Réalité et friction

 

Acteur qui se fait des films !

Et qui fait son cinéma !

Il joue son rôle qu'il écime;

Rôle d'composition; top là !

 

Il joue le rôle de sa vie !

Se créant des scénarios;

Une carrière en un défi;

Lui qui écrit son mélo !

 

Du réel au virtuel;

Faisant un geste pour bouger,

Genre un clown triste Ménestrel !

Parfois solennel qui est

 

Un acteur caméléon !

Pouvant jouer tous les rôles;

Avec une incarnation !

Pouvant se confondre si drôle;

 

Réalité et friction;

De la friction en fiction;

Réalité et fiction;

De la fiction en friction;

 

De la tragédie comique

A la comédie tragique;

Il y en a pour les goûts !

D'succès en échecs d'égoûts !

 

Il faut se diversifier

Pour s'emmêler les pinceaux !

Et mieux se complexifier

Pour s'en mêler les pinceaux !

 

En des rôles très ambigus;

Qui sèment toute une confusion !

Qui semblent drôles trop dissolus !

Qui s'aiment toute une confection !

 

En une trame ambivalente;

En train d'écrire une histoire !

Qui se trame effervescente;

Entrain décrire une histoire !

 

Réalité et friction;

De la friction en fiction;

Réalité et fiction;

De la fiction en friction;

 

En sachant s'il joue le rôle

De sa belle vie pour de vrai !

En n'sachant s'il joue le rôle

De sa fausse vie de plus bel !

 

S'il joue ou s'il joue en joue;

Le vrai rôle de toute sa vie !

Ou si en joue; il en joue

Le faux rôle de toute sa vie !

 

Qu'il incarne en un paraître

D'un miroir aux alouettes !

Qu'il incarne en un par être

D'un mouroir aux alouettes !

 

Il laisse sa plume enjouée;

Qu'il y laisse des plumes d'jouer !

Il lèse sa plume en jouet;

Qu'il y lèse des plumes d'jouet !

 

Réalité et friction;

De la friction en fiction;

Réalité et fiction;

De la fiction en friction.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Sourdine à l'huile !

 

Sardines d'poissons

Dans le métro !

Serrées frictions

Dans le chaos !

 

Y a messagers !

Des passagers;

Qui se bousculent

Et qui basculent

 

D'un monde de sourds !

Malgré les cris

D'ce monde balourd !

Et cris; décrits

 

Que dans le train;

Dernier métro !

Tout est en train

D'dire stop ! C'est trop !

 

Sourdine à l'huile !

Jetant de l'huile;

Sur le feu en fil;

Sardine à l'huile !

 

Tout l'monde se hait

Indélébile !

Avec une craie;

Marquant habile !

 

Que toute la haine

Fait son chemin !

Tenant haleine

Main dans la main !

 

Ceux qui s'en foutent

De tout fourre-tout !

Et qui se shootent !

Monde de ripoux !

 

Tout le monde cherche

Des poux époux !

Avec leur derche;

Faux derche de coups !

 

Sourdine à l'huile !

Jetant de l'huile;

Sur le feu en fil;

Sardine à l'huile !

 

Pour embrocher

Tous les brochets

En queux d'poissons !

En effractions !

 

Pour se viander

Tous sur le grill !

Pour mieux s'griller

Vile dans la ville !

 

Où tout le monde !

Il s'asticote

Dans une grande fronde,

Où tous s'bécotent !

 

Mettant des vers

D'appât encas !

Grillant des vers

En un encas !

 

Sourdine à l'huile !

Jetant de l'huile;

Sur le feu en fil;

Sardine à l'huile !

 

Jérôme de Mars

 

Les petits ruisseaux font les grandes rivières !

 

Au large du courant qui borde l'horizon,

De l'eau coule pure un des sans en ces veines !

Qui circulent sur la route dense des poissons;

Qui nagent en nage sous l'eau calme qui emmène

 

Les marécages qui emménagent sous l'eau !

Et aménagent leur coin tranquille; recoin

De l'eau qui sanglote en abysses rétro !

Cherchant un confluent ayant besoin

 

De l'affluence et de la grande influence;

Qui prend sa source dans la loi du silence

D'un affluent; surfant sur la Terre nette !

Pas sur la terre nette; mais sur Internet !

 

Reflétant dans un réel virtuel;

Un virtuel irréel messager

Des rêves passagers; gratte ciel vers le ciel !

Et laissant songer en rêves mensongers !

 

Les petits ruisseaux font les grandes rivières !

Aux berges de l'eau allant vers la frontière !

Entre l'imaginaire et le linéaire;

Sans filet d'épuisette d'un estuaire !

 

Que tous les poissons inspirent et expirent

L'eau qu'ils respirent de leur bronche en apnée;

Franchissant les paliers pour s'affranchir

En toute liberté de l'eau ! Pour plonger

 

Et prolonger ce plaisir d'être sur l'eau

Et sous l'eau ! Quitte à faire en goutte-à-goutte !

La goutte d'eau qui fait déborder le sot !

En sursaut des soubresauts qui dégoûtent

 

La goutte d'eau qui fait déborder la vase !

Qui transvase le vase rempli de la boue;

Qui met boue à boue; chaque chose qui dévase

La rivière pour qu'elle ne tienne plus de boue !

 

Et afin qu'elle reste debout; la rivière

Attend des réponses claires sans aucune ombre !

Qui encombre son espace clair de lumière;

Et en la rallumant en si grand nombre;

 

Les petits ruisseaux font les grandes rivières !

Aux berges de l'eau allant vers la frontière !

Entre l'imaginaire et le linéaire;

Sans filet d'épuisette d'un estuaire !

 

Les canards voient le vilain p'tit cagnard !

Allumer ses rayons X de soleil,

Pour réfléchir sa lumière étendard;

Qu'elle vieillit tout le soleil en vermeille !

 

A la carte des merveilles ! Qui étincellent

Le radeau de la méduse qui méduse

D'un singulier pluriel chaque ritournelle;

Qui amuse et méduse l'eau cornemuse

 

De La Bretagne qui pleut en Grande Bretagne;

Toute une musique Celtique; prêtant renfort

En paroles d'argent contant qui épargnent

Les chants Bretons; fredonnant en folklore,

 

Tout l'amour de l'Océan Pacifique;

Enchantant sans fautes d'autographes la paix;

Troubadour d'un traité d'paix acoustique !

Outre-Atlantique; chantant sans maltraiter

 

Les petits ruisseaux font les grandes rivières !

Aux berges de l'eau allant vers la frontière !

Entre l'imaginaire et le linéaire;

Sans filet d'épuisette d'un estuaire !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si on marchait au Maroc !

 

Quartier du jasmin au teint !

Ce pays fait tant rêver

Qu'il se peint avec entrain !

D'avoir d'la joie pour songer

 

A habiter un riad !

Faisant la cour intérieure !

Ecrivant que des ballades;

On a la chance en bonheur !

 

Qu'on rêve de la Médina !

Imaginant la bonté;

Le long des rues pas à pas;

Embrassant toute la beauté

 

Intérieure des gens aimables

Et bienveillants; faisant boire

Une citronnade agréable !

En racontant des histoires;

 

Si on marchait au Maroc !

On vivrait dans le baroque !

Si bien qu'à la belle époque !

Pour vivre; on faisait du troc !

 

Faisant toc toc ! Pénétrant

Chez des gens très accueillants !

Reparlant du bon vieux temps;

Bon enfant ! Et sirotant

 

Un thé à la menthe aimante,

Comme un aimant dans l'amour

De son prochain ! Qui incante

De la tendresse en velours !

 

C'est du velours d'enchanter

Les touristes qui ont bon dos !

Qui veulent flâner; s'évader,

Faisant dodo l'enfant do !

 

Montant sur l'dos d'un chameau !

En traversée du désert;

Pays de l'eldorado !

Qui sert d'dessert qui dessert

 

Si on marchait au Maroc !

On vivrait dans le baroque !

Si bien qu'à la belle époque !

Pour vivre; on faisait du troc !

 

Faisant tout un souk machine;

Faisant marcher le marché !

Des souvenirs aux racines

Refoulées pour refouler

 

Le sol tapi sans voleurs

D'une caverne d'Ali Baba

Cool ! Qu'il devient l'enjôleur

Des mystères d'la Médina !

 

Mettant des grains dans le thé;

Thé à la menthe religieuse !

Que le thé à la Mosquée

Se sirote en prières pieuses !

 

Ayant pour grain de folie

Du Coran édulcorant;

Un champ en droit à l'oubli !

Réenchantant désarmant !

 

Si on marchait au Maroc !

On vivrait dans le baroque !

Si bien qu'à la belle époque !

Pour vivre; on faisait du troc !

 

Jérôme de Mars

Souk machine

 

En Tunisie;

Au Maroc;

En Algérie;

C'est baroque !

 

De marcher

Sur la place

Du marché !

Où s'déplacent

 

Tous les gens !

Qui avancent

Tout le temps !

Qui s'élancent

 

A la vente !

Achetant

A la vante !

En payant

 

Souk machine;

Qui machine;

Qui s'échine

Et qui chine

 

En brocante;

Le marché

En patente;

Qui faisait

 

Démarcher

Les clients,

Pour payer

Encaissant

 

Tout l'argent;

Donc aux frais

Du beau temps;

Il fait frais !

 

Qu'le café

Du commerce !

Se payait

Fonds d'commerce !

 

Souk machine

Qui machine;

Qui s'échine

Et qui chine

 

Que l'argent;

Rend vicieux

Tous les gens

Fastidieux !

 

Si ironiques

A l'emportée

Canonique !

Pour reposer

 

Avec lui

Dans la tombe;

Qui reluit

Catacombes !

 

L'argent sert

A payer !

Qu'il dessert

Prêt payé !

 

Souk machine;

Qui machine;

Qui s'échine

Et qui chine.

 

Jérôme de Mars

 

 

Tout le monde dit tout et son contraire !

 

Quoi de neuf en ce jour qui échange

Paradoxal et contradictoire ?

Parlant de choses et d'autres qui s'échangent !

Quelle est ambivalente son histoire

 

Fluctuante en fonction de l'humeur

Des gens bipolaires et lunatiques ?

Qui parlent de bonheur et de malheur

Selon leur humeur si névrotique !

 

Que rien n'est jamais du tout figé

Dans la vie aléatoire; un coup

C'est oui ! Un coup c'est non ! Assommés

Par la brutalité, comme beaucoup

 

De braves gens qui un coup; votent à gauche !

Et tantôt; votent à droite; mal à droite !

Prenant le gauche démago d'Gavroche !

Qui emboîte le pas; c'est dans la boîte !

 

Tout le monde dit tout et son contraire !

En fonction du vent qui tourne à l'air

Libre dans l'air du temps ! Course solitaire !

Entre colères et revers solidaires !

 

Pourquoi tout ce monde ne tourne plus rond ?

Et quelle est la raison qui fait que

Il n'y a que des gros cons rubiconds;

Qui se soûlent la gueule avec leur queue ?

 

Qu'ils montrent à l'air; disant un jour; noir  !

Un autre jour; blanc ! Mangeant leur pain blanc !

Mangeant leur pain noir rédhibitoire !

Ne sachant pourquoi tout fout le camp !

 

En cette vie qui change la nuit d'avis

Comme de chemises ! Se contredisant

Des habits d'hiver en des habits

D'été monotones; et en printemps !

 

Or ! Il n'y a plus rien de cohérent !

Que tout le monde se saigne travaillant !

Pour gagner de quoi à peine s'rongeant

Les sans ! Perdant tout se résignant

 

Tout le monde dit tout et son contraire !

En fonction du vent qui tourne à l'air

Libre dans l'air du temps ! Course solitaire !

Entre colères et revers solidaires !

 

Dans le monde; il n'y a plus de logique !

Il n'y a plus d'idéaux; tout à vau l'eau !

Vacille l'monde à l'origine basique !

Tout tombe à l'eau sans eldorado !

 

Entre désistements; désinvolture !

Plus personne du tout ne se comprend !

Que tout le monde se jette en pâture;

Et s'jette à la figure ! T'es feignant !

 

En des conflits de générations;

Entre tous les jeunes qui battent le pavé !

Et les retraités sans illusions !

Qui font que les jeunes jettent le pavé

 

A la peau lisse envers la police !

Et les retraités qui ont des rides !

Se dérident en faisant la police !

Cette génération qui met la bride !

 

Tout le monde dit tout et son contraire !

En fonction du vent qui tourne à l'air

Libre dans l'air du temps ! Course solitaire !

Entre colères et revers solidaires !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Le vilain petit cagnard

 

Soleil rosé de l'été;

Qui s'en va boire du rosé !

Sans un grand vent sirocco;

Aux tropicaux ! Il fait beau !

 

Saudade bien longtemps;

Que le ciel gratte son street art !

Esquissant des rêves charmants;

Qui rappellent; c'est la fanfare !

 

N'importe quel endroit dehors !

Le soleil redore tout jaune !

Qu'il vaut de l'or et alors ? !

La pluie grise mine; rend aphone !

 

Après avoir fait pleurer

Les nuages en chansons tristes;

Il faut les faire s'extasier !

Et d'une nouvelle vague altruiste;

 

Le vilain petit cagnard

Fait rincer l'oeil des canards !

Qu'il regarde de son cagnard;

Le journal et son canard !

 

Les canards sont volatiles !

Qu'ils en ont des prises de becs !

Qui débectent les volatiles;

Hurlant de leurs bruits pète-secs !

 

Il faut se méfier du lac !

De l'eau qui dort en apparences !

Qu'il n'y a pas le feu au lac !

Qu'c'est un faux-calme de Plaisance !

 

En concours de circonstances;

Que l'eau a des ricochets !

Prenant toutes sortes de substances

Illicites; âmes écorchées !

 

Pour avoir un très beau temps;

Il faut porter toute sa croix !

Soleil dans son élément;

Une belle histoire ici là !

 

Le vilain petit cagnard

Fait rincer l'oeil des canards !

Qu'il regarde de son cagnard;

Le journal et son canard !

 

Qu'il couche et taille la zone !

Aux environs de l'eau qui coule !

Qu'elle rebouche la couche d'ozone;

Hippie hourra baba cool !

 

C'est comme l'année 69 !

Ce fut une année neuve en teufs !

Que tout l'monde fit l'amour neuf !

Roulant d'la beuze sans les keufs !

 

C'est un monde de liberté

Echangiste en soixante-neuf !

Tout le monde roule de baisers !

Et jamais plus jamais veuf !

 

Paradis artificiel !

Il invoque tout le Missel !

En on dit si essentiels !

Que le soleil émerveille

 

Le vilain petit cagnard

Fait rincer l'oeil des canards !

Qu'il regarde de son cagnard;

Le journal et son canard !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Dingue sans garde-fous !

 

 

Une petite saynète sur la psychiatrie au CMP de Vitry-sur-Seine, où Jérôme Bedrossian, un patient interroge ses soignants référents pour savoir s'il est fou :

 

Jérôme Bedrossian interroge tous ses soignants au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Jérôme Bedrossian interroge sa psychiatre Madame Teillet :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Madame Teillet; à votre avis; suis-je fou ? "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Monsieur Bedrossian; vous n'êtes pas fou, car vous n'avez pas un garde-fou pour garder votre folie, mais pour garder la sécurité face à votre folie; vous avez en garde-fous le fait d'envoyer des piques assassines dans vos poèmes qui prouvent que vous êtes vaccinés et majeurs sans injection comme tout vos erreurs du passé sont prescrites ! Monsieur Bedrossian; votre passé est proscrit et prescrit ! Je vous prescris d'aller de l'avant ! C'est aussi pour cela Monsieur Bedrossian que je fais vos ordonnances sur ordinateur et plus à la main, car votre réputation est tellement sulfureuse qu'elle a jadis fait couler beaucoup d'encre dans le passé, où vous aviez fait mauvaise impression à tout le monde en fausse impression, alors que maintenant; j'ai l'impression que vous faites bonne impression auprès de tout le monde en surrimpression à moins que je fausse ma fausse impression pour de vrai ! Avec votre folie; Monsieur Bedrossian; vous allez me rendre chèvres vous qui aviez été avant; le bouc-émissaire des brebis galeuses ! Maintenant; Monsieur Bedrossian; soyez doux comme un agneau sans suivre le troupeau de mouteau dérangés ! "

 

Jérôme Bedrossian interroge son infirmier référent Jean-Yves Louchouarn :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Jean-Yves; à votre avis; suis-je fou ? "

 

Jean-Yves Louchouarn, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Jérôme; ben voyons; si depuis le temps j'en aurai déduit que vous étiez fou; j'aurai été plombier pour encore plus que vous me plombiez le moral en vos idées fixes; Jérôme; il faut savoir raison garder; certes; vous avez des petits vélos dans la tête qui font le tour de France que vous recyclez à tour de rôle dans votre environnement en roue libre; vous qui avez souvent été dans votre passéé; la cinquième roue du carrosse ou la roue de secours, comme quand à à Epin, on vous rouait de coups en vous considérant comme un maillon faible de la chaîne en bouc-émissaire, Jérôme; il faut que vous mettiez la pédale douce sur vos petits vélos de course ! Il faut vous remettre en selle en allant de l'avant même si dans le passé; on vous a tout le temps dit; tu peux toujours courir ! "

 

Jérôme Bedrossian interroge sa psychomotricienne Aurélia Korkoff :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Aurélia; à votre avis; suis-je fou ? "

 

Aurélia Korkoff, psychomotricienne au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Jérôme; non; vous n'êtes pas fou; même si vous êtes souvent stressé par la vie; ses camouflets et ses déconvenues, en résumé les aléas; allez ah ! Jérôme; il faut vous détendre à travers les séances de relaxation de vos travers; même si vous êtes long à la détente ! Vous qui êtes à bout portant et à bout pourtant et qui voulez vous flinguer et vous tirer une balle dans la tête comme dans le passé; tout le monde  voulait vous lflinguer; vous dézinguait et vous lyncher ! Jérôme; je vous suggère d'utiliser l'écriture pour tirer à bout portant et à bout pourtant sur tout ce qui bouge au sens figuré de votre flingue; mots pour maux dans vos poèmes incisifs et corrosifs pour tuer tout le mauvais temps de votre passé; en vue de vous reconstruire pour prendre du bon temps dans l'étang moderne ! Voilà Jérôme ma prescription ! "

 

Jérôme Bedrossian interroge son infirmière remplaçante Carole Baltazar quand son infirmier référent, Jean-Yves Louchouarn est en vacances :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Carole; à votre avis; suis-je fou ? "

 

Carole Baltazar, une infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Jérome; non; vous n'êtes pas fou ! Juste une question pour répondre à votre question; êtes-vous déjà tombé amoureux de quelqu'un ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Non, Carole ! "

 

Carole Baltazar, une infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Jérôme, si vous n'avez jamais été amoureux de quelqu'un; c'est que vous n'êtes pas dingue, sinon vous auriez été dingue de quelqu'un qui vous aurait rendu dingue ! "

 

Jérôme Bedrossian interroge son autre infirmier remplaçant Gurvan Queffélec quand son infirmier référent, Jean-Yves Louchouarn est en vacances :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Gurvan, à votre avis; suis-je fou ? "

 

Gurvan Queffélec, un infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Jérôme; ben voyons ! Bien sûr que non; vous n'êtes pas fou ! Vous êtes très et trop lucide sur votre état et votre vie; que vous vous rendez très bien  compte de tout au bout du compte; et même si votre vie et votre histoire personnelle n'ont pas toujours tenu debout; vous tenez encore debout de bout à bout même si votre histoire n'est pas à dormir debout ! Au bout du conte Jérôme; on a besoin de vous notamment au GEM de Vitry; où vous êtes quelqu'un qui ne compte pas pour du beurre mais qui compte tant de labeurs; qu'on compte sur vous en tant que trésorier-comptable fin lettré; même si vous avez l'impression la fausse impression que personne ne vous calcule; au bout du conte; on prend mot pour maux et au pied de la lettre tout ce que vous nous dites notamment quand vous nous confiez vos calculs névrotiques ! Au bout du compte Jérôme; vous comptez énormément pour les gens; que tout le monde compte sur vous; tout compte fait; vous l'éternel ancien laissé-pour-compte; et qui faites chaque fin de mois au GEM de Vitry le compte-rendu du CVS; Jérôme si vous passiez d'un passé à bout mal portant et mal pourtant à un présent bien portant et bien pourtant; en demeurant de bout en bout debout ! Allez ah Jérôme ! Tenez debout grâce à vos béquilles, que sont le GEM de Vitry; le CMP de Vitry et tous vos amis en restant de bout en bout debout au bout de ce compte de fées ! Je compte sur vous Jérôme ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

Un manchot qui fait un bras d'honneur !

 

Brise de glace arctique chez les pingouins;

Il y en a qui mange des gros poissons !

Poissons d'Capitaine Igloo en faim

De loup relou; qui jette en cuisson;

 

Ce qui jette un froid en relations;

En manque de chaleur humaine en froid !

Avec des coups de chaud en frictions;

Frissons garantis depuis des mois !

 

Il faut attendre chaleureux l'été !

Pour pirater corsaire tropicaux,

Les Corsaires; mode avion flibustier

De la banquise; sans aucun réchaud !

 

Que l'air est trop chaud et suffocant !

Il n'y a pas les bras droits des manchots;

Qui soufflent de l'air boursouflant le vent !

D'l'eldorado au vent sirocco !

 

Un manchot qui fait un bras d'honneur !

Attire toutes les sortes de visiteurs;

Des manchots aux pingouins amateurs !

Conciliateurs; réconciliateurs;

 

Faisant d'un coup de froid une chaleur

Humaine dans l'Océan Pacifique;

Qui réchauffe le coeur sans la rancoeur;

Qui refroidit l'Océan Arctique !

 

Pour noyer l'poisson d'hypothermie;

Renfermé en chaîne dans un bocal;

Ayant un coeur de pierre d'arythmie;

Il faut rester de glace; chouette jovial !

 

Pour voler vers le haut; relevant

Le niveau du caniveau zéro !

En allant vers le haut élégant !

De ce pays froid en ses joyaux !

 

Il n'y a rien de plus beau qu'une échelle !

Et un escabeau ! Pour contempler

Le ciel et un arc en ciel réels,

Car en remontant vers la clarté;

 

Un manchot qui fait un bras d'honneur !

Attire toutes les sortes de visiteurs;

Des manchots aux pingouins amateurs !

Conciliateurs; réconciliateurs;;

 

Pour pouvoir se regarder dans la glace

Qui glace les sans; patinant en neige

A la ramasse plaine de leur besace;

Il faut glisser; effet boule de neige !

 

Pas sur un terrain glissant; blessant

D'égratignures un dix de rechute !

S'enlisant en calvaire du néant !

Pour éviter les froids d'indice d'chute !

 

Il faut bien amortir la rechute !

Dont la chute de l'histoire; elle fait chute !

En disant aux manchots et pingouins

De bien remuer leurs popotins !

 

Pour faire des potins en leurs paroles;

Tapant; retapant anguilles sous roche !

Qu'il faut faire marcher sans un bémol:

Ces animaux clairs comme d'l'eau de roche !

 

Un manchot qui fait un bras d'honneur !

Attire toutes les sortes de visiteurs:

Des manchots aux pingouins amateurs !

Conciliateurs; réconciliateurs.

 

Jérôme de Mars

 

 

La chanson des calmants

 

Canne pour tenir debout

Dans ce monde sans garde-fous;

Il faut avoir du cran !

Et même si tout fout l'camp !

 

Il faut des sparadraps;

Et rien qu'des filles de joie

Pour faire; refaire ah ! Ah !

Comme un pansement là !

 

Où les patients pensent ah !

A soigner leurs démons !

Démons de Midi bas !

Bah ! derrière les jupons !

 

A soigner toutes leurs plaies !

Sans complète guérison !

Qu'elles vous disent s'il vous plaît !

Faites-leur casquer bonbons !

 

La chanson des calmants;

Déclamant compensant

La chanson sans calmants;

Clamant décompensant

 

Des cons pensant ah ! Cette

Jeanne Calment; pensant à

A faire faire sous la couette;

L'acte soigné pansant ah !

 

Bouger; se trémoussant

Dans un bain très moussant !

Pour mousser la bonne crème,

Et se dire des je t'aime !

 

Comme bon médicament !

Pour tirer une belle crampe 

En niquant; forniquant !

Cet homme qui a des crampes !

 

A en jouer son engin;

Manipulé quéquette !

Qu'il arrose le vagin

De la femme bistouquette !

 

La chanson des calmants;

Déclamant compensant

La chanson sans calmants;

Clamant décompensant

 

Que l'homme débite son lait !

Que la femme prend bouche-bée !

Bouche bite olé olé !

La femme à pipes aux dés !

 

Qu'elle a les dés pipés !

Pour pomper la grosse queue !

Son mec qu'elle a branlé !

Jouissant l'piano à queue !

 

A en jouir son engin;

Bien astiqué en quête

D'faire marcher son vagin;

Bien doigté en requête !

 

Comme plaisir excitant

Qui vient; revient; survient

En éclats; dégorgeant

L'poireau ayant en faim !

 

La chanson des calmants;

Déclamant compensant

La chanson sans calmants;

Clamant décompensant.

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blague :

 

Pourquoi est-ce de la bombe d'avoir habité le 21 Juin 2023 dans le 5ème arrondissement de Paris ?

- Parce-que ce fut le jour de la Fête de la Musique où ça a fait boum !

 

                                         Jérôme de Mars

 

                                        

 

Donnez de l'amour !

 

Au réveil du matin;

Chantez en pleine forme

La vie boute-en-train !

Et restez conforme

 

A la bonne humeur !

Chantez plein d'entrain

Tout le grand bonheur !

Chantez en refrain

 

L'amour de la vie !

Avec du soleil

En une embellie;

Qui fait des merveilles !

 

Comme une confiture  !

D'groseilles ribambelle

Sans déconfiture;

Et sans étincelles;

 

Donnez de l'amour !

En gants de velours !

Comme un troubadour

En compte à rebours !

 

Et si vous alliez

Vous faire des amis !

Qu'ils soient vos alliés

En une accalmie !

 

De la vie qui court

En compétition !

Comme un concours

En répétition !

 

D'ce monde punching-ball;

Qui tape sans une tape

Amicale pare-balles !

La prochaine étape

 

Serait de s'unir

Plus forts tous ensemble !

Pour tous se réunir !

Qui s'ressemble; s'assemble !

 

Donnez de l'amour !

En gants de velours !

Comme un troubadour

En compte à rebours !

 

Et si vous trouviez

Un nouvel élan

Retrouvé ! Qui fait

Donner de son temps !

 

Pour assembler et

Rassembler les gens

De bonne volonté !

Autour d'un élan;

 

Qui démarche à temps;

Sans parler d'argent !

Mais qui parle aux gens;

Sans argent comptant !

 

Pour que tout le monde

Comprenne; se comprenne !

Jetez tout l'immonde !

Chantez à la benne !

 

Donnez de l'amour !

En gants de velours !

Comme un troubadour

En compte à rebours !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Il ne faut jamais dire jamais !

 

Aux aléas des imprévus

De la vie qui sont survenus !

On ne peut pas savoir de quoi !

Demain sera fait quelquefois !

 

Tout peut arriver dans la vie !

Autant le meilleur comme le pire !

On croit tout savoir que fortuit !

On se trompe souvent qu'ça tire !

 

Qu'on n'a pas assez de la vie !

Pour apprendre l'essentiel utile !

Qu'on en apprend à l'infini !

Des choses qui sont parfois futiles !

 

On ne peut pas dire eh ! Fontaine !

On ne boira pas ta bonne eau !

Quand Juste fontaine à la fontaine !

Il jouait au foot; buvant d'l'eau !

 

Il ne faut jamais dire jamais !

Durant la vie à tout jamais !

Qu'Sean Connery tourna jamais

Plus jamais James Bond plus jamais !

 

Que je ne peux plus dire Fontaine !

Mon cher Jean de la Fontaine ! Je

N'boirai pas ton eau en fontaine !

Mais la Fontaine jouant franc jeu !

 

Avec mon hors-jeu d'écriture ;

Je me casse la tête en ma plume !

Fontaine ! Je ne sais quelle nature

Adopter si j'y laisse des plumes

 

En ma plume ! Dont j'ancre des espoirs;

Désespoirs d'avoir fait fausse-route 

En déroute ! Que je garde espoir

De retrouver ma route sans doute !

 

En sachant qu'il vaut mieux avoir

Des remords que de gros regrets !

A mes regrets ! De ne pouvoir

Trouver la paix pour demeurer !

 

Il ne faut jamais dire jamais !

Durant la vie à tout jamais !

Qu'Sean Connery tourna jamais

Plus jamais James Bond plus jamais !

 

Que tu en déduis que la vie;

C'est la loi du plus fort contre faible !

Et même si t'es droit; tu dévies

D'ton chemin ! Or ! Il y a des règles

 

A respecter ! Sans transgresser

Ce que tout le monde t'a appris

Dans la vie pour tant honorer 

Le bien ! Et à n'importe quel prix !

 

Tu scandes qui ne tente rien n'a rien !

Te donne envie d'tout essayer !

Pour comprendre l'égal d'un plus un !

Egale ta collectivité

 

D'ta communauté qui grandit

En ton union qui fait la force !

Parsemant petit à petit !

Toute ta communion qui amorce !

 

Il ne faut jamais dire jamais !

Durant la vie à tout jamais !

Qu'Sean Connery tourna jamais

Plus jamais James Bond plus jamais !

 

Jérôme de Mars

Débranche la prise !

 

Fil électrique

En mouvement !

Très frénétique;

Euphorisant !

 

C'est ton blues rock !

Qui vlan ! Décoiffe;

Musique en cloque;

Enceinte d'zouave !

 

Tapant tes notes

Sur des poteaux !

Genre un bloc-notes;

Amis potos !

 

Y a la sono !

Qui t'embobine

En stéréo !

Qui t'rembobine

 

Débranche la prise !

Courant sur prises !

Gare à la prise !

En lâchant-prise !

 

Que tout s'emmêle

Méli-mélo !

Que tout s'en mêle

Dans le ghetto !

 

Toi dur à cuire

Sur canapé !

Perfecto d'cuir !

Emmitouflé;

 

Brosse à reluire !

Joue ta compo !

Quitte à déduire;

Ton interro

 

Surprise ! Et qui

Te fout le blues !

Si bien requis;

Acquis ta frousse ?

 

Débranche la prise !

Courant sur prises

Gare à la prise !

En lâchant-prise !

 

Matérialiste;

Redevenant

Toi; un artiste;

Look insolent !

 

Sacré rebelle !

Qui te rend chèvre !

Quand ton bouc bêle

Du bout d'tes lèvres !

 

Tu t'fais la belle !

En ton bonheur 

Si ritournelle !

Pour le meilleur 

 

De déchanter

Que du bon blues !

D'désenchanter

Rengaine ton flouze !

 

Débranche la prise !

Courant sur prises !

Gare à la prise !

En lâchant-prise !

 

Jérôme de Mars

Un clown triste

 

Dans ma vie !

Oh ! Quel cirque !

J'resplendis

Dans ma clique !

 

Mes amis;

Cette famille

Très gentille !

Que je ris

 

Avec eux !

Que je jongle

En mes bleus;

Bec et ongles

 

D'un trapèze;

J'ai les boules !

Qu'c'est balèze !

Genre maboule !

 

Un clown triste;

Vie d'artiste;

Et altruiste

Sur la liste;

 

Que je jongle

Sur ma quille !

Bec et ongles;

C'est la quille

 

D'la retraite !

J'perds la boule !

En quête

De ma boule !

 

Sur un fil

D'équilibre !

J'perds le fil

D'équilibre !

 

Funambule

D'insomnie;

Somnambule;

J'assoupis

 

Un clown triste;

Vie d'artiste;

Et altruiste

Sur la liste

 

En dresseur

De mes torts;

Enjôleur

En renfort !

 

Comme un lion

Dans ma cage !

Loi talion;

Qui saccage

 

Pour m'dompter;

Me calmer;

Me dresser;

M'apaiser;

 

Que moi; on

M'contorsionne

Dans l'action !

Qui résonne

 

Un clown triste;

Vie d'artiste;

Et altruiste

Sur la liste.

 

Jérôme de Mars

 

Poil à gratter !

 

Voici quelques brèves humoristiques :

 

1) La preuve que les psychiatres s'en tamponnent de leurs patients; les psychiatres ne font plus d'ordonnances écrites à la main mais des ordonnances imprimées par informatique; la preuve que les psychiatres font mauvaise impression de leur travail aux patients !

 

2) La preuve que j'aime bien qu'on me dérange; tellement que je m'en fous de tout; je n'ai jamais eu de garde-fous pour pouvoir rester fou !

 

3) Si les fumeurs veulent être apaisés à tout prix; ils n'ont qu'à fumer le calumet de la paix à moins qu'il y ait des femmes qui leur fument le calumet de la paix !

 

4) S'il y a des clients qui vont au café pour boire un thé, et que le serveur leur dit qu'il n'y a plus de thé mais juste du café; ce sera tellement le café du commerce ! Que ce ne sera plus leur tasse de thé aux clients d'aller dans les cafés !

 

5) Si un apiculteur est en manque de sexe; il n'a qu'à demander à une femme de lui pomper le dard !

 

6) Un vendeur de téléphones portables qui ne sait plus pourquoi il fait ce métier; n'a qu'à se demander quel est le mobile de son métier ?

 

7) Pierre Desproges avait un humour si noir que par cynisme; il n'y allait pas en tremblant !

 

8) Depuis que Bouygues a acheté TF1; ils en ont fait une chaîne en béton à la chaîne !

 

9) Si un jour au Tour de France; je vois un cycliste dérangé; je me dirais qu'il a des petits vélos dans la tête !

 

10) Emmanuelle Macron veut tellement obliger les bénéficiaires du RSA  à (re)travailler que le RSA signifiera désormais Reprise Sans Allocation !

 

11) Comme à partir du 1er Octobre 2023; la Sécurité Sociale va diminuer le taux de remboursement des soins dentaires en le passant de 70% à 60% en faisant peser sur les mutuelles les 10% en moins de remboursement de la Sécurité Sociale; on pourra dire qu'il n'y aura jamais eu de respect mutuel entre les Français et le gouvernement surtout pour les plus pauvres !

 

12)  Avec la réforme de l'assurance-chômage; bientôt les chômeurs seront assurés de travailler sans être payés, pour leur faire payer toutes leurs années d'inactivité comme méchanceté gratuite !

 

Jérôme de Mars

Un café crème passant le temps

 

Au bar des complaintes de la rue;

Il y a les clients en déboires !

Pour boire leur café bien moulu !

Qu'ils donnent au serveur des pourboires !

 

Pour que le serveur boive leurs mots,

Des paroles aux déboires, pour boire

Leurs brèves de comptoir au bistrot !

S'regardant tous en déversoir !

 

En chiens de faïence pas normaux !

Et bizarres sans des accoudoirs !

Pour s'serrer les coudes entre frérots;

Des potos gentils illusoires !

 

Ils viennent au café pour tenir debout !

Du long cours au cours long; assis !

Qu'ils attendent d'avoir trop bon goût

Au café allongé; hormis

 

Un café crème passant le temps;

Regardant les passants; passant

Dans la rue; repassant; passant;

Dépassant; surpassant à temps !

 

L'inconnue dans la vie n'sachant

Ce que pensent les gens dans leur tête !

S'ils sont des gagnants; des perdants !

Dans la vie de leur vie; en quête

 

D'idéal absolu perdu;

Eperdu en vies dissolues,

Pourquoi elles semblent irrésolues

Les vies des gens assez fourbues ?

 

Eternelle recommencement

De la vie qui n'est que routine !

Passant le temps en boniments;

Qui dément que la mort déracine !

 

Alors qu'elle écime au café;

L'essentiel de la vie réussie

En bref ! Pour parler; discuter

Et converser; faisant joli !

 

Un café crème passant le temps;

Regardant les passants; passant

Dans la rue; repassant; passant;

Dépassant; surpassant à temps !

 

Un café pendu solitaire !

En faisant en un inventaire;

L'café suspendu solidaire !

Donnant de la matière sur Terre !

 

Pas qu'à l'argent ! Mais vers les gens

Aussi prenant un café long !

Ou prenant un café qui court !

Expresso; tout ça n'est pas bon !

 

A la longue ! Servant; desservant

A la foi ! Les clients; les gens;

Les passants; tout ça c'est du vent !

De parler en argent comptant !

 

Avec que la course à l'argent !

En course qui débourse solitaire !

Vidant les bourses d'argent contant !

Of course qui rembourse solidaire !

 

Un café crème passant le temps;

Regardant les passants; passant

Dans la rue; repassant; passant;

Dépassant; surpassant à temps !

 

Jérôme de Mars

 

Bleu indigo !

 

Terre des ancêtres

Qui a des bleus !

La vie paraître;

Sombre douloureux !

 

Superficielle;

Elle file aigre-doux !

Sans l'essentiel !

Qu'elle enfile fou;

 

Manque d'naturel

En paradis

Artificiels;

Ceux qui dévient

 

De la morale !

Depuis l'été

A s'faire du mal !

Ayant été

 

Bleu indigo !

D'ce monde dingo !

Bleu hein dit go !

Point rigolo !

 

Droit de travers;

Allant d'l'avant !

Juste en arrière

D'un paravent !

 

Ca; c'est du vent !

Qui souffle; boursoufle

Tout ça déviant !

Que ça s'essouffle !

 

On ne peut pas

Etre ! Et avoir

Eté bien là !

En déversoir !

 

D'un drôle d'été;

Faisant semblant

D'hêtre si léger !

Pour boire vain blanc

 

Bleu indigo !

D'ce monde dingo !

Bleu hein dit go !

Point rigolo !

 

Des langues fut-fut;

Jouent du pipeau

En verres de flûte !

Sans ciboulot;

 

N'ayant ici

Six boulots !

Des hêtres qui scient

Six bouleaux !

 

En traversée

D'un grand désert;

Très contrasté !

Et qui dessert

 

L'ombre; la lumière

En un soleil !

Au clair lunaire !

Qui sans oseille;

 

Bleu indigo !

D'ce monde dingo !

Bleu hein dit go !

Point rigolo !

 

Jérôme de Mars

 

Les jardiniers ont un grain de folie

 

D'une vie privée en leur jardin secret;

Les jardiniers sèment l'amour du métier !

Pour planter la graine sans pelles et râteaux !

Quitte à se prendre autant pour le plus beau...

 

L'amour a besoin d'être entretenu

En donnant la vie pour disséminer;

Essaimer en belles liaisons ingénues

Pour clairsemer sans peine perdue d'aimer !

 

L'amour horticulteur pour débiner

Son jardin secret à rebobiner;

Et à biner en des goûts de baisers;

Premiers baisers en bref; à élaguer

 

Et à écimer pour s'régénérer !

Et générer de nouvelles bonnes idées !

Qui germent à en débroussailler l'amour !

Pour le cultiver en faisant la cour;

 

Les jardiniers ont un grain de folie;

Ayant toujours le démon de Midi

Avant Minuit et l'heure des belles orgies;

Qui leur donnent de l'envie au paradis !

 

Un amour terre-à-terre qui se cultive;

Grâce à l'amour de la terre qui défriche

La haine; en taillant les haies émotives !

L'amour est la vérité sans la triche !

 

Pour créer et procréer l'innocence

De naître une graine qui s'égrène; chic fertile !

Paysagiste; retombant en enfance

Nostalgique; même si le temps est stérile !

 

Autant que le beau temps s'envoie des fleurs !

Et qu'il chante le jardin secret d'l'amour !

En lui faisant une fleur naissant choux-fleurs !

C'est ça d'avoir une vie en rose; ces jours

 

Qui rappellent tant l'appel de la forêt !

Pour se rouler des pelles; se ramasser

Des râteaux; enfourchant cette fois sa langue !

Pour débiter en belles paroles exsangues...

 

Les jardiniers ont un grain de folie;

Ayant toujours le démon de Midi

Avant Minuit et l'heure des belles orgies;

Qui leur donnent de l'envie au paradis !

 

En pénétrant l'amour à en sortir

Le beau je; bon joueur ! Pour rejouer

A se procurer d'extase du plaisir

Enjoué ! En s'charmant tant à s'aimer !

 

Qui émet des vibrations en bonnes ondes

Sur la même longueur d'ondes; à embrasser

Sur de longues ondes ce monde à la seconde !

Qui féconde une nouvelle virginité...

 

A ce beau métier tout terrain connu !

Convoitant sec; la femme de son prochain !

Eprouvant en sentiments absolus;

Un langage fleuri fleurant chic taquin

 

Un si grand amour dans la cour des grands !

Pour s'éparpiller et se disperser;

Déclarant tout son amour de géant !

Prenant des gants de velours pour crier...

 

Les jardiniers ont un grain de folie;

Ayant toujours le démon de Midi

Avant Minuit et l'heure des belles orgies;

Qui leur donnent de l'envie au paradis !

 

Jérôme de Mars

 

Jetez l'encre pour partir en vacances en jetant l'ancre !

 

Entretien imaginaire du lundi 19 Juin 2023 au CMP de Vitry-sur-Seine entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine et Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? Comme on est le 19, quoi de neuf ? "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Je vais bien Madame Teillet; je suis toujours boute-en-train d'écrire des poèmes ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Monsieur Bedrossian, qu'avez-vous prévu pour cet été ? Partez-vous en vacances ? "

 

Monsieur Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Je n'ai rien prévu pour mes vacances à l'heure actuelle; je préfère les consacrer à jeter l'encre de tout mon mal de mère; en jetant une bouteille à la mère qui arrime ma note salée en écrivant en bémol que des poèmes; vu que tout le monde me mène en bateau !  "

 

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Monsieur Bedrossian, vous me soûlez avec votre bouteille à la mère en divaguant avec votre vague à l'âme; même que votre vie est de très mauvaise facture assez salée; il faut que vous partiez en vacances même que vous êtes au bout du rouleau de vagues compresseur; ne faites pas du cinéma Monsieur Bedrossian, en vérité; vous voulez rester chez vous pour surfer votre vague à l'âme sur la nouvelle vague déferlante Internet; Monsieur Bedrossian; il n'y a pas qu'Internet dans la vague; il y a aussi la terre nette où au lieu de jeter l'encre dans vos poèmes en y laissant des plumes; vous pouvez aussi jeter l'ancre durant un séjour de vacances dans le Sud en volant de votre plume légère comme un oiseau libre même si vos ailes brisées pour prendre un nouvel envol ! Monsieur Bedrossian, partez plutôt en vacances en jetant l'ancre pour surfer sur la nouvelle vague d'à Terre nette sur un bateau à voile; à vapeur ! " 

 

Monsieur Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Madame Teillet; le train ça coûte trop cher déjà qu'en plus je déraille tout le temps en loupant le dernier métro; vu tout ce qui se trame ! Je préfère encrer mon mal de mère pour panser à ma mère malgré que ce soit une belle mer morte ! " 

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Monsieur Bedrossian; même que vous en avez amarre de la vie; larguez les amarres qui vous ancrent amer à votre mère noire morte-vivante; et au lieu de boire que des paroles tristes et mélancoliques; souriez à la belle mer de la vie pour que s'arrime en vous; une bouteille à la mer de soleil de poèmes joyeux qui ah ! Riment en vous une bouteille à la mer de merveilles de bohème, pour vous évader en jetant l'ancre vers un voyage à la vie en station debout; même si votre vie n'a jamais été; n'est pas et ne sera jamais un long fleuve tranquille ! Monsieur Bedrossian; n'allez pas sur des sables mouvants ni sur des sables mourants; allez plutôt sur des sables moussant votre inspiration d'écriture en un jeu d'écriture; prenant en oseille votre soleil retrouvé du côté de la lumière ! Monsieur Bedrossian; ne soyez pas vague dans le vague de votre vague à l'âme ! Composez votre partition sans déperdition avant votre retraite par répartition, où vous serez isolé du naufrage de votre vieillesse ! Soyez l'oeuvre et le                chez-d'oeuvre de votre vie qui oeuvre en ayant le coeur à l'ouvrage, dont vous écrirez un jour votre livre : " L'ouragan du désespoir " pour vous livrer en un manuscrit; en jetant l'encre pour de bonnes raisons ! Si vous avez une parole dans la vie; Monsieur Bedrossian; vous le savez trop bien qu'avec la langue; on peut tout faire; seuls comptent les actes et pas que les paroles ! Comme on dit; les paroles s'envolent; les écrits restent ! Si vous passiez des paroles aux actes pour partir en vacances ! Qu'en dites-vous Monsieur Bedrossian ? Respectez-votre parole donnée ! Vous avez eu votre temps de parole avec moi ! Maintenant à vous de jouer en tenant paroles en actes ! "

 

Monsieur Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Vous avez raison Madame Teillet; comme on connaît la chanson ! Dont on connaît la musique ! OTAN que je respecte ma parole donnée; en composant avec tout ça une chanson, dont je tiendrai paroles en les écrivant pendant que je chercherai quelqu'un pour qu'il mette mes paroles en musique, de sorte que la musique adoucisse définitivement mes moeurs sur Seine, afin que dorénavant; ma vie soit un long fleuve tranquille à Vitry sûre scène ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Le temps des quatre saisons

 

Ecrits de mots divers;

C'est l'hiver; il fait froid !

En un manteau d'hiver,

Comme l'hiver dure trois mois !

 

Attendant le beau temps

Du printemps; empreint tant !

Pourvu qu'le firmament

Du soleil soit criant !

 

Avant le mois de Juin !

Partant durant l'été

En vacances presque trop loin !

D'une saison qui était

 

Loin du joli mois d'Mai !

Désormais vers l'automne

En des jours tristounets;

Qui rappellent monotone !

 

Le temps des quatre saisons;

L'oraison a raison

De chanter une chanson

Gaie comme à la maison !

 

Sans que ça sente l'sapin !

A part durant l'hiver

Où ça sent le sapin !

Confit en mots divers !

 

Attendant l'mois de Mars !

Qu'il fasse beau sur La Terre !

Même si on vient de Mars;

On chante dans la lumière !

 

L'été du mois d'Juillet

Sans qu'août soit en burn out !

Et où tout va baigner

Sans burn out; cent borne août  !

 

D'ce monde malentendant !

Où tous se font la guerre !

En automne s'enlisant

Sans sonotone; or vers

 

Le temps des quatre saisons;

L'oraison a raison

De chanter une chanson

Gaie comme à la maison !

 

En cette saison d'hiver,

Où le monde est maboule !

S'enguirlande cirque divers;

Tout le monde a les boules !

 

Sauf quand il y a l'soleil

Au printemps bleu radieux !

Jérôme de Mars surveille

Le bon vieux temps joyeux !

 

Surtout quand vient l'été !

Chantant d'un air léger !

La belle mer ensablée !

Jouant en note salée

 

Les feuilles mortes de Prévert;

Elles ramassent à la pelle

Les rateaux des colères;

Annonçant en appel

 

Le temps des quatre saisons;

L'oraison a raison

De chanter une chanson

Gaie comme à la maison !

 

Jérôme de Mars

Le syndrome des deux gènes

 

Grande maladie des nerfs

De la guerre à chaque jour !

Qui ravive la colère;

Il faut beaucoup d'amour !

 

Pour tant s'apprivoiser

Et bien apprivoiser

Les autres; ces étrangers;

Qui n'sont pas étrangers

 

Ayant des points communs;

Avec nous alliénés !

En maladroits communs;

Avec nous alliés nés !

 

Nul n'oublie son enfance !

Qui remonte aux racines;

Nul guérit son offense !

Et qui tant enracine

 

Le syndrome des deux gènes;

Le syndrome anxiogène;

Le syndrome de Diogène;

Le syndrome des deux gênes;

 

Mère impaires; père amers

Les chiens n'font pas des chats !

