L'oiseau aux ailes brisées qui me nourrit de vers de poèmes
Mauvaise graine de génie
En herbe !
Que mon grain de folie
Met en verve acerbe
Dans mes poèmes aux différents thèmes!
L'oiseau aux ailes brisées
Que je suis!
Me nourrit
De vers de poèmes!
Avant que les vers me mangent
Avec les chrysanthèmes
Dans une grange qui me démange
Une fois mort post-mortem,
Où je quitterai ce monde
Sans aucun regrets que j'inonde
De ma langue bien pendue;
Moi issu du fruit défendu;
Fendu dans une armure
Suspendue à ma parure,
Si elle s'écroule face au je
Des quatre vérités moyen-âge je
Et ténébreux,
Dont l'oiseau aux ailes brisées
Qui me nourrit de vers de poèmes;
Me donne sur cette Terre un emphysème
Dont je respire la rancœur
Dans de la liqueur;
Qui m'les brise désabusé !
Avant que mes vers de poète maudit;
Me mangent tout cru une fois mort
Et décomposé mis en abîme au fort,
Dont ce sera mon fort ce folklore,
Où j'attends la mort moribond !
Sans lui faire faux bond furibond,
Mais bien déterminé
Et décidé
A rejoindre le ciel sous une pléthore
D'un trésor bien garni,
Où j'aurai le droit feint à l'oubli,
Comme un squelette désintégré;
Tel l'oiseau aux ailes brisées
Qui me nourrit de vers de poèmes,
Avant de finir en miettes
En tombant dans les oubliettes
D'un monde que je sème
De toute ma haine;
En ne volant point haut !
Mais dont quand je serai mort;
Mon âme maudite volera vers l'eldorado
D'un monde plus beau et moins en tort !
Avec pour mentor mes vers de poèmes;
Que je distribue par p'tites graines !
Pour préparer ma future tombe,
Où tout cela m'incombe
A chaque fin de semaine !
Dont ça y est l'oiseau maudit
Que je suis
A fini de picorer
De ses ailes brisées,
Ces vers de poèmes;
Qui nourrissent mon affront blême
Avec pour blasphème !
Un requiem à l'oiseau aux ailes brisées
Qui me nourrit de vers de poèmes
Jusqu'à la tombe post-mortem.
Jérôme de Mars
Les chenilles qui dans un effet papillon font un ballet dans le ciel
Nettoyer chaque saison à l'aide d'un arc en ciel
Permet d'incanter une pléthore de nouvelles trouvailles;
Qui engendrent une formidable passerelle;
Etendard à l'échelle standard tout ça pour un bail !
Au milieu audacieux d'un songe qui épouse Ménestrel !
Les chenilles qui dans un effet papillon font un ballet dans le ciel;
A déballer leur paquets cadeaux dans un mariage
Entre les nuages et leurs ramages; tels des rois mages
Que leur image chenille dans un effet papillon;
A leur faire retrouver l'oraison dans une illumination;
Telles les chenilles qui dans un effet papillon font un ballet dans le ciel
Au sens universel qui scelle
Les retrouvailles du ciel, de l'arc en ciel et du gratte ciel;
Qui refont avec démesure le commun des immortels !
En décochant une flèche en plein dans le mille;
Qui fourmille de chenilles qui chenillent
En une pléiade de papillons dans une olympiade;
A l'effigie d'une ode qui se prélasse en roucoulades !
Pendant que le balai dans le ciel ramasse à la pelle
Les chenilles qui dans un effet papillon finissent de déballer virtuel;
Un ballet dans le ciel....
Jérôme de Mars
Verlan vers
ed srev na'l srev ne stnel srev sed sircé'j srev nalrev srevne'l à ednom ec eD
xua uaesio'd emulp am ed ercne'l ettej iuq emulp am ed semir à iuq semèoP
rsevne'l à enruot iuq ednom ec srev srevne'l srev tnehcram iuq seésirb seliA
lavehc à sèrt tnaté ne eniova'l ed tnaegnam ne srevlover xuey sel ia'j tnod tE
snas srev ne srev ne'l srev seriadilos srev tnel srev ud tnavircé ne snoçra seD .srev nalrev ne ednom nu tnasrev ne eriatilos snas srev srev na'l srev tnasrev eL
Jérôme de Mars
Blague :
Que répondent un moniteur et un agent de production de L'ESAT La Fabrique à la direction de cet ESAT qui leur demande de participer au marathon de la Fondation des Amis de L'Atelier étant donné que le moniteur et l'agent refusent d'y participer ?
- Le moniteur et l'agent de production répondent à la direction de L'ESAT La Fabrique : " Vous pouvez toujours courir ! "
Jérôme de Mars
Cheval de Marne
Très à cheval;
Un cheval dévale !
Et trot c'est trot !
Si chassez le naturel;
Il revient au galop !
Et que le cheval de Marne
Dans le Val de Marne;
A des coups de pur-sang !
En regardant ses jumelles,
Dont sa femelle
Est la jument !
En caressant la crinière
D'un cheval de Marne;
Trop en colère !
En prenant un grand bol d'air
Dans le Val de Marne,
Dont le cheval avec équité;
Clame en tant qu'équidé !
Arrêtez votre manège !
En me faisant faire
Un sacrilège !
Même si l'amour est dans le pré
Au plus pré d'un cheval de Marne;
Dans le Val de Marne
En dormant dans une écurie;
Qui engrange
En grange,
Le cheval de Marne;
Qui est sur la paille
Du Val de Marne;
Dans le pur hein
En mettant le pied à l'étrier !
A tout cet arsenal;
Qui resplendit d'un bon teint
Avec dans le détail;
Une botte de paille;
En faisant faire
Un tour de manège;
Très à cheval
Au cheval de Marne
Dans le Val de Marne,
Afin qu'il dévale
La marotte;
Qui lui met la carotte
Ou le bâton qui lui trotte
Dans la tête sans cravache,
Dont le cheval de Marne
Dans le Val de Marne;
Attache en point d'attache
La tâche
De travail
A exécuter,
Malgré que ce cheval
Est sur la paille,
Mais dont en étant très à cheval !
Sans en faire trot;
Chassez le naturel;
Il revient au galop !
Dont l'essentiel
Est que dans le Val de Marne;
Dévale
Très à cheval;
Le cheval de Marne;
En s'remettant en selle.
Jérôme de Mars
La joie de vivre
Chemin de Compostelle;
Il existe la joie de vivre
D'untel à untel;
En vivant villageois
Dans un petit bourg bourgeois;
En mangeant des Liégeois
Pour vivre,
Pourvu que le monde s'enivre
En s'appelant Du pont la joie;
En traversant le pont de L'Alma
Et d'autres ponts la joie,
Si bien que maintenant; la vie est un long fleuve tranquille !
En offrant une pincée de jonquilles
Dans un chemin de Compostelle;
A bord d'une croisière en parallèle
De toutes les générations qui enivrent
Ce monde complexe dans la joie de vivre;
Ivre sur le bateau ivre d'Arthur Rimbaud
Rabat-joie;
Qui emmène tout le monde ivre
Vers le chaos,
Mais dont il faut rectifier la barre
En mangeant des Carambars
Dans la joie de vivre,
Pourvu que les villageois
Et les bourgeois
En mangeant des Liégeois;
Se réconcilient avec la ville
Et en ville sans bisbilles;
Dans un chemin de Compostelle
D'untel à untel,
Car tel est ce monde si complexe qui s'enivre;
Très ivre
A travers la joie de vivre.
Jérôme de Mars
Y a pas de nuages à l'horizon dès que surgit le soleil !
Cap Canaveral lors de la nuit des étoiles;
Décrochée de leur peinture,
La nature remplace le ciel qui s'voile
Par un beau ciel bleu azur,
Où le ciel luit plus du côté de la lumière
Au clair du jour;
De loin assez linéaire
Que la nuit éphémère
Qui semble très insurrectionnelle,
Dont l'objectif retour
Persiste à calmer les lueurs;
Et les ardeurs
Du temps qui passe
En surface à la surface
De La Terre,
Où y a pas de nuages à l'horizon
Dès que surgit le soleil !
Avec sur le balcon
Une splendide vue sur la mer;
Regorgeant de ritournelles
Qui ont d'affluence le même rituel;
En s'frottant par ricochets au fil de l'eau,
Comme des sanglots qui ruissellent
En y allant franco !
D'où jadis ! Les oiseaux troubadours
Valurent le détour
Aux âmes nomades et écorchées vives !
Embuées dans leur gaieté émotive !
Grâce au soleil
Et à la nuit en froid avec l'hiver !
Duquel erre l'ombrelle
Des anciens démons de Minuit,
Où y a pas de nuages à l'horizon
Dès que surgit le soleil !
En arborant de couleurs
Le ciel en son bleu à l'âme qui fait fureur !
Et qui signifie que c'est l'heure
De l'accostage
Sur le bord de mer !
Avec après l'hiver
Dans le ciel !
Un jardin d'amour planétaire
En un point d'ancrage
Sur le balcon
Avec vue sur la mer,
Où par une ribambelle
De maux fleuris
Et tapis
Sur le sol conquis
De son cœur de chimère;
Jaillissent ragaillardies
Et hardies
Des mélodies sans bémol;
Ayant la parole
Du soleil de la vie !
En parfaite alchimie
Avec la carte vermeille
De la nuit !
Où ainsi vers l'infini !
Et pour la vie !
Y a plus aucun nuage à l'horizon !
Dès que surgissent les merveilles
Du soleil !
Jérôme de Mars
Tarte aux dédains
Et ho ! Ma vie ce n'est du gâteau !
Si bien que ça tourne souvent au chaos !
Dont je suis complètement tarte aux dédains !
En mangeant une tarte aux daims,
Dont depuis que je suis né;
Je n'ai fait que déguster
Une tarte aux dédains;
Moi, très tarte aux des daims !
Oh ! Que ma vie dérive
A l'ennui sur le qui-vive,
Dont c'est certain
Que durant mon enfance !
Soi-disant de mon innocence !
Que mon père
Ou ma mère;
Ont du me foutre des tartes aux dédains;
Moi; complètement tarte aux des daims !
Genre une tarte à la crème aux daims !
Vu que ma vie; c'est pas de la tarte aux daims !
Si jadis, je fus une crème de tarte ayant le béguin
Pour un festin de roi !
Après avoir tant morflé dans le destin
De mon désarroi;
Renforcé dans sa paroi,
Où moi; complètement tarte aux dédains !
Pourvu qu'à présent; ma vie soit du gâteau !
En allant vers l'eldorado,
Où dorénavant ma vie; ce sera de la tarte aux daims !
Jérôme de Mars
Le tonnerre qui gronde la pluie ne fait pas pleurer le soleil !
Temps solennel dans un regard croissant sur la lune !
Le ciel a des lacunes loin de sa lagune;
Qui mérite d'y voir plus clair
Avant le tonnerre;
Duquel en étant dans la lumière
Malgré les et clairs !
Le tonnerre qui gronde la pluie ne fait pas pleurer le soleil !
Sinon se morfondre au coin du feu à brûler les intempéries
Par les deux bouts de la chandelle !
Et tant pis s'il y a la pluie !
Et qu'il fasse gris !
Avec on l'espère !
Au bout du tunnel;
L'espoir exponentiel
Qu'il y ait une accalmie !
Afin que le tonnerre qui gronde la pluie ne fasse pas pleurer le soleil !
Malgré que la pluie volage trompe le tonnerre;
Volontaire avec le soleil en récupérant sa sérénité prospère !
Pourvu que le tonnerre se remette en question !
Avec au bout de l'équation; une solution
A chaque problème de la vie qui paraît presque un brin d'aquarelle
Au ciel !
Quand sur Terre; tout tombe à l'eau ! Et dont pour embellie;
Ainsi, il y a un ciel clair sur Terre !
Avec en récompense une crémaillère;
Logée à la même enseigne essentielle !
En pleuvant des cordes
D'arc en ciel !
Et dont enfin ciel !
Sur place, tout concorde !
Car et griserie ! Tonnerre ! Il n'y a le tonnerre qui gronde la pluie
Et qui fait pleurer le soleil !
Jérôme de Mars
L'orage qui a un coup de foudre pour le soleil
Intempéries sous une pluie de crécelle;
De la vermeille qui envenime les merveilles;
De l'autre côté de L'Equateur !
Avec un sécateur pour élaguer le secteur;
Vecteur de liens multidimensionnels
Et sensoriels;
Qui suggère un espace générationnel
De l'orage qui a un coup de foudre pour le soleil;
Qui prend la foudre d'escampette
Dans le ciel parmi les comètes;
D'il est essentiel que l'embellie diluvienne
Contamine la pluie chaque semaine !
Où le vent a vent !
A le vent en poupe rêvant !
Et chasse la pluie séquentielle !
De l'orage qui a un coup de foudre pour le soleil !
D'il a des remords le soleil avec pour sémantique !
Sa langue bien pendue qui tourne sept fois
Sa langue dans sa bouche; en étant en froid
Avec la pluie tropique et exotique;
Raccord et affriolant en aimant d'apparences
Le ciel avec insistance dans sa sombre véhémence;
Engendrant un discours, dont c'est du vent corporel !
Dès l'orage qui prend la poudre d'escampette;
Direction le ciel en route vers les comètes,
Si bien que l'orage ressent en coup de sirocco;
Un agréable cocorico, dont bravo
L'orage pour son amour coup de foudre vis-à-vis du soleil.
Jérôme de Mars
Fausse sceptique
Dans son cabinet de travail;
Une personne du sérail
Fait avant d'aller travailler
Sa toilette; en se pomponnant
Et en s'embaumant
Avec du déodorant,
Ronronnant dans un éventail,
Dont pour elle; c'est un détail !
D'avoir des balais
Dans l'âge de ses artères,
Dont elle se désaltère;
En travaillant dans son cabinet;
En faisant sa toilette
Avec des lingettes !
Dans une fosse septique
Elle; la fausse sceptique;
Avec en antiseptique
Des infections récurées
A s'en délaver les mains
Dans le pur hein;
A cause d'affections endurées,
Et dont pour s'en laver
Les mains;
Elle nettoie son popotin
Dans son cabinet watter;
En écoutant la fosse septique
Déblatérer ses vieilles paroles
De fausse sceptique
Avec en antiseptique;
Un nom catégorique
Dans la geôle;
Renfermée dans son cabinet
Toilettes; dans sa cabine d'essai
En période d'essai,
Dont elle noie ses nausées
Dans le travail, dont elle a du mal
A digérer ses douleurs anales
Dans la fosse septique;
Elle; la fausse sceptique
A aller aux toilettes;
Faire ses emplettes
Sur la cuvette;
Avec un antiseptique
En prenant pour optique;
Des choses qui paraissent
Evidentes, alors que c'est de la paresse
Pour qu'apparaisse dans son cabinet toilettes;
Son travail dans son cabinet avec une serviette;
A y vider son lac trop lourd, et dont en antiseptique;
Autant tirer la chasse de la fosse septique !
Car qui va à la chasse;
Perd sa place !
Qui se défausse septique !
En naît tant une fausse sceptique.
Jérôme de Mars
En regardant le ciel
Après la nuit à rêver d'une embellie
Dans la vie;
Il y a certains matins aux aurores
Une fois la nuit qui dort !
A s'imaginer devant un feu
De quand !
A brûler la vie par les deux bouts de la chandelle !
En regardant le ciel;
A s'faire vieux avant l'âge en un inventaire de sa vie
Pourquoi lui !
Et pourquoi sa vie ne reluit !
Feu la nostalgie !
Des aïeux était-ce si mieux
Que ça avant ?
En regardant le ciel !
En même temps
Que de tenir la chandelle;
En rêvant d'amours inconditionnels
Au conditionnel présent;
Ou au conditionnel plus qu'imparfait
D'une liberté inconditionnelle !
De ce monde défait
Qui n'a plus lieu
D'être comme avant !
Mais maintenant
En vivant l'instant présent !
En regardant le ciel;
A composer la bande originale
De sa vie
Avec laquelle;
Chacun et chacune doit composer
Face à l'immédiateté
Que la vie impose de péripéties
Et d'hérésie !
Avec les gens qui n'ont le moral !
Même en regardant le ciel;
A attendre la ritournelle
Qui leur rappelle
L'époque pas si lointaine,
Où il et elle;
Fricotaient la nuit
Dans un hôtel !
A s'vider les poches pleines
Autour d'un faisons l'amour !
Dans un compte à rebours
En regardant le ciel;
Le temps qu'il dépucelle
Les couples dans leurs ébats;
Avec en guise d'aléas
Ceux ou celles;
Qui prennent en plus leur pied
En prenant la vie du bon côté;
Même en brûlant la vie
Par les deux bouts de la chandelle,
Et dont pour tenir la chandelle !
Avant que la vie soit essoufflée
De rengaine et de haine;
Il faut donc en profiter de voler
Sa vie de ses propres ailes;
Avec les tourterelles !
En regardant pleinement le ciel.
Jérôme de Mars
A Lys et Alice
Et Lys et Alice !
Et lisse et délices;
Des lisses A Lise !
Hélice qu'élise
A Lys et Alice !
Calice et malice
Qu'Alice et ma lisse !
A Lys; Alice
A Lise et à lisse !
Oh ! Quel délice !
Des lisse à Elise !
Hélice qu'à Lys !
Et qu'à Lise Alice
A Lys et Alice !
Pourvu qu'elle lise
A Lys et Alice ! !
La lette à Elise
Pourvu qu'elle élise
Et Lys et Alice !
Avec malice;
Ma lisse oh des lys !
Oh ! Quel délice !
Des lisses !
Qu'Elise élise
Et Lise hélice !
A lisse et A lys !
Pourvu que Lise
Et lise d'à lisse !
Pour toujours à Lys et Alice !
Jérôme de Mars
Dites-leur aux gens que vous les aimez avec des fleurs !
D'un simple bouquet de fleurs;
Composé de p'tits bouts de choux fleurs !
Dites-leur aux gens qui sont nés dans les choux
Que vous les aimez avec des fleurs !
Telle une marguerite qui aime Marguerite;
Qui fait une fleur toute lisse à Lys
Qui envoie une fleur d'iris
Pour les beaux yeux d'Iris,
Si bien que Violette offre un beau bouquet
De violette à Angélique; la fleur si angélique;
Qui voit la vie en rose grâce à Rose;
Qui lui offre une rose; la fleur de l'amour
Qui met enceinte Jacinthe;
Avec une fleur de jacinthe,
Dès qu'Anaë dit que c'est le bouquet
D'anaë qui chante à Camélia Jordana;
Fais-moi une fleur de camélia !
En écoutant Sidney Bechet;
Chanter et déchanter petite fleur
D'églantine dans une comptine
A la petite Eglantine;
Qui bêchait le jardin secret de Capucine,
Quand elle offrit une fleur de capucine
A son amoureux dans une romance,
Avant qu'Hortense appuie sur le bouton d'or,
Dont elle gratta son bouton qui dort,
Lorsqu'elle acheta un bouquet à la chaîne
D'hortense, dont elle tira un trèfle à quatre feuilles
Pour Garance; en espérant qu'elle récupère
Une fleur de garance pour retrouver l'amour,
Dont ce sera intégralement le bouquet
Au moment, où Florentine s'abonnera
A un bouquet de chaînes, afin que Florentine
Ne pète plus de câble !
Dont pour qu'à eux tous; ce soit le bouquet !
Offrez-leur à eux tous un bouquet en chaînes !
En leur faisant une fleur et en leur envoyant
Des fleurs ! Dont dites-leur avec bonheur !
Aux gens que vous les aimez tendrement
Avec des fleurs !
Jérôme de Mars
L'automne déshabille l'hiver
Par un vent d'automne !
Qui rend le ciel aphone;
L'automne déshabille l'hiver
En faisant dormir pour l'hiver;
Les bruyères qui faisaient
Du bruit hier;
Avec pour consoler
Les âmes larguées en peine;
Le fin froid de l'hiver qui égrène
Avant l'automne;
Des maux bien monotones
Auteurs de vers;
Qui entraînent à la traîne
Et traînent
En longueur;
Près des saules pleureurs
Dans une mélancolie d'hiver;
Qui rend monotone
L'automne, lorsque atone;
L'automne déshabille l'hiver
Et les primevères,
Si bien que les arbres s'y mettent
En se mettant à nu pour montrer
Leurs diverses facettes;
En dormant à la belle étoile
Sous un ciel qui dévoile
Son côté clair-obscur,
Dès que l'automne déshabille l'hiver
Et fait que les vers
Mangent des vertes et des pas mûres,
Malgré que le fruit défendu
Tente de désarçonner
Et de corrompre les esprits dissolus;
A ne pas confondre avec un ver d'hiver
Et un ver d'automne,
Comme si des poèmes d'hiver
Rendaient l'automne monotone;
Au tonne qui détonne
Et fredonne un jardin d'hiver
Dans une ambiance austère,
Alors que pour ne pas se faire
De bile
Avec des bisbilles ;
Autant que se faire
Que dans un inventaire;
L'automne déshabille
Pour plusieurs mois l'hiver.
Jérôme de Mars
Les canards vexés
Journal des mauvaises nouvelles !
Canards VC !
Faites vos toilettes !
Avec en ritournelle;
Les canards vexés
De la danse des canards;
En regardant le grand cagnard
Avec le soleil et son Rimmel;
Qui sourit dans la vertu
D'un immense jardin vêtu;
En se mettant à nu
En balayant devant sa porte;
Et en ramassant à la pelle
Les feuilles mortes;
Qui s'rappellent
Les canards vexés;
Qui s'en lavent les mains
Des canards VC;
Rapporteurs aux aurores
Dès le réveil du matin;
Qui s'dore
Au soleil;
Abreuvoir de bonnes nouvelles;
En lisant le journal avec dans le cagnard
La rubrique des canards vexés;
Qui remplacent la rubrique des chiens écrasés;
Tellement qu'une d'une chienne de vie;
Les canards VC
En font
En vie !
Les canards VTC
Pour rattraper la saison,
Dès les canards vexés;
En froid avec l'hiver !
Et chaleureux avec des mots clairs !
Au clair de la lumière !
Avec les idées claires !
Un pour tous !
Et tous pour un coup de pouce !
En faisant trempette
Et en faisant sa toilette !
En s'prenant la main !
Au contact malin
Du journal des bonnes nouvelles;
Face au soleil qui fredonne en ritournelles;
Fières et amusées
La danse des canards VC,
Quand face au cagnard VTC;
Les canards vexés.
Jérôme de Mars
La bourrée des contre danse !
Amende honorable
Sur la table;
Faisons amende honorable !
De nos pas véritables !
En étant bourrés à redondance !
Et rembourrés abondance !
Oh ! Que la bourrée ! On la danse !
Quand on a débourré tendance !
Dans la bourrée des contre danse !
Auvergnate à la bonne franquette !
En faisant des emplettes;
Au carrefour de l'intendance !
Oh ! La bourrée des contre danse !
Elle a roulé sa bosse à contresens !
Qu'on nous encense; nous les gens bourrés !
Qui soûlent la danse des canards !
Des canards vexés qui sont dans le coltard !
Du cagnard qui flâne en errances !
Avec irrévérence !
Oh ! La bourrée des contre danse !
Qu'on l'a si bien débourrée en transe !
Quand on danse dans la trance danse !
Intense avec une puissance pliée en quatre;
En sortant le jeu puissance quatre;
En sortant du cadre !
Qu'on encadre !
Dès la bourrée des contre danse !
Qui danse en itinérance
La redondance avec en abondance;
L'intendance de la tendance !
Qui signifie deux pas de danse !
Qu'une fois bien bourrés;
Débourrés et rembourrés !
V'là à contresens !
Jamais bourrée !
La bourrée des contre danse !
Jérôme de Mars
Les hirondelles prennent un vol d'avion !
Il y a le téléphone qui sonne !
Même qu'il résonne
En mode avion !
Et que dans le ciel;
Les hirondelles
Prennent un vol d'avion !
Avec leurs ailes
Qui font figure de trublions;
Candides dès l'innocence
Ainsi jusqu'à leur adolescence;
Avec en bain de jouvence
Toute la reconnaissance
Du ciel; lieu propice
A ce que frémisse
L'endroit superbe;
Qui de son haut verbe;
Ici là ! Donne pour adverbe !
Des éléments moteurs en action,
Dont leur seul moyen de locomotion
Moteur ! Désigne que les hirondelles
Prennent un vol d'avion !
Dans le ciel !
En attendant l'hiver et ses neiges
Eternelles ayant pour privilège
De concevoir des avions en papier,
Dont il y a la cocotte minute qui bout !
Tellement à bout
De vivre dans ce monde de fous !
Qu'elle récolte en tout point tout honneur !
Une grande légèreté !
Avec pour soleil rieur
Dans le ciel ! Quelques illuminations !
Après que les hirondelles superficielles
Prennent un vol d'avion !
Dans le ciel !
Et qu'elles répondent au téléphone qui n'est
En mode avion !
Une fois arrivé l'avion
Du vol de leurs ailes
Au sol,
Do ré mi fa sol !
Dès la farandole !
Qui fredonnent en ritournelle !
Ca y est !
C'est fait !
Au téléphone
Qui raisonne
En mode avion !
Ici là ! Les hirondelles
S'éprennent d'un vol d'avion !
Jérôme de Mars
Des gueux las; dégueulasses !
A Périgueux las !
Il y a comme partout
Un palace
En marchant d'un pas las !
Avec pour passe-partout
Des gueux las; dégueulasses !
De guerre lasse !
Pauvres de rien !
Ou riches qui savent bien
Que l'argent ne fait le bonheur !
Mais qu'il y contribue quand même !
Un peu au bonheur avec vigueur !
Malgré que dans la vie; chacun
A ses problèmes !
Et qu'il y en a quand même
Certains parmi les rupins !
Que personne n'aime
Parmi des gueux las; dégueulasses !
A Périgueux las !
Las que tout le monde s'en lasse !
Et se prélasse
Dans un palace !
En marchant d'un pas las !
Riches de rien !
Et pauvres d'être rupins !
Youpi ! Les riches !
Malgré leurs économies !
Font pas l'économie
De toute une vie !
Vu que leur terrain
Est en friche !
Par des gueux las; dégueulasses !
A Périgueux las !
Ville où comme partout !
Il y a pour passe-partout
Des riches et des pauvres !
Soûls ou sobres !
Dont qu'ils soient dans un palace !
Ou qu'ils marchent d'un pas las !
Il y a toujours des riches
Qui s'en lassent !
En laissant en friche
Leur terrain !
Si bien que les riches
S'en fichent
De leur terre hein !
Pendant que les pauvres s'enlacent !
En buvant les paroles sobres
Des pauvres de rien !
Mais riches d'avoir le béguin
En regain !
Pendant que les rupins
Malgré leurs gains;
Sont pauvres d'être rupins !
A Périgueux las !
Parmi des gueux las; à ce point très dégueulasses !
Jérôme de Mars
Des brouillards débrouillards
Haro il y a un coup de Trafalgar !
Qui tyrannise les nénuphars,
Où le bien s'égare
Quai des brumes dans le hangar !
Avec le mal qui a des égards
Pour des débrouillards débrouillards
Vis à vis de ce vent; ce grand gaillard;
Qui a un mauvais regard
Sur le soleil complice de mèche;
Avec le tourbillon revêche
Du temps intempestif;
Qui a en impératif
Des brouillards débrouillards;
Toujours dans le coltard,
Dès que le vent est prisonnier
Du temps qu'il prend pour son messager
En retard, dont ses écarts
Engendrent une tare dans le mitard;
Des brouillards débrouillards
Gare au coup de Trafalgar,
Si bien que la nuit jonche
Un coup de semonce
En faisant une drôle de tronche;
Qui annonce la ronce
Des brouillards débrouillards,
Cap vers le pays des nuages;
Qui dégagent le ciel en terre d'allumage
Est-ce un signal de l'élément phare ?
Avec pour fanfare;
Un tintamarre qui amarre !
Avec pour larguer les amarres !
Des poissons dans leurs éléments,
Comme un poisson dans l'eau !
Ayant pour agrément;
Des bruits déroutants
De l'eau émise dans un dépôt !
Avant que le vent décide élevant !
Qu'il n'y a plus de coup de Trafalgar !
Pourvu que personne ne s'égare !
Et gare au hangar !
En des brouillards débrouillards.
Jérôme de Mars
Pièce rapportée
Une petite saynète où Jérôme B règle ses comptes avec son ancien ESAT La Fabrique au moment de quitter définitivement son ESAT pour naviguer en de meilleures eaux au GEM de Vitry après qu'il ait navigué tant d'années en os troubles à L'ESAT La Fabrique :
Jérôme B, un ancien agent à L'ESAT : " - Je voulais vous dire que je prends congé de vous maintenant toute l'année après tout ce que j'ai supporté à L'ESAT de la part notamment de plusieurs agents de production; qui m'ont dit que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT La Fabrique du nom de : " Coralie O; Christine F; Sandrine R; Célia R; Jonathan P; Katia L car c'est vrai à L'ESAT La Fabrique vu ce qu'on y fabrique en enfilant des perles avec les bijoux de famille de ceux qui sont des verges effarouchées; qui débitent de l'argent en liquide vis à vis de ceux à qui ça met l'eau à la bouche liquide, où à L'ESAT La Fabrique; la seule chose qui intéresse cet ESAT; c'est de ne parler que d'argent en faisant des économies sur le dos des plus faibles, dont le silence est d'or et la parole est d'argent; cap pour montrer que je suis cap ! Dont cap je mets les voiles vers le GEM de Vitry Le Grison, où j'aurai mon petit grison en porte-bonheur; en naviguant en de meilleures eaux au GEM de Vitry, où je suis mieux considéré après avoir tant navigué en os troubles à L'ESAT La Fabrique, où presque personne ne me considérait ! "
Steven I, un agent à L'ESAT : " - Quelle est la raison qui fait que tu quittes définitivement L'ESAT La Fabrique ? "
Jérôme B, un ancien agent : " - Je quitte L'ESAT car beaucoup m'ont mené en bateau surtout lorsque Marie-laure a quitté L'ESAT et que l'activité voile s'est arrêtée vu que Madame Manoiline avait promis que l'activité voile allait continuer avec la remplaçante de Marie-Laure; mais qu'au final; Madame Manoiline nous a bien voilé sa face obscure pour mieux nous la dévoiler en naviguant en os troubles; d'autant plus comme à L'ESAT La Fabrique; tout le monde s'en foutait de moi et bien à L'ESAT; j'ai fait deux tentatives de suicide en voulant me jeter par la fenêtre, comme l'agent n'a pas d'odeur pour mieux jeter l'agent par les fenêtres en prenant tout pour agent comptant ! Surtout que de leur diplôme à L'ESAT : " Différent et Compétent " ; qui est outre soi-disant une reconnaissance de compétences, et bien ! Moi; je suis indifférent et un compétent de ce diplôme à la noix, dont c'est du pipeau ! Car pas mal à L'ESAT La Fabrique m'ont manqué de reconnaissance ! "
Christophe P, un agent à L'ESAT: " Bonjour Jérôme; si je comprends bien; on trinque à ta santé de quitter L'ESAT après que t'aies trinqué de ta santé dans cet ESAT ! Et enfin lascar; pourquoi dis-tu que ton état; ce n'est pas du cinéma déjà que t'es acteur de ta vie ? Et bien ! Moi si je suis en arrêt-maladie à L'ESAT depuis avril; c'est aussi parce-qu'à L'ESAT; il n'y a plus de sécurité sociale ! "
Jérôme B, un ancien agent à L'ESAT : " Parce-que je joue le rôle de ma vie vu que mon état psychique est très dramatique et très critique après avoir toujours été spectateur de ma vie; en prenant conscience dorénavant que je suis bien acteur de ma vie dans cette pièce rapportée écrite sur mesure par moi et pour moi ! Je me serais jeté par la balustrade à L'ESAT sans me rater; ça n'aurait pas été un suicide assisté comme je suis déjà assisté mais un suicide insisté ! Et toi Christophe si tu es en arrêt-maladie à L'ESAT ! C'est parce-que tu n'as plus tes chaussures de sécurité sociale vu que t'es pas à L'ESAT en ce moment ! "
Charlotte, une ancienne agent à L'ESAT qui s'en bat en retraite : " - Mon petit Jérôme; donc à présent; tout est à présent un parfait pour penser à ton avenir de ton futur imminent; où on trinque autour de tes vers de poème, dont j'espère que tu bois mes paroles ici-là; toi; le poète maudit : où je te souhaite bonne chance cap vers le GEM de Vitry ! "
Concernant la suite dans les idées de Jérôme B qui quitte L'ESAT La Fabrique pour voguer vers La Fabrique des rêves du GEM de Vitry :
Jérôme B, un adhérent du GEM : " Bonjour Walid après avoir quitté L'ESAT après avoir tant navigué en os troubles, voilà que maintenant; je vais naviguer en de meilleures eaux plus claires et dans la lumière, dont tous mes côtés sombres dormiront dorénavant à l'ombre ! Au moins au GEM de Vitry, ma vie sera un long fleuve tranquille sur Seine ! "
Walid, un éducateur du GEM : " - Mon petit Jérôme ! Puisque à présent tu te consacres au GEM; et bien il faudra que tu mettes une pièce de théâtre qui rendra la monnaie de ta pièce pour boire le café du commerce, dont on prendra certains de tes poèmes chaque matin dès l'ouverture du GEM pour en débattre autour d'un café-débat ! "
Manon, une éducatrice au GEM : " - Une petite pièce s'il vous plaît ! A votre bon cœur pour toute la rancœur de ce pauvre Jérôme ! "
Françoise T, la responsable du GEM de Vitry : " - Ca y est Jérôme ! Tu récoltes la monnaie de ta pièce comme à présent, le temps, c'est de l'argent ! "
Jérôme B, un adhérent du GEM : " - Pour que je garde espoir en mon avenir vu que maintenant; je quitte L'ESAT pour émigrer destination le GEM de Vitry, où c'est cap vers la bonne espérance pour que plus personne ne me mène en bateau ! Afin que je tire de tout cela une pièce de théâtre, où chacun aura le beau rôle spectateur; et dont moi enfin; je serai acteur de ma vie; en jouant mon propre rôle dans une pièce montée; récupérée de toutes pièces détachées et rattachées à une pièce; qui me rendra la monnaie de ma pièce, dont pour une fois; l'argent aura une odeur en étant en odeur de Sainteté dans une pièce portée par moi; l'authentique pièce apportée, où je mettrai mon passé en pièce dans une pièce de théâtre dont moi; je serai la pièce rapportée ! "
Jérôme de Mars
Le soleil au beau fixe
Idées fixes !
Avec un suffixe;
Il y a un point radical
A l'origine des mots !
Dont en point inaugural;
Il y a le soleil au beau fixe;
Qui fixe
Pour cap Canaveral;
Les racines qui brillent haut
Dans le ciel névrosé dans une rixe:
Qui bouscule l'effet domino,
Dès que le soleil au beau fixe;
Oppose le suffixe
Et le crucifix
Aux idées fixes;
Qui fixent
Les nuages dans le ciel en totale impro;
Qui écrivent un approprié scénario;
Qui flirte avec la rixe
Des sentiments paradoxaux;
Avec pour entière contradiction
L'immense constellation;
Des étoiles accrochées en poster
Au ciel qui a de la matière,
Avec le soleil au beau fixe;
Qui fixe
La rixe;
Avec en suffixe
Le crucifix;
Névrosé et nécrosé
Parmi les éléments de La Terre,
Et dont dans une nostalgie déshydratée;
Il est temps que d'un suffixe !
Le ciel trouve d'un téléphone fixe
Le point fixe;
De ce qui est à l'origine des rixes
Avec en appel dernier cri fractal;
Le soleil définitivement au beau fixe.
Jérôme de Mars
Les fleurs qui ont une vie en roses sont des petits bouts de choux fleurs !
A Honfleur, Eglantine a un petit bout de chou fleur du nom de Rose, dont c'est le bouquet de capucines, quand Rose qui a une vie en roses envoie des fleurs à Capucine; qui fait une fleur d'églantines à toutes les fleurs qui ont eu une vie en roses d'Eglantine; de Rose et de Capucine, dont ce sont toutes des petits bouts de choux fleurs qui sont nées dans les choux à fleur de peau !
Jérôme de Mars
Si j'écrivais un poème sur une feuille morte !
Pas loin de l'automne aphone
Sur une feuille atone;
Si j'écrivais un poème sur une feuille morte !
Qui jetterait l'encre;
En débordant du centre
Sur un amas de tant d'autres feuilles mortes;
Qui ferait que les amourettes seraient plus fortes
A la dérive de l'écluse;
Qui ferait que ma poésie s'ferait muse
Au point, où mon âme larguée
De ma peine fissurée;
Irait divulguer ses secrets en rentrant
Par la grande porte;
A sens unique avec pour châtiment
Un amas de feuilles mortes,
Où si j'écrivais un poème sur une feuille morte !
Il rendrait la vie défunte aux amourettes mortes;
En en faisant des relations de longue endurée très fortes,
Où je jetterai l'encre en laissant des plumes
Du fond du bitume;
Do ré mi fa sol
A qui il manquerait juste des tournesols !
Avec le Professeur Tournesol
Pour rendre la science infuse
Aux tournesols
De Vincent Van Gogh,
Dont en prologue de l'automne;
Rendez-vous aux tonnes,
Dont j'entonne
D'une chanson forte !
Les amourettes qui déchantent en jetant l'encre
Sur des feuilles mortes,
Et dont je recentre
Ma poésie ainsi de la sorte,
Si désabusé; j'écrivais un poème mort-vivant sur une feuille morte !
Jérôme de Mars
Le ciel qui est sur un petit nuage
Comme un aimant !
Dans son élément !
Le soleil veille chronophage;
Quitte à en perdre son plumage !
Vers le ciel qui est sur un petit nuage
A transcender les ramages;
Qui chantonnent
Sous un ciel de Babylone;
Qui jalonne le balcon citoyen
D'une fenêtre extérieure ouverte
Vers le monde avec pour arlequins;
Des personnes qui clament des vertes
Et des pas mûres en clowns tristes !
