Blague :

 

 

Pourquoi parle-t-on plus maintenant de la guerre entre L'Azerbaïdjan et L'Arménie ? - Pour qu'on en fasse toute une montagne du Caucase  !

 

 

                                       Jérôme de Mars

Comme une chanson !

 

A midi inouï,

Enchanté, en chanté,

Il faut chanter la vie !

Même déchanté

 

Par les épreuves

D'la vie ainsi,

Qui abreuve

Qu'il faut aussi

 

Rester jovial

Et charmant !

D'façon l'égale

Avec les gens !

 

En tenant paroles !

Et en fredonnant

Lors des farandoles

Des mots amusants,

 

Comme une chanson !

Que chantent gais-pinsons

Les joyeux lurons

Vers l'horizon du balcon,

 

Où il faut entonner

Des mots d'émeraude,

Qui font rêver et songer

En faisant des maraudes,

 

Le temps d'la nuit !

Entonnant ses amours

Avant l'embellie

Du jour à rebours,

 

Où il faut aimer

La musique tendance,

Qui fait chavirer

Sur un slow de danse,

 

Même si la vie,

C'est d'la redondance !

Et qu'il faut avoir envie

Pour avoir de l'abondance,

 

Comme une chanson !

Que chantent gais-pinsons

Les joyeux lurons

Vers l'horizon du balcon,

 

Qui rêvent du paradis

Et du bon vieux temps,

Ecoutant Vanessa Paradis

En sifflotant souriant !

 

A la nostalgie

Des éclats d'autrefois,

Qui flirtaient à l'envie

En faisant la nouba !

 

Avec d'la musique

Qui n'oublie pas

Ses mélodies dynamiques,

Enchantant il y a

 

Toujours la vie !

Chuchotant des mots doux,

Avec une si belle poésie

En garde-fou !

 

Comme une chanson !

Que chantent gais-pinsons

Les joyeux lurons

Vers l'horizon du balcon.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

J'ferais des calculs !

 

Si j'trouvais le bon mot !

Je jouerais une note salée

Sur un piano synchro

En mélodies argentées !

 

Du sel de mes paroles

Acidulées et contées,

Que c'serait la farandole

Ciselée et écimée,

 

Où je pourrais bref compter

Sur mes poèmes,

A en conter et raconter

Ma vie d'bohème

 

Sans calculs mentaux,

Mais dont c'serait

L'addition en eau

Salée, où désormais

 

J'ferais des calculs !

Pour qu'on me calcule !

Que je recalcule !

Pour qu'on me recalcule !

 

Comme j'ne compte

Sur personne divisée,

Qui n'escompte

Multiplié que je soustrais !

 

En ayant la totale

Du résultat cumulé !

Et accumulé fatale !

Moins que rien faisait,

 

Ajouté aux calculs mentaux !

Dont je n'ai plus rien !

A part mes mots mélos,

Mes lots genre machins,

 

C'est l'même refrain !

Que j'déchiffre tout !

En prenant rien

A la lettre où en garde-fous,

 

 

J'ferais des calculs !

Pour qu'on me calcule !

Que je recalcule !

Pour qu'on me recalcule !

 

L'ivresse d'ma solitude,

Avec en prélude ma lettre

Pour consonne à l'étude,

Qui élude mon mal-être !

 

Pour qu'on sonne !

Et qu'on me réveille !

Pour que résonne !

En étincelles l'soleil !

 

Avec lors du réveil,

L'heure d'vérité !

Qui veille et surveille

Mes mots francs parlés,

 

Afin que j'compte !

Et qu'on compte sur moi !

D'où au bout du compte,

Je compte il était une fois !

 

 

J'ferais des calculs !

Pour qu'on me calcule !

Que je recalcule !

Pour qu'on me recalcule !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Et dis tôt !

 

Bonjour chers Français ! Oppressés par cette revue de presse pressée, comme un citron doux-amer de cette époque empressée, telle une orange que les voitures pressées passent au feu orange, sans que les gendarmes ne leur donnent le feu vert qui font que les gens qui ont des petits vélos roulent comme des fous en grillant les feux rouges, comme tout le monde voit rouge en ce moment en France ! En grillant leurs dernières touches de cigarettes pour mourir grillés auprès de tout le monde à petit feu ! Et partir en fumée comme un écran de fumée qui attend les fumeurs enfumés par la hausse des prix du tabac, pour faire un tabac dans le budget 2023 qui a été présenté ce matin par Emmanuel Macron et Elizabeth Borne, qui dépassent tous les deux les bornes, comme pour la réforme des retraites pour que les salariés ne loupent pas le dernier métro au train, où vont les choses vu qu'en France tout déraille ! Et qu'il y a une grande pénurie de main-d'œuvre que pour faire avaler la pilule, le gouvernement critique les retraités qui cessent toute activité professionnelle en se dorant la pilule, et même si la pilule est ta mère, et bien pour ravaler, le gouvernement rendra la pilule du lendemain gratuite pour les femmes de moins de 26 ans, déjà que ce monde est olé olé et que la sécurité sociale est de plus en plus de mal en pis en dépits d'une vache à lait, dont c'est du petit laid en ces périodes de vaches maigres ! En ce monde très Haut ! Laid ! De par lequel, tous Les Français aigris et désabusés ne font que déguster avec leurs fins de mois difficiles qu'ils mangent de la vache enragée ! Et si jamais Macron fait sa réforme des retraites pour trépasser l'âge légal de départ à 65 ans, et bien les handicapés se mettront en station debout pour défiler plus vite que les étoiles brisées d'Hollywood ce qui fera qu'à coût sûr, ils feront battre en retraite le gouvernement sur sa réforme des retraites, en ne faisant plus aller au charbon mine de rien La RATP et La SNCF qui sont les dernières locomotives des régimes spéciaux de retraite, à un tel point qu'ils font suer le gouvernement en leur faisant avoir des vapeurs en coûts de chaud dans ce budget 2023 qui sent la sinécure d'austérité, comme le bouclier tarifaire à ce tarif-là ! Déjà que tous les Français n'ont plus d'énergie étant à voile et à vapeur ! Qu'ils n'ont plus la force de repasser leur linge, comme ils lavent épuisés tous leur linge sale en famille, en criant à l'infâmie qu'ils tombent tous la chemise, en bombant leur torse en faisant une entorse à l'inflation, si bien que tout coûte tellement cher qu'il n 'y a pas de prix pour faire des économies d'énergie, surtout face à la guerre en Ukraine perpétrée par la Russie à coûts de roulette Russe, déjà qu'en France, les prix n'arrêtent pas de grimper à cause de l'inflation que pour les Français, ce sont souvent les montagnes Russes à coups de vodka, ce qui fait que les retraités pour mieux vivre et s'en sortir malgré leur précarité, ils sont obligés d'être patients pour toucher L'APA : Aide Pour les Assistés comme si on les allait mettre en pension pour qu'ils veuillent faire leur lit en portefeuille d'actions en scrutant la bourse de Paris du CAC 40, si bien que par conséquent quand la série Plus Belle La Vie n'existera plus, ce sera Poubelle La Vie pour faire les poubelles, en les vidant comme les hommes politiques sont tous des ordures en série, ce qui fait que les électeurs ne prennent plus du tout pour argent comptant ce que disent les hommes politiques, à mettre au dix crédits ( discrédit ) de l'apolitique de ce gouvernement de bras cassés qui fait les poches des handicapés et des retraités, et pour ceux parmi les handicapés et les retraités qui ne seront pas couverts cet hiver à cause des pénuries d'énergie, si jamais cet hiver il y a des coupures d'électricité pour les handicapés et les retraités, les handicapés et les retraités seront obligés de faire un tour de chauffe au tour de surchauffe en s'échauffant en public, qu'ils seront obligés de faire de la vante à la découpe pour qu'ils aillent à la soupe populaire de leur banque alimentaire, comme il n'y a plus du tout de sous dans les caisses de La France vu son Etat, et afin de remédier à cela, le gouvernement ferait mieux de renforcer l'accompagnement des bénéficiaires du RSA : Revenu Sans Activité, afin de les orienter vers les métiers en tension, comme en France, tout le monde est sous tension et La France sous perfusion, déjà que tous les téléspectateurs fourmillent de programmes à gogo sur la TNT qui explose les chaînes historiques, où quiconque fait attention à ce qu'il dépense aux dépens des bars, des restaurants, des cinémas et des salles de spectacle comme à la Cigale qui fourmille de comiques en vivier de talents, mais comme à leurs dépens, les Français n'ont plus de sous pour aller dans ces fonds de commerce, les Français en grande majorité économe préfèrent regarder chez eux les chaînes d'infos CNEWS et BFMTV, où tout le monde pète un câble, asservi sur un plateau avec zéro fibre sociale parmi les Zemmour, Pascal Praud et Jean-Marc Morandini qui sont là, et afin de faire en sorte qu'aucun téléspectateur ne se barre, ils rembarrent tous le politiquement correct, comme leur unique fonds de commerce est de dire  que ce qui va mal en buvant leurs déboires de café du commerce, et pas ce qui va bien, ce qui fait qu'en France, plus grand-monde ne fait le bien, comme tout le monde hait égoïste et ne se donne du mal pour être bien, ce qui fait qu'en piqûre de rappel, tout le monde a la rage contre le Covid, même que Les Français sont majeurs et vaccinés, et si pour être en paix, Les Français se rapprochaient d'un luit pasteur même en protestant,  ça leur permettrait de se vacciner contre la rage, afin que plus personne ne se prenne en grippe, mais s'agrippe dans la religion de l'amour et de la fraternité, car même si c'est la banqueroute en libre circulation dans cette déroute, eh bien ! Faites véhiculer et circuler sur la route autour de vous, peace and love ! Mes chers frères ! 

 

Jérôme de Mars 

Le meilleur ami

 

En lançant des dés,

Si on jouait au je

Avec Dédé !

Dont l'enjeu

 

Sera d'jouer

Cartes sur table !

Enjoué et gai

De l'affable

 

Au je d'cette

Famille ! Qui

Dira net !

Qui est qui ?

 

En jouant au

Meilleur rami

Plus faux !

Qui sera ainsi

 

L'meilleur ami

En sa compagnie,

Qui sera aussi

Celui pour la vie !

 

En qui on aura

Confiance, en

Ayant du respect

Pour lui, signifiant

 

Qu'on pourra

Tout lui dire !

Sans discontinuité

A s'en suffire !

 

Qu'il tienne paroles !

Et qu'il nous appelle

Entre amis sans bémol !

Pour qu'il veille

 

Et surveille celui !

Qu'il considère

Ras plus qu'un ami,

Comme un frère !

 

L'meilleur ami

En sa compagnie,

Qui sera aussi

Celui pour la vie !

 

En restant là

Dans les hauts

Et les bas !

Et non par défaut

 

Qu'on pourra avec

Lui, jouer cartes

Sur tables secs !

Sans pancarte,

 

En parlant vrai

Et sincère !

A lui si entier !

Comme à un frère !

 

Qu'il fera partie

Définitivement de

La famille ainsi !

Car v'là entre deux !

 

L'meilleur ami

En sa compagnie,

Qui sera aussi

Celui pour toute la vie !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Et Liane tire trop sur la corde !

 

 

Envol à la tire

                       Et liane, Eliane et Liane folies 

 

                                        Tirent 

                                            Sur la

                                                   Corde

                                                      De discorde,

                                                         

                                                                       Qui concorde

                                                                         Avec dix concordes,

                                                                         Accorde,

                                                                                  Et raccorde 

                                                                                 Qu'et liane, Eliane et Eliane

                                                                                                  Folies

                                                                                              Sèment la discorde

 

                                                                                                Sur place

                                                                                               De la discorde,

                                                                                       Qui concorde

                                                            Avec une liane qui tire sur la corde,

                                                Si bien qu'il pleut des cordes de discorde !

                                              Qui accordent et raccordent

                                            Et liane dont avec dix cordes,

                                         Et liane, Eliane et Liane 

                                     Tirent trop sur la corde raide !

                                Sûre place de la Concorde raide !

 

 

Jérôme de Mars

 

La vache à lait !

 

Périodes de vaches maigres,

J'en ai eu d'la vache enragée !

Que maintenant, je suis aigre

Doux, que je parais dérangé !

 

Alors que j'suis juste vache,

Comme la vache qui rit !

En en faisant tout un fromage,

Dont souvent, je dépéris !

 

Que ce n'est plus du p'tit lait !

Ma vie qui va de mal en pis !

En dépits de ma vache traitée,

Et maltraitée, dont je décrépis

 

En ma marque de fabrique,

Qui fait que j'suis vachement

En des états autocritiques, 

Dont c'est follement dément !

 

La vache à lait !

Vachement olé olé,

Dont c'est la vache folle au lait !

Puisque c'est vachement ah laid !

 

Dont venez quand vous voulez

Dans les arènes d'Nîmes !

Avec les vachettes, car allez

Allez allez ! Ces jeux animent

 

Ma joie de vivre faciale,

Et dont après ma vache enragée,

J'me sens en sécurité sociale !

Et plus du tout dérangé !

 

Car même si j'ne vis pas

A Angers, tout s'est arrangé !

Et tout est arrangé avec joie !

Dont me voilà revigoré !

 

Dans l'extase et l'exaltation,

Avec plus de vaches maigres !

Comme en gros, j'suis un luron !

Afin que rien n'tourne au vinaigre

 

La vache à lait !

Vachement olé olé,

Dont c'est la vache folle au lait !

Puisque c'est vachement ah laid !

 

Et que je bois du p'tit lait !

Même que je suis une peau 

De vache très olé olé olé !

En n'ayant jamais de pot !

 

Et si j'ai été en ma mauvaise foi,

Trop vache avec les gens !

J'suis et las perdu toutefois !

Il était une foi tout ce boucan

 

Dans ma vie qui vachement,

Fout bien le camp auprès !

Où j'aime cruellement les gens,

Dont le bonheur est dans l'pré !

 

Et même si je suis sur la paille !

J'ai surtout un p'tit grain de folie !

Qui fait que ma solitude m'entaille

Vachement avec de mal en pis,

 

La vache à lait !

Vachement olé olé,

Dont c'est la vache folle au lait !

Puisque c'est vachement ah laid !

 

Jérôme de Mars

 

 

Un bateau qui fait mouche !

 

Voguer en mélodie d'nostalgie,

En naviguant en eaux troubles !

Laisse présager pour la vie,

Un voyage vers l'amer qui double

 

Et redouble que la vie naît un 

Long fleuve tranquille sur taire !

Et que c'est l'même refrain !

Qui fait recommencer sur Terre

 

Sa vie récurrente en son bateau,

Qui fait revenir les souvenirs 

Enfouis qui vont à vau l'eau !

Et dont ça fait surgir et revenir

 

Les poésies d'Arthur Rimbaud,

Comme l'effet domino qui est

A la carte, dans un château

D'cartes qui fait surfer effet

 

Un bateau qui fait mouche !

En voguant d'pure souche,

Tel un seul en Seine touche 

A tout effet louche qui couche

 

Sur le papier ses mots bipolaires,

Afin qu'il fasse de sa mélancolie,

Une poésie en son mal de mer !

Qui égrène un p'tit grain de folie !

 

Qui prend sa vitesse de croisière,

Pour que le moussaillon le mousse !

Malgré sa vie qui l'fout en l'air !

D'où en jetant l'encre, il s'émousse !

 

Et où il veut larguer les amarres !

A force que sa vie l'assène !

Emise aux points qui l'rembarrent 

En amplis, avec un effet larsen

 

En son partenaire particulier,

Qu'il choisit comme mécène !

Même si sa spécialité est 

D'faire remonter sur Seine !

 

Un bateau qui fait mouche !

En voguant d'pure souche,

Tel un seul en Seine touche

A tout effet louche qui couche

 

Sur scène pour que sa vie

Soit un long fleuve tranquille !

Afin qu'il revive avec frénésie,

Envoyant des fleurs d'jonquilles !

 

Pour qu'il écrive de beaux vers

Sans œillères qu'il écarquille

Grands ouverts, à la manière

D'Baudelaire qui le frétille

 

En son influence de son osmose,

Même qu'il vit sa vie à l'envers

D'poèmes peu écrits en prose,

Qu'il écrit dus aux revers vers

 

Sa vie qui attend l'amour pour

Ecrire une musique harmonique,

Symphonique pour faire la cour !

Avec dans un océan pacifique,

 

Un bateau qui fait mouche !

En voguant d'pure souche,

Tel un seul en Seine touche

A tout effet louche qui se couche.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Quand Clara Luciani déclara que Carla brunit !

 

Sans broyer du noir et blanc

Et sans faire semblant,

Le soleil brunit 

La peau et donna du mélo

Au mot, 

Qui n'assombrit

Le tempo fleuri,

En chantant la vie !

Quand Clara Luciani déclara que Carla brunit !

Clara Luciani fit chanter Carla Bruni

Dans un concert de louanges,

Même si ce fut tiré par les cheveux brunis

De Clara Luciani et de Carla Bruni,

Comme tout fleurit et rien ne s'assombrit !

Quand Clara Luciani déclara que Carla brunit !

En s'envolant avec mésanges au pays des anges,

En chantant la vie !

Et en déchantant ce qui assombrit !

Comme Clara déclara que Carla

Chante tout ce qui est fleuri !

Avec dans ses mots des éclats de voix !

Et dont avant le tomber de la nuit !

Quand Clara Luciani déclara que Carla brunit !

Ce qui fut inouï, c'est que Clara Luciani et Carla Bruni

Toutes les deux en profitèrent pour enchanter la confrérie

En si galante compagnie,

Qui unit et réunit tout ce qui fleurit

Et rien de ce qui assombrit la vie !

Quand Clara Luciani déclara que Carla brunit !

La liturgie des cantiques de poésie,

Qui resserra la famille autant que les amis,

Même que Clara et Carla auraient pu appeler Blondie

Pour en chanter celle qui blondit !

Surtout quand Clara Luciani déclara que Carla brunit pour la vie !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Ma ballade des nerfs

 

Argent comptant sans bémol,

J'ai une parole d'argent content !

Dont j'écris ces quelques paroles,

Contant et racontant l'bon temps !

 

Où certes, l'argent est le nerf

D'la guerre depuis longtemps ! 

En ma guerre des nerfs vers

Les paroles de mes tourments,

 

Où il vaut mieux écrire une

Ballade que d'se faire envoyer

Promener en une avec rancune,

Où le tout est de trouver la paix !

 

En écrivant c'que l'on ressent,

En ne prenant au premier degré !

Racontant en argent comptant,

Les camouflets qui ont traversé

 

Ma ballade des nerfs,

Qui envoie avec colère

Moi malade des nerfs,

En route pour que j'décolère !

 

Et que je décolle l'air de rien !

Dont je n'décolère vraiment !

Que je déchante ce même refrain,

Empêtré dans un autre temps,

 

Où il est temps que j'écoute coûte

Que coûte l'expérience des gens,

Avec leur maturité que j'écoute

Sans boniments, car je n'mens !

 

Et dont l'air de rien, j'rouspète

L'air hébète dans le brouillard

Hagard, comme tout m'embête

Avec dans ma vie tout ce bazar !

 

Comme le bazar fait bien les

Choses avec tout c'mic mac !

Que j'écris des choses olé olé,

Et dont les paroles claquent

 

Ma ballade des nerfs, 

Qui envoie avec colère

Moi malade des nerfs,

En route pour que j'décolère !

 

En prenant des grands airs

Débonnaires, dont j'ai besoin

D'une embellie pulmonaire

Avec en un refrain enfreint,

 

Le fait d'rouler les airs,

Afin que je ne manque pas

D'airs en mon état austère !

Où j'ai besoin d'un appât

 

Pour chanter ma complainte,

Quand j'ai le blues léger

Ou lourd que j'dépose plainte !

En une bluette aux regrets

 

De ma vie, où j'dois me

Tenir à carreaux du rétro !

Avec un piano à queue

Pour composer en sanglots

 

Ma ballade des nerfs,

Qui envoie avec colère

Moi malade des nerfs,

En route pour que j'décolère !

 

Jérôme de Mars

 

Même qu'il y a du soleil, il pleut !

 

Contraste de la vie en ces temps bipolaires

Sur Terre, il y a de la matière !

A écrire passager jusqu'à l'éternité, pour refléter

Que le ciel est à la fois salutaire

Et délétère avec tout et son contraire !

Où le temps change chaque jour d'humeur !

Entre colère et ferveur lunatique de bonne heure

Le matin, quand se couche la lune et se lève le soleil !

Entre des instants solennels et arc en ciel dans le ciel !

Qu'il soit réel ou virtuel, mais dont il se reflète !

Comme les comètes dans le ciel entre fossettes et facettes,

Car si le temps est tantôt radieux en dormant sur son pieu !

Il faut tantôt croire à Dieu pieux !

Que même qu'il y a du soleil, il pleut !

Tellement que le climat social est morose !

Avec l'automne aphone en osmose,

Où le monde est perdu éperdu

Dans une vie davantage dissolue !

Où chez beaucoup de personnes, leur langue est si bien pendue !

Qu'ils la délient, la délit en jouant au pendu suspendu

En ce ciel, où il y a tantôt du gris et de la griserie !

Avec des nuages à l'horizon !

Et le soleil avec vue sur le balcon !

Où plus personne n'y croit

Mais où la désillusion en personne croît !

Car même si pour éradiquer les bleus de la vie et de l'ennui,

L'esprit sur Terre se réfugie quelque foi en Dieu pieux !

Il y a tout de même des gens qui sont dans l'hérésie !

Et qui préfèrent qu'il fasse tout le temps nuit !

Pour dormir en oubliant ce monde ténébreux depuis leur pieu

Avec sans omettre que dans la vie, il y a aussi pour répit l'embellie

Dans ce monde endolori, dès-qu'il y a une accalmie !

Où tout est à la fois aléatoire et linéaire que tout le monde en déduit

Que même qu'il y a du soleil, il pleut !

Comme plus personne ne croit en rien !

Mais croît à une fin 

Du monde dans leur imaginaire

En ces temps bipolaires,

Où quiconque naît rien sur Terre !

Mais juste un grain de poussière,

Si bien que tout le monde porte sa croix !

Avec dans sa croix, le fardeau qui croît

Et s'accroît en déportant sa croix !

Où plus personne n'y croit !

A la croisée des chemins

Du ciel en déclin en des clins d'œil

Enclins, en clins d'œil à se rincer l'œil !

Avec en trompe l'œil !

Un monde, où il faut composer avec les bleus

Du gris brumeux,

Et avec les bleus

De la griserie d'un ciel radieux !

Car la vie se partage désormais

Plus que jamais !

Entre l'espoir de croire à Dieu, radieux pieux !

Et de croire adieu en son pieu !

Et dont ce qu'il y a de plus insidieux 

Hait odieux, est

Que même qu'il y a du soleil, il pleut miséricordieux !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Une vache qui m'émeut quand elle prend le taureau par les cornes !

 

Sacrée vache enragée,

J'ai eu des périodes de vaches maigres dérangées,

Qui ne sont pas toujours bien arrangées

Depuis le temps que j'ai dû composer

Avec tout ça très à cheval de licorne !

En déchantant en ce slam qui écorne

Une vache qui m'émeut quand elle prend le taureau par les cornes !

Quand elle fait meuh ! Dès que je mange du pop-corn

En écoutant de la pop qui écorne

Mon image de saltimbanque,

Qui planque

Sa vache enragée,

Moi qui ai eu toutes ces périodes de vaches maigres dérangées,

Avec en gros mon fardeau qui avec le temps ne s'est arrangé !

Que j'ai décidé désabusé de fredonner des meuh !

Si bien que pour me faire quelque chose de vache et de très vache,

Il y a une vache qui m'émeut quand elle prend le taureau par les cornes !

Avec très à cheval ! Une licorne

Qui écorne

Le taureau en prenant le taureau par l'écorne, les cornes !

Que je m'encorne et je m'écorne

A me tirer les cornes !

Avec un diable d'enfer très vache ! Dont à ce que je sache !

Emeut faute de mieux !

Une grosse vache comme moi qui encorne mon image qui écorne

Une vache enragée après une période de vaches maigres qui m'émeut

Quand elle prend le taureau par les deux cornes !

 

Jérôme de Mars

La nuit à moto dans Paris

 

Quartier du Paris branché

En regardant Auto-moto !

En replay s'il vous plaît !

La nuit, il y a les bistrots

 

Qui sont ouverts en verres,

Où les badauds s'enivrent

En des verres solidaires,

Que la nuit fait vivre !

 

Et quand le bistrot ferme !

Les gens dans leurs verres

Solitaires se renferment

Chez eux, fort revers !

 

D'où éméchés, la clope

Au bec, ils veulent sortir

Et vivre une vie d'cyclopes !

Pour assortir leurs désirs

 

La nuit à moto dans Paris

Pour revivre leur folie,

Qui leur rappelle l'euphorie

D'Paris la nuit transie,

 

Surtout quand il y a

Des rebelles qui s'font

La belle avec éclats !

D'où ils touchent le fond

 

De la rébellion pour vivre

Des sensations d'action,

En chargeant l'calibre

A plein gaz en interaction !

 

Quand les motards virent

De bord à bord d'une moto !

Avec en ligne d'mire,

Leur blouson de perfecto

 

D'dur à cuir avec

Le cuire épais dans l'eau,

En des prises de becs

Pour fumer l'eldorado

 

La nuit à moto dans Paris

Pour revivre leur folie,

Qui leur rappelle l'euphorie

D'Paris la nuit transie,

 

Qu'ils rameutent leur

Meute en leur bande,

Dont c'est un leurre !

Pour eux en contrebande

 

Qu'ils fument et enfument

En faisant un tabac !

Enfumant leur amertume,

Munie d'rabat-joie !

 

Qu'il vont voir des filles

D'joie pour voir si elles

N'ont de la joie qui leur file

Le cafard qu'ils dépucellent

 

De leur signe vierge

Avec leurs verges de puceaux,

Qu'elle pipent en cierges

A eux tous ces potos !

 

La nuit à moto dans Paris

Pour revivre leur folie,

Qui leur rappelle l'euphorie

D'Paris la nuit transie.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Ca va être assez frais !

 

Braver le chaud et le froid !

Avec des coups de chauds,

Les gens sont tous en froid !

Avec dans l'échafaud !

Et dans le frigo !

Quelquefois, parfois, toutefois et dès fois !

Des cœurs d'artichaut,

Qui ne gèlent ! Car en un antigel !

Surtout le gel s'il est riche en un nanti gel !

Où là ça va être assez frais !

Surtout si ça va être à ses frais !

Et qu'il fait trop frais !

Dans le frigo,

Même si les artichauts

Sont archichauds,

Une fois

Dans le froid

En des coups de chaud de trop !

Où ça va être à ses frais !

Surtout que ça va être assez frais !

Si le chaud naît froid !

En étant en froid !

Il était une fois un sirop

Dans le froid !

En froid trop frais !

Où là ce sera chaud dans le show !

Dont ça va être vraiment à ses frais !

Comme pour de vrai et pour de faux !

Il fera si chaud dans l'échafaud !

Que ça va être trop assez frais !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

L'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique pourrait envoyer une bouteille Dugas à la Mer Morte comme il va couler !

 

Une p'tite saynète sur l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique avec tous les anciens collègues de Jérôme Bedrossian qui l'appellent à la rescousse pour qu'il revienne à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique afin qu'il reprenne son travail !

 

Parmi les anciens collègues de l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique de Jérôme Bedrossian, quelques-uns l'appellent sur son téléphone portable pour le supplier de revenir à L'ESAT :

 

Tony Angaman qui appelle Jérôme Bedrossian :

 

Tony Angaman, agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Bonjour mon pote, comment vas-tu ? Pourrais-tu revenir à L'ESAT reprendre le travail avec nous, le bateau prend l'eau à L'ESAT ?  On a besoin de toi Jérôme ! "

 

Jérôme bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  " Bonjour mon cher Tony, ça va très bien depuis que j'ai quitté L'ESAT, même que vous tous, vous étiez mes alcooliques anonymes, tout ça m'a trop soûlé avec tout ce qui s'est passé à L'ESAT, je préfère jouer des vers de flûte solidaires tout seul avec mes poèmes en les faisant partager au GEM de Vitry plutôt que de reprendre dans cet ESAT de merde en étant tout seul sur une table à cause d'un différend hait compétent avec mes revers solitaires, où comme dans cet ESAT, personne ne me calculait et où je ne comptais pour personne car je ne devais compter sur moi-même et pas sur les autres ! Débrouillez-vous tous à L'ESAT pour Dugas, ce n'est plus mon problème ! Je ne dis pas ça pour toi Tony ni pour les gens qui ont été sympas avec moi à L'ESAT, ces maux s'adressent à tous ceux qui s'en foutaient de moi dans cet ESAT dont en gros, j'ai pris de la bouteille à l'amère, comme l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique risque de couler à cause de la perte du client Dugas, un grossiste de bouteilles d'alcool, je propose que comme il n'y a plus Dugas à l'atelier conditionnement, que tout le monde suggère à la direction de cet ESAT qu'elle pourrait envoyer une bouteille Dugas à la Mer Morte comme quoi Dugas ( du gars ) a fait de beaux dégâts par des gars !  "

 

Voici maintenant Sandrine Ribé qui appelle Jérôme Bedrossian :

 

Sandrine Ribé, agent de production de L'ESAT La Fabrique :

-  "  Bonjour mon ami, moi, s'il te plaît reviens à L'ESAT La Fabrique, ça part en sucettes au nom d'une pipe cet ESAT depuis que t'es parti, et même si grâce à toi, il n'y a plus Madame Manoiline à la direction de cet ESAT, avec Madame Perrier, tout tombe à l'eau, car ça gaze comme il y a de l'eau dans le gaz !  "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

- " Nom merci sans façon, comme dans cet ESAT, tout ce que j'ai fait ce fut en vin et que j'ai failli crever dans cet ESAT dans une mise en bière, vous vous débrouillez, ce n'est plus de mon ressort, demandez à la direction de cet ESAT qu'il trouve de nouveaux acolytes anonymes qui seront ravis de mettre en boîte Dugas dont à coût sûr, ce travail ne risquera pas de les soûler contrairement à moi qui suis devenu un alcoolique anonyme à cause de tout le monde qui me mettait à l'écart dans une cellule familiale de dégrisement en reproduisant ce qu'avait fait ma mère, envoyez une bouteille à la mère morte si vous avez fait un peu de compassion encore pour moi comme il y a plusieurs agents qui s'en foutaient de moi dans cet ESAT de merde comme Coralie Ortega qui sans me défendre bec et ongles m'a dit rubis sur ongle que tout le monde s'en foutait de moi dans cet ESAT, ce qui m'a ronger les ongles de l'intérieur ! Allez tous vous soûler la gueule avec Dugas ! Comme vous disiez tous que je soûle tout le monde à L'ESAT, j'en ai plus rien à foutre de cet ESAT ! Déjà que j'ai des névroses à cause de mes conflits d'intérêt intérieurs !  "

 

Voici maintenant Christophe Pou qui appelle Jérôme Bedrossian :

 

Christophe Pou, agent de production de L'ESAT La Fabrique :

-  "  Bonjour mon pote, comment vas-tu ?  Ne voudrais-tu pas revenir à L'ESAT ? Si tu reviens à L'ESAT comme ça ce sera dans la boîte de Dugas ?  "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique :

-  "  Pas besoin de revenir à L'ESAT pour que ce soit dans la boîte de Dugas, j'ai déjà ma propre boîte à poèmes où c'est déjà dans la boîte avec mes mots alors que si je retourne à L'ESAT, ce sera dans la boîte à bohème de Dugas avec mes maux ! " 

 

Et enfin pour conclure, voici Charlotte Prêtre qui appelle Jérôme Bedrossian :

 

Charlotte Prêtre, ancienne agent de production de L'ESAT La Fabrique :

-  "  Bonjour mon p'tit Jérôme, comment vas-tu ? Non ne retourne pas dans cet ESAT, tu t'en rappelles tout le monde s'en foutait de toi dans cet ESAT surtout vers ta fin damnée, où t'avais les boules et où tout le monde t'enguirlandait comme ça se sentait déjà le sapin dans cet ESAT, en plus toi qui as des conflits d'intérêts intérieurs, reste au GEM, c'est ton intérêt Jérôme ! Je te dis cela pour ton propre intérêt dans ton intérêt, afin que tu y vois surtout ton intérêt ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique : 

-  "  Merci ma p'tite Charlotte !  Ce que tu me dis est d'intérêt public alors que cet ESAT n'a plus aucun intérêt pour moi comme cet ESAT est d'intérêt privé, où tous les gens ne pensent qu'à leurs intérêts personnels !  Que je me demande quel intérêt, j'ai eu à y rester 16 ans et 4 mois, surtout avec le total désintérêt réel de tout le monde dans cet ESAT à mon égard que ce fut L'ESAT de la fabrique des cœurs brisés ! Et pour finir afin de pleurer ma mère qui est morte et ainsi pour bien redémarrer ma vie en un nouveau raz-de-marée qui déferle, et également pour ne plus avoir de vague à l'âme, OTAN que tout baigne pour moi dans un océan pacifique en jouant en note salée au piano cette même rengaine, dont on connaît la chanson que l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique pourrait envoyer une bouteille Dugas à la Mer Morte comme il va couler alors qu'enfin à présent, je vais roucouler en n'accordant plus d'intérêt à cet ESAT, dont je m'en réjouis qu'il va couler ! Et dont maintenant, mon unique intérêt sans conflits intérieurs, est de m'en foutre, voilà !  "

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

                                                 Blague :

 

 

 

Que pourrait envoyer l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique comme SOS pour dire que l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique va couler ?

-  L'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique pourrait envoyer une bouteille Dugas à la mer morte !

 

 

                                           Jérôme de Mars

La vache à lait !

 

Vache enragée

En des pis, dépits

D'ma vache caracolée,

Je pourrais racoler depuis

 

Toutes ces vaches maigres,

En ma sécurité sociale,

Qui ferait qu'allègre,

J'sois en sécurité faciale !

 

Comme la vache qui rit !

Où j'en ferai tout un fromage,

Qui sourit à mes âneries 

Des paroles d'ce ramage,

 

Oh ! La vache Olé ! Olé !

J'envoie des messages

Très Olé Olé bariolés  !

Avec en métissages,

 

La vache à lait !

J'bois du p'tit lait !

Dont c'est du petit laid !

La vache au lait Olé !

 

Je fais les fêlé,

Dont j'fais des pis

De vache enragée !

Que je trais dépits

 

En mes vaches maigres,

Qui font que j'suis Olé Olé !

Depuis que je suis aigre

Doux, complètement givré

 

A m'dire Oh ! La vache !

J'suis vache pressée,

Oppressée que je sache !

M'empresser en pressée,

 

Dont je trais et je soustrais

Toutes ces vaches dépits,

Que j'tire en un retrait

Comme c'est Vache des pis !

 

La vache à lait !

Je bois du p'tit lait !

Dont c'est du petit laid !

La vache au lait Olé !

 

Depuis que j'ai racolé

De pis ! Oh ! C'est vache !

Que j'ai caracolé !

Car ah Qu'au lait d'vache !

 

J'ai une sacrée vache

Enragée que j'suis dérangé !

Que je cravache, cravache

Mes vaches dans le fumier !

 

Oh dépits avec engrenage !

Dont j'ai d'la rage très

Pour traits en images !

Dont je fais mon autoportrait !

 

Comme je trais et je soustrais

En tirant un trait sans répits,

Dont j'suis enragé O laid  !

Car depuis de puits de pluie,

 

La vache à lait !

J'bois du p'tit lait !

Dont c'est du petit laid !

La vache au lait Olé !

 

Jérôme de Mars

Comme un feu mal éteint...

 

Dans la vie, il y avait l'arbre qui cachait la forêt !

Mais en réalité, comme un coup d'épée

Dans l'eau, une certaine idée m'a effleuré

Comme un fleuret dans mon dos !

Que rien n'était éteint et évaporé,

Mais partiellement toujours dans un coup de chaud

Comme un feu mal éteint...

Dont ma vie est un incendie hautain

Et puritain dans ma putain

De vie, où le brasier peut à tout moment

S'aviver et se raviver en un boucan,

Qui fout le camp en un feu de quand !

Et à partir de camp ma vie s'est embrasé !

Sans que je puisse embrasser le feu, car enflammé

Dans les brûlures de mon histoire cramant 

Ma vie et ses camouflets sans appeler

Les pompiers, soi-disant les sauveurs

De ma vie, où tout tombe à l'eau !

Que ça me laisse songeur comme sur un vol planeur

Comme un feu mal éteint...

Vis-à-vis de l'incendie de ma vie hautain !

Où tout se transcende par écrits en cendres,

Où je ne fais que descendre à attendre

Que ma vie se pleure en une mort si reine !

Dont ma roue de secours est l'arène

De Nîmes, et non la Reine d'Angleterre !

Dont maintenant dans le terre-à-terre de ma colère,

J'en ai rien à foutre qu'elle soit crevée !

Même si ce que j'écris est incendiaire,

Et dont j'assume complètement d'allumer ce brasier !

Comme de toute façon, ma vie est un puzzle !

Dont l'origine de ma souffrance est mal reconstitué,

Comme mes écarts et mes déviances font le buzz,

Et dont j'en ai rien à foutre maintenant

Que tout foute le camp !

Comme je m'en réjouis hautain

Comme un feu mal éteint...

Et dont j'assume aussi ma méchanceté

Et ma cruauté qui sont le prix de ma mise sur le bûcher !

Comme à L'ESAT La Fabrique de tout ce que j'ai bûché

Dans le cri et la loi du silence en toutes ces embûches,

Où je m'en fous de tout ! Même si le monde en bûche !

Comme un feu mal éteint...

Où le feu peut se rallumer demain

Hautain, au teint et au teint, et teint, éteint !

Juste avec une allumette,

Dont je m'en servirai en antisèche pour que ça promette

Une braise avec un brasier qui me mine !

En train d'aller au charbon pour que je démine !

Et je termine ce faux-semblant de fumer le calumet

De la paix, comme je suis culotté d'évoquer avec insanités !

Mon départ en fumée enfumée au teint hautain de volupté !

Comme feu et teint en ce feu très mal éteint...

 

Jérôme de Mars

Harcèlement scolaire

 

Ruissellement par le bas !

Ce sujet qui m'interpelle fait débat !

Car malgré ce qui fut dit !

J'allais à l'école de la vie !

Qui me dévie

En non-dits !

En ces souvenirs d'offense dans le déni !

De mon intégrité qui fut mise en infâmie !

Dont je répudie que la vie naît belle !

Même s'il faut s'en départir malgré la déconfiture

De mirabelle,

En repartant de plus de bel !

Et en faisant bonne figure !

Aux travers de ce harcèlement scolaire !

Au collège privé Epin !

Avec dans ma vie des pépins

De santé, dont j'ai trinqué de ma santé !

En trinquant à la santé de ceux qui m'ont fait

Tous ces camouflets !

En tant que bouc-émissaire

En ce harcèlement scolaire

Que j'ai subi soumis

Au stade de mon enfance que nul ne guérit !

Malgré que non guéri, j'en fus aguerri !

Avec des abcès dont j'ai failli en crever

De ne pas le crever avec excès !

Et dont j'en ai plus qu'assez de devoir vivre

Et survivre 

Dans l'amertume et la brume,

Qui m'enrhument autant qu'elles m'enfument

Dans toute cette enclume,

Dont j'ai du mal à porter 

Tout ce qui me fut déporté

Dans le génocide 

De ma vie qui sent l'acide !

Dont OTAN en faire quelque chose de placide

En lisant le Cid,

Et OTAN en faire de tout ce fardeau

Quelque chose de beau en allant vers l'eldorado !

Après tous les bobos de ce harcèlement scolaire,

Et OTAN porter des costumes sur mesure,

Pour que ce passé soit désinvolture !

En n'en prenant plus plein la figure,

Si bien que ce qui préfigure,

C'est qu'un jour peut-être, je jouerai le rôle de ma vie !

Que j'écris du fond de mon âme flétrie,

Car même si je suis si illuminé !

OTAN que je sois revigoré !

En passant du harcèlement scolaire,

Et en me surpassant pour renaître volontaire et salutaire

Vers le harcèlement solaire.

 

Jérôme de Mars

Surtout que la nuit fait rêver les hommes et les femmes

 

Au début de cette histoire,

Y en a qui font des rêves prémonitoires !

Avec de cause à effet !