Sans manque de repères pairs;

Même une mère perd son père !

 

En problèmes insolubles

D'logements insalubles:

En problèmes insalubles

D'logements insolubles:

 

Dont l'objet du scandale

Est de les entasser !

Mettant nues des sandales !

Pour mieux accumuler

 

Une ribambelle d'objets,

Tels des conservateurs !

Genre qui en sont l'objet

Détecteurs émetteurs

 

Le syndrome des deux gènes;

Le syndrome anxiogène;

Le syndrome de Diogène;

Le syndrome des deux gênes;

 

Assez vieux jeux âgés !

Et handicapés jeunes !

Ah ! Mères si immergées !

De l'iceberg en jeûne;

 

Tout provient de l'enfance !

Tout survient dès l'offense !

En un manque d'indécence !

Sans retrouver l'essence

 

De toute une quintessence

En une belle résilience,

Dont il y a grande urgence

D'avoir toute l'assurance !

 

D'renaître en résurgence

Sans la boîte de Pandore;

Qui fait loi du silence !

Qui n'emboîte en un sort !

 

Le syndrome des deux gènes;

Le syndrome anxiogène;

Le syndrome de Diogène;

Le syndrome des deux gênes.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Je vends mon âme au diable !

 

Dans un diable train d'en faire;

J'ai commis des Faust;

Des fautes jusqu'à l'enfer !

En train d'faire How low cost !

 

Nostalgie d'l'holocauste !

Je déporte en mon diable !

Diable d'porter l'how lost cost !

Déportant tout mon diable !

 

D'enfer à m'en refaire

Reporter un beau masque !

Quitte d'enfer à le faire

Tomber le masque d'mes frasques !

 

Au paradis d'enfer

De tous mes vieux démons !

D'un paradis d'en faire

A couper tous les ponts !

 

Je vends mon âme au diable !

Portant; déportant l'diable !

Diable d'enfer ! Oh que diable !

Je vends mon arme au diable !

 

J'attends tous mes démons !

De Midi à Minuit !

En bravant les démons !

De Midi à Minuit !

 

Que j'écorne mon image !

M'en foutant de n'être sage !

Avec des cornes pas sages !

Genre un taureau de rage !

 

J'en ai commis des fautes !

Faute de par être un diable !

J'en ai commis des Faust !

Faute de paraître un diable !

 

Pour faire de toutes les vies !

Un paradis d'enfer !

Pour en faire un devis

En parodie d'en faire !

 

Je vends mon âme au diable !

Portant; déportant l'diable !

Diable d'enfer ! Oh que diable !

Je vends mon arme au diable !

 

Si bien que je dévie 

Du droit chemin aux mains;

Aux mains du diable des vies;

Qui me reprend en main !

 

Pour me rendre plus méchant !

Si bien que je vois l'diable !

Pour déchanter mes chants !

D'un rythme d'enfer ! Oh ! Qu'diable !

 

J'en porte de tout mon diable !

Ce fardeau qui m'emporte !

J'me comporte comme un diable !

Que je rapporte; déporte

 

Des portes en mes Faust !

De toutes mes fautes commises !

Dont je porte en moi Faust !

Oh ! Low Cost ! sans remise !

 

Je vends mon âme au diable !

Portant; déportant l'diable !

Diable d'enfer ! Oh que diable !

Je vends mon arme au diable !

 

Jérôme de Mars

Gratte le mur !

 

A Vitry;

Et tu fais

Graffiti !

En effet;

 

En une bombe

De tes fresques,

D'où tu bombes

Le torse presque !

 

En ta ville;

D'une peinture

Murale drille;

D'ta nature

 

Morte-vivante

En hors-cadre;

Plaies béantes

On t'recadre !

 

Gratte le mur !

Dans le dur !

Immature

Que t'endures !

 

Droit dans l'mur !

En béton !

Contre-nature !

Laisse-béton

 

Les maisons

Du neuf quatre !

Cherche à fond

Plié en quatre !

 

Dans le neuf

L'graffiti !

Quoi de neuf

Dans ta vie ?

 

A part peindre

D'confettis !

Et repeindre

Toutes tes nuits !

 

Gratte le mur !

Dans le dur !

Immature

Que t'endures !

 

Toi qui fais

Le gros dur !

Coeur d'effet

Sans impur;

 

Qui t'raidit

Impuissant !

Qui t'dévie

Tout-puissant !

 

Tu n'peux voir

En peinture

Tes déboires !

Fermeture;

 

T'en conclus;

Tu t'rétractes

Si confus;

En un tract !

 

Gratte le mur !

Dans le dur !

Immature

Que t'endures !

 

Jérôme de Mars

 

 

Bouteille d'acolytes

 

Bouteille mise en mer;

J'envoie une bouteille

Au fond de la mer

Sans aucun soleil !

 

Du fond de mes bleus;

Brumeux non radieux !

Dont l'alcool me soûle !

Comme d'être sobre me soûle !

 

Buvant mes déboires

En brèves de comptoir !

Je suis l'déversoir !

Ma vie; son mouroir !

 

Qu'de ma mise en bière,

J'en fais mon affaire !

Cuvant tout mon vin

En vin devin !

 

Bouteille d'acolytes;

Je la périclite !

Buvant mon litre pschitt !

Si bien qu'je délite !

 

Jetant des bouteilles

A cette belle mer morte !

Que de son oseille;

J'en parle une langue forte !

 

Pour boire les déboires

De l'alcool en route !

Au volant pourboire

En volant ! Fausse-route !

 

En un contresens;

Qui perd tout son sans !

Avec en essence;

Une naissance en sang !

 

J'ai des connaissances !

Sans reconnaissance;

C'est de la matière !

Tout naît que matière !

 

Bouteille d'acolytes;

Je la périclite !

Buvant mon litre pschitt !

Si bien qu'je délite !

 

Que je tourne la page

Lors d'une mise en bière !

Buvant avec rage;

Pisse and love ! Ma bière !

 

Je retourne cépages;

Le coeur à l'ouvrage !

Pour détourner ces pages

D'breuvages qui ravagent

 

L'amour d'ma boisson !

Enchantant le cidre

Deux corneilles frissons !

Que je bois mon litre

 

D'coliques névrotiques 

Jusqu'au Bas du Rhin !

D'coliques néphrétiques

Jusqu'au bas du rein !

 

Bouteille d'acolytes; 

Je la périclite !

Buvant mon litre pschitt !

Si bien qu'je délite !

 

Jérôme de Mars

 

 

Si le ciel lâchait des flatulences !

 

Appel d'air frais quand le tonnerre gronde !

Qu'il en n'a rien à péter du vent !

Qu'il met et jette ! Direction la fronde !

A fond la caisse ! Lâchant des caisses vlan !

 

Y a une belle embellie pulmonaire !

Qui arrive sur La Terre incendiaire;

Brûlant la braise du temps volontaire !

Partant en un courant d'air austère !

 

Que le temps; c'est comme la météo !

Ca fait la pluie et le beau temps ! Or !

Il fait un temps de grenouille pas beau !

Hissez haut ! Et le temps indolore !

 

Il vaut vraiment de l'or ! Quand l'orage

Pète et rouspète en transe genre; pète-secs !

Il faut passer à un essorage !

Disant dans l'ouvrage des mots secs !

 

Si le ciel lâchait des flatulences !

Comme nul ne guérit de son enfance !

Il pèterait plus haut d'insolence !

Comme nul aguerri de son offense !

 

A part péter plus haut que son cul !

Qu'il en a rien à battre d'être cocu !

Parlant juste argent comptant d'écu !

S'en branlant d'argent content des culs !

 

Poils au cul à gratter; le ciel tombe

Des nues ! Tout nu à poil dans l'infâme !

Qu'il enflamme son cul depuis l'outre-tombe !

Qu'ça l'ébranle de rentrer dans la femme !

 

Et d'la pénétrer en son soleil !

Genre un trou noir comme son trou de balles !

Qui est vieux; vieux jeu de carte vermeille !

Le ciel a des couilles en or ! Par balles !

 

Qu'il manque plus qu'la lune pour voir sa lune !

Oh ! Que c'est trop bon de regarder

Un soleil et une lune en grosse une !

Pour se branler et tant s'ébranler !

 

Si le ciel lâchait des flatulences !

Comme nul ne guérit de son enfance !

Il pèterait plus haut d'insolence !

Comme nul aguerri de son offense !

 

Que le soleil et la lune ! Et bien

Se mettraient à poils ! Sortant les griffes

De la chatte brûlante faisant du bien !

En se mettant à poils ! Plein le pif !

 

Avec en sous-tifs toute une branlette

Espagnole; ne sachant à quel sein

Se vouer pour jouer de la trompette !

Disant c'est du pipeau ! C'est malsain !

 

La branlette en des grandes prises de becs;

Qui les ébranlent tant les rendant sourds !

En se parlant avec des mots secs !

Que ca devient lourd ! Limite balourd !

 

Le plus important est d'se vouer !

De se dévouer pour pouvoir jouir

Sur un piano à queue pour crier

Ejaculés; on prend du plaisir !

 

Si le ciel lâchait des flatulences !

Comme nul ne guérit de son enfance !

Il pèterait plus haut d'insolence !

Comme nul aguerri de son offense !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

                                             Blagues :

 

 

1) Pourquoi en général, les femmes mariées arrivent-elles à prédire l'avenir de leur époux ?

-  Parce-qu'elles ont les boules en main !

 

2) Pourquoi les prostituées ont-elle toujours autant de travail à faire avec leurs clients ?

-  Parce-qu'elles ont toujours une tache à accomplir !

 

 

                                       Jérôme de Mars

Calcul et mental !

 

+ - x /   

 

Un plus un légal deux; jamais deux sans trois; pliés en quatre; reçus cinq sur cinq plusieurs fois par jour à six sur 7 chaise dans un huit infini; quoi de neuf comme personnes divisées par un dix de chute ? Moins le calcul et mental !

 

Jérôme de Mars

Festival de cannes !

 

En sur place d'une plante;

Si tu plantes la vie !

Il t'faut une aimante;

Qui te donne envie

 

D'planter ton amour;

Qui égrène chaque jour !

Pour rester debout

A coups de bambou !

 

En des vitamines

De ta canne à sucre;

Qui t'chante en comptines !

Ayant en un suc

 

Suggestif; ta foi

En la vie qui t'donne !

Hou là ! Et hourra !

Pourvu que chantonne

 

Festival de cannes !

Marchant sur des cannes

Estivales qui t'tannent !

Avant que tu cannes !

 

Que tu veux marcher

Pour tenir debout !

Sur place du marché !

Même si t'es à bout !

 

D'marcher sur des béquilles !

Tu leur fais une fleur !

Marchand de jonquilles;

Tu envoies des fleurs !

 

Toi; faisant l'acteur;

Comme handicapé

Moralisateur !

Car paralysé

 

Par ton cinéma !

Que tu l'joues si bien !

Faisant à grands pas

Ton cinéma plaint !

 

Festival de cannes !

Marchand sur des cannes

Estivales qui t'tannent

Avant que tu cannes !

 

Sur ton siège social;

Avide ! Car vide

D'ton siège libéral !

Tu attends livide

 

De trouver ta place

En une vie concrère !

Tu n'veux faire surplace

En des choses abstraites !

 

Fauteuil déroulant

Le tapis rouge ! Qui

Te bouge ! Roulant

Au jeu qui est qui ?

 

Tout ton cinéma

Si handicapé ?

Ou le cinéma

T'scie handicapé ?

 

Festival de cannes !

Marchand sur des cannes

Estivales qui t'tannent !

Avant que tu cannes !

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blague :

 

 

 

Quelle est la différence entre moi qui n'étais pas heureux au collège privé Epin à Vitry-sur-Seine avec une vie sans soleil, du fait qu'à Epin; on m'a pris pour un bouc-émissaire entre 1991 et 1995 et maintenant, où je suis un tout petit plus heureux avec un léger plus grand soleil ?

-  La différence est qu'à Epin entre 1991 et 1995, j'ai été victime de harcèlement scolaire alors que maintenant, je suis victime de harcèlement solaire !

 

 

                                           Jérôme de Mars

La mer boit son vague à l'âme !

 

Encre salée ah ! Mer marine

De ses algues qui laissent griller

Les poissons qui ancrent de chine;

La machine à procréer

 

De l'amertume sans chaleur

Humaine; avec ceux qui pèchent

De par leur faute la noirceur

De l'océan; vide revêche !

 

Si bien que la mer en gerbe

Ses excréments de poissons !

De par les coraux acerbes;

Qui se trémoussent sang chansons !

 

Qu'ils n'sont pas du tout ah ! Serbes !

Loin de chanter en Yaourts 

Yougoslaves de par leurs verbes,

Comme à la maison des yourtes !

 

La mer boit son vague à l'âme !

Loin du Paname qui se came ;

Désabusé en ce slam;

Qui clame et déclame ses drames !

 

Que la mer mange ses poissons

En démordant à l'hameçon  !

Avec mordant pas appât

Que tout s'règle en pugilat !

 

Alors qu'la chaleur humaine

Règle général chaque problème !

A chaque façon à la sienne !

Et afin que la mer aime

 

L'ensemble de tous ses enfants;

Les marins enchanteurs en

Chantent la mer en océan

Pacifique et apaisant !

 

Que les poissons en dauphins;

N'ont la dent dure des requins

Voraces de par la bonté

Mannequin, dont sans beauté !

 

La mer boit son vague à l'âme !

Loin du Paname qui se came;

Désabusé en ce slam;

Qui clame et déclame ses drames !

 

Dans le froid de la mer qui

Est en froid ! Sans la chaleur

Du soleil hardi; qui dit

Que la mer a de l'aigreur !

 

Que tous soient si en froid 

Avec elle; vague déferlante !

La mer est vague certaines fois  !

Qu'elle s'met en colère criante

 

De sévérités; qu'elle veut

Déclarer tout son amour

A la lune en sa fleur bleue

Boléro ! Qui vaut l'détour !

 

Que la mer revient sereine

En fleuron de sa raison !

Qu'avec d'la chaleur humaine;

Elle évite à chaque saison !

 

La mer boit son vague à l'âme !

Loin du Paname qui se came;

Désabusé en ce slam;

Qui clame et déclame ses drames !

 

Jérôme de Mars

 

 

La chanson du balai

 

D'un dimanche à balais !

Endimanché en ville;

On cherche un grand ballet !

Pour balayer tranquille

 

La cour qui fait la cour !

Des grands prenant des gants;

Qui courent dans un concours !

Bravant le vent; le temps

 

D'un ménage de printemps

En un balai à brosse;

Qui ramasse séduisant

Tout c'temps qui roule en boss !

 

Le carrosse de la pelle

D'la forêt ! Qui ramasse

Des râteaux et des pelles;

Qui font en une besace !

 

La chanson du balai;

Qui déballe du ballet !

En contre danse déballé;

Des balais emballés;

 

Qui balaient les râteaux

De ceux qui les ramassent

Les pelles en des râteaux;

Qui amassent la ramasse

 

Du balai de printemps;

Chacun balaie devant

Sa porte ! Marquant son temps

A voile; à vapeur ! Mettant

 

L'eau à la bouche; la langue

Vivante ou morte vivante !

En une langue morte qui tangue

Les saisons florissantes !

 

En paroles toutes-puissantes !

Pisse and love impuissante !

Il y a des belles fontaines;

Qui veulent des flammes fontaines !

 

La chanson du balai;

Qui déballe du ballet !

En contre danse déballé;

Des balais emballés;

 

Pour mettre le feu vautour

Aux sentiments fervents;

Jouant; faisant la cour

En des baisers aimants !

 

Bien dans leur élément !

Pour s'en laver les mains

Des poussières du printemps !

Chargeant tout son destin !

 

Ses amours à la pelle !

Ramassant des râteaux

De ceux qui roulent des pelles !

Sans avoir l'dernier mot !

 

De ceux qui font l'appel

De la forêt sauvage !

Et qui ramassent des pelles !

Elles qui chantent si volages !

 

La chanson du balai;

Qui déballe du ballet !

En contre danse déballé;

Des balais emballés.

 

Jérôme de Mars

 

La fabrique des rêves brisés de L'ESAT La Fabrique

 

Voici une petite pièce de théâtre sur L'ESAT La Fabrique où Jérôme Bedrossian fait parler quelques-uns de ses anciens collègues de L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique appelle ses anciens collègues de L'ESAT La Fabrique pour prendre de leurs nouvelles pour savoir ce qu'ils deviennent depuis que Jérôme Bedrossian a quitté L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian appelle comme anciens collègues à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : Tony Angaman, Christophe Pou, Sandrine Ribé et Charlotte Prêtre :

 

Jérôme Bedrossian appelle Tony Angaman, son ancien collègue :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :  

-  "  Allo, bonjour Tony; comment vas-tu mon ami ? Quoi de neuf ?  Que fabriques-tu à L'ESAT La Fabrique ?  "

 

Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

-  " Bonjour mon pote à la compote, tu vois maintenant à L'ESAT La Fabrique, c'est chacun pour sa pomme, dont toi; tu fus la bonne poire de tout le monde dans cet ESAT Jérôme; c'est pour cela Jérôme que tu n'avais plus la banane les derniers temps à L'ESAT en méformes, où tu ne récoltas que comme fruit de ton travail que des pépins à L'ESAT; du fait que tout le monde te pressait comme un citron pressé; empressé de te presser tout ton jus de citron pur jus, pour que tu sois au courant que tout le monde s'en foutait de toi à L'ESAT ! Je comprends mieux pourquoi à la fin dans cet ESAT de merde; tu perdais le fil d'équilibriste en n'ayant plus d'équilibre dans cet ESAT ! Jéjé; pour répondre à ta question, je me demande si c'est dans cet ESAT; je n'enfilais pas des perles parmi des colliers de barbe, comme tout le monde en a plein la barbe de cet ESAT déjà que tout est barbant à L'ESAT La Fabrique ! C'est pour ça que dans cet ESAT; tout le monde te disait que t'avais un poil dans la main ! Avant; L'ESAT était un petit bijou de famille ! Mais depuis que l'atelier conditionné au pire ne fait plus l'atelier bijoux; c'est un ESAT où je fabrique des petits bijoux d'infamie ! Si tu savais Jéjé; ce que j'en ai marre de cet ESAT ! J'ai envie de me barrer ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :  

- " Que je te comprends mon petit Tony ! Si à L'ESAT; on n'a jamais voulu que je fasse l'atelier bijoux; c'est parce-que je n'avais pas conclu d'alliance pour donner des coups de main avec la bague au doigt, je te dis à plus Tony, je vais appeler maintenant Christophe Pou ! " 

 

Jérôme Bedrossian appelle Christophe Pou, son ancien collègue :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :  

- " Allo, bonjour Christophe, comment vas-tu ? Pourquoi ne m'appelles-tu plus pour prendre de mes nouvelles ? Quoi de neuf Christophe ? "

 

Christophe Pou, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : - " Je ne vois pas de quoi tu parles lascar, moi je m'en fous, je ne suis plus au conditionnement, je suis à l'atelier reprographie où je ne m'occupe pas des autres, je ne m'occupe que de moi; je suis tellement occupé que je livre Jérôme, je ne t'appelle plus parce-que je me demande quel est le mobile pour t'appeler Jérôme, toi qui perds la raison en basculant avec déraison vers l'oraison, la preuve Jérôme que je ne m'occupe que de moi, je suis très et trop occupé en ce moment à faire mon stage à L'ESAT de L'Elan Retrouvé; où j'ai enfin retrouvé mon élan dans un bon ESAT et pas à la Fabrique, où je me demande ce que j'y fabrique depuis toutes ces années à la Fabrique; à part avoir une mauvaise impression de cet ESAT La Fabrique, où toi, tu n'écrivais que des poèmes tristes sur des feuilles mortes à chaque automne, or ! Tout le monde s'en foutait à L'ESAT La Fabrique de tous tes poèmes Jérôme, comme tout le monde dans cet ESAT avait une mauvaise impression de toi sans fausse-impression, à cause de toi dans cet ESAT, je me fais sans arrêt du sans d'encre ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :  

-  " Et ben dis donc, tu t'es bien défoulé sur moi Christophe alors que moi durant toutes ces années dans cet ESAT; j'ai tout refoulé !  Bon ! Je te laisse ! A plus Christophe ! " 

 

Jérôme Bedrossian appelle Sandrine Ribé, son ancienne collègue : 

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :  

- " Bonjour Sandrine, comment vas-tu ? Quoi de neuf ? "

 

Sandrine Ribé, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

- " Je vais bien Jérôme, tu n'as rien loupé depuis que t'as quitté cet ESAT; c'est de pire en pire Jérôme si tu savais cet ESAT; et tu vois à première vue, tout le monde regarde son voisin par la loupe comme la direction n'arrête pas de nous en mettre plein les yeux avec leur mentalité inhumaine ! Heureusement que tu n'es plus à L'ESAT; tu vois tout le monde se regarde en chiens de faïence; en nous parlant comme à des chiens; et c'est pour ça que je n'arrête pas de me prendre des gamelles avec la fondation des Amis dur Atelier ! Tu vois Jérôme; c'est aussi à cause de Benoîte Barreteau, la psy à deux balles de cet ESAT que je considérais comme une fausse-sceptique que j'en ai chié dans cet ESAT surtout que son bureau était à côté des toilettes; il faut le faire quand même; c'est pour ça que depuis qu'elle est partie que je tire sans arrêt sur la chasse-d'eau des fosses-septiques pour ne plus être vexés à côté des WC de vilains petit canard; Jérôme si tu savais à chaque fois que tu m'appelles, on me demande qui t'appelle et moi je dis; c'est Jérôme; et tout le monde déchante; je me demande ce que je fabrique dans cet ESAT à part me fabriquer mon propre cauchemar; voilà Jérôme les dernières nouvelles ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :  

- " Ok, je te comprends Sandrine; je t'embrasse, je dois te laisser à plus ! "

 

Jérôme Bedrossian appelle Charlotte Prêtre, son ancienne collègue aujourd'hui à la retraite de cet ESAT :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :  

- " Bonjour ma petite Charlotte, comment vas-tu ? Que deviens-tu ? Quoi de neuf ? "

 

Charlotte Prêtre, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La fabrique aujourd'hui à la retraite :

- " Moi ça va très bien depuis que j'ai quitté cet ESAT de tarets ! Tu vois Jérôme, je te l'avais bien dit, tu as très bien fait de partir de cet ESAT de merde surtout avec toux ceux qui se curaient le nez moi qui m'appelle Charlotte Prêtre; heureusement qu'aujourd'hui Jérôme; on n'est pas le 9 de la date du mois car même si c'est un jour neuf; tu ne récoltas comme fruit de ton travail dans cet ESAT que des mauvaises dattes en souvenir ! Avec tout ce qu'on a dégusté toi et moi Jérôme dans cet ESAT, je te propose d'aller manger avec moi au resto Le Théâtre le mardi 13 Juin en se donnant RDV à 12H devant le restaurant, d'accord mon petit Jérôme ! En te disant cela Jérôme, je ne joue pas un rôle et ce n'est pas une pièce de théâtre Jérôme; je suis sincère avec toi, voilà ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :  

- " Et moi ce que je te dis Charlotte, je ne joue pas un rôle de composition, je joue le propre rôle de ma vie en décomposition en pièce rapportée sans pièce de théâtre détachée; je dois te laisser Charlotte à plus ! Au revoir ! Après le rideau de fer ( d'enfer ) qui est tombée; voici le rideau de velours qui tombe en prenant des gants de velours ! " 

 

Jérôme de Mars

 

Les réseaux sociaux

 

Facebook; Twitter

Sans avoir de haine

Et sans la colère;

Il faut chaque semaine !

 

Avoir des projets

Dans un avenir

Positif; conté,

Pour sourire et rire

 

Avec des amis

Eux; tous très réels !

Pas dans la folie

D'amis virtuels !

 

Parlant si acide

D'suicide collectif !

Aux travers torrides

D'suicide connectif !

 

Les réseaux sociaux;

N'provoquent que des maux

Au moindre mot chaos;

Sans des liens sociaux !

 

Pareil pour Snapchat;

Et Tik Tok en tocs !

Où il faut un cap !

Sans qu'ça rende tocs-tocs

 

Les handicapés;

Qui sont des personnes

En difficultés;

Et qui affectionnent

 

Qu'on les considère

Dans l'humanité;

Et pas en colère

En des camouflets;

 

Il faut faire le bien

Avec ces personnes  !

Il faut faire du lien !

Afin que ça prône !

 

Les réseaux sociaux;

N'provoquent que des maux

Au moindre mot chaos;

Sans des liens sociaux !

 

Où tous dysfonctionnent

Se parlant plus que mal !

D'aucuns qui raisonnent

Pour l'bien amical !

 

Ces réseaux font mal !

Amis sociaux

Dans les annales !

En des quiproquos

 

Genre des rigolos

Du sexe sans complexe,

Comme des gigolos

En ce monde complexe,

 

Où tout n'est qu'routine !

Sans rien remonter

Au mal des racines;

Qui fait justifier

 

Les réseaux sociaux;

N'provoquent que des maux

Au moindre mot chaos;

Sans des liens sociaux !

 

Jérôme de Mars

Change le monde !

 

Un deux trois !

Si tu chantes

Moins étroit !

Et qu't'inventes !

 

D'long en large !

Tout l'amour

Très en marge;

Des vautours !

 

Un plus un;

Qui fait foi !

Pas chacun;

Tout pour soi !

 

Sans système

Ultra D !

En système

Très aidé !

 

Change le monde !

D'ta faconde

En ta fronde;

Qui féconde

 

Tes paroles !

En ta langue

Farandole;

Et qui n'tangue !

 

Passant d'tes

Paroles aux

Actes concrets !

Loin d'être faux !

 

Pour de vrai !

Il te faut

Une vérité

En ta peau !

 

Qui agit

Pour changer

L'inertie !

Echanger

 

Change le monde !

D'ta faconde

En ta fronde;

Qui féconde

 

Tu as besoin

De parler

D'ton béguin !

Pour aller

 

Et plus haut

En ton but !

Qui te vaut

Rien t'rebute !

 

Et tu veux

Que tout l'monde

S'aime en pieux !

Que tu sondes

 

Et qui veut

Bien t'aider ?

Valeureux;

T'épauler !

 

Change le monde !

D'ta faconde

En ta fronde;

Qui féconde.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

            Des O deux verres !

 

 

 

 

      4) Les O de mères en verres;

      3) L'                                     D  2)

           i                                      e

           n                                     u

           f                                      x

          â                                      r

          m                                     e

           e  5) Il vaut mieux boire v

           p                                     e

           e                                     r

           r                                     s

           d                                     ;

      1)  En verre la maladie des O

                           6) L

                               e

                               v

                               e

                               r

                               r

                               e

            7) A moitié plaint qu'à 

 

 

 

 

 

 

  13) A moitié plein que vide !

  11) I                                    B 12)

        l                                    o

       v                                     i

       a                                     r

       u                                    e

       t 14)Des O deux verres ! l 

      m                                     e

       i                                      v

       e                                     e

       u                                     r

       x                                     r

 10) Verres d'acolytes déboires !

                    9)  D 

                         e

                         s

                         O

                         d

                         e 

                         u

                         x

      8)  Avide dans le vide !

 

 

 

 

            Jérôme de Mars

L'instinct fraternel

 

Amis pour la vie !

L'histoire d'un chemin

Qui tient compagnie

Des deux doigts d'la main !

 

Où tous ont la foi !

Gardent leur foi aux gens;

Qui fait plus d'une fois

Dans son élément !

 

Deux meilleurs amis

S'comprenant; s'aimant 

Bien ! Pour toute la vie !

Et se ressemblant !

 

En se rassemblant !

Tels des frères d'lumières !

Se liant; s'alliant !

En y voyant clair !

 

L'instinct fraternel

Des pis maternels !

L'instinct maternel

Dépits fraternels !

 

Comme une soeur; un frère !

Ayant l'allure fière !

D'unir l'lien du coeur

En lien ascenseur !

 

En des affections

De très longue durée !

Sans des affections

De longue endurée !

 

D'un frère et d'une soeur !

Etant des amis

Sans être juges censeurs !

Pour garder l'envie

 

De se protéger;

Et de tant aimer

Toute leur amitié;

Qui fait parsemer

 

L'instinct fraternel

Des pis maternels !

L'instinct maternel

Dépits fraternels !

 

Il faut redonner

L'envie d'être amis !

Pour aider soudés;

Ce qui fait la vie

 

Et le sel des nuits;

Gardant bien au chaud !

Leur jolie folie

Sans un échafaud !

 

Qui donne des fausses-notes

En leurs amitiés;

Qui se faussent; se frottent

En des camouflets;

 

Qui laissent présager

Une fin d'amitié !

Et si pardonné;

Cela laisse présager !

 

L'instinct fraternel

Des pis maternels !

L'instinct maternel

Dépits fraternels !

 

Jérôme de Mars

Des voitures sur la déroute

 

Fausse route en circulation;

Il y a du sang d'encre qui roule !

Tapis rouge sans rouge; à fond

La caisse ! Au taux qui déroule

 

Les accidents en état

D'ébriété; et qui font

Des victimes, et dont les tas

Servent à faire des contusions

 

En perfusions; en grillant

A petit feu les feux rouges !

Qui font des sans ! Roucoulant

En du sang coulant qui bouge !

 

Troubles de la circulation;

Il ne faut jamais pousser

Le bouchon en tire-bouchon

Trop loin ! Car dans la jetée;

 

Des voitures sur la déroute;

Font en route que des fausses-routes !

Faisant des avances en route !

A l'état de banqueroute !

 

Il y a un léger grand doute

D'ivresse au volant; volant

La route, dès l'heure du casse-croûte !

Sans volant et survolant !

 

Les inconscients en voiture

Simone ! Où dans la cellule

D'dégrisement d'aventures;

Y a des bouteilles qui pullulent !

 

Avec en risques d'ecchymoses !

Un grand coma éthylique;

Delirium tremens qui osent

Une overdose d'alcooliques;

 

Qui prend; reprend d'la bouteille !

Dans les parages sans soleil !

Si bien qu'en pleuvant; pleurant

D'hier jusqu'à maintenant !

 

Des voitures sur la déroute;

Font en route que des fausses-routes !

Faisant des avances en route !

A l'état de banqueroute !

 

D'une auto au taux renfort

D'alcool ! Roulant à contre-sens !

Y a panne d'essence des cadors !

Qu'adorent ceux qui les encensent !

 

Que ça retombe sous le sens !

De boire en modération !

Une ligne de conduite décence

Vaut bien mieux qu'une bonne action !

 

Comme une vraie mauvaise action !

Met en danger les passants !

Passant et se repassant

Leur sang d'encre en contagion !

 

Il vaut mieux l'droit à l'oubli !

S'rachetant une bonne conduite !

Sans refaire d'hémorragie;

Gardant en ligne de conduite !

 

Des voitures sur la déroute;

Font en route que des fausses-routes !

Faisant des avances en route !

A l'état de banqueroute !

 

Jérôme de Mars

Mêlant colique; mêlant comique !

 

Enjeu d'un grand huit infini !

C'est la mer à boire en déboires !

Pour boire la tragicomédie

Des larrons en foire pour un soir !

 

Durant un temps momentané

D'un carpe-diem; spleen adouci !

Profitant d' un instantané !

Pour faire du gris; une griserie

 

Dans un joli Paris ! Chacun

Pour soi dans les embouteillages !

Paris manque de train et d'entrain !

Qu'il y a la faune; la flore sauvages !

 

Comme les nuits fauves; ici Paris !

Ca sent le fauve des lions en cage !

Qui font des folies en compagnie

Des âmes esseulées qui saccagent !

 

Mêlant colique; mêlant comique !

Galeries la faillite du fric !

Qui triquent et étriquent névrotiques;

Les nuits de Paris frénétiques,

 

Où chacun cherche tous ses repères

Au Paris qui perd en impair !

Grand manque de pairs et de repères !

Qui cherche Columbo en imper ?

 

La vie passe et repasse tous les tubes !

Depuis le temps qui fait sa pub !

Ramenant les gens vers le jour,

Loin du bitume et ses vautours ;

 

On est des pions sur l'échiquier !

Echecs et maths ! On n'te calcule !

Calculs névrotiques bas côtés !

Tout le monde et donc te bouscule !

 

Que le pire peut être à venir !

A provenir; à survenir !

Comme le pire vient toujours d'ailleurs !

Il faut se faire son propre bonheur !

 

Mêlant colique; mêlant comique !

Galeries la faillite du fric !

Qui triquent et étriquent névrotiques;

Les nuits de Paris frénétiques,

 

En ayant beaucoup de principes !

Avec de la morale d'droiture,

Afin que chacun participe !

Ayant  pour toute une fière allure !

 

A la vitesse, où va le monde !

Pourvu qu'on sonde tout le meilleur !

Loin des cons en un monde immonde !

Qui féconde un monde de noirceur !

 

Pourvu que le monde soit en paix !

Avec des gens qui s'aiment en thème !

D'un amour retrouvé; qui crée

L'alchimie adéquate d'un système

 

Aidé, où tous se prennent la main !

Pour se prendre en main, entraînés

Pour garder la main ! Dès demain

Tous ensemble en communauté;

 

Mêlant colique; mêlant comique !

Galeries la faillite du fric !

Qui triquent et étriquent névrotiques;

Les nuits de Paris frénétiques.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Ca ne tient qu'à un fil !

 

 

Hémophile sans perdre le fil et pour garder le fil; j'enfile sur le fil; que je file ! Et je

                                                                                                                               R

                                                                                                                               e

                                                                                                                                f

                                                                                                                                i

                                                                                                                                e

de,défile me je que ;coton mauvais un file je si même droit file je que ;fil du bout Au 

F

i

l En aiguille; en étant le fil rouge pour me tenir au courant du fil d'Ariane! Comme fil

                                                                                                                                 C                                                                                                                                   o

                                                                                                                                 n

                                                                                                                                 d

                                                                                                                                 u

                                                                                                                                 c

                                                                                                                                 t

                                                                                                                                 e

                                                                                                                                 u

                                                                                                                                 r,

   fer d'en force à ;gros en rasoir du fil le sur suis qui Moi ! fer de fil le perds je D'où

   E      

   n un fil; en partant en courant sur le fil d'électrocution ! Ca 

                                                                                      Ne tient 

                                                                          Qu'à un fil d'équilibriste !

                                                                             Je ne          Courant

                                                                             suis au        de rien !

                                                                                Q1                T2

                                                                                u                   i

                                                                                e                   e

                                                                                ç                   n

                                                                                a                   t

                                                                                n                   U4

                                                                                e                   n  

                                                                                Q3                f    

                                                                                u'                  i     

                                                                                à                   l  

                                                                                                     !

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

                                                                                                                      

 

 

 

 

 

 

 

 

J'écoute Charlie par coeur pour bêcher !

 

Sans tambour ni trompette en trombone;

Je joue du trombone; ça fait jazzer

Ma clarinette; je dépasse les bornes !

Que je joue en clarté d'mon quartet !

 

Depuis mon quartier pour faire bander

Le big band de mon jardin secret !

En cultivant mon amour du jazz !

Que sur mon Teppaz, pourvu que jase

 

Le jars de mes prises de becs débectent !

Que je joue oui clos; huis-clos; vase-clos

Communicant ! La jarre qui respecte

Mon enclos Mausolée; qui éclot 

 

En mon âme strong de mon porte-à-faux !

Que pour de faux; je joue l'échafaud !

Be bop a Lula; en chantant faux !

Pour tout le Brésil ! Dont manque de peau !

 

J'écoute Charlie par coeur pour bêcher !

Le jardin secret d'Sidney Bechet !

Quitte ou je redouble; pour faire volter

Miles Davis qui dévisse à en jouer !

 

Des airs rejoués à l'affût pas fût fût !

De ces vers de flûte comme une turlute !

A s'en lécher les bobines qui binent

Tout mon jardin secret qu'je débine !

 

Louis Armstrong; je m'en tamponne ! Où ! Là

De sa clarinette pour faire trompette !

En joues de fossettes jusqu'aux facettes

De sa musique; qui donne de la joie !

 

Comme Duke Ellington qui fait jazzer

La musique débranchée d'John Coltrane !

La marque de fabrique au franc-parler !

De ceux et celles en choux-fleurs qui fanent !

 

Les fleurs d'Sidney Bechet qui bêchait

Tout le jardin secret Mausolée;

Auréolé panier transpercé;

Qu'en rendant en pièces pures; la monnaie !

 

J'écoute Charlie par coeur pour bêcher !

Le jardin secret d'Sidney Bechet !

Quitte ou je redouble; pour faire volter

Miles Davis qui dévisse à en jouer !

 

Tout le courant du jazz et qui jase

Mes paroles ! A chanter la déroute

De tout ce qui tombe à l'eau de vase !

Qui dévase ! Tournant en banqueroute !

 

Ce qui fait jazzer et fait jaser !

En clouant le bec pour du pipeau !

Dont même un harmonica valait

Le caniveau du niveau zéro !

 

Et si pour relever et lever

Le niveau ! Donc si on élevait

La voix; portant en porte-voix; la croix 

Des chemins de croix ! Pourvu qu'y croit

 

Le jazz qui émane que des paroles

Mélomanes en clé mégalomane !

Ouvrant la porte sans aucun bémol !

Laissant songer mensonger; et man !

 

J'écoute Charlie par coeur pour bêcher !

Le jardin secret d'Sidney Bechet !

Quitte ou je redouble; pour faire volter

Miles Davis qui dévisse à en jouer !

 

Jérôme de Mars

 

 

Crack en prison !

 

Emprisonné

A la santé !

Prison damnée;

Elle rend fêlée!

 

Si renfermés;

Ces prisonniers

Et qui certes craquent;

Prenant du crack !

 

Eux sont en taule;

Au point d'en faire !

Des barreaux en tôle

De cet enfer !

 

En ces matons;

Qui ont pour maux

En extinction,

Comme dernier mot !

 

Crack en prison !

En rébellion;

Craque en prison !

D'aliénations;

 

En matraque

De traitement !

Qu'on te matraque

D'médicaments !

 

Pour que t'aies l'trac !

En bric-à-brac !

Tout le monde t'casse

Et te tracasse !

 

Qu'on te fracasse

Tout ton moral !

C'est de la casse !

C'monde animal !

 

Qui t'fait du mal

D'aucun respect

Dans les annales !

Que t'es suspect !

 

Crack en prison !

En rébellion;

Craque en prison !

D'aliénations;

 

Où tous s'en foutent !

Même de ta peau !

Que tous se shootent !

T'faisant la peau !

 

Avec une matraque

En ma traque !

Et qui te tracte

Qu'tu te rétractes !

 

Sans une entracte;

Signant impact !

Genre double un pacte !

Et qui t'impacte !

 

Sans un garde-fou !

Tout l'monde s'en fout !

De toi si doux !

Que sans redoux !

 

Crack en prison !

En rébellion;

Craque en prison !

D'aliénations.

 

Jérôme de Mars

Eve reste !

 

D'une montagne;

Adam et Eve;

Font compagne

Dans leur Eve !

 

Adam; l'aidant

Aidant Eve;

Pair-aidant

En sa sève

 

D'toute son Eve;

Le fruit de

Tous ses rêves;

Que sa queue

 

Fait l'amour 

En ses gestes !

Et chaque jour !

Pour le reste !

 

Eve reste !

Qu'ils délestent

L'Everest

Eux si lestes !

 

Qu'ils sont à

Trop à L'Ouest !

En leur joie

D'amour leste !

 

Qu'Adam a

La dent dure !

Quand il a 

Tout en dur !

 

D'son gros sexe !

Qui bande dur

Sans complexe !

Qu'il rend pur

 

Toute son Eve !

En rentrant

En une trêve !

Pénétrant

 

Eve reste !

Qu'ils délestent

L'Everest

Eux si lestes !

 

Qu'il la prend

Par devant !

Qu'il la serre

Par derrière !

 

Qu'Adam lui

Verse sa sève !

Qu'il en jouit

Tout son rêve !

 

De la baiser

A chaque nuit !

Qu'il voulait

Une orgie !

 

En une bande

Et qui lève

En contrebande !

Qui achève

 

Eve reste !

Qu'il délestent

L'Everest

Eux si lestes !

 

Jérôme de Mars

L'eau qui ruisselle des verres de cristal

 

Matière de l'eau sur Terre fracturée;

Les nappes phréatiques sont volcaniques !

Fragmentant encore les ricochets

De l'eau en océan pacifique;

 

Il y a de l'orage dans l'air qui gronde

D'un tonnerre de Brest, afin qu'Eve reste !

Gravant la montagne de la Terre ronde;

Grimpant la varappe de L'Everest !

 

Du centre de gravité dans la lune;

Lunatique et ensoleillée en

Apesanteur; comptant pour des prunes

Légères; à la légère ! Appelant

 

 

Les choses lourdes et balourdes de la vie !

A faire d'une pierre; deux coups à contrecoup !

Avançant ensemble épanouïs !

De la nuit vers le jour; rendant doux

 

L'eau qui ruisselle des verres de cristal;

A garder la face en tout frontale !

Malgré que la planète soit fatale !

Raccordant des rencontres amicales;

 

Qu'il y ait des bris ou des bruits de verres,

Quand la goutte d'eau fait tant déborder

L'eau du vase; de la vase en revers

De la belle mer qui fait regretter !

 

Les couacs en des malentendus

De pollution; donc qui tergiversent

En impuretés si détendues !

Sur l'eau de la Terre en des averses;

 

Qui déversent de la haine; eau de pluie !

Renversant des larmes de crocodile !

En lançant des confettis inouïs

Du ciel; en graffiti indocile

 

D'un tsunami; avis de tempête !

Qui déferle en un raz-de-marée

Hagard sur la Terre mer; qui hébète

Dans l'oeil du cyclone pour détonner

 

L'eau qui ruisselle des verres de cristal;

A garder la face en tout frontale !

Malgré que la planète soit fatale !

Raccordant des rencontres amicales;

 

Quand les morts-vivants rendent la mer morte

En une langue morte; perdant son latin

Sur des feuilles mortes dans la mer; âme forte !

Allant à l'essentiel Sacristain !

 

Unissant que des bonnes volontés

Pour préserver l'environnement

De la vie fragile; quitte à manger

Du bio; fait maison et ambiant !

 

Comme à la maison sauvegardant

L'équilibre sensible en porcelaine;

Telle une mer couvant; surprotégeant

Appétit naissant à chaque semaine !

 

Comme à chaque jour; suffit toute sa peine !

En labourant; pour s'ouvrir aux autres !

Oeuvrant pour un meilleur monde sans haine !

Afin que les uns et les autres vautrent !

 

L'eau qui ruisselle des verres de cristal;

A garder la face en tout frontale !

Malgré que la planète soit fatale !

Raccordant des rencontres amicales.

 

Jérôme de Mars

L'arme des poètes

 

Comme j'ai traîné

D'écoute Trenet;

J'écris ce blues

Depuis ma housse !

 

Sans faire de house

Music d'ma house;

Je tire mon encre

De mon sang d'ancre !

 

Comme je fais mal

Avec les mots;

En animal

Pour faire mémos !

 

En ma colère

De Cavalaire;

Je cavale l'air;

Je décolle l'ère !

 

L'arme des poètes;

Que ça s'y prête !

Que je m'apprête

En des sornettes !

 

A déranger !

Pour m'arranger

Quitte à déplaire !

Moi insulaire;

 

Depuis mon antre

Sur mon île

Déserte que j'entre;

Reclus fertile !

 

A en écrire

Que des poèmes;

Quitte à prescrire

Aucun problème !

 

Pour ceux qui vident

Leur sac trop plaint !

A porter livide;

Avide trop plein !

 

L'arme des poètes;

Que ça s'y prête !

Que je m'apprête

En des sornettes !

 

A crier éco !

Argent comptant

Tous mes échos !

Argent contant

 

Que la vie; c'est

Que de l'argent !

Qui c'est qui sait ?

Que tout ce temps !

 

C'est que l'argent !

Qui intéresse

Bien tous les gens !

Mais que ça stresse;

 

Presse et oppresse

Sans une morale

Revue; qu'je presse !

Tirant comme mal !

 

L'arme des poètes;

Que ça s'y prête !

Que je m'apprête

En des sornettes !

 

Jérôme de Mars

Il faut laisser Trenet traîner !

 

Dans l'jardin extraordinaire;

Il y a en portée que la mer

En Trenet d'un ciel très radieux !

Dont toute la musique est fleur bleue !

 

Emportée d'un crac-crac boom-boom,

Quand en chanson; mon cœur fait boum !

Entraîné par le vague à l'âme

Bleue en traînée sans aucune femme;

 

Je chante cette douce France à Paris !

Comme toute la romance de Paris !

D'où le soleil et la lune nus;

Décrochent les étoiles ingénues !

 

Et que reste-t-il de nos amours

Sur la déroute Nationale 7 ?

A part dire; redire quelques bonjours !

Enchantant lors d'un cinq à set !

 

Il faut laisser Trenet traîner !

En flânant Trenet entraîné !

En Trenet traîné en traînée;

Il faut tout laisser en Trenet !

 

En faisant à Ménilmontant;

Un grand Paris à Yves Montand !

Montant; remontant; démontant !

Le montant de son remontant;

 

On ne badine pas des amours

En vers Prévert; l'âme des poètes;

Qui triomphent en mots troubadours,

On n'fait des plans sur la comète !

 

A part bien sûr quand y'a d'la joie !

En trompettes rabat-joie soufflées

Par un gros soufflet au ramage !

Qu'on en fait trop tout un fromage !

 

Si bien que Charles Trenet cultive

Son jardin extraordinaire !

Tant à fleur de peau émotive !

Que Trenet lance à toute la Terre !

 

Il faut laisser Trenet traîner !

En flânant Trenet entraîné !

En Trenet traîné en traînée;

Il faut tout laisser en Trenet !

 

Comme l'arme des poètes d'un panier,

Et dont il faut en ériger

Une moisson de chansons fleurant

Les travers du doute; effleurant

 

Tout le revers de la médaille !

Pourvu que tout aille bien demain !

Serrant de ses tenailles le travail

Largement bien fait ! Plein d'entrain !

 

Que la vie à pleins tubes d'Trenet !

Laisse passager et présager !

Que ses mots messagers étaient

Du fruit de chaque saison puisée !

 

Et durant son enfance rustique

Mêlant comique; mêlant colique !

Qu'il veut aguerrir en chanson !

Trenet ne perd pas l'oraison !

 

Il faut laisser Trenet traîner !

En flânant Trenet entraîné !

En Trenet traîné en traînée;

Il faut tout laisser en Trenet !

 

Jérôme de Mars

 

 

En faire tout un ramage !

 

Je sais ce qu'on va m'dire !

On connaît la chanson !

Quitte à tant me maudire !

A cause de cette chanson !

 

On connaît la musique !

J'm'engage apolitique !

En roulant mécanique !

N'm'engage en politique !

 

Que j'écris toute ma rage !

Et bien; il pleut dehors !

Que j'écris mon orage !

Et donc; il pleut alors !

 

Comme il faut faire sourire

Sans pluie pour toute la vie !

Quitte à rire ; à redire

Que je n'ai que l'envie !

 

D'en faire tout un ramage !

En retard d'allumage !

D'en faire tout un fromage !

Pas sage dans les parages !

 

En mon jeu d'écriture;

J'essuie un sale ta banque !

En mon jeu d'fioritures;

Je suis un saltimbanque !

 

Je suis un maître-chanteur;

Genre une sorte de corbeau !

J'suis à un mètre chanteur;

Comme d'la sorte; mon corps beau

 

Fait chanter l'paradis !

Et comme à chaque chanson,

Vanessa Paradis

Inaugure la saison !

 

En concert de louanges;

C'est l'heure de la vie d'ange !

Où tout l'monde se mélange !

Or donc; cela m'arrange !

