L'oiseau aux ailes brisées qui me nourrit de vers de poèmes 

 

Mauvaise graine de génie

En herbe !

Que mon grain de folie

Met en verve acerbe

Dans mes poèmes aux différents thèmes!

L'oiseau aux ailes brisées

Que je suis!

Me nourrit

De vers de poèmes!

Avant que les vers me mangent

Avec les chrysanthèmes

Dans une grange qui me démange

Une fois mort post-mortem,

Où je quitterai ce monde 

Sans aucun regrets que j'inonde

De ma langue bien pendue;

Moi issu du fruit défendu;

Fendu dans une armure

Suspendue à ma parure,

Si elle s'écroule face au je

Des quatre vérités moyen-âge je

Et ténébreux,

Dont l'oiseau aux ailes brisées

Qui me nourrit de vers de poèmes;

Me donne sur cette Terre un emphysème

Dont je respire la rancœur

Dans de la liqueur;

Qui m'les brise désabusé !

Avant que mes vers de poète maudit;

Me mangent tout cru une fois mort

Et décomposé mis en abîme au fort,

Dont ce sera mon fort ce folklore, 

Où j'attends la mort moribond !

Sans lui faire faux bond furibond,

Mais bien déterminé

Et décidé

A rejoindre le ciel sous une pléthore

D'un trésor bien garni,

Où j'aurai le droit feint à l'oubli,

Comme un squelette désintégré;

Tel l'oiseau aux ailes brisées

Qui me nourrit de vers de poèmes,

Avant de finir en miettes

En tombant dans les oubliettes

D'un monde que je sème

De toute ma haine;

En ne volant point haut !

Mais dont quand je serai mort;

Mon âme maudite volera vers l'eldorado

D'un monde plus beau et moins en tort !

Avec pour mentor mes vers de poèmes;

Que je distribue par p'tites graines !

Pour préparer ma future tombe,

Où tout cela m'incombe

A chaque fin de semaine !

Dont ça y est l'oiseau maudit

Que je suis

A fini de picorer

De ses ailes brisées,

Ces vers de poèmes;

Qui nourrissent mon affront blême

Avec pour blasphème !

Un requiem à l'oiseau aux ailes brisées

Qui me nourrit de vers de poèmes

Jusqu'à la tombe post-mortem.

 

Jérôme de Mars

 

 

Les chenilles qui dans un effet papillon font un ballet dans le ciel

 

Nettoyer chaque saison à l'aide d'un arc en ciel

Permet d'incanter une pléthore de nouvelles trouvailles;

Qui engendrent une formidable passerelle;

Etendard à l'échelle standard tout ça pour un bail !

Au milieu audacieux d'un songe qui épouse Ménestrel !

Les chenilles qui dans un effet papillon font un ballet dans le ciel;

A déballer leur paquets cadeaux dans un mariage

Entre les nuages et leurs ramages; tels des rois mages

Que leur image chenille dans un effet papillon;

A leur faire retrouver l'oraison dans une illumination;

Telles les chenilles qui dans un effet papillon font un ballet dans le ciel

Au sens universel qui scelle

Les retrouvailles du ciel, de l'arc en ciel et du gratte ciel;

Qui refont avec démesure le commun des immortels !

En décochant une flèche en plein dans le mille;

Qui fourmille de chenilles qui chenillent

En une pléiade de papillons dans une olympiade;

A l'effigie d'une ode qui se prélasse en roucoulades !

Pendant que le balai dans le ciel ramasse à la pelle

Les chenilles qui dans un effet papillon finissent de déballer virtuel;

Un ballet dans le ciel....

 

Jérôme de Mars

                                                                                         Verlan vers

 

          ed srev na'l srev ne stnel srev sed sircé'j srev nalrev srevne'l à ednom ec eD

          xua uaesio'd emulp am ed ercne'l ettej iuq emulp am ed semir à iuq semèoP

         rsevne'l à enruot iuq ednom ec srev srevne'l srev tnehcram iuq seésirb seliA

         lavehc à sèrt tnaté ne eniova'l ed tnaegnam ne srevlover xuey sel ia'j tnod tE

       snas srev ne srev ne'l srev seriadilos srev tnel srev ud tnavircé ne snoçra seD    .srev nalrev ne ednom nu tnasrev ne eriatilos snas srev srev na'l srev tnasrev eL

 

                                                                                       Jérôme de Mars                                                                                               

                                                    Blague :

 

 

Que répondent un moniteur et un agent de production de L'ESAT La Fabrique à la direction de cet ESAT qui leur demande de participer au marathon de la Fondation des Amis de L'Atelier étant donné que le moniteur et l'agent refusent d'y participer ?

-  Le moniteur et l'agent de production répondent à la direction de L'ESAT La Fabrique :  "  Vous pouvez toujours courir !  "

 

                                            Jérôme de Mars

Cheval de Marne

 

Très à cheval;

Un cheval dévale !

Et trot c'est trot !

Si chassez le naturel;

Il revient au galop !

Et que le cheval de Marne

Dans le Val de Marne;

A des coups de pur-sang !

En regardant ses jumelles,

Dont sa femelle

Est la jument !

En caressant la crinière

D'un cheval de Marne;

Trop en colère !

En prenant un grand bol d'air

Dans le Val de Marne,

Dont le cheval avec équité;

Clame en tant qu'équidé !

Arrêtez votre manège !

En me faisant faire

Un sacrilège !

Même si l'amour est dans le pré

Au plus pré d'un cheval de Marne;

Dans le Val de Marne

En dormant dans une écurie;

Qui engrange

En grange,

Le cheval de Marne;

Qui est sur la paille

Du Val de Marne;

Dans le pur hein

En mettant le pied à l'étrier !

A tout cet arsenal;

Qui resplendit d'un bon teint

Avec dans le détail;

Une botte de paille;

En faisant faire 

Un tour de manège;

Très à cheval

Au cheval de Marne

Dans le Val de Marne,

Afin qu'il dévale 

La marotte;

Qui lui met la carotte 

Ou le bâton qui lui trotte

Dans la tête sans cravache,

Dont le cheval de Marne

Dans le Val de Marne;

Attache en point d'attache

La tâche

De travail

A exécuter,

Malgré que ce cheval

Est sur la paille,

Mais dont en étant très à cheval !

Sans en faire trot;

Chassez le naturel;

Il revient au galop !

Dont l'essentiel

Est que dans le Val de Marne;

Dévale

Très à cheval;

Le cheval de Marne;

En s'remettant en selle.

 

Jérôme de Mars

La joie de vivre

 

Chemin de Compostelle;

Il existe la joie de vivre

D'untel à untel;

En vivant villageois

Dans un petit bourg bourgeois;

En mangeant des Liégeois

Pour vivre,

Pourvu que le monde s'enivre

En s'appelant Du pont la joie;

En traversant le pont de L'Alma

Et d'autres ponts la joie,

Si bien que maintenant; la vie est un long fleuve tranquille !

En offrant une pincée de jonquilles

Dans un chemin de Compostelle;

A bord d'une croisière en parallèle

De toutes les générations qui enivrent

Ce monde complexe dans la joie de vivre;

Ivre sur le bateau ivre d'Arthur Rimbaud

Rabat-joie;

Qui emmène tout le monde ivre

Vers le chaos,

Mais dont il faut rectifier la barre

En mangeant des Carambars

Dans la joie de vivre,

Pourvu que les villageois

Et les bourgeois

En mangeant des Liégeois;

Se réconcilient avec la ville

Et en ville sans bisbilles;

Dans un chemin de Compostelle

D'untel à untel,

Car tel est ce monde si complexe qui s'enivre;

Très ivre

A travers la joie de vivre.

 

Jérôme de Mars

Y a pas de nuages à l'horizon dès que surgit le soleil !

 

Cap Canaveral lors de la nuit des étoiles;

Décrochée de leur peinture,

La nature remplace le ciel qui s'voile

Par un beau ciel bleu azur,

Où le ciel luit plus du côté de la lumière

Au clair du jour;

De loin assez linéaire

Que la nuit éphémère

Qui semble très insurrectionnelle,

Dont l'objectif retour

Persiste à calmer les lueurs;

Et les ardeurs

Du temps qui passe

En surface à la surface

De La Terre,

Où y a pas de nuages à l'horizon

Dès que surgit le soleil !

Avec sur le balcon

Une splendide vue sur la mer;

Regorgeant de ritournelles

Qui ont d'affluence le même rituel;

En s'frottant par ricochets au fil de l'eau,

Comme des sanglots qui ruissellent

En y allant franco !

D'où jadis ! Les oiseaux troubadours

Valurent le détour

Aux âmes nomades et écorchées vives !

Embuées dans leur gaieté émotive !

Grâce au soleil

Et à la nuit en froid avec l'hiver !

Duquel erre l'ombrelle

Des anciens démons de Minuit,

Où y a pas de nuages à l'horizon

Dès que surgit le soleil !

En arborant de couleurs

Le ciel en son bleu à l'âme qui fait fureur !

Et qui signifie que c'est l'heure

De l'accostage

Sur le bord de mer !

Avec après l'hiver

Dans le ciel !

Un jardin d'amour planétaire

En un point d'ancrage

Sur le balcon

Avec vue sur la mer,

Où par une ribambelle

De maux fleuris

Et tapis

Sur le sol conquis

De son cœur de chimère;

Jaillissent ragaillardies

Et hardies

Des mélodies sans bémol;

Ayant la parole

Du soleil de la vie !

En parfaite alchimie

Avec la carte vermeille

De la nuit !

Où ainsi vers l'infini !

Et pour la vie !

Y a plus aucun nuage à l'horizon !

Dès que surgissent les merveilles

Du soleil !

 

Jérôme de Mars

Tarte aux dédains 

 

Et ho ! Ma vie ce n'est du gâteau !

Si bien que ça tourne souvent au chaos !

Dont je suis complètement tarte aux dédains !

En mangeant une tarte aux daims,

Dont depuis que je suis né;

Je n'ai fait que déguster

Une tarte aux dédains;

Moi, très tarte aux des daims !

Oh ! Que ma vie dérive

A l'ennui sur le qui-vive,

Dont c'est certain

Que durant mon enfance !

Soi-disant de mon innocence !

Que mon père

Ou ma mère;

Ont du me foutre des tartes aux dédains;

Moi; complètement tarte aux des daims !

Genre une tarte à la crème aux daims !

Vu que ma vie; c'est pas de la tarte aux daims !

Si jadis, je fus une crème de tarte ayant le béguin

Pour un festin de roi !

Après avoir tant morflé dans le destin

De mon désarroi; 

Renforcé dans sa paroi,

Où moi; complètement tarte aux dédains !

Pourvu qu'à présent; ma vie soit du gâteau !

En allant vers l'eldorado,

Où dorénavant ma vie; ce sera de la tarte aux daims !

 

Jérôme de Mars

Le tonnerre qui gronde la pluie ne fait pas pleurer le soleil !

 

Temps solennel dans un regard croissant sur la lune !

Le ciel a des lacunes loin de sa lagune;

Qui mérite d'y voir plus clair

Avant le tonnerre;

Duquel en étant dans la lumière

Malgré les et clairs !

Le tonnerre qui gronde la pluie ne fait pas pleurer le soleil !

Sinon se morfondre au coin du feu à brûler les intempéries

Par les deux bouts de la chandelle !

Et tant pis s'il y a la pluie !

Et qu'il fasse gris !

Avec on l'espère !

Au bout du tunnel;

L'espoir exponentiel 

Qu'il y ait une accalmie !

Afin que le tonnerre qui gronde la pluie ne fasse pas pleurer le soleil !

Malgré que la pluie volage trompe le tonnerre;

Volontaire avec le soleil en récupérant sa sérénité prospère !

Pourvu que le tonnerre se remette en question !

Avec au bout de l'équation; une solution

A chaque problème de la vie qui paraît presque un brin d'aquarelle

Au ciel !

Quand sur Terre; tout tombe à l'eau ! Et dont pour embellie;

Ainsi, il y a un ciel clair sur Terre !

Avec en récompense une crémaillère;

Logée à la même enseigne essentielle !

En pleuvant des cordes

D'arc en ciel !

Et dont enfin ciel !

Sur place, tout concorde !

Car et griserie ! Tonnerre ! Il n'y a le tonnerre qui gronde la pluie

Et qui fait pleurer le soleil !

 

Jérôme de Mars

 

L'orage qui a un coup de foudre pour le soleil

 

Intempéries sous une pluie de crécelle;

De la vermeille qui envenime les merveilles;

De l'autre côté de L'Equateur !

Avec un sécateur pour élaguer le secteur;

Vecteur de liens multidimensionnels 

Et sensoriels; 

Qui suggère un espace générationnel

De l'orage qui a un coup de foudre pour le soleil;

Qui prend la foudre d'escampette

Dans le ciel parmi les comètes;

D'il est essentiel que l'embellie diluvienne

Contamine la pluie chaque semaine !

Où le vent a vent !

A le vent en poupe rêvant !

Et chasse la pluie séquentielle !

De l'orage qui a un coup de foudre pour le soleil !

D'il a des remords le soleil avec pour sémantique !

Sa langue bien pendue qui tourne sept fois

Sa langue dans sa bouche; en étant en froid

Avec la pluie tropique et exotique;

Raccord et affriolant en aimant d'apparences

Le ciel avec insistance dans sa sombre véhémence;

Engendrant un discours, dont c'est du vent corporel !

Dès l'orage qui prend la poudre d'escampette;

Direction le ciel en route vers les comètes,

Si bien que l'orage ressent en coup de sirocco;

Un agréable cocorico, dont bravo

L'orage pour son amour coup de foudre vis-à-vis du soleil.

 

Jérôme de Mars

Fausse sceptique

 

Dans son cabinet de travail;

Une personne du sérail

Fait avant d'aller travailler

Sa toilette; en se pomponnant

Et en s'embaumant

Avec du déodorant, 

Ronronnant dans un éventail,

Dont pour elle; c'est un détail !

D'avoir des balais

Dans l'âge de ses artères,

Dont elle se désaltère;

En travaillant dans son cabinet;

En faisant sa toilette

Avec des lingettes !

Dans une fosse septique

Elle; la fausse sceptique;

Avec en antiseptique

Des infections récurées

A s'en délaver les mains

Dans le pur hein;

A cause d'affections endurées,

Et dont pour s'en laver

Les mains;

Elle nettoie son popotin 

Dans son cabinet watter; 

En écoutant la fosse septique

Déblatérer ses vieilles paroles

De fausse sceptique

Avec en antiseptique;

Un nom catégorique

Dans la geôle;

Renfermée dans son cabinet

Toilettes; dans sa cabine d'essai

En période d'essai,

Dont elle noie ses nausées

Dans le travail, dont elle a du mal

A digérer ses douleurs anales

Dans la fosse septique;

Elle; la fausse sceptique

A aller aux toilettes;

Faire ses emplettes

Sur la cuvette;

Avec un antiseptique

En prenant pour optique;

Des choses qui paraissent

Evidentes, alors que c'est de la paresse

Pour qu'apparaisse dans son cabinet toilettes;

Son travail dans son cabinet avec une serviette;

A y vider son lac trop lourd, et dont en antiseptique;

Autant tirer la chasse de la fosse septique !

Car qui va à la chasse;

Perd sa place !

Qui se défausse septique !

En naît tant une fausse sceptique.

 

Jérôme de Mars

En regardant le ciel

 

Après la nuit à rêver d'une embellie

Dans la vie;

Il y a certains matins aux aurores

Une fois la nuit qui dort !

A s'imaginer devant un feu

De quand !

A brûler la vie par les deux bouts de la chandelle !

En regardant le ciel;

A s'faire vieux avant l'âge en un inventaire de sa vie

Pourquoi lui !

Et pourquoi sa vie ne reluit !

Feu la nostalgie !

Des aïeux était-ce si mieux 

Que ça avant ?

En regardant le ciel !

En même temps

Que de tenir la chandelle;

En rêvant d'amours inconditionnels

Au conditionnel présent;

Ou au conditionnel plus qu'imparfait

D'une liberté inconditionnelle !

De ce monde défait 

Qui n'a plus lieu

D'être comme avant !

Mais maintenant

En vivant l'instant présent !

En regardant le ciel;

A composer la bande originale

De sa vie 

Avec laquelle;

Chacun et chacune doit composer

Face à l'immédiateté

Que la vie impose de péripéties

Et d'hérésie !

Avec les gens qui n'ont le moral !

Même en regardant le ciel;

A attendre la ritournelle

Qui leur rappelle

L'époque pas si lointaine,

Où il et elle;

Fricotaient la nuit

Dans un hôtel !

A s'vider les poches pleines

Autour d'un faisons l'amour !

Dans un compte à rebours

En regardant le ciel;

Le temps qu'il dépucelle

Les couples dans leurs ébats;

Avec en guise d'aléas

Ceux ou celles;

Qui prennent en plus leur pied

En prenant la vie du bon côté;

Même en brûlant la vie 

Par les deux bouts de la chandelle,

Et dont pour tenir la chandelle !

Avant que la vie soit essoufflée 

De rengaine et de haine;

Il faut donc en profiter de voler 

Sa vie de ses propres ailes;

Avec les tourterelles !

En regardant pleinement le ciel.

 

Jérôme de Mars

A Lys et Alice

 

Et Lys et Alice !

Et lisse et délices;

Des lisses A Lise !

Hélice qu'élise 

A Lys et Alice !

Calice et malice

Qu'Alice et ma lisse !

A Lys; Alice

A Lise et à lisse !

Oh ! Quel délice !

Des lisse à Elise !

Hélice qu'à Lys !

Et qu'à Lise Alice

A Lys et Alice !

Pourvu qu'elle lise

A Lys et Alice ! !

La lette à Elise

Pourvu qu'elle élise

Et Lys et Alice !

Avec malice;

Ma lisse oh des lys !

Oh ! Quel délice !

Des lisses ! 

Qu'Elise élise

Et Lise hélice  !

A lisse et A lys !

Pourvu que Lise

Et lise d'à lisse !

Pour toujours à Lys et Alice !

 

Jérôme de Mars

Dites-leur aux gens que vous les aimez avec des fleurs !

 

D'un simple bouquet de fleurs;

Composé de p'tits bouts de choux fleurs !

Dites-leur aux gens qui sont nés dans les choux

Que vous les aimez avec des fleurs !

Telle une marguerite qui aime Marguerite;

Qui fait une fleur toute lisse à Lys

Qui envoie une fleur d'iris 

Pour les beaux yeux d'Iris,

Si bien que Violette offre un beau bouquet

De violette à Angélique; la fleur si angélique;

Qui voit la vie en rose grâce à Rose;

Qui lui offre une rose; la fleur de l'amour

Qui met enceinte Jacinthe;

Avec une fleur de jacinthe,

Dès qu'Anaë dit que c'est le bouquet

D'anaë qui chante à Camélia Jordana;

Fais-moi une fleur de camélia !

En écoutant Sidney Bechet;

Chanter et déchanter petite fleur

D'églantine dans une comptine

A la petite Eglantine;

Qui bêchait le jardin secret de Capucine,

Quand elle offrit une fleur de capucine

A son amoureux dans une romance,

Avant qu'Hortense appuie sur le bouton d'or,

Dont elle gratta son bouton qui dort,

Lorsqu'elle acheta un bouquet à la chaîne

D'hortense, dont elle tira un trèfle à quatre feuilles

Pour Garance; en espérant qu'elle récupère 

Une fleur de garance pour retrouver l'amour,

Dont ce sera intégralement le bouquet

Au moment, où Florentine s'abonnera 

A un bouquet de chaînes, afin que Florentine

Ne pète plus de câble !

Dont pour qu'à eux tous; ce soit le bouquet !

Offrez-leur à eux tous un bouquet en chaînes !

En leur faisant une fleur et en leur envoyant

Des fleurs ! Dont dites-leur avec bonheur !

Aux gens que vous les aimez tendrement

Avec des fleurs !

 

Jérôme de Mars

L'automne déshabille l'hiver

 

Par un vent d'automne !

Qui rend le ciel aphone;

L'automne déshabille l'hiver

En faisant dormir pour l'hiver;

Les bruyères qui faisaient 

Du bruit hier;

Avec pour consoler

Les âmes larguées en peine;

Le fin froid de l'hiver qui égrène

Avant l'automne; 

Des maux bien monotones

Auteurs de vers; 

Qui entraînent à la traîne

Et traînent

En longueur;

Près des saules pleureurs

Dans une mélancolie d'hiver;

Qui rend monotone

L'automne, lorsque atone;

L'automne déshabille l'hiver

Et les primevères,

Si bien que les arbres s'y mettent

En se mettant à nu pour montrer

Leurs diverses facettes;

En dormant à la belle étoile

Sous un ciel qui dévoile

Son côté clair-obscur,

Dès que l'automne déshabille l'hiver

Et fait que les vers 

Mangent des vertes et des pas mûres,

Malgré que le fruit défendu

Tente de désarçonner

Et de corrompre les esprits dissolus;

A ne pas confondre avec un ver d'hiver

Et un ver d'automne,

Comme si des poèmes d'hiver

Rendaient l'automne monotone;

Au tonne qui détonne

Et fredonne un jardin d'hiver

Dans une ambiance austère,

Alors que pour ne pas se faire 

De bile

Avec des bisbilles ;

Autant que se faire

Que dans un inventaire;

L'automne déshabille

Pour plusieurs mois l'hiver.

 

Jérôme de Mars

Les canards vexés

 

Journal des mauvaises nouvelles !

Canards VC !

Faites vos toilettes !

Avec en ritournelle;

Les canards vexés

De la danse des canards;

En regardant le grand cagnard

Avec le soleil et son Rimmel;

Qui sourit dans la vertu

D'un immense jardin vêtu;

En se mettant à nu

En balayant devant sa porte;

Et en ramassant à la pelle

Les feuilles mortes;

Qui s'rappellent

Les canards vexés;

Qui s'en lavent les mains

Des canards VC;

Rapporteurs aux aurores

Dès le réveil du matin;

Qui s'dore

Au soleil;

Abreuvoir de bonnes nouvelles;

En lisant le journal avec dans le cagnard

La rubrique des canards vexés;

Qui remplacent la rubrique des chiens écrasés;

Tellement qu'une d'une chienne de vie;

Les canards VC

En font

En vie !

Les canards VTC

Pour rattraper la saison,

Dès les canards vexés;

En froid avec l'hiver !

Et chaleureux avec des mots clairs !

Au clair de la lumière !

Avec les idées claires !

Un pour tous !

Et tous pour un coup de pouce !

En faisant trempette

Et en faisant sa toilette !

En s'prenant la main !

Au contact malin

Du journal des bonnes nouvelles;

Face au soleil qui fredonne en ritournelles;

Fières et amusées 

La danse des canards VC,

Quand face au cagnard VTC;

Les canards vexés.

 

Jérôme de Mars

La bourrée des contre danse !

 

Amende honorable

Sur la table;

Faisons amende honorable !

De nos pas véritables !

En étant bourrés à redondance ! 

Et rembourrés abondance !

Oh ! Que la bourrée ! On la danse !

Quand on a débourré tendance !

Dans la bourrée des contre danse !

Auvergnate à la bonne franquette !

En faisant des emplettes;

Au carrefour de l'intendance  !

Oh ! La bourrée des contre danse !

Elle a roulé sa bosse à contresens ! 

Qu'on nous encense; nous les gens bourrés !

Qui soûlent la danse des canards ! 

Des canards vexés qui sont dans le coltard !

Du cagnard qui flâne en errances !

Avec irrévérence !

Oh ! La bourrée des contre danse !

Qu'on l'a si bien débourrée en transe !

Quand on danse dans la trance danse !

Intense avec une puissance pliée en quatre;

En sortant le jeu puissance quatre;

En sortant du cadre !

Qu'on encadre !

Dès la bourrée des contre danse !

Qui danse en itinérance 

La redondance avec en abondance;

L'intendance de la tendance !

Qui signifie deux pas de danse !

Qu'une fois bien bourrés;

Débourrés et rembourrés !

V'là à contresens !

Jamais bourrée !

La bourrée des contre danse !

 

Jérôme de Mars

Les hirondelles prennent un vol d'avion !

 

Il y a le téléphone qui sonne !

Même qu'il résonne

En mode avion !

Et que dans le ciel;

Les hirondelles

Prennent un vol d'avion !

Avec leurs ailes

Qui font figure de trublions;

Candides dès l'innocence

Ainsi jusqu'à leur adolescence;

Avec en bain de jouvence

Toute la reconnaissance

Du ciel; lieu propice

A ce que frémisse

L'endroit superbe;

Qui de son haut verbe;

Ici là ! Donne pour adverbe !

Des éléments moteurs en action,

Dont leur seul moyen de locomotion

Moteur ! Désigne que les hirondelles

Prennent un vol d'avion !

Dans le ciel !

En attendant l'hiver et ses neiges

Eternelles ayant pour privilège

De concevoir des avions en papier,

Dont il y a la cocotte minute qui bout !

Tellement à bout

De vivre dans ce monde de fous !

Qu'elle récolte en tout point tout honneur !

Une grande légèreté !

Avec pour soleil rieur

Dans le ciel ! Quelques illuminations !

Après que les hirondelles superficielles

Prennent un vol d'avion !

Dans le ciel !

Et qu'elles répondent au téléphone qui n'est

En mode avion !

Une fois arrivé l'avion

Du vol de leurs ailes

Au sol,

Do ré mi fa sol !

Dès la farandole !

Qui fredonnent en ritournelle !

Ca y est !

C'est fait !

Au téléphone

Qui raisonne

En mode avion !

Ici là ! Les hirondelles

S'éprennent d'un vol d'avion !

 

Jérôme de Mars

 

Des gueux las; dégueulasses !

 

A Périgueux las !

Il y a comme partout

Un palace

En marchant d'un pas las !

Avec pour passe-partout

Des gueux las; dégueulasses !

De guerre lasse !

Pauvres de rien !

Ou riches qui savent bien

Que l'argent ne fait le bonheur !

Mais qu'il y contribue quand même !

Un peu au bonheur avec vigueur !

Malgré que dans la vie; chacun

A ses problèmes !

Et qu'il y en a quand même

Certains parmi les rupins !

Que personne n'aime

Parmi des gueux las; dégueulasses !

A Périgueux las !

Las que tout le monde s'en lasse !

Et se prélasse

Dans un palace !

En marchant d'un pas las !

Riches de rien !

Et pauvres d'être rupins  !

Youpi !  Les riches  !

Malgré leurs économies !

Font pas l'économie

De toute une vie !

Vu que leur terrain

Est en friche !

Par des gueux las; dégueulasses !

A Périgueux las  !

Ville où comme partout !

Il y a pour passe-partout

Des riches et des pauvres !

Soûls ou sobres !

Dont qu'ils soient dans un palace !

Ou qu'ils marchent d'un pas las !

Il y a toujours des riches

Qui s'en lassent !

En laissant en friche

Leur terrain !

Si bien que les riches

S'en fichent

De leur terre hein !

Pendant que les pauvres s'enlacent !

En buvant les paroles sobres

Des pauvres de rien !

Mais riches d'avoir le béguin

En regain !

Pendant que les rupins

Malgré leurs gains;

Sont pauvres d'être rupins !

A Périgueux las !

Parmi des gueux las; à ce point très dégueulasses !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Des brouillards débrouillards

 

Haro il y a un coup de Trafalgar !

Qui tyrannise les nénuphars,

Où le bien s'égare

Quai des brumes dans le hangar !

Avec le mal qui a des égards

Pour des débrouillards débrouillards

Vis à vis de ce vent; ce grand gaillard;

Qui a un mauvais regard

Sur le soleil complice de mèche;

Avec le tourbillon revêche

Du temps intempestif; 

Qui a en impératif

Des brouillards débrouillards;

Toujours dans le coltard,

Dès que le vent est prisonnier

Du temps qu'il prend pour son messager

En retard, dont ses écarts 

Engendrent une tare dans le mitard;

Des brouillards débrouillards

Gare au coup de Trafalgar,

Si bien que la nuit jonche 

Un coup de semonce

En faisant une drôle de tronche;

Qui annonce la ronce

Des brouillards débrouillards,

Cap vers le pays des nuages;

Qui dégagent le ciel en terre d'allumage

Est-ce un signal de l'élément phare ?

Avec pour fanfare;

Un tintamarre qui amarre !

Avec pour larguer les amarres !

Des poissons dans leurs éléments,

Comme un poisson dans l'eau !

Ayant pour agrément;

Des bruits déroutants

De l'eau émise dans un dépôt !

Avant que le vent décide élevant !

Qu'il n'y a plus de coup de Trafalgar !

Pourvu que personne ne s'égare !

Et gare au hangar !

En des brouillards débrouillards.

 

Jérôme de Mars

Pièce rapportée

 

Une petite saynète où Jérôme B règle ses comptes avec son ancien ESAT La Fabrique au moment de quitter définitivement son ESAT pour naviguer en de meilleures eaux au GEM de Vitry après qu'il ait navigué tant d'années en os troubles à L'ESAT La Fabrique :

 

Jérôme B, un ancien agent à L'ESAT : " - Je voulais vous dire que je prends congé de vous maintenant toute l'année après tout ce que j'ai supporté à L'ESAT de la part notamment de plusieurs agents de production; qui m'ont dit que tout le monde s'en foutait de moi à L'ESAT La Fabrique du nom de : " Coralie O; Christine F; Sandrine R; Célia R; Jonathan P; Katia L car c'est vrai à L'ESAT La Fabrique vu ce qu'on y fabrique en enfilant des perles avec les bijoux de famille de ceux qui sont des verges effarouchées; qui débitent de l'argent en liquide vis à vis de ceux à qui ça met l'eau à la bouche liquide, où à L'ESAT La Fabrique; la seule chose qui intéresse cet ESAT; c'est de ne parler que d'argent en faisant des économies sur le dos des plus faibles, dont le silence est d'or et la parole est d'argent; cap pour montrer que je suis cap ! Dont cap je mets les voiles vers le GEM de Vitry Le Grison, où j'aurai mon petit grison en porte-bonheur; en naviguant en de meilleures eaux au GEM de Vitry, où je suis mieux considéré après avoir tant navigué en os troubles à L'ESAT La Fabrique, où presque personne ne me considérait !  "

 

Steven I, un agent à L'ESAT : " - Quelle est la raison qui fait que tu quittes définitivement L'ESAT La Fabrique ? "

 

Jérôme B, un ancien agent : " - Je quitte L'ESAT car beaucoup m'ont mené en bateau surtout lorsque Marie-laure a quitté L'ESAT et que l'activité voile s'est arrêtée vu que Madame Manoiline avait promis que l'activité voile allait continuer avec la remplaçante de Marie-Laure; mais qu'au final; Madame Manoiline nous a bien voilé sa face obscure pour mieux nous la dévoiler en naviguant en os troubles; d'autant plus comme à L'ESAT La Fabrique; tout le monde s'en foutait de moi et bien à L'ESAT; j'ai fait deux tentatives de suicide en voulant me jeter par la fenêtre, comme l'agent n'a pas d'odeur pour mieux jeter l'agent par les fenêtres en prenant tout pour agent comptant ! Surtout que de leur diplôme à L'ESAT : " Différent et Compétent " ; qui est outre soi-disant une reconnaissance de compétences, et bien ! Moi; je suis indifférent et un compétent de ce diplôme à la noix, dont c'est du pipeau ! Car pas mal à L'ESAT La Fabrique m'ont manqué de reconnaissance ! "

 

Christophe P, un agent à L'ESAT: " Bonjour Jérôme; si je comprends bien; on trinque à ta santé de quitter L'ESAT après que t'aies trinqué de ta santé dans cet ESAT ! Et enfin lascar; pourquoi dis-tu que ton état; ce n'est pas du cinéma déjà que t'es acteur de ta vie ? Et bien ! Moi si je suis en arrêt-maladie à L'ESAT depuis avril; c'est aussi parce-qu'à L'ESAT; il n'y a plus de sécurité sociale ! "

 

Jérôme B, un ancien agent à L'ESAT : " Parce-que je joue le rôle de ma vie vu que mon état psychique est très dramatique et très critique après avoir toujours été spectateur de ma vie; en prenant conscience dorénavant que je suis bien acteur de ma vie dans cette pièce rapportée écrite sur mesure par moi et pour moi ! Je me serais jeté par la balustrade à L'ESAT sans me rater; ça n'aurait pas été un suicide assisté comme je suis déjà assisté mais un suicide insisté ! Et toi Christophe si tu es en arrêt-maladie à L'ESAT ! C'est parce-que tu n'as plus tes chaussures de sécurité sociale vu que t'es pas à L'ESAT en ce moment ! "

 

Charlotte, une ancienne agent à L'ESAT qui s'en bat en retraite : " - Mon petit Jérôme; donc à présent; tout est à présent un parfait pour penser à ton avenir de ton futur imminent; où on trinque autour de tes vers de poème, dont j'espère que tu bois mes paroles ici-là; toi; le poète maudit : où je te souhaite bonne chance cap vers le GEM de Vitry ! "

 

Concernant la suite dans les idées de Jérôme B qui quitte L'ESAT La Fabrique pour voguer vers La Fabrique des rêves du GEM de Vitry :

 

Jérôme B, un adhérent du GEM : " Bonjour Walid après avoir quitté L'ESAT après avoir tant navigué en os troubles, voilà que maintenant; je vais naviguer en de meilleures eaux plus claires et dans la lumière, dont tous mes côtés sombres dormiront dorénavant à l'ombre ! Au moins au GEM de Vitry, ma vie sera un long fleuve tranquille sur Seine ! "

 

Walid, un éducateur du GEM : " -  Mon petit Jérôme ! Puisque à présent tu te consacres au GEM; et bien il faudra que tu mettes une pièce de théâtre qui rendra la monnaie de ta pièce pour boire le café du commerce, dont on prendra certains de tes poèmes chaque matin dès l'ouverture du GEM pour en débattre autour d'un café-débat ! "

 

Manon, une éducatrice au GEM : " - Une petite pièce s'il vous plaît ! A votre bon cœur pour toute la rancœur de ce pauvre Jérôme ! "

 

Françoise T, la responsable du GEM de Vitry : " - Ca y est Jérôme ! Tu récoltes la monnaie de ta pièce comme à  présent, le temps, c'est de l'argent ! "

 

Jérôme B, un adhérent du GEM :  " - Pour que je garde espoir en mon avenir vu que maintenant; je quitte L'ESAT pour émigrer destination le GEM de Vitry, où c'est cap vers la bonne espérance pour que plus personne ne me mène en bateau ! Afin que je tire de tout cela une pièce de théâtre, où chacun aura le beau rôle spectateur; et dont moi enfin; je serai acteur de ma vie; en jouant mon propre rôle dans une pièce montée; récupérée de toutes pièces détachées et rattachées à une pièce; qui me rendra la monnaie de ma pièce, dont pour une fois; l'argent aura une odeur en étant en odeur de Sainteté dans une pièce portée par moi; l'authentique pièce apportée, où je mettrai mon passé en pièce dans une pièce de théâtre dont moi; je serai la pièce rapportée ! "

 

Jérôme de Mars     

 

Le soleil au beau fixe

 

Idées fixes !

Avec un suffixe;

Il y a un point radical

A l'origine des mots !

Dont en point inaugural;

Il y a le soleil au beau fixe;

Qui fixe

Pour cap Canaveral;

Les racines qui brillent haut

Dans le ciel névrosé dans une rixe:

Qui bouscule l'effet domino,

Dès que le soleil au beau fixe;

Oppose le suffixe

Et le crucifix

Aux idées fixes;

Qui fixent

Les nuages dans le ciel en totale impro;

Qui écrivent un approprié scénario;

Qui flirte avec la rixe

Des sentiments paradoxaux;

Avec pour entière contradiction

L'immense constellation;

Des étoiles accrochées en poster

Au ciel qui a de la matière,

Avec le soleil au beau fixe;

Qui fixe

La rixe;

Avec en suffixe

Le crucifix;

Névrosé et nécrosé

Parmi les éléments de La Terre,

Et dont dans une nostalgie déshydratée;

Il est temps que d'un suffixe !

Le ciel trouve d'un téléphone fixe

Le point fixe;

De ce qui est à l'origine des rixes

Avec en appel dernier cri fractal;

Le soleil définitivement au beau fixe.

 

Jérôme de Mars

Les fleurs qui ont une vie en roses sont des petits bouts de choux fleurs !

 

A Honfleur, Eglantine a un petit bout de chou fleur du nom de Rose, dont c'est le bouquet de capucines, quand Rose qui a une vie en roses envoie des fleurs à Capucine; qui fait une fleur d'églantines à toutes les fleurs qui ont eu une vie en roses d'Eglantine; de Rose et de Capucine, dont ce sont toutes des petits bouts de choux fleurs qui sont nées dans les choux à fleur de peau !

 

Jérôme de Mars

 

Si j'écrivais un poème sur une feuille morte !

 

Pas loin de l'automne aphone

Sur une feuille atone;

Si j'écrivais un poème sur une feuille morte !

Qui jetterait l'encre; 

En débordant du centre

Sur un amas de tant d'autres feuilles mortes;

Qui ferait que les amourettes seraient plus fortes

A la dérive de l'écluse;

Qui ferait que ma poésie s'ferait muse 

Au point, où mon âme larguée

De ma peine fissurée;

Irait divulguer ses secrets en rentrant

Par la grande porte;

A sens unique avec pour châtiment

Un amas de feuilles mortes,

Où si j'écrivais un poème sur une feuille morte !

Il rendrait la vie défunte aux amourettes mortes;

En en faisant des relations de longue endurée très fortes,

Où je jetterai l'encre en laissant des plumes

Du fond du bitume;

Do ré mi fa sol

A qui il manquerait juste des tournesols !

Avec le Professeur Tournesol

Pour rendre la science infuse 

Aux tournesols

De Vincent Van Gogh,

Dont en prologue de l'automne;

Rendez-vous aux tonnes, 

Dont j'entonne

D'une chanson forte !

Les amourettes qui déchantent en jetant l'encre

Sur des feuilles mortes,

Et dont je recentre

Ma poésie ainsi de la sorte,

Si désabusé; j'écrivais un poème mort-vivant sur une feuille morte !

 

Jérôme de Mars

Le ciel qui est sur un petit nuage

 

Comme un aimant !

Dans son élément !

Le soleil veille chronophage;

Quitte à en perdre son plumage !

Vers le ciel qui est sur un petit nuage

A transcender les ramages;

Qui chantonnent 

Sous un ciel de Babylone;

Qui jalonne le balcon citoyen

D'une fenêtre extérieure ouverte

Vers le monde avec pour arlequins;

Des personnes qui clament des vertes

Et des pas mûres en clowns tristes !

Alors que le ciel qui est sur un petit nuage;

Regarde altruiste 

Ce à quoi aspire idéaliste;

Le peuple hédoniste

Pour prendre du plaisir dans la vie accordéoniste;

En accordant

Et en raccordant

Les violons synchrones;

Autour d'un breuvage

De sérum de raison;

A chaque saison

De laquelle la pluie se laisse dominer par le soleil;

En espérant que la lune féconde le ciel;

Le ciel qui est sur un petit nuage

Avec aucun nuage

A l'horizon !

De la vie qui paraît taciturne

Et diurne;

En attendant le moment sage 

Du fameux passage avec en attelage;

Le ciel qui reste pour la vie sur un petit nuage.

