

De Dian Fossey

Dans son fosse hé,

Dès qu'il supplie

Eliane

Avec sa liane,

De ressusciter

Dian Fossey

Au fausse eh,

Des parodies

Qui copient

Georges Brassens

D'un ok des brumes

Du gorille qui s'égare

A Gare Au Théâtre

A Vitry,

Où y aura plus plagiat

En nom conforme

De la copie qu'on forme,

Car l'on sera à la plage y a

Originale,

Dans mes formes

Des parodies

En oustitis clos

D'un oui-clos,

Au grand huit clos

Tout ouïe,

Car une fois clos,

Il ne sera trop tôt

D'être en clos

Plage y a

D'enclos

Plagiat  !

 

Jérôme de Mars

 

Les feux sont voyants !

 

Au feu les pompiers,

Tous les voyants

Sont au rouge over,

Car le feu vert

Mal allumé est dans le rouge,

Aux voyants d'un feu rouge

En bon état,

Qui est au vert,

Quand l'agent de police

Pin-pon donne

Aux automobilistes

L'autorisation de circuler

En voiture au pied

Du voyant qui n'y voit que du feu,

Alors que le feu pleins feux

N'est plus au rouge

Et qu'il donne son feu vert,

Au feu qui est over,

Car il voit rouge,

Quand le feu rouge

Qu'on répare

Se met au vert,

Après avoir passé

Et avoir été pressé,

Du vers à l'orange au rouge,

Qu'on boit

Et qui se met ouvert

Du passage au vert,

Qui ne voit plus rouge

D'un feu de paille.

 

Jérôme de Mars

Enclin, des clins, en clin, déclins, en des clins

 

Enclin

D'oeufs

Des clins

D'eux

En clin

De yeux

Déclins

Deux

Enclin

D'oeufs

Des clins

D'eux

En clin

De yeux

Déclins

Deux

Enclin

D'oeufs

Des clins

D'eux

En clin

De yeux

Déclins

Deux

En des clins

D'oeufs

D'eux

De yeux

A deux.

 

Jérôme de Mars

 

                                                     Citations :

 

 

1)  Un schizophrène avec sa double identité fait double je   !

 

2)  Un homme mûr récolte le fruit de son travail  !

 

 

                                               Jérôme de Mars

Façon de parler

 

Salut ! le djeune,

Pendant ta journée

De dur labeur,

Tu fricotes avec ta petite amie

La beurre,

D'un appétit

Supérieur à sa sueur,

Façon de parler

Le Français

Avec ton franc-parler,

En verlan

Et en chébran,

Pour parler

En pourparlers

Durant ton jeûne,

Au ramadan de ta religion

D'état sur l'appât

De tes pas,

Où ça reste légion

Que tu ignores les tas

De la communion,

Car La France n'est plus en communion

Façon de parler 

Le Français

Avec son franc-parler,

En pourparlers

Pour parler

En odeur de Sainteté,

Dans la décence

Et l'encens,

Pour qu'on encense 

Les étrangers

A s'évertuer

Et à collaborer

Avec Les Français,

Dans le respect

De la fraternité

Et de la solidarité,

Entre personnes aux mêmes affinités

Et de leur grande amitié

Qui en découle tant d'enthousiasme

Sans spasmes,

Sur l'internet mais avec des spasmes

Au coeur rougeur de pierre

Ebranlé et défiguré

Par la vie et sa pénurie de réciprocité,

Où tu manques de repères

Par tes tentations

De rejoindre Sein Lucifer,

Loin du malsain Père

Qui remplit ta bedaine

De haine,

Pour admirer

Et côtoyer

En frères lumières, 

Le clair de la lumière

Au regard extra lucide

Et acide

De la voyance des choses précaires

Dans un rôle protocolaire,

Façon de parler

Le Français

Dans son franc-parler

En pourparlers

Pour parler

Et énoncer

Les quatre vérités,

Du Français

Dans la saga-cité

Récitée et qui a suscité

Ton itinéraire

En emphysème,

Où t'aimes

Le requiem

De la bohème,

Alors que quand tu récupères

Ton esprit Saint,

Tu parles Le bon Français

Avec ton franc-parler

De ton amour pair

Et de ton prochain,

Façon de parler

Le Français

De la vérité,

Espèce en disparition

De djeune

Qui te scande salut 

Avec ta langue de la rue

Parmi tes semblables résolus,

Façon de parler

La vérité

Avec ton franc-parler

En pourparlers

Pour parler

Aux inconnus

De ton point de salut,

Car ici là, tout le monde te souhaite

La bienvenue

Chouette,

Comme les mauvais temps 

Qui génèrent du chaud bouillant

Et qui semblent révolus,

Si bien que tu seras prévenu

Qu'il y aura des imprévus

En route vers l'inconnu,

Façon de parler

En Français

De l'avenir de la société

Avec son franc-parler,

En pourparlers

Pour parler

L'instantané à la clé

De ce qui va arriver,

Bientôt façon de parler

Le franc-parler.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                                      Blagues :

 

 

 

1)  Que peut-on dire aux victimes de l'attentat de Bruxelles pour leur manifester toute notre sympathie ?
      - Comme Bruxelles s'effrite, pauvres petits choux de Bruxelles !