 

D'en faire tout un ramage !

En retard d'allumage !

D'en faire tout un fromage !

Pas sage dans les parages !

 

J'fais un micro-trottoir !

Du tréfonds de mon blues !

Que j'écoute Blues Trottoir !

En mon blues que j'épouse !

 

En mon mal-être infâme !

Je n'veux avoir de femme !

Sortant avec sa blouse;

Son blues que je jalouse !

 

Qu'je pense bête en casse-tête !

Je suis décompensé !

Que je me casse la tête !

Dont à peine compensé,

 

Je panse bête prenant soin

D'mon blues mélancolique !

En langage poétique !

Que j'ai trop le béguin !

 

D'en faire tout un ramage !

En retard d'allumage !

D'en faire tout un fromage !

Pas sage dans les parages !

 

Jérôme de Mars

 

 

Joyaux Noël !

 

Comme un sapin

De maux d'hiver,

Ca sent l'sapin

Involontaire !

 

Où j'ai les boules !

Boule à fossettes !

Je suis maboule;

Je n'suis pas net !

 

Sur Internet !

Je suis un terne;

Jamais chouette !

Qu'on n'me materne

 

Derrière l'miroir

Aux alouettes !

A faire pleuvoir

Toute cette bluette !

 

Joyaux Noël !

De merde Noël !

Joyeux Noël !

C'est merde Noël !

 

Je suis relou;

Un solidaire !

Je suis chelou;

Un solitaire !

 

Je ne souris

En aucune nuit !

Et dont je pleure

Sur l'sol pleureur !

 

Regrettant là !

La vie d'avant !

Sans mes tracas

En un Avent !

 

Riche de la guerre !

Pauvre de naguère !

Je n'veux mûrir !

Je veux mourir !

 

Joyaux Noël !

De merde Noël !

Joyeux Noël !

C'est merde Noël !

 

Si bien qu'je bûche

De pâtissière,

En mes embûches

De ma glacière,

 

Où j'ai tant froid !

En maux d'hiver !

Que j'ai l'effroi !

Si mortifère !

 

A toute ma vie !

Sans trajectoire !

Dont j'dévie

En déversoir !

 

De toute ma haine !

Payant content

Mon bas de laine !

Argent comptant !

 

Joyaux Noël !

De merde Noël !

Joyeux Noël !

C'est merde Noël !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Noyer le poisson

 

Sur l'poisson d'Avril;

Il y a un brochet

Qui va embrocher

Des poissons fragiles

 

Agités en mer;

Qui sont thons sur thons

En ballade amère;

Liberté de thon !

 

Vautrés et serrés,

Comme toutes les sardines !

Jetant d'l'huile clairsemé,

Comme des ballerines !

 

Dansant contre dansant;

C'est assez dauphin !

Venant; revenant

Et en tant qu'dauphin !

 

Noyer le poisson,

Comme une belle chanson !

Comme à la maison !

Chantant à coa bon !

 

Dans un aquarium,

Dont les poissons chantent

En ultimatum;

Ses femelles ferventes;

 

Ardentes du strident;

Déclenchant six reines

A larmes et scandant !

Gyrophares d'sirènes !

 

Pour émouvoir l'eau,

Comme tout tombe à l'eau !

Chaîne Télé Bocal

En parlant verbal !

 

Le langage de l'eau;

Qui en nage; surnage

Et aménage do

R'mi fa sole en âge !

 

Noyer le poisson,

Comme une belle chanson !

Comme à la maison !

Chantant à coa bon !

 

Nager dans le vide

Sous l'eau assoiffée;

Parler dans l'avide !

Et l'eau pour parler

 

Sang- d'encre sous-marine;

Qui fait que des bleus

A l'eau ! Aigue-marine

Sous l'effet du bleu

 

A l'âme; qui s'émeut

Des sanglots sous l'eau !

Vache maigre qui aime

Passe la tête sous l'eau !

 

Sur l'poisson d'Avril !

Qui file et refile;

Ca tient qu'à un fil !

Sous mer hémophile;

 

Noyer le poisson,

Comme une belle chanson !

Comme à la maison !

Chantant à coa bon !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Rien ne baigne !

 

Mal de mer

D'une bouteille;

Délétère

Sans soleil;

 

Si tu n'as

Pas d'oseille !

Garde la foi !

En lune d'miel !

 

Ca finira

Par aller

Bien en toi !

Pour parler

 

D'ce qui va

Bien en toi !

Si tout va

Mal parfois !

 

Rien ne baigne !

En des beignes;

Qui t'déteignent;

Que tu peignes!

 

Que tu n'mouilles

Ta chemise !

Toi fripouille

En remise;

 

Dont tu dis

Des mots secs !

Qu'tu redis

Très pète-secs !

 

Que tout te

Débecte tant !

Que tu veux

Et pourtant

 

En prises d'becs;

Dire le mal

En mots secs;

Que t'as mal !

 

Rien ne baigne !

En des beignes;

Qui t'déteignent ;

Que tu peignes !

 

Tes remords

Morts-vivants !

En une mort;

T'en crevant

 

A p'tit feu !

Tu n'y crois

En un Dieu

Tu as froid !

 

En la vie !

Qu'tu dis oui

A la nuit 

Aguerrie !

 

Que tu trempes

Ton ennui !

En une trempe

Qui t'dévie !

 

Rien ne baigne !

En des beignes;

Qui t'déteignent; 

Que tu peignes !

 

Jérôme de Mars

 

 

Positif/Négatif

 

D'un tout et son contraire;

Il y en a des manières

De faire un différent;

D'en faire indifférent !

 

Entre être de bonne humeur !

Et être un pessimiste !

Alors qu'avec bonheur;

Le bien-être rend altruiste !

 

En une vision des choses,

Car entre ceux qui se causent !

Et ceux, dont c'est à cause !

Personne n'défend chaque cause !

 

Dont pour bien faire les choses;

Il faut bien voir les choses !

Pour les voir autrement;

Il faut choisir constant !

 

Positif/Négatif !

L'mieux; c'est d'être positif !

Sans être un négatif !

Sans virus positif !

 

Sans se contaminer

Au virus positif;

Il vaut mieux attraper

Le virus négatif !

 

Car quand y a pas photo !

On met des maux aux mots !

Semblant l'eldorado !

En faisant un dodo

 

Sur ce monde sans carrosse;

En c'monde qui nous cabosse !

Et qui roule toute sa bosse

Sur nous pendant qu'on bosse !

 

Et quel est l'objectif ?

Pour qu'on reste positif !

Si on reste objectif !

Sans qu'on soit négatif !

 

Positif/Négatif !

L'mieux; c'est d'être positif !

Sans être un négatif !

Sans virus positif !

 

Si on va de l'avant !

On est très optimistes !

Si on pense à avant !

On est très pessimistes !

 

Y a qu'avec de la joie !

Qu'on aura très bourgeois;

Une vie sans désarroi !

Qui sera notre pas roi !

 

Dans les parois solides

D'une vie ultra placide,

Où on fume à l'envie !

La quête du paradis

 

En quête du Nirvana !

Enfumant en toute paix !

Un monde sans rabat-joie !

Avec sans camouflet;

 

Positif/Négatif !

L'mieux; c'est d'être positif !

Sans être un négatif !

Sans virus positif !

 

Jérôme de Mars

 

 

Rue des poèmes

 

Sésame ouvre-toi !

Sois plus ouvert !

Il est une fois

Parmi ces vers !

 

Et bienvenue

Dans ta voiture !

Vers l'avenue

Des drôles d'figures !

 

Boulevard street;

Art du bazar !

C'est que du stricte

Ton trip hangar !

 

En graffiti;

Peignant vaillant

Rue des défis !

Mille et décents !

 

Rue des poèmes

Dans la bohème;

Qui en totem

Sème en un thème !

 

Ces vers de rage

Dans la grande brume;

Ces vers d'orage

Qui font que s'enrhument 

 

Les joies et peines !

Pluies diluviennes;

Qui riment; arriment

Et triment la frime

 

Des sentiments

Romantiques; qui

Mettent en avant

Un qui est qui ?

 

Derrière l'miroir

Et son reflet !

Pour entrevoir

En ricochets !

 

Rue des poèmes

Dans la bohème;

Qui en totem

Sème en un thème !

 

Quand c'est lundi !

Et quand on dit !

Ca recommence

Dans la semence !

 

Des jours d'travail

En cette cadence !

Des gens qui taillent

En une fréquence !

 

Le boulevard

Des grands poètes;

Qui écrivent phares

Des mots pas bêtes !

 

En un panse-bête

D'un casse-tête !

Qui t'dit ma fois !

Sésame ferme-là !

 

Rue des poèmes

Dans la bohème;

Qui en totem

Sème en un thème !

 

Jérôme de Mars

Fruit des fendus !

 

Comme une pastèque,

J'ai la banane !

Sans être High-tech;

Je me pavane

 

Pour toute ma pomme !

J'ai pas d'radis !

Que j'aime le rhum !

Y a paradis !

 

Pour ma grande poire;

Que j'suis la bonne

Poire à chaque soir !

Que je redonne !

 

Je garde la pêche

En pêche d'enfer !

J'ai une grande pêche !

Qu'je veux en faire

 

Fruit des fendus !

Non dissolu;

Fruit défendu !

Nom dissolu;

 

Je donne des pêches;

J'ai le melon !

Côté revêche

A chaque saison !

 

Que je suis mûr

Dans mon bon coin !

Je mange des mûres !

Site du bon coing !

 

Je vote coco !

Noix de coco;

Déconfiture !

D'abricot mûr;

 

Suis Athanase !

Et diabolo !

J'mange l'ananas !

Oh ! Qu'il fait chaud !

 

Fruit des fendus !

Non dissolu;

Fruit défendu !

Nom dissolu;

 

J'ramène ma fraise !

Et ma framboise !

Oh ! Elle me laisse !

Ma belle framboise !

 

Je suis pressé

Comme une orange,

Car empressé

Que tout s'arrange !

 

Avec la mangue;

Sans que je n'tangue !

Comme Clémentine !

Sa mandarine;

 

J'n'ai plus de jus !

Citron pressé !

Comme ma juju !

J'suis oppressé !

 

Fruit des fendus !

Non dissolu;

Fruit défendu !

Nom dissolu.

 

Jérôme de Mars

Un libéral social

 

Paroles d'argent comptant;

Me voilà racontant

Que l'argent ne fait pas

Le bonheur de la joie !

 

Mais permet juste de vivre !

De quoi tenir le coup

Au jour le jour des vivres;

Pour faire face au moindre coût !

 

Je ne suis ni de gauche;

Ne de droite; mais au centre;

Avec aucune débauche;

Qui ferait l'épicentre

 

D'un avis de tempête !

Oh ! Que tout l'monde est bête!

De se faire tous la tête !

Je suis en un casse-tête !

 

Un libéral social

Avec du lien social;

Social et libéral

En argent amical;

 

Qui libère tout son temps !

En pair aidant les gens;

Malgré de gros tourments

Qui font que tout fout l'camp !

 

Dans la vie à chaque nuit

Tout seul sur mon fauteuil !

Regardant mon ennui

Devant ma télé seul !

 

A me morfondre d'avant !

Je veux aider les gens

A croire encore en l'homme !

Pas chacun pour sa pomme !

 

Il faut tant rassembler;

Tant à gauche tant à droite !

Pour tous se ressembler;

Je suis dans l'ensemble ouate !

 

Un libéral social

Avec du lien social;

Social et libéral

En argent amical;

 

Je suis l'apolitique !

J'ne suis la politique !

Je suis un anarchiste

Dans mon âme libre d'artiste !

 

Où je veux enchanter

Tous les désenchantés,

Pour les réenchanter

Sans âme désabusée;

 

Je vais à la rencontre

Des gens qui sont déçus

Par la vie ! A l'encontre

De tant d'idées reçues !

 

Allant à leur encontre !

Car on est tous pareils !

Allant à leur rencontre !

Je suis sans ah ! pareil !

 

Un libéral social

Avec du lien social;

Social et libéral

En argent amical.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Mon barbecue plancha

 

Sur le grill; la merguez

S'grille avec tout le monde !

Qu'il y a le feu aux braises !

Que c'est grillé en fronde !

 

Que tout le monde se sonde

Green peace et peace and love !

Pour passer de l'immonde

A un monde qu'tous rénovent !

 

Pour ne plus s'embrocher,

Survivant aux crochets;

De ceux qui décrochaient

L'barbecue accroché !

 

Se grillant à p'tit feu !

Avec presque tout le monde !

Se repassant odieux

Des gros maux qui fécondent

 

Mon barbecue plancha,

Comme tout le monde plancha !

A manger de la joie !

Plus viandée ici bas !

 

Comme tous ont dégusté

Tout leur grill dans la vie !

Si ça les démangeait

De manger toute la nuit !

 

Et avec des saucisses

De Francfort à Francfort !

Oh ! Quel délices; des lisses !

Et si le Franc fut fort

 

Du temps des Français Francs;

Qui jouaient si franc-jeu !

Il faudrait l'lancer franc !

Pour compter tout l'enjeu

 

D'un barbecue grillé

Auprès tout le monde !

Que tous se grillent; grillés

En cigarettes en fronde !

 

Mon barbecue plancha,

Comme tout le monde plancha !

A manger de la joie !

Plus viandée ici bas !

 

Et si à présent là;

Rien du tout n'était cuit !

En tombant ici bas !

C'ne serait du tout cuit !

 

Cuit--cuit en une belle cuite !

Que tout le monde en fuite;

Jetterait tout en l'air

Des merguez incendiaires;

 

Et des saucisses brûlées

En brûlures de l'histoire !

En des cendres toutes cramées

Résultat de l'histoire;

 

Mon barbecue plancha,

Comme tout le monde plancha !

A manger de la joie !

Plus viandée ici bas !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Des rayons de couleur 

 

Feutré par plusieurs feutres;

Le soleil en frémit

En ses beaux endroits neutres;

Qu'il éblouit la nuit !

 

Attendant qu'il fasse jour !

Pour avoir une bonne mine;

Dessinant le contour

D'un arc en ciel qui bine

 

Tous les jardins du ciel

Imaginaires; songeant

Que s'élève un gratte-ciel !

D'en haut illuminant

 

Tout le ciel tout-puissant !

Sans qu'il soit impuissant

Pour qu'il soit un puissant !

Et sur le continent;

 

Des rayons de couleur

En crayons de couleur;

Barbouillent le ciel rêveur;

Avec de la ferveur !

 

Qui égrène l'contingent !

Jalonné de candeur;

Qui engendre exaltant

Le jardin du bonheur !

 

Parce-qu'rien ne tombe à l'eau !

Du vent incontinent !

Comme le vent en chasse-d'eau !

Son sirocco flânant;

 

Pendant que le soleil

En taille tous ses crayons !

Sans qu'il grêle en son zèle !

Qu'il entaille son rayon !

 

Rayon X; rayon ex;

Le rayon X latex

N'est pas l'ex du soleil !

Car des rayons pluriels;

 

Des rayons de couleur

En crayons de couleur;

Barbouillent le ciel rêveur;

Avec de la ferveur !

 

Ayant une mine bonne mine !

Glissant ses rayons;

Sans que les rayons n'minent !

Glissant ses crayons;

 

Avec la couche d'ozone;

Taillant la zone d'entrée !

Malgré que c'est la zone !

A ne pas pénétrer

 

Sauf si c'est le soleil;

Qui colore sa fièvre jaune !

Pour qu'il y ait des merveilles !

Pour le fun dans la faune !

 

Attendant les ramages

Des capricieux radieux;

Faisant tout un fromage !

En des caprices odieux !

 

Des rayons de couleur 

En crayons de couleur;

Barbouillent le ciel rêveur;

Avec de la ferveur !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Café au long court

 

Café du commerce;

J'attends et debout !

L'métier que j'exerce,

Comme je suis à bout !

 

Où c'est toujours long

L'café allongé !

Mais oh ! Que c'est bon !

De boire mon café

 

Court le long du bar !

Histoires parallèles;

Je me tape des bars

Toujours parallèles !

 

Que mon café; c'est

Ma tasse de thé ! Dont

On m'ôtait mon thé !

Pour descendre l'long

 

Café au long court;

Au court du long cours !

Que j'fais un concours

En compte à rebours !

 

Je bois allongé

L'café allongé !

Que tout ça me ronge !

Que j'essore; j'éponge !

 

Que le court est long !

Le long du recours !

Que j'ai le bras long !

Le long de l'encours !

 

Que j'ai le parcours

D'un grand combattant !

Dont je vais faire cours

En battant; rabattant;

 

Je veux des battants !

Des bas débattant

Pour boire tout mon café;

L'amour du métier !

 

Café au long court;

Au court du long cours !

Que j'fais un concours

En compte à rebours !

 

Je lance et je cours

En café qu'on court !

Comme dans un concours !

Café au bras long !

 

Café; c'est ma tasse

De thé; de café !

Que je bois la tasse !

Café Nescafé;

 

Allant au bistro

Pour voir les potos,

Se serrant les coudes;

En liens qui ressoudent

 

L'café du commerce !

Déboires au comptoir !

Duquel et j'exerce

En des brèves d'histoires !

 

Café au long court;

Au court du long cours !

Que j'fais un concours

En compte à rebours !

 

Jérôme de Mars

 

 

Le bien-hêtre des arbres

 

Tapi sur le sol dense;

Les feuilles mortes écrivent

Que l'été condense !

Les arbres qui décrivent

 

Le silence des âmes;

Sans que les mâles fassent

Mal infâmes aux femmes,

Car quoiqu'il en fasse !

 

L'été veut du bien-être !

Sans des flammes d'amour

Brûlant leur hêtre;

Leurs êtres donnent chaque jour

 

En jeu d'écriture

Des feuilles en mille-feuilles;

Epargnent d'écureuils !

Qui donnent en nature;

 

Le bien-être des arbres;

Qui ne laisse de marbre !

L'hêtre qui ne décime

Des cimes qui éciment !

 

Sans aucun mal-être !

Tout leur vieux mal-hêtre !

Prenant à la lettre !

L'écrit de ma lettre !

 

Pour soigner les hêtres

Avec de l'amour !

Sans aucun mal-être;

Qui vaut en détour

 

Remontant aux sources

Et aux origines;

Pourquoi c'est la course !

En quête des racines

 

Du ressentiment

Aux sentiments !

En assentiments;

Qui prêtent en serment !

 

Le bien-être des arbres;

Qui ne laisse de marbre !

L'hêtre qui ne décime

Des cimes qui éciment !

 

Pour éclore et clore

L'envers du décor;

Passant du folklore

A la sève qui dore

 

La reproduction

Des arbres déracinés !

En une gestation

Des arbres enracinés !

 

D'un jardin secret,

Quand d'un Mausolée

En un sanctuaire;

Il y a en repaires

 

L'abri d'infortunes;

Qui demande la lune

En bruits de fortune,

Dont en une et d'une !

 

Le bien-être des arbres;

Qui ne laisse de marbre !

L'hêtre qui ne décime

Des cimes qui éciment !

 

Jérôme de Mars

 

 

Le soleil tire un trait sur la pluie !

 

En mode avion du temps bipolaire !

Il y a la confrérie des nuages;

Qui donnent un très beau temps populaire !

Avec des chansons et des images;

 

Qui font qu'il y a du soleil radieux !

Pour ravir tous les temps sulfureux,

Surtout la pluie comme tout tombe à l'eau !

Où le temps a besoin de héros !

 

Dans un bel eldorado joyeux;

Enjoué et pour jouer avec le temps;

Il faudrait que tout baigne ! Hauts ! Ces ans !

S'conjuguant à n'importe quel présent !

 

Durant le temps que dure toute la vie !

Endurant la pluie effet boule d'neige !

Il fait et las ! Souvent une triste nuit !

Mais heureusement jour, quand sans neige;

 

Le soleil tire un trait sur la pluie !

En accalmie et d'une embellie;

Qui font d'une couleur Belge; un répit

Après l'oeil du cyclone qui sourit !

 

Et si tout tombe à plat chez les Belges !

Il faut que le ciel se colore Beige !

Pour remettre tout à plat sans que s'fritent

Le soleil et la lune qui s'effritent !

 

Rentrant dans le moule des grands cocus !

Or ! Il y a aussi l'soleil argent !

Parlant en argent content; clamant

Que dans la vie; il n'y a pas que l'écu !

 

Avant d'être plus vieux que son grand âge !

Aux travers d'une genèse de la vie;

Avant d'être plus jeune que son grand âge !

Aux travers d'ue jeunesse de la vie;

 

Il faut un arc en ciel qui résume

Bien la vie sans âges superficiels !

Ainsi qu'un soleil sans amertume !

Et sans une saisie artificielle;

 

Le soleil tire un trait sur la pluie !

En accalmie et d'une embellie;

Qui font d'une couleur Belge un répit

Après l'oeil du cyclone qui sourit !

 

Lorsque les avions sont en mode avion !

Qu'ils tirent un trait sur les tourterelles !

Volant leur innocence environ

A quelques heures du bout d'une ritournelle;

 

Qui fait que les avions tournent en rond !

Et que dans le ciel; rien ne tourne rond !

Décidément qu'il y a macaron !

Puisqu'ainsi; tout le monde est marron !

 

Cuisant des marrons chauds bien au chaud !

Dans l'ivresse de l'écume des nuages

Gris; se grisonnant dans un réchaud !

Or ! Il faudrait qu'il y ait des ramages !

 

Pour changer; passant du noir et blanc

A des couleurs barriolées chantant !

Tels des gais-pinçons comme une chanson !

Où il y aura comme à la maison !

 

Le soleil tire un trait sur la pluie !

En accalmie et d'une embellie;

Qui font d'une couleur Belge un répit

Après l'oeil du cyclone qui sourit !

 

Jérôme de Mars

 

 

Personne n'est parfait !

 

Dans un conte de fées;

Un être qui naît n'est

Pas méchant en faits;

Il n'est que bonté !

 

Petits; p'tits soucis !

Grands; des grands soucis !

Pour vivre toute une vie;

Il faut l'embellie

 

Et une accalmie;

Même si toute la vie !

Il faut tant se battre;

Sans s'laisser abattre !

 

Par les grandes épreuves

De la vie au jour

Le jour en une preuve !

Qu'il faut dire à jour !

 

Personne n'est parfait !

Dans un conte de fées;

Personne naît parfait !

Dans un compte de faits,

 

Nous tous sommes capables

Du meilleur comme l'pire !

En choses ineffables !

D'une satire; ça tire !

 

Que c'est en faisant

De grosses erreurs ! Qu'on

Apprend et comprend

L'horreur d'notre action !

 

En mauvaise action;

Qu'il ne faut refaire

Jusqu'en rébellion

D'sauvageons d'enfer !

 

Il faut en tirer

Que des bonnes leçons !

Quitte à regretter

En mauvais garçons !

 

Personne n'est parfait !

Dans un conte de fées;

Personne naît parfait !

Dans un compte de faits,

 

Même que personne naît

Parfait un parfait !

Et que personne n'est

Imparfait; parfait !

 

Il faut s'approcher;

Et s'en rapprocher

Au plus que parfait !

Présent imparfait !

 

Passant du bon temps;

Conjugué en paix

En temps concordants;

D'amour; d'amitié

 

Resserrant les liens;

Serrant o combien

Les liens du bon coeur !

Et du sang en choeur !

 

Personne n'est parfait !

Dans un conte de fées;

Personne naît parfait !

Dans un compte de faits.

 

Jérôme de Mars

A Hyères; aujourd'hui; j'ai deux mains !

 

Machine à remonter le temps !

Soit on pense à avant; on coule !

Soit on va de l'avant ! Ca roule

Que ça roule bien qu'on se détend !

 

Qu'on se faufile dans la grande foule !

Qu'on n'attend que l'temps se défoule

Sur nous; arriérés rétrogrades

Qu'on en reprend tous pour notre grade !

 

Pour rester dans l'coût sans prend cher !

Il ne faut pas de surenchère !

Mais capter l'air du temps à temps !

Conciliant se réconciliant !

 

Que le temps est aléatoire !

Qu'il est temps en un abreuvoir !

De raconter l'temps autrement !

Le temps passe vite à chaque instant !

 

A Hyères; aujourd'hui; j'ai deux mains !

Pas trois pieds ! Mais deux pieds demain !

Pour donner de gros coups de mains !

Repartant du bon pied demain !

 

Pour changer tous les temps modernes;

Subalternes en l'étang moderne;

D'une époque longue à la détente !

Pour que ça n'soit terne; ça vous tente ?

 

Qu'on change l'temps s'accordant du temps !

Pour tous se comprendre et s'entendre !

Sans se méprendre à tant attendre

Après le temps si fluctuant !

 

Prenant l'air du temps bipolaire !

En des temps variables hein variables !

Changeant toujours de caractères;

Un coup agréable; pas aimable !

 

Prenant tout notre temps; tout le temps !

Malgré que la clepsydre s'écoule;

Il faut profiter au présent !

Du temps présent avant qu'on coule !

 

A Hyères; aujourd'hui; j'ai deux mains !

Pas trois pieds ! Mais deux pieds demain !

Pour donner de gros coups de mains !

Repartant du bon pied demain !

 

Et si avant que l'temps trépasse !

Faisant couler le sablier;

Donc avant le jour qu'on y passe !

Si on en profitait d'aimer

 

Pas le passé, mais le présent !

Pas celui qui veut bas ! Qu'on coule !

Celui qui veut Haut ! Qu'on soit cool !

Pour qu'on roucoule en ce bon moment

 

Du bon vieux temps d'antan d'avant !

En prenant du recul ! Allant

D'l'avant; assurant noq arrières !

Sans jamais regarder derrière !

 

Grâce aux oeillères ! Bon pied bon oeil !

Il faut garder l'oeil sans trompe-oeil !

En se rinçant l'oeil à présent

Vers l'présent ! Car en un présent !

 

A Hyères; aujourd'hui; j'ai deux mains !

Pas trois pieds ! Mais deux pieds demain !

Pour donner de gros coups de mains !

Repartant du bon pied demain !

 

Jérôme de Mars

 

Le ver de l'amitié

 

Facultés de la vie;

Il y a du lien social

Dans les restos U; si

Cela fait amical

 

Le bien sans resto eu !

A chaque âge de la vie

Dissolu et perdu;

A se faire des amis !

 

Trinquant à sa santé !

Au resto entre amis;

Sans trinquer d'sa santé !

Au travail en des bruits

 

De couloirs en mouroir;

Qui inspirent des histoires;

Qui foutent trop le cafard !

En déboires ! Qu'il faut boire

 

Le ver de l'amitié

En des affinités;

Buffet à volonté;

Bouffée en vérité

 

Par tout ce qu'on déguste

Dans la vie, comme une éponge !

Absorbant clowns d'auguste !

Semblant sans rien qui ronge !

 

La vie essore; épuise

Qu'elle en sort plein essor

Nos réserves; qu'on les puise !

Qu'elles s'amenuisent pour clore

 

L'envie de faire partie 

Du décor ! En des cors

D'pied d'échasse répartis

Désaccords ! Y a encore

 

L'envie de discuter

Du jour; pas de la nuit !

Repassant le passé

Béni ! Oui y a fortuit !

 

Le ver de l'amitié

En des affinités;

Buffet à volonté;

Bouffée en vérité

 

Qu'il faut tant déguster

Buvant en bon vivant !

Une bière à siroter

Avant qu'il y ait l'néant !

 

Bourré de nos remords;

Une fois n'est coutume !

Retors quand on est morts !

A y laisser des plumes !

 

Lors d'la mort; mise en bière,

Bouffée par tous ces vers !

Qu'on a trop dégusté

Dans la vie assommée !

 

Qui nous a démangé

Elle; jamais au sommet !

Qu'on en démord qu'la mort !

Buvons là en confort !

 

Le ver de l'amitié

En des affinités;

Buffet à volonté;

Bouffée en vérité.

 

Jérôme de Mars

 

 

L'hôtel des paroles

 

Logé à la même

Enseigne dans la vie;

J'ai plusieurs problèmes !

Que j'en saigne la nuit !

 

Hébergé mi-ciel !

Pour en confesser

Toutes mes fautes partielles;

Qu'je suis affaissé

 

En fessée d'autel;

Hébergé Missel;

Je parle de l'hôtel !

Hébergé par celle

 

De ma vie sur Terre;

Qui est de parcelle

Austère; salutaire;

Autel qu'j'amoncelle

 

L'hôtel des paroles;

Avec sans bémol !

Toute une farandole

En genèse d'idole;

 

Que je chante; déchante

Qu'on est de passage

Sur Terre ! Qui incante;

Voilà le message !

 

Qui stipule que tous;

On en a assez

Dégusté qu'on tousse

En nos camouflets !

 

Dans cette vie la nuit;

Qui me fait défaut !

Surtout en on dit !

Dans un porte-à-faux !

 

Paradis d'enfer !

J'suis un vilain diable !

Parodie d'en faire

D'avance en un diable !

 

L'hôtel des paroles;

Avec sans bémol !

Toute une farandole

En genèse d'idole;

 

Je deviens un roc

De pierre au lance-pierres;

Qu'je lis les Inrocks !

Qui déroule d'une pierre !

 

Qui n'amasse pas mousse !

Que j'en ai la frousse

D'aller dans la brousse !

Que ma vie m'émousse

 

Dans une grande savane;

Avec aucune vanne !

Que j'ouvre toutes les vannes;

L'robinet qui vanne

 

Ma vie en eau tiède !

Que je suis au bled !

Cherchant mon salut !

Qu'je prie inconnu !

 

L'hôtel des paroles;

Avec sans bémol !

Toute une farandole

En genèse d'idole.

 

Jérôme de Mars

 

Un soleil qui laisse filer les étoiles

 

De jour comme de nuit de la nuit au jour;

Il y a la lune ensoleillée qui perce

Les mystères du ciel qui vaut le détour !

En perçant la verité qui transperce

 

Les étoiles de la grande ourse en ses règles;

Qui tirent un trait en mode avion furtif !

Au cours d'un grand itinéraire espiègle;

Qui laisse le ciel et l'arc en ciel pensifs !

 

Surtout la nuit lorsqu'elle gomme en un jour !

Et à contre-jour ! La vie qui va s'en faire !

Des étoiles brisées dans tous les faubourgs

Du ciel qui respire; inspire un bel air !

 

En un soleil bien luné et burné;

Qui dépasse les limites plus que bornées !

Quitte à franchir le graal du calumet

De la paix qui laisse augurer au frais !

 

Un soleil qui laisse filer les étoiles;

Et qui laisse défiler place de l'étoile !

Un Paris arc en ciel peignant une toile;

Qui habille pour l'hiver le ciel en toile !

 

Qui dévoile en tout la pluie du soleil !

A découvert des vents couverts par ciel !

Au fur et à mesure que les gratte-ciel;

Grattent superficiels artificiels l'ciel !

 

Au lit voûte; coûte que coûte et qui envoûte

Des gommes bulles de gommes qui en tout dégomment

Switchent gommes; mettant l'essentiel ciel sur écoute

Partielle; jouant du soleil pour sa pomme !

 

Quitte à tirer à l'arc en ciel; une flèche

Pour Cupidon odieux en désamour

Revêche ! Enfumant en allumettes sèches;

Cents amours tombant dans l'oreille d'un sourd !

 

Quitte à tant surprendre en des attirances

D'un roman de gare en itinérance;

Prenant de court et tant au dépourvu !

Des amours laissant déçu; dissolu

 

Un soleil qui laisse filer les étoiles;

Et qui laisse défiler place de l'étoile !

Un Paris arc en ciel peignant une toile;

Qui habille pour l'hiver le ciel en toile !

 

Laissant passer par la fenêtre ouverte !

Des génies en herbe qui désherbent acerbes;

De par leur verbe et adverbe alerte

L'ciel faisant des gerbes envoyant des gerbes !

 

Laissant planer un horizon lointain

Et proche à la fois; en toute concordance

Du soleil et de la lune toujours enclins;

A jeter un oeil sans des divergences !

 

Avec plus de choses qui tant les rassemblent !

Que de trop d'différences qui les séparent !

Comme de bon; leurs convergences leur ressemblent !

Que rien ne leur semble discordances à part !

 

Le soleil uniquement; qui répare

La nuit dans une confuse mélancolie,

Où il n'y a que le ciel en un rempart;

Qui murmure d'accalmie en embellie !

 

Un soleil qui laisse filer les étoiles;

Et qui laisse défiler place de l'étoile !

Un Paris arc en ciel peignant une toile;

Qui habille pour l'hiver le ciel en toile !

 

Jérôme de Mars

 

 

La vaisselle des vers de poèmes cassés

 

Quand je suis dans mon assiette; en restant

Dans la fourchette des prix;

Je ne suis pas à ramasser à la petite cuillère !

Qu'il n'y a pas besoin de ne pas y aller

Avec le dos de la cuillère !

Par petites louches de gens très louches !

Et trop louches qui me mettent l'eau à la bouche !

Pour que je vende de la soupe !

En produisant de la soupe en assiettes

De porcelaine ! Et dont en souffleur de vers;

Je fais la vaisselle des vers de poèmes cassés;

En vases clos communicants qui dévasent

La goutte d'eau qui fait déborder le vase

Eclos communicant ! Dont pour ne pas faire

Bouillir l'eau en moi; je ne me mets plus de pression !

En évitant que la colère bout en moi !

Et que mon oppression me fasse péter

La cocotte-minute qui bout en moi ! Et en sorte !

Pour éviter que la cocotte-minute bout;

Implose et explose; j'évacue pour que tout sorte

En moi ! Pour que ça sorte la pression; je ne mets pas

D'assiettes en vers et ni de vers cassés dans

Le four à micro-ondes, de sorte que je continue

D'envoyer et de partager des bonnes ondes positives,

Pour rester sur la même longueur d'ondes

Positives; je m'apprête à m'en laver

Les mains; en refaisant une nouvelle et dernière

Vaisselle des vers de poèmes cassés;

Sans me tracasser et sans tracasser tout

Le monde, de sorte que plus personne

Ne soit à couteaux tirés ! En demeurant

Les deuxièmes et troisièmes couteaux !

De bruits de vers en bris de vers et revers !

Et pour être encore plus dans mon assiette !

Sans être un pique-assiette; la prochaine

Fois que je ferai une vaisselle; je ferai

Avec le lave-vaisselle sans m'en laver

Les mains; la vaisselle automatique

Des vers de poèmes réparés et plus

Du tout cassés ! Même si on me dit

Fais-les ! Tes vers cassés !

Vers la vaisselle des vers de poèmes cassés.

 

Jérôme de Mars

Recharge ta batterie !

 

Il était l'homme-orchestre !

Qui composait sa vie !

A coups d'pédales pédestres;

Qui déroulaient la vie

 

De ses envies d'musique

En des mots synthétiques !

Par l'osmose poétique;

Chantant l'air pacifique

 

D'un océan amer;

Qui rappelle la misère

De sa mélancolie;

Qui flirte en hérésie !

 

Se faisant que des films

A la Johnny Guitar !

Et si dans sa dream team;

Il jouait en tintamarre !

 

Recharge ta batterie !

Mené tambour battant !

Avec ta confrérie;

Rabattant des battants !

 

 En très bonne compagnie;

Qui dit flûte vers de flûte !

Parmi tous tes amis;

Chantant tous azimuts  !

 

Toute ta basse en messes-basse,

Dont tu fais tant marcher

D'échasse ta contrebasse !

Pour pouvoir décrocher

 

Ton trombone en poster !

Punaise ! Tu fais jazzer !

Toute ta classe en master !

Quitte à vivre aux crochets !

 

Du jeu d'ta clarinette !

Sans tambour ni trompette !

Que tu refais trompette !

Chantant en allumettes;

 

Recharge ta batterie !

Mené tambour battant

Avec ta confrérie;

Rabattant des battants !

 

Que ta vie fout le camp !

Crevant à petit feu !

Tous tes sacrés tympans;

Qui tapent ton nom odieux !

 

Des notes à ta portée !

De ta drôle d'interro

En une pièce rapportée;

Détachée d'ta rétro !

 

Qui t'est tant attachée !

Quitter tant détachée !

Quitte ou double des tachées !

Tu finis par porter

 

Ton trophée emporté !

Que t'as trop remporté

Que t'as trop fait porter !

Chantant l'air des portées !

 

Recharge ta batterie !

Mené tambour battant

Avec ta confrérie;

Rabattant des battants !

 

Jérôme de Mars


 

 

Cher Coluche !

 

Nom d'une star;

Tu fus roi !

A l'instar

De ta foi !

 

Pas en Dieu !

Mais d'lumière !

Où pour deux;

Tu vis clair !

 

Que notre monde

N'allait bien !

Dont en fronde;

Tu fis l'bien !

 

Avec les

Restos du

Coeur aimés;

Que ton du !

 

Cher Coluche !

Tu en bûches

D'tes paluches !

En embûche;

 

Que tu te

Servis de

Tout ton je !

Pour faire deux;

 

Un par deux !

Deux par deux !

D'ton humour !

En amour

 

D'ton prochain !

Tu donnas

Des coups d'main

Dans la joie !

 

Toi l'rebelle !

Repartant

De plus bel

Toi ! Brillant !

 

Cher Coluche !

Tu en bûches 

D'tes paluches !

En embûche;

 

Que tu fus

Visionnaire;

A l'affût

D'ta colère !

 

En faisant

Bouger les

Choses ! Allant

Vers l'concret;

 

Tu n'aimais

Le négatif !

Qu'tu émets

Le positif !

 

Sans négatives

Du passé !

Qu'tu motives

Notre bonté !

 

Cher Coluche !

Tu en bûches

D'tes paluches !

En embûche.

 

Jérôme de Mars

Le temps bipolaire

 

Troubles de l'humeur

Fluctuants qui vont;

Qui viennent avec le temps !

Le temps bipolaire

Affiche des humeurs contraires;

Qui se défont et font

La mauvaise humeur

Et la bonne humeur !

Au parfait bonheur

Dans le malheur

Du contraste

Du temps chaste et faste;

Du soleil d'hiver

Et de l'oseille en maux divers

Riches et pauvres,

Comme le temps bipolaire;

Ce pauvre

Qui défriche

Son côté riche en friche

De tout et sa colère;

D'une embollie pulmonaire

A une embellie pulmonaire;

Le temps bipolaire

Est tout et son contraire !

Changeant d'avis comme de chemises

En humeurs soumises et insoumises;

Le temps bipolaire

Est délétère

Et salutaire;

A la fois sobre

Et dans des excès de colère;

Jalonné aussi de mélancolie; d'harmonie

Et d'euphorie,

Quand le temps bipolaire

Se caractérise par des changements

De caractères inconstants et permanents;

Du polaire bipolaire au soleil

D'un soleil mal luné

A une lune ensoleillée;

Et le temps bipolaire

Est très dur à prévoir !

Entre vouloir

Et ne pas pouvoir

Dans la guerre des nerfs;

Entre clair éclair et éclair clair !

Le temps bipolaire

Passe d'états stables

En états instables;

Fréquentables; infréquentables,

Variables et invariables;

De l'affable à l'ineffable,

Le temps bipolaire 

Est à la fois un état linéaire

Et éclair;

Changeant d'air !

Comme l'air du temps !

Tel un appel d'air

Entre l'ombre et la lumière !

Et si pour passer de l'ombre

A la lumière

Sans aucune pénombre sombre;

Il suffisait juste d'allumer

Et de rallumer

La lumière de la chaumière

Sans oeillères, 

Dont pour assurer ses arrières

Sans barrières;

Il suffirait juste d'avoir 

Une éclipse lunatique

Pour permettre d'avoir résilient

Une âme mystique;

Face aux mystères

De la vie

Surtout la nuit !

Et si le temps bipolaire

Malgré ses humeurs contraires;

Trouvait la recette

Entre avoir des facettes

Et des fossettes,

Pour avoir tantôt une lune ensoleillée

Et tantôt un soleil mal luné;

Qui ferait qu'en alternance

Il y aurait de la lueur 

Et de la noirceur;

En itinérance

Des changements d'humeur;

De la surface du soleil en une

A la pleine face de la lune;

Tel un soleil de mots d'hiver

A l'oseille en maux d'hiver;

Qui donneraient de la matière !

D'une embellie pulmonaire

A une embollie pulmonaire;

Engendrées solaires et lunaires

Par le temps plus que bipolaire.

 

Jérôme de Mars

Je nique le système !

 

Seul contre tout le monde;

Contre le reste du monde;

J'aimerais savoir

Pourquoi l'monde est noir ?

 

Niquant la police;

Niquant tout ce monde !

Qui s'enlise plus lisse

En des choses immondes

 

Du capitalisme,

Où seul compte l'argent

Jusqu'au cataclysme !

Comptant; racontant

 

Que le monde va bien

En argent content !

Mais c'est le déclin !

Tout l'monde déchantant

 

Je nique le système !

L'système D qui sème

Tout ce requiem !

Plus personne ne s'aime !

 

A part qu'il parsème !

Comment faire d'l'argent ?

Recueil de bohème;

Ce ressentiment

 

Fait toujours si mal

Sans sentiments;

Ce monde animal

Rend tout l'monde dément !

 

Qui fait qu'tout le monde

Ment; se ment; dément !

Boniments de faconde !

Et en écoutant

 

Les gens; je demande

Qui fait toute la loi

D'l'offre et la demande ?

De ce monde sournois;

 

Je nique le système !

L'système D qui sème

Tout ce requiem !

Plus personne ne s'aime !

 

Par contre; je préfère

Le système aidé !

Pour ne plus s'en faire

Un moral défait !

 

Quelle est la raison

D'tous ces égoïstes ?

Je nique l'oraison

Qui semble hédoniste !

 

Alors qu'les altruistes

Donnent tout le meilleur

Du monde en clowns tristes,

En enjoliveurs

 

D'un monde fabuleux

Sans gens malhonnêtes;

Espérant radieux;

Songeur des comètes !

 

Je nique le système !

L'système D qui sème

Tout ce requiem !

Plus personne ne s'aime !

 

Jérôme de Mars

 

 

Rayon ex

 

D'un crayon

De couleur;

Au sillon

Du bonheur !

 

Le soleil

A besoin

D'aquarelle !

En béguin

 

De l'amour,

Qui donne tant

En velours,

Il est temps

 

D'colorier

Juste la nuit !

En clarté

A midi !

 

Rayon ex

Sans latex;

Rayon X

Sans films X;

 

Dans le réel

Qui flirte en

Transe rebelle !

Pour les gens

 

Du virtuel !

Sans réseaux

De plus bel !

Ami mot !

 

En vie d'ange;

C'est un concert

D'louanges !

Sans cancer

 

De vidange !

Pour que la nuit

Elle s'arrange;

Est en vie

 

Rayon ex

Sans latex;

Rayon X

Sans films X;

 

Rayon de

Soleil; et

Juste radieux !

Pour essaimer

 

Un jardin

Tout publics;

Est enclin

République;

 

Déclarant

Tout l'amour !

En faisant

Que la cour !

 

Pour démettre

Toute la nuit !

Pour émettre

D'embellie !

 

Rayon ex

Sans latex;

Rayon X

Sans films X.

 

Jérôme de Mars

 

Bruits de mots

 

Sitôt en 

En faisant 

Une montagne !

Qui perd gagne ! ?

 

A franchir

Les limites !

S'affranchir

En ermite !

 

Sitôt en 

En faisant

Un fromage !

Une image

 

Dans le vide;

Luit livide !

Et tout blanc !

En tremblant

 

Bruits de mots;

Bris de maux;

Bruits de Meaux;

Bris de Meaux;

 

Au moindre mot !

Qui en fait

Parano;

L'écorché

 

En mon être

Maltraité !

En mon hêtre

Mâle traité !

 

Pour taper

Que des maux !

Pour toper

Que des mots !

 

D'une machine

A écrire

Mes racines !

A décrire

 

Bruits de mots;

Bris de maux;

Bruits de Meaux;

Bris de Meaux;

 

Que ma vie

Me dégoûte !

Que l'ennui

Tant me coûte !

 

Que je pleure

En sanglots !

Ma rancoeur

En chaos !

 

Qui me fait

Couler tout

Mon sans frais !

Sans garde-fous !

 

Susceptible

Au moindre mot !

Impossible

Sans rétro !

 

Bruits de mots;

Bris de maux;

Bruits de Meaux;

Bris de Meaux.

 

Jérôme de Mars

 

 

Le temps en argent

 

Pour les deux saisons 

Qui chantent des paroles !

Comme une belle chanson;

C'est la farandole

 

En un festival !

Qui clame c'est l'été !

D'ambiance amicale;

Rentrant dans les frais;

 

D'une bonne grosse bière Rousse;

Qui mousse; mousse et mousse !

Ceux qui sortent d'leur bulle

Pétillante d'ovule !

 

Ayant du soleil

Après toute la pluie;

Qui en passerelle;

Redonne en envie !

 

Le temps en argent;

Plaisant; conciliant !

Se rabibochant

Après le printemps;

 

Qui génére d'l'amour !

Passant des bons jours;

Mariant les bancs

Publics en des bans

 

D'mariage; de ramage;

Chantant le printemps

Jusqu'à l'abordage !

De comme une chanson !

 

Pour la rechanter

Non désabusée;

Envie d'abuser

De la rechanter;

 

En buvant au bar;

Un sirop d'orgeat

D'une blague carembar;

Qui ne s'barre sans joie !

 

Le temps en argent;

Plaisant; conciliant !

Se rabibochant

Après le printemps !

 

Des hommes et des femmes !

Dont à chaque été;

Il y a toute une flamme;

Qui refait brûler

 

Les coeurs qui rebattent

La chamade suave !

D'amour écarlatte;

Qui met le feu slave !

 

Dégustant en mais;

Des mets désormais

Friands au balcon !

Chantant d'un bal con !

 

Franchi en frontière !

D'l'amour linéaire

En imaginaire;

Qui laisse salutaire !

 

Le temps en argent;

Plaisant; conciliant !

Se rabibochant

Après le printemps !

 

Jérôme de Mars

Dans la lune !

 

De pleine face;

J'vais croissant

En pleine phase;

En croisant

 

Mes nuits lourdes !

Qu'en gros mots;

Elles balourdes;

Sont l'fardeau

 

De ma vie !

Que j'vomis

L'inertie

De mes nuits !

 

Sur La Terre;

Qui m'ennuie

Si délétère;

Qu'je revis

 

Dans la lune !

Pour des prunes !

Qu'en une dune;

J'ai I-Tunes !

 

Sans que je pèse

Tous mes mots !

Que je pèse

Tous mes maux !

 

En fardeau !

Que je n'pèse

Mes maux; 

Si obèses !

 

Je pèse

Mes mots !

Si obèses;

En très gros !

 

Et trop gros !

Car ben mince;

Tous mes mots;

Je les grince

 

Dans la lune !

Pour des prunes !

Qu'en une dune;

J'ai I-Tunes !

 

En vedette;

A  l'instar

D'ma vedette;

Boulevard;

 

J'suis une

Grande étoile

Brisée d'une !

Que j'dévoile

 

Qu'on me mène

En bateau !

J'me démène

Vers le chaos !

 

Je prends à

La légère !

Poids plume là !

Il m'génère

 

Dans la lune !

Pour des prunes !

Qu'en une dune;

J'ai I-Tunes !

 

Jérôme de Mars

Nickez larsen !

 

Là au Japon !

Faisant l'amour;

Il y a jupons;

Des mots d'amour

 

En mur du son;

En murs porteurs;

Qui font nippons;

Gestes rapporteurs;

 

Sains animés

Dans un manga;

Faisant bander

Des filles de joie !

 

D'un commissaire

En mot de passe;

Bouc-émissaire !

Car en impasse;

 

Nickez larsen !

Jardin d'Eden !

Secret rengaine !

Nickez la reine !

 

Dans un harem !

Qui sème; parsème

Un tintamarre

Avec son dard !

