Est-ce tes tics ?

 

Porte d'entrée !

J'vais frapper !

Pour rentrer,

Pour monter,

 

Tout en haut

D'la maison !

D'escabeau

D'ma vision !

 

Révision

De ma vue !

Champ d'vision

De belle vue !

 

J'ai un grain

D'pureté !

J'ai un grain

De parler !

 

Est-ce tes tics ?

Pathétiques ?

Esthétiques ?

Pas tes tics ?

 

J'ai des tocs !

J'suis toqué !

J'suis toc-toc !

Retoqué !

 

Je suis fou;

J'suis relou !

Que j'alloue;

J'suis jaloux !

 

Comme j'm'en fous !

Sans garde-fous !

Ce monde d'fous

Est ripou !

 

Suis-je bien net ?

Ou pas net ?

D'ma nénette

Aux manettes ?

 

Est-ce tes tics ?

Pathétiques ?

Esthétiques ?

Pas tes tics ?

 

Qu'je regarde

Plusieurs fois

Sans mégarde !

Si dès fois;

 

J'ai rangé;

Pas rangé;

Dérangé;

Arrangé;

 

Si j'retrouve

Toutes mes clés !

Et qu'je trouve

Sur mes clés !

 

Des contacts

Diplomates !

D'clé contact !

Qui me matent !

 

Est-ce tes tics ?

Pathétiques ?

Esthétiques ?

Pas tes tics ?

 

Jérôme de Mars

Le rêve Armoricain !

 

Des états désunis;

Il n'y a qu'un pas à faire !

En des états unis !

Volonté de mieux faire !

 

Avec une assurance

Santé pour sa santé !

En une réassurance

Trinquant à sa santé !

 

Pas avec Georges W Bush !

Un boucher sans scrupules !

Faisant du bouche-à-bouche !

Ranimant l'grouspuscule !

 

De L'Extrême-droite de Trump !

Que j'emmerde; je n'me trompe !

De combat à mener !

Comme personne à frapper !

 

Le rêve Armoricain !

Pour rester plus humain !

Le rêve Américain !

Pour rester un requin !

 

D'la finance dans l'argent !

Y a qu'ça qui compte pour eux !

USA d'arrogants !

Qu'ils y croient trop en Dieu !

 

La France est bien meilleure

Que les Etats-Unis !

Avec plus de bonheur

Qu'au pays ennemi !

 

Du bien ! Tout pour le mal !

Je préfère la belle France

Du fromage ! Au chacal

Américain d'finance !

 

Tous les Américains;

Ils n'ont jamais compris

Qu'le fait d'être des requins !

N'nous fait vivre pour la vie !

 

Le rêve Armoricain !

Pour rester plus humain !

Le rêve Américain !

Pour rester un requin !

 

Je préfère le social

D'La France sans L'Amérique !

Que leur heure libérale;

Qui nous rend chimérique !

 

Je préfère La Bretagne

Et son mauvais temps !

Qu'le Pays de l'épargne

Avec du très beau temps !

 

J'emmerde L'Amérique !

Ce pays d'aliénés !

Et toute leur politique !

De très grands fous à lier !

 

Alliés qu'dans la finance !

Qui ne pensent qu'à l'argent !

Soignant leur toute-puissance !

Qui ne pansent qu'à l'argent !

 

Le rêve Armoricain !

Pour rester plus humain !

Le rêve Américain !

Pour rester un requin !

 

Jérôme de Mars

Sans tambour ni trompette !

 

Sur un air de bluette;

Il y a de la musique !

Comme de la clarinette

Sur l'air métaphysique !

 

Qui donne de l'air au temps

Electromagnétique !

Qui resplendit le temps

Sur un air nostalgique !

 

Roulement frénétique !

Effet d'un saxophone !

Déroul'ment symphonique !

Musique anglo-saxonne;

 

Qui déchaîne tous les corps

En harmonie totale !

Qui enchaîne chaque accord

En synchronie frontale !

 

Sans tambour ni trompette !

Musiques d'une amourette !

Sans tambour ni trempette !

Machine aux alouettes !

 

Pour s'en laver les mains !

En faisant des messes basses !

Délavant le refrain !

En jouant d'la contrebasse !

 

Là ! Depuis belle lurette !

La machine de l'amour

Fabriquant des sornettes !

Qui machine désamours !

 

Et machine la machine !

L'amour de la musique !

Lavant à l'origine !

Laids des faux synthétiques !

 

Recomposant placide !

Des airs d'musiques classiques !

En composant torrides !

L'amour et fées basiques !

 

Sans tambour ni trompette !

Musiques d'une amourette !

Sans tambour ni trempette !

Machine aux alouettes !

 

Accordant des violons

En des accordéons;

Nous accordons; raccordons

Les violons qu'nous voilons !

 

Chantant la vérité

Aux violons qu'nous violons !

Jouant notre franc-parler !

Musiques; nous dévoilons

 

Les musiques d'instruments !

Jouant du violoncelle !

S'servant en instruments !

R'jouant ! Nous violons celles !

 

Des musiques d'instruments !

Leurs instruments d'musique;

Qui ont pour instruments

D'la musique pacifique !

 

Sans tambour ni trompette !

Musiques d'une amourette !

Sans tambour ni trempette !

Machine aux alouettes !

 

Jérôme de Mars

 

Moi; sans eux !

 

Sans bonjour;

Chaque matin !

Sans amour

Si humain !

 

Tout pour moi !

Profitant

Tout pour mois !

Sirotant

 

Au grand air

Sans plaisir !

Courant d'air !

Pour partir

 

Insoumis

Sans humain !

Car promis

Sacristain !

 

Moi; sans eux !

Sans lettre e !

Mois sans E !

Sans lettre d'eux !

 

Moi; vouloir

Tant mûrir !

A l'instar

Pour mourir !

 

Si lascar

Principal !

Un tocard

Monacal !

 

Qui vit sans

Un atout !

Mort-vivant

En un tout !

 

Moi; n'ayant

Rien du tout !

Moi; voulant

Si ripou !

 

Moi; sans eux !

Sans lettre e !

Mois sans E !

Sans lettre d'eux !

 

Roucoulant

Sans amour !

Donc; voulant

Point d'amour !

 

Pour la fin

Sans humains !

Sans la faim

Aux humains !

 

Pour croupir

Sans prison !

Sans souffrir

Comme un lion !

 

Pour pourrir

Sans air frais !

Pour finir

D'aucuns frais !

 

Moi; sans eux !

Sans lettre e !

Mois sans E !

Sans lettre d'eux !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

Graffiti urbain !

 

Venant du 94;

Ca m'fait une belle jambe !

D'essuyer les plâtres !

Des maux que j'enjambe !

 

En faisant un tag

Du mur en béton !

Bombe que je déflagre !

Disant laisse-béton !

 

Je suis en béton;

Genre un dur à cuir !

Bouteille de tesson !

Là ! Il va m'en cuire !

 

Vol d'blouson en cuir !

Blouson adoré;

Un loubard à cuire !

Blouson ah ! Doré !

 

Graffiti urbain !

J'suis dans le pétrin !

Tableau que je peins !

J'fais le genre humain !

 

Avec sur ma fresque;

La douleur d'Vitry !

Et en arabesques;

La douceur d'Vitry !

 

J'mets mon perfecto !

Peignant à la bombe !

Mon sacré tableau !

Alerte à la bombe !

 

C'est d'la bombe corsée !

Quand je bombe le torse !

Pour désamorcer

Ma bombe en entorse !

 

Comme j'viens du 94 !

Et qu'j'essuie les plâtres !

J'vais chez mon psychiatre !

Replié en quatre !

 

Graffiti urbain !

J'suis dans le pétrin !

Tableau que je peins !

J'fais le genre humain !

 

Pour m'plier en quatre !

Et rire entre amis !

Dans l'amer bellâtre !

Je suis insoumis !

 

D'La France Insoumise

Comme un Mélenchon !

Je mouille ma chemise !

Comme un sauvageon !

 

En faisant semblant !

En pivotant nul !

Cousant de fil blanc !

En votant match nul !

 

Brûlant mon histoire !

M'embrasant dans l'urne

D'un four-crématoire !

M'embourgeoisant diurne !

 

Graffiti urbain !

J'suis dans le pétrin !

Tableau que je peins !

J'fais le genre humain !

 

Jérôme de Mars

Le journal des bonnes nouvelles

 

Si on chantait dans un kiosque !

Des chansons qui donnent l'moral !

L'été soleil mettrait comme post

De belles choses inaugurales !

 

Sillonnant un monde meilleur !

Avec du soleil comme ange

Sans démons ! Semant l'bonheur !

Afin qu'tout le monde s'arrange !

 

Pour s'entendre, et se détendre

Dans un bain d'foule de Jouvence !

Avec gaieté pour répandre

Sans esclandre; l'amour d'Byzance !

 

S'balançant d'une balançoire !

Pour remuer le soleil

En racontant des histoires !

Et parmi les sept merveilles !

 

Le journal des bonnes nouvelles;

Enchantant des ritournelles !

Sans aucune mauvaise nouvelle;

En tournant la manivelle !

 

Et si au Parc Montsouris !

Dans un concert de louanges

En été, tout l'monde sourit !

Il y aurait de belles vies d'ange !

 

Générant l'essence du ciel !

Régénérant l'univers !

Recoloriant l'arc en ciel !

Avec une grande paix sur Terre !

 

Revivant en carpe-diem !

L'instant présent en présent

D'une belle bohème qui parsème

Un jardin édulcorant !

 

Pour remettre le soleil en choeur !

En rechantant le printemps

D'un sacré printemps d'saveur !

Si on chantait exaltant !

 

Le journal des bonnes nouvelles;

Enchantant des ritournelles !

Sans aucune mauvaise nouvelle;

En tournant la manivelle !

 

Avec des rêves de cagnard

En cauchemars interdits !

On redonnerait rencard

A des plaisirs inédits !

 

En dédicaçant une chanson

A l'amour de la belle vie !

Pour que pointe à l'horizon !

Des bonjours ragaillardis !

 

Avec des moineaux qui viennent

Nous rechanter l'paradis !

D'où qu'ils reviennent et proviennent;

Il nous faut leur harmonie !

 

Et sans aucune prises de becs !

Il faut que tout le monde s'aime !

Sans débiter des mots secs;

Il faut chanter en bohème !

 

Le journal des bonnes nouvelles;

Enchantant une ritournelle !

Sans aucune mauvaise nouvelle;

En tournant la manivelle !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Chante le printemps !

 

A la maison !

Y a des belles fleurs

En déraison !

Qui sentent l'bonheur !

 

Qui t'attendent là !

Qui te détendent !

T'donnant la joie !

Pour qu'elles s'entendent

 

Bien avec toi !

Dans l'affectif !

T'donnant la foi !

Dans l'effectif !

 

D'un temps radieux !

T'donnant l'élan !

T'rendant joyeux !

Disant et v'lan !

 

Chante le printemps !

Chante tout le temps !

Toi; empreint tant !

De ce beau temps !

 

Qui te rappelle

Le bon vieux temps !

T'faisant une pelle !

Te bécotant

 

Dans d'l'amour chaud !

Sans qu'il t'effraie !

L'amour t'rend slow !

L'show qui t'offrait !

 

De la tendresse !

Pas à tes frais !

Mais en des frais

De la liesse !

 

En un bonheur

D'un amour bis !

Il n'y a pas d'heure

Pour s'faire la bise !

 

Chante le printemps !

Chante tout le temps !

Toi; empreint tant !

De ce beau temps !

 

Qui t'réenchante !

En c'même refrain !

L'amour t'incante

De tout sans frein !

 

Que tu enfreins

Toutes les saisons !

Que t'soit empreint !

Toute l'oraison !

 

D'aucun hiver

En faits d'hiver !

Si ta colère...

Qu'tu déblatères...

 

Tu en faisais

Des mots divers !

En un été

De fées divers !

 

Chante le printemps !

Chante tout le temps !

Toi; empreint tant !

De ce beau temps !

 

Jérôme de Mars

                                 Les amis dur atelier !

 

Voici une petite saynète sur l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique

vue par Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique et quelques-uns de ses anciens collègues à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement

de L'ESAT La Fabrique croise dans la rue quelques-uns de ses anciens collègues à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique pour échanger avec eux

sur ce que devient L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite, croise d'abord dans la rue Charlotte Prêtre, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

- " Bonjour Charlotte, comment vas-tu ? Je suis content de te voir ! "

 

Charlotte Prêtre, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :

- " Coucou ! Jérôme ! Je vais bien ! Et toi ? Comme je te le dis très souvent,

     tu as bien fait de quitter cet ESAT de merde ! La fondation, ce n'est plus

    Les Amis de L'Atelier mais plutôt les amis du Râtelier, avec toute notre

   chienne de vie qu'on a eue toi et moi dans cet ESAT Jérôme ! N'est-ce-pas ? "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

- " Tu devrais aussi dire sans oublier Charlotte les Amis dur atelier, comme à la

      fin dans cet ESAT, ce fut trop dure l'ambiance dans cet ESAT et les conditions

      de travail insupportables dans cet ESAT ! Comme à L'ESAT, il y en a pleins qui

      mangeaient et bouffaient à tous les râteliers, il y avait des problèmes d'hygiène

      à la cantine de L'ESAT, ce qui a fait que c'est pour ça, que pleins de gens 

     mangeaient à la gamelle à la cantine de peur de se prendre des gamelles

    en mangeant la gamelle du voisin ! "

 

Charlotte Prêtre, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat en retraite :

 - " Toi Jérôme, tu t'es pris tellement des gamelles

    dans cet ESAT de la part de pleins d'agents qui s'en foutaient de toi, qu'on te

   parlait comme un chien, en te disant chute comme chute de ton histoire, c'est

   pour ça que quasiment personne dans cet ESAT ne te comprenait et ne

  s'entendait pas avec toi, en n'entendant pas ta détresse, à force que tout

  le monde te laisse tomber à L'ESAT, cela a fait comme retombées, que tu

  t'es pris trop de gamelles ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite rencontre maintenant dans la rue

Sandrine Ribé, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

- " Bonjour Sandrine, comment vas-tu ? "

 

Sandrine Ribé, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

- " Salut Jérôme, je vais bien, et toi ? Si tu savais depuis que t'es parti, ça a tellement changé cet ESAT que comme moi, je n'ai pas envie de changer de mentalité que j'ai envie de changer d'ESAT en allant m'installer dans le Sud au train où vont les choses, comme dans cet ESAT, y a tout qui déraille ! Tu as bien

fait de partir, ne reviens surtout pas dans cet ESAT de merde ! Tu risques de

perdre plus la boule en ayant les boules, surtout que le jour où tu partiras à la quille, tu risqueras d'être encore plus maboule que maintenant avec la boule au ventre ! Si tu savais, j'en ai plus que marre de cet ESAT ! J'ai envie de me tirer de cet ESAT ! Je comprends mieux pourquoi Jérôme avant quand t'étais à L'ESAT, pourquoi tu te lâchais méchamment sur Facebook ! Tu avais besoin de bien nous habiller pour l'hiver ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

- " Je te l'avais bien dit que tout ce que j'avais écrit sur facebook comme par

     exemple Vive Marine Le Pen, présidente de La France en 2022, ce n'était

    pas pour être méchant et être incendiaire, c'était surtout pour écrire de façon

   habile, que maintenant comme à l'atelier conditionnement, vous faites souvent

  de la blanchisserie, on peut dire que tout le monde lave son linge sale en

 infamie ! "

 

Sandrine Ribé, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

- " Je le savais Jérôme que tu es loin d'être méchant, t'en as tellement gros

    sur la patate, que c'est pour ça qu'actuellement, tu n'as plus la patate et tout ça

   pour ta pomme sur Terre ! Dont on peut même médire sous taire que si tu étais

  provocateur et haineux, ce fut pour allumer le feu de ton côté incendiaire, où

  t'as souvent fait le pompier de service de tout le monde, que tout le monde t'a

  enfumé sans que tu fumes le calumet de la paix pour trouver la paix intérieure

 sans être Geronimo en file Indienne ! Tellement que ta vie est amère Indienne !

 Je sais que Jérôme que même si tu n'es pas tout blanc, tu n'es pas non plus

 tout noir dans la chute de ton histoire ! Mon pauvre Jérôme, courage ! Tiens le coût en ce monde de merde ! "

 

Pour terminer, Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite croise maintenant

dans la rue Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT

La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

- " Bonjour mon petit Tony, comment vas-tu mon ami ? "

 

Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT

La Fabrique :

- " Bonjour Jérôme, ça va et toi ? Tu vois Jérôme, j'ai hâte de quitter cet ESAT      

     pourri pour travailler en milieu ordinaire dans un centre commercial, tu vois

    comme à L'ESAT, je travaille tout le temps à la chaîne, autant que je travaille

    dans un centre commercial d'une chaîne commerciale ! Tu vois Jérôme,

   je ne t'ai jamais jugé quand tu te lâchais à la chaîne sur Facebook ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

- " Cela me fait plaisir que tu me comprennes Tony, tu es l'un des seuls à me

    comprendre, tellement qu'à L'ESAT La Fabrique, je fus vers la fin, le maillon

    faible de la chaîne de l'atelier conditionnement, à force qu'on m'enchaîne à faire

   ce même travail pas intéressant de bouteilles d'alcool à conditionner en cartons,

   tellement qu'on m'a enchaîné et qu'on m'a déchaîné, c'est pour ça que sur

   Facebook, je me déchaînais en me faisant passer pour un gars haineux, qui

  souhaitait la fin du monde et la fin de l'humanité ! Et toi Tony, pourquoi veux-tu

  quitter L'ESAT pour travailler en milieu ordinaire dans une grande surface ? "

 

Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT

La Fabrique :

- " Mon petit Jérôme, si je veux quitter L'ESAT pour travailler en milieu ordinaire

    dans une grande surface, c'est pour bien remonter à la surface et bien m'en

   sortir de cet ESAT sans faire remonter à la surface les mauvais souvenirs

  dans cet ESAT, voilà ! "

 

                               Jérôme de Mars

 

 

 

Une éclaircie dans un ciel gris !

 

En ces temps bipolaires qui vont !

Et s'en vont ! En changeant d'humeur !

Y a des nuages à l'horizon !

Faisant d'un bonheur le malheur !

 

Le temps demeure très contrasté

Dans la douleur et la douceur !

Contrarié et décontracté

Entre liqueur et vent de fraîcheur !

 

D'un temps assez volatile !

Changeant d'avis comme de chemise

En son caractère versatile !

Fluctuant en prises en surprises !

 

Il fait beau; il pleut ! Météor !

Il va y en avoir du soleil !

De grandes merveilles dans un trésor !

Une pléthore qui vante de vermeilles !

 

Une éclaircie dans un ciel gris !

Faisant d'l'aigri ! Une griserie !

Entre gris-gris et l'gris de la vie !

Pour faire du gris une griserie !

 

Les nuages gris; travaillent d'grisaille !

Qui font grise mine ! En sanglotant

La pluie qui tombe de ses entrailles  !

Qui assaillent tout le bon vieux temps !

 

Il faut prendre à la source toute l'eau !

En des retombées de soleil !

Utilisant l'eau en sanglots !

Pour déverser des sentinelles !

 

Mettant d'l'huile sur le feu ! Allo !

Y a le feu au lac ! Déferlant !

Allant à la dérive des flots !

Leur mettant et jetant un vent !

 

En ce temps dur qui ne détend !

Qui se tend et s'étend ! Hurlant

Par tous les temps obscurs ! Déviant

Le bon vieux temps vers l'mauvais temps !

 

Une éclaircie dans un ciel gris !

Faisant d'l'aigri ! Une griserie !

Entre gris-gris et l'gris de la vie !

Pour faire du gris une griserie !

 

Personne n'comprend plus rien au temps !

Au temps sans aucun Havre de Paix !

Comme au Havre; y a du mauvais temps !

Qu'il fait sans jamais être en paix !

 

En trouvant la paix intérieure !

En un soleil enjoliveur !

Faisant de tous les sols pleureurs

De grands arbres en des saules rieurs !

 

La vie; ce n'est pas que du vent !

C'est aussi inventaire sur taire !

Respirant le temps apaisant !

S'apaisant en restant sur Terre !

 

Y a après la tempête; le calme !

En regardant l'oeil du cyclone !

Pour nager sur l'eau; y a des palmes !

Avançant; nageant  ! C'est la zone !

 

Une éclaircie dans un ciel gris !

Faisant d'l'aigri ! Une griserie !

Entre gris-gris et l'gris de la vie !

Pour faire du gris une griserie !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                               Blague :

 

 

Pourquoi cette nuit, y a-t-il eu de jeunes émeutiers qui ont attaqué le commissariat de La Courneuve avec des tirs de mortiers ?

-  Pour en faire la cour neuve !

 

                                       

                                       Jérôme de Mars

Mozart est là !

 

D'un air classique;

J'crie la musique !

Si mélodique !

J'révise classique !

 

La belle musique

De Puccini !

Musique classique

D'un air d'Verdi !

 

Air d'La Tosca;

J'prends des grands airs !

D'La Traviata;

Qui décolle l'air !

 

D'une embellie 

Chic pulmonaire !

En galerie

D'l'air populaire !

 

Mozart est là !

Chantant d'la joie !

Mozzarella;

Mangeant d'la joie !

 

Musique, où j'sème !

Toute l'agonie 

Du requiem

D'un air d'Verdi !

 

Où je parsème

Dans l'harmonie !

Toute la bohème

De Puccini !

 

Pour me changer

Bien les idées !

Dans l'euphorie

De Vivaldi !

 

J'écoute si cool

Les quatre saisons !

D'un air si cool

Dans l'oraison !

 

Mozart est là !

Chantant d'la joie !

Mozzarella;

Mangeant d'la joie !

 

En empochant

L'joli magot !

En écoutant

L'air d'Turandot !

 

Et en mangeant

Des berlingots !

Air d'Nabucco !

En me berçant

 

L'air d'Puccini !

En allergie

D'un air d'Verdi !

Aux airs exquis

 

D'Aïda; c'tte Dame !

Qui me travaille !

M'chantant Madame !

Cette Butterfly;

 

Mozart est là !

Chantant d'la joie !

Mozzarella;

Mangeant d'la joie !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bulles de savons

 

De notre jeunesse;

On s'en rappelle

Avec tendresse

En ritournelle !

 

Qu'on se renferme

Là dans notre bulle !

En restant ferme !

Qu'on déambule

 

Marchant debout !

Manque d'pétillant 

Car très à bout !

En éclatant

 

D'un manque d'éclats !

N'faisant des bulles !

Qui font quoi ?

Conciliabule !

 

Bulles de savons;

Si nous savons

Les marques d'savons !

Que nous savons

 

Que les enfants;

Ils font des bulles !

Si innocents

Et funambules !

 

Comme leur enfance

N'tient qu'à un fil !

Y a leur offense

Qui elle; défile !

 

En leur passant

Un grand savon  !

En punissant

Tous leurs démons !

 

Afin qu'ils sortent

Tous de leur bulle !

Et qu'il en sorte

Conciliabule !

 

Bulles de savons;

Si nous savons

Les marques d'savons !

Que nous savons

 

Qu'il n'faut dormir

Sur ses lauriers !

Pour n'plus subir

Paniers percés !

 

L'manque d'équilibre !

Vie somnanbule !

Qui elle; ne vibre;

Vie funambule !

 

En s'rappelant

Les bons moments 

D'un parc d'enfants !

Eux; ricanant !

 

Sortant d'leur bulle !

Redevenant

Si pétillants !

Faisant des bulles !

 

Bulles de savons;

Si nous savons

Les marques d'savons !

Que nous savons.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Dans les clous

 

Lui marteau;

C'est quelqu'un

D'bricolo !

Si taquin;

 

Très frivole

Et léger;

Qu'il bricole

Genre rusé !

 

Des combines;

S'enivrant

Sans bibine !

S'amusant

 

Que tous lui

Serrent la vis !

Qu'il n'dévie

Le tourne vice !

 

Dans les clous

Si ripous !

Maniant l'clou

Si chelou !

 

Qu'il cimente

D'sa truelle !

Qu'il aimante

D'gestuelle !

 

Pour creuser

De sa pioche !

Pour bluffer

Bonne pioche !

 

Qu'c'est un as;

Un génie !

Qu'il amasse

Sa folie !

 

Il enfourche !

D'mauvaise langue

De sa fourche !

Comme il tangue !

 

Dans les clous

Si ripous !

Maniant l'clou

Si chelou !

 

Comme il n'est

A couteaux

Trop tirés

D'matériaux !

 

Qu'il s'débrouille

En tant qu'as

Sans embrouilles !

Qu'c'est un laze

 

D'Tombouctou;

Qu'il manie

D'son p'tit bout !

La faucille

 

Et l'marteau !

Par l'appel

Du râteau !

Qu'on l'épelle

 

Dans les clous

Si ripous !

Maniant l'clou

Si chelou !

 

Jérôme de Mars

Si on cuisinait !

 

Ceux qui ont des cass'roles !

A côté d'la plaque !

Ils ont pour bémol

Sans induction d'plaques !

 

En mettant à plat

Leurs recettes ratées !

En passant les plats

Qui sentent le cramé !

 

Se mettant à poêle 

A frire ! C'est tout cuit !

S'hérissant les poils !

On sera tous cuits !

 

Dans l'assiette d'l'hein pot !

Pas dans leur assiette !

En buvant un pot !

Faisant nos emplettes !

 

Si on cuisinait !

Les gens réservés !

Si on cuisinait !

Des plats mijotés !

 

Invitant à table;

Les gens pour parler

Sans dessous de table !

Pour réconcilier

 

Tous les gens conviés

Qui sont en colère !

A couteaux tirés !

Brassant que de l'air !

 

A vent; c'est du vent !

En mettant un vent !

N'y allant avec

L'dos de la cuillère !

 

En leurs prises de becs !

Repas incendiaire

Avec des mots secs !

Ces gens très pète-secs !

 

Si on cuisinait !

Les gens réservés !

Si on cuisinait !

Des plats mijotés !

 

Qui sont réservés;

Réservant une table !

Pour nous réserver

Sans dessous de table !

 

Pour être dans la marge

D'la fourchette des prix !

Pour ratisser large !

L'tout sera compris

 

Sans des coups d'fourchettes !

Pour réconcilier

Tout l'monde sans machette !

Sans hachette en paix !

 

On achète pour tous

La paix rien qu'la paix !

Qui nous rassemble tous !

Consignant la paix !

 

Si on cuisinait !

Les gens réservés !

Si on cuisinait !

Des plats mijotés !

 

Jérôme de Mars

 

                                          Blague :

 

Pourquoi y a-t-il de plus en plus de Français qui votent

Marine Le Pen aux élections ?

-  Parce-que tous les Français veulent un rassemblement

   national de tout le monde !

 

                                  Jérôme de Mars

 

 

Chante la paix !

 

Si naguère;

Il y avait

La grande guerre !

Il faudrait

 

Tous s'entendre

Dans l'amour !

Se détendre

En séjour !

 

Tous s'aimer

D'affection !

Pour s'soigner

D'affections !

 

Composant

La bonté !

R'composant

De beauté !

 

Chante la paix !

Sans saigner !

Chante l'respect !

Sans crier !

 

Mets des gants

Jamais lourds !

Prends des gants

De velours !

 

Pour parler

A ces gens !

Pour souffler

A ces gens !

 

Qu'tu les aimes

D'tout ton coeur !

Qu'ils t'sèment

De bonheur !

 

En plantant

Un grand arbre !

Egrénant

Sans être d'marbre !

 

Chante la paix !

Sans saigner !

Chante l'respect !

Sans crier !

 

Plante la fleur

De la paix !

N'être à fleur

D'peau sans paix !

 

Ecris la paix

De ton encre !

Dense épais !

Jetant l'encre !

 

En des gestes

D'tant d'amour !

Tu t'délestes

Sans vautours !

 

Pour un monde

Solidaire !

Sans l'immonde

Solitaire !

 

Chante la paix !

Sans saigner !

Chante l'respect !

Sans crier !

 

Jérôme de Mars

Le meilleur comme le pire !

 

Assis toujours à chaise !

Y a des états seconds !

Qui en disent long d'un malaise !

Il y en a qui s'en font !

 

Toute une haute montagne Russe !

S'rappelant leur histoire

Personnelle sans bonus !

En des brèves de comptoir

 

Au bistrot ! Qui rembarre

L'humour noir blague is blague !

L'or qui redore en barre !

Loubards qui portent des bagues

 

Au doigt sur le bras long !

Des muscles; rien dans la tête !

L'café du commerce long

Fumant leurs allumettes !

 

Le meilleur comme le pire !

Faisant semblant d'sourire !

Le meilleur comme l'soupir !

Faisant semblant de rire !

 

Les gens se font du mal !

Soit-disant pour leur bien !

D'leur regard animal

D'un genre manichéen !

 

Il faut à présent voir

Toute la réalité

En face ! Comme un mouroir

De la dure cruauté

 

De la vie dès la nuit !

Comme la loi de la jungle !

Dès qu'arrive l'heure d'Minuit,

Toujours le même jingle !

 

Aux gens qui croient savoir

Tout sur tout en surface !

Il faut s'en émouvoir

De n'se mouvoir la face !

 

Le meilleur comme le pire !

Faisant semblant d'sourire !

Le meilleur comme l'soupir !

Faisant semblant de rire !

 

La vie passe assez vite !

Qu'tout le monde passe son temps

A la va-vite; s'évite !

Comme une course contre le temps !

 

A passer tout son temps !

Voulant aller plus vite !

Qu'on en perd du bon temps !

L'bon temps sans qu'on se frite !

 

Voulant surfer sur l'net !

Sans que le monde soit chouette !

Il suffit d'le rendre net !

Qu'le monde vole comme une chouette !

 

S'envolant vers le haut !

Pour n'plus jamais s'en faire

Jusqu'à l'eldorado !

Loin du bout de l'enfer !

 

Le meilleur comme le pire !

Faisant semblant d'sourire !

Le meilleur comme l'soupir !

Faisant semblant de rire !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

L'arbre est un hêtre vivant !

 

Planté dans la forêt;

Il y a un arbre qui chante

Et marie la forêt !

Un arbre tranquille qui vente

 

Tout le silence feutré;

Resplendissant d'ardeur !

Avec vivacité

Pour remettre des couleurs !

 

Sans aucun macadam

Avec de la verdure;

Faisant tout un ramdam !

A cette bonne Dame nature !

 

L'arbre écrit sur des feuilles

Tapies sur l'sol pleureur !

Une portée d'notes ayant l'oeil !

D'une clé d'sol enchanteur !

 

L'arbre est un hêtre vivant !

Revenant du néant !

En pansant; en songeant

A un arbre résilient !

 

Un arbre porte comme message !

Qu'il faut hêtre ! Pas paraître !

Un arbre porte comme adage !

Qu'il faut être ! Pas par être !

 

L'image de l'arbre renvoie

En quête de la quiétude !

En retrouvant la voix

Sans aucune inquiétude !

 

Le tronc d'l'arbre est un hêtre !

Vivant tranquille; serein !

Le tronc d'l'arbre naît un être !

Vivant azuréen !

 

Dans la lavande du Sud;

Les âmes semblent assez prudes !

Qu'il suffit d'mots divers

Pour rompre chaque rude hiver !

 

L'arbre est un hêtre vivant !

Revenant du néant !

En pansant; en songeant

A un arbre résilient !

 

Cultivant tout l'amour !

L'amour de son prochain

En une paix troupe amour !

Troubadour pour demain !

 

L'arbre; il veut faire la paix

En appelant les arbres !

Edifiant en conte d'fées !

Un monde sans rester d'marbre !

 

Il faut tout assembler

Le sol pleureur; son hêtre !

Il faut tout rassembler

En un sol chanteur d'être !

 

Lors d'un concert d'louanges

Réconciliant les arbres !

Lors d'un concert d'vies d'anges

En ne restant de marbre !

 

L'arbre est un hêtre vivant !

Revenant du néant !

En pansant; en songeant

A un arbre résilient !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

A chaque jour suffit sa peine !

 

Comme un lundi quand l'un dit !

Que je regarde de travers !

Les gens qui traversent ma vie

En mes travers ! Allant vers

 

Toute la bande originale

De ma vie ! Qui part débris

D'ma voix intérieure brutale !

Qui fait échos à ce bruit

 

Qui me dévie le visage !

Le visage décomposé;

Ma vie est un grand naufrage !

Et las ! Je dois composer

 

Avec tout ça sans dégâts !

Bonjour ! Les dégâts ! Les gars !

Ma vie n'a jamais été

Un long fleuve tranquille; blessé !

 

A chaque jour suffit sa peine !

Or ! Il faut reprendre haleine !

Sans être tenté par la haine

En méforme de vieille rengaine !

 

J'ai de la peine à ouvrir

Les yeux pour être si heureux !

Que je ne veux plus souffrir

A languir d'être malheureux !

 

J'ai du mal à oublier

Mon passé de gars frustré !

Décompensé à panser

Mes blessures ! A en saigner

 

Mes erreurs à n'pas refaire

Du bout de tout mon enfer !

A force de m'en faire l'hiver

D'ma vie qui respire la guerre !

 

Ma guerre des nerfs ! Sur un air

De vouloir la fin du monde;

J'ai des colères sur un nerf !

Qui décolle l'air de l'immonde !

 

A chaque jour suffit sa peine !

Or ! Il faut reprendre haleine !

Sans être tenté par la haine

En méforme de vieille rengaine !

 

Que faire de sa vie au bout

Du rouleau d'vagues compresseurs !

Or ! Il faut tenir debout !

Sans un nanti dépresseur !

 

Qui nous rend superficiels

D'paradis artificiels !

Il faut qu'il y ait un déclic !

Pour faire du passé ses clics !

 

En sa bande d'amis en soie !

Sa clique; rien que sa belle clique !

Enchantant chacun pour soie !

Tous ensemble en bonne pratique !

 

L'amitié en égale un

En un pour tous; tous pour un !

L'amitié en régale un

D'un coup de pouce; tous pour lin !

 

A chaque jour suffit sa peine !

Or ! Il faut reprendre haleine !

Sans être tenté par la haine

En méforme de vieille rengaine !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

L'effet papillon fait une hirondelle !

 

Prenant la mouche lors d'un beau printemps;

C'est la saison qui fait mouche contemplant

Les rives de la mer; flirtant pour longtemps

Dans la nostalgie du grand firmament !

 

Esprit céleste ! La tête dans les étoiles !

Avec des lucioles; effet papillon !

Il y a des libellules qui mettent les voiles !

Naviguant; cap vers un splendide horizon !

 

Le printemps fait et défait chaque hiver !

Pour faire d'une hirondelle la passerelle

De l'hiver ! Réveillant les conifères

A-tire-d'ailes pour voler de ses propres ailes !

 

De la chenille au papillon de nuit !

L'effet papillon donne du grain à moudre

D'folie; survolant; défilant ravis

Les jours du soleil qui font tous absoudre !

 

L'effet papillon fait une hirondelle !

Volant la vedette à la tourterelle !

Pour faire voler vers l'haut la coccinelle !

Tous les oiseaux se font la courte échelle !

 

Avec le Bescherelle; roulant les ailes !

Faisant passer le mot; l'être au corbeau !

Sans un p'tit oiseau qui ne bat de l'aile !

L'corbeau ramasse à l'appel les bons mots !

 

D'la saison du printemps; faisant passer

De grosses émotions autour de l'amour;

Passeur de ces bécasses pour bécasser !

Tapant avec tendresse sur les tambours;

 

Oiseaux de bons augures qui inaugurent

Les oiseaux; se bécotant sur l'perchoir !

Reflétant l'eau; les ricochets nature !

Le printemps se conte; réservoir d'histoires !

 

D'belles histoires en marchant dans la forêt !

Forêt; dissipant vierge effarouchée !

Y en a plusieurs arbres qui cachent la forêt !

Pour s'mélanger en grand nombre au complet !

 

L'effet papillon fait une hirondelle !

Volant la vedette à la tourterelle !

Pour faire voler vers l'haut la coccinelle !

Tous les oiseaux se font la courte échelle !

 

Les fourmis fourmillent d'une pléide d'idées

Lors de l'olympiade ! Faisant une parade !

Pour faire défiler toute la voie lactée

Diverse et variée; slamant une tirade

 

Ecrite sur les feuilles des arbres; s'remuant !

Grâce au vent qui fait coucou aux coucous !

Se trémoussant ! Bravant la force du temps !

Qui passe d'plus en plus vite ! Faisant beaucoup

 

De compliments, dès qu'arrive la saison

Du printemps; empreint d'amour en voguant

Dans la saison des amours folichons;

Le printemps s'apprécie en s'caressant !

 

Aux gestes de premier secours pour aimer

L'Arche d'Noë ! Recueillant les animaux

Autour de l'amour social ! Qui émet

De bonnes ondes envoyant comme bons signaux !

 

L'effet papillon fait une hirondelle !

Volant la vedette à la tourterelle !

Pour faire voler vers l'haut la coccinelle !

Tous les oiseaux se font la courte échelle !

 

Jérôme de Mars

 

 

Depuis mille ans en Italie

 

Comme tous les amants de Vérone !

Il y en a dans leur élément !

Qui sont des aimants à Vérone !

L'Italie; ce pays charmant

 

Vendant de la soupe d'minestrone !

En en faisant tout un ramage !

Quand Mozart est là; il chantonne !

En en faisant tout un fromage !

 

En attendant au Vatican;

Le pape pour papoter ! Parlant

D'l'état de sa soupape ! N'allant

Si fringant sans être rutilant !

 

Prier en vœux pieux de l'état

Du monde qui est si lessivé !

Fatigué sans avoir de joie

Sur La Place Saint-Marc lessivée !

 

Depuis mille ans en Italie,

Comment rendre notre monde si joli

Depuis Milan en Italie,

Il faut redonner de l'envie !

 

De venir en vacances à Rome

Sans voir forcément que des Roms...

Comme tous les chemins mènent à Rome !

Pour ceux qui en achètent du rhum !

 

En allant sur la Tour de Pise !

Qui dévisse anxiogène à Gênes !

En allant voguer à Venise

Sur des pirogues qui sont sans gênes !

 

L'roman d'une belle histoire d'amour !

Mettant la langue de bois d'Bologne !

Chantant en sérénade ! L'amour

Sans mettre la langue du bois d'Boulogne !

 

Complètement à chase debout !

A six sur une chaise frétillant !

Et fricotant avec leur bout !

Se remuant bien raccolant !

 

Depuis mille ans en Italie,

Comment rendre notre monde si joli !

Depuis Milan en Italie,

Il faut redonner de l'envie !

 

D'aller jouer au foot au stade !

A quel stade; ils en sont au club ?

A tel point qu'au club; ils paradent

Lors de chaque nuit dans les nignts-clubs !

 

Attendant de voir des gens bons !

Qui mangent bien des jambons de Parme !

Qu'ils attendent la nouvelle saison

Pour voir leur club d'Naples ! Comme alarme

 

Fatale en fans fatals d'Turin !

En mettant la main à la pâte

D'La Toscane toujours un parrain !

Comme la Sicile qui nous épate !

 

Villes de Florence à la Sardaigne;

Jaillissant en une belle fontaine

De Trévise en cette ville qui daigne !

Nous inspirant comme La Fontaine...

 

Depuis mille ans en Italie,

Comment rendre notre monde si joli !

Depuis Milan en Italie,

Il faut redonner de l'envie !

 

Jérôme de Mars

 

Un éclair d'Eugénie !

 

C'est un génie en herbe !

Qui s'appelle Eugénie;

Il fume souvent de l'herbe

En un clair de génie !

 

Qu'il jette tout en pâture

Pour brouter toute son herbe !

Cultivant sa nature !

Qu'il se cultive en herbe

 

En sa face claire et obscure !

Qu'il a pour dernier mot !

Son génie qui figure

Dans les mots du dico !

 

Comme Eugénie Grandet,

Un être intelligent !

Que son génie grondait

L'fait d'être intelligent !

 

Un éclair d'Eugénie !

Que c'est un bon génie !

D'un éclair de génie !

Qu'il s'écrie au génie !

 

Eugénie; l'cultivé !

Que pour se cultiver;

Il en cultive de l'herbe !

Luit; ce génie en herbe !

 

Sans jamais se couper

L'herbe sous le pied ! A pied !

Qu'il en met à couper

Sa main pour prendre son pied !

 

Repartant du bon pied !

Et sans faire de faux-pas !

Il n'tombe dans un guêpier !

Avançant à grands pas !

 

Vers son intelligence

Jamais artificielle !

En son intelligence

Assez naturelle !

 

Un éclair d'Eugénie !

Que c'est un bon génie !

D'un éclair de génie !

Qu'il s'écrie au génie !

 

Eugénie est l'génie !

Parfait non contrefait !

Qu'il frôle le grand génie !

R'fait dans un conte de fée !

 

Que ce génie se compte

Sur les doigts de la main !

C'génie se la raconte !

Ayant les cartes en main !

 

Pour mener son destin,

Comme il l'entend ! A temps !

Sans attendre là ! Demain !

Comme il est très impatient !

 

D'avoir de la réussite

En une vie fascinante !

Sans jamais prendre de cuite !

En une vie lancinante !

 

Un éclair d'Eugénie !

Que c'est un bon génie !

D'un éclair de génie !

Qu'il s'écrie au génie !

 

Jérôme de Mars

Médiator

 

D'une guitare;

Je veux jouer

Le cagnard !

Si enjoué;

 

Pour soigner

Mes démons,

Pour saigner

Les jurons

 

De ces gens

Envers moi !

M'dézinguant

D'tout mon poids !

 

Que j'écris

Une balade !

En mes cris

De malade !

 

Médiator

J'veux éclore;

Médiator;

Qu'je veux clore !

 

Toute ma haine !

En reprise

D'la semaine

Sans méprise;

 

Que je chante

Sans faire d'mal !

Je déchante

L'animal !

 

Qui sévit

Bien en moi !

Qui m'raidit

Moi; en froid !

 

J'suis fâché

Avec l'monde !

Pour crier

Toute ma fronde !

 

Médiator

J'veux éclore;

Médiator;

Qu'je veux clore !

 

N'comprimant

Toutes mes plaies !

M'bientraitant !

S'il vous plaît !

 

Pour m'traiter

En chanson !

Pour soigner

Mes démons !

 

En prenant

Mes cachets !

En pansant

Sans m'cacher !

 

Pour jouer

D'la guitare !

Qui émet

Le cagnard !

 

Médiator

J'veux éclore;

Médiator;

Qu'je veux clore !

 

Jérôme de Mars

     Préfères-tu avoir un travail qui te plaît et être mal payé(e) ?