Alors que le ciel qui est sur un petit nuage;
Regarde altruiste
Ce à quoi aspire idéaliste;
Le peuple hédoniste
Pour prendre du plaisir dans la vie accordéoniste;
En accordant
Et en raccordant
Les violons synchrones;
Autour d'un breuvage
De sérum de raison;
A chaque saison
De laquelle la pluie se laisse dominer par le soleil;
En espérant que la lune féconde le ciel;
Le ciel qui est sur un petit nuage
Avec aucun nuage
A l'horizon !
De la vie qui paraît taciturne
Et diurne;
En attendant le moment sage
Du fameux passage avec en attelage;
Le ciel qui reste pour la vie sur un petit nuage.
Jérôme de Mars
Avec mon venin, le serpent a sonné !
Plié en quatre; sous forme de sonnet dont jamais deux sans trois !
Avec mon venin, le serpent a sonné !
Resonné et résonné dans un sonnet; qui m'a complètement désarçonné !
Et qui a versé un quartet sans alexandrins; plutôt lié à mon désarroi !
Dont avec mon venin, le serpent a sonné !
Resonné et résonné avec le même refrain dont je ronge mon frein,
Dont j'en ai tellement le béguin que je l'ai enfreint !
Dans un appel du pied sans alexandrins; relié à mon grain,
Dont avec mon venin, le serpent a sonné !
Resonné et résonné dans un quatrain sans des vers à douze pieds !
Raisonnés dans un quatre en un en un Golden Gate Quartet;
Qui a sonné, resonné et résonné en moi en un Golden Gate Tercet;
Avec le même refrain dont je ronge mon frein que j'ai enfreint,
Dont avec mon venin, le serpent a sonné, resonné et tellement résonné !
Jérôme de Mars
GEM les brèves !
1) Au moins quand on fait de la poterie avec Manon au GEM de Vitry; ce n'est pas du tout terre-à-terre !
2) Walid compte sur moi chaque moi pour noter les recettes et les dépenses du GEM de Vitry étant donné qu'il me calcule très bien !
3) Les adhérents qui participent à l'atelier philosophie du GEM de Vitry ne manquent vraiment pas d'idées !
4) Lorsqu'a lieu le repas du samedi midi au GEM de Vitry toutes les deux semaines; c'est l'occasion que tout le monde se cuisine !
5) Raphaël qui s'y connaît trop bien en finances en travaillant aux impôts; s'économise rarement à son travail !
6) Lors de chaque loto au GEM de Vitry; il y a tout le temps quelqu'un qui sort du lot !
7) Chaque matin au GEM de Vitry; dès qu'il y a un débat autour d'un café en abordant l'actualité: si ce n'est pas le café du commerce; alors c'est à quel sujet ?
8) Au GEM de Vitry; c'est tellement un havre de paix que certains fument tous les jours le calumet de la paix !
9) Au GEM de Vitry; tout le monde est majeur et vacciné !
10) Si jamais au GEM de Vitry; le téléphone sonne pendant que tout le monde écoute de la musique sans que personne ne répond; c'est que personne n'aura pris le temps d'écoute le groupe Téléphone !
11) Il est tout à fait normal qu'au GEM de Vitry; il y ait des adhérents qui soient francs surtout s'ils jouent cartes sur table au tarot !
12) Les adhérents au GEM de Vitry qui ont inexorablement le dernier mot; jouent régulièrement au Scrabble !
Jérôme de Mars
Le soleil dort à la belle étoile
En cultivant son jardin secret d'Eden;
Voici que la galaxie du ciel emmène
Le soleil dans un folklore;
Avec en pléthore
Une métaphore,
Lorsque le soleil dort à la belle étoile
Et qu'il peint un brin de toile;
Qui dévoile sa face cachée,
Alors que lui;
Il fait face
En surface,
Quand il fait nuit !
Dans une ambiance feutrée;
Et qui amène une toile
Inachevée en pourparlers
Qu'il est sain d'embaumer;
En ayant du baume au cœur
Au jardin des lavandes;
Qui demandent
Qu'il y ait de la douceur
Et de la fraîcheur,
Si bien que le soleil dort à la belle étoile
Etoile du berger;
Etoile de la divinité
Avant que le ciel couche sur du papier
Ses sentiments romantiques;
Rédigés dans un passionnant cantique,
D'où il est l'heure de vérité !
Que le soleil aille se coucher
Et qu'il puisse voir en peinture la toile,
D'où le soleil redore son blason à la belle étoile.
Jérôme de Mars
Chanter pour faire de cette France désenchantée une France réenchantée
Depuis longtemps en porte-à-faux;
La France chante faux dans un échafaud,
Alors qu'il faudrait que La France chante juste !
Et chante vrai dans un parler vrai !
Avec un véritable franc-parler bien Français !
En n'employant des mots frustes,
Afin que chacun puisse chanter
Pour faire de cette France désenchantée
Une France réenchantée;
En chantant le couplet de l'amour
Pour s'accoupler sans s'arrêter,
Comme des vautours
Pour ne pas chanter toujours la même rengaine;
Qui tient en haleine
Ce sempiternel refrain;
De celui ou celle qui ronge son frein,
Dont pour chanter juste
Et chanter vrai
De façon rustre;
Il faut fredonner avec des mots érudits !
Tout ce que la musique dédie
Aux plus grands et aux plus petits !
Si bien que tout le monde retrouve l'envie !
De chanter pour faire de cette France désenchantée
Une France réenchantée
En farandole;
Et qui mot pour mot tient paroles !
A chaque saison,
Dont on connaît la chanson !
Si c'est tout de suite ou jamais !
Où il ne faut jamais dire fontaine;
Je ne boirai pas ton eau !
A part bien sûr si tu chantes affable Lafontaine !
Avec pour dernier mot
Un parler vrai !
Ayant un franc-parler;
Qui chante juste
Sans mots frustes,
Dont à l'infini; il faut chanter dépaysé
Pour que tout le monde puisse s'aimer;
Et faire de cette France désenchantée
Une France réenchantée sans discontinuer.
Jérôme de Mars
Je ne crois plus en la politique mais je croîs en l'apolitique !
Question poly tics;
J'ai un tic !
Je ne crois plus en la politique
Mais je croîs en l'apolitique !
La preuve; je me mets aux vers !
Et je m'engage en vers
La gauche au centre
De la droite,
Dont je recentre
De mes mains moites
Le débat
Dans un rassemblement
National; question frontale,
Où avec mes idées fatales;
Je fais front !
En faisant un affront national
Au rassemblement national;
Qui monte au front national !
En allant au front hexagonal,
Où je ne crois plus en la politique
Mais où je croîs toujours en l'apolitique !
Question pratique
Dans ma langue que je bois,
Dont je déteste la langue de bois !
Et dont pour cela; je suis à gauche socialement !
A droite économiquement !
Et nationalement dans un rassemblement
National, où question frontale;
Je vire à gauche !
Et je dérive à droite !
En recentrant le tout
Au centre d'un rassemblement national;
En prenant le gauche de façon gauche;
Après avoir donné une bonne droite
Dans ce gigantesque fourre-tout !
Où je m'en fous de tout !
Tellement que je n'y crois vraiment plus
En la politique; poly tics
Mais dont je croîs désormais en l'apolitique !
Jérôme de Mars
Les bateaux ont le vague à l'âme !
Comme dans un mélodrame;
Cap vers Le Maroc !
En partant à bon port
De La France
Depuis un port de Plaisance,
Dont le bateau a une coque;
Telle une bicoque,
Comme à la maison
A celui ou à celle qui retrouve la raison;
Et ainsi; les bateaux ont le vague à l'âme !
En prenant pour argent comptant dix rames,
Comme la monnaie rendue en main propre
Au Maroc de façon sobre
En dirhams,
Si bien que les bateaux ont le vague à l'âme !
Loin du Paris Paname,
Comme si c'était un drame !
De ne pas s'en faire pour la dame
De fer qui préfère un slam;
Cap vers la mer mouvementée
Dans un vague à l'âme endiablé,
Dont la mer enroule son désespoir
Dans un rouleau de vagues;
Qui drague
Ses plus bas instincts certains soirs;
Toute seule face à son chagrin,
Enclin à rejoindre le dédain,
Lorsque les bateaux ont le vague à l'âme !
Et préfèrent noyer leur drame
Dans l'alcool qui les came;
Tel le bateau ivre d'Arthur Rimbaud;
Qui s'enivre dans l'écume des ruisseaux
Au fond de l'eau comme ce slam;
Qui clame que quiconque rame
Dans cet enfer maritime,
Dont il est sûrement plus légitime
De plaider en faveur de l'abstinence,
Afin de trancher envers l'innocence
De ce monde qui marche à l'envers;
Empêtré à nouveau dans ses vieux travers
De Martin Guerre,
Dont après qu'il y ait cap vers Le Maroc !
Et une fois arrivé au Maroc,
Dès la fin de ce morceau de roc
Et de pierre
En déroute de cette atmosphère;
Voici l'accostage à bord d'une énième trame,
Dont les bateaux ici là !
Et maintenant ! Ont dans le cinéma
La nouvelle vague à l'âme !
Jérôme de Mars
Mes paroles font jazzer !
Régal d'égal à égal !
A bord de ce repas frugal
En ayant une p'tite fringale !
Où y en a qui ont la gale légale !
Dont en faisant un scandale;
Mes paroles font jazzer !
En jouant un air de musique endimanché;
Qui rentre dans les annales originales !
Sur le rebord d'un bateau qui est à l'abordage;
Et qui avant l'accostage;
Passe on the radio nostalgie;
Les années vintage
A travers
Toute leur musique légère;
Et qui en empruntant des mélodies;
Font l'équivalent sur Télé Mélody;
La télé qui pète un câble;
Qu'accablent irrévocables
Les femmes aux vers de leurs chansons vocales;
Qui causent un mélo dit,
Dont à force que les cailloux font des ricochets
Sur la mer
Qui trouve ici là sa vitesse de croisière !
Et ben le tout part à la dérive vers l'estuaire !
En virant de bord sur la rivière,
Où mes paroles font jazzer !
Avant de faire jazzer; valdinguer
Et renverser mes vers en vers
Des scandales en famille;
Qui crient infâmie !
Pourquoi causes-tu de la tyrannie ?
Dans ta musique qui transpire de ton ironie,
Dont mes paroles font jazzer !
Avant de verser et de déverser
Dans la liturgie;
Question rituel !
Et dont l'ultime gestuelle
Adresse à chaque fin de semaine !
Et à chaque jour suffit sa peine !
Qu'attends-tu pour t'accoupler
En vers ce dernier couplet décuplé ?
Dont mes paroles
Dans une farandole;
Font éternellement jazzer !
Jérôme de Mars
Au nom d'une pluie qui lave le ciel
Avec des noms d'oiseaux en ritournelles;
En cassant de la vaisselle de porcelaine
Du fait que s'amenuisent les bas de laine;
Au nom d'une pluie qui lave le ciel;
Le soleil s'en lave les mains avec sa madeleine
De Proust ! Qui lui rappelle feu la rengaine
Et la haine qu'il y a à chaque début de semaine;
Face à ce monde moribond qui croit en un déclin,
Alors qu'il faudrait juste un des clins d'œil afin
Qu'il y ait un béguin et une déclaration d'amour;
Qui ferait mieux passer les topinambours
En faisant avaler la pilule;
Qui pullule
Des mots de troubadours;
Qui en valent le détour;
Au nom d'une pluie qui lave le ciel;
Qui s'en lave les mains des choses artificielles !
Et qui ramasse des choses naturelles
Et point surnaturelles;
En roulant des pelles
Avec un droit à l'oubli
En guise de confettis,
Dont le ciel épelle
A chaque jour suffit sa peine !
Au nom d'une pluie qui lave le ciel;
Et qui nettoie les âmes superficielles
En leur faisant aspirer des idées meilleures;
Auxquelles s'associe bien évidemment la ferveur
Et la candeur,
Pour qu'il n'y ait plus de fureur
Avant d'aller au ciel;
Mais de profiter de chaque bonheur
Qu'il y a en chaque jour de la vie !
Pour un non; pour un oui
Avant qu'il fasse nuit !
En taguant le ciel
D'un arc en ciel;
Au nom d'une pluie qui lave le ciel;
Et même si tout le monde a peur
De demain; des lendemains
Et des surlendemains !
Il faut aller à l'autel
Du Missel !
En s'assurant que demain
Sera un sûr lendemain,
Dont le ciel s'en lavera les mains !
Au nom d'une pluie intemporelle
Qui lave de ses recoins le ciel.
Jérôme de Mars
Les étoiles ne meurent qu'une fois !
Il était une fois
Un cœur qui bat la chamade !
Avec dans la dérobade;
Une ballade
Sur un tapis rouge;
En hommage aux artistes qui bougent,
Et dont cela jette un froid,
Quand dans une accolade;
Les artistes spleens la mine déconcertante;
Regardent les étoiles défilantes et filantes,
Dont les étoiles ne meurent qu'une fois !
Là-haut au ciel dans l'au-delà !
Y a-t-il dans le ciel une cour de récréation ?
Pour y siroter avec les artistes disparus
Du cinéma;
Une bière ou un soda;
Attablés au comptoir
A s'raconter de belles histoires;
Le cœur irrésolu et perdu
Vers la peur de l'inconnue,
Dont malgré que le ciel a son étoile
Sur Hollywood; les stars souvent;
Ne se dévoilent ou se voilent
La face en éclats;
En franchissant de grands pas;
Ainsi si bien dit !
Que le ciel en déduit
Que les étoiles ne meurent qu'une fois !
Pour l'éternité intemporelle
A l'autel
Des âmes sans joies,
Ou rabat-joie;
Qui recèlent un profond désarroi !
Que les étoiles soient
Défilantes; filantes;
Inspirantes ou éprouvantes,
Comme dans un fil d'épouvante;
Qu'incantent en dilettantes
Les esprits défunts,
Dont tout a une fin !
Sur cette Terre éphémère;
En songeant à l'après dans l'imaginaire;
Et si en dormant à la belle étoile;
Les inconditionnels de l'au-delà;
Esquissaient par-ci par là;
Une toile qui dévoile
L'au-delà bien au-delà
De tout ça !
Dont les étoiles défilantes
Et filantes
Ne demeurent et meurent pour la toute dernière fois !
Jérôme de Mars
Oh que c'est laid une laie qui boit du lait olé olé !
Travail de gougnafier !
A frais de porc;
Oh que c'est laid
Une laie qui boit du lait olé olé !
Aux frais de report;
Arrivés à bon porc !
Avec pour délais des lé !
Oh que c'est laid
Une laie qui boit du lait olé olé !
Dans un salon de tes délais !
Dérivés offrait qui fait salon de thé !
Avec pour délais des laids olé !
Oh que c'est laid
Une laie qui boit du lait olé olé !
Avec pour apport;
Un thé de tes des laits !
Qui fait ça long o laits !
O laids o lé !
Dont c'est décidé ôté au lait olé olé !
O laid délai caracolé !
Oh que ce né lé les
Une laie qui boit du lait au thé au laid !
Jérôme de Mars
Le ciel a son étoile sur Hollywood
Reflets du miroir intemporel;
Il paraît comme une étoile !
Que dans une aquarelle;
Qui dévoile à voile
Et à vapeur;
La lueur
Du jour qui transpire
Hollywood et ses sourires;
Il y a le ciel qui a son étoile sur Hollywood,
Dont ce n'est pas du cinéma rabat-joie !
Mais de splendides éclats;
Very good
A Hollywood;
Comme dans un fast-food
A peindre sa toile
Avant de dormir à la belle étoile,
Comme si ceux qui mènent
Le jardin d'Eden
En bateau;
Attendent que le monde conforme
Se transforme
En un eldorado;
Qui met les voiles
Cap Hollywood very good,
Dont le ciel a son étoile sur Hollywood
A regarder au ciel,
Comme un semblant d'un firmament d'aquarelle
Dans un gratte ciel;
Qui fait le tour des tours jumelles,
Alors que le monde s'en va;
Rapide admirer un soleil de Principauté
Dans un salon de beauté;
Qui a l'exclusivité de l'Amirauté
A Hollywood very good
Sur du papier buvard,
Dont le ciel essentiel a sa grande étoile sur Hollywood;
Hollywood; boulevard
Des étoiles.
Jérôme de Mars
Entretien mensuel virtuel
Echanges entre un patient Jérôme Bedrossian et son psychiatre impatient Mme Teillet pour le premier entretien mensuel de la rentrée de septembre le 13 septembre 2021 pour l'année 2021-2022 après deux mois sans avoir vu Mme Teillet, dont le dernier rendez-vous avec Mme Teillet au CMP de Vitry sur Seine remonte au 19 juillet 2021 dernier :
Madame Teillet : " - Bonjour Monsieur Bedrossian, comment s'est passé votre été, vous qui êtes déjà en vacances toute l'année ? "
Jérôme Bedrossian : " - L'été s'est bien passé Madame Teillet, mais quand j'ai pris congé de vous lors du dernier rendez-vous avec vous au CMP de Vitry sur Seine le 19 juillet dernier; j'ai passé ensuite tout l'été à Vitry sur Seine sans partir en congés ! "
Madame Teillet : " - Je constate Monsieur Bedrossian que si vous êtes restés à Vitry sur Seine tout l'été, c'est parce-que votre vie n'est pas un long fleuve tranquille ! Et c'est aussi pour ça que vous n'osez plus me mener en bateau, vous qui avez un poil dans la main ! "
Jérôme Bedrossian : " - Que vous me faites rire Madame Teillet ! En fait, c'est vous qui n'êtes pas au poil ! Car je n'ai pas eu d'entretien avec vous au mois d'août au CMP ! "
Madame Teillet : " - Monsieur Bedrossian; je ne vous ai pas proposé d'entretien au mois d'août ! Car moi j'étais en vacances et que j'ai pris congés de vous ! Si bien que quand vous entretenez vos malheurs ! Je m'en lave les mains en vous disant du balai lors de votre anniversaire, où il me semble que vous avez eu le 24 août dernier; 43 balais de printemps, que vous m'avez des balais dans un papier cadeau, dans ce texte, où on sent qu'à chaque mois d'août; c'est une sorte de burn août quand certains ne vous souhaitent pas votre anniversaire; et que c'est sans doute la raison pour laquelle vous n'entretenez plus votre appartement ! "
Jérôme Bedrossian : " - Je le sais Madame Teillet, mais reconnaissez tout de même que ma vie n'a pas toujours été du gâteau ! "
Madame Teillet : " - Vous me soûlez Monsieur Bedrossian avec encore et encore sans cesse le même discours de Caliméro; qui se fait tout le temps passer pour une victime; tellement qu'en gros; vous avez pris de la bouteille; où je sens que le poids de tout votre fardeau vous pèse ! "
Jérôme Bedrossian : " - Donc j'en déduis que si j'ai pris de la bouteille, autant que je lance une bouteille à la mère ! "
Madame Teillet : " - Au lieu de lancer une bouteille à la mère; laissez votre mère reposer en paix ! et plutôt que de penser que dans votre vie; tout tombe à l'eau ! Pensez Monsieur Bedrossian à partir en vacances au bord de la mer; cela vous ferait le plus grand bien ! Et comme ça; vous verrez des palmiers sans avoir de la rancœur de palmier qui vous démange ! Mais dont au moins ces vacances au bord de la mer; vous remettraient les idées claires en mangeant des cœurs de palmiers ! "
Jérôme Bedrossian : " - Vous avez souvent le mot pour rire ! "
Madame Teillet : " - Non; monsieur Bedrossian; je suis sérieuse; j'ai pour mot de vos maux à sourire qu'il faut que vous partiez en vacances; voilà mon dernier mot qui ne prête à rire ! Car il faut vous prendre en main et savoir que vous avez su gérer tout Monsieur Bedrossian jusqu'à présent ! "
Jérôme Bedrossian : " - Donc Madame Teillet si je comprends bien tout ce que vous me dites ! En prenant pour argent comptant ce que vous venez de me déclarer et en faisant amende honorable; vous me suggérez d'avoir su gérer si bien ma vie ! "
Jérôme de Mars
Ca dépasse l'entendement humain !
Malentendus qui sont tus !
Tout le monde me dit chut
Dans le noir !
Dont ça dépasse l'entendement humain !
Des confessions dissolues;
Confiées en confidences;
Qui paraissent des déviances
A la famille et aux copains,
Comme mâles entendus;
Absolus et éperdus,
Dont les mots sont confus;
Confondus et diffus;
Adressés vers l'inconnu
En choses irrésolues;
Du passé déviant; prenant les devants !
De mettre au courant dévoyant;
Et dérivant ce passé déviant;
Vies à vies de certains,
Dont ça dépasse l'entendement humain !
En guise de malentendus répandus
Et biscornus;
Très à cheval fourbus !
Et étendus par les mâles entendus !
Qui trépassent les coupables innocents;
Qui semblent avoir un passé hautain !
Alors que c'est juste outrepassé !
Au teint vilain !
Je demain; je de vilains !
Dont ça dépasse l'entendement humain !
Toutes ces casseroles;
Que bricolent
Un certain humain !
De mes deux sains;
Lui; le mâle sain !
Et lui; le malsain !
En guise de malentendus
Et mâles entendus !
Dont d'un passé dissolu;
Il vaut mieux en faire résolu !
Un avenir présent
Et moins oppressant,
Afin que les malentendus
Des mâles entendus;
Deviennent bien entendus
Des choses convenues
Et bienvenues !
Dont chute de l'histoire !
Ca dépasse succinct
Sans casse l'entendement humain !
Jérôme de Mars
Une fresque dans le ciel
Street art par ciel;
Il y a pittoresque
Et romanesque;
Une fresque
Dans le ciel;
Vacataire arc en ciel;
Qui peut voir en peinture
Un ciel bleu azur;
Qui augure artificiel
D'une fresque
Pittoresque et romanesque
Dans le ciel;
Qui met de l'huile essentielle
Dans une peinture à l'huile;
Avec pour bâtir le ciel
Des tuiles agiles;
Qui font des graffitis
Dans le ciel;
Comme un arc en ciel;
Qui se blottit
Contre un gratte ciel;
Qui chérit
Une fresque
Dans le ciel;
Pittoresque et romanesque
Dans le Street art;
Qui donne rencard
A un arc en ciel superficiel;
Qui donne aux tourterelles
Des ailes,
Pour qu'elles volent
Et survolent
De leurs propres ailes
Un arc en ciel;
Qui gratte le ciel
Sur un gratte ciel;
Et qui donne des ailes
Romanesques et pittoresques;
A une fresque
Dans le ciel essentiel.
Jérôme de Mars
Au milieu de la vie et de la mort
Dès la naissance
En quintessence;
Avant la mort
Bourrée de remords;
Au milieu de la vie
Et de la mort;
Faisons-en quelque chose !
Qui a du sens !
Qu'on encense,
Et dont on ose
En faire quelque chose !
D'intéressant de notre vie
Avant la nuit ,
Dont il faut qu'on se cause
Tous pour y défendre notre belle cause
En proliférant une osmose,
Où tout le monde dira oui !
Au milieu de la vie
Et de la mort;
Pourvu que tout le monde se détende;
S'entende et répande !
De l'amour à chaque humain,
Comme s'il était son copain !
Avec en renfort
De l'affection sans métaphores,
Mais bien dans le réel,
Dont ce sera son fort
Au milieu de la vie
Et de la mort,
Dont il vaut mieux avoir des remords
Que des regrets au sortir de la vie;
Avant la nuit
Et le jugement dernier face au jury;
Qui dira si on a réussi notre vie
Ou notre nuit !
Au sortir de la vie;
Ou soit on rira au paradis !
Ou soit on ira en enfer dans un paradis
D'enfer en parodie qui sera le début de notre agonie,
Si bien qu'au milieu de la vie
Et de la mort;
Il faut dire oui à la vie en étant très accompli !
Et en réussissant notre vie de façon si jolie
Dans un trompe l'ennui,
Alors que quand on naît morts !
On est névrosé de remords;
Et tant qu'on naît en vie !
Il faut dire aux gens vivants
Qu'on les aime, car lorsqu'ils seront morts !
Même qu'on dira qu'on les aime !
Il sera tellement trop tard !
Que nos mots s'en iront dans leur harem !
Parsemer le vent du néant !
Et comme la vie passe ainsi vite !
Faisons en sorte
En fanfare !
Que personne ne s'évite !
De sorte qu'untel et untel
Disent qu'ils s'adorent !
Avant de claquer la porte
De la vie !
Et qu'ils s'emportent
Au paradis !
Dont au milieu de la vie
Et de la mort;
Faisons le bien amical !
Et faisons le lien social !
Car il vaut mieux avoir
Des remords
Que des regrets !
Dont on en démord
Avant que le corps
Soit mort !
Pourvu que l'esprit
Reste fleuri !
En entretenant l'amitié
Et l'amour
Au fil des jours,
Pourvu que sans remords !
Au milieu de la vie
Et de la mort;
On morde la vie à pleines dents !
Avec le mors;
Très à cheval !
Au fur et à mesure qu'on dévale
Dans la vie à l'approche de la nuit,
Dont avant qu'on s'en aille dans le néant;
En temps que morts-vivants !
Réussissons notre vie
Avant le début de la nuit !
Pourvu qu'on naît des remords
Que des regrets ! Et qu'on en démord !
Sans remords !
Au milieu de la vie
Et de la mort.
Jérôme de Mars
Si on slamait !
Slam qui clame
Nos vies teintées
De mélodrame;
Il y a des jours clairs
Et des contre-jours austères,
Où la lumière s'éteint
Et se teint
De noir d'obscurité !
Et face à cette France déchantée;
Si on slamait !
Le bonheur même s'il est éphémère,
Et où il faut en profiter
Pendant qu'il y a encore de la lumière !
En ce monde en bascule
Et qui dérive vers le crépuscule
Des abysses,
Où tout le monde s'hérisse
Et se fritte !
Et si on slamait !
Pour que le monde guérisse
A la va-vite !
Avant que tout le monde s'évite !
Et dont il faut dénicher
La juste partition
Dans ce monde en perdition,
Afin d'y composer un hymne
A la paix;
En musique
Et en accordant
Les instruments
Dans une ambiance pacifique;
Et si on slamait !
Durant de furtives vacances;
Qui permettent de faire acte de repentance;
Avec pour pure coïncidence
Un agréable moment,
Où tout le monde se serre
A nouveau les coudes;
Qui ressoudent
Une humanité terrassée;
Et une France
Fracturée et fissurée
Par les divisions;
Qui font récession
En France;
Pays qui a bien
Besoin enfin
D'une montée d'adrénaline,
Pour retrouver son unité
D'avant; en allant très allant
De l'avant,
Et pour retrouver toute une fraternité
Toute entière
Sur La Terre;
Si on slamait sans s'arrêter !
Jérôme de Mars
Coliques névrotiques
Existence nulle part pareille !
Dont la sentence est
Que je sois mortel;
D'ici là que je sois attiré
Par l'irréel
Et l'éternel
D'une vie ! Où j'aurai
Sommeil à l'autel,
Où je n'aurai plus
De coliques névrotiques;
Qui sont symptomatiques
De mon état dissolu,
Où je sombre dans la folie !
De mon état endolori
Par les douleurs de ma tête
Psychique au ras des pâquerettes,
Où je me casse la tête !
En me prenant la tête;
Envahi de tétanie
Dans un destructif bordel
De casse-tête;
Avec mes coliques névrotiques
A coliques
Anonymes dans une vie,
Où je m'abîme
En brûlant ma vie
Et la nuit
Par les deux bouts de la chandelle,
Où mon ennui
Me décime,
Et où j'écime
Ma vie en bref;
En m'enivrant d'acolytes anonymes
Dans une vie monotone, où je sombre
Dans mes vieux travers;
A l'ombre
De la lumière dans la pénombre
De conflits intérieurs;
Qui me font trop mal réducteur
D'une vie cassée et trépassée
Par les camouflets tracassés
De mes coliques névrotiques,
Dont je ne calcule plus rien !
A part mes calculs,
Où je compte un par un !
Ce qui reste psychotique
Ou pathétique
De mon état borderline,
Où j'ai envie de clamer
Une réplique;
Avec pour supplique
Pourvu que je trouve
La paix intérieure !
Malgré mes coliques névrotiques,
Où j'ai la colique psychique
La tête dans le brouillard,
Et de pourquoi je m'égare
Dans le hangar
En un grand bazar,
Où je n'ai mal au ventre !
Mais où j'ai mal en mon intérieur;
Qui m'éventre,
Où je ne rentre
Nulle part ailleurs !
D'une vie à consoler
Les saules pleureurs;
Qui se dérobent
Sous mes pieds,
Dont j'enrobe moi; le vanupied
Des contrepieds;
Qui me causent en statistique
Des coliques névrotiques
Lors de chaque dimanche à la campagne
Bucolique, où j'en fais
De tout; toute une montagne !
Si bien qu'à chaque fois
Pour retarder l'au-delà;
Je sui obligé de remonter
La pente;
Un coup en haut
L'autre contrecoup en bas;
Telles les montagnes russes,
Où je ne sais quel est le virus ?
Qui fait que je suis comme ça;
Toujours des tracas
Au trépas;
Au moindre très pas
Ou faux-pas;
Et de quelle est la solution chimique
Et physiologique ?
Afin que je n'ai de coliques névrotiques.
Jérôme de Mars
Il y aura des jours meilleurs !
Etalant la nature
De ce monde obscur;
Que les temps semblent ténébreux
Et sulfureux !
Dans ce climat furieux,
Où l'on se demande
Qu'en auraient pensé
Nos aïeux;
De ce monde décompensé
Et superficiel ?
Qui quitte les landes,
Dont avec des envies d'ailleurs;
J'espère qu'il y aura des meilleurs !
Avec peut-être des gens;
Qui malgré leurs tourments
Tiendront paroles !
Pour faire la farandole
Autour d'un repas fabuleux;
Et fameux comme les jours d'avant,
Où tout le monde paraissait
Insouciant et constant !
En tenant paroles !
Avec des actes fulgurants
Et probants;
Et tout cela
Sans bémol !
Malgré les aléas,
Dont certains me répondaient
D'un ton sec on verra !
Dont mon père; Philippe
Stéphane; Alexandre;
Mon oncle et ma tante,
Dont ça leur tente !
Que je sois long à me détendre !
Pour que ça me retente
Des envies d'ailleurs,
Dont j'espère
Que malgré ma colère;
Il y aura des jours meilleurs
Avec le soleil;
Qui me sourira
Avec ma carte Améthyste
Vermeil, où sont passées
Les merveilles ?
Comme tout s'effrite !
Et tout le monde se frite !
Dans ce monde que j'emmerde
Avec des gros mots
De noms d'oiseaux;
Qui ne volent pas bien haut !
Où j'ai envie d'une éclipse,
Afin que je m'éclipse
Dans la lune,
De sorte qu'il y ait un cataclysme
Et des lacunes !
Dans ce monde d'égoïsme
Et d'individualisme;
Que j'emmerde
Avec ma méchanceté !
Imbibée de mon caractère
Bien trempé !
Dans du pessimisme;
Enrobé de fatalisme
Dans ce monde de merde,
Où j'ai des envies d'ailleurs !
Pourvu je l'espère !
Que du fin fond de ma colère;
Insatiable et implacable
Sous mes airs affables
Et ineffables;
Qu'il reste des jours meilleurs !
Jérôme de Mars
Le concert des hauts vers
Au zénith de sa carrière;
Une mère contestataire
Donne un concert de louanges;
Qu'elle arrange
Dans le concert des hauts vers;
O vers de circonstances !
Avec en substance
Quelques réfractaires
Téméraires parmi les meilleures
Mères du monde qui ont la folie
Des grondeurs;
Qui promettent l'hérésie
Et la frénésie sans frontières;
Avec pour gestes barrière
Des gardes barrière;
Qui enlèvent leurs œillères
Derrière leurs travers
Dans le concert des hauts vers;
Qui hurle à la mère;
Ta mère !
Qui vogue dans un vague à l'âme !
Dans un mal de mère
En un joli mélodrame;
Qui slame en O vers;
Souffleurs de vers;
Faux revers
Pour cacher les couverts;
Des découverts
Dans la fourchette des prix;
Qui veut une musique fleurie
Dans le concert des hauts vers;
Qui provoque un turnover
En rotation vers le monde extérieur;
Qui jette un coup d'œil inquisiteur;
Ouvert ou vers vers
Le concert de louanges !
Que la mère arrange
Dans une vie d'ange !
Ange ou démon;
Telle est l'issue !
Dont à quoi bon
Chanter désarçonné !
Les reflets désordonnés
D'une vie y sue;
De la mère un père;
Tous unis pour assurer
Ses arrières !
Rassurer
Sans barrière;
Et réassurer
Le concert des hauts vers;
A la lisière
De l'arbre qui cache la forêt !
Avec pour haut-parleur;
Le bonheur qui se fait tout petit !
Pour le plus grand des bonheurs
Dans la confrérie;
Qui amuse la galerie consacrée
Dans une galerie d'art,
Dont vaut mieux tard
Que jamais !
Du fin fond de l'humanité !
Dès la clarté
Du jour levé:
En partant du bon pied !
A contre pied !
Complètement casse-pied,
Dont en valeur
Plus qu'ajoutée !
Voici en pièce rapportée !
Un cancer des ovaires:
Qui est du signe cancer
Dans une gamme aux vers;
Haut de gamme O vers,
Dont c'est juste déchanté
Le concert des très hauts vers.
Jérôme de Mars
Blague :
Qu'est-ce-que ça fait si je me suicide en même temps que d'autres personnes en direct sur FACEBOOK ?
- Ca fait un suicide connectif !
Jérôme de Mars
Robinet à poèmes
Aime comme la bohème !
Un beau aime
Un robinet à poèmes;
Qui coule de source
Et fait découler
Beaucoup d'encre !
De ma plume affûtée;
Réputée totale négativité;
Avec en positivité
Un robinet à poèmes;
Qui roucoule dans ma bohème,
Où tout tombe à l'eau !
Quand dans ma voix
De cristaux;
J'ai des trémolos
En portant si lourdement
Ma croix,
Si bien que personne ne prend
De gants
Avec moi !
A part rapporter des gants
De boxe !
Pour me boxer
Dans un box;
En écoutant
Sur le juke-box;
Toujours la même rengaine
De la haine
De mon passé outrepassé,
Comme un robinet à poèmes,
Où coule mon sang d'ancre !
Qui a le mal de mère !
Avec une si grande colère;
A cracher mon venin
De mon maussade destin;
Qui rime avec bohème
Et problèmes,
Où tout le monde me fait
Une fleur de chrysanthèmes !
Où c'est encore la sempiternelle
Musique que je réécoute
En voûte; qui m'envoûtent
Dans mon cœur de pierre,
Comme un robinet à poèmes;
Qui s'écoule dans un œdème,
Où je respire l'emphysème !
De mon mâle de vivre qui parsème
En un judicieux sésame
De granulés;
Ouvre-toi en ce slam !
Qui déclare illico franco;
Mets ton grain de sel !
Et mets-toi en marge du système !
Qui roucoule dans ta bohème;
Qui découle en remontant
A la source
De tes problèmes;
Qui s'écoulent du désarroi
De ton diadème;
Et coule post-mortem
Dans un robinet à poèmes.
Jérôme de Mars
Un poème qui tient paroles !
Sans bémol;
Voilà un poème
Qui tient paroles !
Malgré les problèmes
Que tout un chacun
Rencontre dans son destin !
Où souvent; la famille
Ou les amis,
Quand je leur demande
Ou leur propose quelque chose;
Et ben malgré mes ecchymoses !
La famille
Ou les amis
En offrandes;
Me répondent on verra !
Pour que j'en ai plein les yeux
Des on verra,
Dont on en verra
De mes deux yeux !
Des jours pas joyeux
A cause
Soi-disant des aléas,
Où tout fout le camp
Dans ce monde !
Qui me crève les tympans;
Auxquels le monde s'inonde
En malentendus !
Dans ce monde dissolu
Et irrésolu,
Dont en vertu;
Sans bémol;
Voilà un poème
Qui tient paroles !
Malgré ma vie
De chrysanthèmes,
Où personne ne m'aime !
Malotrus et intrus;
Qui gangrènent
La société dans la haine,
Comme dans un harem;
Qui me tape sur le système !
Dont on en verra
Dans ce monde qui va
En va et vient !
Un coup ça va !
Plus ou moins bien !
Dans le lien libéral
Au détriment du lien social,
Dont sans bémol;
Voilà un poème
Qui tient paroles !
A chaque jour suffit sa peine !
Avec sur la Seine;
Une vie qui naît un long fleuve
Tranquille ! Qui abreuve
Sur la ville de quelqu'un,
Comme moi en marge
Du système;
Qui me tape sur le système !
Moi; le barge;
Qui a envie de prendre le large !
Où comme ça
Au moins;
Plus personne ne me répondra
On verra !
Soi-disant à cause
Des aléas,
Dont j'ose
Clamer à haute voix !
Qu'on en verra
De mes deux yeux,
Afin que j'en ai plein les yeux
Des on verra !
Avec des jours pas joyeux,
Dont sans bémol;
Et sans théorème;
Voilà un poème
Qui tient encore paroles !
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi est-ce-que Lætitia a-t-elle attrapé le Covid ?
- Parce-que Lætitia m'a pris en grippe !
2) Pourquoi quand je demande ou propose quelque chose à la famille ou aux amis, me répond-on toujours on verra alors que pour les autres, on leur répond tout le temps oui ?
- Pour que j'en ai plein les yeux des on verra !
Jérôme de Mars
Pourvu qu'il y ait moins d'hiver et plus d'été !
Avec la déconfiture de vermeille;
Pourvu qu'il y ait moins d'hiver
Et plus d'été !
Avec la confiture de groseille;
Conjuguée à de merveille
En cette année;
Qui rappelle que rien n'est linéaire !
Et figé !
En cette saison bipolaire,
Où le soleil en vaut la chandelle !
En allumant la prunelle
Des yeux du ciel;
Aguicheur en vers mails;
Et pourvu qu'il y ait moins d'hiver
Et plus d'été !
En allumant d'amour le ciel
Eté comme hiver
Malgré des états bipolaires,
Où rien ne vaut la légèreté
Du soleil !
En ces temps extraordinaires,
Où plus rien naît ordinaire !
Comme le ciel
Dans cette époque de vanité;
Et qui n'inspire respect !