 

Comme une abeille !

En pompant l'mâle !

En lune de miel

Dans les annales !

 

Qui pipe les dés !

Qui pipe l'aidé !

Lançant des dés;

Lançant Dédé

 

Pour le sucer

Lui; son bonbon !

Pour l'avaler

Son casse-bonbon !

 

Nickez larsen !

Jardin d'Eden !

Secret rengaine !

Nickez la reine !

 

Qui pipe des dés !

Qui pipe Dédé !

Lançant les dés !

Lançant l'aidé !

 

Pour que cette femme,

Elle soit en flamme !

Seins dessinés !

L'faisant bander !

 

Comme un manga

Pas rabat-joie !

Source de grande joie;

D'amour bourgeois !

 

Même si revêche;

Il sort la crème

Fraîche à la fraîche !

Qu'il aime l'harem !

 

Nickez larsen !

Jardin d'Eden !

Secret rengaine !

Nickez la reine !

 

Jérôme de Mars

Dix vers cités

 

Diversité;

Je l'ai citée

Et récitée

Droit de cité !

Qu'j'ai su cité

D'adversité

Ma cécité;

Que j'ai cité

Saga cité

Dix vers cités.

 

Jérôme de Mars

La vie vaut la peine d'être vaincue !

 

A chaque jour suffit toute sa peine !

La vie est un combat chaque jour !

Dont on a toujours de la peine

A se remettre; elle ce vautour !

 

La vie nous joue de mauvais tours !

Qu'elle n'est que la fatalité !

Que la vie ne vaut le détour !

Entre remords et plaints de regrets !

 

Parfois; on n'attend que la mort !

Pour avoir le meilleur confort !

Comme c'est la raison du plus fort !

Qui est l'oraison du plus fort !

 

En attendant la mort au gré

Des joies et surtout des grosses peines !

Que la vie nous impose blessés !

Car pauvres de nos âmes ainsi plaines !

 

La vie vaut la peine d'être vaincue !

Dans l'absolu des vies déçues !

La vie n'vaut la peine d'être vécue !

A panser son temps dissolu !

 

Et en souvenir d'notre offense;

Si on en faisait d'innocence !

Une vie sans l'ombre de notre enfance !

Pour la trépasser sous silence,

 

Même qu'on est tous désabusés

Par la vie et ses camouflets !

Et si en une belle résilience;

On fumait un grand calumet !

 

De la paix pour éteindre l'incendie !

Même que nos vies furent embrasés

En brûlant la vie dès la nuit !

Par les deux bouts d'la chandelle et

 

Si au lieu d'tenir la chandelle !

Le jeu en valait la chandelle !

En diffusant que de l'amour

En un reflet dans un séjour !

 

La vie vaut la peine d'être vécue !

Dans l'absolu des vies reçues !

La vie n'vaut la peine d'être vaincue !

A penser son temps dissolu !

 

Si l'amour n'est qu'un pansement

Dans la vie en déconvenue !

La nuit; il y a des cons venus !

Comme c'est convenu rudement

 

De faire tout un rafistolage !

Face aux blessures indélébiles

De la vie qui peut rendre sauvages !

Ceux qui n'ont eu la vie facile !

 

On peut même dire très difficile !

Face à la vie qui n'est placide !

Face aux écorchés dans l'acide;

Qui attendent que viennent leurs périls

 

Avec impatience ! Même s'ils sont 

Soignés étant décompensés

En leurs stigmates, comme ils se font

Du mourron car trop enflammés !

 

La vie vaut la peine d'être vaincue !

Dans l'absolu des vies déçues !

La vie n'vaut la peine d'être vécue !

A panser son temps dissolu !

 

Jérôme de Mars

Le festival dévale !

 

Sur Seine du Val-de-Marne;

Il y a le bal-musette

Près de Nogent-sur-Marne !

Faisant de la guinguette !

 

Avec du saucisson;

Et des lurons en foire

Avec l'accordéon;

S'amusant un grand soir !

 

D'un roc de pierre en slam !

En slamant sur la Seine;

Scandant la vie en trame

D'un drame effet larsen  !

 

Devin de vers de vins !

Malgré les montagnes Russes

Emises en bonnes bières Russes;

Jetant dans le ravin !

 

Le festival dévale !

Val-de-Marne qui des vals;

D'vals en vals en aval !

Qu'les festivals en valent !

 

La peine dans l'Val-de-Marne !

Département du val

Jusqu'à Nogent-sur-Marne;

Qui en aval; ravale !

 

L'eau de vie qui survit !

Attendant l'an divin !

Pour un droit à l'oubli !

Qui clamera festin !

 

Val-de-Marne; c'est la fête !

D'habiter ici là !

Même si la vie en fait !

Y a d'la joie ! Des tracas !

 

Avec pertes et fracas !

Aussi des filles de joie !

Et des hommes d'éclats !

Et buvant des bières d'joie !

 

Le festival dévale !

Val-de-Marne qui des vals;

D'vals en vals en aval !

Qu'les festivals en valent !

 

De manger; d'déguster

Un très bon gueuleton  !

Ce qu'on a dégusté

Dans la vie ! Gueule-t-on !

 

A la trop bonne franquette !

En quête de vérité !

Pour raconter fleurette

En authenticité !

 

Pour une belle amourette !

A qui est destinée

Cette romantique bluette !

Marquée d'ta destinée !

 

Slamant sur la Seine !

Une vie qui danse en slam !

Chantant sur la scène;

Un soleil qui déclame

 

Le festival dévale !

Val-de-Marne qui des vals;

D'vals en vals en aval !

Qu'les festivals en valent !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Vouvouzélas !

 

Musique de cornes;

Un instrument

Luit; qui écorne

Les mouvements

 

Du cor à corps

De chasse pourchasse;

Raccord d'accord

Epine d'échasse !

 

Stade avancé

De la musique;

Elancée; est lancée

En acoustique;

 

Une belle musique;

Jeu antichambre

Du sport en chambre;

Un air mystique !

 

Vouvouzélas !

Trompette d'la joie !

Vuvuzélas !

Air rabat-joie !

 

Ca casse l'oreille !

Argent contant !

Ca casse l'oseille !

Argent comptant !

 

En un soleil

De printemps;

Qui ritournelle;

Chante empreint tant !

 

De tant d'amour !

Du sport en foot !

Jouant vautours

Du foot en shoot !

 

Tapant l'ballon !

Ballon d'essai !

Nous déballons

Que tout se sait !

 

Vouvouzélas !

Trompette d'la joie !

Vuvuzélas !

Air rabat-joie ! 

 

Terrain connu !

Jeu de football !

Terre inconnu !

Enfant d'la balle !

 

Sifflant carton !

Quand il voit rouge !

Nous écartons

Ceux qui voient rouge !

 

C'est de la balle !

Cet instrument;

Que tout s'déballe

En mouvement !

 

Du corps; d'esprit !

Temps impartis

D'la répartie !

Corner parti !

 

Vouvouzélas !

Trompette d'la joie !

Vuvuzélas !

Air rabat-joie ! 

 

Jérôme de Mars

Cheveux de course

 

A raie non stop !

Ca pousse; ça pousse !

Arrêt et top !

Stop ! Que ça n'pousse !

 

Que les tifs s'coupent !

Chez le coiffeur !

Qui les découpe

A la fureur

 

De son métier !

Bien occupé;

Préoccupé

A bien couper

 

Celui ou celle;

Qui se fait des

Cheveux ! S'emmêlent

Ebouriffés !

 

Cheveux de course

Au bout d'la course !

Puisant sa source

En leurs ressources !

 

Tirés par les

Cheveux tremblant !

Cheveux trop blancs !

II ou elle s'fait !

 

A s'en faire des

Cheveux dans l'vent !

Pour en faire des

Tifs décoiffant

 

Et dépeignant

Tout leur épi !

Ebouriffant

Tout leur d'épi !

 

Peigné comme un

Dessous de bras 

Lors d'un shampoing !

Et en bras droit !

 

Cheveux de course

Au bout d'la course !

Puisant sa source

En leurs ressources !

 

Et pour une femme;

Des bigoudis

Woman infâmes !

Si étourdies

 

Qu'en permanence;

Elles en font une

Loi du silence !

Faisant la une

 

D'leur permanente !

Que tous les hommes

Rendent permanentes

Les femmes sans hommes !

 

En une façon

Si dégradée !

Coupe de garçon;

Coupe dégradée;

 

Cheveux de course

Au bout d'la course !

Puisant sa source

En leurs ressources !

 

Jérôme de Mars

 

                                        Blague :

 

 

 

Qu'est-ce-qu'une merguez qu'on fout en l'air ?

 -  Une merguez qui est grillée auprès de tout le monde !

 

 

                                Jérôme de Mars

Quelque chose qui fait mouche...

 

Printemps comme un été,

La saison des amours

Fait temps en une brassée;

Embrassée des beaux jours !

 

En dépeignant une toile

D'araignée en effet

Papillon; qui dévoile

Une étoile éprouvée

 

De sentiments de lune !

Qui refilent le cafard

Aux bourdons pour des prunes !

Que tous allument en phare !

 

Les insectes qui bourdonnent

Le fiel en lune de miel !

Du miel et les abeilles !

Quand des frelons résonnent

 

Quelque chose qui fait mouche...

A la cuillère d'une louche !

Que les mouches louches se mouchent;

Ramassant en p'tites louches !

 

Les guêpes qui ailes n'attirent !

Avec que du vinaigre

Les mouches vol à la tire !

Qui elles; tournent au vinaigre !

 

Comme ces insectes débectent

Leurs vers d'éther pansant

Les plaies qui elles; les bectent

Pensant décompensant

 

Des cons pensant et si

Bien-pensant d'pansement !

Qui fonctionnent indécis !

N'importe quel mouvement !

 

Qu'elles en envoient des piques

De moustiques pathétiques !

Que les moustiques les piquent !

Antiques en tics pas tes tics !

 

Quelque chose qui fait mouche...

A la cuillère d'une louche !

Que les mouches louches se mouchent;

Ramassant en p'tites louches !

 

Que les mouches ont des tics

De moustiques en des tiques !

Que les mouches; elles moussent tiques !

Qu'elles sont mythiques; mystiques !

 

Qu'elles s'émoussent en des tics !

D'façon systématique !

Comme c'est arithmétique !

Qu'elles calculent névrotiques !

 

Toutes leurs vies qu'elles la tiquent

En printemps qu'elles astiquent !

Et en bouffées toutes crues !

Qui l'eut crû si accrues ?

 

Quand morts tous leurs revers !

Furent mangés à l'envers !

Entre l'ombre et la lumière !

De ces vers repaires vers

 

Quelque chose qui fait mouche...

A la cuillère d'une louche !

Que les mouches louches se mouchent;

Ramassant en p'tites louches !

 

Jérôme de Mars

 

Des projecteurs

 

Dans la lumière

Au clair de l'ombre;

Il y a en clair

Un petit nombre

 

De pleins de gens;

Qui aspirent à 

Changer le temps !

Pour rendre béat

 

Cette triste époque

Dans le naufrage,

Et dont d'un roc

En éclairages;

 

Il y a un ciel;

Un arc en ciel;

Une tourterelle;

Qui amoncellent

 

Des projecteurs

Dans la lueur

De la fureur;

De la sueur;

 

Qui font voler

Des hirondelles;

Et s'envoler

Dans un grand ciel !

 

Un vol d'oiseaux

Sous les sunlights;

Qui écrit eaux !

Buvant stop light !

 

Sans note salée

Sur la grande mer;

Marée salée

Sucrée amère;

 

Il y a des cocas

En des déboires;

Qui font qu'au cas

D'la mer à boire !

 

Des projecteurs

Dans la lueur

De la fureur;

De la sueur;

 

Que le monde hait

Sans la lumière !

Qu'il est contrefait

En guerre des nerfs,

 

Alors qu'la vie

A besoin d'amour;

De poésie;

De troubadour

 

En embellie,

Pour que scintille

La vie sans nuit !

Sans qu'ça grésille

 

En une vie grise !

Qui n'vaut le coup !

De vivre surprise !

Qu'il faut garde-fous !

 

Des projecteurs

Dans la lueur

De la fureur;

De la sueur.

 

Jérôme de Mars

 

 

Les temps dansent !

 

A chaque nuit

Du soleil;

Il fait gris !

D'étincelles !

 

Que le jour;

Il se meurt

A contre-jour

Dans la peur !

 

Et l'matin;

Il fait jour !

Romarin

Dans l'amour !

 

Du soleil

D'embellie !

Qu'il s'élève

D'griserie !

 

Les temps dansent !

D'abondance !

Les tendances !

D'intendance !

 

Que la mer

Si Egée !

Roule les airs 

Si légers !

 

En campagne;

Gravissant

La montagne !

Des jours naissant

 

A l'air libre !

Tout le temps !

Et qui vibre

Apaisant

 

Sous la pluie;

Aussitôt

Eau de puits;

Oh ! Sitôt !

 

Les temps dansent !

D'abondance !

Les tendances !

D'intendance !

 

Il en faut

Pour chaque genre !

Ou plutôt

En transgenre !

 

Bienveillant

Dans la glu;

Prévoyant

Dans l'alu;

 

D'un effet

Boule de neige !

Pour rêver

De la neige !

 

Chaque saison;

Pointe l'été

D'évasion !

Et si légers !

 

Les temps dansent !

D'abondance !

Les tendances !

D'intendance !

 

Jérôme de Mars

On en voit la couleur quand on reprend des couleurs !

 

Grise mine dans du gris; le monde est gris amoché par les bleus de la vie; surtout la nuit écrite noir sur blanc; en passant des nuits blanches, quand on voit rouge et qu'on rit jaune ! Jauni par des casse-tête chinois, dont pour oublier la nuit lorsqu'il fait jour ! On met du jaune violet pour bronzer ultra-violet ! Avant qu'on soit marrons en mangeant des marrons chauds, car même si on dit que la vie est rose ! Elle est de plus en plus morose dans un gris éclair avec plus rien de clair, comme les gens  sont gris; aigris comme la lune; et lunatiques pressés, comme des oranges amères dans ce monde oppressé et empressé; qui fabrique des gens stressés qui boivent du rouge; en se faisant du sang d'encre rouge, pour oublier la vie rose; violée par la nuit mauve dans la chaleur de la nuit qui fait paon ! En sortant le petit oiseau de toutes les couleurs du beige au foncé mat astigmate par les bévues des gens; qui ont des mauvaises vues et une bonne vue, pour ainsi passer de l'ombre à la lumière; donc du morose au rose qui éclot; on en voit la couleur dans la griserie quand on reprend des couleurs !

 

Jérôme de Mars

Aux mots sexuels !

 

Organes de la voix;

Il y a des filles d'joie !

Qui remplissent d'éclats !

Les femmes qui font ah !

 

Aux hommes qui pénètrent

Les femmes en orgasmes !

Rendant leur bien-être

Du fruit d'leurs fantasmes !

 

Prenant bien leurs pieds !

Nus poils à gratter !

A poil masturbant

Leur sexe excitant !

 

Par toutes leurs paroles

D'branlette Espagnole !

En ne sachant à

Quel sein s'vouer ah !

 

Aux mots sexuels !

Homos sensuels !

Aux mots sensuels !

Homos sexuels !

 

Des femmes et des hommes;

Infâmes et des zobs !

Dont leur être assomme

La somme côté snob !

 

Le sexe à tire d'aile !

Attire en un vol

Le sexe attire d'ailes !

A tir en un viol !

 

D'nuit chez les ïnouits

En une chasse aux mots !

Démons de Midi

En une chasse homos !

 

En quête leur quéquête !

Qui montre bistouquette

A la bonne franquette !

Faisant d'la guinguette !

 

Aux mots sexuels !

Homos sensuels !

Aux mots sensuels !

Homos sexuels !

 

Tirant; attirant 

Leur sexe touche quéquête !

Et éjaculant

Leur mousse en une crête !

 

Faisant remonter

Toute la mayonnaise !

Pour en ébranler

Toute la Béarnaise !

 

Quand leur bonne crème fraîche

Sort en plein essor !

Leur eau à la fraîche !

Revêche en ressort !

 

Ca rentre; ça ressort !

Au four; au moulin !

Ca fait qu'ça essore !

Oh ! Ca fait du bien !

 

Aux mots sexuels !

Homos sensuels !

Aux mots sensuels !

Homos sexuels !

 

Jérôme de Mars

Bijou

 

Bougie

D'famille;

Elle vit

Famine !

 

Qu'elle veut

Son noeud ! 

Tête d'noeud !

Pour ne

 

Pas faire

Sans blanc;

A l'air

Bandant !

 

Qu'au cul

D'une femme !

Cul cul;

En flamme !

 

Bijou

D'famille !

Coucou,

Il jouit !

 

Bougie

D'une bite !

Qu'elle mit

Débite

 

L'argent

Liquide !

Branlant

Humide !

 

Sa queue

En chatte !

Pour que

Elle gratte

 

La bite

D'son mec !

Qu'elle frite

Quéquête !

 

Bijou 

D'famille !

Coucou,

Il jouit !

 

Son sexe

D'sa femme !

L'annexe;

Qu'il clame !

 

Quoi que !

Qu'elle branle

Sa queue !

Ebranle

 

Ses couilles !

Qu'elle fouille

Casse-couilles !

Qu'elle souille

 

D'sa bouche

Sa queue !

Qu'débouche

En feu !

 

Bijou 

D'famille !

Coucou,

Il jouit !

 

Jérôme de Mars

 

Refus de tempérer

 

Tempéraments extrêmes;

Il faut y modérer

Tout son pouvoir suprême;

Même si l'on est tentés

 

Par nos instincts les

Plus bas qui font débat !

Et si olé olé;

On veut un pugilat !

 

Il faut en contrôler

Tous nos mauvais côtés,

Elle est où la frontière ?

Entre notre imaginaire

 

Et l'réel linéaire

Sans un monde sanguinaire !

Dont il faut s'en extraire;

S'il y a si délétère !

 

Refus de tempérer

Avec toute la peau lisse;

Refus d'obtempérer

Avec toute la police;

 

Qui n'est pas toujours lisse;

Ni avec des des lisses !

Ni avec des délices !

Qui en délits; s'enlise

 

Avec beaucoup de crimes;

Crimes de lèse-majesté !

Faisant raper Lacrim

Pour refaire déraper !

 

La police sans peau lisse;

Qui traumatise délits

De fuite ! En des des lits

Sur des terrains qui glissent !

 

Le long de la chaussée;

Qui rue dans les brancards

De la maréchaussée,

Car y a en un rencard !

 

Refus de tempérer

Avec toute la peau lisse;

Refus d'obtempérer

Avec toute la police;

 

Que les quidams s'demandent !

Si l'offre et la demande

Offrent des amendes d'offrande !

Une offrande qui quémande

 

Ceux qui font juste l'aumône

En une autre paire de manche !

Chaque dimanche dans la manche !

S'cognant contre des pylônes !

 

Dans chaque zone interdite

De la vie dérapant

Dans quelques villes de shit

En nanti dérapant !

 

D'un anti dérapant 

Des quartiers populaires;

Faisant en démarchant;

Marchands d'sommeil austères !

 

Refus de tempérer

Avec toute la peau lisse;

Refus d'obtempérer

Avec toute la police.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Des bons tuyaux !

 

Pour des bricoles;

Je serre la vis !

Pour que ça colle

Sans que ça glisse !

 

J'mets de la glu

Sans être plombant !

Or ! J'aurais pu

En bricolant 

 

N'pas être marteau !

Où moi assis !

Dès le moindre mot;

Cela me scie !

 

Moi qui fonctionne

Avec des si !

Et bien ! J'actionne

En indécis !

 

Le robinet 

En des idées !

Faisant couler

Et roucouler

 

Des bons tuyaux !

De matériaux

En bibelots;

Genre bricolos

 

Que je renseigne

Presque tous les gens !

Qu'je leur enseigne

Ainsi comment !

 

Bien se servir

D'une boîte d'outils;

Sans s'asservir

D'fi en aiguille !

 

D'Seconds couteaux

En seconde main;

Troisièmes couteaux

En troisième main;

 

Que j'vais en Suisse

Faisant trancher

Des couteaux Suisses;

Pour retrancher

 

Ma tranche de cake;

Tombant à l'eau !

Faisant mon cake

Sur l'lavabo !

 

Des bons tuyaux !

De matériaux

En bibelots;

Genre bricolos

 

Que mon âme forte

Me fait écrire

Sur une feuille morte;

Tous mes désirs !

 

Roulant une pelle

A une belle femme;

J'ramasse une pelle

Près de l'infâme !

 

Que je dis pioche

Si inflexible  !

C'est dans la poche  !

Genre un flexible !

 

C'est de la douche

Ecossaire ! Et

Douche froide émousse !

Que j'fais couler

 

Toute mon eau qui

A coulé sous l'pont !

Que j'en ai pris

En moussaillon !

 

Des bons tuyaux !

De matériaux

En bibelots;

Genre bricolos.

 

Jérôme de Mars

Les coups lisses du poète maudit

 

Spleen; mélancomique et jovial;

Il est un poète fataliste !

Qui écrit d'son encre animal !

Sa rancoeur qui grossit la liste

 

De ceux qui lui ont fait du mal !

Que sa malle est plaine; inhumaine

Dans l'envers du décor sans graal;

Que sa vie n'est jamais sereine !

 

A part d'écrire ses vers de rage 

Du ver qui est à moitié plaint !

A moitié avide ! Soif d'orage !

Il se console faisant le plein

 

De super dans le grand verlan 

Encordé du bal des sinistres !

Buvant en vers lents; le néant !

Pourvu que triste; il s'administre !

 

Les coups lisses du poète maudit;

L'envers des coulisses des mots dits;

Qu'il passe de la bluette jolie !

Qu'il trépasse au blues si flétri !

 

De sa vie sans ses idéaux;

Qu'il a placé la barre trop haute

En mots déplacés du chaos !

Pourvu que ce poète; il ôte

 

Luit l'éternel hôte qui cause feu !

Lui le rebelle des causes perdues !

Qu'il n'a envie de croire radieux !

De croire à Dieu dans l'absolu !

 

Comme ce poète est éperdu

Dans une vie en cendres dissolue !

Que ses paroles sont irrésolues;

Et désabusées, car fourbues;

 

Ce poète fut tant abusé

Par son côté désabusé !

Qu'il camouflait ses camouflets;

L'air léger sans fragilité !

 

Les coups lisses du poète maudit;

L'envers des coulisses des mots dits;

Qu'il passe de la bluette jolie !

Qu'il trépasse au blues si flétri !

 

De sa vie qui part à-vau-l'eau !

Qu'il clame, où naît l'eldorado ?

Qu'il gît dans les brumes du brouillard !

Qu'il veut revoir des nénuphars !

 

Luit qui est long à la détente !

Sans qu'il n'appuie sur la détente !

Qu'il veut un suicide connectif !

Sans aucun suicide collectif !

 

Mais ce poète fatalement ;

Préfère s'en tirer faisant feu

Du suicide ! Et espère en grand

Plutôt bien s'en tirer radieux !

 

Quitte à dire qu'il veut croire à Dieu !

Lui qui slame que des mots odieux !

Invoquant la faim de l'immonde !

La fin du monde ! Pourvu qu'il fronde !

 

Les coups lisses du poète maudit;

L'envers des coulisses des mots dits;

Qu'il passe de la bluette jolie !

Qu'il trépasse au blues si flétri !

 

Jérôme de Mars

 

 

Les arbres regardent le chêne France de !

 

Service public des hauts arbres;

Aux arbres sur sol pleureur !

Qui les laissent vraiment de marbre !

Du soleil enjoliveur,

 

Comme la roue de grand secours

De l'infortune monotone !

Qui s'écrit chaque nouveau jour;

Prenant rendez-vous en zone

 

Interdite; clés de contact !

Qui tapent sur des forces de frappe;

C'est du pin béni d'entracte !

Qui branche sur un arbre le cap

 

TNT explosive ! Mais

Qui glande sur un gland de fruit

Du chêne émis désormais;

Faisant du bon bouleau si

 

Les arbres regardent le chêne France de !

Jusqu'à la grande chaîne France 2;

Allant deux par deux sur deux !

Et revenant sur l'A 2 !

 

Regardant le bal des arbres;

Avec des hommes troncs de marbre;

Tel est le chêne d'émission !

Qui la rempllit sa mission !

 

Et pas en une démission;

Services publics impudiques;

Ce chêne perd toute sa raison

En ces vices novices publics !

 

Ecrivant sur des feuilles mortes;

La langue de bois d'acajou;

Espérant tôt la langue forte

En acacias de bijoux;

 

Il faut beaucoup secouer

Le cocotier; mon coco !

Sequoïa au bananier;

Faisant la peau aux crocos !

 

Les arbres regardent le chêne France de !

Jusqu'à la grande chaîne France 2;

Allant deux par deux sur deux !

Et revenant sur l'A 2 !

 

Donnant un grand coup de pied

Dans la fourmilière d'hier !

Pour toute la pomme du pommier !

Poireautant en un poirier;

 

Faisant le poirier haut comme deux

Pommes ! Buvant du cidre pressé,

Comme un citron ombrageux;

Perché sur un citronnier

 

Très aigre-doux doux ah ! Mer !

Les arbres qui cachent la forêt !

Ce n'est du gâteau amer

Dès l'appel de la forêt !

 

Mangeant une bonne forêt noire !

Dont la cerise sur l'gâteau !

Est de conter que l'histoire

S'achève bien en chaîne France eau !

 

Les arbres regardent le chêne France de !

Jusqu'à la grande chaîne France 2;

Allant deux par deux sur deux !

Et revenant sur l'A 2 !

 

Jérôme de Mars

 

 

Rupture de tocs

 

Si tu aimais 

Et mettre ta toque !

Tu n'en n'aurais

Jamais de tocs !

 

Pour être toc-toc !

Mettant tes tocs;

Tout dans du toque;

Cuisinant toque !

 

Tu n'as plus d'tocs !

Mettant à plat !

Avec ta toque

En cloque ma foi !

 

Des petits plats

Cuisinés ! Qui

Te feraient roi !

Il y a exquis !

 

Rupture de tocs;

De tocs en toque;

Rupture de stock;

En stock sans tocs,

 

Tu as des toques

Pour cuisiner 

Oeuf à la coque;

Si mijoté !

 

Qu'tu préparais

Toi cordon bleu !

Pour clairsemer

Un ciel radieux

 

Dans ta cuisine;

Qui exportable

D'adrénaline !

Laisse ton portable !

 

Et toute sa coque !

Pour préparer

Oeuf à la coque;

Et infuser

 

Rupture de tocs;

De tocs en toque;

Rupture de stock;

En stock sans tocs,

 

D'idées qui fusent

A la minute !

Qu'le tout diffuse

Cocotte minute !

 

Il faut qu'ça sorte !

Sans que ça pète

Par la grande porte !

Ayant l'air bête !

 

D'un coup d'pression !

De sa soupape

En dépression !

En force de frappe;

 

Ayant besoin

D'décompression;

Sans du déclin

Et sans pression;

 

Rupture de tocs;

De tocs en toque;

Rupture de stock;

En stock sans tocs.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Les bites niquent !

 

Et en paix;

Il y a des

Enfumés;

Qui pipent les

 

Dés de sexe;

Tous publics

Unisexes;

Impudiques

 

Pour cracher

Leur purée;

Pour branler

Epurée !

 

S'en branlant

De leur queue;

Ebranlant !

Et parce-que 

 

Les bites niquent !

Qu'elles forniquent !

Les beatnicks;

Qu'elles pique-niquent !

 

Au bar à

Hôtesses pour

Filles de joie;

Faisant l'amour

 

Par devant;

Par derrière;

Excitant

Sans oeillères;

 

A la quête

D'un 69;

D'leur quéquête;

An 69 !

 

Tirant la

Crampe d'orgasme !

Comme vient là

En fantasme !

 

Les bites niquent !

Qu'elles forniquent !

Les beatnicks ;

Qu'elles pique-niquent !

 

Piquent de tête !

En branlant

Leur quequête;

Ebranlant

 

Plein de foutre;

Toutes les femmes

Rien à foutre !

D'êtres infâmes !

 

En parlant

Que de cul !

En argent

Et qu'au cul !

 

De l'écu;

Et cocu

De les culs !

Et qu'aux culs !

 

Les bites niquent !

Qu'elles forniquent !

Les beatnicks;

Qu'elles pique-niquent !

 

Jérôme de Mars

 

C'est la hutte finale !

 

Post-soixante-huit-tard ;

D'la gauche à la droite !

Tintamarre retard;

Des choses maladroites

 

Arrivent langue de bois !

Même en langue de pute !

Chassant aux abois;

Des langues qui supputent

 

Votant; pivotant

A chaque élection !

Pour des présidents;

Tels des électrons 

 

Libres en trublions;

En changeant les choses !

Passant à l'action;

Et plaisant leurs causes !

 

C'est la hutte finale !

Qui empaille fatale;

C'est la lutte finale !

Qui déboise frontale

 

De la politique

A l'apolitique;

Qui ne riment à rien;

Qui arriment vaut rien !

 

De toute la vieille gauche;

Donnant une bonne droite;

Cognant d'extrême-gauche

Jusqu'à l'extrême-droite;

 

Donnant une bonne gauche;

En votant si nul !

En prenant le gauche;

Non rien funambule !

 

Personne n'y croit plus;

Votant abstention !

Tous y croîent perdus !

Pivotant en rond !

 

C'est la hutte finale !

Qui empaille fatale;

C'est la lutte finale !

Qui déboise frontale

 

Votant gauche et droite;

Là désabusés !

La vie mal à droite !

Comme un camouflet

 

Aux toutes petites gens !

Croyant faire le bien !

Pour qu'ils soient contents;

Comptant sans du lien !

 

Les gens veulent l'argent !

Mais aussi du lien

En argent contant !

Pour dire au combien

 

L'argent ne fait tout !

A part être grippe-sous !

S'en foutant de tout !

Comptant pour le tout !

 

C'est la hutte finale !

Qui empaille fatale;

C'est la lutte finale !

Qui déboise frontale.

 

Jérôme de Mars

 

Une fleur qui sème l'amitié !

 

C'est un p'tit jardin secret !

Qui plante plusieurs vies en rose

En rêves tant réincarnés !

Qu'il y a une jolie osmose;

 

On s'aimait; essaimer bien !

Entretenant des amours !

Que le mot rose est félin !

Entretenant désamours !

 

A fleur de peau ! Qui fleurit

En une ode qui fait une fleur

A la vie en amnésie !

Qui effleure toute la peur

 

De ceux qui s'envoient des fleurs !

Payant le plein pot pourri !

Leur potager qui effleure

Une vie débinant chaque nuit !

 

Une fleur qui sème l'amitié !

Pour clairsemer; parsemer

Léger; un jardin secret

D'un amour batifolé;

 

Flirtant avec les limites

Dégénérées qui génèrent

Un monde reclus en ermite;

Et s'il y avait une lumière

 

De grands frères qui régénèrent

Ce monde très mal éclairé,

Là tout le monde serait clair !

En clair au clair Mausolée;

 

Entretenant l'amitié !

En l'arrosant; l'irradiant

D'une eau claire pour partager

Un beau potager ! Alliant

 

L'utile au fort agréable !

Slamant affable une belle fable;

Réconciliant si aimables

Par les différences notables !

 

Une fleur qui sème l'amitié !

Pour clairsemer; parsemer

Léger; un jardin secret

D'un amour batifolé;

 

Pour faire d'un mot rose; une rose

Qui redonne envie d'éclore !

Faisant d'une pétale de rose;

Une bonne feuille de rose pour clore

 

Un bouton d'or dermato;

Faisant en un coup de pousse

Un bouton d'or en salto;

Donnant en un coup de pouce

 

Des pousses vers un jardinier d'amour !

Prenant des gants de velours;

Qui germent dans tous les faux bourgs;

L'amour qui vaut le détour !

 

Faisant d'une graine qui égrène;

Un amour qui a un grain

De beauté ! Qui se démène

En un amour qui fait d'un !

 

Une fleur qui sème l'amitié !

Pour clairsemer; parsemer

Léger; un jardin secret

D'un amour batifolé.

 

Jérôme de Mars

 

 

Douce soeur

 

Douceur

De vivre;

Douleur

D'en vivre;

 

La vie;

Vis-là !

De nuit

Villa !

 

Pardonne

En vie;

Et donne

Envie !

 

D'aimer

L'amour;

Qu't'émets

Bonjour !

 

Douce soeur;

Douceur;

Mince soeur;

Minceur;

 

Ben mince !

Ta vie !

Qu'tu grinces

De nuit !

 

Qu'en paix;

Tu fumes

L'été !

Qu't'enfumes

 

L'ennui

D'ta vie;

Tu ris;

Tuerie !

 

Tes tripes;

Tu puises !

Qu't'étripes;

T'épuises !

 

Douce soeur;

Douceur;

Mince soeur;

Minceur;

 

Douleur

Bonheur;

Douceur;

Malheur;

 

Qu'ta soeur !

Douleur;

Mince soeur;

Douceur;

 

Minceur

En gros;

Malheur

Des maux;

 

Qu'en peine;

Tu t'fous !

Sans peine

Relou !

 

Douce soeur;

Douceur;

Mince soeur;

Minceur.

 

Jérôme de Mars

Ma psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine étayait mes propos !

 

Consultation imaginaire du lundi 24 Avril à 11h40 au CMP de Vitry-sur-Seine entre la psychiatre Madame Teillet et son patient Monsieur Bedrossian Jérôme :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? Que devenez-vous ? Je vous recommande de manger au restaurant Petrossian à Paris; vous qui n'êtes pas nés avec une cuillère en argent dans du caviar; avec tout ce que vous avez dégusté dans la vie depuis votre naissance ! Je pense que vous votez à gauche, n'est-ce pas Monsieur Bedrossian, vous qui êtes toujours à L'Est ?  "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Madame Teillet, je vais bien ! Pour répondre à votre questions et pour étayer mes propos, je vote ni à gauche ni à droite pour rester au centre de l'attention; même que je ne suis pas le centre du monde de l'épicentre malgré tous les séismes qu'il y a eu dans ma vie déjà ! J'ai tellement eu dans ma vie de vague à l'âme que si un jour j'écris le livre de ma vie : " Je l'appellerai ce manuscrit d'ouvrage : " L'ouragan du désespoir " comme un à vies de tempête que je traverse dans un éternel raz-de-marée; moi qui suis tout le temps au bout du rouleau de vagues compresseur, la preuve Madame Teillet de ma renaissance; je fais partie en déroute de la république en marche où devant vous; je suis assis à gauche et où devant vous; je suis assis à droite; je suis dans le en même temps pour recentrer tout sur l'apolitique ni gauche ni droite même si parfois; j'ai pu paraître gauche en prenant le gauche de mon attitude très mal à droite ! Voilà Madame Teillet ma réponse pour étayer mes propos ! Et aussi je voulais vous dire; certes; même je ne m'appelle pas Petrossian mais Bedrossian; que je sois de gauche ou de droite; ça ne veut pas dire que j'aime la gauche caviar; d'ailleurs; je n'aime pas la gauche caviar; et si un jour, je vais manger au restaurant Petrossian à Paris malgré tout ce que j'ai tout dégusté dans ma vie; je mangerai aussi bien dans ce restaurant qu'il soit situé à la rive gauche ou à la rive droite de Paris pour prouver que je ne suis pas né avec une cuillère en argent dans du caviar; la preuve que je suis dans le en même temps; à la foi de gauche et de droite et ni de gauche et de droite pour recentrer le débat au centre des discussions ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- "  Ce que vous dites Monsieur Bedrossian; c'est édifiant ! Je vous crois Monsieur Bedrossian; la preuve que vous n'êtes pas Monsieur Petrossian mais Monsieur Bedrossian; depuis que je vous connais et que je vous suis au CMP; vous m'avez plusieurs fois raconté qu'il vous est arrivé d'être gauche en prenant le gauche et le tout de façon mal à droite ! Monsieur Bedrossian; j'ai un conseil à vous donner; si vous voulez pratiquer le café du commerce; allez boire plutôt un café au bar : " Le Centre " à l'adresse suivante : Café; bar : " Le Centre " 120 avenue paul vaillant couturier 94400 Vitry sur Seine; pour vous restaurer de vos déboires; bien entendu quand vous n'êtes pas dans votre assiette ! Surtout si vous sentez que vous avez manqué de beaucoup d'attention dans la vie; en croyant que vous n'avez jamais été le centre du monde dans la République en Marche avant votre renaissance ! Que pensez-vous de ma réflexion Monsieur Bedrossian ? "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Madame Teillet; je pense que vous étayez bien mes propos, où j'ajouterai dans la totale que maintenant; je serai plutôt dans la République en Démarche vu que j'aide tout le monde pour les démarches administratives ! Dans la vie; on m'a tellement fait marcher en me faisant tomber de très haut; que j'ai envie de dire que pour remonter à chaque fois la pente, je dévale de Marne comme ma vie n'a jamais été un long fleuve tranquille dès que je subis des montagnes Russes dans ma vie; surtout que ma vie est un éternel recommencement inné du fait que ma date de naissance : 1978 comporte un huit; tel un grand 8 infini à chaque chute de mon histoire lorsque je rechute dans l'histoire de ma maladie ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Alors Monsieur Bedrossian pour terrminer cet entretien; quelle pourrait être la chute de votre histoire ? "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Et bien Madame Teillet pour étayer ma réponse à votre question; la chute de mon histoire serait que plus personne ne me dise chute en indice de chute ! Pour que je ne refasse plus du tout avec le temps de chutes et de rechutes dues à mon histoire; la chute de mon histoire est que j'aimerai qu'on m'accorde de l'attention sans avoir besoin d'être le centre du monde de la politique; pour mieux me recentrer dans l'apolitique; sans avoir besoin de voter pour le centre du poète dix parus dans un séisme; qui m'aurait d'ailleurs provoqué des tremblements de terre sous l'échelle de friche Terre ! En à vies de tempête et en pleine tempête; et le tout dans le en même temps; avec une république en démarche du système lors d'une fin du monde sans renaissance ! Promis; si on m'accorde à nouveau de l'attention; je ne prendrai plus le gauche de façon si gauche et de façon si mal à droite; comme bien entendu; je ne serai jamais le centre du monde mais l'épicentre de mon monde en d'épi du cercle du poète dix parus ! Pour terminer Madame Teillet; je vous dis au revoir ! Et rendez-vous dans 1 ou 2 mois au CMP de Vitry-sur-Seine pour un nouvel entretien avec vous ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Colombe adore les colombes !

 

Chaque jour dans le cinq à sept !

Reçu cinq sur cinq en vol;

Les colombes volent libres vers cet 

Envol qui tient ses paroles !

 

Chaque jour dans la farandole !

Les montgolfières font voler;

Et survoler en bémol !

Oiseaux de baie molle l'été !

 

Qui envoient tout renverser

La vie prenant l'altitude !

Pour tout valdinguer; valser

L'envolée dès l'interlude

 

Des oiseaux qui volent le ciel !

Depuis un gratte-ciel tombant

De haut ! Quand les hirondelles

Parlent comme des bécasses ! Slamant

 

Colombe adore les colombes !

Que leur incombent les catacombes,

Avant que leur soleil tombe

Dans sa face obscure en trombes !

 

Comme la pluie fait chanter

Assez les oiseaux pigeons

Sans du tout les désenchanter

Les prenant pour des pigeons !

 

Signant en traité de paix !

Leurs prises de becs en mots secs

Sans des oiseaux maltraités

Car seul la paix rend impec !

 

Impec sans citron pressé !

Qui presse tout comme des citrons !

Compressés et empressées !

Qui n'écoutent Radio Citron !

 

Si les oiseaux veulent la paix 

En écoutant une chanson !

Il suffit d'les enchanter

Ecoutant Radio Citron !

 

Colombe adore les colombes !

Que leur incombent les catacombes,

Avant que leur soleil tombe

Dans sa face obscure en trombes !

 

Scandant que tout tombe à l'eau !

Y a des oiseaux qui sont seuls !

Et qui ne peuvent dire allo !

S'ils sont seuls sur leur fauteuil !

 

Ecoutant les perroquets !

Parler; slamer des gros mots !

Sur leur perchoir de roquet !

Déblatérant le chaos !

 

Des oiseaux de nuit à L'Ouest !

Percevant leurs ombres teintées

De lumières toujours à Leste !

Dans un écran de fumée;

 

Enfumant leurs désarrois !

Voulant allumer un feu

Pour fumer l'espoir bourgeois;

Contrastant tant fabuleux !

 

Colombe adore les colombes !

Que leur incombent les catacombes,

Avant que leur soleil tombe

Dans sa face obscure en trombes !

 

Jérôme de Mars

 

Maman papillon

 

Comme à la maison !

Y a une hirondelle !

Qui fait la saison

Des belles ritournelles;

 

Chantant demoiselles;

A toutes à-tire d'ailes !

Comptant les prunelles

Des chenilles rebelles;

 

Qui asticotent les

Belles de jour contre jour !

Dans tous les délais;

Printemps des amours !

 

Course en solitaire;

L'amour en débourse

Une course solidaire,

Où dès la grande ourse;

 

Maman papillon;

Elle fait papillons

En son pavillon;

Effet papillon !

 

Dansant tâtillons

Avec du coton;

Passant chaque saison

Comme à la maison !

 

Où les hirondelles

Courtisent tout l'amour

Du ciel Ménestrel;

Roulant du tambour

 

Venant du Missel,

Car universelle

L'ode intemporelle;

Est unie vers celle

 

Des poèmes ornés;

Ecornés de glace,

Cornets lait crémé;

Et quand le temps passe;

 

Maman papillon;

Elle fait papillons

En son pavillon;

Effet papillon !

 

Fait des ronds sur l'eau !

De la chenille au

Papillon; avide

En eau claire torride;

 

Qui écrit des vers

Du reflet de l'eau !

Entre ombre et lumière !

En terre des héros;

 

Qui vivent chaque dernier

Jour de troubadour !

Comme si le premier

Partait en séjour !

 

En des longues vacances

De villégiatures;

Et jusqu'en errances;

Verdure sans vers durs !

 

Maman papillon;

Elle fait papillons

En son pavillon;

Effet papillon !

 

Jérôme de Mars

Père et mère

 

Jeune fille au

Pair mère; c'est

La mer eaux

Claire innée !

 

D'un père maire;

Qui file oh !

Père impair !

Perd les eaux !

 

De l'amer

En un pair !

Sous la mère

D'son imper !

 

Genre pépère;

Sa mémère !

Dont mon père

Prie sa mère !

 

Père et mère;

Ephémère;

Terre et mer;

Effet mer;

 

Les deux font

Une bonne paire !

Les deux font

Un bon maire !

 

Car à Terre;

Père et mère !

Ils font taire !

Car sur Terre;

 

Il faut faire;

Refaire taire !

Tout l'enfer

D'être sur Terre !

 

Avant qu'ils

Soient sous Terre !

Et presqu'ils !

Vers sous terre;

 

Père et mère;

Ephémère;

Terre et mer;

Effet mer;

 

S'ils en ont

Marre d'la vie !

Qu'ils s'en vont

Dès la nuit !

 

Pour le voir

Lucifer;

Entrevoir

Lucie faire

 

Cet enfer !

A force de

D'êtres de fer

D'en être deux !

 

Ils attendent 

Leur mort vers

C'qu'ils détendent;

Pieux en vers !

 

Père et mère;

Ephémère;

Terre et mer;

Effet mer.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Le magicien d'ose

 

Comme une vie en rose !

Après le mot rose;

J'entretiens ma rose;

Qui sans morose;

 

Arrose en osmose;

Tout sans sinistrose !

Le tout sans névroses !

Là dans le cosmos !

 

Sans la ménopause

De mon andropause,

Comme moi; je propose

Sans que je m'impose !

 

Comme je prends ma pause !

Y pas photo d'pose !

Dont je signe en clause !

En plaidant ma cause !

 

Le magicien d'ose;

Ecrivant sans prose

Ce poème because;

Je fais qu'des bonnes choses !

 

Et pas d'mauvaises choses !

Comme j'ai eu ma dose !

J'ai eu ma surdose !

Effet de névroses;

 

J'écris des mots roses

Au lieu du morose;

Voulant faire d'une chose !

Sans des ecchymoses

 

Avec des nécroses;

Frôlant l'overdose

En mes hauts vers dosent !

La vie est une rose !

 

Qu'il faut que j'arrose

Ma vie rose; morose !

Et sans mauvaises choses;

Je fais d'quelque chose !

 

Le magicien d'ose;

Ecrivant sans prose

Ce poème because;

Je fais qu'des bonnes choses !

 

Pour que je prépose !

Sans que je m'impose !

Pour que je propose !

Cherchant en une clause;

 

Pourquoi je ne cause

Avec personne d'choses

Et quelle est la cause

De toutes mes névroses ?

 

Qui font de ma cause

Que des vilaines choses !

Et prenant la pose

Si vrai; je compose

 

En une porte éclose !

Et si je dispose

D'un poème sans prose;

Je n'ferme porte et close !

 

Le magicien d'ose;

Ecrivant sans prose !

Ce poème because

Je fais qu'des bonnes choses !

 

Jérôme de Mars

 

 

La soupe aux petits ronds

 

Vendant que de la soupe,

La soupe est pleine; hautaine

Vendant à la découpe;

Des parcelles puritaines

 

Comme dans un film d'horreur;

Genre d'épouvante en vente;

Le jeu de cette erreur

Humaine ! Que Toussaint vante

 

Une soupe faite en maison !

En y mettant sa sauce

Délices de chaque saison,

Comme du magicien d'ose !

 

En novembre d'Halloween

Dans la maison hantée;

Mélancolique et spleen

De raison éhontée !

 

La soupe aux petits ronds;

Mijoté d'aucun rond !

La soupe aux potirons

Ne tourne rond macaron !

 

Comme c'était de la soupe !

Ce que tout le monde vend

En vendant que du vent !

Décollant sa soucoupe;

 

Filmant; disant coupe-coupe !

Comme une coupe de garçonne !

Qui recoupe en découpe !

Qu'des coupes qui désarçonnent !

 

La soupe aux sous du Glaude,

Il en a soupé d'tout !

Comme sa pomme de Reine Claude,

Où il s'en fout de tout !

 

Que le Glaude a bombé

Du torse ! Toute la denrée 

En entorse retombée !

Mangeant qu'en une denrée;

 

La soupe aux petits ronds;

Mijoté d'aucun rond !

La soupe aux potirons

Ne tourne rond macaron !

 

Qu'il n'y a plus de radis !

Dans le jardin du Glaude!

Que c'est le paradis

Pour sa pomme de reine Claude !

 

Telle la soupe aux chouchous !

Bercée dans un chaudron,

Le Glaude comptant ses sous;

Tel Picsou qui n'tourne rond !

 

Tournant en rond à fond

La caisse ! Lâchant des caisses

De leur cul au tréfonds !

Que leur caisse les affaisse

 

En leurs fesses de denrée,

Comme une usine à gaz !

En ayant allumé

Le gaz ! Ayant en gaz !

 

La soupe aux petits ronds;

Mijoté d'aucun rond !

La soupe aux potirons

Ne tourne rond macaron !

 

Jérôme de Mars

 

 

Anne Poulain fait hi-han !

 

Très à cheval ! Sa bride

Fait trot son bourricot !

Dans un amour torride;

Faisant d'un coup de trot !

 

L'amour cheval; poulain

Qui a tant émulé

D'un âne et sa poule hein !

L'aimante folle du mulet

 

En faisant trop l'amour !

Rentre-dedans par ses dents;

Lui mordant la queue pour

Avoir la dent dure dans

 

Sa langue bien répandue,

Dont il lui mordit l'mors !

Ayant la langue pendue !

Et faisant en remords !

 

Anne Poulain fait hi-han !

Faisant l'amour han-han !