Des fusées d'étoiles qui vont déferler,

Et infuser l'amour par ses flammes,

Surtout que la nuit fait rêver les hommes et les femmes,

Pas uniquement des cauchemars mais aussi des rêves,

Qui tournent au tour d'Adam et Eve,

Et de comment reproduire chez les gens leur humanité,

Assaillie de qualités et d'affinités,

Qui prouvent que la vie est courte

Et qu'il faut que tout le monde puisse songer coûte

Que coûte ! A s'aimer et à partager

Chaque vie singulière en évoquant chaque grand bonheur clairsemé,

Un peu partout qui trame !

Surtout que la nuit fait rêver les hommes et les femmes,

En s'embrassant de baisers endiablés et enlacés corps contre corps,

En entendant à bras-le-corps qu'il faut prolonger alors !

Les bons moments de la vie qui durent en chaque lueur,

Puisque nulle part ailleurs, la vie naît éternelle dans l'ardeur

Et la ferveur ! Où la planète aurait bien besoin d'un modèle,

Afin qu'untel est untel, soit comme tel quelqu'un de si exceptionnel

Durant le temps que défilent les étoiles avant que s'achève ce slam !

Surtout que la nuit fait toujours autant rêver les hommes et les femmes.

 

Jérôme de Mars

Texte à la carte

 

En jetant l'encre de ce texte à la carte, je distribue les cartes de la vie à quatre personnes, et il y a trois personnes à la carte parmi ces quatre qui ont une carte de brelan ébranlé, dont il y a un roi de rancœur qui envoie des piques à l'arène de cœur, qui envoie un trèfle à quatre feuilles à son valet de trèfle, qui vient de dévaler, dont elle est amoureuse, qui est un as et qui se tient à carreau avec l'arène de cœur, comme il est amoureux de la fille du roi de rancœur, le bourreau des cœurs et de l'arène de cœur qui est la reine de carreau, raison pour laquelle il se tient à carreau avec le roi et l'arène pour pouvoir espérer sortir avec la reine de carreau, malgré son désarroi de craindre que le roi et l'arène refusent que le valet de trèfle noue une relation amoureuse avec la reine de carreau mais pour ce faire, le valet de trèfle qui vient de dévaler trouva une solution, il envoya des piques au désarroi du roi de rancœur et à l'arène de cœur afin qu'en chœur tous ensemble, ils ouvrent entre eux leur cœur de pierre en leur cœur pur, de sorte qu'ils aient le cœur en or, qu'ils s'adorent et qu'ils redorent leur blason en achetant un trèfle à quatre feuilles à leur fille, la reine de carreau et à leur valet de trèfle, dont grâce à ces deux paires d'as, le roi de rancœur et l'arène de chœur, le valet de trèfle déclara son amour à la reine de carreau, et la reine de carreau émue par la déclaration du valet de trèfle qui a dévalé, pleura sur son mouchoir à carreaux et les deux tourtereaux s'embrassèrent en leur amour épique à la carte qu'ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants, en se tenant à carreaux en leur amour tropique de leur trèfle à quatre feuilles à la carte qui conclut tout l'amour de ce texte très à la carte...

 

Jérôme de Mars 

Voyage avec les mots

 

En ce jour de voyage avec les mots, je suis en train d'écrire cette trame en attendant le tram en station debout, pendant que je mets mon portable en mode avion pour me remettre sur les rails, comme je déraille en ayant toujours un métro de retard en attendant le bus, où je suis au quai avec tout le monde pour attendre le fil conducteur qui me mènera à ma destination finale avec pour bagages mes bagages intellectuels, d'où j'enverrai des valises de détresse en arrivant au bout de ce voyage avec les mots.

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blague :

 

 

Pourquoi est-ce-qu'à l'atelier conditionnement de L'ESAT La Fabrique n'y a-t-il plus Dugas ?

-  Parce-que Dugas ( du gars ) a fait de beaux dégâts par des gars !

 

 

                                          Jérôme de Mars

Quel bazar !

 

1) Big bazar,

 

               2)   Oh !

 

 

   3)  Quel bordel !                                                           4)   Si jamais

 

 

 

 

                        5)      Je vais

 

 

 

 

                                                    6)      Au bazar !  Bric à brac  !

 

 

7) Dont le bazar !

 

 

                                        8)   Ce

 

                   9) Sa

                    cré                                                           10)  bazar

 

 

 

                           11)    Fait bien les cho

 

                                                    ses

 

                                                                       !

 

 

12) Qu'il                                          y

                                                      

                                                                                                                     13)      a

 

14) Un sacré et drôle

 

                                       15)   de  Désordre

 

 

16) En ordre                                          17)       des or

                                                          

                                                                            dres

 

 

18) Dont quel bazar !

 

 

                       19)       Qui dérange,

 

 

 

 

 

 

                                                                                            20)   Ce qui ah ! Range

 

21) Et arrange avec en magasin,         O'range !

 

 

                         22)            Ne range si ça des ! Range !

 

                  23)   Qu'il y ait

 

 

 

                       24)        Tout ce mélange qui range !

 

 

25) Ce putain de bordel

 

 

                       26)     Du big bazar,

 

 

 

27) Comme le bazar

 

 

 

 

 

 

                                                       29)       Choses  !

 

 

      28)    Fait trop bien les               

 

 

 

 

30) Au bric à brac,  

 

 

31) Dont Michel Fugue un sacré

 

 

                                       32)       Bordel  de big baza              r !

 

 

 

 

                             33)    Oh ! Quel bazar !  

 

Jérôme de Mars                

                                        

J'fais Duroc en allant à Opéra !

 

En station debout,

J'attends le métro !

Où pour garde-fous,

J'cherche les mots

 

Pour écrire un rock,

En même temps

Que j'lis les In-rocks !

Où immédiatement,

 

J'réfléchis si je vais

Chanter du raï !

En train de fredonner

Que je déraille !

 

Alors que j'suis un roc

De pierre à l'édifice

Que je lis les In-rocks !

Où sans artifices,

 

J'fais Duroc en allant à Opéra !

Dont c'est du gâteau ! Au rat

D'une contre danse qui verra

Que je vais souvent à l'opéra !

 

Et comme le rock n'est de l'opéra !

Je suis né inné un rockeur !

En lisant Les In-rocks

Que j'ai un cœur d'cocker !

 

Avec ma chienne de vie,

Qui fait que j'suis marginal !

Dont je m'égare et je dévie

Du droit chemin original !

 

Que j'm'en vais fréquenter

Les bistrots du boulevard,

En buvant en paix

Ma mise en bière au comptoir,

 

Tout en faisant du rock !

Moi, le roc d'pierre !

Où tout en lisant Les In-rocks,

Et en pensant à L'Abbé Pierre !

 

J'fais Duroc en allant à Opéra !

Dont c'est du gâteau ! Au rat

D'une contre danse qui verra

Que je vais souvent à l'opéra !

 

Que je mets dorénavant

La pierre à l'édifice,

Comme humainement,

J'suis sans artifices !

 

Que j'suis criant de vérités !

Avec ma franchise

En sévérités méritées,

Pourvu que je le dise

 

Dans ma chanson,

Que même si j'ai l'air d'un roc,

J'suis débordé d'émotion

Que j'relis les In-rocks !

 

Et même si j'fais le fanfaron !

Le soir dans ma solitude,

Je déchante de désillusions

Qu'à chaque prélude,

 

J'fais Duroc en allant à Opéra !

Dont c'est du gâteau ! Au rat

D'une contre danse qui verra

Que je vais très souvent à l'opéra !

 

Jérôme de Mars

 

Place du marché

 

Voici une p'tite saynète dans laquelle Jérôme Bedrossian, un ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique en allant à la fête du handicap sur la Place du marché à Vitry-sur-Seine le dimanche 18 septembre 2022 croise Laëtitia Bergua de L'ESAT La Fabrique avec qui il a une discussion, comme c'est maintenant l'heure de régler les comptes :

 

Laëtita Bergua, chef de service éducatif à L'ESAT La Fabrique : 

-  "  Bonjour Jérôme, comment allez-vous ? Ca me fait plaisir de vous voir ! Que devenez-vous ?  "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  " Bonjour Madame Bergua, je suis ravi de vous voir sur la Place du Marché, je pense que vous êtes venue aujourd'hui sur la Place du marché pour trouver et dénicher des nouveaux marchés très lucratifs pour L'ESAT La Fabrique, car je m'en rappelle que quand j'étais dans votre ESAT que vous faisiez marcher L'ESAT comme ça, en faisant marcher les agents de production de L'ESAT La  Fabrique, où pour les démarches administratives, vous vouliez que ça marche autrement pour les personnes handicapées, afin qu'elles se débrouillent toutes seules pour faire les démarches, même pour celles qui ne pouvaient pas marcher et pour qui ça ne marchait pas, vous en avez rien à foutre en vérité de la fête du handicap, vous voulez juste faire fructifier les parts de marché de votre ESAT La Fabrique ! "

 

Laëtitia Bergua, chef de service éducatif à L'ESAT La Fabrique :

-  "  Jérôme, je vous trouve bien insolent avec moi sachez pour votre gouverne que c'est grâce à moi que vous avez pu quitter L'ESAT La fabrique sans être obligé de retravailler dans un autre ESAT, car lorsque vous avez quitté L'ESAT, j'ai averti la MDPH que vous quittiez L'ESAT La Fabrique pour mener à bien votre projet cap vers d'autres horizons à savoir le GEM de Vitry  ! "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production à L'ESAT La Fabrique :

-  " Vous pouvez dire ce que vous voulez Madame Bergua, j'en ai rien à foutre, vous mentez, vous cherchez à me voiler la face, comme vous et les autres à L'ESAT La Fabrique, vous m'avez mené en bateau, je me dévoile en hissant les voiles et en mettant les voiles contre votre politique à L'ESAT La Fabrique en termes d'insertion et de fonctionnement dans cet ESAT, j'en ai la preuve car j'ai appris de source sûre que L'ESAT est en train de couler, de chavirer et d'aller à la dérive, j'ai entendu que l'atelier conditionnement a perdu le travail de Dugas et des bouteilles d'alcool, à force que les agents de production cassent des bouteilles et des verres, et c'est à cause de Dugas entre autres que j'ai pris de la bouteille en devenant acolytes avec certains de mes collègues et que j'ai des fêlures dans mes vers de poèmes avec des bris de vers cassés et fêlés à mon image, où c'est dans la boîte pour moi depuis que j'ai quitté cet ESAT de merde, comme tout le monde me mettait en boîte pour je boive du scotch, afin que ça cartonne bien et plein les palettes de Dugas, et on m'a dit aussi qu'à l'atelier conditionnement pour ne pas que les travailleurs handicapés soient sans travail qu'on leur donne du linge à faire, ou que soit on envoie des agents en cuisine, plus rien ne me surprend de cet ESAT, tellement que cet ESAT est conditionné au pire pour que tout le monde lave son linge sale en infâmie et en se cuisinant, tellement que dans cet ESAT, tout le monde se sous-traite et j'ai appris également qu'il n'y avait plus de travail à l'atelier livres de cet ESAT ! "

 

Laëtitia Bergua, chef de service éducatif à L'ESAT La Fabrique :

-  " Jérôme, vous avez la critique facile, mais souvenez-vous ! Que quand vous étiez dans un état critique et une situation critique à L'ESAT que je vous ai beaucoup soutenu en parlant avec vous, dans cet ESAT, vous vous êtes tellement livrés que c'est à cause de vous que l'atelier livres n'a plus de travail comme les chauffeurs-livreurs de L'ESAT ne peuvent plus livrer l'atelier livres du fait qu'ils ont tous été en arrêt-maladie, à force que vous vous livrez trop à eux que pour se délivrer, ils se sont tous mis en arrêt-maladie, Jérôme, où vous vous êtes tant livrés à eux comme vous avez été plusieurs fois avec eux en livraison pour livrer et pour vous délivrer du conditionnement, et au fait, ne voudriez-vous pas revenir à L'ESAT La Fabrique de la Fondation des Amis de L'Atelier ?  "

 

Jérôme Bedrossian, ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique :

-  " Non sans façon Madame Bergua car à cause de votre ESAT même que j'ai quitté votre structure, je garderai des séquelles à vie, où maintenant je suis un oiseau aux ailes brisées qui y a laissé des plumes que je suis obligé de tenir souvent la plume en jetant l'encre pour retrouver ma vitesse de croisière d'antan, en tentant de prendre un nouvel envol sur un bateau en Seine, afin que ma vie sur scène soit un long fleuve tranquille ! Et pour terminer Madame Bergua, faites surplace du marché votre marché industriel pour L'ESAT La Fabrique en votant en Marche, alors que moi en démarche, je vote pour La République en des marches, en faisant sur La Place du marché mon marché pour voir ce qui peut marcher pour moi sur La Place du Marché. Je vous dis bon vent Madame Bergua ! "

 

Jérôme de Mars

Dans mon environnement !

 

Il était une foi Dame Nature

Qui parlait d'écologie !

Dont j'montre ma figure !

En cette question de la vie,

 

Qui fait qu'après j'sois parti

En villégiature, éperdu !

J'avais envie à son effigie,

De composer non fourbu

 

Un texte sur l'écologie,

Afin que j'me mette aux vers

Pour préserver la vie,

Afin que je respire salutaire !

 

Ainsi Salut Terre ! J'revis

Sur ma planète chouette !

Avec une quantité d'envie,

Où je montre mes facettes

  

En ayant du crédit content !

Et en n'étant à découvert contant !

Comme c'est maintenant ambiant 

Dans mon environnement !

 

Qu'il faut agir en recyclant

Les idées anciennes 

Avec des idées se renouvelant !

En ouvrant grand les persiennes,

 

En m'protégeant et protégeant

La planète dans les comètes,

Pour prouver qu'avec le temps !

La terre ira mieux de façon nette,

 

Où j'passe aux vers solidaires

Après ce stress qui me dérange !

Et ne dérange mes revers solitaires

Où il ne faut passer le feu orange,

 

Afin que tout s'arrange avec les vers !

Qui ont le feu vert pour s'arrêter

Au feu rouge pour passer au vert !

Qui n'voit rouge qu'il faut stopper !

 

En ayant du crédit content !

Et en n'étant à découvert contant !

Comme c'est maintenant ambiant 

Dans mon environnement !

 

Qu'il faut sauvegarder, préserver

Et protéger les forêts et l'eau,

Car même si c'est l'arbre en effet,

Qui cache la forêt ! Il fait très chaud !

 

A cause du réchauffement climatique,

Qui fond la banquise en ces temps !

Où les éléments sont lunatiques !

Qu'il faut faire des efforts permanents

 

Et constants à la vue d'tous ces 

Eléments qui polluent la couche d'ozone,

Dont il vaut mieux ne pas tousser

En un emphysème, mais tailler la zone !

 

Pour tout recycler en une embellie

Pulmonaire, et pour respirer un

Bon air en une accalmie qui ainsi,

Rendra la planète boute en entrain !

 

En ayant du crédit content ! 

Et en n'étant à découvert racontant !

Comme c'est maintenant ambiant 

Dans mon environnement !

 

Jérôme de Mars

 

 

Quand ma guitare basse fait des messes basses !

 

En acoustique, je joue de la musique !

Qui prend l'ampli de ma sono !

Que j'crie d'un rock pacifique,

Avec effet sur le synthé en stéréo !

 

Dont j'mène, démené tambour battant

Mon atelier musique en rythmiques !

Dont je suis là en réenchantant

Les paroles en mon fond frénétique !

 

En jouant des notes sucrées 

Sur ma guitare pendant que synchro !

Le synthé joue en des notes salées

D'la musique qui regarde dans le rétro !

 

En rechargeant les batteries du micro,

Qui prend en porte-parole ma voix !

Que j'ai trouvé lyrique crescendo !

D'un rock d'pierre qui porte ma croix !

 

Quand ma guitare basse fait des messes basses !

Avec à la basse une contrebasse !

En repartant sur de nouvelles basses,

Dont attention ! J'suis en hyper tension basse !

 

Qu'en répercussions, j'crie ce que j'écris !

En faisant de mes dix doigts du tam-tam,

Qui en échos, font craqueler les bris

Qui n'font que bourrer bourrer ratatam !

 

Avec en débouchés, la musique des

Garçons-bouchers en p'tites bouchées qui

Dans le chaos, ne font que m'emboucher 

Au je du qui est qui exquis et acquis ? !

 

Que j'clame en ce slam désabusé

Tous mes excès qui n'font qu'en amplis,

S'amplifier en des camouflets ébranlés,

Que je finis par défaut par prendre le pli

 

En dépit des pis d'ma vache enragée !

Que j'écris ces vers de rage qui n'engagent

Que moi en gages de bonne volonté,

Qui en dégagent, afin que ça déménage !

 

Quand ma guitare basse fait des messes-basses !

Avec à la basse une contrebasse !

En repartant sur de nouvelles basses, 

Dont attention ! J'suis en hypertension basse !

 

Que j'm'en lasse et je m'enlace en fumant

Mes cigarettes, dont pour être en paix,

J'aimerai en fumer le calumet en m'enivrant

De Havane à La Havane pour me poser

 

A Cuba malgré les coûts bas d'la vie !

Dont je porte les coups qui font débat !

A n'en plus finir, dont j'attends le paradis !

Pour voir la vie avec joie et avec éclats !

 

Dont j'composerai une symphonie 

En harmonie d'une nouvelle vague,

Malgré mon vague à l'âme en hérésie !

Et dont en allant vers l'essentiel, j'élague !

 

Moi, qui suis au bout du rouleau de vagues !

Dont je cherche d'la bohème en un totem

Sans haine ! Afin que quelqu'un me drague !

En slamant des mots qui m'aiment !

 

Quand ma guitare basse fait des messes basses !

Avec à la basse une contrebasse !

En repartant sur de nouvelles basses,

Dont attention ! J'suis en hyper tension basse !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Tout l'temps !

 

Depuis la nuit des temps

Entre éclaircie et gris,

Le temps s'vit au présent !

A présent conjugué de nostalgie

 

Qu'le temps regarde en amateur,

Si c'était vraiment mieux avant ?

En revoyant dans le rétroviseur,

Si le temps était si clément ?

 

Tandis que l'avenir appartient

A ceux qui s'lèvent tôt !

Avec à présent, un futur enclin

Impératif en un clin d’œil si beau !

 

Où c'qui a été fait avant !

Personne ne peut y revenir !

Car ce qui compte, c'est dorénavant

A présent ! Où il faut s'en sortir !

 

Tout l'temps !

Pendant que tout le monde se détend

A tous les temps !

D'autant au temps de maintenant !

 

Comme il faut réaliser sa vie !

En saisissant les moments opportuns,

Dont il faut chercher l'devis !

Que le passé soit composé ou simple !

 

Car même si avant le temps

Etait imparfait ou plus-que-parfait !

Il faut à présent aller d'l'avant !

Dans un compte de fée qui prend effet

 

Immédiat sur le temps conditionnel

Qu'il fait ! Et dont pour garder sa liberté,

Il faut accorder et passer l'temps solennel !

En travaillant à tous les métiers conjugués !

 

Car même si personne naît parfait !

Il faut vivre l'temps présent à présent !

Avec pour présent, un temps vaqué

A ses occupations d'emploi du temps !

 

Tout l'temps !

Pendant que tout le monde se détend

A tous les temps !

D'autant au temps de maintenant !

 

Car ce qui est sûr !

C'est qu'avec l'temps, tout guérit !

En des points de suture !

Dont la vie rend tout le monde aguerri !

 

Et pour que l'temps reste éternel !

Il faut laver le temps omniprésent

Durant un laps de temps inconditionnel

Pour s'en laver les mains à présent !

 

Du futur d'antérieur d'avant,

Car seul compte aujourd'hui et demain !

Et plus jamais hier d'antan !

Puisque demain prendra à témoin

 

Que l'temps court et passe vite !

Même si le temps dure longtemps !

Et même si le temps repasse, il s'évite !

Car OTAN aller de l'avant dès à présent !

 

Tout l'temps !

Pendant que tout le monde se détend

A tout l'étang !

D'autant au temps de maintenant !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                              Et un étroit !

 

 

            

                                        Voilà en hein !

 

 

Qui fait de deux               Et un étroit !                                      En nain étroit !

 

                                        Qui hein     

 

Fait un hein                     Plus de                                              En un et trois détroit !

 

                                        D'un en nain                     

 

 Qui refait un                   Un de                                                Et trois étroits ! 

 

                                        Car un                   

 

Fait un + hein                  Car hein et un fée deux                    Et un étroit détroit !

 

                                        Car un et de égale un très étroit !     

 

 

   

                                           Jérôme de Mars   

 

 

 

D'l'ombre à la lumière !

 

Zonzon en dormant à l'ombre,

On a tous un côté clair-obscur !

Qui fait qu'on naît sombre

Dans la pénombre endure !

 

On a tous en nous les idées

Claires, et parfois les idées noires

Dans un robinet d'pensées,

A dépenser son réservoir déversoir !

 

A broyer du noir sans blanc !

En pleurant dans sa chaumière,

Sans être clairs en faisant semblant

D'rechercher un repère,

 

Avec pour repaire un abri,

Pour ranger ses idées claires

S'il y a des verres qui font débris

En vieux démons crépusculaires !

 

D'l'ombre à la lumière !

Et pour y aller dans la lumière,

Il faut y voir clair sans éclairs,

Dont avec éclairs, on n'est clairs !

 

En étant dans ses côtés sombres,

En étant à l'ombre d'la lueur

D'espoir qui reste dans la pénombre,

Et dont il faut rechercher le bonheur !

 

Pour y voir la vie du bon côté clair

Malgré les éclairs de la vie,

Qui naviguent entre l'état salutaire

Et l'état délétère du jour et d'la nuit !

 

Et dont à la fin d'sa vie, on fait

Un inventaire, entre une vie épanouie

Et évanouie d'un compte de fée

A un compte défait, entre harmonie

 

Et mélancolie, où soit on naît tristes !

Soit on est joyeux en des états

Bipolaires ! En grossissant la liste

Pessimiste et optimiste avec éclats !

 

D'l'ombre à la lumière !

Et pour y aller dans la lumière,

Il faut y voir clair sans éclairs,

Dont avec éclairs, on n'est clairs !

 

Car même si la vie alterne subalterne,

Entre l'gris et l'embellie !

Il faut attendre que les choses ternes,

Passent ravies de la nuit au jour ébloui,

 

Dont il faut prendre son mal en

Patience en attendant la résilience,

Car en fin damnée, v'là un nouvel an

D'année qui efface toute la nuisance !

 

En repartant sur d'nouvelles bases,

Pour vivre la quintessence d'une année

De paix et d'amour qui s'enlacent,

Pour que la guerre s'en lasse désabusée

 

Que même si tout l'monde est

Clair-obscur, il faut voir en chacun,

Le meilleur de son humanité innée,

Car un pour tous et tous pour un !

 

D'l'ombre à la lumière !

Et pour y aller dans la lumière,

Il faut y voir plus clair sans éclairs,

Dont avec éclairs, on naît très clairs !

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

Le soleil lunatique et la lune lumineuse

 

Pôle Sud, pôle Nord !

Le temps bipolaire 

Ne perd pas Le Nord !

Avec le soleil lunatique

Et la lune lumineuse

Confondue entre ses côtés

Sombres et clairs,

Entre ombre et lumière !

Où même si le soleil est clair !

Il peut être aussi lunatique

Et névrotique,

Comme la lune crépusculaire,

Qui peut être également pacifique

En baignant dans un océan serein,

Très humain et Bon Samaritain

Dans un petit coin bien tranquille,

Avec dans la lumière, le soleil

Et dans l'ombre la lune,

Et dont à cause des changements

D'humeur fluctuants, il fait un temps bipolaire !

Si bien que le soleil peut avoir des sueurs

Et la lune des lueurs,

Avec le soleil lunatique

Et la lune lumineuse,

Le tout à l'état bipolaire

Et névrotique,

Où plus rien n'est clair !

Car tout hait clair !

Dans un éclair de lune

Avec de la rancune,

Quand tout naît clair en une !

Avec le soleil lunatique

Et la lune lumineuse,

En ces temps sulfureux, ombrageux,

Ténébreux, brumeux et nébuleux,

Avec à la fois, un soleil qui a des bleus dans la nuit !

Et la lune qui a un bleu clair de vie lorsqu'elle le du Démon de Midi !

Qui confirment l'éclipse lunatique et névrotique,

Qui éclipse le soleil lumineux et la lune crépusculaire

Pour rendre définitivement ces temps bipolaires,

Incendiaires et délétères avec dans le ciel insulaire,

Des étoiles qui naissent et des étoiles brisées,

Quand le soleil perdure lunatique et névrotique,

Et quand la lune carbure en une illuminée plus que lumineuse...

 

Jérôme de Mars

 

                                                  Blague :

 

 

 

Pourquoi ma roue de secours sera-t-elle L'Arène de Nîmes et non La Reine d'Angleterre ?

-  Parce-que la Reine d'Angleterre vient de crever !  

    Elisabeth ll est crevée ! Rien à foutre !  

 

 

                                            Jérôme de Mars

Voici un disc-jockey qui a CD !

 

Surprise-partie, c'est reparti !

Pour organiser des boums ,

En repassant à la folie

L'même disque qui fait boom !

 

Dont c'est l'même disque

Rayé qui tourne en ristourne !

Sur place de L'Obélisque

A Paris que les gens contournent

 

Et détournent en esquivant

La discothèque en contre dense,

Avec pour hors-piste équivalent !

Celui ou celle qui fait en redondance

 

Son métier avec en intendance

L'disc-jockey qui met le paquet !

Pour faire en abondance une danse !

Qui met la cadence, car pour démarrer

 

Voici un disc-jockey qui a CD !

Et qui achète des CD !

Pour les CD, les céder

A celui ou à celle qui a cédé !

 

Et dont les chanteurs une fois

Qu'ils sont DCD ! L'disc-jockey

Leur rend hommage dans la joie !

En faisant une Ola déchaînée

 

Que la vie s'chante et chante

Des mots qui tiennent paroles !

Même que la vie déchante !

Et dont il reste à faire la farandole,

 

Avec des confettis sur la piste

De danse, pour que le disc-jockey

Fasse une liste joyeuse et pas triste !

D'celui ou celle qui va faire endiablé

 

Un raz-de-marée, en démarrant

Au quart de tour un slow d'boléro

Pour faire rencontrer les sentiments,

Car autour d'un sacré numéro,

 

Voici un disc-jockey qui a CD !

Et qui achète des CD !

Pour les CD, les céder

A celui ou à celle qui a cédé !

 

Pour succéder en reprenant

L'flambeau du disc-jockey,

Qui sait avec brio, subtilement

Attirer les femmes qui vont l'aguicher

 

Au guichet d'la vente de boissons,

Qu'il se barre avec le code-barres,

Avant qu'il les rembarre en chansons !

Même qu'il ne met pas trop haute la barre !

 

Que tous les clients du disc-jockey

Lui demandent qu'il passe leurs chansons

Préférées, pour qu'il décroche un trophée

De plus à son palmarès avec les balcons

 

Des femmes, qu'il aime en leur sein

Déguster leur poitrine affriolante !

Qu'il se fait passer pour un gars sain !

Avant qu'il passe la main, car en dilettante !

 

Voici un disc-jockey qui a CD !

Et qui rachète des CD !

Pour les CD, les céder et succéder

A celui ou à celle qui a cédé !

 

Jérôme de Mars

 

Ruminations névrotiques

 

Névrotique obsessionnel,

Ce sont mes troubles solennels

Avec lesquels je dois vivre

Au quotidien !

Et survivre

En évitant le déclin,

Car ces troubles me parasitent

La vie et ma tête, en me gênant

Dans mon esprit 

En récurrence,

Dans la loi du silence !

Qui me met à l'agonie

En des coliques névrotiques

De mes ruminations névrotiques,

Offensant mon état déjà décompensant,

Qui à petit feu m'effrite

Avec des conflits psychiques,

Où je me frite 

Avec tout le monde

Et l'immonde !

En ayant l'envie souvent de me venger

Et de tuer tout le monde dans l'obscurité

A cause de mon passé irrésolu,

Comme je suis perdu éperdu !

Où mon état d'esprit est à l'état d'esprit déviant !

Dont mon état est très alarmant et inquiétant,

Où j'ai de la colère permanente

A m'en pourrir la vie de façon déliquescente

En des coliques névrotiques

De mes ruminations névrotiques,

Où ces obsessions anxiogènes

Me gênent en mes gènes !

Où j'ai des conflits psychiques

Avec des états d'esprit fluctuants,

Pas forcément bipolaires !

Mais dont on peut dire trop délétères !

Où je me dois me battre 

Contre mes vieux démons hystériques !

Pour ne pas me laisser abattre

Avec mes traits de caractères ambivalents,

Où quand je suis névrosé, j'ai envie

De me foutre en l'air !

Et de tout foutre en l'air

Dans l'hérésie,

Comme plus rien n'est clair !

Dans mon esprit du à ma guerre des nerfs !

Et au fond qu'est-ce-que je souhaite ?

Parfois je ne le sais pas mais en esthète,

J'écris des poèmes pour jouer un rôle

Du fond de ma geôle

En des coliques névrotiques

De mes ruminations névrotiques,

Dus au résultat 

De mon état

Cataclysmique et cyclique,

Où même si dans ma vie, rien naît clair !

Et bien, je suis inné au clair de la lune

Avec en une

Ma guerre des nerfs !

Qui ne compte pas pour des prunes

Mais avec de la rancune

En des coliques névrotiques

De mes ruminations névrotiques,

Où parfois en flashbacks,

J'ai des souvenirs d'avant qui me reviennent

Car à chaque jour suffit sa peine !

Dont en surface, je fais une façade

De quelqu'un qui écrit des ballades !

Mais dont je suis en rade !

Car tout n'a pas été réglé au rade,

Mais dont je tiens à faire mon comeback

Dans le monde des vivants !

Après toutes ces années passés et repassés

En mes remords vivants

De mon état mort-vivant,

Et au fait, autant faire de mes diverses fossettes

Plusieurs facettes en écrivant des saynètes,

Pour que je sois net sur à terre nette !

Et ainsi me revigorer

Après ne pas avoir été net sur Facebook d'Internet !

Car OTAN que je trouve la paix intérieure dans les comètes !

En ayant une vie chouette !

Et après avoir eu le blues, OTAN en faire une bluette

Dans l'action

Et la considération,

Après avoir eu toutes ces coliques névrotiques

En mes ruminations lunatiques et névrotiques.

 

Jérôme de Mars

Le voyage des poètes

 

Mal de mer sur le bateau,

La vie tangue tangue !

Que les poètes vont à vau l'eau !

Délier des liés les langues,

 

Comme le bateau Ivre

D'Arthur Rimbaud,

Duquel il s'enivre

Pour aller dans le chaos,

 

En disant Fontaine,

Je ne boirai jamais ton eau !

Sauf que Jean de La Fontaine

Ecrivit affable l'eldorado !

 

Comme Charles Baudelaire,

Qui ne ferait pas de mâle

A une mouche que débonnaire,

Il écrivit les fleurs du mal

 

Vers le voyage des poètes

Qui esthète, écrivit chouette

Des poésies à l'effigie

De la vie épanouie ou évanouie,

 

 

Si bien que Guillaume Apollinaire

Avant le souffre de l'automne malade,

Prit tout compris, une embellie pulmonaire

En écrivant en rad une ballade

 

A Paul Verlaine, avec pour rengaine

Une chanson d'automne monotone,

Car à chaque jour suffit sa peine !

En n'oubliant la haine sonotone

 

Encore de l'automne de Jacques

Prévert, qui écrivit les feuilles mortes

Patraques de l'hiver qui matraque

En des mines, qui ne déminent fortes

 

Pierre de Ronsard qui en mots roses,

Ne voyait la vie morose mais pleine

Et joyeuse que sa poésie en fut éclose !

Et Mignonne ! Allons voir si la rose est sereine !

 

Vers le voyage des poètes

Qui esthète, écrivit chouette

Des poésies à l'effigie

De la vie épanouie ou évanouie,

 

Tandis qu'Alphone de Lamartine

Sanglota quand l'eau tonne en ses regrets !

Dont un seul être lui manqua à la racine

Que sa peine le consuma tout dépeuplé !

 

Que Louis Aragon eut les larmes

Qui se ressemblent, en rimant

Et en arrimant dans un grand vacarme,

Comme il n'y a pas d'amour heureux naissant !

 

Dont Jean Racine prit racine que j'enracine

Le songe d'Athalie en un récit Théramène,

Comme Jean racine courba l'échine

Dans son monologue d'Hermiane, qui emmène

 

Vers la poésie de Victor Hugo en ces vers !

Ayant une pensée pour les misérables,

Qui demain dès l'aube linéaire, attendront salutaire !

Dont il faut que le poète termine cette tirade

 

Vers le voyage des poètes

Qui esthète, écrivit chouette

Des poésies à l'effigie

De la vie épanouie ou évanouie.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Un poème rien de plus classique

 

 

Musique classique

En théorème;

Un poème

Rien de plus classique;

 

En révisant ses classiques

Pour voler vers le haut;

Tel l’oiseau de feu

Feu Stravinski;

 

Qui dit flûte

Avec des vers de flûte,

Comme Mozart en ut

Enchantée comme la flûte

 

En jouant du classique

En vers acoustiques

D’un océan symphonique

Sur des thèmes pacifiques

 

En accordant ses violons

Et en jouant du violon

Avec Chopin, Mozart nous accordons

Schubert, Beethoven et Cardon

 

Ce poème couleur ambre

Qui réunit les membres

Avec de la musique de chambre;

Qui classique; chambre

 

Rien de plus classique

Qui sème la tendresse et de la liesse

Populaire, dont après la tempête,

Voici le calme qui hébète

 

Chopin, le vagabond

Qui chope un éclat furibond,

En faisant des bons en avant,

En faisant des pas et des avenants

 

Pas à pas sans appât

Dans un parterre d’artiste humaniste

A base d’effet solo en soliste

Survol une œuvre de Liszt

 

En accordant ses violons

Et en jouant du violon

Avec Chopin, Mozart nous accordons

Schubert, Beethoven et Cardon

 

En paix et en symphonie

Cette musique pacifique,

Dont ce mal de mer pacifique

Nous calme philharmonique

 

En révisant et en jouant ses classiques

Sur une gamme pentatonique

D’une mélodie harmonique

Fait rêver à la musique classique

 

A effet piano comme une leçon de piano

Qui nous donne le tempo dans la peau,

Qui note salé son grain de sel

Dans un jeu classique pour violoncelle

 

Qui joue de la musique classique crescendo

En ayant à la base une basse effet stéréo

Qui joue en harpe diem un dilemme

Une mélodie du dix-huitième

 

En accordant ses violons

Et en jouant du violon

Avec Chopin, Mozart nous accordons

Schubert, Beethoven et Cardon

 

 

Texte : Jérôme de Mars

Arrangement et musique : Leg Guitar

Comme j'm'en tamponne de jouer du trombone !

 

Sans tambour ni trompette !

V'là un air de jazz !

Qui depuis belle lurette,

S'écoute sur un Teppaz !

 

Oh punaise ! J'accroche

Ma partition en répartition,

Sans anicroches qui clochent,

Comme j'joue en électron

 

Libre, ce style guindé

D'musique fringant,

Pimpant et raffiné,

En prenant des gants élégants !

 

Comme j'm'en tamponne de jouer du trombone !

Tout autant que d'la musique Anglo-saxonne !

 

Que ça m'désarçonne !

Ca sonne et ça résonne !

 

Que j'tape des percussions

En répercussions du Ukulélé !

Que j'ai des vibrations,

Jazzy et distingués !

 

Dont ma marque de fabrique,

C'est de jouer d'la clarinette !

En me rendant acoustique,

Net plus ultra sur à terre nette !

 

Avec la tête dans les comètes !

Dont avec le rythme, ça swingue !

En mon âme qui prête et s'apprête

A écouter amplis Otis Redding !

 

Comme j'm'en tamponne de jouer du trombone !

Tout autant que d'la musique Anglo-saxonne !

 

Sauf d'Otis Redding qui raisonne

En mon mobile pour l'fun !

 

Dont ce que j'écris fait jazzer !

Et ressasser la nostalgie radio !

En écoutant Nostalgie empressé,

Que j'ai besoin d'la sono !

 

Pour que tout soit raccord !

En ayant l'accord du Golden

Gate Quartet, avec encore

Et encore une Madeleine

 

De Proust qui m'fend

Le Chœur ! Avec en antichambre,

Une chambre classique qui défend

Ma musique de chambre,

 

Comme j'm'en tamponne de jouer du trombone !

Tout autant que d'la musique Anglo-saxonne !

 

Et que si j'sors mes griffes qui ronronnent !

Je jouerai en joue, une musique d'vieille garçonne !

 

Jérôme de Mars

 

 

J'écris sur une feuille d'automne !

 

Après avoir passé l'été,

Telle une feuille forte !

J'passe à l'automne brisé,

Telle une feuille morte !

 

En lançant une bouteille

A la mer qui vague à l'âme !

Pareil, ah ! Pareil, appareil !

Du drame d'mon slame,

 

Duquel j'ancre ces pré-vers

En cette nouvelle saison !

Qui m'rappelle Prévert !

Et sain Jacques de l'oraison !

 

J'écris sur une feuille d'automne !

Tout mon ras-le-bol atone !

Que j'en suis stone et aphone !

 

Que je tapis mon sol pleureur !

Tapis en un amas d'feuilles,

En ouvrant les malheurs

Que je cueille en cet écueil !

 

De la boîte de Pandore !

Genre singulier, pluriel !

Tout l'monde s'adore !

A part être superficiel !

 

Où je bois la tasse de café !

Emmêlée dans ma déprime,

Qui sent la naphtaline élimée,

Car d'tout ce que j'trime !

 

J'écris sur une feuille d'automne !

Tout mon ras-le-bol atone !

Que je suis stone et aphone !

 

Dans ma torpeur en hérésie !

Où j'entretiens la feuille

D'l'amitié, avec des mots jolis !

Assis seul sur mon fauteuil !

 

A m'repasser le passé en aïeul

De mon arbre généalogique !

En buvant infusion un tilleul,

Symphonique et harmonique !

 

Qui vient des feuilles de l'appel

De la forêt ! Dont l'arbre cache

La forêt, en creusant la passerelle

Pour revivre, car à ce que j'sache !

 

J'écris sur une ultime feuille d'automne !

Tout mon grand ras-le-bol !

Qui s'ensuit très stone et très aphone !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Il y a un beau ciel bleu qui peint un joli soleil !

 

Couleur jaune oranger dès le lever du jour entre ombre et lumière,

Il suffit de faire rire les hommes et les femmes dans leurs chaumières,

Pour qu'ils ne soient mélancoliques

Mais qu'ils sursoient sur soi bucoliques

A repasser le ciel gris solennel, afin qu'il soit tout neuf, joyeux et universel !

Et qu'il fasse chanter aux demoiselles et aux tourterelles,

Des ritournelles comme quoi, il y a un beau ciel bleu qui peint un joli soleil !

En faisant évoluer les étincelles en des merveilles,

Signé le poète amateur, révélateur de la bonne nature des gens,

Qui cachent leur humanité sous de faux airs indifférents et arrogants,

Alors qu'il suffit de prendre des gants pour faire des différends indifférents,

Des différents déférents,

Avec l'humour en politesse du désespoir, 

Et dont il faut un arrosoir, abreuvoir et déversoir qui arrange l'histoire,

Comme il y a un beau ciel bleu qui peint un joli soleil !

Et dont il faut du Rimmel pour gommer les traits superficiels et artificiels

Du soleil, pour que le soleil soit spontané et naturel

Avec les gens qui en valent la peine !

Et qui veulent changer le ciel en un jardin d’Éden !

Avec pour confirmation, la volonté des nuages de rendre le ciel intemporel,

Comme il y a un beau ciel bleu qui peint un joli soleil !

Avec à la place des bobos,

Un si bel eldorado jusqu'au Colorado,

Qui esquisse avec sa palette ,

Les étoiles brisées en des étoiles qui défilent en comètes !

Et qui commettent avec fard des saynètes !

En montrant leurs diverses facettes,

Qui dissimulent sans fard leurs fossettes,

Qui rappellent le ciel pour qu'il y ait un arc en ciel !

Comme il y a un beau ciel bleu qui peint un joli soleil !

En voulant refaire la façade de ce monde au ras des Pâquerettes,

Afin qu'il y ait du beau temps pour conter fleurette en une amourette,

Avec depuis belle lurette du blues, et dont il faut maintenant une bluette

Chouette qui donne en vie et envie de chanter l'amour essentiel !

Comme il y a encore un si beau ciel bleu langoureux qui repeint un si joli soleil !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Quand Venise m'gondole si bien !

 

En Italie, terre aux abords,

Où la vie est un long fleuve

Tranquille ! Il y a un trésor

A l'eau d'rose ! Qui abreuve

 

Venise, et qui mène en bateau !