A laquelle l'humanité toute entière
Aspire à la paix
Et à la liberté;
Et pourvu qu'il ait moins d'hiver
Et plus d'été !
Pour que ça reste naturel
En ces temps superficiels,
Dont il faut braver l'adversité !
Et la vaincre intemporelle !
Pour que le ciel
Et le soleil
S'aiment dans la pérennité,
Et dont par qualité
De l'être aimé !
Pourvu qu'il y ait encore moins d'hiver
Et davantage de soleil !
Jérôme de Mars
Ca me soûle d'aller à Cognac !
Vers de flûte
A champagne;
Je vous dis chut !
Telle est ma chute
De l'histoire !
Avec en brèves de comptoir;
Le fait que ça me soûle
D'aller à Cognac !
En buvant un ver d'Armagnac;
Et en arpentant la campagne
De Cognac;
En écoutant la foule
D'Edith Piaf;
Et en regardant voler les piafs
Dans le ciel, dont au sujet
Des revers de la vie;
Je dis flûte !
En vers de flûte !
Avec sobriété
Dans le sens de la réalité,
Dont ça me soûle
D'aller à Cognac !
Avec un ver d'Armagnac
Pour rentrer dans le moule;
En buvant à volonté
Et avec volupté;
En se mettant tous en boîte !
Tellement que tout le monde emboîte
Le pas sur les pas de ma mère !
Avec ses vers de bière
Avant sa mise en bière
En vin, comme une villageoise;
Avec en marque de fabrique Villageoise,
Dont ça me soûle
D'aller à Cognac !
Avec un ver d'Armagnac
En prenant de la bouteille;
Et en étant très bien desservi !
En envoyant une bouteille
A la mère
De ses vers de bière
Avant sa mise en bière,
Dont en vin; je vous dis avec ivresse !
Dans la foule en liesse !
Que je m'enivre si bien !
Avec en main
Un ver d'Armagnac,
Vu que ça me soûle de rentrer
Dans le moule
De l'agonie;
Et de côtoyer
La foule,
Car ça me soûle jusqu'à l'ennui
D'aller à Cognac !
Jérôme de Mars
Quand le Covid prend en grippe tout le monde !
Grippe qui agrippe tout le monde; quand le Covid prend en grippe tout le monde !
Il fait que tout le monde porte un masque sauf quand le masque tombe ! Où l'on Voit la véritable nature des gens qui même; si la plupart sont majeurs et vaccinés ! Et ben; il y en a encore qui ne sont pas vaccinés en piqûre de rappel ! Et qui Préfèrent se faire lancer et se faire envoyer des piques de la rage de leur colère, Alors que s'ils faisaient appel à un pasteur; et ben leur rage serait apaisée en Piqûre d'appel et ils pourraient faire une piqûre de rappel; en étant davantage Vaccinés et majeurs car jusqu'à présent ! C'est à l'état majeur qu'il y avait le plus De victimes du Covid, alors même qu'à la base ! C'est un incident mineur dont on Constate qu'il y a de plus en plus d'enfants mineurs; victimes du Covid à l'hôpital; Qui se fout bien de la Charité ! Et qui préfère que le Covid prenne en grippe tout le Monde ! Quitte à s'en laver les mains; quitte à ce qu'on leur passe un savon; et Quitte ou double ! A ce qu'on les prenne tous en grippe ! Quand le Covid prend en Grippe tout le monde ! Même qu'on est majeurs et vaccinés; dont en piqûre de Rappel; le Covid prend tellement en grippe tout le monde ! Auquel s'agrippe très Bien tout le monde !
Jérôme de Mars
Un balai qui se ramasse des râteaux !
Il était une fois un balai qui a 43 balais et qui chaque dimanches à balais; fait un grand ménage de printemps en courtisant les feuilles qui tombent des arbres ! Mais qui tout en cultivant son jardin secret; prend râteaux sur râteaux en roulant des pelles aux arbres inertes, dont un balai qui se ramasse des râteaux ! Subit la brosse à reluire ! En étant dans le cirage et en cirant les pompes des balais qui trouvent chaussure à leur pied ! Et un balai qui se ramasse des râteaux ! Même qu'il cultive très bien son jardin secret; a le champ libre pour rouler des pelles aux génies en herbe ! A qui bon lui semble ! Ou soit écrire une déclaration d'amour sur une feuille morte à Jacques Prévert ! Avant la saison monotone du tout terre-à-terre avec pour poto rose; un monsieur qui produit tout un monsieur propre en arrosant les fleurs; en faisant une fleur et en envoyant des fleurs à la fleur; en lui faisant une pétale de rose et une feuille de rose; avec une pelle et un balai qui font des plans à trois sur la comète ! En prenant un râteau avec pour râteau; un balai qui se ramasse des pelles avec des râteaux en roulant des pelles ! Au balai que personne ne ménage à 43 balais !
Jérôme de Mars
Martin pécheur !
Drôle d'oiseau !
Oiseau de mauvais augure;
Martin pécheur
Qui veut tout le temps
Avoir le dernier mot !
Vole et bas du caniveau
Du haut très bas de son perchoir
Avec pour parloir;
Le reflet de son miroir
Dans un mouroir,
Dont le haut-parleur
A mâle entendeur;
Lui clame sa mauvaise nature
A lui Martin pécheur;
A rejeter toujours sa faute
Sur les autres, alors que c'est lui l'hôte !
Qui l'ôte la confiance,
Dont quiconque lui
Manifeste quelconque défiance;
Lui qui anéantit tout !
Tandis que les oiseaux du futur;
Veulent bâtir vos baux
Avec pour vaux;
Vos baux vaux; têtes de veaux !
Dans l'objectif affiché d'y surmonter
Les courroux
De tous les différents camouflets,
Dans l'unique but de ne plus demeurer
Des vaches à lait !
A engraisser Martin pécheur !
Lui qui pour sauver sa peau !
Doit trouver le bon tempo
De tout ce méli-mélo,
Qu'il doit changer en échos !
Qui sont susceptibles de réhabiliter
Sa réputation;
A force de convictions !
Lui Martin pécheur !
Qui vole encore plus bas
Que l'eau sans éclats !
Et qui cherche à refaire sans
Cesse les mêmes erreurs !
De sa vie ternie,
Comme dans un scénario retranscrit
Sans saveur,
Dont pour qu'il pêche des poissons
Et qu'il ne pèche des poisons !
Dépourvu qu'à vau l'eau en vogue !
Il n'y ait de Martin pécheur !
Et pourvu qu'et l'eau en épilogue !
Il y ait un Martin pêcheur !
Jérôme de Mars
Un poème vers
Poésie sans frontières !
Voici un poème vers
Question écologie;
Qui est le sens de la vie
En imaginant
Comme meilleur environnement !
Ambiant un poème vers;
En vers les gens ordinaires;
Qui préfèrent boire un ver
Solidaire que salutaire;
En causant de sujets contestataires
Et libertaires
Avec des commentaires,
De manière à changer
Les mentalités,
Dont il faut préserver
La fraternité
Et l'environnement;
En aimant les gens
A travers un poème vers;
Qui rime vers la lumière
Pour le meilleur;
A chaque jour que vit
La lueur;
Et bat le cœur
De ce monde qui travaille
A la sueur
De son front;
A l'affront
De ceux sur la paille;
Que les politiques entaillent
A coûts de tenailles,
Alors qu'il vaut mieux
Se raccrocher aux poètes fiévreux
Et furieux,
Dans le but d'aborder
Les sujets fâcheux;
Question nécessaire
En un poème vers;
En s'intéressant aux cieux
Question écologie;
Qui est le sens de la vie
En causant environnement
Et de comment
Ranimer un monde moribond,
Afin qu'il sorte de ses gonds;
Et que furibond; il renoue rassurant
Et réassurant
En un monde comme avant;
Intéressant; fascinant
Et amusant;
En vivant en collectivité
Parmi les congénères,
De sorte que tout le monde s'aime
Comme des frères !
Malgré que la vie
A aussi
Ses problèmes !
Et dont pour que tout le monde s'aime !
Il faut déployer le système
Aidé après tout ce laborieux système D
Au sein de la communauté
Pour réparer la planète Terre;
Question élémentaire
En guise de fin d'inventaire;
De ce monde ambiant et déviant
Question environnement,
Dont il faut rallumer
La lumière
Entre les gens salutaires;
Bien-entendant et malentendant
En vers une poésie sans frontières;
Bénévole; emplie de sincères paroles,
Si bien que l'envol
File vers un poème vers.
Jérôme de Mars
Les arbres écrivent sur une feuille
Gravés en restant de marbre !
Et déracinés de leur tronc !
Les arbres écrivent sur une feuille
Tout leur ressenti en buvant
Avachis; leur tilleul
Qu'ils plantent au seuil
De leur rate au court-bouillon !
Qu'ils mettent sur leur arbre;
En s'enivrant dans le courant
Du torrent qui fait un ballet
Aquatique en dansant dépaysé;
Et revitalisé par l'accueil
Que leur réservent les écureuils,
Dont les arbres écrivent sur une feuille;
Leurs amours tapis dans les glaïeuls;
En se demandent ce qu'ils plantent là !
A part semer un grain de folie qui génère
Des arbres enracinés en aléas,
Où il pleut des pluies de joie !
Dans la forêt à la lisière
D'un poème sans frontières,
Dont les arbres écrivent sur une feuille
Avec des œillères en foulant les chemins;
Qui respectent leurs destins;
En réservant le meilleur accueil
Aux arbres exilés de la forêt vierge;
Qui se retrouvent là à allumer
Des cierges,
Afin de prier à leur pérennité,
Dont ils terminent leur recueil;
Avec pour ultime mot qui effeuille
Le seuil qui décrit leur portefeuille,
Où les arbres écrivent sans modération
Sur une feuille morte leurs écueils.
Jérôme de Mars
Une case en moins avec un mort pion
1
4
_______________________ --------------------------------------
: Maux croisés : ( En faisant des maux croisés (
: J'ai une case en moins : ) les bras entrecroisés )
: avec un mort pion : ( si bien que je remplis la case (
:______________________ : ) )
2__5______________ --------------------------------------
: ( Où ainsi je joue bien ) :
: ) au morpion pour ( :
: ( que je sois casé ) :
: ) en portant ma croix ( :
6 : (________________) :
--------------------------------------------- _3___________________
( Dont je place le pion si je ( : Et qu'on me range :
) suis pion en faisant des maux ) : dans une case :
( croisés dont je suis un ( : afin de me recaser :
) simple mort pion sur l'échiquier ) : dans le morpion :
( avec une case en moins. ( : avec une case en plus :
-------------------------------------------- : _________________ :
Jérôme de Mars
Un artiste déambulant dans la rue
Sur un fil funambule
Qui ne tient qu'à un fil d'équilibriste !
Je marche vers l'inconnu !
Sans avoir à être conciliabule;
Tel un artiste déambulant dans la rue;
Errant avec sa griffe de chat sauvage errant
Et vendant à la sauvette;
Ses sornettes
De poèmes distributeurs de printemps
En ces temps difficiles,
Où tout le monde a une vie pas si facile !
En voulant liant !
Que les gens soient plus souriants !
Et riant dans l'absolu
Dans un monde rassurant
Et réassurant !
En prenant tout au second degré !
Dans ce monde devenu dissolu;
Comme un aimant qui va contre vents
Et marées avec dignité !
En parlant avec une voix de moussaillon
Et en fredonnant dans le microsillon
De cette France désenchantée !
Plutôt en chansons qu'avec des jurons !
Tel un artiste déambulant dans la rue;
Qui marche en route vers l'inconnu !
Malgré que personne n'a jamais su
Comment rendre le monde plus résolu !
Qui riment en poésies dans une bienvenue !
Bienvenue et salut les artistes éperdus !
Qui attendent leur salut et leur reconnaissance
Dans un grand concours d'éloquence !
Avec en séquences flash-back;
Davantage de fréquences come-back !
Sans play-back en vers l'inconnu !
Tel un artiste ambulant;
Irrésolu dans la rue.
Jérôme de Mars
Souffler sur les braises du vent
En allant plein d'allant;
Avec le temps !
Souffler sur les braises du vent
Permet de retarder l'inévitable;
En attendant un léger mieux
Du côté fabuleux vers les cieux !
Dès qu'un nouveau cap est surmontable !
En écoulant le sable du temps omniprésent;
Ayant un don d'ubiquité permanent
En embrasant les brûlures de l'histoires;
A enflammer des histoires d'amour notoires !
Au-delà la colère de l'océan qui se sent
A l'étroit de Gibraltar ! Puisqu'en épousant
Le courant du paravent; cela atténue
Les effets du temps qui tuent
Le cours du temps environnant !
En mode souffler sur les braises du vent !
A brûler à tous les temps le mistral fluctuant
De ses ecchymoses;
Qui nécrosent
Son tempérament bipolaire;
A ne savoir quoi faire !
A part flâner dans les rues;
A fouler le sol tondu !
Et qu'il faut bien sûr étaler bien entendu
Vis-à-vis du ciel parvenu et irrésolu !
Bien avant qu'un cortège anarchiste !
Passe au ciel déambuler
Vers le bistrot des artistes !
A remuer ciel et Terre et à pavaner
Sur la route du prochain débarquement,
Et embarquement à bord du Trimaran,
Comme dans un gâteau d'anniversaire,
Dont il faut souffler les bougies éphémères,
Si bien que le temps finit par s'essouffler
Sur les braises du vent.
Jérôme de Mars
Un poème nu comme un ver
A la manière de Jacques Prévert;
Qui parle de poèmes imaginaires
Du temps qu'il fait; en évoquant
La pluie et le beau temps !
En se mettant à nu
Et en écrivant les revers de la vie absolus;
Le poète maudit se met à nu
Dans un poème nu comme un ver,
Dont les vers lui mangent les vers
De ses poèmes en vers linéaires
Ou aléatoires;
En barbouillant avec du papier buvard
Sur la surface de La Terre;
A y regarder de plus près à l'intérieur
Pour voir ce que commettent nos congénères;
Qui génèrent des conflits interstellaires
En s'enivrant dans l'écume des vers;
Qui promettent mon émerveille souffleur
De vers en ce poème nu comme un ver;
Qui rime avec ce poète maudit qui crache
Sa colère; en soufflant sur le vent afin qu'il enterre
La hache de guerre;
En faisant relâche sans être lâche
Et en mettant une bâche,
De manière à protéger
Et à préserver sa poésie galvanisée;
Dans le désir dense de réconcilier
Les âmes esseulées et révoltées;
Dont le poète maudit
Achève ce poème ragaillardi
En vers salutaires; d'il est bien contestataire !
Ce poème qui tombe dénue comme un ver.
Jérôme de Mars
Joséphine Baker qui vécut au rythme des années folles...
Joséphine Baker innée; naquit en 1906 dans Le Missouri
Aux Etats-Unis, dès son état désuni
A cause de la ségrégation raciale; qui sévit
Dans ce maudit pays qu'elle ne porta dans son cœur;
Préférant chanter en chœur son amour de La France;
Son pays d'adoption et son port d'attache,
Mais c'est aux Etats-Unis qu'elle commença
Sa carrière prometteuse; qui ne rencontra
Le succès escompté, car trop prématurée dont
La raison fut le racisme envers la communauté
Noire Afro-Américaine, dont elle en fit les frais,
Elle ne supporta plus l'hostilité des blancs
Américains envers les Afro-Américains;
Regardés et épiés comme des chiens de faïence;
Etant donné la politique initiée dans ce pays
Ultra-conservateur; elle quitta en bateau
Les Etats-Unis destination La France;
Un pays sans frontières qui l'accueillit
A bras ouverts; elle; Joséphine Baker;
Le chantre de l'antiracisme pour une
Société plus évoluée et plus métissée;
En ayant été un fervent soutient
De Martin Luther King; en œuvrant
Pour la paix et l'amour de son prochain;
En bon Samaritain comme à La Samaritaine;
Avec en magasin Paris durant les années folles,
En vogue notamment avec le charleston,
Où elle réussit à percer en France; qui sera là !
La concrétisation et l'apothéose de sa carrière
Sur sa terre d'asile ! Avec en consécration;
Ses débuts en meneuse de revue
A Paris dans la Revue Nègre, où elle
Donna un spectacle avec des artistes;
Issues de sa communauté avec son légendaire
Déhanché; vêtue d'un pagne; auréolée autour
De la taille d'une ceinture de bananes;
Evoquant la savane vahiné de ses origines
Afro-Américaines, dont elle fut l'égérie
Lors de l'émancipation des femmes;
De laquelle elle trouva sa vitesse de croisière
En France, dont ce pays ne la mena
En bateau ! Mais vers l'eldorado
De sa vie d'artiste de danseuse; meneuse
De revue; actrice et chanteuse, où elle clama
Son amour de La France dans la chanson :
" J'ai deux amours "; surtout La France
En l'occurrence Paris; avec sa pléiade
De relations amoureuses; aussi bien
Avec des hommes qu'avec des femmes,
Dont l'écrivaine Colette; réputée dans
Le Tout-Paris; elle joua dans quelques films;
Tels que : "Zouzou " et " Moulin-Rouge ";
Et se fit l'amie des plus grands artistes
De l'époque, dont Line Renaud; elle exerça
Sa vocation d'artiste quasiment à la même époque
Que Duke Ellington et Louis Armstrong;
Elle; qui prouva que sa vie n'était pas si noire !
Mais qui pouvait également être bariolée;
Très haute en couleurs; elle; la femme de couleurs;
En fredonnant dans cette France enchantée;
Et réenchantée par sa présence scénique;
D'autres chansons emblématiques
De son répertorie hétéroclite et cosmopolite;
Telles que : " Sous le ciel d'Afrique "; Bésame mucho ";
" Paris mes amours "; " Donnez-moi la main ";
" J'attendrai "; " J'ai deux amours " et " Haïti ";
Et suite à sa fausse-couche; elle adopta
Douze enfants aux origines diverses
Et variées; confortant sa position de femme
Tolérante; atypique et philanthrope
Qu'elle logea dans son château en Dordogne;
Qu'elle venait d'acheter après en avoir
Eté la locataire durant une trentaine d'années;
Et pendant les dernières années de sa vie
Vraiment mouvementée; s'amorcèrent les années
Difficiles à la dérive entraînant des difficultés financières,
D'où elle en ressortit ruinée dont ses démêlés
Avec le fisc qui lui confisque son château;
Tellement criblée de dettes que pour
Sauver son château; elle travailla
D'arrache-pied en donnant une
Multitude de concerts en France
Et en Europe, pour lui permettre
De rembourser ses dettes
Auprès des impôts, mais malgré
Tout; elle perdit la jouissance
De son château, dont heureusement;
Elle put compter sur le soutien
De son amie : " Grâce de Monaco ";
Qui lui fournit un logement,
Pour qu'il n'y ait pas péril en la demeure !
Et qui l'invita à des concerts de charité à Monaco;
Jusqu'à sa fin de vie; qu'elle occupa à squatter Paris
Sur les rives gauche et droite de la scène,
Dont encensée par son déhanché et son
Jeu de jambe agiles; déployés de façon
Si souple et si extraordinaire qu'en récompense;
Elle reçut les éloges de la critique Parisienne
Dans un concert de louanges, mais usée
Par les rudiments de la vie d'artiste
En cette vie qui ne la ménagea guère;
Elle mourut dans les affres du 13ème
Arrondissement de Paris en avril 1975;
Presqu'à la veille de ses 69 ans
Des suites d'une hémorragie cérébrale;
Elle fut enterrée à Monaco; et elle
Fut tellement une femme ouverte;
Dévouée et accueillante qu'elle reçut
Les insignes de chevalière de la légion d'honneur;
Et suite à ses bons et loyaux services
Envers La France; en tant que résistante
Durant la seconde guerre mondiale,
Après qu'elle eut dénoncé à La France les ennemis
Nazis; le président Emmanuel Macron
En vint à prendre une grande décision;
En vue de faire rentrer le 30 novembre 2021
Prochain Joséphine Baker au panthéon;
Telle dans l'éternité du panthéon des
Artistes immortels; pour la remercier
De ses services rendus envers
La France, elle; Joséphine Baker
Qui n'eut pas une vie si noire !
Mais très haute en couleurs;
Tellement que Joséphine Baker;
La femme de couleurs;
Qui vécut et survécut au rythme
Des années folles... Avant la grande
Dépression; que provoqua son inoubliable
Disparition; rentrant d'office au firmament
Du paradis intemporel des immortels.
Jérôme de Mars
Les montagnes Russes
Revolver sur le qui-vive !
Ravive mon âme écorchée vive !
Tiré à bout pourtant !
Qui veut se retirer à bout portant;
Telles les montagnes Russes
Au je de la roulette Russe !
Un coup retentit en tombant
Bien haut ! Et tantôt resurgit
En remontant de très bas !
Tel un phénix renaissant
De ses cendres à cran;
Se faisant des sangs d'encre
En jetant cancre
De toute sa vie qu'il doit apprendre;
En remontant la pente
Pour y répandre
Qu'ancre sa vie qui est un parapente !
En volant dans le plus pur
Des hasards au contact
De la nature
Avec plus ou moins de tact,
Comme avec des papyrus
En écrivant les montagnes Russes;
En tombant de très haut !
Et en remontant de très bas !
Du chaos
Vers l'eldorado
Du nirvana !
En en faisant toute une montagne Prusse !
Telles les montagnes Russes
Et aléatoires de bris de couloirs,
Où sa vie est un véritable foutoir
Et dépotoir
Instable et pas toujours fréquentable !
Malgré ses fables affables
Et aussi ineffables,
Où rien n'est jamais acquis !
Pour lui mais à qui ?
Si pour lui c'est fortuit !
Dont la vie est un toboggan !
Qui ne prend jamais de gants
Avec lui en trébuchant
Du haut
Vers le bas !
Tels du trépas
Vers la magie des mots;
Tel ce poète maudit;
Qui se fait des soucis
A l'infini !
Telles les montagnes Russes;
Qui s'en font toute une montagne Prusse !
Du pire vers le meilleur
Et du meilleur;
Qui empire ailleurs
Pour retrouver sa splendeur !
Malgré que sa vie demeure
Un parapente,
Dont il en meure
A remonter la pente !
Sans cesse sur le qui-vive !
A ne savoir pourquoi son âme
Enflamme son slam !
Et le consume
De l'intérieur,
Dont il a du mal à dire j'assume !
Ma personnalité émotive !
Avec comme leitmotiv
Qui me motive !
A cran je le suis !
Dont j'essuie
Au je de la roulette Russe !
En en faisant toute une montagne Prusse !
Les montagnes Russes.
Jérôme de Mars
Des paroles dont on connaît la musique !
Auteur/parolier;
Le compte y est !
Sauf en musique,
Dont il manque acoustique
La musique pacifique !
En droits d'auteur;
Amateur et vendeur
De poèmes;
Ou de musiques de bohème;
Avec des paroles
Dont on connaît la musique !
A moins qu'il y ait l'âme poétique
Pour faire la farandole
En compte d'auteur
Et d'utilisateur;
Qui sèment
Du rêve
Durant la trêve;
En oubliant quelques temps
La mélodie qui traîne
Dans la tête pour la semaine;
D'un air chantonnant
En des paroles
Dont on connaît la musique !
Grâce à des airs symphoniques
Factuels qui vont voler les rossignols
Vers le haut ! En guise de rengaine,
Dont cette allure de bohème
Achève ce poème;
Qui respire un harem
Et le carpe diem
D'une pléthore de mots;
Qui respirent différents thèmes;
Qui tapent sur le système
Avec brio;
En des paroles
Sans bémol,
Dont on connaît systématique
La musique !
Jérôme de Mars
L'été en Provence; les arbres ont des cœurs de palmiers !
Direction les virages du Midi !
En Provence de midi au bout de la nuit
Sur la route des vacances;
Qui procurent une toute-puissance !
Avec pour décompresser
D'une année harassante;
Le temps de prendre quelques semaines
Haletantes et palpitantes,
De sorte de retrouver l'haleine
Durant des vacances délurées,
Dont l'été en Provence;
Les arbres ont des cœurs de palmiers !
Avec pour voguer sur l'eau
Une assiette bien dans son assiette;
Qui met l'eau à la bouche !
Avec une fourchette;
Qui louche sur la louche !
Pour boire les paroles des matelots
En fricotant autour de mots alléchés,
Dont l'été en Provence;
Les arbres ont des cœurs de palmiers !
En mangeant au grand déjeuner
Du midi;
De midi au bout de la nuit !
Des cœurs de palmiers
Avec des arbres aguicheurs;
Qui sanglotent sur les saules pleureurs !
En espérant des baisers sucrés-salés
Avant un bain de minuit !
A l'effigie de quelques orgies
Dans l'eau qui mijote de caresses !
Avec sur l'eau des prouesses;
Qui font l'amour
En rendant les jours dans du petit velours !
Dont l'été en Provence;
Les arbres ont des cœurs de palmiers !
Qui les démangent en cœurs de palmiers
Sur La Riviera;
Qui met ébat !
En prenant son pied ! Dont v'là la grandiloquence !
Et plus si raffinée !
Jérôme de Mars
Hippie hippie hourra
D'un vent de légèreté;
OTAN être en paix
Dans la fraternité !
Avec un goût de liberté;
Tel un hippie hippie hourra
En des éclats de joie !
Dans un appel
A la non-violence;
Qui serait source d'amour
De toute urgence !
En se recentrant sur l'essentiel;
Auquel chacun veut aspirer
En vue d'y récolter
De la bonté
Et de l'insouciance,
Comme OTAN de l'enfance
Du temps d'un vent de fraîcheur !
D'il était où le bonheur ?
En un hippie hippie hourra
A semer l'amour !
Et à faire l'amour !
En guise de bonjour
De filles de joie;
Qui valent le détour
En à quoi ?
De vouloir la paix intérieure
Avec la farouche volonté !
D'y insuffler de l'innocence
Et de la volupté !
Dans le souhait
De répandre une candeur
D'âme de quintessence;
En vue d'avoir de la tessiture
Pour y trouver sa voix !
Qui appartient à la bonne nature
De chacun ! Malgré
Que chacun au quotidien porte sa croix !
Au gré des choses instantanées;
De ce qui paraît un centre de gravité
Ou léger
En un hippie hippie hourra;
De grands éclats;
Qui procurent un peace and love;
Qui rénove
Les gens en profondeur;
Quelque soient leurs ardeurs
Et leur honneur !
Entre la première fois !
Et quelque fois la dernière fois !
En vue parfois et toutefois !
D'y rédiger
Sur une feuille écrite ses dernières volontés;
A inscrire d'office en priorité
Dans l'amour et le partage;
Telle est la vie et son adage !
Comme tout a une fin de tout son poids !
Dont OTAN que dure la vie à être en paix !
En fumant le calumet de la paix
Dans un vent de solidarité
Et de fraternité !
En faisant front contre l'adversité
Car faites l'amour, pas la guerre !
En un hippie hippie ultra hourra.
Jérôme de Mars
L'absence de ma mère me soûle...
Big Soul de vers;
L'absence de ma mère
Me soûle...
Elle; dans mes vers;
Et elle; dans sa mise en bière,
Alors que vivante; elle écouta
La soul
Des verres;
Qui dessoûlent
La bière;
Alors qu'en vin;
Elle s'essaya
Egalement au vin !
Pour se jeter dans le ravin
De la soûle,
Dont malgré tout;
L'absence de ma mère me soûle...
Dans ce vaste fourre-tout !
Où mes vers
A moi sont la somme !
De ce que ses verres sévères
A elle; m'assomment
Pour ma pomme !
Si bien que je mange une pomme
D'api ! Dont mon dépit
Fait que je jette une bouteille à la mère !
Qu'elle rejette à la mer !
Malgré que moi; j'ai pris
De la bouteille en m'enivrant
Dans mes vers !
Dont elle, elle s'est épris
De la bouteille au fond de la mer !
Dans ses verres de bière,
Dont maintenant; ma mère
Se soûle dans une mise en bière !
Dont en son souvenir à mère;
J'écoute encore de la soul,
En Big Soul;
Tellement que l'absence de ma mère me soûle...
Toujours autant
Depuis tout ce temps.
Jérôme de Mars
La clé à musique qui ouvre bien des portes !
Livraison-clé de ce poème
A destination des calembours;
Qui vont à Rocamadour,
D'où les paroles aiment
De la sorte !
Qu'il y ait la clé à musique
Qui ouvre bien des portes !
Métaphysiques que physiques;
Avec un do ré mi fa sol
Qui fait la queue
Sur un piano !
Parmi les sol grincheux;
A moins qu'il y ait un bémol !
Qui fait qu'il y a la clé à musique
Qui ouvre bien des portes !
Et qui a besoin de la sorte !
Que la poésie névrotique;
Lui administre du paracétamol,
Comme carburant
Pour jouer à fond la caisse !
Avec les amplis et la sono;
Qui agressent
Les tympans des gens !
Avec les mots mécanos;
Qui viennent de l'envers
Du dico
Qui diphtonguent !
En revers qui regardent
De travers !
The song !
Par mégarde !
En tong !
De la clé à musique
Qui ouvre bien des portes !
De la sorte !
Avant qu'il y ait des paroles fortes !
Qui montrent qu'il y a en vers
Des revers;
Toujours une ouverture d'esprit !
Envers les gens renfermés;
Torturés et cabossés
Par la vie !
Avec la preuve de la sorte !
Qui est dans son élément !
Alchimique et frénétique;
Qu'il y a la clé à musique
Qui ouvre en grand si bien des portes !
Jérôme de Mars
Le soleil et la pluie travaillent 35 h par semaine !
Journées de jours nés !
Chaque jour recèle d'heures !
A chaque jour suffit sa peine !
Et quand la pluie se repose;
Le soleil écrit des proses !
Dont la pluie pose !
Et le soleil dispose !
Avant la ménopause
De la pluie;
Et l'andropause
Du soleil;
Qu'il pleuve des voix de crécelle !
Ou que le temps essuie des mutineries !
Or que le ciel le veuille ou pas !
Il y a comme loi
En vigueur;
Innée et inopinée;
Le fait que le soleil
Et la pluie
Travaillent 35 h par semaine !
Et pas une heure de plus !
Et dont au moins en tonus !
Il n'y a pas une heure
En moins ! Avec pour RTT;
Un remède tout trouvé
A la réduction du temps
De travail,
Dont néanmoins; tout le monde
Se connaît dans le sérail !
Qui sonde
Les gens;
Si tout le monde consent
Ou suspend !
Le fait que le soleil
Et la pluie
Travaillent 35 h par semaine !
A chaque jour suffit sa peine !
S'il semblait si évident
Que le travail payait si bien !
Et était toujours
Une fête qui en valait le détour !
Dont avant leurs quarante jours
De vacances au soleil;
Le soleil
Et la pluie
Fonctionnent encore avec des si !
En dépit qu'il y a une embellie;
Qui ensorcelle
Le ciel dans sa carte vermeille !
Pour vivre bel
Et bien ! A l'issue d'une vie
Très vieille !
Dans laquelle à partir du dernier
Quart d'heure
Américain et Armoricain !
Et bien manichéens !
Le soleil et la pluie ne travailleront
Plus 35 h par semaine !
Mais battront en retraite !
Avec leurs bas de laine !
En quête d'une requête
De quiétude; avec en ultime RTT
A leur retraite ! Reprends ton travail !
Avant que le soleil
Et la pluie
Soient sur la paille !
Dans un resto courte paille !
Dont leur unique embellie
Et éclaircie;
Viendra du fait que l'amour
Est dans le pré !
Au soleil et à la pluie;
Déjà sur la paille !
A condition sine qua non
Que le soleil et la pluie
Travaillent encore un peu !
En faisant le dernier quart d'heure
Américain et Armoricain;
En récupération
De leur temps de travail record,
Dont c'est encore hardcore
Le même refrain
Qui se joue chaque matin !
Jérôme de Mars
Ce poème me mène en bateau !
l 6) De la nouvelle vague; je vire de bord 7)
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c 10) Dont ce poème me 11)
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12) En b
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ù s 13) T a u x .
1) Vague à l'âme; je vogue sur l'eau comme tout tombe à l'eau mais dont avec mon
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2) Mal de mer; ma vie n'est un long fleuve tranquille sur l'eau comme un poisson
______________________ ------------------------------------------------------------------- _________________________________ ____________________________ _____________________________ _____________________________ -- -- ---- ----- _________ _________________________________
______________________________________________________________ _________________________________________________________________ ________________________________
Jérôme de Mars
Poème traits tirés par les cheveux !
__________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
______ Poème traits tirés par les cheveux ! Je n'ai plus de cheveux ! __________
___________ Dont je suis chauve un dans ce poème très tiré par les cheveux ! _
________________ __________ Dont mes cheveux me cherchent des poux__
En vers les époux des lentes chutes de mes cheveux à force qu'avec mon peigne _ Très décoiffant; je __________________________________________ _________________________________________________________________ __________________________________________________________________________________________________________________________________________________ Me fasse des cheveux et que je me fasse très décoiffé ______ _____________________________________________________________________________ Des shampooings traits étirés par les cheveux dont je suis très étiré
Par les cheveux qui me cherchent des poux époux de par mes lentes chutes de __ __________________________________________________________________________Mes cheveux qui se jouent d'un cheveu avec un cheveu dans la langue ___________ Dont en chauvin; je suis chauve un poème traits tirés par Les _____ Cheveux ! _________ _______________ ____________________ Dans ma Chute de cheveux très tirée et très étirée par les cheveux de mes cheveux dans le Vent et tiret ! _______________________________________________________ __________________________________________________________________ ________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Jérôme de Mars
La vie est un paradis artificiel !
Essentielle avant d'aller au ciel !
La vie est un paradis artificiel !
Tel un paradis d'enfer !
A la fois salutaire et délétère;
Avec des relations d'amitiés;
Superficielles et artificielles;
Ou des vraies amitiés essentielles !
Où les gens ont soit le choix !
D'être des bourreaux de la rancœur !
Ou soit d'êtres des bourreaux des cœurs !
Avec leur bureau des cœurs !
Dont soit la vie est un coma artificiel !
Ou semi-coma artificiel !
Ou soit la vie est un paradis artificiel !
Tel un paradis d'enfer !
A base de médicaments comme paradis artificiels !
Alors que le meilleur médicament; c'est un paradis au soleil !
Afin que la vie demeure un paradis essentiel !
Avant que la vie meure dans un paradis au ciel !
Dont il profiter de la vie en allant au septième ciel !
Pourvu que ce soit essentiel et en accord par ciel !
Dont la vie est un paradis artificiel !
Avant d'atterrir au paradis salut terre !
Et dont ce sera on l'espère !
Un paradis avec davantage de lumières !
Dont la vie sur Terre est comme un coma partiel !
Avant d'atterrir dans un coma par ciel !
Dont la vie qui quitte La Terre;
Passe d'un paradis d'enfer artificiel et superficiel
A un paradis essentiel !
En allant au ciel salutaire et débonnaire !
Dont la vie reste un paradis d'enfer un paradis et sans ciel !
Jérôme de Mars
Il y a des tempêtes qui jettent un vent !
Moulins à vent;
Qui mettent de l'eau
Au moulin évent !
Par-dessus les trémolos;
Il y a des tempêtes
Qui jettent un vent !
Dont le vent
Chasse la pluie !
Par des confettis
Le temps d'une embellie;
Avec un droit à l'oubli
Le temps de quelles heures;
Avant que la vie
Reprenne ses laideurs;
Sa laide heure;
D'où pour que le temps
Hébète et végète
L'âme des gens
Torturés et offusqués
Par la vie et ses aléas;
En attendant
Qu'il y ait à nouveau
Des éclats;
Il faut admirer
La beauté des océans !
Avant qu'il y ait un vent;
Aimant dans son élément,
Dont il y a des tempêtes
Qui jettent un vent !
Au vent et vlan !
Y a le soleil qui rouspète !
Tellement que le temps;
Embête la vie en tourments;
Avec des moulins d'à vent !
Qui vont à vau l'eau !
Au fond du ruisseau !
A écouter l'eau
Et ses sanglots;
Qui déchantent
Leurs vers déviants !
Et fientes !
Dont et vlan !
Au-delà du vent !
Et grâce à la rose d'Evian !
Il y a encore bien des tempêtes
Qui jettent un vent !
En contant fleurette.
Jérôme de Mars
Le salon de thé surréaliste des peintres impressionnistes
Déjeuner sur l'herbe;
Avec le haut verbe !
Il y a le salon de thé surréaliste
Des peintres impressionnistes
Et hédonistes;
Qui mettent le cœur à l'ouvrage
Avant que leurs œuvres
Se vendent dans le passage
Des clients mangeant des hors-d'œuvre;
Avec à la manœuvre
Le fait de devoir encore;
Et encore
Toujours avaler des couleuvres
De vernissages ;
Tel Edouard Manet;
Qui peint
Et repeint
Les paysages
De la maison de Paul Cézanne,
Quand Cézanne peint
Les parpaings !
De la forme
Malgré tout dans un fond conforme;
Avec pour prodiges qui les accompagne
Auguste Renoir;
Qui peint sa vie parfois avec sa compagne;
Qui est de l'intérieure très noire
Et à cran;
Dans un écran
Très plat
De cinéma;
Tel son fils Jean Renoir,
Comme Van Goh bipolaire
En tant que maniaco-dépressif,
Dont il coupa son oreille cassée
Et tracassée par les rudiments
De la vie qui lui en fait voir de toutes les couleurs;
Pastelle de tourments;
Qu'il manie tel un génie
Dans son art si expressif;
Avec des tournesols
Qu'il plante-là sans bémol !
Pour envoyer des fleurs
Soit à Honfleur;
Ou soit à Claude Monet
Qui rend la monnaie
De sa pièce;
En buvant aux déboires
Des artistes maudits;
Dans le salon de thé surréaliste
Des peintres impressionnistes;
Tels des artistes ébénistes
Qui n'ont la langue de bois !
Mais un pinceau aux émois;
Osez-moi me le dire que vous voulez
Siroter un thé au café du commerce !
Où tous les talents s'exercent;
Si jamais le café; c'est votre tasse de thé !