Avec ressentiments;

Bourré de sentiments,

 

S'en branlant de la queue,

Quand la petite bébête

Monte la monture quoique !

Et quand le sexe hébète !

 

Il monte tel l'étalon !

Escarpins de talons,

Quand nous nous étalons

A faire le moussaillon !

 

Quand la jument s'en branle

De son cheval ! Qu'elle mousse

Epuré; et qu'elle sangle !

Le branlant ! Qu'elle émousse

 

La mousson de la queue;

Levant la queue; montant

La queue; faisant la queue !

Et suçant son amant;

 

Anne Poulain fait hi-han !

Faisant l'amour han-han  !

Avec ressentiments;

Bourré de sentiments,

 

Et quand le cheval tire

La jument dans la reine !

Son bourricot pour jouir

Et se réjouir dans l'arène;

 

Fait sa grosse tête de mule !

Avec son grand mulet !

Recherchant des émules

Pour en faire émuler

 

Tous ses gentils poulains !

A vitesse d'grand galop !

Envers sa belle poule hein !

Pour lui remettre en trot;

 

Le coup de trot ! Tenant

Les rênes de sa monture;

Arrivant et venant

A en jouir d'liquide pur !

 

Anne Poulain fait hi-han !

Faisant l'amour han-han !

Avec ressentiments;

Bourré de sentiments.

 

Jérôme de Mars

 

Le tourbillon de l'effet papillon

 

Aux belles saisons qui étaient monotones

En ces maux d'hiver empreints tant d'amour !

Malgré le temps maussade d'un sonotone;

J'en écris en vautour de troubadour !

 

Une ode qui me taraude depuis le temps;

Qui s'étend plutôt long à la détente !

Les apparences sont trompeuses dès l'instant !

Où tout le monde vend du vent à la vante !

 

A chaque contraste des temps très bipolaires;

D'une embollie pulmonaire prenant l'air

D'une embellie pulmonaire linéaire;

Fée idéale pour changer d'caractères !

 

L'air de rien pour s'envoyer tout en l'air !

Sans se foutre en l'air; prenant aux grands airs

Et ceux qui prennent des grands airs à ces airs;

Appellent d'air frais en appel à ces airs !

 

Le tourbillon de l'effet papillon;

Qui tire la chasse échasse aux papillons,

Comme à la maison des grands pavillons;

Des faits papillons aux fées papillons !

 

Qui papillonnent des papillons en fête

Aux bougons qui bougonnent en une défaite,

Quand les bourdons filent le bourdon en fait !

Des lunes de miel qui bourdonnent les fossettes !

 

Des lunes de fiel qui refilent le bourdon

Aux cafards qui filent; refilent le cafard

Au cagnard sans les vilains p'tits canards !

A chaque saison qui perd son oraison !

 

Et qui perd la raison en déraison !

Qui se profile à chaque bout de saison !

De la lumière claire à un éclair sombre;

Dormant à l'ombre et lumière dans son ombre

 

A la prison de la bonne santé;

Retrouvée allant tout droit dans le mur !

D'un bloc de béton assez désarmé

Passé; trépassé et d'un clair-obscur

 

Le tourbillon de l'effet papillon;

Qui tire la chasse échasse aux papillons,

Comme à la maison des grands pavillons;

Des faits papillons aux fées papillons !

 

Pivotant; vivotant tournant en rond !

Rubicond par les affres de l'eau de vie !

Quand le jour rend toute la nuit macaron;

Infécond par les aftes d'l'eau qui dévie

 

Du droit chemin; déviant sa trajectoire !

Emise en orbite d'un carambolage !

Qui crépite en débris d'eaux de couloirs;

Attendant chaque soir que des bavardages

 

Pour faire de la nuit sans eau qui dévie;

Un oiseau de nuit qui laisse messager !

Faisant de la nuit une eau de la vie

En eau de vie qui miroite passager !

 

Qu'on naît tous de passage sur cette belle Terre !

Même si la vie n'est un long fleuve tranquille !

Je salue terre pour qu'elle soit salutaire !

Toute cette vie qui est d'cette ville à Séville;

 

Le tourbillon de l'effet papillon;

Qui tire la chasse échasse aux papillons,

Comme à la maison des grands pavillons;

Des faits papillons aux fées papillons !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Y a pas danger aux gens d'Angers !

 

Ville du Maine-et-Loire; son histoire !

Angers dévale au Val-de-Loire !

Qu'elle fait des histoires pour sa gloire

Dans tout les Pays-de-la-Loire !

 

Qui mènent; emmènent comme de grands loirs !

Dormant lors de leur bel hiver

Sous une tanière pour son histoire;

A vents couverts de mots divers !

 

Sachez bien que le loir n'est cher

A Angers ! Qui n'est pas au centre !

Mais les Pays-de-La-Loire chers !

Pas le Loir-et-Cher qui recentre

 

Son centre au grand Centre-Val-de-Loire;

Pas dérangé par Angers qui

Est dans les Pays-de-La-Loire !

D'un centre au pays, car exquis !

 

Y a pas danger aux gens d'Angers !

Qui viennent d'Angers pas dérangés !

Y a pas d'Angers aux gens danger !

Qui viennent dérangés pas d'Angers !

 

Et quelle est la bonne grande conduite

A tenir par les temps qui courent ?

Malgré les fuites du temps d'élites

Du temps qui se délite concours !

 

Y a toujours tant le temps qui court !

Comme la vie qui naît un roman !

Que tout le monde veut le Goncourt

Pour retranscrire tous leurs tourments !

 

Du temps qui passe et qui trépasse !

Comme tout fout le camp en boucans !

Aux gens à bout ! Quand ils y passent

Autant en crever les tympans !

 

Y a pas danger aux gens d'Angers !

Qui viennent d'Angers pas dérangés !

Y a pas d'Angers aux gens danger !

Qui viennent dérangés pas d'Angers !

 

Dans ce monde sans triomphe de gloire

A vaincre sans péril ! Car puéril

Pour reconstruire toute son histoire

Sans les piliers, comme des pupilles

 

Et pas du tout de la nation !

Car en corps dans l'aliénation

En pleurant sa condamnation;

Faisant rouler l'diable damnation !

 

Si tout le monde persécuté;

Se croît parano au moindre mot

Percuté et répercuté !

Comme persécuté en sanglots

 

Dans cette ville plutôt sympathique !

Pas une ville de la guerre si vile !

Que j'en fais lunatique; névrotique !

Un poème cent naguère civil !

 

Y a pas danger aux gens d'Angers !

Qui viennent d'Angers pas dérangés !

Y a pas d'Angers aux gens danger !

Qui viennent dérangés pas d'Angers !

 

Jérôme de Mars

 

Les bons tuyaux sans L'ESAT La Fabrique

 

Voici une pièce de théâtre montée pour démonter L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian; un ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique attend un vendredi pour 12h40 lors de la pause déjeuner des agents de L'ESAT La Fabrique au restaurant Maxin Chicken, un fast-food Indien logé au 47, rue Ampère à Vitry-sur-Seine; situé à côté de la patinoire de Vitry-sur-Seine près de la Place du 8 Mai 1945 ses anciens collègues et amis de L'ESAT La Fabrique Charlotte Prêtre, Christophe Pou, Tony Angaman et Jonathan Preto pour manger avec eux afin de prendre de leurs nouvelles pour savoir ce qu'ils deviennent : 

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique :

- "  Bonjour mes amis et anciens collègues de L'ESAT La Fabrique; merci d'être venu pendant votre pause déjeuner avec L'ESAT La Fabrique pour prendre le temps de manger avec moi afin de partager un bon repas ! Bonjour Charlotte, comment vas-tu ?  "

 

Charlotte Prêtre, ancienne collègue et agent à L'ESAT La Fabrique aujourd'hui à la retraite :

-  "  Bonjour Jérôme, je vais bien et toi ? Merci de m'avoir invité à manger avec toi ce midi; je pense que si tu nous as tous invités à manger à midi; c'est parce-que tu veux déguster avec nous tout ce que toi et moi; on a dégusté à L'ESAT La Fabrique, n'est-ce-pas Jérôme ?  "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique :

- "  Oui; c'est vrai ce que tu dis; tu vois bien les choses et tu as tout à fait raison, car c'est du vécu ce que toi et moi; on a traversé à L'ESAT La Fabrique; les pauses déjeuners à Midi pour moi étaient un calvaire qu'à table; personne ne me parlait à L'ESAT; j'en déduis que c'est pour ça que L'ESAT La Fabrique était mal isolé avec toujours des travaux à répétition dans cet ESAT; qui est la principale raison que dans cet ESAT; on avait tout le temps du travail à faire sans jamais avoir une minute de tranquillité pour respirer; ce qui a fait que L'ESAT La Fabrique a sans arrêt été en chantier avec des gars des chantiers pour bûcher tout sur quoi j'ai bûché dans cet ESAT de merde, tellement qu'à la fin dans cet ESAT; je fus une cocotte minute telle une cocote en papier où je mis mon smartphone en mode avion; que mes ailes furent brisées qu'on me vola toutes ces années à L'ESAT en me parlant trop mâle; c'est pour entre autres que j'ai perdu la raison comme je fus éperdu dans la raison à n'importe quel prie ! Ces pauses déjeuners à L'ESAT La Fabrique furent mes véritables vieux démons de Midi de Midi pile à minuit en pile ! Et toi Christophe; comment vas-tu ?  Pourquoi m'as-tu dit non pour manger au Grec avec toi lundi 1er Mai à Midi ? "

 

Christophe Pou, ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :

- " Je vais bien Jérôme alors que toi; tu vas bien tant bien que mâle; et toi ça va Jérôme ? Jérôme; ne me cherche pas de poux; si je t'ai dit non pour manger avec toi le 1er Mai au Grec; c'est parce-que j'ai peur que tu me dises va te faire voir chez Les Grecs !  "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Mais je ne te cherche pas de poux Christophe; avec quoi je pourrais te chercher des poux; j'ai plus de cheveux sur le crâne que je me fais des cheveux avec des traits tirés par les cheveux ! Christophe; même si je suis long à la détente; je n'ai pas de lente détente tirée par les cheveux ! Et toi Tony; comment vas-tu ? Quoi de neuf ?  "

 

Tony Angaman, ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :

- " Jéjé; je vais bien et toi ?  Jéjé si tu te fais des cheveux en n'ayant plus rien sur le caillou; c'est parrce-qu'à L'ESAT La Fabrique; tu étais payé au lance-pierres conditionné au pire du pire au pire que ton état empire que maintenant; tu n'arrêtes pas de payer au quotidien toute ta méchanceté gratuite ! Mais je t'aime bien quand même Jérôme car malgré tout, même si t'es Français et chauve hein; tu n'es pas égoïste comme toi et moi; on naît et on est Chrétiens dans la charité Chrétienne en étant solidaires l'un envers l'autre ! " 

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Ce que tu dis Tony; ce n'est pas du tout tiré par les cheveux maintenant que je suis étiré par les cheveux ! Et toi Jonathan, comment vas-tu ? Et pourquoi toi et moi quand on était à L'ESAT; tu n'arrêtais pas de me dire que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT La Fabrique ? "

 

Jonathan Preto, ancien collègue à L'ESAT La Fabrique :

- "  Je vais bien Jérôme; je t'ai dit ça à l'époque à L'ESAT à cause de tes conflits d'intérêts à L'ESAT La Fabrique tellement que ton compte saltimbanque était en banqueroute; je t'ai dit ça pour t'endurcir dans cet ESAT afin que ton silence soit d'or et que ta parole soit d'argent pour que tu ne prennes rien comme paroles pour argent content comme personne ne tenait paroles dans cet ESAT ! Que pourrais-tu nous dire qui ne soit plas plombant pour le restant de ce repas ?  "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

- " Pour ne pas vous plomber davantage le moral autant que pour le restant du repas; je vous file et refile des tuyaux d'arrosage pour bien entretenir tous ensemble notre amitié car même si à L'ESAT La Fabrique; la vie ne fut pas rose mais morose comme une fleur fanée; autant que je vous fasse une fleur afin que je vous envoie de fleurs en forme de choux-fleurs pour vous dire que L'AAH à taux plein est passé depuis le 1er Avril 2023 de 956,65 Euros à 971,37 Euros, la preuve que même si je suis handicapé; je n'ai jamais eu un métro de retard pour venir vers vous; en train de vous calculer le nouveau montant AAH que je vous dévoile à chaque 1er Avril sans poison et sans poisson d'Avril, car rassurez-vous je n'ai jamais cherché à noyer le poisson même si à L'ESAT La Fabrique; on n'a jamais cherché à me calculer comme on me dit de compter que sur moi-même au bout de ce conte de fer; au revoir mes amis; on se dit à l'année prochaine pour tous refaire ensemble un restaurant; et le tout en file Indienne dans ce fast-food Indien, où même si je suis de plus en plus Geronimo; le révolté; j'espère en fin trouver l'année prochaine la paix intérieure; en fumant le calumet de la paix avec vous pour restaurer mon état et las très abîmé ! Avant de partir enfumé en mourant à p'tit feu ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Je chante en yaourt !

 

Comme une crème futée;

Je fredonne yo plaît !

Cette crème affûtée

Qui t'dit s'il te plaît !

 

Donne-moi toute ta crème !

Comme une crème brûlée

Dans un théorème;

Qui m'ferait manger

 

Tout ce que j'déguste

Dans ma vie d'auguste !

Comme je tape l'incruste !

En déchantant juste !

 

Et cris noirs sur blanc !

Ma vie sans couleurs

Si triste en tremblant !

Dont avec bonheur;

 

Je chante en yaourt !

Depuis ma p'tite yourte;

Mangeant des yaourts

En chantant waouh !

 

Sur mon conte Yahoo;

Cherchant un ami

Pour boire des grands coups !

Un verre avec qui

 

Boire toujours beaucoup

Les déboires d'la vie !

Le tout à moindre coût !

Et en compagnie

 

D'un réseau réel

D'amis et en vrai !

Pas juste en virtuel !

Pour parler et créer

 

Du grand lien social

Sans rien déchanter !

Et pour enchanter

D'amitié cordiale !

 

Je chante en yaourt !

Depuis ma p'tite yourte;

Mangeant des yaourts

En chantant waouh !

 

Je ne veux être seul !

R'gardant la télé;

Seul sur mon fauteuil !

Déchantant telle est

 

La vie; ses mystères

A ne plus y croire !

En un inventaire

De mon désespoir !

 

La vie à pleins tubes !

Passe; repasse trop vite !

Mettant en ses hits;

Tous mes hits you tube !

 

D'ma vie 45 tours !

A qui l'prochain tour ?

Pour mettre tous ses hits !

Et qui tambourine...

 

Je chante en yaourt !

Depuis ma p'tite yourte;

Mangeant des yaourts

En chantant waouh !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le parc des jolis rêves

 

Embellie dans une boîte;

Elle renferme des secrets !

Qui font que la boîte boite ;

Colorée chicorée

 

Aux aurores des matins;

Qui se promène si tôt !

Le matin en satin;

Comme si en un salto 

 

D'une galipette ! L'amour

Fait renverser les hommes

Et les femmes en retour,

Dont la grosse pomme assomme

 

La somme des illusions

Eperdues boléro; 

Qui ont l'érudition !

Et d'un baiser si haut;

 

Le parc des jolis rêves;

Murmure thème de sa sève;

Faisant couler la trêve;

Avant le roi en fève

 

En son jardin d'Eden !

Qui sème l'appel Céleste

Amen ! Pour qu'il amène

Des bons jours qui délestent !

 

Ce monde qui a le coeur 

En panne dans la noirceur !

Et si à la bonne heure;

Il y avait d'la candeur !

 

D'innocence toboggan

En des souvenirs d'enfance,

Où plus personne ne ment;

Dément d'l'inélégance

 

En un jardin secret

Du parc à t'aime d'enfant !

Pour aimer clairsemer,

Essaimer et semant

 

Le parc des jolis rêves;

Murmure thème de sa sève;

Faisant couler la trêve;

Avant le roi en fève

 

Se donnant tous la main !

S'faisant la bise en bis !

Deux par deux boute en train

D'amour ! Qu'il embellisse

 

Les parois de l'amour !

Sans désarroi autour

Du roi et de sa fève,

Pourvu qu'il y ait une trêve 

 

Dans la haine en semaine !

Afin que tout l'monde s'aime

Au parc à t'aime en peine !

Et si d'un parc à thème;

 

On réussit en harem

A en faire une bohème !

Sans aucun requiem

Qui achève en poème !

 

Le parc des jolis rêves;

Murmure thème de sa sève;

Faisant couler la trêve;

Avant le roi en fève.

 

Jérôme de Mars

Des eaux de vers

 

Comme une rivière

Du lac l'aimant;

Ces fameux airs

Du firmament;

 

Redonnent espoir

D'un clair de lune !

Certains grands soirs;

Pas pour des prunes !

 

Passant le Bach

De l'océan;

Ecoutant Bach;

Ses sentiments

 

En acoustique;

Grâce au tempo

Fée pacifique;

Faisant la peau

 

Des eaux de vers;

Imaginaires;

Interstellaires;

Et insulaires

 

D'un pot pourri;

Assis à terre

En ver pourri;

Qui marche sur Terre !

 

Raz de marais !

Danse de cagnard;

Qui a filé

Danse des canards,

 

Quand tout s'étend !

Comme dans une mare

Sur un étang,

Où les canards

 

Canardent la mer

Sous un torrent;

Fleuve linéaire;

Effet courant

 

Des eaux de vers;

Imaginaires;

Interstellaires;

Et insulaires

 

D'un confluent

A l'estuaire;

Et déferlant

En bords de mer

 

Dans le bayou

Mississippi !

D'un p'tit bijou;

Qui resplendit

 

En un delta,

Comme sur Le Nil;

Qui a comme bras

Droit sur le fil !

 

Le fil de l'eau

Oral verbal;

Qui dit et l'eau 

Dans ton bocal !

 

Des eaux de vers;

Imaginaires;

Interstellaires;

Et insulaires.

 

Jérôme de Mars

Qu'est-ce-qui cloche ?

 

Cloches de Pâques;

C'est une fête !

Cloches opaques;

Une défaite

 

Carillon !

Qui résonne

Cendrillon !

Qui raisonne

 

En ce monde;

Qui retourne

Dans l'immonde;

Qui détourne

 

Ajourné

Dans le pur !

Séjourné

Et dans l'dur !

 

Qu'est-ce-qui cloche ?

D'anicroches !

Qu'effiloche

Ce monde moche !

 

En cloche deux

Chocolats;

Qui cloche de

Chocolats !

 

Pas de bras !

Pas du tout

D'chocolat !

Qui en fout

 

Partout dans

L'inhumain !

Sans aidant

Sacristain !

 

Fête de Pâques;

Je m'en fous

D'être opaque

De partout !

 

Qu'est-ce-qui cloche ?

D'anicroches !

Qu'effiloche

Ce monde moche !

 

Qui m'dégoûte !

A me foutre

Des déroutes !

Je passe outre

 

Toute la folie

De cette fête;

Que je dévie

En défaites;

 

Ca m'ennuie 

De trop Pâques !

Je m'réjouis

D'être opaque !

 

Sans lumière

En mon ombre;

Sans être clair

Qu'j'en dénombre !

 

Qu'est-ce-qui cloche ?

D'anicroches !

Qu'effiloche

Ce monde moche !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

La part des fractions

 

L'addition ça l'est !

Quand tous prennent leur part

En sucre ajouté !

Salé en rempart !

 

Or ! Nulle part ailleurs !

Ce monde divisé

Sans goût du meilleur;

Préfère cumuler

 

En baisse de régime

Les fractions à terre;

Qui salaient la dîme

De leurs pommes de terre !

 

De la part de celle;

Si sucrée salée !

En rempart de sel;

Si olé olé !

 

La part des fractions;

Rempart d'effractions;

Il y a hein fraction !

Sans une infraction

 

Au code d'la route;

Partant en morceaux !

Au code des déroutes

Parlant en monceaux !

 

En cassant du sucre

Sur le dos des gens;

Qui n'sont très fut fut

Si édulcorants !

 

Et si colorants

En Prévert visqueux;

Il y a colorant

Un pervers vicieux;

 

Collant accolant

En prenant des gants;

Si collants gluants;

Rendant et les gants !

 

La part des fractions;

Rempart d'effractions;

Il y a hein fraction !

Sans une infraction

 

Et si chacun prend

Sa part du morceau !

Peut-être un qui prend

Et apprend les mots !

 

Qu'il faut tant avoir

En communauté !

Pour savoir avoir

Des affinités !

 

Pour rassembler la

Collectivité;

Franchissant des pas;

Vers de l'amitié

 

Dans la différence

Semant parsemant;

Sans indifférence

Dans leur élément !

 

La part des fractions;

Rempart d'effractions;

Il y a hein fraction !

Sans une infraction.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Un ver de poèmes qui m'asticote !

 

Si je vois le ver à moitié plaint !

J'aurais du grain à moudre de café;

Au café d'en face étant voisin

De chez moi; sucré ! Olé olé !

 

A en écrire un roman de vie;

Témoin des vers revers à l'envers !

Qui déteignent sur moi l'apologie

De vers de poésies menant vers

 

Mon passé de bohème si renfermé;

Ayant oublié mon être ouvert,

Dont j'écris ma lettre avec mes clés !

Pour rester ouvert à découvert 

 

Des clés musicales pièces rapportées,

Dont je mets une note sur mes sanglots !

Tapant en gestation en portée

En note de téléphone sur piano !

 

Un ver de poèmes qui m'asticote !

Que je fais des baisers qui bécotent !

Sucrés-salés pour garder la cote

En surcote sans décote; je prends note !

 

De ma note salée méli-mélo !

Piano percé; panier transpercé !

J'ai en provisions mes bibelots;

Vendant l'objet du scandale percé !

 

Je n'ai jamais réussi à percer

Dans la poésie; si tu lis masse !

Je suis à la ramasse renversée

Que je crains de finir en impasse !

 

Putain d'impasse ! J'outrepasse la passe !

Que le temps passe; trépasse et m'entasse

Dans une liasse de billets, car alias

Je m'appelle Jérôme de Mars ah ! Liasse !

 

J'écris des poèmes et des billets

D'amour; d'humour; d'honneur et d'humeur !

Qu'on me médit d'humeurs déplacées

En billet ! Placé d'un code d'honneur !

 

Un ver de poèmes qui m'asticote !

Que je fais des baisers qui bécotent !

Sucrés-salés pour garder la cote

En surcote sans décote; je prends note !

 

En composant sur mon imprimante;

Mes fausses impressions faisant couler

Beaucoup d'encre qui découle alarmante;

Je ne fais que pleurer attristé !

 

Ne pouvant consoler toute ma peine !

A part ma console qui me ressert !

Comme une boussole ayant pour rengaine;

Que mon chagrin me serre; me dessert

 

La machine à écrire d'la musique !

Comme l'amour à la machine encrant

Mon amour poétique; lunatique !

Comme l'humour à la machine ancrant 

 

La machine à m'décrire marginal !

En marge du système moi si bohème !

Dont j'écris assis original !

Envers contre tout ah ! Si des poèmes !

 

Un ver de poèmes qui m'asticote !

Que je fais des baisers qui bécotent !

Sucrés-salés pour garder la cote

En surcote sans décote; je prends note !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Le soleil des temps quand il y a un temps de pluie !

 

Griserie et gris aigri !

Le temps est contrasté !

Entre soleil et pluie;

Qu'il est décontracté; contracté !

Le soleil des temps quand il y a un temps de pluie !

Avec de la griserie;

Le soleil détend !

Avec du gris aigri;

Il y a un temps de pluie !

Qu'il fait pleurer les nuages !

En adages du naufrage

De ces temps difficiles !

Qui ne sont guerre faciles,

Lorsque personne n'est content !

L'égoïsme se fait comptant !

Contant et racontant

Le soleil des temps quand il y a un temps de pluie !

Avec de la griserie;

Le soleil détend !

Avec du gris aigri;

Il y a un temps de pluie !

Où tout le monde attend

Qu'arrive à temps;

Le beau temps 

Du bon vieux temps,

Comme avant !

Afin que le soleil fasse

Sourire

Et rire de plaisirs

Les gens;

En occultant leurs tourments

Dans un autre temps, 

Sans qu'il n'y ait rien qui foute le camp !

Et si à la place du naufrage

Des pluies diluviennes;

Il y avait des ramages

Du temps qui s'étend !

Quoiqu'il advienne; 

Quoiqu'il survienne;

Quoiqu'il vienne;

Et quoiqu'il revienne !

Dont autant; au temps

En profiter du temps qui passe !

Avec à présent

Malgré tout ce temps

Tout le temps oppressant;

Un temps qui chasse

Le mauvais temps !

Et si en faisant la pluie

Et le beau temps;

Avec de la griserie;

Le soleil détend !

Avec du gris aigri;

Il y a un temps de pluie  !

Si bien qu'entre confettis

Et intempéries;

Il y aurait quelque chose qui étend à temps !

Le soleil des temps quand il y a un temps de pluie !

 

Jérôme de Mars

Un oiseau qui y laisse des plumes...

 

Prises de becs qui débectent du nid !

Il y a un oiseau qui cloue l'bec

De la déniche dans un déni !

Enfumant clopes sur clopes au bec;

 

Glissant des mots secs très pète-secs !

Qui disent vol d'un grand étalage !

Qui confirment qu'il y a des mots secs !

Qu'emploie ce drôle d'oiseau en rage;

 

Bouffant ses vers de rage en niche;

Qu'il déguste des vers solitaires !

En c'monde d'égoïstes ! Qu'il défriche

En amis des vers solidaires !

 

Et même s'il y a d'l'huile sur le feu !

Il y en a sur le macadam !

Qui pèche avec leurs vers soyeux;

Des vers joyeux qui clament en slam !

 

Un oiseau qui y laisse des plumes...

A force de porter son enclume !

Derrière laquelle sous son costume;

Il habille ses vers sous bitume,

 

Dont il écrit sous sa belle plume;

Des vers de rage prenant l'envol

D'un nouveau voyage en coutume;

Qu'il tient en ses poèmes; paroles !

 

Derrière la farandole des gros mots,

Dont il connaît les maux du dico !

Qu'il fait des défaites; une grande fête !

En quête de vérité c'est niet !

 

S'il rechargeait ses batteries !

Pour dormir sur ses deux oreilles;

Emmitouflé de confettis,

Comme il dessert bien le soleil !

 

Ecrivant de sa plume; sa vie !

Qu'il vole le ciel battant de l'aile !

Qu'il a envie de paradis,

Dont voici en hardi missel;

 

Un oiseau qui y laisse des plumes...

A force de porter son enclume !

Derrière laquelle sous son costume;

Il habille ses vers sous bitume,

 

Pour déshabiller un automne;

Et rhabiller léger l'été;

Bien entendu et fée synchrone !

On ne peut être; avoir été !

 

Un oiseau qui vole de ses ailes !

En couple; attire d'aile s'bécotant !

Emprises de becs battant de l'aile !

Faisant l'amour publique sur bans

 

De mariage avant un orage !

Qu'il écrit en vers des ramages !

Océan pacifique torride !

Il n'y a rien qui a pris une ride !

 

Que l'oiseau en son décollage;

Attend de poser pied à terre !

Si bien que dès l'atterrissage;

Il écrit de son pied-à-terre !

 

Un oiseau qui y laisse des plumes...

A force de porter son enclume !

Derrière laquelle sous son costume;

Il habille ses vers sous bitume.

 

Jérôme de Mars

 

L'odyssée 94

 

Voyage dans le Val-de-Marne depuis Ablon-sur-Seine; en train de louper le dernier métro pour aller à Alfortville; vu les trombes d'eaux qui tombent; comme les temps sont durs ! Avec de la grisaille, où tout tombe à l'eau ! Déjà que la ville n'est pas un long fleuve tranquille sur scène ! Où tout le monde mène en bateau le Val-de-Marne ! Qui dévale maintenant à droite vers Arcueil sur les aqueducs; cachant les bus de La RATP qui font grève contre la réforme des retraites ! Dans une main de fer de gants de velours qui rame le chemin d'enfer ! Pour aller l'esprit léger à Boissy-Saint-Léger, où c'est l'arbre qui cache la forêt ! Surtout que dans la forêt; il y a la pelle de la forêt ! Où ça creuse de plus en plus l'appétit dès que ça rame ! A part le trame ouais peut-être à Bonneuil-sur-Marne qui couche dans son lit; La Marne faisant un bras d'honneur ! Au confluent du delta de l'estuaire qui plane sur la rivière de notre offense, au train où vont les choses à Bry-sur-Marne ! Où la vie n'a l'air d'être un long fleuve tranquille ! Sûre la vile de gauche Cachan la ville de droite Champigny-sur-Marne; ne coupant le pont avec Charenton-le-Pont, où peut-être vivent des Dupond à moins que durant Chennevières-sur-Marne; survivent Des Durand endurant Chevilly-Larue; qui cheville la rue loin de Choisy-le-Roi; qui choisit le désarroi de Créteil; certes plus à gauche pas forcément au centre de Fontenay-sous-Bois; qui freine Fresnes à la prison de Fresnes; qui est moins gentillet que Gentilly, comme à Ivry-sur-Seine, où chacun taille la zone du neuf quatre ! Plus loin que Joinville-le-Pont, où tout le monde se joint et se rejoint pour une foi que ça tourne rond ! Même si ce n'est pas à Avignon au Festival de Marne en Juillet ! Qui haït L'Haÿ-les-Roses face à la droite; qui taille les haies en faisant la Queue-en-Brie pas à Martine Aubry quoique au Kremlin-Bicêtre; qui est dirigée d'une main de maître par Jean-Luc-Laurent dans une vraie gauche qui envisage; qui est la seule à pouvoir remettre Le Kremlin-Bicêtre ainsi que l'hôpital de Bicêtre qui se fout de la charité Chrétienne d'un bute nom lucratif à un but non lucratif, comme Le Perreux-sur-Marne qui emballe en ouvrant le bal au Plessis-Trévise, quand la fontaine de Trévise jaillit ! Il ne faut jamais dire Fontaine ! Je ne boirai pas ton ode ! Comme l'eau du lac artificiel à Limeil-Brévannes; qui fait en renfort le fort de Maisons-Alfort ! Ah ! Le Fort ! De Mandres-les-Roses malgré que l'époque est morose sauf au Fort de Bicêtre et au Fort d'Ivry; citées dans la saga cité ci-dessus; causant du bruit à Marolles-en-Brie; qui déballe le bal musette en allant manger à la guinguette des bords de Marne à Nogent-sur-Marne; qui est drôle comme un drôle de Noiseau, qui met ses antennes-relais en mode avion à Orly sur le tarmac des valises de détresses dans la soute à bagages; avec des gens qui sont intelligents; ne votant pas forcément extrême-droite mais plutôt à droite, comme peut-être à Ormesson-sur-Marne et à Périgny, où je me demande s'il y a du street art en stricte art qui rue dans les brancards de Rungis; avec des rappeurs qui dérapent dans la zone du Pont; en taguant de graffitis la ville de Saint-Mandé; quitte à amender ceux qui mendiaient à Saint-Maur-des-Fossés, comme le fossé se creuse des sains morts des fossés à Saint-Maurice; Santeny (r) compte de Sucy-en-Brie, où il y a des bris de couloirs dans les couloirs du métro, où il y a toujours un train de retard avec le dernier métro; qui a aussi sans arrêt un métro de retard à Thiais pourtant à droite, comme à Valenton qui donne le ton en montant le ton dans une liberté de ton valant ton à Villecresnes, où il y a le beur dans la ville ! endure labeur qui veut le beur, l'argent du beur et le sourire de la crémière ! De Villeneuve-le-Roi au désarroi de Villeneuve-Saint-Georges; qui sont toutes les deux des villes neuves, comme avant quand il y avait la gauche de Bernard là Villiers à Villiers-sur-Marne; qui dévale dans la cour neuve en défaite de l'humanité; plus dans le val de Marne qui monte au rassemblement national de la droite, où reste encore Vincennes au centre très droit, et où seul Vitry-sur-Seine l'une des rares villes demeure au fief du bastion communiste, où je suis le rappeur de Vitry ! Comme à Vitry; la vie est un long fleuve plus que tranquille, où ici là, j'arrive à présent au terminus de cet Odyssée 94; en disant maintenant jeudi 6 Avril 2023 10h05; tout le monde décent !

 

Jérôme de Mars

Comme si le soleil brûlait l'été...

 

Face à un hôtel d'été Indien;

Il y a le soleil universel

Contemplant l'espace Azuréen;

Entretenant l'amour éternel !

 

Des touristes marchant déambulant

Le long des avenues des marchés;

Erigeant en triomphe ambulant;

Des paroles conciliabules flânant !

 

Comme l'été Indien de Joe Dassin !

Déroulant le tapis rouge effet

Papillon ! En un meilleur destin;

Volant comme des papillons discrets;

 

Essuyant le front d'un beau soleil;

Qui fait des merveilles dans la chaleur

Humaine et sereine en son Rimmel;

D'un Méridien qui fait tant fureur !

 

Comme si le soleil brûlait l'été...

A petit feu sentant le cramé !

Ecorché du brasier en fumée,

Se fourrant dans la grosse cheminée,

 

Occultant les brûlures de l'histoire !

Pour ne plus descendre, mais pour partir

En cendres; grâce à l'encens réservoir

Des jours meilleurs retrouvant l'plaisir

 

De la vie sur Terre ! En attendant

Qu'il y ait un miracle qui change le monde;

Grâce à l'été Indien patientant !

Pourvu qu'il arrive parlant d'une sonde !

 

Si les gens veulent toute la lumière claire

De l'Equateur à bon entendeur !

Qui pourrait donner en courant d'air !

L'envie de revivre pour le meilleur !

 

Pour que tout le monde tape de l'incruste

Dans les maisons vides et sans bonheur !

Et qui aurait l'honneur en un buste !

De mettre des visages en leur sueur !

 

Comme si le soleil brûlait l'été...

A petit feu sentant le cramé !

Ecorché du brasier en fumée;

Se fourrant dans la grosse cheminée;

 

Et si sans mourir à petit feu !

Ramon ramonait la cheminée;

Il y aurait des beaux jours fabuleux !

A en diffuser de la bonté !

 

Et de la beauté comme un Gavroche !

Qui inspirerait légèreté

En ce monde qui en devient trop moche !

Qui respirerait divinité

 

Enclin d'un déclic de l’œil ouvert !

Gardant l’œil attentif; bienveillant !

Pour remettre tout le monde solidaire !

Malgré que le temps ambivalent

 

Fasse changer les gens aux caractères

Fluctuants du temps; du vent !

Et si en leurs humeurs bipolaires;

Tout le monde frais allait de l'avant !

 

Comme si le soleil brûlait l'été...

A petit feu sentant le cramé !

Ecorché du brasier en fumée;

Se fourrant dans la grosse cheminée.

 

Jérôme de Mars

 

 

Un Monaco à Paris

 

Au grand bar du cinq à sept;

Il y a les serveurs à fond

La caisse ! Avec leurs préceptes;

Qui bougent en des réactions

 

Humaines à votre bon service

Rendu ! Attendant leur dû

Sur la place de la malice;

Qui boit leur boisson hein bue !

 

Si imbue de leur personne !

En plein Paris ! Comme une pièce

D'Boulevard en cons qui sonnent !

Récoltant en pure espèces;

 

Toute la monnaie de leurs pièces

En drôles de brèves de comptoir !

Remplissant à fond la caisse !

Et d'un réservoir d'histoires !

 

Un Monaco à Paris;

De Monaco à Paris

Au bistrot des bons amis;

Parlant des choses de la vie !

 

Et en grattant leur guitare;

Ils font comme si c'est dimanche !

En jouant tous leurs standards;

Comme s'ils refaisaient la manche !

 

Arpentant les rues de Paris;

Chantant en micros-trottoirs !

Toute leur bohème qui fleurit;

Ecoutant le blues trottoir !

 

Qui sillonne en bruit d'Paris;

Tout leur contre-jour en ruant

Dans les brancards de la nuit;

Eméchée par les tourments

 

De cette ville; en mouvement

Fébrile; trépidant et dense !

D'contre dense et en boniments !

Voici parmi les tendances;

 

Un Monaco à Paris;

De Monaco à Paris

Au bistrot des bons amis;

Parlant des choses de la vie !

 

Dans la rue; tout ce beau monde

Est tout le monde; il est beau;

Il est gentil ! Mais immonde !

N'allant vers l'haut d'escabeau !

 

Tombant; retombant bien bas !

Ca ne relève pas l'niveau !

Mais le caniveau tout bas !

Faisant un débat sans mots !

 

Comme avec des maux sinistres;

Parlant tout bas en messes basses !

Faisant croire qu'ils administrent

Cent aucun ministre ! La masse

 

Des handicapés en M.A.S !

Alors que souvent; ces gens

Ne sont pas à la ramasse !

Mais des gens intelligents !

 

Un Monaco à Paris;

De Monaco à Paris

Au bistrot des bons amis;

Parlant des choses de la vie !

 

Jérôme de Mars

 

Quand les animaux parlent le jour du printemps...

 

Le 21 Mars quand les animaux parlent le jour du printemps; le chat signe de sa griffe ! La chienne de vie des chiens qui prennent des gamelles; en ayant en vache enragée des vaches maigres; qui prennent le taureau par les cornes; qui écornent l'image des brebis galeuses; qui rendent chèvres les moutons au rat des pâquerettes; qui sourit au rat doux comme un agneau en lui disant ma biche; qui rend la souris bouc-émissaire des boucs olé olé, comme leurs chevreaux qui sont très à cheval ! En passant du coq en pâte à l'âne; faisant leur tête de mule aux chevaux et aux poneys; avec en émule le mulet d'un coq au vin; passant à plat le poulet au vinaigre; mettant tout à plat le coq devin avec en mère poules; les poules qui poussent hein le jeu de l'oie; du poussin jouant au vilain petit canard aux drôles d'oiseaux; des corbeaux aux corps beaux prenant pour pigeons les Iles canaries; Déchantant alouette ! Je te plumerai ! Comme une hirondelle qui fait le printemps dans le langage des signes ! Avec en contre danse le lac des signes; ayant pour consignes les cygnes comme des cons cygnes; qui singent les gorilles dans la brume; prenant du shit à Tarzan ayant foie en la vie; en des pis au lait au lait des mamelles de La France; tirant les lapines aux lapins qui posent des lapins aux becs de lièvres des lièvres; mangeant du sanglier au laie au laie; et clamant ne fais pas ah ! Aux truies ce que tu ne veux pas qu'on te fasse ! En frais de porc; en envoyant des piques au porc-épic; qui lance des piques à l'hérisson qui se met en boule, quand il a les boules à cause de ce monde maboule ! Qui déboule ce texte de bison affûté en déroute ! Roulant avec leurs coccinelles of course qui fait mouche ! Pompant le dard du fiel et les abeilles en série sans la lune de miel des guêpes; filant à la place le bourdon aux frelons dans un déni d'oiseaux, quand Tom dit au Parc Montsouris; j'ai ri de l'étoile jaune de la grande ourse ! Avec en ours sain; un oursin; mâle sain qui pince en un cancer de louanges ! Pince-moi je rêve ou je crève pour le crabe ! Mince comme une crevette ! Noyant le poisson du cygne du scorpion, renfermé dans sa coquille comme l'ours bipolaire; restant de glace à l'ours polaire, si bien que la taupe de ce groupe d'animaux prenant en traître les autres est bien le castor; faisant dormir les marmottes avec sa langue de bois; sans maux d'hiver attendant le furet; la belette; l'otarie et le phoque, comme on n'est jamais trop aidés comme un fuck ! Pour vider les noisettes de l'écureuil à fond la caisse d'Epargne ! Qui épargne ceux qui peignent la girafe à l'ancien magasin mammouth; prenant la défense des éléphants du PS; avec défense d'y voir en gros des conflits d'intérêt d'hippopotame; attendant en cure d'austérité qu'il y ait une baisse de régime de Booba, pour qu'il dérape en chantant avec Chantal Goya; Bouba; mon petit ourson après qu'il ait regardé la panthère rose et le Jaguar avec Jean Réno et Patrick Bruel quelques jours après avoir été interviewé par Marc-Olivier Fogiel; la hyène; louve avec son chien husky; rougissant comme un tigre; tel un lion dans sa cage; saccage; tenant paroles en muet comme le perroquet enchantant une dernière fois avec Chantal Goya; Pandi Panda; télé la loi de la jungle, qui est la loi du plus fort; rusée comme un renard, étang l'oraison en ce 21 Mars, quand les animaux parlent plus que de raison voire en déraison le jour du printemps...

 

Jérôme de Mars

Jazz effusion

 

Fusion des genres;

Il y a du jazz !

Rock genre transgenre !

Pourvu qu'ça jazze !

 

D'un rock de pierre;

Parole d'argent !

Métal de fer !

Jouant bronzant

 

Quarante-cinq tours !

De main de maître

Lors d'un séjour;

Qui chronomètre

 

Le rock de jazz;

Platine tourne-disque

Sur son Teppaz;

Qui rase le disque

 

Jazz effusion

En infusion;

Qui jazze fusion

Le jazz fusion;

 

Qui jazze maquette;

Qui rase moquette;

Qui casse roquette;

Qui classe l'enquête;

 

Dans une ébauche

Sans la débauche,

Pour qu'elle embauche

En tour de chauffe;

 

Un jazz de rock;

Qui jazze en cloque

D'un roc de jazz;

Qui roque Teppaz

 

A qui le tour 

En un retour ?

Qui vaut l'détour

D'un 33 tours;

 

Jazz effusion

En infusion;

Qui jazze fusion

Le jazz fusion;

 

Casse la baraque !

De la bicoque !

Du tac au tac !

Qui perd sa coque !

 

Et si le jazz

Attaque Attac !

Pourvu qu'il rase

D'un rock là tac !

 

Et si le rock

Est dur; endure

Caractère roc !

Il est dans l'dur !

 

Microsillon

Du tourbillon !

D'tout un sillon

Qui donne brouillon !

 

Jazz effusion

En infusion;

Qui jazze fusion

Le jazz fusion.

 

Jérôme de Mars

 

Cœur de blues

 

Mélancolie

Comme un rocker;

Suis maudit !

Pèse mes cœurs !

 

En mon manque

Dans ma vie,

D'où je planque

L'agonie !

 

Qu'est ma vie !

Litanie

Dépérie;

Je n'souris

 

A la nuit

A contre-jour !

Je revis

Juste le jour !

 

Cœur de blues;

Qui m'jalouse

J'ai le blues !

Que j'épouse !

 

P'tite frimousse;

Je jalouse

Qui m'émousse !

Comme la loose !

 

Désarroi

De la nuit !

J'suis en froid

Mais je vis !

 

Et revis !

Quand ma joie

Est en vie !

Sans gueule d'bois !

 

Dont j'écris

Les tourments

De ma vie !

Pour foutre l'camp !

 

Cœur de blues;

Qui m'jalouse

J'ai le blues !

Que j'épouse !

 

Que j'en crève

A p'tit feu !

Qui m'achève

Sous les cieux !

 

La nuit hait

Marche ou crève !

La vie est

Marche de trêve !

 

En marge du

Système D;

J'marche hein bu !

J'aime aider

 

Surtout l'jour;

Sans la nuit  !

Preuve d'amour

Qu'est la vie !

 

Cœur de blues;

Qui m'jalouse

J'ai le blues !

Que j'épouse !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pécheur de vers

 

Signe du zodiaque

L'matin sur l'eau !

Je fais du zodiac !

Scandant hello !

 

Par mes écarts;

Je fais des frasques !

En mes rencards;

Car bas les masques !

 

Il faut s'méfier

De l'eau qui dort !

En des méfaits

Sur l'eau qui clore

 

Tout un folklore,

Où y a du chlore !

Quitte à éclore

Dans le décor !

 

Pécheur de vers;

J'ai la pêche vers

Des pêches d'revers;

Pêcheur en vers !

 

Allant d'appât !

Y a l'feu au lac !

Qui gravit d'un pas

Quelque chose d'opaque !

 

Marchant sur flaques

D'eaux en poissons

D'Avril qui traquent !

Avril d'poison !

 

Queue de poissons;

Disant arrête !

Comme un poisson

En son arête

 

Dans l'aquarium;

Nageant en âge

D'ultimatum

Au moyen-âge !

 

Pécheur de vers;

J'ai la pêche vers

Des pêches d'revers;

Pêcheur en vers !

 

Où je regarde

Télé Bocal !

En chaîne de garde;

Parlant oral

 

Ma chienne de vie !

A l'eau éclaire

Sombre; qui dévie

Que je n'vois clair !

 

Quand je répare

Toutes mes erreurs

Dues à ma tare;

Sans une lueur

 

D'espoir qui fait

Que j'me défais

Sans conte de fée !

Qui compte des faits !

 

Pécheur de vers;

J'ai la pêche vers

Des pêches d'revers;

Pêcheur en vers !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Dans la cour des grands

 

D'un printemps d'amour;

Il y en a qui font

La cour en ces jours;

Qui vont et s'en vont

 

Ainsi fond fond fond !

Le soleil d'été;

Sans qu'il se morfond

A chaque jour qui paraît

 

Une éternité;

Genre intemporelle !

Qui préfigurait

Un matin de miel;

 

Déclarant l'amour

D'un jour de printemps;

Qui rime troubadour

Durant tout ce temps !

 

Dans la cour des grands

En prenant des gants;

Qui font que le temps

Ne dure qu'un moment !

 

Quand les femmes déclament

Leurs déclarations

Aux hommes qui réclament

D'l'amour compassion !

 

En changeant les choses;

Qui causent un effet

D'amour overdose;

Qui fait s'envoler

 

Et tous les oiseaux !

Qui déploient leurs ailes;

Sortant leurs oiseaux

Charmant demoiselles;

 

Avant la rupture

Consommée d'fraction !

Ayant l'ouverture

Ternie d'effractions !

 

Dans la cour des grands

En prenant des gants;

Qui font que le temps

Ne dure qu'un moment !

 

Au fur à mesure !

Laissant la grande porte

Ouverte droit dans l'mur !

Pourvu qu'elle emporte

 

Ceux qui prennent la porte !

En ramassant par

La p'tite cuillère morte;

L'amour sans remparts !

 

Qui n'fait que mourir

A p'tit feu odieux !

Quitte à dépérir

L'amour sans les deux !

 

Aux hommes et aux femmes

Dans leur vague à l'âme;

Qui à la place s'cament !

Pour oublier les drames

 

Dans la cour des grands

En prenant des gants;

Qui font que le temps

Ne dure qu'un moment !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

         La chasse aux eux !

 

 

         2) A

         4) L'un dit que c'est Pâques !

             a

             c

             h

             a

             s

             s

        3) En ce jour opaque, quand

             a

             u

             x

             E

             u

             x

         1) Bientôt défaite opaque

 

 

        6) O

             u

        7) Dès la disparation sans Eux;

              '

             A

             v

        8) Rien qu'en marchant sur des Eux !

             i

             l,

        5) En ce jour de Jérôme de Mars

 

 

      10) J

             '

            a

      12) Ici ! Faisant la chasse aux E sans Eux !

            p

            r

            i

     11) Sans eux à provisions marchant vers

           s

           u

           r

          m

          o

           i

          s;

     9) Où pour finir d'affranchir sans Eux; 

 

 

     Jérôme de Mars

Grillons les cigales

 

Au coin d'un été;

A brûler au feu

D'une grande cheminée;

On s'rappelle radieux !

 

D'une belle saison

Où ça sent l'été !

Comme si l'oraison

Nous faisant manger

 

Toute la volupté !

Bercée de ferveur;

Qui rediffusait

Le goût du meilleur !

 

De juin à Septembre;

Le temps de la durée

Tout l'été des membres;

Qui fait en chanter

 

Grillons les cigales;

Personne n'a la gale !