 

Jérôme de Mars

Avec mon venin, le serpent a sonné !

 

Plié en quatre; sous forme de sonnet dont jamais deux sans trois !

Avec mon venin, le serpent a sonné !

Resonné et résonné dans un sonnet; qui m'a complètement désarçonné !

Et qui a versé un quartet sans alexandrins; plutôt lié à mon désarroi !

 

Dont avec mon venin, le serpent a sonné !

Resonné et résonné avec le même refrain dont je ronge mon frein,

Dont j'en ai tellement le béguin que je l'ai enfreint !

 

Dans un appel du pied sans alexandrins; relié à mon grain,

Dont avec mon venin, le serpent a sonné !

Resonné et résonné dans un quatrain sans des vers à douze pieds !

Raisonnés dans un quatre en un en un Golden Gate Quartet;

 

Qui a sonné, resonné et résonné en moi en un Golden Gate Tercet;

Avec le même refrain dont je ronge mon frein que j'ai enfreint,

Dont avec mon venin, le serpent a sonné, resonné et tellement résonné !

 

Jérôme de Mars

 

GEM les brèves !

 

1) Au moins quand on fait de la poterie avec Manon au GEM de Vitry; ce n'est pas du tout terre-à-terre !

 

2)  Walid compte sur moi chaque moi pour noter les recettes et les dépenses du GEM de Vitry étant donné qu'il me calcule très bien !

 

3) Les adhérents qui participent à l'atelier philosophie du GEM de Vitry ne manquent vraiment pas d'idées !

 

4) Lorsqu'a lieu le repas du samedi midi au GEM de Vitry toutes les deux semaines; c'est l'occasion que tout le monde se cuisine !

 

5)  Raphaël qui s'y connaît trop bien en finances en travaillant aux impôts; s'économise rarement à son travail !

 

6) Lors de chaque loto au GEM de Vitry; il y a tout le temps quelqu'un qui sort du lot !

 

7)  Chaque matin au GEM de Vitry; dès qu'il y a un débat autour d'un café en abordant l'actualité: si ce n'est pas le café du commerce; alors c'est à quel sujet ?  

 

8)  Au GEM de Vitry; c'est tellement un havre de paix que certains fument tous les jours le calumet de la paix !

 

9)  Au GEM de Vitry; tout le monde est majeur et vacciné !

 

10) Si jamais au GEM de Vitry; le téléphone sonne pendant que tout le monde écoute de la musique sans que personne ne répond; c'est que personne n'aura pris le temps d'écoute le groupe Téléphone !

 

11) Il est tout à fait normal qu'au GEM de Vitry; il y ait des adhérents qui soient francs surtout s'ils jouent cartes sur table au tarot !

 

12) Les adhérents au GEM de Vitry qui ont inexorablement le dernier mot; jouent régulièrement au Scrabble !

 

Jérôme de Mars

Le soleil dort à la belle étoile

 

En cultivant son jardin secret d'Eden;

Voici que la galaxie du ciel emmène

Le soleil dans un folklore;

Avec en pléthore 

Une métaphore, 

Lorsque le soleil dort à la belle étoile

Et qu'il peint un brin de toile;

Qui dévoile sa face cachée,

Alors que lui;

Il fait face

En surface,

Quand il fait nuit !

Dans une ambiance feutrée;

Et qui amène une toile 

Inachevée en pourparlers

Qu'il est sain d'embaumer; 

En ayant du baume au cœur

Au jardin des lavandes; 

Qui demandent

Qu'il y ait de la douceur

Et de la fraîcheur,

Si bien que le soleil dort à la belle étoile

Etoile du berger;

Etoile de la divinité

Avant que le ciel couche sur du papier

Ses sentiments romantiques;

Rédigés dans un passionnant cantique,

D'où il est l'heure de vérité !

Que le soleil aille se coucher 

Et qu'il puisse voir en peinture la toile,

D'où le soleil redore son blason à la belle étoile.

 

Jérôme de Mars

Chanter pour faire de cette France désenchantée une France réenchantée 

 

Depuis longtemps en porte-à-faux;

La France chante faux dans un échafaud,

Alors qu'il faudrait que La France chante juste !

Et chante vrai dans un parler vrai !

Avec un véritable franc-parler bien Français !

En n'employant des mots frustes,

Afin que chacun puisse chanter 

Pour faire de cette France désenchantée

Une France réenchantée;

En chantant le couplet de l'amour

Pour s'accoupler sans s'arrêter,

Comme des vautours 

Pour ne pas chanter toujours la même rengaine;

Qui tient en haleine 

Ce sempiternel refrain;

De celui ou celle qui ronge son frein,

Dont pour chanter juste

Et chanter vrai

De façon rustre;

Il faut fredonner avec des mots érudits !

Tout ce que la musique dédie

Aux plus grands et aux plus petits !

Si bien que tout le monde retrouve l'envie !

De chanter pour faire de cette France désenchantée

Une France réenchantée

En farandole;

Et qui mot pour mot tient paroles !

A chaque saison,

Dont on connaît la chanson !

Si c'est tout de suite ou jamais !

Où il ne faut jamais dire fontaine;

Je ne boirai pas ton eau !

A part bien sûr si tu chantes affable Lafontaine !

Avec pour dernier mot

Un parler vrai !

Ayant un franc-parler;

Qui chante juste

Sans mots frustes,

Dont à l'infini; il faut chanter dépaysé 

Pour que tout le monde puisse s'aimer;

Et faire de cette France désenchantée

Une France réenchantée sans discontinuer.

 

Jérôme de Mars

Je ne crois plus en la politique mais je croîs en l'apolitique !

 

Question poly tics;

J'ai un tic !

Je ne crois plus en la politique

Mais je croîs en l'apolitique !

La preuve; je me mets aux vers !

Et je m'engage en vers

La gauche au centre

De la droite,

Dont je recentre

De mes mains moites 

Le débat 

Dans un rassemblement

National; question frontale,

Où avec mes idées fatales;

Je fais front !

En faisant un affront national

Au rassemblement national;

Qui monte au front national !

En allant au front hexagonal,

Où je ne crois plus en la politique

Mais où je croîs toujours en l'apolitique !

Question pratique

Dans ma langue que je bois,

Dont je déteste la langue de bois !

Et dont pour cela; je suis à gauche socialement !

A droite économiquement !

Et nationalement dans un rassemblement

National, où question frontale; 

Je vire à gauche !

Et je dérive à droite !

En recentrant le tout

Au centre d'un rassemblement national;

En prenant le gauche de façon gauche;

Après avoir donné une bonne droite

Dans ce gigantesque fourre-tout !

Où je m'en fous de tout !

Tellement que je n'y crois vraiment plus

En la politique; poly tics

Mais dont je croîs désormais en l'apolitique !

 

Jérôme de Mars

Les bateaux ont le vague à l'âme !

 

Comme dans un mélodrame;

Cap vers Le Maroc !

En partant à bon port

De La France

Depuis un port de Plaisance,

Dont le bateau a une coque;

Telle une bicoque,

Comme à la maison

A celui ou à celle qui retrouve la raison;

Et ainsi; les bateaux ont le vague à l'âme !

En prenant pour argent comptant dix rames,

Comme la monnaie rendue en main propre

Au Maroc de façon sobre

En dirhams, 

Si bien que les bateaux ont le vague à l'âme !

Loin du Paris Paname, 

Comme si c'était un drame !

De ne pas s'en faire pour la dame

De fer qui préfère un slam;

Cap vers la mer mouvementée

Dans un vague à l'âme endiablé,

Dont la mer enroule son désespoir

Dans un rouleau de vagues; 

Qui drague

Ses plus bas instincts certains soirs;

Toute seule face à son chagrin,

Enclin à rejoindre le dédain,

Lorsque les bateaux ont le vague à l'âme !

Et préfèrent noyer leur drame

Dans l'alcool qui les came;

Tel le bateau ivre d'Arthur Rimbaud;

Qui s'enivre dans l'écume des ruisseaux

Au fond de l'eau comme ce slam;

Qui clame que quiconque rame

Dans cet enfer maritime,

Dont il est sûrement plus légitime

De plaider en faveur de l'abstinence,

Afin de trancher envers l'innocence

De ce monde qui marche à l'envers;

Empêtré à nouveau dans ses vieux travers

De Martin Guerre,

Dont après qu'il y ait cap vers Le Maroc !

Et une fois arrivé au Maroc,

Dès la fin de ce morceau de roc

Et de pierre

En déroute de cette atmosphère;

Voici l'accostage à bord d'une énième trame,

Dont les bateaux ici là !

Et maintenant ! Ont dans le cinéma

La nouvelle vague à l'âme !

 

Jérôme de Mars

Mes paroles font jazzer !

 

Régal d'égal à égal !

A bord de ce repas frugal

En ayant une p'tite fringale !

Où y en a qui ont la gale légale !

Dont en faisant un scandale; 

Mes paroles font jazzer !

En jouant un air de musique endimanché;

Qui rentre dans les annales originales !

Sur le rebord d'un bateau qui est à l'abordage;

Et qui avant l'accostage;

Passe on the radio nostalgie;

Les années vintage

A travers 

Toute leur musique légère;

Et qui en empruntant des mélodies;

Font l'équivalent sur Télé Mélody;

La télé qui pète un câble;

Qu'accablent irrévocables

Les femmes aux vers de leurs chansons vocales;

Qui causent un mélo dit,

Dont à force que les cailloux font des ricochets

Sur la mer

Qui trouve ici là sa vitesse de croisière !

Et ben le tout part à la dérive vers l'estuaire !

En virant de bord sur la rivière,

Où mes paroles font jazzer !

Avant de faire jazzer; valdinguer

Et renverser mes vers en vers

Des scandales en famille;

Qui crient infâmie ! 

Pourquoi causes-tu de la tyrannie ?

Dans ta musique qui transpire de ton ironie,

Dont mes paroles font jazzer !

Avant de verser et de déverser

Dans la liturgie; 

Question rituel !

Et dont l'ultime gestuelle

Adresse à chaque fin de semaine !

Et à chaque jour suffit sa peine !

Qu'attends-tu pour t'accoupler

En vers ce dernier couplet décuplé ?

Dont mes paroles

Dans une farandole;

Font éternellement jazzer !

 

Jérôme de Mars

 

Au nom d'une pluie qui lave le ciel

 

Avec des noms d'oiseaux en ritournelles;

En cassant de la vaisselle de porcelaine

Du fait que s'amenuisent les bas de laine;

Au nom d'une pluie qui lave le ciel;

Le soleil s'en lave les mains avec sa madeleine

De Proust ! Qui lui rappelle feu la rengaine

Et la haine qu'il y a à chaque début de semaine;

Face à ce monde moribond qui croit en un déclin,

Alors qu'il faudrait juste un des clins d'œil afin

Qu'il y ait un béguin et une déclaration d'amour;

Qui ferait mieux passer les topinambours 

En faisant avaler la pilule;

Qui pullule

Des mots de troubadours;

Qui en valent le détour;

Au nom d'une pluie qui lave le ciel;

Qui s'en lave les mains des choses artificielles !

Et qui ramasse des choses naturelles

Et point surnaturelles;

En roulant des pelles

Avec un droit à l'oubli

En guise de confettis,

Dont le ciel épelle 

A chaque jour suffit sa peine !

Au nom d'une pluie qui lave le ciel;

Et qui nettoie les âmes superficielles

En leur faisant aspirer des idées meilleures;

Auxquelles s'associe bien évidemment la ferveur

Et la candeur,

Pour qu'il n'y ait plus de fureur

Avant d'aller au ciel;

Mais de profiter de chaque bonheur

Qu'il y a en chaque jour de la vie !

Pour un non; pour un oui

Avant qu'il fasse nuit !

En taguant le ciel

D'un arc en ciel;

Au nom d'une pluie qui lave le ciel;

Et même si tout le monde a peur

De demain; des lendemains

Et des surlendemains !

Il faut aller à l'autel

Du Missel !

En s'assurant que demain

Sera un sûr lendemain,

Dont le ciel s'en lavera les mains !

Au nom d'une pluie intemporelle

Qui lave de ses recoins le ciel.

 

Jérôme de Mars

Les étoiles ne meurent qu'une fois !

 

Il était une fois

Un cœur qui bat la chamade !

Avec dans la dérobade;

Une ballade

Sur un tapis rouge;

En hommage aux artistes qui bougent,

Et dont cela jette un froid,

Quand dans une accolade;

Les artistes spleens la mine déconcertante;

Regardent les étoiles défilantes et filantes,

Dont les étoiles ne meurent qu'une fois !

Là-haut au ciel dans l'au-delà !

Y a-t-il dans le ciel une cour de récréation ?

Pour y siroter avec les artistes disparus 

Du cinéma;

Une bière ou un soda;

Attablés au comptoir

A s'raconter de belles histoires;

Le cœur irrésolu et perdu

Vers la peur de l'inconnue,

Dont malgré que le ciel a son étoile

Sur Hollywood; les stars souvent;

Ne se dévoilent ou se voilent

La face en éclats; 

En franchissant de grands pas;

Ainsi si bien dit !

Que le ciel en déduit

Que les étoiles ne meurent qu'une fois !

Pour l'éternité intemporelle

A l'autel

Des âmes sans joies,

Ou rabat-joie;

Qui recèlent un profond désarroi !

Que les étoiles soient 

Défilantes; filantes;

Inspirantes ou éprouvantes,

Comme dans un fil d'épouvante;

Qu'incantent en dilettantes

Les esprits défunts,

Dont tout a une fin !

Sur cette Terre éphémère;

En songeant à l'après dans l'imaginaire;

Et si en dormant à la belle étoile;

Les inconditionnels de l'au-delà;

Esquissaient par-ci par là;

Une toile qui dévoile

L'au-delà bien au-delà

De tout ça  !

Dont les étoiles défilantes

Et filantes

Ne demeurent et meurent pour la toute dernière fois !

 

Jérôme de Mars

 

Oh que c'est laid une laie qui boit du lait olé olé !

 

Travail de gougnafier !

A frais de porc;

Oh que c'est laid

Une laie qui boit du lait olé olé !

Aux frais de report;

Arrivés à bon porc !

Avec pour délais des lé !

Oh que c'est laid

Une laie qui boit du lait olé olé !

Dans un salon de tes délais !

Dérivés offrait qui fait salon de thé !

Avec pour délais des laids olé !

Oh que c'est laid

Une laie qui boit du lait olé olé !

Avec pour apport;

Un thé de tes des laits  !

Qui fait ça long o laits !

O laids o lé !

Dont c'est décidé ôté au lait olé olé !

O laid délai caracolé  !

Oh que ce né lé les

Une laie qui boit du lait au thé au laid !

 

Jérôme de Mars

 

Le ciel a son étoile sur Hollywood

 

Reflets du miroir intemporel;

Il paraît comme une étoile !

Que dans une aquarelle;

Qui dévoile à voile

Et à vapeur;

La lueur

Du jour qui transpire

Hollywood et ses sourires;

Il y a le ciel qui a son étoile sur Hollywood,

Dont ce n'est pas du cinéma rabat-joie !

Mais de splendides éclats;

Very good

A Hollywood;

Comme dans un fast-food

A peindre sa toile

Avant de dormir à la belle étoile,

Comme si ceux qui mènent

Le jardin d'Eden

En bateau;

Attendent que le monde conforme

Se transforme

En un eldorado;

Qui met les voiles

Cap Hollywood very good,

Dont le ciel a son étoile sur Hollywood

A regarder au ciel,

Comme un semblant d'un firmament d'aquarelle

Dans un gratte ciel;

Qui fait le tour des tours jumelles,

Alors que le monde s'en va;

Rapide admirer un soleil de Principauté

Dans un salon de beauté;

Qui a l'exclusivité de l'Amirauté

A Hollywood very good

Sur du papier buvard,

Dont le ciel essentiel a sa grande étoile sur Hollywood;

Hollywood; boulevard

Des étoiles.

 

Jérôme de Mars

Entretien mensuel virtuel

 

 

Echanges entre un patient Jérôme Bedrossian et son psychiatre impatient Mme Teillet pour le premier entretien mensuel de la rentrée de septembre le 13 septembre 2021 pour l'année 2021-2022 après deux mois sans avoir vu Mme Teillet, dont le dernier rendez-vous avec Mme Teillet au CMP de Vitry sur Seine remonte au 19 juillet 2021 dernier :

 

 

Madame Teillet :  "  -  Bonjour Monsieur Bedrossian, comment s'est passé votre été, vous qui êtes déjà en vacances toute l'année ?  "

 

Jérôme Bedrossian :  "  -  L'été s'est bien passé Madame Teillet, mais quand j'ai pris congé de vous lors du dernier rendez-vous avec vous au CMP de Vitry sur Seine le 19 juillet dernier; j'ai passé ensuite tout l'été à Vitry sur Seine sans partir en congés !  "

 

Madame Teillet :  "  -  Je constate Monsieur Bedrossian que si vous êtes restés à Vitry sur Seine tout l'été, c'est parce-que votre vie n'est pas un long fleuve tranquille !  Et c'est aussi pour ça que vous n'osez plus me mener en bateau, vous qui avez un poil dans la main !  "

 

Jérôme Bedrossian :  "  -  Que vous me faites rire Madame Teillet ! En fait, c'est vous qui n'êtes pas au poil !  Car je n'ai pas eu d'entretien avec vous au mois d'août au CMP !  "

 

Madame Teillet :  "  -  Monsieur Bedrossian; je ne vous ai pas proposé d'entretien au mois d'août ! Car moi j'étais en vacances et que j'ai pris congés de vous ! Si bien que quand vous entretenez vos malheurs ! Je m'en lave les mains en vous disant du balai lors de votre anniversaire, où il me semble que vous avez eu le 24 août dernier; 43 balais de printemps, que vous m'avez des balais dans un papier cadeau, dans ce texte, où on sent qu'à chaque mois d'août; c'est une sorte de burn août quand certains ne vous souhaitent pas votre anniversaire; et que c'est sans doute la raison pour laquelle vous n'entretenez plus votre appartement !  "

 

Jérôme Bedrossian :  "  - Je le sais Madame Teillet, mais reconnaissez tout de même que ma vie n'a pas toujours été du gâteau !  "

 

Madame Teillet :  "  -  Vous me soûlez Monsieur Bedrossian avec encore et encore sans cesse le même discours de Caliméro; qui se fait tout le temps passer pour une victime; tellement qu'en gros; vous avez pris de la bouteille; où je sens que le poids de tout votre fardeau vous pèse !  "

 

Jérôme Bedrossian :  "  -  Donc j'en déduis que si j'ai pris de la bouteille, autant que je lance une bouteille à la mère !  "

 

Madame Teillet :  "  -  Au lieu de lancer une bouteille à la mère; laissez votre mère reposer en paix ! et plutôt que de penser que dans votre vie; tout tombe à l'eau !  Pensez Monsieur Bedrossian à partir en vacances au bord de la mer; cela vous ferait le plus grand bien ! Et comme ça; vous verrez des palmiers sans avoir de la rancœur de palmier qui vous démange ! Mais dont au moins ces vacances au bord de la mer; vous remettraient les idées claires en mangeant des cœurs de palmiers !  "

 

Jérôme Bedrossian :  "  -  Vous avez souvent le mot pour rire !  "

 

Madame Teillet :  "  -  Non; monsieur Bedrossian; je suis sérieuse; j'ai pour mot de vos maux à sourire qu'il faut que vous partiez en vacances; voilà mon dernier mot qui ne prête à rire !  Car il faut vous prendre en main et savoir que vous avez su gérer tout Monsieur Bedrossian jusqu'à présent !  "

 

Jérôme Bedrossian :  "  - Donc Madame Teillet si je comprends bien tout ce que vous me dites !  En prenant pour argent comptant ce que vous venez de me déclarer et en faisant amende honorable; vous me suggérez d'avoir su gérer si bien ma vie !  "

 

 

Jérôme de Mars

 

 

Ca dépasse l'entendement humain !

 

Malentendus qui sont tus !

Tout le monde me dit chut 

Dans le noir !

Dont ça dépasse l'entendement humain !

Des confessions dissolues;

Confiées en confidences;

Qui paraissent des déviances

A la famille et aux copains,

Comme mâles entendus;

Absolus et éperdus,

Dont les mots sont confus;

Confondus et diffus; 

Adressés vers l'inconnu

En choses irrésolues;

Du passé déviant; prenant les devants !

De mettre au courant dévoyant;

Et dérivant ce passé déviant;

Vies à vies de certains,

Dont ça dépasse l'entendement humain !

En guise de malentendus répandus

Et biscornus;

Très à cheval fourbus !

Et étendus par les mâles entendus !

Qui trépassent les coupables innocents;

Qui semblent avoir un passé hautain !

Alors que c'est juste outrepassé !

Au teint vilain !

Je demain; je de vilains !

Dont ça dépasse l'entendement humain !

Toutes ces casseroles;

Que bricolent

Un certain humain !

De mes deux sains;

Lui; le mâle sain !

Et lui; le malsain !

En guise de malentendus

Et mâles entendus !

Dont d'un passé dissolu;

Il vaut mieux en faire résolu !

Un avenir présent

Et moins oppressant,

Afin que les malentendus

Des mâles entendus;

Deviennent bien entendus

Des choses convenues

Et bienvenues !

Dont chute de l'histoire !

Ca dépasse succinct

Sans casse l'entendement humain !

 

Jérôme de Mars

Une fresque dans le ciel

 

Street art par ciel;

Il y a pittoresque

Et romanesque;

Une fresque

Dans le ciel;

Vacataire arc en ciel;

Qui peut voir en peinture

Un ciel bleu azur;

Qui augure artificiel

D'une fresque

Pittoresque et romanesque

Dans le ciel;

Qui met de l'huile essentielle

Dans une peinture à l'huile;

Avec pour bâtir le ciel

Des tuiles agiles;

Qui font des graffitis

Dans le ciel;

Comme un arc en ciel;

Qui se blottit

Contre un gratte ciel;

Qui chérit

Une fresque

Dans le ciel;

Pittoresque et romanesque

Dans le Street art;

Qui donne rencard

A un arc en ciel superficiel;

Qui donne aux tourterelles

Des ailes,

Pour qu'elles volent 

Et survolent

De leurs propres ailes

Un arc en ciel;

Qui gratte le ciel

Sur un gratte ciel;

Et qui donne des ailes

Romanesques et pittoresques;

A une fresque 

Dans le ciel essentiel.

 

Jérôme de Mars

Au milieu de la vie et de la mort

 

Dès la naissance

En quintessence;

Avant la mort

Bourrée de remords; 

Au milieu de la vie

Et de la mort;

Faisons-en quelque chose !

Qui a du sens !

Qu'on encense,

Et dont on ose

En faire quelque chose !

D'intéressant de notre vie

Avant la nuit ,

Dont il faut qu'on se cause

Tous pour y défendre notre belle cause

En proliférant une osmose,

Où tout le monde dira oui !

Au milieu de la vie

Et de la mort;

Pourvu que tout le monde se détende;

S'entende et répande !

De l'amour à chaque humain,

Comme s'il était son copain !

Avec en renfort

De l'affection sans métaphores,

Mais bien dans le réel,

Dont ce sera son fort

Au milieu de la vie

Et de la mort,

Dont il vaut mieux avoir des remords

Que des regrets au sortir de la vie;

Avant la nuit

Et le jugement dernier face au jury;

Qui dira si on a réussi notre vie

Ou notre nuit !

Au sortir de la vie;

Ou soit on rira au paradis !

Ou soit on ira en enfer dans un paradis

D'enfer en parodie qui sera le début de notre agonie,

Si bien qu'au milieu de la vie

Et de la mort;

Il faut dire oui à la vie en étant très accompli !

Et en réussissant notre vie de façon si jolie

Dans un trompe l'ennui,

Alors que quand on naît morts !

On est névrosé de remords;

Et tant qu'on naît en vie !

Il faut dire aux gens vivants

Qu'on les aime, car lorsqu'ils seront morts !

Même qu'on dira qu'on les aime !

Il sera tellement trop tard !

Que nos mots s'en iront dans leur harem !

Parsemer le vent du néant !

Et comme la vie passe ainsi vite !

Faisons en sorte 

En fanfare !

Que personne ne s'évite !

De sorte qu'untel et untel

Disent qu'ils s'adorent !

Avant de claquer la porte

De la vie !

Et qu'ils s'emportent 

Au paradis !

Dont au milieu de la vie

Et de la mort;

Faisons le bien amical !

Et faisons le lien social !

Car il vaut mieux avoir

Des remords

Que des regrets !

Dont on en démord

Avant que le corps

Soit mort !

Pourvu que l'esprit 

Reste fleuri !

En entretenant l'amitié

Et l'amour 

Au fil des jours,

Pourvu que sans remords !

Au milieu de la vie

Et de la mort;

On morde la vie à pleines dents !

Avec le mors; 

Très à cheval !

Au fur et à mesure qu'on dévale

Dans la vie à l'approche de la nuit,

Dont avant qu'on s'en aille dans le néant;

En temps que morts-vivants !

Réussissons notre vie

Avant le début de la nuit !

Pourvu qu'on naît des remords

Que des regrets ! Et qu'on en démord !

Sans remords !

Au milieu de la vie

Et de la mort.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

Si on slamait !

 

Slam qui clame

Nos vies teintées

De mélodrame;

Il y a des jours clairs

Et des contre-jours austères,

Où la lumière s'éteint

Et se teint

De noir d'obscurité !

Et face à cette France déchantée;

Si on slamait !

Le bonheur même s'il est éphémère,

Et où il faut en profiter

Pendant qu'il y a encore de la lumière !

En ce monde en bascule

Et qui dérive vers le crépuscule

Des abysses,

Où tout le monde s'hérisse

Et se fritte !

Et si on slamait !

Pour que le monde guérisse

A la va-vite !

Avant que tout le monde s'évite !

Et dont il faut dénicher

La juste partition

Dans ce monde en perdition,

Afin d'y composer un hymne

A la paix;

En musique

Et en accordant

Les instruments

Dans une ambiance pacifique;

Et si on slamait !

Durant de furtives vacances;

Qui permettent de faire acte de repentance;

Avec pour pure coïncidence

Un agréable moment, 

Où tout le monde se serre

A nouveau les coudes;

Qui ressoudent

Une humanité terrassée;

Et une France

Fracturée et fissurée

Par les divisions;

Qui font récession

En France;

Pays qui a bien 

Besoin enfin

D'une montée d'adrénaline,

Pour retrouver son unité

D'avant; en allant très allant

De l'avant,

Et pour retrouver toute une fraternité

Toute entière

Sur La Terre;

Si on slamait sans s'arrêter !

 

Jérôme de Mars

Coliques névrotiques

 

Existence nulle part pareille !

Dont la sentence est

Que je sois mortel;

D'ici là que je sois attiré

Par l'irréel 

Et l'éternel

D'une vie ! Où j'aurai

Sommeil à l'autel,

Où je n'aurai plus

De coliques névrotiques;

Qui sont symptomatiques

De mon état dissolu,

Où je sombre dans la folie !

De mon état endolori

Par les douleurs de ma tête

Psychique au ras des pâquerettes,

Où je me casse la tête !

En me prenant la tête;

Envahi de tétanie

Dans un destructif bordel

De casse-tête;

Avec mes coliques névrotiques

A coliques 

Anonymes dans une vie,

Où je m'abîme

En brûlant ma vie 

Et la nuit

Par les deux bouts de la chandelle,

Où mon ennui

Me décime,

Et où j'écime

Ma vie en bref;

En m'enivrant d'acolytes anonymes

Dans une vie monotone, où je sombre

Dans mes vieux travers;

A l'ombre

De la lumière dans la pénombre

De conflits intérieurs;

Qui me font trop mal réducteur

D'une vie cassée et trépassée

Par les camouflets tracassés

De mes coliques névrotiques,

Dont je ne calcule plus rien !

A part mes calculs, 

Où je compte un par un !

Ce qui reste psychotique

Ou pathétique

De mon état borderline, 

Où j'ai envie de clamer

Une réplique;

Avec pour supplique

Pourvu que je trouve 

La paix intérieure !

Malgré mes coliques névrotiques,

Où j'ai la colique psychique

La tête dans le brouillard,

Et de pourquoi je m'égare 

Dans le hangar

En un grand bazar,

Où je n'ai mal au ventre !

Mais où j'ai mal en mon intérieur;

Qui m'éventre,

Où je ne rentre

Nulle part ailleurs !

D'une vie à consoler

Les saules pleureurs;

Qui se dérobent

Sous mes pieds,

Dont j'enrobe moi; le vanupied

Des contrepieds;   

Qui me causent en statistique

Des coliques névrotiques

Lors de chaque dimanche à la campagne

Bucolique, où j'en fais

De tout; toute  une montagne !

Si bien qu'à chaque fois

Pour retarder l'au-delà;

Je sui obligé de remonter

La pente;

Un coup en haut

L'autre contrecoup en bas;

Telles les montagnes russes,

Où je ne sais quel est le virus ?

Qui fait que je suis comme ça;

Toujours des tracas 

Au trépas; 

Au moindre très pas

Ou faux-pas;

Et de quelle est la solution chimique

Et physiologique ?

Afin que je n'ai de coliques névrotiques.

 

Jérôme de Mars

Il y aura des jours meilleurs !

 

Etalant la nature

De ce monde obscur;

Que les temps semblent ténébreux

Et sulfureux !

Dans ce climat furieux,

Où l'on se demande

Qu'en auraient pensé

Nos aïeux;

De ce monde décompensé

Et superficiel  ?

Qui quitte les landes,

Dont avec des envies d'ailleurs;

J'espère qu'il y aura des meilleurs !

Avec peut-être des gens;

Qui malgré leurs tourments

Tiendront paroles !

Pour faire la farandole

Autour d'un repas fabuleux;

Et fameux comme les jours d'avant,

Où tout le monde paraissait 

Insouciant et constant !

En tenant paroles !

Avec des actes fulgurants

Et probants;

Et tout cela 

Sans bémol !

Malgré les aléas,

Dont certains me répondaient

D'un ton sec on verra !

Dont mon père; Philippe

Stéphane; Alexandre;

Mon oncle et ma tante,

Dont ça leur tente !

Que je sois long à me détendre !

Pour que ça me retente

Des envies d'ailleurs,

Dont j'espère

Que malgré ma colère;

Il y aura des jours meilleurs

Avec le soleil;

Qui me sourira

Avec ma carte Améthyste

Vermeil, où sont passées

Les merveilles ?

Comme tout s'effrite !

Et tout le monde se frite !

Dans ce monde que j'emmerde

Avec des gros mots

De noms d'oiseaux;

Qui ne volent pas bien haut !

Où j'ai envie d'une éclipse,

Afin que je m'éclipse

Dans la lune,

De sorte qu'il y ait un cataclysme

Et des lacunes ! 

Dans ce monde d'égoïsme

Et d'individualisme;

Que j'emmerde

Avec ma méchanceté !

Imbibée de mon caractère

Bien trempé !

Dans du pessimisme;

Enrobé de fatalisme

Dans ce monde de merde,

Où j'ai des envies d'ailleurs !

Pourvu je l'espère !

Que du fin fond de ma colère;

Insatiable et implacable

Sous mes airs affables

Et ineffables;

Qu'il reste des jours meilleurs !

 

Jérôme de Mars

Le concert des hauts vers

 

Au zénith de sa carrière;

Une mère contestataire

Donne un concert de louanges;

Qu'elle arrange

Dans le concert des hauts vers;

O vers de circonstances !

Avec en substance

Quelques réfractaires

Téméraires parmi les meilleures 

Mères du monde qui ont la folie

Des grondeurs; 

Qui promettent l'hérésie

Et la frénésie sans frontières;

Avec pour gestes barrière

Des gardes barrière; 

Qui enlèvent leurs œillères

Derrière leurs travers

Dans le concert des hauts vers;

Qui hurle à la mère;

Ta mère !

Qui vogue dans un vague à l'âme !

Dans un mal de mère

En un joli mélodrame;

Qui slame en O vers;

Souffleurs de vers; 

Faux revers 

Pour cacher les couverts;

Des découverts 

Dans la fourchette des prix;

Qui veut une musique fleurie

Dans le concert des hauts vers;

Qui provoque un turnover

En rotation vers le monde extérieur;

Qui jette un coup d'œil inquisiteur; 

Ouvert ou vers vers

Le concert de louanges !

Que la mère arrange

Dans une vie d'ange !

Ange ou démon;

Telle est l'issue !

Dont à quoi bon

Chanter désarçonné ! 

Les reflets désordonnés

D'une vie y sue;

De la mère un père;

Tous unis pour assurer

Ses arrières !

Rassurer

Sans barrière;

Et réassurer

Le concert des hauts vers;

A la lisière

De l'arbre qui cache la forêt !

Avec pour haut-parleur;

Le bonheur qui se fait tout petit !

Pour le plus grand des bonheurs

Dans la confrérie;

Qui amuse la galerie consacrée

Dans une galerie d'art,

Dont vaut mieux tard

Que jamais !

Du fin fond de l'humanité !

Dès la clarté

Du jour levé:

En partant du bon pied !

A contre pied !

Complètement casse-pied,

Dont en valeur

Plus qu'ajoutée !

Voici en pièce rapportée !

Un cancer des ovaires:

Qui est du signe cancer

Dans une gamme aux vers;

Haut de gamme O vers,

Dont c'est juste déchanté

Le concert des très hauts vers.

 

Jérôme de Mars

 

                                                      Blague :

 

 

 

Qu'est-ce-que ça fait si je me suicide en même temps que d'autres personnes en direct sur FACEBOOK ?

-  Ca fait un suicide connectif !

 

 

                                               Jérôme de Mars

Robinet à poèmes

 

Aime comme la bohème !

Un beau aime

Un robinet à poèmes;

Qui coule de source

Et fait découler

Beaucoup d'encre !

De ma plume affûtée;

Réputée totale négativité;

Avec en positivité

Un robinet à poèmes;

Qui roucoule dans ma bohème,

Où tout tombe à l'eau !

Quand dans ma voix

De cristaux;

J'ai des trémolos

En portant si lourdement

Ma croix,

Si bien que personne ne prend

De gants

Avec moi !

A part rapporter des gants 

De boxe ! 

Pour me boxer 

Dans un box;

En écoutant

Sur le juke-box;

Toujours la même rengaine

De la haine

De mon passé outrepassé,

Comme un robinet à poèmes,

Où coule mon sang d'ancre !

Qui a le mal de mère !

Avec une si grande colère;

A cracher mon venin

De mon maussade destin;

Qui rime avec bohème

Et problèmes,

Où tout le monde me fait 

Une fleur de chrysanthèmes !

Où c'est encore la sempiternelle

Musique que je réécoute

En voûte; qui m'envoûtent

Dans mon cœur de pierre,

Comme un robinet à poèmes;

Qui s'écoule dans un œdème,

Où je respire l'emphysème !

De mon mâle de vivre qui parsème

En un judicieux sésame 

De granulés;

Ouvre-toi en ce slam !

Qui déclare illico franco;

Mets ton grain de sel !

Et mets-toi en marge du système !

Qui roucoule dans ta bohème;

Qui découle en remontant

A la source

De tes problèmes;

Qui s'écoulent du désarroi

De ton diadème;

Et coule post-mortem

Dans un robinet à poèmes.

 

Jérôme de Mars

Un poème qui tient paroles !

 

Sans bémol;

Voilà un poème

Qui tient paroles !

Malgré les problèmes

Que tout un chacun

Rencontre dans son destin !

Où souvent; la famille

Ou les amis,

Quand je leur demande

Ou leur propose quelque chose;

Et ben malgré mes ecchymoses !

La famille

Ou les amis

En offrandes;

Me répondent on verra !

Pour que j'en ai plein les yeux

Des on verra,

Dont on en verra

De mes deux yeux !

Des jours pas joyeux

A cause

Soi-disant des aléas,

Où tout fout le camp

Dans ce monde !

Qui me crève les tympans;

Auxquels le monde s'inonde

En malentendus !

Dans ce monde dissolu

Et irrésolu,

Dont en vertu;

Sans bémol;

Voilà un poème

Qui tient paroles !

Malgré ma vie

De chrysanthèmes,

Où personne ne m'aime !

Malotrus et intrus;

Qui gangrènent

La société dans la haine,

Comme dans un harem;

Qui me tape sur le système !

Dont on en verra

Dans ce monde qui va

En va et vient !

Un coup ça va !

Plus ou moins bien !

Dans le lien libéral

Au détriment du lien social,

Dont sans bémol;

Voilà un poème

Qui tient paroles !

A chaque jour suffit sa peine !

Avec sur la Seine;

Une vie qui naît un long fleuve

Tranquille ! Qui abreuve

Sur la ville de quelqu'un,

Comme moi en marge

Du système;

Qui me tape sur le système !

Moi; le barge;

Qui a envie de prendre le large !

Où comme ça

Au moins;

Plus personne ne me répondra

On verra !

Soi-disant à cause

Des aléas,

Dont j'ose

Clamer à haute voix !

Qu'on en verra

De mes deux yeux,

Afin que j'en ai plein les yeux

Des on verra !

Avec des jours pas joyeux,

Dont sans bémol;

Et sans théorème;

Voilà un poème

Qui tient encore paroles !

 

Jérôme de Mars

                                                    Blagues :

 

 

1)  Pourquoi est-ce-que Lætitia a-t-elle attrapé le Covid ?

     -  Parce-que Lætitia m'a pris en grippe !

 

2) Pourquoi quand je demande ou propose quelque chose à la famille ou aux amis, me répond-on toujours on verra alors que pour les autres, on leur répond tout le temps oui ?

    -  Pour que j'en ai plein les yeux des on verra !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Pourvu qu'il y ait moins d'hiver et plus d'été !

 

Avec la déconfiture de vermeille; 

Pourvu qu'il y ait moins d'hiver

Et plus d'été !

Avec la confiture de groseille;

Conjuguée à de merveille

En cette année; 

Qui rappelle que rien n'est linéaire !

Et figé !

En cette saison bipolaire,

Où le soleil en vaut la chandelle !

En allumant la prunelle

Des yeux du ciel;

Aguicheur en vers mails;

Et pourvu qu'il y ait moins d'hiver

Et plus d'été !

En allumant d'amour le ciel

Eté comme hiver

Malgré des états bipolaires,

Où rien ne vaut la légèreté

Du soleil !

En ces temps extraordinaires,

Où plus rien naît ordinaire !

Comme le ciel

Dans cette époque de vanité;

Et qui n'inspire respect !

A laquelle l'humanité toute entière

Aspire à la paix

Et à la liberté;

Et pourvu qu'il ait moins d'hiver

Et plus d'été !

Pour que ça reste naturel

En ces temps superficiels,

Dont il faut braver l'adversité !

Et la vaincre intemporelle !

Pour que le ciel 

Et le soleil

S'aiment dans la pérennité,

Et dont par qualité

De l'être aimé !

Pourvu qu'il y ait encore moins d'hiver

Et davantage de soleil !

 

Jérôme de Mars

Ca me soûle d'aller à Cognac !

 

Vers de flûte

A champagne;

Je vous dis chut !

Telle est ma chute

De l'histoire !

Avec en brèves de comptoir;

Le fait que ça me soûle

D'aller à Cognac !