Les amoureux fricotant !

Comme deux tourtereaux !

Rafraîchissant le temps ! 

 

Exaltant, exultant et flirtant

Sur les bateaux, qui heureux !

Font que les gens sont charmants

Le temps d'ces moments à deux !

 

Quand Venise m'gondole si bien !

Avec de l'entrain boute-en-train !

 

Et qu'elle fait chavirer le cœur

D'artichaut ! D'celles qui demandent

Le numéro des bourreaux des cœurs,

En une proposition qui quémande

 

La loi de l'offre et de la demande,

Qui ne s'obtient qu'avec le cœur pur !

Avec des bouquets d'fleurs en offrandes,

Qui démontrent la belle nature

 

Des gens gentils, qui avec déraison,

Ont d'l'amour gestuel et charmant,

Ah ! Ces chers Italiens en affront !

Qui montent crescendo en mes chants !

 

Quand Venise m'gondole si bien !

Avec de l'entrain boute-en-train !

 

Qui dans une romance, fait s'embrasser

Les soupirants amants vagabonds,

D'baisers salés en baisers sucrés,

En refaisant le monde avec en amont,

 

Des gondoles qui font d'une idylle,

Un roman d'amour vécu à deux,

Entre monts et merveilles qui frétillent

Que l'amour s'fait entre deux amoureux !

 

Sur La terre de Venise, qui fait monter

La température des cœurs volcaniques

A ces deux partenaires non ébranlés,

Mais trempés dans leur océan pacifique,

 

Quand Venise m'gondole trop bien !

Avec de l'entrain plus que boute-en-train !

 

Jérôme de Mars

 

On peut toujours compter sur Jérôme !

 

 

Il est X fois une France divisée en parts inégales ! Dans une fraction

 

d'irréductibles, où en ajoutant l'addition sucrée de ceux pour qui on compte et de

 

ceux qui comptent pour nous, on se rend compte tout compte fée qu'on peut

 

compter sûrs eux et qu'eux, ils peuvent compter sur nous, dont en ajoutant

 

l'addition salée de ceux pour qui on ne compte pas et de ceux

 

qui ne comptent pas pour nous, on se rend compte tout compte fait qu'il y a ceux

 

sur qui on ne peut pas compter, et ceux qui ne peuvent pas compter sur

 

nous, rajoutés aux Français égoïstes qui se multiplient depuis X fois et qu'il

 

faut soustraire, car quand on n'aime, on ne compte pas ! Dont le total fait qu'on ne

 

peut que compter que sûrs ses vrais amis dans le partage, en multipliant les vrais

 

amis qui se comptent sûrs les doigts de la main, comme le temps se compte en

 

secondes et qu'on compte profiter du temps qui nous reste pour y passer du bon

 

temps, duquel on compte dire dans un compte-rendu tout ce qui compte pour nous,

 

car le jour où on aura des comptes à rendre, on pourra tout dire au bout du compte

 

lors de la totale même si quand on aime, on ne compte pas sauf quand on n'aime,

 

en se rendant tout à fait compte même si on ne calcule pas Jérôme ! Que malgré

 

tout, on pouvait, on peut et on pourra toujours compter sûr Jérôme en paroles

 

d'argent content !

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

J'bois un ver de poème avec ma timbale !

 

En prélude de cette ballade,

J'ouvre le bal où je dévale

Le Val de Marne en rade,

Qui fait que j'cavale en cavale !

 

En m'jetant dans La Seine !

Afin que ma vie soit un long

Fleuve tranquille sur scène !

Avec pour quatre saisons,

 

Des vallons que nous dévalons

Pas à Beauvallon ! Mais à Vitry,

La ville des beaux vallons, 

Qui slame avec poésie si

 

J'bois un ver de poème avec ma timbale !

Qui déballe mes poèmes de bal verbal,

 

En faisant comme si je bois un café 

Seul, en ayant l'air d'rouler les airs

De rien ! Où je fais salon de thé,

Qui gonfle en une embellie pulmonaire,

 

Ce dont j'm'inspire pour écrire

Des chansons qui trouvent leurs mots,

En prenant des grands airs pour décrire

Mes trémolos qui vont à vau l'eau !

 

Avec ma vie qui fout l'camp !

En portant la croix de mon désarroi,

Avec en accalmie, le beau temps !

Dès que je trouve ma voix ! Si toutefois,

 

J'bois un ver de poème avec ma timbale !

Qui emballe mes poèmes de bal verbal !

 

Et où j'fais couler beaucoup d'encre !

En mon mal de mer qui m'enflamme !

Si bien que mon vague à l'âme ancre

Ma vie à en déchanter ce slam !

 

Qui rime et arrime vers le Paris Paname,

D'où j'déclame le désespoir et l'espoir !

Entre ombre et lumière qui trame

L'oraison qui m'fout le cafard !

 

Et si signes avant-coureurs enjoliveurs !

Il faut toujours prendre la vie du bon côté !

En y puisant l'meilleur réparateur 

Dans un poème ! Car trait pour trait !

 

J'bois un ver de poème avec ma timbale !

Qui remballe mon poème de bal verbal,

En refermant le bal vers bal.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il lavait l'Ave qu'il avait !

 

Il était une foi un Ave qui avait

Un navet, dont il lavait l'Ave qu'il avait !

En un Ave qui l'avait un navet, qui lavait

Ce qu'il avait en un navet, qui n'avait

Laver l'Ave et n'avait un navet !

Dont il lavait l'Ave qu'il avait !

Qui Ave un avait, un navet qui avait

Laver et n'avait l'Ave !

Dont il lavait l'Ave qu'il avait !

En un Ave, un navet qui n'avait

Et avait un Ave, qui avait et n'avait

Un navet qui avait un Ave !

Dont il n'avait un navet en un avait,

Qui avait en un Ave et n'avait en un navet

Une crise de foi !

En manque de foi !

Dont il était une foi un Ave !

Dont il lavait plus propre l'Ave qu'il avait !

 

Jérôme de Mars

J'mets mon portable en mode avion !

 

Immobile, quel est mon mobile

Pour que je prenne mon vol ?

Et après les plaies mobiles !

Si j'm'éprends de mon envol !

 

Pourrais-j'jouer au Playmobil ?

Dont c'serait un jeu d'enfant !

En oubliant tactile et indélébile,

Ce qui fait que depuis tout c'temps !

 

La vie est comme un salon de thé !

Où papoter en des paroles amicales !

Est comme aller au Salon du Bourget

A la recherche du lien social !

 

Car si c'est exportable et importable,

Mon portable est ex portable !

Et un portable, hein portable !

 

Car importable dans les environs,

Et si mon portable est dans l'avion,

J'mets mon portable en mode avion !

 

En franchissant le mur du son

A la recherche du hors-limites !

Et si j'entends un ultra-son !

Et bien en ermite, j'l'imite !

 

Si jamais dans l'avion je m'égare !

J'attends d'arriver à destination

Des abords de l'aérogare !

Si bien qu'en sortant de l'avion,

 

J'hume en écrivant de ma plume,

Ce que j'vois dans le ciel  !

Avant que je m'enrhume

Dans la brume en lune de fiel !

 

Car si c'est exportable et importable,

Mon portable est ex portable !

Et un portable, hein portable !

 

Car importable dans les environs,

Et si mon portable est dans l'avion,

Je mets mon portable en mode avion !

 

En écrivant et en décrivant fluctuant

Les humeurs bipolaires du ciel,

Qui tire un trait sur son cœur océan

Pour partir en courant solennel,

 

En faisant des graffitis dans le ciel,

Avec des bonbonnes de peinture,

Afin d's'envoyer en l'air charnel !

Et d'oublier la déconfiture !

 

De pourquoi la vie naît belle !

Et si en prenant le vol !

On la rendait plus belle !

En tenant paroles dès l'envol !

 

Car si c'est exportable et importable,

Mon portable naît ex portable !

Et un portable, hein portable !

 

Car importable dans les environs,

Et si mon portable naît dans l'avion,

J'émets mon portable en mode avion !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Zarbi et Zarbli !

 

Sous le vent d'auparavant à maintenant en allant de l'avant ! Il y a le vent en poupe ! Avec Zarbi qui adore le blizzard ! Et avec Zarbli qui adore être bizarre ! De manière que le temps d'avant leur jette un vent ! Avec un évent et un paravent jusqu'à au par avent et vent du calendrier de l'Aven ! En prenant les devants pour que Zarbi soit comme un blizzard bizarre et pour que Zarbli soit un bizarre blizzard avec en coupe-vent, leur coupe-vent couvant les mâles Zarbi et Zarbli, afin qu'ils prient dans le vent couvent à la mode  qui ne vend cuvant que du vent ! De sorte que le vent leur soit un fervent supporter à Zarbi et à Zarbli, qui aiment éprouvants se bien mettre en avant et mettre en à vent leur vent et prouvant, en remettant avant un vent à vent ! Souvent à contrevent ! Qui va dans le sens du vent bizarre du blizzard de Zarbi, et dans le vent blizzard du bizarre Zarbli, et dont le vent en bravant levant, élevant, soulevant et surélevant le vent et le vent et les vents qui assurent, rassurent et réassurent le vent ! En donnant en un nouveau souffle ! Que la force du vent leur fasse bien prendre les deux vents à Zarbi et à Zarbli car du vent et en à vent Zarbi et Zarbli !

 

Jérôme de Mars

Carences détectives

 

Affection de longue durée,

J'ai une affection de longue endurée en durée !

Mêlée de carences affectives,

Scrutées en des carences détectives,

Où pour passer le temps, je mange

Un columbo de poulet qui me range

En un examen par ciel,

Avant qu'il y ait une mise en examen partielle,

Où j'écris au ciel,

Afin d'oublier mon fardeau solennel,

Que je traîne du matin au soir,

En broyant souvent du noir; foulant et défoulant le trottoir

En terrain inconnu, où je clame mon désespoir

En marchant hagard,

En ces carences affectives,

Qui sont mon reflet désarmant avec en invectives,

Mes carences détectives,

Certes à la sécurité asociale !

En manque de sécurité l'égale !

Que je traîne en camouflets de déconvenues

Lors de mes journées dissolues,

Où je ne crois plus en rien !

Mais où je croîs en l'humain, quand il n'est hautain !

Et qu'il est un bon Samaritain et un bon chrétien

Quand il naît au teint !

Avec qui on peut devenir copains !

En refaisant le monde autour d'un festin,

Et à parler de chacun

Qui a des carences affectives !

En analysant cela en carences détectives,

Qui sont le reflet que la société s'est déshumanisée

Dans l'impureté et les insanités,

Où tout le monde ne fait que déguster

Dans la vie à en bouffer toute son humanité !

Quitte à se fourvoyer dans l'inhumanité, la vanité

Et la médiocrité, et si face à l'adversité !

On faisait nous tous de nos carences affectives

Après les carences détectives, des cadences rectificatives

En cadences olfactives,

Qui signifiraient en odeur de Sainteté, des cadences rectificatives

En des cadences affectives après les carences affectives.

 

Jérôme de Mars

Je tire à l'arc en ciel !

 

Avec des chanterelles

Pour chanter la vie,

Je chante une ritournelle,

Le jour et la nuit !

 

Pour impressionner celles,

Dont j'vous fais grâce

Mes chères demoiselles

D'honneur, qui s'prélassent !

 

Dont de grâce au ciel,

Je pratique la compète !

En retrouvant l'essentiel,

La tête dans les comètes !

 

D'où par ciel dans le ciel,

Je tire à l'arc en ciel !

 

En déployant mes ailes,

Et en chantant la vie

D'ange, qui intemporelle,

Rend aussi mes nuits

 

Eblouies à-tire-d 'ailes !

En faisant un tour

D'carrousel, qui scelle

Les grands amours

 

En retour, qui appellent

Les troubadours !

A voler avec les tourterelles,

Celles qui font la cour !

 

D'où partiel dans le ciel,

Je tire à l'arc en ciel !

 

En rechantant en du lourd !

Les chansons d'tendresse,

Qui m'rappellent le jour

De l'amour en liesse,

 

D'où indicible, je tire

Sur la cible pour

Ma pomme, qui attire

Je l'espère ! L'amour,

 

Afin que Cupidon

Amène à ma porte !

Des amours qui font font !

Avec le fond d'la sorte !

 

D'où partiel dans le ciel,

Je tire à l'arc en ciel !

 

En passant mon examen

Par ciel ! Qui gratte-ciel !

M'donne les moyens

De concrétiser charnelle

 

Une chanson d'amour,

Qui flirte avec le soleil !

Quand lors d'un séjour,

J'm'émerveille au pluriel !

 

En scrutant le ciel démentiel,

Qui regarde vers l'horizon,

L'avenir de cette ritournelle

Avec vue sur le balcon,

 

D'où par ciel et sans ciel,

Je tire à l'arc en ciel essentiel !

 

Jérôme de Mars

 

 

Je ne sais pas où elle est !

 

Je n'essaie pas où innée !

Que je ne sais pas où elle est !

Que je n'essaie pas où aller !

Que je n'essaie pas où elle hait !

Et que je ne sais pas inné où elle ait ! 

Que je n'essaie pas où elle n'est !

Que je ne sais pas où innée, elle naît !

Que je ne sais pas où elle est !

Et que je n'essaie pas où aller !

Que je n'essaie pas où elle ait !

Qu'innée, je ne sais pas où elle hait !

Que je ne sais pas où elle naît !

Que je n'essaie pas innée où elle n'est !

Et que je ne sais vraiment pas où elle est vraiment née innée !

 

Jérôme de Mars

Dix de chute !

 

Moi, jeu percute un

Gars, qui répercute deux

Ou trois personnes qui persécutent

Quatre individus bipolaires, qui font chut !

Reçus par le club des cinq, qui dit et flûte !

A six sur une chaise, qui butent !

Le jeu de sept familles, qui rebute

Un huit infini, qui fait une chute !

Et qui fait, neuf rechutes !

Dont tout le monde chute et rechute en un dix de chute !

 

Jérôme de Mars

Le soleil est hébergé par les étoiles

 

Dès la nuit qui gravite

En sa lumière, avec sa lune

Qui est à son zénith !

Il y a ici là sans rancune !

 

Le soleil qui s'couche le soir !

En buvant son oranger,

Reflétant ses idées noires

Du fait de son âme damnée,

 

Et lorsqu'il fait nuit !

L'ciel devient l'hôtel du temps !

Qui fait son lit avec sa confrérie,

Traversant le temps distant !

 

Puisqu'en dormant à la belle et toile,

Le soleil est hébergé par les étoiles

 

Fulgurantes, défilantes et déferlantes,

Qui en font un ciel quatre étoiles

Insulaire, surgissant étincelante

En une peinture joviale et loyale,

 

En bravant l'temps avec panache,

Signe des temps que c'est maintenant

Qu'il faut se tuer lâche à la tâche !

En vivant et en revivant l'instant présent !

 

Comme si une toile inachevée

Serait le présage que l'ciel tire à l'arc 

En ciel, et qu'il est berger éméché

Ses amis, les étoiles brisées en son parc !

 

Puisqu'en dormant à la belle et toile,

Le soleil est hébergé par les étoiles

 

En rendant chèvres du bout des lèvres,

Les orfèvres du ciel qui est berger

Les boucs-émissaires mièvres,

Avec la fièvre du soleil enduré,

 

En montant au front des comètes,

Qui n'en faisaient butées et obstinées

Qu'à leurs têtes d'par leurs facettes !

En leurs diverses fossettes ébranlées,

 

Qui s'brûlèrent les ailes tourmentées

Et flétries en payant à l'hôtel du temps !

L'addition sucrée en errances salées,

Qui confirmèrent le temps mort-vivant !

 

Puisqu'en reposant à la belle et toile,

Le soleil est berger par les étoiles.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Si je disais et flûte enchanté !

 

Après avoir trinqué d'ma santé,

J'écris ces quelques vers d'flûte !

En trinquant à la santé préservée

De mes paroles qui exultent !

 

Où pour réenchanter les désenchantés,

J'appelle à la fraternité en ces paroles,

Afin d'organiser avec saga cité !

Une fête au village en une farandole,

 

Sans bémol qui fasse rassembler

Les gens malgré leur différence !

En assemblant selon leurs affinités,

Ces gens à volonté malgré leur indifférence !

 

Et en écrivant ces vers d'flûte désenchantés !

Si je disais et flûte en chanté !

 

J'ai envie d'en chanter et d'réenchanter

Ce monde qu'on fronde et qu'on sonde !

Afin d'y retrouver des valeurs d'authenticité !

En harmonisant le tout, en faisant tous une ronde !

 

Et en signant en des accords majeurs ! 

Un monde enjoliveur qui serait la réciprocité,

En puisant en chacun le meilleur d'ailleurs,

Et en triomphant tous unis de l'adversité !

 

En signant une chanson dans un hymne

A la paix, dont on espère qu'il y aurait d'la solidarité !

Où il vaut mieux réenchanter en des comptines !

La vie autant de l'insouciance et d'la légèreté !

 

Et en décrivant ces vers d'flûte déchantés !

Si je disais et flûte enchanté !

 

J'ai envie d'vous connaître en prenant l'temps !

De parler avec vous du soleil et du ciel !

En faisant la pluie et l'beau temps ! Longtemps

Que fût la météo qui amenait des arcs en ciel !

 

Pour cacher la pluie et la mélancolie du gris !

En faisant tomber d'l'eau à la place des sanglots,

En semant et en parsemant un soleil d'griserie !

En fumant l'bédo, en vivant dans un eldorado

 

Une vie à en chanter, à enchanter et à réenchanter !

En tenant paroles au lieu de parler sans actes !

Où pour vivre dans un Havre de paix, autant accorder

Et raccorder sans trac les violons pendant l'entracte !

 

Et en écrivant ces vers d'flûte enchantés !

Si je disais et flûte à floraison réenchanté !

 

Jérôme de Mars

 

Dans la vie, il faut luthier !

 

Air de guitare au son du banjo,

Il n'y a qu'la musique qui tape

Du pied, en chantonnant rétro !

Et en faisant tinter en un clap !

 

Des vers de flûte tous azimuts,

Qui jouent en roulement d'

Tambours, ce qu'ils répercutent

En instrument avant l'an 2022 !

 

Qui sans tambour ni trompette !

Claironnent en jouant texto du saxo,

Des airs d'guinguette qui guettent

La musique, qui fait qu'en électro

 

Dans la vie, il faut luthier !

Avec un luthier pour lutter

 

Envers une guitare à qui Johnny

Guitare, en fait tout un film,

Qui enjolive en une jolie vie !

Tout ce que Johnny n'mime

 

En chantant les désillusions

D'sa vie qui mouille la chemise !

En faisant sensation en action

Parmi ses chansons promises

 

A lui, en jouant d'la guitare

A la prison d'la santé ! Ou si

Au mitard, ça lui fout l'cafard !

A lui Johnny ! Qui dit ainsi

 

Dans la vie, il faut luthier !

Avec un luthier pour lutter

 

Contre ses vieux démons

Dans la vie, qui s'accumule !

En grimpant le temps à monts !

D'tout ce que la vérité dissimule !

 

Et d'tout ce que la musique

Simule anecdotique, mystères

Et bulles de gommes synthétiques,

En jouant du synthé populaire,

 

Qui synchro, ouvre le micro !

Avec les jolis mots du vocabulaire,

En même temps que c'est l'argot,

Qui amène d'la matière sur Terre !

 

Et qui d'accord et raccord ! Quelque

Peu ! Donne sur un piano à queue ! Que

 

Dans la vie, il faut toujours luthier !

Avec un luthier pour toujours lutter !

 

Jérôme de Mars

 

 

J'envoie de toutes les couleurs !

 

Ecrit noir sur blanc, quand j'en vois de toutes les couleurs ! Je vois rouge après que je me sois bronzé en ultra-violet, où j'ai ri jaune, si bien que j'ai mangé des marrons chauds, en étant marron et en broyant du noir sans faire sans blanc, d'où je gardai des bleus à l'âme de mon enfance, où ma vie ne fut rose, et pour ne plus voir tout en noir, rien de tel que je me mette aux verts, bleus clairs après avoir eu des bleus défoncés dans le gris de ma vie, et dont maintenant, j'en fais une griserie bleu turquoise, avec du rouge écarlate qui fait luire le soleil, où je bois à la santé de tout le monde un jus d'orange sans que je ne sois pressé, en route vers le bonheur d'un ciel bleu radieux, où enfin, j'envoie de toutes les couleurs en reprenant des couleurs !

 

Jérôme de Mars

 Et Curie !

 

Très à cheval en furie !

Voici deux médecins !

Qu'on marie en Pierre et Marie Curie,

Qui étaient tous les deux bien au point !

 

Et qui avaient en embonpoint !

Leur écurie à Pierre et à Marie Curie,

Eux, tous les deux mes deux Saints,

Et qui avaient découvert contre la maladie,

 

Le radium pour traiter les excès !

Et ainsi peut-être enrôler, Luit Louis Pasteur,

Afin de fabriquer contre la rage des camouflets,

Un vaccin qui n'empêcherait le bonheur !

 

A Pierre et à Marie Curie,

Avec dans leur écurie Et Curie !

 

Qui avaient eu la dent dure !

Contre les gens et leur rage de dent !

Et qui leur faisaient fendre l'armure

Parmi ceux d'aidants !

 

Dont ils soignaient leurs malheurs quotidiens,

Avec leur vocation qui demeurait de soulager

Les dents et l'aidant, grâce au vaccin

Contre la rage pour éradiquer les camouflets,

 

A Pierre et à Marie Curie,

Avec dans leur écurie Et Curie !

 

Et pour envoyer des piques de par ce vaccin,

Pour transformer leur rage en une douceur apaisée

Après avoir tant été oppressés par des malsains,

Dont l'unique remède serait de siroter d'la fraternité,

 

Afin d'remplacer l'oisiveté et la radioactivité

Par un médicament qui répare sur le tard,

Les gens cabossés par la vie qui les a écorchés,

Et dont à la place ! V'là en rempart des nénuphars,

 

D'la biodiversité à Pierre et à Marie Curie,

Avec dans leur écurie Et Curie !

 

 Le vaccin contre la rage et la connerie,

En slamant sur les vertus et sans les vices,

Mais en écoutant rétablies et éblouies !

Elles vissent qui pressent les inepties

D'la vie ! Pour qu'elles dévissent avec malice !

 

Les aléas d'la vie avec ses hauts

Et ses bas, qui font toujours débats !

A s'épancher en des gros mots !

Qui seraient surtout du pipeau à dériver en pugilat !

 

Et dont le fin mot d'l'histoire en bruits de couloirs !

Serait d'interroger les Français en leur franc-parler !

Dans un immense micro-trottoir qui serait l'déversoir,

Afin d'savoir si les Français voudraient être vaccinés !

 

De façon majeure contre la rage de leur cité !

Ou incités et suscités contre la rage de leur saga cité !

 

Envoyées à l'adresse de Pierre et Marie Curie !

Qui les marient ainsi ! Avec dans leur écurie aussi et Curie !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Quand ces amoureux se bécotant boivent l'oranger d'un coucher de soleil 

 

Enivrés par l'écume de la mer qui mousse les pimprenelles de leurs prunelles,

Quand ces amoureux s'bécotant boivent l'oranger d'un coucher de soleil,

Ils s'empressent, pressés par le temps de leur vie irrationnelle,

A en réciter le Missel en quête d'une existence sereine, en repartant de plus belle

Vers une idylle qui les emmène à l'eldorado, à en fumer la havane de leur Eden, 

Qui se démène pour les faire chanter en un chantage de l'adage d'une rengaine,

Et qui leur fredonne au son des troubadours, tout leur amour qui se réveille !

Quand ces amoureux s'bécotant boivent l'oranger d'un coucher de soleil,

Qui fait des merveilles et des étincelles, en clignotant leur lune de miel sans fiel,

Et dès que la mer les fait s'enlacer dans une nouvelle vague, ils s'embrassent

De baisers salés en baisers sucrés, de par la sève de leur bouche qui brasse

Du vent dans une tempête qui se ramasse et qui leur amasse un grain de folie joli,

Arrangé et dérangé par des étoiles filantes dans le ciel, qui ne tarit et ne désemplit

De loges et de louanges au pays des anges de l'amour, qui embellit leur romance

Sur la route des vacances, à aimer et à humer la mer dans ses itinérances,

Quand ces amoureux s'bécotant boivent l'oranger d'un coucher de soleil

Après que le matin, il a couché la lune après avoir couché avec elle charnelle,

Et lorsque le vent leur souffle un vent de sirocco, ils endorment de lauriers

La mer âgée, abîmée par ses vagues à l'âme qui ont fait mal à son âme écervelée,

Et resplendissante en un mariage de ramages avec autour d'eux des tourterelles,

Quand ces amoureux s'bécotant boivent à volonté l'oranger d'un coucher de soleil.

 

Jérôme de Mars 

T'as six mots à me dire ?

 

En faisant salon de thé !

Et en causant salon de tes

Discussions dans un bar de café

De tes chocolats,

T'as six mots à me dire ?

Le café ? !

 

Jérôme de Mars

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire  !

 

Avec harmonie et euphorie

Et sans mélancolie,

Après avoir été un sinistre bouc-émissaire,

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire !

A fleurir les étagères ! 

Et à désemplir ma colère !

En y mettant de la liesse

Et de la tendresse,

Sacré nom de bordel !

Et que j'en fasse de ce jour une ritournelle !

Comme aujourd'hui, c'est mon anniversaire !

A y organiser une nouvelle crémaillère

Pour mes 44 ans,

Qui sont le fruit de tant de tourments,

Car même si avant, ma vie fut souvent dans le chaos

A y rester sur le carreau !

D'un si un gros fardeau,

Aujourd'hui j'aurai pour dernier mot !

Que c'est du gâteau vers l'eldorado !

Après tous ces denses bobos,

Si bien qu'aujourd'hui, c'est mon anniversaire !

Sans œillères,

Envers ces vers pour boire affectueusement

Avec vous, des verres solidaires

Après tous mes revers solitaires,

Car même si dans le passé,

Ma vie a été si farouchement cabossée

En une crème fouettée !

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire !

Vers l'eldorado

D'une crème affûtée,

Dont à ce jour, ce mercredi 24 août 2022,

Je prends un an de plus à 44 ans

Avec le temps !

Devin en vingt deux

En ce mercredi, où c'est du gâteau !

Et dont j'aurai pour dernier mot !

Que je suis à présent une crème futée !

Après avoir tant été une crème fouettée !

Dont maintenant plus de colère !

Mais la simple envie d'avoir une embellie pulmonaire,

Comme aujourd'hui, c'est vraiment mon anniversaire !

 

Jérôme de Mars

 

 

                                                    Blague :

 

 

Pourquoi après avoir été une crème fouettée, suis-je maintenant une crème affûtée ?

- Parce-qu'aujourd'hui pour moi, c'est du gâteau avec une crème futée comme ce mercredi 24 août 2022, c'est mon anniversaire !

 

 

                                             Jérôme de Mars

La bourse ou la nuit

 

Encours de la vie !

A chaque jour et année qui écoulent

La providence, et qui

En se rendant à l'évidence,

Demande à l'humanité de choisir

En un dilemme de repentance,

La bourse ou la nuit,

En décidant de mûrir ou de mourir,

Afin que les épreuves et les tourments

Rendent les gens meilleurs avec le temps !

Et où la vie, c'est le jour ou la nuit !

A chaque période qui s'ensuit !

Même que les gens déboursent à l'infini !

Leur course effrénée en quête de profit !

Même si cela ne rend pour autant

Les gens éternels !

Surtout qu'au bout du compte réel,

Très au bout du tunnel !

Chacun fera les contes en dressant

Le bilan à réussir sa vie !

Ou à réussir à placer son argent

Déplacé en intempéries à l'agonie !

Et à en être heureux par une embellie

Virtuelle, en cachant l'essentiel

De ce que vaut la vie au paradis !

Et où le ciel demande la bourse ou la nuit,

Et si tout cela vaut le coût de tuer son harmonie

Pour réaliser une vie superficielle

De quelques années en plus virtuelles,

Alors que la quête de l'essentiel,

Demeure sa quête de la vérité factuelle,

Et est-ce-que la bourse ou la nuit ?

Qui réussit à durer longtemps,

De tout ce que l'humanité a enduré

Et supporté dans la vanité

Et le péché d'orgueil dans la loi du silence,

Avec en indécence toute l'insolence

D'un monde sans un soleil naturel,

Mais avec un soleil artificiel,

Qui avec les maux de son cœur,

Hait un bourreau des rancœurs

Dans la bourse ou la nuit,

Et où va ainsi la vie !

Dans son semblant de bonheur

En trompe-l’œil d'un lapsus révélateur,

Avec un compte en banque

A la place du cœur

Pour dissimuler dans une planque,

Tout son travail à la sueur

De son affront qui n'a de crédit content !

Que son discrédit racontant

Sa souffrance à découvert, face aux gens

Qui lui jettent un vent impotent et boursouflant,

En lui lançant un ultimatum éconduit,

Virtuel et irréel,

D'où il perd l'essentiel

De sa vie

Aux travers de la bourse inouïe,

Ou de la nuit qui dévie

Et qui débourse tout en un champ de ruines,

Qui le mine et se termine

En bout de course ? !

De la bourse ou la nuit qui hein finit ? !

 

Jérôme de Mars

 

A géométrie variable !

 

Il était une fois quelque chose qui ne tournait plus rond, car étant trop carré et en étant dans un périmètre de sécurité trop rapproché, en remontant à la surface à l'aire libre, et à géométrie variable ! Du cercle de pis à la vache enragée, qui isole le triangle isocèle en un triangle équilatéral légal, maltraité d'égal à inégal comme un triangle quelconque, qui fait du trapèze à géométrie variable ! En prenant du volume et en reconnaissant les bons côtés et les à côtés à géométrie variable ! Avec pour histoires parallèles des rêves perpendiculaires, parallèles en arrondissant les angles droits morts le tout à 360°, en prenant tout au premier degré et au second degré à géométrie variable ! En se calquant à l'horizontale de façon très verticale dans une des mesures parallélépipèdes à géométrie variable ! Des losanges qui portent leurs croix en diagonale dans cette France hexagonale, repliée en quatre, en prenant le parti d'en rire à géométrie invariable !

 

Jérôme de Mars

A Beauvallon

 

A Beauvallon,

Nous valons

Sans des Wallons

Que nous dévoilons,

Quand nous dévalons

A Beauvallon 

Des beaux vallons,

Quand nous valons

Et nous dévalons

Des vallons,

Et des beaux vallons

A Beauvallon

Sans des Wallons

Que nous dévoilons,

Quand nous valons

Et nous dévalons

A Beauvallon,

Des vallons

Et des beaux vallons

Sans de beaux wallons,

Que nous dévoilons

A Beauvallon.

 

Jérôme de Mars

L'amour qui haït et la haine qui aime

 

Tailler les haies en préservant son jardin secret,

L'amour est un art qui se cultive !

Tandis que la haine est une tare qui fustige

Et dont en bribes, il reste des vestiges !

Avec en vertiges,

L'amour qui haït et la haine qui aime,

Et qui sème 

Le chaos en un totem,

Qui fait que la vie s'meurt en un art de bohème,

Où plus rien ne tourne rond  !

Dans ce monde rubicond assailli de cons,

Afin de propager avec habileté habilitée,

De l'amour à la place de la haine !

Et avant que la haine devienne une gangrène 

Chaque semaine à en faire éclater sa bedaine !

Il faut vider son sac pour évacuer

Sa tournée pleine !

Avant qu'il y ait l'amour qui haït et la haine qui aime,

Et qui parsème avec des chrysanthèmes,

La vie comme un requiem  !

Dont le tout expire en un œdème,

Et respire mal en un emphysème,

Où plus personne ne s'aime !

Mais où tout le monde choisit comme thème,

L'amour qui haït et la haine qui aime

Désamours, et dont avant que la haine gangrène

L'amour et en fasse une éternelle rengaine,

Choisissons plutôt de tailler les haies dans l'amour

En devanture d'aventures, afin que domine en retour,

L'amour qui haït la haine et la haine qui aime l'amour, 

D'après Martin Luther King qui claironnait pour désarmer

En roulement de tambour !

Laissez la haine à ceux qui sont trop faibles pour aimer !

 

Jérôme de Mars 

J'écris le pilote de ce poème

 

En mode voiture dont je fus le pilote, j'adoptai comme ligne de conduite que cette voiture m'amène à l'aéroport d'Orly, où devait m'attendre mon ami Philippe Bourget qui la veille, avait été visité le Salon du Bourget, et dès que j'arrivai à l'aéroport d'Orly, je tentai de l'appeler mais son portable était en mode avion, alors comme Philippe Bourget intellectuellement, a plus de bagages de que moi, je demandai au guichet que quelqu'un appelle en micro ouvert Philippe Bourget en valises de détresse tout en tentant d'écrire le pilote de ce poème, dont fort heureusement, Philippe Bourget finit par me répondre au téléphone, où il me donna ensuite comme mobile que s'il ne put décrocher son téléphone initialement suite à mes appels, c'est que ce fut à cause de son téléphone qui subit un contrôle aérien pour voir s'il était en mode avion ou en mode connecté, et où Philippe Bourget fut totalement déconnecté pour répondre à l'objet de mon appel, ce qui fit qu'il ne put m'aiguiller pour connaître l'endroit où lui donner rendez-vous à l'aéroport d'Orly, car en plus au même moment, Philippe Bourget subit le contrôle de la douane qui enregistra ses bagages intellectuels ainsi que ses valises de détresse dans la soute en mode avion, à un tel point qu'on lui déroula le tapis rouge roulant, se déroulant en l'aiguillant grâce au ciel, pour qu'il puisse m'appeler et que je le rejoigne avec fatalité à la vie à l'endroit de l'aéroport d'Orly après que ce fut le monde à l'envers, dont après avoir mal décollé, j'atterris paisiblement à ses côtés au bout de cet itinéraire, et où donc j'arrivai bien à destination finale, dont je terminai tout juste d'écrire le pilote de ce poème en mode avion avec Philippe Bourget.

 

Jérôme de Mars

Les montagnes des Pyrénées-Orientales

 

En remontant la pente des pistes ancestrales,

S'immortalisent les montagnes des Pyrénées-Orientales,

Qui dévalent les hauts du Sud où la vie y est beaucoup plus paisible !

Et où la détente se pérennise dans une féérie indicible !

Que ça se passe de commentaires comme le soleil en admire la beauté

De la nature, qui rappelle le bon vieux temps de la loyauté

Et de la royauté de la vie, qui perdurent depuis longtemps dans le Sud

De Montpellier au Barcarès, ainsi qu'à Collioure qui ne sont point rudes !

Mais à fortiori dans une dynamique de conquête,

En quête d'authenticité qui demande en requête,

Qu'il y ait les montagnes des Pyrénées-Orientales,

Sans en faire toute une montagne magistrale,

Juste dans le but de se sentir capable de soulever des montagnes,

En faisant campagne dans la montagne ayant pour compagne,

Une colline sans fosse hé ! Qui pourrait fausser, fossé le ravin

En ces endroits à y pondre des poèmes devins, en regain

De la vie qui s'apprécie au grand air en Occitanie régionale,

Avec les montagnes des Pyrénées-Orientales, 

Qui regorgent et dégorgent du ver dont, dont cela engorge

Loin des Gorges du Verdon dans le Var, mais dont cela forge

Les caractères parfois trempés de ces quelques personnes,

Parce-qu'ici là ! Fanfaronnent, résonnent et sonnent 

En ces paysages sublimes et splendides d'entières relations amicales,

En osmose avec les montagnes désormais sacrées des Pyrénées-Orientales.

 

Jérôme de Mars

Il n'y a aucun nuage à l'horizon !

 

Météo qui fait la pluie et le beau temps furtif et météore !

Avec la grenouille qui saute furibond sur les nénuphars,

Grâce au ciel bleu, dès qu'il y a un soleil qui naît dans la lune,

Il n'y a aucun nuage à l'horizon !

Avec vue sur le balcon !

Sauf que quand il y a une éclipse lunatique,

Elle éclipse névrotique,

Le temps contrasté dans ce déroutant folklore,

Qui prêche la bonne parole du cagnard !

Pour qu'il réfléchisse à remplacer le gris

Par la griserie !

Si bien que le temps déniche comme trouvaille,

Une si grande grisaille !

Qui fait grise mine !

Et afin que le tout s'achemine et se termine

Bien ! Voici une éclaircie,

Qui provoque avec vue sur le balcon

Après la saison de la mousson,

Une embellie,

Qui engendre le soleil en une 

De la lune, 

Avec pour chacun et chacune

Dans la lagune,

Un road-movie jusqu'au bout de l'horizon !

Puisque grâce au ciel bleu, dès qu'il y a un soleil qui inné, naît dans la lune,

Il n'y a plus du tout de nuage à l'horizon !

 

Jérôme de Mars

 

En flânant dans les terrasses des cafés à Paris

 

Magie en libre circulation

D'la vie qui roule à vive allure !

En lettre capitale avec insurrection !

Il y a dans cette ville, l'envergure

 

Qui rend les piétons fébriles

Dans cette ville du bruit,

Et de la fureur pas docile !

Qui fait qu'il y a des éclats de bris !

 

En allant plein d'allant au bistrot,

Compter ses brèves de comptoir,

Il était une foi notoire les potos !

Qui parlaient des bruits de couloir,

 

Déclamant en fumée, leurs vers de poème

Dans les rues à venue, si jamais si,

Les clients payaient leurs cafés de bohème !

En flânant dans les terrasses des cafés à Paris,

 

Qui sentaient bon la naphtaline, 

En écoutant les badauds courir après le temps,

Et en s'souvenant de la résistance de Joséphine

Baker qui avec son chœur, sauva des gens

 

Prisonniers, dus aux tourments de la guerre, dont

Grâce à sa bonté incarnée et réincarnée,

Fit que que les gens montèrent sur le front !

Défendre à Paris les paroles réenchantées

 

De la ville de Paris qui avait la gaule, 

Et qui permit à la ville des temps modernes,

De courir longtemps sans noyer la saule

Du poisson en un do ré mi fa saule terne,

 

Et avant qu'il y ait à Paris la lanterne rouge !

Il fallait temporiser le gris de Paris par d'la griserie,

Avant que tout le monde voit rouge ! Et bouge !

En flânant dans les terrasses des cafés à Paris,

 

Enivrés par les barmans dobermans qui les soûlent,

Et qui les envoient promener dans cette ballade,

Qui les soûle tous ! Dès l'écume de l'ivresse qui les roule,

Et qui les rembarre tous dans cette énième sérénade,

 

Qui les fait rentrer dans le pipeau des moulins à vent,

Comme du Moulin Rouge, où tout n'est que foutaises !

Car Oh ! punaise ! Il y a des parasites trépidants,

Pris dans le mouvement des situations balèzes !

 

Qui rendent ce monde si oppressé et haut pressé !

Si bien que tout le monde est stressé et indifférent !

Où même s'ils sont insignifiants ! Ils en sont désabusés

Des aléas à Paris, qui font qu'ils deviennent distants,

 

Et différents face à cette ville de Paris fragmentée,

Et divisée par d'improbables divinités, comme si

Paris était plus révoltée, alors qu'elle naît que modernité !

En flânant dans les terrasses des cafés à Paris,

 

Face aux clients qui boivent à leurs déboires, en trinquant

A la santé de ceux qui font trinquer leur santé fracassée,

Et tracassée à Paris, où il y a du beau et du mauvais temps !

Alors que pour faire passer le temps à Paris, il suffit clément

 

D'ne point disséminer un dément ciel, d'examens 

Par ciel en des mises en examens superficielles

Et artificielles, face à la faim qui justifie les moyens !

De Paris qui manque d'âme et de naturel !

 

Et que faudrait-il faire pour que Paris retrouve son âme,

Et donne l'envie d'avoir envie que plus personne ne s'évite,

Ne s'enflamme et rende cette ville parfois infâme ?

Face à Paris et au reste de La France qui s'effrite,

 

Et se frite pour des disputes tous azimuts entre adultes !

Et afin d'redonner à Paris, sa frénésie et son harmonie,

Il faudrait peut-être insuffler des vers solidaires loin du tumulte,

En flânant avec quiétude dans les terrasses des cafés à Paris.

 

Jérôme de Mars 

 

Qui pourrait filer des étoiles au ciel ?

 

Eclairages d'un arc en ciel !

Pour enfiler et refiler les gratte ciel,

Qui pourrait filer des étoiles au ciel ?

Afin de faufiler accroché, un soleil

La nuit dans le ciel, la tête pleine les étoiles !