Entre exutoire
Et une vie dérangée au cimetière
Des artistes déchus;
Qui ne furent pas toujours reconnus
De leur vivant,
Mais une fois reconnus dans le néant;
Même si Picasso fit des figures;
Qui configurent
Des formes géométriques
D'arts graphiques,
Dont Pablo Picasso fut systématique;
Un parfait connaisseur symptomatique
Et automatique
De sa technique
Cubiste; en étant très carrée
Et en s'enivrant dans l'écume
De l'amertume,
Où tous les artistes anticonformistes;
Qui s'assirent sur la piste
Dans un déjeuner sur l'herbe
Avec des génies en herbes;
De jeunes et de vieux pousses;
Levèrent leur pouce
Vers le salon de thé aromatisé
Des artistes surréalistes,
Avant d'aller rejoindre à Toulouse
Toulouse-
Lautrec; si jamais il a des nouvelles
De Marc Chagall;
Frugale avec sa fringale,
Dont depuis leur nature morte
Depuis qu'ils sont morts;
Mes vers les mangent tous crus;
Accrus dans une décrue
De leurs corps de poussière;
Au cimetière
Des antiques reliques esthétiques,
Comme des momies,
Dont qu'ils soient vivants !
Ou morts-vivants dans le néant
De leur nature morte,
Autant que la vie soit plus forte
Que tout en sortant du cadre !
De ces portraits de génies;
Du concret à l'abstrait !
Tel est le point fort !
En guise de Serge Gainsbourg !
Qu'on peut maintenant
Voir en peinture !
Et qu'on préfère
Dans cette nature;
Dans ce registre-là
Sans blablas !
Où chacun donne le là !
Dans un déjeuner sur l'herbe;
Entre artistes anticonformistes
Et atypiques,
Où le climat semble tropique
Jusqu'à ce que sonne le glas;
Du salon de thé surréaliste
Des peintres désormais sûrs réalistes.
Jérôme de Mars
Une fleur qui gratte son bouton d'or
D'un bouquet de fleurs !
C'est le bouquet qui effleure
Une fleur qui gratte son bouton d'or,
Dont le bouton dore et redore
Son blason en grattant
D'un air de guitare des chansons;
Qui trémoussent le bas des reins;
Outre-courant
Du Rhin;
Qui se déhanche et bouge
Son corps complètement raccord
En battant tous les records,
Dont c'est le bouquet à fleur
De peau qui effleure
Une fleur qui gratte son bouton d'or;
En grattant avec sa guitare son bouton
En chansons; sur le fil de chaque saison
En communion
Dans le folklore;
Qui arrive en renfort
Dans une vie en rose;
Avec un piaf qui édite
Des oiseaux chantant
Leur concert de louanges
Au zénith; qui crépite
L'eau qui remonte à la source
Lors de la course
Des fleurs; qui effleurent
Des vers de mots;
Qui ont leur overdose;
Qui arrange
Leur vie en rose
Grâce à une fleur;
Qui gratte son bouton d'or
En écoutant les chansons,
Dont c'est le bouquet !
Qui effleure le bouquet
De fleurs au troquet !
Dans un défilé
De fleurs qui effleurent
Une fleur qui gratte son bouton d'or;
Et qui adore
Le cœur des fleurs;
Qui s'entiche
De la friche;
Qui donne de la couleur
En reprenant des couleurs,
Dont c'est un beau bouquet
De fleurs !
Quand c'est le bouquet !
Qui effleure
La nostalgie des accords
Passés et trépassés;
Telle une fleur qui finit de gratter
Son bouton d'or qui redore.
Jérôme de Mars
Peut-on tout dire en France avec la liberté d'expression ?
Comme le martèle l'expression !
La liberté des uns commence
Quand s'arrête celle des autres !
En sachant cela selon vous;
Peut-on tout dire en France
Avec la liberté d'expression ?
En évoquant les sujets sensibles
Que sont la politique; les ethnies;
Le sexe et la religion; tel dieu donnait !
Comme Dieudonné avec
Ses dérapages suite à
Ses propos antisémites !
Où l'on se demande
Même si on a les yeux bridés !
Peut-on tout dire en France
Avec la liberté d'expression
Et les yeux débridés ?
Ou doit-on filtrer certains
Propos qui pourraient
Heurter certaines personnes
Concernant les communautés
Auxquelles elles appartiennent ?
Quitte à prendre un café
Avec un filtre pour modérer
Ceux qui franchissent la ligne
Jaune en commettant des
Péchés à la ligne sans filet !
Quitte à prendre des risques
Avec la loi et la justice !
En mangeant des amendes
Honorables; à votre humble
Avis; peut-on encore tout
Dire en France avec la liberté
D'expression ? Et à votre
Avis; la censure est-elle
La meilleur solution idéale ?
Et aussi à votre avis selon
Vous ! Est-ce que Gainsbourg
Sous ses côtés rebelles
De Gainsbarre; pourrait-il
Encore sortir aujourd'hui
Dans notre époque actuelle !
Ses chansons polémiques;
Telles que : " Love On
The Beat " et " Lemon Incest ";
Qui en leur temps furent
Très avant-gardistes;
Et est-ce-qu'à votre avis
Egalement et légalement;
Gainsbourg pourrait-il à
Nouveau brûler un billet
De 500 Francs en
L'occurrence environ
75 Euros de nos jours,
Et faire ses frasques à la télé,
Comme avec Whitney
Houston en direct !
Et selon vous ! A
Votre avis; Coluche
Pourrait-il faire encore
En ce moment !
Ses sketchs sur le racisme
Et les préjugés
Concernant les communautés
Ethniques; politiques; sexuelles
Religieuses et sociales aujourd'hui ?
Car dans les années 80;
Ce fut un climat social
Assez progressiste !
Avec la libération de
La parole et des tabous;
En œuvrant davantage
Pour plus d'ouverture
D'esprit; trouvez-vous
Que dans notre monde
Actuel que La France
Régresse ? Car
Maintenant en
France ! On ne
Peut plus rien dire !
Le moindre propos
Tenu et porté; est
Déformé de son
Contexte ! En prenant
De telles proportions; en
Renvoyant le tout
Vers les pires périodes
Sombres de notre histoire !
Dans la France
Des temps modernes !
Tout est aseptisé !
Trouvez-vous aussi qu'à
L'époque que Charlie
Hebdo a été trop
Loin avec les caricatures
De Mahomet ?
Trouvez-vous que
La France se redirige
Petit à petit vers les mauvaises
Heures de son passé obscur
Et nazi ! Comme au temps d'Hitler
Par le biais de l'antisémitisme ?
Autant que dans une dictature
De pensée unique et de marche
A l'ancienne du monde ?
Et enfin pour clore
Ce débat ! Même que
Tout le monde s'en débat !
Peut-on encore vraiment
Tout dire en France avec la
Liberté d'expression
Sur fond d'impression ?
Jérôme de Mars
Cher ciel ! Tire une flèche avec ton arc en ciel !
D'abord ! Une aquarelle
Dans le ciel !
Dessine un bonheur
Sans nuages à l'horizon
Avec de bonnes humeurs,
Comme si le ciel
Fumait la vapeur
Des nuages !
Et dont les nuages
Dans les parages !
Tous en rond !
Et rubiconds !
Proclament au ciel;
Cher ciel ! Tire une flèche
Avec ton arc en ciel !
Pour redonner la pêche
Aux gens;
Empreinte de couleurs,
Comme quand il y avait
La flèche sur la Cathédrale
Notre dame pour annoncer
L'heure de la réalité !
Certes ! Pas toujours magistrale !
Tandis quelque fois trop solennelle,
Dont tout le monde !
Tous en rond !
Et rubicond !
Clame au ciel;
Cher ciel ! Tire une flèche
Avec ton arc en ciel !
Afin de vendre la mèche
Que le ciel est très étiré;
Les cheveux dans le vent !
Où seul, ton arc en ciel;
Permettra de redorer le blason
Du ciel !
Avec de petites parcelles;
De par celles;
Qui leur font tourner
Les yeux de la tête en chantant
Des ritournelles universelles
Dans le ciel !
Dont en lisant le journal
Le monde; les gens !
Tous en rond !
Et rubiconds !
Déclament en chanson
Au ciel;
Cher ciel ! Tire une flèche
Avec ton arc en ciel !
Pour soutirer le meilleur
Des quatre saisons
En élucubrations;
A chaque parfum de l'âge
De raison !
Dont ensemble le ciel;
Demeure plus fort
A l'unisson
Dans un folklore !
Où tout tombe à l'eau
Dans du chlore !
Pour éclore
Des tourterelles
Et des hirondelles
Dans le ciel !
Avec pour scander;
Des répliques sèches
Qui fusent en noms d'oiseaux,
Dont tous les oiseaux !
Tous en rond !
Et rubiconds !
Réclament au ciel;
Cher ciel ! Tire une flèche
Avec ton arc en ciel !
Pour changer des chansons
Très sèches
En des poèmes davantage
Ménestrels; qui ruissellent
Le ciel de bluettes
Et de chansonnettes;
Avec au bout des chansons
Nettes; l'heure
De retomber les pieds
Sur taire ! Ayant
Pour singularité
De rassembler tout le monde;
Qui bonde et abonde
Ok ! Et qui acclame !
Tous en rond !
Et rubicond !
Au ciel universel;
Cher ciel ! Tire une flèche
A bout portant
Avec ton archange ciel !
Jérôme de Mars
Des vaches enragées qui en des pis font meuh !
Steppes qui ont mangé de la vache enragée;
Il y a des vaches enragées qui en des pis
Font meuh !
Vu que tout le monde suit le troupeau
Dans les pâturages à brouter l'herbe !
Et à envoyer paître les génies en herbe
Par le verbe acerbe;
En s'coupant l'herbe sous le pied !
Des vaches enragées qui en des pis
Font meuh !
Et dont ça émeut !
L'étoile du berger !
Qui en tétée
Et entêtée;
Boit les mots
Dépits !
Des vaches enragées qui en des pis
Font meuh !
Et dont ça émeut
Leur sacrée vache enragée
Qu'a le berger;
Qui grâce aux quatre points cardinaux;
Trouva pour points subliminaux
Les joyaux de la direction !
En direction du vent vers les pérégrinations
Des vaches enragées qui en des pis
Font meuh !
Et dont ça émeut !
La transhumance
En itinérance;
En en faisant toute une montagne
A travers un journal de campagne,
Dont l'amour est dans le pré !
Avec en champ d'action
Une petite maison
Dans la prairie,
Dont le point d'inclinaison;
A pour débit
Un dépit,
Dont ça émeut !
Des sacrées vaches enragées
Qui en des pis
Font tout le temps meuh !
Jérôme de Mars
Cher soleil; console la pluie pour qu'elle arrête de pleurer !
Météo qui fait la pluie et le beau temps !
C'est le temps à la grenouille !
Qui barbouille le ciel et sa fripouille
A tous les temps qui remontent auparavant !
Depuis tout ce temps que la pluie émeut
Sur un long fleuve
Guère tranquille le ciel et ses yeux !
Face au soleil !
Qu'il fasse beau ou qu'il pleuve !
Et dont le ciel ordonne en divinité
Au soleil;
Cher soleil; console la pluie
Pour qu'elle arrête de pleurer !
Toutes les larmes de son karma endolori;
Or, il y a bien une solution !
Quitte à se remettre en question !
Pour que le soleil et la pluie
S'allient amis de l'accalmie au dépit,
Dont avec l'injonction du ciel
Au soleil
Depuis le royaume des paysages naturels;
Cher soleil; console la pluie
Pour qu'elle arrête de pleurer !
Quitte à rester éploré
Le reste de sa vie !
Qu'il y ait ou pas une embellie !
A survivre ou à vivre à l'arrachée
Du temps qui fait des ravages;
Avec le temps; de la jeunesse
A la vieillesse,
Dont la vieillesse est un naufrage !
En passant le temps à chaque étape
De la vie; qui a bien besoin que le ciel
La retape cap
Vers le pays sensationnel !
Au charme sensuel;
Du soleil et de la pluie
En galante compagnie;
Et dont le ciel ordonne en ultime divinité
Au soleil;
Cher soleil; sur un je de console;
Do ré mi fa sole
De tes paroles
Sans bémol;
Console la pluie;
Pour qu'elle arrête déplorer !
Jérôme de Mars
Un ciel bleu oranger contrasté
Pluie qui fait grise mine !
En faisant la pluie
Et le beau temps !
Pourvu que se termine
Et s'achemine
Dans un bleu éclatant
Exaltant du firmament;
Un ciel bleu oranger contrasté
Dans une alternance mitigée;
A la fois de soleil
Et de pluies de crécelle
De vaisselle de porcelaine;
Qui chantent avec leur rengaine
Le temps à partager !
Entre dégâts sinistrés
Et soleil réchappé
En un ciel bleu oranger contrasté
Qu'il y a à chaque fin de journée !
Car à chaque jour suffit sa peine !
Entre soigner la pluie et ses dégâts !
Et le soleil qui donne des éclats
Chez les gars et les demoiselles;
Qui voient de leurs prunelles
Un ciel bleu oranger contrasté;
Entre douleurs d'une vie
De labeurs et une accalmie
Avec des p'tits bonheurs !
Au quotidien conjugués
De ferveur et de candeur
Dans une volupté;
Disséminée par des graines
De saveurs pour y semer
Un beau ciel bleu oranger contrasté
Jusqu'au jardin d'Eden;
Qui signifie tout un amour
Qui vaut le détour
Dans un élixir vers le ciel;
De la lumière à l'ombrelle
Avec pour chanterelle;
Des parcelles qui prient
Dans une chapelle !
Pourvu qu'il y ait la paix
Universelle grâce au Missel
Dans le ciel !
A partager mitigé
En un ciel bleu oranger contrasté.
Jérôme de Mars
La machine à notes !
A la tombée de la nuit !
Surgit la métaphore
Des morceaux de musique;
Qui jouent della notte;
Telle la machine à notes !
Qui piano; joue du métal fort;
Qui s'frotte
Vers les chansons rythmiques;
Avec pour mimiques;
Des numéros uns
De demain;
Qui notaient
La machine à notes !
Qui tape des notes salées
A mers; dessalées le jour
En mots de troubadour;
Qui promettent des ricochets
En reflets de clapotis
Sur l'eau
De larmes de cristaux;
Telle la machine à notes !
Qui s'connote
A un esprit aventurier
Et flibustier
Avec des inconditionnels;
Qui piratent des chansons plurielles;
Telle la machine à notes !
Qui grelotte
En mots d'hiver de marmottes;
Avec pour bémol
Des mots sans paroles,
Dès la farandole
Qui capte
Grâce à la parabole;
La machine à notes !
Qui gratte
Avec une guitare !
L'art della notte;
Qui écorchait
Et notait grâce à démos;
Des mots;
Qui montent illico crescendo
Avec à l'arrachée
Des maux invertébrés,
Dont la colonne cérébrale;
Tient
Et soutient
Une colonne vertébrale;
Qui rentre dans les annales
Originales, dont le résultat final
Est une spirale
Dans un carnet à spirales !
De face frontale et fatale
Grâce aux mots qui s'frottent !
Tels d'untel à untel;
La machine à notes !
Jérôme de Mars
Accès de colère !
Même que je ne vais plus à Cavalaire !
Je cavale l'air !
L'air de rien !
Débonnaire en vers les humains,
Dont malgré parfois de gentils vers;
J'ai des revers d'une main !
Avec un accès de colère !
Rongé par mon frein;
D'assez de colère !
En ayant la dent dure !
D'une rage de colère,
Dont je décolle l'air !
Sans que je décolère !
Qui configure
Un abcès de colère !
Profond et moribond
En sortant de mes gonds !
Et furibond en faisant des bonds
Dans un accès de colère !
Avec pour mauvais airs
Assez de colère !
Qui me ronge d'un abcès de colère !
Où j'en ai marre de toujours
Regarder en arrière
Au lieu d'aller de l'avant !
En foulant un nouveau tour
Sans avoir une rage de dent !
Patibulaire et crépusculaire,
Où je suis obligé sans cesse;
De mettre
Des œillères
Pour ne plus voir l'hiver
De mes colères,
Afin d'ouvrir les fenêtres,
De sorte de respirer la quiétude
D'un nouvel air;
En liesse
Et en faisant l'étude !
Sans que j'élude
Pourquoi je fais un drôle d'air !
Parfois en cohérence;
Avec mes vers
D'irrévérence,
Alors que j'aimerai débonnaire;
Ne plus avoir un accès de colère !
Rongé d'assez de colère
En un abcès de colère !
Si bien que j'aurai des bons airs
A écrire salutaire
Dans un nouveau slam populaire,
Duquel je décolle l'air !
Et je décolère !
Avec aucun accès de colère !
Jérôme de Mars
Même en mangeant des petits pois; j'ai pas un petit poids !
Poids chiche !
Même en mangeant
Des petits pois;
J'ai pas un petit poids !
Même avec des pois chiche !
D'où le poids de mon fardeau
A prendre à la légère !
Même que c'est du lourd !
Et que je m'en balance !
De la balance électronique !
D'où je m'élance
Et ben mince !
Car même en mangeant des petits poids;
J'ai pas un petit pois !
Petits poids chiche !
Même avec un petit pois chiche !
D'où en gros;
Même que je suis gros !
Je m'en fous !
Que ce soit dans la pêche
Au gros !
Ou en ayant la pêche en gros !
D'où pourvu qu'en gros !
Je ne sois gros !
Sans que je m'en balance !
Si je veux surtout prendre à la légère
Tout le poids de mon fardeau !
Dont même en mangeant
Des petits poids !
Pourvu que j'ai un petit poids
Pour que je m'élance !
En faisant le poids-plume
De ma plume !
Avant qu'elle me plume
Ben mince !
D'où en faim; je redeviens
Mince !
Comme j'aime si bien avant !
Le poids de mon fardeau !
Que je peux reprendre enfin
A la légère !
Dont en gros; je m'en balance
D'avoir été si gros !
En gros !
Dont heureusement en mangeant
Des petits pois: j'ai dorénavant
Retrouvé un petit poids !
Jérôme de Mars
Nos nuits parallèles et chronophages
Instant de pénombre;
De la lumière à l'ombre !
Où nos côtés sombres
S'exacerbent en nombre;
Durant nos nuits parallèles
Et chronophages;
A n'importe quel âge !
De la vie qui s'affaisse
Dans nos lits de paresse !
Où la nuit; il nous manque
Une caresse !
Comme être par être
Dans une planque
D'allégresse qui monte en liesse !
Alors que la nuit;
Nous met de la peine
Au cœur ! Tellement qu'on est seuls !
Même qu'on boit un tilleul
Sur notre fauteuil !
En pensant à l'aïeul qui réfrène
Notre colère envers ses maladresses !
Tellement qu'il est vieux vu son âge !
Durant nos nuits parallèles
Et chronophages,
Comme si on était au Triangle
Des Bermudes !
Et qu'on s'étrangle
Dans nos vies de solitude !
Tel un triangle isole celles
Nos vies !
Dont la seule sangle;
Serait une chanterelle
Pour chanter nos tristesses !
En une mélodie du fruit
De notre génie !
Durant nos nuits parallèles
Et chronophages,
Où le temps paraît si long !
Lors de chaque naufrage
A l'orée de chaque saison !
Pourvu qu'on s'éprenne
D'une vie à aimer
Chaque semaine !
Et dont pour aérer les esprits;
Ouvrons les fenêtres !
Pour changer notre mal-être
En un nouvel air champêtre !
Qui ira paître
Et brouter les gazons maudits !
Sans se couper l'herbe sous le pied !
Durant nos nuits parallèles
Et chronophages;
Avant de fermer cette page !
Et de démarrer une nouvelle page
Avec vue vers la clarté !
Et de joies incommensurables !
Pour déguster tous ensemble
Autour d'une table !
A raconter ce qui nous rassemble !
Entre personnes très fraternelles;
Qui s'apprécient très formelles
Et très solennelles
Jusqu'au grand âge !
Durant nos ultimes nuits parallèles
Et chronophages.
Jérôme de Mars
Les hirondelles volent les ailes des tourterelles !
Avec les libellules
Pour bien leur faire avaler la pilule;
Les hirondelles volent les ailes
Des tourterelles !
En écoutant des mélodies de ritournelles;
Qui pullulent
En même temps que leur nuit somnambule !
En tâchant de ne perdre le fil funambule !
D'où en ménestrels;
Ils écrivent des paroles de leur reflet corporel
Dans l'irréel !
Dont les hirondelles volent les ailes
Des tourterelles !
En attendant le mot spirituel
Avec pour rituel !
Des envolées lyriques qui font des émules
Dans le ciel !
Quand l'arc en ciel
Balaie dans le ciel les nimbus !
Qui prennent dans leur imaginaire le bus,
D'où les hirondelles volent les ailes
Des tourterelles !
En faisant chanter les âmes désespérées
Des drôles d'oiseaux qui se plaignent persécutés;
Et se complaisent dans leur blues désabusé !
Pour donner raison à cette France désenchantée,
Alors que donner oraison à une France réenchantée;
Revient à raviver les ritournelles !
Dont les hirondelles volent de leurs propres ailes
Attire d'aile les ailes des tourterelles !
Jérôme de Mars
Un pavé dans la mare où il n'y a que dalle !
Logé à la même enseigne que DAL !
Il y a un pavé dans la mare
Où il n'y a que dalle !
Qui amarre !
Dès qu'il regarde Paul Amar !
En se ruant dans les ruelles
Avec une truelle,
Afin que tout le monde soit logé
A la même enseigne !
Et soit délogé !
De sorte que s'imprègne
Le mouvement contestataire
Dans la rue qui prospère
Face à la colère que DAL !
Où il y a un pavé dans la mare
Où il n'y a que dalle !
A part cimenter l'amour;
Compartimenté dans du lourd !
Comme la chanson de Renaud;
Laisse-béton !
Malgré un dossier en béton
Armé; en regardant Paul Amar !
Dont je jette l'encre quand j'amarre !
Un pavé dans la mare
Où il n'y a que dalle !
Malgré l'impuissance que DAL !
Et les ruelles;
Qui semblent une façade
Dans leur forme rebelle !
Alors que le fond est en rade !
Tel un peuple en perdition !
Qui bâtit sa colère dans l'insoumission;
Avec pour mission de remuer que DAL !
Pour qu'il y ait un pavé dans l'amarre !
En regardant Paul Amar !
Dont le pôle amarre !
Où il n'y a que dalle !
Mais toujours plus que DAL !
Jérôme de Mars
Marcel habite à Marseille !
De l'ombre à la lumière !
Dans sa chaumière;
Marcel habite à Marseille !
En portant un marcel;
Et en bronzant au soleil !
En ayant dans sa main
Sa carte vermeille !
Avec à son escarcelle;
Un bas de laine bourré d'oseille !
Dont il a de quoi tenir
Plusieurs lendemains
Pour se faire plaisir
Ce sacré Marcel;
Luit qui habite à Marseille !
Et qui s'prend souvent un savon
De Marseille !
Lui; qui a l'âge de raison !
Dont chauffe Marcel !
Au soleil !
Dont tu gardes en mémoire
Tout ton oseille !
Avec ta voix poissonnière
Qui hurle ta colère
De ta voix de crécelle !
Comme Marcel Habite à Marseille !
Et dont il dépucelle
Toutes les demoiselles !
Dans un sacré bordel !
Lui; ce sacré Marcel !
Qui porte toujours le même marcel !
Dans sa ville préférée de Marseille
Face au soleil !
Agé comme sa carte vermeille !
En buvant les paroles du Missel
Avec parfois des étincelles !
Dont il vivra à Marseille
Jusqu'à la fin de sa vie en ritournelles !
Car chauffe Marcel !
Le soleil à Marseille !
Avec tout ton oseille !
Qui clame ta parole d'argent
En ta mémoire !
Pour boire à toute ton histoire !
Sacré Marcel !
Qui s'emporte éternellement
Avec le même marcel !
Dont la vie est un sacré recommencement !
N'est-ce-pas sacré Marcel ?
Dont il vivra bordé d'hirondelles
Jusqu'à s'envoler au ciel !
Avec les tourterelles !
Car Marcel habite avec son marcel
A Marseille !
Jérôme de Mars
Le film de ma vie !
Trame de cette histoire !
Qui m'intrigue;
Je me demande
Ce qui se trame !
Si je quémande !
Et que je divague !
Sauf si j'irrigue
Avec un abreuvoir
En me faisant des scénarios !
Si jamais je me fais des films !
Avec une bande de négatifs,
Dont l'objectif
Est que je sois acteur
De ma vie !
En bon vieux amateur
De la genèse de mon histoire !
Vu ce qui se trame !
De ce que je réclame !
A la hauteur de mon drame !
Genre mélodrame !
Ou méli mélodrame !
Dont le film de ma vie !
Est que je joue si bien
Le rôle de ma vie qui dévie
Sur un autre trottoir !
Objectif notoire !
Sans que ça dévoie
De sa trajectoire !
Dont l'objectif
Avoué est de faire entendre
Ma voix !
Pour me détendre,
Si jamais je me crée
A l'arrachée
De nouveaux scénarios !
Dont le fin mot
De l'histoire !
Est que même si je me fais
Des films !
Et bien ! Je réalise
Le film de ma vie !
Que j'idéalise !
Malgré que ce n'est
Pas du cinéma mon état !
Même que je sois acteur
De ma vie !
Avec pour fil conducteur
Cette trame !
Vu ce qui se trame !
Dont malgré le drame
De jouer si bien
Le rôle de ma vie !
Me voici assis
Sur mon strapontin !
Et v'là le moment
De me détendre !
En prenant pour témoin
Ce fameux instant !
Pour prendre congé
De vous ! Dont action
Moteur en interaction !
Ca y est !
C'est pour toute la vie !
Le film de ma vie !
Jérôme de Mars
Et pends !
à tes dépens dont tu répands et suspends
r ! P
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F deux pends si tu te pends et tu
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Et pends tu dépends de la
Jérôme de Mars
OK Chorale !
Chère France désenchantée !
Toi qui as si souvent fredonné
Et chanté
Tout ton amour de la liberté !
Pour un phare Ouest;
Eclairé par un phare Breton !
Alors que maintenant !
Dans le désamour !
C'est un règlement
A OK Choral
En plaint Far West !
Comme dans un western-spaghetti,
Où tout le monde met le revolver à la pâte !
Afin que ça épate !
Ce qu'il y a de plus bas chez l'être humain
Sans frein !
De manière à faire payer
Aux gentils, de pourquoi ils ne deviennent méchants !
En rentrant dans le rang des mécréants !
Alors que même si tu es désabusé !
Dans cette France désenchantée !
Chante avec ta communauté !
Qu'il faut tous s'aimer dans la fraternité;
L'amitié; le respect et la loyauté !
En chantant l'amour de la liberté !
Ainsi; pour entonner une France enchantée
Et réenchantée !
Et bien !
Joins-toi avec tes copains
A notre chorale !
A OK Chorale !
Pour fredonner en paroles musicales; amicales
Et familiales
Cette France enchantée !
Que tu veux réenchanter empreint
Temps en prenant le temps
De chanter des paroles écrites !
Dont tu veux tenir ces paroles que tu édites !
En respectant ta parole donnée
Et adonnée
Dans un concert de louanges au complet !
Que tu as réservé de ta parole réservée !
Et dont il faut chanter la paix !
L'amour de la liberté et la solidarité !
En se rassemblant en communauté
Dans la communion !
Dont unissons-nous de toutes nos forces !
Car c'est à l'unisson !
Que maintenant s'amorce !
Une chorale en réglant les comptes en paroles !
Pour fredonner de l'espoir aussi en créole !
Dont tout le monde passera d'une presqu'île
A Ils !
Tous ensemble; en chantant dans la chorale !
Que tout le monde paiera en paroles !
En tenant paroles de créole !
Et où il faudra également chanter des paroles !
Ayant pour refrain !
Cette France enchantée
Et réenchantée !
Entonnant OK Chorale !
Jérôme de Mars
Une fleur qui fait une pétale de roses !
Annus horribilis;
Qu'elle embellisse !
Une fleur qui fait une pétale de roses !
En faisant une feuille de roses !
Et en faisant si bien la chose !
Qu'elle cause
A la fleur un ovule,
Comme elle a oublié de prendre la pilule !
Pour bien se dorer la pilule !
Afin qu'il y ait une portée apportée;
Qui mette en gestation sa future progéniture !
Avec Dame nature;
Qui va bien lui faire avaler la pilule !
Quand elle va mettre bas
Toute sa smala !
Qu'elle pullule
A portée d'allaiter
Toutes ses fleurs;
A qui elle fait des fleurs !
En leur envoyant des fleurs
De félicitation;
Après l'éjaculation
De la fleur qui fait une pétale de roses !
En faisant une belle feuille de roses !
Et en faisant trop bien la chose !
Qu'elle cause dans une osmose !
Avant la ménopause
A une fleur qui fait une pétale de roses !
En faisant un mille-feuille de roses !
Et en faisant une dernière fois
Tellement bien la chose !
Qu'elle appelle sa fleur; la fille de joie !
Dans la volupté
Et la névrose;
Qu'elle cause !
Comme dans un camouflet,
Son engin qui glisse
En prenant du viagra avec délice;
A cette fleur qui fait les choux gras
De la presse en mettant bas !
Et dont elle offre dans un bouquet
De fleurs, dont c'est le bouquet
De choux fleurs !
Aux fleurs qui naissent dans les choux !
P'tits bouts de choux très doux !
Dont pour que la rose
Eclose dans une maison close !
Rendez-vous dès la signature
De la feuille de roses !
Dont la fleur
Qui achève en beauté
Sa feuille de roses !
En ayant réussi la chose;
Termine en verge effarouchée
Sa pétale de roses !
Jérôme de Mars
Passé sur le billard !
Cannes de boules;
Complètement maboules !
Passé sur le billard !
Tu perds au billard !
Dans ton opération
Reconstruction et réparation;
A mettre la boule dans le trou !
Avant d'aller au trou
Pour avoir fait les quatre cent coups,
Dont après que tu aies perdu au billard !
Tu cannes sur le billard éperdu !
En déroute vers le corbillard;
Trépassé sur le billard !
Jérôme de Mars
Petit à petit; Denis fait son déni !
Tombé du nid !
Denis tombe dans le déni !
Dont petit à petit; Denis fait son déni !
Comme petit à petit; l'oiseau fait son déni !
Dont Denis décide quitter le nid !
Et décide de ni;
Quitter le déni !
Et de ni
N'être dans le ni ni !
Dont petit à petit; Denis est dans le déni !
Car petit à petit; Denis fait son déni !
De toujours être Denis
Dans le déni;
Qui décide nenni de ni
Quitter son nie !
Et de ni
Quitter son des nids !
Dont le drôle d'oiseau qu'il nie !
Fait que petit à petit; Denis renie son nid !
Dont petit à petit; Denis fait son nie
Et petit à petit; Denis quitte son nid !
Car petit à petit; Denis décide de ni le
En faire son nid !
Et de ni
S'en défaire de son déni !
Dont petit à petit pour que Denis fasse son nie !
Et pour faire en sorte que l'oiseau fasse son nid !
Et bien ! Lors de son mal-être du corbeau !
Et bien ! Petit à petit en tombant des nids !
Et bien ! Petit à petit; Denis en fait de son des nids !
Son déni !
Jérôme de Mars
Accroche un arc en ciel au ciel !
Peinture fraîche d'aquarelle;
Il y a une parcelle de merveilles
Dans le ciel bariolé
En tous genres intemporels,
Et de sorte que le soleil
Soit ouvert d'esprit !
Amuse-bien la galerie !
Et accroche un arc en ciel au ciel !
Pour réaliser tes rêves les plus concrets,
En imaginant par exemple
Un monde davantage fraternel,
Que tu contemples
Dans la sérénité;
Pétrie d'une grande humanité;
Tantôt naturelle
Et aussitôt réelle !
Et accroche un arc en ciel au ciel !
Avec en galante compagnie
Toute ta ribambelle d'amis;
En songeant à des paysages ménestrels,
Dont fais appel
A ta poésie romanesque,
Afin que tu dessines une fresque pittoresque !
Et accroche un arc en ciel au ciel artificiel !
Dont sous tes airs d'apparences superficielles !
Reste avec ton allure essentielle !
De telle manière que cette peinture d'aquarelle
Demeure intemporelle !
A n'importe quelle époque universelle,
Et pour que cette peinture d'aquarelle
S'esquisse au sens figuré
Dans une ambiance feutrée !
Accroche de plus bel un arc en ciel au ciel par ciel !
Jérôme de Mars
Overdose de poèmes
Ballon d'essai !
Je shoote
Dans un shoot
De ballon, dont je sais
Qu'il me chouchoute !
Si je me shoote
Dans une overdose de poèmes,
Où je me soûle aux vers de poèmes
De ma mère,
Comme si je lui envoyais
Une bouteille à la mère,
Comme de ses hauts vers !
Qui me soûlent depuis son corps
Mis en bière,
Comme quand elle buvait de la bière !
Complètement raccord !
Avec son état, où elle et moi ;
Il y a souvent eu des records
D'overdose de poèmes !
Elle avec ses problèmes;
Et moi dans le désarroi
De mon overdose de poèmes,
En buvant les paroles des vers
De mes poèmes;
Au lieu de boire des verres
De bière,
Dont à force; on aurait baissé
Le store !
Si mon corps était mise en bière;
Qui rimerait avec mon overdose de poèmes;
Qui soûlerait feu le corps de ma mère;
Et moi; en me mettant le feu sur mon corps;
Quitte ou double à me soûler avec mes vers
De poèmes !
A cause de mes problèmes;
Qui riment avec les chrysanthèmes
Au cimetière de ma mère;
A l'état décomposé de poussière;
Quitte à me resservir un dernier ver,
Dont il n'y a pas de risque à me desservir
Avec une mise en bière !
Car je ne ferai que m'asservir
A mon overdose de poèmes;
Quitte à me soûler avec des vers
De poèmes !
Et dont pour me dessoûler de mes problèmes !
Et pour retrouver la griserie de ma vie !
Il faudrait pour cela
Qu'on me dessoûle de mes vers
De poèmes en cellule de dégrisement,
Afin d'humer la quiétude d'un printemps exaltant
Et d'un été exultant
Au beau milieu du bal des oiseaux,
Et dont j'aurai pour eldorado
A la place d'une overdose de poèmes;
Des vers solidaires aux vers dosent de bohème.
Jérôme de Mars
Tout le temps !
Depuis tout le temps imparfait !
Le temps parfait
S'arrête à présent,
En pensant à son passé simple;
Qui a été un passé composé !
Avec un auxiliaire de vie
En être, dont son avoir est un impératif
A présent !
Dans un désordre pour parler d'avenir !
Dans un futur simple proche !
Car c'est encore un futur antérieur;
Tout le temps à passer son temps
A regarder dans le rétroviseur;
En n'allant de l'avant !
Dont pour lui à présent;
Ce serait d'avoir
Tout le temps dans son être !
Un auxiliaire de vie à vie !
Comme personne ne peut pas être
Et avoir été !
Pour n'avoir rien dans la vie
A cause de son mal-être !
Depuis tout le temps
Plus qu'imparfait, car un parfait !
Trépassé de l'antérieur;
Surpassé simple;
Et dépassé de l'antérieur;
Participe à présent au présent !
Dans un ordre impératif !
Qui a pour plus beau présent
Simple; d'avoir pour auxiliaire de vie
Et à vie; un bien-naître parfait !
Pour tout le temps !
Jérôme de Mars
Au clair de l'ombre !
En clair et clair;
Il faut y voir plus clair !
En allant au clerc,
Comme dans un éclair sombre !
Au clair de l'ombre !
Dont il faut être clair
Dans la lumière !
Malgré les côtés sombres
Que chacun a dans l'ombre !
Au clair de l'ombre !
Dont il faut enfin y voir clerc
Dans la lumière éclaire,
Comme des gens lumière;
Qui éclairent et clair
Leur lumière !
A des années-lumière !
D'y voir plus clerc !
Au clair de l'ombre !
Du clair sombre
A l'ombre sombre claire !
Avec des éclairs
Au chocolat si les et clairs;
Font des cafés frappés éclairs !
Et font y voir moins clair
Au clair chez le clerc;
Ou chez Leclerc;
Ou en écoutant Julien Clerc;
Au clair de l'ombre !
A des années éclaires sombres !
Dont il faut allumer la lumière !
Qui s'éteint à petit feu très claire !
Malgré l'ombre au clerc;
De la lumière et claire !
A moins d'un éclair !
Dont pour y voir toujours plus et clair !
Il vaut mieux attendre que les côtés clairs;
Eclairent l'ombre et la lumière !
Et prennent l'avantage et clair !
Sur les côtés sombres,
Ephémères en restant allumés au clerc !
Et s'il vous plaît en clair !
Tout le temps dans la lumière;
Des frères lumière
A des années-lumière !
Des éclairs sombres
Au clair de l'ombre;
Des gens lumière !
Dont pour y voir encore plus clair !
Il faut laisser les gens clairs !
Laisser la lumière éclaire !
Toujours plus claire !
Malgré les côtés clairs sombres;
Qui dénombrent la pénombre
Au clerc de l'ombre !
Avec pour encombre;
L'eau claire de l'ombre !
Dont les côtés sombres;
Sombrent de l'ombre
A la lumière;
En clair !
Et dont c'est très clair !
Au clair déjà à l'ombre !
Jérôme de Mars
Si on transformait la haine en de l'amour !
Culture du mal et du bien
Dans ce monde manichéen;
Si on transformait la haine en de l'amour !
En taillant les haies avec un gant de velours !
Où l'on cultiverait dans un jardin secret
Tout ce que la vie contient de légèreté !
Avec pour apaiser les tensions;
Une grande effusion semée d'affections
Qu'on apporterait aux gens avec abnégation !
En adoucissant les éruptions
Par de la poésie de troubadour;
En profitant de chaque jour
Et avec un roulement de tambours,
Si on transformait la haine en de l'amour !
Dont cela permettrait de dire en renfort
Avant la mort !
Vivons d'amour et d'eau fraîche !
Au cas où les gens nous scanderaient
De leurs cris des expressions sèches;
Qui feraient que le monde irait à sa perdition,
Et dont il suffirait d'une partition !
Afin de composer un hymne à la paix;
Et si pour cela, on trouvait de nouvelles idées !