En régal frugal

De l'égal légal;

 

Et si le soleil;

Il illuminait

La lueur du ciel !

Par une cheminée

 

Solaire insulaire;

Qui ferait d'une île

L'air interstellaire;

Qui rendrait gentille

 

La vie sur La Terre

Pour écrire un livre;

Une ode salutaire !

Afin qu'on s'enivre

 

De paroles contant

Le silence qui dort !

Sans du détergent

Qui adore cador !

 

Grillons les cigales;

Personne n'a la gale !

En régal frugal

De l'égal légal;

 

Incantant le ciel !

Effet messager

En des ritournelles;

A vide passager !

 

La vie est la nuit !

Aussi le jour;

La nuit hait la vie !

Qu'elle voit les vautours;

 

Dans la brume du non;

Dans la joie du oui

Et si d'une moisson;

On redit merci

 

Au briquet de feu;

Qui rallume la nuit !

Au sobriquet feu

Qui éteint la vie !

 

Grillons les cigales;

Personne n'a la gale !

En régal frugal

De l'égal légal.

 

Jérôme de Mars

Shakespeare; j'expire !

 

Mélancolique;

Je suis comique

Mélancomique

Dans le tragique !

 

Entre la tristesse

Et la gaieté;

Toute la liesse

Pour tant en jouer

 

La comédie

En rôle d'acteur;

Cent tragédie

En amateur !

 

De tout ce slam

En mélodrame;

Qui frôle le dram

En une réclame;

 

Shakespeare; j'expire !

Comme le roi Lear !

Désarroi l'ire;

Pour tout relire !

 

Si contrasté;

Décontracté !

Qu'j'ai contracté

Mon hêtre figé !

 

Jouant le rôle

Poète maudit !

Depuis ma geôle;

Qui me médit

 

En désespoir;

Qui me raidit

Un des espoirs;

Qui m'irradie

 

Porteur d'espoir

En allégresse !

Lors du grand soir

Dans la tendresse !

 

Shakespeare; j'expire !

Comme le roi Lear !

Désarroi l'ire;

Pour tout relire !

 

Comme l'origine

De ma colère;

Prenant racine

Mon atmosphère !

 

En mon mal-être

Déraciné;

Qui attend d'être

Enraciné

 

Dans un beau rôle !

Pour être l'acteur

De mes paroles;

L'instigateur

 

Pour être; renaître

En résilience !

L'être sans paraître

Comme y a urgence !

 

Shakespeare; j'expire !

Comme le roi Lear !

Désarroi l'ire

Pour tout relire !

 

Jérôme de Mas

 

 

 

 

 

 

Chantez pour ne plus déchanter !

 

Surprise partie quand ça fait boum !

Mettez de la musique qui danse

En contre danse ! Oups là ! Pas ta boum !

Pas ta boum à moins que t'en danses !

 

Tendance en mixant; remixant

Tes platines ! Et où c'est bientôt !

Ton disque 45 tours dansant

T'es dansant ! Bientôt la rétro !

 

Où t'auras bon dos en ton disque !

Mettant l'accent grave si t'es grave !

En gravant ton CD; tourne-disque

Au zénith qu'tu gravites si brave !

 

Bravant tous les dangers amplis

Que tu composes de jolies œuvres

Et ! En hors-d’œuvre ! Ta poésie !

Et si tu avales du coup l’œuvre !

 

Chantez pour ne plus déchanter !

Ce bas monde trop désenchanté !

Et si vous le réenchantiez

L'monde pour en chanter enchantés !

 

Au karaoké la vie à

Pleins tubes ! Pour en chanter si juste

Avec harmonie de la joie !

Au bar du comptoir de l'incruste

 

Et s'il y avait en ton fard Ouest !

Un règlement d'accords encore

Tu s'rais au quai chorale à Leste !

Où tout le monde serait d'accord !

 

Pour que tu donnes le grand amour

Avec un juke-box pas de boxe !

Qui t'amène à refaire la cour

Dans la cour des grands de ta box !

 

A terre nette; tête dans les comètes !

Que tu rêves de refaire sourire

Les gens dans une autre belle planète !

Qui soit plus chouette pour refaire rire

 

Chantez pour ne plus déchanter !

Ce bas monde trop désenchanté !

Et si vous le réenchantiez

L'monde pour en chanter enchantés !

 

L'amour de la vie comme dans un

Film super 8 si indéfini !

Où tu chanterais l'même refrain

De tes envies à l'un fini !

 

Et si tu faisais de ta vie

Une fête; tu tiendrais tes paroles !

Pour faire de la nuit; l'embellie

Sans bémol en une farandole

 

D'un carnaval de bal masqué;

Où vous seriez tous démasqués !

Bas les masques ! De fête costumée

Nouveau signe de virginité !

 

En musique sans chaises musicales !

Vous seriez du pareil au même !

En bonne compagnie amicale;

Chantez l'amour pour qu'il vous aime !

 

Chantez pour ne plus déchanter !

Ce bas monde trop désenchanté !

Et si vous le réenchantiez

L'monde pour en chanter enchantés !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Un oiseau qui dessine un avion

 

Vol d'hirondelles dans le ciel gratte ciel !

Il y a tant de pigeons-voyageurs;

Qui font de grandes merveilles d'arc en ciel

Dans le ciel qui pigeonne ces rêveurs

 

Vagabonds et marginaux; semant

En mode avion un trait d'union libre

Dans son élément comme un aimant !

Qui vibre en ses ailes ayant la fibre

 

Optique pour regarder dans le ciel !

Les tourterelles qui embrassent l'soleil !

S'entichant d'un amour de groseilles;

Qui fait voler en éclats l'hôtel

 

Du ciel hébergeant un quatre étoiles

Sur place superficielle; air d'essence !

Qui dévoile l'âme du ciel musical;

Qui régénère en arborescence

 

Un oiseau qui dessine un avion

Dans le ciel songeur en mode avion;

Qui vole de ses propres ailes d'effusion !

Volant dans le ciel par effraction !

 

Faisant des ricochets au-dessus 

De l'eau disant allo ! Tout en haut !

L'avion fait des ronds dans l'absolu !

Qu'il est en haut ! Pas du tout sur l'eau !

 

Pendant que les oiseaux se font tous

Pigeonner par les pigeons voyeurs;

Ne leur donnant que des coups de pousse !

Leur scandant de regarder ailleurs !

 

Où vont et s'en vont les voyageurs;

Emportant leurs lourds bagages peut-être

Pour s'en aller dans un monde meilleur !

En ouvrant en grand toutes les fenêtres !

 

En allant voir ailleurs l'appel d'air

Frais aux frais de tous les arcs en ciel !

Tirant leur arc ! En quête ordinaire

D'un gratte ciel attendant en lune d'miel !

 

Un oiseau qui dessine un avion

Dans le ciel songeur en mode avion;

Qui vole de ses propres ailes d'effusion !

Volant dans le ciel par effraction !

 

Et si à la croisée des charters;

Il y avait une croisière dans le ciel !

Pas de quartier d'horizon lunaire !

Avec pour de vrai tout le réel !

 

Qui paraît irréel dans le vent;

Qui met un vent; jette un vent austère

Avec en faux-airs des goélands;

Des faussaires qui font le missionnaire !

 

Décollage depuis les saules pleureurs;

La vie au grand air attend des preuves

D'amour; de tendresse en vol planeur;

Faisant planer les airs d'un long fleuve

 

Tranquille sur la mer en acoustique

Par ses paroles sucrées et salées;

Berçant tant l'océan pacifique,

Quand il s'est marré et amarré !

 

Un oiseau qui dessine un avion

Dans le ciel songeur en mode avion;

Qui vole de ses propres ailes d'effusion !

Volant dans le ciel par effraction !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Vaut-il mieux avoir beaucoup d'argent et être malheureux ? Ou ne pas avoir du tout d'argent et être heureux ?

 

Même si en faisant débat !

On sait que le silence est d'or

Et la parole est d'argent !

Pour avoir du crédit auprès de la banque !

Et ne pas être à découvert de discrédit

A son crédit en découvert ! Vaut-il mieux

Parler argent comptant ou argent contant ?

En tenant un discours en argent ou en or 

D'argent ! Avec l'argent qui dore; qui dort en or;

Qui redore en des couverts ! A en demander

Le gîte et le couvert ! Comme à la maison !

Vaut-il mieux pour qu'on nous accorde

Du crédit; parler couvert en argent content ?

Ou parler à découvert en argent comptant ?

Pour qu'on nous accorde du crédit !

Sauf bien sûr ! Si on parle évidemment

En argent contant qu'on peut compter

Sur la banque, car la banque, leur principal

Intérêt cent conflits d'intérêts avec la banque

Alimentaire; n'est point de nous parler sous couvert

Mais seulement à découvert; en cas de découvert !

Pour mieux l'épargner la banque

Sans épargner leurs clients en banqueroute !

Malgré que leur argent dort dans les comptes

En banque, comme au bout du conte; 

Ce qui compte juste pour la banque; c'est d'y 

Voir leurs propres intérêts, car la banque compte

Bien au bout du compte; tout compte fait

En compte-rendu récupérer son du !

Surtout s'il y a des indus avec des clients

Livrets à eux même, dont leur parole

Ne compte pas auprès des banques, comme

La banque s'intéresse uniquement comptable

Au montant libéral du capital de leur

Compte en banque; sans prendre tout pour 

Argent content, comme la banque préfère

Juste prendre pour argent comptant 

Leur silence qui dort; qui dore et qui

Redore en or en leur parole d'argent contant;

Racontant que l'argent est le nerf de la guerre !

Et au bout du compte ! Même si personne

Ne compte détenir les cordons de la bourse

De la bourse de la vie ou de l'argent; 

Vaut-il mieux avoir beaucoup d'argent

Et être malheureux ? Ou ne pas avoir du

Tout d'argent et être heureux ?

Difficile à trancher cette question en équation !

Et si au bout du conte dans le en même

Temps; qu'on soit cigale ou fourmi;

Si chacun comptait en argent content;

Que chacun contait en argent contant;

Contant pour du beurre mais comptant

En son dur labeur; qu'on peut très bien avoir

Beaucoup d'argent ou ne pas avoir

Du tout d'argent à son crédit;

Qu'on soit malheureux ou mâle heureux 

A son propre découvert !

 

Jérôme de Mars

Je m'en balance de cette balançoire !

 

Question d'équilibre de la balance !

Ma vie est un gros poids lourd balourd,

Dont je porte le fardeau en errances

Qu'ça tombe souvent dans l'oreille d'un sourd !

 

En malentendus bien entendus ! 

Ma vie en naît que trop dissolue;

Malvenue comme je suis éperdu !

Que je dévie en des vies fourbues !

 

Gardant en mémoires tous mes déboires;

Que j'ai de quoi écrire au comptoir !

Un livre d'histoires en un réservoir

De bonheur; de malheurs étendards !

 

Que j'en ai des nausées de vertiges

Barbouillés par le vide de ma vie !

Que ma vie se résume en vestiges !

En tombant de très haut d'inertie !

 

Je m'en balance de cette balançoire !

Manquant de hauteur en ma mémoire;

Je ne fais que boire l'réquisitoire

De ma vie agonisant en mouroir !

 

Que plus haut ! Si haut sera la chute

De mon histoire ! D'excès en excès !

Où tout le monde me dit toujours chute !

Que je ne fais que me désaxer 

 

En des accès de toute ma colère;

Qui respire le mâle de mes déviances !

Que j'en tire des gênes héréditaires

Dans la loi du silence repentance !

 

Pourquoi je me radicalise tant !

Que je vote aux extrêmes d'un totem

Intégriste ! M'inscrivant si dément

Sur la liste de mon oeuvre de bohème !

 

Que pour oublier toutes les laideurs

De la vie qui m'inspire que la haine !

J'ai envie de cracher ma rancœur !

Vivement qu'recommence la semaine !

 

Je m'en balance de cette balançoire !

Manquant de hauteur en ma mémoire;

Je ne fais que boire l'réquisitoire

De ma vie agonisant en mouroir !

 

Que je ne pèse plus tous mes gros mots !

Qui me pèsent du poids de mon fardeau 

En un centre de gravité en gros !

Que j'y laisse des plumes dans le chaos !

 

Oh ! Ben mince ma vie me pèse obèse

En gros dans une légèreté lourde !

Que je pèse mes maux détresse alèse !

A l'aise que j'appelle la vile de Lourdes

 

En cour des miracles, pour que la porte !

Je n'la grince prenant la porte ben mince !

En grande légèreté qui m'apporte

Enfin que des bonnes nouvelles qui rincent

 

Ma vie de malpropre sale; c'est du propre !

Maintenant ma vie ! Prenant à la

Légère ! J'en ai cure que j'en suis sobre !

Où d'appât, je fais que des grands pas !

 

Je m'en balance de cette balançoire !

Manquant de hauteur en ma mémoire;

Je ne fais que boire l'réquisitoire

De ma vie agonisant en mouroir !

 

Jérôme de Mars

Jazz majeur bon enfant mineur !

 

Comme dans un grand huit infini !

Vertiges de la nuit assouvies;

La musique hypnotise la vie

Qui est loin d'être ainsi jolie !

 

Faisant semblant tout noir tout blanc !

D'avoir des pages blanches en nuits blanches;

Personne naît tout noir; n'est tout blanc !

Que chaque personne tanche étanche; flanche

 

Dans les vieux démons de Minuit !

Où les nuits paraissent toujours longues

A la longue démons de Midi !

Où l'été se vie en diphtongues  !

 

En portant des tongs au ping-pong !

Echange verbal de répartie 

En un ping-pong verbal dix tongs

Aux revers de songs départis !

 

Jazz majeur bon enfant mineur !

Ils ont tous bonne mine fait majeur !

Faisant des doigts d'honneur mineurs;

Effet des bras d'honneur majeurs !

 

La musique adoucit les mœurs !

Nul ne guérit de son enfance !

Surtout quand il n'y a pas de nurse !

Nul aguerri de son offense !

 

On ne vit pas, on en survit 

A chaque jour; suffit toute sa peine !

Où ça jazze open d'anémie !

D'un manque on en fait une rengaine !

 

Qu'on en reprend tous des grands airs !

A l'air libre l'air de rien jazzy !

Cosy qu'on fait un inventaire !

Pour changer la nuit en la vie

 

Au firmament d'un beau soleil;

Qui inspire en jolis cantiques

Une confiture de pures merveilles;

Frénétiques qui jazzent rhétoriques !

 

Jazz majeur bon enfant mineur !

Ils ont tous bonne mine fait majeur !

Faisant des doigts d'honneur mineurs;

Effet des bras d'honneur majeurs !

 

Déconfitures impures vermeille !

D'un soleil sans oseille qui grise

Que c'est la nuit en étincelle;

Qui éteint celle qui électrise

 

Ceux et celles qui brûlent toute leur vie

Par les deux bouts de la chandelle !

Parler bout à bout dès l'ennui

Quand la vie n'est que ritournelle !

 

Mais nous fait mourir à p'tit feu !

Sous un arc en ciel sulfureux;

Qui gratte le ciel artificiel

Et superficiel fastidieux !

 

Et si pour garder une bonne mine;

On allait creuser à la mine !

Avec un trésor à la clé;

Composant en un code secret !

 

Jazz majeur bon enfant mineur !

Ils ont tous bonne mine fait majeur !

Faisant des doigts d'honneur mineurs;

Effet des bras d'honneur majeurs !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Elle est belle Linda !

 

Il était une fille

Qui s'appelle Belinda !

Prénom de la file;

Telle une fille qui a

 

Une jolie bonté !

Qu'elle est admirée

De toute sa beauté !

Que pour la flatter !

 

Tout le monde disait

C'est la Portugaise

Poil à en gratter !

Toutes ses Portugaises

 

Ainsi ensablées;

La puce à l'oreille

Ainsi endiablée;

La puce sans oseille !

 

Elle est belle Linda !

Qu'elle est fête de joie !

Elle est Belinda !

Qu'elle reflète d'éclats !

 

Comme la loyauté

D'son prénom de fille !

Comme la royauté

De son nom de file !

 

Sans qu'elle se faufile !

Pourvu qu'elle file droit !

Allant dans la file !

Fille de ses dix doigts !

 

Qu'elle enchante la la

Fille qui réactive

L'fil sans rabat-joie !

En fille émotive;

 

Qui dit dans la file !

Qu'elle enfile des perles !

Qu'elle file; se faufile !

Qu'elle refile en perles !

 

Elle est belle Linda !

Qu'elle est fête de joie !

Elle est Belinda !

Qu'elle reflète d'éclats !

 

Elle est toujours belle !

Ritournelle Linda !

Qu'elle se fait la belle !

Rebelle Belinda !

 

Qu'elle chante comme une fille !

Telle une fille en joie !

Qui déchante la file;

Qu'elle attend des mois

 

Pour qu'elle se faufile

Dans la file du roi !

Pour qu'elle s'défile

Comme la fille courroie !

 

De toutes ses parois

Qu'là elle se défile

De son désarroi !

Et de file en fille !

 

Elle est belle Linda !

Qu'elle est fête de joie !

Elle est Belinda !

Elle reflète d'éclats !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Elle est belle Linda !

 

Il était une fille 

Du prénom de la file;

Qui s'appelait Belinda !

Et pour flatter sa beauté !

On disait d'elle avec loyauté !

Elle est belle Linda !

Qu'elle était admirée

Autant que sa bonté

Que tout le monde disait

De Belinda;

La Portugaise endiablée;

Elle est belle Linda !

Avec les Portugaises ensablées !

Qui lui mettaient la puce à l'oreille !

Qu'elle était excitée 

Comme une puce sans oseille !

Que son prénom de fille

Etait Belinda !

Comme la file

Dans laquelle belle Linda

Se faufile pour filer droit

De ses dix doigts !

Qu'elle enchante la la !

Fille qui active le fil

De la fille

Belinda !

Qui dit dans la file;

Elle est toujours belle Linda !

 

Jérôme de Mars

Vers cassés

 

 

    b                                                               v

     r                                                           e

     i                                                        r

     s                                                    s

9) E                                              D 10) 

 

    n                                          e  

     /                                       /

    e                                     L  8)

    t                                      e

7) V                                     s

     e                                    re

    rs                                    vers

 6) A moitié avide ! Qui fait les

             4) P       M 5)

                  l        a

                 a        i

                  i        s

                  n       m

                   t !      o

                   v       i

                   e       t

                   r        i

               2) L       é

                   e       A 3)

      1) Il ne vaut mieux voir 

 

 

 

                            18) C                                                                R 17)

                              a                                                                 E

                          s                                                                 V

                     s                                                                  e

                 é                                                                   r

           /   s  !                                                               s

15)  F                                                                      l

        ê                                                                  e      

        l                                                                s

        é                                                           f

        s                                                       a

        e                                                     i

        n                                                   t

        v                                             Q 16)

        e                                         u

        r                                       i

  14) Solitaires vers solidaires;

                      f       v

                     r        e   

                     a        r

                     c        s

                     a        c

                      s       e

                      s       s

                      é      V 13)

                      s      e

               12)  E      r

                       t      s

11)  En vers cassés; tracassés

 

 

Jérôme de Mars

J'défile électrique 

 

Dans un courant d'air;

Je suis sous l'emprise

Qui me fout en l'air !

Même dans une méprise

 

En prises de contact !

Qui me branchent; débranchent

Quand je foule l'contact !

Assis sur une branche;

 

Qui scie toute ma branche;

Je rétablis l'courant !

Avant que je flanche

Courant écœurant !

 

D'surprises en surprises;

Qui m'électrocutent !

Faisant une reprise;

Qui se répercute !

 

J'défile électrique

En fil électrique;

D'un court-jus statique;

Incident stoïque !

 

Qu'je pars en courant !

Pour remettre le fil

De tout le courant !

Pour que les gens filent

 

Et refilent très droit

Sans électrogène !

Sans y mettre les doigts

A cause de leurs gènes !

 

Anxiogènes sans-gêne;

Qui réfrènent ce monde !

Qui part fumigènes

En cause du tiers-monde 

 

D'ce monde sans aplomb !

Où manquent du jus

Qui pète tout les plombs

En Juju, dont j'eus !

 

J'défile électrique

En fil électrique;

D'un court-jus statique;

Incident stoïque !

 

Car y a un si dans

Trop diplomatique !

En un incident

Si symptomatique !

 

Où personne n's'entend !

Fils entremêlés;

Nul ne se comprend !

Qui va s'emmêler !

 

Et va s'en mêler !

Pile fée positive !

Ou va s'en charger !

Pile fait négative !

 

Les contraires s'attirent

En volt à la tire !

Volte-face qui étire

D'l'énergie à frire !

 

J'défile électrique

En fil électrique;

D'un court-jus statique;

Incident stoïque !

 

Jérôme de Mars

Parodie de la chanson Premiers Baisers avec Premier Baisé déchanté par Emmanuel Macron :

 

Premier baisé

 

Premier baisé sans changer du naufrage, dont c'était

Le désamour, cet amour qu'il vient d'éjaculer 

Ca s'renie pas quand c'est pas la première foi 

 

Premiers et mois, toi et moi cachés dans le brasier !

Premier en pire à souffrir quand tu m'as tant brassée

Ca s'renie pas quand c'est pas la première foi

 

Qu'il file un mauvais coton

Ce garçon sans compassion

Sans l'OTAN des soirs sans paix

Si peut être à jamais, qui l'essaie ?

 

Premier baisé sans changer du naufrage, dont c'était

Le désamour, cet amour qu'il vient d'éjaculer

Ca s'renie pas quand c'est pas la première foi

 

Premier sans gains un matin, à leurre des durs devoirs

Premier fragment en semblant sûr OK qu'il s'égare

Ca s'renie pas quand c'est pas la première foi

 

Ca s'renie pas quand c'est pas la première foi

 

Jérôme de Mars

 

Edith piaffe d'impatience quand Charles traînait Yves montant les escaliers !

 

Ne tarissant pas des loges

A l'Olympia de leur vie...

Qui édite à leur zénith !

Leur concert de louanges;

Edith piaffe d'impatience

Quand Charles traînait

Yves montant les escaliers !

En écrivant sur des feuilles mortes...

Des poèmes en pré-vers;

Roulant à bicyclette des mécaniques

Dans un appel d'air frais ! 

Décrivant nos petits vélos ! Car en effet;

Réussissons à trouver les mots !

Et rêvons de les écouter

A Paris sous le ciel de Paris !

Tel le gamin de Paris 

Sur les grands boulevards !

Comme maintenant,

C'est si bon de voir la vie en rose !

Tel un hymne à l'amour, non je

Ne regrette rien; emporté 

Par la foule de Milord 

A fond la caisse ! Avec

L'homme à la moto qui est

Mon manège à moi sur le carrousel

Du Louvre qui l'ouvre ce concert !

En chantant à-tue-tête ! A quoi

Ca sert l'amour avec mon légionnaire ?

A Paris enchantant : Padam Padam !

Quand Charles traînait sur les bancs

Publics fredonnant y a de la joie !

Dans un jardin extraordinaire !

Avec une hirondelle qui fait et 

Refait le printemps ! Empreint tant d'amour !

Qui entonne que reste-il de nos amours 

Le long de la nationale 7 ? Avec la mer

Agée qui dit boom ! Mon cœur fait

Boum à Ménilmontant lors de la romance

De Paris, où je chante en cette Douce France !

Le soleil et la lune pour revoir Paris !

Et l'âme des poètes à travers la route

Enchantée à la porte du garage ! Et

Depuis mes jeunes années quand j'étais petit !

Les enfants s'ennuient

Avec les oiseaux de Paris... Comme en Avril

A Paris dans un jardin du moi de Mai;

Paris, où j'ai ta main en fleur bleue ! 

D'où je déchante Hop ! Hop ! Au revoir les amis !

Comme Edith piaffe d'impatience

Quand Charles traînait Yves montant 

Les escaliers ! Remontant tous ensemble

Ce Paris gagnant !

 

Jérôme de Mars

 

 

La bonne humeur du temps

 

Humeurs bipolaires;

En ce monde polaire

Qui jette un froid !

Comme un éclair pas clair;

Lunatique et lunaire !

Où il ne faut pas manquer d'airs

De ses dix doigts !

Pour s'envoyer en l'air

Dans la bonne humeur du temps

Du printemps empreint tant exultant;

Arrivant à temps ! Pourvu que tout

Le monde se détend sans fourre-tout !

A l'approche du bon temps !

Grâce à un beau ciel bleu qui détend !

Remplaçant les dents de l'amer 

Par l'aidant de la mer !

Pourvu que la vie soit un long fleuve tranquille !

Metteur en Seine des lumières dans la ville !

En réussissant son Paris gagnant

Avec de la chaleur humaine qui détend

Amplement attisant !

Où il est plus que temps...

Qu'il y ait toujours autant au temps !

La bonne humeur du temps.

 

Jérôme de Mars

Si on faisait marché la vante !

 

Dans la lune du quartier de rue;

Il y a pour grand fond de commerce !

Le café du commerce qui fût

A l'affût l'endroit ! Où exercent

 

Les vendeurs au bagout serein !

Vendant en somme jetant un vent !

Qui ne vendent que du vent certain;

Parlant paroles d'argent content !

 

Dont l'objet du scandale ! Etait

L'argent fabriqué en argent

Invendable; insolvable effet

De l'inflation argent déviant !

 

La logique naît que commerciale

En cette politique libérale !

Sans de l'apolitique sociale;

Ramenant de la paix sociale !

 

Si on faisait marché la vante !

Surplace du marché de la vente;

Sur la place des marchés d'patente;

Abritant leur marché en rente  !

 

Pourvu que tous les gens en perdent

Leurs bourses de la bourse ou d'la vie !

L'argent c'est connu ! Fait tant perdre

Espoir en la vie dès la nuit !

 

Surtout quand l'argent des marchés

Fait marcher les gens en vidant

Toutes leurs bourses qui crashent leurs marchés !

En luisant et en reluisant

 

Leurs dents blanches à tous ces requins;

Qui n'en ont rien à cirer du

Parquet qu'ils font les arlequins !

Attendant indus tous leurs dus !

 

Qu'ils en jouent tous ces gros bouffons

Qu'de cinéma ! Pour en rejouer

La cause des injustices d'action !

Qu'ils surjouent la justice bouffée !

 

Si on faisait marché la vante !

Surplace du marché de la vente;

Sur la place des marchés d'patente;

Abritant leur marché en rente  !

  

Pour vider et dévider tout

En ce beau monde d'rafistolage !

Qu'ils font croire qu'ils jouent leurs vatout

En leurs atouts de bricolage !

 

En leurs brèves cyniques au comptoir;

Qui ne sont que des racontars

En bruits de couloirs d'purgatoire !

Qu'ils déchantent tout leur blues trottoir !

 

Votant; revotant en démarche !

La République en marche d'Macron !

Pivotant gauche et droite de marche !

La République en marge d'mission !

 

Faisant marcher d'un bras d'honneur

Leurs rancœurs en ce monde immoral !

Qui reproduit les mêmes erreurs !

Parce-qu'il fait toujours aussi mal !

 

Si on faisait marché la vante !

Surplace du marché de la vente;

Sur la place des marchés d'patente;

Abritant leur marché en rente !

  

Jérôme de Mars

Pistache !

 

Import

D'attache !

Export

D'à tâche !

 

Tache d'vin !

T'es une tâche

Devin !

Qui fâche

 

Ta tache

D'attache !

Et saches

Qu'ta tâche !

 

Te tache

D'une tâche !

Et tâche

D'à tache !

 

Pistache !

T'attache !

Port d'tâche !

Ta tache !

 

Te fâche;

Te lâche

D'Apache !

D'panache !

 

Et sache !

Qu'ta tâche !

Attache

Ta tache !

 

Qu't'attaches

D'vinaigre !

D'une tâche

De pègre !

 

Qui t'tâche

Entache !

D'une tache

En tâche !

 

Pistache !

T'attache !

Port d'tâche !

Ta tache !

 

Qu't'entaches !

Et tâche

En tache !

Toi tâche !

 

D'attache !

Ta tache !

D'à tache !

Ta tâche !

 

Et tache 

Ta tâche !

Et lâche 

Ta tache !

 

En slash 

Qu'tu taches !

En lâche

Qu'tu tâches !

 

Pistache !

T'attache !

Port d'tâche !

Ta tache !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

L'amour ADN

 

Effet du grand amour;

Il fait un beau ciel !

Aux travers des jours;

Qui font l'arc en ciel

 

Entre haine et amour ! 

Les deux font la paire

Au tour des détours !

Les deux font l'impair !

 

En un tue-l'amour !

Qui s'fait dès la mue !

Qui fait que la cour

Des hommes sème émue !

 

Des seins animés

Du manga Lamu !

Aux seins détrempés !

Période de la mue !

 

L'amour ADN

Respire que la haine

D'amour chaque semaine;

Aventure sereine

 

Et humaine d'la vie !

Effet coup de foudre

Faisant une folie !

Qui saupoudre de poudre

 

D'escampette l'amour;

Racontant fleurette

Le fleuret d'l'amour !

Contant la Florette !

 

Remontant aux eaux

De Manon des sources;

Glissant l'joli mot

De toutes ses ressources !

 

Refaisant d'un 

Sacré tue-l'amour !

Un plus un fée hein

Poème troubadour !

 

L'amour ADN

Respire que la haine

D'amour chaque semaine;

Aventure sereine

 

Il faut ne faire qu'un

Autour de l'amour !

Duo lendemain !

Qui fait les beaux jours

 

De la cour des grands !

Qui se font la cour !

Comme tous ces géants

Qui font que l'amour !

 

Grattant leur guitare

Depuis leurs fenêtres

Sur cour tintamarre !

Ecrivant une lettre

 

A l'effigie de 

L'amour qui condense

L'essentiel de ceux;

Qui donnent d'importance !

 

L'amour ADN

Respire que la haine

D'amour chaque semaine;

Aventure sereine.

 

Jérôme de Mars

 

 

Pas de bol !

 

Tasse d'café !

C'est ta tasse

De tes thés !

Que t'amasses

 

Pour téter

Tout ton lait !

Pour débiter

Ton café !

 

Que tu bois

La tasse d'lait !

Qu'tu la bois

Elle au lait !

 

A fond la

Caisse d'argent !

Tréfonds là !

Caisse contant !

 

Pas de bol !

En bémol !

Qu'des paroles !

D'parabole !

 

Si tu lis

Dans le marc

De ton tee !

T'en as marc

 

D'ton café !

Au café

Qu'tu te barres !

Sans code-barres;

 

C'est ta tasse

De ton thé !

Qu'ton café

Boit la tasse !

 

Qu'tu t'entasses

En ton thé !

Déboires d'tasse !

Salon d'thé !

 

Pas de bol !

En bémol !

Qu'des paroles !

D'parabole !

 

Que t'en as

Ras-le-bol !

Quand tu as

Que du bol !

 

En une coupe; 

Coupe au bol !

Que tu coupes

Tout ton bol !

 

En bol d'glace

Que tu manges

Toute ta glace !

Qui t'démange !

 

T'en as marc

D'ton café !

Comme du marc

Au café !

 

Pas de bol !

En bémol !

Qu'des paroles !

D'parabole !

 

Jérôme de Mars

 

Une chanson magique

 

D'un coup de baguette

En coup de chapeau;

Je montre mes facettes

En sortant mes mots !

 

Posant des lapins;

Rendez-vous ce jour

Avec mes copains !

Pour leur faire des tours

 

Tel un troubadour;

Qui mène la baguette !

Drôle d'oiseau vautour

Depuis belle lurette !

 

Malin l'enchanteur !

Félin d'escogriffe;

Tel un amuseur

Pudique chat ses griffes !

 

Une chanson magique;

Cent sons frénétiques;

Paroles féériques;

Vautours pacifiques;

 

Je sors un oiseau

De mon grand chapeau !

Que je fais l'oiseau

En un coup de chapeau !

 

Sans prises de becs d'lièvre !

Je sors des lapins !

Qui sont des lièvres mièvres;

Posant des lapins

 

D'un coup de baguette

Magique d'mon chapeau !

Que je conte fleurette

Avalant mon chapeau !

 

Où je dis chapeau !

A vos tous d'magie !

Dans le chapiteau !

C'est à la folie !

 

Une chanson magique;

Cent sons frénétiques;

Paroles féériques;

Vautours pacifiques;

 

Pour une amourette 

A l'eau claire de roses !

Que j'montre mes facettes

De ma vie en rose !

 

Car quand on n'aime;

On n'compte pas la baguette

De pain béni en nem !

Menant la baguette !

 

Magique symphonique

D'musique harmonique;

Effet synchronique;

J'réalise mystique

 

Mon tour de magie

Devant ma télé !

A mon tour d'magie !

Car deux vents telle est !

 

Une chanson magique;

Cent sons frénétiques;

Paroles féériques;

Vautours pacifiques.

 

Jérôme de Mars

Je décolle l'air des colères !

 

D'un caractère bien trempé;

Je ne me suis pas trompé,

En ayant le cuir épais

De tout mon grand camouflet !

 

Qu'est hélas toute ma folle vie !

Que je me perds guère des nerfs

De la guerre à la folie !

Où je ne manque pas trop d'airs !

 

Même que je déroule les R !

Dans toute ma colère à l'ire

Dans mes yeux ci délétères !

Que mes yeux transpirent l'martyr !

 

Du pire dans toute ma satire !

Pour que ça tire sans l'meilleur !

Que mes yeux n'ont du collyre

Pour lire en si grand malheur !

 

Je décolle l'air des colères !

Que je vais me mettre en colère !

Avant de me foutre en l'air !

En prenant un courant d'air !

 

Dans un appel d'air au frais !

Prenant un bol d'air lunaire !

Bon à l'air frais qui m'offrait

Des airs austères réfractaires !

 

Que j'ai la haine dans mes veines !

Avec l'envie de crever 

Dans toute la veine de ma haine;

A gueuler et engueuler !

 

La gerbe d'mon jardin secret

Dont j'ai envie de gerber

D'insanité affûtée !

Toute ma vie en camouflet !

 

Que j'ai la rage dans mes yeux !

A ne plus rien croire à Dieu !

Que je m'entaille miséreux !

A ne plus rien croire radieux !

 

Je décolle l'air des colères !

Que je vais me mettre en colère !

Avant de me foutre en l'air !

En prenant un courant d'air !

 

Que je suis désabusé !

D'avoir été abusé !

Dans ma gentillesse innée

En maladresse clairsemée !

 

Et essaimée d'naître aimé !

Transgenre un grand mal-aimé !

Qui émet à en semer

Une vie qu'il n'a pas aimé !

 

Faute d'avoir tant désiré

N'être au monde dans un bien-naître !

Pour être celui qui émet

Un hêtre respirant l'bien-être !

 

A paraître quelqu'un d'heureux !

L'malheureux ou mâle heureux !

Insidieux ou ainsi Dieu !

Faute de mieux d'être un si pieux !

 

Je décolle l'air des colères !

Que je vais me mettre en colère !

Avant de me foutre en l'air !

En prenant un courant d'air !

 

Jérôme de Mars

Le chien à bois, le car à vannes passe !

 

Chienne de vie avec des caravanes

Dans la clairière,

Comme un hait clair !

Le chien à bois, le car à vannes passe !

Qu'une nouvelle succède à une autre !

Sans prendre garde aux vôtres

Dans ce monde de fous !

Que tout le monde alloue en relou !

Pourvu que l'immonde repasse !

Et que se fasse à pile ou face !

Un chat qui sort les griffes !

Car face à ce monde d'escogriffe !

Le chien à bois, le car à vannes passe !

En vannant dans la chambre des secrets !

Tout ce qui paraît étranger

Et de pourquoi le monde part à vau l'eau !

Sans se dire allo ! Que me racontes-tu de beau ?

Et de pourquoi tout le monde s'en fout de tout !

Sans garde-fous dans ce monde de ripoux !

Car quoiqu'on fasse !

Le chien à bois, le car à vannes passe !

Dans l'indifférence de la loi du silence !

Et à partir de quand;  y aura-t-il la résilience

En urgence comme tout fout le camp !

Dans ce monde qui se crève les tympans !

En malentendus d'une époque dissolue !

Que tout le monde vote absolu éperdu

Dans la déraison en manque d'action !

D'une époque baroque en rébellion !

Et que faudrait-il dire pour ne plus se médire ?

Et faudrait-il rire sans se maudire

A Vannes sans que le chien aboie

Et que la caravane passe en langue de bois ?

Et si tout le monde décrétait en surface

Dans une façade d'un pas las !

Le chien à bois, le car à vannes passe, surpasse !

Et outrepasse en impasse !

 

Jérôme de Mars

L'eau qui surfe sur la mort de sa mer !

 

Au creux de la vague d'un vague à l'âme !

L'eau fait des ronds et des clapotis

Sur l'eau qui rame dans la nouvelle vague !

Faisant rougir les poissons en vie;

 

Qui sont en nage au bout du rouleau

De vagues ! Dansant dans tout le bocal !

Déclenchant la sirène du ghetto,

Oh ! Qu'il fait chaud à l'eau animale !

 

Avec des dents de requins voraces;

Voulant que la mort soit reine dauphine !

Tenace et coriace qui à vos races !

Veut la peau de la reine mer féline !

 

Buvant les déboires d'la mer âgée;

Qui subit la pression des baleines

Parties de l'iceberg immergé  !

Faisant la mer en son bas de laine !

 

L'eau qui surfe sur la mort de sa mer !

Allant d'essais en décès lunaires;

S'rendant tout à fait compte que sa mer

Lui manque en ses relations solaires !

 

Et même si la mer semble névrotique;

Lunatique ou bipolaire en fête;

Elle attend l'océan pacifique

Pour montrer toutes ses diverses facettes, 

 

Et même si la vie n'est un long fleuve tranquille !

La mer paraît douce à mer aigre-douce !

Et même si l'envie naît un long fleuve tranquille!

L'amer s'émousse et mousse dans la mousse !

 

Faisant mousser tous les avantages

En nature sur à terre nette ! D'un air

Net restant dans les parages pas sages

De la vie au grand air salutaire !

 

Respirant l'embellie pulmonaire;

Qui génère et se régénère chic !

Avec tous ses congénères d'eau claire !

En hommage; la mer veut toute sa clique !

 

L'eau qui surfe sur la mort de sa mer !

Allant d'essais en décès lunaires;

S'rendant tout à fait compte que sa mer

Lui manque en ses relations solaires !

 

Et en attendant toute la lumière

Autour de cette affaire; il faut se

Méfier de l'eau qui dort ! En éclair !

Où sur ce; il faut panser à ceux

 

Qui ont la chance d'avoir leur belle mer !

Sans regrets ah mer ! Le long déroute !

Il faut déclencher la sirène mer !

Avant que la mer fasse banqueroute !

 

Pour que les paroles ne soient bémol !

Et pour que tout baigne bien au présent !

Si les paroles s'baignaient en baie molle 

Avec à présent un simple présent;

 

Qui serait le plus beau des cadeaux !

Pour en faire un bel eldorado

Sur la terre mer ferme, sans qu'elle renferme

Et ne se renferme d'un air si ferme !

 

L'eau qui surfe sur la mort de sa mer !

Allant d'essais en décès lunaires;

S'rendant tout à fait compte que sa mer

Lui manque en ses relations solaires !

 

Jérôme de Mars

 

 

L'été qui brise l'hiver !

 

Aux aurores d'une bâtisse;

Il y a le vent Indien !

Qui frémit comme Matisse;

Qui peint l'été Indien !

 

Dans les rivages d'été

De Beausoleil; la ville

Qui peint; repeint le vrai

Du faux à l'air tranquille !

 

Que dure l'été ! Tantôt !

Sitôt que le soleil 

Resplendit sirocco !

Comme le vent éternel !

 

Qui chante les ritournelles !

L'été de chaque saison;

Avec une passerelle

Qui chante en oraison !

 

L'été qui brise l'hiver !

Dans l'art et la manière !

Malgré les vents contraires

De la grande brise légère;

 

Employant tous les mots divers;

Qui se rappellent au temps !

Déployant tous les maux d'hiver !

Qui l'en appellent autant

 

Se suspendre tout le temps

En café suspendu !

Pendant que tous les chants

Divers sont soit des pendus !

 

Soit des temps détendus !

Avec l'eau à la bouche !

En un été féru

D'sable mouvant qui fait mouche !

 

Les attrapant avec

Du vinaigre ! Très aigre-doux

En des grosses prises de becs !

Tournant au vinaigre fou !

 

L'été qui brise l'hiver !

Dans l'art et la manière !

Malgré les vents contraires

De la grande brise légère;

 

Sans employer des mots

Secs qui sont si pète-secs !

Guettant l'eldorado,

Dont l'enfer; il l'débecte !

 

Qu'il écrive l'inventaire !

Pourquoi le soleil paraît

Si vieux dans un enfer

Dense, alors qu'il promet

 

De rester jeune en cieux

Pour déjeuner en mer !

Sans déguster anxieux !

L'jeûne qui le met à terre 

 

Au lieu d'une carte vermeille;

Si le temps commettait

A la carte du soleil !

L'buffet à volonté !

 

L'été qui brise l'hiver !

Dans l'art et la manière !

Malgré les vents contraires

De la grande brise légère.

 

Jérôme de Mars

 

Madame sans chaise

 

En mon enfance

Dans mon école

Sans innocence;

J'étais en colle

 

Dans de la glu

Sans mes papiers;

Dans de l'alu

En mes papiers;

 

Au père la chaise

Sans cimetière;

Mon père à chaise

Fit les poussières

 

Sans mon instit;

Telle est ma prof !

Que je l'évite

La trouvant beauf !

 

Madame sans chaise;

Qui n'eut de chaise !

Madame Sanchez

Fut très à chaise !

 

Son accident;

Son bras cassé !

Dans l'Occident;

Des bras cassés !

 

Que tous ses cours

N'tenaient debout !

L'année en cours;

Je fus à bout !

 

D'sa sévérité !

Qu'elle en gueulait

Toute sa vérité !

Qu'elle m'aboyait

 

Ma chienne de vie !

J'pris des gamelles;

J'dénichais d'envie

De m'faire la belle !

 

Madame sans chaise;

Qui n'eut de chaise !

Madame Sanchez

Fut très à chaise !

 

Qu'elle m'effaçait

De son tableau !

Qu'avec sa craie;

J'en fus l'idiot !

 

Du grand virage

A cent degrés;

Qu'alliant rivages

Et sans regrets;

 

Je fus méchant

Dans toute la ville !

Dès maintenant;

Mes chants si vils !

 

Pour n'être l'idiot

Du village ! Qui dit

En dernier mot;

Celui qui crie !

 

Madame sans chaise;

Qui n'eut de chaise !

Madame Sanchez

Fut très à chaise !

 

Jérôme de Mars

 

 

Embarquez à bord de la poésie !

 

Si vous meniez votre barque ! En embarquant

Sur l'bateau de la fontaine jaillissant !

Que l'avenir appartient à ceux

Qui s'élèvent tôt vis-à-vis des cieux !

 

Qui écrivent le roman de leur vie ! 

La bande originale de leur vie qui clame;

Que l'eau de vie chérit et renchérit

La poésie; qu'elle rend chérie en drame !

 

Faisant couler beaucoup d'encre moussaillons !

Que nous émoussons et moussons plaisants !

Tous; nous arrimons et nous assaillons

Le bateau en sanglots dès l'firmament

 

Interstellaire; place essentielle au ciel !

Pour gratter l'arc en ciel et le rendre fier

D'appartenir à la grande passerelle;

Chers poètes Rimbaud; Verlaine; Baudelaire !

 

Embarquez à bord de la poésie !

En vous enivrant tant de frénésie;

De baisers embrassés de belle orgie;

Prenant la poudre d'escampette de tous pays !

 

Comme la Géorgie; un état uni

Dans la poésie de toute l'Amérique,

Virant; dérivant de bord la folie

Des poètes bipolaires et névrotiques;

 

Parlant cocu érotique de bohème !

Qu'ils veulent de la reconnaissance fleurant

Au cours fleurant une fleur bleue pour qu'elle l'aime;

Qu'elle aime qu'il aime sans vague à l'âme flirtant

 

Ses retranchements en des calligrammes

Du dessein de Guillaume Apollinaire;

Avec au programme des poèmes bigames;

Ou monogames game aux vers; vers revers

 

A la frontière schizophrène excessive;

D'une vie poète mer au creux de la vague !

Qu'elle change toute la poésie expressive 

En une bohème dépressive qui élague !

 

Embarquez à bord de la poésie !

En vous enivrant tant de frénésie;

De baisers embrassés de belle orgie;

Prenant la poudre d'escampette de tous pays !

 

Répondant à la drague du capitaine 

De ce navire avant qu'il ne chavire !

Comme à chaque jour suffit d'accord toute peine !

Que les poètes sont imposteurs en sbires !

 

Jouant imaginaire en note salée

Sur un piano; un prélude composé

De sa mélancolie décomposée;

D'abord intégrée et désintégrée !

 

Qu'elle file; en file et refile le cafard

A un paradis d'enfer fataliste !

Lui racontant d'incroyables folles histoires

D'un autre temps se réclamant luit altruiste !

 

Passant l'audition en malentendus !

Il y a le bouche à bouche à grandes oreilles !

Qui met la puce à l'oreille du soleil !

Sciant l'érudition ! Car bien entendu !

 

Embarquez à bord de la poésie !

En vous enivrant tant de frénésie;

De baisers embrassés de belle orgie;

Prenant la poudre d'escampette de tous pays !

 

Jérôme de Mars

Le carnaval déballe !

 

Bas les masques qui me masquent;

Je porte un masque qui cache

Mon ressentiment d'frasques !

Que je parle toujours cash !

 

Masquant mes sentiments

Lors de chaque bal masqué !

Que j'ouvre le bal clamant

Que je ne veux être moqué

 

En mes fausses apparences,

Quand je déporte mon masque !

Occultant turbulences

En silence de mes frasques

 

Du carnaval d'Rio !

Rio bravo Brésil !

Je m'en vais faire l'idiot

Au village qui frétille !

 

Le carnaval déballe !

Que c'est moi qui ouvre l'bal !

Le carnaval des bals !

Un poète à deux bals !

 

Bal masqué faux semblants !

Bravant mes vieux démons

Dans le Midi sans gants;

Sans glands passant les ponts

 

En costumes sur mesures;

Défilant mes facettes

Et par démesure;

En filant mes fossettes;

 

Sous un pseudo masque

Que je porte et rapporte

En cachant toutes mes frasques;

Qui font du porte à porte !

 

En tout que je colporte

Que tout ça effet mouche !

Du coche en des cloportes;

Genre un rebelle manouche !

 

Le carnaval déballe !

Que c'est moi qui ouvre l'bal !

Le carnaval des bals !

Un poète à deux bals !

 

Qui fait louche; revoit louche

Bigleux ne voyant bien

Dans toute sa vie ! Qu'il couche

Papier à musique sain !

 

Sans être dans un essaim;

Qui lui fait justifier

La fin a des moyens

Pour rien ! Que ça le fait

 

Hurler en toute colère !

Que lui vient l'air de rien !

Un air qu'il décolle l'air !

Faisant d'un rien l'entrain !

 

D'ses costumes sur mesure !

Qu'il se déguise pour ça !

Qu'il aiguise ses fêlures;

A sa guise cachant ça !

 

Le carnaval déballe !

Que c'est moi qui ferme l'bal !

Le carnaval des bals !

Un poète à deux bals !

 

Jérôme de Mars

Jules fait rire !

 

A l'école

De la vie !

Pot de colle;

Je ne vis

 

L'passage

Obligé !

Moi pas sage !

D'y aller

 

A l'école

De ce vice;

Qu'on me colle

Des sévices !

 

Me harcèlent

Tout scolaire !

J'me recèle

Non solaire !

 

Jules fait rire !