     Ou préfères-tu avoir un travail qui ne te plaît pas et être bien payé(e) ?

 

Dans la vie dans le domaine des métiers, panses-tu qu'il vaut mieux avoir un 

Travail qui te plaît et être mal payé(e) ?

Ou penses-tu qu'il vaut mieux avoir un travail qui ne te plaît pas et être bien payé(e) ?

L'avantage d'un travail que tu fais et que tu aimes faire même en étant mal payé;

Est que tu fais ton travail avec plaisir et un grand intérêt sans que ce soit une

Contrainte qui te cause de l'ennui dans ton travail à moins de chances 

D'avoir un burn-out; et si ton travail te procure beaucoup de satisfaction;

C'est que tu te sens investi d'une mission en pratiquant ce métier avec 

Dévouement; doublée d'une vocation pour lequel tu t'impliques beaucoup sans

Compter tes heures; en faisant ton métier avec passion pour lequel tu es très

volontaire; et si tu as l'amour de ton métier avec de la bienveillance et du bien-être;

Ca te donne envie de donner le meilleur de toi-même; en allant travailler chaque

Matin avec le sourire; à la vue de tous ces éléments positifs et optimistes;

Tu as donc beaucoup moins de chances de te mettre en arrêt-maladie,

Par conséquent; tu auras rempli tous tes objectifs en adéquation avec tes valeurs

Morales et humaines; pas que pour l'aspect financier mais également pour ton

D'intérêt personnel et professionnel, où tu auras le sentiment de t'être réalisé;

D'avoir de la reconnaissance à ton travail qu'on t'aura bien manifesté

Avec la conscience tranquille; où tu auras une bonne estime de toi-même, tu auras Une bonne impression de toi-même avec le sentiment approprié de bien mettre

La pierre à l'édifice en contribuant de façon juste et parfaite à l'activité 

Sociale-économique de la France; en ayant bien trouvé ta place dans la société

Parce-que tu auras su bien t'intégrer dans ta profession qui t'aura permis de créer du lien social et de te faire des amis. En résumé; ton métier te comble de joie

Et de bonheur; tu es bien dans ta peau; tu ne fais pas un travail que tu subis.

 

L'inconvénient d'un métier que tu fais et que tu n'aimes pas même en étant bien

Payé; fait que ton métier ne t'apporte rien sur le plan personnel et professionnel à

Part l'aspect financier conséquent, mais dont ton travail t'ennuie et te fait dépérir

A petit feu ! En n'ayant pas l'amour de ton métier, de ton travail que tu fais juste

Pour l'argent au détriment de ta santé mentale, si tu fais un travail que tu n'aimes Pas mais pour lequel tu es bien payé, si tu n'es pas assez solide moralement cela Peut te causer à force un burn-out avec à la clé de mauvaises relations avec tes Collègues, si en plus pour couronner le tout à ton travail, il y a une mauvaise Ambiance et aucune bienveillance envers toi notamment de la hiérarchie et de tes Collègues, où si t'es trop bon et trop con en rendant toujours service à tes Collègues, avec aucune réciproque, c'est-à-dire si tu donnes mais que tu reçois Rien ou presque rien en retour; tu risques de tomber en dépression, et pour Combler ta frustration, tu risques de devenir agressif avec tes collègues et ta Hiérarchie à cause du manque de reconnaissance à ton travail à ton égard, où au Lieu de te valoriser, tout le monde ne fait que te critiquer derrière ton dos, ce qui

Provoquera comme conséquence, de te mettre en arrêt-maladie de façon 

Régulière pendant très longtemps à cause de la surcharge mentale et 

Emotionnelle; te vidant émotionnellemet; psychologiquement et physiquement,

Avec le risque de tenter de te suicider à cause d'un travail qui ne t'apporte plus 

Rien; et où tu risques beaucoup d'y laisser des plumes; risquant d'engendrer

Avec le temps une invalidité ou un handicap; risquant de te mettre en invalidité

Pour le restant de ta vie; avec des conditions de travail et une ambiance délétère

Et trop anxiogène; cela peut entraîner une totale désinvolture avec le risque

De te rendre plus du tout consciencieux; en t'en foutant de mal faire ton travail

Et de le bâcler; risquant de provoquer un grand clash; un incident ou un gros 

Accident de travail professionnel, ou une démission avec le risque que tu ne

Perçoives aucune allocation-chômage si France Travail ne reconnaît pas ta

Démission comme légitime malgré toute la maltraitance et le harcèlement

Moral; verbal et physique que tu aurais trop subi à ton travail; avec le danger

D'être démuni complètement et entièrement de ressources et de revenus.

 

La morale de l'histoire pour garder le moral, est que ce n'est pas incompatible que Tu fasses un travail que tu aimes avec un bon salaire; mais le mieux pour rebondir

Professionnellement si tu veux quitter ton travail que tu n'aimes pas ou plus

Même si t'es bien payé(e); est d'attendre que tu aies trouvé un meilleur travail;

En l'occurrence; le travail de ta vie pour lequel tu pourrais être mieux payé; même Si en attendant; il vaut mieux que tu gardes ton travail actuel en multipliant les Recherches d'emploi en attendant que tu décroches ton métier idéal, car tant que 

Tu n'as pas trouvé un autre travail qui soit mieux; il vaut mieux que tu gardes ton Travail Actuel; en attendant; il faudra don prendre ton mal en patience.

L'argent ne fait pas tout même malgré l'inflation, car de préférence, il vaut mieux

Faire un travail qui te plaît même si t'es mal payé(e). Car seul le bien-être

D'avoir et de faire un travail intéressant te permettra d'avoir une bonne productivité Dans ta profession et de donner le meilleur de toi-même en t'en donnant à coeur

Joie ! L'argent ne fait pas le bonheur; certes; il y contribue mais c'est aussi

L'amour de ton métier qui fera que tu te dépasses, tu seras comme un poisson

Dans l'eau; très bien dans ton élément; je panse qu'il vaut surtout mieux privilégier

La qualité à la quantité avec un travail qui te va comme un gant; et qui donne

Vraiment un sens à ta vie pour lequel tu te sentiras vraiment utile, et même si

Tes mal payé(e); tu auras comme monnaie de ta pièce, la satisfaction

D'avoir un travail qui te plaît au plus profond de toi-même, car c'est un travail que

Tu auras choisi car tu aimeras ton travail, voilà !

 

                                          Jérôme de Mars

 

 

 

Bigoudies woman !

 

Comme un duo colore !

Qui chante en divas !

Leur voix y va fort !

En voie d'opéra !

 

Avec dans la tête;

Un air mélomane !

Qui traîne dans la tête

D'musique pyromane !

 

Qui allume la tête

Sans prendre de pincettes !

D'un air de bluette

En une chansonnette !

 

Allumant la mèche

D'leurs grosses têtes brûlées

En une nanti sèche !

Pour tout enflammer

 

Bigoudies Woman !

Air mégalomane !

Vous êtes des vous man !

Et encore woman !

 

Sans des anchorman !

Vous lèchez vos mots

D'musique mélomane !

En trouvant l'écho !

 

Si mélo woman;

Que vous faites très chouettes !

Des mots qui émanent;

Qui volent assez chouette !

 

Volant vers le haut !

Vous gravissant presque

Kilimandjaro !

Chantant arabesques !

 

Ubuesques des sons;

Que vous faites le mur !

Le hors-mur du son !

Allant droit dans l'mur !

 

Bigoudies Woman !

Air mégalomane !

Vous êtes des vous man !

Et encore woman !

 

Que vous rechargez

Bien vos batteries !

Pour vous décharger

De votre batterie !

 

En vous en battant

De votre batterie !

En vous débattant

Muse d'la galerie !

 

Et qui à muse temps

Toute la galerie !

Allant au néant

De vos galeries

 

Souterraines pérennes !

Pour faire sans remords

Votre mort diluvienne

Fêtes ! On en démord !

 

Bigoudies Woman !

Air mégalomane !

Vous êtes des vous man !

Et encore woman !

 

Jérôme de Mars

 

 

Au tournant d'un méandre

 

A gauche; à droite détours !

C'est votre tour d'y entrer

Dans la tour de votre tour !

Autour pour pénétrer

 

Au centre des discussions !

Parlant un langage vrai !

Et en négociations !

Il y a des pourparlers

 

Pour parler poétique !

D'philanthropie joviale !

Pourparlers de musique

En des joutes très verbales !

 

La musique est triviale !

Et peut traduire l'marasme

De notre monde anormal !

Qui n'en a plus d'orgasme !

 

Au tournant d'un méandre

En des lits pour n's'y rendre !

Détournant d'un méandre

En délits pour s'y rendre !

 

Hop ! Fougueux toujours up !

Y en a trop d'euphorie

Dans l'immonde qui dit ! Hop !

Il n'y a plus d'harmonie

 

Dans ce monde qui dévie

D'sa mauvaise trajectoire !

Où est passée l'envie

D'avoir le cagnard ?

 

Pour apaiser les nuits

Longues et si diluviennes !

Où tout s'confond flétri;

Rétabli on s'déchaîne !

 

Il faudrait d'la morale

Dans un monde normal !

Sans se faire aucun mal

Pour avoir le moral !

 

Au tournant d'un méandre

En des lits pour s'y rendre !

Détournant d'un méandre

En délits pour n's'y rendre !

 

Sans changement d'humeur;

De préférence au top !

Et dans la bonne humeur !

Sans demeurer trop up !

 

Il faudrait s'apaiser

Et tous reprendre confiance !

Pour tous se confesser

Sans avoir d'la méfiance !

 

Les uns envers les autres !

Plus les uns contre les autres !

Dans l'amour où on s'vautre !

Dans l'amour; c'est le vôtre !

 

L'amour; c'est le nôtre !

L'amitié où on s'vautre !

L'amitié; c'est la vôtre !

L'amitié; c'est la nôtre !

 

Au tournant d'un méandre

En des lits pour s'y rendre !

Détournant d'un méandre

En délits pour n's'y rendre !

 

Jérôme de Mars

 

 

Mon jardin secret, c'est ma branche !

 

Si je cultivais juste l'amour

En réanimant les feuilles mortes !

Je passerai un long séjour

Ayant la main verte assez forte !

 

En taillant les haies; pas la haine !

Elaguant sans que je m'en fiche !

Et en en prenant d'la graine !

J'parsèmerai l'amour sans friche !

 

Cultivant la terre en jachère

Dans un Mausolée en plantant !

De l'amour dans la surenchère !

Entretenant comme un aimant !

 

En coupant avec des cisailles !

Le grand amour en général !

Plantant la vie de mes entrailles !

Faisant par étapes amicales !

 

Mon jardin secret, c'est ma branche !

Que ça me branche que je débranche !

La haine; seule chose que je débranche !

L'amour à fleur de peau me branche !

 

J'veux jardiner jusqu'à la mort !

Je badine avec tout l'amour !

J'veux jardiner jusqu'à l'amour !

Je ne badine avec la mort !

 

Que j'entretiens la forêt vierge

Du signe d'la vierge effarouchée !

Brûlant d'tant d'amour jusqu'aux cierges !

Qu'ma nature est très écorchée !

 

En semant d'embûches ma semence !

Que je veux l'essentiel en bref !

Comme le grand amour est l'essence !

Pour ne plus avoir de griefs !

 

Contre les sols pleureurs à la chaîne !

L'chêne est l'arbre qui cache la forêt !

Que je me déchaîne et j'enchaîne !

Retirant mes chaînes; soulagé !

 

Mon jardin secret, c'est ma branche !

Que ça me branche que je débranche !

La haine; seule chose que je débranche !

L'amour à fleur de peau me branche !

 

Arrosant l'amour; l'amitié !

Les entretenant comme une fleur !

Marchant à la vante d'l'unité !

Comme jamais, la haine ne m'effleure !

 

J'suis une fleur bleue en manque d'amour !

Pour m'entailler les haies ! Sang haine !

Je panse aguerri qu'à l'amour !

Pour soigner toute ma vieille rengaine !

 

Je veux vendre des fleurs ! Triomphant

De l'amour en prenant des gants !

Des gants de velours ! Décimant

La haine dans l'amour d'un aimant !

 

Un aimant dans son élément !

Guérissant ses profondes blessures !

Avec que de l'amour foisonnant !

Abondant sans aucune fêlure !

 

Mon jardin secret, c'est ma branche !

Que ça me branche que je débranche !

La haine; seule chose que je débranche !

L'amour à fleur de peau me branche !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

A la vie, à l'amour !

 

Si on rendait joli

Ce monde à tue la haine !

Avec pour accalmie;

De la chaleur humaine !

 

Enrichissant l'humain;

Mariant les beaux esprits !

Pour se faire des câlins

Parmi la confrérie !

 

Il vaut mieux faire l'amour !

Que l'amour dans la mort !

Il n'vaut mieux faire la mort !

Comme la mort dans l'amour !

 

Il faut du réconfort

Pour faire éclore les fleurs !

Ramassant le trésor

D'une romance qui effleure...

 

A la vie, à l'amour !

En des mots troubadours !

En refaisant la cour !

Pour qu'ça vaille le détour !

 

D'y croire comme Roméo

En un Casanova !

Dans un eldorado !

L'amour qui décocha

 

La flèche de Cupidon...

Comme le Eros du jour !

Avec des effusions;

Prouvant tout leur amour !

 

L'amour est un soleil !

Qui réveille l'inconscience

Des gens sans bas de laine !

Avec de la consistance !

 

Ayant des sentiments !

Avec pour mise en bouche...

Aucun ressentiment !

Mettant l'eau à la bouche...

 

A la vie, à l'amour !

En des mots troubadours !

En refaisant la cour !

Pour qu'ça vaille le détour !

 

Avec pour ritournelle;

Tout l'amour qui nivelle

Vers l'haut les demoiselles !

En tenant la chandelle !

 

Soufflant sur les bougies

D'l'auberge ! On est sortis !

Soufflant sur la bougie

D'un couple bien assorti !

 

C'est toujours la cerise

Sur le gâteau d'amour !

L'amour se vit en bises !

Elégant de velours !

 

Un amour sans la haine !

Qui brille au firmament

D'l'amour sans bas de laine !

Brillant et scintillant

 

A la vie, à l'amour !

En des mots troubadours !

En refaisant la cour !

Pour qu'ça vaille le détour !

 

Jérôme de Mars

 

 

Si on soûlait nos peines !

 

Heureux dans la liesse !

Il faut vivre dans l'ivresse !

L'ivresse de l'allégresse

En tenant comme promesses !

 

De faire de toutes nos nuits;

Un soleil en buvant

L'écume d'la mer hardie

Dans l'vague de l'océan !

 

Si on redescendait sur Terre

Sans faire d'mal à la mer !

La mer terre insulaire;

Elle réveille nos frontières

 

De ces hordes de bateaux !

Avec le mal de mer !

Très au bout du rouleau

De vagues ! Allant sous terre !

 

Si on soûlait nos peines !

Dans l'eau d'vie qui égrène

La vie, comme âmes en peine !

A peine d'larmes puritaines !

 

L'hiver est rude en mer !

De quoi pleurer sa mer !

Comme larmes en peine sous terre

En ce monde délétère !

 

S'mêlant de nos oignons

Qui nous refont pleurer !

A première vue d'lorgnons !

L'monde est triste; éploré !

 

Qu''pour n'oublier les nuits

Diluviennes d'vieux démons !

Qui surgissent à Minuit

En coureurs de jurons !

 

Le monde n'est jamais net !

Qu'il n'est sur la terre nette

En douleurs de fossettes !

Qu'on a plusieurs facettes !

 

Si on soûlait nos peines !

Dans l'eau d'vie qui égrène

La vie, comme âmes en peine !

A peine d'larmes puritaines !

 

Qu'la vie est un naufrage

Au moment d'la vieillesse !

C'est l'heure de l'abordage !

Chavirant de tendresse;

 

Sans mener en bateaux

Les marins si bourrus;

Qui ont le dernier mot !

Pour pécher le merlu !

 

Sans ne faire mariner

Leurs armes en peine  !

Qui font tambouriner

La larme fatale d'la haine !

 

Si on revenait tous

A la place sans surplace !

Sans blues qui nous émousse !

R'montant à la surface !

 

Si on soûlait nos peines !

Dans l'eau d'vie qui égrène

La vie, comme âmes en peine !

A peine d'larmes puritaines !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Pour faire jazzer !

 

A la machine !

Tambour battant

D'une bluette fine;

Virevoltant;

 

J'lance une machine;

Machine à notes !

Où je machine

D'un air qui m'trotte !

 

Rien qu'dans ma tête

En partition !

Air qui m'entête

D'composition !

 

Air d'clarinette !

Slow sans tambour !

Et sans trompette !

En abat-jour !

 

Pour faire jazzer !

Pour enchanter !

Pour faire jaser !

Pour faire chanter !

 

Toute une musique

Sans une parole !

En dynamique

D'une parabole !

 

Pour diffuser

Salon de thé !

Pour infuser

D'ma tasse de thé !

 

C'est pour le fun !

Pour le plaisir !

C'est pour le phone !

Pour déglutir

 

D'un air d'musique !

Pour avaler

Si mélodique !

A composer

 

Pour faire jazzer !

Pour enchanter !

Pour faire jaser !

Pour faire chanter !

 

D'un xylophone

Mettant en joue !

D'un saxophone

Gonglant les joues !

 

De la musique;

On en rejoue !

Air frénétique !

Comme un joujou !

 

On l'joue sans mots !

On joue d'nos tripes !

On en joue slow  !

Qu'on fait un trip !

 

D'notre état spleen !

Ouvert sans vers !

Décriant green;

Emise d'revers !

 

Pour faire jazzer !

Pour enchanter !

Pour faire jaser !

Pour faire chanter !

 

Jérôme de Mars

 

 

Belle ville

 

Je fais

L'pari

Qu'je fais

D'Paris !

 

De vivre

Chanceux !

D'revivre

Heureux !

 

D'antan

En paix !

Autant

La paix

 

Qu'la guerre !

Envie

D'prendre l'air !

Qu'je dis

 

Belle ville

D'Paris;

Belleville

D'Paris;

 

J'adore

Marcher !

J'redore

D'clarté !

 

Pour boire

Au bar

L'café;

Effet

 

D'soleil !

Qui brille

D'merveilles !

Pupilles

 

D'l'enfance

Docile !

D'errances

Puériles !

 

Belle ville

D'Paris;

Belleville

D'Paris;

 

Rêvant

D'poèmes;

M'berçant

D'je t'aime !

 

D'baisers

D'amour

Sucrés;

Le jour !

 

Mangeant

La vie !

Humant

L'pays !

 

Voyant

Une glace;

Mangeant

Ma glace;

 

Belle ville

D'Paris;

Belleville

D'Paris.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

L'hein différence !

 

Sidération;

Si on n'a pas

D'consid'ration !

Bien envers toi !

 

D'la part des gens;

Tu te morfonds

Dans tes tourments !

Qu'tu te confonds

 

Dans ta famille !

Qui ne t'comprend

Comme l'infamie !

Indifférent

 

A ton égard

En tes travers !

De leur regard

Et de travers !

 

L'hein différence !

Dans la distance !

L'indifférence

Sans déférence !

 

Comme de ta sœur !

Qui s'en fout d'toi !

Comme une con sœur !

Qui s'en bat d'toi !

 

Et de ton père !

Qui ne s'occupe

Que d'son repaire !

Personne n's'occupe

 

D'toi en famille !

Tous s'en foutent d'toi  !

Dans l'infamie

T'es rabat-joie !

 

Dans la famille !

Tout pour leur gueule !

T'laissant fébrile

Car, toi bégueule !

 

L'hein différence !

Dans la distance !

L'indifférence

Sans déférence !

 

Tu n'as ta mère

Sans paradis !

A force d't'en faire

Une parodie !

 

Et qui déteint

Sur toi ! Pousse-toi !

Et qui n'atteint

Ta sœur sans toi !

 

Ta mère est morte !

Tu hais amer

De l'amer morte !

Tu es sans mère !

 

En ton impair

Sans aucun pair !

Manque de repères !

Aucun repaire !

 

L'hein différence !

Dans la distance !

L'indifférence

Sans déférence !

 

Jérôme de Mars

 

 

Donnez-moi des papiers !

 

Papiers d'identité !

Pour la France, j'ai d'l'amour !

D'être régularisé

Avec une carte d'séjour !

 

J'suis candidat pour vivre

En France pour travailler !

Pour n'plus jamais survivre,

Que je veux m'intégrer !

 

En travaillant si dur

Dans l'métal ouvrier !

Avec tout c'que j'endure

Pour revivre et oeuvrer !

 

Pour bien trouver ma place

En France sans quémander !

Je n'veux faire du surplace !

Que je veux demander !

 

Donnez-moi des papiers !

Je le suis immigré !

J'en ai d'la volonté !

Que je veux m'insérer

 

Afin d'avoir un jour

La nationalité

Française ! D'avoir d'l'amour

Comme naturalisé !

 

En travaillant si dur !

A la sueur d'mon front !

Pas en votant dans l'dur !

Pour faire monter l'affront

 

National populaire !

Avec leur langue Française

Bien pendue en colère !

Ce qu'ils disent n'est qu'foutaise !

 

Je le suis étranger

A mon passé qu'je veux

Le devenir Français !

Pour n'plus être étranger !

 

Donnez-moi des papiers !

Je le suis immigré !

J'en ai d'la volonté !

Que je veux m'insérer

 

En ayant d'la fierté

D'être Français d'sang-mêlé !

Avec d'la loyauté !

Pour vraiment m'emmêler

 

Comme citoyen Français !

Je ne suis étranger !

Je suis vraiment Français

Dans mon identité !

 

Que je veux vous prouver !

Qu'je vais me remuer !

Qu'ça va vraiment bouger !

Car sans la ramener,

 

J'vais mener; emmener

Ma volonté farouche !

Pour toujours éprouver

Que j'en ai du sang rouge !

 

Donnez-moi des papiers !

Je le suis immigré !

J'en ai d'la volonté !

Que je veux m'insérer.

 

Jérôme de Mars

 

Le magicien d'ose !

 

D'un coup de chapeau;

Je fais d'la magie

En disant chapeau !

Mon tour de magie

 

M'berçant d'illusions !

Sans des illusions !

De désillusions

En des illusions !

 

En m'faisant porter

L'chapeau d'une baguette !

Pour tant m'amener,

Je mène la baguette !

 

Sortant un lapin

D'mon coup de chapeau !

M'posant un lapin

Sans me dire chapeau !

 

Le magicien d'ose !

Casse-tête dans l'cosmos !

Le magicien d'Oz !

La tête dans l'cosmos !

 

J'achète ma baguette !

Baguette d'pain magique !

Pour faire mes emplettes

Dans un monde magique !

 

Faisant un balai !

Assis sur l'balai !

Mon balai sorcier;

Ce n'est pas sorcier !

 

S'servir d'une baguette !

Pour faire une saynète !

Je l'ai la baguette

Magique ! A terre nette !

 

Pour tenir sur l'fil !

Sur l'fil funambule !

Ca n'tient qu'à un fil !

Ma vie qui m'bouscule !

 

Le magicien d'ose !

Casse-tête dans l'cosmos !

Le magicien d'Oz !

La tête dans l'cosmos !

 

J'suis un numéro !

Sacré numéro;

J'fais mon numéro !

Donnant l'numéro;

 

Femme coupée en deux !

En fonctionnant 

Avec des scies de !

En redécoupant

 

La femme en machette !

La r'coupant en deux !

J'achète une machette;

Qui m'en achète deux !

 

Refaisant un tour !

L'tour de la question !

Ca vaut le détour

D'résoudre l'équation !

 

Le magicien d'ose !

Casse-tête dans l'cosmos !

Le magicien d'Oz !

La tête dans l'cosmos !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

                                              Blague :

 

 

Qu'est-ce-qui pourrait me rendre plus ouvert et moins renfermé ?

- Que L'ESAT La Fabrique ferme en Juillet 2025 quand Eric Thébault, l'ancien 

  moniteur de l'atelier conditionnement va partir à la retraite pour que je l'ouvre 

  et que je ne la ferme plus alors que quand j'étais à L'ESAT La Fabrique

  vers la fin, j'étais renfermé, en n'étant plus ouvert comme je la fermais

  à chaque fois que L'ESAT La Fabrique était ouvert !

 

                          

                                        Jérôme de Mars

Dérangé dans le tiroir !

 

Dans la malle aux souvenirs;

Je meuble pour rester commode !

J'en ai mal d'm'en souvenir

Dérangé dans la commode !

 

Telle est une armoire à glace !

Le reflet de mon miroir

Pour m'regarder dans la glace !

Comme c'est rangé dans l'armoire !

 

En rentrant dans les papiers !

Des rangées qui sont rangées

En des papiers arrangés;

Dérangés, l'tout mélangé !

 

Ma vie; elle naît pas rangée !

Qu'elle est assez dérangée !

Ah ! Rangée ! Voire à rangée !

Réarrangée; enragé !

 

Dérangé dans le tiroir !

Des rangées ! Ca fout l'cafard !

D'en avoir dans toute l'armoire !

L'armoire qui glace le tiroir !

 

En meublant mes souvenirs

En un garde-meuble d'vide-grenier !

Le grenier sans avenir !

Aux souvenirs mélangés !

 

A m'démêler les pinceaux !

Passant un coup de peinture !

Pour faire briller la déco !

Des meubles à voir en peinture !

 

De rafistolage parant

Au plus pressé; oppressé !

Sans rien briser; réparant

Le tout ! Sans ne rien casser !

 

Pour ne plus être tracasser

Et fracassé en des bruits

D'cassure ! Qu'il faut réparer

Avec sans aucun débris !

 

Dérangé dans le tiroir !

Des rangées ! Ca fout l'cafard !

D'en avoir dans toute l'armoire !

L'armoire qui glace le tiroir !

 

Avec la brosse à reluire !

A reluire qui laisse de marbre

Tout le plâtre ! Qu'il faut enduire

Pour délaisser de marbre !

 

En essuyant bien les plâtres !

Avec du plâtre sur la jambe !

Ca m'fait une belle jambe ce plâtre !

Que j'enjambe d'mon entrejambe !

 

Dans tout l'envers du décor !

Avec des cors dans les pieds !

Pour bien planter le décor !

Supplanté dans un guêpier !

 

Dans l'envers de la déco !

Où est passé tout le pot

De peinture pour la déco ?

Pour la refaire au dépôt !

 

Dérangé dans le tiroir !

Des rangées ! Ca fout l'cafard !

D'en avoir dans toute l'armoire !

L'armoire qui glace le tiroir !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Comme un blues sang bleus !

 

Matin du refrain !

On s'lève de bonne heure !

Redonnant du lien

A chaque jour d'labeur !

 

Pour refaire honneur

Au sens de la vie !

Il faut d'la ferveur

Populaire en défis !

 

Pour tenir le coup !

Malgré les contrecoups

De la vie relou

Bergère et du loup !

 

En fatalité !

Avec pour routine

L'âme désabusée !

Donnant origine

 

Comme un blues sang bleus !

De ne croire radieux !

En tout fastidieux

De n'plus croire en Dieu !

 

Entre choisir l'extrême

Sans les idéaux !

Et choisir suprême !

Le poids d'tous les mots !

 

Que faut-il choisir

La peste; l'choléra ?

Ou toujours subir

Les gens rabat-joie ?

 

Les gens sans la foi

Quelquefois le mal !

Il était toutefois

Autrefois le Graal !

 

Avec des gens bien

O combien humains !

Pour faire que le bien !

Evitant l'déclin !

 

Comme un blues sang bleus !

De ne croire radieux !

En tout fastidieux

De n'plus croire en Dieu !

 

La nuit porte conseil !

Conseil de famille !

Donnant comme conseil

De rester gentil !

 

Dans la sympathie

Et la bienveillance !

En pure harmonie

Dans la résilience !

 

De garder espoir !

D'reprendre des couleurs

En un exutoire !

D'avoir d'la candeur

 

Dans la résilience

D'l'innocence d'une vie !

Or ! Là y a urgence 

D'laisser aux orties !

 

Comme un blues sang bleus !

De n'y croire radieux !

En tout fastidieux

De n'plus croire en Dieu !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Comme une chanson consonne !

 

Prenant tout à la lettre !

J'écris une chanson dense !

Ouvrant grande la fenêtre !

Qui montre aux gens qu'on danse !

 

Le bien-être d'La Bretagne !

Même si L'Espagne est loin !

Pas loin d'La Grande-Bretagne

En son blues du matin !

 

C'est toujours la même chose

De prendre tout au moindre mot !

Même qu'la vie peut-être rose

Si le soleil est beau !

 

Même qu'il pleut en Bretagne !

Presque jamais en Espagne !

Qu'il pleut en Grande-Bretagne !

Jamais avec un pagne !

 

Comme une chanson consonne !

Qu'on sonne Anglo-saxonne !

Quelque chose qui raisonne...

Résonne en un klaxon !

 

Ligne de conduite avant !

Délit d'fuite en avant !

Ligne de conduite à vent !

Des lits d'fuite en un vent !

 

Y a un big-bang à Londres !

Y a Big-Ben ! Ville de Londres

Qui remet bien à l'heure !

Les pendules pas à l'heure !

 

De l'heure de vérité

Dans cette belle ville de Londres !

Avec ces vérités !

Passées sur Radio Londres...

 

Légende rock des Beatles

Et stones des Rollings-Stones !

La Bretagne qu'on laisse seule !

A le temps qui passe stone !

 

Comme une chanson consonne !

Qu'on sonne Anglo-saxonne !

Quelque chose qui raisonne...

Résonne en un klaxon !

 

La Bretagne au temps triste...

Est comme la Grande-Bretagne !

Rajoutant sur la liste...

La longue liste qui elle; stagne

 

Dans la matière du temps !

Qui passe vite ! Qu'on évite

D'repenser à avant !

A mesure qu'on gravite !

 

Loin d'la légèreté

De cette époque si triste !

Actuelle d'vanité !

Loin des années altruistes !

 

Du bon vieux temps d'avant...

Notre triste monde maintenant...

Décomposé sans tubes !

Fait que tout l'monde s'entube...

 

Comme une chanson consonne !

Qu'on sonne Anglo-saxonne !

Quelque chose qui raisonne...

Résonne en un klaxon !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le temps qu'il fait dehors !

 

Faisant la pluie; l'beau temps !

Y a les nuages qui pleurent !

Y a le soleil contant !

Un arc en ciel rieur;

 

Enjoliveur au ciel !

Sans aucune météo !

Du temps artificiel

Comme l'effet domino !

 

Ephémère météor;

L'temps veut des choses qui durent !

Pas qu'on essore et sort !

L'temps veut une belle nature !

 

Pour faire temps respirer

Dans un climat social !

Aux belles campagnes rurales,

Pour toujours regarder

 

Le temps qu'il fait dehors !

Pour vivre dans le confort !

Le temps qui pleut de l'or !

Pour vivre dans l'réconfort !

 

En ces temps bipolaires;

Qui échangent comme le vent !

Pour rester linéaire

Et n'plus souffrir du temps !

 

Qui passe vite ! Fluctuant !

Il faut donc regarder

La météo du temps !

Pour ensuite l'observer

 

Soit l'temps de la grenouille !

Qui pleut comme vache qui pisse !

Soit l'temps qui s'agenouille !

Faisant l'amour and peace !

 

En fonction d'pluie vermeille

Qui pleut assez ancien !

En fonction du soleil

Qui brille à ces anciens !

 

Le temps qu'il fait dehors !

Pour vivre dans le confort !

Le temps qui pleut de l'or !

Pour vivre dans l'réconfort !

 

Les nuages ombrageux

Font très peur au soleil !

Les cieux bleus amoureux

Font d'la douceur au ciel !

 

D'la fraîcheur arc en ciel !

Journal des bonnes nouvelles !

Pour planter l'aquarelle

Grattant l'ciel en gratte-ciel !

 

Avec aucun nuage

Parmi tous les ramages !

Avec aucune image

Parmi tous les rois mages !

 

Si on plantait dans l'ciel

Des images naturelles !

Humaines intemporelles;

Qui mettraient au pluriel !

 

Le temps qu'il fait dehors !

Pour vivre dans le confort !

Le temps qui pleut de l'or !

Pour vivre dans l'réconfort !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Le conte est bon !

 

Parlant de chiffres;

J'fais des calculs !

Genre qui déchiffrent

Qu'on me calcule !

 

Comptant sur moi !

Dont l'résultat;

Se comptera

Par-ci; par-là !

 

Additionnant

Les moins que rien !

En rajoutant

Ceux qui ont rien !

 

Et dont le tout !

En soustrayant

Tout ce fourre-tout !

Multipliant

 

Le conte est bon !

Avec pour bon !

Le compte est bon !

N'laissant bonbon !

 

En divisant

Rien que ce monde !

En l'fracturant

Rien qu'en une fronde !

 

En fractionnant

C'monde en morceaux !

En fragmentant

C'monde en lambeaux !

 

Personne n's'entend !

Pour diviser

Les gens contents !

Pour en saigner

 

Chacun pour soi !

Pas un pour tous !

Car rien pour toi

Sans coups de pouce !

 

Le conte est bon !

Avec pour bon !

Le compte est bon !

N'laissant bonbon !

 

Faisant l'portrait

De ce triste monde !

Qui se soustrait

Rien qu'dans l'immonde !

 

De l'addition

Sucrée-salée !

De l'addiction

Acidulée !

 

Divisant tout !

Et en vatout !

Pour arranger,

Pour rajouter,

 

Qu'un égale un

En un pour tous !

D'un légale un

En coups de pouce !

 

Le conte est bon !

Avec pour bon !

Le compte est bon !

N'laissant bonbon !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                Clé contact

 

 

                             5)Clé contact

                             3) E             U    4)

                                  n             ne

                             1) J'ai les clés

                                     2) D

                                         e

                                         l

                                        a

                                        s

                                        o

                                        l

                                        u

                                        t

                                        i

                                       o

                                       n

                     6) Pour ouvrir la porte !

                                7)    D

                                        e

                                        l

                                       a

                                       c   

                                       l

                                      é l'

                                     8)é

                                    à   n

                                   d    i

                                   e   g

                                   u  m

                                   x  e ! 

 

 

                        Jérôme de Mars

Oh ! No ! Lulu !

 

Sous les palmiers

Chauds vahiné;

Il y a de l'air

Qui échange d'ère

 

En un sésame

Ukulélé;

Qui fait tam-tam

D'un air léger !

 

En sirotant

Un bon cocktail !

En avalant

Sans la coke telle !

 

De la musique !

A composer

Si pacifique

Dans la bonté !

 

Oh ! No ! Lulu !

Buvant très cru !

Honolulu !

Mangeant trop cru !

 

Sur L'île d'Hawaï !

Tu n'a pas l'droit !

D'être sur la paille !

Pour filer droit !

 

Seule sur le sable !

A caresser

Rien que le sable !

Pour bien aimer

 

D'un air d'musique !

Ton océan

Calme pacifique !

Hauts ! Ces ans !

 

Pour être en paix

Si nonchalant !

Dans la beauté

D'un océan !

 

Oh ! No ! Lulu !

Buvant très cru !

Honolulu !

Mangeant trop cru !

 

Y a des acras !

Acras d'morue !

Y a des aras !

Et des tortues !

 

Toi; écoutant

Ce grand Elvis !

En te berçant !

Sa voix qui t'vise

 

Toi mélomane

En son concert

De superman;

Qui t'décolle l'air

 

D'un air d'Hawaï !

Toi; en buvant

D'ta si longue paille !

Vague d'l'océan !

 

Oh ! No ! Lulu !

Buvant très cru !

Honolulu !

Mangeant trop cru !

 

Jérôme de Mars

 

 

Jouant cartes sur table !

 

Jeu de la bataille !

J'ai les cartes en main !

Faisant un travail

De me prendre en main !

 

Jouant; déjouant

Au meilleur ami !

Jouant; en jouant

Au meilleur rami !

 

En mon bas de laine

De la pelote Basque  !

Tenant en haleine !

Jeu d'la belote Basque !

 

Je suis las d'jouer

Au poker menteur !

Je suis l'as d'jouer

Au poker monteur !

 

Jouant cartes sur table !

En mettant la table;

En jouant à table;

Allant dans l'étable

 

D'multiplication !

En faisant la paire !

Faisant une action

D'une suite de repaire !

 

En faisant un full

En un full contact !

Comme je me défoule

En une foule contact !

 

Je suis très carré

En mon désarroi !

Pour contrecarrer

Mes pas rois du roi !

 

Avec pour valet !

La reine pour tirer

L'as qui dévalait !

J'suis laze qui valait !

 

Jouant cartes sur table ! 

En mettant la table;

En jouant à table;

Allant dans l'étable

 

Avec de la suite

Dans mes belles idées !

D'un service de suite !

Pour tout dérider !

 

Faisant un brelan !

En ayant du pot

Tout m'en ébranlant

Du jeu de tarot !

 

Pour tirer la reine

Sans perdre la bataille !

Pour remplir l'arène

Au jeu d'la bataille !

 

En m'en branlant bien

Du jeu d'infamie !

J'ai les cartes en main

Du jeu de famille !

 

Jouant cartes sur table !

En mettant la table;

En jouant à table;

Allant dans l'étable.

 

Jérôme de Mars

Libéré; délibéré !

 

Enfermé et renfermé;

Je suis dans une sale prison !

Ah ! dorée de ma santé !

Déchaînée en électron !

 

Comme l'électron libre; pas libre !

Je suis le grand maillon faible !

Enchaîné de mon calibre !

En un bon cas libre espiègle

 

D'ma prison sans les barreaux !

Pour davantage m'renfermer !

M'enfermer en mes gros maux !

Quitte à trop me mutiler !

 

M'oppressant assez sans-gêne !

Aux gènes plus qu'héréditaires

De ma sombre vie délétère;

Très austère si anxiogène !

 

Libéré; délibéré !

Et que vais-je bien décider ?

Pour vraiment me libérer !

En rouvrant ma liberté !

 

Avec que des clés contact

En ouvrant tôt l'amitié !

En la préservant intact

Et avec un tact complet !

 

Je veux enfuir tous mes mots !

Sans ne plus rien refouler !

Moins enfuis en vrac d'mes maux;

Je veux bien me défouler !

 

Refoulant tous les méchants !

En m'apaisant insouciant !

En défoulant tous mes chants !

En en chantant; enchantant !

 

En m'enfuyant de mes pas

De cette prison malfamée !

Où ça sent plutôt l'trépas !

Comme je veux me délivrer !

 

Libéré; délibéré !

Et que vais-je bien décider ?

Pour vraiment me libérer !

En rouvrant ma liberté !

 

En une vie assez éprise !

Rien que de ma liberté !

Avec aucune triste méprise !

Pour encore m'enfermer !

 

Dans une prison si vétuste

Et sans barrières; sans barreaux !

Il faut que je sois robuste

Pour avoir le dernier mot !

 

Sortant de ma grande spirale !

Et d'mon profond engrenage

De cette chanson infernale !

Je prends en gage qu'je m'engage !

 

En une belle reconstruction !

L'tout sans boulons; sans écrous !

Et sans aucune frictions;

Pour que je fasse bien mon trou !

 

Libéré; délibéré !

Et que vais-je bien décider ?

Pour vraiment me libérer !

En rouvrant ma liberté !

 

Jérôme de Mars

 

Des bonnes ondes positives

 

Pour voir le vrai du faux !

N'écoutez la radio !

Aux infos à gogo

Qui diffusent le chaos !

 

Partagez des bonnes ondes

Pour voir tout autrement !

Avec une sonde sans fronde !

Pour voir réconciliant

 

La vie sous d'meilleurs jours !

Avec un grand soleil

Dans un coeur troubadour !

Qui sonne en un réveil

 

Que tout le monde s'entend

Sur la même longueur d'ondes !

La concordance détend

D'être là parmi l'beau monde !

 

Des bonnes ondes positives;

Plus d'photos négatives !

Des bonnes ondes réceptives

En des diapositives !

 

Cherchez l'vrai pas l'un faux !

Regardez c'qui va bien !

Pas c'qui est à-vau-l'eau !

Regardez tout l'entrain

 

Des gens qui s'donnent la main !

Qui donnent des coups de main  !

Pour qu'demain soit meilleur !

Avec des projecteurs

 

Vers des lueurs d'espoirs !

Pour que tous aient envie

D'y croire l'jour du grand soir !

Et que tous donnent d'l'énergie !

 

D'avancer à grands pas

Pour les changer les choses !

Triomphant et voilà !

Le tout sans ecchymoses !

 

Des bonnes ondes positives;

Plus d'photos négatives !

Des bonnes ondes réceptives

En des diapositives !

 

Et si on redonnait 

Envie à tous les gens !

De vraiment s'engager

Pour faire tout un boucan !

 

Avec d'cause à effet !

Un monde sans faits d'hiver !

Provoquant comme et fée !

Un monde très solidaire !

 

Sans des choses éphémères !

Faisant la météo !

D'un beau temps linéaire

Dans l'partage d'un cadeau !

 

Avec l'envie d'sourire !

Et d'bien aimer les gens !

Partageant du plaisir !

Ensemble et pour longtemps !

 

Des bonnes ondes positives;

Plus d'photos négatives !

Des bonnes ondes réceptives

En des diapositives !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Qu'je peux voir en peinture !

 

De ma palette d'artiste;

Je regarde Claude Monet !

L'jardin secret de l'artiste !

Qui récolte la monnaie

 

De sa pièce ! D'par une joie

En cette trop belle ballade

Vers la belle promenade !

Bassin aux Nymphéas !

 

Chantant l'eldorado !

Genre des fleurs romantiques !

Comme les coquelicots !

Rase campagne bucolique !

 

Comme ce Edouard Manet

Du déjeuner sur l'herbe !

Et qui a émané

L'balcon sans prendre de l'herbe !

 

En alllant dans un bar

L'bar des Folies-bergère !

Genre un chemin pour faire

Un sacré Open Bar !

 

Qu'je peux voir en peinture !

Les gens; leur bonne nature !

Qu'je peux voir en pâture !

De l'herbe en belle nature !

 

En ayant émané

Dans la ville d'Argenteuil,

Van Gogh; toute sa beauté !

Luit seul sur son fauteuil !

 

Avec pour grand bémol

A fleur d'peau pour sa pomme !

Fleurant les tournesols

Et les mangeurs de pommes !

 

Terrasse du café l'soir !

Qu'il fut à cran si noir !

Comme ce Auguste Renoir !

Avec pour drôle d'histoire

 

Deux jeunes filles au piano !

Jouant des partitions !

Comme les deux soeurs joyaux !

Parapluies d'perdition !

 

Allant à la guinguette

Au grand bal du moulin !

Mangeant de la galette !

La galette d'Sarrasin !