Pour remplacer avec humanité;
Les maux détestés
Par les mots aimés;
Liberté, égalité et fraternité !
Avec pour légalité de troubadour
Un mot de la fin en dernier tour,
Dont le retour
Vaudrait le détour !
Si on pouvait transformer pour toujours
La haine en de l'amour !
Jérôme de Mars
Il y a depuis belle lurette des amourettes !
Pour vous chères demoiselles;
Que vos ritournelles
Vous fassent conter fleurette !
En volant au septième ciel
Avec les tourterelles,
Où il y a depuis belle lurette des amourettes !
Qui vous font enflammer vos allumettes
En brûlant vos vies par les deux bouts
De la chandelle;
Avec des marabouts
Pour que vos histoires tiennent encore debout;
En fumant le calumet de la paix,
Dont seule une odeur de volupté;
Vous fait aimer la vie et ses saynètes,
Dont il y a depuis belle lurette des amourettes !
Afin que vous chères demoiselles;
Vous contiez fleurette !
Sous une pluie, où vous faites trempette
En jouant un air de trompette,
Où vous souhaitez mourir
Avant la fin de la tempête;
En vue de croupir et de gésir,
De sorte de fuir
Le temps qui trépasse, où tout fout le camp !
Entre boucan et l'éruption des volcans,
Où il y a depuis belle lurette des amourettes !
En voguant dans un océan de tendresse qui baigne
Dans de l'amour romantique qui règne
Dans une suprématie pacifique et esthète,
Pour fuir la routine et la vie ordinaire
Sur la planète Terre très soporifique;
Qui aspire à se régénérer d'esthétique
Pour y respirer une embellie pulmonaire,
Où il y a depuis belle lurette des amourettes !
Qui font au fil des ans
Leur nid dans le courant des aimants;
Qui semblent dans leurs éléments,
Comme un poisson dans l'eau qui nage !
Et qui cherche la perle rare;
A l'instar
De se fixer des buts en vue de tourner la page,
Et dont en contant fleurette;
En faisant trempette
Avec un air de trompette;
Il y aura encore pour belle lurette tellement d'amourettes !
Jérôme de Mars
L'unique ami qui réussit à apprivoiser le lion sauvage !
Dans la savane Africaine
De la faune
Et la flore,
Où la vie sauvage
Est un folklore !
Il y a encore un sage;
Qui avec son téléphone;
Est l'unique ami
Qui réussit à apprivoiser le lion sauvage !
Qui malgré ses dérapages;
N'en naît pas moins son meilleur ami
A cet ami !
Car ils se comprennent tant !
Avec leurs affinités
Dans le respect;
Entre accalmie
Et tourments à tous les temps,
Dont heureusement; ce lion sauvage
Peut compter sur l'appui
De cet ami o précieux et gentil !
Qui avec sa sympathie;
Lui témoigne de tout son lien !
Afin qu'il fasse le bien
Dans ce monde manichéen !
Dans lequel seul; son unique ami;
Le comprend o combien
De façon fleurie !
Qui lui également; a eu un passé très difficile
Que lui
A travers différents passages
A vide dans sa vie,
Dont l'unique ami
Qui réussit à apprivoiser le lion sauvage !
Veut qu'il s'en sorte vers une vie de pâturage
Au long fleuve tranquille dans un insubmersible voyage;
En paix et radieux dans un paradis,
Dont l'unique ami veut qu'à chaque fin de semaine;
Son lion sauvage soit heureux sur les plaines !
En remontant la pente
Malgré ses vieux démons qui le tentent !
Dont l'unique ami
Qui réussit à apprivoiser le lion sauvage !
Veut lui montrer la route vers l'adage
D'une vie de ramages
Sans dérapages;
En sillonnant la réussite jolie
Dans les parages,
Dont malgré sa colère;
Il suffit que le lion sauvage
Tienne sa crinière !
Pour tenir le coup
Coûte que coûte dans la vie;
Qui malgré ce fourre-tout;
A tout de même des atouts
Pour en sortir très grandi;
En route vers une vie de poésie
Au long cours en revenant
Vers le droit chemin,
Car en vieux copains;
Qui se connaissent depuis la Saint-Glinglin !
Ils se connaissent si bien
En si peu de temps !
Malgré leur passé lointain,
Comme si depuis toujours;
Ils se connaissaient comme dans un roulement
De tambours !
Dont moi le vieux sage;
En vieux troubadour
Que je suis;
Reste l'unique ami
Qui réussit à apprivoiser au long cours
Le lion sauvage !
Jérôme de Mars
Poème sûr réaliste
Alex sans drains
Dans un couplet; s'accouplait !
Dans un quatre un qui versait un verset !
Pour le reverser et le déverser
Dans un poème sûr réaliste !
Qui hédoniste; en fit
Un poème surréaliste !
Imprégné de sa pâte d'artiste !
Sans tergiverser, mais pour affirmer
Que la poésie rime
Avec des facéties qui arriment
En un port d'attache !
Qui arrive à bon port !
Dans un port de Plaisance;
Qui sonnait un sonnet sonné !
Et résonnait; résonné; raisonné;
Et désarçonné !
Qu'un quatrain était nécessaire
Dans un quatre en un !
Dans ce poème sûr réaliste;
Qui dérivait vers un poème surréaliste
Pour verser dans la facilité;
Reverser dans la simplicité
Et tout déverser avec saga cité !
Dans un couplet qui s'accouplait
En Alexandrins dans un quatrain !
Qui sonnait sonné
Et résonnait résonné raisonné !
Comme un sonnet désarçonné !
Dans ce verset qui rimait
Et arrimait en un jet d'encre !
Qui largua les amarres à tribord
Au rebord; en étant du même bord !
Et qui vira de bord !
Ce poème surréaliste
En un poème sûr réaliste.
Jérôme de Mars
Ode écrit une ode !
Odette qui paye aux dettes !
Appelle Ode dettes !
Pour que Ode écrit une ode !
Qui rime et rôde
Avec un poème; qui taraude
Odette qui donne à Ode
Aux dettes ! Dont Ode dette
Demande à Ode !
Que son ode taraude; s'érode !
Et rôde son Ode dette !
Pour qu'enfin Ode écrit une ode !
Pour régler Odette aux dettes;
O dette et Ode dette !
Qui écrivent une ode qui rôde !
Et s'érode !
Pour Ode qui écrit une dernière ode !
Jérôme de Mars
Ex-femme des Sixtine !
A l'ombrelle
De ta chapelle;
Ex-femme des Sixtine !
Appelle le bon Dieu !
Depuis le Vatican
Pour qu'il papote
Avec le Pape
Sur des sujets,
Où tu fais des choses
Pas très catholiques !
Dont l'un de tes sujets;
Est très orthodoxe !
Et fait des choses
Pas très orthodoxes !
A l'ombrelle
De ta chapelle !
Ex-femme des Sixtine !
Habemus Papam !
Enfumé en y voyant clerc G !
Dont les quatre points cardinaux
Sont le cardinal complètement à l'Ouest !
Qui l'élève à Leste !
Dont l'autre point Cardinal perd le Nord !
Du dernier rond-point Cardinal;
Qui vient du Sud !
Avec le point Cardinal
Du pape !
Qui papote
Avec lui dans sa papamobile !
A l'ombrelle
De ta chapelle;
Ex-femme des Sixtine !
Qui va s'faire curé le nez !
Dont l'habit ne fait pas le moine !
Malgré la soutane !
Même en élisant des Evêques;
Qui mettent chacun la pierre
A l'édifice !
En portant leur croix !
Avec la croix et la bannière !
Quand tout tombe à l'eau bénite !
Ayant pour Crucifix;
Le sacrifice
De Jésus-Christ !
A l'ombrelle
De ta chapelle;
Ex-femme des Sixtine !
Qui a des pêchés sur place
Ta Sainte Mère !
La Rome !
Dont ton sain père !
Dit amène ton imper !
Habemus Papam !
Nous avons été baptisés
En fumée
Par le nouveau Pape !
Avec qui on a prié !
Et on a papoté
Dans sa papamobile !
Pour baptiser
Ta Sainte Mère !
La Rome !
Qui est une vierge effarouchée !
Et Ave pour mari !
Ton sain père !
Dont toi, La Vierge Marie pas effarouchée !
Tu Ave pour prière;
Ton mari Jules César,
Car Ave César tout puceau !
Lors de messes-basses
En orgies !
Avec pour messe noire
Ton hostie pour manger
Ton pain béni !
Dont ton pain blanc te démange !
Lors des noces funèbres
De ton mariage du siècle !
Avec pour impair
Ton excommunication !
Qui t'a des pêchés
Dans un manque de communication
Et de communion
En union libre !
Et si jamais il y avait fornication !
Avec pour derniers sacrements
Ton extrême-onction !
Il y aurait pour extrême injonction !
Tes jurons pour jurer
De rien !
Toi, le mauvais Chrétien très Sacristain !
Où tu fais des choses pas très catholiques !
En appelant au secours Apostolique !
Toi, très orthodoxe !
Qui dès l'équinoxe !
A pour paradoxe très catholique !
De faire des choses pas très orthodoxes !
Dont Habemus Papam !
Nous avons en feint défunt enfumé un Pape !
Avec qui papoter
Dans sa papamobile;
A l'ombrelle
De ta chapelle;
Ex-femme très infâme des Sixtine !
Jérôme de Mars
Une souris qui sourit au rat des pâquerettes
Mal aux dents;
Ayant la dent dure !
La légende dit
Que la souris va passer
Rémunérer et payer;
Ceux qui veulent avoir
Quelque chose à s'mettre
Sous la dent !
Pour promettre
En pourboires;
Un sourire éclatant
Avec d'après la nature;
Un jardin fleuri !
Avec une souris qui sourit
Au rat des pâquerettes,
Pour conter fleurette
Pendant le temps,
Où il fait beau sur la vie
Dans une embellie !
Avant que le sort enlaidisse
Et raidisse
Dans une glisse
Sur le sol !
Ce monde de bémol
Alors qu'il faudrait un parasol !
Mélangé à du paracétamol,
Afin que le soleil brille
Et que l'amour frétille !
Avec une souris qui sourit
Au rat des pâquerettes,
Pour conter fleurette
Avec de la poésie;
De sorte à plaire
Au plus grand nombre;
A l'ombre
D'un grand frère;
Qui laisse place
Au partenaire
De l'amour romantique
Dans un palace,
Comme si avec un tome
Et mon âme névrotique;
J'ai rit pour ma pomme !
Avec une souris qui sourit
Au rat des pâquerettes,
Pour conter fleurette
Avec en statuette;
Les reflets de l'amour esthète
Pour rire et sourire
Au Parc Montsouris
Des plaisirs;
Avec pour contenter fleurette;
Une souris qui sourit tout le temps
Au rat des pâquerettes.
Jérôme de Mars
La nuit broie du noir !
Dès le début de cette histoire;
La nuit broie du noir !
A vouloir rouvrir le bar
Des racontars;
Vu qu'il est trop tard !
Pour rester ouvert le soir,
Si bien que la nuit broie du noir !
A vouloir boire le désespoir
Des fêtards;
Qui semblent renfermés,
Et dont pour qu'ils ne soient réservés;
Il faut réserver au bar;
Ses confessions nocturnes
Et diurnes,
Si bien que la nuit broie du noir !
De jour comme de nuit tristement bizarres;
Avec en marge du système; des gens enjoués;
Cabossés et complètement déjantés !
Malgré que la nuit; les gens soient plus disposés !
A faire des confessions inavouées !
Ou soient à vouer
A l'échec devant le comptoir !
A attendre que la nuit broie du noir !
Dans un réservoir
D'allumage de pétards;
En racontant de drôles d'histoires
Autour de la table à manger
Toute la fumée
De la maison qui prend feu;
Feu le café du commerce belliqueux,
Dont il vaut mieux voir arriver
Dans un rideau noir
De fumée;
Une fumée à vapoter
Ou à crapoter !
Pour fumer le calumet de la paix !
Et afin que la vie reste une propre liberté
En étant payée au noir;
Ou en buvant délectée un petit noir
De café;
Il vaut mieux qu'au comptoir
La nuit broie du noir du matin au soir !
Jérôme de Mars
Nettoie avec un balai chaque saison !
Comme au début d'une chanson;
Avec des mots d'hiver !
Effet boule de neige !
Il y a le sacrilège
De l'hiver,
Dont avant l'extinction
De chaque saison !
Nettoie avec un balai chaque saison !
Avant que le vent s'en lave les mains !
Si jamais le destin
Entretient les malheurs !
Alors que le temps a vent
D'un peu de chaleur
Humaine à chaque fin de semaine,
Dont le temps attend
Toute la bedaine
Du printemps; arrivant
Juste après à l'orée
D'une nouvelle saison,
Comme au début d'une chanson;
Qui va commencer
Dans un ballet de printemps;
Telle la saison des amours,
Comme l'effet boléro d'un troubadour;
Qui s'en va écrire des mots d'amour
Sur les feuilles fortes qui repoussent;
Avec pour joli coup de pouce
Un printemps ensoleillé;
Empreint tant de temps d'entrain,
Dont en boute-en-train !
Avant l'extinction de chaque saison;
Réécoute la chanson !
Et nettoie avec un balai chaque saison !
Avant que le vent s'en lave les mains !
Si jamais le destin entretient les malheurs !
Alors que la saison d'après;
Telle un conte de fée;
Et bien c'est 'été qui remet
Du baume au cœur !
Et les pendules à l'heure !
En faisant sourire et rire le soleil
Dans une pléiade de ritournelles;
En cultivant le jardin secret de l'amour
Avec pour mots de troubadour;
Une embellie pulmonaire
Au milieu des congénères;
Qui s'en val mettre et remettre de la chaleur
A la mer; qui après son vague à l'âme;
Embrase une histoire radieuse dans la flamme
De l'amour; en plein été ensoleillé
Dans un bleu océan
Au firmament d'un bleu ciel exaltant;
Grisant avant l'ultime saison
Calendaire, dont avant l'extinction
De cette avant-dernière saison !
On connaît la chanson !
Dont nettoie avec un balai chaque saison !
Avant que le vent de l'oraison de l'automne
S'en lave les mains !
Si jamais le destin
Entretient les malheurs !
Dans un conte de morphée;
Et qu'il récupère son trophée,
Si bien que l'automne ramasse les feuilles mortes
Avec la pelle de Jacques Prévert;
Et à la pelle de la forêt;
Face à la mélancolie et à la colère
Des amours mortes; qui sortent
Par la petite porte;
En passant un coup de balai sur le sol;
Tapi de feuilles mortes;
En disséminant des paroles en bémol;
Dans l'obscurité et l'insécurité
D'une ultime saison monotone,
Atone et aphone,
Où il manque le téléphone !
Pour trouver sa voix qui résonne,
Dont avant l'extinction
Complète de l'année calendaire !
Réécoute chaque saison;
Imbibée de chaleur
Humaine malgré la noirceur
De l'automne; à vent que dysfonctionne
Cette fin d'année calendaire;
Imprégnée de misère;
Par chœur de pierre,
Dont termine la chanson
Avec émotion et vibrations !
Et nettoie une dernière fois avec un balai
Chaque saison !
Qui s'en va aux trémolos !
Avec pour dernier mot;
Que si tout le monde a vent !
Que tout le monde s'en lave les mains !
Et bien ne t'inquiète pas ! Demain
Sera un autre jour, car malgré
Tout si le destin
Entretient encore les malheurs !
Demain sera à coup sûr bien meilleur !
Jérôme de Mars
Les acariens fument la moquette !
Oh punaise ! Y a des punaises !
Qui grimpent sur le lit !
Dont ma puce
Sur la moquette;
Les acariens fument la moquette !
Sur une maquette
En quête de monter sur le prépuce,
Dont oh punaise !
Les punaises font un lit en portefeuille !
Dans un mille-feuille;
Qui épargne l'écureuil
En cassant ses noisettes !
Dont sur la moquette;
Les acariens fument la moquette !
Car ce qu'ils en fument y a qu'à rien !
En accrochant un poster avec des punaises !
Oh punaise ! Ya qu'à rien sur la moquette !
Dont les acariens fument la moquette !
En enfumant ma puce sur la moquette !
Avec pour foutaises des punaises !
Qui accrochent avec leurs punaises,
Dont elles posent terre ma puce !
Excitée comme une puce !
Et dont ma puce;
Me met la puce à l'oreille !
Qu'il faut débourser l'oseille !
Pour que oh punaise ! Les punaises !
Fassent de mon lit un lit en portefeuille !
Sur lequel au seuil
De la quarantaine bien entamée;
Il y a bien cette vie rétamée !
Et bien qu'avec ma puce !
On fume le calumet de la paix !
Où sur la moquette; on fumera
Aussi la moquette !
Avec pour maquette !
Y a qu'à rien !
A partir de demain !
Dont sur la moquette;
Il y a les acariens qui enfument un joint
Et la moquette !
Jérôme de Mars
C'est la nouba !
Comme quand il y avait de la rumba dans l'air !
C'est la nouba !
Dans ma vie de rabat-joie !
A l'état délétère et austère,
Comme quand ma mère me soûla
Avec ses verres de bière !
Dont moi de ses problèmes;
J'en fais des poèmes !
Avec des vers de mise en bière,
Dont c'est la nouba !
Avec le téléphone arabe
De la musique Arabo-Andalouse;
Où tout le monde m'appelle la loose !
Moi celui-là !
Qui fait du blues !
Avec en rab !
Le fait que j'ai surtout pris de la bouteille !
Notamment avec la mise en bière
De ma mère,
Dont de ses verres !
J'en fais des vers de bière
Pour faire briller le soleil;
En prenant de la bouteille
Jusqu'à ce que j'ai ma carte vermeille,
Afin que je me soûle dans mes vers
De poèmes ! En prenant de la bouteille !
Dont c'est la nouba !
Dans ma vie de rabat-joie !
Hop là ! Y a de la joie !
Si mon grand-père Charles traînait !
En gros dans ma vie de bohème,
Dont à la place d'avoir des problèmes;
Il vaut donc mieux que j'aime !
Tout le monde dans le carpe diem
Avec à la place des chrysanthèmes;
Le fait d'organiser une fête avec pour thème !
De la sérénité pour que j'aime en paix
Et en liberté,
Dont pour que ça dure tout le temps
Dans la joie !
Dans ma vie de rabat-joie !
C'est toujours la nouba !
Nonobstant et aussi longtemps
Que possible !
Et où pour vivre de façon paisible !
Dans un monde davantage comestible !
Pourvu que je fasse encore la nouba !
Mais cette fois-ci dans la joie !
Jérôme de Mars
Faites chanter les oiseaux jusqu'à l'aube !
Du sol qui dérobe de vos pieds;
Faites un appel du pied !
En dansant sur vos pieds;
Enjoués de votre gaieté
A La-Gaîté-Montparnasse !
Avec de la paperasse;
Qui bordent vos trottoirs
Sur un Blues Trottoir
En micros-trottoirs;
Qui jettent vos journaux
En tapissant de mots
Vos chansons à chantonner
Sous la douche; qui enrobe
Votre tournée des bistrots,
Où faites chanter les oiseaux
Jusqu'à l'aube !
Pour qu'il n'y ait plus de prises
De becs !
Avec des mots secs
Sous l'emprise
Des racontars de bistrots;
Qui vous font prendre ombrage;
Tel un poème sous l'orage
Du temps qui trépasse
Sous un nectar de pluie;
Qui essuie
Les pluies diluviennes qui fracassent
L'été en le mangeant à tous les sauces;
Qu'elles soient béchamel ou Béarnaises,
Où en se mettant sur vos charentaises !
Avec vos foutaises !
Faites chanter les oiseaux jusqu'à l'aube !
Dont le sol dérobe
Sous vos pieds !
Avec pour appel du pied;
Des mots qui tiennent paroles !
Sans qu'il y ait à l'horizon un bémol,
Dont dans un concert de louanges
Au zénith,
Pourvu qu'un piaf édite
Des vies d'ange !
Où pour conjurer le tout
En s'enlaçant autour du cou;
Faites chanter les oiseaux
Sans modération jusqu'à l'aube !
Jérôme de Mars
Un oiseau a volé un ver de mon poème
De ma plume inerte;
J'écris alerte
Un poème dernier cri;
Qui reflète le bris
De mon vague à l'âme;
A l'encre de mon mal de mer,
Dont les racines sont austères
Et profondes qui enflamment
Mon emphysème,
Dont un oiseau a volé un ver de mon poème
Dans une embellie pulmonaire;
Qui sème le revers de la médaille
Avec pour fruit de mon travail;
Des entailles qui taillent
Du bout de mes tenailles,
Dont un oiseau a volé un ver de mon poème;
Qui rime avec un emphysème
De mon embellie pulmonaire;
Après mon embolie pulmonaire,
Où l'ai du mal à respirer
A part m'étirer dans un café allongé,
Dont ma plume d'oiseau aux ailes brisées;
Rime avec les ecchymoses de mon être déraciné,
Dont j'y laisse des plumes dans mon œdème
Avec pour y voir plus clair;
Le fait que je veux en mettre plein la vue
Envers mes deux yeux qui sentent les verrues
De mon âme qui dévie de travers;
Entre la frontière d'en dire peu
Et l'autre frontière d'en dire tellement belliqueux;
Que je souhaite la guerre
Et la mort de la planète Terre,
Dont un oiseau a volé un ver de mon poème;
Qui respire mon emphysème;
Qui sème la plume de moi; le drôle d'oiseau
A qui on ne donne jamais le dernier mot;
Avec en prise de becs pour trouver l'origine
De mes maux;
Le dico pour casser la routine;
Moi; le poète maudit
Et l'oiseau aux ailes brisées;
Qui a cassé le ver
De son poème
En son mal de mer;
Qui paye la note salée
Aux fruits défendus périmés
D'une vie qui dérive à l'ennui ;
Largement entamée
Et rétamée,
Dont un oiseau a volé le dernier ver de mon poème;
Qui respire mon emphysème,
Dont je finis à l'état de poussière au cimetière.
Jérôme de Mars
Vaccination générale ou tsunami viral ?
Piqûre de rappel !
De putain de sale nature;
Qui en jette plein la figure
A ceux qui ramassent les feuilles
Mortes à la pelle !
Tout seul sur son fauteuil;
A proclamer dans une pique;
A envoyer en répliques
Frontales dans cette France fatale !
Y aura-t-il soit la vaccination générale
Ou le tsunami viral ?
Que tout le monde paiera
En espèces menacées !
Rabat-joie où tout le monde
S'en bat !
Et s'inonde
Dans les aléas !
Dont il faudrait prescrire
Contre la rage !
Des cures thermales
Contre le mal général;
Qui sévit dans cette France médiévale
Ou féodale,
Où tout le monde n'a plus que dalle !
Pour vivre dans cet état général
Et où tout le monde crève la dalle !
Avec pour apporter contre la colère
Des gens; des prières
Prescrites par un pasteur,
Pour les apaiser au grand air
Débonnaire; avec des p'tits bonheurs !
Quelques heures par semaine
Dans la bedaine
Des gens qui en ont gros sur le cœur !
Dont le pasteur proscrit
Le mal sur Terre;
Et prescrit
De la poésie,
Afin de vaincre le mal délétère
Que subit la planète Terre !
Face à ses névroses crépusculaires,
Et dont de sorte à éviter le déluge
Avec du grabuge;
L'exécutif général
Demande aux Français sauvages !
La vaccination générale
Ou le tsunami viral;
Entre soit avoir le choix
D'être pris en otage;
Ou soit écouter des paroles sages
Et verbales
Du peuple à bas étage ;
Avec comme remède contre la connerie
Des gens; des théories
Qui passent de la théorie;
Et qui trépassent question idéologie
Avec une réponse pratique;
De façon systématique
Aux remords de cette France névrotique
Et frénétique;
De peur de s'emballer à la moindre balle tragique,
Et dont question synchronique;
Tout le monde préfère-t-il la vaccination générale
Ou le tsunami viral ?
Avec pour piqûre de rappel;
Le Covid 19 qui vide les bourses plaines; qui épellent
Ceux qui s'en foutent pleins les poches !
Et ceux qui ont les pétoches !
De ne pas savoir si le mieux est d'être vénal;
Ou d'être tout simplement magistral;
Avec un peu de moral
Dans ce monde si animal,
Où les gens ont-ils à la place d'un cœur de lumière
Une rancœur de pierre ?
Et si pour terminer de façon phénoménale;
On demandait en général
Au peuple; s'il préférerait de façade
Ou tout simplement avec sérénade;
Faire une balade
En composant une ballade;
A l'apologie
De votre choix choral
Pour rentrer dans les annales,
Dont la poésie
Rimerait avec la vaccination générale
Ou le tsunami viral ?
Jérôme de Mars
Avant que le ciel nous tombe sur la tête !
Décroche la lucarne !
Et la lune !
Avec des étoiles
Emplies de toiles;
Qui décrochent le ciel !
Avec pour mettre les voiles
Des bateaux artificiels;
Irréels dans le ciel,
Et dont en une;
Il y a des comètes
Dans le ciel;
Qui égrène dans La Marne,
Avant que le ciel nous tombe sur la tête !
Et qu'il retombe dans un sacré casse-tête !
Tel un nuage superficiel;
Qui montre pour images
Des rêves imbibés de nuages;
Avec en ramages
Des chansons chronophages,
Avant que le ciel nous tombe sur la tête !
Et qu'il tienne tête !
Aux jardins qui tombent dans les oubliettes
Sur un arc en ciel;
Qui fredonne en ritournelles;
Ici là l'espace viable dans le ciel intemporel !
Qui habille pour l'hiver
Des endroits extraordinaires,
Dont les gens s'rappellent solidaires !
Avec en inventaire toutes ses facettes
Au ciel,
Avant que le ciel nous tombe sur la tête !
Et dont pour décrocher les sans ciel;
Accroche et raccroche vers l'essentiel !
Le sens universel;
Et appelle à l'aide sans casse-tête !
Avec en-tête un pense-bête !
Avant que le ciel monte en flèche
Sur l'arc en ciel revêche
En ayant une pêche d'enfer,
Avant que le ciel nous laisse tomber sur la tête !
Jérôme de Mars
Point sensible
Point virgule;
A la virgule prêt,
En touchant
Au point sensible .
Le point sensible .
Fait le point ostensible............
Avec en appoint extensible.............................
Une mise au point étirée.-
En mettant entre parenthèses ( )
Trois point de suspension ( ... )
Dont le point sensible .
Donne un bon point.
En gagnant un point sensible .
Et en prenant tout au pied
De la lettre en minuscule m
Pour donner un coup de point. .
En l'amplifiant en majuscule M
Et en faisant un point d'honneur .
Qui demande en point
D'interrogation pourquoi .?
Il a de l'embonpoint d'exclamation ......... !
En jouant les phrases de son spectacle
Au Point Virgule;
Avec pour à point extensible............................ .
Et appoint ostensible................
Le fameux point sensible .
Point sensible .
Jérôme de Mars
La farandole des mots sans paroles
Festival Val de Marne !
Vive la fête qui incarne
La farandole des mots sans paroles;
Qui notent salé sur un piano quelques bémols
En voguant sur le radeau de la muse;
Qui en jouant sur les guinguettes de la cornemuse;
Organise une musique de fanfare
Ayant pour folklore un signal far
Breton; avec pour dicton des phrases qui guettent;
Et épient de la musique de ginguettes
A Nogent sur Marne;
En chantant sur Seine lors du festival Val de Marne;
Qui incarne
La farandole des mots sans paroles;
Qui riment avec l'air des rossignols;
Et qui survolent avec pour noms de plumes
Les oiseaux aux ailes brisées; qui y laissent des plumes
Du fond de leur enclume;
En chantant La France désenchantée
Au pays enchanté pour interpréter
Une partition à la mesure
D'une perdition en démesure; qui augure
D'un festival Val de Marne;
Qui incarne
La farandole des mots sans paroles,
Dont on connaît la musique
Instrumentale ! Avec à la place des mots synchroniques;
Quelques morceaux de musique anachronique
Avec pour maladies chroniques;
Des airs de musique à chanter en chœur de misère
Pour remettre à leur place ceux qui ont un chœur de pierre !
Qui inaugurent
Un nouveau lieu qui dévisage les nouvelles figures
Du festival Val de Marne;
Qui incarne
L'espoir qui vogue sur les gondoles !
Pour mener en bateau
Qui dérive jusqu'à l'eldorado,
Où tout le monde sera; il est beau !
Où tout le monde sera; il est gentil !
Et où la vie sera qu'harmonie
Sur le radeau de la muse !
Qui rendra ivre de ruse
La poésie des troubadours maudits;
Avec pour hymne à la vie
Des journées à se prélasser au soleil tactile,
Et dont grâce au festival Val de Marne !
Voici la poésie à proprement parlée qui incarne
La farandole des mots vraiment sans paroles.
Jérôme de Mars
J'ai cassé un ver !
Oups ! J'ai un problème !
Car ça y est; j'ai cassé un ver !
A cause des revers
De ma vie,
Dont je dévie
Tous mes travers
Avec l'art et la manière,
Quand je casse un ver !
A problèmes,
Où pour que ma vie devienne un poème;
Qui rime avec bohème;
Eh bien ! J'avoue que j'ai cassé un ver !
De poèmes,
Dont j'en fais un carpe diem,
Afin que ma vie de bohème sème
Un système D solidaire;
Aidé par le système solaire,
Dont eh bien ! J'avoue que j'ai cassé un ver !
A problèmes;
A cause des revers
De ma vie de bohème,
Dont j'attends la fin de ce poème
Pour résoudre tous mes problèmes
A travers mes travers
De mon côté solitaire/ solidaire,
Où pour que ce verre à problèmes
A cause de tous mes travers;
Se revigore en un ver de poèmes;
Eh bien ! J'en fais une poésie
A mon effigie !
Avec l'art et la manière,
Si bien qu'envers
Moi-même eh bien ! J'avoue que j'ai désormais
Décidé d'arrêter
De casser un ver !
Jérôme de Mars
Quand un arc en ciel peint le ciel !
Plusieurs deux ritournelles artificielles;
Au pluriel; des colombes ruissellent !
Quand un arc en ciel peint le ciel !
Et dont avec les parpaings superficiels;
Les sans ciel basculent en péchés
Universels; qu'il est difficile de garder
Secret; à l'auberge des souvenirs
De jeunesse, dont elle est l'avenir !
Avec en ribambelle; une pléiade
De tourterelles qui clament leur tirade;
En plaçant dans une embuscade une passerelle,
Quand un arc en ciel peint le ciel !
De plusieurs aquarelles en caractères
Bien trempées; qui reflètent la colère interstellaire
D'un et sans ciel qui peint pour toile;
Les toiles de la grande ourse qui dévoilent
L'emblème du ciel avec sa tessiture;
Qui démontre toute sa quintessence
Avec en son escarcelle;
Un soleil huppé de merveilles;
Qui prouve à l'appui sa reconnaissance;
Avec pour système D solaire;
Un système aidé solidaire,
Quand un arc en ciel essentiel
Peint au-delà l'éternel le ciel !
Jérôme de Mars
La boîte aux lettres
Comme un pied de nez,
Voici un pied de nez
Au destin !
A base d'un festin
Désarroi qui prend tout à la lettre
Et au pied de la lettre,
Comme la boîte aux lettres,
Où la machine à décrire
Me tape sur le système;
De la machine à écrire
Le blasphème
Dans une vie de bohème,
Où j'écris ce poème
En postant dans un facteur
A risques; tout ce qu'il y a de malheurs
En postant
Et en compostant contant
Dans la boîte aux lettres,
Tous mes posts sulfureux;
Qui revendiquent furieux
Mes mauvais côtés de cracheur de feu
Feu le belliqueux;
Qui a envie de jeter par la fenêtre
Ses paroles d'argent jeté par la fenêtre,
Comme la boîte aux lettres;
Pleine à craquer de remords
Et à croquer les morts
Avec pour croque-mort;
Un appel en renfort
De métaphores; mes tas forts;
Avec pour folklore
Des à tes risques puérils !
De mon comportement stérile
Que j'ai avec mon côté fébrile,
Comme la boîte aux lettres
Avec pour mise en boîte mal-être,
Dont ma lettre
Est la boîte aux lettres;
Très fin lettrée qui sort en boîte
Et qui emboîte
Le pas de mes pas;
Avec pour pugilat
Tous mes posts,
Que je poste et composte
A l'aide d'un compost,
Car touche pas à mon post, mon poste !
Mais balance ton post, ton poste !
Devant ton écran
Très à cran,
Où tout fout le camp !
Dont je finis en boîte
Au cimetière
Dans un état de poussière,
Dans ce monde à l'envers;
En vers toute ma colère;
Qui petit à petit ! Boîte mal-être; ma lettre,
Comme mes paroles en argent jeté par la fenêtre,
Comme une lettre à la poste
Que je poste et composte
Devant mon poste; mon post;
Avec pour facteur à risques champêtre;
Mon hêtre;
Planté-là comme un arbre;
Qui me laisse de marbre
En jetant par la fenêtre ;
Ma lettre de mal-être
Avec mes paroles en argent jeté par la fenêtre,
Comme ma boîte qui coule mal-être;
Ma lettre,
Comme une lettre à la poste,
Que je poste et composte
Dans la boîte aux lettres.
Jérôme de Mars
Un soleil qui fait rire la pluie
Contraste du temps bipolaire !
Le temps a fort à faire
Avec son sacré caractère;
Qui oscille en sérénité et colère !
En faisant la fête avec des confettis
Dans une accalmie endolorie;
Avec un soleil qui fait rire la pluie
Pour la faire sourire malgré les péripéties
Du temps bipolaire;
Qui vire sa cuti
Au moindre vent contraire,
Et dont pour continuer à vivre
Malgré les aléas du temps dépéri en hypothermie;
Déconfit et décrépi à l'état d'agonie;
OTAN que le temps s'enivre !
A faire rire et à faire sourire malgré la perfusion !
D'un soleil qui fait rire la pluie
Dans la confusion pour faire diversion
Au temps qui passe;
Et qui trépasse
Tout sur son passage,
Malgré de superbes paysages
Pour bien faire avaler la pilule
Du temps et de ses aléas qui pullulent,
Et dont pour oublier le chagrin
Du temps ! OTAN avoir le béguin
Pour la vie durant le temps qu'elle surgit !
Avec toujours encore un soleil qui fait rire la pluie.
Jérôme de Mars
Assis sur un banc en regardant le ciel !
Assis sur un banc public !
Qui rappelle la chanson
A chaque saison !
Des bancs publics
De Georges Brassens;
Des tourtereaux
Qui organisent leur mariage !
A l'écoute de la marche nuptiale;
Assis sur un banc en regardant le ciel !
Attendent leurs bans pudiques;
En espérant que de l'encens;
Leur portera espoir, afin qu'il encense
L'arc en ciel; porteur ménestrel
D'une vie davantage postale;
En voyageant vers des contrées lointaines;
En observant et en admirant
Leurs futures escapades sereines;
En s'enivrant
Dans un mirage;
D'imminentes vacances essentielles
Dans un voyage de noces pacifique;
Imbibé d'un océan d'amour pacifique;
Assis sur un banc en regardant le ciel !
A attendre le déluge
Avec pour subterfuge;
De l'amour sein en sentiments
Sans ressentiment,
Avec de l'assentiment transfuge;
Ayant pour refuge
Des semblants d'aquarelle;
Assis sur un banc en regardant le ciel !
S'empressant de déposer
Leurs états d'âme névrotiques;
En couchant leurs mots
Sur du papier à musique,
Alors que le mariage de la raison
En cette faim de saison
Qui achève cette année universelle;
Attend du Missel
Des regards ;
Avec pour égards
Une immense tendresse;
Conjuguée à de la liesse
Dans un élan d'amour;
En attendant le grand jour
Autour du troubadour;
Qui rime en un séjour
Pour l'éternel
De façon officielle,
Dès le mariage du siècle solennel;
Assis rassis impudique
Sur un banc public;
En regardant fixement le ciel !
Jérôme de Mars
La vie vaut la peine d'être vécue !
De la naissance à la rue
Malgré la peur de l'inconnue;
La vie vaut la peine d'être vécue !
En sachant que dans l'absolu;
Il faut que les gens cultivent le bien !
O combien dans le Sacristain Chrétien
Pour favoriser le lien social
En des relations amicales,
Car que les gens aient
Une vie dissolue;
Ou une vie résolue,
La vie vaut la peine d'être vécue !
Certes avec peine !
Mais avec O peine !
Pour être open
Et ouvert jusqu'aux plaines
Des montagnes Russes;
Qu'est la vie en sachant
Tout de même
Que malgré les problèmes;
Il y a toujours des solutions !
Pour répondre à l'inconnue
Des questions ardues
En équations,
Dont il suffit juste de trouver
L'adéquation avec au bout
La délivrance dans un ouf de soulagement,
Afin que tout ce monde tienne encore debout !
Pourvu que tout le monde susse
Que la vie vaut la peine d'être vécue !
Malgré la peur de l'inconnue !
Que comporte la vie aussi tant
Imprévisible que extraordinaire;
Aussitôt époustouflante
Que sidérante
Parmi le monde des congénères;
Qui parfois se veulent du bien,
Tandis que tantôt les gens s'en veulent
D'être au combien aussi bien,
Alors que le mal des gens esseule
Et divise la communauté
Des copains;
Ce qui amène
Rien de bon malgré l'Amen !
Pour réconcilier dans le bien
Les Chrétiens autour du Sacristain,
Dont il faut bien
Pour redonner du lien
Aux gens les plus isolés;
De l'espoir irrigué
Par la solidarité;
Avec de véritables valeurs
Du bonheur ,
Dont pour que les gens
Ne se fassent des tourments
Pour tout et pour rien !
Il faut être un pour tous !
Et tous pour un !
Avec pour joli coupe de pouce !
Un élan qui cultive la bonté
Et la beauté
De la vie;
Qui embellit
La rue et la peur de l'inconnue !
Car malgré ce que croient in fine certains
Intrus et malotrus;
La vie vaut encore la peine d'être vécue !
Jérôme de Mars
Laurel est hardi !
Stan Laurel et Oliver Hardy !
Ben mince en gros !
Laurel est hardi !
Et Laurel hait Hardy
Hardi !
Que Laurel est hardi !