Et à qui ce sera le tour d'admirer de façon sentimentale 

Le ciel dans son chariot d'étoiles, incorporé

A la manœuvre de la voix lactée,

Et en observant le ciel universel,

Qui pourrait en filer des étoiles au ciel ?

Pour défiler raccroché des étincelles

Dans le ciel, faiseur de merveilles !

Et par ciel essentiel, qui pourrait chanter

Des hip hip hip hourra ?

Afin que la joie puisse insuffler

De l'amour inconditionnel

Et intergénérationnel, 

Au ciel des anges Ménestrels !

Et en fête de la paix,

Qui pourrait défiler des étoiles au ciel ?

Sans être dans un porte-à-faux, 

Qui rappellerait en sortant les griffes, les chats faux !

Et en étant dans le vrai du faux ou le faux du vrai !

Qui pourrait faufiler des étoiles dans le ciel ?

Seulement des tourterelles et des hirondelles ? !

En faisant voler vers le haut des échappées d'ailes !

Et en faisant décoller de plus bel une ribambelle

D'étoiles et d'oiseaux aux rituels surnaturels,

Et en allant à l'essentiel, qui pourrait refiler sempiternellement des étoiles au ciel ?

 

Jérôme de Mars

Les homme papillons en mer font voler les papillons

 

Comme un effet papillon !

Du bout de l'horizon, 

Les hommes papillons en mer font voler les papillons,

Et font s'envoler le cadet Roussillon au sillon

Du tourbillon de la mer qui jette un vent de tramontane

Au ciel dans ses bourrasques, qu'émanent

Les hirondelles, quand elles font du zèle 

Avec les libellules ! Qui attirent d'ailes, jettent leurs dévolus

Irréels vers ce qu'il y a de plus tohu-bohu,

En ramenant les papillons rationnels à la nage

Des hommes papillons qui sont en nage et qui nagent,

Aménagent, ménagent et déménagent

En une sorte de remue-ménage qui enrage

Les femmes papillons qui font des merveilles,

Quand dans un effet papillon à l'unisson !

Les hommes papillons en mer font voler les papillons,

Et survoler les femmes papillons dans les environs en gestation,

Qui resplendissent d'étincelles pendant leur lune de miel,

Avec au ciel les cinq éléments universels,

Qui font les larrons en foire,

Et dont grâce à un effet trop papillon !

Certains grands soirs,

Les hommes et les femmes papillons en mer font voler en éclats les papillons.

 

Jérôme de Mars

L'eau du ruisseau fait songer les poissons

 

Comme une peinture sur l'eau de Claude Monet impressionniste

Sur les nymphes qui doivent rendre ce monde hédoniste,

En éloignant donc le temps triste sur le fil de l'eau, nage en électrons

Une peinture d'Edouard Manet qu'a émané et Manet en un soleil

Endimanché dans la vie des gens lors d'un déjeuner en famille,

Dès que l'eau du ruisseau fait songer les poissons

Et frétille, lorsque la caresse du pinceau brosse sous un ciel

Ouvert, des gouaches de peinture qui s'épuisent sans broutilles,

En faisant circuler le sang froid des poissons sous l'eau, 

Qui fait des bulles en les faisant sortir et assortir de leur bulle,

Qui déambule conciliabule et funambule,

Pétillant comme du champagne qui roule sur des tonneaux

Devins qui présagent visionnaires, le temps que les moussaillons

Mettent à mener les gens en bateaux, 

s que l'eau du ruisseau fait songer les poissons

Mensongers, la tête sur l'oreiller avec leurs auréoles,

Qui débordent sous les abysses des Coraux en leurs babioles,

Qui grâce à la bonté et à la beauté des illusions,

Font que l'eau du ruisseau fait songer les poissons

Mensongers en trompe-l'œil si doux, qu'il ferait mentir

L'état des poissons nageant et végétant sous l'eau,

A attendre l'assentiment des poissons dauphins

Des requins voraces, comme des arlequins taquins,

Qui embrouillent le chaos en des désaccords méli-mélo, 

Sitôt que la mer repasse en magnéto les vents de sirocco,

Depuis que l'eau du ruisseau mensonger fait songer 

En cauchemars ces si beaux poissons.

 

Jérôme de Mars

 

A Port Barcarès, l'eau arrive à bon port !

 

Au fil de l'eau qui joue du folklore !

A Port Barcarès, l'eau arrive à bon port !

Un port ex port, il est temps 

Qu'il y ait du beau temps fanfaronnant !

Que les baignades en mer s'apprécient,

En écoutant des mélodies de mélomanie 

Qu'émanent la rive mélomane de la mer sur la promenade

En file Anglaise qui s'impatiente en cette saudade

D'un autre temps, qui fait référence au mistral gagnant

De la ville voisine de Perpignan qui nonchalant, 

Fait une sérénade en un raz-de-marée ! 

En traînant un air de dérobade qui désenchanté,

Permet de réenchanter les mots argentés,

Qui tiennent paroles dans la farandole, 

Qui sans bémol fait fleurir les tournesols !

Picorant avec les oiseaux qui sont les pigeons

Des prises de becs, moussant émoussant d'élucubrations,

Quand tourne le transistor, et que s'illumine le fort ! 

Et dont c'est son fort de confort !

Dès qu'à Port Barcarès, l'eau arrive à bon port !

Avec les métaphores qui arrivent sur le fil de l'eau,

En arrachant les mots du dico en des bris d'échos

Dans leur port d'attache qui sifflote les émotions

De générations en générations, en flânant

Sous l'osmose de leurs vibrations,

En flirtant en chansons

Enjouées sur l'estrade de Port Barcarès

Dans un drôle de Pataquès sans boules qui est-ce ?

Du bout de ce folklore pour éclore d'un transistor,

Dès qu'à Port Barcarès, l'eau arrive à bon port !

Dans un port ex port qui est son import

En cette zone de confort !

Dont c'est son fort quand dans une zone de pléthore,

Il vaut mieux privilégier la qualité

A la quantité, afin de triompher avec succès

Des aléas de la vie qui ne fait que roucouler,

Lorsqu'il y a en un port ex port, un import export,

Si bien qu'à Port Barcarès, l'eau arrive décidément à très bon port !

 

Jérôme de Mars

Quand la mer agitée surfe sur la nouvelle vague...

 

Planches à voile sur le port d'attache des bateaux de couleurs

A voile et à vapeur !

Sous un ciel bleu azur,

Il y a à chaque période de villégiature

Au creux de la vague, des rouleaux de vagues qui élaguent

Les vagues à l'âme qui draguent 

Les algues dès l'ivresse de la mer écumée,

Qui ne fait que mousser son Havre de paix !

Quand la mer agitée surfe sur la nouvelle vague...

Du bonheur dans la ferveur et la candeur

Des âmes qui ont besoin de fraîcheur

L'été lors des vents de sirocco, 

En faisant trémousser les oiseaux,

Qui volent le sel des mers,

Comme si tout cela était ordinaire !

Malgré les vents contraires  !

De la vie au grand air

En une embellie pulmonaire,

Qui ne décolle l'air et cavale l'air !

En nouant une alliance la bague

Bas doigt, qui scelle les retrouvailles et le mariage du soleil,

De la mer et du ciel,

Quand la mer agitée surfe sur la nouvelle vague...

Qui élague et drague en un tag 

Marin, la plume des oiseaux aux ailes brisées,

Brisées par la brise et du vent enlacés

Et transis par la mer inflexible qui passe une douche froide

A son sel marin, bercé au romarin de la chaleur moite 

Des journées contrastées et embrasées

De par les chevauchées en promenades de santé

Sur la mer endimanchée, qui élague ah ! Là ma drague !

Quand la mer plus qu'agitée surfe sur la dernière vague...

 

Jérôme de Mars

Si jamais j'étais enterré avec Georges Brassens !

 

Au nom d'une pipe !

Le jour où je casserai ma pipe !

J'aimerais être enterré avec Georges Brassens

A Sète,

Car c'est dans Sète ville

Que j'aimerais reposer en paix

Sous terre,

A siroter

Ma bise en bière

Avec Georges Brassens,

En écrivant des vers

Au cimetière,

Et en faisant danser ces vers,

A me bouffer

Tout cru

Après qu'ils aient bouffé

A cru et accrus

Georges Brassens,

Qui l'eût cru ?

Si jamais j'étais enterré avec Georges Brassens !

Dans la même tombe oh !

Je serai enjoué au caveau

De la république,

Un pudique et impudique

En tombant de haut !

Enterré dans le même tombeau !

Que Georges Brassens luit en tant que sain

Et moi en tant que mâle sain,

Au moins si jamais j'étais enterré avec Georges Brassens !

J'aurais lui comme voisin

Et comme ver de contact,

Moi qui ai le tract

De ma future mort !

Même que je n'en démords

Que je n'ai pas toujours eu de tact autodidacte !

Faute d'avoir été net sur la terre nette

Avec Internet,

Dont j'ai diverses fossettes 

En faisant des plans sur la comète

A Sète

Dans Sète ville,

Dont je frétille 

En mon manque d'idéaux

En répartition,

Et dont j'attends que Georges Brassens

Où qu'il soit en décomposition !

De par ses vers

Qu'il en fasse une composition

De mes mots

En déperdition !

De par le reflet

Des ravages de ma colère,

Dont en attendant que je finisse ne poussière

Comme Georges Brassens

A Sète

Dans Sète ville,

Autant que je prépare volontaire

Ma future vie sous terre,

Le jour où je mourrai austère

Et délétère,

Et en attendant d'être enterré 

A Sète

Dans Sète ville,

J'ai du temps linéaire

Pour partir en fumée,

Enfumé en cassant à p'tit feu ma pipe !

Au nom d'une pipe !

Or ! Je ne flippe !

Car à Sète

Dans Sète ville !

J'en frétille

D'avance

Et d'impatiences !

Si jamais un jour au grand jour, j'étais enterré avec Georges Brassens !

 

Jérôme de Mars

 

Lis slam !

 

Pas loin du Paris Paname

Sur la rame, j'suis en train

D'écrire un slam !

Avec en un refrain enfreint !

 

Si bien que j'attends l'tram !

Et que cette trame revient

Pour écrire en regardant slam !

Un slam qui en un clin

 

 

D’œil, survient et me prévient

Que je clame Lis slam !

 

 

 

Qui n'rame mais slame

En regardant mes maux croisés,

Dans un je de slam qui came

Ma vie dans un ravin cabossé,

 

Et fracassé par les drames

De ma vie, qui en un chagrin

En fait un mélodrame en flammes,

Où j'ne sais où est mon chemin !

 

 

Qui va trop loin en mon dédain !

A part que je Lis slam !

 

 

D'où j'dame le pion sans dames

Et sans femmes, qui n'mettent au Coran !

Quelle femme serait la femme

Pas infâme ! Mais quelqu'un d'édulcorant !

 

Qui enflamme ma vie au calme,

Quand le revers d'la médaille va-et-vient !

Avec en embellie, un soleil qui came

Les va-et-vient de ma vie qui revient !

 

 

Comme ma vie, c'est d'la tarte aux daims,

Qui déclame et proclame Lis Slam !

 

 

Ce n'est un drame, ni un mélodrame

Dans ma vie, qu'elle permet sans feint

De n'faire du cinéma feint, qui came

Et calme les esprits torturés en une des fins !

 

Que les joies et les peines sont des parfums

De ma vie, qui élaguent les vagues à l'âme

De ma vie, en revenant à l'essentiel sain !

Avec pour repères ce slam qui came,

 

 

 

En allant trop loin !

Qui acclame et réclame

 

 

Enfin et en fin ! En des fins sans feints !

Je slame vers Lis slam !

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

Les chenilles se transforment grâce à l'effet papillon en papillons

 

Volte-face dans les environs de la maison

Du bonheur vers la candeur des jours d'été, 

Il y a là la ferveur et l'ardeur à en admirer

Chaque journée à bronzer dehors au sillon

De la rue des plages, qui colore aux crayons

De couleurs le raz-de-marée qui, dans

Une contagion de soleil fredonne des divagations,

Dès que les chenilles se transforment grâce à l'effet papillons en papillons

De jour comme de nuit, à habiter leurs rêves qui songent sur le balcon

De la nouvelle vague à emmener leurs rouleaux de vague cigales

Aux dépens des fourmis économes qui fourmillent, en chantant le soir frugal

Autour de l'éclipse lunatique qui fait des plans sur la comète,

En montrant les diverses facettes du soleil, alors que la lune a diverses fossettes,

Dès que les chenilles se transforment grâce à l'effet papillon en papillons

S'envolant quel que soit le temps, qu'il rit ou qu'il pleure dans une effusion,

A lézarder le reflet du miroir qui réfléchit à la lumière du soleil,

Entre ombre et lumière qui rappelle que la nuit et le jour demeurent fraternels,

En regardant le temps bécoter avec les nuages en des ramages inconditionnels,

Avec aucun nuage à l'horizon, et aucun trouble d'humeur bipolaire sur le balcon,

Dès que les chenilles se transforment grâce à l'effet papillon en papillons,

En pagayant en nage, dans la chaleur de la nuit sur des barques qui embarquent,

A voile et à vapeur dans la fraîcheur du jour, qui mène si bien leur barque

Sur un lac qui s'étend et qui en a marre d'avoir l'air si calme, alors que le lac est un

Faux calme sur l'eau, or ! Il faut se méfier de l'eau qui dort, et il faut se méfier malin

Des apparences, comme quoi l'eau a l'air si placide ! Dont avec vue sur le balcon,

Les chenilles se transforment sereinement grâce à les fées papillon en papillons.

 

Jérôme de Mars

Poids-plume en magasin, poids-lourd en magasin

 

 

14 ans avant en 2008, poids-plume en magasin :

 

En 2008, en prenant la plume de ma plume,

J'avais un poids-plume, où je prenais       

Avec le sourire, O Bien mince !

Tout à la légère ! Qu'en magasin,

Je commençais la vante de mon poids-plume !

Avec mon maigre fardeau qui faisait

Que je ne m'en balance de tout !

Grâce au poids mince de mon fardeau,

Qui faisait qu'en marche de la République,

Je faisais en sorte que mon corps se balance

Sans balance !

 

14 ans plus tard en 2022, poids-lourd en magasin :

 

En 2022, en prenant du poids vers le poids

De mon fardeau, j'avais un poids-lourd

En magasin que je devins un poids-lourd,

Duquel je me bidonne et je m'évente 

A la vante et en vante,

En prenant des grands airs sans manquer d'airs

En une embellie pulmonaire vu que

Je commençais à m'essouffler en gros !

Du poids de mon fardeau et de ma rancœur !

Que je ne prenais plus rien à la légère ! 

Et dont je commençais à être gros, en gros !

Suite à l'accumulation des kilos

De soucis en mon poids-lourd !

Dont ben mince ! Je ne suis plus maigre !

Mais tellement gros, qu'en gros ! 

Je m'en balance sans légèreté !

De mon poids-lourd en magasin !

Comme en gros, je n'ai que ma plume !

Pour écrire avec légèreté tout le fardeau

De mon gros poids-lourd, car en gros !

En magasin à la vante, je me balance !

Et je m'en balance de tout ! Cent balance !

 

Jérôme de Mars

 

Tant que le sunlight allume l'été !

 

Lumière tamiseuse qui vous semble songeuse,

Pourriez-vous solutionner tous les tourments en écrivant

Noir sur blanc les ravages du temps

Qui surgit sur la scène fiévreuse ?

Tant que le sunlight allume l'été !

Et rallume les journées oubliées,

En se souvenant que les bancs publics

Attendent impatients que s'asseyent des riverains frénétiques,

A ranimer la vie et ses pulsions, en y mettant

Des couleurs avec des crayons de vie feutrés dans cette pièce noire,

Afin que le désespoir vide son sac dans un abreuvoir,

Pour que tout le monde se détende en s'embrassant,

En tirant en joue et en se baignant tout nus en des bains de Minuit,

Entre étreinte et volupté à se câliner dans le Midi,

Tant que le sunlight allume l'été !

Et rallume sans télé le teint aromatisé de la Mer Méditerranée,

Qui prend soin de ses vacanciers comme de ses enfants,

En tant que Mer protectrice et nourricière au fil du temps,

Que durent ces lieux de villégiature en faisant la sieste sur un hamac,

Qui peut paraître un véritable bordel à minuit dans un micmac,

En baisers de cure de jouvence bucolique avec comme projets

En instantané, quelque chose qui tienne la route à en siroter,

Une bière et un Monaco, en ayant un pied à Strasbourg et à Monaco

Dont pas besoin de chercher dans le dico le nom de cet eldorado !

A proprement parler et à évoquer durant la saison de la légèreté,

Tant que le sunlight allume l'été !

Dans la paix et l'amour de la réciprocité, d'où figure L'Eden

A enchanter en refrains, cette rengaine qui égrène

Ce jardin de Mausolée de tout ce qu'il faut préserver

Et le tout sans télé, mais avec l'essentiel de la bonté,

Afin d'aimer, de contempler, de disséminer et d'espérer

En une pléthore d'humanité emplie de succès,

Tant que le sunlight allume et rallume à volonté chaque été !

 

Jérôme de Mars

Petites vannes qui coulent dans un robinet d'eau pas tiède au GEM de Vitry

 

1) Heureusement qu'au GEM de Vitry, il n'y a pas de plume avec laquelle Jérôme peut écrire ses poèmes sinon Jérôme y laisserait des plumes !

 

2) Walid a comme mobile au GEM de Vitry la priorité de toujours répondre au téléphone quand il sonne !

 

3) Quand Guillaume joue au Monopoly avec Philippe Benguigui et les autres le samedi au GEM de Vitry après le repas, il joue en mettant en billet son argent !

 

4) Philippe Benguigui aime bien lire dans les BD des seins animés des femmes !

 

5)  Lorsque Mohamed vient au GEM de Vitry, il balance des vannes en laissant ouverts tous les robinets du GEM de Vitry !

 

6)  Lorsqu'il y a un loto au GEM de Vitry, Rafaël est sûr de décrocher quelque chose qui sort du lot, comme c'est un sacré numéro qui joue au loto de La Française des Jeux !

 

7) Imaginez le jour où Gerald et Philippe Benguigui joueront aux échecs pour de l'argent, ce sera et chèque et mate !

 

8) Philippe L si un jour, il vend ses Origamis, il pourrait les vendre à la découpe !

 

9) Quand Dorothée vient au GEM de Vitry, elle emmène avec elle son rayon de soleil FNAC pour nous parler avec passion de son travail !

 

10) Rafaël ne compte pas pour du beurre au GEM de Vitry comme c'est un bon élément pour aider Jérôme à faire les comptes du GEM de Vitry chaque début de mois !

 

11) La seule fois où le samedi midi, j'ai fait la cuisine au GEM de Vitry, à première vue en mettant tout à plat, je ne louche pas !

 

12)  Au GEM de Vitry, on est des demi-portions le samedi midi comme on a des toutes petites parts dans nos assiettes !

 

13)  Au GEM de Vitry, personne ne casse du sucre sur le dos des gens comme c'est du sucre en poudre qu'il y a au GEM de Vitry pour le mettre dans le café et le thé !

 

14)  La preuve qu'au GEM de Vitry, il n'y a pas de cuillère en argent pour mélanger le café comme personne n'y va avec le dos de la cuillère !

 

15)  Jérôme et Rafaël se comprennent si bien tous les deux qu'ils donnent sans compter, en privilégiant surtout la qualité à la quantité !

 

Jérôme de Mars

Chassez le naturel, il revient au garrot !

 

Très à cheval à cause des blessures de la vie,

Après les bleus de la vie pour rester bien loti,

Il suffit donc d'en faire un blues qui remette d'aplomb !

En arrêtant l'hémorragie impoli des trublions

Autour d'une improvisation à vitesse de grand galop,

Or ! Chassez le naturel, il revient au garrot !

Pour ligaturer chez les personnes en détresse, leur stress

Dans ce monde si apparent de grande liesse et d'allégresse,

Qu'on le croit débordé de tendresse, mais qui naît en fête que pipeau !

En cherchant avec une loupe les mots du dico dans le Vermot,

Or ! Chassez le naturel, il revient au garrot !

Qui panse après des blessures d'hémorragie avec et lasse pour la vie !

Des séquelles qui rendent souvent la vie endolorie sans confettis, 

En rendant les hommes et les femmes très à cheval ! A vitesse de grand galop,

Avec pour coup de trop dans ce micmac, des quiproquos en bris d'échos,

Qui se rappellent aux bons souvenirs que la vie naît un eldorado !

Mais une succession d'aléas dans les turpitudes du Colorado !

Même que la vie n'est un long tranquille ! A cause entre autres de L'Amérique 

Qui hait dans des sales états misanthropiques loin de son époque feu épique !

Et même si le monde de maintenant est très à cheval à vitesse de grand galop !

Et bien sans en faire trop !

Chassez donc le naturel, il revient toujours au garrot !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Il n'y a que les qu'on qui ne changent pas de vie !

 

Qui est qui ? Voilà quelque de joli qui sourit !

Quoique les poètes disent abasourdis 

Chaque jour après la nuit qui se résume ainsi !

Il n'y a que les qu'on qui ne changent pas de vie !

A part boire les déboires de l'eau de vie,

Ou rendre en pourboires, un hello poli qui dévie 

Du droit chemin ! Dans sa trajectoire avant le purgatoire

Des bruits de couloirs, à en pleurer sa déprime notoire !

Où pour passer au paradis des moments éblouis !

Il faut répéter à l'envie, en ayant un appétit fleuri !

Il n'y a que les qu'on qui ne changent pas de vie !

A part qu'ils fassent les cons qui, pas à pas dévient

Ceux qui changent de vie comme de chemise,

Sitôt qu'ils mouillent la chemise avec goguenardise, 

En s'en pinçant de rire dans un amour très rentre-dedans !

En faisant la chose comme deux amants affriolants,

Qui sont dans leur aimant, à aimer le septième ciel  !

Qui remplit leur vie d'amour dans le plus simple appareil !

En rendant romantiques les journées qui s'ennuient 

Entre elles ! A part faire voler les hirondelles qui, hèlent

Chaque vie singulière au pluriel qui clame groggy,

Il n'y a que les qu'on qui ne changent pas de vie !

A part peut-être au lit avec des demoiselles qui elles,

Chantent avec leurs porte-jarretelles, ce qu'elles veulent

Conduire ou éconduire dans leur jardin secret, à en jouir

Leur ligne de conduite malgré la vie et ses plaisirs,

Qui une fois seules et veules en buvant du tilleul,

Implorent leur paradis éperdu de rester fortuit dans la griserie,

Car depuis et puis,

Il n'y a pas que les qu'on qui ne changent pas devis !

 

Jérôme de Mars

 

J'eus deux six troncs pressés !

 

Jus d'orange pressé,

J'eus deux oranges en pressée !

Que j'eus deux abonnements à Orange des cons pressés !

 

D'où en jus de citron pressé,

J'eus deux citrons dépressés, presses-les !

Que j'eus de six troncs empressés !

 

Dont en jus de tomates cons pressées,

J'eus deux tomates pressées !

Qu'on me lança deux tomates compressées !

 

D'où en gardant une poire pour la soiffe, jus de poire dépressée,

Dont pour ma poire et assis sur une poire, j'eus deux poires des compressées !

Qu'on me prit pour une poire, d'où j'eus de poire pressée !

 

Dont jus de banane pressée,

D'où j'eus deux bananes et la banane empressée !

Que jus deux bananes et la banane décompressée !

 

Dont jus de fraises des pressées,

J'eus deux fraises empressées !

Que jus deux fraises en ramenant ma fraise !

 

D'où j'eus et jus de sur deux si troncs pressés,

Empressés, en pressée et si décompressés !

Et si des pressés parmi ces si compressés et ces si des compressés !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Comme un sablier qui écoule son sable sur une plage en été...

 

Vacances qui remuent le cocotier

Des palmiers longés dans les allées !

En se bécotant sur les terrasses terrassées,

Comme un sablier qui écoule son sable sur une plage en été...

Par la saison éclaire fulgurante

Des idylles d'été déferlantes !

Comme un sablier qui écoule son sable sur une plage en été...

En sirotant l'amour, tout en dégustant du sirop d'érable sur la jetée

Endiguée par la mer qui n'a de vague à l'âme l'été, car happée

Par les aléas du temps qui s'en va, valdinguer et transbahuter

Comme un sablier qui écoule son sable sur une plage en été...

Les vents allant et partant en vents de tramontane pour chahuter

Les amoureux transis de la fuite du temps, dont autant

Que ça dure le plus longtemps possible, or ! Cependant

Durant la nuit, les balcons font danser les bals populaires

Sur les rives à plus de 18 berges, en se racontant leur amour légendaire

A flâner, à errer, à vivoter, à végéter et à vagabonder

Comme un sablier qui écoule son sable sur une plage en été...

Lors d'un été inoubliable sur la mer qui surfe sur la nouvelle vague,

Qui élague les amours en dehors du Paris Paname,

Et si avec des baisers sucrés affriolants, le temps permettait de bronzer

En tombant des nus,

Ingénus et têtus !

Comme un sablier qui écoule son ultime grain de sable sur une plage en été...

 

Jérôme de Mars

 

 

Quand tombe le masque, j'y laisse des plumes !

 

Quand j'écoute en stéréo

Sur ma radio !

L'émission : " Le Masque Et La Plume ! "

A cran et à crocs,

Je me rappelle de mes frasques

Du fond de mon enclume !

Et quand tombe le masque,

J'y laisse des plumes !

D'où je casque sans casque

Toute mon amertume !

Aux travers de ma méchanceté gratuite,

Si bien que c'est le prix à payer

A mes frais !

Et aux regrets des épreuves fortuites

De mon enfance brisée en camouflets,

Où jusqu'à maintenant pour temporiser,

Je prends des cachets, le cachet

De la poste faisant foi, à en devoir composer

Avec le naufrage de ma vie qui fout le camp !

A chaque instant nourris par mes tourments

A corps éperdus

De ma vie lancinante et dissolue !

Hormis que je suis un Phoenix qui renaît

De ses cendres ! Pour descendre

En mourant à p'tit feu ! Sans fendre

L'armure de mon cœur de pierre

En trop-perçus du fruit de ma colère

Et de mes frasques !

Où je casque sans casque

Toute mon amertume !

Réfléchie par les reflets de mon enclume,

Lourde à en porter

Et à en déporter

Tout ce qui fout le camp de ma déconcentration !

A en imputer au collège privé mon entière humiliation,

Où avec un masque et sans masque !

Tout ça laisse des traces en bourrasques

De vent !

Or ! A présent, je ne prends plus de gants élégants !

Où tout est si bien ! Que quand tombe le masque,

J'y laisse des plumes !

De ma plume

Brisée par les orages de ma vie

Traversée en mes vers de rage qui dévient

Et les vit !

En déteignant de mon émission radio,

Même si je ne l'ai jamais écouté en stéréo :

" Le Masque Et La Plume "

Que je fais semblant de porter un costume

Pour cacher mon enclume,

Où je fume mes frasques

En des bourrasques d'Evian,

Comme tout tombe à l'eau !

Dans le mélo de mes sanglots !

Avec des trémolos

A enfumer les mégots

De cigarettes, à en pleurer dans le rétro !

Que même déguisé, je ne cache ma peine !

Même sous une désinvolture

Et une imposture

En je m'en foutre de tout ! Avec pour haine

Qui dégaine !

Des brumes qui m'enrhument !

Que j'en envoie des piques d'agrume

En remontées acides de mes frasques,

Où je casque sans casque

Toutes mes bourrasques,

Que j'ai l'air de porter un masque !

Pour cacher mon amertume

A en rapporter toute mon enclume,

Que quand tombe le masque, j'y laisse des plumes !

De ma plume d'oreiller à en écrire au stylo,

Tous mes bobos de Français Bobo ou bonobo,

Qui singe les reflets du singe,

En me creusant les méninges !

Et au fait, avec l'air de porter un masque !

Que je casque ou je ne casque,

Avec casque ou sans casque,

Quel est le plus difficile dans mon enclume ?

Est-ce la défaite que j'en fume

Ou les brumes, dont j'enfume mon amertume ?

Et avec un masque

Ou sans masque,

De façon frontale

Et fatale,

Qu'est-ce-que je casque

De mes frasques

En bourrasques

De vents qui me démasquent ?

Survis-je de ma plume ?

Même que je ne vis plus et que j'y laisse des plumes ? !

Qui plument et me plument ? !

Que j'en fume des frasques ? !

Que je casque sans casque ? !

Car quand tombe le masque de mes frasques,

J'y laisse de ma plume toutes mes plumes !

 

Jérôme de Mars

 

                                              A chase !

 

 

 

                               1)  Je deux chaises musicales,

                               2)  A                                       Q 4)

                                    s                                        u

                                    s                                        a

                                    i                                         n

                                    s  3) Et fatigué, à chase ! d

                                                      5) T

                                                           '

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                                                          s

                                                          b

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                                                          u

                                                          r

                                                          r

                                                         é

                               6) Ton tabourret assis à chase !

                          7) A                                              A 9)

                              v                                              c

                              e                                              h

                             c                                               a

                            t                                                  s e !

                           a ! roulante chase à pliable Chaise 8)

                                           10) D          E 11)

                                                 e           l

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                                                e           c

                                               d            t

                                               e            r

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                                               s    A

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                                                            a

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                                                                    !

 

 

 

                                       Jérôme de Mars

 

 

 

 

                             

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quand un avion tire un trait avec le ciel

 

Puissance d'ailes qui remuent le soleil !

Quand un avion tire un trait avec le ciel,

Le ciel se met en mode avion !

Dont c'est à la mode en son bastion !

En déployant de caresses qui cajolent

Et enjôlent le ciel, abonné avec une parabole,

Afin de connaître les tendances du ciel,

Et de constater s'il voyage en parallèle !

Quand un avion tire un trait avec le ciel,

En frôlant le triangle des Bermudes, qui

Isole celle de l'étincelle, en jouant exquis

Au qui est qui ? A qui ? Acquis ? !

Qui font des merveilles,

En faisant le portrait du ciel, épris du soleil

A l'horizontale, qui fait des plans

Sur la comète, où il y a un plan B très tire-au-flanc,

Qui prépare des plans à la vue de la conjoncture,

Et avant que soit largement entamée la rupture,

Il n'y a plus de passerelle entre le ciel et le soleil,

Quand un avion irrationnel tire un trait avec le ciel.

 

Jérôme de Mars

 

                                                   Blague :

 

 

 

 

Pourquoi dans la nuit du mercredi 3 août 2022 au jeudi 4 août 2022, y a-t-il eu des jeunes qui ont tiré sur le commissariat de Vitry-sur-Seine avec des mortiers ?

- Parce-que les jeunes ont tiré à bout portant en ayant les traits tirés à bout pourtant !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Big Ben Repetita 

 

Ici Radio Londres,

De la lumière à l'ombre

Des côtés sombres de l'humanité,

Il y a malgré tout encore des raisons

D'espérer et d'aimer !

Grâce à l'oraison !

Malgré le big bang de l'aura,

Qui remit les pendules à l'heure

De Big Ben Repetita,

Quand reviendra-t-il le bonheur ?

Après toute la colère de la guerre

Depuis naguère ! Qui s'en alla

Riposter par l'art et la manière !

Tels des rabat-joie !

Qui voulurent tuer de leurs viscères

Lors d'un big bang va t en guerre ! 

Que le monde ne tourne plus rond !

Comme il devient si con !

A la vue du sang 

A s'en crever les tympans !

Et si pour leur faire avaler la pilule !

On aurait dit aux gens qui pullulent

Dans leur crépuscule !

On va prier pour toi

A L'Abbaye de Westminster !

Malgré que le nerf de la guerre,

C'est l'argent content !

Et pour le salut de ton âme !

On va prier ! Afin que tu n'aies

Plus de côtés infâmes

En toi ! De par tes côtés obscurs !

Gare ! Sinon tu iras

Tout droit dans le mur

De Big Ben Repetita !

Où tu répèteras plusieurs fois

Les horreurs de la guerre !

Tellement que tu es perdu

Eperdu dans ta vie dissolue !

A ne plus croire en rien

Avec ton manque d'entrain !

Mais grâce à l'appel solennel

Du 18 Juin 1940 fraternel

Sur Radio Londres ici France libre,

Le Général de Gaulle sut

Redonner du courage et de l'espérance

Aux Français par la résilience,

Qui prédit à l'issue !

Qu'après un big bang avec fracas !

Il y aurait en moins un Big Ben Repetita !

Si bien qu'en général ! Dès la renaissance,

Et une foi la guerre terminée, il y eut la gaule 

De de Gaulle !

Comme avant en France, 

Qui remit avec puissance

Les pendules à l'heure

De Big Ben Repetita,

Ca y est ! On a retrouvé le bonheur

D'antan et pour tout le temps !

Avant que tout foute à nouveau le camp !

 

Jérôme de Mars

Je ne laisserai pas tomber le ciel !

 

Arc en ciel d'aquarelle,

Si je disais, Allo !

Hello ! Y a-t-il quelqu'un qui sort du lot ?

Pour m'en fredonner des ritournelles,

Qu'un monde meilleur est possible

Au fond d'une prairie paisible !

Et que de cause à effet !

Je ne crois au compte de fées !

Parce-que je croîs au conte des comètes,

Qui me disent surtout en m'implorant

Avant que le ciel ne te tombe sur la tête !

Prie, afin que le ciel universel te soit intemporel !

Dont j'insiste solennel,

Je ne laisserai pas tomber le ciel !

Encore moins un arc en ciel !

Autant que d'un soleil par ciel !

Mais l'unique chose parallèle !

Que je laisserai tomber formel !

C'est un ciel partiel; artificiel

Et superficiel !

Puisque le plus important, c'est l'essentiel !

Dans ce dément ciel, démentiel !

Et au fête ! Quelle sera la prochaine fête

Sur la place des amourettes depuis belle lurette ?

Où jadis, je préfère qu'on gratte le ciel naturel !

Qu'un gratte ciel surnaturel, sûr naturel !

D'où encore et encore, je ne laisserai jamais tomber le ciel !

Même s'il me faisait tout le temps

Des misères sur le plan corporel,

Dont à ce que je sache, le vent naît éternel

Et sempiternel que dans la force actuelle

Des choses de la vie réelles !

Et tenez-vous encore ! Je ne laisserai jamais tomber le ciel !

Même un arc en ciel par ciel,

Et que même si la vie est un miroir aux alouettes !

J'en ferai couler beaucoup d'encre que c'est chouette !

D'où j'y laisserai des plumes de Calimero, dont grosso modo !

En relevant le niveau et en allant vers le haut !

Sachez qu'en étant un être insurrectionnel,

Que tout le temps

Et quelque soit le temps,

Que pour rien au monde, je ne laisserai tomber en retombées le ciel !

 

Jérôme de Mars

Je passe aux vers

 

Dès le crépuscule,

En voiture figurée, je véhicule

Des hauts vers bordent !

Qui font que je déborde 

Dans un turn-over !

Quand je tourne aux vers,

Et que je passe aux vers,

Et avant que je vois rouge au rouge,

Je passe de justesse à l'orange pressée

Et stressée par tant d'inhumanité et de vanité,

Qui font que je passe aux vers,

Feu rouge, en voyant rouge le feu rouge

Sur tout ce qui bouge,

En étant dans un tournant,

Et en mettant le clignotant

Vers une gamme aux vers,

Quand dans un turn-over,

Je tourne aux vers

En avançant sur un hoverboard,

Quant aux vers bordent !

Tous mes mauvais côtés qui débordent

A proprement parler

De mon franc-parler !

D'où j'aborde et je concorde

En faisant des émules !

Avec mon véhicule,

Dont après que je passe au feu orange pressée,

Empressée et stressée,

Je vois rouge, feu rouge au feu rouge,

Si bien que dans un énième turn-over,

Je retourne aux vers,

Qu'on me donne le feu vers

Et qu'on m'en redonne le feu vers,

Feu que j'en repasse aux vers jusqu'aux revers.

 

Jérôme de Mars

Les baobabs Africains

 

Plantés-là parmi la faune et la flore des cœurs de palmiers,

Sereins et humains en jouant les bons Samaritains,

Il y a là les baobabs Africains,

Qui jouent du tam-tam, en faisant circuler les passants

Pour véhiculer dans une immense avancée,

Le sourire de la foule arpentant et sillonnant

Le tourbillon du vent tourmentant les plans d'Orphée,

Dès l'arrivée du plan B qui fait des plans sur la comète,

Comme si le ciel tombait dans les oubliettes !

Du triomphe de la vérité se fourvoyant dans la vanité,

Même si les habitants autochtones élégants

Prennent des gants arrogants en insultant le vent,

Passant sciemment dans les parages

Des rivages aux heures d'arrivages

Au bord de la plage, en prenant des virages

Avec les baobabs Africains,

Hautains et au teint des paysages du Méridien,

Aux destinées de la terre aussitôt sauvage

Et tantôt anthropage,

Lorsqu'elle fait une halte en montant

Aux abords d'un attelage

Volage et voltatile, en trompant l'ennui

Aux travers des bourses de la vie

Humaines lors de l'abordage puritain,

Quand les baobabs Africains

Jouent les touristes naturistes,

Ou les âmes altruistes

Dans ce monde qui est triste !

Mais dont il suffit simplement que le soleil

Montre son simple appareil,

Et réveille hédonistes les malheureux sur la terre,

Qui incite stationnaire aux volontaires

D'entrevoir la lumière au bout du tunnel,

A travers une paisible passerelle,

Qui emmène à l'autel

Des consciences universelles,

Quand sereins et humains,

Demeurent plantés-là !

Avec de la joie, pas rabat-joie !

Les indétrônables baobabs atypiques Africains.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

Les volcans d'Auvergne

 

Pas besoin d'en faire toute une montagne !

Dans ce pèlerinage vers la campagne

Qui fait irruption !

Quand font éruption,

Les volcans d'Auvergne,

En crachant de la lave

Sur tout ce qui bave et s'en lave,

Quand délavent des laves

Depuis les volcans d'Auvergne,

Qui vendaient en contredanse

De la bourrée,

Qui danse avec pour tendances

Des bourrées rembourrées, 

Et bien débourrées

Avec les volcans d'Auvergne

Depuis les temps modernes,

Qui alliaient l'Allier et le Cantal

Durant les nuits fauves de Lyon,

En buvant de l'eau pure de Vichy,

Qui prend sa source dans de l'eau de vie

Et qui coule en vin dans Le Rhône,

Qui ne détrône

Les volcans d'Auvergne

Depuis les temps modernes

Pas ternes, avec les lumières allumées

Des lanternes

Embourgeoisés et appréciées,

Quand la vie des gens est un long fleuve tranquille !

Qui abreuve d'une ribambelle d'amour qui écarquille !

Les yeux grands ouverts aux plaisirs des nuits,

Qui en font tout un fromage d'Auvergne !

Depuis les temps modernes,

Quant bien du puits de Dôme il y a l'étape amicale !

Qui emmène jusqu'au Val de Marne qui dévale !

En allant vers le haut depuis les volcans de grande Auvergne.

 

Jérôme de Mars

Des crayons de couleurs pour colorier le ciel gris en un ciel arc en ciel

 

Feutrés, il y a pour reprendre des couleurs en envoyant la couleur

Quelques lueurs d'espoir qui vont faire fureur en pleine ardeur,

Avec des crayons de couleur pour colorier le ciel gris en un ciel arc en ciel

Dans une pastelle d'un bleu pastel, avec après les bleus de la vie en son gris

Mélancolie, le temps où il est venu d'arriver en des bleus harmonie et euphorie,

En faisant tourner les mélodies du bonheur à l'hôtel du temps, qui dégèle

Le froid du temps bipolaire, en repassant le même disque rayé mais bariolé, 

Faisant regretter l'instinct maternel lorsque la vie passe vite, et dont ondulé,

Il faut que la vie ébouriffe les routines de la vie qui ennuie le commun des mortels,

En feutrant feutrés, les aléas du temps qui se meurt chaque jour à petit feu !

En rêvant d'un monde meilleur en n'oubliant les aïeux, les modèles

D'un temps révolu, or ! Nul n'est tenu à l'un possible ! Mais à une époque par ciel !

Avec des crayons de couleurs pour colorier le ciel gris en un ciel arc en ciel,

En faisant regretter le gris de la vie, en le faisant coïncider avec la griserie

Chouette, comme des chouettes qui refont aller le monde vers le haut idéal et joli,

Et afin que le temps ne gomme les instants essentiels, il faut manu militari 

Rendre les moments précieux ! Pour qu'ils soient prescrits d'une saudade

En route étapes étapes vers la composition finale de cette balade !