En buvant un ver d'Armagnac;

Et en arpentant la campagne

De Cognac;

En écoutant la foule

D'Edith Piaf;

Et en regardant voler les piafs

Dans le ciel, dont au sujet

Des revers de la vie; 

Je dis flûte !

En vers de flûte !

Avec sobriété

Dans le sens de la réalité,

Dont ça me soûle 

D'aller à Cognac !

Avec un ver d'Armagnac

Pour rentrer dans le moule;

En buvant à volonté

Et avec volupté;

En se mettant tous en boîte !

Tellement que tout le monde emboîte

Le pas sur les pas de ma mère !

Avec ses vers de bière

Avant sa mise en bière

En vin, comme une villageoise;

Avec en marque de fabrique Villageoise,

Dont ça me soûle 

D'aller à Cognac !

Avec un ver d'Armagnac

En prenant de la bouteille;

Et en étant très bien desservi !

En envoyant une bouteille

A la mère

De ses vers de bière

Avant sa mise en bière,

Dont en vin; je vous dis avec ivresse !

Dans la foule en liesse !

Que je m'enivre si bien !

Avec en main

Un ver d'Armagnac,

Vu que ça me soûle de rentrer 

Dans le moule

De l'agonie;

Et de côtoyer

La foule,

Car ça me soûle jusqu'à l'ennui

D'aller à Cognac !

 

Jérôme de Mars

Quand le Covid prend en grippe tout le monde !

 

Grippe qui agrippe tout le monde; quand le Covid prend en grippe tout le monde ! 

Il fait que tout le monde porte un masque sauf quand le masque tombe ! Où l'on Voit la véritable nature des gens qui même; si la plupart sont majeurs et vaccinés ! Et ben; il y en a encore qui ne sont pas vaccinés en piqûre de rappel ! Et qui Préfèrent se faire lancer et se faire envoyer des piques de la rage de leur colère, Alors que s'ils faisaient appel à un pasteur; et ben leur rage serait apaisée en Piqûre d'appel et ils pourraient faire une piqûre de rappel; en étant davantage Vaccinés et majeurs car jusqu'à présent ! C'est à l'état majeur qu'il y avait le plus De victimes du Covid, alors même qu'à la base ! C'est un incident mineur dont on Constate qu'il y a de plus en plus d'enfants mineurs; victimes du Covid à l'hôpital; Qui se fout bien de la Charité ! Et qui préfère que le Covid prenne en grippe tout le Monde ! Quitte à s'en laver les mains; quitte à ce qu'on leur passe un savon; et Quitte ou double !  A ce qu'on les prenne tous en grippe ! Quand le Covid prend en Grippe tout le monde ! Même qu'on est majeurs et vaccinés; dont en piqûre de Rappel; le Covid prend tellement en grippe tout le monde ! Auquel s'agrippe très Bien tout le monde !

 

Jérôme de Mars 

Un balai qui se ramasse des râteaux !

 

Il était une fois un balai qui a 43 balais et qui chaque dimanches à balais; fait un grand ménage de printemps en courtisant les feuilles qui tombent des arbres ! Mais qui tout en cultivant son jardin secret; prend râteaux sur râteaux en roulant des pelles aux arbres inertes, dont un balai qui se ramasse des râteaux ! Subit la brosse à reluire ! En étant dans le cirage et en cirant les pompes des balais qui trouvent chaussure à leur pied ! Et un balai qui se ramasse des râteaux ! Même qu'il cultive très bien son jardin secret; a le champ libre pour rouler des pelles aux génies en herbe ! A qui bon lui semble ! Ou soit écrire une déclaration d'amour sur une feuille morte à Jacques Prévert ! Avant la saison monotone du tout terre-à-terre avec pour poto rose; un monsieur qui produit tout un monsieur propre en arrosant les fleurs; en faisant une fleur et en envoyant des fleurs à la fleur; en lui faisant une pétale de rose et une feuille de rose; avec une pelle et un balai qui font des plans à trois sur la comète ! En prenant un râteau avec pour râteau; un balai qui se ramasse des pelles avec des râteaux en roulant des pelles ! Au balai que personne ne ménage à 43 balais !

 

Jérôme de Mars

Martin pécheur !

 

Drôle d'oiseau !

Oiseau de mauvais augure;

Martin pécheur

Qui veut tout le temps

Avoir le dernier mot !

Vole et bas du caniveau

Du haut très bas de son perchoir

Avec pour parloir;

Le reflet de son miroir

Dans un mouroir,

Dont le haut-parleur

A mâle entendeur;

Lui clame sa mauvaise nature

A lui Martin pécheur;

A rejeter toujours sa faute

Sur les autres, alors que c'est lui l'hôte !

Qui l'ôte la confiance,

Dont quiconque lui

Manifeste quelconque défiance;

Lui qui anéantit tout !

Tandis que les oiseaux du futur;

Veulent bâtir vos baux

Avec pour vaux;

Vos baux vaux; têtes de veaux !

Dans l'objectif affiché d'y surmonter

Les courroux

De tous les différents camouflets,

Dans l'unique but de ne plus demeurer

Des vaches à lait !

A engraisser Martin pécheur !

Lui qui pour sauver sa peau !

Doit trouver le bon tempo

De tout ce méli-mélo,

Qu'il doit changer en échos !

Qui sont susceptibles de réhabiliter

Sa réputation;

A force de convictions !

Lui Martin pécheur !

Qui vole encore plus bas 

Que l'eau sans éclats !

Et qui cherche à refaire sans

Cesse les mêmes erreurs !

De sa vie ternie,

Comme dans un scénario retranscrit

Sans saveur,

Dont pour qu'il pêche des poissons

Et qu'il ne pèche des poisons !

Dépourvu qu'à vau l'eau en vogue !

Il n'y ait de Martin pécheur !

Et pourvu qu'et l'eau en épilogue !

Il y ait un Martin pêcheur !

 

Jérôme de Mars

 

Un poème vers

 

Poésie sans frontières !

Voici un poème vers

Question écologie;

Qui est le sens de la vie

En imaginant

Comme meilleur environnement !

Ambiant un poème vers;

En vers les gens ordinaires;

Qui préfèrent boire un ver

Solidaire que salutaire;

En causant de sujets contestataires

Et libertaires

Avec des commentaires,

De manière à changer

Les mentalités,

Dont il faut préserver

La fraternité

Et l'environnement;

En aimant les gens

A travers un poème vers;

Qui rime vers la lumière

Pour le meilleur;

A chaque jour que vit

La lueur;

Et bat le cœur

De ce monde qui travaille

A la sueur

De son front;

A l'affront

De ceux sur la paille;

Que les politiques entaillent

A coûts de tenailles,

Alors qu'il vaut mieux

Se raccrocher aux poètes fiévreux

Et furieux,

Dans le but d'aborder

Les sujets fâcheux;

Question nécessaire

En un poème vers;

En s'intéressant aux cieux

Question écologie;

Qui est le sens de la vie

En causant environnement

Et de comment

Ranimer un monde moribond,

Afin qu'il sorte de ses gonds;

Et que furibond; il renoue rassurant

Et réassurant

En un monde comme avant;

Intéressant; fascinant

Et amusant;

En vivant en collectivité

Parmi les congénères,

De sorte que tout le monde s'aime

Comme des frères !

Malgré que la vie

A aussi

Ses problèmes !

Et dont pour que tout le monde s'aime !

Il faut déployer le système

Aidé après tout ce laborieux système D

Au sein de la communauté

Pour réparer la planète Terre;

Question élémentaire

En guise de fin d'inventaire;

De ce monde ambiant et déviant

Question environnement,

Dont il faut rallumer

La lumière

Entre les gens salutaires;

Bien-entendant et malentendant

En vers une poésie sans frontières;

Bénévole; emplie de sincères paroles,

Si bien que l'envol

File vers un poème vers.

 

Jérôme de Mars

 

Les arbres écrivent sur une feuille

 

Gravés en restant de marbre !

Et déracinés de leur tronc !

Les arbres écrivent sur une feuille

Tout leur ressenti en buvant

Avachis; leur tilleul

Qu'ils plantent au seuil

De leur rate au court-bouillon !

Qu'ils mettent sur leur arbre;

En s'enivrant dans le courant

Du torrent qui fait un ballet

Aquatique en dansant dépaysé;

Et revitalisé par l'accueil

Que leur réservent les écureuils,

Dont les arbres écrivent sur une feuille;

Leurs amours tapis dans les glaïeuls; 

En se demandent ce qu'ils plantent là !

A part semer un grain de folie qui génère

Des arbres enracinés en aléas,

Où il pleut des pluies de joie !

Dans la forêt à la lisière

D'un poème sans frontières,

Dont les arbres écrivent sur une feuille

Avec des œillères en foulant les chemins;

Qui respectent leurs destins;

En réservant le meilleur accueil

Aux arbres exilés de la forêt vierge;

Qui se retrouvent là à allumer

Des cierges,

Afin de prier à leur pérennité,

Dont ils terminent leur recueil;

Avec pour ultime mot qui effeuille

 Le seuil qui décrit leur portefeuille,

Où les arbres écrivent sans modération

Sur une feuille morte leurs écueils.

 

Jérôme de Mars

Une case en moins avec un mort pion

 

 

1                                                                                 
                                                                                    4

_______________________                                     --------------------------------------    

:          Maux croisés             :                                   (  En faisant des maux croisés (

:     J'ai une case en moins   :                                  )  les bras entrecroisés              )

:     avec un mort pion           :                                  (  si bien que je remplis la case (

:______________________ :                                  )                                                 )

                                                2__5______________ --------------------------------------

                                              : ( Où ainsi je joue bien ) :

                                              : ) au morpion pour     ( :

                                               : ( que je sois casé       )  :

                                               : ) en portant ma croix ( :

   6                                           : (________________) :

---------------------------------------------                                 _3___________________

(  Dont je place le pion si je            (                             :  Et qu'on me range         :

)  suis pion en faisant des maux     )                             :  dans une case               :

(  croisés dont je suis un                (                             :  afin de me recaser         :

) simple mort pion sur l'échiquier    )                              : dans le morpion            :

(  avec une case en moins.            (                               : avec une case en plus  :

 --------------------------------------------                                 :  _________________    :

 

 

 

 

Jérôme de Mars

 

 

 

 

                       

   

Un artiste déambulant dans la rue

 

Sur un fil funambule

Qui ne tient qu'à un fil d'équilibriste !

Je marche vers l'inconnu !

Sans avoir à être conciliabule;

Tel un artiste déambulant dans la rue;

Errant avec sa griffe de chat sauvage errant

Et vendant à la sauvette;

Ses sornettes

De poèmes distributeurs de printemps

En ces temps difficiles,

Où tout le monde a une vie pas si facile !

En voulant liant !

Que les gens soient plus souriants !

Et riant dans l'absolu

Dans un monde rassurant

Et réassurant !

En prenant tout au second degré !

Dans ce monde devenu dissolu;

Comme un aimant qui va contre vents

Et marées avec dignité !

En parlant avec une voix de moussaillon

Et en fredonnant dans le microsillon

De cette France désenchantée !

Plutôt en chansons qu'avec des jurons !

Tel un artiste déambulant dans la rue;

Qui marche en route vers l'inconnu !

Malgré que personne n'a jamais su

Comment rendre le monde plus résolu !

Qui riment en poésies dans une bienvenue !

Bienvenue et salut les artistes éperdus !

Qui attendent leur salut et leur reconnaissance

Dans un grand concours d'éloquence !

Avec en séquences flash-back;

Davantage de fréquences come-back !

Sans play-back en vers l'inconnu !

Tel un artiste ambulant;

Irrésolu dans la rue.

 

Jérôme de Mars

 

 

Souffler sur les braises du vent

 

En allant plein d'allant;

Avec le temps !

Souffler sur les braises du vent

Permet de retarder l'inévitable;

En attendant un léger mieux

Du côté fabuleux vers les cieux !

Dès qu'un nouveau cap est surmontable !

En écoulant le sable du temps omniprésent;

Ayant un don d'ubiquité permanent

En embrasant les brûlures de l'histoires;

A enflammer des histoires d'amour notoires !

Au-delà la colère de l'océan qui se sent 

A l'étroit de Gibraltar ! Puisqu'en épousant

Le courant du paravent; cela atténue

Les effets du temps qui tuent 

Le cours du temps environnant !

En mode souffler sur les braises du vent !

A brûler à tous les temps le mistral fluctuant

De ses ecchymoses;

Qui nécrosent

Son tempérament bipolaire;

A ne savoir quoi faire !

A part flâner dans les rues; 

A fouler le sol tondu !

Et qu'il faut bien sûr étaler bien entendu

Vis-à-vis du ciel parvenu et irrésolu !

Bien avant qu'un cortège anarchiste !

Passe au ciel déambuler 

Vers le bistrot des artistes !

A remuer ciel et Terre et à pavaner

Sur la route du prochain débarquement,

Et embarquement à bord du Trimaran,

Comme dans un gâteau d'anniversaire,

Dont il faut souffler les bougies éphémères,

Si bien que le temps finit par s'essouffler 

Sur les braises du vent.

 

Jérôme de Mars

Un poème nu comme un ver

 

A la manière de Jacques Prévert;

Qui parle de poèmes imaginaires

Du temps qu'il fait; en évoquant

La pluie et le beau temps !

En se mettant à nu

Et en écrivant les revers de la vie absolus;

Le poète maudit se met à nu

Dans un poème nu comme un ver,

Dont les vers lui mangent les vers

De ses poèmes en vers linéaires

Ou aléatoires; 

En barbouillant avec du papier buvard

Sur la surface de La Terre;

A y regarder de plus près à l'intérieur

Pour voir ce que commettent nos congénères;

Qui génèrent des conflits interstellaires

En s'enivrant dans l'écume des vers;

Qui promettent mon émerveille souffleur

De vers en ce poème nu comme un ver;

Qui rime avec ce poète maudit qui crache

Sa colère; en soufflant sur le vent afin qu'il enterre

La hache de guerre;

En faisant relâche sans être lâche

Et en mettant une bâche, 

De manière à protéger 

Et à préserver sa poésie galvanisée;

Dans le désir dense de réconcilier

Les âmes esseulées et révoltées;

Dont le poète maudit

Achève ce poème ragaillardi

En vers salutaires; d'il est bien contestataire !

Ce poème qui tombe dénue comme un ver.

 

Jérôme de Mars

 

Joséphine Baker qui vécut au rythme des années folles...

 

Joséphine Baker innée; naquit en 1906 dans Le Missouri

Aux Etats-Unis, dès son état désuni

A cause de la ségrégation raciale; qui sévit

Dans ce maudit pays qu'elle ne porta dans son cœur;

Préférant chanter en chœur son amour de La France;

Son pays d'adoption et son port d'attache,

Mais c'est aux Etats-Unis qu'elle commença

Sa carrière prometteuse; qui ne rencontra

Le succès escompté, car trop prématurée dont

La raison fut le racisme envers la communauté

Noire Afro-Américaine, dont elle en fit les frais,

Elle ne supporta plus l'hostilité des blancs 

Américains envers les Afro-Américains;

Regardés et épiés comme des chiens de faïence;

Etant donné la politique initiée dans ce pays

Ultra-conservateur; elle quitta en bateau 

Les Etats-Unis destination La France;

Un pays sans frontières qui l'accueillit

A bras ouverts; elle; Joséphine Baker;

Le chantre de l'antiracisme pour une

Société plus évoluée et plus métissée;

En ayant été un fervent soutient

De Martin Luther King; en œuvrant

Pour la paix et l'amour de son prochain;

En bon Samaritain comme à La Samaritaine;

Avec en magasin Paris durant les années folles,

En vogue notamment avec le charleston,

Où elle réussit à percer en France; qui sera là !

La concrétisation et l'apothéose de sa carrière

Sur sa terre d'asile ! Avec en consécration;

Ses débuts en meneuse de revue

A Paris dans la Revue Nègre, où elle 

Donna un spectacle avec des artistes;

Issues de sa communauté avec son légendaire

Déhanché; vêtue d'un pagne; auréolée autour

De la taille d'une ceinture de bananes;

Evoquant la savane vahiné de ses origines

Afro-Américaines, dont elle fut l'égérie

Lors de l'émancipation des femmes;

De laquelle elle trouva sa vitesse de croisière

En France, dont ce pays ne la mena

En bateau ! Mais vers l'eldorado

De sa vie d'artiste de danseuse; meneuse

De revue; actrice et chanteuse, où elle clama

Son amour de La France dans la chanson :

" J'ai deux amours "; surtout La France

En l'occurrence Paris; avec sa pléiade

De relations amoureuses; aussi bien

Avec des hommes qu'avec des femmes,

Dont l'écrivaine Colette; réputée dans

Le Tout-Paris; elle joua dans quelques films;

Tels que : "Zouzou " et " Moulin-Rouge ";

Et se fit l'amie des plus grands artistes

De l'époque, dont Line Renaud; elle exerça

Sa vocation d'artiste quasiment à la même époque

Que Duke Ellington et Louis Armstrong;

Elle; qui prouva que sa vie n'était pas si noire !

Mais qui pouvait également être bariolée;

Très haute en couleurs; elle; la femme de couleurs;

En fredonnant dans cette France enchantée;

Et réenchantée par sa présence scénique;

D'autres chansons emblématiques

De son répertorie hétéroclite et cosmopolite;

Telles que : " Sous le ciel d'Afrique "; Bésame mucho ";

" Paris mes amours "; " Donnez-moi la main ";

"  J'attendrai "; " J'ai deux amours " et " Haïti ";

Et suite à sa fausse-couche; elle adopta

Douze enfants aux origines diverses

Et variées; confortant sa position de femme

Tolérante; atypique et philanthrope

Qu'elle logea dans son château en Dordogne;

Qu'elle venait d'acheter après en avoir

Eté la locataire durant une trentaine d'années;

Et pendant les dernières années de sa vie

Vraiment mouvementée; s'amorcèrent les années

Difficiles à la dérive entraînant des difficultés financières,

D'où elle en ressortit ruinée dont ses démêlés

Avec le fisc qui lui confisque son château;

Tellement criblée de dettes que pour 

Sauver son château; elle travailla

D'arrache-pied en donnant une

Multitude de concerts en France

Et en Europe, pour lui permettre

De rembourser ses dettes 

Auprès des impôts, mais malgré

Tout; elle perdit la jouissance

De son château, dont heureusement;

Elle put compter sur le soutien

De son amie : " Grâce de Monaco ";

Qui lui fournit un logement, 

Pour qu'il n'y ait pas péril en la demeure !

Et qui l'invita à des concerts de charité à Monaco;

Jusqu'à sa fin de vie; qu'elle occupa à squatter Paris

Sur les rives gauche et droite de la scène,

Dont encensée par son déhanché et son

Jeu de jambe agiles; déployés de façon

Si souple et si extraordinaire qu'en récompense;

Elle reçut les éloges de la critique Parisienne

Dans un concert de louanges, mais usée

Par les rudiments de la vie d'artiste

En cette vie qui ne la ménagea guère;

Elle mourut dans les affres du 13ème

Arrondissement de Paris en avril 1975;

Presqu'à la veille de ses 69 ans

Des suites d'une hémorragie cérébrale;

Elle fut enterrée à Monaco; et elle

Fut tellement une femme ouverte; 

Dévouée et accueillante qu'elle reçut

Les insignes de chevalière de la légion d'honneur;

Et suite à ses bons et loyaux services

Envers La France; en tant que résistante

Durant la seconde guerre mondiale, 

Après qu'elle eut dénoncé à La France les ennemis 

Nazis; le président Emmanuel Macron

En vint à prendre une grande décision;

En vue de faire rentrer le 30 novembre 2021

Prochain Joséphine Baker au panthéon;

Telle dans l'éternité du panthéon des 

Artistes immortels; pour la remercier

De ses services rendus envers

La France, elle; Joséphine Baker

Qui n'eut pas une vie si noire !

Mais très haute en couleurs;

Tellement que Joséphine Baker;

La femme de couleurs;

Qui vécut et survécut au rythme

Des années folles... Avant la grande

Dépression; que provoqua son inoubliable

Disparition; rentrant d'office au firmament

Du paradis intemporel des immortels.

 

Jérôme de Mars

 

Les montagnes Russes

 

Revolver sur le qui-vive !

Ravive mon âme écorchée vive !

Tiré à bout pourtant !

Qui veut se retirer à bout portant;

Telles les montagnes Russes

Au je de la roulette Russe !

Un coup retentit en tombant

Bien haut ! Et tantôt resurgit

En remontant de très bas !

Tel un phénix renaissant

De ses cendres à cran;

Se faisant des sangs d'encre

En jetant cancre

De toute sa vie qu'il doit apprendre;

En remontant la pente 

Pour y répandre

Qu'ancre sa vie qui est un parapente !

En volant dans le plus pur

Des hasards au contact

De la nature

Avec plus ou moins de tact,

Comme avec des papyrus

En écrivant les montagnes Russes;

En tombant de très haut !

Et en remontant de très bas !

Du chaos

Vers l'eldorado

Du nirvana ! 

En en faisant toute une montagne Prusse !

Telles les montagnes Russes

Et aléatoires de bris de couloirs, 

Où sa vie est un véritable foutoir

Et dépotoir

Instable et pas toujours fréquentable !

Malgré ses fables affables 

Et aussi ineffables, 

Où rien n'est jamais acquis !

Pour lui mais à qui ?

Si pour lui c'est fortuit !

Dont la vie est un toboggan !

Qui ne prend jamais de gants

Avec lui en trébuchant

Du haut 

Vers le bas !

Tels du trépas

Vers la magie des mots;

Tel ce poète maudit;

Qui se fait des soucis

A l'infini !

Telles les montagnes Russes;

Qui s'en font toute une montagne Prusse !

Du pire vers le meilleur

Et du meilleur; 

Qui empire ailleurs

Pour retrouver sa splendeur !

Malgré que sa vie demeure 

Un parapente,

Dont il en meure

A remonter la pente !

Sans cesse sur le qui-vive !

A ne savoir pourquoi son âme

Enflamme son slam !

Et le consume 

De l'intérieur,

Dont il a du mal à dire j'assume !

Ma personnalité émotive !

Avec comme leitmotiv

Qui me motive !

A cran je le suis !

Dont j'essuie

Au je de la roulette Russe !

En en faisant toute une montagne Prusse !

Les montagnes Russes.

 

Jérôme de Mars

Des paroles dont on connaît la musique !

 

Auteur/parolier;

Le compte y est !

Sauf en musique,

Dont il manque acoustique

La musique pacifique !

En droits d'auteur;

Amateur et vendeur

De poèmes;

Ou de musiques de bohème;

Avec des paroles

Dont on connaît la musique !

A moins qu'il y ait l'âme poétique

Pour faire la farandole

En compte d'auteur

Et d'utilisateur;

Qui sèment 

Du rêve 

Durant la trêve;

En oubliant quelques temps

La mélodie qui traîne

Dans la tête pour la semaine;

D'un air chantonnant

En des paroles

Dont on connaît la musique !

Grâce à des airs symphoniques

Factuels qui vont voler les rossignols

Vers le haut ! En guise de rengaine,

Dont cette allure de bohème

Achève ce poème;

Qui respire un harem

Et le carpe diem

D'une pléthore de mots; 

Qui respirent différents thèmes;

Qui tapent sur le système 

Avec brio;

En des paroles 

Sans bémol,

Dont on connaît systématique

La musique !

 

Jérôme de Mars

L'été en Provence; les arbres ont des cœurs de palmiers !

 

Direction les virages du Midi !

En Provence de midi au bout de la nuit

Sur la route des vacances; 

Qui procurent une toute-puissance !

Avec pour décompresser 

D'une année harassante;

Le temps de prendre quelques semaines

Haletantes et palpitantes,

De sorte de retrouver l'haleine

Durant des vacances délurées,

Dont l'été en Provence; 

Les arbres ont des cœurs de palmiers !

Avec pour voguer sur l'eau

Une assiette bien dans son assiette;

Qui met l'eau à la bouche !

Avec une fourchette;

Qui louche sur la louche !

Pour boire les paroles des matelots

En fricotant autour de mots alléchés,

Dont l'été en Provence; 

Les arbres ont des cœurs de palmiers !

En mangeant au grand déjeuner 

Du midi;

De midi au bout de la nuit !

Des cœurs de palmiers

Avec des arbres aguicheurs;

Qui sanglotent sur les saules pleureurs !

En espérant des baisers sucrés-salés

Avant un bain de minuit !

A l'effigie de quelques orgies

Dans l'eau qui mijote de caresses !

Avec sur l'eau des prouesses;

Qui font l'amour 

En rendant les jours dans du petit velours !

Dont l'été en Provence;

Les arbres ont des cœurs de palmiers !

Qui les démangent en cœurs de palmiers

Sur La Riviera; 

Qui met ébat !

En prenant son pied ! Dont v'là la grandiloquence !

Et plus si raffinée !

 

Jérôme de Mars

 

Hippie hippie hourra

 

D'un vent de légèreté;

OTAN être en paix

Dans la fraternité !

Avec un goût de liberté;

Tel un hippie hippie hourra

En des éclats de joie !

Dans un appel

A la non-violence;

Qui serait source d'amour

De toute urgence !

En se recentrant sur l'essentiel;

Auquel chacun veut aspirer

En vue d'y récolter

De la bonté

Et de l'insouciance,

Comme OTAN de l'enfance

Du temps d'un vent de fraîcheur !

D'il était où le bonheur ?

En un hippie hippie hourra

A semer l'amour !

Et à faire l'amour !

En guise de bonjour

De filles de joie;

Qui valent le détour

En à quoi ?

De vouloir la paix intérieure

Avec la farouche volonté !

D'y insuffler de l'innocence

Et de la volupté !

Dans le souhait

De répandre une candeur

D'âme de quintessence;

En vue d'avoir de la tessiture

Pour y trouver sa voix !

Qui appartient à la bonne nature

De chacun ! Malgré

Que chacun au quotidien porte sa croix !

Au gré des choses instantanées;

De ce qui paraît un centre de gravité

Ou léger

En un hippie hippie hourra;

De grands éclats;

Qui procurent un peace and love;

Qui rénove

Les gens en profondeur;

Quelque soient leurs ardeurs 

Et leur honneur !

Entre la première fois !

Et quelque fois la dernière fois !

En vue parfois et toutefois !

D'y rédiger

Sur une feuille écrite ses dernières volontés;

A inscrire d'office en priorité

Dans l'amour et le partage;

Telle est la vie et son adage !

Comme tout a une fin de tout son poids !

Dont OTAN que dure la vie à être en paix !

En fumant le calumet de la paix

Dans un vent de solidarité

Et de fraternité !

En faisant front contre l'adversité

Car faites l'amour, pas la guerre !

En un hippie hippie ultra hourra.

 

Jérôme de Mars

L'absence de ma mère me soûle...

 

Big Soul de vers;

L'absence de ma mère

Me soûle...

Elle; dans mes vers;

Et elle; dans sa mise en bière,

Alors que vivante; elle écouta

La soul

Des verres;

Qui dessoûlent

La bière;

Alors qu'en vin;

Elle s'essaya

Egalement au vin !

Pour se jeter dans le ravin

De la soûle,

Dont malgré tout;

L'absence de ma mère me soûle...

Dans ce vaste fourre-tout !

Où mes vers

A moi sont la somme !

De ce que ses verres sévères

A elle; m'assomment 

Pour ma pomme !

Si bien que je mange une pomme

D'api ! Dont mon dépit

Fait que je jette une bouteille à la mère !

Qu'elle rejette à la mer !

Malgré que moi; j'ai pris

De la bouteille en m'enivrant

Dans mes vers !

Dont elle, elle s'est épris

De la bouteille au fond de la mer !

Dans ses verres de bière,

Dont maintenant; ma mère

Se soûle dans une mise en bière !

Dont en son souvenir à mère;

J'écoute encore de la soul, 

En Big Soul;

Tellement que l'absence de ma mère me soûle...

Toujours autant 

Depuis tout ce temps.

 

Jérôme de Mars

La clé à musique qui ouvre bien des portes !

 

Livraison-clé de ce poème

A destination des calembours;

Qui vont à Rocamadour,

D'où les paroles aiment

De la sorte !

Qu'il y ait la clé à musique

Qui ouvre bien des portes !

Métaphysiques que physiques;

Avec un do ré mi fa sol

Qui fait la queue

Sur un piano !

Parmi les sol grincheux;

A moins qu'il y ait un bémol !

Qui fait qu'il y a la clé à musique

Qui ouvre bien des portes !

Et qui a besoin de la sorte !

Que la poésie névrotique;

Lui administre du paracétamol,

Comme carburant

Pour jouer à fond la caisse !

Avec les amplis et la sono;

Qui agressent

Les tympans des gens !

Avec les mots mécanos;

Qui viennent de l'envers

Du dico

Qui diphtonguent !

En revers qui regardent

De travers !

The song !

Par mégarde !

En tong !

De la clé à musique

Qui ouvre bien des portes !

De la sorte !

Avant qu'il y ait des paroles fortes !

Qui montrent qu'il y a en vers

Des revers;

Toujours une ouverture d'esprit !

Envers les gens renfermés;

Torturés et cabossés

Par la vie !

Avec la preuve de la sorte !

Qui est dans son élément !

Alchimique et frénétique;

Qu'il y a la clé à musique 

Qui ouvre en grand si bien des portes !

 

Jérôme de Mars

Le soleil et la pluie travaillent 35 h par semaine !

 

Journées de jours nés !

Chaque jour recèle d'heures !

A chaque jour suffit sa peine !

Et quand la pluie se repose;

Le soleil écrit des proses !

Dont la pluie pose !

Et le soleil dispose !

Avant la ménopause

De la pluie;

Et l'andropause

Du soleil;

Qu'il pleuve des voix de crécelle !

Ou que le temps essuie des mutineries !

Or que le ciel le veuille ou pas !

Il y a comme loi

En vigueur;

Innée et inopinée;

Le fait que le soleil

Et la pluie

Travaillent 35 h par semaine !

Et pas une heure de plus !

Et dont au moins en tonus !

Il n'y a pas une heure

En moins ! Avec pour RTT;

Un remède tout trouvé

A la réduction du temps 

De travail,

Dont néanmoins; tout le monde

Se connaît dans le sérail !

Qui sonde

Les gens;

Si tout le monde consent

Ou suspend !

Le fait que le soleil

Et la pluie 

Travaillent 35 h par semaine !

A chaque jour suffit sa peine !

S'il semblait si évident

Que le travail payait si bien !

Et était toujours

Une fête qui en valait le détour !

Dont avant leurs quarante jours

De vacances au soleil;

Le soleil

Et la pluie

Fonctionnent encore avec des si !

En dépit qu'il y a une embellie;

Qui ensorcelle 

Le ciel dans sa carte vermeille !

Pour vivre bel

Et bien ! A l'issue d'une vie

Très vieille !

Dans laquelle à partir du dernier

Quart d'heure

Américain et Armoricain !

Et bien manichéens !

Le soleil et la pluie ne travailleront

Plus 35 h par semaine !

Mais battront en retraite !

Avec leurs bas de laine !

En quête d'une requête

De quiétude; avec en ultime RTT

A leur retraite ! Reprends ton travail !

Avant que le soleil 

Et la pluie

Soient sur la paille !

Dans un resto courte paille !

Dont leur unique embellie

Et éclaircie;

Viendra du fait que l'amour

Est dans le pré  !

Au soleil et à la pluie;

Déjà sur la paille !

A condition sine qua non

Que le soleil et la pluie

Travaillent encore un peu !

En faisant le dernier quart d'heure

Américain et Armoricain;

En récupération

De leur temps de travail record,

Dont c'est encore hardcore

Le même refrain 

Qui se joue chaque matin !

 

Jérôme de Mars

Ce poème me mène en bateau !

 

 

 

                                 l  6) De la nouvelle vague; je vire de bord  7)

                                 '

                                a                                                                 A

                               b

                               o                                                                  v

                               r                                                                   o

                               d                                                                  i

                               a                                                                  l

                               g                                                                  e

                               e

                                                                                                   e

                               à                                                                  t

                                                                                                  

                              b                                                                  à

                              i                                                                   

                             e                                                                   v

                             n                                                                   a

                                                                                                  p

                             e                                                                   e

                             t                                                                    u

                                                                                                  r

                              l                                                                   o

                               '                                                                  ù

                              e                                                                  j

                              a                                                                  e

                              u

                                                                                                  p

                              p                                                                  r

                              r                                                                   e

                              e                                                                  n

                             n                                                                   d

                             d                                                                   s

 

                             b                                                                   l

                            a                                                                    '

                        t  Bonne La vers cap voile mâts hisse je D'où 8) R

                          e  9)  E  

                            a      s

                            u        p

                                        é

                                           r

                           m                a

                           o                     n

                           n                       c

                                                      e

                           c                   10)  Dont ce poème me 11)

                          o                                                           M

                         m                                                              è

                         m                                                                n

                         e                                                                   e

                                                                                         12) En  b

                    5) O                                                                             a

                         ù                                                                                  13) T a u x  .

1) Vague à l'âme; je vogue sur l'eau comme tout tombe à l'eau mais dont avec mon

3)                                                                                                                            4)

S                                                                                                                             L

a                                                                                                                             o

n                                                                                                                              t

s                                                                                                                              s

2) Mal de mer; ma vie n'est un long fleuve tranquille sur l'eau comme un poisson

 ______________________     -------------------------------------------------------------------      _________________________________   ____________________________ _____________________________  _____________________________                --  --   ----  ----- _________       _________________________________

 ______________________________________________________________ _________________________________________________________________                                           ________________________________

                     

 

 

 

Jérôme de Mars

Poème traits tirés par les cheveux !

 

 

__________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

 

______ Poème traits tirés par les cheveux ! Je n'ai plus de cheveux !  __________

___________    Dont je suis chauve un dans ce poème très tiré par les cheveux ! _

________________       __________ Dont mes cheveux me cherchent des poux__

En vers les époux des lentes chutes de mes cheveux à force qu'avec mon peigne _ Très décoiffant; je __________________________________________ _________________________________________________________________ __________________________________________________________________________________________________________________________________________________ Me fasse des cheveux et que je me fasse très décoiffé ______ _____________________________________________________________________________ Des shampooings traits étirés par les cheveux dont je suis très étiré

Par les cheveux qui me cherchent des poux époux de par mes lentes chutes de __ __________________________________________________________________________Mes cheveux qui se jouent d'un cheveu avec un cheveu dans la langue ___________  Dont en chauvin; je suis chauve un poème traits tirés par Les _____ Cheveux ! _________ _______________ ____________________  Dans ma Chute de cheveux très tirée et très étirée par les cheveux de mes cheveux dans le Vent et tiret ! _______________________________________________________ __________________________________________________________________ ________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

 

 

Jérôme de Mars

La vie est un paradis artificiel !

 

Essentielle avant d'aller au ciel !

La vie est un paradis artificiel !

Tel un paradis d'enfer !

A la fois salutaire et délétère;

Avec des relations d'amitiés;

Superficielles et artificielles;

Ou des vraies amitiés essentielles !

Où les gens ont soit le choix !

D'être des bourreaux de la rancœur !

Ou soit d'êtres des bourreaux des cœurs !

Avec leur bureau des cœurs !

Dont soit la vie est un coma artificiel !

Ou semi-coma artificiel !

Ou soit la vie est un paradis artificiel !

Tel un paradis d'enfer !

A base de médicaments comme paradis artificiels !

Alors que le meilleur médicament; c'est un paradis au soleil !

Afin que la vie demeure un paradis essentiel !

Avant que la vie meure dans un paradis au ciel !

Dont il profiter de la vie en allant au septième ciel !

Pourvu que ce soit essentiel et en accord par ciel !

Dont la vie est un paradis artificiel !

Avant d'atterrir au paradis salut terre !

Et dont ce sera on l'espère !

Un paradis avec davantage de lumières !

Dont la vie sur Terre est comme un coma partiel !

Avant d'atterrir dans un coma par ciel !

Dont la vie qui quitte La Terre;

Passe d'un paradis d'enfer artificiel et superficiel

A un paradis essentiel !

En allant au ciel salutaire et débonnaire !

Dont la vie reste un paradis d'enfer un paradis et sans ciel !

 

Jérôme de Mars

Il y a des tempêtes qui jettent un vent !

 

Moulins à vent;

Qui mettent de l'eau

Au moulin évent  !

Par-dessus les trémolos;

Il y a des tempêtes 

Qui jettent un vent !

Dont le vent 

Chasse la pluie !

Par des confettis

Le temps d'une embellie;

Avec un droit à l'oubli

Le temps de quelles heures;

Avant que la vie

Reprenne ses laideurs;

Sa laide heure; 

D'où pour que le temps

Hébète et végète

L'âme des gens

Torturés et offusqués

Par la vie et ses aléas;

En attendant

Qu'il y ait à nouveau

Des éclats;

Il faut admirer 

La beauté des océans !

Avant qu'il y ait un vent;

Aimant dans son élément,

Dont il y a des tempêtes

Qui jettent un vent !

Au vent et vlan !

Y a le soleil qui rouspète !

Tellement que le temps;

Embête la vie en tourments;

Avec des moulins d'à vent !

Qui vont à vau l'eau !

Au fond du ruisseau !

A écouter l'eau

Et ses sanglots;

Qui déchantent 

Leurs vers déviants !

Et fientes ! 

Dont et vlan !

Au-delà du vent !

Et grâce à la rose d'Evian !

Il y a encore bien des tempêtes

Qui jettent un vent !

En contant fleurette.

 

Jérôme de Mars

Le salon de thé surréaliste des peintres impressionnistes

 

Déjeuner sur l'herbe;

Avec le haut verbe !

Il y a le salon de thé surréaliste

Des peintres impressionnistes

Et hédonistes;

Qui mettent le cœur à l'ouvrage

Avant que leurs œuvres

Se vendent dans le passage

Des clients mangeant des hors-d'œuvre;

Avec à la manœuvre

Le fait de devoir encore;

Et encore

Toujours avaler des couleuvres

De vernissages ;

Tel Edouard Manet;

Qui peint

Et repeint

Les paysages

De la maison de Paul Cézanne,

Quand Cézanne peint

Les parpaings !

De la forme

Malgré tout dans un fond conforme;

Avec pour prodiges qui les accompagne

Auguste Renoir;

Qui peint sa vie parfois avec sa compagne;

Qui est de l'intérieure très noire

Et à cran;

Dans un écran

Très plat

De cinéma;

Tel son fils Jean Renoir,

Comme Van Goh bipolaire

En tant que maniaco-dépressif,

Dont il coupa son oreille cassée

Et tracassée par les rudiments

De la vie qui lui en fait voir de toutes les couleurs;

Pastelle de tourments;

Qu'il manie tel un génie

Dans son art si expressif;

Avec des tournesols

Qu'il plante-là sans bémol !

Pour envoyer des fleurs

Soit à Honfleur;

Ou soit à Claude Monet

Qui rend la monnaie

De sa pièce;

En buvant aux déboires

Des artistes maudits;

Dans le salon de thé surréaliste

Des peintres impressionnistes;

Tels des artistes ébénistes

Qui n'ont la langue de bois !

Mais un pinceau aux émois;

Osez-moi me le dire que vous voulez

Siroter un thé au café du commerce !

Où tous les talents s'exercent;

Si jamais le café; c'est votre tasse de thé !