Dont Laurel hait Hardy !
Dès que Laurel et Hardy
Vendirent en gros
Leurs personnages
Renfermés deux muets !
Dans leur mutisme parlant
Ben mince !
Dont Laurel est hardi !
Dès que Laurel hait Hardy !
En plus de cent films,
Si bien qu'ils jouèrent
Le rôle de leur vie !
Sans se faire de films;
En faisant malgré tout
Sans films,
Dont Laurel hait hardi !
Dès que Laurel hait Hardy !
Hardy que Laurel est hardi !
Et très hardi que Laurel est Hardy !
Dont Laurel et Hardy !
Eh ben mince en gros !
Laurel ait Hardy !
Si bien que Laurel et Hardy !
Dès que Laurel hait Hardy !
Avec pour Hardy;
Laurel est hardi !
En donnant un ultime coup de chapeau
A Charlie Chaplin !
Après lui avoir fait porter le chapeau,
Dont Laurel est hardi !
Jérôme de Mars
Les bourdons me filent le bourdon !
Frelons ensemble, fredonnons !
Une chanson qui rassemble,
Dont ne boudons
Pas notre plaisir qui ressemble
A ce qui nous assemble !
Lorsque personne ne tremble !
Malgré que les bourdons me filent le bourdon !
Avec pour coup de massue;
Ceux qui me foutent le cafard !
Face au cagnard,
Où tous unis et réunis face à l'inconnue;
Frelons ensemble; fredonnons !
Lors d'une lune de miel;
Un appel à la paix universelle
Qui rassemble OTAN !
Les déçus des derniers printemps
Que les nouveaux venus très contents !
De participer à ce nouvel élan
En route vers la réconciliation,
Dont avec cet appel à la paix solennelle,
Les bourdons certes; me filent le bourdon !
Mais font que personne n'est mis à l'écart !
Surtout face au cagnard,
Dont ensemble ! Ne boudons
Pas notre plaisir ! Mais pensons
A bien nous entendre !
Et à bien nous détendre
En sirotant un café crème !
Avec que des crèmes autour qui s'aiment !
Durant tout le temps qu'augure
Dans un proche futur !
Leurs nouvelles facettes !
En leurs bonnes natures !
A ces gens que tout le monde
Découvre sous leurs fossettes;
Qui fécondent
Ce monde composé de fissures
Et de tristes figures
Déconfites, où pour qu'il y ait une contagion
Dans l'amour et l'affection !
Chantons ensemble avec les bourdons !
Un hymne en effusions,
Malgré que les bourdons me filent le bourdon !
Dont ne boudons
Pas notre plaisir d'être ensemble en harmonie !
Dans une pure plénitude en symphonie,
Dont malgré qu'il y ait les bourdons !
Ne les boudons
Pas malgré que les bourdons me refilent le bourdon !
Jérôme de Mars
Rêve parti
Rave-party ;
C'est un rêve parti
Durant le temps imparti !
Avec pour répartie
Un parti pris;
Ou un compromis
Avec concession;
Ou cession
Dans une session
De la scission;
Ou une récession
De la mission;
Avec pour finition
Un rêve parti
Dans une rave-party;
En cessation de paiement
Dans un magasin,
Avec en magasin;
Quelques objets impartis
Durant le temps hein parti!
Avec pour rave-party
Un rêve parti,
Dont c'est partie remise !
La remise
Pour mouiller sa chemise,
En s'achetant une chemise
A la boutique;
Avec pour dépenses frénétiques
L'envie de s'acheter des vêtements;
En fuyant les gens en courant
Dans les allées avec entrain;
En rêvant de tambourin;
Genre un tambour hein,
Dont sans compromis;
C'est juste promis
Que dans une rave partie;
Il y ait un rêve parti !
Dont le tout dans un parti pris;
Fait que l'ensemble prend parti !
Avec pour répartie;
Une partie repartie
Dans un temps un parti !
Car une rave un party
En un temps imparti !
Crée une surprise des partis,
Où ça reste juste départi !
Un rêve brisé hein parti.
Jérôme de Mars
Le gazouillis des oiseaux
Nids de fortune
En une dans la lune,
Il y a souvent le gazouillis des oiseaux;
Qui ont régulièrement le dernier mot
Sans être dans un déni d'infortune,
Tellement que leurs petits; les moineaux
Fredonnent leurs premières chansons opportunes;
A écouter lors de la puberté des jeunots,
Dont le gazouillis des oiseaux
Leur fait apprendre tous les mots du dico;
Avec en images exclusives; leurs réussites
Au zénith, dont les piafs éditent
Leur entière anthologie qui reste dans les annales
De leurs grandes chansons originales et marginales;
A leur image à ces oiseaux ainsi qu'aux moineaux
Dans leur concert de louanges qui fait ricaner les corbeaux;
Qui participent avec les autres oiseaux et les moineaux
Chaque petit matin à cette impro,
Dès le gazouillis des oiseaux;
Qui raccord; leur montre l'envers de la déco,
En lézardant au sommet de la gloire
Dans un réservoir de belles histoires;
A l'image de leurs avantages
Avec en gage;
Des choses qui semblent interminables
Et qui paraissent insurmontables,
Dont tout le monde, long à la détente !
A comme attentes
Qu'un eldorado
Promis; leur tende la main;
Et que dans un ultime tango;
Un romantique boléro
De Ravel;
Leur soit transmis fraternel
Et charnel,
Afin que tout le monde puisse voir le bout du tunnel,
Dont les dernières ritournelles
En secrets de polichinelle;
Ont pour refrain
Et dernier mot;
Le gazouillis des oiseaux.
Jérôme de Mars
C'est un jeu d'enfant pour le soleil et le ciel !
Examens par ciel;
Bientôt il y a les jeux olympiques !
Entre le soleil et le ciel
Dans un océan pacifique,
Dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil
Et le ciel !
Notamment de participer à l'épreuve
Du tir à l'arc en ciel,
Pour monter en flèche
Et trouver sa cible indicible
Dans une aquarelle qui sert de fusible
Dans l'océan pacifique;
En ces jeux olympiques
Très tropiques;
En faisant régulièrement le point
Dès l'embonpoint,
Dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil
Et le ciel !
De reprendre des couleurs universelles
Dans une ribambelle;
En étant en nage dans l'océan pacifique
En ces jeux olympiques,
Afin de ramer
Dans des canoë-kayak;
Et de ne pas ramer
Sur des bateaux;
Qui mènent en bateaux
Le lac, dont il faut se méfier
De l'eau qui dort !
A cause du folklore
Des jeux olympiques;
Qui mènent la lutte romaine
Au dojo
Sous l'emprise du judo,
Pour que la vie soit un long fleuve
Tranquille ! Dans la ville qui abreuve
L'océan pacifique
Dans une course de fond,
Dont pour gagner la course;
Il vaut mieux of course être marathonien
Que sprinter
Dans un ping-pong verbal;
Sans filet dans un échange oral,
Si bien que c'est de la balle !
D'avoir un ballon d'essai
En football,
Dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil
Et le ciel !
Avec ces examens par ciel !
De chausser ses crampons
Sans se couper l'herbe sous le pied !
Avec de petits prodiges de génies en herbe !
Hauts dans leur verbe adverbe
Ici et là !
Dans ces jeux universels;
En jeux olympiques
Dans un océan pacifique,
Dont tout le monde court
Au court d'un match de tennis !
Balle au pied en faisant du raquette;
Pareil aussi sans filet,
Dans un sot en hauteur !
Et dans un sot en longueur !
En durant sur la longueur
Au cours du long cours
De l'athlétisme,
Où tout le monde mouille sa chemise !
Que ce soit le soleil et le ciel
Dans un esprit de conquête d'esthétisme !
En ayant pour épée de Damoclès;
L'escrime de lèse-majesté;
Qui a effleuré
Le tour de France sur piste
Avec le soleil et le ciel;
Qui ont pour garde-fous
Leurs petits vélos !
Pour pédaler dans l'au-delà,
Si bien que tout tombe à l'eau !
En natation, où le soleil
Et le ciel sont en nage !
En mouillant partie remise
Leur chemise !
Au soleil et au ciel
Dans ces examens par ciel,
En ces jeux olympiques
Au ciel
Dans un océan pacifique,
Dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil
Et le ciel !
D'être très à cheval en équitation
Pour sauter des sots d'obstacle;
En se donnant en spectacle
Au ciel; de la part du soleil
Et du ciel,
Dont pour terminer ces jeux olympiques
En fanfare;
Dans un océan pacifique
Face au cagnard;
Il est déclaré !
Que personne n'a rien à perdre !
Mais a tout à gagner !
Pour rentrer dans la légende
Des offrandes,
Dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil
Et le ciel !
D'espérer gagner ces jeux olympiques
Dans un océan pacifique;
Avec sérénité
Et en paix, dont le prix de la liberté
Est que la vie soit un long fleuve tranquille !
Qui abreuve la ville
Spirituelle vers l'autel,
De sorte que tout le monde soit logé à la même enseigne;
Ayant pour enseigne
Qu'il n'y a jamais aucun perdant !
Mais que des gagnants,
Dont il n'y a qu'un seul vainqueur
En ces jeux olympiques
Dans un océan pacifique,
Et dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil
Et le ciel !
D'avoir en l'occurrence comme unique gagnant;
Le soleil par ciel !
Jérôme de Mars
Le complexe de type
Maladie psychiatrique
De la guerre des nerfs,
Où le nerf de la guerre
Est que le silence soit d'or !
Et la parole d'argent !
Afin que le complexe d'Œdipe
S'arrange apaisant;
Et se dore
Dans le complexe de type,
Où c'est très complexe
De soigner
Et de réguler
Les névroses obsessionnelles,
Dont le trop plaint d'amour passionnel
Entraîne des pensées névrotiques;
Envahissantes et invalidantes;
Qui empêchent la résilience urgente
A cause des conflits psychiques,
Dont le traitement
A base de médicaments;
Peut se comparer à une camisole chimique,
Pour que le complexe d'Œdipe
Se régule et s'étripe
Dans le complexe de type;
Avec la déformation de la réalité,
Même si le patient a toute sa lucidité;
Conjuguée avec des crises de panique;
Et que la peur peut le rendre tétanique
Avec un mal de mère
A l'origine de son état patibulaire
et bipolaire;
Qui peut favoriser les tocs
De sa personne très toc toc qu'il retoque;
Avec des pensées suicidaires
Pour rejoindre sa mère dans un état de poussière
A cause de son manque d'affection endurée,
Dont maintenant le patient est dans une affection de longue durée
Dans une sécurité sociale;
Avec ses copains qui lui font souvent une tape amicale,
Dont le manque de sa mère;
Lui donne envie de rejoindre le cimetière
Dans cette vie désorganisée
Et chaotique,
Dont le refoulement de son homosexualité
Ou de sa bisexualité
Qu'il fuit enfoui,
Dont il s'enfuit
Dans de la perversité
Pour se venger de tout le mâle qu'on lui a fait
Dans un comportement asexué;
Qui le rend déçu
D'avoir une vie dissolue;
Et ne pas avoir une vie normale
Avec un amour rien de plus banal;
Qui soit une déclaration orale
Et verbale;
De ce qui n'est plus fœtale
Et fatale,
Mais quelque chose qui soit le graal
D'une résurgence
En un total lâcher prise;
Et en prenant du recul
Sur l'emprise
De sa mère qui le bouscule,
Dont après des relations exclusives
Notamment en amitiés viriles;
Il est grand temps après les délires
De la parano;
Et de l'ire
Du contenu des mots;
A l'ambiguïté subversive
Et transgressive;
D'opter en passant d'une enfance puérile
Et de pseudos relations amoureuses stériles
A l'implacable passé de vieux persécuté;
En un avenir davantage apaisé
Et fertile
D'amitiés enchantées,
Malgré ce monde désenchanté,
Si bien que ce patient impatient;
Finira par fredonner réconciliant
Que le mal de mère qui a le vague à l'âme;
Peut en faire une mer qui chante du slam
En avançant d'un complexe d'Œdipe
Dans le vague;
Vers une nouvelle vague
D'un complexe de type;
Plus du tout si complexe en archétype,
Dont ce patient si impatient;
Se décomplexe complexe en un chic type;
Tel le complexe si simple deux types
En un;
Avec en feint ce texte défunt.
Jérôme de Mars
Quand l'amour tombe bien ébat !
Bruits de pas;
A pas de géants !
Bienvenue dans le monde des grands !
Quand l'amour tombe bien ébat !
A crier de volupté;
En prenant son pied !
Oh ! Ca va vers le haut !
Pour commencer
Et pour terminer
Au septième ciel très O !
Quand l'amour tombe bien ébat !
Entre des garçons manqués
Fille rabat-joie;
Et des hommes qui jouissent Oh !
Yes ! Tout tombe à plat !
Dans un rentre-dedans;
Direction la source des plaisirs
Solitaires ou solidaires;
A se faire du bien nécessaire !
A en jouir pourvu que ça tire !
En plein dans le sexe volcan;
Qui bande de son p'tit bout très chou !
Que les femmes aiment déguster
En léchant et en suçant très doux !
Ce qui bande fou !
Ou débande relou !
Quand l'amour tombe bien ébat !
Et que tout tombe à plat !
En fricotant et en baisant
Avec un doigt dans le derrière,
Sans chichis et sans manières
Avec pour turlute;
Une femme qui suce un homme
Sans son calbute,
Dont sa bite branle ses nichons
A la femme; qui branle le cornichon
Du garçon; en poussant comme cri
De plaisirs ! Allez ! Oh !
Yes ! Rien qu'avec les femmes
Et leurs raplalas !
Brûlent les flammes
Du désir des hommes unisexe
Dans l'amour sans complexe
De leur sexe fleuri;
Perplexe et annexe;
Entre les hommes et les femmes !
Car haut ! En descendant plus bas !
Tout tombe à plat !
Quand l'amour retombe bien plus ébat !
Jérôme de Mars
Le soleil vend dans son rayon supermarché un beau ciel bleu
Service après-vente !
Qu'il évente
Ou qu'il se vante
De rendre service à celui qui vante
Les mérites d'un bon élément studieux;
Le soleil vend dans son rayon supermarché un beau ciel bleu
Qu'il revend ensuite au plus offrant qui a super bien marché
Dans la surenchère;
Qui fait les affaires des plaisirs de la chair
A proprement parler
Dans un service par ciel;
Ou et sans ciel !
Afin de comprendre le motif qui en fait tout un dessin !
De son incroyable destin là-haut qui pousse un !
Des œufs tout frais;
Qui ne sont pas tous mis dans le même panier
Avec en matchs de poules des poussins,
Dont le soleil vend dans son rayon supermarché un beau ciel bleu;
Complice de son rayon de soleil; qui rend hommage à l'amour merveilleux;
Qui fait feu en entretenant toujours la même flamme pour rendre heureux
Les amoureux; qui cousent un magnifique ruban somptueux
Dans un paquet cadeau; qui part comme une lettre à la poste !
Composte en affranchissant les limites dans un post
Sur Facebook très extrême;
Avec dans le collimateur suprême;
Les mouvements du vent furieux !
Dont le soleil vend dans son rayon supermarché un beau ciel bleu;
Qui a super bien marché dans le sens du vent; qui rend service après-vente;
Et qui se vante
De ce qu'il évente;
En ouvrant pour service public quelque chose qui vante
Les mérites au plus pressé
Et en parant au plus oppressé;
Avec droit les yeux dans les yeux,
Un supermarché langoureux;
Qui a hyper bien marché à deux,
Dont le soleil revend dans son rayon hypermarché un beau ciel bleu.
Jérôme de Mars
Mère rapporteuse
Porteuse d'espoir;
Rapporteuse d'histoire !
Que ma mère rapporteuse
Qui ne fut mère porteuse;
Fut songeuse
A mon égard;
Moi qui avais toujours le cafard,
Et dont ma mère me distribuait
Ici bas avant l'heure;
Un purgatoire
En bruits de couloir;
De pourquoi ma vie était un dépotoir
Et de pourquoi j'allais finir dans un mouroir
Avec que des malheurs;
Qui allaient surgir nulle part ailleurs
De par ma mère rapporteuse;
Qui naît mère porteuse
Mais qui caftait
Mon état laminé et délabré;
En médisant auprès de sa famille
Et de ma famille toute mon infâmie;
Même que ma vie ne fut jamais facile
Dans un alpha oméga
De mon état en un delta;
Sulfureux à mon image endolorie
Et flétrie
De par ma mère rapporteuse;
Qui ne fut ma mère porteuse,
Même qu'elle m'a conçu
Avec mon père dans l'absolu,
Malgré que ma mère ne pouvait
Concevoir un bébé
Avec moi son bébé,
Sinon cela aurait été de l'inceste,
Car même si avec le temps;
Il fallait lâcher du leste !
OTAN fumer le calumet de la paix;
Pas ma mère avec moi !
Mais une fille de joie
Avec moi
Au nom de la liberté !
En soulageant mes pulsions;
Avec en impulsion
Ma mère rapporteuse;
Même que ma mère ne fut
Mère porteuse,
Mais qui rapporta
Tout mon passé controversé
A ses amies;
Les plus oppressées,
En marchant d'un pas très haut pressé;
Et en me jetant un énième camouflet
Sous des grands airs de sous-entendus;
Avec un air de déjà-vu !
Depuis tous ces aléas;
Qui m'avaient provoqué
Tant de tracas,
Car même si ma mère ne fut
Ma mère porteuse;
Elle fut ma mère rapporteuse,
Que ce soit ma mère cafteuse
Ou la mère affreuse
De toute façon,
Vu que je fus un mauvaise garçon
Du à mon passé déviant;
Dont pour aller de l'avant;
OTAN écouter Boris Vian,
Dont et vlan;
J'en fais de mon passé décadent !
Au ras des pâquerettes !
Des textes aux paroles chouettes
Pour voler vers le haut avec les chouettes,
Dont en guise de ma mère qui ne fut
Ma mère porteuse;
Tout cela fut le résultat de ma mère rapporteuse.
Jérôme de Mars
Seul en Seine
Seul en Seine; la vie naît pas un long fleuve tranquille ! Déjà qu'avec le crack; des cracks se shootent à L'Euro, où beaucoup n'en ont rien à foot ! Surtout avec L'équipe de France de football; qui s'est fait sortir de L'Euro avec pour issue sans secours; Les Suisses qui leur ont réglé leurs comptes; en allant droit au but et en leur tirant dessus ! Avec les élections à la fois départementales et régionales; le gouvernement a essentiellement cherché à attirer l'abstention; en faisant basculer le dernier département communiste; Le Val de Marne qui maintenant; dévale à droite et au centre de toutes les abstentions dans ce seul en Seine, où tout tombe à l'eau ! Comme avec les orages qui inondent les réseaux sociaux dans le caniveau ! Où chantons sous la pluie sous cette France désenchantée; qui ne respecte plus sa parole donnée ! Alors que d'ici moins d'un an; les élections présidentielles se profilent avec la république en démarche ! Concernant le Coronavirus; on dit que ça va mieux mais il faudrait savoir car avec le en même temps de Macron ! On nous bassine maintenant avec le Variant Delta qui ne varie pas sa position dans sa pôle position ! En cherchant le pôle Emploi et le pragmatique mode d'emploi de comment réduire le chômage et de trouver du travail à tout le monde ! Que ce soit par le biais du bénévolat ou dans un billet d'honneur; en faisant un doigt d'honneur ou en mettant bien les mains dans le cambouis pour trouver l'essence; et de comment remettre du carburant dans le régime des retraites aux frais des contribuables; qui devront travailler au charbon mine de rien; sans doute de 62 ans à 64 ans pour remettre les régimes spéciaux sur deux bons rails; et au régime général sauf si La CGT cherche à battre en retraite pour mettre au régime le patronat; avant un hypothétique régime nationaliste en France en 2022; si Marine le peine le pays aux dépens des étrangers; qui sont certes étrangers à cette grande immigration en France à vol d'oiseau, et dont pour résoudre le problème de l'immigration et du Coronavirus; il faudrait sérieusement envisager en piqûre de rappel; de vacciner tout le monde contre la rage par le moyen de la prière avec l'aide de la Clinique Pasteur, afin qu'à l'autel des gens qui ont bon cœur, tout le monde soit logé à la même enseigne, comme avec la réforme des APL; qui fait qu'en temps réel; les jeunes sont perdants; ainsi que pendant le mois du Ramadan, où tout le monde jeûne dans ce seul en Seine; noyé par la connerie de la pensée unique, alors qu'il faut de tout pour faire un monde ! Qu'on soit de Mars comme moi; ou de Vénus comme Boris, si bien que les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus, comme le martèle le célèbre dicton; déjà que l'époque que nous vivons; n'est pas normale et est complètement ovni, comme plus personne n'a plus les pieds sur terre et que tout le monde est dans la lune comme Thomas Pesquet ! A rêver utopique et idéaliste d'un monde meilleur; hélas impossible ! Avec certes tout le monde qui déguste en piochant dans ses économies et en ne faisant pas l'économie de sa santé depuis des lustres ! Mais dont grâce à notre coqueluche Coluche; qui est mort il y a tout juste 35 ans le 19 juin 1986, et dont sa lumière nous manque dans notre monde qui hait à l'ombre; grâce à qui tout le monde mange à sa faim; même s'il manque encore un toit à chacun dans le chacun pour soi ! Tandis que s'il y avait un chacun pour toit; les gens; ils leur arriveraient moins de tuiles ! Et enfin pour terminer en bonté ce seul en Seine, allez voir le nouveau film comique sur la politique; qui sort aujourd'hui au cinéma et qui s'appelle : " Présidents; " et je vous en conjure malgré cette époque obscure; ce film en vaut la chandelle avec Jean Dujardin incarnant Nicolas Sarkozy; plus vrai que nature et François Hollande interprété par un acteur, dont je ne m'en rappelle plus du nom; mais qui lui ressemble fortement, dont l'histoire est peut-être dans un futur prémonitoire avec en ligne de mire l'horizon 2022, et dont pour faire barrage à l'extrême-droite; il y a un rassemblement national; avec la gauche et la droite qui s'unissent dans une union nationale, et comme par hasard; l'histoire du film se déroule en Corrèze; et malgré la vache enragée des Français dans ce pis bas de François Hollande, dont les mamelles de La France sont Liberté ! Egalité ! Fraternité ! Et dont la seule façon de résister à la connerie est l'union nationale ! Pour que personne ne se tire de La France; et pour faire en sorte que Les Français ne se tirent dessus dans une guerre civile ! Et où l'unique solution pour ne pas être seul en Seine; c'est l'union nationale, car l'union nationale fait la force libre !
Jérôme de Mars
Secrets de polichinelle
Savoir raison garder chères âmes dévouées,
Moins les gens révèlent de choses;
Plus ils restent protégés
Des divulgations de secrets de polichinelle;
Qui provoquent des ecchymoses
A ceux qui ont le privilège d'assister
A ceux qui font la chose,
Comme si tout révéler était comme tenir la chandelle !
Pendant que les autres qui vivent bien leur vie;
Semblent ainsi promis d'avoir réussi
Une pléiade de défis,
Tandis que ceux qui les contemplent dans une vie
Par procuration ! Admettront qu'il n'est jamais trop tard !
Pour sortir du mitard en jouant de la fanfare;
Et être heureux dans des secrets de polichinelle;
A faire sourire et rire le soleil qui ensorcelle
La vie qui parfois; est pareille ou qui impromptue
A coups de confidences dissolues;
Entraîne un malaise trop embarrassé
Des gens sur le qui vive désenchanté,
Alors que d'être dans le coltard !
Fait que les individus sont soit hagards;
Ou soit simplement que le hasard
Fait bien les choses dans un si grand bazar !
Replié en secrets de polichinelle;
A admirer mademoiselle et mesdemoiselles
Leur cœur désempli en miettes;
Avant de tomber dans les oubliettes
De la vie qui fait des ravages
Dans un océan d'étalage de bas étage,
Duquel il semble opportun d'opposer le destin
Au festin; qui mettent tout à plat la fatalité et le déclin
En pseudos racontars
Au café des mauvaises nouvelles;
Qui font que tout le monde se rembarre !
Dont il naît de savoir raison garder
Ce qui plonge les personnes dans l'obscurité;
Qui ensevelis; laisse-béton au cimetière !
Dont une fois après redevenues poussière
Avec leurs âmes repéchées au ciel !
V'là la nécrologie du journal des mauvaises nouvelles
En secrets de polichinelle.
Jérôme de Mars
Blagues :
1) Pourquoi est-ce-que l'équipe de France de football a-t-elle subi une défaite à l'arrachée contre La Suisse et est-elle éliminée de L'Euro ?
- Parce-qu'avec son équipe de mauvaises graines; Didier Deschamps n'a pas réussi à cultiver un beau jeu dans son jardin secret !
2) Pourquoi est-ce-que mon père a-t-il toujours été le parfait sosie d'un célèbre ancien présentateur de journal télévisé à moustache ?
- Parce-qu'à Noël ma mère fut conçue !
Jérôme de Mars
Les oiseaux volent les Iles Canaries !
Loi du talion,
Comme un lion
En cage de ménagerie !
Parmi les canaris;
Les oiseaux volent les Iles Canaries !
En attirant les faveurs des belles demoiselles;
Endormies et attendries
Que ça a plutôt tendance à évoquer un Carrousel;
Qui tourne à en défendre sa patrie;
Et sa famille à quiconque voudrait faire du mal !
Pour rentrer dans les annales originales
Des scènes de manèges entre les canaris,
Dont si jamais il y a des prises de becs !
Il vaut mieux employer des mots pète-secs
Avec les condors !
Puisqu'on dore
Ces drôles d'oiseaux !
Dont les oiseaux volent les Iles Canaries !
En flattant les plus bas instincts des mâles,
Dont il n' y a pas de mal à leur vouloir du bien
A ces animaux ! Qui aspirent à y nouer des liens
Avec leurs semblables autour d'un enjeu amical;
Et qui laisse augurer que ce qui peut être inouï !
C'est un bain de minuit parmi les inuits !
Qui les laisse de glace !
En regardant dans la glace
Le surplace qui ne peut plus se regarder dans la glace !
A part si seulement il s'agit d'une armoire à glace;
Qui laisse présager des pertes et tracas qui fracassent
L'île paisible des canaris ! Or le monde est si petit !
Qu'il reste de sacrés dodos parmi les oiseaux
Qui fond dodo !
Et dont en prenant leur envol à vol d'oiseau;
Les oiseaux volent en antivol les Iles Canaries !
Jérôme de Mars
Le soleil rit lorsque la pluie sanglote !
Quand le ciel fait miroiter aux aquarelles;
Certaines chimères qui surgissent pareilles !
Le soleil rit
Lorsque la pluie sanglote !
Et que le froid grelote
Rebelote dans une partie de belote;
En jouant cartes sur table avec harmonie
Dans des effusions de larmes qui s'écoulent !
Pendant que des larmes de crocodile
Font pleuvoir la pluie à la grenouille;
Indocile et qui ne rend la vie facile
A personne qui gargouille !
Dont la faim justifie les moyens !
A quiconque déploie tout un chacun
Une vie quelquefois tactile
Et tantôt versatile;
Dont le soleil rit
Lorsque la pluie sanglote !
Au moindre souci;
Qui fricote
En trompant l'ennui
Des filles faciles;
Qui asticotent
Les mauvais garçons;
Très à cheval ! Chaud ! Les glaçons !
Y a le feu à la maison !
Dès que tout s'enflamme sur le paillasson !
Et dont il faut des quiproquos !
Afin que tout tombe à l'eau en sanglots !
Quand plus rien ne va !
Et que tout se foudroie
En drames dans le désarroi !
Et que dégage la joie rabat-joie !
Alors qu'un simple mot du dico
Suffit parfois à relever le niveau !
Dont le soleil rit
Lorsque la pluie sanglote !
Entre avoir le choix de jouer du pipeau
Dans de la camelote;
Et fumer le calumet
De la paix
Dans un joli paradis;
Entre un soleil d'aplomb
Et des nuages gris;
Qui pètent les plombs
En leur mettant du plomb
Dans leur tête
A ces maudits poètes,
Comme quoi la vie c'est soit faire le fanfaron
Dans une bande de cons !
Ou soit être facétieux et audacieux
Tout en restant sérieux !
Mais dont le plus important !
A conjuguer à tous les temps
De la vie !
Entre accalmie et dépit !
C'est de conjurer le malheur !
Et de jurer rien que par le bonheur !
A chaque jour qui fait la vie !
Malgré les aléas avec la famille
Et les amis,
Et dont dans la vie;
Il faut rester droit dans ses bottes !
Avec à fortiori le soleil qui rit
A l'infini insoumis,
Lorsque la pluie grelote et que rebelote !
Jérôme de Mars
La forêt enchantée des artistes
Chanteuse dont c'est l'arbre qui cache la forêt ! C'est une interprète très téméraire
du nom de Françoise hardie; qui arrive près d'un tronc d'arbre renfermé dans sa coquille Saint-Jacques du tronc d'arbre, et dont en l'espace d'une minute ! Françoise hardie entonna l'appel de la forêt enchantée que Saint-Jacques du tronc d'arbre; fit son bonhomme de chemin en se transformant en homme; aux allures de dur à cuire blouson perfecto, tandis que Françoise hardie le nomma Jacques du tronc d'arbre; dont pour tenir parole ! Françoise hardie écrivit comme texte de chanson : " Partir un jour " que Jacques du tronc d'arbre mit en musique puisque Françoise hardie dit dans ses paroles à Jacques du tronc d'arbre; puisque vous partez en voyage ! Faites-moi une place ! Dans la forêt enchantée des artistes, dont l'appel fit prendre des râteaux à Jacques du tronc d'arbre; qui vola la plume d'oiseau de Françoise hardie pour s'envoler en musique, puisqu'on connaît la chanson ! D'où Françoise hardie pour récupérer sa plume et son duvet à Jacques du tronc d'arbre; écrivit sur une feuille morte à l'automne de sa vie très opportuniste; afin qu'untel gentleman Arsène Rupin du nom de Jacques du tronc d'arbre; vole aux riches leurs paroles en argent, de sorte qu'il rende à Françoise hardie; son manuscrit de ce jardin extraordinaire dans la forêt enchantée des artistes; tels deux playboys manouches sans guitare, dont pour faire leur bonhomme de chemin; ils eurent un bonhomme du nom de Thomas du tronc d'arbre très hardi, dont c'est un jeu d'enfant d'appeler la forêt enchantée des artistes ! Avec impair Jacques du tronc d'arbre et une à mère Françoise hardie, car Puisque vous partez en voyage lors de l'appel de la forêt enchantée des artistes ! Retenez bien le message personnel que vous envoient les cactus en piques de paroles ! Dont il est 5 h quand Paris s'éveille VIP dans la forêt enchantée des artistes !
Jérôme de Mars
Grain de bonté
Grain de folie;
J'ai le béguin du génie
En herbe;
Ou qui s'coupe l'herbe
Sous le pied acerbe !
Duquel j'ai un grain;
Qui jette son venin
Dans un grain de bonté;
Qui remplace ma beauté
Physique par ma beauté
Du cœur,
Malgré ma rancœur;
Qui s'conjugue épicée
Et mijotée
Avec de la liqueur,
Pour faire office de laideur
Dans la noirceur,
Alors qu'il y encore un cœur
Qui bat la chamade !
Dans une ballade
En vigueur
Avec mon grain de bonté;
Qui a un sacré grain
De beauté intérieur
A l'intérieur de mon cœur;
Qui remplace métaphysique
Ma beauté physique,
Mais dont ma rancœur
Chante en cœur;
Utilise ton cœur !
Par cœur
Pour chanter
La France désenchantée,
Fredonnée dans tes cantiques;
Qui remuent ton âme névrotique
De maudit artiste poétique !
En répercussions
De tes obsessions;
En chantant ton cœur
Qu'on s'le dise !
De ton grain de bonté;
Qui a un sacré grain
De beauté intérieur
A l'intérieur de ton cœur;
Qui remplace ta beauté physique
Dans ton cœur d'acoustique,
Et dont le seul tempo harmonique
Donne en refrain
Sans Alex sans grains;
Un grain de folie;
Mélangé à du pur génie,
Génie en herbe;
Qui s'coupe l'herbe
Sous douze pieds
Au verbe acerbe !
Et dont pour couper la rumeur
Qui fait office de tumeur
En ton intérieur;
Intéressons-nous donc plutôt à l'intérieur
De ta beauté intérieure !
Qui bat la chamade
A l'intérieur de mon cœur !
Dans cette ballade,
D'où je chante dans une sérénade;
Cette singularité
Pour partir en beauté
De mon grain de bonté.
Jérôme de Mars
Ah ! Sang dent !
De par mon jeu d'écriture;
J'ai la dent dure !
Ah ! Sang dent !
Si bien que je suis des sang dent !
Avec des ascendants
Et des descendants
Parmi les sans dent;
Tel que l'avait martelé
François Hollande;
En en faisant
Tout un fromage Hollande !
Ah ! Sang dent !
Quand François Hollande
Avait labouré
Sur les terres d'Hollande;
Qu'il péchait d'orgueil !
En y jetant un coup d'œil !
Ascendant et descendant
Sur les sans dent !
Ah ! Sang dent !
J'ai la dent dure
Pour Hollande,
Autant qu'un haut lande !
Dans un jeu d'écriture,
Dont je cache ma posture
Sous des airs d'imposture !
Que je jette en pâture
En y faisant pâle figure !
Ah ! Cent dent !
Ca y est j'ai des cent dents !
Et des sans dents !
Oh ! Lande !
Je chasse sur les terres d'Hollande
Jusqu'à François Hollande !
Depuis sa Corrèze;
Qui sent le Oh ! Lande balèze !
Dans un jeu de cirque de trapèze,
Dont avec mon signe ascendant
Et descendant !
Je termine ce texte à sans dent !
Ah ! J'ai cent dents à sans dent !
Des sans dents !
Où je finis de mal tourner
En ayant maintenant cent dents !
Avec des à côtés très
Ah ! Sang dent !
Jérôme de Mars
Les nems ont des magasins !
En magasin;
Les champs élisaient !
Des magasins au champ;
Au carrefour de la rue,
Pour que tout le monde se rue
Dans la cohue !
Et dans un sacré bazar !
Si bien que les nems
Ont des magasins !
D'où l'on rit quant on est !
Car quand on aime !
On ne compte pas
Les nems !
Si bien que les nems
Ont des magasins !
Des nems !
En remportant
Le marché
Dans un appel d'offres
Et de la demande;
Que quémandent
Ceux qui ont marché
Au supermarché
D'après la loi du marché;
Qui a marché
Sur les plates-bandes
Des magasins;
Avec en magasin
Des rayons,
Dont les nems
Ont des magasins !
Aussi bien
Quand les frères tanguent !
Le kir qui ne peut saké
Le big bang culturel
Aux sushis;
Qui mènent le monde
A la baguette
Chinoise ! Située au carrefour
Du magasin du nouvel an Chinois,
Pour défiler amical
Autant que syndical !
A porte qui choisit
Les nems,
Dont quand on aime !
On ne compte pas
Les magasins !
Avec en magasin;
Des nems arrivés
Au bout du rouleau
De printemps,
Dont les nems
Ont heureusement
Encore en magasin;
Des magasins !
Jérôme de Mars
Mon petit doigt m'a dit !
Doigts en éventail !
En comptant sur mes petits doigts;
Soit en ayant et en gardant la main;
Ou soit en partant du bon pied;
Mon petit doigt m'a dit !
Que mes ongles incarnés
Avaient incarné
Une prise en main;
Ou une reprise
En main;
En étant entre de bonnes mains;
Et qu'il fallait que mon petit doigt
Donne un coup de pouce !
A mon pouce qui pousse
Mon index,
De sorte qu'il montre le bon chemin !
Dont mon petit doigt m'a dit !
Que quand il serait majeur;
Il passerait la bague au doigt
A mon annulaire;
En prêtant mon oreille
A mon auriculaire,
Pour donner des coups de pouce
A mon pied qui écorne mes doigts de pied;
Avec en coups de pousse
Mon accord majeur,
Entre mes doigts de main
Et mes doigts de pied,
Pour tomber dans un gai pied
A portée de main,
Dont mon petit doigt m'a dit !
Que pour mes doigts de pied
Prennent leurs pieds
Dans un coup de pousse;
Il me faut donner un coup de pouce
Majeur à mon index
De mon doigt de pied,
Afin qu'il épouse mon annulaire;
En passant la bague au doigt
De pied comme pour deux mains !
Dont il faut que je nettoie bien mon oreille !
Avec mon auriculaire
Avant d'avoir de l'urticaire,
Et dont j'ouvre ensuite bien mon oreille
Avec mon auriculaire !
Dans mon accord majeur,
Entre mes doigts de pieds
En partant du bon pied;
Et mes doigts de main
En donnant un coup de main
A portée de main !
Dans un joli coup de pouce;
En indiquant avec mon index
La bonne direction à suivre,
Pour épouser mon annulaire
En mettant la bague au doigt,
Car pour que je prenne bien mon pied
A portée demain !
En partant du bon pied !
Il me faut donner un coup de main !
En gardant la main
Et en prêtant main forte;
Car pour le coup de main;
Mon petit doigt
Me l'a toujours dit !
Jérôme de Mars
Ah ! Ces sœurs !
Ames sœurs;
Evitez de filer à L'Anglaise !
Sur la terre glaise
Sèche cons sirs !
Comme vos consœurs !
Qui sont des cons sœurs !
En parlant de façon sèche !
Ah ! Ces sœurs !
En votant assesseurs revêches;
Terre ferme !
Où tout le monde se renferme !
Et la ferme à la ferme !
Ah ! Ces sœurs !
Qu'on appelle sans sœurs !
Messieurs ! sans cœur !
Et messieurs ! Les censeurs !
Votez comme vos sirs !
Ah ! Ces sœurs !
Dont vos sœurs
Sont vos consœurs;
Avec pour âme sir
Vos vagues à l'âme sœur !;
Dont vos cons sœurs
Sont comme vos hommes
Des sans sœurs ! !
Et des censeurs !
En somme pour votre pomme
Dont en votant assesseurs;
Vous avez pour âme sœur !
Ah ! Ces sœurs !
Jérôme de Mars
A tort
et a des ra
iso
ns !