 

Qu'je peux voir en peinture !

Les gens; leur bonne nature

Qu'je peux voir en pâture !

De l'herbe en belle nature !

 

Comme Eugène Delacroix

En sa loi du talion !

Lui portant toute sa croix

Dans une grosse chasse aux lions !

 

Comme il panse qu'se repeuple !

La liberté guidant

Toute la beauté du peuple !

Comme en téléguidant

 

Ce Pablo Picasso !

Qui mena une belle vie

A Guernica sans maux !

Qu'il attendait la nuit !

 

Demoiselles d'Avignon !

Ainsi que Paul Cézanne

Sans s'crêper le chignon !

Vase d'tulipes mélomanes !

 

De la corbeille de pommes

En jouant cartes sur tables !

Et comme c'est pour leur pomme !

Et v'là les joueurs de cartes !

 

Qu'je peux voir en peinture !

Les gens; leur bonne nature !

Qu'je peux voir en pâture !

De l'herbe en belle nature !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Je pense aux autres pour ne pas faire d'bêtises !

 

Et fait boomerang ! L'passé revient trop !

A crocs ! A cran à vouloir m'faire la peau !

Que j'ne sais plus trop quoi faire de mes maux !

Avec des mots qui m'reflètent si prolo !

 

Je n'peux juste que limiter les dégâts !

Vue l'étendue des dégâts en déboires !

A boire l'amende salée de mon trépas !

Mourant à p'tit feu en bruits de couloirs !

 

Que faire à part survivre; pour ne plus vivre !

Rongé par la mort; les remords vivants !

M'enlisant et gisant pour qu'je me livre !

A m'en faire un sang d'encre me libérant

 

Du poids de mes maux, en gros; si obèses !

Que je suis moins gros qu'avant en vaches maigres !

Avec pour vaches enragées; et je pèse

Tous mes mots d'mes maux que pour être allègre !

 

Je pense aux autres pour ne pas faire d'bêtises !

Si je n'pensais qu'à moi; il y aurait méprises !

Je panse aux autres pour n'pas fer de bêtises !

Si je n'pansais qu'à moi; il y aurait mes prises !

 

Certes; je suis dépassé par mon passé !

Que je n'ai surpassé mes camouflets !

Qui m'ont rallumé le prix du bûcher !

Avec des embûches; tout c'que j'ai bûché !

 

Pour n'arriver à tout exorciser !

Faisant une thérapie avec mon psy !

Que pour composer; je dois composer

Avec tout ça dans ma vie en amplis !

 

Que mon état se dégrade; rétrograde !

Comme une alerte; bombe à retardement !

Qu'avec moi; tout l'monde en prend pour son grade !

Explosant de l'intérieur ! Implosant

 

A l'extérieur dans les rues de la vile !

Avec une bombe lacrymogène sans gêne !

En mon grand intérieur; perdu en ville !

Moi; hein dix gênes anxiogènes; indigènes !

 

Je pense aux autres pour ne pas faire d'bêtises !

Si je n'pensais qu'à moi; il y aurait méprises !

Je panse aux autres pour n'pas fer de bêtises !

Si je n'pansais qu'à moi; il y aurait mes prises !

 

Que tout le monde me redit ! Jérôme pousse-toi !

D'mes gênes héréditaires occasionnées !

Que je perds la foi en mes crises de foi !

Immatriculées conception gênée !

 

Je fus un jeune né si prématuré !

Que je devins adulte dans mon enfance !

Je fus jeune inné ! Genre le mal-aimé !

Le mâle aimé qui n'émet son offense !

 

Qu'on m'a souvent dit ! J'suis trop négatif !

Au lieu d'être positif ! Y a pas photo !

Tous les maux qu'j'ai eus me rendent négatif !

A en vider mon corps de mes sanglots !

 

A vide avides ! A sang livide rigide !

Susceptible au moindre mot de tous mes maux !

Que la liste est trop longue pour être placide !

Avec qu'de l'acide sans attaches velcro !

 

Je pense aux autres pour ne pas faire d'bêtises !

Si je n'pensais qu'à moi; il y aurait méprises !

Je panse aux autres pour n'pas fer de bêtises !

Si je n'pansais qu'à moi; il y aurait mes prises !

 

Jérôme de Mars

 

 

Les stars ainsi font font font...

 

En une grosse marge du système;

Alain d'loin; de long en large

A trop chaud ! Qu'Hugues bien au frais !

S'barre pendant que Pierre paierait

 

La vieille addition toute neuve

D'Catherine Deneuve en vieille !

Avec Yves montant Simone !

Comme Simone s'ignorait vieille !

 

Alors qu'Roger fédérait

En cette chanson ! Sers-je l'amas ?

Très à cheval marque d'l'avoine !

Comme lorsqu'Hélène s'égara !

 

Comme ce Bernard décampant !

Bernard campant sous une tente !

Campant sur ses positions !

Avec Didier bourdonnant !

 

Les stars ainsi font font font...

D'l'hein star ! Ainsi fond fond fond !

Les stars hein si au tréfonds !

A l'instar d'celui qui fond !

 

A l'instar d'Jean-Luc le moine !

Qui fait la mère poule avec

Yves l'coq ! Papa poule qui pousse

Hein ! Préparant l'coq au vin !

 

Comme quoi l'habit fait le moine !

En payant plein pot une poule !

D'un pot pourri en match d'poules !

Avec comme poule; Annie l'moine !

 

Et comme coq; Daniel Auteuil !

En jouant à Porte d'Auteuil !

Et avec pour partenaire !

Stone qui est stone de Charden !

 

Luc Bessson montant la garde !

Que nous rabaissons vieille garde !

Et qui regarde par mégarde !

L'arène Ségolène Royale !

 

Les stars ainsi font font font...

D'l'hein star ! Ainsi fond fond fond !

Les stars hein si au tréfonds !

A l'instar d'celui qui fond !

 

Conduisant la vieille voiture !

Là Renaud ! Faisant une scène !

Comme Laurent gerra l'argent

D'Jean-Yves à tire-fesses en pièces !

 

Mettant des barrières à l'un !

A l'intérieur pour casser

Les barrières à Gérard Blanc !

Ni Michel Blanc ni tout noir !

 

Faisant semblant d'être Eric

Noir ! Etant tout blanc ! Tremblant;

Troublant faisant un buffet

Avec Marie-Georges Buffet !

 

Pour remercier Valérie

Lemercier; Michèle Mercier !

Imitant André l'ami

Et Thierry; faisant l'luron !

 

Les stars ainsi font font font...

D'l'hein star ! Ainsi fond fond fond !

Les stars hein si au tréfonds !

A l'instar d'celui qui fond !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Les pantins à glace

 

Si jamais ça glisse

Sur la patinoire;

Il faut du réglisse

Sur la patinoire !

 

Pour que ça glisse mieux

Avec pour bonbons;

Que des casse-bonbons !

Qui glissent fastidieux

 

Sur la glace ! Qu'ils laissent

Des gens très en froid

Sur glace ! Qu'ils affaissent

Ces gens qui disent quoi ?

 

Pourquoi ils semblent forts

Comme armoires à glace ?

Alors qu'ils n'sont forts

Pour s'voir dans la glace !

 

Les pantins à glace

Qui s'voient dans la glace !

Les patins à glace

Qu'ils voient dans la glace !

 

Effet boule de neige !

Ils n'peuvent regarder

Tout leur sacrilège !

Pour se regarder

 

Dans la glace; reflet

D'leur profond miroir !

Comme des ricochets;

Qui laissent entrevoir

 

Qu'ils sont écorchés;

Qu'ils sont ridicules;

Quitte à s'allumer

Qu'ils n'sont funambules !

 

N'tenant sur le fil

Sur une patinoire !

De fil en aiguille

Sans aucun cagnard !

 

Les pantins à glace

Qui s'voient dans la glace !

Les patins à glace

Qu'ils voient dans la glace !

 

Prenant de la poudre !

La poudre d'escampette !

D'un shoot qui saupoudre

Leus vilaines fossettes !

 

D'se croire invincibles

Sur la glace ! Qu'ils glissent

Leurs maux indicibles

Sur la glace ! Qu'ils glissent

 

Si artificiels;

Neiges artificielles !

Glace artificielle;

Qu'ils glissent éternels !

 

En neiges éternelles !

Et là ! Sans la neige ! 

Ils chutent solennels !

Effet boule de neige !

 

Les pantins à glace

Qui s'voient dans la glace !

Les patins à glace

Qu'ils voient dans la glace !

 

Jérôme de Mars

 

 

Véro nique sans son !

 

D'son effet larsen !

Voici une chanteuse

Qui elle; nous emmène

Elle; cette enchanteuse

 

Comme je l'imagine !

Quand à Vancouver !

Elle puise ses racines

Dans sa vie sur Terre !

 

Chantant amoureuse !

Et rien que de l'eau !

Enchantant songeuse !

Qu'elle n'boit que de l'eau !

 

Avec sa panne d'coeur !

Et sa révérence

D'l'élu de son coeur !

V'là la différence !

 

Véro nique sans son !

Sans remettre le son !

Véronique Sanson !

Une chanson sans son !

 

Qu'elle me chante Bahia !

Ou Alia Soûza !

Et seras-tu là ?

Sans prier ah ! Là !

 

Rien que toute une nuit !

Rien qu'sur mon épaule !

Sans mélancolie

Jouant son propre rôle !

 

En faisant l'amour

Sans un désamour !

D'vouloir faire l'amour

Ca vaut le détour !

 

D'chanter ce refrain !

Hormis que le temps

Est trop assassin  !

Refaisant le temps !

 

Véro nique sans son !

Sans remettre le son !

Véronique Sanson !

Une chanson sans son !

 

Qu'on écoute ses gestes;

Qu'on la voit parler,

Comme elle lâche du leste

En son franc-parler !

 

Elle parle juste d'musique !

Elle chante juste au calme !

Elle enchante mystique

Toute sa vie sans came !

 

Même si bien avant;

Elle s'est bien camée !

Mais maintenant;

Elle s'est bien calmée !

 

En fumant sa clope !

Loin de ses démons 

En forme de cyclopes !

Qu'en fin de chanson;

 

Véro nique sans son !

Sans remettre le son !

Véronique Sanson !

Une chanson sans son !

 

Jérôme de Mars

Demain, il fera beau !

 

Si on montait le temps !

Pour aller vers le haut !

Si on remontait l'temps !

Pour l'faire aller plus beau !

 

Pour qu'tous se fassent la bise !

Malgré la brise du vent !

Pour qu'tous soient deux en bis !

En allant de l'avant !

 

S'il y avait qu'du soleil !

Qui parle comme un aimant !

S'il n'y avait qu'l'oseille !

Qui ne parle que d'argent !

 

Le monde irait bien mieux !

Le temps serait radieux !

Les gens seraient joyeux !

Pour qu'le ciel soit heureux !

 

Demain, il fera beau !

Montant sur l'escabeau !

D'main, il fera plus beau !

R'montant sur l'escabeau !

 

Le temps est un miroir !

Du reflet d'notre époque !

Qui réfléchit le soir !

Du reflet très baroque !

 

De ce temps fluctuant !

Changeant si volatile !

D'humeur comme tous les gens

Si dociles indociles !

 

L'époque semble bipolaire !

Entre bonheur et malheur !

Des choses solaires; lunaires

Entre ferveur et fureur !

 

Le monde et change ! N'échange !

Entre braver que des monts !

Le monde n'est pas un ange !

Entre braver que démons !

 

Demain, il fera beau !

Montant sur l'escabeau !

D'main, il fera plus beau !

R'montant sur l'escabeau !

 

Pour voir l'meilleur ailleurs !

Si c'est pareil ou pas !

Pour voir nulle part ailleurs

Si ailleurs; y a d'la joie !

 

Il vaut mieux voir le ver

A moitié plein que plaint !

Buvant l'ver solidaire !

Pour qu'le meilleur soit peint

 

Et repeint dans l'amour !

D'un joli ciel radieux !

Sans aucune haine vautour !

C'est votre tour sans des bleus !

 

Des bleus dur de la vie !

Si on montait l'échelle !

Allant au paradis !

S'faisant la courte échelle !

 

Demain, il fera beau !

Montant sur l'escabeau !

D'main, il fera plus beau !

R'montant sur l'escabeau !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Mon tourne-disque est DCD !

 

Quand je chante; ça fait jazzer !

Sur mes paroles de musique !

Que je cris pour faire jaser

Les mauvaises langues frénétiques !

 

Qu'ça me tape sur le système !

D'un Teppaz pour faire tourner

Mes chansons échos système !

Avec pour thèmes des tournées !

 

Détournées paranoïaques !

Que je fais des insomnies !

Ecoutant assez maniaque

Ma niaque dans mon euphorie !

 

En tamponnant sur mon disque !

Que mon disque est très rayé !

Tambourinant mon tourne-disque !

Qu'mon disque est enrayé !

 

Mon tourne-disque est DCD !

Mon tourne-disque est à céder !

Qu'il n'y a plus du tout d'CD !

Mon tourne-disque est à CD !

 

Pourquoi mon tourne-disque est mort ?

D'ne pas l'avoir fait marcher

Droit pour l'mettre sur le marché !

Je suis bourré de remords !

 

Que je mange mon disque; mange-disque !

Que je retourne l'disque; tourne-disque !

Que pour le fun du sillon;

Je tourne le microsillon

 

Sur l'électrophone qui tourne !

Sans s'arrêter qu'je détourne

Mineur sur une note majeure !

Des mots assez tapageurs !

 

Qu'je mets toujours le même disque !

Comme un disque rayé de tubes !

Sans pomper tous les autres disques,

Je mets sur mes pompes en tubes !

 

Mon tourne-disque est DCD !

Mon tourne-disque est à céder !

Qu'il n'y a plus du tout d'CD !

Mon tourne-disque est à CD !

 

Qu'pour accéder au rayon

De mon rayon ACD !

J'dois refléter mon rayon

De soleil pour succéder

 

A mon rayon accédé !

Par lequel j'ai accédé

A mon rayon à CD !

Pour succéder à céder !

 

Qui veut succéder en tubes ?

A tous les morts des CD !

A ces remords qui m'entubent !

A tous les morts DCD !

 

Là ! Je suis bien dans mes baskets !

Là ! Je suis bien dans mes pompes !

Personne ne prendra mes pompes !

Chaussures qui pompent mes baskets !

 

Mon tourne-disque est DCD !

Mon tourne-disque est à céder !

Qu'il n'y a plus du tout d'CD !

Mon tourne-disque est à CD !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Manouchian manouche

 

Quelqu'un d'bien naquit

En 1906 !

Pays de La Turquie !

D'bonté si jolie !

 

C'fut quelqu'un de franc !

Un grand survivant

De ce génocide;

Toujours si placide !

 

Quelqu'un de très bien !

Pour faire que le bien !

Qu'il vint en cette France

De sa résilience !

 

En un an 24;

Cette ville de Marseille;

Luit si opiniâtre

Pas que pour l'oseille !

 

Manouchian manouche;

Non Français d'pure souche !

Jamais quelqu'un d'louche !

Qu'il est dans la souche !

 

Pour travailler dur,

Luit cet immigré

Tout ce qu'il endure

En tant qu'menuisier !

 

Sans la langue de bois !

Toujours aux abois

De tout son passé !

Qui l'a tant blessé !

 

Qu'il écrit d'ses cris

Tous ses beaux poèmes !

L'récit de sa vie

Sans aucun problèmes !

 

Mais qu'de solutions

En résolutions !

Il fut résistant 

Qu'il sauva des blancs !

 

Manouchian manouche;

Non Français d'pure souche !

Jamais quelqu'un d'louche !

Qu'il est dans la souche !

 

Dès la seconde guerre

Mondiale ! Qu'il s'engage

Pour tuer la guerre !

Qu'il prend en un gage

 

De bien s'engager

Parti Communiste !

Pour bien protéger

A cause d'la longue liste !

 

En sauvant les justes !

Dès L'Occupation

Qu'il arrive au juste !

Là au Panthéon !

 

Il va y rentrer

Mort en 44 

En France ! Pour s'poser

Luit si opiniâtre !

 

Manouchian manouche;

Non Français d'pure souche !

Jamais quelqu'un d'louche !

Qu'il est dans la souche !

 

Jérôme de Mars

Un gêneur ingénieur

 

Futé et affûté;

Voici quelqu'un d'malin !

Un imposteur rusé !

Son cas n'est pas bénin !

 

Qu'il se débrouille en brouille;

Qu'il trifouille et embrouille !

Quitte à brouiller les pistes !

Pour demeurer hors-piste !

 

Dans ses extrêmes d'excès !

Quitte à crever l'abcès !

Et quand rien ne va plus !

Il peut être très pointu !

 

Dans ses prises d'position !

Maniant l'habile; l'habit !

Habillant les gens oui

En surexposition !

 

Un gêneur ingénieur;

Un sacré imposteur;

Un ingénieur gêneur

Consacré imposteur;

 

Rusé comme un renard !

Il habille pour l'hiver

Ceux qui n'viennent aux rencards

De cet être solitaire !

 

Et solidaire; subtil;

Agile; habile; léger !

Genre un gros volubile !

Sous ses airs si légers !

 

Il joue avec les mots !

Maniant les mots aux frais

Perspicaces de ses maux !

Tout l'monde en fait les frais !

 

De toute sa répartie

Aiguisée; déguisée !

Sous ses airs d'infamie

A l'esprit d'acuité !

 

Un gêneur ingénieur;

Un sacré imposteur;

Un ingénieur gêneur

Consacré imposteur;

 

Il est exubérant

Sous sa finesse d'esprit !

Il est assez grinçant !

Cinglant d'misanthropie !

 

Il est assez acerbe !

Maniant le verbe féroce !

Il s'coupe sous le pied l'herbe !

Il fait plus vers qu'il rosse

 

En sortant les griffes !

Qu'il est trop réactif 

D'son humour corrosif !

Qu'il met des explosifs

 

Avec dextérité !

Qu'il jouit avec les mots

Avec saga cité !

Qu'il en joue de ses maux !

 

Un gêneur ingénieur;

Un sacré imposteur;

Un ingénieur gêneur

Consacré imposteur.

 

Jérôme de Mars

En chiens de faïence !

 

Faillite du système

De cette chienne de vie !

Tout tape sur l'système !

Frôlant l'hérésie

 

D'une France sans repères !

Personne à l'abri !

De perdre son repaire

A cause des débris !

 

Pourquoi personne n's'aime !

Dans ce monde de haine 

En un requiem !

Y a qu'le bas de laine !

 

Qui rend l'monde content !

En vrai; il n'y croit !

Contant; racontant

Que le mal; il croît !

 

En chiens de faïence !

La loi du silence !

Sans une repentance

De loi d'l'ignorance !

 

En cette chienne de vie !

En dépits d'mamelles !

Où le bien dévie

Vers l'mal des gamelles 

 

De vaches enragées !

C'monde olé olé

Ne fait que briser

Les gens résignés !

 

Toute cette chienne de vie !

Fait prendre des gamelles

Aux déçus d'la vie !

Qui a pour mamelles

 

Des vies dissolues;

Des gens désaxés;

D'ce monde éperdu !

Qui a regardé

 

En chiens de faïence !

La loi du silence !

Sans une repentance 

De loi d'l'ignorance !

 

Personne n'se comprend !

Et ne prend le temps

D'se parler doucement !

En étant bienveillant

 

Et patient dans c'monde

Très effervescent !

Personne ne se sonde

En c'monde impatient !

 

N'cherchant à soigner

Toutes ces ecchymoses !

De ce monde brisé

Par la sinistrose !

 

Même qu'les gens; ils veulent

Les changer les choses !

Le mal; il laisse seul;

Esseule la symbiose !

 

En chiens de faïence !

La loi du silence !

Sans une repentance

De loi d'l'ignorance !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Coup de blues !

 

Sans cagnard;

J'ai les boules;

J'ai l'cafard !

Qui déboule

 

Dès la nuit;

Horizon

Décrépi;

Qui n'tourne rond !

 

J'ne supporte

Ce monde d'cons !

Qu'je rapporte

Rubicond !

 

Ivre d'colère;

J'en écris

Incendiaire;

Coup d'folie !

 

Coup de blues !

Blues qu'j'épouse !

Coût de flouze !

Sang la loose !

 

En ce monde

Si maboule !

J'suis en fronde;

J'perds la boule !

 

Cauchemar

D'toute une vie !

Sans cagnard;

J'dépéris

 

A vue d’œil !

Œil de verre

En trompe l’œil !

J'n'y vois clair !

 

Pourquoi l'monde

S'fait la guerre !

Qui abonde

D'grande colère !

 

Coup de blues !

Blues qu'j'épouse !

Coût de flouze !

Sang la loose !

 

Rien qu'l'argent

Fait l'bonheur ? !

Gens comptant

Leur labeur !

 

Pour à peine

Vivre; survivre;

Qui gangrène

Tous les vivres

 

D'la planète

Terre sous terre;

C'monde pas chouette;

Mortifère !

 

Assez près

D'caniveau !

Assez prêt

A-vau-l'eau !

 

Coup de blues !

Blues qu'j'épouse !

Coût de flouze !

Sang la loose !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Quoi de neuf Jérôme aujourd'hui ?

 

Entretien mensuel imaginaire du lundi 26 Février 2024 à 14h20 entre Madame Teillet, une psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine, Monsieur Jean-Yves Louchouarn, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine et Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Madame Teillet, une psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? Quoi de neuf ? "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour, Madame Teillet, je vais très bien. Aujourd'hui que du vieux même que je suis encore jeune. La preuve que je ne fais pas le Ramadan et que je ne jeûne pas

comme je suis un jeune vieux. Madame Teillet, je voulais vous demander dans la bonne humeur si vous pourriez arrêter de me prescrire du Risperdal. Qu'en pensez-vous Jean-Yves de mon idée ? "

 

Monsieur Louchouarn Jean-Yves, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Jérôme, je trouve que c'est une bonne idée mais il faut qu'on demande l'avis de Madame Teillet pour étayer votre idée ! Isabelle, qu'en penses-tu de l'idée de Monsieur Bedrossian ? "

 

Madame Teillet, une psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Jean-Yves, je trouve que c'est une excellente idée ce que Monsieur Bedrossian me demande ! Comme il me pose cette question dans la bonne humeur, j'en déduis qu'il a réussi à réguler son humeur avec humour, la clé de son ouverture d'esprit !  Monsieur Bedrossian, je vous propose qu'on fasse un essai de 2 mois pour voir si ça vous réussit qu'on arrête le Risperdal. En effet, Monsieur Bedrossian, je pense qu'il y a prescription de ne plus vous prescrire du Risperdal ! Monsieur Bedrossian, confirmez-vous votre accord pour qu'on arrête le Risperdal ? Monsieur Bedrossian, s'il vous plaît répondez à ma question sans chercher à noyer le poisson ! "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Je vous rassure Madame Teillet, je ne chercherai pas à noyer le poisson pour vous répondre à votre question ! Même si je suis le sujet de la discussion en étant l'objet du sujet ! Pour étayer ma réponse, je ne risque pas de noyer le poisson, on n'est pas au mois d'Avril ! Je dirai que je cherche à noyer le poison de votre question en forme de cadeau empoisonné ! "

 

Monsieur Louchouarn Jean-Yves, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Jérôme, vous n'êtes pas un cadeau empoisonné mais un fardeau empoisonné ! Comme vous n'êtes un cadeau pour personne ! A part nous offrir votre fardeau empoisonné ! "

 

Madame Teillet, une psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Jean-Yves, je te trouve un peu dur ! Tu devrais plutôt dire à Monsieur Bedrossian qu'il arête de penser à son futur antérieur pour chercher à noyer le poisson ! Car pour bien panser son futur postérieur, il faut que Monsieur Bedrossian ne s'affaisse dans le passé même qu'il en a plein le cul de la vie ! Monsieur Bedrossian, si vous voulez que je vous arrête le Risperdal et que je continue de diminuer votre traitement, il faut chercher à prendre soin de vous. Il faut davantage bien vous traiter, je compte sur vous Monsieur Bedrossian ! "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Vous avez raison de conter sur moi Madame Teillet. Pour étayer votre affirmation, je vous promets de bien me traiter, car il n'y a que sur moi que je peux compter dans la vie. Concrètement, je compte signer le traité de paix pour ne plus être maltraité par les gens dans la vie. La preuve que je compte pour les adhérents du GEM de Vitry, on compte sur mois pour que je tienne la comptabilité du GEM de Vitry en tant que trésorier-comptable. Car au bout du compte, je fais les comptes de ma vie pour qu'on me calcule mieux ! Et pour qu'on me recalcule mieux dans la vie, il faut me poser une question. La question qu'il faut me poser est : Quoi de neuf Jérôme aujourd'hui dans ta vie sans un dix de chute ? Pour que je donne comme indice, c'est la chute de mon histoire dans ma vie ! "

 

Jérôme de Mars

Comme mon cas m'isole !

 

En étant soigné

Dans mon CMP !

J'en ai tant saigné

Rien qu'pour ma santé !

 

Que j'en ai pleuré

De médicaments !

Pour me consoler

D'un bon traitement !

 

D'en avoir été

Assez maltraité !

Brûlé sur l'bûcher !

Que j'ai tant bûché

 

En une injonction !

Maux du CMP !

Sans une injection !

Rien qu'pour ma santé !

 

Comme mon cas m'isole !

Sans aucune console !

De la camisole

Sans aucune parole !

 

Pour me dire pourquoi ?

Je suis si malade ! ?

Son dû ? Et de quoi

Vient cette sérénade ?

 

En montant le ton !

C'est l'unique raison !

Où je me morfonds !

Bien au très tréfonds !

 

De la fausse commune

En mes grands remords !

En une fosse commune,

D'où j'suis assez mort !

 

En mes grosses piqûres

De tout mon rappel !

Ce sont mes blessures !

Qui me le rappellent !

 

Comme mon cas m'isole !

Sans aucune console !

De la camisole

Sans aucune parole !

 

De mes accidents;

Des antécédents

D'mon enfance mineure

A l'état majeur !

 

De toute mon enfance

Dans c'profond tumulte !

Envers mon offense

D'être là un adulte !

 

Je suis l'responsable

Entier de ma vie !

Un irresponsable

Trop endolori !

 

Que là ! Je demande

L'asile psych'délique !

Sans aucune offrande

D'l'asile psychiatrique !

 

Comme mon cas m'isole !

Sans aucune console !

De la camisole

Sans aucune parole !

 

Jérôme de Mars

 

 

Ca me donne le vestige !

 

 

Perdant de la hauteur !

J'ai du mal dans ma vie

D'accéder au bonheur !

Toujours à l'agonie

 

D'oublier mon passé !

Qui m'a tant consumé

A cause d'mes camouflets !

Qui m'ont fait tout péter

 

Dans ma vie; vide de sens !

L'ennui avide décence !

Mon innocence est loin

D'mon enfance en déclin !

 

Pourtant, j'ne fume des joints !

Pour joindre assez l'utile

A l'agréable ci-joint !

Pour rejoindre le futile !

 

Ca me donne le vestige !

Dans ma vie en litiges !

Ca me donne le vertige !

D'avoir quarante-cinq piges !

 

Que je n'ai fait le deuil

D'avoir perdu ma mère !

Assis seul sur l'fauteuil

A en faire l'inventaire !

 

Qu'je suis à la moitié

De ma vie en deça !

Qu'je fais moitié moitié

Pour échanger tout ça !

 

Et pour changer tout ça !

J'essaie d'aller d'l'avant

Plus en avent de ça !

Pour revivre au présent !

 

La vie d'un concert d'ange !

Moi; mi-ange; mi-démon !

Qu'je veux que ça s'arrange !

Ecrivant en chanson !

 

Ca me donne le vestige !

Dans ma vie en litiges !

Ca me donne le vertige !

D'avoir quarante-cinq piges !

 

Vie à moitié réussie !

A vie à moitié oui !

Qu'je dis un demi oui !

En une nuit et demie !

 

A cause d'mes vieux démons !

Remontant en surface

Pour braver tous les monts !

Remontant quoiqu'je fasse !

 

Je n'panse qu'à l'avenir !

Pour soigner mes blessures !

Je n'pense plus à mourir !

Pour saigner mes blessures !

 

J'voudrais avoir la paix !

Signant pour traité d'paix !

J'ai envie d'faire la paix !

Pour n'plus être maltraité

 

Ca me donne le vestige !

Dans ma vie en litiges !

Ca me donne le vertige !

D'avoir quarante-cinq piges !

 

Jérôme de Mars

 



 

Slip kangourou de boxeur !

 

C'sont des boxeurs sur le ring !

Qui mettent un slip kangourou

D'boxers avec pour feeling;

Un animal Kangourou !

 

Qui frappe de ses mains d'boxeur  !

Ceux qui mettent un slip d'boxers !

Cognant d'leurs points tapageurs !

Ces boxeurs en grande colère !

 

Sans aucune tape amicale !

Utilisant comme force d'frappe !

Un kangourou animal;

Qui tape de sa force de frappe !

 

Des coups qui en font des tonnes !

A fond la caisse qui entonne

Des gens qui en font des caisses !

Lâchant des caisses en espèces !

 

Slip kangourou de boxeur !

L'kangourou met un boxer !

Slip kangourou de boxer !

L'kangourou frappe un boxeur !

 

En baissant son slip d'un trip;

En y mettant toutes ses tripes !

D'un kangourou qui étripe

L'boxeur en boxer de slip !

 

L'kangourou est un boxeur;

Qui met un slip kangourou !

L'boxeur est un kangourou;

Qui met un slip de boxer !

 

Quand le kangourou; il frappe !

Il va toujours sur le ring !

Quand il y a une force de frappe !

Il y a toujours le feeling !

 

Entre l'kangourou; le boxeur,

Où il y a un bon timing !

Pour qu'les deux mettent leur boxer !

En faisant leur trip sur l'ring !

 

Slip kangourou de boxeur !

L'kangourou met un boxer !

Slip kangourou de boxer !

L'kangourou frappe un boxeur !

 

Et au moment d'faire leur strip !

Le boxeur; le kangourou,

Tous les deux enlèvent leurs slip !

Leurs slips boxeurs kangourous !

 

Rabaissant leurs slips d'boxers;

Qu'ils vont s'boxer en boxeurs !

Abaissant leurs slips d'boxeurs;

Qu'ils vont s'boxer en boxers !

 

Qu'ils s'font rouler en boxeurs !

Se déroulant l'tapis rouge !

Qu'ils s'font rouler leurs boxers !

Leur faisant couler l'sang rouge !

 

Que le kangourou voit rouge !

Avec son slip de boxer !

Que l'boxer s'habille en rouge !

Avec son slip de boxeur !

 

Slip kangourou de boxeur !

L'kangourou met un boxer !

Slip kangourou de boxer !

L'kangourou frappe un boxeur !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

A Andorre, on dore !

 

Dans les Pyrénées

Y a l'micro-état;

Etant bien au frais !

Dans un bon état

 

D'paradis fiscal !

Où on dort très bien !

D'un coin agréable

D'tous les va-et-vient !

 

Des gens qui viennent; partent !

Passant des vacances !

Louant un appart

En itinérance !

 

Dans ce coin tranquille;

Il neige-là beaucoup !

Les gens n'sont fébriles !

Qu'ils disent à chaque coût !

 

A Andorre, on dore !

Dans un bon folklore

A Andorre, on dort !

Qu'on dort et redore !

 

Zen dans un chalet !

Effet boule de neige !

Pays enclavé

Par une pléiade d'neige !

 

Entre La France, L'Espagne;

Pays Catalan;

Tous y mettent d'l'épargne !

Pour faire des talents !

 

C'pays où il fait frais !

L'hiver et l'été !

Et tout ça aux frais

D'ill faut travailler !

 

Pour bien profiter

Des beaux paysages !

Pour bien siroter

Une bière de breuvage !

 

A Andorre, on dore !

Dans un bon folklore

A Andorre, on dort !

Qu'on dort et redore !

 

En montagnes d'vallées;

Qui ont dévalé

L'appel d'la forêt !

Loin de la vallée;

 

Loin de la clairière;

Dans ce beau pays;

Il y a d'la lumière !

Sans vaches maigres dépis

 

Non olé olé !

N'se faisant une montagne !

Pour tirer le lait

En une rase campagne !

 

Qu'les gens sont gentils

Pour y faire du ski !

Qu'les bronzés font du ski

De façon tranquille !

 

A Andorre, on dore !

Dans un bon folklore

A Andorre, on dort !

Qu'on dort et redore !

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blague :

 

Quelle est la différence entre Tony Yoka qui met son slip pour cogner sur le ring et un animal Australien qui frappe avec ses mains pour défendre sa progéniture ?

- Pour le premier, Tony Yoka, le boxeur met un slip kangourou boxer pour combattre sur le ring et pour le deuxième, c'est le kangourou qui frappe comme un boxeur pour défendre sa progéniture !

 

                                            Jérôme de Mars

 

 

Un anti-raciste

 

De ma fibre d'artiste

Très mal dans ma peau !

J'écris si altruiste !

Que la couleur d'peau

 

Est une grande richesse

Pour l'humanité !

Dans la pure liesse

De la vérité !

 

J'reprends des couleurs !

Avec l'métissage;

J'en vois la couleur

D'leurs beaux paysages !

 

En leur couleur d'peau !

En payant au black

Tout leur manque de peau !

Noir sans blanc aux blacks !

 

Un anti-raciste;

Je suis hédoniste !

Un nanti raciste;

Langue d'bois d'ébéniste !

 

J'aime bien les chinois !

Quand on aime; on n'compte !

D'un casse-tête chinois !

Car au bout du compte !

 

J'mène la baguette !

Achetant mon pain !

Je fais mes emplettes !

Magie d'papier peint !

 

Pour que tous s'encadrent

En portrait chinois !

Restant dans le cadre

D'travailleurs chinois !

 

J'aime les Asiatiques

Qui travaillent beaucoup !

Ils sont dynamiques !

Qu'ils valent tous le coup !

 

Un anti-raciste;

Je suis hédoniste !

Un nanti raciste;

Langue d'bois d'ébéniste !

 

Tous les Africains

Ne font pas semblant !

D'bons Samaritains

Ne font pas sans blanc !

 

Et cris noirs sur blancs !

Bien comme les Arabes !

Parlant le Coran

En prenant du rab !

 

Pour être des gens bien

Assez solidaires !

Pour créer du lien !

Parlant comme des frères !

 

Les gens étrangers;

Ils sont étrangers

A tous les Français !

Pour mieux s'entraider !

 

Un anti-raciste;

Je suis hédoniste !

Un nanti raciste;

Langue d'bois d'ébéniste !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Sers-je l'amas ?

 

D'une chanson;

J'en écris

Déraison !

Tout s'écrit

 

A hurler

Mon ras-l'bol !

A crier 

Mon bémol !

 

En ces gens

Sans paroles !

S'envolant

Pas de bol !

 

Là ailleurs !

Si j'y suis

Pour l'malheur !

Qui s'ensuit !

 

Sers-je l'amas ?

Rabat-joie ?

Serge Lama

Dans la joie ?

 

Suis-je aimable 

D'amourette ?

Suis-je Aimable

Bal-musette ?

 

Ou plutôt

Détestable ?

Genre plus tôt

Point affable ?

 

Suis-je acteur

De ma vie ?

Spectateur

D'mon ennui ?

 

Et à part

Mes poèmes;

En rempart

D'mes problèmes !

 

Sers-je l'amas ?

Rabat-joie ?

Serge Lama

Dans la joie ?

 

Pour chanter

Le bonheur !

Déchanter

Le malheur !

 

Si j'écrivais

A Présent !

Mon présent

Destiné !

 

En m'offrant

Pour présent !

Un cadeau

Sans fardeau !

 

En déroute

De souffrir !

Et en route

L'avenir !

 

Sers-je l'amas ?

Rabat-joie ?

Serge Lama

Dans la joie ?

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Je suis névrosé !

 

Tel un mort-vivant !

Mort de l'intérieur !

J'suis agonisant

Avec l'monde extérieur !

 

En perdant ma mère;

J'eus que des remords !

J'plongeais dans l'amer !

La cause de ma mort !

 

Mourant à p'tit feu !

Conflits intérieurs !

J'ne croyais en Dieu !

Conflits extérieurs !

 

D'mes conflits psychiques !

Je faisais le mort !

Qu'j'eus l'air pathétique !

En clamant sans tort !

 

Je suis névrosé !

Qu'la vie m'a brûlé !

Je suis nécrosé

En échauffourée !

 

Aimez-moi comme j'suis !

Malgré c'qui s'ensuit !

Prenez-moi comme j'suis !

Je suis comme je suis !

 

J'ai besoin d'amour;

De grande affection !

Moi; le troubadour

En mon affection

 

De très longue durée !

C'que j'ai enduré !

Des mots paranos

Aux maux paranos !

 

Comme ce Serge Lama !

Je le suis malade !

Et puis, sers-je l'amas  

Sans qu'on me balade ?

 

Je suis névrosé !

Qu'la vie m'a brûlé !

Je suis nécrosé

En échauffourée !

 

Comme j'suis à la fois !

Quelqu'un d'mâle heureux !

Et tantôt l'autre fois !

Quelqu'un d'malheureux !

 

Pour chanter la vie !

Je suis exaltant !

Pour gronder dépit !

Je vais exhumant

 

Rien que mon passé !

Qui fut délétère !

Que j'ai outrepassé !

Colère incendiaire !

 

Je suis bipolaire;

Je suis si fantasque;

J'ai du caractère !

Et malgré mes frasques !

 

Je suis névrosé !

Qu'la vie m'a brûlé !

Je suis nécrosé

En échauffourée !

 

Jérôme de Mars

 

 

Bidonville

 

D'un taudis

Qu'j'habitais !

Je revis

Isolé

 

A Vitry

Sur La Seine !

Ebloui

Sans mécène;

 

J'suis un homme

De la rue !

Un sûr homme

Inconnu !

 

J'vis tranquille

HLM

Sur la ville;

Celle que j'aime !

 

Bidonville

Jamais vile;

Bidon ville

Jamais ville;

 

Que Belleville

A Paris;

Je paris

Qu'cette belle ville;

 

Fait encore

Tant songer !

Mensonger !

Qu'pour être accord !

 

J'me prélasse

HLM !

Il m'enlace

Comme je l'aime !

 

J'suis content

D'l'habiter !

Racontant

Eveillé !

 

Bidonville

Jamais vile;

Bidon ville

Jamais ville;

 

J'n'habite plus

Le pavillon

Dissolu

D'cette maison

 

Délabrée,

Dont mon père

N'se vantait;

Délétère !

 

Que mon père

L'a vendu !

Sans repaire

Absolu !

 

D'mon vécu;

D'y avoir

Survécu;

Exutoire !

 

Bidonville

Jamais vile;

Bidon ville

Jamais ville.

 

Jérôme de Mars

 

 

La goutte d'eau qui fait déborder la vase...

 

A fleur d'pot ! Qui fait pleurer les poissons

Dans l'eau en pataugeant dans la gadoue !

Les poissons en ont mare de chaque saison !

Où il fait froid préférant l'chaud en tout !

 

Et en s'affranchissant du hors-limite !

Les poissons ne sont jamais du tout seuls !

Qu'ils ne l'imitent ! Oh jamais les ermites !

Se berçant tant de tendres chansons qu'ils veulent

 

Flirter avec des dames pour être en âge...

De faire l'amour torride dans la chaleur

Des grosses chaleurs femelles pour être en nage...

D'caresser les profondeurs du bonheur...

 

Sur un air de musique pour être enceinte !

Prenant l'ampli d'mettre la goutte au compte-gouttes !

Sur un nerf d'musique pour tomber enceinte !

En sainte d'un vase à fleurs qui ne dégoûte

 

La goutte d'eau qui fait déborder la vase...

Qui dévase le vase; qui transvase la vase !

La goutte d'eau qui fait déborder le vase...

Que ça sent la vase de toute l'eau du vase !

 

Mis de boue en boue; debout dans la boue !

Que la vase à l'air libre ! Est très à boue !

Que l'eau s'badigeonne pour tenir de bout !

Démis de la gadoue qui n'tient de boue !

 

L'eau éteinte ne peut tenir au courant...

Au courant courant des choses de la vie...

La vase qu'elle effleure ! Il n'y a du courant !

Pour rallumer le courant de la nuit !

 

A fleur de peau la sensibilité

De l'eau ! Qui déborde à cause d'un trop-plein !

A fleur de pot de l'émotivité !

Hello ! Qu'elle aborde à cause d'un trop plaint !

 

Pour aller mieux sans que rien n'tombe à l'eau !

Faut-il chanter allo ? Personne n'prend l'eau !

Et haut du bateau à-tire-larigot !

Il ne faut dire la fin des haricots !

 

La goutte d'eau qui fait déborder la vase...

Qui dévase le vase; qui transvase la vase !

La goutte d'eau qui fait déborder le vase...

Que ça sent la vase de toute l'eau du vase !

 

Même si c'est une goutte d'eau dans l'océan !

Il faut reverser des vers de poèmes !

Pour dire depuis notre bateau hauts ! Ces ans !

Il faut déverser des verres de bohème !

 

Marginale comme martingale d'la réussite !

Il faut soûler nos peines pour s'enivrer...

En prenant tous d'excès une sacrée cuite !

Quitte à se délivrer sans dériver

 

Vers la vase à fleur d'peau de pot du vase !

Il faut écumer tout le mal de mer !

Terminus ! En vidant l'eau ! Toute l'eau d'la vase !

En reversant le tout dans la rivière...

 

D'un raz d'marais qui s'étend jusqu'à l'étang !

Et même s'il faut s'méfier de l'eau qui dort !

Il faut enchanter le lac qui s'détend !

Avec pour renfort de l'eau en fol clore !

 

La goutte d'eau qui fait déborder la vase...

Qui dévase le vase; qui transvase la vase !

La goutte d'eau qui fait déborder le vase...

Que ça sent la vase de toute l'eau du vase !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Fais de ta vie un palace !

 

Hôtel du temps même enseigne !

Si ton étoile de berger !

Reflétait ce qui t'entraîne

A l'hôtel qui t'hébergeait...

 

T'apprenant la vie ! T'en saignes

Les rudiments de ta vie !

Pour qu'le bien, tu t'en imprègnes !

Avec classe dans l'embellie

 

D'une vie réussie éblouie !

Rêvant de magnifiques choses !

Sans jamais connaître l'ennui

Avec de la sinistrose !

 

Pour que tu écrives le film

D'ta vie sans être rabat-joie !

Sans que tu te fasses des films !

Et sans faire de cinéma !

 

Fais de ta vie un palace !

A l'autel où tu t'enlaces !