Entre exutoire

Et une vie dérangée au cimetière

Des artistes déchus;

Qui ne furent pas toujours reconnus

De leur vivant,

Mais une fois reconnus dans le néant;

Même si Picasso fit des figures;

Qui configurent

Des formes géométriques

D'arts graphiques,

Dont Pablo Picasso fut systématique;

Un parfait connaisseur symptomatique

Et automatique

De sa technique

Cubiste; en étant très carrée

Et en s'enivrant dans l'écume

De l'amertume,

Où tous les artistes anticonformistes;

Qui s'assirent sur la piste

Dans un déjeuner sur l'herbe

Avec des génies en herbes;

De jeunes et de vieux pousses;

Levèrent leur pouce

Vers le salon de thé aromatisé

Des artistes surréalistes,

Avant d'aller rejoindre à Toulouse

Toulouse-

Lautrec; si jamais il a des nouvelles

De Marc Chagall;

Frugale avec sa fringale,

Dont depuis leur nature morte

Depuis qu'ils sont morts;

Mes vers les mangent tous crus;

Accrus dans une décrue

De leurs corps de poussière;

Au cimetière

Des antiques reliques esthétiques,

Comme des momies,

Dont qu'ils soient vivants !

Ou morts-vivants dans le néant

De leur nature morte,

Autant que la vie soit plus forte

Que tout en sortant du cadre !

De ces portraits de génies;

Du concret à l'abstrait !

Tel est le point fort !

En guise de Serge Gainsbourg !

Qu'on peut maintenant

Voir en peinture !

Et qu'on préfère

Dans cette nature;

Dans ce registre-là

Sans blablas !

Où chacun donne le là !

Dans un déjeuner sur l'herbe;

Entre artistes anticonformistes

Et atypiques,

Où le climat semble tropique

Jusqu'à ce que sonne le glas;

Du salon de thé surréaliste

Des peintres désormais sûrs réalistes.

 

Jérôme de Mars

Une fleur qui gratte son bouton d'or

 

D'un bouquet de fleurs !

C'est le bouquet qui effleure

Une fleur qui gratte son bouton d'or,

Dont le bouton dore et redore

Son blason en grattant 

D'un air de guitare des chansons;

Qui trémoussent le bas des reins;

Outre-courant 

Du Rhin; 

Qui se déhanche et bouge

Son corps complètement raccord

En battant tous les records,

Dont c'est le bouquet à fleur

De peau qui effleure

Une fleur qui gratte son bouton d'or;

En grattant avec sa guitare son bouton

En chansons; sur le fil de chaque saison

En communion

Dans le folklore; 

Qui arrive en renfort

Dans une vie en rose;

Avec un piaf qui édite

Des oiseaux chantant

Leur concert de louanges

Au zénith; qui crépite

L'eau qui remonte à la source

Lors de la course

Des fleurs; qui effleurent

Des vers de mots; 

Qui ont leur overdose;

Qui arrange 

Leur vie en rose

Grâce à une fleur;

Qui gratte son bouton d'or

En écoutant les chansons,

Dont c'est le bouquet !

Qui effleure le bouquet

De fleurs au troquet !

Dans un défilé

De fleurs qui effleurent

Une fleur qui gratte son bouton d'or;

Et qui adore

Le cœur des fleurs;

Qui s'entiche 

De la friche;

Qui donne de la couleur

En reprenant des couleurs,

Dont c'est un beau bouquet

De fleurs !

Quand c'est le bouquet !

Qui effleure

La nostalgie des accords

Passés et trépassés;

Telle une fleur qui finit de gratter

Son bouton d'or qui redore.

 

Jérôme de Mars

Peut-on tout dire en France avec la liberté d'expression ?

 

Comme le martèle l'expression !

La liberté des uns commence

Quand s'arrête celle des autres !

En sachant cela selon vous;

Peut-on tout dire en France

Avec la liberté d'expression ?

En évoquant les sujets sensibles

Que sont la politique; les ethnies;

Le sexe et la religion; tel dieu donnait !

Comme Dieudonné avec 

Ses dérapages suite à 

Ses propos antisémites !

Où l'on se demande

Même si on a les yeux bridés !

Peut-on tout dire en France

Avec la liberté d'expression

Et les yeux débridés ?

Ou doit-on filtrer certains

Propos qui pourraient 

Heurter certaines personnes

Concernant les communautés

Auxquelles elles appartiennent ?

Quitte à prendre un café

Avec un filtre pour modérer

Ceux qui franchissent la ligne

Jaune en commettant des

Péchés à la ligne sans filet !

Quitte à prendre des risques

Avec la loi et la justice !

En mangeant des amendes

Honorables; à votre humble

Avis; peut-on encore tout

Dire en France avec la liberté

D'expression ? Et à votre

Avis; la censure est-elle

La meilleur solution idéale ?

Et aussi à votre avis selon

Vous ! Est-ce que Gainsbourg

Sous ses côtés rebelles

De Gainsbarre; pourrait-il 

Encore sortir aujourd'hui

Dans notre époque actuelle !

Ses chansons polémiques;

Telles que : " Love On

The Beat " et " Lemon Incest ";

Qui en leur temps furent

Très avant-gardistes;

Et est-ce-qu'à votre avis

Egalement et légalement;

Gainsbourg pourrait-il à 

Nouveau brûler un billet

De 500 Francs en

L'occurrence environ

75 Euros de nos jours,

Et faire ses frasques à la télé,

Comme avec Whitney

Houston en direct !

Et selon vous ! A

Votre avis; Coluche 

Pourrait-il faire encore

En ce moment !

Ses sketchs sur le racisme

Et les préjugés

Concernant les communautés

Ethniques; politiques; sexuelles

Religieuses et sociales aujourd'hui ?

Car dans les années 80;

Ce fut un climat social

Assez progressiste !

Avec la libération de

La parole et des tabous;

En œuvrant davantage

Pour plus d'ouverture

D'esprit; trouvez-vous

Que dans notre monde

Actuel que La France

Régresse ? Car

Maintenant en

France ! On ne

Peut plus rien dire !

Le moindre propos

Tenu et porté; est 

Déformé de son

Contexte ! En prenant

De telles proportions; en  

Renvoyant le tout

Vers les pires périodes

Sombres de notre histoire !

Dans la France

Des temps modernes !

Tout est aseptisé !

Trouvez-vous aussi qu'à

L'époque que Charlie

Hebdo a été trop 

Loin avec les caricatures

De Mahomet ?

Trouvez-vous que 

La France se redirige 

Petit à petit vers les mauvaises

Heures de son passé obscur

Et nazi ! Comme au temps d'Hitler

Par le biais de l'antisémitisme ?

Autant que dans une dictature

De pensée unique et de marche

A l'ancienne du monde ?

Et enfin pour clore

Ce débat ! Même que

Tout le monde s'en débat !

Peut-on encore vraiment

Tout dire en France avec la

Liberté d'expression

Sur fond d'impression ?

 

Jérôme de Mars

Cher ciel ! Tire une flèche avec ton arc en ciel !

 

D'abord ! Une aquarelle

Dans le ciel !

Dessine un bonheur

Sans nuages à l'horizon

Avec de bonnes humeurs,

Comme si le ciel

Fumait la vapeur

Des nuages !

Et dont les nuages

Dans les parages !

Tous en rond !

Et rubiconds !

Proclament au ciel;

Cher ciel ! Tire une flèche

Avec ton arc en ciel !

Pour redonner la pêche

Aux gens;

Empreinte de couleurs,

Comme quand il y avait

La flèche sur la Cathédrale

Notre dame pour annoncer

L'heure de la réalité !

Certes ! Pas toujours magistrale !

Tandis quelque fois trop solennelle,

Dont tout le monde !

Tous en rond !

Et rubicond !

Clame au ciel;

Cher ciel ! Tire une flèche

Avec ton arc en ciel !

Afin de vendre la mèche

Que le ciel est très étiré;

Les cheveux dans le vent !

Où seul, ton arc en ciel;

Permettra de redorer le blason

Du ciel !

Avec de petites parcelles;

De par celles;

Qui leur font tourner

Les yeux de la tête en chantant

Des ritournelles universelles

Dans le ciel !

Dont en lisant le journal

Le monde; les gens !

Tous en rond !

Et rubiconds !

Déclament en chanson

Au ciel;

Cher ciel ! Tire une flèche

Avec ton arc en ciel !

Pour soutirer le meilleur

Des quatre saisons

En élucubrations;

A chaque parfum de l'âge

De raison !

Dont ensemble le ciel;

Demeure plus fort

A l'unisson

Dans un folklore !

Où tout tombe à l'eau

Dans du chlore !

Pour éclore

Des tourterelles

Et des hirondelles

Dans le ciel !

Avec pour scander;

Des répliques sèches

Qui fusent en noms d'oiseaux,

Dont tous les oiseaux !

Tous en rond !

Et rubiconds !

Réclament au ciel;

Cher ciel ! Tire une flèche

Avec ton arc en ciel !

Pour changer des chansons

Très sèches

En des poèmes davantage

Ménestrels; qui ruissellent

Le ciel de bluettes

Et de chansonnettes;

Avec au bout des chansons

Nettes; l'heure

De retomber les pieds

Sur taire ! Ayant

Pour singularité

De rassembler tout le monde;

Qui bonde et abonde

Ok ! Et qui acclame !

Tous en rond !

Et rubicond !

Au ciel universel;

Cher ciel ! Tire une flèche

A bout portant

Avec ton archange ciel !

 

Jérôme de Mars

 

Des vaches enragées qui en des pis font meuh !

 

Steppes qui ont mangé de la vache enragée;

Il y a des vaches enragées qui en des pis

Font meuh !

Vu que tout le monde suit le troupeau

Dans les pâturages à brouter l'herbe !

Et à envoyer paître les génies en herbe

Par le verbe acerbe;

En s'coupant l'herbe sous le pied !

Des vaches enragées qui en des pis

Font meuh !

Et dont ça émeut !

L'étoile du berger !

Qui en tétée

Et entêtée;

Boit les mots

Dépits !

Des vaches enragées qui en des pis

Font meuh !

Et dont ça émeut

Leur sacrée vache enragée

Qu'a le berger;

Qui grâce aux quatre points cardinaux;

Trouva pour points subliminaux

Les joyaux de la direction !

En direction du vent vers les pérégrinations

Des vaches enragées qui en des pis

Font meuh !

Et dont ça émeut !

La transhumance

En itinérance;

En en faisant toute une montagne

A travers un journal de campagne,

Dont l'amour est dans le pré !

Avec en champ d'action

Une petite maison

Dans la prairie,

Dont le point d'inclinaison;

A pour débit

Un dépit,

Dont ça émeut !

Des sacrées vaches enragées

Qui en des pis

Font tout le temps meuh !

 

Jérôme de Mars

 

 

Cher soleil; console la pluie pour qu'elle arrête de pleurer !

 

Météo qui fait la pluie et le beau temps !

C'est le temps à la grenouille !

Qui barbouille le ciel et sa fripouille

A tous les temps qui remontent auparavant !

Depuis tout ce temps que la pluie émeut

Sur un long fleuve

Guère tranquille le ciel et ses yeux !

Face au soleil !

Qu'il fasse beau ou qu'il pleuve !

Et dont le ciel ordonne en divinité

Au soleil;

Cher soleil; console la pluie 

Pour qu'elle arrête de pleurer !

Toutes les larmes de son karma endolori;

Or, il y a bien une solution !

Quitte à se remettre en question !

Pour que le soleil et la pluie

S'allient amis de l'accalmie au dépit,

Dont avec l'injonction du ciel

Au soleil

Depuis le royaume des paysages naturels;

Cher soleil; console la pluie

Pour qu'elle arrête de pleurer !

Quitte à rester éploré 

Le reste de sa vie !

Qu'il y ait ou pas une embellie !

A survivre ou à vivre à l'arrachée

Du temps qui fait des ravages;

Avec le temps; de la jeunesse

A la vieillesse,

Dont la vieillesse est un naufrage !

En passant le temps à chaque étape

De la vie; qui a bien besoin que le ciel

La retape cap

Vers le pays sensationnel !

Au charme sensuel;

Du soleil et de la pluie

En galante compagnie;

Et dont le ciel ordonne en ultime divinité

Au soleil;

Cher soleil; sur un je de console;

Do ré mi fa sole

De tes paroles

Sans bémol;

Console la pluie;

Pour qu'elle arrête déplorer !

 

Jérôme de Mars

Un ciel bleu oranger contrasté

 

Pluie qui fait grise mine !

En faisant la pluie

Et le beau temps !

Pourvu que se termine

Et s'achemine

Dans un bleu éclatant

Exaltant du firmament;

Un ciel bleu oranger contrasté

Dans une alternance mitigée;

A la fois de soleil

Et de pluies de crécelle

De vaisselle de porcelaine;

Qui chantent avec leur rengaine

Le temps à partager !

Entre dégâts sinistrés

Et soleil réchappé

En un ciel bleu oranger contrasté

Qu'il y a à chaque fin de journée !

Car à chaque jour suffit sa peine !

Entre soigner la pluie et ses dégâts !

Et le soleil qui donne des éclats

Chez les gars et les demoiselles;

Qui voient de leurs prunelles

Un ciel bleu oranger contrasté;

Entre douleurs d'une vie

De labeurs et une accalmie

Avec des p'tits bonheurs !

Au quotidien conjugués

De ferveur et de candeur

Dans une volupté;

Disséminée par des graines

De saveurs pour y semer

Un beau ciel bleu oranger contrasté

Jusqu'au jardin d'Eden;

Qui signifie tout un amour

Qui vaut le détour

Dans un élixir vers le ciel;

De la lumière à l'ombrelle

Avec pour chanterelle;

Des parcelles qui prient

Dans une chapelle !

Pourvu qu'il y ait la paix

Universelle grâce au Missel

Dans le ciel !

A partager mitigé

En un ciel bleu oranger contrasté.

 

Jérôme de Mars

La machine à notes !

 

A la tombée de la nuit !

Surgit la métaphore

Des morceaux de musique;

Qui jouent della notte;

Telle la machine à notes !

Qui piano; joue du métal fort;

Qui s'frotte

Vers les chansons rythmiques;

Avec pour mimiques;

Des numéros uns

De demain;

Qui notaient

La machine à notes !

Qui tape des notes salées

A mers; dessalées le jour

En mots de troubadour;

Qui promettent des ricochets

En reflets de clapotis

Sur l'eau

De larmes de cristaux;

Telle la machine à notes !

Qui s'connote

A un esprit aventurier

Et flibustier

Avec des inconditionnels;

Qui piratent des chansons plurielles;

Telle la machine à notes !

Qui grelotte

En mots d'hiver de marmottes;

Avec pour bémol

Des mots sans paroles,

Dès la farandole

Qui capte

Grâce à la parabole;

La machine à notes !

Qui gratte

Avec une guitare !

L'art della notte;

Qui écorchait

Et notait grâce à démos;

Des mots;

Qui montent illico crescendo

Avec à l'arrachée

Des maux invertébrés,

Dont la colonne cérébrale;

Tient

Et soutient

Une colonne vertébrale;

Qui rentre dans les annales

Originales, dont le résultat final

Est une spirale

Dans un carnet à spirales ! 

De face frontale et fatale

Grâce aux mots qui s'frottent !

Tels d'untel à untel;

La machine à notes !

 

Jérôme de Mars

                                      Blague :
Pourquoi un Rwandais a-t-il assassiné un prêtre qui l'hébergeait en Vendée ?
- Parce-que le Rwandais était logé à la même enseigne à l'autel par le prêtre !
                                Jérôme de Mars

Accès de colère !

 

Même que je ne vais plus à Cavalaire !

Je cavale l'air !

L'air de rien !

Débonnaire en vers les humains,

Dont malgré parfois de gentils vers;

J'ai des revers d'une main !

Avec un accès de colère !

Rongé par mon frein;

D'assez de colère !

En ayant la dent dure !

D'une rage de colère,

Dont je décolle l'air !

Sans que je décolère !

Qui configure

Un abcès de colère !

Profond et moribond

En sortant de mes gonds !

Et furibond en faisant des bonds

Dans un accès de colère !

Avec pour mauvais airs

Assez de colère !

Qui me ronge d'un abcès de colère !

Où j'en ai marre de toujours

Regarder en arrière

Au lieu d'aller de l'avant !

En foulant un nouveau tour

Sans avoir une rage de dent !

Patibulaire et crépusculaire,

Où je suis obligé sans cesse;

De mettre

Des œillères

Pour ne plus voir l'hiver

De mes colères,

Afin d'ouvrir les fenêtres,

De sorte de respirer la quiétude 

D'un nouvel air;

En liesse

Et en faisant l'étude !

Sans que j'élude

Pourquoi je fais un drôle d'air !

Parfois en cohérence;

Avec mes vers

D'irrévérence,

Alors que j'aimerai débonnaire;

Ne plus avoir un accès de colère !

Rongé d'assez de colère

En un abcès de colère !

Si bien que j'aurai des bons airs

A écrire salutaire 

Dans un nouveau slam populaire,

Duquel je décolle l'air !

Et je décolère !

Avec aucun accès de colère !

 

Jérôme de Mars

 

Même en mangeant des petits pois; j'ai pas un petit poids !

 

Poids chiche !

Même en mangeant 

Des petits pois;

J'ai pas un petit poids !

Même avec des pois chiche !

D'où le poids de mon fardeau

A prendre à la légère !

Même que c'est du lourd !

Et que je m'en balance !

De la balance électronique !

D'où je m'élance

Et ben mince !

Car même en mangeant des petits poids;

J'ai pas un petit pois !

Petits poids chiche !

Même avec un petit pois chiche !

D'où en gros;

Même que je suis gros !

Je m'en fous !

Que ce soit dans la pêche

Au gros !

Ou en ayant la pêche en gros !

D'où pourvu qu'en gros !

Je ne sois gros !

Sans que je m'en balance !

Si je veux surtout prendre à la légère

Tout le poids de mon fardeau !

Dont même en mangeant 

Des petits poids !

Pourvu que j'ai un petit poids

Pour que je m'élance !

En faisant le poids-plume

De ma plume !

Avant qu'elle me plume

Ben mince !

D'où en faim; je redeviens

Mince !

Comme j'aime si bien avant !

Le poids de mon fardeau !

Que je peux reprendre enfin

A la légère !

Dont en gros; je m'en balance 

D'avoir été si gros !

En gros !

Dont heureusement en mangeant

Des petits pois: j'ai dorénavant

Retrouvé un petit poids !

 

Jérôme de Mars

Nos nuits parallèles et chronophages

 

Instant de pénombre;

De la lumière à l'ombre !

Où nos côtés sombres

S'exacerbent en nombre;

Durant nos nuits parallèles

Et chronophages;

A n'importe quel âge !

De la vie qui s'affaisse

Dans nos lits de paresse !

Où la nuit; il nous manque

Une caresse !

Comme être par être

Dans une planque

D'allégresse qui monte en liesse !

Alors que la nuit;

Nous met de la peine

Au cœur ! Tellement qu'on est seuls !

Même qu'on boit un tilleul

Sur notre fauteuil !

En pensant à l'aïeul qui réfrène

Notre colère envers ses maladresses !

Tellement qu'il est vieux vu son âge !

Durant nos nuits parallèles

Et chronophages,

Comme si on était au Triangle

Des Bermudes !

Et qu'on s'étrangle

Dans nos vies de solitude !

Tel un triangle isole celles

Nos vies !

Dont la seule sangle;

Serait une chanterelle

Pour chanter nos tristesses !

En une mélodie du fruit

De notre génie !

Durant nos nuits parallèles

Et chronophages,

Où le temps paraît si long !

Lors de chaque naufrage

A l'orée de chaque saison !

Pourvu qu'on s'éprenne 

D'une vie à aimer

Chaque semaine !

Et dont pour aérer les esprits;

Ouvrons les fenêtres !

Pour changer notre mal-être

En un nouvel air champêtre !

Qui ira paître

Et brouter les gazons maudits !

Sans se couper l'herbe sous le pied !

Durant nos nuits parallèles

Et chronophages;

Avant de fermer cette page !

Et de démarrer une nouvelle page

Avec vue vers la clarté !

Et de joies incommensurables !

Pour déguster tous ensemble

Autour d'une table !

A raconter ce qui nous rassemble !

Entre personnes très fraternelles;

Qui s'apprécient très formelles

Et très solennelles

Jusqu'au grand âge !

Durant nos ultimes nuits parallèles

Et chronophages.

 

Jérôme de Mars

Les hirondelles volent les ailes des tourterelles !

 

Avec les libellules

Pour bien leur faire avaler la pilule;

Les hirondelles volent les ailes

Des tourterelles !

En écoutant des mélodies de ritournelles;

Qui pullulent 

En même temps que leur nuit somnambule !

En tâchant de ne perdre le fil funambule !

D'où en ménestrels;

Ils écrivent des paroles de leur reflet corporel

Dans l'irréel !

Dont les hirondelles volent les ailes

Des tourterelles !

En attendant le mot spirituel

Avec pour rituel !

Des envolées lyriques qui font des émules

Dans le ciel !

Quand l'arc en ciel

Balaie dans le ciel les nimbus !

Qui prennent dans leur imaginaire le bus,

D'où les hirondelles volent les ailes

Des tourterelles !

En faisant chanter les âmes désespérées

Des drôles d'oiseaux qui se plaignent persécutés;

Et se complaisent dans leur blues désabusé !

Pour donner raison à cette France désenchantée,

Alors que donner oraison à une France réenchantée;

Revient à raviver les ritournelles !

Dont les hirondelles volent de leurs propres ailes

Attire d'aile les ailes des tourterelles  !

 

Jérôme de Mars

 

 

 

Un pavé dans la mare où il n'y a que dalle !

 

Logé à la même enseigne que DAL !

Il y a un pavé dans la mare

Où il n'y a que dalle !

Qui amarre !

Dès qu'il regarde Paul Amar !

En se ruant dans les ruelles

Avec une truelle,

Afin que tout le monde soit logé

A la même enseigne !

Et soit délogé !

De sorte que s'imprègne

Le mouvement contestataire

Dans la rue qui prospère

Face à la colère que DAL !

Où il y a un pavé dans la mare

Où il n'y a que dalle !

A part cimenter l'amour;

Compartimenté dans du lourd !

Comme la chanson de Renaud;

Laisse-béton !

Malgré un dossier en béton

Armé; en regardant Paul Amar !

Dont je jette l'encre quand j'amarre !

Un pavé dans la mare

Où il n'y a que dalle !

Malgré l'impuissance que DAL !

Et les ruelles;

Qui semblent une façade

Dans leur forme rebelle !

Alors que le fond est en rade !

Tel un peuple en perdition !

Qui bâtit sa colère dans l'insoumission;

Avec pour mission de remuer que DAL !

Pour qu'il y ait un pavé dans l'amarre !

En regardant Paul Amar !

Dont le pôle amarre !

Où il n'y a que dalle !

Mais toujours plus que DAL !

 

Jérôme de Mars

Marcel habite à Marseille !

 

De l'ombre à la lumière !

Dans sa chaumière;

Marcel habite à Marseille !

En portant un marcel; 

Et en bronzant au soleil !

En ayant dans sa main

Sa carte vermeille !

Avec à son escarcelle;

Un bas de laine bourré d'oseille !

Dont il a de quoi tenir 

Plusieurs lendemains

Pour se faire plaisir

Ce sacré Marcel;

Luit qui habite à Marseille !

Et qui s'prend souvent un savon

De Marseille !

Lui; qui a l'âge de raison !

Dont chauffe Marcel !

Au soleil !

Dont tu gardes en mémoire

Tout ton oseille  !

Avec ta voix poissonnière  

Qui hurle ta colère

De ta voix de crécelle !

Comme Marcel Habite à Marseille !

Et dont il dépucelle

Toutes les demoiselles !

Dans un sacré bordel !

Lui; ce sacré Marcel !

Qui porte toujours le même marcel !

Dans sa ville préférée de Marseille

Face au soleil !

Agé comme sa carte vermeille !

En buvant les paroles du Missel

Avec parfois des étincelles !

Dont il vivra à Marseille

Jusqu'à la fin de sa vie en ritournelles !

Car chauffe Marcel !

Le soleil à Marseille !

Avec tout ton oseille !

Qui clame ta parole d'argent

En ta mémoire !

Pour boire à toute ton histoire !

Sacré Marcel !

Qui s'emporte éternellement 

Avec le même marcel !

Dont la vie est un sacré recommencement !

N'est-ce-pas sacré Marcel ?

Dont il vivra bordé d'hirondelles

Jusqu'à s'envoler au ciel !

Avec les tourterelles !

Car Marcel habite avec son marcel 

A Marseille !

 

Jérôme de Mars

Le film de ma vie !

 

Trame de cette histoire !

Qui m'intrigue;

Je me demande 

Ce qui se trame !

Si je quémande !

Et que je divague !

Sauf si j'irrigue

Avec un abreuvoir

En me faisant des scénarios !

Si jamais je me fais des films !

Avec une bande de négatifs,

Dont l'objectif

Est que je sois acteur 

De ma vie !

En bon vieux amateur

De la genèse de mon histoire !

Vu ce qui se trame !

De ce que je réclame !

A la hauteur de mon drame !

Genre mélodrame  !

Ou méli mélodrame  !

Dont le film de ma vie !

Est que je joue si bien

Le rôle de ma vie qui dévie

Sur un autre trottoir !

Objectif notoire !

Sans que ça dévoie

De sa trajectoire !

Dont l'objectif

Avoué est de faire entendre

Ma voix !

Pour me détendre,

Si jamais je me crée 

A l'arrachée

De nouveaux scénarios !

Dont le fin mot

De l'histoire !

Est que même si je me fais

Des films !

Et bien ! Je réalise

Le film de ma vie !

Que j'idéalise !

Malgré que ce n'est

Pas du cinéma mon état !

Même que je sois acteur

De ma vie !

Avec pour fil conducteur

Cette trame !

Vu ce qui se trame !

Dont malgré le drame

De jouer si bien 

Le rôle de ma vie !

Me voici assis

Sur mon strapontin !

Et v'là le moment 

De me détendre !

En prenant pour témoin

Ce fameux instant !

Pour prendre congé

De vous ! Dont action

Moteur en interaction !

Ca y est !

C'est pour toute la vie !

Le film de ma vie !

 

Jérôme de Mars

Et pends !

 

 

 

 

                                                                 à tes dépens dont tu répands et suspends

                                                                 r                     !                                         P 

                                                                 e            n d  s                                          e

                                                                 p       p e                                                   t

                                                                 e e t                                                          e

                                                                 n                                                               r

                                                                 d                                                               p

                                                                 s                                                               e

                                                                 t                                                                n

                                                                 e                                                               d

               F deux pends si tu te pends et tu                                           

               l

               û

               t

               e

Et pends tu dépends de la

 

 

 

Jérôme de Mars

OK Chorale !

 

Chère France désenchantée !

Toi qui as si souvent fredonné

Et chanté

Tout ton amour de la liberté !

Pour un phare Ouest;

Eclairé par un phare Breton !

Alors que maintenant !

Dans le désamour !

C'est un règlement

A OK Choral

En plaint Far West !

Comme dans un western-spaghetti,

Où tout le monde met le revolver à la pâte !

Afin que ça épate !

Ce qu'il y a de plus bas chez l'être humain

Sans frein !

De manière à faire payer

Aux gentils, de pourquoi ils ne deviennent méchants !

En rentrant dans le rang des mécréants !

Alors que même si tu es désabusé !

Dans cette France désenchantée !

Chante avec ta communauté !

Qu'il faut tous s'aimer dans la fraternité;

L'amitié; le respect et la loyauté !

En chantant l'amour de la liberté !

Ainsi; pour entonner une France enchantée

Et réenchantée !

Et bien !

Joins-toi avec tes copains

A notre chorale !

A OK Chorale !

Pour fredonner en paroles musicales; amicales

Et familiales

Cette France enchantée !

Que tu veux réenchanter empreint

Temps en prenant le temps

De chanter des paroles écrites !

Dont tu veux tenir ces paroles que tu édites !

En respectant ta parole donnée

Et adonnée

Dans un concert de louanges au complet !

Que tu as réservé de ta parole réservée !

Et dont il faut chanter la paix !

L'amour de la liberté et la solidarité !

En se rassemblant en communauté

Dans la communion !

Dont unissons-nous de toutes nos forces !

Car c'est à l'unisson !

Que maintenant s'amorce !

Une chorale en réglant les comptes en paroles !

Pour fredonner de l'espoir aussi en créole !

Dont tout le monde passera d'une presqu'île

A Ils !

Tous ensemble; en chantant dans la chorale !

Que tout le monde paiera en paroles !

En tenant paroles de créole !

Et où il faudra également chanter des paroles !

Ayant pour refrain !

Cette France enchantée

Et réenchantée !

Entonnant OK Chorale !

 

Jérôme de Mars

Une fleur qui fait une pétale de roses !

 

Annus horribilis;

Qu'elle embellisse !

Une fleur qui fait une pétale de roses !

En faisant une feuille de roses !

Et en faisant si bien la chose !

Qu'elle cause

A la fleur un ovule,

Comme elle a oublié de prendre la pilule !

Pour bien se dorer la pilule !

Afin qu'il y ait une portée apportée;

Qui mette en gestation sa future progéniture !

Avec Dame nature;

Qui va bien lui faire avaler la pilule !

Quand elle va mettre bas 

Toute sa smala !

Qu'elle pullule

A portée d'allaiter

Toutes ses fleurs;

A qui elle fait des fleurs !

En leur envoyant des fleurs

De félicitation;

Après l'éjaculation

De la fleur qui fait une pétale de roses !

En faisant une belle feuille de roses !

Et en faisant trop bien la chose !

Qu'elle cause dans une osmose !

Avant la ménopause

A une fleur qui fait une pétale de roses  !

En faisant un mille-feuille de roses  !

Et en faisant une dernière fois 

Tellement bien la chose !

Qu'elle appelle sa fleur; la fille de joie !

Dans la volupté

Et la névrose;

Qu'elle cause !

Comme dans un camouflet,

Son engin qui glisse

En prenant du viagra avec délice;

A cette fleur qui fait les choux gras

De la presse en mettant bas !

Et dont elle offre dans un bouquet 

De fleurs, dont c'est le bouquet

De choux fleurs !

Aux fleurs qui naissent dans les choux !

P'tits bouts de choux très doux !

Dont pour que la rose

Eclose dans une maison close !

Rendez-vous dès la signature 

De la feuille de roses !

Dont la fleur 

Qui achève en beauté

Sa feuille de roses !

En ayant réussi la chose; 

Termine en verge effarouchée

Sa pétale de roses !  

 

Jérôme de Mars

Passé sur le billard !

 

Cannes de boules;

Complètement maboules !

Passé sur le billard !

Tu perds au billard !

Dans ton opération

Reconstruction et réparation;

A mettre la boule dans le trou !

Avant d'aller au trou

Pour avoir fait les quatre cent coups,

Dont après que tu aies perdu au billard !

Tu cannes sur le billard éperdu !

En déroute vers le corbillard;

Trépassé sur le billard !

 

Jérôme de Mars

Petit à petit; Denis fait son déni !

 

Tombé du nid !

Denis tombe dans le déni !

Dont petit à petit; Denis fait son déni !

Comme petit à petit; l'oiseau fait son déni !

Dont Denis décide quitter le nid !

Et décide de ni;

Quitter le déni !

Et de ni

N'être dans le ni ni !

Dont petit à petit; Denis est dans le déni !

Car petit à petit; Denis fait son déni !

De toujours être Denis 

Dans le déni;

Qui décide nenni de ni

Quitter son nie !

Et de ni

Quitter son des nids !

Dont le drôle d'oiseau qu'il nie !

Fait que petit à petit; Denis renie son nid !

Dont petit à petit; Denis fait son nie

Et petit à petit; Denis quitte son nid ! 

Car petit à petit; Denis décide de ni le

En faire son nid !

Et de ni 

S'en défaire de son déni !

Dont petit à petit pour que Denis fasse son nie !

Et pour faire en sorte que l'oiseau fasse son nid !

Et bien ! Lors de son mal-être du corbeau !

Et bien ! Petit à petit en tombant des nids !

Et bien ! Petit à petit; Denis en fait de son des nids !

Son déni !

 

Jérôme de Mars

Accroche un arc en ciel au ciel !

 

Peinture fraîche d'aquarelle;

Il y a une parcelle de merveilles

Dans le ciel bariolé 

En tous genres intemporels,

Et de sorte que le soleil

Soit ouvert d'esprit !

Amuse-bien la galerie !

Et accroche un arc en ciel au ciel !

Pour réaliser tes rêves les plus concrets,

En imaginant par exemple

Un monde davantage fraternel,

Que tu contemples 

Dans la sérénité;

Pétrie d'une grande humanité;

Tantôt naturelle

Et aussitôt réelle !

Et accroche un arc en ciel au ciel !

Avec en galante compagnie

Toute ta ribambelle d'amis;

En songeant à des paysages ménestrels,

Dont fais appel 

A ta poésie romanesque,

Afin que tu dessines une fresque pittoresque !

Et accroche un arc en ciel au ciel artificiel !

Dont sous tes airs d'apparences superficielles !

Reste avec ton allure essentielle !

De telle manière que cette peinture d'aquarelle

Demeure intemporelle !

A n'importe quelle époque universelle,

Et pour que cette peinture d'aquarelle

S'esquisse au sens figuré

Dans une ambiance feutrée !

Accroche de plus bel un arc en ciel au ciel par ciel !

 

Jérôme de Mars

Overdose de poèmes

 

Ballon d'essai !

Je shoote

Dans un shoot 

De ballon, dont je sais

Qu'il me chouchoute !

Si je me shoote

Dans une overdose de poèmes,

Où je me soûle aux vers de poèmes

De ma mère,

Comme si je lui envoyais 

Une bouteille à la mère,

Comme de ses hauts vers !

Qui me soûlent depuis son corps

Mis en bière,

Comme quand elle buvait de la bière !

Complètement raccord !

Avec son état, où elle et moi ;

Il y a souvent eu des records

D'overdose de poèmes !

Elle avec ses problèmes;

Et moi dans le désarroi

De mon overdose de poèmes,

En buvant les paroles des vers

De mes poèmes;

Au lieu de boire des verres 

De bière,

Dont à force; on aurait baissé 

Le store !

Si mon corps était mise en bière;

Qui rimerait avec mon overdose de poèmes;

Qui soûlerait feu le corps de ma mère;

Et moi; en me mettant le feu sur mon corps;

Quitte ou double à me soûler avec mes vers

De poèmes !

A cause de mes problèmes;

Qui riment avec les chrysanthèmes

Au cimetière de ma mère;

A l'état décomposé de poussière;

Quitte à me resservir un dernier ver,

Dont il n'y a pas de risque à me desservir

Avec une mise en bière !

Car je ne ferai que m'asservir

A mon overdose de poèmes;

Quitte à me soûler avec des vers

De poèmes !

Et dont pour me dessoûler de mes problèmes !

Et pour retrouver la griserie de ma vie !

Il faudrait pour cela

Qu'on me dessoûle de mes vers

De poèmes en cellule de dégrisement,

Afin d'humer la quiétude d'un printemps exaltant

Et d'un été exultant 

Au beau milieu du bal des oiseaux,

Et dont j'aurai pour eldorado

A la place d'une overdose de poèmes;

Des vers solidaires aux vers dosent de bohème.

 

Jérôme de Mars

 

Tout le temps !

 

Depuis tout le temps imparfait !

Le temps parfait 

S'arrête à présent,

En pensant à son passé simple;

Qui a été un passé composé !

Avec un auxiliaire de vie

En être, dont son avoir est un impératif

A présent !

Dans un désordre pour parler d'avenir !

Dans un futur simple proche !

Car c'est encore un futur antérieur;

Tout le temps à passer son temps 

A regarder dans le rétroviseur;

En n'allant de l'avant !

Dont pour lui à présent;

Ce serait d'avoir

Tout le temps dans son être !

Un auxiliaire de vie à vie !

Comme personne ne peut pas être 

Et avoir été !

Pour n'avoir rien dans la vie

A cause de son mal-être !

Depuis tout le temps 

Plus qu'imparfait, car un parfait !

Trépassé de l'antérieur;

Surpassé simple; 

Et dépassé de l'antérieur;

Participe à présent au présent !

Dans un ordre impératif !

Qui a pour plus beau présent

Simple; d'avoir pour auxiliaire de vie

Et à vie; un bien-naître parfait !

Pour tout le temps !

 

Jérôme de Mars

Au clair de l'ombre !

 

En clair et clair;

Il faut y voir plus clair !

En allant au clerc,

Comme dans un éclair sombre !

Au clair de l'ombre !

Dont il faut être clair

Dans la lumière !

Malgré les côtés sombres

Que chacun a dans l'ombre !

Au clair de l'ombre !

Dont il faut enfin y voir clerc

Dans la lumière éclaire,

Comme des gens lumière;

Qui éclairent et clair

Leur lumière !

A des années-lumière !

D'y voir plus clerc !

Au clair de l'ombre !

Du clair sombre

A l'ombre sombre claire !

Avec des éclairs

Au chocolat si les et clairs;

Font des cafés frappés éclairs !

Et font y voir moins clair

Au clair chez le clerc;

Ou chez Leclerc;

Ou en écoutant Julien Clerc;

Au clair de l'ombre !

A des années éclaires sombres !

Dont il faut allumer la lumière !

Qui s'éteint à petit feu très claire !

Malgré l'ombre au clerc;

De la lumière et claire !

A moins d'un éclair !

Dont pour y voir toujours plus et clair !

Il vaut mieux attendre que les côtés clairs;

Eclairent l'ombre et la lumière !

Et prennent l'avantage et clair !

Sur les côtés sombres,

Ephémères en restant allumés au clerc !

Et s'il vous plaît en clair !

Tout le temps dans la lumière;

Des frères lumière

A des années-lumière !

Des éclairs sombres 

Au clair de l'ombre;

Des gens lumière !

Dont pour y voir encore plus clair !

Il faut laisser les gens clairs !

Laisser la lumière éclaire !

Toujours plus claire !

Malgré les côtés clairs sombres;

Qui dénombrent la pénombre

Au clerc de l'ombre !

Avec pour encombre;

L'eau claire de l'ombre !

Dont les côtés sombres;

Sombrent de l'ombre

A la lumière;

En clair !

Et dont c'est très clair !

Au clair déjà à l'ombre !

 

Jérôme de Mars

Si on transformait la haine en de l'amour !

 

Culture du mal et du bien

Dans ce monde manichéen;

Si on transformait la haine en de l'amour !

En taillant les haies avec un gant de velours !

Où l'on cultiverait dans un jardin secret

Tout ce que la vie contient de légèreté !

Avec pour apaiser les tensions;

Une grande effusion semée d'affections

Qu'on apporterait aux gens avec abnégation !

En adoucissant les éruptions

Par de la poésie de troubadour;

En profitant de chaque jour

Et avec un roulement de tambours,

Si on transformait la haine en de l'amour !

Dont cela permettrait de dire en renfort

Avant la mort !

Vivons d'amour et d'eau fraîche !

Au cas où les gens nous scanderaient

De leurs cris des expressions sèches;

Qui feraient que le monde irait à sa perdition,

Et dont il suffirait d'une partition !

Afin de composer un hymne à la paix;

Et si pour cela, on trouvait de nouvelles idées !