 

2)  Pourquoi Saint-Etienne est-il furieux d'avoir perdu 3-0 contre Le PSG   ?

      - Parce-que Saint-Etienne est vert de rage contre Le PSG  !

 

3)  Pourquoi est-ce-que je te titille souvent pour que tu me chambres comme t'es Arménien   ?

     -  Parce-que je te lance et revannes  !

                                          (    Erevan   )

 

4)  Pourquoi y a-t-il une malédiction à Londres avec encore un attentat perpétré contre des militaires par un homme avec son sabre  ?

    -   Parce-qu'il y a comme une épée de damoclés sur Londres !

 

5)  Que dit-on d'un arabe honnête qui passe d'un Islam modéré à un Islam radical où il devient fanatique  ?

   -   Il se désintègre en intégriste  !

 

 

                        

                                                 Jérôme de Mars

 

                                                        Blague :

 

 

Pourquoi Le Front National n'est-il pas étranger à la montée du racisme et de l'antisémitisme  ?

-  Parce-qu'il l'a écrit noir sur blanc !

 

                                                Jérôme de Mars

 

                                               Blague :

 

 

Pourquoi y en a t ils hier sur facebook qui ne m'ont pas souhaité mon anniversaire ?
- Parce-que pour eux c'été pas du gâteau !
- Parce-que c'été out !

 

 

 

                                        Jérôme de Mars

Conjuguer sa vie à tous les temps

 

Autant du passé

On conjugue son passé composé

Recomposé d'un passé simple

Qu'on conjugue au présent

De l'impératif présent

En présent indicatif

D'un futur simple

Auquel on participe présent

Au temps radical

Qu'on conjugue de l'imparfait du passé

En un parfait présent

Loin du temps imparfait 

Pour qu'on conjugue sa vie du passé
Au présent impératif du plus que parfait 
En indicatif d'un futur simple et un parfait
Au temps qu'on conjugue à tous les temps
Autant présent impératif en indicatif d'imparfait
D'un futur plus simple que le passé au temps de son présent
Auquel on est présent d'un temps plus que parfait 
Et au temps qu'on conjugue sans contretemps
Au temps du présent parfait et loin le passé
De l'imparfait au plus que parfait en indicatif
Du temps présent impératif qu'on conjugue
Dès qu'on participe présent au présent du temps indicatif
Pour conjuguer sa vie très longtemps à tous les temps.
Jérôme de Mars

 

Le temps bipolaire

 

D'ailleurs et aux environs,

Le ciel a ses changements d'humeur

Du soleil rieur

A l'orage pleureur,

Qui renverse son bol d'air

En buvant la tasse de l'eau torrentielle,

Quand y a des nuages à l'horizon

Qui souffle des vents de caractère

En criant au tonnerre,

Comme le temps bipolaire

Qui assure ses arrières

De la joie soleil à la pluie crécelle,

Qui claironnent leurs malheurs

D'il à vent c'était le triomphe meilleur,

Car le temps bipolaire

Qui ne manque pas d'air

Ne pouvait pas être

Et avoir été

Dans la saison du par être,

Entre deux variations à contretemps

D'île est tant l'il aux enfants

Que tout le monde a été

De l'hiver à l'été,

Comme si le temps bipolaire

Revenait du froid polaire

A la recherche du pôle ère

Aux nouvelles frontières

De la terre à l'univers,

En trapontane qui déplace des montagnes

Des vents contraires, 

Aux normales saisonnières

Qui lèvent l'île du haut levant 

En vol de deltaplane,

Comme si le temps bipolaire

Planait avec des manières diluviennes

Qui surviennent et reviennent

Avec des temps impétueux,

Fastidieux et parcimonieux,

Où dès fois, le temps clément

Juge de sa clémence son pardon passionnel

D'êtres aux ordres des temps intemporels

Et intempestifs au récif écorché vif,

Qui a le mal de mer et crache ses poissons

De l'eau tempérée et sommaire à la rive élémentaire

Qui ôte ses inconstances printanières au libre air,

Comme si le temps bipolaire

Respirait ses souvenirs de jeunesse synchrones

Avec des alternances du chaud au froid polaires

Et aux changement d'humeur aux caractères maniaco-dépressifs

A l'expresso de café subjectif qui déverse ses averses, où la colère

En symbiose avec le frontal cyclone

Déclenche une accalmie de poussière d'air,

Comme si le temps bipolaire avait un flashback d'hiver

Pour se téléporter du temps bipolaire autant polaire

Qu'ils reposaient sur des lauriers nécessitant une frontière

Des temps parallèles aux instants d'un clair de lumière

Au lever d'encore la vie est un éternel recommencement,

En un clignement des yeux harmonieux au comment

Du printemps à la légère 

Du temps bipolaire à l'hiver,

Qui est en froid d'antan polaire et en pull-over polaire

D'un coup de chaud où le temps se définit protocolaire,

A l'air du courant d'air bipolaire on ferme les frontières.

 

Jérôme de Mars