Sans faire d'ta vie un pas las !

A l'hôtel où tu t'en lasses !

 

Trouve dans ta vie tes repères !

Pour bien te mettre à l'abri !

Trouve dans ta vie ton repaire ! 

Pour t'protéger sans débris

 

Cultive l'amour sans la haine !

A fleur d'ton jardin secret !

Et pour bien reprendre haleine !

Fais d'ta vie un Mausolée !

 

Même si ta vie te rend chèvre !

Ne sois pas l'bouc-émissaire !

Ecris plutôt des mots mièvres !

Pour bien en faire ton affaire !

 

Dans la paix d'un paradis !

Sirotant un vittel menthe !

Surfant sans nostalgie

En vérité sans que tu mentes !

 

Fais de ta vie un palace !

A l'autel où tu t'enlaces !

Sans faire d'ta vie un pas las !

A l'hôtel où tu t'en lasses !

 

Fais roucouler que l'amour !

Pour faire jaillir ta fontaine !

Avec pour vers troubadours;

Tes poèmes de La Fontaine !

 

Où tu n'dis jamais fontaine !

Je ne boirai pas ton eau !

Tu n'dis jamais La Fontaine !

Je ne boirai pas tes mots !

 

Fais de ta vie un soleil !

Ne pensant pas qu'à l'argent !

N'fais de ta vie que l'oseille !

En ne pansant qu'à l'argent !

 

Pour qu'ta vie soit sans remords;

Il vaut mieux plutôt mûrir !

Avant dans ta vie ta mort !

Plutôt au lieu de mourir !

 

Fais de ta vie un palace !

A l'autel où tu t'enlaces !

Sans faire d'ta vie un pas las !

A l'hôtel où tu t'en lasses !

 

Jérôme de Mars

 

Les oeufs débrouillés !

 

Si on cuisinait !

En chantant l'amour 

Des plats assez frais !

En faisant chaque jour 

 

Pour s'réconcilier  !

De la bonne cuisine !

Pour tout concilier !

Comme à l'origine !

 

De la bonne tambouille

Pour bien s'entendre !

Où personne n'trifouille

Rien pour se méprendre !

 

Si c'est à cause d'eux !

Effet boule de neige !

Au sujet des oeufs;

De ces oeufs en neige !

 

Des oeufs débrouillés !

Pour mieux tempérer

Des oeufs trop brouillés !

Pour temporiser

 

Ceux qui sont brûlés !

Qui grillent à p'tit feu !

Pour les allécher !

Les rendre délicieux !

 

En mélangeant l'tout !

Mettant l'eau à la bouche !

En remuant l'tout !

Fondant dans la bouche !

 

Au sujet d'eux des oeufs !

Qui sont d'oeufs par d'oeufs !

Au sujet d'oeufs des eux !

Qui sont d'eux par d'eux !

 

Des oeufs à la coque;

En mettant une tonne !

Avec dans la coque;

Des oeufs au bencon !

 

Des oeufs débrouillés !

Pour mieux tempérer

Des oeufs trop brouillés !

Pour temporiser

 

En faisant des eux !

Des oeufs sur le plat !

En faisant des oeufs !

Des eux très à plat !

 

En mélangeant bien

Pour faire l'omelette !

En mettant la main

A la pâte d'facettes !

 

On en fait des oeufs !

Pour eux assez bons !

On en fait des eux !

Pour oeufs à ces bons !

 

D'drôles de durs à cuire !

En faisant bien l'point !

Ils endurent à cuire !

En chauffant appoint !

 

Des oeufs débrouillés !

Pour mieux tempérer

Des oeufs trop brouillés !

Pour temporiser.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Tout le temps !

 

L'temps qu'il fait !

C'est l'soleil !

En effet

De merveilles !

 

Comme il pleut !

Si bergère !

Nuageux

Bipolaire !

 

Comme il neige !

En effet

Boule de neige !

Conte de faits !

 

Y a d'la grêle !

De flocons !

Qui fait l'zèle !

En flacon !

 

Tout le temps !

Durant l'temps !

Tout ce temps !

Depuis l'temps !

 

Des seins d'glace

Du mois d'Mars !

Sain de glace !

Jérôme d'Mars !

 

Giboulées

Du mois d'mars !

Déboulées

Jérôme d'Mars !

 

En avis

De tempête !

Pour la vie !

Qui hébète

 

L'ouragan

Bien avant !

Tout c'boucan

Bien avent !

 

Tout le temps !

Durant l'temps !

Tout ce temps !

Depuis l'temps !

 

De ce vent !

Déferlant

Jetant l'vent !

En soufflant !

 

Boursoufflant

Le typhon !

Essouflant

Les démons !

 

D'la grisaille

Du cyclone !

Aux entrailles !

C'est la zone !

 

Cataclysme

D'tsunami !

Qui décime

L'paradis !

 

Tout le temps !

Durant l'temps !

Tout ce temps !

Depuis l'temps !

 

Jérôme de Mars

 

L'apocalypse !

 

C'est l'mauvais air

De fin du monde !

En grande colère

Et qui abonde

 

Tous les déçus;

Tous les frustrés

Si dissolus !

Et mal aimés !

 

Et qui souhaitent;

Enfin la fin

De ces comètes

En un déclin !

 

Personne n's'entend !

Ne se détend !

Ne se comprend !

En s'en foutant !

 

L'apocalypse !

Et tous s'éclipsent !

D'l'apocalypse

De cette éclipse !

 

En une ellipse !

Ca ne tourne rond !

En une éclipse 

D'un monde de cons !

 

Qui val très mal !

Assez fatal;

Et animal 

De face frontale !

 

Et tout le monde;

Il s'contrefout

De toute la fronde !

D'ce monde de fous !

 

En s'agresssant

Si farouche;

Si virulent

D'façon trop louche !

 

L'apocalypse !

Et tous s'éclipsent !

D'l'apocalypse

De cette éclipse !

  

Personne n'se parle !

Franchement fruste !

Personne ne parle !

Tapant l'incruste !

 

Faisant comme si;

C'était normal !

De faire comme si;

C'était banal !

 

Ce monde de fous !

Qui s'contrefout

Ainsi de tout !

Sans des gardes-fous !

 

Y a donc plus rien !

Et que du vide !

D'un manque d'entrain !

Assez livide !

 

L'apocalypse !

Et tous s'éclipsent !

D'l'apocalypse

De cette éclipse !

  

Jérôme de Mars

 

 

 

Papiers toilettes !

 

Comme tout m'fait chier !

Si j'achetais

A l'unité !

Tout le papier

 

Du papier cul !

Pour s'essuyer

Le trou du cul !

Pour essuyer

 

L'trop-plein qu'au cul !

Pour tant conchier

Les gens cocus

D'la société !

 

J'en ai plein l'cul !

Je suis au bout

D'rouleau pécu !

A peine debout !

 

Papiers toilettes !

J'vais aux toilettes !

Papier toilettes !

J'fais ma toilette !

 

J'vais à la chasse !

J'fais de la chasse !

Je tire la chasse

Sans des échasses !

 

Comme d'la chasse d'eau !

Je n'suis dans la merde !

Qu'tout tombe à l'eau !

J'suis dans la merde !

 

Les chiottes m'emmerdent !

En fosses septiques !

Qu'les fausses; elles merdent !

En fausses sceptiques !

 

Des cabinets

Vexés aux chiottes !

D'leurs cabinets

WC aux chiottes !

 

Papiers toilettes !

J'vais aux toilettes !

Papier toilettes !

J'fais ma toilette !

 

Avec la brosse

A tout reluire !

Si bien qu'elle brosse

Pour tout faire luire !

 

En caressant

Dans l'sens du poil !

Tout en frottant

A poil au poil !

 

Poil à gratter !

La brosse; elle frotte !

A décrasser

Saleté d'chiottes !

 

J'veux mes papiers

Pour bien conchier !

J'veux du papier

Pour mieux en chier !

 

Papiers toilettes !

J'vais aux toilettes !

Papier toilettes !

J'fais ma toilette !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

On compte sur mois !

 

Comme trésorier;

J'en suis donc un;

Sans des lauriers;

J'en dresse aucun !

 

Expert-comptable;

Je calcule tout !

Ex-pair comptable;

J'écris donc tout !

 

Dont l'résultat

Est d'remarquer

L'bilan du mois !

Et de marquer

 

Toutes les recettes

Et les dépenses !

Dont la recette;

Elle m'récompense !

 

On compte sur mois !

Rien que sûr moi !

On compte sur moi !

Rien que sûrs mois !

 

En mes névroses !

Qui me calculent

D'mes ecchymoses !

Qu'je recalcule !

 

On n'me calcule !

Pour me comprendre !

Qu'on me calcule !

Pour me détendre !

 

J'ai eu ma dose

Très largement !

J'ai ma surdose

Emargement !

 

Qu'je calcule tout !

De l'addition

En mon va-tout

D'mon addiction !

 

On compte sur mois !

Rien que sûr moi !

On compte sur moi !

Rien que sûrs mois !

 

En addition

Salée; sucrée !

D'mon addiction

Acidulée !

 

Que j'additionne:

Que je soustrais !

Quand j'affectionne;

Je me soustrais !

 

Pour enseigner

Sans m'diviser !

Pour en saigner

Et m'diviser !

 

Multiplié

Par mes calculs,

Car divisé;

Je recalcule !

 

On compte sur mois !

Rien que sûr moi !

On compte sur moi !

Rien que sûrs mois !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Vernissage

 

Exposé !

On l'écrit !

Ah ! Musée !

On le dit !

 

Regardant

Au complet !

Admirant

S'il vous plaît !

 

Les objets;

Les sculptures,

Dont l'objet

D'fioriture !

 

Est d'montrer;

D'afficher;

D'démontrer;

D's'afficher

 

Vernissage;

Vers mi sel;

Vers ni sages;

Vermissel;

 

C'est d'la soupe

Populaire !

Plein la soupe

Nourricière !

 

En gardien

D'souvenirs !

Ange-gardien

D'l'avenir !

 

Allant voir

Des musées !

En couloirs

Ah ! Musées !

 

Exposant

Sa fiche;

S'exposant

S'affiche

 

Vernissage;

Vers mi sel;

Vers ni sages;

Vermissel;

 

Pour mourir

Sans la soupe !

Pour s'nourrir

Plein la soupe !

 

Pour mûrir

A la soupe !

Pour grandir

Par la soupe !

 

En marchant

D'un pas sage !

Bousculant

Au passage !

 

Amuseurs

Du grand soir !

Visiteurs

D'longs couloirs !

 

Vernissage;

Vers mi sel;

Vers ni sages;

Vermissel.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Des gueux las 

 

Pauvre d'misère !

Y a des pauvres

En colère

Toujours sobres !

 

Que personne

N'veut aider !

Des cons sonnent

Pour semer

 

Que la haine

A ces pauvres !

En rengaine

Assez pauvre !

 

Qu'personne ne sauve

Dans l'caillou!

D'être si chauve

Sur l'caillou !

 

Des gueux las !

Assez las 

Dégueulasses

A ces las !

 

Les méchants; 

Les appellent

Ces fainéants !

Genre poubelles !

 

Salauds d'pauvres

Dans la rue !

Personne n'sauve

L'inconnu !

 

Que les riches

Sans surprises !

Laissent en friche

Par méprises 

 

Egoïstes !

Ils sont où

Les altruistes

En garde-fous ?

 

Des gueux las !

Assez las !

Dégueulasses

A ces las !

 

De ce monde 

Qui est triste !

Presque en fronde

Sur la liste !

 

Sans-logis;

SDF;

Sans-abri

Sans patte d'elph !

 

Genre personne

N'aime les pauvres !

Qui résonne

Assez pauvres

 

A ces pauvres 

Sans argent !

Personne n'sauve

Sans argent !

 

Des gueux las 

Assez las !

Dégueulasses

A ces las !

 

Jérôme de Mars

 

Je gratte ma guitare !

 

Tam tam de musique !

Y a en percussions

Des rythmes mélodiques

En persécutions !

 

Roulement d'tambours

Dans cette drôle d'machine !

J'tape sur le tambour

D'cette si belle machine !

 

Arrivée d'la fanfare !

Ma guitare me démange !

Y a du tintamarre

Qu'ma guitare s'arrange !

 

Pour que je la gratte !

Appuyant sur l'bouton

D'mes griffes délicates !

Riff sur le bouton !

 

Je gratte ma guitare !

Qu'je vais faire dare-dare !

Comme Johnny Guitar !

Jouant son standard !

 

Sur une partition;

Avant ma retraite

Par répartition !

Que je fais la quête !

 

En cherchant une note !

A en retranscrire

Mon piano à notes !

Dont je vais traduire

 

En une mélodie !

Quelques notes de musique !

Pour faire si jolie

D'la musique tropique !

 

En rendant joyeux

Les gens à l'air triste !

Entraînant radieux

D'une musique altruiste !

 

Je gratte ma guitare !

Qu'je vais faire dare-dare !

Comme Johnny Guitar !

Jouant son standard !

 

En jouant à la fois

Des airs pas très gais !

Du blues d'autrefois

A des airs légers !

 

Pour donner l'envie

De vivre; d'avancer !

Supportant la nuit

Sans rien chambouler !

 

Faisant valdinguer

Tous les instruments !

Faut qu'je sois enjoué !

M'en servant d'instruments !

 

Rien qu'pour la musique

Pour faire tant rêver !

Effet esthétique

Pour faire tant songer !

 

Je gratte ma guitare !

Qu'je vais faire dare-dare !

Comme Johnny Guitar !

Jouant son standard !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

                                           Blague :

 

 

Que dit-on d'une attaque au couteau ce matin à 8h à la Gare de Lyon

perpétrée par un homme originaire du Mali en blessant 3 personnes ?

-  On dit que ça sent le fauve depuis ce matin 8h à la Gare de Lyon !

 

 

                                   Jérôme de Mars

On va tous faire une ronde !

 

Nous prenant tous par la main !

On va chanter ensemble

Un air qui donne d'l'entrain !

Pour que personne ne tremble !

 

Pour chanter en refrain !

Demain, on va s'aider !

S'entraider à deux mains !

La haine qu'on va céder

 

Pour avoir de l'amour

En un ébat de laine !

Ca en vaut le détour !

Pour tous reprendre haleine !

 

Respirant beaucoup mieux

Dans un monde de velours !

Avec le coeur radieux !

Sans un poids qui n'soit lourd !

 

On va tous faire une ronde !

Pour ramener du monde !

Afin que tous se sondent !

Pour d'l'amour qui féconde !

 

Faisant mourir la haine !

D'l'amour qui rentre dedans !

Pas qu'dans le bas de laine !

A nous mettre sous la dent !

 

Il faut nous rassembler

En une grande assemblée !

Pour convaincre l'auditoire !

Pas qu'en de belles histoires !

 

Il faut tenir paroles !

Ecrivant cette chanson;

Sans qu'il n'y ait de bémol

En gardant l'oraison !

 

Il faut tous se parler !

Et tous se mettre d'accord !

Pour parler la clarté

En de belles choses raccord !

 

On va tous faire une ronde !

Pour ramener du monde !

Afin que tous se sondent !

Pour d'l'amour qui féconde !

 

Avant qu'il y ait défaites;

Il faut garder espoir !

Avant qu'il y ait des fêtes !

Porteuses de grands espoirs !

 

Pour un bel avenir

En se donnant la main !

Pour nous épanouir

En donnant des coups d'main !

 

En vers tous nos prochains !

Redonnant le moral

De bons Samaritains !

Sans nous refaire du mal !

 

Pour privilégier l'lien !

Comme une bande de copains !

En voulant faire le bien !

Nous donnant le béguin !

 

On va tous faire une ronde !

Pour ramener du monde !

Afin que tous se sondent !

Pour d'l'amour qui féconde !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                               Blagues :

 

 

1) Pourquoi la famille Bedrossian ne me comprend-t-elle pas contrairement à mes amis ?

- Parce-que je ne suis pas quelqu'un de clair !

 

2) Pourquoi est-ce un casse-tête chinois pour Christian Serres d'être marié avec une Asiatique ?

- Parce-qu'il a un esprit tellement si étroit avec rien dans le ciboulot que

Christian serre la tête avec son serre-tête !

 

 

                                        Jérôme de Mars

Déni de poules !

 

Mise en lumière

De la basse-cour !

Pour voir en clair

L'acte de l'amour !

 

Où tous s'appellent

Ma poule ! Mon coq !

Sans la dentelle

D'une vieille bicoque !

 

En match de poules !

Rentrant dans l'moule !

Pour mettre en poules

Toutes leurs ampoules !

 

Pour mettre en cloque

Toutes ces belles poules !

D'un coq en stock !

Et mise ampoule !

 

Déni de poules !

Que rien n'refoule !

Dans toute la foule

Sans match de poules !

 

Où les poules disent !

Pousse un mon coq !

Pour qu'elles choisissent

Rien qu'leur bicoque !

 

Pour pondre leurs œufs !

Et quoi de neuf

Au sujet d'eux

Et d'un bon œuf  ?

 

Pour préparer

Un coq au vin !

Pour mijoter

Une coque en vain !

 

Pour cuisiner

Une poule au pot !

Et pour payer

Le tout plein pot !

 

Déni de poules !

Que rien n'refoule !

Dans toute la foule

Sans match de poules !

 

Et sans la haine

Du bon poulet !

Si en semaine;

Y a ma poule hé !

 

Qui pond des œufs !

Qui répond heu !

Au sujet d'eux !

Par la lettre e !

 

Il y a des nids

Pour faire l'amour !

Il y a déni

Pour faire séjour !

 

Donnant naissance

A des poussins !

Sans hein puissance

En coups d'pousse hein !

 

Déni de poules !

Que rien n'refoule !

Dans toute la foule

Sans match de poules !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Détecteur de mes songes !

 

Si je chantais des rêves

Sans une vie d'cauchemar !

Afin qu'il y ait une trêve

Avec au bout l'cagnard !

 

Qui me redonne envie

De faire de très beaux rêves !

Avec de l'embellie;

Qui fasse couler la sève !

 

L'oxygène de la vie

En symbiose de l'esprit !

En redisant merci

Au meilleur ébloui !

 

Disant la vérité !

Rien que la vérité !

Et sans sévérité;

Rien que ces vérités !

 

Détecteur de mes songes !

A quoi d'aucun mensonge ?

Détecteur de mensonges !

A quoi de tout d'mes songes ?

 

S'il y avait des jolis

Rêves d'aucun cauchemar !

Qui rêvent de poésie !

Rien qui foute le cafard !

 

Tout qui foute le cagnard !

Du bout de l'horizon

Sur la danse des canards !

Accordant les violons !

 

Avec pour p'tites frimousses !

Le capitaine qui vogue

Sur tout l'amour qui mousse

Et s'mousse en monologue !

 

En une déclaration;

Flirtant en s'bécotant !

Embrassant la nation

Toute entière sur les bans !

 

Détecteur de mes songes !

A quoi d'aucun mensonge ?

Détecteur de mensonges !

A quoi de tout d'mes songes ?

 

Rêvant de s'enlacer

Autour d'jolis rêves !

Songeant de n's'en lasser

Autour d'ce qui s'achève !

 

Et si j'songeais en rêve !

Rien qu'à tout ce cagnard !

Où j'en deviens l'élève

Pour ne foutre le cafard !

 

En rendant c'monde plus beau !

Faisant la courte échelle

A l'aide d'un escabeau !

Regardant l'arc en ciel !

 

Qui me redonne la vie !

Qui me redonne envie !

De regarder la nuit !

Et d'admirer ravi !

 

Détecteur de mes songes !

A quoi d'aucun mensonge ?

Détecteur de mensonges !

A quoi de tout d'mes songes ?

 

Jérôme de Mars

 

 

Un livre délivre

 

Ce fut un jour !

Où j'en écris

Si troubadour;

Ma poésie !

 

Aux grands mots !

Assez savants

Du gros dico !

Puis en sachant

 

Pour définir

Tout le bon sens !

A en finir

Tout cet encens !

 

En écrivant

Toujours ouvert !

En décrivant

Et si ou vers !

 

Un livre délivre

Que je m'enivre !

Pour tant en vivre !

Survivre d'mes vivres !

 

En jetant l'encre

De mon chaos !

En jetant l'ancre

De mon bateau !

 

J'masque de ma plume !

Off air radio !

L'masque et la plume !

On air radio !

 

Comme je le cache

Sous un faux masque !

Parlant très cash

De toutes mes frasques !

 

Qu'il faut écrire

Vidant mon encre !

Qu'il faut décrire

En ancien qu'ancre !

 

Un livre délivre

Que je m'enivre !

Pour tant en vivre !

Survivre d'mes vivres !

 

Depuis l'pupitre

En candidat !

D'mon libre-arbitre

En lauréat !

 

D'être écrivain !

Contant ma vie !

D'épicurien !

Contant la vie !

 

En écrivant;

Je fais le deuil !

En m'consolant

Sur mon fauteuil !

 

D'écrire ma vie

Imaginaire

En poésie !

Et dans ma clair;

 

Un livre délivre

Que je m'enivre !

Pour tant en vivre !

Survivre d'mes vivres !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Du fruit de mon travail

 

Pour ma pomme et ma poire,

J'ai toujours la banane !

Etant toujours la poire !

Lançant des vannes savane !

 

De musique Africaine;

Lâchant la grappe d'raisin !

De musique Cubaine;

Chacun dans son coing !

 

Jouant d'la mandoline !

Comme une orange pressée !

Mangeant d'la mandarine !

Comme un citron pressé !

 

En n'ayant pas la pêche !

En comptant pour des prunes !

En ayant comme dépêche !

En étant à la une !

 

Du fruit de mon travail;

Je mange de la papaye !

Sans fruit de mon travail;

Je vais être sur la paille !

 

Sans une poire pour la soif  !

Me prenant des châtaignes !

Et en faisant le zouave !

Des fruits; je m'en imprègne !

 

Ne faisant bien la mûre !

Je vais droit dans le mur !

Et faisant bien la mûre;

Je récolte le fruit mûre !

 

En ramenant ma fraise !

Confiture d'mirabelle !

Et subissant la fraise

Du dentiste de groseille !

 

J'ai la dent dure déboise !

Etant sur le carreau !

Avec de la framboise;

La cerise sur l'gâteau !

 

Du fruit de mon travail;

Je mange de la papaye !

Sans fruit de mon travail;

Je vais être sur la paille !

 

Ne prenant du melon;

Comme j'en ai plein la barbe !

D'avoir trop le melon !

Comme j'ai de la rhubarbe !

 

Achetant aux emplettes

Une pastèque à Cassis !

J'joue en joue mes fossettes !

En buvant du cassis;

 

Mangeant une clémentine !

J'en rejoue en mes joues

De la belle mandoline !

J'suis si piquant; aigre-doux !

 

En mi-figue-mi raisin

Dans l'amer d'un kiwi !

Jouant du tambourin

Dans une couleur kaki !

 

Du fruit de mon travail;

Je mange de la papaye !

Sans fruit de mon travail;

Je vais être sur la paille !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                          Blague 

 

Que fait une chatte quand un chat la prend par la chatte ?

-  Miam miam ou ! 

 

                                   Jérôme de Mars

Je rase les murs !

 

Bouc-émissaire;

La vie me barbe

Si ordinaire !

D'l'ennui me barbe !

 

Qu'tout est rasoir !

Comme je suis sur

L'fil du rasoir !

Droit dans le mur !

 

Poil à gratter !

Avec un poil

Dans la main hé !

Avec le poil

 

Qui défrise hé !

En mon blaireau;

J'suis insulté !

Qu'on m'dit blaireau !

 

Je rase les murs !

J'vais dans le dur !

Je fais le mur !

Tout c'que j'endure !

 

Que j'ai envie

De voyager !

Que je défie

L'envie d'aller !

 

Ville d'Menton !

Plus rien n'me barbe !

Sans qu'nous mentons

Et plaint la barbe !

 

Comme j'en ai plaint

La barbe au poil !

Comme j'en ai plein

La barbe à poil !

 

Plus rien n'me barbe

Dans cette belle ville !

J'me rase la barbe !

D'façon tranquille !

 

Je rase les murs !

J'vais dans le dur !

Je fais le mur !

Tout c'que j'endure !

 

Menton va m'mettre !

Poil au menton !

Sans me démettre !

J'rase mon menton !

 

Comme moi; les autres !

Nous ne mentons

Qu'personne se vautre !

Sauf à Menton;

 

Ca sent le bouc !

Rien qu'à Menton !

Pas une ville d'ploucs !

J'rase mon menton !

 

Je rase mon bouc

D'mes poils de barbe !

Qu'ce n'est le souk

Plus rien n'me barbe !

 

Je rase les murs !

J'vais dans le dur !

Je fais le mur !

Tout c'que j'endure !

 

Jérôme de Mars

 

Mauvaise hein pression de L'ESAT La Fabrique !

 

Voici Jérôme Bedrossian, un ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique qui attend devant l'entrée de L'ESAT La Fabrique un jour en fin de journée vers 16h45 à la sortie du travail des agents de production de l'atelier conditionnement :

 

Jérôme Bedrossian reconnaît Tony Angaman qui sort de L'ESAT La Fabrique à qui

il va adresser la parole :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

- " Bonjour Tony, comment vas-tu ? Quelle impression as-tu de L'ESAT La Fabrique depuis que Madame Manoiline, l'ancienne directrice de L'ESAT La Fabrique a été virée et qu'elle a été remplacée par Madame Perrier ? "

 

Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

- " Bonjour Jéjé, même que Madame Manoiline a été virée de cet ESAT et a été remplacée par Madame Perrier, il n'y a pas grand-chose en bien qui a changé dans cet ESAT ! Surtout que Madame Perrier n'est pas souvent à L'ESAT La Fabrique ! Elle est juste à mi-temps à cheval avec L'ESAT de Chennevières ! J'ai une trop mauvaise impression de cet ESAT de merde ! Toi Jérôme, je sais que tu ne t'en remets pas du tout ce qu'on t'a fait dans cet ESAT ! Surtout que tu as une si mauvaise hein pression de cet ESAT qui t'a broyé comme un rouleau-compresseur ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

- " Bien sûr, je suis tout à fait d'accord avec toi Tony, et tu vois depuis Guy est parti à la retraite ! En ayant quitté l'atelier conditionnement, je dirai que L'ESAT La Fabrique, ce n'est plus du luxe comme il n'y a plus Guy Lux ! Tu vois Tony, si j'ai toujours été en marge du système à L'ESAT La Fabrique, c'est parce-que L'ESAT a réalisé ses plus grosses marges au détriment de ma santé ! Comme mes marges de manœuvre sont étroites en n'ayant fait de fausses manœuvres pour réaliser les marges de progression de L'ESAT ! Alors que moi, mes marges de progression sont étroites vu mon état ! Comme L'ESAT fut à la manœuvre de ma mise en abîme, tu comprends ce que je veux dire Tony ? "

 

Tony Angaman, ancien collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

- " Oui, je vois ce que tu veux dire Jérôme ! T'as bien dérouillé quand Cécile Rouillé quitta L'ESAT avec Gabriel pour la remplacer qui ne fut l'ange Gabriel pour ton propre enfer ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

- " Merci mon petit Tony, maintenant pour ne plus m'en faire dans ce paradis d'enfer ! J'ai décidé d'en faire un paradis retrouvé de ma vie sans L'ESAT La Fabrique ! Au revoir Tony, à bientôt ! "

 

Maintenant Jérôme Bedrossian aperçoit Virginie Duquenne en fauteuil roulant :

 

 Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

- " Bonjour Virginie, ça roule pour toi à L'ESAT ? "

 

Virginie Duquenne, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique : 

- " Bonjour Jérôme, pour moi ça roule comme sur des roulettes ! Et pas sur des roulettes Russes depuis que tu t'es tiré de L'ESAT à cause de tes montagnes Russes ! Sache que pour ta gouverne, je me sens si bien dans le siège social de L'ESAT La Fabrique avec mon fauteuil déroulant tout mon travail à L'ESAT ! Surtout depuis qu'il y a Madame Perrier qui n'a jamais poussé le bouchon trop loin de Perrier en ne mettant en boîte l'eau gazeuse de Perrier ! Et surtout en ne mettant en boîte aucun agent de production de L'ESAT ! Au contraire, Madame Perrier respecte les agents de production de L'ESAT La Fabrique ! Et pour toi, ça roule à fond la caisse Jérôme depuis que t'as quitté L'ESAT ? "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

- " Oui, pour moi ça roule comme sur des roulettes, à fond la caisse ! Comme j'en n'ai plus rien à péter de cet ESAT de merde ! Je n'ai plus besoin d'en faire des caisses avec tout ce que j'ai encaissé dans cet ESAT de merde !  Au revoir Virginie, à bientôt ! "

 

Maintenant Jérôme Bedrossian aperçoit Sandrine Ribé en fauteuil roulant qui sort de L'ESAT : 

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

- " Bonjour Sandrine, comment vas-tu ? Quoi de neuf ? "

 

Sandrine Ribé, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique :

- " Bonjour Jéjé, je vais très bien, ! Déjà que toi, tu n'as pas perdu le Nord en quittant L'ESAT La Fabrique ! Comme à L'ESAT, tu fus un presqu'il ! Et depuis que t'as quitté cet ESAT, tu as retrouvé L'île au trésor de ton trésor intérieur ! Moi d'ici un an et demi quand Eric, le moniteur va prendre sa retraite, je quitterai le Nord de Paris pour aller dans le Sud; plus précisément à Menton ! Comme j'en ai plein la barbe de L'ESAT La Fabrique ! Tout dans cet ESAT me barbe ! Tu me manques en tant que collègue ! Au moins quand t'étais à L'ESAT, tu fus tellement poil à gratter ! Que tu avais un poil dans la main ! Pas pour donner des coups demain malgré tes revers solitaires ! Où pas grand-monde dans cet ESAT ne t'a vraiment compris, à part moi et Christophe ! Je pense que je vais m'y plaire à Menton ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

- " Oh ! Que je te comprends Sandrine ! Tu trouves L'ESAT La Fabrique tellement rasoir que toi et moi, on fut à L'ESAT La Fabrique sur le fil du rasoir ! Que tu vas raser les murs pour aller à Menton ! Que ça va te donner du poil au menton à Menton ! Et ni toi, ni moi, nous mentons dans la vie, au revoir Sandrine, à bientôt !  "

 

Enfin, Jérôme Bedrossian avant de rentrer chez lui aperçoit Charlotte Prêtre qui le rejoint, qui lui dit : 

 

Charlotte Prêtre, ancienne collègue à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

- " Bonjour mon p'tit Jérôme, je te le dis et te le redis ! Comme tu as bien fait de

quitter cet ESAT de tarets en coupant le cordon ombilical avec cet ESAT ! Cet ESAT t'a rendu trop amer sans repères, sans repaires ! Je te propose que toi et moi, on fasse un bras d'honneur à L'ESAT La Fabrique !

Qu'en dis-tu ? "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

- " J'en dis que je préfère que toi et moi, on fasse plutôt un doigt d'honneur à L'ESAT La Fabrique au lieu de faire un bras d'honneur ! Comme je n'ai plus le bras long ! Surtout que je préfère donner des coûts de main à cet ESAT ! Avec comme marges de progression pour moi, le fait d'être en marge du système ! En réalisant contre cet ESAT des marges de manœuvre qui leur soient étroites à cet ESAT ! Avec que des fausses manœuvres, en étant à la manœuvre de la déroute de cet ESAT ! Avec comme aval, aucune fausse-route  ! Bonne déroute à L'ESAT La Fabrique ! "

 

Jérôme Bedrossian

 

 

Chocolat, chocolat !

 

Boisson au lait; au lait !

Sans aucune chicorée;

Pas de café au lait !

Boisson olé olé !

 

Que tu as préparé

Versant en casserole !

C'que tu as fait chauffer !

Avec pour casserole !

 

Ton lait chocolaté !

Pour le boire d'un coup sec

En ta boisson lactée !

Buvant sans prises de becs !

 

Ton chocolat si chaud !

Buvant olé olé

Ton bon cœur d'artichaut !

Buvant au lait; au lait !

 

Chocolat, chocolat !

Si t'as les chocottes-là !

Tablettes de chocolat !

Si t'as du choco là !

 

A en boire sans déboires !

A manger et à boire !

Ta boisson; ta tablette !

Achetant aux emplettes !

 

Du chocolat musclé !

Musclant tes pectoraux !

Mangeant un p'tit musclé !

T'musclant assez costaud !

 

Buvant ton chocolat

En ta boisson lactée !

Mangeant un chocolat

En ton gâteau sucré !

 

Ton chocolat sucré !

Pour l'boire au lait; au lait !

Ton chocolat lacté !

Pour l'boire olé olé !

 

Chocolat, chocolat !

Si t'as les chocottes-là !

Tablettes de chocolat !

Si t'as du choco là !

 

Et que ton chocolat

Lacté n'est pas du thé !

Oté d'ton chocolat !

Ce n'est pas ta tasse d'thé !

 

Ce n'est pas du café !

Ton chocolat qu'tu bois !

Préparé mijoté !

Expresso chocolat !

 

Il faut qu'tu le prépares !

De façon si express !

Et en faisant dare-dare !

Il faudra qu'tu te presses !

 

Pour le boire en déboires !

Pour l'manger; t'démanger !

Et si ton réservoir

Pouvait bien t'échauffer !

 

Chocolat, chocolat !

Si t'as les chocottes-là !

Tablettes de chocolat !

Si t'as du choco là !

 

Jérôme de Mars

 

 

Piratage

 

Nom pirate !

J'en appelle

A Socrate !

En rappel

 

D'sa philo !

Qu'je copie

D'un zéro !

L'inertie

 

D'toute ma vie

Si corsaire !

Qu'je raidis

D'ma colère !

 

Ame rebelle

D'flibustier !

J'fais la belle

Sur entrée !

 

Piratage;

En hommage !

Pire ratage;

Hauts dommages !

 

Qu'on me mène

En bateau !

Qu'on m'emmène

Vers l'chaos !

 

A-vau-l'eau !

Du silence

Du ghetto !

Repentance

 

Du mélo !

J'aimais l'eau !

J'ai mes lots !

J'émets l'eau !

 

Que je pirate

En corsaire

Socrate;

Un vent terre !

 

Piratage;

En hommage !

Pire ratage;

Hauts dommages !

 

Lettre d'corbeau;

J'fais appel !

L'être d'corps beau!

Je rappelle

 

En masqué !

Le masque tombe

Démasqué !

Hécatombe !

 

Rusé comme

Un renard !

Futé comme

Un roublard !

 

Je pirate

La radio !

Radio-pirate

En radio !

 

Piratage;

En hommage !

Pire ratage;

Hauts dommages !

 

Jérôme de Mars

 

 

Si on dansait !

 

D'un mouvement

Des gestes du corps !

En s'trémoussant

En anticorps;

 

Si dans la rue;

Il y avait dense

Pour le salut !

Des gens qui dansent

 

Sans une contre dense !

Mettant l'amende !

Comme une tendance

Sans une offrande !

 

Si dans la rue;

Il y avait fluide !

Des inconnus;

Qui chantent placides !

 

Si on dansait !

Pour oublier

L'obscurité,

Pour la clarté !

 

Evènement

D'un nouveau jour !

Luit souriant

Qui donne d'l'amour !

 

Rien qu'pour les gens !

Pour qu'ils oublient

Tous leurs tourments !

Et qu'ils sourient

 

D'joie quelques minutes

Durant l'matin !

Tous azimuts !

Chantant l'refrain !

 

Que tout le monde;

Il devient fou !

Et qui féconde

Doux ! En garde-fous;

 

Si on dansait !

Pour oublier

L'obscurité,

Pour la clarté !

 

Réenchantant

D'un beau soleil

Revigorant !

Une ritournelle;

 

En conciliant;

Faisant une ronde !

Réconciliant

Ensemble le monde !

 

Personne n's'en fout

De tout le monde !

Tout l'monde allloue

Parlant d'une sonde !

 

Danse poétique;

L'tout en musique !

Dense symphonique;

Chante pacifique !

 

Si on dansait !

Pour oublier

L'obscurité,

Pour la clarté !

 

Jérôme de Mars

 

 

Mix cité

 

Dans la rue;

Y a des rixes

D'inconnus !

En un mix !

 

Qui remixe

Stupéfiant !

En une rixe

D'stupéfiants !

 

D'un trafic

De la drogue;

Roulant l'trafic !

Epilogue

 

D'la police

Qui arrête

En sévices;

Gens pas nets !

 

Mix cité,

Pour mixer !

Mixité

Remixée

 

En caïds

D'la cité !

C'est l'Aïd

Récitée !

 

En prières

Du Coran

Sans colère !

Et l'aimant

 

Désarmant

La grande guerre !

Réarmant

Un bon air

 

Dans l'amour

D'son prochain !

En retour

D'bons humains !

 

Mix cité,

Pour mixer !

Mixité

Remixée

 

Bon Chrétien !

En mélange

D'êtres humains;

Qui arrangent

 

Sans la haine;

Ceux qui aiment

Sans rengaine;

Le système !

 

Et qui n'veulent

L'système D !

Ayant l'oeil 

Pour l'céder

 

En système

Très aidé !

Sans problèmes;

Qui émet

 

Mix cité,

Pour mixer !

Mixité

Remixée.

 

Jérôme de Mars

Très à cheval !

 

D'un étalon;

Nous étalons

De nos talons !

Comme nous montons

 

De beaux chevaux;

De beaux poneys;

A 4 chevaux !

Pour pouponner

 

Tous les ancêtres

De la voiture!

Envoyant paître

Nos vieilles voitures !

 

Pour remonter

Les équidés,

Pour avancer

Par équité !

 

Très à cheval !

Ceux qui dévalent

Trop à cheval !

Rien que le Val !

 

Du Val de Marne

Au poney-club!

Près de la Marne!

Prêt de ce club !

 

Tournez manège !

D'un coup d'galop !

Dans le manège

D'un coup de trot !

 

Dans l'écurie

D'un ring de boxe !

D'celui qui rit

Bien dans son box !

 

Et qui en mange

Des granulés;

Dans une belle grange !

Qui engrange hé !

 

Très à cheval !

Ceux qui dévalent

Trop à cheval !

Rien que le Val !

 

Avec pour marque

De luxe l'avoine !

Portant la marque !

Remarque l'avoine !

 

Multipliée

Par cette étable !

Pour ajouter

Bien à étable !

 

L'haras du club !

En renaissant

Au poney-club

En des pur-sangs !

 

A sang pour sang !

En circulant

Effervescents;

Bon sang d'bon sang !

 

Très à cheval !

Ceux qui dévalent

Trop à cheval !

Rien que le Val !

 

Jérôme de Mars

 

 

Concert de louanges

 

C'était un oiseau

Qui vole en paroles !

Chantant d'jolis mots !

Voguant qu'il s'gondole !

 

En volant la vie !

Volant d'ses propres ailes !

S'envolant de nuit !

Et sans battre de l'aile !

 

Volant vers le haut !

Avec pour vie d'ange;

Celle qui de là-haut !

S'appelle une mésange;

 

Aucune prise de becs

Dans son nid de paille !

Rien qui la débecte !

Point de vue orale !

 

Concert de louanges;

Avec pour mélange

Une vie rêvée d'ange !

Merci; tout s'arrange !

 

Chantant au zénith

Des cantiques d'la vie !

Marbrée d'eau bénite !

Pour donner en vie

 

A ce grand oiseau 

D'donner de l'amour !

Sortant l'p'tit oiseau !

Pour bien faire l'amour !

 

En son bon tuyau !

En donnant aux gens

De très bons tuyaux !

En les soutenant

 

Sans l'enfer du monde !

Dans un paradis !

En faisant une ronde !

Sans une parodie !

 

Concert de louanges;

Avec pour mélange

Une vie rêvée d'ange !

Merci; tout s'arrange !

 

Cet oiseau roucoule,

Comme il veut avoir

Des petits si cools !

Qu'en son perchoir;

 

Il va devenir

Un papa si cool !

Que son avenir

Sera d'être baba cool !

 

Pour trouver la paix

Intérieure en son être !

Dans la volupté

Extérieure, comme un hêtre !

 

Qui plante là son arbre !

L'oiseau fait son nid !

En restant de marbre !

Sans aucun déni;

 

Concert de louanges;

Avec pour mélange

Une vie rêvée d'ange !

Merci; tout s'arrange !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Tout un programme !

 

D'une douce saison;

J'vais composer

Toute une chanson !

Pour recomposer

 

Le quotidien

Des petites gens

Manichéens !

Qui font le temps !

 

Allant dans l'dur !

En traversant

Ce qu'ils endurent !

En résistant

 

A chaque épreuve

De cette rude vie !

Qui est la preuve

Qu'c'est l'hérésie !

 

Tout un programme !

Perdant des grammes !

Je fais mes gammes !

Prenant des grammes !

 

En y allant

Vers l'inconnue !

En démarchant

L'long de la rue !

 

En écoutant

Les hommes qui parlent !

En admirant

Leurs femmes qui parlent !

 

Hommes monogames;

Ils ne dérogent !

Hommes polygames;

Ils en dérogent !

 

A leur vieille règle !

De n'rien changer

Qu'ils se dérèglent !

Pour s'échanger

 

Tout un programme !

Perdant des grammes !

Je fais mes gammes !

Prenant des grammes !

 

Cherchant les mots

Pour composer

En mon piano

Effarouché !

 

L'regard des gens !

Pas très normal !

Genre mort-vivant !

Paranormal !

 

Que je remarque

L'tout éphémère !

Avec en marque !

C'monde délétère !

 

Aléatoire

En contremarque

D'luxe purgatoire !

Qu'tout ça ! Ca marque !

 

Tout un programme !

Perdant des grammes !

Je fais mes gammes !

Prenant des grammes !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Brise hé l'omerta !

 

Comme un vent d'colère

Qui déferle la vie !

Y a en inventaire !

Démons de Minuit !

 

En étant à bout

Avec qu'des gros maux !

Brisant les tabous

De tous ces grands mots !

 

Qui sont des gros mots !

Pour briser les gens

Dans un grand chaos !

Car tout fout le camp !

 

Depuis ces années !

Avec pour sésame;

Il faut dénoncer

Pour faire de ces drames !

 

Brise hé l'omerta !

Pour faire en éclats !

Brisez l'omerta !

Pour faire des éclats !

 

Dans la vérité

Sans loi du silence !

Pour éradiquer

La pure ignorance !

 

D'la fatalité

Et d'l'hypocrisie !

Dans la probité

Sans l'anesthésie

 

De la bien-pensance;

Il faut être honnête

Avec résistance !

Sans aucune défaite;

 

Il faut dire les choses

D'façon diplomate !

Avec en symbiose;

Un calme zen d'entracte !