Pour remplacer avec humanité;

Les maux détestés

Par les mots aimés;

Liberté, égalité et fraternité !

Avec pour légalité de troubadour

Un mot de la fin en dernier tour,

Dont le retour

Vaudrait le détour !

Si on pouvait transformer pour toujours

La haine en de l'amour !

 

Jérôme de Mars

Il y a depuis belle lurette des amourettes !

 

Pour vous chères demoiselles;

Que vos ritournelles

Vous fassent conter fleurette !

En volant au septième ciel

Avec les tourterelles,

Où il y a depuis belle lurette des amourettes !

Qui vous font enflammer vos allumettes

En brûlant vos vies par les deux bouts

De la chandelle;

Avec des marabouts

Pour que vos histoires tiennent encore debout;

En fumant le calumet de la paix,

Dont seule une odeur de volupté;

Vous fait aimer la vie et ses saynètes,

Dont il y a depuis belle lurette des amourettes !

Afin que vous chères demoiselles;

Vous contiez fleurette !

Sous une pluie, où vous faites trempette

En jouant un air de trompette,

Où vous souhaitez mourir 

Avant la fin de la tempête;

En vue de croupir et de gésir,

De sorte de fuir

Le temps qui trépasse, où tout fout le camp !

Entre boucan et l'éruption des volcans,

Où il y a depuis belle lurette des amourettes !

En voguant dans un océan de tendresse qui baigne 

Dans de l'amour romantique qui règne

Dans une suprématie pacifique et esthète,

Pour fuir la routine et la vie ordinaire

Sur la planète Terre très soporifique;

Qui aspire à se régénérer d'esthétique

Pour y respirer une embellie pulmonaire,

Où il y a depuis belle lurette des amourettes !

Qui font au fil des ans

Leur nid dans le courant des aimants;

Qui semblent dans leurs éléments,

Comme un poisson dans l'eau qui nage !

Et qui cherche la perle rare;

A l'instar

De se fixer des buts en vue de tourner la page,

Et dont en contant fleurette;

En faisant trempette

Avec un air de trompette; 

Il y aura encore pour belle lurette tellement d'amourettes !

 

Jérôme de Mars

L'unique ami qui réussit à apprivoiser le lion sauvage !

 

Dans la savane Africaine

De la faune

Et la flore,

Où la vie sauvage

Est un folklore !

Il y a encore un sage;

Qui avec son téléphone;

Est l'unique ami

Qui réussit à apprivoiser le lion sauvage !

Qui malgré ses dérapages;

N'en naît pas moins son meilleur ami

A cet ami !

Car ils se comprennent tant !

Avec leurs affinités

Dans le respect;

Entre accalmie

Et tourments à tous les temps,

Dont heureusement; ce lion sauvage

Peut compter sur l'appui

De cet ami o précieux et gentil !

Qui avec sa sympathie;

Lui témoigne de tout son lien !

Afin qu'il fasse le bien 

Dans ce monde manichéen !

Dans lequel seul; son unique ami;

Le comprend o combien 

De façon fleurie !

Qui lui également; a eu un passé très difficile

Que lui

A travers différents passages

A vide dans sa vie,

Dont l'unique ami

Qui réussit à apprivoiser le lion sauvage !

Veut qu'il s'en sorte vers une vie de pâturage

Au long fleuve tranquille dans un insubmersible voyage;

En paix et radieux dans un paradis,

Dont l'unique ami veut qu'à chaque fin de semaine;

Son lion sauvage soit heureux sur les plaines !

En remontant la pente

Malgré ses vieux démons qui le tentent !

Dont l'unique ami 

Qui réussit à apprivoiser le lion sauvage !

Veut lui montrer la route vers l'adage

D'une vie de ramages

Sans dérapages;

En sillonnant la réussite jolie

Dans les parages,

Dont malgré sa colère;

Il suffit que le lion sauvage

Tienne sa crinière !

Pour tenir le coup

Coûte que coûte dans la vie;

Qui malgré ce fourre-tout;

A tout de même des atouts

Pour en sortir très grandi;

En route vers une vie de poésie

Au long cours en revenant

Vers le droit chemin,

Car en vieux copains;

Qui se connaissent depuis la Saint-Glinglin !

Ils se connaissent si bien

En si peu de temps !

Malgré leur passé lointain,

Comme si depuis toujours;

Ils se connaissaient comme dans un roulement

De tambours !

Dont moi le vieux sage;

En vieux troubadour

Que je suis;

Reste l'unique ami 

Qui réussit à apprivoiser au long cours

Le lion sauvage !

 

Jérôme de Mars

 

Poème sûr réaliste

 

Alex sans drains

Dans un couplet; s'accouplait !

Dans un quatre un qui versait un verset !

Pour le reverser et le déverser

Dans un poème sûr réaliste !

Qui hédoniste; en fit

Un poème surréaliste !

Imprégné de sa pâte d'artiste !

Sans tergiverser, mais pour affirmer

Que la poésie rime 

Avec des facéties qui arriment

En un port d'attache !

Qui arrive à bon port !

Dans un port de Plaisance;

Qui sonnait un sonnet sonné !

Et résonnait; résonné; raisonné;

Et désarçonné !

Qu'un quatrain était nécessaire

Dans un quatre en un ! 

Dans ce poème sûr réaliste;

Qui dérivait vers un poème surréaliste

Pour verser dans la facilité;

Reverser dans la simplicité

Et tout déverser avec saga cité !

Dans un couplet qui s'accouplait

En Alexandrins dans un quatrain !

Qui sonnait sonné

Et résonnait résonné  raisonné !

Comme un sonnet désarçonné !

Dans ce verset qui rimait 

Et arrimait en un jet d'encre !

Qui largua les amarres à tribord

Au rebord; en étant du même bord !

Et qui vira de bord !

Ce poème surréaliste

En un poème sûr réaliste.

 

Jérôme de Mars

Ode écrit une ode !

 

Odette qui paye aux dettes !

Appelle Ode dettes !

Pour que Ode écrit une ode !

Qui rime et rôde

Avec un poème; qui taraude

Odette qui donne à Ode 

Aux dettes ! Dont Ode dette

Demande à Ode !

Que son ode taraude; s'érode !

Et rôde son Ode dette !

Pour qu'enfin Ode écrit une ode !

Pour régler Odette aux dettes;

O dette et Ode dette !

Qui écrivent une ode qui rôde !

Et s'érode !

Pour Ode qui écrit une dernière ode !

 

Jérôme de Mars

Ex-femme des Sixtine !

 

A l'ombrelle

De ta chapelle;

Ex-femme des Sixtine !

Appelle le bon Dieu !

Depuis le Vatican

Pour qu'il papote 

Avec le Pape

Sur des sujets,

Où tu fais des choses

Pas très catholiques !

Dont l'un de tes sujets;

Est très orthodoxe !

Et fait des choses

Pas très orthodoxes !

A l'ombrelle 

De ta chapelle !

Ex-femme des Sixtine !

Habemus Papam !

Enfumé en y voyant clerc G !

Dont les quatre points cardinaux

Sont le cardinal complètement à l'Ouest !

Qui l'élève à Leste !

Dont l'autre point Cardinal perd le Nord !

Du dernier rond-point Cardinal;

Qui vient du Sud !

Avec le point Cardinal

Du pape !

Qui papote

Avec lui dans sa papamobile !

A l'ombrelle

De ta chapelle;

Ex-femme des Sixtine !

Qui va s'faire curé le nez !

Dont l'habit ne fait pas le moine !

Malgré la soutane !

Même en élisant des Evêques;

Qui mettent chacun la pierre 

A l'édifice !

En portant leur croix !

Avec la croix et la bannière !

Quand tout tombe à l'eau bénite !

Ayant pour Crucifix;

Le sacrifice

De Jésus-Christ !

A l'ombrelle

De ta chapelle;

Ex-femme des Sixtine !

Qui a des pêchés sur place

Ta Sainte Mère !

La Rome !

Dont ton sain père !

Dit amène ton imper !

Habemus Papam  !

Nous avons été baptisés

En fumée

Par le nouveau Pape !

Avec qui on a prié !

Et on a papoté

Dans sa papamobile !

Pour baptiser

Ta Sainte Mère !

La Rome !

Qui est une vierge effarouchée !

Et Ave pour mari !

Ton sain père !

Dont toi, La Vierge Marie pas effarouchée !

Tu Ave pour prière;

Ton mari Jules César,

Car Ave César tout puceau !

Lors de messes-basses

En orgies !

Avec pour messe noire

Ton hostie pour manger 

Ton pain béni !

Dont ton pain blanc te démange !

Lors des noces funèbres

De ton mariage du siècle !

Avec pour impair

Ton excommunication !

Qui t'a des pêchés

Dans un manque de communication

Et de communion

En union libre !

Et si jamais il y avait fornication !

Avec pour derniers sacrements

Ton extrême-onction !

Il y aurait pour extrême injonction !

Tes jurons pour jurer

De rien !

Toi, le mauvais Chrétien très Sacristain !

Où tu fais des choses pas très catholiques !

En appelant au secours Apostolique !

Toi, très orthodoxe !

Qui dès l'équinoxe !

A pour paradoxe très catholique !

De faire des choses pas très orthodoxes !

Dont Habemus Papam !

Nous avons en feint défunt enfumé un Pape !

Avec qui papoter 

Dans sa papamobile;

A l'ombrelle

De ta chapelle;

Ex-femme très infâme des Sixtine !

 

Jérôme de Mars

 

Une souris qui sourit au rat des pâquerettes

 

Mal aux dents;

Ayant la dent dure !

La légende dit

Que la souris va passer

Rémunérer et payer;

Ceux qui veulent avoir

Quelque chose à s'mettre 

Sous la dent !

Pour promettre

En pourboires;

Un sourire éclatant

Avec d'après la nature;

Un jardin fleuri !

Avec une souris qui sourit

Au rat des pâquerettes,

Pour conter fleurette

Pendant le temps,

Où il fait beau sur la vie 

Dans une embellie !

Avant que le sort enlaidisse

Et raidisse

Dans une glisse

Sur le sol !

Ce monde de bémol

Alors qu'il faudrait un parasol !

Mélangé à du paracétamol,

Afin que le soleil brille

Et que l'amour frétille !

Avec une souris qui sourit

Au rat des pâquerettes,

Pour conter fleurette

Avec de la poésie;

De sorte à plaire

Au plus grand nombre;

A l'ombre

D'un grand frère;

Qui laisse place

Au partenaire

De l'amour romantique

Dans un palace,

Comme si avec un tome

Et mon âme névrotique;

J'ai rit pour ma pomme !

Avec une souris qui sourit

Au rat des pâquerettes,

Pour conter fleurette

Avec en statuette;

Les reflets de l'amour esthète

Pour rire et sourire

Au Parc Montsouris

Des plaisirs;

Avec pour contenter fleurette;

Une souris qui sourit tout le temps

Au rat des pâquerettes.

 

Jérôme de Mars

La nuit broie du noir !

 

Dès le début de cette histoire;

La nuit broie du noir !

A vouloir rouvrir le bar

Des racontars; 

Vu qu'il est trop tard !

Pour rester ouvert le soir,

Si bien que la nuit broie du noir !

A vouloir boire le désespoir

Des fêtards;

Qui semblent renfermés,

Et dont pour qu'ils ne soient réservés;

Il faut réserver au bar;

Ses confessions nocturnes

Et diurnes,

Si bien que la nuit broie du noir !

De jour comme de nuit tristement bizarres;

Avec en marge du système; des gens enjoués; 

Cabossés et complètement déjantés !

Malgré que la nuit; les gens soient plus disposés !

A faire des confessions inavouées !

Ou soient à vouer

A l'échec devant le comptoir !

A attendre que la nuit broie du noir !

Dans un réservoir 

D'allumage de pétards;

En racontant de drôles d'histoires

Autour de la table à manger

Toute la fumée 

De la maison qui prend feu;

Feu le café du commerce belliqueux,

Dont il vaut mieux voir arriver

Dans un rideau noir

De fumée;

Une fumée à vapoter

Ou à crapoter  !

Pour fumer le calumet de la paix !

Et afin que la vie reste une propre liberté

En étant payée au noir;

Ou en buvant délectée un petit noir

De café;

Il vaut mieux qu'au comptoir

La nuit broie du noir du matin au soir !

 

Jérôme de Mars

Nettoie avec un balai chaque saison !

 

Comme au début d'une chanson;

Avec des mots d'hiver !

Effet boule de neige !

Il y a le sacrilège 

De l'hiver,

Dont avant l'extinction

De chaque saison !

Nettoie avec un balai chaque saison !

Avant que le vent s'en lave les mains !

Si jamais le destin

Entretient les malheurs !

Alors que le temps a vent 

D'un peu de chaleur

Humaine à chaque fin de semaine,

Dont le temps attend

Toute la bedaine

Du printemps; arrivant

Juste après à l'orée

D'une nouvelle saison,

Comme au début d'une chanson;

Qui va commencer

Dans un ballet de printemps;

Telle la saison des amours,

Comme l'effet boléro d'un troubadour;

Qui s'en va écrire des mots d'amour

Sur les feuilles fortes qui repoussent;

Avec pour joli coup de pouce

Un printemps ensoleillé;

Empreint tant de temps d'entrain,

Dont en boute-en-train !

Avant l'extinction de chaque saison;

Réécoute la chanson !

Et nettoie avec un balai chaque saison !

Avant que le vent s'en lave les mains !

Si jamais le destin entretient les malheurs !

Alors que la saison d'après;

Telle un conte de fée;

Et bien c'est 'été qui remet

Du baume au cœur !

Et les pendules à l'heure !

En faisant sourire et rire le soleil

Dans une pléiade de ritournelles;

En cultivant le jardin secret de l'amour

Avec pour mots de troubadour;

Une embellie pulmonaire

Au milieu des congénères;

Qui s'en val mettre et remettre de la chaleur

A la mer; qui après son vague à l'âme;

Embrase une histoire radieuse dans la flamme

De l'amour; en plein été ensoleillé

Dans un bleu océan 

Au firmament d'un bleu ciel exaltant;

Grisant avant l'ultime saison 

Calendaire, dont avant l'extinction

De cette avant-dernière saison !

On connaît la chanson !

Dont nettoie avec un balai chaque saison !

Avant que le vent de l'oraison de l'automne

S'en lave les mains !

Si jamais le destin

Entretient les malheurs !

Dans un conte de morphée;

Et qu'il récupère son trophée,

Si bien que l'automne ramasse les feuilles mortes

Avec la pelle de Jacques Prévert;

Et à la pelle de la forêt;

Face à la mélancolie et à la colère

Des amours mortes; qui sortent

Par la petite porte;

En passant un coup de balai sur le sol;

Tapi de feuilles mortes;

En disséminant des paroles en bémol;

Dans l'obscurité et l'insécurité

D'une ultime saison monotone,

Atone et aphone,

Où il manque le téléphone !

Pour trouver sa voix qui résonne,

Dont avant l'extinction

Complète de l'année calendaire !

Réécoute chaque saison;

Imbibée de chaleur

Humaine malgré la noirceur

De l'automne; à vent que dysfonctionne

Cette fin d'année calendaire;

Imprégnée de misère;

Par chœur de pierre,

Dont termine la chanson

Avec émotion et vibrations !

Et nettoie une dernière fois avec un balai

Chaque saison !

Qui s'en va aux trémolos !

Avec pour dernier mot;

Que si tout le monde a vent !

Que tout le monde s'en lave les mains !

Et bien ne t'inquiète pas ! Demain

Sera un autre jour, car malgré

Tout si le destin 

Entretient encore les malheurs !

Demain sera à coup sûr bien meilleur !

 

Jérôme de Mars

Les acariens fument la moquette !

 

Oh punaise ! Y a des punaises !

Qui grimpent sur le lit !

Dont ma puce

Sur la moquette;

Les acariens fument la moquette !

Sur une maquette

En quête de monter sur le prépuce, 

Dont oh punaise !

Les punaises font un lit en portefeuille !

Dans un mille-feuille;

Qui épargne l'écureuil

En cassant ses noisettes !

Dont sur la moquette;

Les acariens fument la moquette !

Car ce qu'ils en fument y a qu'à rien !

En accrochant un poster avec des punaises !

Oh punaise ! Ya qu'à rien sur la moquette !

Dont les acariens fument la moquette !

En enfumant ma puce sur la moquette !

Avec pour foutaises des punaises !

Qui accrochent avec leurs punaises,

Dont elles posent terre ma puce !

Excitée comme une puce !

Et dont ma puce;

Me met la puce à l'oreille !

Qu'il faut débourser l'oseille !

Pour que oh punaise ! Les punaises !

Fassent de mon lit un lit en portefeuille !

Sur lequel au seuil

De la quarantaine bien entamée;

Il y a bien cette vie rétamée !

Et bien qu'avec ma puce !

On fume le calumet de la paix !

Où sur la moquette; on fumera 

Aussi la moquette !

Avec pour maquette !

Y a qu'à rien  !

A partir de demain !

Dont sur la moquette;

Il y a les acariens qui enfument un joint 

Et la moquette !

 

Jérôme de Mars

C'est la nouba !

 

Comme quand il y avait de la rumba dans l'air !

C'est la nouba !

Dans ma vie de rabat-joie !

A l'état délétère et austère,

Comme quand ma mère me soûla

Avec ses verres de bière !

Dont moi de ses problèmes;

J'en fais des poèmes !

Avec des vers de mise en bière,

Dont c'est la nouba !

Avec le téléphone arabe

De la musique Arabo-Andalouse;

Où tout le monde m'appelle la loose !

Moi celui-là !

Qui fait du blues !

Avec en rab !

Le fait que j'ai surtout pris de la bouteille !

Notamment avec la mise en bière

De ma mère,

Dont de ses verres !

J'en fais des vers de bière

Pour faire briller le soleil;

En prenant de la bouteille

Jusqu'à ce que j'ai ma carte vermeille,

Afin que je me soûle dans mes vers

De poèmes ! En prenant de la bouteille !

Dont c'est la nouba !

Dans ma vie de rabat-joie !

Hop là ! Y a de la joie !

Si mon grand-père Charles traînait !

En gros dans ma vie de bohème,

Dont à la place d'avoir des problèmes;

Il vaut donc mieux que j'aime !

Tout le monde dans le carpe diem

Avec à la place des chrysanthèmes;

Le fait d'organiser une fête avec pour thème !

De la sérénité pour que j'aime en paix

Et en liberté,

Dont pour que ça dure tout le temps

Dans la joie !

Dans ma vie de rabat-joie !

C'est toujours la nouba !

Nonobstant et aussi longtemps

Que possible !

Et où pour vivre de façon paisible !

Dans un monde davantage comestible !

Pourvu que je fasse encore la nouba !

Mais cette fois-ci dans la joie !

 

Jérôme de Mars

Faites chanter les oiseaux jusqu'à l'aube !

 

Du sol qui dérobe de vos pieds;

Faites un appel du pied !

En dansant sur vos pieds;

Enjoués de votre gaieté

A La-Gaîté-Montparnasse !

Avec de la paperasse;

Qui bordent vos trottoirs

Sur un Blues Trottoir

En micros-trottoirs;

Qui jettent vos journaux

En tapissant de mots

Vos chansons à chantonner

Sous la douche; qui enrobe

Votre tournée des bistrots,

Où faites chanter les oiseaux 

Jusqu'à l'aube !

Pour qu'il n'y ait plus de prises

De becs !

Avec des mots secs

Sous l'emprise

Des racontars de bistrots;

Qui vous font prendre ombrage;

Tel un poème sous l'orage

Du temps qui trépasse

Sous un nectar de pluie;

Qui essuie

Les pluies diluviennes qui fracassent

L'été en le mangeant à tous les sauces;

Qu'elles soient béchamel ou Béarnaises,

Où en se mettant sur vos charentaises !

Avec vos foutaises !

Faites chanter les oiseaux jusqu'à l'aube !

Dont le sol dérobe 

Sous vos pieds !

Avec pour appel du pied;

Des mots qui tiennent paroles !

Sans qu'il y ait à l'horizon un bémol,

Dont dans un concert de louanges

Au zénith,

Pourvu qu'un piaf édite

Des vies d'ange !

Où pour conjurer le tout

En s'enlaçant autour du cou;

Faites chanter les oiseaux 

Sans modération jusqu'à l'aube !

 

Jérôme de Mars

Un oiseau a volé un ver de mon poème

 

De ma plume inerte;

J'écris alerte

Un poème dernier cri;

Qui reflète le bris

De mon vague à l'âme;

A l'encre de mon mal de mer,

Dont les racines sont austères

Et profondes qui enflamment

Mon emphysème, 

Dont un oiseau a volé un ver de mon poème

Dans une embellie pulmonaire;

Qui sème le revers de la médaille

Avec pour fruit de mon travail;

Des entailles qui taillent

Du bout de mes tenailles,

Dont un oiseau a volé un ver de mon poème;

Qui rime avec un emphysème

De mon embellie pulmonaire;

Après mon embolie pulmonaire,

Où l'ai du mal à respirer 

A part m'étirer dans un café allongé,

Dont ma plume d'oiseau aux ailes brisées;

Rime avec les ecchymoses de mon être déraciné,

Dont j'y laisse des plumes dans mon œdème

Avec pour y voir plus clair;

Le fait que je veux en mettre plein la vue 

Envers mes deux yeux qui sentent les verrues 

De mon âme qui dévie de travers;

Entre la frontière d'en dire peu

Et l'autre frontière d'en dire tellement belliqueux;

Que je souhaite la guerre

Et la mort de la planète Terre,

Dont un oiseau a volé un ver de mon poème;

Qui respire mon emphysème;

Qui sème la plume de moi; le drôle d'oiseau

A qui on ne donne jamais le dernier mot;

Avec en prise de becs pour trouver l'origine

De mes maux;

Le dico pour casser la routine;

Moi; le poète maudit 

Et l'oiseau aux ailes brisées;

Qui a cassé le ver

De son poème

En son mal de mer;

Qui paye la note salée

Aux fruits défendus périmés

D'une vie qui dérive à l'ennui ;

Largement entamée

Et rétamée,

Dont un oiseau a volé le dernier ver de mon poème;

Qui respire mon emphysème,

Dont je finis à l'état de poussière au cimetière.

 

Jérôme de Mars

 

Vaccination générale ou tsunami viral ?

 

Piqûre de rappel !

De putain de sale nature;

Qui en jette plein la figure

A ceux qui ramassent les feuilles

Mortes à la pelle !

Tout seul sur son fauteuil;

A proclamer dans une pique;

A envoyer en répliques

Frontales dans cette France fatale !

Y aura-t-il soit la vaccination générale 

Ou le tsunami viral ?

Que tout le monde paiera 

En espèces menacées !

Rabat-joie où tout le monde

S'en bat !

Et s'inonde

Dans les aléas !

Dont il faudrait prescrire

Contre la rage !

Des cures thermales

Contre le mal général;

Qui sévit dans cette France médiévale

Ou féodale,

Où tout le monde n'a plus que dalle !

Pour vivre dans cet état général

Et où tout le monde crève la dalle !

Avec pour apporter contre la colère

Des gens; des prières 

Prescrites par un pasteur,

Pour les apaiser au grand air

Débonnaire; avec des p'tits bonheurs !

Quelques heures par semaine

Dans la bedaine

Des gens qui en ont gros sur le cœur !

Dont le pasteur proscrit

Le mal sur Terre;

Et prescrit 

De la poésie,

Afin de vaincre le mal délétère

Que subit la planète Terre !

Face à ses névroses crépusculaires,

Et dont de sorte à éviter le déluge

Avec du grabuge;

L'exécutif général

Demande aux Français sauvages !

La vaccination générale

Ou le tsunami viral;

Entre soit avoir le choix

D'être pris en otage;

Ou soit écouter des paroles sages

Et verbales

Du peuple à bas étage ;

Avec comme remède contre la connerie

Des gens; des théories

Qui passent de la théorie; 

Et qui trépassent question idéologie

Avec une réponse pratique;

De façon systématique

Aux remords de cette France névrotique

Et frénétique;

De  peur de s'emballer à la moindre balle tragique,

Et dont question synchronique;

Tout le monde préfère-t-il la vaccination générale

Ou le tsunami viral ?

Avec pour piqûre de rappel;

Le Covid 19 qui vide les bourses plaines; qui épellent

Ceux qui s'en foutent pleins les poches !

Et ceux qui ont les pétoches !

De ne pas savoir si le mieux est d'être vénal;

Ou d'être tout simplement magistral;

Avec un peu de moral

Dans ce monde si animal,

Où les gens ont-ils à la place d'un cœur de lumière

Une rancœur de pierre ?

Et si pour terminer de façon phénoménale;

On demandait en général

Au peuple; s'il préférerait de façade

Ou tout simplement avec sérénade;

Faire une balade

En composant une ballade;

A l'apologie 

De votre choix choral 

Pour rentrer dans les annales,

Dont la poésie

Rimerait avec la vaccination générale

Ou le tsunami viral ?

 

Jérôme de Mars

Avant que le ciel nous tombe sur la tête !

 

Décroche la lucarne !

Et la lune !

Avec des étoiles 

Emplies de toiles;

Qui décrochent le ciel !

Avec pour mettre les voiles

Des bateaux artificiels;

Irréels dans le ciel,

Et dont en une;

Il y a des comètes

Dans le ciel;

Qui égrène dans La Marne,

Avant que le ciel nous tombe sur la tête !

Et qu'il retombe dans un sacré casse-tête !

Tel un nuage superficiel; 

Qui montre pour images 

Des rêves imbibés de nuages;

Avec en ramages

Des chansons chronophages,

Avant que le ciel nous tombe sur la tête !

Et qu'il tienne tête !

Aux jardins qui tombent dans les oubliettes

Sur un arc en ciel; 

Qui fredonne en ritournelles;

Ici là l'espace viable dans le ciel intemporel !

Qui habille pour l'hiver

Des endroits extraordinaires,

Dont les gens s'rappellent solidaires !

Avec en inventaire toutes ses facettes

Au ciel,

Avant que le ciel nous tombe sur la tête !

Et dont pour décrocher les sans ciel;

Accroche et raccroche vers l'essentiel !

Le sens universel; 

Et appelle à l'aide sans casse-tête !

Avec en-tête un pense-bête !

Avant que le ciel monte en flèche 

Sur l'arc en ciel revêche

En ayant une pêche d'enfer,

Avant que le ciel nous laisse tomber sur la tête !

 

Jérôme de Mars

Point sensible

 

Point virgule;

A la virgule prêt,

En touchant 

Au point sensible    .

Le point sensible    .

Fait le point ostensible............

Avec en appoint extensible.............................

Une mise au point étirée.-

En mettant entre parenthèses  (       )

Trois point de suspension  (  ...  )

Dont le point sensible .

Donne un bon point.

En gagnant un point sensible   .

Et en prenant tout au pied 

De la lettre en minuscule m

Pour donner un coup de point. .

En l'amplifiant en majuscule M

Et en faisant un point d'honneur .

Qui demande en point

D'interrogation pourquoi  .?

Il a de l'embonpoint d'exclamation ......... !

En jouant les phrases de son spectacle

Au Point Virgule;

Avec pour à point extensible............................ .

Et appoint ostensible................

Le fameux point sensible    .

Point sensible   .

 

Jérôme de Mars

La farandole des mots sans paroles

 

Festival Val de Marne !

Vive la fête qui incarne

La farandole des mots sans paroles;

Qui notent salé sur un piano quelques bémols

En voguant sur le radeau de la muse;

Qui en jouant sur les guinguettes de la cornemuse;

Organise une musique de fanfare 

Ayant pour folklore un signal far

Breton; avec pour dicton des phrases qui guettent;

Et épient de la musique de ginguettes

A Nogent sur Marne;

En chantant sur Seine lors du festival Val de Marne;

Qui incarne

La farandole des mots sans paroles;

Qui riment avec l'air des rossignols;

Et qui survolent avec pour noms de plumes

Les oiseaux aux ailes brisées; qui y laissent des plumes

Du fond de leur enclume;

En chantant La France désenchantée

Au pays enchanté pour interpréter

Une partition à la mesure

D'une perdition en démesure; qui augure

D'un festival Val de Marne;

Qui incarne

La farandole des mots sans paroles,

Dont on connaît la musique

Instrumentale ! Avec à la place des mots synchroniques; 

Quelques morceaux de musique anachronique 

Avec pour maladies chroniques;

Des airs de musique à chanter en chœur de misère

Pour remettre à leur place ceux qui ont un chœur de pierre !

Qui inaugurent

Un nouveau lieu qui dévisage les nouvelles figures

Du festival Val de Marne;

Qui incarne

L'espoir qui vogue sur les gondoles !

Pour mener en bateau 

Qui dérive jusqu'à l'eldorado,

Où tout le monde sera; il est beau !

Où tout le monde sera; il est gentil !

Et où la vie sera qu'harmonie

Sur le radeau de la muse !

Qui rendra ivre de ruse

La poésie des troubadours maudits;

Avec pour hymne à la vie

Des journées à se prélasser au soleil tactile, 

Et dont grâce au festival Val de Marne !

Voici la poésie à proprement parlée qui incarne

La farandole des mots vraiment sans paroles.

 

Jérôme de Mars

J'ai cassé un ver !

 

Oups ! J'ai un problème !

Car ça y est; j'ai cassé un ver !

A cause des revers

De ma vie,

Dont je dévie

Tous mes travers

Avec l'art et la manière,

Quand je casse un ver !

A problèmes,

Où pour que ma vie devienne un poème;

Qui rime avec bohème;

Eh bien ! J'avoue que j'ai cassé un ver !

De poèmes,

Dont j'en fais un carpe diem,

Afin que ma vie de bohème sème

Un système D solidaire;

Aidé par le système solaire,

Dont eh bien ! J'avoue que j'ai cassé un ver !

A problèmes;

A cause des revers

De ma vie de bohème,

Dont j'attends la fin de ce poème

Pour résoudre tous mes problèmes

A travers mes travers

De mon côté solitaire/ solidaire,

Où pour que ce verre à problèmes

A cause de tous mes travers;

Se revigore en un ver de poèmes;

Eh bien ! J'en fais une poésie

A mon effigie !

Avec l'art et la manière,

Si bien qu'envers

Moi-même eh bien ! J'avoue que j'ai désormais 

Décidé d'arrêter

De casser un ver !

 

Jérôme de Mars

Quand un arc en ciel peint le ciel !

 

Plusieurs deux ritournelles artificielles;

Au pluriel; des colombes ruissellent !

Quand un arc en ciel peint le ciel !

Et dont avec les parpaings superficiels;

Les sans ciel basculent en péchés

Universels; qu'il est difficile de garder

Secret; à l'auberge des souvenirs 

De jeunesse, dont elle est l'avenir !

Avec en ribambelle; une pléiade

De tourterelles qui clament leur tirade;

En plaçant dans une embuscade une passerelle,

Quand un arc en ciel peint le ciel !

De plusieurs aquarelles en caractères

Bien trempées; qui reflètent la colère interstellaire

D'un et sans ciel qui peint pour toile;

Les toiles de la grande ourse qui dévoilent

L'emblème du ciel avec sa tessiture; 

Qui démontre toute sa quintessence

Avec en son escarcelle;

Un soleil huppé de merveilles;

Qui prouve à l'appui sa reconnaissance;

Avec pour système D solaire;

Un système aidé solidaire,

Quand un arc en ciel essentiel

Peint au-delà l'éternel le ciel !

 

Jérôme de Mars

La boîte aux lettres

 

Comme un pied de nez,

Voici un pied de nez

Au destin !

A base d'un festin

Désarroi qui prend tout à la lettre

Et au pied de la lettre,

Comme la boîte aux lettres,

Où la machine à décrire

Me tape sur le système;

De la machine à écrire

Le blasphème

Dans une vie de bohème,

Où j'écris ce poème

En postant dans un facteur

A risques; tout ce qu'il y a de malheurs

En postant

Et en compostant contant

Dans la boîte aux lettres,

Tous mes posts sulfureux;

Qui revendiquent furieux

Mes mauvais côtés de cracheur de feu

Feu le belliqueux; 

Qui a envie de jeter par la fenêtre

Ses paroles d'argent jeté par la fenêtre,

Comme la boîte aux lettres;

Pleine à craquer de remords

Et à croquer les morts

Avec pour croque-mort;

Un appel en renfort

De métaphores; mes tas forts;

Avec pour folklore

Des à tes risques puérils !

De mon comportement stérile

Que j'ai avec mon côté fébrile,

Comme la boîte aux lettres

Avec pour mise en boîte mal-être,

Dont ma lettre

Est la boîte aux lettres;

Très fin lettrée qui sort en boîte

Et qui emboîte

Le pas de mes pas;

Avec pour pugilat

Tous mes posts,

Que je poste et composte

A l'aide d'un compost, 

Car touche pas à mon post, mon poste !

Mais balance ton post, ton poste !

Devant ton écran

Très à cran,

Où tout fout le camp !

Dont je finis en boîte

Au cimetière

Dans un état de poussière,

Dans ce monde à l'envers;

En vers toute ma colère;

Qui petit à petit ! Boîte mal-être; ma lettre,

Comme mes paroles en argent jeté par la fenêtre,

Comme une lettre à la poste

Que je poste et composte

Devant mon poste; mon post;

Avec pour facteur à risques champêtre;

Mon hêtre;

Planté-là comme un arbre;

Qui me laisse de marbre

En jetant par la fenêtre ;

Ma lettre de mal-être

Avec mes paroles en argent jeté par la fenêtre,

Comme ma boîte qui coule mal-être;

Ma lettre, 

Comme une lettre à la poste,

Que je poste et composte

Dans la boîte aux lettres.

 

Jérôme de Mars

 

Un soleil qui fait rire la pluie

 

Contraste du temps bipolaire !

Le temps a fort à faire

Avec son sacré caractère;

Qui oscille en sérénité et colère !

En faisant la fête avec des confettis

Dans une accalmie endolorie;

Avec un soleil qui fait rire la pluie

Pour la faire sourire malgré les péripéties

Du temps bipolaire;

Qui vire sa cuti

Au moindre vent contraire,

Et dont pour continuer à vivre

Malgré les aléas du temps dépéri en hypothermie;

Déconfit et décrépi à l'état d'agonie;

OTAN que le temps s'enivre !

A faire rire et à faire sourire malgré la perfusion !

D'un soleil qui fait rire la pluie

Dans la confusion pour faire diversion

Au temps qui passe;

Et qui trépasse

Tout sur son passage,

Malgré de superbes paysages

Pour bien faire avaler la pilule

Du temps et de ses aléas qui pullulent,

Et dont pour oublier le chagrin

Du temps ! OTAN avoir le béguin

Pour la vie durant le temps qu'elle surgit !

Avec toujours encore un soleil qui fait rire la pluie.

 

Jérôme de Mars

Assis sur un banc en regardant le ciel !

 

Assis sur un banc public !

Qui rappelle la chanson

A chaque saison !

Des bancs publics

De Georges Brassens;

Des tourtereaux

Qui organisent leur mariage !

A l'écoute de la marche nuptiale;

Assis sur un banc en regardant le ciel !

Attendent leurs bans pudiques;

En espérant que de l'encens;

Leur portera espoir, afin qu'il encense

L'arc en ciel; porteur ménestrel

D'une vie davantage postale;

En voyageant vers des contrées lointaines;

En observant et en admirant 

Leurs futures escapades sereines;

En s'enivrant 

Dans un mirage;

D'imminentes vacances essentielles

Dans un voyage de noces pacifique;

Imbibé d'un océan d'amour pacifique;

Assis sur un banc en regardant le ciel !

A attendre le déluge

Avec pour subterfuge;

De l'amour sein en sentiments

Sans ressentiment,

Avec de l'assentiment transfuge;

Ayant pour refuge

Des semblants d'aquarelle;

Assis sur un banc en regardant le ciel !

S'empressant de déposer

Leurs états d'âme névrotiques;

En couchant leurs mots

Sur du papier à musique,

Alors que le mariage de la raison

En cette faim de saison

Qui achève cette année universelle;

Attend du Missel 

Des regards ;

Avec pour égards

Une immense tendresse;

Conjuguée à de la liesse

Dans un élan d'amour;

En attendant le grand jour

Autour du troubadour;

Qui rime en un séjour

Pour l'éternel

De façon officielle,

Dès le mariage du siècle solennel;

Assis rassis impudique

Sur un banc public;

En regardant fixement le ciel !

 

Jérôme de Mars

 

La vie vaut la peine d'être vécue !

 

 

De la naissance à la rue

Malgré la peur de l'inconnue;

La vie vaut la peine d'être vécue !

En sachant que dans l'absolu;

Il faut que les gens cultivent le bien !

O combien dans le Sacristain Chrétien

Pour favoriser le lien social

En des relations amicales,

Car que les gens aient

Une vie dissolue;

Ou une vie résolue,

La vie vaut la peine d'être vécue !

Certes avec peine !

Mais avec O peine !

Pour être open

Et ouvert jusqu'aux plaines

Des montagnes Russes;

Qu'est la vie en sachant

Tout de même

Que malgré les problèmes;

Il y a toujours des solutions !

Pour répondre à l'inconnue

Des questions ardues

En équations,

Dont il suffit juste de trouver

L'adéquation avec au bout

La délivrance dans un ouf de soulagement,

Afin que tout ce monde tienne encore debout !

Pourvu que tout le monde susse 

Que la vie vaut la peine d'être vécue !

Malgré la peur de l'inconnue !

Que comporte la vie aussi tant

Imprévisible que extraordinaire;

Aussitôt époustouflante 

Que sidérante

Parmi le monde des congénères;

Qui parfois se veulent du bien,

Tandis que tantôt les gens s'en veulent

D'être au combien aussi bien,

Alors que le mal des gens esseule

Et divise la communauté

Des copains;

Ce qui amène

Rien de bon malgré l'Amen !

Pour réconcilier dans le bien

Les Chrétiens autour du Sacristain,

Dont il faut bien

Pour redonner du lien

Aux gens les plus isolés;

De l'espoir irrigué

Par la solidarité;

Avec de véritables valeurs

Du bonheur ,

Dont pour que les gens

Ne se fassent des tourments

Pour tout et pour rien !

Il faut être un pour tous !

Et tous pour un !

Avec pour joli coupe de pouce !

Un élan qui cultive la bonté

Et la beauté

De la vie;

Qui embellit

La rue et la peur de l'inconnue !

Car malgré ce que croient in fine certains

Intrus et malotrus;

La vie vaut encore la peine d'être vécue !

 

 

Jérôme de Mars

 

Laurel est hardi !

 

Stan Laurel et Oliver Hardy !

Ben mince en gros !

Laurel est hardi !

Et Laurel hait Hardy

Hardi ! 

Que Laurel est hardi !

Dont Laurel hait Hardy !

Dès que Laurel et Hardy

Vendirent en gros

Leurs personnages

Renfermés deux muets !

Dans leur mutisme parlant

Ben mince !

Dont Laurel est hardi  !

Dès que Laurel hait Hardy !

En plus de cent films,

Si bien qu'ils jouèrent 

Le rôle de leur vie !

Sans se faire de films;

En faisant malgré tout

Sans films,

Dont Laurel hait hardi !

Dès que Laurel hait Hardy !

Hardy que Laurel est hardi !

Et très hardi que Laurel est Hardy !

Dont Laurel et Hardy !

Eh ben mince en gros !