Que ça tire !

En sourire !

Mon martyr

 

Qu'on me prend

Différent !

Qu'ma colère

Décolle l'air !

 

Tel un bouc

Emissaire !

Ca sent l'bouc

Commissaire !

 

A Epin;

Je n'ai eu

Qu'des pépins

Dans l'alu !

 

Renfermé

Cellophane;

Je fermais

L'cœur en panne !

 

Jules fait rire !

Que ça tire !

En sourire !

Mon martyr

 

Que je suis tombé

En dépanne 

D'retombées !

Qui me fanent 

 

Qu'à p'tit feu !

Je ne crois

Plus en Dieu !

Que je croîs

 

J'ai grandi

D'un seul coup !

Arrondi

Quatre cent coups !

 

Cas décollent !

Que j'ai fait

Cas des colles !

Dont des faits !

 

Jules fait rire !

Que ça tire !

En sourire !

Mon martyr.

 

Jérôme de Mars

 

Un ver deux cafés

 

Café du commerce;

J'y vais d'habitude

Chaque jour que j'exerce

De ma solitude !

 

Que l'addition est

Salée ! Sans enfance

Sucrée; à jamais

Aguerrie d'offense !

 

Pour tout oublier

Je m'éclipse en une

Dans l'obscurité !

Qui m'éclipse en lune

 

D'humeurs bipolaires !

Que je prends mon temps !

Regardant la lumière

En mon ombre et pends !

 

Un ver deux cafés;

C'est ma tasse de thé !

Que boire mon café

N'est ma tasse de thé !

 

Que je fais salon

Pour roter ôter

Genre que nous savons

Tout de la clarté !

 

De ce monde obscur

Entre ombre et lumière !

Malgré ma nature

Qui naît toujours claire !

 

En désinvolture!

Genre rien à péter !

De tout en pâture !

Que je veux jeter 

 

Et rejeter tout !

Je m'en fous de tout !

Malgré mes atouts;

Jouant mon vatout  !

 

Un ver deux cafés;

C'est ma tasse de thé !

Que boire mon café

N'est ma tasse de thé !

 

Que je veux causer

De tout et de rien !

Mais avec respect;

Avec de l'entrain !

 

Prenant tout mon temps !

Restant au café;

En passant le temps

De tout siroter

 

Des échecs d'ma vie !

Qui font qu'à petit

Feu ! je perds l'envie

De vivre d'appétit !

 

Et pour prolonger

Tout le temps qui dure !

J'amène des idées

Qui rentrent dans le dur !

 

Un ver deux cafés;

C'est ma tasse de thé !

Que boire mon café

N'est ma tasse de thé !

 

Jérôme de Mars

Le fou allié

 

Fou déchantant !

Comme Charles traînait

Dans son jardin 

Secret charmant !

 

Je chante ce slam !

Qui est le drame

D'ma vie en flammes !

Que je déclame

 

Toute ma colère !

En un soleil

Très ordinaire;

Que je crécelle

 

Le prie d'ma vie

Interalliée !

Que je dévie

Pour en rallier

 

Le fou allié;

Je suis à lier !

Qu'on s'en fout lié !

Allier allié;

 

Que je demande

En bon ami !

L'asile d'offrande !

Que je rallie

 

En course d'rallye;

Ma vie d'ennuis

A la folie !

Indéfinie 

 

En bout de course !

Je suis à bout !

Qu'on dit of course

En mots tabous !

 

Que je demande !

Suis-je un grand fou;

Genre je quémande

Dont on s'en fout ?

 

Le fou allié;

Je suis à lier !

Qu'on s'en fout lié!

Allié rallié;

 

Qui s'en soucie

De cet ami ?

Inné sous X;

Cet ennemi

 

Qui veut montrer

Qu'il existe tel !

Pour démontrer 

Qu'il subsiste tel !

 

Or ! D'untel à

Untel ! Ils semblent

Vrais ses éclats !

Qui font qu'il tremble

 

Que tous s'en foutent

De lui tout ouï !

Comme il se shoote

En ses soucis !

 

Le fou allié;

Je suis à lier !

Qu'on s'en fout lié !

Allié rallié.

 

Jérôme de Mars

Un arc en ciel sous la pluie

 

Tir à l'arc en ciel ! Une cible

Indicible fait un dix d'chute !

Qui vise et irréversible !

Indice de chute qui rechute !

 

Pour réviser plein le cœur !

Décocher la flèche d'l'amour

Cupide dont ! Frappe de rancœur

Qui vaut chaque jour le détour !

 

A embrasser de baisers;

Les lèvres qui voient rouge des femmes

De leurs rouges à lèvres sucrés;

Rallumant l'amour en flamme !

 

Qu'il pleuve; qu'il vente ou qu'il pleure !

Eau transie d'amour qui flirte !

Il faut se faire du bonheur !

Tout propre et le tout sans heurts !

 

Un arc en ciel sous la pluie;

Puise et épuise l'eau du puits !

Amusant la galerie !

Epuise; puise depuis et puis !

 

Il y a un si grand soleil !

Puisque telle est cette belle série !

Qui fait des merveilles vermeilles

Au soleil; qui donne envie

 

D'acheter dans le rayon

Du ciel; des articles vivants

Barbouillant en un crayon

De couleurs feutrées; fleurant

 

Bon l'oasis dans le ciel

En des ramages sans mirages;

Reparlant universels

Autour affable du passage

 

De la vie des anges gardiens !

Cherchant l'âme sœur en douceur !

Dans la fraîcheur du jardin

D'Eden, et d'un bon seigneur;

 

Un arc en ciel sous la pluie;

Puise et épuise l'eau du puits !

Amusant la galerie !

Epuise; puise depuis et puis !

 

Soignant la dent de son eve !

De par la grâce de l'amour!

Qui élève Adam et Eve;

Ses élèves, et dès le jour;

 

L'eau roucoule et fait une chute !

Qu'elle dit chute du Niagara !

Prenant des grands airs de flûte !

La chute du groupe Niagara;

 

Et même si à chaque Noël !

Y a la trêve des confiseurs !

Chantons tous une ritournelle !

Qu'il y a le rêve des faiseurs

 

De merveilles; tout un soleil !

Si on chante tous sous la pluie !

Et qu'on vieillit en vermeil

A la carte ! Que dès la nuit,

 

Un arc en ciel sous la pluie;

Puise et épuise l'eau du puits !

Amusant la galerie !

Epuise; puise depuis et puis !

 

Jérôme de Mars

 

 

La clé de la solution

 

Dès ce slam ouvert aux vers;

Je ne me renferme si ferme !

En écrivant à l'envers,

Comme si j'avais une grande perm' !

 

Pour donner tout mon accord !

Afin que mes mots soient mis

En musique en vers raccords;

Hein soumis et insoumis !

 

Ayant comme résolutions;

No problem; y a pas d'problèmes !

Il n'y a que des solutions !

En de la musique bohème !

 

Avec les problèmes d'Antoine,

Dont j'écris très à cheval !

Tout l'avoine de Marc Lavoine;

Qui dévale de val en val !

 

La clé de la solution;

Avec en adéquation

Que de bonnes résolutions !

Egrénant en équation;

 

Les belles élucubrations

D'Antoine style années 60;

Avec pour faire diversion

Des chansons de l'an 40;

 

En parlant argent contant

Sans que ça ne craque 40 !

En parlant argent comptant

Dès le krach du CAC 40 !

 

Si on parlait la journée

Des chansons ! En fredonnant

Des ballades réenchantées !

En sifflant; en embrassant !

 

Les lèvres des femmes bec de lèvre !

Parlant en leur musique mièvre;

La fièvre de l'après-midi !

Car jusqu'au démon d'Midi !

 

La clé de la solution;

Avec en adéquation

Que de bonnes résolutions !

Egrénant en équation;

 

Pour passer de bonnes années,

Pourvu qu'elles restent à la mode !

Sans des années surannées;

Dépassées l'effet de mode !

 

Alors que la nostalgie

Reste tout le temps à la mode !

Donnant que des mélodies

Légères; songeuses et commodes !

 

Pour que tout se raccommode

Autour d'une clé d'porte ouverte !

Sans jamais être à la mode !

J'appelle d'air fenêtres où vertes !

 

Composition au piano

Avec plusieurs notes salées;

Donnant l'envers du dico !

Pour tout ancrer; amarrer

 

La clé de la solution;

Avec en adéquation

Que de bonnes résolutions !

Egrénant en équation.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                   Au je des 10 questions d'indices de chute !

 

Voici Geronimo qui interroge Jérôme au je des 10 questions d'indices de chute !

 

1)  Jérôme; n'y a-t-il que des solutions ou que des problèmes dans la vie ?

   Jérôme :  "  -  Malgré les problèmes; je pense qu'il n'y a que des solutions aux                               problèmes car no problem en résolutions dans la vie ! "

 

Voici Jérôme qui interroge Geronimo au je des 10 questions d'indices de chute !

       

2)   Geronimo; la vie est-elle un paradis d'enfer ou hait-elle un enfer du paradis ?

    Geronimo : -  " Je pense que la vie est une dame d'en faire du paradis ! "

 

3) Voici Geronimo qui interroge Jérôme au je des 10 questions d'indice de chute !

       Jérôme; dans la vie avec les gens; faut-il jouer cartes sur tables ou jouer aux cartes sur tables ?

   Jérôme : - " Je pense que dans la vie avec les gens; il faut jouer cartes sur tables en ayant toutes les cartes en main surtout sans joker avec son meilleur ami ! "

 

4)  Voici Jérôme qui interroge Geronimo avec cette même question au je des  10 questions d'indice de chute ! 

      Geronimo; dans la vie avec les gens; faut-il jouer cartes sur tables ou jouer aux cartes sur tables ?

    Geronimo :  -  " Joker; j'ai perdu toutes mes cartes que j'avais en main en jouant au meilleur rami ! "

 

5)  Voici Geronimo qui interroge Jérôme au je des 10 questions d'indice de chute !

      Jérôme; es-tu de gauche ou de droite ?  

      Jérôme : -  " Ni de gauche ni de droite ! Je préfère qu'on recentre le débat sans être le centre du monde même si je suis centriste ! "

 

6)    Voici Jérôme qui interroge Geronimo avec cette même question au je des 10 questions d'indice de chute :

       Geronimo; es-tu de gauche ou de droite ?

       Geronimo :  - " Je me radicalise en montant au front dans un rassemblement national en prenant le gauche à droites toutes en centre triste ! "

 

7)  Voici Geronimo qui interroge Jérôme au je des 10 questions d'indice de chute :

      Jérôme; panses-tu qu'il vaut mieux dire un mensonge qui rassure ou une                vérité qui fait mâle ?

      Jérôme :  -  " Je panse qu'il vaut mieux dire lors de l'heure de cette vérité; une vérité enjeu de cette vérité qui fait mâle ! 

 

8)  Voici Jérôme qui interroge Geronimo avec cette même question au je des 10 questions d'indice de chute :

       Geronimo; penses-tu qu'il vaut mieux dire un mensonge qui rassure ou une vérité qui fait mal ?

        Geronimo : - " Je pense qu'il vaut mieux dire lors d'un leurre de cette vérité; un mensonge en jeu de cette sévérité qui fait mal ! " 

 

9)  Voici Geronimo qui interroge Jérôme au je des 10 questions d'indice de chute :

        Jérôme; panses-tu que le paradis s'attend à laisser Lucie faire ?

        Jérôme : -  " Je panse que le paradis s'attend à ce que Lucie ne laisse pas                                    Lucie faire tranquille ! "

      

10) Voici Jérôme qui interroge Geronimo avec cette même question au je des 10 questions d'indice de chute :

       Geronim o; penses-tu que le paradis Satan à laisser Lucifer ?

       Geronimo : -  " Je pense que le paradis Satan à ce que Lucie laisse Lucifer

                                tranquille ! "

 

 

Voilà la chute de l'histoire au je des 10 questions d'indices de chute !

 

 

                                             Jérôme de Mars                                                                          

Le mélange des gens

 

Trance genre tous les genres;

Quel est le genre de

Ces gens qui font genre ?

En faisant la queue !

 

Du mélange des genres !

Entre les échangistes

Et tous les transgenres !

Que des hédonistes;

 

Qui entrent et qui sortent !

Se faisant du bien !

Par où ça passe d'sorte !

Refaisant du lien !

 

Qui s'y frotte s'y pique !

En manche à balais;

Pénétrant tropique

Dimanche ! Déballez !

 

Le mélange des gens;

Qui s'mélange charmant!

Sensuellement;

Sexuellement;

 

A boucher les trous !

S'il y a des bouche-trous !

Entrant dans les clous !

Casse-cous à casse-couilles !

 

Qu'ils se vident les fouilles !

Le fameux grand soir !

Entre toutes ces fripouilles;

Qui se plotent en foire !

 

Et s'tripotent ! Donnant

L'eau à la bouche-bée !

Epurant sortant

Leur crème fraîche baisée

 

Qui 'fait que baiser !

Rentrant et sortant

Leur sexe aux baisers !

Tout dégoulinant

 

Le mélange des gens;

Qui s'mélange charmant !

Sensuellement;

Sexuellement;

 

Quand les femmes aiment ça !

Se faire tant rentrer

L'sexe qui débite leur joie

D'éclats pénétrés !

 

Fous-leur chaud bien là !

Par leurs poils du cul !

D'un coup pas à pas !

Moussant qu'au cul !

 

Très poil à gratter !

Sinus à l'anus;

Tout éjaculé !

Pourvu qu'il en susse;

 

Suce tous les bonbons !

En sortant les griffes

De chattes ! Que c'est bon !

V'là d'un coup canif !

 

Le mélange des gens;

Qui s'mélange charmant !

Sensuellement;

Sexuellement.

 

Jérôme de Mars

 

D'où l'heure

 

Cent mal;

La vie

Donne mâle

En vie !

 

Qu'elle est 

Une heure!

Qu'elle hait

Un leurre !

 

Qu'elle n'est

Un rêve !

Qu'elle naît

Une grève !

 

Qu'elle semble

Finie !

Qu'elle tremble

Ternie !

 

D'où l'heure;

Douleur;

Douce sœur;

Douceur;

 

Minceur

Par cœur !

Mince sœur

Rancœur !

 

La vie

Passe vite !

Des vies

L'évitent !

 

Sans blanc

Heureux !

Semblant

Heureux !

 

Qu'on croit

D'espoir !

Qu'on croît

D'espoir !

 

D'où l'heure;

Douleur;

Douce sœur;

Douceur;

 

Qu'on panse

Les plaies !

Qu'on pense

Replay !

 

Dépenser

Futile !

Des pensées

Utiles !

 

En mal

Heureux;

En mâle

Heureux;

 

Paraître

Des sangs !

Par être

Décent !

 

D'où l'heure;

Douleur;

Douce sœur;

Douceur.

 

Jérôme de Mars

Un nanti douleur

 

Entretien imaginaire du lundi 6 Février 2023 au CMP de Vitry-sur-Seine entre Madame Teillet; psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine et Monsieur Jérôme Bedrossian; impatient au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Madame Teillet; psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Monsieur Bedrossian; comment vous portez-vous ? Quelles sont les nouvelles ? S'il y a des nouvelles; j'espère qu'elles sont bonnes Monsieur Bedrossian ! N'est-ce-pas ? "

 

Monsieur Jérôme Bedrossian; impatient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Madame Teillet; ça peut aller même si c'est toujours tant bien que mâle mon état ! Vous voyez Madame Teillet; je fais des crises de parano dans la rue et je me sens tout le temps persécuté ! Et en plus; vous voyez le soir; je fais souvent des coups de déprime avec la routine quand survient et surgit la nuit avec chacun chez soi tout seul; et sans arrêt le soir; j'ai désaxé de colères des accès ! Suivant vos recommandations; je ne prends pas trop de Xanax pour ne pas être un drogué du Xanax et aussi pour ne pas être shooté par les médicaments comme vous me dites régulièrement que tous les médicaments qu'on m'a prescrits avant au CMP et que je prenais m'ont rendu assez toxicomane alors qu'au CMP; je n'ai jamais dit que mes psychiatres étaient des dealers comme chacun voit midi à sa porte dès l'heure de vérité où je me répétais sans arrêt à chaque fois que j'avalais un Xanax; Jérôme dis l'heure où tu te shootes au Xanax ? Madame Teillet; vous voyez; il me reste un peu moins d'une boîte de Xanax un peu entamée; à partir de quel moment; voudrez-vous bien m'en prescrire du Xanax ? En sachant qu'en moyenne; je prends un Xanax; une fois à deux fois par mois ! Voilà ! "

 

Madame Teillet; psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine : 

-  " Monsieur Bedrossian; quand vous avez des accès de colères désaxés; j'ai envie de vous dire : Calmez-vous ! Au lieu de camez-vous ! Monsieur Bedrossian sans vouloir vous mettre en boîte; toute la réponse à vos problèmes n'est pas dans les médicaments en disant ça y est ! C'est dans la boîte ! Je me mets des films en marchant sur mes plates-bandes ! Sans que forcément; je vous emboîte le pas pour la prescription d'une nouvelle boîte de Xanax ! Si votre colère n'est toujours pas prescrite le soir à cause de votre enfance et de votre passé difficile ! Alors je vous dirai y a prescription ! Et je vous prescrirai du Xanax pour calmer vos vieux démons de Minuit en cette heure de ces vérités ! Monsieur Bedrossian au lieu de prendre systématiquement du Xanax pour calmer vos vieux démons de Minuit ! Trouvez plutôt chaussure à votre pied en cherchant de préférence le Démon de Midi ! Vous ne trouveriez pas cela plus avisé pour vous Monsieur Bedrossian ! "

 

Jérôme Bedrossian; impatient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bien sûr Madame Teiller ! Vous avez tout à fait oraison mais à n'importe quel prie ! A condition que ce soit bien à visée thérapeutique en esprit d'ouverture Madame Teillet ! Et comme je vous avais dit Madame Teillet; j'ai de quoi écrire un livre pour me délivrer de tout ce qui me pèse dans la vie et je pèse mes mots ! Vous voyez ! Tellement qu'au collège privé Epin; j'ai été victime de harcèlement scolaire et qu'à L'ESAT La Fabrique; je me demande ce que j'y ai fabriqué toutes ces années pour être victime d'un harcèlement moral; psychologique et physique où tout le monde ne me calculait pas en calcul mental que j'en ai fait tout un fromage d'Emmental blanc en devenant tout blanc et cris noirs sur blancs que je fus tant un souffre-douleur avec une histoire brûlée dans une vie si noire que maintenant; j'ai envie d'écrire un livre riche de mon vécu comme j'ai survécu atout ça où maintenant; j'ai envie pour me reconstruire dans la résilience de passer d'un anti-douleur à un nanti douleur ! Qu'en pensez-vous Madame Teillet de cette idée ? "

 

Madame Teillet; psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Je pense Monsieur Bedrossian que c'est une excellente bonne idée ce que vous me dites; vous qui avez ensuite de la suite dans les idées ! "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme; impatient au CMP de Vitry-sur-Seine :

-  " Bien entendu Madame Teillet; j'ai trouvé cette belle idée car comme je sais que vous n'êtes pas trop pour les médicaments ! Autant que je prenne mon mâle en patient; en passant d'un anti-douleur à un nanti douleur pour être pauvre de mes maux pour en suite être dans le bien-naître; riche de mes mots, dont en écrivant mon livre; j'aurai pour dernier mot : " Ecrivez le livre de votre vie ! Où vous direz enfin : " La fin justifie les moyens où grâce au moyen de l'art thérapie donc de l'écriture; vous trouverez la voie de la guérison " Où vous clamerez : " Je vais mieux comme je suis soigné et que maintenant; y a désormais prescription ! "

 

Jérôme de Mars  

Un malin petit cagnard...

 

L'air de rien; il était temps

De faire voler les oiseaux !

Et d'entonner l'océan

Au zénith de tous là-haut !

 

Près des contrastes bipolaires

D'un autre temps très linéaire;

Qui avait lieu sur La Terre

En un ciel interstellaire !

 

Et si le soleil saudade;

S'rappelait au souvenir

Des balades en promenade !

Quitte à rougir de plaisirs

 

A boire des diabolos menthe !

Le long des caresses vermeilles

En lueurs d'espoir qui mentent !

Où l'soleil pleut des merveilles !

 

Un malin petit cagnard...

En attendant son rencard

En vilain petit canard !

Lisant bénin le canard !

 

Du journal des bonnes nouvelles;

Laissant présager le jour !

Où vivront les ritournelles

A présent faisant l'amour !

 

Virant d'bord d'itinéraire !

Où le soleil soignera 

De ses rayons en concerts

Rayons X avec éclats !

 

Les maladies qui démangent

Toutes les mélodies qui mangent

Toutes les vies brisées des anges,

Afin que le tout s'arrange

 

Et s'mélange cosmopolite ! 

Or hétéroclite ! D'un simple

Clic du soleil qui gravite

En légèreté d'Olympe !

 

Un malin petit cagnard...

En attendant son rencard

En vilain petit canard !

Lisant bénin le canard !

 

Dans le plus simple appareil;

Faisant tomber en des nues !

Les arbres qui sont tous pareils !

Même en se mettant tous nus

 

Dans la fièvre de l'après-midi !

Coulant de toute sa fièvre jaune

Depuis l'démon de Midi !

En démons de Minuit faunes !

 

En jouant du tam tam en slam 

Duplex d'un ciel Africain !

Donnant vie en mélodrame

A quelque chose qui finit bien !

 

Outrepassant puritain 

A un soleil tant serein !

Qu'il en redevient humain !

Avec pour esprit Chrétien !

 

Un malin petit cagnard...

En attendant son rencard !

En vilain petit canard

Lisant bénin le canard !

 

Jérôme de Mars 

 

Une nuit au soleil

 

Etoiles dans les yeux !

Sur un air starter;

Songeurs semblent les cieux

Dans l'itinéraire !

 

Qui vend c'est du vent !

En vante en marchant

Vers l'histoire du temps;

Qui a lieu d'antan

 

D'un ciel quatre étoiles !

Qui borde il fait nuit !

Peignant amical

Des stars dans leur pays !

 

Hollywood le gomme

Sur le boulevard !

Hollywood ch'wing-gum !

Place du boulevard !

 

Une nuit au soleil

En argent d'oseille;

Confiture groseilles

Il pleut des merveilles !

 

De soleil; de nuit !

A leur effigie !

Les deux sont tout ouïs

Dès leur embellie !

 

En mariant le jour

Et la nuit ! Sitôt

Le vent dans la cour !

De l'amour plutôt

 

Sans aucun nuage

A l'horizon Bermudes !

Comme un coloriage

Avec en prélude !

 

Une musique de Bach;

Longue à la détente !

D'ceux passant le Bach

D'un diabolo menthe !

 

Une nuit au soleil

En argent d'oseille;

Confiture groseilles

Il pleut des merveilles !

 

A l'heure d'la détente

Coupant tous les ponts !

Vieux démons qui hantent

Passant sous les ponts !

 

Fins s'réconciliant

Tout pour faire la paix !

A but conciliants

D'un traité de paix !

 

Sans se maltraiter,

Mais se respecter

Tous dans l'ensemble !

Qui s'rassemble s'assemble !

 

Entre ombre et lumière;

Le plus important

Est d'rester en clair !

Car au bout du temps !

 

Une nuit au soleil

En argent d'oseille;

Confiture groseilles

Il pleut des merveilles !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Un piano qui fait des fausses notes !

 

En prélude d'une note très salée

Sur la mer en raz-de-marée !

Il y a un piano qui notait

Une nuit quatre étoiles d'la notte !

 

Qui tapait sur des touches, car touches

En tirant des portées plus vite

Que son ombre d'une dernière cartouche !

Qu'elle gravite légère; qu'elle lévite

 

Dans l'air ! Un morceau de piano

Sur la mer ah ! Mer ! Qui dessale 

Le Missel qui part en lambeaux !

Comme une chanson propre qui est sale !

 

Juste en répétant le nom propre

Dans la salle d'un concert d'louanges !

Où c'est du propre en des malpropres !

Qu'il y a à bord de ces vies d'anges !

 

Un piano qui fait des fausses notes !

Qui mettait la notte des notes;

Qui renotait en prenant des notes;

Qui dénotaient jouant des notes !

 

Do ré mi fa sol la si do !

Que dans chaque note; il y a des mots

Qui pleuraient y a tout un bémol !

Sur le sol pleureur d'la baie molle !

 

Pourvu qu'la musique tienne paroles !

Comme toute la musique adoucit

Les mœurs; déchantant en bémol !

Quand le jour dévie toute la nuit !

 

Si en accusé d'réception;

La bohème envoie au piano

La lettre, pour qu'elle lise l'action

De la bonne action d'Elise ! Mots

 

Pour mots ! Qu'il est l'heure de la vague !

Déferlante au bout du rouleau

De vagues aux seins trempés ma drague !

En plusieurs mots sur un piano;

 

Un piano qui fait des fausses notes !

Qui mettait la notte des notes;

Qui renotait en prenant des notes;

Qui dénotaient jouant des notes !

 

Notes salées Homère sur la mer !

Le piano va vider son trésor !

Dévidant sa malle en impaire;

Sans repaire oraison a tort !

 

Qu'la musique avale des couleuvres !

Hors-d'œuvre pour en faire des chefs-d’œuvre !

Avec à la manœuvre; une œuvre !

Qui œuvre en cherchant des bonnes pieuvres

 

Vers la mer ! Qui invoque l'Missel

En du pain béni sans une baisse

De régime mi sel ! Qui recèle

Envol de recel ! Qui affaisse

 

En laissant pour conte; les acomptes

De la mer qui rendra des contes !

Aux abords de la belle légende !

Faisant marcher sur des plates-bandes;

 

Un piano qui fait des fausses notes !

Qui mettait la notte des notes;

Qui renotait en prenant des notes;

Qui dénotaient jouant des notes !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Comme à la maison du Brésil !

 

Sur de grands airs de la samba

Qui arrivent dans le bidonville !

Toute la musique à Brasilia !

Joue l'étoile brisée qui scintille !

 

En gardant toutes ses facultés 

Au resto U droit d'cité U !

En jouant à la faculté

De Paris des airs qu'ils ont eus !

 

Que tout le monde met dans la boîte !

Une boîte à rythme effet Rio !

C'est dans la boîte qu'elle met en boîte !

Qu'elle lui emboîte le pas rétro !

 

Tous en avant et en arrière !

Il y a des favelas pas lasses !

Que pour assurer ses arrières;

Il y a des filles d'joie au palace !

 

Comme à la maison du Brésil !

Y a de la musique qui frétille

A Sao Paulo; ville fébrile !

D'un bidonville là guère si ville !

 

Que c'est déjà la guerre si vile

Dans la ville qui a l'air tranquille !

Qu'elle dessert d'la musique servile !

Ambiance très indocile qu'elle file

 

Le cafard du capharnaüm !

Qu'elle refile l'cafard du mouron !

Dans un forum ultimatum !

Ca y est; c'est leurre où nous mourrons !

 

A tromper l'ennui ! Claironnant

A notre Paulo Tchao Paulo !

Fascinant que c'est condensant !

De passer effet stéréo

 

A de la musique endiablée !

Faisant danser la danse d'Saint-Guy !

Survoltée et trop décalée !

S'embrassant danse sous le sain gui !

 

Comme à la maison du Brésil !

Y a de la musique qui frétille

A Sao Paulo; ville fébrile !

D'un bidonville là guère si ville !

 

Et si donc par toute la magie;

Il n'y avait jamais d'guerre civile !

Mais une incitation de vie

En paix depuis naguère si ville !

 

Où tout le monde vivrait tranquille !

En faisant l'amour; pas la guerre !

De façon civile et docile !

Rappelant puérils tous les airs

 

De la belle enfance au Brésil !

Sans aucun bidonville qui soit

Si vil; bidon vil; bidonville !

Car civiles; y a des filles de joie !

 

Jamais rabat-joie qui en veulent

D'la samba dans les favelas !

Qui veulent la samba jamais veule !

Bienvenue au palace d'la joie !

 

Comme à la maison du Brésil !

Y a de la musique qui frétille

A Sao Paulo; ville fébrile !

D'un bidonville là guère si ville !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

L'ESAT La Fabrique; replié quatre étoiles

 

Voici une nouvelle petite saynète sur le côté renfermé de L'ESAT La Fabrique, où Jérôme Bedrossian; ancien agent de production de l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique rencontre au café-restaurant : " Le Théâtre " à Vitry-sur-Seine deux anciens collègues de L'ESAT La Fabrique qui lui parlent ce que devient L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian qui aperçoit au café-restaurant : " Le Théâtre " son ancien collègue de L'ESAT La Fabrique : " Tony Angaman " :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'Atelier Conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

- " Bonjour Tony; comment vas-tu ? Quoi de neuf ? "

 

Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique:

- " Ca va bien Jérôme, tu vois L'ESAT La Fabrique est replié quatre étoiles; on peut même dire très et trop replié quatre étoiles ! Comme un palace quatre étoiles brisées ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

-  " Et moi tu vois si c'était à refaire; j'aurais été d'un pas las à cet ESAT que je n'aurai pas été plié en quatre étoiles ! Et c'est la raison pour laquelle en allant sur Internet sur le site de L'ESAT La Fabrique que j'ai mis une mauvaise note à L'ESAT La Fabrique; j'ai mis une étoile sur cinq comme mauvaise notation; tellement que j'ai été mal reçu cinq sûr cinq à la fin de ma prise en charge à L'ESAT, comme à la fin de ma période à L'ESAT; j'en avais soûpé de cet ESAT, on m'a tant desservi de la soupe qu'on a sali mon jardin secret, où on a cultivé envers moi de la haine de celle, où je n'avais plus le goût à rien, que j'avais le dégoût du sel, comme ma vie manquait de sel sans le Missel que j'ai fini par avoir une baisse de régime Mi-sel ! Je n'ai mis qu'une étoile sur cinq à cet ESAT à cause de la note salée que je n'ai toujours pas fini de payer à cause de la méchanceté gratuite de cet ESAT à mon égard; et tu vois Tony, L'ESAT m'a répondu ! "

 

Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique:

- " Et alors ? L'ESAT t'a répondu quoi en fait ? "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

- " L'ESAT m'a répondu qu'ils étaient navrés que ma période de travail à L'ESAT n'ait pas été plus positive que ça ! L'ESAT m'a demandé de leur répondre par mail sur leur adresse e-mail pour leur donner les raisons pour lesquelles, je n'ai pas été heureux dans cet ESAT ! Ils m'ont dit que mon avis était précieux pour leur processus d'amélioration ! Je n'ai jamais trouvé mon bonheur dans cet ESAT, comme on a toujours été sur la défensive avec moi en me répondant sans arrêt par la négative, voilà pourquoi j'ai toujours eu une attitude si négative ! On peut même dire que de mon enfance; nul ne m'a guéri de mon enfance que moi; je suis aguerri de mon offense ! Voilà Tony ! "

 

Après que Tony Angaman ait quitté le café-restaurant : " Le Théâtre "; Jérôme Bedrossian rencontre Charlotte Prêtre; une ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui elle par contre est aujourd'hui à la retraite :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

- " Bonjour Charlotte; comment vas-tu ? Quoi de neuf ? "

 

Charlotte Prêtre, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique aujourd'hui à la retraite :

- " Bonjour Jérôme, pour moi, tout va bien et tout roule que je suis en forme conforme de la retraite ! Que je m'oppose à la réforme des retraites que veut faire Macron ! Tu vois Jérôme; Henri Salvador chantait à-tue-tête ! Le Travail, c'est la Santé que toi; tu t'es tué la tête ! A déchanter avec le travail; je perds ma santé en y laissant des plumes pour faire couler beaucoup d'encre; à en conserver fermée la prison de ma santé due à mon côté renfermé ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

-  " Tu vois Charlotte, même qu'à L'ESAT; je tenais souvent paroles sans blabla avec les autres, si les autres n'ont presque jamais tenu paroles avec moi; c'est parce-que je n'avais jamais le dernier mot avec les autres comme les autres avaient tout le temps le dernier mot avec moi; je pense que si je n'ai jamais eu le dernier mot avec les autres; c'est parce-qu'avec la langue; on peut tout dire et tout faire et que seuls comptent les actes concrets et positifs dans la vie; et comme à L'ESAT; beaucoup parlaient pour ne rien dire et bien tout ce qu'ils disaient c'était du pipeau ! J'en déduis que si j'ai été négatif et pas positif; c'est que personne dans cet ESAT ne s'intéressait à mes actes concrets positifs mais juste à mes paroles négatives; et c'est donc pour cela qu'à L'ESAT; on me répondait sans arrêt par la négative, comme tout le monde à L'ESAT parlait beaucoup en contrefaçon négative; et blablatait sur la forme mais en n'agissant jamais sur le fond car tout ce que disait tout le monde à L'ESAT; c'était du pipeau en jouant du pipeau ! Voilà pourquoi j'avais une forme négative avec un fond positif ! J'ai fait de mes paroles négatives des actes concrets et positifs ! Et c'est pour cela que j'ai tout dénoncé à L'ARS toute la maltraitance verbale que j'ai subie  ! Voilà ! "

 

Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique:

- " Alors pourquoi au fond étais-tu renfermé à L'ESAT Jérôme ? "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique :

- " La vérité que si j'étais renfermé Tony, c'est que j'étais en mauvaise forme négative, alors qu'au fond; j'avais un fond en mes formes positives, où je faisais le négatif au pas las quatre étoiles brisées et repliées à L'ESAT La Fabrique, tandis qu'au tréfonds de moi-même; je faisais le positif au palace quatre étoiles pliées en quatre à L'ESAT La Fabrique; d'où j'en déduis en conclusion qu'à L'ESAT La Fabrique; j'ai eu le désarroi Lear en délires d'une comédie tragique genre mélancomique; et c'est donc pour cela que dans ma vie; j'ai toujours été en pièces et que ma vie a toujours été depuis ma naissance une pièce de théâtre détachée de tout; ce qui fait que j'ai toujours payé en espèces pour récolter la monnaie de ma pièce, afin que j'arrête de faire payer aux autres ma méchanceté gratuite à fond la caisse; en faisant l'appoint; fin de cette pièce de théâtre; j'ai rendu la monnaie ! "

 

Jérôme de Mars

 

Jérôme est-il un Prévert visqueux ou hait-il un pervers vicieux ?

 

 

Parmi ses multiples faces à Jérôme; voici sa face claire et sa face obscure :

 

Ses facettes :                                                            Ses fossettes :

 

Jérôme est un Prévert visqueux;                    Jérôme est un pervers vicieux;

Qui est un poète maudit;                                 Qui est un pote mots dits;

Qui rime avec mélancolie                                Qui arrime avec frénésie;

Lui si jeune physiquement                                Lui si vieux sensuellement

Et si vieux mentalement                                    Et si jeune sexuellement;

Qu'il rime en son mal de mer !                           Qu'il arrime en son mâle de mère !

Couchant dans l'imaginaire amer                    Couchant à la frontière de ça mère

En sa mer à l'encre marine,                               En sa mère à l'ancre marine,

Dont il s'écrit Marine                                           Dont il s'écrie Marine     

Le peine qu'il a envie                                           Le Pen qu'il a en vie

De chanter la vie en poème !                              De déchanter en bohème !

Sans qu'il ne des vies en bohème !                    Cent qu'il dévie en poème !

Ouï; Jérôme est un Prévert visqueux !             Oui; Jérôme hait un pervers vicieux !

 

                                             Jérôme de Mars

D'la boîte à rimes !

 

C'est un soumis;

Qui retranscrit

En insoumis !

Cette poésie;

 

Ce beau poème;

En un reflet

Avec pour thème;

L'être écorché

 

De par l'absence

D'quelqu'un vous aime !

Loi du silence,

Comme une gangrène !

 

Qui bouffe tout cru !

L'être intérieur;

Malbouffe tout crû  !

Lettre extérieure;

 

D'la boîte à rimes !

Qui boîte en rythme !

D'la boîte à rythme !

Qui boîte arrime !

 

Qu'elle lui emboîte

De tous ses pas !

Qu'elle lui miroite

Ne toussez pas !

 

Pour faire jaser

En vases éclos !

Pour faire jazzer

La vase de l'eau !

 

Des écolos

Mégalomanes;

Des musicos

Scient mélomanes;

 

Pompiers d'services;

Pyromanes show !

Pompettes sévissent;

Pire one man chaud !

 

D'la boîte à rimes !

Qui boîte en rythme !

D'la boîte à rythme !

Qui boîte arrime !

 

Qu'elle ouvre la boîte !

Grande de Pandore !

Qu'elle met en boîte

Ceux qui l'adorent !

 

Qu'elle désenchante

Les mâles heureux;

Qu'elle réenchante

Les malheureux;

 

Ouvrant la boîte

Sans la fermer !

Rouvrant la boîte

Sans s'renfermer  !

 

Qu'en un casse-gueule;

Elle lui emboîte

Le pas d'ta gueule !

C'est dans la boîte !

 

D'la boîte à rimes !

Qui boîte en rythme !

D'la boîte à rythme !

Qui boîte arrime !

 

Jérôme de Mars

 

 

Revue de presse vu du con texte

 

Revue de presse vu du con texte, où tout le monde se prend en grippe dans le virus du Covid ! Et où tout le monde a les poches vides; vu tout ce que tout le gouvernement empoche sur le Covid, si bien que le gouvernement a dit quelque chose de stupéfiant ! Comme en tapant d'un shoot de ballon Ethylotest pourquoi Pierre Palmade a provoqué un accident de voiture sous l'emprise de stupéfiants; qui soûla tous Les Français qui ne comprennent pourquoi la Justice est si clémente et si laxiste avec Pierre Palmade; à part qu'il n'a pas sa place à la Prison de la santé; vu sa prison sans barreaux; lui qui pratiqua le Chemsex; des pratiques sexuelles aux mots de sa drogue, pour qu'il ait à nouveau le barreau de la santé; à part que pour lui c'est bon enfant avec ses vidéos bizarres qui déferlent depuis bien à vent blizzard; avec en piqûre de rappel qu'avant l'accident de voiture; Pierre Palmade avait été acheter des seringues à la pharmacie pour se shooter avant le ballon d'essai de l'éthylotest à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre; qui conclut qu'en soufflant dans le ballon d'essai; Pierre Palmade fut reconnu positif à la cocaïne, dont sa drogue fut l'héroïne de son accident de voiture pour véhiculer que des choses négatives à son égard; oraison pour laquelle; il a été reconnu positif à la cocaïne; et ce qui est stupéfiant est que tout le monde en déduisit que c'est sa première et dernière fausse route de sa carrière jusqu'à présent sans fausse note; avec à présent une déroute due à sa fausse route, où il fit fausse-route de l'hôpital de Bicêtre à Paul Brousse, et dont maintenant voici son retour à l'hôpital de Bicêtre après qu'il ait été victime de son AVC; le temps que tout le monde digère l'accident après que ses passagers dans la même voiture que lui aient pris la poudre d'héroïne d'escampette en attendant son éventuel procès verbal; en guise d'avis de d'essais ou d'à vies de décès; surtout qu'il y a un élève de 16 ans qui tua à coups de couteaux une professeure d'Espagnol de 52 ans à Saint-Jean-de-Luz, et dont la leçon à retenir de cette professeure tuée à coups de couteaux à Saint-Jean-de-Luz par un élève de 16 ans; est que la professeure en saignait que La France est tellement à couteaux tirés qu'on passe en replay; la fracture sociale due au fauché qui se creuse entre les riches et les pauvres; comme le gouvernement privilégie sa politique antisociale au profit des riches et au détriment des pauvres; que les pauvres sont relégués comme seconds couteaux de laissés-pour-compte à leur compte courant dans cette France en forme de larme de rasoir sur le fil du rasoir, où chacun est tout seul chez lui le soir soit devant son canapé à se morfondre en regardant cette télévision si triste, car telle est réalité de la vie ! Ou soit chacun est tout seul en galante compagnie devant sa promotion canapé; en s'en branlant de La France d'en bas et du reste de l'humanité; préférant branler son bas pour en faire d'ébats le lendemain matin à la machine à café justifiant ses performances remarquables au travail, car autant que tout le monde nique le système surtout en cette France ! Où c'est l'enfer pour tout le monde ! Ca te nique Satanique l'omelette Espagnole ! Surtout si tu mets eux; tes œufs dans le même panier du cordon de la bourse, où tout le monde débourse la même crème fraîche pour avoir des œufs à la crème; à part que si tout le monde change de crèmerie; personne ne trouvera quelqu'un qui soit une si bonne crème, en étant si mère poule surtout avec la réforme des retraites, où personne n'y comprend plus rien à cette réforme complexe, donc en inadéquation comme le gouvernement ne parle que de chiffres en faisant l'économie de l'amour au bout du compte de cette France divisée pour mieux régner et saigner à couteaux tirés Les Français pauvres car trop modestes ! Le gouvernement ne calcule plus personne qu'il va finir par en arriver à la conclusion tout compte fait en compte-rendu ! Que bientôt après la retraite par répartition; il y aura la retraite par capitalisation, où chacun fera sa propre retraite; en assurant lui-même ses cotisations dans une partition personnelle; chacun pour soi ! Et moins ou plus dans la collectivité d'un pour tous et tous pour un ! Car maintenant de plus en plus; il faudra compter sur soi en ne comptant plus sur personne et en ne comptant plus pour personne; à part de compter que sûr soi-même, comme pour les autres; le silence est d'or et la parole est d'argent ! Où j'en arrive si désabusé en définitive conclusion que si dorénavant; c'est chacun pour soi et Dieu pour tous; c'est qu'un pour tous égale tous plus rien ! Et qu'un pour tous est légal de tous plus rien ! A part partager sa haine et sa vieille rengaine sur les réseaux asociaux; en lançant comme piqûres de rappels que des piques; Dieu donnait un avenir bien sombre à la France qui n'avance mais régresse, comme François Hollande fit tomber la France si bas en claironnant du bout des lèvres : " Le Changement c'est maintenant et les cons ! On va les avoir pour très longtemps même à L'OTAN " ! Voici l'épilogue de cette revue de presse qui me presse, comme un citron stressé pur jus de sévérités; vu du con texte avec en prétexte que c'est vu et revu, car relu dans de l'alu; chère France ! Oh ! Ce vieux pays réac et si conservateur; sans un chariot élévateur pour relever le niveau de La France vers le haut, comme La France hait dans le cas niveau zéro ! Je m'empresse de vous dire, bonne impression en lisant ma revue de presse; ironie de l'histoire vue et revue; ça presse; et m'oppresse !

 

Jérôme de Mars

Metteur en Seine

 

Si on buvait

En eaux de vie !

D'l'eau pour parler

Eaux de la nuit !

 

L'eau des bourgeois

En clapotis;

Eau de la joie !

Dont l'embellie

 

Ferait qu'la vie;

Serait un long

Fleuve tranquille qui

Brave tous les monts !

 

Coupant les ponts;

Ses vieux démons

Pont Mirabeau !

Si l'monde est beau !

 

Metteur en Seine;

Vitry sur scène;

Montant sur scène;

Vitry-sur-Seine  

 

Sans vague à l'âme !

Raz-de-marée !

A bord d'ce slam !

Vents et marées !

 

Qui sur le fil

D'l'eau ! Fait des ronds

Qui se faufile;

Comme cette chanson !

 

Qui à voile et 

A grosse vapeur !

Fait dérouler

L'aimant moteur !

 

Pour faire rouler

Des mécaniques !

A fredonner

Toute cette musique !

 

Metteur en Seine;

Vitry sur scène;

Montant sur scène;

Vitry-sur-Seine ; 

 

Paris part en

Croisière de nuit !

D'un nouvel an

De confettis !

 

En cherchant sa

Vitesse d'croisière !

En trouvant ça

Liesse d'lumière !

 

Au clair d'la nuit !

Ville des Lumières !

Paris de nuit !

Obscure et claire !

 

Qu'Paris finit

Par trouver une

Belle poésie !

Rive de la lune !

 

Metteur en Seine;

Vitry sur scène;

Montant sur scène;

Vitry-sur-Seine.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

La cuisine des tocs

 

Pour vous fins gourmets;

Qui êtes gastronomes !

Et si vous faisiez

Des plats métronomes !

 

Passant tout à plat !

Les pieds sous la table;

Mangeant des œufs plats !

Cuisinant affables;

 

Les gens qui voraces;

Ont souvent des troubles

Qui redoublent vos races;

Je te quitte ou double !

 

A cause de leurs troubles

Si obsessionnels

Compulsifs; qui doublent

En des doubles réels !

 

La cuisine des tocs;

Qui fait toque aux tocs !

Toujours si toc toc !

En faisant toc toc !

 

A la porte en toc !

Du réseau social

Plus sûr Tik Tok !

Car non amical

 

En match amical;

Qui veut cuisiner

Les gens face frontale;

Quitte à s'démanger

 

Des règlements de comptes !

Car tout se sait oui !

Comme au bout du compte !

Tous savent qui est qui !

 

Des passeurs de plat !

Et si névrosés;

Ceux qui sont à plat !

Et si nécrosés;

 

La cuisine des tocs;

Qui fait toque aux tocs !

Toujours si toc toc !

En faisant toc toc !

 

Mijote un p'tit plat !

Raplapla menu

En toc ! Mets non pas

Un plat convenu !

 

Mettant tout à plat

D'ceux qui ont des tocs !

Bonjour ! Les dégâts !

Eux; s'ils sont tocs; tocs !

 

Ceux-là ignorants;

Ils veulent tout savoir

Sans payer les gens !

Jugeant que d'histoires

 

Tous leurs handicaps !

Et s'ils regardaient

De quoi ils sont cap !

Cela laisserait

 

La cuisine des tocs;

Qui fait toque aux tocs !

Toujours si toc toc !

En faisant toc toc !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                           Acolytes alcooliques anonymes

 

Il était une fois sur la route une déroute qui faisait fausse route; genre une bouteille de vin qui devin; but une bière sur la route avant la mise en bière du whisky; qui but divins; dix vins les paroles de la vodka du diable; en allant acheter du cognac dans la vile de Cognac, avant d'acheter du champagne en Champagne Ardennes; en envoyant une bouteille à la mère de tous les vices; avec pour thérapie que tous ces alcools deviennent des acolytes alcooliques anonymes en mise en bouteille, pour ne pas qu'ils se soûlent les uns et les autres; en s'enivrant dans l'ivresse de la liesse eaux volant en vers de contact de cidre doux ou relou; attendant le redoux pour boire à leur santé après avoir tant trinqué de leur santé; en voyant vin rouge couleur r(osé) avec une liqueur de kir rouge, où il est cris noir sur blanc que ça vient du vain blanc en vin de kir rouge; et si ces amis veulent redevenir pétillants comme avant en sortant de leur bulle; ils doivent boire du champagne de leur déboires ( de l'heure de boire ); eux; ces acolytes alcooliques anonymes qui doivent prendre comme dernier ver du porto dans la ville de Porto; sans partir à la dérive sur la plage de Bonporteau qui cavale l'air de rien ! En rebuvant du Ricard en pôle surexposition de ces acolytes alcooliques anonymes; qui doivent se faire soigner en ne touchant plus à l'anis de tous ces mauvais chemins qui mènent au rhum ! A ces acolytes alcooliques anonymes qui doivent faire une thérapie de groupe aux alcooliques anonymes, pour boire des vers solidaires avec modération sans boire en revers leurs vers solitaires avec immodération, car après avoir tant trinqué de leur santé qui soûla leur vies; si à la place de leur dépendance qui leur coûte le revers de la fortune en infortune de manque de thunes; s'ils pouvaient retrouver le goût du plaisir modéré en vers solidaires au lieu des revers solitaires dégoûts des problèmes immodérés; cela leur permettrait à ces acolytes alcooliques anonymes de se sevrer pour sortir de leur bulle; et ainsi boire de nouveau le ver de l'amitié si pétillante en leur eau de vie; en trinquant à leur santé retrouvée sans vin et sans absinthe sans que leur eau dévie, pour aussitôt retrouver leur indépendance d'esprit et d'agir; sans soûler leur entourage familial et amical, pourvu qu'ils redeviennent sobres en paroles et en vers ces acolytes alcooliques anonymes; en prenant de la bouteille en gros envers solidaires sans revers solitaires.