 

Brise hé l'omerta !

Pour faire en éclats !

Brisez l'omerta !

Pour faire des éclats !

 

Et faire avouer

Tous les méchants !

Et faire à vous hais !

Tous ces arrogants !

 

Qui n'pensent qu'à l'argent !

Sans en prendre de gants !

En étant distants;

Restant méprisants !

 

Trop indifférents

A ceux qui souffrent trop !

Très désobligeants !

Avec qu'des accrocs

 

Et des maladresses  !

Pour tant justifier

De leur manque d'tendresse !

Et pour se venger !

 

Brise hé l'omerta !

Pour faire en éclats !

Brisez l'omerta !

Pour faire des éclats !

 

Jérôme de Mars

 

Les bras déballant !

 

Feignant d'être feignant !

J'suis à la ramasse !

Faisant très semblant

D'être comme dans une MAS !

 

Ayant le bras long

Si je perds la main !

Ayant comme bras droit !

Mon corps tout penaud !

 

Si je n'prends la main;

J'suis un gros manchot !

Il était une fois

Quelqu'un d'casse-bonbon !

 

Qui reprend la main

En l'ayant perdu !

Eperdu demain !

Si irrésolu;

 

Les bras déballant !

J'm'en vais enfreignant !

J'ai les bras balants !

J'm'en vais en feignant !

 

Ca m'fait une belle jambe !

Que ma langue suppute

Jusqu'à l'entrejambe

En ma langue de pute !

 

En prenant mon pied !

Qu'je suis si casse-pieds !

Tombant dans l'guêpier !

Je perds assez pied !

 

Marchant; démarchant

Sur la route; déroute !

En faisant des plans !

Telle est ma biloute !

 

Reprenant demain

Qu'je n'ai fait hier !

Donnant en coups d'main !

J'taille les fougères !

 

Les bras déballant !

J'm'en vais enfreignant !

J'ai les bras balants !

J'm'en vais en feignant !

 

M'entaillant à fleur

De peau ! Manque de peau !

Que d'un rien m'effleure !

J'suis à fleur de pot !

 

Qu'je m'égratigne la main

D'mon âme écorchée !

Qu'j'égratigne demain !

Infâme éraflé !

 

Que j'enjambe l'impasse

En mes maux de passe !

Des mots qui m'trépassent !

J'dépasse; j'outrepasse !

 

Comme je me surpasse

D'mon âme s'ébranlant !

Comme je me caillasse

D'ma femme s'en branlant !

 

Les bras déballant !

J'm'en vais enfreignant !

J'ai les bras balants !

J'm'en vais en feignant !

 

Jérôme de Mars

 

 

Foutage de gueule !

 

Si on s'appelle

Que pour dit non !

Si on s'rappelle

Que de ton nom !

 

On a besoin

De pleins de gens !

Qui ont besoin

Qu'on donne du temps !

 

Rien que pour eux !

Parlant utile

Au sujet d'eux !

N'parlant futile !

 

La Terre entière;

Elle voudrait bien

Qu'on s'considère !

N'posant d'lapins !

 

Foutage de gueule !

D'ce monde bégueule !

Assez casse-geule !

Tous s'font la gueule !

 

On a besoin

Rien que d'amour !

Dans le béguin

D'un grand amour

 

Pour son prochain !

Sans aucune haine !

Et chaque semaine

Entre êtres humains !

 

Il faut s'aider !

Ne pas s'en foutre;

S'considérer;

N'regardant l'foot !

 

Il faut s'aimer

Dans un élan !

De pure bonté !

N'allant et lent !

 

Foutage de gueule !

D'ce monde bégueule !

Assez casse-gueule !

Tous s'font la gueule !

 

Sans ce tumulte;

Il faut s'parler

Dans la clarté !

Tous entre adultes !

 

En rendez-vous;

Que l'on renoue !

Car rendez-vous !

De vous à nous !

 

En se parlant

Très gentiment !

En se charriant

Sans châtiments !

 

Si on pouvait

Veiller les uns

Sur les autres; hein !

Pour détester

 

Foutage de gueule !

D'ce monde bégueule !

Assez casse-gueule !

Tous s'font la gueule !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Si on fumait d'la havane !

 

Se grillant à petit feu !

A Cuba en cigarettes !

On allume odieux; radieux

Les cicatrices d'nos fossettes !

 

En jouant avec le feu !

En rallumant de brindilles !

L'tabac qui nous a fait feu !

En jouant de pacotille

 

Avec des allumettes sèches !

Appelant en sot briquet  !

Nos antisèches très revêches  !

Donnant pour nom d'sobriquet !

 

Des cigarettes en roulées

D'pot de tabac à rouler !

L'prix des cigarettes surpris !

A dérouler à tout prix !

 

Si on fumait d'la havane !

A Cuba de La Havane !

En fumant que des gitanes !

En faisant des vannes Havane !

 

Circulant dans un trafic

D'un trafic de cigarettes !

Faisant un trafic public !

A fond d'cette belle chansonnette !

 

Y a pas de fumée sans feu !

A part fumer fastidieux

Au coin du feu ses aveux !

A la vie d'survivre à Dieu !

 

Et si pour sûr vivre radieux !

On allumait genre pleins feux !

Des feux d'artifice à deux !

Sans artifices belliqueux !

 

On fume tous le plaisir

De ne plus croupir d'ennui !

Qu'dure notre supplice d'en frémir

D'ne plus souffrir de la vie !

 

Si on fumait d'la havane !

A Cuba de La Havane !

En fumant que des gitanes !

En faisant des vannes Havane !

 

Car comme le chantait Gainsbourg,

Dieu est un fumeur d'havane !

Qu'je faisais compte à rebours !

A la Havane ! On s'pavane !

 

En faisant feu d'cigarettes !

Avec pour fond de commerce !

L'argent de toutes nos emplettes !

L'fond du commerce nous exerce

 

A avoir du pot ! Plein pot !

En payant plein pot l'tabac !

Où l'on fait des pots d'tabac !

Le tabac nous fait la peau !

 

En mourant à petit feu !

Crachant notre fumée de mort !

Avec au bon coin du feu !

Nous enfumant sans remords !

 

Si on fumait d'la havane !

A Cuba de La Havane !

En fumant que des gitanes !

En faisant des vannes Havane !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Je révise mes classiques !

 

Ouverture de concert

Dans la vie Parisienne !

J'chante Massenet d'un air !

En ouvrant les persiennes !

 

Si je chope hein ! Un air

De Chopin ! Sur deux valses

De musiques populaires !

Ces airs jouant deux valses !

 

M'chantant d'un air majeur !

Passe bien ton Bach d'abord !

D'messes basses en si mineur !

J'joue Offenbach d'abord !

 

Chantant la Belle Hélène

Vers le jardin d'Eden !

Qui m'emmène sur l'Ravel

D'Boléro ! Et au ciel !

 

Je révise mes classiques !

Aux céans pacifiques !

Je révise symphonique !

Mes airs d'musique classique !

 

J'écoute en vieux démons !

La Damnation d'Faust !

Bravant les monts; les ponts

De mon soupir en faute !

 

J'écoute un clair de Lune

Dans la lune Debussy !

Pour être toujours en une !

On fonctionne indécis !

 

Ecoutant très débonnaire...

Un bon air de Schubert !

Impromptu pour piano...

Symphonie de joyaux...

 

Qu'il passe au doigt d'Verdi

Dans la force du destin !

Qu'il rêvait si joli

Au bal masqué en lin !

 

Je révise mes classiques !

Aux céans pacifiques !

Je révise symphonique !

Mes airs d'musique classique !

 

D'un air doux de Rameau !

Comme la fête des Rameaux !

J'bois dix vins son brio !

Genre les petits marteaux...

 

Qui entraînent Beethoven...

Concerto pour violon !

Que nous nous accordons

De siffler en rengaine !

 

L'embellie d'un esthète

D'un bel air de Schumann...

Les amours du poète

Qui émanent mélomanes...

 

Un air d'Strauss ! Monsieur Man !

Qui chante L'Baron Tsigane...

Qui conclut ce concert...

Fermant l'bal populaire !

 

Je révise mes classiques !

Aux céans pacifiques !

Je révise symphonique !

Mes airs d'musique classique !

 

Jérôme de Mars

Je vois you !

 

Comme lascar;

Je le suis

Un lascar !

Et qu's'ensuit !

 

J'suis sacré

Numéro !

Consacré

Zigoto !

 

J'suis un'fripouille !

Qui trifouille

Ma foire-fouille !

Qu'je bafouille !

 

J'suis un'crapule !

Sans regrets !

Sans scrupules

D'mon plein gré !

 

Je vois you !

Toi voyou !

J'vous vois you !

Vous voyou !

 

Que je suis

L'phénomène !

Comme s'ensuit

Toute ma rengaine !

 

J'suis un loustic

Si épique !

J'suis l'moustique

En mes piques !

 

J'suis l'filou !

Qui file où ? 

Je suis l'loup !

Si relou !

 

Quand j'suis ouf !

Sur mon pouf !

Disant ouf ! 

Comme une pouf !

 

Je vois you !

Toi voyou !

J'vous vois you !

Vous voyou !

 

J'suis l'pignouf !

Ce vieux bougre !

Comme l'pignouf !

De vieux bougre !

 

J'suis l'escroc !

Si accro

D'mes gros crocs !

Très à crocs !

 

J'suis l'coquin

Si tapin !

L'bon copain

Si taquin !

 

Et malin

D'vieille canaille !

Si aigrefin

En mes failles !

 

Je vois you !

Toi voyou !

J'vous vois you !

Vous voyou !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Un diable d'enfer un paradis !

 

Portant toute ma croix d'crucifix !

J'ai mes vieux démons de Minuit !

J'me radicalise en suffixe

A l'origine des monts d'Midi !

 

En moi; j'ai le bien et le mal !

Envie de faire du lien en bien !

Envie d'faire du mal animal !

Mais haut combien ! J'préfère le bien !

 

Malgré tout ce que j'ai supporté !

Et ce qu'on m'a colporté !

On m'a rapporté l'camouflet

Cruel qu'je me suis comporté

 

Mâle en mes conflits extérieurs !

Spectre de mon fantôme intérieur !

J'fus un zombie médicament !

Mais grâce à un bon traitement !

 

Un diable d'enfer un paradis !

Pour faire sans tabou sans non-dits !

Un diable d'en faire du pain béni !

Revenu des ténèbres en vie !

 

Or ! Je suis mi-ange mi-démon !

A la foi du côté du bien !

Et à la fois un vieux démon !

Qui veut en faire l'appât du gain !

 

En bien, je veux la fin d'l'immonde !

En mal, je veux la fin du monde !

Animal; j'veux la faim du monde !

Ni bien ni mal; je veux une fronde !

 

Pour faire entendre que la raison !

La raison du plus faible en bien !

Pour faire détendre que l'oraison !

L'oraison apaisée du lien !

 

Je suis à la foi quelqu'un d'bien !

Et à la foi quelqu'un de mâle !

Qui veut faire sans mal que le bien !

Qui panse que le bien efface l'mal !

 

Un diable d'enfer un paradis !

Pour faire sans tabou sans non-dits !

Un diable d'en faire du pain béni !

Revenu des ténèbres en vie !

 

Avec tout c'que j'ai supporté;

J'aurai pu commettre le bûcher !

En fumant une marie-jeanne d'arc !

Aux brûlures d'une histoire de marque !

 

Avec pour remarque l'génocide

De l'ange ! Cramant ses bons côtés 

En ses mauvais côtés acides !

S'rappelant que des camouflets

 

De son enfance qu'nul a guéri !

Nul ne guérit de son offense !

En repentance tout aguerri !

Tout se guérit de son enfance !

 

La solution miracle comme tacle

En obstacle à chaque contretemps !

Est de faire le bien placide qui râcle

Chaque contretemps pour faire à temps !

 

Un diable d'enfer un paradis !

Pour faire sans tabou sans non-dits !

Un diable d'en faire du pain béni !

Revenu des ténèbres en vie !

 

Jérôme de Mars

 

 

Contamine ce monde par de la joie !

 

Remontées mécaniques dans la peine !

Si tu t'éloignais périphérique !

Du fond de l'enfer qui te démène

Jusqu'aux abords du téléphérique !

 

Sans remplacer un siège très social !

Rien qu'par l'argent d'un siège libéral !

Comme si l'argent faisait qu'ton bonheur !

Il y contribue à ton malheur !

 

Dans la vallée qui a dévalé

Loin du Val de Marne en Haute-Savoie !

En roulant ta bosse très cabossée

Avant d'entendre et d'trouver ta voie !

 

Avec pour relief d'beaux paysages !

Dans les montagnes qui n'ont pas les boules !

Restant toujours sages comme des images !

Sans aucune avalanche qui déboule !

 

Contamine ce monde par de la joie !

Sans jamais en faire toute une montagne !

Avec d'la joie Contamines-Montjoie !

Sans jamais enfer toute une montagne !

 

En ayant plus que mal à la gorge...

Le grand Canyon n'pourra te guérir !

N'ayant plus jamais mal à la gorge

Du Grand Canyon pour bien t'aguerrir !

 

Faisant ton trou percé tout tracé !

Effet boule de neige en fée d'hiver !

Tu gardes les fossettes du grand fossé !

Qui ne te sépare des faits divers !

 

Pour trouver ta voie en Haute-Savoie !

Il vaut mieux en faire des randonnées

En allégeant le port de ta croix !

Qui a dévalé et bien grimpé

 

Dans une varappe sans un lâcher-prise !

Avec toujours la chute de l'histoire !

T'faisant des surprises; mauvaises surprises !

En buvant au bar en gyrophare !

 

Contamine ce monde par de la joie !

Sans jamais en faire toute une montagne !

Avec d'la joie Contamines-Montjoie !

Sans jamais enfer toute une montagne !

 

Il faut que tu la remontes la pente !

Même que tu montes toujours des hautes plaines !

Si tu en faisais du parapente !

Tu verrais d'là-haut ta vie si pleine !

 

La vie est une colline qu'il faut donc

Dominer pour tant se dépasser !

Et dépasser or ni quoi ni donc !

Accédant passager frontalier !

 

Et si sans jamais être un lèche-bottes !

Tu attendais que le Père Noël

Te demande de poser dans sa botte !

Comme cadeau d'Noël un arc-en-ciel !

 

Qui te donne d'un effet boule de neige !

Un cadeau en guise de fées d'hiver !

Qui ne te redonne et fait boule de neige !

Un cadeau déguise de faits divers !

 

Contamine ce monde par de la joie !

Sans jamais en faire toute une montagne !

Avec d'la joie Contamines-Montjoie !

Sans jamais enfer toute une montagne !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des cons déconnent !

 

Si on disait

Tous des gros mots !

Pour critiquer

Tous les salauds

 

D'la société !

Les imbéciles !

Aux camouflets

Trop indociles !

 

Les enfoirés !

Qui veulent faire croire

Qu'ils veulent aider

Ceux aux mouroirs !

 

Qui en ont marre

De ces gros cons !

Qui foutent l'cafard !

Scandant en long !

 

Des cons déconnent !

Abscons des connes !

Le tout sans connes !

Qui elles; n'déconnent !

 

Il faut de tout

Pour faire ce monde !

Tout l'monde s'en fout !

Sans aucune fronde !

 

En ces connards;

Ces enculés

Denses des connards !

Pour enculer

 

Tout c'monde de merde !

Fait de fêlés !

Comme tous s'emmerdent !

Font des faits laids !

 

Pour que les gens

Tous; ils s'insultent !

En s'en foutant

De ce tumulte !

 

Des cons déconnent !

Abscons des connes !

Le tout sans connes !

Qui elles; n'déconnent !

 

Tous font du mal !

Genre animal !

Tous s'font du mal

Si animal !

 

Comme des salopes

En guerre des nerfs !

Des antilopes

En guerre des cerfs !

 

Genre des givrés !

Qui sont en froid !

N'font dégivrer

Le désarroi !

 

D'cette chienne de vie !

Comme une putain !

Qui elle finit

En malandrin !

 

Des cons déconnent !

Abscons des connes !

Le tout sans connes !

Qui elles; n'déconnent !

 

Jérôme de Mars

 

 

La machine à tambours

 

Tam tam sur la machine !

J'vais m'en laver les mains !

Au sujet d'cette machine

Pour faire du tambourin !

 

D'une machine à laver

Lavant le tambour hein !

Pour frotter et rincer

En lavant sans la main !

 

Le linge dans la machine !

En m'en lavant les mains !

Du linge dans la machine

Sans qu'je lave à la main !

 

Mon linge sale en famille !

Comme j'lave à la machine !

Mon linge sale infamie

A la machine; j'machine !

 

La machine à tambours

En musique de tambours !

Qu'je machine le tambour !

En faisant du tambour !

 

En m'mettant la pression

Même au second degré !

Qu'je fais une dépression

Avec que des regrets !

 

Que je suis au regret

D'prendre la température !

Si bien qu'de mon plein gré !

Je m'mets en couverture !

 

Pour être en couverture

En me faisant une couette !

Pour m'faire la couverture

En me mettant la couette !

 

Comme j'jette la couverture !

Grâce à l'assouplissant;

Je suis plein d'ouverture !

Donc en m'assoupissant

 

La machine à tambours

En musique de tambours !

Qu'je machine le tambour !

En faisant du tambour !

 

J'mets de l'anti-calcaire

Pour bien mettre la machine !

Position pull-over !

Pour que je la machine !

 

En m'en lavant les mains !

D'cette machine à laver

Sans laver à la main

Machine à délaver !

 

Pour reprendre des couleurs,

J'veux en voir la couleur

Du linge décoloré !

Que je veux l'colorer

 

Et le recolorer !

Loin de l'obscurité !

Pour bien l'faire scintiller !

Origines d'la clarté !

 

La machine à tambours

En musique de tambours !

Qu'je machine le tambour !

En faisant du tambour !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

La femme à moustache !

 

Nom d'une femme poilue;

C'est une femme velue;

Très poil à gratter !

Qui pour s'y frotter !

 

A des poils au cul !

Une forêt noire vierge !

Qu'elle est trop cocue !

Qu'elle lui brûle le cierge

 

D'son mec qui débite

L'liquide séminal !

D'la belle et la bite !

Regard animal !

 

Qu'elle préfère payer

En liquide son mec !

Pour l'faire travailler

L'suçant de son bec !

 

La femme à moustache !

Aime en faire des taches !

Pour faire à la tâche !

Un gros port d'attache !

 

A son mec qui aime

Les griffes de sa chatte !

Qu'elle aime carpe-diem

Lui montrer sa chatte !

 

Lui pompant le dard !

Et d'pénétration !

Il lui rentre dans l'lard

En éjaculation !

 

Qu'il la prend par l'cul !

Pour trop s'en branler !

Qu'il lui fait cocu

Pour se faire branler !

 

Par elle qui en a

Plein la barbe d'rhubarbe !

Que cette femme de joie !

L'débite ! Qu'il la barbe !

 

La femme à moustache !

Aime en faire des taches !

Pour faire à la tâche !

Un gros port d'attache !

 

Qu'il lui montre l'CV

Pour bien l'essayer !

Et faire l'missionnaire

Pour rendre incendiaire

 

Avec des ébats !

Cette femme si éprise !

Qu'elle l'suce à tout va !

Pour être prise sur prises !

 

Elle veut sa branlée

Pour bien le pomper !

Son mec en sucettes !

Qu'il prend en levrette

 

Cette femme en 69 !

Qu'lui et elle ensemble !

Font un soixante-neuf !

Dont le tout rassemble !

 

La femme à moustache !

Aime en faire des taches !

Pour faire à la tâche !

Un gros port d'attache !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Bon début damné 2024 !

 

Voici un édito; il n'est pas trop tôt de prédire 2024; qui saura le dire ce qui va se passer cette année; je ne suis pas Madame Soleil qui lit dans le Marc de café;

même si je bois beaucoup de café avec aucun soleil dans cette grisaille quotidienne effet boule de neige, comme en 2024 comme pour 2023; les cordons de la bourse; nous allons les accorder et les raccorder en me cramponnant à j'en ai rien à foot du foot ! Comme de L'Euro 2024; à part qu'on a du mal à digérer l'Euro, comme en France, personne n'en n'a plus rien à péter de tout; à part rouspéter sur tout, comme le chèque alimentaire qui ne verra finalement jamais le jour sur recommandation de Bruno Le Maire, le maire salé qui met du sel sur les plaies, comme le chèque alimentaire a tellement démangé les Français que maintenant; les Français; ils ne pourront plus manger à part rogner sur leur pouvoir d'achat avec ce gouvernement ni divin ni devin, mais qui se sucre en pots de vins; en envoyant une bouteille à Bruno Le Mer, qui fait naviguer La France en eaux troubles; avec la peau sur les os des pauvres affamés et SDF, de plus en plus nombreux à arpenter les rues de Paris, certes, Bruno Le Maire est le ministre de l'économie et des finances, mais il ne fait pas d'économies sur ses paroles aux dépens de nos finances à n'importe quel prix de ses finances, pour que les Français prennent tout pour argent comptant le discours de la vérité des grandes crises de Bruno Le Maire, saltimbanque quand il écrit des livres, et sale ! Ta banque ! Quand il met à découvert affamé les Français, à part leur octroyer un chèque carburant annuel de 100 Euros pour donner essence à leur vie qui manque d'essence, aux frais de l'augmentation de l'électricité qui a bondi de 10% depuis le 1er Janvier 2024, afin que ça rebondisse bien sur Les Français qui perdent le fil sur le fil du rasoir, tellement que le climat social dans les rues en France est très électrique, tellement qu'il n'y a plus de courant rétabli entre les Français qui sont pur jus au ras des pâquerettes pour faire leurs emplettes, à part de mettre la main à l'appâte tout pour leur pomme de terre bien à terre; à part tout refouler et se défouler sur les réseaux sociaux; en postant toute leur haine qui rend chèvres les Français ayant Facebook, que tout ça écorne l'image de La France avec la note salée de Bruno Le Mer, pour composter tout ce tas d'or dur en argent comptant qui dort dans le coffre fort barricadé sous scellé des actionnaires, qui ne font jamais de bonne action pour les Restos du Cœur, car tout pour leur gueule bégueule; et rien pour les gueules cassées, comme tout cela est trop casse-gueule pour les riches ! De dépenser leur argent aux dépens des Français de plus en plus économes dans leurs soins médicaux; ne pouvant plus prendre bien soin d'eux, étant donné que les Français; les plus pauvres ont trop la dent dure contre ce gouvernement de bras cassés; avec pour gros handicap actuel; la sécurité asociale qui rembourse moins les frais dentaires; avec pour roulette Russe mutuelle, la guerre en Ukraine, qui coûte bonbons à la France, avec les bobos qui défendent toujours les immigrés qui ont bobo au lieu de défendre d'abord les Français, comme les Français issus de l'immigration qui ont déjà trop bobo dans leur vie quotidienne; résultat de la course en solitaire; c'est chacun pour soi et Dieu pour tous, alors que plus personne n'y croît en Dieu; et s'il suffisait juste que tous les Français se retroussent tous les manches tous ensemble of course solidaire dans un Océan Atlantique pour que tout baigne ! En signant un traité de paix pour ne plus être maltraité en guerre depuis naguère; en faisant tous front national dans un rassemblent national sans voter Marine Le Pen, mais en votant socialement à gauche; économiquement à droite; en recentrant la politique dans l'apolitique pour éviter en 2027 ! Marine Le Pen, présidente de La France dans un rassemblement national, sur ce; je ne vous souhaite plus bon début d'année 2024 ! Mais plutôt bon début damné 2024 ! 

 

Jérôme de Mars

 

 

Perdre la haine pour reprendre haleine !

 

Cousu d'fil blanc d'un manque d'amour !

On a besoin d'amour pour vivre !

Pour survivre à tous les détours

De la haine; qui parfois enivre

 

Les frustrés; les désabusés !

Qui en ont marre d'être largués

Par les aléas rejetés !

Comme des malpropres éjectés !

 

Dans la jetée d'un mal de mer !

On navigue toujours trop en eaux troubles !

Et si tout notre imaginaire

En rêvait de la mer sans troubles !

 

Il dirait : " Laissez toute cette haine 

A  c'ux qui sont trop faibles pour aimer !

Avec la haine pour vieille rengaine !

Il vaut mieux l'amour pour sonder !

 

Perdre la haine pour reprendre haleine !

Il n'y a qu'un grand pas sans la haine !

Gagner la haine pour perdre haleine

Nous fera entailler nos veines !

 

Dans la veine de faire une vieille guerre !

Guerre intérieure de s'faire la guerre !

Conflits extérieurs d'faire la guerre 

Rien qu'aux autres depuis la grande guerre !

 

Il est plus vite facile de tomber

Que de se relever docile !

Avec pour retombées d'tomber

Encore plus bas très volatile !

 

Sans le droit d'une vie de château !

Pour vivre dans la sérénité  !

Avec l'enfer sans l'eldorado !

Qui dévie vers l'obscurité

 

D'une pièce si noire dans un château !

Pour espérer revivre en paix

Dans les remparts d'un beau château;

Il faut signer en un traité !

 

Perdre la haine pour reprendre haleine !

Il n'y a qu'un grand pas sans la haine !

Gagner la haine pour perdre haleine

Nous fera entailler nos veines !

 

Il faut que le chaos s'arrête !

Avec pour rempart de l'amour !

Pour qu'la haine tombe aux oubliettes !

Avec l'donjon pour faire la cour !

 

Et ressusciter le grand amour !

En éradiquant les galères !

Avec un soleil pour séjour

Dans un paradis sans l'enfer !

 

Si on faisait une belle rengaine

En mer d'océan pacifique !

Avec l'amour au lieu d'la haine !

Qui enchantera symphonique

 

Et philharmonique si synchrones !

D'l'amour pour chasser la colère !

Avec pour vie d'ange sonotone !

D'une grande embellie pulmonaire !

 

Perdre la haine pour reprendre haleine !

Il n'y a qu'un grand pas sans la haine !

Gagner la haine pour perdre haleine

Nous fera entailler nos veines !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

L'objet du sujet !

 

C'est un bibelot

Si futile; fragile !

Qui fait le yoyo !

Défoulé utile !

 

Allant d'haut en bas !

A gauche et à droite !

En parlant tout bas !

Car c'est dans la boîte !

 

Qu'on range ce yoyo !

Pour se défouler

D'un effet yoyo !

Sans rien refouler

 

De c'jeu défouloir !

Qui s'joue en solo !

Sans bruits de couloirs

Effet domino !

 

L'objet du sujet !

C'est à quel sujet ?

Clamant au sujet

D'n'importe quel sujet !

 

Sujet apparent

Dl'objet du scandale !

S'achetant; s'vendant

A l'objet d'vandales !

 

D'un sujet réel

Qui est le sujet

Très superficiel !

Effet hors-sujet;

 

Il faut acheter

Pratique et pas cher !

Sans rien ramener

D'la vente aux enchères !

 

Pour bien mettre des pièces

Dans la machine d'cash !

Mettant en pièces

Ceux qui parlent trop cash !

 

L'objet du sujet !

C'est à quel sujet ?

Clamant au sujet

D'n'importe quel sujet !

 

Quel est donc l'objet

D'notre appel à l'aide ?

Qui fait donc l'objet

D'trouver le remède !

 

A l'argent très roi

Jusqu'au désarroi

D'parler que de cash !

Jouant à cash-cash !

 

Pour payer en cash

Les dettes de sa vie !

D'un rien que tout gâche !

Insolvable déni !

 

Pour partir à point !

On fait bien l'appoint !

Comme au bout du compte !

On y trouve notre compte !

 

L'objet du sujet !

C'est à quel sujet ?

Clamant au sujet

D'n'importe quel sujet !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Juke-box tirelire

 

En pièce détachée;

Si tu écoutais

Comme pièce rapportée

Sur un air léger !

 

Des chansons qui t'font

Rêver et danser !

La fièvre sur le front !

Pour tout valdinguer,

 

Et pour tout valser,

Ecoutant d'une pièce

Des chansons chic gaies !

En mettant une pièce

 

D'ta monnaie d'appoint !

Pour faire tout l'appoint

D'ton point de côté !

Avec d'chaque côté !

 

Juke-box tirelire;

Ta monnaie pour lire

L'Italie d'ta lire !

En tes yeux d'collyre;

 

T'as que tes yeux

Pour rêver; songer 

D'tes mots merveilleux !

Pour réenchanter

 

Ta vieille nostalgie

Des années 60 !

En ton paradis !

Qui t'tente, te retente

 

De remettre ce disque

En tes bons tuyaux 

Qu'tu files sur le disque !

Et d'tes bons tuyaux !

 

Des tubes à la chaîne !

Avec pour refrain

Quand tu te déchaînes !

Un sacré béguin !

 

Juke-box tirelire;

Ta monnaie pour lire

L'Italie d'ta lire !

En tes yeux d'collyre;

 

Où tu as le blues 

En ta nostalgie !

Que ces années t'émoussent

En droit à l'oubli !

 

Mais qu'toi; tu n'oublies !

En trouvant tes mots !

A ton paradis

Qui te fait échos !

 

Avec pleins de baisers

Si sucrés-salés !

Pour tant embrasser

Toutes ces belles années !

 

Pour t'en rappeler,

Tu refais une halte !

Envers ces années

Où tu dis qu't'as hâte !

 

Juke-box tirelire;

Ta monnaie pour lire

L'Italie d'ta lire !

En tes yeux d'collyre.

 

Jérôme de Mars

 

 

Je fais sans blanc d'être un Pied-Noir !

 

Sans être un Français d'Algérie !

Je fais sans d'la musique habile !

Un air de mandoline joli !

Genre un air de musique kabyle

 

Dans ma belle Algérie nasale !

Même si ce n'est ma langue natale !

Moi qui suis natal de La France

D'ma langue pendue d'impertinence !

 

Parlée et écrite noire sur blanche !

Avec pour nuits blanches l'insomnie

D'avoir d'l'humour noir en page blanche !

Et de l'amour noir embelli !

 

De voir la vie avec couleur !

La couleur de peau du bonheur !

Métissage pour voir la ferveur

D'la candeur d'en voir la couleur !

 

Je fais sans blanc d'être un Pied-Noir !

Ne tremblant d'avoir le pied noir !

Je fais semblant d'être un Pied-Noir !

N'me troublant d'avoir le pied noir !

 

Et comme je reprends des couleurs !

J'bois du café olé au lait !

Pour en voir; revoir la couleur !

Le café, ce n'est ma tasse d'thé !

 

Qu'j'aime la couleur café au lait !

En rendant hommage à Gainsbourg !

J'chante créole vahiné olé !

En rendant aux mages tout l'amour !

 

Que j'ai pour tous les Africains !

M'sentant dépaysé !

Comme un étranger très humain !

D'n'être égoïste comme les Français !

 

D'naître altruiste comme les étrangers !

Ayant plus le coeur sur la main !

Que ces purs Français étrangers 

Aux étrangers en bons Chrétiens !

 

Je fais sans blanc d'être un Pied-Noir !

Ne tremblant d'avoir le pied noir !

Je fais semblant d'être un Pied-Noir !

N'me troublant d'avoir le pied noir !

 

J'préfère les étrangers Français

A l'enfer d'Français étrangers !

Qui boivent des revers solidaires !

Qu'ceux qui boivent des vers solitaires !

 

Avec en solitaire l'enfer;

C'est les autres d'après Jean-Paul Sartre !

Que je préfère en solidaire

Les autres sans solitude de tartre !

 

Qu'je préfère l'étranger aidant !

Avec pour aidant les kabyles !

Dont j'suis un de leur pair-aidant

En fanatique d'musique habile !

 

Que je préfère recomposer

Rien qu'avec mes amis kabyles 

Ma vie ! Où je dois composer

Comme bonne oeuvre pacifique habile !

 

Je fais sans blanc d'être un Pied-Noir !

Ne tremblant d'avoir le pied noir !

Je fais semblant d'être un Pied-Noir !

N'me troublant d'avoir le pied noir !

 

Jérôme de Mars

 

Ca me trotte dans la tête !

 

D'un blues, j'ai l'air de rien !

L'air de rien ! d'composer !

Composer sans entrain !

En train de proposer !

 

Proposer fataliste !

Fataliste; résigné !

Résigné en soliste !

En soliste désabusé

 

Des abusés d'solitude !

Solitude de la nuit !

D'la nuit décrépitude !

Décrépitude flétrie !

 

Flétrie en des douleurs !

Douleurs et de douceur !

De douceur sans couleurs !

Sans couleurs la noirceur !

 

Ca me trotte dans la tête !

D'la tête en un casse-tête !

D'un casse-tête dans la tête !

La tête en un casse-tête !

 

Si je compose ce blues !

D'un blues de mon enfer !

Quitte à en faire un blues !

Je n'en ai rien à faire !

 

De rien faire pour un rien !

Que de rien ! J'ai presque tout !

En tout dans un fourre-tout !

Je compose d'un air d'rien !

 

A m'en foutre presque de tout !

Que de tout ! J'ai presque rien !

Presque rien en tout pour tout !

Qu'en atout; je suis rien !

 

Que je chante; je déchante !

Je déchante sous la douche !

Sous la douche que j'en chante

J'en chante; j'ai pris la douche !

 

Ca me trotte dans la tête !

D'la tête en un casse-tête !

D'un casse-tête dans la tête !

La tête en un casse-tête !

 

J'ai pris la douche ! Allo !

A l'eau; j'ai pris la douche !

De la grande pluie ! Hello !

J'ai plus d'eau sous la douche !

 

Qu'c'est la douche Ecossaise !

J'prends la douche Ecossaise !

Ecossaise en douche froide !

Que là ! C'est la douche froide !

 

Inflexible de la douche

Sous la douche d'un flexible !

Inflexible ! Je me douche

En ma douche un flexible !

 

Ah ! Siphon ! font font j'fonds !

Je me morfonds; je fonds !

J'me morfonds ! Que je fonds !

J'fonds ! Ainsi font font font !

 

Ca me trotte dans la tête !

D'la tête en un casse-tête !

D'un casse-tête dans la tête !

La tête en un casse-tête !

 

Jérôme de Mars

 

 

C'est la hutte finale !

 

Maisons tout en bois !

Amis Africains !

Vous êtes de grands rois

D'bons Samaritains !

 

Vous qui êtes sur la paille !

En n'ayant presque rien !

Vous êtes du sérail !

Demeurant humains !

 

En plaidant votre cause;

Cause des colonies

En vos ecchymoses

De vieille colonie !

 

D'La France; votre bourreau !

Qu'vous vous contentez !

D'avoir d'gentils mots

Genre comme vous voulez !

 

C'est la hutte finale !

En votre cœur cordial !

D'L'Afrique conviviale

A l'air amical !

 

Vous pensez aux autres

De façon égale !

Les autres sont les vôtres !

Ca n'vous est égal !

 

Je me reconnais

Plus en vous qu'aux autres !

Qu''vous êtes plus Français !

Que les Français; les autres !

 

Là ! Tout l'monde se vautre !

Dans votre beau pays !

D'Dieu et ses Apôtres !

Qu'c'est très catholique !

 

D'être des bons Chrétiens;

Des bons Musulmans;

Des gens très humains

Dans leur élément !

 

C'est la hutte finale !

En votre cœur cordial !

D'L'Afrique conviviale

A l'air amical !

 

Que L'Afrique respire

L'bonheur ! La candeur !

Que ça vous inspire

D'avoir très bon cœur !

 

En votre compagnie !

Amis du silence !

Vous êtes mes amis !

Pas dans la finance !

 

Que vous respirez

Une belle joie de vivre !

Dans la volupté !

Que ça vous enivre !

 

D'avoir une belle âme !

Comme à la maison !

Que malgré les drames

Jusqu'à l'oraison !

 

C'est la hutte finale !

En votre cœur cordial !

D'L'Afrique conviviale

A l'air amical !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Un slam qui fait mouche...

 

Bonjour bienvenue !

Cette rue des insectes

Vous souhaite bienvenue

Sans non qui débecte !

 

Comme cette rue fourmille

De fourmis, d'cafards !

Avec des fourmis

Qui foutent le cafard !

 

En toiles d'araignée;

Qui tissent leur belle toile !

Avec pour guêpier;

Des guêpes qui s'dévoilent !

 

Pendant qu'nous grillons

Le chant des cigales !

Avec des grillons;

Qui ont tous six gales !

 

Un slam qui fait mouche...

Avec des vinaigres d'mouche !

Qui n'attirent les mouches !

Comme les insectes s'mouchent !

 

Aux dépens des cigales;

Fourmis économes,

Comme elles s'régalent !

Genre des agronomes !

 

Qui filent le bourdon

Aux bourdons en fiel !

Comme tous ces frelons

Dans leur lune de miel !

 

Qui butinent le miel

D'celui des abeilles !

Ce sont les abeilles

Qui butinent le miel !

 

Envoyant des piques !

Qui piquent les moustiques

En tics pathétiques !

En ayant antique !

 

Un slam qui fait mouche...

Avec des vinaigres d'mouche !

Qui n'attirent les mouches !

Comme les insectes s'mouchent !

 

Qui disent oh ! Punaise !

En les accrochant

Qu'elles grattent ces punaises !

Ne se décrochant

 

Des poils à gratter !

Avec des cloportes;

Il n'faut s'y frotter !

S'frottant à la porte !

 

Lors d'un vol de mouches,

Comme de sauterelles !

Ainsi, elles font mouche !

Comme les hirondelles !

 

Avec des libellules

Et des papillons !

Qui ovulent; pullulent !

Effet papillon !

 

Un slam qui fait mouche...

Avec des vinaigres d'mouche !

Qui n'attirent les mouches !

Comme les insectes s'mouchent !

 

Jérôme de Mars

 

 

Vendeur de slam !

 

Moi en marchant;

J'suis le marchand !

En démarchant;

J'vais en marchand

 

Vendre que des mots !

Chantant la vie !

Pour rendre plus beau !

C'monde d'ennemis !

 

Qui est d'vautours !

A qui le tour

D'être dans la cour ?

Pour vendre d'l'amour !

 

Pour enchanter

Toute cette dense foule !

Sans déchanter

Celle qui refoule !

 

Vendeur de slam !

J'n'vends du drame !

Vendeur de trame !

J'vends le Paname !

 

En ce journal

Des bonnes nouvelles !

J'slame amical

Un arc en ciel !

 

Pour faire rêver

Les petites gens !

Pour faire songer

L'monde est charmant !

 

Alors qu'en vrai !

Si mensonger

De cruauté !

Qu'je leur parais

 

Un bel espoir

Portant leur croix !

En leurs histoires

Qu'je suis leur voix !

 

Vendeur de slam !

J'n'vends du drame !

Vendeur de trame !

J'vends le Paname !

 

Que je leur chante

A tous ces gens !

Comme ça leur tente

Sans noir et blanc !

 

En oubliant

Tous leurs soucis !

A tous ces gens

Sans bonhomie !

 

En patientant !

Station debout !

S'impatientant !

Qu'ils sont à bout !

 

D'attendre le bus !

D'attendre l'métro !

J'dis terminus !

Y a l'apéro !

 

Vendeur de slam !

J'n'vends du drame !

Vendeur de trame !

J'vends le Paname !

 

Jérôme de Mars

 

Faites des saules pleureurs des saules rieurs !

 

Plantée comme l'arbre qui cache la forêt !

C'est une forêt noire; c'est du gâteau !

L'homme et la femme marient la forêt !

Pour en faire un bel eldorado !

 

Où les arbres vont sourire à la vie !

En s'épanchant en leurs gros penchants !

Qui désarment leurs larmes au paradis !

En chantant le soleil déclamant !

 

La paix universelle en forêt !

Pour bien desservir en feuilles écrites;

L'appel de la forêt qui criait

Aux feuilles de mes arbres que je crédite !

 

Avec un cœur pour les faire sourire !

Pour les faire rire pour notre grand plaisir !

Les arbres même si ça tire, n'sont satire !

Ni des martyrs ! Pour l'meilleur d'en rire !

 

Faites des saules pleureurs des saules rieurs !

Pour rendre tout le monde enjoliveur !

Pour rendre tout le monde plus que meilleur !

Pour rendre tout le monde fédérateur !

 

Avec que du bonheur à la clé !

D'une clé musicale en clé de contact !

Pour ne plus être enfermé à clé

En chaise musicale d'une clé intacte !

 

Pour ne plus être renfermé à clé !

Ecrivant des paroles clé hein tact !

Il faut du tact au tact à cette clé !

Pour faire rentrer tout l'monde en contact !

 

Si j'écrivais juste sur des feuilles mortes !

Mes larmes qui coulent en ma guitare sèche !

En parlant en latin une langue morte !

J'tirerai ma langue qui a l'air si sèche !

 

En chantant sèchement toute la pluie !

Qu'il y a dans la faune sauvage qui vide

La foule; attendant le Grand Messie !

Pour faire de la jungle l'endroit avide !

 

Faites des saules pleureurs des saules rieurs !

Pour rendre tout le monde enjoliveur !

Pour rendre tout le monde plus que meilleur !

Pour rendre tout le monde fédérateur !

 

Qu'au lieu de chanter des gros mots secs;

J'éviterai toutes les prises de becs !

Pour clouer le bec aux saules pleureurs !

Pour les aguerrir en saules rieurs !

 

En chantant la série du bonheur

Sans aucun grand malheur en série !

Pour mieux se pencher avec bonheur !

Vers une fête redonnant de la magie

 

A ces arbres qui s'ramassent des pelles !

Qu'pour les consoler, je creuserai

L'or à la pelle avec en rappel !

L'appel de la forêt pour chanter

 

Tous ensemble et tous réconciliés !

On ne fonctionne là qu'avec des si !

Sans se couper l'herbe sous le guêpier !

On ne fonctionne pas avec des scies !

 

Faites des saules pleureurs des saules rieurs !

Pour rendre tout le monde enjoliveur !

Pour rendre tout le monde plus que meilleur !

Pour rendre tout le monde fédérateur !

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                               Blague :

 

 

 

Pourquoi est-ce de ma faute si ma sœur ne me parle plus depuis le 1er Janvier 1999 soit : 25 ans un quart de siècle ?

-  Parce-que ça fait un écart de siècle que ma sœur ne me parle plus !

 

                           

                                        Jérôme de Mars

J'ai des casseroles dans mon slam !

 

Pour naître chaque jour dans mon assiette,

Je pique les pique-assiette radins !

Mépris dans la fourchette des prix !

Etant sur le grill d'mon jardin !

 

A faire des barbecue; merguez

Et chipolatas épicés;

Je suis à mon aise en foutaises !

Envoyant des piques pour m'griller

 

A petit feu en mon buffet !

Bouffé par l'feu de cheminée !