Laurel ait Hardy !

Si bien que Laurel et Hardy !

Dès que Laurel hait Hardy !

Avec pour Hardy;

Laurel est hardi !

En donnant un ultime coup de chapeau

A Charlie Chaplin !

Après lui avoir fait porter le chapeau,

Dont Laurel est hardi !

 

Jérôme de Mars

Les bourdons me filent le bourdon !

 

Frelons ensemble, fredonnons !

Une chanson qui rassemble, 

Dont ne boudons

Pas notre plaisir qui ressemble 

A ce qui nous assemble !

Lorsque personne ne tremble !

Malgré que les bourdons me filent le bourdon !

Avec pour coup de massue;

Ceux qui me foutent le cafard !

Face au cagnard,

Où tous unis et réunis face à l'inconnue;

Frelons ensemble; fredonnons !

Lors d'une lune de miel;

Un appel à la paix universelle

Qui rassemble OTAN !

Les déçus des derniers printemps

Que les nouveaux venus très contents !

De participer à ce nouvel élan

En route vers la réconciliation,

Dont avec cet appel à la paix solennelle,

Les bourdons certes; me filent le bourdon !

Mais font que personne n'est mis à l'écart !

Surtout face au cagnard, 

Dont ensemble ! Ne boudons

Pas notre plaisir ! Mais pensons

A bien nous entendre !

Et à bien nous détendre

En sirotant un café crème !

Avec que des crèmes autour qui s'aiment !

Durant tout le temps qu'augure

Dans un proche futur !

Leurs nouvelles facettes !

En leurs bonnes natures !

A ces gens que tout le monde

Découvre sous leurs fossettes;

Qui fécondent

Ce monde composé de fissures

Et de tristes figures

Déconfites, où pour qu'il y ait une contagion

Dans l'amour et l'affection !

Chantons ensemble avec les bourdons !

Un hymne en effusions,

Malgré que les bourdons me filent le bourdon !

Dont ne boudons

Pas notre plaisir d'être ensemble en harmonie !

Dans une pure plénitude en symphonie,

Dont malgré qu'il y ait les bourdons !

Ne les boudons

Pas malgré que les bourdons me refilent le bourdon !

 

Jérôme de Mars

Rêve parti

 

Rave-party ;

C'est un rêve parti 

Durant le temps imparti !

Avec pour répartie

Un parti pris;

Ou un compromis

Avec concession;

Ou cession

Dans une session

De la scission;

Ou une récession

De la mission;

Avec pour finition

Un rêve parti

Dans une rave-party; 

En cessation de paiement

Dans un magasin,

Avec en magasin;

Quelques objets impartis

Durant le temps hein parti!

Avec pour rave-party

Un rêve parti,

Dont c'est partie remise !

La remise

Pour mouiller sa chemise,

En s'achetant une chemise

A la boutique;

Avec pour dépenses frénétiques

L'envie de s'acheter des vêtements;

En fuyant les gens en courant

Dans les allées avec entrain;

En rêvant de tambourin;

Genre un tambour hein, 

Dont sans compromis;

C'est juste promis

Que dans une rave partie;

Il y ait un rêve parti !

Dont le tout dans un parti pris;

Fait que l'ensemble prend parti !

Avec pour répartie;

Une partie repartie

Dans un temps un parti !

Car une rave un party

En un temps imparti !

Crée une surprise des partis,

Où ça reste juste départi !

Un rêve brisé hein parti.

 

Jérôme de Mars

Le gazouillis des oiseaux

 

Nids de fortune

En une dans la lune,

Il y a souvent le gazouillis des oiseaux;

Qui ont régulièrement le dernier mot

Sans être dans un déni d'infortune,

Tellement que leurs petits; les moineaux

Fredonnent leurs premières chansons opportunes;

A écouter lors de la puberté des jeunots,

Dont le gazouillis des oiseaux

Leur fait apprendre tous les mots du dico;

Avec en images exclusives; leurs réussites

Au zénith, dont les piafs éditent

Leur entière anthologie qui reste dans les annales

De leurs grandes chansons originales et marginales;

A leur image à ces oiseaux ainsi qu'aux moineaux

Dans leur concert de louanges qui fait ricaner les corbeaux;

Qui participent avec les autres oiseaux et les moineaux

Chaque petit matin à cette impro,

Dès le gazouillis des oiseaux;

Qui raccord; leur montre l'envers de la déco,

En lézardant au sommet de la gloire

Dans un réservoir de belles histoires;

A l'image de leurs avantages 

Avec en gage;

Des choses qui semblent interminables

Et qui paraissent insurmontables,

Dont tout le monde, long à la détente !

A comme attentes

Qu'un eldorado

Promis; leur tende la main;

Et que dans un ultime tango;

Un romantique boléro 

De Ravel;

Leur soit transmis fraternel 

Et charnel,

Afin que tout le monde puisse voir le bout du tunnel,

Dont les dernières ritournelles

En secrets de polichinelle;

Ont pour refrain

Et dernier mot;

Le gazouillis des oiseaux.

 

Jérôme de Mars

 

C'est un jeu d'enfant pour le soleil et le ciel !

 

Examens par ciel;

Bientôt il y a les jeux olympiques !

Entre le soleil et le ciel

Dans un océan pacifique,

Dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil

Et le ciel !

Notamment de participer à l'épreuve

Du tir à l'arc en ciel,

Pour monter en flèche

Et trouver sa cible indicible

Dans une aquarelle qui sert de fusible

Dans l'océan pacifique;

En ces jeux olympiques

Très tropiques;

En faisant régulièrement le point

Dès l'embonpoint, 

Dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil

Et le ciel !

De reprendre des couleurs universelles

Dans une ribambelle;

En étant en nage dans l'océan pacifique

En ces jeux olympiques,

Afin de ramer

Dans des canoë-kayak; 

Et de ne pas ramer 

Sur des bateaux;

Qui mènent en bateaux

Le lac, dont il faut se méfier

De l'eau qui dort !

A cause du folklore

Des jeux olympiques;

Qui mènent la lutte romaine

Au dojo 

Sous l'emprise du judo,

Pour que la vie soit un long fleuve

Tranquille ! Dans la ville qui abreuve

L'océan pacifique

Dans une course de fond,

Dont pour gagner la course;

Il vaut mieux of course être marathonien

Que sprinter

Dans un ping-pong verbal;

Sans filet dans un échange oral,

Si bien que c'est de la balle  !

D'avoir un ballon d'essai

En football,    

Dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil

Et le ciel !

Avec ces examens par ciel !

De chausser ses crampons

Sans se couper l'herbe sous le pied !

Avec de petits prodiges de génies en herbe !

Hauts dans leur verbe adverbe

Ici et là !

Dans ces jeux universels;

En jeux olympiques

Dans un océan pacifique,

Dont tout le monde court

Au court d'un match de tennis !

Balle au pied en faisant du raquette;

Pareil aussi sans filet,

Dans un sot en hauteur !

Et dans un sot en longueur !

En durant sur la longueur

Au cours du long cours

De l'athlétisme,

Où tout le monde mouille sa chemise !

Que ce soit le soleil et le ciel

Dans un esprit de conquête d'esthétisme !

En ayant pour épée de Damoclès;

L'escrime de lèse-majesté;

Qui a effleuré

Le tour de France sur piste 

Avec le soleil et le ciel;

Qui ont pour garde-fous

Leurs petits vélos !

Pour pédaler dans l'au-delà,

Si bien que tout tombe à l'eau !

En natation, où le soleil

Et le ciel sont en nage !

En mouillant partie remise

Leur chemise !

Au soleil et au ciel 

Dans ces examens par ciel,

En ces jeux olympiques

Au ciel

Dans un océan pacifique,

Dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil

Et le ciel !

D'être très à cheval en équitation

Pour sauter des sots d'obstacle;

En se donnant en spectacle

Au ciel; de la part du soleil

Et du ciel,

Dont pour terminer ces jeux olympiques

En fanfare;

Dans un océan pacifique

Face au cagnard;

Il est déclaré !

Que personne n'a rien à perdre !

Mais a tout à gagner !

Pour rentrer dans la légende

Des offrandes,

Dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil

Et le ciel !

D'espérer gagner ces jeux olympiques

Dans un océan pacifique;

Avec sérénité

Et en paix, dont le prix de la liberté

Est que la vie soit un long fleuve tranquille !

Qui abreuve la ville

Spirituelle vers l'autel,

De sorte que tout le monde soit logé à la même enseigne;

Ayant pour enseigne

Qu'il n'y a jamais aucun perdant !

Mais que des gagnants,

Dont il n'y a qu'un seul vainqueur

En ces jeux olympiques

Dans un océan pacifique,

Et dont c'est un jeu d'enfant pour le soleil

Et le ciel !

D'avoir en l'occurrence comme unique gagnant;

Le soleil par ciel !

 

Jérôme de Mars

Le complexe de type

 

Maladie psychiatrique

De la guerre des nerfs,

Où le nerf de la guerre

Est que le silence soit d'or !

Et la parole d'argent !

Afin que le complexe d'Œdipe

S'arrange apaisant;

Et se dore

Dans le complexe de type,

Où c'est très complexe

De soigner

Et de réguler

Les névroses obsessionnelles,

Dont le trop plaint d'amour passionnel

Entraîne des pensées névrotiques;

Envahissantes et invalidantes;

Qui empêchent la résilience urgente

A cause des conflits psychiques,

Dont le traitement

A base de médicaments;

Peut se comparer à une camisole chimique,

Pour que le complexe d'Œdipe

Se régule et s'étripe

Dans le complexe de type;

Avec la déformation de la réalité,

Même si le patient a toute sa lucidité;

Conjuguée avec des crises de panique;

Et que la peur peut le rendre tétanique

Avec un mal de mère

A l'origine de son état patibulaire

et bipolaire;

Qui peut favoriser les tocs 

De sa personne très toc toc qu'il retoque;

Avec des pensées suicidaires

Pour rejoindre sa mère dans un état de poussière

A cause de son manque d'affection endurée,

Dont maintenant le patient est dans une affection de longue durée

Dans une sécurité sociale;

Avec ses copains qui lui font souvent une tape amicale,

Dont le manque de sa mère;

Lui donne envie de rejoindre le cimetière

Dans cette vie désorganisée

Et chaotique,

Dont le refoulement de son homosexualité

Ou de sa bisexualité

Qu'il fuit enfoui,

Dont il s'enfuit

Dans de la perversité

Pour se venger de tout le mâle qu'on lui a fait

Dans un comportement asexué;

Qui le rend déçu 

D'avoir une vie dissolue;

Et ne pas avoir une vie normale

Avec un amour rien de plus banal;

Qui soit une déclaration orale

Et verbale;

De ce qui n'est plus fœtale

Et fatale,

Mais quelque chose qui soit le graal 

D'une résurgence

En un total lâcher prise;

Et en prenant du recul

Sur l'emprise

De sa mère qui le bouscule,

Dont après des relations exclusives

Notamment en amitiés viriles;

Il est grand temps après les délires

De la parano;

Et de l'ire

Du contenu des mots;

A l'ambiguïté subversive

Et transgressive;

D'opter en passant d'une enfance puérile

Et de pseudos relations amoureuses stériles

A l'implacable passé de vieux persécuté;

En un avenir davantage apaisé

Et fertile

D'amitiés enchantées,

Malgré ce monde désenchanté,

Si bien que ce patient impatient;

Finira par fredonner réconciliant 

Que le mal de mère qui a le vague à l'âme;

Peut en faire une mer qui chante du slam

En avançant d'un complexe d'Œdipe

Dans le vague;

Vers une nouvelle vague

D'un complexe de type;

Plus du tout si complexe en archétype,

Dont ce patient si impatient;

Se décomplexe complexe en un chic type;

Tel le complexe si simple deux types

En un;

Avec en feint ce texte défunt.

 

Jérôme de Mars

Quand l'amour tombe bien ébat !

 

Bruits de pas;

A pas de géants !

Bienvenue dans le monde des grands !

Quand l'amour tombe bien ébat ! 

A crier de volupté;

En prenant son pied !

Oh ! Ca va vers le haut !

Pour commencer 

Et pour terminer

Au septième ciel très O !

Quand l'amour tombe bien ébat !

Entre des garçons manqués

Fille rabat-joie;

Et des hommes qui jouissent Oh ! 

Yes ! Tout tombe à plat !

Dans un rentre-dedans; 

Direction la source des plaisirs

Solitaires ou solidaires; 

A se faire du bien nécessaire !

A en jouir pourvu que ça tire !

En plein dans le sexe volcan;

Qui bande de son p'tit bout très chou !

Que les femmes aiment déguster

En léchant et en suçant très doux !

Ce qui bande fou !

Ou débande relou  !

Quand l'amour tombe bien ébat !

Et que tout tombe à plat !

En fricotant et en baisant

Avec un doigt dans le derrière,

Sans chichis et sans manières

Avec pour turlute;

Une femme qui suce un homme 

Sans son calbute,

Dont sa bite branle ses nichons

A la femme; qui branle le cornichon

Du garçon; en poussant comme cri 

De plaisirs ! Allez ! Oh !

Yes ! Rien qu'avec les femmes

Et leurs raplalas !

Brûlent les flammes

Du désir des hommes unisexe 

Dans l'amour sans complexe

De leur sexe fleuri;

Perplexe et annexe;

Entre les hommes et les femmes !

Car haut ! En descendant plus bas ! 

Tout tombe à plat !

Quand l'amour retombe bien plus ébat !

 

Jérôme de Mars

Le soleil vend dans son rayon supermarché un beau ciel bleu

 

Service après-vente !

Qu'il évente

Ou qu'il se vante

De rendre service à celui qui vante

Les mérites d'un bon élément studieux;

Le soleil vend dans son rayon supermarché un beau ciel bleu

Qu'il revend ensuite au plus offrant qui a super bien marché 

Dans la surenchère; 

Qui fait les affaires des plaisirs de la chair

A proprement parler

Dans un service par ciel;

Ou et sans ciel !

Afin de comprendre le motif qui en fait tout un dessin !

De son incroyable destin là-haut qui pousse un  !

Des œufs tout frais;

Qui ne sont pas tous mis dans le même panier

Avec en matchs de poules des poussins,

Dont le soleil vend dans son rayon supermarché un beau ciel bleu;

Complice de son rayon de soleil; qui rend hommage à l'amour merveilleux;

Qui fait feu en entretenant toujours la même flamme pour rendre heureux

Les amoureux; qui cousent un magnifique ruban somptueux

Dans un paquet cadeau; qui part comme une lettre à la poste !

Composte en affranchissant les limites dans un post 

Sur Facebook très extrême;

Avec dans le collimateur suprême;

Les mouvements du vent furieux !

Dont le soleil vend dans son rayon supermarché un beau ciel bleu;

Qui a super bien marché dans le sens du vent; qui rend service après-vente;

Et qui se vante

De ce qu'il évente;

En ouvrant pour service public quelque chose qui vante

Les mérites au plus pressé

Et en parant au plus oppressé; 

Avec droit les yeux dans les yeux, 

Un supermarché langoureux;

Qui a hyper bien marché à deux,

Dont le soleil revend dans son rayon hypermarché un beau ciel bleu.

 

Jérôme de Mars

Mère rapporteuse 

 

Porteuse d'espoir;

Rapporteuse d'histoire !

Que ma mère rapporteuse

Qui ne fut mère porteuse;

Fut songeuse

A mon égard;

Moi qui avais toujours le cafard,

Et dont ma mère me distribuait

Ici bas avant l'heure;

Un purgatoire

En bruits de couloir;

De pourquoi ma vie était un dépotoir

Et de pourquoi j'allais finir dans un mouroir

Avec que des malheurs;

Qui allaient surgir nulle part ailleurs

De par ma mère rapporteuse;

Qui naît mère porteuse

Mais qui caftait 

Mon état laminé et délabré;

En médisant auprès de sa famille

Et de ma famille toute mon infâmie;

Même que ma vie ne fut jamais facile

Dans un alpha oméga

De mon état en un delta;

Sulfureux à mon image endolorie

Et flétrie 

De par ma mère rapporteuse;

Qui ne fut ma mère porteuse,

Même qu'elle m'a conçu

Avec mon père dans l'absolu,

Malgré que ma mère ne pouvait

Concevoir un bébé

Avec moi son bébé,

Sinon cela aurait été de l'inceste,

Car même si avec le temps;

Il fallait lâcher du leste !

OTAN fumer le calumet de la paix;

Pas ma mère avec moi !

Mais une fille de joie

Avec moi

Au nom de la liberté !

En soulageant mes pulsions;

Avec en impulsion

Ma mère rapporteuse;

Même que ma mère ne fut

Mère porteuse,

Mais qui rapporta

Tout mon passé controversé

A ses amies; 

Les plus oppressées,

En marchant d'un pas très haut pressé;

Et en me jetant un énième camouflet

Sous des grands airs de sous-entendus;

Avec un air de déjà-vu !

Depuis tous ces aléas;

Qui m'avaient provoqué

Tant de tracas,

Car même si ma mère ne fut

Ma mère porteuse;

Elle fut ma mère rapporteuse,

Que ce soit ma mère cafteuse

Ou la mère affreuse

De toute façon,

Vu que je fus un mauvaise garçon

Du à mon passé déviant;

Dont pour aller de l'avant;

OTAN écouter Boris Vian,

Dont et vlan; 

J'en fais de mon passé décadent !

Au ras des pâquerettes !

Des textes aux paroles chouettes

Pour voler vers le haut avec les chouettes,

Dont en guise de ma mère qui ne fut

Ma mère porteuse;

Tout cela fut le résultat de ma mère rapporteuse.

 

Jérôme de Mars

Seul en Seine

 

Seul en Seine; la vie naît pas un long fleuve tranquille ! Déjà qu'avec le crack; des cracks se shootent à L'Euro, où beaucoup n'en ont rien à foot ! Surtout avec L'équipe de France de football; qui s'est fait sortir de L'Euro avec pour issue sans secours; Les Suisses qui leur ont réglé leurs comptes; en allant droit au but et en leur tirant dessus ! Avec les élections à la fois départementales et régionales; le gouvernement a essentiellement cherché à attirer l'abstention; en faisant basculer le dernier département communiste; Le Val de Marne qui maintenant; dévale à droite et au centre de toutes les abstentions dans ce seul en Seine, où tout tombe à l'eau ! Comme avec les orages qui inondent les réseaux sociaux dans le caniveau ! Où chantons sous la pluie sous cette France désenchantée; qui ne respecte plus sa parole donnée ! Alors que d'ici moins d'un an; les élections présidentielles se profilent avec la république en démarche ! Concernant le Coronavirus; on dit que ça va mieux mais il faudrait savoir car avec le en même temps de Macron ! On nous bassine maintenant avec le Variant Delta qui ne varie pas sa position dans sa pôle position ! En cherchant le pôle Emploi et le pragmatique mode d'emploi de comment réduire le chômage et de trouver du travail à tout le monde ! Que ce soit par le biais du bénévolat ou dans un billet d'honneur; en faisant un doigt d'honneur ou en mettant bien les mains dans le cambouis pour trouver l'essence; et de comment remettre du carburant dans le régime des retraites aux frais des contribuables; qui devront travailler au charbon mine de rien; sans doute de 62 ans à 64 ans pour remettre les régimes spéciaux sur deux bons rails; et au régime général sauf si La CGT cherche à battre en retraite pour mettre au régime le patronat; avant un hypothétique régime nationaliste en France en 2022; si Marine le peine le pays aux dépens des étrangers; qui sont certes étrangers à cette grande immigration en France à vol d'oiseau, et dont pour résoudre le problème de l'immigration et du Coronavirus; il faudrait sérieusement envisager en piqûre de rappel; de vacciner tout le monde contre la rage par le moyen de la prière avec l'aide de la Clinique Pasteur, afin qu'à l'autel des gens qui ont bon cœur, tout le monde soit logé à la même enseigne, comme avec la réforme des APL; qui fait qu'en temps réel; les jeunes sont perdants; ainsi que pendant le mois du Ramadan, où tout le monde jeûne dans ce seul en Seine; noyé par la connerie de la pensée unique, alors qu'il faut de tout pour faire un monde ! Qu'on soit de Mars comme moi; ou de Vénus comme Boris, si bien que les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus, comme le martèle le célèbre dicton; déjà que l'époque que nous vivons; n'est pas normale et est complètement ovni, comme plus personne n'a plus les pieds sur terre et que tout le monde est dans la lune comme Thomas Pesquet ! A rêver utopique et idéaliste d'un monde meilleur; hélas impossible ! Avec certes tout le monde qui déguste en piochant dans ses économies et en ne faisant pas l'économie de sa santé depuis des lustres ! Mais dont grâce à notre coqueluche Coluche; qui est mort il y a tout juste 35 ans le 19 juin 1986, et dont sa lumière nous manque dans notre monde qui hait à l'ombre; grâce à qui tout le monde mange à sa faim; même s'il manque encore un toit à chacun dans le chacun pour soi ! Tandis que s'il y avait un chacun pour toit; les gens; ils leur arriveraient moins de tuiles ! Et enfin pour terminer en bonté ce seul en Seine, allez voir le nouveau film comique sur la politique; qui sort aujourd'hui au cinéma et qui s'appelle : " Présidents; " et je vous en conjure malgré cette époque obscure; ce film en vaut la chandelle avec Jean Dujardin incarnant Nicolas Sarkozy; plus vrai que nature et François Hollande interprété par un acteur, dont je ne m'en rappelle plus du nom; mais qui lui ressemble fortement, dont l'histoire est peut-être dans un futur prémonitoire avec en ligne de mire l'horizon 2022, et dont pour faire barrage à l'extrême-droite; il y a un rassemblement national; avec la gauche et la droite qui s'unissent dans une union nationale, et comme par hasard; l'histoire du film se déroule en Corrèze; et malgré la vache enragée des Français dans ce pis bas de François Hollande, dont les mamelles de La France sont Liberté ! Egalité ! Fraternité ! Et dont la seule façon de résister à la connerie est l'union nationale ! Pour que personne ne se tire de La France; et pour faire en sorte que Les Français ne se tirent dessus dans une guerre civile ! Et où l'unique solution pour ne pas être seul en Seine; c'est l'union nationale, car l'union nationale fait la force libre !

 

Jérôme de Mars

Secrets de polichinelle 

 

Savoir raison garder chères âmes dévouées,

Moins les gens révèlent de choses;

Plus ils restent protégés

Des divulgations de secrets de polichinelle;

Qui provoquent des ecchymoses

A ceux qui ont le privilège d'assister

A ceux qui font la chose,

Comme si tout révéler était comme tenir la chandelle !

Pendant que les autres qui vivent bien leur vie;

Semblent ainsi promis d'avoir réussi

Une pléiade de défis,

Tandis que ceux qui les contemplent dans une vie

Par procuration ! Admettront qu'il n'est jamais trop tard !

Pour sortir du mitard en jouant de la fanfare;

Et être heureux dans des secrets de polichinelle;

A faire sourire et rire le soleil qui ensorcelle

La vie qui parfois; est pareille ou qui impromptue

A coups de confidences dissolues; 

Entraîne un malaise trop embarrassé

Des gens sur le qui vive désenchanté,

Alors que d'être dans le coltard !

Fait que les individus sont soit hagards;

Ou soit simplement que le hasard

Fait bien les choses dans un si grand bazar !

Replié en secrets de polichinelle; 

A admirer mademoiselle et mesdemoiselles 

Leur cœur désempli en miettes;

Avant de tomber dans les oubliettes

De la vie qui fait des ravages

Dans un océan d'étalage de bas étage,

Duquel il semble opportun d'opposer le destin

Au festin; qui mettent tout à plat la fatalité et le déclin

En pseudos racontars

Au café des mauvaises nouvelles;

Qui font que tout le monde se rembarre !

Dont il naît de savoir raison garder

Ce qui plonge les personnes dans l'obscurité;

Qui ensevelis; laisse-béton au cimetière !

Dont une fois après redevenues poussière

Avec leurs âmes repéchées au ciel !

V'là la nécrologie du journal des mauvaises nouvelles

En secrets de polichinelle.

 

Jérôme de Mars

 

                                                 Blagues :

 

 

1)  Pourquoi est-ce-que l'équipe de France de football a-t-elle subi une défaite à l'arrachée contre La Suisse et est-elle éliminée de L'Euro ?

-  Parce-qu'avec son équipe de mauvaises graines; Didier Deschamps n'a pas réussi à cultiver un beau jeu dans son jardin secret !

 

2)  Pourquoi est-ce-que mon père a-t-il toujours été le parfait sosie d'un célèbre ancien présentateur de journal télévisé à moustache ?

-  Parce-qu'à Noël ma mère fut conçue !

 

 

                                            Jérôme de Mars

Les oiseaux volent les Iles Canaries !

 

Loi du talion,

Comme un lion

En cage de ménagerie !

Parmi les canaris;

Les oiseaux volent les Iles Canaries !

En attirant les faveurs des belles demoiselles;

Endormies et attendries

Que ça a plutôt tendance à évoquer un Carrousel;

Qui tourne à en défendre sa patrie;

Et sa famille à quiconque voudrait faire du mal !

Pour rentrer dans les annales originales

Des scènes de manèges entre les canaris,

Dont si jamais il y a des prises de becs !

Il vaut mieux employer des mots pète-secs 

Avec les condors !

Puisqu'on dore

Ces drôles d'oiseaux !

Dont les oiseaux volent les Iles Canaries !

En flattant les plus bas instincts des mâles,

Dont il n' y a pas de mal à leur vouloir du bien

A ces animaux ! Qui aspirent à y nouer des liens

Avec leurs semblables autour d'un enjeu amical; 

Et qui laisse augurer que ce qui peut être inouï !

C'est un bain de minuit parmi les inuits !

Qui les laisse de glace !

En regardant dans la glace

Le surplace qui ne peut plus se regarder dans la glace !

A part si seulement il s'agit d'une armoire à glace;

Qui laisse présager des pertes et tracas qui fracassent

L'île paisible des canaris ! Or le monde est si petit !

Qu'il reste de sacrés dodos parmi les oiseaux

Qui fond dodo !

Et dont en prenant leur envol à vol d'oiseau;

Les oiseaux volent en antivol les Iles Canaries !

 

Jérôme de Mars

 

Le soleil rit lorsque la pluie sanglote !

 

Quand le ciel fait miroiter aux aquarelles;

Certaines chimères qui surgissent pareilles !

Le soleil rit

Lorsque la pluie sanglote !

Et que le froid grelote 

Rebelote dans une partie de belote;

En jouant cartes sur table avec harmonie

Dans des effusions de larmes qui s'écoulent !

Pendant que des larmes de crocodile 

Font pleuvoir la pluie à la grenouille;

Indocile et qui ne rend la vie facile

A personne qui gargouille !

Dont la faim justifie les moyens !

A quiconque déploie tout un chacun

Une vie quelquefois tactile

Et tantôt versatile;

Dont le soleil rit

Lorsque la pluie sanglote !

Au moindre souci;

Qui fricote

En trompant l'ennui

Des filles faciles;

Qui asticotent

Les mauvais garçons;

Très à cheval ! Chaud ! Les glaçons !

Y a le feu à la maison !

Dès que tout s'enflamme sur le paillasson !

Et dont il faut des quiproquos !

Afin que tout tombe à l'eau en sanglots !

Quand plus rien ne va !

Et que tout se foudroie

En drames dans le désarroi !

Et que dégage la joie rabat-joie !

Alors qu'un simple mot du dico

Suffit parfois à relever le niveau !

Dont le soleil rit

Lorsque la pluie sanglote !

Entre avoir le choix de jouer du pipeau 

Dans de la camelote;

Et fumer le calumet

De la paix

Dans un joli paradis;

Entre un soleil d'aplomb

Et des nuages gris;

Qui pètent les plombs

En leur mettant du plomb

Dans leur tête

A ces maudits poètes,

Comme quoi la vie c'est soit faire le fanfaron

Dans une bande de cons !

Ou soit être facétieux et audacieux

Tout en restant sérieux !

Mais dont le plus important !

A conjuguer à tous les temps

De la vie !

Entre accalmie et dépit !

C'est de conjurer le malheur !

Et de jurer rien que par le bonheur !

A chaque jour qui fait la vie !

Malgré les aléas avec la famille

Et les amis,

Et dont dans la vie;

Il faut rester droit dans ses bottes !

Avec à fortiori le soleil qui rit

A l'infini insoumis,

Lorsque la pluie grelote et que rebelote !

 

Jérôme de Mars

 

La forêt enchantée des artistes

 

Chanteuse dont c'est l'arbre qui cache la forêt ! C'est une interprète très téméraire

du nom de Françoise hardie; qui arrive près d'un tronc d'arbre renfermé dans sa coquille Saint-Jacques du tronc d'arbre, et dont en l'espace d'une minute ! Françoise hardie entonna l'appel de la forêt enchantée que Saint-Jacques du tronc d'arbre; fit son bonhomme de chemin en se transformant en homme; aux allures de dur à cuire blouson perfecto, tandis que Françoise hardie le nomma Jacques du tronc d'arbre; dont pour tenir parole ! Françoise hardie écrivit comme texte de chanson : " Partir un jour " que Jacques du tronc d'arbre mit en musique puisque Françoise hardie dit dans ses paroles à Jacques du tronc d'arbre; puisque vous partez en voyage ! Faites-moi une place ! Dans la forêt enchantée des artistes, dont l'appel fit prendre des râteaux à Jacques du tronc d'arbre; qui vola la plume d'oiseau de Françoise hardie pour s'envoler en musique, puisqu'on connaît la chanson ! D'où Françoise hardie pour récupérer sa plume et son duvet à Jacques du tronc d'arbre; écrivit sur une feuille morte à l'automne de sa vie très opportuniste; afin qu'untel gentleman Arsène Rupin du nom de Jacques du tronc d'arbre; vole aux riches leurs paroles en argent, de sorte qu'il rende à Françoise hardie; son manuscrit de ce jardin extraordinaire dans la forêt enchantée des artistes; tels deux playboys manouches sans guitare, dont pour faire leur bonhomme de chemin; ils eurent un bonhomme du nom de Thomas du tronc d'arbre très hardi, dont c'est un jeu d'enfant d'appeler la forêt enchantée des artistes ! Avec impair Jacques du tronc d'arbre et une à mère Françoise hardie, car Puisque vous partez en voyage lors de l'appel de la forêt enchantée des artistes ! Retenez bien le message personnel que vous envoient les cactus en piques de paroles ! Dont il est 5 h quand Paris s'éveille VIP dans la forêt enchantée des artistes !

 

Jérôme de Mars

 

 

Grain de bonté

 

Grain de folie;

J'ai le béguin du génie

En herbe;

Ou qui s'coupe l'herbe

Sous le pied acerbe !

Duquel j'ai un grain;

Qui jette son venin

Dans un grain de bonté;

Qui remplace ma beauté 

Physique par ma beauté 

Du cœur,

Malgré ma rancœur;

Qui s'conjugue épicée

Et mijotée

Avec de la liqueur,

Pour faire office de laideur

Dans la noirceur,

Alors qu'il y encore un cœur

Qui bat la chamade !

Dans une ballade

En vigueur

Avec mon grain de bonté;

Qui a un sacré grain

De beauté intérieur

A l'intérieur de mon cœur;

Qui remplace métaphysique

Ma beauté physique,

Mais dont ma rancœur

Chante en cœur;

Utilise ton cœur !

Par cœur

Pour chanter 

La France désenchantée,

Fredonnée dans tes cantiques;

Qui remuent ton âme névrotique

De maudit artiste poétique !

En répercussions

De tes obsessions;

En chantant ton cœur

Qu'on s'le dise !

De ton grain de bonté;

Qui a un sacré grain

De beauté intérieur

A l'intérieur de ton cœur;

Qui remplace ta beauté physique

Dans ton cœur d'acoustique,

Et dont le seul tempo harmonique 

Donne en refrain

Sans Alex sans grains;

Un grain de folie;

Mélangé à du pur génie,

Génie en herbe;

Qui s'coupe l'herbe

Sous douze pieds  

Au verbe acerbe !

Et dont pour couper la rumeur

Qui fait office de tumeur

En ton intérieur;

Intéressons-nous donc plutôt à l'intérieur

De ta beauté intérieure !

Qui bat la chamade 

A l'intérieur de mon cœur !

Dans cette ballade,

D'où je chante dans une sérénade;

Cette singularité

Pour partir en beauté

De mon grain de bonté.

 

Jérôme de Mars

Ah ! Sang dent  !

 

De par mon jeu d'écriture;

J'ai la dent dure !

Ah ! Sang dent  !

Si bien que je suis des sang dent  !

Avec des ascendants

Et des descendants

Parmi les sans dent;

Tel que l'avait martelé

François Hollande;

En en faisant

Tout un fromage Hollande  !

Ah ! Sang dent  !

Quand François Hollande

Avait labouré

Sur les terres d'Hollande;

Qu'il péchait d'orgueil !

En y jetant un coup d'œil !

Ascendant et descendant

Sur les sans dent !

Ah ! Sang dent !

J'ai la dent dure

Pour Hollande,

Autant qu'un haut lande !

Dans un jeu d'écriture,

Dont je cache ma posture

Sous des airs d'imposture !

Que je jette en pâture

En y faisant pâle figure !

Ah ! Cent dent !

Ca y est j'ai des cent dents !

Et des sans dents !

Oh ! Lande !

Je chasse sur les terres d'Hollande

Jusqu'à François Hollande !

Depuis sa Corrèze; 

Qui sent le Oh ! Lande balèze !

Dans un jeu de cirque de trapèze,

Dont avec mon signe ascendant

Et descendant !

Je termine ce texte à sans dent !

Ah ! J'ai cent dents à sans dent !

Des sans dents !

Où je finis de mal tourner

En ayant maintenant cent dents !

Avec des à côtés très

Ah ! Sang dent !

 

Jérôme de Mars

 

 

Les nems ont des magasins !

 

En magasin;

Les champs élisaient !

Des magasins au champ;

Au carrefour de la rue,

Pour que tout le monde se rue

Dans la cohue !

Et dans un sacré bazar !

Si bien que les nems 

Ont des magasins !

D'où l'on rit quant on est !

Car quand on aime !

On ne compte pas

Les nems !

Si bien que les nems

Ont des magasins !

Des nems !

En remportant

Le marché

Dans un appel d'offres

Et de la demande;

Que quémandent

Ceux qui ont marché

Au supermarché

D'après la loi du marché;

Qui a marché

Sur les plates-bandes

Des magasins;

Avec en magasin

Des rayons,

Dont les nems

Ont des magasins !

Aussi bien

Quand les frères tanguent !

Le kir qui ne peut saké

Le big bang culturel

Aux sushis;

Qui mènent le monde

A la baguette

Chinoise ! Située au carrefour

Du magasin du nouvel an Chinois,

Pour défiler amical

Autant que syndical !

A porte qui choisit

Les nems,

Dont quand on aime !

On ne compte pas

Les magasins !

Avec en magasin;

Des nems arrivés

Au bout du rouleau 

De printemps,

Dont les nems

Ont heureusement

Encore en magasin;

Des magasins !

 

Jérôme de Mars

 

 

Mon petit doigt m'a dit !

 

Doigts en éventail !

En comptant sur mes petits doigts;

Soit en ayant et en gardant la main;

Ou soit en partant du bon pied;

Mon petit doigt m'a dit !

Que mes ongles incarnés

Avaient incarné

Une prise en main;

Ou une reprise

En main;

En étant entre de bonnes mains;

Et qu'il fallait que mon petit doigt

Donne un coup de pouce !

A mon pouce qui pousse

Mon index,

De sorte qu'il montre le bon chemin !

Dont mon petit doigt m'a dit !

Que quand il serait majeur;

Il passerait la bague au doigt

A mon annulaire; 

En prêtant mon oreille

A mon auriculaire,

Pour donner des coups de pouce

A mon pied qui écorne mes doigts de pied;

Avec en coups de pousse

Mon accord majeur,

Entre mes doigts de main

Et mes doigts de pied,

Pour tomber dans un gai pied

A portée de main,

Dont mon petit doigt m'a dit !

Que pour mes doigts de pied

Prennent leurs pieds

Dans un coup de pousse;

Il me faut donner un coup de pouce

Majeur à mon index

De mon doigt de pied,

Afin qu'il épouse mon annulaire;

En passant la bague au doigt

De pied comme pour deux mains !

Dont il faut que je nettoie bien mon oreille !

Avec mon auriculaire

Avant d'avoir de l'urticaire,

Et dont j'ouvre ensuite bien mon oreille

Avec mon auriculaire !

Dans mon accord majeur,

Entre mes doigts de pieds

En partant du bon pied; 

Et mes doigts de main

En donnant un coup de main

A portée de main !

Dans un joli coup de pouce;

En indiquant avec mon index

La bonne direction à suivre,

Pour épouser mon annulaire

En mettant la bague au doigt,

Car pour que je prenne bien mon pied

A portée demain !

En partant du bon pied !

Il me faut donner un coup de main !

En gardant la main

Et en prêtant main forte;

Car pour le coup de main;

Mon petit doigt

Me l'a toujours dit !

 

Jérôme de Mars

Ah ! Ces sœurs !

 

Ames sœurs;

Evitez de filer à L'Anglaise !

Sur la terre glaise 

Sèche cons sirs !

Comme vos consœurs !

Qui sont des cons sœurs !

En parlant de façon sèche !

Ah ! Ces sœurs !

En votant assesseurs revêches;

Terre ferme  !

Où tout le monde se renferme !

Et la ferme à la ferme !

Ah ! Ces sœurs !

Qu'on appelle sans sœurs !

Messieurs ! sans cœur !

Et messieurs ! Les censeurs !

Votez comme vos sirs !

Ah ! Ces sœurs !

Dont vos sœurs

Sont vos consœurs;

Avec pour âme sir

Vos vagues à l'âme sœur !;

Dont vos cons sœurs

Sont comme vos hommes

Des sans sœurs ! !

Et des censeurs !

En somme pour votre pomme

Dont en votant assesseurs;

Vous avez pour âme sœur !

Ah ! Ces sœurs !

 

Jérôme de Mars

 

A tort

          et  a  des  ra

                              iso

                                 ns   !

 

 

 

Retors  Michelle 

                       To

                        rr    a  tor                            ais

                                     t    e            es     r      ons  !

                                           t    a   d

 

 

Qui   f  t     q  e     cha            ai   s                  et          e       t

        on        u           que      s      o  n     tord        donn          ort

 

 

 

Retord           to                  l'or   a dix  lui   dort  !

              et   re   r s        or

 

 

A tort  est  à        is  ons    qui  a  sûrement                  pro              raiso

                    déra                                            se  s         pr  e  s                ns

 

 

D'imaginer  que 

                            l           i son   se  to            a tort   si   le               s       retor

                              a    ra                    rd   et                         to  t        e            d    et

                                                                                               r    

 

 

Re

    t                     la   rai   n   com     temen  t    re

      rouve                    so             p lè                 tor s

 

 

A tort retors                            déra         s     don             la raison   d    pl             fo

                      et  à raison               ison                 t                          u      u s         rt

 

 

Retor                                                        rt           e                       ra                d

         s      a  toujours  raiso                 to                t    a    des         isons         érais

                                            n       à                                                                   ons  !

 

 

 

Jérôme de Mars

La mer qui a le vague à l'âme

 

Vague à l'âme !