 

                                          Jérôme de Mars

Des arbres font des photos dénues

 

Avant l'automne; des mots aphones

S'accordent et concordent pour écrire

Sur des feuilles l'été amazone;

Que le printemps fait tant sourire !

 

Afin que les arbres se rhabillent,

Si bien que l'été passe son temps !

A draguer l'hiver qu'il l'habille

 

Pour l'hiver, prenant tout son temps !

Au fur et à mesure des joies;

Qui chérissent les bons jours bourgeois;

 

Et tombant des nus ingénus;

Des arbres font des photos dénues;

Y a pas photo de nu fourbu !

A-tire-d'aile des feuilles éperdues

 

D'amour tendresse en affections;

Qui font fléchir toutes les saisons !

Comme à la maison d'hirondelles;

Qui diffuse que des ritournelles !

 

En allumant ses grands lampions;

Qui traînent dans les galères dans l'air

Du temps qui fabrique des champions !

 

En couchant le soleil frontière

A la lisière de la forêt !

Qui marie la forêt en clair

 

Lors de l'appel de la forêt !

Pour ramasser de gros râteaux;

Qui font croire que le monde est beau

Du bon temps de l'eldorado !

 

En remontant toujours la pente

De l'état du Colorado;

Face aux vieux démons qui les hantent !

Des bobos riches; grâce aux bobos

 

Et tombant des nus ingénus;

Des arbres font des photos dénues;

Y a pas photo de nu fourbu !

A-tire-d'aile des feuilles éperdues

 

Qui singent réacs les bonobos;

En scandant flûte je de pipeau !

Qui est mégalo; parano !

En prises de becs par les oiseaux;

 

Qui sont comme tous leurs congénères;

Des ils canaris qui inventent

Genre; ces cons génèrent réfractaires !

Un appel d'air frais qui évente

 

La clairière qui se régénère !

Entre ombre et lumière trop éclairs !

De la guerre des nerfs allant vers

 

Ce monde qui se tourne à l'envers !

L'immonde qui retourne à l'envers !

Qui détourne; contourne à l'envers !

 

Et tombant des nus ingénus;

Des arbres font des photos dénues;

Y a pas photo de nu fourbu !

A-tire-d'aile des feuilles éperdues.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Instruments avant

 

Sans tambour et ni

Trompette; et donc flûte !

P'tit oiseau déni;

Qui joue de la flûte !

 

En s'en tamponnant

Du trombone tambour !

Battant rabattant;

Tape sur les tambours !

 

Guitare électrique ;

Qui jazze; fait jazzer

Contrebasse scénique !

Art cynique séché

 

En guitare sèche;

Qui allume la brèche

En des antisèches !

Une musique revêche;

 

Instruments avant;

Vendant que du vent !

Car mouvement avant;

Le moulin à vent !

 

En jouant du pipeau

Par mots du dico;

Disant du pipeau;

L'envers d'la déco !

 

En persécutions;

Menées ramenées

En des percussions;

Menées emmenées

 

Par une clarinette;

Qui joue du banjo !

Air de cette bluette;

Qui met la sono !

 

En une guitare basse

D'un synthétiseur;

L'hypnotiseur passe

L'amplificateur;

 

Instruments avant;

Vendant que du vent !

Car mouvement avant;

Le moulin à vent !

 

En joue du violon,

Comme l'accordéon

Rejoue du violon,

Quand nous accordons

 

Contrebasse; messes basses;

S'lient cymbales; timbales !

Pile; empile ou face !

Nous, on ouvre le bal !

 

Mettant au piano

Une note très salée;

Musique électro;

Fait raz-de-marée

 

En un saxophone

En des cors de chasse;

En un xylophone

En décor d'échasse;

 

Instruments avant;

Vendant que du vent !

Car mouvement avant;

Le moulin à vent !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                                          Blague :

 

 

Quelle est la leçon à retenir de la professeure tuée à coups de couteaux à Saint-Jean-de-Luz par un élève de 16 ans ?

-  La leçon à retenir est que la professeure en saignait !

 

                                    Jérôme de Mars

Soûlard de rimes

 

Quitte à soûler

Les gens; autant

Les enivrer;

Ces êtres comptant

 

Quarante-huit vers

D'mise en bouteille !

Vers solitaires;

Quand le soleil

 

Ver solidaire

D'chaleur humaine;

Attend envers

Cette vie sereine;

 

Malgré la plaine

D'une mise en bière !

Une mort si pleine;

Fin de vie d'hier !

 

Soûlard de rimes;

A quoi s'arrime

S'il n'y a deux rimes

Qui n'riment; n'arriment ?

 

Son mal de mer

Sur la morne plage;

Dérives amères

Près du rivage;

 

A la dérive !

Et qui en vain;

Perd sa salive

Dans l'sel divin !

 

Expire Arthur

Rimbaud si beau !

Fendant l'armure

Dans son caveau

 

D'la République;

Luit bateau ivre !

Lui sympathique;

Inspire un livre !

 

Soûlard de rimes;

A quoi s'arrime

S'il n'y a deux rimes

Qui n'riment; n'arriment ?

 

Toute la musique

Eaux mots sanglots

Qui névrotiques;

En sont des maux !

 

Qui plongent vers le

Chaos; même si

D'un sac de nœuds;

Est un des si

 

Celui qui veut !

Si tête de nœuds;

Mourir au pieu,

Dont lui neveu;

 

Luit s'il ne veut

En faire couler

De l'encre ! Si peu

Pour des coulées ! 

 

Soûlard de rimes;

A quoi s'arrime

S'il n'y a deux rimes

Qui n'riment; n'arriment ?

 

Jérôme de Mars

L'amour est la poétesse due des espoirs

 

Déclaration d'amour de Saint Valentin

Chaque 14 Février qui roucoule d'années !

Amours dissolus et vaisseaux consanguins

Désamours damnés; condamnés; surannées

 

L'amour s'écrie avec un grand ah ! D'ébats !

Oh ! Les filles de joie prennent leurs pieds à contre pied !

Avant que l'amour soit dans de trop sales draps !

Saillie story aux aguets qui fait le gay !

 

Tombant d'un guêpier; retombant d'un gai pied;

Faisant l'amour bisexuel ! Oh ! Des gars !

Pour prendre bien son pied en partant du bon pied !

Quand y a des hauts; des remises de gros d'ébats !

 

En se tapant une queue quoique en coup d'main !

Entre partenaires qui font un don d'orgasme ah !

Que c'est bon ! Qu'ils se susurrent des mots coquins !

Et taquins la main dans le panier d'éclats !

 

L'amour est la poétesse due des espoirs;

Qu'il fait hurler d'plaisirs à manger; à boire !

L'amour est la politesse du désespoir;

Qu'il s'écrit et s'écrie dans n'importe quelle histoire !

 

Monogame; bigame ! Oh ! Menu d'ce programme !

D'un pour tous à un pour tous ! Y a une partouze !

Ca fait battre leur cœur électrocardiogramme !

Aux libertins ! Qu'ils épurent et moussent leur mousse !

 

Entre tous les échangistes ! Aux mots sexuels !

Qu'ils racontent fleurette avec leur grosse baguette !

Donnant du grain à moudre homosexuel

Où depuis belle lurette; ils ont fait trempette !

 

En jouant du pipeau ! En faisant une pipe ! Oh !

Au miel des abeilles qui pompent dare-dare leurs dards

Aux mâles qui s'font du bien ! Non sans mal si haut !

En leur clairon claironnant le tintamarre !

 

Refaisant l'amour bissextile en plan cul; 

Tous les quatre ans et tes héros sexuels !

Cucul la praline et mousse line dans l'écu !

Payant en argent content ! Ah ! Sexuel !

 

L'amour est la poétesse due des espoirs;

Qu'il fait hurler d'plaisirs à manger; à boire !

L'amour est la politesse du désespoir;

Qu'il s'écrit et s'écrie dans n'importe quelle histoire !

 

Des dons d'orgasmes qui font tout un amalgame !

Au sujet du sujet d'l'objet du scandale 

D'une partouze ! Tous se mettent un doigt polygame !

Poils du cul qu'au cul ! Vaginal et anal !

 

L'amour survit seul et se vit à plusieurs !

En faisant des plans à trois; culs très étroits !

Refaisant des plans sur la comète ! Beaux joueurs !

L'amour remue dans un plan cocu détroit !

 

Valsant; valdinguant et transvasant vagins

Et leurs engins bien membrés ! Qu'ils sont casse-couilles !

Et les épuisent quand les femmes puisent dans leurs fouilles !

Faisant monter les surhommes et leurs engins

 

Et s'ils les prenaient tous leurs vaisseaux sanguins

Aux mots sexuels et homosexuels; s'ils

Les reprenaient tous leurs vaisseaux consanguins !

Si dociles; si indociles ! Ainsi fébriles !

 

L'amour est la poétesse due des espoirs; 

Qu'il fait hurler d'plaisirs à manger; à boire !

L'amour est la politesse du désespoir;

Qu'il s'écrit et s'écrie dans n'importe quelle histoire !

 

Jérôme de Mars

Cirque dix vers

 

C'est tout un cirque d'hiver !

Oh ! Quel cirque !

Jonglant avec les vers

Sur le fil funambule !

En équilibre d'acrobate;

Faisant un je de trapèze

Contorsionniste en mouvement

Décor du ver solitaire;

Ou des vers solidaires;

Cirque dix vers.

 

Jérôme de Mars

L'homme qui naît heureux !

 

Garçon manqué; mauvais garçon;

Qui a manqué de chansons

Dans sa vie, pour qu'elle sente le bonheur !

Qu'elle le tourmente dans la rancœur,

Comme quoi c'était mieux avant !

Alors qu'il ne croît plus au Père Noël avent !

Du fait des défaites de sa vie, où il fait nuit !

A moins l'écart qui le nuit; lui affaibli !

Puis décrépi qu'il paraît mourir à petit feu !

Transgenre un poète maudit qui n'est pieux...

A en crever à p'tit feu ! Luit le malheureux !

Qui déchante et qui fait semblant

Cent faux-semblant de montrer apparent !

Qu'il chante; enchante l'homme qui n'est heureux !

Par la vie en ses sentiments,

Car bourré; rembourré de ressentiments !

Avec l'assentiment du diable;

Qui lui donne du sirop d'érable à table !

Pour lui faire avaler et lui faire se dorer la pilule !

A mesure que sa vie le bouscule et le bascule

Dans ses vieux démons qui le hantent;

Et qui tentent tout pour qu'il replonge;

Passe-moi l'éponge !

Luit qui la reluit et qui l'évente !

Quitte ou double ! A refaire de la vante, pourvu qu'il invente

La recette du bonheur dans le parfum de Cupidon,

Car même s'il hait malheureux;

Il est au plus profond de son pacemaker si mâle heureux !

Qu'il veut pieux faire semblant de croire à nouveau 

Au bonheur malgré que dans sa voix; il y a des trémolos !

Au fur et à mesure que sa vie va à vau l'eau ! 

Et prend lot !

Entre regrets et remords !

Qu'il n'en démord d'être mort; largué par les ressorts consorts 

De la vie qui le sort;

Qui l'essore en plein essor;

Et si inné; il trépassait luit le poète malheureux !

Afin de passer lui au pote mâle heureux !

Ainsi; on en déduirait l'homme qui naît heureux !

Et l'homme qui renaît heureux et bien plus qu'heureux...

En feint un bien heureux...

 

Jérôme de Mars

 

Mis(e) au placard !

 

 

    3)  Qui n'est pas rangé dans sa vie car mis au placard; ne pouvant plus

    2) J       6)  D                          M 8) 10) Que j'ai émis au                         P 4)

         e            e                          e  14)D  12) T        I 13)  P  10)                 l

                                                   s        a         o        l        l                         u

         s            m                                   n         u                a                         s

         u             o                         c        s        s       e       c

          i             n                          i                           s        a                        s

         s                                         e       m       m      t         r                        e

                        m                         u       a        e                d

        m             i                            x                s        t                                   r

         i              r                                     v                e         a                       e

        s              o                          m        i       s        m       d                       g

                        i                            e       e      o        p        o                        a

        a              r                            u                u        s       r                          r

        u                                           b       p       v                 é                         d                                      q                            l       o       e       d                                   e

        p              u                            e     u        n       e        m                        r

        l                i                            n     r         i                   a

       a                                             t               r         f                                   d

       c               n                                   m      s        a        m                        a

       a               '                            m     e                  i         i                          n

       r               e                             o             e          r        s                         s

      d;               s                            n     r       n         e        e

 

                        t                                   a       f         u                                    l

      t                                               t    n        u         n        a                         a

     e                p                             i    g          i         t         a

      l                o                             r    er         s       ri         u                        g

      l                i                              o   11)  Placard redoré                            l  

     e               n                              i                                                              a

                      t                               r    15)  Et ne plus être dérangé dans    c

     u                                                    16) Q 19) De sa trajectoire 1 8) Ah  e;

     n               c                             à           u 20) Où j'ai le blues   /       droit !

     e               o                                          e 17) Me vaut ma vie qui dévie  t

                      m                            s                                                              e

     a               m                            e                                                               l

     r                o                             c    21) Que je ne suis pas commode

    m                d                            r     22) A                                    24) Au    l

    o                 e                            e          v   25) Endroit dérangé;       bo     '

    i                                                 t         e    26)  Et fait miroir !            n      e

    r                  d                            s         c  23) Mon armoire non rangée      f

    e                  a             9) Sûre                                                                    f

                        n                 place  r                                                                e

    à                   s                          a    27) Et si on me remettait au placard   t

                                                     n    28) A                                        30) P  

    g                  m                          g           d                                             l      m

     l                   a                           é          o    31)  Lors d'un                  a      i

    a                   v                           e           r    32) Prochain rencard.     c      r

    c                   i                             n           é                                         ard    o

    e                   e  7) Que je meuble    29)  Pour redorer doré ma remise au  i

1) Dérangé dans un placard doré ! / 5) Qui me fait réfléchir devant le reflet / r !

 

 

 

Jérôme de Mars

Société schizophrène

 

Problème d'identité;

Que devient toute La France ?

A travers ce qu'elle est !

Et pourquoi cette méfiance ?

 

Qui fait que plus personne

Ne peut s'voir; s'entrevoir !

A la lettre qui consonne;

Tous ces bruits de couloirs !

 

Quelle est l'identité

De La France qui se hait ?

Etrangers et Français !

Hélas ! Personne n'le sait !

 

Ce qui a causé tousser;

Camouflets et tous ces

Etres écorchés défaits !

D'chacun pour soi effet !

 

Société schizophrène;

Que personne nul ne freine 

Jusqu'à la prison d'Fresnes !

Que personne ne réfrène !

 

Et pourquoi ces Français

Qui votent à gauche; à droite !

Sont des girouettes et

Qui parlent; France mâle à droite !

 

Et à gauche qui sont gauches !

Ne sachant plus quoi dire !

Plus quoi faire pour leurs poches !

La politique pour médire

 

Le paradoxe Français !

Est d'dire tout et son contraire !

Bons; gros mots mensongers !

Attisant leurs colères !

 

Français désabusés !

Et si tous; vous votiez

Au lieu de vous plaindre mais

Vous tous qui pivotez !

 

Société schizophrène;

Que personne nul ne freine 

Jusqu'à la prison d'Fresnes !

Que personne ne réfrène !

 

Quelle la raison pour

Laquelle vous n'êtes plus contents !

Dans la haine sans amour !

N'pansant qu'argent comptant !

 

Et pourquoi vous semez

L'égoïsme fataliste !

Qui aimait et émet 

Et tous sur la même liste !

 

Et pourquoi plus personne

Ne se comprend; s'détend !

En gueulant et qui sonne

Les cons sonnent ! Car méchants

 

Alors qu'ils veulent juste se

Faire entendre ! Pour montrer

Qu'ils existent sans attendre !

Pour prouver, démontrer !

 

Société schizophrène;

Que personne nul ne freine

Jusqu'à la prison d'Fresnes !

Que personne ne réfrène !

 

Jérôme de Mars 

 

 

J'y à riff !

 

En grattant

Ma guitare;

Impatient

Par rempart;

 

Je surclasse

En messes basses;

Jeu de basse;

A voix basse

 

Contrebasse !

Et je casse

Master classe;

Qu'je fracasse

 

En jetant ma

Guitare terre !

J'chante là là

Clair d'lumière !

 

J'y à riff !

Guitare riff !

Oh ! Je kiffe !

Tout mon kiff !

 

Electrique;

Acoustique;

Symphonique;

Pacifique !

 

J'allume l'feu

Mediator !

J'fais un bœuf

Indolore !

 

En prenant

L'médiator

Comme calmant;

C'est mon fort !

 

Que je joue

D'la guitare !

Je surjoue

Tintamarre !

 

J'y à riff !

Guitare riff !

Oh ! Je kiffe !

Tout mon kiff !

 

Par en par

J'mets en Seine !

Mon rempart

Fait d'la scène

 

Qu'son larsen !

M'en inspire

Une rengaine !

Je respire !

 

Harmonique;

Tous mes mots

Synchroniques !

Placebo !

 

Plats ! ces beaux !

Qu'de bons mots;

Jongleur de mots

En bibelots !

 

J'y à riff !

Guitare riff !

Oh ! Je kiffe !

Tout mon kiff !

 

Jérôme de Mars

 

                                                Blague :

 

 

Que dira-t-on de moi si en me faisant du sang d'encre, je provoque un accident de voiture comme Pierre Palmade à cause de mes troubles de la circulation ?

-  On dira de moi que j'ai fait une déroute !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Fresnes me freine !

 

Dans la ville;

Cette prison

Est si vile;

Cette maison

 

Est si ville

Qu'au parloir;

Sont civils

Les bobards !

 

Racontars

D'mon histoire;

File l'cafard !

Bruits d'couloirs !

 

Que les gens

Crient putain !

En boucan;

Si mutins !

 

Fresnes me freine !

Me réfrène

A la traîne !

Que je traîne !

 

Mon cafard !

En café !

Sans le marc

Nescafé

 

Insoluble;

Que je n'sais

Si lugubre !

Que j'essaie 

 

M'faire la belle !

Comme chouchou,

Si rebelle

Du cachou !

 

Que j'ai l'barreau !

Mirador !

Sous barreaux;

Qu'on m'redore !

 

Fresnes me freine !

Me réfrène

A la traîne !

Que je traîne !

 

Que j'en saigne

D'mon sang d'encre !

Que j'enfreigne

Ma plume d'cancre !

 

Que j'en laisse

De mes plumes !

En la laisse

D'mon enclume !

 

Qu'on m'enseigne

Toute cette leçon !

Sans une teigne

D'sale garçon !

 

Que s'ensuit;

Qu'on me peigne !

Que la vie

Me déteigne !

 

Fresnes me freine !

Me réfrène

A la traîne !

Que je traîne !

 

Jérôme de Mars

 

Salade de poèmes

 

Si je composais

Et assaisonné !

Une salade mixée;

J'en ferais assez

 

Des quatrains, tercets !

Ainsi qu'une prose,

Où ainsi sonnet;

J'en ferais une chose !

 

Envers et contre tout !

Qui dira que j'ose

Mélanger le tout !

Où sous cette osmose

 

En alexandrins;

J'écrirais envers

Cet Alexandre hein !

Ses vers solidaires;

 

Salade de poèmes;

Ballade de bohème;

Salade de bohème;

Ballade de poèmes;

 

J'écris pour qu'on s'aime 

D'une ode ! J'en dispose

Avant l'requiem !

Fin de vie morose;

 

J'écris sans tanguer !

Voyageant en mots

Dans l'humanité;

J'entends les échos

 

Du bateau à l'eau;

Que je m'enivre tôt

En Arthur Rimbaud !

Parmi le ghetto

 

Des êtres marginaux;

Partant en dérive !

A cause des moindre maux

Qui font que j'n'arrive !

 

Salade de poèmes;

Ballade de bohème;

Salade de bohème;

Ballade de poèmes;

 

Mixé; mijoté

En n'mâchant mes mots !

Remixé; m'complaît !

Gerbant tous mes maux

 

En instantané !

Dans toute l'arrogance

Et la vanité

En quelques manigances !

 

Que de cette ballade;

Je dois raconter

Des salades;

Pour composer

 

L'es-tu si vraiment

Ballade composée ?

Où manges-tu crûment

Salade composée ?

 

Salade de poèmes;

Ballade de bohème;

Salade de bohème;

Ballade de poèmes.

 

Jérôme de Mars

Le fauché se creuse !

 

T'es riche ou t'es pauvre !

Que tu fasses l'aumône !

Personne ne t'dit mon pauvre !

Que tout ça t'étonne !

 

L'ombre d'2027 !

Tout le monde l'attend

L'heure du cinq à sept !

Que tout fout le camp !

 

A leurre actuelle !

Que tout ça détonne !

Français solennels !

Que tout ça entonne

 

La Marine Le peine !

La France aux Français !

Défrichant le Pen;

Français étrangers !

 

Le fauché se creuse !

Jusqu'à dans la Creuse !

Le fossé se creuse !

Telle la grande faucheuse  !

 

L'Français étranger

A tout cela et

Etranger L'Français;

Paraît que c'est vrai !

 

Personne n'est Français !

N'en ressort grandi !

Pourtant critiquer

L'étranger sali !

 

Que pour oublier

Les déboires d'la vie;

Qui fait que soûler

Tous les insoumis !

 

A la vie qui ne

Les as épargnés

Dans un sac de nœuds !

Car tant éméché;

 

Le fauché se creuse !

Jusqu'à dans la Creuse !

Le fossé se creuse !

Telle la grande faucheuse !

 

Que tous se méfient

De la politique !

Jusqu'au front ravi

De l'apolitique !

 

Qui est pathétique !

Comme ce Sarkozy,

Qui est pas tes tics !

Lui si ébloui !

 

Par son fils à Louis;

Pas ce Louis Armstrong;

Sarkozy est lui

Tout blanc tant âme strong !

 

Comme sans-faux semblants;

Ce monde est si noir !

Que tous impuissants

Votent blanc dépotoir !

 

Le fauché se creuse !

Jusqu'à dans la Creuse !

Le fossé se creuse !

Telle la grande faucheuse !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Ma biche est une fan !

 

Fanatique à l'extrême;

Qui chante le matin

D'un pouvoir suprême;

Claironnant d'entrain !

 

Toute la guerre des cerfs;

Qui dessert et serre

En serre-tête les cerfs,

Dès l'heure du dessert !

 

Au cri du long brame;

Qui veut dire en rut !

Résumant ce clam;

Qui exulte turlute !

 

L'amour n'a pas d'age !

Tel est l'adage qui

Fredonne ce ramage;

Reluisant joli !

 

Ma biche est une fan !

Qu'elle chante mélomane !

Ma biche est un faon !

Chante au faon enfant !

 

A l'école des fans;

Qu'elle lui fait une fleur !

A la colle qui fane

Qu'elle envoie des fleurs

 

A l'élu d'son cœur !

Son cœur d'artichaut !

Ca fait battre son cœur !

Qu'elle lui tienne très chaud !

 

Antilope qui marche

De la guerre des nerfs !

En des routes de l'arche;

Qui serrent et resserrent

 

Les biches et les cerfs

Au jardin secret !

Amour dans les serres;

Ils se sont serrés !

 

Ma biche est une fan !

Qu'elle chante mélomane !

Ma biche est un faon !

Chante au faon enfant !

 

Sec mégalomane;

Débitant au lait !

L'esprit qui émane

En leurs mots laits !

 

Tanguant leurs mollets;

Entendant d'travers

Bébé boit son lait !

Regards de travers !

 

Dès l'affriolant rut

Entre les biches, les cerfs;

Qui s'font une turlute !

En guise de dessert !

 

Où les biches; les cerfs;

Attendent si propices

Le temps du dessert !

Torride si et peace !

 

Ma biche est une fan !

Qu'elle chante mélomane !

Ma biche est un faon !

Chante au faon enfant !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Je grave des CD

 

Pirate et corsaire;

Je pirate d'la musique !

Moi dur en affaire;

Lançant synchronique

 

Des paroles qui s'corsent

Depuis tout ce temps !

Je viens de l'écorce !

Qui amorce autant

 

Chanter en concert

D'louanges ce plagiat !

Dont ça arrange l'air

Du refrain ! D'il y a

 

La copie conforme 

Du centre d'gravité !

Dont le tout qu'on forme;

Je gravis monté !

 

Je grave des CD;

J'suis grave DCD;

Je grave décédé;

Je grave vite; c'est des 

 

Tubes intemporels !

Que je gravite haut !

Très haute passerelle

Vers Rio Bravo;

 

Je fredonne au ciel !

Que mon arc en ciel;

Me bourdonne le miel

En une lune de fiel !

 

Que j'écris la pluie

Avec le soleil;

Mêlant comique fuit;

Et s'enfuit factuel

 

Pour chasser le vent

Jurant; conjurant

Que dès maintenant !

Il y aura puissant;

 

Je grave des CD;

J'suis grave DCD;

Je grave décédé;

Je grave vite; c'est des 

 

Nouvelles voix en prises;

Qui en font des prises;

Qui font des reprises;

D'anciennes voix emprises

 

En leur tessiture;

Qui démonte le son !

Signal d'ouverture;

Début d'une chanson

 

Qui l'inaugure et

La pénètre; entrée

Des artistes bluffés !

Ca va commencer !

 

Que tout ça s'arrange

En accords raccords;

Que l'tout se mélange

En cors et en corps !

 

Je grave des CD;

J'suis grave DCD;

Je grave décédé;

Je grave vite; c'est des.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Manipulation frénétique

 

Comme un éclair d'eugénisme

Qui ferait bon enfant par fée !

Il y a des êtres douées d'altruisme;

D'autres êtres amadoués par fait !

 

Comme un gris éclair de son ombre

En un caractère bipolaire;

Changement d'humour en pénombre

Qui sombre à l'état délétère;

 

Comme l'humeur est la politesse du

Désespoir en son mouroir,

Comme l'humour est l'impolitesse due

Des espoirs en un foutoir;

 

Et si d'un éclair eugéniste;

La science en faisait un génie

Sans changement d'humeur d'artiste !

Génie en herbe ! Oh ! Eugénie !

 

Manipulation frénétique

D'hallucinations euphoriques;

Manipulation génétique

Qui hallucine pas tes tics !

 

Heu génie ! Encens figuré

Qui frôle Eugénie au nom propre !

Effet surnom configuré  !

Et fait sûr nom au sens malpropre !

 

Qui tonne air mécanique de leste !

Fée de l'amour une allégresse !

Paratonnerre cynique de L'Est !

Fait de l'humour une allez ! Graisse !

 

Qu'elle soit belle en gros la liesse !

Avec en science infuse qui fuse

Des idées semées en kermesse;

C'est leur tasse de thé qui infuse !

 

Des idées qui diffusent la paix !

Confits intérieurs, extérieurs !

V'là la recette pour rallumer

Jamais des conflits ! Le bonheur !

 

Manipulation frénétique

D'hallucinations euphoriques;

Manipulation génétique

Qui hallucine pas tes tics !

 

La foi en la vie retrouvée;

Il était un tragi-comique !

Qui faisait en vie vivifiée;

Revigoré mêlant comique !

 

En une harmonie pacifique;

Ayant besoin de temps d'tendresse;

D'océan d'amour Pacifique !

Pour que ça baigne ! Danse poétesse !

 

L'humour est la politesse du

Désespoir qui rime en la vie !

L'amour est la poétesse du

Des espoirs qui arrime l'envie !

 

La vie débonnaire au grand air !

Sous de caractères bipolaires;

Reprend des bons airs au grand air !

Lettres de caractères salutaires;

 

Manipulation frénétique

D'hallucinations euphoriques;

Manipulation génétique

Qui hallucine pas tes tics !

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Légitime défonce

 

Enfant sans défense;

Qui ne trompe l'offense !

Comme un éléphant;

Il ment d'boniments !

 

Nul ne guérit de 

Son enfance d'essence !

Nul aguerri peut

Trouver des sens !

 

A sa vie qui part

 A vau l'eau ! Bobos

Des vies sans rempart

Qu'il ne boit pas d'eau !

 

Lui qui est devin !

Chute dans le ravin !

Qui des déboires de vin;

N'boit que son venin !

 

Légitime défonce;

S'envenime, s'enfonce

Que ses sourcils froncent

Magnanimes, il fonce !

 

S'shootant d'héroïne !

L'héroïne buvant

Un grand coca in !

Son histoire crachant

 

Qu'au cas in; aile est

L'héroïne de son

Histoire inventée;

Eventée d'un ton

 

Vanté d'liberté !

Luit halluciné;

Qui en déployait

Son âme si fêlée !

 

Et givré en froid

En des coups de chaud !

Qui cherchent manque de foi !

Un nouveau réchaud;

 

Légitime défonce;

S'envenime, s'enfonce

Que ses sourcils froncent

Magnanimes, il fonce !

 

S'croyant un oiseau

Libre ! Brûlant sa vie

Par l'cigarillo

A cran insoumis !

 

Qu'il fait un esclandre !

Renvoi d'ascenseur !

Qu'il n'fait que des cendres !

Renvois d'ah ! Censeurs !

 

Cause le toujours ça

Ne l'intéresse point !

Lui fin d'esprit ! Pas

Si fort en bon point !

 

Car tant embonpoint

Qu'il dit mince en gros !

Si bien que défunt,

Lui; il va jouer gros !

 

Légitime défonce;

S'envenime, s'enfonce

Que ses sourcils froncent

Magnanimes, il fonce !

 

Jérôme de Mars

 

Confections nocturnes

 

Diurne et taciturne, je suis un oiseau rebelle aux ailes brisées par la brise et du vent; tel l'ouragan du désespoir qui se déchaîne en une déferlante vague à l'âme, d'où j'envoie une bouteille à la mer morte; qui voit rouge dans un sang d'encre qui fait couler tout mon ressentiment, tel l'oiseau qui ne fait plus coucou à personne, car il hait dans le courroux de la vengeance qui le dévisage; tel un être déraciné; petit-fils d'exilés paternels immigrant de L'Europe de Leste, où je m'ébats en ces confections nocturnes; moi, l'être damné et con damné par les vicissitudes et les turpitudes de mon passé largement entamé à cran rétamé, où j'espère faire couler beaucoup d'encre marine le peine; tel un flibustier qui pirate le naufrage de sa jeunesse qui le fait tanguer et valdinguer; fasciné par le bateau ivre du Rimbaud warrior, qui le mène en bateau dans les abysses en une mise en abîme; qui le décime en bref; écime aux racines immergées de l'iceberg qui me laisse de glace; telle une armoire à glace qui ne peut plus se regarder dans la glace à cause de mes dix formes en gros, car ben mince ! Je ne prends plus rien du tout à la légère, comme je suis balourd et bas lourd ! D'où je fends l'armure surtout la nuit ! Où je ne suis plus à jour ! Et au jour le jour ! Si bien que j'essuie à contre-jour ! Entre ombre et lumière ! D'où la nuit, je ne suis pas une lumière à cause de mes vieux démons de minuit ! Comme un éclair d'Eugéniste, alors que le jour, je suis davantage dans la lumière des gens qui m'enracinent sans me couper l'herbe sous le pied; même si je ne suis point un génie en herbe; mais un imposteur d'eugéniste très olé olé; qui enfume de l'herbe en dépit de sa vache enragée et de ses vaches maigres, pour que la nuit; on l'envoie paître dans l'herbe à se tirer une balle dans le pied, comme un poisson dans l'herbe qui ne fait que noyer le poisson d'Avril ! Dans sa vie monotone à chaque saison qui écrie sur sa feuille morte ses confections nocturnes; et cris avec la force du temps; telle une rancœur de cocker ! Ah ! Mère ! Dont je dois composer avec ma chienne de vie ! Qui dévie toutes les gamelles que je me ramasse en démangeant à la gamelle; moi qui tombe du déni en ces vers qui me bouffent tout crus ! Ici point comme sait ici-là inné immatriculé confections nocturnes; y sue d'un drôle d'oiseau aux ailes brisées qui y laisse toutes ses plumes ! Comme il hait au bout du rouleau-compresseur sans renvoi d'ah ! Censeurs !

 

Jérôme de Mars 

 

 

Dix vers si fiés !

 

Diversifiés !

Ces vers !

Sont ses vers !

Sévères !

Ah ! Ces vers !

Si sévères !

Font ses vers !

Et vont des versets

Les sens de ces vers !

Dix vers si fiés !

 

Jérôme de Mars

 

 

En bémol, Simone n'a eu d'enfants !

 

En son état à Cavalaire sûre

Mer; la mer envoie une bouteille à

La mère ! En allant droit dans le mur !

Sans fioritures d'arabesques ! Filles sans joie !

 

Simone a une parole cent bémols;

Pleurant en sa rancœur de palmiers !

Son manque bon enfant en tournesols;

Masquant en parasols ses regrets

 

De n'avoir pu enfanter les mamelles 

De France olé olé ! Comme une tante

Qui tente en secrets d'polichinelle !

De me cacher à elle; moi, la tante !

 

L'attente, on n'est jamais trop aidé !

A part que Simone est orpheline

D'enfants, dont son loulou, l'être émet

Louis dort lui enchantant des comptines

 

En bémol, Simone n'a eu d'enfants !

En baie molle, Simone est bon enfant !

Qu'elle déchante bon enfant sans enfants !

Qu'elle trompe sans défense son éléphant !

 

A force d'y voir clair dans toute sa vie !

Sa vie, il fait nuit qu'elle trompe la joie !

En pleurant de sa mélancolie;

La défaite qu'il y a du désarroi

 

Dans sa vie; ma cousine qui n'décolère

Envers moi à Cavalaire-sur-Mer !

Que je n'décolle l'air non débonnaire !

Envers elle ! Dont je suis délétère !

 

Car besoin de me soigner austère;

Avec de l'éther, moi délétère

Et mortifère ! Laissant Lubie faire

Avec mon consacré diable d'enfer !

 

Elle Simone passe les fêtes à Noël

Sa mère et son père qui m'enguirlandent !

Comme je suis la cause Qu'Simone chancelle !

Mangeant l'amie mollette cent Hollande !

 

En bémol, Simone n'a eu d'enfants !

En baie molle, Simone est bon enfant !

Qu'elle déchante bon enfant sans enfants !

Qu'elle trompe sans défense son éléphant !

 

Que Simone m'en veut en désaveu !

Comme jamais je ne fus son neveu !

Elle qui m'en veut tant car non, elle ne veut

Plus parler de moi et sans mes vœux !

 

Elle me considère comme un morveux  !

Hait un mort neveu, un morne à vœu  !

Dont elle m'a fait l'aveu qu'elle m'en veut

Qu'elle ne veut plus m'voir même dans mon pieu !

 

Le pieu de ses aïeux délits d'mort !

Le jour où je serai sur mon lit

De remords, j'aurai que des remords

D'avoir piqué vif tout l'monde d'orties !

 

Et pour redevenir clair comme de

L'eau de rose; j'arrête ma sinistrose

Pour qu'un et un égalent l'égales deux !

J'veux dire à Simone dans le cosmos !

 

En bémol, Simone n'a eu d'enfants !

En baie molle, Simone est bon enfant !

Qu'elle déchante bon enfant sans enfants !

Qu'elle trompe sans défense son éléphant !

 

Car même si je suis tant un oursin,

Je ne suis pas toujours si mesquin !

Idem si je n'suis tant un ours sain, 

Je ne suis pas toujours un vaurien !

 

Jérôme de Mars

Mon ami le jardinier

 

Débinant son essentiel;

Il a son jardin secret !

En défrichant la parcelle;

La part de celle qu'il aimait !

 

D'où il bêche sur ma feuille morte !

Les jours monotones; âme forte !

Il a de l'énergie à vendre

Et à revendre pour en prendre

 

Toute sa grande part à l'histoire !

Qui l'sert pour débroussailler

Ce que disent les bruits d'couloirs !

Pour élaguer et écimer

 

Son jardin secret en bref !

Qu'il tient à biner en joie !

Faisant une fleur sans griefs

A l'élue d'son cœur bourgeois!

 

Mon ami le jardinier

Aime cultiver l'amitié;

Semant la fraternité;

Plantant un traité de paix 

 

Dans un hymne régénérant !

Qu'il lui envoie des fleurs et

Toute la lumière ! Jaillissant 

Qu'il aime tant son beau métier !

 

Ayant des idées qui germent !

Luit qui ne tombe non jamais 

Dans l'pot aux roses épiderme !

Semant la rose Mausolée

 

Qu'il aime tous ses potos roses !

Pour voir la vie en rose, dont

Il génère sans sinistrose

Que de l'amitié en don !

 

Entretenant l'amitié  !

Et l'amour à fleur de peau !

Dans la solidarité

Qu'il n'effleure sans manque de pot !

 

Mon ami le jardinier

Aime cultiver l'amitié;

Semant la fraternité;

Plantant un traité de paix

 

Dans un grand trèfle à quatre feuilles;

Reluit celui si fleur bleue !

Qu'il me donne trop de mille-feuilles !

Pour que j'écrive : " Sois radieux ! "

 

Plus chacun pour soi ! Mais tous

Pour un ! Un pour tous qui met;

Emet bas en coups de pouce !

Une bande d'amis qui s'aimait

 

En affections d'longue durée

Dans la sécurité sociale !

Affections d'tant en durée

Dans tout le lien amical !

 

Lien si social, lien du cœur;

Il n'est du tout terre-à-terre !

Faisant une grande haie d'honneur !

Inné du tout taire à taire !

 

Mon ami le jardinier

Aime cultiver l'amitié;

Semant la fraternité;

Plantant un traité de paix.

 

Jérôme de Mars

Je perds l'oraison !

 

Au prix de ma vie;

J'ai perdu ici

Foi que je ne prie !

Hélas, je dévie !

 

Du très droit chemin ;

De l'adroit chemin

Que je perds la main !

Plus sûre lendemain !

 

Je m'en fous de tout !

Tout atout jamais !

Je suis un filou

Pour l'éternité !

 

Et désabusé

Que j'ne crois en rien !

Et si résigné !

Que je croîs pantin !

 

Je perds l'oraison !

A tort à raison !

Je perds la raison !

A tort oraison !

 

Que j'suis un pantin !

Que je suis sanguin !

Voyant rouge satin;

Que je suis félin !

 

En sortant les griffes;

Prenant le taureau

Par l'écorne dégriffes !

Achat de gros lots !

 

Je fais n'importe quoi !

Que j'importe pourquoi

Je n'écoute Aqua ?

Rainette qui fait coa ! ?

 

Suis-je mort-vivant ?

Un remord vivant ?

Ravivant mort

Que je n'en démords ! ?

 

Je perds l'oraison !

A tort à raison !

Je perds la raison !

A tort oraison !

 

Qui a vraiment tort ?

Suis-je peu retors ?

Une sorte de cador

En un rien qu'adorent

 

Les mauvaises langues mortes;

Qui ont tant la langue

Bien pendue et forte !

Sans semblant exsangue !

 

Que je crache tout mon

Venin d'serpentin !

N'bravant mes démons !

Qu'à la Saint-Glinglin  !

 

Je n'suis pas un sain !

Mais un genre malsain !

Transgenre un mâle Saint;

Qui fait genre mal Saint !

 

Je perds l'oraison !

A tort à raison !

Je perds la raison !

A tort oraison !

 

Jérôme de Mars

 

Dehors, il y a du sommeil !

 

Dodo ! Il y a un dodo

Qui fait dodo ! L'enfant do !

Déployant ses aises alèse !

Jouant désabusé à lèse !

 

S'reposant sur ses lauriers !

En mettant tout dans le même

Panier serti en osier !

Des solutions sans problèmes !

 

Le dodo inséparable

Est si fan de son dodo !

Qu'au Boulevard de l'affable;

Il attend l'eldorado !

 

Pour envoler tous les mots

Du perroquet, son roquet !

Qu'il pique les mots du dico !

Buvant déboires au troquet !

 

Dehors, il y a du sommeil !

Entre nuages et soleil

Dans la vie; lumière d'ombrelle !

Qui chancelle, comme il ruisselle

 

Pluies de mélancolies si

Altruistes et si généreuses !

Qui n'fonctionnnent avec des scies !

Sciant la branche ainsi songeuse !

 

Sciemment avec élégance;

Voyage dans la mélodie !

Le dodo fait en prestance

Toujours dodo; son ami;

 

Le dodo inséparable

De son dodo amical !

Lui qui lui reste redevable !

Affrontant sa face frontale;

 

Chantant au karaoké

Ce qu'ils rêvent faisant dodo !

Pays à réenchanter

Avec leurs semblables dodos !

 

Dehors, il y a du sommeil !

Entre nuages et soleil

Dans la vie; lumière d'ombrelle !

Qui chancelle, comme il ruisselle

 

Comme les dodos font dodo !

Et toujours dodo aimables

Avec leurs amis dodos !

Encore si inséparables !

 

Qu'ils ont à nouveau un déclic !

Avec leurs bagages d'voyage !

Qu'ils demeurent avec leur clique !

Songeant au pays des nuages !

 

Fumées de havane à Vannes;

A La Havane se pavanent

Des fumées de cigarettes;

Nuages dans l'air des fossettes,

 

Car même si tous les dodos

Aiment faire leur si grand dodo !

Ils attendent inséparables

Leurs dodos inséparables !

 

Dehors, il y a du sommeil !

Entre nuages et soleil

Dans la vie; lumière d'ombrelle !

Qui chancelle comme il ruisselle.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

L'arbre qui réveille la musique

 

Ombre et lumière, il fait clair

Du côté de la clairière !

Courants d'airs imaginaires

Pensées confrères à La Terre;

 

La nature semble dépaysante

Du temps en forêt mystère !

Que la nuit s'vit amusante

En musique chic linéaire !

 

Quand la forêt passe 33 tours !

Sillon du microsillon;

Tubes effrénés 45 tours !

Marie Laforêt à fond !

 

La sueur sur son grand front;

Qui fait fureur sur son arbre !

Du tronc au pied en mousson !

Emoussons qui reste de marbre !

 

L'arbre qui réveille la musique;

Répercussions frénétiques !

Condensant psychédélique;

Années 80 symphoniques !

 

C'est la grande loi de la jungle !

Avec la loi du plus fort !

Qui fait trémousser jingle;

La musique en métaphores !

 

Qu'elle fait changer les idées !

Des idées anciennes aux neuves

En une haie d'honneur ! Effet

Naphtaline qui les abreuve !

 

Haut récital déchanté !

Pour réinterpréter l'blues !

Blues notoire; pour en chanter

Tout le bonheur qu'il épouse !

 

Quand Charles en traînait y a de

La joie dans la belle forêt !

Fredonnant ensemble radieux !

Marie Laforêt si vraie !

 

L'arbre qui réveille la musique;

Répercussions frénétiques !

Condensant psychédélique;

Années 80 symphoniques !

 

Rappel d'la boule à facettes !

C'est la grande heure de la fête !

Mangeant des cacahuètes chouettes !

Avant l'envol des chouettes mouettes !

 

Alouettes; j'te plumerai !

Si chouette écrivant d'une feuille

Posée sur des arbres branchés !

Que je branche sur mon fauteuil !

 

L'oraison est la raison

Du plus fort ! C'est la meilleure

Débranchée ! Moi l'électron

Libre qui y croît au bonheur !

 

Atout jamais chaque saison !

Que de toutes mes feuilles de vigne;

J'en fais une ébullition !

Tournant cépages qui consignent

 

L'arbre qui réveille la musique;

Répercussions frénétiques !

Condensant psychédélique;

Années 80 symphoniques !

 

Jérôme de Mars

 

 

Un sac d'histoires

 

Me trimballant

Le long d'une route;

En déballant

Ma banqueroute;

 

Hôte de mes doutes

En une déroute;

Et coûte que coûte !

C'est trop le souk

 

Dans ma vie en

Marche superflue !

En arpentant

Tout mon reflux;

 

De pourquoi je

Reviens avent !

Quel est l'enjeu

D'aller avant ?

 

Un sac d'histoires

Du purgatoire;

Bris de couloirs

Rédhibitoires;

 

Cela est trop

Lourd à porter !

Mon sac ghetto !

A rapporter

 

Tout mon passé;

Je veux l'vider

Et l'dévider

Toujours scotché !

 

Et tant bluffé !

D'être encore en

Vie anémiée

D'un nouvel an;

 

Un an de plus !

Au plus au pire;

C'est un bonus !

Mon état empire !

 

Un sac d'histoires

Du purgatoire;

Bris de couloirs

Rédhibitoires;

 

Balourd à vivre

Que j'en renifle

Mon mal de vivre;

Même sans la snif !

 

Je vis au jour

Le jour de nuit !

Inouï à contre-jour !

Tout ça me nuit !

 

Que j'ai besoin

D'écrire un livre

Béguin sans gain !

Dont je délivre

 

Mon côté sanguin !

En déchantant

L'appât du gain !

Et préférant

 

Un sac d'histoires

Du purgatoire;

Bris de couloirs

Rédhibitoires.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Un pot de fleurs à fleur de peau

 

Pot-pourri, c'est tout un medley !

Du fait d'écouter Bob Marley;

Ou Paul McCartney effet

D'être apaisé ! Qui reflétait

 

Ces artistes sensibles; déferlant

Dans les années 60, 70  !

Du haut de leur juste firmament !

Dix de chute, vous disiez indice

 

De chute ! En envoyant des fleurs !

Apprenant par cœur leurs chansons !

Qui leur en faisaient que des fleurs !

En tentant des incantations;

 

Qui effleurent avec un fleuret !

Ciselé; fleurant effleuré;

Moucheté, décoché en jets

Privés de rejets; dont effet

 

Un pot de fleurs à fleur de peau;

Fait payer plein pot des impôts;

En faisant, refaisant la peau

Aux fleurs qui effleurent des vieilles peaux,

 

Quand toutes les fleurs font des ballades

Dans la rue envers l'inconnu !

Les ballades effleurent les balades

Aux Champs-Elysées absolus !

 

Qu'une pléiade d'artistes hein sensibles !

Monte sur la haute marche du podium;

Fait indicible; rien d'extensible !

Recueillant que des géraniums;

 

Shootant les artistes à l'opium !

Des paradis artificiels;

Qui s'en font un ultimatum

Aux parodies artificielles;

 

Brûlant leurs vies par les deux bouts

De la chandelle parler debout !

Tant qu'ils tiennent le coût demoiselles !

L'jeu vaut largement la chandelle !

 

Un pot de fleurs à fleur de peau;

Fait payer plein pot des impôts;

En faisant, refaisant la peau

Aux fleurs qui effleurent des vieilles peaux;

 

Qui veut en tenir la chandelle !

Avant de brûler au jardin

D'Eden; secrets d'polichinelle !

C'est toute la rengaine de malin

 

L'enchanteur; brûlant son histoire !

Se fourrant au four-crématoire !

Bris d'couloirs au crématorium

Pour en descendre l'auditorium !

 

Conflits entre les générations;

Qui a tort et a la raison ?

Multitude en émulation;

Il est leurre d'avoir l'oraison !

 

A chaque cœur qui bat la saison !

A chaque heure qui bat floraison !

Pourvu dès la pelle au standard;

Ils lâchent une chanson haut standard !

 

Un pot de fleurs à fleur de peau;

Fait payer plein pot des impôts;

En faisant, refaisant la peau

Aux fleurs qui effleurent les vieilles peaux.

 

Jérôme de Mars