Echauffourré de ma bouffée

De cigarettes à me brûler !

 

Mes vers de poèmes d'mes déboires !

A boire à manger ! J'fais tout

Mon fait-tout ! Comme mon écumoire

Me fait trop manger si aigre-doux !

 

J'ai des casseroles dans mon slam !

Qui m'font mijoter que des drames

Dans ma vie sans aucune réclame !

Que je réclame l'entrain du trame !

 

Pour qu'j'aère la cocotte minute !

Qui est prêt à se faire sauter 

Dessus à n'importe quelle minute !

C'est du tout-cuit pour sursauter !

 

Si j'n'aère la cocotte-minute !

J'vais tout faire péter; rouspéter !

J'en ai rien à péter en brute !

A être complètement pété !

 

Si je n'évacue la pression

De ma dépression en mon four !

Si jamais; j'ai de la pression !

Mauvaise impression qui me fourre

 

Le doigt dans l'oeil qui m'tape dans l'oeil !

J'suis poil à gratter, poêle à frire !

A rebrousse-poil ! Je me rince l'oeil !

J'ai une poêle à la main pour cuire !

 

J'ai des casseroles dans mon slam !

Qui m'font mijoter que des drames

Dans ma vie sans aucune réclame !

Que je réclame l'entrain du trame !

 

Comme j'suis un drôle d'oiseau qu'on plume !

En y laissant des plumes qu'je plume !

Déchantant au four ! Je suis cuit

En oiseau libre; je dis cuit-cuit !

 

Comme je suis à couteaux tirés

Avec tout l'monde ! Troisième couteau !

Que je vais jeter; rejeter

Les bibelots et le pipeau...

 

A ces gens pour leur faire la peau !

Je suis une peau d'vache enragée

En mes vaches maigres ! A fleur de peau !

Que moi; j'n'y ai jamais été

 

Avec le dos de la cuillère !

Pour faire; refaire toute ma tambouille !

Quitte à faire en un inventaire !

Un plat des gueux las qui m'barbouille !

 

J'ai des casseroles dans mon slam !

Qui m'font mijoter que des drames

Dans ma vie sans aucune réclame !

Que je réclame l'entrain du trame !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Slam maniéré

 

Il est écrit

Un drôle de slam !

Et retranscrit

De toute mon âme !

 

En un faire-part;

Qui fait des parts !

De par en part !

En part départ !

 

De par rempart !

Je joue un rôle

En faisant part !

J'ai le beau rôle !

 

D'composition !

En ces paroles

D'pôle position !

Qu'je tiens paroles !

 

Slam maniéré;

Rôle remanié;

Slam remanié;

Rôle maniéré;

 

En vers l'envers

De tous mes vers !

Qu'je bois des vers !

Sans les revers

 

Des vers d'poèmes

Que je bois ivre !

Car no problem !

Comme je me livre !

 

Lisant un livre;

Je me délivre !

Comme je m'enivre !

Pour vivre; revivre

 

Depuis mes vivres 

Jusqu'à l'ivresse !

Juste qui m'enivre

A toute vitesse !

 

Slam maniéré;

Rôle remanié;

Slam remanié;

Rôle maniéré;

 

J'écris des mots

Pour faire accord !

J'écris synchro

Pour faire raccord !

 

Mots qui concordent

En bonne entente !

Place d'la concorde

En longue détente !

 

Raccommodant

Tous les gros maux !

S'accommodant

En des bons mots !

 

Qui s'harmonisent

D'une paix royale !

Qui s'vitalisent

L'original !

 

Slam maniéré;

Rôle remanié;

Slam remanié;

Rôle maniéré.

 

Jérôme de Mars

La passerelle vers la lumière

 

Ressentiment dans un tunnel !

Tunnel refoulé d'idées noires !

Au bout; il y a la passerelle !

Avec dans le ciel d'belles histoires !

 

Et un arc en ciel pour sourire

A l'eau qui coule d'une aquarelle !

Pour faire resplendir l'avenir,

Sous d'meilleurs auspices essentiels !

 

Les souvenirs d'ombre et lumière

Sont contrastés d'évènements !

Comme de souvenirs linéaires,

Qui marquent et forgent l'avènement !

 

De tout et son contraire ! Qui flairent

Le bon et le mauvais; qui sentent

De vilaines affaires; que préfèrent

Oublier les temps qui pressentent

 

La passerelle vers la lumière

Sans l'ombre à des années-lumière !

Pour avoir les idées très claires !

Plus jamais en choses éphémères !

 

La vie est temps à la frontière

Entre la courte et la grande échelle !

A l'échelle d'une vie passagère !

Que le monde s'ment universel !

 

Et intemporel d'un semblant !

Que tout est écrit noir sur blanc !

Sans blanc ! Ah ! Semblant ! Ras semblant !

Semblant ! Ah ! Sans blanc ! Ras sans blanc !

 

Le rationnel; l'irrationnel !

Entre la raison; la déraison !

Qui ont leur raison irréelle;

Et réelle jusqu'à l'oraison !

 

Ressemblant en des choses obscures !

Entre l'ombre, la lumière aléatoires !

Il n'faut aller droit dans le mur !

Mais dévier pour être en espoir !

 

La passerelle vers la lumière

Sans l'ombre à des années-lumière !

Pour avoir les idées très claires !

Plus jamais en choses éphémères !

 

En passant du ressentiment

Aux sentiments porteurs d'espoirs !

Plus en ressentiment béant !

Trop néfastes qui foutent le cafard !

 

L'amour libère les endorphines !

La haine libère que la morphine !

Il vaut mieux qu'il y ait juste d'l'amour !

Pour chanter en mots troubadours,

 

Une déclaration d'amour grand !

Loin du néant en sérénade !

L'amour rend les gens passionnants !

Pour en composer des balades

 

Sur l'fil de l'eau qui tient la route !

Sans provoquer de grosse déroute !

Pour ne risquer la banqueroute,

Et pour respirer sans fausse route,

 

La passerelle vers la lumière

Sans l'ombre à des années-lumière !

Pour avoir les idées très claires !

Plus jamais en choses éphémères !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

L'apolitique !

 

 

 

Ni gauche ni droite;

 

Je suis au centre !

 

J'prends mal à droite !

 

Le gauche au centre !

 

 

 

Donc en bouffant

 

Aux râteliers !

 

Tout en bouffant

 

L'dur atelier !

 

 

 

Comme aux amis

 

De l'atelier !

 

J'fus l'ennemi

 

Dur atelier !

 

 

 

Socialement,

 

Je suis à gauche !

 

Libéral'ment;

 

A droite d'un gauche !

 

 

 

L'apolitique  !

 

J'suis frénétique !

 

La politique !

 

J'suis lunatique !

 

 

National'ment;

 

Je monte au front !

 

Solidair'ment;

 

J'fais toujours front !

 

 

 

Et comme tantôt;

 

J'suis socialiste !

 

Et aussitôt;

 

J'suis communiste !

 

 

 

Je suis marxiste !

 

Le gars altruiste;

 

Je suis gaulliste !

 

L'gars égoïste !

 

 

 

Que travailler;

 

C'est l'capital !

 

Que l'amitié;

 

C'est capital !

 

 

 

L'apolitique  !

 

J'suis frénétique !

 

La politique !

 

J'suis lunatique !

 

 

 

Que j'investis

 

Pour entreprendre !

 

Que j'm'investis

 

Pour mieux comprendre !

 

 

 

Donc que le temps;

 

C'est de l'argent !

 

Parlant d'argent !

 

Tout en argent !

 

 

 

Pour démontrer

 

Ma bonne nature !

 

Pour la montrer

 

Ma belle nature !

 

 

 

J'fais mot pour mots !

 

J'suis écolo !

 

N'parlant d'éco !

 

Qu'ça fait échos !

 

 

 

L'apolitique !

 

J'suis frénétique !

 

La politique !

 

J'suis lunatique !

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Je suis en train !

 

Mis sur les rails

D'locomotive !

J'ne fais du raï

En leitmotiv !

 

Dernier wagon;

A voile d'vapeur !

J'vais au charbon

De mes vapeurs !

 

Bouffée d'vapeur !

Le trail déraille !

J'ai des vapeurs !

N'sniffant un rail !

 

Sur TVG

A grande vitesse !

Très oppressé,

Comme dans l'ivresse !

 

Je suis en train !

D'n'être boute-en-train !

Je suis entrain !

D'naître boute-en-train !

 

En échangeant

D'compartiments !

Et en changeant

De sentiments !

 

Pas d'sentiments !

Par tous les temps !

C'est de l'argent !

Gagnant du temps !

 

A trop en perdre

Qu'je loupe le train !

Quitte à reperdre

Tout mon entre train !

 

Au bout du train;

J'suis sur les rails !

Très bout en train !

Remis sur rails;

 

Je suis en train !

D'n'être boute-en-train !

Je suis entrain !

D'naître boute-en-train !

 

Que je dévoile

Qu'j'ai des vapeurs !

Toujours à voile

Et à vapeur !

 

Que le train fume

Comme un pompier !

Pour que j'enfume

Comme un pompier  !

 

L'billet d'honneur !

Pour composter

Si déplacé;

L'billet d'humeur !

 

Mis en billet;

Pour poinçonner !

J'place en billet !

Pour un aller !

 

Je suis en train !

D'n'être boute-en-train !

Je suis entrain !

D'naître boute-en-train !

 

Jérôme de Mars

 

 

Le rebelle

 

Dur en cuir;

Je suis un

Dur à cuire !

Tous pour un !

 

En mon look

De racaille !

And I look

De canaille !

 

Que je veux

Rester libre !

Que je veux

Que ça vibre !

 

En moto 

De vitesse !

En auto

Deux vitesses !

 

Le rebelle !

C'est la belle !

M'fais la belle !

De plus bel !

 

Que je mets 

Mâle mon casque !

Que j'émets

En mes frasques !

 

Sur Harley

Davidson !

Qu'Bill Haley

M'désarçonne !

 

Look d'voyou !

En état

Du bayou !

En l'état

 

Qu'je suis né

Dans le rock !

Inné,

Comme un roc !

 

Le rebelle !

C'est la belle !

M'fais la belle !

De plus bel !

 

Que je suis

Autonome !

D'ma furie

Hématome !

 

D'ma jeunesse;

J'ai souffert

En genèse

D'ma colère !

 

J'ai morflé

Tout le temps !

Ecorché

Tout ce temps !

 

Que j'écris

Des paroles !

Aux cris

Antivol !

 

Le rebelle !

C'est la belle !

M'fais la belle !

De plus bel !

 

Jérôme de Mars

 

J'écoute Nirvana !

 

Hard de roc métal !

Je suis un roc d'pierre !

Qui y vit fatal !

Heavy Métal d'frère !

 

Bipolarité

Qu'je prends mon lithium !

Pour tout réguler

En ultimatum !

 

Qu'sans aucun opium !

Et come as you are !

J'en fais un péplum !

Décomposé d'art !

 

Qu'ma vie sans cagnard !

Elle part en lambeaux !

Qu'elle est sans rempart !

J'suis en mille morceaux !

 

J'écoute Nirvana !

Pour tromper ma joie !

Sans un nirvana

D'avoir de la joie !

 

Qu'je ne trouve les mots !

Pour recomposer

Ma vie sans sanglots !

Pour en composer

 

Un eldorado !

Smells like teen spirit !

Sans tout le ghetto !

Mon âme qui s'délite !

 

Que je suis très spleen

De mélancolie !

Que mes vers sont green

De ma poésie

 

Si endolorie !

Je taris des loges !

De mon âme flétrie

Sans aucun éloge !

 

J'écoute Nirvana !

Pour tromper ma joie !

Sans un nirvana

D'avoir de la joie !

 

Je rape insoumis

Sans chanter rape me !

Je ne suis soumis !

Je dérape fortuit !

 

Que de ma colère;

Je m'transcende les veines !

Que je décolle l'air !

Et qu'dans la même veine

 

De mon embellie

Pulmonaire d'esbrouffe !

Et d'mon embolie

Pulmonaire; j'étouffe

 

En mes paradis

Si artificiels !

Qu'de mon euphorie

Si surnaturelle !

 

J'écoute Nirvana !

Pour tromper ma joie !

Sans un nirvana

D'avoir de la joie !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

STEP ! Père Noël !

 

Depuis nos landes;

Si tu venais

Comme Disneyland !

Pour amener

 

De la gaieté

D'un air léger !

Pour amuser

L'humanité !

 

Qui a besoin

D'beaucoup de joie !

Comme d'un festin

Avec éclats !

 

En oubliant

Tous les soucis !

En s'amusant

Au paradis !

 

STEP ! Père Noël !

Intemporel !

Tu es le soleil !

Faiseur d'merveilles !

 

Viens apporter

Tous les cadeaux !

Pour oublier

Tout le fardeau !

 

Qu'il y a sur Terre;

Et sur les steppes !

Amène solaire !

Un ciel bleu STEP !

 

Redonne espoir

En ce triste monde !

Qui fout l'cafard !

Jusqu'à la fronde

 

Désenchantée

Pour les enfants !

Pour enchanter

Tous les enfants !

 

STEP ! Père Noël !

Intemporel !

Tu es le soleil !

Faiseur d'merveilles !

 

Qu'tu tiens les rennes

En ton traîneau !

Et sans l'arène

D'un triste tombeau !

 

Que tous t'attendent !

Pour le plaisir !

Qu'tu les détendes !

Pour les faire rire !

 

Le soir d'Noël !

Avec une bûche !

Non solennelle

En des embûches !

 

Tu es l'miracle

Pour tout résoudre !

Tu es l'spectacle

Pour tout recoudre !

 

STEP ! Père Noël !

Intemporel !

Tu es le soleil !

Faiseur d'merveilles !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le ciel se maquille

 

Arc en ciel Rimmel;

Il y a mascara

Pour tromper le ciel !

Des élans de joie;

 

Qui donnent l'apparence

De songer au rêve !

De toute l'innocence

Pour signer une trêve !

 

Avec des sourires;

Qui réchauffent le ciel !

Et pour s'assoupir,

Respire l'arc en ciel !

 

Qui monte le soleil

Au zénith d'l'aura !

Firmament qui veille !

Que de son mantra !

 

Le ciel se maquille

Allant dans les villes !

Ainsi, il frétille !

Parlant volubile !

 

Au sens figuré !

Etoiles éphémères

Sur la voie lactée !

L'étoile sur la mer

 

Fait parler le temps

De la providence !

Qui en s'apaisant;

Tient en évidence !

 

L'insouciance d'l'enfance !

Qui est vite passée

En parlant d'l'essence !

Face au ciel bronzé !

 

Par l'jour qui se lève !

Le temps, c'est d'l'argent !

Que le monde s'élève

En paroles d'argent !

 

Le ciel se maquille

Allant dans les villes !

Ainsi, il frétille !

Parlant volubile !

 

Cachant ses misères;

En semblant si beau !

Qu'la mort va si haut !

Ciel interstellaire !

 

Pour tirer un trait

En allant au ciel !

Battant en retrait

L'radieux arc en ciel !

 

Epris d'insouciance

Dans toute sa jeunesse !

Que c'est l'ignorance

Avant la détresse !

 

D'une dure vie d'adulte !

Celle tous azimuts !

Que c'est le tumulte !

Que là, il exulte !

 

Le ciel se maquille

Allant dans les villes !

Ainsi, il frétille !

Parlant volubile !

 

Jérôme de Mars

 

 

Ah ! Chiche ! Ah !

 

Narguilé

Pour fumer

Une grande pipe !

Et qui pipe

 

Pour en jouir

D'la fumée !

Pour s'induire

De branlée !

 

La chicha;

Elle se fume !

Filles de joie !

Comme elles fument !

 

D'un débit

De tabac !

Des zizis

Rabat-joie !

 

Ah ! Chiche ! Ah !

La chicha !

Ah ! Chicha !

Là ! Chiche ! Ah !

 

Que les femmes;

Elles; elles trempent !

Qu'elles enflamment

D'par leur trempe !

 

L'sexe des hommes !

Leur engin !

Et les hommes

Lèchent l'vagin !

 

Des belles femmes

Par la langue !

Comme une flamme

D'langue exsangue !

 

Mettant l'eau

A la bouche !

D'leurs lolos

Qui débouchent !

 

Ah ! Chiche ! Ah !

La chicha !

Ah ! Chicha !

Là ! Chiche ! Ah !

 

En fumant

Leur cigare !

En coulant

Tout leur dard !

 

En pipant

Leur gros sexe !

En branlant

Leur dur sexe !

 

Femmes fontaine !

Elles roucoulent

Leur bedaine !

D'façon coule !

 

Allumant

L'briquet !

En donnant

Sobriquet !

 

Ah ! Chiche ! Ah !

La chicha !

Ah ! Chicha !

Là ! Chiche ! Ah !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Je recycle mes petits vélos !

 

L'air de rien ! De ma chambre à air !

Je chambre à l'air libre en roulant

A vive allure ! Qui n'décolle l'air !

Remontés ! Mes cas niquent à cran !

 

Que j'ai la tête dans le guidon

D'mon VTT sans RTT !

Moi, mes p'tits vélos ! Nous guidons

Mon vélo de course sans clarté !

 

Que je pédale dans la semoule !

Que je pédale dans la choucroute

Dégarnie d'mon front qui refoule !

Qu'je rétropédale sans casse-croûte !

 

Que mes petits vélos me pompent

Avec ma pompe à vélo cross !

Qu'en les recyclant, j'fais des pompes !

En mes petits vélos qu'je crosse !

 

Je recycle mes petits vélos !

Pour m'remettre en selle de vélos !

Glissant pour maux mes p'tits vélos !

Qui pédalent dans l'vide du vélo !

 

J'suis plié; replié en quatre !

De mes petits vélos pliables !

Dont j'en parle trop à mon psychiatre !

Que je prends l'pli des recyclables !

 

Pour y jeter mes p'tits vélos !

A la poubelle d'tous mes gros maux !

Qui sentent rebelle tous mes gros mots !

Qu'je les recycle en bibelots !

 

En mettant toujours d'la lumière

Sur mon vélo malgré mon ombre !

Que j'ai besoin d'y voir très clair !

Sans les éclairs d'mes côtés sombres !

 

J'me déchaîne ! Regardant ma chaîne

A vélo ! Maillon fort d'la chaîne !

J'enchaîne maillon faible de la chaîne !

L'air d'rien ! La chambre à air m'entraîne !

 

Je recycle mes petits vélos !

Pour m'remettre en selle de vélos !

Glissant pour maux mes p'tits vélos !

Qui pédalent dans l'vide du vélo !

 

Que je pédale dans ma voiture

A pédales qui rétropédale

En me jetant la couverture !

Etapes par étapes amicales !

 

J'vends du vent avec mon vélo !

Brassant d'l'air pour rien ! L'air de rien !

Que je pédale sur mon vélo !

Toujours en rebroussant-chemin !

 

J'écris de mes petits vélos !

Des refrains enfreints sans un frein !

Pour ronger le frein d'mon vélo !

Que l'air de rien ! Je suis en train !

 

D'franchir les limites ! C'est limite !

Comme un ermite reclus roulant !

Je m'affranchis du hors-limite !

Sombre sur mon fauteuil déroulant !

 

Je recycle mes petits vélos !

Pour m'remettre en selle de vélos !

Glissant pour maux mes p'tits vélos !

Qui pédalent dans l'vide du vélo !

 

Jérôme de Mars

 

Sapin dix vers !

 

Fête de Noël !

Réveillonnons

Au réveillon !

Ca sent l'sapin !

Sapin d'hiver !

Avec d'la bûche !

Sans les embûches !

Fêtes d'fin d'année !

Très bonne année !

Sapin dix vers !

 

Jérôme de Mars

J'ai le blues !

 

Contrasté;

Différent;

Il y avait

Déroutant !

 

La symbiose

Et l'contraire !

Si morose 

Délétère !

 

De ma vie

Mitigée;

Qui m'raidit

Rétamée

 

En mon souffre

A p'tit feu !

Comme je souffre !

Faisant feu !

 

J'ai le blues !

Qu'je jalouse 

Tout mon blues !

Qu'j'épouse !

 

Qu'je suis spleen

En mes vers !

Qui m'rendent green

Mis ouvert !

 

Bipolaire

En ma vie !

Si précaire

D'hérésie !

 

Qu'je suis chantre

Dès la nuit !

Qui m'éventre

Qu'je fleuris !

 

Manque de pot !

Toutes mes fleurs

A fleur d'peau !

Qui m'effleurent !

 

J'ai le blues !

Qu'je jalouse 

Tout mon blues !

Qu'j'épouse !

 

Que j'arrose

Mon rosé !

Qu'j'arrose

Arrosé !

 

Mes matins

De vermeil !

Qu'j'ai besoin

D'merveilles !

 

Dans ma vie

Qui attend

L'paradis !

J'suis patient

 

Sans oseille !

Encore jeune !

Que je jeûne !

Sans soleil !

 

J'ai le blues !

Qu'je jalouse 

Tout mon blues !

Qu'j'épouse !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Romain est Roumain !

 

C'est une belle personne !

Qui a pour sûr nom !

Un nom qui résonne !

N'disant jamais non !

 

A ses origines

Roumaines; Italiennes !

Prenant pour racines !

Celles Européennes;

 

La monnaie d'sa pièce !

Payant en espèces !

Son espèce d'migrant !

Un être émigrant

 

De sa Roumanie

A son Italie,

Pour venir en France;

Pays d'l'effervescence !

 

Romain est Roumain !

Il n'est pas rupin !

Romain est Romain !

Il naît pas rupin !

 

Tel un galopin

D'son enfance passée !

Qu'il la galope hein 

Sa vie entamée !

 

Par tous les voyages

Qui forment sa jeunesse !

Par tous les bagages

Qui forment sa genèse !

 

Qu'il a la vie dure

Dans un bloc d'béton !

Tout ce qu'il endure

Qu'il n'laisse pas béton !

 

Tout son coeur d'misère !

Qui pleure nostalgique

Son enfance précaire !

Qu'il implore tragique !

 

Romain est Roumain !

Il n'est pas rupin !

Romain est Romain !

Il naît pas rupin !

 

Envoyant d'ses tresses

Des balises d'détresse !

Pour qu'il décompresse

Sans valises d'des tresses !

 

Qu'il s'tire les cheveux

En cheveux de courses !

Et comme un cheveu

Sur sa langue ! Of course !

 

Il parle plusieurs langues !

N'ayant la langue d'bois !

En tirant la langue !

Qui sent l'désarroi !

 

Qu'il veut s'intégrer

En travaillant dur !

Maintenant qu'il est

En France; qu'il endure !

 

Romain est Roumain !

Il n'est pas rupin !

Romain est Romain !

Il naît pas rupin !

 

Jérôme de Mars

 

 

Imaginez la paix !

 

Là ! D'après John Lennon;

Je compose cette chanson !

Qui donc; ne désarçonne !

Pour donner comme raison !

 

De ne pas faire la guerre !

Il vaut mieux tous s'aimer !

Ici depuis naguère !

Pour tous se cajoler !

 

Dans de l'amour bien pur !

Pour tous vraiment s'entendre !

Pas maladroit dans l'mur !

Juste pour tous se détendre !

 

Autour de l'amitié

Dans un joli partage !

Avec d'la loyauté !

Et sans aucun naufrage !

 

Imaginez la paix !

Autour d'un grand respect,

Ainsi que d'la bonté !

De la fraternité !

 

Cette beauté intérieure;

Qui rend enjoliveur !

Jamais de l'extérieur !

Plutôt à l'intérieur !

 

Faites plutôt que l'amour !

Ne faites jamais la guerre !

Faites sourire les bons jours !

Comme là depuis naguère !

 

On a vraiment besoin

De rire tous de plaisir !

Pour qu'on ait le béguin !

D'ne plus jamais souffrir !

 

De cette triste solitude;

Ainsi qu'de cette routine;

En mauvaise habitude !

Qu'là ! On nous redessine !

 

Imaginez la paix !

Autour d'un grand respect,

Ainsi que d'la bonté !

De la fraternité !

 

Buvez donc tous ensemble 

Le verre de l'amitié !

A ce bar qui rassemble

Toutes les communautés !

 

Edifiez que l'amour

Parmi tous vos prochains !

Ca en vaut le détour

De bon Samaritain !

 

Parlez donc tous entre vous !

En tant que personnes simples !

Soyez tous assez doux !

Entre vous tous comme des peintres !

 

Pour bien la repeindre tous

Cette belle France dans le cadre !

Donnant pour coups de pouce !

Que tout le monde s'encadre !

 

Imaginez la paix !

Autour d'un grand respect,

Ainsi que d'la bonté !

De la fraternité !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Je suis connu comme le relou blanc !

 

Croc blanc à cran de ma chienne de vie !

Je prends des gamelles dans ma gamelle !

De niche discale qui ranime mes nuits !

D'un puits sans provisions de mamelles !

 

Hébergé en mon loup solitaire

Qui brave le berger interstellaire;

Qui n'alloue aucun loup solidaire;

Qui entrave en démons incendiaires !

 

Mes nuits en prélude de solitude !

Qui effleurent tous mes plus bas instincs !

Mettant ici bas mes turpitudes !

Raffermissant tous mes maux taquins !

 

La solitude m'est grande coutumière

A des années-lumières d'ma lumière !

En dormant à l'ombre d'crise messagère !

Les nuits sont l'reflet de ma tanière !

 

Je suis connu comme le relou blanc !

Cousu d'fil et cris noir sur blanc !

Je suis reconnu comme le loup blanc !

Etant troublant; tremblant sans semblant !

 

Que je défie le temps qui trépasse

En impasse rebelle vie de château !

Que le pont-levis dévie d'une passe !

A tomber si haut de ce château !

 

Avec pour rempart mes vieux démons

De Midi; de Minuit très sanguins !

Que je coupe les ponts ! Bravant les monts

Du pont qui le vit très malandrin !

 

Mon côté loup solitaire décrète

Que je montre les dents ! Impair n'aidant !

Tel un loup rebelle qui ne s'arrête !

Qui flirte toujours avec le néant !

 

Où je mange à tous les rateliers

Dur atelier ! Prenant de la graine

D'un grain de folie du ratelier !

Qu'en des mots de tête; j'ai la migraine !

 

Je suis connu comme le relou blanc !

Cousu d'fil blanc et cris noirs sur blanc !

Je suis reconnu comme le loup blanc !

Etant troublant; tremblant sans semblant !

 

Que je m'sens l'éternel un con pris !

Pris par ses défauts de qualité !

De qualité par défauts compris !

Tel l'incompris en sa qualité !

 

Que je n'ai plus la bonne main qui tremble  !

En votant; pivotant assez nul !

Et qu'je vois personne qui se rassemble !

Qu'pour moi; seule l'apolitique n'est nulle !

 

Avec ceux qui se ressemblent; s'assemblent !

En un parti pris de n'être relou !

A part les opportunistes qui semblent

En un parti pris de naître relou !

 

Que je loue; j'alloue sans être jaloux !

Je suis un loup assez solitaire !

Qui veut pour grand redoux en garde-fou !

Je suis un loup plus que solidaire !

 

Je suis connu comme le relou blanc !

Cousu d'fil et cris noir sur blanc !

Je suis reconnu comme le loup blanc !

Etant troublant; tremblant sans semblant !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Noël sans L'ESAT La Fabrique !

 

Voici une nouvelle petite saynète où Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique rencontre dans la rue ses anciens collègues de L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme Bedrossian rencontre dans la rue Tony Angaman :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique :

-  " Bonjour Tony, comment vas-tu ? Y a-t-il eu une fête de Noël à L'ESAT La Fabrique ? "

 

Tony Angaman, agent de production à l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique :

- " Bonjour Jéjé, ça peut aller ! Si tu savais ce que j'en ai marre de cet ESAT de merde ! Avec la direction qu'on a, il n'y a même pas eu de fête de Noël à L'ESAT tellement que ça sent le sapin dans cet ESAT pourri ! Jéjé, t'as bien fait de quitter cet ESAT avec tout le monde qui s'enguirlande ! N'aie aucun regrets Jéjé d'être parti ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique :

- " Tony, je n'ai absolument aucun regrets d'être parti ! Oh ! Que j'ai bien fait de m'en aller ! A force que j'ai les boules et que je perde la boule dans cet ESAT maboule qui m'a rendu maboule ! Si je ne buvais pas de champagne pour la nouvelle année, c'est parce-que je me renfermais dans ma bulle sans être pétillant ! Comme vers la fin à L'ESAT La Fabrique, je n'avais plus d'acolytes anonymes à tel point que j'étais connu comme le relou blanc ! Surtout que le travail de Dugas au conditionnement m'a soûlé grave que j'en avais cure de désintoxication ! "

 

Tony Angaman, agent de production à l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique :

- " En tout cas Jérôme, merci de m'avoir invité chez toi. Même que tu ne bois pas de champagne, j'ai trouvé que t'es beaucoup plus pétillant depuis ton départ de L'ESAT ! Comme petit à petit, tu sors de ta bulle à savons ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique :

- " Tony, toi et moi, nous le savons bien que je suis sorti progressivement de ma bulle de champagne. Avec toi comme acolyte anonyme, je me suis bien désintoxiqué de L'ESAT La Fabrique, de l'atelier Conditionnement et de Dugas ! Quand Eric Thébault, le moniteur principal du conditionnement va partir à la retraite en Juillet 2025, Dugas arrêtera son travail avec L'ESAT La Fabrique. On pourra donc chanter au revoir du gars ! Bonjour laid Dugas ! "

 

Jérôme Bedrossian rencontre dans la rue Charlotte Prêtre :

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique :

-  " Bonjour Charlotte, comment vas-tu ? Quoi de neuf ? "

 

Charlotte Prêtre, ancienne agent de production à l'atelier Conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

- " Bonjour Jérôme, je fais aller et toi ? En tout cas, je te le redis, tu as bien fait de quitter cet ESAT de tarets ! Je te l'avais dit qu'il fallait que tu t'en ailles !  Heureusement que t'as quitté L'ESAT La Fabrique le 17 Février 2021 ! T'as d'abord passé une bonne fin damnée et après, tu as passé un bon début d'année en quittant cet ESAT de merde ! Tu verras quand Eric Thébault va prendre sa retraite en Juillet 2025, L'ESAT va se casser la gueule et fermer ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique :

-  " Bien sûr Charlotte, je suis d'accord avec toi ! Toi et moi, on portera un toast pour la nouvelle année le vendredi 5 Janvier 2024 au restaurant : " Le Théâtre ". Après avoir trinqué de notre santé à L'ESAT La Fabrique dans un rôle de décomposition avancée, on trinquera sans rôle de composition à notre santé retrouvée ! Pour cela, on boira un verre de rosé arrosé après tous nos déboires !

Après toutes ces embûches glacées et renfermées avec Madame Manoiline, froide comme un glaçon a fait que toi et moi, on fut en froid avec L'ESAT !

Que peut-on nous souhaiter Charlotte pour 2024 ? "

 

Charlotte Prêtre, ancienne agent de production à l'atelier Conditionnement à L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

-  " Et ben mon p'tit Jérôme ! Après que tu aies subi toutes ces embûches de grand froid dans cet ESAT, je te souhaite de ne plus t'en faire toute une montagne de cet ESAT ! Je te souhaite de bien terminer de remonter la pente en un lâcher prise en mangeant une bûche patissière ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à l'atelier conditionnement à L'ESAT La Fabrique :

- " C'est très gentil et ça me touche beaucoup ce que tu me dis Charlotte ! Pour terminer, je souhaite pour toi et moi en 2024 qu'on retrouve de la chaleur humaine avec les autres ! Et que les autres aient de la chaleur humaine avec nous sans être en froid ! En ce temps de grand froid, vivement que revienne la chaleur de l'été ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

Noël n'enguirlande !

 

C'est un jour de fête !

Pour être tous ensemble !

Sans un goût défaites !

Qui s'ressemble s'assemble !

 

Autour d'un buffet;

Très à volonté !

En une grande bouffée;

Trop à volonté !

 

Pour tous faire la paix !

Ce jour de Noël;

Signant un traité !

Chantant Le Missel !

 

En mangeant la bûche

Glacée de Noël !

Sans avoir embûche

D'un soir d'triste Noël !

 

Noël n'enguirlande !

Personne n's'enguirlande !

Noël en guirlande !

C'est comme Disneyland !

 

Sans avoir les boules

D'un triste pire Noël !

On ne perd la boule

Du bon Père Noël !

 

Ca n'sent le sapin !

En ce monde maboule !

Qu'on fait un sapin

Pour garder les boules !

 

D'Noël, Nouvel An !

Qu'on déguste une dinde !

Merveilleux Nouvel An !

Dans un monde de Dinde !

 

Sans être le dindon

D'la farce le grand soir !

Que tous; nous chantons

Tous ! Larrons en foire !

 

Noël n'enguirlande !

Personne n's'enguirlande !

Noël en guirlande !

C'est comme Disneyland !

 

Qu'on met tout en haut

Sous une bonne étoile !

Un monde assez beau !

Sur place de l'étoile !

 

Retrouvant la foi

Tartinée en gras !

Sans une crise de foi !

Faisant les choux gras !

 

D'un bloc de foie gras

Et d'saumon fumé !

Ecrivant en gras !

Qu'on fume hé la paix !

 

Avec de grands toasts !

Qu'on trinque un pour tous !

En portant un toast

A la santé d'tous !

 

Noël n'enguirlande !

Personne n's'enguirlande !

Noël en guirlande !

C'est comme Disneyland !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le calendrier lunaire

 

Janvier, en début d'année

Des émois de Février !

Restera Jérôme de Mars !

Mangeant en Avril; un Mars !

 

En mai, fais-ce qu'il te plaît !

Sans aller toujours trop loin 

Au mois d'Juin ! Fumant des joints !

Faisant en un s'il te plaît !

 

Le tour de France de Juillet

D'tes petits vélos ! Burn out !

Sans artifices de Juillet !

Ton anniversaire en Août !

 

Qu'tu deviens sain en Septembre !

Que tu vois rouge en Octobre

En tes remords de Novembre !

Qu'en Décembre, tu vas être sobre !

 

Le calendrier lunaire;

En suranné bipolaire

Du calendrier solaire;

Sûre année interstellaire,

 

Quand l'un dit que le mardi !

Que le mercredi, je dis !

Que ça me dit d'être vendredi !

Pour faire dix manches à balais !

 

Pour balayer la grisaille

De toutes les fêtes de Noël !

Qui vont nous mettre sur la paille !

Défaites intemporelles !

 

Quand tout le monde s'enguirlande

En ayant trop les grosses boules

En ce monde de Disneyland;

Qui rend notre monde très maboule !

 

Ca sent encore plus l'sapin !

Ce monde en fait d'fin damné !

Où tous souhaitent qu'le tapin !

Pour s'faire du bien condamné !

 

Le calendrier lunaire;

En suranné bipolaire

Du calendrier solaire;

Sûre année interstellaire,

 

Egaré, et garé tant

A en perdre sa bonne étoile !

Juste avent le Nouvel An !

Bon an mal an, comme une toile !

 

Qui voile le regard des gens !

Qui dévoile toute la nature des gens !

Tous sains, mal sains, tout fout l'camp !

Mal sain Valentin d'boucans !

 

Gravissant d'haute ascension !

L'Assomption en artifices !

Qui étaient aux tonnes d'saison !

Empreint tant sans artifices !

 

En des faits d'hiver sur côte !

De La Pentecôte aux Pâques !

En ayant toujours la côte

D'armistice des fêtes opaques !

 

Le calendrier lunaire;

En suranné bipolaire

Du calendrier solaire;

Sûre année interstellaire.

 

Jérôme de Mars

Bob harley 

 

Il était 

Un être libre !

Qui est né

Et qui vibre

 

Pour la paix !

Le 6 Mai

45;

Cinq sur cinq !

 

Qui faisait

D'la moto !

Qui fumait

Le bédo !

 

Composant 

Des chansons;

En chantant

Des chansons;

 

Bob harley

Chante l'reggae !

Bob Marley

Chante chic gai !

 

Sa musique

Si reggae

D'Jamaïque;

Aux aguets

 

En fumant

Pour la paix !

En sniffant

L'impureté !

 

Is this love;

I sot the

Sheriff love;

Faisant feu

 

No woman

No cry, car

I am th'man

In your car !

 

Bob harley

Chante l'reggae !

Bob Marley

Chante chic gai !

 

Could you be

Loved libre ?

To be free !

Lui; qui vibre

 

Roulant sur

Sa moto !

Droit dans l'mur !

Y a photo !

 

Lui; rebelle;

Il s'est fait

Trop la belle !

En effet !

 

Dans l'déclin !

Le 11 Mai

81;

Désormais

 

Bob harley

Chante l'reggae !

Bob Marley

Chante chic gai !

 

Jérôme de Mars

 

La machine à affranchir les limites !

 

Comme une lettre à la poste que je composte !

Il y a des grands facteurs de risques qui postent

De durs messages à reprendre à la lettre !

Ecrivant; décrivant tout leur ma lettre !

 

De vouloir se jeter par la fenêtre !

Malgré leur argent dans une belle mallette !

Qu'ils jettent tout leur argent par les fenêtres !

Dont tout cet argent, j'en fais une bluette !

 

Dépassant les limites irrationnelles

D'mon entendement humain trop timbré !

Que je franchis les limites solennelles

De toujours poster, composter timbré !

 

M'en allant déverser que des excès !

Dans ma manière d'écrire toute l'insolence

Rebelle; décrire à l'encre mes camouflets !

Résonnance de mon poste ! Et d'impertinence !

 

La machine à affranchir les limites !

A franchir; affranchir le hors-limite !

Comme un ermite reclus qui délimite !

L'imite à la perfection ses limites !

 

Que je vais à la poste chercher un poste !

Pour prendre tout à la lettre de mon ma lettre !

Que mon environnement ! Je l'composte

En ne jetant plus rien par la fenêtre !

 

Que j'attends le facteur, pour qu'il résonne

En sonnant plus que trois fois à ma porte !

Sans aucun facteur d'risques qui désarçonne

Que je me comporte mal et qu'je colporte !

 

De vilaines rumeurs de n'être à mon poste !

Pour remplacer moi, homme par la machine

Sans aucune erreur de naître à son poste !

De la machine qui affranchit l'usine !

 

De la machine qui a franchi l'usine !

De la liberté à la dictature !

Qui oblige tout l'monde à courber l'échine !

Qu'tous font bonne figure de désinvolture !

 

La machine à affranchir les limites !

A franchir; affranchir le hors-limite !

Comme un ermite reclus qui délimite !

L'imite à la perfection ses limites !

 

S'défoulant à la machine à café !

Pour faire du café pressé, qu'on pressait !

Qu'on les compressait d'boire vite leur café !

Oppressé pour parer au plus pressé !

 

De s'emparer de tous ces gens stressés !

Qu'on empressait, pressait comme des citrons !

Pur jus en les vidant handicapés !

Et puisés, écoutant radio citron !

 

Que maintenant, je prends tout à la lettre !

Facteur de risques ! Comme une lettre à la poste !

Qu'à la poste, j'composte mon profond ma lettre !

Facteur d'astérisques ! Comme une lettre qu'je poste !

 

Si bien qu'tant bien que mal, j'y trouve mon compte !

Pas mon compte en banque, mon conte d'saltimbanque !

Adroit d'auteurs ! Et tout au bout du compte !

Tout compte fait ! J'y retrouve pour conte en banque !

 

La machine à affranchir les limites !

A franchir; affranchir le hors-limite !

Comme un ermite reclus qui délimite !

L'imite à la perfection ses limites !

 

Jérôme de Mars

 

De cape et d'épais !

 

Comme un mousquetaire

De tous mes mille dits !

Je renais sur Terre

Avec Milady !

 

Contemplant Constance;

Effleurant l'fleuret

Avec d'la constance !

Epée d'Damoclès !

 

Cap m'faisant des films !

Film d'cap et d'épée

Sur palettes de films !

J'manipule l'épée !

 

D'un point cardinal

Depuis mon riche lieu !

Et d'mon cardinal;

J'ai donc Richelieu !

 

De cap et d'épais !

Tirant sur l'épée

De cap et d'épée !

Sur un glaive d'épée !

 

A-mi mousquetaire !

Comme Porthos; Athos

Aramis sur Terre;

J'ai une vie en rose !

 

N'commettant de crime

De lèse-majesté !

Faisant de l'escrime

Pour sa majesté !

 

Je n'ai honte de rien !

Que j'ai dit à Nantes

Sur un air de rien !

Que l'édit de Nantes

 

Est pour faire la paix

Avec l'roi, la reine !

Pour n'prendre les ferrets

De la si belle reine !

 

De cap et d'épais !

Tirant sur l'épée

De cap et d'épée !

Sur un glaive d'épée !

 

Que je croise le fer !

Avec mes ennemis 

Du bout de l'enfer !

Qui n'sont mes amis !

 

Pour que personne n'vole

Les ferrets d'la reine !

Avec pour bémol

D'se battre dans l'arène !

 

En étant en train

De m'en référer !

N'étant boute-en-train

Sur la voie ferrée !

 

Qui n'existe encore

Que je croise le fer !

Ainsi corps à corps;

Raccord d'mousquetaire !

 

De cap et d'épais !

Tirant sur l'épée

De cap et d'épée !

Sur un glaive d'épée !

 

Jérôme de Mars

Je prends l'eau-là !

 

Marchant-là; j'vois-là !

V'là de la joie !

Voilà ! Oh ! Là !

Cette fille de joie !

 

Ce beau lot-là !

Ce beau colis !

Qui m'fait holà !

D'par ma folie !

 

Moi; rabat-joie !

C'soir si chaud-là !

Depuis des mois

Qu'j'ai des éclats !

 

A l'eau de rose !

Pétales de roses !

Ma vie est rose !

De feuilles de roses !

 

Je prends l'eau-là !

Ce beau lot-là !

Je prends Lola !

Cette fille de joie !

 

Belle d'ses prunelles !

Que j'm'amourache

D'elle en dentelles !

Faisant des taches !

 

En lui faisant

Que des caresses !

En l'embrassant

D'délicatesse !

 

Elle qui m'faisait

Lever l'drapeau !

Pour l'soulager

Mon bon tuyau !

 

Qu'elle aimait tant

Avec sa langue !

En m'le léchant

Comme dans un gang !

 

Je prends l'eau-là !

Ce beau lot-là !

Je prends Lola !

Cette fille de joie !

 

Qu'elle paye liquide

Pour faire sortir

Ma crème liquide !

Pour l'assortir

 

Très séminal

Toute ma crème fraîche !

Qu'elle boit buccal

Très à la fraîche !

 

Pour m'débiter

Ma crème liquide !