C'est un mélodrame

La mer qui a le vague à l'âme;

Pic et pic et colegram;

Bourré bourré ratatam 

Pour vous mesdames

Pour qui cette trame;

Est en train d'être 

Un tram;

Tel un rouleau de vagues;

Compresseur dans le vague

En vous jetant par la fenêtre;

De la mer qui a le vague à l'âme

Au creux de la vague qui rame

Dans le vague infâme ,

Comme si cette femme

Est la mer qui a le vague à l'âme;

Distributrice de mauvaises nouvelles;

Qui nivellent par le haut ce tour de manivelles,

Alors qu'il suffit d'un drame !

Pourvu que la mer hisse !

Oh hisse ! Dans un nouveau tour de glisse

En menant en bateau les flibustiers ;

Qui piratent leur jeu d'insubmersible intégrité,

Dont la mer qui a le vague à l'âme

Renvoie sous un pseudo slam;

Tout ce que clame

Pic et pic et colegram;

Bourré bourré ratatam 

Les quidams, 

Dont la mer a tous les vices !

Si seulement elle a pour novices

Quelques expériences qui rétament

La mer qui a le vague à l'âme;

Qui rend l'âme 

Avec une lame

De rasoir,

Dont sa vie est rasoir et dérisoire

En surfant sur la nouvelle vague;

Qui rencontre avec la nouvelle vague;

Le cinéma,

Ainsi que les filles de joie rabat-joie !

Dont un sain 

Et un sein ;

Qui traînent ici et là !

Et par-là !

Font des saintes nitouche;

Des à chattes à nouvelle cartouche,

En fumant le calumet de la paix

A ces garçons trop déjantés,

Dont c'est ça le prix de la liberté !

Car en route vers tout ce ramdam !

De la mère à la mer qui ont le vague à l'âme.

 

Jérôme de Mars

Si soleil, tu étais sur un petit nuage !

 

Au septième ciel !

Avant que le ciel

Te tombe sur la tête !

Petit ou grand soleil;

Dévoile nous tes facettes !

Avec aucun nuage

A l'horizon !

Bercé de jolis paysages

Près de ton balcon,

Où tu vogues

En moussaillon

Dans un long monologue,

Où tu écris de ton crayon !

A travers ton rayon

De toi; soleil !

A destination du ciel !

Donne-moi une raison !

Cher collègue spirituel;

De croire en mes ramages

Pour remplir ma page;

Avec en messages

Des mots sages,

Car si jamais un jour; je suis dans la lune !

Promets-moi que tu me mettras en une !

Où en me parlant; tu me diras

A moi !

Si soleil, tu étais sur un petit nuage !

Voudrais-tu que je remplace les orages

Par ton sourire enjoliveur qui serait merveille ?

En ton chant poétique 

Et ludique;

Avec aucun nuage

A l'horizon !

Tellement que tu resterais fidèle !

A l'autel du bon Dieu;

Logé à la même enseigne qu'un ciel bleu !

Et dont par le plus merveilleux

Des hasards !

Toi qui es hagard !

Serais-tu intéressé

Et fasciné que de ta destinée;

Tu remplaces

De façon éternelle et solennelle

Le ciel 

En disgrâce ?

Afin que tu enlaces

Ta peau de soleil !

De sorte qu'elle influence

Le royaume universel,

Dont toi; le simple passeur

D'émotions; tu donnes pour affluence

Considérable de par tes talents d'orateur !

Le Missel !

Si bien qu'il n'y aura plus aucun nuage

A l'horizon !

Depuis ta pôle position !

Avec en illumination

Ta résurrection !

Qui donnera pour images

De radieux paysages,

Dont de tes mots sages;

Tu voudras qu'on te rende hommage !

Dans un prodigieux message

Avec pour adage; 

Plus aucun nuage

A l'horizon !

Si jamais soleil, tu étais sur un petit nuage !

 

Jérôme de Mars

Blague :
Qu'est-ce-que ça sera si on arrive à me persuader de me flinguer sans me soutenir dans ma démarche ?
- Ca sera un suicide insisté !
Jérôme de Mars

Caractère bien trempé

 

Lettres de caractère bien trempé !

Dès que l'écriture se livre

Et s'enivre

En prenant tout à la lettre; 

Avec son caractère bien trempé;

Détrempez-vous !

Le jeu met en joue

Et joue en mouillant sa chemise

Avec son caractère bien trempé;

Qui ajoute d'une solidité déterminée

Que rien ne peut lui faire perdre la mise !

Malgré que de ses lettres manuscrites;

Sont retranscrites 

Ses lettres de caractère bien trempé;

En s'prenant une trempe bien trompée !

Détrompez-vous et détrempez-vous !

Son caractère bien trempé

Est amplement mérité !

Avec pour vérité

Une mise en joue;

A laquelle tout le monde renoue

De nous à vous !

Ou de vous à nous !

Dans ce monde de fous !

Qui prend tout à la lettre 

Avec son caractère bien trempé;

Détrempez-vous !

Car après avoir mouillé sa chemise;

Ce n'est que partie remise !

Avec pour répartie;

Son caractère oh ! Très bien trempé !

 

Jérôme de Mars

La voiture se rallie au rallye !

 

Fou rallié !

Que la voiture se rallie

Au rallye

Avec aussi Coralie;

Qui se rallie

Qu'au rallye;

En ralliant

Et en alliant

Sally qui salit

Le rallye;

Qui se rallie

A Ali et Coralie;

Qui allient

Le rallye;

Qui se rallie

Encore Ali;

Avec pour fou allié

Un fou inter allié;

Rallié par Ali

Et Coralie;

Qui rallient

Le rallye;

Qui allie Ali,

Dont la voiture Bélier

Signe sous le signe du Bélier

Son meilleur Ali;

Qui rallie

Le meilleur rallye

Avec Coralie

Pour vivre pour le meilleur qu'au rallye,

Dont la voiture se rallie au rallye !

Pour le meilleur Ali qui allie;

Et qui rallie le rallye

Pour le meilleur rallye;

Entre fous qui allient

Et qui rallient

Ali et Coralie;

Pour le meilleur Ali

Coralie; qu'au rallye,

Dont la voiture s'allie

Et salit à Ali et à Sally;

Qui se rallient au rallye

Jusqu' Coralie,

Dont la voiture Ali

Coralie qui allient

Le rallye qui rallie

Le meilleur rallye;

Avec pour meilleur Ali

Coralie qui allient et qui se rallient

Qu'au rallye qui rallie

Le rallye

Pour le meilleur Ali;

Qui se rallie qu'au rallye,

Dont la voiture qui allie Ali

Se rallie d'Ali à Coralie;

Du meilleur rallye,

Dont la voiture rallye

Salit le meilleur Ali qui s'allie

Et se rallie à Ali

Pour le meilleur rallye,

Dont la voiture à Ali

Se rallie en meilleur Ali

Au rallye !

 

Jérôme de Mars

 

 

Blague :

 

 

Que demande une femme à un architecte pour ne pas se faire baiser financièrement et professionnellement par lui ?

- Un plan Cul !

 

 

Jérôme de Mars

La mauvaise tête des hommes largués

 

Panne de cœur élagué;

Certaines mâtinées 

Reflètent un miroir

Aux alouettes,

Dont le mouroir

Fait une pirouette

Au destin qui fracasse

Tout ce qui s'passe !

Et qui tourbillonne

La mauvaise tête

Des hommes largués;

Que la vanité sillonne

En y mettant les moyens !

Qui prêtent

Main forte dans une langue 

Exsangue; qui tangue

N'importe quel jour !

Face aux vautours;

Qui leur jouent des tours

En invoquant l'amour;

Qui semble exagérer

La mauvaise tête

Des hommes largués

Par leurs femmes;

A proprement parlé

Tout feu tout flamme !

Qui sans-gêne; réfrène

Leurs penchants effrénés; 

Qui en malentendus d'acouphènes;

Bourdonnent férocement les fossettes

De la mauvaise tête 

Des hommes largués;

Et paumés de leur paume

De main; qui embaume

Leurs maudits destins;

Qui jettent la veuve et l'orphelin,

Vies à vies de leur solitude égarée

Dans leur vie désœuvrée;

Et déconnectée par la connerie

Des imbéciles;

Qui indociles;

Envoient promener 

Les ignorants semblant des ratés;

En froid devant un café frappé;

Ames perdues absolues;

A supporter et à affronter

La peur de l'inconnue,

Face à l'étendue;

Qui paraît une superbe balade

En jouant une ballade de sérénade

Sans chichis,

Avec pour jardin secret;

Elagué et décimé

Depuis belle lurette,

La très mauvaise tête

Des hommes largués

Dans un vague à l'âme dissolu;

Mise au point révolue.

 

Jérôme de Mars

 

Les coccinelles roulent en voiture !

 

O pelle moyen de locomotion miniature !

Les coccinelles roulent en voiture !

A la vitesse lente du vent;

En marchant et déroulant comme des grands,

A p'tits pas de fourmis !

Qui fourmillent en pas de cigales;

Aux dépens des fourmis;

Qui chantent avec frénésie

Un do ré mi;

Qui vole la ritournelle

Des tours de manivelle,

Quand les coccinelles roulent en voiture !

En partant à l'aventure en magasin devanture;

Qui mangent en ayant une p'tite fringale,

Dès l'appel de l'haut pelle avec en rappel !

Une marque de voiture o pelle;

Qui emmène en villégiature

Le grand appel du 18 juin !

Avec en refrain;

La générale de gaule qui épelle

La marque o pelle,

Quand les coccinelles roulent en voiture !

Qu'on appelle les bêtes du bon Dieu,

Si bien que les coccinelles ménestrels

Arriment en bagatelle ;

Un couplet précieux et fabuleux,

De quoi le fruit de leur amour

Accouplé donne naissance !

Avec en roulement de tambour

L'essence, lors de l'encens

Des troubadours qui pullulent

Après s'être doré la pilule,

Et dont ils ont réussi à fortiori;

A faire avaler la pilule

Aux coccinelles; avec en magasin

Un luxe sûr sur luxure,

Pour les coccinelles

Dans une ritournelle; qui déroule sans frein !

Comme ça s'déroule enfreint  !

Et dont ça s'enroule ayant pour refrain !

Les coccinelles qui roulent non-stop en voiture !

 

Jérôme de Mars

 

Les araignées peignent une toile de peinture

 

En dormant à la belle étoile;

Les araignées peignent une toile

De peinture

Dans un hôtel quatre étoiles;

Pliées en quatre toiles,

Dont c'est de l'art de diseuse

De bonne aventure !

Qu'elles soient songeuses

Dans leur nature;

En faisant en simultané

Comme les hirondelles;

Un printemps dans une ritournelle

De chanterelles; en accordant

Synchrones les instruments à vent;

De façon poétique

Et bucolique;

En chantonnant le soleil

Superficiel et délesté,

Duquel les araignées peignent

Une toile de peinture;

Ou tissent des fioritures

En recueillant des châtaignes;

En contemplant un hôtel quatre étoiles;

Et en dormant à la belle étoile,

Si bien que par la chevauchée

Au contact du chevalet

Très à cheval laid;

Et bien à fière allure

Sans déconfiture;

Les araignées peignent

A l'arrachée;

Une toile de peinture.

 

Jérôme de Mars

 

Ramone la cheminée !

 

A voile et à vapeur !

Telle est Ramone !

Qui ramone la cheminée !

Et fait feu comme locomotive

De son âme émotive;

Elle ou lui Ramone !

Dont le prénom est qu'elle ou il ramone

La locomotive en train de dégager

Sa vapeur ;

Vue toute la chaleur,

Quand Ramone a bonne

Ou mauvaise mine;

En allant au charbon;

Qui la ou le mine, 

Comme en taillant la mine

De son crayon;

Qui ramone la cheminée !

Au coin du feu 

Vers le chemin né;

Qui respire un peu mieux,

Quand Ramone ramone la cheminée !

Et accueille ses amis qui l'acheminent

Route de la destinée;

Qui bifurque en leitmotiv !

Dans la locomotive

En moyen de locomotion,

Avant qu'il y ait un feu de cheminée !

Avec Ramone qui ramone la cheminée !

Vers le chemin né

Dans le sens de l'action,

Dont ramone le chemin né !

Si bien que Ramone la cheminée !

 

Jérôme de Mars

Un architecte qui fait des plans sur la comète

 

La tête dans les étoiles !

A voile

Et à vapeur!

Ca marche au quart d'heure

Américain ces diverses facettes !

D'un architecte qui fait des plans

Sur la comète;

Soit très plan-plan

Ou en ayant une chienne de vie

A la rantanplan;

Qui remercie avec bonhomie

Un architecte qui fait des plans

Sur la comète;

En ayant la tête

Sur une autre planète

Que sur Terre;

A part s'il déterre la hache de guerre

Interstellaire ! Vas-y voir ! 

Tout naît que matière !

A en pleuvoir un abreuvoir

De mauvaises nouvelles,

Si bien que la galaxie ruisselle

D'un architecte qui fait des plans

Sur la comète

Sous forme de saynète;

Qui est trop plan plan

En ayant une chienne de vie;

Qui dévie

A la Rantanplan;

A en pleurer

Des larmes de regrets;

Se rappelant enfant

Qu'avant le néant !

Il y avait encore des toboggans

Pour prendre des gants

Avec les enfants,

Avant qu'ils ne deviennent grands !

Et que le monde adulte 

Leur soit méchant !

Dans le tumulte  

Que sculpte l'horizon bouché;

Qui aurait émergé

Vis-à-vis d'eux en galères,

Alors que grâce à un architecte

Qui aurait fait des plans sur la comète;

Ils y auraient vu stationnaires

Des gens qui sont dans leur planète;

Qui s'en délectent !

Et qui en même temps !

Leur auraient provoqué des fossettes

Dans cette vie de tourments avant

Qu'ils ne tombent aux oubliettes !

Une fois défunt au cimetière;

Intemporel et universel

Parmi l'éternel infini !

Qui aurait établi

Durant tout ce temps nonobstant;

Ce pourquoi il faut rester débonnaire

Sur la planète Terre,

Car avant que l'esprit

Une fois mort; s'envole vers un inventaire

Du bilan de leur vie à ces êtres ordinaires !

Il faut faire de sa vie quelque chose

D'extraordinaire et de nécessaire,

Afin de voir la vie en rose,

Et dont ainsi pour ne pas tomber en miettes

Dans les oubliettes !

Il faut que grâce à Rantanplan;

Toujours très plan-plan !

Que cette chienne de vie

Redevienne une chienne en vie;

Avec qui partager ses envies

Sous forme de défis,

Si bien que pour ériger

Un sanctuaire

Parmi la communauté des oppressés;

La galaxie et le paradis recherchent un plan B

Avec aux manettes;

Un architecte qui fait des plans sur La Terre nette.

 

Jérôme de Mars

 

 

Blague :
Qu'est-ce-qu'un architecte a toujours en dernier recours s'il n'est jamais logé à la même enseigne que les autres ?
- Un architecte a toujours en dernier recours un plan B
Jérôme de Mars

Les travers de l'apolitique

 

Dialogues imaginaires entre amis et famille face aux travers cocasses de l'apolitique :

 

Jérôme B :   "  -  Bonjour Philippe quel est le sujet aujourd'hui au centre de tes discussions ?  "

 

Philippe B :  "  -  Le sujet au centre de mes discussions, c'est qu'aujourd'hui; tu es très extrême soit très gauche ou soit très mal adroit !  "  

 

Jean-Paul G :  "  -  Et ben !  Moi Jéjé !  Je ne sais plus quelle direction prendre, car l'apolitique, je m'en fous car comme disait Coluche ! Je vote blanc ou nul, et c'est cela le centre de mon intérêt; ne plus voter !  "

 

Brigitte Y :  "  -  Moi; je prends le gauche de façon extrême; et c'est cela le centre de mon vote même si je m'en fous du centre de l'apolitique !  "

 

Jérôme B :  "  -  Moi, j'attends un rassemblement national pour voir si je vote pour la république en marche ou au centre extrême !  "

 

Adel A :  "  -  Moi, je vote tout le temps à gauche en prenant le gauche de façon très gauche à droite !  "

 

Alexandre S :  "  -  Moi, le centre de mon vote, c'est déchirer ma carte d'électeur, car les hommes politiques, ils nous prennent tous pour des cons !  "

 

Christophe P :  "  - Moi je m'en fous des élections du moment que ce n'est pas le rassemblement national qui arrive au pouvoir ! Sinon La France risquerait de prendre l'eau sous-marine ! Si là ! Marine le peine l'état du pays! Le centre de mon vote; c'est de barrer la route au rassemblement national !  "

 

Boris P :  "  -  Moi sans être très gauche; je vote pour le moins pire à savoir au centre gauche très à droit !  "

 

Jérôme B :  "  -  Moi ce qui est au centre de mes discussions; c'est de prendre le gauche afin que je sois très gauche en dérivant vers le centre droit très droit !  "  

 

Lionel L :  "  -  Moi si jamais; le Rassemblement National arrive au pouvoir en France en 2022; et bien j'irai faire un rassemblement national avec ma mère en quittant La France pour La Thaïlande !  "

 

Serge K :  "  -  Jérôme; je comprends ta colère face à tes amis et à ta famille; qui dans le passé t'ont laissé tomber; ne t'ont pas toujours vraiment compris; ou n'ont pas toujours été disponibles pour toi, mais je t'en prie; ne vote pas pour le Rassemblement National en 2022 car sinon il y aura une guerre civile en France !  "

 

Jérôme B :  "  -  Mais non Serge; ne t'inquiète pas; je voterai pour la république en marche extrême, car il y a déjà un rassemblement national parmi mon entourage, afin que je vote par des faux pour le moins pire !  "

 

Catherine B-P :  "  -  Jérôme; même si en France; tout fout le camp !  Ne vote surtout pas en 2022 pour que tout foute le camp de déconcentration, mais vote pour un rassemblement national dans la république en démarche !  "

 

Guillaume L :  "  - Mon pote lascar; ne vote pas pour l'extrême-droite en 2022; vote de façon extrême; très à gauche jusqu'au centre trop mâle adroit dans un rassemblement national !  "

 

Farid H :  "  -  Moi je m'en fous de la politique, comme je suis désabusé ! Je vote pour un rassemblement national au centre dès abusé en marche de l'apolitique ! "

 

Jérôme B :  "  -  Rassurez-vous; je voterai au centre extrême de la république en marche; en prenant le gauche et en étant très gauche, pour que le centre soit très droit dans un rassemblement national; trop mâle à droit ! Voilà les travers de l'apolitique !  "

 

Jérôme de Mars

 

 

Cœur de pierre

 

Pierre à l'édifice, Pierre a un cœur de pierre en jetant la pierre à Jade, son amie la plus proche, dont Pierre fait une pierre deux coups, lui le vieux fossile en lançant une jade à sa mère Aigue Marine, dont l'aigue marine fait des ricochets sur l'eau; en lâchant une perle dans le corail de l'eau sous marine; en ayant des bleus à l'âme turquoise; avec un cœur de pierre en étant payé au lance-pierre, dont Pierre a anguille sous roche dans du granite; dans son cœur volcan bleu océan sur La Côte d'Opale en vacances, dont une fois regagné son Paris; il utilise sa carte Emeraude de vieux handicapé, alors que quand il était jeune handicapé, il utilisait dans Le Val de Marne sa carte Améthyste, dont là ! Pierre a un cœur de pierre chaude qui lance la nuit; une météorite dans les airs, quand il n'a pas les yeux rubis en mettant sa pierre à l'édifice Là ! Pierre avec son cœur de pierre, lorsqu'il regarde le film Topaze avec Fernandel; en faisant une pierre deux coûts, si bien qu'il réécoute Jackie Quartz avec la couleur rose du Parti Socialiste des années 80; en faisant et en refaisant une mise au point de Pierre; sur pierre qui roule n'amasse pas mousse ! Dès qu'il défend rubis sur ongle Célestine; qui elle; n'a plus un cœur de Pierre mais un cœur de pierre de Célestine; qui met des bleus de saphir au rubis qui voit rouge, si bien que Pierre n'a plus un cœur de Pierre, or ! Il voit tout le temps la vie en rose; en admirant en boucle sa pierre quartz rose; avec pour dernière mise au point; un cœur de pierre à l'édifice pour Jade; sa meilleure amie, car le jour où Pierre aura un cœur de Pierre; c'est qu'il aura un mal de mère en perdant Aigue Marine, dont pour garder un cœur de pierre; il lancera une aigue marine dans le corail de la mère sous-marine avec pour note salée; un cœur de Pierre multi-pierres.

 

Jérôme de Mars

Des nymphes qui amusent la galerie d'art

 

Dare-dare; il faut y aller d'are d'are !

Espèces envoie de disparition;

Victimes d'hallucinations en action,

Dont pour épater la galerie d'art;

Il y a des nymphes qui amusent la galerie d'art;

La galerie en y allant dare-dare;

Ou en n'y allant franco prendre l'air d'are d'are,

Dont il faut cultiver son art

Lors des rencards ,

Dont le don de chacun fait que pourquo;i

Il y a de quoi que les grenouilles fassent quoi !

Sur les nénuphars comme dans une galerie d'are,

Où il y a des nymphes qui amusent la galerie d'art

Dans leur corps d'Apollon qui épate la galerie dare

Dare fœtus, dont les mamelles de l'enfance;

Sont La France profonde qui féconde d'innocence;

Ceux ou celles qui en des pis de leur vache enragée;

Et ben maintenant ont une vie engrangée et rangée !

En en faisant tout un art de rencards,

Où il y a des nymphes de tout âge !

Qui amusent la galerie d'art

Dans les parages,

Où il faut aller de l'avant !

Pour avoir quelque chose à s'mettre sous la dent !

Et rentrer ici là par les parois 

De là ! Où l'homme est roi quand il a des éclats

De volupté en prenant son pied !

Malgré que je ne sais si ces vers ont douze pieds !

Que ce soit à contre pied; dans un gai pied ou un guêpier,

D'où de là; les grenouilles ou les crapauds !

Qui sont beaux ou qui ont des corps beaux !

Disent des gros mots

En cherchant l'eldorado;

Pour copuler;

S'accoupler et coucher

Ces mêmes refrains;

En train

De faire l'amour;

Chaque jour

Aussi qui suffit

De leur vie !

Ou qui embellit

Le fin mot de leur répartie 

Dans une triste litanie !

Dont pour épater la galerie d'art;

Il faut prendre l'air d'are d'are !

Et se dépêcher d'are d'are  !

Motus

Et bouche cousue !

Que le fœtus 

Soit bouche-bée décousue ou qui sut

Qu'il sue

Qu'il faut qu'il y ait encore toutefois

Toute foi !

Qu'il y ait des nymphes qui amusent une dernière fois

La galerie d'are d'are.

 

Jérôme de Mars 

Un lac dans un bain de foule

 

Baignade face aux cailloux

Et à ceux qui sont dans l'eau;

Qui font les grippe-sous !

En faisant des ronds sur l'eau

Triple salto; 

Qui lancent un regard de drôle d'oiseau

En nageant leur corps impatient;

De se frotter au courant

Sur un lac dans un bain de foule;

Qui déroule un tapis rouge qui bouge

En étant dans le vague; 

Qui élague Madrague, 

Comme à Saint-Tropez;

Qui drague les badauds

En sirotant une délicieuse bière

Rousse ! A quelques kilomètres

De La Cannebière; 

Qui erre sur le parterre;

Qui ouvre les fenêtres

Pour mouiller sa chemise détrempée

De par son caractère bien trempé qui refoule

Ceux qui pour qui tout baigne !

Sur un lac dans un bain de foule;

Où personne ne dédaigne

A consoler et à accoler

Les saules pleureurs;

Qui prennent sans arrêt

Des châtaignes;

De par la méchanceté

Des jaloux et des voleurs

D'innocence qui déroulent

Ainsi le tapis rouge !

Afin que ça bouge

Maintenant pour de bon !

Aux préambules de la belle saison,

Et dont pour rentrer dans le moule;

Place sur place

A ceux qui s'enlacent;

Au bord d'un lac dans un bain de foule.

 

Jérôme de Mars

Que les poètes vous fassent rêver !

 

Sur les lignes parallèles 

Du triangle des Bermudes isole celles !

Que les poètes vous fassent rêver !

En bifurquant vers la légèreté

Et le meilleur dans ce qu'il y a

De plus émois; en franchissant 

De grands pas

Vers la démesure

Et la désinvolture;

Qui progressent impertinemment 

Et insolemment très fréquemment;

En réclamant des slams endiablés,

Pourvu que les poètes vous fassent rêver !

De rêves ultra doux à faire les fous

Sur la plage de la mer; à en jeter

Son dévolu 

A n'importe quel inconnu;

Qui borde les jeunes loups

Aux dents longues,

Pour cirer le parquet en tongs;

Et avec humanité et authenticité;

Que les poètes vous fassent rêver !

Qu'ils soient désabusés, maudits

Ou des abusés avec pour mots dits

Une mélodie; qui marie

La bluette et le blues en harmonie;

En surfant sur la Terre nette

Avec pour finir cette saynète;

Qui fait des plans sur la comète !

Où il faut y voir une amourette !

Dans un fond romantique;

Frénétique et névrotique;

En espérant que la vie

Soit une immense forme de bonté

Et de beauté;

Avec singularité

Et sincérité,

Et dont le dernier mot 

De l'humanité en guise de rétro;

Pourvu que les poètes

Vous fassent éperdument rêver !

 

Jérôme de Mars

 

Même si c'est une goutte d'eau dans l'océan, c'est la mer à boire !

 

Du sang qui coule dans ces veines !

C'est toujours la même rengaine

D'avoir de la haine

A chaque fin de semaine,

Dès l'approche du week-end !

Alors qu'au mieux; un simple happy-end

Suffirait à effacer mes déboires

Du boucan de tous mes tourments,

Car même si c'est une goutte d'eau

Dans l'océan, c'est la mer à boire !

La misère de ma vie;

Qui sévit dans un cœur de pierre,

Où je souhaite la guerre

A la place de l'harmonie;

Avec des milles indécents

Jusqu'à Cévennes

Du sang qui s'écoule dans ces veines,

Où ma poésie contestataire

Est un inventaire

De ma vie à l'ennui,

Où j'essuie la suie

Qui ramone ma mine;

Qui va au charbon

Qui a mauvaise mine

En coups de crayon,

Et où tout se termine

En feu de cheminée;

Qui embrase la destinée

De ma vie à l'hérésie,

Car même si c'est une goutte d'eau

Dans l'océan, c'est la mer à boire !

Tous mes déboires

Avec de gros sanglots;

Qui font échos

Avec ma vie qui sent le déversoir

Dans un dépotoir,

Dont le risque de cette triste histoire

Est que ça finisse mal en retard à l'allumage,  

Comme ma vie qui fout le camp !

Dans un inextricable embouteillage,

Où je souhaite qu'une chose

Que ma vie s'achève en nécrose ,

Où j'ose espérer que mes névroses

Me feront quitter ce monde plus rose

Du tout; même si ce poème n'est une prose !

Dont je dispose vu que je compose

La mer à boire

De tous mes déboires !

Avec en bruits de couloirs

Ma vie dans son purgatoire,

Dont maintenant enfin

Je suis dans l'au-delà !

Pas à pas dans le trépas;

Plus rongé par les remords,

Alors que ma vie ne fut que tracas

Avec pertes et fracas;

De mon vivant 

En mort-vivant;

Qui s'est rongé les sans

Pendant toutes ces années

Sur la Terre, responsable

De ma vie ineffable

Et instable; 

Avec sur le coin de la table

Les fables affables 

De la fontaine,

Pour pleurer 

Toutes les larmes de mon corps;

Pas raccord

Avec mon esprit retors, 

Tellement que j'ai exécré 

Cette vie sur Terre;

A force d'avoir péché

Tous ces poisons;

Qui ont fini par me consumer

De l'intérieur plus que de raison,

Et dont j'implore

Le sain père;

De retrouver ma mère

Après cette vie semée 

De chimères,

Et dont je rejoins des fins; défunt

Ma mère

Là-haut au ciel dans un monde meilleur;

Avec peut-être pour le meilleur

Un peu de bonheur

Du sang; qui coule dans ces veines

Jusqu'à me ronger les sangs;

Qui s'écoulent jusqu'aux Cévennes

Et fort heureusement !

Maintenant avec le temps !

Je lâche du leste !

Car pour le reste,

Même si c'est une goutte d'eau

Dans l'océan en bris de cristaux,

C'est la mer à boire le désespoir !

De tous mes déboires; 

Fin mot de l'histoire.

 

Jérôme de Mars

La porte à choix multiples

 

Rappel de la forêt !

Les arbres mensongers;

Tels des arbres tronc

En appellent à la raison !

Avec la porte à choix multiples,

Où tout est permis d'espérer

Et d'augurer

De figurer en disciples

En faisant le bon choix,

Malgré que les gardes-forestiers

Bûchent d'embûches !

En ayant la gueule de bois !

Et en parlant la langue de bois

Aux abois, afin de pouvoir porter

Sa lourde croix

Pour montrer de quel bois;

Ils se chauffent dans une lune de fiel !

Qui file le bourdon à la ruche

Avec un cruel dilemme;

En choisissant entre le moins pire qui respire !

Et au pire ce qui inspire !

La porte à choix multiples;

Et qui choisit celle !

Qui sera sienne dans un harem,

Dont tout le monde a toujours le choix

Mois après mois !

En saisissant le juste code possible

Avec la porte à choix multiples,

Comme un questionnaire à choix multiples,

Dont il faut être disciple !

Pour en comprendre le principe,

De sorte que tout le monde s'émancipe

En éliminant les cruches;

Et en volant comme les perruches,

Là-haut sur le ciel !

Comme des mots croisés,

Qui ont une case en moins

De maux décroisés; qui sont en simultané

Dans la porte à choix multiples,

Dont tous les disciples

Sont au possible !

Le bon choix final un flexible !

Mission impassible !

Quand c'est la lutte finale

En franchissant l'étape amicale !

Dont tout le monde a gagné

En étant disciples;

La porte à choix multiples.

 

Jérôme de Mars

Un océan de peines

 

Pluies diluviennes dans La Mer Morte !

Que les amours semblent mortes !

Alors que dès le surgissement du matin;

Dehors ! Le compteur intemporel

Se remet à zéro vis à vis des incursions;

Qui paraissent au loin

De bien p'tites choses de la sorte,

Tandis que la vie démarre tantôt solennelle

Et tantôt irréelle

Dans un océan de peines;

Qui ruisselle toujours de sa même rengaine

Avec une ribambelle de vague à l'âme;

Qui provoque beaucoup de drames

A chaque peine que fait des effusions !

Qui a pour diffusion

La vie qui naît un long fleuve tranquille !

Mais un pont entre deux souffrances

Qui fourmillent

D'impatience et d'impuissance;

En faisant des bris sur l'eau !

Comme des clapotis en allant à vau l'eau !

Dans un océan de peines,

Que gangrènent

Des flaques d'eau

En échos avec les sols pleureurs;

Qui glissent leurs sanglots

Vis à vis de leurs mélancoliques souvenirs !

En regardant dans le rétroviseur

Sa pénurie de saveurs,

Alors qu'un simple p'tit bonheur !

Remettrait bien

Les pendules à l'heure !

A en médire et à en éblouir

Le prophète; qui fête

La renaissance de chaque matin

Sous le regard malin

Des gens aux plusieurs facettes,

Et dont pour que vogue à nouveau la vie !

Et pour que plus rien ne tombe à l'eau !

Il faut remonter la vie en radeau !

Afin que chacun compose sa propre mélodie

D'une vie qui roule sur l'eau en harmonie !

Et qui passe des sanglots à l'eldorado !

Pourvu qu'un certain matin; égrène

Un océan sans peine open.

 

Jérôme de Mars

Une prairie clairsemée dans un immense territoire

 

Chemin dans les parages;

Il y a un micro-trottoir

Qui arbore une prairie clairsemée

Dans un immense territoire,

Où il faut adresser et envoyer

Un message avec pour paysage

Des plaines et des collines;

Qui dévalent

Et valent

Les souvenirs de l'effet naphtaline,

Comme si la forêt demeurait éternelle !

Effet boule de neige éternel à l'ombrelle !

En manifestant les regrets de l'écumoire

D'une prairie clairsemée dans un immense territoire;

En marchant et en démarchant au temps présent

De quel est le véritable moment intéressant !

Pour nouer des amours ou des amitiés durables !

Entre le sirop d'érable à réciter des fables

De La Fontaine;

Et sur la table,

Où il y a des madeleines

De Proust; qui traduisent des peines qui égrènent

La vie et ses aléas;

Dans une alternance de soleil et d'éclats

D'orages dans le ciel; qui répand

Des rumeurs de bris de couloirs;

En disséminant

Pour la vie !

Et ainsi quelques soient les nuits !

Une grande prairie clairsemée

Dans un si immense territoire.

 

Jérôme de Mars

 

 

A la dérive; j'y arrive !

 

A la dérive; j'y arrive !

Je désespère

En ayant le mal de mère !

Et dont comme j'en ai marre !

J'amarre mon désespoir !

En ayant le mal de mère !

Et en noyant mes histoires noires

Dans un ver solitaire,

Où je broie du noir !

Qui me rend délétère

Au bistrot du comptoir;

Avec ce fond de soleil noir !

Qui prend tout mon oseille

De réservoir !

Car l'humour noir

Est la politesse du désespoir !

En prenant de la bouteille !

Dont à la dérive; j'arrive sur la rive !

 

Jérôme de Mars

Dialogues qui prennent tout à la lettre !

 

 

Dialogues cocasses entre différents amis :

 

1)  Alexandre S et Jérôme B :

 

   Alexandre S :  "  -  Bonjour comment vas-tu Astérix ? "

 

  Jérôme B :   "  -  A mes risques et périls !  "

 

  Alexandre S :  "  -  Pourquoi dis-tu ça ?  "

 

Jérôme B :   "  -  Parce-que je m'appelle Astérisques  !  "

 

2)  Guillaume L et Jérôme B :

 

 Guillaume L :   "  -  Bonjour ça va lascar ?  "

 Jérôme B :   "  -  Bien lascar, aimais-tu comme chanteur Claude François ? "

Guillaume L :  "  -  Pourquoi me demandes-tu ça lascar ?  "

Jérôme B : " Connais-tu les disques Flèches qu'avait fondés Claude François ?  "

Guillaume L :  "  -  Lascar, ta question c'est comme un disque rayé ?  "

Jérôme B :  "  -  Aimais-tu les fléchettes, les 1ères danses de Claude François avant les Clodettes ?  "

Guillaume L :  "  -  Ton disque est plus que rayé; j'ai l'impression que tu m'as pris pour cible avec tes questions en visant bien haut tout ça pour ma pomme d'Api !  "

Jérôme B :  "  -  C'est normal comme tu aimais bien Claude François et comme Claude Français est DCD; et bien; je te pose ces questions à toi Guillaume tel pour ta pomme untel !   "

 

3)  Philippe B et Jérôme B :

 

Philippe B :   "  -  Ca va Jérôme ?  "

Jérôme B :  "  - Oui; ça va Philippe !  "

Philippe B :  "  - Penses-tu que Georges Brassens était marié ?  "

Jérôme B :  "  -  Je ne pense pas car s'il s'était marié Georges Brassens; et bien !

Comme on connaît la chanson; Georges Brassens aurait chanté les amoureux qui se bécotent sur les bans publics !  "

 

4)  Jean-Paul G et Jérôme B :

 

Jean-Paul G :  "  -  Bonjour ça Jéjé ?  "

Jérôme B :  "  -  Bien sûr JP; vas-tu encore voir les matchs du PSG au Parc des Princes ?  "

Jean-Paul :  "  -  Non Jéjé; je ne vais plus au Parc des Princes; je préfère plutôt regarder les résultats du PSG dans l'émission Stade 2; pourquoi me poses-tu cette question ?  "

Jérôme B :  "  -  Parce-qu'on ne sait pas à quel stade en est le PSG vu que Stade 2 est diffusé sur France 3 maintenant !  "

 

 

5)  Adel A et Jérôme B :

 

Adel A :  "  -  Bonjour Jérôme ça va en gros?  "

Jérôme B :   "  -  Oui ça va !   "

Adel A :   "  -  Je pense que pour toi ça va depuis que t'as pris de la bouteille ? "

Jérôme B :  "  Surtout si j'ai pris de la bouteille en l'achetant chez un grossiste qui est la raison principale de pourquoi je pousse toujours le bouchon plus loin !  "

 

6)  Brigitte Y et Jérôme B :

 

Brigitte Y :  "  -  Coucou Jérôme; tu fais quoi aujourd'hui ?  "

Jérôme B :   "  -  Je ne sais pas encore Brigitte et toi ?  "

Brigitte y :  "  -  Moi; je vois mon amie Brigitte dans un salon de thé !  Pourquoi ne m'as-tu pas invité à manger chez toi hier midi avec Philippe ?  "

Jérôme B :  "  - Car j'avais peur qu'à cause de moi hier  !  Et bien que toi et moi; on mange encore notre pain noir avec du pain béni blanc sur la planche  !  "  

 

7)  Christophe P et Jérôme B :

 

Christophe P :  "  -  Bonjour lascar; pourquoi ne m'appelles-tu plus ?  "

Jérôme B :  "  -  Parce-que je ne connais pas le mobile de ton appel !  "

Christophe P :  "  - Tu veux plutôt dire que tu ne connais pas la raison de mon rappel !  "

Jérôme B :  "  -  Non plutôt que si je t'appelle; je ne connaîtrais pas l'objet de mon appel !  "

 

8)  Farid H et Jérôme B :

 

Farid H :  "  -  Bonjour ça va Jérôme; tu n'as pas trop d'angoisses j'espère  ?  "

Jérôme B :   "  -  Et toi ça va n'as-tu pas trop d'angoisses ?  "

Farid H :  "  -  A ton avis Jérôme; quelle est la meilleure solution pour qu'on se suicide tous les deux en même temps sans se rater ?  "

Jérôme B :  "  - Et bien Farid qu'on se suicide tous les deux en même temps en prenant des cachets cachés pour nous comprimer en mélangeant le tout avec de l'alcool en bons vieux acolytes anonymes !  "

 

9)  Serge K et Jérôme B :

 

Serge K :  "  - Comment va-t-il le poète maudit  ?  "

Jérôme B : " -  Un peu comme à la Arthur Rimbaud avec le mal de vivre; mal rasé et où tout dans la vie me barbe; en étant ivre de désespoir et en prenant de la  bouteille  ?  "

 Serge B :  "  -  Ce que tu me dis; ça rime à rien ?  "

Jérôme B :  "  -  Mais non tu te trompes cher Serge ! Je désespère en ayant le mal de mère ! Et dont comme j'en ai marre ! J'amarre mon désespoir en ayant le mal de mère ! Et en noyant mes histoires noires dans un ver solitaire, où je broie du noir qui me rend délétère au bistrot du comptoir; avec ce fond de soleil noir qui prend tout mon oseille de réservoir, car l'humour noir est la politesse du désespoir en prenant de la bouteille ! Et ben tu vois Serge enfin s'arrime à quelque chose ! "

 

10)  Boris P et Jérôme B :

 

 

Boris P :  "  -  Bonjour mon pote, viendras-tu à ma prochaine fête ?  "

Jérôme B :  "  -  Oui à condition que tu ne me prennes pas pour une marionnette ! "

Boris P :  "  -  Pourquoi dis-tu ça ?  "

Jérôme B :  "  -  Parce-que je ne suis pas un guignol qu'on tire avec des bouts de ficelle !  "

Boris P :  "  -  Veux-tu dire que c'est moi qui tire les ficelles ? "

Jérôme B :  "  -  Secrets de polichinelle, je l'ai promis à mon ami Pierrot ! "

 

Jérôme de Mars

 

Paroles de poète !