Qui gratte le ciel sur un gratte ciel, feutré et placide qui fait tourner la manivelle

Des crayons de couleurs pour colorier le ciel gris en un ciel arc en ciel différentiel.

 

Jérôme de Mars

 

Les poissons sous l'eau regardent en pétant un câble Télé Bocal

 

Comme des poissons dans l'eau qui accablent le local !

Les poissons sous l'eau regardent en pétant un câble Télé Bocal,

La chaîne avec des maillons faibles et des maillons forts,

Qui chantent avec l'eau en allumant le transistor pour chlore

Tout ce folklore sous l'eau, dont c'est leur fort d'avoir du phosphore

Aux poissons pour clore et éclore ce bocal qui est sans filtre

Parmi les poissons qui ont des dents de requins qui infiltrent,

Quand les poissons sous l'eau regardent en pétant un câble Télé Bocal,

Comme des poissons dans l'eau qui accablent le local !

Dont certains sont des poissons immigrés qui ont émigré sur L'Aquarius,

Même si ces poissons ont des noms particuliers en disant nom à Marius,

Si bien que de l'eau a coulé sous les ponts !

Comme ces poissons ne s'appellent Dupond et Dupond !

Comme des poissons dans l'eau qui accablent le local !

Quand les poissons sous l'eau regardent en pétant un nouveau câble Télé Bocal.

 

Jérôme de Mars

 

 

Dingue d'humour sans garde-fous au CMP de Vitry-sur-Seine

 

Plusieurs vannes d'humour sur le CMP de Vitry-sur-Seine :

 

1) Depuis le temps que je suis suivi au CMP de Vitry-sur-Seine, ça fait bien 20 ans que j'en suis dingue du CMP de Vitry-sur-Seine !

 

2) Pour bien prendre mon traitement médicamenteux, heureusement que je suis bien traité par le CMP dans l'ensemble malgré mes conflits intérieurs !

 

3) Si ma psychiatre Madame Teillet veut que j'y vois plus clair dans ma vie, elle n'a qu'à me prescrire au CMP de Vitry-sur-Seine qu'on me fasse des injections avec des ampoules pour que je sois encore plus illuminé !

 

4) La preuve que ce n'est pas du cinéma ce que je dis à Madame Teillet lors des séances avec elle, car ce n'est jamais la dernière séance au CMP !

 

5) A coup sûr si au CMP de Vitry-sur-Seine, on me faisait des injections, il y aurait de quoi lancer des piques contre la société !

 

6) Si le CMP un jour arrive à me guérir complètement de mes névroses en injonction, ce sera comme chercher une aiguille dans une meule de foin pour que je la ferme !

 

7) Pas besoin de demander à Madame Teillet l'asile psychiatrique pour être hébergé à l'hôpital Paul Guiraud comme ça fait déjà très longtemps que je ne suis plus étranger à la psychiatrie !

 

8) Si jamais un jour en plus de me faire hospitaliser à Paul Guiraud, je vais en chambre d'isolement, ça voudra dire que mon cas m'isole !

 

9) Quand on va à Paul Guiraud, on est comme à la maison étant donné qu'on est hébergés dans un pavillon !

 

10) C'est connu Paul Guiraud, ce n'est pas une prison dorée, la preuve que ce n'est pas La Prison de La Santé !

 

11) Si un jour je retourne à Paul Guiraud, j'espère que je ne serai pas renfermé avec les autres même si je vais dans un pavillon pas ouvert !

 

12) La preuve qu'on n'est pas nets quand on est hospitalisés à Paul Guiraud, comme on n'a pas internet mais qu'on naît sur à terre nette !

 

13) Si un jour en piqûre de rappel, on me met sous curatelle en étant hospitalisé à Paul Guiraud, c'est que je serai vacciné et majeur protégé !

 

14) Si jamais un jour au CMP de Vitry-sur-Seine, on me dit du balai, c'est bien qu'on s'en lavera les mains de moi à force que j'entretienne mes malheurs !

 

15) Si un jour au CMP de Vitry-sur-Seine, j'ai une case en moins, ça sera à cause de mes maux croisés, tellement que ce sera d'un point de vue mathématique, échecs et mate qu'on me damera le pion dans un je de dame, en étant un simple

( mort ) pion sur l'échiquier !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Le soleil a des étoiles dans les yeux

 

En regardant par quatre yeux,

Il faudrait penser à être heureux !

En faisant sourire le ciel

Et le temps, en faisant tourner le carrousel

Sur place qui aimante les après-midis joyeux,

Radieux et soyeux !

Quand en faisant pour le mieux,

Le soleil a des étoiles dans les yeux

Sur la place des grands boulevards,

Loin très distants de Hollywood stars !

Où dès chaque jour qui se lève,

C'est le moment de déclencher le rêve

A moitié éveillée et endormie !

Pendant que les nuits embellissent les visages jolis,

En contemplant la hauteur des villes,

Qui ne frétillent pas pour des broutilles !

Dans le silence des rues qui appelle le ciel parcimonieux !

A confirmer que le soleil a des étoiles dans les yeux !

En sculptant du regard le trombinoscope,

A l'aide d'un télescope

Dans le ciel réel,

Trop loin de l'imaginaire commun des immortels,

Que les nuages de vapeur boivent un café

Sous une pluie, qui ne fait que chicaner la chicorée

Des jours insensés et débraillés, dont nulle part pareil !

Le temps patiente à l'infini sous un ciel d'aquarelle,

En épiant le coin des mirages fabuleux,

Si bien fameux que pour demeurer et rester heureux !

Le soleil a des étoiles pérennes dans les yeux.

 

Jérôme de Mars

L'été, les feuilles habillent les arbres !

 

Comme si le ciel écrivait sur des feuilles vivantes

Pour rhabiller l'hiver déshabillé par les arbres,

Qui le laissent de marbre !

L'été, les feuilles habillent les arbres !

Et raniment les feuilles souffrantes

Qui ont tant de fiel sous le ciel !

Qui chancelle sous d'apparents confettis,

En fait déconfits et subis

Par les rafales de vents dans l'ombrelle

Du temps qui a besoin d'un paravent !

D'où par avant, le ciel fut exultant

En ne laissant de marbre !

La saison fleurie, où jadis !

Quoiqu'une accalmie suffise !

L'été, les feuilles habillent les arbres !

En des mots divers,

Avant que de marbre,

Les feuilles déshabillent les arbres

En des maux d'hiver,

Qui tombent des nus !

Bourrus et fourbus

Par tant de confusion sous cette Terre délétère,

Qui a en marre de subir les revers de sa colère

En ces paysages, harassés de vivre et survivre,

Que tout le monde s'enivre

Sous d'apparentes joies de vivre,

Alors que seul le soleil délivre

Les tournesols en foulant le sol !

Avec aucun bémol grâce à une boussole

En ne laissant de marbre,

Les arbres

A l'approche de l'été !

Puisqu'avec puberté et légèreté,

L'été, les feuilles habillent sans bisbilles les arbres !

 

Jérôme de Mars

Petites saynètes sur la vie quotidienne de Jérôme Bedrossian !

 

 

Voici des p'tites saynètes sur les travers et les idées reçues du quotidien de Jérôme Bedrossian !

 

1) Serge Kurts, ancien éducateur du CEREP aujourd'hui à la retraite discute avec Jérôme Bedrossian, ancien patient du CEREP :

 

Serge Kurts : 

-  "  Bonjour Jérôme, comment vas-tu ? "

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Bien Serge, comme je fais couler beaucoup d'encre dans mes poèmes, pourrais-tu les mettre en musique mes poèmes ?  "

 

Serge Kurts :

-  "  Mon cher Jérôme pour ne pas que ça fasse jazzer, je préfère que tu écrives tes poèmes sans que je les mette en musique déjà que tu dois composer avec tout ça dans ta vie, sans tambour ni trompette en répercussions de ma retraite par répartitions de musique ! "

 

2)  Christophe Pou, un ami à Jérôme Bedrossian lui demande pourquoi il ne l'appelle jamais :

 

Christophe Pou :

-  " Bonjour mon ami, comment vas-tu ? Pourquoi ne m'appelles-tu jamais ? Et pourquoi, n'es-tu jamais libre pour qu'on se voit ?  "

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Je vais bien Christophe, si je ne te réponds jamais à tes appels et si je ne suis jamais libre pour te voir, c'est parce-que c'est du à mon mobile, dont mon mobile est que je veux que tout soit au beau fixe du téléphone fixe !  "

 

3)  Brigitte Yvelin apppelle Jérôme au téléphone pour l'interroger pourquoi il ne prend plus de ses nouvelles en lui envoyant des SMS :

 

Brigitte Yvelin :

- "  Bonjour Allo Jérôme ! Pourquoi ne m'envoies-tu plus de messages pour prendre de mes nouvelles ?  "

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Bonjour allo, à l'huile Brigitte ! Si je n'ose plus t'envoyer de textos, c'est parce-que j'ai peur que ça mette de l'huile sur le feu vu que t'as un caractère bien trempé ! "

 

4)  Edwin Joseph téléphone à Jérôme pour lui demander de l'aide alors que quand Jérôme demande de l'aide à Edwin, Edwin n'est jamais là :

 

Edwin Joseph :

-  "  Bonjour Jérôme, pourrais-je parler avec toi ? Je me sens seul, tu avais raison, le monde de maintenant hait pourri, c'est chacun pour soi et Dieu pour tous, les gens sont tous égoïstes !  J'ai besoin de ton aide Jérôme, s'il te plaît ! Réponds-moi ! 

 

Jérôme Bedrossian : 

-  "  Désolé Edwin, je n'ai pas le temps de parler avec toi en te renvoyant l'ascenseur, car à chaque fois que j'ai eu besoin de toi, tu ne m'as jamais renvoyé l'ascenseur Monsieur le censeur ! Ce qui fait que dans mon immeuble, je n'ai pas d'ascenseur pour monter chez moi ! "

 

5)  Jérôme Bedrossian téléphone à son père Michel Bedrossian pour lui proposer quelque chose :

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Bonjour papa, serais-tu d'accord pour venir avec la famille à mon anniversaire le dimanche 25 septembre 2022 ?  "

 

Michel Bedrossian :

-  " Jérôme, on verra !  "

 

Jérôme Bedrossian :

-  "  Pourquoi me dis-tu encore on verra ? Tu ne sais dire que ça on verra, à force que tu me dises on verra, et bien je vais voir de moins en moins avec mes yeux qu'on en verra jamais la couleur avec toi papa qui est toujours d'humeur noire et morbide ! "

 

6) Hassan, l'épicier ami de Jérôme Bedrossian lui propose un café gratuitement dans son magasin :

 

Hassan :

-  " Bonjour mon frère, comment vas-tu ? Tu veux un café ? C'est moi qui te l'offre de bon coeur ! "

 

Jérôme Bedrossian :

- " Merci Hassan, c'est très gentil de ta part, ça devient rare les gens comme toi qui ne m'offrent pas le café du commerce avec un fond de commerce payant ! Au moins toi Hassan, tu as la bonté incarnée avec aucune méchanceté gratuite car depuis ma naissance, j'ai déjà assez payé comme ça dans ma vie ma méchanceté gratuite, due à mes erreurs d'Aven et indue à la méchanceté gratuite des gens dans la rue avecc moi ! "

 

7) Jérôme Bedrossian envoie un SMS à Catherine Bels Pautrat, la cousine germaine de sa mère à Jérôme pour lui demander pourquoi elle ne le voit plus depuis 2014 :

 

Jérôme Bedrossian : 

- " Bonjour Catherine, comment vas-tu ? Je ne t'appelle plus car sinon, tu vas me demander l'objet de ton appel, que si jamais, je devais t'appeler et bien, je risquerai de t'appeler en appel masqué à cause du Covid, et au fait, pourquoi ne me vois-tu depuis 2014 ? "

 

Catherine Bels Pautrat :

- " Jérôme écoute, je ne peux plus t'encadrer comme tu me fais sans arrêt des tableaux d'honneur, et si je sors de chez moi pour te voir, je risquerai de sortir du cadre à musée de mes tableaux de peinture, et en plus tu sais Jérôme, j'expose tous les ans à Shanghaï ma peinture pour amuser la galerie que je ne peux plus faire Ma Chine arrière ! "

 

8) A chaque fête chez Boris Pitoëff, Lionel Lelouch demande à Jérôme Bedrossian  pourquoi il ne lui parle jamais :

 

Lionel Lelouch : 

-  "  Bonjour Jérôme, pourquoi est-ce-qu'à chaque fois qu'on va chez Boris, tu ne me parles jamais ?  "

 

Jérôme Bedrossian : 

- "  Lionel Le Louche, je n'ai rien à te dire, je ne te parle plus à cause de tes conflits d'intérêt à mon égard du temps où tu voyais tout le temps Fabrice à mon détriment, tu ne m'intéresses plus Lionel Le Louche que maintenant la roue a tourné pour toi depuis que toi et Fabrice, vous ne vous voyez plus, je te laisse parler qu'à Longet  à ton psychiatre sur son divan, comme t'es Lionel Le Louche ! "

 

9) Philippe Bourget appelle son ami Jérôme Bedrossian sur son portable qui ne lui répond pas pour la énième fois, qu'il lui laisse comme message vocal suivant :

 

Philippe Bourget : 

-  " Bonjour Jérôme, comme tu ne me réponds jamais à mes appels, dorénavant si tu cherches à me joindre, et bien je mettrai mon portable en mode avion que tu croiras que je suis au Salon du Bourget !  "

 

Jérôme Bedrossian envoie comme SMS à Philippe Bourget :

- " Pas grave Philippe comme tu es le pilote de ta propre vie lors d'un racolage immédiat ! "

 

10)  Jérôme Bedrossian appelle avec son portable l'atelier conditionnement de son ancien ESAT pour parler avec Eric Thébault, son ancien moniteur référent :

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Bonjour Eric, comment allez-vous ? "

 

Eric Thébault :

-  " Je vais bien Jérôme, pourquoi ne m'appelles-tu plus à l'atelier conditionnement pour prendre de mes nouvelles et pour me donner de tes nouvelles ? "

 

Jérôme Bedrossian :

-  " Si j'appelle à l'atelier, je vais tomber sur occupé comme vous êtes toujours occupé Eric à L'ESAT même pour des bricoles ! "

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si les oiseaux se débectaient de leurs prises de becs...

 

Oiseaux lâchés tout seuls dans la nature !

Envoyons-leur des lieux de villégiature !

En faisant bonne figure,

Et en leur rappelant que la beauté de la vie,

Revit éblouie et ravie,

Si bien que la sérénité sourit dans la verdure,

Et dont j'écris ces quelques vers durs !

Afin qu'il n'y ait plus de mots secs pètes-secs !

Si les oiseaux se débectaient de leurs prises de becs...

Pour que tout le monde s'entende sur la même longueur d'ondes,

Afin que tout le monde se sonde en formant une ronde,

Et emmenons les oiseaux aux ailes brisées voyager sans prises de becs,

Avec aucun mot sec pète-sec !

Et si les oiseaux se débectaient de leurs prises de becs...

Y aurait-il parmi les oiseaux libres aux ailes brisées, des femmes avec leurs mecs,

Se défendant ongles et becs ?

Et dont sans prises de becs,

Avec aucun mot sec pète-sec !

Si les oiseaux de mauvais augures,

Pouvaient avoir une bonne nature,

Soit en faisant bonne figure ou soit en faisant pâle figure,

Qui préfigurent, configurent et figurent

Sans visages ni figures,

Et sans prises de becs secs

Aucun mot pète-sec,

Qui augure et inaugure

En se demandant depuis leur lieu de villégiature,

Si les oiseaux avec aucun mot sec pète-sec

Se débectaient de leurs infinies prises de becs...

 

Jérôme de Mars

 

 

 

                                             Tel est l'écran !

 

 

 

1) Tout s'enchaîne sur la TNT explosive, effet boule de neige analogique ! Alors

 

2) Q                                                                                                                      D 4)

u                                                                                                                           e

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s 3) De mire, il y a un réseau numérique à la carte ! Or Télé l'écran ! En faisant

                                       5) C                                   a

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                                          e 6) De l'antenne, où tous

        8) Programme, tel est l'écran de la TNT à la carte du réseau numérique,

       9) Q                                                                                                         T 11)

           u                                                                                                         N

            i  10) Pète un câble sans câble à écran bipolaire sur l'écran de la   T  !

 

 

 

                                            

 

                                              Jérôme de Mars

 

La mer qui a péché en noyant le poisson dans l'eau

 

Raz-de-marée dans un vague à l'âme,

Si dès la nuit tombée, de l'eau surfait

Sur une planche à voile, qui enflamme

La mer qui a péché en noyant le poisson

Dans l'eau, sur le fil lors d'un 1er avril durant la mousson,

Il y aurait des oiseaux qui jetteraient

Un vent sèchement à disperser

Ses idéaux, dont il faudrait évoquer le sujet

Avec le matelot et le moussaillon disposés,

A proprement parler ! En lézardant l'encre

De la mer aigrie bleu foncée, qu'ancre

La mer qui a péché en noyant le poisson

Dans l'eau, en étant mis sur le grill ! Grillé

Et serré comme des sardines

Sur le radeau qui méduse les méduses,

Avec pour muses qui amusent, des ruses

Qui se dandinent afin qu'il n'y ait de routine !

En élevant le vent élégant, et en y jetant exultant

Des cotillons qui sèment des effets papillons !

Parmi les électrons libres qui frétillent en vibrations,

La mer qui a péché en noyant le poisson

Dans l'eau en son bocal, à moins d'avoir

La mer à boire

Qui se déchaîne !

En regardant sur le câble,

Tout en pétant un câble qui accable !

La chaîne

Télé Bocal, qui en faisant danser les poissons

En tenue de soirée de ballerines, dessine en trublion,

La mer à son apogée, qui a péché en noyant le poisson

Dans l'eau, et repêché le poisson

Qui arrête ha ! Vivace de noyer le poisson

Dans l'eau ! Allo ! Hello ! Si on nageait

A notre tour comme un poisson

Dans l'eau ! A l'eau ! Et l'eau !

 

Jérôme de Mars

 

 

Aguicher le tour niqué !

 

Au guichet,

Il y a le tourniquet 

Pour aguicher

Le tour niqué !

Avec dans un billet d'humour,

Une lettre d'amour

A vendre aux passagers,

En ayant un besoin passager

De leur faire l'amour,

Chaque jour

Au guichet,

Où il y a le tourniquet

Pour aguicher

Le tour niqué !

Avant de t'en tamponner,

Si jamais il y avait pour tamponner !

Le poinçonneur des Lilas,

Qui t'aurait houspillé lis-la !

Ta contravention 

En amende honorable,

Qui fait défaut sur la table,

Et qui fait contre dense

En instance !

Dans un PV de sauvageons

Au guichet,

Où il y a le tourniquet

Pour aguicher

Le tour niqué !

Qui fait l'amour

Avec des calembours,

Qui jette un billet d'humour !

Pour aguicher au guichet

En mettant en billet le tour niqué !

 

Jérôme de Mars

Randonnée à la montagne

 

Remonter la pente,

C'est ce qui tente

Ceux qui arpentent la vie

Qu'ils intentent

Dans la campagne,

En faisant une randonnée à la montagne,

Même parmi ceux qui en font une montagne !

Où pour aimer la nature auprès

De la campagne, il faut l'aguicher

Comme une compagne

Au guichet, en buvant avec elle du champagne,

Qui lui fera sortir les bulles qui pétillent

Lors d'une randonnée en montagne,

En lâchant prise avec ce qui est futile !

Et en se cramponnant à ce qui est utile

Dans la varappe pour remonter la pente,

A moins de la survoler en parapente,

Même si la randonnée à la montagne,

Est longue à la détente !

Car qui tente

Le tout pour le tout ! Est que ça tente

Tout le monde, afin que ça intente

Dans l'ensemble une bonne entente

Lors de la randonnée à la montagne,

Qui arpente

Ceux qui font campagne dans la campagne,

Avant que se creuse le fossé des générations

Entre rébellion et résignation,

Où ceux qui pensent qu'il faut en faire toute une montagne,

Ceux-là ont complètement faux ces aventuriers !

D'un autre temps intrépide et ondulé,

En frisant le ridicule dans les gorges du ver dont

Il faut rectifier la montée et la remontée du ravin,

Pour tous ceux qui ont un furibond don

D'ubiquité, qui descend enclin

Vers la randonnée à la montagne,

Qui du val, dévale

Dans le Val

De Marne, en en faisant toute une montagne !

Et en remontant la pente !

Qui montre qu'en étant long à la détente,

Cela retente

Ceux qui arpentent

Avec dextérité, ceux qui fréquentent

La bonne entente,

Qui tente

Condescendante, ascendante et descendante

Ceux qui prennent pour compagne,

Balèze à vos aises

Sans falaise fadaise,

La chute

De l'histoire au sommet de la butte,

En arrivant au bout de cette randonnée à la montagne.

 

Jérôme de Mars

Impatient(e)(s), vacciné(e)(s) et majeur(e)(s) !

 

Voici une p'tite saynète satirique sur les travers et l'envers du décor du CMP de Vitry-sur-Seine :

 

Un matin, c'est Jean-Yves Louchouarn, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine qui ouvre le CMP de Vitry-sur-Seine et qui dit bonjour à ses collègues :

 

Jean-Yves Louchouarn, infirmier Au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

-  "  Bonjour Carole, comment vas-tu ?  Aujourd'hui, on est vendredi et hier as-tu regardé la série Balthazar à la télévision sur TF1 avec Tomer Sisley ?  Et quel était le mobile du crime lors de cet épisode ?  "  

 

Carole Balthazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

- " Bonjour Jean-Yves, écoute t'es bien gentil même que la série s'appelle Balthazar et qu'elle porte le même nom que moi, quand je t'ai dit que je ne regarde pas la télé le jeudi soir, ce que je dis est vrai, cette série, je n'ai jamais réussi à trouver le mobile des crimes de Balthazar que de ce fait, je ne la regarde plus cette série, son intrigue me rend mobile, tellement que ça me scotche autant d'absurdités que j'en suis arrivé au bout du rouleau de mon scotch  que j'éteins désormais ma télé le jeudi soir.  Et au fait savais-tu Jean-Yves que pendant tes vacances que Jérôme Bedrossian a appelé Gurvan pour lui raconter son altercation avec Lenny que je voulais te le dire aujourd'hui pour que tu sois au courant en piqûre de rappel ! "

 

Jean-Yves Louchouarn, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

- " Je le savais Carole, Jérôme me l'a dit hier quand avec lui, j'étais au GEM de Vitry pour voir et parler avec Walid, l'animateur du GEM de Vitry et de ce fait, Walid me charge de te passer son bonjour, tu vois Carole, pas besoin de me faire une piqûre de rappel, je suis majeur et vacciné, et même si Jérôme Bedrossian a de la rage, j'espère qu'on réussira un jour ou l'autre à lui trouver le vaccin contre sa rage, ne crois-tu pas qu'on devrait en parler à Madame Teillet, sa psychiatre pour lui demander si elle voudrait que Monsieur Bedrossian Jérôme ait des injections pour calmer ses pulsions et ses impulsions ?  "

 

Carole Balthazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

-  "  Tu as raison Jean-Yves, il faut demander à Madame Teillet qu'elle donne en injonction à Monsieur Bedrossian Jérôme à ce qu'on lui fasse des injections ?  "

 

Madame Teillet arrive au CMP de Vitry-sur-Seine suite à l'appel téléphonique de Carole Balthazar et de Jean-Yves Louchouarn qui veulent lui parler :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

-  "  Bonjour Jean-Yves et Carole, que vouliez-vous me dire ? Je suis impatiente d'écouter vos paroles avec vos mots !  "

 

Carole Balthazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

-  "  Je voulais te dire Isabelle à propos de Monsieur Bedrossian Jérôme au vu de son état dramatique, tu ne penses pas que tu devrais lui donner pour injonction qu'on lui fasse des injections, lui qui se croit toujours piqué au vif et qui est un grand impatient à nous lancer des piques ?  "

 

Jean-Yves, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

-  "  Et en plus Monsieur Bedrossian me parle sans arrêt de son ressentiment contre la société, y a deux solutions pour calmer sa rage : Soit Jérôme voit hein Pasteur pour le vacciner contre sa rage en l'apaisant avec des prières ou soit Jérôme se fait donner une injonction par toi Isabelle pour qu'on lui fasse des injections ? Que décides-tu ? " 

 

Madame Isabelle Teillet, psychiatre au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

-  " Ecoutez tous les deux Carole et Jean-Yves, Jérôme certes, c'est un patient à qui on a souvent besoin de faire des piqûres de rappel pour modérer ses piques épiques aux travers de ses vers de rage, mais il est majeur et vacciné malgré tout, Monsieur Bedrossian Jérôme a toute sa tête, il n'est pas fou, si on donnait une injonction à Monsieur Bedrossian pour qu'on lui fasse des injections, il y aurait un risque que Monsieur Bedrossian Jérôme soit trop piquant, déjà que sa vie ne manque pas de piquant à Monsieur Bedrossian qui nous dirait : Mon cas m'isole chimique ! Plutôt ce qu'on pourrait préconiser pour Monsieur Bedrossian comme il a largement eu sa dose depuis qu'il est né, ce serait qu'il aide par exemple les patients comme lui en étant un pair aidant afin qu'il les aide à aller mieux de par son expérience de très impatient, c'est à mon avis le seul moyen pour qu'il trouve la paix intérieure en aidant les autres car comme on dit, aider les autres nous rend meilleur et c'est très gratifiant !  "

 

Carole Balthazar, infirmière au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

-  "  Ecoute Isabelle, ce que tu dis, c'est l'hôpital qui se fout de la charité !  Mais bon moi en attendant, il faut que programme mes prochaines vacances et mes prochains RTT : RTT : ( Reprends Ton Travail ), j'ai droit en tout à 15 RTT et à 5 semaines de vacances, en fait pour mon mémoire, on me demande de définir l'acronyme du CMP: je me demande si ça veut dire : Centre de Maux Psychiatriques ou Centre de Mots Psychiatriques, ou soit Centre de Malheureux Patients ! "

 

Jean-Yves Louchouarn, infirmier au CMP de Vitry-sur-Seine :

 

-  "  Moi avant que je shoote dans un ballon lorsque je serai en vacances en Bretagne, voilà qu'on me demande avec un ballon d'essai de me shooter à l'Abilify médicament pour tester les effets secondaires de ce médicament, contrairement ce que pense Jérôme Bedrossian, même qu'au CMP, je suis tout le temps en vacances, je ne me dore pas la pilule au CMP, je suis chargé de bien faire avaler la pilule aux impatients comme Monsieur Bedrossian Jérôme, et en attendant mes 30 RTT que je vais prendre bientôt et à mes 6 semaines de vacances qui arrivent prochainement, j'ai décidé d'être patient que Madame Teillet prenne ses vacances et qu'elle revienne de vacances pour l'inciter à  faire en sorte que si un jour Monsieur Bedrossian ne prend pas bien ses médicaments avec les ordonnances que Madame Teillet, et bien que Madame Teillet pourra prendre des lois sur ordonnances pour que Monsieur Bedrossian Jérôme prenne dorénavant ses médicaments au CMP de Vitry-sur-Seine, histoire que Monsieur Bedrossian ne puisse plus camoufler ses cachets en tentant de nous faire bien avaler la pilule alors que Monsieur Bedrossian Jérôme ne fait que se dorer la pilule !  C'est pour cela que j'ai toujours été persuadé que si Monsieur Bedrossian Jérôme est si un patient, c'est parce-que c'est un impatient vacciné et majeur malgré ses accidents mineurs à l'état majeur en désaccords plus que majeurs ! Même si Monsieur Bedrossian Jérôme a commencé à avoir des problèmes psychiatriques étant mineur, maintenant il est majeur, en effet si Monsieur Bedrossian Jérôme veut que tout baigne à présent pour lui, je lui recommande vivement de se baigner dans le Lac Majeur ! "

 

Jérôme de Mars

 

L'envers, c'est les autres !

 

En ce monde qui ne tourne plus un rond !

Y a plus un rond Coron !

En sachant qu'il n'y a que dans le Nord !

Où les gens sont charmants qui honorent

L'envers, c'est les autres !

Car comme disait Jean-Paul Sartre,

L'enfer, c'est les autres !

Avec personne qui se vautre !

Si bien qu'ils ont du tartre

Dans les dents qui s'entartrent

Pas comme les vôtres !

Car les gens bien sont le contraire

Des normes conformes,

Puisqu'ils sont hors-normes en pleine forme,

Où c'est le monde à l'envers !

En confirmant que l'envers, c'est les autres !

En vers qui se vautrent parmi les vôtres !

Et comme Gaston Lenôtre !

Est le nôtre et pas le vôtre !

Et qu'il est mort, si on prenait ses vers qui le mangent !

Afin que ça arrange !

Ce monde de misère !

Où à la place, il n'y aurait plus de colère !

De sorte que la colère décolle l'air !

De rien !

Vers un monde meilleur très boute-en-train !

Car comme on dit parmi ceux

Qui viennent du Nord !

Et bien comme les cieux,

Ils ne perdent pas le Nord ! Qu'ils sont aux abords !

Avec après l'enfer, c'est les autres !

De Jean-Paul Sartre,

Où les autres ne se vautrent

Mais s'entartrent !

Voici à présent

Pour tout le temps !

Les autres qui se vautrent parmi les vôtres !

Parce-qu'à partir de maintenant sans revers,

L'envers, c'est désormais les autres !

 

Jérôme de Mars

 

Avec du soleil, il y a des confettis dans le ciel

 

Vue du balcon là-haut sur des parcelles !

Avec du soleil, il y a des confettis dans le ciel,

Dès l'embellie qui fait roucouler les oiseaux

Au pays de l'eldorado,

Des lustres après avoir tenté de remonter la pente,

En en ayant fait toute une montagne sur du parapente,

Qui voyait défiler les parachutes dorés,

Et dont l'histoire amena en conséquence,

Une chute adorée pour pouvoir redorer

Le blason du royaume Céleste,

Grâce à la bonne essence

Du lâcher prise, en relâchant du leste !

Et en chantonnant au pluriel,

Le sens de la fête qui met dans l'escarcelle,

Avec du soleil, il y a des confettis dans le ciel

Et moins de cons finis dans le partiel,

Surplace au superficiel, à l'artificiel et au virtuel,

Qui ne sont réels mais irréels !

Dont maintenant, sûre place à l'essentiel naturel,

Sûr naturel et surnaturel vers l'hôtel

Du temps hébergé à l'autel,

A prier intemporel,

En repartant de plus bel en des si belles !

Avec du soleil, il y a plus que des confettis dans le ciel.

 

Jérôme de Mars

L'arc en ciel des merveilles

 

Après avoir éploré la pluie

Et déploré les nuages gris,

Si on implorait la griserie

Avec en embellie,

L'arc en ciel des merveilles,

Qui rendrait heureux le ciel !

Où la vie ne serait plus partielle,

Mais par ciel !

Avec des aquarelles,

Qui borderaient les gratte-ciel,

Jonchés d'étincelles universelles,

Qui feraient que le ciel

Se pérenniserait intemporel

En l'arc en ciel des merveilles,

Là-haut parmi les filles de joie,

Avec aucun rabat-joie dans l'au-delà !

Et afin qu'il y ait de l'harmonie,

Il y aurait une pléthore de tendresse,

Qui regorgerait de liesse

Ce monde de résilience par ciel adouci,

Serein et apaisé,

Avec des anges qui feraient s'envoler

Le royaume des cieux vers le haut !

Où tout le monde se dirait enfin ! Enclin Hello !

Comment vas-tu dans le monde des héros ?

Dont le soleil exponentiel

Sans chicaner, monterait à grande échelle !

Avec un escabeau en emmenant ses prunelles

Constater que la vie là-haut est essentielle !

Et donc davantage un ciel qui amoncelle

L'arc en ciel des merveilles,

En repartant bel et bien de plus bel !

Et en faisant la part belle !

Et rebelle haut ciel !

En érigeant le territoire des sans-voix,

Après qu'ils aient porté sur Terre toute leur croix,

Avec après leur désarroi,

Une arrivée imminente au ciel !

Lors de laquelle s'ouvrirait une nouvelle

Page, cette fois-ci naturelle

Et spirituelle,

En ayant trépassé toutes ces années artificielles

Et superficielles, d'où maintenant grâce à la voix

Du Missel au pluriel !

Voilà pour l'éternel sempiternel,

L'arc en ciel de toutes les merveilles.

 

Jérôme de Mars

Putain de traînée !

 

En traînée,

Il y a une traînée

De poudre,

Qui a traîné

Et entraîné

Une putain de traînée !

Dont putain ! Cette traînée !

Je l'ai traîné, en traîné

Et entraîné

Dans une traînée,

Qui a entraîné

Cette putain de traînée !

Qui m'a traîné,

En traîné,

En traîner

Et entraîner

Cette traînée !

Dont putain ! Elle m'a entraîné

En traîné,

A traîner

Et à en traîner

En traîné,

Cette pute hein ! En traînée,

Qui m'a entraîné

A en traîner

Ma foutre,

Et à entraîner

Cette véritable putain de traînée !

 

Jérôme de Mars

 

 

Comme un coq en pâte...

 

Dès les aurores, voilà comme un coq en pâte, le coq qui chante cocorico en étant avec la poule, un père poule et une mère poule qui prennent soin de toute leur progéniture des poussins, des jeunes pousses hein nés au moment où la coquille des œufs craqua, si bien que quand les poussins étaient renfermés dans leur coquille, leurs parents poules prévoyants, prévirent qu'une foi nés, les œufs ne soient mis dans le même panier ainsi par souci d'équité lors de l'éclosion des œufs après la ponte de la mère poule, de sorte à éviter que le coq poule et la mère comme un coq en pâte ne se disputent un match de poules sitôt qu'à l'unanimité, les parents poules décidèrent à travers un match nul que la moitié des œufs irait dans le panier du père poule et l'autre moitié dans le panier de la mère comme un coq en pâte, puisqu'il était une foi des parents très poules avec leurs poussins, accompagnés d'un père poule et d'une mère comme un coq en pâte, qui leur donnèrent en un joli coup de pouce hein, le maillot du coq sportif afin qu'un jour, les poussins puissent remporter un match de poules comme des coqs en pâte...

 

Jérôme de Mars 

 

 

Et Rose cupide donc !

 

Maintenant que se lance la machine à aimer,

Chante-la en paroles que tu aimes rêver !

A propos de l'amour enjoliveur à bord d'une jonque,

En rivant de bord en pensant à Eros, qui avec

Sa flèche de Cupidon la décoche sans prises de becs,

De L'Arc de Triomphe vers l'arc en ciel,

En provoquant en toi un coup de foudre charnel,

Car tu sais, et Rose cupide donc !

Eros cupidon naît pas stupide ! Mais limpide qui tronque

Tes idéaux amoureux qui naviguent en valsant

A Vienne, pourvu que survienne

Ton probable futur amant

Avant qu'il vienne,

Monté comme un étalon bien membré,

Si bien que toi, et Rose cupide donc !

Tu aimerais bien à Eros cupidon depuis sa jonque,

Lui piper son p'tit oiseau qui débite en lançant des dés !

Dont le fin mot de la chose,

Sera que tu feras toi, et Rose cupide donc !

A Eros cupidon, genre nous étalons

Une pétale de rose sur une feuille de rose,

Qui arrose ta vie à l'eau de Rose,

Maintenant que ta vie à toi Rose Eros !

 

Jérôme de Mars

 

L'eau du Lac de Créteil qui n'a jamais de vague à l'âme

 

En étang au courant des choses,

Il semble qu'avec osmose,

Il y ait de l'eau douce

Qui mousse et émousse

L'eau du Lac de Créteil qui n'a jamais de vague à l'âme,

En prenant la vie comme elle vient !

Puisque par-ci-, par-là, un arc en ciel joint

Le futile à l'agréable ! Disposant d'une fontaine

Affable, dont la chute d'eau brame

Qu'il faut une semaine pour drainer sereine

L'eau du Lac de Créteil qui n'a jamais de vague à l'âme,

En rendant les femmes, héritières des flammes,

Qui embourgeoisent l'amour fulgurant,

Qui frappe constant par tous les temps exaltants,

Imbibés dans un Havre de paix suave et paisible,

Regorgé de poésie qui rend comestible

L'eau du Lac de Créteil qui n'a jamais de vague à l'âme,

Sinon en enchantant la vie superficielle qui came

Le soleil, face à son ciel impassible qui manque de naturel,

Endoctriné dans des paradis artificiels au clair de l'ombrelle,

Et dont il faudrait une ritournelle afin que l'eau ne chancelle

En un détour de manivelle,

Mais de sorte que tout soit transparent

En étang comme un aimant dans son élément,

Il faudrait ériger une passerelle qui ferait des merveilles

Vies à vies du ciel et du soleil, cette fois-ci intemporels,

Et s'il vous plaît ! En laissant planer leur naturel

Jusqu'à la fin de cette trame qui déclamerait sans drame,

L'eau du Lac de Créteil qui sans états d'âme, n'a jamais de vague à l'âme.

 

Jérôme de Mars

Je suis le caïd de ma saga citée

 

Incitée, je l'ai récité !

Et même que peut-être !

J'ai jeté l'argent par les fenêtres,

J'ai suscité avec cécités

Ces cités ingurgités ! 

Or ! Je suis le caïd de ma saga citée

Que j'ai prémédité dans ma cité

A l'aveugle dans ma colère immergée,

Qui a émergé en une vache enragée !

Quand je beugle sans dextérité

Dans une si dense complexité !

Or ! Je suis le caïd de ma saga citée,

Genre une caillera qui par foi !

Caillera en jetant un si grand froid !

Dans la cité excitée et surexcitée,

Si bien que je m'en fous de tout !

Même d'être un ripou chelou !

Dans ce monde de fous que je nique 

Satanique qui me fornique !

Parmi les racailles suscités !

Dont incité ! Un cité !

Je suis le caïd de ma saga citée,

Avec saga cité dans la réciprocité !

Et afin que je reste en paix ! 

A part que ma bite n'nique !

OTAN que je sois un beatnik 

En dérapant avec Alliance ethnique !

Car même si ma vie est soporifique !

OTAN la rendre sympathique, pacifique

Et océanique !

Malgré mon mal de mère névrotique

Que je slame de mon âme poétique !

Et dont pour rendre le tout harmonique

Et synchronique !

Malgré mon mâle de vivre chronique

Et anachronique !

OTAN que j'aille à la Havane !

Fumer le nirvana de la havane !

Avec du shit, d'où je me pavane

Dans ma caravane

En mangeant des cœurs de palmiers, 

Afin que j'y sirote en paix 

Que je suis le caïd de ma saga citée,

Où tout pourrait baigner

En faim, suscité, incité et récité

Dans un océan d'amour symphonique

Et philharmonique,

Imbibé de musique acoustique,

Et dont malgré mon affection de longue en durée,

Pourvu que lors de l'aïd, je sois 

Doux comme un agneau,   

Où j'aurai pour dernier mot

En soie !

Je suis plus que le caïd de ma saga citée.

 

Jérôme de Mars

Si on allumait la nuit

 

Miroiter de chimères

Un monde sans misères,

Relève de l'un possible,

Mais reste plausible

A condition éblouie,

Que le soleil avec scrupules,

Veuille implorer,

Si on allumait la nuit

Dès le crépuscule,

En faisant l'apologie

D'un ciel épanoui,

Qui demanderait face à ce monde terne

Empli, ampli de subalternes,

Si on ne pourrait pas l'illuminer

D'une lueur d'espoir

Lors d'un grand soir

En incitant en des paroles de clarté,

Si on allumait la nuit,

En rallumant inouï

Le bain de minuit,

Avec des orgies

Dès le Démon de mes nuits,

Avec une beauté interstellaire

En évitant de faire pleurer

Dans les chaumières,

Afin que le ciel resplendisse linéaire

Du fruit de son imaginaire,

Et en allumé, rallumé illuminé,

Si on allumait la nuit

Avec à la place de l'obscurité,

De la clarté

En illuminant en halogènes

Ce monde si anxiogène,

A base de relations homogènes

Et hétérogènes

Depuis le ciel dans son duplex,

Et même si ce monde est si complexe,

Il faut l'enjoliver ébloui !

Et si jamais cela vous paraissait inouï,

On aurait envie de vous convaincre tout ouï,

Et si on allumait toute la vie, la nuit.

 

Jérôme de Mars

Incitations

 

1)  Quelqu'un qui me fait une fleur en m'envoyant des fleurs, c'est le bouquet !

 

2) Pour s'abonner au bouquet Orange, il ne faut pas être pressé !