Qu'elle veut payer

Tout en liquide !

 

En m'faisant la queue !

Ah ! Queue ! Ca sort !

M'suce sûre quoi que !

Elle me l'essorre !

 

Je prends l'eau-là !

Ce beau lot-là !

Je prends Lola !

Cette fille de joie !

 

Jérôme de Mars

 

Burn-out

 

Et puits

Longtemps !

Depuis

Ce temps;

 

Je vis;

J'survis;

Je ris;

J'souris;

 

Je pense;

J'dépense;

Je panse;

J'compense;

 

Qu'je sais

Tout l'mal !

Causé

D'mon mal !

 

Burn-out !

Trop août !

Burn août !

Trop out !

 

Un puits

Si vide !

Et puits 

A vide !

 

Depuis

Mon mal;

Dépits

D'mon mal !

 

Effet

D'mal-être !

Sans fées

Paraître !

 

Qu'je vis

Avec !

J'survis !

Prises d'becs !

 

Burn-out !

Trop août !

Burn août !

Trop out !

 

L'travail

Parfait !

N'entaille

Par fée !

 

Les gens 

Des faits

D'avant !

Refaits

 

Vaillants !

Comme moi

S'plaisant !

Chaque mois

 

De n'être

A cran !

Pour n'être

Urgent !

 

Burn-out !

Trop août !

Burn août !

Trop out !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Une fausse déroute !

 

 

Sur le périph' !

Et je démarre

Automobile !

Comme j'en amarre

 

Toutes mes idées !

Donc or ni car !

Comme j'avançais

Donc hormis car !

 

Depuis mon car;

Qui véhicule

Qu'je contrecarre

Mon matricule !

 

Qu'j'immatricule

D'mon véhicule

Que des fausses plaques !

Dont elles me plaquent

 

Une fausse déroute !

Depuis la route

En une fosse route !

Depuis ma route,

 

Où j'suis toujours

Trop à côté

D'la plaque détours !

Mis de côté !

 

Qu'j'attends le bus !

Station debout

Vers l'terminus !

Minus à bout  !

 

Qu'j'attends le tram !

Pour faire une trame 

De mon histoire !

En abreuvoir

 

D'une route d'péage !

Où j'ne paye rien

Sur l'long passage  !

Car l'air de rien !

 

Une fausse déroute !

Depuis la route

En une fosse route !

Depuis ma route,

 

Où j'ne digère rien !

L'air boute-en-train !

Toujours en train

D'attendre mon train !

 

M'faisant des films

Sur toute la rame !

Je fais un film !

Qu'le métro rame !

 

Que j'dis Ok !

Comme je n'déraille !

Sur le long quai !

Je suis sur rails !

 

De l'autoroute

Emis sur rails !

Sans banqueroute;

Qui me déraille !

 

Une fausse déroute !

Depuis la route

En une fosse route !

Depuis ma route.

 

Jérôme de Mars

 

Les cons vifs, les convives !

 

Nom d'une invitation !

Pour ramasser la part

Du gâteau de gloutons !

Mangeant dès l'top départ !

 

Il y a des gens qui mangent

Lors de chaque réveillon

D'Noël qui les démange !

Lorsqu'nous nous réveillons

 

Au repas d'Nouvel An !

En trinquant au champagne !

Passant le plat vers l'an !

En buvant du champagne !

 

En secouant les bulles

Du champagne pétillant !

En sortant tous d'notre bulle !

Préambule pétillant !

 

Les cons vifs;

On veut les éviter !

Les convives;

On veut les inviter !

 

A manger, déguster

Du foie gras; du caviar !

Qu'on a tant dégusté

A droite; la gauche caviar !

 

Pour bien nous tartiner

De vin et de cidre doux !

A la crème tartinée

D'un bon beurre en redoux !

 

Composant en assiette;

Ceux bien dans leur assiette !

Ceux pas dans leur assiette !

Composé d'pique-assiette !

 

Ils en mangent tous des toasts !

Se grillant au grille-pain !

En tartinant leurs toasts !

En grillant au grille-pain !

 

Les cons vifs;

On veut les éviter !

Les convives;

On veut les inviter !

 

Comme ils veulent tous le beurre !

Autant qu'l'argent du beurre !

L'sourire de la crémière !

Assurant leurs arrières !

 

Avec pour dur labeur !

Que ça en met du beurre !

Dans tous les épinards !

En buvant leurs pinards !

 

L'plaisir de la boisson !

Pour s'enivrer sans peine !

Surtout en déraison !

En oubliant à peine !

 

Les lendemains de fêtes !

Avec leurs gueules de bois !

Et pour qu'il n'y ait défaites !

Ils chantent sans langue de bois !

 

Les cons vifs;

On veut les éviter !

Les convives;

On veut les inviter !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Brèves humoristiques en porte-info !

 

Brèves pour en prendre le parti d'en rire !

 

1) Cette année, le réveillon de Noël du 24 Décembre va

     bien sentir le sapin ! Comme tout tout le monde a les boules avec pour embûche de Noël tous les Français qui s'enguirlandent !

 

2) Pour la nouvelle année, si on souhaitait aux cons qu'ils trinquent de leur santé 

     en trinquant à notre santé !

 

3) Avec la consultation chez le médecin généraliste qui est passé à 26,50 Euros

     depuis le 1er Novembre 2023 dernier; bientôt, on nous prendra le pouls pour voir si on a de basses tensions ou de hautes tensions artérielles avec l'inflation,

     pour nous prescrire en remèdes miracles des ampoules basses tensions

     pour rester toujours du côté de la lumière !

 

4) Si au lieu de trépasser le pire Noël avec des faits divers, si on faisait plutôt

      passer le Père Noël avec des fées d'hiver pour que la vie soit un cadeau et 

      non un cadeau empoisonné !

 

5) A force d'avoir eu notre dose de rappel de vaccin contre le Covid, cela nous a vaccinés en nous rendant pour toujours majeurs et vaccinés !

 

6) Si on voulait que la psychiatrie ne soit plus le parent pauvre de la médecine

    en potion amère, il suffirait de dire y a proscription de toutes ces prescriptions par les psychiatres de ces médicaments en très grande quantité qui bourrent les patients pour bien leur faire avaler la pilule amère à tous ces charlatans de psychiatres ! Comme là maintenant, y a prescription sur la santé des patients au détriment des psychiatres!

 

7) Comme à partir de 2024, le Prêt à Taux Zéro va être raboté en étant recentré sur les logements collectifs dans le neuf et sur les maisons dans l'ancien avec conditions de travaux, si on voulait que tout le monde soit logé à la même enseigne concernant l'immobilier, au lieu de jeter la pierre à tout le monde, on mettrait tous la pierre à l'édifice en investissant tout dans la pierre sans que personne ne 

s'épargne l'âge de pierre !

 

8) Pour se lâcher pour le Réveillon du Nouvel An en se décoinçant, il faudrait que chaque convive soit pétillant en sortant de sa bulle !

 

9) Si pendant les fêtes de fin d'année, on ne veut plus entendre que tout le monde se gaza en bande de La Palestine à L'Israël, il vaudrait mieux pour cela diffuser au lieu de la haine; de l'amour dans deux villes et si tu veux savoir le nom de ces deux villes : " Choisis le Roi qui bourre la reine ! "

 

10) Pour éviter que les Français soient isolés comme des cons vifs pendant les fêtes de fin d'année et pour éviter qu'ils se lâchent sur les réseaux sociaux, si on invitait les cons vifs en convives !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Les carottes dérapées !

 

Si on se cuisinait

En faisant en plats frais !

Des crudités préparées

Au frais sans surgelés !

 

Pour mijoter des carottes

En salade vinaigrette !

Sans qu'personne se carotte !

Avalant des sornettes !

 

En mettant la carotte

Et le bâton au bout !

Si bien qu'nous abattons

En coupant bout à bout !

 

Ces carottes vinaigrettes;

Coupées en lamelles !

Ces carottes aux emplettes !

Sans qu'les carottes s'emmêlent !

 

Les carottes dérapées !

Pour écimer, couper

Toutes les carottes râpées !

Qu'on s'carotte des râpées !

 

Mettant d'l'huile sur le feu !

De l'huile de tournesol !

Jouant avec le feu !

Professeur Tournesol !

 

Pour qu'la mayonnaise prenne !

Pour la faire tant monter

La mayonnaise aux étrennes !

Pour la faire remonter

 

A la source d'l'origine !

Il faut couper; couper

Des carottes en racine !

Pour bien les déguster

 

Et les manger en froid !

Au froid sans coups de chaud !

Le cuisinier est roi !

Qu'il va faire sans réchaud !

 

Les carottes dérapées !

Pour écimer, couper

Toutes les carottes râpées !

Qu'on s'carotte des râpées !

 

Pour tous se cuisiner

En refaisant le monde !

Qu'ça va nous démanger

De savoir qui on sonde !

 

En refaisant un four

D'micro-ondes mauvaises ondes !

On demande qui se fourre

Le doigt dans l'oeil sans ondes !

 

En mettant tout à plat

D'la carotte au bâton !

Genre pour faire raplapla !

D'un plat ! Où tous s'carottent !

 

On veut que des bonnes ondes !

Sans l'mettre au micro-ondes !

La vengeance est un plat

Qui se mange assez froid !

 

Les carottes dérapées !

Pour écimer, couper

Toutes les carottes râpées !

Qu'on s'carotte des râpées !

 

Jérôme de Mars

 

 

Reggae rasta

 

Musique d'ambiance

De nonchalance !

En affluence

S'ils les contre dansent

 

Toutes leurs angoisses !

En s'écoutant

Dans un palace !

En s'amusant

 

De leurs pas lents !

Déambulant;

En pavanant;

En sifflotant

 

Musique tranquille

De Jamaïque !

Berçant leur Ile !

Pour la musique !

 

Reggae rasta;

Qui incarna

Une bande d'rastas;

Qui s'envola !

 

Parmi le gang

Des gens rebelles !

Sans qu'ils ne tanguent

La passerelle !

 

Des gens qui fument

Leur volupté !

En leurs costumes

Très bien sapés !

 

Lunettes d'soleil

D'un écran noir !

Fond d'étincelles

En fumée noire !

 

En vitres teintées

D'leur limousine !

Qui disjonctait

L'adrénaline !

 

Reggae rasta;

Qui incarna

Une bande d'rastas;

Qui s'envola !

 

Petits vélos

De leurs rustines !

Y a des bobos

En leurs sourdines !

 

Qu'ils se recasent

En mots croisés !

Leur manque une case

En maux croisés !

 

Qu'ils s'coiffent sauvages

Avec des tresses !

Pour faire sauvage

En leurs détresses !

 

Qu'ils semblent tranquilles

En leurs dreadlocks !

Marchant sur L'Ile;

Faisant en roc !

 

Reggae rasta;

Qui incarna

Une bande d'rastas;

Qui s'envola !

 

Jérôme de Mars

La boîte à histoires !

 

Effet fée d'hiver !

Les contes de la vie

Sont des faits divers !

D'la vie qui dévie

 

En bris d'couloirs !

En dévergondant

De sa trajectoire !

Qui va racontant

 

Toute une sorte d'histoires

A dormir debout !

Qui fait qu'des histoires !

Avec pour garde-fous !

 

La morale d'l'histoire !

Qui raconte si bien

En un abreuvoir

Dans des va-et-vient !

 

La boite à histoires !

Faisant des histoires !

Emboîte à histoires !

Contant des histoires !

 

Et d'un réservoir

D'ce beau conte de fées !

Rien n'est dérisoire

De faire en effet !

 

D'ces contes de la crypte !

L'histoire d'contes de princes;

D'princesses qui décryptent

Qu'tout le monde en pince !

 

Pour de belles histoires !

En changeant d'histoires !

Ecrivant l'histoire !

Echangeant d'histoires !

 

Que tout l'monde se livre

Avec le stylo !

Que tout l'monde s'enivre

Pour faire des bobos !

 

La boite à histoires !

Faisant des histoires !

Emboîte à histoires !

Contant des histoires !

 

Comptant les histoires !

Pas en tant qu'comptable !

Contant les histoires !

En tant que notable !

 

Car au bout du conte !

D'comptes de faits d'hiver !

Tous y trouvent leurs comptes !

D'contes de fées divers !

 

Et d'un compte-rendu !

Pour solde de tout conte !

En services rendus

D'un règlement d'contes !

 

C'est une belle histoire !

Qui se conte; s'raconte !

Autour du comptoir

Sur lequel on conte !

 

La boite à histoire !

Faisant des histoires !

Emboîte à histoire !

Contant des histoires !

 

Jérôme de Mars

Sanguin

 

Coup d'sang !

Mon cœur

A cran !

M'effleure

 

De peau !

Que c'est

L'chaos !

Qu'je sais

 

Qu'je veux

Me faire

Un vœu !

Pour m'faire

 

La peau !

M'rongeant

La peau !

M'rangeant

 

Sanguin;

Requin;

Sans gain;

Radin;

 

La vie

N'm'arrange !

La nuit

M'dérange !

 

Je pense

A n'vivre !

Je panse

A n'vivre !

 

Qu'je veux

Partir

Aux cieux ;

Périr !

 

J'voudrais

La paix !

J'prierais

La paix !

 

Sanguin;

Requin;

Sans gain;

Radin;

 

Je suis

Vorace !

Qu'j'écris

Vos races !

 

Qu'je pleure

Mes mots !

A fleur

De peau !

 

J'supporte

Plus rien !

J'm'emporte

D'un rien !

 

Qu'je veux

La mort !

En vœu

Sans tort !

 

Sanguin;

Requin;

Sans gain;

Radin.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Buée de sauvetage

 

Lunettes à première vue !

Se regardent en chaleur;

Lunettes en de longues vues !

Se voient avec hardeur !

 

Dans la condensation

De la chaleur humaine;

Dans la contemplation

De la chaleur sereine;

 

Pour porter en recours

Les appels au secours !

Pour faire la cour sang froid !

Pour faire l'amour sans froid !

 

En un passage à l'acte

Pénétrant du plaisir !

En un pas sage à l'acte

En prenant du plaisir !

 

Buée de sauvetage;

N'fumant en vapotage !

Bouée de sauvetage;

Fuyant sans vapotage !

 

Tous les hommes et les femmes

Veulent en mettre plein la vue !

Jouant à qui enflamme

Avec le feu ! Pur jus !

 

L'amour torride se vit;

Se vide sous les tropiques !

Survit en des orgies

Avides sous les tropiques !

 

Qu'les hommes entrent sur les femmes !

Pénétrant leur vagin;

Les femmes deviennent infâmes

Des hommes et d'leur engin !

 

En découlant la sève !

En mourrant à la tache !

En déviant qui l'achève !

En mourrant à l'attache !

 

Buée de sauvetage;

N'fumant en vapotage !

Bouée de sauvetage;

Fuyant sans vapotage !

 

En faisant des partouzes;

Faisant la queueleuleu !

De tous ceux qui s'épousent

En astiquant leur queue !

 

En leur disant parce-que

Sur un piano à queue !

Leur susurrant quoique !

La queue à ces messieurs !

 

En artistes échangistes;

Qui prennent tous bien leur pied !

Eux; ces êtres hédonistes !

Tous altruistes ! A contrepied !

 

En disant de ces femmes !

Que les femmes à lunettes !

Aiment que les hommes s'enflamment !

Tous des femmes à quéquette !

 

Buée de sauvetage;

N'fumant en vapotage !

Bouée de sauvetage;

Fuyant sans vapotage !

 

Jérôme de Mars

 

Je suis vénère !

 

Rap qui dérape !

J'écris ce texte

Qui tape; décape

Vu le contexte !

 

Donnant pour cap

Que les personnes;

Leur handicap !

Beaucoup raisonnent !

 

Cap ou pas cap !

Avec courage;

N'perdant le cap !

De toute leur rage !

 

D'être méprisée;

Voire ignorée;

D'être dénigrée;

Voire rejetée;

 

Je suis vénère !

En guerre des nerfs !

Aucun s'vénère

Sans guerre des nerfs !

 

Pourquoi le monde

Va plus que mal ?

Là dans l'immonde !

Genre animal !

 

Pourquoi personne

Ne se respecte ?

Qu'ça désarçonne !

Tous se suspectent

 

D'être égoïstes !

D's'en foutre de tout !

De n'être altruistes

Dans un fourre-tout !

 

D'l'état du monde

Qu'personne ne sonde !

Gare à la fronde!

Avec faconde !

 

Je suis vénère !

En guerre des nerfs !

Aucun s'vénère

Sans guerre des nerfs !

 

Comme tout fout l'camp !

L'monde part en vrille !

Sans un décan

Pour que ça brille !

 

En une boussole !

Où tous les gens;

Ils tiennent paroles !

Plus médisants;

 

Qui veut encore

Croire à la vie ?

Sans désaccords

En hérésie ?

 

Qui solidaire;

Y croit toujours ?

Non solitaire

Sans nouveau jour ?

 

Je suis vénère !

En guerre des nerfs !

Aucun s'vénère

Sans guerre des nerfs !

 

Jérôme de Mars

 

 

Every bad trip !

 

Non absorption d'drogues !

Pour tant m'enivrer,

Je me fais un grog

Pour tout oublier

 

D'la réalité;

D'la vie qui m'ennuie

D'par sa cruauté !

Qui me dépérit;

 

Mourant à p'tit feu !

Ca me prend aux tripes !

Que mes nuits font feu !

Quand le soir m'étripe !

 

Me faisant des films;

Conflits intérieurs !

Quand je vois des films !

Là ! Nulle part ailleurs !

 

Every bad trip !

Comme tout l'monde m'étripe !

D'un very bad trip !

Ca me prend aux tripes !

 

Qu'la vie est un film

A m'faire du cinéma !

Comme dans un vrai film !

Genre moi; rabat-joie !

 

J'assume; je le fais !

Rien qu'avec mes tripes !

De cause à effet !

Que ce n'est mon trip !

 

D'consommer du shit !

J'ne veux qu'on m'étripe !

J'préfère faire des hits !

Genre un truc ce trip !

 

Y a qu'l'écriture

Qui m'enivre d'ivresse !

Sans jeu d'écriture;

J'fais de la finesse !

 

Every bad trip !

Comme tout l'monde m'étripe !

D'un very bad trip !

Ca me prend aux tripes !

 

Ma gym de l'esprit !

Je fais d'la finesse !

Ma gym sans en plis !

J'ne fais du fitness !

 

Qu'je préfère en cendres !

L'excès d'écriture !

Sans mots pour m'éprendre

De désinvolture !

 

Qu'je fais des excès

Pour fumer la paix !

A l'accoutumée !

Pour tant m'enivrer !

 

Paradis d'havane !

Je fume l'calumet !

Lequel me pavane

Que d'ce trip; j'en fais !

 

Every bad trip !

Comme tout l'monde m'étripe !

D'un very bad trip !

Ca me prend aux tripes !

 

Jérôme de Mars

Aux songes des amours !

 

Rêves d'une belle idylle;

L'amour, il se déclare

De son être fragile

En des nénuphars;

 

Coulant d'l'eau de rose !

L'amour fait songer

En prenant la pose

Sans être mensonger !

 

L'amour s'entretient

Avec un bouquet

De fleurs en leur teint !

Comme c'est le bouquet !

 

En mettant du baume

Au coeur d'arabesques !

Que leur coeur embaume

En fresques pittoresques !

 

Aux songes des amours !

Ils réveillent les jours !

Jamais à contre-jour !

L'amour vaut l'détour !

 

En poète maudit !

Qui navigue en temps

De mélancolie !

Réparant les temps

 

Qui passent à refaire

Tous les sentiments !

Que l'enfer transfère

En ressentiments !

 

De voyages d'détresses !

Il faut des bagages !

Qui n'pressent; décompressent

Avec des bagages !

 

Qui rendent intello !

Donnant l'paradis

En de jolis mots !

En pansant hardi !

 

Aux songes des amours !

Ils réveillent les jours !

Jamais à contre-jour !

L'amour vaut l'détour !

 

En voguant en eaux

Profondes d'bienfaisance !

Se passant le mot

De la bienveillance !

 

D'amour romancé;

Romanesque; épique !

Il faut avancer

Et aimer tropique !

 

Le temps d'un été;

Le temps d'un hiver;

Jamais suranné

En des fées d'hiver !

 

Il faut épouser

L'amour en mariage !

Il faut succomber

A l'amour pas sage !

 

Aux songes des amours !

Ils réveillent les jours !

Jamais à contre-jour !

L'amour vaut l'détour !

 

Jérôme de Mars

 

 

Un ciel qui ruisselle d'étoiles !

 

Filant les étoiles au ciel !

Le ciel fraternel émet

Des ondes très intemporelles;

Du temps léger assez gai !

 

Somptueux nec plus ultra !

En vagabondages qui flirtent

Avec l'amour en extras !

A vos bons souhaits sans heurts !

 

Les étoiles commettent l'amour

Dans un ciel bleu arc en ciel !

Accordant l'violon au jour

L'jour des jolies tourterelles !

 

Volant à ces hirondelles !

Leur volant d'ligne de conduite !

En bravant les étincelles;

Effet d'merveilles inédites !

 

Un ciel qui ruisselle d'étoiles !

Il pleut une série de toiles !

Un ciel qui ruisselle de toiles !

Il pleut une série d'étoiles !

 

Sur l'boulevard insouciant;

Berçant le ciel de tendresse !

Revigorant spleen charmant

Les jours de délicatesse !

 

Poétesses sur un Graal d'ciel !

Comme un chariot qui transporte

Des étoiles qui grattent le ciel !

A l'emporte-pièce; porte-à-porte !

 

Les souvenirs imaginaires;

Ils reviennent à la surface !

Juste au ciel interstellaire !

Qui jette des dés; pile ou face !

 

A quoi bon attendre l'amour ?

Qu'il déclare pour toute la vie

Plus la guerre ! Rien que l'amour !

Qui donnent aux nuits embellies !

 

Un ciel qui ruisselle d'étoiles !

Il pleut une série de toiles !

Un ciel qui ruisselle de toiles !

Il pleut une série d'étoiles !

 

Remettant aux lauréats

Du ciel; une belle récompense

Qui donne aléas d'la joie !

Comme seule la joie; elle compense !

 

Les frustrés du désamour;

Il faut veiller au soleil !

Pour qu'il refasse encore jour !

Avant d'mettre sur pause en veille !

 

Les étoiles suprêmes qui s'font

Encore temps des illusions !

Le ciel entier se morfond !

S'faisant des désillusions !

 

L'amour seul sauvera l'ciel !

Juste en de grandes preuves d'amour !

En implorant l'essentiel

De refléter au grand jour !

 

Un ciel qui ruisselle d'étoiles !

Il pleut une série de toiles !

Un ciel qui ruisselle de toiles !

Il pleut une série d'étoiles !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                               Blague :

 

 

 

Que fait une armoire à glace dans un film porno ?

- Il sort la crème fraîche !

 

 

                                        Jérôme de Mars

Un fait laid

 

Il était

Un givré;

Qui avait

Ecorché

 

Ses problèmes

De famille !

Qu'personne n'aime !

Infamie !

 

Toute sa vie !

Comme elle fut

Si flétrie;

A l'affût !

 

Si ternie;

Abîmée !

Si aigrie;

Rétamée !

 

Un fait laid;

Qui fêlait

Un fêlé;

Fait les !

 

Des bêtises

D'toute une vie !

En méprise

Pas jolie !

 

Comme il fut

Moitié ange

Dissolu;

Qui dérange

 

Tout l'enfer

Pour les autres !

Pour défaire

Ceux qui s'vautrent !

 

Que d'l'amour;

Il s'en fout !

C'est du lourd !

Sans garde-fous !

 

Un fait laid;

Qui fêlait

Un fêlé;

Fait les !

 

Des amours

Dans la haine !

Désamours

Sans la haine !

 

Que l'argent !

Son bas d'laine !

Fout le camp

Chaque semaine !

 

Qu'son argent

Fait des contents !

Avec l'temps !

Racontant

 

Qu'il lui fait

Perdre haleine !

En effet !

Son bas d'laine !

 

Un fait laid;

Qui fêlait

Un fêlé;

Fait les !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Les 4 sévérités de Geronimo !

 

Une petite saynète sur la vérité de l'envers du décor de la famille Bedrossian :

 

Jérôme Bedrossian dit ses 4 sévérités à chacun des membres de la famille Bedrossian :

 

1) Jérôme Bedrossian qui appelle son père : " Michel Bedrossian " pour lui dire ses 4 sévérités :

 

Jérôme Bedrossian : " - Bonjour papa, comment vas-tu ? "

 

Michel Bedrossian : "  - Tout doux, je fais aller, et toi, comment vas-tu ? "

 

Jérôme Bedrossian : " - Moi ça va, comment vis-tu ta nouvelle vie en solitaire ? "

 

Michel Bedrossian : " - Je le vis mal, je n'ai jamais été habitué à être seul, veux-tu faire un resto avec moi ce soir à 20h ? "

 

Jérôme Bedrossian : " - Non, je ne suis pas dispo papa. Je préfère rester seul car mieux vaut être seul que mal accompagné après mes revers solitaires. Tu m'as laissé seul en restant avec ta compagne ! Tu ne m'as pas vu pendant 2 ans à cause du Covid. Je bois un ver solidaire de mon poème à ta santé où j'ai trinqué. Toi qui est maintenant endormi de ta bohème avec ta compagne qui t'a foutu dehors de chez elle ! "

 

2) Jérôme Bedrossian qui appelle sa soeur : "Jessica Bedrossian " pour lui dire ses 4 sévérités :

 

Jérôme Bedrossian : " - Bonjour Jessica, comment vas-tu ? "

 

Jessica Bedrossian : " - Oh ! Il ne manquait plus que toi ! Je ne veux pas te parler ! Tu n'es qu'un connard ! Fous-moi la paix ! "

 

Jérôme Bedrossian : " - Ca tombe bien que tu me dises tout ça ! Car te voilà dans un sacré casse-tête chinois depuis que ton ex t'a plaqué au sol avec sa nouvelle chérie en te trompant ! Sache que tu ne m'as jamais manqué ! Tellement que j'ai la paix depuis naguère, où tu n'as jamais été guère là pour moi ! Ca me parle très bien que tu ne veux plus m'adresser la parole ! Je m'en fous de toi ! Car comme on dit ! Quand on n'aime ! On ne compte pas ! "

 

 

3) Jérôme Bedrossian qui appelle sa cousine Simone Moll à Cavalaire-sur-Mer pour lui dire ses 4 sévérités :

 

Jérôme Bedrossian : - " Bonjour Simone, comment vas-tu ? "

 

Simone Moll : " - Fous-moi la paix ! Je ne veux pas te parler après tous les SMS

 salaces, olé olé que tu m'envoies ! Quel est le mobile de ton appel ? "

 

Jérôme Bedrossian : " - Le mobile de mon appel est le 06-17-13-54-43 avec pour bémol ta baie molle à Cavalaire-sur-Mer. Tu cavales l'air de rien ! Toi qui est Moll en étant Simone molle ! " 

 

4) Jérôme Bedrossian qui appelle sa tante Jacqueline Bedrossian pour lui dire ses 4 sévérités :

 

Jérôme Bedrossian : - " Bonjour Jacqueline, puis-je parler avec toi ? Comment vas-tu ? "

 

Jacqueline Bedrossian : - " Espèce de couillon, je ne veux plus te parler après tout ce que tu nous as fait à moi ainsi qu'à ma fille Simone. Comme je t'ai toujours dit, compte sur toi et ne compte pas sur les autres, il n'y a que toi qui peut te sauver ! "

 

Jérôme Bedrossian : - " Jacquoshi, si tu m'as toujours dit de compter sur moi, c'est parce-que tu ne m'as jamais calculé en tant que trésorier-comptable au GEM de Vitry ! A défaut de compter sur toi et de compter sur les autres, on compte toujours sur moi sans compter pour personne en mes calculs névrotiques au bout du compte ! "

 

5) Jérôme Bedrossian qui appelle son oncle Maurice Bedrossian pour lui dire ses 4 sévérités :

 

Jérôme Bedrossian : - " Bonjour Maurice, comment vas-tu ? "

 

Maurice Bedrossian : - " Que me veux-tu ? Espèce d'enfoiré ! Je ne veux plus que tu m'appelles ! C'est clair ! "

 

Jérôme Bedrossian : - " C'est clair-obscur ! Voilà ma réponse Maurice en ton seul fonds de commerce de ta boutique en magasin ! Tu ne penses qu'à ta gueule bégueule à fond la caisse ! Où certes, je suis un enfoiré des Restos du Cœur et toi; un enfoiré des Restos de la rancœur ! Comme t'as un cœur de pierre en tant que grand égoïste ! " 

 

6) Jérôme Bedrossian appelle sa cousine Laëtitia Bedrossian pour lui dire ses 4 sévérités :

 

Jérôme Bedrossian : - " Bonjour Laëtitia, comment te portes-tu depuis tout ce temps ? "

 

Laëtitia Bedrossian : - " Pourquoi m'apppelles-tu ? Tu ne fais qu'entretenir les malheurs de cette famille ! Si tu savais comme je m'en lave les mains de toi pour ce que tu hais intéressant dans la vie ! "

 

Jérôme Bedrossian : - " Je te retourne le compliment ironique ma chère Laëtitia ! Toi qui me fais déballer tout ce que tu t'en laves les mains de moi ! Or ! Tu m'utilises comme serpillère en me jugeant par mégarde des sots dans tout ce remue-ménage qui ne te ménage guerre Laëtitia ! Ca te déménage en te mettant en âge de ne te ménager dans ton ménage à deux de printemps pour tes 50 balais de printemps ! Toi qui entretiens ton indifférence envers moi ! Si tu savais ce que je m'en lave les mains de toi Laëtitia ! Hormis que je te passe un sacré savon de Marseille sans prendre de gants de toilettes avec toi Laëtitia ! "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

On a besoin de chaleur humaine !

 

Dans la vie entre gris et griserie,

Si on réconciliait tous les gens

Entre eux ! Pour qu'il y ait de l'harmonie !

Loin des tourments et de ce boucan !

 

Malgré l'froid qui sévit dans la vie !

S'il y avait un beau soleil pour nous

Faire rire et sourire sans les soucis !

Solidaires, on a besoin d'gardes-fous !

 

Pour diffuser ainsi de l'amour

En faisant voler les hirondelles !

En chantant que des beaux mots d'amour !

Qui nous rassurent tous en ritournelles !

 

En chantant l'amour au lieu d'la haine !

Pourvu que l'amour nous fasse voler

Vers l'haut pour passer de bonnes semaines !

Pour nous envoler et nous aimer,

 

On a besoin de chaleur humaine !

Pour se bécoter que l'amour prenne !

En nous procurant une paix sereine !

Si bien qu'de l'amour, qu'on s'en éprenne !

 

Malgré le froid dans la nuit !

Pourvu que l'ciel nous réchauffe Céleste !

La nuit nous rendra ragaillardis !

Si bien qu'pour le reste, on s'en déleste !

 

On n'veut plus du froid mais qu'il fasse chaud !

Pour s'en imbiber du grand amour !

Si on chauffait les coeurs d'artichaut !

L'tout sans haine ! Mais avec du velours !

 

Pour réchauffer les cœurs qui ont froid

A cause d'tant de haine accumulée !

Il faut qu'il fasse beau les prochains mois !

Sans que ne tombe aucun giboulée !

 

Evitant les humeurs bipolaires

Face à c'monde fracturé en colère !

Si on le rendait plus linéaire !

Ce monde triste pas que dans l'imaginaire !

 

On a besoin de chaleur humaine !

Pour se bécoter que l'amour prenne !

En nous procurant une paix sereine !

Si bien qu'de l'amour, qu'on s'en éprenne !

 

Pour qu'il n'y ait aucune neige éternelle

Qui dévalent dans les vallées en peine !

S'il y avait l'soleil intemporel !

Qui se réchauffe en nous sur la pleine !

 

On veut que les gens; ils s'aiment essaiment

De l'amour en une bande d'colonie !

Qui ne diffusera aucune rengaine !

Juste qu'des jolies choses en accalmie !

 

Le monde n'a pas besoin de l'effroi !

Il a juste besoin de vitamine !

Pour retrouver l'bonheur dans la foi !

Il était une foi les endorphines !

 

Qui redonnent vie à ceux qui sont morts

D'l'intérieur; rongés en morts-vivants !

Il vaut mieux que l'amour en démord

Qu'il n'y a l'néant mais réconciliant !

 

On a besoin de chaleur humaine !

Pour se bécoter que l'amour prenne !

En nous procurant une paix sereine !

Si bien qu'de l'amour, qu'on s'en éprenne !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Délinquant sensuel

 

En délits de mon lit !

En faisant le caïd;

Je montre de la folie !

En commettant l'Aïd

 

Sans filtre qu'j'infiltre el-fitr !

Commettant des délits

Depuis mon lit qu'j'exfiltre !

J'en reprends pour la vie !

 

Dormant à l'ombre ! J'dénombre

Mes côtés clairs-obscurs !

D'la lumière à mon ombre !

Je fais le mur en dur !

 

Prison de la santé;

Je n'en ai pas d'aidant !

Pour prendre soin d'ma santé,

Faisant le ramadan !

 

Délinquant sensuel

En des lits sensuels;

En délit sensuel;

Des clinquants sexuels;

 

Je me radicalise

En étant dans la dêche !

Je fais des vocalises !

J'écris des chansons fraîches !

 

Qu'de mon côté revêche;

J'me fais la vie rebelle !

Pour que je me dépêche

De me faire la vie belle !

 

M'envolant sur les mots !

Pour les voler aux autres,

Et d'ce méli-mélo;

Je veux que tous se vautrent !

 

Ecrivant de mes mots

Pour en refaire les vôtres !

Disant à demi-maux !

Qu'c'est Dieu et ses Apôtres !

 

Délinquant sensuel;

En des lits sensuels;

En délit sensuel;

Des clinquants sexuels;

 

Que j'en déviens feignant !

Enfreignant toutes les règles

D'feignant d'être un feignant !

Enfreignant qu'tout se règle !

 

En faisant des calculs !

En frissons garantis !

Que tout le monde m'calcule

En frictions garanties !

 

Qu'je commets des larcins

Dans l'mur du son larsen !

Qu'je suis un malandrin !

Que pour nicker larsen !

 

Je commets des délits !

Chantant la déraison !

Je dormais en des lits !

Enchantant l'oraison !

 

Délinquant sensuel;

En des lits sensuels;

En délit sensuel;

Des clinquants sexuels.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Sur un air de slam !

 

Quoi de neuf l'air d'rien ?

Que j'écris un air 

Ayant le béguin !

Que j'écrie un nerf

 

De ma guerre des nerfs;

Que j'espère encore

Trouver pout cet air;

L'bon accord raccord !

 

Pour chanter la vie

Avant qu'il fasse nuit !

Pour chanter l'envie

Bien Avent Minuit !

 

Grâce au Père Noël;

Après ces embûches

Place au Père Noël

Avec de la bûche !

 

Sur un air de slam !

Ce soir; y a pas d'trame !

Sur un nerf de slam !

Ce soir; y a pas d'drame !

 

Qu'je jongle par mes mots !

En clamant quel cirque !

Qu'je jongle du dico !

M'exclamant quel cirque !

 

Le monde est ma boule !

Tenant sur le fil !

Que j'ai trop les boules !

Que je perds le fil

 

De mon équilibre !

Que je déambule

En déséquilibre

D'mon fil funambule !

 

Que je perds la boule

En mes dérapages;

Je me défoule !

Ecrivant l'ramage

 

Sur un air de slam !

Ce soir; y a pas d'trame !

Sur un nerf de slam !

Ce soir; y a pas d'drame !

 

Retard d'allumage;

Je pète les fusibles

En mes dérapages;

Je n'suis extensible

 

En mon point sensible;

Que je crache le feu !

Pyromane sensible;

En cracheur de feu !

 

Je fais d'la voltige

Sur l'trapèze volant !

Que j'ai des vertiges !

Qu'c'est impressionnant

 

D'n'être contorsionniste !

D'être artiste altruiste !

D'naître contorsionniste !

D'être sur la longue liste !

 

Sur un air de slam !

Ce soir; y a pas d'trame !

Sur un nerf de slam !

Ce soir; y a pas d'drame !

 

Jérôme de Mars

Le monde est marteau !

 

D'une boite à outils;

Qui répare cassé

Ce monde très fragile;

Il faut réparer

 

Ce monde fracassé

En serrant la vis !

Pour tout transformer

En vertu le vice !

 

Pour tout arranger

En creusant d'une pioche;

En allant ramasser

Le trésor; bonne pioche !

 

C'est l'or à la pelle !

Roulant des galoches;

Déroulant des pelles !

Comme c'est dans la poche !

 

Le monde est marteau !

S'tuant au couteau;

S'disant des gros maux;

Tuant au marteau

 

Et au couteau Suisse;

Les mauvaises langues fourchent !

On veut qu'le bien puisse

Revenir en fourche !

 

En creusant le bien;

Enterrant le mal;

En creusant du lien;

Mettant l'mal à mal;

 

Sans en ramasser

De trop gros râteaux;

Il faut travailler

En des matériaux,

 

Pour refaire qu'le bien,

Pour faire des bricoles,

Quelque chose qui tient

En des choses frivoles !

 

Le monde est marteau !

S'tuant au couteau;

S'disant des gros maux;

Tuant au marteau;

 

Au lieu des problèmes

Si grâce à une clé;

On ouvr'hé sans problèmes

Toute l'humanité

 

D'une clé à mollettes !

Resserrant les liens;

Vidant les mallettes

De l'appât du gain !

 

On pourrait obtenir

Que des solutions !

Prenant du plaisir

En résolutions !

 

Où tout le monde s'aime 

A l'aide d'une tenaille !

Disant no problem !

Sans dire d'ses entrailles;

 

Le monde est marteau !

S'tuant au couteau;

S'disant des gros maux;

Tuant au marteau.

 

 

Jérôme de Mars

 

 

                                           Blague :

 

 

Pourquoi y a-t-il eu cette nuit près de la Tour Eiffel un attentat avec des gens attaqués au couteau et au marteau ?

-  Parce-que La France devient marteau en étant trop à couteaux tirés !

 

 

                                   Jérôme de Mars

Tomber pour mieux se relever

 

 

 

D'un dix de chute; indice de chute !

 

Dans la vie, il y a des coups durs !

 

L'important n'est donc pas la chute !

 

Mais d'revenir à juste mesure

 

 

 

Dans le pur de la résilience !

 

Malgré les coups durs de la vie !

 

Il faut revenir dans l'urgence

 

Pour faire de la nuit l'embellie !

 

 

 

Dans la vie, on chute ! Fin d'l'histoire !

 

On en revient beaucoup plus fort !

 

Du long couloir du purgatoire !

 

Après l'effort, le réconfort !

 

 

 

Il faut s'fixer des objectifs !

 

Pour revenir y a pas photo !

 

Dans la pleine lune de l'objectif !

 

Des bobos vers l'eldorado;

 

 

 

Tomber pour mieux se relever;

 

Permet de ne plus retomber

 

Dans le péché qui s'est levé;

 

Elevé en une main levée;

 

 

 

Il faut faire d'une faiblesse une force;

 

Qui amorce et qui se renforce !

 

Passant de l'écorce qui s'démorce

 

A quelque chose de dur qui s'corse !

 

 

 

Et si on faisait des choses dures !

 

Des choses à l'état pur en vrai !

 

Sans faire des ordures; de l'or dur !

 

Plutôt quelque chose de léger !

 

 

 

Avec moins de choses dures qui durent

 

Dans le dur qui endure du brut !

 

S'il pouvait y avoir des gens purs

 

Et doux d'folie tous azimuts !

 

 

 

Pour faire des choses légères et gaies

 

Dans la pure totale insouciance !

 

Sans être dans l'brut faisant le guet !

 

Car revenant dans l'innocence,

 

 

 

Tomber pour mieux se relever;

 

Permet de ne plus retomber

 

Dans le péché qui s'est levé;

 

Elevé en une main levée;

 

 

 

Il faut lever la main pour aider

 

Et être aidé à s'relever !

 

D'l'adversité avec fierté !

 

Il faut se lever; s'élever

 

 

 

Vers la résurgence donnant vie

 

A une nouvelle vie qui revit !

 

Donnant en vie encore envie !

 

D'redevenir épanoui !

 

 

 

Et ébloui par des belles choses;

 

Qui en redonnent de l'essentiel !

 

Eradiquant les ecchymoses

 

De la vie par un arc en ciel !

 

 

 

Qui prête à sourire et s'apprête

 

A rire des choses superficielles !

 

Trouvant des idées qui décrètent;

 

Comme solutions intemporelles !

 

 

 

Tomber pour mieux se relever;

 

Permet de ne plus retomber

 

Dans le péché qui s'est levé;

 

Elevé en une main levée.

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

La rue des poèmes contemporains

 

Dans mon quartier, plus jamais de quartier !

J’habite à vie à Vitry-sur-Seine !

Dans mon quartier, je fais des quartiers !

Je fais de la Seine allant sur scène !

 

La ville n’est pas un long fleuve tranquille !

Parlant toujours du rapport humain

Que la vie naît un long fleuve tranquille

Dans de l’art urbain donnant en main

 

La rue des poèmes contemporains,

Avenue du boulevard urbain

Sur le long du grand passage humain,

L’art se transmet en poèmes satins !

 

A chaque jour se suffit à grande peine !

A la rue des poèmes ayant l’grain

De folie comme c’est la même rengaine !

Qui m’inspire une vie d’bohème rupin !

 

 En ayant dans la vie toute la joie

Du printemps qui aime tout le système !

De s’en donner à cœur joie bourgeois !

Rentrant pour être en marge du système !

 

La rue des poèmes contemporains,

Avenue du boulevard urbain

Sur le long du grand passage humain,

L’art se transmet en poèmes satins !

 

Et en marchant en de petits pas !

Je revois défiler tout le temps !

Marcher la ville au fil de ces mois !

Regardant les gens pendant ce temps !

 

Dans la vie et tous ses aléas !

Qui égrènent pour totem des problèmes !

En semaine, le chemin de la joie

M’emmène au jardin de la bohème !

 

La rue des poèmes contemporains,

Avenue du boulevard urbain

Sur le long du grand passage humain,

L’art se transmet en poèmes satins !

 

Jérôme de Mars


Diable d'enfer !

 

Si j'avais

Une vie d'ange !

Je serais

Une mésange  !

 

Pour voler

Vers le haut !

Sans voler

A-vau-l'eau !

 

Qu'mon image;

Elle s'écorne

En dommages

Qui m'encornent !

 

Cornes du diable !

D'mes démons !

Haut ! Que diable !

J'brave des monts !

 

Diable d'enfer !