 

Nenni ni ni !

Oh honni !

Que je suis banni

De mes paroles de poète !

Maudit jusqu'à l'ennemi,

Où ma poésie 

Flirte avec l'esthète;

Ou Les States !

Si je suis dans un état désuni;

Ou dans un état uni à Vitry !

Comme feu Jean-Claude Kennedy;

L'ancien maire de Vitry qui soûla

Un homme à la moto,

Et dont en état d'ébriété

Il renversa cet homme;

Après dans le coma !

Et dont il en réchappa;

Avec en somme

Mes paroles de poète !

Qui signifient qu'après la tempête !

V'là le calme dans l'autarcie !

Et l'hérésie de ma vie qui scie

Mon arbre sur lequel je suis assis !

Dont je mets en maux

La musique qui traîne à-tue-tête

Dans ma tête;

Paroles de poète !

Qui riment avec imbroglio;

Dans mon cerveau

A feu et à sang !

Dont je n'ai pas de mille et décents !

Paroles de poète !

Où tout m'embête !

Et où je rouspète !

Rien à péter !

Et rien à cirer !

De ma vie à me repasser

Dans un home-cinéma 

Tout mon état;

Qui s'fait des films dans la rétro !

A retracer ma vie en dents 

De si,

Où je fus si souvent

Dépassé en dépassant

Les clivages, où je fus

Très gauche;

En voulant tenter

L'extrême-moite !

Paroles de poètes !

Pour constater

Si mes paroles; je les mets en boîte !

Ou si je hoche

La tête dans un sacré

Casse-tête; paroles de poète !

Que je dépense bête

Avec pour pense-bête !

Ma ligne extrême mâle à droite !

Si je bouge ainsi soit

En voulant me venger

De tout ce qu'on m'a fait

En camouflets !

Moi l'un des cons venus;

Qui traîne dans la rue;

Moi, le sinistre inconnu

Dans la rue,

Dont je clame 

En réclame !

Que mes dernières paroles

Ambiguës sont destinées sans bémol;

Vis-à-vis de mes amis les bêtes !

Ultimes paroles de poète !

Maudit en vers l'infini;

Puisque ça y est ! Ma poésie

Est cette fois vraiment finie !

 

Jérôme de Mars

Des oiseaux qui volent de leurs propres L !

 

Youpi, un vol d'hirondelles

Fait le printemps !

A n'importe quel temps !

Qui s'envole avec les tourterelles;

Et survole attire d'L !

La raison pour laquelle;

Les hirondelles

Et les tourterelles

Sont des oiseaux

Qui volent de leurs propres L !

Et de pourquoi les ménestrels 

Battent de L !

En mangeant les mots

Des vers de poèmes;

Qui sèment

Les drôles d'oiseaux;

En leur mettant le bec dans l'eau

Aux hirondelles

Et aux tourterelles frivoles,

Dont à tire d'L !

Et en battant de L !

Les hirondelles

Et les tourterelles

Restent des oiseaux

Qui volent de leurs propres L !

En antivol.

 

Jérôme de Mars

Poème bipolaire

 

Vers lents vers vers

L'an calendaire !

Voici ce poème bipolaire;

Qui souffre de changements

D'humeur variant avec le temps !

A tous les instants précaires

De la vie; qui souffle une certaine bohème

A travers ce poème

Bipolaire et aussi libertaire;

Qui rappelle les journées charnières

Et plénières avec de la matière première;

Qui sifflent un vent de liberté

Avec à chaque journée

Ce poème bipolaire;

Qui change de cap, dès que tourne

La direction du vent ! Qu'ajournent

Les changements d'humeur !

De ce poème bipolaire;

Tantôt crépusculaire dans la noirceur

Qu'égrènent certains jours délétères;

Et sitôt après dans la lumière du bonheur,

D'où surviennent de bien meilleurs jours clairs;

Qui prouvent soit la fatalité

Ou sursoit la volonté aux plus pressés !

Que quiconque peut parer

A n'importe quelle autre éventualité !

Des imprévus de la vie en solennité ! 

Ou sinon braver l'autorité !

En se prémunissant contre l'envers

Avec l'art et la manière populaires

De ce poème bipolaire;

Qui change à la moindre fulgurance 

Des turbulences

Du temps imprévisible,

Dont les conséquences semblent invisibles,

Mais hélas tout de suite aussitôt visibles !

Et indicibles avec le temps !

Malgré que les rimes essaient

D'occulter les contrastes du temps !

Des gens paumés et désemparés;

Qui riment à une œuvre

Hors-d'œuvre avec à la manœuvre

Guillaume Apollinaire,

Dont ça part dans tous les sens !

Quand la poésie bipolaire 

Encense ou offense !

De par sa liberté de ton incendiaire !

En avalant des couleuvres 

Et en faisant des poèmes en slam !

Ou à portrait à charge qui déclame

Des proses qui riment à rien !

Ou qui arriment avec entrain

A quelque chose !

Soit par des névroses ou soit par l'osmose

Du dessin au dessein;

Qui voyagent dans le cosmos,

Dont la poésie bipolaire

Ose changer d'air

A ceux qui ne manquent pas d'R !

Qui rament sur le quai du dernier métro;

A force que la poésie bipolaire

Leur dise des mots de travers

Et de trop;

Déclassés et ah clamés ! Scabreux;

Bêtes et méchants en leurs côtés affreux !

Soupe olé olé et dont le dernier mot

Est nouvelle ère !

En vue de quitter la Terre; 

Une fois achevé ce poème bipolaire.

 

Jérôme de Mars

Le ciel pleure ses larmes de pluie

 

Adieu la nuit !

Dont pour un jour,

Le jour se lève !

Et prend la relève !

Avec des confettis

Durant l'amour;

Qui grandit

L'espace d'une embellie

Avec de la liqueur,

Quand le ciel pleure

Ses larmes de pluie;

Et regrette de ne pas avoir

Ouvert son parapluie;

Quitte à boire

L'eau de la pluie;

En dépit 

Et bien tant pis !

Si le soleil laisse tomber

Les nuages et leur communauté,

Si bien que sans vigueur;

Le ciel pleure

Ses larmes de pluie;

A déplorer éplorée

Sa neurasthénie;

Qui déborde de mélancolie

En faisant la courte échelle

Au soleil; qui groseille 

De déconfiture; en ouvrant

Sa fraise de par le vent 

Dehors; qui s'en va pour 

Toi ouvrant ! Rénovant

Les peines de cœur,

Quand le ciel pleure

Ses larmes de pluie;

Et boit le désespoir

De la misanthropie !

En guise de déboires

Qu'il y a dans le torrent

Des pluies diluviennes;

Qui surviennent

Chaque semaine !

En bifurquant

Du jardin d'Eden

Au sanctuaire obscène;

Qui emmènent

Les saveurs

Du palais empalés

Jusqu'au rebord, 

Et à tribord;

Avec pour palet

Des faux-jetons;

Que les rejetons

Refoulent ! Car avant l'accalmie

Ambiante du soleil triomphant !

Voici encore pendant quelques temps !

Près des saules pleureurs,

Le ciel rétamé de ses bleus qui pleure

Ses larmes de pluie sans parapluie...

 

Jérôme de Mars

 

On est comme on naît !

 

Inné, il naît aîné !

Comme y naît !

On est comme on naît !

Dont on n'est comme on est !

Si seulement on naît !

Comme on n'est !

Dont on est ce qu'on n'est !

Qu'on est comme on naît !

Inné comme il n'est; est né

Ou y naît comme il n'est !

Dont on n'est ce qu'on naît !

Et qu'on naît comme on est !

Inné comme on naît !

Dont on est comme on naît !

Et qu'on n'est comme on naît !

Si et seulement il n'est inné !

Comme il naît !

Dont on naît comme on est !

Inné comme y n'est !

Il n'est dont il naît !

Dont un con naît !

Quelqu'un qu'il connaît  !

Et qu'il reconnaît !

Inné, comme il naît

Y né dont on n'est !

On est comme on naît !

 

Jérôme de Mars

Un ciel bleu cinq étoiles

 

Soleil au beau fixe

Du chant des oiseaux;

Qui donnent un concert

De louanges à leur zénith !

Qu'un piaf édite

Sous un ciel bleu cinq étoiles,

Que mixe

Un DJ qui trouve les mots;

Face au soleil qui dessert

Une toile; qui dévoile

Des accords raccords 

Et synchrones;

En taillant la zone

Et en veillant à l'envers

Du décor

Sous un ciel bleu cinq étoiles,

Que remixe 

Un DJ qui retrouve mémos;

Face à la lune 

En écoutant I-Tunes

Sur la couche d'ozone;

Comme une toile inachevée

Qui s'voile 

D'impatience désabusée !

Tels un soleil et une lune

Dans une rixe

Du chant Elysées des oiseaux;

Qui achèvent leur ultime concert,

Dont Edith Piaf édite

A leur zénith !

Un mix

Et un remix; 

En renaissant comme des phénix,

Sous un ciel bleu linéaire

Très cinq étoiles.

 

Jérôme de Mars

Des oliviers qui ont bon cœur de palmiers !

 

Route des vacances;

Dans un saisissant

Ciel bleu d'insouciance !

Qu'il est éblouissant

Qu'il y ait des oliviers

Qui ont bon cœur de palmiers !

Avec des palmiers,

Le long de l'allée

Pour égayer l'été

Avec une once de légèreté;

Qui ravit les cœurs

Choux-fleurs

Des demoiselles;

Qui regardent le ciel

Avec de l'ardeur

Dans leurs yeux;

A admirer la providence

Qu'en substance d'essence;

Seule La Provence

Permet d'offrir en mangeant

Des cœurs de palmiers;

Qui rappellent en s'en délectant

Qu'il y a des oliviers

Qui ont bon cœur de palmiers !

Vues les circonstances;

Qu'égrène uniquement

La constance 

En démangeant la rancœur

Des palmiers qui n'ont bon cœur

De palmiers ! Avec des palmiers

A la place des saules pleureurs,

Où seuls des oliviers qui ont bon cœur

De palmiers !

Peuvent gâter

Les gens

Face à leurs tourments;

En faisant reluire le soleil

Pourvu qu'il leur fasse faire 

Un tour de Carrousel,

Pour qu'ils oublient leurs misères

Et leurs chimères qui exacerbent

Leurs colères; de par leur verbe 

Acerbe en s'coupant

L'herbe sous le pied !

Où seuls des oliviers qui ont bon cœur

De palmiers !

Plantent des oliviers et des palmiers,

Afin que La Provence

Soit un Havre de paix;

Avec pour accoutumance

Des essaims d'abeilles,

Si bien qu'ils font passer

Aux gens une bonne lune de miel;

En plantant avec les oliviers

Et les palmiers des orangers;

Qui prouvent que face à l'horreur;

Il y a encore des oliviers

Qui ont très bon cœur de palmiers !

 

Jérôme de Mars

 

Colombe regarde les oiseaux voler

 

Jeux de l'oies;

Qui font loi

Là-haut 

Dans le ciel !

Au sommet

S'déploient des ailes !

Qui montrent leur potentiel

En faisant des démos 

Avec les colombes,

D'où Colombe

Regarde les oiseaux voler

Et survoler 

Les trombes d'eaux;

Qui volent haut

Les ailes des oiseaux,

Dont Colombe

Espère voler les colombes !

Pour voler leurs ailes

Et survoler les arcs en ciel

Dans le ciel;

En prenant de l'altitude

Avec pour habitudes

De voir voler les colombes,

D'où Colombe

Regarde les oiseaux voler;

Et survoler avec majesté

Dans un déploiement d'ailes;

Les tourterelles

Dans un pluriel d'étincelles;

Qui vole comme les colombes,

Dont il incombe

Que Colombe

Fasse comme les colombes !

Qui surplombent

Le ciel 

Dans un gratte-ciel !

Là-haut sur la corniche; 

Qui déniche

Les faiseurs de merveilles,

Pour voler et survoler

Le ciel

Avec un arc en ciel,

D'où Colombe 

Regarde les colombes

Sur volets.

 

Jérôme de Mars

 

 

 

La calanque qui fête les mers

 

Mer paisible sur la rive jetée;

De la baie qui a inventé

Un jour de fin mai extraordinaire

Un dimanche depuis naguère;

En buvant autours d'un ver à mer

La calanque qui fête les mers;

Avec pour note salée

Un raz-de-marée épicé;

Qui voile la face cachée

Des bateaux qui ont ordonné

Leur mise à la mer 

Dans une mission linéaire;

Emise en orbite infusée,

Dont la fusée imaginaire

A diffusé en décalé

La calanque qui fête les mers

Sur un océan pacifique;

Ou qui se retrousse La Manche,

De la mer du nord

A tribord

Jusqu'au mal de mer

Un jour de dimanche;

En allumant le phare Breton

De l'océan Atlantique,

Dont le dicton

Envoie une bouteille à la mer

A la calanque qui fête les mers;

Soit de façon éphémère

Ou qui sursoit la mer Méditerranée;

Qui a le vague à l'âme bipolaire,

Du fête que la mer morte

Devient la mer noire;

Du fait de son histoire

Et de son passé composé;

Qui remonte,

Quand la mer monte

A la calanque qui fête les mers;

De la mer Egée 

A la mer très âgée;

Qui profitent d'un repos 

Bien mérité,

Maintenant arrivées à la retraite;

Avant qu'elles ne soient dérivées

En quête légère,

Dont la requête

Sera la liberté forte

Retrouvée au sein de l'eldorado,

Et à l'année prochaine !

Car chaque semaine !

C'est la calanque qui fête les mers.

 

Jérôme de Mars

Ecoute furtivement le véhicule itinérant qui jazze !

 

Musique mobile habile qui rase

Les murs comme un char assaut !

Ecoute furtivement le véhicule 

Itinérant qui jazze !

Et qui véhicule

Des mots manu militari !

Qui jettent pour credo

Que la musique éphémère

S'écoute le jour de la fête des mères !

En phase !

Avec pour phrases

De récital;

Un concert de louanges à la cigale;

Qui chante la poésie 

Des artistes désabusés;

Qui écrivent des mots 

Qui leur collent à la peau

Sur un fascicule; 

Qui fait un pot-pourri

Avec pour tempo; 

Raccord sur le magnéto

Quelques pépites qui pullulent

Dans ce festival en emphase,

Dont le mobile de la musique

Mobile rend nostalgique;

Qui ordonne en injonction

A ceux qui ont l'oreille musicale !

Ecoute furtivement le véhicule

Itinérant qui jazze !

Et qui rase

Les murs porteurs

Et rapporteurs !

De ceux qui véhiculent

Des mélodies qui bousculent

En noms d'oiseaux !

Des prises de becs 

En exclamations !

En parlant très secs

Avec une guitare sèche;

Qui regarde ses antisèches

Revêches, dont les dernières

Nouvelles semblent fraîches !

Car en guise de final

Durant l'été lors du chant des cigales

A La Cigale !

V'là une voix intérieure

Qui dit et dédie

En un ordre provocateur;

Ecoute une dernière fois furtivement

Le véhicule itinérant qui jazze !

En mouvement du vent !

Dont c'est du vent !

Ce qu'il véhicule  !

Point minuscule.

 

Jérôme de Mars

Rue du slam

 

Pas de quartier !

Ce n'est pas du cinéma

De quartier !

Ce slam

Avec Le Golden Gate Quartet;

Bienvenue avenue

Rue du slam

Avec pour point de salut !

De mesdames quelques quidams

Qui envoient balader en musique;

Cette ballade frénétique et névrotique

Rue du slam;

Qui clame

A grands pas

Ceux qui exclament 

Mes indignations avec en réclame;

Quelques répliques qui rament !

Comme un ordi qui rame en rad !

Boulevard du rade;

A s'raconter de longues tirades

Au bistrot des rembarres !

Assis prêt du comptoir !

A débiter ses boissons

En payant au moussaillon;

Qui écume la tournée 

Rue du slam;

Qui rince l'œil du client

Avec pour s'mettre sous la dent !

Son regard rivé vers ses yeux revigorés;

En fredonnant son franc-parler!

Et en ne mâchant pas ses paroles susurrées

Et suggérées !

Rue du slam

A chanter la vie déchantée qui déclame

De gros maux croisés et arithmétiques,

Sans calculer l'amour des femmes

Qui tombe à pic en piques !

Rue du slam

Avec pour rencards qui draguent !

Des mots pécho

Avec la pêche aux mots,

Dont le programme

Porte sur ceux qui y mettent

Tout leur cœur !

Pour une amourette 

Avant de tomber aux oubliettes !

En faisant des plans sur la comète

Et en examinant leur rancœur !

Grâce à leur électrocardiogramme

Avec en pictogrammes

Des hologrammes !

En leur donnant du temps pour porter 

Pour de faux

Durant quelques heures !

Tout leur fardeau

En grammes !

Rue du slam

Sur du macadam,

Où les temps sont durs !

Et où l'on va tous 

Droit dans le mur !

En coups de pousse,

Où l'Otan d'avant

S'émousse vers le temps déviant !

Rue du slam;

Qui suggère

Pour ne pas que ces vers

Choquent en revers;

Qu'ils mettent des œillères

En les ramassant à la p'tite cuillère !

L'écuyère plus de quartier !

Avec le Golden Gate Quartet !

En prenant la vie du mauvais côté !

Dont ça n'a jamais été

Du cinéma !

De jouer si vrai

Le rôle de sa vie !

Plus de quartier !

Plus de cinéma

De quartier !

Et dont pour bénéficier

D'un droit à l'oubli !

Il faudrait

Une symphonie d'harmonie 

Sur fond de mélancolie !

Avec pour marasme

Que des sarcasmes !

En vous disant salut !

Heureux de vous avoir

Si bien connu !

En vous souhaitant 

Bonne route

Vers l'inconnue !

Avec pour déroute

Une fausse route

Qui fera banqueroute !

Salut advenue !

Qui proclame 

En point de salut;

Rue du grand slam.

 

Jérôme de Mars

 

La fête des Lilas

 

Fais-moi une fleur !

En envoyant une fleur

A Sidney Bechet;

Quitte à élaguer

Le jardin secret

De Sidney qui bêchait

La fête des Lilas;

Qui lit-là

Le festival de Marne;

Qui dévale de Marne

Dans un défilé de chars

Dans la rue qui part

En roulement de tambour;

Sans tambour ni trompette,

Mais en jouant du tambour

Et de la trompette

A feint que ça jase !

Dans un jazz

A la Nouvelle-Orléans,

Pas loin de Paris !

Et à une heure d'Orléans !

Dans Le Loiret;

Qui lit-là

La fête des Lilas;

Pas cher payé,

Si jamais le loir est cher

En dormant comme un loir hé;

Qui marche dans le festival de Marne

Et qui dévale de Marne

En accordant les accordéons;

Qui jouent en joyeux lurons

A la guinguette de Nogent-Sur-Marne;

En étant le chef d'orchestre 

A la fête des Lilas;

Qui lit-là

Les lilas;

Qui élaguaient

Ce que Sidney bêchait 

Dans le jardin secret

De Sidney Bechet;

Très à cheval équestre

En partant du bon pied

Pédestre; qui s'défénestre, 

En jetant l'argent par les fenêtres

Champêtres dans le festival de Marne;

Qui dévale de Marne

Qui lit-là

La fête des Lilas !

Comme une p'tite fleur

Très chou fleur;

A Honfleur

Sur Le Paris Normandie;

Qui en perd son latin au paradis,

Comme le Paradis Latin

Cher aux années 80; 

Surannées boute en train,

Où pour que la fête des Lilas

Ne pète plus de câbles !

Il faut jouer Aimable !

Si Orange ne presse

Personne comme des oranges

Mais O range !

Presse comme des oranges !

Dont Orange s'empresse, sans presse,

Si bien que ça arrange

Tout le monde qui décompresse !

A condition que ce soit la fibre sociale

Qui remplace la fibre optique libérale;

Qui lit-là

Les Lilas

Du festival de Marne;

Qui dévale de Marne

Vitry; qui assène mes scènes

A Vitry Sur Seine,

Car fais-moi une fleur !

En envoyant une fleur

A ce cher Sidney Bechet !

Pour élaguer

Le jardin secret 

De Sidney qui bêchait

Et qui lit-là

La fête des Lilas.

 

Jérôme de Mars

Des clapotis sur l'eau

 

Vague à l'âme !

Le regard dans le vague !

Le jardin secret de l'eau

Elague les mots; 

Qui draguent La Madrague

De ma drague; qui rame

Avec des clapotis sur l'eau

Dans ce monde qui ne tourne

Plus rond sur l'eau !

Quand le mélodrame 

Trame et contourne

Ce bordel de méli-mélo !

En s'méfiant de l'eau

Qui dort !

Genre tempérament faux calme;

Qui redore

De palmes 

D'or; qui adorent

Ceux; qui font

Des clapotis sur l'eau;

A siphon font font à fond !

Et au fond !

Qui acclame

Sur le fond !

Et clame

Celui qui confond

Les ronds sur l'eau !

Dans ce monde qui ne tourne

Plus rond ! Tellement qu'il détourne

Sans ristourne !

Les profondeurs sous-marines;

Qui endoctrinent

Les coraux;

Qui parlent qu'oraux 

Aux verbes beaux !

Des vers mots

Très verbaux

Avec le verbe haut !

Où tout tombe à l'eau !

En faisant 

Malfaisant et mâles faisant;

Des clapotis sur l'eau.

 

Jérôme de Mars

 

                                                      Blague :

 

 

 

Pourquoi est-ce-que je pète sans arrêt des câbles  comme une orange qu'on presse ?

-  Parce-qu'on n'a pas eu assez avec moi la fibre sociale !

 

 

                                               Jérôme de Mars

Les pluies diluviennes

 

D'où qu'elles surviennent !

Les pluies diluviennes viennent;

Et reviennent en quotidienne

Dans la vie qui est un long fleuve tranquille  !

Puis les pluies diluviennes

Passent et repassent

Dans la ville;

Sans se soucier du temps qui passe !

Dont rien n'efface !

Le courant qui trépasse

Dans La Vienne !

Comme quand les valses de Vienne

Valsent en lâchant les rênes !

A part que s'il y a une impasse !

Elles font ressortir le marasme

De la mélancolie; qui fantasme

Le compte-gouttes; qui égoutte

Le doute; qui déroute

Le cours du temps; qui s'écoule

Et dont le tapis rouge qui déroule

L'orage crache son tonnerre !

A faire déguerpir les bols d'air;

Qui partent en courant d'air

A la lisière de la rivière;

Qui s'écoule depuis hier

Jusqu'à aujourd'hui;

A courir vite sous son estuaire;

Qui fait des clapotis

Pour protéger sa vie;

Qui bascule en mouvement

Jusqu'au ciel du firmament,

Quand finira ce vent !

Et dont à la place; il y aura

Au-delà le temps clément !

Le printemps exultant !

Après avoir rouvert les persiennes;

Qui préviennent La Vienne

Que quoiqu'il advienne !

Pourvu que ça devienne

Le jardin d'Eden !

Très loin des pluies diluviennes.

 

Jérôme de Mars et Leg Guitar

 

Après la pluie, y aura-t-il du soleil ?

 

 

Temps instable qui se fait de la bile !            Car face à ces mauvaises nouvelles ;

 

Avec que des tempêtes volubiles,                 On demande à Jean Nouvel,

 

Dont l’ouragan du désespoir                        Après la pluie, y aura-t-il du soleil ?

 

Porte à croire                                               Avec à la place d’une stèle,

 

Que la vie ce n’est qu’un mouroir !                De formidables rituels

 

Alors que malgré toutes ces histoires ;           Pour distribuer de l’amour

 

On implore le missel                                    Aux vautours ; en ces jours si terribles,

 

En disant au Carrousel ;                                Dont il nous faut un séjour

 

Arrête ton manège !                             Paisible ; avec des choses enfin comestibles

 

Dont on veut savoir,                                   Dans la mesure du possible,

 

Si après la pluie, y aura-t-il du soleil ?  Pour ne plus que le monde pète les fusibles

 

Dans un trésor riche qui ruisselle              Avec des gens nouvel,

 

De mille et une merveilles,                        Dont tout laisse imaginer

 

Lorsque les temps difficiles                        Que le monde d’après ;

 

Deviendront l’instant facile,                       Sera, je l’espère ! Logé fraternel

 

Dont le privilège                                        Et délogé insurrectionnel ;

 

Compensera tous les sacrilèges ;            Avec de l’amour charnel,

 

Qu’a subi le florilège                                 Inconditionnel et universel,

 

De la vie ; qui revient en flashbacks ;       Dont la passerelle

 

Avec pour comebacks ;                             Mettra le pied à l’étrier ;

 

Tous les souvenirs anciens à l’autel ;         V’là que des bonnes nouvelles

 

Qui héberge le fond de nos pensées ;        Parmi toutes les communautés ;

 

Avec pour idées                                               D’untel à untel

 

Que face à la colère qui nous empare ;                En lançant pour ritournelle,

 

Il vaut mieux opter pour la prière en rempart,           D’où qu’elle survienne,

 

                                                                                        Après la pluie diluvienne,

 

                                                                                   Y aura-t-il encore du soleil ?

 

 

Jérôme de Mars

 

 

Entre le soleil et le ciel, il n’y a aucun nuage à l’horizon !

 

 

Soleil à la carte vermeille,                                                  Les passants qui épiloguent

 

Qui veille avec une ribambelle                                         Leur long monologue,

 

De merveilles ;                                                                    Pour naviguer en eaux limpides

 

Après les vœux de la veille ;                                             Dans les nuits torrides ;

 

D’au temps qu’entre le soleil                                            D’au temps qu’entre le soleil

 

Et le ciel,                                                                               Et le ciel,

 

Il n’y a aucun nuage à l’horizon !                                     Il n’y a aucun nuage à l’horizon !

 

A part juste regarder se dégager                                     A part consoler les états d’âmes ;

 

L’envers du décor dans le bastion ;                                 Qui ont du vague à l’âme ; qui rame

 

Avec une palette pour peindre                                        Leur cœur étiolé par le fiasco

 

Et s’étreindre                                                                      Des bateaux ; avec pour quiproquos

 

Devant un parterre à l’ombrelle ;                                   Le non d’incertaines destinations ;

 

De la lumière à l’abri intemporel,                                   Dont pour temporiser les larmes diluviennes

 

D’au temps qu’entre le soleil                                           De la mer en proie à une crise existentielle ;

 

Et le ciel,                                                                               Il y a de quoi se rassurer

 

Il n’y a a aucun nuage à l’horizon !                                  En ouvrant les fenêtres persiennes ;

 

A part lézarder d’encre marine                                        Avec vue sur la mer exponentielle ;

 

Les couleurs paisibles de l’adrénaline ;                         A part vous dédier depuis la maison

 

Montée avec un raz-de-marée                                       Sur la mer ; certes quelques bonnes nouvelles ;

 

De moussaillons qui voguent,                                        D’au temps qu’entre le soleil

 

Dès l’instant que la mousson                                         Et le ciel,

 

De l’eau à mer mène en pirogue ;                                 Il n’y a plus aucun nuage à l’horizon !

 

 

 Jérôme de Mars

 

La haine est un tue-l'amour

 

 

A chaque jour

Qui se lève !

Pour respirer l'haleine

D'une nouvelle semaine,

Pourvu mon capitaine;

Que la vie mette le cap !

En tirant le meilleur du handicap

De chacun !

D'OTAN que la haine est un tue-l'amour

Et l'amour entretue la mort,

Et qu'il vaut mieux appeler du renfort !

Si bien que seule, une affection de longue durée

Permettra de se réassurer socialement;

Avec des amis en affections 

Et de l'amour en contagion,

Comme si l'affection à elle-seule pouvait

Soigner et guérir les tourments en y mettant

Des pansements pour renaître sous un nouveau jour !

D'OTAN que la haine est un tue-l'amour;

Et que l'amour à lui-seul est un remède à la vie, à la mort !

Si bien que la vie s'passe à en rire sous un folklore de métaphores !

Pour éclore de l'amour

Et clore la mort;

Avec des jeux de maux retors

Que la vie ait tort ou se déploie en je de calembours,

Comme un certain troubadour qui a des remords !

Entre humour en gants de velours

En pointillés;

Ou en ne prenant pas de gants de velours, 

Fermez les guillemets !

Quand c'est du lourd !

D'OTAN que la haine est un tue-l'amour;

Et que pour être en paix avec l'amour qui entretue la mort;

Il faut prendre un passeport

Dans le but recherché de voguer sur l'amour,

Si bien que quand la vie sera un long fleuve tranquille !

Dans les vies de chacun et bien l'amour sera un tremplin,

De sorte à y planter des jonquilles,

Dont la trêve

Sera que le fardeau s'achève !

En laissant place à une vie de rêves;

Jalonnés d'amour qui entretue la mort,

Dont l'universel trésor

Deviendra pléthore !

A la condition sine qua none

Que la haine soit un redoutable tue-l'amour,

Que l'amour abandonne !

Si bien que la mort prendra des gants de velours;

En se diluant dans de l'amour jusqu'à la fin de tes jours.

 

 

Jérôme de Mars

 

Une après-midi acidulée 

 

En buvant une citronnade douce-amère

Aigre-doux !

C'est pas trop loin du puits du fou !

Pendant une après-midi acidulée;

Qui transpire dans la chaleur austère

D'un monde sans chaleur humaine !

Mais avec chaleur des pleines,

Où sont très lourdes les valises qui stressent;

Qui appellent à l'aide les balises de détresses !

Une certaine après-midi acidulée;

Dissimulée sous des apparences radieuses

De façade à l'escalade de bien-être simulée;

Avec la somme trop élevée

Des galères à la plus-value ajoutée !

Pour un seul et même homme additionné

En tout ! Et dont le total provoque des pensées suicidaires

En respirant toujours le même air malsain peu réfrigéré !

Carbonisé aux âmes éperdues causées et ankylosées

Avec pour conséquences ravageuses et tapageuses;

Une après-midi acidulée

Et douce-amère;

Sans sa mère pour vider

Son sac ultra délétère,

Et dont l'inventaire

Est un soleil sans chaleur !

Mais avec la froideur

Des âmes qui rendent l'âme;

Après avoir tant souffert

De solitude

Et d'un manque de sollicitude 

Au coin des vicissitudes;

Abonnés aux turpitudes

D'une vie en manque d'altitude,

Emplie de mauvaises habitudes;

Une certaine après-midi acidulée

En s'piquant le corps

Sans anticorps;

Avec de la citronnade douce-amère

Quelquefois très amère

En mettant du sel sur les plaies

Avec pour coup de massue;

Une vie bien fichue pour finir en intrus

Sur le bûcher bûché et infâme

Des vendus corrompus;

Quelque part dans la rue

Parmi les badauds et leur vanité

Aux aspérités;

Sur le trottoir notoire

Dans des habitudes de micros-trottoirs,

Et dont en fin de journée et avec singularité !

Se termine en début de soirée par des maux déplacés;

Cette inoubliable et mémorable après-midi douce à mère acidulée.

 

Jérôme de Mars

Le tombeau des remords

 

Figé au cimetière

D'un corps en état de poussière !

Il y a sans vergogne

Un sinistre ivrogne;

Qui transperce le tombeau des remords,

Dont il récite tous ses sanglots consorts  !

Allongé dans son cercueil avant une mise en bière;

Qui opère sur le corbillard 

Des choses très bizarres

En passant sur le billard;

Qui lui fait perdre la boule héréditaire

A parler et à faire parler les morts;

Enterrant la hache de guerre 

Vers le tombeau des remords,

Où il vaut mieux avoir des remords !

Que des regrets une foi mort !

Quoique les vivants peuvent être

Aussi des morts-vivants rugissant;

En sautant par la fenêtre

De ces histoires troublantes;

Qui provoquent des détresses

Et des tristesses;

A s'agenouiller vies à vies de leurs pensées vacillantes, 

Afin de rendre hommage aux morts consorts

Jusqu'à sangloter de leur sort;

Avec en lot de consolation,

La déperdition dans une mort par procuration

Dans le monde des morts, d'où tout le monde en démord !

Qu'il y a au cimetière

De tous les corps en poussière !

Ceux gisant dans le tombeau des remords.

 

Jérôme de Mars

Les abeilles filent le bourdon !

 

Volons volons

A l'envolée lyrique;

Les abeilles filent le bourdon !

Au cagnard;

Qui fout le cafard

Aux violons virtuoses;

P'tits prodiges !

Qui névrosent 

Les endroits ici poétiques !

Qui voltigent 

Osez donc !

De récolter des fleurs de nectar

Quelconques qui tronquent

Une once; qui jette son grain de sel

Envers leur fiel ;

Qui égrène en amont

Les abeilles qui filent le bourdon !

Aux guêpes qui boudent les bourdons;

Ne boudons pas notre plaisir !

En eaux de boudins; 

Qui ne font que médire

Les tristes grand soirs

D'élucubrations en hallucinations;

Avec les abeilles qui filent le bourdon !

Aux guêpes qui foutent le cafard

Au cagnard

Du bourdon;

Qui a un grain 

De folie après qu'il jette son venin

Aux bourdons; qui foutent le cafard

Au cagnard

Des abeilles qui filent le bourdon !

Aux guêpes dans une nouvelle lune de miel

Attire d'ailes.

 

Jérôme de Mars

La fête des mères

 

A Noël, ma mère !

Fut conçue

Et vint au monde

Dans une vie dissolue

Et irrésolue !

Quelques mois après Noël

Dans les seins de mammaires

De ma grand-mère !

Qu'elle téta comme une sonde !

Qui la gronde

En apprenant sa vie 

Avec pour futur insurrectionnel !

Quand elle perdit ses eaux dévient

Du droit chemin !

En accouchant de moi son premier bambin

Lors de la fête des mères,

Qu'elle fêta avec les seins de mammaires

De ma grand-mère !

A Noël Mamère !

Qui suppute

Qu'avec son rut ! Ma grand-mère

Fait qu'on sue ma mère

A Noël ma mère ! En ayant une langue de pute !

Lors de la fête des mères,

Dont j'ai le mal de mère !

A chaque Noël ma mère !

Sans ma mère !

Malgré les seins de mammaires

De ma grand-mère !

Dont la mère à boire 

Est la mère de tous les vices de tous mes déboires !

Avec pour note salée à mère !

Une fête des mères !

Sans ma mère et les seins de mammaires 

De ma grand-mère !

Avec à Noël ma mère !

Sans Noël Mamère !

Une énième fête des mères

Sans elle !

Lors de chaque fête de Noël

Ma mère !

A mère !

 

Jérôme de Mars

Le jardin de l'amour

 

Dans la cour des grands !

Avant le néant;

Il y a le jardin de l'amour;

Qui s'cultive au grand jour,

Si bien qu'il a besoin

D'avoir le béguin

L'un pour l'autre,

Avant que Dieu et ses apôtres

Décident que les amours sont mortes

Malgré leurs âmes semblant fortes,

Pourvu que sésame ose une enfreinte

Aux amours défuntes,

Lorsque le jardin de l'amour

S'aime et qu'il génère

Le prolongement de l'itinéraire;

En plantant le fruit de l'amour,

Afin qu'il germe de plusieurs jours

Le jardin de l'amour;

Qui s'cultive en faisant la cour

Entre les grands; 

Dans la cour des grands !

Qu'il y ait des amours fortes

Ou des amours mortes,

Comme en écrivant 

Sur des feuilles mortes,

Ses pré-vers de l'automne,

Quand la vie s'fait atone !

Avec sur chaque fleur semblant forte

Des amours défuntes;

Qui portent à atteinte

En vers le jardin de l'amour,

En lui faisant la chasse à cour

A l'eau de rose

En lui plantant des fleurs moroses;

Qui dévalent le détour,

Quand prolifère l'inventaire

De la vie sous ses jours austères,

Alors qu'il y a tout de même

Le jardin de l'amour,

Pour se marier au grand jour

Avant les chrysanthèmes,

Où plus personne ne s'aime !

Dont pour cela; il faut profiter du carpe diem !

En le protégeant fétiche comme un totem,

Que ce soit au Parc Montsouris

Ou au Jardin du Luxembourg,

Pour que tout le monde rit

Au grand jour !

Dont grâce à l'embellie,

S'cultive jusqu'à l'homélie

De la fin de vie !

Le jardin d'un si grand amour.

 

Jérôme de Mars

Œil deux vers

 

 

1Œil de vers, en trompe-l'œil de vers             8 En jetant un rapide coût d'œil

                                                     2 J         

5 Dans     L'œil          de vers         e                 s 12J'ouvre mon œil de vers 9

                                                                           r                                           D

d                                                     m                e                                           e

o                                                     e                 v                                           u

 i    6  De Patrick de l'œil de vers                        13 D'an l'œil du cyclone .   x

g                                                    r                    x

 t    7  En ayant   bon pied bon œ il en gardant un œil de vers                      v

                                                      n                   e                                          e

4 L                                                 c                   d                                           r

  e                                                  e           11 Œil                                           s

   mettant me en vers deux  L'œil  3                  mon fermer de avant Dont 10

 

 

Jérôme de Mars

Le tourbillon des choses éphémères

 

Crayons de couleurs linéaires;

Rien naît jamais figé !

Puisque le temps laisse présager

Le tourbillon des choses éphémères,

Où une nouvelle succède rapidement à une autre !

Et vice-versa jusqu'à que soit la vôtre

De votre vie sur Terre!

Et que tout naît que matière !

Très à cran dans ce monde de peur,

Quand semble irrésolue la fataliste fureur

Dans un océan chaud bouillant de colère;

Qui inflige des misères

A la population toute entière,

Dès le tourbillon des choses éphémères

A l'envolée d'un mal de mer;

Qui part tout le temps en croisière

Pendant que le soleil gronde le Rimmel;

En maquillant les apparences trompeuses

Sous un pull col roulé qui paraît formel

A chanter la vie de façon Ménestrel,

Alors que le tourbillon des choses éphémères

Fait que personne n'ajoute de commentaires

A la réalité maintenant solennelle,

Avec des cicatrices pleines et pernicieuses

En remontant à cette enfance malheureuse;

Qui laisse dubitative de ses empreintes sulfureuses

Avec la sulfateuse qui s'fait ravageuse

En cette époque ombrageuse,

Dès le tourbillon des choses éphémères,

Où rien ne dure car bipolaire !

Aussi bien le temps

Que les gens

Qu'on pressent instables;

Avec un côté affable pour composer une belle table

Dans une façade de circonstances passables,

Et dont rien qu'au demeurant inéluctable,

Tout passe ici bas infréquentable !

En laissant à bord du sanctuaire

Qui n'est plus vraiment un repaire !

Des naufragés patibulaires

De bien mauvaise augure, 

Dont malgré tout, on espère !

Après ces vers durs !

De la verdure

Dans l'imaginaire de nos chers congénères,

Dès le tourbillon des choses enfin redevenues linéaires.

 

 

Jérôme de Mars