 

3) Parmi les opérateurs de la fibre optique, il vaut mieux s'abonner à Orange comme ce bouquet a la fibre sociale !

 

4) Pour que deux abeilles passent une bonne lune de miel tranquille, il ne vaut mieux pas qu'elles invitent des bourdons comme ils risquent de leur filer le bourdon !

 

5)  Un menuisier n'a jamais la langue de bois !

 

6) Un vendeur de glaces ne trouvera aucun intérêt à écorner son image !

 

7)  Un Islam aseptisé et modéré contient de l'édulcorant !

 

8) Pas besoin de renvois d'ascenseurs dans mon immeuble, il n'y a que des escaliers, ce qui fait que les habitants sont égoïstes !

 

9)  J'aurais bien aimé cuisiner à la perfection comme Paul Bocuse qui devait être une crème fûtée !

 

10) Un vendeur de fruits en Martinique a la banane !

 

11)  Pour ne pas noyer le poisson, je ne pèche jamais !

 

12) Quand il y a la grève du tramway, je me demande ce que la RATP trame !

 

13)  Pour avoir une bonne note au collège lors d'une interro du cours de musique, il vaut mieux jouer la bonne note sur le piano !

 

14)  Si jamais j'entendais mon voisin qui écoutait trop fort de la musique classique, et bien, je serai capable de lui dire et flûte désenchantée ! 

 

15)  Imaginez un mareyeur très ironique et sarcastique, à coût sûr, ce serait un pince sans rire !

 

16)  Il était une foi une vache à lait qui apprenait l'étable de multiplication !

 

17)  Un homme qui a la gastro, il n'en a rien à péter de qu'on lui dit !

 

18)  Un homme radin qui se fait inviter tout le temps au restaurant pour faire des économies sur sa vaisselle chez lui, il pique les assiettes en tant que pique-assiette !

 

19)  Un homme à la fois malade physiquement et radin est un grippe-sous !

 

20)  Je vais vous laisser maintenant car je vais rejoindre mon ami Adel au Parc Montsouris, car même si je suis au rat des pâquerettes, je souris encore !

 

Jérôme de Mars 

Quand les abeilles, les guêpes et les frelons me filent le bourdon...

 

En eaux de boudins,

Si dans ma tête avec les bourdons,

Les guêpes et les abeilles,

Nous boudons

La lune de miel

Du temps assassin,

Quand les abeilles, les guêpes et les frelons

Me filent le bourdon...

Et sur ce à n'importe quelle saison !

Quelques soient les raisons !

Avec un déni d'abeilles, de guêpes et de frelons,

Pourvu que le miel des abeilles 

Ne me susurre en maugréant, nous frôlons

Ta vie à l'abordage, toi qui attends d'un coup de main !

La réponse à ton destin en trouvant le bon chemin,

Sauf que quand les abeilles, les guêpes et les frelons

Me filent le bourdon...

Je ne sais quoi leur envoyer comme piques

A leur égard, tantôt elles me lancent d'un regard épique !

Ta vie, c'est un sacré bordel lunatique !

Que tu t'en piques pandémique

En des piques assassines, dont épiques, 

Elles me piquent épiques avec leur dard, 

Hormis que je ne leur crie gare ! 

Pourvu que je bois avec déraison

L'ivresse de la vie, en écoutant de la soûle musique

Lors de vos lunes de miel sémantiques et névrotiques,

Vous, qui vous faites du mouron !

Que j'en fredonne autour de vous pour lot de consolation,

Si ensemble, nous nous en émouvons 

Pour ne pas que nous mourrons,

Est-ce-que cela permettrait d'avoir plutôt des remords

Que des regrets vu qu'on aura tout tenté retors ?

A part peut-être espérer avec fatalité, une réconciliation

Dans la rébellion avec vous mes chers moussaillons ?

Même que nous nous assaillons dans une forte dépression,

Quand les abeilles, les guêpes et les frelons 

Me refilent le bourdon avec les bourdons...

 

Jérôme de Mars

 

La nature a horreur du vide

 

Avide de rien !

A vide de tout ou de rien !

La nature a horreur du vide,

A moins que ce soit un trop-plaint !

Avec pour trop-plein,

Un vide avide et livide à vide !

Qui pour un rien,

Se plaint, ou qui pour un rien trop-plein !

Pense que la nature a horreur du vide,

A moins d'à vide, d'avide ou d'un livide,

Où certes, il vaut mieux voir le ver

A moitié plein qu'à moitié vide !

Malgré que la colère lui fasse faire

Le plaint pour un rien trop-plein !

Alors que pour un rien,

Il suffit d'avoir un trop-plaint,

Con plaint qui d'un rien !

Fait que la nature a horreur du livide,

A moins d'avoir les idées limpides,

Malgré le trop plaint des mots arides,

Qui pour paraître rigides,

Font un trop plein livide,

En partant d'un rien !

Quoique avides et à vides !

Les maux peuvent paraître hautains,

Avec après le ver à moitié vide

Et à moitié plaint !

Quelque chose de con plein,

Et dont en partant de rien à plein !

Quoique la nature a peur du à vide plaint !

Et bien pour un rien !

En disant à leur merci de rien !

La nature a trop horreur du vide.

 

Jérôme de Mars

Un si fond fond fond !

 

Avec des bouts de ficelles

Et des économies de bouts de chandelles,

V'là que je tiens la chandelle !

Dont je suis la marionnette

Qui tire les ficelles !

Avec mon côté poète

Décalé illuminé,

Et cabossé

Par les fossettes

De ma vie en ses p'tites saynètes !

D'où sur Le Net,

Je ne suis point net !

Car je suis sûr à Terre nette !

En jouant avec des allumettes,

Un si fond fond fond !

Je touche le fond du tréfonds,

D'où je me morfonds

Et je confonds

Tout, entre Pimprenelle, Polichinelle

Et mes secrets de polichinelle,

Un si fond fond fond !

D'où à p'tit feu, je fonds !

Et je me mort fond !

Sur le fond !

A fond !

Et au fond !

En touchant le fond du très fond,

Plus que le fond,

Car ainsi font font font !

Je me morfonds,

Je me confonds 

Et je fonds !

Si bien que sur le fond ! 

A fond !

Et au fond !

Tout le monde me confond,

En me prenant

Pour une marionnette,

Et en me manipulant

Comme une marionnette,

Dont malgré que quelquefois,

On me tire les ficelles !

En tant que fou à lier,

Je suis avant tout un poète

Esthète, la tête dans les comètes,

Avec des économies de bouts de chandelles,

Et dont avec des bouts de ficelles,

Revoilà ! Que je retiens la chandelle !

De mes secrets de polichinelle !

Dont grâce à Polichinelle

Et à Pimprenelle !

Je déchante en ritournelles,

D'ainsi font font font !

En un si grand fond fond fond !

 

Jérôme de Mars

 

 

Rêve parti

 

Répartie depuis les Présidentielles d'Avril 2022, il y a Ensemble un Rassemblement National dans la rue avec un vote nul, qui met la République en Marche en Renaissance à l'Horizon 2027, car il faut AGIR dès maintenant avec Les Républicains vers une fibre sociale avec le MODEM ! En rendant La France Insoumise dans un parti pris Socialiste et Communiste, qui fait qu'en partant d'un rêve parti, La France aboutit à un Territoire de Progrès !

 

Jérôme de Mars

Ma p'tite reine a des p'tits vélos !

 

Comme une maison dans le ciel,

Il y a le Tour de France !

Qui roule à grandes cadences

Avec des coureurs cyclistes,

Tantôt tristes tantôt hédonistes !

Au-delà bravant le vent intemporel,

Genre ma p'tite reine a des p'tits vélos !

A réparer en magasin ses gros bobos,

Endurant le Tour de France, la tête dans le guidon

En queue de peloton,

Qui a des envies d'échappées,

Genre ma p'tite reine a des p'tits vélos !

Quitte à rouler vers l'eldorado,

Qui sera à l'issue de la course, la rescapée

Et la miraculée en chambrant à air

La couche d'ozone, polaire qui hait bipolaire,

En durant et en pédalant en roue libre

Sur la route des péripéties, qui vibrent

Au contact de la clé contact imaginaire,

Dont le maillon fort est la chaîne solidaire

De la route à dos d'âne, dont chaud ! Les cocos !

Il y a comme un effet domino !

Sauf qu'il faut parer au moindre p'tit bobo !

Genre ma p'tite reine a des p'tits vélos !

A la folie ! De la paroi de sa parano,

Avec pour effet mégalo !

L'effet de la p'tite reine qui remet en selle,

Celle, dont les aisselles

Du coureur cycliste qui sue à chaque beau jour

De sa course cycliste en solitaire,

Effet boule de neige solidaire !

Avec pour issue de ce cours

Une tape amicale,

Après avoir été étape par étape frontale !

Dont voici au bout de la course avec brio,

Les diverses fossettes

De ma p'tite reine qui a bien dans sa tête

Des p'tits vélos !

 

Jérôme de Mars

Marraine, ma reine

 

Depuis que je suis né,

Et bien après avoir été bébé,

Je n'eus de marraine, ma reine

A chaque semaine suffit ma peine !

Même qu'un par un !

Je n'eus de parrain !

En descendant l'arène de Nîmes,

Avec dans la reine, ma mise en abîme

Du fait que je n'eus de marraine, ma reine,

Qui décime mon irrévocable déclin,

Dont un par un,

Je n'eus de parrain !

Qui me cantonne dans ma haine,

Que me parraine

Ma mère par haine, par reine,

Dont ma mère ne fut marraine, ma reine,

Et dont ma peine 

Ne trouve un par un

De parrain,

Afin d'y déporter ma bedaine

A chaque semaine suffit ma peine !

A marraine, ma reine de rancœur,

Avec un par un sans parrain,

De la liqueur de noirceur

En un manque de fraîcheur,

Où il suffit que j'écoute par cœur

Charlie Parker !

Afin que mon pacemaker

Se remette si besoin

A marcher un par un sans parrain,

Avec à chaque semaine

Suffit ma peine !

La reine qui rentre dans l'arène

Sans marraine, ma reine.

 

Jérôme de Mars

Tac tac bada boom !

 

Surprise répartie,

Ca y est, c'est parti !

Si tu t'souviens

De l'époque en loin,

Où y avait des boums !

Qui faisaient tac tac bada boom !

En un tact intact du papy boom,

 

 

Qui chambrait avec un groom,

Tes époques, où t'avais l'béguin !

Pas appât du gain ! En regain !

A en gains les bains !

Dans un bain d'foule dans la bedroom,

Où tu faisais tac tac bada boom !

Avec Charles qui traînait d'un boom,

 

Que t'avais le trac trac baby boom !

Or ! T'en avais en tract, entracte !

Avec le blues de ton époque, loin

D'tes jours enfin défunts !

En ton cœur qui faisait boum

Dans un tac tac bada boom !

Et te rappelles-tu de tes boums ?

 

Où tu faisais sûre prise, surprise !

Avec en emprise toutes tes reprises !

Qui rappelaient of course au casino !

C'est le bon numéro assorti au bingo !

En un tac tac bada boom !

Où tu faisais tac tac !

Du tac au tac !

 

En grattant le bon numéro,

Grillé au loto

En un tact intact baby boom !

Que tu chambrais dans la bedroom !

Avec pour bon numéro

Assorti, ton groom

Qui t'emmenait à la boum !

 

Tact tact bada boum !

Avec un impact en un pacte,

Qui te faisait sauter du papy boom

Au baby boom dans une boum,

D'où tu restais surprise impartie !

Qui te faisait sursauter du baby boum

Au un papy boum,

 

Si bien que tu étais hein partie

Dans un parti pris tac tac bada boom !

 

 

Jérôme de Mars

Gelé, je l'ai !

 

Gel hydroalcoolique,

J'me les gèle hydro acolytes  !

Comme gelée ! 

Gelé, je l'ai !

Surtout en mangeant

Des surgelés !

En me marrant !

Sur gelée !

Surgelé, je l'ai sûr gelé !

Avec en anti gel 

Un nanti gel !

Dont Angel et Angèle !

En gèlent !

Et m'les gèlent !

Que j'en ai d'la gelée royale !

Depuis que Ségolène s'les gèle 

Royal de façon royale !

Dont la gelée !

Ca y est ! Gelé, je l'ai !

En gelé, en gelée !

En surgelée, en sûre gelée !

Quitte à en manger des surgelés !

Des sûrs gelés !

Dont une fois que c'est gelé !

Et sûre en gelée, en gelée !

Je m'dis ça y est ! Sur gelée !

Car surgelé, sûr, je l'ai ! 

Gelé, je l'ai !

 

Jérôme de Mars

 

A quoi ça rime ?

 

Voici une p'tite saynète aux travers d'un poète maudit adhérent qui se crée des scénarios au GEM de Vitry

 

Voici Jérôme de Mars qui lance la machine à décrire :

 

Philippe Benguigui, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  " Bonjour Jérôme, comment vas-tu ?  Tu vois ma vie, ce n'est pas du cinéma ! Pourrais-tu m'écrire une pièce de théâtre qui me servirait pour le jeu de rôles avec Jacques ? En fait quand tu écris tes poèmes sur ton ordi, utilises-tu toutes tes cartouches ?  "

 

Jérôme de Mars, un poète maudit adhérent du GEM de Vitry :

 

-  "  Bonjour Philippe, ça va mâle mais plutôt bien ! Pour répondre à ta question, sache que je n'écris pas de pièce de théâtre pour les autres, car ma vie c'est du cinéma dramatique comme je suis l'acteur de ma vie en me créant des scénarios où je me tire les vers du nez à cause des déboires des revers de ma vie en manque de vers de contact, pour y voir plus clair avant que mes vers me bouffent tous crus mes remords vivants, à quoi ça rime Philippe si je t'écris une pièce de théâtre ?  "

 

Philippe Benguigui, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  "  Ecoute Jérôme comme tu joues si bien le rôle de ta vie, écris-moi une pièce de théâtre pour que je joue un rôle de ta composition dans ma vie, mais où pourrait-on se donner rendez-vous pour écrire la trame de l'histoire ? Mais en fait, as-tu encore des cartouches d'encre quand tu retranscriras la saynète sur ton ordi ?  "

 

Jérôme de Mars, un poète maudit adhérent du GEM de Vitry :

 

-  "  Pour ta gouverne Philippe tout en restant à la barre et en tenant bon la barre, on pourrait se donner rendez-vous en station debout à la station du tram comme on est handicapés pour que je jette l'encre !  Je pense que ce qui se trame est que comme ma vie ce n'est pas du cinéma, et tenant compte du fait que je joue si bien le rôle de ma vie en étant l'acteur de ma vie, et forcément à force de me créer des scénarios, tellement que je me fais des films dans ma vie, si bien que ma vie naît pas un long fleuve tranquille à Vitry sur Scène que j'aimerai jouer le 18 septembre prochain un concert de louanges sur la place du marché à déclamer mon slam ! "

 

Philippe Benguigui, un adhérent du GEM de Vitry :

 

-  " Mais c'est de la folie Jérôme ce que tu dis, tu ne peux pas slamer car tu déchantes dans ta vie, et en plus si tu chantes, tu vas en chanter comme une casserole déjà que dans ta vie, t'as des casseroles, tu n'es pas chanteur mais tu es acteur de ta vie Jérôme, tu es un poète maudit où tu jettes l'encre de tes maux, si tu chantes ou tu slames, tu feras couler beaucoup d'encre Jérôme ! Tu n'as pas les pieds sur Terre de vouloir chanter Jérôme, tu es de Mars comme tu es toujours sur une autre planète à regarder la lune en l'une de tes journaux ! Mon ami Jérôme, laisse-nous chanter moi et Gerald, car à OK, on connaît bien la chanson à force que la musique adoucit les mœurs à moi et à Gerald, vu le contexte Jérôme, ce serait mieux que tu fasses la présentation du début du concert de louanges que moi et Gerald, allons donner le dimanche 18 septembre sur La Place du Marché à Vitry sur scène, il faut que ça puisse marcher ce concert, dont le but sera de réenchanter le public désenchanté pour qu'il soit emporté par la foule si ce jour-là, il y a du beau temps et que le beau temps édite un piaf pour que tu ne sois plus un oiseau aux ailes brisées en y laissant des plumes, mais dont le mieux serait que tu nous aides à prendre notre envol grâce à ta plume menée tambour battant, en rechargeant les batteries de la musique avec Gerald qui mènera la baguette pour qu'on prenne l'ampli, et en fait au lieu de chanter avec nous, serais-tu d'accord pour faire la présentation du début du concert  ?  "

 

Jérôme de Mars, un poète maudit adhérent du GEM de Vitry :

 

-  " Je respecterai ma parole, en tenant parole et en prenant la parole si Gerald me donne la parole pour que je fasse la présentation du début de ce concert de louanges le dimanche 18 septembre sur La Place du Marché à Vitry sur scène ! "

 

Jérôme de Mars

Un été qui secoue le cocotier...

 

Noix de cocos,

Oh ! Les cocos ! Il fait chaud !

Sur le bûcher,

Avec un été qui secoue le cocotier...

A chauffer dans une fournaise

Pendant que l'été met les charentaises,

A en souffler le temps sur les palmiers,

Et à en manger des cœurs de palmiers,

Qui font apprécier la vie qui danse

Avec pour effets de tendances,

La vie sur les rochers à endiguer

Les folies du temps qui passe,

Lors d'un été qui secoue le cocotier...

Alors qu'en remontant à la surface,

Le rivage incite le soleil à y siroter

Un cocktail d'amour sur la rive,

A presque 44 berges !

Aux berges, auberges

Des voyages qui forment la jeunesse !

Aux abords de la mer qui ravive

Sur le qui vive, la liesse et l'allégresse

Lors d'un été qui secoue le cocotier...

Et les bananiers avec volupté,

Se prélassant dans le farniente oisif

D'un été bleu azur qui a besoin positif

D'une vie au grand air de Plaisance,

Avec pour lieu de villégiature, une itinérance

Nomade en prenant ses quartiers d'été

Durant un été qui secoue vivement le cocotier...

 

Jérôme de Mars

Vents de tramontane

 

Garrigues bordées du Sud,

Par-ci, par-là ! Emanent

Les vents de tramontane

Dans un été rude

En un coup de sirocco prude,

Mais où est passé le temps ?

Qui regardait l'été passant, soupirant

Et surgissant du maquis, qui

Rappelait le vent Des Bermudes

En vents de tramontane,

Avec pour tempête mélomane

Des chansons dans le vent inouï,

Face à la mer dans un raz-de-marée,

Marées salantes, marées savantes

Qui en dilettantes,

Voulaient triompher de la mer assoiffée

Essoufflée et soufflée,

Quand dans son vague à l'âme,

La mer ordonnait à son encre,

D'écrire un slam en mélodrame

En jetant un vent à ses prunelles,

Qui fredonnaient en ritournelles

Des paroles qu'ancrent

Les avis de tempête qui dépannent

Des vents de tramontane

En un vent passion,

Qui crache des élucubrations

En électrons libres au prix du fantasme

Des vents de tramontane,

Qui écrivaient en mélomanes,

Le point G de leur orgasme

Avec pour fans,

Des fleurs bleues qui fanent

Au prix d'une déception sentimentale,

Qui fait pleurer fatales

Les larmes des femmes et des enfants,

Alors que les vents de tramontane

Voudraient tant que soient émouvants

Les hommes au regard animal,

Comme si avec leurs chiennes de vie,

Ils en faisaient un bonheur heureux

Comme leur chien à la folie !

Depuis leur Sud fabuleux et langoureux,

Hormis qu'en attendant le vent augural

Qui sera inaugural et original,

Il suffira que l'amour lui donne des ailes,

Oh ! Et ! Le vent !

En faisant dans le vent, un vent léger

Le temps d'un été mégalomane,

Envers ces chers vents de tramontane.

 

Jérôme de Mars

Pour y voir plus clair, s'il buvait des vers avec des vers de contact avant que les vers de ses poèmes le mangent !

 

Energies fossiles de ses faux cils,

Voici un vieux fossile

A qui ça le démange !

Où pour y voir plus clair,

S'il buvait des vers

Avec des vers de contact

Avant que les vers

De ses poèmes le mangent !

Ca ferait que ça l'arrange !

Comme il mélange

Tout en esbroufe, 

Où ce poète maudit 

Attend une grande bouffe !

Sans non-dits !

En laissant Oh ! Défis !

Qui veut avec luit manger un vendredi midi ? 

Pas dans la malbouffe ! 

Mais genre deux mâles qui bouffent

Sans esbroufe !

Où entre ombre et lumière !

Ce poète maudit attend l'ami,

Qui voudra le faire sortir de sa tanière,

Sans faire pleurer dans les chaumières !

Mais pour l'extraire délétère, de sa misère,

Pour le faire revenir parmi les vivants

Sur Terre,

Gisant de ses remords vivants austères,

Où pour y voir plus clair, 

S'il buvait des vers

Avec des vers de contact

Avant que les vers

De ses poèmes le mangent !

Et dont avec esbroufe !

Il attend lors de la grande bouffe !

Que ses amis entre poésie

Et frénésie, 

Lui parlent avec tact !

Afin qu'il reste un tact, intact

Avec ses vers de contact !

Lui qui se rétracte !

A rester seul !

A pleurer sur son fauteuil 

Son aïeul !

Même si sans camomille !

En buvant les déboires de son tilleul !

Ca le titille ! Tellement qu'à cran ! Il frétille !

D'avoir des idées à la minute !

Comme une cocotte minute qui le persécute !

Où ce poète maudit !

De sorte à le guérir de ses démons enfouis !

A besoin parce-que ça le démange !

D'avoir au pays des anges !

Des contacts intacts avec un tact !

Si bien que pour y voir plus clair,

Entre ombre et lumière,

Après tous ces revers solitaires,

Il voudrait boire des vers solidaires

Avec des vers de contacts !

En y signant un pacte !

Avant que les vers 

De ses poèmes le mangent !

Mais cette fois-ci si en paix 

Sans excès !

 

Jérôme de Mars

Quoi deux neuf un ?

 

Quoi deux neuf un ? A part dire jamais deux sans trois ! Plié en quatre ! Reçu cinq sur cinq à six sur une chaise, en jouant au jeu de sept famille dans un huit infini ! Or ! Quoi deux neuf un ? A part dire que dans un dix de chute, c'est un je de sept vérités ! En n'en ayant rien à foot de lire le magazine Onze Mondial, avant de tirer les douze coups des Démons de Midi jusqu'à Minuit ! A part cela, quoi deux neuf un ?

 

Jérôme de Mars    

 

Doux comme un agneau !

 

Fête du mouton et du sacrifice,

Tu fêtes l'Aïd el Kebir sans artifices,

Doux comme un agneau !

Sans avoir un mot de trop,

Où tu rends chèvre ceux

Qui ne pensent pas comme toi, le pieux

Bouc-émissaire !

Où ta religion est pour toi une thérapie,

Dont tu en fais légion dans une force de vie,

Sans que tu ne dévies du droit chemin !

Où comme un bon Chrétien en bon Samaritain,

Tu as le cœur sur la main

Avec le sens du partage,

Où dans les parages dans un passage

Du Coran, sans te couper l'herbe sous le pied,

Tu invoques en divinité,

Tes souhaits de vivre dans un monde meilleur

Avec pour bonheur !

L'amour dans le pré auprès de tes pâturages,

Doux comme un agneau !

Où tu voudrais vivre dans un eldorado

Avec en plus de l'eau,

Le dico pour savoir où aller

Sans désinvolture,

Mais pour démontrer ta généreuse nature !

En ayant pour repères le bien de l'humanité

Qui serait ton précieux allié 

Dans ce monde sans garde-fous alliés,

Où tu en as marre de l'immonde et de la médiocrité,

Et de l'adversité en ce monde qui t'est étranger,

Dont tu es doux comme un agneau !

Sans être une brebis galeuse,

Avec dans la force de ton dico,

Les mots morale

A la place des maux amorales,

Pour faire la différence avec ce monde animal

Que tu n'aimes plus vraiment !

Car tout fout le camp !

A part le Coran qui te paraît la seule issue passeuse !

En un message de tolérance drainé et fédéré

Dans une musique porteuse,

Avec de bouche à oreille, une dynamique assembleuse 

Et rassembleuse qui donne pour idées lumineuses

Et somptueuses, un message d'amour et de pardon

En occultant les jurons

Autour d'une veillée entre toutes les communautés

Rapporteuses et généreuses,

Et afin que chacun ait le dernier mot !

Pour que ce monde redevienne un eldorado,

Autant que chacun regarde avec toi

Sa foi ! Dont il était une foi !

Toi qui sans être une brebis galeuse,

Fut plus que doux comme un agneau !

 

Jérôme de Mars

 

                                                     Blague :

 

 

 

Pourquoi fêtes-tu du vendredi 8 juillet au mardi 12 juillet l'Aïd el Kebir ?

-  Parce-que tu es doux comme un agneau sans être une brebis galeuse !

 

 

                                               Jérôme de Mars

Le temps un variable

 

A tous les temps vulnérables !

Pour passer le temps ingérable,

Il faut que ça change au temps !

Pour qu'autant le temps soit distant

D'un temps invariable

Vers le temps un variable,

Qui s'écoulerait d'un sablier

Avant la fin des temps de l'humanité,

Déjà que le temps semble vénérable

Avec le temps en vieillissant, 

Alors qu'en insistant, il faut rendre le temps

D'un temps partiel à un temps par ciel !

Qui se détend !

En augurant comme si le bon vieux temps !

Etait toujours présent en voulant 

Le rendre abordable,

Comme sa jeunesse démentielle

Du printemps qui n'a aucune prise sur le temps,

Afin de conjuguer le temps invariable

Vers le temps un variable, 

Dont autant passait du superficiel 

Et de l'artificiel à quelque chose d'essentiel,

Pour qu'à temps, le temps reste naturel !

Et dément ciel, en étant éternel

En montrant son naturel,

Ou son sûr naturel,

Mais pas au-delà du surnaturel,

Dont sempiternel, il faut juste rendre le temps !

Affriolant, concordant, accommodant 

Et raccommodant, s'arrangeant et s'accommodant,

Convergeant avec le temps

Du temps présent en des temps plaisants

Et complaisants, s'accordant, se raccordant,

Et se distinguant à tous les temps conjugués !

Et subjugués avec assiduité et dextérité !

En route affable,

Qui ne change vénérable

D'un temps invariable,

Et qui change vulnérable

Vers le temps indécrottable plus qu'un variable.

 

Jérôme de Mars

Des p'tits des jeux nés !

 

Voici chaque matin, Aurore qui se lève aux aurores ! En prenant des p'tits déjeuners ludiques et pédagogiques et en buvant un café à base de chicorée ! En refaisant le monde aux travers du café du commerce en des p'tits des jeux nés ! Comme Aurore en se levant aux aurores, est pressée et empressée, en pressée, elle boit un jus d'orange pressé, haut pressé et oppressé ! Tout en allumant pressée et empressée, en pressée son décodeur Orange, en ayant une fibre très sociale, malgré qu'Aurore soit très pressée pour boire son Expresso trop pressé, dont Aurore se soulève et se relève chaque jour jusqu'à après les aurores, en s'élevant petit à petit des p'tits déjeuners en des p'tits des jeux nés innés !

 

Jérôme de Mars

Un chat qui sourit...

 

Au rat des pâquerettes, il y a un chat qui sourit au Parc Montsouris, tant et si bien qu'il ne poursuit une souris qui lui sort les griffes, car maintenant que le chat sourit à la souris au rat des pâquerettes, la souris reproche au chat de rentrer dans la chatte au lieu de la poursuivre elle, la sourit, dont le chat se fait tendre un piège par la souris dans un piège à chatte, pour que le chat sorte les griffes qui lui sourient au chat qui t'chatte avec la souris dans un piège à chatte comme un chat qui souris au rat des pâquerettes au Parc Montsouris...

 

Jérôme de Mars

Mets ta charlotte avant qu'on te cuisine !

 

Voici une nouvelle p'tite saynète sur L'ESAT La Fabrique où tout le monde parmi les agents de L'ESAT parlent derrière le dos de Jérôme, en le débinant maintenant qu'il n'est plus à L'ESAT La Fabrique :

 

Voici Charlotte Leprêtre qui téléphone à Jérôme Bedrossian :

 

Charlotte Leprêtre, un ancienne agent de production de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

-  "  Allo ! Mon gros, je t'appelle pour te faire entendre par téléphone ce que les agents de production de L'ESAT La Fabrique disent sur toi, maintenant que tu n'es plus à L'ESAT La Fabrique, car là, je suis en train de parler avec Tony Angaman par appel vidéo qui est en pause à L'ESAT La Fabrique, donc je vois et j'entends ce que les gens de L'ESAT La Fabrique disent sur toi en mâle !  "

 

Jérôme Bedrossian, un ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

- " Oui  bonjour Charlotte, alors en gros que disent les agents sur moi à L'ESAT La Fabrique ? "  

 

Charlotte Leprêtre, une ancienne agent de production de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

-  "  Tout le monde parmi les agents de L'ESAT La Fabrique dit sur toi que tout le monde s'en fout de toi sans-garde-fous, que tu es un tir au flanc, un jeune blanc-bec, un bon à rien et que tu n'es pas quelqu'un d'intéressant, Tony même qu'il te défend, personne ne l'écoute ! "  

 

Jérôme Bedrossian, un ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite : 

-  "  Ca ne me surprend qu'on me dise ça sur mon comte défait ! Car au bout du compte, on ne m'a jamais épargné à L'ESAT La Fabrique tellement que j'ai eu des conflits d'intérêt avec tout le monde que je me demande ce que j'y ai vraiment concrètement fabriqué au bout du compte sans compte en banque dans cette fabrique de L'ESAT ! "

 

Charlotte Leprêtre, une ancienne agent de production de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

-  " J'entends certains qui disent à ton sujet que si personne ne te parlait à L'ESAT, c'est parce-que tu n'as jamais mis ta charlotte les rares deux fois où tu as fait le service en salle, de ce fait, personne n'osait mettre tout ça à plat devant toi, car tu aurais mis ta charlotte, on n'aurait fait que te cuisiner, c'est pour ça qu'à L'ESAT La Fabrique, tout le monde s'en foutait de toi comme Sandrine Ribé, Célia Dumont, Katia Lefebvre, Coralie Ortega, Christine Foy, Jonathan Preto et Odette Allou, tes anciens collègues de L'ESAT La Fabrique ! "

 

Jérôme Bedrossian, un ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

-  "  Si personne ne me trouvait intéressant, comment se fait-il qu'à L'ESAT La Fabrique, je n'ai fait qu'avoir des conflits d'intérêt, peut-être qu'à L'ESAT La Fabrique, personne ne m'aimait mais en tout cas, il faut croire que je ne laissais pas un différent les gens de L'ESAT car moi en tout cas avec tout ce qu'on m'a fait à L'ESAT La Fabrique, on m'a rendu indifférent et un compétent comme j'ai passé avec un manque de reconnaissant le diplôme : " Indifférent et incompétent " car pour tout le monde, je fus un différent indifférent et incompétent ! "

 

Charlotte Leprêtre, un ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique qui bat en retraite :

-  "  Ecoute Jéjé, je vais devoir te laisser, j'ai ma fille qui m'appelle au téléphone, c'est juste mon mobile pour raccrocher la ligne ! "

 

Jérôme Bedrossian, un ancien agent de production de L'ESAT La Fabrique qui s'en bat de la retraite :

-  "  A ton avis Charlotte, j'aurais été comme toi brut de décoffrage en arrivant à L'ESAT La Fabrique en 2004 avant d'en partir en 2021, où je ne me serais jamais laissé faire, en ne passant pas les plats et en me défendant contre ceux qui m'auraient mal parlé, crois-tu qu'on m'aurait dit, mets ta charlotte avant qu'on te cuisine, si personne ne s'en était foutu de moi à L'ESAT La Fabrique en faisant si tomber bien tout à plat ?  " 

 

Jérôme de Mars

Des vers de poèmes qui me font trinquer

 

Un ver, deux vers sinon rien dans mes malheurs

De poète maudit antique, et pas tes tics,

Où il y a des vers de poèmes qui me font trinquer

Dans ma vie de bohème pathétique,

Où je ne fais que trinquer de ma santé à trinquer

A votre santé, dans ma prison dorée, comme Paul Verlaine

Dans mes revers à douze pieds en une chanson d'automne,

Au clair de lune qui me fait écrire des poèmes saturniens,

Avec sagesse qui me font trinquer en mes vers de problèmes

Avec Arthur Rimbaud, névrotique, mélancolique et spleen, 

Comme moi, où luit et moi, nous soûlons nos peines 

Diluviennes, en nous enivrant d'absinthe en envoyant

Une bouteille à la mer, et en prenant de la bouteille

A vau l'eau, avec des trémolos et des sanglots dans nos voix

Sans issue, qui suent de nos chemins de croix, en nous menant

Dans le bateau ivre, tel moi le dormeur du Val de Marne,

Qui chavire, chancelle et vacille en allant bavarder

A l'abordage avec Guillaume Apollinaire, dont je

Suis lui le mâle aimé dans la chanson du mal-aimé

Lors de chaque automne malade, en composant une ballade

Sur le Pont Mirabeau qui coupe les ponts avec La Seine,

Dont ma vie de poète maudit navigue en eaux troubles,

Vu que ma vie naît un long fleuve tranquille !

A moins que Charles Baudelaire me fasse et m'envoie

Les fleurs du mâle en des paradis artificiels, de ma vie

Qui hait un enfer ! Où je fais cygne ! Tel l'albatros,

L'oiseau aux ailes brisées qui écrit de sa plume frêle,

En y laissant de ses plumes, des vers après que j'ai trinqué

De ma santé à votre santé, en vers vous aux travers

De ces vers de poèmes qui me font tant trinquer à craquer.

 

Jérôme de Mars

Je suis un pion sur l'échiquier !

 

Nique le système !

J'ai envie de me rebeller

Contre le système,

Avec des barbelés

Pour les barbe les !

Dans un slam

De bohème

En je de dames

Sur le macadam,

Qui dame le pion !

Echecs et mate !

L'échiquier qui trame

Que je suis un pion sur l'échiquier !

Qui dame le pion

Enjeu de morpion,

Avec un je de poil à gratter !

Où ça ne fait que me démanger

De niquer le système !

Je nique le système

Dans cet immonde, où personne

Ne s'aime !

Parmi les lettres qu'on sonne !

Où résonne le chaos

Du moindre mot

Non-dit qui sème le vent récolte la tempête !

Genre la malédiction des poètes

Maudits au moindre mot dit

Dans la plus merdique anarchie,

Où en mort pion à m'en crever l'abcès,

Je suis un pion sur l'échiquier !

En damant le pion

Et en damnant le morpion,

Dont je suis le pion à en surveiller

Mes excès, quitte à en blâmer mes camouflets,

Qui n'ont fait que camoufler

Mes excès, moi le dérangé défunt d'esprit !

A m'en arranger mon agonie !

Nique le système !

J'ai en vie de me rebeller contre le système !

Que je nique

Et je fornique canonique

Où à la foi de vieillesse

Et avec ivresse,

Je suis grave !

Et je grave

Les excès de mon âge

En sûr nage,

D'où j'écris ces vers de rage !

Sans dessous dans les marécages,

D'où je suis un mort pion, un morpion

Sur l'échiquier ! Tel un scorpion

Qui en pince sans rire ! Epique à la déraison

Du fruit de son oraison,

Qui déclame que nous jurons

Et nous conjurons !

Nique le système !

Je nique le système !

A m'en étouffer d'emphysème

Dans un œdème,

Qui fait que j'en respire uniquement de la rébellion

A deux balles !

Hormis que je déballe

Tout ! Tellement que je m'emballe

Et qu'on me remballe !

D'où je suis un mort pion, un morpion

En mon je poil à gratter !

Où pour la vie !

Et dans l'anarchie de mon état déconfit,

Je suis à l'accoutumée un pion sûr l'échiquier !

 

Jérôme de Mars

Si on érigeait la maison du bonheur dans notre monde !

 

En mettant la pierre à l'édifice

Sans artifices,

Si on érigeait la maison du bonheur dans notre monde !

Pourvu qu'on fonde un joli monde en faisant une ronde !

Avec pour fronde,

De l'amour dans ce monde qui abonde et bonde !

Où l'on sonde le monde, s'il préfère de l'amour ou de la haine

Dans notre monde chaque semaine,

Et si le monde préfère que tout le monde s'aime,

Ou que tout le monde se meurt à p'tit feu en requiem de chrysanthèmes !

Et si tout le monde préfère le système D

Qui leur tape sur le système,

Ou si tout le monde préfère vivre dans le carpe diem

D'un système aidé

En un harem, 

Et si pour bâtir un monde moins immonde !

Si on érigeait la maison du bonheur dans notre monde !

En mettant la pierre à l'édifice

Sans artifices mais avec de la malice

Dans un monde de délice,

Qui donne envie qu'on s'y glisse

Avec à la place des bobos

De la vie,

Un eldorado

Qui donne envie de dire oui

A une vie meilleure !

Dans le bonheur et la candeur

Avec aucune peur

Au compteur,

Et si pour que tout le monde soit rieur !

Si on le rendait le monde enjoliveur et rêveur

En faisant tous dans la fronde,

Une ronde qui inonde

L'égoïsme pour semer la solidarité

Et la fraternité, le tout en paix !

Et en symbiose ! Afin qu'on ose

Défricher de l'amour en un jardin resplendissant

Et apaisant, ne donnant que le beau temps

Avec pour osmose,

Un monde davantage beau !

En allant vers le haut,

Avec à la place des bobos

De la vie, un eldorado,

Et si on érigeait la maison du bonheur dans notre monde !

Afin qu'avec fronde, on gronde

La médiocrité et la suffisance,

Pour qu'avec bienveillance,

On fonde un monde davantage beau qui donne en vie d'y vivre,

De sorte qu'on s'enivre

En ayant le dernier mot emmuré dans du ciment,

En édifiant un monde sans boniments 

Mais avec serment,

Consolidé et renfloué de sentiments 

Solides et placides

Dans un monde limpide

En un tous pour un !

Avec plus de pousse-toi ! Et de tous plus rien !

Mais en swinguant à tous les temps !

Aussi différents et indifférents avec les gens indifférents !

V'là là la différence !

D'un monde en plaine renaissance,

Qui se relifte dans la quintessence, dont l'unique essence !

Serait de bâtir et de construire un monde d'amour dans du velours !

Pourvu que plus personne ne soit sourd dans ce monde si lourd !

Dont à portée apporté, 

Je ne fais que rapporter 

Les tenants et les aboutissants

De ce monde si défaillant,

En mettant encore la pierre à l'édifice

Sans artifices mais avec la malice

D'un monde qu'on veut davantage escompter dans du délice,

Pourvu qu'il donne encore envie qu'on s'y glisse

En étant logé à la même enseigne,

Pour y déloger ce monde de teigne,

Dont on veut que cela déteigne 

Avec fronde vers tous une ronde,

En se prenant et se tenant tous par la main !

Et pourvu qu'il y ait de l'amour et de la paix qui fécondent !

Si on érigeait la maison du si grand bonheur dans notre monde !

 

Jérôme de Mars

Quand le ciel est bleu radieux, il n'y a aucun nuage à l'horizon !

 

Après les bleus de la nuit,

Voici dès le lever bleu du jour inouï,

Le soleil frénétique

Avant le retour la nuit de la lune névrotique,

En surgissant lors du temps bipolaire,

Qui s'envoie en l'air dans les airs !

Certes, quand dans le ciel, il fait nuit !

Le ciel se rappelle des bleus de la nuit

Dans la vie,

Alors que quand dans le ciel, il fait jour inouï !

Le ciel appelle à un ciel bleu radieux pour la vie !

La preuve que quand le ciel est radieux,

Il n'y aucun nuage à l'horizon !

Brumeux et ténébreux,

Mais une vue placide sur le balcon,

Certes sans occulter que quand le temps est bipolaire !

Il peut y avoir certains jours, où le soleil est lunatique !

Et tantôt la lune ensoleillée frénétique !

A se demander si le ciel est normal,

Ou par anormal, alors qu'il n'y a pas de mal

Que le ciel change d'humeur linéaire !

Dans le plus profond sommeil de l'imaginaire

Du ciel interstellaire, où cela peut arriver

Que de la clarté à l'obscurité,

Le soleil lunatique

Eclipse la lune névrotique !

Aux abords de l'éclipse qui festoie dans un bal con,

Alors que quand le ciel naît bleu radieux, il y a des nuages à l'horizon !

Si bien que le ciel a des bleus dans la nuit avec bévue sur le balcon !

Mais si on veut que le ciel formule des vœux pieux,

Avec vue sur le balcon 

Placide au firmament de l'horizon !