Retors Michelle
To
rr a tor ais
t e es r ons !
t a d
Qui f t q e cha ai s et e t
on u que s o n tord donn ort
Retord to l'or a dix lui dort !
et re r s or
A tort est à is ons qui a sûrement pro raiso
déra se s pr e s ns
D'imaginer que
l i son se to a tort si le s retor
a ra rd et to t e d et
r
Re
t la rai n com temen t re
rouve so p lè tor s
A tort retors déra s don la raison d pl fo
et à raison ison t u u s rt
Retor rt e ra d
s a toujours raiso to t a des isons érais
n à ons !
Jérôme de Mars
La mer qui a le vague à l'âme
Vague à l'âme !
C'est un mélodrame
La mer qui a le vague à l'âme;
Pic et pic et colegram;
Bourré bourré ratatam
Pour vous mesdames
Pour qui cette trame;
Est en train d'être
Un tram;
Tel un rouleau de vagues;
Compresseur dans le vague
En vous jetant par la fenêtre;
De la mer qui a le vague à l'âme
Au creux de la vague qui rame
Dans le vague infâme ,
Comme si cette femme
Est la mer qui a le vague à l'âme;
Distributrice de mauvaises nouvelles;
Qui nivellent par le haut ce tour de manivelles,
Alors qu'il suffit d'un drame !
Pourvu que la mer hisse !
Oh hisse ! Dans un nouveau tour de glisse
En menant en bateau les flibustiers ;
Qui piratent leur jeu d'insubmersible intégrité,
Dont la mer qui a le vague à l'âme
Renvoie sous un pseudo slam;
Tout ce que clame
Pic et pic et colegram;
Bourré bourré ratatam
Les quidams,
Dont la mer a tous les vices !
Si seulement elle a pour novices
Quelques expériences qui rétament
La mer qui a le vague à l'âme;
Qui rend l'âme
Avec une lame
De rasoir,
Dont sa vie est rasoir et dérisoire
En surfant sur la nouvelle vague;
Qui rencontre avec la nouvelle vague;
Le cinéma,
Ainsi que les filles de joie rabat-joie !
Dont un sain
Et un sein ;
Qui traînent ici et là !
Et par-là !
Font des saintes nitouche;
Des à chattes à nouvelle cartouche,
En fumant le calumet de la paix
A ces garçons trop déjantés,
Dont c'est ça le prix de la liberté !
Car en route vers tout ce ramdam !
De la mère à la mer qui ont le vague à l'âme.
Jérôme de Mars
Si soleil, tu étais sur un petit nuage !
Au septième ciel !
Avant que le ciel
Te tombe sur la tête !
Petit ou grand soleil;
Dévoile nous tes facettes !
Avec aucun nuage
A l'horizon !
Bercé de jolis paysages
Près de ton balcon,
Où tu vogues
En moussaillon
Dans un long monologue,
Où tu écris de ton crayon !
A travers ton rayon
De toi; soleil !
A destination du ciel !
Donne-moi une raison !
Cher collègue spirituel;
De croire en mes ramages
Pour remplir ma page;
Avec en messages
Des mots sages,
Car si jamais un jour; je suis dans la lune !
Promets-moi que tu me mettras en une !
Où en me parlant; tu me diras
A moi !
Si soleil, tu étais sur un petit nuage !
Voudrais-tu que je remplace les orages
Par ton sourire enjoliveur qui serait merveille ?
En ton chant poétique
Et ludique;
Avec aucun nuage
A l'horizon !
Tellement que tu resterais fidèle !
A l'autel du bon Dieu;
Logé à la même enseigne qu'un ciel bleu !
Et dont par le plus merveilleux
Des hasards !
Toi qui es hagard !
Serais-tu intéressé
Et fasciné que de ta destinée;
Tu remplaces
De façon éternelle et solennelle
Le ciel
En disgrâce ?
Afin que tu enlaces
Ta peau de soleil !
De sorte qu'elle influence
Le royaume universel,
Dont toi; le simple passeur
D'émotions; tu donnes pour affluence
Considérable de par tes talents d'orateur !
Le Missel !
Si bien qu'il n'y aura plus aucun nuage
A l'horizon !
Depuis ta pôle position !
Avec en illumination
Ta résurrection !
Qui donnera pour images
De radieux paysages,
Dont de tes mots sages;
Tu voudras qu'on te rende hommage !
Dans un prodigieux message
Avec pour adage;
Plus aucun nuage
A l'horizon !
Si jamais soleil, tu étais sur un petit nuage !
Jérôme de Mars
Caractère bien trempé
Lettres de caractère bien trempé !
Dès que l'écriture se livre
Et s'enivre
En prenant tout à la lettre;
Avec son caractère bien trempé;
Détrempez-vous !
Le jeu met en joue
Et joue en mouillant sa chemise
Avec son caractère bien trempé;
Qui ajoute d'une solidité déterminée
Que rien ne peut lui faire perdre la mise !
Malgré que de ses lettres manuscrites;
Sont retranscrites
Ses lettres de caractère bien trempé;
En s'prenant une trempe bien trompée !
Détrompez-vous et détrempez-vous !
Son caractère bien trempé
Est amplement mérité !
Avec pour vérité
Une mise en joue;
A laquelle tout le monde renoue
De nous à vous !
Ou de vous à nous !
Dans ce monde de fous !
Qui prend tout à la lettre
Avec son caractère bien trempé;
Détrempez-vous !
Car après avoir mouillé sa chemise;
Ce n'est que partie remise !
Avec pour répartie;
Son caractère oh ! Très bien trempé !
Jérôme de Mars
La voiture se rallie au rallye !
Fou rallié !
Que la voiture se rallie
Au rallye
Avec aussi Coralie;
Qui se rallie
Qu'au rallye;
En ralliant
Et en alliant
Sally qui salit
Le rallye;
Qui se rallie
A Ali et Coralie;
Qui allient
Le rallye;
Qui se rallie
Encore Ali;
Avec pour fou allié
Un fou inter allié;
Rallié par Ali
Et Coralie;
Qui rallient
Le rallye;
Qui allie Ali,
Dont la voiture Bélier
Signe sous le signe du Bélier
Son meilleur Ali;
Qui rallie
Le meilleur rallye
Avec Coralie
Pour vivre pour le meilleur qu'au rallye,
Dont la voiture se rallie au rallye !
Pour le meilleur Ali qui allie;
Et qui rallie le rallye
Pour le meilleur rallye;
Entre fous qui allient
Et qui rallient
Ali et Coralie;
Pour le meilleur Ali
Coralie; qu'au rallye,
Dont la voiture s'allie
Et salit à Ali et à Sally;
Qui se rallient au rallye
Jusqu' Coralie,
Dont la voiture Ali
Coralie qui allient
Le rallye qui rallie
Le meilleur rallye;
Avec pour meilleur Ali
Coralie qui allient et qui se rallient
Qu'au rallye qui rallie
Le rallye
Pour le meilleur Ali;
Qui se rallie qu'au rallye,
Dont la voiture qui allie Ali
Se rallie d'Ali à Coralie;
Du meilleur rallye,
Dont la voiture rallye
Salit le meilleur Ali qui s'allie
Et se rallie à Ali
Pour le meilleur rallye,
Dont la voiture à Ali
Se rallie en meilleur Ali
Au rallye !
Jérôme de Mars
Blague :
Que demande une femme à un architecte pour ne pas se faire baiser financièrement et professionnellement par lui ?
- Un plan Cul !
Jérôme de Mars
La mauvaise tête des hommes largués
Panne de cœur élagué;
Certaines mâtinées
Reflètent un miroir
Aux alouettes,
Dont le mouroir
Fait une pirouette
Au destin qui fracasse
Tout ce qui s'passe !
Et qui tourbillonne
La mauvaise tête
Des hommes largués;
Que la vanité sillonne
En y mettant les moyens !
Qui prêtent
Main forte dans une langue
Exsangue; qui tangue
N'importe quel jour !
Face aux vautours;
Qui leur jouent des tours
En invoquant l'amour;
Qui semble exagérer
La mauvaise tête
Des hommes largués
Par leurs femmes;
A proprement parlé
Tout feu tout flamme !
Qui sans-gêne; réfrène
Leurs penchants effrénés;
Qui en malentendus d'acouphènes;
Bourdonnent férocement les fossettes
De la mauvaise tête
Des hommes largués;
Et paumés de leur paume
De main; qui embaume
Leurs maudits destins;
Qui jettent la veuve et l'orphelin,
Vies à vies de leur solitude égarée
Dans leur vie désœuvrée;
Et déconnectée par la connerie
Des imbéciles;
Qui indociles;
Envoient promener
Les ignorants semblant des ratés;
En froid devant un café frappé;
Ames perdues absolues;
A supporter et à affronter
La peur de l'inconnue,
Face à l'étendue;
Qui paraît une superbe balade
En jouant une ballade de sérénade
Sans chichis,
Avec pour jardin secret;
Elagué et décimé
Depuis belle lurette,
La très mauvaise tête
Des hommes largués
Dans un vague à l'âme dissolu;
Mise au point révolue.
Jérôme de Mars
Les coccinelles roulent en voiture !
O pelle moyen de locomotion miniature !
Les coccinelles roulent en voiture !
A la vitesse lente du vent;
En marchant et déroulant comme des grands,
A p'tits pas de fourmis !
Qui fourmillent en pas de cigales;
Aux dépens des fourmis;
Qui chantent avec frénésie
Un do ré mi;
Qui vole la ritournelle
Des tours de manivelle,
Quand les coccinelles roulent en voiture !
En partant à l'aventure en magasin devanture;
Qui mangent en ayant une p'tite fringale,
Dès l'appel de l'haut pelle avec en rappel !
Une marque de voiture o pelle;
Qui emmène en villégiature
Le grand appel du 18 juin !
Avec en refrain;
La générale de gaule qui épelle
La marque o pelle,
Quand les coccinelles roulent en voiture !
Qu'on appelle les bêtes du bon Dieu,
Si bien que les coccinelles ménestrels
Arriment en bagatelle ;
Un couplet précieux et fabuleux,
De quoi le fruit de leur amour
Accouplé donne naissance !
Avec en roulement de tambour
L'essence, lors de l'encens
Des troubadours qui pullulent
Après s'être doré la pilule,
Et dont ils ont réussi à fortiori;
A faire avaler la pilule
Aux coccinelles; avec en magasin
Un luxe sûr sur luxure,
Pour les coccinelles
Dans une ritournelle; qui déroule sans frein !
Comme ça s'déroule enfreint !
Et dont ça s'enroule ayant pour refrain !
Les coccinelles qui roulent non-stop en voiture !
Jérôme de Mars
Les araignées peignent une toile de peinture
En dormant à la belle étoile;
Les araignées peignent une toile
De peinture
Dans un hôtel quatre étoiles;
Pliées en quatre toiles,
Dont c'est de l'art de diseuse
De bonne aventure !
Qu'elles soient songeuses
Dans leur nature;
En faisant en simultané
Comme les hirondelles;
Un printemps dans une ritournelle
De chanterelles; en accordant
Synchrones les instruments à vent;
De façon poétique
Et bucolique;
En chantonnant le soleil
Superficiel et délesté,
Duquel les araignées peignent
Une toile de peinture;
Ou tissent des fioritures
En recueillant des châtaignes;
En contemplant un hôtel quatre étoiles;
Et en dormant à la belle étoile,
Si bien que par la chevauchée
Au contact du chevalet
Très à cheval laid;
Et bien à fière allure
Sans déconfiture;
Les araignées peignent
A l'arrachée;
Une toile de peinture.
Jérôme de Mars
Ramone la cheminée !
A voile et à vapeur !
Telle est Ramone !
Qui ramone la cheminée !
Et fait feu comme locomotive
De son âme émotive;
Elle ou lui Ramone !
Dont le prénom est qu'elle ou il ramone
La locomotive en train de dégager
Sa vapeur ;
Vue toute la chaleur,
Quand Ramone a bonne
Ou mauvaise mine;
En allant au charbon;
Qui la ou le mine,
Comme en taillant la mine
De son crayon;
Qui ramone la cheminée !
Au coin du feu
Vers le chemin né;
Qui respire un peu mieux,
Quand Ramone ramone la cheminée !
Et accueille ses amis qui l'acheminent
Route de la destinée;
Qui bifurque en leitmotiv !
Dans la locomotive
En moyen de locomotion,
Avant qu'il y ait un feu de cheminée !
Avec Ramone qui ramone la cheminée !
Vers le chemin né
Dans le sens de l'action,
Dont ramone le chemin né !
Si bien que Ramone la cheminée !
Jérôme de Mars
Un architecte qui fait des plans sur la comète
La tête dans les étoiles !
A voile
Et à vapeur!
Ca marche au quart d'heure
Américain ces diverses facettes !
D'un architecte qui fait des plans
Sur la comète;
Soit très plan-plan
Ou en ayant une chienne de vie
A la rantanplan;
Qui remercie avec bonhomie
Un architecte qui fait des plans
Sur la comète;
En ayant la tête
Sur une autre planète
Que sur Terre;
A part s'il déterre la hache de guerre
Interstellaire ! Vas-y voir !
Tout naît que matière !
A en pleuvoir un abreuvoir
De mauvaises nouvelles,
Si bien que la galaxie ruisselle
D'un architecte qui fait des plans
Sur la comète
Sous forme de saynète;
Qui est trop plan plan
En ayant une chienne de vie;
Qui dévie
A la Rantanplan;
A en pleurer
Des larmes de regrets;
Se rappelant enfant
Qu'avant le néant !
Il y avait encore des toboggans
Pour prendre des gants
Avec les enfants,
Avant qu'ils ne deviennent grands !
Et que le monde adulte
Leur soit méchant !
Dans le tumulte
Que sculpte l'horizon bouché;
Qui aurait émergé
Vis-à-vis d'eux en galères,
Alors que grâce à un architecte
Qui aurait fait des plans sur la comète;
Ils y auraient vu stationnaires
Des gens qui sont dans leur planète;
Qui s'en délectent !
Et qui en même temps !
Leur auraient provoqué des fossettes
Dans cette vie de tourments avant
Qu'ils ne tombent aux oubliettes !
Une fois défunt au cimetière;
Intemporel et universel
Parmi l'éternel infini !
Qui aurait établi
Durant tout ce temps nonobstant;
Ce pourquoi il faut rester débonnaire
Sur la planète Terre,
Car avant que l'esprit
Une fois mort; s'envole vers un inventaire
Du bilan de leur vie à ces êtres ordinaires !
Il faut faire de sa vie quelque chose
D'extraordinaire et de nécessaire,
Afin de voir la vie en rose,
Et dont ainsi pour ne pas tomber en miettes
Dans les oubliettes !
Il faut que grâce à Rantanplan;
Toujours très plan-plan !
Que cette chienne de vie
Redevienne une chienne en vie;
Avec qui partager ses envies
Sous forme de défis,
Si bien que pour ériger
Un sanctuaire
Parmi la communauté des oppressés;
La galaxie et le paradis recherchent un plan B
Avec aux manettes;
Un architecte qui fait des plans sur La Terre nette.
Jérôme de Mars
Les travers de l'apolitique
Dialogues imaginaires entre amis et famille face aux travers cocasses de l'apolitique :
Jérôme B : " - Bonjour Philippe quel est le sujet aujourd'hui au centre de tes discussions ? "
Philippe B : " - Le sujet au centre de mes discussions, c'est qu'aujourd'hui; tu es très extrême soit très gauche ou soit très mal adroit ! "
Jean-Paul G : " - Et ben ! Moi Jéjé ! Je ne sais plus quelle direction prendre, car l'apolitique, je m'en fous car comme disait Coluche ! Je vote blanc ou nul, et c'est cela le centre de mon intérêt; ne plus voter ! "
Brigitte Y : " - Moi; je prends le gauche de façon extrême; et c'est cela le centre de mon vote même si je m'en fous du centre de l'apolitique ! "
Jérôme B : " - Moi, j'attends un rassemblement national pour voir si je vote pour la république en marche ou au centre extrême ! "
Adel A : " - Moi, je vote tout le temps à gauche en prenant le gauche de façon très gauche à droite ! "
Alexandre S : " - Moi, le centre de mon vote, c'est déchirer ma carte d'électeur, car les hommes politiques, ils nous prennent tous pour des cons ! "
Christophe P : " - Moi je m'en fous des élections du moment que ce n'est pas le rassemblement national qui arrive au pouvoir ! Sinon La France risquerait de prendre l'eau sous-marine ! Si là ! Marine le peine l'état du pays! Le centre de mon vote; c'est de barrer la route au rassemblement national ! "
Boris P : " - Moi sans être très gauche; je vote pour le moins pire à savoir au centre gauche très à droit ! "
Jérôme B : " - Moi ce qui est au centre de mes discussions; c'est de prendre le gauche afin que je sois très gauche en dérivant vers le centre droit très droit ! "
Lionel L : " - Moi si jamais; le Rassemblement National arrive au pouvoir en France en 2022; et bien j'irai faire un rassemblement national avec ma mère en quittant La France pour La Thaïlande ! "
Serge K : " - Jérôme; je comprends ta colère face à tes amis et à ta famille; qui dans le passé t'ont laissé tomber; ne t'ont pas toujours vraiment compris; ou n'ont pas toujours été disponibles pour toi, mais je t'en prie; ne vote pas pour le Rassemblement National en 2022 car sinon il y aura une guerre civile en France ! "
Jérôme B : " - Mais non Serge; ne t'inquiète pas; je voterai pour la république en marche extrême, car il y a déjà un rassemblement national parmi mon entourage, afin que je vote par des faux pour le moins pire ! "
Catherine B-P : " - Jérôme; même si en France; tout fout le camp ! Ne vote surtout pas en 2022 pour que tout foute le camp de déconcentration, mais vote pour un rassemblement national dans la république en démarche ! "
Guillaume L : " - Mon pote lascar; ne vote pas pour l'extrême-droite en 2022; vote de façon extrême; très à gauche jusqu'au centre trop mâle adroit dans un rassemblement national ! "
Farid H : " - Moi je m'en fous de la politique, comme je suis désabusé ! Je vote pour un rassemblement national au centre dès abusé en marche de l'apolitique ! "
Jérôme B : " - Rassurez-vous; je voterai au centre extrême de la république en marche; en prenant le gauche et en étant très gauche, pour que le centre soit très droit dans un rassemblement national; trop mâle à droit ! Voilà les travers de l'apolitique ! "
Jérôme de Mars
Cœur de pierre
Pierre à l'édifice, Pierre a un cœur de pierre en jetant la pierre à Jade, son amie la plus proche, dont Pierre fait une pierre deux coups, lui le vieux fossile en lançant une jade à sa mère Aigue Marine, dont l'aigue marine fait des ricochets sur l'eau; en lâchant une perle dans le corail de l'eau sous marine; en ayant des bleus à l'âme turquoise; avec un cœur de pierre en étant payé au lance-pierre, dont Pierre a anguille sous roche dans du granite; dans son cœur volcan bleu océan sur La Côte d'Opale en vacances, dont une fois regagné son Paris; il utilise sa carte Emeraude de vieux handicapé, alors que quand il était jeune handicapé, il utilisait dans Le Val de Marne sa carte Améthyste, dont là ! Pierre a un cœur de pierre chaude qui lance la nuit; une météorite dans les airs, quand il n'a pas les yeux rubis en mettant sa pierre à l'édifice Là ! Pierre avec son cœur de pierre, lorsqu'il regarde le film Topaze avec Fernandel; en faisant une pierre deux coûts, si bien qu'il réécoute Jackie Quartz avec la couleur rose du Parti Socialiste des années 80; en faisant et en refaisant une mise au point de Pierre; sur pierre qui roule n'amasse pas mousse ! Dès qu'il défend rubis sur ongle Célestine; qui elle; n'a plus un cœur de Pierre mais un cœur de pierre de Célestine; qui met des bleus de saphir au rubis qui voit rouge, si bien que Pierre n'a plus un cœur de Pierre, or ! Il voit tout le temps la vie en rose; en admirant en boucle sa pierre quartz rose; avec pour dernière mise au point; un cœur de pierre à l'édifice pour Jade; sa meilleure amie, car le jour où Pierre aura un cœur de Pierre; c'est qu'il aura un mal de mère en perdant Aigue Marine, dont pour garder un cœur de pierre; il lancera une aigue marine dans le corail de la mère sous-marine avec pour note salée; un cœur de Pierre multi-pierres.
Jérôme de Mars
Des nymphes qui amusent la galerie d'art
Dare-dare; il faut y aller d'are d'are !
Espèces envoie de disparition;
Victimes d'hallucinations en action,
Dont pour épater la galerie d'art;
Il y a des nymphes qui amusent la galerie d'art;
La galerie en y allant dare-dare;
Ou en n'y allant franco prendre l'air d'are d'are,
Dont il faut cultiver son art
Lors des rencards ,
Dont le don de chacun fait que pourquo;i
Il y a de quoi que les grenouilles fassent quoi !
Sur les nénuphars comme dans une galerie d'are,
Où il y a des nymphes qui amusent la galerie d'art
Dans leur corps d'Apollon qui épate la galerie dare
Dare fœtus, dont les mamelles de l'enfance;
Sont La France profonde qui féconde d'innocence;
Ceux ou celles qui en des pis de leur vache enragée;
Et ben maintenant ont une vie engrangée et rangée !
En en faisant tout un art de rencards,
Où il y a des nymphes de tout âge !
Qui amusent la galerie d'art
Dans les parages,
Où il faut aller de l'avant !
Pour avoir quelque chose à s'mettre sous la dent !
Et rentrer ici là par les parois
De là ! Où l'homme est roi quand il a des éclats
De volupté en prenant son pied !
Malgré que je ne sais si ces vers ont douze pieds !
Que ce soit à contre pied; dans un gai pied ou un guêpier,
D'où de là; les grenouilles ou les crapauds !
Qui sont beaux ou qui ont des corps beaux !
Disent des gros mots
En cherchant l'eldorado;
Pour copuler;
S'accoupler et coucher
Ces mêmes refrains;
En train
De faire l'amour;
Chaque jour
Aussi qui suffit
De leur vie !
Ou qui embellit
Le fin mot de leur répartie
Dans une triste litanie !
Dont pour épater la galerie d'art;
Il faut prendre l'air d'are d'are !
Et se dépêcher d'are d'are !
Motus
Et bouche cousue !
Que le fœtus
Soit bouche-bée décousue ou qui sut
Qu'il sue
Qu'il faut qu'il y ait encore toutefois
Toute foi !
Qu'il y ait des nymphes qui amusent une dernière fois
La galerie d'are d'are.
Jérôme de Mars
Un lac dans un bain de foule
Baignade face aux cailloux
Et à ceux qui sont dans l'eau;
Qui font les grippe-sous !
En faisant des ronds sur l'eau
Triple salto;
Qui lancent un regard de drôle d'oiseau
En nageant leur corps impatient;
De se frotter au courant
Sur un lac dans un bain de foule;
Qui déroule un tapis rouge qui bouge
En étant dans le vague;
Qui élague Madrague,
Comme à Saint-Tropez;
Qui drague les badauds
En sirotant une délicieuse bière
Rousse ! A quelques kilomètres
De La Cannebière;
Qui erre sur le parterre;
Qui ouvre les fenêtres
Pour mouiller sa chemise détrempée
De par son caractère bien trempé qui refoule
Ceux qui pour qui tout baigne !
Sur un lac dans un bain de foule;
Où personne ne dédaigne
A consoler et à accoler
Les saules pleureurs;
Qui prennent sans arrêt
Des châtaignes;
De par la méchanceté
Des jaloux et des voleurs
D'innocence qui déroulent
Ainsi le tapis rouge !
Afin que ça bouge
Maintenant pour de bon !
Aux préambules de la belle saison,
Et dont pour rentrer dans le moule;
Place sur place
A ceux qui s'enlacent;
Au bord d'un lac dans un bain de foule.
Jérôme de Mars
Que les poètes vous fassent rêver !
Sur les lignes parallèles
Du triangle des Bermudes isole celles !
Que les poètes vous fassent rêver !
En bifurquant vers la légèreté
Et le meilleur dans ce qu'il y a
De plus émois; en franchissant
De grands pas
Vers la démesure
Et la désinvolture;
Qui progressent impertinemment
Et insolemment très fréquemment;
En réclamant des slams endiablés,
Pourvu que les poètes vous fassent rêver !
De rêves ultra doux à faire les fous
Sur la plage de la mer; à en jeter
Son dévolu
A n'importe quel inconnu;
Qui borde les jeunes loups
Aux dents longues,
Pour cirer le parquet en tongs;
Et avec humanité et authenticité;
Que les poètes vous fassent rêver !
Qu'ils soient désabusés, maudits
Ou des abusés avec pour mots dits
Une mélodie; qui marie
La bluette et le blues en harmonie;
En surfant sur la Terre nette
Avec pour finir cette saynète;
Qui fait des plans sur la comète !
Où il faut y voir une amourette !
Dans un fond romantique;
Frénétique et névrotique;
En espérant que la vie
Soit une immense forme de bonté
Et de beauté;
Avec singularité
Et sincérité,
Et dont le dernier mot
De l'humanité en guise de rétro;
Pourvu que les poètes
Vous fassent éperdument rêver !
Jérôme de Mars
Même si c'est une goutte d'eau dans l'océan, c'est la mer à boire !
Du sang qui coule dans ces veines !
C'est toujours la même rengaine
D'avoir de la haine
A chaque fin de semaine,
Dès l'approche du week-end !
Alors qu'au mieux; un simple happy-end
Suffirait à effacer mes déboires
Du boucan de tous mes tourments,
Car même si c'est une goutte d'eau
Dans l'océan, c'est la mer à boire !
La misère de ma vie;
Qui sévit dans un cœur de pierre,
Où je souhaite la guerre
A la place de l'harmonie;
Avec des milles indécents
Jusqu'à Cévennes
Du sang qui s'écoule dans ces veines,
Où ma poésie contestataire
Est un inventaire
De ma vie à l'ennui,
Où j'essuie la suie
Qui ramone ma mine;
Qui va au charbon
Qui a mauvaise mine
En coups de crayon,
Et où tout se termine
En feu de cheminée;
Qui embrase la destinée
De ma vie à l'hérésie,
Car même si c'est une goutte d'eau
Dans l'océan, c'est la mer à boire !
Tous mes déboires
Avec de gros sanglots;
Qui font échos
Avec ma vie qui sent le déversoir
Dans un dépotoir,
Dont le risque de cette triste histoire
Est que ça finisse mal en retard à l'allumage,
Comme ma vie qui fout le camp !
Dans un inextricable embouteillage,
Où je souhaite qu'une chose
Que ma vie s'achève en nécrose ,
Où j'ose espérer que mes névroses
Me feront quitter ce monde plus rose
Du tout; même si ce poème n'est une prose !
Dont je dispose vu que je compose
La mer à boire
De tous mes déboires !
Avec en bruits de couloirs
Ma vie dans son purgatoire,
Dont maintenant enfin
Je suis dans l'au-delà !
Pas à pas dans le trépas;
Plus rongé par les remords,
Alors que ma vie ne fut que tracas
Avec pertes et fracas;
De mon vivant
En mort-vivant;
Qui s'est rongé les sans
Pendant toutes ces années
Sur la Terre, responsable
De ma vie ineffable
Et instable;
Avec sur le coin de la table
Les fables affables
De la fontaine,
Pour pleurer
Toutes les larmes de mon corps;
Pas raccord
Avec mon esprit retors,
Tellement que j'ai exécré
Cette vie sur Terre;
A force d'avoir péché
Tous ces poisons;
Qui ont fini par me consumer
De l'intérieur plus que de raison,
Et dont j'implore
Le sain père;
De retrouver ma mère
Après cette vie semée
De chimères,
Et dont je rejoins des fins; défunt
Ma mère
Là-haut au ciel dans un monde meilleur;
Avec peut-être pour le meilleur
Un peu de bonheur
Du sang; qui coule dans ces veines
Jusqu'à me ronger les sangs;
Qui s'écoulent jusqu'aux Cévennes
Et fort heureusement !
Maintenant avec le temps !
Je lâche du leste !
Car pour le reste,
Même si c'est une goutte d'eau
Dans l'océan en bris de cristaux,
C'est la mer à boire le désespoir !
De tous mes déboires;
Fin mot de l'histoire.
Jérôme de Mars
La porte à choix multiples
Rappel de la forêt !
Les arbres mensongers;
Tels des arbres tronc
En appellent à la raison !
Avec la porte à choix multiples,
Où tout est permis d'espérer
Et d'augurer
De figurer en disciples
En faisant le bon choix,
Malgré que les gardes-forestiers
Bûchent d'embûches !
En ayant la gueule de bois !
Et en parlant la langue de bois
Aux abois, afin de pouvoir porter
Sa lourde croix
Pour montrer de quel bois;
Ils se chauffent dans une lune de fiel !
Qui file le bourdon à la ruche
Avec un cruel dilemme;
En choisissant entre le moins pire qui respire !
Et au pire ce qui inspire !
La porte à choix multiples;
Et qui choisit celle !
Qui sera sienne dans un harem,
Dont tout le monde a toujours le choix
Mois après mois !
En saisissant le juste code possible
Avec la porte à choix multiples,
Comme un questionnaire à choix multiples,
Dont il faut être disciple !
Pour en comprendre le principe,
De sorte que tout le monde s'émancipe
En éliminant les cruches;
Et en volant comme les perruches,
Là-haut sur le ciel !
Comme des mots croisés,
Qui ont une case en moins
De maux décroisés; qui sont en simultané
Dans la porte à choix multiples,
Dont tous les disciples
Sont au possible !
Le bon choix final un flexible !
Mission impassible !
Quand c'est la lutte finale
En franchissant l'étape amicale !
Dont tout le monde a gagné
En étant disciples;
La porte à choix multiples.
Jérôme de Mars
Un océan de peines
Pluies diluviennes dans La Mer Morte !
Que les amours semblent mortes !
Alors que dès le surgissement du matin;
Dehors ! Le compteur intemporel
Se remet à zéro vis à vis des incursions;
Qui paraissent au loin
De bien p'tites choses de la sorte,
Tandis que la vie démarre tantôt solennelle
Et tantôt irréelle
Dans un océan de peines;
Qui ruisselle toujours de sa même rengaine
Avec une ribambelle de vague à l'âme;
Qui provoque beaucoup de drames
A chaque peine que fait des effusions !
Qui a pour diffusion
La vie qui naît un long fleuve tranquille !
Mais un pont entre deux souffrances
Qui fourmillent
D'impatience et d'impuissance;
En faisant des bris sur l'eau !
Comme des clapotis en allant à vau l'eau !
Dans un océan de peines,
Que gangrènent
Des flaques d'eau
En échos avec les sols pleureurs;
Qui glissent leurs sanglots
Vis à vis de leurs mélancoliques souvenirs !
En regardant dans le rétroviseur
Sa pénurie de saveurs,
Alors qu'un simple p'tit bonheur !
Remettrait bien
Les pendules à l'heure !
A en médire et à en éblouir
Le prophète; qui fête
La renaissance de chaque matin
Sous le regard malin
Des gens aux plusieurs facettes,
Et dont pour que vogue à nouveau la vie !
Et pour que plus rien ne tombe à l'eau !
Il faut remonter la vie en radeau !
Afin que chacun compose sa propre mélodie
D'une vie qui roule sur l'eau en harmonie !
Et qui passe des sanglots à l'eldorado !
Pourvu qu'un certain matin; égrène
Un océan sans peine open.
Jérôme de Mars
Une prairie clairsemée dans un immense territoire
Chemin dans les parages;
Il y a un micro-trottoir
Qui arbore une prairie clairsemée
Dans un immense territoire,
Où il faut adresser et envoyer
Un message avec pour paysage
Des plaines et des collines;
Qui dévalent
Et valent
Les souvenirs de l'effet naphtaline,
Comme si la forêt demeurait éternelle !
Effet boule de neige éternel à l'ombrelle !
En manifestant les regrets de l'écumoire
D'une prairie clairsemée dans un immense territoire;
En marchant et en démarchant au temps présent
De quel est le véritable moment intéressant !
Pour nouer des amours ou des amitiés durables !
Entre le sirop d'érable à réciter des fables
De La Fontaine;
Et sur la table,
Où il y a des madeleines
De Proust; qui traduisent des peines qui égrènent
La vie et ses aléas;
Dans une alternance de soleil et d'éclats
D'orages dans le ciel; qui répand
Des rumeurs de bris de couloirs;
En disséminant
Pour la vie !
Et ainsi quelques soient les nuits !
Une grande prairie clairsemée
Dans un si immense territoire.
Jérôme de Mars
A la dérive; j'y arrive !
A la dérive; j'y arrive !
Je désespère
En ayant le mal de mère !
Et dont comme j'en ai marre !
J'amarre mon désespoir !
En ayant le mal de mère !
Et en noyant mes histoires noires
Dans un ver solitaire,
Où je broie du noir !
Qui me rend délétère
Au bistrot du comptoir;
Avec ce fond de soleil noir !
Qui prend tout mon oseille
De réservoir !
Car l'humour noir
Est la politesse du désespoir !
En prenant de la bouteille !
Dont à la dérive; j'arrive sur la rive !
Jérôme de Mars
Dialogues qui prennent tout à la lettre !
Dialogues cocasses entre différents amis :
1) Alexandre S et Jérôme B :
Alexandre S : " - Bonjour comment vas-tu Astérix ? "
Jérôme B : " - A mes risques et périls ! "
Alexandre S : " - Pourquoi dis-tu ça ? "
Jérôme B : " - Parce-que je m'appelle Astérisques ! "
2) Guillaume L et Jérôme B :
Guillaume L : " - Bonjour ça va lascar ? "
Jérôme B : " - Bien lascar, aimais-tu comme chanteur Claude François ? "
Guillaume L : " - Pourquoi me demandes-tu ça lascar ? "
Jérôme B : " Connais-tu les disques Flèches qu'avait fondés Claude François ? "
Guillaume L : " - Lascar, ta question c'est comme un disque rayé ? "
Jérôme B : " - Aimais-tu les fléchettes, les 1ères danses de Claude François avant les Clodettes ? "
Guillaume L : " - Ton disque est plus que rayé; j'ai l'impression que tu m'as pris pour cible avec tes questions en visant bien haut tout ça pour ma pomme d'Api ! "
Jérôme B : " - C'est normal comme tu aimais bien Claude François et comme Claude Français est DCD; et bien; je te pose ces questions à toi Guillaume tel pour ta pomme untel ! "
3) Philippe B et Jérôme B :
Philippe B : " - Ca va Jérôme ? "
Jérôme B : " - Oui; ça va Philippe ! "
Philippe B : " - Penses-tu que Georges Brassens était marié ? "
Jérôme B : " - Je ne pense pas car s'il s'était marié Georges Brassens; et bien !
Comme on connaît la chanson; Georges Brassens aurait chanté les amoureux qui se bécotent sur les bans publics ! "
4) Jean-Paul G et Jérôme B :
Jean-Paul G : " - Bonjour ça Jéjé ? "
Jérôme B : " - Bien sûr JP; vas-tu encore voir les matchs du PSG au Parc des Princes ? "
Jean-Paul : " - Non Jéjé; je ne vais plus au Parc des Princes; je préfère plutôt regarder les résultats du PSG dans l'émission Stade 2; pourquoi me poses-tu cette question ? "
Jérôme B : " - Parce-qu'on ne sait pas à quel stade en est le PSG vu que Stade 2 est diffusé sur France 3 maintenant ! "
5) Adel A et Jérôme B :
Adel A : " - Bonjour Jérôme ça va en gros? "
Jérôme B : " - Oui ça va ! "
Adel A : " - Je pense que pour toi ça va depuis que t'as pris de la bouteille ? "
Jérôme B : " Surtout si j'ai pris de la bouteille en l'achetant chez un grossiste qui est la raison principale de pourquoi je pousse toujours le bouchon plus loin ! "
6) Brigitte Y et Jérôme B :
Brigitte Y : " - Coucou Jérôme; tu fais quoi aujourd'hui ? "
Jérôme B : " - Je ne sais pas encore Brigitte et toi ? "
Brigitte y : " - Moi; je vois mon amie Brigitte dans un salon de thé ! Pourquoi ne m'as-tu pas invité à manger chez toi hier midi avec Philippe ? "
Jérôme B : " - Car j'avais peur qu'à cause de moi hier ! Et bien que toi et moi; on mange encore notre pain noir avec du pain béni blanc sur la planche ! "
7) Christophe P et Jérôme B :
Christophe P : " - Bonjour lascar; pourquoi ne m'appelles-tu plus ? "
Jérôme B : " - Parce-que je ne connais pas le mobile de ton appel ! "
Christophe P : " - Tu veux plutôt dire que tu ne connais pas la raison de mon rappel ! "
Jérôme B : " - Non plutôt que si je t'appelle; je ne connaîtrais pas l'objet de mon appel ! "
8) Farid H et Jérôme B :
Farid H : " - Bonjour ça va Jérôme; tu n'as pas trop d'angoisses j'espère ? "
Jérôme B : " - Et toi ça va n'as-tu pas trop d'angoisses ? "
Farid H : " - A ton avis Jérôme; quelle est la meilleure solution pour qu'on se suicide tous les deux en même temps sans se rater ? "
Jérôme B : " - Et bien Farid qu'on se suicide tous les deux en même temps en prenant des cachets cachés pour nous comprimer en mélangeant le tout avec de l'alcool en bons vieux acolytes anonymes ! "
9) Serge K et Jérôme B :
Serge K : " - Comment va-t-il le poète maudit ? "
Jérôme B : " - Un peu comme à la Arthur Rimbaud avec le mal de vivre; mal rasé et où tout dans la vie me barbe; en étant ivre de désespoir et en prenant de la bouteille ? "
Serge B : " - Ce que tu me dis; ça rime à rien ? "
Jérôme B : " - Mais non tu te trompes cher Serge ! Je désespère en ayant le mal de mère ! Et dont comme j'en ai marre ! J'amarre mon désespoir en ayant le mal de mère ! Et en noyant mes histoires noires dans un ver solitaire, où je broie du noir qui me rend délétère au bistrot du comptoir; avec ce fond de soleil noir qui prend tout mon oseille de réservoir, car l'humour noir est la politesse du désespoir en prenant de la bouteille ! Et ben tu vois Serge enfin s'arrime à quelque chose ! "
10) Boris P et Jérôme B :
Boris P : " - Bonjour mon pote, viendras-tu à ma prochaine fête ? "
Jérôme B : " - Oui à condition que tu ne me prennes pas pour une marionnette ! "
Boris P : " - Pourquoi dis-tu ça ? "
Jérôme B : " - Parce-que je ne suis pas un guignol qu'on tire avec des bouts de ficelle ! "
Boris P : " - Veux-tu dire que c'est moi qui tire les ficelles ? "
Jérôme B : " - Secrets de polichinelle, je l'ai promis à mon ami Pierrot ! "
Jérôme de Mars
Paroles de poète !