J'en ai qu'faire !

D'mon enfer !

J'suis en fer !

 

Qu'je me sers

De mon diable !

Guerre des nerfs

De ce diable !

 

Avançant

De mes pieds

En marchant

Sans marchepied !

 

Qu'je trébuche

Au moindre mot !

D'mes embûches

Par défaut !

 

J'veux la paix !

Plus la guerre !

Guère en paix !

D'paix naguère !

 

Diable d'enfer !

J'en ai qu'faire !

D'mon enfer !

J'suis en fer !

 

Maltraité;

Je consigne

Un traité

En insigne,

 

D'consigner

Que la paix !

De signer

Vivre en paix

 

Informant

Sans milices !

Annonçant

L'armistice !

 

Sous d'meilleurs

Beaux auspices !

D'un bonheur

Sans hospice !

 

Diable d'enfer !

J'en ai qu'faire !

D'mon enfer !

J'suis en fer !

 

Jérôme de Mars

J'aime Dean pour la vie !

 

Il était une fois !

Quelqu'un qui naquit

Du temps d'autrefois

Aux Etats-Unis,

 

Comme un 30 Septembre

Année 55

Du bout de ses membres;

Reçus cinq sur cinq !

 

Il fut écorché

En une courte carrière !

Un rebelle paumé;

Lui si légendaire

 

Depuis sa triste mort;

Qui l'a emporté

Of course de remords !

Qui l'a enterré

 

J'aime Dean pour la vie !

De jour comme de nuit !

James Dean pour l'envie !

Toujours si inouï !

 

Qu'il fit peu de films

Tout juste à peine trois !

D'quoi se faire des films !

Qu'il est à l'étroit !

 

Lui bisexuel;

Rien qu'avec des femmes !

Aux mots sexuels;

Rien qu'avec des hommes !

 

Tant à l'est d'Eden

Dans sa fureur d'vivre !

Son jardin d'Eden

A L'est qui l'enivre !

 

Lui qui fut féru

D'courses automobiles !

D'une vie dissolue

Qu'il n'y avait d'mobile !

 

J'aime Dean pour la vie !

De jour comme de nuit !

James Dean pour l'envie !

Toujours si inouï !

 

Que son dernier film

Fut un rôle géant !

En s'faisant des films !

Second rôle d'Géant !

 

Qu'il fuma sa vie

D'alcoolique notoire !

Enfumant ses nuits

Si rédhibitoires !

 

Qu'd'une fureur de vivre;

Il fit tant fureur

D'excès qui l'enivrent !

Pour vivre dans la peur

 

Qu'il mourut l'30 Septembre

55 géant

De ses membres qui n'tremblent !

Mort dans le néant !

 

J'aime Dean pour la vie !

De jour comme de nuit !

James Dean pour l'envie !

Toujours si inouï !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Ce chemin de croix !

 

Et cris noirs sur blancs

De mon manque de pot !

Je prends donc des gants

Vivant dans l'ghetto !

 

A Vitry-sur-Seine

Que de mon enfer !

Je fais de la scène

D'un boucan d'enfer !

 

D'mauvais scénario;

Je me fais des films

D'mon ancien boulot  !

Palettes sur des films !

 

Qu'je respire la nuit

Quand tout le monde dort !

Qu'ça me donne envie

D'chercher comme trésor !

 

Ce chemin de croix !

Emportant ma croix;

Que j'y crois, j'y croîs !

En portant ma croix;

 

Que là ! Je revis !

Je fais ce que j'aime

Chaque jour dans ma vie !

Qu'je dis no problem !

 

Pour aller au GEM,

Qu'je mets en musique

Là tout ce que j'aime !

En un son rythmique;

 

En retravaillant

Rien qu'pour le plaisir !

En réenchantant

Jamais sans rugir !

 

Ma vie de bohème !

Y a un air qui m'traîne !

Sans aucun problème !

Y a un nerf qui m'traîne !

 

Ce chemin de croix !

Emportant ma croix;

Que j'y crois, j'y croîs !

En portant ma croix;


J'en fais des belles choses

De mes ecchymoses !

Qu'en osmose, là j'ose !

Ecrire en symbiose !

 

Un air qui m'ressemble !

Paroles et musique !

L'air d'rien qui rassemble

Mes airs de musique !

 

Que je veux écrire

Rien qu'de la musique !

Y a qu'ça pour prescrire

Qu'des airs pacifiques !

 

Pour proscrire l'passé

En allant d'l'avant !

Pour me dépasser

Sans mettre en avant !

 

Ce chemin de croix !

Emportant ma croix;

Que j'y crois, j'y croîs !

En portant ma croix.


Jérôme de Mars

 

 

 

Blues rocker

 

Vieux démons;

J'en ai tant

Monts par monts !

J'fais semblant

 

D'faire le dur !

Dur à cuire !

J'fais le mur !

Dur en cuir !

 

Sans souffrir

De ma vie !

A rugir

D'mon ennui !

 

Que je bois

Tant devin !

Aux abois !

Tant de vin !

 

Blues rocker;

J'ai du cœur !

Qu'ma rancœur !

J'l'ai par cœur !

 

Qu'j'en écris

Des musiques !

En mes cris

Frénétiques !

 

Que j'épouse

Ma tristesse !

Dans le blues

D'ma liesse !

 

Que je bois

De la bière !

Aux abois

D'mise en bière !

 

Que j'aime l'blues

D'vieux rocker !

Dans ma house !

Ca crève l’cœur !

 

Blues rocker;

J'ai du cœur !

Qu'ma rancœur !

J'l'ai par cœur !

 

Joe Cocker;

Ce blues man !

Dont j'ai le cœur !

Qui émane

 

Tant en moi !

Qu'j'en pleure

Aux abois

D'ma liqueur !

 

Joue qu'au cœur !

Rien qu'mon cœur !

Pacemaker !

Tout m’écœure !

 

A part l'blues

D'vieux rocker !

Que j'épouse

Haut ! Les cœurs !

 

Blues rocker;

J'ai du cœur !

Qu'ma rancœur !

J'l'ai par cœur !

 

Jérôme de Mars

 

Rentrée solaire

 

Consultation imaginaire au CMP de Vitry sur Seine lors d'un rendez-vous entre Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient et sa psychiatre Madame Teillet le lundi 11 Septembre à 10h40 :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ? L'été s'est-il bien passé pour vous ? "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Madame Teillet, ça va bien ! L'été s'est plutôt bien passé et moi, j'aurai

bien aimé manger des cœurs de palmiers avec des palmiers sur La Côte d'Azur. Je ne suis pas parti en vacances pour que ça baigne davantage dans ma vie sans le mal de mer. Je n'ai fait que déguster depuis mon enfance qui aura été constamment un mal de mer. Le 20 Septembre 2023, cela fera 25 ans que ma mère est partie dans un cancer de louanges du à une crise de foie, dès fois qu'elle aurait eu un cancer du foie. Comme je le disais même qu'on connaît la chanson mortuaire ! Ma mère est DCD le 20 Septembre 1998 à presque 50 ans, 49 ans et demi à la veille de l'anniversaire de ses 50 ans. Ce jour-là, ce ne fut pas du gâteau dans ma vie déjà que ma mère et moi, on n'était pas des crèmes mais des crèmes fouettées. Elle me cuisinait sans arrêt avec moi qui lui passais les plats en étant toujours à plat raplapla ! Madame Teillet, pourquoi m'avez-vous donné RDV le 11 Septembre ? "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Monsieur Bedrossian, je vous ai donné rendez-vous le lundi 11 Septembre à 10h40 car l'un dit 11 Septembre pour que vous soyez dans un meilleur état uni avec tout le monde. L'avant-dernier maire de Vitry-sur-Seine s'appelait Monsieur Kennedy. Ca ne s'invente pas dans la maison blanche mais plutôt dans la mairie rose. L'ancienne mairie de Vitry sur Seine dans les années 80 était la maison blanche ! Monsieur Bedrossian, même que dans votre vie, vous n'êtes pas tout blanc, vous n'êtes pas non plus tout noir; même en cherchant à faire semblant en tremblant troublant ! Monsieur Bedrossian, faites-en quelque chose de vos paroles de chansons poétiques. Malgré que vous payez la note salée de votre mal de mère, cherchez plutôt le soleil que l'oseille. Vous pouvez demander par exemple à un adhérent du GEM de Vitry qui compose des musiques de mettre en musique vos textes de chansons. Il pourrait mettre vos mots en musique en tapant une note salée de votre mal de mère sur un piano ! Et pour me remercier Monsieur Bedrossian, la prochaine fois que j'irai au café, vous me paierez la note de mon café. Comme ça, vous serez inspiré pour écrire de prochains beaux textes de chansons au café, où vous écrirez des paroles en prenant des notes ! Aujourd'hui Monsieur Bedrossian, quand vous venez à mes rendez-vous, est-ce pour vous le bureau des plaintes ! "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Non Madame Teillet, depuis quelques temps comme aujourd'hui, où je viens vous voir, je viens vous voir dans le bureau des complaintes ! Après un dépôt de plainte en 2012 par une main courante, je viens pour un dépôt de complaintes ! "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Vous m'en direz temps Monsieur Bedrossian ! Vous qui avez toujours de la répartie, pourquoi ne feriez-vous pas un one man show ? "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- Madame Teillet, vous faites bien de me le dire. En ce moment, il fait très chaud et trop chaud, surtout que c'est chaud tout ce qui se passe en ce moment. La planète brûle et notre maison brûle ! Pour mûrir en paix, je compte fumer le calumet de la paix en faisant un pire one man chaud ou un pyromane show ! Surtout que ça me chante enfin de passer des maux aux mots sensuels ! Comme on connaît la chanson de tout mon harcèlement scolaire à chaque rentrée scolaire ! OTAN maintenant entrer dans le harcèlement solaire à chaque rentrée solaire. Au temps ne pas être bipolaire dans la mauvaise humeur et autant rester dans la bonne humeur d'une note sucrée de partition avant ma retraite par répartition en perdition ! Voilà Madame Teillet, j'ai décidé de faire comme mon médecin traitant; en étant bientraitant et en n'étant plus jamais maltraitant et vilain à la prison de la santé ! Même si mon médecin traitant s'appelle le Docteur Vilain ! "

 

Jérôme de Mars

Un hamac en délit 

 

Délit d'fuite au repos !

Le repos éternel

Se mérite dos à dos !

Rejoignant l'essentiel

 

En un des lits mineurs !

Surtout à l'âge majeur,

A l'état de majeur !

Au charbon trop mineur !

 

En faisant travailler

Ceux qui veulent reposer

Durant l'éternité !

Qu'ils en ont tant saigner

 

Leur vie sur le bûcher !

Souffrant de coups de chauds

En langue d'bois de boucher !

Surtout en porte-à-faux !

 

Un hamac en délit

Se repose dans son lit;

Attendant le délit

Endormi dans son lit !

 

En délit d'abstinence

D'une grande loi du silence !

Faisant sa repentance

Aguerrie dans l'offense !

 

Cherchant un des lits pieux !

Pour prier en créchant

Tout en prêchant son pieu !

Repêchant les méchants

 

Et tous les mécréants,

Ayant une crise de foi !

Leur causant des tourments

D'un profond désarroi !

 

Et repêchant leurs fautes,

Ils attendent tant la mort !

Pourvu qu'la vie leur ôte !

Leur envie d'être hôte ! Hors

 

Un hamac en délit

Se repose dans son lit;

Attendant le délit

Endormi dans son lit !

 

N'regrettant les remords

D'avoir buté et rebuté,

D'avoir débuté corps

De son âme dépitée !

 

De n'être raccord en lui !

Lui qui ne veut être d'accord

D'sa personne qui s'ensuit !

En faisant le décor

 

Orné d'ses arabesques,

Il fit les quatre cent coûts

De sa vie ubuesque !

Faisant les quatre sang coups !

 

Et ne se reposant

Jamais sur ses lauriers !

S'il devenait brillant

Pour s'réhabiliter !

 

Un hamac en délit

Se repose dans son lit;

Attendant le délit

Endormi dans son lit !

 

Jérôme de Mars

 

 

Le soleil ouvre les fenêtres !

 

Soleil de plomb; plein d'aplomb !

Le matin dès les aurores

En une liberté de ton !

Le soleil donne du folklore

 

A ce beau temps fabuleux !

Qui rend fou d'un grand amour,

Le ciel bleu rêvant joyeux

Qu'il y ait un troubadour !

 

Pour faire rimer l'verbe aimer

En déclaration d'amour !

Dans un signal qui émet

Quelque chose, dont c'est le tour !

 

D'aimer chanter des refrains

Lors du printemps pour donner

Au soleil l'amour sans frein !

Et pour tant s'y adonner,

 

Le soleil ouvre les fenêtres !

Montrant son profond bien-être !

Et donc pour réapparaître;

Paraître, il faut ah ! Paraître !

 

Comme le soleil dans le ciel !

Grattant le ciel d'un gratte ciel !

Pour remonter l'arc en ciel

Au pays intemporel !

 

Des joies très indémodables,

Dont le temps n'a aucune prise

Sur les bons gens fréquentables

Et stables sans aucune méprise !

 

Le soleil fait ressortir

Le meilleur chez tous les gens !

Pour le plaisir de sortir !

Quitte à assortir le temps

 

Jusqu'au firmament plaisant

Durant les jours agréables !

Qui rendent tout ce temps charmant !

Convaincu d'l'effet affable !

 

Le soleil ouvre les fenêtres !

Montrant son profond bien-être !

Et donc pour réapparaître; 

Paraître, il faut ah ! Paraître

 

Aimant; essaimant la vie

Comme un poisson dans son eau !

Comme un aimant sans la nuit !

Attendant d'un sirocco,

 

Que personne ne jette un vent !

Luit mettant; donnant un vent !

Restant dans le vent qui vend

Que du vent; disant bon vent !

 

Qui veut de l'eldorado ?

Dormant à la belle étoile  !

Faisant un dodo d'oiseau

Priant pour sa bonne étoile !

 

Qu'l'amour a temps à revendre !

Grâce à un effet de vent

De l'amour toujours à vendre !

Surtout quand l'vent vend du vent !

 

Le soleil ouvre les fenêtres !

Montrant son profond bien-être !

Et donc pour réapparaître;

Paraître, il faut ah ! Paraître !

 

Jérôme de Mars

 

 

Désespèrent des experts !

 

Des experts Miami;

Des imper mi amis

Font tout l'temps la police !

Ex pairs; hein pairs qui glissent;

 

Arrêtant les voyous !

Faisant tous des patrouilles

D'un monde anti-ripoux !

Qu'ils font tant de chatouilles

 

Avec les gros pervers

Narcissiques psychopathes !

Avec dans leurs revers;

Quelque chose qui épate

 

Tous leurs plus bas instincts

Dans ce monde de requins;

Qui est fait de malsains,

Ne cherchant tous les Saints !

 

Désespèrent des experts !

Si leurs impers espèrent

Des hein pairs désespèrent !

Si leurs impers espèrent

 

Une série Columbo

En un Maigret d'canards

D'un poulet columbo !

Donnant que des rencards

 

Aux gens qui ont le trac !

D'avoir toute la police

Maniaque qui les matraque !

D'n'avoir toute la peau lisse

 

En quête de statistique !

Pour absoudre les péchés,

Enquête de balistique !

Pour résoudre les excès

 

D'une belle crise de folie !

Ayant en grain d'beauté;

Un grand grain de folie !

Ayant en grain d'bonté

 

Désespèrent des experts !

Si leurs impers espèrent

Des hein pairs désespèrent !

Si leurs impers espèrent

 

Des excès de vitesse;

Ils en rongent trop leur frein

En boîte à deux vitesses !

Ils ont toujours un grain !

 

Clamant cléments; coupables

D'leurs péchés repéchés !

S'ils sont tous responsables !

De n'avoir arrêté

 

Leurs côtés offensifs !

Frôlant le gros danger

Et si inoffensifs;

Là, ils se rachetaient;

 

Se réhabilitaient,

Et tous se rédemptaient

Tant dans la loyauté !

Que dans la probité !

 

Désespèrent des experts !

Si leurs impers espèrent

Des hein pairs désespèrent !

Si leurs impers espèrent.

 

Jérôme de Mars

 

Les Inconnus ne furent jamais Nuls !

 

Pliés en quatre alors qu'ils furent trois !

La France des belles années boute-entrain !

Des années 80,90, soit

La meilleure période de tous copains !

 

Vous vous rendez compte des inconnus;

Qui devinrent très connus en succès

Aux travers d'leur humour éperdu !

Qu'ils crevèrent l'abcès avec excès !

 

De sortir tous des sentiers battus

Du petit théâtre de grand Bouvard !

Faisant tant rire à bâtons rompus !

A la télé et sur scène bavards;

 

A jamais en avance sur leur temps !

Dénonçant dans la caricature

Les travers de tout qui fout le camp !

Grossissant les traits d'désinvolture !

 

Les Inconnus ne furent jamais Nuls !

Même les Nuls ne furent jamais des nuls

Dans leur humour inconnu point nul !

Les inconnus furent plus connus qu'Nuls !

 

Les Nuls furent lancés sur leur lancée

Par Canal Plus ! trop plié en quatre !

Elancé à la chaîne survoltée;

Ils essuyèrent en premiers les plâtres !

 

En leur humour moderne; impertinent !

Limite effronté d'époque baroque !

Les Nuls furent cyniques; désopilants !

Qu'grâce à eux; les conventions suffoquent !

 

D'un fuck comme gros mot ! Y a d'la mémoire

Dans les thèmes abordés pour l'époque !

Qu'ils se défoulèrent; donnant déboires

Et à manger ! Fil à retordre d'toc !

 

Les Nuls ne furent jamais inconnus !

A peine plus connus qu'les Inconnus !

Leur humour fut lunaire; bipolaire

En harmonie de c'monde incendiaire !

 

Les Inconnus ne furent jamais Nuls !

Même les Nuls ne furent jamais des nuls

Dans leur humour inconnu point nul !

Les inconnus furent plus connus qu'Nuls !

 

Les Nuls ne sont pas des Inconnus !

Ils sont largement plus connus qu'Nuls !

Autant vaches des pis que les inconnus

Dans la rue, où y a des gens plus nuls

 

Ou moins Nuls que tous les inconnus

D'la rue qui ne connaissent pas ces nuls !

Ces Inconnus loin d'être inconnus;

Ni plus ni moins nuls qu'les archi nuls;

 

Qui eux restent toujours des inconnus;

Nuls mais moins connus que des gros nuls;

Qui eux sont moins connus qu'inconnus !

Que nul dans le monde de l'inconnu !

 

Un connu égale des Inconnus;

Qui régalent des gens connus et Nuls !

Autant que des nuls si inconnus;

Résultats Inconnus Nuls; match nul !

 

Les Inconnus ne furent jamais Nuls !

Même les Nuls ne furent jamais des nuls

Dans leur humour inconnu point nul !

Les inconnus furent plus connus !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

On s'fait des tifs !

 

Une petite saynète entre le personnel du CMP de Vitry-sur-Seine et Jérôme Bedrossian, un patient du CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine va au CMP de Vitry-sur-Seine pour s'entretenir avec son infirmier référent : " Jean-Yves Louchouarn " :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- "  Bonjour Jean-Yves, comment allez-vous ? "

 

Jean-Yves Louchouarn, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour, Je vais bien Jérôme ! Quelle est la raison de votre venue au CMP ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

" Jean-Yves, je voulais vous poser une question. La détresse des patients est-il votre fonds de commerce ? "

 

Jean-Yves Louchouarn, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Jérôme, vous vous rendez compte de ce que vous me demandez.

     Jérôme, votre détresse, ce n'est pas mon fonds de commerce !

    Vous n'avez rien à me prouver Jérôme. A force de vous faire des cheveux, vous êtes un chauve hein, un chauvin. Vous vous faites des tifs avec en rectificatif, le fait que vous voulez qu'on vous donne un éventuel sédatif. Jérôme, vous vous fabriquez vous-même votre propre des tresses que votre psychiatre ne vous a jamais donné de sédatifs pour être tranquille ! "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine va au CMP de Vitry-sur-Seine pour s'entretenir avec sa psychiatre : " Madame Teillet "  :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Madame Teillet, comment allez-vous ? "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Monsieur Bedrossian, je vais bien. Quoi de neuf vous concernant ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Madame Teillet, je voulais vous demander. Même si je vais mieux, me soutenez-vous encore en tant que psychiatre face à mes névroses ? "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bien sûr Monsieur Bedrossian que je vous soutiens pour vous soigner de nos névroses. Vous n'avez qu'à me dire : " Et Teillet ( Etayez ) mes propos pour vous soutenir Monsieur Bedrossian ! "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine va au CMP de Vitry-sur-Seine pour s'entretenir avec sa psychomotricienne : "  Aurélia Korkoff  "  :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Aurélia, comment allez-vous ? "

 

Aurélia Korkoff, psychomotricienne au CMP de Vitry-sur-Seine :

- "  Bonjour Jérôme, je vais bien. J'ai l'impression que vous allez tant bien que mâle ! Même si ça fait mâle, dites-moi ce qui vous angoisse ! "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Vous vous rappelez de Marie-France, l'ancienne secrétaire du service social du CMP de Vitry-sur-Seine qui travaillait avec Monsieur Olivier Commaret, à votre avis, pourquoi Marie-France avait-elle était agressive avec moi un mardi vers 12h15 en Novembre 2016 ? "

 

Aurélia Korkoff, psychomotricienne au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Jérôme, ce n'est pas vous ce jour-là qui avez été fou malgré votre maladie, c'est Marie-France qui a été trop impatiente avec vous alors qu'elle n'était pas patiente du CMP de Vitry-sur-Seine; Elle vous avait parlé agressivement car elle-même, elle était pas nette dans sa tête. Elle avait des soucis psychiques sur à Terre nette depuis son ordinateur. Je suis désolé pour vous Jérôme.

Vous; ce jour-là qui n'avez pas eu de garde-fous en la personne de Marie-France, qui ne fut pas avec vous une Marie galante avec votre bel il sans mère. "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine va au CMP de Vitry-sur-Seine pour s'entretenir avec son autre infirmier référent : " Gurvan Queffélec " :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Gurvan, comment allez-vous ? "

 

 Gurvan Queffélec, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Jérôme, je vais bien. Qu'avez-vous à me raconter de nouveau ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Je voulais vous demander Gurvan, y a-t-il prescription pour mes erreurs du passé ? "

 

 Gurvan Queffélec, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Oui Jérôme, y a prescription pour vous erreurs du passé que Madame Teillet vous prescrit toujours des médicaments pour que vous erreurs du passé soient proscrites à l'avenir ! "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine va au CMP de Vitry-sur-Seine pour s'entretenir avec son infirmière référente : "  Carole Baltazar " :

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Carole, comment allez-vous ? "

 

Carole Baltazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Bonjour Jérôme, je vais bien. Que voulez-vous me demander ? "

 

Jérôme Bedrossian, un patient au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " A votre avis Carole, pourquoi à votre avis, n'arrête-je pas de faire des appels démasqués au CMP de Vitry-sur-Seine avec mon portable ? "

 

Carole Baltazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

- " Jérôme, si vous n'arrêtez pas de faire des appels masqués au CMP de Vitry-sur-Seine, c'est parce-que vous avez tout le temps comme mobile vos idées fixes. Vous avez tellement des idées fixes dans votre tête que vous vous servez de votre mobile pour nous exportez vos appels masqués. Afin que ça nous importe d'importer vos appels masqués en vous démasquant.

C'est cela que vous avez comme mobile pour que ça bouge

dans votre belle vie rebelle. "

 

Jérôme de Mars

 

Reflet de la société capitaliste

 

Reflet de la société capitaliste en France, plus personne ne compte pour la société Française et plus personne ne compte sur personne; il faut juste compter sur soi dans cette société capitaliste et individualiste, les gens ne comptent pour les autres qu'en termes d'argent et de rentabilité, où on prend tout en paroles pour argent comptant, cela est vrai quelque part comme le silence est d'or et la parole est d'argent ! Mais à mon avis, pas grand-monde ne sait que l'argent, on ne l'emporte pas dans la tombe ! Laisse-béton ! Surtout si la tombe est faite de béton avec un monument aux remords de ne pas avoir assez profité de son argent du temps de son vivant; mort-vivant, dont nous embêtons la société de consommation avec pour fonds de commerce; l'argent à tout va comme si chaque Français naissait avec une cuillère en argent; à part que l'argent fait ramasser les gens à la petite cuillère en n'y allant pas avec le dos de la cuillère, surtout en quête de profit juste pour en faire profiter l'état dans l'état où est La France, comme on dit l'argent n'a pas d'odeur ! Même quand il sent la merde ! Bien mal à qui ne profite jamais à part aux puissants cocus ou aux impuissants qu'au cul touts-puissants; bien trop puissants pour jouer au jeu Puissance 4; plié en quatre juste pour tirer son épingle de l'enjeu financier du reflet de la société capitaliste ultra-libéral qu'hait La France, tout le monde vote à gauche en prenant le gauche; tout le monde pivote à droite de façon mal à droite; et personne n'est content de l'apolitique à part jeter le discrédit aux hommes politiques; qui donnent du crédit à l'extrême-droite; qui parle à maux découverts de l'état de La France pour établir comme diagnostic que plus personne n'est logé à la même enseigne ! Que plus personne naît content comme tout le monde en saigne contant ! Et que plus personne n'est content d'être en France ! Or de métal; tout le monde est comptant d'hêtre en France pour jouer aux accordéons de la Bourse, un coût; les gens remplissent leur bourse; un coup; les gens déboursent en payant chair pour vider leurs bourses dans la course solitaire du profit; of course pas vraiment solidaire, car juste à leur profit ! C'est pour cela qu'après le monument aux morts de la pierre tombale; voici le monument aux remords de la pierre timbale, où une fois que t'es mort; tout ton argent va à l'état en mettant de ton vivant mort-vivant; tout ton argent en héritage taxé par la succession décès en d'essais, car une fois que t'es crevé; t'es la roue de secours financière pour renflouer l'état de la France en piteux état, où une fois mort; tout le monde te laisse-béton dans ta pierre tombale en béton, toi dur comme fer; et si t'y crois dur comme fer à l'enfer; tu iras en enfer pour ne plus t'en fer, tellement que c'est le pot de terre contre le pot de fer, et maintenant que tu es mis en terre bien à terre; tout cela va te laisser bien de marbre pour l'éternité dans ta pierre tombale en marbre ! Où tu auras juste travaillé de ton vivant pour bien t'enterrer mort-vivant ! Où toi pauvre sur Terre; sous terre; tu n'auras juste servi qu'à enrichir l'état de La France, car à présent dans l'état où tu seras; tu seras bien en meilleur état que La France aux reflets de la société capitaliste.

 

Jérôme de Mars   

Le monde n'est guère en paix !

 

Sous les meilleurs auspices

D'un paradis d'en faire

Une grande loi d'armistice;

Le monde est un enfer

 

D'en faire avec les autres;

Un grand monde retranché !

Où personne ne se vautre,

Comme le vôtre est tranché

 

En une guerre de tranchée !

Pour se trancher les veines,

Pour trancher; retrancher

Tout l'immonde dans la veine !

 

Des gens qui sont sanguins;

Soldats au garde avoue !

Qu'il y a des gens sans gains;

Soldats au garde-à-vous !

 

Le monde n'est guère en paix !

Depuis naguère toupet,

Le monde naît guerre en paix !

Qu'il n'y a guère de respect !

 

Parmi l'humanité

Qui s'regarde dans la glace !

Mon colonel ! Dégustez !

Un colonel en glace !

 

En service militaire;

Il y a à votre service !

Ses vices militaires;

Qu'il y a à votre service !

 

Char d'assaut en sursaut;

Il y a des tanks de guerre !

Char des sots en sûr sot;

Il y a des tanks naguère !

 

En alerte à la bombe

Pour tout dégoupiller,

C'est toujours de la bombe !

Pour tout faire exploser

 

Le monde n'est guère en paix !

Depuis naguère toupet,

Le monde naît guerre en paix !

Qu'il n'y a guère de respect !

 

Pour tout désamorcer

Toutes les tensions sociales,

Pour tant désamorcer

Toutes les tensions raciales,

 

L'caporal qui dit cap !

Avec le bazooka;

Capitaine dit recap !

Ayant la baraka !

 

Quand la marine le peine

Tout ce gros lance-roquettes !

Quand y a Marine Le Pen,

Qui lance Rue d'La Roquette !

 

Un Paris sous les bombes !

Relevant mode avion

Un pari sous les bombes !

Levant en mode avion

 

Le monde n'est guère en paix !

Depuis naguère toupet,

Le monde naît guerre en paix !

Qu'il n'y a guère de respect !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                           Jamais deux sans trois poèmes !

 

 

Aux berges Espagnoles,       Auberge Espagnole,         O berge Espagnole,

 

Comme à la raison !             Comme à la maison  !       Comme à la saison !

 

En âge d'agir;                      Emménage d'agir;            En nage d'agir;

 

Tout tombe allo !                 Tout tombe hello !             Tout tombe à l'eau !

 

Pointure à l'huile !                 Peinture à l'huile !              Pâture à l'huile !

 

Sortant du cadre                 Assortissant du cadre           Ressortant hors-cadre

 

Au jeu de la raison !            Enjeu de l'oraison !           Hors-jeu de l'horizon !

 

Assis sur sept chaises !        A scie sur cette chaise !    Aussi sûr set à chase !

 

Jamais deux sans trois poèmes d'eux sans étroit totem d'eux sans détroit bohème !

 

 

                                         Jérôme de Mars

 

Si on chantait au bon endroit !

 

Boulevard des chansons passées;

Il y a l'effet miroir de boire

Des vers de poèmes condensés !

Histoire d'émouvoir en standard;

 

Des chansons magnifiques; s'enivrant

Au blues des chansons d'acolytes;

Trouvant des mots euphorisants,

Comme un artiste hétéroclite

 

Qui écrit des Madeleines d'Proust !

Pour faire languir les impatients

Quidams du questionnaire de Proust !

Dansant sur claquettes à mi-temps !

 

Il faut trouver tant de paroles !

Pour parler un langage fleuri,

Organisant une farandole;

Qui te dit; personne ne t'oublie !

 

Si on chantait au bon endroit !

En arrondissant les angles droits;

Jonglant en des mots moins étroits;

De l'endroit à l'an droit adroits !

 

Il faut trouver la bonne adresse !

Jamais la moins bonne maladresse;

Encore moins la mauvaise adresse !

Plus à la mauvaise maladresse !

 

Il vaut mieux chanter qu'déchanter

Les mots qu'on n'arrive à trouver !

A part trouver sa destinée;

Destinée aux désenchantés !

 

Qui assistent au chant des concerts;

Des concerts qui arrangent tout l'monde;

Qui se mélange et qui dessert

En micros trottoirs; toute une sonde !

 

Chantant de la musique publique

En privé ! Place d'la république !

Enchantant au karaoké;

Leurs souvenirs, car ah ok !

 

Si on chantait au bon endroit !

En arrondissant les angles droits;

Jonglant en des mots moins étroits;

De l'endroit à l'an droit adroits !

 

Mettant des pièces sur le juke-box;

Faisant l'appoint d'une pièce d'théâtre !

Comme dans un défouloir de boxe,

Un exutoire qui essuie les plâtres !

 

D'un télé-crochet accroché !

Vivant aux crochets d'capitaine

Crochet qui faisait du crochet !

Battant à plate couture des dés !

 

Pour aider et s'aider des dés !

Dés de couture pour fendre l'armure

De ceux qui ne sont épargnés !

Par la vie qui a été dure

 

Envers ceux qui sont malheureux !

D'avoir éperdu malchanceux

Au jeu d'on connaît la chanson !

On n'a été à reculons !

 

Si on chantait au bon endroit !

En arrondissant les angles droits;

Jonglant en des mots moins étroits;

De l'endroit à l'an droit adroits !

 

Jérôme de Mars

 

 

Amende à lire !

 

En contre danse;

Manger l'amende

Est redondance

A la demande !

 

Comme la télé;

Qui la rallume

Cette star télé;

Fumant sa brume !

 

Elle qui est blonde;

Si cultivée !

Star qui abonde

Son franc-parler !

 

Elle qui fut là

Muse ! D'Salvador

Dali d'éclats !

Tous qui adorent

 

Amende à lire !

Malgré son ire;

Amanda Lear

Pour lire son ire,

 

Comme le Roi Lear;

Folle Amanda !

Qui fait relire

Folle amenda

 

D'sa tirelire;

Pièce détachée !

Elle fait que l'ire !

Sans s'ménager;

 

Tous à la chaîne

Sur la Grance Rai !

Chaîne Italienne;

Jouant sur rail !

 

L'rire sur la ville !

Cherchant la flamme !

Pour que tout vrille

Cherchez l'infâme !

 

Amende à lire !

Malgré son ire;

Amanda Lear

Pour lire son ire,

 

Tous sur la cinq !

Reçu; conçu

Tous cinq sur cinq !

Si dissolus

 

Contravention;

Procès-verbal !

A l'attention

De faire le mal !

 

A l'intention

De ses penchants

D'pénétration !

D'Amanda en

 

Train d'animer;

Méfiez-vous tous

D'la blonde fêlée !

Qui contre dense; pousse !

 

Amende à lire !

Malgré son ire;

Amanda Lear

Pour lire son ire.

 

Jérôme de Mars

Bluette sur un chemin d'été

 

Le sol tapit sans un bémol !

Toute la musique en festival;

Qui égrène les arbres de paroles;

Juste à l'horizon estival !

 

Qui lézarde le soleil léger !

A l'ombre de la lumière éclaire;

Donnant envie de fredonner

Des chansons fraîches et débonnaires

 

Dans l'air du temps; fleurant trop bon;

Des airs musicaux sirotant

Un verre bien frais d'bohème; au son

Du temps chaud fauve; affriolant

 

Embrasant en long feu le vent;

Sifflant l'heure d'la récréation !

Insufflant jeunes premiers; l'élan

Et soufflant dès la création !

 

Bluette sur un chemin d'été;

Buvant un Monaco d'un pied

A terre ferme; soulevant percé

Sous le vent percé transpercé;

 

L'été de chaque saison flirtant

En des amours d'été sentant

L'air romarin près d'L'Italie !

Regrettant radio Nostalgie...

 

Qui rappelle tout ce bon vieux temps !

Du temps des vinyles 45 tours !

Valant l'détour du firmament;

Faisant en retours 33 tours !

 

Se souvenant d'la belle époque !

Où les années Yé-yé flirtaient !

Jouant du rock'n'roll baroque;

Genre rock à Billy Holliday !

 

Comme Johnny Hallyday qui chante

Toute la musique que j'aime l'été !

Qui d'un air entraînant enchante;

Le meilleur durant l'été frais !

;

Bluette sur un chemin d'été;

Buvant un Monaco d'un pied

A terre ferme; soulevant percé

Sous le vent percé transpercé;

 

Assis sur un banc; attendant

Le grand mariage de l'oraison;

Patientant en ballade; fervent

Du grand ramage de la saison;

 

Bronzant d'un grand air insouciant;

Le soleil cheveux sur le vent !

Clamant d'un barrage pacifique;

D'la musique live en acoustique !

 

Chantant aux grands frais du soleil;

Le soleil qui en fait les frais!

Aux frais vermeil des belles merveilles;

Aux frais d'un air léger et frais !

 

Qui décoiffe le vent en avant !

En chantant des paroles naïves;

Effleurant l'pot pourri; fleurant

Plein d'allant; avenant furtive...

 

Bluette sur un chemin d'été;

Buvant un Monaco d'un pied

A terre ferme; soulevant percé

Sous le vent percé transpercé.

 

Jérôme de Mars

 

 

Fumeur de rasta !

 

Bonnet de la paix;

Bravant le grand froid !

Durant chaque journée

D'un amour bourgeois !

 

Donnant d'la chaleur 

Humaine en semaine !

Y a d'la ferveur !

Donnant bonne haleine !

 

A la vie de jour;

Comme de nuit cristal;

Ca vaut le détour

D'chanter amical !

 

Tous ensemble d'la joie !

En faisant l'amour;

Pas la guerre d'émois !

Il y a troubadour;

 

Fumeur de rasta !

Faisant des grands pas !

Allumant la foi !

Hip hip hip hourra !

 

Il faut cultiver

L'amour; l'amitié

Dans un Mausolée;

Qui donne en clarté

 

Un monde de soleil;

Jamaïque qui joue

D'la musique en éveil !

D'un amour qui loue

 

L'meilleur en chacun !

Un plus un égale deux !

Qui régale d'entrain

D'un monde merveilleux !

 

C'pays tropical;

Qui donne une envie

D'ouvrir encore l'bal !

Le bal de la nuit !

 

Fumeur de rasta !

Faisant des grands pas !

Allumant la foi !

Hip hip hip hourra !

 

Pour fumer la paix;

Enfumer la haine;

Pour fumer la baie

De la mer sereine;

 

Qui donne d'la bonté !

Pour tant procréer

L'amour en beauté;

Quitte à s'aérer

 

En musique d'reggae !

Qui chante là là là

En chansons très gaies!

Qui pagaient d'ébats

 

D'l'amour apaisé

En un calypso;

Qui danse arrosé

Le rosé tropicaux !

 

Fumeur de rasta !

Faisant des grands pas !

Allumant la foi !

Hip hip hip hourra !

 

Jérôme de Mars

La chute de mon histoire !

 

Il était mon histoire à dormir debout ! Qui n'arrêtait pas de raconter des histoires drôles; en faisant sans arrêt de belles histoires ! Telle est cette histoire à la chaîne sur la chaîne Histoire qui raconte mon histoire de France en l'occurrence toute mon histoire ! Qui n'a jamais eu d'histoires d'amour ! Dont j'écris des histoires à partir de ma propre histoire à dormir de bout en bout ! Dont j'ai plaint d'histoires que j'ai inventées et qui me sont vraiment arrivées dans la vie ! Car depuis que je suis né; tout le monde ne m'a fait que des histoires et je n'ai fait que des histoires à tout le monde ! A part peut-être que c'est l'histoire de ma vie à partir de toutes ces histoires ! Dont je retrace ma propre histoire ! Car à compter de maintant;

voilà la chute de mon histoire à ne pas dormir debout de bout en bout !

 

Jérôme de Mars

 

Buster qui tonne !

 

Artiste d'génie !

Et qui naquit

Le 4 Octobre;

Jamais presque sobre !

 

Il fut affût

Un drôle d'acteur;

Conçu; confus !

Un producteur

 

Scénariste; artiste

Réalisant

Des films altruistes;

Très hilarants !

 

Les feux d'La Rampe;

Il fut l'modèle

D'Chaplin qui décampe

En gestuelle !

 

Buster qui tonne !

Luit qui détonne

Buster Keaton;

Lui qui entonne !

 

Montrant ses pattes

De velours en film;

Que ça l'épate

D'se faire des films !

 

Genre si burlesque;

Qu'il n'rit jamais !

Comme dans une fresque;

Il eut le toupet

 

D'être boulevard

Du crépuscule !

Fumant l'cigare

Que ça bouscule

 

Sa vie en excès !

Qu'il fut hardy

En crevant d'excès !

Tel est Hardi !

 

Buster qui tonne !

Luit qui détonne

Buster Keaton;

Lui qui entonne !

 

Qu'il mourut à

P'tit feu ! Faisant

Tout un tabac !

Mâle en crevant

 

D'un cancer d'louanges !

Donc du poumon;

Qu'il appelle l'ange

Sur un wagon !

 

Pour retarder

L'hiver d'sa mort !

Tout en muet

En un rang fort !

 

En train d'mourir

L'1er Février !

A toujours rire;

Calumet d'paix !

 

Buster qui tonne !

Luit qui détonne

Buster Keaton;

Lui qui entonne !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Pierre lance des cailloux !

 

Pierre jette que des pierres;

Pierres à l'édifice !

Lançant d'un lance-pierres !

Que des artifices;

 

Buvant sur la roche;

Un grand Monaco !

Anguille sous une roche !

Pied à Monaco !

 

Depuis le Rocher,

Tournant sur gravier;

Monaco Rocher !

Ayant ricoché

 

D'un caillou sur pierre;

Pierre n'a pas d'cheveux !

Sur le caillou d'Pierre !

Qui s'fait des cheveux !

 

Pierre lance des cailloux !

Rien sur le caillou !

Pierre qui roule d'caillou !

Ramasse le caillou !

 

Comme un ricochet !

Qui écorche une pierre;

Qui va ricocher

L'écorce terrestre d'Pierre !

 

Pierre hibou caillou !

Chouchou sur cailloux !

Chantant roc de pierre !

Tout un rock de Pierre !

 

Faisant tout un feu

De pierre en deux pierres,

Comme un pot-au-feu !

D'une pierre deux coups d'Pierre !

 

Pierre qui roule n'amasse

Pas mousse ! Qu'il s'émousse

Trop à la ramasse !

Qu'il écume en mousse !

 

Pierre lance des cailloux !

Rien sur le caillou !

Pierre qui roule d'caillou !

Ramasse le caillou !

 

Pas d'pierre sur cailloux !

Pierre n'a pas de pierre !

Cheveux sur cailloux !

Payé au lance-pierres !

 

Pierre lance le caillou !

Caillou sur gravier;

Qu'il écorche l'caillou !

Comme un ricochet !

 

Qui écorche le nom

De Pierre sur une pierre;

Pierre dit toujours nom

A la pierre de Pierre !

 

Anguille sous une roche

En pierre écorchée;

Nom de nom d'une roche !

Pierre a écorché;

 

Pierre lance des cailloux !

Rien sur le caillou !

Pierre qui roule d'caillou !

Ramasse le caillou !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Et meutes !

 

Un monde

De fous;

Qui fronde

Ripou !

 

En guerre

Si vile !

Naguère

Civile !

 

Sans mots

Tout doux !

En maux

Relous !

 

Ce qui 

Frappe tant

Acquis;

Flirtant

 

Et meutes;

L'émeute;

Emeutes;

Les meutes

 

De loups;

Qui louent;

Allouent

Qu'des coups !

 

En France;

Pays

Défiance;

Dépit

 

Bien bas;

Il y a 

Débat

D'fracas !

 

Ce qui

Ne va !

Requis;

Tracas !

 

Et meutes;

L'émeute;

Emeutes;

Les meutes

 

Déviances

Dans la

Violence;

Hop là !

 

Tout va

Très mal !

Appât

Frontal !

 

Tout l'monde

S'affronte !

L'immonde

Fait honte !

 

Personne

S'entend !

Qu'ça tonne

Méchant !

 

Et meutes;

L'émeute;

Emeutes;

Les meutes.

 

Jérôme de Mars