Afin que dans la nuit, il n'y ait plus jamais de bleus dans la nuit ! 

Alors faisons en sorte pour la vie !

Qu'il y ait tout le temps un ciel bleu radieux inouï !

 

Jérôme de Mars

Tourne aux vers !

 

Turnover ovaires,

J'ai de la colère

En vers ma mère,

Dont je tourne aux vers !

Et je retourne aux revers

Toute ma vie que je fous en l'air !

Et que je répands en lettres incendiaires

Dans un turnover, 

Dont je détourne les vers

De ma mère, 

Maintenant qu'elle est en poussière

En reposant au cimetière,

Et dont pour ne point périr délétère

Et mortifère comme ma mère,

Je me mets aux vers,

Et je me mets en grands vers ouverts

Dans un turnover,

Dont je tourne aux vers !

Je retourne ovaires,

Je contourne over

Et je détourne ma mère

Avec dans ma colère précaire,

Une si grande désillusion mammaire

De ma mère,

Que j'en tire une montée de gammes ovaires

Dans du bas de gamme over,

D'où après les vers ouverts

Et les revers ovaires

De ma mère,

Je tourne aux vers de chimère !

 

Jérôme de Mars

Quand les guêpes filent le bourdon aux abeilles pendant leur lune de miel !

 

Dard dard

En étendard,

Quand les guêpes filent le bourdon aux abeilles pendant leur lune de miel !

Il y a les abeilles qui en même, butinent leur miel

Avec les femelles,

Qui pompent le dard des mâles avec leurs mamelles,

Et qui en même temps gerbent leur fiel

Autour du miel et les abeilles,

Sans oublier les guêpes qui bourdonnent les ailes

Des bourdons, et qui font siffler les oreilles

Des abeilles,

Quand les guêpes filent le bourdon aux abeilles pendant leur lune de miel !

A réenchanter en ritournelles,

Ce monde bancal qui chancelle

Et qui en tenant la chandelle,

Attend que les guêpes tirent attire d'ailes !

Les bourdons et les abeilles

Autour d'un plan à trois jonché de miel,

Quand les guêpes filent le bourdon aux abeilles pendant leur lune de miel !

En cabotinage

Et en libertinage

Volage, avec pour porc d'à tache !

Rien que du panache !

Sitôt qu'il y a le miel et les abeilles

Durant leur lune de miel,

Et qui tout en butinant leur miel

Et en gerbant leur fiel,

Attendent friands

Et affriolants

Des relations charnelles qui les dépucellent,

Quand les guêpes sans leur filer le bourdon,

Refilent aux bourdons 

Juste le miel des abeilles,

Afflué pendant leur lune de miel !

 

Jérôme de Mars

 

S'il y avait des oiseaux qu'on prenait pour des pigeons !

 

Oiseaux migrateurs,

Tels des pigeons voyageurs,

Qui sifflotent à l'orale

Dès l'exode rurale,

En fredonnant le chant des oiseaux

Avec des moineaux

En un piaf, qui édite

Dans un concert de louanges

Au zénith !

S'il y avait des oiseaux qu'on prenait pour des pigeons !

Et qui fredonneraient en chansons des élucubrations,

En prenant pour paroles, les mots des perroquets

Qui joueraient à l'épervier,

En claironnant hiboux, cailloux, chouchous

Parmi les loulous

Des corbeaux qui feraient en appel des appels,

En prenant à la lettre leurs douleurs solennelles

Pendant que les canaris,

Iraient en vacances se détendre aux Iles Canaries,

Pour que les tourterelles

Volent de leurs propres ailes

Vers mainates,

Avec dans leurs des tresses mes nattes,

Qui rejoindraient mésanges

Parmi mes anges

Chouettes, comme des chouettes

Et des alouettes,

Qui chanteraient alouette !

Je te plumerai en tant que trublion !

Et s'il y avait des oiseaux qu'on prenait pour des pigeons !

Viendraient-ils à reculons ou afin que nous avancions

En faisant coucou

Dans un vol au-dessus d'un déni de coucous ?

Qui iraient déposer aux cigognes

Leurs bébés, qui en ricanant sans vergogne,

Prendraient des perruches

Pour des peluches,

En tirant et paon ! En en voyant la couleurs !

Et en reprenant des couleurs !

Parmi l'oiseau de toutes les couleurs,

Qui feraient fureur

Dans toute la splendeur

Des oies, qui joueraient les mères poules

Avec dans la foule,

Des oiseaux qui seraient comme des coqs en pâte,

Qui appâtent

Les oiseaux qui font cygnes dans le lac

Aux jars, qui à cause de la goutte d'eau

Qui fait déborder le vase, iraient renverser le sot

Dans la jarre opaque

Avec chez d'inséparables oiseaux,

Le sentiment de voir s'envoler, envoler et survoler

Dans une envolée, voler

Des canards,

Faisant la danse des cagnards

Au milieu de l'eau qui conclurait en chanson,

Avec dans le dernier métro

Les goélands et les pélicans,

Et dont malgré que tout fout le camp !

Demanderaient à Paris à l'unisson !

Et avec les pigeons  !

S'il y avait des oiseaux qu'on prenait vraiment pour des pigeons ! ?

 

Jérôme de Mars

Ce monde qui ne tourne plus rond...

 

 

 

 

Rubicond, rubis con, voici ce monde qui ne tourne plus rond, où plus personne n'a

       p  du tout rond...

    l                                                                                                                            U

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 corrompt carré au tête une mine, mauvaise pour avec Coron, rond plus tourne Ne      

 

 

                                                                                                                              

Jérôme de Mars 

                                                                                                                              

                                                                                                                              

                              

                                       Piqûre de rappel

 

 

Une p'tite saynète dans le cadre d'une nouvelle consultation médicale du mercredi 29 juin 2022 entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine et Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ?  "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

- " Bien Madame Teillet !  "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Alors Monsieur Bedrossian, quoi de neuf en piqûre de rappel ?

Vous qui avez depuis l'an 40 un poil dans la main ! "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Que ma vie c'est à la fois quelque chose d'épique, et en même temps quelque chose des piques, où pour chercher la réponse à mes questions, c'est sans arrêt le parcours du combattant comme de chercher une aiguille dans une meule de foin ! Je sens que vous allez me lancer une pique, n'est-ce pas Madame Teillet ? "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Monsieur Bedrossian, ne faites pas celui qui est toujours piqué au vif ! N'exagérez pas ! Pensez plutôt cet été à partir en vacances pour aller piquer une tête, et prenez ma préconisation comme une piqûre de rappel, ce sera on peut le dire un remède pour soigner votre mal de vivre, comme si vous alliez voir votre pasteur, en protestant très odieux que vous implorez Dieu d'exaucer votre prière, afin qu'il vous rende plus apaisé au nom de Dieu, qu'il vous soit alloué ! Comme l'unique fois où vous avez été à la Clinique Pasteur le 1er janvier 2018 après le réveillon de fin damnée du 31 décembre, et comme à l'époque, je ne vous suivais pas encore au CMP de Vitry sur Seine, c'est comme si on vous avait fait une injection épique pour soulager votre souffrance à son pic, alors que moi je vous lance comme injonction et pique, partez en vacances cet été Monsieur Bedrossian, cela vous fera le plus grand bien ! "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Madame Teillet, ce que vous me faites, c'est une injection ou une injonction ? "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

- " Monsieur Bedrossian, prenez ce que je vous dis comme vous le voulez, peu importe et peu m'importe ! Ce que je vous ordonne de faire, c'est une injonction verbale pour que tout rentre dans l'ordre pour vous, et en piqûre de rappel, je vous fais une injection verbale pour que vous n'ayez plus de désordre psychologique dans votre tête, et pour que vous ayez un état d'esprit en ordre de marche ! "

 

Monsieur Bedrossian Jérôme, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Et à votre avis Madame Teillet, avez-vous trouvé un vaccin contre ma rage ?  "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

- " La seule chose que je peux vous dire, c'est faites de votre rage de chienne de vie et pique ! Une rage positive dans la fureur de vivre heureuse comme un chien épique ! Je vous dis cela sans vous envoyer de piques mais en vous faisant une piqûre de rappel qui tombe à pic, de sorte que vous soyez une bonne fois pour toutes, majeur et vacciné contre votre rage à vivre et à en vivre de votre rage de vivre ! "

 

                    

                                             Jérôme de Mars

             

                                 Traits tirés par les cheveux !

 

 

En ces phrases pas lentes, mais très tirées par les cheveux ! Voici une tête en tête, qui s'fait des cheveux blancs, en s'faisant des cheveux ! Traits tirés par les cheveux ! De façon trop rapide, en cherchant des poux aux pellicules lentes, qui se propagent rapidement dans les cheveux de la tête en tête. Où dans les pellicules ! Y a pas d'photos lentes ! Epuisées émises de bout à bout ! Avec au bout, des traits très trop tirés et tirés par les cheveux !

 

 

                                           Jérôme de Mars

                                                    La mue

 

 

En série, il était une fois la mue grave d'un homme qui rendit grave, la voix de Lamu en menant à la baguette magique cette femme, une Japonaise manga qui au bout du rouleau de printemps, n'arrêta de se faire du sushi, d'autant qu'elle avait une poitrine qu'on nem avec des seins animés, et qui grâce à sa chatte, mit des coups de griffes pour que tout le monde rit quand on naît, signée de la griffe de Lamu de la mue. 

 

 

                                            Jérôme de Mars

                                               Blague :

 

 

Qu'est-ce-que ça fait si une très jolie femme Russe fait la guerre avec son armée à L'Ukraine ?

-  Ca fait une femme trop canon !  

 

               

                                        Jérôme de Mars

Ce n'est pas la quantité qui compte, c'est la qualité !

 

Il était un jamais deux sans trois ! Plié en quatre ! Qui reçut en série cinq sur cinq, le club des cinq assis au je de cette erreur dans un huit infini, qui demande quoi de neuf ? Dans un dix de chute ! En lisant en même temps le journal de foot Onze mondial jusqu'au Démon de Midi à Minuit !

 

Jérôme de Mars

Un fait rieur

 

Un fait rieur est inférieur à un super rieur, supérieur à son supérieur, subordonné, insubordonné ou égal, qui égale légal, est un fait rieur, super rieur, inférieur à un supérieur, même qu'on le traite d'égal à légal comme un supérieur supérieur, qui est un super rieur et un fait rieur, inférieur et supérieur en un fait rieur et en un supérieur qui égal l'égal, et fait rieur légal.

 

Jérôme de Mars 

Les champs pré des steppes

 

S'il y avait un jardin qui se pavane,

Soufflé de vers de sarbacane,

Il y aurait une saudade !

Qui dans une promenade

De santé, prendrait tout l'oseille

Du soleil 

En argent content, 

Bronzant et lézardant dès son firmament,

Complice éméché, or

Quand le silence est d'or,

La parole est d'argent !

Brillant comme le talisman,

Quand il chante STEP !

Les champs pré des steppes,

A réenchanter en champs d'action,

Les paroles désenchantées

De la rébellion,

Insubordonnée et bornée,

A faire ce quiconque veut !

A moins d'un moindre désaveu,

En faisant graviter

Le champ de gravité,

Or ! STEP !

Quand il y a les champs pré

Des steppes,

Il y a O landes,

La Hollande,

Le pays du fromage,

Qui chante le pays de la vache enragée

En champs d'action dérangés,

Avec le cagnard qui lance 

En fanfare le clairon, 

Dont nous éclairons

Enfers des lances

Envers ceux qui s'élancent,

Se lancent et s'en balancent !

Or STEP ! 

Il y a les champs pré des steppes,

Qui jouent la petite maison dans la prairie

En série pour amuser la galerie de la nostalgie,

En rendant chèvre

Du bout des lèvres,

Le fromage en en faisant tout un fromage de Hollande,

En leur coupant l'herbe sous le pied aux pâturages

Des sacrés vaches enragées, consacrées ramages

Aux landes qui chantent dans les Landes,

Des paroles en offrandes 

Pour mettre ici dépit bas !

Des trompes la joie rabat-joie !

Dont STEP !

Il y a vraiment les champs au plus pré des steppes.

 

Jérôme de Mars

 

 

Bientôt 44 balais !

 

D'ici deux mois, c'est mon anniversaire, et à bientôt 44 balais ! Je fais un remue-ménage de printemps qui aura été d'écrire ce court texte, en m'en lavant les mains et en entretenant le bonheur de cette feuille sonotone, à bon entendeur ! Avant qu'elle ne soit ramassée à la pelle le 21 septembre prochain sur une feuille monotone, dont temps que j'ai encore 43 ans, je suis jeune et fin d'esprit ! En n'étant la brosse à reluire, si bien que je suis sot dans mes mots divers, à bientôt 44 balais presque des balais ! Pliés en quatre saisons sûre année !

 

Jérôme de Mars

La ballade mentale

 

Fondamentale et monumentale,

Voici la ballade mentale

Qui remplace la balade mentale

D'une malade mentale,

Dont je me sers de la poésie !

En y insufflant de la bohème

Dans cette vie,

Qui a besoin qu'on l'aime !

Car nul ne remplace la ballade mentale !

Même une balade mentale,

Sinon cela renvoie à une promenade

De santé dans une sérénade

D'une malade mentale,

Alors qu'il faut songer à y souffler

De la légèreté à volonté !

Pour y croquer la vie

A pleines dents ! En faisant l'apologie

De la ballade mentale,

Car si c'est fondamental

Et monumental,

Ce n'est plus un drame,

Emmêlé dans un slam

De la balade mentale

D'une malade mentale,

Mais juste une ballade mentale.

 

Jérôme de Mars

Le concert de Lou, ange

 

Ange et des mots,

Il y a Ange qui loue

Relou à Lou,

Qui alloue avec mes Ange,

Mes anges,

Le concert de Lou, ange,

Qui fait des loups anges

En un concert de louanges,

Dès le concert de Lou, Ange,

Qui loue et alloue à Lou,

Elle, la relou

A Ange, un ange

Qui s'mélange

A Mésange,

Avec des ritournelles

Qui arrangent

La tourterelle,

Qui prend son envol au zénith,

Qui édite

Un piaf

D'impatiences, qui piaffent

Lou et Ange,

Qui anges et des mots,

S'arrangent synchros

A ce que Ange, un ange

Loue et alloue à Lou,

Malgré qu'elle soit relou !

Et dont en vol de p'tits oiseaux,

Cela forme A Lou et à Ange !

Des louanges qui engrangent

En loups anges,

Le concert de Lou, ange.

 

Jérôme de Mars

 

Jérôme qui vit pour une foi une sûre année en paix !

 

Dès janvier, Jérôme trépasse un bon début damné, en écrivant de ses mots d'hiver un poème sur le moi de Février effet boule de neige, et dont il suffit que Jérôme soit de Mars, pour qu'il bronze face au soleil du printemps, en ne se découvrant pas d'une fille d'Avril, mais dont il faut que Jérôme fume si Juin car en Juin, ça sera bien ! En attendant le moi de Juillet pour que Jérôme fasse le Tour de France avec ses petits vélos, si bien qu'en août, Jérôme sera complètement burn août le 24 août le jour de son anniversaire, avant de rentrer solaire en Septembre, en patientant avant de revoir à la poursuite d'Octobre rouge lui, Jérôme qui voit rouge en se faisant des films et qui attend tout sain, le mois de Novembre pour écrire un poème sur une feuille monotone avant de passer une bonne fin d'année en décembre, en fumant le calumet de la paix, puisque voici Jérôme qui vit pour une foi une sûre année en paix ! Car même si Jérôme commence souvent mal l'année, il réussit toujours à bien terminer l'année en allant grâce au calendrier, de l'Avent.

 

Jérôme de Mars

Laisse-tomber le ciel !

 

Tombé du nid !

En retombées dénis,

Avec un arc en ciel,

Laisse-tomber le ciel !

Il ne pourra pas tomber

Plus bas, à part tomber

De haut avec pour retombées,

Un ciel qui se dévisage

Avec dans les parages,

Un ciel dévoyé dans son malheur

Et paisible dans sa fureur,

Si tu ne veux pas que le ciel

Te laisse tomber,

Laisse tomber le ciel !

En compagnie de ton ami, l'arc en ciel !

Avec à la place du superficiel

Et de l'artificiel,

Un paradis essentiel,

Qui t'emmènera tout ouï

Et béni

Vers Saint-Jacques de Compostelle,

Le chemin des paysages gratte ciel,

Qui grattent le ciel,

Pour que le ciel

Te laisse tomber !

Afin que tu aies pour retombées,

Un arc en ciel dans le Missel,

De par la réincarnation de ta grâce spirituelle,

Et puis tout doucement, laisse tomber le ciel !

En attendant que ton âme corporelle,

S'envole avec les anges et tes ailes

Au pays d'un monde fraternel,

Où tout le monde serait tourterelle

Pour voler vers le haut essentiel !

Et pour cela, envole-toi de tes propres ailes !

A tire d'aile !

Avant que te laisse tomber le ciel !

Et avec un arc en ciel, un Missel

Et un gratte ciel,

Gravis, gravite et lévite l'eldorado !

De sorte que le ciel tombe de haut !

Plus bas que toi, le Missel !

Qui n'apporte que des bonnes nouvelles,

En même temps que les hirondelles,

Tandis que tu termines synchro

Le tempo de cette ritournelle

Depuis ton gratte ciel,

Et en t'aidant de la passerelle

Qui te fera la courte échelle,

Garde précieusement essentiel ton Missel !

Et laisse tomber intemporel le ciel !

 

Jérôme de Mars

Big magma

 

Comme au cinéma !

J'me fais des films !

Avec le film

Big magma,

Où tout se mélange

Dans ma tête,

Qui dérange

Mon âme de poète,

Big magma

Qui est rabat-joie !

Autour de la fausse à orchestre

Cellophanée, comme un papier à film

Qui prend pédestre,

Big magma

Qui fait des éclats,

En m'disant arrête ton cinéma !

Big magma,

Dans un mélange fourre-tout !

Qui dérange mon côté ripou,

Qui écime

Ma vie qui se décime,

Où j'me fais des films !

Big magma,

C'est la cata !

J'ai plus ma big mamma !

En me faisant des films,

D'où j'en tire un grand film,

Comme au cinéma !

Où ce n'est désormais du cinéma !

De ma big mamma

A un big magma.

 

Jérôme de Mars

La fontaine des treize villes

 

Comme en Italie !

Sur place d'Italie en arrivant à la Porte d'Italie,

S'il y avait la fontaine des treize villes,

Il y aurait le quartier du treizième

Arrondissement de Paris,

Qui coulerait comme une fontaine qui frétille

Sur Place d'Italie,

Quartier de la rue des sans soucis !

En signant impact énième

De la fontaine des treize villes,

Qui arroseraient la Roseraie

De L'Haÿ-Les-Roses, qui La Roseraie !

Même que ce n'est à Paris !

Mais en région Parisienne, qui scie

La Fontaine des treize villes

Dans le 13ème arrondissement,

En arrondissant sereinement

La fontaine des treize villes,

Comme la Fontaine de Trévise

En Italie,

Qui vise et révise

La Place d'Italie,

Mise à la Porte d'Italie,

D'Italie sur Place d'Italie,

Qui fourmille et frétille

D'idées toutes les 5 minutes,

Qui se répercutent

En Italie

Vers la Place d'Italie,

Porte close d'Italie

De la fontaine des treize viles.

 

Jérôme de Mars

Soûlard de vers

 

Bad boy,

Très destroy !

Comme ma mère,

J'suis un soûlard de vers,

Qui la compare à Patrick deux vers,

Comme elle s'appelait Patricia de vers,

Et qu'à l'agonie, elle était en état de léthargie,

Où j'aurai bien aimé qu'elle ait l'alcool en allergie,

Où j'suis un soûlard de vers,

En soûlant les gens dans l'ivresse de ma colère envers

Ma liesse, en m'enivrant dans un état délétère et austère,

Où j'suis un soûlard de vers,

Et un roublard indu de mes revers salutaires, avec en inventaire

Mes vers solitaires qui sont le fruit de mon état chaotique grabataire,

Ou envers de mes vers solidaires qui font davantage de bien salutaire,

Où j'suis un soûlard de vers,

En parlant toujours de mes problèmes qui rappellent à la place de l'été, l'hiver

De mes maux d'hiver, où je parais un roublard dépourvu de moral, car mortifère

Où j'suis un soûlard de vers, 

Qui ne parle que de son état héréditaire et patibulaire, alors qu'il faudrait insulaire

Que je plonge la tête dans les étoiles deux Jérôme de Mars, linéaire et débonnaire,

En n'étant un roublard d'revers solitaires, doublé d'un type vulgaire sans frontière, 

Mais en étant un soûlard de vers ultra solidaire.

 

Jérôme de Mars

 

Quand on en voit la couleur, on reprend des couleurs !

 

Ecrit noir sur blanc sans blanc, quand on en voit la couleur, on reprend des couleurs ! En se mettant aux verts si bien que si jamais, on rit jaune, et bien on voit rouge à cause des bleus dans sa vie, dont pour oublier tous les ennuis qui font qu'on est marrons, on se bronze en ultra-violets pour avoir une vie en rose, car rien de tel que de boire la couleur orange pour ne plus être pressés et hauts pressés par la vie, dont même si le monde est gris, voyons plutôt la griserie ! Ce qui fait que quand on en voit la couleur, on reprend en vitamines des couleurs !

 

                                Jérôme de Mars

Et mental, Emmental !

 

En en faisant toute une montagne !

Il y a la montagne du Cantal,

Qui se prend pour la campagne,

Et mentale, Emmental !

En en faisant tout un fromage !

Dans un breuvage !

En essayant de faire un sevrage !

Et mental, Emmental !

Parce-que tout vient du mental !

Et qu'il est fondamental

Et monumental !

D'aller à l'attelage dans le Cantal !

De préférence plus trivial !

Et mental, Emmental !

En en faisant moins un fromage !

Mais davantage un ramage !

Volage qui dans la campagne

Du Cantal,

Chante les vertus du champagne,

En pétillant et mental, Emmental !

Puisque tout vient du mental !

Et que ça en devient fondamental

Et monumental !

De n'en faire un fromage

De campagne

Du Cantal !

Mais dont il est fondamental

Et monumental !

D'en fredonner un ramage !

Pas en en faisant tout un fromage

Râpé ! Mais en en refaisant un fromage

Dérapé de campagne

Du Cantal !

En ayant pour campagne !

La montagne en pâturage !

Puisque se réenchante le ramage !

Sans en faire tout un fromage

Du Cantal !

Fondamental et monumental !

Et mental, plus qu'Emmental !

 

Jérôme de Mars

 

Quand il pleut, je pleure, quand il fait beau, je ris !

 

Tel un saule pleureur, songeur et rongeur,

Quand il pleut, je pleure,

Alors qu'avec de la griserie,

Quand il fait beau, je ris !

Et ainsi, je souris à la vie !

Alors que quand le temps est gris !

Je suis aigri à l'agonie !

Certes, le temps fluctuant bipolaire,

Passe au fil de l'époque sur mes nerfs !

Avec tantôt de la bonne humeur !

Et tantôt de la liqueur d'aigreur !

Avec des gens sympathiques, lunatiques

Et névrotiques, symptomatiques,

D'une période qui tarit dans le vide !

Avide de tout, et de rien livide !

Avec un temps gris qui m'effleure !

Or ! Quand il pleut, je pleure !

Au fond de mon lit !

Alors que dès que le soleil sourit !

Et quand il fait beau, je ris !

Où après avoir été à fleur de pot !

Sous la pluie dans le gris !

J'attends qu'il fasse beau dans l'eldorado !

Et j'attends un patient ! La griserie !

Pour transformer ma mélancolie !

En un mélange d'harmonie et d'euphorie !

Car après qu'il ait plu ! 

Et que ça ne m'ait plu obtus !

Dès qu'il ne pleut ! Je ne pleure !

Et lorsque m'effleurent mes fleurs !

Et quand il fait beau dans ma vie,

Je souris et je ris au paradis !

 

Jérôme de Mars

Je m'expose avec mes poèmes en des vers ni sages et des vers sages !

 

Expo, je paye pleins pots !

Le passage !

De mes vernissages

Dans l'envers de mes mots,

D'où il reste des ramages !

Qui arriment en de bons présages,

Puisque demeure accro et synchro,

L'expo qui en impro, vise l'eldorado !

 

       Jérôme de Mars                             

                                                           Ex pot, j'ai la bonne paye qui à fleur de peau !

                                                         Fait ça l'ère de la peur en bricolant mes mots !

                                                      Desquels j'improvise une expo en vers ni sages !

                                                         De mon ode de poète maudit, dès le passage

                                                      Vers l'an des poèmes aux vers lents qui à cran,

                                                 Ont du cran pour attirer le temps au temps plaisant.  

                                                                              Jérôme de Mars

 

Y a pas photo ! J'expose mes poèmes !

Tel un rebelle un soumis ! Qui s'expose

Sans rentrer dans le système de la bohème,

Et dont avant le requiem, pourvu que je dispose

D'un peu de temps pour faire une expo !

De mes poèmes en des vers sages d'un pro.

 

             Jérôme de Mars                

                            

                                        En marge du système, je m'expose avec ce que j'expose                                         De mes poèmes en vers ouverts, aux vers ni sages !

                                       Avec en cette fin d'expo, des vers deux messages

                                  En mets sages, pour passer tout à plat, afin que je me repose                                   Et je repose mon passage avant mon vernissage, à demi-mot

                                     De mon expo qui fait qu'une page se tourne en sûr expo.

 

                                                              Jérôme de Mars

                                

                                                                

 

 

 

     

 

Le petit oiseau va sortir...

 

Zig zag,

Voici le tournant en un tag

Sinueux pour sortir, assortir à sortir

Un drôle d'oiseau qui va sortir...

Mésanges et mes tourterelles,

En jouant à l'épervier,

Et en faisant le pigeon,

Dès que le petit oiseau 

De toutes les couleurs,

Va sortir,

A sortir et assortir

Et paon en tirant avec 

Son petit oiseau,

Un liquide rempli d'eau,

Quand le petit oiseau va sortir...

A sortir et assortir avec un oiseau

Femelle pour perdre son plumage,

Et se dépuceler avec sa plume

Pour payer en liquide tout ce qu'il

Débite, des bites, quand le

Petit oiseau va sortir...

Assortir et à sortir,

En prenant du plaisir

Par ses mots à en jouir,

Comme un perroquet

Qui répète toujours la même

Chose, en faisant la chose,

Quand le petit oiseau va sortir...

A sortir et assortir, en volant

De ses propres ailes, et

En prenant pour ailes,

Ses femelles dans un harem,

Qu'il aime et parsème

Dans un des nids, 

Qui fait voler, envoler

Et survoler, dont grâce à elles,

Ses femelles, et bien le petit

Va tirer son coût ! En tirant

Sa crampe ! Car ça y est,

Il vient, le petit oiseau !

Qui va à sortir, assortir

Pour le sortir son petit oiseau...

 

Jérôme de Mars

Etes-vous de gauche ou de droite ?

 

Partis politiques de gauche et de droite,

Si on prenait parti en étant très gauche droite,

Dont on en prendrait parti dans un centre gauche-droite,

Et êtes-vous de gauche ou de droite ?

Pensez-vous que La gauche a le monopole du social ?

Et la droite, le monopole du libéralisme ?

Pensez-vous que ça existe une gauche libérale ?

Et une droite sociale ?

Grâce au en même temps d'Emmanuel Macron,

Qui prend le gauche à droite ,

Et donne une droite à gauche, en centrant

Et recentrant le tout, qui prouve que la gauche

Peut être de droite, et que la droite peut être de gauche,

Car l'un ne va pas sans l'autre, et à l'heure du

En même temps, la gauche fait un peu de droite,

Et la droite un peu de gauche, êtes-vous plutôt

De gauche ou de droite en fonction de la conjoncture,

De vos convictions politiques ou des justices et

Des injustices de notre monde ? Pensez-vous

Que la droite peut faire des choses pour les pauvres,

Comme l'a fait Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy ?

Pensez-vous que la gauche peut faire des choses

Pour les riches à l'image de François Hollande,

Et un tantinet un peu de ce que fut et fit François Mitterrand ?

Pensez-vous que c'est automatiquement la gauche,

Qui s'occupe des immigrés et des pauvres ?

Et la droite, des familles, des personnes âgées, des

Personnes handicapées ou des retraités ?

Pensez-vous qu'être trop à gauche ou trop à droite,

Ce n'est pas bon et c'est malsain et qu'il vaut mieux

Avoir le centre au pouvoir, en formant

Un compromis et un consensus équilibrés, pour que

Chacun y trouve son compte et son parti

Entre la gauche et la droite ? Et afin que La France

Soit plus solidaire et moins individualiste, pensez-

Vous qu'il faille voter pour la gauche ou pour la

Droite ? Et pour que La France soit repliée sur

Elle-même et ne soit qu'un pays comptable, faut-il

Voter pour la gauche ou pour la droite ?

Pour le progrès social, pensez-vous qu'il faut voter

A gauche, à droite ou au centre ? Pour être

Pragmatique en ces temps difficiles, ne vaut-il pas

Mieux voter pour le centre ? A votre avis, la valeur

Travail n'est-elle rattachée qu'à la droite et les allocations

Qu'à la gauche ? Pour vous, Jacques Chirac et Nicolas

Sarkozy étaient-ils plus de droite que de gauche ?

Pensez-vous que la mentalité des Français se

Résume-t-il qu'ils votent à gauche ou à droite ?

Pensez-vous que dans la gauche, il y a des puritains

Libéraux à en prêter confusion avec la droite, et

Qu'à gauche, il y en a des êtres très sociaux à s'en mélanger

Les pinceaux avec la gauche ? Economiquement, faut-il être

Plus de gauche ou de droite ? Socialement, faut-il être plus

De gauche ou de droite ? Et sociétalement, faut-il être plus

De gauche ou de droite ? La gauche peut-elle

Avoir une caution de libérale et la droite une caution

De sociale ? Comme le disait Giscard à Mitterrand,

La gauche a-t-elle le monopole du cœur ?

Certains disent qu'il n'y a plus de gauche et de droite,

Et que chaque parti est obligé de faire un peu des deux,

Pensez-vous que cela est vrai ? On dit que la gauche

Aide plus les SDF et la droite, les gens fortunés,

Pensez-vous que cela est vrai ? Ou selon vous,

Ces idées reçues sont-elles obsolètes ?

Car même que Jacques Chirac était de droite, il a cocrée

Le Samu Social à Paris avec Xavier Emmanuelli, et que

C'est aussi Jacques Chirac avec Giscard, qui ont crée

L'AAH et les droits avant-gardistes pour les personnes

Handicapées, figurez-vous que l'instigateur de la

Création de la Sécurité Sociale, fut l'homme de droite

Gaulliste de la même famille que Michèle Laroque,

Pierre Laroque conjointement avec le communiste Ambroise

Croizat, et figurez-vous même que quand Nicolas

Sarkozy qui est un homme de droite a été élu

Président de la République, que même qu'il fut libéral,

Que c'est lui qui a le plus augmenté l'AAH de 150

Euros, qui est à l'origine du RSA avec Martin Hirsch,

Qui a revalorisé de même L'ASPA, dont l'ancien

Nom est le minimum vieillesse, et qui a considérablement

Réhausser la Prime pour L'Emploi, alors que

François Mitterrand, même qu'il fut de gauche, et

Fut à l'origine du RMI via Michel Rocard,

Qu'il décida aussi du tournant de la rigueur en France en

1983, 2 ans après son élection, et que c'est Nicolas Sarkozy,

Qui en personne, a conçu la loi DALO,

Le Droit Au Logement Opposable, et que même

Que Lionel Jospin fut de gauche, qu'il privatisa les entreprerises

De services publics, même qu'en contrepartie, il lança les

Emplois Jeunes, élaboré la Prime Pour L'Emploi,

L'APA : L'Aide Personnnalisée à L'Autonomie,

La CMU : Couverture Maladie Universelle et Le PACS,

Je constate de même que ce sont principalement les

Gouvernements de droite et du centre droit, qui ont

Revalorisé L'AAH et L'ASPA, tout comme la Prime

Pour L'Emploi à l'instar de Valéry Giscard D'Estaing,

De Jacques Chirac, de Nicolas Sarkozy et d'Emmanuel

Macron, qui prouvent bien finalement que le centre droit

Et la droite font davantage pour les familles, les personnes

Handicapées, les personnes âgées et les retraités,

Car ce qui compte, ce n'est pas être de gauche ni être

de droite ! Mais juste les idées par rapport

De ce que la personne politique a dans le ventre,

Tout autant que ses traits de caractère, ne pensez-vous

Pas rationnellement, que peu importe

L'étiquette politique que peut avoir un homme politique,

Que ce soit rationnellement ou irrationnellement, que le plus fondamental,

C'est avant tout de prendre le meilleur de la gauche et de la droite ?

Comme le fait tant bien que mal, Emmanuel Macron

Dans un gouvernement d'union nationale,

En rassemblant en un jeu d'équilibriste, des personnalités issues

De la  gauche, de la droite et du centre, car les compétences

De chacun d'entre eux, forment une variété plurielle

De gens, revêtus de plusieurs talents différents et complémentaires,

Et aussi en d'innombrables divergences d'opinions politiques aléatoires,

Mais au final, cela compose-t-il

D'après vous pour vous une politique efficace,

Constructive et pragmatique dans l'air du temps conjoncturel, et

Dans le sens de l'intérêt commun pour redresser

La France sans politique partisane ? Et en conclusion,

Faut-il selon vous prendre le gauche sans être gauche,

En donnant une droite pas trop à droite, mais au centre

Des attentions pour recentrer l'essentiel de la vie

Et de la recomposition politiques pas forcément dans la

Politique mais dans l'apolitique ? 

Pragmatiquement et avec la conjoncture moderne,

Au final, êtes-vous plutôt de gauche ou de droite ?

En sachant qu'il y a des gens très bien à gauche et à droite ?!

 

Jérôme de Mars

Bouteille en vers

 

 

 

 

            

 

                     e   12)   Bière,

                     n                

                                         D     13)

                    m                  e

                     i

                    s                   c

                    e                   e

                                         t

            11)  M                   t

                   a                    e

3) Absence me soûle, et soûle ma peine ! 

 

       9) Chagrin               10) Jusqu'à

s                                     m                      D    4)

o      6) En écum             o                      e

n                       a             n

                         n                                     l

d                        t             D  8)               a

'o                                      e                    q

ù                       7) Les bars,                  u

                                                               e

m                                                            l

è                                                             l

r                                                             e,

e,

                                                                j

l            14)   BOUTEILLE                      e

a

                                                               b

à           15)  EN BRIS DE VERS            o

                                                                i

b                                                              s

o           16)  ET VLAN !

u                                                              t

t                                                               o

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                                                                  '

u                                                                i

n                                                               v

e                                                               r

                                                                 e

j                                                                s

e                                                               s

 

t                                                                e

a

n                                                               e

t                                                                n

                                                                 

E 2)                                                     5) Va  

n                                                                  i

1) En gros, j'ai pris de la bouteille en vers, n,

 

 

Jérôme de Mars

On pouvait voir en peinture Cézanne !

 

Très à cheval comme ces Anne !

Et comme ces ânes !

On pouvoir voir en peinture Cézanne !

En sortant du cadre,

Qu'on l'encadre, qu'on ne l'encadre,

Ou qu'on recadre Cézanne,

Très à cheval comme ces Anne !

Et comme ces ânes !

Raison de plus qu'en nous émane !

On pouvait voir en peinture Cézanne !

Qui aura été très à cheval comme ces ânes !

Toute sa vie comme ces Anne !

En sortant du cadre qu'on encadre,

Ou qu'on n'encadre, et pour qu'on recadre

Sans sortir du cadre Cézanne !

Très à cheval comme ces ânes !

Et comme ces Anne !

Raison de plus qu'en nous émane !

On ne pouvait voir en peinture que Cézanne !

 

Jérôme de Mars

Sur le grill !

 

Voici Jérôme Bedrossian en meneur avec ses pensionnaires sur le grill à l'image de l'émission Les Grosses Têtes

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill :

 

-  "  Bonjour bienvenue sur le grill avec moi qui suis grillé pour tout le monde par tout le monde et v'là mes pensionnaires réguliers sur le grill :

Voici sur le grill Farid Hamza, qui grillé aime bien manger à Buffalo Grill, voici sur le grill Guillaume Leprette, qui aime bien faire une grille côté matchs, voici sur le grill Philippe Bourget, qui aime bien faire des grills de mots croisés, Voici sur le grill Alexandre Strub, qui aime bien en griller une, voici sur le grill Boris Pitoëff, qui aime bien manger des brochettes de viandes dans un grill de barbecue, voici sur le grill Adel Azak, qui pour ne pas griller avec ses proches ne se fait pas livrer en frais de porc, voici sur le grill Jean-Paul Garnier, qui aime bien avoir toujours sur lui son porte-bonheur, un grill-grill, voici sur le grill Lionel Lelouch, un ex ami avec qui je suis grillé depuis 6 ans, et voici sur le grill Serge Kurts, un ami musicien qui n'est grillé par personne et qui ne se grille avec personne, et faites que vous tous sur le grill, ça commence !  Une question que j'ai lu sur une grille de maux croisés, pourquoi suis-grillé auprès de tout le monde ?  Oui, je t'écoute Serge, !  "

 

Serge Kurts, sur le grill :

 

-  "  Parce-que tu as failli de te faire viander par une voiture quand t'étais en route pour aller manger à Buffalo Grill ! "

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill : 

 

- " Non Serge, en fait te sers-je un ver ?  "

 

Serge Kurts, sur le grill :

 

-  "  Continue de m'enfumer, et tu vas t'en griller une en vers moi avec tous tes revers solitaires !  "

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill : 

 

-  " Ok Serge, et toi Alexandre, veux-tu donner une réponse à ma question ?  "

 

Alexandre Strub, sur le grill :

 

-  "  Tu es grillé auprès de tout le monde, comme tu veux mourir à petit feu alors que de fumer un simple calumet de la paix en file Indienne te suffirait, n'est-ce pas Géronimo ? "

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill :

 

- "  Bonne réponse d'Alexandre ! Oui Farid, tu veux ajouter quelque chose ?  "

 

Farid Hamza, sur le grill :

 

-  "  Jérôme, tu as oublié d'ajouter que si tu es grillé auprès de tout le monde, c'est aussi que tu veux aussi mourir pour des cendres en ne mettant rien dans l'urne lors de chaque élection politique !  "

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill :

 

-  "  Bonne réponse de Farid !  deuxième question : pourquoi veux-je partir en fumée ?  " 

 

Serge Kurts, sur le grill :

 

-  " Pour déchanter Serge Gainsbourg sur l'air de Dieu est un fumeur de Havane, maintenant que Serge Gainsbourg est parti en fumée depuis 31 ans ! "

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill :

 

-  " Tu nais pas très loin Serge, tu chauffes, oui Guillaume, quelle est ta réponse ?  "

 

Guillaume Leprette, sur le grill :

 

-  "  Pour faire un tabac !  "

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill :

 

-  " La réponse était tout simplement pour casser ma pipe comme au nom d'une pipe, La France part en sucettes !  Troisième question sur le grill pourquoi est-ce-que Django Reinhardt quand je l'écoute, est le seul artiste qui me donne envie serein de fumer le calumet de la paix en passant de Géronimo à Jérôme ?  "

 

Jean-Paul Garnier, sur le grill  :  

 

-  "  Parce-qu'il te fait trépasser de tes maux croisés en passant par tes mots croisés !  "  

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill :

 

- " Non JP, ce n'est pas ça ! Oui Philippe, quelle est ta réponse ?  "

 

Philippe Bourget, sur le grill :

 

- "  Parce-que grâce à ton idole Django Reinhardt qui est gitan, ça t'empêche de te griller à petit feu en fumant des gitanes, et dont au lieu de déchanter Dieu est un fumeur de havane de Serge Gainsbourg, tu devrais plutôt enchanter sur le grill, Dieu fume le calumet de la paix au nirvana même que je n'aime pas trop le groupe Nirvana ! "

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill :

 

-  "  Bonne réponse de Philippe, quatrième question : que devrais-je fumer pour me griller encore davantage à petit feu comme un Français rebelle ?  Oui Boris, je t'écoute "

 

Boris Pitoëff, sur le grill :

 

-  "  Tu devrais te faire fumer le calumet de la paix sur Vénus, la planète de l'amour par pleins de femmes !  "

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill :

 

-  " Même si ça me ferait du bien, ce n'est pas la bonne réponse Boris ! Oui Adel, quelle est ta réponse ? "

 

Adel Azak, sur le grill :

 

-  "  Fumer et enfumer six joints le calumet de la paix Jéjé ! "

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill :

 

-  "  Non Adel, ce n'est pas la bonne réponse ! Oui Lionel, quelle est ta réponse ? "

 

Lionel Lelouch, sur le grill :

 

-  "  Comme toi et moi, on est grillés depuis presque 6 ans exactement à la date arrêtée du 6 juin 2016 après s'être grillés à petit feu, comme y a le feu au lac, je dirais Jérôme que tu devrais fumer et enfumer des gauloises avec ta mentalité très gauloise ! n'est-ce-pas Jérôme ?  "

 

Jérôme Bedrossian, meneur sur le grill :  

 

- " Bonne réponse de Lionel le louche, merci et bravo à vous tous ! Car vous et moi désormais, on est maintenant tous sur le grill, comme on s'est grillés à petit feu, et qu'on est grillés pour tout le monde par tout le monde et viandés à cause de mon barbecue électrique, qui a failli cramer l'autre fois ces brûlures de l'histoire au GEM de Vitry surtout que pas de pot, ça gaze partout comme il y a de l'eau dans le gaz en hypertension ! Et comme maintenant, on est tous sur le grill ! Si on noyait tous le poisson en brochets et viandés, pour qu'en faim on se grille sur le grill, en allant déguster à Buffalo Grill tout ce qu'on a dégusté jusqu'à présent dans nos vies à cause de nos déboires qui ne font que nous démanger, donc pour cela, allons tous nous restaurer à Buffalo Grill sûr le grill ! "

 

Jérôme de Mars

 

Si j'avais une guitare qui me parlait sèchement...