Nenni ni ni !
Oh honni !
Que je suis banni
De mes paroles de poète !
Maudit jusqu'à l'ennemi,
Où ma poésie
Flirte avec l'esthète;
Ou Les States !
Si je suis dans un état désuni;
Ou dans un état uni à Vitry !
Comme feu Jean-Claude Kennedy;
L'ancien maire de Vitry qui soûla
Un homme à la moto,
Et dont en état d'ébriété
Il renversa cet homme;
Après dans le coma !
Et dont il en réchappa;
Avec en somme
Mes paroles de poète !
Qui signifient qu'après la tempête !
V'là le calme dans l'autarcie !
Et l'hérésie de ma vie qui scie
Mon arbre sur lequel je suis assis !
Dont je mets en maux
La musique qui traîne à-tue-tête
Dans ma tête;
Paroles de poète !
Qui riment avec imbroglio;
Dans mon cerveau
A feu et à sang !
Dont je n'ai pas de mille et décents !
Paroles de poète !
Où tout m'embête !
Et où je rouspète !
Rien à péter !
Et rien à cirer !
De ma vie à me repasser
Dans un home-cinéma
Tout mon état;
Qui s'fait des films dans la rétro !
A retracer ma vie en dents
De si,
Où je fus si souvent
Dépassé en dépassant
Les clivages, où je fus
Très gauche;
En voulant tenter
L'extrême-moite !
Paroles de poètes !
Pour constater
Si mes paroles; je les mets en boîte !
Ou si je hoche
La tête dans un sacré
Casse-tête; paroles de poète !
Que je dépense bête
Avec pour pense-bête !
Ma ligne extrême mâle à droite !
Si je bouge ainsi soit
En voulant me venger
De tout ce qu'on m'a fait
En camouflets !
Moi l'un des cons venus;
Qui traîne dans la rue;
Moi, le sinistre inconnu
Dans la rue,
Dont je clame
En réclame !
Que mes dernières paroles
Ambiguës sont destinées sans bémol;
Vis-à-vis de mes amis les bêtes !
Ultimes paroles de poète !
Maudit en vers l'infini;
Puisque ça y est ! Ma poésie
Est cette fois vraiment finie !
Jérôme de Mars
Des oiseaux qui volent de leurs propres L !
Youpi, un vol d'hirondelles
Fait le printemps !
A n'importe quel temps !
Qui s'envole avec les tourterelles;
Et survole attire d'L !
La raison pour laquelle;
Les hirondelles
Et les tourterelles
Sont des oiseaux
Qui volent de leurs propres L !
Et de pourquoi les ménestrels
Battent de L !
En mangeant les mots
Des vers de poèmes;
Qui sèment
Les drôles d'oiseaux;
En leur mettant le bec dans l'eau
Aux hirondelles
Et aux tourterelles frivoles,
Dont à tire d'L !
Et en battant de L !
Les hirondelles
Et les tourterelles
Restent des oiseaux
Qui volent de leurs propres L !
En antivol.
Jérôme de Mars
Poème bipolaire
Vers lents vers vers
L'an calendaire !
Voici ce poème bipolaire;
Qui souffre de changements
D'humeur variant avec le temps !
A tous les instants précaires
De la vie; qui souffle une certaine bohème
A travers ce poème
Bipolaire et aussi libertaire;
Qui rappelle les journées charnières
Et plénières avec de la matière première;
Qui sifflent un vent de liberté
Avec à chaque journée
Ce poème bipolaire;
Qui change de cap, dès que tourne
La direction du vent ! Qu'ajournent
Les changements d'humeur !
De ce poème bipolaire;
Tantôt crépusculaire dans la noirceur
Qu'égrènent certains jours délétères;
Et sitôt après dans la lumière du bonheur,
D'où surviennent de bien meilleurs jours clairs;
Qui prouvent soit la fatalité
Ou sursoit la volonté aux plus pressés !
Que quiconque peut parer
A n'importe quelle autre éventualité !
Des imprévus de la vie en solennité !
Ou sinon braver l'autorité !
En se prémunissant contre l'envers
Avec l'art et la manière populaires
De ce poème bipolaire;
Qui change à la moindre fulgurance
Des turbulences
Du temps imprévisible,
Dont les conséquences semblent invisibles,
Mais hélas tout de suite aussitôt visibles !
Et indicibles avec le temps !
Malgré que les rimes essaient
D'occulter les contrastes du temps !
Des gens paumés et désemparés;
Qui riment à une œuvre
Hors-d'œuvre avec à la manœuvre
Guillaume Apollinaire,
Dont ça part dans tous les sens !
Quand la poésie bipolaire
Encense ou offense !
De par sa liberté de ton incendiaire !
En avalant des couleuvres
Et en faisant des poèmes en slam !
Ou à portrait à charge qui déclame
Des proses qui riment à rien !
Ou qui arriment avec entrain
A quelque chose !
Soit par des névroses ou soit par l'osmose
Du dessin au dessein;
Qui voyagent dans le cosmos,
Dont la poésie bipolaire
Ose changer d'air
A ceux qui ne manquent pas d'R !
Qui rament sur le quai du dernier métro;
A force que la poésie bipolaire
Leur dise des mots de travers
Et de trop;
Déclassés et ah clamés ! Scabreux;
Bêtes et méchants en leurs côtés affreux !
Soupe olé olé et dont le dernier mot
Est nouvelle ère !
En vue de quitter la Terre;
Une fois achevé ce poème bipolaire.
Jérôme de Mars
Le ciel pleure ses larmes de pluie
Adieu la nuit !
Dont pour un jour,
Le jour se lève !
Et prend la relève !
Avec des confettis
Durant l'amour;
Qui grandit
L'espace d'une embellie
Avec de la liqueur,
Quand le ciel pleure
Ses larmes de pluie;
Et regrette de ne pas avoir
Ouvert son parapluie;
Quitte à boire
L'eau de la pluie;
En dépit
Et bien tant pis !
Si le soleil laisse tomber
Les nuages et leur communauté,
Si bien que sans vigueur;
Le ciel pleure
Ses larmes de pluie;
A déplorer éplorée
Sa neurasthénie;
Qui déborde de mélancolie
En faisant la courte échelle
Au soleil; qui groseille
De déconfiture; en ouvrant
Sa fraise de par le vent
Dehors; qui s'en va pour
Toi ouvrant ! Rénovant
Les peines de cœur,
Quand le ciel pleure
Ses larmes de pluie;
Et boit le désespoir
De la misanthropie !
En guise de déboires
Qu'il y a dans le torrent
Des pluies diluviennes;
Qui surviennent
Chaque semaine !
En bifurquant
Du jardin d'Eden
Au sanctuaire obscène;
Qui emmènent
Les saveurs
Du palais empalés
Jusqu'au rebord,
Et à tribord;
Avec pour palet
Des faux-jetons;
Que les rejetons
Refoulent ! Car avant l'accalmie
Ambiante du soleil triomphant !
Voici encore pendant quelques temps !
Près des saules pleureurs,
Le ciel rétamé de ses bleus qui pleure
Ses larmes de pluie sans parapluie...
Jérôme de Mars
On est comme on naît !
Inné, il naît aîné !
Comme y naît !
On est comme on naît !
Dont on n'est comme on est !
Si seulement on naît !
Comme on n'est !
Dont on est ce qu'on n'est !
Qu'on est comme on naît !
Inné comme il n'est; est né
Ou y naît comme il n'est !
Dont on n'est ce qu'on naît !
Et qu'on naît comme on est !
Inné comme on naît !
Dont on est comme on naît !
Et qu'on n'est comme on naît !
Si et seulement il n'est inné !
Comme il naît !
Dont on naît comme on est !
Inné comme y n'est !
Il n'est dont il naît !
Dont un con naît !
Quelqu'un qu'il connaît !
Et qu'il reconnaît !
Inné, comme il naît
Y né dont on n'est !
On est comme on naît !
Jérôme de Mars
Un ciel bleu cinq étoiles
Soleil au beau fixe
Du chant des oiseaux;
Qui donnent un concert
De louanges à leur zénith !
Qu'un piaf édite
Sous un ciel bleu cinq étoiles,
Que mixe
Un DJ qui trouve les mots;
Face au soleil qui dessert
Une toile; qui dévoile
Des accords raccords
Et synchrones;
En taillant la zone
Et en veillant à l'envers
Du décor
Sous un ciel bleu cinq étoiles,
Que remixe
Un DJ qui retrouve mémos;
Face à la lune
En écoutant I-Tunes
Sur la couche d'ozone;
Comme une toile inachevée
Qui s'voile
D'impatience désabusée !
Tels un soleil et une lune
Dans une rixe
Du chant Elysées des oiseaux;
Qui achèvent leur ultime concert,
Dont Edith Piaf édite
A leur zénith !
Un mix
Et un remix;
En renaissant comme des phénix,
Sous un ciel bleu linéaire
Très cinq étoiles.
Jérôme de Mars
Des oliviers qui ont bon cœur de palmiers !
Route des vacances;
Dans un saisissant
Ciel bleu d'insouciance !
Qu'il est éblouissant
Qu'il y ait des oliviers
Qui ont bon cœur de palmiers !
Avec des palmiers,
Le long de l'allée
Pour égayer l'été
Avec une once de légèreté;
Qui ravit les cœurs
Choux-fleurs
Des demoiselles;
Qui regardent le ciel
Avec de l'ardeur
Dans leurs yeux;
A admirer la providence
Qu'en substance d'essence;
Seule La Provence
Permet d'offrir en mangeant
Des cœurs de palmiers;
Qui rappellent en s'en délectant
Qu'il y a des oliviers
Qui ont bon cœur de palmiers !
Vues les circonstances;
Qu'égrène uniquement
La constance
En démangeant la rancœur
Des palmiers qui n'ont bon cœur
De palmiers ! Avec des palmiers
A la place des saules pleureurs,
Où seuls des oliviers qui ont bon cœur
De palmiers !
Peuvent gâter
Les gens
Face à leurs tourments;
En faisant reluire le soleil
Pourvu qu'il leur fasse faire
Un tour de Carrousel,
Pour qu'ils oublient leurs misères
Et leurs chimères qui exacerbent
Leurs colères; de par leur verbe
Acerbe en s'coupant
L'herbe sous le pied !
Où seuls des oliviers qui ont bon cœur
De palmiers !
Plantent des oliviers et des palmiers,
Afin que La Provence
Soit un Havre de paix;
Avec pour accoutumance
Des essaims d'abeilles,
Si bien qu'ils font passer
Aux gens une bonne lune de miel;
En plantant avec les oliviers
Et les palmiers des orangers;
Qui prouvent que face à l'horreur;
Il y a encore des oliviers
Qui ont très bon cœur de palmiers !
Jérôme de Mars
Colombe regarde les oiseaux voler
Jeux de l'oies;
Qui font loi
Là-haut
Dans le ciel !
Au sommet
S'déploient des ailes !
Qui montrent leur potentiel
En faisant des démos
Avec les colombes,
D'où Colombe
Regarde les oiseaux voler
Et survoler
Les trombes d'eaux;
Qui volent haut
Les ailes des oiseaux,
Dont Colombe
Espère voler les colombes !
Pour voler leurs ailes
Et survoler les arcs en ciel
Dans le ciel;
En prenant de l'altitude
Avec pour habitudes
De voir voler les colombes,
D'où Colombe
Regarde les oiseaux voler;
Et survoler avec majesté
Dans un déploiement d'ailes;
Les tourterelles
Dans un pluriel d'étincelles;
Qui vole comme les colombes,
Dont il incombe
Que Colombe
Fasse comme les colombes !
Qui surplombent
Le ciel
Dans un gratte-ciel !
Là-haut sur la corniche;
Qui déniche
Les faiseurs de merveilles,
Pour voler et survoler
Le ciel
Avec un arc en ciel,
D'où Colombe
Regarde les colombes
Sur volets.
Jérôme de Mars
La calanque qui fête les mers
Mer paisible sur la rive jetée;
De la baie qui a inventé
Un jour de fin mai extraordinaire
Un dimanche depuis naguère;
En buvant autours d'un ver à mer
La calanque qui fête les mers;
Avec pour note salée
Un raz-de-marée épicé;
Qui voile la face cachée
Des bateaux qui ont ordonné
Leur mise à la mer
Dans une mission linéaire;
Emise en orbite infusée,
Dont la fusée imaginaire
A diffusé en décalé
La calanque qui fête les mers
Sur un océan pacifique;
Ou qui se retrousse La Manche,
De la mer du nord
A tribord
Jusqu'au mal de mer
Un jour de dimanche;
En allumant le phare Breton
De l'océan Atlantique,
Dont le dicton
Envoie une bouteille à la mer
A la calanque qui fête les mers;
Soit de façon éphémère
Ou qui sursoit la mer Méditerranée;
Qui a le vague à l'âme bipolaire,
Du fête que la mer morte
Devient la mer noire;
Du fait de son histoire
Et de son passé composé;
Qui remonte,
Quand la mer monte
A la calanque qui fête les mers;
De la mer Egée
A la mer très âgée;
Qui profitent d'un repos
Bien mérité,
Maintenant arrivées à la retraite;
Avant qu'elles ne soient dérivées
En quête légère,
Dont la requête
Sera la liberté forte
Retrouvée au sein de l'eldorado,
Et à l'année prochaine !
Car chaque semaine !
C'est la calanque qui fête les mers.
Jérôme de Mars
Ecoute furtivement le véhicule itinérant qui jazze !
Musique mobile habile qui rase
Les murs comme un char assaut !
Ecoute furtivement le véhicule
Itinérant qui jazze !
Et qui véhicule
Des mots manu militari !
Qui jettent pour credo
Que la musique éphémère
S'écoute le jour de la fête des mères !
En phase !
Avec pour phrases
De récital;
Un concert de louanges à la cigale;
Qui chante la poésie
Des artistes désabusés;
Qui écrivent des mots
Qui leur collent à la peau
Sur un fascicule;
Qui fait un pot-pourri
Avec pour tempo;
Raccord sur le magnéto
Quelques pépites qui pullulent
Dans ce festival en emphase,
Dont le mobile de la musique
Mobile rend nostalgique;
Qui ordonne en injonction
A ceux qui ont l'oreille musicale !
Ecoute furtivement le véhicule
Itinérant qui jazze !
Et qui rase
Les murs porteurs
Et rapporteurs !
De ceux qui véhiculent
Des mélodies qui bousculent
En noms d'oiseaux !
Des prises de becs
En exclamations !
En parlant très secs
Avec une guitare sèche;
Qui regarde ses antisèches
Revêches, dont les dernières
Nouvelles semblent fraîches !
Car en guise de final
Durant l'été lors du chant des cigales
A La Cigale !
V'là une voix intérieure
Qui dit et dédie
En un ordre provocateur;
Ecoute une dernière fois furtivement
Le véhicule itinérant qui jazze !
En mouvement du vent !
Dont c'est du vent !
Ce qu'il véhicule !
Point minuscule.
Jérôme de Mars
Rue du slam
Pas de quartier !
Ce n'est pas du cinéma
De quartier !
Ce slam
Avec Le Golden Gate Quartet;
Bienvenue avenue
Rue du slam
Avec pour point de salut !
De mesdames quelques quidams
Qui envoient balader en musique;
Cette ballade frénétique et névrotique
Rue du slam;
Qui clame
A grands pas
Ceux qui exclament
Mes indignations avec en réclame;
Quelques répliques qui rament !
Comme un ordi qui rame en rad !
Boulevard du rade;
A s'raconter de longues tirades
Au bistrot des rembarres !
Assis prêt du comptoir !
A débiter ses boissons
En payant au moussaillon;
Qui écume la tournée
Rue du slam;
Qui rince l'œil du client
Avec pour s'mettre sous la dent !
Son regard rivé vers ses yeux revigorés;
En fredonnant son franc-parler!
Et en ne mâchant pas ses paroles susurrées
Et suggérées !
Rue du slam
A chanter la vie déchantée qui déclame
De gros maux croisés et arithmétiques,
Sans calculer l'amour des femmes
Qui tombe à pic en piques !
Rue du slam
Avec pour rencards qui draguent !
Des mots pécho
Avec la pêche aux mots,
Dont le programme
Porte sur ceux qui y mettent
Tout leur cœur !
Pour une amourette
Avant de tomber aux oubliettes !
En faisant des plans sur la comète
Et en examinant leur rancœur !
Grâce à leur électrocardiogramme
Avec en pictogrammes
Des hologrammes !
En leur donnant du temps pour porter
Pour de faux
Durant quelques heures !
Tout leur fardeau
En grammes !
Rue du slam
Sur du macadam,
Où les temps sont durs !
Et où l'on va tous
Droit dans le mur !
En coups de pousse,
Où l'Otan d'avant
S'émousse vers le temps déviant !
Rue du slam;
Qui suggère
Pour ne pas que ces vers
Choquent en revers;
Qu'ils mettent des œillères
En les ramassant à la p'tite cuillère !
L'écuyère plus de quartier !
Avec le Golden Gate Quartet !
En prenant la vie du mauvais côté !
Dont ça n'a jamais été
Du cinéma !
De jouer si vrai
Le rôle de sa vie !
Plus de quartier !
Plus de cinéma
De quartier !
Et dont pour bénéficier
D'un droit à l'oubli !
Il faudrait
Une symphonie d'harmonie
Sur fond de mélancolie !
Avec pour marasme
Que des sarcasmes !
En vous disant salut !
Heureux de vous avoir
Si bien connu !
En vous souhaitant
Bonne route
Vers l'inconnue !
Avec pour déroute
Une fausse route
Qui fera banqueroute !
Salut advenue !
Qui proclame
En point de salut;
Rue du grand slam.
Jérôme de Mars
La fête des Lilas
Fais-moi une fleur !
En envoyant une fleur
A Sidney Bechet;
Quitte à élaguer
Le jardin secret
De Sidney qui bêchait
La fête des Lilas;
Qui lit-là
Le festival de Marne;
Qui dévale de Marne
Dans un défilé de chars
Dans la rue qui part
En roulement de tambour;
Sans tambour ni trompette,
Mais en jouant du tambour
Et de la trompette
A feint que ça jase !
Dans un jazz
A la Nouvelle-Orléans,
Pas loin de Paris !
Et à une heure d'Orléans !
Dans Le Loiret;
Qui lit-là
La fête des Lilas;
Pas cher payé,
Si jamais le loir est cher
En dormant comme un loir hé;
Qui marche dans le festival de Marne
Et qui dévale de Marne
En accordant les accordéons;
Qui jouent en joyeux lurons
A la guinguette de Nogent-Sur-Marne;
En étant le chef d'orchestre
A la fête des Lilas;
Qui lit-là
Les lilas;
Qui élaguaient
Ce que Sidney bêchait
Dans le jardin secret
De Sidney Bechet;
Très à cheval équestre
En partant du bon pied
Pédestre; qui s'défénestre,
En jetant l'argent par les fenêtres
Champêtres dans le festival de Marne;
Qui dévale de Marne
Qui lit-là
La fête des Lilas !
Comme une p'tite fleur
Très chou fleur;
A Honfleur
Sur Le Paris Normandie;
Qui en perd son latin au paradis,
Comme le Paradis Latin
Cher aux années 80;
Surannées boute en train,
Où pour que la fête des Lilas
Ne pète plus de câbles !
Il faut jouer Aimable !
Si Orange ne presse
Personne comme des oranges
Mais O range !
Presse comme des oranges !
Dont Orange s'empresse, sans presse,
Si bien que ça arrange
Tout le monde qui décompresse !
A condition que ce soit la fibre sociale
Qui remplace la fibre optique libérale;
Qui lit-là
Les Lilas
Du festival de Marne;
Qui dévale de Marne
Vitry; qui assène mes scènes
A Vitry Sur Seine,
Car fais-moi une fleur !
En envoyant une fleur
A ce cher Sidney Bechet !
Pour élaguer
Le jardin secret
De Sidney qui bêchait
Et qui lit-là
La fête des Lilas.
Jérôme de Mars
Des clapotis sur l'eau
Vague à l'âme !
Le regard dans le vague !
Le jardin secret de l'eau
Elague les mots;
Qui draguent La Madrague
De ma drague; qui rame
Avec des clapotis sur l'eau
Dans ce monde qui ne tourne
Plus rond sur l'eau !
Quand le mélodrame
Trame et contourne
Ce bordel de méli-mélo !
En s'méfiant de l'eau
Qui dort !
Genre tempérament faux calme;
Qui redore
De palmes
D'or; qui adorent
Ceux; qui font
Des clapotis sur l'eau;
A siphon font font à fond !
Et au fond !
Qui acclame
Sur le fond !
Et clame
Celui qui confond
Les ronds sur l'eau !
Dans ce monde qui ne tourne
Plus rond ! Tellement qu'il détourne
Sans ristourne !
Les profondeurs sous-marines;
Qui endoctrinent
Les coraux;
Qui parlent qu'oraux
Aux verbes beaux !
Des vers mots
Très verbaux
Avec le verbe haut !
Où tout tombe à l'eau !
En faisant
Malfaisant et mâles faisant;
Des clapotis sur l'eau.
Jérôme de Mars
Blague :
Pourquoi est-ce-que je pète sans arrêt des câbles comme une orange qu'on presse ?
- Parce-qu'on n'a pas eu assez avec moi la fibre sociale !
Jérôme de Mars
Les pluies diluviennes
D'où qu'elles surviennent !
Les pluies diluviennes viennent;
Et reviennent en quotidienne
Dans la vie qui est un long fleuve tranquille !
Puis les pluies diluviennes
Passent et repassent
Dans la ville;
Sans se soucier du temps qui passe !
Dont rien n'efface !
Le courant qui trépasse
Dans La Vienne !
Comme quand les valses de Vienne
Valsent en lâchant les rênes !
A part que s'il y a une impasse !
Elles font ressortir le marasme
De la mélancolie; qui fantasme
Le compte-gouttes; qui égoutte
Le doute; qui déroute
Le cours du temps; qui s'écoule
Et dont le tapis rouge qui déroule
L'orage crache son tonnerre !
A faire déguerpir les bols d'air;
Qui partent en courant d'air
A la lisière de la rivière;
Qui s'écoule depuis hier
Jusqu'à aujourd'hui;
A courir vite sous son estuaire;
Qui fait des clapotis
Pour protéger sa vie;
Qui bascule en mouvement
Jusqu'au ciel du firmament,
Quand finira ce vent !
Et dont à la place; il y aura
Au-delà le temps clément !
Le printemps exultant !
Après avoir rouvert les persiennes;
Qui préviennent La Vienne
Que quoiqu'il advienne !
Pourvu que ça devienne
Le jardin d'Eden !
Très loin des pluies diluviennes.
Jérôme de Mars et Leg Guitar
Après la pluie, y aura-t-il du soleil ?
Temps instable qui se fait de la bile ! Car face à ces mauvaises nouvelles ;
Avec que des tempêtes volubiles, On demande à Jean Nouvel,
Dont l’ouragan du désespoir Après la pluie, y aura-t-il du soleil ?
Porte à croire Avec à la place d’une stèle,
Que la vie ce n’est qu’un mouroir ! De formidables rituels
Alors que malgré toutes ces histoires ; Pour distribuer de l’amour
On implore le missel Aux vautours ; en ces jours si terribles,
En disant au Carrousel ; Dont il nous faut un séjour
Arrête ton manège ! Paisible ; avec des choses enfin comestibles
Dont on veut savoir, Dans la mesure du possible,
Si après la pluie, y aura-t-il du soleil ? Pour ne plus que le monde pète les fusibles
Dans un trésor riche qui ruisselle Avec des gens nouvel,
De mille et une merveilles, Dont tout laisse imaginer
Lorsque les temps difficiles Que le monde d’après ;
Deviendront l’instant facile, Sera, je l’espère ! Logé fraternel
Dont le privilège Et délogé insurrectionnel ;
Compensera tous les sacrilèges ; Avec de l’amour charnel,
Qu’a subi le florilège Inconditionnel et universel,
De la vie ; qui revient en flashbacks ; Dont la passerelle
Avec pour comebacks ; Mettra le pied à l’étrier ;
Tous les souvenirs anciens à l’autel ; V’là que des bonnes nouvelles
Qui héberge le fond de nos pensées ; Parmi toutes les communautés ;
Avec pour idées D’untel à untel
Que face à la colère qui nous empare ; En lançant pour ritournelle,
Il vaut mieux opter pour la prière en rempart, D’où qu’elle survienne,
Après la pluie diluvienne,
Y aura-t-il encore du soleil ?
Jérôme de Mars
Entre le soleil et le ciel, il n’y a aucun nuage à l’horizon !
Soleil à la carte vermeille, Les passants qui épiloguent
Qui veille avec une ribambelle Leur long monologue,
De merveilles ; Pour naviguer en eaux limpides
Après les vœux de la veille ; Dans les nuits torrides ;
D’au temps qu’entre le soleil D’au temps qu’entre le soleil
Et le ciel, Et le ciel,
Il n’y a aucun nuage à l’horizon ! Il n’y a aucun nuage à l’horizon !
A part juste regarder se dégager A part consoler les états d’âmes ;
L’envers du décor dans le bastion ; Qui ont du vague à l’âme ; qui rame
Avec une palette pour peindre Leur cœur étiolé par le fiasco
Et s’étreindre Des bateaux ; avec pour quiproquos
Devant un parterre à l’ombrelle ; Le non d’incertaines destinations ;
De la lumière à l’abri intemporel, Dont pour temporiser les larmes diluviennes
D’au temps qu’entre le soleil De la mer en proie à une crise existentielle ;
Et le ciel, Il y a de quoi se rassurer
Il n’y a a aucun nuage à l’horizon ! En ouvrant les fenêtres persiennes ;
A part lézarder d’encre marine Avec vue sur la mer exponentielle ;
Les couleurs paisibles de l’adrénaline ; A part vous dédier depuis la maison
Montée avec un raz-de-marée Sur la mer ; certes quelques bonnes nouvelles ;
De moussaillons qui voguent, D’au temps qu’entre le soleil
Dès l’instant que la mousson Et le ciel,
De l’eau à mer mène en pirogue ; Il n’y a plus aucun nuage à l’horizon !
Jérôme de Mars
La haine est un tue-l'amour
A chaque jour
Qui se lève !
Pour respirer l'haleine
D'une nouvelle semaine,
Pourvu mon capitaine;
Que la vie mette le cap !
En tirant le meilleur du handicap
De chacun !
D'OTAN que la haine est un tue-l'amour
Et l'amour entretue la mort,
Et qu'il vaut mieux appeler du renfort !
Si bien que seule, une affection de longue durée
Permettra de se réassurer socialement;
Avec des amis en affections
Et de l'amour en contagion,
Comme si l'affection à elle-seule pouvait
Soigner et guérir les tourments en y mettant
Des pansements pour renaître sous un nouveau jour !
D'OTAN que la haine est un tue-l'amour;
Et que l'amour à lui-seul est un remède à la vie, à la mort !
Si bien que la vie s'passe à en rire sous un folklore de métaphores !
Pour éclore de l'amour
Et clore la mort;
Avec des jeux de maux retors
Que la vie ait tort ou se déploie en je de calembours,
Comme un certain troubadour qui a des remords !
Entre humour en gants de velours
En pointillés;
Ou en ne prenant pas de gants de velours,
Fermez les guillemets !
Quand c'est du lourd !
D'OTAN que la haine est un tue-l'amour;
Et que pour être en paix avec l'amour qui entretue la mort;
Il faut prendre un passeport
Dans le but recherché de voguer sur l'amour,
Si bien que quand la vie sera un long fleuve tranquille !
Dans les vies de chacun et bien l'amour sera un tremplin,
De sorte à y planter des jonquilles,
Dont la trêve
Sera que le fardeau s'achève !
En laissant place à une vie de rêves;
Jalonnés d'amour qui entretue la mort,
Dont l'universel trésor
Deviendra pléthore !
A la condition sine qua none
Que la haine soit un redoutable tue-l'amour,
Que l'amour abandonne !
Si bien que la mort prendra des gants de velours;
En se diluant dans de l'amour jusqu'à la fin de tes jours.
Jérôme de Mars
Une après-midi acidulée
En buvant une citronnade douce-amère
Aigre-doux !
C'est pas trop loin du puits du fou !
Pendant une après-midi acidulée;
Qui transpire dans la chaleur austère
D'un monde sans chaleur humaine !
Mais avec chaleur des pleines,
Où sont très lourdes les valises qui stressent;
Qui appellent à l'aide les balises de détresses !
Une certaine après-midi acidulée;
Dissimulée sous des apparences radieuses
De façade à l'escalade de bien-être simulée;
Avec la somme trop élevée
Des galères à la plus-value ajoutée !
Pour un seul et même homme additionné
En tout ! Et dont le total provoque des pensées suicidaires
En respirant toujours le même air malsain peu réfrigéré !
Carbonisé aux âmes éperdues causées et ankylosées
Avec pour conséquences ravageuses et tapageuses;
Une après-midi acidulée
Et douce-amère;
Sans sa mère pour vider
Son sac ultra délétère,
Et dont l'inventaire
Est un soleil sans chaleur !
Mais avec la froideur
Des âmes qui rendent l'âme;
Après avoir tant souffert
De solitude
Et d'un manque de sollicitude
Au coin des vicissitudes;
Abonnés aux turpitudes
D'une vie en manque d'altitude,
Emplie de mauvaises habitudes;
Une certaine après-midi acidulée
En s'piquant le corps
Sans anticorps;
Avec de la citronnade douce-amère
Quelquefois très amère
En mettant du sel sur les plaies
Avec pour coup de massue;
Une vie bien fichue pour finir en intrus
Sur le bûcher bûché et infâme
Des vendus corrompus;
Quelque part dans la rue
Parmi les badauds et leur vanité
Aux aspérités;
Sur le trottoir notoire
Dans des habitudes de micros-trottoirs,
Et dont en fin de journée et avec singularité !
Se termine en début de soirée par des maux déplacés;
Cette inoubliable et mémorable après-midi douce à mère acidulée.
Jérôme de Mars
Le tombeau des remords
Figé au cimetière
D'un corps en état de poussière !
Il y a sans vergogne
Un sinistre ivrogne;
Qui transperce le tombeau des remords,
Dont il récite tous ses sanglots consorts !
Allongé dans son cercueil avant une mise en bière;
Qui opère sur le corbillard
Des choses très bizarres
En passant sur le billard;
Qui lui fait perdre la boule héréditaire
A parler et à faire parler les morts;
Enterrant la hache de guerre
Vers le tombeau des remords,
Où il vaut mieux avoir des remords !
Que des regrets une foi mort !
Quoique les vivants peuvent être
Aussi des morts-vivants rugissant;
En sautant par la fenêtre
De ces histoires troublantes;
Qui provoquent des détresses
Et des tristesses;
A s'agenouiller vies à vies de leurs pensées vacillantes,
Afin de rendre hommage aux morts consorts
Jusqu'à sangloter de leur sort;
Avec en lot de consolation,
La déperdition dans une mort par procuration
Dans le monde des morts, d'où tout le monde en démord !
Qu'il y a au cimetière
De tous les corps en poussière !
Ceux gisant dans le tombeau des remords.
Jérôme de Mars
Les abeilles filent le bourdon !
Volons volons
A l'envolée lyrique;
Les abeilles filent le bourdon !
Au cagnard;
Qui fout le cafard
Aux violons virtuoses;
P'tits prodiges !
Qui névrosent
Les endroits ici poétiques !
Qui voltigent
Osez donc !
De récolter des fleurs de nectar
Quelconques qui tronquent
Une once; qui jette son grain de sel
Envers leur fiel ;
Qui égrène en amont
Les abeilles qui filent le bourdon !
Aux guêpes qui boudent les bourdons;
Ne boudons pas notre plaisir !
En eaux de boudins;
Qui ne font que médire
Les tristes grand soirs
D'élucubrations en hallucinations;
Avec les abeilles qui filent le bourdon !
Aux guêpes qui foutent le cafard
Au cagnard
Du bourdon;
Qui a un grain
De folie après qu'il jette son venin
Aux bourdons; qui foutent le cafard
Au cagnard
Des abeilles qui filent le bourdon !
Aux guêpes dans une nouvelle lune de miel
Attire d'ailes.
Jérôme de Mars
La fête des mères
A Noël, ma mère !
Fut conçue
Et vint au monde
Dans une vie dissolue
Et irrésolue !
Quelques mois après Noël
Dans les seins de mammaires
De ma grand-mère !
Qu'elle téta comme une sonde !
Qui la gronde
En apprenant sa vie
Avec pour futur insurrectionnel !
Quand elle perdit ses eaux dévient
Du droit chemin !
En accouchant de moi son premier bambin
Lors de la fête des mères,
Qu'elle fêta avec les seins de mammaires
De ma grand-mère !
A Noël Mamère !
Qui suppute
Qu'avec son rut ! Ma grand-mère
Fait qu'on sue ma mère
A Noël ma mère ! En ayant une langue de pute !
Lors de la fête des mères,
Dont j'ai le mal de mère !
A chaque Noël ma mère !
Sans ma mère !
Malgré les seins de mammaires
De ma grand-mère !
Dont la mère à boire
Est la mère de tous les vices de tous mes déboires !
Avec pour note salée à mère !
Une fête des mères !
Sans ma mère et les seins de mammaires
De ma grand-mère !
Avec à Noël ma mère !
Sans Noël Mamère !
Une énième fête des mères
Sans elle !
Lors de chaque fête de Noël
Ma mère !
A mère !
Jérôme de Mars
Le jardin de l'amour
Dans la cour des grands !
Avant le néant;
Il y a le jardin de l'amour;
Qui s'cultive au grand jour,
Si bien qu'il a besoin
D'avoir le béguin
L'un pour l'autre,
Avant que Dieu et ses apôtres
Décident que les amours sont mortes
Malgré leurs âmes semblant fortes,
Pourvu que sésame ose une enfreinte
Aux amours défuntes,
Lorsque le jardin de l'amour
S'aime et qu'il génère
Le prolongement de l'itinéraire;
En plantant le fruit de l'amour,
Afin qu'il germe de plusieurs jours
Le jardin de l'amour;
Qui s'cultive en faisant la cour
Entre les grands;
Dans la cour des grands !
Qu'il y ait des amours fortes
Ou des amours mortes,
Comme en écrivant
Sur des feuilles mortes,
Ses pré-vers de l'automne,
Quand la vie s'fait atone !
Avec sur chaque fleur semblant forte
Des amours défuntes;
Qui portent à atteinte
En vers le jardin de l'amour,
En lui faisant la chasse à cour
A l'eau de rose
En lui plantant des fleurs moroses;
Qui dévalent le détour,
Quand prolifère l'inventaire
De la vie sous ses jours austères,
Alors qu'il y a tout de même
Le jardin de l'amour,
Pour se marier au grand jour
Avant les chrysanthèmes,
Où plus personne ne s'aime !
Dont pour cela; il faut profiter du carpe diem !
En le protégeant fétiche comme un totem,
Que ce soit au Parc Montsouris
Ou au Jardin du Luxembourg,
Pour que tout le monde rit
Au grand jour !
Dont grâce à l'embellie,
S'cultive jusqu'à l'homélie
De la fin de vie !
Le jardin d'un si grand amour.
Jérôme de Mars
Œil deux vers
1Œil de vers, en trompe-l'œil de vers 8 En jetant un rapide coût d'œil
2 J
5 Dans L'œil de vers e s 12J'ouvre mon œil de vers 9
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o e v u
i 6 De Patrick de l'œil de vers 13 D'an l'œil du cyclone . x
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t 7 En ayant bon pied bon œ il en gardant un œil de vers v
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4 L c d r
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mettant me en vers deux L'œil 3 mon fermer de avant Dont 10
Jérôme de Mars
Le tourbillon des choses éphémères
Crayons de couleurs linéaires;
Rien naît jamais figé !
Puisque le temps laisse présager
Le tourbillon des choses éphémères,
Où une nouvelle succède rapidement à une autre !
Et vice-versa jusqu'à que soit la vôtre
De votre vie sur Terre!
Et que tout naît que matière !
Très à cran dans ce monde de peur,
Quand semble irrésolue la fataliste fureur
Dans un océan chaud bouillant de colère;
Qui inflige des misères
A la population toute entière,
Dès le tourbillon des choses éphémères
A l'envolée d'un mal de mer;
Qui part tout le temps en croisière
Pendant que le soleil gronde le Rimmel;
En maquillant les apparences trompeuses
Sous un pull col roulé qui paraît formel
A chanter la vie de façon Ménestrel,
Alors que le tourbillon des choses éphémères
Fait que personne n'ajoute de commentaires
A la réalité maintenant solennelle,
Avec des cicatrices pleines et pernicieuses
En remontant à cette enfance malheureuse;
Qui laisse dubitative de ses empreintes sulfureuses
Avec la sulfateuse qui s'fait ravageuse
En cette époque ombrageuse,
Dès le tourbillon des choses éphémères,
Où rien ne dure car bipolaire !
Aussi bien le temps
Que les gens
Qu'on pressent instables;
Avec un côté affable pour composer une belle table
Dans une façade de circonstances passables,
Et dont rien qu'au demeurant inéluctable,
Tout passe ici bas infréquentable !
En laissant à bord du sanctuaire
Qui n'est plus vraiment un repaire !
Des naufragés patibulaires
De bien mauvaise augure,
Dont malgré tout, on espère !
Après ces vers durs !
De la verdure
Dans l'imaginaire de nos chers congénères,
Dès le tourbillon des choses enfin redevenues linéaires.
Jérôme de Mars