 

Comme Django Reinhardt,

Qui me parlait sèchement

Dans ce street art

Avec sa guitare sèche,

Si j'avais une guitare qui me parlait sèchement...

Je lui répondrais Johnny Guitar en antisèches !

En fumant des gitanes compensant à Django Reinhardt,

Pas trop loin de ce street art,

Comme si j'errerais avec mes amis, les gitans !

Pas louches mais manouches tziganes  !

Si j'avais une guitare qui me parlait sèchement...

En fumant des gitanes, 

Ardemment et fervemment, 

Et bien en messes basses,

Je jouerais à la fois de la guitare sèche

Et de la guitare basse,

Avec pour contrebasse

Mes paroles sèches,

Et avec une guitare sèche,

Si j'avais une guitare qui me parlait sèchement...

A la manière de mon art,

Et bien cordialement

En prenant mon tour, je parlerais sèchement

A Django Reinhardt

Dans ce street art,

Avec pour antisèches

La même guitare sèche,

Dont habilement,

Si j'avais une guitare qui me parlait sèchement...

Comme Johnny Guitar,

Et bien en roulement de fanfare,

Je jouerais fatalement,

Impromptu, inadvertant et déconcertant,

Un concert de langes à la manière 

De BB, Brigitte Bardot,

En fumant, enfumant le bédo,

Mais dont à contrario, je préférerais fumer

Et enfumer

Les gitanes de mes amis Tziganes,

Gitans dans leur car à vanne,

Dont vannes et revannes, 

Si j'avais une guitare qui me parlait sèchement...

Qui émane mélomane d'une guitare sèche,

Ampli d'allumettes sèches,

Et bien en antisèches,

A portée de main d'une guitare basse,

Et d'une contrebasse en contrebasse,

Je ferais des messes basses

Avec Django Reinhardt 

Dans ce street art,

Et si avant de rejoindre les cieux audacieux,

En fumant ma mort à petit feu !

Si tout en parlant sèchement,

Si j'avais une guitare qui me parlait sèchement...

Ardemment et fervemment 

A la manière de Django Reinhardt,

Et si je me ruais hors de ce street art,

En fumée, enfumé de havane,

D'où tout enfumant, je fumerai mon ultime gitane

Avec mes amies, les gitanes, 

Et si grâce à Johnny Guitar,

Je chantais à Leste un standard,

Qui enchanterait en antisèches

Avec ma guitare sèche,

Impatiemment et furieusement,

Si j'avais des paroles sèches,

Et une guitare sèche,

Qui me parlaient si sèchement...

 

Jérôme de Mars

 

 

Le rebelle un soumis !

 

France qui s'atomise,

Je vote nul !

Comme un funambule,

Qui ne trouve son équilibre

Qu'en étant le rebelle un soumis !

De La France Insoumise

En un opportuniste !

Qui vote aux extrêmes

De son état blême,

Et qui vote afin qu'il y ait 

Un rassemblement national !

Et que tout le monde se frappe

Et se tape

De façon frontale !

Grâce au rassemblement national,

Moi le clown triste,

Qui n'en a plus rien à foutre de tout !

Du tout de ce merdique fourre-tout,

Et qui vote ensemble, en marche

De La République

De l'apolitique,

Comme est en démarche 

Et ensemble, toute la politique !

Où moi, le rebelle un soumis !

Vu que tout ce qu'on m'a promis !

Quasiment personne n'a tenu parole !

Avec en bémol,

Le parti d'en rire socialiste

Et communiste où tous ensemble, Nupes

Et en marche, allons vers l'horizon

D'un rassemblement national !

Et discutons de façon amicale

Ou frontale !

Pour savoir qui a raison,

Ou qui a haut raison, oraison !

Car de la politique, je m'en tape !

Et seule l'apolitique, je la capte et cap

De La France Insoumise,

Qui s'atomise et se pulvérise

Vers Jérôme, à la fois le rebelle insoumis !

Et le rebelle un soumis !

 

Jérôme de Mars

Aimez ces airs !

 

Un grand homme

Que fut Aimé Césaire !

En somme,

Aimez ces airs !

Débonnaires 

Dans un bel air !

Avec pour embellie pulmonaire,

Aimé Césaire !

Avec de la musique qui frétille

De ses Antilles, qui émoustillent

Un nouveau souffle d'air !

Avec en roulant les airs !

Une ère primaire, secondaire

Et tertiaire !

Donc quel sacré bonhomme !

En somme,

Aimé Césaire !

Et aimez ces airs !

Débonnaires, 

En prenant des grands airs !

Qui ne manquent pas d'air pulmonaire !

Et respirez la sérénité du bel air

Sur votre aire,

En remontant à la surface extraordinaire,

Nécessaire pour aimer Césaire !

Aimé Césaire !

Ce grand surhomme

Jusqu'à ne plus avoir d'airs !

En somme,

Qui vous gonflent dans une crise de nerfs,

De sorte à manquer d'airs !

Et à en manquer d'airs !

Et ainsi de votre embellie pulmonaire,

Aimez plus que de raison ces airs !

 

Jérôme de Mars

Lionel le louche !

 

Bonjour Lionel

Ou mauvais jour Lionel !

Que t'arrive-t-il avec tes babouches

De charentaises ?

Où pour moi, t'es de la foutaise !

Même que t'es balèze !

Car t'es Lionel, Le louche !

Qui louche et le louche

Toi, Lionel Lelouch,

Qui bouge 

Et où dès que tu vois rouge !

Cela fait qu'allongé sur ton lit,

Tu parles qu'à Longet, ton psy !

Mais pourquoi aujourd'hui

Chez Boris, étais-tu énervé ?

Et pourquoi en ritournelles,

T'es-tu énervé ?

Toi, qui as fait de ton mieux  !

Pour que cette après-midi 

Chez Boris,

Ca glisse

Sur un terrain glissant,

M'enlisant et me délitant

Dans ma colère que j'ai

Contre toi avec tes excès,

A m'en faire crever l'abcès !

Avec toi Lionel, le louche !

Avec tes babouches

De charentaises,

Qui ne sont que de la foutaise !

Même que t'es balèze

Avec tes muscles !

Et rien dans le ciboulot, 

Où tu as toujours le dernier mot,

A t'en faire pomper la queue avec les pieds

Des femmes,

Toi l'être infâme !

Où tu es Lionel, le louche !

Qui louche et le louche,

Toi, Lionel Lelouch

Dans ta pure souche,

Et en fait, pourquoi fais-tu des camouflets ?

Alors que toi, tu t'es camouflé

Et, t'as tout camouflé !

En voyant rouge !

Où à la moindre alerte, tu bouges !

Toi, l'être égoïste

Et individualiste !

Qui grossit la longue liste

De mes amis morts et enterrés,

En enterrant la hache de naguère !

Puisque pour moi Lionel,

Tu n'es plus du tout essentiel,

Mais juste quelqu'un que j'évite insurrectionnel,

Comme tu nais plus conventionnel,

Et dont je te dis 

A toi Lionel, mon ex-ami !

Va te faire foutre jusqu'au ciel !

Même qu'allongé, tu penses à ton amie Muriel,

Alors qu'à Longet, tu parles à ton psy fraternel,

Tandis que moi Lionel,

Je te considère comme quelqu'un de superficiel

Et d'artificiel,

Dont maintenant en vers toi Lionel,

J'adopterai comme rituel,

Où même que tu t'appelles Lionel Lelouch,

Pour moi qui ne t'aime plus, tu seras dorénavant

Lionel, le très louche !

 

Jérôme de Mars

 

Les beaux

 

Il y avait une fois un beau ah ! Qui mettait des vêtements en peaux de serpents très laids ! Il avait un comportement olé ! Oh ! Les ! En prenant un escabeau, en montant de sue pour prendre de la hauteur ! En rampant comme un boa, en allant vers le haut très beau ! Après son ex cas beau, où ce beau, cherche à faire le beau avec son corps beau en cherchant en altitude un corbeau, qui sera le témoin oh ! Laid de ses appels anonymes et de ses lettres de corbeau, en ayant la peur de l'inconnue très au laid ! O lé ! Haut les ! Qui fait à travers et aux travers de tous ses traits de caractère olé ! Hauts ! Les ! Les beaux trop hauts parleurs.

 

Jérôme de Mars

 

Si mon stylo me faisait jeter l'encre !

 

Vague à l'âme,

Je suis au creux de la vague

De lame,

Comme je drague

Les excès de mon sang d'encre,

Et si mon stylo me faisait jeter l'encre !

De mon mal de mer 

Dans un vague à l'âme,

Serait-ce un drame ?

Ou serait-ce amplement un mélodrame

Sur lequel je rame ?

Dans ce slam à dix rames !

Avec dans le bouche à oreille !

T'as pas de l'oseille 

En rab ?

Pour appeler du téléphone arabe

Ta mer, d'où qu'elle naît en une bouteille

A la mer carte vermeille au soleil !

Qui ancre

Mon mal de mer dans un rouleau de vague

En un rouleau compresseur

Au bout du rouleau dépresseur,

Qui élague

Que dans l'essentiel,

Me manque de ma mère, l'aisselle

Ou le sel de celle,

Et si dans les parois livides

De ma vie rigide,

Se dilue en un sang d'encre

Ma peine diluvienne,

Dis lui-vienne et revienne !

Qu'elle revienne, survienne

Et prévienne !

Afin qu'elle drague ma drague 

De ses sains trempés,

Et si mon stylo me faisait jeter l'encre !

En temps qu'ancien cancre,

Qu'ancrent les abysses des mises en abîme

De ma vie, qui se décime et écime

Avec dans ce slam !

Tout le drame de mon mélodrame,

Qui trame que je rame

Depuis la nuit des temps que je clame,

Que ma mer me manque !

Et où elle se planque ? ! 

A part dans la calanque;

Où je tangue à vau l'eau

Au fond du ruisseau !

De ma vie qui naît un long fleuve tranquille

Sur la ville, dans la ville vile !

Où je m'ennuie,

Je péris, je dépéris et je décrépis

Malgré que j'habite à Vitry sur Seine !

Dont me débite à découvert cette même rengaine

De toute cette haine qui m'effrite !

Et dont chaque semaine, elle me délite

A bord d'un bateau, où je suis presque à l'abordage !

Sans réussir à tourner la page depuis n'importe quel âge,

Où avant le naufrage dans les profondeurs de la mer,

J'aimerais bien une dernière fois du fruit de mon imaginaire,

Rendre hommage à la Terre mer !

Et à la terre salutaire, avant de finir poussière

De mon sang d'encre, qu'ancre 

En moi l'ancien cancre,

Austère et délétère des ecchymoses de mon mal de mer,

Quand depuis mon vague à l'âme,

Je demande en cette faim de slam qui déclame !

Dans le vague !

Et si mon stylo sans ancre qu'ancre

Tout mon sang d'encre,

Me faisait rejeter cancre !

 

Jérôme de Mars

C'est du gâteau !

 

Quand les clients vont chez le boulanger,

Sans travailler obligatoirement pour Boulanger !

Même si ce n'est gratuit !

C'est tout de même du pain béni !

En prenant aussi des religieuses,

Qui sont très bonnes et délicieuses,

Dont c'est du gâteau !

A en déguster 

Et à en saliver

A chaque fois que les clients prennent un morceau !

Même si dans la vie, quand il y a des éclairs !

C'est pas du gâteau !

Et dont il vaut mieux que les clients achètent des éclairs,

Quand c'est du gâteau !

Dans cette boulangerie bipolaire

Et linéaire !

Avec à la fois des éclairs 

Et des éclairs !

Dans la vie,

Où il fait à la fois jour et nuit !

Car même si dans la vie il n'y a pas toujours de nuages

A l'horizon, certains clients en font tout un fromage !

Même si ce n'est du gâteau !

D'en prendre et d'en reprendre un grand morceau !

Et même si chez le boulanger,

Le mâle naît couvant !

Si jamais il y a des clients qui travaillent chez Boulanger !

Et bien ! Le mal est couvant !

Donc pour que les clients soient en paix ! 

Et en odeur de Sainteté !

Et afin que ça reste du pain béni !

D'aller chez le boulanger !

Et que ça ne soit plus du tout de manger son pain blanc maudit

De travailler chez Boulanger !

Pourvu que le tout-puissant,

Fasse le vœu que la meilleure bonne façon d'aller de l'avant

De façon pieuse 

Et songeuse,

Soit qu'on incite les clients d'acheter une religieuse,

En en reprenant un morceau

Avec une religieuse,

Pourvu que tout le temps, ce soit du gâteau !

 

Jérôme de Mars

 

Pour Françoise

 

Bonjour il y a le soleil !

Qui s'embourgeoise

Et émerveille

La vie de Françoise

Pour Françoise,

Qui sourit à la vie

En la faisant rire, à en composer

Une mélodie,

Avec dextérité et légèreté

Pour Françoise,

Qui mange des framboises

A chaque printemps avant l'été,

Qui rend les plaisirs de sa vie

Dans la volupté

Et la liesse,

Dont pour Françoise,

La vie est une kermesse !

Avec le soleil qui éveille

Et réveille

Françoise, en mangeant avec Françoise

Une bonne crème Liégeoise

Pour Françoise,

Qui a la gentillesse,

Incarnée de toute sa tendresse,

A en émouvoir son côté crème fouettée !

De par les luttes de sa vie dans sa vie,

Comme une beauté qui fleurit et se bonifie

A la bonté de Françoise,

Qui a la recette pour rire

A la vie, en en faisant un sourire

Pour Françoise,

Dont elle a le secret

Qui ravit et éblouit

Son allégresse

A Françoise !

Pour Françoise,

Qui rit et sourit

A chaque fois qu'on s'intéresse

A elle, avec toute la reconnaissance

Pour Françoise,

De tout ce qu'elle nous apporte

En connaissances de son intelligence,

En laissant ouverte sa porte !

Et donc de la sorte, faisons en sorte !

Que le soleil s'embourgeoise

Rien que pour Françoise.

 

Jérôme de Mars

Cerise et Charlotte

 

Il était une fois deux pâtissières qui se nommaient Cerise et Charlotte, elles étaient associées et gérantes d'une pâtisserie, jusqu'à présent, leur vie professionnelle ne fut du gâteau pour Cerise et Charlotte ! Tout pour la pomme de Charlotte ! Qui ramenait toujours sa fraise ! En reprochant à Cerise de ne point arrêter de prendre Charlotte pour sa poire ! Car Cerise n'arrêtait pas de s'asseoir sur ce que pensait et voulait Charlotte, surtout que Charlotte demeurait la charlotte aux pommes, la charlotte aux fraises et la charlotte aux poires de Cerise, mais comme Cerise était une crème fouettée à côté de ses défauts ! Et bien cerise sur le gâteau pour Cerise et Charlotte ! Leur collaboration fut en faim du gâteau dans leur pâtisserie ! Logée à Chantilly, dont ce ne fut plus tarte entre eux ! Mais bien deux crèmes fûtées et affûtées, si bien que leur pâtisserie devint une crème sans tarte à la crème à Cerise et à Charlotte !

 

Jérôme de Mars

 

 

Bing bang

 

Langue de bois,

Je bois avec ma langue

Qui tangue !

Quand je suis avec Tang !

Qui s'noie

Dans ma langue de bois

En un bing bang,

Qui joue avec un big band

Dans un big bang

Qui fait un bing bang !

En écrivant les mots d'hiver

Du fin fond d'l'univers,

Qui fait impartie d'un big band

Avec un big bang

En un bing bang,

Du fruit d'l'imaginaire

Des gens, dont leur langue

Les tangue

Dans une langue de bois !

Qui boit et dévoie

Des voix à la noix,

Qui vous voient

Et vous tuent toi,

Toi, qui fais partie d'ce big band !

Avec un big bang

En un bing bang,

Qui porte la croix

Exsangue, de la joie

Et du bonheur

Dans la bonne humeur

Aux temps bipolaires !

Avec comme très de caractères,

Des artistes qui font exsangue !

Et tout avec la langue

Et leur langue !

Alors que c'qui tangue,

C'est quand l'univers

Fait répartie d'un big band !

Avec un big bang

En un bing bang,

Qui fait d'un tonnerre !

Un tonnerre qui gronde

De colères qui décollent l'air

De rien, quand j'aime Bond, bonde !

Qui abonde dans un monde,

En formant une ronde

Dans une langue à la noix !

Qui s'noie, s'foudroie

S'déploie et s'tournoie

Dans une langue de bois !

Qui boit exsangue,

Un ver solidaire

Avec Tang,

Qui tangue

En vers l'art et la manière !

Enjouant avec un big band,

Qui fait du fin fond d'l'univers,

Un refrain de big bang,

Enfreint dans un bing bang.

 

Jérôme de Mars

Les maisons closes

 

Je vais vous raconter la chose

D'il était une fois la chose !

De ceux qui font la chose

Dans les maisons closes,

Qui causent et qui osent

Faire à la fois, une turlute

Et une culbute

Dans les maisons closes,

Qui voient naître porte close

Des familles écloses

Dans les maisons closes,

Grâce à une avalanche d'overdose !

Puisque tout le monde a eu largement sa dose

Dans une des six roses !

Avant l'andropause et la ménopause,

Car avant, mais nos pauses !

Il y en a qui prennent une pause,

La pose où ils se reposent

Dans les maisons closes,

Où certains font la chose !

Et d'autres racontent d'autres choses !

En parlant d'autre chose,

Tout en prenant leur pied pendant la chose,

Dont ils en font des poèmes pornos en prose

Avec dans les maisons closes,

Une osmose !

De ceux qui osent

Parler et faire la chose !

Dont certains d'entre eux ont des ecchymoses,

Tandis que d'autres ont des arthroses,

En faisant soit des feuilles de roses,

Ou des pétales de rose,

En disant ça sent la rose !

Dans les maisons closes,

Avec des ribambelles de familles écloses,

Car pendant la chose,

Il était une foi la chose !

Des hommes qui arrosent

Les femmes, avec leurs choses

Dans les maisons closes,

Qui osent parler de la chose !

En même temps qu'ils font la chose

Dans les maisons closes,

A deux ou dans un plan à trois qui arrosent

La chose, 

De ceux qui sont au courant de la chose

Et de quelque chose

Dans les maisons closes,

En parlant de la chose,

En train d'avoir quelque chose,

Et en faisant la chose

Dans les maisons closes,

D'où vient poindre le bout de son nez, quelque chose 

De quelque chose en quelques choses !

Qui causent

A la chose

Dans les maisons closes,

Ce p'tit bout de quelque chose !

Avec en porte close

Dans les maisons closes,

La porte éclose

De plusieurs portées de belles choses écloses

Dans les maisons closes,

Dont il était une fois la chose !

En ayant la foi de quelque chose !

Et en ayant le foie de quelque chose

Dans les maisons plus que closes,

Car putain ! Voici en rose, les maisons écloses.

 

Jérôme de Mars

Un dur à cuivre

 

Cuir épais dans le mot,

Comme une épée dans l'eau !

V'là un dur à cuivre,

Qui tape sur les timbales

Du bal

De fin d'année,

Un cadeau qui emballe

Et qui enivre

Les percussions

En répercussions,

Qui démènent tambour battant

Le temps qui fout le camp !

En pianotant sur un orgue qui ne tarit

De son orgue de Barbarie !

Qui livre et délivre

Un dur à cuivre,

A en cuire son piano

Dans un bordel de tempo,

Qui tape sur les timbales

Qui trimbalent le bal,

Qui déballe ivre

Des bouteilles, desquelles s'enivre

Un dur à cuivre,

Qui tape sur les tambours,

Des morceaux en solos

Ou en duos,

Qui font de ce slam

Quelque chose de Paname

Avec des calembours,

Qui roulent des faux bourgs

Aux faubourgs

Du Paris Paname,

Qui trame ce slam qui enivre

Un dur à cuivre,

Pour vivre de ses vivres

Et revivre à en revivre

Des jours passant d'à rebours

En un compte à rebours,

Qui livre et délivre

Un poète maudit qui s'enivre

Sur des tambours

En roulement de tambours,

Menés et emmenés tambour battant

Face à la fuite du temps,

Qui tape sur les timbales

Tout ce carnaval qui déballe

Cette fin de bal,

Qui remballe et trimbale !

Pourvu que puisse vivre et revivre

De ses vivres,

Ce très rock dur à cuivre.

 

Jérôme de Mars

A la carte !

 

A la carte, voici un homme naze, las de cœur à la carte qui envoie des piques à la dame de cœur, l'éventuelle élue de son cœur à la carte, dont le fait que par cœur, la dame repousse les avances de cet homme naze, las de cœur éconduit à la carte de désarroi de rancœur, se dit qu'il doit se tenir à carreaux s'il veut que grâce un trèfle à quatre feuilles, ça lui porte chance pour qu'à la carte, cet homme naze, las de cœur puisse séduire la dame de cœur qui valait beaucoup mieux que cet homme naze, las de cœur à la carte qui avait de la rancœur dans un cœur de pierre à la carte, alors que la dame de cœur a le cœur sur la main à la carte et si cet homme naze, las de cœur veut arriver à charmer la dame de cœur, il faut qu'il puisse lui chanter en cœur et à la carte épique qu'il valait beaucoup mieux qu'un désarroi de rancœur à la carte, et pour avoir toutes les cartes en mains, il amena son trèfle à quatre feuilles pour lui chanter en cœur avec son cœur, avec tout son cœur et avec le cœur par cœur qu'il aime la dame de cœur de tout son cœur, et la dame de cœur finit par comprendre que ce homme naze, las de cœur à la carte malgré toute sa rancœur, avait un peu de cœur à la carte, si bien que lorsque cet homme naze, las de cœur lui fit la cour, et bien au lieu de lui envoyer des piques las de cœur de rancœur, lui slama des paroles épiques de cœur par cœur, en lui montrant les carreaux propres lui prouvant qu'il se tint à carreaux de son cœur à la carte, qu'il réussit finement, fatalement et finalement à faire en sorte qu'à la carte, cette dame de cœur s'enticha et s'éprit par résignation de cet homme naze, las de cœur, et dont grâce aux effets de l'amour, cela mit du baume au cœur à cet homme naze, las de cœur et cela lui permit à cet homme naze, las de cœur de se transformer et de se métamorphoser d'un homme naze, las de cœur en un homme as, l'as de cœur à la place d'un homme naze et l'as de rancœur, car après les piques de rancœur, v'là l'épique de cœur de cet homme as, l'as de cœur à la carte avec le cœur, avec tout son cœur et qui chante par cœur et en cœur à la carte de bourreau des cœurs, tout son cœur à la carte et pique en une père d'as dans un trèfle à quatre feuilles, et qui montre que malgré qu'il se teint à carreaux, que cet homme as, l'as de cœur fit tout cela très à la carte !

 

Jérôme de Mars

 

Histoire à dormir debout !

 

Je vais vous raconter une histoire à dormir debout ! Celle d'un homme reclus et vivant seul dans une garçonnière, qui n'a rien pour dormir allonger la nuit et pour être assis la journée, car même s'il boit plusieurs cafés allongés par jour, il a une vie à dormir debout, dont ah ! Si ! La journée ! C'est une histoire à dormir debout ! Comme ce célibataire endurci n'a pas de lit pour dormir allonger la nuit ou pour être assis la journée, parce-qu'ah ! Si ! Il boit des cafés allongés la nuit avec  aucune femme, puisque cet homme a une histoire à dormir debout ! Car point assis la journée, mais ah ! Si ! La journée ! et pas allongé la nuit, mais en buvant la nuit un café allongé, en parlant au téléphone à Longet à son psychiatre, car ah ! Si ! Ce que je vous raconte, c'est une histoire à dormir debout ! Même si cet homme qui vit seul dans une garçonnière, n'a rien pour s'allonger la nuit et n'a rien pour être assis la journée, à part qu'il ne peut que parler qu'à Longet à son psychiatre, en buvant un café allongé la nuit, car ah ! Si ! La journée ! C'est une histoire incroyable à dormir debout !

 

Jérôme de Mars

 

GEM les brèves du GEM de Vitry

 

Voici une nouvelle collection de petites brèves sur le GEM de Vitry :

 

1) Quand le samedi 28 mai 2022 pour le repas de midi au GEM de Vitry, on a fait un barbecue électrique et que le barbecue électrique a pris feu, si jamais ça avait explosé, on aurait été grillés à vie pour tout le monde par tout le monde !

 

2) Il faudrait passer un savon à Mohamed afin qu'il ne vide plus les tubes à savons au GEM de Vitry !

 

3) Ce qui est bien pour le repas bimensuel du samedi midi au GEM de Vitry, c'est que si jamais je ne suis pas dans mon assiette et bien après le repas, je peux me défouler en faisant la vaisselle !

 

4) Ce qui est bien au GEM de Vitry, c'est que malgré que tout le monde soit désenchanté, et bien, Gerald peut nous enchanter et nous réenchanter dans la vie grâce à son atelier musique !

 

5) Grâce à Philippe B, y a pas le feu au lac comme Philippe B est responsable des extincteurs au GEM de Vitry !

 

6) Ce qui est bien avec Walid, c'est comme maintenant au GEM de Vitry, il a pris du galon, et bien question salaires, il n'a plus besoin de l'allocation de la Caf comme il a en prime d'activité, la prime Macron !

 

7) C'est bien quand Philippe L fait de l'origami, car c'est toujours entrecoupé de jolies formes !

 

8) Quand lors d'une journée au mois de juillet prochain, le GEM de Vitry ira faire un pique-nique au Parc des Lilas, il serait préférable que le groupe d'adhérents puisse à la fois déguster, se désaltérer et papoter, ce qui fera qu'il y aura à manger et à boire dans les discussions !

 

9) Lors de chaque CVS mensuel au GEM de Vitry, ce qui est vachement bien, c'est que les adhérents ont du répondant face aux questions posées !

 

10) Même qu'on naît presque en été, ce qui est rassurant pour l'automne prochain au GEM de Vitry est qu'en cas où le Covid rebondirait, et qu'on ne puisse pas faire de sorties, et bien c'est qu'on pourra ramasser les feuilles mortes au GEM de Vitry pour écrire ou dessiner !

 

11) Quand on prend un café au GEM de Vitry et qu'on met du sucre en poudre dans le café, c'est très agréable de ne pas pourvoir casser du sucre sur le dos des gens dans le café !

 

12) Quand au GEM de Vitry, c'est le ménage de printemps et qu'un adhérent passe un coup de serpillière dans les locaux, et bien, l'adhérent dit du balai pour pouvoir nettoyer tranquillement !

 

13) Quand est-ce-qu'au GEM de Vitry, y aura-t-il un nouveau loto pour voir le sacré numéro qui sortira du lot ?

 

14) Pour tenir et faire les comptes au GEM de Vitry, doit-on compter sur Jérôme ou Rafaël pour confirmer que le compte est bon ?

 

15) Guillaume untel joue pour sa pomme aux fléchettes !

 

16) Au GEM de Vitry, quel est le mobile pour pouvoir appeler sur le fixe ?

 

17) Ce qui est bien avec l'atelier philo, c'est qu'il y a toujours des arrière-pensées !

 

Jérôme de Mars

Si je me servais d'une gomme pour remplacer la pluie par le soleil !

 

Temps de la grenouille,

Qui barbouille et trifouille

Le ciel de par une ombrelle !

En ses doigts d'éventail 

En jouant à la courte paille,

Qui chancelle la vie solennelle,

Et pour pérenniser le ciel,

Si je me servais d'une gomme pour remplacer la pluie par le soleil !

Peut-être que souvent, il pleuvrait des ritournelles

A la place de la mélancolie torrentielle,

Avec pour passerelle, de l'amour en roulement de tambours,

En oubliant les jours qui sont tristes, comme dans un concours

De qui est le plus heureux ou le plus terne,

Alors que pour éradiquer la peine des gens, il suffit d'allumer les lanternes

En réveillant le ciel, en demandant officiel et formel,

Si je me servais d'une gomme pour remplacer la pluie par le soleil !

Le soleil nous ferait-il davantage sourire et rire grâce à son embellie,

Alors que la pluie engendre du dépit, endolori par le temps qui passe soumis

Aux aléas de la vie inéluctables et inexorables,

Et face aux instants virtuels, où tout naît que provisoire avec le temps exécrable !

S'il suffisait de passer de la pommade

Afin que la vie ne soit maussade, dans une simple ballade,

Le ciel permettrait-il dans une sérénade de raconter des salades

Qui égrènent la vie en deux possibles accolades,

Et pour voyager parmi le monde et ses sept merveilles,

Si je me servais de bulles de gomme pour remplacer la pluie par le soleil pluriel !

 

Jérôme de Mars

Art sainement solaire

 

Affaires périscolaires,

Y a de la matière !

Dans le harcèlement scolaire

De cette époque linéaire

Aux effets bipolaires,

Et pour que le harcèlement scolaire

Soit éphémère,

Autant en faire un art sainement solaire !

Brandi dans le ciel insulaire,

En peignant une toile en un reflet contestataire,

Protestataire et libertaire,

Où la vie, c'est souvent une course en solitaire !

Dont avec des amis, c'est of course solidaire !

En un art sainement solaire,

Avec les êtres qui sont bipolaires !

Dans cette époque crépusculaire,

Délétère et austère, où il ne faut se taire !

Mais parler de façon volontaire sur Terre,

Afin de convertir subtilement un harcèlement scolaire

En un art sainement solaire.

 

Jérôme de Mars

 

Un filet à L'Anglaise

 

Sur place, c'est le jubilé de La Reine !

Pour les 70 ans de son règne

Dans un filet à L'Anglaise,

Qui s'imprègne et ne dédaigne

De manger un rosbif,

Avec dans le pif

Un défilé balèze,

Qui valorise 

Et revalorise

La Reine qui se pérennise,

A la manière d'un filet à L'Anglaise,

Qui la favorise

De Buckingham Palace

Sur place qui ressasse

Le château des Windsor, 

Avec en plein essor

Un filet à L'Anglaise,

Qui se mange avec un rosbif

Et qui renifle son pif

Sur sa Terre glaise 

Cuite et recuite,

Comme lors des cuites

De sa famille royale,

En faisant référence aux déboires

Des Windsor de façon loyale, 

Qui résument en un abreuvoir,

Un filet à L'Anglaise

A en donner envie aux Françaises,

De participer à ce défilé balèze ,

Et dont sans charentaises,

Pourvu que tout le monde se taise !

Avant que La Reine se meure en terre glaise,

Dont voilà la différence !

Au sujet d'Elisabeth II 

Pour ses 70 ans de règne,

Qui imprègnent et ne dédaignent

En vers elle, toute sa révérence,

Avant qu'elle ne tire sa révérence

Dans une vive audience !

Car avant que son âme se taise !

En filant à L'Anglaise

Dans la terre glaise,

Vivement l'instant présent de ce défilé balèze, 

Incarné en un défilé à L'Anglaise.

 

Jérôme de Mars

Pécheur de vers

 

D'hier à aujourd'hui, j'ai un droit à l'oubli !

Comme hier, j'étais seul avec ma famille,

Alors qu'aujourd'hui, j'ai des amis !

En plus de ma famille,

Avec en galante compagnie,

Une fratrie en totale harmonie

Dans une adéquate alchimie,

Parfois dans une pèche d'enfer à cause d'hier,

Et tantôt une pêche qu'on me met en hiver,

Sitôt que je pèche à l'envers !

En allant pas à pas vers les vers,

Tel un pécheur de vers,

Qui ne fait qu'un je de cette erreur

Du fruit de son aigreur,

Avec en des pèches

Une pèche de revers,

Tel un pécheur de vers, 

Qui pêche soit un poisson d'avril,

Ou sursoit qui pèche un poison d'avril sur le fil !

Tel un pécheur de vers,

Avec l'art et la manière

D'un poète maudit

Vers sa poésie envers,

Et en vers son amertume

Du poids de son enclume,

Dont je n'aspire qu'à fumer

Le calumet de la paix !

En pêcheur de vers,

Après avoir tant demeuré

Un pécheur de vers

Pas à pas vers mon infortune,

Alors qu'il suffit d'être sur la lune,

Moi, Jérôme de Mars, un poète esthète

Qui rêve lunaire, de la voix lactée et de ses comètes !

Pourvu que j'aille pas à pas d'un pécheur de vers !

Avec après un ver solitaire sans éclat,

Un ver solidaire avec éclats !

Afin que je comète dans la joie

Une des pêches !

Sans pèche d'enfer !

Mais en ayant une pêche d'enfer !

Sans revers revêches,

Et pas appât !

Vers les vers salutaires

De mes poèmes titulaires,

En tant que pêcheur de vers.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

 

 

 

 

Ah ! Chiche ! C'est le mois de joints !

 

Après Mai

Où tu as fait ce qu'il te plaît !

Voici Juin, le mois de Juin !

Où tu peux aller loin !

Car ah ! Chiche ! C'est le mois de joints !

En joints, en juin pour enfumer des joints,

De haschisch, de cannabis, de bédo

Et de shit au nirvana 

De l'eldorado,

En écoutant le groupe Nirvana,

Et en fumant la havane

A La Havane !

En cas de coûts bas !

Dont avec éclats !

Ah ! Chiche ! C'est le mois de joints !

Rejoints en juin

Par le haschisch, le shit, le cannabis et le bédo,

En inhalant dans l'eldorado,

Les joints, ci-joints, si joints, six joints, en joints,

Rejoints et enjoints en juin !

Comme en juin enclin, tu vas très loin !

Puisque ah ! Chiche ! Shit ! C'est le mois deux joints !

 

Jérôme de Mars

 

CMP de Vitry sur Seine :  Collection de maux psychiatriques de Vitry sur Seine

 

 

Différentes saynètes entre le patient Jérôme Bedrossian et les divers soignants au CMP de Vitry sur Seine :

 

1) Saynète entre Jean-Yves L, infirmier au CMP de Vitry sur Seine et Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Bonjour Jean-Yves, comment allez-vous ? "

 

Jean-Yves L, infirmier au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Bien Jérôme ! Mais qu'attendez-vous de moi ? "

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Rien Jean-Yves ! Comme je suis impatient, j'attends après vous en vous attendant, car en attendant,  je suis long à la détente ! "

 

2) Saynète entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine et Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Bonjour Monsieur Bedrossian, comment allez-vous ?  "

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Bien madame Teillet et vous ?  Pourquoi il y a un an et demi en novembre 2020, m'aviez-vous dit que j'avais un poil dans la main ?  "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Parce-que vous êtes toujours sur le fil du rasoir avec une vie qui est rasoir, alors que si vous en n'aviez rien à raser, du coup, vous raseriez les murs et ainsi, vous auriez une vie pile-poil sur le fil dérisoire ! "

 

3) Saynète entre Madame Aurélia K, psychomotricienne au CMP de Vitry sur

Seine et Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Aurélia K, psychomotricienne au CMP de Vitry sur Seine :

- " Bonjour Jérôme, ça va ?  "

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Ca va à part que je prends tout pour argent comptant tout ce que vous me dites ! Ce qui fait que je suis long à la détente !  "

 

Aurélia K, psychomotricienne au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Comme vous prenez pour argent comptant tout ce que je vous dis et que vous êtes long à la détente, le temps que vous vous détendiez sur le lit, voulez-vous que je mette le lit en portefeuille ?  "

 

4) Autre saynète entre Jean-Yves L, infirmier au CMP de Vitry sur Seine et Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Jean-Yves L, infirmier au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Jérôme pour votre prochain rendez-vous avec moi, notez-bien avec votre stylo à la ligne que vous aurez rendez-vous avec moi au CMP le vendredi 17 juin 2022 à 11h, et n'oubliez pas qu'en gros, je vais peser tout votre fardeau en kilos, ce qui fait que je vais peser mes mots en vous pesant sur la balance ! "

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Vous, vous pesez vos mots alors que moi, je pèse mes maux, ce qui est le poids de mon fardeau comme vous, vous vous en balancez de mon fardeau en prenant tout à la légère ! "

 

5)  Autre saynète entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine et Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Monsieur Bedrossian si vous n'avez rien à cacher, pourquoi ne me parlez-vous pas de vos autres difficultés psychiatriques ? "

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Parce-que madame Teillet, c'et bien connu que depuis l'an 40, le CMP de Vitry sur Seine a décrété comme loi d'ordonnances, les médicaments à tout prix au détriment de la parole en tant que camisole chimique, voilà pourquoi je ne fais que me cachet derrière mes médicaments ! "

 

6)  Autre saynète avec Aurélia K, psychomotricienne au CMP de Vitry sur Seine et Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Aurélia K, psychomotricienne au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Jérôme, pourquoi n'achetez-vous plus et ne lisez-vous plus le journal : " Le Parisien " ? "

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Tout simplement que maintenant, je préfère l'écraser avec mes comprimés pour me comprimer que de lire la rubrique des chiens écrasés dans le journal " Le Parisien " surtout à cause de toutes les gamelles que j'ai prises dans ma chienne de vie depuis que je suis né inné ! "

 

7) Autre saynète entre Jean-Yves L, infirmier au CMP de Vitry sur Seine et Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Jean-Yves, infirmier au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Jérôme, Comment faites-vous pour ne jamais oublier de prendre vos médicaments ?  " 

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  C'est simple Jean-Yves, je n'oublie jamais de prendre mes médicaments chaque jour pour bien me faire avaler la pilule que j'aurai des médicaments à vie vu que mon état psychiatrique est grave et alarmant !  "

 

8) Autre saynète entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine et Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Madame Teillet, pourquoi pensez-vous que j'ai un poil dans la main ? "

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Tout simplement parce-que vous vous dorez la pilule en ne vous reposant que sur les médicaments sans chercher à vous remettre en question !  "

 

9)  Autre saynète entre Jean-Yves L, infirmier au CMP de Vitry sur Seine et Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Jean-Yves si un jour, je suis à la rue, pensez-vous que l'hôpital Paul Guiraud m'hébergera et pourquoi êtes-vous réservé à chaque fois que je vous pose cette question ? "  

 

Jean-Yves L, infirmier au CMP de Vitry sur Seine :

-  " Jérôme, vous en rajoutez tout le temps dans l'outrance, si vous voulez être logés à la même en saigne que les autres, permettez-moi de vous dire que je suis réservé de répondre à votre question, car vous Jérôme avec votre question, c'est l'hôpital Paul Guiraud qui se fout de la charité, déjà que l'hôpital Paul Guiraud n'est pas un hôtel où l'on peut réserver sa place à la carte pour y être logé à la même enseigne que quiconque ! "

 

10)  Dernière saynète entre Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine et Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

 

Madame Teillet, psychiatre au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  Monsieur Bedrossian, j'ai une devinette à vous faire découvrir, admettons que vous êtes hospitalisés à Paul Guiraud dans mon service :

Quelle est la différence entre moi qui vous donne l'ordre de prendre votre piqûre face à vos pulsions, et Jean-Yves qui vous fait une piqûre pour remettre de l'ordre dans votre vie ?  "

 

Jérôme B, un patient au CMP de Vitry sur Seine :

-  "  La réponse est que vous me donnez une injonction que Jean-Yves applique en me faisant une injection ! Je pense que vous m'avez fait cette blague en piqûre de rappel avec toutes les piques que vous m'envoyez ! "

 

 

Jérôme de Mars